Obésité morbide BPCO. Tabagisme actif. Diabète type 2. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie traitée. Diabète type 2. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Tachycardie auriculaire. FA paroxystique. Syndrome des apnées du sommeil. Masse pulmonaire dans le segment antérieur du lobe supérieur droit et masse dans la région para-cardiaque gauche connues depuis 1996. Diabète type 2. Sténose aortique 2005. Hypertension artérielle. Oedème membres inférieurs. Diabètes de type I. Diabètes de type 2 non insulino-requérant, ED 2013 Suspicion de syndrome de Gilbert • Bilirubine élevée isolée (2017) Hypothyroïdie substituée Syndrome de Parkinson médicamenteux • pas d'argument pour un Parkinson dégénératif Schizophrénie non traitée Diabètes de type 2 sous Metfin Diabètes mellitus de type II • HbA1c 6.0 % le 09.02.2019 • Polyneuropathie des membres inférieurs probable à prédominance sensitive superficielle et profonde (hypoesthésie tactile en chaussettes et hypopallesthésie) Diabetes mellitus induit par Alpelisib Diabetes mellitus, unter Metformin Arterielle Hypertonie, unter Perindopril Dyslipidämie, unter Simvastatin Migräne V.a. akute psychische Dekompensation mit körperlicher Symptomatik m/b • Neurologischer Symptomatik mit Kribbelparästhesien Zehen II-IV links, Kraft seitengleich OE und UE M4, Reflexe seitengleich Diabètes type 2 non insulino-requérant HTA traité Migraines Hypertrophie de la prostate Diagnostic à étayer avec l'anamnèse familiale et avec d'éventuelles analyses biologiques chez le médecin traitant. Diagnostic formel le 25.04.2019 avec ferritine > 120 000 Diagnostic: Adénocarcinome du bas rectum initialement classé cT3 cN+ cM0, stade III • date du diagnostic : le 25.01.2017 • histologie du 25.01.2017 (Promed P875.17) : adénocarcinome moyennement différencié de type colorectal partiellement ulcéré et couvert d'exsudat fibrinoleucocytaire (localisation rectum). • Colonoscopie le 24.01.2017 : lésion semi-circulaire de la marge anale s'étendant sur 8 cm • CT thoraco-abdominal du 07.02.2017 : épaississement bourgeonnant circonférentiel d'environ 12 mm visible dès le sphincter avec extension en amont dans le bas et moyen rectum sur une hauteur mesurable de 50 mm environ, quelques ganglions arrondis de 3 à 4 mm dans la graisse péri-rectale • IRM du pelvis du 08.02.2017 : lésion tumorale du bas rectum en contact avec le sphincter externe dans la partie postérieure touchant le fascia mésorectal associée à de petites adénopathies locorégionales • CEA du 02.02.2017: 33,4 ng/ml • status post-radio- et chimiothérapie par Xeloda néo-adjuvante du 22.02.2017 au 28.03.2017 • status post-amputation rectale avec curage ganglionnaire (TME) et colostomie définitive le 26.05.2017 • histologie (Promed P5987.17 du 02.06.2017) : adénocarcinome résiduel dans une zone de remaniement fibro-cicatriciel avec ulcération profonde (4 cm de grand axe), ypT3 ypN0 (0/19) L/V0 R0 CRM négatif. Score de régression tumorale grade 2 (< 10% de carcinome résiduel) • status post chimiothérapie adjuvante par Xeloda jusqu'au 29.10.2017 • métastases pulmonaires du lobe supérieur droit d'un adénocarcinome du bas rectum, le 24.01.2018 • histologie (Institut für Pathologie, Universität Bern, B2018.2712) : métastases d'un adénocarcinome intestinal • status post thoracoscopie uniportale droite avec adhésiolyse et segmentectomie S1 du lobe supérieur droit avec curage ganglionnaire le 24.01.2018 • récidive pulmonaire lobe supérieur gauche selon le scanner du 20.08.2018 et le PET-CT du 03.09.2018 • status post résection intra-anatomique du lobe supérieur gauche avec curage ganglionnaire par thoracoscopie uniportale le 20.09.2018 • pathologie (Berne B2018.32998) : infiltrat nodulaire d'un carcinome type intestinal de 0,8 cm correspondant au carcinome rectal connu avec des marges de résection de 1,8 cm, résection R0 • rémission complète selon le scanner du 10.12.2018 • actuellement : progression tumorale avec multiples lésions nodulaires pulmonaires bilatérales, augmentation de l'épaississement hilaire à droite, épanchement pleural droit, épanchement péricardique. Proposition : première ligne d'un traitement systémique par FOLFIRI + anticorps selon status RAS et RAF (en cours) Diagnostik: • 27.04.2019: Schnelltest auf Streptokokken positiv • 27.04.2019: Rachenabstrich (mcl): ausstehend • 27.04.2019: Labor: CRP 116, Leuk 12.2 Therapie: • Co Amoxi 2.2g intavenös auf der Permanence • Vorstellung in der HNO im Kantonsspital Freiburg am 27.04.2019 Diagnostique parkinsonisme le 20.04.2019 Diarrhées • Antibiothérapie du 17.03.2019 au 25.03.2019 • Dans le cadre d'une pneumonie, hospitalisation du 17.03. au 21.03 à Lindehof • Dialyse à 13h00 • Reprise sintrom • Ablation des fils à 3 semaines Dialyse intermittente 3x/semaine Dialyse quotidienne lors de la chimiothérapie (métabolite neurotoxique de la Cytarabine, CIVD et risque de lyse tumorale) Dialyse intermittente 3x/semaine par la suite Torasémide 200 mg 1x/j Dialyse 3x/semaine Dialyse 3x/semaine Dialyse 3x/semaine le lundi, mercredi et vendredi Anticoagulation thérapeutique par Sintrom suspendue dans le cadre du diagnostic principal, remplacée par anticoagulation prophylactique par Liquemine Restriction hydrique de 700 ml/j Dialyse 3x/semaine le lundi, mercredi et vendredi Remplacement du Sintrom par Liquemine, actuellement liquémine pausée depuis 2 semaines Restriction hydrique de 700 ml/jour Dialyse 3x/semaine le lundi, mercredi et vendredi Restriction hydrique de 700 ml/jour Diamox 250mg 3x/j PO en suspens Iopidine 0.5% 3x/j Cosopt 2x/j Spersacarpine 2x/j Consultations ophtalmologie le 13.04.2017: Laser, le 20.04, le 28.04, le 02.05 diarrhée et vomissements Diarrhées et vomissements. Diarrhée. Diarrhée. Diarrhée. Diarrhée. Diarrhée. Diarrhée. Diarrhée à Campylobacter le 23.04.2019. Diarrhée associée aux antibiotiques 02.04.2019 Diarrhée chronique. Diarrhée d'origine indéterminée le 01.04.2019 Diarrhée d'origine indéterminée le 03.04.2019 Diarrhée d'origine indéterminée le 05.04.2017 Diarrhée d'origine indéterminée le 08.03.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 pré-rénale et sur sepsis le 27.02.2019 Polyglobulie légère et macrocytose le 27.02.2019 Hyponatrémie et hypocalcémie le 27.02.2019 État fébrile d'origine indéterminée le 05.03.2019 : DD médicamenteux Fibrillation auriculaire paroxystique rapide de résolution spontanée le 27.02.2019 Diarrhée et vomissements. Diarrhée et vomissements. Diarrhée, état fébrile Diarrhée le 01.04.2019 : • après prise de produit de contraste Diarrhée le 14.04.2019. Diarrhée profuse avec perturbation des enzymes pancréatiques le 01/04/19. DD pancréatite lithiasique. DD infection bactérienne, parasitaire. Diarrhée profuse avec perturbation des enzymes pancréatiques le 01.04.2019. DD : pancréatite lithiasique. DD : infection bactérienne, parasitaire. Diarrhée récidivante et intermittente depuis le 23.1.19 d'origine indéterminée Diarrhée récidivante et intermittente depuis le 23.1.19 d'origine indéterminée • Avec déshydratation et troubles électrolytiques • CT le 18.02.2019 : Diverticulose sigmoïdienne et colique descendante marquée sans signe de diverticulite • Traitement avec 3 jours d'Azithromycine, 7 jours par Ciproxin-Flagyl jusqu'à 4.3.19. Diarrhées Diarrhées Diarrhées Diarrhées Diarrhées Diarrhées Diarrhées Diarrhées Diarrhées Diarrhées Diarrhées. Diarrhées. Diarrhées. Diarrhées. Diarrhées. Diarrhées. Diarrhées. Diarrhées. Diarrhées. Diarrhées. Diarrhées. Diarrhées. Diarrhées abondantes depuis 3 jours. Diarrhées acqueuses Diarrhées aigues Diarrhées aiguës d'origine indéterminée avec déshydratation le 22.10.2015. Cholécystectomie pour lithiase (2008). Atteinte du nerf radial droit. Lésions cutanées extensives le 19.06.2017. Diagnostic différentiel : pityriasis lichénoïde • biopsie cutanée le 06.06.2017 : dépôts d'IgG le long de la membrane basale de l'épiderme, Lupus ne peut être exclu, IgM, IgA, IgE Complément C3 : négatif • test HIV et HCV le 22.06.2017 : négatif Décompensation diabétique acidocétosique et hyperosmolaire le 19.06.2017. Non compliance médicamenteuse dans un contexte de situation sociale précaire le 12.06.2017. Diarrhées aiguës post antibiothérapie le 24.04.2019. • DD : colite à clostridium. Diarrhées aiguës probablement d'origine virale, le 26.04.2019. Diarrhées aiguës sanguinolentes Diarrhées aiguës sur probable gastro-entérite d'origine virale, avec : Diarrhées aigües sur surdosage de Laxoberon. Diarrhées aigues Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale Diarrhées aqueuses aigües, DD origine médicamenteuse (Taxotere le 04.04.2019 et Laxoberon). Hématurie macroscopique sur cystofix le 21.04.2019. Agranulocytose fébrile dans un contexte oncologique sous chimiothérapie d'origine probablement urinaire chez un patient porteur d'un cystofix. Urétroplastie par voie périnéale avec résection de l'anastomose de l'urètre bulbaire le 23.09.2015 (Dr. X). Urétrotomie interne le 07.01.2015 pour sténose de l'urètre post-radiothérapie pour adénocarcinome prostatique. Radiothérapie en 2012 pour adénocarcinome prostatique cT2N1M0 G3 (Gleason 8, iPSA 11,7). PTG droite pour gonarthrose en 2007. Cure de hernie ombilicale. Amygdalectomie. Prostatite. Diarrhées aqueuses aigües d'origine probablement médicamenteuse (Taxotere le 04.04.2019 et Laxoberon). Diarrhées aqueuses avec : • déshydratation. Diarrhées aqueuses dans un contexte de gastro-entérite virale versus intoxication alimentaire le 06.04.2019. Diarrhées aqueuses le 27.03.2019 Diarrhées chroniques DD : colite inflammatoire • Calprotectine à 130 le 27.06.2018 Diarrhées chroniques d'origine probablement oncologique 02.04.2019 Diarrhées chroniques le 04.04.2019 depuis 4 semaines. Diarrhées chroniques multi-investigués Diarrhées dans le contexte de l'antibiothérapie avec déshydratation. Diarrhées dans un contexte de traitement antibiotique le 06.04.2019. Diarrhées (DD sur antibiotique) Diarrhées depuis l'admission sur : • sensibilité gastro-intestinale connue lors du changement d'alimentation • sur antibiothérapie. Diarrhées depuis novembre 2018 et baisse d'état général. Diarrhées d'origine indéterminée Diarrhées d'origine indéterminée le 09.03.2019 • DD sur antibiothérapie Diarrhées d'origine indéterminée le 11.04.2019 Diarrhées d'origine indéterminée le 28.03.2019 DD : sur antibiothérapie, sur mucite digestive débutante Diarrhées et douleurs abdominales Diarrhées et douleurs abdominales. Diarrhées et douleurs abdominales. Diarrhées et symptômes urinaires Diarrhées et vomissement Diarrhées et vomissements Diarrhées et vomissements Diarrhées et vomissements d'origine indéterminée, le 11.04.2019. Diarrhées, fièvre. Diarrhées iatrogènes sur probable trouble hypochondriaque. Diarrhées le 01.03.2019 Diarrhées le 01.03.2019 Diarrhées le 14.04.2019 Diarrhées le 14.04.2019 Diarrhées le 16.04.2019 Diarrhées le 19.04.2019, d'origine indéterminée Diarrhées non inflammatoires au décours Diarrhées non-sanguinolentes dès le 25.04.2019 DD entérite virale, médicamenteux (antibiothérapie) Diarrhées persistantes d'origine indéterminée le 17.04.2019 (DD : colon irritable, origine médicamenteuse). Diarrhées persistantes sous antibiothérapie le 22.04.2019 Diarrhées probablement post-antibiothérapie le 04.04.2019 Diarrhées probablement d'origine médicamenteuse (sur co-amoxicilline vs colchicine) Diarrhées profuses Diarrhées récidivantes depuis 1 semaine • dans un contexte d'antibiothérapie Diarrhées subaiguës. Diarrhées subaiguës à chroniques et vomissements avec 1 épisode d'hématémèse d'origine indéterminée : • DD : gastro-entérite bactérienne, Crohn, syndrome de Mallory-Weiss. Diarrhées sur antibiothérapie en mars 2019 (C. difficile dans les selles : négatif). Anémie hémolytique dans le cadre d'une maladie des agglutinines froides : • sur exposition au froid et pneumonie • hémoglobine à 73 g/l le 19.03.2019. PTG bilatérale en 2009. Opération hydrocèle testicule gauche en 2009. Hernie inguinale bilatérale opérée. Amygdalectomie en 1968. Diarrhées sur colite à C. difficile dès le 11.03.2019 Diarrhées sur probable mucosite sur 5-FU 25.04.2019 • Coprocultures, C. difficile : négative Diarrhées sur traitement de Co-Amoxicilline. Infection des voies aériennes supérieures avec surinfection bactérienne. Hémorragie vaginale depuis le 04.05.2013. Dermohypodermite de la pulpe de D1 main droite : • DD : paronychie, ongle incarné. Diarrhées verdâtres le 28.03.2019, sur antibiothérapie. Diarrhées, vomissements. Fraction d'excrétion urée 17% -> IRA prérénale. Hydratation, stopper les diurétiques. Contrôle biologique le lendemain. Diarrhées depuis 4 jours Mr. Y est hospitalisé pour une fièvre sans foyer. L'analyse en laboratoire n'a pas montré des valeurs d'inflammation. En raison de l'âge, une thérapie intraveineuse empirique avec Amoxicilline et Amikacine a été commencée après exclusion de la méningite et l'enlèvement des cultures de sang et d'urine. Pendant l'hospitalisation, aucun signe d'infection bactérienne n'a été trouvé cliniquement, chimiquement ou dans les résultats de culture, donc on a arrêté la thérapie antibiotique. Mr. Y a développé une légère toux et des diarrhées et nous interprétons des symptômes dans un contexte de virose. Un retour à domicile le 04.04.2019 dans un bon état général a été possible. Diarrhées de l'enfant, trop agité pour se rapprocher et à cause de la position de la plaie, il n'est pas possible de lui donner du Kalinox. Elle a été transférée chez une amie à l'hôpital Insel à Berne. Mme. Y, connue pour arthrose, se plaint de douleurs au genou droit depuis hier en marchant, cliniquement il y a un soupçon d'arthrose fémoro-tibiale interne, ce qui est confirmé par les radiographies. Nous recommandons donc à la patiente de se reposer durant les 3 prochains jours et de prendre l'antalgiques qu'elle a déjà en réserve, de plus nous ajoutons Ecofenac 1%. Mme. Y a subi un traumatisme de supination de la cheville droite hier, il y a cliniquement des points selon les critères d'Ottawa. Nous effectuons une radiographie qui montre aucune indication de fracture. Nous le traiterons alors avec Brufen, Ecofenac gel et une attelle Mac David pendant au moins 2 semaines, la première semaine jour et nuit, la deuxième seulement pour la nuit. Une dispense de sport est accordée pour 4 semaines. Aucun sport avant le prochain rendez-vous chez le médecin. Mme. Y est tombée hier suite à un mécanisme fonctionnel sur sa main droite et ensuite sur la tête. Nous faisons alors une radiographie qui montre une fracture du radius distal droit (type Colles). Nous prenons contact avec les orthopédistes d'Insel. Après avis des orthopédistes d'Insel, nous réalisons une immobilisation par suspension du bras avec 5kg pendant 10 minutes. Ensuite, nous posons un plâtre et réalisons à nouveau une radiographie qui montre une amélioration de la dislocation mais il persiste néanmoins une légère dislocation. La patiente souhaite être opérée à l'hôpital Insel. Les orthopédistes de l'hôpital Insel s'occuperont directement d'elle et se chargeront de la suite du traitement. Nous prescrivons en tant qu'antalgiques Zaldiar 37,5 mg.Différence de longueur des membres inférieurs de 2.5 cm en défaveur de la jambe gauche. Différence de rotation tibiale. Différence de valeurs de tension D>G. Différents traitements proposés par pédiatre sans résolution de l'éruption • Poursuite avec dexeryl • Changement feniallerg pour aerius 1x/j 2,5ml pour voir si amélioration • Prévoir par pédiatre une consultation dermatologique (dermatologie HFR, Hôpital de l'enfance Lausanne, autre) Pas d'examen supplémentaire demandé et pas de consultation dermatologique possible aux urgences car consultation en soirée. Difficulté à respirer depuis 2 jours. Difficulté alimentaire. Difficulté alimentaire dans le cadre du syndrome de détresse respiratoire aigu. Difficulté de prise en charge au foyer du Bosquet. Difficulté respiratoire sur bronchite asthmatique. Difficultés à la marche initialement. Prise d'AINS et de Dafalgan, puis réévaluation, marche possible. Nous proposons au patient une bande élastique, il devra marcher sur le pied accidenté. Les premiers jours, il peut s'aider d'une béquille. Difficultés à la mastication suite à fracture de l'arcade zygomatique avec : • perte de force pour flexion extension du genou • un peu ralenti, endurance diminuée • baisse d'acuité visuelle gauche • proposer de voir un psychologue. Difficultés alimentaires de la prématurité. Difficultés alimentaires avec prise de poids insuffisante sur insuffisance d'apports. DD troubles de la régulation, pas d'argument pour cardiopathie ou origine infectieuse. SNG du 26.11 au 28.11. Bilan sanguin et gazométrique. Sédiments urinaires. ECG : dans la norme. Monitoring cardio-pulmonaire du 26.11 au 29.11. Saturation en continu du 26.11 au 04.12. Nourrisson né à 41 4/7 SA, PN 3400 g (P 25-50), TN 50 cm (P 10-25), PCN 33 cm (P 3-5). A l'entrée, J11 = 43 0/7 SA, poids 3200 g (-6 % du poids de naissance). Vitamine D 400 U/j. Sécrétion oculaire gauche sans compromis de la conjonctive. Euphrasia gtte 3x/j du 29.11 au 04.12. Difficultés alimentaires dans le contexte de la prématurité. Difficultés alimentaires dans le contexte de pneumonie virale. Difficultés alimentaires dans le contexte de troubles de l'adaptation. Difficultés alimentaires dans le contexte d'un syndrome de détresse respiratoire. Difficultés alimentaires (DD : gastro-entérite aiguë débutante). Difficultés alimentaires de la prématurité et péri-infectieuses. Difficultés alimentaires sur changement de lait. Difficultés alimentaires sur prématurité. Difficultés respiratoires. Dig I D (main dominante) : rhizarthrose stade III selon Eaton et Littler. Dig I main D : trapézectomie et ligamentoplastie de suspension (OP le 15.04.2019). Dig II à ressaut à G. Dig II droit : arthrose DIP. Dig II-III gauche : arthrose DIP, status post ostéophytectomie. Dig II main G : plaie profonde par écrasement avec fracture ouverte de P3, mallet finger osseux et fracture articulaire partielle de la base radiale de P3 ; le 25.03.2019. Dig III D (dominant) : status post ablation kyste arthrosynovial et ablation protubérance osseuse P1 côté radial le 04.02.2019. Dig III G : • Révision, débridement, lavage et fermeture plaie • Arthrodèse temporaire de l'IPD par 1 broche de Kirschner (OP le 25.03.2019). Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 25.03. au 27.03.2019 • Co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. dès le 27.03. et jusqu'au 01.04.2019 puis à réévaluer. Dig IV droit : • Status post reconstruction FDP le 11.02.2016. • Status post ténolyse FDP et arthrolyse DIP le 03.10.2016. • Status post ténolyse FDP, arthrolyse DIP, rallongement FDP Dig. IV main droite le 27.08.2018. Dig V D : ablation 2 vis 1.0 P1 distal, ténolyse extenseur, arthrolyse IPP et IPD (OP le 15.04.2019). Dig V D f/p de ce jour : pas de déplacement secondaire. Dig V main D : limitation de mobilité IPP et IPD sur status post • Réduction ouverte, OS fracture bicondylienne P1 Dig V le 09.09.2018 • Réinsertion par ancre de l'EDC zone 3 Dig V pour déplacement secondaire fragment osseux EDC le 10.09.2018. Dig V main G : contracture de l'IPP sur status post • Réduction ouverte, OS par plaque fracture déplacée base P1 Dig V G le 26.10.2017 • AMO et ténolyse le 16.01.2018. Dig V main G : ténolyse des fléchisseurs, arthrolyse IPP, arthrolyse dorsale MCP (OP le 15.04.2019). Dilara est hospitalisée pour des vomissements sanglants. Lors de son hospitalisation, elle bénéficie d'un traitement de Nexium 40 mg 2x/j. Le 08.04.2019, Prof. X effectue une oesophagogastroduodénoscopie qui démontre des lésions gastriques, donc nous gardons une suspicion de Mallory Weiss résolu. Dilatation de la racine de l'aorte (46 mm) et dilatation de l'aorte ascendante (échographie transoesophagienne du 09.11.2017). Dilatation du pyélon droit à 12 mm (découverte radiologique fortuite le 27.01.2018). Dilatation du ventricule droit avec une fonction normale (échographie transthoracique du 02.02.2018). Dilatation estomac-duodénum sur infiltration/sténose tumorale du duodénum le 14.04.2019. Dilatation et endoprothèse a. iliaca communis et droit externe en 1995 et 2005 • endartériectomie D 2007 • Stent G en 2017. Attaque cérébrovasculaire (CVI) arteria cerebri media en 2007 à D • occlusion de l'artère carotide interne, stent 2008 • endartériectomie a. carotide interne G en 1997, D en 1996. Dilatation pyélocalicielle gauche de 9 mm en anténatal. Dilatation pyélocalicielle gauche le 13.02.2019 • sur infiltration de l'uretère par lymphome. Dilatation pyélocalicielle gauche sévère. Dilatation rénale à gauche à la limite inférieure. Dilatation valve pulmonaire en avril 2004 pour sténose congénitale • US cardiaque en mars 2012 dans la norme (prochain US en 2017) • Chute à vélo le 10.06.2013 avec : • Commotion cérébrale • Contusion main D • Fracture quart supérieur incisive inférieure D (dent 41).• Serologie pour HIV/Boehringer encore en attente • Koronarangiographie am 22.02.2018 Kardiomyopathie d'étiologie inconnue, Koronarsklerose sans sténose significative, LVEF 25% Actuelle thérapie (22.04.2019) : Sotalol matin et soir, Entresto 200 mg - 0 - 200 mg, Xarelto 20 mg Consommation chronique d'alcool avec : • Anamnèse depuis des années 1/2-1 bouteille de vin par jour • Transaminases/Cholestase augmentées (gGT 121 U/l, ALP 181 U/l, GOT 49 U/l, GPT 58 U/l), 20.02.2018 Dilzem IV le 01.04.2019 Reprise du traitement habituel dès le 02.04.2019 Diminuer la consommation d'alcool vu les interactions avec le Xanax. Diminution antalgie Contexte : consultation orthopédique et CT prévu ce jour initialement CT lombaire le 16.04.2019 Rx colonne dorsale et lombaire le 26.04.2019 Avis orthopédique le 25.04.2019 Rendez-vous en orthopédie Team Spine le 14.05.2019 à 15h15 avec une radiographie de la colonne lombaire et dorsale avant. Merci de repousser le rendez-vous si le patient est toujours hospitalisé à ce moment-là. Diminution antalgie selon tolérance. Diminution des anti-émétiques dès la fin de l'antibiothérapie. Contrôle de l'anémie et des électrolytes à distance. Diminution de la vision unilatérale (pas de lunettes). Diminution des apports Substitution électrolytique Diminution de la diurèse anamnestique Diminution des doses de Méthadone, Saroten et de Gabapentine, puis arrêt de ces traitements Diminution des douleurs. Continuer antalgie. Diminution du Fentanyl à 100 mcg (bonne tolérance à 75 mcg, état confusionnel aigu sous 200 mcg). Bilan biologique. Primpéran 10 mg IV en réserve. Suivi clinique. Diminution du Madopar le soir Suivi clinique Diminution du Marcoumar 1.5mg avec contrôle aux ambulatoires des urgences de l'INR d'ici 3-4 jours pour réadaptation du carnet de Marcoumar. Diminution du traitement anti-histaminique Poursuite de Dermovate crème Diminution progressive de la Dexaméthasone Consultation radio-oncologie le 16.04.2019, CT cérébral de planification le 17.04.2019 à 13h en vue de radiothérapie Diminution progressive sur l'après-midi. ATT : surveillance glycémique 3x/jour, évaluer l'introduction d'un traitement antidiabétique oral. Diplopie. Diplopie d'origine indéterminée en juin 2018. Diplopie d'origine indéterminée le 07.06.2018. DD : atteinte musculature motricité oculaire versus compression nerveuse, avec NHSS à 0. Diplopie intermittente d'origine indéterminée DD : myasthénie grave, syndrome de Miller Fischer, atteinte cérébro-vasculaire. Diplopie le 17.03.2019 • statut neurologique dans la norme • consultation en ophtalmologie le vendredi 29.03.2019 (Hôpital Cantonal HFR) Maladie de Ménière à gauche traitée par Betaserc Tabagisme actif Diplopie, trouble de l'élocution et sensation de perte d'équilibre Discectomie complète C4-5 C5-6 avec mise en place de 2 cages Mt Ortho 6/16/14 respectivement, stabilisation par plaque Triptyk 40mm en C4-6 par abord antéro-latéral G le 26.04.2019 Discectomie C4-C5 avec mise en place de cage MT Ortho Corpectomie C6 avec pose de cage expansible ECD Stabilisation par plaque Dedacta C4 à C7 Résection des ostéophytes C5-C6 avec neuromonitoring (OP le 06.03.2019) Discectomie rétro-péritonéale L5-S1 G, décompression et ablation de la hernie discale. Mise en place d'une cage ALIF Synfix M 12/14° pré-remplie de Ceracell en L5-S1, fixée par 2 vis de 20mm en L5 et 2 vis de 25mm en S1, avec correction de la lordose (OP 18.03.2019). Discectomie rétro-péritonéale L5-S1 par la G, décompression bilatérale, reconstruction de la lordose avec mise en place d'une cage ALIF 12 mm 14° pré-remplie de Ceracell et fixée par 2 vis de 20 mm en L5 et par 2 vis 25 mm en S1 Discectomie rétro-péritonéale L4-L5 par la G, décompression bilatérale, reconstruction de la lordose avec mise en place d'une cage Synfix Evolution 12 mm 14° pré-remplie de Ceracell et fixée par 4 vis de 20 mm en L4-L5 (OP le 15.04.2019) Discopathie L4-L5 et L5-S1 avec : • Lombalgies chroniques et scoliose et arthropathie facettaire. F44.7 Trouble dissociatif de conversion mixte avec : • tremblements mal systématisés des 4 membres. Discopathie L5-S1. Asthme allergique traité par Symbicort. Cervicalgies chroniques. Intolérance au lactose. Ulcère gastrique. Polyarthrite rhumatoïde. Migraines non déficitaires. Discopathie multi-étagée C3-C4, C5-C6, C6-C7 avec inversion de la lordose cervicale physiologique sans signe de myélopathie avec protrusion discale étagée et hernie discale médiane et para-médiane à prédominance droite en C4-C5, C5-C6 avec probable irritation en C5-C6 à droite. Discopathie multi-étagée sur spondylarthrose la plus marquée en L4-L5, protrusion discale L4-L5 gauche avec conflit de la racine L5 gauche. Rétrécissement neuro-foraminal L3-L4 droit sur arthrose facettaire. Gonarthrose unicompartimentale fémoro-tibiale interne du genou droit. Discopathies L4-L5, L5-S1 compliquées de petites hernies discales sous ligamentaires à l'IRM du 19.12.2016 Résistance à la protéine C activée et mutation hétérozygote du facteur V de Leiden Discret épanchement péricardique sur le CT d'entrée Discret hématome sous-unguéal du 2ème doigt de la main droite post-traumatique. Discret souffle systolique 1/6 sur la ligne médio-claviculaire à droite audible dès J16 de vie. Discrète insuffisance cardiaque le 27.03.2019 • légers OMI et crépitants bibasaux Discussion au colloque du 14.04.2019. CT-scan à faire le 14.04 (demandé par le Dr. X, orthopédiste). Patient appelé : ne peut pas venir le 14.04 pendant la journée. Patient convoqué en filière des urgences ambulatoires à 11h le 15.04. CT-scan organisé pour le 15.04 à 11h30. Discussion au colloque oncologique multi-disciplinaire le 03.04.2019 Rendez-vous à la consultation d'oncologie (Dr. X) le 08.04.2019 à 14h15 Rendez-vous à la consultation de chirurgie thoracique le 10.05.2019 à 11h30 Discussion avec Dr. X : Mise sous Enalapril 5mg une fois par jour Dispense scolaire actuellement, puis revoir selon l'évolution Le diagnostic reste probablement post-infectieux, la protéinurie peut durer environ 2 mois maximum, hématurie - environ 2 semaines au total. Si la protéinurie persiste au bout de 2 mois avec les œdèmes - biopsie à envisager. Discussion avec Dr. X : Mise sous Ezidrex 12,5 mg x2/jour en plus d' Enalapril 5mg une fois par jour, vu les œdèmes persistants et la prise pondérale Dispense scolaire actuellement, puis revoir selon l'évolution Le diagnostic reste probablement post-infectieux, la protéinurie peut durer environ 2 mois maximum, hématurie - environ 2 semaines au total. Si la protéinurie persiste au bout de 2 mois avec les œdèmes - biopsie à envisager • Contrôle clinique et Stix/Sédiment urinaire (pas de bilan sanguin) demain le 06.04 aux urgences pédiatriques Discussion avec Dr. X : • Traitement stable, pas de changement (Ezidrex 12,5 mg x2/jour et Enalapril 5mg une fois par jour) • Contrôle clinique, TA et Stix/Sédiment urinaire (pas de bilan sanguin) le 08.04 chez le pédiatre (dossier envoyé par mail chez Dr. X) ou aux urgences pédiatriques si pédiatre non disponible (la mère doit appeler pour fixer un RDV le 08.04) : Contact à prendre avec Dr. X pour poursuite de la prise en charge • Consignes pour contrôle aux urgences si douleurs importantes Discussion avec la famille, vous-même et l'infectiologue, Dr. X : arrêt de l'antibiothérapie. Pas d'intervention vu le contexte chronique et l'état général de Mme. Y.Discussion avec la fille et le fils le 02.04.19 : situation déjà précédemment limite à domicile, souhaitent l'organisation d'un placement en Home. Discussion avec le fils : le fils est au clair sur la situation, il ne souhaite pas d'investigation en urgence et préfère un retour au home avec mise en place d'une antibiothérapie iv sans investigation complémentaire et demande qu'il n'y ait pas de transfert aux urgences en cas de dégradation clinique. Retour au home pour soins de confort en accord avec les directives anticipées du patient et en accord avec le fils. Discussion avec le médecin traitant ad US carotides. Discussion avec le patient et sa femme. Consultation chez le médecin traitant pour adaptation du traitement. Discussion avec l'épouse : est actuellement d'accord de continuer à s'en occuper. Discussion avec les parents qu'il s'agit probablement d'une réaction médicamenteuse sans allergie de type 1. Arrêt de l'amoxicilline et du Nexium. Rash peut persister durant une semaine. L'état fébrile va avec la réaction médicamenteuse, pas de traitement par fébrifuges d'office. Discussion du cas au colloque interdisciplinaire le 17.04.2019. Discussion du cas avec le Dr. X (médecin spécialisé). Changement du traitement antidépresseur (Cymbalta) pour de l'Escitalopram 10 mg, dès le 12.04.2019 : • diminution du risque épileptogène. Discussion multidisciplinaire. Psychologie Coping positif. Discussion résultats. Discussion. Proposition de prendre rendez-vous au RFSM pour consultation psychiatrique/psychologique. Sinon prise en charge chez le médecin traitant. Arrêt de travail de 7 jours dans le contexte de surmenage évident. Discuté avec psychiatre de garde : transfert à Marsens accompagné par sa famille, accepté sans problème par l'entourage et le patient, expliqué les indications à une éventuelle contrainte si changement d'avis, le patient a bien compris. Discuter d'un avis chez le Pneumologue avec Mme. Y pour suite de PEC. Discuter d'un bilan à distance des interventions. Discuter les images au rapport du 08.04. pour évaluer anticoagulation thérapeutique. Anticoagulation prophylactique. Disjonction acromio-claviculaire Rockwood 2 droit 02.04.2019. Dislocation du manubrium sternal sur trauma thoracique sur chute de 4 mètres le 13.12.2017. • status post-stabilisation par une double plaque avec système Rip Fix Blue le 14.12.2017. Disparition des sibilances et persistance de très léger crépitant après 6 push de ventolin. Réévaluation selon les parents au besoin de contrôle. Dispense de sport pour 2 semaines. Contrôle à la consultation du Dr. X à 2 semaines. Dissection aortique chronique postopératoire le 20.12.2008, sans répercussion suite à l'événement actuel sur : • Status post remplacement racine aorte avec valvule aortique et remplacement 3/4 aortique en décembre 2008. • Anticoagulation par Marcoumar. Dissection aortique de type A le 19.02.2019. Procédure : 19.02.19 : Remplacement de l'aorte ascendante par un tube D et canulation de l'artère carotide G, CEC 107 min, clampage aortique de 64 min (Prof. X - CHUV). ETT du 27.02.2019 : FEVG 65%, valve mitrale avec fuite légère/modérée. Absence d'épanchement péricardique. Dissection aortique type A à partir de la carotide commune gauche s'étendant jusqu'à la bifurcation fémorale le 20.04.2018. • contexte de prothèse de l'hémi-crosse aortique le 15.03.2018. Goutte. Cure de hernie inguinale bilatérale en 1995 environ. Amygdalectomie en 1980 environ. Status post polypectomie en 1980. Status post opération de cataracte en janvier 2016. Anévrisme de l'artère poplitée gauche : • status post cure d'anévrisme de l'artère fémorale profonde droite par prothèse le 24.02.2014. • status post ligature d'un anévrisme poplité gauche avec embolectomie et lyse sélective de l'axe distal avec pontage fémoro-poplité pour une ischémie critique aiguë en septembre 2013. Cure d'anévrisme de l'artère poplitée le 17.11.2015, artériotomie avec ligatures de collatérales. Bradycardie sinusale à 41/min le 20.04.2018. • DD : dans contexte diagnostic de dissection aortique, sur traitement bétabloqueur et cordarone. Douleurs thoraciques le 16.06.2018 sur fuite anastomose distale du stent d'une dissection aortique de type A : • ECG : RSR à 73/min, axe avec déviation gauche, onde T nég en aVL et I, sur-élévation non significative du ST en v2. • Labo : D-dimères 3'580, CK 29 U/l, CK-MB 13 U/l, trop H0 13 ng/l, trop H1 13 ng/l. • CT triple rule out : pas d'embolie pulmonaire, présence d'une fuite au niveau de la cross de l'aorte déjà présente selon comparatif du CT du 01.05.2018. • Avis chirurgie cardio-vasculaire Inselspital (Dr. X) : fuite déjà présente sur CT du 01.05 mais avec ce jour augmentation en diamètre de l'aorte descendante. Transfert du patient aux urgences de l'Inselspital afin de discuter de reprise chirurgicale. Dissection aortique type B découverte de manière fortuite au PET-CT 02.2019 : • Traitement conservateur (par b-bloquant), refusé par Mme. Y. • Suivi au CHUV. Ancien tabagisme à 30 UPA. Dissection artère sous-clavière G le 20.04.2019. Dissection artère sous-clavière gauche le 20.04.2019 : • DD : spontanée, iatrogène sur coronarographie le 16.04.2019 (voie d'abord fémoral droit). Dissection de l'artère vertébrale à droite V2 distale et V3 proximale, réapparaissant en V3 distale le 03.04.2019 : • post traumatisme crânien modéré sur chute d'environ 7 m. Dissection fémorale bilatérale asymptomatique le 25.04.2019. Distorsion cervicale le 04.02.2019. Distorsion de haut grade voire rupture partielle du LCA genou droit. Distorsion du genou gauche. Distorsion du ligament latéral interne combinée à une distorsion du ligament croisé antérieur du genou gauche. Distorsion genou G du 07.04.2019 avec lésion du ligament croisé antérieur. Distorsion ligament croisé antérieur : • DD : rupture partielle associée à une distorsion grade I du ligament collatéral externe genou gauche. Distorsion ligament talo-fibulaire antérieur cheville gauche du 14.02.2019. Distorsion stade II ligament collatéral interne, genou D. Lésion corne postérieure du ménisque interne, genou D. Distorsion traumatique du genou gauche. Diurétique. Diurétiques de l'anse iv et CPAP du 27 au 28.03.2019. Torasémide dès le 28.03.2019. Diurétiques. Physiothérapie. Bilan angiologique du 15.04.2019 (Dr. X) : œdème multifactoriel dans contexte de surcharge sur cirrhose avec ascite, d'insuffisance veineuse superficielle et lymphatique. Perfusion artérielle normale. Compression pneumatique intermittente, bandages, drainages lymphatiques. Bas de compression classe II par la suite. Diurétique. Ventilation non-invasive le 15.04.2019. Reprise du traitement antihypertenseur. Échographie transthoracique à prévoir. Diverticulite sigmoidienne perforée couverte stade IIb le 12.04.2019 avec : • collection du mésosigmoïde de 5x2x1.5 cm. Diverticulite. Diverticulite aiguë non compliquée 2A le 20/04/19. Diverticulite aiguë stade IIA selon Hansen-Stock le 07.04.2019 : • Status post diverticulite aiguë de la jonction descendo-sigmoïdienne perforée-couverte stade Hansen-Stock IIB le 02.09.2018. • Status post diverticulite sigmoïdienne perforée couverte stade Hansen-Stock IIB en 2011 avec traitement conservateur. Diverticulite avec colite du côlon descendant (Hansen-Stock I), 1er épisode le 05.06.2014. Diverticulite sigmoïdienne Hansen-Stock IIa le 30.07.2018.Dysurie stérile le 04.07.2018. Diverticulite avec perforation couverte Hansen-Stock IIb le 12.01.2019 • Rocéphine et Metronidazole iv du 12.01.19 au 15.01.19 • Ciproxine et Flagyl par voie orale du 15.01.19 au 29/30.01.2019 Diverticulite côlon descendant classée Hansen Stock IIa avec importante infiltration le 20.04.2019 : • 1er épisode Diverticulite côlon descendant Hansen-Stock IIa le 20.04.2019 • Status post plusieurs épisodes de diverticulite (dernier épisode en 2017) • Dernière colonoscopie et gastroscopie en fin 2018 • Status post drainage et sigmoïdectomie pour diverticulite en 1995 Diverticulite de stade Hansen Stock IIa avec importante infiltration le 20.04.2019 • 1er épisode Diverticulite du côlon transverse non compliquée le 02.12.2015. Pancréatite aiguë de la tête du pancréas d'origine probablement alcoolique en 2013. Polype rectal de 1 cm de large en 2011. Bulbite duodénale en 2011. Pangastrite érosive et partiellement hémorragique en 2011. Hernie discale L5-S1 avec arthrodèse en décembre 2010 avec : • vertébroplastie avec Resilience 5 cc transpédiculaire gauche L5. Occlusion de l'artère sous-clavière droite en 2007. Appendicectomie en 2006. Diverticulite en 2005 et 2009 Fracture du coccyx Cure de varices des MI Fracture extra-articulaire de l'extrémité distale du radius D avec bascule dorsale ; accident le 30.12.2015 • réduction ouverte, OS radius distal D par plaque Aptus (OP le 04.01.2016) Diverticulite en 2012, 2005. Excision d'un mélanome 2011. Appendicectomie dans l'enfance. Diverticulite le 20.04.2019 Diverticulite le 23.04.2019. Diverticulite le 23.04.2019. • contrôle le 25.04.2019. Diverticulite mal spécifiée par la patiente. Méniscectomie droite. 3 césariennes. Amygdalectomie. Diverticulite non compliquée chez un patient immunosupprimé, sous Humira pour une arthrite psoriasique, en septembre 2018. Drainage d'un abcès de la face dorso-radiale de l'avant-bras distal gauche à Pasteurella multocida le 17.05.2017. Résection d'adénome tubuleux du côlon gauche en 2015. Méniscectomie interne du genou gauche en 2009. Subluxation rotulienne bilatérale Infection à toxoplasmose, EBV, CMV (date x). Fièvre dengue le 06.12.2018 après retour de Thaïlande le 30.11.2018 avec : • pancytopénie • légère perturbation des tests hépato-pancréatiques. Pancytopénie sur origine infectieuse et médicamenteuse (traitement par Humira le 04.12.2018) avec : • thrombopénie à 37 g/l, le 07.12.2018 • leucopénie à 1.3 g/l, le 07.12.2018 • hémoglobine à 119 g/l, le 07.12.2018. Insuffisance rénale aiguë AKIN I de probable origine pré-rénale le 06.12.2018 : • clairance selon MDRD 44 ml/min/1.73 m2. Diverticulite perforée le 17.02.2012 avec résection sigmoïdienne selon Hartmann avec descendostomie terminale le 19.04.2012 (Dr. X) Embolie pulmonaire sous-segmentaire latéro-basale gauche de découverte fortuite en février 2012 Insuffisance respiratoire partielle d'origine multifactorielle Remplacement de la valve aortique par implantation valvulaire trans-aortique (TAVI) par le Prof. Y le 30.10.2014 pour sténose aortique serrée avec status après pose de pacemaker bicaméral pour bloc atrio-ventriculaire complet intermittent le 31.10.2014 Implantation bilatérale de prothèses totales des genoux Réduction ouverte, cerclage et ostéosynthèse par PFN pour fracture sous-trochantérienne droite avec avulsion du petit trochanter en août 2014 Fracture non déplacée de la colonne antérieure de l'acétabulum avec fracture comminutive peu déplacée de la branche ischio-pubienne droite traitée conservativement le 08.08.2014 Implantation de prothèse totale de l'épaule droite Fracture sous-capitale humérale gauche le 18.10.2014 traitée conservativement Récidive d'une fracture sous-capitale humérale gauche le 09.07.2017 avec traitement conservateur Cholangite sur passage de calcul cholédocien avec ERCP le 22.12.2017 Décompensation cardiaque à prédominance gauche DD : pic hypertensif/arythmie/médicamenteux Diverticulite perforée le 19.03.2015 traitée par laparotomie exploratrice, sigmoïdectomie et anastomose termino-latérale manuelle, iléostomie, VAC sous-cutanée le 20.03.2015. Fermeture secondaire sous-cutanée de laparotomie médiane le 29.03.2015. Fermeture d'iléostomie. Dermohypodermite face dorsale main droite le 14.09.2018. Avis orthopédique (Dr. X), US parties molles main, Co-amoxicilline po. Attelle Edimbourg + repos. Diverticulite sigmoïdienne aiguë en 2009 Résection in toto d'un polype hyperplasique colique en 2010 Excision d'un carcinome baso-cellulaire et nodulaire de la glabelle Pneumonie droite le 16.10.2018 traitée par Tazobac Diverticulite sigmoïdienne classée Hansen and Stock IIa le 20.04.2019 • 1er épisode Diverticulite sigmoïdienne Hansen Stock 2b le 05.03.2018 : Status après hystérectomie Status après cholécystectomie, en 1956 Status après excision d'un basaliome aile droite du nez, en 2004 Status après embolie pulmonaire lobaire droit et multisegmentaire gauche en 2000 Fracture en compression-extension, extra-articulaire, radius distal droit Réduction ouverte et fixation par plaque Aptus et plaque d'appui radial en T, 7 trous radius distal droit, opérée le 11.11.2012 Fracture du massif facial avec : • Fracture tripode malaire droite • Fracture sinus maxillaire droit • Fracture des os propres du nez Contusion hanche droite Hyper-anticoagulation récidivante Hématurie macroscopique le 15.03.2018 • Diagnostics différentiels : cystite hémorragique (peu probable car patiente déjà sous antibiothérapie), origine gynécologique, néoplasie Anévrisme de l'aorte thoracique ascendante mesuré à 5.6 cm de diamètre Diverticulite sigmoïdienne, Hinchey 1, avec sténose serrée pré-occlusive en septembre 2015. Toxidermie post-quinolones en 2015. Pose de prothèse totale de hanche droite en 2014. Épanchement pleuro-péricardique récidivant idiopathique en 2007 et 2008. Fibrillation auriculaire avec réponse ventriculaire lente aux alentours de 90 bpm, non datable : • cardioversion (probablement médicamenteuse) en 2004 et 2007. Résection transurétrale de la prostate en 2003. Chute avec : • plaie de 5 cm tiers proximal de la clavicule droite • plaie de 2 cm tiers proximal de la clavicule gauche • plaies rondes respectives de 3 et 1 cm de diamètre du genou droit. Diverticulite sigmoïdienne non compliquée le 15.04.19. Diverticulite sigmoïdienne non compliquée Hansen-Stock IIa • 4e épisode en 1 année (03/2018, 07/2018) • status post colonoscopie complète en avril 2018 : diverticulose calme, pas de sténose tumorale ou inflammatoire au niveau du côlon ascendant Diverticulite sigmoïdienne perforée couverte, Hansen et Stock IIb, premier épisode. Néphrolithiase du calix rénal droit, asymptomatique, découverte fortuitement au CT. Diverticulite sigmoïdienne perforée couverte stade IIb le 12.04.2019 avec : • collection du méso-sigmoïde de 5 x 2 x 1.5 cm Diverticulite sigmoïdienne perforée couverte (1er épisode) en 2011 avec traitement conservateur Diverticulite aiguë de la jonction descendo-sigmoïdienne perforée couverte de stade Hansen-Stock 2b Ceftriaxone/Metronidazole iv du 02.09.208 au 05.09.2018 puis relais per os prévu jusqu'au 15.09.2018 IRA AKIN 1 sur IRC KDIGO G2A1 le 02.09.2018 Cockroft 47 ml/min Hydratation Surveillance biologique INR supra-thérapeutique à 3.3 le 02.09.2018 Stop Marcoumar le 02.09.2018. Reprise le 05.09.Contrôle le 03.09.2018 : INR à 2,9 Diverticulite sigmoïdienne perforée Dr. X le 06.01.2015 traitée par résection selon Hartmann le 07.01.2015 : • Status après rétablissement de continuité le 05.05.2015 avec une hospitalisation en aigu du 04.05.2015 au 12.05.2015, puis un séjour de reclassement pour 3 jours sans quitter l'HFR Fribourg Plusieurs épisodes d'hématochézie le 14.05.2015 probablement sur saignement au niveau de l'anastomose dans un contexte anti-coagulant par Sintrom Bronchopneumonie sur probable bronchoaspiration le 19.11.2017 : • dans le contexte de l'épistaxis Epistaxis le 17.11.2017 : • Récidive le 21.11, 25.11, 26.11 et 27.11.2017 • Contexte d'anticoagulation thérapeutique par Sintrom • Contexte hypertensif Prothèse totale de hanche droite en novembre 2014 Déhiscence de la plaie de laparotomie médiane en janvier 2014 Hypotension orthostatique en janvier 2014 Élévation transitoire des transaminases probablement sous Tazobac le 11.01.2015 Status après pneumonie du lobe inférieur droit en mars 2010 Status après insuffisance respiratoire sur décompensation cardiaque globale sur cardiopathie hypertensive avec hypertension artérielle et fibrillo-flutter rapide en avril et mai 2010 Diverticulite sigmoïdienne récidivante avec : • status post-diverticulite en janvier 2019 avec 2 abcès et suspicion de fistule sigmoïdo-vésicale Diverticulite sigmoïdienne récidivante avec douleurs persistantes en fosse iliaque gauche. Diverticulite stade IIA selon Hansen&Stock. Diverticulite stade IIB selon H&H • perforation couverte Diverticulite stade 2a le 12.04.2019 Diverticulite stade 2a le 12.04.2019. Diverticulite 2A le 07/04/19 Diverticulose colique diagnostiquée le 29.06.04 par Dr. X Cardiopathie ischémique avec : • maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et CD). • s/p mise en place stent coronarien de l'artère circonflexe moyenne en septembre 2009 avec FEVG 60% • s/p post-angioplastie coronarienne et mise en place de stent en 2000 • s/p pontage aorto-coronarien en 1989 Fibrillation auriculaire avec : • Introduction Digoxine, stop Dilzem, Beloc 50 mg PO dès le 19.11.2018 FRCV • Diabète de type 2 non insulino-requérant • HTA traitée • Hypercholestérolémie traitée Insuffisance artérielle des membres inférieurs de stade IIA avec : • s/p angioplastie et pose de stent au niveau de l'artère fémorale superficielle gauche le 13.09.2011 BPCO probable Diverticulose colique non compliquée. Status post-cholécystectomie pour lithiase en novembre 2012. Hystérectomie en 1980. Biliome péri-hépatique post-biopsie avec : grainages le 08.07.2014 et 16.07.2014. Induration d'environ 4-5cm sous-cutanée sous la cicatrice Status post-drainage sous CT le 29.10.2015 et le 03.11.2015 de collections intra-abdominales avec surinfection au candida albicans après duodéno-pancréatectomie céphalique le 23.10.2015 • Cancidas du 06.11.2015 au 10.11.2015 puis relais par Fluconazol pour 2 semaines Erysipèle du MIG le 04.06.2016 Diverticulose colique Hernie discale lombaire Diverticulose (colonoscopie en 2012). Diverticulose pan-colique le 19.04.2019 Diverticulose sigmoidienne Diverticulose sigmoïdienne. Diverticulose sigmoïdienne aiguë abcédée avec perforation couverte et status adhérentiel colo-vésical : • tumeur stromale gastro-intestinale (tumeur pédicule jéjunale) le 27.10.2017 • tumorboard le 15.11.2017 : pas d'autre indication d'élargir la résection • status après drainage chirurgical d'un abcès de la fosse iliaque gauche le 27.10.2018 • status après sigmoïdectomie selon Hartmann le 03.11.2017. Thrombose veineuse profonde musculaire touchant les deux veines jumelles externes gauche, le 10.11.2017. Status après TVP du membre inférieur gauche en novembre 2017 traitée par anticoagulation et compliquée d’une hémorragie sous-rétinienne à droite. Status après diverticulite du sigmoïde abcédée stade IIc le 18.05.2015. Status après sigmoïdite le 01.09.2016 traitée de façon conservatrice. Status après cure de varices bilatérales. Status après hystérectomie. Status après opération de Hartmann pour diverticulite abcédée avec colostomie terminale le 03.11.2017. Le 15.05.2018, Dr. X : rétablissement de la continuité avec anastomose colo-rectale latéro-terminale à l'agrafeuse circulaire. Adhésiolyse. Péridurale thoracique antalgique D10-11. Surveillance à l'unités de lits monitorés. Nutrition parentérale du 15 au 17.05.2018, reprise de l'alimentation orale dès le 16.05.2018. Enseignement diététique pour un régime pauvre en fibres. Sonde vésicale du 15 au 20.05.2018. Drainage Jackson jusqu'au 22.05.2018. Physiothérapie. Ablation des agrafes à J12. Hypokaliémie à 3.0 mmol/l le 18.05.2018 dans un contexte d'alimentation parentérale. Substitution per-os. Hyponatrémie à 125 mmol/l le 18.05.2018 sur probable hyperhydratation parentérale. Diminution des perfusions. Diverticulose sigmoïdienne au CT de 11.2017. Stéatose hépatique avec kystes biliaires au CT de 11.2017. Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom. Diverticulose sigmoïdienne compliquée d'épisodes de diverticulite à répétition • Colite lymphocytaire • Colite à Cl. difficile à répétition Diverticulose sigmoïdienne. Polymyalgia rheumatica sous prednisone depuis mai 2010. Troubles dégénératifs lombaires étagés avec antélisthésis dégénératif de L4-L5 de grade I Coxarthrose et gonarthrose bilatérales Diverticulose sigmoïdienne État dépressif (2 hospitalisations à Marsens) Status hémorroïdaire interne stade I (colonoscopie Dr. X 2014) Myome utérin de 20 x 18 cm Diverticulose. Asthme. Tabagisme actif à 20 UPA. Diverticulose. Asthme. Tabagisme actif 20 UPA. Diverticulose. Asthme. Tabagisme actif 20UPA. Diverticulose. Asthme. Tabagisme actif 20UPA. Diverticulose. Lombalgies occasionnelles. Douleurs en fosse iliaque gauche vraisemblablement sur trouble du transit chez un patient connu pour diverticulose avec épaississement de la paroi sigmoïdienne le 27.07.2015. Consommation d'alcool à risque jusqu'en 2009. Diverticulose. Troubles anxieux. Polytoxicomanie avec prise de cocaïne et autres drogues. DIVG à 8 4/7 SA chez Mme. Y II-geste I-pare de 32 ans. Accouchement par césarienne. Dix-Hallpike positif à droite. Manoeuvre de Epley : amélioration des symptômes. Reconsultation si récidive clinique. DM Type II traité par Tresiba. DMLA. Status post-double PAC du 22.04.2017 avec pontage veineux sur la marginale gauche et une dérivation de l'artère mammaire interne gauche sur l'artère interventriculaire antérieure sur maladie coronarienne bitronculaire déjà stentée en 2000 et 2001 avec sténose subocclusive du tronc commun. FEVG pré-opératoire à 30%. Réadaptation cardiovasculaire. Optimisation du traitement cardiovasculaire. Aspirine à vie. Pas de porte de charge >5 kg pour 3 mois. Gestion des facteurs de risques cardiovasculaires. DNID Doigt à ressaut du 2ème degré D3 main droite, 1er degré index droit. Status post infiltration des doigts à ressaut D2 et D3 main droite le 19.1.2018. Status post infiltration doigt à ressaut D3 droit le 29.6.2018. Doigt de porte au niveau du pouce droit avec : • fracture perpendiculaire de P2 in situ • plaie profonde pulpe de P2 sans intéressement du tendon du fléchisseur long Don de rein en 2008. Doppler des artères rénales le 29.04.2019 : absence de sténose dans l'artère du greffon rénal gauche, index de résistance augmenté dans le greffon. Hydratation i.v. Consilium et suivi néphrologique Taux de Cyclosporine à faire le 04.04.2019 Doppler des artères rénales le 29.04.2019 : absence de sténose dans l'artère du greffon rénal gauche, mais index de résistance augmenté dans le greffon. Hydratation i.v. Consilium et suivi néphrologique Taux de Ciclosporine le 04.04.2019 infra-thérapeutique Majoration à 200 mg le matin et 150 mg le soir depuis le 05.04.2019. Taux de ciclosporine pour le 08.04.2019 Majoration de la dose de Prednisone à 15 mg le 04.04.2019 sur avis Dr. X Doppler des artères rénales le 29.04.2019 Dosages Ciclosporine Consilium néphrologique (Dr. X, Dr. Y) Majoration de la dose de Prednisone à 15 mg le 04.04.2019 Mise en suspens lercanidipine dès le 09.04.2019 Attitude : • Spot 1x/semaine pour voir si protéinurie (signe de potentiel rejet) • taux de ciclosporine le 15.04.2019 à pister Doppler des vaisseaux pré-cérébraux, le 25.06 à 15h35 au HFR. Rendez-vous à la consultation du Dr. Y, le 02.07 à 09h30 (chirurgie vasculaire au HFR) Doppler des vaisseaux pré-cérébraux, le 25.06.2019 à 16h05 à l'HFR de Fribourg Rendez-vous à la consultation du Dr. Y le 02.07.2019 à 09h30 Doppler membre inférieur droit le 15.03.2019 CT abdomino-pelvien injecté le 18.03.2019 Clexane 60 mg 2x/j 14 - 15.03.2019 puis 40 mg 1x/j Bandage des jambes Doppler rénal le 27.03.2019 montrant une sténose de l'a. rénale droite de >60 %, evtl revoir avec les collègues d'angiologie pour le suivi Hydratation i.v. et suivi biologique Dopplersonographie 11.04.2019 (Dr. X) : on confirme une TVP dans plusieurs veines du MID, notamment dans la VFS proximale, probablement suite à compression par le volumineux pseudoanévrisme, puis plusieurs TVP poplités et des vv jambières. Une anticoagulation pendant 3 mois est indiquée, le type d'anticoagulation dépend du résultat de CT. En cas de nécessité d'opérer rapidement la patiente (dans le prochain 1-3 mois), avec nécessité d'arrêter l'anticoagulation, la pose d'un filtre cave serait recommand. Angio-CT thoracique (rapport oral Dr. X) : Pas de signe d'ulcération, pas de signe de lésion aortique, pas de dissection, Emboles multiples dans les deux poumons. Poumon droit : emboles dans artère lobaire et segmentaire du lobe inférieur et art segmentaire du lobe supérieur. Poumon G : art. segmentaire basale et lingulaire. ETO le 12.04.2019 : Insuffisance aortique sévère sur malcoaptation des cusps acoronaire et coronaire droit (hématome vs. changement de la géométrie de l'anneau), absence d'évidence pour une atteinte bactérienne, absence d'évidence pour une dissection aortique. Dormicum 3 mg IM par ambulanciers Surveillance Dorsalgie. Dorsalgie. Dorsalgie post-traumatique non déficitaire le 03.04.19. Dorsalgies. Dorsalgies atraumatiques d'origine indéterminée. Dorsalgies au niveau thoracique d'origine probablement musculo-squelettique. Dafalgan 1 g 4/j, Voltaren 50 mg 3x/jour, Tramal gouttes 100/40 en réserve max 4x20 gtts/jour. Dorsalgies et omalgies gauches non déficitaires le 12.04.2019. Dorsalgies non déficitaires. Dorsalgies non déficitaires le 11.04.2019. Dorsalgies non-déficitaires non traumatiques. Dorso-brachialgie gauche le 17.04.2019. Paresthésie subjective du membre supérieur gauche : • sans red flags. Dorso-lombalgie. Dorsolombalgies chroniques non traumatiques, non déficitaires Dorso-lombalgies sur traumatisme non déficitaire le 06.04.2019. Dosage de la tryptase : en cours Bilan allergologique en ambulatoire Bilan vitamine B12, acide folique, TSH en ambulatoire Contrôle ORL en ambulatoire Dosage de la VS lors du contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 18.04.2019. Continuer l'antalgie par Oxycontin. Dosage des anticorps anti-infliximab en ambulatoire et suivi de la calprotectine Consultation en chirurgie générale en ambulatoire, Mr. Y sera convoqué Rendez-vous de contrôle en gastro-entérologie prévu à 1 semaine de la sortie d'hospitalisation Dosage des marqueurs tumoraux : CEA à 7.2 ng/ml, CA 19.9 à 1331 U/mL IRM 03.04.19 : lésions du foie DD cicatricelles post-métastasectomie et radio-fréquence Avis oncologue traitant (Dr. X) : PET-CT à prévoir à distance de l'événement neurologique, si amélioration des fonctions supérieures à savoir que la chimiothérapie serait palliative. Avis Dr. Y : pas de cycle de chimio avant 8 semaines après début des symptômes. Famille de Mr. Y informée de la possible progression oncologique DD lésions cicatricielles. PET-CT à prévoir à distance avec consultation chez le Dr. X. Dosage du taux de phénytoïne et lévétiracétam à pister (envoyé à Bern) Avis Dr. X et Dr. Y (téléphonique) : • RDV avec Dr. X demain à 15h30, • dès demain, introduction progressive d'un traitement de valproate avec contrôle du bilan hépatique à J0 (RDV à 14h30 aux urgences pour prise de sang) ensuite à J7 • par la suite, le traitement de phénitoine sera progressivement baissé • Dormicum 10 mg intra-nasal en réserve max 2x/j Si récidive de crises d'épilepsie : reconsulte et doit être hospitalisé (communiqué à la maman) Dose de charge de 300'000 UI le 22.03.2019 Calcimagon Forte dès le 23.03.2019 Contrôle à 3 mois Dose de charge en Aspirine cardio 250 mg iv puis 100 mg/j Laboratoire : cholestérol total 3.7 mmol/l, LDL cholestérol 1.94 mmol/l, HDL cholestérol 1.38 mM; HbA1c 5.2% Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux (19.04.19) : Hémorragie frontale intraparenchymateuse, sous-arachnoidienne et sous durale. Dissection vertébrale gauche en V3. Fracture de l'os frontal. IRM cérébrale (24.04.19) : stabilité de la fracture et des hématomes EEG (24.04.19) : pas d'argument pour une épilepsie Echographie cardiaque transthoracique (25.04.19) : pas d'anomalie, FeVG 65 % Holter de 24h (29.04.19) : examen effectué, interprétation en cours Pas de conduite durant 3 mois Bilan neuropsychologique : prévu en ambulatoire Duplex des vaisseaux précérébraux : prévu le 09.05.19 à 17h20 Consultation neurovasculaire de contrôle le 30.07.19 à 17h00 Dose d'Erbitux initialement prévue le 21.03.2019 annulée au vu des troubles électrolytiques présents Consultation ORL le 10.04.2019 chez le Dr. X Consultation oncologique le 11.04.2019 chez le Dr. Y pour discussion du prochain cycle de chimiothérapie Dose unique de Ciprofloxacine 500 mg per os. Dostinex selon protocole Dostinex selon protocole le 17.04 et 18.04.2019 Dostinex 0.5 mg 1/2 cp 2x/j 48h Dostinex 1 mg dans les 24 heures du post-partum Dostinex 1 mg 24h PP Dostinex 2 comprimés selon protocole DOT hépatite auto-immune DOT vasculite avec ANCA négatif le 23.04.2019 ad Arcoxia 60 mg 1x/j dès le 24.04.2019 Consilium dermatologique (Dr. X) avec biopsie cutanée d'une lésion pustuleuse le 24.04.2019 CT thoracique et des sinus le 24.04.2019 : sp, pas de lésion évocatrice de vasculite Double anti-agrégation par Aspirine cardio et Plavix pendant 6 mois jusqu'au 11.08.2019 puis Plavix seul Double anti-agrégation, statines. Reprise bétabloquant. IEC à reprendre après contrôle de la fonction rénale. Annulation de la coronarographie prévue le 11.04.2019. Double entorse en inversion cheville gauche. Entorse simple cheville droite. Double rein droite Double risque infectieux avec rupture prolongée des membranes, streptocoque B positif (antibiotiques reçus), suspicion de chorioamnionite infirmée.Double trépanation fronto-pariétale gauche avec pose de drainage en urgence le 26.03.2019 Ablation du drain le 27.03.2019 Douleur Douleur. Douleur. Douleur à la cuisse. Douleur à la cuisse gauche probablement d'origine musculaire. Douleur à la jambe gauche. Douleur à la main droite Douleur à la mobilisation de l'épaule gauche • s/p Ostéosynthèse pour fracture claviculaire gauche en 2004 Douleur à la mobilisation du bras gauche. Douleur à l'épaule, au dos et au bras à gauche. Douleur à une dent depuis cette fin de journée. Aux tri: Morphine 10 mg, Brufen 600 mg, Tramal 50 mg 1 cp. Patient parti sans consultation médicale. Douleur abdominal Douleur abdominal Douleur abdominal après traumatisme Douleur abdominal d'origine indéterminée le 25.4.2019 DD Appendicite DD Koprostase DD endométriose, torsion ovarienne • score de Ohmann 12,5 (élevé) • Pas de leucocytose ni CRP • test de grossesse • Ultrason: appendice partiellement visible, normal. Pas d'abcès, pas de signe d'inflammation. Koprostase légère. Pas de liquide libre. Douleur abdominal d'origine indéterminée DD reflux DD constipation Douleur abdominal et vomissements Douleur abdominale Douleur abdominale Douleur abdominale Douleur abdominale Douleur abdominale Douleur abdominale Douleur abdominale Douleur abdominale Douleur abdominale Douleur abdominale Douleur abdominale Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale. Douleur abdominale en FID récidivante d'origine indéterminée, avril 2017 Spasme laryngé d'origine indéterminée avec : • notion d'exposition aux noisettes (biscotte) Crise d'asthme sévère dans un contexte d'IVRS le 30.01.2018 et le 03.09.2018 • peak flow à 38% Douleur abdominale en FID récidivante d'origine indéterminée, avril 2017 Spasme laryngé d'origine indéterminée avec : • notion d'exposition aux noisettes (biscotte) Crise d'asthme sévère dans un contexte d'IVRS le 30.01.2018 • Peak flow à 38% Crise d'asthme sévère le 03.09.2018 : • déclenché par infection des voies respiratoires supérieures • 3ème épisode en 2018 Effets secondaires sur inhalation de Salbutamol le 03.09.2018. Douleur abdominale en FID récidivante d'origine indéterminée, avril 2017 Spasme laryngé d'origine indéterminée avec : • notion d'exposition aux noisettes (biscotte) Crise d'asthme sévère dans un contexte d'IVRS le 30.01.2018 • peak flow à 38% Crise d'asthme sévère le 03.09.2018 : • déclenché par infection des voies respiratoires supérieures • 3ème épisode en 2018 Effets secondaires sur inhalation de Salbutamol le 03.09.2018. Douleur abdominale et dysurie. Douleur abdominale, le 14.04.19 • DD: colique néphrétique, infection urinaire basse. Douleur abdominale persistante dans un contexte de gastrite à H. pylori traitée le 24.04.2019. Douleur abdominale sous probable lymphadénite mésentérique. Douleur abdominale sur infection urinaire • DD: sur douleurs milieu de cycle. Douleur abdominale 30.11.2016 DD douleur milieu cycle, DD infection urinaire Douleur abdominales. Douleur abdominales diffuses. Douleur aisselle gauche depuis 48 heures. Douleur anale. Douleur anale. Douleur anale. Douleur anale. Douleur articulaire. Douleur articulaire d'origine indéterminée.DD : myélite, para-infectieuse, rhumatologique. Douleur au bras gauche. Douleur au dos. Douleur au genou droit. Douleur au membre inférieur droit. Douleur au membre inférieur gauche. Douleur au mollet d'origine musculaire. Douleur au mollet droit. Douleur au mollet gauche depuis 1 semaine. Douleur au niveau de la cheville droite. Douleur au niveau de la crête iliaque supérieure gauche. Douleur au niveau de l'omoplate droite de probable origine musculo-squelettique, le 07.04.2019. Douleur au niveau des sinus. Douleur au niveau du trapèze à droite avec irradiation dans le bras droit, non déficitaire (diagnostic différentiel : origine musculaire). Douleur au pli inguinal. Douleur au poignet jusqu'à l'épicondyle ulnaire. Douleur au tendon d'Achille le 17.04.2019. Douleur aux talons. Douleur aux trapèzes. Douleur avant-bras gauche. Douleur bas du dos et aine à droite. Douleur basi-thoracique. Douleur bras gauche. Douleur cervicale. Douleur cervicale et à l'épaule droite. Douleur cervicales C6 dans un contexte de chutes à répétitions. Douleur cheville droite. Douleur cheville, sans notion de traumatisme. Douleur chronique sur : • ligament déchiré du genou en février 2018 • Hernies discales L4-5. Douleur costale. Douleur coude. Douleur dans la jambe gauche sans étiologie claire DD effet secondaire du médicament. Bronchite virale. Status post transplantation rénale le 20.10.2017 dans le contexte d'une glomérulonéphrite fibrillaire. • sous Ciclosporine, CellCept, Prednisone. Laboratoire : léger syndrome inflammatoire. Radiographie du thorax : sans particularité. Attitude : Traitement symptomatique. Rendez-vous de contrôle jeudi 17.01.2019 au CHUV. Le patient a été instruit à reconsulter en cas de signes de gravité. Douleur de la cheville d'origine peu claire, DD fracture de fatigue. Douleur de la jambe droite. Douleur de la langue. Douleur de l'hypochondre droit. Douleur de l'œil gauche. Douleur des membres inférieurs d'origine multifactorielle (neuropathique et insuffisance artérielle). Douleur dorsale gauche d'origine indéterminée reproductible à la palpation probablement musculo-squelettique. Douleur d'ovulation le 21.04.2019. • Ultrason du 19.04.2019 : corps jaune à droite avec follicule 18x20 mm signant une ovulation du côté droit. DD : douleur abdominale d'origine indéterminée. Douleur du bras droit. Status post implantation de prothèse totale inversée de l'épaule droite le 15.03.2018. Status post mise en place d'une prothèse totale inversée de l'épaule gauche le 20.11.2017. Douleur du cou. Douleur du coude gauche. Douleur du genou droit. Douleur du membre inférieur gauche. Douleur du membre inférieur gauche d'origine peu claire. DD : péjoration de fibromyalgie, douleur neuropathique. Douleur du membre supérieur droit le 14.04.19 avec épanchement articulaire droit. DD décompensation d'arthrose, hémarthrose dans un contexte de TVP au niveau de la veine jugulaire interne le 28.03.19. Douleur du pied droit. Douleur du pied droit sur chaussure mal adaptée. Douleur du pied gauche, d'origine indéterminée sur probable douleurs de croissance. Douleur du poignet droit. Douleur du siège depuis 3 jours. Douleur d'un membre. Douleur d'un membre d'origine indéterminée, DD : cervicalgie, anxiété. Douleur D2. Douleur en fosse iliaque droite dans un contexte de PID. Douleur en fosse iliaque droite, le 20.04.2019. DD : douleur de milieu du cycle. Douleur en fosse rénale, au niveau lombaire et aux testicules. Douleur en loge rénale. Douleur en loge rénale droite. Douleur en loge rénale gauche. Douleur en loge rénale gauche de probable allure musculo-squelettique le 29.04.2019. Douleur en loge rénale gauche et aux testicules d'origine indéterminée avec : • Élévation de la créatinine à 119 umol/l. • Microhématurie (6-10 érythrocytes/champ). • Diagnostic différentiel : musculo-squelettique, origine rénale. Douleur épaule droite. Douleur épaule gauche d'origine indéterminée le 07.04.2019. DD : déchirure partielle d'insertion du trapèze gauche au niveau acromio-claviculaire. Douleur épicondyle latérale coude droit probablement sur irritation du nerf interosseux postérieur à droite. Tendinite de Quervain à droite. Status post fracture coude probablement à droite à l'âge de 10 ans. Douleur épigastrique d'origine indéterminée le 02.04.2019. Douleur épigastrique le 03.04.19. DD : • gastrite (récidive de H. Pylori), ulcère débutant. Douleur et œdème d'un membre. Douleur et tuméfaction de l'interphalangienne proximale du 4ème doigt avec bague trop serrée. Douleur et tuméfaction pied droit et gauche depuis 1 semaine. Douleur flanc droit d'origine indéterminée. Douleur flanc gauche. Douleur flanc lombaire droit. Douleur fosse iliaque droite. Douleur genou droit. Douleur genou droit le 15.04.2019. - S/p PTG droite le 28.01.2019. Douleur genou gauche. Douleur genou gauche post-traumatique. Douleur gorge. Douleur hanche droite. DD arthrite septique, douleur musculo-squelettique. Douleur hanche gauche. Douleur inguinale. Douleur inguinale bilatérale. Douleur jambe droite d'origine musculo-squelettique. DD : thrombose veineuse distale profonde. Douleur jambe gauche. Douleur jambe gauche. Douleur jambe gauche. - status post fasciotomie le 22.03.2019 à Payerne avec reprise le 23.03.2019. - status post embolisations. Douleur jambe gauche : • s/p fasciotomie le 22.03.2019 à Payerne avec reprise le 23.03.2019. • status post-embolisation branche artère fémorale profonde gauche le 24.03.2019. Douleur latéro-thoracique droite aspécifique. Douleur loge rénale. Douleur loge rénale droite Douleur loge rénale gauche. Douleur loge rénale gauche d'origine indéterminée, sans argument biologique pour une pyélonéphrite et sans mise en évidence d'urolithiase radio-opaque. Douleur loge rénale gauche le 28.04.19. Douleur loge rénale gauche le 28.04.19 sur probable passage de lithiase urinaire et infection urinaire basse Douleur lombaire. Douleur lombaire et à la hanche gauche. Douleur lombaire gauche. Douleur lombaire probablement d'origine musculo-squelettique. Douleur main droite. Douleur malléole interne le 11.04.2019. Douleur membre inférieur. Douleur membre inférieur droit. Douleur membre inférieur gauche. Douleur membre supérieur. Douleur musculaire paravertébrale lombaire Douleur musculo-nerveuse du MS Douleur musculo-squelettique sternum-costale et colonne dorsale le 28.12.2015. Douleur musculo-tendineuse à l'épaule droite. Douleur nuque. Douleur orale sur candidose avec atteinte de l'appétit et dysgueusie secondaire Douleur oreille droite. Douleur oreille gauche. Douleur ORL suite à tonsillectomie, adénoïdectomie. Douleur palpatoire en regard de C3-C4 sur impact frontal le 25.01.2015 - contexte d'impact à haute vélocité (hockey) Douleur thoracique droite d'origine musculo-squelettique ECG Rx thorax : pas de pneumothorax Bilan sanguin Dosage unique des troponines Antalgie Douleur paracervicale droite sur contracture musculaire. Douleur paracervicale gauche et de l'omoplate gauche dans un contexte de probable contracture musculaire suite à effort le 30.04.2019. Douleur para-lombaire droite/FD/FID. Douleur para-lombaire gauche irradiant dans le pli inguinal gauche. Douleur pariétale. Douleur pariétale gauche. Douleur pariétale le 28.04.2019. Douleur pariétale thoracique le 13.04.2019. Douleur pharyngienne probable sur complication d'abcès rétropharyngé Douleur pied. Douleur pied droit. Douleur pied gauche. Douleur poignet droit d'origine probable tendineuse. Douleur radiculaire L4 D sur hernie foraminale L4-L5 D. Douleur rétrosternale. Douleur rétrosternale et dyspnée. Douleur retro-sternale et nausées Douleur rétrosternale post coronarographie, le 18.04.2019 Chez patient connu pour: - Maladie coronarienne de 3 vaisseaux, avec : - Occlusion chronique collatéralisée de l'artère coronaire droite, PAC-marginale CX- - 1ère diagonale, PAC-CD et mammaire gauche-IVA oclus. - PCI/ 1 DES artère circonflexe proximale-1ère marginale : bon résultat immédiat, - sans compromission de l'artère circonflexe moyenne (lésion de bifurcation). Douleur rétrosternales d'origine pariétale le 18.04.19 Douleur retro-sternales requérantes de type angor dans le contexte d'un pic hypertensif le 10.04.2019 Douleur sous-scapulaire droite. Douleur sub-mandibulaire avec otalgie irradiante bilatérale. Douleur sur contracture musculaire en cours de résolution. DD : sur coxarthrose, sciatalgie non déficitaire. Douleur sur lithiase rénale gauche en cours de prise en charge urologique le 17/04/19. Douleur sur pose de drain de cholélithiase. Douleur sus-pubienne. Douleur sus-pubienne d'origine indéterminée le 03.04.19 DD : colique avec ballonnement, bloc sur bride passager. Douleur testiculaire à droite. Douleur testiculaire bilatérale le 15/04/19 DD: Orchite DD: Épididymite DD: Infection sexuellement transmissible (peu probable) Douleur thoracique. Douleur thoracique atypique d'origine indéterminée avec mouvement enzymatique le 11.03.2019 Douleur thoracique atypique le 09.04.2019. - DD: sur la cardiopathie connue. - pas d'argument pour dysfonction PM. Douleur thoracique d'allure musculaire spontanément résolutive - Absence d'antécédent cardiaque, absence de TV - Patient non fumeur Douleur thoracique d'étiologie indéterminée le 03.04.19. DD composante anxieuse. Douleur thoracique d'étiologie non déterminée le 02/04/19. Douleur thoracique d'étiologie non déterminée le 08.04.2019. DD : gastrite aigüe. Douleur thoracique d'origine indéterminée le 17.04.2019.Douleur thoracique d'origine indéterminée le 21.04.2019. Douleur thoracique d'origine musculaire reproductible à la palpation, DD : insertionite du muscle pectoral sous-malformation thoracique déjà connue. Douleur thoracique d'origine musculo-squelettique. Douleur thoracique d'origine musculo-squelettique le 08.04.2019. Douleur thoracique d'origine musculo-squelettique le 24.04.2019. Douleur thoracique d'origine pariétale : • contracture musculaire au niveau du pectoral gauche • contracture musculaire au niveau des muscles intercostaux entre la 9ème et la 10ème côtes à gauche également. Douleur thoracique d'origine pariétale idopathique. Douleur thoracique d'origine pariétale le 15.04.19. Douleur thoracique d'origine pariétale le 20.04.19. Douleur thoracique d'origine pariétale le 20.04.2019. Douleur thoracique d'origine pariétale le 29.04.19 • dans un contexte de chute il y a une semaine Douleur thoracique d'origine probablement pariétale. Douleur thoracique d'origine probablement pariétale le 29.04.2019 avec : • Status post NSTEMI le 11.03.2018 avec stent RCx. Douleur thoracique et baisse de l'état général. Douleur thoracique et hypokaliémie réfractaire à la substitution par voie orale. Douleur thoracique gauche. Douleur thoracique gauche d'origine indéterminée. Douleur thoracique gauche d'origine musculo-squelettique le 14.04.2019. • pas de cinétique des troponines. DD : pseudarthrose sternale sur sternotomie. Douleur thoracique gauche d'origine musculo-squelettique le 31.03.2019 • pas de cinétique des troponines • NT-proBNP à 4'571 ng/l (dernière valeur à > 12'000 en février 2019) • D-dimères à 1'080 ng/l DD pseudarthrose sternale sur sternotomie. Douleur thoracique pariétale idiopathique. Douleur thoracique pariétale le 19.04.19 • contexte d'antécédent de fracture de côte à gauche. Douleur thoracique probablement musculo-squelettique le 15.04.19. Douleur thoracique sans étiologie retrouvée le 16.06.2018. Douleur thoracique sans substrat organique. Douleur thoraciques sur maladie de reflux probable. Douleur vulvaire. Douleur vulvaire à droite. Douleurs. Douleurs à jambe droite. Douleurs à la base du frein de la langue sans signe d'inflammation locale. Douleurs à la cheville droite. Douleurs à la cheville gauche. Douleurs à la cheville gauche à cause d'une attelle Aircast trop serrée chez un patient avec une entorse de cheville gauche de stade III avec arrachement de la malléole externe le 31.03.2019. Douleurs à la cuisse D après mise en place d'une PTH non cimentée en 2013. Dégénérescence de la colonne lombaire sur antérolisthésis C4 à L5 avec arthrose facettaire L4-L5 et kyste articulaire. Douleurs à la cuisse gauche probablement sur insuffisance artérielle des membres inférieurs chez un patient connu pour la pose de 2 stents artériels de la jambe gauche et sous Xarelto. Douleurs à la gorge depuis 1 jour. Douleurs à la gorge depuis 6 semaines. Douleurs à la loge rénale droite. Douleurs à la loge rénale gauche, tension artérielle élevée. Douleurs à la main droite. Douleurs à la palpation le long de la plaque sur : Status post réduction et ostéosynthèse par plaque Aptus 2.5 radius distal D le 11.02.2018 pour fracture extra-articulaire du radius distal D et fracture de la styloïde ulnaire D. Pouce à ressaut symptomatique D. Tassement vertébral D12 le 11.02.2018. Douleurs à l'annulaire de la main gauche. Douleurs à l'articulation AC D sur status post résection de l'articulation AC en 2008 par voie ouverte. Omalgie D avec : • Status post implantation d'une hémi-prothèse le 01.02.2010 pour une fracture 4 parts avec nécrose vasculaire. • Status post résection de l'articulation acromio-claviculaire D le 09.08.2008. • Status post OS de l'humérus proximal D le 17.02.2005 pour une fracture 4 parts le 16.02.2005 sur accident de ski. Douleurs à l'épaule. Douleurs à l'épaule droite. Douleurs à l'épaule G. Douleurs à l'épaule gauche d'origine indéterminée. Douleurs à l'oreille gauche. Douleurs à une papule au niveau frontal droit. Douleurs abdo à réévaluer chez le médecin traitant comme proposé par la maman. Pas d'essai de traitement laxatif en même temps que le traitement antibiotique. Douleurs abdominale. Douleurs abdominale basse le 14.04.2019 • DD : gastro-entérite débutante. Douleurs abdominale d'origine indéterminée avec hématochézie le 11.04.2019. DD gastrite, ulcère. Douleurs abdominale d'origine indéterminée le 12.04.2019. • DD : entérite, APP débutante. Douleurs abdominale en fosse iliaque droite d'origine indéterminée depuis 1 semaine avec : • Bilan biologique aligné • Infection urinaire traitée • US abdominal et endovaginal sans particularité • 3ème consultation en 1 semaine pour les mêmes symptômes. DD : adénite mésentérique, infection urinaire au décours. Douleurs abdominale et hématochézie. Douleurs abdominale sur probable gastro-entérite d'origine virale (DD : ulcère gastrique). Douleurs abdominales.Douleurs abdominales Douleurs abdominales Douleurs abdominales Douleurs abdominales Douleurs abdominales Douleurs abdominales Douleurs abdominales Douleurs abdominales Douleurs abdominales Douleurs abdominales Douleurs abdominales Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. 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Douleurs abdominales basses d'origine indéterminée sans critère de gravité le 24.04.2019. • consultation de contrôle le 26.04.2019. Douleurs abdominales basses d'origine peu claire (en 2014) • DD : douleurs sur hernie graisseuse latérale au filet, allodynie sur filet intra-péritonéal, coliques biliaires (atypiques), pathologie intestinale • CT 07.2014 Douleurs abdominales basses d'origine peu claire, persistant depuis quelques mois (en 2014) • DD : douleurs sur hernie graisseuse latérale au filet, allodynie sur filet intra-péritonéal, coliques biliaires (atypiques), pathologie intestinale. • CT abdominal fait en ambulatoire le 09.07.2014. Douleurs abdominales basses subaiguës sur DD : • appendicite aiguë abcédée • perforation sigmoïdienne abcédée • chez un patient connu pour un syndrome 47, XYY. Douleurs abdominales chronique aspécifique probablement d'origine fonctionnelle Douleurs abdominales chronique d'origine indéterminée. Douleurs abdominales chroniques depuis 2012 Céphalées frontales intermittentes depuis 2012 Hypothyroïdie substituée (traitement et dosage inconnu) Surpoids Incontinence urinaire avec fuites Gonalgies D • arthroscopie 10.2016 Schizophrénie paranoïde sous neuroleptique (diagnostiquée en 2016) Douleurs abdominales chroniques depuis 2013 US abdominale le 13.03.2019 : sp Colonoscopie totale le 10.04.2017 : sp Gastroscopie 26.09.2016 : sp, H. Pylori positif dans les selles en 2018, éradiqué Recherche de maladie coeliaque et d'intolérance au lactose négatives Douleurs abdominales chroniques d'origine indéterminée. Douleurs abdominales chroniques d'origine peu claire. Douleurs abdominales chroniques non identifiées. Douleurs abdominales chroniques récidivantes d'origine indéterminée (2013, 2015, 2017, 2018). Status post-idées suicidaires le 29.12.2014 avec hospitalisation à Marsens en mode volontaire. Infection urinaire basse en 2016. Cystite en 2015. Ongle incarné du gros orteil gauche le 03.04.2017. Perforation focale de l'attache radiale de la portion moyenne du TFCC droit le 09.12.2016. Contusion de l'avant-bras et du poignet droits le 02.09.2015. Contusion des doigts 2ème et 3ème rayons droits le 31.07.2014. Opérations au niveau du bras et du genou droits. Syncope sur hypotension orthostatique le 18.08.2018, DD : origine psychogène. Douleur abdominale basse d'origine indéterminée. Contrôle en polyclinique d'orthopédie comme prévu le 25.02.2019 (à 10j post chute)Douleurs abdominales d'origine X dans un contexte de douleurs abdominales chroniques récidivantes multi-investiguées depuis 2013. DD : somatisation. Crise non épileptique fonctionnelle, le 27.03.2019, s/p crise non épileptique fonctionnelle le 04.03.2019. Gonalgies droites chroniques. Douleurs abdominales chroniques récidivantes d'origine indéterminée (2013, 2015, 2017, 2018). Status post-idées suicidaires le 29.12.2014 avec hospitalisation à Marsens en mode volontaire. Infection urinaire basse en 2016. Cystite en 2015. Ongle incarné du gros orteil gauche le 03.04.2017. Perforation focale de l'attache radiale de la portion moyenne du TFCC droit le 09.12.2016. Contusion de l'avant-bras et du poignet droits le 02.09.2015. Contusion des doigts 2ème et 3ème rayons droits le 31.07.2014. Opérations au niveau du bras et du genou droits. Syncope sur hypotension orthostatique le 18.08.2018, DD : origine psychogène. Douleur abdominale basse d'origine indéterminée. Contrôle en polyclinique d'orthopédie comme prévu le 25.02.2019 (à 10j post chute) Réfection de plâtre suite à une suspicion de fracture de scaphoïde droit le 16.02.2019. Tentative de suicide médicamenteux le 15.04.2019 : • trouble de la personnalité borderline. Douleurs abdominales chroniques sans critère de gravité. Douleurs abdominales crampiformes d'origine indéterminée, le 25.04.2019. Douleurs abdominales crampiformes sur probable entérite. Douleurs abdominales dans un contexte de progression tumorale le 02.04.2019. Douleurs abdominales (DD : adénite mésentérique, appendicite débutante). Douleurs abdominales (DD : adénite mésentérique, GEA, kyste ovarien, constipation). Douleurs abdominales (DD : gastro-entérite débutante, cholécystite) le 17.04.2019. Douleurs abdominales de l'HG d'origine indéterminée le 10.04.2019 • CRP 56 mmol/l, Lc 10.5 G/l. Douleurs abdominales de l'hypochondre droit, avec perturbation des tests hépatiques, d'origine indéterminée. Douleurs abdominales de l'hypochondre gauche d'origine indéterminée. Douleurs abdominales depuis 1-2 mois DD constipation, intolérance. Douleurs abdominales depuis 2 jours. Douleurs abdominales depuis 2 semaines. Douleurs abdominales d'étiologie indéterminée. Douleurs abdominales d'étiologie indéterminée sans critère de gravité, le 05.02.2019. Douleurs abdominales d'étiologie non déterminée. Douleurs abdominales d'étiologie non retrouvée le 15/04/19 DD = Douleurs pré-menstruelles DD = Appendicite débutante. Douleurs abdominales d'étiologie non retrouvée le 15.04.2019. • DD : douleurs pré-menstruelles, appendicite débutante. Douleurs abdominales, diarrhée et vomissements sans signes de gravité clinique (abdomen souple sensible en péri-ombilical sans défense ni contracture) ni fièvre. Devant un examen clinique rassurant et un laboratoire sans gravité (hormis légère ascension de la lipase, le patient quitte le service avec des consignes de surveillance et une réévaluation clinique et biologique demain. DD : gastro-entérite aiguë, pancréatite débutante. Douleurs abdominales diffuses. Douleurs abdominales diffuses avec diarrhées le 27.04.2019. Douleurs abdominales diffuses avec sensation de brûlures peu systématisées d'origine indéterminée. DD : somatisation, sur constipation, récidive de gastrite à H. pylori • patiente multi-investiguée. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. Douleurs abdominales d'origine indéterminée chez une patiente avec un status post abdominoplastie début 2018 en Tunisie, avec : • révision chirurgicale en Tunisie le 27.04.2019. Douleurs abdominales d'origine indéterminée : Contrôle clinique (DD torsion-dé torsion d'ovaire, kyste ovarien? Colite inflammatoire) : Contrôle clinique. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD : adénite mésentérique. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD : adénite mésentérique, appendicite débutante, problème gynécologique. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD : appendicite débutante, adénolymphite mésentérique. Douleurs abdominales d'origine indéterminée, DD : cholécystite aiguë. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD : cholédocholithiase le 14.04.2019. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD : constipation, appendicite, iléite, colite. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD : gastrite. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD : gastro-entérite débutante le 09.04.2019. Douleurs abdominales d'origine indéterminée, DD : adénite mésentérique, gastrite aiguë. Douleurs abdominales d'origine indéterminée (DD : coprostase, masse). Douleurs abdominales d'origine indéterminée (DD : douleurs gynécologiques, coprostase). Douleurs abdominales d'origine indéterminée • DD : douleurs ligamentaires de la grossesse. Suspicion de thrombose veineuse du membre inférieur gauche le 31.12.2018 • DD : Insuffisance veineuse. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD douleurs menstruelles, constipation, infection gynécologique chronique. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD gastro-entérite, dysménorrhée, maladies inflammatoires intestinales, .. : • exclusion pancréatite, hépatite, infection urinaire. • pas de douleurs musculaires-squelettiques • Douleurs abdominales d'origine indéterminée DD sur stase splanchnique • Douleurs abdominales d'origine indéterminée DD virale, appendicite débutante • Douleurs abdominales d'origine indéterminée, de soulagement spontané. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée, diagnostic différentiel : adénite mésentérique. Plaie superficielle de 1 cm transverse sur la face antérieure proximale du tibia. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée, diagnostic différentiel : adénite mésentérique. Ultrason abdominal le 04.10.2018: Appendice aux limites supérieures de la norme pouvant être compatible avec une appendicite débutante. Reste de l'examen abdomino-pelvien dans la norme. Plaie superficielle de 1 cm transverse sur la face antérieure proximale du tibia. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 02.04.2019. • DD: colique néphrétique, début de gastro-entérite. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 02.04.2019. DD: Appendicite débutante, infectieuse. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 04.04.2019 avec: • S/p Appendicectomie par laparoscopie le 20.03.2019 • Perturbations des tests hépatiques • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 10.04.2019. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 10.04.2019. DD rupture de kyste ovarien. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 12.04.2019. DD : fonctionnelles. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 12.04.2019. DD: intoxication alimentaire. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 12.12.2018. Crise d'asthme d'origine allergique modérée. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 12.12.2018. CT-scanner abdominal le 11.12.2018: Syndrome de congestion pelvien à droite. Crise d'asthme d'origine allergique modérée. Vertige paroxystique bénin DD névrite vestibulaire. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 14.04.2019 : • Status post-colostomie gauche pour incontinence fécale le 29.03.2019 (Dr. X). • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 15.04.2019. DD : musculaire. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 19.04.2019. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 20.04.2019: • DD : douleurs ovulatoires. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 20.04.2019. • DD: gastrite, ulcère. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 20.05.2016. Gastrite le 11.03.2016. Accouchement par voie basse spontanée après provocation pour terme dépassé le 05.05.2017 (diabète gestationnel non insulino-requérant avec macrosomie foetale). Epanchement intra-articulaire genou gauche avec: DD: faute mouvement, surutilisation, arthrose. Lombalgie non déficitaire. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 23.04.2019 DD : appendicite débutante, gastroentérite. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 24.04.2019. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 25.04.2019. DD: constipation. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 26.04.2019. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée, le 30.04.2019 • avec vomissements et diarrhées associés • DD: gastro-entérite • Douleurs abdominales d'origine indéterminée post-colonoscopie. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée, probablement sur constipation • Douleurs abdominales d'origine indéterminée, probablement sur constipation. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée, probablement sur constipation Sinusite virale le 04.04.19 Laboratoire Radiographie thorax Contrôle clinique et biologique en filière à 48h Critères de reconsultations expliqués • Douleurs abdominales d'origine indéterminée, probablement sur gastroentérite d'origine virale (DD: appendicite débutante). • Douleurs abdominales d'origine indéterminée sans critère de gravité le 24.08.2018. • DD: contexte de colon irritable, post-entérite (06.08.2018). Status post-amygdalectomie. Status post-appendicectomie en 2002. Status post-deux césariennes en 2008 et en 2011. Status post-abdominoplastie en Tunisie 2012. Sinusite frontale clinique le 26.07.2014. Iléite avec colite ascendante le 06.08.2018. • Colonoscopie le 09.08.2018 : Iléo-colonoscopie dans les limites de la norme sans preuve d'inflammation (maladie de Crohn ou Morbus Whipple). • Douleurs abdominales d'origine indéterminée sans signes de gravité DD constipation, gastroentérite, adénite mésentérique • Douleurs abdominales d'origine indéterminée 10.04.2019. • DD: passage spontanée d'un calcul biliaire. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée 10.04.2019. DD: passage spontanée d'un calcul rénal ou biliaire. Contrôle clinico-biologique dans les normes le 12.04.2019. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée 20.04.2019. DD: sur constipation. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée contexte: s/p cholécystectomie laparoscopique le 15.04.2019 avec lésion iatrogène du grêle (Dr. X) • Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD : APP débutante, entérite, endométriose. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD : pariétales, sur constipation. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée (DD torsion-détorsion d'ovaire, d'intestin (volvulus, iléus), kyste ovarien?) • Douleurs abdominales d'origine indéterminée. Lombo-cruralgies droite 16.06.2016. Perte de sensibilité au niveau du premier doigt de la main droite post plaie superficielle au niveau de l'articulation inter-phalangienne proximale niveau de l'IPP côté radial. Douleur en fosse iliaque droite d'origine indéterminée: • DD: coprostase. • Douleurs abdominales indéterminées le 12.04.2019. DD : • Passage d'un calcul. • Appendicite. • Douleurs abdominales indéterminées le 29.03.2019 • Status post-bypass gastrique (Dr. X). • Douleurs abdominales d'origine pas claire Torticolis cervical Droit • Douleurs abdominales d'origine probablement post-pneumonie 06.04.2019 • Exclusion de dissection, embolie pulmonaire, NSTEMI • Ectasie de l'aorte ascendante à 48 mm connue. • Douleurs abdominales du 07.11.2018, sur probable passage de microlithiase biliaire: • Récidive à l'hôpital, 1er épisode à domicile, résolution spontanée. • Épisode douloureux avec régression spontanée • Douleurs abdominales en FID d'origine indéterminée DD probable adénite mésentérique • Douleurs abdominales en fosse iliaque droit d'origine indéterminée (DD: pariétales, neurogènes, autres) • Douleurs abdominales en fosse iliaque droite depuis 2 semaines d'origine indéterminée le 12.04.2019. • Douleurs abdominales en fosse iliaque droite d'origine indéterminée. • Douleurs abdominales en fosse iliaque droite sur probable coprostase depuis le 29.03.2019 avec : • bilan biologique aligné à deux reprises • infection urinaire traitée • ultrason abdominal et endovaginal sans particularité DD : adénite mésentérique, infection urinaire au décours. • Douleurs abdominales en fosse iliaque gauche d'origine indéterminée avec: • douleurs en fosse iliaque droite sur rupture d'un kyste ovarien droit. • Douleurs abdominales en fosses iliaques droite et gauche et hypogastre d'origine indéterminée. • Douleurs abdominales en hypochondre droit. • Douleurs abdominales en hypochondre droit, d'origine indéterminée, le 11.04.2019. • Douleurs abdominales en hypochondre gauche avec origine indéterminée. • Douleurs abdominales en hypocondre droit d'origine indéterminée, le 25.04.2019. • Douleurs abdominales épigastriques et vomissements (DD: gastrite, ulcère gastrique, cholécystolithiase symptomatique) le 01.07.2014. Douleur O5 interphalangienne sur stress mécanique (chaussures) le 24.07.2013. Douleurs musculo-squelettiques du membre supérieur droit suite à un traumatisme en hyperextension du poignet le 28.02.2017. Douleurs abdominales épigastriques sur probable gastrite le 10.04.2019. DD ulcère débutant. Douleurs abdominales et des cuisses d'origine indéterminée, chroniques, en cours d'investigation. Douleurs abdominales et diarrhées. Douleurs abdominales et diarrhées post-antibiothérapie le 09.04.2019. DD : clostridium difficile, gastro-entérite virale, récidive de diverticulite, diarrhée au retour de voyage. Douleurs abdominales et selles molles. Douleurs abdominales et vomissements. Douleurs abdominales évoluant depuis mi-mars 2019 sur une possible tuberculose avec : • Sérologies (Brucellose, Tularémie, Yersinia) : négatives, dépistage HIV négatif • Quantiferon parlant en faveur d'une infection à M. Tuberculosis probable (DD : active vs latente) • Marqueurs tumoraux : chromogranine A, CEA et CA 19-9 dans la norme • PCR tuberculose négative dans les expectorations le 29.03.19 • CT abdominal du 26.03.19 : magma d'adénopathies nécrotiques mésentériques pouvant être en rapport avec une tuberculose ganglionnaire • CT cervico-thoracique du 29.03.19 : absence de rapport définitif, mais présence de lésions thoraciques biopsiables • Actuellement : admission élective pour biopsie sous CT thoracique Douleurs abdominales fonctionnelles. DD : • sur probable coprostase • status adhérentiel postopératoire Douleurs abdominales gauche subaiguës évoluant depuis 8 jours sans défense ni détente avec CRP sans leucocytose au laboratoire. B-HCG négatives. Contrôle clinico-biologique le 26.04.2019 à la filière des urgences ambulatoires. Douleurs abdominales hautes, DD : cholécystite aiguë débutante, gastro-entérite virale, appendicite aiguë débutante. Douleurs abdominales hautes le 06.04.2019. • Gastrite, hernie hiatale, colique biliaire. Douleurs abdominales hypochondre G d'origine indéterminée. Douleurs abdominales importantes post-colonoscopie le 19.03.2019. Douleurs abdominales inexpliquées (DD : Gastrite, diverticulite). Douleurs abdominales intermittentes chroniques dans le bas-ventre et en fosse iliaque droite d'origine indéterminée. • Diagnostic différentiel : problème gynécologique Douleurs abdominales intermittentes chroniques d'origine indéterminée le 01.04.2019. Douleurs abdominales intermittentes sur probable constipation. Douleurs abdominales le 06.04.2019. Douleurs abdominales le 14.04.2019. • DD : appendicite débutante, entérite. Douleurs abdominales le 27.04.2019. DD : gastro-entérite, anxiété. Douleurs abdominales para-lombaires droites/FD/FID d'origine indéterminée. Douleurs abdominales péri-ombilicales connues dans le contexte d'une masse à contenu graisseux localisée dans la valve iléo-colique sur le CT-scan abdominal du 14.03.2019 et le PET Scan du 19.03.2019. Douleurs abdominales persistantes. Douleurs abdominales probablement dans le cadre des menstruations. Douleurs abdominales probablement d'origine fonctionnelle dans le cadre du décès de sa fille le 13.04.2019. Douleurs abdominales probablement d'origine gastrique, DD : cholécystite aiguë débutante. Douleurs abdominales probablement d'origine gastrique DD : ulcère/gastrite. Notion de prise d'Irfen. Douleurs abdominales récidivantes d'origine indéterminée. Douleurs abdominales sans signes de gravité. Douleurs abdominales subaiguës en fosse iliaque gauche et au flanc gauche : diverticulose colique gauche et sigmoïdienne. Douleurs abdominales sur ascite le 08.04.2019. • Suspicion de cancer de la tête du pancréas (IRM, CT ambulatoire du 04.04. et 05.04.19). Douleurs abdominales sur constipation. DD : appendicite, avec : Douleurs abdominales sur constipation le 22.04.19. Douleurs abdominales sur coprostase. Douleurs abdominales sur coprostase le 01.04.2019. Douleurs abdominales sur effort de selles le 24.04.2019. • Douleur vendredi le 21.04.2019, actuellement aucune douleur • Brûlures vaginales. Douleurs abdominales sur gastrite aiguë probable, DD sur constipation. Douleurs abdominales sur GEA probable, DD appendicite débutante. Douleurs abdominales sur hernie hiatale le 06.04.2019. Douleurs abdominales sur infection urinaire basse. DD : sur douleurs de milieu de cycle. Douleurs abdominales sur mise en place de stérilet. Douleurs abdominales sur probable constipation. Douleurs abdominales sur probable coprostase. Douleurs abdominales sur probable coprostase, retour à domicile sous traitement symptomatique. Suivi chez le médecin traitant. Douleurs abdominales sur probable gastro-entérite. Douleurs abdominales sur probable gastro-entérite. DD douleurs chroniques réacutisées : • pas de constipation • pas d'infection urinaire • pas de diabète décompensé. Douleurs abdominales sur probable lithiase biliaire le 28.04.2019. Douleurs abdominales sur status post-ingestion de 2 lames de rasoir et d'une pièce de 50 centimes ce jour. • Status post-ingestion volontaire de 2 aimants le 19.04.2019. • Status post-ingestion de 2 lames de rasoir le 18.04.2019. Douleurs abdominales viscérales le 25.01.2019 dans le contexte de la progression tumorale : récidive d'un nodule mésentérique, avec : • État inflammatoire local post-radiothérapie • Ischémie mésentérique sur compression vasculaire • Effet de masse de la tumeur sur l'estomac. Douleurs abdominales 05/2016. Douleurs abdominales. DD : gastrite, érosion de l'anastomose. Douleurs abdominales sur probable passage de calcul biliaire le 10.04.19 avec : • Lithiase de 12x6x8mm dans l'infundibulum • Probable pancréatite au décours. Douleurs abdominales d'origine peu claire DD constipation, thalassémie. Douleurs aiguës dans un contexte de spondylarthrite ankylosante. Douleurs anales. Douleurs anales. Douleurs anales. Douleurs anales. Douleurs anales. Douleurs anales. Douleurs anales. Douleurs anales. Douleurs anales. Douleurs anales d'origine peu claire. • DD : spasmes du sphincter. Douleurs anales et saignement suite à opération. Douleurs anales post-cure d'hémorroïdes le 07.03 et post-intervention d'une thrombose hémorroïdaire le 12.03.2019. Douleurs anales sur fissure anale et abdominale sur fécalome le 18.02.2019. Épisode dépressif moyen (2015). Ostéosynthèse par DHS pour fracture du col du fémur (1992). Douleurs antérieures du genou droit. Douleurs antérieures du genou droit. Status post-chirurgie face antérieure du genou droit. Douleurs antéro-externes du genou droit. DD : Plica para-patellaire droite. Gonarthrose fémoro-patellaire débutante à droite. Douleurs antéro-médiales de la cheville droite d'origine X. Hyperkératose au niveau du 5ème métatarsien pied G et D. Inflammation au niveau du sinus du tarse pied D. Tunnel tarsien à D. Arthrose talo-naviculaire pied droit. Surcharge médio-pied droit. Pied plat bilatéral, sévère. Status post-fracture de stress astragale droit (juillet 06). Suspicion de syndrome tunnel tarsien pied D. Douleurs articulaires. Douleurs articulaires. Douleurs articulaires d'étiologie indéterminée de la première phalange métacarpophalangienne et 2ème phalange métacarpophalangienne dans un contexte psychosomatique. DD : décompensation arthrosique. Douleurs articulaires diffuses de type inflammatoire depuis novembre 2018. • Douleurs diffuses principalement aux genoux, mains et hanches de type inflammatoire. • DD : polyarthrite immuno-induite ou polyarthrite à bas bruit réveillée par l'immunothérapie.Sous Prednisone Douleurs articulaires diffuses et intermittentes d'origine indéterminée au niveau des 4 membres. Douleurs articulaires en cours d'investigations. Douleurs articulation temporo-mandibulaire gauche. Douleurs aspécifiques dans un contexte de trouble anxieux le 05.04.2019. Douleurs aspécifiques dans un contexte de troubles anxieux. Douleurs aspécifiques de l'avant-bras droit. Hyperlaxité assez marquée de l'articulation MCP gauche. Douleurs aspécifiques des 2 MI avec: • Suspicion de syndrome sacro-iliaque G • Instabilité à la marche sur faiblesse proximale subjective Incontinence urinaire d'origine indéterminée depuis janvier 2019, suivie par son urologue. Douleurs atraumatiques de la hanche gauche. Douleurs au bras droit. Douleurs au bras gauche dans un contexte de fracture de l'extrémité du radius distal gauche non déplacée le 16.04.2019. • Traitement conservateur par plâtre antébrachial fendu. Douleurs au cou. Douleurs au cou à gauche. Douleurs au cou d'origine indéterminée. DD: adénomégalie douteuse, contracture du sterno-cléido-mastoïdien. Douleurs au décours, pas de red flag. Retour à domicile, reconsultation en cas de péjoration. Douleurs au dos et au niveau thoracique. Douleurs au flanc gauche suite à une chute le 08.04.2019. Douleurs au genou droit. Douleurs au genou gauche. Douleurs au genou gauche au niveau de l'interligne articulaire médial et condyle fémoral médial d'origine indéterminée. DD : séquelle d'infection, ménisque discoïde, ostéochondrite. Douleurs au membre inférieur droit. Douleurs au membre inférieur gauche. Douleurs au MIG d'origine indéterminée. • DD sur œdème chronique • S/p Fracture de la branche ischio-ilio-pubienne droite et fracture non déplacée du sacrum traitées conservativement le 20.02.2019. • Wells score pour TVP : 4 points Douleurs au mollet droit. Douleurs au mollet gauche. Douleurs au niveau de la cuisse gauche. Douleurs au niveau de la pseudo-exostose du pied G sur statut post 2 opérations de correction d'hallux valgus. Douleurs au niveau de l'espace des bases des 2ème et 3ème orteils gauches d'origine indéterminée. DD : tendinite versus dermohypodermite débutante. Douleurs au niveau de l'hémi-crâne gauche. Douleurs au niveau des membres inférieurs. Douleurs au niveau du flanc droit. Douleurs au niveau du frein de la langue. Douleurs au niveau du naviculaire, avec proéminence sur des pieds plats. Douleurs au niveau du pied droit. Douleurs au niveau du pli de l'aine droite le 04.03.19. • Douleurs déjà décrites précédemment dans un contexte de métastases iliaques. Douleurs au niveau du sinus frontal droit et du sinus maxillaire droit. Douleurs au niveau lombaire, du sacrum et du bassin. Douleurs au pied droit. Douleurs au pied gauche. Douleurs au pli inguinal droit et en fosse iliaque droite. Douleurs au poignet droit. Douleurs au poignet droit et au poignet gauche d'origine indéterminée, chez un patient avec une ostéosynthèse par plaque Aptus 2.0 métacarpe I D le 11.02.2019 et un plâtre antébrachial au bras gauche depuis le 11.02.2019. Douleurs au pouce droit. Douleurs au talon du membre inférieur gauche. Douleurs au ventre depuis 1 jour. Douleurs autour de la rotule du genou gauche avec craquements rétro-patellaires. Douleurs aux côtes à droite. Douleurs aux deux cuisses, probablement d'origine neuropathique le 03.04.2019. Douleurs aux deux poignets. Douleurs aux extrémités distales des doigts. Douleurs aux membres inférieurs. Douleurs aux MIS. Douleurs avant-bras droit. Douleurs basi-thoraciques à gauche, probablement sur irritation pleurale. Douleurs basi-thoraciques droites d'origine indéterminée le 16.04.2019. DD : musculo-squelettique. Douleurs basithoraciques gauches dans un contexte de chute le 05.04.2019. Douleurs basithoraciques gauches d'origine indéterminée, probablement musculo-squelettiques. Douleurs bord interne de l'hallux à G sur proéminence de la phalange distale. Douleurs bras gauche et fourmillements main gauche. Douleurs brutales de la fosse iliaque droite d'origine indéterminée le 08.01.2019. DD : appendicite débutante, ovulation, coprostase. Douleurs cervicales avec irradiation dans la main. Douleurs cervicales et vertiges rotatoires chroniques suite à un accident de travail en 2001. Douleurs cervicales le 02.01.2017. Douleurs cervicales post-traumatisme le 10.01.2017. Lombalgie avec sciatalgie droite sur le canal lombaire étroit L4-L5 en juin 2014. Reflux gastro-œsophagien le 22.09.2015. Fracture du nez ouverte avec une fracture du septum. Multiples consultations pour douleurs rétro-sternales d'origine psychogène. Douleurs cervico-thoraciques avec contracture musculaire sur faux mouvement. Douleurs cheville. Douleurs cheville droite. Douleurs cheville G d'origine indéterminée. Status post entorse de la cheville D en juillet 2018. Status post excision kyste intra-osseux sur le tibia distal en 2006. Douleurs chroniques. Douleurs chroniques avec composante radiculaire sciatique gauche, acutisées avec/sur: • Troubles dégénératifs de la colonne cervicale (C5-C6) et de la colonne lombaire (L4-L5 et L5-S1) avec sténose canalaire cervicale et possible myélopathie cervicale. • Status post-discectomie ostéophytectomie postérieure C5-C6 et mise en place d'une cage triptyque ainsi qu'une stabilisation antérieure C5-C6 par plaque le 23.07.2018. • Clinique associée : très discrète parésie des membres inférieurs sans spasticité, avec très discrète atrophie du muscle tibial antérieur bilatéral, troubles sensitifs des membres inférieurs non systématisés, sans niveau sensitif identifié. Douleurs chroniques avec facteurs somatiques et psychiques. Troubles mixtes de la personnalité (émotionnellement labile, impulsive, personnalité histrionique). Trouble dépressif récurrent, actuellement en rémission. Douleurs chroniques de la hanche G. • Status post luxation chirurgicale pour un conflit fémoro-acétabulaire type cam, pincer, subspine le 23.01.2008. • Status post PTH type resurfacing ARS le 26.03.2019. • Status post résection d'ostéophyte et d'exostose du grand trochanter le 30.08.2010. • Status post arthroscopie de la hanche pour ténotomie du psoas début 2011. Douleurs chroniques de l'épaule droite. Douleurs chroniques des membres inférieurs en exacerbation avec : • Syndrome lombo-radiculaire déficitaire avec discopathie L5-S1, depuis avril 2007. • Polyneuropathie axono-myélique des MI d'origine indéterminée discrètement progressive depuis 2013. Douleurs chroniques du genou post déchirure du ménisque externe, avec remaniement au niveau du corps de Hoffa. Antalgie, physiothérapie, arrêt de travail pour une semaine, poursuite du suivi par l'orthopédiste habituel. Douleurs chroniques épaule droite. Douleurs chroniques exacerbées le 30.04.2019 Douleurs chroniques hanche D. Douleurs chroniques hanche G. DD : métallose. DD : sur atrophie musculaire moyen fessier post-révision de la hanche par voie d'abord trochanter flip avec résection du bourrelet entre 8h et 13h, diminution de la taille du mur antérieur au même endroit, débridement du cartilage dans cette lésion outside-in, reconstruction de l'offset, et légère diminution de la taille de l'épine iliaque antéro-inférieure pour un conflit fémoro-acétabulaire en cam et pincer le 23.01.2008 (Dr. X). Ablation des deux vis stabilisant ayant stabilisé le grand trochanter G le 01.10.2008 (Dr. X). Mise en place d'une prothèse totale de hanche de resurfaçage type ARS (taille 48 pour le cotyle et 43 pour la tête fémorale) le 26.03.2009 (Dr. X). Résection d'ostéophytes et d'exostoses du grand trochanter G le 30.08.2010 (Dr. X). Probable arthroscopie pour ténotomie d'allongement du psoas (protocole opératoire introuvable) début 2011 (Dr. X). Douleurs chroniques hanche gauche. Douleurs chroniques importantes de toute la colonne. • Suivi antalgie par le Dr. X (anesthésiste). Douleurs chroniques multi-investiguées du membre inférieur droit, DD neuropathiques, algoneurodystrophie de Sudeck. • Status post-prothèse totale de hanche droite en 2006. • Douleurs nouvelles orteils droits le 18.02.2016 d'origine indéterminée. Douleurs chroniques récidivantes abdominales et lombaires d'origine indéterminée, multi-investiguées le 16.04.2019. Douleurs chroniques sur gastrostomie avec : • PEG depuis le 02.02.2017. • OGD le 04.09.2017 : pose d'un Button 15 French de 2 cm. • Changement de la sonde pour un gastro-tube le 11.09.2017 (Dr. X). Polyneuropathie. Ostéoporose non bilantée. Plusieurs tassements vertébraux sous traitement antalgique d'opiacés. Insuffisance rénale chronique. Douleurs chroniques sur laxité de cheville D avec lésion complète du LTFA, lésion partielle du LCF et entorse du Chopart le 12.03.2018. Douleurs cicatricielles post-cure d'hernie inguinale gauche selon Lichtenstein 12.2018. Douleurs cicatricielles post-cure d'hernie inguinale gauche selon Lichtenstein en décembre 2018. Douleurs compartiment externe du genou D sur probable surcharge avec : • Status post fracture d'insuffisance du tibia proximal G. • Status post fracture fémur G en janvier 2017 et status post spiroïde à G en 2016. Douleurs complexes de la hanche G sur status post PTH G le 07.02.2018. Douleurs costales. Douleurs costales à droite. Douleurs costales à droite d'origine musculaire. Douleurs costales chez une patiente connue pour un antécédent de cancer du sein encore sous Tamoxifène. Nous avons exclu un problème costal et l'embolie pulmonaire. Douleurs costales D. Douleurs costales droites. Douleurs coude droit suite traumatisme. Douleurs creux poplité à gauche. Oppression thoracique. Douleurs cuisse G. Douleurs d'allure neuropathique diffuses du bras gauche, des deux membres inférieurs de type fourmillements. Douleurs dans la partie distale de la jambe droite jusqu'à la cheville sur : • Lésion iatrogène du nerf sciatique à droite avec parésie à M4 des releveurs suite à une PTH à droite en 2014. • Canal lombaire étroit plurifactoriel prédominant en L3-L4 et L4-L5. Douleurs dans un contexte de lymphome. Douleurs dans un contexte d'une prostatite non-contrôlée par des antibiotiques. Douleurs de hanche droite. Douleurs de la base de la 5ème métatarse + charge. Radiographie : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X : bande élastique. Contrôle en policlinique à 1 semaine. Contrôle radiologique en policlinique d'orthopédie à 4 semaines. Douleurs de la cheville D. Douleurs de la cheville droite. Douleurs de la cheville droite. Douleurs de la cheville droite. Douleurs de la cheville gauche. Douleurs de la cheville gauche. Douleurs de la colonne lombaire sur status post spondylodiscite L2/L3 à E. faecalis le 23.12.2018. Douleurs de la cuisse droite. Douleurs de la cuisse gauche d'origine multifactorielle le 29.03.2019. • Post-traumatique (chute) début mars. • Hématome de la cuisse. • Infection chronique de la PTG avec dernière antibiothérapie arrêtée en mars 2018. • Probable descellement de la prothèse. • Probable lésion partielle du tendon quadricipital gauche vs hématome. Douleurs de la cuisse gauche d'origine probablement musculaire sur probable chute (non objectivée) DD hématome sur introduction de sintrom. Douleurs de la face. Douleurs de la face externe du mollet droit. Douleurs de la fesse droite. Douleurs de la hanche D. Douleurs de la jambe droite. Douleurs de la loge rénale droite. Douleurs de la loge rénale gauche, flanc gauche, fosse sus-pubienne. Douleurs à la percussion de la loge rénale gauche. Laboratoire : cf. annexes. Sang dans les urines. CT-scan abdominal : décrit ci-dessous. Retour à domicile avec filtre, AINS, Pradif. Reconsultation si persistance des douleurs, sinon contrôle clinique chez le médecin traitant à 5 jours. Arrêt de travail. Douleurs de la main droite. Douleurs de la main et du bras gauche d'origine indéterminée le 10.02.2017. Hépatite fulminante d'origine indéterminée en 2012 (anamnestiquement). Douleurs de la main gauche. Douleurs de la nuque. Douleurs de la pommette gauche. Douleurs de la première phalange du 4ème doigt de la main droite. Douleurs de la 7ème à la 11ème côtes à gauche. Douleurs de l'articulation du Chopart à droite. Douleurs de l'articulation sacro-iliaque droite, le 24.04.2019. Douleurs de l'avant-bras droit. Douleurs de l'avant-bras gauche. Douleurs de l'épaule D. Douleurs de l'épaule droite. Douleurs de l'épaule droite. Douleurs de l'épaule droite. Douleurs de l'épaule droite en mars 2019, dans le contexte de la néoplasie pulmonaire : • DD : douleurs référées diaphragmatiques sur épanchement. Accident vasculaire cérébral multifocal (pariétal gauche, insulaire gauche et frontal droit), d'origine indéterminée le 09.12.2018 : • DD : état hyper-coagulant dans contexte tumoral, cardio-embolique. • Symptomatologie : hémisyndrome sensitivo-moteur droit facio-brachial, dysarthrie. • Lyse intraveineuse par Alteplase 78.3 mg. Episode dépressif majeur. Annexectomie bilatérale pour cystadénofibrome séreux multiloculaire bilatéral des ovaires en 2012. Acromioplastie droite en 2006. Anneau gastrique en 1997. Douleurs de l'épaule G. Douleurs de l'épaule gauche. Douleurs de l'épaule gauche. Douleurs de l'épaule gauche. Douleurs de l'épaule gauche d'origine musculaire le 09.04.2019. Douleurs de l'épaule sur probable pseudarthrose d'une ancienne fracture humérale droite. Douleurs de l'hémi-abdomen gauche d'origine indéterminée. Douleurs de l'hypochondre droit d'origine indéterminée (DD : CCK). Douleurs de l'hypochondre droit d'origine indéterminée le 17.04.2019 chez une patiente avec de multiples calculs dans la vésicule biliaire. Douleurs de l'hypochondre gauche 02.04.2019. DD : fonctionnel, gastrite. Douleurs de l'hypocondre droit. • DD : sur progression de métastase hépatique. Douleurs de l'index de la main gauche. Douleurs de l'œil gauche. Douleurs de l'œil gauche. Douleurs de l'œil gauche. Douleurs de l'œil gauche. Douleurs de l'oreille D. Douleurs de l'oreille G. Douleurs de l'oreille gauche. Douleurs de type neurogènes au niveau du dos du pied gauche le 28.03.2019. • Pas de trouble sensitif ou moteur. • Absence de syndrome inflammatoire. • Contexte de Critical-illness-Polymyopathie. Douleurs de type neuropathique mal systématisées de la face antérieure des jambes.pallesthésie 6/8 au niveau des genoux, 5/8 au niveau des malléoles internes • traitement d'essai par Lyrica depuis le 15.03.2019 Douleurs de type neuropathiques connues au MI Douleurs décompensées dans un contexte de spondylarthrite ankylosante. Douleurs dentaires. Douleurs dentaires. Douleurs dentaires. Douleurs dentaires. Douleurs dentaires le 05.04.2019. Douleurs dentaires le 20.04.2019. Douleurs dentaires status post-extraction des 4 dents de sagesse (le 03.04.2019). Douleurs derrière le genou droit. Douleurs des membres inférieurs d'origine indéterminée. Douleurs des 2ème, 3ème, 4ème orteils sur probable aplatissement du pied au niveau des têtes des métatarses avec : • Status post ostéosynthèse d'une fracture du pilon tibial gauche le 29.12.2003. • Status post ablation du matériel d'ostéosynthèse le 14.12.2004. Douleurs diffuses des deux mollets 16.04.2019 • DD sur œdème Douleurs diffuses du pied D sur affaissement de la voûte plantaire du pied D. Arthrose TMT 1 à D. Douleurs diffuses talon D, DD fasciite plantaire, DD irritation du nerf tibial. Cervico-brachialgie à G. Douleurs diffuses talon D, DD fasciite plantaire, DD irritation du nerf tibial. Tendinite pes anserinus G avec status post arthroscopie genou G pour micro-fracturing pour une lésion chondrale du condyle interne, résection d'un cyclope au niveau LCA le 23.08.2016. Cervico-brachialgie à G. Douleurs doigt à droite. Douleurs d'origine indéterminée. Douleurs d'origine indéterminée en fosse iliaque droite, 2015. Douleurs d'origine X au niveau du sinus du tarse à G. Douleurs dorsales. Douleurs dorsales. Douleurs dorsales : • localisées sous l'omoplate droite • DD métastase osseuse. Douleurs dorsales atraumatiques sans trouble sensitivomoteur. DD : contracture musculaire. Douleurs dorsales d'origine nouvelle présentes depuis 2 semaines sur : • multiples tassements vertébraux sur ostéoporose sévère avec : • vertébroplastie uni-pédiculaire L3 à L5, D12, D9, D8 ainsi que vertébroplastie L1 et D10 de façon préventive avec cimentage, le 11.05.2015 (HFR Fribourg, Dr. X) • cyphoplastie bipédiculaire D11 avec système SpineJack et cyphoplastie L2 système Tektona (Spineart) avec cimentage, le 11.05.2015 (HFR Fribourg, Dr. X) Douleurs dorsales gauches. Douleurs dorsales gauches, angoisse. Douleurs dorsales haute et des épaules. Douleurs dorsales/flanc droit, d'origine musculo-squelettique, le 27.04.2019. Douleurs dorso-lombaires nociceptives sur métastases osseuses. Douleurs du bas ventre. Douleurs du bras D. Douleurs du bras gauche. Douleurs du cou depuis 3-4 jours. Douleurs du coude. Douleurs du coude droit. Douleurs du cuir chevelu. DD : allergique, sur brûlure. Douleurs du dos. Douleurs du dos. Douleurs du dos. Douleurs du dos. Douleurs du dos. Douleurs du dos avec irradiation dans la cuisse D. Douleurs du dos depuis 10 jours. Douleurs du dos depuis 2 jours. Douleurs du pied droit. Douleurs du pied droit. Douleurs du pied droit. Douleurs du pied gauche. Douleurs du pied gauche. Douleurs du pied gauche. Douleurs du pied gauche d'origine indéterminée. DD : musculaire, inflammatoire. Douleurs du pli inguinal gauche. Douleurs du poignet. Douleurs du poignet droit. Douleurs du poignet gauche. Douleurs du pouce gauche. douleurs du pouce gauche. Douleurs du rachis. Douleurs du talon droit. Douleurs du talon et tendon d'Achille gauche. Douleurs du tendon d'Achille droit. Douleurs du 3ème doigt de la main droite. Douleurs du 4ème orteil du pied droit. Douleurs du 5e orteil pied D. Douleurs d'un membre. Douleurs d'un membre. Douleurs D3 main D. Douleurs en augmentation de la hanche G S/p chute le 26.03.2019. Douleurs en FID sur probable élongation des ligaments utérins, dans contexte de grossesse. Douleurs en fosse iliaque droite, DD : appendicectomie rétro-caecale, adénite mésentérique. Douleurs en fosse iliaque droite d'origine indéterminée le 10.04.2019. DD appendicite débutante, lithiase rénale/vésiculaire, ovulation douloureuse. Douleurs en fosse iliaque droite d'origine indéterminée le 28.03.2019. Douleurs en fosse iliaque droite et au pli inguinal droit d'origine indéterminée. Douleurs en fosse iliaque droite et fièvre. Douleurs en fosse iliaque gauche. Douleurs en fosse iliaque gauche et loge rénale gauche. Douleurs en hypochondre droit. Douleurs en hypochondre droit chez un patient connu pour cholécystite lithiasique aiguë le 10.03.2019 avec : • Antibiothérapie par Rocéphine et Metronidazole en intraveineux du 10 au 15.03.2019, avec un relais par Ciproxin et Flagyl par voie orale le 16.03.2019 jusqu'au 24.03.2019 • Drainage de la vésicule biliaire sous contrôle CT le 12.03.2019, cholangiographie par le drain prévue le 03.04.2019 • prochain contrôle à la consultation du chef de clinique de chirurgie (Dr. X) le 04.04.2019 pour planification d'une cholécystectomie. Douleurs en hypocondre droit d'origine indéterminée du 19.04.2019 : • DD : cholédocolithiases, pariétale. Douleurs en hypocondre droit d'origine indéterminée du 19.04.2019. DD : passage de calcul, pariétal. Douleurs en hypocondre gauche multi-investiguées d'origine indéterminée. DD : helicobacter pylori. Douleurs en loge rénale droite. Douleurs en loge rénale gauche. Douleurs en loge rénale gauche. Douleurs en regard du Chopart et de l'articulation sous-astragalienne G. Entorse de Chopart à gauche avec arrachement/fracture au niveau de la partie antérieure du calcanéum le 10.6.2017. Douleurs épaule droite. Douleurs épaule droite après chute de sa hauteur le 11.10.2010, pas de fracture. Douleurs épaule gauche suite à une chute mécanique. Douleurs épaules droites d'origine mixte sur : • rupture complète du long chef biceps D avec liquide articulaire, bursite sous-acromio-deltoïdienne (BSAD) • tendinopathie chronique du sus-épineux D Douleurs épigastriques. Douleurs épigastriques d'origine indéterminée. DD : douleurs d'origine psychogène, gastro-entérite débutante. Douleurs épigastriques d'origine indéterminée. DD : reflux gastro-œsophagien le 14.04.2019. Douleurs épigastriques d'origine indéterminée, le 22.04.2019 avec : • status post-bypass gastrique avec cholecystectomie en février 2018 • DD : reflux gastro-œsophagien, ulcère gastrique/anastomose, sténose cicatricielle. Douleurs épigastriques en barre d'origine indéterminée spontanément résolutive (2ème épisode le 17.04.2019) avec : • DD colique biliaire. Douleurs épigastriques irradiant latéralement dans le dos, prédominantes à droite le 30.04.2019 DD : • gastrite • constipation • colopathie fonctionnelle • colique biliaire peu probable • origine neuro-musculaire peu probable Douleurs et brûlures au niveau de la phalange distale du 4ème doigt de la main droite. Douleurs et fourmillements des membres inférieurs dans le cadre d'une fibromyalgie. Douleurs et œdème de la main gauche. Douleurs et œdème du 3ème doigt de la main gauche. Douleurs et œdème d'un membre. Douleurs et parésie brachio-crurales droite probablement sur trouble somatoforme. Céphalées tensionnelles. Fracture ouverte de l'os propre du nez. Fracture du processus oblique du calcanéum gauche le 12.11.2013. Status post-plastie ligaments croisés. Lithiase rénale. Primo-infection à CMV dès le 13.09.2014 avec : • atteinte hépatique • splénomégalie • lymphocytes stimulés • adénopathies Colique néphrétique le 03.05.2017. Paronychie stade phlegmoneux 4e doigt main D. Douleurs et tuméfaction d'étiologie indéterminée du gros orteil du pied gauche avec impotence fonctionnelle. DD : suspicion de fracture de l'os sésamoïde du gros orteil du pied gauche. Douleurs face interne jambe G le 01.03.2019. Douleurs face médiale genou droit. Douleurs face postérieure du genou droit et du talon droit, d'origine inflammatoire. Trouvaille fortuite au CT du 09.05.2017 : lésion d'aspect séquellaire du lobe pariétal gauche (post-traumatique ? ancien accident vasculaire cérébral ? hémorragie anténatale ?). Douleurs face postérieure genou droit dans un contexte de status après hémiprothèse genou droit (2017, Dr. X, clinique Générale) le 20.04.2019. Douleurs fesse gauche. Douleurs FID le 15.04.2014. DD : APP ? infection urinaire ? Douleurs flanc droit d'origine indéterminée le 05.04.2019. Douleurs flanc droit d'origine indéterminée, le 26.04.2019. Douleurs flanc droite 11.04.2019. DD : sur double J, pyélonéphrite débutante. Douleurs flanc gauche d'origine indéterminée 12.04.2019. DD : possible néphrolithiase radio-transparent, lombalgies. Douleurs flanc gauche d'origine indéterminée 12.04.2019. DD métastase osseuse. Douleurs fond de gorge. Douleurs fosse iliaque droite d'origine indéterminée le 05.04.2019. DD : ligamentaire, appendicite débutante. Douleurs genou D. Douleurs genou droit. Douleurs genou droite. Douleurs genou G. Douleurs face latérale au niveau du Chopart sur status post-ostéosynthèse par plaques F3, 5 trous et 3 trous Chopart pied G d'une fracture-luxation Chopart pied G avec fracture impaction partie antérieure du calcanéum au niveau de l'articulation calcanéo-cuboïdienne, fracture comminutive du scaphoïde tarsien avec trait intra-articulaire et fracture arrachement du cuboïde pied G, le 20.06.2014. Status post traitement conservateur d'une fracture tiers distal diaphysaire péroné G, le 20.06.2014. Douleurs gingivales. Douleurs gingivales d'origine indéterminée. Douleurs glutéales droites : suivi clinique (téguments eo et CK à la baisse le 03.04.2019). Douleurs gril costal droit le 06.04.2019. DD musculo-squelettiques. Douleurs hanche D. Status post implantation prothèse de hanche bilatérale en 2000 par Dr. X à la clinique Ste-Anne pour nécrose de la tête fémorale. Douleurs hanche D. Status post PTH D le 03.11.1999. Douleurs hanche D sur antéversion fémorale à 40° avec : • rétroversion acétabulaire • antérieur impingement • postérieur impingement. Douleurs hanche droite. Douleurs hémiface gauche. Douleurs hypochondre droit. Douleurs hypochondre gauche post-prandiales sur torsion grêle intermittente le 12.04.2019. Douleurs hypocondre D avec cholestase et syndrome inflammatoire au laboratoire le 16.03.2019. DD : Dilatation voies biliaires ? Cholécystite ? Douleurs Ier et IIème orteil pied gauche. Douleurs IIIème doigt main droite. Douleurs impingement au niveau de l'articulation tibio-astragalienne avec arthrose à D. Status post dynamisation du clou tibial à droite avec ablation de deux vis proximales le 19.10.2018 sur : • Ostéotomie de correction du tibia en valgus et antecurvation, fixation par clou centro-médullaire du tibia externe à droite le 13.3.2018 avec ostéotomie du péroné pour un défaut d'axe en varus et recurvatum avec arthrose débutante tibio-astragalienne sur status post fracture de la jambe dans l'enfance, avec retard de consolidation. Douleurs inguinales. Douleurs inguinales droites avec œdème de la jambe droite > gauche le 14.03.2019. Douleurs interscapulaires. Douleurs jambe gauche. Douleurs la face dorsale du carpe à gauche : DD : décompensation arthrosique du carpe. Douleurs latéro-thoraciques. Douleurs latéro-thoraciques droites. Douleurs latéro-thoraciques droites postérieures non traumatiques non déficitaires. DD : musculo-squelettique. Douleurs latéro-thoraciques gauches d'origine pariétale 10/2018. Toux faiblement productive depuis 3 mois 10/2018. • Avec perte de poids.• Sans autre symptôme B • Contage positif pour la TBC Douleurs loge rénale. Douleurs loge rénale d'origine indéterminée. Douleurs loge rénale droite. Douleurs loge rénale gauche. Douleurs loges rénales gauche et testiculaires d'origine indéterminée avec: • élévation de la créatinine à 119 umol/l • microhématurie (6-10 érythro/champ). DD: • musculo-squelettique • origine rénale. Douleurs lombaire/flanc à gauche le 05.04.2019. DD: sur métastase osseuse côtes 5 à gauche, musculaire, infection urinaire. Douleurs lombaires. Douleurs lombaires. Douleurs lombaires. Douleurs lombaires. Douleurs lombaires, au genou gauche et à la cheville gauche. Douleurs lombaires chroniques avec irradiation pseudo-radiculaire VS crurale, plutôt L4 D sur: • troubles dégénératifs pluri-étagés avec scoliose dégénérative, sténose récessale de la racine L4 ainsi que foraminale des racines L2 et L3 du côté D et sténose pluri-étagée G asymptomatique • dos plat post-chirurgical • status post-laminectomie L4 et L5 il y a plus de 20 ans (Dr. X) • coxarthrose bilatérale, plus symptomatique à D Douleurs lombaires chroniques irradiant dans les MI sur: • contracture musculaire paracervicale, prédominante à D • dégénérescence du niveau adjacent (L3-L4) • status post spondylodèse postérieure L4-L5 par système Romeo (Spineart), vis 6.0 x 50 et 2 barres lordotiques de 40 mm + mise en place de 2 rouleaux de Tabotan pré-rempli avec du BGel en postéro-latéral aux barres, décompression inter-laminaire L4-L5 et facettectomie totale L4-L5 G ainsi que foraminotomie L5-S1 G et discectomie totale L4-L5 par la G et implantation d'une cage TLIF Juliet (Spineart) taille 8 par la G le 25.04.2016 pour des lombo-sciatalgies G dans le territoire L5 sur hernie discale L4-L5 para-médiane G avec conflit radiculaire L5 G. Douleurs lombaires chroniques sur: • status post-herniectomie L4-L5, discectomie L4-L5 par abord D, mise en place d'une cage TLIF SteriSpine, ainsi que spondylodèse L4-L5 par système Safe Orthopaedics le 24.06.2016 pour une hernie discale L4-L5 à base large, avec rétrécissement canalaire à cette hauteur • syndrome sacro-iliaque bilatéral • facetopathie L5-S1 • arthrose facettaire L5-S1 Douleurs lombaires gauches. Douleurs lombaires invalidantes sur: • fractures d'allure récente ostéoporotiques L1, L2 et L4 avec aggravation de la fracture au niveau L5 • rétrécissement canalaire L4-L5 avec symptomatologie radiculaire irritative L4 droite sans déficit moteur Douleurs lombaires non-déficitaires, D > G • avec symptomatique d'allure lombalgie Douleurs lombaires persistantes avec irradiation dans la jambe droite sur un territoire L3-L4 sur: • sténose modérée du segment adjacent en L3-L4 asymptomatique • status post-spondylodèse L4-L5 par système NEO (vis 6.0/50, tiges 40 mm en lordose) + BGel latéralement, discectomie L4-L5 par voie transforaminale par la D et mise en place d'une cage TLIF Juliet 10 mm le 16.06.2017 pour une récidive de hernie discale L4-L5 paramédiane et foraminale D • status post décompression récessale et foraminale L5 G le 16.01.2017 pour sténose foraminale L4-L5 G Douleurs lombaires post chute avec réception sur le dos le 06.04.2019. Douleurs lombaires récidivantes, avec irradiation dans le MI D, d'origine pluri-factorielle sur: • syndrome sacro-iliaque D • status post-spondylodèse L3-S1 par système Viper (vis 6.0/50 en L3, L4 et L5 et vis 6.0/45 en S1), décompression L3-S1 D, discectomie L4-L5 et L5-S1 et mise en place de 2 cages Juliet taille 10, greffe autologue + Cerasorb le 07.05.2018 pour une récidive kyste articulaire L4-L5 D, discopathie L3-L4 avec sténose canalaire et discopathie L5-S1 avec listhésis de grade I • status post ablation du kyste et décompression L4-L5 D le 27.10.2017 sur kyste synovial et du ligament jaune au niveau L4-L5 D Douleurs lombaires suite à une trans-pédiculaire Spine Shape au Salemspital à Berne le 07.02.2019 par le Prof. Dr. X: • avec décompression racine L4-L5 • arrêt Xarelto pendant 72 h avec remplacement par Clexane, puis reprise de Xarelto le 13.02.2019 • ablation des agrafes le 22.02.2019 Douleurs lombaires sur contracture musculaire chez une patiente de 23 ans 2G1P à 35 1/7 semaines d'aménorrhée. Douleurs lombaires sur status dégénératif. Douleurs main D. Douleurs main droite. Douleurs main gauche. Douleurs mammaires droites. Douleurs mécaniques de la hanche gauche d'origine musculaire le 09.04.2019. Douleurs mécaniques de la hanche droite. DD: coxarthrose droite, enthésite. Douleurs mécaniques du grand trochanter sur status post-ostéosynthèse du fémur proximal G par clou gamma en août 2013 pour fracture sous-trochantérienne: • status post infiltration péri-trochantérienne G, le 26.01.2017 pour suspicion de trochantérite. • status post réduction ouverte et ostéosynthèse de l'anneau pelvien en septembre 2013 sur status post immobilisation par fixateur externe en août 2013 pour fracture de l'anneau pelvien type C. Sciatalgie gauche déficitaire sur plexopathie lombo-sacrée traumatique L5 avec atteinte myélinique sur fracture de l'anneau pelvien avec atteinte du sacrum du côté G en zone 1 et 2. • status post cyphoplastie pédiculaire de L1 par Spine Jack le 02.09.2013 pour fracture type A3 Douleurs membre inférieur D. Douleurs membre inférieur droit. Douleurs membres inférieurs le 14.03.2019: • connu pour une AOMI, suivi par Dr. X • anticoagulation à vie Xarelto 15 mg 1x/j pour complications des pontages aorto-fémoraux Douleurs MI. Douleurs mictionnelles. Douleurs MID. Douleurs mollet. Douleurs mollet droit. Douleurs mollet gauche. Douleurs musculaires. Douleurs musculaires au membre inférieur droit d'origine indéterminée le 17.04.2019. Douleurs musculaires aux deux jambes suite à une élongation musculaire de la jambe droite et surcharge fonctionnelle du membre inférieur gauche. Douleurs musculaires de la cuisse droite (DD: post-traumatiques/courbatures). DD: ostéomyélite débutante. Douleurs musculaires de l'ischiojambier droit suite à un effort sportif. Traitement symptomatique par glaçage et AINS localement. Douleurs musculaires et tendineuses récidivantes au niveau de la cheville D. Douleurs musculaires intercostales et interscapulaires gauches 01.04.2019 • suite à une chute le 29.03.2019. Douleurs musculaires ischiojambières droites. Douleurs musculo-squelettiques. Douleurs musculo-squelettiques • d'allure non-traumatique. Douleurs musculo-squelettiques • sur efforts répétés en lien avec le travail. Douleurs musculo-squelettiques. DD: Gastroentérite. Douleurs musculo-squelettiques diffuses subaiguës d'origine indéterminée. Douleurs musculo-squelettiques du thorax. Douleurs musculo-squelettiques du thorax sur probable contusion. Douleurs musculo-squelettiques gauche de la région infra-claviculaire. Douleurs musculo-squelettiques parasternales gauches.Douleurs musculo-squelettiques probables • ATCD d'EP en 2006; D-Dimères négatifs Douleurs musculo-squelettiques sur effort de toux Douleurs musculo-tendineuses du long extenseur des orteils du pied G. Status post infiltration au niveau de TMT 4-5 pied G le 04.04.2019. Status post infiltration au niveau de TMT 4-5 pied G le 24.01.2019. Fracture du Lisfranc avec arrachement de l'os cuboïde en regard de la base du 4ème métatarse à G le 04.07.2018. Douleurs musculo-tendineuses épaule droite. Douleurs neurogènes au niveau des 2 membres inférieurs, surtout nocturne Douleurs neurogènes de l'hypocondre gauche • status post-cure de hernie supra-ombilicale sans filet le 10.05.2016 • status post-cure hernie selon Rives avec mise en place d'un filet ProGrip (30/15) le 06.02.2018 (Dr. X) Douleurs neurogènes suite à l'accident du poignet gauche traitées par Lyrica, Tryptizol et Oxycontin. Douleurs neurologiques post-mastectomie gauche traitées par Lyrica. Douleurs neuropathiques dans le contexte de maladie de Crest progressive. Douleurs neuropathiques des membres inférieurs sur polyneuropathie éthylique avec • Pregabaline à haute dose. Douleurs neuropathiques du membre inférieur droit • status post accident vasculaire cérébral séquellaire en 2000. Douleurs neuropathiques fesse et cuisse D sur: • canal lombaire étroit L4-L5 et L3-L4 dans une moindre mesure sur antélisthésis de L4 sur L5 grade I selon Meyerding • discopathie dégénérative pluri-étagée avec début de fusion L5-S1 • arthrose facettaire pluri-étagée Douleurs neuropathiques L5 G et déconditionnement musculaire sur: • Status post-décompression par foraminotomie L5-S1 G le 08.02.2019 pour des lombosciatalgies L5 G sur sténose foraminale L5-S1 G • Status post-cure de récidive de hernie discale L5-S1 G déficitaire le 30.03.2015 pour une récidive de hernie discale L5-S1 déficitaire G • Status post cure de hernie discale L5-S1 le 26.03.2013 Douleurs nociceptives mixtes en fosse iliaque, para-lombaire et cervical gauche • sur atteinte oncologique (masse ovarienne gauche, carcinose péritonéale, adénopathie cervicale gauche) Douleurs nociceptives musculo-squelettiques exacerbées au niveau de la colonne vertébrale et cage thoracique • status post spondylodèse D8-D12 (05/2018) sur fracture pathologique • antalgie par Oxynorm Douleurs nociceptives somatiques des talons sur artériopathie sévère des membres inférieurs Douleurs viscérales abdominales sur hépatomégalie et ascite • s/p ponction d'ascite (retrait de 9L) le 22.03.2019 en ambulatoire • US abdominal (il y a 3 semaines, Dr. X) : dilatation des voies biliaires, le reste peu interprétable Douleurs oculaires de l'œil droit. Douleurs oculaires gauches, le 26.10.2018. Douleurs pariétales thoraciques droites. Douleurs œil droit Douleurs œil droit. Douleurs œil droit. Douleurs ombilicales. Douleurs omoplate gauche. Douleurs orales sur candidose avec atteinte de l'appétit et dysgueusie secondaire Douleurs oreille D Douleurs oreille gauche Douleurs orteil I D Douleurs os naviculaire gauche le 23.04.2019 avec une évolution favorable spontanée DD arthrose activée, goutte, pseudo-goutte Douleurs osseuses post-injection de Neulasta le 19.04.2019 avec: • post chimiothérapie le 16.04.2019 dans contexte de dg 1. Douleurs paracervicales gauches. Douleurs paravertébrales. Douleurs paravertébrales d'origine musculaire. Douleurs para-vertébrales droites. Douleurs para-vertébrales gauches des vertèbres thoraciques 02.04.2019. Douleurs pariétales d'origine indéterminée dans un contexte anxio-dépressif. Douleurs pariétales d'origine indéterminée le 03.04.2019 DD : contexte d'angoisse. Douleurs pariétales droite le 30.04.2019. Douleurs pariétales latéro-thoraciques droites. Douleurs pariétales le 03.04.2019. Douleurs pelviennes. Douleurs pelviennes d'origine indéterminée DD: myome, s/p myomectomie compliqué, endométriose, PID. Douleurs pelviennes et métrorragies. Douleurs péri-anale. Douleurs péri-malléolaires cheville G depuis une entorse en avril 2015. Douleurs persistantes sur la ligne du Chopart sur la face dorsale sur status post lésion de Chopart avec arrachement du talus antéro-supérieur et du processus antérieur du calcanéus à gauche et distorsion de l'articulation calcanéo-cuboïde le 6.7.2018. Douleurs pied G Douleurs pied gauche. Douleurs pli inguinal droit Douleurs plis inguinaux et MI immobilisantes, le 20.04.2019 DD sur arthrose décompensée, DD dans le cadre d'une tumeur vulvaire (resolu en gériatrie) Douleurs poignet D dans un cadre de tunnel carpien. Douleurs poignet droit dans un cadre de tunnel carpien. • Radiographie poignet F/P: pas de fracture. • Attelle poignet. • Antalgie + AINS. • Suivi chez le Dr. X. Douleurs poignet gauche Douleurs poignet gauche suite à chute Douleurs polyarticulaires sur terrain arthrosique et myalgies aux membres inférieurs d'origine indéterminée Douleurs post-extraction dentaire. Douleurs post-intervention. Douleurs post-opératoire suite à une réinsertion du sus-épineux, résection AC et ténotomie et ténodèse du LCB épaule G le 19.3.19. Douleurs post-opératoires sans signe de complication Douleurs pré-menstruelles d'étiologie non déterminée le 07/04/19 DD: Endométriose Douleurs pseudo-radiculaires d'origine cervicales Douleurs PTHG Douleurs résiduelles post cure de tunnel carpien à D le 18.12.18 DD lésions du nerf médian, irritation de celui-ci sur hématome post-opératoire, CRPS Douleurs rétro-orbitaires. Douleurs rétro-orbitaires. Douleurs rétro-orbitale et autour de l'œil droit d'origine indéterminée. DD : virale. Douleurs rétro-sternales Douleurs rétro-sternales. Douleurs rétro-sternales. Douleurs rétro-sternales. Douleurs rétrosternales Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales à type de brûlures oppressantes irradiantes dans le bras gauche d'origine indéterminée, DD : origine pariétale. Douleurs rétrosternales de probable origine musculo-squelettique le 18.04.2019. Douleurs rétrosternales d'étiologie indéterminée DD: Gastrite aiguë le 27/04/19 Douleurs rétro-sternales d'origine indéterminée, DD : musculo-squelettique. Douleurs rétrosternales d'origine indéterminée. DD : pic hypertensif. Douleurs rétrosternales d'origine indéterminée le 1.4.2019. Douleurs rétrosternales d'origine indéterminée le 30.04.2019. DD: gastrite sur RGO, pic hypertensif.Douleurs rétrosternales d'origine indéterminée • DD origine gastrique. Douleurs rétrosternales d'origine musculo-squelettale le 19.02.2017 • DD : angor stable. • Lombalgie aiguë. Douleurs rétro-sternales d'origine non angineuse • Cf. synthèse. Douleurs rétrosternales droites Douleurs rétrosternales et palpitations. Douleurs rétrosternales le 05.04.2019 Douleurs rétro-sternales probablement d'origine pariétale le 22.04.2019. Douleurs rétrosternales sur état grippal de probable origine virale le 01.04.2019 • DD : pneumonie atypique. Douleurs rétrosternales sur probable pic hypertensif et composante anxieuse surajoutée le 01.04.2019. Douleurs rétrosternales. • DD angoisse, gastrite. Douleurs sacro-coccygiennes. Douleurs sciatiques. Douleurs sous-costales gauches à la mobilisation, non reproductibles à la palpation Douleurs subaiguës, d'origine peu claire • DD : inflammatoire/mécanique Douleurs sur la face dorsale de l'IP hallux à D et limitation d'extension sur statut post contusion le 22.11.18 avec un arrachement au niveau de la tête de la phalange proximale côté médial. Douleurs sur la malléole externe suite à entorse à répétition de la cheville D. Douleurs sur le point d'infiltration du pouce gauche faite par le Dr. X le 26.04.2019. Douleurs sur omarthrose droite Douleurs sus-pubiennes d'origine indéterminée le 26.04.2019. Douleurs suspubiennes et pollakiurie • DD hyperactivité de la vessie Douleurs sus-pubiennes. Douleurs suspubiennes d'origine indéterminée le 15.04.2019 • DD : courbature musculaire. Douleurs sus-pubiennes d'origine indéterminée le 28.03.2019 • sans signes d'appel • motif d'entrée aux urgences, mais habituelles selon la patiente Douleurs sus-pubiennes et en fosse iliaque droite. Douleurs sus-pubiennes et en fosse iliaque gauche probablement d'origine gynécologique. Douleurs suspubiennes et macrohématurie. Douleurs sus-pubiennes et pollakiurie Douleurs sus-pubiennes matinales type crampe d'origine indéterminée du 04.03.2019 au 12.03.2019 Douleurs testiculaires droite Douleurs testiculaires sur inflammation post-opératoire. Douleurs testiculaires chroniques d'origine indéterminée le 29.04.2019. Douleurs testiculaires d'origine inconnue le 20.03.2018. Douleurs testiculaires d'origine indéterminée le 20.04.2019. Douleurs testiculaires d'origine indéterminée • DD : épididymite débutante le 05.04.2019 • consultation à Tafers le 03.04.2019. Douleurs testiculaires droites d'origine indéterminée, le 26.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée • DD : angor versus crise d'angoisse versus douleurs musculo-squelettiques. Douleurs thoraciques à droite le 14.04.2019 d'origine probablement pariétale. Douleurs thoraciques à l'effort (asthme de l'effort, arythmies, obésité, troubles musculaires) Douleurs thoraciques aigües dans un contexte de FOP de grade III le 15.03.2019 • DD : douleurs sur crise hypertensive, infarctus du myocarde avec artères coronaires saines, spasme coronarien. • Fermeture de FOP grade III par voie percutanée le 22.03.2019. Douleurs thoraciques antérieures gauches, probablement musculo-squelettiques, supra-costales punctiformes subaiguës le 05.04.2019 avec : • sollicitation du muscle pectoral gauche douloureuse, • pas de dyspnée, pas d'oppression, pas d'irradiation, • CK totaux perturbés. Douleurs thoraciques atypiques. Douleurs thoraciques atypiques, chez patient connu pour maladie coronarienne mono tronculaire. Douleurs thoraciques atypiques dans contexte de coronaropathie bitronculaire (avec un status post-pontage le 27.12.2011) Douleurs thoraciques atypiques d'origine indéterminée. Douleurs thoraciques atypiques du 19.04.2019. Douleurs thoraciques atypiques le 14.04.2019. Douleurs thoraciques chroniques acutisées sur statut post-STEMI. Douleurs thoraciques d'allures musculo-squelettiques le 12.04.2019 Douleurs thoraciques dans un contexte anxieux • ECG du 05.04.2019 superposable à celui de 2015 Troponines négatives Douleurs thoraciques de probable origine musculosquelettique le 14.04.2019. Douleurs thoraciques d'étiologie indéterminée • CT Thorax-Abdomen 08.04.2019 : pas de dissection aortique, pas d'EP, pas de signe d'infarctus du myocarde. • Troponine (08.04.2019) : H0 8 ng/l, H1 8 ng/l • ECG (08.04.2019) : rythme normocarde sinusal, axe gauche, sans troubles de dé/repolarisation Douleurs thoraciques d'étiologie indéterminée le 07/04/19 DD : névralgies intercostales DD : Pleurite. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée, DD : reflux gastro-œsophagien. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. DD : musculo-squelettique, psychogène. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. DD : origine anxiogène. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. DD : pariétales, dyspepsie. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. DD : pariétales le 02.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée : • DD : reflux gastro-œsophagien • probable sténose aortique, actuellement asymptomatique Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. DD : trouble du rythme intermittent, douleurs pariétales le 29.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée (DD pariétales) le 08.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 04.04.2019. DD : musculo-squelettiques. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 05.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 05.04.2019 • TROP H0 13, H1 12. DD : angor instable. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 05.04.2019 • TROP H0 13, H1 12 ECG Laboratoire Rx thx CT thoracique (Dr. X) : • anévrisme de la crosse aortique de 4.8x5 cm stable par rapport au comparatif. Heart score : 5 pts Avis cardiologique (Dr. X) : • STOP Marcoumar jusqu'à la coronarographie • Ad spray Nitro si angor. • Programmé en coro mardi en cas de réponse de l'angor aux sprays de nitré Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 07.04.2019. DD : musculo-squelettique. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 08.04.2019 DD : sans argument pour dissection aortique, STEMI Douleurs thoraciques d'origine indéterminée, le 11.04.2019 • DD : syndrome de Tietze. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 12.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 14.04.2019. DD : passage de calculs biliaires. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 15.04.2019 DD : musculo-squelettique, angor instable Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 16.04.2019. DD : • musculo-squelettique. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 16.08.2018. DD sur dyspepsie. FA nouvellement diagnostiquée le 18.02.2018 avec : • CHADSVASC : 4 points • HASBLED : 2 points • TSH et T4 libre dans la norme • Rythme sinusal régulier le 01.03.2018 • Sous Xarelto 20 mg. Tempête rythmique sur cicatrice d'infarctus inféro-basal le 18.02.2018 • tachycardies ventriculaires récidivantes (31 chocs appropriés délivrés par le défibrillateur) • s/p ablation de TV en 2016 • aucun facteur déclenchant identifié • ETT le 18.02.18 : FEVG à 45%, sans trouble de la cinétique segmentaire avec anévrisme inféro-basal sans thrombus • coronarographie le 19.02.2018 : aucune nouvelle lésion (superposable à 2016 avec occlusion chronique de la CD) • thermoablation de 2 TV sur cicatrices d'infarctus par cartographie 3D, l'une inféro-septale et la seconde inféro-latéro basale au CHUV le 28.02.2018. Colite droite transverse gauche à C. jejunii, 2008. Récidive de cholédocholithiase et cholécystite suraiguë 2008, ad ERCP avec extraction du stent. Cholécystectomie pour cholédocholithiase avec ERCP et extraction d'un calcul prépapillaire avec une papillotomie le 03.12.2007 (laparotomie). Lésion maculaire d'environ 5 cm de diamètre sur fond érythémateux d'origine indéterminée : • une lésion isolée au niveau de l'hypochondre droit • une lésion isolée au niveau dorsal. Thromboses veineuses superficielles récidivantes des membres supérieurs : • sur pose de VVP • dans le contexte d'injection de cordarone IV le 22.02.2018. Sigmoïdite aiguë le 03.03.2018. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 02.04.2018 • chez un patient connu pour une cardiopathie ischémique et une ablation de TV le 28.02.2018. Fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 16.08.2018. • DD : sur dyspepsie. FA nouvellement diagnostiquée le 18.02.2018 avec : • CHADSVASC : 4 points. • HASBLED : 2 points. • TSH et T4 libre dans la norme. • Rythme sinusal régulier le 01.03.2018. • Sous Xarelto 20 mg. Tempête rythmique sur cicatrice d'infarctus inféro-basal le 18.02.2018 : • tachycardies ventriculaires récidivantes (31 chocs appropriés délivrés par le défibrillateur). • s/p ablation de TV en 2016. • aucun facteur déclenchant identifié. • ETT le 18.02.18 : FEVG à 45%, sans trouble de la cinétique segmentaire avec anévrisme inféro-basal sans thrombus. • coronarographie le 19.02.2018 : aucune nouvelle lésion (superposable à 2016 avec occlusion chronique de la CD). • thermoablation de 2 TV sur cicatrices d'infarctus par cartographie 3D, l'une inféro-septale et la seconde inféro-latéro basale au CHUV le 28.02.2018. Colite droite transverse gauche à C. jejunii, 2008. Récidive de cholédocholithiase et cholécystite suraiguë 2008, ad ERCP avec extraction du stent. Cholécystectomie pour cholédocholithiase avec ERCP et extraction d'un calcul prépapillaire avec une papillotomie le 03.12.2007 (laparotomie).Lésion maculaire d'environ 5 cm de diamètre sur fond érythémateux d'origine indéterminée : • une lésion isolée au niveau de l'hypochondre droit. • une lésion isolée au niveau dorsale. Thromboses veineuses superficielles récidivantes des membres supérieurs : • sur pose de VVP • dans le contexte d'injection de cordarone IV le 22.02.2018 Sigmoïdite aiguë le 03.03.2018 Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 02.04.2018 • Chez un patient connu pour une cardiopathie ischémique et une ablation de TV le 28.02.2018. Fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide. Dernier contrôle pacemaker 25.07.2018 : fonctionnement normal, pas d'arythmie mise en évidence, prochain contrôle à 6 mois. Dernière lettre du cardiologue en mai 2018 : proposait l'instauration d'un beta-bloquant. Dans le contexte de la FA à réponse rapide nous instaurons un traitement de Metozerok 50 mg. Proposition : contrôle de pacemaker afin d'exclure une arythmie autre comme origine des symptômes. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 17.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 19.04.2019 DD sur cholécystite débutante, origine pariétale. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 21.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 24.03.2013. Probable tentamen médicamenteux sur Quétiapine, Benzodiazépines et OH • alcoolémie 1.40‰ • benzodiazépine positif dans les urines. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 25.04.2019, DD : douleurs d'origine musculo-squelettiques. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 27.04.2019. DD : épigastralgies, anxiété. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée (origine musculaire, psychogène). Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 17.04.2019 • DD sur hypertension, NSTEMI sous-aiguë. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée : DD : NSTEMI origine psychogène (terrain anxieux). Douleurs thoraciques d'origine indéterminées DD : douleurs pariétales, douleurs post thermo-ablation. Douleurs thoraciques d'origine musculaire. Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique. Douleurs thoraciques d'origine musculosquelettique. Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique, avec : Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique. DD : douleurs mammaires. Accouchement par voie basse chez une patiente 1G devenue 1P à 40 5/7 SA le 23.08.2016. Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique le 04.04.2019 • Score de Genève : 0 point. Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique le 17.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique le 24.09.2015. Douleurs thoraciques d'origine ostéo-articulaire. Douleurs thoraciques d'origine pariétale. Douleurs thoraciques d'origine pariétale associées à une anxiété réactionnelle le 26.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine pariétale le 03.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine pariétale le 04.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine pariétale le 10.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine pariétale le 27.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine pariétale. DD : sur crise d'angoisse le 24.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine pariétale. DD : anxiété. Douleurs thoraciques d'origine peu claire avec état vagal : • pas de point d'appel cardiaque, pulmonaire ou digestif • résolution spontanée sans antalgie. Douleurs thoraciques d'origine probablement anxieuse le 29.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine probablement musculo-squelettique le 10.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine probablement pariétale le 12.04.2019. DD : sur pic hypertensif • Différence tensionnelle 40 mmHg entre les deux bras. Douleurs thoraciques d'origine probablement pariétale le 19.04.2019. DD : gastrite. Douleurs thoraciques d'origine probablement pariétale le 22.08.2017. Suspicion d'une hypertrophie du ventricule gauche le 22.08.2017. Lombalgies non-déficitaires. Douleurs thoraciques d'origine probablement pariétale le 26.04.2019, avec status après pneumothorax gauche spontané le 10.04.2019. Douleurs thoraciques d'origine psychogène (DD : musculaire). Douleurs thoraciques d'origines indéterminée. DD : musculo-squelettiques. Douleurs thoraciques droites. Douleurs thoraciques droites d'origine indéterminée. DD : pariétal. Douleurs thoraciques droites d'origine musculo-squelettique. Douleurs thoraciques et douleurs épaule gauche. Douleurs thoraciques et dyspnée. Douleurs thoraciques et dyspnée. Douleurs thoraciques et dyspnée. Douleurs thoraciques et épaule gauche d'origine musculo-squelettique. DD : coronaropathie, pas d'argument laboratoire et ECG. Douleurs thoraciques pariétales le 24.01.2018. DD : angor instable ? Douleurs thoraciques et palpitations de probable origine anxieuse le 17.04.2019. Douleurs thoraciques gauche d'origine pariétale le 20.04.2019. Douleurs thoraciques gauches. Douleurs thoraciques gauches et paresthésies du bras gauche. Douleurs thoraciques gauches sur état anxieux, le 07.04.2019. Douleurs thoraciques gauches sur pleurésie. Douleurs thoraciques idiopathiques d'origine indéterminée. Douleurs thoraciques intermittentes, le 01.04.2019 • musculo-squelettique. Douleurs thoraciques latéro-postérieures basales gauches sur une contusion probable suite à un port de charge le 30.04.2019. Douleurs thoraciques le 11.04.2019. Douleurs thoraciques musculo-squelettiques le 10.04.2019. Douleurs thoraciques oppressives. Douleurs thoraciques oppressives. Douleurs thoraciques oppressives intermittentes 16.04.2019 • DD pariétal, angor instable. Douleurs thoraciques pariétales. Douleurs thoraciques pariétales idiopathiques. Douleurs thoraciques pariétales idiopathiques le 18.04.2019. Douleurs thoraciques pariétales probables, par d'argument clinique pour cause intra-thoracique. Douleurs thoraciques pariétales sur toux probables. Douleurs thoraciques pariétales Status : ECG normal Antalgie, réassurance. Douleurs thoraciques persistantes d'allure pariétale le 17.05.2014. Douleur rétro-sternale probablement d'origine pariétale droite le 13 et le 17.10.2013. Colonoscopie avec ablation d'un polype. Opération d'un pectus incavatus à l'âge de 15 ans. Appendicectomie à l'âge de 11 ans. Céphalées le 07.09.2016 • patient anticoagulé. Récidive de fibrillation auriculaire (FA) à réponse ventriculaire rapide le 26.01.2017 • FA paroxystique depuis 2007 • s/p thermoablation en 11/2014 avec une récidive en 01/2016, cardioversée médicamenteusement. Bronchite asthmatiforme dans contexte de IVRS le 17.12.2017. Prurit probablement sur gale DD eczéma, allergie médicamenteuse sur Amiodarone. Douleurs thoraciques postérieures à droite d'origine pariétale. Douleurs thoraciques postérieures droites. Douleurs thoraciques probablement d'allure musculo-squelettique le 05.04.2019. Douleurs thoraciques probablement dans un contexte anxieux • ECG dans la norme • Troponines et D-Dimères négatifs. Douleurs thoraciques probablement dans un contexte d'angoisse le 14.01.2013. Métrorragie sur polype du col chez Mme. Y 4G2P de 41 ans avec stérilet Miréna en place en mai 2011. Pneumonie basale gauche en février 2011. Thyroïdectomie pour maladie de Basedow en 2003. Oesophagite de reflux. Douleurs thoraciques d'origine extracardiaque le 17.04.2016 DD sur anxiété DD musculo-squelettique. Douleurs thoraciques probablement d'origine cardiaque. Douleurs thoraciques probablement d'origine musculo-squelettique le 25.04.2019.Douleurs thoraciques probablement d'origine pariétale le 19.10.2017. Douleurs thoraciques probablement sur Tako-Tsubo du 01.04 au 08.04.2019 DD. Musculo-squelettiques, inflammatoires sur LES. Douleurs thoraciques rétrosternales sur DD angor stable, angoisse. Douleurs thoraciques sans critères de gravité le 02.04.2019, d'origine probablement anxieuse • DD : pariétal. Douleurs thoraciques sans substrat organique. Douleurs thoraciques sur angoisse probable. Douleurs thoraciques sur pic hypertensif sur douleurs DD angor instable. Douleurs thoraciques sur pleurite d'origine probablement infectieuse le 22.04.2019. Douleurs thoraciques sur probable origine pariétale le 08.04.2019. Douleurs thoraciques sur probable tachycardie non soutenue, non mise en évidence à l'ECG à l'arrivée. Douleurs thoraciques typiques le 25.04.2019. Douleurs thoraciques. DD : cardiaque, anxieux, pariétal. • Score HEART à 4. Douleurs thoraco-abdominales d'origine indéterminée : • Cholestase et cytolyse dans le contexte d'hépatocarcinome multifocal sur cirrhose hépatique. Douleurs traumatiques hanche droite. Douleurs unguéales pouce main gauche. Douleurs vaginales et abdominales, avec prurit et écoulement vaginal. Douleurs vulvaires. Douleurs 4ème orteil pied G sur surcharge des têtes métatarsiennes II à IV. Dr. X, médecin anesthésiste de l'HFR Riaz : Mr. Y récusé pour l'opération (nécessité d'une contention pour auto-protection). Transfert à l'HFR Fribourg le 15.04.2019 (transfert accepté par Dr. X). Pas de thromboprophylaxie donnée ce jour, dernière injection d'héparine non fractionnée 5000 unités le 14.04.2019 au soir. NB : l'épouse de Mr. Y est avertie et se rendra à l'HFR Fribourg le soir pour signer le consentement. Dr. X le 10.05.19 à 9h00 à l'HFR Fribourg. Drain en aspiration et surveillance clinique/radiologique. Drainage abcès inguinal gauche avec exposition de la prothèse, mise en place d'un VAC inguinal gauche le 24.04.2019. Pontage axillo-fémoral profond droit en prothèse Goretex, ablation de la prothèse fémoro-fémorale et pose de VAC inguinal bilatéral le 25.04.2019. Cathéter artériel radial du 25.04 au 26.04.2019. VVC jugulaire interne gauche dès le 25.04.2019. Anticoagulation thérapeutique dès le 26.04.2019. Angio-CT thoraco-abdominal et membres inférieurs le 26.04.2019. Avis infectiologique les 24 et 25.04.2019 (Dre X). • Cubicine IV du 24.04 au 26.04.2019 • Floxapen dès le 26.04.2019. Drainage abcès péri-anal le 17.04.2019. Drainage abcès. Contrôle clinique post drainage secteur ambulatoire des urgences à 48h. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3x/jour pendant 7 jours (prolonger à 10 jours selon évolution). Avis chir selon évolution. Drainage au bloc opératoire. Prise en charge chirurgicale. Anesthésie générale. Drainage aux urgences. Arrêt du drainage journalier. Trempage dans le désinfectant 3x/jour. Reconsultation chez le médecin traitant en cas de péjoration clinique. Drainage d'ascite du 19.03 au 22.03.2019. US abdominal le 03.04.2019 (Dr. X) : quantité de liquide insuffisante pour ponction. Drainage de la collection sous contrôle scannographique le 09.04.2019 (ablation de drain le 19.04.2019). Antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole i.v. du 09.04.2019 au 19.04.2019. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline et Flagyl du 20.04.2019 au 23.04.2019. Prophylaxie antibiotique par Co-Amoxicilline 625 mg 2x/jour du 24.04.2019 jusqu'à la date de l'opération. Drainage de l'abcès sous contrôle scannographique le 19.04.2019. Antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole i.v. du 18.04.2019 au 23.04.2019. Antibiothérapie par Ciproxine et Flagyl p.o. dès le 24.04.2019. Drainage des voies biliaires. Drainage du kyste et méchage. Retour à domicile avec consignes de surveillance et d'hygiène. Contrôle le 10.04 en chirurgie. Drainage du pus au niveau du rein droit en per-opératoire le 01.03.2019 (pas de prélèvement microbiologique effectué). Drainage épanchement pleural à gauche le 30.03.2019. Lasix i.v. en bolus. Morphine. Drainage et lavage abcès face plantaire MTP 1 pied G (OP le 25.02.2019). Avis infectiologie : • Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 25.02. au 02.03.2019 • Amoxicilline 1 g 2x/j p.o. du 02.03. au 08.03.2019. Drainage per-cutané (Dr. X) le 30.03.2019. Cultures et cytologie en cours. Rocéphine du 30.03.2019 au 03.04.2019. Flagyl du 30.03.2019 au 03.04.2019. Reprise anticoagulation prophylactique dès le 01.04.2019. Dr. X 03.05 : l'urotube revient normal -> étrange. Appel à la maman qui explique que Mme. Y va bien depuis l'introduction de l'antibiotique et qu'elle n'a plus de symptômes urinaires ni macrohématurie. Conseil toutefois de réaliser une nouvelle analyse urinaire chez le pédiatre la semaine prochaine pour réévaluer les urines. Drossadin 1% 3x/j. Contrôle chez dentiste le 07.04. Retour à domicile avec consignes de surveillance. DRS. DRS. DRS. DRS. DRS. DRS. DRS. DRS. DRS. DRS. DRS. DRS. DRS. DRS. DRS. DRS. DRS. DRS avec dyspnée. DRS avec dyspnée. DRS droites. DRS intermittentes. Du fait qu'il s'agit d'un 2ème épisode de la rotule, nous organisons une IRM et un CT afin d'exclure une lésion ostéochondrale et de voir les axes de rotation du genou. Antalgie simple. Charge selon douleurs à l'aide de cannes et Clexane jusqu'à charge complète. Mme. Y sera revue à la consultation orthopédique team genou après les examens. Dans l'intervalle, physiothérapie pour renforcement du quadriceps, stretching de la chaîne postérieure du quadriceps. Du point de vue de la cicatrice, au vu de la collection présente, nous n'enlevons pas les fils ce jour. Nous le reverrons la semaine prochaine pour refaire le point. Concernant l'hyposensibilité, nous expliquons à Mr. Y que celle-ci peut perdurer jusqu'à 1 an post-opératoire. Sur le plan de l'entorse de la cheville, prescription ce jour d'un Aircast à garder pour 6 à 8 semaines. Prescription également de physiothérapie pour renforcement de la musculature de la cheville. Du point de vue de l'épaule, évolution tout à fait favorable. Pas de contrôle prévu. Nous restons à disposition. Du point de vue du rachis, nous suspectons que Mme. Y ait une scoliose versus mal-posture du rachis, c'est pourquoi nous aimerions qu'elle soit vue par le Team Rachis prochainement. Bilan radiographique déjà préparé à cet effet. Du point de vue orthopédique je n'ai pas de proposition particulière à faire. Vu l'absence d'un effet positif de l'infiltration de l'épaule droite, je ne veux pas proposer quoi que ce soit au niveau chirurgical. Je conseille des séances d'ostéopathie et je prie le médecin traitant d'effectuer un bilan rhumatologique. Pas de nouveau rendez-vous chez moi pour l'instant. Je me tiens toutefois à disposition. Mr. X nous est transféré de la maternité pour prématurité moyenne. Sur le plan cardiaque, on remarque un différentiel de tension systolique minimal à 10 mmHg, maximal à 20 mmHg entre les membres supérieurs et inférieurs, persistant à 3h de vie. Une cyanose périphérique est visible jusqu'à 2h30 de vie. Une mise en place de KTVO est faite à 1h de vie pour échec de pose de voie veineuse par lequel passe du G10 3.3 ml/h (40cc/kg/j). Il est normocarde. Les pouls fémoraux sont perçus et les saturations pré et post ductales sont à 100%. Il n'a pas d'hépatomégalie ni de souffle cardiaque.Sur le plan respiratoire, il a bénéficié d'une CPAP durant 5 minutes sans ventilation au moment de la naissance. Par la suite, il est resté stable en air ambiant. Sur le plan métabolique, nous remarquons une acidose respiratoire probablement due à une extraction difficile au moment de la césarienne, transformée en acidose métabolique à 1h de vie, normalisée au moment de la sortie. Les glycémies restent dans la norme. Sur le plan infectieux, il ne présente pas de risque infectieux et une analyse sanguine ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de leucocytose. Une hémoculture a été prélevée et ne sera pas analysée en raison d'une erreur de laboratoire, nous vous laissons le soin de prélever des hémocultures si vous le jugez nécessaire. Il reçoit une dose de vitamine K IV 0.5mg. Sur le plan des équipements, il a un cathéter veineux ombilical en position préhépatique (retrait de 2cm par rapport à la radiographie de contrôle), une sonde nasogastrique. • D'un point de vue du pied D, l'unique solution serait de faire une arthrodèse de la MTP I. Pour ça, la patiente dit qu'elle désirerait plutôt se faire opérer en septembre. On propose donc de faire un prochain contrôle début septembre pour discuter de l'intervention. • Au niveau du pied G, il est difficile de différencier si les douleurs sont liées à une arthrose ou s'il y a également une composante du tunnel tarsien. On demande donc au Dr. X, qui nous lit en copie, de convoquer la patiente pour une infiltration du Tinel tarsien afin de mieux différencier ce type de douleurs. • D'un point de vue strictement chirurgical, l'évolution est favorable avec un matériel de spondylodèse bien en place, sans atteinte des segments adjacents. Nous recommandons fortement de maintenir les séances de physiothérapie, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de péjoration des douleurs ou récidive d'un syndrome déficitaire. • Duodéno-pancréatectomie céphalique selon Whipple le 03.04.2019. • Antalgie par cathéter péridurale dès le 03.04.2019. • Sandostatine dès le 03.04.2019. • Céfuroxime du 03.04 au 04.04.2019. • Noradrénaline du 03.04 au 04.04.2019. • Duphalac et suivi du transit. • Prise en charge multidisciplinaire. Durant la consultation, boit 200 ml de sirop. Reste en bon état général, pas de nouveau vomissement. La maman est encouragée à stimuler l'hydratation. Un contrôle clinique chez le médecin traitant est à prévoir dans 24-48h. • Duspatalin retard. • Dysarthrie. • Dysarthrie. • Dysélectrolytémie le 16.04.2019 avec: • Hypophosphatémie à 0.49 mmol/l. • Hypomagnésémie à 0.66 mmol/L. • Dysélectrolytémie: hypokaliémie et hypophosphatémie. • Dysélectrolytémie avec: • hypokaliémie modérée. • hypomagnésémie modérée. • hypophosphatémie modérée. • hypocalcémie modérée. • Dysélectrolytémie avec: • hypokaliémie modérée. • hypomagnésémie modérée. • hypophosphatémie sévère. • Dysélectrolytémie avec: • hypokaliémie modérée. • hypomagnésémie modérée. • hypophosphatémie sévère. • Dysélectrolytémie: • Hyperkaliémie sévère. • Hypocalcémie. • Dysélectrolytémie le 06.03.2019 avec: • Hypophosphatémie 0.83 mmol/L. • Hypocalcémie corrigée à 1.74 mmol/L. • Hypomagnésémie à 0.21 mmol/L. • Dysélectrolytémie le 11.04.2019: • hypomagnésémie. • hypokaliémie. • Dysélectrolytémie légère le 29.03.2019: • hypomagnésémie 0.56 mmol/L. • hypokaliémie à 3.4 mmol/L. • hypophosphatémie à 0.60 mmol/L. • hyponatrémie à 134 mmol/L. • Dysélectrolytémie mixte le 24.04.2019: • Phosphate 0.55 mmol/L. • Magnésium à 0.76 mmol/L. • Hypercalcémie 2.79 mmol/L. • Dysélectrolytémie mixte: • Phosphate 0.55 mmol/L. • Hypercalcémie 2.79 mmol/L. • Dysélectrolytémie sévère: • Hypokaliémie à 2.9 mmol/l. • Hypomagnésémie à 0.43 mmol/l. • Dysélectrolytémie sévère: • Hypokaliémie sans répercussion à l'ECG. • Hypocalcémie asymptomatique. • Hyperphosphatémie dans le contexte d'IRC. • Hyponatrémie normo-osmolaire. • Acidose métabolique compensée. • Dysélectrolytémie sur manque d'apport le 27.02.2019: • Hypokaliémie à 2.9 mmol/L. • Hypophosphatémie à 0.55 mmol/L. • Hypomagnésémie à 0.74 mmol/L. • Dysenterie. • Dysenterie 25.04.2019. • Dysesthésie en territoire axillaire et radial postérieur et superficiel du bras gauche. • Dans contexte du diagnostic principal. • Dysesthésie séquellaire post AVC thalamo-occipital gauche le 24.04.2019. • DD: fonctionnel, trouble anxio-dépressif sous-jacent. • Dysesthésies des membres inférieurs et membres supérieurs d'origine indéterminée le 14.04.2019. • DD: carentiel, somatoforme. • Dysesthésies séquellaires post AVC thalamo-occipital gauche. • DD: fonctionnel, trouble anxio-dépressif sous-jacent. • Dysfibrinogénémie congénitale familiale avec: • séquençage du gène du fibrinogène de la fille de la patiente: présence à l'état hétérozygote de la mutation c.103C>T Arg35Cys (Arg16Cys sans le peptide signal) de l'exon 2 du gène FGA. • Dysfonction de sonde de pacemaker/défibrillateur le 12.04.2019 • avec délivrance de 7 chocs inappropriés sur défaut de sonde de pacemaker/défibrillateur. • Dysfonction d'une FAV radio-céphalique du MSG sur phlébolithe intra-luminale. • Dysfonction thrombocytaire légère: • Hémorragie post arthrotomie mini-invasive en avril 2018. • Dysfonction thyroïdienne d'origine indéterminée (effet TSH-like des B-HCG). Suivi clinique pendant la grossesse sans traitement médicamenteux. • Dysfonction ventriculaire gauche globale d'origine peu claire (23.04.2019). Diagnostic différentiel de: • syndrome de Takotsubo (cardiomyopathie de stress) de type 'mid-ventricular'. • syndrome coronarien aigu. • Dyskinésies tardives sur neuroleptiques. Consommation chronique de benzodiazépines. Ostéopénie. • Dyslipidémie. • unter Atorvastatin. • Dyslipidémie. • Dyslipidémie. • Dyslipidémie. • Dyslipidémie. • Dyslipidémie. • Dyslipidémie à LDL traitée: • Labo (11.10.2018): LDL-Cholesterol à 2.7 mmol/l. • Dyslipidémie. • Fibrillation auriculaire paroxystique sous Xarelto. • Dyslipidémie le 23.04.2019. • Dyslipidémie mixte le 02.04.2019. • Dyslipidémie mixte le 02.04.2019: • Atorvastatine à haute dose. • Hypertension artérielle traitée. • Néphropathie chronique d'origine probablement hypertensive (créatinine environ 180 mcrmol/l en 2018). • Hyperuricémie traitée. • Obésité (120 kg pour 186 cm, BMI 35 kg/m2). • Dyslipidémie mixte le 09.04.2019. • Dyslipidémie mixte le 23.04.2019. • Dyslipidémie non traitée. • Dyslipidémie non traitée, tabagisme ancien. • Dyslipidémie non traitée. • Hypertension artérielle traitée par Coversum. • Tabagisme ancien (30 UPA). • Trouble panique. • Temesta en réserve. • Greffe rénale en 2017: • Sous Cellcept jusqu'au 18.2, switch pour Imurek 125 mg. • Suivi au CHUV. • Dyslipidémie. • Syndrome anxio-dépressif chronique traité et suivi par Dr. X. • Lombosciatalgies. • Hémochromatose. • Syndrome des apnées obstructives du sommeil appareillé. • Dyslipidémie traitée depuis juin 2013. • Dyslipidémie traitée: > LDL actuel 4.41 mmol/l (réalisé à l'Inselspital), but LDL < 2.0 mmol/l.Dyslipidémie traitée. Hypertension artérielle traitée. Lymphœdèmes chroniques des membres inférieurs. Dyslipidémie traitée. Hypertension artérielle. Goutte traitée. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 28.01 au 13.02.2019. Troubles cognitifs sévères. Tests de la cognition du 31.01.2019 : MMSE à 13/30, test de la montre refusé ; GDS refusé. Déficit en vitamine D. Dyslipidémie traitée. Maladie coronarienne bitronculaire : • sténose calcifiée et subocclusive de la coronaire droite au niveau de son ostium : PTCA/DES (NSTEMI). • lésion non significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale. • hypokinésie/akinésie postéro-basale, fraction d'éjection VG 60%. Dyslipidémie traitée. Reflux gastro-oesophagien traité. Dyslipidémie Carcinome canalaire moyennement différencié du sein droit en 2000 avec : • tumorectomie et curage axillaire droit le 14.03.2000 • radiothérapie en avril 2000 et chimiothérapie par Nolvadex terminée en septembre 2005 • pas de lésion au CT thoracique d'octobre 2014 • prochaine mammographie en mars 2015 Lombosciatalgies L5 gauche sur hernie discale foraminale L4-L5 Polymyalgia rheumatica sous stéroïdes depuis septembre 2014 Dyslipidémie Maladie coronarienne tritronculaire : • 2 PAC il y a 10 ans (AMIG sur IVA et pontage veineux sur la 1ère marginale gauche) • 1 DES sur CD proximale (06.2012) • 1 stent actif biorésorbable au niveau du pontage veineux sur la marginale (mars 2013) • angioplastie IVA moyenne au-delà du pontage mammaire gauche le 09.05.2016 Coronarographie le 09.07.2018 : • sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale et moyenne • lésion non significative de l'artère circonflexe proximale • occlusion de l'ostium de la seconde marginale • absence de resténose significative de l'ostium de l'artère coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation du stent actif • sténose significative de l'artère coronaire droite moyenne. • absence de resténose de l'anastomose distale pontage mammaire gauche pédiculée IVA II au niveau du site d'implantation du stent actif • absence de resténose de l'ostium pontage saphène Marginale 2 au niveau du site d'implantation du stent biorésorbable • succès d'angioplastie de l'artère coronaire droite moyenne. Implantation de 1 stent actif Maladie de Parkinson (Dx 2018) Dyslipidémie Obésité (BMI 30.1 kg/m2) Reflux gastro-oesophagien Goutte, sous Allopurinol Stéatose hépatique BPCO non stadée, sous Sérétide • ancien tabagisme > 25 UPA Sténose de l'artère rénale gauche de 50%, sténose > 50% du tronc iliaque, sténose mésentérique supérieure de 50% et inférieure (CT abdominal du 04.08.2017) Dyslipidémie Polymyalgie rheumatica Dyslipidémie Pré-diabète Tension artérielle labile Côlon irritable avec diverticulose colique Hernie hiatale avec RGO chronique et probable dyspepsie fonctionnelle Ostéoporose limite Insuffisance veineuse chronique des MI Périarthropathie épaule D Lombalgies chroniques Médication habituelle : Doxium 500 1-0-1 (1 jour sur 2), Deroxat 1-0-0, Votum 10 mg 1-0-0, Esidrex 25 mg 1-0-0, Atorvastatine 20 mg 0-0-1, Imovane 0-0-1, Calcimagon 0-0.5-0, Colosan mite 2 cuillères à café le soir, Sirop de figue 2 ml chaque soir Dyslipidémie Syndrome des jambes sans repos Achalasie Arthrose de la hanche droite Scoliose sévère au niveau lombaire Ostéoporose (DMX osseuse en février 2018) Diverticulose sigmoïdienne (coloCT en 2010) Gastrite chronique diffuse (OGD en 2013) Malnutrition protéino-énergétique modérée • Albumine 30 g/l le 09.07.2018 Embolies pulmonaires segmentaires et sous-segmentaires occupant le segment postéro-basal du lobe inférieur droit, reposant également à cheval sur l'artère du segment latéro-basal • découverte fortuite au CT thoracique le 11.07.2018 • traitée par Sintrom Dilatation et lésions kystiques des voies bilio-pancréatiques • découverte fortuite au CT le 11.07.2018 • Compléter par IRM abdominale Dysménorrhée primaire avec infertilité primaire dans un contexte de possible endométriose. Dysménorrhée primaire. • douleurs récemment augmentées en intensité. • sans suivi gynécologique. • antalgie de réserve. • Consilium gynécologique (28.12.18) : pas d'argument pour une endométriose. Dysménorrhée sur endométriose avec début de règles à ce jour. Dysmorphie nasale avec gêne esthétique et fonctionnelle Dyspareunie post-suture d'une épisiotomie médio-latérale en 1992. Dyspareunie profonde importante et kyste ovarien gauche chez Mme. Y connue pour une endométriose stade IV. Dyspepsie chronique • symptomatologie : douleurs abdominales post-prandiales chroniques • traitement empirique d'éradication d'Helicobacter pylori par Co-Amoxicilline, Clarithromycine, Flagyl et Nexium dès le 20.03.2019 (suspicion clinique par le médecin traitant, non investigué) Dyspepsie. DD : ulcère gastro-duodénal, oesophagite, dyspepsie non ulcéreuse. Dyspepsie le 15.04.2019 Dyspepsie (sous Pantozol). Dysphagie. Dysphagie. Dysphagie. Dysphagie. Dysphagie au solide d'origine multifactorielle, le 26.04.2019 Dysphagie aux solides avec inappétence sans perte pondérale significative le 10.03.2019 • TOGD (transit oeso-gastro-duodénal) en 01/2016 : Hypertrophie du muscle cricopharyngé. Suspicion d'une web oesophagienne antérieure proximale. Contractions tertiaires de l'oesophage. Hernie hiatale par roulement avec déplacement du fundus gastrique en sus-diaphragmatique. • CT cervico-thoraco-abdominal injecté le 13.03.2019 : Absence de lésion focale suspecte d'atteinte tumorale. Pas de signe de diverticule de Zenker. Discret épaississement pariétal de l'oesophage distal, vraisemblablement en lien avec une hernie hiatale par glissement. • OGD le 19.03.2019 (Dr. X) : sévère béance du cardia avec une grande hernie hiatale. Diverticule duodénal distal. Suspicion de gastrite érythémateuse légère. -- histologie du 19.03.2019 : muqueuse duodénale et gastrique normale. Pas d'H. pylori. Dysphagie aux solides d'origine indéterminée probablement sur ostéophytes antérieurs de la colonne cervicale • CT du cou du 27.02.2019 : Revu par Dr. X le 06.03.2019 : Présence d'arthrose avec de gros ostéophytes antérieurs au niveau C6-C7, avec emprunte sur l'oesophage, pas de masse visible, pas de diverticule de Zenker visible sous réserve qu'un petit diverticule vide et collabé peut être manqué, mais peu probable. Dysphagie aux solides et liquides en progression DD: Candidose oesophagienne, progression maladie au niveau oesophagien Dysphagie avec malnutrition protéino-énergétique • dans le contexte du diagnostique principal • Perte de poids de 10 kg dans 6 mois • BMI actuelle 20 kg/m2 Dysphagie dès sévère à modérée • A réévaluer pendant le séjour en neuro-réhabilitation Dysphagie importante • Trouble chronique • Associé à des fausses routes Dysphagie modérée de la phase orale • retard du déclenchement du réflexe de déglutition • ralentissement des mouvements oro-faciaux Dysphagie modérée de la phase orale et pharyngée sur radiothérapie et fracture mandibulaire avec douleurs à la déglutition • malnutrition protéino-énergétique grave Dysphagie, myalgies Dysphagie transitoire aux solides Dysphonie d'origine traumatique probable • intubation oro-trachéale du 16.03 au 23.03.2019 Dysphonie. Cystite simple. Dysplasie congénitale de la hanche traitée par une orthèse. Coxalgies gauches sur conflit fémoro-acétabulaire hanche gauche. Suspicion de lésion du ménisque interne genou gauche le 17.12.2017. Dysplasie congénitale des hanches, bilatérales: Suivi par Dr. X dans le cadre de maladie de Legg-Calvé-Perthes (nécrose avasculaire bilatérale de la tête fémorale) : pas de CI à AVB Dysplasie de hanche D. Status post fracture fémorale D dans l'enfance. Dysplasie de la hanche D avec angle LCE à 18° et conflit antérieur type cam. Dysplasie des hanches ddc IV selon Graf avec luxation bilatérale post-naissance. Dysplasie des 2 hanches post naissance type 2G selon Graf selon US fait au Daler. Dysplasie hanche G type IIC, instable selon GRAF. Dysplasie résiduelle de hanche bilatérale avec coxa valga ddc. Dysplasie trochléaire genou D avec 3ème épisode de luxation patellaire le 26.01.2019. Dyspnée. Dyspnée à l'effort. Dyspnée à l'effort depuis le 20.03.2019, probable infection virale Dyspnée à l'effort NYHA III probablement dans le cadre d'un déconditionnement physique • tabagisme actif de min. 15 UPA • nycturie • sans tachypnée ni tachycardie Dyspnée aigue Dyspnée aiguë Dyspnée chronique d'origine multiple, le 26.04.2019 avec : • DD insuffisance cardiaque minime, composante anxieuse. • Infection pulmonaire chronique à Mycobacterium Avium connu depuis 2013, actuellement sous Azithromycine 250 mg 3x/semaine. • S/p surinfection bronchique à Pseudomonas le 04.12.2018. Dyspnée dans contexte d'insuffisance respiratoire hypoxémique chronique d'origine mixte • adénocarcinome pulmonaire en progression avec épanchement pleural malin chronique à droite et très probable lymphangite carcinomateuse • décompensation cardiaque secondaire, grippe Influenza A et pneumonie au décours Dyspnée dans le cadre d'une atteinte métastatique pulmonaire et pleurale de l'adénocarcinome oesophagien DD : lymphangite carcinomateuse, sarcopénie Dyspnée dans le contexte d'hyperdébit au niveau fistule artério-veineuse pli du coude à droite le 29.03.2019. • Sans critère clinique ni biologique d'une insuffisance cardiaque aiguë.Dyspnée dans un contexte de sécrétions trachéales abondantes le 07.07.2018: • probable bronchite virale au décours. • patient porteur de trachéotomie. Fistule pharyngo-cutanée le 04.04.2017 avec fermeture le 06.04.2017: • status post cure de diverticule oropharyngé par abord cervical (28.03.2017). • status post thyroïdectomie totale bilatérale et pexie d'un diverticule œsophagien antérieur (13.10.2010). • status post laryngectomie totale avec évidement ganglionnaire et trachéotomie pour carcinome épidermoïde moyennement différencié glotto-sus-glottique pT3 pN0 cM0, suivie de radiothérapie (1993). Troubles anxieux dans le cadre de pathologies multiples avec: • F43.2 trouble de l'adaptation, F45.0 somatisation (clinique la Métairie, 02/2016). • contexte d'isolement social. • contexte de trachéotomie avec sécrétions trachéales. Hypocalcémie chronique sur hypoparathyroïdie post-opératoire: • status post thyroïdectomie totale (13.10.2010). Contusion de la colonne cervicale le 10.06.2015. Opération de la cataracte (04/2016). Dyspnée d'origine indéterminée le 12.04.2019. Dyspnée d'origine indéterminée le 25.04.2019 (diagnostic différentiel: pleurite sur masse du lobe supérieur gauche). Dyspnée d'origine indéterminée le 29.04.2019 • DD: grossesse avancée. Dyspnée d'origine indéterminée le 30.03.2019 avec: • dans contexte de dg. 2 • laboratoire: D-dimères 823 ng/ml, Trop H0 9 ng/l, H1 9 ng/l • ECG CT-scanner thoracique protocole embolie pulmonaire (Dr. X): pas d'embolie pulmonaire, pas de signe de décompensation cardiaque, pas d'argument pour une cause infectieuse. Attitude: • exclusion d'une cause cardiaque et pulmonaire aux urgences • RAD avec suite de prise en charge chez le médecin traitant • on vous propose d'évaluer l'indication à une nouvelle échocardiographie étant donné qu'il n'y a pas d'examen récent. Infection urinaire au décours avec: • multiples traitements antibiotiques ces derniers jours (5 jours Bactrim Forte, 5 jours Ofloxacine, 5 jours Co-amoxicilline). Attitude: • poursuivre le traitement antibiotique jusqu'au 01.04.2019 • suite de prise en charge chez le médecin traitant. Dyspnée d'origine indéterminée sur: • DD : BPCO non stadée (probablement obstructive) en traitement. Dyspnée d'origine mixte le 15.04.2019 DD : progression tumorale, pneumonie. Dyspnée d'origine multifactorielle, avec: • composante cardiaque • composante asthmatique. Dyspnée d'origine multifactorielle sur métastases pulmonaires en progression, déconditionnement marqué et composante anxieuse. Dyspnée d'origine multifactorielle • sur restriction pulmonaire sur volumineuse ascite • déconditionnement marqué. Dyspnée d'origine probablement anxieuse le 30.06.2016. Dyspnée, douleurs rétrosternales, toux avec expectorations. Dyspnée et algurie. Dyspnée et douleurs rétrosternales. Dyspnée et état fébrile. Dyspnée et prise pondérale. Dyspnée et prurit généralisé en post-opératoire immédiat sur prise de Morphine. Grossesse non évolutive à 6 SA traitée par curetage le 18.03.2015. Endométrite traitée par antibiothérapie le 22.03.2015. Intoxication volontaire, médicamenteuse et alcoolique le 06.09.2015. Suspicion de colique néphrétique gauche, le 04.11.2015. Kyste ovarien en 2014. Lésion chondrale facette articulaire latérale et centrale de la rotule D le 06.03.2017. Arthrotomie para-patellaire externe, libération en Z du rétinaculum externe, micro-fractures et mise en place d'une bio-membrane Chondro guide. (OP le 04.10.2017). Dyspnée et toux. Dyspnée nouvelle le 26.03.2019 DD sur progression tumorale DD sur pneumonite sur Opdivo • Mars 2019 : Aérosol Atrovent-Ventolin sans effet, Torasémide 10mg du 29.03 au 01.04.2019, Prednisone 60mg dès le 29.03.2019 (après discussion avec Dr. X et Dr. X). Dyspnée NYHA II. Dyspnée NYHA IV. Dyspnée NYHA 3 d'origine plurifacturielle > Restrictif sévère sur obésité et paralysie hémidiaphragme D > Obstructif trouble de la diffusion CO2 sur probable BPCO sur tabagisme > Composante anxiogène • 02/2019 Syndrome restrictif sévère et obstructif (probable BPCO non stadée), insuffisance respiratoire mixte avec acidose respiratoire et hypercapnie 59 mmHg, compensée par une alcalose métabolique bicarbonate 32 mM, Dr. X • 02/2019 Polygraphie nocturne négative, mais saturation moyenne de 70% donc hypoxémie nocturne persistante. • Refus du BiPaP car sécheresse des muqueuses et claustrophobie, sous Onbrez et oxygène à domicile. • Ancien tabagiste (50 UPA) depuis 02.2019. • Syndrome mixte restrictif sur paralysie diaphragme et obésité et obstructif sur BPCO sur tabagisme connu depuis 2012 avec réserve pulmonaire de 48% et trouble de la diffusion du CO2 Dr. X. • Paralysie du diaphragme D iatrogène (post pontage coronaire en 1999). Dyspnée progressive. Dyspnée progressive depuis 2 semaines le 30.04.2019 • Suspicion d'hypertension pulmonaire chez un patient avec embolie pulmonaire chronique évoluant depuis 2016. DD. Embolie pulmonaire. Dyspnée progressive sur épanchement pleural dans contexte oncologique le 23.04.2019. DD: infection. Dyspnée progressive sur épanchement pleural dans contexte oncologique le 23.04.2019. DD : bronchite. Dyspnée sans étiologie retrouvée le 22.04.2019. Dyspnée stade II d'origine peu claire. Dyspnée stade NYHA II d'origine multifactorielle (anémie, cardiopathie valvulaire, sp EP segmentaire). Dyspnée sur BPCO stade IV selon GOLD • Multiples exacerbations en 2017 et 2018 avec plusieurs réadaptations pulmonaires effectuées. • Tiffeneau 28%, VEMS 28% du prédit aux dernières fonctions pulmonaires le 07.12.2018. • Insuffisance respiratoire partielle sévère et actuellement oxygénothérapie 2 l/min à domicile. • Ancien tabagisme à 75 UPA, stoppé depuis septembre 2016. • Vaccination contre la grippe saisonnière. • HTAP à 46 mmHg. • CT thoracique natif et injecté du 04.01.2019 : emphysème pulmonaire diffus important. Actuellement: nouvelle exacerbation BPCO avec insuffisance respiratoire aiguë globale le 06.03.2019, traitée par antibiothérapie et corticothérapie pour 7 jours. Suivi pneumologique assuré par le Dr. X. Dyspnée sur broncho-pneumonie le 18.03.2019. Dyspnée sur décompensation cardiaque globale d'origine rythmique vs infectieuse ? Dyspnée tachycardie. Dyspnée, tachypnée. Dyspnée, tachypnée. Dyspnée, tachypnée, bradypnée, désaturation. Dyspnée, toux en augmentation. Dyspnées d'origine multifactorielle DD cardiaque DD bronchite chronique. Dyspnée. Dyspnée. Dysrythmie et cardiopathie hypertensive : • fibrillation auriculaire paroxystique (CHA2Ds2VASC 6 ; HASBLED 4) sous Sintrom depuis 31.07.2014, actuellement sous Eliquis. • FEVG normale (65 %) en juillet 2014. • minime régurgitation aortique dégénérative (grade 1/4). Varices chroniques avec : • opération grand droit de la veine saphène (d'août 2013) en raison de l'insuffisance veineuse C6 et deux saignements cheville droite (Dr. X). • massive insuffisance veineuse grande veine saphène gauche avec Stauungsdermatitis (C4 de symptomatologie de scène) • recanalisation de la thrombose veineuse profonde fémoro-poplitée droite en 1991 • un saignement actif sur varices ulcéreuses en juin 2013 • superficialis thrombose veineuse sur varices séculières (grande veine saphène, droit interne sus-malléolaire) • sous bas de contention. Reflux gastro-oesophagien. Goutte. Probable ostéoporose. Leucoencéphalopathie périventriculaire discrète (IRM cérébrale en février 2014). Notion de broncho-pneumopathie chronique obstructive. Dysrythmie et cardiopathie hypertensive : • fibrillation auriculaire paroxystique (CHA2Ds2VASC 6 ; HASBLED 4) sous Sintrom depuis 31/07/2014, actuellement sous Eliquis • FEVG normale (65 %) en juillet 2014 • minime régurgitation aortique dégénérative (grade 1/4). Varices chroniques avec : • opération grand droit de la veine saphène (d'août 2013) en raison de l'insuffisance veineuse C6 et deux saignements cheville droite (Dr. X) • massive insuffisance veineuse grande veine saphène gauche avec Stauungsdermatitis (C4 de symptomatologie de scène) • recanalisation de la thrombose veineuse profonde fémoro-poplitée droite en 1991 • un saignement actif sur varices ulcéreuses en juin 2013 • superficialis thrombose veineuse sur varices séculières (grande veine saphène, droit interne sus-malléolaire) • sous bas de contention. Reflux gastro-oesophagien sous traitement de Pantozol. Goutte traitée par Allopurinol. Probable ostéoporose. Leucoencéphalopathie périventriculaire discrète (IRM cérébrale en février 2014). Notion de broncho-pneumopathie chronique obstructive. Probablement vertiges paroxystiques. Dystrophie myotonique de Steinert. Fibrillation auriculaire non datée et insuffisance mitrale Polyarthrite rhumatoïde séropositive, non érosive Surdité neurosensorielle droite d'origine X Conflit sous-acromiale et arthrose acromio-claviculaire épaule gauche Médicaments actuels : Metozerok 50 mg 1x/j, Tirosint, Léflunomide 10 mg 1x/j, Sintrom, Calcimagon Dysurie Dysurie Dysurie Dysurie. Dysurie. Dysurie. Dysurie. Dysurie avec : • HBP connue, introduction de Tamsulosine depuis le 11.03.2019 • suspicion infection urinaire le 21.03.2019. Urotube le 20.03.2019 : négatif Dysurie avec douleurs • DD sur constipation, DD post-opératoire Dysurie dans contexte s/p cystite à E.Coli multisensible le 10.04.2019 Dysurie depuis hier soir Dysurie en péjoration progressive le 08.03.2019 • Difficultés à initier la miction • Prostate agrandie au toucher rectal Dysurie, hématurie. Dysurie post-anesthésie générale le 05.04.2019 DD : hypertrophie prostatique D4 à ressaut à G. Irritation de la branche superficielle du nerf radial sur statut post cure de tendinite de Quervain, statut post arthroscopie et shaving sur lésion partielle du SL. D4 gauche à ressaut du 3ème degré. Pouce droit à ressaut du 1er degré. Majeur droit à ressaut du 1er degré. E 44.0 Malnutrition protéino-énergétique modérée, 74 % Early-onset sepsis le 30.03 Eat de mal épileptique le 07.04.2019 avec : EBUS à évaluer / biopsie guidée- ECA dans le contexte septique et l'EF, le 07.11.2015 (pendant la surveillance aux urgences) PTH ddc HBA traitée par prostatectomie Arthrose de deux épaules de longue date Fracture supra-condylienne déplacée du radius distal droit le 03.03.17 ECA d'origine indéterminée dès le 01.04.2019 avec : • hallucinations visuelles, agitation, désinhibition DD : toxicité sur Ertapenem, Keppra, désafférentation ECA hyperactif ECA hyperactif dans contexte multifactoriel : • Chute • douleurs dans contexte sténose cervicale Ecchymose cou gauche ECG ECG ECG. ECG : BAV du 1er, connu Ablation des fils des drains le 30.03.2019 Réadaptation cardio-vasculaire Billens dès le 09.04.2019 ECG : BAV 1er degré Laboratoire : anémie connue Stix urinaire CT cérébral et carotides injecté Au service des urgences : Désinfection de la plaie Rappel anti-tétanique • Consilium neurologique le 04.04.2019 • US des vaisseaux précérébraux le 04.04.2019 (Dr. X) • Consilium angiologique (Dr. X) Attitude : Anti-agrégation simple par Aspirine cardio et anticoagulation par Xarelto pendant 1 mois puis afin de limiter les risques hémorragiques, nous proposons de reprendre une double anti-agrégation par Aspirine-Clopidogrel et arrêt de l'anticoagulation au long cours ECG : bloc de branche droit connu Laboratoire Gazométrie CT thoracique le 25.03.2019 : majoration d'adénopathies médiastinales et hilaires bilatérales associées à un épaississement péri-bronchique diffus des deux côtés. Pas d'anomalie parenchymateuse susceptible d'expliquer la dyspnée ni embolie pulmonaire visualisée Pic flow 140 ml/min (25 % du prédit) le 21.03.2019, à 200 ml/min le 28.03.2019 Culture d'expectoration du 27.03.2019 : Moraxella catarrhalis +++ (sur probable portage), Flore bucco-pharyngée +++, Leucocytes +++, Cellules épithéliales qq, Débris cellulaires +, Cocci Gram + +++, Bacilles Gram- qq, Diplo Gram- +++ Aérosols, majoration du Symbicort Prednisone du 20.03 au 24.03.2019 Physiothérapie respiratoire Retour à domicile le 02.04.2019 Pister par le médecin traitant la recherche d'ANCA et précipitines (pour exclure vasculite ou aspergillose bronchopulmonaire allergique), envoyée à Genève le 28.03.2019 Suite de prise en charge chez Dr. X, rendez-vous prévu à sa consultation le 06.04.2019, notamment réévaluation de l'indication à introduction d'un traitement de fond anti-IgE ou anti-IL5) Physiothérapie respiratoire en ambulatoire ECG : Bloc de branche gauche ancien connu ETT le 05.04.2019 ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 85 bpm, axe normal à 54°, QRS fins à 78 ms, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R en v4, QTc à 417 ms. ECG : cf. annexes. Bilan biologique : cf. annexes. Stix urinaire : cf. annexes. Radiographie du thorax : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas de fracture de côtes, pas de pneumothorax ni d'épanchement pleural. Pas d'air libre sous les coupoles diaphragmatiques. Alignement et hauteur des corps vertébraux dorsaux conservés (Dr. X). ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. D-Dimères 193 ng/mL. Brufen 400 mg et Dafalgan 1 g. Temesta 1 mg AINS, Dafalgan pour 2 jours. Suivi médecin traitant. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. D-dimères 648 ng/mL. Troponines inférieures à 3 ng/L. Score de Genève : 3 (FC 94 au tri). Angio-CT-scan pulmonaire : décrit ci-dessous. Nexium 40 mg 2x/jour pour 1 semaine. ECG : cf. annexes. RSR à 60 bpm, PR à 170 ms, QRS dans la norme un axe à 25°, QTc à 410 ms, bonne progression de l 'onde R avec une transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. Laboratoire : cf. annexes. Troponines H0 à 7 ng/L, H1 à 6 ng/L. Les D-dimères sont à 783 ng/mL. Radiographie du thorax face/profil : aorte déroulée et calcifiée. Ascension de la coupole diaphragmatique à droite. Pas d'épanchement pleural à gauche visible. CT-scan thoracique pour recherche d'embolie pulmonaire injecté : pas d'embole visualisé au niveau de l'arbre artériel pulmonaire. Par rapport à la radiographie standard du même jour, on retrouve une surélévation de l'hémicoupole diaphragmatique droite et l'on visualise une petite atélectasie associée en regard du diaphragme. Emphysème diffus bilatéral avec quelques lésions en bandes notamment au niveau de la lingula. Les structures médiastinales et cardiovasculaires sont dans les limites de la norme pour l'âge. Pas de masse ou d'adénopathie. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec surtout des réactions ostéophytaires intersomatiques prédominant au niveau dorsal inférieur. CONCLUSION : pas d'argument scanographique pour une embolie pulmonaire. ECG : cf. annexes. RSR à 64/min. PR régulier d'intervalle dans la norme. QRS fin, axe normal, transition de l'onde R en V4. Pas de troubles de la repolarisation. Qtc à 408msec. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire, fonction rénale conservée. ECG : cf. annexes. RSR à 73/min. PR régulier à 160 msec. QRS fin, axe normal. Transition de l'onde R en V5. Absence de troubles de la repolarisation. Multiples artéfacts dans les dérivations périphériques. Qtc à 402msec. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 6.2G/l, CRP <5mg/l, Hb 134g/l, thrombocytes 165G/l, Na 142mmol/l, K 3.9mmol/l, créatinine 133µmol/l, urée 10mmol/l. Stix et sédiment urinaire : leucocytes +++, nitrites +, sang ++, érythrocytes <3, leucocytes 11-20/champs. Cf. annexes. Uricult : en cours. Cf. annexes. ECG : cf. annexes. RSR à 86/min. PR régulier à 154msec. QRS à 85msec avec axe à 0°, transition de l'onde R en V4. Pas de troubles de la repolarisation. Qtc à 424msec. Bilan biologique : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire, fonction rénale alignée. Radiographie de l'épaule gauche face/neer : contenu calcique, structures osseuses, rapports articulaires de l'épaule conservés, sans lésion traumatique visible. Absence de calcification en projection des parties molles. Intégrité de la partie visible du gril costal. ECG : cf. annexes. RSR avec FC à 64/min. PR 180 ms. QRS 80 ms, pas de sus ou sous décalage ST. QTc 454 ms. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. RSR, axe verticale, fréquence 100 bpm, ondes P négatives en D1, BBD complet, ondes T négatives en D3 - superposable à l'ancien ECG. Laboratoire : cf. annexes. Insuffisance rénale aiguë, hyponatrémie hyperosmolaire, syndrome inflammatoire. Gazométrie : hypoxie, bic 16, ph 7.4. Radiographie du thorax : absence d'un bon inspirium. Pseudo-épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. Aorte déroulée calcifiée. ECG : cf. annexes. RSR 56 bpm, espace PR de 142 ms, QRS fins normo-axé. Pas d'inversion des ondes T. Pas de sus-sous décalage du segment ST significatifs. Laboratoire : cf. annexes. Troponines à H0 6ng/L, H1 6ng/L, pas de syndrome inflammatoire. ECG : cf. annexes. RSR 75 bpm, espace PR de 162 ms, QRS fins de 86 ms normo-axé. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire, Hb 135g/l, paramètres hépato-pancréatiques alignés. Radiographie de l'abdomen debout : minime coprostase diffuse avec une distribution non spécifique des gaz intradigestifs. Pas de calcification pathologique. ECG : cf. annexes. Rythme irrégulier, FC 75, FA connue, pas de modification du segment ST. Laboratoire : cf. annexes. CRP 7mg/l, leucocytes 6,4G/l, pas de trouble électrolytique majeur. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier à 95/min, axe droit à 109°, PQ 160ms, QRS 92ms, QTc 382, repolarisation précoce, onde U. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 56 bpm, axe normal à -1°, QRS fins à 88 ms, onde T négative en v1 à v4 non connus d'amplitude max à -0.4 mV, image de bloc de branche en v2, transition de l'onde R retardée entre v4 et v5, QTc aux limites de la norme à 452 ms. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 93 bpm, QRS fins à 80 ms, axe normal à 55°, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R en V4. QTc à 425 ms. Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Petite désorganisation de la trame bronchovasculaire, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Scoliose lombaire dextro-convexe. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, pas de modification du segment ST. Radiographie : décrite ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Troponines 1er train 11ng/L, 2ème train 10ng/L. D-dimères 375 ng/mL. Gazométrie : alcalose respiratoire. Cf. annexes. Ad Amlodipine 5mg le soir. Contrôle en début de semaine prochaine chez le médecin traitant pour réévaluer le traitement. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, pas de modification du segment ST. Radiographie du thorax face : aorte déroulée et calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible à gauche. Le cul de sac costodiaphragmatique droit est coupé. Pas de foyer de condensation décelable. Épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. ECG : cf. annexes. Sp. Laboratoire : cf. annexes : leucocytes 10.7G/l, troponines 9ng/l à H0 et 9ng/L à H1. ECG : cf. annexes. Sp. Laboratoire : cf. annexes. Routine normale, CK normaux, troponines 7ng/L à H0 et à 6ng/L à H1. ECG : cf. annexes. Superposable à l'ECG de contrôle du 08.04.2019. P positif en I II et négatif en aVR, PR 220 ms régulier, QRS 80 ms, transition en V4, axe hyperdroit -150°, QTc 320 ms, onde T positive dans les précordiales et concordantes avec le QRS dans les frontales. Laboratoire : cf. annexes. Avec cycle des troponines H0 à 15ng/L, à H1 18ng/L, à H3 18ng/L. ECG : cf. annexes. Bilan biologique : cf. annexes. Radiographie du thorax : par rapport au 15.01.2018, silhouette cardiaque inchangée. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. ECG : cf. annexes. CT-Scanner thoracique en externe : détaillé ci-dessous. Avis du Dr X, chirurgien. Avis du chirurgien thoracique de l'Inselspital, le Dr X : pas de nécessité de drainer le pneumothorax car patiente asymptomatique. Rendez-vous en chirurgie thoracique de l'HFR Fribourg le 10.05.2019 à 9H00. Arrêt de travail. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : pas de comparatif. Cœur à la limite supérieure de la norme. Discret déroulement du bouton aortique. Quelques calcifications de l'aorte thoracique. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. 1 Nexium 40mg per os. Retour à domicile avec Nexium 20 mg 1x/jour pour 7 jours. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : par rapport au 10.11.2015, nous retrouvons le remaniement emphysémateux connu du parenchyme pulmonaire, avec de volumineuses bulles d'emphysème de l'apex gauche et dans une moindre mesure de l'apex droit. Petit surcroît de densité nouveau dans la partie supérieure du hile droit, à confronter à un scanner pour aller plus loin dans les investigations. Fibrose ? Calcification ? Tumeur ? Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. ECG : cf. annexes. Troponines. ECG : cfr annexes. ECG : dans la norme. Laboratoire : H0 5. Radiographie du thorax : pas de pneumothorax. US ciblé (Dr. X) : pas d'épanchement péricardique, pas d'épanchement pleural. Pas de signe de dilatation/dissection de l'aorte ascendante. Attitude : • Traitement antalgique et contrôle clinique au secteur ambulatoire des urgences dans 3 jours. ECG = fibrillation atriale à 155 bpm. Laboratoire : Tropo H0 = 40, Tropo H1 = 53, Tropo H3 = 60 Titration Metoprolol 15 mg au total (1 mg/min) = légère diminution de la fréquence cardiaque sans cardioversion. Meto Zerok 50 mg per os. Avis cardiologue : Dr. X : FEVG estimée à 50 %, insuffisance aortique modérée, poursuite d'un traitement par Meto Zerok 100 mg jour avec contrôle dans 3 semaines pour discussion de la suite de la prise en charge. Anticoagulation par Eliquis 5 mg x2. Avis cardiologue : Dr. X : cinétique de troponine trop faible pour une étiologie ischémique. Ok pour un retour à domicile. • Anticoagulation par Eliquis 5 mg x2. • Meto Zerok 100 mg avec réévaluation dans la semaine par le médecin de famille et suivi tensionnel à la maison. • Réévaluation à 3 semaines par le team cardiologie (consilium demandé). ECG : fibrillation auriculaire tachycarde entre 105 et 120/min, axe QRS normal, pas de troubles de repolarisation. Poursuite de l'anticoagulation par Pradaxa. ECG : fréquence à 66/min, rythme sinusal régulier, axe entre 0-90°, pas de troubles de la conduction avec PR <220 ms, QRS <120 ms et QTc < 470 ms, ST iso-électrique. Test de Schellong : positif, symptôme à 3 minutes, tachycardie au changement de position à +42 bpm et baisse de la tension systolique de 30 mmHg. ECG : inversion des ondes T en antéro-latéral, pas de comparatif. Laboratoire : troponines stables à 6 ng/L. Radiographie du thorax. Retour à domicile avec antalgie simple. ECG / Laboratoire / Analyse des urines / Radiographie thoracique Oxygénothérapie. Adaptation des diurétiques et du traitement médicamenteux. Echocardiographie transthoracique le 10.04.2019 : FEVG 35 %, insuffisance mitrale importante (grade 4/4), valve percutanée (Corevalve N°29) en position aortique non sténosante mais fuyante (périprothétique). Interrogation du pacemaker le 10.04.2019. Avis cardiologique (Dr. X/Dr. X) le 11.04.2019. Hétéroanamnèse avec les filles (Mme. Y et Mme. Y, par téléphone) le 11.04.2019. Discussion téléphonique avec le médecin traitant (Dr. X) le 11.04.2019. Soins de confort dès le 24.04.2019. Décès le 26.04.2019 à 2h25. ECG / laboratoire : NT-proBNP 745 ng/L. Radio du thorax le 13.04.2019. Adaptation traitement antihypertensif. ECG / Laboratoire. Radiographie du thorax du 06.04.2019. Radiographie du thorax du 16.04.2019. US FAST du 06.04.2019 (Dr. X/Dr. X). Interrogation du pacemaker le 08.04.2019. ETT le 08.04.2019. Au service des urgences : 1 h de VNI avec excellente évolution clinique. Lasix intraveineux dès le 06.04.2019. Métolazone du 11.04 au 15.04.2019. Attitude : • poids sec : 58 kg, suivi du poids et réintroduction diurétique de l'anse au besoin. • IEC à réintroduire. ECG // Laboratoire. Radiographie thoracique du 04.04.2019. ETT du 09.04.2019. Lasix intraveineux du 04.04.2019 au 12.04.2019. Torasémide dès le 13.04.2019, stoppé le 15.04.2019. Métolazone du 10.04.2019-13.04.2019. Eliquis mis en pause du 04.05 au 12.04.2019. Lisinopril dès le 10.04.2019. Stop Dilzem et mise en place Beloc Zok dès le 09.04.2019. Attitude : • Suivi du poids et de la volémie et adaptation des diurétiques poids sec : 52 kg. • Suivi du poids à domicile. ECG : pas de signes d'ischémie. ECG : QTc stable à 460 ms. Substitution iv et per os. ECG : RSR à 110 bpm, PR à 160 ms, QRS fins avec un axe à 40°, QTc à 430 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. Cf. annexes. Laboratoire : leucocytes à 10.6 G/l, CRP <5 mg/l. Cf. annexes. Radiographie du thorax : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax visualisé. (Dr. X). ECG : RSR à 58 bpm, PR à 198 ms, QRS fins avec un axe à -20°, QTc à 398 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Cf. annexes. Radiographie de l'épaule gauche face/neer : omarthrose débutante centrée avec ébauche d'ostéophyte au niveau du rebord glénoïdien inférieur. Pas d'anomalie suspecte de la trame osseuse. Espace sous-acromial conservé. Pas d'arthrose acromio-claviculaire significative. Remaniement dégénératif du trochiter. (Dr. X). ECG : RSR à 60 bpm, PR à 170 ms, QRS dans la norme avec un axe à 70°, QTc à 440 ms, mauvaise progression de l'onde R avec une transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Sans particularité. ECG : RSR à 62/min, PR à 130 msec, régulier. QRS à 90 msec, axe à 85°, transition de l'onde R en V4. Pas d'onde Q pathologique ni troubles de la repolarisation. QTc à 141 msec. Cf. annexes. Stix urinaire : négatif. Cf. annexes. Radiographie de la colonne cervicale face, profil et axiale : cliché sous contention. 7 vertèbres cervicales visibles sur l'incidence de profil. Morphologie, alignement, hauteur des corps vertébraux conservées, sans anté- ou rétrolisthésis. Pas de fracture. Pas de pincement intersomatique. Épaisseur des parties molles précervicales dans la norme. En transbuccal, compte tenu des superpositions osseuses et des dents, le processus odontoïde est centré sans lésion visible. Radiographie de la colonne dorsale face/profil : attitude scoliotique de la jonction dorso-lombaire avec composante rotatoire lombaire haute. Morphologie, alignement, hauteur des corps vertébraux conservées sans fracture-tassement visible. Pas de refoulement en fuseau des lignes paravertébrales dans le plan coronal. Pas de pincement intersomatique. Partie visible des apophyses costiformes sans particularité. Sinus costo-phrénique postérieur libre. Radiographie de la colonne lombaire face/profil : discrète attitude scoliotique sinistroconvexe. Accentuation discrète de la lordose. Morphologie, alignement, hauteur des corps vertébraux conservées sans fracture-tassement visible. Pédicules et apophyses épineuses tous visibles. Radiographie du thorax face : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas de fracture de côtes, pas de pneumothorax ni d'épanchement pleural. Pas d'air libre sous les coupoles diaphragmatiques. Articulation sacro-iliaque : partie visible des articulations coxo-fémorales symétrique. Courbure harmonieuse sacro-coccygienne. (Dr. X). ECG : RSR à 62/min, régulier. PR à 200 msec, régulier, isoélectrique. QRS à 80 msec, axe à 12°, transition de l'onde R en V3. Pas d'onde Q pathologique, ni sus-sous ST significatif. QTc à 371 msec. (superposable au comparatif de 2015). Cf. annexes. Bilan biologique : cf. annexes. Leucocytes 5.6 G/l, CRP <5 mg/l, troponines 5 ng/L, Na 131 mmol/l, K 4.6 mmol/l, créatinine 98 µmol/l, urée 6.4 mmol/l. ECG : RSR à 66 bpm, PR à 120 ms, QRS fins avec un axe à 30°, QTc à 415 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. CRP <5 mg/l, leucocytes 6.2 G/l, créatinine 71 µmol/l, D-dimères 705 ng/mL, troponines H0 6 ng/L, H1 19 ng/L, H3 30 ng/L, H5 à 18 ng/L. Pro-BNP à 31.Radiographie du thorax en chambre : aspect normal de la silhouette cardio-médiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. (Dr. X) CT-scan thoracique pour recherche d'embolie pulmonaire injecté : pas d'embole visualisé au niveau de l'arbre artériel pulmonaire. Les structures médiastinales et cardiovasculaires ont une morphologie normale. Pas de masse ou d'adénopathie. Le parenchyme pulmonaire, les hiles et les structures pleurales ont un aspect normal. CONCLUSION : pas d'argument scanographique pour une embolie pulmonaire avec un examen par ailleurs dans les limites de la norme. (Dr. X) ECG : RSR à 72/min, PR 176 ms, QRS fins normoaxés, pas de trouble de repolarisation, QTc 402 ms. RX : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale (Dr. X). Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire ni d'anomalie notable. ECG : RSR à 72/min, PR 176 ms, QRS fins normoaxés, pas de trouble de repolarisation, QTc 402 ms. RX de thorax : cfr ci-dessous. Laboratoire : cfr annexes. Antalgie par Voltaren 75 mg et Dafalgan. ECG : RSR à 78 bpm, pas de signe d'ischémie active. Laboratoire sp. CT cérébral natif et injecté : examen réalisé avant et après injection i.v. de 60 ml de Iomeron 400. Système ventriculaire de morphologie normale. Pas de déviation des structures de la ligne médiane. Pas d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous ou extradurale. Mise en évidence de deux lésions parenchymateuses hypodenses au sein de l'hémisphère cérébelleux gauche, sans rehaussement notable après injection de produit de contraste, compatible avec des lésions ischémiques. Occlusion de l'artère vertébrale gauche dans sa portion V2-V3, possiblement en lien avec un débord osseux ostéophytaire au sein du foramen transversaire à hauteur de C3. Opacification à rétro de la portion V4. Perméabilité dans la norme des artères carotides communes et internes, de l'artère vertébrale droite ainsi que de l'artère basilaire. Pas d'occlusion décelée sur le cours des artères intracrâniennes. Pas de thrombose des sinus veineux. Hormis un discret comblement du sinus maxillaire gauche, pneumatisation normale des cavités sinusiennes de la face ainsi que des cellules mastoïdiennes. Pas de lésion notable de la filière pharyngo-laryngée. Pas d'adénopathie de taille radiologiquement significative. Les glandes parotides, sous-mandibulaires et la thyroïde se présentent normalement. Les coupes passant par les apex pulmonaires sont sans particularité. Au niveau osseux, unco-discarthrose et arthrose interfacettaire pluri-étagée. CONCLUSION : occlusion de l'artère vertébrale gauche dans sa portion V2-V3, possiblement en lien avec un débord osseux ostéophytaire au sein du foramen transversaire à hauteur de C3, associé à la présence de deux lésions parenchymateuses vraisemblablement ischémiques au sein de l'hémisphère cérébelleux gauche (Dr. X). ECG : RSR avec FC 77/min, normoaxé avec QRS fins pas de sur ou sous-décalage ST, QTc à 445 ms. Cf. annexes. CT-scan du massif facial natif : absence de comparatif CT. Fracture plurifragmentaire, impactée de l'os et de l'arcade zygomatique s'étendant jusqu'au processus zygomatique de l'os temporal et au processus frontal de l'os zygomatique, sans luxation des différentes articulations et sans extension à l'orbite. Tuméfaction et infiltration hémorragique des parties molles en regard. Absence d'autre fracture visible du reste du massif facial. Les cellules mastoïdiennes et les cavités sinusiennes de la face sont libres. Absence d'hémorragie intracrânienne visible sous réserve d'un examen non dédié. ECG : RSR avec FC à 94/min, normoaxé, QRS fins, pas de sus ou sous-décalage ST, QTc 408 ms. Cf. annexes. ECG : RSR avec une FC à 62/min, normoaxé avec QRS fins sans sus ou sous-décalage ST QTc 363 ms RX de thorax : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale (Dr. X). ECG : RSR, pas de troubles de la repolarisation significatifs. Radiographie du thorax : pas de foyer ni pneumothorax. Traitement antalgique et consignes de surveillance. ECG : rythme en flutter avec FC à 60/min, normoaxé, QRS large 160 ms ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R avec une transition en V4, QTc 470 ms. Cf. annexes. Radiographie du thorax face : aorte déroulée et calcifiée. Épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Pas d'épanchement pleural visible. (Dr. X). Laboratoire : cf . annexes. ECG : rythme irrégulièrement irrégulier avec conduction ventriculaire moyenne à 150/min. Pas d'onde P visible. QRS fin avec axe normal, transition de l'onde R en V3. Pas d'onde Q pathologique ni troubles de la repolarisation. Cf. annexes. ECG après 1ère dose de Cordarone : cf. annexes. rythme en fibrillation auriculaire persistante. ECG après 2ème dose de Cordarone : cf. annexes. Rythme en fibrillation auriculaire persistante. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 9.3G/l, CRP <5mg/l, Hb 177g/l, Thrombocytes 262G/l, K 3.6mmol/l, Na 38mmol/l, créatinine 70µmol/l, TSH en cours. Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat, ni d'épanchement pleural. Status après fermeture du foramen ovale. (Dr. X). ECG : rythme irrégulièrement irrégulier, QRS fins, pas de troubles de la repolarisation. ECG : rythme régulier sinusal, pas de sus- ou sous-décalage. Laboratoire : créat 98. Schellong : positif avec vertiges à la position debout et différentiel de 20 de systolique. Retour à domicile avec réassurance et conseil d'hydratation. ECG : rythme sinusal, normocarde, pas de troubles de la repolarisation ou dépolarisation ECG : rythme sinusal, P+ en I et II et - en aVR, PR 200 ms, QRS fin, axe 36°, transition en V4, QTc 380 ms, pas de sus-décalage ST, pas d'onde Q ni d'onde T pathologique. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Aligné, troponines. Laboratoire après 3h : D-dimères, CK, troponines. ECG : rythme sinusal, P+ en I et II et - en aVR, PR 200 ms, QRS fin, axe 36°, transition en V4, QTc 380 ms, pas de sus-décalage ST, pas d'onde Q ni d'onde T pathologique. Laboratoire : cf. annexes. Labo après 3h : cf. annexes. ECG : rythme sinusal, pas de troubles de la dépolarisation ou repolarisation, QTc 400 msec ECG : rythme sinusal, PR à la limite supérieure à 200 msec, pas de troubles de la repolarisation, QT à 320 msec. Rx thorax : attitude scoliotique vers la gauche, pas de PTX, pas de fractures de côtes, cœur et poumon sans particularités. ECG : rythme sinusal régulier à 68/min, axe dans la norme à 5°, intervalle QT dans la norme, QRS fin, pas de sus/sous-décalage du segment ST, pas de trouble de la repolarisation. Cf. annexes. ECG : rythme sinusal régulier, axe gauche, sous-décalage ST en V3, V4, V5, V6. US ciblé aorte (Dr. X) : aorte ascendante proximale avec diamètre mesuré à 4 cm, aorte abdominale non dilatée. Coronarographie le 25.04.2019 : l'examen invasif en urgence démontre comme corrélat pour le NSTEMI une subocclusive de la circonflexe moyenne avec hypokinésie antéro-latérale, FEVG 55%. Dilatation avec mise en place d'un stent actif RCX moyen actif avec bon résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 12 mois, reste du traitement inchangé. Angio-CT injecté le 25.04.2019 : épaississement des septas interlobulaires bi-apicales évoquant une surcharge cardiaque. Pas de dissection aortique. Saignement actif de la partie distale de l'artère iliaque externe droite entourée par un important hématome rétropéritonéal remontant au hile rénal et descendant dans le petit bassin.Angiographie avec endoprothèse fémorale le 25.04.2019 : rapport en cours. ECG : rythme sinusal régulier bradycarde, axe gauche, pas de trouble de la repolarisation, pas de sus/sous-décalage ST. Laboratoire : Trop H0 12 ng/l, Trop H1 12 ng/l, Trop H3 12 ng/l. Radiographie du thorax : pas de foyer, pas d'épanchement. Test de Shellong : négatif. Avis cardiologique (Dr. X, cardiologue traitant) : Holter de 48h à poser dès ce jour, ergométrie d'effort à faire en ambulatoire à sa consultation. Mise en suspens du Beloc Zok dès ce jour. Attitude : • Mise en suspens du Beloc Zok dès ce jour. • Patient envoyé en cardiologie pour mise en place d'un Holter. • Patient sera convoqué à la consultation de Dr. X pour ergométrie d'effort. ECG : rythme sinusal régulier, normocarde à 61 bpm, axe normale 48°, QRS fins 88 ms, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R en v3, QTc 384 ms. Cf. annexes. Radiographie du thorax : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. (Dr. X). ECG : rythme sinusal régulier, normocarde à 87 bpm, axe normal à 36°, QRS fins à 72 ms, segment ST isoélectrique, bloc AV premier degré, transition de l'onde R précoce en v2, QTc à 481 ms. Cf. annexes. Laboratoire : D-Dimères : 2'555 ng/ml. Cf. annexes. Radiographie du thorax : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. CT-Scanner thoracique : absence de comparatif CT. Examen réalisé avant et après injection de cc de IV. Thorax : les structures médiastinales et cardiovasculaires ont une morphologie normale. Pas de masse ou d'adénopathies. Le parenchyme pulmonaire, les hiles et les structures pleurales ont un aspect normal. Absence d'embolie pulmonaire visualisée jusqu'en sous-segmentaire. Absence de nodule suspect individualisé. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Sur les coupes passant par l'étage abdominal. Absence de lésion suspecte. Osseux : absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. Conclusion : examen dans les limites de la norme, sans argument en faveur d'une embolie pulmonaire (Dr. X). ECG : rythme sinusal régulier, pas de modification du segment ST. Laboratoire : cf. annexes. K+ 5,2 mmol/l, leucocytes 4,7 G/l, CRP < 5 mg/l. D-Dimères 556 ng/mL. Retour à domicile avec antalgie. Reconsultation si péjoration des douleurs ou apparition de nouveaux symptômes. ECG : rythme sinusal régulier, QTc 417 ms (Bazett). Aplatissement des ondes T en précordiale, V1 et V6. CT cérébral natif (transmission orale, Dr. X) : pas d'œdème, pas d'hémorragie, pas de masse. Suite de la prise en charge par le médecin traitant. ECG : rythme sinusal régulier, sans modification du segment ST. Rx Thorax : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. Pas de foyer, d'infiltrat, ni d'épanchement pleural. Omarthrose bilatérale prédominante du côté droit. Rx Hanche : par rapport au comparatif du 13.12.2013, on retrouve une coxarthrose droite très avancée avec déformation de la tête fémorale, probablement sur dysplasie de hanche, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Coxarthrose gauche encore modérée et lésions dégénératives multi-étagées de la symphyse pubienne. Rx Main droite : arthrose diffuse avec notamment une rhizarthrose et une arthrose métacarpo-phalangienne du 2ème rayon, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée, notamment au niveau du 4ème métacarpien. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Déminéralisation osseuse diffuse. (Dr. X) ECG : sans particularité (examen avec explication donnée par le médecin). ECG : sans particularité. Traitement antalgique. Contrôle chez le médecin traitant. Réévaluer la nécessité de l'introduction de séances de physiothérapie. ECG : sans particularité. Résonium 15 mg p.o. ECG : sinusal régulier, bradycarde à 33 bpm, BAV 1, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie thoracique : syndrome alvéolo-interstitiel bilatéral. Laboratoire : Gazométrie : acidose métabolique à trou anionique augmenté à 7,35 de pH. ETT : Dr. X : FEVG conservée à 55%, HTAP sévère à 80 mmHg, insuffisance mitrale sévère. Avis cardiologue : à jeun à partir de minuit avec probable projet ETO le 18/04/19, pas de DOBUTAMINE, envisager ISOPRÉNALINE si patient symptomatique. Sondage vésical : Pose de cathéter artériel = Dr. X, pose d'un cathéter 20G en radial droit, pas de complication post geste. Avis soins intensifs = ok pour transfert soins intensifs. CAT : • Transfert SIB pour suite de prise en charge. ECG : cf. annexes. Avis du pédiatre : AINS + antalgie. Reconsultation si apparition d'une dyspnée ou de palpitations. ECG : superposable à l'ancien. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : tachycardie sinusale sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation. Radiographie thoracique. Gaz du sang artériel. Avis ORL : réalisation d'une rhinoscopie aux urgences non contributive. Intérêt de réaliser une bronchoscopie au bloc opératoire. Bronchoscopie : pas de trace de bol alimentaire, impaction de mucus, le reste est sans particularité. Poursuite de la Rocéphine de 5-7 jours. CAT : • Transfert bloc opératoire. • Projet de transfert à TAVEL post-salle de réveil si pas de contre-indication. ECG à recontrôler. ECG : absence d'arguments pour événement ischémique. Rx thorax : sans particularités. Troponines à 35 ng/l (H0) et 34 ng/l (H1). Hémoglobine glyquée : 5,4%. Aspirine cardio du 17.04.2019 au 18.04.2019. Depont patch en R. Irbesartan dès le 18.04.2019. Avis cardiologique, le 18.04.2019 (Dr. X). Angio-CT cardiaque, le 18.04.2019 : absence de sténose hémodynamiquement significative. Attitude : • Contrôle régulier des tensions artérielles chez le médecin traitant. • Optimisation du traitement antihypertenseur selon cibles tensionnelles usuelles. ECG. Antalgiques en réserve. ECG. Attitude : • Surveillance clinique. ECG aux urgences. Attitude : • Hospitalisation en médecine interne. • Continuer antibiothérapie avec floxapen 12 g/24 h IV et rifampicine PO. • Radiologue interventionnelle (Dr. X) et anesthésiste contactés pour organiser un drainage sous CT-guidé le 21.04.2019 à 9h30. • Avis infectiologique pour suite de prise en charge. ECG avec dérivations droites et postérieures : rythme sinusal régulier, axe 60°, ST biphasiques en dérivation III et aVF ainsi que en V4r, V5r et V6r avec ondes T négatives en V5r et V6r. Ondes T aigües en V2/V3/V4. Laboratoire : Trop 327 ng/l. Rx Thorax effectuée par médecin traitant (visible dans le PACS) : pas d'épanchement pleural, pas de signe d'œdème. Prasugrel 60 mg per os. Aspirine 500 mg IV. Avis cardiologique (Dr. X) : diagnostic de NSTEMI, prévue pour une coronographie le 09.04.2019. Proposition : traitement par Plavix 75 mg et ASS 100 mg. Attitude : • Hospitalisation au SIC. • Coronographie prévue pour le 09.04.2019. ECG, avec explication donnée par le médecin. Avis rhumatologie (Dr. X) : pas de prise de méthotrexate lundi prochain, puis rendez-vous en rhumatologie la semaine prochaine pour réévaluer le traitement. Attitude : • Retour à domicile avec anti-nauséeux. • Rendez-vous en rhumatologie la semaine prochaine. ECG, avec explication donnée par le médecin. Conseil d'usage. ECG, avec explication donnée par le médecin. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Suite chez le médecin traitant, voire avec une cardiologue si récidive. ECG, avec explication donnée par le médecin. Radiographie du thorax, avec explication donnée par le médecin. Retour à domicile avec antalgie et réassurance. Reconsulter chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Critères de reconsultation expliqués. ECG, avec explication donnée par le médecin : rythme sinusal régulier, sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation, superposable aux anciens. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Test de Schellong : négatif. • Retour à domicile. • Réassurance. • Conseil d'usage. ECG, avec explication donnée par le médecin. Sédiment urinaire, avec explication donnée par le médecin. Aux urgences : Adalat 20 mg p.o. Attitude : • explications données au patient concernant les mesures hygiène de vie (modification régime, déstresser). • retour à domicile avec Nebilet 5 mg 1x/j et Lisinopril 5 mg 1x/j. • consultation chez le médecin traitant le 16.04.2019 prévue. ECG Avis cardiologique Dr. X : bilan insuffisance cardiaque avec échographie ; Holter Introduction Metoprolol 25 mg ECG Avis cardiologique le 22.04.2019 (Dr. X) : réaliser le bilan d'insuffisance cardiaque avec échographie et Holter Introduction de Metoprolol 25 mg dès le 23.04.2019 Holter ECG de 24 heures du 23.04.2019 au 24.04.2019 ECG : BAV 1er degré Laboratoire CT cérébral et carotides injecté (transmission orale Dr. X) : sténose sub-occlusive (90 %) de l'artère vertébrale à droite peu après son origine. Occlusion du segment V2 de l'artère vertébrale à gauche et reprise en distal à V3. Hématome pariéto-occipital sous-cutané important. Pas de lésions intracrâniennes, pas de lésion des os du crâne ou du rachis. Aux urgences : Adalat 20 mg retard p.o. Désinfection de la plaie Rappel anti-tétanique Attitude : • Consilium neurovasculaire à demander ECG : BBG nouveau Gazométrie : hypoxémie Laboratoire : troponines à 538 ng/l, NT proBNP à 27'569 ng/l Avis cardiologique (Dr. X) : traitement conservateur Aspirine 250 mg iv Patch de Nitré ECG BNP 6889 ng/ml Lasix du 03.04.2019 au 04.04.2019 puis reprise par Torem 20 mg du 05.04.2019 au 18.04.2019 Lisinopril 2.5 mg dès le 04.04.2019-05.04.2019 Métolazone du 10.04.19 au 13.04.2019 Stop Aspirine le 11.04.2019 Poids sec : 70 kg Suivi du poids et adaptation des diurétiques ECG : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. ECG : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. Aspirine 500 mg, Plavix 600 mg, Héparine 5000 UI aux urgences. Transfert à l'HFR Fribourg en salle de coronarographie. Transfert en ambulance. ECG : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. Morphine 2 mg IV. Aspegic 500 mg IV à 12h. 1 push d'Isoket à 12h. Beloc Zok 25 mg à 12h15. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X. Avis du Dr. X, cardiologue. Introduction Beloc 25 mg. Aspirine cardio 100 mg. La patiente sera reconvoquée par le secrétariat du Dr. X. ECG : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. Radiographie du thorax face du 17.03.2019 : opacité basale D pouvant correspondre à un foyer de pneumonie avec épanchement pleural. Petite lame d'épanchement pleural à la base G. Diminution de la radio-transparence de l'hémi-plage supérieure D pouvant correspondre à un foyer de pneumonie. Lésion circulaire radio-opaque en arrière du bord G du cœur pouvant faire évoquer une volumineuse hernie hiatale. ECG : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Nexium 80 mg IV puis 8 mg/h. À jeun. SNJ. Contrôle laboratoire. Organiser une OGD par la suite. Avis du chef de clinique de garde aux soins continus de l'HFR Fribourg. Transfert à l'HFR Fribourg en ambulance. ECG : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. ECG comparatif médecin traitant : pas de fibrillation en 2013 Anticoagulation introduite pour embolie pulmonaire, à réévaluer pour la suite ECG Consilium de médecine interne 24.03.2019 (en annexe) Echocardiographie ETT 28.03.2019 (en annexe) ECG Holter le 28.03.2019 à la recherche d'épisodes de FA et, en fonction, de stopper éventuellement la cordarone (les résultats seront communiqués directement au médecin traitant). ECG : dans les limites de la norme ECG : dans les limites de la norme ECG de contrôle (29.03.2019) et (04.04.2019) : rythme sinusal RDV de contrôle (ECG, Holter) chez Dr. X (cardiologie, HFR Meyriez) le 16.05.2019 à 10h ECG : décrochage du QRS en V1, reste de l'ECG dans les limites de la norme (FR 100/min, rythme sinusal régulier, Axe 0-90°, pas de troubles de la conduction avec PR <220 ms, QRS <120 ms, QTc 320 ms, ST isoélectrique) ECG d'entrée : RSR à 67 bpm, onde P de 102 ms, intervalle PR de 170 ms, QRS fin avec axe horizontal, progression de l'onde R avec inversion en V3-V4, ondes T aplaties en V2-V3, QTc de 387 ms. ECG de sortie : RSR à 82 bpm, onde P de 124 ms, intervalle PR de 180 ms, QRS fin avec axe horizontal, progression de l'onde R avec inversion en V3-V4, QTc de 400 ms. Épreuve d'effort du 03.04.2019 : EE menée jusqu'à 200 W, puissance maximale physique et permettant d'obtenir une exploration de la réserve coronarienne de +/- 90 %. Cette épreuve largement sous-maximale est restée négative cliniquement, électriquement et rythmiquement. Bons paramètres de récupération. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 570 m, FC repos 70 bpm, FC fin 96 bpm, FC récup 75 bpm, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 635 m, FC repos 69 bpm, FC fin 103 bpm, FC récup 79 bpm, BORG 2/10. ECG d'entrée : RSR à 69 bpm, ondes P de 114 ms, BAV de 1er degré, intervalle PR de 238 ms, QRS fin avec axe normal, progression de l'onde R avec inversion en V2-V3, segment ST isoélectrique, QTc 419 ms. ECG de sortie : RSR à 67 min, ondes P de 112 ms, intervalle PR de 92 ms, QRS fin avec axe normal, progression de l'onde R avec inversion en V2-V3, segment ST isoélectrique, QTc 451 ms. Holter du 15.04.2019 : rythme sinusal de base avec une FC moyenne à 70 bpm (minimum 52 à 01h10 du matin, maximum 98 dans l'après-midi), pas de bloc ou trouble de conduction de haut degré, pas de pause. Nombre d'ESA à la limite de la normale (254), environ 10/h. Présence de 193 ESV (<10/h, physiologiques). Variabilité sinusale diurne dans la normale. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 325 m, FC repos 63 bpm, FC fin 84 bpm, FC récup 80 bpm, TA repos 138/69 mmHg, TA fin 177/81 mmHg, BORG 2/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 388 m, FC repos 63 bpm, FC fin 92 bpm, FC récup 79 bpm, TA repos 166/74 mmHg, TA fin 197/82 mmHg, BORG 2/10. Prélèvement rectal : absence d'entérocoques résistants à la Vancomycine. ECG d'entrée : RSR à 77 bpm, ondes P à 118 ms, BAV 1er degré avec intervalle PR à 210 ms, BBG, QRS élargi à 176 ms avec axe normal, intervalle ST isoélectrique, QTc à 443 ms. ECG de sortie : RSR à 66 bpm, ondes P à 110 ms, BAV 1er degré avec intervalle PR à 210 ms, BBG, QRS élargi à 180 ms avec axe normal, intervalle ST isoélectrique, QTc à 461 ms. ETT du 12.03.2019 : aspect de CMD (diamètre 66 mm). FEVG 25 %, FEVD 30 %, asynchronisme G, pas d'HTP. Ergospirométrie du 12.03.2019 : contexte d'un BBG non modifié pendant l'effort. Épreuve quasi maximale négative sur les plans clinique, rythmique et réserve coronaire. Vo2 au seuil 11.6 ml/kg/min. Vo2 plateau 17 ml/kg/min et Ve/VCO2 : 29. Classe B de Weber, à ré-explorer à distance. Tachycardie : augmentation de la posologie de b-bloquer. IRM cardiaque du 14.03.2019 : 1. VG modérément dilaté, présentant une dysfonction systolique sévère. 2. Pas de trouble net de la cinétique segmentaire sous réserve d'une évaluation très difficile en raison de la désynchronisation intraventriculaire très marquée (BBG). 3. Masse ventriculaire G sévèrement augmentée avec une épaisseur de paroi encore normale. 4. VD de taille normale et de fonction systolique conservée à la limite inférieure de la norme. 5. Les valves sont d'allure et fonction normales. 6. Pas de fibrose myocardique significative hormis une prise de contraste aspécifique au point d'insertion postérieur du VD sur le septum interventriculaire. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 475 m, FC repos 88 bpm, FC fin 111 bpm, FC récup 91 bpm, TA repos 112/83 mmHg, TA fin 139/87 mmHg, BORG 2/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 550 m, FC repos 64 bpm, FC fin 107 bpm, FC récup 82 bpm, TA repos 137/85 mmHg, TA fin 171/85 mmHg, BORG 2-3/10. ECG d'entrée : RSR, ondes P de 102 ms, intervalle PR de 154 ms, QRS fin avec axe normal, progression de l'onde R avec inversion en V2-V3, ondes T négatives en V2-V3, I, aVL, QTc à 427 ms selon Bazett. ECG de sortie : RSR, ondes P de 94 ms, intervalle PR de 158 ms, QRS fin avec axe normal, progression de l'onde R avec inversion en V2-V3, ondes T négatives en V2-V3, I, aVL, QTc à 436 ms selon Bazett. RX thorax du 08.04.2019 : status post sternotomie avec cerclages intacts. Épanchement pleural bilatéral avec hypoventilation bibasale. Ascension des coupoles diaphragmatiques de façon bilatérale. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 390 m, FC repos 105 bpm, FC fin 115 bpm, FC récup 115 bpm, TA repos 110/75 mmHg, TA fin 126/105 mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 485 m. ECG d'entrée : RSR, ondes P de 118 ms, intervalle PR de 174 ms, QRS fin avec axe normal, progression de l'onde R avec inversion en V3-V4, segment ST isoélectrique, ondes T négatives en V3-V5, I, aVL. ECG de sortie : RSR, ondes P de 116 ms, intervalle PR de 174 ms, QRS fin avec axe normal, progression de l'onde R avec inversion en V3-V4, segment ST isoélectrique, ondes T négatives en V3-V5, I, aVL. ETT du 04.04.2019 : hypertrophie VG relative avec composante ischémique antérieure et A-S, FEVG 48%. Akinésie apicale antérieure, AL et AS limitées. Fonction diastolique type II. Pas de thrombus intra-VG. Insuffisance mitrale légère sur défaut centro-valvulaire. Pas d'HTP. Péricarde sans particularité. Epreuve d'effort à la sortie : menée jusque + de 75% de la FCTM négative sur les plans clinique, électrique et rythmique. Réponse chronotrope pondérée s/s ß-bloqueur. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 665 m, FC repos 56 bpm, FC fin 96 bpm, FC récup 67 bpm, TA repos 106/58 mmHg, TA fin 133/66 mmHg, BORG 2/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 690 m, FC repos 61 bpm, FC fin 96 bpm, FC récup 74 bpm, TA repos 100/63 mmHg, TA fin 101/58 mmHg, BORG 2/10. ECG Dilzem 25 mg intraveineux en 3 minutes Dilzem 90 mg 2x/j CHAD2VASC 2 à 3 points HAS BLED à 2 points risque modéré Eliquis 5 mg 2x/j ECG du 05.04.2019 : RSR, axe gauche, FC 75 bpm, onde P négative en V1, QRS fin, ondes T négatives en D3. ECG du 05.04.2019 : rythme sinusal régulier, normocarde à 65/min, absence de bloc AV, QRS fin, normo-axé, absence de sus/sous-décalage du segment ST, absence de trouble de la repolarisation, inversion RS en V3. QTc à 381 ms selon ECG. CT-Scan thoraco-abdominal du 08.04.2019 : pas de dissection aortique, pas d'anévrisme, pas d'embolie pulmonaire, pas de signe d'infarcissement cardiaque. Étage abdominal dans la norme. ECG du 10.04.2019 : rythme sinusal régulier à 66/min, absence de bloc AV, QRS fin, pas de sus/sous-décalage du segment ST. Pas de trouble de la repolarisation. Inversion RS en V2/V3, QTc selon ECG à 387 ms. Labo du 10.04.2019 : troponines < 40 ng/l, CK-MB à 13 U/l, reste aligné. ECG du 11.03.2019 à 14h30 : cf. annexes. Pas de signe significatif d'ischémie active. ECG du 11.03.2019 à 15h au moment des douleurs à 10/10 : cf. annexes. Sous-décalage à I, aVL, V2. Radiographie du thorax en chambre : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Minime épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. ECG du 14.04.2019 : rythme sinusal régulier, normocarde à 78/min, absence de bloc AV. QRS fin, axe normal. Absence de sus/sous-élévation du segment ST, pas de trouble de la repolarisation. QTc selon ECG à 421 ms. Labo du 14.04.2019 : troponines < 40 ng/l, D-Dimères 120 ng/ml (< 500). ECG du 16.04.2019 : normocarde, régulier avec extrasystoles ventriculaires probablement monomorphes, QRS électro-entraînés et quelques QRS non-électroentrainés avec image connue de BBG (certains QRS superposables à ceux de 2017 lors d'un ECG non pacé, parlant en défaveur d'une polymorphie des extrasystoles ventriculaires. Analyse du pacemaker le 14.04.2019 • 1 épisode de TV : 1 d'une durée de 13 sec avec une fréquence moyenne à 207 bpm Echocardiographie du 14.04.2019 : • Dilatation importante du ventricule gauche d'origine idiopathique avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 20 % (méthode de Simpson). Diminution du débit cardiaque calculé à 3,04 l/min avec un index cardiaque à 1,35 l/min/m² (59% de la théorique). • Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. • Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). • Oreillette gauche très dilatée. • Dilatation modérée du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit très altérée. Dilatation modérée des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. • Absence d'épanchement péricardique. Coronarographie le 15.04.2019 : cardiopathie dilatée idiopathique. Artères coronaires athéromateuses avec une lésion non significative du tronc commun. FE du VG sévèrement diminuée. L'examen invasif du jour en urgence ne démontre pas une progression de la maladie coronarienne connue. Les coronaires sont athéromateuses sans lésion significative. On peut donc exclure une ischémie comme cause pour l'arythmie. Les pressions télé-diastoliques sont un peu élevées. ECG du 19.04.2019 : BBG connu Laboratoire du 19.04.2019 Troponines : • H0 : 18 ng/l • H1 : 20 ng/l • H3 : 22 ng/l Holter en ambulatoire le 06.05.2019 à 10h45. ECG du 22.03.2019 : fibrillation auriculaire ECG de contrôle du 23.03.2019 : rythme sinusal Pas de cardioversion réalisée, car FA non datable chez patient avec antécédent d'AIT. Rate contrôle avec introduction Digoxine le 22.03.2019 en plus du traitement bêta-bloquant. Début d'une anticoagulation par Xarelto. Consilium cardiologique du 23.03.2019 : • stop Digoxine, majoration bêta-bloquant selon tolérance tensionnelle • patient sera convoqué pour un Holter à 1 mois puis adaptation du traitement en fonction ECG du 30.03.19 : rythme sinusal, PR normal, pas de trouble de la repolarisation. Labo : pas de dysélectrolytémie. Bilan Ergo/Physio à effectuer. Schellong à effectuer. ECG du 31.03.19 (dossier papier) : tachycardie irrégulière à QRS fins, pas de P visibles, pas de troubles de la repolarisation. Anticoagulation par Xarelto dès le 01.04.19. Proposition de répéter l'ECG à distance de l'épisode infectieux. ECG du 31.03.2019 : FA normocarde à 92/min, QRS fins à 100 ms, axe normal à 25°, transition de l'onde R en V3, pas d'onde Q significative, ondes T négatives en V3-V6, I-II, aVF et aVL (connues), QTc 430 ms. RX thorax du 31.03.2019 : comparatif du 10.06.2018. Très discret émoussement du sinus costo-diaphragmatique à droite. Pas d'épanchement pleural gauche. Pas de pneumothorax. Pas de franc signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Pas de condensation pulmonaire en faveur d'un foyer. On retrouve un cathéter de dialyse avec extrémité distale en surprojection de l'oreillette droite. Pour le reste, l'examen est globalement superposable au comparatif. CT abdominal injecté le 31.03.2019 : vésicule biliaire lithiasique avec paroi difficilement analysable sur le CT en raison d'artéfacts de mouvement, une cholécystite ne peut être exclue à corréler à un ultrason. Suspicion d'un épaississement du caecum sous réserve d'une expansion sous-optimale de la lumière intestinale à corréler à une colonoscopie dd spasme, dd tumeur. US abdominal le 01.04.2019 : vésicule biliaire lithiasique, sans épaississement pariétal, associé à un Murphy positif. Angio CT abdominal le 04.04.2019 : défaut de rehaussement pariétal de la partie externe du caecum avec infiltration de la graisse en périphérie, compatible avec des signes d'ischémie dans ce contexte d'athéromatose mésentérique marquée (DD : infectieux ?). Majoration de la sténose du départ de l'artère mésentérique supérieure qui ne montre plus d'opacification de 15 mm mais une bonne opacification en aval avec athéromatose très marquée. Augmentation de l'épanchement pleural bilatéral. ECG dynamique : sous-décalage de V3-V6. Troponine H0 : 12 ng/l, H1 : 13 ng/l, H4 : 32 ng/l. Coronarographie le 25.04.2019 : resténose intra-stent RCX moyenne et distale avec PTCA et mise en place de deux stents actifs. ECG en ordre. Antalgie de premier pallier. Retour à domicile avec consignes de surveillance. ECG et monitoring aux urgences. Contrôle chez le médecin traitant avec ECG. ECG et surveillance rythmique de 16h. Laboratoire le 26.04.2019 : sans cinétique significatif. ETT aux urgences (Dr. X) : FEVG visuellement conservée, pas de dilatation du VD, fonction droite conservée, pas d'épanchement péricardique. Avis cardiologie (Dr. X). ETT aux urgences (Dr. X). ECG : FA normocarde. Hémibloc antérieur gauche. T négative en V1-V4. Laboratoire. U/S ciblé (Dr. X) : Hypokinésie apicale. Discrète épanchement péricardique. TT par les ambulanciers : 250 mg ASS. Avis cardiologique (Dr. X) : Recompensation puis coro à prévoir le lendemain. ATT : • Surveillance SICO en attente de coronarographie. ECG : FA normocarde. Hémibloc antérieur gauche. T négative en V1-V4. Coronarographie du 05.04.2019 : L'examen invasif du jour démontre une occlusion fonctionnelle de l'IVA au niveau de la bifurcation avec une grosse branche diagonale. Dysfonction VG systolique sévère. Comme discuté avec Mr. Y, angioplastie de l'IVA avec 2 stents actifs et un excellent résultat final. Au vu de l'anticoagulation orale, le choix du stent s'est porté sur une 4ème génération qui permet de diminuer la durée de la DAPT à 1 mois. ECG : FA normocarde. Hémibloc antérieur gauche. T négative en V1-V4. Radiographie du thorax du 04.04.2019 : Sous réserve d'un cliché réalisé en position couchée et en incidence antéro-postérieure, probable cardiomégalie avec flou péri-hilaire et redistribution vasculaire devant correspondre à une surcharge. Épanchements pleuraux bilatéraux. Spondylarthrose et tissus mous sans particularité. Coronarographie du 05.04.2019 : L'examen invasif du jour démontre une occlusion fonctionnelle de l'IVA au niveau de la bifurcation avec une grosse branche diagonale. Dysfonction VG systolique sévère. Comme discuté avec Mr. Y, angioplastie de l'IVA avec 2 stents actifs et un excellent résultat final. Au vu de l'anticoagulation orale, le choix du stent s'est porté sur une 4ème génération qui permet de diminuer la durée de la DAPT à 1 mois. Echocardiographie du 08.04.2019 : • Légère dilatation du ventricule gauche d'origine ischémique avec une dyskinésie de la paroi apicale, une akinésie de la paroi inférieure moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne, une hypokinésie sévère du septum moyen, de la paroi latérale moyenne, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi postérieure moyenne, une hypokinésie modérée de la paroi latéro-basale et une hypokinésie minime du septum basal, de la paroi antéro-basale, de la paroi septale antérieure basale et de la paroi postéro-basale. FEVG à 25 % (évaluation visuelle), FEVG à 25 % (Simpson biplane). • Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance aortique. • Épaississement léger des 2 feuillets mitraux. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale légère à modérée (grade 1-2/4). Dysfonction diastolique modérée (grade II). • Oreillette gauche modérément dilatée. • Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. HTAP avec PAPs au moins à 43 mmHg (évaluation du gradient VD/OD limité en raison d'une insuffisance tricuspidienne minime, Veina cave inf. compliante et non dilatée). Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. IP légère. • Minime épanchement péricardique. Ad : optimisation du traitement de l'insuffisance cardiaque avec BB, IEC et antagoniste du récepteur minéralocorticoïde. ECG : FC 70/MIN, rythmique, sinusal, QT 400 ms, PR 180 ms, pas d'ondes T négatives, pas de ST sous-levées, pas de troubles de la repolarisation. ECG : Fréquence cardiaque de 86/min, rythme sinusal régulier, axe entre 0-90°, pas de troubles de la conduction avec PR < 220 ms, QRS < 120 ms, QTC 417 ms, segment ST iso-électrique, pas de sous-décalage du PR. ECG : Fréquence cardiaque 60/min, rythme sinusal régulier, type indifférent, PR 160 msec, QRS fins, ST isoélectrique, onde T normale, pas de signe d'hypertrophie, QTC 360 msec. ECG Holter du 28.03.2019 (le rapport sera envoyé au médecin traitant). ECG : inchangé. Nitré en R. Amlodipine en R. Introduction Bêta-bloquant et Aldactone. Suivi tensionnel chez le médecin traitant. ECG initial : sp, à recrudescence des symptômes : sus-décalage en I et aVL, sous-décalage en III. Laboratoire. Rx du thorax demandée, n'a pas pu être effectuée aux urgences avant la coronarographie. Avis cardiologique (Dr. X) : Efient et liquémine, pas d'aspirine. Avis SI. Aux urgences : Nitroglycérine 0.8 mg caps, Morphine titrée i.v., Efient 60 mg p.o., Liquémine 5000 UI i.v. Attitude : ad coronarographie puis SI. ECG. Labo : Hb 45 g/l. Avis gastro-entérologie (Dr. X) : Faire la gastroscopie le lundi 15.04.19, Mr. Y à jeun dès dimanche soir, lisse et froid le 14.04.19. Poursuivre IPP iv à 8 mg/h. Pas besoin de faire une intervention en urgence si Mr. Y reste stable hémodynamiquement. Lui mettre les 2 CE. IMPORTANT : appeler le secrétariat d'endoscopie lundi matin pour confirmer la gastroscopie. commander du sang lundi 2 CE en réserve. Avis anesthésie de garde : attendre 72 h pour la clearance du Xarelto qui est supra-thérapeutique. Prévoir la gastroscopie le lundi 15.04.19 aux urgences : passage de 2 CE, contrôle de l'hémoglobine avant de le faire monter à l'étage. ECG. Labo. CT cérébral. Aux urgences : NIHSS à 4 à l'arrivée, début de la lyse avec dose standard à 14h40. Avis neurologie (Dr. X) : indication avec la lyse discutée avec Mr. Y, surveillance dans un lit monitoré aux soins, imagerie à 24h avec un IRM de préférence. Faire un bilan des facteurs de risque pendant l'hospitalisation. Si Mr. Y présente une péjoration, effectuer un CT en urgence. ECG. Labo NT ProBNP 26833. Gazométrie avant la VNI : PH 7.45 PCO2 4.0 PO2 32.5 lactate 3.9. Rx du thorax : cardiomégalie, épanchement pulmonaire droit. Aux urgences : Lasix 40 mg iv, 30 min de VNI, lactate veineux après la VNI. Suite de prise en charge aux soins. ECG. Labo. Temesta 1 mg aux urgences. Avis psychiatre de liaison (Dr. X) : au vu domicile à Yvonand, transfert en accord avec Mme. Y pour évaluation au CPNVD. ECG. Laboratoire. Avis psychiatre de liaison, (Dr. X) : au vu du domicile de Mme. Y à Yvonand, transfert en mode volontaire pour évaluation au CPNVD. ECG. Laboratoire. Gazo. Aux urgences : • Antalgie. • Sonde nasogastrique de décharge. CT abdominal (transmission orale Dr. X) : Iléus mécanique sur bride entre jéjunum distal/iléum proximal. Saute calibre en FID. Liquide libre autour. Pas de signes de perforation.Avis chirurgical (Dr. X): hospitalisation en chirurgie avec tentative de traitement conservateur à l'étage sur 24h ATT: Traitement conservateur avec hospitalisation en chirurgie pour 24h ECG Laboratoire Gazométrie artérielle CT thoracique le 22.04.2019 Antigènes urinaires (pour Pneumocoques et Légionelle) le 24.04.2019: absents 2 paires d'hémocultures le 23.04.2019 : en cours. Culture d'expectorations le 23.04.2019: Pasteurella multocida +++ Avis infectiologique (Dr. X), le 24.04.2019: Pneumonie à Pasteurella possible chez l'homme, germe colonisateur de la région buccale, thérapie par antibiotique (Co-amoxicilline adéquate) pour une durée usuelle. Antibiothérapie par Co-amoxicilline 2.2 g IV du 23.04.2019 au 26.04.2019 Elargissement du spectre antibiotique par Céfépime le 26.04.2019 en raison d'un pic fébrile sous antibiothérapie, jusqu'au 30.04.2019 (cf. Complication 1) Tavanic du 30.04 au 05.05.2019 ECG Laboratoire Radiographie du thorax Echocardiographie transthoracique le 18.04.2019 : hypokinésie globale modérée avec une fonction diminuée et une FEVG à 40 % (évaluation visuelle), possiblement sous-estimée dans un contexte de fibrillation auriculaire rapide Beloc 5 mg i.v. le 17.04.2019 puis 50 mg per os 1x/j et dès le 18.04.2019 50 mg 2x/j Cordarone 200 mg 3x/j dès le 18.04.2019 pendant 10 jours puis 200 mg 1x/j Escitalopram en suspens Suivi clinique et biologique chez Dr. X (cardiologue traitant) le 25.04.2019 à 08h00 ECG Laboratoire Radiographie lombaire du 16.03.2019 : pas de fracture US abdominal du 16.03.2019 : pas de globe vésical Consilium Neurologique (Dr. X) 18.03.2019 Réponse favorable après test d'épreuve le 21.03.2019 avec 125 mg de madopar, motivant l'introduction d'un traitement de fond Physiothérapie locomotrice Projet : en attente de transfert à l'UATO pour un double projet ECG le 02.04.2019 : rythme sinusal à 94 bpm, PR 128 ms, QRS fins à 80 ms et normoaxés à 60°, QTc 460 ms, ST isoélectriques, pas d'onde Q pathologique, bonne progression de l'onde R avec transition de l'onde en V3. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Troponine H0 6 ng/l, H1 5 ng/l. ECG le 06.04.2019: ondes T aplaties en précordiales Coronarographie le 08.04.2019 : L'examen démontre une maladie coronarienne bitronculaire avec une sténose subtotale de la deuxième diagonale et une sténose significative de la CX comme corrélat pour le SCA. Les deux sténoses sont dilatées et traitées avec un bon résultat (contrôle angiographique). La fonction systolique du VG est normale. ETT le 10.04.2019: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile globale préservée. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 11 mmHg. Insuffisance aortique minime. Absence d'insuffisance mitrale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique Bilan angiologique le 10.04.2019 : Duplex pli inguinal: AFC, AFS et AFP bien perméables avec bon flux bi-triphasique. Depuis la bifurcation fémorale, départ d'un track avec to-and-fro signal, d'environ 1.6 cm de longueur avec un grand pseudo-anévrisme partiellement thrombosé d'environ 3.5 x 2 cm. Intervention du 10.04.2019 (Dr. X, assistance Dr. X): Sous contrôle échoguidé, ponction directe de la chambre du pseudo-anévrisme, vérification du positionnement avec NaCl puis injection de 0.1 ml de thrombine. Occlusion partielle, avec encore une partie de la chambre distale perméable. Nouvelle ponction directe avec injection de 2 x 0.1 ml de thrombine. par la suite occlusion quasi complète mais encore discret flux dans track et dans chambre. Compression échoguidée 5 min puis occlusion du pseudo-anévrisme. Contrôle échographique 2h après injection de thrombine confirme l'occlusion du pseudo-anévrisme avec absence de flux dans son ancien track. Bonne perméabilité de l'AFC, AFS et AFP avec pouls tibial post palpé. ECG le 08.04.2019: rythme sinusal régulier, pas de trouble de conduction ni de repolarisation RX genou gauche le 08.04.2019: RX main droite le 08.04.2019: ECG le 08.04.2019 Suivi clinique ECG le 09.04.2019: sous-décalage de V4-V5-V6 et sus-décalage des dérivations latérales Troponines: H0 9 ng/l Dosage sérique de la digoxine : supra-thérapeutique à 1.2 nmol/l Mise en suspens de la Digoxine dès le 09.04.2019 ECG le 10.04.2019: disparitions des troubles Avis cardiologique (Dr. X) le 15.04.2019 Reprise de la Digoxine à dose adaptée 0.125 mg 5 x/semaine du 12.04.2019 au 15.04.2019 Cordarone 200 mg 3 x/j du 16.04 au 25.04.2019 puis 1 x/j Réévaluer contrôle du rythme à distance +/- cardioversion électrique au besoin ECG le 09.04.2019 RX bassin, hanches et thorax le 09.04.2019 RX bassin et hanches le 10.04.2019 RX bassin et hanches le 16.04.2019 ECG le 10.04.2019 RX thorax, bassin et hanches, genou G et D, fémur G le 10.04.2019 CT cérébral et de la colonne cervicale le 10.04.2019 RX fémur G et épaule D le 11.04.2019 ECG le 10.04.2019 Troponine le 10.04.2019 : 4 ng/l à 19.00, 4 ng/l à 21.00 CT thoracique le 10.04.2019 Suivi ambulatoire chez un cardiologue et un gastro-entérologue ECG le 15.03.2019 Adaptation du Torem (arrêt le 22.03.2019) Suivi clinique ECG le 15.03.2019 Suivi clinique ECG le 15.04.2019 : rythme sinusal à 71 bpm, PR à 160 ms, QRS fins et normoaxés, QTc 422 ms, ST isoélectriques dans toutes les dérivations, pas d'ondes Q pathologiques, bonne progression de l'onde R avec transition en V4. Cf. annexes. Bilan biologique : cf. annexes. Avec cinétique des troponines H0 7 ng/L, H1 7 ng/L. ECG le 15.04.2019: rythme sinusal à 61 bpm, PR 180 ms, QRS fins et normoaxés (0°), QTc 394 ms, ST isoélectriques dans toutes les dérivations, bonne progression de l'onde R dans les précordiales avec transition en V4. Cf. annexes. ECG le 16.04: rythme sinusal ETT le 18.04.2019 Holter demandé ECG le 16.04.2019 : rythme sinusal, à 63 bpm, QRS fins et normoaxés, QTc 433 ms, ST isoélectriques dans toutes les dérivations, bonne progression de l'onde R avec transition en V3. Cf. annexes. ECG le 16.04.2019: rythme sinusal avec extrasystolie ventriculaire (bigeminie), block AV I (PQ 202 ms), déviation de l'axe QRS à gauche, QRS fin, manque de progression de l'onde R V1-V3. ECG le 16.04.2019: RR 825 ms, P 136 ms, PQ 202 ms, QRS 112 ms, QTc 536 ms Surveillance journalière ECG le 18.04.2019: RR 690 ms, P 132 ms, PQ 208 ms, QRS 114 ms, QTc 523 ms Avis cardiologie HFR Fribourg le 18.04.2019: pas d'indication pour un Pacemaker chez le patient asymptomatique ECG le 18.04.2019: sinusal, axe gauche, T négatif II, III, AVF, V3-V6 RX Thoracique le 18.04.2019: silhouette cardio-médiastinale élargie, vraisemblablement liée à la position couchée. Pas d'arguments pour une décompensation cardiaque. Proéminence des ganglions hilaires bilatéraux. Opacités diffuses périhilaires droites, DD foyers de pneumonie/aspiration. Pas d'épanchement pleural significatif. VVC jugulaire droite se terminant en projection de la veine cave supérieure. Sonde naso-gastrique, dont la pointe est située dans l'espace infra-diaphragmatique, sans que cette dernière ne puisse être visualisée. Cadre osseux sans particularité ECG, le 18.04.2019: superposable à l'ECG de 2012. Laboratoire: Troponine avec cinétique vers la baisse Radiographie du Thorax, le 18.04.2019: examen dans la norme Echocardiographie aux Urgences par cardiologue (Dr. X): pas d'épanchement cardiaque. Coronarographie le 18.04.2019 (Dr. X) Hospitalisation sur lit monitoré cardiologie ECG le 19.02.2019: FC 60/min, rythme sinusal, axe vers 80, QRS 90 ms, hypertrophie gauche, transition retardée V4, PR 200 ms, QTc 500,s ECG le 23.03.2019: rythme sinusal régulier 65/min, bloc AV Ier degré, QRS limites de la norme avec axe 90°, ST isoelectrique, ondes T concordantes. QTc 520 ms Adaptation des thérapies ECG le 21.03.2019: sans particularités Suivi biologique Augmentation des apports hydriques Suivi biologique avec correction des valeurs ECG le 23.03.2019: rythme sinusal à 86 bpm. QRS allongés à 200 ms avec aspect de bloc de branche droit complet. Axe QRS à 60°. QTc allongé à 500 ms. CT abdominal le 23.03.2019: hépatomégalie avec foie d'apparence inhomogène et présence de lésions multiples. Amas ganglionnaire paraaortique et rétropéritonéale ainsi qu'une infiltration de la graisse mésentérique. RX Thorax ECG le 26.02.2019: rythme sinusal à 77 bpm, PR 144 ms, QRS fins avec un axe à -11°, QTc 407 ms, ST isoélectriques sans signe d'ischémie active, bonne progression de l'onde R avec transition en V2. Laboratoire: cf annexes. ECG le 26.04.2019: cf. annexes. Rythme sinusal à 92 bpm, PR 150 ms, QRS fins à 80 ms, normoaxés à 60°, ST isoélectriques dans toutes les dérivations, pas d'onde Q pathologique, QTc 438 ms, bonne progression de l'onde R dans les précordiales avec transition en V3. Radiographie du thorax face: silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. L'examen est superposable au comparatif du 16.04.2019, notamment sans récidive notable du pneumothorax apical gauche. (Dr. X). ECG le 27.02.2019: cf. annexes. Rythme sinusal à 98 bpm, PR 148 ms, QRS fins et normoaxés, QTc 472 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V4, ST isoélectriques sans signe d'ischémie active, T négatifs isolés en V1 et en aVR. ECG le 28.02.2019: cf. annexes. Rythme sinusal à 93 bpm, PR 158 ms, QRS fins et normoaxés, QTc à 468 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V4, ST isoélectriques sans signe d'ischémie active, T négatif en V1 et V2. ECG le 27.04.2019: rythme sinusal, régulier, pas de trouble de la conduction ni de la repolarisation RX thorax le 27.04.2019: silhouette cardiaque dans la norme, pas d'épanchement, pas de foyer Coronarographie le 27.04.2019: Cet examen montre une maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et coronaire droite) avec comme lésion coupable une sténose focale subtotale de l'artère coronaire droite moyenne, traitée par PCI/1 DES avec un bon résultat final. Je propose une ergométrie à 3 mois: si elle est positive, ou si le patient présente un angor résiduel dans l'intervalle, recoronarographie dans l'idée de traiter les sténoses limites de l'IVA. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, statine, BB, reste du traitement inchangé. ECG le 29.04.2019: cf. annexes. Rythme sinusal à 65 bpm, QRS fins à 94 ms, normoaxés à 0°, ST isoélectriques dans toutes les dérivations, pas d'onde Q pathologique, bonne progression de l'onde R avec transition en V5, QTc 415 ms. ECG le 8.04.2019: bradycardie sinusale Avis Dr. X du 10.04.2019: • diminution du Beloc Zok • le patient sera reconvoqué pour discuter de la suite du traitement. ECG lors des douleurs: modification ECG superposable aux modifications en 10/2018 ECG lors de la disparition des douleurs: ECG normal Troponine H0: 12 ng/l, H1: 13 ng/l, H4: 32 ng/l Observation aux urgences car soins intensifs presque pleins Pas de récidives de douleurs sur la nuit Avis cardiologique le 25.04.2019 (Dr. X) Coronarographie le 25.04.2019 ECG Monitoring Transfusion ECG normal: RRS à 62/min, QRS fins normoaxés (120°) avec bonne progression de l'onde R (V3-V4), intervalle PR régulier et non allongé, pas de décalage du ST, onde T négative en V1 et V2 physiologique, QTc (Framingham) à 302 ms non allongé. ECG normal. Amélioration après Pantozol 40 mg et Alucol gel. ECG: normal. Laboratoire: chimie avec bilan hépato-pancréatique et FSS normaux (leucocytes 10.9 G/l). ECG: pas de signes d'ischémie Laboratoire: tests hépato-pancréatiques dans les normes, Lc 13.8 G/l, CRP <5 mg/l Sédiment urinaire: pas d'infection, pas de sang CT abdominal: cholécystite, pas de dilatation des voies biliaires, pas de signes d'ischémie, pas d'iléus. Avis chirurgie (Dr. X): début inconnu, débuter traitement antibiotique et opération dans un second temps à priori, sera discuté au colloque. Rocéphine 2 g iv et Flagyl 500 mg iv aux urgences Hospitalisation ECG pas de sus décalage Labo trop H0 27 H1 25 Avis cardiologie Dr. X: coronarographie suite de prise en charge aux soins ECG: QTc à 416 ms ECG (réalisé à Riaz): régulier, rythme sinusal régulier, FC à 90/min, QTc 470 ms, pas de ST soulevées, pas d'ondes T négatives ECG Remplissage ECG: résolution du BBG Labo: Trop H0 31 ng/l, H1 33 ng/l, CRP 72 mg/l, Lc 9.4 G/l, NT proBNP: 755 ng/l Urine: propres RX thorax: probable foyer basal droit CT cérébral natif et colonne cervicale: pas de saignement, pas de fracture. ECG. Résonium 15 g le 25.03.2019. Aldactone en suspens. Suivi biologique. ECG: rythme sinusal, rythmique, QRS fin, pas de ST soulevées, pas d'ondes T négatives, PR<220 msec Test de Shellong négatif ECG: RSR à 59/min. PR à 160 msec, régulier. QRS à 90 msec, axe à 20°, transition de l'onde R en V3. Pas d'onde Q ni pathologique ni troubles de la repolarisation. QTc à 412 msec. Bilan biologique: Lc 9.7, CRP <5, Hb 142, Tbc 213, Na 137, K 3.7, Cr 64 ECG: RSR à 83/min, PR régulier à 200 msec, isoélectrique. QRS 80 msec, axe à 80°, transition de l'onde R en V4. Pas d'onde Q pathologique ni troubles de la repolarisation. QTc à 433. Bilan biologique: Lc 9.9, CRP <5, Tbc 309, Na 136, K 3.7, Cr 56 RX thorax: silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. (Dr. X) ECG: RSR, axe correct. Intervalles corrects. Pas de trouble de la repolarisation. Radiographie du thorax. Critères PERC: négatif. Réassurance. Traitement symptomatique. Critères de reconsultation médicale expliqués à la patiente. ECG: RSR, hémibloc antérieur gauche, pas de troubles de la repolarisation. Laboratoire: aligné Radio-thorax Test de Schellong le 25.03.2019: Nég. MMS 25/30 le 26.03.2019 Vitamine D: 45 B12: 241 Folate > 20 TSH: 2.14 ATT: Réadaptation gériatrique prévue à Meyriez ECG: RSR (rythme sinusal régulier), axe correct. Pas de troubles de repolarisation. Intervalles corrects. Laboratoire • Réassurance • Explications données à la patiente sur la manière de prévenir les épisodes vaso-vagaux • Critères de reconsultation médicale expliqués à la patiente ECG RX du thorax Labo aux urgences: 60 mg d'Efient PO, 5000 UI de Liquémine, 2 mg de morphine iv ECG: rythme régulier sinusal à 90 bpm Troponines négatives < 40 ng/l ECG: rythme sinusal, normocarde à 78 bpm, PR 120 ms, QRS fins à 100 ms, normoaxés à 60°, QTc 423 ms, ST isoélectriques dans toutes les dérivations, pas d'onde Q pathologique, bonne progression de l'onde R avec transition en V3. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du thorax face/profil du 08.04.2019: thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de pneumothorax. (Dr. X) ECG: rythme sinusal normocarde, PR 160 ms, QRS fins d'axe -5°, pas d'ondes Q pathologiques, segment ST isoélectrique, ondes T concordantes dans toutes les dérivations, QTc 437 ms, pas d'ondes U pathologiques. RX Thoracique: pas de pneumothorax, pas d'épanchement, pas de foyer, pas de fracture Thérapie symptomatique ECG: rythme sinusal régulier à 53/minute, axes gauche, pas de bloc atrio-ventriculaire, pas de troubles de la repolarisation, pas de sus/sous décalage ST.Laboratoire: Trop 12 ng/l Coronarographie le 25.04.2018 (Dr. X): sténose de novo l'IVA proximale et IVA moyenne (PTCA/2 DES) avec bon résultat final ECG: rythme sinusal régulier à 80 bpm, PR à 195 ms, QRS dans la norme avec un axe à -40°, QTc à … ms, bonne progression de l'onde R avec une transition tardive en V5, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. Laboratoire: Hyponatrémie à 120 mmol/L, hypoosmolaire à 221 mosmol/kg, pas de CRP, pas de leucocytes, Hb à 120 g/l. Sédiment urinaire: propre. Spot urinaire: osmolarité urinaire à 254, Na urinaire à 41, Créatinine urinaire 3.7. ECG: rythme sinusal régulier à 89/min, axe normal à 75°, PQ à 154 ms, QRS fins à 104 ms, QTc à 449 ms, pas d'onde Q pathologique, segment ST sous-décalé en I, II, aVF, V4-V6, onde T plate en I, négative et concordante en aVL, V2, biphasique V3-V4, transition de l'onde R en V3. Laboratoire: cf annexes. ECG: rythme sinusal régulier à 94/min. PR dans la norme, régulier. QRS fin avec axe normal. Pas d'onde Q pathologique avec absence de troubles de la repolarisation significative. QTc à 433 msec (superposable au comparatif). ECG: rythme sinusal régulier avec bradycardie à 44 bpm Aux urgences: • 1 ampoule de calcium-gluconate • 10 UI Actrapid dans 200 mL de G20% Contrôle de la kaliémie après protocole insuline-glucose: K+ à 5.3 mmol/l Attitude: ECG: rythme sinusal régulier, axe gauche, sous-décalage ST en V3, V4, V5, V6. Laboratoire: Trop H0 73 ng/l, Trop H1 80 ng/l Traitement par médecin traitant: 500 mg Aspegic per os, Beloc Zok per os Nitrocaps 2 cpr Paracétamol 1 g iv Efient 60 mg per os Heparine 5000 U iv Magnesium 2 g iv US ciblé aorte (Dr. X): aorte ascendante proximale avec diamètre mesuré à 4 cm, aorte abdominale non dilatée. Avis cardiologique (Dr. X): indication à coronarographie. Att: • Coronarographie le 25.04.2019 ECG: rythme sinusal régulier, axe gauche, sous-décalage ST en V3, V4, V5, V6. US ciblé aorte (Dr. X): aorte ascendante proximale avec diamètre mesuré à 4 cm, aorte abdominale non dilatée. CT Scan le 25.04.2019: Épaississement des septa interlobulaires bi-apicales évoquant une surcharge cardiaque. Pas de dissection aortique. Saignement actif de la partie distale de l'artère iliaque externe droite entourée par un important hématome rétropéritonéal remontant au hile rénal et descendant dans le petit bassin. Coronarographie le 25.04.2019: l'examen invasif en urgence démontre comme corrélat pour le NSTEMI une subocclusive de la circonflexe moyenne avec hypokinésie antérolatérale, FEVG 55%. Dilatation avec mise en place d'un stent actif RCX moyenne actif avec bon résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 12 mois, reste du traitement inchangé. ECG: rythme sinusal régulier, normocarde à 58 bpm, axe à 63°, PR 130 ms, QRS fins à 82 ms, transition de l'onde R précoce en V2-V3, segment ST isoélectrique, onde T négative non-concordante en III, concordante en V1, présence d'une onde U, QTc 371 ms. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. ECG: rythme sinusal régulier, normocarde à 67 bpm, axe gauche à -39°, QRS fins à 110 ms, transition de l'onde R retardée en V6, segment ST isoélectrique, QTc à 464 ms. CT-scanner injecté le 03.04.2019: En phase native, pas d'hémorragie intra ou extra-axiale ni effet de masse ni déviation de la ligne médiane. Discrète atrophie cortico-sous-corticale en lien avec l'âge de la patiente. Pas d'hypodensité ni de différenciation cortico-sous-corticale. En phase artérielle, on note une athéromatose calcifiée de la crosse aortique et des troncs supra-aortiques prédominant au niveau de la bifurcation carotidienne gauche et des siphons carotidiens des deux côtés sans sténose significative. Pas d'occlusion ni sténose des vaisseaux intracrâniens. Pas d'anévrisme. En phase veineuse, pas de prise de contraste suspecte intraparenchymateuse ou méningée. Sinus duraux et veines cérébrales internes perméables. À noter une hypodensité mal délimitée du lobe thyroïdien droit. Multiples ganglions cervicaux dans pratiquement toutes les aires ganglionnaires ddc, sans adénopathie visualisée. Ganglions péri-parotidiens. La filière pharyngo-laryngée est difficilement analysable en raison d'artéfacts devant être engendrés par la déglutition de la patiente. CONCLUSION: Pas d'AVC ischémique constitué ou hémorragique. Goitre thyroïdien, à corréler à un avis endocrinologique spécialisé selon besoin. CT-scanner natif 08.04.2019: Pas de lésion hémorragique. Pas d'autre anomalie. IRM du 05.04.2019: Deux lésions ischémiques en restriction de la diffusion et hyper signal FLAIR: au niveau cérébelleux gauche évoquant des lésions ischémiques dépassant les 3 h. Anomalie veineuse de développement cérébelleuse gauche. ETO du 08/04/2019: Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65% (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique homogène peu importante. Aorte non dilatée, présentant un athérome avec des plaques de plus de 4 mm d'épaisseur. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance aortique minime. Excès tissulaire du feuillet mitral postérieur. Restriction de mouvement du feuillet mitral postérieur. Rétrécissement mitral lâche. Gradient moyen OG-VG à 4 mmHg. Insuffisance mitrale minime. Oreillette gauche très dilatée, sans thrombus visible. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Foramen ovale perméable avec un shunt modéré gauche-droit. Anévrysme du septum interauriculaire. ECG: rythme sinusal régulier, normocarde à 85 bpm, axe normal à 54°, QRS fins à 78 ms, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R en V4, QTc à 417 ms. ECG: rythme sinusal régulier normocarde. Extrasystolie supraventriculaire. BBD incomplet connu. Ondes P irrégulières sur le premier tracé, DD BSA 2 intermittent. Laboratoire CT cérébrale (Dr. X): Petit hématome sous-galéal pariétal postérieur paramédian droit, sans fracture mise en évidence. Pas de saignement intracrânien. Le reste de l'examen est superposable au précédent ATT: • Hospitalisation • Holter et ETT (souffle nouveau) à prévoir ECG: rythme sinusal régulier, PR à moins de 200 ms, QRS fin, pas de sus/sous-décalage de ST. Radiographie du thorax face/profil du 26.02.2019: silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisé. (Dr. X) ECG: rythme sinusal régulier, troubles de la repolarisation avec sous-décalage du segment ST en inféro-latéral (connus sur ECG antérieur). Examen fait aux urgences expliqué à la patiente par le médecin. ECG: rythme sinusal 58/min, BAV 1er degré, QRS fins avec axe -15°, progression QRS retardée en V6, segment ST normal, ondes 5 concordantes avec le QRS, pas d'onde U. Augmentation perindopril 4 mg 1x/j Contrôle quotidien tension artérielle et rendez-vous chez médecin traitant. ECG: rythme sinusal normocarde, BAV de 1er degré, QRS fins, pas de sus- ou sous-décalage du segment ST. Test de Schellong le 28.03.2019: négatif ATT: Revoir investigations des vertiges ECG sous-décalage de V4-V5-V6 et sus-décalage des dérivations latérales Trop H0 9 Dosage de la digoxine : 1.2 Mise en pause de la dose du 10.04.19 ECG Stop dilzem au vu du traitement de bétabloquant.Majoration Beloc Attitude : • en cas de stabilisation clinique, une fois les 3 mois d'anticoagulation pour l'embolie pulmonaire terminés, diminuer le traitement d'Eliquis à 2.5 mg 2x/j ECG superposable. Labo H0 7 H1 7. Retour à domicile avec réassurance. ECG : superposable Labo Gazométrie artérielle : alcalose respiratoire, lactate 2.3 mmol/l Rx thorax CT cérébral et abdominal : pas de saignement intra-crânien, pas de fracture, anévrismes iliaques, pas de rupture, endofuite Arrêt des traitements potentiellement confusionnels, à reprendre dès l'amélioration du patient, merci de revoir le traitement habituel du patient avec son médecin traitant. ECG : superposable Radio du thorax Troponines sans cinétique ECG Surveillance clinique ECG : T inversée en III Labo : Trop H0 5 mg/l, H1 6 ng/l Urines : dès que possible FAST négatif CT cou, thoracique et abdominal supérieur : (rapport provisoire Dr. X) : contusion pulmonaire droite, fine lame de pneumothorax D, emphysème sous-cutané remontant jusqu'à l'aisselle droite, emphysème sous-pleural gauche, pas d'épanchement péricardique, Aorte et tronc pulmonaire sp, rate, reins et pancréas sp, pas d'emphysème au niveau du cou. Avis chirurgical (Dr. X) : pneumothorax millimétrique, pas de nécessité de drain, hospitalisation en chirurgie pour surveillance et suivi radiologique (radio du thorax) à 24h, clexane 40 mg. Rappel anti-tétanique aux urgences Hospitalisation en chirurgie pour surveillance ECG : tachycardie sinusale à 110 bpm Troponines négatives Glycémie : 7 mmol/l, créat 69 ml/min, Na : 139 mmol/l, K : 3.8 mmol/l ASAT : 116, ALAT 93, PAL 80, GGT : 761, bilirubine totales : 34.5, bilirubines directes 10.6 CRP < 5, Lc : 7.5, Hb : 169, plaquettes 247. ECG : tachycardie sinusale Laboratoire Gazométrie artérielle Aux urgences : Pantozol i.v. 80 mg bolus puis 8 mg/h iv continue Konakion 10 mg i.v. NaCl 0.9 % 1500 ml i.v. Paracétamol 1 g i.v. Avis gastro-entérologique (Dr. X) : ad OGD demain après-midi Avis soins intensifs (Dr. X) : pas de critère pour hospitalisation aux soins intensifs 1CE irradié commandé (prêt si nécessaire) Attitude : • OGD à annoncer le 30.04.2019 au matin • Laboratoire de contrôle le 30.04.2019 • À jeûn ECG : tachycardie sinusale Laboratoire Gazométrie artérielle Aux urgences : Pantozol i.v. 80 mg bolus puis 8 mg/h iv continue Konakion 10 mg i.v. NaCl 0.9 % 1500 ml i.v. Paracétamol 1 g i.v. Avis gastro-entérologique (Dr. X) : ad OGD le 30.04.2019 Avis soins intensifs (Dr. X) : pas de critère pour hospitalisation aux soins intensifs OGD le 30.04.2019 (Dr. X) : oesophagite de reflux sévère : Ad IPP 40 mg 2x/J et gastroscopie de contrôle dans 1 mois. ECG Temesta 1 mg avec bon effet Attitude : • Retour à domicile avec 3 comprimés de Temesta 1 mg en réserve en cas de crise d'angoisse. • Suivi chez le psychiatre traitant. Explications données à Mme. Y par le médecin. ECG 02.03.2019 CT-scan thoracique 02.03.2019 : sous réserve d'un examen de qualité sous-optimale, pas d'embolie pulmonaire centrale ou segmentaire. Des petites embolies sous-segmentaires ne sont pas totalement exclues. Quelques atélectasies des pyramides basales à prédominance D, sans qu'une surinfection ne soit exclue. Discret épaississement des septa interlobulaires prédominant aux apex, pouvant parler pour une discrète surcharge cardiaque ou hydrique, à confronter à la clinique. Pas d'épanchements. Rx colonne lombaire postOP 05.03.2019 ECG 02.03.2019 Rx bassin et hanches le 02.03.2019 Rx thorax le 02.03.2019 CT bassin le 02.03.2019 Rx fémur D le 02.03.2019 Rx thorax le 03.03.2019 Rx thorax le 07.03.2019 Rx bassin et hanches le 11.03.2019 Rx fémur D le 11.03.2019 Rx thorax le 25.03.2019 ECG 04.02.2019 Rx bassin, hanche D et G 04.02.2019 CT bassin 04.02.2019 ECG 05.02.2019 Rx jambe G 05.02.2019 CT jambe G 05.02.2019 ECG 05.02.2019 Angio-CT MIG 07.02.2019 Rx jambe G 20.02.2019 ECG 05.03.2019 Rx fémur G, bassin et hanche G ax. 05.03.2019 Rx thorax 05.03.2019 CT bassin 05.03.2019 Rx fémur G, bassin et hanche G ax. postOP 08.03.2019 ECG 05.04.19 : fibrillation auriculaire avec QRS fins, pas de troubles de la repolarisation, image de bloc de branche gauche ECG 05.04.19 : fibrillation auriculaire avec QRS fins, pas de troubles de la repolarisation, image de bloc de branche gauche Palliative Basic Assessment ESAS : Barthel Index : Palliative Performance Scale : 50 % Advanced Care Planning - ECG (06.04.19 et 08.04.19) : rythme sinusal régulier à 80 bpm, pas de déviation axiale, bloc de branche droit, ondes T inversées de V1 à V4, pas de signe ischémique. Radiographie du thorax du 06.04.2019 : On retrouve une volumineuse cardiomégalie. Calcifications du bouton aortique. Emoussement des sinus costo-diaphragmatiques en probable rapport avec des épanchements pleuraux de faible abondance ddc. Apparition d'opacités alvéolaires dans l'hémi-thorax supérieur droit ainsi qu'au niveau basal gauche en rapport avec des foyers infectieux. Cadre osseux et parties molles extra-thoraciques sans particularité. Radiographie du thorax du 08.04.2019 : Par rapport au comparatif, légère diminution de l'opacité en projection de la plage pulmonaire supérieure droite. En revanche, apparition d'opacités suspectes d'origine infectieuse dans la région péri-hilaire droite ainsi qu'en supra hilaire gauche. Diminution de l'épanchement pleural gauche. Reste du statut superposable. ECG 06.04.2019 CT total body 06.04.2019 Rx épaule G 06.04.2019 Rx bassin, hanches 06.04.2019 ECG 08.04.2019 Rx bassin f, hanche D ax. 08.04.2019 Rx thorax 08.04.2019 Rx colonne lombaire 08.04.2019 Rx bassin f, hanche D ax. postOP 10.04.2019 ECG 10.03.2019 Rx bassin f, hanche G 10.03.2019 Rx thorax 12.03.2019 Rx bassin f, hanche G ax. postOP 15.03.2019 US abdomen supérieur 16.03.2019 ECG 12 D : cf. annexes. RSR 87/min, PR 134 ms, QRS fins normoaxés, pas de troubles de repolarisation, QTc 419 ms. Traitement symptomatique par paracétamol et Makatussin. Radiographie du thorax face/profil : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Émoussement modéré para-cardiaque de la trame bronchovasculaire. (Dr. X). ECG 15.04.2019 Rx bassin f, hanche G 15.04.2019 Rx colonne lombaire 15.04.2019 Rx bassin f, hanche G ax. postOP 16.04.2017 ECG 17.03.2019 Rx bassin f, hanche D ax. 17.03.2019 Rx bassin f, hanche D ax. postOP 18.03.2019 ECG 19.03.2019 Rx bassin f, hanche D ax., genou D, thorax f le 19.03.2019 CT hanche/fémur D 19.03.2019 Rx bassin f, hanche D ax. postOP 22.03.2019 ECG 19.04.2019 Rx bassin f, hanche D ax. 19.04.2019 Rx thorax 19.04.2019 Rx pied D 23.04.2019 Rx bassin f, hanche D ax. postOP 23.04.2019 ECG (20.04.19) : rythme électro-entrainé, BBG sans changement RX thorax (20.04.19) : pas de signe d'insuffisance cardiaque ECG 20.04.2019 sinusal, axe gauche, sus décalage minime II, III, AVF, sous décalage AVL V1-V6 ECG 20.04.2019 sinusal, axe normal, T négatif V5/V6, AVL Coronarographie le 20.04.2019 : l'examen invasif du jour démontre une subocclusion d'une trifurcation marginale/RCx avec revascularisation quasi-complète (TIMI 2) à la suite des médicaments administrés par le SMUR. La fonction VG systolique est légèrement diminuée. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 48 %. Succès d'angioplastie de l'artère circonflexe proximale avec implantation de 1 stent actif avec bon résultat final Rx Thorax le 20.04.2019 ECG 21.03.2019 Rx avant-bras D 21.03.2019 Rx thorax 21.03.2019 CT coude D 21.03.2019 Rx avant-bras et coude D postOP 21.03.2019 ECG 22.03.2019 Rx colonne cervicale 22.03.2019 CT colonne cervicale 22.03.2019 Rx thorax 22.03.2019 Rx poignet G 22.03.2019 Rx Dig II, III et IV G 22.03.2019 Rx main G postOP 23.03.2019 Rx Dig II G 25.03 et 26.03.2019 ECG 26.03 : rythme sinusal régulier, pas de BAV, pas de troubles de la repolarisation, BBD completECG Angio-CT du 13.04.2019 : pas d'embolie pulmonaire, pas d'infiltrat, calculs visualisés dans la vésicule biliaire. Ultrason abdominal le 13.04.2010 : lithiases vésiculaires sans signe de cholécystite. Pas de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Antibiothérapie par Ceftriaxone et Metronidazole du 13.04.2019 jusqu'à l'opération. ERCP avec extraction de sludge et papillotomie le 14.04.2019 Cholécystectomie prévue le 18.04.2019 (Dr. X) ECG. Antalgie. ECG attitude : • pas d'anticoagulation au vu du contexte général actuellement • contrôle de la fréquence en cas de FA tachycarde persistante ECG Aux urgences : • KCl effervette x1 ECG Aux urgences : • Test à l'Adénosine : Rythme de base : Rythme sinusal. Récurrence de la tachycardie après qq secondes • Diltiazem 18mg i.v. : sans effet ATT : • Discuté avec la famille : Essai thérapeutique avec Diltiazem po. Si Diltiazem sans effet : pas de cardioversion, pas d'intervention • Diltiazem 90mg 2x/jour ECG. Aux urgences : 5 morphine iv, paracétamol 1 g iv, Adalat 20 mg retard. Laboratoire. Sédiment. US ciblé Dr. X : pas de liquide libre entre le rein droit et le foie, pas de liquide entre le rein gauche et la rate, pas de dilatation pyélo-calicielle, pas de dilatation de la veine cave, pas de dilatation du cholédoque, pas de liquide libre au niveau de la vessie, gaz dans le côlon, pas de dilatation des anses intestinales. Retour à domicile avec contrôle biologique et clinique le 05.04.19. Organiser un CT avec Temesta car Mme. Y est anxieuse le 05.04.19 si péjoration des douleurs ou syndrome inflammatoire. ECG. Avis Dr. X, chirurgien. CT scan cérébro-cervical. ECG Beloc Zok dès le 05.04.2019 Eliquis 2.5 mg 2x/j dès le 08.04.2019 Attitude : • Surveillance fréquence cardiaque en central et adaptation du traitement ralentisseur ECG. Bilan biologique. Colonoscopie de dépistage le 28.03.2019, Dr. X : ablation de polypes qui sont envoyés en histopathologie. Xarelto en pause depuis le 24.03.2018, repris le 31.03.2019. ECG Bilan Cardiologique ECG. Cardioversion par Diltiazem 12.5 mg aux urgences. Surveillance rythmique. ECG CT cérébral, colonne et bassin (transmission orale, Dr. X) : Pas de fracture, pas d'hémorragie intracérébrale. Lésion séquellaire ischémique occipitale droite. ATT : • Bilan de chute à prévoir ECG. CT scan cérébral le 03.04.2019. Nifédipine 20 mg retard le 03.04.2019. Amlodipine 5 mg le 03.04.2019. Isoket push le 03.04.2019 Avis Dr. X, ophtalmologue de garde : • Floxal, collyre avec consultation ophtalmologique le 04.04.2019. ECG CT thoracique : pas d'embolie pulmonaire Beloc 5 mg iv Beloc 25 mg / j à réévaluer ECG. Diltiazem iv puis per os. ECG Diltiazem 90mg 2x/jour ECG Echocardiographie transthoracique le 13.04.2019 Coronarographie le 13.04.2019 (Dr. X) : dilatation/implantation 2 stents actifs (artère bissectrice et IVA moyenne) Aspirine à vie et Clopidogrel pour 12 mois Ergométrie de contrôle à prévoir dans 6 mois ECG Gazométrie : acidose métabolique avec compensation respiratoire, lactate à 8.5 mmol/l 2 paires d'hémocultures le 15.03.2019 : négatives à 5 jours Coproculture le 15.03.2019 : négative CT thoracoabdominal injecté le 15.03.2019 Hydratation IV Antibiothérapie par Pipéracillin-Tazobactam IV du 15.03 au 26.03.2019 (relais pour Imipeneme, cf. complications) Torasémide dès le 28.03.2019 ECG Gazométrie artérielle Laboratoire Rx du thorax Avis chirurgical (Dr. X) Aux urgences : Aspiration active à - 10 cm H2O avec bulles à chaque inspiration, non-péjorées par la toux US poumons (Dr. X) : point poumon de contact à mi-thorax Attitude : • Hospitalisation en chirurgie • Aspiration murale active à - 10 cm H2O • Rx de thorax de contrôle le 01.04.2019 • Isolation de contact préventive à VRE, frottis prélevé aux urgences • Prendre contact avec chir thoracique de l'Inselspital (Dr. X) qui devrait décider d'une intervention ou non à Fribourg ou à Berne le 01.04.2019 ECG. Glycémie capillaire : 5.2 mmol/L. Avis psychiatrique de garde : ad hospitalisation à Marsens en volontaire en ambulance. ECG. KCl 60 mmol/24h avec correction de l'hypokaliémie par la suite. Pas de suivi par la suite vu soins de confort. ECG Labo en cours Consultation orthopédique ambulatoire (Dr. X) : indication à une boursectomie du genou G Attitude : • Hospitalisation en orthopédie • Boursectomie genou G prévue aujourd'hui • Mme. Y à jeûn • Anesthésiste informé ECG Labo Gazométrie Rx Thorax US Thorax (Dr. X, Dr. X) : épanchement pleural bilatéral, quelques lignes B antérieures bilatérales Thérapie : • 2 séances de VNI de 1h avec bonne tolérance et bonne réponse clinique Attitude : • Hospitalisation aux soins intensifs pour surveillance et suite de prise en charge ECG Labo Majoration Beloc à 2x100mg Hydratation ECG. Laboratoire : D-dimères = négatifs, Troponines H0 = inférieures à 3, Troponines H1 = 4 Radiographie thoracique. Attitude : • Retour à domicile • Conseils d'usage. ECG. Laboratoire : d-dimères négatifs, trop négatif, lipase négative. Radiographie du thorax sans anomalie. Ultrason ciblé aux urgences (Dr. X) : pas de dilatation VD, veine cave inférieure collabable, fonction ventriculaire gauche d'aspect conservée visuellement, pas d'épanchement péricardique, aorte abdominale non dilatée. Analgésie multimodale. Éducation sur les signes de gravité devant amener à reconsulter. ECG. Laboratoire : trop H0 10, H1 10, d-dimères nég. Radiographie du thorax. Score Wells : 0 pt. Attitude : • Traitement conservateur. • Conseils d'usage. ECG Laboratoire : anti-Xa suprathérapeutique Urines : Aux urgences : • 80mg Pantozol i.v. • 1 CE ATT : • Stop Xarelto • Pantozol i.v. • Vu les comorbidités : Discussion de ne pas envisager d'endoscopie. A rediscuter avec Mme. Y et sa sœur Nicole la semaine prochaine ECG. Laboratoire avec cycle de troponines négatif, D-dimères négatifs. Radiographie du thorax. Ultrason cardiaque ciblé aux urgences, Dr. X : pas d'épanchement péricardique, pas de dilatation du ventricule droit, bonne contraction du ventricule gauche visuellement, veine cave inférieure collabable. Aérosol Ventolin/Atrovent avec amélioration des signes. Retour à domicile avec ordonnance Ventolin + Prednison. Certificat médical. Suite chez le médecin de famille +/- prévoir consultation chez un pneumologue. ECG. Laboratoire. Avis angiologique : pas de thrombose dans les membres inférieurs, plutôt douleurs, type crampe, donner un traitement de magnésium pour une semaine. CT thorax : pas d'embolie pulmonaire centrale ou périphérique, pas de signe d'infection. Retour à domicile avec magnésium pour 2 semaines pour les crampes. ECG. Laboratoire : CRP 97 mg/l, Lc 45.4 G/l, pas de blaste, neutrophiles 37 G/l. Urines propres. Rx thorax : pas de foyer, épanchement basal droit. Freka Clyss. Avis hémato-oncologique (Dr. X) : pas d'origine tumorale. IRM lombaire en ambulatoire le 25.04. Rendez-vous de suivi le 23.04 chez son médecin traitant. Consulte les urgences en cas de fièvre, baisse de l'état général. ECG Laboratoire CT cérébral avec carte de perfusion et vaisseaux précérébraux = Pas de lésion hémorragique, pas de lésion ischémique, vaisseaux perméables. Avis Neurologue = Dr. X = Hospitalisation aux SIC pour surveillance avec bilan STROKE durant l'hospitalisation. Faire PL au vue de l'anamnèse de la céphalée peu claire. Au vue des tensions artérielles hautes, faire un bilan d'hypertension artérielle durant l'hospitalisation. Ok pour bolus ASPIRINE. Pas d'indication à la lyse. Objectif tensionnel entre 200 mmHg de TAS et 180 mmHg. ASPIRINE 250 mg IV TRANDATE 5 mg IV Ponction lombaire = Dr. X, désinfection locale, champagne, ponction en L4 avec aiguille 20 G, pas de complication post geste, liquide eau de roche. Xantochromie : en cours Avis soins intensifs = ok pour transfert soins intensif CAT : • Transfert SIC pour suite de prise en charge • Xantochromie et résultat PL à pister ECG. Laboratoire. • Instruction de manœuvre de Semont. • En cas de péjoration ou non-amélioration : évaluer bilan ORL en ambulatoire. • Critères de reconsultation expliqués à la patiente. ECG Laboratoire : leuco 22.8 G/l, CRP à 227 mg/l Rx du thorax : pas de foyer Gazométrie artérielle : hypoxémie partielle Aux urgences : Ventolin 2.5 mg inhal et Atrovent 250 mcg inhal avec bonne amélioration clinique Aux urgences : Rocéphine 2 g i.v., Klacid 500 mg i.v. Antigènes urinaires envoyés Attitude : • Hospitalisation en gériatrie à Tafers pour poursuite de l'antibiothérapie et prise en charge gériatrique • Prednisone 50 mg pour 5 jours • Hémocultures si pic fébrile • Expectorations à prélever ECG. Laboratoire : pas de cinétique des trop. Antalgie par Dafalgan et Irfen. Réassurance et retour à domicile. Patient est instruit des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. ECG Laboratoire : pas de mouvement des enzymes cardiaques Aux urgences : Nitroglycérine capsule 0.8 mg Attitude : • ETT le 23.04.2019 demandé • Si récidive de DRS, nitroglycérine 0.8 mg caps + ECG ECG Laboratoire Radiographie du thorax Gazométrie Oxygène Atrovent et Ventolin Pulmicort Avis Dr. X : couverture antibiotique par Ceftriaxone relayée per os par Céfuroxime dès le 30.03.2019 pendant une durée totale de 7 jours ECG. Laboratoire. Sédiment. Aux urgences : 1000 ml de G5. Retour à domicile avec réassurance et conseil d'hydratation. ECG Laboratoire Spot et sédiment urinaire Bladder scan Sonde vésicale Hydratation 1 l de Glucosalin (pas NaCl au vu de l'ascite) Mise en suspens du traitement néphrotoxique et du Torem Suivi biologique ECG. Laboratoire. Aux urgences : • 0.5 mg Adrénaline i.m. • 125 mg Solumedrol i.v. • 4 mg Tavegyl i.v. • Hydratation i.v. Surveillance monitorée sur 12 heures aux urgences sans particularité. ATT : • Xyzal et Prednisone pour 5 jours • Epipen. Instructions données. • Consultation allergologique à prévoir dans 6 semaines. ECG Laboratoire Avis orthopédiste = indication opératoire posée après discussion avec la famille, demande d'un avis anesthésiste pour évaluer le risque opératoire pouvant contre-indiquer une prise en charge chirurgicale. Hospitalisation en orthopédie jusqu'à avis anesthésiste CAT : • Hospitalisation orthopédique pour suite de prise en charge ECG Laboratoire Clexane 40 mg i.v. Att : • CT abdomino-pelvien et dosage marqueurs tumoraux • Ad oncologie résultats • Clexane 40 mg i.v. 1x/j ECG Laboratoire Coronarographie le 01.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 01.04.2019 au 02.04.2019 Aspirine cardio à vie Efient pour 6 mois Statines à haute dose pour baisser le LDL < 1.8 mmol/l. ECG Laboratoire Coronarographie le 01.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 01.04.2019 au 02.04.2019 Bilan TAVI : • Angio CT aorte ambulatoire le 03.04.2019 à 15 h 30 ECG Laboratoire Coronarographie le 02.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 02 au 03.04.2019 Aspirine cardio à vie Plavix pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 02.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 02 au 03.04.2019 Aspirine cardio à vie Plavix pour 6 mois Eliquis 2.5 mg 2x/j dès le 03.04.2019 ECG Laboratoire Coronarographie le 02.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 02 au 03.04.2019 ETT le 03.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 %. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Surface aortique à 1,99 cm² (1,01 cm²/m²). Insuffisance aortique minime (grade 1/4). ECG Laboratoire Coronarographie le 03.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 03 au 04.04.2019 Aspirine cardio à vie Plavix pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 04.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 04 au 05.2019 Aspirine cardio à vie Brilique pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 05.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 05 au 06.04.2019 Aspirine cardio à vie Plavix pour 1-3 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 06.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 05 au 06.04.2019 Aspirine cardio à vie Plavix pour 1 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 08.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 08 au 09.04.2019 Aspirine cardio à vie Plavix pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 09.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 09 au 10.04.2019 Bilan TAVI : • Angio CT aorte prévu en ambulatoire dans 1 semaine (la patiente sera convoquée en ambulatoire), radiologie, HFR-Fribourg • Consultation ambulatoire chez Dr. X dans 3 semaines, cardiologie, HFR-Fribourg Aspirine cardio à vie Plavix pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 09.04.2019 (Dr. X) Hospitalisation en médecine car retour à domicile impossible du 09 au 10.04.2019 (épouse du patient ne peut pas venir le chercher durant la soirée) ETT le 10.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Insuffisance aortique légère. S/p remplacement supra-coronarien de l’aorte ascendante par prothèse Vascutek Gelweave de 30 mm 04/2015. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule dans la limite de la norme. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. ECG Laboratoire Coronarographie le 09.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 09 au 10.04.2019 Aspirine cardio à vie Efient pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 09.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 09 au 10.04.2019 Aspirine cardio à vie Efient pour 6 moisSurveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 09 au 10.04.2019 • Aspirine cardio à vie • Efient pour 6 mois • ECG • Laboratoire Coronarographie le 12.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 12 au 13.04.2019 • Aspirine cardio à vie • Efient pour 6 mois • ECG • Laboratoire Coronarographie le 12.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 12 au 13.04.2019 • Aspirine cardio à vie • Efient pour 6 mois • ECG • Laboratoire Coronarographie le 12.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 12 au 13.04.2019 • Aspirine cardio à vie • Plavix pour 6 mois • ECG • Laboratoire Coronarographie le 13.03.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 13.03.2019 au 14.03.2019 • Aspirine cardio à vie • Plavix pour 1 mois • ECG • Laboratoire Coronarographie le 15.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 15.02.2019 au 16.02.2019 • Aspirine cardio à vie • Plavix pour 6 mois • ECG • Laboratoire Coronarographie le 15.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 15 au 16.04.2019 • Aspirine cardio à vie • Efient pour 6 mois • ECG • Laboratoire Coronarographie le 16.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 16 au 17.04.2019 Transfert aux soins continus de l'HIB Payerne le 17.04.2019 • Aspirine cardio à vie • Efient pour 9 mois • ECG • Laboratoire Coronarographie le 16.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 16 au 17.04.2019 • Aspirine cardio à vie • Efient pour 6 mois • ECG • Laboratoire Coronarographie le 17.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 17 au 18.04.2019 • Aspirine cardio à vie • Plavix pour 6 mois • ECG • Laboratoire Coronarographie le 17.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 17 au 18.04.2019 • Aspirine cardio à vie • Plavix pour 6 mois • Nitroderm patch 5 mg 12/24h 1x/j • ECG • Laboratoire Coronarographie le 18.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie • Aspirine cardio à vie • Plavix pour 6 mois • Crestor 10 mg 1x/j • ECG • Laboratoire Coronarographie le 23.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie • Aspirine cardio à vie • Efient pour 6 mois • ECG • Laboratoire Coronarographie le 23.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie • Aspirine cardio pour 6 mois • Plavix à vie • ECG • Laboratoire Coronarographie le 24.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie • Aspirine cardio à vie • Plavix pour 6 mois • ECG • Laboratoire Coronarographie le 26.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie • Aspirine cardio à vie • Efient pour 6 mois • ECG • Laboratoire Coronarographie le 26.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie • Aspirine cardio 3 mois • Plavix pour 1 mois • ECG • Laboratoire Coronarographie le 30.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 30.04.2019 au 1.05.2019 • Aspirine cardio à vie • Efient pour 6 mois • ECG • Laboratoire Coronarographie le 30.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 30.04.2019 au 1.05.2019 • Aspirine cardio à vie • Efient pour 6 mois • ECG • Laboratoire CT abdominal (transmission orale par Dr. X) : CT sans produit de contraste p.o. ni rectal. Pas de signe pour une complication de Bypass gastrique. Pas de liquide libre. Attitude : • Prélèvement des selles à faire par la patiente à domicile au vu de l'absence de selles aux urgences. • Débuter Ciproxine après prélèvement des selles pour 5 jours. • Contrôle clinique et biologique prévu en 48h au secteur ambulatoire des urgences. La patiente sera convoquée. • Critères de reconsultation médicale expliqués à la patiente. • ECG • Laboratoire CT cérébral et vx pré-cérébraux : • Pas d'hémorragie. Pas de lésion ischémique visible. Vx perméables. Avis (Dr. X) : • Probablement pas d'origine vasculaire mais possiblement épileptique. Att : • poursuite des investigations : • EEG à prévoir • ECG • Laboratoire CT cérébral et vx pré-cérébraux le 07.04.2019 Électroencéphalogramme le 08.04.2019 Sérologies HIV et syphilis : négatives Avis neurologique le 07.04.2019 (Dr. X) et le 09.04.2019 (Dr. X/Dr. X) Avis psychiatrique le 10.04.2019 MMS le 09.04.2019 : 20/30, test de l'horloge 4/10 Bilan neuropsychologique le 12.04.2019 Quétiapine 12.5 mg 1x/j dès le 09.04.2019 Colloque de famille le 15.04.2019 • ECG • Laboratoire CT cérébral injecté (Dr. X : sténose artère carotide interne gauche à 80% dès le départ du bulbe, artère centrale rétine gauche non sténosée en proximale, ne peut se prononcer en distal, pas d'AVC, pas de saignement Plavix 300mg po Attitude : • Aspirine 100mg, Plavix 75mg, Atorvastatine 80mg • Mobilisation accompagnée • ETT, Doppler • Chirurgie vasculaire (Dr. X contacté, va discuter de l'organisation pour une thrombendartériectomie avec Dr. X) • Au SIC • ECG • Laboratoire CT cérébral : pas de hémorragie Att : • réévaluation de l'aide nécessaire à domicile • ECG • Laboratoire CT cérébrale : pas de saignement, pas de fracture, pas d'atteinte des cervicales Aux urgences : • Surveillance monitorée sur _h • Hydratation i.v. • ECG • Laboratoire Echographie abdominale. Traitement antalgique + Nexium Réévaluation clinique et laboratoire à la filière 34 lundi à 13h. • ECG • Laboratoire Fermeture le 01.04.2019 (Dr. X) Prophylaxie antibiotique (Zinacef) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 01 au 02.04.2019 Angio CT ambulatoire (Bilan TAVI) • ECG • Laboratoire Fermeture le 01.04.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 01 au 02.04.2019 Angio CT ambulatoire (Bilan TAVI) • ECG • Laboratoire Fermeture FOP le 16.04.2019 (Dr. X/Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 16 au 17.94.2019 • Aspirine cardio pour 6 mois • Plavix pour 3 mois • Prophylaxie antibiotique (Zinacef) • ECG • Laboratoire Fermeture LAA le 15.04.2019 (Dr. X/Dr. X/Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits de coronarographie du 15 au 16.04.2019 ETT le 15.04.2019 • Poursuite Aspirine cardio à vie, Plavix pour 1 mois • ECG • Laboratoire Gazométrie Rx thx Prednisone 50 mg po Tavanic 500 iv Mise en place d'un cathéter artériel 20G à D Att : • Hospitalisation au SIC • Faire les antigènes urinaires (la patiente n'a pas uriné) • Faire frottis VRE (la patiente hospitalisée à Berne cette année) • ECG • Laboratoire Gazométrie. US FAST : pas de liquide libre intra-abdominal. Pas d'épanchement pleural. Pas d'épanchement péricardique. Bonne cinétique des 4 cavités cardiaques. Pas d'anévrisme aortique. CT scan cérébro-cervicale (Dr. X) : • hémorragies sous-durales bilatérales, sous-durales et épidurales. • fractures crâniennes pariétales et temporales, fracture rocher droit avec continuité dans le conduit auditif externe. • suspicion de thrombose de sinus sagittal gauche • déviation de la ligne médiane à droite sans signe d'engagement. Intubation + cathéter artériel. Avis neurocrâne (Dr. X) : • transfert à Berne. Att : • Transfert à Berne avec SMUR. • ECG • Laboratoire Groupe Urines Prévu CRIF par clou PFNA Att: • prise en charge orthopédique • A JEUN ECG Laboratoire Hémocultures à froid:____ Urines:____ Rx thx: pas de foyer visible, redistribution vasculaire, pas de cardiomégalie. CT cérébro-cervical: pas de fracture, pas d'hémorragie, antélisthésis C4-C5 probablement dégénératif (pas de lyse de l'isthme) Att: • poursuite des investigations à l'étage ECG Laboratoire Proposition de compléter le bilan par un test de Schellong, Holter et avis cardiologique ECG Laboratoire Radio: Thorax (29.03.19): Cardiomégalie. Hypérinflation. Calcification des côtes. Radiographie hanche (29.03.19): pas de fracture visualisée, signes d'arthrose avancée ECG Laboratoire Radiographie du Thorax US aux Urgences Furosemide 40mg IV aux urgences Discussion de ponction d'épanchement pleural avec famille et patient: veulent rediscuter la ponction en famille, actuellement contre. Hospitalisation en Médecine ECG Laboratoire Radiothorax Aux urgences: 5mcg Deponit ATT: • anamnestiquement: selon discussion entre Dr. X et Dr. X indication à une hospitalisation, prise en charge cardio +/- coro. Pas de rapport écrit disponible. • hospitalisation en médecine • ETT et avis cardio à prévoir. Demande de consilium faite ECG Laboratoire Radiothorax Aux urgences: 20mg Adalat 40mg Lasix 1 h VNI avec excellente réponse clinique ATT: • hospitalisation • Lasix • adaptation TT antihypertenseur • prévoir CINACARD avant RAD ECG Laboratoire Radiothorax U/S ciblé (Dr. X/Dr. X): FEVG globalement conservé. Pas d'épanchement péricardique. ATT: • Lasix • ETT à prévoir • Contacter les néphrologues pour une stratégie si coro indiquée • Suivi clinique ECG Laboratoire Radiothorax U/S FAST (Dr. X/Dr. X): épanchements pleuraux ddc. Ascite. Pas de bonne visualisation du cœur. ATT: • Lasix • Réintroduction ASS • ETT à prévoir • Interrogation Pace à prévoir ECG Laboratoire Reprise du Metoprolol retard 100mg CT thoracique (Dr. X): pas d'EP, CT superposable au comparatif ATT: hospitalisation en médecine ECG Laboratoire RX de thorax: pneumothorax droit de 2.5cm Consilium chirurgical (Dr. X/Dr. X) ad pose d'un drain thoracique aux urgences (sous 200mcg de fentanyl et 1mg de dormicum) RX de thorax post drain: bonne réexpansion pulmonaire Ad hosp en chirurgie ECG. Laboratoire. RX thorax. Antibiothérapie. Antalgie simple. Aérosols au besoin. Critères de reconsultation médicale expliqués à Mr. Y. ECG Laboratoire Rx thx: • épanchement pleural gauche jusqu'à mi-poumon. Lasix 40mg IV Att: • poursuite des diurétiques par Lasix 2x20mg/j • ponction épanchement pleural gauche à l'étage après réversion du NACO • Ad bilan cardiaque par ETT ECG Laboratoire Rx thx CT thoracique (Dr. X): • anévrisme de la crosse aortique de 4.8x5 cm stable p.r. au comparatif. Heart score: 5 pts Avis cardiologique (Dre. X): • STOP Marcoumar jusqu'à la coronarographie • Ad spray Nitro si angor. • Programmé en coro mardi en cas de réponse de l'angor aux sprays de nitrés ECG Laboratoire Scanner thoraco-abdominal injecté Troponine t-hs t0 35ng/l, t1 45ng/l, t3 à 52ng/l Metozerok 25mg, Aspegic 500mg en bolus intraveineux Avis Prof. X: ad Clopidogrel 600mg Arixtra 2.5mg sous-cutané Coronarographie le 18.03.2019: sténose critique de l'ostium de la première marginale, sténose significative de l'artère circonflexe moyenne; dilation avec un ballon élu et une implantation d'un stent actif au niveau des lésions nouvelles Plavix 75mg pendant 12 mois, Aspirine cardio 100mg à vie Contrôle consultation cardiologie Dr. X à 1 mois ECG Laboratoire Sédiment Radiographie thoracique Aux urgences: Lasix 40mg intraveineux, CO-AMOXICILLINE 1.2G IV Traitement inhalateur Ventolin ATT: • hospitalisation en médecine ECG. Laboratoire. Troponine H0 5ng/l, Trop H1 5ng/l. Tension artérielle droite/tension artérielle gauche: différence de moins de 5 mmHg. Attitude: • Antalgie simple par Paracétamol, Novalgine et Sirdalud. • Contrôle chez médecin traitant à 72h. • Explications des critères de reconsultation à Mr. Y. ECG Laboratoire Urines Radiothorax ATT: • Arrêt Fentanyl • Prévoir relais pour Temgesic • Au vu des douleurs chroniques: évaluer prise en charge spécialisée ECG Laboratoire Urines Echocardiographie transthoracique le 29.03.2019: pas d'anomalie structurelle majeure. FEVG à 55% évaluation visuelle. Schellong non faisable au vu fracture Weber B, Schellong assis-couché le 02.04.2019: négatif Holter le 01.04.2019: rapport en attente Consilium cardiologique le 03.04.2019: coronarographie pas en urgence, patiente sera convoquée Réhydratation i.v. et p.o. Co-Aprovel mis en pause Suivi clinique ECG Laboratoire Urines NaCl 0.9% 1000ml/24h Restriction hydrique ECG Laboratoire Urines Rx thx Lasix 40mg SV Att: • ponction pleurale à faire le 10.04.2019 (mise en suspens du Xarelto) • bilan cardiaque avec ETT • poursuite de l'antidiurétique par Lasix 20mg 2x/j ECG Labo Rx thorax CT cérébral et vx pré-cérébraux: hémorragie intra-parenchymateuse pariéto-occipitale gauche de 5.5cm, pas d'effet de masse, pas de signe de lésion sous-jacente, localisation pas complètement typique pour une origine hypertensive, possible origine métastatique, proposition de réaliser une imagerie de contrôle, pas de signe de trauma, pas d'anomalie vasculaire, pas de thrombose Avis neuro-chirurgie (Dr. X): surveillance neurologique aux soins intensifs, peu probable d'une péjoration, sont de garde si nécessaire pour prise en charge chirurgicale, cible tensionnelle TAS <160 mmHg, position tête à 30°, pas d'imagerie de contrôle d'emblée, anticoagulation à rediscuter après 24h. Trandate 5mg en bolus et 5mg/h aux urgences avec cible de TAS <160 mmHg Hospitalisation aux soins intensifs ECG Labo Screening toxicologique: négatif Alcool: 1.6°/°° CT-scan cébral le 22.04.2019: pas de lésion Thérapie: • Naloxone 0.4mg iv (sans effet) • Rivotril 1mg iv (avec légère amélioration de la FR) IOT (Cormack I) et ventilation mécanique du 22.04 au 23.04.2019 Avis neurologique (Dr. X): ad CT cérébral, pas Attitude: • hospitalisation aux soins intensifs. ECG Labo Urine: propres Proposition de revoir les images IRM par les radiologues Évaluer indication à faire une ponction lombaire ECG Pas de troubles électrolytiques ECG Radiographie du thorax Majoration du traitement par Torem Suivi pondéral ECG Radiothorax (après une heure de VNI) Aux urgences: • 1 heure de VNI avec bonne amélioration clinique • 40mg Lasix i.v. ATT: • SICO • Lasix • Suivi poids ECG Radiothorax Aux urgences: 20mg Lasix i.v. ATT: • Lasix • Suivi poids journalier ECG Radiothorax Avis cardiologique (Prof. X): coronarographie prévue le 26.04.2019. Stop Xarelto. Suivi CRP Aux urgences: • 20mg Lasix i.v. ATT: • Coro le 26.04.2019 • Lasix • Suivi poids ECG. Réassurance. Antalgie. Recommandation de consulter si persistance des symptômes. ECG Reçu aux urgences: • Beloc Zok 25mg • Remplissage 1500ml NaCl 0.9% sur 3h ECG. Retour aux urgences si récidive de la douleur. ECG Rx bassin et hanche gauche: fracture de la base du col g possiblement irradiant dans le grand trochanter Rx thorax: pas de foyer, pas d'épanchement Avis orthopédique (Dr. X): prise en charge chirurgicale, faire CT bassin et fémur gauche tiers proximal, hospitalisation, à jeun, pas de Clexane. CT bassin et tiers proximal fémur gauche: à pister Hospitalisation à jeun pour prise en charge chirurgicale ECG Rx du thorax: pneumonie basale droite, pas d'épanchement 2 paires d'hémocultures à froid: Labo Gazométrie: PH 7.49 PO2 9.1 bic 30 Aux urgences: 1 l d'O2 pour saturation 93%AA ATT: Lasix 40 mg iv aux urgences, puis 20 mg 3x/j iv. Torasemide per os avec titration en fonction du poids. Metolazone 5 mg dès le 24.03.2019. Suivi du poids. ECG Rx thx Atrovent/ventolin 1L O2 lunettes Att: • suivi clinique • physio resp • Atrovent/ventolin ECG Scanner cérébro-cervical Radiographie jambe droite Avis neurochirurgie de garde (Dr. X) : minerve mousse renforcée, IRM dès que possible pour exclure formellement lésion ligamentaire, discale, a. vertébrale (bon fait, questionnaire à remplir) Rinçage de la plaie, désinfection et pansement simple ECG. Substitution per os du 13 au 15.04.2019. Suivi biologique. ECG Suivi biologique Substitution IV et PO ECG Suivi biologique Substitution potassium intraveineux et par voie orale ECG. Suivi biologique. 40 mEq dans 1000 ml sur 12 heures. Potassium effervette 3x/j. ECG. Temesta aux urgences. Dafalgan et Primpéran. ECG. Test de Schellong. ECG Test de Schellong Retour à domicile avec consignes de surveillance ECG Troponines ECG Troponines négatives Beloc Zok 25 mg P.O, puis 25 mg P.O, puis 5 mg I.V Surveillance et monitoring AUF 24.04. - 26.04. ECG Troponines stables à 42 ng/l Avis cardiologique à considérer pour ETT ECG Tryptase (CHUV): à pister Aux urgences: • 0.3 mg Adrénaline i.m. avec excellente réponse clinique • 125 mg Solumedrol i.v. • 10 mg Primperan i.v. • 1 gr Novalgine i.v. • Surveillance monitorée pendant un total de 4 heures Attitude: • Xyzal 5 mg pour 5 jours • Rendez-vous chez le Dr. X prévu dans un mois. • Rendez-vous allergologique à prévoir à distance • Critères de reconsultation médicale expliqués à la patiente par le médecin ECG US plèvre: pas d'épanchement pleural Radiographie thoracique NITROCAPS LASIX 40 mg iv Stix et sédiment urinaire = négatif Spot urinaire Lasix iv 2x40 mg Consilium néphro à évaluer (patient devrait être suivi en consultation) Révision traitement IC Écharde de 1 cm à la fesse droite Écharde de 14 mm, transfixiante, du pouce droit. Écharde de 1.5 cm dans le thénar droit. • Incision et ablation en anesthésie locale. Échardes cuisse postérieur droite, le 19.04.2019 avec: • tentative infructueuse d'ablation du CE le 19.04 aux urgences • antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/J pendant 5 jours dès le 19.04.2019. Échardes cuisse postérieur gauche, le 20.04.2019. Échardes cuisse postérieure droite, le 19.04.2019 avec: • tentative infructueuse d'ablation du corps étranger le 19.04 aux urgences. • antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/j pendant 7 jours dès le 19.04.2019. Echarpe pour antalgie Contrôle chez le pédiatre ortho dans 1 semaine si douleurs persistantes Echarpe pour confort, pas d'immobilisation Antalgie Arrêt Sport Consultation pédiatre ou aux urgences si persistance de la douleur Appel mère si changement d'attitude après colloque radio Echarpe selon besoin, pas d'immobilisation Antalgie Contrôle médecin traitant dans quelques jours si persistance de la douleur Échec clean catch Échec clean-catch Consultation aux urgences sur le weekend si persistance état fébrile et vomissements Échec de la tentative de réduction fermée radius distal G Échec de la tentative de réduction ouverte et d'embrochage radius distal G au vu de la consolidation avancée et du trait de fracture se prolongeant dans le cartilage de croissance (OP le 01.04.2019) Échec de pose de sonde vésicale sur phimosis Pose d'un cystofix le 15.03.2019, par Dr. X Consultation urologique Dr. X le 02.04.2019, en ambulatoire Échec d'infiltration rachidienne les 23 et 24.04.2019 en raison des douleurs, malgré antalgie par Morphine iv. Physiothérapie. Gestion de l'antalgie. Avis Team Rachis (Dr. X): • Dexaméthasone 4x 4 mg pour 5 jours puis 1 cpr de moins tous les 2 jours • transfert à l'HFR Fribourg le lundi 29.04.2019 en vue d'une intervention chirurgicale • consentement écrit remis au patient. Échec Normolytoral Échec Zofran per os Hydratation intraveineuse sur 4h (Gluco-salin 1000 ml) Échelle de Somnolence d'Epworth: score 9: pas de somnolence excessive. Proposition d'investigations d'un éventuel SAOP au laboratoire du sommeil. Proposition de prendre un avis psychiatrique en ambulatoire. Écho abdominale du 15.04: Mise en évidence d'une collection anéchogène, mal délimitée, sans coque, mesurant 15 x 13 mm de diamètre, associée à une discrète hyperhémie et une infiltration de la graisse au pourtour, se situant à 8 mm de profondeur, dans les tissus mous sous-cutanés de la fosse iliaque gauche et au contact de la musculature abdominale, en regard de la cicatrice de laparoscopie, suspect de surinfection, DD phlegmon, abcès débutant. Écho abdominale du 17.04: Image stable, inflammation locale avec abcès débutant Échocardiographie cardiaque transthoracique à discuter à distance Échocardiographie demandée Coronarographie dans un mois pour coronaire droite Adaptation traitement de l'insuffisance cardiaque à fraction d'éjection abaissée Surveillance clinique après prise d'Aspirine Surveillance des diurèses par la sonde vésicale Échocardiographie demandée Majoration de la posologie du metoprolol Discuter une éventuelle anticoagulation thérapeutique: évaluation du risque hémorragique avec médecin traitant Échocardiographie et Holter à pister Suite de prise en charge à discuter avec l'équipe de neurologie Échocardiographie et réadaptation à prévoir Échocardiographie ETT 01.04.2019 (bilan préopératoire): fonction systolique préservée sans valvulopathies significatives (en annexe) Reposition ouverte par voie para-rectus et ostéosynthèse avec plaque Stryker supra-pectinéale cotyle G, désimpaction et greffe osseuse type Chronos, (OP le 02.04.2019) Échocardiographie le 19.03, 29.03, 30.03, 01.04, 03.04, 05.04, 08.04, et le 10.04.2019: épanchement péricardique stable Échocardiographie le 23.04.2019 Échocardiographie le 23.04.2019 Adaptation traitement antihypertenseur Échocardiographie transoesophagienne le 20.04.2019: pas de thrombus intra-auriculaire, pas de dilatation VD, FEVG 60% Cordarone plusieurs charges iv, puis per os entre le 20.04 et le 26.04.2019 Bêta-bloquants dès le 26.04.2019 Avis cardiologique le 25.04.2019 (Dr. X): majoration Cordarone, voir avec CHUV si indication à thermoablation Avis cardiologue du CHUV (Dr. X): pas d'indication à une thermoablation, arrêt de la Cordarone, reprise bêta-bloquant Échocardiographie transthoracique à faire Échocardiographie transthoracique à organiser Traitement antihypertenseur à adapter Suivi biologique des tests hépatiques +/- US abdominal en fonction de leur évolution Échocardiographie transthoracique de contrôle le mardi 23.04.2019 Échocardiographie transthoracique demandé Lisinopril dès le 07.04.2019 Metoprolol dès le 07.04.2019 Nouvelle coronarographie dans 1 mois pour traitement de l'IVA. Ergométrie dans 1 année. Échocardiographie transthoracique du 10.04.2019: Ventricule gauche normal, FEVG à 70% CT thoraco-abdominal le 15.04.2019: Condensation du segment apical du lobe inférieur gauche et infiltrat micronodulaire dans les deux poumons, prédominant du côté gauche. Pas d'autre foyer infectieux. Echocardiographie transthoracique du 15.03.2019 : Absence de signe franc d'endocardite. Maladie aortique avec sténose modérée et insuffisance légère. Valve aortique dégénérée avec petits filaments mobiles d'allure dégénérative et déjà présents à l'examen précédent de 2017 après révision des images. En cas de forte suspicion clinique d'endocardite, une ETO est proposée afin de mieux visualiser les valves et les sondes de CRT. CT abdominal du 19.03.2019 : Absence de perforation colique visible. Décompensation cardiaque avec image d'anasarque. Défauts de rehaussement du parenchyme rénal droit, déjà visualisés au comparatif du 13 mars, à corréler avec un bilan urinaire (DD : néphrite ? infarctus ?). Echocardiographie transthoracique le 02.04.2019 (Dr X) Pas d'indication pour une coronarographie en urgences. Suivi ambulatoire auprès du Dr X. Echocardiographie transthoracique le 03.04.2019 Coronarographie à planifier dans 3-4 mois pour angioplastie de la coronaire droite. Echocardiographie transthoracique le 04.03.2019 (Dr X / Dr X) Echocardiographie transoesophagienne le 12.03.2019 (Dr X / Dr X) Sérologie Bartonella + Coxiella 11.03.2019 : B. henselae IgG réactif 1:4096. Hémoculture avec incubation prolongée à 14 jours : négatives. Hémoculture à froid 1 jour sur 2 : négatives. Avis et suivi infectiologique (Dr X / Dr X) 14.03.2019. Doxycycline 100 mg 2x/j dès le 14.03.2019 pour un total de 6 semaines. Gentamycine 100 mg 3x/j dès le 14.03.2019 pour un total de 14 jours. Echocardiographie trans-thoracique le 08.04.2019, HFR Fribourg - Hôpital cantonal (Dr X, Dr X). Lisinopril dès le 07.04.2019. Metoprolol dès le 07.04.2019. Nouvelle coronarographie dans 1 mois pour traitement de l'IVA. Ergométrie dans 1 année. Echocardiographie transthoracique le 09.04.2019 (Dr X / Dr X) : Dilatation importante du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 20 %. Pas d'argument pour un thrombus apical sous réserve d'un examen transthoracique. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Insuffisance aortique minime. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Élèvement des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche très dilatée. Les cavités droites sont légèrement dilatées. La fonction systolique du ventricule droit est modérément altérée. Insuffisance tricuspide légère (grade 1/3). Hypertension pulmonaire avec PAPs estimée à 42 mmHg. Coronarographie le 11.04.2019 (Dr X) : L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne tri-tronculaire avec une sténose courte de 50-70 % de la CD moyenne, une sténose intermédiaire de la CX proximale et une occlusion chronique de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale, avec reprise de cette dernière au segment moyen par des collatérales issues de la CD et du réseau CX. Après discussion avec Mr. Y, j'ai tenté une recanalisation de l'IVA par voie percutanée mais il n'a malheureusement pas été possible de franchir l'occlusion calcifiée de l'IVA proximale et de retrouver la lumière artérielle au segment moyen. IRM cardiaque le 15.04.2019 (Tiefenau, Berne) : Peu de viabilité, FEVG estimée à 16 %, cicatrice ischémique basal antéro-septal probablement due à la sténose de l'IVA. Peu de contractilité sous dobutamine. Pas d'indication au pontage dans de telles conditions. Les cardiologues proposent de rediscuter d'un traitement conservateur maximal (insuffisance cardiaque) ou voir une pose de défibrillateur. Echocardiographie transthoracique le 10.04.2019 : FEVG à 70 %. VVC du 10.04.2019 au 16.04.2019. Chimiothérapie de rattrapage selon protocole CLAG-IDA le 11.04.2019 • Litak (J1 à J5), Cytosar (J1 à J5), Idarubicine (J3 à J5) Neupogen du 10.04.2019 au 16.04.2019. Fasturtec du 12.04.2019 au 16.04.2019. Transfusions : CE : 1 CE le 15.04.2019 CP : 1x le 10.04.2019, 2x le 15.04.2019 Isolement protecteur du 10.04.2019 au 16.04.2019. Echocardiographie transthoracique le 12.04.2019. Bilan étiologique au laboratoire : • Ferritine dans la norme, TSH dans la norme, tests hépatiques dans la norme • Sérologie VIH le 15.04.2019 : négatives • Electrophorèse des protéines le 15.04.2019 : en cours, résultats à pister Attitude : • Contrôle clinique et biologique chez le médecin traitant dans la semaine • Réadaptation cardiovasculaire refusée par le patient • Contrôle en cardiologie avec consultation chez le Dr X et échocardiographie prévue à 1 mois • Discuter IRM cardiaque et implantation du défibrillateur selon l'évolution • Majoration progressive du traitement par IEC et B-Bloquants Echocardiographie transthoracique le 12.04.2019 Interrogation du pacemaker/défibrillateur (Dr X) le 12.04.2019. Beloc Zok 7.5 mg IV aux urgences. Majoration du traitement de Beloc Zok. Poursuite du traitement d'Entresto. Amiodarone ivc du 12.04.2019 au 14.04.2019 puis per os dès le 15.04.2019. Héparine à dose thérapeutique du 12.04.2019 au 16.04.2019. Changement des sondes du pacemaker/défibrillateur (boîtier inchangé) le 15.04.2019 (Dr X). Echocardiographie transthoracique le 12.04.2019 Interrogation du pacemaker/défibrillateur (Dr X) le 12.04.2019 Changement des sondes du pacemaker/défibrillateur (boîtier inchangé) le 15.04.2019 (Dr X) Echocardiographie transthoracique le 15.04.2019 Interrogation du pacemaker/défibrillateur le 15.04.2019 (Dr X) RDV de contrôle avec le Dr X le 15.05.2019. Echocardiographie transthoracique le 12.04.2019 Lisinopril dès le 09.04.2019 Lercanidipine dès le 10.04.2019 Metoprolol dès le 11.04.2019 Echocardiographie transthoracique le 12.04.2019 Lisinopril dès le 09.04.2019 Lercanidipine dès le 10.04.2019 Metoprolol dès le 11.04.2019 Echocardiographie transthoracique le 13.04.2019 Coronarographie le 13.04.2019 (Dr. X) : dilatation/implantation 2 stents actifs (artère bissectrice et IVA moyenne) Aspirine à vie et Clopidogrel pour 12 mois Ergométrie de contrôle à prévoir dans 12 mois Echocardiographie transthoracique le 14.04.2019 : Suspicion d'endocardite avec : • Masse mobile 0.6x0.4 cm au niveau du feuillet mitral antérieur (absent lors du dernier contrôle en 2016) • Excès tissulaire du feuillet mitral antérieur. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de rétrécissement aortique. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Echocardiographie transthoracique le 18.03.2019, Dr. X. Suivi du poids 1x/j. Lasix 20 mg iv puis passage per os et titration progressive du Torem pour un traitement à la sortie de 10 mg/j. Echocardiographie transthoracique le 19.03.2019, 29.03.2019, 30.03.2019, 01.04.2019, 03.04.2019, 05.04.2019, 08.04.2019 et le 10.04.2019, le 16.04.2019 : épanchement péricardique stable, pas d'indication à ponction péricardique Avis cardiologique (Dr. X) le 16.04.2019 Att : • Prochain ETT de contrôle prévu dès le 02.05.2019 • Si péjoration clinique, patiente instruite de consulter à l'Hôpital d'Yverdon Echocardiographie transthoracique le 23.04.2019 Echocardiographie transthoracique le 26.04.2019 Echocardiographie transthoracique le 27.02.2019 Coronarographie le 28.02.2019 : pas de lésion significative ETT de contrôle le 08.03.2019 Métoprolol dès le 01.03.2019 Spironolactone dès le 05.03.2019 au 06.03.2019 Lisinopril dès le 07.03.2019 Aspirine cardio à vie, mise en pause dans le contexte d'hémorragie digestive haute, à reprendre dès confirmation de l'oesogastroduodénoscopie ou si pas d'extériorisation Bolus de Lasix le 11.03.2019 ECG Echocardiographie transthoracique le 28.02.2019 et le 11.03.2019 Introduction Métoprolol Traitement de l'insuffisance cardiaque par Métoprolol et Coversum à adapter selon tolérance Echocardiographie Discuter l'indication à une anticoagulation thérapeutique avec médecin traitant Echographie abdominale le 30.03.2019 : absence d'ascite, ballonnement sur aérocolie, foie stéatosique, pas de splénomégalie Echographie abdominale. Appendicectomie laparoscopique le 22.04.2019. Echographie cardiaque et pleurale ciblée (Dr. X) : • pas d'épanchement péricardique, dysfonction systolique légère à modérée, dilatation légère OG, cavités droites sp. Probable dyskinésie septale • pleural : pas d'épanchements, quelques lignes B uniquement base gauche probablement sur troubles ventilatoires Echographie cardiaque transthoracique le 05.04.2019 Coronarographie prévue en ambulatoire à 6 semaines, le patient sera convoqué Echographie ciblée aux urgences (Dr. X) : • Hernie inguinale indirecte, au Valsalva uniquement, avec contenu graisseux et non intestinal. Attitude : • Majoration de l'antalgie. • Laxatif en réserve. • Suite en chirurgie dès le 04.04.2019. • Critères de reconsultation expliqués au patient. Echographie ciblée abdomen Nom du médecin : X/X Motif, conditions d'examen : douleurs flanc droit, brûlures mictionnelles Aorte abdominale : non dilatée Cavités pyélocalicielles : pas de dilatation des cavités pyélocalicielles Vésicule biliaire : pas de calcul visualisé dans la VB Autre : pas de liquide libre, pas de globe vésical Conclusions : dans la norme. Echographie ciblée cœur : Nom du médecin : Dr. X Péricarde : sec FEVG visuelle : préservé visuellement à 60 % Cœur droit : pas de dilatation des cavités droites VCI : non dilaté Hémodynamique : pas de trouble de la cinétique Conclusion : ultrason normal dans la limite de la réalisation. Echographie ciblée vasculaire Nom du médecin : Dr. X Veine fémorale droite (+ crosse de la saphène) : compliante, pas de thrombose. Veine fémorale gauche (+ crosse de la saphène) : compliante, pas de thrombose. Veine poplitée droite : compliante, pas de thrombose. Veine poplitée gauche : compliante, pas de thrombose. Conclusion : axe veineux perméable, pas d'argument pour une thrombose veineuse profonde. Echographie doppler des vaisseaux du membre supérieur droit (Dr. X) : Pas de dissection, de sténose, d'occlusion, d'hématome alimenté sur le réseau artériel du membre supérieur droit. Pas de thrombose veineuse profonde ou thrombose veineuse superficielle du membre supérieur droit. Echographie du 04.04.19 et du 07.04.2019 : absence de collection Laboratoire du 02.04.19 : Leucocytes 14.9 G/l, CRP 8 mg/ml Laboratoire du 04.04.19 : Leucocytes 11.4 G/l, CRP 41 mg/ml, crase en ordre Laboratoire du 05.04.2019 : Laboratoire : Leucocytes 7.6 G/L, CRP 35 Frottis cervico-vaginaux du 04.04.2019 : bactériologie sans particularité ; Chlamydia sans particularité Echographie D1 (transmission Dr. X) : infiltration diffuse, pas de collection drainable, pas de phlegmon des gaines. Avis orthopédique (Dr. X) : pas d'incision d'office car non collection, immobilisation par attelle, poursuite antibiothérapie, contrôle clinique à 12h. Contrôle clinique à 12h (appeler Dr. X qui sera présent). Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Echographie D1 (transmission Dr. X) : pas de collection drainable, pas de phlegmon des gaines. Echographie D1 (transmission Dr. X) : pas de collection drainable, pas de phlegmon des gaines. Echographie D1 (transmission Dr. X) : pas de collection drainable, pas de phlegmon des gaines. Echographie D1 (transmission Dr. X) : pas de collection drainable, pas de phlegmon des gaines. Echographie hépatique : Sp CT abdominal : pas de lésion hépatique, pas de dilatation des voies biliaires Absence de critères pour une hémolyse : haptoglobine dans la norme, LDH dans la norme, Hb stable. Att : suivi biologique en ambulatoire à distance Echographie parties molles 09.04.2019 : pas d'abcès Merci d'ajouter le bilan sanguin effectué. Ecofenac gel, Irfen 400 mg cpr PO Ecofenac gel 1 % Brufen 400 mg Pantozol 40 mg Physiothérapie Ecofenac gel Analgesie Physiotherapie Contrôle chez Dr. X le 05.06.2019 à 14.45 HFR Tafers (en cas de nette amélioration clinique, l'organisation d'un MRI a été évitée) Ecoulement DD Lymphocèle plaie fémorale G Ecoulement de site de ponction d'ascite le 04.04.19 • ponction d'ascite le 02.04.19 • site de ponction non inflammatoire, légère rougeur en regard sans signe d'infection (photographies dans Synedra). Ecoulement du site de ponction d'ascite le 04.04.19 • ponction d'ascite le 02.04.19. Ecoulement d'un orifice de PEG écoulement et douleurs oreille droite Ecoulement minime séro-purulent au niveau de la cicatrice post-opératoire suite à une boursite post-traumatique le 01.04.2019. Ecoulement nasal Ecoulement oeil gauche Ecoulement plaie. Ecoulement post-opératoire. Ecoulement post-opératoire. Ecoulement purulente la veille QSE sein G Ecoulement verdâtre du mamelon gauche le 03.04.2019 • Chez une patiente connue pour un cancer bilatéral du sein traité par radio-chimiothérapie en 2013 Ecoulement yeux. écrasement Écrasement de la 3ème phalange de l'index à gauche, avec avulsion partielle de l'ongle de sa berge radiale, avec perte de substance au niveau du côté radial de la 3ème phalange. Ecrasement du 2ème et 3ème doigt de la main gauche avec une plaie de 1 cm en regard de la base de la 2ème phalange du 2ème doigt de la moitié ulnaire de sa face palmaire avec hypoesthésie de la berge ulnaire du 2ème doigt distalement à la plaie pour probable neurapraxie et perte de substance superficielle de la 2ème phalange du 3ème doigt de la face palmaire de <1 cm de longueur. Ecrasement main G avec plaie profonde. Ectasie aortique découverte fortuite le 03.04.2019. Ectasie de l'aorte ascendante à 45 mm le 03.04.2019. Ectasie de l'aorte ascendante de 43 mm au niveau du sinus Valsalva. Ectropion œil gauche Eczéma Eczéma. Eczéma atopique léger. Déjà 5 épisodes de bronchite obstructive (depuis novembre 2015). Hospitalisée en juin 2016 pour insuffisance respiratoire sur bronchite obstructive. Insuffisance respiratoire modérée dans le cadre d'une bronchite obstructive chronique sur IVRS. Eczéma cutané d'origine indéterminée dès 13.04.2019. • Au niveau de la clavicule droite et de la scapula droite • DD médicamenteuse, irritative. Eczéma de contact DD allergie au soleil, avec : Eczéma de contact le 03.04.2019. Eczéma de la paupière ? Eczéma des membres supérieurs et du visage. Eczéma impétiginisé DD réaction allergique cutanée impétiginisée. Eczéma oreille des 2 côtés. Eczéma péri-oral le 12.04.19. Eczéma probable de contact. Eczéma suivi chez l'allergologue. Eczéma sur probable xérose cutanée. Eczéma Corps étranger métallique au niveau de l'index droit, 28.03.2018. Eczéma. Diabète MODY 2 (pas de traitement). Eczéma Microsomie hémifaciale gauche (oreille gauche petite et malformée, pas de CAE). Pas d'autres malformations (ni rénale, ni cardiaque). Eczéma. Status post-3 x AVB en 2000, 2005, 2006. Status post-FCS en 2012. Grossesse non désirée à 9 3/7 SA chez Mme. Y, 5G3P. • Curetage interrupteur sous AG le 25.05.2018 avec pose de DIU Mona Lisa. Brûlure épigastrique avec pyrosis le 25.10.2018. Éducation des parents. Protocole de traumatisme crânien. EEG à prévoir à l'étage de Neuro (Dr. X). EEG le 22.03.2019 (Dr. X). Bilan neuropsychologique le 26.03.2019. IRM neurocrâne le 28.03.2019 : Stabilité de l'hypersignal Flair bi-hippocampique pouvant rentrer dans le cadre d'une encéphalite limbique. IRM médullaire le 29.03.2019 : sans particularités. CT thoraco-abdominal le 29.03.2019 : nodules pulmonaires aspécifiques. Avis neurologique (Dr. X). Ponction lombaire le 26.03.2019 : • numérotation et différenciation cellulaire et glucose dans la norme, protéinorachie à 1.07 g/l. • électrophorèse des protéines : dans les limites de la norme. • anticorps anti-neuronaux : négatif. • protéines Tau, PhosphoTau et bêta-amyloïde : en cours. Examen sanguin : • électrophorèse des protéines : dans les limites de la norme. • vitamine B1 145 nmol/l, ACE 31.6 U/l, anti-TPO 87 U/ml (augmenté), anti-TGP 38 U/ml, anti-SSA négatif, anti-SSB négatif, FAN 160 = positif (moucheté), ANCA négatif, VS 7 mm/h. • HSV - infection HSV-1 ancienne, CMV - infection ancienne, EBV infection ancienne, HIV négatif, syphilis négatif, Lyme négatif. • TSH 1.480 mU/l, T4 17 pmol/l, T3 4.15 pmol/l. • anticorps anti-neuronaux : négatif. Introduction de Keppra 1000 mg IV le 22.03.2019, puis 500 mg 2x/j PO dès le 23.03.2019. Consultation neurologique auprès de Dr. X à 3 mois (le patient recevra une convocation). Interdiction de conduite d'une durée d'au minimum 6 mois, jusqu'à réévaluation neurologique - patient informé. CT thoracique de contrôle à 6 mois (nodules pulmonaires aspécifiques). EEG le 23.04.2019 : pas de crise épileptique. CT contrôle le 24.04.2019 (Inselspital). Keppra le 23.04.2019 du 26.04.2019. Topamax depuis le 26.04.2019. Catapresan dès le 24.04.2019. Valium i.v/p.o. dès le 24.04.2019. EEG (09.04.19) : irritation aspécifique au niveau fronto-temporal gauche. Avis neurologique (09.04.19) : si présence de symptôme épileptique, introduire un traitement (lamotrigine). EF EF avec hypovigilance. EF avec toux et rhume. EF sur probable angine virale débutante. EF sur probable mastite le 05.04.2019. EF unique et vomissements. Effectué le 25.03.19. Prochain changement dans trois mois. Effectuer un contrôle à distance du bilan vitaminique. Une évaluation de l'évolution des troubles cognitifs serait recommandée en ambulatoire. Bilan de l'ostéoporose en ambulatoire. EKG le 19.03.2019. TTE le 03.04.2019. • Avis cardiologique (Dr. X) : une IRM cardiaque est ambulant au suivi recommandé. EKG le 27.03.2019 : normocarde, sinusrhythmus (74 bpm), Steiltyp, connu bloc de branche gauche, rotation dans le sens horaire, pas de changements significatifs par rapport à l'ECG précédent du 09/18. CT le 28.03.2019 : pancréatite œdémateuse (Balthazar C), sans nécrose. Hypodense lésion dans le corps du pancréas. De plus, cholécystolithiasis, sans dilatation des conduits biliaires ou du Wirsung. IRM le 28.03.2019 : lésion tumorale du processus uncinate d'environ 4 cm, associée à plusieurs métastases hépatiques, dont la plus grande dans les segments II et VII. Adénome surrénalien droit. EKG 01.04.2019 : bradycardie sinusale, bloc AV 1er degré, niveau moyen, trouble de la conduction ventriculaire, dérégulation de la repolarisation avec désaturation T en V1 + V2, onde T discordante en aVL, anomalies ST en forme de baignoire en III. Élargissement de l'articulation sacro-iliaque gauche par rapport au côté droit, avec hyper-intensité à l'IRM. Élargissement du spectre par piperacilline/tazobactam. Nouvelle pose de drain thoracique droit le 02.04.2019. Sédiment et uroculture du 31.03.2019 : négatif. CT thorax 01.04.2019. Avis orthopédique le 02.04.2019 : bonne évolution des plaies, pas de signes de surinfection. Électrisation à but suicidaire. Électrisation sans complication. Électrocardiogramme. Laboratoire. Radiographie thorax. Schellong le 14.04 : positif avec chute de la TAS de > 20 mmHg. Echocardiographie transthoracique le 15.04.2019 (Dr. X) : pas de pathologie morphologique majeure avec FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Holter 48h le 23.04.2019 : résultats définitifs en cours. Suivi clinique et biologique chez le médecin traitant. Électroencéphalogramme du 27.03.2019 : micro-anomalies suspectes dans le territoire temporal droit. Au vu de l'absence de récidive, pas de traitement introduit. À réévaluer si récidive. Électroencéphalogramme du 29.04.2019 : absence de foyer d'épilepsie. Électroencéphalogramme le 19.03.2019. Majoration de Lévétiracétam dès le 18.03.2019 à 750 mg 2x/j. Électroencéphalogramme le 29.04.2019 : absence de foyer épileptique. Taux de Lamotrigine en cours. Augmentation de la dose de Lamotrigine à 125 mg, à adapter par le neurologue traitant selon l'évolution des taux de Lamotrigine durant la grossesse. Électroencéphalogramme le 31.03.2019 : quelques foyers/points d'attaque. Taux d'acide valproïque le 09.04.2019 : 66 mg/L (norme 50-100 mg/L). Acide valproïque 500 mg 2x/j dès le 31.03.2019. Électroencéphalogramme le 31.03.2019. Acide valproïque dès le 31.03.2019. Dosage d'acide valproïque dans 7 jours. Electro-entraînement par le pacemaker. Électrolytes dans la norme. Taux de Leponex du 14.03.2019 dans la norme.Electrophorèse des protéines sp le 18.04, HIV nég le 05.12.2018 Consilium neurologique le 26.04.2019 (Dr. X) Dosage: vitamine B12, folates, HbA1c, TSH dans la norme, T4 libre à 24 pmol/l Discuter VDRL, TPPA. Demande ENMG en ambulatoire faite. Ad Prégabaline 25 mg 2x/j à augmenter à 50 mg 2x/j après 1 semaine. En cas d'aggravation de la symptomatologie, compléter les investigations par une IRM cervicale, au vu de l'hyperréflexie tétra-appendiculaire. Electrophorèse et Immunofixation des protéines élévation de la créatinine Elévation des D-dimères à 1339 mcg/l le 30.01.2018 Elévation des paramètres inflammatoires dans le contexte postopératoire avec • CRP à 259 mg/l et leucocytes à 12,7 G/l le 13.04.2019 Elévation des transaminases hépatiques DD: sur bas débit cardiaque, chronique Elévation des troponines le 28.03.2019 sur probable décompensation cardiaque • Troponines le 28.03.2019: 81 (H1), 71 (H3) • ECG: RSR sans sus- ou sous-décalage Elévation des troponines probablement dans le contexte de choc hémorragique Elévation transitoire des anticorps anti-bêta-2-glycoprotéine (IgG) • 47 CU (valeur de référence < 20 CU) le 30.01.2018 • 42 U/ml (ref < 7 U/ml) le 15.05.2018 • 29 U/ml (réf < 10 U/ml) le 21.06.2018 • < 2.9 UI/ml (réf < 10 U/ml) le 21.02.2019 Mme. Y bénéficie d'une réhydratation par SNG avec bonne évolution. Elle présente une selle diarrhéique durant son séjour et dès le 14.04, ses apports hydriques spontanés sont suffisants. Elle rentre à domicile le 14.04 avec contrôle à votre consultation au besoin. Eliquis mis en suspens le 02.03.2019 Anticoagulation prophylactique par Liquémine 5000 UI 2x/24 h du 04.03. au 12.03.2019 Reprise Eliquis 2,5 mg 2x/24 h du 12.03. au 18.03.2019 Relais par Sintrom le 18.03.2019 Eliquis 2.5 mg 2x/j dès le 13.4.2019 Eliquis 5 mg 2x/j dès le 04.04.2019 Pantoprazol 20 mg 1x/j dès le 04.04.2019 Eliquis 5 mg 2x/j dès le 19.04 Echographie cardiaque transthoracique le 18.04.2019: FEVG à 35%. Oreillette gauche modérément dilatée. Akinésie anévrismale de l'apex justifiant une anticoagulation Vérifier avec Dr. X si plus d'investigations sont nécessaires au niveau cardiologique et si le suivi peut se faire par la Dr. Y Elisa montre pas de trouble électrolytique actuellement sauf une hypoglycémie légère à 3.1 mmol/l Elle garde la tension et fréquence cardiaque dans la limite basse. Elle a des douleurs à la palpation de la clavicule gauche au niveau médial, mais pas de limitation des amplitudes au niveau de l'épaule gauche. La radiographie montre une épaule et une clavicule à gauche normales. La patiente rentre à domicile avec un traitement antalgique. Elle doit débuter les ondes de choc pour améliorer la consolidation au niveau de l'ostéotomie. Elle va encore être suivie en ergothérapie pour désensibilisation. Elle marche selon douleurs avec des souliers normaux. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Elle est demandeuse d'une infiltration comme en 2014 en raison de son effet bénéfique. Au vu de la rétraction des chaînes postérieures, nous proposons dans un premier temps de refaire intensivement de la physiothérapie avec stretching des chaînes postérieures et US au niveau des fascias plantaires. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. Elle est hémodynamiquement stable. Un laboratoire de contrôle montre une hémoglobine dans la norme et comparable au dernier contrôle. On ne note pas de syndrome inflammatoire ou de leucocytose. Nous prenons l'avis du Dr. X mis au courant du cas par le Dr. Y. Le Dr. X passe voir la patiente et effectue un toucher rectal qui ne montre pas de saignements actifs. Il rassure la patiente sur sa situation. Il recontactera la patiente pour un examen radiologique en ambulatoire. Elle est libre de rentrer à domicile. Elle n'est pas limitée à la marche. Reprise de la marche selon douleurs. Arrêt de sport pour 1 mois. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Elle peut marcher en charge complète et doit faire des massages locaux avec de l'huile d'amande. Comme elle est infirmière, nous lui donnons un arrêt de travail à 100% pour 4 semaines puis d'essayer à 50% pour 2 semaines. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Elle peut poursuivre la randonnée. En cas de fortes douleurs au niveau de la face médiale, elle appliquera du Perskindol dont elle a reçu l'ordonnance ce jour. Elle ne souhaite plus faire de la physiothérapie. Traitement terminé. Elle présente des métatarsalgies avec un point maximal au niveau du 2ème rayon sur un hyper-appui de l'articulation MTP 2. En conséquence, cela provoque une arthrite inflammatoire bien palpable à l'examen clinique. Il y a différentes causes de cet hyper-appui soit une tendance de pes cavus avec un axe de l'arrière-pied en valgus et une dorsiflexion diminuée de la cheville. Nous proposons un traitement conservateur avec stretching de la chaîne postérieure pour augmenter la souplesse ainsi que des semelles avec un soutien de la voûte plantaire et une barre rétro-capitale. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Nous organisons une IRM pour exclure une autre origine structurelle. Elle présente des signes dégénératifs débutants au niveau de l'articulation TMT 1. Nous lui prescrivons des semelles adaptées. Elle est libre de faire du sport selon douleurs. Nous constatons également des douleurs neuropathiques avec la clinique d'un syndrome du tunnel tarsien. Nous allons voir l'évolution spontanée avec les semelles et, selon les résultats, nous envisagerons une infiltration au niveau du tunnel tarsien. Prochain contrôle clinique dans 8 semaines. Elle présente une déchirure méniscale de la corne postérieure du ménisque interne du genou G survenue sur un accident. On commence un traitement conservateur avec physiothérapie, mobilisation douce selon douleurs et charge complète selon douleurs. Elle peut arrêter l'immobilisation par attelle. La prophylaxie pour la thrombose pourra être arrêtée dès qu'elle sera en charge complète. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'à la fin de la semaine prochaine. Puis reprise à 80% de son 90% comme infirmière. On atteint une amélioration de la clinique par traitement conservateur. Par contre, ces lésions peuvent se déplacer parfois et provoquer un blocage du genou. Si c'est le cas, elle nous informera de suite et nous organiserons une intervention chirurgicale. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Elle reconsultera demain à jeun pour une éventuelle prise en charge chirurgicale. Elle souffre de douleurs d'origine X liées au niveau du sinus du tarse à G. Dans un premier temps, on a fait, en salle des plâtres, une surélévation du bord interne au niveau du talon de 5 mm qu'elle doit porter le plus possible. Elle ne souhaite pas poursuivre la physiothérapie. Elle ne souhaite pas non plus d'US. Nous la reverrons dans 4 semaines pour un contrôle clinique. Elle souffre de douleurs mais nous n'arrivons pas à objectiver l'origine structurelle. Pour le moment, nous envisageons un traitement symptomatologique et lui prescrivons des talonnettes en silicone. Il faudra également calmer la situation au niveau du dos, raison pour laquelle nous prescrivons de la physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines. En cas de non amélioration, une analyse statique/pression/dynamique à OrthoTeam devra être envisagée. Elle va reprendre son travail (taux habituel de 30%) dès le 16.04.2019 sans contre-indication de notre part. Nous soulignons l'importance de garder une hygiène de vie dynamique et lui expliquons que ces 6 fractures subies peuvent être la raison de douleurs musculaires mais peuvent être traitées avec de nouvelles séances de physiothérapie en cas de récidive. En revanche, en cas de crise aiguë douloureuse ou en cas de nouvelle fracture (patiente connue pour une ostéoporose sous traitement par Forsteo), il faudra nous recontacter rapidement. Pas de prochain contrôle prévu sinon, mais nous restons à disposition.Elongation des ischio-jambiers à gauche. Entorse stade I cheville D. Elongation du muscle gastrocnémius latéral droit et du muscle Biceps femoris droit le 28.04.2019. Elongation-claquage des ischio-jambiers à gauche, proximaux. Embolie artérielle, probablement de l'artère brachiale gauche en 2000. Epanchement pleural gauche. Incompétence chronotrope sévère au test d'effort du 23.04.2015. Fibrillation auriculaire le 28.04.2015. Embolie pulmonaire bilatérale, dans un contexte oncologique • PESI : 127 points, classe V • Risque intermédiaire bas Embolie pulmonaire bilatérale non-high risk le 11.04.2019. Embolie pulmonaire bilatérale sur TVP poplitée gauche en 2008 AVC ischémique lacunaire subaigu pontique paramédian gauche le 19.05.2015 avec occlusion complète de l'artère carotide gauche. Embolie pulmonaire centrale bilatérale avec thrombose veineuse profonde du mollet gauche le 12.04.2019 • dilatation modérée du ventricule droit • score de Genève à 13 points (haut risque), PESI score: 97 points (risque intermédiaire) Embolie pulmonaire centrale le 12.04.2019 avec: • score de Genève à 13 points (haut risque) • PESI score: 97 points (risque intermédiaire) Embolie pulmonaire (découverte fortuite à l'imagerie, sur une immobilisation prolongée sans prophylaxie en raison d'une anémie spoliative en mars 2014), sous Sintrom dès le 22.03.2014 • CHA2Ds2-VASc: 4, HASBLED: 2 (02/2019) Infections urinaires à répétition dernière le 11.02.2019 • Globe vésicale avec macro-hématurie probablement d'origine post-traumatique le 11.02.2019 • Sonde urinaire du 11.02 au 21.02.2019 • Culture urinaire 11.02.2019: positive à 10^5 E. faecalis (non-symptomatique) Accident ischémique transitoire hémorragique en 2003. Suspicion de colite segmentaire le 30.01.2019 avec image compatible au CT • CT thoraco-abdominal le 30.01.2019: image compatible avec colite segmentaire, pas de suspicion de tumeur. Cholélithiase. Calcification hépatique et iléales probablement en rapport avec une ancienne tuberculose. Multiples kystes hépatiques d'aspect banal. Nette calcification de la valve aortique. Signe évocateur d'une chondrocalcinose. Upside down stomach. Dolichocôlon et diverticulose • Résection d'un polype sessile de 12 mm du côlon droit, 2 petits polypes du sigmoïde laissés en place, diverticulose sigmoïdienne, status hémorroïdaire interne stade I, à la colonoscopie du 11.03.2013 Reflux gastro-oesophagien sur hernie hiatale compliquée d'endo-brachy-oesophage (OGD 18.12.2012), avec oesophage de Barett (OGD le 13.03.2014) et hémorragie digestive haute anémisante en mars 2014. Cholélithiase asymptomatique. S/p thyroïdite De Quervain. S/p cataracte opérée. S/p implantation de prothèse totale de hanche droite en 2009. S/p intervention des varices. S/p hystérectomie en 1982. Embolie pulmonaire en 12.2018 actuellement anticoagulée par Xarelto 20 mg 1x/j. Embolie pulmonaire en 2014. Douleurs rétrosternales dans un contexte de fibrillation auriculaire rapide le 08.03.2019. Embolie pulmonaire idiopathique non high-risk le 23.05.2017 avec: • Anticoagulation par Xarelto 15 mg 2x/jour pendant 3 semaines, puis 20 mg 1x/jour pendant 3 mois minimum. Embolie pulmonaire lobaire supérieure droite le 26.03.2019 • dyspnée d'effort NYHA lll progressive depuis plusieurs semaines • score PESI 100 points le 26.03.2019 Embolie pulmonaire massive le 11.04.2019 • Adénocarcinome moyennement différencié du moyen-rectum en rémission complète s/p résection rectale. Embolie pulmonaire récente, juillet 2018 Lésion du nerf sciatique droit sur status post PTH en 2014 Etat confusionnel. Hyponatrémie chronique depuis 2014. AVC (2004) avec légers troubles de l'élocution et parésie faciale centrale droite résiduels. Embolie pulmonaire segment latéral du lobe moyen, sans répercussion hémodynamique, le 12.03.2019. Embolie pulmonaire segmentaire au niveau du lobe moyen le 12.11.2018. • Xarelto 15 mg 2x/jour dès le 12.11.2018, pour 3 semaines puis Xarelto 20 mg 1x/jour pour 3 mois. Bicytopénie avec anémie arégénérative à 132 g/l et neutropénie à 0.67 G/L 23.11.2018 sur probable virose. Agranulocytose le 24.11.2018 : isolement et Neupogen 30 mio U, 26.11.2018, levée de l'isolement. Embolie pulmonaire segmentaire avec extension sous-segmentaire du segment postéro-basal du lobe inférieur droit le 15.03.2019 • découverte fortuite au CT thoracique du 15.03.2019 DD: • secondaire à l'alitement suite à l'AVC • syndrome de Trousseau (peu probable au vu de l'absence de tumeur avancée identifiée) Embolie pulmonaire segmentaire droite le 12.09.2012 avec épanchement pleural droit. Diarrhées chroniques investiguées pendant une hospitalisation au mois d'août 2015 et suivies par Dr. X. Douleur thoracique probablement d'origine musculo-squelettique. Idées suicidaires scénarisées, sans passage à l'acte le 10.10.2016. Idées suicidaires avec facteur de risque élevé, urgence moyenne et dangerosité élevée chez un patient avec une notion de schizophrénie paranoïde. Contusion du genou droit. Fasciite plantaire pied gauche. Embolie pulmonaire segmentaire du lobe inférieur droit le 08.01.2019 • Traitement par Lixiana 30 mg/jour jusqu'au 30.06.2019. Status post thyroïdectomie subtotale en 2009 au Brésil pour un probable goitre. Status post opération de cataracte des deux côtés en 2017. Embolie pulmonaire segmentaire et sous-segmentaire le 20.03.2019. Embolie pulmonaire segmentaire postéro-basale droite le 28.02.2019 asymptomatique dans le contexte d'un alitement prolongé • Pose de filtre dans la veine cave le 01.03.2019 Embolie pulmonaire sous-segmentaire au niveau de la pyramide basale G. Embolie pulmonaire sous-segmentaire droite de découverte fortuite, le 01.04.2019 • Facteur de risque : contraceptif, tabagisme actif Embolie pulmonaire sous-segmentaire droite le 09.11.2018. Chondrocalcinose malléole gauche le 23.10.2015. Diverticulite sigmoïdienne, 1er épisode, le 05.08.2015. Pneumothorax gauche post-biopsie percutanée. Mise en place d'un drain thoracique du 12.03 au 14.03.2017 avec hospitalisation en chirurgie. Abcès mandibule à droite d'origine dentaire avec phlegmon cervical et au niveau mandibulaire à droite (incision et drainage d'abcès le 05.11.2017; extraction dentaire 43, 44, 45 le 06.11.2017). Ostéonécrose de la mandibule dans le contexte post radio-chimiothérapie : résection partielle de la mandibule droite le 25.05.2018.Infection de Port-à-cath à Staphylocoque Epidermidis Resistant 19.01.2019 • Posé en 2015 • Ablation du PAC le 23.01.2019 • Dermo-hypodermique associée à un phlegmon non drainable de 23 x 7 mm sous la cicatrice de l'ancien PAC le 24.01.2019 Décompensation cardiaque le 22.01.2019 ETT le 25.01.2019 : FEVG à 55%, masse de 15 x 20 mm dans VG : thrombus vs trabéculations calcifiés ETT de contrôle le 07.02.2019 : FEVG 65%, absence de thrombus intraventriculaire, masse apicale calcifiée : DD trabécule ou muscle papillaire calcifié Carcinome épidermoïde de l'oropharynx en stade localement avancé cT4a cN2c cM0 HPV positif • Date du diagnostic : 26.06.2015 • Histologie panendoscopie (Promed P5433.15) : carcinome épidermoïde associé à un HPV MIB-1 à 90% • CT cervico-thoracique du 29.06.2015 : masse tumorale volumineuse dans l'oropharynx avec infiltration de la langue, multiples adénopathies cervicales bilatérales • IRM du 02.07.2015 : masse tumorale volumineuse de l'oropharynx avec adénopathies sous-mandibulaires et cervicales bilatérales multiples • Status post-2 cycles de chimiothérapie d'induction par Platinol, Taxotere et 5-FU du 28.07.2015 au 18.08.2015 (2ème cycle sans Taxotere) • Status après radio-chimiothérapie combinée avec Platinol à visée curative du 17.09.2015 au 28.10.2015 Embolie pulmonaire sous-segmentaire droite le 09.11.2018 Chondrocalcinose malléole gauche le 23.10.2015 Diverticulite sigmoïdienne, 1er épisode, le 05.08.2015 Pneumothorax gauche post-biopsie percutanée Mise en place d'un drain thoracique du 12.03 au 14.03.2017 avec hospitalisation en chirurgie Abcès mandibule à droite d'origine dentaire avec phlegmon cervical et au niveau mandibulaire à droite (incision et drainage d'abcès le 05.11.2017 ; extraction dentaire 43, 44, 45 le 06.11.2017) Ostéonécrose de la mandibule dans le contexte post-radiochimiothérapie : résection partielle de la mandibule droite le 25.05.2018 Infection de Port-à-cath à Staphylocoque Epidermidis Resistant 19.01.2019 • Posé en 2015 • Ablation du PAC le 23.01.2019 • Dermo-hypodermique associée à un phlegmon non drainable de 23 x 7 mm sous la cicatrice de l'ancien PAC le 24.01.2019 Décompensation cardiaque le 22.01.2019 ETT le 25.01.2019 : FEVG à 55%, masse de 15 x 20 mm dans VG : thrombus vs trabéculations calcifiés ETT de contrôle le 07.02.2019 : FEVG 65%, absence de thrombus intraventriculaire, masse apicale calcifiée : DD trabécule ou muscle papillaire calcifié. Embolie pulmonaire submassive centrale bilatérale le 09.01.2012 Embolie pulmonaire subsegmentale D de découverte fortuite, le 02.04.2019 • FR : pilules et nicotine Embolies pulmonaires à risque intermédiaire le 30.08.2016 : • Segmentaires et sous-segmentaires bilatérales Hypertension artérielle Obésité stade I BMI à 33 Hypothyroïdie substituée par Euthyrox Adénocarcinome séreux papillaire de haut grade des ovaires, classé pT3a cN0 cM0, FIGO IIIA Date du diagnostic : 20.05.2016 • Pathologie (Argot Lab P9348.16) : adénocarcinome séreux papillaire de haut grade, des franges tubaires gauches avec petite zone de carcinome in situ, adénocarcinome séreux de haut grade des deux ovaires, associé à des aspects de tumeur séreuse borderline (annexes gauche et droite) • Pathologie (Argot Lab P10733.16) : foyer de carcinome séreux papillaire de haut grade sur épiploon. • Cytologie (Argot Lab CS1733.16) : lavage péritonéal du 09.06.2016 : présence de rares amas de cellules malignes dans le lavage péritonéal de type adénocarcinome • CT thoraco-abdominal du 20.04.2016 : normal pour le thorax, processus expansif dans le petit bassin à gauche, minime quantité de liquide dans le petit bassin, hernie hiatale • IRM du pelvis du 02.05.2016 : lésion tumorale tissulaire suspecte dans les deux annexes prédominant nettement à gauche associée à une lame d'épanchement péritonéal sans adénopathie suspecte. Myome utérin de petite taille • Status post-annexectomie bilatérale et washing péritonéal par laparoscopie le 20.05.2016 • Status post-hystérectomie totale, washing, omentectomie, appendicectomie et pose de PAC le 09.06.2016 Embolies pulmonaires bilatérales de découverte fortuite • Sans signe d'hypertension artérielle pulmonaire • Ni mise en évidence d'infarctus pulmonaire • Sans impact hémodynamique Embolies pulmonaires bilatérales probablement secondaires au contexte oncologique le 17.04.2019 avec : • Bilatérales, lobaires inférieures et supérieures du côté droit, s'étendant dans 3 segments, et segmentaire antéro-basale dans le LIG • Tumeur du caecum, mise en évidence à la coloscopie du 11.04.2019 (Dr. X) pour notion de méléna • PESI score 101, classe III, risque intermédiaire Embolies pulmonaires bilatérales probablement secondaires au contexte oncologique le 17.04.2019 avec : • Tumeur du caecum, mise en évidence à la coloscopie du 11.04.2019 (Dr. X) • PESI score 101, classe III, risque intermédiaire Embolies pulmonaires bilatérales proximales à prédominance gauche le 19.12.2017 • Anticoagulation par Xarelto 2 x 15 mg jusqu'au 10.01.2018, puis 1 x 20 mg jusqu'au 20.03.2018 Sigmoïdectomie selon Hartmann le 30.11.2017 avec fermeture cutanée le 06.12.2017 (Dr. X/Dr. Y) pour diverticulite aiguë abcédante du sigmoïde Crise de goutte du pied droit Césarienne Appendicectomie dans l'enfance Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine pré-rénale le 22.02.2018 • Fraction d'excrétion de l'urée : 9.41 % Insuffisance rénale chronique avec créat à 105 mmol/l le 09.08 État fébrile le 08.04.2019 probablement causé par une gastro-entérite virale débutante Cure de hernie para-stomiale par abord direct et mise en place d'un filet de Polypropylène Cousin rétro-musculaire le 22.03.2019 Embolies pulmonaires centrale gauche et segmentales bilatérales avec décompensation cardiaque aiguë gauche NYHA IV et cœur pulmonaire aigu, le 30.03.2019 Embolies pulmonaires le 19.04.2019 : • Embolies centrale D et segmentaire G avec foyers sur infarctus pulmonaires au niveau du lobe inf. D et G. Embolies pulmonaires le 19.04.2019 : • Embolies centrale D et segmentaire G avec foyers sur infarctus pulmonaires au niveau du lobe inf. D et G. • Mme. Y 2G1P à 8 semaines d'aménorrhée Embolies pulmonaires lobaires moyenne et postéro-basale inférieure droite associées à un infarctus pulmonaire avec : • Thrombose veineuse du membre inférieur gauche le 08.04.2019 • Hémoptysie le 09.04.2019 Embolies pulmonaires multiples AIT en 1993 Agranulocytose dans le contexte de chimiothérapie du 15 au 17.03.2019 Syndrome cervico-radiculaire avec hypoesthésie C7-8 (12/2011) Traumatisme crânien par accident de la voie publique en 1992 Embolies pulmonaires multiples AIT en 1993 Conjonctivite bactérienne de l'œil droit en 03.2019 Agranulocytose dans le contexte de chimiothérapie du 15 au 17.3.19 • Neulasta 6 mg le 10.3.19 Syndrome cervico-radiculaire avec hypoesthésie C7-8 (12/2011) Traumatisme crânien par accident de la voie publique en 1992 Embolies pulmonaires segmentaires bilatérales le 29.03.2019 • absence de facteurs de risque thrombo-emboliques Embolies pulmonaires segmentaires le 06.08.2018 : • Pas d'anticoagulation au vu de plusieurs hémorragies digestives hautes dans le passé • Pose de filtre de la veine cave le 06.08.2018 Embolies pulmonaires segmentaires le 17.04.2018. Pneumonie communautaire basale gauche le 10.04.2018. Cancer ovarien traité par chimiothérapie et hystérectomie en août 2008 en rémission complète. Cancer du sein gauche diagnostiqué en 2013 avec status post radiothérapie adjuvante et hormonothérapie. Prothèse totale de hanche en 2011. Arthroscopie du genou droit en 2014. Appendicectomie. Opération de la thyroïde pour un goître. Fracture de la base du 5ème métatarse. Embolies pulmonaires segmentaires PESI 0 le 30.03.2019 Embolies pulmonaires segmentaires sPESI 0 le 30.03.2019 • sous Xarelto Malaria à Plasmodium falciparum avec anémie hémolytique. • status post-crises en octobre 2012 et le 1er novembre 2012, traitée par Artéméther au Cameroun. Probable ecthyma jambe gauche. Embolies pulmonaires (2006, 2013) avec anticoagulation au long cours par Xarelto Embolisation d'une masse hépatique Embolisation le 29.03.2019 (Dr. X) Embolisation masse rénale EMG : Pas de signe de compression du nerf axillaire à l'espace quadro-angulaire. EMG : syndrome du tunnel carpien post-traumatique de légère intensité. EMG du 05.04.2019 : l'examen confirme le diagnostic et montre un syndrome du tunnel carpien avancé à gauche. EMG du 12.11.2018 : syndrome du tunnel carpien avancé à D. EMG du 15.04.2019 : confirmation d'un syndrome du tunnel carpien avancé à gauche. EMG du 19.02.2019 : l'EMG confirme le syndrome du tunnel carpien de la main D avec une souffrance du nerf médian à D. A G, il y a également des altérations des paramètres mais seulement sensitifs du nerf médian. EMG du 22.03.2019 : altération des paramètres sensitifs du nerf médian D dans le segment distal, autrement EMG normal. Emphysème centro-lobulaire et paraseptal prédominant aux lobes supérieurs : CT thoraco-abdo Genève. Emphysème et bronchectasie compatible avec une BPCO • tabagisme actif 60 PY Emphysème pulmonaire sévère (D > G). Cardiopathie dilatée d'origine indéterminée. Emphysème sous-cutané de la face, du cou et du thorax, avec pneumo-médiastin et pneumopéritoine le 05.09.2018 sur perforation sigmoïdienne sur coloscopie datant du 04.09.2018. Notion d'hématochézie le 21.09.2018 Baisse de l'état général dans un contexte de diarrhées chroniques avec perte de poids probablement en raison d'une colite microscopique : • Calprotectine à 357 µg/g le 17.09.2018 Fracture non déplacée de l'os propre du nez le 27.10.2012 Cancer mammaire droit avec deux interventions chirurgicales il y a plus de 30 ans (Châtel-Saint-Denis), chimiothérapie et radiothérapie Ligature des trompes il y a plus de 45 ans En absence d'amélioration de la clinique après une semaine, il est recommandé à la patiente d'aller consulter auprès du Dr. X, ORL à Muntelier En absence d'amélioration de la clinique sous traitement symptomatique, le patient est invité à reconsulter à la permanence. En absence de critère d'Ottawa et après discussion avec la patiente, une radiographie de la cheville n'est pas indiquée. Mise en place d'un renforcement par attelle, ainsi qu'une antalgie simple adaptée en réserve, pas de canne de décharge. En absence de syndrome inflammatoire, ainsi que de foyer visualisé à la radiographie, et chez une patiente afébrile, un traitement symptomatique par Symbicort est initié, jusqu'à résolution des symptômes. La patiente est informée qu'une surinfection bactérienne secondaire est possible, raison pour laquelle elle est invitée à reconsulter en cas de péjoration. En accord avec la patiente, l'indication opératoire est posée pour une ostéosynthèse du radius distal G. La patiente est clairement informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord et le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire pour le 04.04.2019. Une consultation pré-anesthésique a déjà été effectuée. En bonne santé habituelle, pas de maladie connue, pas de médication régulière. Pas d'allergie médicamenteuse. Vaccins à jour. En cas d'angoisse, possibilité d'introduction de distraneurine. Suivi ultra-son et alpha-foeto-protéine aux 6 mois. Suivi du poids et introduction de diurétique au besoin. En cas d'apparition de nouveaux symptômes En cas de mauvaise hydratation En cas de péjoration dans 48-72h En cas de péjoration de l'état respiratoire En cas de péjoration ou prise de traitement largement insuffisante En cas de persistance de la toux à 1 mois En cas de persistance de la toux à 1 mois du début des symptômes En cas de persistance des douleurs à 10 J, les orthopédistes sont à disposition pour la réévaluer. En cas de persistance des douleurs à 2 semaines En cas de persistance des symptômes après 48h, et au vu de l'impossibilité de consulter en vacances, les parents ont la consigne de débuter un traitement d'amoxicilline pendant 5 jours. En cas de persistance, nouvelle consultation avec discussion d'une culture de selles. En cas de symptômes anormaux En cas d'échec d'espacement du Ventolin aux urgences À la fin du traitement d'antibiotique chez le pédiatre En ce qui concerne la cheville gauche, il y a une excellente évolution au fil de la physiothérapie. Pas de contrôle prévu, reprise de toutes les activités selon tolérance. Pour la cheville droite, il y a une douleur en regard de la malléole interne qu'il s'agit d'investiguer par un scanner afin d'exclure un fragment ostéochondral libre. Elle sera revue une fois l'examen réalisé. En ce qui concerne la fracture, on a une bonne consolidation osseuse. La patiente présente une minime restriction en flexion, ne la dérangeant pas dans les AVQ. En ce qui concerne les paresthésies sur le territoire médian, il s'agit d'un syndrome de tunnel carpien, raison pour laquelle un ENMG du nerf médian est prescrit. La patiente sera revue, une fois cet examen effectué, à la consultation du membre supérieur pour discuter des résultats. En ce qui concerne la plaie, nous effectuons une désinfection puis un rapprochement des berges cutanées par 6 points simples Ethilon 4-0 sous anesthésie locale. L'ablation des fils se fera chez le médecin traitant à 14 jours. En ce qui concerne le traumatisme crânien, au vu de l'examen neurologique sans particularité et de l'absence de symptôme inquiétant, nous laissons le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple de réserve. Nous lui donnons la feuille de surveillance après la lui avoir expliquée. En cas d'apparition de nouveaux symptômes, il se présentera immédiatement aux urgences. En ce qui concerne la prothèse de hanche à D, l'évolution est très favorable. Prescription de nouvelles séances de physiothérapie pour école de marche. En ce qui concerne la hanche G, nous prévoyons une consultation afin de planifier l'opération, à savoir une prothèse totale de hanche. On prévoit également une date opératoire en juin sur une plage pendant laquelle le Prof. X est absent. En ce qui concerne la suspicion de la lésion au niveau de la syndesmose de la cheville gauche, nous allons programmer une radiographie en charge de la cheville gauche et un scanner pour la semaine prochaine et par la suite contrôle avec le team pied pour discuter des résultats. Une suspicion de lésion au niveau de l'articulation de la syndesmose qu'on a déjà expliqué, la procédure chirurgicale. Marche en décharge avec Vacoped, Clexane et des béquilles.En ce qui concerne le bassin, il s'agit d'une fracture stable. On préconise la poursuite du traitement conservateur avec rééducation à la marche avec des cannes axillaires et la patiente reçoit une ordonnance à cet effet. Elle va pouvoir solliciter la venue d'un physiothérapeute. En ce qui concerne le poignet G, on recommande la poursuite du traitement conservateur et la patiente est adressée chez le plâtrier pour circularisation du plâtre. On recommande un contrôle radioclinique tant au niveau du bassin que du poignet hors plâtre à 6 semaines post-traumatique, à la consultation urgence. En ce qui concerne le pouce à ressaut, la situation est claire. À mi-terme, une cure de pouce à ressaut sera indiquée. On est par contre frappé par l'atrophie thénarienne unilatérale droite assez marquée. Celle-ci est signe soit d'une lésion iatrogène de la branche motrice thénarienne du nerf médian lors de cette cure de doigt à ressaut qui a eu lieu dans le passé soit la patiente présente une récidive assez marquée d'un syndrome du tunnel carpien. Avant que j'organise la chirurgie pour le pouce, j'organise un examen neurologique auprès du Dr. X. Je reverrai la patiente à la suite de cet examen pour planifier la suite de la prise en charge. En ce qui concerne le syndrome du tunnel carpien à D, l'indication opératoire est posée. J'informe du déroulement intra- et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 20.05.2019. En ce qui concerne le traumatisme crânien, au vu de l'absence de signe de gravité, le patient reçoit la feuille de surveillance (il vit avec ses parents). Plaie de 1 cm longitudinale de 1 cm, 0.5 mm en-dessous de la lèvre inférieure à droite : désinfection et anesthésie locale par Rapidocaïne bicarbonate et suture avec 2 points d'Ethylon 4.0. Les points seront à enlever à 5 jours chez le médecin traitant. Plaie longitudinale de 1 cm non transfixiante de la muqueuse interne de la lèvre inférieure à droite : désinfection, anesthésie locale et suture avec 2 points de Vicryl 4.0. Nous effectuons un arrêt de sport et le patient quitte les urgences avec sa mère. Une antalgie en réserve est conseillée (le patient a déjà du Dafalgan à la maison). En ce qui concerne l'épaule, pas de douleur, fin du traitement chez moi. Je demande au patient de me rapporter l'IRM lombaire et le compte-rendu du radiologue pour faire le bilan et l'adresser éventuellement à un spécialiste du dos. En ce qui concerne l'épicondylite, l'évolution est tout à fait favorable, nous maintenons l'antalgie et le traitement physiothérapeutique, la suite de la prise en charge pourra se faire via son médecin traitant. En ce qui concerne son contexte social, la patiente maintiendra les rendez-vous de soutien psychologique. La suite se passera également via son médecin traitant. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. En ce qui concerne son poignet gauche, l'évolution est tout à fait satisfaisante. Néanmoins, en raison des quelques degrés d'amplitude manquants, nous l'encourageons à poursuivre les séances de physiothérapie qui ont apporté jusqu'à ce jour un grand bénéfice. La patiente souhaitant reprendre la natation, nous l'informons que cette activité est tout à fait compatible avec son intervention. Au niveau de la cheville, nous l'encourageons également à poursuivre la physiothérapie pour proprioception et renforcement des muscles tibiaux et péroniers. La patiente a une semelle orthopédique que nous l'encourageons à porter le plus possible. Au niveau de son genou, poursuite de la rééducation dans l'axe. À noter que la patiente a adapté son activité sportive en fonction de ses douleurs sans nouvelle sensation d'instabilité ou de lâchage. Pour notre part, prochain contrôle radiologique et clinique dans 6 mois. En cours d'investigation En cours : sérologie Bartonella, Toxoplasmose, CMV En jouant au tennis, le patient chute et se réceptionne sur la hanche droite. D'emblée, impotence fonctionnelle et douleurs, raison pour laquelle Mr. Y est amené aux urgences par ambulance. Le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. Par ailleurs, des douleurs de la main droite motivent la réalisation d'une radiographie qui permet d'exclure toute fracture. Le patient est hospitalisé dans le service d'orthopédie, le traitement de Plavix est mis en suspens et, sur avis du Dr. X, cardiologue traitant, l'Aspirine Cardio est instaurée, à poursuivre à vie. L'intervention se déroule sans complication le 25.03.2019. Les suites opératoires sont simples, avec bon contrôle de l'antalgie. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge de 15 kg pour une durée de 6 semaines, sous protection de cannes anglaises. La cicatrice, visualisée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg a été instaurée durant le séjour, relayée par Xarelto 10 mg per-os/jour à la sortie, à poursuivre durant 6 semaines. Devant la bonne évolution clinique, Mr. Y est transféré à l'HFR Billens le 29.03.2019 pour suite de la prise en charge. En l'absence d'un déplacement secondaire de la fracture, nous proposons la poursuite du traitement conservateur par le port de l'attelle thermoformée durant 1 mois supplémentaire. Prochain contrôle radio-clinique le 03.05.2019. Nous recommandons à la patiente d'attendre 3 mois après le traumatisme avant d'envisager la reprise des activités à risque. En l'absence d'une gêne majeure, voire une faiblesse au test de Jobe, avec une mobilité actuellement complète, je ne suis pas obligé de proposer une chirurgie à tout prix. On va tenter de réinsérer le patient dans son activité professionnelle en tant que plâtrier. Reprise du travail à 50 % à partir du 06.05.2019. J'ai programmé un contrôle le 23.05.2019 pour juger de l'évolution. En pré-hospitalier : 0.5 mg d'adrénaline i.m puis 0.3 mg ; 2 aérosols d'adrénaline 5 mg ; Tavégyl 2 mg, Solumédrol 125 mg Aux urgences, 1 aérosol d'adrénaline 5 mg Gazométrie Suspension IEC En pré-hospitalier : ESV isolées et bradycardie à 48/minute, ESV majorées après administration de 0.5 mg d'Atropine. Laboratoire. ECG : rythme sinusal, normocarde, ESV isolées. Test de Schellong : asymptomatique, baisse initiale de la tension artérielle de 142 mmHg de systolique à 116 mmHg, avec réponse sympatico-tonique. Aux urgences : hydratation par NaCl 0.9 % 750 ml i.v. Retour à domicile avec contrôle clinique et biologique chez le médecin traitant à une semaine avec TSH et ECG de contrôle. Si persistance des ESV, nous vous proposons un Holter en ambulatoire. Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. En pré-hospitalier : 50 mcg de Fentanyl, 1 g de Paracétamol, 75 mg de Diclofénac. Antalgie. Recommandations d'usage. Instruction pour école du dos. Suite de soins en ambulatoire auprès du médecin traitant ou ostéopathe si nécessaire. En présence du Dr. X, nous informons le patient que cette évolution clinique en vague n'est pas inhabituelle. La chute lors de la pratique de la grimpe est la cause la plus probable de la recrudescence de ces lombalgies. Nous lui rappelons que pour l'instant il est encore trop dangereux pour lui de pratiquer ce sport. À lui le choix d'accepter ce risque ou non. Nous l'encourageons à poursuivre la physiothérapie dont nous prescrivons une nouvelle ordonnance. Les séances d'ostéopathie ne sont pas contre-indiquées en parallèle. Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois, à 6 mois post-opératoires.En présence du Dr. X, nous encourageons durant notre longue discussion, le patient à reprendre une activité sportive. En effet, le patient est dans une école privée à Lausanne et a des difficultés à trouver du temps à côté pour pratiquer une activité sportive. Nous lui rappelons que c'est de cette activité sportive que dépendra ses dorsalgies. Nous l'encourageons également à perdre du poids, ceci étant le plus facile à son âge. Nous l'informons par contre que s'il n'est pas prêt à faire plus d'efforts, notamment l'augmentation de l'activité physique, il n'est pas nécessaire de revenir en consultation. Nous restons néanmoins à disposition et souhaitons revoir le patient dans un an pour un contrôle radiologique et clinique. Prescription de semelles adaptées, les dernières datant d'il y a 2 ou 3 ans. En raison de la crispation de Mme. Y durant l'examen physique, nous débutons une crème topique par Rectogésic, dans le but de réduire les spasmes du sphincter anal. En parallèle, un traitement par laxatif et une antalgie per os sont débutés. En absence d'amélioration, Mme. Y est invitée à reconsulter. Une consultation chez un gastro-entérologue pourrait être nécessaire en fonction de l'évolution. En raison de la fièvre depuis 2 heures et d'un excellent état général, pas de bilan sanguin. Echec clean catch. En raison de la mononucléose mise en évidence, l'antibiothérapie est mise en pause, et un traitement antalgique est majoré et poursuivi. Un arrêt de travail pour une durée de 2 semaines est recommandé. En cas de péjoration de la clinique, Mme. Y est encouragée à reconsulter. En raison de la perte de substance, nous ne pouvons pas suturer la plaie. Nous mettons en place un pansement compressif et indiquons un contrôle chez le médecin traitant dans 24-48h. En raison de l'agitation du patient et de la complexité de l'intervention, après avoir pris contact avec l'Inselspital, nous adressons le patient aux Urgences pédiatriques pour une prise en charge optimale. Il reçoit 500mg d'Algifor à la Permanence. En raison de l'apparition des symptômes depuis moins de 7h, nous prenons un avis auprès de Dr. X, neurologue, qui demande un transfert à Fribourg pour l'imagerie et la suite de la prise en charge. En raison de l'impossibilité à s'hydrater malgré la prise d'antiémétique et de la fréquence des vomissements, nous effectuons une hydratation intraveineuse sur 4 heures. En raison de sa grossesse, Mme. Y souhaite un traitement conservateur et sur les images, on ne constate pas de déplacement secondaire. On propose de poursuivre le traitement conservateur avec la botte plâtrée fermée pour un total de 6 semaines avec charge de 15 kg et protection par Clexane 40 mg sous-cutané durant l'immobilisation. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines post-traumatisme. En raison des crises d'hyperventilation, nous réalisons une première gazométrie montrant une alcalose respiratoire avec un pH à 7.65 et une PCO2 à 1.5. Après administration d'anxiolytiques, nous répétons la gazométrie qui s'améliore avec un pH à 7.34 et une PCO2 à 4.5 avec des Bicarbonates à 18. Après administration des 3.5 mg de Temesta, le patient s'endort. A son réveil, le patient ne présente pas d'angoisse et décrit ne pas avoir d'idée suicidaire, mais il est d'accord avec une évaluation psychiatrique. Nous prenons un avis pédopsychiatrique qui indique une évaluation ce jour, le 18.04.2019 à 15h00 pour la suite de la prise en charge, à l'HFR Fribourg. En raison des douleurs d'origine peu claires, et des douleurs chroniques de Mme. Y, avec suivi rhumatologique chez Dr. X, un traitement symptomatique par Dafalgan et Ibuprofen est débuté, avec recommandation de consultation chez Dr. X dans le courant de la semaine. En raison du laboratoire et du scanner cérébral du 23.04 qui sont revenus sans particularités et de l'examen neurologique normal du jour, nous décidons de soulager Mme. Y par Novalgine 1g iv, Primperan 10 mg iv et Tramal 50 mg p.os aux urgences et de continuer correctement son traitement symptomatique à domicile car faible compliance. Des investigations supplémentaires seront lancées en cas de persistance des symptômes. En raison du tabagisme actif chez le patient, ainsi que la localisation de la douleur, un ECG est effectué, revenant normal. Dans ce contexte, le patient peut rentrer à domicile avec un traitement par Pantozol 40 mg pendant 1 mois, avec réévaluation à la fin du traitement. En raison d'un statut clinique rassurant, nous conseillons à Mme. Y de poursuivre son traitement. Nous lui communiquons le résultat de l'urotube qui revient avec un E. Coli. Le suivi se fera chez le médecin traitant. En raison d'une absence de syndrome inflammatoire, de perturbation de tests hépatiques ainsi qu'un ultrason de débrouillage rassurant, nous laissons Mme. Y rentrer à domicile avec une bonne antalgie. Rendez-vous de contrôle le 28.04.2019 avec ultrason par radiologue pour décision et +/- avis chirurgical pour la suite de la prise en charge. En raison d'une notion d'érythème après prise de Brufen, nous prescrivons du Diclofénac. En regard de la sévérité des opérations, l'évolution est favorable avec la physiothérapie et l'ergothérapie que nous conseillons fortement de poursuivre. Arrêt de travail jusqu'au 15.05.2019, moment où il va bénéficier d'une prothèse de la hanche. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. En regard des douleurs neuropathiques et de l'hyposensibilité, l'évolution clinique est très favorable. La position de la plaque n'explique pas le déficit de la supination/pronation que nous estimons environ à 15°. Vu la bonne évolution sur le plan neurologique, nous déconseillons fortement d'enlever la plaque et de continuer le traitement physiothérapeutique pour regagner encore quelques degrés de supination. Les suites post-opératoires seront effectuées à la consultation du Dr. X où le patient sera réévalué au mois d'avril. En reprenant la discussion de la dernière consultation, nous expliquons au patient que le résultat attendu d'une opération de décompression est un soulagement des douleurs radiculaires, sans impact garanti sur la parésie déjà présente depuis 2 à 3 semaines. Au vu de la nette amélioration des douleurs et d'une marche qui est libre, nous décidons d'un commun accord avec le patient de renoncer à l'intervention prévue pour demain. Nous prévoyons donc un nouveau contrôle à court terme, dans 2 semaines. En cas de nouvelle aggravation des douleurs dans l'intervalle, il nous recontactera en urgence. Poursuite de la physiothérapie et du Compex. Antalgie au besoin. Nous avons entre-temps discuté avec son cardiologue traitant, Dr. X, qui nous avait confirmé que le risque thrombotique après arrêt d'Aspirine serait trop important. Une éventuelle intervention devrait donc être réalisée sous Aspirine Cardio. En reprenant l'anamnèse, Mme. Y présente des gingivorragies lors du brossage des dents. Nous lui recommandons de consulter un dentiste, ceci pouvant être l'origine des saignements. Si l'étiologie dentaire n'était pas retenue, une OGD en ambulatoire pourrait être discutée, nous vous laissons le soin de juger de la pertinence de cet examen. Mme. Y étant stable sur le plan hémodynamique et l'hémoglobine étant dans la norme (148g/L), nous laissons rentrer Mme. Y à domicile. En somme, il s'agit d'une arthrose du poignet activée par le traumatisme de la fracture et son traitement. L'évolution est plutôt favorable avec immobilisation dans l'attelle qui a bien calmé l'inflammation. Le patient va poursuivre son travail à 100% et s'aider d'une manchette stabilisante à la place de l'attelle. De plus, il va reprendre la physiothérapie pour regagner en mobilité. Prochain contrôle clinique dans 2 mois.En suspectant une appendicite aiguë avec des signes de péritonisme pathologiques, nous contactons le chef de clinique de garde en chirurgie à l'Hôpital Cantonal de Fribourg. N'ayant pas de radiologue sur place, la patiente est transférée accompagnée par sa mère aux Urgences de l'Hôpital Cantonal pour effectuer des investigations supplémentaires à la recherche d'une appendicite. En vue de l'important œdème faisant pression sur la plaie, la présence d'ouvertures au centre de la plaie et l'impossibilité d'enlever un point sur deux, nous prolongeons le maintien de la suture avec un rendez-vous pour retirer les points de suture chez nous à la permanence dans 5 jours. En 2009, status post-kystectomie de l'ovaire droit sous anesthésie générale par tomie (Besançon). En 2012 : status post-ablation des 4 dents de sagesse sous AG. Enalapril en suspens. Encéphalite herpétique à HSV type I le 30.03.2019. Encéphalite herpétique : décembre 2005. Épigastralgies depuis janvier 2006. Status post-carcinome du sein D sous Novaldex (Tamoxifen) diagnostiqué en 2011. Suivi par Dr. X. Status post-splénectomie post AVP dans les années 60-70. Encéphalopathie avec état d'agitation fluctuant d'origine multifactorielle. DD : sepsis, syndrome d'activation macrophagique, composante métabolique. Encéphalopathie d'origine médicamenteuse probable, le 26.04.2019. • Contexte d'insuffisance rénale aiguë avec accumulation de traitement probable. DD : mutisme d'origine psychiatrique. Encéphalopathie hépatique grade 1-2 sur HDH 18.04.2019. Encéphalopathie hypoglycémique sévère après un épisode d'hypoglycémie prolongée le 05.04.2019. • GCS initial à 3. Encéphalopathie hypoxique-ischémique, Sarnat 2. Hypothermie 31.01.2019-03.02.2019 à Berne. Sur physiothérapie Bobath. Suivi chez Dr. X en neuropédiatrie à Berne. Encéphalopathie légère le 20.04.2019. • Sous Duphalac au long cours. Encéphalopathie lésionnelle : 1) hémorragique. 2) composante liée à hépatopathie. Clinique à l'entrée : troubles exécutifs et mnésiques légers/modérés, anosognosie des troubles. Très légère ataxie cinétique à G. • anosognosie des troubles. • MOCA 22/30 le 21.01.2019. > Neuroréhabilitation intensive avec prise en charge multidisciplinaire. > Duphalac 2x/j depuis le 14.01.2019. > Bilan neuropsychologique le 14.02.2019. Hémorragie des noyaux gris centraux à D dans un contexte de traumatisme crânien mineur, thrombopénie et déficit en facteurs de la coagulation le 12.01.2019 avec : • CT-scan du 12.01.2019 : volumineux foyer d'hémorragie intraparenchymateuse centrée dans la région de la tête du noyau caudé et des noyaux gris centraux à droite. Engagement sous-falcoriel. Inondation ventriculaire avec sang dans les cornes occipitales des deux ventricules latéraux. • Effet de masse avec compression du foramen de Monro D avec hydrocéphalie. • Soins intensifs du 12.01.2019 au 21.01.2019. • Dexaméthasone 4 mg/j du 23.01.2019 au 25.01.2019. FdRCV : • Hypertension artérielle traitée. • Tabagisme actif 25 UPA. • ETT 27.06.2016 : foramen ovale perméable grade III avec possible embolie paradoxale le 25.03.2016. > Neuroréhabilitation intensive avec prise en charge multidisciplinaire. > Inderal 40 mg 1-0-0-1, Torasemide 5 mg 0.5-0-0-0. Hémophilie sur cirrhose hépatique avancée (vitamine K réfractaire) : Facteur V : 35 % le 16.01.19. 32 % le 04.02.19. > Suivi biologique. État anxio-dépressif avec crises de panique depuis 2016 dans un contexte de maladie chronique. Suivi clinique. Quétiapine 25 mg 1x/j. Encéphalopathie post-natale avec : • tétraparésie. • épilepsie réfractaire sous quadrithérapie suivie par Dr. X. Scoliose dorso-lombaire neurogène. Asthme bronchique. Encombrement bronchique. Encombrement bronchique post-pneumonie trilobaire dans un contexte de polyneuromyopathie des soins. Encombrement bronchique dans le contexte de trachéotomie depuis 25 ans le 28.04.2019. Encombrement de l'oreille G. Encombrement nasal. Endartérectomie de la bifurcation carotidienne gauche par éversion le 08.04.2019. Endartérectomie de l'artère carotide interne gauche avec plastie de la bifurcation, le 08.04.2019. Angio-CT cervical post-opératoire le 08.04.2019. Endartérectomie fémorale gauche avec patch d'élargissement le 18.04.2019. Endocardite. Endocardite à Globicatella Spp le 06.03.2019, compliquée d'une insuffisance mitrale. Endocardite à streptocoque salivaris le 30.08.2017 avec : • status post TAVI en 2015 et implantation d'un pacemaker en juin 2017. • fond d'œil du 01.09.2017 : emboles septiques au niveau de l'artère centrale rétine des deux côtés. Endocardite bactérienne sur valve prothétique à Streptococcus salivarius le 13.05.2016. Cure spermatocèle en 2011. Rupture sus-épineux droite 1955. Prothèse totale de genou gauche en 2004. Endocardite à Streptococcus mitis le 25.05.2018. • sur valve aortique prothétique (status post TAVI 23.10.2015). • status post 2 antécédents d'endocardite à Streptococcus salivarius (05.2016 et 08.2017). Radiographie du thorax le 25.05.2018. 2 paires d'hémoculture le 25.05.2018 : streptocoque du groupe mitis multi-S avec une CMI (E-test) Pénicilline : 0.032 mcg/ml. Hémocultures dès le 26.05.2018 à froid : négatives. Rocéphine dès le 25.05.2018. Gentamicine du 26.05 au 27.05.2018. Avis Cardio le 26.05.2018 (Dr. X) : • ETT le 27.05.2018 : images superposables à celles de 2017 ; absence de végétations visibles, calcifications marquées au niveau de l’anneau et des cuspides de la prothèse aortique. • ETO le 28.05.2018 : bioprothèse en position aortique très remaniée. Il n'y a cependant pas d'image classique d'endocardite. Étant donné le remaniement important, une endocardite ne peut pas être exclue. Avis infectiologique le 26.05 et le 28.05.2018 (Prof. X) : • 1 paire d'hémoculture par jour et poursuivre la Rocéphine 2 g iv 1x/j pour un total de 4 semaines depuis la première paire d'hémocultures négatives. • ETT de contrôle à la fin du traitement. Pose de PICC-line le 29.05.2018. IRA AKIN 1. • créatinine à l'entrée 107 µmol/l, GFR 54 mL/min selon Cockroft-Gault. Résolue pendant l'hospitalisation. Endocardite bactérienne à Streptococcus sanguinis avec insuffisance mitrale sévère nouvelle, et prolapsus du feuillet antérieur, dans le contexte de multiples caries dentaires. • Hémocultures positives (le 26.09.2018) et négatives à 5 jours (20.11.2018). • Extraction totale des dents sur lésions carieuses dentaires multiples. Endocardite de valve mécanique mitrale à hémoculture négative le 01.03.2019 : • sans image d'abcédation ou de destruction de la valve. • chez une patiente avec un LES et suspicion d'endocardite de Liebmann-Sacks avant changement de valve en 2018. Endocardite le 14.04.2019. • état fébrile chez un patient polytoxicomane. • image de végétations nouvelles à l'ETT.Endométriome de 35 mm s/p 2016 Fausse couche spontanée à 6 semaines d'aménorrhée Endométriose Endométriose Endométriose. Endométriose. Endométriose rAFS III chez Mme. Y de 35 ans. Endométriose sous Visanne de septembre 2015 à janvier 2018. Asthme. Trouble de la personnalité de type borderline. Endométriose stade I Endométriose stade IV Dépression sous traitement. Endométrite post-partale à J11 d'une césarienne, chez Mme. Y de 36 ans, 3 gestes 3 pares. Endométrite sur probable rétention de matériel post-curetage évacuateur le 13.03.2019 pour grossesse arrêtée à 11 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y 2G0P de 37 ans. Endoprothèse aortique (EVAR), le 15.04.2019. Enfant agité non collaborant. Décision pour drainage et exploration pour kyste sécrétant rétro-auriculaire avec du MEOPA : convocation à faire par les ORL demain pour les urgences ORL. Consignes de re-consultation si douleurs importantes, état fébrile ou douleurs auriculaires avec céphalées. Enfant de mère avec hépatite B chronique (Ag HBe nég). Enfant de mère HIV-positive avec virémie indétectable. Enfant sain. Énième récidive de sinus pilonidal inter-fessier : • 3 orifices primaires sur la ligne médiane • 1 orifice secondaire à droite. ENMG à discuter à distance. ENMG à Neurocentre. ENMG du Dr. X du 20.02.19 montrant une latence prolongée motrice et une vitesse sensible diminuée. Le nerf cubital est dans la norme. ENMG du 03.04.2019 (Neurocentre) : Pas d'argument en faveur d'une atteinte nerveuse périphérique des MI. Discret hémi-syndrome D séquellaire à l'AVC de 2014. ENMG du 28.02.2019 (Dr. X) : Compatible avec une lésion du nerf interosseux postérieur à l'arcade de Frohse, principalement à D. Les autres troncs nerveux sont neurographiquement intacts. ENMG le 05.07.2019. Prochain contrôle le 17.07.2019. ENMG le 21.05.2019. IRM et prochain contrôle le 05.06.2019. ENMG le 21.05.2019. Prochain contrôle le 11.06.2019. Énorme hernie de la ligne blanche Diabète de type 2 non insulino-requérant Hypertension artérielle Maladie thrombo-embolique avec : • Embolies pulmonaires multiples périphériques bilatérales le 07.02.2006 en post-opératoire • Pose de filtre cave en février 2006, permanent • Anticoagulation par Sintrom avec maintien permanent du filtre cave décidé en raison du matériel thrombotique flottant persistant Bronchopneumopathie chronique obstructive non stadée avec : • Traitement par Spiriva Hernie hiatale avec reflux gastro-oesophagien État dépressif. Enquête nutritionnelle Sonde naso-gastrique retirée par le patient le 27.02.2019. Reprise de la nutrition per os par régime 2C à partir du 27.02.2019, et reprise d'un régime normal dès le 12.03.2019. Suivi biologique Supplémentation nutritionnelle par 2 Fresubin/jour. Enregistrement Holter de 24 heures à organiser. Enseignement diététique Refus SNO. Entérite aiguë Entérite (DD : gastro-entérite) sans déshydratation. Entérite d'origine probablement virale, le 26.04.2019. Entérite le 26.04.2019. Entérite segmentaire sur 10 cm environ, d'origine indéterminée. Status post élongation ilio-tibiale. Otite moyenne aiguë droite; Co-Amoxicilline 1 g 2x/j pendant 7 jours. Entérite virale post gastro-entérite virale, le 16.04.19. Entérocolite à Campylobacter jejuni le 30.03.2019. Entérocolite nécrosante sur naissance prématurée à 34 2/7 avec : • Status post-résection de l'iléon terminal et stomie puis fermeture de stomie en 1998. • Status post-laparotomie pour adhésiolyse en 2007 avec deux reprises pour iléus sur bride par la suite. Otites à répétition. Micro-calcifications testiculaires, épididyme droit agrandi. • Ultrason des testicules du 18.12.2017 : testicules de taille et de morphologie normales, quelques micro-calcifications (2 des deux côtés), épididyme droit agrandi et hétérogène, contient un kyste, hydrocèle droite. Douleurs abdominales chroniques. • CT abdominal du 20.09.2018 (CIMED) : status post-hépatectomie gauche, stéatose du foie résiduelle et pancréatectomie partielle des parties corporéo-caudales. Multiples ganglions mésentériques au niveau de la racine mésentérique mais aussi en fosse iliaque droite connus. Épaississement modéré de la dernière anse iléale pouvant correspondre à une petite iléite. • Iléite traitée par Ciprofloxacine et Flagyl du 20.09 au 26.09.2018. Status post-septoplastie et turbinoplastie inférieure bilatérale avec fermeture de la perforation septale peropératoire et traitement préventif bilatéral des synéchies par mise en place de silastics le 09.05.2018 (Dr. X). Hypothyroïdie subclinique sur thyroïdite de Hashimoto. MODY 5 avec : • Diabète (suivi par Dr. X). • Atrophie de la queue et du corps du pancréas. • Stéatose hépatique avec hémi-foie droit. • Hypomagnésémie chronique. • Test génétique pour MODY 5 (Dr. X) : Sd microdélétion 17q12. Hypomagnésémie chronique. Iléus grêle mécanique le 27.01.2019. • ASP 27.01.19. • CT abdominal 27.01.19. • Sonde naso-gastrique du 27.01 au 30.01.19. • Gastrographine 50 2x. Constipation le 30.03.2019. Laboratoire : leucocytose à 13.5 G/l, CRP < 5 mg/l. CT abdominal injecté (Dr. X, rapport téléphonique) : pas de perforation, pas d'iléus, pas de liquide libre. Avis chirurgical (Dr. X). Antalgie avec Novalgine, Paracétamol. Lavement avec Freka-Clyss, X-prep aux urgences. Movicol 1x/jour fixe et en réserve. Entorse de la cheville droite de grade 1. Entorse à répétition de la cheville D. Impingement des 2 hanches type mixtes. Entorse AC de grade 1 à gauche sur traumatisme le 14.04.2019. Entorse AC degré II à III épaule gauche post-AVP à haute cinétique le 18.03.2019. Entorse AC épaule D Tossy II-III du 30.03.2019. Entorse AC épaule G, contusion sus-épineux et bursite sous-acromiale, fracture de côtes sur chute à ski le 18.01.2019. Entorse acromio-claviculaire de stade II selon Rockwood à D sur traumatisme du 14.02.2019. Entorse acromioclaviculaire de 1er degré le 21.11.2011. Torsion testiculaire gauche à 180°. Révision testiculaire avec détorsion testiculaire gauche et orchidopexie bilatérale en urgence le 24.04.2013. Entorse acromio-claviculaire gauche de 1er degré. Entorse acromio-claviculaire gauche Tossy 1, datant du 25.03.2019. Entorse acromio-claviculaire stade I selon Rockwood à D le 19.01.2019. Entorse annulaire gauche. Entorse articulation interphalangienne proximale du majeur droit. Entorse avant-pied gauche niveau de l'articulation métatarsophalangienne 3-4 le 25.04.2019. Entorse avec arrachement au niveau du Chopart du pied G. Entorse bénigne avec potentiel conflit mécanique sur le ménisque externe du genou droit le 11.04.2019. Entorse bénigne de cheville droite. Entorse bénigne de cheville droite avec mécanisme en varus. Immobilisation par attelle Aircast, glaçage, antalgie. Contrôle à 7 jours chez le médecin traitant. Entorse bénigne de cheville de stade I le 26.04.2019. Entorse bénigne de la cheville droite le 25.11.2013. OMA gauche le 08.02.2015. Entorse cheville gauche grade III, entorse cheville droite grade I le 24.05.2018. Entorse bénigne de ligament collatéral radial du pouce droit. Entorse bénigne du genou D avec déchirure partielle du collatéral interne. Entorse bénigne du genou gauche le 11.04.2019. Entorse bénigne du ligament talo-fibulaire antérieur de la cheville gauche stade I le 11.04.2019. Entorse bénigne du ligament deltoïde, cheville D sur traumatisme du 28.03.2019. Entorse bénigne du ligament latéral externe du genou gauche. Entorse bénigne du poignet droit le 01.04.2019. Entorse bénigne du poignet droit sur traumatisme du 12.04.2019. Entorse bénigne du poignet gauche sur traumatisme (chute à snowboard le 22.02.2019.) Entorse bénigne LLE genou gauche le 15.04.2019. Entorse bénigne LLI genou droit. Entorse bénigne du ligament collatéral ulnaire de D5 de la main gauche sur traumatisme le 19.02.2019. Entorse bénigne MCP pouce D. Entorse cervicale le 27.04.2019. Entorse cheville D avec évolution défavorable avec : • probable atteinte du Chopart le 25.02.2019 Entorse cheville D avec petit arrachement au niveau de la pointe du péroné. Entorse cheville D grade II côté externe. Entorse cheville D LLE stade II. Entorse cheville droite. Entorse cheville droite (chez un patient avec status post fracture de type II selon Salter et Harris de la fibula distale et fracture avulsion de la pointe de la fibula le 16.03.2019) le 30.04.2019. Entorse cheville droite de grade II, le 17.04.2019. Entorse cheville droite de 1er degré • status post-plusieurs récidives et instabilité chronique de la cheville. Entorse cheville droite de 2ème degré. Entorse cheville droite grade I. Entorse cheville droite le 02.04.2019. Contusion du genou sur possible Osgood-Schlatter ddc le 04.04.2019. Entorse cheville droite le 23.04.2019. Entorse cheville droite stade I. Entorse cheville droite stade 1, avec : Entorse cheville droite 1er degré. Entorse cheville G de stade II (LLE). Entorse cheville G grade II. Entorse cheville G stade II le 06.04.2019. Entorse cheville G 2ème degré. Entorse cheville gauche. Entorse cheville gauche avec légère atteinte du ligament deltoïdien. Entorse cheville gauche avec suspicion d'atteinte de Chopard et Lisfranc. Prostatite aiguë sans étiologie retrouvée le 31.12.2018. Entorse cheville gauche en supination, grade II, le 05.04.2019. Entorse cheville gauche, grade II. Entorse cheville gauche grade 1. Entorse cheville gauche modérée. Entorse cheville gauche stade 1. Entorse cheville gauche le 01.04.2019. Entorse cheville grade II à gauche le 28.04.2019. Entorse cheville malléole interne (en valgus) avec ancienne lésion du noyau d'ossification tibial au niveau de la malléole le 19.04.2019. Entorse Chopart pied G le 08.02.2019 avec avulsion au niveau du col de l'astragale. Entorse de cheville. Entorse de cheville droite du ligament latéro-externe de stade 2 avec charge impossible. Entorse de cheville droite le 13.12.2012. Arrachement de la plaque palmaire interphalangienne proximale du 3ème doigt de la main droite. Entorse de cheville droite stade I en 2010. Suspicion lésion ménisque externe à droite en 2011. Syndrome grippal en 2016. Hémorroïde externe, thrombosée, en 2016. Lombalgie non déficitaire en 2017. Thrombose périnéale depuis février 2018. Entorse de cheville G avec arrachement de la pointe de la malléole latérale le 29.03.2019. Entorse de cheville gauche. Entorse de cheville gauche de stade 1 le 04.04.2019. Entorse de cheville gauche de stade 2. Entorse de cheville grade 1 gauche 23.04.2019 • sur chute mécanique du 21.04.2019 Entorse de Chopard pied droit. Entorse de Chopart à droite avec : • Arrachement de l'astragale côté dorsal. • Fracture arrachement du processus antérieur du calcanéum. • Fracture non déplacée du cuboïde. Entorse de Chopart avec un arrachement sur la face dorsale de l'astragale. Entorse de Chopart D. Entorse de Chopart droit. Entorse de Chopart du pied droit. Entorse de Chopart du pied gauche, le 02.04.2019. Entorse de Chopart le 25.04.2019. Entorse de la cheville droite de grade 2 avec arrachement. Entorse de degré I du genou gauche. Contusion du pied gauche le 17.02.2019 (DD entorse de Chopard). Entorse de grade 1 de la cheville droit. Entorse de grade 1 de la cheville droite. Entorse de la cheville. Entorse de la cheville à D il y a 4 semaines. Instabilité chronique cheville gauche avec entorses à répétition en supination. Entorse de la cheville à D le 09.04.2019. Entorse de la cheville D. Entorse de la cheville D avec fissure rétro-malléolaire du tendon péronier court. Entorse de la cheville D avec suspicion de lésion de la syndesmose tibio-fibulaire antéro-inférieur. Entorse de la cheville D, le 15.04.2019. Entorse de la cheville D stade II le 07.02.2019 avec tendinite des péroniers. Entorse de la cheville de stade 2 ou 3 le 21.04.2018. Pancréatite biologique avec : • Lipase à 407, amylase 113 à 02 h le 05.11.2018. • Lipase à 126, amylase à 122 le 05.11.2018. Problème proctologique d'origine indéterminée : • Marisque à 5 h en PG. • Anuscopie sans saignement actif visible. Entorse de la cheville droite avec arrachement de la malléole interne. Entorse de la cheville droite de garde 2. Entorse de la cheville droite de stade II. Entorse de la cheville droite de stade II le 04.04.2019. Entorse de la cheville droite, degré 1, le 17.04.2019. Entorse de la cheville droite grade 1 le 15.04.2019. Entorse de la cheville droite grade 1 le 20.03.2019. Entorse de la cheville droite le 01.04.2019. Entorse de la cheville droite le 11.04.2019. Entorse de la cheville droite le 14.09.2016. Entorse de la cheville droite le 31.03.2019. Entorse de la cheville droite le 6.4.2019 • Radiographie : pas de fracture, épanchement extraarticulaire important. Entorse de la cheville droite modérée. Entorse de la cheville droite stade II le 07.04.2019. Entorse de la cheville droite stade III, le 24.04.2019. Entorse de la cheville droite stade II/III. Entorse de la cheville G. Entorse de la cheville G grade II le 12.03.2019. Entorse de la cheville G stade II le 15.04.2019. Entorse de la cheville gauche. Entorse de la cheville gauche avec petit arrachement de la malléole externe. Entorse de la cheville gauche de grade II. Entorse de la cheville gauche de grade 1. Entorse de la cheville gauche de stade I. Entorse de la cheville gauche de stade 2 (ligament fibulo-talien antérieur et fibulocalcanéen). Entorse de la cheville gauche Grad II après une entorse traumatique le 06.04.2019 avec suspicion de lésion au niveau de l'articulation de Lisfranc. Entorse de la cheville gauche grad II le 06.04.2019 et suspicion de lésion au niveau de l'articulation de Lisfranc. Entorse de la cheville gauche grade I-II le 09.04.2019. Entorse de la cheville gauche grade 2 avec petit arrachement au niveau de la malléole médiale. Entorse de la cheville gauche grade 3 avec suspicion de lésion au niveau de la syndesmose le 14.04.2019. Entorse de la cheville gauche le 15.12.2018 (diagnostic différentiel : lésion ostéochondrale du dôme talus latéral). Entorse de la cheville gauche ligament latéro-externe de stade 3. Entorse de la cheville grad II. Entorse de la cheville grade II à droite sur traumatisme après une entorse en supination le 16.04.2019.suspicion de lésion au niveau de la syndesmose. Entorse de la cheville le 13.04.2019. Entorse de la cheville stade II le 16.07.2018. Entorse de la cheville stade II le 25.04.2019. Entorse de la cheville stade 1-2, avec: Entorse de la cheville stade 2 ou 3 le 21.04.2018. Tentamen médicamenteux. Pancréatite biologique avec: • Lipase à 407, amylase 113 à 02 h le 05.11.2018. • Lipase à 126, amylase à 122 le 05.11.2018. Fissure anale en mars 2019: • Marisque à 5 h en PG. • Anuscopie sans saignement actif visible. Entorse de la cheville stade 2 ou 3 le 21.04.2018. Tentamen médicamenteux. Pancréatite biologique avec: • Lipase à 407, amylase 113 à 02 h le 05.11.2018. • Lipase à 126, amylase à 122 le 05.11.2018. Fissure anale en mars 2019 • Marisque à 5 h en PG • Anuscopie sans saignement actif visible. Entorse de la MCP du 1er rayon avec une fracture en motte de beurre de la base du 1er métacarpe à droite. Entorse de la plaque palmaire de l'IPP Dig II à droite le 27.02.2019. Entorse de la plaque palmaire du 3ème doigt de la main droite, avec contusion du 4ème rayon de la main droite. Entorse de la plaque palmaire MCP I à D (dominante) le 25.02.2019. Entorse de la première articulation métatarso-phalangienne droite. Entorse de l'articulation de Lisfranc, pied G le 28.02.2019. Entorse de l'articulation métatarso-phalangienne du 1er rayon droit avec possible rupture du ligament entre les sésamoïdes et petit arrachement osseux latéral. Entorse de l'avant-pied au niveau des 4ème et 5ème métatarses. Entorse de l'épaule gauche le 16.04.2019. Entorse de l'interphalangienne proximale du majeur droit (DD: fracture non déplacée de la base de la 2ème phalange). Entorse de l'IPP du 5ème doigt à droite avec lésion de la poulie C1 et A3 et lésion de la bandelette de l'extenseur de P2 à droite. Douleurs abdominales probablement dans le cadre d'un traitement d'AINS 13.12.2018. Entorse de Lisfranc de stade 2 de la cheville droite. Entorse de Lisfranc des 1er et 2ème métatarses du pied droit. Entorse de Lisfranc du pied droit. Entorse de Lisfranc du pied droit, plâtre mouillé. Entorse de stade I de la cheville droite le 29.04.2019. Entorse de stade II de la cheville gauche le 01.04.2019. Entorse de stade II du ligament latéral externe de la cheville gauche le 05.04.2019. Entorse de stade II du ligament latéro-externe de la cheville gauche. Entorse de Chopard. Entorse de stade III de la cheville droite le 05.02.2016. Entorse de stade 1 de la cheville droite avec contusion du 5ème métatarsien. Entorse de stade 1 de la cheville droite diagnostiquée en novembre 2017 (traumatisme en juillet 2017). Entorse de stade 1 du ligament latéro-externe (ligament fibulo-calcanéen) et tendinite de l'extenseur long du premier orteil, pied droit. Entorse de stade 2 de la cheville droite le 26.04.19. Entorse de stade 2 de la malléole externe droite. Entorse de stade 2 du LLE talofibulaire antérieur et talocalcaneum externe D le 17.4.19. Entorse de stade 3 du ligament latéral externe (ligament fibulo-talare antérieur-postérieur et fibulo calcanéen) de la cheville droite. Entorse de type Tossy I de l'articulation acromio-claviculaire de l'épaule droite en mars 2012. Contusion du flanc gauche avec éraflure de la crête iliaque gauche en 2013. Entorse de la cheville de stade 1 le 26.04.2018. Entorse de 1er degré cheville gauche, le 25.03.2019. Entorse degré II cheville droite le 10.04.19. Entorse degré II cheville droite le 10.04.19. Entorse degré 2 cheville droite. Lésion ostéochondrale talus droit de découverte fortuite. Entorse degré 2 cheville gauche. Entorse des faisceaux postérieurs et moyen du LLE sur traumatisme le 18.03.2019. Entorse du Chopart G le 27.02.2019. Entorse du compartiment interne du genou droit. Entorse du genou D le 14.04.2019 avec: • premier épisode de luxation latérale de la rotule • distorsion du ligament collatéral interne. Entorse du genou D le 16.03.2019 avec: • Rupture du ligament croisé antérieur • Lésion de la corne postérieure du ménisque interne • Lésion partielle proximale du ligament collatéral médial • Présence de 2 lésions avec matrice cartilagineuse au niveau de la diaphyse distale du fémur évoquant de petites tumeurs cartilagineuses non agressives. Entorse du genou droit. Entorse du genou droit. Entorse du genou droit. Entorse du genou droit avec probable lésion méniscale interne et élongation ligament latéral interne en juillet 2016. Thrombose veineuse profonde en 2005. Entorse du genou droit avec suspicion de lésion du ménisque médial. Entorse du genou droit Grad I. Entorse du genou droit, grade I. Entorse du genou droit grade I le 10.04.2019. Entorse du genou droit le 03.12.18 avec contusion osseuse tibia épicondyle médial. Entorse du genou droit, ligament latéro-interne. Entorse du genou droit sur chute le 13.12.17. Status post-plastie du LCA du genou droit par tendon quadricipital le 27.06.2017. Entorse du genou droit. Traitement fonctionnel avec semelle rigide et anti-douleurs, anti-inflammatoires. Entorse du genou G avec: • élongation du LLI • rupture partielle du LCA. Entorse du genou G le 15.01.2019 avec rupture du ligament croisé antérieur et rupture du collatéral interne au niveau de son insertion fémorale. Entorse du genou gauche. Entorse du genou gauche à Porto Rico il y a deux jours. A consigner de reconsulter de suite en arrivant. Rendez-vous programmé pour le 14.04.2019 à 13h30. Retour à domicile. Entorse du genou gauche en 2018 avec: • Entorse du LLI traitée conservativement et douleurs persistantes au niveau de l'insertion proximale du ligament. • Status post-AS et méniscectomie partielle au détriment du corps du ménisque externe le 21.09.2018. • Déchirure horizontale du corps de ménisque externe persistante associée à un kyste méniscal (IRM du 19.02.19). • Genu varum de 9°. Entorse du gros orteil du pied gauche, le 29.04.2019. Entorse du LCA genou droit. Entorse du LCR du pouce G stade I. Entorse du ligament antéro-fibulaire antérieur de grade I de la cheville droite. Entorse du ligament collatéral et arrachement osseux de la plaque palmaire de l'interphalangienne proximale du 2ème doigt de la main gauche. Entorse du ligament collatéral externe de la cheville gauche. Entorse du ligament collatéral latéral antérieur de la cheville gauche. Entorse du ligament collatéral latéral du poignet gauche le 04.04.2019. Entorse du ligament collatéral médial du genou droit. Entorse du ligament collatéral radial de l'IPP D5 à gauche le 24.07.2018. Lésion du LCA au genou droit le 13.01.2018, traitée conservativement. Entorse du ligament collatéral radial de l'IPP D5 à gauche le 24.07.2018. Lésion du LCA au genou droit le 13.01.2018, traitée conservativement. Entorse du ligament collatéral radial du pouce droit. Entorse du ligament collatéral ulnaire de la 1ère métacarpophalangienne sans laxité pathologique. Entorse du ligament collatéral ulnaire main D. Entorse du ligament latéral externe de la cheville D le 18.03.2019. Entorse du ligament latéral externe de la cheville droite de stade II. Entorse du ligament latéral externe de la cheville droite de stade II le 05.04.2019. Entorse du ligament latéral externe de la cheville gauche de grade I sur traumatisme du 11.04.2019. Entorse du ligament latéral externe de la cheville gauche de stade II. Entorse du ligament latéral externe de la cheville gauche stade II. Entorse du ligament latéral externe de stade II de la malléole externe droite le 17.04.2019. Entorse du ligament latéral interne du genou droit. Entorse du ligament latéral interne du genou droit le 24.04.2019.Entorse du ligament latéral interne du genou droit 06.03.2017. Entorse du ligament latéral interne et du ménisque interne du genou droit le 09.01.2019. Entorse du ligament latéro-externe de grade II de la cheville gauche sur traumatisme du 11.04.2019. Entorse du ligament latéro-externe de la cheville droite de stade 1 le 04.04.2019. Entorse du ligament latéro-externe de la cheville gauche de grade I sur traumatisme du 11.04.2019. Entorse du ligament latéro-externe de la cheville gauche de stade 2. Entorse du ligament latéro-externe de stade II, cheville droite. Entorse du ligament latéro-externe de stade 2 de la cheville droite le 04.04.2019. Entorse du ligament latéro-externe de stade 2 de la cheville droite le 30.04.2019 sur traumatisme du 29.04.2019. Entorse du ligament latéro-externe du genou gauche. Entorse du ligament latéro-externe (ligament péroné-talare antérieur) de la cheville gauche de stade 1. Entorse du ligament talo-fibulaire antérieur de la cheville gauche de stade 1. Entorse du Lisfranc droit. Entorse du Lisfranc du pied droit, le 21.11.2018. Attelle jambière postérieure plâtrée. Entorse du Lisfranc gauche. Entorse du LLE de grade I cheville D sur traumatisme du 23.04.2019. Entorse du LLE de grade II, cheville gauche sur traumatisme du 11.04.2019. Entorse du LLE et suspicion d'atteinte du ménisque externe à droite le 28.04.2019. Entorse du LLE genou G avec bursite prépatellaire traumatique le 29.10.2017. Luxation articulation acromio-claviculaire à D type Tossy III; accident de football le 07.10.2018. Stabilisation articulation coraco-claviculaire D par EndoButton et FiberTape (OP le 18.10.2018). Entorse du LLE grade II cheville D. Entorse du LLI à droite le 05.04.2019. Entorse du LLI cheville droite. Entorse du LLI grade II à D. Entorse du LLI interne du genou gauche. DD : lésion autre du ligament. Entorse du pied gauche. Entorse du poignet avec arrachement dorsal du lunatum du carpe à gauche le 10.04.19. Entorse du poignet droit le 31.03.2019. Entorse du poignet gauche en octobre 2015. Contusion tibiale gauche en octobre 2015. Contusion des côtes 8-10 à gauche le 18.03.2017. Gastroentérite débutante. Entorse du poignet gauche le 31.03.2019. Entorse du pouce MCP (pouce de skieur). Entorse en inversion de la cheville G stade II. Entorse en supination. Entorse en supination à répétition cheville D, dernier épisode le 30.01.2019. Entorse de la cheville G stade II le 11.12.2018 (3ème épisode d'entorse). Lésion chronique de la plaque palmaire de l'IPP du 4ème doigt à D septembre 2018. Entorse en supination de la cheville gauche grade I le 13.04.2019. Entorse épaule D sur chute le 12.01.2019. Entorse genou D le 03.03.2019 avec : • Déchirure du LCA • Fracture-enfoncement postéro-latérale du plateau tibial externe. Entorse genou droit le 28.03.19. Entorse genou droite avec suspicion de lésion ménisque médiale. Entorse genou G lors d'un match de football le 07.04.2019 avec suspicion d'une lésion ligamentaire, voire méniscale. DD : Bone Bruise du genou G. Entorse genou gauche. Entorse genou gauche 2e Episode (dernier 1.2019). Suspicion atteinte méniscale. Entorse grade I de la cheville gauche le 18.04.2019. Entorse grade I du ligament latéral externe de la cheville gauche en 2012. Status après coloscopie en 2012. Status après hystérectomie en 2014 pour maladie bénigne. Entorse grade I ligament latéral interne genou droit le 06.04.2019. Entorse grade I ligament talo-fibulaire antérieur, sans instabilité de la cheville droite. Entorse grade II cheville D le 01.07.2018. Entorse grade II de la cheville D. Entorse grade II PAA cheville G. Entorse grade III de la cheville droite. Entorse grave de la cheville à D le 17.04.2019. Entorse grave de la cheville D le 06.03.2019 avec fracture non déplacée de la malléole interne et lésion partielle du ligament fibulo-calcanéen. Entorse grave de la cheville gauche. Entorse grave de l'articulation de Chopart avec fracture du processus antérieur du calcanéum, lésion du spring ligament pied droit le 05.04.2019. Entorse grave du Chopart et du Lisfranc à D avec : • Fracture non déplacée du cunéiforme latéral, avulsion osseuse plantaire du cunéiforme intermédiaire, régule du versant dorsal du cunéiforme médial dorsal et du naviculaire le 19.02.2019. Entorse grave du genou D au football avec rupture complète et isolée du LCA selon un mécanisme de varus/rotation interne pied bloqué au sol, le 19.03.2019. Entorse grave du genou G le 29.11.2019 avec : • Déchirure du LLE • Déchirure du point d'angle postéro-externe • Déchirure partielle du LCP • Déchirure partielle du LCA. Entorse interphalangienne proximale 2ème orteil G sur orteil en griffe non réductible. Entorse IPD 5ème doigt à G le 26.03.2019. Entorse IPP 5ème doigt G le 26.03.2019. Entorse latérale cheville D stade II, évolution défavorable avec raideur articulaire et flexion limitée à 5-10°. Suspicion d'atteinte de Chopart D avec IRM le 18.04.2019. Entorse latérale de la cheville droite. Entorse légère de la cheville droite. Entorse légère de la cheville gauche le 05.08.2015. Griffure et morsure de chats superficielles. Co amoxicilline 2.2g iv. Désinfection des plaies sans débridement. Entorse légère du ligament médial de la cheville gauche. Entorse LLE cheville G stade II. Entorse LLI genou D avec suspicion de lésion du LCA; le 06.03.2019. Entorse malléolaire externe de la cheville droite le 04.05.2018. Entorse malléole externe stade 2 avec possible petit arrachement osseux malléole externe et hématome cutané s'étant diffusé. Entorse médiale cheville gauche 01.04.2019. Entorse métacarpo-phalangienne du pouce gauche, sans laxité ligamentaire. Entorse métacarpo-phalangienne du 1er doigt de la main droite. Entorse modérée de la cheville gauche. Entorse moyenne de la cheville D. Entorse moyenne de la cheville G. Entorse moyenne de la cheville gauche. Entorse moyenne du ligament latéro-externe de la cheville gauche. Entorse phalange proximale dig II droit, avec atteinte partielle du ligament latéral ulnaire. Entorse plaque palmaire de l'interphalangienne proximale de D4 main gauche. Entorse plaque palmaire IPP D5 D. Entorse poignet distal gauche et pouce gauche. Entorse poignet gauche, avec : Entorse poignet gauche, le 17.04.2019. Entorse pouce droit le 01.07.2016. Otite moyenne aiguë gauche au décours le 26.01.2017. Entorse pouce gauche le 09.10.2018. Entorse pouce main droite, avec. Entorse premier doigt (pouce) de la main D, non déficitaire. Entorse radio-ulnaire distal droit. Entorse sévère cheville gauche. Entorse sévère de la cheville à D. Entorse sévère de la cheville à D. Fasciite plantaire débutante. Entorse sévère de la cheville D avec lésion quasi-totale du ligament talo-fibulaire antérieur en avril 2018. Pieds creux bilatéraux. Entorse sévère de la cheville D le 17.03.2019 (4ème épisodes). Entorse sévère de la cheville G le 27.12.2018 avec fracture avulsion de la malléole externe Weber A DD ancienne fracture avulsion du bord postéro-latéral. Entorse sévère du Chopart du pied gauche avec arrachement osseux au niveau du calcanéum et du talus et plusieurs arrachements ligamentaires.Nodule pulmonaire du lobe supérieur droit de 5 x 4 mm de découverte fortuite le 11.09.2018. Broncho-aspiration dans le contexte des troubles de l'état de conscience le 10.09.2018. Co-Amoxicilline du 12.09.2018 au 16.09.2018. Troubles de l'état de conscience sur tentative médicamenteuse aux benzodiazépines et tricycliques le 10.09.2018: CT cérébral le 12.09.2018: calcifications bilatérales des noyaux gris centraux. Toxscreen urinaire le 10.09.2018. Flumazénil du 10.09 au 11.09.2018. Entorse sévère du LLE à la cheville G le 18.04.2019. Entorse simple de l'articulation du Chopart à droite du 23.04.2019. Entorse simple du genou droit le 05.04.2019. Entorse simple du genou gauche. Entorse simple du ligament collatéral latéral du genou droit, sans instabilité. Entorse simple du poignet droit et contusion métacarpo-phalangienne du 5ème doigt. Entorse simple et contusion de la colonne thoracique sans déficit, ni fracture. Patient peu algique à 3/10 à l'EVA, non limité dans sa mobilité. Si absence d'amélioration de sa symptomatologie, il prendra contact avec son médecin traitant. Entorse simple IPD Dig IV à droite, le 09.04.2019. Entorse simple ligament latéro-interne du genou gauche le 09.04.2019. Entorse simple pied gauche. Entorse stade I de la cheville droite. Entorse stade II de la cheville droite, avec fracture pseudo-jones de la base du 5ème métatarse. Entorse stade II du LLE D. Entorse stade 2 cheville droite. Entorse sterno-claviculaire D avec minime dislocation antérieure. Entorse Tossy II de l'articulation acromio-claviculaire à gauche. Entorse 1er degré cheville droite, le 20.04.2019. Entorse 2ème degré de la cheville. Entorses à répétition cheville gauche (5 x) et cheville droite (3 x). Entorses du ligament latéral interne de grade I des deux chevilles. Entorses récurrentes LLE cheville gauche, dernier épisode (stade 1) le 27.03.2019. Entrée élective Entrée élective Entrée élective Entrée élective Entrée élective Entrée élective Entrée élective Entrée élective Entrée élective Entrée élective Entrée élective Entrée élective Entrée élective Entrée élective Entrée élective Entrée élective Entrée élective de ce patient, pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 27.03.2019. L'opération se passe sans complication et les suites sont simples. Le status neurologique du membre supérieur D reste dans la norme. Le contrôle radiologique post-opératoire est satisfaisant. Les plaies opératoires évoluent favorablement. Elles sont calmes et sèches le jour de la sortie. Le patient bénéficie d'une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane durant le séjour. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Au vu d'une bonne évolution le patient peut regagner son domicile le 28.03.2019. Entrée élective de cette patiente de 66 ans, pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 03.04.2019, sans complication et les suites postopératoires sont simples. Le contrôle radiologique postopératoire est satisfaisant. Le contrôle de l'hémoglobine reste toujours stable avec Hb 85 g/L le 08.04.2019. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme, mais avec un léger écoulement séreux en distalité, sans rougeur ni douleur à la palpation le jour de la sortie. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. La patiente a bénéficié d'une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane et d'un enseignement physiothérapeutique durant le séjour. Au vu de l'évolution clinique favorable, la patiente peut être transférée à Billens le 08.04.2019. Entrée élective de Mr. Y, patient de 13 ans, en BSH, pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 10.04.2019, sans complication et les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche le jour de la sortie. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Le patient a bénéficié d'un enseignement physiothérapeutique durant le séjour. Retour au domicile le 12.04.2019. Entrée élective de Mme. Y pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 22.03.2019, sans complication. En post-opératoire immédiat, une surveillance en soins intensifs a été nécessaire pour gestion de l'antalgie avec une bonne évolution clinique et un bon contrôle des douleurs suite à l'instauration de Dexmédétomidine puis mise en place d'une PCA (morphine et Kétamine). Les suites post-opératoires sont marquées par la nécessité d'augmenter la thérapie myorelaxante, ce qui a permis un sevrage graduel de la PCA. À la sortie, l'antalgie est bien gérée avec du Targin 40 mg 3x/jour et de la morphine per os en réserve. Le contrôle radiologique post-opératoire est satisfaisant. Le dernier contrôle de l'hémoglobine est à 103 g/L en post-opératoire. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche le jour de la sortie et les fils ont déjà pu être retirés le 05.04.2019. La patiente a bénéficié d'une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane et d'un enseignement physiothérapeutique durant le séjour associé à la mise en place d'une ceinture abdominale. Status neurologique à la sortie sans déficit de la sensibilité ni de la force qui est conservée à M5 pour les 2 MI. Au vu de l'évolution clinique favorable, la patiente est transférée à Billens le 09.04.2019. Entrée élective pour bilan de progression tumorale Entrée élective pour bronchoscopie Entrée élective pour contrôle VNI Entrée élective pour contrôle VNI Entrée élective pour contrôle VNI Entrée élective pour l'intervention susmentionnée, prévue en ambulatoire. Le patient est toutefois hospitalisé pour surveillance clinique en raison d'un retard sur le planning opératoire du 05.04.2019. L'intervention se déroule sans complication. Il bénéficie d'une thromboprophylaxie par Clexane 20 mg durant son séjour. En raison de fortes douleurs post-opératoires, il reçoit une antalgie par PCA jusqu'au 07.04.2019 ainsi que Lyrica, Dafalgan et Oxycontin per os jusqu'au 08.04.2019. Il développe également un syndrome compressif du nerf ulnaire au MS D avec des dysesthésies. On note toutefois une régression complète de celui-ci le jour de la sortie. Mr. Y demeure afébrile et stable durant son séjour. Status à la sortie sans particularité avec un pansement sec et propre. Au vu de son évolution clinique favorable, le patient peut rejoindre son domicile le 08.04.2019. Entrée élective pour l'opération susmentionnée, prévue en ambulatoire. L'intervention se déroule sans complication mais le retour à domicile le jour même s'avère impossible pour des raisons sociales (vit seul à domicile). Le bilan post-opératoire est satisfaisant. Il bénéficie d'une thromboprophylaxie par Clexane 20 mg 1x/j durant l'hospitalisation. Il reçoit une antalgie suffisante et se mobilise de manière autonome sans difficulté. Il demeure stable et afébrile durant son séjour. La cicatrice reste calme durant son séjour. Le status neurologique à la sortie montre une force et une sensibilité conservées dans les 2 MI. Au vu de la bonne évolution, le patient peut rejoindre son domicile le 02.04.2019. Entrée élective pour mise sous CPAP Entrée élective pour ponction d'ascite évacuatrice Entrée élective pour pose de défibrillateur DD Entrée élective pour thérapie à l'iode radioactifEntrée élective pour thérapie à l'iode radioactif Suite de prise en charge au cabinet du Dr. X Entrée élective pour 6ème cycle de chimiothérapie Entrée en cure de sevrage hospitalier à Tamaris, hôpital psychiatrique de Cery le 02.05.2019 Entretien de famille 29.03.2019. Accompagnement multidisciplinaire. Entretien motivationnel CAGE: 1 (cut down) Seresta 15mg en réserve Entretien socio-familial 26.03.2019 Accompagnement multidisciplinaire, approches corporelles Lorazépam Entretiens réguliers avec la patiente Mesures ergothérapeutiques Entretien. Temesta en réserve. Donnés numéros de centres psycho-thérapeutiques dans la région de Payerne, prendra contact; suite chez le médecin traitant. Entrose du ligament collatéral médial du coude D. Énucléation des lésions bénignes mammaires bilatérales le 17.04.19 Matériel envoyé en DAP Pose de lames multitubulées bilatérales Envoi aux urgences de l'insel spital pour radio bouche et selon résultat envoi en chirurgie maxillo-faciale ou chez le dentiste Envoi de l'enfant à l'insel spital aux urgences Envoi du placenta en analyse anatomopathologique Envoyé par le médecin de garde pour une prise en charge orthopédique. Envoyé par le médecin traitant pour effectuer une radiographie du poignet droit. Envoyé par le médecin traitant pour urosepsis. Envoyé par le Dr. X Envoyé par le médecin traitant pour diabète inaugural. Envoyé par le médecin traitant pour une hospitalisation Mr. Y est hospitalisé pour une prise en charge de gastro-entérite avec une déshydratation anamnestiquement de 11%, mais sans franc signe de déshydratation à son arrivée. Il bénéficie d'une perfusion de GS 2:1 d'entretien à 1300 ml/24h, que nous pouvons stopper progressivement, car il montre une reprise progressive d'hydratation per os. Il ne présente que 2 minimes diarrhées sur la journée et pas de vomissement avec bonne reprise de la miction. Vu la bonne évolution, il peut rentrer à domicile dans l'après-midi du 5.04. Eosinophilie de découverte fortuite. EP centrale bilatérale le 05.07.2012 avec cœur pulmonaire aigu et septum paradoxal Infection urinaire E.coli 08.07.2012 Thrombophlebite MIG janvier 2011 Cure de varices bilatérale en février 2011 TVP MIG en 2008 avec intervention chirurgicale Adénocarcinome endométrial type endométroïde, bien différencié, G1 de l'endomètre, stade pT1apNx cM0 Grading I (FIGO Ia) - diagnostiqué le 14.03.2002 - status post hystérectomie et annexectomie bilatérale 14.03.2002 - pas de thérapie adjuvante - suivi gynécologique régulier (Dr. X) EP en 2006 sur TVP. Épaississement des liquides Physiothérapie Épaississement muqueux et spumeux des sinus maxillaires bilatéraux, du sinus sphénoïdal droit et sinus frontal gauche et comblement de quelques cellules ethmoïdales le 11.04.2019 Épaississement pleural gauche avec lésions nodulaires des lobes supérieur et inférieur gauche - Date du diagnostic: le 04.12.2018 - PET-CT du 27.12.2018 : épanchement pleural gauche avec aspect nodulaire et hétérogène de la plèvre compatible avec une atteinte tumorale (DD Mésothéliome) - Liquide de ponction pleural gauche le 10.12.2018 PCR pour tuberculose négative, coloration BAAR négative - Histologie biopsie LSG : granulome épithélioïde multi-nucléé mal délimité dans le stroma cicatriciel - Thoracoscopie gauche, adhésiolyse et biopsie pleurale le 10.01.2019 - Histologie plèvre pariétale antéro-latérale G 10.01.19: processus réactionnel/inflammatoire d'origine immunitaire associé à des lymphocytes avec signes de vasculite essentiellement lymphocytaire; pas de tissu néoplasique, en particulier pas de mésothéliome Épanchement genou D Marche digitigrade. Épanchement intra-articulaire du genou G dans le contexte d'infection chronique de PTG le 19.02.2019, sur: - arthrite septique du genou gauche à Staphylococcus epidermidis multi-R le 25.08.2017 traité conservativement - prothèse totale du genou gauche en 1992 - ablation et changement de la prothèse du genou gauche sur descellement avec débridement, biopsie et réimplantation PTG G de révision en 2010 - changement PTG G avec débridement péri-articulaire et implantation d'une prothèse charnière type rotation le 03.12.2013 sur descellement septique de la PTG G à Staph. epidermidis multi-R Zona T6-T7 D Status post oligo-arthrite micro-cristalline de type chondrocalcinose à pyrophosphates de calcium (08/2016) Status post bactériémie à C. jejuni sur gastro-entérite aiguë (12/2015) Status post cholécystectomie partielle en 2013 pour cholangite récidivante sur cholédocholithiase et fistule colo-vésicale symptomatique (Berne) avec drain percutané en place avec : - contrôle par cholangiographie et ablation du drain à l'Inselspital de Berne le 12/2013 Status post rémission complète d'un lymphome Hodgkin B diagnostiqué en septembre 2009 et traité par chimiothérapie Status post embolie pulmonaire en décembre 2009 Status post fracture du col fémur D en 2002 Status post PTH D en 2001 Status post cyphoplastie sur fracture-tassement D12 en 2003 Status post fracture col fémur G type Pauwels I traitée conservativement en 2004 Status post cure hernie discale lombaire en 1991 Status post cure hernie inguinale Épanchement intra-articulaire du genou G dans le contexte d'une infection chronique de la PTG (ponction articulaire genou G le 20.02.2019 : Staph. epidermidis (1 colonie), culture nég. à J2) - arthrite septique du genou G à Staph. epidermidis multi-R le 25.08.2017 traitée conservativement - ablation PTG G avec débridement péri-articulaire sur descellement septique à Staph. epidermidis multi-R et réimplantation d'une PTG à charnière type rotation le 03.12.2013 - ablation PTG G sur descellement et réimplantation d'une PTG G de révision en 2010 - implantation PTG G primaire en 1992 Épanchement intra-articulaire du genou gauche le 08.04.2019 Épanchement intrarticulaire du genou G le 8.4.19 Épanchement péricardique de 20mm en regard du VG en postérieur d'origine indéterminée le 20.03.2019 DD urémique sur insuffisance rénale chronique DD virale - sans signe de tamponnade - réévaluer autres investigations (rhumatologique selon évolution) Épanchement péricardique de 20mm en regard du VG postérieurement d'origine indéterminée le 20.03.2019 - sans signe de tamponnade DD urémique sur insuffisance rénale chronique DD virale Épanchement péricardique le 19.03.2019 Épanchement pleural bilatéral de découverte fortuite Épanchement pleural bilatéral prédominant à gauche de type exsudat le 03.04.2019 - mis en évidence à l'ETT du 03.04.2019 Épanchement pleural de type exsudat symptomatique d'origine indéterminée - Exsudat du 14.03.2019 : LDH sanguin/pleural > 0.6; LDH pleural > 2/3 sanguin, cholestérol > 1.5mmol/l (1.9) DD : para-néoplasique, fistule trans-diaphragmatique d'un kyste pseudo-pancréatique Épanchement pleural droit avec atélectase ronde du lobe inférieur et plaques pleurales calcifiées d'étiologie indéterminée DD : asbestose, mésothéliome, séquellaire. Épanchement pleural droit chronique depuis 2016 - S/p deux ponctions : transsudat Épanchement pleural droit de type exsudat d'origine indéterminée : - critères de Light : gradient protéines pleurale/sériques à 0.6, LDH pleural/sérique à 0.44, LDH pleurales <2/3 des LDH sériques - ponction pleurale de 1,2 L le 28.11.2016. Hypothyroïdie subclinique avec : - TSH à 4.28 mU/L, T4 à 14.7 pmol/L, T3 à 3.99 pmol/L le 21.11.2016. Décompensation cardiaque globale le 31.05.2016 dans le contexte de la fibrillation auriculaire rapide. Accident vasculaire cérébral ischémique sylvien gauche sur occlusion M2 le 21.11.2016 d'origine cardio-embolique sur fibrillation auriculaire non anticoagulée.Arthrite inflammatoire du genou en juillet 2015. Multiples ostéosynthèses du fémur gauche avec mise en place de greffes pour fracture ouverte pluri-fragmentaire Gustillo 3 et ostéosynthèse du tibia gauche en 1969 et 1985. • ankylose et gonarthrose gauches. Fracture de fatigue de la plaque sur pseudarthrose sur statut après multiples interventions pour fracture du fémur gauche : AMO, décortication, greffe d'os spongieux et réostéosynthèse par plaque large pour ostéotomie d'allongement le 01.06.1989. AMO, décortication, greffes et réostéosynthèse par plaque le 31.07.2015 pour une fracture diaphysaire pathologique du tiers moyen - tiers proximal du fémur gauche. Epanchement pleural droit d'origine indéterminée Epanchement pleural gauche : • DD syndrome de Dressler • toux sèche persistante tout au long du séjour Epanchement pleural gauche d'origine indéterminée : • Diagnostics différentiels : insuffisance cardiaque chronique, inflammatoire, oncologique • Crépitants de la base gauche • Patient afébrile sans syndrome inflammatoire significatif Épanchement pleural gauche récidivant d'origine probablement mixte (empyème à E.Coli, carcinose pleurale) : • Pleurix du 27.03.2019 au 29.04.2019 • Antibiothérapie dès 27.03.2019 Epanchement pleural gauche récidivant d'origine probablement mixte le 25.03.2019 • empyème à E.Coli • paranéoplasique Epanchement pleural prédominant à gauche d'origine indéterminée avec atélectasies secondaires DD transsudat secondaire à la décompensation, exsudat d'une néoplasie sous-jacente (perte pondérale, inappétence) Epanchement pulmonaire D Sur CT thoraco-abdo-pelvien en ambulatoire Epanchements pleuraux bilatéraux à prédominance D avec atélectase de contact des deux pyramides basales Epanchements pleuraux bilatéraux (D>G) le 17.03.2018 • Ponction pleurale droite le 18.03.2018 : 1400 cc de transsudat • Ponction pleurale gauche le 19.03.2018 : 700 cc de transsudat Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur OAP cardiogénique et épanchements pleuraux le 17.03.2018 avec trois épisodes de OAP (17.03. et 21.03.2018) Globe vésical le 18.03.2018 Plusieurs chutes de sa hauteur • 12/2017 : hématome orbital, CT cérébrale 09/2017 • 12/2016 : lombalgie Hémorragies digestives hautes à répétition sur ulcères duodénaux le 07.02.2019 et 13.02.2019 avec : • Anuscopie le 07.02.2019 • OGD le 07.02.2019 (Dr. X) et le OGD le 15.02.2019 (Dr. X) • Colonoscopie à organiser en ambulatoire Pyelonephrite à E.Coli ESBL 03/2019 • Urétropyélographie rétrograde avec sonde double J pour pyonéphrose gauche le 03.01.2019 • Changement des sondes double J le 30.01.2019 Hypomagnésiémie 04/2019 • Mg 0.65 mmol/L Fracture Weber B de la cheville droite sur chute le 03.02.2019 • Prise en charge conservatrice : Plâtre fendu du 04.02 au 12.02.2019 • Retrait du plâtre le 15.03.2019 Epanchements pleuraux bilatéraux le 09.02.2019 : • Drainage thoracique le 14.02.19 (Inselspital) Epanchements pleuraux bilatéraux prédominant à gauche de type exsudat le 03.04.2019 Epanchements pleuraux récidivant dans un contexte oncologique le 04.04.2019 • ponction épanchement pleural droit sous US par le Dr. X le 20.03.2019 Epaule D : 3ème épisodes de luxation gléno-humérale le 08.11.2018, les 2 derniers datant d'il y a 3 et 20 ans respectivement. Lésion traumatique du sus-épineux avec petit arrachement osseux épaule D. Arthrose AC à D. Epaule D : Instabilité postérieure avec lésion osseuse bifocale. Dernière luxation le 15.11.2017. Epaule G : Status post instabilité postérieure et antérieure et arthroscopie le 18.01.2016 avec refixation lésion Bankart, SLAP et remplissage lésion Hill-Sachs. Status post arthrolyse par arthroscopie le 14.09.2017. Epaule droite : S/p stabilisation CC-AC par Fibertape le 04.05.2017 sur luxation acromio-claviculaire. Stress post-traumatique Epaule droite : tendinite LCD et tendinopathie coiffe des rotateurs. Epaule G f/Neer de ce jour : fracture consolidée avec un déplacement secondaire par au dernier contrôle. Epaule G f/Neer de ce jour : on voit un déplacement secondaire avec maintenant sur la face une angulation en valgus de 20° et un déplacement complet sur le cliché du Neer. Epaule G f/Neer de ce jour : pas de déplacement secondaire. Epaule G gelée. Status post infiltration intra-articulaire et sous-acromiale épaule G le 15.03.2019. Epaule gauche gelée. Status après infiltration sous-acromiale et intra-articulaire de l'épaule gauche le 11.12.2018. Epaule gauche : • lésion transfixiante du sus-épineux • lésion transfixiante sous-scapulaire • luxation antérieure du long chef du biceps. 16.09.2014, Dr. X : suture du sus-épineux, suture sous-scapulaire, ténolyse et ténodèse du long chef du biceps, épaule gauche. Lésion pigmentaire du cuir chevelu sur le vertex antérieur gauche. Volumineuse tumeur cutanée exophytique ulcérée sur le vertex. Excision radicale des deux lésions avec fermeture primaire de la lésion pigmentaire et couverture de la deuxième par de l'Epigard. Epaule gelée à G sur status post arthroscopie, ténodèse du LCB et acromioplastie le 17.09.2018. Status post refixation SLAP avec Bioraptor, décompression sous-acromiale et acromioplastie le 27.04.2015. Epaule gelée D. Status post ostéosynthèse de la clavicule droite par plaque Variax le 19.07.2018. Epaule gelée D. Cervicobrachialgies D avec uncarthrose en C5-C6 avec débord discal circonférentiel, rétrécissement du canal rachidien et des trous de conjugaison en particulier du côté G. Epaule gelée G. Status post infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule G le 8.3.2019. Epaule gelée gauche post-traumatique. Status post infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule gauche le 3.08.2018 et 14.09.2018. Épicondylite coude droit. Épicondylite coude gauche le 10.04.2019. Épicondylite droite (clinique typique). Épicondylite latérale coude D (Tennis elbow) le 12.10.2017. Épicondylite latérale coude G. Épicondylite latérale et médiale du coude gauche. Fracture diaphysaire transverse déplacée MC4 et MC5 à droite le 26.08.2017. ORIF par plaque de compression Compact Hand 1.5. Épicondylite médiale à D. Présence de polypes du côlon. Diabète type II. HTA. Dyslipidémie. GERD. Neuro-asthénie. OH chronique. Tabagisme actif. Épicondylite médiale coude droit le 09.07.2014. Bronchite le 01.08.2016. Lombalgies communes non déficitaires avec sciatalgie gauche. Traumatisme auditif. Épicondylite radiale de l'humérus D 2018. Fracture diaphysaire spiroïde humérus D le 01.02.2017.• Post-opératoire d'une ostéosynthèse humérus proximal D en 2010. • Opération HD par le passé. • Épicondylite radiale de l'humérus D 2018. • Fracture diaphysaire spiroïde humérus D le 01.02.2017. • Épicondylite radiale droite avec suspicion de compression du nerf inter-osseux postérieur. • Status post infiltration d'une épicondylite radiale gauche le 14.12.2018. • Épicondylite ulnaire coude droit. • Epididymite. • Épididymite aiguë, 3ème épisode. • Épididymite du testicule droit. • Épididymite gauche. • Épididymite le 04.04.2019. • Epigastralgie. • Epigastralgie dans le contexte de prise de AINS, le 18.04.2019. • Epigastralgie le 15.04.2019. • Epigastralgie le 26.04.2019. • Epigastralgie probablement dans le cadre de l'alcoolisation aiguë. • Epigastralgie probablement sur reflux gastro-oesophagien. • Epigastralgie récidivante le 09.04.2019. DD: gastrite (H. pylori?), ulcère. • Epigastralgie sur probable gastrite. Diagnostic différentiel : cholecystite débutante. • Epigastralgie sur probable hernie hiatale. • Epigastralgies. • Epigastralgies chroniques. • Epigastralgies dans le contexte d'une hernie hiatale. DD : gastrite. • Epigastralgies d'origine indéterminée. DD : gastrite chronique, origine néoplasique. • Epigastralgies d'origine indéterminée avec gastro-parésie. DD gastrite chronique, origine néoplasique. • Epigastralgies d'origine indéterminée le 07.04.2019. DD : lithiases biliaire, gastrite. • Epigastralgies d'origine indéterminée le 08.04.2019. DD : gastrite, lithiase biliaire. • Epigastralgies d'origine indéterminée le 15.04.2019. DD : gastrite. • Epigastralgies d'origine multifactorielle : gastrite, anxiété. • Epigastralgies en barre chroniques depuis 2010, acutisées depuis le 31.03.2019 avec : • s/p résection subtotale de la tête du pancréas avec conservation du duodénum et cholécystectomie en 1994, puis duodéno-pancréatectomie totale en 2001 avec auto-greffes d'îlots en mars 2002 pour pancréatite chronique d'origine indéterminée. • Nécessitant hospitalisations répétées en raison d'exacerbation des douleurs (précédente le 05.01.2019). • Bilan étiologique : multiples CT abdominaux et OGD sp. • Coloscopie 31.03.2016 : côlon atone avec suspicion d’adhésions. • Bilan porphyrie le 11.03.2016. • IgG4 totaux dans la norme et sous-classes 1 à 4 également. • Biopsie adénopathies rétropéritonéales le 21.11.2016 : sans particularités. • Traitements principaux : traitement médicamenteux maximal, thermoablation splanchnique bilatérale. • Pose de neurostimulateur provisoire le 11.04.2016, définitif le 02.05.2016. • Séjour en réhabilitation psychosomatique à la clinique bernoise de Montana en 2016 (14j). • Pose de pompe intrathécale avec Fentanyl et Catapresan le 03.12.2018. • Epigastralgies et douleur en hypochondre D le 17.04.2019, DD gastrite, hépatite avec : perturbation des tests hépatiques. • Epigastralgies le 09.04.2019. • Epigastralgies le 13.04.2019. • Epigastralgies le 16.04.2019. DD : ulcère gastrique, gastrite sur prise d'AINS. • Epigastralgies, le 26.04.2019. DD : gastrite, ulcère gastrique. • Epigastralgies le 27.04.2019. • Epigastralgies. Pantozol, Ulcogant et Motilium. Anémie ferriprive. Maltofer. • Epigastralgies post-prandiales d'origine indéterminée le 04.04.2019. Diagnostic différentiel : lithiases biliaires, H-pylori. • Epigastralgies sur Brufen le 16.04.2019. • Epigastralgies sur probable gastrite d'origine indéterminée le 14.04.2019. • Epigastralgies sur probable gastrite le 09.04.2019. Patiente connue pour une hernie hiatale avec reflux gastro-oesophagien. • Epigastralgies sur probable gastrite le 14.04.2019. Patiente connue pour une hernie hiatale avec reflux gastro-oesophagien, avec gastroparésie. • Epigastralgies sur probable gastrite le 14.04.2019. Patiente connue pour une hernie hiatale avec RGO, avec gastroparésie. • Epigastralgies sur probable oesophagite peptique. Diagnostic différentiel : ulcère sur HP. • Epigastralgies sur probable spasme oesophagien. • Epilepsie. • Epilepsie connue depuis 2006, non traitée. • Accident ischémique transitoire anamnestiquement en 2005. • Accident vasculaire cérébelleux droit non daté. • Ancienne fracture D12. • Ostéosynthèse de la cheville droite en 2005. • Thrombose de la veine saphène externe droite en 2003. • Accident de la voie publique avec fractures multiples de l'épaule gauche en 1985 avec : arthroplastie du col huméral gauche. • Appendicectomie dans l'enfance. • Fracture diaphysaire périprothétique de l'humérus proximal gauche traitée conservativement le 13.01.2017. • Etat confusionnel aigu le 31.12.2017 : dans le contexte de troubles cognitifs, infectieux et hypoxémiques. • Alcalose métabolique de contraction et sur compensation métabolique de l'hypercapnie, le 03.01.2018. • Candidose buccale le 05.01.2018. • Hypertension artérielle réfractaire le 31.12.2017 : dans le contexte de broncho-spasmes et d'agitation. • Douleurs au membre inférieur droit d'origine musculo-squelettique, le 11.01.2018, avec : • Kyste de Baker non rupturé. • Ancienne thrombose calcifiée de branches variqueuses au mollet droit. • Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine prérénale le 29.12.2017. • Malnutrition protéino-énergétique grave, le 01.01.2018. • Pneumonie des deux lobes supérieurs acquise en communauté, possiblement à Haemophilus influenzae le 29.12.2017 : dans un contexte de syndrome restrictif sévère avec composante obstructive. • Avec insuffisance respiratoire hypoxémique et hypercapnique. • Epilepsie connue depuis 2008 (d'origine lésionnelle?). Séquelles cérébelleuses anciennes dans l'IRM du 27.02. • Epilepsie cryptogène, pharmaco-résistante, diagnostiquée en avril 2016, multi-investiguée aux HUG. • Malnutrition protéino-énergétique grave (BMI à 12.56 kg/m2) sur syndrome de Münchhausen avec anorexie secondaire et comportement purgatif. • Tabagisme chronique et consommation active de cannabis. • Scoliose et arthrose de la colonne lombaire. • Perturbation légère des tests hépatiques avec : sérologies VIH, HBV, HCV négatives aux HUG. • Anticorps anti-mitochondries, anti muscle lisses, LKM-1, SLA le 28.02.2017 : dans la norme. Stase urinaire urétéro-pyélocalicielle gauche évoquant premièrement une sténose de la jonction vésico-urétérale gauche. Epilepsie dans le cadre du glioblastome. Epilepsie de type absences sous diète cétogène. Epilepsie de type d'absences lombo-cruralgie jambe gauche. Epilepsie depuis l'adolescence sous dépakine chrono 500 mg. Epilepsie durant l'enfance (5 crises mais pas de cause mise en évidence de 15 à 25 ans). Epilepsie focale à départ pariétal droit le 03.04.2019 DD: AIT pariétal droit • symptomatologie: paresthésies et parésie ascendantes du membre supérieur gauche et héminégligence pluri modale (visuelle et sensitive) gauche transitoire • 2 épisodes similaires stéréotypés en 2015 et 2018 • NIHSS à l'entrée à 3 points, NIHSS à 12h à 2 points, NIHSS 0 le 04.04.2019. Épilepsie généralisée connue depuis 03/2011 traitée par Keppra par le Dr. X, puis Lamictal car perturbation des tests hépatiques. Hypertension artérielle traitée. Syndrome de dépendance à l'alcool suivi au Centre psychosocial. Trouble de la personnalité de type borderline avec limitation intellectuelle et effractions psychotiques. Trouble du rythme connu (extrasystole de la chambre de chasse du VD) avec souffle systolique au foyer aortique d'intensité 2/6 suivi par Dr. X. Céphalées de type tensionnel (sans précision). épilepsie • Hématome sous-dural chronique progressif avec deux crises épileptiques • Trépanation pariétale gauche le 22.02.15 • stripping d'évacuation d'urgence le 13.04.15 (Dr. X) Régression de l'hématome sous-dural. Hémorragie récente dans les hématomes sous-duraux des deux hémisphères cérébraux sans effet de masse (Scanner du crâne originel du 14.05.15) • EEG le 06.05.2016: • Introduction du Keppra 500mg 2x / j • Consultation neurologique (Dr. X du 12.05.2016): pas d'anticoagulation sans indication de fibrillation auriculaire. Insuffisance rénale chronique stade 3 • clairance de la créatinine chez Cockcroft-Gault 49,5 ml / min (06.05.2016). Cardiomyopathie hypertrophique homogène (ED 2009) • FEVG 60%, cardiomyopathie hypertrophique homogène, insuffisance mitrale légère (échocardiographie du 27.05.09) • Bradycardie asymptomatique. Lipome épaule gauche. hypoacousie. Début rhiz, STT et arthrose de l'articulation radioulnaire distale droite (poignet Rx droit 06.01.15). éventration. Epilepsie il y a 20 ans • sous traitement par Urbanyl 7.5mg, suivi neurologique à Münich. Probable encéphalite ancienne à 30 ans (anamnestique)? Grippe Influenza A avec insuffisance respiratoire partielle le 22.02.2019. Hyponatrémie hypo-osmolaire sévère avec état confusionnel aigu le 22.02.2019 • probable SIADH secondaire à la grippe. Troubles de la marche et de l'équilibre. Epilepsie non traitée • traitement jusqu'à l'âge de 13 ans. Epilepsie non traitée (une seule crise avant l'âge de 12 ans). Suspicion d'endométriose de stade 3. Epilepsie partielle avec dysarthrie aiguë et aphasie de production le 11.04.2019 et récidive le 13.04.2019 • crise comitiale d'origine métabolique. Epilepsie partielle probablement d'origine lésionnelle le 30.03.19 • Clinique: myoclonies. Epilepsie partielle probablement d'origine lésionnelle le 31.03.2019. Epilepsie post-traumatique suite à un traumatisme crânio-cérébral en 1977 traitée: • actuellement: sous Keppra 500 mg 2-2-2 et Valium 0-0-10mg. • Crises d'épilepsie tonico-clonique répétées le 31.10.2014. • Crise d'épilepsie le 22.10.2015 sur sevrage OH. • Crise tonico-clonique sans facteur précipitant le 19.6.2018. Ancienne polytoxicomanie substituée par Méthadone : • 11/2018 dose: L-Polamidon 70mg 1-0-0. Troubles anxio-dépressifs. Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool; syndrome de dépendance, utilisation continue. Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'opiacés; syndrome de dépendance. Epilepsie post-traumatique (AVP) sous Lamictal suivie en Roumanie • sous Lamictal 100 mg 1x/j • s/p dernière crise été 2018 1 enfant de 2.5 ans. Epilepsie post-traumatique sous Lamictal. Hépatite B chronique. Epilepsie réfractaire traitée le 08.04.2019 • 3-4 crises/jour. Epilepsie sous Lamictal. Epilepsie structurelle avec crise dyscognitive d'origine cryptogénique dans le contexte de troubles cognitifs en augmentation • symptomatologie des crises: gêne abdominale et sensation de déréalisation, puis diminution de la vigilance et automatismes du pouce G et de mâchonnement. DD: encéphalite limbique, sur démence neurodégénérative sous-jacente. Epilepsie sur séquelles de TCC. • sous Carbamazépine. Epilepsie traitée. Epilepsie traitée. Epilepsie traitée depuis l'enfance, suivie par le Dr. X. Asthme allergique. Status post-plastie valvulaire dans l'enfance. Status post-hystérectomie. Status post-APP. Epilepsie traitée par Carbamazépine et Lamictal, posologie non connue par le patient. Dernier épisode en 1995. Épilepsie traitée par Depakin dans l'enfance, sans traitement depuis plus de 10 ans. Epilepsie traitée par Dépakine. Epilepsie traitée par Depakine. Fibrillation auriculaire depuis juillet 2015 anticoagulée. Diabète de type 2 non insulino-requérant. Epilepsie traitée par Dépakine. Personnalité émotionnellement labile, type borderline. Troubles de l'adaptation avec perturbations mixtes des émotions et des conduites. Epilepsie, traitée par Victan en réserve. Tabagisme actif. Stérilet Mona Lisa. Epilepsie. Infirmité motrice cérébrale. Épine de bois sous-cutané, avec: Épisiotomie médio-lat droite, déchirure vaginale. Épisiotomie médio-latérale droite. Épisiotomie médio-latérale droite. Déchirure périnéale degré 3a. Episode d'agitation. Episode d'amnésie transitoire globale en 2011. Episode d'AVNRT avec cardioversion spontanée le 08.04.2019. Episode de confusion aiguë avec troubles phasiques le 21.03.2019 : • Sans autre trouble neurologique • Diagnostic différentiel : épilepsie partielle.Episode de douleurs sous-costales gauches • ATCD de douleurs basithoraciques gauches les 22.03 et le 23.03.2017 Episode de FA paroxystique objectivé au scope le 04.12.2017 : pas de troubles du rythme objectivé Holter 12.12.2017 Douleurs thoraciques oppressives sur probables pics hypertensifs, le 19.08.2015 Rupture de la coiffe des rotateurs de l'épaule D non datée AVP avec fractures de côtes non daté Infection urinaire basse à P. Aeruginosa le 03.10.2015 Diarrhées d'origine infectieuse suite à un voyage à Djerba en 2017 Occlusion intestinale sur ascaris en 1951 Lésions multiples de l'oesophage et de l'estomac sans précision APP en 1951 Tentamen médicamenteux à l'ammoniac en 1989 Episode de gonflement abdominal en cours d'investigations en ambulatoire. Episode de lipothymie le 30.04.19. Episode de perte de contact aux urgences avec aphasie temporaire, DD crise d'angoisse. Episode de tachycardie supraventriculaire non documentée par ECG le 23.10.08. Episode d'épistaxis. Episode dépressif • Sous Venlafaxine depuis 12.2018 Hypertension à effet blouse blanche Episode dépressif avec hétéro-agressivité le 26.03.2017 Episode dépressif avec tentamen. Notion de trouble dissociatif en 2015. Accouchement par voie basse instrumenté par ventouse le 28.08.2018. Episode dépressif dans un contexte de ménopause. Perforation intestinale sur ulcère sur médication avec complication post-opératoire sous forme d'occlusion intestinale il y a 15 ans. Trouble de l'adaptation avec perturbation des émotions et des conduites avec : • abus médicamenteux et tentative de veinosection au niveau du poignet gauche 10/2009. Douleurs épigastriques, DD : gastrite sur traitement par AINS. Pantozol. Arrêt Voltaren. Episode dépressif en 2014. Appendicectomie. Kyste coccygien opéré. Intoxication médicamenteuse volontaire par Temesta et Sertraline dans un contexte de conflit conjugal le 16.09.2015, transfert au RFSM Marsens en mode volontaire. Episode dépressif le 03.07.2015. Traumatisme crânien sous alcoolisation aiguë à 2,66 pour mille le 11.05.2013. Dermohypodermite du membre supérieur gauche à point de départ de l'avant-bras sur auto-mutilation au couteau. Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation des substances psycho-actives. • actuellement sous traitement substitutif par Méthadone, hospitalisé au RFSM Marsens. • consommation occasionnelle d'amphétamine. • consommation récente de methylphenidat (Ritaline) iv. Contusion de l'épaule gauche sur chute. Episode dépressif le 28.04.2019. Episode dépressif majeur dans contexte de maladie oncologique en phase palliative de son mari le 18.04.2019 Episode dépressif majeur le 27.08.2016 avec : • éthylisation aiguë. • idéations suicidaires scénarisées. • élément déclenchant : solitude extrême. Episode dépressif moyen Episode dépressif moyen avec troubles du comportement liés à l'utilisation d'alcool, actuellement en sevrage au RFSM de Marsens. Episode dépressif moyen, probablement réactif le 02.04.2019. -status post état dépressif réactif, 2007, hospitalisation pendant 3 semaines à la Métairie. Episode dépressif récidivant, avec : • anxiété associée • troubles du sommeil Episode dépressif • sans idées suicidaires Episode dépressif sévère avec symptôme psychotique. DD : deuil pathologique, abus de BZD, consommation OH. Traumatisme crânien le 19.03.2019. Contusion lombaire le 19.03.2019. Infection urinaire basse. Episode dépressif sévère avec symptômes psychotiques et idées suicidaires scénarisées le 06.04.2019. Épisode d'hématochézie sur possible hémorroïdes internes DD colite segmentaire débutante DD. Malaise d'origine probablement vagal DD cardiaque DD orthostatique. Fracture arrachement du naviculaire droit. Episode d'hématochézie sur tumeur le 8.11.2015 et 28.11.2015 Cataracte droite traitée en 2014 Thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit en décembre 2010 (anticoagulée pendant 6 mois) Appendicectomie 1970 Hernie de la paroi abdominale Hernie paroi abdominale, cure sans filet gauche le 27.01.2016 Plaie chronique péri-anale avec abcédation le 28.04.2016 • antibiothérapie par Augmentin du 12.02 au 15.02.2016 remplacé par Tazobac du 15.02.2016 au 26.02.2016 • DD : sur corps étranger (Aquacel) Adénocarcinome du bas rectum à 2 cm de la marge anale ypT3 N1a (1/28) G2 V1 Rx • Date du diagnostic : 28.09.2015 • Pathologie Promed P8453.15 : Adénocarcinome moyennement différencié de type colo rectal • CT thoraco-abdominal du 28.09.2015 : Infiltration tumorale du rectum. Pas d'image suspecte de métastase. Dilatation pyélocalicielle et vessie très pleine. • IRM du pelvis du 01.10.2015 : volumineux processus tumoral du rectum moyen situé à 4 cm de la marge anale s'étendant sur une hauteur de 8 cm. Sur le côté gauche de la tumeur vient très vraisemblablement au contact du fascia recti ; contact également avec les vésicules séminales en avant sans argument pour un envahissement. Plusieurs adénopathies dans le méso rectum et probablement méso sigmoïde • Iléo-colonoscopie du 25.09.2015 : à 2 cm de la marge anale présence d'une grande tumeur non-sténosante. • CEA 07.10.2015 : 6.8 ng/l • Chimiothérapie néo-adjuvante par Xeloda du 26.10 au 27.11.2015 • Radiothérapie néo-adjuvante • Amputation rectale, abdomino-périnéale, adhésiolyse et colostomie terminale le 27.01.2016 • Surinfection de la plaie de laparotomie à S. haemolyticus et E. faecalis le 10.02.2016 • Abcès du bassin et désinsertion de stomie le 13.02.2016 : Laparotomie, réduction de hernie, réfection de stomie, lyse d'adhérences, suture de lésions de grêle, lavage, mise en place d'un drain, double VA (sous-cut médian et ancien site de stomie, PD Dr. X) • Application d'un pansement VAC sur des ulcères propres / des plaies abdominales (93.57) (OP le 16.02.2016, 23.02, 26.02) • Fermeture de laparotomie le 29.02.2016. • PET CT le 01.03.2016 Fibrillation auriculaire non-anticoagulée, avec : • échocardiographie du 13.10.2015 : FEVG 60%, cardiopathie hypertensive, dilatation OG, valve aortique sclérosée • CHA2DS2-VASc : high risk (4 pt) • HAS-Bled : intermediate risk (2 pt) • Contrôle de la fréquence avec Métoprolol et Diltiazem Iléo-colonoscopie du 25.09.2015: à 2 cm de la marge anale présence d'une grande tumeur non-sténosante. CEA 07.10.2015: 6.8 ng/l Chimiothérapie néo-adjuvante par Xeloda du 26.10 au 27.11.2015 Radiothérapie néo-adjuvante Amputation rectale, abdomino-périnéale, adhésiolyse et colostomie terminale le 27.01.2016 Surinfection de la plaie de laparotomie à S. haemolyticus et E. faecalis le 10.02.2016 Abcès du bassin et désinsertion de stomie le 13.02.2016: Laparotomie, réduction de hernie, réfection de stomie, lyse d'adhérences, suture de lésions de grêle, lavage, mise en place d'un drain, double VA (sous-cut médian et ancien site de stomie, PD Dr. X) Application d'un pansement VAC sur des ulcères propres/des plaies abdominales (93.57) (OP le 16.02.2016, 23.02, 26.02) Fermeture de laparotomie le 29.02.2016. PET CT le 01.03.2016 Fibrillation auriculaire non-anticoagulée, avec: • échocardiographie du 13.10.2015: FEVG 60%, cardiopathie hypertensive, dilatation OG, valve aortique sclérosée • CHA2DS2-VASc: high risk (4 pt) • HAS-Bled: intermediate risk (2 pt) • Contrôle de la fréquence avec Métoprolol et Diltiazem Episode isolé de tachycardie asymptomatique (DD: FA paroxystique, tachycardie sinusale, traitement par Théophylline) • TSH à 550 mU/l • Taux de Théophylline: en cours • Holter du 04-05.01.2017: analyse en cours. Echocardiographie le 29.01.2013: ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG estimée à 75% (mode TM). Hypertrophie concentrique avec dysfonction diastolique. Insuffisance respiratoire globale sur décompensation de BPCO stade GOLD 3 sur bronchite aiguë le 19.01.2013. Macrocytose sur carence en acide folique avec consommation d'alcool à risque en janvier 2013. Flutter auriculaire 2:1 à 146 BPM le 21.03.2017. Macrocytose avec Hb 146 g/l hyporégénérative le 01.01.2017 • sur carence en acide folique. S/p ablation des veines pulmonaires en 10/2018. Episode unique d'hématurie macroscopique le 13.02.2019. Anémie normocytaire hypochrome ferriprive spoliative avec hémoglobine à 48 g/l le 28.07.2017 • probablement dans le contexte de l'adénocarcinome du caecum. • transfusion de 5 culots érythrocytaires au total. Hémorragie digestive basse avec anémie de grade 4 en août 2017. Infection de port-à-cath nécessitant une réimplantation en juillet 2017. Crises de goutte au niveau du genou et de la cheville. Abcès chaud d'environ 4x 2 cm au niveau supéro-externe de la fosse poplitée gauche. Arthroscopie du coude gauche avec résection de souris articulaire sur ostéochondrite disséquante du capitellum. Appendicectomie en 1965. Episodes de perte de contact répétés, DD convulsion partielle, cardiaque Episodes de sang dans le pampers il y a 1 mois Épisodes de tachycardie supra-ventriculaire sur foyer ectopique traité au CHUV en 2013 Status post-épididymectomie gauche et opération hydrocèle droit en 2002 Exploration testiculaire droite avec résection d'une tumeur adénomatoïde le 13.10.2014 Rétention urinaire postopératoire sur/avec: • Hyperplasie prostatique • Pose de sonde urinaire le 07.06.2018 • Hématurie sur pose de sonde urinaire le 07.06.2018 • Pose d'une sonde trois voies et rinçages du 08 au 11.06.2018 Episodes de tachycardie supra-ventriculaire: • le plus long de 18 complexes, le plus rapide à une fréquence cardiaque maximale de 176 bpm (Holter du 21.09.2018) Episodes dépressifs moyens récidivants, avec: • réactifs sur perte d'autonomie suite à un traumatisme crânien en 1999 avec troubles exécutifs en péjoration • troubles bipolaires depuis l'adolescence, traités par Lithium dans le passé • éthylisme chronique avec tendance à l'hétéroagressivité verbale • s/p tentative de suicide en 05/2018 et 1989 • s/p hospitalisation en gériatrie aiguë à l'HFR Meyriez en 2016 et en réhabilitation psychosomatique à la Clinique bernoise de Montana en 09/2018 • TSH dans la norme le 18.03.2019 • épuisement du réseau ambulatoire Episodes neurologiques similaires avec CT également normal en 2008. Malaria à plasmodium falciparum avec anémie hémolytique • status post-crises en octobre 2012 et le 1er novembre 2012, traitée par Arthemeter au Cameroun. Probable ecthyma jambe gauche. Epistaxis Epistaxis. Epistaxis. Epistaxis. Epistaxis. Epistaxis. Epistaxis. Epistaxis. Epistaxis. Epistaxis. Epistaxis. Epistaxis. Epistaxis. Epistaxis. Epistaxis. Epistaxis aigüe le 05.04.2019 avec: • Status post polypectomie nasaux bilatéraux le 19.03.2019. Epistaxis anamnestique. Epistaxis antérieur dans le contexte d'anticoagulation par Xarelto Epistaxis antérieur le 02.04.2019. Epistaxis antérieure. Epistaxis antérieure gauche le 28.04.2019. Epistaxis antérieure. Plaie du sourcil gauche de 2.5 cm. Epistaxis artérielle avec: • saignements antéro/postérieurs Epistaxis auto limitée. Epistaxis auto-limitée. Epistaxis bilatéral à prédominance gauche sous anticoagulation supra-thérapeutique par Sintrom le 20.01.2019. Hématochésie le 20.01.2019 avec 150 ml sous anticoagulation supra-thérapeutique par Sintrom. Décompensation cardiaque globale aiguë le 19.10.2018. Décompensation cardiaque en juillet 2017. Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique stade III, d'origine cardio-rénale probable en juillet 2017. Hyponatrémie normo-osmolaire légère à 132 mmol/l probablement sur insuffisance rénale aiguë. Hyperkaliémie modérée à 5.5 mmol/l probablement sur insuffisance rénale aiguë. Angioplastie des artères poplitées hautes droite et gauche en 2012. Résection colique pour volumineux polype non carcinomateux. Appendicectomie à l'âge de 16 ans. Colite à Clostridium difficile avec toxine A/B positive le 24.01.2019. Décompensation cardiaque sur fibrillation auriculaire. Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique stade III avec une créatinine à 182 mcmol/l. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Epistaxis bilatérale à prédominance gauche sous anticoagulation supra-thérapeutique par Sintrom le 20.01.2019 Hématochésie le 20.01.2019 avec 150 ml sous anticoagulation supra-thérapeutique par Sintrom Décompensation cardiaque globale aiguë le 19.10.2018 Décompensation cardiaque en juillet 2017 Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique stade III en juillet 2017 Angioplastie des artères poplitées hautes droite et gauche en 2012 Résection colique pour volumineux polype non carcinomateuxAppendicectomie à l'âge de 16 ans Colite à Clostridium difficile avec toxine A/B positive le 24.01.2019 Epistaxis dans un contexte d'INR supra thérapeutique chez une patiente sous Sintrom pour une fibrillation auriculaire Epistaxis de la narine droite, avec écoulement postérieur. Epistaxis de la narine droite avec résolution spontanée du saignement. Epistaxis de la narine gauche. Epistaxis de la narine gauche spontanément résolutif le 23 et le 26 avril 2019. Epistaxis d'origine traumatique (toux) de la narine droite Epistaxis du plancher de la fosse nasale droite 14.02.2017 : Septoplastie + hémostase endoscopique (Dr. X) Epistaxis en 2012 Embolie pulmonaire en 1999 Epistaxis gauche sur angiectasie du locus de Kiesselbach, favorisée par une double anti-agrégation plaquettaire, le 24.03 et 25.03.2019 Herpès zoster sous-mammaire gauche le 27.12.2018 Chirurgie pour canal lombaire étroit en 12.2016 (Inselspital) Hyperuricémie symptomatique avec en crise de goutte en 03.2017 Epistaxis le 05.04.2019. Epistaxis le 07.04.2019. Epistaxis le 27.02.2016 dans un contexte d'anticoagulation et de double antiagrégation. STEMI antérieur sur sténose de l'IVA proximale le 25.02.2016 avec mise en place d'un stent actif (Coronarographie le 25.02.2016 (Dr. X)). Fibrillation auriculaire rapide per-coronarographie le 25.02.2016 traitée par Cordarone du 25.02.2016 au 26.02.2016 puis introduction de Xarelto. Bradycardie sinusale le 26.02.2016. Epistaxis le 11.05.2016 dans un contexte d'anticoagulation et de double antiagrégation. Douleur du pied gauche d'origine indéterminée le 18.12.2016. Insuffisance respiratoire partielle le 25.02.2016. DD : sur décompensation cardiaque gauche dans le contexte d'un STEMI. Arrêt cardiorespiratoire sur FV (extra-hosp) le 25.02.2016. Pneumonie lingulaire et postéro-basale bilatérale le 11.08.2015. Hémorroïdes thrombosées le 16.08.2014. Malaise sur fibrillation auriculaire tachycardique le 12.07.2010 traitement avec Sintrom pendant 1 mois. Asystolie sur bêtabloquants le 12.07.2010. Déconditionnement global le 23.03.2018 dans un contexte de pneumonie communautaire au décours traitée par antibiothérapie. Dorsalgies dans le contexte de bronchopneumonie le 23.03.2018. Epistaxis le 28.01.2018. Eczéma à l'oreille droite, le 18.05.2016. PTH bilatérale en 2008. Appendicectomie en 1976. Cholécystectomie en 1972. Epistaxis narine droite et gauche sans source de saignement visible 09.2011 Epistaxis non compliqué Epistaxis post opératoire Epistaxis spontanément résolutif le 01.04.2019. • épisode récurrent depuis janvier 2019. DD : dans le contexte d'une pollinose. Epistaxis spontanément résolutif le 13.04.2019. Epistaxis spontanément résolutif le 23.04.2019. Epistaxis spontanément résolutifs sur traumatisme facial du 08.04.2019. Epistaxis spontanés Epistaxis sur anticoagulation par Xarelto et double anti-aggrégation Epistaxis sur effort de toux EPO 20000 le 25.04.2019 Ferinject 500 mg le 25.04.2019 Acide folique 5 mg 1x/j Épuisement psycho-somatique avec malaise fonctionnel. Vertiges d'origines indéterminée (DD : vertiges périphériques sur cupulolithiases). Opération pour varices des membres inférieurs il y a 20 ans. 2 césariennes. Insuffisance veineuse du membre inférieur droit C0-S sur statut post-opération pour varicose il y a 20 ans du membre inférieur droit. Équipe de traitement multidisciplinaire : Dr. X, Dr. X, Dr. X, infirmier Équipe de traitement multidisciplinaire : Dr. X, infirmiers, diététicienne Mise en place réseau au domicile (soins à domicile, Voltigo). Équipe de traitement multidisciplinaire : Dr. X, Mme. Y Dr. X Éraillure à la fourchette Éraillure para-clitoridienne gauche Eraillures vaginales non hémorragiques ERCP avec changement de stent le 30.03.2019 Hémocultures du 30.03.2019 : E. faecium Rocéphine 2g i.v. 1x/jr et Métronidazole 500 mg i.v. 3x/jr du 29.03.2019 au 30.03.2019 Co-Amoxicillin 3 x 2,2 g i.v. du 31.03.2019 au 05.04.2019 ERCP le 14.04.2019 : papillotomie interne sans mise en place de prothèse CT abdominal injecté le 14.04.2019 Cathéter artériel radial droit du 14.04 au 17.04.2019 Cathéter artériel Picco du 15.04.2019 au 16.04.2019 VVC dès le 15.04.2019 Noradrénaline du 14.04 au 16.04.2019 Meropenem du 14.04 au 16.04.2019 Vancomycine du 14.04 au 16.04.2019 Amikacine (1500 mg) en dose unique le 14.04.2019 Co-Amoxicilline dès le 16.04.2019 ERCP le 20.03.2019 : cf. annexes Drainage transgastrique endoscopique le 22.03.2019 : cf. annexes Ergo- et physiothérapie Charge selon douleur Adaptation de l'antalgie Ablation des fils le 14ème jour postopératoire RDV de contrôle chez Dr. X le 26.04.2019 à 13h00 puis le 04.06.2019 13h00 Ergométrie dans 1 année Ergométrie dans 1 mois chez Dr. X. Ergométrie de contrôle dans 6 mois Ergométrie de contrôle dans 6 mois Adaptation du traitement du syndrome coronarien Ergothérapie pour amélioration de l'inflammation au niveau du tendon extenseur. Mobilisation libre. Reprise du travail dès le 06.04.2019. Ergothérapie. Physiothérapie. Érosion cornéenne centrale de l'œil gauche de 2mm de diamètre sur traumatisme. Érosion cornéenne gauche d'une longueur de 2 mm, entre 11h00 et 01h00 sur le rayon cornéen le 23.03.2012. Ertapenem du 10.04.2019 au 16.04.2019 Ventilation non invasive du 10.04.2019 au 12.04.2019 Hémocultures du 10.04.19 : stériles à 5 jours Ertapenem du 10.04.2019 au 16.04.2019 Ventilation non invasive du 10.04.2019 au 12.04.2019 Physiothérapie respiratoire Éruption cutanée Éruption cutanée Éruption cutanée Éruption cutanée. Éruption cutanée. Éruption cutanée. Éruption cutanée. Éruption cutanée. Éruption cutanée. Éruption cutanée. Éruption cutanée. Éruption cutanée au niveau du dos, sous axillaire, et au niveau du thorax Éruption cutanée avec prurit Éruption cutanée bilatérale aisselles le 26.04.2019. Éruption cutanée (DD : para-viral, piqure) Éruption cutanée d'origine X avec prurit Éruption cutanée et fièvre Éruption cutanée induite par Amoxicilline dans le contexte d'une mononucléose infectieuse à EBV Éruption cutanée induite par Amoxicilline dans le contexte d'une mononucléose infectieuse à EBV Éruption cutanée induite par Amoxicilline dans le contexte d'une mononucléose infectieuse à EBV. Éruption cutanée le 26.04.2019 probablement sur Ferinject Éruption cutanée maculo-papulaire sans signes de gravité (DD : virose, allergique) Éruption cutanée, probable réaction allergique de garde 1, DD : urticaire paravirale Éruption cutanée sur probable virose éruption cutanée type varicelle débutante Éruption cutanée vésiculeuse. Éruption cutanée virale (DD : exanthème latéro-thoracique) Éruption maculaire non prurigineuse dorsale probablement sur sudations le 26.03.2019 • pas d'argument pour une allergie ou infection Éruption maculaire para-infectieuse probable Éruption maculo-papulaire virale (DD : Parvovirus B19) Éruption non typique pour scarlatine, âge non typique, contage négatif Éruption apparue avant la fièvre, parlant en défaveur d'une roséole RAD avec traitement symptomatique Éruption papulaire (DD : allergie, virose) Éruption papulaire sur le torse, dans un contexte d'IVRS Éruption papulaire sur le torse, DD sur transpiration Éruption urticarienne d'origine indéterminée. Éruption virale dans le contexte de DD : Réaction allergique au Pharmalp pro p Érysipel du MID dans un contexte de thrombose septique • Bilan biologique à Bâle : Lc 8.26, CRP 3.3 • Consilium angiologique à Bâle : TVT stableMis sous Pip/Tazo depuis le 06.06.2019 Érysipèle de la face dorsale du pied gauche le 10.04.19 avec : • péjoration clinique le 11.04.19 Erysipèle de la jambe gauche en 2011 (récurrent depuis l'âge de 30 ans). Arthrite septique de la cheville gauche à Strept. agalactiae en 2015, nécessitant plusieurs débridements. Crise de goutte du genou gauche le 26.09.2017. Ostéosynthèse d'une fracture du calcanéum gauche il y a 20 ans, AMO de vis en mars 2012. Arthrose sous-astragalienne et tibio-astragalienne. Fracture du gros orteil et du 2ème orteil avec hallux interphalangeus du gros orteil et du 2ème orteil en superductus avec déviation en varus il y a 10 ans. Résection d'excroissances achilléennes à l'âge de 18 ans. Intubation difficile (Cormack 3) le 19.03.2018. Status post-discectomie, herniectomie C6-C7 par voie antérieure para-médiane gauche et mise en place d'une cage LDR hauteur 6, Roi-C le 19.03.2018. Status post-infiltration sous-acromiale de l'épaule gauche le 26.10.2018. Status post arthroscopie de l'épaule droite, acromioplastie par voie endoscopique sur conflit sous-acromial et lésion partielle sus-épineux en juin 2006. Status post-cure de tunnel carpien avec infection, reprise le 12.01.2018. Erysipèle de la main droite sur morsure de chat, main droite dorsale au niveau de métacarpe IV. Probable réaction cutanée allergique. Bronchite aiguë le 10.12.2015. Bronchopneumonie. Erysipèle de l'hémiface droite supérieure le 29.04.2019. Erysipèle des deux pieds le 13.05.2018 avec : • porte d'entrée probable : piqûre d'insecte • DD : probable composante allergique. Erysipèle du membre inférieur droit (4ème épisode). Erysipèle du MID sur mycose plantaire Opération X de l'épaule droite Erysipèle du pied droit • sous Co-Amoxi depuis le 22.03.19, syndrome inflammatoire à la baisse mais mauvaise évolution clinique • avec 2 petites canalisations d'env. 0.3cm de profondeur Erysipèle du tibia droit. Erysipèle localisé du membre inférieur gauche. Erysipèle prétibial droit le 04.04.2019. Erysipèle thoraco-abdominal, en septembre 2008, et en 2000 avec septicémie Pose d'un anneau gastrique en 1997, retiré en 2003 car glissement Tunnel carpien des deux côtés opéré Appendicectomie Douleurs abdominales d'origine indéterminée, DD : pancréatite débutante dans le cadre d'une gastroentérite 2013 Erysipèle tibia droit. Erythème. Erythème au niveau du tibia gauche d'origine indéterminée. Erythème cutané maculeux chronique • DD hémangiome, allergique Erythème des membres inférieurs, à forte prédominance gauche, depuis le 01.02.2019 : • Diagnostic différentiel : dermite de stase sur insuffisance veineuse chronique • Consultation angiologique (Dr X), le 01.02.2019 : pas de thrombose veineuse profonde ni superficielle des deux membres inférieurs ; dermite de stase sur insuffisance veineuse chronique prédominant au membre inférieur gauche probable Erythème du membre inférieur gauche d'origine indéterminée subaigu DD: dermo-hypodermite mécanique/ dermite ocre/ arthrite de la cheville/ allergique Erythème et tuméfaction visage Erythème fessier Erythème mammaire douloureux Erythème migrant. Erythème migrant il y a plusieurs années. Trouble dépressif avec état hypochondriaque, août 2012. Erythème noueux 16.04.2019. DD: sarcoïdose. Erythème présent depuis 1 an Erythème prurigineux-papuleux en relation avec une infection virale le 16.04.2019. Erythèmes Érythroblastose sur probable invasion métastatique de la moelle osseuse avec rupture de la barrière hémato-médullaire ESBL Escarre au niveau du pli inter-fessier, à prédominance gauche Abcès plantaire et arthrite septique de la métatarso-phalangienne du 1er orteil du pied gauche à Staphylocoque aureus : • Le 17.11.2016, Dr X : incision d'abcès, prélèvement de biopsies, rinçage et drainage • Le 19.11.2016, Dr X : débridement, parage, ouverture de la gaine des fléchisseurs et fermeture Hypokaliémie à 3.5mmol/l Escarre catégorie I au niveau du sacrum le 24.04.2019 Escarre de stade 2 du talon droit sur immobilisation d'une fracture spiroïde du tibia droit, diagnostiquée le 25.04.2019 avec recrudescence des douleurs le 26.04.2019. Escarre sacré débutant le 02.04.2019 Escarre sacré stade II le 17.03.2019 Escarre sacré stade 1 Escarre sacrée de stade III Escarre sacrée et du talon gauche stade I le 12.04.2019 Escarre sacrée le 13.02.2015 avec débridement chirurgical le 06.03.2015 par le Dr X. Escarre sacrée stade II + escarre stade I talon droit Escarre talons des deux côtés (G>D) • environ 5x7 cm à gauche, 3x4 cm à droite • aspect d'hématome sous-cutané • pas ouvert Escarre temporal gauche sur diffusion d'une perfusion (CHUV) Escarres talonniers débutants DD: sur artériopathie des membres inférieurs, sur escarres débutants Escitalopram diminué à 10 mg/j Introduction de Quetiapine 12.5 mg/j le soir Esidrex du 22.03 au 25.03.2019 Insuline-glucose Gluconate de calcium Esquinancie G Essai de switch par Betmiga : sans amélioration significative Poursuite de la thérapie avec Avodart Essai thérapeutique à Pantozol 40mg pour une semaine. Étant anxieux. Étant donné la bonne évolution, reprise des activités progressivement. Reprise du travail à 50% le 08.04.2019 et à 100% le 22.04.2019. Ablation définitive de son attelle. Physiothérapie avec ultrasons loco dolenti. Mobilisation libre, renforcement musculaire et proprioception. Fin de traitement en policlinique d'orthopédie. Je reste à disposition si nécessaire. Étant donné la cinétique du traumatisme, et bien que la clinique soit rassurante, nous proposons à Mme. Y de réaliser un scanner afin d'exclure complètement une fracture non déplacée du calcanéum ou du talus. Nous reverrons Mme. Y à la suite de cet examen pour refaire le point. Dans l'intervalle, nous mettons Mme. Y en décharge avec prophylaxie antithrombotique par HBPM. Étant donné l'absence de gêne fonctionnelle, je ne propose aucun traitement. Mr. Y me recontactera en cas de réapparition de ce phénomène. L'on pourra alors discuter soit d'infiltration, soit d'une cure de pouce à ressaut. Mr. Y est satisfait de cette attitude. Étant donné l'absence de gêne majeure, je ne retiens pas d'indication pour une injection de cortisone. Je préconise une physiothérapie avec renforcement de la coiffe des rotateurs et recentrage de la tête humérale. Un prochain contrôle est prévu à ma consultation le 19.06.2019. Étant donné le caractère instable de la fracture, il est trop risqué de procéder à l'ablation du plâtre ce jour pour le remplacer par un plâtre circulaire plus léger, surtout que Mr. Y est confortable dans ce plâtre de Paris. Nous proposons une surveillance rapprochée de la fracture avec un nouveau contrôle radioclinique dans 10 jours. S'il n'y a pas de déplacement, nous pourrons alors confectionner un plâtre plus adapté. En cas d'augmentation de la bascule postérieure, il faudra envisager une prise en charge chirurgicale. Étant donné le diagnostic, nous mettons en place un gantelet fendu en PoP, Mme. Y sera suivie à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Elle reçoit de l'antalgie et une bretelle. Arrêt de sport pendant 1 mois. Étant donné le léger bénéfice apporté par les séances de physiothérapie, poursuite de ces dernières. Au niveau des douleurs de la métacarpo-phalangienne du 2ème rayon qui sont les douleurs les plus invalidantes, nous informons Mr. Y, en présence du Dr X, que le cas sera rediscuté avec le Dr X pour prise en charge. En effet, au vu de l'activité manuelle de Mr. Y, une prise en charge chirurgicale par prothèse versus arthrodèse est à discuter. Au niveau socio-professionnel, il faut savoir que Mr. Y est actuellement au chômage ; il est de base homme à tout faire à Düdingen. Le cas sera rediscuté entre les Dr X et X pour suite de prise en charge. Dans l'intervalle, contrôle clinique prévu dans 6 semaines.Etant donné le SCORE LEFt=2 et D-Dimères 750, nous commençons un traitement avec Fragmin jusqu'à la consultation d'angiologie. Etant donné le status rassurant, nous recontrôlons Mr. Y le 29.03.2019 avec un status inchangé sans signe de péjoration ou d'aggravation, raison pour laquelle nous autorisons Mr. Y à voyager le lendemain (Mr. Y part au Mexique deux semaines). Nous procédons à la fin de suivi en policlinique. Etant donné les douleurs de Mme. Y actuellement, je préconise une infiltration du sillon bicipital. Celle-ci aura lieu le 03.05.2019. En fonction du résultat de cette infiltration, nous discuterons de la suite de la prise en charge. Etant donné l'évolution favorable à deux semaines, nous procédons à l'ablation de l'attelle et à la mise en place d'une attelle Aircast pour encore 4 semaines avec abandon des cannes et fin de traitement à la policlinique. Un suivi sera effectué chez son médecin traitant. Etant donné l'évolution favorable à une semaine du traumatisme, nous proposons à Mr. Y une attelle Aircast et un contrôle clinique dans une semaine. Au contrôle clinique à deux semaines, Mr. Y va mieux, le status ne montre aucune tuméfaction ni hématome, une toute minime douleur encore à la palpation sur le ligament talo-fibulaire antérieur. Le Lisfranc et le Chopart sont indolores. La charge est complète et indolore. Nous continuons avec l'attelle Aircast pour un total de quatre semaines avec un suivi chez son médecin traitant. Etant donné l'évolution favorable, nous concluons à la fin de traitement en policlinique. Mr. Y sera suivi chez son médecin traitant avec ablation des fils à J14 et prendra les antibiotiques prescrits aux urgences. Etant donné l'évolution favorable, nous procédons à la fin de traitement et du suivi. Etant donné l'évolution favorable, nous procédons à la fin du suivi et du traitement. Nous ne prescrivons pas de physiothérapie puisque elle avait déjà enlevé le VACOped elle-même. Nous ne constatons pas un manque de mobilité ou de force nécessitant de la physiothérapie. A noter que Mme. Y a déjà repris le travail. Etant donné l'évolution favorable, nous procédons à la fin du suivi. Nous prolongeons encore l'arrêt de sport pour au moins deux semaines encore. Etant donné l'évolution lente de la récupération de la mobilité articulaire, je préconise une nouvelle infiltration. Celle-ci va être effectuée le 05.04.2019. Par la suite, réintroduction d'une physiothérapie de mobilisation douce, afin de récupérer les amplitudes articulaires. Un prochain contrôle est prévu à ma consultation le 13.05.19. Etant donné l'handicap actuel de Mme. Y en ce qui concerne la lésion de l'extenseur du 5ème doigt de la main G, nous ne posons pas d'indication à l'ablation de ce kyste en urgence. Nous organisons une IRM du poignet afin d'étudier mieux le kyste et reverrons Mme. Y par la suite. Etant donné l'insistance de la maman, nous avons donné à Mme. Y un bon de physiothérapie pour une tonification musculaire, mobilisation et tapping. Etant donné que l'évolution est favorable, nous autorisons Mme. Y à mobiliser librement son épaule et à commencer progressivement le port de charge. Nous lui prescrivons un bon de physiothérapie sous forme de massage et de renforcement des stabilisateurs de la scapula. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 30.04.2019 puis reprise à 100% (postière faisant des livraisons). Etat anxieux aigu le 02/04/19. Etat anxieux avec crise d'angoisse à répétition. Etat anxieux le 07.04.2019. État anxieux probablement réactionnel. Etat anxieux sous Sertraline. Etat anxieux: suivi par le psychologue. Etat anxio-dépressif. Etat anxio-dépressif avec idées suicidaires. Etat anxio-dépressif avec status post-tentamen médicamenteux en 2008 (10 comprimés de Xanax). Etat anxio-dépressif avec tentative de suicide le 01.04.2019. Etat anxio-dépressif réactionnel sous Citalopram. Ancien tabagisme (50 UPA, arrêt septembre 2015). • suspicion de BPCO non stadifiée. Consommation OH à risque. Diabète de type 2 depuis 2003. • Décompensation diabétique sur arrêt du traitement en septembre 2015. Globe urinaire à répétition probablement sur hyperplasie de la prostate avec Cystofix dès le 27.01.2016. Etat anxio-dépressif récurrent avec comme traitement Cipralex 20mg, Xanax 0,5mg 3x par jour, Stilnox 12,5 au coucher. Syndrome de dépendance à l'alcool, actuellement avec une consommation de 1 à 3 verres de vin par jour. Syndrome de dépendance aux benzodiazépines. Epigastralgies chroniques. Etat anxiodépressif sous Cipralex. Etat anxio-dépressif sous Paroxétine. Etat confusionnel. Etat confusionnel dans le cadre d'un traumatisme crânien. Etat confusionnel à prédominance hypoactive d'origine multifactorielle. • maladie oncologique terminale, encéphalopathie hépatique, médicamenteux. • un épisode d'agitation psychomotrice dans la nuit du 31.03.2019. Etat confusionnel aigu. Etat confusionnel aigu avec composante possiblement hallucinatoire d'origine indéterminée le 07.04.2019. Etat confusionnel aigu dans un contexte infectieux et de décompensation diabétique, IRA avec troubles électrolytiques avec troubles cognitifs probables sous-jacents. Etat confusionnel aigu dans le contexte de maladie d'Alzheimer avec risque suicidaire : • crise suicidaire aiguë le 19.03.2018. • premier tentamen le 18.03.2018 (voulait enjamber le parapet du balcon du foyer). Etat confusionnel aigu dans le contexte d'une hyponatrémie le 25.06.2017. Chutes à répétition en 2017 avec troubles de l'équilibre d'origine indéterminée. Thyréotoxicose sur Cordarone en 1997. Ulcère duodénal. Hernie discale. Bronchite infectieuse virale DD bactérienne avec. Epigastralgies transitoires le 25.12.2018. • dans un contexte d'épisode dépressif avec stress important avec problèmes familiaux. F. 32.1 Episode dépressif moyen. • chez un patient connu pour un trouble anxio-dépressif. Concilium psychiatrique le 27.12.2018: introduction de Brintelix 5 mg le matin pour 7 jours puis augmenter à 10 mg. Etat confusionnel aigu dans un contexte anxieux le 08.04.2019.• Trouble anxieux généralisé connu • Avec phase d'agitation nocturne Etat confusionnel aigu d'origine indéterminée les nuits du 18 et du 19.3.19. Etat confusionnel aigu d'origine indéterminée le 07.04.2019 DD épilepsie. Etat confusionnel aigu d'origine indéterminée le 23.05.2017. Fracture radius distal gauche non déplacée sans instabilité le 16.09.2011. Thrombo-endartériectomie par éversion de la bifurcation carotidienne droite le 04.01.2010. Hystérectomie et ovariectomie en 1980. Syncope convulsivante probablement d'origine hypotensive le 13.02.2018. Etat confusionnel aigu d'origine indéterminée DD: globe urinaire, surdosage médicamenteux sur insuffisance rénale. Etat confusionnel aigu d'origine infectieuse et sur globe urinaire le 14.03.2019. Etat confusionnel aigu d'origine mixte le 07.04.2019 • DD: décompensation d'un trouble bipolaire, iatrogène sur surdosage TRITTICO. Etat confusionnel aigu d'origine multifactorielle: hyponatrémie, infection urinaire, globe vésical. Etat confusionnel aigu d'origine multifactorielle le 14.03.2019 • désafférentation, douleur, contexte postopératoire, médicamenteux, état inflammatoire. Etat confusionnel aigu d'origine probablement mixte sur AIT, hyponatrémie. Etat confusionnel aigu d'origine probablement mixte sur: • Hyponatrémie hypoosmolaire sévère à 114 mmol/l le 19.04.2019 --- patiente non hypervolémique, Na+ urinaire: 78 mmol/L et osmolalité urinaire à 387 mOsm/kg --- DD: SIADH, médicamenteux sur Coversum N combi • Possible AIT le 19.04.19. Etat confusionnel aigu hyperactif d'origine multifactorielle le 18.03.2019 probablement dans le contexte d'un globe urinaire sur infection urinaire, lésion kystique parenchymateuse occipitale G, contexte de troubles cognitifs débutants suspectés. Etat confusionnel aigu hyperactif intermittent depuis le 07.02.2019 • Facteur de risque: troubles cognitifs sur démence débutante, âge, institutionnalisée, barrière de la langue • Selon la famille, troubles cognitifs en augmentation depuis l'hospitalisation en février • AVC pariéto-occipital droit subaigu à chronique le 04.02.2019 d'origine cardio-embolique suspectée (FEVG 20-25% avec akinésie du septum moyen, du septum basal, de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale). Pas d'anticoagulation en l'état actuel des choses (HDH), à rediscuter à distance. Etat confusionnel aigu hyperactif le 27.02.2019: • Intubation orotrachéale et ventilation mécanique du 27.02 au 06.03.2019 • Lorazépam du 28.02.2019 au 02.03.2019 • Dexmédétomidine (Dexdor) du 03.03.2019 au 08.03.2019. Etat confusionnel aigu hyperactif le 30.03.2019 DD douleur sur contusion thoracique, maladie parkinsonienne. Etat confusionnel aigu hypoactif avec trouble d'élocution d'origine mixte le 24.03.2019: • Facteur prédisposant: ancien AVC sylvien, OH chronique, état dépressif, troubles cognitifs, vasculopathie cérébrale • Facteur déclenchant: décompensation cardiaque, hyponatrémie DD: AIT. Etat confusionnel aigu hypoactif d'origine indéterminée le 29.03.2019 DD: déshydratation, médicamenteux (Oxycontin). Etat confusionnel aigu hypoactif le 02.04.2019 probablement dans le contexte des shifts électrolytiques. Etat confusionnel aigu le 15.04 • DD: délirium tremens, septique. Etat confusionnel aigu le 21.03.2019, favorisé par le contexte infectieux et la démence sous-jacente. Etat confusionnel aigu le 25.04.2019 • DD: globe vésical, fécalome, sepsis. Etat confusionnel aigu le 26.03.2019. Etat confusionnel aigu le 28.01.2018 avec: • Délire de persécution mal défini dans un contexte de conflit familial pour héritage • Troubles mnésiques et organisationnels (MOCA, MMS irréalisables) DD: trouble anxio-dépressif, démence vasculaire, atteinte auto-immune • EEG le 29.01.2019 • CT cérébral injecté le 28.01.2019 • Consilium psychiatrique (Dr. X) • Consilium neurologique (Dr. X) • IRM externe 13.07.2018 (lu le 04.02.2019 à l'HFR Fribourg) • Échec de PL le 06.02.2019 (agitation du patient) • PL sous sédation en anesthésie le 07.02.2019 • Consilium neuropsychologique le 04.02.2019: évaluation complète non réalisable en raison de l'état psychique du patient • Prise de contact avec MT, Psychiatre (Dr. X) VS, ANA, ANCA, FR, anti SSA, anti SSB, TSH, HIV, électrophorèse des protéines normaux (LCR et sérum). AC antiphospholipides positifs. Lyme IgG positif (faux positif ou infection ancienne). Etat confusionnel aigu le 29.04.2019 • avec chute non observée et d'origine peu claire • probable crise d'épilepsie avec lactates initialement à 6 mmol/l • sur arrêt de traitement il y a 15 jours. Etat confusionnel aigu lié à la déshydratation, juillet 2018. Pancréatite aiguë en 2004. Décompensation cardiaque gauche (NT-pro-BNP à 8155 ng/l) le 07.03.2019: • Torasémide 5 mg dès le 07.03.2019. Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique stade IV le 26.03.2019 avec: • Créatininémie 374 µmol/l • Clearance 15 ml/min • Fraction d'excrétion du sodium: 19.8%, post-rénale • Fraction d'excrétion de l'urée 73.6%. Anémie normochrome normocytaire d'origine inflammatoire avec hémoglobine à 96 g/l. Etat confusionnel aigu mixte actuellement hyperactif d'origine indéterminée • DD: globe vésical, fécalome, sur douleurs, déshydratation. Etat confusionnel aigu postopératoire DD Kétamine. Etat confusionnel aigu probablement sur déshydratation dans un contexte de diarrhées le 21.01.2018. Insuffisance respiratoire partielle le 02.02.2017. Infection urinaire basse le 24.02.2013. Crise hypertensive le 05.12.2013. Gastrite d'origine indéterminée le 06.12.2013. Constipation et déshydratation en avril 2011. Tuberculose pulmonaire traitée en 1955 • calcifications pleurales sur ancienne tuberculose le 24.02.2013. Etat confusionnel aigu sur: • Globe urinaire avec pose de cystofix. • Status après double pontage coronarien en 1994. Etat confusionnel aigu sur DD saignement, DD AIT dans contexte post-coronarographie le 12.04.2019. Etat confusionnel aigu sur déshydratation le 24.03.2019. Etat confusionnel aigu sur infection urinaire basse à Klebsiella pneumoniae multisensible. Etat confusionnel aigu sur infection urinaire, globe urinaire et hyponatrémie le 16.08.2018 • Infection urinaire à E. Coli multisensible, compliquée par une bactériémie à E. coli. Etat confusionnel aigu de courte durée sur infection urinaire basse symptomatique le 21.10.2011. Cholélithiase symptomatique, le 05.12.2011, Dr. X: cholécystectomie par laparoscopie. Césarienne en 1965. Etat confusionnel aigu sur probable démence débutante avec:MMS 16/30 et test de la montre 2/7 le 15.02.2018; IRM et bilan neuropsychologique refusés par la patiente à l'époque. Etat confusionnel aigu sur probable déshydratation le 01/04/19. DD : • démence vasculaire en péjoration. Etat confusionnel aigu d'étiologie non déterminée le 07/04/19 DD iatrogène sur surdosage TRITTICO DD lésion centrale DD décompensation bipolaire Etat confusionnel avec hallucinations visuelles probablement médicamenteux (sur Co-amoxicilline) le 12.04.2019 DD : infectieux Etat confusionnel avec somnolence post-opératoire sur accumulation de benzodiazépines le 12.04.2019 Etat confusionnel dans le contexte de démence Etat confusionnel dans le contexte d'une induction pour une cardioversion électrique (Midazolam) le 12.04.2019 Etat confusionnel depuis le 15.04.2019 Etat confusionnel dès le 24.03.2019 Etat confusionnel d'origine indéterminée DD • infectieux : cystite, prostatite • sur globe urinaire • hypercalcémie • sur sevrage d'OH Etat confusionnel hyperactif le 11.04.2019 Etat confusionnel hypoactif à partir du 25.03.2019 possible d'origine multifactorielle (déshydratation sur diarrhée, antibiothérapie et infection récente, pathologie oncologique avancée, médicamenteux sur opiacé) Etat confusionnel hypoactif au décours sur • hospitalisation et séjour prolongé aux soins intensifs, hydrocéphalie à pression normale et possibles troubles cognitifs sous-jacents • CT 05.03.2019 (CHUV) : hydrocéphalie tétra-ventriculaire communicante. Pas d'autre lésion suspecte. Leuco-araïose de type 2 selon Fazekas. • Ponction lombaire (faite au CHUV avec résultats décrits sans rapport transmis) : dans la norme. Etat confusionnel hypoactif dans le contexte métastatique Etat confusionnel intermittent. Etat confusionnel le 15.04.2019 DD : delirium post-opératoire Etat confusionnel péjoré d'origine indéterminée le 24.04.2019 • DD origine infectieuse, événement ischémique cérébral Etat confusionnel post-interventionnel le 14.04.2019 • dépendance à Temesta • sp. intoxication avec Temesta 2018 Etat confusionnel sévère depuis le 24.04.2019 DD : délirium tremens, TCC sévère Etat d'agitation. Etat d'agitation aigu le 02.04.2019. Etat d'agitation aiguë le 19.02.2019. • Contexte de démence à corps de Lewy. Etat d'agitation avec auto et hétéro-agressivité. Etat d'agitation dans un contexte de troubles cognitifs. Etat d'agitation psychomotrice le 14.04.2019 • Contexte de retard mental et de trouble du comportement. Etat d'agitation sur récidive de crise migraineuse. Etat d'agitation/angoisse transitoire sur consommation d'alcool, le 06.04.2019. Etat d'agressivité le 02.04.2019 avec : • passage à l'acte avec mise à feu d'une voiture • menace suicidaire. DD : personnalité impulsive, démence débutante. Etat d'anxiété aiguë le 28.04.2019. Etat de choc cardiogénique sur insuffisance chronotrope le 17.04.19 • maladie de sinus et bradycardie sinusale sur accumulation de bêta-bloquants Etat de choc mixte (vasoplégie, cardioplégie) secondaire à l'hypoglycémie sévère prolongée le 05.04.2019 Etat de mal épileptique en 2017. Globe urinaire en 2017. Infection urinaire à K. pneumoniae en 2014. Dermatite au niveau des membres inférieurs d'origine indéterminée. Hépatopathie d'origine indéterminée. DD : NASH/virale/auto-immune. Infection urinaire basse à E. Coli multisensible. Etat de mal épileptique le 07.04.2019 : • chez patient connu pour glioblastome avec antécédents de crises épileptiques DD : crise épileptique structurelle, mal compliance médicamenteuse (oubli du traitement de Keppra anamnestique) Etat de mal épileptique le 28.04.2019 Etat de mal épileptique le 30.03.2018 Crise épilepsie (3 épisodes) le 16.05.2018 dont une crise nécessitant Midazolam 10 mg vers 12h Etat de mal épileptique en août 18 Etat de mal épileptique non convulsivant le 19.02.2018 dans le contexte du diagnostic principal Etat de mal épileptique sur séquelle d'accident vasculaire cérébral le 16.05.2015 traité par Levetiracetam 2x 500 mg dès le 16.05.2015. Flutter auriculaire rapide inaugural avec cardioversion spontanée le 16.05.2015. Accident vasculaire cérébral ischémique sur occlusion de l'artère cérébrale moyenne gauche M2 le 03.05.2015 (lyse intraveineuse le 03.02.2015 à 13:45). Accident vasculaire cérébral ischémique pariétal droit dans le territoire de l'artère moyenne droite le 03.09.2013 probablement sur origine cardio-embolique. Etat délirant post-interventionnel dans le cadre d'une consommation de benzodiazépines • Intoxication au Temesta à but suicidaire en 08.2018 Etat dépressif Etat dépressif aigu sans auto- ou hétéro-agressivité sur arrêt médicamenteux le 28.02.2019. Etat dépressif avec idées suicidaires, le 16.04.2019. Etat dépressif chronique. Démence vasculaire. Carence sévère en vitamine D. Cypho-scoliose thoracique à convexité gauche. Hypertension artérielle : introduction de Lisinopril 5 mg dès le 04.01.2017. Etat dépressif chronique. Syndrome des ovaires polykystiques avec hyperinsulinisme, hyperandrogénie et hirsutisme depuis 12.2010. Etat dépressif chronique Trouble de déficit d'attention et hyperactivité • Sous Méthylphénidate Sinusite chronique Hernie discale avec sténose du canal spinal C5-C6, opérée Carcinome canalaire invasif du sein droit et péri-mamelonnaires du sein gauche avec : • Tumorectomie à gauche et quadrantectomie avec excision du ganglion sentinelle à droite en août 2013 • Radiothérapie Stéatose hépatique diffuse sans répercussion dans le laboratoire Hémorroïdes Syndrome d'apnées du sommeil d'entité moyenne, selon la polygraphie • IAH 22/heure • Sous CPAP Tabagisme actif chronique (80 UPA) avec une dépendance très forte • Score de Fagerstrom à 9/10 Etat dépressif connu. Dépendance à l'alcool en voie de sevrage. Escarre talon gauche (pansement à la Bétadine). Suivi en stomathérapie. Etat dépressif dans un contexte de retard mental léger et de troubles du comportement • trouble dépressif récurrent • QI 69 en 2014 • tentamen avec saut de 7m le 03.04.2019 • possible troubles du spectre autistique Etat dépressif depuis 2006. Thyroïde multi-kystique à G diagnostiquée en 2006 avec une hypothyroïdie substituée. Intolérance au glucose.Status post appendicectomie et hystérectomie. Ostéopénie connue depuis 2013. HTA. Etat dépressif en traitement. Rotule tripartite droite. Etat dépressif et status post burn out traités par Hyperplan (millepertuis), suivi psychiatrique. Etat dépressif le 03.06.15. Hypothyroïdie. Etat dépressif léger. Etat dépressif léger avec symptômes psychotiques. Etat dépressif majeur. Etat dépressif majeur avec hospitalisation à Marsens en mars 2019. Etat dépressif majeur avec idéation suicidaire. Etat dépressif majeur depuis 4 ans avec 1x hospitalisation à Marsens avec 1 tentamen médicamenteux en 2015. Crise migraineuse le 29.04.15. Epigastralgies le 2.10.16 : DD : sur gastrite. HTA sous traitement par Coveram plus. Céphalées frontales de durée inhabituelle. • connue pour céphalées récurrentes. • antalgie habituelle inefficace. DD : • céphalées de tension. • encéphalopathie hypertensive : pas d'argument au status, glasgow 15/15. • céphalées secondaires : thrombose des sinus veineux : tabagisme, stérilet progestatif, obésité. Attitude : • traitement de la TAH et antalgie par novalgine 1g + Irfen 600 mg + repos. • surveillance aux urgences : si persistance des céphalées : discuter imagerie cérébrale. Etat dépressif majeur sans idée suicidaire le 25.09.2018 - demande d'aide. Etat dépressif modéré en amélioration sous traitement. Etat dépressif moyen avec idéations suicidaires sans projet le 26.03.2019. Etat dépressif sévère avec crises d'angoisse le 20.04.2019. Etat dépressif sévère avec idéation suicidaire et plan clair. Etat dépressif sévère avec syncope récidivante, suivi de longue date. Migraine. Dyslipidémie. Hypertension artérielle. Etat dépressif sévère chez une patiente connue avec des troubles anxieux et crises de panique. Etat dépressif (2 hospitalisations à Marsens). Status hémorroïdaire interne stade I (colonoscopie Dr. X 2014). Myome utérin de 20 x 18 cm. Etat dépressif. FA paroxystique anticoagulée. EHRA 3. Etat dépressif. Leucémie chronique suivie par Dr. X actuellement traitée par Prednisone depuis le 03.01.2017. Polyarthropathie. Etat dépressif. Suspicion d'anxiété généralisée traitée par Temesta 1mg en R (1x/semaine, environ). Hématome sous-dural D en regard du sinus sphénoïdal D de 7 mm traité conservativement. Céphalées secondaires à hématome sous-dural D en regard du sinus sphénoïdal D de 7 mm le 03.11.2017. DD : hypotonie intra-crânienne. Hématome sous-arachnoïdien rétro-médullaire au niveau C6-D1 le 06.11.2017. Entorse para-cervicale droite. Gastrite le 08.10.2018. Etat dépressif. Troubles mixtes de la personnalité et autres troubles de la personnalité. Traits paranoïaques, narcissiques et impulsifs. Etat dysphorique en 1980. Status post fracture bi-malléolaire cheville D en 2012. Status post appendicectomie. Status post cholecystectomie. Status post 2 césariennes. Etat fébril. Etat fébril depuis le 07.04.2019. • probablement d'origine pulmonaire DD bronchite, DD pneumonie. • attitude : antibiotique non. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile > 39° sans frissons à répétition d'origine oncologique probable. • Pas de foyer clinique. Etat fébrile à répétition. Etat fébrile à 38°C d'origine indéterminée le 16.03.2019. • DD postopératoire. Etat fébrile à 38.8°C avec douleurs de la loge rénale et de l'hypocondre droits, le 05.02.2019. DD : cholangite. Hystérectomie totale et annexectomie bilatérale par laparoscopie en 2009. Etat fébrile à 38,8°C asymptomatique, probablement dans le contexte de la chimio-embolisation le 09.04.2019. Etat fébrile, adénopathie cervicale, pas de toux, fond de gorge érythémateux. Strepto-test négatif. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires samedi 20.04.2019. Etat fébrile au postpartum. Etat fébrile avec céphalées intenses et baisse de l'état général, suspicion de méningite. Etat fébrile avec hypovigilance. Etat fébrile avec probable foyer ORL (otite moyenne droite aiguë). Etat fébrile avec syndrome inflammatoire dans un contexte d'oedème bilatéral des mollets sans diagnostic précisé. Status post appendicectomie. Status post excision d'un lipome dans le dos. Etat fébrile de probable origine virale le 30.01.2019. dernière chimiothérapie le 16.01. Notion de souffle cardiaque depuis l'enfance. Status post fracture de l'épaule, de côté inconnu, il y a de nombreuses années. Status post amygdalectomie et appendicectomie dans l'enfance. Etat fébrile de probable origine virale le 30.01.2019. dernière chimiothérapie le 16.01. Notion de souffle cardiaque depuis l'enfance. Status post fracture de l'épaule, de côté inconnu, il y a de nombreuses années. Status post amygdalectomie et appendicectomie dans l'enfance. Etat fébrile de probable origine virale le 30.01.2019. dernière chimiothérapie le 16.01.2019. Notion de souffle cardiaque depuis l'enfance. Status post fracture de l'épaule, de côté inconnu, il y a de nombreuses années. Status post amygdalectomie et appendicectomie dans l'enfance. Etat fébrile (depuis 12h) sans foyer. Etat fébrile, désaturation. Etat fébrile d'origine indéterminée. Etat fébrile d'origine indéterminée. DD : progression de la leucémie, infection d'origine indéterminée. Etat fébrile d'origine indéterminée dans le contexte de diagnostic 2. DD : tumoral, radiothérapie, infectieux. Etat fébrile d'origine indéterminée le 01.04.2019. DD : • infection urinaire sur sondage vésical prolongé. • PBS sur drain péritonéal. • point d'accès VVC gauche calme. • pas de foyer pulmonaire clinique ni radiologique. Etat fébrile d'origine indéterminée le 05.04.2019 dans un contexte de status post-cystectomie partielle le 25.03.2019 (Dr. X). DD : probable origine urinaire postopératoire. Etat fébrile d'origine indéterminée le 08.04.2019. DD : gastro-entérite virale débutante, bronchite. Etat fébrile d'origine indéterminée le 10.07.2018. Etat fébrile d'origine indéterminée le 15.04.2019. Etat fébrile d'origine indéterminée le 22.04.2019. Etat fébrile d'origine indéterminée le 23.03.2019 : • sensibilité hypochondre gauche, loge rénale gauche. • DD dermohypodermite. DD endocardite. DD urosepsis. DD constipation. Etat fébrile d'origine indéterminée le 31.03.2019. • DD pulmonaire, grippe, ostéo-articulaire, tumoral. Etat fébrile d'origine indéterminée. DD : infection des voies respiratoires supérieures - suspicion de pneumonie atypique. Etat fébrile d'origine indéterminée. DD : infection des voies respiratoires supérieures. DD : translocation bactérienne sur abcès dentaire le 12.04.2019 avec : • Co-amoxicilline 625 mg 3x/jour depuis le 09.04.2019. Etat fébrile d'origine probablement oncologique. • pas d'argument clinique ou radiologique pour un foyer infectieux. Etat fébrile d'origine probablement tumorale le 22.04.2019. • DD : translocation digestive, endocardite. Etat fébrile d'origine probablement tumorale le 22.04.2019. • DD : translocation digestive, endocardite • Etat fébrile et baisse de l'état général. • Etat fébrile et dysurie. • Etat fébrile et frissons. • Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 25 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. • Etat fébrile et inflammatoire probablement d'origine pulmonaire. • Etat fébrile et syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 15.04.2018 : > Rocéphine dès le 15.04 au 21.04.2018 > Avis Dr. X : pas d'antibiothérapie prophylactique • Infection urinaire basse à E. Coli le 25.03.2018 > Ciprofloxacine 500 mg 2x/j du 25.03 au 27.03.2018 et ensuite (car résistance au Ciproxin) > Bactrim forte 800/160 mg 2x/jour du 27.03 au 29.03.2018 • Possible infection urinaire à germe indéterminé le 03.11.2017 • Sepsis d'origine urinaire chez patient porteur d'une sonde vésicale à demeure juin 2017 • Sepsis d'origine urinaire le 06.05.2017 • Pyélonéphrite le 12.03.2017 : > traitée par Rocéphine du 12.03 au 15.03.2017 puis relais par Ciproxine du 16.03 au 19.03.2017 • Hyponatrémie à 127 mmol/l le 06.05.2017 dans un contexte de diabète insipide • Épisodes d'absences récidivantes avec brève perte de connaissance et amnésie circonstancielle le 12.03.2017 • Incision du col vésical en 2015 • Cure d'hernie ombilicale en janvier 2015 (Hôpital Daler, Dr. X) • Résection transurétrale de la prostate en avril 2012 • Opération cataracte oeil gauche 2012 • Infection urinaire haute à E.coli multirésistant le 12.06.2018 : > sonde vésicale à demeure avec dernier changement le 30.05.2018 (Dr. X) > infections urinaires à répétition > Urotube du 12.06.2018 : E. Coli (Ciprofloxacin, Nitrofurantoïne, Carbapénèmes S) • Etat fébrile et tuméfaction de l'œil gauche. • Etat fébrile et vomissements. • Etat fébrile, fatigue importante et toux. • Etat fébrile, frissons, baisse de l'état général. • Etat fébrile le 19.04.2019 sur probable infection de voie veineuse périphérique du MSD > DD : sur hémolyse retardée dans le contexte d'anticorps anti-Kidd • Etat fébrile persistant sous antibiotiques. • Etat fébrile post curetage. • Etat fébrile récidivant dès le 02.04.2019 > DD : cholangite récidivante dans le contexte oncologique, fièvre oncologique • Etat fébrile récidivant d'origine indéterminée le 27.02.2019, 04.03.2019, 06.03.2019 > DD : paranéoplasique, cholangite, infection urinaire asymptomatique • Etat fébrile récurrent probablement sur syndrome paranéoplasique. • Etat fébrile sans foyer. • Etat fébrile sans foyer avec suspicion de pyélonéphrite infectieuse, 1er épisode. • Etat fébrile sans foyer claire > DD : IVRS en début de course. • Etat fébrile sans foyer clinique le 13.03.2019 > dans le contexte du syndrome de lyse. • Etat fébrile sans foyer > DD : GEA débutante. • Nouveau-né 38 2/7SG, PN 3340gr (P 50-90), TN 49cm (P50-90), PCN 34.5cm (P 50-90) • Etat fébrile sans foyer, > DD : otite débutante. • Etat fébrile sans foyer d'origine probablement virale. • Etat fébrile sans foyer, en voie de résolution, possible foyer : gastroentérite virale. • Etat fébrile sans foyer franc. • Etat fébrile sans foyer, possible gastroentérite débutante. • Etat fébrile sans foyer, probable infection virale (fièvre et rash). • Etat fébrile sans foyer, probable virose. • Etat fébrile sans foyer > DD : méningite virale, pharyngite en début de course. • Etat fébrile sous amoxicilline le 01.04.2019 > DD : sur bactériémie à S. Pyogenes, empyème, PBS. • Etat fébrile sur foyer intra-abdominal le 21.03.2019 > DD : nécrose vs surinfection tumorale de la masse mésentérique, translocation bactérienne sur fistulisation grêle. • Etat fébrile sur IVRS. • Etat fébrile sur probable pneumonie le 01.04.2019. • Etat fébrile sur probable surinfection pulmonaire dès le 09.04.2019. • Etat fébrile sur virose : respiratoire (IVRS) et digestive (selles verdâtres). • Etat fébrile tumoral dans un contexte d'adénocarcinome du colon droit avec s/p colectomie droite en juin 2018. > DD : abcès du dôme hépatique, métastase hépatique nécrosée surinfectée. • Etat fébrile tumoral dans un contexte d'adénocarcinome du colon droit avec statut post-colectomie droite en juin 2018 (cf synthèse) avec : > SIRS Critères 2 > qSOFA : 0 • Etat fébrile unique à 38,2°C sans frisson le 22.04.19. • Etat grippal. • Etat grippal avec bronchite asthmatiforme à RSV le 08.03.2019, avec : > suspicion de surinfection bactérienne avec pneumonie nosocomiale le 15.03.2019 > CRP 8 mg/l et Lc 4.9 G/l le 08.03.2019, CRP 51 mg/l et Lc 5.1 G/l le 15.03.2019 • Etat grippal avec crise d'asthme modérée. • Etat grippal de probable origine virale le 13.4.19. • Etat grippal débutant le 14.04.2019. • Etat grippal depuis 1 jour. • Etat grippal depuis 3 jours. • Etat grippal depuis 4 jours. • Etat grippal depuis 5 jours. • Etat grippal d'origine indéterminée le 27.03.2019. • Etat grippal d'origine virale. • Etat grippal le 15.04.19. • Etat grippal persistant. • Etat grippal persistant, le 15.04.2019. • Etat grippal. > Contusion thoracique gauche sur traumatisme le 25.04.2017. • Etat grippal. > Traitement symptomatique. • Etat hétéroagressif le 04.10.2015. > Avis psychiatrique : hospitalisation à Marsens. • Etat hypo maniaque le 20.12.2013. • Etat infectieux d'origine indéterminée à S. hémolytique en décembre 2018. • Infection urinaire basse à Enterobacter aerogenes le 25.10.2018. • Crise de goutte cheville gauche le 25.10.2018. • Suspicion d'eczéma nummulaire avant-bras gauche le 28.09.2018. • Vaginose bactérienne le 28.09.2018. • Anémie à 88 g/l normocytaire hypochrome hyporégénérative le 14.09.2018 avec hémofecatests positifs. • Rupture d'un kyste de Baker à droite le 12.09.2018. • Infection urinaire basse à germe indéterminé le 11.09.2018 traité par Ciproxine. • Anémie hypochrome normocytaire à 79 g/l sur probable perte digestive avec composante rénale et inflammatoire, avec hémofecatests positifs en septembre 2018. • Insuffisance rénale aiguë anurique stade AKIN 3 d'origine mixte (diarrhées et médicamenteuse) le 12.12.2017. • Pyélonéphrite nosocomiale le 19.12.2017. • Candidose oesophagienne le 16.05.2011. • Hystérectomie-ovariectomie en 2001. • Mastectomie gauche pour néoplasie du sein avec curage ganglionnaire en 2000. • Dermo-hypodermite du membre supérieur gauche sur lymphoedème chronique après curage ganglionnaire et mastectomie gauche en 2000. • Tonsillectomie et adénoïdectomie (date X). • Etat inflammatoire d'origine indéterminée : > Diagnostics différentiels : balanite mycotique et infection virale débutante. • Etat subfébrile le 29.03.2019 (38.2°). • En premier lieu dans le contexte de nécrose post-thermoablation • États confusionnels avec symptômes psychotiques • Délires de persécution • États fébriles d'origine indéterminée dès le 03.03.2019 chez un patient immuno-modulé par Humira pour une maladie de Crohn avec : • Atteinte osseuse vertébrale D3, D11, D12, 3ème arc costal latéral droit, 4ème arc costal latéral droit, 5ème arc costal postérieur droit DD : • Ostéomyélite • Syndrome auto-immunitaire type syndrome des abcès multiples • Origine inflammatoire sur maladie de Crohn • Origine médicamenteuse sur Humira • États fébriles récidivants d'étiologie indéterminée DD : Médicamenteux vs néoplasique • Éthylisation aiguë à 1,68 avec état d'agitation le 17.11.2013. Hallucinations auditives, DD : décompensation psychotique inaugurale, trouble de l'adaptation dans un contexte de conflit familial secondaire à l'éthylisation aiguë. • Éthylisation aiguë à 1,71 pour mille. • Éthylisation aiguë à 2,14 dans un contexte de trouble dépressif le 09.04.2019. • Avec idéations suicidaires scénarisées. • Éthylisation aiguë à 2,4 le 04.03.2016. • Éthylisation aiguë à 2,56 le 02.04.2019. • Dans un contexte d'OH chronique. • Avec perturbation des tests hépatiques. • Éthylisation aiguë avec état d'agitation le 08.04.19. • Alcoolémie à 2,33. • Éthylisation aiguë le 24.04.2019 récidivante dans le contexte d'un trouble anxieux. • Éthylisation chronique le 10.04.2019 • Sous Campral • Éthylisme aigu et intoxication aux MDMA • Éthylisme chronique • Éthylisme chronique • Éthylisme chronique • Éthylisme chronique • Éthylisme chronique. • Éthylisme chronique. • Éthylisme chronique, actuellement abstinent. • Hypertension artérielle. • Notion de polyarthrite rhumatoïde. • Éthylisme chronique avec signes de sevrage • Éthylisme chronique • BPCO stade II • Emphysème • Amyotrophie généralisée • Éthylisme chronique. • HIV : sous trithérapie. • Ethylo-tabagisme • Étirement des insertions proximales du muscle gastrocnémius latérale et médiale. • Étirement du muscle petit pectoral droit le 05.04.2019. • Étirement du vaste latéral de la cuisse gauche suite à un traumatisme du 26.02.2019. • Étirement musculaire des adducteurs de la cuisse avec tendinite insertionnelle de la patte d'oie à gauche. • Étirement musculaire des fléchisseurs du genou et du pied, avec : • Étirement musculaire du mollet droit, avec : • Étirement musculaire du sartorius et tensor fascia lata à leur origine à droite • ETO du 12.04.2019 • CT du 11.04.2019 • US MID du 11.04.2019 • ETT à prévoir • Introduction d'une statine • Poursuite du sartan • ETT ciblée le 05.04.2019 : FEVG 20-30 % • Noradrénaline du 05.04 au 06.04.2019 • Solucortef du 05.04 au 06.04.2019 • Dobutamine du 05.04 au 07.04.2019 • ETT demandée • ETT demandée • ETT du 01.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction systolique légèrement diminuée. FEVG à 45 % (évaluation visuelle). Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Sténose mitrale sévère d'origine dégénérative avec restriction importante des 2 feuillets mitraux sur calcification importante des feuillets mitraux (surtout le feuillet antérieur). Gradient moyen OG-VG à 15 mmHg. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4). Oreillette gauche très dilatée, sans thrombus visible. Minime contraste spontané au niveau de l'auricule gauche. Discrète dilatation du ventricule droit. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide légère à modérée. Valve pulmonaire normale. Prothèse au niveau du septum interauriculaire (fermeture FOP). Absence d'épanchement péricardique. • ETO du 01.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction systolique légèrement diminuée. FEVG à 45 % (évaluation visuelle). Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Sténose mitrale sévère d'origine dégénérative avec restriction importante des 2 feuillets mitraux sur calcification importante des feuillets mitraux (surtout le feuillet antérieur). Gradient moyen OG-VG à 15 mmHg. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4). Oreillette gauche très dilatée, sans thrombus visible. Minime contraste spontané au niveau de l'auricule gauche. Discrète dilatation du ventricule droit. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide légère à modérée. Valve pulmonaire normale. Prothèse au niveau du septum interauriculaire (fermeture FOP). Absence d'épanchement péricardique. • Coronographie 02.04.2019 : Coronaire gauche : le tronc commun est normal, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure ne présente pas de sténose significative sur l'ensemble de ses segments proximal, moyen et distal. L'artère circonflexe est indemne de lésion coronaire significative. Coronaire droite : l'artère coronaire droite est indemne de sténose sur l'ensemble de ses segments. • Ventriculographie gauche et hémodynamique : la ventriculographie gauche a été réalisée. La fraction d'éjection du ventricule gauche a été calculée à 50 % (en OAD). Surface mitrale à 0,47 cm². Gradient OG-VG moyen : 17 mmHg. Hypertension artérielle pulmonaire. Baisse du débit cardiaque à 3,1 l/min (64 % de la théorique). • Consilium angiologie du 05.04.2019 : tahg : 98/66 mmHg, tahd : 103/67 mmHg • Duplex des vaisseaux pré-cérébraux : athéromatose débutante aux bulbes, sans sténose significative aux départs des carotides externes et internes ainsi que sur le trajet des carotides communes des 2 côtés. Les artères vertébrales ont un flux antérograde en V2. • ETT du 09.04.2019 : HVG avec FE normale, sténose aortique légère. Proposition : contrôle ETT 1 fois/an • ETT du 28.03.2019 : FEVG à 35 %, dyskinésie de la paroi inféro-apicale et de la paroi antéro-apicale. • Avis cardiologique : Au vu de la régionalité, une maladie coronarienne avec atteinte de l'IVA est fortement probable (DD : tako-tsubo, dysfonction fonctionnelle). Une origine cardio-embolique (FA ou thrombus intraventriculaire) est certaine. L'aorte descendante démontre des plaques d'athéromatose. Proposition : Anticoagulation full-dose et coronarographie de contrôle pendant l'hospitalisation. • ETT de suivi le 03.04.2019 • Traitement de l'insuffisance cardiaque par : Beloc 25 mg 2x/j majoré à 25 mg le matin et 37,5 mg le soir le 01.04.2019 Lisinopril 5 mg dès le 02.04.2019 • Aspirine cardio 100 mg du 28 au 30.04.2019 Eliquis 2,5 mg 2x/j dès le 31.03.2019 • Coronographie à organiser le 17.05.2019. Mme doit se présenter à 8h aux admissions de l'HFR • ETT • Holter • Xarelto 20 mg po dès le 19.04.19 La patiente prendra contact avec son cardiologue traitant le Dr. X pour organiser le bilan de sa FA. • ETT le 01.04.2019 : Bonne fonction, pas de trouble cinétique, pas de valvulopathie (transmission orale) • ETT le 01.04.2019 : Bonne fonction, pas de trouble cinétique, pas de valvulopathie (transmission orale) • ETT le 01.04.2019 Rx thorax le 05.04.2019 Rx bassin le 03.04.2019 CT abdominal le 30.03.2019 Rx thorax le 30.03.2019 Rx bassin et hanches le 30.03.2019 • ETT le 02.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. Pas de troubles de la cinétique segmentaire sous réserve d'une paroi antérieure difficilement évaluable (conditions techniques moyennes). FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 7 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Épaississement léger des 2 feuillets mitraux. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Oreillette gauche non dilatée. La fonction systolique du VD est normale. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime. IP minime. Absence d'épanchement péricardique. • ETT le 02.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile globale normale. La cinétique segmentaire n'est pas évaluable en raison de mauvaises conditions techniques. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche.Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. ETT le 02.04.2019 : Hypokinésie apicale et antéro-apicale. Coronarographie le 02.04.2019. Aspirine cardio à vie. Efient pour 12 mois. ETT le 02.04.2019. Stop Xarelto. Héparinothérapie du 02.04 au 08.04.2019. Sintrom dès le 05.05.2019. Carvedilol 25 mg/j dès le 04.04.2019. ETT le 04.04.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche discrètement dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. VCI se collapse en inspiration en faveur d'une hypovolémie. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence de signe indirect en faveur d’une HTP sévère, PAPd estimée à 13 mmHg. Absence d'épanchement péricardique. Bronchoscopie EBUS le 05.04.2019. Radiographie de thorax le 05.04.2019 : pas de pneumothorax. ETT le 05.04.2019. Coronarographie dans 6 semaines. ETT le 08.04.2019. Lasix. ETT le 09.04.2019. VNI intermittente du 07.04 au 10.04.2019. Cathéter artériel radial droit du 07.04 au 10.04.2019. Prednisone du 08.04 au 10.04.2019. Tavanic du 07.04.2019 au 12.04.2019 (traitement de 5 jours). ETT le 10.04.2019. Ergométrie à 1 an. ETT le 10.04.2019. Furosémide iv du 05.04.2019 au 12.04.2019. Torasémide po dès le 13.04.2019. Hémodialyse 3x/sem. ETT le 11.04.2019 Rapport à pister. ETT le 14.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie globale minime. FEVG à 47 % (méthode de Simpson). Hypertrophie concentrique. Aorte discrètement dilatée. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Oreillette gauche très dilatée. Dilatation modérée du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit discrètement altérée. Dilatation importante de l'oreillette droite avec une dilatation modérée du ventricule droit. HTAP minime (PAPs à 39 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Coronarographie le 15.04.2019 : Artères coronaires athéromateuses. Absence de resténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif. Fonction systolique modérément diminuée (EF 40 %) DD Takotsubo cardiopathie. ETT le 15.04.2019 : pas de trouble de la cinétique segmentaire et fonction ventriculaire normale. ETT le 18.04.2019. Holter demandé. ETT le 20.05.2019 à 14h. Holter mardi 07.05.2019 à 10h. Rediscuter poursuite Atorvastatine après 3 mois de traitement en fonction de l'évolution. ETT le 22.03.2019 : cardiopathie dilatée avec une fonction systolique du VG normale (globale et segmentaire), FEVG 55 %. Présence d'une légère dilatation de l'aorte ascendante stable par rapport au comparatif du 13.02.2018. Pas de signes pour une surcharge du VD. HTP avec PAPs estimée à 62 mmHg (Grad OD-VD à 47 mmHg + POD estimée à 15 mmHg) sous réserve d'une patiente intubée et ventilée. Bilan angiologique et Duplex artères rénale le 29.03.2019 : perfusion bien, rénale arterial resistive index 0.8 (élevé). CT thoracique natif le 01.04.2019 : apparition de multiples infiltrats alvéolo-interstitiels mixtes diffus dans les deux plages pulmonaires et prédominants dans les lobes supérieurs, associés à des épanchements pleuraux de quantité modérée et à une augmentation des ganglions médiastinaux et hilaires. Il s'agit d'une image aspécifique pouvant être en rapport avec l'ARDS/pneumonie virale mais sans pouvoir exclure une atteinte de type vasculitique ou de type GvHD. Signes d'HTP. ETT le 22.03.2019 : cardiopathie dilatée avec une fonction systolique du VG normale (globale et segmentaire), FEVG 55 %. Présence d'une légère dilatation de l'aorte ascendante stable par rapport au comparatif du 13.02.2018. Pas de signes pour une surcharge du VD. HTP avec PAPs estimée à 62 mmHg (Grad OD-VD à 47 mmHg + POD estimée à 15 mmHg) sous réserve d'une patiente intubée et ventilée. Bilan angiologique et Duplex artères rénale le 29.03.2019 : perfusion bien, rénale arterial resistive index 0.8 (élevé). CT thoracique natif le 01.04.2019 : apparition de multiples infiltrats alvéolo-interstitiels mixtes diffus dans les deux plages pulmonaires et prédominants dans les lobes supérieurs, associés à des épanchements pleuraux de quantité modérée et à une augmentation des ganglions médiastinaux et hilaires. Il s'agit d'une image aspécifique pouvant être en rapport avec l'ARDS/pneumonie virale mais sans pouvoir exclure une atteinte de type vasculitique ou de type GvHD. Signes d'HTP. ETT le 22.03.2019 : FEVG 55 %. ETT le 22.03.2019 : FEVG 55 %. ETT le 23.04.2019. ETT le 23.04.2019. ETT de contrôle le 26.04.2019. ETT le 23.04.2019. ETT le 26.04.2019. ETT le 24.04.2019 : minime épanchement péricardique (surtout au niveau du VD), hémodynamiquement non significatif. ETT le 25.04.2019. ETT le 25.03.2019. cf. diagnostic FA. ETT le 26.04.2019. • FEVG à 60 %. NT-proBNP à 7500 ng/l. Métoprolol dès le 27.04.2019. Amlodipine 5 mg dès le 27.04.2019. ETT pré-chimio le 10.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. FEVG à 60 %. Avis dermatologique. Avis oncologique. Soins de peau sur protocole dermatologique avec suivi stomatothérapeute. Antalgie par Oxycontin. Pose de Piccline le 11.04.2019. Chimiothérapie par CHOP (dont Oncovin 1 mg) le 12.04.2019. Pose de PAC à prévoir à distance après amélioration des lésions cutanées. Patiente sera convoquée à la consultation oncologique au HFR Fribourg pour la suite de PEC avant la prochaine chimiothérapie prévue le 03.05.2019. PET-CT à réévaluer. Réadaptation à Estavayer le 16.04.2019. ETT prévue le 03.04.2019. Réadaptation cardio-vasculaire ambulatoire à envisager. Coronarographie à planifier dans 3-4 mois pour angioplastie de la coronaire droite, avec néphro-protection. Pister US rénal. Récolte d'urine de 24h pour quantifier la protéinurie. ETT 20.03.2019 : Épanchement péricardique de moyenne abondance circonférentiel, d'aspect liquidien et partiellement organisé (20 mm en regard du VG en postérieur), hémodynamiquement relevant mais sans signes francs échocardiographiques de tamponnade (installation probablement progressive de l'épanchement). ETT de contrôle les 22 et 25.03.2019 : épanchement stable, pas de ponction au vu d'un épanchement insuffisant à l'apex. Avis cardiologique. Attitude : ETT de contrôle dans 3-4 semaines post-hospitalisation. ETT 29.03.2019 : VG non-dilaté, non-hypertrophié, FEVG 67 %. Aorte normale, valve mitrale normale, dysfonction diastolique importante (grade III), OG très dilatée, dilatation modérée du VD, hypertrophie et fonction systolique très altérée, HTAP importante (82 mmHg), insuffisance tricuspidienne (2/3), dilatation du tronc pulmonaire.Consilium cardiologique (Dr. X) : compléter le bilan par IRM cardiaque (sévérité de l'atteinte de la VP), prise en charge dans centre universitaire Adaptation du traitement diurétique • ETT • ECG • Euphrasia gouttes Retour à domicile avec consignes de surveillance • Euphrasia gouttes Massage des glandes lacrymales régulier Retour à domicile avec consignes de surveillance • Euphrasia gouttes Massage des glandes lacrymales régulier Retour à domicile avec consignes de surveillance • Euphrasia gouttes Retour à domicile avec consignes de surveillance • Euthyroid sick syndrom le 09.04.19 • Euthyrox 25 mg 1 x/j Contrôle des valeurs à 6 semaines • Euthyrox 50 mcg 1x/j Suivi post-partum auprès du Dr. X • Euthyrox 50 mcg dès le 28.03.2019 Contrôle des hormones thyroïdiennes dans 2 semaines • Euthyrox 50 mcg/jour du lundi au vendredi, pendant encore 3 mois Contrôle endocrinologie HFR (Dr. X) dans 3 mois • Evacuation de l'hématome avec petite incision et évacuation de liquide séro-purulent. Antibiothérapie pour 5 jours. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences dans 2-3 jours. • Evacuation de l'hématome sous-unguéal avec une aiguille. Antalgie refusée par Mr. Y. Critères de reconsultation expliqués à Mr. Y. • Evacuation de sérome ligne médiane spontanée. • Evaluation à la consultation du Dr. X. Prochain contrôle le 12.06.2019 • Evaluation ambulatoire à distance de l'épisode actuel • Evaluation au Neurocentre avec EEG le 10.05.2019 IRM cérébrale le 17.06.19 Prochain contrôle le 18.06.2019 • Evaluation au Neurocentre (merci de convoquer Mr. Y) Prochain contrôle le 30.04.2019 • Evaluation au team membre supérieur (merci de convoquer Mme. Y) • Evaluation clinique par le médecin du Home de la Vallée de la Jogne à Charmey dans la semaine qui suit la sortie de l'Hôpital concernant l'inflammation articulaire au genou droit et la clinique pulmonaire. • Evaluation clinique. Laboratoire : K 3.1 mmol/l, magnésium 0.65 mmol/l, examen avec explication donnée par le médecin. Supplémentation Potassium et Magnésium pendant 1 semaine. Temesta en réserve. • Evaluation de base en médecine palliative (Dr. X, le 27.03.19) Evaluation par ESAS quotidien Équipe de traitement multidisciplinaire : médecin, infirmières, nutrition (conseil et traitement diététique, au moins 2 unités de traitement, nutrition parentérale), physiothérapie, ergothérapie, aumônier, psychologue • Evaluation de la déglutition. Adaptation des textures : liquide type nectar. • Evaluation dermatologique (merci de convoquer Mme. Y) • Evaluation diététique Supplémentation nutritive orale • Evaluation et suivi diététique SNO • Evaluation et suivi nutritionnel • Evaluation et suivi nutritionnel Suppléments nutritifs oraux par Fresubin refusés par Mme. Y • Evaluation interaction mère-enfant à la maternité Suivi mère par psychiatre SEJ mis au courant Conseils de sortie avec interprète Contrôle ce jour le 23.04 à 11h30 avec interprète Suivi par pédiatre (Dr. X) • Evaluation interaction mère-enfant à la maternité Suivi mère par psychiatre SEJ mis au courant Conseils de sortie avec interprète Contrôle prévu en néonatologie ambulatoire le 23.04 à 11h30 avec interprète Suivi par pédiatre (Dr. X) • Evaluation neurologique du 25.03.2019 (Neurocentre) : Dénervation sensitive au niveau du tunnel carpien ddc, pouvant justifier les paresthésies dans les 2 mains. Pas de signe de dénervation radiculaire cervicale. IRM colonne cervicale du 11.04.2019 (PACS) : Pas d'aggravation des lésions au niveau cervical. Uncarthrose stable et rétrécissements foraminaux inchangés. Hémangiome D1 stable également, sans expansion. • Evaluation neurologique et nouveau contrôle auprès du Dr. X (merci de convoquer Mme. Y) • Evaluation neurologique (Neurocentre) - merci de convoquer Mme. Y • Evaluation neuropsychologique • Evaluation par Dr. X Poursuite du traitement pour la maladie bipolaire Adaptation du traitement de l'insomnie • Evaluation par les diétéiciens • Evaluation pédo-psychiatrique par Dr. X le 20.03.2019 • Evaluation pédopsychiatrique Retour à domicile Suite de prise en charge avec discussion avec juge de paix le 15.04. • Evaluation pédopsy Test de grossesse : négatif Sérologies HIV, HBV, HCV : négatif • Evaluation physiothérapeutique le 12.4.2019 : risque de chute évalué comme faible si mobilisation accompagnée avec rollator • Evaluation psychiatrique • Evaluation psychiatrique à la demande d'un tiers (Z 0.04). • Evaluation psychiatrique et proposition de poursuivre un traitement par Remeron Refus de poursuivre le traitement de la part de Mme. Y après une première prise • arrêt du traitement et contrôle chez le médecin traitant • Evaluation rhumatologique en ambulatoire. Contrôle à la policlinique de la Team Spine Team le 16.04.2019 à 10h40 à l'HFR Fribourg. Sevrage de l'MST en ambulatoire • Evaluation rhumatologique et médecine interne en rééducation à Billens. • évaluer anémie évaluer traitement prophylactique pour la goutte dosage acide urique dans 2-3 semaines • Evaluer clinique à 24h avec contrôle laboratoire CT scanner à effectuer si persistance des douleurs a jeun pour la prise de sang puis • évaluer efficacité du traitement au Pantoprazol. Si il est efficace, l'introduire en réserve comme traitement de crise. Si les douleurs persistent, compléter le statut abdominal à la recherche d'une constipation chronique, d'un syndrome de malabsorption. • évaluer indication à IRM, consilium neuro voir répéter EEG à distance • évaluer la nécessité de reverser la crase • Evaluer l'indication à une ponction pleurale • EVAR • Événement cérébral en 2004 suite à la consommation de Vioxx. Suspicion d'arthrite septique genou droit/hallux gauche DD : spondylarthrite ankylosante. • Eventration multiple médiane sus-ombilicale. Status après laparotomie médiane pour traumatisme de guerre en 1998. • Eventuel corps étranger métallique œil G, spontanément sorti • Éventuel ultrason des hanches si non amélioration des douleurs. Reconsulter en cas de péjoration clinique, état fébrile, rougeur cutanée. • Éviction algifor Antalgie • Éviction de l'allergène. Lévocétirizine pour 5 jours. Prévoir consultation allergologique à 6 semaines. • Eviction de toute action • Eviscération à J 6 d'un Bricker pour un carcinome épidermoïde vésical le 07.03.2019 avec : • lésions iatrogènes des vaisseaux épigastriques à gauche avec un hémopéritoine • péritonite à Enterococcus faecium sur contamination fécale per-opératoire avec infection de paroi secondaire • Eviter les activités à risque pour les semaines à venir. Charge selon douleurs. Pas de contrôle nécessaire. • Eviter les activités à risque durant encore 6 semaines. Prochain contrôle clinique le 24.04.2019. • Eviter les médicaments pouvant allonger le QT Charge Mg2+ le 24.04.2019 • Eviter les médicaments pouvant allonger le QT Charge Mg2+ le 24.04.2019 Avis cardiologique demandé (à suivre) • Evolution très favorable à un mois. Nous reverrons Mr. Y dans 3 semaines pour décider de la reprise du rugby. • Evolution à 6 semaines postopératoires favorable. Dès aujourd'hui, Mr. Y peut charger progressivement en flexion : 15 kg pendant les prochaines 2 semaines, puis augmentation de la charge à 30 kg pour les 2 semaines supplémentaires, puis charge complète. Mobilisation à poursuivre à 90° jusqu'à l'ablation du cerclage qu'on planifie en ambulatoire le 04.04.2019. Mr. Y est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et bénéfices. Il nous donne son accord en signant le formulaire de consentement éclairé. Poursuite de l'arrêt de travail pendant 4 semaines à 100 %.Evolution à 6 semaines postopératoires favorable. Poursuite de l'incapacité de travail jusqu'à la mi-mai. Prochain contrôle le 15.05.2019. Poursuite de physiothérapie à sec et en piscine en respectant les douleurs sur le biceps. Prescription d'anti-inflammatoires pour 2 semaines (puis en réserve) ainsi que Dafalgan en réserve. Evolution attendue après un vissage cervical. Nous apprenons que le patient a évité tout port de charge depuis le post-opératoire, sans ré-entraînement. Nous lui conseillons donc de reprendre le port de charge de façon progressive jusqu'à 30 kg, tant à domicile qu'en physiothérapie. En effet, les contractures para-cervicales sont probablement liées à une diminution de l'activité. De notre point de vue, une reprise professionnelle n'est pas contre-indiquée, mais au vu du retard de progression, nous prolongeons l'arrêt de travail à 100 % pour 1 mois. Le patient et son employeur nous avaient communiqué l'organisation d'un éventuel séjour voire évaluation à la clinique SUVA, ce que nous ne contre-indiquons pas. Prochain contrôle radio-clinique comme prévu, en juin. Evolution clinico-radiologique rassurante et stable, nous n'avons donc pas d'indication chirurgicale. Dernier contrôle radio-clinique dans 1 mois, à 3 mois de la fracture. Evolution clinique à 2 mois postopératoires favorable. Le patient va poursuivre le traitement d'ergothérapie et de physiothérapie afin de mobiliser son doigt. Un contrôle est prévu le 15.05.2019 à ma consultation pour une réévaluation clinique. Un arrêt de travail est demandé par le patient, même s'il est à la retraite. Je lui atteste une incapacité de travail à 100 % jusqu'au prochain rendez-vous. Evolution clinique à 5 mois de l'intervention favorable avec encore d'importantes crépitations sous-acromiales correspondant à une inflammation. Actuellement, une infiltration n'est pas encore indiquée et le patient ne la souhaite pas non plus. Poursuite de l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au prochain contrôle du 15.05.2019. Evolution clinique à 6 semaines postopératoires favorable. Poursuite de la physiothérapie afin de regagner les amplitudes articulaires. Mobilisation libre, sauf la rotation externe en abduction qui est encore à éviter. Sinon, charge selon douleur. Prochain contrôle clinique le 15.05.2019. Evolution clinique et radiologique actuelle rassurante. Nous préconisons la poursuite de la prise en charge conservatrice avec immobilisation par minerve pour 3 mois. Prochain contrôle comme prévu le 09.05.2019. Evolution clinique et radiologique globalement satisfaisante. Au niveau de son épaule G, le patient ressent une raideur globale, objectivée lors de la mobilisation passive de l'épaule. C'est pourquoi, nous initions une nouvelle série de séances de physiothérapie pour regain des amplitudes et travail sur la coiffe. Au niveau de son coude G, la physiothérapie durant l'immobilisation a eu un très bon effet et doit être poursuivie. Au niveau de son poignet G, remobilisation progressive avec physiothérapeute. Il persiste néanmoins une tuméfaction en regard de la tabatière anatomique. Au vu de cela, si persistance des douleurs objectivées lors de l'examen, un CT du poignet devra être effectué. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines, donc à 3 mois du traumatisme. Evolution clinique favorable à 6 mois postopératoires avec une mobilité du genou complète, stable. On autorise les entraînements de football mais pas de match pour le moment. Jusqu'à fin juillet, on prévoit des exercices pour améliorer la stabilité et renforcement musculaire. Lors du prochain contrôle clinique, on rediscutera des limites des activités physiques. Evolution clinique favorable. On continue le même protocole de pansement jusqu'à ce que les plaies soient complètement fermées. Par la suite, il faudrait optimiser les moyens auxiliaires (semelle, chaussure, prothèse) et par la suite discuter d'une éventuelle prise en charge de l'hallux à G si souhaité par la patiente (à discuter le prolongement FHL à distance). Prochain contrôle dans 4 semaines. Evolution correcte. Auto-mobilisation. Application d'huile d'abricot sur la cicatrice. Contrôle final dans 4 mois : le 28.08.2019. Evolution correcte. Auto-mobilisation. Contrôle chez moi dans 2 mois le 24.6.2019. Il ne faut pas sous-estimer un potentiel de non-guérison de la fracture suite au nouveau traumatisme mais vu la bonne évolution subjective, je ne retiens pas d'indication pour une attitude plus agressive. Evolution correcte. Auto-mobilisation. Pas d'ergothérapie. Prochain contrôle radio-clinique chez moi le 16.4.2019 pour planifier l'AMO des broches. Evolution correcte avec une récupération progressive du nerf qui est montrée par un Tinel qui est maintenant avancé en distal de la cicatrice. Poursuite d'un traitement d'ergothérapie avec rééducation sensitive et un travail cicatriciel ainsi que mobilisation du pouce. Prochain contrôle dans 6 semaines : le 27.05.2019. Evolution correcte. Maintenant ré-initiation d'un traitement ergothérapeutique. Reprise du travail à 75 % dès le 30.4.2019 et à 100 % dès le 20.5.2019. Prochain contrôle chez moi dans 2 mois le 24.6.2019. Evolution correcte malgré le fait que les fils n'ont pas été enlevés. Rééducation du doigt en ergothérapie. Contrôle final chez moi dans 3 mois le 14.8.2019. Evolution correcte. Prescription d'ergothérapie pour rééducation sensitive et motrice de la main droite. Poursuite d'un arrêt de travail jusqu'au 25.4.2019 puis reprise. Prochain contrôle chez moi dans 2 mois le 19.6.2019. Evolution correcte. Maintenant initiation d'une mobilisation active et passive sans limitation de charge. Prochain contrôle chez moi dans 3 mois le 31.7.2019. Evolution correcte. Maintenant poursuite du port de l'attelle jour et nuit pendant une semaine puis ablation et mobilisation libre pendant la journée, poursuite du port de l'attelle jusqu'au 14.6.2019 la nuit. Introduction d'un traitement ergothérapeutique pour mobiliser et décoller la cicatrice. Prochain contrôle chez moi le 14.6.2019. Evolution défavorable d'une décompensation cardiaque résistante au traitement. Evolution est actuellement stagnante. Par conséquent, nous proposons au patient d'effectuer un séjour de réadaptation à la Clinique Romande de réadaptation (SUVA). Nous prions la SUVA de bien vouloir convoquer le patient pour une évaluation. Nous prévoyons un prochain contrôle clinique le 08.05.2019. Poursuite de l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au 19.05.2019. Evolution excellente six mois post-implantation de cette prothèse. En regard du pouce, il s'agit très probablement d'un kyste articulaire sur une rhizarthrose. En regard de l'absence des douleurs, nous ne proposons pas de traitement spécifique. Si la patiente devient gênée par des douleurs, nous effectuerons une radiographie et débuterons un traitement de l'arthrose. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Evolution favorable à gauche. Nous planifions la même opération pour la hanche D. Nous expliquons à la patiente le déroulement de l'intervention ainsi que les risques et bénéfices, ce qu'elle accepte en signant le consentement éclairé. La patiente souhaite se faire opérer fin mai si c'est possible. Ce jour, elle a rendez-vous avec nos collègues de l'anesthésie en vue de cette intervention qui consiste en une dislocation chirurgicale avec une dérotation subtrochantérienne. Evolution favorable à 1 semaine post-opératoire. En accord avec les Dr. X et Dr. X, maintien du BAB circularisé jusqu'au 10.04.2019. Lors de ce contrôle, nous ferons une ablation du BAB circularisé puis une radiographie du coude f/p. Par la suite, le patient pourra reprendre progressivement ses activités habituelles. Une AMO sera à prévoir dans les semaines/mois qui suivent.Evolution favorable à 2 ans postopératoires. Le prochain contrôle est prévu dans 3 ans. Evolution favorable à 2 mois de l'intervention susmentionnée. On discute avec le patient de reprendre la charge selon douleurs, sous protection des cannes. On prévoit une ablation du matériel dans 1 mois puis des exercices en physiothérapie. Le déroulement opératoire, les risques et les bénéfices sont expliqués au patient qui est d'accord et signe le consentement éclairé. Il reste à l'arrêt de travail à 100% et c'est prévu qu'il reprenne partiellement depuis le 01.06.2019. Evolution favorable à 3 mois postopératoire. Poursuite de la physiothérapie avec travail sur le tractus ilio-tibial. Poursuite de l'arrêt de travail à 80% vu la nature physique du travail. L'incapacité de travail est à réévaluer par le médecin traitant. Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois avec également des radiographies de la hanche D, le patient signalant des douleurs croissantes au niveau de cette hanche sur une PTH posée il y a environ 5 ans par voie d'abord antérieure. Evolution favorable à 3 mois postopératoires. Pas de RX ce jour nécessaire. Prochain contrôle à 1 an postopératoire. On prescrit encore 9 séances de physiothérapie pour améliorer la force musculaire. Evolution favorable à 6 semaines post-opératoire. Au vu de cette évolution, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution favorable à 6 semaines postopératoires. Elle peut commencer à marcher sans béquille et charger complètement. Je prescris de la physiothérapie pour exercice des abducteurs. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Evolution favorable à 8 mois postopératoires. On autorise le patient à effectuer le renforcement musculaire qui est prévu pour le mois de mai et juin mais avec un effort physique d'environ 80%. Poursuite de l'arrêt de sport à l'école jusqu'aux vacances d'été. Nous le reverrons fin juin pour rediscuter de la reprise du sport. Evolution favorable. Ablation de la broche et réfection du pansement. Mobilisation hors des Vacopedes avec chaussures rigides. Prochain contrôle radio-clinique dans 8 semaines. Evolution favorable. Ablation de l'attelle. Auto-mobilisation. Prochain contrôle radioclinique le 03.05.2019. Evolution favorable. Ablation du plâtre ce jour et mise en place d'une attelle Velcro pour les 2 prochaines semaines et début de la physiothérapie hors attelle. Nous le reverrons pour un contrôle clinique le 30.04.2019. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 28.04.2019. Evolution favorable. Ablation d'une agrafe sur 2 ce jour. Prochain contrôle de cicatrice avec ablation du reste des agrafes dans une semaine. Evolution favorable après cette cyphoplastie. La statique rachidienne n'a pas changé depuis le dernier contrôle. Au vu de toutes les autres comorbidités de la patiente, nous ne proposons pas de geste supplémentaire. Nous proposons par contre à la patiente d'essayer de se mobiliser en rollator pour améliorer légèrement sa posture. Prescription d'un rollator dans ce but. Ce rollator est à utiliser à but thérapeutique au moins une fois par jour. Nous ne prévoyons pas de contrôle radioclinique d'emblée mais restons à disposition si nouvelles douleurs. Evolution favorable après fracture supra-condylienne. Le patient sera revu à 6 mois pour un dernier contrôle. Mobilisation libre. Activités libres. Evolution favorable après traitement conservateur. Dès ce jour, mise en place d'une attelle en carbone dans laquelle le patient peut charger selon douleurs. Début de la physiothérapie pour mobilisation et renforcement musculaire. Il a le droit de reprendre les activités sportives (vélo et natation mais pas encore le football et la course). Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Evolution favorable après une fracture in situ du radius distal et il lui est demandé d'éviter les activités à risques pendant 2 semaines. Reprise comme prévu de l'entraînement sportif de hockey à la fin du mois d'avril, sans restriction. À disposition en cas de nécessité. Evolution favorable avec le traitement conservateur. Poursuite de la physiothérapie et antalgie en réserve. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution favorable avec traitement conservateur. Le patient peut commencer à bouger librement la main sans charge. Arrêt de travail rétrospectif du 04.04.19 jusqu'au 15.05.19 pour toutes les activités qui nécessitent la charge de la main. Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines. Evolution favorable avec un patient qui remarque déjà une amélioration suite à l'AMO partielle. La plaie évolue bien. Les fils peuvent être enlevés chez le médecin traitant d'ici 2 semaines. Nous le reverrons dans 2 mois. Evolution favorable avec une diminution des douleurs ainsi que l'amélioration de la stabilité. On enlève toutes les limitations en ce qui concerne les activités sportives. Pas de prochain contrôle clinique mais on reste à disposition. Evolution favorable avec une récupération des amplitudes articulaires qui est bonne. Reprise des activités professionnelles et poursuite de la physiothérapie. Je reste à disposition. Evolution favorable. Ce jour, circularisation du plâtre et poursuite de la mobilisation avec 15 kg maximum sous protection de canne, Clexane 40 mg. Prochain contrôle radio-clinique à 2 mois postopératoires. Evolution favorable. Ce jour, nous faisons un plâtre AB qu'il gardera 2 semaines. Nous le reverrons dans 2 semaines pour un contrôle radio-clinique et possible ablation des broches. Poursuite des contrôles pour les pansements chez le pédiatre tous les 3 jours. Evolution favorable chez cette patiente. Prochain contrôle dans 2 mois. Poursuite de la physiothérapie. Evolution favorable concernant la dermo-hypodermite. Je propose de mettre en place quelques séances de physiothérapie afin de récupérer rapidement une bonne mobilité au niveau du genou, ce qui le gêne un peu en raison de douleurs, notamment lors de la montée ou descente d'escaliers. Reprise du travail à 100% dès le 15.04.2019. Nous restons à disposition au besoin. Evolution favorable ddc. Les cicatrices et les sites de broches se présentent calmes ce jour. On poursuit le protocole du changement de pansement par la patiente tous les 48 heures. Prochain contrôle dans 1 semaine avec des RX ddc pour décider si une ablation de la broche précoce à D serait nécessaire. Nous ferons également une RX du côté G comme la broche a migré de quelques millimètres. Evolution favorable. Début de la physiothérapie dès ce jour pour coordination, stabilisation et renforcement des muscles péroniers pour l'entorse de la cheville. Ablation de l'Aircast (en réserve pour les longs trajets). Pas de reprise de sport avant 3 semaines. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 6 semaines soit le 16.05.2019. Evolution favorable. Début de physiothérapie pour mobilisation libre jusqu'à 90° en abduction pour les prochaines 4 semaines avec une charge selon douleurs au-dessous de l'horizontal et pas de charge au-dessus de l'horizontal. Le patient souhaite reprendre le travail ce qu'il arrive à faire comme machiniste sans porter de charges lourdes. On l'autorise à reprendre le travail à 100% sous condition qu'il ne charge pas trop le membre supérieur gauche. Prochain contrôle clinique dans 4 semaines. Arrêt de sport pour au moins 8 semaines. Evolution favorable. Dès ce jour, le patient peut reprendre toutes les activités sans limitation. Pas de nouveau contrôle prévu mais nous restons à disposition en cas de besoin.Evolution favorable. Dès ce jour, mobilisation hors plâtre avec charge selon douleurs et physiothérapie pour rééducation. Pas de sport pour le moment. Prochain contrôle clinique dans 4 semaines pour planifier l'AMO de la vis. Evolution favorable des céphalées sous traitement antalgique. Nous laissons rentrer Mme. Y à domicile sous traitement symptomatique antalgique et de gastro-entérite. Evolution favorable. Elle peut commencer à charger. Prescription de physiothérapie pour renforcer les abducteurs. Prochain contrôle dans 6 semaines. Evolution favorable et ablation de la broche et réfection de pansement. Mme. Y peut se mobiliser avec des chaussures avec une semelle rigide, par exemple avec des chaussures de randonnée. Prochain contrôle dans 2 mois. Evolution favorable. Fin de traitement. Nous restons à disposition au besoin. Evolution favorable. Il s'agit d'une entorse de la cheville que l'on traite conservativement avec un Aircast pour encore 2 semaines. Reprise du sport selon douleurs. Physiothérapie pour renforcement musculaire. Arrêt de travail jusqu'au 05.05.2019 à 100%, comme infirmier. Par la suite reprise à 100%. Pas de contrôle à notre consultation, suite chez le médecin traitant. Evolution favorable. Il s'agit d'une entorse de la cheville qu'on traite conservativement avec une Aircast pour encore 2 semaines. Reprise du sport dès que les douleurs sont en régression. Physiothérapie pour renforcement musculaire. Pas de prochain contrôle prévu, suite des contrôles chez le pédiatre. Evolution favorable. Je ne prévois pas de prochain contrôle mais reste à disposition en cas de besoin. Evolution favorable. Je propose qu'il évite la position accroupie autant que possible pour éviter les risques de récidive d'atteinte méniscale. Pas de prochain contrôle prévu. Pas d'arrêt de travail. Evolution favorable. Je propose qu'il poursuive sa rééducation. Ablation de l'attelle à partir de ce jour. Arrêt de travail à 100% jusqu'à fin mai 2019. Il nous recontactera pour un arrêt de travail à 100% pour le mois de juin. À partir de juillet, reprise du travail. Evolution favorable. Je propose, s'il n'y a pas de modification au niveau de son pied, de le revoir dans 2 ans pour un contrôle clinique a priori. Evolution favorable. La légère gêne que Mme. Y sent au niveau de la PIP, principalement du côté palmaire quand il fait froid, est à mettre sur le compte d'adhérences qui vont très vraisemblablement s'améliorer spontanément durant les prochaines semaines. Si ceci ne devait pas être le cas, Mme. Y reprendra contact avec notre service et nous ferons, à ce niveau-là, un contrôle radiologique. Sinon, nous n'avons pas prévu de revoir Mme. Y. Evolution favorable. Mme. Y peut reprendre toutes les activités sauf le volley-ball, sans limitation selon tolérance. Reprise du travail à 100%. Prochain contrôle radioclinique à 6 mois post-traumatique (juin 2019). Evolution favorable. Le patient peut reprendre ses activités sportives avec l'Aircast durant les 3 prochaines semaines. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Si le patient va bien et qu'il n'a pas de plainte, il pourra annuler le rendez-vous. Evolution favorable. Le patient peut reprendre toutes les activités sportives et les activités de la vie quotidienne avec unique limitation les douleurs. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution favorable. Le patient va poursuivre les exercices de stretching en physiothérapie et, si nécessaire, également traitement par onde de choc pour la fascéïte plantaire. Il fera aussi des exercices de stabilité. On ne prévoit pas le revoir mais restons à disposition. Evolution favorable. Le patient va reprendre le travail demain à 50% jusqu'au 28.04.2019 et par la suite à 100% comme plâtrier sans effectuer les travaux avec charges lourdes. Nous prescrivons des semelles pour soutenir le bord médial du pied en regard de la déformation avec la voûte plantaire aplatie. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Evolution favorable. Les physiothérapeutes qui suivent Mme. Y proposaient de poursuivre la physiothérapie. Je refais donc une ordonnance dans ce sens. Pas de contrôle systématique. Nous restons à disposition au besoin. Si des douleurs réapparaissent, on pourrait envisager dans un premier temps une infiltration au niveau de la cheville. Evolution favorable. Mme. Y peut reprendre toutes les activités sans limitation. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition. Evolution favorable mais à l'anamnèse, il y a encore une légère sécrétion séreuse raison pour laquelle nous souhaitons le revoir la semaine prochaine. Si la plaie reste fermée et qu'il n'a pas de fièvre jusqu'au prochain contrôle, on terminera le traitement. Evolution favorable. Nous maintenons les séances de physiothérapie à Courtepin, qu'elle peut espacer à raison d'une fois par mois, en continuant régulièrement les exercices à domicile. Prochain contrôle radioclinique dans 1 an. Evolution favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain, mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution favorable. Nous proposons au patient de poursuivre les séances de physiothérapie à but d'assouplissement des articulations ayant eu une arthrodèse temporaire et à but de travailler sur le déroulé du pas. Nous le reverrons dans 3 mois pour un nouveau contrôle clinique. Evolution favorable. Nous terminons ce jour le traitement mais restons à disposition au besoin. Evolution favorable. On peut stopper la physiothérapie après la prochaine séance qu'aura le patient. On l'informe sur la possibilité de la persistance des douleurs que ce soit sur le tendon tibial postérieur qui pourrait à ce moment-là nécessiter la mise en place de semelles orthopédiques avec soutien de la voûte longitudinale ou de douleurs au niveau du bord latéral du bord médial du dôme du talus qui, à ce moment-là, devrait faire évoquer une lésion ostéochondrale actuellement non-visible sur les RX. Si l'évolution est toutefois favorable, nous prévoyons de revoir le patient uniquement 1 année postopératoire afin de discuter de l'ablation de la plaque. Evolution favorable. On prescrit encore de la physiothérapie pour augmenter le renforcement de la cheville. On conseille à Mme. Y de porter les semelles adaptées jusqu'au prochain contrôle dans 6 mois. Evolution favorable. On reverra le patient à 11 mois de l'intervention pour un contrôle radioclinique. En cas de persistance de douleurs au niveau du TFCC, il sera nécessaire de faire une arthro-IRM du poignet D. Si le problème est bien résolu, on pourra programmer l'ablation de la plaque. On reste à disposition. Evolution favorable, par mesure de précaution, Mme. Y respectera encore une période de dispense sportive jusqu'au 22.04.2019, puis pourra reprendre le foot. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution favorable par traitement conservateur. La fracture est restée stable et est en train de guérir. Poursuite du traitement conservateur par Vacopedes pour une totalité de 6 semaines avec charge selon douleurs à l'aide de cannes, sans anti-coagulation. Prochain contrôle radioclinique à 6 semaines post-traumatisme. Arrêt de travail prescrit jusqu'au 12.05.2019 (à prolonger selon l'évolution). Evolution favorable. Pas de nouveau contrôle prévu mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution favorable. Physiothérapie pour renforcement musculaire et intégration. Contrôle à distance.Evolution favorable pour le moment, ablation complète de l'attelle, mobilisation libre en prosupination et en flexion/extension en ergothérapie, renforcement musculaire dès début avril. Contrôle clinique dans 6-8 semaines. Evolution favorable. Poursuite de la physiothérapie avec instauration de séances de physiothérapie, stretching des chaînes antérieures, renforcement postérieur et hygiène posturale. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 31.05.2019, puis reprise à 50% jusqu'au 30.08.2019. Mr. Y pourra reprendre à 100% dès le 31.08.2019. Prochain contrôle radio-clinique dans le courant du mois d'octobre. Evolution favorable. Poursuite de la physiothérapie. Pas de contrôle nécessaire en cas de récupération complète des amplitudes. Evolution favorable. Poursuite de la physiothérapie pour la mobilité et la force. Reprise du travail à 100% dès le 25.04.2019. Prochain contrôle à une année post-traumatique. Si problème durant l'intervalle, Mme. Y prendra contact avec nous pour avancer le contrôle. Evolution favorable. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle dans 6 semaines à 3 mois post-opératoires avec un CT cervical. Evolution favorable. Poursuite de l'arrêt de sport pour encore 3 semaines pour les activités avec charge et appui du membre supérieur droit. Par la suite, Mr. Y peut reprendre toutes les activités sans limitation. En regard de la bonne évolution, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle, mais restons à disposition au besoin. Evolution favorable. Poursuite de l'attelle Stack pour encore 2 semaines. Nous le reverrons dans 2 semaines (4 semaines de la fracture) pour un contrôle radioclinique. Arrêt de sport pour 6 à 8 semaines après l'accident. Evolution favorable. Poursuite du traitement conservateur avec une attelle amovible pour un total de 6 semaines avec mobilisation libre hors plâtre en physiothérapie et sans charge. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Evolution favorable. Poursuite du traitement conservateur par une attelle métacarpal brace avec syndactylie IV et V pour un total de 4 semaines. Prochain contrôle radioclinique dans 3 semaines (4 semaines post fracture). Evolution favorable. Poursuite du traitement conservateur par une attelle métacarpal brace de Dig III à Dig V pour encore 5 semaines. Prochain contrôle radioclinique dans une semaine pour exclure un déplacement secondaire. Arrêt de travail jusqu'au 25.04.2019. Par la suite, Mr. Y peut reprendre une activité partielle selon la discussion avec son chef dans l'intervalle. Evolution favorable. Poursuite du traitement conservateur par une attelle Metacarpal Brace pour encore 4 semaines, date du prochain contrôle radioclinique. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 28.04.2019 et reprise à 50% le 29.04.2019. Evolution favorable, prescription de séances de physiothérapie avec stabilité posturale, antalgie et école du dos, nous reverrons Mme. Y dans 3 mois (à 6 mois post-fracture). Evolution favorable radio-cliniquement. Dès ce jour, mobilisation sans canne avec semelle rigide en réserve pour les longs trajets et poursuite de la syndactylie pour encore 3 semaines. Prochain contrôle clinique dans 4 semaines. Pas de reprise de sport jusqu'au prochain contrôle. Evolution favorable, raison pour laquelle nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Il peut reprendre toutes les activités sportives sans limitation. Evolution favorable. Remplacement de l'attelle Edimbourg par une attelle thermo-formée en ergothérapie prenant les rayons IV et V en position intrinsèque. Nous le reverrons pour un dernier contrôle radioclinique à 6 semaines de la fracture soit le 06.05.2019. Selon le souhait et l'insistance de Mr. Y, il peut reprendre un travail de bureau à son retour de vacances le 27.04.2019. Evolution favorable sous traitement conservateur. Mr. Y étant maçon et afin d'éviter toute inflammation et récidive voire chronicisation des douleurs, nous poursuivons l'arrêt de travail à 100% jusqu'à 3 mois post-traumatisme. Par la suite, reprise de l'activité professionnelle avec soutien d'une ceinture abdominale simple pour 2 à 3 mois. Pas de nouveau contrôle prévu, nous restons à dispositon au besoin. Evolution favorable sous traitement physiothérapeutique. Poursuite de la physiothérapie avec nouvelle prescription d'une série de séances. Mme. Y rapporte avoir mal toléré le Novalgin ; le Voltaren étant nocif à long terme, nous lui prescrivons du Brufen retard. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Sur le plan professionnel, une demande AI est en cours pour ses multiples antécédents spinaux. Nous informons Mme. Y qu'au niveau de son épaule, son incapacité de travail reste partielle et sera temporaire. En effet, d'ici 3-6 mois sa symptomatologie devrait pouvoir se résoudre complètement. Mme. Y nous rapporte avoir bientôt un entretien d'embauche pour une place à 40%. Du point de vue de l'épaule, l'incapacité de travail est d'au moins 50%. Evolution favorable suite à la suture primaire de cette lésion. Pour l'épaule, nous prescrivons de la physiothérapie pour la mobilisation et le renforcement musculaire en regard de cette tendinopathie calcifiante et probablement une lésion de la coiffe rotatoire chronique. Pas de prochain contrôle planifié mais nous restons à disposition. Evolution favorable suite à l'infiltration. Plus de contrôle prévu mais nous restons à disposition. Evolution favorable sur le plan clinique du côté D. Par contre, Mr. Y présente un syndrome d'Impingement sous acromial à G probablement sur une lésion de la coiffe des rotateurs de manière chronique. Nous proposons d'effectuer une IRM de l'épaule à G et commencer dès maintenant la physiothérapie pour les deux côtés. Prochain contrôle dans 8 semaines après l'IRM. Evolution favorable sur le plan radioclinique. La fracture est en voie de consolidation et en bonne position. Dès aujourd'hui, traitement fonctionnel avec une écharpe et mobilisation libre en dessous de l'horizontal. A partir de 6 semaines post-fracture mobilité libre sans aller en rotation externe en abduction et reprise des charges progressives sans forcer. Prochain contrôle radioclinique d'ici 6 semaines. Arrêt de travail 100% jusqu'au 07.04.2019, par la suite 50% jusqu'au 21.04.2019 et reprise à 100% le 22.04.2019. Evolution favorable sur le plan radiologique et clinique. Dès ce jour, ablation de l'attelle et début de la physiothérapie pour mobilisation et renforcement musculaire. Arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle. Mme. Y nous demande si elle peut, en regard de son arrêt de travail, faire un séjour à l'étranger pour soigner sa maman qui est malade. Du côté médical, nous ne voyons aucun inconvénient tout en précisant à Mme. Y qu'elle doit en informer son assurance, nous rédigeons une attestation dans ce sens. Evolution favorable. Vu que Mr. Y a regagné toute sa mobilité, il n'a plus besoin de séance d'ergothérapie. Fin de traitement. Nous restons à disposition en cas de problème. Evolution globalement lente mais normale à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la physiothérapie avec maintenant une mobilisation active assistée sans limitation. Poursuite d'un arrêt de travail. Prochain contrôle chez moi le 27.5.2019. Evolution légèrement améliorée par rapport à il y a 2 semaines avec une légère augmentation de la mobilité. Nous le reverrons dans 2 semaines avec le Dr. X afin de re-bilanter la situation et éventuellement envisager une opération comme déjà discuté lors de la consultation du 07.03.2019. Evolution lente mais favorable avec une amélioration générale. Nous expliquons à Mr. Y qu'il faudra encore un petit peu de temps pour regagner la musculature au niveau du MIG. Plus de contrôle prévu mais nous restons à disposition.Evolution lente marquée de douleurs résiduelles. Poursuite de l'ergothérapie. J'ai programmé un prochain rendez-vous pour le 24.06.2019 pour discuter de l'AMO. Evolution lentement favorable de sa tendinopathie. Nous encourageons la patiente à reprendre confiance en son épaule. Poursuite du traitement conservateur par physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 3 mois avec plus ou moins infiltration si péjoration de la symptomatologie au niveau sous-acromial D. AINS prescrit en réserve. Evolution lentement favorable. Nous expliquons à la patiente qu'il faudra au minimum 6 mois pour atteindre une guérison totale. Nous l'encourageons à diminuer les activités susceptibles de provoquer des chocs répétés au niveau de la région du sacrum. Prochain contrôle radio-clinique à 6 mois de la fracture. Evolution lentement favorable sous ergothérapie, que nous proposons de poursuivre. Le patient est demandeur d'une reprise de son activité professionnelle, souhaitant garder son travail par ailleurs. Il rapporte, par contre, avoir des épisodes de faiblesse ou de douleurs après répétition de certains mouvements. Au vu de tout cela, nous l'encourageons à poursuivre l'ergothérapie et à reprendre que partiellement le travail dès le 15.04.2019. Le patient nous dit pouvoir s'arranger avec son patron pour porter des charges moins lourdes. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Evolution lentement favorable suite à l'infiltration. Le patient n'ayant plus de séance de physiothérapie, nous lui en prescrivons une nouvelle série pour renforcement de son MIG et hygiène posturale. Au niveau socio-professionnel, le patient, charpentier, est encore à l'arrêt à 100% pour 3 mois donc jusqu'au 30.05.2019. Dès le 01.06.2019 reprise à 50% puis reprise à 100% dès le 01.07.2019. Prochain contrôle clinique en septembre, à 6-7 mois post-opératoires. Evolution lentement favorable. Vu que la patiente ne fait pas d'extension à cause des douleurs, nous lui prescrivons de l'antalgie topique afin de pouvoir augmenter la mobilisation. Prescription nouvelle d'ergothérapie et physiothérapie avec US. Prochain contrôle dans 2-3 mois ; rendez-vous que la patiente peut annuler en cas de nette amélioration. Evolution moyenne avec amélioration. Nous sommes en phase d'observation avec une mobilisation libre selon douleurs. On lui indique de poursuivre son traitement par ostéopathie. On le reverra en septembre pour refaire un bilan et à ce moment-là, s'il reste des symptômes, on proposera un traitement chirurgical par reconstruction du LCA par TQ. Evolution normale chez une jeune patiente qui fait une cicatrisation plutôt abondante suite à une cure de tunnel carpien. Je préconise une rééducation en ergothérapie avec traitement cicatriciel et rééducation globale de la main. J'ai programmé un rendez-vous final chez moi dans 3 mois le 5.8.2019. Evolution normale mais tout à fait favorable. Initiation d'un traitement ergothérapeutique pour une rééducation sensitive et motrice ainsi que traitement cicatriciel. Prochain contrôle chez moi dans 6 semaines le 22.5.2019. Reprise du travail dès le 6.5.2019. Evolution plutôt favorable. Au vu d'une hypotrophie de la cuisse droite, on poursuit le traitement de physiothérapie pour récupérer la musculature. Elle peut augmenter la charge. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Evolution plutôt favorable. Dès ce jour, augmentation de la charge en physiothérapie. Il peut abandonner l'attelle et débuter une flexion selon douleurs. Arrêt de travail jusqu'à fin avril. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Nous restons à disposition. Evolution plutôt favorable. La patiente a recommencé à faire du fitness avec des squats. On conseille toutefois de continuer la mobilisation du genou dans l'axe en évitant les mouvements à pivot. Prochain contrôle en juillet. Evolution plutôt favorable. La patiente ne présentant aucune douleur, nous ne posons pas d'indication pour une prise en charge chirurgicale de D10. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. Evolution plutôt favorable. La patiente va continuer à charger selon douleurs. On prescrit de la physiothérapie de mobilisation afin de lui donner une mobilité optimale. On prévoit un contrôle radio-clinique dans 6 semaines pour juger de l'évolution du cal osseux. En cas de guérison complète, on pourra discuter de l'ablation des 2 clous. On reste à disposition. Evolution plutôt favorable. On peut ce jour arrêter le traitement physiothérapeutique ; la patiente fera elle-même les exercices à domicile. Prochain contrôle radioclinique à une année de l'opération, soit en septembre 2019. Si elle continue à avoir des problèmes au niveau du cubitus distal, on pourra envisager une AMO. Evolution plutôt favorable. On poursuit la physiothérapie à but antalgique et pour remuscler la cuisse. Prochain contrôle dans 2 mois pour faire le point de la situation. On reste à disposition entre-temps. Evolution plutôt favorable. On prescrit encore des séances de physiothérapie afin d'entraîner les réflexes de l'épaule D. Vu que le patient a fait l'examen pour la police, on prescrit tout de même une IRM de l'épaule afin d'évaluer le statut de la coiffe et surtout du bordelet. Prochain contrôle par la suite pour discuter des résultats des images. Evolution plutôt favorable. Poursuite de la physiothérapie avec école du dos. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Evolution plutôt favorable. Poursuite de la physiothérapie pour massages doux, sans manipulation. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle dans 6 semaines. Nous ferons à ce moment-là un CT cervical pour confirmer une bonne fusion de la cage. Evolution post-opératoire favorable au niveau de son coude G. Poursuite et surtout reprise de la physiothérapie plus intensive au niveau de ce coude G pour maintien des amplitudes et renforcement musculaire. Nous proposons à la patiente de ne plus faire de physiothérapie pour son épaule D étant donné l'arthrose très avancée. La patiente rapporte avoir justement rendez-vous en antalgie pour son épaule D. A noter qu'une prise en charge chirurgicale par arthroplastie d'épaule et prothèse inversée serait indiquée mais, au vu des lourdes comorbidités, notamment cardio-pulmonaires de la patiente, les risques opératoires dépasseraient le bénéfice clinique. A noter que la patiente préfère, pour l'instant, ne pas prendre les risques d'une telle intervention. Nous lui rappelons que, si les douleurs de son épaule D deviennent invalidantes et invivables, la prothèse serait une option pour lui donner de meilleures chances de mieux vivre. Prochain contrôle radioclinique dans 4 mois. Evolution radio-clinique à 6 semaines postopératoires favorable. La vis proximale est un peu trop longue, ce qui pourrait être la raison d'une gêne au niveau des tendons, mais ce n'est pas le cas actuellement. Selon l'évolution, une ablation de cette plaque un peu plutôt pourra être discutée. Pour l'instant, poursuite de l'ergothérapie et de la physiothérapie afin de regagner la mobilité et pour prévenir la raideur articulaire qui explique les douleurs persistantes de la patiente. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle radio-clinique le 15.05.2019. Evolution radio-clinique favorable chez cette patiente. Pas de nouveau contrôle prévu, nous restons à disposition au besoin. Evolution satisfaisante à 3 mois postopératoires. Poursuite de physiothérapie et contrôle clinique dans 1 mois pour réévaluer la capacité de travail. Evolution satisfaisante à 9 mois postopératoire. Prochain contrôle radioclinique avec des clichés de cheville en charge dans 1,5 année postopératoire pour discuter d'une éventuelle ablation du matériel.Evolution satisfaisante cliniquement et stabilité de la fracture radiologiquement. Poursuite du traitement conservateur. Instauration de physiothérapie d'hygiène posturale et reconditionnement global et ajustement du rollator. Prescription d'un rollator pour augmenter la mobilisation globale du patient. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. Evolution satisfaisante sous traitement conservateur. Poursuite de l'auto-mobilisation. Une nouvelle arthro-IRM (CIF à Villars-s/Glâne le 11.6.19) va être effectuée en juin 2019 afin de juger de l'évolution, voire la progression de la lésion partielle du tendon du sus-épineux. Un contrôle est prévu à ma consultation le 19.06.2019 pour envisager la suite du traitement. Je prie le Dr. X de bien vouloir stopper le traitement de Sintrom 3 jours avant l'IRM, avec relais par Clexane afin de permettre une injection articulaire. Evolution stable de cette fracture. Le patient est toujours satisfait de cette prise en charge. Nous l'informons que ce tassement change la statique du dos et le rend plus à risque d'une autre fracture, mais la poursuite de ce traitement conservateur est envisageable. Par la suite, reprise à 50% durant 6 semaines si l'évolution demeure favorable. Pour l'instant, contrôle radioclinique dans 6 semaines, donc à 3 mois du traumatisme. Evolution tout à fait correcte. J'encourage la patiente à mettre la canne plutôt du côté droit pour éviter une pression axiale sur la prothèse. Au bout de 3 mois, on pourra s'attendre à une bonne intégration secondaire de la gléno-sphère permettant un appui axial. J'ai programmé un prochain contrôle chez moi pour le 27.5.2019. Evolution tout à fait correcte. Poursuite de la physiothérapie maintenant en actif, sans limitation afin de récupérer les amplitudes articulaires, également physiothérapie en piscine. Arrêt de travail à 100%. Prochain contrôle le 13.06.2019. Evolution tout à fait correcte. Vu qu'il s'agit d'une pathologie avec un pronostic globalement mauvais, je préconise un scanner à une année post-opératoire le 5.9.2019 qui sera considéré comme contrôle final. Evolution tout à fait favorable à 3 semaines post-opératoires. Concernant l'extériorisation du fil sous-cutané, nous proposons à la patiente d'attendre le contrôle à 6 semaines pour un éventuel retrait. Dans l'intervalle, le pansement n'est plus indiqué. Prochain contrôle radioclinique dans 3 semaines, donc à 6 semaines post-opératoires. Dans l'intervalle, nous encourageons la patiente à suivre son suivi psychologique si elle en ressentait le besoin. Evolution tout à fait favorable après l'intervention susmentionnée. Il persiste encore quelques douleurs objectivées par des crépitements lors de la mobilisation active en abduction et flexion. La patiente sent qu'elle peut encore regagner en amplitude et en force au niveau de son épaule D. C'est pourquoi, nous prescrivons une nouvelle série de séances de physiothérapie. Prochain contrôle radioclinique dans 6 mois à partir de ce jour, soit en septembre 2019. Evolution tout à fait favorable après traitement physiothérapeutique pour ses lombalgies probablement séquellaires du traumatisme à vélo de 2018. Nous ne prévoyons donc pas de prochain contrôle mais restons à disposition au besoin. Evolution tout à fait favorable chez ce patient qui actuellement se mobilise de manière autonome dans ses chaussures orthopédiques sans aide auxiliaire. Nous reverrons le patient pour un contrôle clinique dans une année. Evolution tout à fait favorable de cette fracture. La patiente, malgré ses douleurs résiduelles, ne nécessite plus d'antalgie. Autorisation de reprise du sport progressivement et de reprise du travail à 100%. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition si nouvelle symptomatologie. Evolution tout à fait favorable de cette fracture. Récupération quasi initiale de la fonction de son épaule droite. La patiente nous indique vouloir rentrer définitivement au Portugal, mais souhaite qu'en cas de complication de cette fracture sa situation assécurologique soit clarifiée. Nous attestons que la patiente peut dès fin avril reprendre une activité professionnelle à 100%, ménage compris. Pas de prochain contrôle prévu, mais nous restons à disposition en cas de besoin. Nous conseillons à la patiente de récupérer son dossier médical avant son départ. Evolution tout à fait favorable de cette luxation après physiothérapie ; poursuite de cette dernière avec séances plus espacées. Le patient rapporte pratiquer le vélo de descente et le hockey, ce qui reste contre-indiqué pour encore 6 mois après luxation. Reprise du jogging tout à fait envisageable. Arrêt de travail jusqu'au 31.03.2019 avec reprise à 100% dès le 01.04.2019. Pas de contrôle prévu d'emblée à notre consultation mais consigne de reconsulter si nouvelle péjoration. Evolution tout à fait favorable en post-opératoire. Nouvelle prescription de séances d'ergothérapie pour gagner en amplitude. Pas de contrôle prévu à notre consultation d'emblée mais nous restons à disposition. Evolution tout à fait favorable, la patiente respectera une dispense d'activités physiques de 6 semaines au total. Il reprendra le travail dès le lundi 15.04.2019. Nous ne proposons pas de rendez-vous de contrôle, mais restons à disposition. Evolution tout à fait favorable. Le patient peut continuer les activités de la vie quotidienne sans soucis. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution tout à fait favorable. Nous ne proposons pas de rendez-vous de contrôle, mais restons à disposition pour d'éventuelles questions. Evolution tout à fait favorable. Pas de nécessité de revoir le patient sauf si complications. Reprise de toutes ses activités. Evolution tout à fait favorable sous le traitement conservateur. A noter que la patiente n'a pas encore osé reprendre le jardinage. Au vu de ce fait, nous prescrivons une nouvelle série de séances d'ergothérapie pour stabiliser cette guérison. Nous conseillons à la patiente de reprendre progressivement les activités manuelles extérieures. Prochain contrôle clinique le 22.05.2019. Evolution tout à fait favorable sous traitement conservateur. Nous encourageons le patient à poursuivre les exercices d'hygiène posturale, stretching antérieur et renforcement postérieur. Pas de nouveau contrôle prévu d'office, nous restons à disposition au besoin. Evolution tout à fait favorable suite à l'infiltration dont il bénéficie encore. En effet le patient rapporte que 4 jours après cette dernière, les douleurs avaient disparu. Il prend encore néanmoins un peu de Tilur Retard avec un bon effet. Nouvelle prescription de Tilur qu'il prend selon les douleurs. Au vu de cette très bonne évolution après infiltration, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée mais restons à disposition en cas de recrudescence de celles-ci. Evolution tout à fait normale à 6 semaines postopératoires, marquée par une raideur de l'épaule. Poursuite de la physiothérapie avec immobilisation active assistée. Prochain rendez-vous chez moi dans 6 semaines. Jusque-là, poursuite d'un arrêt de travail à 100%. Introduction d'un traitement de physiothérapie en piscine. Prochain rendez-vous : 16.05.2019. Evolution tout à fait satisfaisante à 2 ans postopératoires sans signe de nécrose, ni d'arthrose au niveau de la hanche gauche. On peut donc mettre un terme au suivi. Le patient est invité à reconsulter uniquement en cas d'apparition de douleurs. Evolution tout à fait satisfaisante. Il s'agit d'un patient que je dois plutôt freiner quant à reprendre ses activités habituelles. Début d'un traitement de physiothérapie avec mobilisation en actif assisté.Je rappelle au patient d'éviter les mouvements d'abduction et d'élévation lui-même. Un prochain contrôle est prévu à ma consultation le 13.06.2019. D'ici là, poursuite d'un arrêt de travail à 100%. Evolution très favorable à presque 9 ans de l'intervention susmentionnée. Le patient est asymptomatique et a une très bonne fonction du coude. Pas de prochain contrôle prévu. Evolution très favorable à 3 mois postopératoires. Il va poursuivre la physiothérapie jusqu'à la fin de l'ordonnance. Prochain contrôle à une année postopératoire. Evolution très favorable à 6 mois après l'intervention susmentionnée. Nous discutons avec le patient qu'il peut reprendre progressivement la course à pied. On ne prévoit pas de nouveau contrôle mais restons à disposition. Evolution très favorable à 6 mois de l'intervention susmentionnée avec une patiente qui a repris toutes ses activités. On ne prévoit pas de nouveau contrôle mais restons à disposition. Evolution très favorable à 6 semaines. Ablation de l'attelle et reprise progressive du sport en évitant les sports type boxe, handball et basket. Pas de nouveau contrôle prévu mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution très favorable avec une reprise de la marche et une fracture consolidée. Il persiste encore des douleurs au niveau de la malléole latérale, surtout au niveau de la plaque, et aussi quelques douleurs au niveau du tibial postérieur. Poursuite de la physiothérapie avec des exercices de stabilité et étirement de la chaîne postérieure. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Elle va reprendre son travail à 50% dès le 09.04.2019 jusqu'au 30.04.2019 puis reprise à 100% comme infirmière. Evolution très favorable avec une reprise des activités quotidiennes et professionnelles. Le patient est gêné par le matériel au niveau du 2ème rayon. Pour son travail, il souhaite une ablation pas avant l'automne 2019. Il reviendra en consultation à fin août 2019. Evolution très favorable chez une patiente asymptomatique. On discute avec elle de la fin de traitement. Si nécessaire, elle peut nous recontacter. Evolution très favorable. Le patient peut reprendre toutes les activités sportives sans soucis. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution très favorable. On discute avec le patient qu'il fasse encore régulièrement des soins au niveau de la greffe avec de l'Excipial. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Evolution très favorable. Prescription de physiothérapie pour stretching de la musculature abdominale et dorsale, à but antalgique et pour argumentation de la résistance dans le contexte de l'activité professionnelle de la patiente et de ses activités sportives importantes. Ce bon de physiothérapie lui sera délivré directement par son médecin traitant en France. Dernier contrôle radio-clinique dans 3 mois. Evolution très favorable suite à son unique infiltration. Poursuite de la physiothérapie. Vu la bonne évolution, je ne retiens pas l'indication pour une nouvelle infiltration. Je reverrai la patiente pour un contrôle le 05.08.2019. Ex clinique Bilan biologique Rx Thorax ASP ECG Aux urgences, elle reçoit Paracétamol 1 g IV, Nexium 40 mg IV, Primpéran 10 mg Avis Dr. X: Add Sonde naso-gastrique (refusée par la patiente) CT abdominal Transfert en ambulance à HFR Fribourg pour PEC chirurgical Ex clinique Laboratoire Rx thorax Discuter de l'adaptation de son TTT diurétique Exacerbation AKIN II d'origine pré-rénale d'une insuffisance rénale chronique grade 3, le 19.04.19 • eGFR selon MDRD à 40 ml/min/1.73m2 le 23.04.19 Exacerbation asthmatique avec insuffisance hypoxémique le 29.03.2019 • Chez une patiente connue pour un syndrome de chevauchement asthme-BPCO non stadé • Asthme allergique persistant de degré moyen, selon les critères Gina, dans le cadre d'une mauvaise gestion du traitement inhalé et tabagisme actif (80 UPA) • Fonctions pulmonaires 07.2018: VEMS/CVF 75.67% • Test à la métacholine positif 03.2018, NO exhalé normal • Tabagisme actif à 0.5 paquet par jour • Suivie par le Dr. X (pneumologue) Exacerbation asthmatique suite à une infection virale le 06.10.2017. Exacerbation asthmatique suite à une infection virale le 06.10.2017. Exacerbation de BPCO avec: • 2/3 critères d'Anthonisen (péjoration de la dyspnée et augmentation du volume des expectorations). Exacerbation de BPCO avec insuffisance respiratoire aiguë globale le 24.04.2019 • BPCO de stade IV D selon GOLD, O2 à domicile à 1 l/min, VNI nocturne à domicile Exacerbation de BPCO avec insuffisance respiratoire aiguë globale le 24.04.2019 • BPCO de stade IV D selon GOLD, O2 à domicile à 1 l/min, VNI nocturne à domicile Exacerbation de BPCO avec 3/3 critères d'Anthonisen (augmentation des crachats, purulence et majoration de la dyspnée) DD: pneumonie. Exacerbation de BPCO chez un patient avec BPCO de stade III selon Gold le 16.02.2011 Pneumonie en octobre 2011, traitée en ambulatoire Ulcère gastrique il y a 15 ans Exacerbation de BPCO (critères d'Anthonisen à 2/3) avec probable pneumonie basale gauche chez un patient avec un syndrome pulmonaire mixte : • BPCO • asthme • syndrome des apnées nocturnes appareillé par ventilation auto-asservie • syndrome d'obésité hypoventilation • ancien tabagisme à 80 UPA (stoppé il y a 25 ans). • paralysie du diaphragme gauche. Suivi par le Dr. X. Exacerbation de BPCO de stade IV sur colonisation à Pseudomonas aeruginosa multisensible le 20.03.2019 avec : • insuffisance respiratoire globale Exacerbation de BPCO le 04.01.2019 Pneumonie nosocomiale le 13.03.2017 Insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine mixte sur pneumonie bibasale et décompensation cardiaque le 06.03.2012 Décompensation cardiaque globale le 28.12.2018 Décompensation cardiaque à prédominance droite NYHA 3 sur cardiopathie ischémique et rythmique le 20.06.2018 Décompensation cardiaque globale en 2007 Ancien éthylisme chronique, abstinent depuis novembre 2015 Hématochézie le 01.03.2017 sur probable diverticulose sigmoïdienne Sepsis sévère sur colite ascendante et sigmoïdite à Campylobacter Jejuni le 05.10.2015 Infection urinaire basse à E. Coli résistant à la Ciproxine le 04.01.2019 avec état confusionnel aigu Exacerbation de BPCO le 17.03.2019 Exacerbation de BPCO le 18.03.2018 Exacerbation de BPCO le 24.08.2018 avec: • critère d'Anthonisen 3/3 Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN le 24.08.2018 Formation para-valvulaire mitrale d'origine indéterminée le 30.11.2018 DD: Thrombus de présentation atypique, lésion tumorale, endocardite non infectieuse AVC ischémique aigu multifocal pluri-territorial (insulaire à gauche, 2 lésions frontales à gauche et une lésion occipitale à gauche) le 29.11.2018 d'origine indéterminée DD: Cardio-embolique: Masse para-mitrale suspecte de thrombus intra-ventriculaire de présentation atypique VS lésion tumorale, arythmie emboligène. • Symptomatologie: Dysarthrie et ptose labiale droite. • NIHSS à l'entrée: 1 point (Dysarthrie persistante). NIHSS à la sortie 0. • Transfert de l'Inselspital, après avis chirurgie cardiaque sans indication chirurgicale retenue, le 05.12.2018 Exacerbation de BPCO probablement virale le 02.03.2019 Foyer pulmonaire nosocomial basal droit le 20.09.2018 • Culture d'expectorations: Pseudomonas aeruginosa et Stenotrophomonas maltophilia • Céfépime du 20.09 au 23.09.2018, Ciproxine jusqu'au 07.10.2018 Pneumothorax apical gauche le 08.08.2018 Insuffisance rénale aiguë avec hyponatrémie sur origine mixte (médicamenteuse, pré-rénale) en mai 2016 Cancer pulmonaire à petites cellules, stade "extensive disease" • Date du diagnostic: 10.01.2014 • Histologie: carcinome à petites cellules (sténose tumorale de la lingula inférieure). Métastase d'un carcinome à petites cellules dans le tissu lympho-réticulocytaire (EBUS TBNA, station 2R, station 7 infra-carinaire et station 11 L interlobaire gauche)• Cytologie (Promed C131.14) : cytologie d'aspiration bronchique avec cellules d'un carcinome à petites cellules • CT thoracique du 23.12.2013 : masse pulmonaire centrale gauche de 7,3 x 5,8 x 4,7 cm avec multiples lésions satellites dans le parenchyme pulmonaire ipsilatéral. Adénopathies médiastinales ipsi-controlatérales. • CT thoraco-abdominal du 21.01.2014 : masse tumorale gauche centrale inchangée avec importantes adénopathies médiastinales infra-carinaires et pré-carinaires. Multiples foyers dans le lobe inférieur gauche. Lésion de 1,6 x 1,4 cm au niveau de la glande surrénalienne gauche • IRM cérébrale du 21.01.2014 : pas de métastase cérébrale • Facteurs de risque : ancien tabagisme à 40 UPA • Status post-5 cures de chimiothérapie par Platinol et Etopophos (relais par Paraplatine et Etopophos pour la 6ème cure) de janvier à mai 2014 • Status post-radiothérapie prophylactique de l'encéphale de juin à juillet 2014 (dose totale 24 Gy) • Suivi oncologique par le Dr. X, dernier contrôle en janvier 2019, prochain contrôle en juin 2019 avec CT à 10 mois • Actuellement : rémission complète, pas d'évidence de récidive tumorale au CT-scan, poursuite de la surveillance Carcinome urothélial papillaire de la vessie pT1 G1 en 1998 • Status post-TURV et thérapie par Farmorubicine intra-vésicale • Dernier contrôle en 2003 : pas de signe de récidive Cicatrice au niveau du cou, opération dans l'enfance pour épiglottite Intoxication au Valaciclovir avec symptômes neurologiques suite à un zona ophtalmique Cholécystectomie Exacerbation de BPCO stade IIIb le 25.03.2019 avec : • 2/3 critères d'Anthonisen • Tabagisme chronique ancien • Exacerbation environ 1x/an • Dernière réadaptation respiratoire à Billens en été 2018 • Suivi Dr. X Exacerbation de bronchopneumonie chronique obstructive probablement virale le 20.04.2019 avec : • Connue pour bronchopneumonie chronique obstructive stade IV droite, avec portage de Pseudomonas Céfépime R, Tazobac S, Cipro S • critères d'Anthonisen 2/3 Exacerbation de céphalées avec vertiges rotatoires, nausées, vomissements, ainsi que majoration de l'hémisyndrome G et de la diplopie le 29.04.2019 Exacerbation de douleurs abdominales chroniques d'origine indéterminée le 31.03.2019 : DD parésie neuro-végétative d'origine diabétique, coprostase sévère sur opiacés, syndrome psycho-somatique Exacerbation de douleurs chroniques le 30.04.2019 • douleurs types neuropathiques irradiant membres inférieurs, spasmes musculaires • s/p AVP en 2004 avec fracture vertèbre L5 • s/p implantation de deux neuromodulateurs Exacerbation de douleurs chroniques des MI dans un contexte de : • Syndrome lombo-radiculaire non déficitaire avec discopathie L5-S1, depuis avril 2007 • Polyneuropathie axono-myélique des MI d'origine indéterminée discrètement progressive depuis 2013 • Composante fonctionnelle Exacerbation de douleurs d'une névralgie du trijumeau branche V2 à droite le 19.04.19 Exacerbation de douleurs lombaires chroniques, sans déficit neurologique Exacerbation de la BPCO II selon GOLD le 09.01.2017. Exacerbation de lombalgies chroniques non déficitaires. Exacerbation de lombalgies non-déficitaires droites connues depuis 2018 : • Force M4 en flexion de hanche droite depuis fracture de hanche en 12/2018 • Névralgie du nerf sciatique droit sous prégabaline • Infiltration facettaire 02/2019 et du muscle piriforme début 03/2019 • IRM du 18.02.2019 : dessication des disques lombaires, protrusion L5/S1 à large base sans atteinte nerveuse, discrète protrusion discale L3/L4 et L4/L5 sans irritation radiculaire. Nette arthrose facettaire L4-S1. Ancien tassement central D12 et discrète spondylose étagée de la colonne lombaire. Exacerbation de lombosciatalgies chroniques non déficitaires le 30.05.2017. Nodule pulmonaire base poumon droit de découverte fortuite en mai 2017, sans suivi nécessaire. Exacerbation de lombosciatalgies chroniques droites non déficitaires le 01.11.2017. Exacerbation de lombosciatalgies S1 G sur hernie discale L5-S1 paramédiane G à base large • Status post infiltration avec Triamcort et Ropivacaïne le 21.03.2019 (Dr. X) Exacerbation de sa BPCO de stade III • Avec emphysème • Abus de nicotine • Consultations pneumologiques régulières • physiothérapie pulmonaire en cours • dernière fonction le 11.12.15 VEMS 49 % du prédit Exacerbation d'eczéma dans le contexte de virose Exacerbation d'epigastralgies chroniques le 18.04.2019 • DD : gastrite virale, origine médicamenteuse, grande hernie hiatale symptomatique Exacerbation douleurs cheville G dans le contexte de fracture, avec suspicion de syndrome de Sudeck. Exacerbation douleurs chroniques 4 membres dans le contexte spondylarthrite, avec soins impossibles à domicile Exacerbation douloureuse Exacerbation du syndrome obstructif modéré le 08.04.2019, dans un contexte de maladie de Churg-Strauss • asthme bronchique cortico-dépendant • BPCO stade II. Exacerbation d'un syndrome douloureux chronique, avec : • dorsolombalgies chroniques sur scoliose lombaire L4-5, discopathies L4-S1 et arthrose interfacettaire • syndrome lombo-radiculaire L5 gauche avec une parésie M4 de l'extenseur du gros orteil et du muscle fessier moyen ainsi qu'une hypoesthésie L5 • gonarthrose bilatérale, probable coxarthrose gauche • AOMI stade IIb-III Exacerbation d'un syndrome douloureux chronique le 14.03.2019, avec : • syndrome de tunnel carpien bilatéral invalidisant en progression depuis 06/2018 • lombalgies chroniques sur ancienne fracture D12, remaniements dégénératifs du rachis lombaire et sténose spinale L4/5 • tophus de goutte douloureux au niveau du MTP I droite • crampes nocturnes récidivantes des mollets ddc Exacerbation d'un syndrome lombo-radiculaire non déficitaire gauche le 24.04.2018 Extraction de 2 corps étrangers au niveau de l'avant-bras gauche distal sur le bord radial le 03.07.2017 Cure d'hernie inguinale récidivante par coelioscopie avec prothèse type APD 2 le 07.09.2010. Cure d'hernie inguinale par Lichtenstein à droite le 22.06.2010. Appendicectomie ouverte non datée Exacerbation d'un syndrome obstructif (cf synthèse) Exacerbation d'un syndrome obstructif (cf synthèse).Exacerbation modérée de BPCO stade IV avec : • critères Anthonisen : 2/3 • tabagisme actif avec une consommation actuelle de 6 cigarettes par jour (40 UPA) • oxygénothérapie à domicile (0.75-1.5 l/min 24h/24) • fonctions pulmonaires complètes le 24.01.2019 : présence d'un trouble ventilatoire obstructif de degré très sévère, stable • suivi par le Dr. X. Exacerbation modérée de BPCO stade IV (3/3 critères d'Anthonisen). Exacerbation non-infectieuse de BPCO stade GOLD IIID le 26.03.2019 avec : • critères d'Anthonisen 1/3 (dyspnée en péjoration) • composante de décompensation cardiaque surajoutée (NT-proBNP 634 ng/l) • dernière exacerbation en 07/2018 (SICO avec VNI en 12/2015, 05/2016) • Prevenar en 04/2018, vacciné contre la grippe 11/2018 Exacerbation pulmonaire dans le contexte d'une mucoviscidose Examen avec explication donnée par le médecin : • ECG • laboratoire. Traitement médicamenteux antalgique et IPP. Certificat médical. Prévention et information quant aux Red flags : hématémèse, péjoration des douleurs. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique Examen clinique. Examen clinique : cf. annexes. Radiographie du pied : détaillée ci-dessous. Antalgie par Ibuprofène, protection gastrique par IPP, application de glace, élévation du membre inférieur. Examen clinique : diminution de la rougeur au niveau de la délimitation, pas de signe infectieux. Poursuite de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1g 3x/jour durant 7 jours au total. Ablation des fils à J10 le 29.04.2019 à la consultation ambulatoire des urgences. Critère de reconsultation transmis à la patiente. Examen clinique : eupnéique, sans sibilance sans signe de cyanose /insuffisance respiratoire. Saturation O2- 98%, FC 90bpm, FR 20. Peak Flow 600. Prise du patient avant son arrivée : 50mg de Prednisone et 4-5 pushs de Ventolin. Surveillance. Si symptômes asthmatiques : aérosols 4x/jour, Ventolin-Atrovent et 2x/jour de Pulmicort, et Prednisone 50mg et Ventolin spray (le patient a ces médicaments). Examen clinique : excellente évolution des brûlures. Ialugen crème 2x/jour. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examen clinique : hémoglobine stable 112 g/l. Laboratoire. Réfection de pansement. Suivi des plaies avec soins à domicile 3x/semaine. Suite de prise en charge chez le médecin traitant dès la semaine prochaine. Examen clinique. IRM de la colonne cervicale : décrite ci-dessous. Examen clinique : pas de signes infectieux. Laboratoire : CRP à 68mg/l, pas de leucocytose. cf. annexes. Traitement par Elocom. Patient toujours sous co-amoxiciline jusqu'à lundi prochain et Bactrim 3x/semaine. Contrôle à 48h à la filière des urgences ambulatoires (limites de la lésion délimitées au stylo). Examen clinique : Plaie de 2,5 cm de long, rectiligne sans saignement actif. Profondeur estimée à 3 mm. Pas de dermabrasion. Désinfection, anesthésie lidocaïne 2 ml, rinçage abondant au NaCl. Suture par 3 points Ethilon 3-0 Rappel antitétanique effectué. Ablation des fils chez le médecin traitant à J7. Examen clinique. Radiographie du bassin : décrite ci-dessous. Antalgie. Arrêt de travail. Consultation chez le Dr. X en cas de persistance des douleurs. Examen clinique : Rx jambe droite : fracture transverse courte 1/3 moyen diaphyse tibiale déplacée. cf. annexes. 3 x 25 mcg Fentanyl nasal. Avis Dr. X : Attelle plâtré cruro pédieuse. Transfert HFR Fribourg pour suite de la prise en charge. Examen clinique. Ablation compresse bétadinée. Rinçage par NaCl 0,0 %. Désinfection par Bétadine. Lésion encore toutefois trop profonde, introduction d'une nouvelle compresse bétadinée. Compresse bétadinée onguent avec pansement. Poursuite antibiothérapie pour 5 jours. Contrôle secteur ambulatoire des urgences à 48h pour évaluation clinique, +/- switch pour douche 4x/jour, +/- réévaluation de l'arrêt de travail. Antalgie standard. Examen clinique. Ablation de la tique. Désinfection et pansement. Surveillance clinique durant 7 jours. Indication à reconsulter en cas d'erythème cutané expansif. Examen clinique. AINS. Décongestion nasale. Contrôle chez le médecin traitant dans 2 jours. Examen clinique. Amélioration sous Buscopan aux urgences. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Examen clinique. Anesthésie locale. 3 points de sutures au Vicryl 5-0. Consultation aux urgences si apparition de symptômes neurologiques. Ablation des fils dans 8 jours chez le pédiatre. Examen clinique. Antalgie par AINS, Dafalgan. Sirdalud 4 mg. Tramal 50 mg en Réserve pour la nuit. Conseils d'hygiène de vie. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Antalgie par AINS, Dafalgan. Suivi orthopédique à une semaine. Examen clinique. Antalgie par Dafalgan, AINS et Tramal. Si péjoration de la clinique ou trouble moteur il reconsultera les urgences. Examen clinique. Antalgie par Ecofenac IV, Sirdalud, puis titration Morphine. Examen clinique. Antalgie simple en réserve. Contrôle à la consultation du Dr. X, ORL, la semaine prochaine. Examen clinique. Antalgie simple. Physiothérapie. Arrêt de travail. Recommandation de consulter chez le médecin traitant pour suite de prise en charge. Proposition de reconsulter en cas d'état fébrile ou de trouble neurologique. Examen clinique. Antalgie. Critères de reconsultation expliqués au patient. Examen clinique. Arrêt de travail, antalgie, myorelaxant, ordonnance physiothérapeutique. Contrôle chez le médecin traitant si non amélioration. Examen clinique. Aux urgences : primpéran 10 mg PO, motilium 8mg sous-lingual, betaserc 8mg PO. Retour à domicile avec betaserc et primpéran en réserve, consultation en ORL dès que possible. Nous proposons à la patiente de revenir si elle présente de nouveaux symptômes. Examen clinique avec Fluorescéine : réhaussement millimétrique en regard de la jonction irido-conjonctivale au quadrant supéro-latéral. Avis ophtalmologique (Dr. X) : consultation ophtalmologique nécessaire aujourd'hui à Kerzers ou demain HFR. Retour à domicile avec Valtrex 1 g 3x/jour pendant 7 jours, Zovirax et Floxal topique, traitement antalgique, Motilium en réserve. Recommandation de reconsulter si signes de gravité. Examen clinique avec NIHSS Bilan biologique selon protocole Fast-Track ECG CT cérébral selon protocole time is brain du 03.04.2019 IRM cérébrale du 04.04.2019 Ponction lombaire du 04.04.2019 250 mg Aspégic i.v au service des urgences. Stop aspirine cardio à la réception des résultats de l'IRM Att. : • traitement symptomatique en réserve. Pas de suivi en neurologie préconisé Examen clinique avec NIHSS Bilan biologique selon protocole Fast-Track ECG CT time is brain : normal Avis Dr. X, neurologue de garde : transfert Fast-Track aux Urgences de l'HFR Fribourg, effectuer un CT scan avec cartes de perfusion à Fribourg Avis Dr. X : hospitalisation en fonction de la capacité en lit stroke non-monitorisé ou médecine interne pour migraine compliquée de symptômes neurologiques DD AVC régressif, AIT, ad aspirine cardio 250 mg Aspégic i.v. Attitude : • Hospitalisation en médecine, lit strict, protocole stroke • IRM demandée pour le 04.04.2019, formulaire de sécurité rempli Examen clinique. Avis de la Dr. X, ophtalmologue de garde. Patient décline le rendez-vous à l'HFR Fribourg prévu à 16h pour une évaluation ophtalmologique car a un rendez-vous en suisse allemande. Retour à domicile avec Floxal collyre 4x/jour et interdiction de porter des lentilles. Contrôle chez son ophtalmologue le 29.04.2019. Examen clinique. Avis du Dr. X, chirurgien. Avis du Dr. X, pédiatre à l'HFR Fribourg. Orientation vers le service de pédiatrie de l'HFR Fribourg pour surveillance neurologique, y est amené par ses parents en véhicule privé. Examen clinique. Avis du Dr. X, psychiatre de garde. Examen clinique. Avis du Dr. X, orthopédiste de garde. Désinfection octenisept. Nettoyage minutieux de la plaie. Ablation de 4 fils. Prontosan Gel. Pansement avec Adaptic. Bande élastique. Arrêt de travail jusqu'au 15.04.2019. Contrôle clinique chez le médecin traitant avec changement du pansement dans 3 jours. Examen clinique. Avis psychiatrique du Dr. X : hospitalisation à Marsens après évaluation. Pas de nécessité de réaliser d'examens complémentaires. Hospitalisation volontaire à Marsens, amené en transport interne de l'HFR. Examen clinique. Bande de contention élastique. Contrôle chez le pédiatre si persistance des douleurs. Examen clinique. Bande élastique. Cannes anglaises antalgiques. Antalgie par AINS, Dafalgan. Suivi chez le médecin traitant dans la semaine. Examen clinique. Bilan sanguin : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Score de KLINE 0. Temesta 1 mg en ordre unique. Contrôle auprès du médecin traitant dans une semaine. Examen clinique. Bilan sanguin : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Filtrage des urines. Test de grossesse urinaire : négatif. Ultrason des voies urinaires prévu ce jour à 09H30 (2ème consultation). Antalgie par Dafalgan et AINS. Examen clinique. Bilan sanguin. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Co-Amoxicilline 1 g per os 2x/24h durant 7 jours. Contrôle clinico-biologique auprès du médecin traitant dans une semaine. Examen clinique. Bilan sanguin. Sédiment urinaire. Metamucil poudre 2x/24h. Contrôle clinique auprès du médecin traitant en fin de semaine. Bilan gynécologique à effectuer chez son gynécologue dès que possible. Examen clinique cardio-pulmonaire. Laboratoire : cf. annexes. CRP < 5 mg/l, leucocytes 15 G/l. Avis du psychiatre de garde : transfert au RFSM de Marsens si la patiente accepte. Transfert au RFSM de Marsens pour hospitalisation volontaire. Examen clinique. Changement du pansement. Ablation des fils à 14 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Conseils de consulter son médecin traitant à distance pour investiguer les douleurs abdominales chroniques et évaluer la pertinence d'une coloscopie de dépistage chez ce patient de plus de 50 ans. Examen clinique. Constat de coups. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant selon besoin. Appel le 25.04 : patiente sans plainte. Examen clinique. Contrôle à 2 jours en policlinique d'orthopédie. Examen clinique. Contrôle laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire cette nuit : dans la norme. Poursuite de l'antalgie initiée la veille. Contrôle chez son médecin traitant si pas d'évolution dans les prochains jours. Retour aux urgences en cas de récidive des douleurs d'intensité élevée. Examen clinique. CT-scanner cérébral : décrit ci-dessous. Retour à domicile avec feuille de surveillance neurologique donnée à sa fille qui vit au-dessus. Examen clinique dans la norme. Makatussin pour le soir. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine en cas de persistance des symptômes. Ad radiographie du thorax en cas de persistance des symptômes. Examen clinique dans la norme. Avis du Dr. X, chirurgien. Retour à domicile avec feuille de surveillance. Contrôle chez le pédiatre mardi/mercredi prochain. Examen clinique. Désinfection avec une solution bétadinée, pansement stérile. Examen clinique. Désinfection de la plaie avec solution bétadinée, sous anesthésie locale par Rapidocaïne 1%, 1 point de suture avec Prolène 5-0, pansement stérile. Vaccin du tétanos à jour. Ablation des fils dans 12 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Désinfection de la plaie avec une solution bétadinée, anesthésie locale par Rapidocaïne 1% mise en place de 2 points de suture avec Prolène 5-0, pansement stérile. Vaccin anti-tétanos. Ablation des fils dans 12 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Désinfection et champage. Anesthésie locale par Rapidocaïne et bicarbonate. Exploration de plaie et rinçage au NaCl. Suture par 12 points à l'Ethilon 3-0. Pansement compressif avec nouvelle réfection à 48h. Ablation des fils à 2 semaines. Tétanos à jour. Examen clinique. Désinfection et pansement. Contrôle à 48h chez le médecin traitant. Status anti-tétanos à jour. Examen clinique. Désinfection et pansement. Contrôle en policlinique d'orthopédie lundi 08.04.2019. Examen clinique. Désinfection. Pansement par Ialugen plus et Adaptic. Attelle alu et bretelle. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans une semaine. Prendre contact avec son psychiatre pour consultation. Examen clinique. Désinfection par Hibidil. Champage. Anesthésie locale Rapidocaïne et bicarbonate. Nettoyage et rinçage par NaCl 0.9%. Rapprochement des berges par 4 points simples à l'Ethilon 4-0. Pansement Spray Opsite. Vaccin anti-tétanos : le patient prendra contact avec son médecin traitant pour le mettre à jour si nécessaire. Ablation des fils à 14 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Désinfection par Hibidil et champage. Anesthésie locale par Rapidocaïne et bicarbonate. Exploration de plaie. 4 points simples à l'Ethilon 4-0. Stéri-strip, pansement. Vaccin anti-tétanos. Antalgie AINS, Dafalgan. Contrôle de plaie chez le médecin traitant à 48h. Ablation des fils dans J10. Examen clinique du genou droit. Radiographie du genou droit : détaillée ci-dessous. Bande élastique + anti-inflammatoire non-stéroïdien à 5 jours. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des symptômes. Examen clinique du 19.04.2019. Explications données par le médecin pour examen. ECG du 19.04.2019. Retour à domicile. Patiente instruite des symptômes de gravité nécessitant une reconsultation en urgence. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Primpéran 10 mg. Ecofenac 75 mg. Retour à domicile avec Brufen 600 mg. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Retour à domicile avec intervention sur l'hygiène du sommeil et introduction à la méditation pleine conscience (méthode MBSR). Reconsultation chez son médecin traitant si persistance ou péjoration de la symptomatologie. Examen clinique. ECG : RSR à 51 bpm, pas d'inversion des ondes T, pas de sus ou sous-décalage du segment ST. Laboratoire : cf. annexes. Avec troponines à H0 (4.5 heures du début des douleurs) : 7 ng/L. Radiographie de thorax : sans particularité. Paracétamol iv 1 g aux urgences. Temesta 1 mg per os aux urgences. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Consultation psychiatrique le 18.04.2019 (Dr. X à Bulle). Consultation préalable à Marsens ou aux urgences de Riaz en cas de péjoration clinique. Consultation chez le médecin traitant prévue le 09.04.2019. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Primperan 10 mg et Nexium 40 mg aux urgences. Traitement à domicile avec Pantozol 40 mg, Ulcar et Primperan en réserve. Suivi chez le médecin traitant avec recherche de H. Pylori dans les selles 2 semaines après l'arrêt des IPP. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Nexium 40 mg IV en dose unique aux urgences. Retour à domicile avec la majoration de dosage du Pantoprazol jusqu'à 40 mg/jour. Contrôle clinico-biologique prévu le 15.04 à Billens. Examen clinique. ECG superposable. Dafalgan. Examen clinique et neurologique. Antalgie simple. Selon avis du Dr. X, chirurgien, reviendra aux urgences si apparition de symptômes neurologiques ou péjoration des céphalées. Examen clinique et otoscopie. Céfuroxime 500 mg 2x/24h pendant 5 jours. Antalgie simple par Dafalgan et Irfen ainsi que spray décongestionnant nasal. Contrôle en ambulatoire ORL à 5 jours, le patient sera convoqué. Examen clinique et status neurologique. Lunettes de Frenzel : pas de nystagmus. Test de Shellong : négatif. Antalgie par Brufen 600 mg et Dafalgan 1g aux urgences. Retour à domicile avec antalgie en réserve. Examen clinique. Examen neurologique. Avis du Dr. X, chirurgien. Retour à domicile avec antalgie. Bépanthène crème sur les dermabrasions. Contrôle chez le médecin traitant dans 3 jours. Arrêt de travail. Examen clinique. Feuille de surveillance post-traumatisme crânien donnée et expliquée. Examen clinique. Feuille de surveillance TCC remise. Critères de reconsultation expliqués au patient. Contrôle secteur ambulatoire des urgences le 24.04.2019 pour constat de coups. Examen clinique. Hétéro-anamnèse chez le médecin traitant. Bilan biologique : cf. annexes. Prégabaline 75 mg bid. Rendez-vous chez le neurologue, le Dr. X le 10.04.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Antalgie par Dafalgan et AINS. Poche à glace 2x/jour. Intervention chirurgicale prévue au bloc opératoire par le Dr. X, le 02.05.2019. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires à 11h, le 01.05.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Antalgie par Dafalgan et Novalgine. Colonoscopie prévue le 08.04.2019 à l'HFR. Prochain contrôle prévu à la consultation du Dr. X à l'HFR le 15.04.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. Ultrason abdominal : décrit ci-dessous. Antalgie par Dafalgan et AINS. Contrôle clinique auprès du médecin traitant en début de semaine prochaine. Si persistance des symptômes, elle reconsultera les urgences. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. CRP à 68mg/l, pas de leucocytose. Traitement par Elocom. Patient toujours sous Co-Amoxicilline jusqu'à lundi prochain 15.04.2019 et Bactrim 3x/semaine. Contrôle à 48h à la filière des urgences ambulatoires (limites de la lésion délimitées au stylo). Poursuite de crème jusqu'au 15.04.2019. Contrôle chez médecin traitant en milieu de la semaine. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. CRP 46mg/l. Sédiment urinaire : 6-10 érythrocytes par champ sans leucocyte. Test de grossesse : négatif. Rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires le 24.04.2019 avec échographie des voies urinaires à 10h30. Traitement conservateur et remise d'un filtre pour les urines. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG. cf. annexes. Temesta 1 mg en ordre unique. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : détaillée ci-dessous. ECG : cf. annexes. Nexium 40 mg per os. Retour à domicile avec le traitement d'épreuve par Nexium 40 mg pendant 10 jours. Contrôle clinique et biologique chez un médecin traitant dans 7-10 jours. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Traitement par Xarelto 10 mg 1x/jour. Consilium angiologique avec ultrason le 11.03 et réévaluation du traitement. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Traitement symptomatique. Contrôle clinico-biologique avec un deuxième test de malaria le 08.04.2019. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason des parties molles : décrit ci-dessous. Patient vu par le chirurgien, le Dr. X et l'orthopédiste, le Dr. X. IRM du pelvis : décrite ci-dessous. Ponction avec présence d'un écoulement purulent. Incision de l'abcès à 1.5 cm longitudinale sous anesthésie locale. Lavage abondamment au NaCl. Mise en place d'une mèche. Ablation de mèche dans 24h par le patient lui-même. Puis faire les douches 3x/24h. Contrôle en policlinique de chirurgie vendredi le 05.04.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Anti-inflammatoire non-stéroïdien et Dafalgan à domicile. Elle prendra contact avec le Dr. X après Pâques pour une cholecystectomie en électif. Arrêt de travail. Examen climatique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie : détaillée ci-dessous. Immobilisation par une attelle du pouce dans le but antalgique. Dafalgan, Novalgine, Tramal. Contrôle à la consultation du Dr. X le 29.04.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. CT-Scanner abdominal sur avis du Dr. X : détaillé ci-dessous. Avis urologique (Dr. X) : au vu de la taille du calcul traitement conservateur avec contrôle clinique à 24 heures, prescription de Pradif. Antalgie. Filtrage des urines. Rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires le 11.04.2019 pour un contrôle clinique. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Urotube : cf. annexes. Ciproxine 500mg x2 pendant 7 jours. Examen clinique. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin : normal. Test de grossesse. Traitement symptomatique par Pantoprazol 20 mg. Recommandation de consulter son médecin traitant pour suite de prise en charge. Recommandation de reconsulter aux urgences en cas d'état fébrile, frisson. Examen clinique. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin : normal. Ultrason aux urgences (Dr. X) : pas de liquide libre. Antalgie et traitement symptomatique. Recommandation de reconsulter en cas d'état fébrile, frisson. Examen clinique. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Sédiment : normal. Ultrason des testicules et abdomen inférieur : appendice non visualisée, pas de liquide libre, testicules normales, pas de torsion testiculaire. Antalgie et traitement symptomatique. Recommandation de reconsulter en cas d'état fébrile, frisson. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. Test de grossesse. Avis du Dr. X, chirurgien. Buscopan 10 mg, Dafalgan 1 g. Contrôle clinique en filière des urgences ambulatoires à 10h00. Appeler le Dr. X avant l'ultrason. Ultrason abdominal selon clinique (déjà planifié à 10h30 le 02.04.2019). Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Antalgie. Formulaire de surveillance post-traumatisme crânien donné à la patiente. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Antalgie par Voltarène et Dafalgan aux urgences. Avis chirurgical du Dr. X. Uro CT : décrit ci-dessous. Antalgie par AINS et Buscopan. Contrôle chez le médecin traitant si non amélioration. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Avis du Dr. X, neurologue de garde. ENMG par le Dr. X le 18.04 à l'HFR Fribourg à partir de 15h00. IRM de la colonne lombaire à l'HFR Fribourg le 18.04 à 14h15 (pas de disponibilité à Riaz avant le 23.04). Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Avis du Dr. X. Co-Amoxicilline durant 1 semaine. Contrôle chez le médecin traitant si non amélioration. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. CT-scanner cérébro-cervical : décrit ci-dessous. Surveillance neurologique de 24h à domicile. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. 2 paires H/C en périphérie. Suivi le 09.04 chez l'équipe de l'opérateur (Prof. X). Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Consilium angiologique (PD Dr. X) : pas de thrombose veineuse profonde, pas d'érysipèle, hématome pré-tibial dans le contexte d'une anticoagulation thérapeutique, probablement suite à un petit traumatisme. Traitement local symptomatique avec application d'une crème héparinisée. Stop antibiothérapie. Crème X application topique sur l'hématome jusqu'à sa disparition. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Diprozone crème 2x/jour et Excipial. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. ECG : cf annexe. Arixtra 2,5 mg sc. aux urgences. Lyman forte gel 200 000 UI 2-3x/jour application topique. Ultrason le 06.04 à 09h00, puis contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires. Si thrombose superficielle supérieure ou égale à 5 cm: prescrire Arixtra 2,5 mg 1x/jour s.c. pour 44 jours (durée totale 45 jours) et montrer l'administration au patient pour qu'il puisse faire des auto-injections dans la cuisse. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. NIHSS 3 à 02h50. Transfert aux urgences de l'HFR Fribourg en ambulance. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Proposition de consultation ORL en ambulatoire avec suivi clinique par le médecin traitant. Reconsulter aux urgences en cas de récidive des symptômes. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Score de KLINE à 0. Antalgie standard. Contrôle auprès du médecin traitant en début de semaine prochaine. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X. Anti-inflammatoires pendant 3 jours. Antalgie de réserve. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. CT-scanner cérébral et cervical: décrit ci-dessous. Test de Shellong. Retour à domicile avec antalgie simple. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Test d'hypotension orthostatique positif à 5 minutes. Réhydratation IV 500 mL NaCl. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Metamucil 1 cac 3x/jour. Pantoprazol 20 mg 1x/jour durant 10 jours. Hydratation PO > 1.5/jour. Contrôle clinique chez le gynécologue comme prévu. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Poursuite du traitement symptomatique. Contrôle clinique à 7 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Radiographie de la main gauche: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Désinfection par Bétadine et champage stérile. Anesthésie locale par Rapidocaïne-bicarbonate. Incision cutanée horizontale des portes d'entrées de 6 mm, pas d'écoulement de pus. Pansement stérile. Attelle Edimbourg. Co-Amoxicilline 2.2 g IV dose de charge aux urgences. Relais per os 1.2 g 3x/jour, déterminer l'indication au contrôle. Vaccin anti-tétanos, le patient contrôlera son carnet en rentrant à domicile. AINS, Dafalgan. Contrôle en policlinique orthopédique le 02.04.2019. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du genou droit: décrite ci-dessous. Score de Wells à 1 avec la probabilité de thrombose veineuse profonde à 17%. Signe de Homans positif à droite. Clexane thérapeutique 100 mg sc 2x/jour. Antalgie en réserve. Ultrason Doppler du membre inférieur droit par l'angiologue le 29.04.2019, puis suivi à la filière des urgences ambulatoires (si confirmation du diagnostic de thrombose veineuse profonde le 29.04, merci d'organiser les soins à domicile pour les piqûres de Clexane, le patient n'arrive pas à le faire lui-même). Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du genou gauche: décrite ci-dessous. Antalgie simple, Ecofenac. Bande élastique antalgique, marche en charge complète. Arrêt de travail pour 10 jours. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans une semaine (n'a pas de médecin traitant). Image suspecte au niveau du genou gauche (DD: ostéochondrome ou autre), nous proposons une IRM et un rendez-vous orthopédique que le patient refuse pour des raisons financières. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 7 jours et traitement symptomatique. Contrôle clinique dans 48h chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. ECG: cf annexe. Irfen 400 mg 3x/jour durant 5 jours. Contrôle clinico-biologique et ECG à 24h à la filière des urgences ambulatoires. Bilan cardiologique en cas de récidive des symptômes de palpitations. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. ECG: rythme sinusal régulier à 78/min. PR à 190 msec, régulier, isoélectrique. QRS à 90sec, axe à -20°, transition de l'onde R en V4. Absence d'onde Q pathologique. Absence de troubles de la repolarisation. Qtc à 441msec. Contrôle clinique chez le médecin traitant prévu le matin du 02.04. Enseignement quant à la prise de la tension artérielle à domicile. Adaptation du traitement antihypertenseur selon valeurs à domicile. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Score de Centor (2/4): ad streptotest. Avis du Dr. X. Traitement symptomatique et antibiotique. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Contrôle chez un ORL en cas de péjoration. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. CT-scanner abdominal: décrit ci-dessous. Antalgie, AINS, Pradif, filtre urinaire. Consultation urologique avec le calcul expulsé. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. CT-scanner abdominal: décrit ci-dessous. Antalgie par Paracétamol et Ecofenac aux urgences. Patient rentre à domicile avec une antalgie en réserve par Dafalgan, Brufen et Tramal, Pradif jusqu'à l'expulsion du calcul. Contrôle clinique chez son urologue. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Furadantin 2x 100 mg durant 5 jours. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Poursuite du traitement déjà en place. Consultation chez le médecin traitant si non amélioration. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Traitement symptomatique antalgique et anti-inflammatoire. Rendez-vous en filière des urgences ambulatoires le 13.04 à 12h pour un contrôle clinico-biologique +/- ultrason selon évolution. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Uro-CT: décrit ci-dessous. Réhydratation par NaCl IV: 1500 mL aux urgences. Retour à Marsens avec poursuite de l'hydratation. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Stix-sédiment urinaire: cf annexe. B-hcg urinaire: négatif. Nexium 20 mg IV aux urgences. Antalgie par Buscopan 20 mg IV et Dafalgan 1 g IV aux urgences. Antalgie et IPP durant une semaine. Contrôle clinique dans la semaine chez le médecin traitant. Éventuelle OGD en cas de persistance des symptômes. Consultation préalable en cas de péjoration clinique. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Suivi clinique chez le médecin traitant. Poursuite du suivi psychiatrique le 08.04.2019. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Traitement aux urgences: Isoket 1 push, Nifédipine 20 mg 1 cpr, Amlodipine 5 mg 1 cpr. Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine pour adaptation du traitement antihypertenseur si nécessaire. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Ultrason abdominal (demandé par Marsens): décrit ci-dessous. Stix urinaire: cf annexes. Douleurs soulagées par la titration de Morphine, 1 g Dafalgan (6 mg de Morphine). Patient transféré aux urgences gynécologiques de l'HFR Fribourg pour suite de la prise en charge. Transfert en ambulance. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Ultrason des voies urinaires: décrit ci-dessous. Test de grossesse: négatif. Avis du Dr. X, chirurgien. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 26.04.2019. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. 2 culots érythrocytaires le 13.04.2019. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Test de grossesse. Consultation gynécologique rapprochée. Examen clinique Laboratoire du 20.04.2019 Scanner abdominal Avis chirurgical (Dr. X) ATT • Antibiothérapie par Rocéphine 2 g IV + Flagyl 500 mg IV 3x/j • Hydratation par NaCl 1500 mL IV à jeûn hospitalisation en chirurgie Examen clinique Laboratoire du 28.04.2019 : CRP 202 Radiographie thoracique du 28.04.2019 Gazométrie du 28.04.2019 hémocultures 2 paires. att Rocéphine 2g iv, Flagyl 500mg iv. Relai par Co-amoxicilline 1.2 4x/j (GFR selon Cockroft 41.2 mL/mn) Examen clinique Laboratoire Rapid-rhino narine droite (ablation le 11.04.2019) Konakion aux urgences Relais du Sintrom par Eliquis 5mg 2x/j Examen clinique Laboratoires Traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 19.03.2019 au 26.03.2019 : • Physiothérapie • Ergothérapie • Suivi diététique • Tests cognitifs du 21.03.2019 : MMS à 14/30, test de montre à 2/7 ; GDS à 1/15 • Evaluation neuropsychologique du 21.03.2019 Evaluation gérontopsychiatrique Dr. X le 03.04.2019 Examen clinique. Majoration du traitement de Benerva et Becozym pour 3 jours puis reprise à dose journalière. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration du trouble de la marche ou trouble neurologique autre. Examen clinique : MIG froid, MID chaud, douleur ++ MID, pas de pouls perçus au niveau de l'artère pédieuse et l'artère tibiale postérieure du côté G Transfert aux urgences de l'HFR Fribourg Examen clinique. Minerve. Radiographie de la colonne dorsale : décrite ci-dessous. CT-scanner cervical : décrit ci-dessous. Examen clinique. Numéro de l'ORL donné en cas de déformation lorsque la tuméfaction sera résolue. Examen clinique, pas d'arguments pour sténose du pylore à l'anamnèse ou clinique Essai de passage en 6 repas ou limitation des repas à environ 8x90ml/jour (=160ml/kg/jour) avec sucette et réconfort en fin de repas Suivi puéricultrice Reconsultation si vomissements en jet Examen clinique, pas d'arguments pour sténose du pylore à l'anamnèse ou clinique Essai de passage en 6 repas ou limitation des repas à environ 8x90ml/jour (=160ml/kg/jour) avec sucette et réconfort en fin de repas Suivi puéricultrice Reconsultation si vomissements en jet Régurgitations sur alimentation à 218ml/kg/j (over-feeding) Examen clinique : pas d'épanchement, pas d'infection/inflammation. Laboratoire : nette diminution de la CRP à 45, Leucocytes à 7.9. Suite de prise en charge par le Dr. X et médecin traitant. Examen clinique Patch flector Examen clinique. Patient vue par le Dr. X, chirurgien. Tétanos à jour. Ialugen crème et pansement standard. Elle reconsultera demain à jeun pour une éventuelle prise en charge chirurgicale. Appeler le Dr. X dès que la patiente sera aux urgences. Au colloque du 30.04.2019, il a été décidé que la patiente sera vue aussi par l'orthopédiste. Examen clinique. Poursuite du traitement instauré par le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Désinfection, exploration, suture par 2 points simples 4.0. Avis orthopédique (Dr. X) : opération à planifier pour le 04.04.2019. Vaccin tétanos à jour. Antibiothérapie : 2.2 g Co-Amoxicilline reçu aux urgences le 03.04.2019. Pansements et attelle Edimbourg. Elle sera contactée le 04.04.2019 pour prise en charge opératoire : à jeun, formulaire d'information et consentement signé. Arrêt de travail donné. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Bande élastique. Antalgie simple par Dafalgan et AINS. Contrôle clinique auprès du médecin traitant dans une semaine. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Traitement conservateur avec VacoPed 30° pour 3 semaines (après discussion avec le patient). Cannes anglaises et Clexane. Marche en charge selon douleurs. Arrêt de travail pour 4 jours. Rendez-vous chez le Dr. X, orthopédiste, le mardi 16.04.2019. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Attelle Aircast durant 6 semaines (Riedo à Bulle contacté pour mise à disposition). Antalgie. Arrêt de sport. Contrôle chez le pédiatre à 7 jours. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Attelle Aircast pendant 6 semaines. Arrêt de sport. Anti-inflammatoires. Antalgie simple. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Immobilisation par attelle Aircast pendant 4 semaines. Antalgie en réserve. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie de la cheville gauche : décrite ci-dessous. Attelle Aircast pour 6 semaines. Contrôle dans une semaine chez le médecin traitant. Antalgie simple par l'Algifor. Examen clinique. Radiographie de la cheville gauche : décrite ci-dessous. Schéma RICE. Bande élastique avec pommade Voltarène. Anti-inflammatoire pendant 5 jours et antalgie de réserve. Contrôle clinique chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Examen clinique. Radiographie de la colonne lombaire : décrite ci-dessous. Sédiment urinaire : microhématurie. Antalgie simple par Dafalgan et AINS. Ultrason des voies urinaires agendé le 08.04.2019 à 10h avec un contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires. Examen clinique. Radiographie de la colonne lombaire : décrite ci-dessous. Antalgie simple par Dafalgan et AINS. Examen clinique. Radiographie de la colonne lombaire face/profil : décrite ci-dessous. Arthrose avec nombreux becs ostéophytaires. Spondylolisthésis important de L5. Poursuite de l'antalgie par Irfen introduite par le médecin traitant : ad Dafalgan et Sirdalud. Physiothérapie à distance organisée par le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie de la jambe droite : détaillée ci-dessous. Retour à domicile avec un bandage élastique et anti-inflammatoire. Reconsultation si péjoration. Examen clinique. Radiographie de la main droite : décrite ci-dessous. Plâtre AB fendu prenant le pouce. Consultation à la policlinique orthopédique le 23.04.2019. Examen clinique. Radiographie de la main droite : décrite ci-dessous. Antalgie par Irfen 400 mg 3x/jour. Attelle d'immobilisation. Contrôle chez le médecin traitant avec éventuellement un ultrason si non amélioration. Examen clinique. Radiographie de la main gauche : décrite ci-dessous. Contrôle à 2 jours en policlinique d'orthopédie. Examen clinique. Radiographie de la main/poignet droit : décrite ci-dessous. Traitement conservateur. Attelle poignet à but antalgique. Contrôle chez le médecin traitant à 5 jours. Examen clinique. Radiographie de l'épaule droite : décrite ci-dessous. Bretelle antalgique. Arrêt de sport. Antalgie. Contrôle chez le pédiatre traitant. Examen clinique. Radiographie de l'épaule et de la clavicule gauche : décrite ci-dessous. Antalgie. Examen clinique. Radiographie de l'épaule gauche : décrite ci-dessous. Antalgie avec Brufen 400mg 2x/jour et traitement avec Sirdalud 2 mg le soir. Bretelle de l'épaule gauche pour confort. Physiothérapie. Suivi chez le pédiatre. Examen clinique. Radiographie de l'épaule gauche : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Bretelle antalgique. AINS, Dafalgan. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie de l'épaule gauche : décrite ci-dessous. Gilet orthopédique. Antalgie. Arrêt de travail. Consultation à 10 jours chez le Dr. X, orthopédiste. Examen clinique. Radiographie de l'épaule gauche : décrite ci-dessous. Gilet orthopédique. Contrôle à 2 jours en policlinique d'orthopédie. Examen clinique. Radiographie du coude droit : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Attelle plâtrée postérieure. Radiographie post-plâtre : décrite ci-dessous. Antalgie. Le Dr. X prendra contact avec la mère de Mr. Y le 14.04 au matin pour la suite de la prise en charge. Examen clinique. Radiographie du coude gauche : décrite ci-dessous. Attelle BAB postérieure plâtrée. Radiographie post-plâtre : décrite ci-dessous. Antalgie par Algifor. Discussion au colloque d'orthopédie le 12.04.2019 : attelle BAB à refaire à 90°, complétée avec une attelle Gilchrist coude-au-corps ce jour. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans une semaine. Examen clinique. Radiographie du coude gauche : décrite ci-dessous. Gilet orthopédique. Contrôle à 2 jours en policlinique d'orthopédie. Si persistance des symptômes, ad IRM du coude. Examen clinique. Radiographie du genou, avec explication du médecin. Avis orthopédique (Dr. X). Attitude : • retour à domicile avec antalgie, physiothérapie • marche et charge selon douleur, avec cannes • Clexane 40 mg pendant 1 semaine si pas de charge • IRM dans 1 semaine, puis rendez-vous au team genou. Examen clinique. Radiographie du genou droit : détaillée ci-dessous. Attelle jeans 0°. Cannes anglaises avec décharge du membre inférieur droit. Clexane prophylactique 40 mg SC 1x/24 heures. IRM du genou droit agendée le 11.04.2019. Contrôle à la consultation du Dr. X, orthopédiste, en policlinique d'orthopédie le 16.04.2019 à 09H45. Examen clinique. Radiographie du genou droit : décrite ci-dessous. Attelle jeans 20°, cannes anglaises, décharge puis charge selon douleurs. Antalgie par AINS, Dafalgan. Clexane 40 mg. Contrôle à une semaine chez le Dr. X. Examen clinique. Radiographie du genou droit : décrite ci-dessous. Attelle jeans 20°. Cannes. Clexane 40 mg SC. Rendez-vous à 7 jours chez le Dr. X (le patient appellera le secrétariat). Antalgie par Voltarène 50 mg 2x/jour. Le patient ne souhaite pas d'arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du genou droit : décrite ci-dessous. Immobilisation de la jambe droite dans une attelle Jeans en extension avec marche en charge selon douleurs. Cannes anglaises. Conseils de repos, glace, surélévation du membre inférieur droit. Anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg SC 1x/24h. Antalgiques et anti-inflammatoires. Complément de bilan par IRM le 16.04.2019 à 16h15. Contrôle clinique à 10 jours à la consultation du Dr. X. Examen clinique. Radiographie du genou gauche : décrite ci-dessous. Bande élastique. Antalgie par Dafalgan et AINS. Contrôle le 08.04.2019 à la consultation du Dr. X. Examen clinique. Radiographie du genou gauche : décrite ci-dessous. Attelle Jeans 20°. Décharge cannes anglaises. Prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg 1x/jour. Anti-inflammatoire. Antalgie de réserve. Arrêt de travail pour 1 semaine (sera prolongé si nécessaire). Consultation chez le Dr. X à environ 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du pied droit face/profil : décrite ci-dessous. Mise en place d'une attelle jambière postérieure 1 semaine puis pose de botte de décharge dans 1 semaine à la policlinique. Clexane 40 mg 1x/our. Radiographie de contrôle post-plâtre : décrite ci-dessous. Botte de marche dans 3 semaines. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du pied et avant-pied droit : décrite ci-dessous. Bandes élastiques durant 5 jours. Antalgie par Algifor en réserve. Contrôle auprès de son pédiatre dans une semaine. Examen clinique. Radiographie du pied gauche : décrite ci-dessous. Bande élastique à visée antalgique. Arrêt de travail pour une semaine. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Examen clinique. Radiographie du poignet droit : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Réduction fermée sous scopie et gaz MEOPA. Plâtre AB pendant 6 semaines. Radiographie de contrôle post-plâtre du poignet droit : décrite ci-dessous. Contrôle radio-clinique à 1 semaine à la consultation du Dr. X. Anti-inflammatoires et antalgie de réserve. Examen clinique. Radiographie du poignet droit : décrite ci-dessous. Immobilisation par attelle. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours. Examen clinique. Radiographie du poignet droit (faite par le médecin traitant). Plâtre AB fendu. Radiographie post-plâtre du poignet droit : décrite ci-dessous. Antalgie. Bretelle. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du poignet gauche : décrite ci-dessous. AINS, Dafalgan. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du poignet gauche : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Antalgie. Bretelle à but antalgique. Contrôle à 7 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du poignet gauche : décrite ci-dessous. Bande élastique avec Voltaren pommade. Anti-inflammatoire et antalgie simple de réserve. Arrêt de sport pour 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du poignet gauche (faite chez le pédiatre) : décrite ci-dessous. Immobilisation par plâtre AB fendu. Radiographie post-plâtre du poignet gauche : décrite ci-dessous. Contrôle en policlinique à 7 jours. Antalgie. Arrêt de sport. Examen clinique. Radiographie du poignet/main gauche : décrite ci-dessous. Attelle poignet pendant une semaine. Antalgie standard par Dafalgan et AINS. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du pouce droit : décrite ci-dessous. Gantelet fendu. Radiographie post-plâtre de la main droite : décrite ci-dessous. Antalgie par Dafalgan et AINS. Contrôle en policlinique d'orthopédie à une semaine. Examen clinique. Radiographie du pouce droit : décrite ci-dessous. Immobilisation avec une attelle alu et pansement en 8. Antalgie simple. Contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du pouce droit. Immobilisation par une attelle alu. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans une semaine. Lors du contrôle en policlinique d'orthopédie, mettre le patient à la consultation du Dr. X pour un contrôle clinique suite à cette atrophie thénarienne (discuté avec Dr. X qui est d'accord de voir le patient). Examen clinique. Radiographie du pouce. Laboratoire : cf. annexes. Antalgie par Dafalgan, anti-inflammatoires non-stéroïdiens, Tramal. Immobilisation par une attelle alu. Contrôle à la policlinique d'orthopédie le 29.04.2019. Examen clinique. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. ECG : cf. annexes. Stix urinaire : négatif. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Antalgie standard par Dafalgan et AINS. Contrôle clinique et de l'hémoglobine auprès du médecin traitant en fin de la semaine. Examen clinique. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Gazométrie. Avis du Dr. X, chef de clinique de médecine interne. Aérosol : Pulmicort 0.5 ml-2x/jour. Atrovent 250 µg 1/2 dose de Ventolin (0.25 ml)- 4x/jour. Cortisone 50 mg 1x/jour pendant 5 jours puis stop. Retour au RFSM de Marsens, départ en ambulance. Examen clinique. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Radiographie de la colonne dorsale : décrite ci-dessous. Contrôle biologique : aligné. Cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Micro-hématurie (3-5 érythrocytes par champ). Antalgie, Sirdalud. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 04.04.2019 pour analyse urinaire (suivi micro-hématurie). Examen clinique. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Retour à domicile avec antalgie par Dafalgan, Irfen et Tramal si douleurs importantes. Arrêt de travail 1 semaine. Contrôle chez le médecin traitant dans la semaine. Examen clinique. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Retour à domicile sans traitement, suivre l'extériorisation de la bille dans les selles. Reconsulter si non-extériorisation à une semaine. Examen clinique Radiographie du thorax Laboratoire Antigènes urinaires : pneumoccoque positif.Deux paires d'hémocultures : négatives Co-Amoxicilline 1.2 g intraveineux 3x/j et relais par voie orale, total de 7 jours Fluimicil Physiothérapie respiratoire Examen clinique. Radiographie du 1er orteil droit : décrite ci-dessous. Antalgie par Dafalgan et AINS. Souhaite garder ses baskets par rapport à une chaussure de décharge de l'avant-pied. Contrôle dans une semaine à la consultation de son médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du 2ème doigt droit : décrite ci-dessous. Désinfection et champage. Exploration de plaie : pas de tendon visualisé. Suture par 1 point à l'Ethilon 4-0. Tétanos à jour en 2018. Antalgie. Pansement. Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant (la patiente contactera celui de son père). Examen clinique. Radiographie du 3ème doigt droit : décrite ci-dessous. Immobilisation par attelle alu. Contrôle à la policlinique d'orthopédie à 1 semaine. Antalgie. Arrêt de sport. Examen clinique. Radiographie du 3ème orteil droit : décrite ci-dessous. Avis du Dr X, orthopédiste. Syndactylie des 3ème et 4ème orteils avec compresses et scotch à changer tous les jours pendant 14 jours. Contrôle chez le pédiatre traitant si douleurs. Retour à domicile avec antalgie simple. Arrêt de sport de 6 semaines. Examen clinique. Radiographie du 4ème doigt de la main gauche face/profil : décrite ci-dessous. Traitement antalgique via Dafalgan, Irfen et immobilisation par attelle alu. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du 5ème doigt gauche : décrite ci-dessous. Antalgie. Arrêt de sport. Examen clinique. Radiographie du 5ème doigt gauche : décrite ci-dessous. Avis du Dr X. Attelle alu dorsale 20°. Patient adressé en ergothérapie pour confection d'une attelle en 8. Antalgie par Dafalgan et AINS. Contrôle en policlinique dans une semaine. Examen clinique. Radiographie du 5ème doigt gauche : décrite ci-dessous. Retour à domicile avec antalgie en réserve. Examen clinique. Radiographies de la colonne dorsale et lombaire : décrite ci-dessous. Traitement antalgique, anti-inflammatoire et myorelaxant. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs à 10 jours. Examen clinique. Rappel vaccination anti-tétanos effectué aux urgences. Consultation aux urgences en cas de mauvaise évolution. Examen clinique rassurant. Examen clinique rassurant. Retour à domicile avec feuille de surveillance, informations et conseils donnés au patient. Reconsultation si nouveaux symptômes neurologiques. Si persistance de la sensation de diminution de l'audition, consultation chez son médecin traitant. Examen clinique rassurant. Réassurance. Antalgie et myorelaxant. Suite chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Physiothérapie. Examen clinique rassurant. Retour à domicile, patient rassuré. Examen clinique rassurant. Retour à domicile, patiente rassurée. Examen clinique rassurant. Traitement symptomatique. Suite chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Critères de reconsultation expliqués au patient. Examen clinique rassurant. Antalgie standard. Consigne de surveillance communiquée au patient ainsi qu'à son père. Documentation donnée au patient. Examen clinique. Réfection du plâtre. Radiographie post-plâtre : décrite ci-dessous. Contrôle à la policlinique d'orthopédie le 30.04. Examen clinique. Réfection d'une nouvelle attelle BAB. Contrôle radiographique post-plâtre : décrit ci-dessous. Contrôle en policlinique d'orthopédie prévu le 16.05.2019. Examen clinique. Rhinoscopie (Dr X) : pas de corps étranger visible. Rinçage avec NaCl. Bépanthène Plus. Retour à domicile avec contrôle chez le pédiatre. Examen clinique. Rinçage de la plaie par Bétadine diluée puis NaCl seul. Suture du lambeau par 3 points d'Ethylon 4.0. Contrôle de la plaie chez le médecin traitant dans 48 heures. Ablation des fils chez le médecin traitant dans 14 jours. Arrêt de travail 14 jours (cuisinière). Examen clinique. Rinçage, désinfection de plaie. Pansement. Contrôle clinique secteur ambulatoire des urgences à 48h. Vaccin antitétanique à jour. Examen clinique. Rocéphine 2 g IV. Contrôle en filière des urgences ambulatoires le 14.04 à 12h pour la prochaine dose de Rocéphine. Examen clinique. Score de Centor 4 points. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/24h durant 7 jours. Reconsulter les urgences si dysphagie importante, dyspnée ou dysphonie. Contrôle clinique par le médecin traitant dans une semaine. Examen clinique. Score de MacIsaac à 3 (fièvre, adénopathie douloureuse, exsudat amygdalien, pas de toux). Streptotest positif. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 10 jours. Examen clinique. Score de MacIsaac à 3. Streptotest négatif. Traitement symptomatique. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf. annexes. Furadantin 100 mg 2x/24h durant 5 jours. Proposition pour un ultrason des voies urinaires mais la patiente partira en vacances ce matin. Elle préfère effectuer un ultrason urinaire en rentrant en Suisse par son médecin traitant. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Patiente vue par le Dr X, chirurgien de garde. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Spasmo Canulase. Rendez-vous chez le Dr X, urologue le 03.04 et colonoscopie le 09.04. Examen clinique • soins de plaie avec Ialugen et Adaptic. Attitude : • Contrôle jeudi 04.04 à la consultation ambulatoire des urgences. Examen clinique. Stix urinaire : cf annexes. Contrôle en filière des urgences ambulatoires le 01.05.2019. Pister les résultats de VIH, syphilis, gonorrhée et chlamydia au contrôle du 01.05.2019. Examen clinique. Stix urinaire : cf annexes. Retour à domicile avec Furadantin 100 mg 2x/jour pendant 5 jours. Examen clinique. Surveillance neurologique aux urgences. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis du Dr X, orthopédiste. Avis du Dr X, chef de clinique. Retour à domicile avec son père sous surveillance neurologique durant 24 heures. Patient appelé le lendemain matin : il va bien. Examen clinique. Suture par 1 point au Vicryl 5-0. Consignes post-traumatisme crânien données. Appel de la mère le 14.04 : tétanos à jour. Examen clinique. Suture pas réalisable car pas d'indication : pansement compressif et contrôle chez le médecin traitant à 24-48h. Arrêt de travail. Examen clinique. Tavegyl et Solumedrol aux urgences. Xyzal 5 mg et Atarax 25 mg à la sortie durant une semaine, puis arrêt progressif. Contrôle clinique auprès du médecin traitant dans une semaine. Examen clinique. Test de grossesse : négatif. Bilan biologique : cf. annexes. Lavement avec un Practoclyss 1000 ml. Bulboïd en réserve. Conseils d'hygiène de vie. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Tétanos à jour. Désinfection à la Bétadine. Champage stérile. Anesthésie locale à la Lidocaïne et bicarbonate. Exploration et rinçage au NaCl. Suture par 8 points simples à l'Ethilon 4-0. Contrôle de plaie en policlinique d'orthopédie dans 48h. Ablation des fils à J14 par le médecin traitant. Examen clinique. Tétanos à jour. Désinfection à la Bétadine. Champage stérile. Anesthésie locale par Lidocaïne et bicarbonate. Exploration et rinçage au NaCl. Suture par Ethilon 4.0 (2 points simples). Pansement standard. Réfection du pansement dans 48 h par le médecin traitant. Suivi régulier de la plaie par le médecin traitant et ablation des fils à J14 par le médecin traitant. Examen clinique. Tétanos à jour. Désinfection avec Hibidil. Pansement stérile. Suivi chez le pédiatre. Examen clinique.Toucher rectal : dans la norme. Laboratoire : cf. annexes. Dans la norme. Avis du Dr. X, chirurgien : Mr. Y prendra un rendez-vous en ambulatoire à sa consultation. Retour à domicile avec antalgie en réserve. Mr. Y ne souhaite pas l'arrêt de travail, a été informé qu'il ne pourra pas faire d'effort. Reconsultera en cas d'apparition de signes de gravité. Examen clinique. Traitement symptomatique. Consultation chez le médecin traitant en cas de non amélioration. Examen clinique. Traitement symptomatique. Recontrôler les urgences si péjoration des symptômes. Examen clinique. Traitement symptomatique. En cas de non amélioration dans les prochains 4 jours, reconsulter. Examen clinique. Transfert à l'HFR Fribourg. Examen clinique très rassurant. Mr. Y n'est plus symptomatique, raison pour laquelle nous ne prévoyons pas de contrôle supplémentaire mais restons à disposition au besoin. Examen clinique. Ultrason : décrit ci-dessous. Radiographie du genou droit : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste : rendez-vous à la consultation du Dr. X dès que disponibilité. Antalgie simple en réserve pour les douleurs. Arrêt de l'anticoagulation débutée hier. Examen clinique. Ultrason des tissus mous : décrit ci-dessous. Avis de la Dr. X, orthopédiste. Convocation le 18.04 à 8h00 à l'Hôpital de jour pour ablation du corps étranger au bloc. Examen clinique. Ultrason du tendon d'Achille droit : décrit ci-dessous. Radiographie de la jambe droite : décrite ci-dessous. VacoPed statique à 30°. Cannes anglaises. Clexane prophylactique 40 mg SC 1x/24h. Antalgie, Dafalgan et AINS. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans une semaine. Examen clinique. Ultrason urogénital : décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien. Uro-CT : décrit ci-dessous. Garde la sonde urinaire jusqu'à ce que les urines soient claires. Contrôle clinique chez un urologue. Examen clinique. Vaccin antitétanique à jour. Désinfection. Champage. Anesthésie en bague par Lidocaïne et Bicarbonate. Rinçage par NaCl 0.9% et exploration. Rapprochement des berges cutanées par 4 points simples à l'Ethilon 4-0. Pansement sec. Antalgie de réserve à domicile. Contrôle clinique de la plaie et changement du pansement à 3 jours chez le médecin traitant. Ablation des fils à 14 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Vaccination anti-tétanos à jour. Laboratoire : cf annexes. Bandage élastique. Repos, glace, surélévation du membre inférieur gauche. Antalgiques et anti-inflammatoires de réserve. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes à 1 semaine. Consultation aux urgences en cas d'apparition de fièvre ou de péjoration des douleurs malgré un traitement symptomatique bien conduit. Examen clinique. Vitamine B. Conseils de réduire le nombre de cigarettes par jour. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Contrôle chez un dentiste si péjoration. Examen clinique. Ablation de la croûte puis lavage de la plaie par NaCl. Rapprochement des berges par Steristrips (pas d'indication à suture car date de >10 heures). Contrôle chez le médecin traitant dans 48h. Status antitétanos à jour. Examen clinique. Ablation d'un point de suture d'une plaie sous-labiale gauche. Examen clinique. Absence de critères d'urgence avec résolution de la symptomatologie spontanée. Recherche d'un médecin traitant pour organiser la suite de la prise en charge, notamment un suivi psychiatrique. Examen clinique. Acuité visuelle conservée. Rinçage avec NaCl. Application de compresses de thé noir. Examen clinique. AINS. Antalgie. Myorelaxant. Physiothérapie. Certificat médical pour 3 jours. Examen clinique. Algifor sirop au domicile. Contrôle chez le pédiatre dans 5 jours. Examen clinique. Anesthésie locale, désinfection, champage, suture par 1 point simple à l'Ethilon 5.0, Stéristrips. Tétanos à jour. Algifor sirop en réserve. Arrêt de sport 7 jours. Ablation du fil à J5 chez le pédiatre. Examen clinique. Anesthésie locale par Gel-let. 2 points de suture au 5.0 non résorbables. Examen clinique. Antalgie. Examen clinique. Antalgie, AINS, Ecofenac crème, bande élastique, cannes, Clexane 40 mg. Marche en décharge. Contrôle clinique + ultrason du tendon achiléen droit le 01.04.2019. Suite chez le médecin traitant à J7. Examen clinique. Antalgie, AINS, Makatussin, Ventolin 3x/jour pendant 3 jours. Contrôle chez le médecin traitant à J5. Examen clinique. Antalgie, AINS, Pradif, filtre urinaire. Retour aux urgences avec calcul expulsé. Contrôle chez le médecin traitant à une semaine. Examen clinique. Antalgie, anti-inflammatoires. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique. Antalgie au besoin. Pas de radiographie au vu de la mobilité spontanée. Reconsultation si douleurs ou péjoration. Examen clinique. Antalgie avec Dafalgan et Brufen. Radiographie de la colonne cervicale et dorsale. Laboratoire : cf. annexes. Tests hépatiques. Examen clinique. Antalgie avec Sirdalud et Tramal. Suivi chez le Dr. X. Examen clinique. Antalgie avec Voltaren 75 mg à domicile. Arrêt de travail pour une semaine donné. Suivi chez le Dr. X, orthopédiste. Examen clinique. Antalgie de réserve. Anti-inflammatoires. Vasoconstricteur nasal. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Examen clinique. Antalgie de réserve. Contrôle clinique chez le dentiste. Examen clinique. Antalgie et Panotile gouttes. Prendre un rendez-vous avec un ORL lundi 08.04.2019. Examen clinique. Antalgie et traitement symptomatique. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile, frisson ou de trouble neurologique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique. Antalgie. Marche en charge totale sans boiterie. Contrôle chez le médecin traitant selon besoin. Examen clinique. Antalgie, myorelaxant. Arrêt de travail 3 jours. Contrôle chez le médecin traitant si péjoration. Examen clinique. Antalgie, myorelaxant. Arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant si non amélioration. Examen clinique. Antalgie, myorelaxants. Contrôle chez le médecin traitant si non amélioration. Examen clinique. Antalgie par AINS, Dafalgan pour 5 jours. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Antalgie par Dafalgan, Brufen aux urgences : amélioration des douleurs. Retour à domicile avec antalgie pendant 5 jours par Dafalgan et Brufen. Contrôle clinique chez le pédiatre dans 2-3 jours. Examen clinique. Antalgie par Dafalgan, Brufen, Sirdalud et Tramal aux urgences : amélioration des douleurs. Mr. Y rentre à domicile avec antalgie pendant 5 jours par Dafalgan, Brufen, Sirdalud et Tramal. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 5 jours. Examen clinique. Antalgie par Dafalgan, Brufen, Sirdalud et Tramal aux urgences : amélioration des douleurs. Mme. Y rentre à domicile avec antalgie pendant 5 jours par Dafalgan, Brufen, Sirdalud et Tramal. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 5 jours. Examen clinique. Antalgie per os aux urgences : Dafalgan 1 g, Brufen 600 mg, Novalgine 1 g, Tramal 50 mg. Majoration de l'antalgie au domicile : Novalgine 1 g, Voltarene 50 mg, Tramal en réserve, Nexium 40 mg. Suite chez le médecin traitant en fin de semaine. Examen clinique. Antalgie simple, AINS, NéoCitran. Arrêt de travail. Examen clinique. Antalgie simple. Prévention : hydratation, hygiène de la peau. Examen clinique. Antalgie standard. Radiographie du bassin et de la hanche gauche : détaillée ci-dessous. Retour au foyer St-Joseph avec adaptation de l'antalgie. Contrôle clinique auprès du médecin traitant dans une semaine. Examen clinique. Antalgie. Arrêt médical. Suite de prise en charge chez le médecin traitant : adaptation de l'antalgie et proposition IRM si persistance des douleurs à 4-6 semaines. Recommandation de reconsulter si état fébrile, frissons ou troubles neurologiques. Examen clinique. Antalgie. Contrôle chez pédiatre pour une organisation prise en charge chez un dermatologue ou un autre spécialiste. Examen clinique. Antalgie. Physiothérapie. Contrôle radioclinique postopératoire des cervicales à la consultation du Dr. X le 21.04.2019. Examen clinique. Antalgie. Prévention et hygiène du dos. Suite de prise en charge chez le médecin traitant dans 5 jours. Examen clinique Antalgique Les examens effectués aux urgences sont expliqués à la patiente par le médecin. Examen clinique. Anti-tétanos à jour. Co-Amoxicilline 2.2 g iv. Status du 3ème doigt gauche. Patient vu par le Dr. X, orthopédiste. Anesthésie, exploration, rinçage et suture par Ethilon 4.0 de plaie du 3ème doigt. Désinfection et pansement par Adaptic pour la perte de substance du bout du 4ème doigt à gauche. Antalgie, Co-Amoxicilline 1g 3x/jour pour 3 jours, contrôle à la policlinique le 05.03.2019. Arrêt de travail 2 semaines. Examen clinique. Appel de la Dr. X, le patient devait se présenter au RFSM et non à Riaz. Transfert à Marsens en mode volontaire en ambulance. Examen clinique. Arrêt de stretching et de Karaté durant 4 semaines. Antalgie simple en réserve. Examen clinique. Arrêt de travail. Examen clinique ATT: Arrêt de travail d'une semaine Consultation de contrôle durant la semaine chez Dr. X pour suivi. Examen clinique. Attelle Aircast élargie. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Attitude : • Traitement symptomatique. • Patient instruit des symptômes nécessitant une reconsultation. Examen clinique. Attitude : • Arrêt de travail. • Constat de coup prévu pour le 13.04.2019 au secteur ambulatoire des urgences le 13.04.2019. • Confirmation vaccination tétanos et rappel selon besoin. • Surveillance par le père sur la nuit. • Critères de re-consultation expliqués à la patiente et son père. Examen clinique. Attitude : • Retour à domicile avec antalgie simple et réassurance du patient. • Recommandation de reconsulter en cas de persistance chez le médecin traitant. Examen clinique. Attitude : • Retour à domicile avec réassurance. • Contrôle chez le médecin traitant si persistance. Examen clinique. Attitude : • Traitement symptomatique. • Patiente est instruite des symptômes de gravité nécessitant une consultation en urgences. Examen clinique. Attitude: RAD avec myorelaxants et antalgie, recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Examen clinique Attitude: • Retour à domicile avec antalgie, anti-inflammatoire et Co-Amoxicilline prophylactique. • Consultation en ORL demain. Examen clinique. Attitude: Réassurance. Adalat en réserve. La patiente va prendre régulièrement sa tension artérielle et noter les valeurs : à évaluer adaptation du traitement antihypertenseur. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à la patiente. Examen clinique Attitude: retour à domicile schéma antalgique demande d'IRM pour voir si présence d'hernie discale prévention et hygiène du dos reconsultation si péjoration des symptômes, état fébrile, déficit sensitivomoteur, troubles sphinctériens. Explications données à la patiente par le médecin. Examen clinique. Auto médication par AINS + Dafalgan pendant 48h par la patiente. Introduction de Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 7 jours. Traitement symptomatique. Critères de reconsultation transmis au patient. Examen clinique. Aux urgences : • Morphine per os 10mg avec nette amélioration des symptômes. Attitude : • Antalgie. • Suivi en rhumatologie à Berne avec dernière consultation clinico-biologique le 02.04.2019 et prochain contrôle dans quelques semaines. Pas de changement du traitement pour le moment. • Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examen clinique. Avis angiologique (Dr. X) : US des membres inférieurs. Aspirine 100mg et Rivaroxaban 20mg donné sur place. Le patient sera convoqué pour suite d'intervention endovasculaire le 09.04.2019 à 13h. Recommandation de consulter en cas de douleur intense, troubles neurologiques. Examen clinique. Avis chef de clinique d'orthopédie (Dr. X) qui l'examine. Rx cheville controlatérale. Cf. annexes. Attelle postérieure plâtrée. Contrôle policlinique orthopédie à 1 semaine. Examen clinique. Avis chir (Dr. X, Dr. X) : Désinfection à la Bétadine, anesthésie par Rapidocaïne 4 ml, meopa, champage, incision avec lame de 11 sur 2 cm en vertical, extériorisation de pus en très faible quantité, méchage avec compresse et Bétadine, pansement. Enlever mèche à 24h à domicile et rinçage 2x/j avec douche. Certificat médical. Suivi clinique à 48h en F34, continuer Co-Amoxicilline jusqu'au contrôle. Tramal en réserve. Examen clinique. Avis chirurgical (vu par Dr. X) : rinçage à l'aiguille boutonnée, pas de pus, ablation d'un fil Prolène avec Penrose, désinfection, ablation de fibrine. Pansement. Poursuite de Co-Amoxicilline 1g 3x/jour débutée le 15.04.2019. Contrôle à 48h au secteur ambulatoire des urgences pour évolution de la plaie. Discussion d'arrêt de l'antibiothérapie (proposée 48h post-op selon Dr. X). +/- avis chirurgical (Dr. X) si péjoration de la plaie. Examen clinique Avis chirurgie (Dr. X) : VAC en place, étanche en aspiration. Contrôle demain en stomatothérapie et éventuelle réfection de pansement. Attitude : Le patient reprendra contact avec la stomatothérapie demain pour un contrôle de pansement. Examen clinique. Avis de la psychiatre de garde, la Dr. X. Hospitalisation en volontaire à Marsens, départ avec sa cousine. Examen clinique. Avis Dr. X. Pose de sonde urinaire. Réfection de pansement. Suivi médecin traitant. Examen clinique. Avis du Dr. X, de médecine interne : Co-Amoxicilline 1g 3x/jour pour 10 jours. Traitement symptomatique. Contrôle à la consultation de son ORL dans 3 jours. Examen clinique. Avis du Dr. X, de médecine interne. Fucidine crème et Brufen. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Avis du Dr. X, chirurgien : • drainage de la kyste sous anesthésie locale avec rapidocaïne/bicarbonate. • douche à domicile 6x/jour. • suivi en policlinique de chirurgie jeudi 25.04.2019. Antalgie à domicile. Examen clinique. Avis du Dr. X, chirurgien et Dr. X, de médecine interne. Ultrason Doppler abdominal le 25.04.2019 : décrit ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Suite de la prise en charge et copie des résultats d'analyse pour le médecin traitant (en attente de l'électrophorèse Hb, recherche thalassémie, électrophorèse des protéines totales). Antalgie selon besoin, Pantozol 40mg 2x jusqu'au 03.05.2019. Examen clinique. Avis du Dr. X, chirurgien. Traitement antalgique, schéma Dafflon, Paraffine sirop. Contrôle à la policlinique de chirurgie dans 10 jours. Examen clinique. Avis du Dr. X, de médecine interne. Compresses de thé. Tobradex, Occulac gouttes. Arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant à deux jours. Examen clinique. Avis du Dr. X, psychiatre de garde. Temesta en réserve sur demande du psychiatre. Suivi ambulatoire. Examen clinique. Avis du Dr. X, orthopédiste. Attelle Splintpod. Clexane 40 mg. Cannes. Contrôle à la consultation du Dr. X la semaine prochaine (patiente sera convoquée par le secrétariat). Examen clinique. Avis du Dr. X, orthopédiste. Rendez-vous à la consultation du Dr. X à distance. Réassurance du patient. Examen clinique. Avis du Dr. X, orthopédiste. Vaccin anti-tétanos à jour. Désinfection, pansement. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Avis du Dr. X, ORL. Co-Amoxicilline et antalgie. Contrôle chez le Dr. X le 26.04.Examen clinique. Avis du Dr. X, ORL. Antibiotique et antalgie. Contrôle chez le Dr. X le 26.04. Examen clinique. Avis du Dr. X, chirurgien de garde. Retour à domicile avec feuille de surveillance neurologique donnée à sa mère. Antalgie. Examen clinique. Avis du Dr. X, chirurgien. Désinfection par Hibidil. Désinfection à chaque miction. Antalgie par Brufen en réserve. Le patient a déjà pris un rendez-vous chez son urologue, le Dr. X pour le 07.05.2019. Examen clinique. Avis du Dr. X, chef de clinique. Bilan biologique : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Retour à domicile avec Motilium et Magnesiocard. Examen clinique. Avis du Dr. X, de médecine interne. Antalgie par AINS, Dafalgan pour 5 jours. Patient déjà sous Nexium 40 mg. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Avis du Dr. X, de médecine interne. Bilan biologique : cf. annexes. Nexium 40 mg par IV. Ulcar 2 sachets per os. Ultrason abdominal : détaillé ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien. Retour à domicile avec un traitement d'épreuve par Nexium 20 mg 1-0-0 10 jours. Contrôle chez le médecin traitant à 5 jours pour réévaluer l'indication d'une oeso-gastro-duodénoscopie. Arrêt de travail. Examen clinique. Avis du Dr. X, de médecine interne. Strepto-test. Retour à domicile. Examen clinique. Avis du Dr. X. Lavement Practomil clyst 1 litre et Moviprep poudre 1 sachet. Après refus de la patiente de prendre le Moviprep, seul le lavement est administré et s'avère efficace avec l'expulsion des selles. Retour à domicile. Examen clinique. Avis du Dr. X. Nifédipine 20 mg OU aux urgences. Beloc Zok 25 mg OU aux urgences. Suivi monitoring. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Examen clinique. Avis du psychiatre de garde : transfert au RFSM de Marsens en mode volontaire, départ en taxi. Examen clinique. Avis du psychiatre de garde : transfert au RFSM de Marsens par les propres moyens de la patiente. Examen clinique. Avis du psychiatre de garde. Retour à domicile avec suivi ambulatoire. Examen clinique. Avis du psychiatre de garde : transfert à Marsens dans l'unité Venus pour une hospitalisation en volontaire. Examen clinique. Avis infectiologique (Dr. X): pas d'indication à un vaccin contre la rage. Retour à domicile avec antalgie. Examen clinique. Avis ORL (Dr. X) : consultation en ORL à prévoir, dans l'intervalle, traitement par Co-Amoxicilline et gouttes de Ciproxine dans l'oreille droite, traitement nasal par Triofan et Rhinomer. Attitude : Co-Amoxicilline 1 g 2x/j durant 7 j + Ciproxine 3 gttes 2x/j durant 5 jours. Triofan, Rhinomer. Consultation en ORL (consilium demandé). Arrêt de travail. Examen clinique. Avis ORL du Dr. X : Co-Amoxicilline 1g 2x/jour. Antalgie. Rendez-vous à la consultation du Dr. X lundi 08.04.2019. Examen clinique. Avis orthopédique (Dr. X) : pas d'atteinte des tendons. Désinfection, nettoyage, champage, anesthésie par Lidocaïne, suture par 2 points de Prolène 3.0, pansement, ablation des fils chez le médecin traitant à 10 jours. Antalgie. Certificat médical. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examen clinique Avis orthopédique Dr. X Antalgie : • 400mcg Fenta et 10 mg Mo dans l'ambulance • Voltaren 75 mg et Morphine titrée aux urgences • Novalgine 1g • Dexaméthasone 10 mg po Hospitalisation en orthopédie pour antalgie en attente de l'opération par le Dr. X le 15.04. Examen clinique Avis orthopédique, Dr. X Vu excellent état général sans signes franc d'arthrite du genou, pas d'examen ce jour. Contrôle à 24 heures, +/- bilan sanguin +/- radio genou +/- frottis kingella. Examen clinique Avis orthopédique (Dr. X). Antalgie. Suite de prise en charge chez le médecin traitant et discussion d'une éventuelle physiothérapie. Examen clinique. Avis orthopédique (Dr. X). Radiographie. Antalgie. Cannes pour décharge à 15 kg à gauche. Suite de prise en charge en Team Hanche en orthopédie dans 3 semaines. Examen clinique. Avis orthopédique (Dr. X). Suture, désinfection par Bétadine, champage, anesthésie locale par Lidocaïne 1%, rinçage de plaie avec NaCl et Bétadine diluée, 9 points de suture prolène 4.0, réfection de pansement. Ablation des fils à J5. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile/frissons, troubles neurologiques. Examen clinique. Avis orthopédique (Dr. X) : pas d'indication à une IRM. Adaptation de l'antalgie. Physiothérapie. Examen clinique. Avis orthopédique du Dr. X. Avis du Dr. X. CT-scan dorso-lombaire : décrit ci-dessous. Avis du Dr. X (neurochirurgien). Transfert à l'Inselspital pour IRM +/- prise en charge chirurgicale. Départ en ambulance. Examen clinique. Avis pédopsychiatrique (Dr. X). Retour au foyer des Traversée avec discussion par les collègues pédopsychiatres pour une hospitalisation pour sevrage à Marsens. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile, frissons. Examen clinique. Avis psychiatrique. Hospitalisation au RFSM Marsens sous PAFA. Transfert à Marsens en ambulance. Examen clinique. Bandelette urinaire : pas d'erythrocyte. Antalgie. Examen clinique. Bétadine savon, Fucidine crème. Critères de reconsultation transmis au patient. Examen clinique. Bilan biologique : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Poursuite du traitement symptomatique. Contrôle clinique auprès du médecin traitant dans une semaine. Bilan cardiologique en cas de récidive des symptômes de palpitations à organiser par le médecin traitant. Examen clinique. Bilan biologique : cf. annexes. 2 x 5 mg d'Amlodipine donné par le médecin traitant. Isoket push et 20 mg de Nifédipine aux urgences à 13H40. Retour à domicile avec contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Examen clinique. Bilan biologique : cf. annexes. Aérosol Ventolin-Atrovent. Prescription de Ventolin et de Symbicort durant 5 jours. Arrêt de travail. Examen clinique. Bilan biologique : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. CT-Scanner abdominal. Examen clinique. Bilan biologique : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Isoket 1 push. Metoprolol 25 mg per os. Nifédipine 20 mg retard per os. Examen clinique. Bilan biologique : cf. annexes. Majoration du traitement antalgique. Arrêt de travail de 2 jours. Contrôle clinique chez le dentiste. Arrêt de travail. Examen clinique. Bilan biologique : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Uro-CT-Scanner : détaillé ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien. Rendez-vous à la filière des urgences ambulatoire le 12.04.2019. Antalgie, filtre pour urine. Examen clinique. Bilan biologique : cf. annexes. Stix-sédiment urinaire : cf. annexes. Uro-CT-Scanner abdominal : détaillé ci-dessous. Antalgie par Fentanyl, Buscopan, Voltaren, Morphine et Pradif aux urgences. Filtration des urines avec analyse du calcul. Pradif et antalgie. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans la semaine. Consultation aux urgences en cas d'état fébrile ou de douleurs importantes. Consultation urologique à distance (carte du Dr. X remise). Arrêt de travail. Examen clinique. Bilan biologique : cf. annexes. Voltaren 75 mg, Tramal 50 mg, Buscopan 20 mg reçu aux urgences. CT-scanner abdominal : détaillé ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien : transfert à HFR Fribourg pour lavement radiologique versus coloscopie versus prise en charge chirurgical. Radiologue de garde de l'HFR Fribourg et du chirurgien de garde de l'HFR Fribourg avertis. Transfert en ambulance le 27.04.2019. Examen clinique Bilan biologique : perte de 20 points d'Hb 1 CE sur avis du Dr. X Examen clinique Bilan biologique : perte de 20 points d'Hb 1 CE sur avis du Dr. X Examen clinique Bilan biologique ECG Rx thorax Atropine 0.5 mg iv Pace externe Isoprénaline iv continu Transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg. Examen clinique Bilan biologique Radiographie du thorax CT cérébral Antalgie Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Examen clinique. Bilan radiologique : détaillé ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Retour à domicile avec antalgie en réserve. Arrêt de travail. Examen clinique. Bilan radiologique : détaillé ci-dessous. Retour à domicile avec antalgie en réserve. Examen clinique. Bilan radiologique : détaillé ci-dessous. Retour à domicile avec antalgie en réserve. Examen clinique. Bilan sanguin : cf. annexes. Ultrason des voies urinaires : décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien : prévenir l'urologue. Avis du Dr. X, urologue : rendez-vous à la consultation du Dr. X lundi 08.04.2019. Filtrer les urines. Antalgie à domicile. Arrêt de travail. Examen clinique. Bilan sanguin : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Test de Schellong : positif. Hydratation au NaCl 1000 ml en 1 heure. Arrêt de travail. Examen clinique Bilan sanguin ECG CT cérébral Surveillance neurologique Examen clinique. Bilan sanguin. Groupage. Avis neurochirurgical (Dr. X). CT-cérébro-cervico-thoracique et abdominal (transmission orale Dr. X) : fractures frontales plurifragmentaires embarrées 3 mm, pneumencéphale, fracture du toit orbitaire, grande aile sphénoïde, hémorragie intra-parenchymateuse frontale gauche avec sous-durant 8 mm frontal en contact avec le sinus sagittal supérieur. Co-Amoxicilline 2.2 mg aux urgences. Transfert à Berne (contact téléphonique avec le Dr. X en neurochirurgie). Pansement de plaie frontale n'étant pas ouvert à Fribourg, exploration de cette fracture ouverte à l'hôpital de l'Île. Examen clinique Bilan sanguin US-abdominal : présence de liquide libre dans l'abdomen CT-abdominal (transmission orale Dr. X) : rupture vésicale avec liquide libre dans l'abdomen Avis urologique Dr. X : effectuer un CT abdominal pour exclure une perforation vésicale Consilium gynécologique (Dre. X) : pas d'argument pour une cause gynécologique, liquide libre visible dans l'abdomen. Antalgie par Buscopan iv, paracétamol iv et titration de morphine. Antibiotiques par Rocéphine 2g iv et Flagyl 500 mg iv Hospitalisation en chirurgie +/- bloc opératoire à la clinique Daler. Examen clinique. Bladder scan 50 ml. Rinçage avec NaCl. Avis chirurgical du Dr. X. Retour à domicile avec prise en charge par l'urologue traitant pour poser un nouveau Cystofix le 30.04.2019. Examen clinique. Bladder scan : 800 ml. Désobstruction de la sonde : élimination de plus de 700 ml d'urine. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien : changement du système d'évacuation en mettant en place une poche de récolte. Contrôle chez le Dr. X, urologue traitant. Examen clinique. Bonne évolution sous traitement AINS et antalgique. Poursuite de l'antalgie. Explications de mesures hygiéno-diététiques. Si récidive, prévoir consultation rhumatologique avec le médecin traitant. Examen clinique. Changement complet du pansement avec protocole Ialugen plus + Mepilex transfert. Contrôle le 14.04.2019 au secteur ambulatoire des urgences pour changement du pansement avec Ialugen + Mepitel et compresses. Par la suite, changer le pansement tous les 2 à 3 jours avec suivi chez le médecin traitant. Arrêt de travail jusqu'au 14.04.2019. Examen clinique. Co-Amoxicilline 1 g 3x/j durant 7 jours. Switch de Tramadol comprimés par Tramadol gouttes. Examen clinique. Co-Amoxicilline 1000 mg 2x/jour pendant 6 jours. Algifor. Triofan. Avion déconseillé. Examen clinique. Co-Amoxicilline 2.2 g iv. Consilium ORL. Examen clinique. Co-Amoxicilline 7 jours avec antalgie, contrôle clinique à J48h, si pas d'amélioration avis ORL. Nous proposons à Mr. Y de revenir s'il présente une péjoration des douleurs, une dyspnée ou une dysphagie. Examen clinique. Conseil de bonne hydratation. Explication à Mme. Y des symptômes nécessitant une nouvelle consultation. Examen clinique. Conseils d'usage. Traitement symptomatique pendant 1 semaine. Si pas d'amélioration, contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Consilium ORL oral (Dr. X) : consultation en ORL en ambulatoire pour audiogramme. RAD avec Symfona. Examen clinique. Consilium gastro-entérologie fait : demande de gastroscopie. Suite de prise en charge avec proposition de médecin traitant. Examen clinique. Consilium rhumatologique (Dre. X) : changement de Tramal pour Tramal retard 2x/jour. Attitude : • Poursuite de l'antalgie avec du Tramal retard. • Suivi en rhumatologie à Berne avec prochain contrôle dans quelques semaines. Critères de reconsultation expliqués à Mme. Y. Examen clinique. Constat de coup. Examen clinique. Constat de coup le 03.04.2019 à 02h20. Antalgie simple à domicile. 1 comprimé de Sirdalud 2 mg donné pour cette nuit. Contrôle chez le médecin traitant le 03.04.2019. Arrêt de travail. Examen clinique. Contrôle chez l'opérateur demain. Nourriture froide aujourd'hui, antalgie selon besoin. Examen clinique. Crème Bépanthène Plus. Antalgie à domicile en réserve. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le 07.04.2019 à 11 heures. Arrêt de travail donné. Examen clinique. Critères de reconsultation expliqués à Mr. Y. Examen clinique CT-scanner cérébral Surveillance clinique toutes les quatre heures Désinfection à l'Hibidil effectuée dans le service des Urgences. Exploration sous anesthésie locale Lido/Bica ne montrant pas de structures profondes exposées, ni de corps étranger visible Rinçage abondant par NaCl Suture avec trois points avec Ethilon 4-0 Examen clinique. CT-scanner du poignet gauche : décrit ci-dessous. Ablation de l'attelle AB et mise en place d'une attelle poignet. Antalgie par Dafalgan et AINS. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans une semaine. Examen clinique. Dafalgan, Voltaren et Primpéran aux urgences. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Antalgie à domicile. Examen clinique. Dafalgan 1 g, Novalgine 1 g, Primperan 10 mg, Buscopan 10 mg. Laboratoire sanguin : cf. annexes. Leucocytes 14G/l, CRP<5mg/l, tests hépato-pancréatiques dans la norme. Hydratation par NaCl 1000 ml. Sédiment urinaire : propre. Cf. annexes. Contrôle clinico-biologique dans 48h chez le médecin traitant. Examen clinique. Dafalgan 1g, Buscopan 10mg. Laboratoire sanguin : cf. annexes. Sp. Sédiment urinaire : sp. Cf. annexes. CT-scan abdominal injecté : décrit ci-dessous. Antalgie simple au domicile. Contrôle clinique chez le médecin traitant à J76h. Examen clinique. Désinfection à la Bétadine, nettoyage, exploration, anesthésie par Lidocaïne, champage, 3 points Prolène 3.0, pansement. Certificat médical. Ablation à 10 jours au secteur ambulatoire des urgences. Antalgie simple. Rappel tétanos. Examen clinique. Désinfection à l'Hibidil. Champage. Rinçage au NaCl 0.9%. Anesthésie locale par Lidocaïne et Bicarbonate. Rapprochement des berges cutanées par 6 points simples à l'Ethilon 4-0. Antalgie simple de réserve. Ablation des fils chez le médecin traitant à 14 jours. Examen clinique. Désinfection à l'Hibidil. Stéristrips. Contrôle de la plaie chez le médecin traitant dans 48h. Examen clinique. Désinfection à l'Octenisept, champage, anesthésie locale à la Rapidocaïne, rinçage abondant au NaCl 0.9%, 4 points simples au regard de l'oreille et 2 points simples au regard rétro-auriculaire avec du Prolène 5.0, pansement. Rappel anti-tétanique Boostrix. Attitude : • Retour à domicile avec antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1g 2x/jour pendant 5 jours. • Antalgie. • Recommandation de consulter en cas de signe de gravité. • Ablation des fils à J5 chez le médecin traitant.Examen clinique. Désinfection avec Bétadine effectuée aux urgences. Anesthésie locale par Lidocaïne et Bicarbonate. Incision, rinçage avec Bétadine. Méchage avec mèche Bétadinée. Pansement. Antalgie à domicile. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires dimanche 07.04.2019. Examen clinique Désinfection bétadinée, champtage, anesthésie locale par Rapidocaïne, 5 points de suture Prolen 5-0, Adaptic, pansement sec. Retour à domicile avec conseils d'usage. Contrôle de plaie par Mr. Y lui-même (ancien pédiatre). Retrait des fils à 5 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Désinfection de la plaie avec solution bétadinée, anesthésie locale par Rapidocaïn 1%, 1 point de suture avec Prolène 5-0, pansement stérile. Vaccin du tétanos à jour. Ablation des fils dans 12 jours chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Désinfection de la plaie avec une solution bétadinée, anesthésie locale par Rapidocain 1%, 3 points de suture avec prolène 5-0, pansement stérile. Ablation des fils dans 12 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Désinfection et pansement par Mepilex. Doute sur le rappel du dernier vaccin anti-tétanique, Mme. Y recontactera les urgences s'il n'est pas à jour. Contrôle clinique à 48 heures à la filière des urgences ambulatoires. Examen clinique. Désinfection et pansement par Mepilex. Vaccin anti-tétanique fait le 29.04.2019. Retour à domicile avec pansement par Mepilex et Bétadine. Consultation si apparition de fièvre, de rougeur au pourtour ou de tuméfaction du pied. Examen clinique. Désinfection hibidil. Anesthésie gel let. Rapprochement cutanée 2 points simples Ethilon 4-0. Pansement Spray Opsite. Ablation des fils à J14 chez le pédiatre. Examen clinique. Désinfection, pansement. Examen clinique. Désinfection, pansement stérile. Vaccination anti-tétanique à jour. Examen clinique. Désinfection, pansement. Traitement symptomatique. Mr. Y informé de reconsulter si apparition de nouveaux symptômes. Examen clinique. Désinfection par Bétadine, champage, anesthésie locale, incision 2 cm, rinçage abondant, mise en place d'une compresse bétadinée. Rendez-vous de contrôle dans 48h en F34. A réévaluer la nécessité d'une prise en charge opératoire par la suite. Examen clinique. Désinfection par Bétadine, champage, exploration de plaies, 2 points de suture par Ethilon 4.0, pansement stéril. Contrôle de plaie à 48 heures à l'hôpital de Morges (souhait de Mr. Y). Rappel vaccins tétanos. Antalgie par AINS, Dafalgan. Ablation des fils à 10 jours. Examen clinique. Désinfection par Bétadine, champage stérile, anesthésie en bague, rinçage par aiguille boutonnée, exploration, 2 points de suture simple par Ethilon 5.0, pansement. Contrôle de plaie à 48 heures chez le médecin traitant. Ablation des fils à 14 jours chez le médecin traitant. Antalgie par AINS, Dafalgan. Vaccin anti-tétanos à jour. Examen clinique. Désinfection par Bétadine et pansement par Aquacel extra et Mepilex Border. Contrôle de la botte plâtrée fendue en résine et mise en place d'une même botte plâtrée fendue en résine. Anticipation du contrôle à la policlinique dès que possible (maintenant prévu pour le 02.05.2019, à anticiper). Examen clinique. Désinfection par Bétadine. Ablation des fils à 7 jours chez le médecin traitant. Antalgie par AINS et Dafalgan. Examen clinique. Désinfection par Bétadine. Pansement. Suivi chez le médecin traitant. Fils à enlever dans 2 semaines chez le médecin traitant. Examen clinique. Désinfection par Hibidil, champage, anesthésie locale par Rapidocaïne et bicarbonate, exploration de plaie, rinçage au NaCl, 3 points de suture par Ethilon 4.0, pansement. Vaccin anti-tétanos. AINS, Dafalgan. Contrôle de plaie à 48 heures chez le médecin traitant. Ablation des fils à 5 jours. Examen clinique. Désinfection, Prontosan gel, Aquacel argent, pansement. Protocole ci-dessus à appliquer tous les 2 à 3 jours. Suivi en policlinique d'orthopédie le 23.04.2019. Examen clinique. Désinfection, réfection du pansement, ablation des fils le 23.04.2019 au secteur ambulatoire des urgences. Arrêt de travail de 50% pour les 7 prochains jours. Mr. Y informé de reconsulter en cas de signe de gravité. Examen clinique. Désinfection, réfection du pansement. Ablation des fils le 16.04.2019 à la consultation ambulatoire des urgences. Poursuite de l'antibiothérapie pour 7 jours et arrêt de travail. Mr. Y informé de reconsulter si apparition de frissons, d'état fébrile, de signe infectieux ou d'œdème de la main. Examen clinique. Désinfection, retrait des 2 fils de suture, pansement sec. Critères de reconsultation chez le médecin traitant expliqués à Mme. Y. Examen clinique. Désinfection. Exploration de la plaie. Deux agrafes. Ablation des agrafes à 5 jours au Portugal (Mr. Y part dans deux jours). Critères de reconsultation transmis à Mr. Y. Rappel tétanos effectué en 2014 (à jour). Examen clinique. Désinfection. Vaccin anti-tétanos à jour selon la mère de Mr. Y, contrôle en début de semaine du 29.04.2019 chez le médecin traitant. Examen clinique. Discussion du cas avec le Dr. X, de médecine interne : gargarisme, alimentation avec du froid, consultation ORL le 05.04.2019 si persistance des symptômes de gêne. Conseils donnés à Mme. Y. Numéro de l'ORL donné en cas de persistance des symptômes. Examen clinique. Dix Hallpike positif à droite. Manœuvre libératrice. Antalgie simple. Examen clinique. Double traitement antihistaminique pour une durée totale de 2 semaines. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Examen clinique. Dr. X / Dr. X : Désinfection, champs stérile, anesthésie locale à Lidocaïne. Incision 2 cm. Exploration à Butterfly. Écoulement purulent en grande quantité. Rinçage abondant NaCl à sonde boutonnée. Pansement simple. • Douche locale plusieurs fois par jour • Antalgie • Contrôle clinique à 48 heures en F34. Mr. Y sera convoqué • Reconsultation médicale en cas de péjoration. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Dilzem 12.5mg en 5 minutes. Avis du Dr. X chef de clinique de médecine. Instauration Dilzem 90 retard 1x/jour. Réévaluer la nécessité du traitement à 1 semaine. Surveillance. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. D-dimères < 190 ng/L. Voltaren 75 mg, Nexium 40 mg, Ulcar. Sédiment urinaire : cf. annexes. Test de grossesse négatif. Ulcar pour 5 jours. Nexium 40 mg pour 1 mois. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Mr. Y rentre à domicile avec antalgie en réserve par Dafalgan et AINS. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis du Dr. X, de médecine interne. Conseils d'hydratation. Retour à l'hôpital de Marsens avec surveillance clinique et biologique. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis psychiatrique Dr. X. Hospitalisation au RFSM de Marsens en PAFA. Départ en ambulance. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Test de Schellong. Avis du Dr. X, de médecine interne. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Troponines à 7 ng/ml. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Troponines et D-dimères. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous.CT-scan thoracique : décrit ci-dessous. Aérosol Atrovent-Ventolin. Paracétamol et Primperan iv. Avis du Dr. X : douleurs rétrosternales et augmentation des troponines à mettre dans un contexte de crise d'angoisse. Suivi chez le médecin traitant avec : • traitement avec Aspirine 100 mg. • bilan cardiaque (écho-coeur et test d'effort) à faire en ambulatoire. • bilan lipidique et éventuelle introduction de Statine. Aspirine 100 mg donnée aux urgences. Arrêt de travail pour 3 jours. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie de l'abdomen sans préparation : décrite ci-dessous. Proposition de poursuivre le traitement proposé du 02.04.2019 par Nexium 40 mg 2x/jour pour 7 jours. Contrôle chez le médecin traitant à 7 jours. Réévaluer l'indication à réaliser une oesogastroduodénoscopie. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Nexium 40 mg aux urgences. Pantozol 40 mg 2x/jour. Ranitidine 150 mg le soir. Motilium 10 mg 3x/jour. Rendez-vous mardi 23.04.2019 chez le médecin traitant pour dépistage H. Pylori. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Patient vu par le Dr. X, de médecine interne. Score de Kline négatif. Laboratoire : cf. annexes. Tavegyl 2 mg iv aux urgences. Paracétamol 1g iv aux urgences. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Semblable au comparatif de mars 2019. Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l, leucocytes à 13.2G/l, créatinine à 46µmol/l. Paramètres hépato-pancréatiques alignés. Primperan iv et Paracétamol iv. Test de Schellong : négatif. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Test de Shellong. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Glucosalin 500 ml, NaCl 0.9% 500 ml en bolus. Feuille de surveillance des symptômes neurologiques en cas de traumatisme crânien simple. Suivi chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Bilan biologique : cf. annexes. Radiographie du thorax : cf. annexes. Antalgie. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Bilan biologique : cf. annexes. Stix urinaire : cf. annexes. Radiographie du thorax : détaillée ci-dessous. Antalgie par Dafalgan, Voltaren, Fentanyl, Morphine aux urgences. Retour à domicile avec antalgie. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans la semaine. Arrêt de travail. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Hydratation NaCl 0.9% 1000 ml. Leconidipine en pause. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : détaillée ci-dessous. CT-Scanner du thorax : détaillé ci-dessous. Pantozol pour 7 jours. Contact avec l'opérateur le 29.04.2019. Suivi chez le cardiologue traitant. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Troponin t-hs, t0 à 8ng/ml, t1 à 9ng/ml. Sédiment urinaire : cf. annexes. Voltaren, Dafalgan, Nexium 40mg. Nexium 40mg 2x/jour pendant 2 semaines. Motilium 10mg en réserve. Contrôle à la filière des urgences ambulatoire le 20.02.2019 à 12H15 avec contrôle clinique et biologique. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : détaillée ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Examen clinique. ECG : cf. annexes. RX de thorax : cf. ci-dessous. Homans négatif. Kline score = 0. Bilan biologique : cf. annexes. Traitement d'épreuve par Pantozol 2 semaines et contrôle chez le médecin traitant si non-amélioration. Examen clinique. ECG : superposable au précédent. Cf. annexes. Examen clinique. ECG : BBG nouveau. Gazométrie : hypoxémie. Laboratoire : trop à 538 ng/l, NT proBNP à 27'569 ng/l. Sédiment. Avis cardiologique (Dr. X) : ttt médicamenteux, rediscuter le 17.04 si douleurs soulagées pas de coronarographie. Hospitalisation en médecine. Aspirine 250 mg iv. Patch de Nitré 5mg sur 12h. Poursuite Eliquis. Examen clinique. ECG : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. Antalgie. Avis du Dr. X, chirurgien de garde. Retour à domicile avec antalgie et anti-nauséeux de réserve. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 18.04. Examen clinique. ECG : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. Avis du psychiatre du RFSM. Hospitalisation à Marsens sous PAFA. Transfert en ambulance. Examen clinique. ECG : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. Deux paires d'hémocultures : cf annexe. Antigènes urinaires. Atrovent 250 mcg, Ventolin 0.25 ml. Paracétamol IV 1000 mg. CURB-65 à 0. Co-Amoxicilline 1.2 g IV aux urgences puis 1 g per os 2x/jour pendant 7 jours. Contrôle à 48h chez le médecin traitant. Consultation aux urgences si péjoration de l'état général. Examen clinique. ECG : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Bénéfice clinique aux urgences par Motilium, à continuer pendant 2 jours. Contrôle chez le médecin traitant selon besoin. Examen clinique. ECG : cf annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Examen clinique. ECG. Cf. annexes. Test de Schellong. Cf. annexes. Hydratation 500 ml NaCl 0.9%. Arrêt de travail. Examen clinique. ECG dans la norme. Laboratoire : pas de cinétique. Radiographie du thorax : status cardiopulmonaire dans la norme. Recommandation de consulter en cas de douleurs rétrosternales, palpitations, dyspnée importante. Suite de prise en charge au CHUV pour reprise de fistule artério-veineuse au bloc. Examen clinique. ECG du 27.04.2019. Laboratoire du 27.04.2019. US abdominal du 27.04.2019 (Dr. X) : présence de calculs au niveau vésicule biliaire, pas d'épaississement de la paroi, pas de dilatation des voies intra ou extra-hépatiques. Avis chirurgical (Dr. X) : Ad Rocéphine, flagyl et hospitalisation en chirurgie. Examen clinique. ECG. Laboratoire. Radiographie Thorax. Schellong : positif. Examen clinique. ECG. Laboratoire. CT cérébrale avec vx précérébraux (Dr. X) : pas de saignement, pas de dissection. Avis neurologique (Dr. X) : Cluster peu probable, organiser IRM en ambulatoire pour exclure lésion ischémique ou inflammatoire. IRM en ambulatoire avec contrôle en filière pour résultat (pas de MT pour le moment) et contrôle de la tension artérielle. • +/- avis neurologique selon résultats. Lisinopril 5 mg dès le 16.04.19. Conseil de prendre un médecin traitant pour la suite de prise en charge. Examen clinique. ECG rythme sinusal régulier à 81 btm. Rx fémur G. Rx bassin. Rx épaule D. Rx thorax. CT cérébral natif et colonne cervicale (reçu 1cpr de Distraneurine à 15h avant CT). Avis orthopédique (Dr. X) : hospitalisation en orthopédie pour suite de prise en charge. À jeun jusqu'à l'intervention. Antalgie. Clexane. Examen clinique. ECG. Test de l'aimant. Examen clinique. ECG. Laboratoire : • alcoolémie : 0.59 • taux de paracétamol : 57.5 à H4 • créatinine et test hépato-pancréatiques dans la norme. Gazométrie. Rx thorax. Avis Tox Info Suisse : • Nexium 80 mg IV en bolus puis Nexium 8 mg/h en pompe. • Fluimucil dose de charge 9 g dans 1 heure puis 3 g dans 4 heures et 6 g dans 16 heures. • Hydratation NaCl 6l/24 heures. Hospitalisation aux lits d'observation. Contrôle biologique le 15 matin. Examen clinique. ECG. Laboratoire. Cf. annexes. Rx thorax. Cf. annexes. Paracétamol, Voltaren et Sirdalud aux urgences. Examen clinique. ECG. Laboratoire. CT abdo (transmission orale) : pas de perforation gastrique, pas de liquide libre, pas de bride. Élévation de la coupole diaphragmatique G sans hernie visualisée. Estomac plein avec probable gastroparésie. Avis chirurgical (Dr. X) : hospitalisation en chirurgie avec SNG pour soulagement de l'estomac. Hydratation iv par NaCl 1000 ml par 24h. OGD dès que possible (consilium déjà demandé). Attention à l'arrêt de tous les médicaments per os tant que SNG en place, à remettre dès que possible.ECG Rx thorax Traitement antalgique et local. Examen clinique. Echographie Doppler : pas de kyste ou masses visualisées au niveau du bas ventre, veine fémorale compressible, veine poplitée compressible, pas de déficience du retour veineux visualisé au niveau des membres inférieurs. Avis gynécologique : examen gynécologique normal n'expliquant pas l'œdème. Laboratoire : d-dimères nég. Attitude : • Consultation angiologique à distance. • Prescription de bas de contention de grade 1. Examen clinique. Essai de sondage sans succès. Le patient reprend une miction spontanée avec extériorisation de > 1000 ml. Bladder scan : 48 ml à la sortie. Patient vu par le Dr X, chirurgien. Examen clinique. Éviction des AINS. Poursuite de l'Esoméprazole 20 mg 2x/jour. Mme Y sera convoquée le 16.04.2019 si changement de thérapie selon gastro-entérologue. Suite de prise en charge chez le médecin traitant avec antigène des selles en cours. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examen clinique. Examens avec explication donnée par le médecin : Laboratoire aligné. • malaria négatif • pas de schizocytes Hémocultures 2 paires à chaud Radiographie thorax Novalgine. Morphine iv avec bonne réponse. Avis infectiologique (Dr X) : Diagnostic différentiel : migraine + infection nouvelle avec syndrome inflammatoire pas encore augmenté • maladie auto-inflammatoire ou autre fièvre d'origine non infectieuse Retour à domicile avec antalgie par Dafalgan, Irfen et Tramal. Contrôle clinique et biologique à 48 heures • contacter le médecin traitant pour connaître les investigations déjà effectuées Examen clinique. Explications données par le médecin pour examen radiologique. Radiographie coude droit : pas de fracture. Avis orthopédique (Dr X) : pas de fracture, contusion du coude droit. Traitement conservateur. Retour à domicile avec traitement antalgique, glace, repos. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire : créatinine 92 µmol/l, CRP 129 mg/l (09.04 : 268 mg/l), Leucocytes 6,3 (09.04 : 15,2 GA/l). Uricult : E. Coli++, multisensible. 2 paires d'hémocultures : en cours. Poursuite de la Ciprofloacine 500 mg 2x/j durant 7 jours. Patient informé de reconsulter aux urgences si apparition de nouveaux symptômes. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire : leuco 6,9, hémoglobine 105, CRP 49. Rappel 09.04 : ablation du Gripper par Dr X (chirurgie), diminution anti-coagulation de Clexane à 40 mg (dose prophylactique). Nouveau consilium chirurgical (Dr X) et infectiologique (Dr X) : tentative de préservation du port-à-cath (au vu des antécédents de la patiente, notamment bactériémie de l'ancien port-à-cath et du PICC Line), changement du pansement, suivi de l'hématome dans 4 jours chez le Dr X (oncologue traitant, informé), maintien de la Clexane 40 mg prophylactique jusqu'à réévaluation de l'hématome. Changement du pansement. Prévention et information des red flags (fièvre, frissons, péjoration de la douleur). Examen clinique Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire : Hb 166 g/L. Groupage. Culture de selles et calprotectine en cours. Nacl 1000 ml 9%. • Dafalgan en réserve pour fièvre et douleurs. • Perentérol, hydratation orale. • Pantozol 80 mg IV avec pompe Pantozol 8 mg/h, puis 40 mg 2x/jour à la sortie (à poursuivre jusqu'à l'OGD). • Oeso-gastro-duodénoscopie + colonoscopie en ambulatoire dans les meilleurs délais. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire. Poursuite de l'antalgie simple. Critères de reconsultation médicale expliqués à la patiente. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire. Stix, sédiment urinaire. Test de grossesse négatif. Amélioration des symptômes et hydratation per os possible durant le temps des investigations aux urgences. Traitement symptomatique. Patiente informée de reconsulter si apparition de nouveaux symptômes ou péjoration des symptômes présents. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examens. ECG. Laboratoire. Angio-CT scan aortique (Dr X) : pas de dissection aortique, anévrisme de l'aorte ascendante à 4 cm. Réassurance et retour à domicile. Patiente instruite des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Clostridium dans les selles : en cours. Radiographie du thorax : pas de foyer. Hydratation 1500 ml NaCl 0.9% aux urgences. Primperan 10 mg iv. Arrêt de l'antibiothérapie. Primperan en réserve. Consultera son médecin traitant pour les résultats de recherche de Clostridium dans les selles. Patiente instruite des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. ECG. Urines. CT abdominal (transmission orale Dr X) : hépatosplénomégalie, pas de liquide libre, pas de pneumopéritoine, pas d'anomalie vasculaire. Hydratation 1000 NaCl. Retour à domicile avec conseil de reconsulter en cas de nouveaux symptômes. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examens. Radiographie colonne cervicale et dorsale. Radiographie thoracique. Contrôles neurologiques sur 6 h dans la norme. Avis orthopédique (Dr X) : • antalgie simple avec Sirdalud. • physiothérapie. • arrêt de travail. Patiente instruite sur les symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examens. Sédiment : sang, pas d'infection. Laboratoire : pas d'insuffisance rénale. Uro-CT refusé par le patient informé des indications. Dafalgan, Irfen et Pradif. Patient averti des symptômes devant l'amener à reconsulter (état fébrile, douleurs malgré antalgie, an/oligurie). Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : perturbation des tests hépatiques. • ASAT 4498 U/l, ALAT 4209 U/l, LDH 4473 U/l. • TP 57%, INR 1.3. • Paracétamolémie négatif. Gazométrie : pH 7.34, pas de lactate. Urines (patiente asymptomatique, pas de tt). Attitude : Contrôle des tests hépatiques + TP PTT à 6 et 12 h. Pas d'indication à la NAC car hors délais et Paracétamolémie négatif. Patiente refuse de rester à l'hôpital malgré les recommandations et les risques expliqués (Dr X, Dr X). Patiente capable de discernement. RAD avec contrôle clinique et biologique au secteur ambulatoire des urgences le 12.04.2019 accepté par la patiente. Examen clinique. Explications données par le médecin pour : Sédiment urinaire : protéinurie. Laboratoire aligné. Titration de la Morphine. Retour à domicile avec Tramal. Rendez-vous en ambulatoire chez le Dr X (urologue) et la Dr X (néphrologue). Examen clinique. Exploration de la plaie avec avis orthopédique Dr. X qui ne voit pas de corps étranger ou atteinte du tendon et/ou capsulaire. Plaie : désinfection à la Bétadine et champagne habituel, anesthésie locale à la Lidocaïne 1%, rinçage avec 100 ml de NaCl 0.9%, suture par 5 points avec fil PROLENE 4.0. Antalgie simple et antibiothérapie sur 5 jours. Suite de prise en charge chez le médecin traitant dans 5 jours. Ablation des fils d'ici 14 jours. Examen clinique Exploration, désinfection Rappel tétanos Suture 4 points 5.0 : contrôle plaie 48 h avec ablation j 5 Examen clinique Exploration, désinfection Rappel tétanos Suture 4 points 5.0 : contrôle plaie 48 h avec ablation j 5 Examen clinique. Extraction. Désinfection. Conseils de vaccination. Surveillance et suivi chez le médecin traitant au besoin. Examen clinique. Fentanyl 100 µg intra-nasal. 1 g de Dafalgan. Réduction par manœuvre externe. Ordonnance pour antalgie simple.Examen clinique. Feuille de surveillance des signes neurologiques donnée et expliquée à la mère. Examen clinique. Feuille de surveillance post-traumatisme crânien donnée et expliquée. Examen clinique Formulaire traumatisme d'accélération crânio-cervicale. CT natif crâne et colonne cervicale (rapport oral Dr. X) : pas de saignement intracrânien, pas de fracture au niveau du crâne, ni au niveau cervical, infiltration sous-cutanée en région pariétale gauche. • Retour à domicile avec surveillance par la mère pour les premières 12h. • Explications des critères de reconsultation au patient et à sa mère. • Contrôle chez le médecin traitant à 5 jours. Examen clinique. Freka clyss. Buscopan. Pantoprazol, majoration du traitement laxatif. Examen clinique FSC Lc 9.0 sans déviation gauche, Hb 112, Tc 347 CRP 9 Gazométrie : alignée, pas de troubles électrolytiques Glycémie : 7mmol/l Urine le 24.04 : propre Hospitalisation pour inquiétude maternelle Traitement d'urgence Examen clinique. Furadantin 5 jours (avis du Dr. X, de médecine interne, donné le 14.04.2019). Résultats de l'urotube : contaminé. Poursuite de l'antibiothérapie en place. Examen clinique Gazométrie artérielle : Carboxyhémoglobine 0.3 ; lactate 0.8 Retour à domicile Examen clinique. Gazométrie artérielle : Carboxyhémoglobine 0,6 ; lactate 1,3. RAD. Examen clinique Gazométrie artérielle : Carboxyhémoglobine 1.9 ; lactate 0.8 Retour à domicile. Les examens effectués aux urgences sont expliqués à la patiente par le médecin. Examen clinique. Glycémie. ECG avec QRS élargi à 460. Avis psychiatrique. Hospitalisation à Marsens. • Répéter ECG. Examen clinique. Hydratation iv aux urgences. Laboratoire : cf. annexes. Tc 452G/l, leucocytes 12.2G/l, CRP <5mg/l. Paramètres hépatiques normaux excepté bilirubine totale à 27.5 µmol/l et bilirubine directe à 9.7µmol/l. Hb 148g/l. Culture de selles : PCR multiplex négatifs Salmonelles, campylobacter, shiga-toxine, shigella spp. / EIEC. Cf. annexes. Conseils d'usages pour bonne hydratation et alimentation pauvre en fibres. Contrôle chez le médecin traitant le 08.04 ou le 09.04.2019. Examen clinique. Hydratation NaCl 0.9% i.v. 500 ml. Primpéran 10 mg. Paracétamol 1g. Suivi médecin traitant. Examen clinique. Hydratation NaCl 0.9%. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. D-dimères à 554 ng/ml. Dafalgan 1g, Nexium 40 mg. Temesta 1 mg. Examen clinique. Hydratation 1000 ml/3h. Surveillance aux urgences. Retour à domicile avec sa sœur. Examen clinique. Images mises sur le PACS. Avis du Dr. X. Attelle de l'épaule et antalgie. Suivi en policlinique d'orthopédie le 23.04.2019. Arrêt de travail pour 15 jours. Examen clinique. Infiltration prévue pour le 02.05 par le Dr. X à Bern. Suivi par Dr. X le 28.04.2019. Examen clinique. Laboratoire : aligné (en dehors d'une bilirubine totale à 22.3 et directe à 7.4), enzymes pancréatiques dans la norme. Sédiment urinaire : propre. Test de grossesse négatif. Rx thorax (avis Radiologue de garde) : sans particularité. CT scan abdominal injecté (radiologue de garde) : pas d'images expliquant les symptômes. Présence d'une lombalisation de S1. Cf. annexes. Avis Dr. X : Nexium iv 40 aux urgences, Antalgie, majoration Pantozol à 80 mg/j durant 2 semaines, contrôle clinico-biologique le 21.04.2019 à la FUA (appeler Dr. X). Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Antalgie par paracétamol 1000 mg, Voltarène 75 mg. Avis du Dr. X, chirurgien. Retour à domicile avec Dafalgan Novalgine en réserve. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Antalgie. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis chirurgical du Dr. X et du Dr. X de médecine interne. Rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires le 03.04.2019 à 12h30 pour une cholangio-IRM. Contrôle clinico-biologique le 03.04.2019 post-IRM. Appeler le Dr. X pour les résultats de la cholangio-IRM et le bilan sanguin. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. Pantozol 40mg 2x/jour. Motilium 10 mg en réserve. Suite au colloque de chirurgie, la patiente est reconvoquée pour le 23.04.2019. Contrôle rapproché chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis du psychiatre de garde : hospitalisation en PAFA à Marsens en psychogériatrie. Départ en ambulance. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis du psychiatre de garde (Dr. X) : transfert au RFSM de Marsens. Transfert à Marsens en ambulance. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis orthopédique du Dr. X. Immobilisation par attelles des poignets. Co-Amoxicilline 1000 mg 2x/j et amoxi 1000 mg 2/j pendant 10 jours. Contrôle clinique et biologique si nécessaire prévu le 23.04.2019 à la policlinique d'orthopédie. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Créatinine à 83µmol/l, pas de syndrome inflammatoire. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien de garde : proposition d'effectuer un uro-CT. Le patient refuse l'uro-CT, ayant compris les risques infectieux et pour ses reins. Il consulte uniquement pour une antalgie car il doit retourner en Slovaquie et aura un rendez-vous chez son médecin le 02.05.2019. Avis du Dr. X, de médecine interne : Pradif, Novalgine, Brufen, filtration des urines. Nous lui conseillons de reconsulter si apparition de fièvre/anurie ou autre. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. CRP à 19mg/l sans leucocytose. Radiographie du pied gauche : décrite ci-dessous. Le patient rentre à domicile avec le traitement par Brufen et Dafalgan. Contrôle clinique prévu le 23.04.2019 à la filière des urgences ambulatoires à 14h30. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. CRP 40mg/l, leucocytes 5.2G/l, examen des urines négatif pour infection, sang (J1 de menstruation). Ultrason des voies urinaires le 24.04.2019 : pas de calcul, appendice non visible. Test de grossesse : négatif. Consultation proctologique avec le Dr. X le 26.04.2019. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine, si péjoration, elle se présentera aux urgences. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l, leucocytes 7,8G/l. Radiographie du gros orteil gauche : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Bains bétadinés pendant 3-4 jours. Chaussure de Barouk pour décharge donnée au patient, mais le patient refuse de la mettre. Rendez-vous pour prise en charge opératoire le 26.04.2019 par le Dr. X (7h). Consentement éclairé donné à l'accompagnateur. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l, leucocytes 9.9G/l. Radiographie du genou droit : décrite ci-dessous. Le patient revient le 22.04.2019 le matin à 8 heures pour opération, à jeun. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. CRP 8mg/l, leucocytes 3.5G/l. Radiographie : décrite ci-dessous. Brufen 600 mg per os 3 fois par jour pendant 5 jours. Immobilisation avec un pansement Écossais. Contrôle clinique à la policlinique orthopédique le 24.04.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. CT-scan du massif facial : décrit ci-dessous. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Doppler portable pied gauche. Avis Dr. X. avec l'accord du Dr. X, la patiente est transférée aux urgences de Fribourg pour suite de la prise en charge. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG. cf. annexes. Dafalgan 1g. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Le patient rentre à domicile, il a été informé qu'en cas d'apparition de nouveaux symptômes il devra revenir aux urgences. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Potassium effervette en dose unique aux urgences. Magnesiocard 10 mg en dose unique aux urgences. Aspirine Cardio 100 mg. Rendez-vous pour test d'effort le 06.05.2019 pour test d'effort chez le Dr. X. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Magnesium 2 g iv et calcium 1g per os aux urgences. Suivi chez le médecin traitant le 11.04.2019 avec contrôle des électrolytes et dosage de la TSH. Proposition d'un suivi chez un cardiologue. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : cf. annexes. Mr. Y rentre à domicile avec antalgie simple en réserve. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 15.8G/l, CRP <5 mg/l. Radiographie du bassin + hanche gauche : décrite ci-dessous. Radiographie du genou gauche : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste : les radiographies et le laboratoire n'expliquent pas les symptômes du patient, il s'agit probablement d'une origine artérielle. Suivi en ambulatoire chez le Dr. X, angiologue. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Nexium 40 mg pour 3 semaines. Riopan et Motilium en réserve. Recherche de H. Pylori dans les selles 2 semaines après l'arrêt du traitement avec IPP à organiser chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Primpéran, Dafalgan, Voltaren aux urgences. Mme. Y rentre à domicile avec le traitement en réserve par Dafalgan, Motilium, Zomig. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Primperan 10 mg et Betaserc 16 mg aux urgences. Test de Schellong : négatif. Traitement avec Betaserc 16 mg 3x/jour pour 3 jours, puis suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie des doigts 4 et 5 gauches : décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X. Ultrason le 04.04.2019 à 08H00 à jeûn. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le 04.04.2019 à 08H30. Attelle Edimbourg. Antalgie par AINS, Dafalgan. Vaccin anti-tétanos à jour. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. ASP : décrit ci-dessous. Avis chirurgical du Dr. X. Nexium 40 mg iv. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 22.04.2019 à 9h30 avec contrôle clinique biologique. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis du Dr. X, de médecine interne. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Voltaren 50 mg. CT-scan pulmonaire : décrit ci-dessous. Suivi chez le médecin traitant et antalgie à domicile. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien : Ultrason abdominal : décrit ci-dessous. Radiographie de l'abdomen : décrite ci-dessous. CT-scan abdominal : décrit ci-dessous. Rocéphine 2g + 500 mg de Flagyl. Transfert en chirurgie à l'HFR Fribourg pour prise en charge chirurgicale, départ en ambulance. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. CT-scan abdominal : décrit ci-dessous. Traitement avec Tamsulosine 0.4 mg. Le patient doit filtrer les urines et nous amener le calcul dès qu'il sort. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Primpéran 10 mg iv. Tramal 50 mg gouttes. Retour à domicile avec proposition de dépistage d'H. Pylori et endométriose en ambulatoire. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Sang ++++, flore bactérienne. Avis du Dr. X, de médecine interne. CT-scan abdominal décrit ci-dessous. Avis gynécologique de Dr. X : proposition d'hospitalisation à l'HFR Fribourg en vue d'une opération, Mme. Y souhaite attendre. Antalgie, retour à domicile et contrôle en gynécologie le 13.03.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Ultrason des voies urinaires (Dr. X). Antalgie. Rocéphine 2 g iv le 09.04.2019 puis Ciproxine 500 mg bid jusqu'au 07.04.2019. Contrôle clinique avec remise des résultats de l'urotube à la filière des urgences ambulatoires le 12.04.2019 à 10h30. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire, urotube : cf. annexes. Radiographie de l'abdomen : décrite ci-dessous. Antalgie, Primpéran 10 mg. Grand lavement. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Stix et sédiment urinaire : propres. Cf. annexes. Test de grossesse : négatif. Avis chirurgical du Dr. X, chirurgien. CT-scan abdominal injecté (radiologue de garde) fait le 20.04.2019 : splénomégalie. Ultrason Doppler abdominal à 15h10 et IRM à 16h le 25.04.2019 pour recherche de la cause de la splénomégalie. Laboratoire : FSC, LDH, D-dimères, électrophorèse Hb, recherche thalassémie, électrophorèse des protéines totales, Facteur V, EBV, CMV. Pantozol et Motilium. Rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires le 26.04.2019 à 10h pour contrôle clinique et restitution des résultats d'imagerie et d'analyse. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Suivi chez le gynécologue traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Traitement anti-inflammatoire. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Traitement symptomatique : Prorhinel, Nasivine, Brufen 400 mg, Paracétamol 1g. Suite de prise en charge chez le médecin traitant si absence d'amélioration à 1 semaine. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Traitement symptomatique par AINS, Dafalgan, Fluimucil, spray NaCl 0.9%. Pantozol 40 mg pour une semaine. Intervention sur l'auto-médication. Suivi médecin traitant si absence d'amélioration. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Troponine à T0 10 ng/L, T1 11 ng/L. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Temesta 1 mg. Suivi médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Urotube : à pister chez le médecin traitant. Rocéphine 2g iv reçue aux urgences. Avis du Dr. X, urologue du patient : pose d'une sonde vésicale dans le conduit, longue pour 2-3 semaines, avec ordonnance pour Uriflac et téléphoner demain pour prendre un rendez-vous de contrôle à sa consultation. Avis du Dr. X, urologue de garde : pour les techniques de mises en place de la sonde et pour les rinçages nécessaires selon le patient mais qui seront non stériles à domicile : conseils de la faire mettre en place par le patient lui-même. Sonde vésicale de Charrière 12 en silicone, et de couvrir par antibiotique per os (un antibiotique sensible aux anciens antibiogrammes, mais pas de Ciprofloxacine). Pour les rinçages, nous demande de regarder avec le Dr. X car double avis. Avis du Dr. X : pas de nécessité de faire de rinçage. Avis du Dr. X, chirurgien de garde : mise en place d'une sonde vésicale aux urgences par le patient lui-même. Avis du Dr. X, de médecine interne : ordonnance avec Bactrim 2x/jour pour la durée de la mise en place de la sonde vésicale. Sondage du conduit vésical simple avec sonde de Charrière 12 par le patient lui-même, rendu d'urines. Ordonnance pour Uriflac, compresses stériles, NaCl au besoin, seringues stériles. Le patient téléphonera demain au Dr. X, ORL. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Vaccin anti-tétanos à jour. Avis orthopédique du Dr. X. Désinfection, pansement, attelle Edimbourg des deux côtés, immobilisation. Co-Amoxicilline 2.2 g iv. Hospitalisation pour antibiothérapie et surveillance clinique refusée par Mme. Y. Contrôle clinique et biologique prévu le 22.04.2019 à 08H00, avec dose iv de Co-Amoxicilline si retour à domicile. Mme. Y à jeûn dès minuit. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. 1000 ml Ringer lactate. Primpéran 10 mg iv. Conseils d'hygiène de vie, Motilium en réserve. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Antalgie par Dafalgan et Voltaren. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 11.04.2019 avec imagerie à évaluer en fonction de l'évolution. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Antalgie 7 mg de Morphine. Belok Zok 25 mg. Aspirine Cardio 500 mg, Brilique 180 mg, Héparine 5000 UI. Transfert au salle de coronarographie à l'HFR Fribourg, départ en ambulance. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Atrovent, Ventolin. Radiographie du thorax : détaillée ci-dessous. Anti-inflammatoire non-stéroïdien, Dafalgan, Ventolin, Pantozol. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X, psychiatre de garde. Intensification du suivi psychologique. Temesta en réserve (le patient reçoit 4 comprimés à amener à la maison). Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chef de clinique. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X. Ultrason doppler de la jambe droite : détaillé ci-dessous. Anti-inflammatoire non-stéroïdien, Hirudoïd. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le 23.04.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Bladder Scanner. Sonde urinaire. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis du Dr. X. Contrôle rapproché chez un urologue. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Continuation de l'antibiothérapie par Ciprofloxacine 2 x 500mg/jour et Métronidazole 3 x 500mg/jour jusqu'au 23.04.2019 inclus. Continuation du Nexium 40 mg 2x/jour pour 3 semaines, plus Riopan en réserve. Rendez-vous chez le médecin traitant le 24.04.2019. Rendez-vous à la consultation du Dr. X, chirurgien le 15.05.2019 à 09h15. Recherche de H. pylori chez le médecin traitant à 2 semaines après l'arrêt des IPP. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Contrôle chez le médecin traitant selon les besoins. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Dépistage HIV HCV Treponema pallidum. Recherche chlamydia et gonocoque dans les urines. Rapport protégés. Rendez-vous pour communication des résultats le 23.04.2019 à 17h30. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Dépistage pour chlamydia et gonorrhée. Uvamine 100 mg 2x/jour pour 5 jours. Suivi gynécologique rapproché. Antalgie AINS, Dafalgan. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Désinfection de la plaie avec Bétadine, mise en place d'un pansement Adaptic et d'un pansement stérile. Rendez-vous prévu le 29.04.2019 à la consultation du Dr. X, orthopédiste. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Dafalgan aux urgences. Retour à domicile avec le traitement symptomatique. Contrôle clinique et biologique chez le médecin traitant dans 3 jours. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. IRM cervicale en ambulatoire le 29.04.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Test de Schellong. NaCl 0.9% 250 ml. Suivi chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Hydratation avec NaCl 0.9% 500ml. Intervention sur la consommation d'alcool. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Hydratation. Avis psychiatrique (Dr. X) : maintien de la consultation chez son psychiatre (Dr. X) le 24.04.2019, qui sera contacté par le psychiatre de garde. Retour à domicile seul, en bus. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Motilium en réserve. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. NaCl en IV 1000mL. Traitement symptomatique. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Practomil aux urgences. Retour à domicile avec Cololyt 1 litre ce soir et 1 litre demain matin. Buscopan et Dafalgan en réserve pour les douleurs. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie de la cheville droite : détaillée ci-dessous. Score de Wells à 0. Immobilisation par Vacoped statique à 30° pendant 3 semaines. Antalgie en réserve. Cléxane prophylactique. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans une semaine. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Traitement symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie lombaire face/profil : décrite ci-dessous. Antalgie. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Rendez-vous pour un ultrason abdominal le 26.04.2019 à 8H00 suivi d'un contrôle clinico-biologiques à la filière des urgences ambulatoires. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. 2 paires d'hémocultures en cours. Novalgine 1g, Paracétamol 1000 mg, Primpéran 10 mg. Hydratation. Avis du Dr. X, chirurgien. CT-scan abdominal : décrit ci-dessous. Avis du chirurgien de garde de l'HFR Fribourg. Tazobac 4.5 g aux urgences. Transfert aux urgences de Fribourg en ambulance pour prise en charge au bloc opératoire. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. Radiographie de la colonne cervicale : détaillée ci-dessous. CT-Scanner de la colonne cervicale : détaillée ci-dessous. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Contrôle en début de semaine du 29.04.2019 chez son médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. Uro-CT-Scanner : détaillé ci-dessous. Retour à domicile avec Buscopan, Pradif et Voltarène. Filtrage des urines. Contrôle chez le médecin traitant le 23.04.2019 si le calcul n'est pas éliminé. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. CT-Scanner abdominal : détaillé ci-dessous. Retour à domicile avec filtrage des urines, traitement symptomatique. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Tramal, Ecofenac. 1 push d'Isoket, 1 comprimé de Nifédipine 20mg retard, 1 comprimé d'Amodipine aux urgences. Retour à domicile avec de l'antalgie en réserve. Contrôle chez le médecin traitant dans 2 à 3 jours. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Test de grossesse urinaire : négatif. Avis du Dr. X, chirurgien. Ultrason abdominal : décrite ci-dessous. Retour à domicile avec antalgie. Contrôle clinico-biologique chez le médecin traitant en début de semaine. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Tavegyl 2g. Hydratation. Retour à domicile avec Xyzal Aerius. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X, orthopédiste. Désinfection, curetage de la fibrine, Prontosan gel, Aquacell argent, pansement. Arrêt de l'antibiotique. Retour à domicile. Protocole ci-dessus à appliquer tous les 2-3 jours avec prochain rendez-vous vendredi à la filière des urgences ambulatoires (car la policlinique est fermée vendredi saint, et le patient ne peut pas samedi) puis à la policlinique d'orthopédie. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. CRP<5, Lc 8.9. Urines stix et sédiment : négatif. Majoration de l'antalgie avec Tramal 100 mg 3x/24h. US abdominal et contrôle en F 34 le 25.04.2019 (le patient sera convoqué) pour suite de prise en charge. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. d-dimères à 1500. US vaisseaux (Dr. X/Dr. X) : veine poplité et fémorale compressible. Xarelto 15 mg 2x/jour. Dafalgan, Irfen. Consilium angiologique le 04.04.2019 pour US des membres inférieurs. Retour à domicile avec conseil de reconsulter en cas de dyspnée, état fébrile, douleur non soulagée par l'antalgie.Examen clinique. Laboratoire : sérologie EBV en cours, annonce téléphonique des résultats le 16.04.2019 au secteur ambulatoire des urgences. Traitement symptomatique. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examen clinique Laboratoire : Trop H0 18 et H1 à 26 ng/l ECG initial : sous décalages en V3-4-5 (normalisés une fois fréquence ralentie) Aux urgences: • Manoeuvre vagales • Brevibloc 40'000 mcg • Krénosine 6 puis 12 mg iv • Cardioversion spontanée • Beloc zok 50 mg po (Sotalol non disponible) Consilium cardio Hospitalisation en médecine Réévaluation du ttt Mr. Y avait rdv en cardiologie le 04.04 à 16h pour un test d'effort Examen clinique. Laboratoire amené par la patiente cf examens complémentaires. Hydratation 1000 ml NaCl 0.9 %. Sédiment urinaire : cf. annexes. Culture de selles à faire à la maison si persistance (pas de selle aux urgences). Examen clinique Laboratoire ATT: • Hydratation • Suivi poids • Réintroduction du Torem si prise de 1 kg Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Contrôle chez le Dr. X, urologue, pris par son médecin traitant pour le 03.04.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. CT-scanner abdominal : décrit ci-dessous. Morphine 20 mg. Antalgie par AINS, Dafalgan et Tramal. Filtre pour les urines. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. CT-scanner cérébral natif : décrit ci-dessous. Antalgie aux urgences. Antalgie par Dafalgan/Irfen à domicile. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans la semaine. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Hémocultures : cf annexe. Avis du Dr. X, chirurgien. Désinfection et champagne. Anesthésie locale par Rapidocaïne/Bicarbonate. Incision transversale de 3 cm et drainage. Rinçage abondant au NaCl et Betadine à l'aiguille boutonnée. Pansement absorbant. Contrôle à la policlinique de chirurgie le 02.04.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Hydratation. Imodium, Dafalgan et Irfen. Retour à domicile. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Mr. Y vu par le Dr. X : pas d'indication à hospitaliser le patient. Surveillance neurologique à domicile par la maman. Arrêt d'école du 29.04 au 30.04. Antalgie simple. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Primperan en R. Dafalgan. Conseils diététiques. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du coude droit : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste de garde : à jeun depuis minuit et bursectomie le matin du 06.04. Consentement signé (dans le dossier), site marqué, annonce BO dans le dossier. Lit réservé à l'étage F où Mr. Y se présentera à 8h00. ECG préopératoire fait. Mr. Y à jeun depuis minuit, peut prendre son traitement pour hypertension artérielle et un éventuel AINS si douleurs avec peu d'eau. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, radiologue. Antalgie. Arrêt de travail du 28.04 au 30.04.2019. Physiothérapie respiratoire avec Inspirex. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Pantozol pour une semaine. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. ECG : cf. annexe. Surveillance cardiaque aux urgences. Reconsultation aux urgences en cas de récidive des symptômes. Suivi clinique rapproché chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Rappel vaccin antitétanique. Radiographie du pied gauche : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X. Antibiothérapie IV par Co-Amoxicilline 2.2 g. Contrôle clinique en filière des urgences ambulatoires le 18.04 à 10h pour un contrôle clinico-biologique et une nouvelle dose d'antibiothérapie IV. Contacter les orthopédistes pour qu'ils évaluent la plaie. Antibiothérapie par céphalosporine 1ère ou 2ème génération. Examen clinique, Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. ECG : cf annexe. ECG à 12h du traumatisme : cf annexe. CT-scanner cérébro-cervical, thoraco-abdominal : décrit ci-dessous. Surveillance clinique de 12h aux urgences. Test de Shellong : négatif. Retour à domicile avec un traitement antalgique et anti-inflammatoire de réserve. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. Motilium 10 mg. Primpéran 10 mg. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. Test de grossesse urinaire : négatif. Avis du Dr. X, chirurgien. Ultrason abdominal : décrit ci-dessous. Contrôle gynécologique. Si exacerbation des douleurs se représenter aux urgences. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. Traitement symptomatique. Conseils d'hygiène de vie. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. Ultrason abdominal : décrit ci-dessous. Voltaren et Buscopan aux urgences. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 25.04 à 10h00. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. Urotube : cf annexe. CT-scanner abdominal : décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien de garde : traitement conservateur, contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires à 11h00. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. Urotube : cf annexe. Rocéphine 2 g le 17.04.2019 puis poursuite par Ciproxine 2 x 500 mg durant 7 jours. Contrôle clinique en filière des urgences ambulatoires à 48h avec remise des résultats de l'urotube. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Ultrason abdominal : décrit ci-dessous. Traitement par Ciproxine 500 mg per os 2x/jour, Flagyl 500 mg per os 2x/jour pendant 10 jours et antalgie en réserve. Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Ultrason abdominal : décrit ci-dessous. Traitement symptomatique. Contrôle le 14.04 en filière des urgences ambulatoires. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Ultrason bilan des parties molles : décrit ci-dessous. Consultation chez le Dr. X. Examen clinique Laboratoire : cf annexes. Ultrason des tissus mous musculo-squelettiques. Contrôle auprès du médecin traitant dans une semaine. Si persistance de cette adénopathie biopsie à organiser par son médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire. Cf. annexes. Anticoagulation thérapeutique avec Eliquis 10 mg 2x/jour pour 1 semaine puis 5 mg 2x/jour pour 12 semaines. US doppler par les angiologues mercredi 24.04.2019. En cas de mauvaise évolution avec apparition de frissons et de fièvre, Mr. Y est censé consulter les urgences rapidement pour débuter une antibiothérapie. Examen clinique. Laboratoire. Cf. annexes. Avis Dr. X. US abdominal et cicatriciel le 13.04.2019 à 09:00. Contrôle clinique à la FUA le 13.04.2019 à 10:00, prendre contact avec le Dr. X en fonction du résultat de l'US. Antalgie par AINS et Dafalgan. Examen clinique. Laboratoire. Cf. annexes. Avis Dr. X. Sera recontactée pour un examen radiologique, questionnaire IRM reçu. Examen clinique Laboratoire : CRP 183, leuco à 12.8 Urines Rx thorax Hémocultures 2 paires à chaud Avis gynécologique Co-Amoxicilline 2.2g iv 1000 ml NaCl 0.9% Hospitalisation en gynécologie pour suite de prise en charge. Examen clinique. Laboratoire : CRP <5 mg/l, VS 2 mm/h. Avis neurologique (Dr. X). Essai thérapeutique à Tegretol 200 mg/jour. En cas d'amélioration, poursuite du traitement pendant 2 semaines et puis diminuer la dose à 100 mg/jour pour 5 jours puis arrêter. En cas de non-amélioration après 5 jours, majorer à 2x200 mg/jour pour 2 semaines et puis diminuer de 100 mg tous les 5 jours.Evaluations de l'infiltration du grand occipital selon l'évolution. Examen clinique. Laboratoire : CRP 7 mg/l, Lc 2.2 G/l, pas d'agranulocytose. Hémocultures : à pister. Urine : propre. Rx thorax : pas de foyer, pas d'épanchement. Consultation le 18.04.209 avec prise de sang à 8h30. Examen clinique. Laboratoire dans la norme. Schellong : cliniquement significatif sans symptomatologie. Temesta 0.5 mg aux urgences. Recommandation de consulter en cas de persistance de la symptomatologie, trouble neurologique nouveau. Suite de prise en charge chez le médecin traitant avec proposition d'instaurer un traitement somnifère anxiolytique. Examen clinique. Laboratoire de contrôle : cf. annexes. Rocéphine 2 g iv le 09.04.2019 puis Ciproxine 500 mg bid jusqu'au 07.04.2019. Urotube : E. Coli sensible à la Ciprofloxacine. Examen clinique. Laboratoire de contrôle du 29.04.2019 : Urotube : à pister. Cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien : contrôle clinico-biologique chez le médecin traitant en fin de semaine et réévaluer si indication à faire un ultrason à 1 semaine si calcul non expulsé. Poursuite du traitement par AINS, Dafalgan et Pradif. Poursuite du filtrage des urines. Contrôle clinico-biologique chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire du 14.04.2019, avec explication donnée par le médecin. Attitude. Repos. Antalgie. Mme. Y est instruite des symptômes de gravité nécessitant une reconsultation en urgences. Examen clinique. Laboratoire du 28.04.2019 : pas de syndrome inflammatoire, perturbations des tests hépatiques stables en comparaison avec le dernier laboratoire. CT-scan abdominal du 28.04.2019 : iléus mécanique avec saut de calibre en flanc gauche. Dilatation de l'estomac. Avis chirurgical (Dr. X) : ad CT-scan abdominal et hosp en chirurgie pour suite de prise en charge. Hospitalisation en chirurgie (Dr. X) Sonde nasogastrique posée aux urgences. Examen clinique. Laboratoire effectué à l'Inselspital : CRP à 8 mg/L, leucocytes 4.31 G/l, pas de trouble électrolytique, tests hépatiques dans la norme. Attitude : • Retour à domicile avec réassurance. Examen clinique. Laboratoire et sédiment urinaire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. CT-scan thoraco-abdominal : décrit ci-dessous. Retour à domicile avec antalgie. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire. Gazométrie. Taux de Lacosamide en cours. Examen clinique. Laboratoire : Leuco 12.7 G/L, CRP 50 mg/L, tests hépato-pancréatiques dans les normes (ASAT 15 U/L, ALAT 17 U/L, Gamma-GT 33 U/L, PAL 98 U/L, Bili tot 13.9 umol/L, bili direct 6.6 umol/L, lipase 29 U/L), Hb 144 g/L, créat 53 umol/L, Na+ 138 mmol/L, K+ 3.7 mmol/L. Cf. annexes. Test de grossesse : négatif. Consultation à la filière des urgences ambulatoires le 13.04.2019 avec contrôle biologique et US abdominal à 10h30. Majoration du traitement IPP avec Nexium 40 mg 2x/j pour 1 semaine, puis 1x/j le matin. Riopan 3x/24h avant les repas. Conseils hygiéno-diététiques. En cas d'US ne retrouvant pas de calculs biliaires, consultation chez le médecin traitant pour organiser à distance la recherche d'HP +/- une gastroscopie. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire. Antibiothérapie par Rocéphine 2 g intraveineux et Metronidazole 500 mg 3x/jour en intraveineux. Poursuite de la mise en pause de l'aspirine cardio 100 mg selon indication du médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire. ASP. Freka clis aux urgences. Practomill aux urgences. Macrogol et Laxoberon. Hospitalisation pour prise en charge multidisciplinaire. • Introduire les oncologues. • Antalgie. Prochain contrôle chez le Dr. X le 16.04.2019 après CT sacrum le 03.04, SPECT CT le 04.04. Examen clinique. Laboratoire. Avis chirurgical (Dr. X). Pas d'incision, surveillance clinique à 48h. Suivi clinique à 48h en F34 avec suivi clinique et biologique, reconsulter si péjoration ou symptômes systémiques. Examen clinique. Laboratoire. Avis neurologique (Dr. X) : suspicion de Guillain-Barré. Prévoir EMG, PL selon protocole, introduction de Lyrica, hospitalisation pour début des investigations et gestion des symptômes. Attitude : • Échec de la PL aux urgences (Dr. X/Dr. X), s/p opération du canal rachidien avec fibrose importante, discuter d'une PL sous US/scopie par les anesthésistes. • Lyrica 75 mg 2x/j dès le 14.04.2019. • ENMG demandé. • Hospitalisation en médecine pour investigation et gestion des symptômes. Examen clinique. Laboratoire. Avis psychiatrique (Dr. X) : proposition de consultation au CCA semaine prochaine avec en attendant Temesta 0.5 mg 2x/jour en attente de prise en charge au CCA. Temesta 12 mg donné au patient avec informations, conseils et précaution. Recommandation de consulter si douleurs intenses, trouble convulsif. Examen clinique. Laboratoire : CRP de 45 à 66, normalisation des leucocytes. Urines stix et sédiment. Radiographie thorax. Dafalgan 500 mg. Irfen 400 mg. Examen clinique. Laboratoire. ECG. Avis cardiologique (Dr. X). Aspegic 250 mg iv aux urgences. Attente de coronarographie (date indéterminée). Hospitalisation aux SI. Examen clinique. Laboratoire. ECG. CT thoracique (transmission orale Dr. X) : EP massive avec thrombus dans l'art lobaire D et extension dans les 3 lobes et thrombus à G dans l'art segmentaire, lingulaire et en base G. Plusieurs zones d'infarcissement pulm ddc. Pas d'épanchement pleural, répercussion cardiaque avec aplatissement du septum interventriculaire. Avis cardiologique (Dr. X) : pas d'indication à une ETT. À effectuer si instabilité hémodynamique. Hospitalisation à Riaz en médecine. Clexane 80 mg 2x/j (première injection le 11.04 à 16h). Examen clinique. Laboratoire. ECG. CT time is brain. Avis neurologique (Dr. X) : lyse. Lyse débutée à 6h40. Hospitalisation en lit monitoré. Examen clinique. Laboratoire. ECG. Pantoprazole et Alucol avec bonne réponse. Retour à domicile avec Pantoprazole test d'épreuve pour 1 mois, suite de prise en charge chez son médecin traitant. Mr. Y est instruit des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Examen clinique. Laboratoire. ECG. Stix, sédiment et culture d'urines. Rocéphine 2 g intraveineuse aux urgences (1 dose reçue) relayée par Bactrim par voie orale du 03.04.2019 au 06.04.2019. Examen clinique. Laboratoire. Hémocultures à froid. ECG. Gazométrie. Rx thorax. CT thoracique. Prednisone 50 mg à réévaluer selon tolérance de la patiente (notion de mauvaise tolérance). Atrovent et Ventolin aux urgences. Physiothérapie resp. Hospitalisation en médecine. Examen clinique. Laboratoire. Pantozol 40 mg pour 1 mois. Conseil d'arrêter les AINS. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire. Radiographies des genoux droit et gauche. Radiographie de la cheville gauche. Hospitalisation en gériatrie aiguë pour soins impossibles à domicile. Physiothérapie. Examen clinique. Laboratoire. Sédiment urinaire. Hémocultures du 13.04 à pister. Urotube à pister. Rocéphine 2 g iv du 14.04 au ___. Examen clinique. Laboratoire. Selles. Avis chirurgical (Dr. X) : Ad hosp, hydratation, à jeun, US abdominale et CT scan à 48h, antalgie, contrôle biologique à 48h. Hospitalisation. Examen clinique. Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. Dépistage MST : gonocoque, chlamydia, HIV à pister. Contrôle clinique secteur ambulatoire des urgences à 4 jours. Contrôle des résultats PCR. Examen clinique. Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. Test de grossesse négatif. Hydratation 1000 ml NaCl 0.9 %. Primpéran 10 mg iv. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Certificat médical. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examen clinique. Laboratoire. Stix/sédiment urinaire. Antalgie. Certificat médical. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examen clinique. Laboratoire. Suivi biologique. Examen clinique. Laboratoire.Traitement symptomatique par corticoïde, majoration du Tramal et Colchicine. Examen clinique. Laboratoire. Zomig nasal aux urgences. Retour à domicile avec Zomig et Tramal en réserve. Contrôle clinique au secteur ambulatoire des urgences à 24h. Examen clinique. Lactulose 15 ml. Examen clinique. Laxatifs. Contrôle clinique chez le médecin traitant en cas de persistance. Examen clinique. Mèche enlevée. Rinçage avec Bétadine. Pansement avec Jelonet. Antalgie à domicile. Contrôle en policlinique d'orthopédie mardi 09.04.2019. Examen clinique. Minerve en mousse. Retour à domicile avec anti-inflammatoire et myorelaxant. Examen clinique. Mis en place de la sonde par le Dr. X, chirurgien. Radiographie de contrôle avec le produit de contraste : décrite ci-dessous. Pansement stérile. Retour à domicile. Examen clinique. Morphine goutte 10 mg aux urgences. Proposition de réaliser une IRM si persistance de la symptomatologie à la fin de la physiothérapie. Ordonnance pour antalgie simple et Sirdalud et Tramal. Arrêt de travail pour 3 jours. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique Morphine i.v. 7 mg aux urgences Voltaren 75 mg Laboratoire Adaptation de l'antalgie Hospitalisation à but antalgique (la patiente a rendez-vous en rhumatologie mardi à Fribourg) Examen clinique. Morphine per os titrée. Retour à domicile avec Tramal. Examen clinique. Motilium, Dafalgan aux urgences. CT-scanner cérébral : décrit ci-dessous. Antalgie. Feuille de surveillances des signes neurologiques post-traumatisme crânien. Arrêt de travail. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Nettoyage et désinfection de la plaie. Ablation de 2 fils. Patient informé de reconsulter si signe infectieux ou inflammatoire. Examen clinique. Nexium 40 mg IV et Ulcar 2 sachets. Traitement avec Pantozol 40 mg 1x/jour pour 3 semaines et Riopan en réserve. Recherche d'H. Pylori dans les selles 2 semaines après l'arrêt des IPP. Examen clinique. Oxycontin 10 mg aux urgences. Traitement à domicile avec Oxycontin 10 mg d'office et Oxynorm en réserve comme prescrit par le service de rhumatologie. Suivi en rhumatologie à Fribourg. Examen clinique. Pantozol et Alucol avec bonne réponse. Pantoprazol pour 1 mois. Réévaluation chez le médecin traitant. Examen clinique. Paracétamol 1g et Brufen 400 mg et 1mg de Sirdalud reçu aux urgences. Radiographies dorso-lombaires : décrites ci-dessous. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal irrégulier, espace PR de 152 ms, QRS fins normo-axé, troubles de dépolarisation en V2. Laboratoire : cf. annexes. Aligné, paramètres hépatiques alignés. Sédiment urinaire : cf. annexes. Propre, pas d'érythrocytes. Avis chirurgical du Dr. X : ultrason abdominal pas indiqué. Ordonnance pour antalgie simple et Sirdalud. Contrôle chez le médecin traitant en milieu de semaine. Arrêt de travail du 06.04 au 09.04.2019. Examen clinique. Paramètres avec : hypertension 200/90mmHg, il reçoit de l'Adalat retard 30mg, stabilisation tensionnelle. Consilium psychiatrique. Afin de mettre le patient à l'abri de ses agissements auto-dommageables, nous procédons à un transfert au RFSM de Marsens, sous PAFA. Départ en ambulance. Examen clinique. Patient de 48 ans, qui rentre à domicile avec le traitement par Nexium, Dafalgan, Brufen, Sirdalud et Tramal pendant 5 jours. Arrêt du travail pendant 5 jours. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 5 jours. Examen clinique. Patient qui rentre à domicile avec un traitement par Nasonex et Rhinomer, Brufen. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 3-5 jours. Examen clinique. Patient vu par le Dr. X, de médecine interne. AINS. Bonne hydratation et mastication. Examen clinique. Patient vue par la Dr. X. traitement avec Quétiapine 12.5 mg le soir. Suivi en ambulatoire à partir de demain. Examen clinique. Peak Flow : 77% de la VP. Aérosols : Atrovent Ventolin. Peak Flow de contrôle post aérosols : 81% de la VP. Score Kline 0. Appel Tox Zentrum : pas de risque particulier en dehors d'une irritation bronchique. Retour à domicile et consultation chez le médecin traitant si non amélioration. Examen clinique. Photographies comparatives (mises dans Synedra). Désinfection de plaie au Prontosan. Réfection de pansement : pansement avec 5 compresses 10 x 10 cm, 1 compresse ultra absorbante (Dakin), Mefix. Protocole de pansement et recommandation de consulter en cas d'état fébrile, frisson. Feuille d'information donnée au patient. Prescription de pansements. Appel téléphonique avec infirmière du Torry et directeur du Torry : retour au Torry avec désinfection de plaie par le patient avec instruction de reconsulter en cas d'état fébrile/frisson. Feuille d'information donnée. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique. Physiothérapie 9 séances. Contrôle chez le médecin traitant. Antalgie simple. Arrêt de travail pour le 30.04.2019 avec conseil de regarder pour effectuer plus de travail de bureau. Examen clinique. Poursuite de la Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour durant 7 jours. Critères de reconsultation transmis au patient. Examen clinique. Poursuite des gouttes en cours. Contrôle chez le pédiatre. Consultation avant si péjoration. Examen clinique Poursuite du traitement mis en place le 22.04.2019. Suivi chez le médecin traitant avec rendez-vous le 29.04.2019. Examen clinique. Prednison 60mg 1x/24 heures durant une semaine puis schéma dégressifs. Valtrex comprimé 1g 3x/24 heures durant une semaine. Lacrinorm et vitamine A, et pansement occlusif à l'œil gauche. Contrôle clinique dans une semaine auprès du médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Prescription de Fucicort et anti-histaminique. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examen clinique. Primpéran, Zomig aux urgences : amélioration des douleurs. La patiente rentre à domicile avec le traitement en réserve par Brufen, Primpéran et Zomig. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Antalgie en réserve. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, de médecine interne : traitement conservateur. Glace, repos. Antalgie simple déjà à domicile. Arrêt de sport pour 1 semaine. Suite du traitement chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Avis orthopédique (Dr. X). Plâtre antébrachial fendu, bretelle. Radiographie post-plâtre : décrite ci-dessous. Surélévation du membre autant que possible. Rendez-vous en policlinique d'orthopédie à 1 semaine. Arrêt de travail pour 1 semaine. Antalgie simple. Pas de conduite de véhicule. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Immobilisation par plâtre gantlet. Radiographie de contrôle post-plâtre : décrite ci-dessous. Antalgie par AINS et Dafalgan. Contrôle clinique à policlinique d'orthopédie dans une semaine le 07.05.2019 à 14h00. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Stix urinaire : négatif. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X, orthopédiste. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Arrêt de travail pour 1 semaine. Pas d'effort. Patient informé le 07.04.2019 après le colloque d'orthopédie qu'il n'y avait pas de fracture. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Vaccin anti-tétanique fait le 29.04.2019. Désinfection par Bétadine et pansement simple. Contrôle chez le médecin traitant si nécessaire. Examen clinique. Radiographie : pas de fractures. Examen clinique. Radiographie articulation sterno-claviculaire droite. CT articulation sterno-claviculaire droite. Avis orthopédique (Dr. X) : pas de lésion de la coiffe, mais suspicion de luxation antérieure de l'articulation sterno-claviculaire droite.• Bretelle et antalgie. • Limitation de la mobilisation en flexion et abduction à 90°, pas de rotation externe. • Pas de sport pour 6 semaines. • Rendez-vous à la consultation en ortho-urgences à 7 jours. Examen clinique. Radiographie avec incidence scaphoïde : décrite ci-dessous. Plâtre antébrachial avec pouce fendu sur le bord ulnaire, bretelle. Radiographie post-plâtre : décrite ci-dessous. Arrêt de travail pour 1 semaine (stage). Arrêt de sport pour la semaine d'après. Antalgie simple. Contrôle en policlinique le 07.05.2019 l'après-midi puis CT-scan à effectuer selon la clinique. Mme. Y téléphonera en policlinique. CT-scan organisé le 08.05.2019, seule date possible pour Mme. Y, à 13h00. Examen clinique. Radiographie de contrôle : décrite ci-dessous. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Attelle Aircast avec charge possible. Antalgie simple. Repos. Surélévation du membre. Arrêt de travail pour 1 semaine. Contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine pour suite de prise en charge avec physiothérapie. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Attelle Aircast pour 6 semaines. Arrêt de sport. AINS, Dafalgan. Contrôle à la policlinique d'orthopédie pour évolution clinique de douleurs de la cheville et Chopart. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Bande élastique, antalgie, AINS, marche en charge. Protocole RICE. Contrôle chez le médecin traitant à J7. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Protocole RICE, antalgie, AINS, bande élastique. Contrôle chez le médecin traitant à J7. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite : détaillée ci-dessous. Antalgie à domicile, glace, repos. Attelle Aircast et cannes anglaises pour le confort. Marche en charge selon les douleurs. Suivi chez le pédiatre. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Attelle jambière postérieure. Radiographie post-plâtre de la cheville gauche : décrite ci-dessous. Pas de charge. Clexane 40 mg. Cannes, antalgie. Contrôle chez le Dr. X dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Laboratoire : cf annexes. Avis du Dr. X. Désinfection et ablation de trompe d'insecte. Pansement par tulle bétadinée, compresse et Mefix. Marche en charge. Antalgie, AINS, Aerius pour 5 jours. Contrôle chez le médecin traitant le 29.04. Examen clinique. Radiographie de la cheville et du pied gauche : détaillée ci-dessous. Immobilisation par une attelle plâtrée de la jambe postérieure. Radiographie de la cheville gauche post-plâtre : détaillée ci-dessous. Béquilles. Anti-inflammatoires non-stéroïdiens et Dafalgan pour antalgie en réserve. Clexane prophylactique. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie de la cheville et pied droit : décrite ci-dessous. Attelle SplintPod en décharge 3 semaines. Cannes anglaises. Clexane 40 mg. Antalgie. Certificat pour arrêt du travail. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie de la cheville gauche : cf. annexes. SplintPod, Clexane, cannes et contrôle à la policlinique d'orthopédie le 30.04.2019. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie de la cheville gauche : décrite ci-dessous. Attelle Aircast durant 6 semaines. Antalgie simple. Arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Examen clinique. Radiographie de la cheville. Immobilisation par attelle Aircast pendant 6 semaines. Antalgie simple. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie de la colonne lombaire, du bassin et de la hanche : détaillé ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Antalgies et Sirdalud. Physiothérapie. Suivi chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie de la colonne lombaire et sacrum : décrite ci-dessous. Antalgie simple à la demande. Arrêt de travail 48h. Suite chez le médecin traitant si persistance des douleurs. Examen clinique. Radiographie de la colonne lombo-sacrée. Antalgies standard. Examen clinique. Radiographie de la Dresse Dombrovski : déplacement de la fracture de la malléole externe. Radiographie en charge aux urgences : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, du service d'orthopédie. Attelle Aircast sport à poursuivre. Charge selon douleurs. Arrêt de travail pour 2 semaines à réévaluer (Mr. Y essaiera d'organiser un temps partiel de bureau et recontactera son médecin traitant à 2 semaines). Pas de physiothérapie pour l'instant. Consultation chez le Dr. X, orthopédiste (Mr. Y rappelé après le colloque du 01.05.2019). Examen clinique. Radiographie de la jambe droite : détaillée ci-dessous. Antalgies à domicile. Suivi chez le pédiatre. Examen clinique. Radiographie de la jambe face/profil : décrite ci-dessous. Examen clinique. Radiographie de la main droite : décrite ci-dessous. Plâtre selon Edimbourg. Radiographie post-plâtre : décrite ci-dessous. Algifor sirop. Contrôle en policlinique d'orthopédie à J7. Examen clinique. Radiographie de la main droite : détaillée ci-dessous. Anti-inflammatoires non-stéroïdiens, Dafalgan. Repos. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 3 jours. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie de la main droite : décrite ci-dessous. Attelle Edimbourg. Organisation de la prise en charge chirurgicale avec une hospitalisation à l'Hôpital de jour de l'HFR Riaz. Examen clinique. Radiographie de la main droite et poignet droit : décrite ci-dessous. Attelle Edimbourg. Antalgie, AINS. Contrôle policlinique d'orthopédie à J1 le 01.04.2019. Examen clinique. Radiographie de la main gauche : décrite ci-dessous. Antalgie, AINS aux urgences. Contrôle chez le médecin traitant à une semaine. Examen clinique. Radiographie de la main gauche : détaillée ci-dessous. Radiographie du 2ème doigt de la main gauche : détaillée ci-dessous. Syndactylie, antalgie, contrôle chez pédiatre le 29.05.2019. Examen clinique. Radiographie de la main gauche : décrite ci-dessous. Antalgie. Syndactylie. Repos. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie de la main gauche et du 4ème doigt : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Immobilisation dans une attelle Edimbourg. Anti-inflammatoires et antalgie de réserve. Contrôle radio-clinique à 1 semaine à la consultation du Dr. X. Examen clinique. Radiographie de la main gauche. Anti-tétanos à jour. Désinfection et pansement de la 2ème phalange du 3ème doigt. Désinfection, anesthésie, exploration de plaie (pas de lésion FDP et bandelette ulnaire FSD, pas de lésion de nerf visualisée), rinçage par NaCl 40ml, suture par Ethilon 4-0, pansement simple épais. Antalgie. Réfection du pansement le 26.04.2019 à la policlinique d'orthopédie. Ablation des fils dans 2 semaines chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie de la main gauche. Avis orthopédique du Dr. X. Attelle Edimbourg et écharpe pour 4 semaines. Rendez-vous à la consultation Dr. X le 12.04.2019. Antalgie avec Ponstan 500 mg 2x/jour, Dafalgan 1g 4x/jour et Sportusal gel 3x/jour. Mr. Y ne peut pas conduire, arrêt du travail jusqu'à la consultation avec Dr. X. Examen clinique. Radiographie de l'annulaire droit : décrite ci-dessous. Antalgie avec glace, Voltaren 75 mg et Dafalgan 1g. Examen clinique. Radiographie de l'avant-pied gauche : décrite ci-dessous. Rappel anti-tétanos fait aux urgences. Dermo-abrasions : désinfection et pansement. Antalgie. Désinfection des dermo-abrasions par Mme. Y. Contrôle chez le médecin traitant selon besoin. Le 25.04.2019, patiente appelée par le Dr. X après le colloque du matin : la patiente présente des douleurs intenses, revient en filière des urgences ambulatoires le 25.04 pour une radiographie de la cheville gauche et contrôle. Examen clinique. Radiographie de l'épaule droite et de la clavicule droite : détaillée ci-dessous. Radiographie du thorax : détaillée ci-dessous. Bretelle antalgique. Anti-inflammatoires non-stéroïdiens, Dafalgan. Rendez-vous à une semaine à la policlinique d'orthopédie. Examen clinique. Radiographie de l'épaule droite face/Neer : décrite ci-dessous. Antalgie par Algifor. Examen clinique. Radiographie de l'épaule face/Neer : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Antalgie. Gilet orthopédique à but antalgique (le patient l'a à la maison). Rendez-vous à la consultation du Dr. X mercredi 10.04.2019 à 07h15. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie de l'épaule gauche : décrite ci-dessous. Antalgie par AINS, Dafalgan. Bretelle antalgique. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie de l'épaule gauche : décrite ci-dessous. Antalgie par AINS, Dafalgan. Bretelle antalgique. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie de l'épaule gauche : décrite ci-dessous. AINS, Dafalgan. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie de l'épaule gauche et des articulations acromio-claviculaires : décrite ci-dessous. Immobilisation par gilet orthopédique dans le but antalgique. Antalgie par Dafalgan et Brufen en réserve. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie de main et poignet droit : décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X. CT-scan : décrit ci-dessous. Radiographie de contrôle post-plâtre : décrite ci-dessous. Plâtre antébrachial pour 6 semaines (sans le pouce) et bretelle. Contrôle à la policlinique d'orthopédie à 1 semaine pour plâtre circulaire. Arrêt de travail pour 1 semaine. Pas de conduite possible. Examen clinique. Radiographie des poignets : décrite ci-dessous. Antalgie à domicile. Attelle poignet droit pour confort. Suivi le 26.04.2019 en orthopédie à Fribourg comme prévu. Retour au RFSM de Marsens avec le transporteur. Examen clinique. Radiographie des 3ème et 4ème doigts à gauche : décrite ci-dessous. Rappel du vaccin anti-tétanos. Antalgie AINS, Dafalgan. Arrêt de travail. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie dorsale. CT dorsal : pas de fracture, pas de pneumothorax. Recommandation de consulter en cas de trouble neurologique, dyspnée. Antalgie. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du bras droit : détaillée ci-dessous. Radiographie du bras droit post-plâtre : détaillée ci-dessous. Bilan biologique : cf. annexes. Stix urinaires : cf. annexes. Antalgie, arrêt de sport pour 6 semaines, contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du bras gauche : détaillée ci-dessous. Radiographie du bras gauche post-plâtre : détaillée ci-dessous. Antalgie, bretelle, arrêt de sport pour 6 semaines, contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du calcanéum gauche : décrite ci-dessous. Traitement anti-inflammatoire avec Voltaren 75 mg 2x/jour, Sportusal gel et Dafalgan en réserve. Certificat d'arrêt de travail pour 3 jours. Suivi en physiothérapie. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du coude droit : décrite ci-dessous. Antalgie à domicile. Arrêt de travail pour 2 jours. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du coude droit : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X. Attelle postérieure BAB plâtrée. Radiographie de contrôle post-plâtre : décrite ci-dessous. Rendez-vous en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Téléphone le 03.04.2019 pour contrôle le 03.04.2019 en raison d'une suspicion de manque d'immobilisation de la patiente. Examen clinique. Radiographie du coude droit : détaillée ci-dessous. Antalgie en réserve. Examen clinique. Radiographie du coude gauche : décrite ci-dessous. Antalgie par AINS, Dafalgan. Bretelle antalgique. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du coude gauche : détaillée ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Bandage écossais. Contrôle clinique en policlinique d'orthopédie. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du coude gauche : pas de fracture visualisée. Antalgie simple. Arrêt maladie. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile, frisson, trouble neurologique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du coude gauche : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Antalgie. Bretelle à but antalgique. Contrôle à 7 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du coude. Radiographie de la main. Avis orthopédique (Dr. X) : fracture clinique, non visualisée sur la radiographie, traitement conservateur. • Attelle gouttière. • Contrôle en ortho-urgence à 1 semaine. • Traitement antalgique. Examen clinique. Radiographie du doigt : pas de fracture. Retour à domicile avec antalgie simple. Conseils donnés au patient, reconsultera en cas de péjoration clinique. Examen clinique. Radiographie du doigt face/profil : décrite ci-dessous. Retour à domicile avec antalgie. Contrôle chez le médecin traitant à 7 jours. Examen clinique. Radiographie du genou : décrite ci-dessous. Attelles Jeans, cannes anglaises. Clexane. Antalgie. Arrêt de travail. Contrôle à la consultation du Dr. X à J7. Examen clinique. Radiographie du genou : décrite ci-dessous. Antalgie en réserve. Immobilisation par attelle Jeans jusqu'au contrôle. Clexane prophylactique. Contrôle à la consultation du Dr. X le 29.04.2019. Examen clinique. Radiographie du genou droit : décrite ci-dessous. Bande élastique à but antalgique. Antalgie simple. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du genou droit : décrite ci-dessous. Bande élastique, antalgie, AINS, arrêt de sport. Contrôle chez son médecin traitant dans une semaine. Examen clinique. Radiographie du genou droit : détaillée ci-dessous. Désinfection avec Hibidil, pansement stérile. Antalgie en réserve. Examen clinique. Radiographie du genou droit : pas de fracture visible. Antalgie par Dafalgan et Irfen. Conseil d'appliquer de la glace. Examen clinique. Radiographie du genou droit face/profil et axial des rotules : décrite ci-dessous. Examen clinique. Radiographie du genou droit. Bande élastique. Antalgie par AINS, Dafalgan. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du genou gauche : détaillée ci-dessous. Attelle Jeans au genou gauche à 0°, cannes anglaises, Clexane 40 mg. Antalgies. Suivi chez un orthopédiste à Lausanne dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du genou gauche : détaillée ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Avis du Dr. X, radiologiste. Antalgie, bandage antalgique. La famille sera recontactée pour la communication de la date de rendez-vous chez un chirurgien orthopédique. Examen clinique. Radiographie du genou gauche : détaillée ci-dessous. Bande élastique, application de glace, antalgie simple, repos pour une semaine. Suivi chez le médecin traitant si persistance des douleurs. Examen clinique. Radiographie du genou gauche : détaillée ci-dessous. Déjà traité par attelle Jeans. Antalgie anti-inflammatoires non-stéroïdiens, Dafalgan. Rendez-vous à une semaine à la polyclinique d'orthopédie. Examen clinique. Radiographie du genou gauche : décrite ci-dessous. Antalgie simple. Examen clinique. Radiographie du genou gauche : décrite ci-dessous. Traitement symptomatique par attelle Jeans et cannes. Traitement prophylactique par Clexane 40 mg.Rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X dans une semaine. Examen clinique. Radiographie du genou gauche face, profil et axiale de rotule : décrite ci-dessous. Immobilisation par attelle Jeans et prophylaxie par Clexane. Antalgie simple par Dafalgan et Irfen. Arrêt de travail une semaine. Prise en charge à la consultation du Dr. X, orthopédiste, dans une semaine. Examen clinique. Radiographie du gros orteil du pied gauche : décrite ci-dessous. Laboratoire sanguin : cf. annexes. Chaussure de Barouk avec cannes anglaises pour marche en charge au seuil de la douleur. Rendez-vous en policlinique d'orthopédie le 12.04.2019 à 14h avec IRM à 11h30 du pied (avis du colloque du matin). Arrêt de travail donné au patient. Examen clinique. Radiographie du gros orteil du pied gauche : décrite ci-dessous. Ongle percé. Pansement. Traitement anti-inflammatoire avec Voltaren 75 mg pour 5 jours. Arrêt de travail pour 2 jours. Suivi chez le médecin traitant dans 2 jours. Examen clinique. Radiographie du pied : décrite ci-dessous. Attelle jambière postérieure. Radiographie de contrôle post-plâtre : décrite ci-dessous. Poursuite des cannes anglaises avec décharge complète. Pas de Clexane en raison d'une absence de puberté. Contrôle à 1 semaine en policlinique (contrôle pour genou également). Examen clinique. Radiographie du pied droit : décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X. Cannes anglaises, chaussures Barouk. Antalgie par AINS, Dafalgan et sportusal Emgel. Contrôle à 10 jours chez son médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du pied droit : décrite ci-dessous. Attelle jambière postérieure en décharge. Cannes anglaises. Clexane 40 mg. Antalgie. Certificat d'arrêt du travail. Suivi en policlinique orthopédique dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du pied droit : décrite ci-dessous. Bande élastique. Antalgie. Arrêt du sport pour 1 semaine. Suivi chez le pédiatre traitant. Examen clinique. Radiographie du pied gauche : cf. annexes. Antalgie, VacoPed pour marche en charge, cannes, Cléxane, contrôle à la policlinique d'orthopédie le 27.04.2019. Rendez-vous en policlinique d'orthopédie à 1 semaine. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du pied gauche : décrite ci-dessous. Antalgie simple. Arrêt de travail pour 3 jours au vu d'un métier physique et des douleurs du pied. Bande élastique à but antalgique. Repos et glace. Contrôle chez médecin traitant le 06.05.2019 si persistance des douleurs. Examen clinique. Radiographie du pied gauche : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Bande élastique. Suivi chez le pédiatre traitant. Examen clinique. Radiographie du pied gauche : décrite ci-dessous. Bande élastique et antalgie. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du pied gauche : détaillées ci-dessous. Bande élastique et antalgie à domicile. Suivi chez le pédiatre. Examen clinique. Radiographie du pied gauche : décrite ci-dessous. Antalgie. Arrêt de sport. Examen clinique. Radiographie du pied gauche : décrite ci-dessous. Bandage avec Voltaren gel, AINS et antalgie per os. Arrêt de sport pour 2 semaines. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine (n'a pas de médecin traitant). Examen clinique. Radiographie du pied gauche entier : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Antalgie par AINS, Dafalgan. Cannes anglaises. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du pied gauche face/profil/oblique : décrite ci-dessous. Attelle jambière postérieure plâtrée. Radiographie post-plâtre : décrite ci-dessous. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/24h. Antalgie par Dafalgan et AINS. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans une semaine. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du pied gauche face/profil/oblique : décrite ci-dessous. Retour à domicile avec bande élastique froide, antalgie simple et arrêt de sport 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du pied gauche faite en pédiatrie : décrite ci-dessous. Avis de la Dr. X. Réduction sous MEOPA sous radioscopie par Dr. X et Dr. X, orthopédistes. Radiographie de contrôle : décrite ci-dessous. Attelle syndactylie. Semelle rigide. Contrôle en policlinique d'orthopédie à 7 jours. Marche selon douleurs. Antalgie en réserve. Examen clinique. Radiographie du pied/avant-pied droit : décrite ci-dessous. Mr. Y vu par Dr. X, orthopédiste : pas de syndrome des loges. Attelle plâtrée circulaire fendue avec 3 semaines de décharges puis 3 semaines de marche. Radiographie de contrôle post-plâtre : décrite ci-dessous. Policlinique d'orthopédie le 30.04.2019 à 14h15 au vu d'un diagnostic de Salter 2 du gros orteil, première phalange, par Dr. X, orthopédiste, et d'un aspect de compression du plâtre selon Dr. X. Pas de Clexane au vu de l'absence de signe de puberté. Canne anglaises pour décharge complète. Surélévation du pied. Arrêt de sport du 29.04.2019 au 20.05.2019. Examen clinique. Radiographie du poignet droit : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. • attelle palmaire. • transférer le patient. Pas de place en pédiatrie à Fribourg. Patient transféré aux urgences de Payerne pour suite de la prise en charge, départ avec ses parents. Examen clinique. Radiographie du poignet droit : décrite ci-dessous. Plâtre antébrachial fendu. Radiographie post-plâtre. Antalgie par AINS, Dafalgan. Contrôle en policlinique orthopédique dans une semaine. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du poignet droit (effectuée chez le médecin traitant). Avis du Dr. X, orthopédiste. Plâtre BAB palmaire fendu, AB dès 2 semaines post-traumatisme. Radiographie de contrôle dans le plâtre : décrite ci-dessous. Anti-inflammatoires. Antalgie simple. Arrêt de travail. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 1 et 2 semaines. Examen clinique. Radiographie du poignet gauche : décrite ci-dessous. Avis de la Dr. X, orthopédiste. Attelle brachio-antébrachiale postérieure. Radiographie de contrôle post-plâtre : décrite ci-dessous. Le patient sera opéré jeudi 18.04.2019. Retour au foyer avec antalgie en réserve. Examen clinique. Radiographie du poignet gauche : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Attelle Velcro pour 2 semaines. AINS. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs. Examen clinique. Radiographie du pouce : décrite ci-dessous. Immobilisation par un plâtre en Gontler. Radiographie du contrôle : décrite ci-dessous. Antalgie en réserve. Contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du pouce droit : détaillée ci-dessous. Gantelet métacarpien plâtré fondu. Radiographie du pouce droit post-plâtre : détaillée ci-dessous. Arrêt de travail. Antalgie. Rendez-vous en policlinique dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Antalgie AINS, Dafalgan. Suivi chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. CT-scan abdominal et dernières côtes : décrit ci-dessous. Poursuivre l'antalgie qu'il avait à domicile : Oxycontin 10 mg 2x/jour et Oxynorm en réserve plus Brufen 400 mg en réserve. Suivi chez son médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du thorax : détaillée ci-dessous. ECG : cf. annexes. Consultation psychiatrique le 18.04.2019 chez le Dr. X à Bulle. Examen clinique. Radiographie du thorax. Laboratoire avec FSC et sérologie EBV. Dépistage HIV. Rendez-vous le 18.04 en filière 34 pour résultats et suite des investigations (rediscuter d'un CT scan, biopsie selon les résultats). Examen clinique. Radiographie du 2ème orteil gauche : décrite ci-dessous. Examen clinique. Radiographie du 3ème doigt de la main droite : décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X. Attelle palmaire. Antalgie. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 17.04.2019 au matin. Examen clinique. Radiographie du 3ème doigt de la main gauche : décrite ci-dessous. Bande élastique. Antalgie. Reconvocation le 23.04.2019 à la consultation du Dr. X, orthopédiste, pour mise en place d'une bague et examen des fléchisseurs superficiel et profond. Examen clinique. Radiographie du 4ème orteil droit : détaillée ci-dessous. Antalgie en réserve. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du 4ème orteil du pied droit : décrite ci-dessous. Antalgie, glace, repos. Examen clinique. Radiographie du 4ème orteil gauche : décrite ci-dessous. Traitement conservateur. AINS, Dafalgan. Suivi chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du 4ème orteil gauche : détaillée ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Antalgie. Contrôle à la polyclinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du 5ème doigt gauche : décrite ci-dessous. Pas d'immobilisation au vu d'un petit arrachement osseux. Suivi par le médecin traitant à distance pour un contrôle clinique. Examen clinique. Radiographie effectuée chez le médecin traitant : possible fracture d'un ostéophyte présent au niveau radial droit, arthrose traumatisée. Avis du Dr. X, orthopédiste. • Attelle Velcro du poignet droit pour 2 semaines. • Antalgie à domicile. Rendez-vous à la consultation orthopédique du Dr. X dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie genou gauche : pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X) : possible lésion du ménisque interne, Lachmann laxité avec pas de frein senti. IRM en ambulatoire : le patient sera convoqué, feuille d'information IRM et consentement fait. Suite de prise en charge team genou. Recommandation de consulter en cas de trouble neurologique. Examen clinique Radiographie le 11.04.2019 Avis orthopédique Dr. X CT genou gauche le 12.04.2019 Transfert en orthopédie HFR Fribourg pour suite de prise en charge Examen clinique. Radiographie le 30.04.2019 : décrite ci-dessous. Avis de Dr. X, orthopédiste. Radiographie post-plâtre : décrite ci-dessous. Attelle brachio-antébrachiale postérieure avec bretelle. Antalgie simple. Contrôle en policlinique à 1 semaine. Examen clinique Radiographie poignet droit Physiothérapie Ergothérapie Antalgie Ecofenac gel Examen clinique. Radiographie pré et post-plâtre : décrite ci-dessous. Plâtre de décharge, attelle jambière postérieure à but antalgique. Décharge à l'aide de cannes, antalgie, contrôle à la policlinique dans 1 semaine. Élévation du membre inférieur au repos. Arrêt de sport pour 2 semaines (jusqu'au 19.03.2019). Examen clinique Radiographie Avis Dr. X Prise en charge au bloc opératoire Examen clinique. Radiographie. Désinfection avec bain bétadiné et pansement compressif. Suite de prise en charge à 48h chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographies de l'épaule droite et des articulations acromio-claviculaires des deux côtés : décrites ci-dessous. Avis du Dr. X. Contrôle pré-opératoire fait par Dr. X. Intervention chirurgicale avec fixation par endobutton et fiber-wire le 25.04.2019 par Dr. X avec rendez-vous à l'étage d'orthopédie à 10h, à jeun depuis minuit. Retour à domicile avec écharpe et antalgie. Examen clinique. Radiographies du pied droit pré et post-plâtre : détaillées ci-dessous. Attelle postérieure et cannes et décharge (pas de Clexane, pas de signe de puberté). Arrêt de sport de 6 semaines. Antalgie (le patient possède déjà des médicaments chez lui, n'a pas besoin d'ordonnance). Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographies pré et post-plâtre du coude gauche : détaillée ci-dessous. Arrêt de sport pour 2 mois, antalgie, bretelle, contrôle clinique à la policlinique le 30.04.2019. Examen clinique. Radiographies pré et post-plâtre et radiographie en charge pré-plâtre : décrites ci-dessous. Attelle jambière postérieure, cannes, Clexane, antalgie. Avis du Dr. X, chirurgien. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographies pré et post-plâtre fendu : décrites ci-dessous. Antalgie. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiologie. Attitude : • Rinçage de la plaie. • Pansement occlusif. • Rappel tétanique. • Contrôle au secteur ambulatoire des urgences lundi 15.04.2019. Examen clinique. Rappel antitétanique. Désinfection par Bétadine. Champage. Anesthésie locale. Rinçage abondant par NaCl 0.9 % et exploration de la plaie : structures nobles non exposées. Rapprochement des berges cutanées par 3 points simples à l'Ethilon 4-0. Pansement par Adaptic puis bande élastique. Anti-inflammatoires pendant 5 jours puis antalgie de réserve. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires à 48h. Examen clinique. Rappel antitétanique. Désinfection Hibidil. Rinçage. Pansement occlusif Opsite. Bandage. Arrêt de travail 4 jours (sera prolongé si nécessaire). Contrôle policlinique d'orthopédie à 72h. Examen clinique. Réassurance. Examen clinique. Réassurance. Examen clinique. Réassurance. Examen clinique. Réassurance des parents. Surveillance d'un changement de comportement. Examen clinique. Réassurance. Arrêt de l'antibiothérapie. Poursuite de l'arrêt de travail. Examen clinique. Réassurance. Conseils d'hygiène. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Réassurance. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Réassurance. Traitement symptomatique. Critères de reconsultation expliqués au patient. Examen clinique. Réfection du plâtre. RX de contrôle : cfr ci-dessous. Selon avis orthopédique de Dr. X le 15.04.2019 : fracture clinique, non visualisée sur la radio. Traitement conservateur. Contrôle en ortho-urgence à 1 semaine. Examen clinique Remplissage NaCl 500cc x2 US abdominale Mise en place sonde cystofix CH 12 Retour à Marsens Examen clinique. Rendez-vous chez le psychiatre traitant le 04.04.2019. Examen clinique. Repos, anti-inflammatoire par Irfen, conseil de glaçage et d'étirement. Reconsultera en cas de symptômes persistants. Examen clinique. Résultat de chlamydia et gonorrhée : négatif. Examen clinique. Retour à domicile avec antalgie et bon de physiothérapie. Examen clinique. Retour à domicile avec antalgie et myorelaxant. Recommandation de reconsulter en cas de signe de gravité. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant en cas de persistance. Examen clinique. Retour à domicile avec antalgie par Dafalgan, Irfen et Sirdalud. Conseils donnés au patient et averti des symptômes devant l'amener à reconsulter. Examen clinique. Retour à domicile avec antalgie simple. Pantozol. Consultera son médecin traitant si persistance des douleurs ou nouvelle symptomatologie. Envisager investigation rhumatologique si persistance des symptômes. Examen clinique. Retour à domicile avec antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 7 jours et antalgie. Examen clinique. Retour à domicile avec Doxycycline 100 mg 2x/j pendant 14j. Examen clinique. Retour à domicile avec réassurance. Contrôle clinique chez le pédiatre. Examen clinique. Retour à domicile avec réassurance. Contrôle chez le médecin traitant et éventuellement ORL si épistaxis récidivante. Examen clinique. Retour à domicile avec réintroduction d'Oxynorm et stop Morphine per os. Conseils d'usage donnés au patient. Patient instruite des symptômes de gravité nécessitant une reconsultation en urgence. Examen clinique. Retour à domicile avec Sirdalud, Voltarène et Dafalgan.Contrôle chez le médecin traitant le 23.04.2018. Examen clinique. Retour à domicile et continuation du Ialugen et des anti-douleurs. Scoliose légère avec suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique. Révision de la plaie par Dr. X. Avis du Dr. X, orthopédiste : contrôle de la plaie, suture cutanée, pansement compressif. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 48 heures. Co-Amoxicilline 2,2 iv en dose unique aux urgences. Rappel anti-tétanique. Retour à domicile avec Co-Amoxicilline 1g per os 2 fois par jour pendant 5 jours, antalgie simple. Attelle poignet jusqu'à ablation des fils chez le médecin traitant à 2 semaines. Contrôle clinique donné à la policlinique orthopédique le 24.04.2019. Examen clinique. Rinçage à Prontosan. Fond de plaie avec peu de fibrine. Pas de pus. Pansement simple. Certificat médical. Suivi clinique par le médecin traitant. Rinçage sous douche. Examen clinique. Rinçage avec NaCl. Test à la Fluorescéine : pas de lésion à la corne. Traitement avec Vitamine A et Tobradex pour 7 jours. Suivi chez un ophtalmologue si persistance des symptômes. Examen clinique Rocéphine 2g iv à la FUA le 13.04 et 14.04 Rocéphine depuis le 11.04.2019 Examen clinique Rx lombaire : Avis orthopédie (Dr. X) : Methylprednisone 125mg iv aux urgences Hospitalisation à Meyriez : • Sirdalud 2mg 2x/J, Midocalm 150mg 2x/J, et en R, Co-Dafalgan 3x/J, Voltarène 50mg 2x/J, Morphine en R • CT colonne lombaire dépistage de déplacement de matériel d'ostéosynthèse. Contacter NC (Dr. X) • Si apparition de troubles neurologiques, ou déplacement du matériel : IRM colonne lombaire Examen clinique. Score de Centor = 2. Streptotest négatif. Laboratoire : cf. annexes. Traitement symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant si non amélioration des symptômes. Examen clinique. Score de Centor : 4/4. Streptotest : positif. Co-Amoxicilline 1g 2x/jour pour 6 jours. Traitement symptomatique. Arrêt de travail pour 3 jours. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Score de Centor : 0. Streptotest : négatif. Traitement avec Brufen pour 5 jours. Examen clinique. Score de Centor 1 point. Streptotest. Traitement symptomatique. Contrôle auprès du médecin traitant la semaine prochaine. Examen clinique. Score de Centor 2/4. Strepto-test négatif. Co-Amoxicilline 2 x 1 g/j durant 7 j. Antalgique. Critères de reconsultation transmis à Mr. Y. Examen clinique. Score de Centor 3. Streptotest : positif. Traitement avec Amoxicilline 1 g 2x/jour pour 6 jours. Certificat d'arrêt de travail. Antalgie. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. Bladder scanner post-mictionnel. Contrôle chez le pédiatre le 29.04.2019. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf. annexes. Nitrofurantoïne 100 mg 2x/jour pendant 5 jours. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie de la colonne lombaire face/profil : décrite ci-dessous. Antalgie par AINS/Dafalgan. Vaccin anti-tétanos à jour. Contrôle clinique le 25.04.2019 à la filière des urgences ambulatoires (Mr. Y en vacances). Arrêt de sport. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Antalgie par Brufen 600 mg, Tramal 50 mg, Dafalgan 1g. Pantozol 20 mg pour 1 semaine. Suivi médecin traitant. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf. annexes. Urotube : cf. annexes. Furadantin 5 jours (avis du Dr. X, de médecine interne). Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires à 48 heures avec remise des résultats de l'urotube. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. HCG urinaires négatives. Antalgie par Dafalgan, Buscopan. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 26.04.2019. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Vu par le Dr. X, chirurgien. Daflon et Sulgan. Contrôle à la policlinique de chirurgie le 07.05.2019. Examen clinique. Sédiment urinaire. Avis du Dr. X, chirurgien. Avis du Dr. X, urologue. Consultation urologique à distance. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf annexe. Avis du Dr. X, chirurgien. Transfert aux urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg pour un ultrason testiculaire, s'y rend avec son père. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. Urotube à pister. Rocéphine 2g IV reçue aux urgences. Contrôle clinico-biologique en filière des urgences ambulatoires le 29.04 et administration de l'antibiothérapie IV. Réévaluer l'indication à un relai per os versus poursuite IV le 29.04. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. Uvamine 100 mg 2x/jour pour 5 jours. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Sédiment urinaire négatif. Test de grossesse négatif. Traitement symptomatique. Critères de reconsultation transmis à Mme. Y. Examen clinique. Selon avis du Dr. X, chirurgien : kyste rétro-auriculaire non infecté, privilégier l'excision à l'incision. Ad rendez-vous à la consultation du Dr. X. Examen clinique. Sirdalud et Morphine aux urgences. Retour à domicile avec conseil de repos et traitement symptomatique par Dafalgan, Irfen, Tramal et Sirdalud. Contrôle chez son médecin traitant dans le courant de la semaine du 29.04.2019. Examen clinique. Soins de plaie. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires à 08H30 le 04.04.2019. Examen clinique. Sportusal Emgel. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Stix et sédiment urinaire. Urotube : en cours. Monuril 3 g en dose unique per os. Contrôle clinique à 48h en F34 + pister urotube. Examen clinique Stix urinaire : pas de signes d'infection urinaire francs, Culture négative (10*4) Traitement symptomatique Contrôle chez pédiatre selon évolution Suivi hydratation Examen clinique. Stix/sédiment urinaire. Uriculture. Traitement par Uvamine retard pendant 7 jours. Mr. Y instruit des symptômes nécessitant une reconsultation en urgences. Examen clinique. Strepto-test : positif. Amoxicilline 500 mg tid 7 jours. Dafalgan 1 g. Angine MCC en réserve. Avis du Dr. X, néphrologue : sédiment urinaire ; prise d'un rendez-vous en ORL et un chez lui de contrôle. Examen clinique Strepto-test : négatif Mr. Y rentre à domicile avec le traitement symptomatique Examen clinique. Streptotest négatif. Radiographie du thorax : détaillée ci-dessous. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Examen clinique. Streptotest négatif. Traitement symptomatique par Dafalgan, Irfen, Collunosol. Conseil de reconsulter si état fébrile et douleur persistante à 5 jours. Examen clinique Streptotest négatif Traitement symptomatique Contrôle chez pédiatre si persistance de la fièvre lundi Examen clinique. Strepto-test négatif. Traitement symptomatique. Mme. Y instruite des symptômes de gravité nécessitant une consultation en urgence. Examen clinique Streptotest positif Amoxicilline pour 6 jours Recherche portage et éradication si récidive Examen clinique. Streptotest positif. Attitude : • Flucloxacilline cpr 500 mg 3x/24h pendant 10 jours. • Traitement symptomatique pour rhinite et toux. • Explications des critères de reconsultation à Mme. Y. Examen clinique. Streptotest positif. Pénicilline V 1 mio U 3x/j pendant 10 jours. Traitement symptomatique. Certificat médical. Examen clinique. Suivi tensionnel. Avis du Dr. X, de médecine interne. Nifédipine 20 mg retard. Ad Amlodipine 5 mg dès demain. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Suivi tensionnel. Nifédipine 20 mg retard. 2 pushes d'Isoket. Examen clinique. Suture de plaie : désinfection par Bétadine, champage, rinçage de plaie au NaCl et à la Bétadine diluée, 9 agrafes mises en place, pansement simple.Recommandation d'ablation d'agrafes à 5 jours chez le médecin traitant. Recommandation de consulter en cas d'écoulement de plaie, état fébrile ou frissons. Feuille surveillance post-TCC donnée à la patiente. Examen clinique. Test à la fluorescéine. Patient vu par le Dr. X : pas de corps étrangers visualisés à l'examen natif. Présence d'une conjonctivite. Proposition de demander un avis ophtalmologique, gouttes antibiotiques, pommade vitamine A. Patient parti contre avis médical, il refuse l'avis ophtalmologique, refuse la pommade de vitamine A, refuse les gouttes ophtalmiques. Il téléphonera demain à un ophtalmologue. Examen clinique. Test de grossesse : négatif. Avis du Dr. X. Antalgie en réserve à domicile. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Test de grossesse négatif. Radiographie de la cheville droite face, profil : décrite ci-dessous. Attelle Aircast pour 6 semaines. Arrêt de sport. Antalgie par AINS, Dafalgan. Suivi chez le médecin traitant à 1 semaine. Examen clinique. Test de Schellong : négatif. ECG : cf. annexes. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Test de Schellong. Avis du Dr. X, chef de clinique. Ad Angio-IRM cérébrale le 11.04.2019 à 15h15 avec contrôle à la filière des urgences ambulatoires pour la restitution des résultats et la suite de prise en charge. Examen clinique. Tétanos à jour. Désinfection par Bétadine. Champage stérile. Anesthésie locale par Rapidocaïne + Bicarbonate. Exploration et rinçage avec du NaCl. Suture par 2 points simples à l'Ethilon 5-0. Adaptic et pansement standard. Suivi régulier pour réfection du pansement par le médecin traitant tous les deux jours. Ablation des fils à J14 par le médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Toucher rectal refusé par la patiente. Traitement avec Voltaren, Tramal et Sirdalud. Arrêt de travail pour 4 jours. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Traitement antalgique. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examen clinique. Traitement anti-inflammatoire. Examen clinique. Traitement avec Co-Amoxicilline 1g 2x/jour pour 7 jours. Brufen et Dafalgan. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Traitement avec Fucicort pommade. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Traitement conservateur. Contrôle chez le médecin traitant si aucune amélioration. Examen clinique. Traitement par AINS, Dafalgan, Sirdalud, Tramal en réserve. Pantozol 40 mg pour 7 jours. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Traitement par Prednisolone topique. Consultera sa dermatologue si péjoration des symptômes. Examen clinique. Traitement symptomatique. Examen clinique. Traitement symptomatique avec Fluimucil et Angina MCC. Arrêt des AINS. Patient qui reconsultera en cas de péjoration clinique. Examen clinique. Traitement symptomatique. Arrêt de travail. Critères de reconsultation transmis au patient. Examen clinique. Traitement symptomatique. Buscopan. Examen clinique. Traitement symptomatique. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examen clinique. Traitement symptomatique. Proposition de suite de prise en charge chez le médecin traitant. Critères de reconsultation médicale expliqués à la patiente. Examen clinique. Traitement symptomatique. Reconsultation aux urgences si signes d'APP (donnés). Consultation chez pédiatre en cas de douleurs abdominales/vomissements persistants. Examen clinique. Traitement symptomatique. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Traitement symptomatique. Surveillance des signes d'APP. Reconsultation au besoin. Examen clinique. Ultrason abdominal : décrit ci-dessous. Patiente vue par le Dr. X, chirurgien. Antalgie standard. Contrôle clinique en fin de semaine chez le médecin traitant. Examen clinique. Ultrason aux urgences : taille de l'abcès 1,5 x 1,4 x 2 cm. Incision et drainage d'abcès : désinfection par Bétadine, anesthésie locale par Lidocaïne 1%, incision d'abcès avec lame scalpel 11, drainage de pus et rinçage d'abcès par NaCl et Bétadine diluée, méchage par Bétadine onguent et mèche env. 5 cm. Réfection de pansement, antalgie. Suite de prise en charge au secteur ambulatoire des urgences à 48h pour évaluation clinique. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile ou frisson. Examen clinique. Ultrason des voies urinaires du 06.04.2019 : calcul caliciel inférieur droit de 6 mm, sans dilatation ddc, pas d'argument pour une pyélonéphrite compliquée. Rendez-vous à la consultation du Dr. X, urologue, lundi 08.04.2019. Filtrer les urines. Antalgie à domicile. Examen clinique. Urotube : E. Coli sensible à Ertapenem. Avis du Dr. X, de médecine interne : Invanz iv 1g reçu aux urgences. Soins à domicile pour 6 doses d'antibiotique avec soins à domicile de la gruyère. Service de liaison au courant pour Pharmadom. Contrôle clinico-biologique le mardi 07.05.2019 à 9h à la filière des urgences ambulatoires pour syndrome inflammatoire. Ordonnance pour Invanz et Perentérol. Prolongement de l'arrêt de travail jusqu'au 07.05.2019. Examen clinique. Urotube : E. Coli sensible Ciprofloxacine et présence de Staphylocoque Haemolyticus. Avis Dr. X : poursuite antibiothérapie avec contrôle chez le médecin traitant début mai avec stix urinaire. Examen clinique. US abdominal. Surveillance aux urgences. Réhydratation fractionnée. Consignes de reconsultation données. Examen clinique. US épaule : pas de lésion de la coiffe des rotateurs. • Retour à domicile. • Si persistance des douleurs, ad médecin traitant +/- IRM. Examen clinique. Vaccin anti-tétanique à jour. Pas de suture de plaie nécessaire en raison d'une plaie très superficielle. Désinfection et mise en place de stéristrips. Pansement simple. Examen clinique. Vaccin anti-tétanique à jour. Radiographie du genou gauche : pas de fracture visualisée. Présence d'air qui moule le condyle externe. Exploration sous AL par le Dr. X avec rinçage et désinfection importante, avec suspicion d'arthrotomie. Avis Dr. X : fermeture cutanée uniquement et transfert à Fribourg. Suture avec Ethilon 4.0 (5 points). Attelle jeans 0° pour immobilisation. Marche avec des cannes. Transfert à Fribourg. Examen clinique. Vaccin anti-tétanique à jour. Radiographie du pouce : Fracture de P2 proximal intra-articulaire de D1. Co-amoxi iv de 2.2 g aux urgences. Avis Dr. X : bon rinçage et désinfection, fermeture cutanée. Exploration sous AL avec rinçage et désinfection importante. Suture avec Ethilon 4.0 (5 points). Attelle alu dorsale. Transfert à Fribourg en ambulance. Examen clinique. Vaccin anti-tétanique effectué aux urgences. Radiographie du 1er doigt : détaillée ci-dessous. Exploration des plaies. Suture par fils d'Ethilon 4-0. Contrôle de plaie à la filière des urgences ambulatoires le 27.04.2019. Ablation des fils à 12 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Vaccin anti-tétanos à jour. Désinfection par Bétadine. Champage. Anesthésie en bague. Exploration : pas de structure noble exposée. Suture. Rinçage abondant par NaCl 0.9%. Contrôle clinique en filière des urgences ambulatoires le 06.04 à 10h. Contrôle en policlinique d'orthopédie à 3 jours, le 08.04.2019. Arrêt de travail pour 1 semaine. Ablation des fils à 14 jours chez le médecin traitant. Anti-inflammatoires pendant 5 jours. Antalgie de réserve. Examen clinique. Vaccination tétanos Boostrix. Anesthésiant Rapidocaïne 10 mg/ml. Désinfection et suture de la plaie avec fil Prolène non résorbable 4.0. Pansement avec ADAPTIC TOUCH. Prévention et informations des red flags : fièvre, suppuration, péjoration des douleurs. Suite de prise en charge et ablation des fils chez le médecin traitant dans 10 jours.Examen clinique. Voltaren 50 mg. Conseils d'hygiène de vie. Suivi chez médecin traitant, consultation en cas de péjoration. Examen clinique Voltarene 50 mg et zomig spray nasal 5 mg en aigu Consultation neurologique pour suite de la prise en charge en raison de crises récidivantes Discussion quant à l'hygiène de vie Examen clinique Zofran 0.15 mg/kg aux urgences et Normolytoral Traitement symptomatique Consignes de reconsultation et surveillance données Examen clinique. 1 cp de Distraneurine aux urgences. Poursuivre traitement avec Temesta en réserve. Suivi chez un géronto-psychiatre à organiser en ambulatoire. Augmenter la fréquence des soins à domicile. Examen de base de médecine palliative, standardisé (PBA) selon SENS (Dr. X le 03.04.2019) Évaluation par ESAS Équipe de traitement multidisciplinaire : médecin, infirmier, nutritionniste, physiothérapie, aumônier, ergothérapie Examen de base de médecine palliative, standardisé (PBA) selon SENS (Dr. X le 26.03.2019) Évaluation par ESAS Équipe de traitement multidisciplinaire : médecin, infirmière, physiothérapie, ergothérapie, travail social, aumônier Examen de Holter prévu en ambulatoire Examen du Neurocentre du 10.04.2019 : neuropathie péronière commune droite de degré modéré à sévère d'une probable origine compressive de la tête du fibula méritant un traitement symptomatique par Compex et thérapie adaptée. Examen du Neurocentre mars 2019 : pas de trouble sur la base des examens de potentiels évoqués somesthésiques et moteurs. ENMG permettant d'écarter tant une atteinte radiculaire proximale comme une plexopathie. Examen gynécologique Contrôle US Bilan préopératoire Curetage évacuateur en urgence 1 Envoi du contenu du curetage en anatomopathologie Examen histo-pathologique : parle pour une bursite chronique pour une maladie rhumatismale séro-négative. Absence de cristaux, de germes ou de malignité. Examen mammaire : À l'inspection, au QSE G rougeur sur 10x10 mm, cicatrice calme, peau fermée, pas d'écoulement visualisé. À la palpation pas de chaleur, pas de douleur, pas de masse, pas d'écoulement à la manipulation. US mammaire : léger œdème au niveau de l'irritation au QSE G, pas de collection liquidienne. Examen mammaire Bilan inflammatoire US mammaire Antibiothérapie par co-amoxicilline pendant 7 jours Examen neurologique Avis Dr. X Examen neurologique complet. CT scan cérébral natif le 18.03.2019. Examen neurologique complètement dans la norme. Recommandation de reconsulter si symptômes d'hypertension intracrânienne. Retour à domicile accompagné de son amie. Examen neurologique : CT-scanner cervico-cérébral : vaisseaux perméables, pas d'hémorragie Surveillance neurologique toutes les quatre heures pendant les premières 24 h Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 25.03.2019 au 03.04.2019, avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Suivi nutritionnel • Test de la cognition : refusé par la patiente, en raison de sa malvoyance et d'un manque d'envie ; échelle de dépression gériatrique à 3/15 Examen neurologique dans la norme Dix Hallpike négatif Arrêt de Tramal, Celecoxib Examen neurologique dans la norme. Rappel du tétanos fait aux urgences. Surveillance clinique en lit d'observation. Examen neurologique dans la norme. Attitude : • Majoration de l'antalgie. • Critères de gravité expliqués à la patiente avec consigne de reconsultation en cas de persistance des symptômes. Examen neurologique dans la norme. Feuille de surveillance. Examen neurologique dans la norme. Feuille de surveillance neurologique donnée. Examen neurologique du 06.03.2019 (Neurocentre) : Neurographie sensitive normale pour les nerfs médian, ulnaire et radial à G. Neurographie normale pour les nerfs médian et ulnaire G, y compris en F. EMG trans-physiologique des muscles examinés, dépendants des myotomes C4 et C7 G. Examen neurologique et par système sans particularité. Avis gynécologique : absence de complication concernant la grossesse Feuille de surveillance donnée aux 4 h avec explications à la patiente par le médecin. Examen neurologique Laboratoire Ad Aspirine Cardio IRM cérébrale et des carotides : pas de lésion ischémique décelable ; leucopathie vasculaire Fazekas 4 ; microbleed isolé cérébelleux gauche Interrogation du pacemaker : sans arythmie significative détectée depuis le dernier contrôle (très brèves salves de tachycardie auriculaire) Examen neurologique normal Surveillance clinique Examen neurologique Antalgique au besoin Conseils de surveillance donnés ainsi que consignes pour reconsultation Examen neurologique Arrêt Temesta Rassurance parentale Examen neurologique Conseils de surveillance donnés et reconsultation au besoin Examen neurologique Conseils de surveillance donnés et reconsultation au besoin Antalgie au besoin Examen neurologique Conseils de surveillance Reconsultation au besoin Examen neurologique. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Examen neurologique CT scanner natif : pas d'hémorragie intracrânienne Surveillances aux 4 h Examen neurologique. Désinfection. 2 agrafes. Rappel tétanos. Feuille de surveillance de traumatisme crânien rendue au patient. Ne veut pas d'arrêt de travail pour demain car se sent bien pour travailler. Examen neurologique ECG Avis neuropédiatrique, Dr. X EEG le 10.01.2019 Consultation neuropédiatrique le 30.04.2019 Examen neurologique Reconsultation selon consignes de surveillance données Examen neurosonologique le 19.03.2019 Atorvastatine dès le 18.03.2019 Examen normal. Suite de la prise en charge par le médecin traitant. Consulte en cas d'apparition de symptômes neurologiques autres (décrits à la patiente). Examen ORL réalisé par ORL de garde : rassurant, wait and see, pas d'ATB per os Examen ORL réalisé par ORL de garde rassurant, à 72 heures post-opératoire il pourrait encore s'agir d'une fièvre post-opératoire, voire d'une bronchite virale sur toux. En présence d'un état général excellent sans aucun signe de détresse respiratoire, nous proposons un suivi clinique. Une analyse de sang paraît peu utile à l'heure actuelle en l'absence de piste clinique pour un foyer infectieux bactérien. Si fièvre persistante dans 24-48 h et/ou altération de l'état général elle consultera les urgences, sinon RDV déjà prévu chez les ORL jeudi prochain. Examen physique. Avis psychiatre de garde : pas de nécessité d'une évaluation psychiatrique en raison de la situation claire, hospitalisation à Marsens, sera évaluée par le psychologue de garde là-bas. Hospitalisation en volontaire à Marsens. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. CT cérébral natif (transmission orale Dr. X) : pas de saignement, pas de fracture du massif facial. Surveillance neurologique. Antalgie simple. Rendez-vous au Secteur Ambulatoire des Urgences pour constat de coup. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Urines. Urotube : en cours. Aux urgences : • Rocéphine 2 g IV • Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pendant 10 jours • Contrôle clinique et biologique au secteur ambulatoire des urgences à 48 h avec résultat de l'urotube. • Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie cheville gauche : pas de changement en comparaison aux clichés de 2010. Marche avec cannes et chevillère. Clexane 40 mg prophylactique. Contrôle en orthopédie-urgences à 1 semaine. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie poignet droit avant réduction. Réduction fermée avec MEOPA aux urgences, avec mise en place de plâtre. Radiographie post-réduction.Traitement conservateur. Immobilisation durant 6 semaines. Contrôle radio-clinique en orthopédie-urgences, avec circularisation de plâtre, dans 10 jours. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Consilium chirurgical (Dr. X, Dr. X). Avis gynécologique. Echographie abdominale (Dr. X): examen non contributif au vu du morphotype. Antalgie simple. Contrôle clinique et biologique au secteur ambulatoire des urgences le 15.04.2019. En cas de péjoration clinique ou biologique, les collègues de chirurgie proposent un CT abdominal afin d'exclure une appendicite. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. ECG. Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. Radiographie thorax. Contrôle clinique et biologique au Secteur Ambulatoire des Urgences à 48h. Critères de reconsultation expliqués au patient. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. ECG. RX thoracique: foyer lobaire droit. Antigènes urinaires. Co-Amoxicilline 2.2 g iv en DU. Co-Amoxicilline 1 g 2x/j en PO 7 à 10 jours à réévaluer selon clinique. Contrôle au Secteur Ambulatoire des Urgences à 48h pour suivi clinique et biologique. Patient instruit des symptômes de gravité nécessitant une consultation en urgence. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. Stix/sédiment urinaire: leucocytes ++. Urotube. US ciblé Dr. X: dilatation grade I rein gauche; pas de liquide libre. Aorte abdominale non dilatée. Aux urgences: Rocéphine 2g iv. RAD avec antibiothérapie. Contrôle au Secteur Ambulatoire des Urgences pour suite de prise en charge, selon résultat de l'urotube. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie du bassin le 04.04.2019. CT-Scan du bassin le 04.04.2019. ECG le 04.04.2019. Suite à une relecture des images du CT, nous reconvoquons le patient le 05.04.2019, ad opération. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie épaule droite face/neer: pas de fracture visualisée. Immobilisation par bretelle durant 1 semaine, antalgie par AINS durant 1 semaine. Contrôle en orthopédie-urgences à 1 semaine. Arrêt de travail de 7 jours. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie main droite. Désinfection par Bétadine, champage, exploration de plaie et rinçage avec aiguille boutonnée au NaCl, Bétadine diluée, 2 points de suture par Prolène 4.0 et réfection de pansement. Rappel DiTe. Avis orthopédique (Dr. X): hospitalisation en orthopédie pour prise en charge au bloc opératoire le 05.04.2019. RAD avec RDV au Secteur Ambulatoire des Urgences le 05.04.2019 à 08h30 à jeun. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie pied gauche face/oblique: suspicion de fracture sous-capitale de la 1ère phalange du 2ème orteil gauche, non déplacée. Chaussure Darco, avec charge du membre inférieur gauche. Antalgie PO. Contrôle en orthopédie-urgences à 1 semaine. Arrêt de travail durant 1 semaine. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie poignet gauche face/profil/incidence scaphoïde: suspicion de fracture. Plâtre scaphoïde fendu jusqu'au CT. CT prévu le 23.04.2019 à 12h00: pas de fracture. Selon résultat du CT, ad RDV en orthopédie-urgences. Examens avec explication donnée par le médecin : • ECG : fibrillation atriale à 155 battements par minute. Laboratoire : Tropo H0 : 40, Tropo H1 : 53, Tropo H3 : 60. Titration METOPROLOL 15 mg total (1mg/min) = légère diminution de la fréquence cardiaque sans cardio-version. METOZEROK 50 mg PO. Avis cardiologue : Dr. X : FEVG estimé à 50 %, insuffisance aortique modérée, poursuite d'un traitement par METOZEROK 100 mg jour avec contrôle dans 3 semaines pour discussion de la suite de la prise en charge. Anticoagulation par ELIQUIS 5 mg X2. Avis cardiologue : Dr. X : cinétique de troponine trop faible pour une étiologie ischémique. Ok pour un retour à domicile. Anticoagulation par ELIQUIS 5 mg X2. METOZEROK 100 mg avec réévaluation dans la semaine par le médecin de famille et suivi tensionnel à la maison. Réévaluation à 3 semaines par le Team cardiologie (consilium demandé). Examens avec explication donnée par le médecin : • ECG • CT cérébral natif (Dr. X): sans particularité. Critères de reconsultation expliqués. Examens avec explication donnée par le médecin : • ECG • laboratoire • CT cérébral (transmission orale Dr. X) : pas de pathologie intracérébrale. Pas de sténose des vaisseaux, pas de thrombose du sinus. Déhiscence du canal semi-circulaire supérieur gauche. Avis ORL (Dr. X). Retour à domicile. Consultation en ORL prévue en ambulatoire. Le patient sera convoqué. Selon évolution, évaluer une IRM. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examens avec explication donnée par le médecin : • examen stix + sédiment urinaire • US effectué par le service de radiologie Dr. X Consilium urologique avec Dr. X qui confirme une épididymite et conseille un suivi chez Dr. X (urologue du patient). Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire. • ECG. • radiographie du thorax. Traitement par antalgie simple et traitement symptomatique. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire. • ECG. Retour à domicile avec protection gastrique pendant 10 jours, à réévaluer par le médecin traitant. Revoir le médecin traitant pour éventuellement effectuer un US des voies biliaires si persistance des douleurs. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : aligné • ECG • CT Time is Brain le 05.04.2019 : aspect grêle voire subocclusion du segment V4 distal de l'artère vertébrale gauche séquellaire de la dissection connue avec séquelle d'AVC dans le territoire de l'artère cérébelleuse postéro-inférieure gauche. Pas de signe d'un nouvel AVC ischémique aigu/subaigu infra- ou supra-tentoriel. • IRM cérébrale : pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë de la fosse postérieure. • avis neurologie (Dr. X) : pas de trouble de l'équilibre d'origine centrale. Anomalies à l'examen clinique dues à un trouble fonctionnel. • avis ORL : Dix et Hallpike positif à droite avec nystagmus, non répondant à la manœuvre de Semont et Epley. Retour à domicile avec physiothérapie et traitement anti-vertigineux. Rendez-vous en ORL le 09.04.2019 pour contrôle. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : CRP < 5 mg/l, leucocytes 4.4 G/l • sédiment urinaire : propre • US ciblé (Dr. X) : pas de dilatation pyélocalicielle, vésicule biliaire alithiasique, aorte de calibre normal, pas d'épanchement. Conseils d'antalgie. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : CRP 18 • sédiment : leuco ++ • uricult : à pister • US ciblé : dilatation pyélo-calicielle à gauche. Aux urgences : Dafalgan 1 g per os, Voltaren 50 mg per os, 5 mg de Morphine per os. Rocéphine 2g iv. Uro-CT, CT abdomen injecté : calcification au niveau de l'artère iliaque commune, discrète dilatation au niveau de l'uretère gauche distal, pas d'infiltration de la graisse en regard du rein gauche, pas d'abcès, pas de liquide libre. Retour à domicile avec antalgie et antibiotique. Contrôle chez le médecin traitant. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : CRP < 5, pas de leucocytose. Avis chirurgical Dr. X. US : pas d'appendicite (par téléphone). Pas de proposition chirurgicale. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire. • CT thoracique (transmission par tél. Dr. X) : bronchiectasie du lobe moyen comblée, infiltrat en verre dépoli en regard, compatible avec un saignement alvéolaire mais minime. Retour à domicile, la patiente contactera son pneumologue pour la suite de la prise en charge. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire. • ECG. • US aux urgences. Réassurance, arrêt de travail 48 heures. Antalgie. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • ECG Retour à domicile avec antalgie. Contrôle chez le médecin traitant au besoin. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : électrolytes alignés, thrombo 168 G/l, crase alignée. • ponction lombaire le 09.04 (Dr. X) : après désinfection et anesthésie avec Rapidocaïne sc, ponction atraumatique un essai, LCR eau de roche, pression ouverture 15 cm H2O, retiré 6 tubes selon demande Dr. X + PDS. Avis neurologique (Dr. X) le 09.04.2019 : au vu des résultats de la ponction lombaire et une pression d'ouverture normale, continuer la prise en charge avec les ophtalmologues. Absence d'argument pour une maladie neurologique stricto sensu. Avis ophtalmologique (garde). Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, discrète hypocalcémie. • US aux urgences (Dr. X) : pas de liquide libre intrapéritonéal, aorte non dilatée avec quelques calcifications. Vésicule biliaire de paroi fine, alithiasique. Voies biliaires intra- et extra-hépatiques non dilatées. Pas de dilatation pyélocalicielle. Pas de globe urinaire, pas de lésion focale de la paroi de la vessie. Statut post hystérectomie totale. CT abdominal (Dr. X) : sans particularité. OGD et coloscopie en ambulatoire organisées par le médecin traitant pour 06.05.2018. Critères de reconsultation expliqués. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : pas de syndrome inflammatoire • sédiment urinaire : propre Aux urgences : Voltarène 50 mg, Dafalgan 1 g, Buscopan 10 mg, Primpéran 10 mg, Morphine 5 mg i.v. Consultation gynécologique en hôpital refusée par la patiente, aimerait aller voir son gynécologue en ambulatoire le 08.04.2019. Antalgie avec Dafalgan et Brufen. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : PCR négatives MST • US testiculaire (Dr. X) : absence d'hydrocèle, épididymite ou hernie scrotale. Dépistage HIV : en cours. Antalgie simple. Physiothérapie (école du dos). Reconsulter si persistance. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • stix et sédiment • US ciblé (Dr. X) : pas de liquide libre, aorte abdominale non visualisée • uro-CT (transmission orale Dr. X) : pas de lithiase rénale, pas de dilatation pyélo-calicielle, diverticules mais non inflammatoires. Retour à domicile avec antalgie. Consultation chez le médecin traitant au besoin. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • test malaria : négatif Retour à domicile avec antalgie. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire aligné • sédiment propre Retour à domicile avec Co-Dafalgan et Pantozol Contrôle clinique +/- biologique aux ambulatoires des urgences le 18.04 • discuter d'une gastroscopie à distance Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire avec TDH (en attente, merci d'envoyer une copie au médecin de famille). • radiographie. Ventolin en réserve. Consultation médecin de famille pour suite. Certificat médical. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • CT cérébrale avec vaisseaux pré-cérébraux (Dr. X) : lésion de la paupière supérieure de 16x8 mm, vaisseaux perméables Retour à domicile avec rendez-vous chez l'ophtalmologue de l'HFR le 10.04.2019. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • ECG • gazométrie artérielle CT abdominal (transmission orale, Dr. X/Dr. X) : pas d'iléus, coprostase importante dans tout le cadre colique avec caecum à 7 cm, minime lame d'ascite péri-pancréatique, pancréas divisum avec signe de cholestase pouvant être en lien avec une douleur abdominale chronique si corrélation avec la clinique de Mme. Y. Avis chirurgical (Dr. X). Aux urgences : grand lavement, Laxoberon 20 gouttes, Movicol. Traitement symptomatique (laxatif et antiémétique). Contrôle chez le médecin traitant à 24-48 h Recommandation de consulter en cas de douleur intense, état fébrile, frissons. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • ECG En cas de persistance de la douleur, organiser une consultation chez un cardiologue, évaluer la nécessité d'un test d'effort. Critères de reconsultation expliqués à Mr. Y. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • glycémie dans la norme • US cardiaque et pulmonaire ciblé (Dr. X) : pas d'épanchement péricardique, FEVG conservée. Pas de pneumothorax, pas d'épanchement pleural. Pas de traitement introduit. Contrôle chez son médecin traitant à distance, si persistance des symptômes. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • radiographie thorax • hémocultures en cours, à pister par le médecin traitant Retour à domicile avec traitement symptomatique (a du Dafalgan à domicile) et contrôle chez le médecin traitant d'ici 48-72 heures. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • Schellong : négatif Avis ORL (Dr. X) : probable migraine basilaire à corréler avec un avis neurologique Avis neurologique (Dr. X et Dr. X) : faire un CT cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux, consultation neurologique et IRM en ambulatoire. CT cérébral injecté avec vaisseaux pré-cérébraux (Dr. X) : sans particularité. Traitement symptomatique. Mme. Y ne souhaite pas d'arrêt de travail. Critères de reconsultation expliqués. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • urines • CT abdominal low dose (transmission orale Dr. X) : calcul de 4 mm jonction uretère pelvien gauche, pyélon ectasique à 7 mm. Consilium chirurgie (Dr. X) : pas d'argument pour une torsion testiculaire. Aux urgences : • Paracétamol 1 g, Voltarène 75 mg, Morphine IV titré Attitude : • antalgie simple et Tamsulosine • filtration urines • critères de reconsultation expliqués à Mr. Y • suite chez le médecin traitant à 10 jours • arrêt de travail Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • urines US aux urgences (Dr. X) : pas de dilatation pyélocalicielle. Antalgie + filtre. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire. • US abdominal : sonde de néphrostomie en place. Fixation temporaire de la sonde par Mefix. Retour à domicile. Antalgie. Remplacement de la sonde par Dr. X le 10.04.2019. Conseil d'usage. Examens avec explication donnée par le médecin : • radiographie coude gauche face et profil : cf diagnostic. • CT scan coude gauche : cf diagnostic. En vue d'une comminution et d'une dislocation des fragments, indication pour un traitement chirurgical, l'opération sera effectuée en ambulatoire le 25.04.2019. Mr. Y est d'accord avec ce procédé et a signé un consentement. Réfection d'un plâtre BAB ouvert. Examens avec explication donnée par le médecin : • radiographie. • ECG. • laboratoire avec cycle de troponine négatif. • ultrason ciblé aux urgences : pas d'épanchement péricardique, pas de dilatation du ventricule droit, fonction ventriculaire gauche d'aspect visuel conservé, veine cave inférieure collabable, pas de dilatation aorte abdominale. • radiographie lombaire face et profil, hanche et bassin le 02.04.2019 : status ostéo-articulaire superposable aux radiographies du mois de janvier. • laboratoire : normal. Antalgie et modification de traitement par Zaldiar, mise sous réserve de traitement de Distraneurine. Proposition de consulter son médecin traitant pour suite de prise en charge et adaptation d'antalgie. Proposition de bilan neuro-psychologique dans le contexte d'une possible démence débutante. Physiothérapie mobilisatrice à domicile. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile, frissons, troubles neurologiques et douleurs intenses. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Atrovent aérosol. • RX thorax. Retour aux urgences si pas d'amélioration. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Aux urgences : Adalat 20 mg retard, Temesta 1 mg. Laboratoire : pas d'inflammation. Ultrason ciblé, Dr. X, le 06.04. : pas de liquide libre entre le rein droit et le foie, pas de liquide entre le rein gauche et la rate, pas de dilatation pyélo-calicielle, pas de dilatation de la veine cave, pas de dilatation du cholédoque, pas de liquide libre au niveau de la vessie, gaz dans le côlon, pas de dilatation des anses intestinales. CT abdominal le 08.04. (transmission orale) : pas de signe d'ischémie mésentérique, pas d'iléus, trajet fibrineux pouvant évoquer des adhésions en fosse iliaque droite. Retour à domicile avec poursuite de l'antalgie. Consultera son médecin traitant si persistance des symptômes +/- consultation chirurgicale. Mme. Y avertie des symptômes devant l'amener à reconsulter. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Avis gynécologique (Dr. X) : traitement en ambulatoire de la PID avec : • Ceftriaxone 500 mg im. 1x, fait aux urgences. • Doxycycline 100 mg 2x/j pour 14 jours. • Co-Amoxicilline 1 g 2x/j pendant 10 jours. • Bioflorin et Gynoflor. Sérologies HIV, HBV et Syphilis prélevées aux urgences avec accord de Mme. Y. Prévention sexuelle dans l'attente des résultats et du traitement du partenaire donnés à Mme. Y. Contrôle clinique en gynécologie le 23.04.2019 et communication des résultats des sérologies. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Avis ORL (Dr. X) : possible étiologie centrale. Schellong : normal. Betaserc 8 mg 2x/j. IRM cérébrale le 30.04.2019 : résultat d'IRM sera envoyé au médecin traitant. Suite de prise en charge chez le médecin traitant : proposition de modifier le traitement anti-hypertenseur en raison de douleur abdominale et l'origine africaine de Mme. Y (diurétique possiblement plus adapté). Recommandation de consulter en cas de troubles neurologiques autres. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : CT abdominal 08.04.2019 (Dr. X rapport oral) : examen sans particularité hormis une coprostase. Suivi chez le médecin traitant. Traitement laxatif. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : CT cérébral et carotides (transmission orale, Dr. X) : pas d'argument pour une lésion osseuse, pas d'argument pour une dissection carotidienne, pas de lésion hémorragique. RX de la colonne dorsale et lombaire. Retour à domicile après réassurance. Antalgie. Conseil de réévaluer avec médecin de famille si persistance des douleurs malgré antalgie. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG : pas de signe d'ischémie. AINS et paracétamol, myorelaxant. Physiothérapie avec thérapie manuelle. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Laboratoire. Discuté avec Dr. X, psychiatre de garde : transfert à Marsens sous PAFA. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Laboratoire. Radiographie du thorax. Réassurance. Antalgie. Pantozol probatoire pendant une semaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Aux urgences, réchauffement externe, Primpéran, hydratation iv. Retour à domicile. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Contrôle clinique chez médecin traitant la semaine prochaine et discussion d'un traitement anti hypertenseur selon valeurs. Prises tensionnelles journalières jusqu'au contrôle chez médecin traitant. Conseils d'usage. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Troponines <5 ng/l. CT protocole aorte (transmission orale, Dr. X) : aorte ascendante à 48 mm. Pas de dissection, pas d'embolie pulmonaire. Réassurance, traitement symptomatique. Suivi ambulatoire comme déjà prévu : avis cardiologique le 08.04.2019. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Laboratoire : Glycémie à 3.8 mmol/l. Alcoolémie 0.4. CT cérébral natif : pas d'hémorragie, pas de fracture. Surveillance et renutrition aux urgences. Réassurance. Conseil de ne pas consommer de l'alcool. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Laboratoire. Consilium ORL le 05.04.2019 : pas d'origine ORL. IRM ambulatoire le 09.04.19 et discussion du résultat au secteur ambulatoire des urgences le 10.04.2019. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Laboratoire. Contrôle clinique chez médecin traitant la semaine prochaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Laboratoire. CT protocole aorte (transmission orale, Dr. X) : pas de dissection aortique. Pas de foyer pulmonaire. Pas de dilatation du tronc pulmonaire, pas de dilatation du VD. Réassurance. Antalgie simple. Introduction de Lisinopril (pas de contre-indication selon porphyriadrugs.com). A majorer selon médecin traitant. Suivi du profil tensionnel à domicile. Critères de reconsultation expliqués à Mme. Y. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Laboratoire. Nitré. Amélioration du profil tensionnel spontanément durant la prise en charge aux urgences. Prise tensionnelle à domicile. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Laboratoire. RX thorax. CT thoracique (Dr. X) : anévrisme de la crosse aortique de 4.8 x 5 cm stable par rapport au comparatif. Heart score : 5 pts. Avis cardiologique (Dr. X) : Stop Marcoumar jusqu'à la coronarographie. Ad spray Nitro si angor. Programmé en coronarographie mardi en cas de réponse de l'angor au spray de nitré. Retour aux urgences en cas de péjoration des douleurs malgré les Nitrés. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Laboratoire. Surveillance neurologique aux urgences. Hospitalisation volontaire à Marsens. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Laboratoire. Traitement d'épreuve. Conseils d'usage. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Laboratoire. Urines. RX thorax. Echographie ciblée aux urgences (Dr. X) : pas de épanchement abdominal/pleural, pas de dilatation pyélocalicielle. Traitement conservateur. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Nifédipine 20 mg. Suivi chez médecin traitant la semaine prochaine. Discussion d'un traitement au long court. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Retour à domicile avec traitement d'épreuve : Pantozol 40 mg 1x/j., Alucol 10 ml 3x/j. Consultation chez son médecin traitant si persistance des symptômes avec +/- gastroscopie. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : ECG. Ultrason des poumons aux urgences : pas de pneumothorax, pas d'épanchement pleural, pas de fracture de côte visualisée. Antalgie standard et contrôle chez le médecin traitant à 5 jours si persistance des symptômes. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Glycémie 5,8 mmol/l. Avis psychiatrique : • hospitalisation à Marsens en volontaire. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Hémocultures 2 paires à froid. Laboratoire. Pas d'introduction d'antibiothérapie empirique. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences mercredi 10.04.2019 : pister hémocultures. Si hémocultures positives ou péjoration clinico-biologique poursuivre bilan à la recherche du foyer primaire ; si négatives et clinico-biologiquement rassurants, contrôle chez son médecin traitant à une semaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Kaliémie le 12.04.2019 : 4.5 mmol/l. Réassurance du patient, poursuite du traitement d'Aldactone. Rendez-vous chez son médecin traitant prévu dans une semaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : aligné. Évaluation par la psychiatrie (Dr X) : pas de place à Marsens actuellement, patient refuse le CCA et préfère attendre la place à Marsens. Le Dr X tiendra le patient au courant si une place se libère. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : aligné. Retour à domicile avec antalgie et anti-nauséeux. Consultation chez le médecin traitant dans 48h si non amélioration des symptômes avec prise de sang. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : aligné. Retour à domicile avec Ciproxine 500 mg 2x/j. pendant 7 jours. Appeler la consultation du Dr X demain pour prise de rendez-vous le plus rapidement possible. Continuer la filtration des urines. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : CRP à 8 mg/l, leucocytes 8.0 G/l. Ultrason ciblé aux urgences (Dr X) : lithiases visualisées dans la vésicule biliaire. Ultrason (transmission orale) : cholécystolithiase sans signe de cholécystite. Avis chirurgie (Dr X) : retour à domicile avec antalgie, contrôle clinique demain en ambulatoire, convocation à distance en chirurgie pour discuter d'une cholécystectomie. Antalgie par Paracétamol et Ibuprofène. Contrôle demain en filière ambulatoire. Convocation à la consultation des chefs de clinique de chirurgie en ambulatoire. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : CRP 107, leucocytes 12.1. Hémocultures. Antigènes urinaires positifs à pneumocoque. Radiographie : pas de foyer franc. Co-Amoxicilline 2.2 gr aux urgences, Augmentin 1 g per os. NaCl 500 ml iv. Retour à domicile avec poursuite de l'antibiothérapie et contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48h. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : CRP 13 mg/l, leucocytes 9.6 g/l. Réassurance de la patiente. Consulte en cas de péjoration. Rendez-vous lundi en ORL pour suivi et Dr X dans les meilleurs délais. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. CT cérébral injecté : hémorragie intraparenchymateuse pariétale gauche de 54 mm antéro-postérieure sur 20 mm latéro-latérale, pas de saignement actif, effet de masse locale avec disparition des sillons, pas d'engagement, pas de malformation artérielle, pas de malformation artério-veineuse. Neuro-chirurgie Dr X : pas de signe d'hypertension intra-crânienne, pas besoin de faire une intervention en urgence. L'hypertension est plutôt la réponse au saignement intra-cérébral. Maintenir une tension avec systolique inférieure à 160. Demander un avis neurologique pour la mise en place du traitement anticoagulant pour la thrombose. Éventuellement effectuer une artériographie à la recherche de MAV et IRM. Neurologie Dr X : débuter une anticoagulation avec Liquémine, contrôle 48 h aux soins ou à Berne, prévoir une IRM à 24 h. Surveillance clinique, nouvelle imagerie si péjoration. Prévoir une EEG pour évaluer le risque de convulsion. Faire un bilan hématologique à distance. Aux urgences : début avec Labétalol 10 mg bolus, puis 5 mg, début de Liquémine 30'000 U en 24 h avec contrôle anti-Xa et PTT à 23 h. Antalgie : Irfen 600 mg et Dafalgan 1 g per os, Morphine 2 mg iv. Avis neurochirurgie Dr X Berne : transfert à Berne pour la suite de prise en charge. ATTITUDE : • surveillance à Berne en neurochirurgie. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : D-Dimères négatives, Troponines négatives. RX thorax : sp. ECG : bradycardie sinusale, pattern de repolarisation précoce, onde T inversée en aVL. Retour à domicile avec traitement antalgique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Explications au patient les red flags pour reconsultation. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : électrolytes alignés, CK normaux, CRP 18 mg/l, FSC alignée. Avis neurologique (Dresse X) : anamnèse difficile et changeante, douleur plutôt de type articulaire, possiblement para-infectieuse, mais réflexe cutané abdominal diminué en inférieur et réflexes ostéo-tendineux hypervifs au niveau des membres inférieurs, pas de parésie, DD myélite, pas de signe d'urgence, IRM colonne totale en ambulatoire, rendez-vous pour résultats au secteur ambulatoire des urgences, suivi laboratoire et clinique, ad avis rhumatologique selon évolution et résultat de l'IRM, ad IRM neurocrâne selon résultat de la colonne totale. Antalgie. Arrêt de travail. IRM colonne totale, le patient sera convoqué. Rendez-vous pour les résultats, suivi biologique et clinique du patient au secteur ambulatoire des urgences après l'IRM. Explication des symptômes nécessitant une consultation en urgence. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : électrolytes alignés, thrombocytes 168 g/l, crase alignée. Avis neurologique (Dresse X) : œdème papillaire bilatéral d'origine indéterminée, proposition de compléter le bilan biologique avec calcium, phosphate, vitamine A et D, TSH, CRP, tests hépatiques, sérologie Lyme, HIV, syphilis, réaliser une ponction lombaire avec mesure de la pression d'ouverture, si > 25 mmHg, soustraction de 30-50 ml selon la valeur avec mesure de la pression d'ouverture après soustraction (cible 10-12 mmHg), suivi par ophtalmologue en cas de pression d'ouverture normale, si hypertension intra-crânienne : débuter traitement de Diamox 2x 250 mg ou augmenter tous les 3 jours de 250 mg jusqu'à 500 mg 2x/j. et suivi neurologique et ophtalmologique à organiser. Investigation dans le LCR : protéine, glucose, lactate, éléments, électrophorèse des protéines, sérothèque 2x. Avis radiologue (Dr X) : pas de thrombose au niveau de la veine corticale pariétale gauche mais une granulation de Pacchioni. La patiente devant absolument rentrer garder ses enfants, elle ne peut pas rester pour avoir la ponction lombaire. Avec l'accord des neurologues, la patiente sera convoquée le 09.04 au service ambulatoire des urgences pour réaliser la ponction lombaire et prévoir la suite de prise en charge (cf avis neurologique). Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : H0 < 5, D-Dimères < 500. RX thorax. Antalgie simple. Recommandation de reconsulter les urgences en cas d'état fébrile, frissons, douleur rétrosternale intense. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : H0 7, H1 7. Ultrason ciblé aux urgences Dr X : condition d'examen difficile, pas de dilatation VD, veine cave inférieure collabable. bonne fonction visuelle ventriculaire gauche, pas d'épanchement péricardique. ECG. Radiographie thoracique. Proposition au médecin traitant d'organiser un test d'effort chez un cardiologue en ambulatoire. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire : thrombopénie à 109 G/l. • Alcoolémie. • CT scanner cérébral (rapport oral Dr. X) : pas d'argument pour une hémorragie, pas de lésion osseuse. Retour à domicile. Conseils d'usage donnés au patient. Surveillance par tiers (fille) durant la nuit avec feuille pour traumatisme crânien donnée au patient. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire : troponine H0 : 160. • ECG, le 02.04.2019 : sus-décalage infra-significatif V3-V6. • Avis cardiologique (Dr. X). • ETT, le 02.04.2019 : hypokinésie apicale et antéro-apicale. • Dose de charge Aspirine 250 mg iv et Héparine 5000UI. • Hospitalisation : • coronarographie prévue le 02.04.2019. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire aligné, pas d'anémie, pas de trouble électrolytique. • ECG : sp. • Shellong pathologique. Retour à domicile avec conseils de bonne hydratation et bas de contention. Conseil de reconsulter en cas de récidive. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Analyses urinaires : pas de signe d'infection urinaire ni de microhématurie. • Test de grossesse : négatif. • Soulagement des douleurs spontanément après 15 min., sans antalgie. Réassurance de la patiente. Retour au domicile. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Coprocultures pour Campylobacter. • Ciproxin 500 mg 1-0-1 pour 3 jours. • Rendez-vous dans 48h au secteur ambulatoire des urgences pour un contrôle clinique et résultats des coprocultures. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire du 15.04.2019. • ECG du 15.04.2019 : extrasystole ventriculaire asymptomatique. • RX poignet droit du 15.04.2019 : fracture du radius distal avec bascule dorsale. • Schellong du 15.04.2019 : négatif. • Avis orthopédique (Dr. X) : doigtier japonais, réduction, BAB, contrôle ortho-urgences à 1 semaine. Traitement symptomatique. Contrôle urgences orthopédique à 1 semaine, la patiente sera convoquée. Patiente est instruite des symptômes nécessitant une reconsultation en urgences. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire du 24.04.2019 : diminution du syndrome inflammatoire. • Contrôle d'INR le 24.04.2019, avec cible INR entre 2 et 3, au Secteur Ambulatoire des Urgences. • Schéma de Sintrom le 24.04. • Reprise du schéma habituel 4-4-3-3. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • ECG. • Pantozol 40 mg iv. Retour à domicile avec IPP 10 jours. Si persistance des douleurs, consultation chez le médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • ECG. • RX thorax. Retour à domicile. Consultation chez le médecin traitant en cas de besoin. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Sédiment urinaire. • Culture d'urine : à pister. • CT : calcul jonction urétéro-vésicale gauche de 4 mm, dilatation pyélocalicielle de 30 mm et urétérale de 10 mm. Retard de perfusion avec infiltrat de la graisse alentour parlant pour une néphrite. Persistance du contraste cortico-médullaire de 12 mm (abcès). • Avis chirurgical (Dr. X) : hospitalisation en chirurgie avec antalgie et pradif, contrôle créatinine le 26.04, filtre urine, pas d'antibiothérapie pour le moment. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Sédiment urinaire. Information au patient : nous avons rassuré la patiente face à une déchirure de sa cure d'hernie inguinale. Suite de prise en charge chez le gynécologue traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Sédiment urinaire. • Ultrason abdominal (Dr. X, Dr. X) : pas de dilatation pyélo-calicielle, pas de LL. Retour à domicile avec laxatifs. Patiente prendre un rendez-vous chez son gynécologue pour un bilan. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Urines. • Avis psychiatrique (Dr. X). Hospitalisation à Marsens. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Antalgie simple + arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant dans 48h, reconsulter si péjoration. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Aux urgences, Haldol 2 x 5 mg en per os. Transfert au Centre Hospitalier du Nord Vaudois sous PAFA pour mise à l'abri en accord avec le Dr. X (médecin de garde). Attendue à l'unité Ivoire. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Avis chir (téléphone), Dr. X : organiser une gastroscopie dès que possible. Gastroscopie demandée. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Avis chirurgical (Dr. X) : absence de signe infectieux, pansement simple, suite chez le médecin traitant. Si signe infectieux/inflammatoire reconsulter. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Consilium chirurgical (Dr. X). • Aux urgences, désinfection à la Chlorhexidine, champignonage habituel. Anesthésie locale par Rapidocaïne. 2 points d'hémostase en amont et aval de la veine, avec bon résultat. Pansement. Contrôle Hb et clinique au secteur ambulatoire des urgences (appeler Dr. X, au courant du cas). Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Contrôle chez son médecin traitant dans une semaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • CT cérébral injecté (transmission orale, Dr. X) : pas de saignement, pas de fracture, pas de dissection des vertèbres. Retour à domicile avec antalgie par Dafalgan, feuille de surveillance post-TCC donnée. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • CT cérébral natif. • Zomig intranasal : bonne réponse médicamenteuse. Retour à domicile après réassurance. Traitement symptomatique. Conseil de réévaluer avec le médecin de famille à 72 h si persistance des symptômes malgré l'antalgie pour réalisation d'une IRM cérébrale. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • ECG : rythme sinusal régulier, pas de trouble de la conduction, pas de trouble de la repolarisation, microvoltage isolé en V1. • Radiographie thoracique. • Ultrason cardiaque, Dr. X. Retour à domicile après réassurance. Conseil de réévaluer avec son médecin de famille +/- évaluer l'intérêt d'un traitement par IPP à la recherche d'une étiologie gastrique. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • ECG : rythme sinusal régulier, PQ fin, QRS fin, index de Sokolow positif, repolarisation précoce. • Radiographie thorax face : pas de foyer, pas de pneumothorax, pas de signe d'insuffisance cardiaque. Traitement symptomatique. Suite chez le médecin traitant au cours de la semaine. Critères de reconsultation expliqués au patient. Arrêt de travail. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • ECG. • CT cérébral injecté : atrophie cérébrale. Pas de signe en faveur d'un accident vasculaire cérébral. Pour une meilleure investigation, l'IRM est l'examen de choix, en particulier pour l'amnésie globale transitoire à réaliser à 24h du début des symptômes.Bonne perméabilité des vaisseaux pré-cérébraux et du polygone de Willis. Lésion calcifiée extra-axiale frontale gauche dans le vertex venant au contact du cortex compatible avec un méningiome calcifié. Avis neurologique (Dr. X). Observation 12 h, puis réévaluation de la symptomatologie. Retour à domicile après régression complète de la symptomatologie, pas besoin d'investigation supplémentaire. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • ECG. • Feuille de surveillance TCC donnée. • Schellong négatif. • Critères de reconsultation expliqués à la patiente avec consigne de reconsulter immédiatement. La patiente va passer la nuit avec sa fille qui vit chez elle. Elle s'engage à faire un contrôle chez son cardiologue, Dr. X, pour évaluer la nécessité de poursuivre les investigations au vu de son BAV du 1er degré. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • ECG. • IRM cérébrale (Dr. X) : pas d'accident ischémique transitoire, ni accident vasculaire cérébral. • Avis neurologique (Dr. X). On ne retient finalement pas de cause centrale pour les symptômes de la patiente, en cas de persistance ou péjoration des vertiges on propose au médecin traitant d'adresser la patiente à une consultation ORL. Explications à la patiente dans quelles situations il faudra reconsulter. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • ECG. • Retour à domicile avec contrôle de la TA 2x/j. • Instructions données à la patiente pour la prise de la tension artérielle. • Amlodipine 5mg en plus du traitement habituel si TA >180 mmHg de systolique le soir. • Prise de contact avec le médecin traitant dans 1 semaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • ECG. • Temesta 1 mg. • Poursuite traitement habituel. • Retour à Marsens. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • EEG. • Avis neurologique (Dr. X) : analyse de l'EEG par Dr. X, sans particularité. Proposition : IRM cérébrale en ambulatoire et rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X. Recommandation de ne pas conduire pendant 3 à 6 mois, à réévaluer lors de la consultation. Stop Tramal. Interdiction de conduire pendant 3 à 6 mois, ou selon réévaluation par Dr. X. Expliqué et accepté par la patiente. IRM cérébrale en ambulatoire, la patiente sera convoquée. Consultation neurologique avec Dr. X en ambulatoire. Contrôle chez médecin traitant à 4 jours. Explications des critères de reconsultation à la patiente. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Mise en place d'un RapidRhino 4.5 à gauche. • Consignes épistaxis. • Ablation du Rapid Rhino à 24 h en ORL (la patiente sera convoquée). • Critères de reconsultation expliqués au patient. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Radiographies de la hanche et du bassin : pas de fracture. • CT-scanner bassin et hanches (Dr. X) : pas de fracture, pas d'hématome, pas d'épanchement, importante coxarthrose. • Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X) : effectuer une IRM en ambulatoire à la recherche de lésions des tissus mous péri-acétabulaires, d'un hématome ou d'une fracture occulte et convoquer le patient à la consultation du team hanche dans 3-5 jours pour évaluation des résultats IRM et suite de prise en charge. Retour à domicile avec optimisation du traitement antalgique, béquilles et décharge. IRM au centre imagerie CIMF Sainte Thérèse le 09.04.2019 14h15. Contrôle en orthopédie avec le team hanche dans 3 à 5 jours, le patient sera convoqué par l'équipe d'orthopédie. Expliqué au patient les red-flags (surtout fièvre et signes inflammatoires). Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Radiographies. • Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X). Aux urgences, réduction fermée sous MEOPA et Fentanyl. Plâtre (Dr. X). Décharge complète. Surélévation du pied. Antalgie. Prise en charge opératoire prévue dans une semaine. La patiente sera convoquée. Clexane. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • RX lombaire, hanche et bassin. • Avis orthopédique (Dr. X). Antalgie, myorelaxant. Contrôle à 1 semaine au team rachis, la patiente sera convoquée. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • RX. • Antalgie et contrôle chez le médecin traitant dans 48 heures. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Stix et sédiment urinaires. • ECG : rythme sinusal régulier sans trouble de la repolarisation; QTc 444 ms. • Ultrason de débrouillage bedside (Dr. X) : pas de liquide libre, pas de dilatation des cavités pyélo-calicielles, pas de signe de cholécystite ou cholécystolithiase. • CT-scanner abdominal (Dr. X) : pas de lithiase, pas de signe de pyélonéphrite, pas de dilatation de cavités pyélo-calicielles; quelques diverticules sans signe d'inflammation; image de sigmoïdite avec lame de liquide au niveau du petit bassin; pas de collection. • Avis chirurgical (Dr. X) : pas d'indication à une hospitalisation, ad traitement ambulatoire; organiser un prélèvement de selles pour examens microbiologiques et un contrôle ambulatoire. Aux urgences, Paracétamol 1 g iv et Novalgine 1 g iv. 2 g de Rocéphine. Retour à domicile avec thérapie antibiotique par Ciprofloxacine et Flagyl pendant 10 jours. Contrôle chez le médecin traitant à 48 heures avec un ECG de contrôle pour le QT, étant donné qu'une thérapie de Ciprofloxacine a été introduite. La patiente a reçu le matériel et les instructions nécessaires pour le prélèvement de selles. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Traitement symptomatique. • Reconsultation médicale en cas de non-amélioration ou péjoration clinique. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Ultrason des vaisseaux et des parties molles des jambes (Dr. X) : pas de thrombose visualisées. Veines fémorales/poplitéales/tibiales antérieures et péronéennes perméables, adénopathies inguinales à morphologie normale, liquide libre sous-cutané en regard pré-tibial compatible avec un érysipèle. Retour à domicile avec Co-Amoxicilline 1 g 3x/j. pendant 10 jours et antalgie, surélévation du membre. Recommandation de reconsulter en cas de persistance, signes de gravité. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Ultrason testiculaire : hypoperfusion du testicule gauche en faveur d'une torsion avec enroulement de l'épidydime. • Avis chirurgical : prise en charge en urgence au bloc opératoire. Transfert au bloc opératoire. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Ultrason. • Nexium 1x/j. • Contrôle chez son médecin traitant dans 48 h si persistance des symptômes. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Laboratoire. • Urines : sang ++++. • CT uro : lithiase de 1 mm de diamètre urétérale. Dilatation du pyélon de 10 mm. • Traitement conservateur. Conseils d'usage. Examens complémentaires effectués après explications du médecin :Laboratoire. Urines : stix et sédiment. Urotube envoyé. Avis gynécologique (Dr. X) : ultrason gynécologique normal, pas de liquide libre, site opératoire calme. Retour à domicile depuis la gynécologie avec traitement pour infection urinaire avec antibiotiques et anti-mycotiques. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. Urines. Ultrason abdominal : volumineux calcul dans la vésicule biliaire. Retour à domicile avec antalgie. Consultation chez son médecin traitant si persistance des symptômes. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. Urines. Ultrason abdominal ciblé aux urgences (Dr. X). CT abdominal natif (Dr. X) : lithiase 2 x 2 x 2 mm jonction urétéro-vésicale avec légère dilatation en amont. Aux urgences : Morphine 18 mg iv avec soulagement complet - Voltaren 75 mg. Retour à domicile avec traitement antalgique par Dafalgan, Irfen, Tramal en réserve et Pradif. Filtre et conseils donnés, patient reconsultera en cas d'anurie, hématurie, douleur malgré le traitement antalgique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. Urines. Uro CT (transmission orale, Dr. X). Antalgie. Filtrer les urines. Vu des calculs à répétition et néphrolithiase gauche, évaluer avis urologique. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. Urines. Urotube : à suivre. Ultrason ciblé (Dr. X) : dilatation pyélocalicielle grade 1. Inchangé par rapport au CT de 2018. Avis urologique (Dr. X). Aux urgences, hydratation iv, 2 g Rocéphine iv. Suivi clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Antibiothérapie avec Ciproxine. Pister les résultats de l'urotube. Adaptation de l'antibiothérapie selon résultat. Critères de reconsultation expliqués au patient et son épouse. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. Xarelto 15 mg 2 x jour. Consilium angiologique demandé. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Radiographie : pas de corps étranger. Aux urgences, anesthésie locale avec 5 ml Lidocaïne. Champs stérile. Rinçage à la sonde boutonnée et inspection : pas de corps étranger. Pas de structure profonde visualisée. Fermeture avec 2 points simples Prolen 4.0. Contrôle clinique et ablation de fils à 10 jours chez son médecin traitant. Arrêt de travail. Critères de reconsultation médicale expliqués à la patiente. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Radiographie cheville + pied le 21.04.2019. Avis orthopédique (Dr. X) : botte plâtrée, RICE, Clexane, contrôle clinico/radiologique en ortho urgence à une semaine. Antalgie. Clexane 40 mg 1 x/j. Contrôle clinico/radiologique à 1 semaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Radiographie doigt droit : pas de fracture, pas de luxation, pas de fissure observée. Traitement symptomatique. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Radiographie thoracique. Aérosol 5 mg Salbutamol. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Conseils d'usage donnés. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX : fracture de la tête radiale à droite, non déplacée. Calcifications au niveau de l'insertion du triceps. Plâtre BAB fendu. Contrôle radio-clinique dans une semaine en ortho-urgence. Si la fracture ne s'est pas déplacée, ablation du plâtre, mise en place d'une bretelle et mobilisation du coude. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX : pas de lésion osseuse visualisée. Désinfection, pansement simple. Arrêt de travail 2 jours et suite chez son médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX : pas de lésion osseuse. Attelle Edimbourg pour 4-5 jours. Antalgie. RICE. Contrôle chez le médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX cheville : pas de fracture. Antalgie simple. Pantozol. Attelle à visée antalgique. Reconsultera son médecin traitant si persistance des douleurs. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX cheville droite f/p : pas de fracture visible. Marche en charge selon douleurs. Physiothérapie pour amélioration de l'inflammation. Prochain contrôle chez son médecin traitant dans 10 jours. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX cheville et pied droits. Botte plâtrée fendue. Clexane 40 mg sous cut. Antalgie. Rendez-vous à 7 jours en ortho urgences pour contrôle clinique et examen du genou droit. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX cheville gauche. Retour à domicile avec décharge selon douleurs par cannes, immobilisation par Aircast, RICE. Physiothérapie. Suite chez le médecin traitant à J7. Importance du dérouler du pied expliqué au patient. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX de l'épaule droite : pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X). Retour à domicile avec antalgie, bretelle antalgique. Physiothérapie. IRM de l'épaule en ambulatoire, questionnaire de sécurité et bon de radio remplis. Consultation en ortho membre supérieur pour suite de la prise en charge et communication des résultats. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX de l'épaule droite. Retour à domicile avec antalgie simple. Prise de contact avec le médecin traitant si persistance. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX du genou droit. Protocole GRACE avec immobilisation par attelle Jeans pendant 7 jours maximum. IRM du genou droit en ambulatoire à la recherche d'une lésion ligamentaire ou méniscale. Réévaluation par le médecin de famille en ambulatoire, +/- consultation orthopédique à distance. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX du pouce. Attelle alu, car attelle Stack pas assez grande. AINS. Il sera convoqué pour une attelle Stack thermoformée en ergothérapie. Contrôle radio-clinique dans une semaine en consultation ortho-urgence pour évaluation du pouce d'un éventuel déplacement secondaire et évaluation de la tuméfaction. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX épaule droite f/Neer : pas de fracture péri-prothétique, prothèse en place, pas de signe d'hématome. Avis orthopédique (Dr. X). Retour à domicile avec optimisation du traitement antalgique. Nouvelle prescription de physiothérapie avec explications détaillées pour le physiothérapeute. Envoyer une demande pour pouvoir anticiper la consultation avec le Dr. X qui était prévue pour le 15 mai 19. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX genou : pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X). Antalgie simple. Cannes charge selon douleur. Attelle Jeans. IRM en ambulatoire. Contrôle en ortho urgences. Physiothérapie. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX genou droit : pas de fracture visible. Avis ortho (Dr. X) : Marche avec béquilles et charge selon douleurs. Contrôle clinique chez médecin traitant dans 10 jours. Traitement symptomatique. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX genou droit. Retour à domicile avec traitement symptomatique, conseils d'usage. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX genou gauche ap/lat/pat. Avis orthopédique (Dr. X). Attelle Jeans à 20°. Cannes avec charge selon douleurs. Antalgie.IRM genou gauche. Rendez-vous en orthopédie, team genou, après IRM. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX genou gauche f/p : pas de fracture. Nous avons la suspicion d'une lésion du ligament latéral externe et du ménisque externe du genou gauche. Nous fixons un rendez-vous pour procéder à une IRM et ensuite au team genou pour discuter du résultat et éventuelle prise en charge. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX genou gauche f/p, rotule ax. : pas de fracture, pas de lésion osseuse, pas d'épanchement. • Avis orthopédique, Dr. X. • Traitement antalgique. • Bon de physiothérapie. Le patient sera revu au team genou pour contrôle clinique à 2-3 semaines. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX hanche, bassin : coxarthrose initiale et calcifications au niveau du labrium, plus important à droite. • IRM selon protocole d'impingement avec reconstruction en 3D après consultation au team hanche. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX jambe droite, 2 incidences : absence de lésion osseuse visualisée. • Traitement symptomatique et suite de prise en charge chez le médecin traitant au besoin. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX jambe gauche f/p : pas de fracture. • Laboratoire : CRP < 5. • Traitement symptomatique avec AINS et application d'Hirudoid crème. • Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX pied droit f/p/o. • CT cheville et pied droit. • Botte plâtre fendue, décharge avec cannes, Clexane 40 mg, AINS. • Contrôle radio-clinique dans 1 semaine au team pied. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX pied et cheville gauches f/p/o : pas de fracture. • Botte plâtrée fendue pour soulager les douleurs, décharge par cannes, Clexane. • AINS. • Contrôle radio-clinique dans une semaine en consultation orthopédique. Si persistance des douleurs, envisager un CT du pied. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX pied gauche. • Avis orthopédique (Dr. X) : probable tendinite de l'avant-pied, anti-inflammatoire, décharge pour 3 jours, physiothérapie, rendez-vous dans 3 semaines au team pied. • Retour à domicile avec anti-inflammatoire. • Décharge avec cannes pour quelques jours. • RICE. • Physiothérapie. • Rendez-vous dans 3 semaines au team pied pour contrôle clinique. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX scapula f/p : pas de fracture, pas de lésion osseuse visualisée. • Retour à domicile avec traitement antalgique. • Suite de prise en charge chez le médecin traitant. • Explications à la patiente dans quelles conditions il faudrait reconsulter en urgence. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX 5ème orteil AP/o : fracture de la diaphyse de P1. • Syndactylie, marche en charge complète. • Contrôle chez son médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX 5ème orteil du pied droit. • Avis orthopédique (Dr. X) : syndactylie, semelle rigide 4 semaines, contrôle chez son médecin traitant. • RICE. • Retour à domicile avec antalgie. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. • Aircast. • Physiothérapie. • Contrôle chez le médecin traitant dans 10 jours si persistance des douleurs. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. • Attelle Edimbourg, RICE, repos. • Anti-inflammatoires. On a bien expliqué au patient de revenir en cas de signe d'infection. Contrôle chez son médecin traitant dans 1 semaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. • Attelle Edimbourg. • Désinfection des dermabrasions. On opte pour une opération de réduction et ostéosynthèse du 5ème métacarpe. Le patient donne son consentement oral et écrit. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. • Attelle Velcro. • Repos. • RICE. • Anti-inflammatoires. • Contrôle chez le médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. • Avis orthopédique (Dr. X) : • team genou dans 10 jours • IRM genou • immobilisation par attelle Jeans 20° et Clexane. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. • Avis orthopédique (Dr. X). • Traitement conservateur, pas de drainage de l'hématome. • Attelle 5 jours. • Co-Amoxi 5 jours, 1 g 2x/j. • Bains de Bétadine 5 minutes 2x/j. pour 5 jours. • Contrôle chez le médecin traitant à 5 jours. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. • Avis orthopédique (Dr. X) : pas de fracture. • Antalgie simple et attelle maximum 5 jours, contrôle dans 7 à 10 jours chez le médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. • Avis orthopédique (Dr. X). • Antalgie. • Attelle Edimbourg pour 2 à 3 jours uniquement. • Consultation chez le médecin traitant dans une semaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. • Avis orthopédique (Dr. X) : • Botte plâtrée fendue pour 8 semaines. • Contrôle au team pied à 1 semaine. • Décharge complète avec Clexane. Enseignement pour Clexane communiqué. • Critères de gravité communiqués à la patiente. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. • Botte fendue, prophylaxie thromboembolique par Clexane, décharge avec cannes. • Contrôle radio-clinique au team pied dans 7 à 10 jours. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. • Bretelle pendant 4-5 jours pour antalgie. • Contrôle chez le médecin traitant. • Mobilisation libre de l'épaule. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. • CT scan cheville/pied droit (Dr. X) : absence de fracture. • Avis orthopédique (Dr. X) : charge selon douleurs, plâtre fendu, Clexane 40 mg sous cutané, contrôle team ortho-urgences à 7 jours, cannes, antalgie. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. • Plâtre pour pouce du skieur fendu. • Ultrason prévu pour exclure une lésion de Stener. • Contrôle au team membre supérieur dans 7 à 10 jours pour discuter du résultat. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. • Traitement comme tuft fracture ouverte, désinfection, bain de Bétadine 1x/j. Antibiothérapie par Co-Amoxi pour 7 jours. Immobilisation avec attelle alu des deux doigts. • Contrôle radio-clinique dans 1 semaine en ortho-urgence. • Une trépanation de l'ongle n'était pas nécessaire car l'hématome était plutôt à côté de la pulpe. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. • Traitement symptomatique. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Sédiment urinaire. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Sédiment urinaire. • Ultrason abdominal (Dr. X/Dr. X) : dilatation bilatérale des cavités pyélo-calicielles, vessie non visible. • Retour à domicile, rassurée. • Reconsulte si persistance des symptômes, douleurs en flanc ou état fébrile. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Stick urinaire : leucocyte 0, nitrite 0, sang 0. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Stick urinaire : leucocytes +++. Protéines ++. Sang ++++. • Urotube en cours. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Streptotest : négatif. • Retour à domicile, arrêt de travail et traitement symptomatique. • Réévaluation avec le médecin de famille si persistance des symptômes à 72 heures malgré le traitement symptomatique. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Test de grossesse : négatif.• Buscopan, Dafalgan et Motilium. Contrôle chez son médecin traitant dans 24-48h si persistance de symptômes. En cas de péjoration, reconsulter les urgences. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Ultrason pénien (Dr. X). • Avis urologique (Dr. X). • Ciproxine pour 5 jours vu bactériurie. • Antalgie simple. • Critères de reconsultation médicale expliqués à Mr. Y. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Ultrason vasculaire. • Radiographie genou gauche. • Retour à domicile avec antalgie. • Conseil de réévaluer avec médecin de famille si persistance des symptômes malgré l'antalgie. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Urines : leucocyturie. • Antibiothérapie 5 jours. • Traitement symptomatique. • Hydratation per os. • Critères de reconsultation expliqués à Mme. Y. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Urines. • Urotube : à pister. • Ultrason ciblé (Dr. X) : pas de dilatation pyélocalicielle. Vessie pleine. Suspicion d'hypertrophie du lobe supérieur de la prostate. Pas de caillot intravésical visualisé. • Poursuite de l'antibiothérapie. • Bains de Bétadine 3x/jour. • Antalgie. • Suivi clinique par le médecin traitant. • À prévoir, suivi urologique en ambulatoire. • Critères de reconsultation médicale expliqués à Mr. Y. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Urine. • Test de grossesse négatif. • Ultrason abdominal. • Retour à domicile, rassurée. • Prendra rendez-vous chez sa gynécologue. • Examens effectués aux soins intensifs (Mme. Y, aide-soignante aux SI). • ECG : axe hyperdroit (en raison d'un mauvais placement des électrodes). • Ringer 500 ml. Dafalgan. • Aux urgences : • répétition ECG : axe dans la norme. • Prise de la tension à domicile. • ADALAT retard 1 mg en réserve si tension artérielle > 180 mmHg. • Consultation chez Dr. X pour adaptation du traitement anti-hypertenseur. • Mme. Y informée des signes qui devraient la pousser à reconsulter. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • ECG. • Laboratoire : H0 7 H1 8 H3 8. • Radiographie du thorax. • Aux urgences : Nitroglycérine caps 0.8 mg, 500 mg Aspegic iv. • RAD avec suite de prise en charge de la tension chez le médecin traitant, RDV de suivi chez le cardiologue. • ADALAT ret 20 mg si TAS > 180 mmHg en R. • Mr. Y est informé de reconsulter les urgences en cas de récidive de douleur, sans hypertension ou sans effet avec ADALAT. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • ECG. • Laboratoire : D-Dimères et troponines négatives. • Radiographie du thorax. • Réassurance, discussion quant aux facteurs de stress actuels. • Suite de prise en charge chez le médecin traitant selon évolution. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • ECG. • Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, pas de cholestase, pas de trouble de la fonction rénale ni de trouble électrolytique. • Mme. Y adressée en gynécologie pour évaluation d'une éventuelle hospitalisation dans le contexte du diagnostic, et contrôle gynécologique-obstétrical. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • ECG. • Laboratoire. • ADALAT Ret 20 mg PO. • Conseils d'usage. • Nifédipine 20 mg en R si TAS > 180 mmHg. • Bilan cardiaque par ETT et ergométrie d'effort (A priori prévu chez Dr. X le 05.05.19). • Majoration du traitement anti-hypertenseur. • Suite de prise en charge chez le médecin traitant. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • ECG. • Laboratoire. • Nifédipine Ret 20 mg en R si TAS > 180 mmHg. • Adaptation du traitement anti-HTA chez le médecin traitant. • Conseils d'usage. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • ECG. • Laboratoire. • Radiographie du thorax. • Urines : propres. • Conseils d'usage. • Traitement symptomatique. • Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • ECG. • Laboratoire. • Stix et sédiment urinaires. • Schellong. • Temesta 1 mg PO. • Temesta, Tryptophane et Ibuprofène. • Recommandation de reconsulter le médecin traitant en cas de persistance de la symptomatologie ou récidive. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • ECG. • RAD avec prise de contact avec le CPS par la patiente, 2 cpr de Temesta donnés en réserve à la patiente. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • Examen clinique. • Radiographie épaule droite face/neer : fracture isolée du tubercule majeur, avec déplacement millimétrique. • CT-scanner épaule afin d'évaluer précisément le déplacement. • Immobilisation par gilet ultra-sling, avec 15° d'abduction. • Antalgie standard. • Consultation en orthopédie-urgences le 03.04.2019. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • Glycémie : normale. • ECG. • Test de Schellong : positif. • Bas de contention pour le travail afin de limiter l'orthostatisme. • Mme. Y sera convoquée pour une consultation en cardiologie afin de bilanter ses malaises répétés et effectuer un tilt test. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • Laboratoire : absence de syndrome inflammatoire. • Sédiment urinaire : présence de leucocytes et d'érythrocytes. • Uricult le 29.04.19. • Antibiothérapie par fosfomycine en dose unique le 29.04.19. • Nous recommandons à Mme. Y de reconsulter son médecin traitant si la symptomatologie persiste. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • Laboratoire : CRP à 8 mg/L, leuco 7.6 G/L. • ECG. • CT cérébral et carotides (transmission orale, Dr. X) : pas de lésions intra-crâniennes, vaisseaux perméables, pas de thrombose. Pas d'infiltration des glandes sous-mandibulaires et parotidiennes. • Avis neurologique (Dr. X). • RAD avec IRM en ambulatoire le 26.04.2019, si lésion ischémique, proposition de compléter par ETT et Holter. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • Laboratoire : CRP à 94/l, Leucocytose à 19.9. • ECG. • Radiographie du thorax : présence d'une opacité rétrocardiaque. • Antibiothérapie par Augmentin 1 g 2x/jour durant 7-10 jours. • Repos, arrêt de travail d'1 semaine. • Contrôle clinique et biologique chez le médecin traitant à 1 semaine afin d'évaluer la durée de l'antibiothérapie. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • Laboratoire : CRP 46 mg/l sans leucocytose. • Hémocultures : négatives. • Test de grossesse : négatif. • CT cérébral : pas de signe d'hypertension intracrânienne, comblement du sinus maxillaire gauche. • Réévaluation de la patiente une fois la fièvre baissée (37.3°C) : pas de raideur de nuque, Brunzinski et Kernig négatifs, diminution des céphalées à EVA 3/10. • Peu d'arguments pour retenir une suspicion de méningite, avec amélioration clinique sous Dafalgan et AINS. • RAD avec antalgie de 1er palier et antibiothérapie par Co-amoxicilline 1 g 2x/j pour 5 jours pour une sinusite. • Recommandations de reconsulter si péjoration des céphalées, récidive d'état fébrile, symptômes neurologiques. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • Laboratoire : D-Dimères et Troponines négatives, pas de syndrome inflammatoire. • ECG : rythme sinusal, ST isoélectrique. • Radiographie du thorax : pas de pneumothorax, pas d'élargissement du médiastin. • Exclusion de Red flags (infarctus du myocarde, embolie pulmonaire, pneumothorax). • RAD avec réassurance. Antalgie par Dafalgan et Irfen. • Mme. Y informée de consulter le médecin traitant afin d'investiguer la perte de poids involontaire (dernier contrôle gynécologique il y a 6 mois, sans particularité). • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • Laboratoire : diminution des Leucocytes à 7, CRP < 5. • RAD. • Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. • Laboratoire du 13.04.2019 : BHCG à 24'259. • Schellong le 13.04.2019 : négatif. • Avis gynécologique du 13.04.2019 (Dr. X) : Itinérol B6 en suppositoire 3x/j en ordonnance, Primpéran 10 mg 3x/jour, hydratation.Consultation gynécologique pour datation de la grossesse lundi 15.04.2019. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. ECG. Avis psychiatrique Dr. X : la patiente ne présente pas de psychose décompensée avec nécessité d'hospitalisation. Elle présente une crise de panique dans le cadre de la consommation de cannabis. Aux urgences : Temesta 1 mg. RAD avec son ami. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. ECG. CT-Scan cérébral : pas de thrombose veineuse, pas de saignement. Majoration de l'antalgie. Suivi chez le médecin traitant dans 1 semaine avec réévaluation de l'antalgie. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. ECG. Test de Schellong : pas d'hypotension mise en évidence, mais symptômes de vertiges en position debout et à la mobilisation. Consignes d'hydratation. Patiente informée des signes qui devraient la pousser à reconsulter. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire le 28.04.2019 : CRP 12 (25, le 26.04), Lc 7.8 (6.1 le 26.04). Contrôle de plaie : désinfection à l'Octenisept, rinçage à l'aiguille boutonnée avec 20 cc de NaCl 0.9 %, retour clair non purulent, non sanguinolant. Réfection de pansement. Avis chirurgical Dr. X : contrôle en consultation des CDC de chirurgie à 24 h, le 29.04.2019 à 08 h 30, sera revue par le Dr. X. Poursuite des rinçages de plaie 2x/24 h avec aiguille boutonnée. Explication des critères de reconsultation à la patiente. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, perturbation des tests hépatiques, de la cholestase, Lipase dans la norme. Perturbation stable depuis décembre 2018. Test de grossesse : négatif. Analyses urinaires : pas de signe d'infection urinaire ni de micro-hématurie. US abdominal Dr. X : présence d'un sludge, dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques, pas de lithiase vésiculaire, pas de signe de cholécystite. Antalgie par Buscopan. RAD et suite de prise en charge chez le médecin traitant, à discussion pour une cholangio-IRM en fonction de la symptomatologie. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Aux urgences : Paracétamol 1 g, morphine 10 mg p. o., 10 mg i.v., NaCl 750 ml i.v. Antalgie avec Dafalgan et Tramal en réserve. IRM cérébrale conseillée en ambulatoire, après la grossesse. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Sédiment urinaire. Amélioration des douleurs sous antalgie. Patiente adressée en gynécologie pour suite de prise en charge. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Stix et Sédiment urinaires. US de débrouillage aux Urgences (Dr. X) : suspicion de dilatation pyélocalicielle droite. Uro CT le 29.04.2019. Antalgie par Dafalgan, AINS, Buscopan. Filtration des urines. Conseils de vigilance (consulter si état fébrile, péjoration douleurs). Rendez-vous en urologie à 6 semaines (la patiente sera convoquée). Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Stix/sédiment urinaires. Urotube : en cours. CT abdominal le 14.04.19 : rein unique à gauche, double système à gauche avec système inférieur avec dilatation de 20 mm à la jonction, pyélonéphrite du rein gauche au pôle inférieur et moyen, pas de calcul, pas d'obstruction. Varices utérines, 1 kyste au niveau du foie, pas d'hémangiome. Aux urgences : Rocéphine 2 g iv. RAD avec poursuite de l'antibiothérapie et antalgie. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire : Troponines 6 ng/l, Hb 139 g/l. ECG : rythme sinusal régulier, sans troubles de la repolarisation. Stix et sédiment urinaires : négatifs. Avis chirurgical (Dr. X) : suspicion de maladie de reflux œsophagien, à traitement conservateur par Pantoprazol 40 mg 2x/24 h et contrôle clinique à 48 h. Selon l'évolution, évaluer l'indication à effectuer une imagerie ou une gastroscopie en ambulatoire. Traitement conservateur par Pantoprazole 40 mg 1-0-1 et Alucol gel. Explication des habitudes alimentaires péjorant les RGO. Explication des critères de reconsultation à la patiente. Contrôle de suivi chez le médecin traitant à 10 jours. Contrôle chez le Dr. X, chirurgien bariatrique, au plus tôt (la patiente prendra contact avec le médecin). Proposition de réévaluation de l'indication à poursuivre le traitement par IPP et indication à gastroscopie/imagerie par Dr. X. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Analyses urinaires. Angio CT-thoracique (Dr. X) : pas de dissection aortique, pas d'embolie pulmonaire ; atélectasie partielle du lobe inférieur G, sans atteinte bronchique en amont ; lésion du sein droit compatible avec statut post-carcinome mammaire ; 2 lésions ostéo-condensantes au niveau L1 et aile iliaque D, d'allure bénigne, mais proposition de revoir son gynécologue traitant pour bilan mammaire ; découverte fortuite d'un anévrisme de l'aorte abdominale à 2.8 mm, à suivre. Antalgie simple. Suite de prise en charge chez le médecin traitant la semaine prochaine. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. ECG. Consultation gynécologique. US cardiaque et membres inférieurs ciblés aux Urgences (Dr. X) : • Péricarde : pas d'épanchement. • FEVG visuelle : conservée. • Cœur droit : non dilaté, pas de septum paradoxal. • VCI : non dilatée compliante. Hémodynamique : E/A > 1, S' 9.5. • Autre : pas d'insuffisance tricuspidienne perçue. Conclusion : pas d'argument pour un cœur pulmonaire aigu. • Écho vasculaire, suspicion de TVP : • veines fémorales et poplitées anéchogènes et parfaitement compressibles à droite et à gauche. Conclusion : pas d'argument pour une TV proximale. Au vu de l'absence de signes parlant pour une embolie pulmonaire avec des D-Dimères à moins de 1000 ng/l, pas d'imagerie (étude YEARS). Conseils de vigilance donnés. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Peak Flow : 120 L/min, 230 L/min après Ventolin et Atrovent. Capacité pulmonaire totale 3.6 L. Réassurance. Antalgie simple. Alerte Seretide 100 mcg 2x/j + Ventolin 3x/j et en réserve. Suite chez le médecin traitant + consultation Pneumologie organisée. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Radiographie du thorax : pas de foyer franc. ECG : dans la norme. Traitement symptomatique. Proposition au fils de la patiente de me recontacter si péjoration (patiente sans médecin traitant en Suisse). Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. RAD avec traitement antalgique et anti-inflammatoire. Suite de prise en charge chez le médecin traitant en Italie. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Transfusion de 2 CE, HémoQ de contrôle à 68 g/l. Déficit en fer de 900 mg. Avancer prochain RDV chez son gynécologue, à Ferinject 500 mg la semaine prochaine. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie avant pied/pied droit. Avis orthopédique Dr. X : à semelle rigide, cannes avec charge selon douleur. Antalgie. Suite de prise en charge et prochaine consultation radio-clinique dans 1 semaine en orthopédie-urgences. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie cheville droite : fracture Weber B, avec petit déplacement, sans ouverture de la syndesmose en charge. Plâtre fermé en raison de la prise en charge post-10 jours de l'accident. Marche avec cannes de décharge. Clexane 40 mg prophylactique. Contrôle à 3 semaines en orthopédie-urgences pour ablation du plâtre.Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie cheville gauche face/profil le 05.04.2019: fracture Weber B non déplacée de la malléole externe. Après discussion avec le Dr. X, CDC d'orthopédie, nous mettons en place un plâtre Schlupfgips fendu, avec contrôle radio-clinique à J 7 en orthopédie-urgences. En cas de déplacement de la fracture, la patiente est informée de la nécessité d'une intervention chirurgicale pour réduction d'ostéosynthèse avec plaque et vis. Clexane 40 mg prophylactique, Dafalgan 1 gr. Patiente informée de garder le membre inférieur gauche en position élevée. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie cheville gauche face/profil. CT pied et cheville gauche face/profil: pas de fracture visualisée. Attelle Aircast. Arrêt du sport. Contrôle dans 1 semaine à la consultation du Team Pied du Dr. X, HFR Sport, au vu du niveau semi-professionnel de la patiente. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie cheville profil: pas de signe de rupture du tendon d'Achille. Arrachement osseux connu en regard du col du talus. Bonne congruence articulaire. Attelle gouttière antérieure, légèrement en flexion plantaire. Antalgie par AINS. Contrôle en orthopédie-urgences déjà prévu le 02.05.2019. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie cheville/pied droit: pas de lésion osseuse traumatique. Apport osseux harmonieux, avec notamment synostose métatarso-cunéiforme latérale. Traitement conservateur avec physiothérapie que la patiente refuse en raison de l'impossibilité de se libérer de son activité professionnelle. Chevillère à lacets à porter lors d'activité à risque. Antalgie et anti-inflammatoires per os. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie du thorax: pas de foyer objectivé. Traitement symptomatique. Patiente informée de reconsulter en cas d'apparition de fièvre, péjoration de l'état général, dyspnée. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie genou gauche: pas de fracture visualisée. Avis orthopédique Dr. X: immobilisation par attelle jeans 20°, prophylaxie anti-thrombotique par Clexane 40 mg. Antalgie par Dafalgan et Irfen. Surélévation du membre, application de glace, repos. IRM genou gauche et RDV en orthopédie-urgences à 1 semaine. Arrêt de travail d'1 semaine. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie genou gauche: pas de lésion traumatique. Au vu d'un examen clinique rassurant et d'images radiologiques négatives, nous retenons le diagnostic de contusion simple du genou gauche, et mettons en place un traitement conservateur par anti-douleur et anti-inflammatoires. Marche avec charge selon douleur avec cannes anglaises. Patiente avertie de reconsulter en cas de persistance de la symptomatologie. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie jambe droite face/profil. Radiographie poignet/main gauche face/profil/scaphoïde: suspicion de fracture du scaphoïde. CT main/poignet gauche Dr. X: pas de fracture. Avis orthopédique Dr. X. • RAD avec traitement antalgique, cannes, attelle velcro poignet gauche. La patiente a reçu la feuille post-TCC avec explications. Patiente informée des signes qui devraient la pousser à reconsulter. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie le 05.04.19: pas de fracture visible. Physiothérapie avec marche en charge selon douleur. IRM en ambulatoire. RDV au Team Genou pour discussion des résultats. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie main gauche face/oblique: pas de fracture visualisée. Voltarène gel, bandage. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Arrêt de travail d'1 semaine (travail manuel). Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie main gauche. OP prévue le 25.04.2019 (la patiente sera convoquée pour consultation avec anesthésiste, et fixer date et heure OP). Mise en place d'une attelle Edimbourg et bretelle antalgique. Traumanase. Protocole RICE. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie: pas de fracture. Traitement conservateur, antalgie par Dafalgan, marche avec cannes. Application de glace. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie pied gauche face/profil: broche Kirschner longitudinale totalement sortie de l'os, avec bouts en sous-cutané, sans perte de fixation osseuse. Broche Kirschner oblique in situ. Après discussion avec le CDC d'orthopédie, ablation définitive de la broche longitudinale. Désinfection, changement du protocole de mobilisation avec charge en touch-down, prophylaxie par Clexane 40 mg jusqu'au contrôle au Team Pied le plus vite possible. Ablation des fils comme prévu le 05.04.2019 chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie pied gauche: pas de fracture. Semelle rigide, antalgie, protocole RICE. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie pied gauche. Avis orthopédique Dr. X: plâtre, Clexane 40 mg prophylactique. Antalgie. Contrôle en orthopédie-urgences à J 7. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie: rupture de P2 gauche, 1er orteil gauche. Exploration chirurgicale: suture du lit de l'ongle avec Vicryl rapid 4.0. Rinçage, mise en place d'un faux ongle avec Prolène 3.0. Syndactylie avec 1er-2ème et 3ème orteils. Mise en place d'une semelle rigide à garder pour 6 semaines. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 gr 2x/jour durant 6 jours. Ablation du faux ongle chez le médecin traitant à 3 semaines. Contrôle clinique et ablation de la semelle rigide à 6 semaines. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie. Attelle jambière postérieure, cannes et Clexane 40 mg 1x/j (instructions données à la patiente), protocole RICE. Antalgie. Arrêt de travail. Contrôle en orthopédie-urgence dans 5 jours. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie. Plâtre fendu pour 6 semaines. Contrôle en orthopédie-urgences dans 1 semaine. Antalgie. Vitamine C pour 60 jours. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie. Réduction fermée. Mise en place de plâtre AB fendu. Traitement conservateur. Contrôle radio-clinique dans 10 jours en orthopédie-urgences pour circularisation du plâtre. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Urines stix et sédiments: Leucocytes incomptables, Erythrocytes incomptables, Flore bactérienne +++ Laboratoire: CRP 60 mg/l, Lc 15.9 G/l, Creat 60 mmol/l, urée 4.4 mmol/l Ceftriaxone iv 2g aux urgences. Poursuite de l'antibiothérapie per os Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pendant 8 jours. Contrôle chez le médecin traitant dans 7 à 10 jours. Explications des critères de reconsultation médicale à la patiente. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Urines. Laboratoire. ECG. Radiographie du thorax. CT cérébral injecté Dr. X: atrophie globale, pas de saignement, pas d'ischémie, pas de fracture. Mme. Y refuse l'hospitalisation en médecine à Riaz (car aucune place en gériatrie), décidons finalement d'un retour à domicile, car pas d'argument pour une sédation. Nous laissons le soin au médecin traitant d'organiser en ambulatoire les investigations concernant les troubles cognitifs débutants, ainsi que la majoration des soins à domicile. La patiente est d'accord pour un passage infirmier 3x/semaine.Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Avis orthopédique (Dr. X): pas de trouble de la sensibilité ni de la motricité. Suture simple avec rinçage abondant au NaCl, pose de 2 points de Prolène 4.0. Contrôle en ambulatoire à 48h (Mr. Y consultera à Genève). Ablation des fils à 8-10 jours. Critères de reconsultation expliqués. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. CT crânien + massif facial (Dr. X, rapport téléphonique): emphysème dans les parties molles de la fosse mandibulaire, articula temporo-mandibulaire congruente, pas de fracture de la mandibule ou maxillaire, oreille moyenne normale (pas de luxation des os). ECG. Avis ORL (Dr. X): mise sous antibiothérapie pour prophylaxie de méningite conseillée. Aux urgences: Co-Amoxi 1 g i.v. Consultation ORL à 09h30 le 07.04.2019 au E3 (HFR Fribourg). Repos et pansement stérile de l'oreille. Arrêt de travail de 2 semaines (à réévaluer en ORL). Triofan spray nasal 3x/jour. Interdiction de mouchage. Antibiothérapie 3x1 g/jour de Co-Amoxi pour prophylaxie de méningite. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Désinfection par Hibidil, anesthésie avec Rapidocaïne 1% 5 ml, exploration de la plaie, suture avec 4 points 3-0 Prolène, stéristrips, pansement. Rappel anti-tétanique. Arrêt de travail pour adaptation de la charge. Mr. Y souhaite faire le suivi chez son médecin traitant, proposition de faire un suivi à 48-36h, et retrait des fils à J 15. Mr. Y informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter. Ne souhaite pas d'antalgie. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. ECG: bloc de branche gauche connu. Laboratoire: pas de cinétique de troponines significative. Réassurance, suite chez médecin traitant si récidive. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. ECG. Laboratoire. Aux urgences: Benerva cpr 300 mg PO, Seresta 15 mg PO. Mr. Y ne souhaite pas être hospitalisé pour le sevrage, il a déjà pris contact pour un suivi en ambulatoire avec un psychiatre. RAD avec Seresta 15 mg en réserve. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. ECG. Laboratoire (dont D-Dimères et Troponines négatives). US cardiaque ciblé aux urgences (Dr. X): pas d'épanchement péricardique. Réassurance, antalgie simple au besoin. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. ECG: pas d'argument pour un trouble du rythme. R-test en ambulatoire, Mr. Y sera convoqué. Consulte en cas de symptômes persistants ou apparition de nouveaux symptômes. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. ECG. Laboratoire: troponines négatives. Aux urgences: • Test au Nitré croqué: pas d'amélioration • Brufen 400 mg: amélioration des douleurs U/S ciblé aux urgences (Dr. X): FEVG globalement conservée. Epanchement péricardique apicale et autour du VD - DD: graisse. Avis cardiologique (Dr. X): pas d'épanchement péricardique visualisé à l'ETT, par contre visualisation fortuite d'une ectasie de l'aorte ascendante de 43 mm au niveau du sinus Valsalva, avec discrète insuffisance aortique. Traitement par Dafalgan et Irfen. Suivi biologique (avec troponines) et clinique avec ECG chez le médecin traitant dans 1 semaine. Repos avec certificat médical. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. ECG. Laboratoire. Test de Schellong. Temesta 1 mg PO. Temesta, Tryptophane et Ibuprofène. Recommandation de reconsulter le médecin traitant en cas de persistance de la symptomatologie ou récidive. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. ECG. Réassurance. Retour à domicile avec Betahistine. Consilium ORL: consultation en ORL. Merci au médecin traitant de réévaluer l'indication à une IRM cérébrale en cas de persistance des symptômes et selon l'avis ORL. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Examen clinique. Radiographie: pas de signe de fracture. Rapport ostéoarticulaire conservé, pas de perte de l'espace sous-acromial. Antalgie standard, bretelle antalgique. Contrôle chez le médecin traitant à J 7. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. Avis neurologique (Dr. X). Sérologies HIV, HSV, VZV, Lyme et Syphilis: à pister. Prednisone 1 mg/kg pour 10 jours. Valaciclovir 1 gr 3x/jour pendant 10 jours. Protection oculaire. Diprogenta crème pour tuméfaction externe du pavillon. Prévoir ENMG. Avis ORL (Dr. X): • Contrôle clinique en ORL à 24h • Audiogramme à prévoir car hypoacousie droite Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. CT cérébral natif (transmission orale): status post-craniotomie à droite, pas de saignement intracrânien actif ou nouveau, pas de signe de fracture nouvelle, sinusite chronique. Mise en place d'une nouvelle sonde urinaire. RAD au Home. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire: discret syndrome inflammatoire avec CRP à 26 mg/l sans leucocytose, tests hépatiques, cholestase et lipases dans la norme. Troponines H0 12 ng/l, H3 13 ng/l (exclusion d'un syndrome coronarien aigu). CT abdominal du 08.04.2019: épaississement de la paroi gastrique. ECG: discrets sus-décalages ST millimétriques concaves en II, III et aVF et de V4 à V6. OGD prévue mi-mai 2019 avec demande d'avancement en cours. Soulagement de Mr. Y après antalgie aux urgences par Dafalgan et Morphine per os. RAD avec Dafalgan, Novalgine, Motilium et Importal. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. ECG. Radiographie du thorax, puis CT thoracique (Dr. X): pas d'embolie pulmonaire; épanchement pleural bilatéral stable (15 mm à D, 25 mm à G). Analyses urinaires. Antalgie simple et suite chez le médecin traitant comme prévu le 01.05.19. Mr. Y informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire: Hb à 95 g/l. Urines: Erythrocytes 21-40/champ. CT thoraco-abdomino-pelvien injecté (Dr. X, rapport téléphonique): fracture arc postérieur 12 ème côte, non déplacée, pas de saignement actif, pas de lacération d'organes, quelques dystélectasies pulmonaires sur mauvaise respiration. Antalgie. Physiothérapie respiratoire. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire: Leucocytose à 11, sans CRP. Pas de perturbation significative de la cholestase. Lipase à 102 U/l. ECG: sans particularité. RAD avec Pantozol 40 mg 2x/jour et Alucol au repas, Dafalgan et Tramadol en réserve, Recommandation d'avancer la gastroscopie. Proposition de consulter le médecin traitant pour contrôle clinique et biologique en cas de persistance des douleurs malgré le traitement symptomatique. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire: OH 2,06, pas de cinétique des troponines. Hydratation IV. ECG: RSR, PQ limite, BBD. CT cérébral natif: pas de saignement. Surveillance sur la nuit aux urgences. RAD. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, D-Dimères négatif, BNP négatif. Radiographie du thorax: pas d'épanchement, pas de pneumothorax. ECG: sans particularité. RAD avec traitement symptomatique. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire: stabilité de la Créatinine à 186 umol/L, Urée 14.6 mmol/L. Sédiment urinaire: en cours. ECG: rythme sinusal régulier, QRS fins, normo-axé. Adalat 20 mg dose unique. Normalisation de la TA à 135/65 mmHg. Majoration du Torem à 5 mg/j jusqu'au prochain contrôle chez le médecin traitant. Physiotens en réserve jusqu'au 30.04.2019. Suivi pondéral et tensionnel à domicile. Contrôle chez le médecin traitant à 48h-27h. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. Avis angiologique, Dr. X: Xarelto 2x15 mg 2x/j pour 3 semaines, puis 1x20 mg pour 1 mois.Consultation en ambulatoire à distance pour discuter du traitement des varices au vu du risque de récidive élevé; pas de bas de contention. Antalgie par Dafalgan et Tramadol. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. ECG. Antalgie simple, réassurance; au vu du dernier bilan cardiologique datant de 2013 selon le patient, proposition de refaire un bilan prochainement. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. ECG. CT thoraco-abdomino-pelvien (Dr. X, rapport téléphonique): pas de lésion post-traumatique, pas de rupture de rate, pas de fracture osseuse, pas de saignement abdominal. Antalgie. Arrêt de travail jusqu'au 19.04.2019. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. Examen clinique: diminution de l'erythème avec nouveaux marquages. RAD avec poursuite de l'antibiothérapie par Co-amoxicilline 1 g 2 x/j. Contrôle clinique et biologique chez le médecin traitant le 15.04.2019. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. Poursuite du Valacyclovir 1000 mg 3x/jour durant 7 jours. Schéma de Prednisone. Antalgie. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter les urgences. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie calcanéum: pas de lésion osseuse visualisée. Semelle mousse. Antalgie simple. Contrôle chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie: cf diagnostic. Réduction locale sous anesthésie. Radiographie post-réduction: bon rétablissement de l'anatomie. Attelle Edimbourg et syndactylie. Le patient sera convoqué le 23.04.19 pour mise en place d'un brace Dig V Dig IV, avec stabilisation des articulations MTC interphalangienne proximale, avec interphalangienne distale libre, durant 6 semaines. Contrôles radio-cliniques en orthopédie-urgences à 1 semaine, 3 semaines, et 6 semaines. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie cheville droite: pas de fracture visualisée. Mise en place d'une attelle Aircast durant 3 semaines. Physiothérapie. Contrôle orthopédique au Team Pied dans 3 semaines. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie cheville droite. Bande élastique, protocole RICE. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie cheville gauche face/profil. Radiographie pied gauche face/profil/oblique. Avis orthopédique Dr. X. RAD avec traitement antalgique et anti-inflammatoire. Protocole RICE, cannes avec charge progressive, selon douleur, bande élastique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Patiente informée des signes qui devraient la pousser à reconsulter les urgences. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie cheville gauche: pas de fracture. Attelle Aircast. Marche avec cannes, charge selon douleur. Clexane 40 mg prophylactique, anti-inflammatoires. Contrôle chez le médecin traitant dans 10 jours. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie cheville gauche: pas déplacement. Avis orthopédique (Dr. X): Ad AINS + Paracétamol. Contrôle au Team pied dans 7 jours. Arrêt de travail. Patient informé de reconsulter en cas de péjoration des symptômes. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie cheville-pied droit. Avis orthopédique Dr. X: immobilisation par botte plâtrée fendue. Antalgie par Dafalgan et Irfen, prophylaxie anti-thrombotique par Clexane 40 mg. Marche avec cannes, surélévation du pied. Arrêt de travail d'1 semaine. Contrôle en orthopédie-urgences dans 1 semaine. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie clavicule droite face/tendancielle le 13.04.2019: fracture du tiers moyen de la clavicule avec raccourcissement significatif de plus de 2 cm, avec un fragment intermédiaire perpendiculaire à l'axe claviculaire. Prise en charge chirurgicale la semaine prochaine. Formulaires de consentement chirurgical et d'information fournis au patient. Document qu'il fera signer à sa grand-mère, seule représentante thérapeutique, au de l'absence de ses parents, actuellement en vacances. Le patient sera contacté par le secrétariat d'orthopédie. Majoration de l'antalgie avec Tramal ret. que le patient tolère bien. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie colonne cervicale face/profil/odontoïde: pas de fracture. Antalgie simple, myorelaxants; suite chez le médecin traitant avec réalisation d'une IRM cervicale si persistance des douleurs. Feuille de surveillance post-traumatisme crânien donnée au patient. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie doigt II droit: pas de fracture, pas d'arrachement osseux visible. Syndactylie. Antalgie. Contrôle en orthopédie-urgences à 1 semaine. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie doigt. Désinfection avec Bétadine, champage habituel, anesthésie en bague avec rapidocaïne 1%, incision sur 1 cm, extraction du CE, suture avec Prolène 4.0, pansement simple. Avis orthopédique (Dr. X): extraction du CE, co-Amoxicilline 1 g 2x/ pour 3 jours, ablation du fil à 10 jours chez le médecin traitant. Certificat médical. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie du genou gauche: pas de lésion osseuse. Mise en place d'un traitement conservateur. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 21.04.2019 inclus. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie épaule face/neer. Radiographie clavicule F/A. Avis orthopédique (Dr. X, Dr. X): bretelle antalgique, antalgie simple. IRM épaule dès que possible (évaluation ligament AC) Suite de prise en charge en orthopédie chez le Dr. X. Arrêt de travail. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie épaule gauche. IRM épaule gauche le 26.04.2019 à 11h45. Suite au Team Membre supérieur après IRM dès que possible. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie face/profil: pas de corps étranger visualisé. Avis orthopédique (Dr. X): plaie calme. Suivi clinique à domicile. Reconsultation si signe d'infection. Pas de rappel DiTe, car il pense être à jour anamnestiquement, et délai >72 h. Critères de reconsultation expliqués au patient. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie: fracture pluri-fragmentaire, intra-articulaire de la base de la phalange proximale de D4. CT. Attelle thermo formée des 3-4 et 5ème doigts en ergothérapie. Immobilisation durant 4 semaines. Contrôle radio-clinique en orthopédie-urgences la semaine prochaine. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie genou droit face/profil: pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X). RAD avec AINS, application de glace, marche en charge complète et contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie genou gauche face/profil: pas de fracture. Marche avec cannes, charge selon douleur. Anti-inflammatoires. Contrôle chez le médecin traitant à J 10, selon besoin. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie genou gauche face/profil/axiale de rotule: pas de lésion osseuse traumatique. Présence d'un kyste intra-médullaire au niveau de la métaphyse fémorale distale. IRM en ambulatoire à la recherche d'une atteinte du ménisque externe, et bilanter le kyste osseux. Suite de prise en charge au Team Genou, à discuter résultats IRM.Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie genou gauche: pas de fracture visualisée, arthrose avancée avec pincement articulaire, et ostéophytes. Avis orthopédique Dr. X: • anti-inflammatoires, cannes à but antalgique • contrôle chez le médecin traitant dans 10 jours • proposition de compléter le bilan par une IRM en cas de persistance des symptômes Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie hanche f/axiale: signes dégénératifs. Poursuite de l'antalgie simple, ajout de Tramal à la place du Voltaren au vu de l'anticoagulation; proposition au médecin traitant de réévaluer l'indication à une consultation orthopédique, voire rhumatologique. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie main droite. Avis orthopédique (Dr. X): attelle Edimbourg, antalgie. Arrêt de travail. Contrôle à 7 jours en orthopédie-urgence. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie main droite. Désinfection, anesthésie en bague, cautérisation avec bistouri électrique. Pansement avec Adaptic. Pansement à garder durant 10 jours, avec plaie sèche. Pas de contrôle prévu à notre consultation, hormis en cas de saignement. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie pied droit: pas de fracture visualisée. Mise en place de bandage antalgique. Marche avec cannes. Arrêt de travail. Fin de prise en charge à notre consultation, mais restons à disposition. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie pied droit. Antalgie par Paracétamol 1 g, Voltarène 50 mg, Morphine per os 10 mg. Avis orthopédique (Dr. X): plâtre fendu Schlupfgips aux urgences, traitement antithrombotique prophylactique par Clexane 40 mg 1x/j (patient instruit). Antalgie simple. Contrôle en orthopédie-urgences à 1 semaine avec radiographie et réfection de plâtre. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie pied gauche face/profil/oblique. CT cheville/pied gauche: cf diagnostic. Botte plâtrée fendue, Clexane prophylactique. Marche avec cannes, sans charge. Antalgie, surélévation du membre. Contrôle radio-clinique à 1 semaine à la consultation du Team Pied. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie pied gauche. Avis orthopédique (Dr. X): ad semelle rigide, antalgie. Arrêt de travail et contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie pied gauche. Protocole RICE. Décharge durant 2-3 jours avec cannes. Anti-inflammatoires. Contrôle chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie pied/genou droits + cheville droite: pas de fracture visualisée sur genou et cheville, doute sur pied. Avis orthopédique (Dr. X): ad CT-scan du pied. CT pied droit: pas de fracture visualisée. VacoPed, décharge avec cannes anglaises, anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg. Traitement symptomatique. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie poignet droit. Attelle velcro. Protocole RICE, antalgie. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie thorax: volume pulmonaire augmenté. Traitement symptomatique par Symbicort 1x/jour la nuit. Suite de prise en charge chez le médecin traitant, ad consultation pour fonctions pulmonaires. Patient informé de reconsulter en cas de dyspnée, état fébrile/frissons. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie. Avis orthopédique Dr. X: probable contusion épaule droite avec test de Jobe positif. Antalgie et arrêt de travail. IRM épaule droite dans 2 semaines. Contrôle au Team membre supérieur après l'IRM. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Sédiment urinaire. US de débrouillage aux urgences, Dr. X/Dr. X: pas de globe urinaire. Retour à domicile, poursuite d'investigations chez le médecin traitant si persistance de la symptomatologie. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Urines stix et sédiment urinaire: hématurie, pas de leucocyturie. Urines pour PCR, Chlamydia et gonorrhée: en cours. Urotube: en cours. Aux urgences: 500 mg de Rocéphine i. m., 2 g d'Azithromycine p. o. Conseils pour rapports sexuels protégés jusqu'aux résultats, y compris traitement de la partenaire. Proposition d'élargir le screening IST chez le médecin traitant. Rendez-vous dans 1 semaine au Secteur Ambulatoire des Urgences pour communication résultats PCR et urotube, si négatifs, ad recherche urétrite non-gonocoque non-chlamydia et faire PCR urinaire T. vaginalis, M. genitalium. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. US: pas de lésion du triceps, pas d'hématome. Attelle BAB. Antalgie PO: Contrôle en orthopédie-urgences à 1 semaine. Examens expliqués par le médecin. Laboratoire: Troponines H0 31 ng/L, H3 30 ng/L. ECG. Valsalva modifié: négatif. MgSo4 1 g IV. Temesta 0.5 mg cpr. Cardioversion spontanée après début sommeil. Poursuite de la Cordarone selon prescription Dr. X. La patiente a rendez-vous le 18.04.2019 à 8h45 avec son cardiologue Dr. X. Exanthème avant-bras et cuisse des 2 côtés, d'origine indéterminée, le 25.04.2019. Exanthème maculeux depuis 1 mois en régression d'origine indéterminée, DD médicamenteux • Introduction Aldactone et Bilol par Dr. X depuis 01.2019. Aldactone en suspens depuis 3 semaines avec légère amélioration. Exanthème maculo-urticaire au tronc et au dos, sans prurit le 11.04.2019 • avec résolution spontanée DD irritation cutanée, allergique. Exanthème morbiliforme médicamenteux. Excellent résultat à 1 an post-traitement conservateur de cette fracture du tibia distal. On peut mettre un terme au suivi. Excellent résultat à 1 an postopératoire. Prochain contrôle à 5 et 10 ans. Excellent résultat à 1 an postopératoire. Prochain contrôle de routine à 5 ans et 10 ans postopératoires. Excellent résultat à 3 mois postopératoires. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an postopératoire. Excellent résultat à 6 semaines postopératoires. Prochain radio-clinique à 3 mois postopératoires. Ablation des clous à prévoir aux alentours de 6 mois postopératoires. Excellent résultat clinique à 4 mois postopératoires. Pour ma part, fin du traitement. Le patient me recontactera en cas de besoin. Excellent résultat clinique. Fin de traitement. La patiente terminera ses séances de physiothérapie restantes pour encore tonifier la musculature. Elle me recontactera en cas de problèmes. Excellent résultat clinique. Le patient a déjà repris le travail à 100% depuis le 29.12.2018. Fin de traitement. Excellent résultat clinique. Le patient va encore faire 3 à 4 séances de physiothérapie pour récupérer complètement la flexion. Un contrôle d'emblée chez moi n'est pas prévu. Le patient me recontactera si nécessaire. Fin du traitement. Excellent résultat clinique suite à l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Pour ma part, fin du traitement. Je reste bien évidemment à disposition en cas de besoin. Excellent résultat radioclinique à une année post-opératoire. Le patient reviendra pour un contrôle radioclinique à deux ans post-opératoires à ma consultation. Excellent résultat radioclinique à 3 mois post-opératoires. Je reverrai le patient à une année post-opératoire pour discuter de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Excellente évolution à 3 mois du début du traitement. Mr. Y poursuivra les exercices pour lui-même. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Excellente évolution chez ce patient chez qui nous ne prévoyons pas de contrôle supplémentaire mais restons à disposition au besoin. Excellente évolution chez ce patient qui est totalement asymptomatique. Pas de nouveau contrôle nécessaire mais nous restons à disposition. Excellente évolution clinique pour la suspicion initiale d'une rupture du LCA du genou droit. Au testing de la stabilité du LCA aujourd'hui, le Lachmann test est clairement négatif. Comme déjà mentionné lors de la consultation du 12.3.2019, je pense qu'il faut réviser le diagnostic initial et la patiente a eu seulement une distorsion du LCA. Je propose à la patiente de continuer la physiothérapie pour tonifier la musculature et entraîner la proprioception. Je la revois dans 3 mois pour une réévaluation clinique le 24.7.2019. Reprise du travail à 100% dès demain. Excellente évolution. La patiente ne souhaite pas une AMO et n'a aucune gêne au niveau de la cheville. Traitement terminé. Elle nous recontactera au besoin. Excellente évolution. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition au besoin. Excellente évolution, nous prévoyons un contrôle clinique à un an pour nous assurer qu'il n'y a pas de trouble de la croissance. Autrement pas d'autre contrôle dans l'intervalle. Excipial Crème Suivi clinique Excision de deux lésions bourgeonnantes vulvaires bilatérales le 26.04.2019 sous anesthésie générale. Consultation en proctologie pour anuscopie à prévoir. Excision de granulome le 17.04.2019 Excision de plaie plantaire à G le 09.04.2019. Syndrome de l'essuie-glace à G. Douleurs résiduelles sur status post excision d'un fibrome pied gauche le 27.2.2018. • Tunnel tarsien cheville D • CRPS nerf saphène face interne cheville D. • Status post infiltration nerf saphène D le 02.02.2017. • Status post ostéosynthèse péroné D par plaque 3.5 1/3 tube le 21.07.2016 sur fracture bi-malléolaire cheville D datant du 14.07.2016. Excision de polypes nasaux des 2 côtés en 2003. Excision de pos sur le dos de la main gauche. Excision des berges d'entrée, prise de biopsies, débridement avec ouverture de la gaine et de la poulie A1, rinçage et drainage par 2 drains de Penrose, Dig V main d (OP le 09.04.2019) 2nd look avec ouverture du tunnel carpien et du thénar, rinçage main d (OP le 10.04.2019) Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 08 au 11.04.2019 • Co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. dès le 11.04.2019 et jusqu'au 19.04.2019 Microbiologie des prélèvements du 08.04. et 10.04.2019 : négative Excision des lésions bénignes des deux seins le 17.04.19. Matériel envoyé en DAP. Excision du tissu cutané et sous-cutané au niveau du dos de la main gauche au niveau de la tête du 2ème métacarpien pour probable carcinome spinocellulaire le 18.04.2019. Histologie en cours. Excision d'un mélanome 2016, thérapie en cours Excision d'un polype hypertrophique en avril 2018. Excision d'une marisque en juin 2017. Hémorroïdectomie selon Ferguson du paquet hémorroïdaire en 2012. Ablation de l'électrode de neuro-modulation périnéale et mise en place d'un neuro-stimulateur sacré en 2013. Artériopathie des 2 membres inférieurs de stade 2B sur sténoses serrées des 2 AFS. • angiographie et angioplastie avec pose de stent au niveau de la fémorale superficielle gauche le 10.08.2010. Hémorragie cérébrale en 1970, d'origine indéterminée. Excision et électrocoagulation prévue le 15.04.2019 à 10h30 à l'Inselspital Excision Naevus. Avortement en 2014. Exclusion d'une malaria le 26.04.2019. Excoriation à la face ulnaire du 5ème métacarpe gauche de 1 cm de longueur. Excoriation au niveau du 5ème métacarpe gauche face ulnaire de 1 cm de longueur le 08.04.2019. Exérèse du ganglion sentinelle axillaire droit. Pose de port-à-cath sous-claviculaire gauche (fecit par la chirurgie) le 16.04.2019. Redon creux axillaire droit. Antalgie simple. Exérèse d'un kyste bénin sein droit Fausse couche sans intervention chirurgicale en 2012 Troubles électrolytiques multiples (hyperkaliémie, hyperphosphatémie, hyponatrémie, hypochlorémie le 10.08.2017. Désordres électrolytiques multiples associés à une acidose métabolique sur récidive du myélome multiple le 30.09.2018. Troubles électrolytiques récidivants secondaires à la progression du myélome multiple et syndrome de lyse tumorale le 13.10.2018. Exérèse endoscopique au laser CO2 avec évidement cervical gauche complet sous neuromonitoring du nerf facial gauche le 02.04.2019 par Dr. X et Dr. X. Antibiothérapie prophylactique avec Co-Amoxicillin 1g 3x/24h jusqu'au 06.04.2019. Pose d'une sonde nasogastrique le 02.04.2019 et ablation le 03.04.2019 au vu d'une bonne réalimentation PO. Exérèse tumeur sein droit, pas de chimio-radiothérapie Hystérectomie pour fibrome Ovariectomie pour kyste ovarien D Amygdalectomie Appendicectomie NSTEMI subaigu sur resténose partielle de la CD moyenne le 02.09.2015 • Coronarographie le 02.09.2015 (Dr. X): pose de stent au niveau de l'ancien stent de la CD moyenne. Surveillance Exitus mortalis sur • tachycardie ventriculaire, sans pouls le 18.03.2019. Exophorie, Optic Disc Pit, hyperopie, astigmatismes suivis par l'ortoptiste depuis 2011 Migraines Retard d'apprentissage de la lecture connu depuis juillet 2016, suivi en logopédie TDA non exclu après bilan psychologique - faiblesse visuo-spatiale Expansion volémique Insulinothérapie intraveineuse du 23.04 au ___ Contrôle électrolytes avec supplémentation kalium Hospitalisation aux Soins Expansion volémique Noradrénaline du 13.04 au 14.04.2019 Explication en cas de récidive Retour à domicile avec consignes de surveillance Explication pour les parents des raisons du sang des urines, signes d'une infection urinaire Explication préalable pour les différents examens : ECG : sinusal régulier, pas de trouble de la conduction, pas de trouble de repolarisation, pas de bloc de branche droit ou gauche, pas d'hypertrophie ventriculaire gauche. Test de Schellong : négatif. Attitude : Retour à domicile. Réassurance. Conseil d'hydratation donné au patient. Conseil de réévaluation avec le médecin de famille si réapparition des symptômes. Explication préalable pour les différents examens : Laboratoire : • OH à 0, Paracétamolémie < 5 • Troponine H0 : 3, et H1 à 4. Gazométrie artérielle : pas de trouble acido-basique, pas de lactate. ECG : RSR, bradycarde, PQ sp, QRS fin, normoaxé, bonne progression dans les précordiales, mais indice de Sokolow positif. Sus décalage en V2-3, sans image miroir, onde T sans particularité. Tox screen urinaire. Pas d'argument pour un syndrome coronarien aigu. Surveillance sur la nuit aux urgences. Attitude : • Transfert à Marsens en ambulance. Explication préalable pour les différents examens : Laboratoire. En pré-hospitalier : • 1 g de Paracétamol i.v, 500 ml de Ringer. Aux urgences : • 500 ml de NaCl rapide • 80 mg de Pantozol i.v • 10 mg de Primperan i.v • antalgie par titration de Morphine • Dormicum i.v au total 10 mg Morphine en pompe 10 mg/h, Dormicum en pompe 5 mg/h. Au cours de la nuit évaluer l'arrêt de la pompe de Dormicum.Discussion avec Mr. Y et sa fille (Dr. X, Dr. X): REA non, tube non, soins intensifs non; au vu de la rapide péjoration de la situation ad passage en soins de confort. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie du poignet droit. RICE. Réévaluation en ambulatoire par le médecin de famille malgré l'antalgie. Ablation de l'attelle du poignet à J3 pour éviter les risques d'enraidissement. Explication préalable pour les différents examens: Test de grossesse: négatif. Laboratoire. Avis gynécologique: examen gynécologique sans particularité. Attitude: • CT low dose abdominal à la recherche de lithiase urinaire le 04.04.2019 puis contrôle en filière 34. Explications au patient qu'après résolution de la tuméfaction (10-14 jours après le traumatisme), en cas de déviation du nez gênante pour le patient, de prendre contact avec l'ORL pour redressement du nez. Ne souhaite pas d'antalgie. Explications données à Mme. Y concernant: • Laboratoire. • Sédiment urinaire. Test de grossesse négatif. Uriculture effectuée le 29.04.19. Aux urgences: Antalgie par voltaren. 2g de ceftriaxone iv en ordre unique. Poursuite antibiothérapie pour 1 semaine au total par ciprofloxacine 500mg 2x/j. Suivi clinico-biologique (fonction rénale, formule sanguine) à 1 semaine (carte de visite de Dr. X remis à Mme. Y) pour s'assurer de la bonne évolution (DD: urolithiase compliquée). Patiente informée de reconsulter si état fébrile après 48h d'antibiothérapie, douleurs importantes ou vomissements répétés. Explications données à Mme. Y quant à: • Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. • Sédiment urinaire : propre. US abdominal ciblé (Dr. X) : vésicule biliaire alithiasique, parois fines, pas de liquides libres, pas de dilatation pyélocalicielle, vessie non visualisée (miction juste avant l'examen). Aux urgences : Voltarène 50 mg, Dafalgan 1 g. Conseil de suivi psychologique. Critères de reconsultation expliqués. Explications données à Mme. Y relativement à: • Laboratoire. Glycémie capillaire : 4.8 Mmol/l. 3 comprimés de potassium effervette p.o. Retour à domicile. 1 comprimé de phosphate effervescent 2x/j pendant 2 jours. Contrôle de laboratoire chez le médecin traitant lundi. Explications données à Mme. Y relativement à: • ECG. • Laboratoire. • Rx du thorax. Aux urgences: Beloc zok 13mg i.v. et 50 mg p.o. Conversion spontanée aux urgences. Retour à domicile avec Métoprolol 25 mg par jour et contrôle en cardiologie demandé pour suite de la prise en charge avec discussion d'une possible thermo-ablation. Majoration du traitement par Pantoprazol à 40 mg par jour. TSH en cours. Explications données à Mme. Y relativement à: • ECG. Aux urgences : Temesta 1 mg. Consilium psychiatrique (Dr. X). Hospitalisation volontaire à Marsens, transport privé par sa fille. Explications données à Mme. Y relativement à: • Laboratoire. • Stix et sédiment. Retour à domicile avec allucol et Omeprazole 40mg 2x/j. Consultation chez le médecin traitant si besoin. Explications données à Mme. Y relativement à: • Laboratoire: Leucocytose à 12.6 sans CRP. • B-HCG: négatif. • US abdominal (Dr. X): pas d'appendicectomie, pas de liquide libre, base de l'appendice libre. Avis chirurgie (Dr. X): abdomen rassurant, pas d'appendicectomie à l'US, retour à domicile. Avis gynécologique : examen dans la norme. Retour à domicile avec réassurance. Explications données à Mme. Y relativement à: • Stix et sédiment urinaire (négatif). • Laboratoire (pas de syndrome inflammatoire, pas d'insuffisance rénale). • Uro CT du 29.04.19 (pas de lithiase décelée sur le cours des uretères, ni au sein de la vessie). Retour à domicile avec antalgie simple (ne souhaite pas d'ordonnance, a le nécessaire à domicile) et patiente informée de reconsulter son médecin traitant si douleurs persistent. Explications données à Mme. Y relatives à: • Laboratoire • ECG • Test de grossesse Test de Schellong : négatif au niveau tensionnel, mais positif cliniquement. Glycémie à 6.4. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine avec dosage TSH à prévoir. Critères de gravité qui nécessiteraient une reconsultation communiqués. Explications données au médecin pour examens. Laboratoire : CRP 76. Sédiment leuco +. Radiographie du thorax : pas de foyer. Aux urgences : Ceftriaxone 2g iv. • Retour à la villa Beausite avec poursuite de l'antibiothérapie iv 2g Ceftriaxone/j. • Contrôle chez le médecin traitant à 48h pour évaluer le passage per os, pister urotube. • Stimulation à boire. Explications données au patient pour examens. Laboratoire du 10.04.2019. Urines du 10.04.2019. Triglycérides : négatif. Avis gynécologique du 10.04.2019 avec ultrason endovaginal (Dr. X) : pas de liquide libre, pas de kyste ovarien. DD ovulation douloureuse. Attitude : • Antalgie simple. • Contrôle clinique et biologique à la consultation ambulatoire des urgences le 11.04.2019 à 14h30 (une heure avant pour le laboratoire). • Critères de reconsultation médicale expliqués à Mme. Y. Explications données au patient relativement à: • ECG. • Laboratoire. • CT cérébral : pas de saignement, pas d'hématome. Schellong négatif. Retour à domicile avec réassurance, conseil d'arrêt du cannabis. Explications données au patient relativement à: • Labo (sans particularité). • Sédiment (sans particularité). Retour à domicile avec traitement d'épreuve Pantozol 40 mg 1x/j pendant 1 mois, antalgie en réserve. Contrôle chez le médecin traitant. Explications données au patient relativement à: • Laboratoire. • ECG. • CT cérébral et cervicales (transmission orale, Dr. X): important hématome sous-galéal frontal gauche, pas de saignement intra-crânien, pas de fracture. Retour à domicile au home. Explications données au patient relativement à: • Laboratoire. • Urines. • CT abdominal low dose (transmission orale Dr. X). Aux urgences: • Paracétamol, Voltarène, Morphine titrée. • Tamsulosine 0.4 mg. Antalgie et anti-inflammatoire. Tamsulosine. Filtration des urines. Contrôle médecin traitant à 10 jours. Critères de reconsultation expliqués au patient. Explications données au patient relativement à: • Laboratoire. Contrôle clinique et biologique chez son médecin traitant dans 48 heures. Critères de reconsultation expliqués au patient. Explications données au patient relativement à: • Radiographie du pied. Évaluation du patient avec orthopédiste (Dr. X): pas de fracture visualisée sur la radiographie. Intégrité de l'articulation du Chopart et du Lisfranc à l'examen clinique. Attelle plâtrée jambière postérieure, décharge et cannes. Recommandation de surélever le membre. Reconsulter si douleurs importantes ou paresthésies. Thromboprophylaxie tant que décharge. Le patient recevra une convocation pour un rendez-vous de suivi à 1 semaine par l'orthopédiste-urgence pour retrait du plâtre et réévaluation clinique. Explications données au patient relativement à: • Radiographie thoracique. • ECG. • Prise de sang. Avis rhumatologique en ambulatoire. Explications données au patient relativement à: • Rx du doigt D1. Avis orthopédique (Dr. X): réduction fermée. Désinfection, champage, rinçage au NaCl, 2 points simples au Prolène 4.0. Attelle stack pour 2 semaines. Ablation des fils à J10-12 par le médecin du home. Explications données au patient relativement à: • Rx orteil droit. Explications données au patient relativement à: • ECG (sans particularité, superposable au dernier ECG). • Rx du thorax. • Labo (H= 21 H3 22).Retour à domicile avec antalgie, contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Explications données au patient relativement à : • Laboratoire. • Test de Schellong. • Rx lombaire. • CT lombaire (transmission orale) : fracture du mur antérieur de L1 nouvelle, fracture ancienne au niveau de l'épineuse de L3. Avis orthopédique (Dr. X). Retour à domicile avec antalgie. Contrôle radio à une semaine au team spine. Si apparition de troubles neurologiques, reconsulter sans hésiter. Explications données au patient relativement à : • Laboratoire. • Urines. • Radiographie thorax F. • Echographie ciblée abdomen (Dr. X). Réassurance. Antalgie simple. Suite chez le médecin traitant. Critères de reconsultation expliqués au patient. Explications données au patient relativement à : • Laboratoire. • CT cérébral : pas de saignement intra-cérébral, fracture du nez, pas de fracture en regard de l'arcade sourcilière. Aux urgences : 500 NaCl 0.9% iv, Primperan 10 mg iv. Traitement de plaie de 2 cm, Rapidocaïne 1% 5 ml, Prolène 3.0. Retour à domicile avec antalgie et antibiotiques. Consultation en ORL pour la fracture du nez à 10 jours. Retrait des fils chez le médecin traitant à 5 jours. Consigne pour traumatisme crânien avec surveillance 48h. Explications données au patient relativement à : • Laboratoire. Aux urgences : Tabotamp. Retour à domicile avec contrôle du Sintrom au cours de la semaine. Explications données au patient relativement à : • Radiographie colonne lombaire face/profil. • Laboratoire. Morphine 10 mg po aux urgences avec bonne évolution. Retour au domicile de la fille avec antalgie. Critère de reconsultation expliqués. Explications données au patient relativement à : • Rx pouce droit. Co-amoxicilline 2.2 g i.v. Avis orthopédique (Dr. X) : désinfection champage, Rapidocaïne 1% 5 ml, ablation ongle, mise en place de 4 points de Vicryl rapid 6-0 réabsorbables, refixation de l'ongle avec un point de Vicryl 4-0. 4 points de suture au Vicryl 4-0 au niveau de la partie distale du doigt. Retour à domicile avec co-amoxicilline 1 g 2x/j pendant 5 jours. Ablation des fils au niveau de la partie distale du doigt dans 14 jours chez le médecin traitant. Ablation du fil au niveau de l'ongle dans 3 semaines chez le médecin traitant. Contrôle chez l'ergothérapie dans 48h pour la plaie. Explications données au patient relativement à : • US-Vessie. Sondage vésical : 700 ml. Stix et sédiment urinaire. Retour à domicile avec sonde et ablation dans 1 semaine, à revoir avec le médecin du home. Explications données au patient relatives à : • ECG du 12.04.2019. • Laboratoire du 12.04.2019. Surveillance aux urgences. Avis psychiatrique (Dr. X) du 12.04.2019 : pas d'idéation suicidaire, pas d'indication pour une hospitalisation à Marsens, suivi ambulatoire avec rendez-vous le 15.04.2019 avec son psychiatre traitant. Explications données au patient relatives à : • Laboratoire : thrombocytes à 26 G/l, hémoglobine 62 g/l. • Groupement sanguin. 2 concentrés érythrocytaires. Suivi chez le médecin traitant. Explications données au patient relatives à : • Laboratoire (pas de syndrome inflammatoire). • Gazométrie artérielle (hypoxémie à 7.4 kPa sous FiO2 28%). • ECG (rythme sinusal normocarde à 81/min, probable BAV du 1er degré, bigéminisme). Radiographie du thorax : pas de franc foyer. Pas de critères d'Anthonisen. Soulagement du patient après aérosols de Ventolin et Atrovent. Désaturation à 89% sous air ambiant au repos et à 82% à l'effort, asymptomatique. Retour au domicile avec poursuite du Seretide et Atrovent en réserve. Organiser des fonctions pulmonaires en ambulatoire. Nécessité de contrôler chez le médecin ou en filière ambulatoire si péjoration/persistance de la symptomatologie dans 2-3 jours. Explications données au patient relatives au CT-scan cérébral natif + colonne cervicale (pas de saignement intracrânien, pas de fractures cervicales). Retour au domicile avec antalgie. Recommandations données au patient et à son épouse concernant le traumatisme crânio-cérébral et explications données au patient de reconsulter si exacerbation de céphalées, vertiges, nausées ou vomissements. Explications données au préalable au patient. Laboratoire. Attitude : • Retour à domicile. • Réassurance. • Conseil d'usage. • Traitement symptomatique. Explications données au préalable au patient. Radiographie de l'épaule gauche et articulation acromio-claviculaire. Schéma antalgique. Bretelle d'épaule. Contrôle dans une semaine selon avis orthopédique (Dr. X) au team membre supérieur. Explications données au préalable par le médecin. ECG : pas de signe d'ischémie. Laboratoire : Trop H0 5 ng/l. Antalgie. Retour à domicile. Consulte en cas de péjoration, apparition de nouveaux symptômes. Explications données au préalable par le médecin. ECG : superposable au comparatif. Laboratoire : Trop H0 23 ng/l, H0 21 ng/l. Radiographie du thorax : pas de pneumothorax, pas d'élargissement médiastinal, pas d'épanchement, pas de foyer. Reprise du Bilol 5 mg 2 cp le matin. Retour à domicile. Consulte en cas de récidive persistante, douleur thoracique au repos. Explications données au préalable par le médecin. ECG : sus-décalage non significatif V1-V2, pas d'autre anomalie. Radiographie du thorax : pas de pneumothorax, pas d'élargissement du médiastin. Antalgie et Patch Flector. Recontrôle chez son médecin traitant si mauvaise évolution. Explications données au préalable par le médecin. Laboratoire : aligné. ECG : superposable au comparatif. Rendez-vous de suivi chez son médecin traitant pour éventuel poursuite des investigations et éventuelle imagerie thoracique au vu de l'antécédent de pneumonie asymptomatique du patient. Explications données au préalable par le médecin. Laboratoire : Trop H0 4 ng/l, CRP 6. ECG : rythme sinusal régulier, sans troubles de la repolarisation, pas d'élévation ST. Radiographie du thorax : dans les limites de la norme. Score de Genève : probabilité d'embolie pulmonaire faible, règle de PERC probabilité <2%. US cardiaque et thoracique ciblé (Dr. X) : pas d'épanchement péricardique, pas de dilatation des cavités droites, VCI non dilatée, FEVG visuelle conservée. Attitude : • Antalgie simple. • Explications des critères de reconsultation au patient. Explications données au préalable par le médecin. Laboratoire. ECG : rythme sinusal régulier, pas de trouble du rythme. Avis cardiologique (Dr. X) : probable tachycardie par ré-entrée nodale, possible VPV caché, sera convoqué à la clinique Cecil par le Dr. X. Explication des manœuvres de Valsalva. Dilzem ret 90 mg 2x/jour. Retour à domicile. Consulte les urgences en cas de palpitations persistantes, apparition de nouveaux symptômes. Explications données au préalable par le médecin. Laboratoire. Radiographie du thorax, le 26.04.2019. ECG : superposable. Atrovent et Ventolin sans modification notable. Attitude : • Retour à domicile avec majoration du Torasémide à 15 mg par jour. • Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Explications données au préalable par le médecin. Laboratoire. Surveillance clinique aux urgences. Dosage de Lamotrigine, Topiramate et Briviact sanguin à pister dans le Synedra dès le 01.05.2019. Avis neurologique (Dr. X) : introduction d'un traitement progressif par Trileptal. Diminution du traitement par Lamotrigine dès le 06.05.2019 à raison de 50 mg/j chaque semaine. Le patient sera présenté à Dr. X, médecin adjointe à l'unité d'épileptologie au HUG pour évaluation de traitement chirurgical. Attitude : • Introduction d'un traitement progressif par Trileptal dès ce jour. • Diminution du traitement par Lamotrigine dès le 06.05.2019 à raison de 50 mg/j chaque semaine. • Poursuite du traitement habituel par Briviact et Topiramate.Patient sera convoqué à la consultation de Dr. X, service d'épileptologie du HUG. Prochain contrôle en neurologie au HFR Fribourg en juillet 2019. Explications données au préalable par le médecin. Laboratoire. Urines. Attitude : • Retour à domicile avec antalgie simple et Movicol en réserve. • Contrôle chez le médecin traitant si persistance, recommandation de reconsulter en cas de signe de gravité. Explications données au préalable par le médecin. Laboratoire. Urines. Attitude : • Retour à domicile avec Pantozol 40 mg 2x/j et Dafalgan. • Nous proposons au médecin traitant d'effectuer un test du sang occulte par Hémoccult et selon résultats une OGD. Explications données au préalable par le médecin. Laboratoire. Urines. Echographie ciblée abdominale : dilatation pyélocalicielle sans signe de globe vésical. Uro-CT. Avis urologique (Dr. X). Attitude : • Retour à domicile avec Tamsulosine et antalgie en réserve, filtre urinaire. • Contrôle chez Dr. X en début de semaine prochaine. Explications données au préalable par le médecin. Laboratoire. Urines. Frottis méat (résultats en copie au Dr. X et Dr. X). Désinfection locale et Fucidin crème. Rendez-vous le 29.04.2019 avec un urologue et son médecin traitant. Consulte avant en cas de péjoration. Explications données au préalable par le médecin. Radiographie de l'épaule gauche. Avis orthopédique (Dr. X) : • Retour à domicile avec antalgie, pas d'immobilisation. • Consultation en team ortho membre supérieur. Explications données au préalable par le médecin. Radiographie du genou : pas de fracture ou d'épanchement. Avis orthopédique (Dr. X). Antalgie simple. Arrêt de travail. Consulte son médecin traitant si mauvaise évolution. Explications données au préalable par le médecin. Radiographie face/profil/axiale de rotule du genou droit : cf. diagnostic. Manoeuvre de libération du ménisque. Attelle jeans à 0°. Décharge avec cannes et prophylaxie antithrombotique par Héparine. IRM en ambulatoire avec suivi au Team Genou. Explications données par le médecin avant : • CT abdominal du 26.04.2019. Pister le rapport final de radiologie. Contrôle le 28.04.2019 au secteur ambulatoire des urgences. Explications données par le médecin avant : • CT cérébral natif et massif facial : pas de saignement, pas de fracture. • Suture. Arcade : désinfection et stéristrips (la patiente refuse les points et l'exploration de la plaie). Pouce : désinfection, anesthésie en bague avec Rapidocaïne 1% 4 ml, exploration de la plaie à l'aiguille boutonnée, 7 points de suture avec Prolène 4.0, pansement. Vaccin antitétanique. Contrôle de la plaie à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Feuille de surveillance post traumatisme crânio-cérébral donnée. Explications données par le médecin avant : • ECG du 27.04.2019 : sans particularité. • Prise de sang pour le laboratoire du 27.04.2019 : pas de syndrome inflammatoire, pas de perturbation des tests hépatiques. • US abdominal du 27.04.2019 effectué aux urgences (Dr. X) : visualisation de calculs dans la vésicule biliaire, pas de dilatation intra ou extra-hépatique. Antalgie. Retour à domicile. Contrôle clinique et biologique au secteur ambulatoire des urgences avec US abdominal le 28.04.2019 +/- avis chirurgical selon résultats de l'ultrason (demande faite via DPI). Explications données par le médecin avant : • ECG. • Prise de sang pour le laboratoire. Adalat 20 mg ret avec bon effet. Explications données par le médecin avant : • ECG. • Prise de sang pour le laboratoire : TSH dans la norme. • CT protocole embolie pulmonaire : pas d'embolie pulmonaire, parenchyme pulmonaire sans particularité. Réassurance. ETT à prévoir. TSH à contrôler dans 4 semaines. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Reconsultation médicale en cas de péjoration clinique. Explications données par le médecin avant : • ECG : sinusal régulier, pas de trouble de la conduction, pas de trouble de la repolarisation. Test de Schellong : négatif. Retour à domicile. Consultation chez le psychologue pour exploration d'un état anxieux aigu. Réassurance. Conseil d'usage. Explications données par le médecin avant : • ECG. • Test de grosse urinaire : négatif. • Radiographie du thorax. • Prise de sang pour le laboratoire : D-dimères négatif. Réassurance. Suite chez le médecin traitant selon l'évolution. Explications données par le médecin avant la radiographie. Antalgie simple. Reconsultation en cas de persistance ou de péjoration clinique. Explications données par le médecin avant la radiographie. Antalgie. Arrêt de sport durant 4 semaines. Explications données par le médecin avant : • Prise de sang pour le laboratoire. • ECG. • US aux urgences (Dr. X). Réassurance. Retour à domicile avec proposition de suite de prise en charge chez le médecin traitant. Antalgie standard. Explications données par le médecin avant : • Prise de sang pour le laboratoire. • Sédiment urinaire. • US (Dr. X) : pas de dilatation pyélocalicielle, pas de liquide libre, pas de calcul visualisé. • CT : pas de lithiase, pas de dilatation des voies biliaires. Retour à domicile avec antalgie. Contrôle clinique et biologique le 29.04.2019 au secteur ambulatoire des urgences avec contrôle de la créatinine. Si persistance d'une élévation, demander un spot urinaire +/- avis néphrologique. Contrôle du sédiment urinaire à distance. Explications données par le médecin avant : • Prise de sang pour le laboratoire. • Sédiment urinaire. • Uro-CT : phlébolithe à gauche connu, petite lithiase rénale à droite. Amélioration de la symptomatologie aux urgences. Retour à domicile avec antalgie. Reconsulter en cas de persistance ou de péjoration de la symptomatologie, en cas d'état fébrile, de nausées et vomissements ou d'anurie. Explications données par le médecin avant : • Prise de sang pour le laboratoire. Administration Cetallerg et Prednisone (traitement de réserve personnel de Mr. Y). Retour à domicile sous surveillance de son conjoint avec consigne de reconsulter si symptômes d'alarme. Explications données par le médecin avant : • Prise de sang pour le laboratoire. • Coprocultures : à suivre. Hydratation IV avec 1L de NaCl, Dafalgan et Novalgine avec excellente réponse clinique aux urgences. Traitement symptomatique, hydratation per os. Contrôle clinique le 28.04.2019 au secteur ambulatoire des urgences à 10h30 : en cas de non-amélioration ou de péjoration, évaluer l'introduction d'une antibiothérapie selon coproculture. Critères de reconsultation expliqués à Mme. Y et ses filles. Explications données par le médecin avant : • Prise de sang pour le laboratoire : CRP 25, Lc 6.0. • CT scanner abdominal (rapport oral Dr. X) : persistance d'un abcès sous-cutané traversant le plan des muscles grands droits en région ombilicale, dimensions 8x6x9 mm, pas de trajet en profondeur, pas de kyste de l'ouraque, possibilité de compléter le bilan par échographie. Epaississement de 3-4 mm de la paroi du colon descendant compatible avec une colite débutante, sans infiltration de la graisse périphérique, sans liquide libre. Découverte fortuite d'une lésion hépatique d'origine indéterminée, bilan à compléter par échographie ou IRM. Hyperémie utérine compatible avec menstruations. Avis chirurgical (Dr. X/Dr. X) : pas d'indication à répéter le drainage. Poursuivre les rinçages de plaie 2x/jour. Contrôle biologique et clinique à 48h, selon évolution, contacter Dr. X (sera de garde). Antalgie simple. Rinçage de plaie 2x/24h avec aiguille boutonnée. Contrôle biologique et clinique à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Explication des critères de reconsultation à Mme. Y. Explications données par le médecin avant : • Prise de sang pour le laboratoire. CT cérébral avec vaisseaux (recherche d'une dissection vertébrale): pas de dissection vertébrale. pas de lésion ischémique. Avis ORL (Dr. X): manoeuvre de Hallpike positive avec manoeuvre de Semont. Au vu de la faible amélioration des symptômes, retour à domicile accompagnée par l'ex-mari et contrôle en ORL le 01.05.2019 à 9h. Zofran en réserve pour la nuit. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. • ECG. • US de débrouillage bedside (Dr. X): sans particularité. Pré-hospitalier: 300 mg de Cordarone IV. 2 mg de Magnésium IV, 1 ampoule de K Phos, 150 mg de Tambocor IV (sur 15 minutes avec cardioversion de la fibrillation atriale) aux urgences. Score de CHAdsVASC à 0. Retour à domicile. Pas de traitement introduit pour cet épisode inaugural. En cas de récidive, évaluation de l'introduction d'une thérapie à long cours chez le médecin traitant. Proposition de contrôle de la TSH à distance. Proposition d'organiser un contrôle en fin de semaine. Explication au patient des red flags devant amener à reconsulter les urgences. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. • ECG. • Radiographie du thorax: pas de foyer, pas d'épanchement, pas d'hyperinflation. Peak Flow: 270, post aérosol 300. Aérosol d'Atrovent/Ventolin. Retour à domicile avec traitement d'épreuve au Symbicort et fonctions pulmonaires à réaliser chez le médecin traitant ou pneumologue avec poursuite des investigations. Critères de reconsultation en urgence expliqués. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. • ECG. • Radiographie du thorax. Retour à domicile avec antalgie simple. Contrôle tensionnel chez le médecin traitant. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. • ECG. • Stix et sédiment urinaire. Avis psychiatre de liaison (Dr. X): indication à hospitalisation en milieu psychiatrique dès que la problématique somatique est sous contrôle, place en cours de planification à Marsens, propose introduction du Brintellix dès que possible (selon natrémie). Risque suicidaire évalué comme faible. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire: patiente crie au moment du laboratoire et ne souhaite pas être piquée. • ECG. • Radiographie bassin/hanche/colonne: pas de nouvelle fracture visualisée. • US urinaire: pas de globe urinaire. Avis orthopédique (Dr. X): pas de nouvelle fracture visualisée, un CT serait nécessaire pour exclure une fracture occulte. Au vu des directives anticipées claires et du peu de collaboration de la patiente, qui exprime vouloir rentrer, nous décidons de ne pas réaliser de CT du bassin, car ceci ne changerait pas la prise en charge. Nous ne réalisons pas non plus de CT cérébral malgré l'absence d'hétéroanamnèse et du contexte (patiente sous sintrom), car ceci ne changerait pas l'attitude non plus (patiente ne souhaitant pas de mesures diagnostiques, thérapeutiques ou hospitalisation pour prolonger sa vie). Retour au home avec antalgie. Reconsulter si péjoration ou persistance de la symptomatologie. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. • Radiographie du thorax: foyer pulmonaire en base gauche. Antibiothérapie IV par Co-Amoxicilline 2.2 g. Retour à domicile. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour pendant 7 jours. Schéma antalgique. Contrôle d'évolution à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. • Radiographie du thorax: sans particularité. Schéma antalgique et protection gastrique par Pantoprazol. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 29.04.2019 pour pister le laboratoire inflammatoire et évolution de la clinique. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. • Sérologie EBV: négatif. Avis ORL (Dr. X): Ad Aérosol à domicile avec pulmicort 0.25 mg 3x/jour, sérum physiologique et Bepanthène 6x/jour pour 15 jours, Prednisone 50 mg max 5 jours avec schéma dégressifs par la suite. Nasonex 2x/jour, Stop Triophan, ad Triomer. Continuer Co-Amoxicilline pour un total de 10 jours. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. • Stix et sédiment urinaires. Avis gynécologique: au vu des mouvements du foetus ressenti par la patiente, contrôle de vitalité non-indiqué actuellement. Ad gynécologue traitant. Morphine IV titrée. Retour à domicile avec antalgie par Paracétamol et Tramal. Recommandation de reconsulter en cas de signe de gravité. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. • Stix et sédiment urinaires. Réassurance. Traitement symptomatique. Conseils d'alimentation donnés au patient. Critères de reconsultation transmis à la patiente. Suite de prise en charge auprès du médecin traitant. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire: troponine H0: 6, troponine H1: 5, D-Dimères: 1081. • ECG. • Radiographie thoracique. • CT thoracique avec injection: pas d'embolie pulmonaire, comblement complet de la branche du lobe supérieur gauche avec atélectasie du lobe supérieur, adénopathie médiastinale et doute sur adénopathie hillaire droite. Réassurance. Retour à domicile. Traitement symptomatique. Suite de prise en charge en oncologie. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. • Urines. • CT-Scan (transmission orale par Dr. X): masse liquidienne au niveau inguinal droit avec liquide libre au pourtour. • US abdominal (Dr. X): hernie à contenu graisseux, incarcérée avec liquide probablement inflammatoire au pourtour. Pas d'anse intestinale dans l'hernie. Avis chirurgical (Dr. X): retour à domicile avec discussion d'une opération en électif dans la semaine (à discuter avec Dr. X), traitement par laxatif et anti-douleur. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. Avis cardiologique (Dr. X): souffle diastolique pathologique nouveau. ETT à organiser en ambulatoire. Arrêt de travail. ETT en ambulatoire (patient sera convoqué et résultats seront envoyés au médecin traitant). CT thoraco-abdominal en ambulatoire (patient sera convoqué, résultats seront envoyés au médecin). Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. Avis chirurgical: pas d'indication à une hospitalisation en chirurgie, retour à domicile avec majoration du traitement symptomatique. Retour à domicile. Majoration de l'antalgie. Conseil d'usage. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. Conseils d'alimentation donnés au patient. Traitement symptomatique par Budenofalk et Salofalk. Consilium gastro-entérologie pour suite de prise en charge. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. Pantozol 40 mg per os et Primpéran 10 mg per os. Test de Schellong: négatif. Retour à domicile. Réassurance. Traitement symptomatique. Conseils d'alimentation donnés au patient. Réévaluation chez le médecin traitant pour l'investigation d'un possible reflux gastro-oesophagien avec suivi en ambulatoire d'une hyperbilirubinémie anictérique. Explications données par le médecin avant: • Radiographie. • CT de la colonne dorsale. Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X): fracture stable. Antalgie, IRM à prévoir dans 2 semaines puis consultation en team rachis pour suite de la prise en charge. Antalgie, Sirdalud et Miacalcic. IRM en ambulatoire. Consultation en team Spine. Critères de reconsultation expliqués à la patiente.Explications données par le médecin avant: • Radiographie de la main face/profil/oblique: pas d'atteinte osseuse. Avis orthopédique (Dr. X): exploration de la plaie (pas d'atteinte des structures nobles). Ad rinçage NaCl, 2 points de rapprochement au Prolène 4.0 (avec explications données par le médecin au préalable), pas d'antibiothérapie nécessaire. Désinfection bétadinée, champage habituel, rinçage au NaCl abondant, 2 points de rapprochement au Prolène 4-0, Adaptic. Rendez-vous de contrôle le 28.04.2019 au secteur ambulatoire des urgences avec éventuelle vaccination tétanos si pas à jour (Mr. Y amènera son carnet de vaccination). Ablation des fils chez le médecin traitant à 10-12 jours. Mr. Y est instruit des symptômes nécessitant une consultation aux urgences. Explications données par le médecin avant: • Radiographie du genou droit. Avis orthopédique (Dr. X). Retour à domicile avec traitement antalgique. Physiothérapie. Contrôle clinique en ortho-urgences à 7-10 jours. Explications données par le médecin avant: • Radiographie du pied droit. Retour à domicile avec antalgie. Contrôle chez le médecin traitant en cas de besoin. Explications données par le médecin avant: • Radiographie du pied et de la cheville. Avis orthopédique (Dr. X): pas de fracture visualisée. RICE. Bandage. Physiothérapie. Contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours si pas d'amélioration. Explications données par le médecin avant: • Radiographie thoracique. Salbutamol 5 mg en aérosol. Retour à domicile. Réassurance. Evaluation en pneumologie ambulatoire si persistance des symptômes. Thérapie adjuvante pas nécessaire. Explications données par le médecin avant: • Stix et sédiment urinaires: leucocyte ++++, nit +, flore +++. • Urotube: en cours. Ciprofloxacine pendant 14 jours. Réévaluation à 72h chez le médecin traitant +/- réadaptation de l'antibiothérapie. Arrêt de travail. Explications données par le médecin avant: • Stix urinaire: absence de protéines, hématurie en amélioration. Tension artérielle normale et absence d'oedème: aucun argument pour une glomérulonéphrite. Explications données par le médecin avant: • Ultrason (Dr. X): pas de signe de torsion, pas de varicocèle, pas de signe d'épididymite. Hydrocèle à droite. Avis urologique (Dr. X): probable torsion spontanément résolutive. Indication à fixation en ambulatoire. Mr. Y prendra contact avec le secrétariat du Dr. X. Critères de reconsultation en urgence expliqués. Explications données par le médecin avant: • US pleural (Drsse X): pas de signe de pneumothorax. Antalgie simple. Suite chez le médecin traitant. Explications données par le médecin avant: • US veineux ciblé (Dr. X): Veines fémorales et veines poplitées compressibles avec normale variation respiratoire et augmentation du flux à la compression distale. Grande veine saphène gauche thrombosée sur 10 cm au niveau du genou, jonction saphéno-fémorale gauche libre. Pas de signe d'infection des tissus mous au niveau de la thrombose. Clexane 60 mg/0.6 ml aux urgences. Xarelto 10 mg dès le 22.04.2019, prévue pour 45 jours. Lyman gel local. Antalgie. Mme. Y sera convoquée pour une consultation angiologique en ambulatoire. Explications données par le médecin pour: CT abdominal: cathéter toujours en place. Suture à la peau (Dr. X), 17.5 cm à la peau. Explications données par le médecin pour: CT time is brain (Dr. X). Avis neurologie (Dr. X). Appel Inselspital (neurologie/neuro-radiologie): accepté pour thrombectomie. Transfert à l'Inselspital à Berne pour IRM à 17h00. Explications données par le médecin pour: ECG: hémi-bloc branche droit. Schellong négatif. Laboratoire: D-Dimères à 1174. CT thoracique: pas d'embolie pulmonaire. Attitude: Retour à domicile avec antalgie en réserve. Surveillance traumatisme crânien. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mr. Y. Explications données par le médecin pour: ECG. Laboratoire. Consilium ORL. Attitude: Retour à domicile avec Primpéran en réserve, consultation en ORL en ambulatoire à 48h. Explications données par le médecin pour: ECG: pas de signe ischémique. Laboratoire: trop H0 = 3, D-Dimères négatif. Radiographie thorax: pas de pneumothorax, pas d'épanchement, pas de foyer. Attitude: Retour à domicile. Réassurance. Traitement symptomatique. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mr. Y. Explications données par le médecin pour: ECG: rsr. Laboratoire: absence de syndrome inflammatoire, absence d'anomalie électrolytique et de trouble de l'hémostase. Scanner cérébral. Explications données par le médecin pour: ECG. Laboratoire: Troponines <5 3h après les DRS. Antalgie. Explications données par le médecin pour: ECG. Laboratoire. Radiographie thorax: opacité plage pulmonaire gauche compatible en premier lieu avec un foyer. Attitude: Retour à domicile avec antalgie, Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pour 7 jours et contrôle chez le médecin traitant dans 7 à 10 jours; proposition de faire une radiographie de contrôle à 6-8 semaines pour documenter disparition de l'opacité. Explications données par le médecin pour: ECG. Si récidive discuter d'un holter. Explications données par le médecin pour: Examen clinique. Laboratoire. CT cérébrale, massif facial: pas de saignement intra-crânien, pas de fracture, CE multiples présent dans la lésion. Désinfection, anesthésie, investigation à l'aiguille boutonnée, suture 1 point. Antalgie simple. Feuille de surveillance neurologique transmise à Mr. Y. Ablation des fils à 7 jours au secteur ambulatoire des urgences. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mr. Y. Explications données par le médecin pour examen et geste. Lavement XPREP PO = bonne réponse au laxatif. Laboratoire. • Retour à domicile. • Réassurance. • Poursuite du traitement symptomatique avec suite de prise en charge par le médecin traitant. Explications données par le médecin pour examen. CT-Scan natif (Dr. X). Fin de sinusite diffuse sans atteinte cérébrale. Traitement de Co-Amoxicilline 1 g 2 x/j pendant 7 jours. Contrôle clinique à 48h à la consultation ambulatoire des urgences. Triofan spray et Triomer rinçage 6x/j. Antalgie. Explications données par le médecin pour examen. ECG : rythme sinusal régulier, sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation, sans bloc de branche, • Retour à domicile. • Réassurance. • Conseil de consulter en ambulatoire au CPP devant l'état anxieux. • Temesta en réserve. • Conseils d'usage. Explications données par le médecin pour examen. Echographie ciblée thorax et abdomen aux urgences (Dr. X, Dr. X): pas de pneumothorax, pas d'épanchement. Fracture de côte 10 en médio-axillaire droite. Absence de liquide libre intra-abdominal. • Antalgie. • Inspirex. • Suite chez le médecin traitant pour adaptation du traitement. • Critères de reconsultation expliqués à Mr. Y. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire: amélioration des paramètres altérés au préalable. Coproculture: Campylobacter. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire: amélioration des paramètres inflammatoires. Retour à domicile avec réassurance, suite chez le médecin traitant. Critères de reconsultation expliqués. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire: CRP 11, leucocytes 6,9. Discussion du cas avec le Dr. X: Mr. Y peut marcher en charge complète sans douleur. Anti-inflammatoire. Contrôle clinique jeudi prochain à la consultation d'orthopédie du Dr. X. Pas de signe d'infection ou arthrite septique. Explications données par le médecin pour examen.Laboratoire : incomptables leuco, sang 11-20 érythrocytes, flore Bact +. Urotube en cours. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire : pas d'anémie. Ferritine : à pister par le médecin traitant. Rendez-vous de suivi chez son médecin traitant. Consulte les urgences en cas de récidive de vertiges rotatoires. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire : présence d'un discret syndrome inflammatoire avec 24 mg/l de CRP. Pas de leucocytose, pas de trouble de la fonction rénale. Analyse urinaire : présence d'une micro-hématurie, pas de leucocyturie. Pas de flore bactérienne. Consultation en gynécologie : ablation du stérilet avec retour au domicile avec Dafalgan et traitement anti-inflammatoire. Suite de prise en charge chez le médecin traitant et la gynécologue traitante. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire. Solumedrol 125 mg i.v. Co-Amoxicillin 2.2 g i.v. Avis ORL (Dr. X) : • Drainage ce jour sous anesthésie générale. • Contrôle à 24h en ORL. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire. Avis angiologie : • Ultrason vasculaire : pas de thrombose veineuse, artères normales. Attitude : • Retour à domicile avec anti-douleurs. • Reconsulte si persistance des douleurs. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire. Photos insérées dans Synedra. Aux urgences : Clindamycine 600 mg i.v. Attitude : • retour à domicile avec Clindamycine 300 mg 3x/j pendant 5 jours. • Contrôle clinique à la consultation ambulatoire des urgences à 48h. • Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Évolution lentement favorable à la consultation du 30.04.19 : • majoration Clindamycine à 600 mg 3x/j pendant 10 jours. • Contrôle clinique prévu à la consultation ambulatoire des urgences le 02.05.19 après-midi. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire. Sédiment. Rocéphine 2 g iv dose unique le 02.04.19, reprendre la Ciproxine 500 mg 2x/j dès le 04.04.19. Contrôle clinique chez le médecin traitant le jeudi 04.04.19. Critères de reconsultation expliqués au patient. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoires. Stix, sédiment urinaire. Test de grossesse négatif. Hydratation NaCl 0.9% 500 ml. Primpéran 10 mg Pantozol 40 mg Dafalgan 1 g iv Attitude : • Monuril 3 g per os. • Traitement symptomatique. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire. Stix et sédiment. Uricult. 2 paires d'hémocultures. Ciprofloxacine 500 mg iv. Rocéphine 2h. Attitude : • Retour à domicile avec rendez-vous à la consultation ambulatoire des urgences dans 48h avec laboratoire de contrôle. • Pister hémocultures et uricult. • Ciproxine 500 mg 2x/j pendant 7 jours. • Consultation aux urgences si nécessaire. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie : pas de fracture. Consultation orthopédique (Dr. X) : désinfection, champtage, pas de déficit sensitivo-moteur avant anesthésie, anesthésie en bague par 5 ml de Lidocaïne, remise en place de l'ongle, pas d'atteinte du lit de l'ongle, suture par un point Prolène 4.0 en 8 de l'ongle et 7 points de suture Prolène 4.0 de la plaie. Rappel du Tétanos. Attitude : • Co-amoxicilline 1000 mg 2x/j durant 5 jours + analgésique. • Arrêt de travail pour 7 jours jusqu'au prochain contrôle clinique chez médecin traitant. • Contrôle clinique à 7 jours chez le médecin traitant, ablation des 7 fils de plaie à 14 jours et du point au niveau de l'ongle + ongle à 21 jours chez le médecin traitant. • Critères de reconsultation transmis au patient. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie cheville droite : pas de fracture visualisée. Attitude : • Retour à domicile avec attelle Aircast et antalgie. • RICE. • Si persistance des douleurs --> consultation chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie de la cheville en charge deux incidences : rapport osseux harmonieux. Absence de fracture visualisable. Tuméfaction des tissus mous en externe infra-malléolaire. Procédure : La patiente présente une entorse du ligament talo-fibulaire antérieure de grade I sans instabilité au testing et absence de lésion osseuse à l'examen radiologique. Dans ce contexte, mise en place d'un traitement conservateur par physiothérapie selon le protocole SUVA entorse de cheville. Contrôle clinique à la fin du traitement conservateur, dans 6 semaines, en ortho-urgences. Mise en place d'une bande élastique. Marche selon douleur avec deux cannes anglaises. AINS topique. Incapacité de travail à 100% du 07.04 au 10.04.2019. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie de l'épaule gauche : pas de fracture. • Retour à domicile avec antalgie, arrêt de travail et physiothérapie. • Contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie des doigts : petit arrachement osseux à la base de P2 du doigt 3. Attelle Edimbourg pour 2 semaines. Anti-inflammatoire. Mobilisation libre. Contrôle chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie des lombaires ap/lat : pas de fracture visible. Rendez-vous à la consultation ambulatoire des urgences 06.04.2019 pour un constat de coup. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie du genou droit F/P : absence de lésion osseuse. Rapports articulaires harmonieux. Absence de signe indirect de fracture. L'examen clinique et les examens radiologiques permettent de poser le diagnostic d'entorse de grade I du ligament collatéral interne. Pas d'argument à ce jour pour effectuer un bilan par IRM afin d'objectiver d'autres lésions. Traitement symptomatique avec marche selon douleur, canne à visée sécuritaire. Contrôle en ortho-urgences dans une semaine pour refaire un examen clinique et réévaluer l'indication à une imagerie complémentaire. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie du genou gauche 3 incidences : rapport osseux physiologique et absence de lésion osseuse traumatique. Tuméfaction des tissus mous en médial. Examen clinique de ce jour non contributif pour attester d'une éventuelle lésion ligamentaire. Dans ce contexte, immobilisation du genou dans une attelle jeans 20°. Marche selon douleur. Clexane. Traitement symptomatique. Contrôle en ortho-urgences dans une semaine pour effectuer l'examen clinique à froid et définir la nécessité d'une imagerie complémentaire. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie du thorax : • pas de fracture visible. Fusion de la partie antérieure des vertèbres thoraciques 10-11. Traitement antalgique, repos. Conseils d'usage. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie D2 Face/Oblique : absence de fracture. Consilium orthopédique (Dr. X). Désinfection bétadinée, champtage habituel et anesthésie en bague par de la Rapidocaïne. Exploration de la plaie qui ne retrouve pas d'atteinte des structures nobles. Rinçage à l'aiguille boutonnée par du NaCl stérile en quantité abondante. Suture à la peau par 3 points simples de Prolène 4.0. Pansement Adaptic Digit. Antalgie, anti-inflammatoire. Contrôle à 48h chez le médecin traitant. Ablation des fils chez le médecin traitant à 12-14 jours. Arrêt de travail. Critères de reconsultation expliqués au patient. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie D3 et D4 main droite : fracture de P3 non déplacée. Avis orthopédique (Dr. X) : attelle Stack pour 3 semaines, contrôle chez le médecin traitant dans 3 semaines, début ergothérapie dans 2 semaines pas contre résistance. Attelle Stack. Ne souhaite pas d'arrêt de travail, peut adapter son travail. Ne souhaite pas d'antalgie. Bon ergothérapie papier fait. Consulte son médecin traitant dans 3 semaines.Explications données par le médecin pour examen. Radiographie jambe gauche : pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X) : rinçage, désinfection, anesthésie locale, exploration de la plaie, suture par Prolène 3.0, 9 points simples. Vaccin anti-tétanos. Antibiothérapie par Co-amoxicilline 1 g 2x/j pendant 7 jours. Contrôle clinique à 48h. Ablation des fils à J14. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie poignet droit : irrégularité visualisée au niveau articulaire mais pas de fracture au niveau de la tête radiale visualisée. Avis orthopédique (Dr. X) : prise en charge comme une fracture de la tête radiale, attelle BAB, contrôle à la consultation ortho-urgence à 7 jours. Si persistance ou non-amélioration des douleurs, évaluer l'indication pour un CT, par la suite physiothérapie flexion-extension active assistée. Arrêt de travail. Antalgie. Information des motifs de consultation en urgence. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie thoracique : pas de foyer, pas de pneumothorax. Retour à domicile avec réassurance au vu de l'examen clinique normal et de l'amélioration de la symptomatologie spontanément. Suite d'investigations chez le médecin traitant, +/- bilan neurologique (IRM, ENMG?). Critères de reconsultation expliqués. Explications données par le médecin pour examens divers. CT cérébral et colonne cervicale : pas de saignement, pas de fracture. Explications données par le médecin pour examens divers. ECG. Laboratoire : CRP 23 VS 31. CT cérébral : pas de saignement, pas de fracture, pas d'AVC, artère ophtalmique perméable des deux côtés. Artère centrale de la rétine non visualisée. Sinusite maxillaire gauche. Avis ophtalmologique (Dr. X) : fond d'œil sans particularité, œdème du nerf périphérique, pas de saignement de l'artère de la rétine, pas de dilatation. Angiographie de la rétine prévue le 30.04.19 à la recherche d'une occlusion. Avis neurologique (Dr. X) : possiblement un Horton, effectuer une vitesse de sédimentation. Si elle est élevée, compléter avec une IRM cérébrale et un US de l'artère temporale. Débuter avec corticoïdes 1 mg/kg/heure si suspicion de Horton. Retour à domicile avec consultation en ophtalmologie pour une artériographie de l'artère de la rétine le 29.04.19. Explications données par le médecin pour examens divers. Laboratoire. ECG. Radiographie thoracique. Stix et sédiment urinaire. Examen cytobactériologique des selles (en cours). Sérologie : HIV, HAV, HBV, HCV (en cours). Avis chirurgical : Dr. X = pas d'argument pour une pancréatite aiguë, pas d'indication à une prise en charge chirurgicale en urgence. Au vu de la vésicule biliaire lithiasique, indication à une consultation en ambulatoire pour prévoir une cholécystectomie. Traitement symptomatique. Retour à domicile. Réévaluation clinico-biologique à la consultation ambulatoire des urgences à 72h avec consultation des résultats infectieux. Explications données par le médecin pour examens. - Radiographie thorax : pas de pneumothorax, pas de fracture. - Radiographie genou face/profil/rotule : pas de fracture. - Radiographie lombaire face/profil : pas de fracture. - CT massif facial, cervical : pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X). Retour à domicile avec antalgie. Explications données par le médecin pour examens. ECG : bradycardie sinusale à 45 bpm, pas de trouble de la repolarisation. Adaptation du traitement de Meto Zerok diminué à 25 mg 1x/j dès le 14.04.2019. Conseil de reconsulter en cas de péjoration clinique. Sera convoquée en cardiologie à 3 semaines. Explications données par le médecin pour examens. ECG. Laboratoire : D-Dimère 639 ng/l, Trop H0 = 3 ng/l, Trop H1 <3 ng/l. Test de grossesse : négatif. Dafalgan 1 g. Angio-CT thoracique (Dr. X rapport oral) : pas d'embolie pulmonaire. - Antalgie par Dafalgan 1 g - Explications des critères de reconsultation à la patiente. - Contrôle chez le médecin traitant à 48h. Explications données par le médecin pour examens. ECG. Laboratoire : CRP 8, leuco 11.9. Schellong négatif. - Retour à domicile avec réassurance. - Nous lui proposons de consulter s'il présente à nouveau des symptômes ou des signes d'infection au niveau des doigts. Explications données par le médecin pour examens. ECG. Laboratoire : hypomagnésémie à 0,71. Retour à domicile avec substitution par Magnésiocard. Suivi tensionnel et clinique chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour examens. ECG. Laboratoire. Cardioversion par une manœuvre vagale. Mg 2g i.v. - Retour à domicile. - La patiente sera reconvoquée par le Dr. X le 2 juin. Explications données par le médecin pour examens. ECG. Laboratoire. - traitement symptomatique. - conseils d'usage. - OGD en ambulatoire à la recherche d'une gastrite à Helicobacter Pylori. Explications données par le médecin pour examens. ECG. Ultrason ciblé aux urgences (Dr. X) : pas d'épanchement péricardique. Reste de l'ultrason sans particularité. Pas de pneumothorax. Traitement d'épreuve par Pantoprazol 20 mg pendant 2 semaines. Critères de reconsultation expliqués au patient avec consigne de reconsulter immédiatement. Explications données par le médecin pour examens. Examen clinique. Stix/Sédiment : érythrocytes +++ extra-glomérulaires. Laboratoire du 27.04.19 : pas de syndrome inflammatoire. Avis chirurgical du 27.04.2019 : URO-CT en ambulatoire avec rendez-vous chez urologue de garde (Dr. X) post URO-CT pour +/- cystoscopie. Attitude : - URO-CT scan en ambulatoire. - Rendez-vous avec Dr. X en ambulatoire post URO-CT pour +/- cystoscopie. - Patient instruit des symptômes nécessitant une reconsultation en urgence. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : petit syndrome inflammatoire avec CRP à 26 mg/l. Pas de leucocytose. Scanner abdominal : pas de pince mésentérique, pas de calcul rénal, pas de signe de colite, présence de quelques adénopathies au niveau mésentérique, compatibles avec une gastro-entérite. Retour à domicile avec traitement empirique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : Hb 120 g/l, pas de syndrome inflammatoire. Analyses urinaires : microhématurie. Scanner abdominal : lésion hypodense du segment 4 (connue selon la patiente et déjà investiguée par biopsie). Consultation chez le Dr. X pour contrôle d'ici la fin de la semaine. Retour au domicile avec antalgie. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : suivi troponines négatives. ECG. Radiographie thorax ap/lat. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : Trop H0 = 15, Trop H1 = 15, Trop H3 = 16. ECG. Radiographie du thorax : petit épanchement en base pulmonaire droite. Avis cardiologique (Dr. X et Dr. X) : pas d'élément pour un infarctus, pas de modification du traitement. Le patient sera convoqué pour le contrôle de son défibrillateur en ambulatoire, pas d'indication à faire un contrôle à ce jour. Retour à domicile avec réassurance, poursuite du traitement habituel. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : trop 6. ECG : rythme sinusal rapide, pas de trouble de la repolarisation. Aux urgences : Alucol 15 ml per os, Pantozol 40 mg iv avec soulagement des douleurs. Retour à domicile avec traitement IPP d'épreuve 1 mois. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : Tropo H0 = 108, Tropo H1 = 113, Tropo H3 = 86. Radiographie thoracique. US abdominal : Dr. X (cf compte). Avis cardiologique : pas d'argument pour une étiologie cardiaque, pas d'indication à une coronarographie. CT thoraco-abdominal avec injection : pas d'embolie pulmonaire, pas de néoplasie, kyste parapyélique gauche, globe urinaire sur probable hyperplasie prostatique.• Retour à domicile. • Réassurance. • Conseil d'usage. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : Tropo H0 = 26, Tropo H1 = 24. ECG. Radiographie thoracique : superposable aux anciennes. Mr. Y refuse l'avis cardiologique et souhaite partir contre avis médical après discussion claire, loyale et appropriée, compte tenu des risques avec le Dr. X en présence de l'infirmière Cansé et de sa femme. Attitude : • Signature par Mr. Y d'un formulaire de sortie contre avis médical. • Retour à domicile. • Conseil d'usage. • Cardiologie informée du cas. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : Troponine H0 : 8 H1 : 7. ECG. Radiographie du thorax. Majoration du traitement par IPP. Contrôle cardiologique chez Dr. X le 30.04.2019. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : Troponines T hs H0 à 28 ng/l, H1 à 28 ng/l, H3 31 ng/l, CK-MB 29 U/l, CK 51 U/l, INR 2.1. ECG : rythme sinusal normocarde à 79/min, axe gauche. Radiographie thorax ap/lat : pas de pneumothorax ni de foyer pulmonaire. Aux urgences : Tramal 50 mg per os, NaCl 500 ml i.v. avec soulagement complet de la symptomatologie. Pas de récidive des douleurs aux urgences. Exclusion d'un syndrome coronarien aigu au vu de l'absence de cinétique de troponines, pas d'élément clinique pour une embolie pulmonaire et avec un INR thérapeutique. Recommandation de procéder à une échographie transthoracique en ambulatoire chez son cardiologue traitant. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : acide urique 602 mcmol/L, Leuco 6.9 G/L, CRP 12 mmol/L. Radiographie du pied droit : absence de lésion érosive. Avis orthopédique (Dr. X) : absence d'argument pour d'autre symptôme, ad semelle rigide, RICE, AINS full dose et contrôle clinique dans 48h +/- biologie selon évolution. Pas d'indication à un traitement de fond par Allopurinol. Prévoir consultation rhumatologique avec le médecin traitant. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : CRP à 9 mg/l, pas de leucocytose. Pas de trouble sévère de la crase. Ponction d'ascite évacuatrice : liquide citrin non purulent, évacuation de 7 L. Substitution par Albumine 60 g iv. Poursuite des traitements diurétiques. Rendez-vous en consultation ambulatoire le 12.04.2019 à 8h au C2 pour la prochaine ponction évacuatrice avec laboratoire pré-ponction. Avis téléphonique Dr. X : présenter Mr. Y à la consultation gastro-entérologique du CHUV pour discuter d'un TIP. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : D-dimères positifs. Gazométrie artérielle. ECG. CT thoracique : pas d'embolie pulmonaire, épaississement bronchique avec structure en verre dépoli au niveau de la lingula. • Ad Klacid 500 mg per os 2x/j pour 7-10 jours avec réévaluation biologique et clinique à 48h. • Retour à domicile. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire du 10.04.2019 : • H0 à 30 ng/L. • H1 à 31 ng/L. • H3 à 36 ng/L. Radiographie du thorax du 10.04.2019. ECG du 10.04.2019 : rythme sinusal normocarde sans anomalie du segment ST superposable aux anciens ECG. Avis cardiologique téléphonique (Dr. X) : majoration du traitement par Beloc Zok 50 mg avec suivi chez médecin traitant pour tolérance. Pas d'hospitalisation nécessaire. • Retour à domicile avec majoration du traitement anti-angineux Beloc Zok 25 à 50 mg avec poursuite de l'instauration du traitement anti-angineux du 20.03.2019. • Consultation de contrôle avec médecin traitant le 11.04.2019. • Mme. Y instruite des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire du 10.04.2019. ECG du 10.04.2019. Réassurance. Retour à domicile. Consultation chez médecin traitant pour suivi de l'adaptation du traitement anti-hypertenseur. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire du 19.04.2019. • D-dimères 984 ng/l. ECG du 19.04.2019 : rythme sinusal. CT-thoracique protocole embolie pulmonaire du 19.04.2019 : pas d'embolie pulmonaire, pas d'atteinte parenchymateuse. • Rendez-vous chez le cardiologue traitant (Dr. X) le 23.04.2019 pour suite de prise en charge. • Proposition d'effectuer un nouveau bilan cardiovasculaire avec holter, puis rediscussion pour thermo-ablation. • Mme. Y instruite des symptômes de gravité nécessitant une reconsultation en urgence. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire du 26.04.2019 : pas de syndrome inflammatoire. Radiographie pied gauche F/P/O : fracture de fatigue base du 3ème métatarse. Avis orthopédique du 26.04.2019 (Dr. X) : semelle rigide 6 semaines dans la chaussure, RICE. Arrêt de travail minimum 2 semaines, décharge 2-3 jours. Voltaren gel. Dafalgan, Voltaren 75 mg 2x/j. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. ECG. • Retour à domicile avec antalgie. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Avis orthopédique (Dr. X/ Dr. X). Radiographie de l'avant-bras : pas de corps étranger. Débridement et rinçage par le Dr. X. Augmentin 2,2 g iv le 16.04.19. Contrôle clinique à la consultation ambulatoire des urgences à 24h, appeler absolument les orthopédistes pour le contrôle. Ultrason de l'avant-bras et de la main le 18.04.19. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. CT cérébral injecté : • Pas d'anévrisme, pas d'hémorragie sous-arachnoïdienne, pas de thrombose des sinus. Ponction lombaire refusée par Mr. Y. Surveillance aux urgences. • Traitement symptomatique. • Conseils d'usage. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. CT cérébral natif = pas d'argument pour une lésion hémorragique. Haldol 5 mg x 2 im. Temesta 4 mg im. Discussion avec la médecin assistante de Marsens : conclusion d'un patient histrionique avec verbalisation d'une somatisation. Au vu d'une étiologie médicale pure écartée, la doctoresse de Marsens donne son accord pour un transfert pour suite de prise en charge. Attitude : • Transfert à Marsens en ambulance. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. ECG le 03.04.2019 : normal. Radiographie du thorax. Avis cardiologie (Dr. X) : ETT normale et superposable, pas de trouble cinétique. Traitement symptomatique : majoration de corticothérapie à 40 mg 1x/j pendant 7j. Suite de prise en charge chez le médecin traitant : schéma dégressif. Recommandation de consulter en cas de récidive de douleur. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. ECG. • Retour à domicile. • Revoir avec le médecin traitant pour un bilan cardiologique en ambulatoire. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. ECG. Angio-CT cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux (Dr. X, rapport téléphonique) : exophthalmie grade I, pas de lésion vasculaire, pas de signe d'AVC, pas de tumeur. Consilium neurologique (Dr. X, Dr. X). Avis ophthalmologique (Dr. X) : pression symétrique des deux yeux, pas d'oedème papillaire, fond d'oeil N, pas RAPD, diminution de vision de la lumière à D, impression de parésie partielle de l'abduction de l'œil droit. Contrôle dans 4 semaines conseillé chez l'ophtalmologue, prochain contrôle prévu le 25.04.2019 (discuter de la pose de prisme oculaire). Contrôle du HbA1c conseillé chez le médecin traitant et bon contrôle de la glycémie. Si persistance à 4 semaines, IRM cérébrale et des orbites à organiser par le médecin traitant. Antalgie avec Irfen et Dafalgan, protection gastrique avec Pantozol. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. ECG. Echographie ciblée urgences (Dr. X, Dr. X) : • Pas de lithiase vésiculaire, pas d'épaississement de la paroi de la vésicule. Voies biliaires intra- et extra-hépatiques non dilatées. • Pas de liquide libre. • Pas de dilatation pyélocalicielle. • Lésion hypo-échogène au niveau du hile hépatique (segment IV b) mal délimitée, sans signal Doppler, d'étiologie indéterminée. • Traitement d'épreuve par protection gastrique. • Échographie en ambulatoire le 09.04 comme prévu par le médecin traitant. • Suite chez le médecin traitant. • Critères de reconsultation expliqués à la patiente. • Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Hémoculture 2 paires : en cours. Radiographie genou gauche. Avis orthopédique (Dr. X) : pas pris au bloc opératoire ce soir car pas assez d'arguments cliniques (notamment pas de porte d'entrée et Mr. Y en bonne santé habituelle) pour une boursite septique. Proposition de retour à domicile sans antibiotique et de contrôle à la consultation ambulatoire des urgences pour évaluation clinico-biologique avec avis orthopédique. Antalgie, arrêt maladie. Contrôle à la consultation ambulatoire des urgences le 10.04.2019 pour contrôle clinico-biologique. Recommandation de consulter les urgences en cas de dyspnée, douleurs rétrosternales, état fébrile non calmé par le Paracétamol, péjoration de la clinique. • Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Radiographie du thorax. Adrénaline 1 mg aérosol. Avis ORL : rien à signaler. • Traitement conservateur. • Conseils d'usage. • Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Radiographie. Attitude : • Bilan angiologique prévu. La patiente sera convoquée. • Soins des plaies à continuer par les soins à domicile. • Rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. • Critères de reconsultation clairement expliqués à la patiente : fièvre, douleurs, rougeur en péjoration. • Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Sédiment. Test de grossesse négatif. • Retour à domicile avec antibiotique et antalgie, contrôle chez le médecin traitant. • Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. Primperan 10 mg i.v. NaCl 0.9% i.v. • Retour à domicile avec anti-nauséeux. • Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Stix et sédiment. US abdominal (transmission Dr. X) : pas d'appendicite, adénopathie < 1cm, pas de liquide libre. Antalgie par Buscopan per os, Paracétamol per os, Voltarène per os. Att : • Retour à domicile avec antalgie. • Contrôle à la consultation ambulatoire des urgences à 24h avec laboratoire. • Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Stix : sans particularité. Test de grossesse : négatif. Contrôle clinique et biologique en filière à 48h. • Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Stix/sédiment urinaire. CT abdominal (Dr. X) : lame liquide libre au niveau du pelvis et en bas du caecum, pas d'appendice visible, pas de signe inflammatoire. Structure sortant du moignon vaginal remontant vers l'os iliaque faisant penser à un aspect kystique ou granulome sur matériel chirurgical. 2-3 diverticuloses. Pas de signe d'iléus. Pas de coprostase. Consultation gynécologique (Dr. X) : pas de piste gynécologique avec ultrason montrant des ovaires bilatéralement visualisés, de taille et morphologie normale. Lame de liquide libre physiologique. Antalgie. Contrôle à 48h en ambulatoire chez le médecin traitant si persistance des symptômes. Critères de reconsultation transmis à la patiente. • Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Ultrason abdomen supérieur (Dr. X) : pas de signe de cholécystite, pas de lithiase biliaire, pas de dilatation des voies biliaires. Antalgie, contrôle à 48h pour suivi clinique et biologique (médecin traitant absent), +- avis chirurgical selon évolution. Conseils d'usage (STOP AINS, hydratation). • Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Urines stix et sédiment, PCR chlamydia et gonocoque. Urotube. Ultrason des testicules (transmission orale) : petite épididymite du testicule gauche. • Retour à domicile avec Ciproxine 500 mg 2x/j pendant 14 jours. • Contrôle chez le médecin traitant. • Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Urines. Test de grossesse : négatif. Avis gynécologique : • Probable rupture de kyste ovarien droit. • Suivi ambulatoire le 12.04.19 en gynécologie. Transfert en gynécologie. • Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Urine. Triglycérides : négatifs. US abdominal (Dr. X) : • Appendice non visualisé. Épaississement de l'annexe droite, vascularisation conservée. Consilium gynécologique : • Ovulation récente avec CJ n'expliquant pas la clinique. Avis chirurgical (Dr. X) : • Contrôle clinique et biologique en Filière 34 dans 24h. Attitude : • Retour à domicile avec traitement symptomatique. • Contrôle clinico-biologique en Filière 34 dans 24h afin d'écarter une appendicite débutante. Avis chirurgical. • Retour plus précoce aux urgences en cas de péjoration des symptômes, état fébrile, nausées ou vomissements. • Explications données par le médecin pour examens. Radiographie du genou droit : fracture du tiers latéral de la rotule non déplacée. Radiographie du poignet droit : fracture du radius distal non déplacée. Traitement conservateur avec attelle jeans à 20° de flexion et charge complète selon douleur pour 6 semaines. Plâtre fendu pour le poignet. Contrôle en orthopédie à une semaine pour contrôle radiologique du poignet et circularisation du plâtre pour un total de 4 semaines et contrôle radiologique au niveau de la rotule à droite. Si pas de déplacement, continuer avec l'attelle jeans pour 6 semaines au total en charge complète. • Explications données par le médecin pour examens. Radiographie du thorax. Laboratoire. • Réassurance. • Suite de la prise en charge par le médecin traitant avec contrôle clinique la semaine prochaine. • Explications données par le médecin pour examens. Radiographie hanche gauche : présence de calcification au niveau du moyen fessier. Laboratoire. Avis orthopédique (Dr. X) : tendinite de l'insertion du moyen fessier de la hanche gauche. Proposition d'un traitement conservateur avec contrôle au team hanche à 4 semaines. Attitude : • Cannes avec charge de 15 kg. • Physiothérapie en ambulatoire, +/- ondes de choc. • Antalgie. • Arrêt de travail. • Contrôle à 4 semaines au team hanche. • Explications données par le médecin pour examens. Radiographie. Radiographie post réduction. Avis orthopédique (Dr. X). Réduction fermée sous Propofol avec anesthésie (Dr. X). Attitude : • IRM et CT en ambulatoire, questionnaire de sécurité rempli. • Contrôle après imagerie au team ortho membre supérieur. • Immobilisation par gilet orthopédique. • Physiothérapie par mouvements pendulaires. • Explications données par le médecin pour examens. Radiographies cervicales et thoraciques : • Pas de fracture visible. Conseils d'usage. Traitement conservateur. • Explications données par le médecin pour examens. Ultrason ciblé du thorax : pas de pneumothorax, pas d'épanchement. Radiographie du thorax : pas de pneumothorax, pas de foyer, reste de l'examen cardio-médiastinal et du cadre osseux dans la norme. Traitement symptomatique. Proposition d'arrêter le tabac. • Explications données par le médecin pour examens. Ultrason pneumo (Dr. X/Dr. X) : pas de pneumothorax. Attitude : • Patient rassuré. • Conseil de bien prendre les anti-douleurs. • Explications données par le médecin pour examens. Urines. Test de grossesse urinaire négatif. Labo. Ultrason (Dr. X/Dr. X) : ovaire droit de taille agrandie avec un probable kyste, lame de liquide libre au niveau du Douglas, lame de liquide libre au niveau du Morison. Pas de dilatation pyélo-calicielle des deux côtés. Reste de l'examen sans particularité. Avis gynécologique (Dr. X) : • Ultrason endovaginal : rupture de kyste ovarien avec hémorragie, jugée stable. • Retour à domicile. Attitude : • Retour à domicile depuis la gynécologie. Explications données par le médecin pour : Frottis bactériologie. Laboratoire. Attitude : • Retour à domicile avec poursuite des antibiotiques selon prescription en chirurgie. • Consultation en stomatothérapie le mardi 16.04.2019. Explications données par le médecin pour investigations : • Laboratoire. • FAST : pas de liquide libre. • Radiographie thorax : pas de fracture costale. • Radiographie poignet face/profil : fracture multifragmentaire du radius distal droit. • CT poignet. • Avis orthopédique (Dr. X). Attitude : • Reposition et plâtrage fendu. • Retour à domicile avec opération en ambulatoire le 25.04. • Antalgie. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : aligné. Attitude : • Retour à domicile avec anti-nauséeux. • Consultation chez le médecin traitant au besoin. • Conseils sur l'alimentation prodigués à la patiente. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : CRP 174 LEUC 15,8. Co-Amoxicilline 2,3 IV. Methylprednisolone 125 mg IV. Patiente adressée en ORL pour drainage d'abcès et suite de prise en charge (Dr. X). Explications données par le médecin pour : Laboratoire. CT cérébrale cervical (transmission orale) : pas de saignement intra-crânien, vx perméables, hypodensité au niveau du pont d'env. 15 mm (artefact ?). Avis neurologie (Dr. X) : symptômes présentés par le patient ne correspondent pas au niveau de l'hypodensité, qui est sûrement peu spécifique. Retour à domicile, pas d'autre imagerie pour le moment, à réévaluer en fonction de la clinique si péjoration des symptômes. Attitude : • Retour à domicile. • Consultation chez le médecin traitant si persistance des céphalées pendant plusieurs semaines et si elles deviennent inhabituelles, avec réévaluation à une IRM. • Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : D-Dimères positifs. ECG. CT thoracique (Dr. X) : pas d'embolie pulmonaire, pas de signe d'infection bronchique ni du parenchyme. Test rapide malaria : négatif, microscopie négative. Traitement symptomatique. Si persistance ou aggravation des symptômes, consultation chez le médecin traitant. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à la patiente. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. ECG. Attitude : • Retour à domicile avec laxatif. • Si persistance des douleurs, consultation chez le médecin traitant pour réévaluation d'une coloscopie. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : H0 15, H1 14. ECG : superposable aux ATCD, BBD connu. Radiographie thorax. Avis cardiologique (Dr. X et Dr. X) : ajout Aldactone 12,5 g au traitement de base avec suivi de la kaliémie au secteur ambulatoire des urgences le 12.04.2019. Analyse du PM. Attitude : • Aldactone 12,5 débuté le 09.04.2019. • Contrôle de la kaliémie au secteur ambulatoire des urgences le 12.04.2019. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : leuco 14. Radiographie thorax : sans particularité. Stix : sans particularité. Attitude : • Retour à domicile avec traitement symptomatique. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : pas de perturbation des tests hépatiques. Attitude : • Retour à domicile avec IPP. • Consultation chez le médecin traitant le mercredi 10.04.2019. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, paramètres hépatiques dans la norme. Augmentation de Pantozol à 40 mg 2x/jour. Arrêt des laxatifs. Convocation pour une gastroscopie en ambulatoire. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : sans particularité. Sédiment : sans particularité. Test de grossesse : négatif. CT thoracique : pas de dilatation des anses grêles, pas de signe de lâchage des anastomoses, pas d'air libre, pas de liquide libre. Ectasie des voies biliaires intra et extra-hépatique, normal après cholécystectomie. Avis chirurgical (Dr. X) : probable gastrite, laboratoire rassurant, CT scanner sans particularité. Mettre en place un traitement Pantozol 40 mg 2x/j. Gastroscopie dès que possible. Contrôle en ambulatoire chez le Dr. X après la gastroscopie. Attitude : • Retour à domicile avec Pantozol 40 mg 2x/jour. • Antalgie en réserve. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. Stix et sédiment urinaire : sans particularité. Us ciblé (Dr. X) : pas de liquide libre. Radiographie du thorax. Radiographie colonne dorsale et lombaire. CT cérébral (transmission orale) : vx perméables, pas de dissection, pas de saignement, pas de fracture des cervicales. Attitude : • Retour à domicile avec antalgie. • Contrôle chez le médecin traitant dans 10 jours. • Remise de la feuille pour les TC en expliquant à la patiente que si elle présente un des symptômes mentionnés, une consultation aux urgences doit être entreprise. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. Test de grossesse : négatif. Avis gynécologie : • USTV : utérus AVF, ovaire gauche comprenant un follicule de CJ de 3,4 x 2,2 cm avec lame de liquide libre péri-ovarien et dans le Douglas. • USTV à 2h d'intervalle : état superposable : lame de liquide libre en diminution. • US Abdo : FAST pas de LL. Attitude : • Retour à domicile avec contrôle en gynécologie à 24h. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : Troponine positif sans cinétique significative. ECG : normal. Antalgie. Nifédipine 20 mg Retard avec amendement de symptomatologie. Prescription d'antihypertenseur au besoin en cas de HTA > 170 mmHg. Recommandation de consulter si récidive de douleurs rétro-sternales. Suite de prise en charge chez le médecin traitant pour adaptation de traitement antihypertenseur : proposition d'instaurer un IEC/Sartan. Consilium cardiologique pour suite de prise en charge en ambulatoire. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. Analyse urinaire. Attitude : • Suivi biologique chez le médecin traitant à 2 semaines, si péjoration natriémie évaluer si substitution du traitement par Citalopram. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. Angio-CT cérébral : sans particularité. Avis neurologique (Dr. X) : symptômes non typiques pour un AVC ischémique, plutôt correspondant à un trouble périphérique. Avis ORL (Dr. X) : anamnestiquement pourrait correspondre à un VPPB qui s'est résolu spontanément, symptômes non typiques pour une neuronite vestibulaire (durée trop courte). Consultation en ORL ambulatoire. Attitude : • Retour à domicile. • Patiente sera convoquée pour une consultation en ORL en ambulatoire. • Reconsulte si récidive des symptômes. • Certificat médical. • Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à la patiente. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. Antalgie. Réassurance. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2,2 g. Solumedrol 125 mg. Antalgie. Consultation ORL (Dr. X) : plusieurs tentatives de ponction infructueuses, pas d'abcès, poursuite antibiothérapie avec Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour et antalgie, consultation en ORL le 29.04.2019. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à la patiente. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. ECG : BAV 1er degré, RSR, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation.Radiographie du thorax: pas de foyer, pas de cardiomégalie, pas de signe de décompensation cardiaque. CT cérébro-cervical (transmission orale Dr. X): pas de saignement, pas de lésion traumatique. Signe de décompensation cardiaque sur les apex. Proposition de compléter avec une radiographie du thorax. Hospitalisation sur la nuit aux urgences, avec bonne évolution. Attitude: Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mme. Y et à sa fille. Suite chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. ECG: sinusal régulier sans trouble de la conduction, sus-décalage territoire latéral haut (connu), bloc de branche gauche (connu), superposable aux anciens. Test de Schellong: positif. Attitude: Prescription de bas de contention classe 2. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. ECG. Aux urgences: 5 mg Amlodipin avec excellente réponse clinique. Propositions: Amlodipin au besoin. Profil tensionnel à suivre à domicile et discussion d'introduire un IEC selon résultats. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mme. Y. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. ECG. CT thoracique: pas d'embolie pulmonaire. Par rapport à l'examen de mars 2018, apparition d'un nodule pulmonaire sous-pleural situé à cheval entre le segment 1 et 3 (série 3, image 63), mesurant environ 5 x 7 mm, lobe supérieur droit. Attitude: Réassurance. Antalgie au besoin. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. ECG. Radiographie bassin + hanches. Radiographie de thorax. Avis orthopédique (Dr. X): réduction aux urgences avec équipe anesthésie, au testing, luxation dès 45° de rotation externe en extension du genou, explications détaillées sur les mouvements à éviter (rotation externe en extension en particulier), poursuite marche en charge avec deux cannes, suite chez l'orthopédiste traitant. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. ECG. Radiographie du thorax. Attitude: Réassurance. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mme. Y. Proposition de consulter le médecin traitant pour évaluer le traitement de FA. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. ECG. Radiographie du thorax. Réassurance. Antalgie standard et proposition d'attendre le rendez-vous chez le cardiologue du 16.05.2019. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mme. Y. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. ECG. Score EGSYS -2. Test de Schellong: positif. Attitude: Retour à domicile avec contrôle chez le médecin traitant au besoin. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. ECG. Shellong: négatif. IRM cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux en ambulatoire (Mme. Y sera convoquée). Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mr. Y. Contrôle chez le médecin traitant pour suite de prise en charge. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. ECG. Urines. CT cérébral natif (transmission orale, Dr. X): pas de saignement intra-crânien. Lyse péri-radiculaire des dents au regard maxillaire. Attitude: Retour à domicile avec suivi en ambulatoire au RFSM avec un traducteur. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. Pantozol 80 mg IV puis Relai PSE 8 mg/H: bonne réponse post IPP. Attitude: Retour à domicile. Réassurance. Adaptation des doses IPP. Réévaluation en ambulatoire avec le médecin de famille pour programmation OGD +/- colonoscopie à la recherche d'une étiologie gastrique. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mme. Y. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. Radiographie du thorax: pas de foyer mis en évidence. Avis ORL: Consultation ambulatoire dans 48h pour exploration de la trachéotomie. Continuation des aérosols. Evaluation de mise sous antibiotiques selon résultats. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. US ciblée: aorte de calibre normal, pas d'épanchement péricardique, vésicule alithiasique. Aux urgences: Dafalgan 1 g, Morphine 10 mg per os. Alucol gel, Pantozol 40 mg i.v. Attitude: Retour à domicile avec traitement antalgique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant, on propose d'adresser Mr. Y à la consultation ambulatoire de chirurgie en cas de récidive des symptômes. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. Suite de prise en charge chez son médecin. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. Transfert en gynécologie. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. Urines: pas de microhématurie. Discussion du CT externe (Affidea, 10.04.2019) avec Dr. X: Adénopathie connue. Pas d'argument pour une pancréatite. Pas de dilatation des voies biliaires, pas d'urolithiase. Attitude: Retour à domicile. Antalgie simple. Contrôle clinico-biologique à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Mr. Y sera convoqué. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. Urines. Uro CT: calcul de 3 mm à 15 mm de la jonction urétéro-vésicale. Ectasie de l'uretère gauche à 7 mm. Pas de dilatation pyélo-calicielle. Attitude: Antalgie standard. Filtrage des urines. Tamsulosine jusqu'à expulsion du calcul. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Explications données par le médecin pour: Laboratoire. US ciblé (Dr. X): Murphy échographique, suspicion d'épaississement de la paroi de la vésicule biliaire mais mal visualisée car interposition colique, mouvement fœtal bien visible. US radiologue (Dr. X): Murphy échographique, pas d'épaississement des parois de la vésicule biliaire, pas de dilatation des voies biliaires, pas de lithiase mais boue biliaire. Avis chirurgical (Dr. X/Dr. X): discuter cholécystectomie après l'accouchement, à voir avec médecin traitant. Reconsultera si douleurs non gérables à domicile et/ou état fébrile. Explications données par le médecin pour les divers examens effectués aux urgences: Laboratoire. ECG: rythme sinusal régulier, FC 64/min, QTc 400 ms. Avis neurochirurgical (Dr. X, Inselspital). Pose de cathéter artériel (Dr. X). Trandate 20 mg/h IV continu, à titrer par 5 mg avec cible TAS < 160 mmHg. Transfert à l'Inselspital pour suite de prise en charge. Explications données par le médecin pour les examens ci-dessous: Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Echographie ciblée urgences (Dr. X): • Veines compressibles au niveau fémoral et poplité • Pas de dilatation des cavités droites, bonne cinétique segmentaire, absence de septum paradoxal, VCI compliant CT scanner injecté: CT thoracique injecté (transmission orale): pas d'EP, adénopathie thoracique aspécifique. Pas de contrôle nécessaire si asymptomatique. Attitude: • Traitement antalgique simple • Suite chez le médecin traitant Explications données par le médecin pour les examens effectués: • Laboratoire • Analyses urinaires • US ciblé aux urgences (Dr. X/Dr. X): pas de dilatation pyélo-calicielle des deux côtés, pas de liquide libre abdominal, aorte de diamètre fin, vessie non visualisée (post-mictionnel). Antalgie, repos. Suite chez médecin traitant selon évolution. Explications données par le médecin pour les examens effectués: • Laboratoire • Urines: glucose, CC ++. • Gazométrie • Screening immunologique (IA2, GAD, ICA): ___. Avis diabétologique (Dr. X): • Rendez-vous ambulatoire en diabétologie et diététique: le 16.04.19 et 06.05.19 • Éducation à la glycémie capillaire aux urgences • Introduction de Metformine 500 mg 1x/j. Attitude: • suivi ambulatoire en diabétologie et diététique le 16.04.2019 et 06.05.19 • conseil d'usage. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire : CRP 105 mg/l, leucocytes 9.2 G/l • sédiment urinaire : leucocyturie, érythrocyturie, pas de nitrites • 2 paires d'hémocultures : en cours • ECG • Rx thorax couché : pas d'infiltrat clair. En dialyse : Vancomycine et Cefepime i.v., paracétamol 1 g i.v., NaCl 250 ml i.v. Avis néphrologique (Dr. X) : prochaine dose d'antibiotiques à donner en dialyse le 12.04.2019. Pas d'escalade thérapeutique : REA non, pas de soins intensifs, pas d'intubation. Attitude : • retour au home organisé en vue de l'absence d'escalade thérapeutique visée, de la préférence du patient, et de l'absence d'antibiothérapie intraveineuse en ambulatoire • poursuite de l'antibiothérapie en néphrologie à adapter selon résultats de la culture d'urines • évaluer si nécessaire d'augmenter le dosage de Spiricort. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire : CRP 15 mg/l, leucocytes 10.2 G/l • ECG • gazométrie artérielle : insuffisance respiratoire partielle (pO2 7.8 kPa, pCO2 5.5 kPa, pH 7.41, bicarbonate 26 mmol/l) • Rx thorax ap/lat : petite désorganisation de la trame bronchovasculaire, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Aux urgences : Beloc Zok 2x5 mg i.v., NaCl 500 ml i.v. Avis cardiologique (Dr. X) : pas de contrôle cardiologique nécessaire, pas de modification de son traitement. Poursuite du traitement habituel. Prochain rendez-vous en cardiologie chez le Dr. X le 30.04.2019 pour un Holter de 2 jours. Critères de reconsultation expliqués. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire • ECG. Antalgie simple, réassurance ; réévaluation test d'effort par médecin traitant en cas de récidive. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire : CRP 14 mg/L, leucocytose à 10.1 G/L, Hb 147 g/L, Bili directe à 4.0 umol/L, GGT 82 U/L • US abdominal (Dr. X) : absence de lithiase biliaire, pas d'anomalies détectées. Stop Irfen. Poursuite Dafalgan. Introduction Pantoprazole et Alucol. Préconisons consultation gastro-entérologique afin de discuter d'une éventuelle gastroscopie. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire • ECG. Aux urgences : • 2x manoeuvre vagale modifiée sans changement du rythme • 25 mg Dilzem i.v. : normalisation de la FC. Attitude : • pister TSH du 29.04.2019 • avis cardiologique prévu. La patiente sera convoquée • anticoagulation introduite. A réévaluer par les collègues de la cardiologie • critères de reconsultation médicales expliquées à la patiente. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire • ECG. Explication des symptômes d'alarme devant motiver une nouvelle consultation. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire : Hb 140 g/l. • sédiment urinaire : leucocytes incomptables, nitrite positif, érythrocytes incomptables, flore bactérienne ++ • urotube : résultats seront transmis au médecin traitant. Uvamine 100 mg 2x/j pendant 5 jours. Consulte en cas de persistance de l'hématurie, apparition de fièvre, baisse de l'état général. Poursuite du Fraxiforte. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire : pas de syndrome inflammatoire • RX genou face, profil, rotule bilatérale : pas de fracture. Consilium orthopédique (Dr. X) : IRM des 2 genoux pour suspicion de ménisque interne bilatéral. IRM demandée. Consultation orthopédique, team genou, par la suite. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • urines sédiment • urotube • laboratoire. Avis urologique (Dr. X) : pas d'indication à un traitement antibiotique ni changement de cystofix (à changer tous les 3 mois). Retour à domicile avec conseil de reconsulter en cas de péjoration clinique. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • ECG • laboratoire : trop H0 = 31, H1 = 32, H3 = 31. • radiographie du thorax. Aux urgences : Nitroglycérine 0.8 mg caps p.o., Aspégic 500 mg i.v. Avis cardiologie (Dr. X) : probable insuffisance chronotrope. Asymptomatique. Troponines dues au pic hypertensif, pas de cinétique. Attitude : • retour à domicile avec Valsartan • Holter de 48h, puis consultation en cardiologie 10 jours après pour réévaluer l'indication à un pacemaker (passage en FA rapide ?). Egalement réalisation d'une échographie et d'une ergométrie. Explications données par le médecin pour : Radiographie : absence de fracture. Bretelle antalgique max 72h. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant dans 5 jours. Arrêt de travail pour 5 jours. Explications données par le médecin pour : Radiographie bras droit + épaule droite + clavicule droite : fracture de la clavicule droite. CT cérébral natif : pas de lésion osseuse, pas d'hémorragie intracrânienne. Avis orthopédique (Dr. X) : gilet orthopédique, contrôle radioclinique avec médecin de famille dans 4 semaines. Attitude : Réévaluation à 4 semaines par le médecin de famille pour contrôle radioclinique. Protocole GRACE. Immobilisation par gilet orthopédique pendant 4 semaines. Explications données par le médecin pour : Radiographie cheville et pied droit : pas de fracture. Radiographie pied droit (incidence oblique) : pas de fracture. Radiographie doigt V gauche : pas de fracture. Attitude : Antalgie par Paracétamol et Ibuprofen. Arrêt de travail pour 1 semaine. Désinfection et pansement du doigt V à gauche (par Tulle gras). Contrôle clinique et changement du pansement chez le médecin traitant à 3 jours. Explications données par le médecin pour : Radiographie cheville. Avis orthopédique (Dr. X) : ad protocole RICE, bandage, cannes avec charge selon douleurs, physiothérapie selon protocole RPP. Contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours. Explications données par le médecin pour : Radiographie colonne cervicale. Explications données par le médecin pour : Radiographie coude gauche ap/lat : pas de fracture. Radiographie genou gauche ap/lat/patella : pas de fracture. Radiographie main droite ap/oblique : pas de fracture. Antalgie. Explications données par le médecin pour : Radiographie de la cheville face/profil : pas de fracture. Marche en charge complète. Anti-inflammatoire. Contrôle chez le médecin traitant dans 10 jours. Explications données par le médecin pour : Radiographie de la jambe F/P. Radiographie de la mortèse sous stress gravitationnel et scopie dynamique en rotation externe forcée : au niveau de l'incidence de la jambe sans charge face et profil, il n'y a pas de déplacement secondaire à la fracture. Au niveau de l'incidence de la mortèse en stress gravitationnel, nous avons une ouverture de l'espace médial qui est de plus de 4 mm. Cependant, la syndesmose semble être stable sur cet examen. Aux scopies effectués en rotation externe forcée et flexion, on objective une instabilité nette de la syndesmose avec latéralisation du talus. Explications données par le médecin pour : Radiographie de l'épaule et la clavicule gauche : pas de fracture, pas de signe d'entorse. Antalgie simple. Recommandation de consulter son orthopédiste traitant pour suite de prise en charge. Proposition d'IRM si suspicion de déchirure musculaire. Recommandation de reconsulter en cas d'état fébrile, frisson, douleur intense, trouble neurologique. Explications données par le médecin pour : Radiographie de l'épaule face/neer : pas de fracture. Anti-inflammatoire. Mobilisation libre. Contrôle en ortho-urgences dans 1 semaine pour évaluation de la coiffe des rotateurs car le patient est très symptomatique et impossibilité de faire cette évaluation. Explications données par le médecin pour : Radiographie du thorax. Attitude : Retour à domicile avec antalgie. Explications données par le médecin pour : Radiographie du thorax. Laboratoire. ECG. US ciblé au lit des urgences (Dr. X) région cœur : pas de dilatation des cavités, bonne FeVG visuelle. Pas d'épanchement péricardique. Antalgie. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mr. Y. Contrôle chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Explications données par le médecin pour : Radiographie du 3ème doigt de la main droite : luxation dorsale de la phalange distale. Réduction fermée de la phalange distale, articulation stable après la réduction, flexion/extension possibles, pas de lésion au niveau du tendon. Pas de trouble en distalité. Pas de complication remarquée après la réduction. Anti-inflammatoire. Mobilisation libre. Contrôle chez le médecin traitant à 10 jours. Explications données par le médecin pour : Radiographie épaule F/N : image de dépôt radio-opaque en regard de l'insertion du tendon supra-spinatus. Pas d'autre lésion objectivée. Physiothérapie antalgique. Explications données par le médecin pour : Radiographie genou droit. CT genou droit. Avis orthopédique (Dr. X) : attelle jeans, Clexane sous-cutané, charge selon douleur, physiothérapie pour flexion et extension assistée selon douleurs, rendez-vous en team genou à 2 semaines. Attitude : Retour à domicile avec anti-douleurs, attelle jeans et bonne physiothérapie. Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane avec instruction à l'auto-injection. Mme. Y sera convoquée en ortho team genou dans 2 semaines. Explications données par le médecin pour : Radiographie main D : pas de fracture. Poursuite ttt antalgique. Explications données par le médecin pour : Radiographie main droite : fracture sous-capitale sans déplacement. Mise en place d'une attelle Edimbourg. Prochain contrôle radio-clinique en ortho-urgences à 1 semaine. Explications données par le médecin pour : Radiographie main droite. Avis orthopédie (Dr. X) : désinfection et champage habituel, rinçage de la plaie au NaCl 0.9% et exploration, pas de visualisation des tendons, mise en place de 2 points au Prolène 3-0. Attitude : Retour à domicile avec antalgie. Clindamycine 300 mg 3x/j pendant 5 jours. Ablation des fils dans 10 jours chez le médecin traitant. Contrôle de la plaie dans 48h chez le médecin traitant pour évolution. Explications données par le médecin pour : Radiographie main et poignet droit : pas de fracture, pas de corps étranger. Anesthésie locale, 2 points de suture au Prolène 3.0. Attitude : Retour à domicile avec antalgie. Ablation des fils dans 10 jours chez le médecin traitant. Arrêt de travail de 10 jours. Ordonnance pour changement de pansement. Instructions pour soin de plaie données à Mr. Y. Explications données par le médecin pour : Radiographie pied gauche ap/lat : pas de corps étranger visualisé. Rappel tétanos. Antibiothérapie avec Levofloxacine pendant 3 jours. Explications données par le médecin pour : Radiographie poignet droit F/P : pas de fracture visualisée. Radiographie main gauche F/P/O : pas de fracture visualisée. Radiographie du sacrum F/P : pas de fracture visualisée. Attitude : Attelle poignet à visée antalgique pour maximum 5 jours. Antalgie simple. Suite chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Explications données par le médecin pour : Radiographie thorax. Hémocultures 2 paires. Paracétamol IV. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2.2 g aux urgences. Explications données par le médecin pour : Radiographie. Avis orthopédique (Dr. X) : Aircast avec cannes pour antalgie. Prescription de béquilles avec instructions à la marche données à Mme. Y. Charge maximale possible. Antalgie standard et glace 4x/jour, avec surélévation. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Explications données par le médecin pour : Radiographie. Avis orthopédique (Dr. X) : Attelle 20 degrés et cannes de décharge. Antalgie standard. IRM du genou et contrôle au team membre inférieur dans une semaine. Explications données par le médecin pour : Sédiment urinaire : pas de leuco, pas de sang. Laboratoire : pas de leuco, pas de sang. Attitude : Retour à domicile avec antalgie en réserve. Explications données par le médecin pour : Sédiment urinaire. Laboratoire : pas de CRP, pas de leucocytose. Explications données par le médecin pour : Sédiment urinaire. Urotube : en cours. Test de grossesse urinaire : négatif. Monuril 3 g dose unique. Conseils préventifs. Contrôle chez le médecin traitant. Reconsultation en cas de fièvre, douleurs des loges rénales ou baisse de l'état général. Explications données par le médecin pour : Streptotest : négatif. Traitement symptomatique (avec explications concernant dose totale paracétamol par jour), suite chez le médecin traitant selon évolution. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mme. Y. Explications données par le médecin pour : Ultrason testiculaire : dans la norme, pas de rupture de l'albuginée, pas de torsion. Antalgie simple. Contrôle à distance chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. ECG. Aux urgences : • Réassurance • Traitement antalgique simple • Suite chez le médecin traitant • Critères de reconsultation expliqués à Mme. Y Explications données par le patient pour examens. Laboratoire : D-Dimères = 242. ECG : sinusal régulier, BAV 1 (non connue), pas de trouble de la repolarisation. Test de Schellong : négatif. Surveillance monitorée sur la nuit. Massage carotidien : bradycardie réflexe sans pause. Attitude : Retour à domicile, supplémentation KCL + Magnesiocard. Echographie transthoracique en ambulatoire. Holter en ambulatoire. Explications du médecin données au préalable quant aux examens suivants. Laboratoire. ECG. Radiographie du thorax ap/lat. Aux urgences : Lexotanil 1.5 mg. Continuer Lexotanil en réserve si crise d'angoisse. Proposition de prise de contact chez l'ostéopathe pour douleurs pariétales récidivantes. Exploration, bursectomie et fermeture primaire olécrâne G (OP le 19.03.2019) Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g i.v. 3x/j du 18.03. au 20.03.2019 • Co-amoxicilline 1 g p.o. 3x/j du 20.03. au 22.03.2019 Exploration chirurgicale : désinfection à la Bétadine, champage, anesthésie locale avec Rapidocaïne et Bicarbonate, effraction du plan sous-cutané, pas de visualisation des structures nobles, exposition d'aponévrose bicipitale qui est intacte. L'exploration chirurgicale ne montrant pas d'atteinte des structures nobles ni d'effraction de l'aponévrose bicipitale, nous procédons à un rinçage abondant puis 2 points Donati et pansement compresses stériles et Opsite. Nous proposons un contrôle à la policlinique d'orthopédie à 48h car Mr. Y n'a pas de médecin traitant puis ablation des fils dès le 12ème jour. Nous en profitons pour recommander à Mr. Y de se trouver un médecin traitant dans la région pour faciliter le suivi. Exploration chirurgicale de la plaie sous AL aux urgences. Fermeture de la plaie à l'Ethilon 4.0. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. Tétanos à jour. Exploration de la plaie, désinfection et suture par fils Prolène 4.0. Tétanos à jour. Ablation des fils à J 5-7. Exploration de la plaie, désinfection et suture par fils 4.0 (à Riaz). Rappel anti-tétanique fait en 2018. Ablation des fils à J 5-7. Exploration de la plaie, lavage et suture de nerf digital propre de Dig V, main G (OP le 07.04.2019). Exploration de plaie : désinfection par Bétadine, champage, anesthésie locale par Lidocaïne 1%, incision Scalpel 11 et tentative d'ablation du corps étranger. Avis orthopédique (Dr. X).Avis radiologique : pas de disponibilité ce soir pour un US à la recherche d'un corps étranger. Antalgie. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1g 2x/J pendant 5 jours. US à la recherche d'un corps étranger le 21.04.2019 avec contrôle en filière 3/4 pour suite de prise en charge. Exploration par ORL de garde avec aiguille boutonnée : pas de communication, plaie non transfixiante. Suture de la plaie externe à la jonction cutanéo-muqueuse : sous Méopa, après désinfection à l'Hybidil, 1 pt Prolène 6.0, ablation à 5 jours. Pas de suture pour la plaie interne. Drossadin pour hygiène orale 3x/j après les repas pour une semaine. Consignes usuelles sutures. Exploration plaie cuisse distale G, lavage, débridement et suture du tendon quadriceps. Arthroscopie et lavage genou G (OP le 04.04.2019). Exploration, rinçage, suture cutanée par Ethilon 4.0 le 03.04.2019 à l'HFR Riaz. Exposition au CO le 11.04.19. Exposition au sang, sans indication à une PEP avec : • suspicion d'éclaboussure de sang au niveau de l'œil droit. • griffure au niveau de la scapula sur 10 cm. Exposition CO. Expulsion de silicone post-chirurgie nasale. Expulsion du calcul ce matin. Envoi du calcul au laboratoire. Réassurance de Mr. Y sur prise en charge des douleurs si récidive. Exsufflation immédiate per-geste. RX de thorax de contrôle 2h post-geste avec discret pneumothorax résiduel. Extériorisation d'un calcul d'environ 1.5 mm aux urgences envoyé au laboratoire. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Antalgie, Tamsulosine, matériel de filtrage urinaire. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le 23.04.2019 avec ultrason des voies urinaires à 11h. Extériorisation probable d'un corps étranger par rectum le 23.04.2019. Extra systoles ventriculaires. Extraction avec aiguille boutonnée sous MEOPA et Xylocaïne locale. Surveillance signe de surinfection. Extraction de la tique (Dr. X) : pas d'anesthésie loco-régionale, extraction avec pince, ablation totale de la tique, désinfection locale post-ablation. Attitude : • Retour à domicile. • Réassurance. • Conseils de désinfection et de délimitation de la morsure péri-morsure. • Conseils de se représenter aux urgences pour antibiothérapie (Amoxicilline 1g 2x pendant 3-4 semaines) si apparition d'un érythème migrant. Extraction de la tique. Document d'informations donnés à Mme. Y. Extraction de 2 corps étrangers au niveau de l'avant-bras gauche distal sur le bord radial le 03.07.2017. Ablation d'un lipome lombaire géant en regard de L3-L4-L5 en 2011. Cure d'hernie inguinale récidivante par coelioscopie avec prothèse type APD 2 le 07.09.2010. Cure d'hernie inguinale par Lichtenstein à droite le 22.06.2010. Appendicectomie ouverte non datée. Exacerbation d'un syndrome lombo-radiculaire non déficitaire gauche le 24.04.2018 : • Discopathie L5-S1 avec rétrécissement neuroforaminal bilatéral G>D. • Lyse isthmique et spondylolisthésis grade I selon Meyerding L5/S1. Extraction fourmille à l'aide de NaCl 0.9%. Extraction l'aide de NaCl 0.9%. Extraction manuelle. Otalgan gouttes. Extraction totale des dents sur lésions carieuses dentaires multiples. Extractions dentaires • en ambulatoire. Extrartikuläre metaphyso-epiphysäre Fraktur dem distalen Radius rechts (Colles typ). Extrasystoles, sous traitement par Concor. Etat dépressif sous traitement par Citalopram. Extrasystolie ventriculaire asymptomatique. Extrasystolie ventriculaire symptomatique avec : Extravasation de faible quantité NaCl 0.9% au niveau de la VVP bras droit le 12.04.2019. Extravasation du produit de contraste dans le bras droit et petit saignement à l'interface entre le muscle psoas et le carré des lombes sur le trajet de l'aiguille lors de la ponction sous CT le 13.03.2018. Agranulocytose fébrile avec pneumonie le 26.05.18. Traitement de vésicocèle 2006. Hystérectomie 2001. Hématochézie le 01.09.2018 sur probable saignement digestif bas. Pancytopénie le 04.09.18 sur chimiothérapie. Petite plaie sous la clavicule droite dans le cadre d'une réaction allergique locale au film adhésif de son portacath le 13.11.2018. Colite à Clostridium difficile le 31.01.2019. Engraftment syndrome avec infiltrat pulmonaire basal G et diarrhées 15.01.2019. F. 12.2 Trouble mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool avec syndrome de dépendance et utilisation continue. F. 32.1 Episode dépressif moyen. F. 32.0 épisode dépressif léger. F. 32.1 Episode dépressif moyen • Trouble cognitif léger à moyen à investiguer à distance. • Sous Venlafaxine 150 mg 1x/j et Saroten 50 mg 1x/j. F 33.1 Trouble dépressif récurrent • Episode actuel moyen. F. 43.22 Trouble d'adaptation avec anxiété. F 43.2 Trouble de l'adaptation avec réaction anxieuse au premier plan. F 43.2 Troubles de l'adaptation le 11.04.2019. F 43.20 Troubles de l'adaptation avec réaction dépressive brève. F 45.41 Douleurs chroniques où interviennent des facteurs somatiques et psychiques. F 60.0 Troubles mixtes de la personnalité (émotionnellement labile, impulsive, personnalité histrionique). F 33.4 Trouble dépressif récurrent, actuellement en rémission. FA à conduction normocarde nouvellement diagnostiquée. FA à conduction ventriculaire rapide. FA à conduction ventriculaire rapide le 02.04.19. FA anticoagulée avec tachycardie à 120/min. FA anticoagulée par Xarelto. • Suivi par Dr. X. • Dernier ETT 05.2016 : FEVG 40%. FA connue non anticoagulée • CHA2DS2-VASc à 6 points. • HAS-BLED à 4 points. Suspicion d'alcoolisme chronique. Arthrite goutteuse des articulations interphalangiennes proximales des 2ème, 3ème, 4ème et 5ème doigts main gauche. FA connue non anticoagulée le 18.03.2019 • CHA2DS2-VASc à 6 points (9.8%/an). • HAS-BLED à 4 points (8.7%/an). FA depuis le 15.01.2019. FA inaugurale le 15.04.2019. CHADS-VASC : ___ HASBLED : ____. FA nouvelle le 17.02.2018 dans contexte d'ATCD de thrombose et d'embolie pulmonaire en 02.2015. • ECG le 17.02.2018 : FA avec FC à 75/min. QRS fins, signe de QT long. • DD : déshydratation, FA paroxystique, FA intermittente. • CHADS2-VASc : 5, HAS-BLED : 3. • ECG le 27.02.2018 : rythme sinusal régulier avec FC 51/min, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation. • Cliniquement normocarde et rythmique le 13.03.2018. • Switch Xarelto 15mg dès le 07.03.2018. FA paroxystique inaugurale le 18.04.19 • CHADS2VASC2 à 4. • HASBLED à 2 points. FA paroxystique non datée le 25.04.2019. FA permanente anticoagulée. Cervico-brachialgies bilatérales sur arthrose cervicale dégénérative pluri-étagée. Polymyalgia Rheumatica. Remplacement supra-coronarien de l'aorte ascendante par une prothèse Vascutek Gelweave de 30 mm, avec mono-pontage aorto-coronarien (AMIG/IVA), isolation des veines pulmonaires et ligature de l'auricule gauche, fecit Dr. X (Clinique Beau-Site) le 01.04.2015 avec : • Echocardiographie le 17.02.2015 : Ectasie importante de la racine aortique avec vraisemblable anévrisme de l'aorte ascendante. Fonction systolique du ventricule gauche normale. Sclérose valvulaire aortique avec fuite de grade 1-2/4. Minime fuite mitrale. Dilatation modérée de l'oreillette gauche et des cavités droites. Probable discrète hypertension artérielle pulmonaire. • Coronarographie le 03.03.2015 (Dr. X) : anévrisme de l'aorte ascendante de 55 mm. Maladie coronarienne mono-tronculaire avec une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure au niveau de son ostium. Fonction systolique du ventricule gauche supra-normale à 70%. • Echocardiographie le 07.04.2015 (Dr. X) : ventricule gauche de taille normale, avec une fonction systolique normale (FEVG 65%). Pression de remplissage du ventricule gauche augmentée, pas d'hypertrophie du ventricule gauche. Ventricule droit de fonction et taille normales. Dilatation bi-atriale. Sclérose aortique avec légère insuffisance. Légères insuffisances mitrale, pulmonaire et tricuspide. PAPs augmentée. FA permanente anticoagulée. Cervico-brachialgies bilatérales sur arthrose cervicale dégénérative pluri-étagée. Polymyalgia Rheumatica. Remplacement supra-coronarien de l'aorte ascendante par une prothèse Vascutek Gelweave de 30 mm, avec mono-pontage aorto-coronarien (AMIG/IVA), isolation des veines pulmonaires et ligature de l'auricule gauche, fecit Dr. X (Clinique Beau-Site) le 01.04.2015 avec : • Echocardiographie le 17.02.2015 : Ectasie importante de la racine aortique avec vraisemblable anévrisme de l'aorte ascendante. Fonction systolique du ventricule gauche normale. Sclérose valvulaire aortique avec fuite de grade 1-2/4. Minime fuite mitrale. Dilatation modérée de l'oreillette gauche et des cavités droites. Probable discrète hypertension artérielle pulmonaire. • Coronarographie le 03.03.2015 (Dr. X) : anévrisme de l'aorte ascendante de 55 mm. Maladie coronarienne mono-tronculaire avec une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure au niveau de son ostium. Fonction systolique du ventricule gauche supra-normale à 70 %. • Echocardiographie le 07.04.2015 (Dr. X) : ventricule gauche de taille normale, avec une fonction systolique normale (FEVG 65 %). Pression de remplissage du ventricule gauche augmentée, pas d'hypertrophie du ventricule gauche. Ventricule droit de fonction et taille normales. Dilatation bi-atriale. Sclérose aortique avec légère insuffisance. Légères insuffisances mitrale, pulmonaire et tricuspide. PAPs augmentée. FA post-opératoire avec EHRA 1 et CHA2DS2VaSc 0 FA rapide à 160 bpm le 22.03.2019 chez une patiente connue pour un FA paroxystique sous : • Eliquis dernière dose le soir du 21.03.2019 • Bêta-bloquants FA rapide dans le contexte septique le 07.04.2019 FA rapide en 2012, cardioversée et en 2013 électro-coagulée suite à une récidive depuis lors, sans rechute. Péritonite sur appendicite en 1961. Fracture de la cheville D suite à une chute à ski en 1962. FA rapide mal tolérée sur arrêt du Sotalol le 04.04.2019 FA rapide le 17.04.2019 • Connue pour FA paroxystique FA sous NOAC Coxarthrose à droite FA sous Sintrom. HTA. Mr. Y est hospitalisé pour une dermohypodermite du membre inférieur droit. Le bilan sanguin met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 82 mg/L et une leucocytose à 20.7 G/L sans déviation gauche. Nous débutons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline en intraveineux. En raison d'une évolution favorable, l'antibiothérapie est poursuivie oralement dès le 26.04.2019 pour une durée totale de 10 jours. Sur le plan métabolique, en raison de pieds présentant de nombreuses rhagades, une glycémie est effectuée afin d'exclure un diabète (bien que peu probable) et s'avère être dans les normes. Mr. Y peut rentrer à domicile le 26.04, avec un contrôle clinique à votre consultation le 29.04.2019. Face à ce début d'évolution rassurant, à savoir uniquement de faibles douleurs à la marche à 5 semaines du traumatisme, nous concluons à la fin de suivi dans notre service. Le patient reçoit l'instruction de se présenter en cas de persistance de douleur à 3 semaines ou d'apparition d'autres symptômes. Le patient bénéficie d'un arrêt de travail à 100% du 24.03.2019 au 08.04.2019. Reprise à 100% dès le 09.04.2019. Face à ce début d'évolution rassurante, à savoir pas de signe infectieux à deux jours de l'intervention, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie sachant que la patiente a reçu instruction d'aller faire contrôler sa plaie régulièrement chez son médecin traitant puis d'effectuer une ablation des points de suture à 2 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Face à ce début d'évolution rassurante chez un patient qui souhaite faire la suite de son suivi à l'étranger, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient a reçu instruction de se présenter chez un orthopédiste de son choix dans 3 semaines (aux alentours du 08.05.2019) pour un contrôle radioclinique. Le patient est en possession des images de radiologie réalisées au HFR Riaz. Face à cette évolution clinique rassurante, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Nous retenons le diagnostic de contusion du pouce à D pour laquelle le patient a été traité. Le patient bénéficie d'une attelle alu qu'il peut porter en réserve en cas de douleurs et nous préconisons un contrôle chez son médecin traitant dans une semaine. Le patient est averti de reconsulter en cas d'évolution défavorable. Le patient a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 10.04.2019 au 18.04.2019. Reprise à 100% le 19.04.2019. Face à cette évolution finalement rassurante, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. La patiente a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 13.01.2019 au 25.02.2019. Reprise à 100% le 26.02.2019. Face à cette évolution rassurante, sans aucune douleur à la marche, avec uniquement une légère raideur, nous mettons fin ce jour, 24.04.2019, au suivi en policlinique d'orthopédie, sachant que Mme. Y a reçu la prescription de 9 séances de physiothérapie. En cas de persistance de la baisse de mobilité à la fin des séances, nous sommes à disposition pour revoir le patient. Suite au colloque, nous préconisons une immobilisation supplémentaire pour prévenir un éventuel arrachement du fragment, sachant que la consolidation osseuse n'est pas complète. Le patient, joint par téléphone le même jour, 24.04.2019, refuse catégoriquement de revenir en consultation. Face à cette évolution rassurante, à savoir aucun signe clinique pour une boursite à 6 jours du traumatisme, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie sachant que le patient a reçu instruction de se rendre à la consultation de son médecin traitant pour le suivi de la plaie. Le patient a reçu instruction de reconsulter en cas d'évolution défavorable, à savoir apparition d'une tuméfaction importante au niveau du genou, douleurs en augmentation ou apparition de fièvre. Face à cette évolution rassurante, à savoir marche en charge sans douleur à 12 semaines du traumatisme, nous concluons à la fin du traitement en policlinique d'orthopédie. La patiente a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 16.01.2019 au 17.03.2019 puis d'un arrêt de travail à 50% du 18.03.2019 au 15.04.2019, reprise à 100% le 16.04.2019. Face à cette évolution rassurante avec notamment absence de laxité au niveau du LLE, avec une patiente qui marche en charge sans trop de douleurs, protégée par une attelle Aircast, nous rétrogradons le diagnostic à une entorse de stade II. Elle portera l'attelle Aircast pour une durée supplémentaire de cinq semaines avant d'effectuer un contrôle chez son médecin traitant. La patiente étudiante n'a jamais bénéficié d'arrêt de travail pour ce traumatisme, elle a par contre bénéficié d'un arrêt de sport du 30.03.2019 au 12.05.2019. Face à cette évolution rassurante avec une mobilité quasi complète comparée au côté opposé et uniquement des douleurs à la palpation du site fracturaire, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie, sachant que le patient a reçu instruction de reconsulter en cas de persistance des douleurs dans un mois, à savoir à trois mois post-traumatisme pour investigations d'une éventuelle pseudarthrose. Le patient a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 03.02.2019 au 18.02.2019 puis d'un arrêt de travail à 50% du 19.02.2019 au 02.04.2019. Reprise à 100% le 03.04.2019.Face à cette évolution rassurante avec uniquement une légère raideur articulaire après 6 semaines d'immobilisation, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie, sachant que le patient a reçu la prescription de 9 séances de physiothérapie et instruction de reconsulter en cas de persistance de la raideur articulaire après lesdites séances de physiothérapie. Le patient a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 05.03.2019 au 19.04.2019. Reprise à 100% le 20.04.2019. Face à cette évolution rassurante, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie, en sachant que le patient est à quatre semaines post-traumatisme et a déjà récupéré l'entièreté de sa mobilité au niveau du membre supérieur D. Mr. Y a reçu instruction de reconsulter en cas de baisse de la mobilité ou apparition de douleurs au niveau de son membre supérieur D. Le patient étudiant n'a jamais bénéficié d'arrêt de travail pour ce traumatisme, il a par contre bénéficié d'un arrêt de sport du 05.03.2019 au 23.04.2019. Face à cette évolution rassurante, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. La patiente âgée de 11 ans n'a jamais bénéficié d'arrêt de travail pour ce traumatisme, elle a par contre bénéficié d'un arrêt de sport du 22.03.2019 au 30.04.2019. Face à cette évolution rassurante, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient âgé de 22 ans a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 07.02.2019 au 25.03.2019. Reprise à 50% du 26.03.2019 au 05.04.2019, reprise à 100% le 06.04.2019. Face à cette évolution rassurante, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie, sachant que la patiente a reçu instruction de continuer à porter son attelle Aircast pour encore cinq semaines avant d'effectuer un contrôle clinique chez son pédiatre. La patiente âgée de 12 ans n'a jamais bénéficié d'un arrêt de travail pour ce traumatisme, elle a par contre bénéficié d'un arrêt de sport du 28.03.2019 au 09.05.2019. Face à cette évolution rassurante, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie, sachant que le patient a reçu instruction de porter son attelle Aircast pour une durée de cinq semaines supplémentaires avant d'effectuer un contrôle clinique chez son médecin traitant. Face à cette évolution rassurante, nous concluons à la fin de traitement en policlinique d'orthopédie, sachant que la patiente a reçu instruction de porter son attelle Aircast pour une durée supplémentaire de cinq semaines puis d'effectuer un contrôle clinique chez son médecin traitant. La patiente doit continuer les injections de Clexane 1x/j tant que les cannes sont nécessaires. Mme. Y n'a jamais bénéficié d'arrêt de travail pour ce traumatisme. Face à cette évolution rassurante, nous concluons à la fin de traitement en policlinique d'orthopédie, sachant que le patient a reçu instruction d'aller faire contrôler sa plaie dans trois jours chez son médecin traitant puis d'effectuer l'ablation des fils le 12.04.2019. Le patient ébéniste a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 30.03.2019 au 12.04.2019. Reprise à 100% le 13.04.2019. Face à cette évolution rassurante nous concluons à la fin du suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient a reçu instruction de se présenter chez son médecin traitant le 03.05.2019 pour un contrôle de la plaie. Le patient, agriculteur, n'a jamais bénéficié d'un arrêt de travail pour ce traumatisme. Face à cette évolution tout à fait rassurante avec une mobilité complète des deux épaules, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient âgé de 11 ans n'a jamais bénéficié d'arrêt de travail pour ce traumatisme, il a par contre bénéficié d'un arrêt de sport du 16.02.2019 au 16.04.2019. Face à cette évolution tout à fait rassurante, avec une mobilité quasi complète nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 21.02.2019 au 17.04.2019, reprise à 100% le 18.04.2019. Face à cette évolution tout à fait rassurante, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. La patiente a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 16.01.2019 au 19.03.2019, reprise à 100% le 20.03.2019. Face à cette évolution tout-à-fait rassurante, à savoir une mobilité complète des deux épaules à 12 semaines du traumatisme, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 20.01.2019 au 18.03.2019, d'un arrêt de travail à 70% du 18.03.2019 au 25.03.2019, d'un arrêt à 50% du 25.03.2019 au 01.04.2019. Reprise du travail à 100% dès le 02.04.2019. Face à cette évolution tout-à-fait rassurante, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie, sachant que la patiente a reçu instruction de porter son attelle Aircast pour une durée supplémentaire d'une semaine puis d'effectuer un contrôle chez son médecin traitant. La patiente âgée de 15 ans n'a jamais bénéficié d'arrêt de travail pour ce traumatisme, elle a par contre bénéficié d'un arrêt de sport du 27.02.2019 au 13.04.2019. Face à cette évolution tout-à-fait satisfaisante avec une mobilité complète du 5ème doigt à D nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient âgé de 10 ans n'a jamais bénéficié d'arrêt de travail pour ce traumatisme, il a par contre bénéficié d'un arrêt de sport du 21.02.2019 au 05.04.2019. Face à la bonne évolution clinique, marquée néanmoins par une légère raideur attendue après six semaines d'immobilisation, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie, sachant que le patient a reçu une ordonnance pour 9 séances de physiothérapie et reçu instruction de consulter son médecin traitant à la fin du traitement physiothérapeutique pour contrôle clinique. Le patient sait qu'il doit reconsulter en orthopédie à l'HFR Riaz en cas d'évolution défavorable. Le patient a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 26.02.2019 au 14.04.2019, reprise à 100% le 15.04.2019. Face à l'évolution tout à fait favorable, sans aucune douleur à la marche et une mobilité complète de la cheville, nous mettons fin ce jour, 24.04.2019, au suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient a bénéficié d'un certificat d'arrêt de sport du 11.03 au 24.04.2019. Face à un examen clinique rassurant et le bilan biologique montrant une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique et pas de syndrome inflammatoire ainsi qu'un ultrason des parties molles en pli de l'aine montrant une adénopathie gauche d'environ 1 cm de diamètre sans abcès ou autre, nous laissons rentrer le patient. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour une surveillance de l'adénopathie et un contrôle clinique dans une semaine. En cas de persistance en taille ou de fortes douleurs, nous proposons à son médecin d'organiser une biopsie. Face à une telle symptomatologie nous évoquant plutôt une tension musculaire, nous conseillons pour cela à la patiente de poursuivre son traitement par Sirdalud et Inflamac et de la chaleur locale. Face au contexte infectieux et associé à des symptômes systémiques progressant depuis plusieurs jours, nous retenons le diagnostic d'un état grippal d'origine virale. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire ainsi qu'une absence de foyer à la radiographie du thorax et ECG qui sont sans particularité. Un traitement symptomatique est proposé. En ce qui concerne la morsure de chien, un débridement est réalisé aux urgences avec rinçage et désinfection. Une antibiothérapie prophylactique est administrée aux urgences par 2.2 g de Co-amoxicilline iv, suivie par un traitement po de 1 g 2x/j durant un total de 5 jours. Un contrôle clinique chez le médecin traitant est indiqué dans la semaine.Facteur de risque cardiovasculaire: Tabagisme actif (15 PY en 2019), hypertension artérielle, hypercholestérolémie Petit hémangiome intra-corporéal État anxio-dépressif avec • tremblements sur anxiété Suspicion de Mild cognitive impairment : MMS 26/30, Clock 2/6, GDS 2/15 (03.11.2017) Gonarthrose droite Suspicion d'arthrose de hanche G Artériopathie oblitérante périphérique stade II b avec sténose sévère des artères iliaque externe et fémorale superficielle droite avec: • Status après angioplastie périphérique des artères iliaques commune et externe, fémorale superficielle à G avec stenting de l'A. iliaque externe et fémorale superficielle G, thrombolyse et thrombectomie au niveau de l'artère iliaque externe. • Facteurs de risques: tabagisme actif, insuffisance rénale, HT ABI le 1.4.19: 0.6 à droite, 1 à gauche Suivi angiologique Dr. X: angioplastie à droite prévue le 08.05.19 à l'hôpital Dahler Dyspnée d'effort probablement dans le cadre d'un déconditionnement Radio thoracique le 29.03.2019: aspect d'infiltrat interstitiel aux deux bases avec majoration de la trame bronchovasculaire, probablement en lien avec une surcharge EKG le 28.03.2019: rsr, normo-axis, pas de trouble de la repolarisation Introduction d'un traitement diurétique sans effet sur le poids et les oedèmes ETT du 02.04.2019: FEVG à 60%, ventricule gauche non dilaté et non hypertrophié, aorte et valve aortique normale, oreillette gauche non dilatée, absence de HTAP, minime insuffisance tricuspide Torasemid 2.5mg Insuffisance rénale aiguë sur chronique stade 3 le 5.4.2019 AKIN 1 avec • GFR selon CKD-EPI: 50 ml/min/1.73m2, Créat 89 umol/l (28.03.2019) Labo le 05.04.19: Créatinine 162 umol/l, GFR selon CKD-EPI 23 ml/min, FeUrea 21.2% Labo le 10.04.19: Créat 112 umol/l, GFR selon CKD-EPI 38 ml/min Labo le 15.04.19: Créat 83 umol/l, GFR selon CKD-EPI 54 ml/min Réhydratation intraveineuse avec stimulation hydrique Stop Comilorid Épisode dépressif récidivant avec trouble du sommeil Dose d'Escitalopram diminuée à 10 mg Introduction de Quetiapine 12.5 mg le soir Suspicion de syndrome de Sjögren Labo le 04.04.2019: Anti-SSA-AK 155U, Anti-SSB-AK <3U, Anti-Ro52-AK <2U En absence de clinique au cours de l'hospitalisation: pas de traitement symptomatique, pas de diagnostic ultérieur Suspicion d'apnée du sommeil • Fatigue, baisse du SpO2 pendant la nuit Laboratoire du sommeil à discuter le cas échéant Facteurs de risque cardiovasculaire : • hypertension artérielle • dyslipidémie • tabagisme chronique Polyarthrose (épaule, genou) Consommation d'OH à risque sur probable état dépressif réactionnel Notion d'asthme allergique professionnel Facteurs de risque cardiovasculaire : hypertension artérielle, anamnèse familiale, obésité, ancien tabagisme (stoppé il y a 20 ans). Cardiopathie hypertensive depuis 2014 avec : • HVG concentrique et trouble de la relaxation • dilatation bi-atriale • fonction systolique du ventricule gauche normale. Facteurs de risque cardiovasculaire : • hypertension artérielle. • dyslipidémie. • tabagisme chronique. Polyarthrose (épaule, genou). Consommation d'OH à risque sur probable état dépressif réactionnel. Notion d'asthme allergique professionnel. Facteurs de risque cardiovasculaires : • Tabagisme ancien à 10 UPA Facteurs de risque cardiovasculaires : • Hypertension artérielle • Tabagisme ancien 50 UPA • Obésité de stade II (BMI 35 kg/m2) Polyarthrite rhumatoïde traitée par Méthotrexate BPCO de stade inconnu Facteurs de risque cardiovasculaires : • hypertension artérielle traitée Facteurs de risque cardiovasculaires : • hypertension artérielle traitée, • dyslipidémie traitée, • pré-diabète • Cardiopathie hypertensive et rythmique (FA) stabilisée, anticoagulée par Eliquis Facteurs de risque cardiovasculaires : surcharge pondérale, ex-tabagisme. Maladie de Scheuermann. État dépressif. Facteurs de risque cardiovasculaires : tabagisme actif (1 cigarette tous les 2 jours). Antécédents familiaux : mère (cardiopathie ischémique). Facteurs de risque cardiovasculaires : tabagisme ancien à 20 UPA, anamnèse familiale positive, sexe, âge, hypertension artérielle, hypercholestérolémie. Facteurs de risque cardiovasculaires : Hypertension artérielle. Diabète mellitus type 2 non insulino-dépendant (depuis 1998). Dyslipidémie. Obésité de grade I selon la classification OMS (BMI à 30 kg/m2 en octobre 2017). Maladie coronarienne mono-tronculaire avec pose d'un stent au niveau de l'IVA en août 2012, avec FEVG 60% en janvier 2016. Fibrillation auriculaire paroxystique, anticoagulée par Xarelto. Dépression chronique avec trouble anxieux persistant : • Status après hospitalisation à la Métairie pendant 2 mois en octobre-novembre 2015. Hyperplasie adénomateuse de la prostate (PSA à 4 en 2010). Goutte - 5 crises de mono-arthrite aux articulations MTP des gros orteils droit et gauche (1992-1993). Dolichocôlon spastique (colonoscopie 2007). Pseudo-mélanose de tout le cadre colique (colonoscopie 2007). Oesophagite chronique sur probable RGO. Lithiase vésiculaire. Amaurose totale de l'œil gauche depuis 1955. Acouphène d'origine possiblement médicamenteuse. Insuffisance rénale chronique IIIa. Myopie. Amaurose de l'œil gauche après avulsion du nerf optique. Discarthroses étagées L4/L5, Lg/S1. CLE L4/L5. Trouble de la marche de l'équilibre d'origine multifactorielle avec risque de chutes : Chute le 07.10.2017 avec traumatisme crânien sans perte de connaissance. Facteurs de risque cardiovasculaires : tabagisme actif. Facteurs de risque cardiovasculaires : • tabagisme récemment arrêté (01/2018) • notion d'hypertension artérielle non vérifiée et non traitée • suspicion d'un syndrome d'apnée du sommeil, en cours d'investigation • hypercholestérolémie à LDL traitée • notion de consommation d'alcool à risque (abstinence depuis 01/2018) Faiblesse Faiblesse au niveau des membres inférieurs Faiblesse des abducteurs avec inflammation de la bourse trochantérienne D. Discopathie lombaire L1 à L4. Faiblesse des abducteurs. Status post révision de prothèse totale de hanche G le 04.04.2017 par voie transfémorale par Dr. X. Faiblesse et hypoesthésie membre inférieur droit d'origine indéterminée. • DD: sur troubles fonctionnels. Tirage sus-sternal. • DD: crise d'hyperventilation, laryngite à composante faux-croup. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. • DD: troubles fonctionnels. Crises d'angoisse et d'hyperventilation. Faiblesse généralisée. Faiblesse généralisée d'origine multifactorielle • maladie tumorale, contexte infectieux, dénutrition, anémie, douleurs Faiblesse généralisée sur déshydratation le 05.04.19 DD hypoglycémie ECG Labo Sédiment aux urgences : 1000 ml de G5 ATT : • RAD avec réassurance et conseil d'hydratation Trouble électrolytique avec • hypokaliémie à 3,1 aux urgences : 30 mmol de potassium alimentation avec des bananes Faiblesse généralisée sur déshydratation le 05.04.2019 DD : hypoglycémie. Faiblesse membres inférieurs d'origine indéterminée DD : hypotensif, vertige, trouble de la marche et de l'équilibre. Faiblesse musculaire, DD sur Temesta, origine hystériforme sur anxiété Faiblesse musculaire des ischio-jambiers de la cuisse G post-traumatique datant de juin 2018. Faillite mécanique d'une arthroplastie totale de la hanche gauche métal-métal avec décoaptation de la tête et du cône Morse : • Révision bipolaire de prothèse totale hanche gauche LCCK avec rupture de tige, changement du couple de friction, ostéosynthèse du massif trochantérien Prothèse totale hanche à droite Prothèse totale genou à droite 2013 Goutte traitée par Zyloric Status après résection transurétrale de la prostate pour adénome de la prostate en 1995 Pneumonie lobaire inférieure droite le 17.01.2017 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec des chutes à répétition, dernière en date le 25.08.2018 • Fracture branche ischio-pubienne gauche le 25.08.2018 • Troubles cognitifs non bilantés • Prothèses totales hanche et genou gauche • Consommation d'alcool à risque • Malnutrition protéino-énergétique CT cérébral le 26.08.2018 (Dr. X): Pas d'hémorragie. Avis orthopédique le 26.08.2018 (Dr. X): Pas de fracture, PTH en place, mobilité conservée. Pas de prise en charge orthopédique nécessaire. Troubles cognitifs non bilantés • Refus de bilan cognitif en mai 2018 • DD vasculaire et dégénérative • Progression depuis un an Vitamine B12: 173 pg/ml TSH: 1.75 mU/l Consilium psychiatrique le 27.08.2018: Proposition d'une hospitalisation psychiatrique en clinique privée Mycose inguinale le 30.08.2018 Familiaux: amyotrophie spinale chez la soeur maternelle (test fait chez le conjoint de la patiente: négatif): pas de précaution à prendre chez l'enfant. Familiaux: cancer du sein chez une soeur paternelle. Obstétricaux: • 2014 : accouchement par voie basse, sans instrumentation, lésion génitale: périnée intact, en Afghanistan, d'un garçon, à terme, de 3700 g. Infection des voies respiratoires supérieures avec céphalée. • Traitement symptomatique. Familiaux: père maternel : hypertension. Status post accouchement par voie basse à 39 3/7 semaines d'aménorrhée instrumenté par ventouse avec épisiotomie médio-latérale gauche, provoqué pour RCIU avec naissance d'un garçon de 2820 g. Familiaux: g-père + g-mère diabète. père: VIH positif. cousin: trisomie 21. g-mère: mélanome. Accouchement par voie basse le 28.07.2016 à terme +5 après une provocation pour terme dépassé et hydramnios chez une patiente 1G devenue 1P. Déchirure périnéale degré 2. Contusion et torsion du pied gauche le 17.10.2016 Mr. Y est hospitalisé dans un contexte d'exacerbation pulmonaire avec un état fébrile pour un traitement intraveineux de Fortam et Amikacine. Au début, il montre une minime nécessité d'oxygène qui est résolue le jour de son hospitalisation avec bonne évolution respiratoire par la suite. Sur le plan digestif, il présente une malnutrition dans le contexte d'une mucoviscidose avec IMC à 17.4. Lors de l'hospitalisation, il bénéficie de compléments par Isosource Energy Fibre 500 ml/24 h et prend 900 g de poids et passe à IMC de 17.9. Sur le plan cutané, il présente une mycose orale (sur l'antibiothérapie et corticoïdes en inhalation). Nous installons le traitement du Daktarin pour 7 jours avec résolution des symptômes. Autrement, nous effectuons lors de cette hospitalisation son bilan annuel pour la mucoviscidose qui sera évalué par Dr. X. FA RCUH traitée par Mésalazine Faringodinie depuis 24 h Fascéite plantaire à gauche. Lésion du Chopart à gauche avec : arrachement du processus antérieur du calcanéum et fracture oblique de la diaphyse du 5ème métatarsien à gauche le 01.10.2018 Fascéite plantaire droite. Gonarthrose tricompartimentale débutante à droite sur : • status post-arthroscopie diagnostique genou droit et AMO plaque Tomofix tibia proximal droit le 28.05.13. • status post plastie LCA genou droit, status post AS diagnostique et status post ostéotomie valgisante le 18.04.2012 pour instabilité antérieure grade III sur rupture chronique du LCA et gonarthrose fémoro-tibiale interne. • status post arthroscopie méniscectomie partielle externe et interne du genou droit le 01.02.12. • lésion cartilagineuse de grade II de la trochlée compartiment fémoro-patellaire, lésion chondrale grade II à III dans le compartiment fémoro tibial interne, le condyle fémoral, lésion chondrale grade I plateau tibial externe. Fascéite plantaire ddc, plus à gauche qu'à droite. Fascéite plantaire droite. Fracture péri-prothétique sub-trochantérienne du fémur gauche le 19.12.2018 sur status post-ostéosynthèse par DHS d'une fracture pertrochantérienne gauche le 10.01.2014. Arrachement de la base du 5ème métacarpien de la main gauche le 19.12.2018 : • réduction ouverte et ostéosuture du 5ème métacarpien (OP 08.01.2019). Troubles électrolytiques le 19.12.2018 : • hypokaliémie à 3,3 mmol/l • hyponatrémie à 131 mmol/l • hypomagnésémie à 111 µmol/l. Dyspnée subaiguë le 17.04.2019. Fascéite plantaire du membre inférieur gauche. Fascéite plantaire du pied droit, pieds plats ddc. Fascéite plantaire gauche le 05.04.2019. Fasciectomie sous maladie de Dupuytren Dig IV et V main gauche le 11.02.2019 Fasciite nécrosante cervico-thoracique de type 1 (germes mixtes) sur lésion de décubitus d'une prothèse dentaire inférieure d'hygiène déplorable avec choc septique et diabète inaugural décompensé (glycémie : 30) le 15.01.2011 S/p multiples débridement chirurgicaux extensifs les 15.01 (HFR-Fribourg), 16.01 (CHUV), 20.01 (CHUV), 25.01 (CHUV) et 31.01.2011 (CHUV) avec début de reconstruction progressive par mobilisation supérieure des tissus mammaires résiduels au niveau thoracique et recouvrement des zones de débridement par greffes de Tiersch au niveau cervical. Fasciite plantaire bilatérale sur : • status post libération des coalitions, ostéotomie de latéralisation du calcanéum ddc, arthrodèse sous-talienne ddc, en octobre 2014 au CHUV pour une coalition sous-talienne talo-calcanéenne bilatérale, arthrose sous-talienne débutante et pieds creux. • status post ablation des vis d'arthrodèse et résection de l'esquille osseuse du calcanéum gauche en décembre 2015 au CHUV. Fasciite plantaire pied droit. Arthrose peu symptomatique au niveau de la MTP 1 à droite. Status post infiltration MTP 1 à droite le 10.01.2019. Status post entorse Chopart et entorse cheville stade II à droite en juin 2018. Fasciite plantaire pied gauche. Status post PTG à gauche en octobre 2017. Fasciite plantaire prédominante à droite. Fasciotomies des 4 loges jambe gauche Réduction fracturaire, mise en place d'un fixateur externe fémoro-tibial, jambe gauche (OP le 07.02.2019) Fermeture des fasciotomies jambe gauche (OP le 12.02.2019) OS tibia proximal par plaque d'appui métaphyso-diaphysaire 3.5 par voie d'abord interne OS plateau tibial externe par voie d'abord antéro-latérale, allogreffe du plateau tibial et plaque LISS 9 trous, jambe gauche (OP le 19.02.2019) Fascite plantaire à droite. Entorse. Traitement symptomatique par anti-inflammatoire - Dafalgan - Pantozol. Physiothérapie. Ordonnance pour une talonnette. Fatigue. • Fatigue. • Fatigue. • Fatigue. • Fatigue. • Fatigue. • Fatigue. • Fatigue. • Fatigue. • Fatigue, anxiété et insomnie. • Fatigue constante et intense • Status post AVC 2017 • Carence en vitamine D substituée • Fatigue d'origine indéterminée. • Fatigue d'origine indéterminée • avec toux sèche • DD: Tuberculose, dépression, hypothyroïdie. • Fatigue d'origine indéterminée. DD: dans un contexte de trouble dépressif connu. • Fatigue en augmentation depuis 2 jours ainsi que toux grasse sans expectoration. • Fatigue en cours d'investigations, DD: post mononucléose, DD: carence en fer. • Fatigue et brûlures gastriques. • Fatigue généralisée. • Fatigue généralisée le 24.04.2019. • Fausse couche. • Fausse couche hémorragique à 13 4/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y. • Fausse couche hémorragique à 9 semaines d'aménorrhée, chez Mme. Y, 2G, nullipare. • Fausse couche incomplète à 17 4/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y, 6G2P avec grossesse gémellaire bichoriale-biamniotique post-rupture prématurée des membranes et expulsion de J1 le 08.04.2019 et J2 le 19.04.2019. • Fausse couche incomplète post Mifégyne à 6 + 2/7 SA. • Fausse couche spontanée en 2018. Pyélonéphrite droite en 2014. Accouchement par voie basse spontané à 39 2/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y, 2-gestes devenue 1-pare le 02.02.2019. Déchirure périnéale du 1er degré et éraillure de la lèvre droite. • Fausse couche spontanée G1P0. • Fausse couche tardive sur insuffisance cervicale à 19 5/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y, 6G2P. • Fausse couche spontanée à 10 SA sans curetage. 2004: AVB, instrumentation: non, lésion génitale: EMLD, délivrance: normale et complète, sexe: F, SA: 36, poids (g): 2600, allaitement (mois): 3, particularités: AVB prématuré sans contraction. Douleurs costales sur effort de toux. • Faux croup. • Faux croup. • faux croup. • Faux croup léger. • Faux croup léger. • Faux croup léger. • Faux croup léger. • Faux croup léger. • Faux croup léger. • Faux croup léger. • Faux croup léger. • Faux croup léger. • Faux croup Westley 0. faux croup E 44.0 Malnutrition protéino-énergétique modérée, 74%. PYMS = 3. Troubles du comportement alimentaire DD anorexie mentale. Sonde naso-gastrique. Frebini 1250 ml/14h, soit 2000 kcal/24h. IRM cérébrale dans la norme. US abdominal dans la norme. Bilan sanguin troubles électrolytiques initialement en correction progressive. État dépressif léger avec symptômes psychotiques. Rispéridone 0.25 mg 1x/j dès le 05.04.19, puis 3x25 mg. Évaluation pédopsychiatrique 2x/semaine. ECG 1x/j pendant une semaine. QTc à la limite supérieure (443 msec) à l'entrée. Suivi par ECG pendant 1 semaine - QTc dans la norme. • faux croup E 44.0 Malnutrition protéino-énergétique modérée, 74%. PYMS = 3. Troubles du comportement alimentaire DD anorexie mentale. Sonde naso-gastrique. Frebini 1250 ml/14h, soit 2000 kcal/24h. IRM cérébrale dans la norme. US abdominal dans la norme. Bilan sanguin troubles électrolytiques initialement en correction progressive. État dépressif léger avec symptômes psychotiques. Rispéridone 0.25 mg 1x/j dès le 05.04.19, puis 3x25 mg. Évaluation pédopsychiatrique 2x/semaine. ECG 1x/j pendant une semaine. QTc à la limite supérieure (443 msec) à l'entrée. Suivi par ECG pendant 1 semaine - QTc dans la norme. • Faux mouvement pouce main droite. • Faux croup. • Faux croup au décours. • Faux croup et otites à répétition avec drains en place. • Faux croup léger. • Faux croup. Fracture du 2ème orteil du pied G le 5.4.17. • Faux croup. OMA droite. • Faux croup. OMA droite. • Faux croup. OMA droite. • Faux croup. OMA droite. • FDRCV: • HTA traitée • Hypercholestérolémie à LDL traitée. • Fécalome le 23.03.2019. DD : médicamenteux (opioïdes). • FeNa 0.3%. Absence d'érythrocytes glomérulaires le 18.04.2019. Récolte d'urine sur 24h le 24.04: albuminurie de 261 mg/24h. Angio-IRM rénale le 23.04.2019. Biopsie rénale droite à l'aiguille fine sous guidage ultrasonographique le 26.04.2019 (Dr. X): Glomérulonéphrite extracapillaire exsudative nécrosante. Résultat provisoire : 5 glomérules/20 sclérosés, 6/20 avec prolifération extracapillaire (croissance cellulaire), immunofluorescence négative. • Feniallerg à répéter si besoin, contrôle dans 24h si gonflement augmente ou apparition d'autre lésion corporelle. • Feniallerg en réserve. • Feniallerg en réserve. Calendrier états fébriles. • Feniallerg gouttes. Consultation pédo-psychologique si épisodes en répétition. Signes de gravité expliqués en détails. • Feniallerg gouttes en réserve. • Feniallerg gouttes en réserve si prurit. • Feniallerg gouttes 15 gouttes 3x/jour. • Feniallerg 10 gouttes max 3x/j. Bonne hydratation. Algifor 10 mg/kg/dose 3x/j si nécessaire. Dafalgan 15 mg/kg/dose 4x/j si nécessaire. Mesures hygiéno-diététiques. Rinçage de nez. • Feni-allerg 10 gouttes aux urgences avec amélioration du prurit. Changement d'antibiothérapie. Évaluation traitement d'épreuve d'Amoxicilline par la suite. Reconsultation aux urgences ou Fast-Track si persistance de l'éruption > 48 heures. • Feniallerg 10 gouttes max 4x/j. • Feniallerg 15 gouttes 3x/j. Bonne hydratation. Algifor 10 mg/kg/dose 3x/j si nécessaire. Dafalgan 15 mg/kg/dose 4x/j si nécessaire. Mesures hygiéno-diététiques. Rinçage de nez. • Feniallerg 15 gouttes. Surveillance à domicile. • feniallerg 20 gouttes max 3x/j jusqu'à disparition des lésions. Contrôle si apparition de nouveaux symptômes. • Feniallerg 20 gouttes. • Feniallerg 20 gouttes max 3x/j. • Feniallerg 20 gouttes max 3x/j. • Feniallerg 3x/j. Poxclin. • Feni-allerg 5 gouttes 2x/j. Retour à domicile avec consignes de surveillance. • Feni-allerg 5 gouttes 2x/j. Retour à domicile avec consignes de surveillance. • Feniallerg. Pox Clin. Dafalgan en R. • Feniallerg. Retour à domicile avec consignes de surveillance. • Feniallerg. Retour à domicile avec consignes de surveillance. • Feniallerg. Retour à domicile avec consignes de surveillance. Contrôle à 48h chez le pédiatre si persistance des symptômes. • Feniallerg. Retour à domicile avec consignes de surveillance. Contrôle à 48h chez le pédiatre si persistance des symptômes. • Fenniallerg 10 gouttes. Aerius 2 ml 1x/j si besoin pour la suite. • Fenniallerg 15 gouttes à répéter si besoin. • Fentanyl in à l'admission 1 mcg/kg = 12 mcg, non répété. Rx doigt F/P : fracture perpendiculaire de P2 in situ, traitement conservateur. Avis orthopédique (Dr. X). Sous supervision de l'orthopédiste : sous Méopa, désinfection de la plaie à l'Hybidil, champtage, anesthésie en bague avec injection de 3 ml de Rapidocaine dans la gaine du tendon des fléchisseurs du pouce, exploration de la plaie avec aiguille boutonnée et identification du tendon du fléchisseur long qui est intact, suture avec 6 pts de rapprochement avec fil résorbable Vycril 5.0, pas d'ablation nécessaire, pansement avec Adaptic, compresses et Dermaplast avec fixation au poignet. Contrôle de l'évolution dans 48 heures, puis selon clinique. • Fente labiale chez l'enfant. • Fente labiale gauche diagnostiquée en anténatal. • Palais intègre, pas d'autre signe dysmorphique. • Fer, ferritine et vitamine B12 (11.04.19): dans la norme. Acide folique (11.04.19): 3,1 ng/ml. Suivi biologique. • Ferinject 200 mg x 3/semaine x 3 semaines du 29.03.2019 au 21.04.2019. • Fermeture de LAA avec Amulet LAA occluder 25 mm le 01.04.2019. • Sténose aortique sévère. • Maladie coronarienne avec s/p PCI IVA et RCX 2019/2004.FA permanente Fermeture de LAA avec Amulet LAA occluder 25 mm le 01.04.2019 • Sténose aortique sévère • Maladie coronarienne avec s/p PCI IVA et RCX 2019/2004 • FA permanente Ferrinject 1000 mg iv le 04.04.2019 Ferritine et TSH dans la norme Introduction Rivotril Feuille de conseils de surveillance post-traumatisme crânien Feuille de conseils de surveillance post-traumatisme crânien Ablation des fils dans 7 jours à votre consultation Feuille de surveillance donnée aux parents Surveillance à domicile Feuille d'information pour les traumatismes crânio-cérébraux donnée Repos Conseils de reconsultation si signes neurologiques ou péjoration de la clinique. Attitude • Suivi biologique Feurée 33% Hydratation Suivi biologique Fiabilité des membres inférieurs avec chute Fibrillation auriculaire sous Xarelto et Cordarone Hypothyroïdie sous Euthyrox HTA Surpoids Insuffisance rénale chronique Hypercholestérolémie Fibrillation atriale inaugurale le 01.04.2019. Fibrillation atriale paroxystique le 09/04/19. Fibrillation auriculaire Fibrillation auriculaire. Fibrillation auriculaire. Fibrillation auriculaire • Flutter auriculaire depuis le 18.08.08 avec BAV de conduction 2-4:1 • Sous Xarelto jusqu'au 15.02.2019 Fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire bradycarde avec : • CHA2DS2-VASC : 2, risque de stroke 2.9 %. Fibrillation auriculaire à conduction rapide le 17.04.2019 • Connue pour FA paroxystique • Contexte infectieux avec bronchite depuis 3 semaines, prise de Seretide du 11 au 15.04.2019 Fibrillation auriculaire à conduction rapide le 20.04.19 • DD : sur changement médicamenteux (arrêt Cordarone), sur déshydratation Fibrillation auriculaire à conduction variable avec bradycardie objectivée à 30-35 bpm lors du geste le 08.04.19 • CHA2DS2-VASc à 3 points et HASBLED à 3 points Fibrillation auriculaire à conduction variable avec bradycardie objectivée à 30-35/min lors le 08.04.2019 • CHA2DS2-VASc à 3 points et HASBLED à 3 points. Pneumonie communautaire lobaire basale gauche à germe indéterminé le 14.03.2019. Décompensation cardiaque (2016, 2017, 01.2018). Embolie pulmonaire segmentaire du lobe supérieur gauche, sous Xarelto (avril 2017) • pose de filtre cave (octobre 2017). Pneumonie lobe inférieur gauche (mai 2017). Décompensation de broncho-pneumopathie chronique obstructive (février 2017). Prothèses totales de hanches bilatérales. Appendicectomie. Fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide à 120 / minute Fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide hémodynamiquement instable le 25.03.2019 • nouvellement diagnostiquée Fibrillation auriculaire à grosse maille • cardioversion spontanée lors de la prise de sang. Fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire nouvelle le 01.04.2019 • CHADS2VASC2 à 6 points, HASBLED à 2 points Fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide inaugurale le 04.04.2019 CHA2DS2-VASc score à 2 points, HAS-BLED à 2 points Fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide mal tolérée sur arrêt du Sotalol le 04.04.2019 Fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide nouvelle le 05.04.2019 DD contexte infectieux CHADS2VASC2 à 3 points, HASBLED à 1 point Fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide nouvelle le 25.03.2019 • CHADS2VASC2 à 6 points • HASBLED à 2 points Fibrillation auriculaire anticoagulée avec : • Diminution du traitement de bêtabloquant le 12.04 pour bradycardie asymptomatique • Suivi Dr. X Fibrillation auriculaire anticoagulée depuis 2005 sous Sintrom Troubles cognitifs non bilantés : • Bilan neuropsychologique (refusé par patient) • Avis psychiatrique (Dr. X) le 24.01.2017 à 15h30 : absence de capacité de discernement concernant les besoins à domicile et mise en danger à domicile Hypertension artérielle Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom Fibrillation auriculaire avec dimensions LAA compatibles avec Occluder Fibrillation auriculaire bradycarde avec pauses > 3 secondes • diagnostic en 05/2018 • Implantation pacemaker (Medtronic VVIR) le 31.05.2018 • ETT le 28.11.2018 : FEVG 55 %, hypertrophie VG relative, ventricule droit dilaté avec fonction conservée, dilatation bi-atriale, HTAP. • Holter du 06.11 au 07.11.2018 : fibrillation auriculaire transitoire avec rythme sinusal et stimulation par pacemaker, sans argument pour une dysfonction du pacemaker • sous traitement de Lixiana Fibrillation auriculaire chronique Fibrillation auriculaire chronique anticoagulée. Neuropathie d'origine indéterminée. Fibrillation auriculaire chronique sous Eliquis St. p. mise en place d'une endoprothèse bifurquée de type Excluder avec extension ddc pour anévrisme bi-iliaque St. p. embolisation de l'artère iliaque interne G en 10.2006 Maladie coronarienne tritronculaire avec : • St. p. fermeture de CIA et pontage AMIG-IVA en 1997 • BBD et HBAG • occlusion de l'ostium de l'artère interventriculaire postérieure • occlusion du pontage AMIG-IVA avec IVA reperméabilisée • lésion intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation). Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, englobant l'origine de la seconde diagonale (lésion de bifurcation). • lésion non significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale, lésion non significative de la première marginale. • lésions non significatives de l'artère coronaire droite proximale et moyenne Coronarographie le 23.02.2017 (Dr. X) : Cet examen montre comme corrélat avec le NSTEMI une occlusion ostiale collatéralisée de l'artère interventriculaire postérieure, branche de l'artère coronaire droite, avec comme conséquence une hypokinésie inférieure, la fonction systolique globale du ventricule gauche étant conservée (FE : 60 %). Fibrillation auriculaire connue, traitée par Marcoumar Pas d'autre maladie connue. Traitement habituel : Torasémide 10 mg (suspens dès le 17.04.2019), Indapamid, Pravastatine, Vitamine D3 Fibrillation auriculaire de datation indéterminée Fibrillation auriculaire diagnostiquée en 05/2018 • score CHA2DS2-VASc 4 pts • Sous Xarelto 10 mg Fibrillation auriculaire inaugurale à conduction rapide le 27.03.2019 • CHA2DS2-VASc : 7 points • HAS-BLED : 3 pointsHAS-BLED: 3 points Fibrillation auriculaire inaugurale avec réponse ventriculaire rapide le 06.03.2017 et le 11.04.2018 avec: • score CHA2DS2-VASc à 1. Contusion lombaire (douleurs para-vertébrales droite) 21.01.2019. Trauma de l'épaule gauche (suspicion de lésion de la coiffe) 21.01.2019. Fracture tassement D12 probable le 27.08.18 • Antalgie par mydocalm/dafalgan et cold-hot pack • avis ortho/spine (Dr. X): pas d'imagerie d'emblée étant donné tassement minime. Propose antalgie. • en cas d'antalgie non suffisante/maintien impossible à domicile (patiente refuse AINS, refuse morphine): ad hospitalisation pour antalgie IV, et discussion pour imagerie complémentaire. Fibrillation auriculaire inaugurale dans le cadre d'une insuffisance mitrale nouvelle le 26.09.2015 avec: • facteur déclenchant: sepsis • cardioversion électrique le 01.10.2015 avec récidive le 02.10.2015 • cardioversion médicamenteuse par Amiodarone le 05.10.2015 • Bêtabloquant, anticoagulation dès le 28.09.2015 Sepsis sévère sur pneumonie communautaire lobaire inférieure gauche, à germe indéterminé, le 26.09.2015 • Antibiothérapie par Co-Amoxicilline et Lévofloxacine du 26.09 au 06.10.2015 Fibrillation auriculaire inaugurale le 14.04.2019: • Status post-fermeture de FOP grade III par voie percutanée le 22.03.19 (Dr. X). • Coronarographie le 15.03.2019: normale. • CHA2DS2VASC: 1 point. • EHRA II. Fibrillation auriculaire inaugurale le 15.04.2019 • ECG le 15.04.2019 • CHADS-VASC 6 points • HASBLED 4 points Fibrillation auriculaire inaugurale préopératoire le 27.10.2017 probablement liée au contexte inflammatoire avec: • CHA2DS2Vasc score à 4 points • HASBLED à 2 points • ECG le 27.01.2017: fibrillation auriculaire • ECG le 31.10.2017: fibrillation auriculaire. Extra-systoles monomorphes connues. Status après néoplasie mammaire droite avec tumorectomie et radiothérapie en 1998 selon le Dr. X. Status après néoplasie mammaire gauche in situ opérée en 2006 avec suspicion de métastases osseuses répondant bien sous traitement d'Aromasine depuis 2 ans (oncologue traitant: Dr. X). État dépressif. Troubles de la marche et de l'équilibre avec risque de chutes sur: • déconditionnement post-opératoire • hypovitaminose • lombosciatalgie • status après thrombose veineuse profonde • polymédication • malvoyance (dégénérescence maculaire prononcée des deux côtés). Fibrillation auriculaire inaugurale rapide à 140 battements par minute. Fibrillation auriculaire inaugurale symptomatique le 09.04.2019 avec: • EHRA III • CHA2DS2-VASC 1. Fibrillation auriculaire intermittente. Fibrillation auriculaire intermittente à réponse ventriculaire rapide. DD sur reflux gastro-oesophagien, verre d'alcool. • s/p épisodes le 06.03.2017 et le 11.04.2018. Fibrillation auriculaire intermittente anticoagulée. Fibrillation auriculaire intermittente • cardioversion électrique le 20.03.2019 (Dr. X). Fibrillation auriculaire intermittente post-opératoire • ECG du 17.10.2018: rythme sinusal, FC à 63/min, axe indifférent, inversion de l'onde R/S en V2, pas de trouble de la repolarisation. Fibrillation auriculaire intermittente sous Xarelto Hypertension artérielle traitée Syndrome d'apnées du sommeil non appareillé (essai en 2015, appareillage non supporté) Goutte récidivante sous Febuxostat avec dernière crise le 20.10.2018 Bicytopénie chronique d'installation progressive (DD: médicamenteuse (Adenuric), SMD, toxique (alcool)) Cirrhose hépatique CHILD A dans un contexte d'OH chronique le 12.12.2018 Gynécomastie sur aldactone traitée par radiothérapie au printemps 2018 Trouble neuro-cognitif léger Lombalgies chroniques invalidantes avec: • tassement D11 post-chute le 06.03.2015 • tassement de L1-L2 sur chutes à répétition en 2012 • ostéoporose traitée par Alendronate 1x/semaine • IRM colonne totale le 19.05.2017: séquelles de maladie de Scheuermann avec multiples tassements vertébraux et altérations dégénératives un peu plus marquées au niveau lombaire. À noter une discopathie en L5-S1 avec hernie discale et probable conflit radiculaire L5 des deux côtés Polyneuropathie des membres inférieurs avec: • apallesthésie des MI jusqu'aux genoux bilatéralement en mars 2015 Œdème des membres inférieurs récidivant d'origine mixte probable: insuffisances veineuse chronique, lymphatique, cardiaque mal compensée Troubles urinaires irritatifs sous Tamsulosine et Toviaz • dans un contexte de récidive d'adénome de la prostate à la cystoscopie de 2017, status post-RTUP en mars 2009 • RTUP monopolaire organisé pour le 08.01.2019 à la Clinique Daler par le Dr. X. Fibrillation auriculaire le 12.04.2019. Fibrillation auriculaire le 12.04.2019 • s/p délivrance de 7 chocs inappropriés sur défaut de sonde Iperia 7 VR - T 60816715 Fibrillation auriculaire le 12.04.2019 • sur délivrance de 4 chocs inappropriés sur défaut de sonde de pacemaker/défibrillateur Fibrillation auriculaire le 22.04.19 • connue pour une sténose aortique • CHADS-Vasc à 5 Fibrillation auriculaire non anticoagulée. Fibrillation auriculaire non anticoagulée en raison d'ulcère veineux Faible compliance médicamenteuse de la patiente et arrêt spontané de l'anticoagulation en raison de saignement (env. 2010) Fibrillation auriculaire non datée. Fibrillation auriculaire non datée. Fibrillation auriculaire non datée • Anticoagulé par Xarelto pour EP en 2000 avec mutation de facteur V de Leiden Fibrillation auriculaire non datée, diagnostiquée le 28.05.2012. Cardioversion électrique le 06.09.2012 et le ?, sans succès Hernie inguinale graisseuse à gauche asymptomatique le 23.06.2015 Fibrillation auriculaire non datée le 22.04.2019 • CHADS-Vasc 5 • HAS-BLED 3 Fibrillation auriculaire non datée le 22.04.2019 • CHADS-Vasc 5 • HAS-BLED 3 Fibrillation auriculaire non datée, objectivée le 22.03.2019, asymptomatique • CHA2DS2VASc à 6p (risque d'AVC de 9.8%/an) • HASBLED à 3p (risque de saignement de 3.74%/an) Fibrillation auriculaire normocarde avec: • CHA2DS2-VASc-Score à 3 points • classe EHRA 3 Insuffisance rénale chronique non-stadée Hypertension artérielle BPCO non-stadée Fibrillation auriculaire normocarde avec CHA2DS2-VASc-Score à 3 points Insuffisance rénale chronique Hypertension artérielle BPCO non stadée Fibrillation auriculaire normocarde avec une bonne tolérance hémodynamique le 07.04.2019. Fibrillation auriculaire normocarde le 08.04.2019 • CHAD2SVASC2: 4pts • HAS-BLED: 1pt Fibrillation auriculaire normocarde le 08.04.2019 • CHADSVASC2: 3 pts • HAS-BLED: 3pts Fibrillation auriculaire normocarde non datée diagnostiquée le 17.03.2019. Fibrillation auriculaire nouvelle le 14.03.2019 • Sous Lixiana 30 mg 06.2018 en raison d'embolie pulmonaire (Poids < 60 kg --> Dose de 30 mg) • Traitement à la permanence avec Beloc iv 5x 1 ml, puis traitement par Beloc Zok 50 mg 2x/j • RX Thorax le 14.03.2019: Status post-lobectomie supérieure gauche avec cavités aériques. Aspect inchangé d'un remaniement pleural à la base gauche. Pas d'épanchement pleural notable. Aspect très remanié du parenchyme pulmonaire notamment à l'apex droit. Pas de signe franc en faveur d'une décompensation cardiaque. Des foyers infectieux surajoutés ne sont pas exclus notamment à mi-champ pulmonaire gauche, un petit infiltrat n'étant pas présent sur le comparatif. ECG du 15.03.2019: rythme sinusal, FC 75/min, axe gauche, QRS 110 ms (probable hémibloc gauche). • Fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée par Marcoumar • Hypertension artérielle traitée • Diabète de type 2 insulino-requérant • Dépression traitée • Fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée par Sintrom avec : • ETT conservée en 2016 • PM AAIR-DDDR pour prévention secondaire multiples syncopes à l'emporte-pièce d'origine indéterminée • Glaucome • Anévrisme carotide interne de 3 mm le 14.02.16 • Hypothyroïdie substituée • Fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée • Cardiopathie valvulaire sur insuffisance mitrale • Artériopathie obstructive du membre inférieur droit • HTA Fibrillation auriculaire paroxystique avec réponse ventriculaire rapide le 01.04.2019 • Fibrillation auriculaire paroxystique avec réponse ventriculaire rapide • Maladie coronarienne tri-tronculaire : • revascularisation myocardique par double pontage le 29.05.2013 (AMIG-IVA et veine-Cx) à la Clinique Cécil (Dr. X). • Infarctus post-opératoire immédiat le 29.05.2013. • Dyslipidémie (actuellement non traitée, intolérance aux statines). • Incontinence urinaire. • Ostéopénie de la colonne avec tassement de D4. • Dilatation de la racine aortique, diamètre de 42 mm au niveau du sinus en juin 2013. • Hypothyroïdie subclinique traitée. • Insuffisance rénale chronique d (CKD stade III, GFR à 49 ml/min le 13.05.2013), mise en évidence depuis février 2012 (suivi par Dr. X). DD : néphroangiosclérose / athéro-embolique (éosinophilie intermittente) / prise d'anti-inflammatoire. Fibrillation auriculaire paroxystique dans un contexte infectieux, le 12.03.2019 : • CHA2DVASC2 : 4 • HASBLED : 2 Fibrillation auriculaire paroxystique le 03.04.2019 CHA2DS2-VASc à 3 points, HAS-BLED : 3 points Fibrillation auriculaire paroxystique le 10.04.2019 • cardioversion en rythme sinusal après Beloc Zok i.v. Fibrillation auriculaire paroxystique le 10.04.2019 • CHADS2VASC2 à 5 points, HASBLED à 3 points • visualisé lors des enregistrements pour l'étude HECTO-AF Fibrillation auriculaire paroxystique le 22.03.2019. Fibrillation auriculaire paroxystique non anticoagulée connue, avec : • AIT le 24.3.2019 et 10.4.2019 • CHADS2 Score à 3 points, HAS-BLED Score à 2 points le 12.4.2019 Fibrillation auriculaire paroxystique nouvelle le 31.03.19 Fibrillation auriculaire paroxystique stable et courte durant la déplétion volémique le 31.03.2019 : • cardioversion spontanée Fibrillation auriculaire paroxystique, traitée par Xarelto à long terme. • Hypertension artérielle compensée. • Syndrome glomérulaire d'étiologie indéterminée diagnostiqué en 1995 avec insuffisance rénale stade III d'évolution stable après 20 ans. • Hyperuricémie traitée. • Dyslipidémie traitée. Fibrillation auriculaire permanente anticoagulée • Diabète mellitus type 2 non insulinoréquerant • Hypertension artérielle traitée • Asthme bronchique Fibrillation auriculaire permanente avec : • CHA2DS2Vasc : 3 points, HAS-BLED : 4 points • Echocardiographie trans-oesophagienne le 26.06.2017 : absence de thrombus dans l'auricule gauche • Arrêt anticoagulation par Eliquis • Fermeture percutanée de l'auricule gauche le 29.06.2017 : traitement d'Aspirine 100 mg à vie et Plavix 75 mg pour 3 mois • Actuellement sous Aspirine cardio • Maladie coronarienne bitronculaire avec sténose de 50% sur l'IVA moyenne et sclérose de l'artère coronaire droite • FeVG 70% (août 2018) • Hypertension pulmonaire avec PAPs estimée à 76 mmHg (le 26.10.2017) d'origine mixte avec : • dyspnée de stade III-IV • CT thoracique (07.09.2017) : dilatation modérée des artères pulmonaires et cavités cardiaques. Discret infiltrat interstitiel aux 2 bases pouvant correspondre à une fibrose débutante. • Cathétérisme cardiaque gauche-droite (30.10.2017) : HTAP pré-capillaire. Bonne réversibilité à l'Ilomedin avec une réduction de 46% des résistances artérielles pulmonaires et de 10 mmHg de PAP moyenne. • Introduction de Revatio dès novembre 2017 MCTD (syndrome de Sharp) se superposant à une sclérodermie incomplète (syndrome de CREST) avec : • syndrome de Raynaud secondaire connu depuis 1973 • urticaire récidivante (mains, pieds, siège) • prurit (thorax antérieur et visage) • sécheresse buccale • thrombopénie et lymphopénie • FAN, anti-centromères et anti-RNP élevés Hypertrophie de la prostate avec : • sondage vésical pendant 9 semaines et surinfection • TURP le 22.02.2010 Kystes hépatiques de 7 cm et 4 cm au CT du 22.05.2015 Hernie hiatale et gastrite antrale à l'OGD du 11.04.2015 Fibrillation auriculaire permanente depuis 2005. • Hyperlipidémie. • Hypertension artérielle. • Trouble de repolarisation non spécifique probablement sur tachycardie. Fibrillation auriculaire permanente sous anticoagulation par Marcoumar. Fibrillation auriculaire permanente sous bêtabloquant et Xarelto. • Psoriasis. • Hépatite B stable • Cervico-brachialgies avec discopathie, arthrose facettaire et protrusion en C4-C5, C5-C6, C6-C7. • Lombosciatalgies avec discopathie, arthrose facettaire et protrusion L4-L5, L5-S1. • Maladie de Lyme. • Sinusite chronique. Fibrillation auriculaire permanente sous Sintrom Fibrillation auriculaire rapide Fibrillation auriculaire rapide à 120 bpm symptomatique le 09.04.2019 Fibrillation auriculaire rapide à 160 bpm le 11.03.2019. Fibrillation auriculaire rapide avec anomalie de conduction (aspect de bloc de branche droit sur la tachycardie) le 27.03.2019 et le 01.04.2019 • CHA2DS2-VASc à 6 points • HAS-BLEED à 4 points Fibrillation auriculaire rapide d'origine indéterminée • Chez un patient connu pour une FA depuis 2016 • ETT 22.08.2016 : FEVG 55% • Contexte hypokaliémie Fibrillation auriculaire rapide d'origine indéterminée (DD : mauvaise compliance médicamenteuse, déshydratation sur gastroentérite, hypokaliémie) le 16.04.2019 • Chez un patient connu pour une FA depuis 2016 sous Eliquis • ETT 22.08.2016 : FEVG 55% • CHADSVASc : 3 pts / HAS-BLED : 6 pts Fibrillation auriculaire rapide inaugurale le 24.02.2019 • CHA2DS2-VASc 5 points (18.03.2019) • Echocardiographie transthoracique le 25.02.2019 : Petit ventricule gauche non dilaté, hypertrophié, hyperdynamique, FEVG à 70 %. Bourrelet septal sous-aortique avec accélération du flux dans la CCVG sans obstruction au repos, ni effet de SAM. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche modérément dilatée. • Sous Xarelto 20 mg Fibrillation auriculaire rapide inaugurale le 25.11.14 : • Début symptômes à 3 h, • Avis cardiologue (Dr. X) : débuter ACO par Xarelto 20 mg 1x/j, US cardiaque puis cardioversion électrique, puis holter dans 4 sem. pas de Cordarone, ad Beloc 25 ou 50 mg selon tolérance, • Cardioversion sous sédation avec 100 J, • Holter le 22.12.2014. Fibrillation auriculaire rapide, le 03.04.2019 • Récidive post thermoablation fait le 29.03.2019 • Déclenché par anémie post-opératoire et déshydratation Fibrillation auriculaire rapide le 14.03.2019 dans un contexte de facteur de risques cardiovasculaires avec : • Tabagisme actif 50 UAP • Hyperlipidémie • Hypertension artérielle Fibrillation auriculaire rapide le 16.03.2019 : • Cha2ds2vasc : 5 points (Risque d'AVC de 6.7 %/an) • Hasbled : 5 points (Risque de saignement de 12.5 %/an) • Cordarone iv du 16.03 au 17.03.2019, p.o dès le 17.03.2019 ECG de contrôle le 25.03.2019: rythme sinusal Fibrillation auriculaire rapide le 20.04.19 Fibrillation auriculaire rapide paroxystique anticoagulée par Xarelto 20 mg, cardioversée en mai 2013. BPCO stade II selon GOLD sur tabagisme actif (60 UPA) avec obstruction légère (VEMS 69%). Insuffisance cardiaque droite chronique sur cœur pulmonaire (échocardiographie 2015) avec : • dilatation des cavités droites avec insuffisance tricuspide modérée (2/4) • fonction systolique du ventricule droit très altérée • HTAP minime (PAPs à 37 mmHg). Parésie des muscles releveurs du pied droit, M1-M2, sur une probable atteinte du nerf péronier commun. Mal perforant plantaire des orteils 1 et 5, face plantaire du pied droit sur neuropathie alcoolique et artériopathie. Syndrome de dépendance à l'alcool avec troubles exécutifs et mnésiques. Attitude expectative d'infection chronique pluri-articulaire à Staphylocoque epidermidis (hanche gauche et genou droit). Fibrillation auriculaire rapide paroxystique le 01.04.2019 Fibrillation auriculaire rapide paroxystique le 18.03.2019 avec anticoagulation par Sintrom : • CHA2DS2 VASc : 3 pts, HAS-BLED : 2 pts • Echocardiographie transthoracique le 25.03.2019 (Dr. X) : fraction d'éjection ventriculaire gauche à 70%, septum hypertrophique avec minime obstruction asymptomatique, sténose aortique dégénérative modérée, sténose mitrale légère Fibrillation auriculaire rapide paroxystique post chocs inappropriés le 12.04.2019 Fibrillation auriculaire rapide sous Eliquis diagnostiquée chez le médecin traitant le 27.12.2019 Fibrillation auriculaire rapide symptomatique, le 08.04.2019 • sans signes d'instabilité • HASBLED: 1 (1.02 saignement par 100 patient-années) • CHADS2VASC: 3 (risque annuel de 3.2%) Fibrillation auriculaire sous anticoagulation par Eliquis 2,5 mg 2x/j Fibrillation auriculaire sous Sintrom. Hypertension artérielle. Fibrillation auriculaire sous Sintrom. Hypertension artérielle traitée par Lisitril. Fibrillation auriculaire sous Sintrom Hypertension artérielle traitée Hémorroïdes Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée • hépatite auto-immune, virale, NASH • idiopathique • médicamenteux Fibrillation auriculaire sous Xarelto et Metoprolol Gastrite chronique sous Pantozol Trouble anxio-dépressif (anamnestique) Fibrillation auriculaire sous Xarelto thérapeutique. Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs avec statut après cure de varices bilatérale. Fibrillation auriculaire sous Xarelto 15 mg Prolapsus et insuffisance mitrale (1/4 à l'ultrason de 2009) Syndrome d'apnées/hypopnées obstructives du sommeil de degré très sévère chez un patient présentant un syndrome restrictif de degré sévère avec: • Pectus excavatum • Hypercapnie nocturne Fibrillation auriculaire symptomatique. • Opérée le 03.04.2019 pour remplacement de la valve aortique sur bicuspidie symptomatique. Fibrillation auriculaire tachycarde à 120 bpm le 21.03.2019 • St. p. Fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide le 12.03.2019 • CHA2DS2-VASc Score à 8 points, HAS-BLED à 4 points Fibrillation auriculaire thermo-ablatée en 2013. Cardiopathie dysrythmique et ischémique avec : • échocardiographie le 21.08.2017 (Dr. X) : fraction d'éjection ventriculaire gauche à 64%, pas d'hypertension artérielle, insuffisance mitrale stade 2, insuffisance tricuspidienne stade 2, insuffisance aortique stade 1. • statut après coronarographie le 08.09.2017 (Dr. X) montrant sténose significative de l'IVA proximale, avec angioplastie avec pose de 2 stents actifs dans l'IVA proximale en septembre 2017. • pacemaker de type Adapta ADSR01 posé en 2013 pour statut après thermoablation pour fibrillation auriculaire (Dr. X). Trouble de la marche et de l'équilibre d'origine multi-factorielle avec chutes à répétition, dont la dernière le 15.11.2017 : • facteurs de risque de chute : -- maladie de Parkinson. -- polymédication (opiacés, somnifère). -- hypotension orthostatique d'origine médicamenteuse (Levodopa, Torem) ou dysautonomique. -- carences vitaminiques : vitamine D, B12 et B9. -- anémie. -- dénutrition protéino-calorique. Maladie de Parkinson traitée. Hypertension artérielle traitée. Uncarthrose symptomatique, pas d'opération indiquée pour l'instant, selon le Dr. X, orthopédiste. Fibrillation auriculaire Hypertension artérielle Fibrillo-flutter sous traitement freinateur de Dilzem et anticoagulant Eliquis Hypertension artérielle Ancien tabagisme à 20 unités paquet par an, stoppé en 1957 Fibroadénome Vs tumeur phyllode des deux seins chez une patiente nulligeste de 16 ans Fibroadénomes mammaires bilatéraux chez une patiente nulligeste de 16 ans Fibromyalgie. Fibromyalgie sous traitement par Fentanyl. Syndrome des jambes sans repos. Fibromyalgie traitée par Co-Dafalgan et Irfen. Fibromyalgie Dégénération osseuse sur arthrose Fibromyalgie. Dégénération osseuse sur arthrose. Fibromyalgie Syndrome du tunnel carpien bilatéral Fibromyalgie Syndrome du tunnel carpien bilatéral Fibromyalgie Troubles dépressifs récurrents Syndrome de Barré-Lieou Cervicarthrose Suspicion d'immunodéficience commune variable (hypogammaglobulinémie connue depuis au moins 1996, infection cutanée à répétition) Fièvre Fièvre Fièvre Fièvre Fièvre Fièvre Fièvre Fièvre. Fièvre. Fièvre. Fièvre. Fièvre. Fièvre. Fièvre. Fièvre. Fièvre. Fièvre. Fièvre. Fièvre. Fièvre. Fièvre. Fièvre. Fièvre. Fièvre. Fièvre à 40°C. Fièvre avec céphalées. Fièvre avec toux. Fièvre, céphalées Fièvre d'origine indéterminée le 01.04.2019 • avec céphalée chez un patient connu pour des migraines Fièvre d'origine probablement tumorale. Fièvre et apathie Fièvre et céphalées. Fièvre et mal à la gorge. Fièvre et mal de gorge. Fièvre et odynophagie Fièvre et toux Fièvre persistante à plus de 48h d'antibiothérapie Fièvre post-opératoire DD virale Fièvre récurrente d'origine inconnue (suivi par Dr. X) • FSC, CRP fait le 17.01.19 • VS pas fait (échec de prise de sang veineuse) • acides mévaloniques sur 24h pas faisable (pas de place pour hospitalisation) Fille à terme à 41+1/7 SA, poids de naissance à 3600 g (P), taille de naissance à cm (P), périmètre crânien de naissance à cm (P). Trouble de l'adaptation primaire avec acidémie périnatale légère (Apgar 1/4/5, pH 7.11/7.16, pH à 1h de vie à 7.21, lac 12.89) Syndrome de détresse respiratoire sur troubles de l'adaptation, aspiration de méconium Fille de 38 1/7 SA, poids de naissance à 2900 g (P10-25), taille de naissance à 47 cm (P10-25), périmètre crânien de naissance à 33 cm (P10-25). Fille née à 37 5/ème, poids de naissance 2300 g ( 4h. Fuites au 95ème centile 1.2 l/min. Polygraphie nocturne et capnographie sous ASV (EPAP/IPAP 8/13 cmH2O) du 01.04.2019: Index d'apnées/hypopnées du sommeil: 22 /h (hypopnées d'allure centrale). Index de désaturation en oxygène 25 /h. SpO2 moyenne 88 %, durée SpO2 < 90 % = 56 %. SpO2 moy 92 %, tcpCO2 moyenne 5.8 kPa. Gazométrie artérielle au repos à l'AA au réveil: hypoxémie, normocapnie, sans trouble acido-basique (pH 7.39, PaCO2 5.7 kPa, PaO2 7.6 kPa, HCO3- 26 mmol/l, SaO2 90 %). Polygraphie nocturne et capnographie sous ASV (EPAP/IPAP 8/13 cmH2O) et oxygène 1.5 l du 02.04.2019: Index d'apnées/hypopnées du sommeil: 9 /h (hypopnées d'allure centrale). Index de désaturation en oxygène 9 /h. SpO2 moyenne 90 %, durée SpO2 < 90 % = 39 %. SpO2 moy 94 %, tcpCO2 moyenne 5.8 kPa. Gazométrie artérielle au repos à l'AA au réveil: normoxémie, normocapnie, sans trouble acido-basique (pH 7.40, PaCO2 5.5 kPa, PaO2 9.8 kPa, HCO3- 25 mmol/l, SaO2 95 %). Fonctions pulmonaires simples 24.04.2019. Fond d'œil normal. Bilan sanguin à Tafers normal. Foramen ovale perméable Grade II avec anévrysme du septum: • Fermeture percutanée avec Amplatzer Occluder 25 mm. Foramen ovale perméable: US cardiaque 07.10. Foraminotomie L3-L4 bilatérale sur canal lombaire étroit L3-L4 sévère dans le cadre d'une scoliose dégénérative le 27.02.2019. Foraminotomie L3-L4 bilatérale sur canal lombaire étroit L3-L4 sévère dans le cadre d'une scoliose dégénérative le 27.02.2019: • Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie à Billens. Bronchite virale chez une patiente connue pour ACOS en 03/2019. Status post 2 AIT en juin 2012: paralysie faciale gauche centrale séquellaire. Status post appendicectomie dans l'enfance. Status post cholécystectomie en 1980. Status post opération de l'oreille interne. Formulaire à récupérer. Formulaire donné. Formulaire donné, à récupérer. Formulaire donné aux parents. Formulaire donné 494. Formulaire rempli. Formulaire rempli et rendu par la maman. Formulaire rendu par parents. Formulaires remplis par les parents. Formule complète à recontrôler à 10 jours chez le médecin traitant. Formule sanguine alignée hormis thrombocytose à 956 G/L. Gazométrie: pH 7.43. Bicarbonates 21 mmol/L. Lactate 1.9 mmol/l en capillaire. Calcémie 1.43 mmol/L. ECG: sinusal régulier, axe 0-90°C, PR 120 msec, QRS fins, QTc 443 msec. Monitoring cardiorespiratoire pour 24-48h. Forte perturbation des tests hépatiques DD OH DD NASH. Forte suspicion d'arthrite du genou droit à K. Kingae: • marche avec évitement de la charge sur le MIG. • épanchement articulaire hyperéchogène. • syndrome inflammatoire léger avec élévation de la VS. • apyrétique. Forte suspicion de carcinome épidermoïde glotto-sus-glottique G cT2 cN0 cM0: • panendoscopie, cordectomie type Vc au laser CO2 06/2016. Cancer urothélial de la vessie pT2, pTis et du pyélon pTa: • Date de diagnostic 12.06.2014. • Histo: carcinome urothélial papillaire et solide. Peu différencié. G3. • Cystoscopie 22.06.2014: tumeur solide. • CT thoraco-abdomino-pelvien et scintigraphie osseuse 07/2014: pas de métastase. • Chimiothérapie à Platinol et Gemzar 13.08-07.10.2014. • Status post néphrectomie, urétérectomie, lymphadénectomie, cystectomie et prostatectomie avec conduit iléale 15.01.2015. • Histo: ypTa, ypTis, ypN0 (0/2) G2 Pn1 R0. • actuellement suivi clinique par le médecin traitant. Adénocarcinome de la prostate pT1a, pN0, M0: • Date de diagnostic: 15.01.205. • Histologie: Gleason 6. PT1a, pN0 (0/2), G2, Pn1, R0. • actuellement: suivi biologique avec PSA. Forte suspicion de compression du nerf cubital à la loge de Guyon G sur: • Status post cure de tunnel carpien D le 18.12.2018. Status post prise en charge par Dr. X avec infiltration autour du nerf cubital le 27.03.2019. Forte suspicion de fracture des arcs costaux inférieurs à gauche. Forte suspicion fracture arcs costaux inférieurs à gauche le 17.04.2019. Forte suspicion vasculite systémique. Foscarnet 4'500 mg (90 mg/kg) 2x/j IV du 29.03.2019 au 01.04.2019. Virémie CMV 2x/semaine. Virémie EBV 1x/semaine. Fosfomycine 3 gr en dose unique le 17.03.2019. Uricult le 18.03.2019: E Coli sensible à la fosfomycine. Foyer atrial ectopique normocarde le 05.02.2019: • suivi cardiologique par Dr. X. Foyer infectieux sous la dent n°46 et état carieux de toutes les dents 08.10.2018: • Couverture antibiotique avec Co-Amoxi 2 g/jour du 10.10 au 19.10.2018, et du 24.10 au 31.10.2018. • Extraction de toutes les dents le 24.10.2018 (Dr. X). Insuffisance respiratoire aiguë sur œdème aigu du poumon post-coronarographie le 05.10.2018, DD sur produit de contraste.Cholangite sur cholédocholithiase le 16.06.2016, avec : • CT-scan abdominal : dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques avec haute suspicion de cholédocholithiase • ERCP avec pose de stent cholédocien le 16.06.2016 (Inselspital Berne), sans complication Cholécystectomie par laparotomie médiane en 1988 avec mise en place d'un filet par la suite Diastase des grands droits en 1988 Amygdalectomie Embolie pulmonaire sous-segmentaire basale gauche le 30.04.2014 Multiples lésions nodulaires lobes supérieurs en moyen droit en 2014 • CT scan haute résolution le 20.01.2016 : disparition des nodules • Foyers pulmonaires bilatéraux • Fractionnement alimentaire • Rinçages de nez • Mise en place d'un minimum (100 ml/kg/j) • Signes de gravité expliqués • Fractionnement de l'alimentation • Retour à domicile avec consignes de surveillance • Contrôle chez le pédiatre le 15.04 Fracture intra-articulaire multifragmentaire complexe du radius distal, sans bascule épiphysaire, sans déplacement majeur des fragments fractureaires, ni des os du carpe le 11.12.2018. Fracture à la base de P2 Dig V type Stalder II main D. Fracture à quatre parts de l'humérus proximal droit le 17.07.2018 avec réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos le 23.07.2018 à l'HFR Fribourg Fracture du 5ème métacarpe de la main droite le 01.05.2012 Cure de varices du membre inférieur droit en 2016 à l'Hôpital Daler Calculs biliaires de 5 et 3 cm dans le bas cholédoque, avec dilatation du cholédoque (max 11 cm) le 20.03.2019, avec ERCP et pose de stent cholédocien par Dr. X le 01.04 Fracture aile ischio-pubienne traitée conservativement en 2005 Opération hernie discale en 2004 et récidive en 2005 Fracture col du fémur gauche opérée en 01/2010 Fracture Anderson-Alonso type II de l'odontoïde datant du 12.01.2019 avec échec du traitement conservateur • Pseudarthrose Fracture arc moyenne 7ème côte le 01.2018 Hépatite A ancienne Fracture arrachement cubital coude droit en juin 2010. Fracture arrachement plaque palmaire de la phalange moyenne du 3e doigt gauche Fracture arrachement postérieure du Triquetrum à droite le 05.02.2019. Fracture articulaire base 5ème métacarpien. Fracture atypique type Weber B haute cheville G avec fracture du Volkmann non déplacée le 13.01.2019. Fracture au niveau de la base de la tête du 2ème MC main droite Fracture au niveau de la prothèse de hanche totale droite avec pseudo-tumeur à corps étranger. Fracture avant-bras distal G non déplacée sur dysménie des deux membres supérieurs. Fracture avant-bras G dans l'enfance traitée par clou de Prévôt Fracture avec impaction du capitulum du coude D le 24.01.2019. Fracture base de P1 peu déplacée O4 pied gauche 12.18 Fracture base phalange proximale du 4ème doigt main gauche : • Réduction et traitement conservateur en février 2015 Pneumonie acquise en communauté mi-juin 2014 traitée par Co-Amoxicilline Exacerbation de BPCO stade III le 30.06.2014 sur infection à H. Influenza et K. pneumoniae Traumatisme crânien simple sur chute accidentelle à domicile dans un contexte de probable état confusionnel aigu le 30.06.2014 Anémie normochrome normocytaire à 111 g/l le 04.07.2014 probablement d'origine inflammatoire Infection urinaire à E. coli et Enterococcus sp. Troubles cognitifs probables Ethmoïdectomie antérieure droite, méatotomie moyenne à droite sur sinusite maxillaire chronique en avril 2005 Boursectomie du coude droit sur bursite chronique en juin 1996 Cholécystectomie en 1973 HE pour fibrome 1972 Amygdalectomie dans l'enfance Fracture base proximale phalange 1 doigt 5 non déplacée main droite Fracture base P1 O1 pied droit (arrachement ligament collatéral médial) le 24.03.2012. Fracture base P3 D3 main G. Entorse IPP D5 main G le 01.03.2019. Fracture bassin latéral compression D Type 2-3 Fracture bifocale clavicule G le 17.02.2019 avec : • fracture oblique déplacée avec un raccourcissement de 9 mm tiers moyen clavicule G • fracture de l'extrémité latérale clavicule G dans le sens d'une fracture type I selon Neer Fracture bimalléolaire cheville droite le 01.04.2019 Fracture bimalléolaire cheville G, le 04.02.2019 Fracture bi-malléolaire de la cheville droite. Fracture bi-malléolaire de la cheville droite. Status post-grossesse extra-utérine. Status post-ablation d'un nodule bénin mammaire gauche. Fracture bimalléolaire droite le 26.02.2014. Crise vertigineuse sur maladie de Ménière le 19.02.2015. Anxiété généralisée et accentuation de certains traits de personnalité - type anankastique. Fracture bois vert radius et ulna 1/3 proximal avant-bras gauche, inclinaison 10° Fracture bois vert radius gauche Fracture burst complète de T12 et recul de 3 mm du mur postérieur. Fracture calcanéum du pied D le 21.04.2019, non déplacée • visualisée à la Rx, puis au CT Fracture cheville D il y a plusieurs années OP des végétations dans l'enfance Fracture cheville droite en 1968 Lithotripsie rein droit en 1996 Cure de canal carpien droit en 1988 Cure de hernie inguinale droite en 2000 FA nouvelle, révélée dans le contexte septique le 14.01.2018 Ischémie critique du membre inférieur droit avec nécrose sèche des orteils, compliqué d'un sepsis aigu sur dermohypodermite, le 14.01.2018 • amputation supragéniculé Insuffisance respiratoire aiguë sur œdème aigu des poumons d'origine multifactorielle, le 14.01.2018 sur : • Hydratation IV, décompensation cardiaque dans le contexte d'une FA Troubles de l'état de conscience sur encéphalopathie diffuse avec ECA hypoactif récurrent d'origine multifactorielle sur • Neurotoxicité à hydromorphone le 27.02.2018 • Hypercapnie et sepsis le 21.02.2018 • Contexte post-opératoire amputation Hématome du psoas à droit sur saignement spontané, le 22.02.2018 • Dans un contexte d'anticoagulation thérapeutique et anti-agrégation Diarrhées à Clostridium Difficile le 10.02.2018 Anémie spoliative, le 24.01.2018 : • Post-opératoire, hématome du psoas D et inflammatoire Pneumonie multilobaire bilatérale le 29.09.2018 Hypoglycémie matinale symptomatique le 04.10.2018 QTc long à 560 ms d'origine médicamenteux probable le 29.09.2018 • QTc 400 ms nov 2017, QTc 550 ms en avril 2018 • QTc 505 ms après arrêt de l'Escitalopram le 03.10.2018 Troubles électrolytiques dans le contexte de diarrhées au home et traitement diurétique le 29.09.2018QTc 505 ms après arrêt de l'Escitalopram le 03.10.2018 Troubles électrolytiques dans le contexte de diarrhées au home et traitement diurétique le 29.09.2018 Fracture chondrale du pôle inférieur de la rotule droite. Statut après premier épisode de luxation rotulienne. Le 11.08.2017, Dr. X : arthroscopie diagnostique et régularisation cartilagineuse du pôle inférieur de la rotule. Arthrotomie interne pour extraction d'un fragment chondral, libre, et suture de l'aileron rotulien interne. Névrite optique retro-bulbaire (OG) • DD : syndrome clinique isolé, SEP. Carence en vitamine D avec : • 25 OH vit D2 3 à 25 nmo/l. Carence en acide folique avec : • 3.7 ng/ml. Fracture clavicule droite tiers moyen vers le 20.04.2019 Myogelose paravertébral gauche • DD : contusion des côtes après chute le 12.06.2016 • aucune restriction de la mobilité de la colonne vertébrale Ossification hétérotopique de la capsule antérieure du coude droit Fracture coccyx. Fracture col du fémur type Garden IV à droite, le 16.03.2019 Fracture col fémoral droit Garden IV le 15.04.2019 Fracture col fémoral droit type Garden IV le 15.04.2019 Fracture col fémoral gauche Garden IV Fracture col fémorale gauche Garden II traumatique, le 23.04.19 Fracture comminutive de la métaphyse distale du 5ème métatarse à gauche, le 11.03.2019. Fracture comminutive déplacée du pilon tibial droit. Fracture comminutive déplacée du tiers moyen de la clavicule gauche, le 25.03.2019 Fracture comminutive du tibia moyen et Salter II avec décollement épiphysaire du tibia distal le 09.02.2017 traitée conservativement Fracture comminutive du tiers distal de la diaphyse du 2ème métacarpien à gauche (main non dominante) le 06.04.2019 Fracture complexe du condyle radial de l'humérus distal gauche avec fracture de l'épicondyle radial associée. Fracture complexe du plateau tibial externe par impaction, fracture métaphyso-diaphysaire plurifragmentaire du tibia proximal jambe gauche le 05.02.2019 avec • Syndrome des loges jambe gauche post-traumatique Fracture condyle radiale gauche déplacée (type Milch II) Fracture condylienne bras droit en 2016. Fracture du tiers distal du radius distal en juin 2018. Fracture consolidée sans déplacement secondaire de la prothèse. Je fais un bon de physiothérapie pour rééducation à la marche en charge selon douleurs et tonification musculaire. On peut éventuellement envisager un séjour en centre de rééducation afin d'accélérer les choses si cela ne va pas assez vite au home. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Fracture corticale capitale du métatarse V pied droit, le 28.04.2018. Fracture coude droit traumatique le 17.04.19 : • fracture non déplacée du processus coronoïde de l'ulna proximal • fracture peu déplacée de la fosse olécrânienne. Fracture C5 avec tear drop du 04.04.2019 Fracture C5 de type complète burst AO type 4 avec recul de 2 mm du mur postérieur le 04.04.2019 avec : • atteinte probable du ligament postérieur C4-5 et C5-6 à gauche Fracture C5 de type complète burst AO type 4 avec recul de 2 mm du mur postérieur sur chute d'environ 7 m le 04.04.2019 • atteinte probable du ligament postérieur C4-5 et C5-6 à gauche Fracture d'arrachement du ligament collatéral ulnaire au niveau de D1 main gauche Fracture de bras droit environ 2004 Fracture de côte 10 à droite sur traumatisme le 03.04.2019. Fracture de D12 diagnostiquée le 27.03.2019, atraumatique : • chez Mme. Y connue pour une ostéoporose fracturaire depuis 2001. Fracture de fatigue du pied gauche le 26.04.2019 Fracture de la base de la phalange I du 1er doigt de la main droite Fracture de la base de la phalange proximale côté radiale du 3ème rayon de la main gauche, le 25.02.2019. Fracture avec arrachement à la base de la phalange proximale (du côté radial) du 4ème rayon de la main gauche, le 25.02.2019. Traumatisme crânien léger, le 25.02.2019. Contusion du genou droit, le 25.02.2019. Fracture de la base de la 1ère phalange du 1er orteil droit le 01.04.2019. Fracture de la base de la 3ème phalange du 3ème orteil du pied gauche sur traumatisme du 11.04.2019. Fracture de la base de phalange distale pas déplacée le 01.04.2019. Fracture de la base de P1 du 4ème doigt de la main gauche le 20.04.19 Fracture de la base de P1 D3 de la main gauche avec refend intra-articulaire. Fracture de la base du MT1 du pied droit. Fracture de la base du premier métacarpien gauche type Benett le 19.04.2019. Fracture de la base du 5ème et 4ème métatarsien pied gauche. Fracture de la base du 5ème métacarpien droit le 03.03.2019 Fracture de la base du 5ème métatarsien. Fracture de la base du 5ème métatarsien du pied droit de type pseudo Jones associée à une fracture articulaire de phalange proximale du 4ème orteil dans un contexte d'arthrose tarsienne et tarso-métatarsienne Fracture de la base du 5ème métatarsien pied droit le 30.03.2019. Fracture de la base MT V de type Jones à droite le 28.03.2019 avec entorse de la cheville à droite. Fracture de la base radiale P3 Dig III à gauche le 08.04.2019. Fracture de la branche ischio-ilio-pubienne droite et fracture non déplacée du sacrum traitées conservativement le 20.02.2019 • Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Hypertension artérielle Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 24.02.2019 avec créatinine à 170 umol/l Insuffisance rénale chronique stade 2 le 21.07.2018 (FE urée 0.33%, ClCr selon MDRD 55 ml/min), DD insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale Hyponatrémie chronique sur prise de diurétique, DD sur insuffisance rénale chronique Pancytopénie chronique multifactorielle avec : • Anémie normocytaire normochrome (Hb 116 g/l le 28.02.2019) sur insuffisance rénale et splénomégalie • Thrombopénie à 88 G/l le 28.02.2019 sur insuffisance hépatique • Leucopénie à 2.7 G/l le 28.02.2019 Insuffisance hépatique sur insuffisance cardiaque droite avec : • Ascite • Foie de stase • Score de MELD à 6%, Score de MADDREY à 15.2 pts et Child-Pugh stade A • Ammonium à 65 umol/l le 01.03.2019 Insuffisance veineuse chronique de stade C5 avec : • Surincontinence des grandes veines saphènes ddc • Statut post plusieurs greffes de peau ddc • Actuellement un ulcère au niveau malléolaire interne gauche • Porte des bas de compression élastiques de classe II AOMI stade I MID sur : • Hypoplasie a. iliaque externe droite (3mm versus 6mm à gauche) • Agénésie de l'AFC droite avec flux repris en AFS (2mm) et AFP (3mm) par collatérales avec flux monophasique • Index ABI dans la norme le 22.05.17 Fracture de la cheville droite traitée conservativement dans l'enfance. Entorse stade I de la cheville droite en 2018. Entorse stade II de la cheville gauche en 2018. Fracture de la cheville droite type Weber B le 27.03.2019 • Post-traumatique après chute secondaire à la syncope Fracture de la cheville ? Fracture visible sur la radio sans épanchement ancien ? Fracture de la cheville gauche, Weber B; le 08.04.13 Fracture de la clavicule droite le 17.04.2019. Fracture de la clavicule droite le 22.05.2016. Fracture des 2 jambes dans l'enfance. Contusion lombo-sacrale. Fracture de la clavicule droite traitée conservativement (gilet orthopédique) Fracture de la clavicule droite. Conflit sous-acromial sur acromion type III au niveau de l'épaule droite en septembre 2015. Fracture de la clavicule gauche à la jonction tiers moyen tiers distal Fracture de la clavicule gauche en 2010. Février 2013 : fracture du tiers moyen de la clavicule gauche le 13.02.2013, position scoliotique vers la droite. Fracture de la clavicule gauche (moitié moyenne) Fracture de la clavicule latérale Neer type I inhabituelle. Fracture de la dernière phalange du 2ème doigt de la main droite non déplacée. Fracture de la diaphyse fémorale gauche péri-prothétique sur s/p PTH G en 2004 Fracture de la diaphyse proximale du 5ème métatarsien à D le 24.03.2019. Fracture de la fibula type Maisonneuve à gauche le 30.03.2019. Fracture de la jambe gauche type AO 42B3 avec une composante intra-articulaire distale, non déplacée. Fracture de la malléole externe G type Weber B, non déplacée le 21.11.2018. Fracture de la malléole externe gauche type Weber B le 12.04.2019. Fracture de la malléole externe type Weber B à D le 05.02.2019. Fracture de la malléole externe type Weber B à G, le 10.03.2019 Fracture de la malléole externe, Weber B, cheville gauche sur traumatisme du 23.04.2019. Fracture de la malléole interne cheville G sur traumatisme du 06.03.2019. Fracture de la métaphyse radiale D type motte de beurre du 17.03.2019. Fracture de la motte de beurre du poignet gauche en 02.2013. Syndrome de Stevens-Johnson, DD : érythème multiforme, réaction médicamenteuse tardive, secondaire à mycoplasme pneumonie, penfigo. Fracture de la partie distale de P3- P 4 G, le 13.03.2019. Fracture de la phalange distale du deuxième doigt gauche. Fracture de la phalange du 3ème orteil gauche. Fracture de la phalange MCP du D4 de la main G il y a 20 ans Fracture de la phalange moyenne du 3ème doigt de la main droit • sur probable chute le 10.04.2019 Fracture de la phalange proximale du 4ème orteil gauche. Fracture de la phalange proximale du 5ème orteil du pied gauche. Fracture de la phalange proximale 4ème rayon de la main G type Salter Harris II du 07.02.2019. Fracture de la styloïde radiale G type chauffeur le 16.03.2019. Fracture de la styloïde radiale gauche le 06.04.2019. Fracture de la tête de l'humérus gauche, avec rupture (chronique ?) du sus-épineux et infra-épineux. Fracture de la tête du péroné gauche dans le contexte d'une chute mécanique le 04.02.2019. Status post-implantation de prothèse uni-compartimentale genou gauche. Fracture de la tête du péroné gauche non déplacée. Fracture de la tête du radius droit Mason I. Fracture de la tête du radius droit (non daté). Abcès facial gauche (non daté). Kyste synovial du poignet gauche (non daté). Kyste du coude droit (non daté). Abcès cervical sur possible maladie de Verneuil le 10.05.2016. Ancienne toxicomanie à la cocaïne. Alcoolisation aiguë avec possible traumatisme crânien le 05.05.2018. Abcès cutané du dos 2x2 cm. Fracture de la tête du 5ème métacarpe le 10.12.2015. Brûlure de 2ème degré au niveau de tiers du tibia distal le 21.02.2012. Fracture poignet droit. Tentamen médicamenteux le 16.11.2015 avec : • 9 cp d'Oxycontin retard 80 mg, 6 cp de Quétiapine 25 mg, 2 cp de Mélatonine. • 1,5 g de cocaïne et alcool (le 15.11.2015 à 22h). Tentamen médicamenteux le 18.02.2016 : • 4 cpr d'Oxycontin ret 80 mg. • 4 cpr de Quétiapine 25 mg. • alcoolémie à 0.30 pour mille et consommation de cannabis. Surveillance rythmique et neurologique aux soins continus, transfert au RFSM Marsens en PAFA. Etat anxio-dépressif réactionnel dans un contexte de trouble de la personnalité de type asocial, transfert au RFSM Marsens en PAFA. Lombo-dorsalgies non déficitaires sur chute de son hauteur le 25.05.2017. Fracture de la tête du 5ème métacarpe main D. Fracture de la tête et de la base de phalange proximale du pouce gauche. Fracture de la tête humérale non déplacée. Fracture de la tête humérale non déplacée G avec fracture du tubercule majeur. Fracture de la tête P1 D1 pied gauche avec ostéosynthèse par broches il y a 21 jours. Probable mononucléose (diagnostic différentiel : amygdalite). Fracture de la tête radiale à gauche de type Mason I. Fracture de la tête radiale D Mason 1 sur traumatisme du 22.02.2019. Fracture de la tête radiale D multifragmentaire non déplacée. Avulsion osseuse en regard du collatéral médial D. Fracture/avulsion de la pointe du processus coronoïde D le 15.01.2019. Fracture de la tête radiale droite, Maison I en septembre 2011. Amygdalectomie en 1998. Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 38,8 kg/m2 (116kg ; 173cm). Bypass gastrique laparoscopique le 10.10.2018 (Dr. X). Suivi diététique. Suivi à la consultation du Dr. X le 14.10.2018 à 15h00. Fracture de la tête radiale G type Mason I le 05.02.2019. Fracture de la tête radiale gauche type Mason III. Fracture de la tête radiale intra-articulaire de type Mason 1 du coude droit sur traumatisme le 30.04.2019. Fracture de la tête radiale Mason I à D, le 02.04.2019. Fracture incisure radiale à D, le 02.04.2019. Fracture de la tête radiale Mason I G le 07.03.2019. Fracture de la tubérosité majeure de l'épaule G. Fracture de la 1ère phalange du 3ème orteil droit le 04.04.2019. Fracture de la 3ème côte face antérieure. Fracture de la 5ème côte droite. Fracture de l'acétabulum gauche, ilio-pubienne proximale gauche avec double fracture ischio-pubienne gauche suite à une chute le 29.03.2018, traitée conservativement. Tassement de D6 le 29.03.2018, traitée conservativement. Pneumonie basale gauche dans un contexte de broncho-pneumopathie chronique obstructive de stade 2 le 28.04.2018. Hyponatrémie légère à 125 mmol/l le 12.02.2017, DD : probable SIADH dans le contexte infectieux. Réaction dépressive réactionnelle au décès de son épouse en juillet 2016. Hypothyroïdie subclinique en septembre 2016. Insuffisance rénale aiguë sur probable toxicité rénale d'AINS (transcutanée) et administration de Colchicine (et antibiotique) le 14.09.2016. PRES (Posterior Reversible Encephalopathy Syndrome) sur probable encéphalopathie hypertensive le 01.11.2013. Embolies pulmonaires bilatérales (21.06.2011, anticoagulée 6 mois). Sepsis d'origine digestive sur probable entérite avec ectasie des anses grêles le 11.08.2013. Cure d'une maladie de Dupuytren bilatérale.Ténosynovite du tendon du muscle extenseur ulnaire du carpe à droite. Opération de la cataracte à l'œil gauche. Hypotension orthostatique. Douleurs en fosse iliaque gauche depuis le 02.04.2019 d'origine indéterminée DD : sub-iléus mécanique. Fracture de l'acétabulum gauche, ilio-pubienne proximale gauche avec double fracture ischio-pubienne gauche suite à une chute le 29.03.2018, traitée conservativement. Tassement de D6 le 29.03.2018, traitée conservativement. Pneumonie basale gauche dans un contexte de broncho-pneumopathie chronique obstructive de stade 2 le 28.04.2018. Hyponatrémie légère à 125 mmol/l le 12.02.2017, DD : probable SIADH dans le contexte infectieux. Réaction dépressive réactionnelle au décès de son épouse en juillet 2016. Hypothyroïdie subclinique en septembre 2016. Insuffisance rénale aiguë sur probable toxicité rénale d'AINS (transcutanée) et administration de Colchicine (et antibiotique) le 14.09.2016. PRES (Posterior Reversible Encephalopathy Syndrome) sur probable encéphalopathie hypertensive le 01.11.2013. Embolies pulmonaires bilatérales (21.06.2011, anticoagulée 6 mois). Sepsis d'origine digestive sur probable entérite avec ectasie des anses grêles le 11.08.2013. Cure d'une maladie de Dupuytren bilatérale. Fracture de l'acromion effleurant l'articulation acromio-claviculaire à gauche Fracture de Lagrange 4 supra-condylienne à gauche. Fracture de l'aile iliaque droite. Douleurs thoraciques de probable origine pariétale le 04.08.2018. Dysfonction mécanique sacro-iliaque : • s/p fracture du bassin lors d'un accident de travail en décembre 2017, diagnostiquée tardivement. • contractures musculaires associées importantes. • irradiation des douleurs à caractère non-organique. Réassurance. Proposition de poursuivre la physiothérapie et les thérapies proposées par le centre de la douleur du CHUV. Fracture de l'arc postérieur costal 5 post-traumatique, le 21.11.2018 Fracture de l'arc postérieur de la 5ème côte gauche. Fracture de l'arthrodèse au niveau IPP D2-D3 main droite. Attelle Edimbourg en position fonctionnelle 30°. Fracture de l'extrémité distale du radius à D avec arrachement osseux du Triquetrum. Fracture de l'extrémité distale du radius à D intra-articulaire le 14.01.2019. Fracture de l'extrémité distale du radius D non déplacée du 13.01.2019. Fracture de l'extrémité distale du radius gauche avec bascule postérieure le 27.06.2012. Appendicectomie. Fracture de l'extrémité du radius distal gauche non déplacée. Fracture de l'humerus proximal D. Fracture de l'interphalangienne proximale de l'index gauche. Thrombose veineuse profonde en 2017, traitée par Xarelto. Fracture de l'olécrâne G type AO 21-B1, le 04.02.2019. Fracture de l'omoplate droite le 30.01.2019 traitée conservativement. Fracture péroné proximal G le 30.01.2019 traitée conservativement. Fracture de l'os accessoire du talus gauche 01.04.2019. Fracture de l'os sésamoïde radial du pouce droit. Fracture de Maisonneuve de la jambe gauche le 13.06.2015. Fracture de la scapulaire à droite avec atteinte de la gonoïde stable et fracture de la clavicule droite non déplacée le 30.07.2016. Fracture de Pouteau Colles type Frykman III du poignet D en date du 11.02.2019. Fracture de P1 O3 pied G le 19.03.2019. Fracture de P3 non déplacée. Fracture de rate stade III en juillet 2012. Césarienne en 2010. GEU opérée le 01.09.2016 à la clinique générale. Fracture de 5ème métacarpe et de l'hamatum avec impaction entre les deux os le 03.04.19. Fracture déplacée base phalange proximale V doigt main droite. Fracture déplacée de la base de la phalange proximale de l'orteil III à gauche, du 05.03.2019. Fracture déplacée de la 2ème phalange du 2ème orteil gauche. Fracture déplacée de l'avant-bras gauche : au tiers proximal pour le radius, tiers moyen pour l'ulna. Fracture déplacée diaphyso-métaphysaire du radius et ulna distal gauche. Fracture déplacée du radius distal droit. Fracture déplacée du tiers distal de la clavicule droite, sur traumatisme, le 12.04.2019. Fracture déplacée du tiers distal de l'avant-bras droit. Fracture déplacée du trochiter, épaule droite. Fracture déplacée en 4 parts humérus proximal droit. Prothèse céphalique Affinis fracture humérus droit, ténodèse long chef du biceps. Ostéosuture des tubérosités (OP le 10.07.2011). Hémorragie sous-arachnoïdienne diffuse FISHER 3, BIN4 et HESS 2a, et hémorragie intra-parenchymateuse frontale gauche massive, avec déviation de la ligne médiane et inondation bi-ventriculaire sur rupture d'anévrisme de l'artère carotide interne supra-ophtalmique G le 05.12.2013, avec initialement : • aphasie motrice • troubles de l'équilibre • troubles de type frontaux (de l'attention, de l'initiation, persévérations). CT-scan le 05.12.2013 : anévrisme sylvien gauche. Intubation le 05.12.2012 et transfert à l'Inselspital en urgences. Angiographie cérébrale le 10.12.2013, le 12.12.2013, le 11.02.2014. • status post coiling anévrisme de l'a. carotide interne supra-ophtalmique G et de l'a. communicante post G le 05.12.2013. • status post mise en place d'un drain ventriculaire externe D avec contrôle de la PIC du 05. au 20.12.2013. • status post évacuation du saignement frontal G et mise en place d'un drain ventriculaire externe G du 08. au 20.12.2013. • status post vasospasmes dans le segment ant G le 10. et le 12.2013 (aphasie motrice), prise en charge par spasmolyse (Nimotop), surveillance et thérapie triple H (hypertension, hypervolémie et hémodilution) aux soins intensifs. • status post pose d'un drain ventriculo-péritonéal le 21.12.2013 (pas de CI à l'IRM) en raison d'un élargissement des ventricules après retrait des drains ventriculaires externes. Pneumonie base D le 21.12.2013. Fracture déplacée extra-articulaire de la base du 1er métacarpien main D; accident du 23.09.2017. Réduction fermée, embrochage par broche 1.4 MCP 1 main D (OP le 26.09.2017). Fracture de Segon droite et suspicion de lésion ligamentaire le 11.09.2018. Fracture déplacée extra-articulaire de la base du 5ème métacarpien de la main droite. Fracture déplacée sous-capitale de l'humerus. Fracture déplacée sous-capitale humérale droite et fracture du tiers latéral de la clavicule droite le 23.04.2019. Fracture déplacée toujours sur le contrôle radiologique du ce jour. Fracture déplacée 1/3 externe claviculaire gauche. Fracture des apophyses transverses droites L2-L3-L4. Corps étranger dans l'œil droit. Bursotomie du coude droit. Douleurs sur problème dentaire. Fracture des bases métatarsiennes III-IV. Fracture des branches ilio et ischio-pubiennes droites et fracture non déplacée du sacrum. Suivi par Dr. X (Hôpital de Riaz). Fracture des branches ilio et ischio-pubiennes peu déplacée et fracture du sacrum non déplacée du 21.02.2019. Fracture des côtes à droite le 02.04.2019. Fracture des côtes 5+6 D. DD sur toux. Fracture des côtes 9 et 10 droites, sans notion de traumatisme le 09.04.2019. Fracture des orteils. Fracture des os propres du nez et du sinus maxillaire gauche, avec hémo-sinus sans déplacement significatif le 04.01.2019 : • Avis ORL Inselspital, Berne : traitement conservateur, Co-Amoxicilline du 04.01.2019 au 08.01.2019. Polytraumatisme avec chute et perte de connaissance d'origine indéterminée le 03.01.2019. Plaie délabrante de D3, sur la face dorsale, latérale interne et légèrement palmaire, avec une plaie interdigitale du troisième espace, main droite. Plaie de la face latérale externe de D4 en regard de l'IPD, avec perte de substance intéressant la peau, une partie du sous-cutané, laissant la graisse sous-cutanée à l'air. Parrage de plaies, révision du tendon extenseur du 3ème doigt. Fermeture des plaies après rinçage abondant. Neuroréadaptation d'un traumatisme crânio-cérébral sur chute le 04.01.2019, accompagné d'une diplopie résiduelle fluctuante probablement sur séquelle d'HSA et avec : • Hématome sous-dural frontal bilatéral. • Hémorragie sous-arachnoïdienne frontale et occipitale bilatérale. • Oedème cérébral diffus avec effacement des sillons corticaux et des citernes de la base. • Hématome sous-galéal occupant pratiquement toute la voûte crânienne, de façon prédominante à gauche. • Fracture des os propres du nez et du sinus maxillaire gauche, avec hémo-sinus sans déplacement significatif. • Fracture du plancher de l'orbite gauche qui longe le canal infra-orbitaire. • Soins intensifs à Berne du 04.01.2019 au 10.01.2019. • CT-scan cérébral : le 04.01.2019, le 06.01.2019, le 09.01.2019 et le 18.01.2019. • IRM cérébrale de contrôle le 01.02.2019 (rapport oral Dr. X) : Hématome sous-dural et fronto-pariétal gauche ainsi qu'au niveau du cervelet à gauche sont chroniques et stables. Pas de dépôts d'hémosidérine visualisés. • Traitement conservateur à l'Inselspital : surveillance neurologique et suivi radiologique. • Consultation ophtalmologique le 25.01.2019 : Oculomotricité conservée dans tous les plans, pas d'indication chirurgicale. • Suivi neurologique. • Traitement précoce complexe de physiothérapie et d'ergothérapie gériatrique. • Conduite automobile prohibée pour les 3 prochains mois, à réévaluer par neurologues ou neurochirurgiens à distance. • Contrôle ophtalmologique en ambulatoire : rendez-vous le 18.02.2019 à 10h00 chez l'orthopédiste. • Contrôle à 4 semaines post-reprise double anti-agrégation : RDV le 21.02.2019 à 8h30 pour le CT-cérébral puis à 09h30 pour la consultation en neurochirurgie (rendez-vous donnés à Mr. Y et à la famille). Etat confusionnel nocturne le 03.01.2019 et le 06.02.2019. Anémie hypochrome normocytaire arégénérative à 100 g/L le 04.01.2019 : • Bilan carentiel du 15.01.2019 (fer, B12, folates) dans la norme, TSH normale. Hypovitaminose D. Maladie coronarienne monotronculaire (subocclusion artère circonflexe moyenne), diagnostiquée le 04.01.2019 avec : • Pose de 2 stents actifs sur la circonflexe moyenne, le 04.01.2019 : bon résultat. • Hypokinésie inféro-postéro-basale. • Fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE : 55 %). • Aspirine à vie. • Reprise du Plavix le 18.01.2019 après contrôle par CT-cérébral rassurant, pour 6 mois. Fracture des processus épineux de C5 et C4 traitée conservativement sur chute le 30.10.2015. Fracture déplacée de la clavicule G en 1995. Plaie perforante interdigitale D4-D5 face dorsale de la main D en 2003. Contusion sacro-iliaque D en 2004. AS épaule D, ténotomie/ténodèse du long chef du biceps, réinsertion trans-osseuse sus-épineux partielle, sous-scapulaire, résection AC et acromioplastie le 17.03.2016 sur lésion sus-épineux, sous-scapulaire, tendinopathie du long chef du biceps épaule D, arthrose AC avec conflit sous-acromial, le 30.10.2015. Fracture des têtes métatarsiennes du 2ème, 3ème, 4ème et 5ème pied D. Fracture des vertèbres type A3 de L3 et A1 de L2 sur chute à cheval le 21.04.19. Fracture des 1er et 2ème métatarses avec fracture Salter 2 de la première phalange du gros orteil du pied droit sur traumatisme le 29.04.2019. Fracture d'extrémité proximale d'ulna G. Fracture diaphysaire cubitus G type AO 22-A1. Fracture diaphysaire de l'avant-bras gauche le 09.04.2019. Fracture diaphysaire de P1 D5 non déplacée du pied gauche, le 09.10.2018. Fracture diaphysaire de P2 D2 à G le 24.03.2019. Fracture diaphysaire de radius et ulna à gauche. Fracture diaphysaire déplacée des 2 os avant-bras G, le 28.03.2019. Fracture diaphysaire, déplacée, fémur G, le 24.03.2019. Fracture diaphysaire des 2 os du poignet G. Status après réduction fermée le 29.03.2019. Fracture diaphysaire distale radius et cubitus gauches, déplacée en 2010. Fracture diaphysaire du fémur droit sur status post-clou Gamma court le 26.02.2019. Fracture diaphysaire du radius D type Galeazzi à D, le 03.04.2019 avec • Suspicion de lésion du TFCC • Troubles paresthésiques de tous les doigts en préopératoire. Fracture diaphysaire du 5ème métacarpe, déplacée, de la main gauche, le 20.04.2019. Fracture diaphysaire du 5ème métacarpien droit. Fracture diaphysaire métacarpe 2 et troubles rotatoires et fracture non déplacée métacarpe 3 main droite. Contusion épaule droite. Fracture diaphysaire non déplacée du 3ème métacarpien main D le 21.03.2019. Fracture diaphysaire non-déplacée du tibia à D le 13.01.2019. Fracture diaphysaire oblique du 4ème métacarpe D avec léger déplacement du 28.03.2019. Fracture diaphysaire osseuse avant-bras gauche (AO 22-D/2.1; bascule ulnaire 22°) sur chute le 09.04.2019. Fracture diaphysaire peu déplacée jambe droite. Fracture diaphysaire proximale humérus droit sur kyste osseux le 21.03.2018 • Diagnostic anatomopathologique (biopsie osseuse humérus droit du 22.03.2018) - rapport Promed du 29.03.2018 en annexe : l'image histomorphologique est compatible avec la paroi d'un kyste simple (solitaire). Fracture diaphysaire proximale métacarpe I droit le 23.03.2019. Fracture diaphysaire P1 D2 de la main D le 13.01.2019. Fracture diaphysaire radiale droite. Fracture diaphysaire spiroïde déplacée du 3ème métacarpien, main gauche. Fracture diaphysaire spiroïde du tibia D le 31.03.2019. Fracture diaphysaire spiroïde du tiers moyen du tibia G sur traumatisme du 23.01.2019. Fracture diaphysaire spiroïde MC 4 main G le 05.01.2019. Fracture diaphysaire tibio-péronéenne multifragmentaire G le 17.03.2019. Fracture diaphysaire transversale déplacée de la 4ème métacarpophalangienne de la main droite. Fracture diaphysaire 5ème métacarpe. Fracture diaphysaire 5ème métacarpe non déplacée main G. Fracture diaphyse ulnaire gauche, peu déplacée, le 15.04.2019. Fracture d'impression très peu déplacée du plateau tibial externe associée à des lésions de grade II des cornes postérieures du ménisque interne et externe ainsi qu'une distorsion ligamentaire stade I du LLI genou gauche le 23.3.2019. Fracture distale de l'avant-bras D type Salter Harris II au niveau du radius distal. Fracture distale de l'ulnaire à droite le 04.04.19. Fracture distale déplacée des deux os de la jambe D datant du 22.02.2019. Fracture distale des 2 os de l'avant-bras droit avec déplacement du radius. Réduction ouverte et ostéosynthèse par 2 broches 1.8, du radius distal droit (opérée le 15.05.2015). Fracture distale des 2 os de l'avant-bras droit avec déplacement du radius. Réduction ouverte et ostéosynthèse par 2 broches 1.8, du radius distal droit (opérée le 15.05.2015). Fracture distale du poignet G il y a 30 ans, avec légère asymétrie persistante. Absence de matériel d'ostéosynthèse actuellement en place. Fracture distale du radius droit non déplacée le 05.04.2019. Fracture distale du Vème métacarpe main droite le 22.10.2013. Fracture distale non déplacée de l'ulna droite le 04.04.2019. Fracture du bassin non déplacée (acétabulaire et ischion droit) sur chute mécanique le 10.04.2019. Fracture du bec ancré de l'olécrâne G avec bursotomie traumatique le 18.03.2019. Fracture du bord latéral de la rotule gauche sans luxation le 11.08.16 avec : • épanchement intra-articulaire. Fracture col fémur G type Garden IV le 30.09.2015. OST MTP I selon Scarf, OST selon Akin P1 gros orteil pied sur hallux valgus et hallux valgus interphalangeus, pied D le 18.10.2011. Arthroplastie de résection selon Hohmann sur 2ème orteil en griffe pied D le 18.10.2011. Entorse de cheville droite stade 1. Douleur basi-thoracique suite à chute avec réception dorsale 14.05.2017. Hématémèse post vomissement sur morphine (petite quantité env 50ml) le 13.12.2017. Etat confusionnel aigu sur infection urinaire nosocomiale le 24.01.2018. Fracture du calcanéum gauche Sanders I. Fracture du calcanéum gauche Sanders type I sur chute le 11.03.2019. Fracture du coccyx sans déficit neurologique suite à chute de sa hauteur. Coussin de décharge, traitement antalgique. Fracture du col du fémur. Fracture du col du fémur à D. Fracture du col du fémur droit. Fracture du col du fémur droit de type Garden IV. Fracture du col du fémur droit Garden IV. Fracture du col du fémur Garden 3 à droite le 18.04.19 sur chute mécanique. Fracture du col du fémur Garden 4. Fracture du col du fémur gauche le 22.04.2019. Fracture du col fémoral droit Garden IV sur chute le 05.04.2019. Fracture du col fémoral droit Pauwels II sur chute, traitée par réduction fermée et mise en place d'une DHS droite le 01.09.2016. Troubles de la déglutition avec repas mixe et lisse, médicaments écrasés. Trouble psychomoteur ingérable au foyer avec : • danger principalement pour lui-même. • impossibilité de soins au foyer. Fracture du col fémoral Garden I G le 16.03.2019 traitée par réduction fermée et ostéosynthèse par plaque DHS et vis anti-rotatoire le 17.03.2019. Fracture du col fémoral Garden IV à gauche le 10.03.2019 : • Implantation d'une prothèse bipolaire cimentée le 15.03.2019. Fracture du col fémoral Garden IV gauche le 06.04.2019. Décès de la patiente suite à une décompensation cardio-pulmonaire. Fracture du col fémoral Garden IV gauche le 08.04.2019. Fracture du col fémoral gauche Garden IV. Fracture du col fémoral gauche garden IV. Fracture du col fémoral gauche Garden IV sur chute du 26.03.2019. Fracture du col fémoral type Garden IV à gauche le 09.04.2019. Fracture du col fémur D type Garden III, le 19.04.2019. Fracture du col fémur G type Garden I, le 16.03.2019. Fracture du col fémur G type Garden IV; chute datant du 26.03.2019. Fracture du col fémur G type Garden IV, le 03.03.2019. Fracture du col fémur type Garden III G, le 10.03.2019. Fracture du col Garden 4 gauche 06.04.2019. Fracture du condyle radial coude D sur status post ancienne fracture supracondylienne en novembre 2017. Fracture du cône fémoral de la PTH D métal/métal implantée en 2009 avec : • Pseudo-tumeurs sur métallose. • Ostéolyse cotyloïdienne. Fracture du corps de l'omoplate droite (type 14.4 selon AO) traitée conservativement. Fracture des épineuses de C5, C6 et D1 (type A0 selon AO) traitée conservativement. Fracture du corps vertébral L3 type A2 le 22.03.2019 dans un contexte de myélome multiple récemment diagnostiqué. Fracture du cotyle G de type colonne antérieure et postérieure hémi-transverse avec impaction du dôme le 30.03.2019. Fracture du cotyle G type 2 colonnes avec fracture du mur postérieur, le 24.03.2019 • Conflit fémoro-acétabulaire sur morphologie de type cam fémur proximal G. Fracture du crâne en 1955. Résection nerveuse pour céphalées post-traumatiques en 1968. Cholécystectomie laparoscopique en 1992, drainage vésiculaire percutanée. Opération bilatérale de la cataracte en 2016. Troubles électrolytiques : • hypokaliémie. • hypophosphatémie. • hypomagnésémie. Fracture du cuboïde gauche sur entorse du Chopard, probable entorse du Lisfranc. Fracture du grand trochanter droit le 13.09.2015 sur prothèse totale de hanche droite opérée le 27.08.2015. Fracture de la pointe de la malléole interne en 2012. Accident ischémique transitoire en décembre 2011. Hystérectomie et annexectomie pour métrorragies en 2006. Cholécystectomie. Pyélonéphrite gauche à E. Coli résistant au Bactrim, Augmentin, Tazobac, intermédiaire à la Rocéphine, sensible à la Nitrofurantoïne en 2013. Fracture du inter-trochantérienne KYLE 2 fémur à droite sur chute mécanique le 08.04.19. Fracture du Lisfranc G le 05.11.2018 avec : • fracture intra-articulaire du cuboïde • composante articulaire du 4ème métatarse. Status post traitement conservateur d'une fracture tête radiale à D type Mason I le 05.11.2018. Fracture du mur postérieur de l'acétabulum D. Fracture du nez opérée. Accident de travail avec plaie inguinale ayant nécessité des points de suture. Pneumothorax gauche évolutif postpose de PAC par ponction le 04.02.2011. Drainage thoracique gauche le 17.02.2011. Suspicion d'infection d'un PAC à gauche le 03.04.2012. Douleurs abdominales sur distension gazeuse digestive le 21.12.2014. Fracture du nez traitée conservativement en 2017. Bronchite virale. Fracture du pied gauche. Fracture du plancher de l'orbite droit avec : • trait de fracture passant par le canal du nerf infra-orbitaire. • hypoesthésie infra-orbitaire. • emphysème sous-cutané. Fracture du plateau inférieur L2 touchant le mur postérieur sur chute à cheval. Fracture du plateau supérieur de L1 type A1. Fracture du plateau tibial droit dans le contexte d'un AVP à basse énergie le 04.04.2019. Fracture du plateau tibial externe gauche type Schatzker II. Fracture du plateau tibial externe non déplacée le 02.03.2019 associée à : • Une lésion probablement partielle du ligament croisé antérieur et du ligament collatéral externe. Fracture du plateau tibial externe type Schatzker II le 28.02.2019, traitée conservativement. Fracture du plateau tibial interne du genou droit, type Schatzker 4 non déplacée le 09.09.2018. Fracture du plateau tibial latéral du genou droit Schatzker II. Fracture du plateau tibial latéral du genou droit Schatzker II. Traumatisme crânio-cérébral. Fracture du plateau tibial postérieur latéral type IV selon Moore sur traumatisme le 25.02.2019. Fracture du poignet droit. Fracture du poignet G avec ostéosynthèse en 2010. Fracture triple du bassin traitée conservativement en 2010.Chute de 3 mètres le 16.06.2018 avec : • Fracture intra-articulaire multifragmentaire du radius distal D. • Fracture de l'ulna distal D. Fracture du poignet gauche dans l'enfance arthrose du poignet gauche Embolie pulmonaire en 2015 Fracture du poignet gauche. Appendicectomie. Entorse poignet gauche. Fracture du poignet gauche. Fracture clavicule gauche. Entorse genou gauche de stade I. Luxation de la rotule droite avec réduction spontanée. Contusion de la face antérosupérieure du tibia gauche, de la rotule gauche et douleurs musculaires de la cuisse gauche. Fracture du processus antérieur du calcanéum à D. Fracture du processus latéral de la tubérosité du calcanéus. Fracture du processus transverse C2 à C5 gauche stable. Fracture du processus transverse D de C3 non déplacée. Fracture du processus transverse de L2 droit. Fracture du processus transverse droit de C3 non déplacée. Fracture du radius distal à D de type chauffeur le 04.02.2019. Syndrome de Sudeck poignet D. Fracture du radius distal à droite le 31.03.2019. Fracture du radius distal à gauche sur traumatisme il y a une dizaine de jours. Fracture du radius distal D. Fracture du radius distal droit avec légère bascule postérieure. Fracture du radius distal droit en motte de beurre le 14.03.2019, contrôle à la filière des urgences ambulatoires car petite déchirure du plâtre au niveau de la face ventrale du pouce. Fracture du radius distal et de la styloïde ulnaire à droite. • Fracture du radius distal et styloïde ulnaire poignet G le 31.03.2019 avec status-post réduction de la fracture et mise en place d'un plâtre fendu. Fracture du radius distal gauche. Fracture du radius distal gauche (AO 23-A2). Entorse légère de la cheville gauche. Fracture du radius distal gauche avec bascule postérieure et fracture en motte de beurre de l'ulna distale le 06.04. Fracture du radius distal gauche en motte de beurre. Fracture du radius distal le 31.03.2019. Fracture du radius distal le 31.03.2019 avec une bascule de 16 degrés dorsale. Fracture du radius distal non déplacée à D le 31.03.2019. • Fracture du radius distal styloïde ulnaire à G le 20.03.2019. • Fracture de la base de la phalange proximale du gros orteil du pied D. Fracture du radius distale D le 26.04.2019. Fracture du radius distale déplacée et ulna distale. Fracture du radius distale intraarticulaire (AO 23-B2) à G le 13.03.2019. Fracture du radius et de l'ulna distal à G avec bascule postérieure le 19.10.2019. Fracture du radius ostéosynthèse en 2017 avec ablation de matériel le 06/09/18. Fracture du rocher gauche avec comblement partiel des cellules mastoïdiennes avec : • CAE sténosé DD : post-traumatique vs composante inflammatoire. • Surdité de transmission gauche. • Audiogramme 13.02.2019 pas d'atteinte cochléaire, perception dans la norme, pas de PF a priori (CHUV). • Pose de mèche de Diprogenta le 13.02.2019 avec changement avec nouvelle mèche de tampogras le 15.02.2019 (CHUV). • Audiogramme le 15.02.2019 : inchangé (CHUV). Fracture du scaphoïde gauche et dissociation scapho-lunaire le 05.03.19 • post chute. Fracture du scaphoïde gauche et dissociation scapho-lunaire le 05.03.2019 sur chute traitée par immobilisation par plâtre. Fracture du scaphoïde type Midwest non déplacée à D le 20.11.2018. Fracture du sinus maxillaire droit, paroi antéro-postérieure et latéro-médiane, avec hématosinus, fracture de la grande aile sphénoïdale, fracture de la berge supéro-postérieure de l'orbite à distance des tissus mous. Fracture du tibia - péroné en 2005 environ, matériel d'ostéosynthèse retiré un an plus tard. Fracture du tibia et fibula proximal non déplacée le 29.04.2019 avec suspicion de syndrome des loges débutant : • augmentation de la circonférence du mollet de 3 cm en quelques heures. • augmentation de la taille de l'hématome avec étendue sur tout le tibia antérieur et postérieur à 6h post-admission. • apparition de phlyctènes de sang augmentant en nombre et taille en regard du plateau tibial. Fracture du tibia et péroné à gauche il y a 14 ans. Plaie de 2.5 cm frontale droite sans perte de substance le 03.06.2018. Fracture du tiers distal de la fibula jambe G. Fracture du tiers distal du radius droit non déplacée en septembre 2013. Cholécystite aiguë lithiasique le 24.06.2016. Cholélithiase symptomatique => Cholécystectomie par le Dr. X. Fracture du tiers distal multifragmentaire de la clavicule à gauche le 11.04.2019. Fracture du tiers latéral de la rotule non déplacée à droite et fracture du radius distal non déplacée du poignet droit. Fracture du tiers moyen de la clavicule D. Fracture du tiers moyen de la clavicule D du 27.02.2019. Fracture du tiers moyen de la clavicule G. Fracture du tiers moyen de la clavicule G, le 28.03.2019. Fracture du tiers moyen de la clavicule gauche. Fracture du tiers moyen de la fibula à gauche, sur traumatisme du 15.02.2019. Fracture du tiers moyen du scaphoïde gauche. Fracture du triquétrum, de l'hamatum et de la base du 3ème métacarpien, main G. Fracture du tubercule majeur gauche le 25.03.2019. Fracture du 4ème métacarpien droit, spiroïde instable avec trouble de rotation avec plaie à la base du thénar. Fracture du 5e métatarsien à G, non daté. Fracture du 5ème métacarpe gauche, déplacée. Fracture du 5ème métacarpien droit en 06.2015 non opérée. Suspicion de lésion LLI genou D. Contusion avant-pied G. Douleur inguinale gauche. Contusion de D5 de la main gauche. Fracture du 5ème métatarse pied D, le 30.03.2019. fracture du 5ème MT G. Fracture D11 et D12 type A1.2 en 2014. Hyponatrémie hypo-osmolaire à 122, asymptomatique (diagnostic différentiel : sur vomissements et diarrhées, sur comportement de potomanie-éthylisme, SIADH). Symptômes B (sudations nocturnes et perte de poids) depuis quelques mois avec : • Alternance entre diarrhée et constipation. • Toux chronique. • Dysphagie à certains solides. • Éthylo-tabagisme. • Diagnostic différentiel : anneau gastrique serré, néoplasie occulte, hormonal. Fracture D12 et L3 ostéoporotique en octobre 2017, traitée conservativement. PTG D en 2017 pour fracture Schatzker V du plateau tibial. PTH D en 1989, changement en 1997 et 2014. PTH G en 1990. APP dans l'enfance. Fracture D8 sans atteinte du mur postérieur (sur IRM du 08.03.2019, Centre Pôle Sud à Bulle). Fracture en bois vert du radius distal D et motte de beurre de l'ulna D le 22.03.2019. Fracture en bois vert du radius distal le 22.04.2019. Fracture en motte de beurre de la métaphyse tibiale supérieure à droite, le 19.04.2019. Fracture en motte de beurre de l'ulna distale D. Fracture en motte de beurre de l'ulna distale D le 29.03.2019. Fracture en motte de beurre du radius D. Fracture en motte de beurre du radius distal à D le 21.03.2019. Fracture en motte de beurre du radius distal D du 27.02.2019. Fracture en motte de beurre du radius distal et métaphysaire distale de l'ulna à droite. Fracture en motte de beurre du radius distal gauche, le 03.04.2019, adressé par pédiatre.Fracture en motte de beurre du radius gauche distal Fracture en motte de beurre, radius et ulna distal à droite le 06.12.2018. Fracture en papillon et fracture de l'os iliaque gauche 2012. Thrombose du membre inférieur et embolie pulmonaire. Hystérectomie. Cholécystectomie. Fracture spiroïde du péroné distal. Chute sur perte d'équilibre avec traumatisme crânien complexe le 12.03.2018 avec hématome sous-galéal pariéto-occipital de 4 mm d'épaisseur et hématome sous-dural gauche de 3 mm d'épaisseur. • CT cérébral 12.03.2018: hématome sous-galéal pariéto-occipital de 4 mm d'épaisseur, sans fracture mise en évidence. Probable hématome sous-dural gauche de 3 mm d'épaisseur dans la portion antérieure de la faux du cerveau. Cystite à Klebsiella pneumoniae et Escherichia coli multisensible avec état confusionnel aigu le 23.03.2018. Fracture en une part selon neer de l'Humérus proximal à G avec une Bankart associée de l'épaule à G. Fracture en 3 parts de humérus proximal G le 30.05.2016, traitée conservativement. Angor stable le 13.01.2018. Fracture enfoncée pariétale droite avec extension jusqu'à la suture sagittale sur chute. Fracture épibasale métacarpe IV et V et fracture de l'os crochu à main D, le 08.08.2018 tt conservativement. Fracture épicondyle latéral coude G type Milch II le 05.03.2019 avec ROOS par plaque et vis le 06.03.2019. Fracture épicondyle radial à D du 10.04.2019. Fracture extra articulaire en regard du condyle de la mandibule (col) à G • Avec fracture du rocher accompagnée. Fracture extra-articulaire de la base de P1 D5 à G, le 19.04.2019, initialement avec défaut d'axe et de rotation, réduite aux urgences le 19.04.2019. Fracture extra-articulaire de l'extrémité distale du radius gauche type AO 23-A2. Fracture extra-articulaire déplacée de l'extrémité distale du radius et fracture de la styloïde cubitale à D; le 29.03.2019. Fracture extra-articulaire du radius distal avec bascule postérieure d'environ 25° et fracture de la styloïde ulnaire D du 25.02.2019. Fracture extra-articulaire du radius distal D le 15.04.2019. Fracture extraarticulaire en bois vert radius distal D le 20.03.2019. Fracture extra-articulaire fémur distal G le 09.04.2019 • Status post OS par PFNA d'une fracture pertrochantérienne G le 20.05.2016. Fracture extra-articulaire humérus G traitée conservativement en août 2016. PTH G en décembre 2013. Cholécystectomie en février 2014. Dermohypodermite jambe D avec lymphangite inguinale en août 2015. Insuffisance rénale aiguë grade III sur déshydratation/infection en août 2015. Fracture extra-articulaire spiroïde diaphysaire de P1 D5 gauche le 26.03.2019, traitée conservativement. Fracture extrémité distale du radius extra-articulaire non déplacée à G le 24.01.2019. Status post ancien traumatisme du radius G avec index radio-ulnaire négatif. Fracture extrémité distale du radius sur chute de sa hauteur le 22.08.2017. Status post-cyphoplastie de L1 par système SpineJack le 19.06.2017 pour fracture L1 de type A3 selon la classification AO. Remplacement de valvulaire aortique par une prothèse biologique Carpentier Edwards 25 le 17.07.2007 pour sténose valvulaire aortique serrée accompagnée d'une plastie de réduction de l'aorte ascendante. Prothèse totale de la hanche gauche et prothèse totale du genou gauche en 2008. Prothèse totale de la hanche droite en 2007. Epanchement pleural gauche d'origine indéterminée • exsudat majoritairement lymphocytaire DD : tuberculose pleurale, néoplasie, lymphome, arthrite rhumatoïde, sarcoïdose, sérosite sur maladie auto-immune, médicamenteux • Thoracoscopie gauche, biopsie pleurale, talcage avec pose de drain et de PleurX le 03.05.2018 • Retrait du drain le 04.05.2018. Fracture face postérieure du calcanéus gauche le 18.04.2019. Fracture fémorale diaphysaire. Fracture Garden I fémur gauche, le 04.04.2019. Fracture Garden I fémur proximal G. sur chute mécanique, le 04.04.2019. Fracture Garden III du col fémoral droit. Fracture genou gauche en 2008. Suspicion de subluxation latérale rotulienne gauche le 30.01.2012. Otite moyenne aiguë à gauche. Suspicion de pityriasis versicolor. Suspicion d'appendicite le 27.07.2018. Fracture Garden IV du col fémoral de la hanche G le 09.04.2019. Fracture hépatique de stade IV sur traumatisme abdominal fermé le 10.09.2018, au décours. Pneumonie basale droite le 29.09.2018. Trouble de la crase dans un contexte de consommation le 10.09.2018. Pneumonie sur atélectases bibasales surinfectées 12.09.2018. Fracture humérale sous-capitale gauche en 2011. Prothèse partielle du genou à gauche. Fracture de l'os pubien gauche. Hystérectomie. Fracture humérus proximal droit en 4 fragments dont arrachement du tubercule majeur. Fracture humérus proximal G en 2 parts impactée en valgus avec une composante head split le 01.01.2019 traitée conservativement. Fracture de la rotule genou G avec composante horizontale et transversale, le 01.01.2019 traitée conservativement. • Status post PTG G en 2003 (Dr. X, clinique générale). Fracture ilion droit. Fracture ilio-pubienne droite et ischio-pubienne gauche. Fracture sacro-iliaque et lésion parcellaire gauches. Fracture impactée du tiers distal du radius et de l'ulna au niveau de l'avant-bras droit le 08.04.2019. Fracture in situ P2 pouce G le 01.02.2019. Fracture intra-articulaire du radius distal gauche non déplacée. Fracture postérieure du sinus frontal droit. Traumatisme crânien avec PC probable. Fracture intra-articulaire avec déplacement minime, au niveau de la surface articulaire de P1-D4 à gauche, le 14.04.2019. Fracture intra-articulaire de la base de P3 Dig II main G le 09.03.2019. Fracture intra-articulaire de la base de P1 du 5ème orteil du pied D le 01.03.2019. Fracture intra-articulaire de la base de P2 Dig I main D, ouverte type Gustilo-Anderson I avec lésion partielle (20%) du tendon extenseur, le 03.04.2019. Fracture intra-articulaire de la base du métacarpien 5 à droite. Fracture intra-articulaire de la tête du 5ème métacarpien à D (main dominante), le 05.04.2019. Fracture intra-articulaire des styloïdes radiale et cubitale gauches le 02.10.2012. Traumatisme crânio-cervical et plaie occipitale, avec éthylisation aiguë à 4,82 pour mille en avril 2014. Suspicion d'une fracture de l'arc antérieur de la 6ème côte droite en avril 2014. Fracture du tiers distal de la clavicule droite sur chute dans un contexte d'alcoolisation aiguë à 4,02 pour mille le 28.06.2014 avec contusion costale droite et parésie du nerf radial. Ethylisation aiguë à 4,38 pour mille dans un probable contexte d'alcoolisme chronique nié par le patient en 2015. Fracture intra-articulaire du radius distal à D non-déplacée le 09.01.2019. Fracture intra-articulaire du radius distal droit avec 1 fragment en 2010. Fracture calcanéum droit en 2010. Fracture intra-articulaire du radius distal droit avec 1 fragment. Fracture calcanéum droit. Fracture intra-articulaire du radius distal droit le 22.01.2019.Fracture intra-articulaire fermée, non déficitaire, de la 2ème phalange de gros orteil du pied droit le 18.04.2019. Fracture intra-articulaire non déplacée du processus antérieur du calcanéus gauche. Fracture intra-articulaire non déplacée du radius distal à G (non dominante), le 17.01.2019. Fracture intra-articulaire peu déplacée radius distal G, le 27.01.2019. Suspicion de syndrome du tunnel carpien G. SCAC poignet G. Suspicion de radiculopathie C6 à gauche. Fracture isolée du tubercule majeur de l'humérus droit, le 21.03.2019. Fracture Jones métatarse V pied droit. Fracture Jones pied G en janvier 2018 avec pseudarthrose. Fracture lame papiracé avec emphysème péri orbitaire gauche. Fracture latérale de la rotule droite sans déplacement ni atteinte articulaire significative le 12.02.2019. Fracture Lisfranc pied droit avec fracture cunéiforme latérale de la base des 2-3-4ème métatarsiens. Fracture Lisfranc sans subluxation pied G. Fracture longitudinale de la rotule gauche : • traumatisme du 17.04.19. Fracture longitudinale de l'occiput jusqu'au foramen ovale post-traumatisme cranien le 09.12.2018. Fracture longitudinale non déplacée de la rotule gauche le 17.04.19. Fracture longitudinale non déplacée du talus avec extension articulaire au niveau de l'articulation talo-naviculaire à D le 23.03.2019. Fracture longitudinale peu déplacée de P2 du pouce G le 01.02.2019. Fracture luxation bimalléolaire droite en 2011. Entorse latérale externe gauche de grade II, le 10.06.2018. Fracture luxation de la cheville G le 01.07.2018 avec : • réduction ouverte et stabilisation de la syndesmose par 2 vis péronéo-tibiales le 11.07.2018 • ablation des fils péronéo-tibial le 24.08.2018 • lésion de faible importance de la branche superficielle du sciatique poplité externe à la hauteur de la tête du péroné (ENMG du 19.02.2019) Fracture Maisonneuve. Fracture Maisonneuve gauche diagnostiquée le 16.04.2019 à Payerne. • Indication opératoire. • Décharge complète et immobilisation par VacoPed. • CT jambe gauche du 16.04.2019 pacsée. Fracture malléole externe cheville G Weber B le 05.04.2019. Fracture malléole externe gauche Weber A. Fracture malléole latérale type Weber B instable avec lésion du ligament deltoïde cheville G, le 19.03.2019. Fracture malléole médiale de la cheville droite, non déplacée. Fracture Mason I de la tête du radius G. Entorse cheville D grade I. Fracture Mason I de la tête radiale du coude gauche traumatique le 06.04.2019. Fracture médio-diaphysaire de la clavicule D le 24.10.2018. Fracture médio-diaphysaire multi-fragmentaire du 3ème métacarpien D. Fracture métacarpe I déplacée type Bennett main D 11/2011 • réduction ouverte et ostéosynthèse par 2 vis Compact Hand 1.5 métacarpe I D (OP le 25.11.2011) Contusion avec dermabrasion pariétale G 11/2011. Fracture métacarpe II distal DD contusion • Rx main droite : suspicion de fracture motte de beurre métacarpe II distal. Fracture méta-diaphysaire humérus proximal G, déplacée secondairement; accident du 21.04.2019. Fracture métaphysaire de l'humérus proximal G, avec un déplacement secondaire. Fracture métaphysaire déplacée Dig V, phalange proximale gauche, avec défaut de rotation, le 19.04.2019. Fracture métaphysaire distale du radius et ulna à gauche. Fracture métaphysaire distale du radius gauche le 17.04.2019. Fracture métaphysaire du radius distal à G. Fracture métaphysaire du radius distal D. Fracture métaphysaire du radius distal droit. Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle, suite à une chute à poney le 24.04.2019. Fracture métaphysaire du radius distal gauche peu déplacée sur un traumatisme du 29.03.2019. Fracture métaphysaire du tibia proximal droit. Fracture métaphysaire humérus prox G. Suspicion de fracture d'épicondyle médiale coude G pas déplacée. Tombé en vélo. Douleurs au niveau d'humerus proximal. Mobilisation d'épaule pas possible en raison des douleurs. Légères douleurs à la palpation d'épicondyle médiale mais mobilisation complète. Pas douleurs en pronation ou supination. Pas douleurs au poignet. Pas TNV distaux. Gilet ortho. Contrôle Dr. X mercredi prochain avec Rx de l'épaule. Fracture métaphysaire humérus proximal Gauche. Fracture métaphysaire non déplacée du radius G. Fracture métaphysaire radius distal droit. Fracture métaphysaire radius distal gauche avec inclinaison postérieure. Fracture métaphysaire transverse du radius distal droit sans bascule et sans trouble neuro-vasculaire avec arrachement de la styloïde ulnaire. Fracture monocondylienne base P2 Dig 4 ouverte type Gustillo-Anderson II de la main D avec : • plaie délabante de la face ulnaire de P2 D4 droite • section de la bandelette latérale (ulnaire) • arthrotomie IPP • pas de lésion VN visible intraopératoire. Fracture motte de beurre de l'ulna distal G. Fracture motte de beurre du radius distal G, le 03.04.2019. Fracture motte de beurre du radius distal G le 30.04.2019. Fracture motte de beurre radius Droit. Fracture motte de beurre radius droit avec déviation 9°. Fracture motte de beurre radius 1/3 distal. Fracture motte de beurre radius 1/3 distal à G. Fracture motte de beurre tibia et péroné distal gauche. Fracture motte de beurre ulna sans déviation. Fracture multi-fragmentaire de la pointe rotulienne gauche le 23.09.13. Status post ablation des polypes nasaux. Status post lifting des paupières des 2 côtés. Traumatisme crânien sans perte de connaissance avec : • plaie à l'arcade sourcilière droite de 5 cm. • fracture de l'arcade zygomatique droite. • fracture à la paroi latérale de l'orbite droite. • fracture du sinus maxillaire, paroi antérieure et postérieure. Fracture multi-fragmentaire de l'omoplate G le 08.04.2019. Fracture multi-fragmentaire de l'omoplate gauche sans pneumothorax associé le 08.04.2019 • Rx épaule et omoplate, CT : voir diagnostic. Fracture multi-fragmentaire dispatchée le 06.03.2019. Signes dégénératifs de l'articulation talo-fibulaire et tibio-talaire.Syndrome des loges de la jambe G, le 07.02.2019 • Fermeture de fasciotomies le 12.02.2019 • Hématome liquéfié drainé par la cicatrice latérale • Ablation du fixateur externe et réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque le 19.02.2019 • Évacuation d'un hématome, prise de biopsie, fermeture le 17.03.2019 Fracture multifragmentaire intraarticulaire du radius distal droit (AO-Type: 23R3C) le 17.04.2019 • Reposition et plâtrage fendu • Retour à domicile avec opération en ambulatoire le 25.04 • Antalgie • ORIF par double abord (dorsal et palmaire) (OP le 25.04.2019) Fracture multifragmentaire intraarticulaire du radius distal droit le 17.04.2019. Fracture multifragmentaire intraarticulaire du radius distal droit le 17.04.2019. Fracture multifragmentaire intra-articulaire du radius distal gauche et de la styloïde ulnaire gauche. Fracture multifragmentaire non déplacée de l'os cunéiforme médial et arrachement à sa partie supérieure • contusion cheville gauche avec atteinte du ligament de Lisfranc le 01.08.2015. Fracture multifragmentaire P2 O1 à droite. Fracture murs antérieur et latéral du sinus maxillaire D, associée à fracture du plancher de l'orbite D sur chute le 15.04.2019 • Traumatisme crânien sans perte de connaissance Fracture non déplacée de la base de la métacarpophalangienne du 5ème doigt de la main gauche. Fracture non déplacée de la base de la 2ème phalange du 2ème doigt Fracture non déplacée de la base de la 2ème phalange du 2ème doigt. Fracture non déplacée de la base de la 2ème phalange du 2ème doigt. Fracture non déplacée de la base de la 2ème phalange du 2ème doigt. Fracture non déplacée de la base radiale de P1 Dig II à droite. Fracture non déplacée de la base 4ème métacarpe main D (non dominante) le 28.02.2019. Fracture non déplacée de la branche ischio-pubienne et du mur acétabulaire antérieur G, le 06.04.2019 Fracture non déplacée de la diaphyse du 1er au 3ème métatarse du pied droit. Fracture non déplacée de la malléole postérieure D, traitée conservativement le 04.02.2019. Fracture non déplacée de la phalange proximale du 4ème orteil gauche, chez une patiente née avec 4 orteils. Fracture non déplacée de la plaque palmaire de la phalange moyenne du 3ème rayon Fracture non déplacée de la première phalange du 5ème orteil du pied gauche. Fracture non déplacée de la rotule sagittale genou gauche suite à un traumatisme par contusion et hyper-extension du genou le 07.04.2019. Fracture non déplacée de la rotule sagittale genou gauche suite à un traumatisme par contusion et hyper-extension du genou le 07.04.2019. Fracture non déplacée de la styloïde radiale droite. Fracture non déplacée de la tête de la fibula, le 07.07.2017. Fracture non déplacée de la tête des 4ème et 5ème métatarsiens gauche par écrasement. Traitement conservateur par chaussure de Barouk avec suivi à la policlinique d'orthopédie dans 7 jours. Thromboprophylaxie par Xarelto 10 mg pendant 6 semaines. Fracture non déplacée de la tête du 4ème métatarsien G et contusion du médio-pied le 23.01.02019. Fracture non déplacée de la tête radiale droite le 15.04.2019. Fracture non déplacée de la tête radiale droite le 15.04.2019 : • plâtre cassé. Fracture non déplacée de la 1ère phalange du gros orteil. Fracture non déplacée de la 2ème phalange du gros orteil du pied gauche le 16.04.2019. Fracture non déplacée de la 3ème phalange de l'annulaire gauche avec plaie superficielle au niveau de la face palmaire en regard de la 3ème phalange de l'annulaire datant du 29.03.2019. Fracture non déplacée de l'arc postérieur de la 12ème côte, sur chute de 3 m, le 15.04.2019. Fracture non déplacée de l'épicondyle médial coude droit. Fracture non déplacée des parois antérieures des ailerons sacrés des deux côtés. Fracture non déplacée distale D4 main droite et contusion cheville droite sur chute accidentelle. Fracture non déplacée du col scaphoïde gauche. Fracture non déplacée du grand trochanter D le 18.04.2019. Fracture non déplacée du péroné diaphysaire jambe droite le 16.03.2019. Fracture non déplacée du processus coronoïde de l'ulna proximal et de la fosse olécrânienne D, le 17.04.2019. Fracture non déplacée du radius distal, avec : Fracture non déplacée du scaphoïde gauche au niveau de la partie médiale. Fracture non déplacée du tiers distal de l'ulna gauche. Fracture non déplacée du tiers moyen de la clavicule D. Fracture non déplacée du trochiter G en 2013. Névrite vestibulaire le 13.08.2014. Troubles neurocognitifs légers. Nutrition entérale par SNG du 25.05 au 30.05.2018. Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale AKIN 3 le 20.05.2018. Fracture non déplacée du tubercule du trapèze droite, le 03.01.2019 Fracture non déplacée du tubercule majeur épaule D (dominante) le 02.02.2019. Fracture non déplacée, incomplète du col du radius droit, le 23/03/19. Fracture non déplacée, incomplète du col du radius droit, le 23/03/19. Syndrome de l'essuie-glace genou D. Fracture non déplacée olécranienne G le 17.02.2019. Fracture non déplacée os naviculaire main droite le 24.04.2019. Fracture non déplacée phalange distale Dig. V main droite. Fracture non déplacée P2 5ème orteil à gauche. Fracture non déplacée tête 2ème métacarpien main gauche le 06.04.2019. Fracture non déplacée transverse de la phalange distale extra-articulaire du Dig V de la main G. Fracture non déplacée de la partie tympanique de l'os temporal gauche, sur traumatisme crânien avec perte de connaissance, probablement vaso-vagale, le 06.04.2019. Fracture non déplacée du tiers distal de la clavicule G type I selon Neer le 08.01.2019. Fracture non déplacée grand trochanter droit 18.04.2019 Fracture non déplacée type Weber B de la cheville droite le 25.03.2019. Fracture occipitale droite étendue le 05.04.2019 Fracture olécrane gauche Fracture omoplate G non déplacée du 09.02.2019. Fracture os naviculaire avec arrachement bord médial du talus D le 22.01.2019 traitée conservativement. Tendance pes plano valgus. Fracture os propre du nez et fracture lame papyracée ethmoïde au CT du 17.02.2018, déjà connu par le patient. Consommation d'alcool chronique avec plusieurs consultations aux urgences pour éthylisation aiguë. Fracture os propre nasal Fracture ostéochondrale déplacée du pôle inférieur de la rotule gauche. Fracture ostéoporotique de D12 type A3 selon la classification AO Spine. Fracture ostéoporotique D11 avec impaction du plateau inférieur • Status post-biopsie D12, cyphoplastie D12 par VBS et cimentage par Vertecem 6cc le 04.03.2019 pour fracture D12 type Burst A3 Fracture ouverte au 1er° radius/ulna distal G le 23.03.2009, traitée par OS Fracture plurifragmentaire, intra-articulaire radius distal G en août 2002, traitée par OS Fracture trimalléolaire cheville G en 1994 traitée par OS Fracture déplacée du radius distal D le 16.05.2016 PTH bilatérale, à G en 2005 Cholécystectomie Fracture ouverte au 1er° radius/ulna distal G le 23.03.2009, traitée par OS Fracture plurifragmentaire, intra-articulaire radius distal G en août 2002, traitée par OS Fracture trimalléolaire cheville G en 1994 traitée par OS Fracture déplacée du radius distal D le 16.05.2016 PTH bilatérale, à G en 2005 Cholécystectomie Fracture ouverte avec arrachement P3 D3 main gauche le 22.04.2019 avec arrachement du lit unguéal • ablation de l'ongle, suture du lit unguéal par PDS 6,0 et fixation de l'ongle par Prolen 3,0. Fracture ouverte avec arrachement P3 D3 main gauche le 22.04.2019 avec arrachement lit unguéal. Fracture ouverte avec arrachement P3 D3 main gauche le 22.04.2019 avec arrachement lit unguéal • Ablation ongle, suture lit unguéal par PDS 6,0 et fixation ongle par Prolen 3,0 • Fracture ouverte de la base de P2 gros orteil pied D le 26.03.2019 • Onychomycose • Fracture ouverte de la houppe de la 3ème phalange de l'auriculaire de la main droite le 01.04.2019. • Fracture ouverte de la houppe phalangienne avec lésion du lit unguéal de D4 de la main gauche. • Fracture ouverte de la phalange distale du pouce droit. Avec perte de substance • Fracture ouverte de la phalange distale du pouce gauche en juin 2012 • Cure de hernie ombilicale en 1965 • Cure de hernie inguinale par Lichtenstein à droite (19.12.2016, Dr. X) • Cure de canal carpien (22.11.2018, Dr. X) • Fracture ouverte de la 3ème phalange du 2ème doigt et amputation pulpaire du 3ème doigt de la main gauche. • Cervicalgies post-traumatisme crânien sur chute de 2,40 m. • Piqûre avec une aiguille propre le 24.02.2016. DD: arthrite septique de l'interphalangienne distale. • Piqûre plantaire par une épine du pied gauche avec hématome environnant. • Fracture ouverte de la 3ème phalange du 3ème doigt. • Fracture ouverte de la 3ème phalange du 4ème doigt de la main droite. • Fracture ouverte de l'os propre du nez et des sinus maxillaires bilatéralement (2016) • Cure d'hernie discale (2007) • Pneumonie basale droite • Insuffisance rénale aiguë chronique AKIN stade 1 de probable origine pré-rénale • Désorientation d'origine multifactorielle (vasculaire, dégénératif et toxique) • Fracture ouverte de P2 proximal intra-articulaire de D1 de la main D avec plaie profonde de 0,3 mm de profondeur de 2 cm de longueur en hémi-circonférence radiale du pouce D avec possible arthrotomie le 03.04.2019 • Fracture ouverte de P3 Dig III main gauche le 25.03.2019. • Fracture ouverte de P3 4ème doigt main G. • Fracture ouverte du bassin avec : • Fracture branche ischio-pubienne droite. • Suspicion d'une atteinte du sacrum droit avec minime atteinte de l'articulation sacro-iliaque. • Volumineux hématome au niveau fémoro-inguinal droit. • Emphysème sous-cutané et intramusculaire. • Présence d'une dermabrasion au niveau du haut de la cuisse interne droite avec petite plaie érosive du scrotum droite avec saignement actif. • Fracture ouverte du doigt III de la main gauche avec perte de substance de la pulpe. • Fracture ouverte du doigt 3 droit par une agrafe le 28.02.2019. • Fracture ouverte du nez avec une plaie de 1,5 cm le 29.04.2013 • Plaie 1,5 cm région fronto-pariétale D le 23.06.2014 • Fracture ouverte du radius distal à gauche avec bascule postérieure le 26.04.2019 avec • fracture du processus styloïde ulnaire • Fracture ouverte et déplacée de P1 Dig III G avec lésion partielle de la bandelette latérale ulnaire de l'extenseur en zone 3, le 11.04.219 • Fracture ouverte phalange distale de D4 main G • Fracture ouverte P2 premier orteil G le 30.03.2019. • Fracture ouverte P2 1er orteil gauche. • Fracture ouverte P3 D3 main D Gustilo I. • Fracture ouverte P3 IV doigt main droit. • Cholecystectomie. • Césariennes. • Fracture par arrachement du capitatum et de l'hamatum le 29.04.2019 sur traumatisme le 28.04.2019. • Fracture par compression latérale du bassin le 04.02.2019 avec : • Fracture de l'aileron sacré D, Denis I • Fracture de la branche ilio-ischio-pubienne à G • Fracture de la branche ilio-pubienne à D (partie haute) • Fracture par enfoncement de la surface articulaire de la base de P3 D3 à G le 14.12.2018 avec lésion du collatéral radial de l'IPD. • Fracture pariétale gauche qui s'étend jusqu'à la scissure sagittale, hématome épidural associé de 2 mm, hématome sous-arachnoïdien pariétal gauche le 24.09.2016 • CT-scanner: fracture pariétale gauche qui s'étend jusqu'à la scissure sagittale, hématome épidural associé de 2 mm maximum, hématome sous-arachnoïdien pariétal gauche • CT-scanner injecté pour exclure thrombose: échec, images non-claire vu mobilisation du patient • Dafalgan 80 mg reçu à 19h • Surveillance neuro aux 30 mn • Monitoring cardio-respiratoire en continu • Labo: FSC: GB 16 G/l, Hb 122 g/l, PLT 492 G/l crase: TP 91%, INR 1,1, PTT 40 s gazo à 20h50: pH 7.17, lactates 9, pCO2 8.4, EB à 5.5 (veineux, erreur technique? ne correspond pas à l'état de patient) gazo à 21h50: pH 7.33, pCO2 5.7, BIC 22, lact 3.6, Glu 4.6 (veineux) Nacl 0.9 % 300 ml/ 24 h • Fracture patella droite en 2017 • Maladie de Dupuytren • Injection de cortisone doigt 4 main droite le 29.10.2018 • Fracture patellaire gauche. • Fracture pathologique bilatérale des clavicules dans un contexte de myélome multiple le 06.06.2018 • Fracture de l'humérus D le 24.07.2018 • Pyélonéphrite droite le 01.06.2018 • Hypercalcémie le 09.06.2018 • Hypercalcémie traitée par Zometa 28.03.18 • Hypercalcémie traitée par Zolendronate le 28.03.2018 • Myélopathie D3: • Fracture pathologique D3 le 25.02.2018 avec : • Paraparésie aiguë le 25.02.2018 • Décompression D2-D4 via laminectomie, résection d'une tumeur, amputation radix D3, spondylodèse D1-D5 le 25.02.2018 (histologie: néoplasie par plasmocytes) • Réhabilitation à Montana du 06.03.2018 au 01.06.2018 • Cure de hernie inguinale 1964 • Chirurgie de l'œil gauche pour glaucome en 1961 • s/p fracture tassement de D12 • Fracture pathologique en T du cotyle et fracture pathologique du col fémur G sur radio-ostéonécrose. • Status post radiothérapie en 2000 pour un adénocarcinome de la prostate avec récidive biochimique en 2017. • Fracture péri prothétique du fémur distal droite sur chute mécanique de sa hauteur le 11.04.2019 • Fracture péri-prothétique du cotyle D le 29.01.2019. • Fracture périprothétique du fémur distal G déplacée le 13.04.2019 • Fracture périprothétique du fémur distal gauche déplacée le 11.04.2019 • Fracture périprothétique du fémur proximal D type Vancouver AG le 06.04.2019 sur status post • Implantation PTH D en 2000 (Dr. X) • Fracture péri-prothétique du pilier acétabulaire postérieur G et fracture de la branche ischio-pubienne G sur traumatisme le 07.02.2019 • Fracture périprothétique fémur proximal D type Vancouver B2 • Implantation PTH D en 1998 • Fracture périprothétique G type Vancouver B2 sur: • Status post PTH G en 1996 • Fracture périprothétique genou G type Vancouver B1 en 2014 • Fracture périprothétique genou G type Vancouver B1 en 2014 • Ostéosynthèse par plaque LISS d'une fracture périprothétique type Felix 2 du tibia G, le 29.04.2014 • Fracture sacrum aile G et fracture branche ischio-pubienne G en 2011 • Ostéosynthèse par plaque LISS fémur distal G sur fracture périprothétique fémur distal G le 14.12.2008 (Dr. X) • PTG G en 2001 • TVP en 2001 • PTH G en 1998 • Fracture périprothétique genou G type Vancouver B1 en 2014 • Ostéosynthèse par plaque LISS d'une fracture périprothétique type Felix 2 du tibia G, le 29.04.2014 • Fracture sacrum aile G et fracture branche ischio-pubienne G en 2011 • Ostéosynthèse par plaque LISS fémur distal G sur fracture périprothétique fémur distal G le 14.12.2008 (Dr. X) • PTG G en 2001 • TVP en 2001 • PTH G en 1998 • Fracture périprothétique humérus G le 14.03.2019 sur status post • Implantation prothèse inversée épaule G le 11.03.2011 sur nécrose tête humérale et érosion de la glène par les vis post OS par plaque Philos d'une fracture 4 parts humérus proximal G en janvier 2011 • Fracture périprothétique sur PTH Fémur gauche, le 07.04.2019 • Fracture péri-prothétique tibia proximal sur status post-mobilisation sous narcose avec bloc fémoral sur une mobilité insuffisante après PTG et ostéotomie fémorale de varisation d'ouverture externe de 10° dans le contexte d'une gonarthrose valgisante à droite le 23.05.2018.Fracture périprothétique type Vancouver B2 fémur proximal G, le 28.02.2019. Status post réduction ouverte, OS par plaque LCP 4.0 28 trous et cerclage fémur G (OP le 06.03.2019) Fracture périprothétique Vancouver A G non déplacée à G du 20.04.2019. Fracture péroné gauche. Entorse stade I de la cheville droite le 22.03.2016. Fracture pertrochantérienne avec extension sous-trochantérienne D, le 08.04.2019. Fracture pertrochantérienne D Kyle III le 20.12.2018 traitée par réduction fermée et ostéosynthèse par clou PFNA le 21.12.2018 Mise en place d'un PFNA à G en 2013. Fracture pertrochantérienne de la hanche droite le 16.04.2019. Fracture pertrochantérienne de la hanche droite traitée par réduction fermée et ostéosynthèse par clou Gamma court, le 06.06.2017. Fracture per-trochantérienne droit, le 26.04.2019 • Contexte de chute d'origine indéterminée. Fracture pertrochantérienne droite (Kyle 2) sur chute, le 21.01.2019 traitée par PFNA fémur droit le 23.01.2019. Ulcère gastrique probablement d'origine postopératoire. FA paroxystique dans le contexte hypovolémique le 23.01.2019. Oedèmes des membres inférieurs D>G d'origine mixte. Perturbation spontanée de la crase le 21.01.2019 - TP à 56% : Konakion 10 mg dose unique le 23.01.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 22.01 et le 12.02.2019. Infection urinaire haute à Proteus mirabilis 12.02.2019. Diarrhées post ATB le 19.02.2019. Anémie normocytaire hypochrome postopératoire le 23.01.2019, probablement dans un contexte d'hématome massif per-opératoire, traitée par transfusions (5 CE). Décompensation cardiaque NYHA II-III à FEVG préservée en mai 2018. Fractures costales gauche de VII-IX le 27.10.2017 avec emphysème cutané et minime pneumothorax. Pyélonéphrite obstructive droite à E. Coli sur calcul urétéral distal avec IRA post-rénale traitée par pose de sonde double en avril 2011. Prothèse totale de genou droite en 2010. Abcès hépatique en 2005 traité conservativement. Diverticulites à répétition. Cure de rectocèle en 1985. Hystérectomie en 1980. Cure d'hallux valgus en 1960. Appendicectomie en 1939. Fracture pertrochantérienne droite le 20.03.2019 sur chute • Repositionnement fermé par clou médullaire fémur proximal droit le 21.03.19. Fracture pertrochantérienne du fémur gauche. Fracture pertrochantérienne G le 15.04.2019. Fracture pertrochantérienne G type Kyle I, le 15.04.2019. Fracture pertrochantérienne gauche. Fracture pertrochantérienne gauche sur chute mécanique le 12.04.2019. Fracture pertrochantérienne Kyle III à D avec réduction et OS par clou endomédullaire PFNA D le 09.02.2019. Fracture pertrochantérienne type Kyle I hanche D le 04.04.2019. Fracture peu déplacée de la base P1 Dig V à droite, le 10.04.2019. Fracture peu déplacée de la face dorsale du triquetrum. Fracture peu déplacée de la tête du 5ème métacarpien, main D sur traumatisme direct le 23.01.2019. Fracture peu déplacée du condyle externe du coude droit. Fracture peu déplacée du tibia diaphysaire à G le 17.02.2019. Fracture peu déplacée du tiers moyen de la clavicule D le 27.03.2019. Fracture peu déplacée du tiers moyen de la clavicule D le 27.03.2019. Fracture peu déplacée du tiers moyen de la clavicule gauche. Fracture peu déplacée du triquétrum G le 31.01.2019. Fracture phalange proximale Dig III et fracture phalange proximale Dig II ouverte type Gustillo I main G. Fracture phalangette grand orteil pied gauche le 11.04.2019. Fracture plateau tibial externe genou droit sur chute à ski le 22.02.2016. Réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque V-Lock plateau tibial externe genou droit (OP le 01.03.2016). Fracture plateau tibial interne/externe jambe G type Moor V, le 03.03.2019. Fracture plurifragmentaire du tiers médian de l'ulna D type 2UB3 selon AO; le 23.11.2018 : • status post réduction ouverte et OS ulna D par vis de traction 2.7 et plaque 10 trous LC-DCP 3.5 le 27.11.18. Fracture pluri-fragmentaire du tiers moyen de la clavicule droite, le 14.04.2019. Fracture, pôle distal scaphoïde, non déplacée à G le 13.03.2019. Fracture Pouteau Colles gauche, le 23.12.2011. Cure de varices aux membres inférieurs en 2006. Cholécystectomie en 1982. Appendicectomie. Prothèse totale de hanche droite par voie antérieure mini-invasive sur coxarthrose invalidante, le 06.03.2014. Anémie normochrome normocytaire postopératoire avec Hb à 87 g/l, le 10.03.2014. Fracture de la malléole externe D Weber B sur chute mécanique, le 05.02.2016, traitée conservativement. Pic hypertensif sur anxiété le 11.11.2016. Fracture de rotule droite. Pic hypertensif le 15.04.2017, avec composante psychogène. Fracture processus stylo-radial le 11.04.2019 • contexte de chute de 2.5 mètres. Fracture proximale humérale droite avec impaction vagale le 23.04.2019 sur: • Chute accidentelle à domicile dans un contexte de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • déconditionnement • polyneuropathie périphérique sensitivomotrice mixte myélinique et axonale des membres inférieurs • lombosciatalgies chroniques multi-opérées • OMI chroniques sur insuffisance veineuse • actuellement : Lyrica 50 mg 2x/jour dès le 20.03.2019. Fracture pseudo-Jones du 5ème métatarsien du pied D. Fracture pseudo-Jones du pied gauche. Fracture Pseudo-Jones 5ème métatarse du pied à droite. Fracture P1 du pouce à G. Fracture P1 pouce gauche. Fracture P1D3 main gauche. Fracture P2 2ème orteil pied gauche. Fracture P3 D5 ouverte avec arrachement de l'ongle et fracture P3 D4 à droite. Fracture radiale distal gauche, non déplacée avec suspicion clinique de fracture du scaphoïde. Fracture radiale G en 2005. Panaris en 2016. Excision de basaliome joue gauche 2008. Excision de basaliome mollet gauche. Hépatite A non datée. Fracture radio-ulnaire distale (AO 2R3A3.3, 2U3A2, bascule radiale dorsale 30°) gauche le 27.03.2019. Fracture radius distal droit non déplacée. Fracture radius distal + fracture de la base du P1D3 G. Fracture radius distal et ulna à droite, le 13.04.2019. Fracture radius distal, extra-articulaire et styloïde ulnaire à gauche, avec déplacement minime, le 20.04.2019. Fracture radius distal extra-articulaire poignet droit. Fracture radius distal G type AO 23r-M3.1, le 23.03.2019. Fracture radius distal intra-articulaire à gauche. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Aptus le 13.03.2019. Fracture radius distale droite avec bascule postérieure 15° le 25.09.12. Fracture radius droit avec bascule antérieure du segment distal. Dissociation complète du TFCC et DRUJ. Fracture radius droit type Galeazzi avec arrachement de la styloïde ulnaire - dissociation complète du TFCC et DRUJ. Fracture radius droite en 2010. Traumatisme crânien (chute d'une plaque en métal de 80 kg) le 24.02.2017 : • pas de perte de connaissance ni d'amnésie circonstancielle.• plaie occipito-temporale de quelques millimètres (pas de saignement actif). • Contusion de la scapula gauche le 24.02.2017. • Fracture radius motte de beurre. • Fracture radius ulna distal traitée conservativement. • Fracture rayon Lisfranc G avec fracture de la base des métatarsiens 1-2-3-4 le 14.02.2019. • Fracture récente L2 stable 28.03.2019. • Fracture rotule longitudinale sur patella bipartita genou gauche. Immobilisation dans une attelle Jeans en extension pour 4 semaines Charge complète Voltarène Dafalgan (en réserve). • Distorsion cheville droite (lésion ligamentaire talo-fibulaire antérieure droite). Attelle Aircast. • Fracture Salter Harris II de la base de P1 D1 à droite du 28.03.2019. • Fracture Salter Harris II de la base de P1 D5 à droite. • Fracture Salter Harris II de la base P1 D2 main droite le 14.03.1209. • Fracture Salter Harris II de la malléole externe de la cheville D le 13.11.2018. • Fracture Salter Harris II de la tête du 5ème métacarpe G du 17.03.2019. • Fracture Salter Harris type II de la base de la phalange proximale du 5ème rayon. • Fracture Salter Harris type II de la base de la phalange proximale du 5ème rayon le 24.03.2019. • Fracture Salter I du radius distal avec bascule postérieure et fracture motte de beurre de l'ulna distale, avec réduction fermée sous anesthésie générale le 06.04.2019. • Fracture Salter I du radius distal D. • Fracture Salter II base de P1 (côté ulnaire) D2 à D le 15.03.2019. • Fracture Salter II base de P1 Dig V à droite, le 04.04.2019. • Fracture Salter II base métacarpe 1 main droite le 24.04.2019. • Fracture salter II base P2 hallux gauche. • Fracture Salter II de la base de la phalange proximale de D IV main D ; accident du 30.03.2019. • Fracture Salter II de la base de la première phalange du 5ème doigt de la main droite. • Fracture Salter II de la base de P1 D1 D ; accident du 28.03.2019. • Fracture Salter II de la base de P1D5 à droite. • Fracture Salter II de la base du 1er métacarpien G. • Fracture Salter II du radius distal gauche. • Fracture Salter II D2, D2, gauche. • Fracture Salter II In Situ du radius distal G non déplacée. • Fracture Salter II malléole externe droite. • Fracture Salter III de la fibula distale droite et rupture du ligament tibio-fibulaire antérieur sur traumatisme du 13.03.2019. • Fracture salter 2 P1 doigt 5 gauche. • Fracture Salter 2 P2 O5 G. • Fracture Salter-Harris de type 3 du 4ème métatarse distale. • Fracture Salter-Harris II base métacarpe I main gauche. • Fracture Salter-Harris III du péroné distal droit. • Fracture Salter-Harris 2 base du 1er métacarpe pouce gauche. • Fracture scaphoïde gauche. • Fracture autre os du carpe gauche. • Contusion de la styloïde ulnaire gauche le 24.10.2016. • Fracture SH2 de la fibula distale gauche avec minime déplacement. • Fracture SH2 phalange 1 du pouce gauche. • Fracture sous-capital humérus D avec une angulation en valgus de 15°. Status post fracture radius distal métaphysaire D avec une bascule de 25° du 07.02.2018. • Fracture sous capitale du 5ème métacarpien droit. Status post fracture sous capitale du 5ème métacarpien droit en 2011, traitée conservativement. Contusion du 5ème doigt à droite. • Fracture sous capitale humérus droit. • Fracture sous capitale humérus droit type Neer 4 parts déplacée sur chute mécanique le 30.03.2019. • Fracture sous capitale non déplacée de la tête proximale du péroné le 09.03.2019. • Fracture sous-capital du 5ème métacarpe de la main D le 17.02.2019. • Fracture sous-capital du 5ème métacarpe main droite le 11.04.2019. • Fracture sous-capital du 5ème métacarpien à G non dominante le 17.03.2019. • Fracture sous-capitale de l'épaule G avec une bascule postérieure de 30°. • Fracture sous-capitale de l'humérus D. • Fracture sous-capitale de l'humérus proximal gauche déplacée en varus, avec défect de substance osseuse métaphysaire subaiguë sur chute du 11.04.2019. • Fracture sous-capitale des métatarses III et IV du pied gauche. • Fracture sous-capitale du 5ème métacarpien de la main D le 17.12.2018 avec : - angulation antérieure à 25°. Fracture de la base du premier métacarpien. • Fracture sous-capitale du 5ème métacarpien de la main D le 17.12.2018 avec : - angulation antérieure à 25°. Fracture de la base du premier métacarpien type Salter II pouce D non datable. • Fracture sous-capitale du 5ème métacarpien de la main droite avec déplacement d'environ 30°. • Fracture sous-capitale du 5ème métacarpien droit. • Fracture sous-capitale épaule D du 10.04.2019. • Fracture sous-capitale humérale droite déplacée le 23.04.2019. • Fracture sous-capitale humérus D le 09.04.2019. • Fracture sous-capitale multi-fragmentaire non déplacée de l'humérus G le 19.01.2019. • Fracture sous-capitale non déplacée de la tête des 4ème et 5ème métatarsiens gauche. • Fracture sous-capitale peu déplacée de l'humérus gauche. • Fracture sous-capitale pluri-fragmentaire 5ème métacarpien main D le 19.01.2019. Status post fracture diaphysaire MC V mars 2018 traitée conservativement. Rhizarthrose symptomatique à D. • Fracture sous-capitale radius gauche du 02.06.2012. Attelle dorsale pour 1 semaine Contrôle à la consultation orthopédique dans 1 semaine. • Fracture sous-capitale 5ème métacarpien à D. • Fracture sous-chondrale du plateau tibial externe (entorse stade 2 du ligament latéral interne, contusion du condyle fémoral interne) du genou gauche. • Fracture sous-trochantérienne droite le 08.04.2018. Ostéosynthèse du fémur proximal par PFNA long et cerclage (OP le 09.04.2018). Etat d'agitation d'origine inconnue le 15.10.2018 : - chez patient connu pour démence à corps de Lewy. Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 15.10.2018. - GFR selon Cockcroft-Gault 34 mL/min - FE Urée 53.5 %. • Fracture spiroïde de la première phalange du 4ème orteil du pied gauche. • Fracture spiroïde déplacée de l'humérus distal le 06.04.2019. • Fracture spiroïde déplacée du radius et fracture de l'ulna le 15/04/19. • Fracture spiroïde diaphyse tibia droit sans signe de syndrome de loge. • Fracture spiroïde tibia D sans déplacement suite à une chute à ski le 26.01.2019. • Fracture spiroïde tibia D, traumatisme du 07.03.2019. • Fracture spiroïde tibia distal D le 27.01.2019. • Fracture splénique dans l'enfance traitée conservativement. Ostéosynthèse clavicule D 2x dans l'adolescence, puis AMO. Appendicectomie dans l'adolescence. Accident de BMX avec fractures multiples du pied D ostéosynthé comme en 5 fois en 2010. 7x TCC + env 20 TC simples en l'espace de 24 ans, non séquellaires. Opération du septum nasal en 2015. Céphalées inhabituelles le 04.02.2018. • Fracture spontanée de la malléole interne G, diagnostiquée le 11.02.2019. • Fracture Stalter II radius distal à D, non déplacée, le 17.03.2019. Fracture sub-capital du 5ème métacarpe de la main droite. Fracture supra condylienne déplacée en extension coude D, avec une composante du condyle radial et fracture du col radial. Fracture supracondylienne basse, déplacée, de l'humérus gauche datant du 01.02.2019 • Plaie chronique suite à une prothèse complète du coude à gauche le 14.02.2019 • hématome constitué loco-régional à haut risque d'infection • 4 sites de nécrose sèche. • hypoesthésie suivant territoire du nerf ulnaire Fracture supracondylienne coude D déplacée en extension. Fracture supra-condylienne coude droit. Fracture supra-condylienne de l'humérus distal D, déplacée en extension; accident du 29.03.2019, traitée conservativement. Fracture supracondylienne de l'humérus distal D en motte de beurre. Fracture supracondylienne de l'humérus distal droit Lagrange 1, le 02.04.2019. Fracture supra-condylienne de l'humérus gauche. Fracture supracondylienne de l'humérus gauche, le 11.04.2019. Fracture supra-condylienne droite Gartland II. Fracture supracondylienne du bras droit DD: Fracture condyle radial du bras droit. Fracture supracondylienne humérale distale gauche non déplacée. Fracture supracondylienne humérus G. Fracture supra-condylienne non déplacée du coude D traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse par plaques Medartis de l'humérus distal droit, médiane 13 trous et latérale 15 trous le 30.03.2019. Fracture supra-condylienne non déplacée du coude droit. Fracture supra-condylienne type Gartland I du coude D. Fracture tassement des vertèbres D11-L4 sur ostéopénie généralisée le 25.03.2019 • Carence en vitamine D. Fracture tassement D12 suite à une chute. Fracture tassement D5 23.04.2019. Fracture tassement L1. Fracture tassement pathologique L1. Vertébroplastie par système Tektona avec injection de 10 cc de ciment + prise de biopsie (OP le 16.04.2018). Cervicalgies et céphalées à J3 post vertébroplastie L1 par système Tektona avec injection de 10 cc de ciment + prise de biopsie. Fracture tassement plateau supérieur L4 type A1. Fracture tassement vertébral de T3 et T4. Fracture tear drop coin antéro-inférieur du corps vertébral de C3, le 18.01.2019 • Uncodiscarthrose cervicale étagée, en particulier de C6-C7 avec débord discal postérieur. Fracture tête des métatarses 3/4/5 droit le 30.04.2019. Fracture tête du radius, stade Mason 1 le 19.04.2019. Fracture tête radiale Mason III coude droit du 21.04.2019. Fracture tête radiale type Mason III, avec: Fracture tête 5 e métacarpe main droite Salter VI. Fracture tibia proximal déplacée le 29.04.2019. Fracture tibiale gauche, sans précision. Pyélonéphrite avec bactériémie à E. Coli en 2017. Infection urinaire compliquée le 27.01.2018. AVC ischémique aigu pontique gauche le 11.06.2018 d'origine microangiopathique probable avec hémisyndrome sensitivomoteur facio-brachio-crural droit et dysarthrie. Fracture tibiale gauche, sans précision. Pyélonéphrite avec bactériémie à E. Coli en 2017. Infection urinaire compliquée le 27.01.2018. AVC ischémique aigu pontique gauche le 11.06.2018 d'origine microangiopathique probable avec hémisyndrome sensitivomoteur facio-brachio-crural droit et dysarthrie. Fracture tibiale gauche, sans précision. Pyélonéphrite avec bactériémie à E. Coli en 2017. Infection urinaire compliquée le 27.01.2018. AVC ischémique aigu pontique gauche le 11.06.2018 d'origine microangiopathique probable avec hémisyndrome sensitivomoteur facio-brachio-crural droit et dysarthrie. Cholecystite lithiasique le 10.03.2019. Fracture tiers distal de la clavicule gauche le 31.03.2019. Fracture tiers moyen de la clavicule D le 30.01.2019. Fracture tiers-moyen clavicule gauche. Mallet Finger PD 2D mina D Type I selon Doyle le 30.11.2015. Fracture transversale de la base du pouce droit, phalange distale, en impaction, légèrement en extension. Fracture transversale de la 2ème phalange du 5ème doigt de la main droite le 04.04.2019. Fracture transverse courte 1/3 moyen diaphyse tibiale droite déplacée. Fracture transverse du tiers moyen du cubitus de l'avant-bras droit le 17.04.2019. Fracture transverse non déplacée de la houppe de la phalange distale à gauche, le 11.04.2019. Fracture transverse non déplacée de P2 D2 ouverte le 14.03.2019 • suture primaire le 14.03.2019. Fracture trimaléollaire luxée G le 13.04.2019. Fracture trimalléolaire cheville D sur chute de sa hauteur le 02.02.2019 sur malaise, • traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse par cerclage malléole interne et plaque 3.5 LCP malléole externe, le 07.02.2019. Fracture tri-malléolaire de la cheville gauche. Fracture trimalléolaire de type Weber B, stade 4, gauche, le 19.04.2019. Fracture trimalléolaire gauche. Fracture tri-malléolaire subluxée de la cheville droite. Fracture trimalléolaire type Weber B de la cheville D le 01.04.2019. Fracture triplane déplacée du tibia droit avec fracture diaphysaire du péroné droit. Fracture trois parts de l'humérus proximal gauche. Fracture tubercule majeur épaule G le 20.01.2019. Fracture tuft ouverte doigts III et IV, phalange distale, main droite. Fracture type Jones de la base du 5ème métatarse à D le 25.11.2018. Fracture type Jones de la base du 5ème métatarsien pied G. Fracture type Jones non déplacée du 5ème métatarsien du pied droit le 22.07.2017. Suture des tendons extenseurs de la face dorsale du poignet gauche avec multiples lésions tendineuses et arthrotomie traumatique médio-carpienne le 27.06.2015. Cure d'hémorroïdes selon Longo pour prolapsus hémorroïdaire persistant avec hématochézie le 16.07.2010. Cure d'hernie fémorale gauche. Douleur pariétale thoracique le 17.04.2018. Récidive de douleurs abdominales hyperalgiques d'origine indéterminée le 20.09.2018. DD addiction médicamenteuse aux antalgiques opiacés, autres maladies intestinales chroniques (coeliaquie, IBD, allergie alimentaire). Récidive de douleurs abdominales d'origine indéterminée le 09.02.2019. Fracture type Mallet osseuse intra-articulaire. Fracture type Mallet osseuse intra-articulaire déplacée de P3 D5 à droite. Fracture type Mason 1 tête radiale gauche. Fracture type Pesudo Jones pied gauche. Fracture type pseudo-Jones non déplacée du 5ème métatarsien D le 17.04.2019. Fracture type Salter Harris II de P1 D4 main G le 26.02.2019. Fracture type Sanders I du calcanéum à G datant du 18.04.2019. Fracture vertèbre D12 type Burst A3 selon la classification AO Spine: • Vertebral Body Stenting D12 bilatéral avec cimentation par 6 cc de ciment Vertécem le 04.03.2019 • Biopsie intra-vertébrale: histologie : pas de composante inflammatoire aiguë, pas de granulocyte neutrophile, pas d'abcès; pas de suspicion de malignité, pas de métastase. Fracture Weber A malléole externe de la cheville D le 01.03.2019. Fracture Weber A cheville D le 03.04.2019. Fracture Weber A de la cheville D. Fracture Weber A de la cheville droite le 16.04.2019. Fracture Weber A de la fibula à D du 14.03.2019. Fracture Weber A de la fibula distale, cheville D. Fracture Weber A de la malléole externe D; accident du 16.03.2019. Fracture Weber A de la malléole externe de la cheville droite sur traumatisme du 10.03.2019. Fracture Weber A non déplacée malléole externe cheville G et : • contusion bénigne épaule G suite à un accident le 19.04.2019 : (cas accident). Fracture Weber B à droite, déplacée, en 2012. Pancréatites ayant nécessité une hospitalisation en 2002.Pancréatites ayant nécessité une hospitalisation en 2002 Fracture Weber B à droite, déplacée, en 2012 S/p pancréatites ayant nécessité une hospitalisation en 2002 Fracture Weber B à gauche. Fracture Weber B cheville droite, le 28.03.2019. Fracture Weber B cheville G le 18.02.2019. Fracture Weber B de la cheville à G le 07.01.2019. Fracture Weber B de la cheville droite. Fracture Weber B de la cheville droite le 12/03/2019. Fracture Weber B de la cheville droite sur chute le 03.02.2019 • Prise en charge conservatrice : Plâtre fendu du 04.02 au 12.02.2019 • Retrait du plâtre le 15.03.2019 avec contrôle radiologique • Pose d'un plâtre de Sarmiento Pyélonéphrite le 11.03.2019 à E.Coli ESBL Épanchements pleuraux bilatéraux (D>G) le 17.03.2018 • Ponction pleurale droite le 18.03.2018 : 1400 cc de transsudat • Ponction pleurale gauche le 19.03.2018 : 700 cc de transsudat Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur OAP cardiogénique et épanchements pleuraux le 17.03.2018 avec trois épisodes de OAP (17.03. et 21.03.2018) Globe vésical le 18.03.2018 Plusieurs chutes de sa hauteur • 12/2017 : hématome orbital, CT cérébrale 09/2017 • 12/2016 : lombalgie Hémorragies digestives hautes à répétition sur ulcères duodénaux le 07.02.2019 et 13.02.2019 avec : • Anuscopie le 07.02.2019 • OGD le 07.02.2019 (Dr. X) et le OGD le 15.02.2019 (Dr. X) • Colonoscopie à organiser en ambulatoire État confusionnel aigu hyperactif d'origine multifactorielle le 07.02.2019 Fracture Weber B de la cheville droite sur chute le 03.02.2019 • Prise en charge conservatrice : Plâtre fendu du 04.02 au 12.02.2019 • Retrait du plâtre le 15.03.2019 avec contrôle radiologique • Pose d'un plâtre de Sarmiento Pyélonéphrite le 11.03.2019 à E.Coli ESBL Épanchements pleuraux bilatéraux (D>G) le 17.03.2018 • Ponction pleurale droite le 18.03.2018 : 1400 cc de transsudat • Ponction pleurale gauche le 19.03.2018 : 700 cc de transsudat Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur OAP cardiogénique et épanchements pleuraux le 17.03.2018 avec trois épisodes de OAP (17.03. et 21.03.2018) Globe vésical le 18.03.2018 Plusieurs chutes de sa hauteur • 12/2017 : hématome orbital, CT cérébrale 09/2017 • 12/2016 : lombalgie Hémorragies digestives hautes à répétition sur ulcères duodénaux le 07.02.2019 et 13.02.2019 avec : • Anuscopie le 07.02.2019 • OGD le 07.02.2019 (Dr. X) et le OGD le 15.02.2019 (Dr. X) • Colonoscopie à organiser en ambulatoire État confusionnel aigu hyperactif d'origine multifactorielle le 07.02.2019 Fracture Weber B de la cheville G le 11.01.2019. Fracture Weber B de la cheville G non-déplacée le 04.12.2018. Fracture Weber B de la cheville G traitée conservativement du 04.02.2019. Fracture de l’extrémité distale du radius G extra-articulaire avec traitement conservateur le 04.02.2019. Fracture Weber B de la cheville gauche datant du 24.03.2019. Fracture Weber B de la malléole externe, cheville gauche. Réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque tiers-tube LCP antiglide 3 trous. Contusion hanche G. Fracture Weber B de la malléole externe droite, avec arrachement de la malléole interne et rupture de la syndesmose, cheville droite. Fracture Weber B le 01.02.2019. Fracture Weber B légèrement déplacée, malléole externe cheville G le 05.04.2019. Fracture Weber B malléole D du 13.03.2019. Fracture Weber B malléole externe cheville D avec douleurs depuis 2 mois sans notion de traumatisme. Fracture de P1 D5 pied D datant de 2 mois sans notion de traumatisme. Fracture Weber B, non déplacée, malléole externe cheville gauche, le 05.04.2019. Fracture Weber B stable de la cheville D le 28.03.2019. Fracture Weber C de la cheville D subluxée le 09.02.2015, opérée le 10.02.2015. Malaise avec des vertiges sans perte de connaissance. DD sur orthostatisme, d'origine vasovagal. Suspicion de état anxio-dépressif débutant. Fracture Weber C de la cheville droite subluxée le 09.02.2015, opérée le 10.02.2015. Malaise avec des vertiges sans perte de connaissance. DD sur orthostatisme, d'origine vasovagale. Contusion de la malléole externe du pied gauche le 05.04.2019. Fracture Weber C droite, sans apparente ouverture de la syndesmose. Fracture Weber cheville droite traitée conservativement dans l'enfance. Entorse stade 1 de la cheville droite le 15.03.2018. Entorse externe stade 2 de la cheville gauche le 31.08.2018. Fracture Weber de la cheville droite traitée conservativement dans l'enfance. Entorse de stade 1 de la cheville droite le 15.03.2018. Entorse externe stade 2 de la cheville gauche le 31.08.2018. Pneumothorax spontané gauche le 10.04.2019. Fracture zygomatique droite multifragmentaire déplacée sans atteinte orbitaire droite sur traumatisme facial le 14.04.2019. Fracture 1ère phalange du 5ème orteil du pied droit le 26.04.2019. Fracture 1/3 moyen diaphyse tibiale D. Fracture 1/3 moyen, plurifragmentaire et déplacée clavicule D le 20.03.2019. Fracture 2 parts humérus proximal G le 23.02.2019. Fracture 2ème orteil droit en 2009. Fracture 3 parts humérus proximal à D le 01.12.2019, traitée conservativement. Fracture 3 parts selon Neer humérus proximal D le 30.12.2018. Fracture 4 parts de l'humérus proximal droit le 09.03.2019. Fracture 4 parts de l'humérus proximal droit le 09.03.2019. Fracture 4 parts humérus proximal droit, traitement conservateur, accident du 02.05.2018. Fracture 6ème côte avec déplacement 4 mm. Fracture-arrachement de la face dorsale de l'os triquetrum de la main gauche. Fracture-arrachement de la tubérosité ischiatique gauche. Fracture-impaction du plateau tibial externe gauche. Fracture-impaction postéro-latérale plateau tibial externe jambe D le 23.03.2019 avec • Déchirure du LCA • Fracture coronale postérieure plateau tibial interne incomplète Fracture-impaction radius distal G. Fracture/luxation bimalléolaire D le 26.04.2018 traitée par ostéosynthèse malléole externe par plaque et broches, ostéosynthèse malléole interne par vis et cerclage Fiberwire le 09.05.2018 • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Fracture-luxation carpo-métacarpienne des rayons 4 et 5 de la main droite. Le 11.10.2015, Dr. X : réduction ouverte, ostéosynthèse par vis-suspension, par deux broches 1.4 mm. Fracture-luxation de l'articulation de Lisfranc du pied droit le 21.04.2019, suite à un accident de moto avec : • Fracture du cuboïde, arrachement du 3ème cunéiforme • Fracture-luxation de la base du 4ème et du 3ème métatarses • Luxation de la MCP du 5ème orteil à droite Fracture-luxation hanche D avec une fracture du mur postérieur, avulsion osseuse du labrum et fracture tête fémorale Pipkin III ; accident du 17.02.2015 • Status post réduction fermée et mise sous traction non collée du MID le 17.02.2015 (Hôpital de Martigny) Thrombose veineuse profonde du MID (veine tibiale postérieure), le 28.02.2015. Cure hernie ombilicale il y a 15 ans. AS genou G avec méniscectomie partielle il y a 7 ans. Contusion épaule D avec lésion articulation AC type Tossy I à II en juin 2005. Lombalgies non-déficitaires le 17.11.2017. Plaie face dorso-ulnaire de P2D4 main droite avec lésion partielle de la zone de jonction des 2 bandelettes latérales par effilochement. Radiographie 4e doigt F/P : pas de lésion osseuse ni corps étranger visualisé. Désinfection, anesthésie locale à la Rapidocaïne, débridement, exploration de la plaie mettant en évidence une atteinte partielle de la zone de jonction des 2 bandelettes latérales par effilochement sans rupture des bandelettes, que l'on rapproche par 2 points de PDS 4-0. Rinçage abondant et suture par 7 points séparés d'Ethilon 4-0. Pansement Adaptic. Antibiothérapie IV par Cefuroxime 1.5 g une dose aux urgences. Immobilisation dans une attelle Edimbourgh jusqu'à cicatrisation complète.Contrôle de la cicatrice à 48h chez le médecin traitant Ablation des fils de suture à 14 jours chez le médecin traitant Consultation aux urgences en cas d'apparition de signes inflammatoires locaux ou de douleurs Antalgiques de réserve Fracture/luxation Lisfranc et rayons 3-4, luxation 5ème MTP pied D sur accident de moto le 21.04.2019. Fracture de la base des métatarsiens 3-4-5 pied D. Fracture-luxation plurifragmentaire de l'humérus proximal D, 3 parts selon Neer avec hypoesthésie dans le territoire du nerf radial, musculo-cutané et ulnaire ainsi que déficit moteur du radial, le 15.03.2019. Fracture-luxation trimalléolaire de la cheville gauche le 15.04.2019. Fracture-luxation type Monteggia, stade Bado I, coude D avec fracture intra-articulaire multifragmentaire de l'ulna proximal Fracture ouverte de l'olécrâne type Gustilo-Anderson I à D. Fracture-luxation type Weber C type AO 44-C2 avec arrachement du Tillaux-Chaput antérieur et postérieur, cheville G le 05.03.2019. Fracture-luxation Weber C cheville G type Maisonneuve, classification Lauge Hansen pronation-rotation externe IV le 04.03.2019. Fractures des compressions ostéoporotiques au niveau du plateau supérieur de L2 et du plateau inférieur L4 le 08.04.2019 avec • lombalgie et sciatalgie droite importante dès 06.04.2019 non déficitaire • dans le contexte d'une scoliose en S thoraco-lombaire avec importants troubles dégénératifs. • Radiographie : pas de fracture du fémur • CT Scan le 08.04.2019 (bassin et colonne lombaire) : plusieurs tassements lombaires dont deux d'allure récente, du plateau supérieur de L2 et du plateau inférieur de L4. Les tassements ne s'étendent pas aux pédicules. Fractures des côtes 3 à 10 à droite sur chute le 28.08.2016 avec : • petit pneumothorax antéro-latéral droit • épanchement pleural minime à modéré. Contusion dorsale dans un contexte de chute le 28.08.2016. Hématurie macroscopique chronique. Extrasystolie auriculaire multifocale. Avis Dr. X, cardiologue : • traitement des maladies de base augmentant le risque d'un passage en FA (HTA, diabète, alcool) • proposition d'une échocardiographie à distance. Insuffisance veineuse des membres inférieurs. Examen Doppler prévu le 08.09.2016 à 10h15 en angiologie à l'HFR Riaz. Fractures des processus transferves L2L3 D. Fractures diaphysaires du radius et ulna avant-bras gauche avec déplacement le 15.04.2019, sans trouble sensitif, moteur ou vasculaire. Fractures du fémur proximal droit (fracture partielle du grand trochanter et du petit trochanter), suite à une chute au home le 23.04.19. Fractures intra-articulaires de l'ulna et du radius • Avec compression du nerf médian • Chez une patiente sous Xarelto 20 mg (cf. comorbidités). Fractures L2-L3-L4 ostéosynthésées en 2012 Césarienne en 2014 Volumineuse hernie discale molle C6-C7 paramédiane G • Discectomie C6-C7 par abord antérieur G • Mise en place d'une cage ROI-C 6/12, pré-remplie au Ceracell (OP le 31.08.2018). Fractures multiples du bassin sur accident de chantier le 25.04.2019 • fx branches ilio- et ischiopubiennes bilatérales • fx du pubis à gauche • fx aileron sacré à gauche • petit arrachement de l'aile iliaque postérieure à gauche. Fractures non déplacées des phalanges distales des doigts III et IV et hématome sous-unguéal prédominant à l'annulaire. Fractures non déplacées des processus transverses droits de L2 et L3 d'origine traumatique, avec : Fractures non déplacées des processus transverses L1-L4 G. Fractures pied G le 01.04.2019 avec • Fracture du Lisfranc, sans déplacement significatif • Fracture intra-articulaire des 1er et 5ème métatarses • Fracture-arrachement cunéiforme médial. Fractures tassements de D11, D12 atraumatiques nouvelles et fracture L5 avec rétropulsion du fragment postérieur sans compression du fourreau dural le 10.04.2019 : • incontinences urinaire et fécale nouvelles depuis 2 semaines • douleurs lombaires depuis 3 semaines • dans un contexte d'adénocarcinome d'origine primaire peu claire en stade métastatique • légère sténose du canal spinal. Fractures vertébrales sur chute à l'âge de 17 ans. Bactériémie à Morganella Morganii, Bacteroïdes et Pseudomonas sur probable translocation colique. PTH en 2015. Lésion condylomateuse du pli inguinal droit. Lésions maculaires circulaires infra-centimétriques alignées à bord érythémateux et centre hypopigmenté au niveau de la face médiale du mollet gauche. Fractures-tassement L1 et D12 le 27.03.2019 • fractures-tassement L4 et L2 anciennes stables. Fracture-tassement de D12, A1 selon AO le 05.04.2019. Fracture/tassement de D8 objectivée sur l'IRM du 08.03.2019 suite à une chute de son lit. Fracture-tassement de L1 (plateau supérieur) sur chute le 16.05.2013. Infection urinaire simple le 18.05.2013. Fracture du radius distal gauche le 16.05.2013. Pneumonie communautaire bi-basale à pneumocoques le 29.02.2016. Chute le 08.02.2018 avec fracture intra-articulaire de la base de la 1ère phalange du pouce ainsi que de la base du premier métacarpien de la main gauche le 08.02.2018. Fracture-tassement L2 datant probablement de février 2019 • Status post carcinome mammaire traité en 2017, sans récidive actuellement. Fracture-tassement vertébral L1 sur chute le 15.04.2019. Fracture pertrochantaire à gauche le 04.10.2018 • opération avec PFNA ostéosynthèse le 05.10.2018 (Lindenhofspital, Dr. X). Escarre de décubitus avec surinfection bactérienne en 2017. Erysipèle du MID le 16.01.2018. Chute avec rhabdomyolyse sur station au sol prolongée le 12.02.2018 • chutes à répétition • parésie périphérique radiale G après station au sol prolongée le 15.01.2018. Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine pré-rénale avec : • FeU 19.8% • hyponatrémie à 122 mmol/l • hyperkaliémie à 6.7 mmol/l • acidose métabolique à 7.23 • sous traitement diurétique. État confusionnel sur sevrage OH • Seresta 15 mg 4x/j dès le 02.05.2019. Ad Nebendiagnose 2) La patiente est restée avec une compensation cardiaque et n'a présenté aucune douleur thoracique. Lors de l'échocardiographie de suivi du 03.04.2019, un foramen ovale ouvert a été exclu. En cas de troubles persistants des mouvements muraux, une IRM cardiaque ambulatoire a été recommandée par Dr. X, cardiologie. Ad Nebendiagnose 3) Aucun nouvel aspect n'a été observé. Des gouttes de sang sur le papier toilette ont été objectivées en raison d'hémorroïdes connues, cependant, aucune hémorragie significative n'a été notée. Nous recommandons un suivi ambulatoire chez le proctologue. Ad Komplikation 1) Un laboratoire a détecté une hyponatrémie, probablement due à un SIADH. Avec une médication difficile à adapter, une restriction de liquide a été mise en place. Les niveaux de sodium doivent être contrôlés au cours du temps. Mme. Y a bénéficié d'une thérapie physique et ergothérapie intensive. À l'entrée, elle présentait une limitation massive de la mobilité avec un risque de chute élevé. Pour les transferts, elle avait besoin d'une aide modérée à marquée. Avec une personne de soutien, elle pouvait marcher moins de 3 m. Monter les escaliers était impossible. Lors du changement de cas, elle pouvait réaliser les transferts avec aide au contact et marcher plus de 100 m. Avec une aide marquée, elle pouvait monter 9 marches. En raison de troubles persistants de mobilité, Mme. Y a été convertie administrativement en cas de réhabilitation le 04.04.2019, en bon état général. Elle est toutefois restée hospitalisée dans le même service. Mme. Y, qui est connue depuis son enfance pour une épilepsie et qui souffre depuis 1979 d'une hémiparésie droite dans ce cadre, a été traitée chez nous à partir du 04.04.2019 lors d'une réhabilitation musculo-squelettique après une crise épileptique généralisée accompagnée d'une aphasie prolongée postictale et d'une détérioration motrice. Les douleurs à l'épaule gauche se sont déjà nettement améliorées au début de la réhabilitation. Sinon, la patiente n'avait aucune plainte. À l'examen, nous avons trouvé une patiente de 61 ans, éveillée et orientée, en bon état général. Nous avons noté une légère diminution de la force dans les membres supérieurs et inférieurs droits (M4), ainsi qu'une diminution de la sensibilité sur l'ensemble du côté droit. Une légère difficulté de recherche de mots persistait, mais Mme. Y pouvait bien y faire face. Avant l'hospitalisation, la patiente dépendait de l'aide de Spitex 2 fois par jour pour les activités de la vie quotidienne. Le déjeuner lui était apporté par une maison de soins voisine. Elle se déplaçait sans aides dans son appartement, mais s'accrochait parfois aux meubles et aux murs. Dans le bâtiment, il fallait monter 10 marches. En dehors de l'appartement, elle ne se déplaçait qu'accompagnée. Ad Hauptdiagnose) Mme. Y a bénéficié d'une thérapie physique et ergothérapie intensive. Au 04.04.2019, il y avait une limitation massive de la mobilité avec un risque de chute élevé. La patiente pouvait réaliser les transferts avec aide au contact et marcher plus de 100 m. Avec une aide marquée, elle pouvait monter 9 marches. Mme. Y a toujours été motivée pour la thérapie et a fait d'excellents progrès. Au moment de la sortie, elle pouvait réaliser les transferts de manière autonome. Elle a pu marcher sous supervision sans aide plus de 200 m. Elle a pu monter 36 marches sous supervision avec main courante. La mobilité était désormais légèrement réduite, avec un risque de chute légèrement accru. Ad Nebendiagnosen 1) L’hyponatrémie s'est améliorée sous restriction de liquide. Comme la patiente avait du mal à respecter cette restriction, un bouillon a été prescrit. Ad Nebendiagnosen 2) Le traitement anticonvulsivant a été poursuivi selon le schéma recommandé par les neurologues. La patiente est restée sans crises chez nous. Ad Nebendiagnosen 3) Les douleurs à l'épaule se sont complètement atténuées. Par conséquent, nous renonçons pour le moment à l'organisation d'une IRM. La patiente a reçu un rendez-vous à la consultation de Dr. X le 05.06.2019. Ad Nebendiagnosen 4) La patiente est restée cardialement compensée chez nous et n'a présenté aucune douleur thoracique. En cas de troubles persistants des mouvements muraux lors de l'échocardiographie de suivi du 03.04.2019, une IRM cardiaque ambulatoire a été recommandée. Chez une patiente actuellement asymptomatique avec des artères coronaires normales lors de la coronarographie du 12.03.2019, nous avons décidé de ne pas organiser cette investigation. Si la patiente devait développer une symptomatologie cardiaque, cette investigation devrait être réévaluée avec elle. Ad Nebendiagnosen 5) Aucun nouvel aspect n'est apparu. Mme. Y a pu retourner chez elle en bon état général le 24.04.2019. FRCV : • âge • obésité stade 2 (IMC à 35 kg/m2) • ancien tabagisme à 45 UPA Fibrillation auriculaire intermittente FRCV : • Diabète sucré traité; HBA1C à 6.7 % le 31.12.2018 • Suspicion d'un état pro-coagulant acquis d'origine indéterminée; possiblement para-néoplasique • Dyslipidémie traitée • Hypertension artérielle traitée • Obésité FRCV : • HTA traitée • Dyslipidémie à LDL traitée • Tabagisme actif depuis plus de 30 ans (estimé à 101 UPA) • Excès pondéral (IMC non évalué) • SAOS appareillé par BPAP jusqu'en 2017 • Prise de substances récréatives (cannabis le soir) FRCV : • Hypertension artérielle traitée • Diabète sucré de type II traité • Ancien tabagisme (arrêt en 1978) • Obésité • Hyperuricémie • Possible anamnèse familiale positive FRCV : tabagisme actif. FRCV dans la famille. FRCV : DM II NIR traité, HTA traitée, AVC chez le père, dyslipidémie traitée FRCV : HTA traitée, hypercholestérolémie traitée État anxiodépressif (actuellement non traité selon anamnèse) Hypoacousie bilatérale appareillée FRCV : hypercholestérolémie traitée, léger surpoids (IMC 25.7 kg/m2), ancien tabagisme. Cardiopathie ischémique et infiltrative sur amyloïdose cardiaque (type AL) avec : • S/P coronarographie avec angioplastie de l'IVA moyenne, obstruction chronique de la Cx non recanalisée le 16.06.2010. • Suivi Dr. X à Bulle FRCV : Obésité (IMC 32 kg/m2) Dyslipidémie traitée Tabagisme actif (80 UPA) Frein de langue court sans limitation de la succion Freka clyss : bon rendu. Movicol : schéma de désimpaction. Contrôle chez le pédiatre au bout de 1 semaine de traitement 1x/j pendant 7 jours. Freka-Clyss 1/2 flacon Movicol 2 sachets par jour Retour à domicile avec consigne de surveillance Contrôle chez le pédiatre dans 2 jours Frisson douleurs abdominales Frotti rectum positif pour entérocoques résistants à la vancomycine Frottis bactériologie standard : à pister. Avis chirurgical (Dr. X) : suivi à la consultation des chefs de cliniques demain ou au secteur ambulatoire des urgences dans 3 jours si pas possible. Rendez-vous le 11.04.2019 à 08h30 à la consultation des chefs de cliniques pour suivi. Explication à la patiente des symptômes nécessitant une consultation d'urgence. Frottis bactériologiques du 16.04.2019 : négatifs pour MRSA, Entérobactéries carbapénème R, Entérocoque vanco R et ESBL Frottis buccal herpès Frottis coqueluche à pister Frottis de dépistage VRE en cours Frottis de plaie Frottis de plaie : Staphylocoques aureus sensibles au Bactrim Antibiothérapie par Rocéphine 2g 1x/jour du 05.03.2019 au 11.03.2019 Passage au Bactrim 1/2 cp 2x/jour par voie orale du 12.03.2019 au 01.04.2019 (3 semaines)Stomatothérapie Frottis en cours Isolement du 25.03.19 au 29.03.19 Frottis grippe. Otoscopie. Traitement symptomatique. Suivi clinique. Frottis le 14.03.2019: négatif Frottis rectal le 30.04.2019: à pister Isolement de contact Frottis lésions nasales pour suivi en cas de péjoration clinique Frottis microbiologiques : S. dysgalactiae Quelques 1 Prevotella sp. ++ 2 Flore bucco-pharyngée Quelques 3 sensible à la pénicilline Frottis nasopharyngé: RSV positif Ventolin 4 pushs 4x/j jusqu'au 1.04.2019 Betnesol 3,5 cp 1x/j du 31.03 au 1.04.19 Médecine anthroposophique Frottis nasopharyngé 12.04.2019: RSV négatif Oxygène supplémentaire 12.04.-15.04.2019 Hydratation partielle avec une sonde gastrique 12.04. - 14.04.2019 Frottis nasopharynx positif le 25.03.2019 Isolement gouttelette Traitement symptomatique Frottis rectal du 29.03.19 : négatif Isolement du 29.03.19 au 01.04.19 Frottis rectal le 22.02.2019 et le 01.03.2019 (selon avis UPCI, pas besoin d'un 3ème) Frottis rectal VRE: négatif Frottis rectum : absence d'entérocoque vanco R. ECG du 02.04.2019 : rythme en fibrillation auriculaire à 85/min, QRS fins normoaxés, pas de trouble de la repolarisation. US pleural au lit de Mr. Y le 02.04.2019 : lame d'épanchement en base droite, non ponctionnable. Frottis rectum les 03 et 10.04.2019 : absence Frottis RSV négatif Frottis RSV: positif Frottis VRE : négatif Isolement de contact du 13.03 au 16.03.2019 Frottis VRE le 06.04.2019 : négatif Frottis VRE le 28.03.19: Nég. Isolement contact du 28.03. au 31.03.2019 Frührehabilitative geriatrische Komplexbehandlung mit Physio- und Ergotherapie Logopädie Langsames vollständiges Entwöhnen von Primidon: 250 mg tid seit dem 15.03.2019 während 1 Monat (bis zum 14.04.2019), dann -125 mg alle 2 Wochen Kontrolle avec EEG chez Dr. X le 28.06.2019 à 09.00 Uhr FS fait à l'extérieur: CRP à 10 sans leucocytose US abdominal à l'extérieur : appendice de <5 cm sans liquide libre, quelques ganglions diffus FSC + CRP Antalgie de premier pallier Retour à domicile avec consignes de surveillance FSC - dans la norme, CRP à 20 mmol/l FSC : Lc 6.1, pas de déviation gauche, Hb 113, Tc 191 PCT : 0.44 ug/l CRP : <5mg/l Sédiment urinaire : Lc 11-20/champs, nitrite neg, sang neg flore bact + FSC, CRP à la naissance FSC, CRP, gazométrie Radiographie du thorax FSC, CRP, Hémoculture (à pister) US du bas du dos Prélèvement de pus et mise en culture (à pister) Co-amoxicilline 150 mg/kg/j pendant 10 jours Retour à domicile avec consignes de surveillance Contrôle aux urgences le 30.04 FSC, CRP le 19.04: alignés Surveillance clinique aux 4h FSC, CRP le 20.04: ____ FSC, CRP, PCT Urine (par CleanCatch suite échec de sondage) Contrôle à 24 heures aux Fast-Track FSC de contrôle FSC et CRP FSS FSS : Hb 125 normocytaire normochrome, Lc 6.9, Tc 381 Crase : TP > 100%, INR 1.0, APTT 32 sec FSS avec thrombocytes à 149 G/l FSS et Crase Conseils de soins locaux FSS Contrôle FSC le 12.04 (N mais microcoagulé) Nouveau contrôle à prévoir à la prochaine hospitalisation (pour sevrage O2) Fucicort crème 2% Fucidin crème et rendez-vous chez le médecin traitant pour l'excision. Fucidine crème Désinfection Fucidine crème Désinfection Fucidine locale Céfuroxime 5 jours Contrôle généraliste dans 48 heures Mesure de la température si fièvre et contrôle médical vu retour d'un pays tropical Frottis lésions : revenu sensible à la Céfuroxime, ATB inchangée, maman non appelée (comme prévu) Contrôle dermatologue si érythème persistant des grains de beauté Surveillance signes d'infection généralisée Surveillance index gauche Fucidine locale Céfuroxime 5 jours Contrôle généraliste dans 48 heures Mesure de la température si fièvre et contrôle médical vu retour d'un pays tropical Frottis lésions : S au céfuroxime Contrôle dermatologue si érythème persistant des grains de beauté Surveillance signes d'infection généralisée Surveillance index gauche Fucidine topique Consignes de surveillance données Fuite d'une GPR posée le 08.03.2019 dans un contexte de dénutrition sur trouble de la déglutition sévère status post-radiothérapie pour un carcinome amygdalien Fuite urétéro-iléale droite avec urinome de 30 x 18 mm, collection dans le petit bassin. Furadantin 100 mg 2x/jour pendant 5 jours. Furoncle au niveau de la bretelle du soutien-gorge. Furoncle. DD : abcès péri-anal débutant à 4h en position gynécologique. Furoncle du conduit auditif externe de l'oreille droite le 18.04.2019. Furoncle en cours de formation. DD : adénite. Furoncle joue gauche, le 17.03.2019 - drainage spontané Furosémide dès le 11.04.2019 Spironolactone dès le 14.04.2019 Amiodarone dès le 12.04.2019 Lisinopril dès le 13.04.2019 Rivaroxaban du 10.04.2019 au 12.04.2019 Héparine ivc dès le 13.04.2019 Echocardiographie transthoracique le 11.04.2019 Echocardiographie transthoracique le 15.04.2019 Echocardiographie transoesophagienne le 12.04.2019 Cardioversion électrique le 12.04.2019 Ventilation non-invasive du 12.04 au 15.04.2019 Coronarographie le 15.04.2019 Cathéter artériel radial droit (posé le 12.04.2019) Furosémide iv du 05.04.2019 au 12.04.2019 Torasémide po dès le 13.04.2019 ETT le 10.04.2019 Furosemide iv puis Torasemide Morphine iv Deponit patch Oxygénothérapie Furosemide iv Morphine iv Deponit patch Oxygénothérapie Furosemide le 10.04.2019 ordre unique F00.9: Démence de la maladie d'Alzheimer Troubles neurocognitifs modérés à sévères de type neurodégénératif sur DTA Cataracte Masse sein G non investiguée F32.1 Episode dépressif moyen DD F32.2 Episode dépressif sévère sans symptômes psychotiques F10.2 Syndrome de dépendance à l'alcool F32.1 Trouble dépressif moyen. DD Trouble dépressif récurrent, épisode actuellement moyen. F62.0 Modification durable de la personnalité après une expérience de catastrophe : syndrome post-traumatique chronicisé avec troubles du sommeil persistants depuis l'âge de 15 ans et flash-back suite à 2 suicides, suicidalité passive chronique. Traits Borderline avec notion de multiples relations personnelles, crises de colère. Z 56 Autres difficultés liées à l'entourage immédiat, y compris la situation familiale (soutien familial inadéquat (père), décès de la mère et de la soeur par suicide). F.33.1 Trouble dépressif récurrent, épisode actuel moyen avec : - tristesse, nervosité, fatigue, inappétence F43.2 trouble de l'adaptation. F43.2 trouble de l'adaptation Examen clinique Avis Dr. X psychiatre de garde Temesta en R sur demande du psychiatre Suivi ambulatoire F43.25 - Troubles de l'adaptation avec perturbation mixte des émotions et des conduites F60.31 - Suspicion de : Personnalité émotionnellement labile, type borderline F-50.0 Anorexie mentale avec crise boulimique/anorexique Gale Gale en 2014 Hernie inguinale droite directe symptomatique Gammapathie monoclonale de signification indéterminée le 12.04.2019 - Bilan biologique (électrophorèse) du 12.04.2019: beta1 et beta2 globuline 16%, gamma globuline 26%, Immunoglobuline IgA 9.61 g/l, kappa libres 37 mg/l Gammapathie monoclonale IgG type Kappa de signification indéterminée (MGUS) le 18.10.2018 - DD : lymphome peu probable - Immuno-électrophorèse des protéines le 13.10.2018 : k/l 1.65, bande monoclonale IgG kappa - Avis hématologie (CHUV) : pas de critère de myélome, CT cervico-thoraco-abdominal à la recherche d'adénopathie/splénomégalie à effectuer à la recherche d'un lymphome• Immuno-électrophorèse des protéines le 25.02.2019 : Gamma globulines dans la norme, immunofixation négative, fraction K et lambda augmentées • CT thoraco-abdominal le 22.01.2019 : Discrète majoration des petites adénopathies rétropéritonéales et iliaques bilatérales qui restent néanmoins aspécifiques (DD : lymphome/leucémie indolente ? réactionnelles ?) • PET-CT le 06.02.2019 : Absence de lésion hypermétabolique suspecte d'éventuelle néoplasie • Electrophorèse de contrôle le 14.02.2019 : élévation des chaînes légères mais en conservant un rapport K/L normal. • Ganglion douloureux de moins d'1 cm au niveau axillaire gauche. • Ganglion inguinal gauche. • Garçon à terme de 40 0/7 SA, poids de naissance à 2920 g (P5-10), taille de naissance à 47 cm ( normale. Glucose normal. Gazométrie : 7.34 de pH, bic à 20. Gazométrie Avis Dr. X Aérosol aux urgences Discuter d'une VNI à Fribourg Gazométrie. Bilan biologique. Gazométrie Frottis de grippe: négatif Antigènes urinaires Pneumocoques et Légionelle: négatif Hémocultures: négatives à 5 jours Rx thorax Sonde vésicale du 06.03 au 07.03.2019 Ventilation non-invasive intermittente du 06.03.2019 au 10.03.2019 Prednisone du 06.03.2019 au 10.03.2019 Ceftriaxone du 06.03.2019 au 12.03.2019 pour une durée totale de 7 jours Clarithromycine du 06.03 au 07.03.2019 Oseltamivir du 06.03 au 07.03.2019 Physiothérapie respiratoire Projet de réadaptation respiratoire à Billens mis en suspens Gazométrie Poursuite traitement de Lévétiracétam 500mg 2x/jour Prescription traitement d'urgences Reconvocation en ambulatoire selon avis Dr. X Gazométrie Réhydratation avec 700 ml de NaCl 0.9% sur 4h Besoins d'entretien 1150 ml/24 avec du Glucosalin 2:1 Compensation des pertes 1:1 Gazométries: cf copies Gazométries de suivi (pH min à 7.27, bicarbonates 14 mmol/l) Perfusion d'entretien GS 2:1 600 ml/24h Gazométries Surveillance clinique Gazométries FSC, CRP Rx thorax US cérébral Gazométries Rx thorax FSC, CRP CPAP avec FIO2 max 30% le 16.04 SNG du 16.04 Gazométrie. VNI du 14 au 15.03.2019. Hospitalisation en lit d'observation aux urgences du 14 au 15.03.2019. GDS le 12.02.2019 Citalopram du 23.-27.03.2019 Avis psychiatrique (Dr. X) le 27.03.2019: remplacement du Citalopram par Escitalopram. Escitalopram 10 mg 1x/j dès le 28.03.2019 GDS 4/15 le 15.03.2019 Entretiens réguliers avec la patiente GDS 9/15, MMS 24/30 et 4/6 le 02.04.2019 Consilium psychiatrique par Dr. X le 03.04.2019: pas d'idées suicidaires aiguës, pas de changement de thérapie, troubles de la mémoire à court terme GEA au décours avec déshydratation légère estimée 5% GEA au décours sans signes de déshydratation GEA avec déshydratation estimée à 10% GEA avec déshydratation légère GEA avec déshydratation légère. GEA avec déshydratation modérée GEA avec déshydratation modérée. GEA avec légère déshydratation <5% GEA avec risque de déshydratation GEA débutante GEA débutante. GEA débutante probable GEA débutante sans signe de déshydratation GEA infectieuse GEA infectieuse GEA infectieuse GEA infectieuse avec déshydratation légère GEA infectieuse sans déshydratation GEA infectieuse sans signes de déshydratation GEA possible, débutante GEA probablement virale GEA sans déshydratation GEA sans déshydratation GEA sans déshydratation avec risque accru GEA sans signe de déshydratation GEA sans signe de déshydratation GEA sans signe de déshydratation GEA sans signe de déshydratation GEA sans signe de déshydratation GEA sans signe de déshydratation GEA sans signe de déshydratation GEA sans signe de déshydratation GEA sans signe de déshydratation GEA sans signe de déshydratation GEA sans signe de déshydratation GEA sans signe de déshydratation GEA sans signe de déshydratation mais risque GEA sans signe de déshydratation DD appendicite débutante, adénite mésentérique GEA sans signes de déshydratation GEA virale sans déshydratation GEA virale sans signe de déshydratation Gel anti-inflammatoire, Minerve Physiothérapie et ergothérapie Refus d'antalgie fixe Gel LET Désinfection Suture par 2 points simples 5-0 Ablation des fils à J7 Consignes de surveillance données Gel LET Suture sous Méopa, difficile Désinfection à l'Hybidil, 1 pt Prolène 6.0, Stéristrip Contrôle demain aux urgences pour évaluation du résultat après résorption de l'œdème Ablation fils à programmer chez nous à 3 jours Consignes habituelles plaies À prescrire : crème pour massages de la paupière suite à l'ablation des fils. Gêne à la fermeture oculaire sur kystes conjonctivaux bilatéraux début prise en charge par ophtalmologues HFR le 28.02.2019 Gêne au niveau anal Gêne au niveau du grand trochanter G en regard du matériel d'embolisation. Status post embolisation de la branche ascendante de l'artère circonflexe latérale fémorale G. Status post résection du mur antérieur du cotyle gauche par arthroscopie par Dr. X en juillet 2016. Status post résection du mur antérieur du cotyle droit par arthroscopie par Dr. X en janvier 2016. Gêne du matériel d'OS (lame) fémur D sur status post OS fracture pertrochantérienne type Reversed à D le 28.02.2017 (Dr. X, Hôpital du Valais) Gêne du matériel d'ostéosynthèse sur status post cure hallux valgus à G avec ostéotomie de Scarf et Akin sur P1 hallux G le 30.01.2018 sur hallux valgus sévère. Gêne du matériel d'ostéosynthèse sur status post réduction ouverte et fixation de la malléole latérale par une plaque tiers tube 5 trous et réduction ouverte et fixation de la malléole médiale par deux vis canulées 2.7 pour une fracture bi-malléolaire de la cheville droite le 05.10.2018. Pes plano valgus, plus prononcé à G qu'à D. Suspicion tendinite tibiale postérieure à D. Gêne du matériel d'ostéosynthèse sur status post réduction ouverte et ostéosynthèse de P1 D5 à G le 07.11.2018 pour fracture spiroïde déplacée le 04.11.2018. Gêne du matériel d'ostéosynthèse sur status post réduction ouverte et ostéosynthèse du radius et cubitus distal D par abord palmaire avec plaque d'appui radiale. Gêne du matériel sur status post fixation spino-pelvienne percutanée L4-L5 de l'ilion et décompression S1 gauche le 06.07.2015 à Bern. Gêne hanche D sur status post implantation de prothèse totale hanche D le 23.07.2010 (Dr. X). Coxarthrose G. Gêne liée au matériel d'ostéosynthèse du radius distal gauche sur status post ostéosynthèse du radius distal gauche avec lésion iatrogène de la branche sensible thénarienne du nerf médian en 2008. Gêne oculaire gauche sans signe de gravité le 04.03.19 anamnestiquement cataracte Gêne oculaire sur un kyste conjonctival séreux bénin avec début de prise en charge ophtalmologique le 22.03.2019 Gêne ORL. Gêne respiratoire Gêne sur matériel d'ostéosynthèse de la cheville G. Status post ostéosynthèse trimalléolaire G le 30.08.2018. Gêne thoracique. Gène thoracique d'origine indéterminée le 02.02.2016.Generalisierter epileptischer Anfall mit prolongierter Aphasie am 06.03.2019 • MRI Schädel am 06.03.2019: bei etwas verminderter Venenzeichnung links im Vergleich zu rechtshemisphäriell und fehlenden Hinweisen auf einen ischämischen Befund in erster Linie passend zu einem iktalen Geschehen. Sonst keine weiteren relevanten Auffälligkeiten, insbesondere kein Verschluss / keine Stenose der hirnzuführenden Arterien. • EEG am 06.03.2019: lateralized periodic discharges in der linken Gehirnhälfte • Lumbalpunktion am 07.03.2019: Eröffnungsdruck 22cmH20, klarer Liquor, Zellzahl von 1 • letzter Anfall 2016 • St.n. Status epilepticus 1979 mit residueller Hemiparese rechts • tonisch-klonische Epilepsie, ED 1959, gehäufte Anfälle in Kindheit und Jugend • aktuell: leichte residuelle Aphasie, Beinschwäche • unter Levetiracetam (seit 06.03.2019), Carbamazepin (Dosis erhöht), Primidon (Entwöhnungsschema) Généraux: Embolie pulmonaire centrale bilatérale le 31.01.2015 Dystrophie du tibia D et poignet/main D depuis l'enfance (poliomyélite) Chirurgicaux: S/p Cholécystectomie S/p Appendicectomie Obstétricaux: S/p 2x césariennes Gênes thoracique d'origine peu claire le 02.04.2019 Genou D : • Déchirure complète du LCA. • Entorse du LLE grade I. Instabilité sur probable lésion du LLA sur chute en snowboard en février 2019. Genou D : • déchirure du LCA. • entorse du LLE grade I le 21.01.2019. Genou D : • déchirure du LCA • entorse du LLI grade II • déchirure verticale de la corne antérieure du ménisque externe Status post opération d'un Osgood Schlatter ddc il y a une quarantaine d'années. Genou D : • Déchirure subtotale du LLI proximale. • Déchirure complète du LCA. • Fracture impaction de la marge postérieure du plateau tibial externe. Genou D : • Fracture du pôle inférieur de la rotule non-déplacée. • Entorse du LCA. Genou D : ancienne rupture LCA. Rupture LCA G avec distorsion sans rupture du LLI G et lésion de la corne postérieure du ménisque interne à G. Genou D : Arthrose fémoro-tibiale externe. Morphotype en valgus (12°). Subluxation latérale de la rotule. Arthrose fémoro-patellaire latérale grade IV. Etat après chirurgie du genou droit, pas clair. Genou D : AS diagnostique, plastie LCA par tendon rotulien (OP le 26.03.2019) Genou D : forte contusion avec bone bruise plateau tibial antéro-médial avec bone bruise condyle externe et plateau tibial postéro-latéral le 15.04.2019. Genou D : lésion cartilagineuse rétro-patellaire le 07.09.2018 Genou D : lésion de la corne moyenne postérieure du ménisque. Genou D : Lésion LCA associée à une entorse du ligament collatéral externe et déchirure du ménisque externe. Genou D f/p et rotule axiale : gonarthrose très prononcée du compartiment interne ainsi que fémoro-patellaire. Genou D: Fracture plateau tibial antero medial Schatzket III + possible lésion ligament LLI (Fracture Pellegrini-Stiela) + fracture non déplacée tête du péronée Genou droit : • Distorsion LCA associée à une lésion stade III du ligament collatéral interne. Genou droit : • distorsion genou après chute dans les escaliers le 28.02.19 avec instabilité ressentie. • status post-arthroscopie diagnostique en Slovaquie il y a 6 ans (lésion LCA avec lésion corne antérieure du ménisque externe). Genou droit : lésion du ménisque externe, associée à une entorse du ligament collatéral externe +/- d'une lésion du ligament croisé antérieur. Entorse versus rupture. Genou droit : lésion LCA, arrachement proximal. Lésion LLI grade III. Genou droit face profil et rotule axiale : Début d'usure du compartiment fémoro-tibial interne genou droit. Genou droit gonflé et rouge. Genou G : • Déchirure du LLI de grade II-III. • Déchirure du LCP grade III. • Déchirure horizontale de la corne postérieure du corps du ménisque interne s'étendant en surface tibiale. Genou G : • Déchirure horizontale de la corne postérieure du ménisque interne. • Contusion du condyle fémoral interne et du plateau tibial interne. • Lésion chondrale de grade I au niveau de la rotule. Genou G : • instabilité persistante après plastie du LCA, probablement à partir des tendons ischio-jambier en 2012. • status post méniscectomie interne pour une lésion anse de sceau fissurée en janvier 2014. Genou G: fracture plateau tibial latéral type Schatzker III avec lésion LLI et possible atteinte LCA + fracture point distale patella Genou gauche : • Lésion chondrale de grade III de la partie moyenne de la facette rotulienne externe. • Déchirure horizontale de la corne postérieure du ménisque interne. • Entorse du LCA. • Fracture plateau tibial Genou gauche : lésion horizontale de la corne postérieure du ménisque interne. Geste réalisé sous supervision de Dr. X, méd cadre Sous Méopa Désinfection à l'Hybidil puis champtage Anesthésie par Rapidocaine 2ml dans la gaine des fléchisseurs puis reprise avec AL au niveau de la plaie par Rapidocaine 1ml Rinçage à l'NaCl 0.9% avec aiguille boutonnée puis exploration de la plaie sans visualisation de lésions tendineuses Suture par Prolène 5.0 avec 2 pts détachés Stéristrips Compresse interdigitales et syndactylie avec D3 pour éviter la flexion avec Dermaplast Prescription compresses 5x5cm et Dermaplast pour refection du pansement à la maison Ablation des points dans 10 j chez le pédiatre Dispense de sport 10 jours Consignes habituelles plaies Geste technique. Geste technique. Geste technique. Geste technique. Geste technique. Geste technique. Geste technique. ---GESTES--- • Biopsie à l'aiguille du foie transjugulaire 05/03/2019 (HUG): Légère hépatite sur le plan nécrotico-inflammatoire à composante cholestatique, avec dystrophies biliaires, et légère distension sinusoïdale et fibrose périsinusoïdale focale. L'image histologique montre d'un côté une choléstase et des dystrophies biliaires suggérant en premier lieu une atteinte toxico-médicamenteuse. D'autre part, présence d'une distension sinusoïdale pourrait évoquer un bloc sus-hépatique. • Appel pathologie HUG: image histologique sans réel argument pour une cirrhose biliaire primitive, mais au vu des FAN et gp210 positifs, l'inflammation portale et les lésions biliaires n'excluent pas ce Dx. • Avis pharmaco HUG: l'imputabilité du candesartan, irbésartan, olmesartan, atorvastatine, simvastatine, ezetimibe et cefuroxime est de l'ordre du possible. • Statine en suspens: réintroduction statine vs relai par anti-pcsk9? ---LABO--- • 14.02.2019 : FAN 160 (Ac anti-mitochondries), gp210 pos, dot blot pos. Résultats déterminés comme non significatifs par les gastro-entérologues des HUG pour une cause auto-immune, avec une image histologique parlant plutôt pour une cause médicamenteuse. ---RADIOLOGIE--- (voir examens complémentaires) • US abdominal 08.02.2019 • IRM abdominal 13.02.2019 • US abdominal 26.03.2019 Avis Dr. X le 27.3.2019 : Hépatite très probablement médicamenteuse, Médicaments à éviter à vie, pas d'autres investigations nécessaires à ce stade. Atorvastatine : pourrait être réintroduite après fin AB par Cubicine (risque d'interaction avec myopathie), de manière progressive avec contrôle régulier de la fonction hépatique Adaptation médicamenteuse et proposition du 27.03.2019 : • Mise en suspens Valériane : possible hépato-toxicité • Passage du Nexium au Pantozol en raison d'interaction avec Plavix • Atorvastatine : après fin AB par Cubicine (risque d'interaction avec myopathie), pourrait être reprise progressivement avec contrôle régulier de la fonction hépatique Médicaments à éviter : • Antibiothérapie : éviction pénicilline + AB avec noyau de B-lactamine (céfuroxime) • Eviction sartan • Eviter médication pro-épileptogène • Eviction Cubicine • Gestes techniques. • Gestion antalgique. • Gestion de l'anticoagulation. • GFR CKD-EPI 41 ml/min, Clairance selon Cockroft 47 ml/mn, Fe urée = 37.6 % : origine rénale, éosinophilie urinaire à 2 % le 25.03.2019 Suivi biologique • Cave : médicaments néphrotoxiques et AB à adapter en fonction • GFR selon Cockroft le 03.04.2019 : 30 ml/min Metformine mise en suspens puis reprise le 08.04.2019 Suivi biologique • Gilet orthopédique Antalgie contrôle team membre sup orthopédique dans 1 semaine • Gingivorragie. Diagnostic différentiel : saignement digestif haut. • Glace et eau froide Antalgie si douleur PO Pansement par Adaptic et ialugen Contrôle dans 48h aux urgences • Glaucome à angle ouvert chronique Cardiopathie hypertensive • ETT 2016 : ventricule G non dilaté, FEVG à 65 % Cardiomyopathie hypertrophique asymétrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Rétrécissement mitral non serré, dégénératif calcifié. Surface mitrale estimée à 1,64 cm². Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Oreillette gauche très dilatée. • rythme sinus 70/min, LL, QRS 90 ms, QTc 480 ms, Q en aVL, ST baisse V3-V6, troubles de la repolarisation avec T négatif V2-V6 (ECG 16.02.15) • RFCV : tabagisme actif, hypertension artérielle, dyslipidémie Rhizarthrose gauche • Glaucome néovasculaire de l'œil gauche suite à une occlusion de la veine centrale de la rétine avec : • Injection intra-vitréenne d'Avastin le 31.03.2017 Suivi en ophtalmologie par Dr. X n° natel 078.752.31.80 en cas de problème • Glaucome Probable polyneuropathie périphérique avec ataxie proprioceptive des 2 membres inférieurs Anévrisme de 1.5 cm du tronc basilaire partiellement thrombosé, découvert au CT du 20.11.2018 Anévrisme de la crosse de la racine de l'aorte à 42 mm FRCV : HTA traitée, HCT traitée, tabagisme actif > 50 UPA AVC ischémique mineur cérébelleux gauche aigu sans corrélat radiologique le 13.02.2019 • Dans un contexte d'anévrisme thrombosé du tronc basilaire évolutif • Symptomatologie : dysarthrie, syndrome cérébelleux cinétique discret • NIHSS initial : 1 point, NIHSS à 24h : 1 point, NIHSS de sortie : 1 point • Score ABCD2-I3 : 5 points • MIF 85 points Transfert du CHUV pour prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 13.02 au 14.02.2019, puis non monitoré du 14.02 jusqu'au 18.02.2019 Laboratoire : cholestérol total 4.1 mmol/l, LDL cholestérol 2.37 mmol/l, HbA1c 5.4 % IRM cérébrale le 13.02.2019 Angio-CT cérébral le 14.02.2019 Avis du service de radiodiagnostic et radiologie interventionnelle (CHUV), Dr. X Score de CHADS2-VASC 3 points, Score de HAS-BLED 3 points le 15.02.2019 Angio-CT cérébral à 3 mois (le patient sera convoqué) Double antiagrégation par Aspirine cardio et Plavix pendant 3 mois, suivi par du Plavix seul Consultation neurovasculaire de contrôle le 27.06.2019 à 14h30 (HFR Fribourg) Insuffisance rénale aiguë d'allure prérénale, sans critères AKIN le 14.02.2019 • FeNa calculée à 0.6 % Laboratoire Spot urinaire Stimuler hydratation Suspicion de syndrome d'apnées du sommeil Score de STOP BANG 4 points (risque élevé) Score d'Epworth 4 points Polysomnographie nocturne à 3 mois (le patient sera convoqué) • Glioblastome avec exérèse macroscopique le 08.03.2017 de caractéristique moléculaire indéterminée en raison du manque de matériel avec : • douleurs hémicorps droit avec hypoesthésie et paresthésies invalidantes sur s/p exérèse partielle d'un glioblastome pariétal G • radio-chimiothérapie concomitante avec sensibilisation par Temodal du 10.04 au 23.05.2017 pour une dose totale de 60Gy (30Gyx2) • 6 cycles de chimiothérapie adjuvante par Temodal du 19.06 au 13.11.2017 • traitement par TTFields (Novocure) depuis le 06.06.2017 • traitement par Avastin depuis le 11 décembre 2017 • IRM cérébrale du 13.04.2018 : stabilité de l'effet de masse pariétal postérieure G au vertex, discrètes prises de contraste inchangées en périphérie de la cavité de la résection et de l'œdème péri-lésionnel • FET-PET le 26.04.2018 : pas de franche activité en parlant pour un processus tumoral • IRM cérébrale le 15.06.2018 : aucune évolution défavorable comparativement à l'IRM du 13.04.2018 • dernière IRM en début d'année 2019 aux HUG Actuellement : suspicion de récidive dans la cavité de résection • Glioblastome avec exérèse macroscopique le 08.03.2017 de caractéristique moléculaire indéterminée en raison du manque de matériel avec : • Douleurs hémicorps droit avec hypoesthésie et paresthésies invalidantes sur s/p exérèse partielle d'un glioblastome pariétal G • Radio-chimiothérapie concomitante avec sensibilisation par Temodal du 10.04.2017 au 23.05.2017 pour une dose totale de 60Gy (30Gyx2) • 6 cycles de chimiothérapie adjuvante par Temodal du 19.06.2017 au 13.11.2017 • Traitement par TTFields (Novocure) depuis le 06.06.2017 • Traitement par Avastin depuis le 11 décembre 2017 • IRM cérébrale du 13.04.2018 : Stabilité de l'effet de masse pariétal postérieure G au vertex, discrètes prises de contraste inchangées en périphérie de la cavité de la résection et de l'œdème périlésionnel • FET-PET le 26.04.2018 : pas de franche activité en parlant pour un processus tumoral • IRM cérébrale le 15.06.2018 : Aucune évolution défavorable comparativement à l'IRM du 13 avril 2018 • Glioblastome IDH1 non muté, MGMT non méthylé, OMS grade IV • date du diagnostic : 16.11.2018 • IRM cérébrale du 09.11.2018 : lésion de la substance blanche profonde frontale droite de 49 x 38 mm • crâniotomie avec exérèse d'une lésion frontale insulaire droite incomplète le 16.11.2018 • histo-pathologie du 17.12.2018 H 1817419 : tumeur en grande partie nécrosée, glioblastome IDH1 non muté, MGMT non méthylé, OMS grade IV • IRM post-opératoire du 17.11.2018 : résidus tumoraux au niveau des berges de la loge de résection niveau antéro-inférieur et postérieur • colloque de neuro-oncologie du 28.11.2018 (CHUV) : décision de radio-chimiothérapie complémentaire • IRM du 04.01.2019 : prise de contraste nodulaire en périphérique de la zone de résection fronto-insulaire homolatérale compatible avec des résidus de glioblastome, petites lésions ischémiques subaiguës surajoutées au-dessus de la zone de résection frontale droite, dans le centre semi-ovale gauche et en région pariéto-occipitale gauche • consultation radio-oncologie au CHUV le 05.12.2018 : radio-chimiothérapie en 15 fractions • actuellement : proposition d'un traitement concomitant par Temodal durant la radiothérapie hyperfractionnée, puis en adjuvant • Glioblastome multiforme grade IV selon OMS au niveau bifrontal • date du diagnostic : 23.06.2017 • histologie (Promed = 7017.17) : glioblastome grade IV selon OMS IDH non muté, MGMT méthylée, pas de codélétion 1p-19q IRM cérébrale du 13.06.2017 : masse tumorale bifrontale • Status post craniotomie avec exérèse tumorale le 23.06.2017 (Dr. X et Dr. X) • IRM postopératoire du 26.06.2017 : large cavité de résection frontale des deux côtés, plus de prise de contraste tissulaire au sein des cavités de résection frontale • août 2017 : radio-chimiothérapie adjuvante refusée par Mr. Y • status post-exérèse subtotale pour une progression tumorale le 05.01.2018 • Janvier 2018 : AVC ischémique subaigu du territoire de l'ACA post-opératoire • réveil pathologique en post-opératoire le 05.01.2018 avec multiples complications infectieuses • progression tumorale avril 2018 • 03.04.2018 : Clinique neurologique : fluctuation de l'état de vigilance, ralentissement psychomoteur global, hémisyndrome sensitivomoteur léger gauche, incontinence mixte • status post-radiothérapie combinée à une chimiothérapie par Temodal du 24.05 au 05.07.2018 (progression tumorale à l'IRM d'août 2018) • status post chimiothérapie par Temodal du 13.08 au 07.10.2018 (situation tumorale stable à l'IRM, arrêt de la chimiothérapie au vu d'une asthénie) • Crise d'épilepsie inaugurale, généralisée, tonico-clonique le 21.09.2018 sur progression glioblastome, traitement temporaire de Keppra • actuellement : progression tumorale avec apparition d'une nouvelle lésion au niveau pariéto-occipital droit avec situation stable au niveau de la tumeur frontale gauche • introduction traitement de Temodal associé à la radiothérapie le 18.02.2019 • Actuellement : Poursuite radiothérapie 5X/semaine, jusqu'au 29.03.2019 Glioblastome OMS grade IV, temporo-pariétal droit • date du diagnostic : 02.08.2013 • histologie (Pathologie Universität Bern B2013.34927 et 2013.34855) : glioblastome OMS grade IV, perte partielle d'hétérozygotie de 1p/19q. MGMT méthylé, pas de mutation du gène IDH1 et IDH2 • status post-crâniectomie avec exérèse tumoral microchirurgical le 02.08.2013 (Inselspital Bern) • IRM et CT cérébral préparatoire : lésion tumorale de 5 x 5 mm au niveau pariéto-occipital droit avec œdème péri-lésionnel • status post-radio-chimiothérapie combinée par Temodal et radiothérapie du 05.09 au 16.10.2013, 60 Gy • status post-chimiothérapie adjuvante par Temodal 5 cycles de novembre à avril 2014 (dosage réduit en raison d'une myélotoxicité) • rechute locale à l'IRM, mi-juin 2014 • status post-résection d'un reste tumoral dans la cavité, le 24.06.2014 (Prof. X, neurochirurgie, Hôpital de l'Ile à Berne) • histologie : infiltration tumorale sur 1/3 de la masse réséquée positive pour MGMT en capital (Pathologie Berne B2014.31526) • Status post 3 cures de chimiothérapie par Temodal administrées sur 3 semaines/4 semaines du 11.09 au 13.11.2014 • nouvelle rechute locale à l'IRM, fin novembre 2014 • status post-résection de la masse tumorale en rechute le 01.12.2014 (Prof. X, Prof. X, Dr. X) • chimiothérapie additive par Campto à partir de janvier 2015 à mi-juin 2015 • rechute locale à l'IRM associée à une épilepsie août 2018 • status post-résection chirurgicale de deux tumeurs pariétales droites et insulaires droites (histologie Berne B2018.30448 : glioblastome, grade IV) • status post-radio-chimiothérapie du 08.10 au 20.11.2018 avec 40 Gy en 20 fractions sur la récidive para-cavitaire pariéto-occipitale droite (Temodal durant quatre semaines) • IRM cérébrale du 07.01.2019 : pas d'évidence de progression tumorale, radionécrose, œdème • Thérapie par Avastin à partir du 18.01.2019 Consultation du 30.01.2019 : Passage de Keppra à Vimpat (cause thrombocytopénie), poursuite du traitement par Avastin (à but d'épargner les corticostéroïdes). Prise en charge oncologique assurée par Prof. X Prise en charge palliative assurée par Dr. X Globe sur hypertrophie de la prostate le 22.04.2019. Globe urinaire > 600 ml d'origine indéterminée. Globe urinaire à 1000 ml Globe urinaire à 800 ml le 10.04.2019 Globe urinaire aux soins intensifs le 10.04.2019 Globe urinaire avec 650 ml Globe urinaire de 2L le 28.04.2019 Globe urinaire d'origine indéterminée • DD contexte infectieux, prostatisme Globe urinaire en postopératoire. Globe urinaire en post-opératoire à plus de 1500 ml le 05.04.2019. Globe urinaire le 02/04/19. Globe urinaire le 02.04.2019 • Bladderscan environs 400 ml Globe urinaire le 03.04.2019 Globe urinaire le 05.02.2019 sur hyperplasie de la prostate • sonde vésicale à demeure depuis le 05.02.2019 Globe urinaire le 08.04.2019 d'origine indéterminée • DD hyperplasie bénigne de la prostate Globe urinaire le 14.03.2019. Globe urinaire le 17.04.19 Globe urinaire le 08.04.2019 • sur probable hypertrophie de la prostate. Globe urinaire sur hypertrophie prostatique le 11.03.2019 • avec macrohématurie à 24 heures de la thrombolyse intraveineuse • Hypertrophie prostatique et nodule prostatique gauche suspect au CT du 13.03.2019 • PSA le 15.03.2019 à 21 ng/ml Globe urinaire sur probable obstruction Globe urinaire 07.04.2019 • Bladderscan 460 ml Globe vésical. Globe vésical. Globe vésical. Globe vésical à 1600 ml le 19.04.2019. Globe vésical à 700 ml, le 15.03.2019 Globe vésical à 800 ml le 16.04.2019 Globe vésical à 800 ml le 16.04.2019. Globe vésical à 800 ml le 27.03.2019 Globe vésical avec insuffisance rénale aiguë probablement post-rénale le 14.03.2019 avec récidive le 01.04.2019 • Prostatisme sous Pradif Globe vésical avec pose sonde vésicale du 16.09.2015 au 22.09.2015 Accident ischémique transitoire en 1994 Cure de cataracte œil gauche Décollement de la rétine œil droit Cure de varices Opération du rachis Cure de hernie inguinale Status après chondrocalcinose décompensée du genou droit Anévrisme de l'aorte ascendante de 53 mm et lésion punctiforme du noyau caudé sur l'angio IRM cérébrale Globe vésical avec pose sonde vésicale du 16.09.2015 au 22.09.2015. Status après accident ischémique transitoire en 1994. Status après cure de cataracte œil gauche. Status après décollement de la rétine œil droit. Status après cure de varices. Status après opération du rachis. Status après cure de hernie inguinale. Status après neuronite vestibulaire. Status après chondrocalcinose décompensée du genou droit. Anévrisme de l'aorte ascendante de 53 mm et lésion punctiforme du noyau caudé sur l'angio IRM cérébrale. Syndrome radiculaire non irritatif L5 gauche le 08.07.2018 : • chez Mr. Y connu pour pied tombant du membre inférieur droit post-traumatique. Globe vésical avec pose sonde vésicale du 16.09.2015 au 22.09.2015 Status après accident ischémique transitoire en 1994 Status après cure de cataracte œil gauche Status après décollement de la rétine œil droit Status après cure de varices Status après opération du rachis Status après cure de hernie inguinale Status après neuronite vestibulaire Status après chondrocalcinose décompensée du genou droit Anévrisme de l'aorte ascendante de 53 mm et lésion punctiforme du noyau caudé sur l'angio IRM cérébrale Syndrome radiculaire non irritatif L5 gauche le 08.07.2018 : • Chez Mr. Y connu pour pied tombant du membre inférieur droit post-traumatique. Globe vésical avec pose sonde vésicale du 16.09.2015 au 22.09.2015. Status après accident ischémique transitoire en 1994. Status après cure de cataracte œil gauche. Status après décollement de la rétine œil droit. Status après cure de varices. Status après opération du rachis. Status après cure de hernie inguinale. Status après neuronite vestibulaire. Status après chondrocalcinose décompensée du genou droit. Anévrisme de l'aorte ascendante de 53 mm et lésion punctiforme du noyau caudé sur l'angio IRM cérébrale. Syndrome radiculaire non irritatif L5 gauche le 08.07.2018 : • Chez Mr. Y connu pour pied tombant du membre inférieur droit post-traumatique. Globe vésical dans un contexte d'antalgie par opiacés. Globe vésical dans un contexte de Ca de la prostate le 25.02.2019. Globe vésical dans un contexte d'immobilisation et traitement d'opiacés. Globe vésical de 1500 ml le 02.04.2019. Globe vésical de 600 ml. Globe vésical d'origine probablement médicamenteuse (Ditropan) le 20.03.2019. Globe vésical (évalué à 700 cc par échographie aux urgences) dans contexte antalgie par opiacés. Globe vésical le 03.04.2019. Globe vésical le 08.04.2019. • Contexte post-opératoire avec ablation de sonde urinaire ce jour. Globe vésical le 23.04.2019. • 950 ml à l'US. Globe vésical le 29.04.2019. Globe vésical le 31.03.19 après retrait de la sonde vésicale. Globe vésical le 31.03.19. • Chez Mr. Y sondé aux soins intensifs. Globe vésical probablement sur infection urinaire le 25.04.2019. Globe vésical sur hypertrophie de la prostate (DD : sur infection urinaire ou prostatite). Globe vésical sur sonde urinaire bouchée. Globe vésical 25.04.2019. Globe vésicale dans contexte d'éthylisation aiguë, le 19.04.2019. Globe vésicale 25.04.2019. Glomérulonéphrite extra-capillaire pauci-immune ANCA-positive (anti PR3+) avec index d'activité élevé, le 01.04.2019 : • Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 (FeNa 2.23%, FeUrée 46.6% le 01.04.2019, Clearance créatinine à 36 ml/min) le 03.04.2019. • Syndrome néphritique. • Protéinurie de 1.13 g/24 h dont 1.02 g/24 h d'albumine. • Atteinte rénale isolée probable. • Syndrome inflammatoire persistant (CRP 53 mg/l et VS à 47 mm/1 h). Glossite le 25.04.2019. Gluconate de calcium. Glucose 5% du 08.03.-11.03.2019. Glycémie à 16.3 mmol/l. Glycémie à 7 mmol/l. Glycémie à 7.1 mmol/l. Glycémie à 9.1 mmol/l. Glycémie au doigt : 25.2 mmol/l. Augmentation du Tresiba de 14 à 16 UI/j. Schéma de novorapid selon glycémie. Prévoir contrôle chez le MT. Glycémie 4.2 mmol. Avis psychiatrique de garde (Dr. X) : indication pour une hospitalisation à Marsens pour mise à l'abri sous PAFA. Transfert en ambulance à Marsens sous PAFA. Explications données à Mme. Y du PAFA. Glycémie 4.3 mmol. Avis pédo-psychiatrique (Dr. X) : cf consilium. • Retour à domicile avec mère, rendez-vous demain matin à la consultation de Dr. X pour suite de prise en charge. Attitude : • Retour à domicile accompagné de sa mère et tante. • Rendez-vous à la consultation pédopsychiatrique de Dr. X demain matin. Glycémie 5.5 mmol/l. Glycémie. Prise de tension artérielle. Réassurance. Glycémies à l'home >18 mmol/l. Adaptation insulinothérapie. Suivi biologique. Goître multinodulaire préférentiellement du lobe thyroïdien gauche avec : • Hyperthyroïdie symptomatique en 2014, traitée par thyréostatique. • Status post-cytologie du nodule majeur sur ponction le 23.01.2015 (classification Bethesda II). • Ponction cytologique le 08.01.2019, rassurante (classification Bethesda II). • Progression volumétrique entre 2014 et 2018. Goitre nodulaire le 15.04.2019. Goître plongeant au CT-scanner du 23.04.2019 avec : • TSH à 1.050 mU/l. • Suivi par Dr. X depuis 2017. Goitre plongeant découvert fortuitement au CT-scanner du 23.04.2019 avec : • TSH à 1.050 mU/l. Goître plongeant euthyroidien (bilan du 07.03.2019) : • TSH 1.04 UI/L. • T3 libre : 4.14 pmol/L. • T4 libre : 13 pmol/L. Goitre plongeant multinodulaire et diffus du lobe thyroïdien gauche avec : • Composante plongeant dans le médiastin supérieur. • Cytologie selon classification Bethesda II et III. • Euthyroïdie. Gonalgie. Gonalgie bilatérale d'origine indéterminée le 05.04.2019. Gonalgie décompensée G. Décompensation arthrosique compartiment interne genou D. Décompensation de chondrocalcinose au genou G. • Status post-méniscectomie des deux genoux en 2015 (Dr. X). Gonalgie droit le 29.05.2018 sur probable syndrome de la plica médiale. Gonalgie droite de surcharge le 31.10.2016. Dyspnée probablement sur anxiété le 17.07.2015. • Embolie pulmonaire et pneumothorax exclus par CT thoracique. • Mr. Y connu pour une anxiété avec parfois dyspnée. Douleur du mollet droit le 17.07.2015. DD : TVP, rupture de kyste de Baker. Induration axillaire gauche d'origine indéterminée (DD : origine inflammatoire) le 04.2015. Appendicite ulcéro-phlegmoneuse le 24.04.2014. Cupulolithiase droite (12.2014). Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique en mai 2012. Accouchements par voie basse en 2009 et 2012. Dépression post-partum en 2009 et 2011. Brûlures post-mictionnelles intermittentes post-partum en 2009 et 2011. Status post-amygdalectomie. Status post cure hernie inguinale en 1983. Attaque de panique. Gonalgie du genou D sur une insertionite d'une biceps femoris, inflammation du LLE, rupture de la capsule postéro-latérale, déchirure de la corne postérieure du ménisque interne. Gonalgie gauche. Gonalgie gauche d'origine indéterminée dans le contexte d'effort physique prolongé. Gonalgie gauche d'origine indéterminée le 05.04.2019. Gonalgie gauche sur probable arthrose le 26.04.19. Gonalgie inflammatoire d'origine indéterminée sans critères de gravité, avec : Gonalgies. Gonalgies bilatérales chroniques mécaniques le 29.06.2017. Contusion paravertébrale D9-D11 suite à AVP en 50 km avec choc latéral droit. Gonalgies bilatérales sur probable lésions ménisques internes bilatérales. Gonalgies chroniques d'origine indéterminée. DD : gonarthrose débutante. Gonalgies D dans le contexte d'une entorse le 01.03.2019. Gonalgies D le 30.03.2019. Gonalgies dans le cadre d'une possible lésion ligamentaire (suspicion lésion ligament croisé antérieur et/ou lésion méniscale interne) genou G sur chute à vélo au mois de novembre 2018. Gonalgies droites. Gonalgies droites le 29.05.2018 sur probable syndrome de la plica médiale. Gonalgies droites sur probable arthrose débutante. DD : arthrite le 15.04.2019. Gonalgies droites sur probable lésion dégénérative chronique du ménisque interne sur : • Status post plastie du LCA avec méniscectomie partielle du ménisque interne (Dr. X) en 2013. Status post infiltration genou droit le 20.03.2019. Gonalgies G d'origine indéterminée. • DD : lésion ménisque interne. Gonalgies G sur distorsion du ligament collatéral interne. Lésion cartilagineuse du cartilage dans la gouttière inter-condylienne et sur le versant interne de la rotule. Gonalgies G sur ménisque externe discoïde. Status post ostéosynthèse d'une fracture diaphysaire du tiers distal du fémur D le 11.12.17. Gonarthrose tri-compartimentale débutante, genou D, status post infiltration par cortisone le 22.03.2017. Gonalgies G sur ménisque externe discoïde.Status post ostéosynthèse d'une fracture diaphysaire du tiers distal du fémur D le 11.12.17, Gonarthrose tri-compartimentale débutante, genou D, status post infiltration par cortisone le 22.03.2017. Gonalgies gauches Gonalgies gauches persistantes post-chute avec réception sur les deux genoux le 15.04.2019 avec: • Douleur à la marche avec boiterie légère et douleur à la palpation de l'épicondyle médial du fémur gauche et de l'interligne fémoro-patellaire gauche • Radiographie genou gauche 17.04.2019: Absence d'épanchement articulaire et de fracture. Importante gonarthrose tricompartimentale prédominant au compartiment interne avec multiples ostéophytes Gonalgies post-opératoire Gonalgies sur: • Status post-PTG droite BalanSys le 26.02.2014. • Gonarthrose tricompartimentale genou gauche. Gonalgies sur dégénération fémoro-patellaire et fémoro-tibiale médiale débutante ddc sur genou normo-axé ddc. Gonalgies sur Morbus Osgood Schlatter genou G Suspicion de fibrome non ossifiant du genou G (fémur) Gonarthrose Gonarthrose à D débutante. Gonarthrose bilatérale connue Gonarthrose bilatérale plus prononcée à gauche qu'à droite. Gonarthrose bilatérale. Hypotension orthostatique. Gonarthrose bilatérale Urgences mictionnelles avec pollakiurie: HBP Gonarthrose D, avec injection intra-articulaire en novembre 2018, et brûlure du réseau nerveux en février Polyarthrite, hypothyroïdie Médication actuelle: Pantozol 20 mg, Prednisone 5 mg, Calcimagon, Etrozin 0.05 et Activelle 1 jour sur 2, Prolia injection tous les 6 mois Gonarthrose D opérée Coxarthrose G Gonarthrose ddc Gonarthrose débutante à droite Gammapathie monoclonale à IgG lambda stable depuis 6 mois Bronchiectasie cylindrique du lobe inférieur G • origine séquellaire d'une infection dans l'enfance vs en lien avec la polyarthrite rhumatoïde • possible composant d'asthme bronchique (peu probable) Hypoacousie bilatérale prédominant à droite Probable lipome sus-claviculaire D Gonarthrose droite. Gonarthrose droite en regard du compartiment fémoro-tibial interne sur • status post plastie LCA avec méniscectomie partielle du ménisque interne (Dr. X en 2013) • status post infiltration du genou droit par 80 mg de Depo-Medrol le 20.03.2019. Gonarthrose en progression à droite le 10.04.2019. Gonarthrose fémoro-patellaire genou gauche. Status post infiltration du genou gauche le 26.09.2018. Status post infiltration du genou gauche le 16.01.2019. Status post infiltration du genou gauche le 13.03.2019. Gonarthrose fémoro-tibiale du compartiment médial et fémoro-patellaire des deux genoux, plus prononcée à gauche. Gonarthrose fémoro-tibiale externe droite. Status post-arthroscopie diagnostique et méniscectomie partielle interne, genou gauche le 26.09.2018 pour: • lésion en anse de seau. Gonarthrose fémoro-tibiale externe genou droit. Gonarthrose fémoro-tibiale interne à droite. Gonarthrose fémoro-tibiale interne du genou G avec: • Status post arthroscopie genou G et résection de la corne antérieure du ménisque interne. • Status post ostéotomie tibiale de valgisation et ouverture interne de 8° par plaque TomoFix le 08.05.2018. Gonarthrose fémoro-tibiale interne gauche. Status post-arthroscopie et méniscectomie interne gauche. Gonarthrose G Gonarthrose G du compartiment médial • Chondrocalcinose associée Gonarthrose genou droit, prédominante sur le compartiment interne et fémoro-patellaire. Gonarthrose mono-compartimentale droite le 02.04.2019. Gonarthrose tricompartimentale à droite sur: • St. p. valgisation du genou droit (2001) Gonarthrose tricompartimentale à gauche. Status post-plastie LCA à gauche il y a 40 ans. Gonarthrose tricompartimentale à prédominance fémoro-patellaire droite. Gonarthrose gauche à prédominance fémoro-tibiale latérale. Gonarthrose tri-compartimentale à prédominance fémoro-tibiale interne genou gauche. Gonarthrose tri-compartimentale bilatérale. Gonarthrose tri-compartimentale bilatérale avancée. Gonarthrose tri-compartimentale D Gonarthrose tri-compartimentale ddc, clairement plus à D qu'à G. Gonarthrose tricompartimentale droite. Status post-méniscectomie partielle interne genou droit en 1994. Status post-méniscectomie interne par voie ouverte genou gauche en 1984. Status post-ostéotomie de valgisation du genou gauche en 2008. Status post-AMO plaque de valgisation du genou gauche en 2009. Discopathie L1 à L5. Gonarthrose tri-compartimentale du genou G sur: • status post plastie du LCA genou G il y a 15 ans environ à Lausanne. Gonarthrose tricompartimentale du genou gauche. Gonarthrose tricompartimentale genou ddc, plus à D qu'à G. Gonarthrose tricompartimentale prédominant en interne à droite. Status post-implantation d'une prothèse totale du genou gauche le 04.10.2017 sur: • gonarthrose fémoro-tibiale interne, bilatérale, prédominante à gauche. Gonarthrose tri-compartimentale prédominante au fémoro-tibial interne D. Omarthrose sur lésion de la coiffe D. Gonarthrose tricompartimentale symptomatique, genou droit. Gonarthrose unicompartimentale genou D. Gonarthrose varisante D • Status post OS fracture diaphysaire fémur D en 1982. Gonarthrose varisante droite avec laxité latérale. Goutte. Goutte non traitée actuellement. Goutte Déviation de la commissure labiale gauche non datée Goutte Glaucome-macula Hypoacousie appareillée Hernie hiatale Cardiopathie hypertensive et ischémique avec maladie coronarienne tritronculaire: • absence de resténose de l'IVA proximale/distale au niveau du site d'implantation du stent nu 2011 • sténose significative de l'IVA moyenne: PTCA/1x stent actif le 05.07.2018 • lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure distale • sténose non-significative de l'artère circonflexe proximale • lésion non significative de l'artère coronaire droite moyenne • fraction d'éjection VG normale (70%) en 10.2018 • NSTEMI le 23.04.2011 Lombosciatalgie chronique gauche dans le contexte d'antécédent d'hernie discale L4-L5 gauche partiellement déficitaire avec antélisthésis et canal lombaire étroit Sevrage alcoolique depuis juin 2018 dans contexte de consommation d'alcool à risque (4dl/jour) Hypothyroïdie subclinique Troubles du sommeil avec difficulté d'endormissement et multiples réveils nocturnes Goutte. Hypertension artérielle. Diabète de type II. Goutte. Hypertension artérielle. Diabète de type II. Goutte Incontinence urinaire nocturne Insuffisance rénale chronique KDIGO G3a Hypertension artérielle mal contrôlée • ETT 24.07.2018: FEVG 70%, ventricule gauche normal. Aorte normale et valve aortique normale avec aspect de sclérose. Valve mitrale normale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Ventricule droit sans particularité, Valve tricuspide et pulmonaire normale. • Angiographie coronaire 26.07.2018: Artères coronaires athéromateuses sans lésion significative • Holter 11.09.2018: 2 épisodes de FA de 95 et 137s, depuis lors sous Xarelto CHA2DS2-VASc 4 le 23.01.2019. • sous Xarelto 15 mg, Torasémide 10 mg, Coveram 10/10 mg, nouveau Cardura depuis le 10.01.2019. Corvaton stoppé le 10.01.2019 • Arrêt du Xarelto le 23.01.2019 en raison de l'anémie. Si apparition de FA au Reveal, introduction d'Eliquis à réévaluer Syncopes récidivantes d'origine mixte vaso-vagale et hypotension orthostatique • Reveal mis en place le 05.10.2018, contrôle les 15 et 29.11.2018 : pas de FA • Syncope les 12, 22, 29.08.2018; 21.11.2018; 07, 14.01.2019 Goutte. Maladie monotronculaire avec : • Restenose intra-stent de l'ACD ostiale (PCIx2 le 10.04. et 04.07.2018) : PTCA avec ballon élastique (bon résultat). • Fonction systolique du VG normale, EF 60 %. Coronarographie le 2.11.2018. Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 2.11.2018 au 3.11.2018. Gouttes antibiotiques pour 7 jours. Contrôle chez le médecin traitant dans 5-7 jours. Gouttes Oculac. Retour à domicile. Gouttes ophtalmiques Oculac, Excipial crème grasse. Vitamin A jusqu'à 22.03.2019 Contrôle ophtalmologique le 29.03.2019 à 9 h (HFR, Hôpital Cantonal) Introduction le 29.03.2019 : Larycon et Tobradex (3 x/j pour 29.03 - 08.04.2019, après Tobradex 1 x/j pour 09.04 - 19.04.2019) Gouttes Weleda Calendula Graft versus Host Disease (GvHD) aiguë grade III avec atteinte cutanée (stade 2) et digestive (stade 3) • état fébrile récidivant dès le 26.03.2019 • éruption cutanée maculo-papuleuse, érythémateuse, non prurigineuse généralisée • douleurs abdominales et diarrhées • syndrome inflammatoire biologique Grand brûlé (1993). Status après thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche (1993). Grand lavement avec Practomil aux urgences : évacuation d'une importante masse fécale, soulagement complet. Prescription de Metamucil 1-1-0 cuillère à café en fixe. Granulome de D2 surinfecté après Granulome face antérieure genou D. Status post-débridement, rinçage et re-suture cutanée et sous-cutanée genou D le 23.02.2016. Status post-résection de la zone nécrotique et ablation complète du lambeau cuisse D. Résection de la capsule du genou et création d'un nouvel espace supra-patellaire avec scarification de la capsule crâniale et drainage ainsi que mise en place pour la couverture de la peau d'un lambeau type perforateur à la cuisse D le 15.03.2016 sur : Sérome infecté et plaie infectée après reconstruction genou avec un double lambeau type expander perforateur pour la reconstruction d'un genou infecté D. • Ablation des deux Expanders et élévation du lambeau fascial et musculaire double à la jambe et cuisse D. Prélèvement de lambeau avec les deux coques d'élévation, ténolyse au niveau de la rotule et mise en place du lambeau dans la zone défectueuse qui est excisée totalement à la face latérale de la cuisse et de la jambe D le 02.02.2016 sur zone cicatricielle jambe D avec zone défectueuse et infections multiples post élévation du lambeau fascial et musculaire de la cuisse et de la région tibiale antérieure, mise en place de deux Expander crânial en banane, 500 cc Mentor smooth et un Expander 150 cc, avec placement latéral de la jambe inférieure et de la cuisse MID le 20.01.2015 pour zone défectueuse de la jambe D sur ostéoarthrite chronique tibiale et probablement fémorale sur infection mixte à Staph. aureus, Enterobacter cloacae, Morganella morganii • Surinfection d'un kyste de Baker et d'un hématome de la loge du gastrocnémius à Morganella Morganii et E.Coli ESBL le 28.02.2012. • Débridement, rinçage, biopsies, drainage par Penrose jambe D, ponction genou D (proximal-médial), le 27.02.2012 • Second look, biopsies, rinçage et drainage le 29.02.2012 • 3rd look, débridement, rinçage et drainage le 02.03.2012 • Interventions vasculaires rares sur des membres supérieurs : pose de PICC-Line 5F, le 12.03.2012 - Dr. X • Choc septique sur infection du matériel d'ostéosynthèse et gonarthrite septique genou D à MSSA le 28.11.2011 post OS d'une fracture du plateau externe tibia proximal D en avril 2009 avec nécrose du plateau tibial externe D, nécrose cutanée face latérale du genou D, ostéomyélite du plateau tibial externe D, abcès loge postérieure cuisse D, abcès loge des fléchisseurs superficiels et profonds jambe D, abcès cuisse et jambe D (microbiologie : Entérobacter cloacae) • Synovectomie totale, multiples débridements et rinçages, VAC, incision d'abcès entre le 29.11.2011 et le 03.01.2012 • Couverture par lambeau gastrocnémien latéral, greffe de Thiersch jambe D le 13.01.2012 Granulome phalange proximale Dig III main G Granulome sécrétant au niveau du nombril Granulome sur cicatrice abdominale de laparoscopie avec : • status post-appendicectomie laparoscopique le 19.03.2019 Granulome tiers distale de la cicatrice tendon d'Achille G sur : • status post excision d'un granulome sur fil le 17.11.2017 sur status post reconstruction du tendon d'Achille gauche avec plastie d'inversion et doublement de la partie distale le 13.09.2016. Greffe de cornée transfixiante le 20.12.2018 Thrombose de la fistule artério-veineuse de type Cimino à droite, sur des sténoses veineuses et artérielles in et out flow, le 28.10.2015. Status post-thrombectomie de la fistule artério-veineuse du membre supérieur droit, le 28.12.2016 Thrombose de la fistule artério-veineuse radio-céphalique prothétique au membre supérieur droit, le 10.04.2017 (5ème récidive) Pose de Permacath à droite, le 10.04.2017 (Dr. X) Pneumonie droite, en 2014 Candidose buccale en mars 2018 Angor stable (dyspnée paroxystique) dans un contexte de cardiopathie mixte, ischémique et hypertensive : • insuffisance cardiaque avec NT-proBNP le 27'065 ng/l le 21.05.2018 • ETT le 05.06.2018 : VG non dilaté, non hypertrophié, FEVG 49 %, dysfonction diastolique importante (grade III). Élévation des pressions de remplissage du VG, OG discrètement dilatée, HTAP importante à 64 mmHg Décompensation cardiaque globale le 12.05.2018 dans le contexte de cardiopathie hypertensive et ischémique (maladie coronarienne tri-tronculaire stentée) Thrombose septique du membre supérieur gauche avec bactériémie à S. aureus multisensible le 03.06.2018 avec défaillance multi-organique Ulcère gastrique Forrest III le 26.04.2018 avec anémie macrocytaire normochrome Greffe (prélevée à la crête iliaque D) du radius distal et OS par plaque Aptus à D (OP le 28.03.2019) Microbiologie de la biopsie lit du carré pronateur D du 28.03.2019 : négative Greffe rénale 2010 • Syndrome néphrétique corticorésistant sur minimal change disease connu 1966 • Glomérulosclérose focale et segmentaire nécessitant hémodialyse depuis 2004 • Insuffisance rénale chronique stade G1 Hyperparathyroïdie secondaire modérée, PTH dans la norme 4/2019 Hépatite virale chronique B Hypertension artérielle (Stop traitement) Anémie d'origine rénale Scoliose thoraco-lombaire Mr. Y, 14 jours, est hospitalisé pour suite de prise en charge d'un premier épisode de pyélonéphrite. Sur le plan infectieux, nous mettons en évidence un E. coli multisensible dans les urines, permettant de stopper la garamycine et de ne poursuivre qu'avec le clamoxyl intraveineux pour une durée totale de 10 jours. Nous effectuons un ultrason des voies urinaires qui met en évidence une minime dilatation pyélocalicielle à gauche de 5 mm. Une cysto-urétrographie mictionnelle est organisée pour début juin, avec discussion des résultats à la consultation de Dr. X, néphrologue le jour même. Dans l'intervalle, il poursuivra avec une antibioprophylaxie par Amoxicilline 10 mg/kg 2x/j. Sur le plan alimentaire, il reprend son poids de naissance à J13.Grégoire rentre à domicile à la fin de l'antibiothérapie intraveineuse, le 28.04.2019. Grippe Grippe Grippe A nosocomiale le 20.02.2019 Grippe et induction de travail pour diabète gestationnel Grippe Influenza A le 11.02.2019 • Tamiflu du 11.02.19 au 15.02.19 • Solumédrol 125 mg i.v. le 11.02.19 • Prednisone majorée le 11.02.19, puis schéma dégressif Sonde à demeure depuis 4 mois avec présence de leucocytes et de nitrites dans les urines • Tienam 500 mg i.v. reçu aux urgences • Sevrage de la sonde le 13.02.19 Insuffisance respiratoire globale aiguë sur une exacerbation BPCO stade GOLD III d'origine infectieuse à Branhamella Catarrhalis (cf documents annexe) le 31.12.2018 (Critère d'Anthonisen à 2/3) traitée par: • Prédnisone du 31.12.2018 au 2.1.2019 • Co-Amoxicilline iv du 31.12.2018 au 3.1.2019 puis po du 4.1 au 6.1.2019 • Aérosols Atrovent/Ventolin stopé le 7.1.2019 • Ultibro et Pulmicort sous conseil pneumologique • Ventilation non-invasive dès le 31.12.2018 BiPAP dès le 4.1.2019 • Oxygénothérapie à 2 L/min d'O2 • BiPAP nocturne • Sous 1 litre d'oxygène 15h/jour au home Décompensation respiratoire globale aiguë d'origine multifactorielle le 10.12.2018 (Clarithromycine le 10.12.2018, Imipénème du 10.12 au 12.12.18, Ertapénème du 12.12 au 17.12.2018) Bactériurie à E.Coli ESBL et Klebsiella pneumoniae asymptomatique chez patiente avec sonde urinaire à demeure le 3.1.2019: Avis infectiologique: pas de traitement antibiotique Embolies pulmonaires segmentaires le 06.08.2018 : • Pas d'anticoagulation au vu du contexte hémorragique • Pose de filtre de la veine cave le 06.08.2018 Hématochézie sur des hémorroïdes le 15.06.2018 avec • Le 15.06.2018, Dr. X : ligature de l'artère hémorroïdaire supérieure et hémorroïdopexie Hémorragie digestive basse le 27.07.2018 : • OGD le 02.08.2018 (Dr. X) : normale • Colonoscopie 13.08.2018 : diverticulose et hémorroïdes, absence de source de saignement actif ; proposition d'arrêt des investigations gastro-entérologiques et suivi de la formule sanguine Ulcère gastrique en 2012 Ulcères de la jambe droite sur statut après dermo-hypodermite avancée ayant nécessité un débridement large, un traitement par VAC et plusieurs greffes de peau méchées en janvier et février 2008 Herpès zoster en août 2013 avec douleurs neurogènes séquellaires et prurit Grippe Influenza A le 11.02.2019 • Tamiflu du 11.02.19 au 15.02.19 • Solumédrol 125 mg i.v. le 11.02.19 • Prednisone majorée le 11.02.19, puis schéma dégressif Sonde à demeure depuis 4 mois avec présence de leucocytes et de nitrites dans les urines • Tienam 500 mg i.v. reçu aux urgences • Sevrage de la sonde le 13.02.19 Insuffisance respiratoire globale aiguë sur une exacerbation BPCO stade GOLD III d'origine infectieuse à Branhamella Catarrhalis (cf documents annexe) le 31.12.2018 (Critère d'Anthonisen à 2/3) traitée par: • Prédnisone du 31.12.2018 au 2.1.2019 • Co-Amoxicilline iv du 31.12.2018 au 3.1.2019 puis po du 4.1 au 6.1.2019 • Aérosols Atrovent/Ventolin stopé le 7.1.2019 • Ultibro et Pulmicort sous conseil pneumologique • Ventilation non-invasive dès le 31.12.2018 BiPAP dès le 4.1.2019 • Oxygénothérapie à 2 L/min d'O2 • BiPAP nocturne • Sous 1 litre d'oxygène 15h/jour au home Décompensation respiratoire globale aiguë d'origine multifactorielle le 10.12.2018 (Clarithromycine le 10.12.2018, Imipénème du 10.12 au 12.12.18, Ertapénème du 12.12 au 17.12.2018) Bactériurie à E.Coli ESBL et Klebsiella pneumoniae asymptomatique chez patiente avec sonde urinaire à demeure le 3.1.2019: Avis infectiologique: pas de traitement antibiotique Embolies pulmonaires segmentaires le 06.08.2018 : • Pas d'anticoagulation au vu du contexte hémorragique • Pose de filtre de la veine cave le 06.08.2018 Hématochézie sur des hémorroïdes le 15.06.2018 avec : • Le 15.06.2018, Dr. X : ligature de l'artère hémorroïdaire supérieure et hémorroïdopexie Hémorragie digestive basse le 27.07.2018 : • OGD le 02.08.2018 (Dr. X) : normale • Colonoscopie 13.08.2018 : diverticulose et hémorroïdes, absence de source de saignement actif ; proposition d'arrêt des investigations gastro-entérologiques et suivi de la formule sanguine Ulcère gastrique en 2012 Ulcères de la jambe droite sur statut après dermo-hypodermite avancée ayant nécessité un débridement large, un traitement par VAC et plusieurs greffes de peau méchées en janvier et février 2008 Grippe Influenza A pneumonie basale droite à germe indéterminé le 20.02.2018 • avec insuffisance respiratoire partielle Tamiflu du 20.02 au 21.02. au 25.02.2019 Possible salve de tachycardie ventriculaire le 20.02.2019 DD : ESV, aberration de conduction et FA ECG le 22.02.2019: FA rapide Ad Beloc Zok 12.5 mg dès le 22.02.2019 Grossesse. Grossesse à 27 5/7 Grossesse à 30 SA Grossesse à 4 semaines d'aménorrhée (date des dernières règles le 06.03.2019). Grossesse arrêtée Grossesse arrêtée à 5 5/7 semaines d'aménorrhée chez patiente 1G0P de 29 ans. Grossesse arrêtée à 11 + 6/7 SA chez patiente de 33 ans, 1G 0P. • Curetage évacuateur sous AG le 22.10.2018. IUB à Klebsiella pneumoniae en 02.2018. Grossesse arrêtée à 11 semaines d'aménorrhée chez patiente 3G1P de 40 ans. Grossesse arrêtée à 5 semaines d'aménorrhée chez patiente de 36 ans primigeste Grossesse arrêtée à 6 semaines d'aménorrhée chez patiente primigeste de 36 ans. Grossesse arrêtée à 7 1/7 semaines d'aménorrhée selon l'échographie le 09.04.2019 chez patiente 2G 1P de 38 ans Grossesse arrêtée à 8 semaines d'aménorrhée chez patiente 4G2P de 36 ans. Grossesse initialement gémellaire non-désirée à 6 6/7 SA chez patiente 3G1P de 27 ans. Grossesse intra-utérine évolutive à 6 1/7 SA selon US du 17.09.2013. Kyste ovarien droit (sur corps jaune probable). Grossesse non désirée à 11 6/7 semaines d'aménorrhée chez patiente 3G0P de 31 ans Grossesse non désirée à 5 4/7 SA chez patiente de 2G1P de 29 ans Grossesse non désirée à 8 1/7 semaines d'aménorrhée chez patiente 1G0P. Grossesse non évolutive arrêtée à 9 1/7 SA chez patiente primigeste de 39 ans Grossesse non-désirée à 10 0/7 semaines d'aménorrhée chez patiente 4G 3P de 36 ans Grossesse non-désirée à 5 4/7 semaines d'aménorrhée chez patiente 3G 0P de 28 ans. Grossesse non-désirée à 5 4/7 semaines d'aménorrhée chez patiente 1G 0P de 31 ans Grossesse non-désirée à 5 4/7 semaines d'aménorrhée chez patiente 2G1P de 37 ans. Grossesse non-désirée à 5 6/7 semaines d'aménorrhée chez patiente 3G 1P de 38 ans. Grossesse non désirée à 6 3/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y 3G 2P de 38 ans. Grossesse non désirée à 6 3/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y primigeste de 19 ans. Grossesse non désirée à 6 3/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y 1G 0P de 23 ans. Grossesse non désirée à 6 3/7 semaines d'aménorrhée le 30.03.2019 chez Mme. Y 1G0P de 27 ans. Grossesse non désirée à 6 4/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y 1G 0P de 27 ans. Grossesse non désirée à 6 4/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y 4G 3P de 30 ans. Grossesse non désirée à 6 4/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y 5G2P de 34 ans. Grossesse non désirée à 6 5/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y 1G0P de 35 ans. Grossesse non désirée à 7 0/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y 1G0P de 20 ans. Grossesse non désirée à 7 0/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y 2G0P de 30 ans. Grossesse non désirée à 8 1/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y 4G2P de 27 ans. Grossesse non désirée à 8 2/7 semaines d'aménorrhée et demande de stérilisation tubaire chez Mme. Y 3G 1P de 44 ans. Grossesse non désirée à 9 1/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y 1G0P de 34 ans. Grossesse non désirée gémellaire bichoriale-biamniotique à 12 0/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y 7G 2P de 27 ans. Grossesse non évolutive, arrêtée à 8 SA chez Mme. Y 6G2P de 35 ans. Grossesse non évolutive, arrêtée à 8 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y 6G 2P de 35 ans. Grossesse non évolutive, arrêtée à 9 1/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y primigeste de 39 ans. Grossesse non évolutive arrêtée à 9 3/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y primigeste de 26 ans. Grossesse normale, naissance à terme 40 4/7 SG, PN 3950g, TN 51cm, accouchement par voie basse sans complications néonatales. Est connue pour une dysplasie de la hanche G traitée avec attelle jusqu'au 22.09.15. Grossesse sans particularité, naissance à terme et petite enfance sans particularités. Status post cholélithiase, diagnostiquée en 2009. Status post cholécystectomie, 17.08.2009, résection de kyste de cholédoque avec hépato-jéjunostomie prévue, abandonnée et non effectuée. Status post laparotomie exploratrice pour tentative de résection du kyste du cholédoque type 4, résection non effectuée en raison d'un risque de saignement trop important, 09/2009. Status post 9 OGD et ligatures de varices oesophagiennes, entre 07/2009 et 10/2010. Complication post-chirurgicale de type hématome abdominal en 11.2018. Grossesse sous Cerazette découverte tardivement à 22 SA. Grossesse sur FIV. Curetage évacuateur le 03.04.2019. Antalgie simple. Grossesse sur IAC. Curetage évacuateur le 26.04.2019 sous anesthésie générale. Antalgie simple. Matériel envoyé en anatomo-pathologie. Grossesse sur ICSI (transfert le 27.02.2019). Curetage évacuateur le 09.04.2019 sous anesthésie générale. Antalgie simple. Matériel envoyé en anatomo-pathologie. Grossesse sur insémination intra-utérine le 25.08.2018, avec don de sperme (Espagne). Grossesse sur insémination intra-utérine. Curetage évacuateur le 03.04.2019 sous anesthésie générale. Matériel envoyé en anatomo-pathologie. Antalgie simple. Grossesse x SA le 13.04.2019. groupage aux urgences. Groupe A Rhésus positif. US : pas de signe de décollement placentaire, placenta praevia ou vasa praevia. Poursuite utrogestan 200 mg cp 2x/j. Groupe maternel : O Rhésus négatif. Rhésus enfant : Rhésus positif. Hb foetale à 0 à 8h. Rhophylac fait le 19.04 à 22h. Groupe sanguin : A positif. Chlamydia du 09.07.2018 : négatif. PAP-test du ????. US du XXXX. Groupe sanguin : A positif. Chlamydia du 09.07.2018 : négatif. US faite chez Dr. X : grossesse arrêtée à 8 semaines d'aménorrhée. Groupe sanguin A positif. Laboratoire du 01.04.19 : Hb à 125 g/l, crase en ordre. US du 27.03.19 : grossesse intra-utérine arrêtée à 9 1/7 semaines d'aménorrhée. Chlamydia du 23.10.2018 : négatif. PAP du 26.04.2018 : pas de signes de lésion intra-épithéliale ou de malignité. Cytologie non suspecte. Sérologie du 23.10.2018 : Rubéole positif, CMV positif, Varicelle positif, EBV positif, HBV vacciné, HCV négatif, HIV négatif, Syphilis négatif. Groupe sanguin A positif. Laboratoire du 01.04.19 : Hb à 125 g/l, crase eo. US du 27.03.19 : grossesse intra-utérine arrêtée à 9 1/7 SA. Chlamydia du 23.10.2018 : négatif. PAP du 26.04.2018 : pas de signes de lésion intra-épithéliale ou de malignité. Cytologie non suspecte. Sérologie du 23.10.2018 : Rubéole positif, CMV positif, Varicelle positif, EBV positif, HBV vacciné, HCV négatif, HIV négatif, Syphilis négatif. Groupe sanguin : A positif. Sérologies du 08.03.2019 : négatives. Laboratoire du 21.02.2019 : Hb 135 g/l, Leucocytes 8,8 G/l, Thrombocytes 411 G/l, Crase sp. Bonnes fonctions rénale et hépatique. Marqueurs tumoraux : Ca-125 230 kU/l. Scanner du 08.02.2019 : épanchement diffus intra-abdominal et pelvien. Masse tissulaire probablement d'origine ovarienne gauche, infiltration de la graisse adjacente et de l'uretère gauche. Dilatation urétérale et pyélocalicielle. Infiltration intra-abdominale superficielle antérieure, nodules de carcinose péritonéale. Cytologie de ponction d'ascite du 27.02.2019 : Adénocarcinome compatible avec un cysto-adénocarcinome mucineux d'origine ovarienne (une origine gastrique ou pancréatique ne peut être exclue). PET-Scan du 25.02.2019 : Hypercaptation ovarienne gauche correspondant à la tumeur primitive connue ainsi que hypercaptations au niveau du cul de sac de Douglas et captation abdominale globale diffuse correspondant à des implants tumoraux et à la carcinose péritonéale. Groupe sanguin : A positif. Sérologies du 12.04.2019 : Hép. B vaccinée, Hép. C nég, HIV négatif, Syphilis négatif. Laboratoire du 01.04.2019 : Hb 143 g/L, Lc 6.5 g/L, Tc 283 G/L. Frottis cervico-vaginal : sans particularité. PAP du 12.04.2019 : sans particularité. Endosampler du 01.04.2019 : fragments superficiels d'endomètre avec métaplasie oxyphile. USTV du 01.04.2019 : Ut en AVF avec épaisseur endométriale de 11.7 mm, ovaires sans particularité des deux côtés, pas de liquide libre dans le Douglas. Groupe sanguin A Rhésus négatif. Groupe sanguin A Rhésus négatif. Groupe sanguin A Rhésus négatif. Groupe sanguin A Rhésus négatif. Groupe sanguin : A Rhésus négatif ; AC irrégulier négatif. PAP du 02.04.2019 : sp. Chlam du 02.04.2019 : négatif. US du 02.04.2019 : grossesse intra-utérine évolutive à 5 SA (LCC 1.8mm). Groupe sanguin : A Rhésus négatif, Ac irrégulier négatifs le 18.10.2018. Sérologie : Hép. B nég, Hép. C nég, HIV nég., Syphilis positif (traitement administré 11/2018). Hystéroscopie diagnostique du 02/2018 : cavité de petite taille avec formation polypoïde bilobée périostiale droite. Groupe sanguin : A Rhésus négatif, AC-irrégulier négatifs le 26.03.2019. Sérologies du 26.03.2019 : Hép. B négatif, Hép. C négatif, HIV négatif, Syphilis négatif. PAP du 26.03.2018 : en ordre. Chlamydia du 26.03.2019 : négatif. Groupe sanguin : A Rhésus négatif. Labo du 05.02.2019 : Hb 134 g/L, Lc 5.0 g/L, Tc 286 G/l, Crase eo, fonction rénale eo, électrolytes eo. Marqueurs tumoraux du 05.02.2019 : négatifs. Sérologies du 05.02.2019 : négatives. S/p Hép. B guérie. PAP du dôme vaginal du 08.01.2019 : sp. IRM du 17.01.2019 : Lésion kystique ovarienne droite avec un niveau à l'intérieur (Kyste endométriosique ? Autre lésion kystique ovarienne ?). Nodule du dôme vaginal avec une plage hyperintense à l'intérieur pouvant correspondre à un peu de sang. Cette image pose le DD d'un nodule d'endométriose. Groupe Sanguin : A Rhésus négatif. Laboratoire du 07.04.2019 : Hb : 116 g/l, GB : 15.3 G/L, Plaq : 135 G/L, CRP : 12 mg/ml.Laboratoire du 09.04.2019: Hb: 126 g/l, GB: 10.4 g/l, Plaq: 153 G/L, TP> 100%, créat: 46, CRP: 104 mg/ml Laboratoire du 11.04.2019: GB 7 G/l, CRP 59 mg/ml, TSH 0.580 mU/l Bilan de gestose eo Hémoculture le 09.04.2019: en cours Urotube du 07.04.2019: streptocoque du groupe B 10^5 Frottis bact du 07.04.2019: streptocoque du groupe B et Candida albicans Stix le 09.04.2019: GB: ++, Nitrites+, Prot+, Sang- Urotube du 09.04.2019: négatif US: placenta antérieur, Manning 10/10, DO eo, AFI eo. PFE: 2421 g. Groupe sanguin A Rhésus positif, RAI nég le 18.04.2019 Laboratoire du 21.04.2019: Hb 105 g/l ; Leuco 7.7 G/l; Tbc 308 G/l, CRP à 5 mg/l, crase en ordre Groupe sanguin: A Rhésus positif Chlamydia du 09.04.2019: négatif US du 09.04.2019: utérus AVF avec un sac gestationnel de 9.0 mm et une vésicule vitelline, ovaires sans particularité des deux côtés. Groupe sanguin: A Rhésus positif Chlamydia du 16.04.2019: négatif PAP du 16.04.19: absence de cellules suspectes (appel le 18.04.2019, ils n'ont pas encore le résultat du dépistage) Groupe sanguin: A Rhésus positif Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifégyne le 20.04 et Cytotec le 22.04.2019 Expulsion objectivée pendant l'hospitalisation Antalgie simple. Groupe sanguin: A Rhésus positif Labo du 15.01.2019: Hb 156 g/L, Lc 4.8 g/L, Tc 153 g/L, TP/INR eo, aPTT 62.3 sec, fonction hépatique et électrolytes dans la norme, créatinine 96 umol/l, eGFR normale Marqueurs tumoraux du 11.12.2018: CA 125 29.0 U/ml, CA 19-9 256.3 U/ml, CEA 2.5 ng/ml Sérologies du 15.01.2019: Hép B négatif, Hép. C négatif, HIV négatif CT-abdomen du 27.02.2019: lésion kystique ovaire droit présentant de fins septas de 8.5x11 cm, utérus d'aspect myofibromateux, adénome surrénalien gauche et lithiase vésiculaire. Groupe sanguin A Rhésus positif Laboratoire du 05.04.2019: Hb 113 g/l; Thrombocytes 292 G/l; Ferritine 97 µg/l PAP test du 18.09.2018: en ordre Electrophorèse: alpha-thalassémie légère Sérologie du 05.04.2019: HBs négatif, HCV négatif, HIV négatif, CMV immune; rubéole immune US 1er trimestre le 05.04.2019, Conclusion: absence d'anomalie décelée Groupe sanguin A Rhésus positif Laboratoire du 07.01.2019: Hb 120 g/L, Lc 4.3 g/L, Tc 27 G/L Laboratoire du 17.04.2019: Hb 128 g/L, Lc 4.3 g/L, Tc 180 G/L, crase en ordre Le 23.08.2018 biopsies d'adénopathies axillaire droit: fragments de ganglion lymphatique sans métastase. IRM mammaire du 28.02.2019: la tumeur dans le quadrant inféro-externe du sein droit n'est plus visible comme sur le précédent examen. BIRADS VI. Pas d'adénopathie le long de la chaîne mammaire interne et dans le creux axillaire, les ganglions sont de taille infra-centimétrique. PET-CT du 13.08.2018: masse QDR inféro-externe sein droit associée à des adénopathies homolatérales suspectes de métastases, adénopathies au niveau axillaire contro-latérale suspectes également. Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 07.04.2019 07h45: Hb: 131 g/l, GB: 16.7 g/l, Plaq: 313 G/L, TP> 100% Laboratoire du 07.04.2019 à 9h00: Hb: 121 g/l, GB: 18.5 g/l, Plaq: 288 G/L, TP: 94% Frottis bactériologique et dépistage chlamydia trachomatis en cours US endovaginal: embryon à 9 semaines d'aménorrhée, pas d'activité cardiaque. Sac gestationnel isthmique. Nombreux caillots dans l'utérus. Anatomopathologie du matériel de curetage en cours Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 09.04.19: Hb 132 g/l, crase eo Chlamydia négatif le 02.04.19 PAP du 02.04.19: ASCUS, HPV en cours Sérologie du 09.04.19: HIV négatif, HBV négatif, HCV négatif US du 09.04.2019: grossesse intra-utérine évolutive à 11 5/7 SA (LCC 51.7 mm) Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 18.03.2019: Hb 152 g/L, Lc 6.8 g/L, Tc 448 G/L, crase en ordre, fonction rénale en ordre, électrolytes en ordre. Sérologies du 18.03.2019: Hépatite B négatif, Hépatite C négatif, HIV négatif, Syphilis négatif PAP du 08.03.2019: sans particularité Biopsie de l'endomètre (pipelle de Cornier et Novak) du 08.03.2019: fragments d'endomètre sp, absence d'hyperplasie atypique de carcinome. USTV du 18.03.2019: utérus en position intermédiaire, endomètre difficilement visualisé de 4.3 mm, suspicion d'adénomyose, ovaires sans particularité des deux côtés. Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 18.04.2019: Hb 164 g/L, Lc 4.9 g/L, Tc 365 G/L, crase en ordre. Laboratoire post-opératoire du 19.04.2019: Hb 127 g/L PAP du 16.01.2019: sans particularité Pipelle de Cornier du 29.01.2019: sans particularité IRM du 08.02.2019: lésion endocavitaire devant correspondre à un myome sous-muqueux, occupant la totalité de la cavité utérine, ne rendant pas clairement analysable l'endomètre. Au sein de cette lésion, présence d'une zone de 14 mm dans la partie cervicale, devant correspondre à une zone de dégénérescence. Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 22.03.2019: Hb 122 g/L, Lc 6.3 g/L, Tc 282 g/L, crase en ordre, fonction hépatique et rénale en ordre, électrolytes en ordre. Sérologies du 18.02.2019: négatives IRM du 08.03.2019: tumeur endométriale infiltrant la quasi-totalité du corps et du col à l'exception du dôme. La tumeur infiltre le myomètre jusqu'à la séreuse qu'elle franchit en position postéro-supérieure gauche. Discrète infiltration de la vessie juste en amont d'un myome. Infiltration de la trompe et de l'ovaire gauche. PET-CT du 21.03.2019: intense hypercaptation utérine. Deux petites hypercaptations ganglionnaires iliaques bilatérales et rétro-péritonéales para-aortiques gauches à la hauteur de L2. Groupe sanguin A Rhésus positif Laboratoire du 22.03.2019: Hb 136 g/L, Lc 7.5 g/L, Tc 267 G/l, crase en ordre Sérologies du 25.03.2019: Hépatite B. vaccinée, Hépatite C négatif, HIV négatif, Syphilis négatif. Frottis cervico-vaginal du 26.02.2019: ureaplasme parvum positif, Gardnerella vaginalis positif; traité par Metronidazole et Vagihex. PAP du 12.02.2019: LSIL Biopsie du col du 12.09.2018: LSIL à 12h IRM du 25.10.2018: kyste endométriosique ovaire gauche de 12x11x9 mm, signes d'endométriose profonde avec accolement des structures digestives aux annexes et rétraction vers l'arrière des ovaires. Utérus poly-myomateux avec myome sous-séreux au niveau latéral gauche de 26x26x26 mm. Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 25.03.2019: Hb 125 g/L, Lc 4.8 g/L, Tc 279 g/L, créat 126 umol/l, eGFR 34, crase en ordre, CA 15-3 43.1 U/ml Sérologies du 08.04.2019: Hépatite B négatif, Hépatite C négatif, HIV négatif Mammographie du 04.03.2019: densité hétérogène, masse aux contours masqués par endroits, profonde, à la ligne du quadrant inférieur du sein gauche. Pas de microcalcifications suspectes. Macro calcification bénigne du sein droit. Les prolongements axillaires sont libres. US mammaire du 04.03.2019: masse microlobulée aux contours irréguliers, de 27x16 mm, vascularisée au doppler couleur, ayant des contours flous par endroits. Les prolongements axillaires sont libres. Biopsie du 04.03.2019: carcinome invasif NST de grade 3, L0V0, ER/PR nég, HER2 nég, Ki67 80% Scanner thoraco-abdominal du 27.03.2019: deux lésions suspectes en continuité de 27x18x21 mm et 10x16 mm dans les quadrants inféro-interne et inféro-externe. Pas de lésions suspectes d'extension locorégionale ou à distance. Groupe sanguin: A Rhésus positif PAP du 02.04.2019: LSIL, CINtec et HPV en cours Chlamidia du 02.04.2019: négatif Groupe sanguin: A Rhésus positif PAP du 02.04.2019: LSIL, CINtec et HPV en cours Chlamidia du 02.04.2019: négatif US du 02.04.2019: grossesse intra-utérine évolutive à 5 6/7 SA (LCC 2.2 mm). Groupe sanguin: A Rhésus positif PAP du 02.04.2019: sp Chlamidia du 02.04.2019: négatif Groupe sanguin: A Rhésus positif PAP du 06.09.2018: en ordre Chlamydia et Gonocoque du 21.03.2019: négatifs Sérologies: non désirées Groupe sanguin: A Rhésus positif PAP du 09.04.2019: sans particularitéChlamydia du 09.04.2019: négatif US du 09.04.2019: Ut en Avf avec grossesse intra-utérine correspondant à 6 0/7 SA de LCC 3.3mm (BCF +), ovaires sans particularité des deux côtés. Groupe sanguin: A Rhésus positif PAP du 14.03.2019: en ordre Chlamydia du 16.04.2019: négatif Groupe sanguin: A Rhésus positif PAP du 16.04.2019: en cours Chlamydia du 10.04.2019: négatif Groupe sanguin: A Rhésus positif PAP du 24.04.2019: ASCUS, HPV en cours, CINtec plus en cours Chlamydia du 24.04.2019: négatif USTV du 23.04.2019: Ut Avf, grossesse intra-utérine de LCC 7.6 mm (correspondant à 6 0/7 semaines d'aménorrhée) avec BCF positif, ovaires sans particularité des deux côtés. Groupe sanguin: A Rhésus positif PAP 11.02.2019: sans particularité Chlamydia du 05.02.2019: négatif Echographie endovaginale le 09.04.2019: suspicion de reste trophoblastique endocavitaire de 17 mm. Groupe sanguin A Rhésus positif Sérologies du 02.04.2019: négatives PAP du 07.02.2019: sp hormis candida. Chlam du 02.04.2019: négatif. US du 02.04.2019: grossesse intra-utérine évolutive à 7 0/7 SA (LCC 11.3mm) Groupe sanguin: AB Rhésus positif PAP du 24.04.2019: en ordre Chlamydia du 24.04.2019: négatif USTV du 23.04.2019: Ut Avf avec grossesse intra-utérine de LCC 5.8 mm (correspondant à 6 3/7 semaines d'aménorrhée) avec BCF positif, ovaires sans particularité des deux côtés. Groupe sanguin: B négatif Rhophylac le 18.03.2019 Groupe sanguin: B Rhésus positif Chlamydia du 13.04.2019: négatif PAP du 14.03.2019: ASCUS, CINtec plus négatif. USTV du 17.04.2019: Ut en Rvf avec 1 sac gestationnel avec un embryon de LCC 4.4mm (correspondant à 6 0/7 SA) avec BCF+ et un sac gestationnel aplati évoquant une grossesse arrêtée à 5 SA, ovaires sp ddc. Groupe sanguin: B Rhésus positif Sérologies du 05.04.2019: Hépatite B négatif, Hépatite C négatif, HIV négatif Laboratoire du 05.04.2019: Hb 139 g/L, Lc 9.7 g/L, Tc 379 G/L, INR 1, PTT 38 sec Groupe sanguin maternel: AB négatif Nouveau-né: Rhésus positif Rhophylac le 20.04.2019 Groupe sanguin maternel: O rhésus négatif Rhésus enfant: Rhésus positif. Hb foetale: 0 Rhophylac 300 mcg fait le 20.04.2019 Groupe sanguin O Rhésus négatif Groupe sanguin O Rhésus négatif Groupe sanguin O Rhésus négatif Groupe sanguin: O Rhésus négatif, Ac-irréguliers négatif le 16.04.2019 Chlamydia du 16.04.2019: négatif US du 16.04.2019: Ut Avf, embryon de LCC 3.4mm (correspondant à 6 0/7 semaines d'aménorrhée), ovaires sans particularité des deux côtés. Groupe sanguin: O Rhésus négatif Laboratoire du 04.12.2018: Hb 135 g/L, Lc 6.3 g/L, Tc 315 G/L PAP du 08.06.2018: sans particularité Chlamydia du 26.10.2018: négatif Urotube du 26.10.2018: sans particularité Examen urodynamique du 26.10.2018: incontinence mixte, d'effort avec instabilité vésico-urétrale. Cystoscopie du 26.10.2018: normale Groupe sanguin: O Rhésus négatif Laboratoire du 15.03.2019: Hb 129 g/L, Lc 10.6 g/L, Tc 220 G/L Laboratoire du 08.04.2019: Crase en ordre, sérologies sans particularité. USTV du 08.04.2019: utérus en Rvf d'échostructure hétérogène évoquant une adénomyose, endomètre fin de 2.4 mm, ovaires folliculaires, pas d'épanchement. Hystéroscopie et vaginoscopie diagnostique du 01.04.2019: 2 nodules d'endométriose au niveau du cul-de-sac vaginal postérieur. Col nullipare. Cavité utérine présentant des synéchies massives prenant toute la cavité, ostia non-visualisés ddc. Groupe sanguin: O Rhésus négatif Laboratoire du 15.03.2019: Hb 129 g/L, Lc 10.6 g/L, Tc 220 G/L Laboratoire du 08.04.2019: Crase eo, sérologies sp. USTV du 08.04.2019: utérus en Rvf d'échostructure hétérogène évoquant une adénomyose, endomètre fin de 2.4 mm, ovaires folliculaires, pas d'épanchement. Hystéroscopie et vaginoscopie diagnostique du 01.04.2019: 2 nodules d'endométriose au niveau du cul-de-sac vaginal postérieur. Col nullipare. Cavité utérine présentant des synéchies massives prenant toute la cavité, ostia non-visualisés ddc. Groupe sanguin: O Rhésus négatif Laboratoire du 15.04.2019: Hb 131 g/L, Lc 8.0 g/L, Tc 388 G/L, Crase en ordre, fonction hépatique en ordre Sérologies du 22.03.2019: Hép. B vaccinée, HIV négative PAP du 12.09.2017: en ordre US du 25.02.2019: Ut en Avf avec myome sous-muqueux de 38x25mm, ovaires sans particularité des deux côtés. Groupe sanguin O Rhésus négatif. Sérologies du 31.08.2018: Toxoplasmose non-immune, rubéole immune, CMV immune, chlamydia négatif, EBV faite, Rougeole immune, Hép. B négatif, Hép. C négatif, Lues négatif, HIV négatif. PAP du 07.09.2018: sp Frottis cervico-vaginal du 29.03.2019: sp Laboratoire du 18.01.2019: Hb 148 g/l, GB 5.2 g/l, Plaq 372 G/l Groupe sanguin O Rhésus positif Groupe sanguin: O Rhésus positif PAP du 02.04.2019: sp Chlam du 02.04.2019: négatif Sérologies du 02.04.2019: négatives US du 02.04.2019: GIU évolutive à 5 6/7 SA (LCC 3.1 mm) Groupe sanguin: O Rhésus positif. Sérologies du 28.03.2019: en ordre Laboratoire du 05.03.2019: Hb 124 g/l, Leucocytes 9.3 G/l, Thrombocytes 316 G/l. Crase dans la norme. Marqueurs tumoraux (CEA et Ca-125) négatifs. PAP-test de septembre 2018: négatif pour une lésion malpighienne intra-épithéliale. US endovaginale du 05.03.2019: Utérus en AVF de 62x36mm, endomètre à 4.9mm. Ovaire gauche ayant un kyste simple de 47x29mm. Ovaire droit sans particularité. Pas de liquide libre. Groupe sanguin: O Rhésus positif Chlamydia du 27.03.2019: négatif Bilan biologique du 10.04.19: Hb 142 g/l, Leucocytes 6.2 G/l, Thrombocytes 249 G/l US du 09.04.2019: grossesse intra-utérine à 7 1/7 SA (LCC 11.0 mm) sans BCF visibles. Groupe sanguin: O Rhésus positif Labo à l'entrée le 09.04.19 à 06h00: Hb 136 g/L, Lc 14.2 g/L, Tc 259 G/L Hémoglobine postopératoire: 106 g/L Sérologies du 01.04.2019: toxoplasmose non-immune, rubéole immune, Parvovirus immune, Varicelle faite, HBs nég, Hép. C nég, Lues nég, HIV neg Dépistage du 1er trimestre du 02.04.2019 (Dresse X): risque faible Groupe sanguin: O Rhésus positif Labo du 13.02.2019: Hb 134 g/l, Lc 4.4 g/L, Tc 266 g/L, CRP <5, Crase eo, CA 125 12 U/ml Sérologies: non-prélevées PAP du 31.01.2019 (Dr. X): sp US du 13.02.2019: Ut en AVF de 7.7 x 2.5 cm avec fibrome fundique de 4.8x5.3 cm, endomètre à 6.3mm, ovaires sp ddc. Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 10.04.2019: Hb 131 g/L, Lc 7.0 g/L, Tc 221 G/L, Crase eo, Electrolytes eo Marqueurs tumoraux du 10.04.2019: dans la norme Sérologies du 10.04.2019: négatives Mammographie 11.03.2019: Microcalcifications irrégulières du QII G d'aspect suspect, BIRADS 4. Biopsie QII G 25.03.19: Multiples foyers de DCIS grade 3. 1 foyer de 0.15 cm d'infiltration tumorale de type NST, grade 1. Pas d'invasion lymphovasculaire ni périnerveuse. Expressions des récepteurs : ER 100%, PR 70%, Ki67 10-15%, HER2 en cours. Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 23.04.2019: Hb 140 g/L, Lc 10.0 g/L, Lc 298 G/L, Crase en ordre, électrolytes et fonction rénale en ordre. Sérologies du 11.04.2019: dans la norme PAP du 08.11.2018: dans la norme Chlamydia du 11.04.2019: négatif US du 23.04.2019: Ut en AVF avec grossesse intra-utérine évolutive de LCC 13.5mm (correspondant à 7 5/7 semaines d'aménorrhée), ovaires sans particularité des deux côtés. Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 24.04.2019: Hb 139 g/L, Lc 7.8 g/L, Tc 392 G/L, Crase en ordre. Sérologies du 28.11.2018: Toxoplasmose non-immune, Rubéole immune, CMV immune, varicelle faite, chlamydia négatif, EBV faite, Rougeole négatif, Hépatite B négatif, Hépatite C négatif, Lues négatif, HIV négatif. PAP du 06.12.2018: sans particularité US du 24.04.2019: grossesse intra-utérine avec sac gestationnel de 25mm et embryon de LCC 4.1 mm (correspondant à 6 SA) sans BCF, ovaires sp ddc.Groupe sanguin: O Rhésus positif PAP du 09.04.2019: sp Chlamydia du 09.04.2019: en cours Groupe sanguin O Rhésus positif PAP du 09.04.2019: sp Chlamydia du 09.04.2019: négatif US du 09.04.2019: Ut en Rvf avec sac gestationnel et vésicule vitelline intra-utérine, myome intramural postérieur de 38x27x29mm, ovaires sans particularité des deux côtés. Groupe sanguin: O Rhésus positif PAP du 15.04.2019: sans particularité Chlamydia du 09.05.2018: négatif Sérologies du 12.04.2019: négatives US du 12.04.2019: grossesse intra-utérine avec un embryon de LCC 13.0mm (correspondant à 8 semaines d'aménorrhée) sans activité cardiaque. Groupe sanguin O Rhésus positif Sérologies du 04.04.2019: négatives Labo du 04.04.2019: Hb 143 g/L, Lc 8.4 g/L, Tc 271 G/L, Crase en ordre Marqueurs tumoraux du 04.04.2019: négatifs Mammographie de dépistage du 19.02.2019: foyer de microcalcifications unique en profondeur du QSE du sein droit. US mammaire du 14.03.2019: sein droit formation hypoéchogène mal définie de 21x17mm; 2ème foyer en périphérie de 10x7mm. Pas d'adénopathie. Biopsies du 19.03.2019 (avec pose de 2 clips): 1er foyer NST, G3 avec DCIS et 2ème foyer DCIS G3. ER/PR nég., FISH non-amplifié, MIB/Ki67 80%. IRM mammaire du 19.03.2019 (Givision): plage de microcalcifications sur le rayon de 9h avec 2ème nodule en connexion au bord dorsal proche du plan pectoral sans infiltration détectable. Petit nodule suspect à 8cm du mamelon et à 3-4cm du foyer principal dirigé vers le mamelon. BIRADS 5. Groupe sanguin: O Rhésus positif Sérologies du 15.04.2019: Hépatite B vaccinée, Hépatite C négatif, HIV négatif, Syphilis négatif. Laboratoire du 15.04.2019: Hb 142 g/L, Lc 8.9 g/L, Tc 296 G/L, Crase en ordre Chlamydia du 15.04.2019: négatif PAP du 18.12.2019: en ordre US du 15.04.2019: Ut en Avf avec grossesse intra-utérine avec LCC de 2.2mm, sans BCF (correspondant à 5 5/7 semaines d'aménorrhée), ovaires sans particularité des deux côtés. Groupe sanguin: O Rhésus positif Sérologies du 21.03.2019: VIH négatif, VDRL négatif, CMV non-immune, Chlamydia négatif, Hépatite B négatif, Hépatite C négatif. Laboratoire du 21.03.2019: Hb 121 g/L, Lc 8.7 g/L, Tc 232 G/L PAP du 15.02.2017: sans particularité US du 12.04.2019: grossesse intra-utérine avec LCC à 43.0mm correspondant à 11 SA sans BCF. Groupe sanguin: O Rhésus positif Sérologies du 26.03.2019 négatives Laboratoire du 12.11.2018: Ca-125 3283 kU/l; le 19.02.2019 (post chimiothérapie néo-adjuvante): Ca-125 88,2 kU/l. Laboratoire du 26.03.2019: Hb 110 g/l, Leucocytes 2,8 G/l, Thrombocytes 230 G/l. Crase dans la norme. Bonne fonction rénale. Mutation BRCA1 et BRCA2: exclues. Cytologie de ponction d'ascite du 01.11.2018: présence de cellules malignes dans le liquide d'ascite, type adénocarcinome. WT1+. Groupe sanguin: O Rhésus positif Sérologies (faites chez Dr. X): normales Laboratoire du 13.04.2019: Hb 113 g/L, Lc 10.5 g/L, Tc 233 G/L Guérison lente d'une fracture Weber B de la malléole externe cheville D le 03.09.2018 traitée conservativement. Mr. Y est hospitalisé afin de soulager son foyer d'accueil dans un contexte d'infection des voies respiratoires supérieures avec difficultés alimentaires. Durant son séjour, il ne présente aucune complication. Nous effectuons des rinçages de nez qui sont efficaces. Il s'alimente de façon satisfaisante. Il reçoit régulièrement la visite d'éducateurs-trices de son foyer et ceux-ci sont à l'aise sur le fait qu'il rentre avec eux le 28.04.2019. Gynécologique/Obstétricaux: • Césarienne en 2016, après NPD à 5 cm, BB sexe f de 3930g. • Césarienne en 2012, après NPD à 5 cm, BB sexe m de 3520g. • 2011: fausse couche sans particularité. • 2001: interruption volontaire de grossesse + curetage. • Le 10.07.2018: hystéroscopie opératoire et curetage pour grossesse ectopique (sur cicatrice de césarienne) arrêtée à 6 semaines d'aménorrhée. • Le 17.10.2018: conisation + CEC pour HSIL et vaporisation pour condylome vulvaire Médicaux/chirurgicaux: • 2015: appendicectomie • 2016: cure de canal carpien droit Gynécologique/Obstétricaux: • Césarienne en 2016, après NPD à 5 cm, BB sexe f de 3930g. • Césarienne en 2012, après NPD à 5 cm, BB sexe m de 3520g. • 2011: fausse couche sans particularité. • 2001: IVG + curetage. • 10.07.2018: hystéroscopie opératoire et curetage pour grossesse ectopique (sur cicatrice de césarienne) arrêtée à 6 SA Médicaux/chirurgicaux: • 2015: APP • 2016: cure de canal carpien droit Gynécologiques non opératoires: fausse couche spontanée 6 semaines d'aménorrhée Gynécologiques opératoires: mutilation génitale type 1 Chirurgicaux non gynécologiques: 2009 cholecystectomie ; 3 interventions sur fistule anale depuis 2012 HFR Obstétricaux: 2016 AVB avec ventouse à 40 4/7 SA, sexe: masculin, poids: 3510g, particularités: provocation pour DGNIR Accouchement par voie basse spontanée à 37 0/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 28 ans, G3 devenue P2, le 08.01.2018 Diabète gestationnel non insulino-requérant Névrite vestibulaire droite le 07.03.18 Hypovitaminose D le 16.03.18 Douleurs abdominales post-ponction d'abcès le 07.03.2018 Gynécologiques non opératoires: décembre 2017 fausse couche spontanée à 8 0/7 semaines d'aménorrhée Médicaux: eczéma Familiaux: spina bifida Gynécologiques non opératoires: • Endométriose • Ovaires micropolykystiques • 1 fausse couche sans curetage Gynécologiques opératoires: • Septembre 2013: kystectomie ovaire de 7 cm de diamètre Chirurgicaux non gynécologiques: • 2016: ablation 2 dents de sagesse à droite Familiaux: • Grand-mère maternelle et grand-père maternel de Mme. Y: DCD CA origine X • Grand-mère maternelle: diabète • Grand-mère paternelle: DCD problème foie • Mari: épilepsie traitée • Papa de Mr. Y: diabète Obstétricaux: voie d'accouchement: accouchement par voie basse, instrumentation: non, lésion génitale: EMLD, délivrance: nle complète, date: 29.12.2012, anesthésie: péri, lieu: HFR Riaz, sexe: F, prénom: Luna, SA: 40, poids (g): 3450, allaitement (mois): 6 semaines, particularités: provocation pour rupture prématurée des membranes voie d'accouchement: accouchement par voie basse, instrumentation: non, lésion génitale: déchirure I, délivrance: nle complète, date: 07.11.2015, anesthésie: péri, lieu: Sion, sexe: M, prénom: Jesse, SA: 39.5, poids (g): 3650, allaitement (mois): 6 semaines Gynécologiques non opératoires: • Infections à répétition urinaires et vaginales pendant la grossesse. Médicaux: • Souffle cardiaque à la naissance, sans particularité. Obstétricaux: • 2016: césarienne en urgence pour CTG pathologique au Portugal à 39 semaines d'aménorrhée, garçon. Gynécologiques non opératoires: suspicion d'endométriose (diagnostiqué en Italie). Familiaux: oncle et grand-mère, côté paternel ont du diabète Accouchement par voie basse spontanée à 40 5/7 SA chez une patiente G1 devenue P1 en 2016. Accouchement en 2018. Gynécologiques non opératoires: 1999: PID, AB iv, Billens 2001: ménopause (sans saignements depuis, sans THS) st.p. stérilité primaire avec st.p. plusieurs inséminations Gynécologiques non opératoires: 1999: PID, AB iv, Billens 2001: ménopause (sans saignements depuis, sans THS) st.p. stérilité primaire avec st.p. plusieurs inséminations Gynécologiques non opératoires: 2 FC sans curetage 2000, 2008 s/p césariennes en 1999 et 2009 Kyste biloculaire de l'ovaire gauche, en partie hémorragique, chez une patiente 4G 2P de 42 ans. Gynécologiques non opératoires: 2018 fausse couche spontanée Familiaux: père: cancer de l'intestin (50 ans) + DG Gynécologiques non opératoires: 2018 fausse couche spontanée Gynécologiques opératoires: 2016 conisation CIN 2 Médicaux: myopie bilatérale + astigmatisme Chirurgicaux non gynécologiques: opération du fémur gauche en 2003 (et ablation clou en 2005) Gynécologiques opératoires: 2012 Riaz LEEP (HSIL).Médicaux : infertilité : cycles longs, asthénospermie. Obstétricaux : accouchement par voie basse, instrumentation : ventouse, lésion génitale : déchirure II, délivrance : Nle complète, date : 25.12.2014, anesthésie : péridurale, lieu : HFR Fribourg, sexe : F, poids (g) : 3300. Césarienne en urgence pour PE sévère grossesse triple le 21.11.16, patiente 2G devenue 4P à 34 SA 0/7 semaines d'aménorrhée. Gynécologiques opératoires : • IVG avec curetage en 2010 Obstétricaux : • 01.06.2016 accouchement par voie basse à 39 0/7 SA Chirurgicaux non-gynécologiques : • Sp amygdalectomie • Sp opérations du pied 2x Médicaux : • Hospitalisée 2 fois à Marsens, en 2010 et 2012, dont une fois suite à un tentamen médicamenteux Gynécologiques opératoires : • 2018 : curetage pour œuf clair sous rachianesthésie Gynécologiques : • Aménorrhée sous DIU Mirena Obstétricaux : • s/p accouchement par voie basse, bébé de 3200 g. Médicaux : • extrasystoles essentiellement supra-ventriculaires, asymptomatiques • crises d'angoisse (traitement phytothérapeutique) Opératoire : • 2012 fracture du plateau tibial droit • 2007 excision d'un oligo-astrocytome temporal gauche (bénin) cérébral (CHUV) • 2006 excision mélanome main gauche Familiaux : tante avec transplantation de poumon Gynécologiques/Obstétricaux : • 2013 : accouchement par voie basse à 39 semaines d'aménorrhée d'un garçon de 3430 g. • 2014 : mort in utero et accouchement par voie basse, à 33 6/7 semaines d'aménorrhée d'un garçon de 2030 g (3x circulaires) • 2017 : accouchement voie basse spontané à 40 5/7 semaines d'aménorrhée d'un garçon de 3970 g. Gynécologiques/Obstétricaux : • 2015 : hystéroscopie - ablation de polypes utérins. • 2017 : s/p césarienne élective pour grossesse gémellaire pour J1 en siege, à 38 SA, garçon de 3440 g, fille de 2320 g. Chirurgicaux : • s/p fracture poignet droit à l'âge de 12 ans, opérée. • s/p ablation de 4 dents de sagesse en 2004. Gynécologique : • Sp CEC pour LSIL au PAP (HPV HR positif, HPV 16-18 négatif) 01.10.2012 (dernier PAP en octobre 2018 : normal) • interruption volontaire de grossesse chirurgicale à 8 2/7 semaines d'aménorrhée le 06.03.2013 • interruption volontaire de grossesse chirurgicale à 14 1/7 semaines d'aménorrhée le 18.09.2015 • bronchite asthmatiforme le 08.10.2016. • accident de la voie publique à haute cinétique le 10.10.2016 avec contusion thoracique antérieure gauche et traumatisme cranien simple. • abcès pubien gauche de 1.5 cm sur poil incarné le 23.11.2018 Gynécologiques : • s/p fausse couche spontanée précoce en 2017 Médicaux : • s/p dysplasie hanches à la naissance Gynécologiques : • s/p 3 x fausses couches (1x curetage, 2 x spontanées) • 2014 grossesse extra-utérine (Lsc) Obstétricaux : • 2016 césarienne élective pour suspicion de macrosomie à 39 semaines d'aménorrhée, garçon, 3705 g. Gynécologiques : • 1988 : IVG par curetage. • 2013 2 x vaposrisation du col sur ASCUS persistant Obstétricaux : • 2011 césarienne pour non-progression de la présentation à épines -1, fille (Gabriella) pesant 3100 g atteinte de T21 Généraux : • 2007 : implants mammaires. Gynécologiques : • 2005 hystérectomie par voie vaginale Obstétricaux : • 1988 et 1990 accouchements par voie basse Généraux : • 07.04.2014 bypass gastrique • s/p appendicectomie dans l'enfance Gynécologiques : • 2013 fausse couche incomplète à 12 semaines d'aménorrhée, curetage. Obstétricaux : • 2016 accouchement par césarienne en urgence pour suspicion de décollement placentaire à 40 1/7 semaines d'aménorrhée, après provocation pour suspicion de macrosomie, en 2016. Naissance d'une fille de 4000 g. Février 2018 césarienne élective itérative à 38 0/7 semaines d'aménorrhée. Gynécologiques : • 2013 hystéroscopie avec ablation de polype isthmique haut, laparoscopie avec adhésiolyses intestinales majeures, annexectomie gauche et salpingectomie droite. • 2006 laparoscopie, hystéroscopie diagnostique et chromopertubation • 2002 laparoscopie diagnostique avec chromopertubation • Sp. infection à Chlamydia en 2002. • Sp. annexite G en 2006. Généraux : • 2010 paludisme. Gynécologiques : • 2013 laparoscopie exploratrice pour infertilité secondaire Obstétricaux : • 2 x accouchement par voie basse en 2000 et 2002 Gynécologiques : • 2015 conisation (Macédoine) Obstétricaux : • Le 03.09.2018 césarienne en urgence pour CTG pathologique à 41 1/7 semaines d'aménorrhée, provocation par Propess pour DGNIR, acidose foetale. Médicaux : • s/p pyélonéphrite droite durant la grossesse le 20.08.2018 Gynécologue/Obstétricaux : • 2005 : status post-accouchement par voie basse • 2010 : status post-accouchement par voie basse à 37 semaines d'aménorrhée, naissance d'un garçon de 3655 grammes • 2012 : status post-grossesse extra-utérine tubaire gauche avec salpingotomie par laparoscopie • 2013 : status post-accouchement par voie basse à terme, naissance d'un garçon de 3420 grammes • 2015 : status post-grossesse extra-utérine tubaire gauche avec salpingectomie par laparoscopie Gynipral Rhophylac 300 mcg le 10.04.2019 Gyno-Pevaryl ovule et crème G1 P1 (AVB) • s/p ablation ménisque gauche et ligamentosplastie gauche • malaise lipothymique le 18.06.2018 • douleur abdominale sans étiologie retrouvée le 18.06.2018 Haldol du 15.04 au 18.04.2019 Temesta du 15.04 au 19.04.2019 Seroquel dès le 18.04.2019 Clonidine dès le 16.04.2019 Haldol en réserve Haldol en réserve. Suivi clinique. Haldol et Distraneurin en réserve Haldol i.v. 22.03.2019 Quétiapine per os transitoire Haldol, Temesta en réserve Dexaméthasone introduit dès le 07.03.2019, retrait progressif dès le 12.03.2019 Sonde vésicale le 06.03.2019 Haldol 0.5 mg aux urgences Haldol 0.5 mg en ordre unique au service des urgences Surveillance clinique et biologique Haldol 1 mg im. Valium 2 mg im. Contention physique. Haldol 1 mg Distraneurine Halitose sur hyperplasie adéno-amygdalienne Halitose sur hyperplasie adénoamygdalienne Hallucinations visuelles. Hallucinations visuelles critiquées (DD : effet secondaire dopaminergique ou progression de la maladie de Parkinson) Hallux rigidus débutant pied G sur status post • cure hallux valgus G en mini invasif le 09.10.2018. Hallux valgus, à droit plus qu'à gauche Hallux valgus à G avec angle MTP à 23° et intermétatarsien 1-2 à 12°. Suspicion de névrome de compression avec pseudo-kyste au niveau du nerf digitale dorsal hallux D avec plusieurs infiltrations. Status post AMO plaque et vis MT2 pied droit pour une tumeur kystique 2ème métatarse proximal pied D le 02.12.2016. Status post curetage, biopsies, prises de greffes osseuses spongieuses à la malléole médiale pied D le 20.06.2014. Ostéosynthèse par plaque F3 6 trous le 20.06.2014. Hallux valgus arthrosique complexe (métatarsalgies II, III et IV) et O2 en griffe à D. Raccourcissement des gastrocnémiens ddc. Polyarthrite rhumatoïde faiblement positive. Hallux valgus bilatéral Hallux valgus D avec angle métatarsophalangien 37°, angle intermétatarsien 16°, DMMA 9°. Hallux valgus G avec angle métatarsophalangien 22°, angle intermétatarsien 15°, DMMA 8°. Hallux valgus D avec arthrose de la MTP I. Lombosciatalgie gauche atraumatique et non déficitaire. Hallux valgus gauche. Hallux valgus majeur et complexe ddc. Douleurs neuropathiques du nerf sural à G. Status post arthrodèse articulation cuboïdo-métatarsienne 4-5 pied G le 01.07.2016 pour arthrose Lisfranc latéral G symptomatique. Arthrose du Chopard à gauche ; infiltrations le 06.04.2017, 08.06.2017 et 11.01.2018. Hallux valgus peu symptomatiques ddc. Hallux valgus pied droit. Hallux valgus simples bilatéraux, plus gênant à G. Hallux valgus symptomatique à G. Tendinite à l'insertion du tendon d'Achille à D. Syndrome du piriforme à D le 08.10.2018. Retard de consolidation clavicule G. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse du calcanéum D par 2 plaques F3 le 13.03.2018. Status post lésion du Chopart du pied G avec lésion de Lisfranc et fracture de la base sous-capitale du 2ème et 3ème métatarsien. Status post fracture du tiers-moyen de la clavicule G. Status post ostéosynthèse de la clavicule G le 07.03.2018 avec retard de consolidation. Hallux valgus symptomatique ddc avec : • angle transmétatarsien à D de 19° et à G de 20° • angle de valgus 34° à D et 33° à G • exostose au niveau du tarse sur le dos du pied G Halopéridol per os. Halopéridol Distraneurin Mixture Hospitalisation en psychiatrie à Marsens IRM cérébrale (16.04.19) : Atrophie cortico-sous-corticale fronto-bi-temporale évoquant une maladie d'Alzheimer. Hanche G : • Réinsertion transosseuse muscle gluteus medius et muscle gluteus minimus par 2 ancres • Bursectomie partielle de la bourse trochantérienne (OP le 16.04.2019) Antibiothérapie : • Cefuroxim 1,5 mg 3x/j i.v du 16 au 18.04.2019 Microbiologie bourse trochantérienne G du 16.04.2019 : nég. à J2 PCA (opiacés) du 16 au 21.04.2019 Hanche G immature sur : • naissance par le siège avec les 2 jambes en extension. Haute suspicion de sarcoïdose stade II : DD silicose • clinique initiale : dyspnée d’effort mMRC I • fonctions pulmonaires du 13.11.2018 : pas de trouble ventilatoire obstructif ou restrictif, capacité diffusionnelle normale • gazométrie artérielle du 13.11.2018 : normoxémie, normocapnie, pas de trouble acido-basique • laboratoire 09.11.2018 (Dr. X) : paramètre hépatique et rénale normale • laboratoire 13.11.2018 : vitamine D et calcium diminué • contrôle ophtalmologique 11/2018 : pas d’argument pour une atteinte • pas d’anamnèse pour une atteinte cardiologique, neurologique, articulaire • CT thoracique du 05.11.2018 : multiples infiltrations micronodulaires, distribution péri-lymphatique avec prédominance dans les régions apico-postérieurs bilatérales supérieures, quelques adénopathies médiastinales • bronchoscopie 16.11.2018 : • histologie P2018.13163 : EBUS TBNA station 7 et 11R avec agrégats silico-anthracosiques macrophagocytaires sévères du tissu lympho-réticulaire, biopsie transbronchique lobe inférieur droit avec dépôts silico-anthracosiques macrophagocytaires jusqu’à sévère, biopsie muqueuse carène lobe supérieur droit inflammation chronique • cytologie C2018.1460 : LBA du lobe moyen à répartition normal, pas de cellule maligne • microbiologie : négatif, pas de germe • bronchoscopie 30.11.2018 : • cytologie C2018.1548 : LBA lobe supérieur droit segment apical avec répartition cellulaire normal, pas de cellule suspecte de malignité • P2018.13846 : EBUS TBNA infracarinaires à station 7, 11L et 11R ainsi que des biopsies transbronchiques lobe supérieur droit, tous avec des dépôts silico-anthracosiques jusqu’à sévère • microbiologie : pas de germe • ergospirométrie du 24.01.2019 : bonne capacité d’effort, réserve ventilatoire préservée, limitation cardiaque, pas de problème d’échange gazeux • actuellement : après longue discussion avec le patient décision de ne pas faire de biopsie Wetche mais de faire un contrôle d’ergospirométrie dans 6 mois. Continuer la substitution de vitamine D et calcium et faire un contrôle de prise de sang dans le cabinet (vitamine D, calcium, paramètres hépatiques et rénales) Haute tension artérielle. Haute tension artérielle. FA sous sintrom. Hb : 119 g/l Bilan vitaminique et ferritine dans la norme Suivi biologique en ambulatoire Hb à l'admission : 104 g/l Maltofer pendant 3 mois. Contrôle hémoglobine et ferritine dans 3 mois. Hb à l'entrée : 108 g/l Maltofer pendant 3 mois. Contrôle de l'hémoglobine et ferritine dans 3 mois. Hb à l'entrée : 108 g/l Maltofer pendant 3 mois Contrôle de l'hémoglobine et ferritine dans 3 mois. Hb à 93 g/L le 28.03.2019 Bonne tolérance clinique Ad substitution martiale par Maltofer 100 mg x1/j pendant 3 mois Hb du 25.03.2019 : 99 g/L Ferritine du 25.03.2019 : 18 microg/L Ferinject 1000 mg IV le 25.03.2019 Hb glyquée le 16.04.2019 : 7.3 % Metformine Insuline Jardiance Hb le 15.04.2019 : 83 g/L Ferritine le 15.04.2019 : 124 ng/mL Contrôle dans 7-10 jours Hb post opératoire 96 g/l Supplémentation orale par Maltofer pour 3 mois Hb post partale : 103 g/L Ad substitution martiale per os Hb post partale : 107 g/L Maltofer 100 mg x1/jour pendant 3 mois Hb post partale : 98 g/L Bonne tolérance clinique Fer per os pendant 3 mois (Ferinject reçu durant la grossesse) Hb post partale : 98 g/L Substitution martiale per os pendant 1 mois (Ferinject reçu le 05.04.2019) Hb post-partale : 100 g/L Ferinject 1000 mg IV le 08.04.2019 Hb post-partale : 96 g/L Substitution martiale per os pendant 3 mois Hb post-partum : 102 g/l Substitution par Maltofer pendant 3 mois. Contrôle hémoglobine et ferritine dans 3 mois. Hb post-partum : 77 g/l. Ferinject 1g dans notre service ambulatoire dans 1 semaine Hb 100 g/l pré-césarienne Maltofer 100 mg/j pour 3 mois Hb 101 g/l Maltofer 100 mg pour 3 mois Hb 111 g/l Maltofer 100 mg/j pendant 3 mois Hb 116 g/l, Lc 11.8, 297 G/l, CRP 5 mg/l pas de trouble de la crase Bactériologie : quelques E Coli Pathologie en cours Hb : 154 g/l, GB : 8,7 g/l, Plaq : 255 G/L, CRP : 8 US mammaire : Pas de nodule, pas d'abcès, pas d'ADP visualisés ce jour HbA1c. Intervention brève par rapport à la gestion du diabète. Suivi déjà prévu en diabétologie à l'HFR Fribourg le 08.04.2019. HbA1c 17.04.19 : 7.5 % Selon médecin traitant, Metformine mal tolérée avec diarrhées. Traitement à revoir avec contrôles glycémiques à domicile par le patient HbA1c 5.7 % le 28.03.2019 : absence de diabète HbA1C 6.7 % Hémangiome du corps vertébral L4 (CT 5/14) Gastrite chronique Hépatite A Hypotension orthostatique Hémarthrose du genou droit Hémarthrose spontanée de l'épaule droite le 14.04.2019 • contexte d'anticoagulation pour TVP jugulaire interne droite et de thrombocytopénie • chez une patiente avec s/p transplantation de cellules souches hématopoïétiques pour une leucémie lymphoblastique aiguë Hématémèse Hématémèse Hématémèse Hématémèse Hématémèse. Hématémèse. Hématémèses le 02.07.2018 avec : • DD gastrite DD ulcère de stress DD Mallory Weiss • Gastroscopie en 2000 pour dyspepsie : H. pylori documenté, avec récidive en 2005 Fracture ilio et ischio-pubienne gauche le 01.07.2018 sur chute de sa hauteur (1ère chute) possiblement dans le cadre d'effets secondaires médicamenteux (Saroten, Seresta, Pregabaline), traitement conservateur Fracture comminutive peu déplacée de la région métaphyso-diaphysaire distale du radius G, sans atteinte intra-articulaire, traitement conservateur. Hémato-bourse genou D. • Hématoburse traumatique avec dermabrasion prépatellaire genou gauche le 14.04.2019. • Entorse grade I ligament latéral externe genou gauche. Hémato-bursite genou D le 22.02.2019 sur status post • AS diagnostique, arthrotomie et refixation d'un fragment ostéochondral rotule D le 06.02.2019 post 1er épisode de luxation de la rotule (Dr. X, clinique générale) Hématochésie. Hématochésie. Hématochésie d'origine indéterminée le 09.02.2017 avec adénome tubulovilleux de la muqueuse colorectale avec une dysplasie épithéliale/néoplasie intraépithéliale de bas grade (coloscopie d'avril 2010). Status post-insuffisance cardiaque subaiguë sur cardiopathie valvulaire à composante double (insuffisance et sclérose aortique) en 2015.Status post-tachycardie paroxystique d'origine indéterminée le 08.09.2015. Status post-anasarque d'origine cardiaque. Status post-résection transurétrale de la prostate pour hyperplasie bénigne en 2013. Status post-cure de spermatocèle droite et d'hydrocèle bilatérale en 2013. Status post-opération de l'épaule droite en 1999. Status post-appendicectomie à l'âge de 20 ans. Status post-hématochézie probablement d'origine diverticulaire le 08.04.2017. Cholécystolithiase avec début de cholécystite aiguë. Pancréatite légère. Hématochésie d'origine indéterminée le 15.04.2019. DD gastro-entérite bactérienne, RCUH, Crohn. Hématochésie d'origine indéterminée le 18.01.2019. Hematochésie sur probable saignement digestif bas (sans source visualisée). Hématochézie : • status post-ablation de polypes du côlon le 13.03.2019 • patient sous Aspirine Cardio 100 mg. Hématochézie depuis 1 semaine le 04.04.2019. Hématochézie d'origine indéterminée le 07.04.2019 avec : • Anémie à 72g/l DD : néoplasique, angiodyspasique, saignement diverticulaire, polype, ulcère gastro duodénal. Hématochézie d'origine indéterminée non objectivée : • Rectoscopie en 2014 : hémorroïde stade II. Hématochézie le 12.04.2019. Hématochézie le 24.04.2019 : • Connue pour une RCUH diagnostiquée en janvier 2018, non traitée. • Chez femme enceinte G2P1 à 8 SA. Hématochésies de sang frais post colonoscopie, d'évolution spontanément favorable. Hématome. Hématome au niveau de la loge musculaire antérieure de la jambe gauche. Hématome bras droit et douleurs iatrogènes post-ponction sur le site de la ponction radiale droite lors de la coronarographie le 09.04.2019. • DD : douleurs neurogènes. Hématome de la vulve sur position en siège avec fissures sanguinolantes. Hématome de l'épaule droite le 25.04.2019. DD : lésion de l'artère sous-clavière droite per-coronarographie. Hématome du menton droit 1x2.5cm octobre 10. Hématome du périnée. Hématome du petit bassin sur saignement actif de l'artère épigastrique inférieure gauche le 01.12.2018 dans un contexte d'anticoagulation supra-thérapeutique. • Comorbidité active : syndrome anticorps anti-phospholipides anticoagulé par Marcoumar avant l'opération du 27.11.2018. Hématome épidural droit de 5mm suite à une chute le 04.04.2019. • chute dans les escaliers ce matin avec amnésie, mécanisme inconnu. Hématome face latérale mollet D avec dermohypodermite associée sur morsure de chien le 16.02.2014. Hypokaliémie à 2,9 le 19.02.2014. Hyponatriémie vraie à 126 le 19.02.2014. Syncope convulsivante le 19.07.2015 avec : • DD : vaso-vagale, orthostatique. Bilan biologique. ECG. Schellong. Surveillance aux urgences. Contrôle chez le médecin traitant. Hypokaliémie le 19.07.2015. Substitution orale aux urgences. Poursuite substitution habituelle. Hématome fémoral droit le 28.03.2019. Hématome genou G sur status post : • AS genou G avec plastie de reconstruction du LCA par le tendon quadricipital le 05.02.2019 sur rupture LCA le 08.04.2018. • AS avec suture d'une lésion en anse de seau du ménisque interne genou G le 08.05.2018. Hématome index main gauche. Hématome infra-orbitaire droit. Hématome inguinal D non perfusé, le 09.03.2017, post coronarographie. Hystérectomie. Fracture non déplacée de la branche ilio-ischio-pubienne à G le 26.01.2013. PTH G à la fin des années 1990. Status après ablation de voies accessoire/réentrée intranodales en avril 2017 pour AVRT/AVNRT. Hyponatrémie asymptomatique à 123mmol/l le 27.09.2018 sur probable SIADH. Fracture tassement L1 type A1.2 traitée conservativement en janvier 2013. Ostéoporose fracturaire avec tassement D12-L1 non déplacé le 22.09.2018. Passage en FA avec cardioversion spontanée le 18.10.2018 après coronarographie. Hématome inguinal gauche post-coronarographie le 12.04.2019. Hématome jambe droite le 11.04.2019. Hématome liquéfié partie proximale de la plaie opératoire externe jambe G le 17.03.2019. Hématome menton et tibial gauche sur chute sans traumatisme cranien le 06.04.2019. • Labo : INR 2,5 mmol/l. Hématome modeste para-patellaire à droite du 14.04.2019. Hématome pénien le 26.04.2019. • probablement sur rupture d'une veinule. Hématome persistante au niveau de la cuisse gauche de la face antérieure (environ 3x4 cm) depuis 2 semaines. Ultrason. Avis chirurgical. Ponction sous ultrason. Antalgie en réserve. Hématome pieds face dorsale pieds droit. Hématome post cure d'hernie inguinal droite le 19.04.2019 : • écoulement de sang actif sur probable liquéfaction de vieux hématome. Hématome post-opératoire inguinal droit le 19.04.2019 : • écoulement de sang actif sur probable liquéfaction de vieux hématome. Hématome post-traumatique du genou droit. Hématome pré-tibial droit dans le contexte d'une anticoagulation, le 04.04.2019. Hématome pré-tibial gauche post-effort physique le 15.04.2019. Hématome sous-cutané de 5x5x3cm. Hématome sous-dural aigu occipital gauche le 30.03.2019 : • sur AVP à grande vélocité. Hématome sous-dural bilatéral sur traumatisme le 28.01.2019 : • IRM cérébral le 12.04.2019 : Hématome bilatéraux (chronique à droite, aigu/subaigu à gauche). Hématome sous-duraux bilatéraux. Hématome sous-unguéale surinfecté, du DV de la main gauche. Hématome sous-cutané inguinal droit à environ 7 heures post-cure de récidive de hernie inguinale droite le 27.03.2019. Hématome sous-dural aigu occipital gauche le 30.03.2019 : • sur accident de la voie publique à grande vélocité. Hématome sous-dural chronique fronto-pariéto-occipital gauche avec engagement sous-falcoriel et déviation de la ligne médiane de 12 mm le 25.03.2019 : • dans un contexte d'anticoagulation sous Sintrom. Hématome sous-dural chronique progressif avec deux crises épileptiques : • trépanation pariétale gauche le 22.02.2015. • Stripping d'évacuation d'urgence le 13.04.2015. Régression de l'hématome sous-dural. Hémorragie récente dans les hématomes sous-duraux des deux hémisphères cérébraux sans effet de masse. Keppra 500mg 2x/j. Insuffisance rénale chronique stade 3 : • Clairance de la créatinine chez Cockcroft-Gault 49,5 ml/min (06.05.2016). Cardiomyopathie hypertrophique homogène : • FEVG 60%, cardiomyopathie hypertrophique homogène, insuffisance mitrale légère. • Bradycardie asymptomatique. DMLA. Hypoacousie sévère bilatérale appareillée. Lipome épaule gauche. Arthrose du poignet droit (pouce, STT et radio-ulnaire distale). Troubles cognitifs d'origine multifactoriels avec : • hématome sous-dural chronique. • ancien usage chronique de Bromazépam. • démence d'Alzheimer. • GDS 2/15, MMS 20/30 points (19.05.2016), Moca 11/30 (03.06.2016). Hématome sous-dural de l'hémi-convexité droite, hémorragie sous-arachnoïdienne fronto-temporale homolatérale avec des hémorragies intra-parenchymateuses le 18.04.2019 : • dans un contexte de chute sur alcoolisation. Hématome sous-dural frontal droit post-traumatique dans le contexte d'alcoolisation aiguë le 18.04.2019 avec : • fracture de l'os pariétal gauche. • hémorragie parenchymateuse frontale droite. • hémorragie sous-arachnoïdienne frontale et temporale droite. Hématome sous-dural frontal droit post-traumatique le 18.04.2019 avec :• fracture de l'os pariétal gauche • hémorragie parenchymateuse frontale droite • hémorragie sous-arachnoïdienne frontale et temporale droite • Hématome sous-dural pariéto-occipital gauche millimétrique comme complication de la thrombolyse intraveineuse • Hématome sous-dural subaigu avec saignement semi-récent, de 7 mm d'épaisseur max. sans effet de masse. Hématome sous-galéal frontal G le 10.07.2017 Hématome genou gauche avec épanchement intra-articulaire important; chute le 04.07.2017 • Gonarthrose tricompartimentale gauche Thrombose V. centrale œil gauche en 2009 • Aspirine est stoppée par le médecin traitant à cause du risque de chute élevé • Hématome sous-galéal • Hématome sous-galéal pariétal droit. • Hématome sous-unguéal du pouce droit le 27.04.2019. • Hématome sous-unguéal D1 pied G. • Hématome sous-unguéale suite à une contusion du pouce droit. • Hématome spontané 2 cm diamètre main gauche le 20.04.2019. • Hématome sub-unguéale hallux gauche • Hématome sur la verge. • Hématome surinfecté post-manipulation manuelle sur lipome inter-mammaire gauche le 13.04.2019 • Hématome sus-pubien et testiculaire dans un contexte d'opération d'hernie inguinale avec mise en place d'un filet le 26.04.2019 (opérateur Dr. X). • Hématome traumatique de 0.4 x 0.8 cm au niveau de la verge le 05.04.2019. • Hématomes • Hématomes au visage sur bagarre le 06.04.2019. • Hématomes cutanés et hémorragie conjonctivale bilatérale D>G DD : • trouble de la coagulation débutant • péri-infectieux • maltraitance : peu probable, parents adéquats • Hématomes d'origine mécanique • Hématomes épiduraux pariéto-occipital et temporo-pariétal gauches le 13.04.2019 : • Craniotomie temporo-pariétale gauche le 14.04.2019 pour évacuation de deux hématomes (CHUV) • Transfert le 17.04.2019 depuis le CHUV • Bilan neuropsychologique le 16.04.2019 (CHUV) • Status neurologique à l'entrée le 17.04.2019 : dysmétrie droite, troubles de la marche et équilibre, perte de force du MID proximal M4+, héminégligence D • Hématomes sous-duraux bilatéraux. • Hématomes sous-duraux bilatéraux probablement suite à un traumatisme le 28.01.2019. • IRM cérébrale le 12.04.2019 (Centre d'Imagerie médicale de la Gruyère) : hématomes bilatéraux (chroniques à droite, aigus/subaigus à gauche). • Hématomes sous-duraux chroniques bilatéraux • Hématomes superficiels multiples avec induration sous-cutanée sur la région pectorale droite. Pneumonie bilatérale le 25.11.2015. Pic hypertensif à 199/123 mmHg le 27.02.2016. Exacerbation de broncho-pneumopathie chronique obstructive de stade IV en juillet 2016. Arthrite microcristalline le 20.11.2016. Pneumonie basale gauche à Haemophilus influenzae et Streptococcus pneumoniae multi-résistants le 05.11.2017. • Hématurie • Hématurie • Hématurie. • Hématurie. • Hématurie. • Hématurie. • Hématurie. • Hématurie. • Hématurie. • Hématurie. • Hématurie. • hématurie • Hématurie macroscopique • Hématurie macroscopique • Hématurie macroscopique • Hématurie macroscopique. • Hématurie macroscopique. • Hématurie macroscopique. • Hématurie macroscopique. • Hématurie macroscopique. • Hématurie macroscopique. • hématurie macroscopique • hématurie macroscopique • Hématurie macroscopique dans le contexte du retrait accidentel de la sonde urinaire lors de la chute du 24.04.2019 • Hématurie macroscopique dans le cadre d'un carcinome de la vessie T3 N1 M0 depuis 2012 avec : • status post-confection d'une néo-vessie • TURV le 08.03.2019 (Dr. X) • double anti-agrégation pour status post pose de TAVI en avril 2019 (clinique Cecile) • Hématurie macroscopique d'origine multifactorielle : • s/p TURP 2016 • double antiagrégation par Aspirine et Plavix dans le contexte diagnostic supp 1 • Hématurie macroscopique d'origine indéterminée. • Hématurie macroscopique d'origine indéterminée. • hématurie macroscopique d'origine indéterminée • Hématurie macroscopique d'origine indéterminée datant du 30.03.2019. • Hématurie macroscopique d'origine indéterminée le 04.04.2019. • Hématurie macroscopique d'origine indéterminée le 07.04.2019 • Hématurie macroscopique d'origine indéterminée le 19.04.2019. • Hématurie macroscopique d'origine indéterminée, le 25.04.2019 • Hématurie macroscopique d'origine indéterminée le 25.04.2019. • Hématurie macroscopique d'origine multifactorielle : • status post-TURP 2016 • double anti-agrégation par Aspirine et Plavix dans le contexte diagnostic supp 1 • Hématurie macroscopique fluctuante. • Hématurie macroscopique isolée asymptomatique depuis le 27.04.2019. • Hématurie macroscopique isolée asymptomatique le 27.04.2019 • Hématurie macroscopique le 11.04.2019 • cystofix depuis le 15.01.2019 pour une hyperplasie bénigne de la prostate avec rétention urinaire • suivi par le Dr. X. • Hématurie macroscopique le 27.04.2019 • sur hyperplasie de la prostate • Hématurie macroscopique sur Cystofix dans un contexte d'adénocarcinome prostatique hormono-résistant classé cT2 N1 M0 G3 (Gleason 8, iPSA 11,7). • Hématurie macroscopique sur traction volontaire sur la sonde vésicale le 20.04.2019 • Hématurie microscopique • Hématurie microscopique avec fonction rénale conservée sans protéinurie • Hématurie microscopique connue Cruralgie D non déficitaire dans un contexte de métastases osseuses sacrales, le 24.03.2019 • Hématurie microscopique connue Cruralgie D non déficitaire dans un contexte de métastases osseuses sacrales, le 24.03.2019 • Hématurie microscopique d'origine indéterminée, le 26.04.2019. • Hématurie microscopique transitoire CT Time is brain le 23.02.2019 IRM cérébrale le 25.02.2019 PL selon évolution ECG le 23.02.2019 : - Bloc de branche gauche incomplet ETT le 25.02.2019 sédiment urinaire spot urinaire TSH : 2.83 US rénale le 01.03.19 Us artère rénale difficile à voir dans leur partie distale mais pas de signe indirect pour HTA d'origine rénale méta-normétanéphrine plasmatique du 05.03.19 : libre négatif et totale (vendredi) métanéphrine et normétanéphrine urinaires du 05.03.19 : aldostérone et rénine plasmatique Poursuite Lisinopril et Métoprolol Introduction de Nifédipine le 23.02.2019 Introduction de Torasémide le 24.02.2019 au 02.03.19 Réintroduction de Lisinopril de 28.02.19 au 02.03.19 Introduction du physiotens le 28.02.19 au 05.03.19 Deponit patch 5 mg en réserve Aldactone du 02.03.19 au 04.03.19 Sortie prévue avec Indéral Aldactone Adalat • Hématurie non glomérulaire chronique avec apparition de protéinurie non néphrosique • Hématuries persistantes indolores • Hémianopsie • Hémibloc de branche G Emphysème pulmonaire sévère (D > G) : • status post pneumonie communautaire du lobe moyen le 30.06.2018 avec passage aux soins intensifs • Alpha-antitrypsine en juin 2018 : 1.69 g/l Réduction de volume par thoracoscopie à droite le 20.09.2018 • Hémicolectomie droite avec CME, anastomose iléo-transversale latéro-latérale et cholécystectomie le 16.04.2019 Tumorboard du 24.04.2019 : chimiothérapie adjuvante • Hémicolectomie droite avec CME par laparotomie le 08.04.2019 Histologie Promed P2019.4157 : adénocarcinome invasif moyennement différencié classé pT3 pN0 (0/50) L0 VX Pn0 R0, G2 • Hémicolectomie en 2010 (Dr. X), pour une cause non oncologique. • Hémicolectomie gauche en 2003 pour adénocarcinome moyennement différencié du sigmoïde PT3/PN1/M0/G2-3/R0 avec chimiothérapie adjuvante Rupture de la coiffe des rotateurs gauches et tendinopathie droite. Contusion de la colonne lombaire L4 à L5, cervicale C7, dorsale D1 à D3 en mai 2008 après chute au travail Hospitalisation à Marsens pour décompensation psychotique Hémicolectomie gauche en 2010. Hémicolectomie gauche en 2010 dans un contexte d'iléus sur tératome Bronchite aiguë le 16.03.2019 (DD: pneumonie sur broncho-aspiration, secondaire au IEC, RGO) Infection urinaire basse le 27.03.2019 Hémicolectomie gauche par laparotomie le 27.03.2019 Promed (P2019.3613) Discussion au colloque multi-disciplinaire d'oncologie le 03.04.2019: surveillance Hémiparésie faciale gauche. Hémiparésie gauche depuis la naissance. Handicap mental léger. Troubles multiples de la personnalité et léger retard mental. Obésité. Boulimie. Fibrillation atriale rapide à 150/minute. Schizophrénie environ 20 hospitalisations à Marsens. Hémiprothèse du compartiment externe du genou droit pour arthrose le 28.02.2017 Traumatisme crânien le 16.10.2018 Décompensation cardiaque globale probablement sur dysrythmie nouvelle le 04.01.2019 Traumatisme cranio-cérébral avec amnésie circonstancielle sur probable syncope d'origine indéterminée le 04.01.2019 connu pour athéromatose précérébrale avec sténose de maximum 50% au départ des artères carotide interne droite et carotide interne gauche (mai 2017) CT cérébral les 04 et 06.01.2019 : hématome sous-galéal frontal droit, post-traumatique. Petite contusion hémorragique punctiforme temporale gauche. Atrophie cérébrale et leuco-araïose Fracture L2 d'allure ancienne ECA d'origine multifactorielle (douleur, état inflammatoire, médicamenteux, post-op, désafférence) le 14.03.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 pré-rénale sur syndrome cardio-rénal le 10.03.2019 FeUrée 26% eGFR à 34 ml/min/1.73 m2 selon CKD-EPI Fracture du col du fémur Garden IV à gauche traitée par une prothèse céphalique, le 13.03.2019 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Marche en charge selon douleurs (préférentiellement charge partielle de 15 kg pendant 6 semaines postopératoires), pas de flexion de hanche >70°, pas d'abduction ni d'adduction contre résistance, mouvements rotatoires à éviter Adaptation de l'antalgie Fils résorbables, retrait stéristrip le 27.03 Contrôle radio-clinique le 02.05.2019 à 13h20 la consultation du Dr. X Décompensation cardiaque globale le 18.03.2019 avec: Importants OMI jusqu'à mi-cuisse ddc Râles crépitants bibasaux Dyspnée d'effort Phlyctènes avec formation secondaire d'une plaie au niveau du MIG Prise de 7 kg (poids habituel 71 kg) Laboratoire Radio de thorax Suivi plaie Traitement diurétique Anémie multifactorielle avec Hb 97 G/l le 14.03.2019 sur: post-op rectorragies Suivi biologique Cardiopathie hypertensive avec FEVG à 45% le 07.01.2019 suspicion FA nouvelle le 06.01.2019, mise sous Eliquis 2.5 mg 2x/j avis cardio: 2 Holters - rythme sinusal, pas d'FA sur l'ECG de 06.01.2019 -> stop Eliquis HTA traitée CHADVASC 6 pts HAS-BLED 3 pts Suivi clinico-biologique BBG complet intermittent (pendant les poussées de HTA) Rectorragies d'origine indéterminée Suivi clinico-biologique Sera convoquée pour une colonoscopie plus de récidive depuis l'arrêt de l'anticoagulation Status post état confusionnel aigu post-opératoire au décours, surajouté à une démence Consilium psychiatrique (Dr. X) le 27.03.2019: poursuite du traitement psychotrope actuel Ostéoporose fracturaire Carence vitamine D, dosée à 16 le 22.03 Vitamine D 300'000 U en o.u le 22.03 Ostéodensitométrie en ambulatoire Douleur phalange distale de l'orteil G d'origine X clinique: pas de douleur à la palpation des articulations IP et MTP, pas d'oedème, ni érythème pas de syndrome inflammatoire, acide urique 2x/VN traitement symptomatique Hémiprothèse du compartiment externe du genou D sur gonarthrose le 28.02.2017 Traumatisme crânien le 16.10.2018 Hystérectomie et ablation d'un kyste vésical 2018 Décompensation cardiaque globale probablement sur dysrythmie nouvelle le 04.01.2019 Traumatisme cranio-cérébral avec amnésie circonstancielle sur probable syncope d'origine indéterminée le 04.01.2019 connu pour athéromatose précérébrale avec sténose de maximum 50% au départ des artères carotide interne D et carotide interne G (mai 2017) Fracture L2 d'allure ancienne Résection antérieure basse à l'agrafeuse avec appendicectomie en passant le 26.04.1984 pour un adénocarcinome moyennement différencié du rectum (six ganglions lymphatiques sans tumeur) Hémisyndrome droit Hémisyndrome facio-brachial D, héminégligence visuelle et dysarthrie sévère Hémisyndrome gauche Hémisyndrome sensitivo-moteur gauche transitoire Hémisyndrome sensitivo-moteur, héminégligence et hémianopsie latérale gauche sur progression tumorale le 26.03.2019: DD: AVC ischémique sylvien D, Phénomène de Todd post crise d'épilepsie partielle simple. Glioblastome multiforme grade IV selon OMS bifrontal Hémochromatose Hémochromatose actuellement non active selon patient. Hémochromatose héréditaire, actuellement sans traitement mais sous surveillance Polyurie nocturne Suspicion de restless leg syndrome Ostéoporose fracturaire Hémochromatose héréditaire. Goutte. Omarthrose débutante. Lésion chronique du sous-scapulaire avec luxation du long chef du biceps dans le cadre d'un traumatisme en décembre 2016 sur status post-stabilisation de l'épaule il y a 20 ans. Hémochromatose traitée par saignées régulières depuis 2011 Labo le 19.03.2019: fer 30 umol/l, transferrine 1.8 g/l, ferritine 965 ug/l, saturation de la transferrine 1.8 g/l Hémochromatose traitée par saignées régulières (suivi Dr. X). Gonarthrose gauche et arthrose de la cheville gauche. Multiples interventions orthopédiques genou droit : AS et méniscectomie partielle interne genou droit sur lésion corne postérieure ménisque interne le 24.04.2013 gonarthrose tricompartimentale genou droit suspicion insuffisance ligaments croisés postérieurs à droite arthroscopie genou droit microfracture étendue compartiment externe ablation ostéophyte tibiale et inter-condylienne interne notch plasty et shaving ménisque interne et ablation du matériel d'ostéosynthèse le 09.09.2003 ostéotomie supra-condylienne varisante type ouverture externe et interposition greffe tricorticale le 21.02.2002 pour gonarthrose externe et fémoro rotulien post traumatique arthroscopies en 1983, 1987 et 1988 ablation d'une souris articulaire en 1982 méniscectomie externe partielle en 1976. Hemocue : 119g/l. Targin 5 mg. Tramal 5 gouttes. Attitude : Contrôle chez Dr. X (ORL) le 08.04.2019. Explication des critères de reconsultation au patient. HémoCue à 130 gr/l. Section de la petite plaie au niveau de la narine gauche avec mise en place de Bepanthène et un pansement par Cutiplast. Explication des gestes à réaliser en cas de récidive (compression du nez, tête penchée en avant, présence de froid au niveau de la nuque). Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Hémoculture en cours: ne pousse pas le 4 e jour hémoculture en cours Frottis plaie: bactériologie en cours Hémoculture le 17.04.19 : négatif à 5 jours Urotube le 17 et 18.04.19 : négatif CT thoraco-abdominale 15.04.19 Suivi clinique et biologique rapproché Imagerie abdominal en cas de réapparition de fièvre ou élévation syndrome inflammatoireUricult: E.coli à ESBL, Strepto gallolyticus CRP à 48 Reste du bilan: cf copie Hémocultures : en cours. Hémocultures : 4/4 positif pour cocci gram +. CT scan colonne lombaire le 16.04.2019. IRM colonne lombaire le 17.04.2019 sous anesthésie générale. Titrage morphine iv aux urgences (6 mg). Hospitalisation en médecine pour prise en charge de l'antalgie. Physiothérapie de mobilisation. Fentanyl patch 25. Sirdalud 6 mg MR 2x/jour. Voltarène. Antalgie par Morphine et tranxilium, Oxycontin 10 mg 2x/j dès le 18.04.2019, Oxycontin 15 mg 2x/j dès le 19.04.2019. Echocardiographie transthoracique le 18.04.2019. Consilium infectiologique : • Cubicine 700 mg 1x/jour du 17 au 20.04.2019 • Floxapen 12 g/24h iv continu dès le 20.04.2019 • Rifampicine 600 mg le 20.04.2019, 2x450 mg dès le 21.04.2019. CT scan thoraco-abdominal le 20.04.2019. Drainage de l'abcès pas possible à l'HFR Riaz. Transfert HFR Fribourg le 20.04.2019. Hémocultures quotidiennement, même au froid, jusqu'à 48 h de négativisation. Hémocultures à chaud le 01.04.2019 : 2/4 positif pour staph hémolyticus et staph epidermidis le 02.04.2019 US-Doppler artériel et veineux du pli inguinal D le 02.04.2019 (Dr X) Radiographies de thorax les 02.04 et 04.04.2019 Sédiment et urotube le 02.04.2019 : propre, 10E3 germes sur probable contamination Avis infectiologique (Dr X/Dr X) Co-amoxicilline IV du 02.04 au 08.04.2019 Relais avec Co-amoxicilline 1g 2x/j PO du 09.04 au 14.04.2019 Dafalgan en R Hémocultures à froid le 09.04.19 et 10.04.2019: négatives PCR expectorations: positives pour pneumocystis jiroveci Beta D glucanes: positif à > 500 Galacto-mannane 0.037 CD4: 0.09 G/l Neupogen 60 mio le 10.04.19 Primaquine 30 mg du 10.4.19 au 1.5.19 Clindamycine du 10.4.19 au 1.5.19 Prednisone majorée à 80 mg du 10.4.19 au 15.4.19 Prednisone 40 mg du 16.4.19 au 20.4.19 Prednisone 20 mg du 21.4.19 au 1.5.19, puis sevrage progressif Hémocultures à pister Avis cardiologique Dr X : ETO le 12.04.2019 Att: • ETO demandée pour le 12.04.2019 Hémocultures: Citrobacter koseri Urotube: Germes/ml 10E6, Flore mixte +++ Frottis vaginales: S. agalactiae [ß-hémol.B] et Flore normale Surveillance biologique Antibiothérapie per os par Augmentin per os du 19.04.2019 au 20.04.2019, Céfépime IV 2g 2x/j du 20.04.2019 au 22.04.2019, relais per os par Ciprofloxacine 500mg 2x/jour du 22.04.2019 au 30.04.2019 Hémocultures du 09.04 et 10.04.2019 : nég. à 5 jours Co-amoxicilline 1.2g iv 4x/j du 10.04 au 12.04.2019 Co-amoxicilline 1g po 2x/j du 12.04 au 17.04.2019 Hémocultures du 26.03.2019, 28.03.2019, 30.03.2019.01.04.2019 et 05.04.2019: négatif à 5 jours Culture cathéter du 31.03.2019: négatif à 2 jours Recherche Clostridium difficile dans les selles le 03.04.2019: Clostridium positif, toxine absente Avis infectiologique (Dr X) Céfépime IV du 26.03.2019 au 30.03.2019 Cubicin IV du 28.03.2019 au 29.03.2019 Vancomycine IV du 29.03.2019 au 03.04.2019 Meropenem IV du 30.03.2019 au 10.04.2019 Avalox PO du 11.04.2019 jusqu'à l'arrêt des diarrhées Metronidazole IV du 28.03.2019 au 02.03.2019, puis PO du 03.04.2019 au 16.04.2019 Vancomycine PO du 31.03.2019 au 05.04.2019 Methylprednisolone le 28.03.2019 Hémocultures du 28.03.2019 : négatives à 5 jours. Antibiothérapie par Tazobac 3 x 4.5 g iv/jour du 29.03 au 03.04.2019 inclus. Surveillance clinique et biologique. Hémocultures du 29.03.2019 Hémocultures du 30.03.2019: Négatives à 5 jours. Co-Amoxi IV du 26.03.19 au 01.04.2019 Relais PO du 01- 04.04.2019 Suivi biologique et clinique Hémocultures du 4.04.19: stériles à 5 jours CT thoracique le 04.04.2019 Rocéphine du 04.04.2019 au 10.04.2019 Physiothérapie respiratoire Hémocultures. ECG. RX thorax CT thoracique le 2.04.2019 Antibiothérapie par co-amoxicilline du 02 au 09.04.2019 iv puis per os. Hémocultures: E.coli CT-scan abdominal du 19.04.2019 : cholédoque dilaté jusqu'à 11 mm, pas de réhaussement des voies biliaires Réhaussement au niveau de l'ampoule de Vater. Cholangio IRM du 24.04.2019: pas de lithiase visible, pas d'ampullome, pas d'obstacle sur les voies biliaires Rocéphine 2 g 1x/jour et Metronidazole 500 mg 3x/jour du 19.04.2019 au 23.04.2019, relais per os par Ciproxine et Flagyl jusqu'au 29.04.2019 Hémocultures en cours Hémocultures et cultures d'expectorations, antigènes urinaires en cours Labo Rx thorax Hospitalisation à l'étage au vu des comorbidités ; traitement par Rocéphine et Klacid Hémocultures le 02-03.03.2019: 1/4 positive à 2 jours pour Prevotella buccae Recherche C. difficile dans les selles le 02.03.2019: positif Isolement de contact du 03.03.2019 au 20.03.2019 Changement d'antibiothérapie par: Tazobac 4.5 g 4x/j IV du 03.03.2019 au 08.03.2019 Métronidazole 500 mg 3x/j PO du 03.03.2019 au 11.03.2019 Hémocultures le 04.03.2019, 06.03.2019 et 08.03.2019: négatives Urotube le 04.03.2019 et 06.03.2019: 10*5 de flore mixte Ciprofloxacine PO 500mg 2x/jour du 06.03 au 07.03.2019 Rocephine 2g IV du 07.03 au 13.03.2019 Hémocultures le 07.04.2019, le 08.04.2019, le 09.04.2019 Sédiment urinaire le 08.04.2019 Antigènes urinaires le 09.04.2019 Ceftriaxone du 07.04.2019 au 08.04.2019 Co-amoxicilline du 08.04.2019 au 09.04.2019 Cathéter artériel radial droit du 08.04.2018 au 10.04.2019 Hémocultures le 08.03.2019, 10.03.2019 et 12.03.2019: négatives à 5 jours Sédiment: propre CT thoraco-abdominal le 11.03.2019 Changement d'antibiothérapie par : Meropenem 2 g 3x/j IV du 08.03.2019 au 21.03.2019 Vancomycine IV du 08.03.2019 au 11.03.2019 Vancomycine 125 mg 4x/j IV du 11.03.2019 au 20.03.2019 pour une durée de 10 jours Hémocultures le 10.03.2019: 4/4 positives pour E.Coli et S. epidermidis Cultures VVC jugulaire droite le 10.03.2019: positive pour S.epidermidis, Streptocoque gr. salivarius, E.Coli Céfépime du 10.03 au 12.03.2019 Vancomycine du 10.03.2019 au 23.03.2019 Ceftriaxone du 12.03.2019 au 15.03.2019 Ciprofloxacine du 15.03.2019 au 19.03.2019 Echocardiographie transthoracique le 11.03.2019 Avis infectiologique (Dr X) Hémocultures le 20.03.2019 : 3 x 2 positives : K. pneumoniae ESBL, sensible à Ciprofloxacine, Méropénème et Bactrim forte Urotube le 20.03.2019 : flore mixte 10^6 K. pneumoniae ESBL, E. faecalis, P. mirabilis Frottis rectal le 20.03.2019 : absence de VRE Méropénème iv du 20.03 au 22.03.2019 Ertapénème du 22.03 au 28.03.2019 Ciprofloxacine p.o. du 28.03 au 04.04.2019 Hémocultures le 20.03.2019: négatif à 5 jours Céfépime 2 g 3x/j IV du 20.03.2019 au 26.03.2019 Hémocultures le 25.03 et 26.03.2019 : négatives RX du thorax le 25.03.2019 Recherche Clstr difficile le 01.04.2019 : négatif Imipenem/Cilastatine du 26.03 au 02.04.2019 Prednisone 40 mg du 26.03 au 02.04.2019 Hémocultures le 26.02.2019: négatives à 5 jours Urotube le 26.02.2019: négatif Céfépime 2 g 3x/j IV du 26.02.2019 au 03.03.2019 Hémocultures le 26.03.2019: négatif à 5 jours Hémocultures le 29.03.2019: négatif à 5 jours Sédiment, urotube: germes < 10^3 Recherche C. difficile dans les selles le 29.03.2019: négatif Recherche parasites + virus dans les selles (HUG) le 29.03.2019: négatif Allopur mis en suspens, Céfépime stoppée Avis infectiologique (Dr X) Avis hématologique (Dr X et Dr X) Biopsie cutanée par dermatologue le 27.03.2019 • Biopsie cutanée (Insel Spital D 19-5991): Dermatite d'interface avec dépôts d'hémosidérine et granulocytes éosinophiles, compatible avec une GvHD Rectosigmoïdoscopie le 29.03.2019 (Dr X): Sigmoïdoscopie normale • Biopsie rectum (Promed P2019.3766): Muqueuse colorectale (1 fragment, rectum) d'architecture conservée, avec une légère majoration de l'apoptose épithéliale dans la zone proliférative de plusieurs cryptes, et focalement une nette majoration de l'apoptose épithéliale au-dessus de la zone proliférative d'une crypteCT thoraco-abdominal le 29.03.2019: infiltrats pulmonaires diffus aspécifiques, DD infection à CMV, PCP Meropenem 1 g 3x/j IV du 27.03.2019 au 03.04.2019 Betnovate du 28.03.2019 au 10.04.2019 Solumédrol 125 mg 1x/j IV du 29.03.2019 au 07.04.2019, puis Prednisone 100 mg (2 mg/kg) 1x/j PO dès le 08.04.2019 Ciclosporine 75 mg 2x/j IV dès le 29.03.2019, puis 100 mg 2x/j IV dès le 02.04.2019, puis 150 mg 2x/j IV dès le 05.04.2019, puis 125 mg 2x/j IV dès le 09.04.2019, puis 175 mg 2x/j PO dès le 12.04.2019 Taux de ciclosporine 2x/semaine dès le 01.04.2019 A jeun dès le 29.03.2019, puis réalimentation selon protocole HUG dès le 03.04.2019 Nutrition parentérale du 29.03.2019 au 12.04.2019 Hémocultures le 29.03.2019 Hémocultures. Nexium 40 mg 2x/j IV. Konakion 10 mg en ordre unique. Becozym, Benerva Hydratation. Noradrénaline plutôt que Terlipressine sur proposition du Dr. X. Transfert aux soins intensifs de Fribourg sur accord du Dr. X. Biopsie hépatique transjugulaire prévue le 12.04.2019 au HFR Fribourg avec le Dr. X. Rocéphine 2 g en dose de charge puis 1 g/24 h dès le 12.04.2019 (adaptée selon la clearance). Flagyl 500 mg 3x/j IV dès le 12.04.2019. Duphalac. Intervention brève quant à la consommation d'alcool. Hémocultures, Uricult le 22.04.2019 Co-amoxicilline le 22.04.2019 Hémocultures (2x 2 paires) le 05 et 06.04.2019: stériles à 5 j Gazométrie artérielle le 06.04.2019 Sédiment urinaire le 06.04.2019: propre Cefepime du 06.04.2019 au 08.04.2019 Metronidazole PO du 06.04.2019 au 08.04.2019 Vancomycine du 06.04.2019 au 06.04.2019 Ceftriaxone du 08.04.19 au 13.04.19 Hémocultures Cultures d'urines Co-amoxicilline IV 2.2 g 3x/j CT abdominal à prévoir si persistance douleurs Hémocultures Radiographie du thorax Rocéphine 2 g intraveineux 1x/24h du 17.03 au 23.03.2019 inclus Cefepime 1 g 2x/j du 28.03.2019 au 31.03.2019 Klacid 500 mg 2x/j du 28.03.2019 au 31.03.2019 Soins de confort dès le 31.03.2019 Hémodialyse discontinue le 11.04.2019, le 12.04.2019, le 13.04.2019 Solumedrol 500 mg du 09.04.2019 au 11.04.2019 Prednisone 70 mg dès le 12.04.2019 Cyclophosphamide à rediscuter avec les néphrologues selon évolution Furosémide IV du 10.04.2019 au 13.04.2019 Torasémide PO dès le 13.04.2019 Pantozol 20 mg 1x/j et Calcimagon D3 1x/j dès le 09.04.2019 Uro-CT le 02.04.2019 Ponction biopsie rénale le 08.04.2019 Cathéter de dialyse jugulaire interne droite le 11.04.2019 Hémodialyse intermittente 3x/semaine (LU-ME-VE matin), arrêté dès le 06.04.2019 Arrêt Acetat de calcium Hémofecatest positif le 15.03.2019 Déficit en acide folique - supplémentation Bilan anémie: ferritine, B12, acide folique normal Hémoglobine glyquée: 5.8% le 22.03.2019 - absence de diabète Hémoptysie Hémoptysie Hémoptysie Hémoptysie Hémoptysie d'origine indéterminée Hémoptysie VS hématémèse le 09.04.2019 Hémoptysies récidivantes dans un contexte de bronchiectasies connues. Hémorragie cérébrale au niveau des citernes, du foramen magnum et de la tente du cervelet le 30.04.2019. - Sur probable rupture d'anévrisme du tronc basilaire connu. Hémorragie cutanée sur rupture veineuse au niveau péri-ombilical gauche le 09.04.2019. Hémorragie dans la corne occipitale du ventricule latéral gauche et suspicion d'hémorragie dans la corne occipitale du ventricule latéral droit sur traumatisme crânien - patient sous Rivaroxaban pour AVC ischémique sylvien gauche d'origine cardio-embolique (2010) Hémorragie de l'œil droit le 11.04.19. Hémorragie digestive à bas bruit sur angiodysplasie caecale le 05.04.2019 - traitement par coagulation au plasma Argon Hémorragie digestive au niveau caecal post-polypectomie le 18.03.2019 - sous Anticoagulation (embolie pulmonaire) et post-anti-aggrégation (par clopidogrel pour AVC) Hémorragie digestive basse à bas bruit, acutisée depuis 2 semaines (post-colonoscopie) sur: - hémorroïdes de stade II connues - avec anémie normochrome normocytaire Hémorragie digestive basse chronique, acutisée depuis 2 semaines (post-colonoscopie) - hémorroïdes de stade II connues - douleurs abdominales FID et flanc gauche connues - perte de poids de 10 kg sur la dernière année avec asthénie et inappétence - dernière colonoscopie le 19.03.2019 sans anomalies (hormis les hémorroïdes) - constipation chronique suivie par gastro-entérologue Hémorragie digestive basse dans un contexte de probable surdosage de Xarelto le 14.03.2019. Hémorragie digestive basse probablement sur diverticulose le 24.09.2017: - gastroscopie et colonoscopie du 21.09.2017: gastrite antrale, diverticulose, rectite post-radique, pas de saignement actif Arthroplastie AC, acromioplastie antérieure y compris excision du ligament acromio-coracoïdien, réinsertion du sus-épineux et transfert du petit rond sur rupture massive de la coiffe des rotateurs épaule G dans les années 90 Cystite à répétition Appendicectomie Fracture malléole externe cheville D D Suspicion lésion de Chopart du pied G en mai 2017 Réaction allergique le 06.04.2018, probablement au Clopidogrel TC avec plaie superficielle de l'arcade sourcilière G de 5 cm en octobre 2018 Fracture base P2 3ème orteil pied G avec plaie face plantaire de la métatarso-phalangienne du 3ème rayon Anémie postopératoire avec Hb à 85 g/l le 25.02.2019 Colite à clostridium difficile 2ème épisode au décours - 1er épisode traité par Metronidazole de 03.02.2019 au 15.02.2019. - 2ème épisode traité par Metronidazole de 01.03. au 06.03. puis Vancomycine de 06.03. jusqu'au 08.03.2019 (en raison des nausées sous Métronidazole) Idées suicidaires le 10.03.2019 Hémorragie digestive basse probablement sur diverticulose le 24.09.2017: - gastroscopie et colonoscopie du 21.09.2017: gastrite antrale, diverticulose, rectite post-radique, pas de saignement actif Arthroplastie AC, acromioplastie antérieure y compris excision du ligament acromio-coracoïdien, réinsertion du sus-épineux et transfert du petit rond sur rupture massive de la coiffe des rotateurs épaule G dans les années 90 Cystite à répétition Appendicectomie Fracture malléole externe cheville D D Suspicion lésion de Chopart du pied G en mai 2017 Réaction allergique le 06.04.2018, probablement au Clopidogrel TC avec plaie superficielle de l'arcade sourcilière G de 5 cm en octobre 2018 Fracture base P2 3ème orteil pied G avec plaie face plantaire de la métatarso-phalangienne du 3ème rayon Tests cognitifs : MMSE à 18/28, test de la montre 0/7, GDS 5/30 le 29.01.2019 Hémorragie digestive basse sur probable pancolite d'origine indéterminée du 19.04.2019 avec: - instabilité hémodynamique: tachycardie à 144/min à l'arrivée, hypotension à 96/74 - s/p Whipple en 02.2019 (Dr. X) - sous Plavix pour s/p reconstruction de l'artère mésentérique supérieure avec la grande veine saphène le 25.02.2019 - refus de transfusion par culot érythrocytaire par la patiente (voir DA) Hémorragie digestive basse sur probable pancolite d'origine indéterminée le 19.04.2019 avec: - status post-Whipple en 02.2019 (Dr. X) - sous Plavix pour s/p reconstruction de l'artère mésentérique supérieure avec la grande veine saphène le 25.02.2019 - refus de transfusion par culot érythrocytaire par la patiente (voir DA) Hémorragie digestive d'origine indéterminée le 19.11.2018. Cardiopathie de Tako-Tsubo le 24.10.2018. Delirium tremens le 21.10.2018. Ulcère de la petite courbure gastrique en février 2012. Anémie normochrome macrocytaire probablement sur alcoolisme chronique et hépatopathie. Hémorragie digestive haute Hémorragie digestive haute Hémorragie digestive haute Hémorragie digestive haute sur probable gastrite érosive: - Prise d'AINS - Anticoagulation Hémorragie digestive haute avec hématémèse et méléna novembre 2017: • ulcère gastrique chronique de 1 cm avec caillot de sang frais au niveau de l'angulus. Traité par injection intra-muqueuse d'adrénaline et 2 clips OGD du 30.11.2017, Dr. X • Cure de canal lombaire étroit L2-L5 le 24.11.2014 sur claudication neurogène et arthrose lombaire, Dr. X • Périarthrite de hanche opérée • Appendicectomie en 1972 • Hémorragie digestive haute DD sur thrombose du shunt porto-mésentérique, saignement de varices œsophagiennes, ulcère œso-gastrique • Hémorragie digestive haute le 05.04.2019 • DD : ulcère gastrique, angiodysplasie • sous Xarelto et double anti-agrégation • Blatchford score : 13 points • Hémorragie digestive haute le 08.09.2015 avec Mallory-Weiss probable, œsophagite de reflux, hernie hiatale axiale et gastrite antrale érosive • Aspergillose pulmonaire invasive le 20.02.2014 dans le cadre d'une agranulocytose fébrile le 18.02.2014 avec évolution favorable des infiltrats nodulaires prédominant dans le poumon gauche aux contrôles scannographiques de mai et juin 2014 • Thrombose septique de la veine jugulaire gauche à staphylocoque coagulase négative et E. faecium le 19.12.2013 avec embolie pulmonaire sous-segmentaire et infarctus splénique non anticoagulé • Urosepsie avec E. coli multisensible le 02.02.2014 • Suspicion d'infection du PAC à staph. haemolyticus le 05.02.2014 avec verrou de Vancomycine du 10. au 25.02.2014 • Infection pulmonaire à métapneumovirus le 21.02.2014 traitée par physiothérapie respiratoire • Suspicion d'infection pulmonaire le 12.03.2014 sur bronchoaspiration traitée par 7 jours de Céfépime • Bactériémie à staph. epidermidis et hominis le 21.03.2014 (Vancomycine du 24. au 28.03.2014) • Embolie pulmonaire lobaire supérieure droite le 13.03.2014 non anticoagulée (hémoptysie sur l'aspergillose pulmonaire) • Hémorragie vaginale passagère le 09.12.2013 sous hormonothérapie (Visanne) • Syndrome de lyse tumorale avec insuffisance respiratoire nécessitant une intubation, trouble de l'état de conscience ; leucaphérèse du 03 au 05.12.2013 CIVD 12/2013 • Hémorragie digestive haute le 19.03.2019 sur ulcère duodénal Forrest III • varices œsophagiennes stade 2-3 sans saignement récent • Hémorragie digestive haute le 25.03.2019 sur ulcère chronique gastrique dans un contexte d'infection à H. pylori • avec anémie normocytaire normochrome secondaire nadir à 68 g/L • Hémorragie digestive haute le 27.02.2019 : • Helicobacter pylori positif (sérologie) • Contexte de prise d'AINS et de Prednisone • OGD le 28.02.2019, Dr. X : 2 ulcères Forest III de 5 mm dans l'antre, gastrite antrale érosive, pas de saignement actif • Protamine le 27.02.2019 et Pantozol Bolus puis intraveineux en continu • Hémorragie digestive haute sous Sintrom le 30.04.2019 • DD Mallory Weiss, ulcère gastrique • Hémorragie digestive haute sur gastrite érosive dans le cardia de l'estomac et œsophagite de stade II OGD le 02.02.2018 • Bronchopneumopathie chronique obstructive de stade II selon Gold avec insuffisance respiratoire partielle sous oxygénothérapie à domicile (concentrateur 1 l/min) • Ancien tabagisme à 50 unités paquets par an (arrêt en avril 2013) • Laparotomie exploratrice et adhésiolyse en 2000 et en 2016 • Emphysème sous-cutané et insuffisance respiratoire après lobectomie inférieure gauche le 03.04.2014 • Spondylodèse L4-L5 en 2013 • Hypertension artérielle traitée • Hyperplasie de la prostate • Fracture de compression de la colonne vertébrale sur ostéoporose probable avec : • Fracture S2 en septembre 2015 • Décompression L4-L5 inter-laminaire droit, ablation d'un kyste du ligamentum flavum, discectomie L4-L5 et spondylodèse L4-L5 avec PAD et PLIF L4-L5 avec cage OLI, car claudication neurogène en raison d'une sténose du canal lombaire L4-L5 et spondylolisthésis L4-L5 en mars 2013 • Plaie du coude droit avec statut après bursites à répétition • Hématome de la bourse trochantérienne gauche de 7 cm de diamètre post-traumatique, chez un patient sous Xarelto • Traumatisme crânien simple • Laparotomie dans les années 1990 sur lésion de l'aorte (accident de travail) • Amputation de la phalange distale du 4ème doigt de la main droite • Hémorragie digestive haute sur probable saignement de varices œsophagiennes le 13.04.2019 • Avec instabilité hémodynamique • Hémorragie digestive haute sur saignement de varices œsophagiennes le 13.04.2019 • Hypo-fibrinogénémie acquise • Contexte de cirrhose Child A d'origine éthylique • thrombose porte • Hémorragie digestive haute sur ulcère pylorique le 24.03.2019. • Hémorragie digestive haute 18.04.2019 • DD varices œsophagiennes • Score de Blatchford : 9 points • Hémorragie digestive probablement haute, le 11.04.2019 • anémie hypochrome normocytaire ferriprive à 79 g/L. • Hémorragie digestive probablement sur lésion de Dieulafoy le 25.03.2019 : • anémie avec hémoglobine à 100 g/L puis 71 g/L. • Hémorragie digestive sur ulcère gastrique (Forrest III) avec : • Méléna le 15.07.2018 • Anémie hypochrome microcytaire avec hémoglobine à 68 g/L • Transfusion de deux concentrés érythrocytaires aux urgences le 16.07.2018 • Malaise d'origine indéterminée le 17.07.2017 • Infection urinaire basse à E. coli le 13.08.2015 • Chute d'origine indéterminée le 11.08.2015 dans un contexte de pré-syncopes à répétition • Prothèse totale du genou droit en 2010 • Prothèse céphalique de la hanche droite en 2009, révision et totalisation par voie minimalement invasive, Dr. X • Coliques néphrétiques en 1995 et 2009 • Tuberculose péritonéale en 1963 • Hémorragie du cuir chevelu post-traumatique le 29.03.2019 • Hémorragie du post-partum • Hémorragie du post-partum avec pertes à 1000 cc sur rétention de caillots et atonie utérine • Hémorragie du post-partum sur atonie à 1600 cc • Hémorragie du post-partum sur déchirure paramètre droit et de l'angle d'utérotomie droit • Hémorragie du PP avec pertes à 1000 cc sur rétention de matériel • Hémorragie en nappe sur fasciotomie loge antérieure du membre inférieur droit le 25.03.2019 DD : anticoagulation suprathérapeutique post-héparine et urokinase • Hémorragie intra-parenchymateuse cérébelleuse gauche du 20.04.2019 • Hémorragie intra-parenchymateuse fosse cérébelleuse postérieure du 20.04.2019 • Hémorragie intra-parenchymateuse pariétale gauche le 04.03.2019 avec : • Syndrome confusionnel • Tétra-ataxie • Aphasie • Hémorragie intra-parenchymateuse pariéto-occipitale gauche sans effet de masse le 24.04.2019 • Hémorragie intraventriculaire d'origine indéterminée dans un contexte d'anticoagulation. • Hémorragie rétropéritonéale post-traumatique le 30.03.2019 • Hémorragie secondaire du post-partum • Hémorragie sous-arachnoïdienne frontale gauche post-traumatisme crânien avec perte de connaissance le 04.04.2019 • Hémorragie sous-arachnoïdienne frontale gauche sur traumatisme crânien le 21.03.2019 • Hémorragie sous-arachnoïdienne mésencéphalique postérieure post-traumatique le 29.03.2019 • Hémorragie sous-arachnoïdienne pariéto-occipitale gauche para falcorielle sur quelques centimètres le 30.03.2019 avec • modifications ECG • tachycardies supraventriculaires • Hémorragie sous-arachnoïdienne temporale droite suite sur traumatisme crânio-cérébral. Surveillance initiale en lit monitoré aux urgences, puis transfert dans le service de chirurgie. • Hémorragie sous-conjonctivale gauche. • Varices des membres inférieurs des deux côtés.Polymyalgia Rheumatica Hémorragie sous-conjonctivale gauche. Varices des membres inférieurs des deux côtés. Polymyalgia Rheumatica traitée par Methotrexate. Douleur dorsale d'origine musculo-squelettique le 09.05.16. DD : arthralgie sur polyarthrite. Possible AVC probablement d'origine microangiopathique. • vision floue transitoire d'une durée de 45 min sans latéralisation de résolution spontanée. • fourmillements occipitaux transitoires. • status neurologique dans la norme aux Urgences. • patiente sous Xarelto pour une FA paroxystique, connue pour migraine dans sa jeunesse. Hémorragie vaginale. Hémorragie vaginale en début de grossesse. Hémorragies cérébrales multiples le 24.02.2019 sur angiopathie amyloïde • punctiformes au niveau cérébelleux à gauche et occipital à droite, sous-arachnoïdienne en pariétal droit. • Ancienne lésion frontale. Hémorragies pétéchiales dans la partie antéro-latérale du cou sans notion anamnestique d'étranglement. Hémorragies rétiniennes et choroïdiennes, œdème papillaire sur probable thrombose de la veine centrale de la rétine G. Pic hypertensif le 11.03.2017. Probable saignement intra-rétinien versus intra-corps vitré le 11.03.2017. Hémorroïde externe avec ulcération le 08.03.2019. Bronchite purulente sévère aiguë chez une patiente immunosupprimée traitée par Tazobac et Imipenem (décembre 2018) • pneumonie nosocomiale après bronchoscopie. Hyperthyroïdie subclinique dans le contexte d'une substitution (28.11.2018). Bicytopénie avec leucopénie à 2.9 g/l, probablement sur traitement d'Imurek (novembre 2018). Anémie ferriprive normocytaire normochrome inflammatoire et carentielle en acide folique sur traitement par Imurek (28.11.2018). Epistaxis bilatérale post-opératoire : • le 03.09.2018 : révision méatotomie moyenne et ethmoïdectomie antérieure bilatérale avec septoplastie (Dr. X). Etat de mal épileptique dans le contexte d'un syndrome para-néoplasique à anticorps anti-Hu associé à une hyponatrémie progressive le 25.08.2016 : • symptomatologie : mâchonnement labial, phénomène de Todd. • avec encéphalopathie prédominante (EEG 29.08.2016). Chute accidentelle avec traumatisme crânien léger (26.08.2016). Polypose nasale sur maladie de Widal opérée (2006). Hystérectomie (1995). Appendicectomie. Hémorroïde externe le 20/04/19. Hémorroïde stade IV avec prolapsus irréductible le 13.04.2019. Hémorroïdes. Hémorroïdes. Hémorroïdes. Hémorroïdes de stade IV au niveau du quadrant antérieur. Hémorroïdes stade II. Trouble anxio-dépressif sous Citalopram. Hémisyndrome facio-brachio-cural droit sur état de mal épileptique en 1979. Hémorroïdes stade 4 indolore le 30.03.2019. Hémorroïdes symptomatiques, probablement sur compression veineuse par la masse pelvienne. Hémorroïdes traitées par intervention de Longo. 2 accouchements par voie basse. Hystérectomie. Crises d'angoisse. Iléus sur bézoard au niveau de l'intestin grêle traité par laparotomie le 02.12.2017. Suspicion d'éventration sur cicatrice de laparotomie. Hémostase avec un point de prolène et compression. Hospitalisation pour observation 24 heures en chirurgie vasculaire. Contrôle angiologique de la fistule : sténose résiduelle malgré dilatation, mais bon flux. Mr. Y présente des séquelles de douleurs suite à une entorse du ligament talo-fibulaire antérieur de la cheville gauche. Il est fréquent que les patients qui se tordent la cheville aient des douleurs au-delà de 4 semaines, raison pour laquelle je ne m'inquiète pas. La patiente montre une cheville stable. Je lui propose de faire une série de physiothérapie à but de tonifier la musculature et entraîner la proprioception. Les cannes anglaises doivent être abandonnées dès que possible. Je la reverrai dans 2 mois pour une réévaluation clinique. Arrêt de sport attesté pour encore un mois. Héparine continue du 22.03.19 au 29.03.19 avec contrôles anti-Xa réguliers (cible 0.3-0.4). Arrêt Aspirine Cardio le 29.03.19. Introduction Lixiana 30 mg dès le 29.03.19. Héparine iv continu du 25.03.19 au 03.04.19. Xarelto dès le 04.04.19. US abdominal du 27.03.19 : Contrôle US à prévoir à 3 mois (fin juin), anticoagulation à réévaluer à ce moment-là. Héparine iv continu thérapeutique du 12.04.2019 au ___. CT-scan thoracique le 12.04.2019 (Dr. X). Echographie ciblée aux urgences le 12.04.2019 (Dr. X, Dr. X). Echocardiographie transthoracique le 13.04.2019 (Dr. X). Bilan thrombophilie à effectuer. Héparine iv continu thérapeutique du 12.04.2019 au 15.04.2019. Xarelto 15 mg 2x/j du 15.04 au 07.05.2019, puis Xarelto 20 mg 1x/j dès le 08.05.2019 à vie. CT thoracique le 12.04.2019 (Dr. X). Echographie ciblée aux urgences le 12.04.2019 (Dr. X, Dr. X). Echocardiographie transthoracique le 13.04.2019 (Dr. X). Bas de contention. Echocardiographie transthoracique de contrôle à 3 mois, le 09.07.2019 à 10h45. Bilan de thrombophilie à effectuer à 3 mois de l'événement aigu. Héparine i.v. jusqu'à Marcoumar thérapeutique, à régler à l'HFR Billens. Contrôles réguliers de la plaie et ablation des fils à J14. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Héparine i.v.c. dès le 30.3.2019, cible 0.3-0.6. Xarelto 15 mg 2x/J dès le 02.04.2019 après résolution de la thrombopénie. CT 29.03.2019 : Embolie pulmonaire segmentaire antérobasal LIG, supérieur lingula, antérieur LSD, postérobasal LID. Lésion surrénale droite ressemblant à un adénome mais examen non dédié. Attitude • Xarelto 15 mg 2x/J 3 semaines puis 20 mg 1x/J, durée totale 6 mois. Héparine thérapeutique à partir du 19.04.2019. Poursuite de l'aspirine. Angioplastie avec stent dans l'artère poplitée avec revascularisation du trépied jambier par thrombo-aspiration le 20.04.2019 (Dr. X). Angio-CT des membres inférieurs le 19.04.2019. Echocardiographie transthoracique le 20.04.2019 : pas de thrombus intracavitaire. Cathéter artériel radial droit du 19.04.2019 au 22.04.2019. Héparine 15000 dès le 07.04.2019 jusqu'à 2 INR cibles : stop le 12.04.2019. Sintrom dès le 07.04.2019. Bilan angiologique le 09.04.2019. Elévation du membre supérieur gauche. Rendez-vous en angiologie à 1 mois (06.05.2019 à 11:00 - HFR Riaz). Héparine 15000 UI depuis le 07.04.2019 jusqu'à l'obtention de 2 INR cible : stop le 12.04.2019. Sintrom dès le 07.04.2019. Bilan angiologique le 09.04.2019. Elévation du membre supérieur gauche. Rendez-vous angiologique dans 1 mois à l'HFR Riaz : le 06.05.2019 à 11h00. Hépatite à prédominance cholestatique d'origine toxico-médicamenteuse (Cefuroxime) le 08.02.2019 • antibioprophylaxie peropératoire de cefuroxime lors du PAC à Berne. Hépatite à prédominance cholestatique d'origine toxico-médicamenteuse (Céfuroxime) le 08.02.2019 • Antibioprophylaxie peropératoire de céfuroxime lors du PAC à Berne. • Biopsie à l'aiguille du foie transjugulaire 05/03/2019 (HUG) : légère hépatite sur le plan nécrotico-inflammatoire à composante cholestatique, avec dystrophies biliaires, légère distension sinusoïdale et fibrose péri-sinusoïdale focale. L'image histologique montre d'un côté une cholestase et des dystrophies biliaires suggérant en premier lieu une atteinte toxico-médicamenteuse. D'autre part, présence d'une distension sinusoïdale pourrait évoquer un bloc sus-hépatique. Hépatite à prédominance cholestatique d'origine toxico-médicamenteuse (Cefuroxime) le 08.02.2019 • antibioprophylaxie peropératoire de cefuroxime lors du PAC à Berne. Hépatite aiguë d'origine alcoolique le 23.01.2019 • dans un contexte de cirrhose alcoolique CHILD C d'origine alcoolique (11 points). • score de Maddrey à 73 points. • score de Lille à 92% (mauvais pronostic). • avec insuffisance hépato-cellulaire.Tabagisme actif à 30 UPA Hépatite aiguë sur intoxication au Paracétamol le 11.04.2019. • prise de 13 g de Paracétamol le 06.04.2019. Hépatite alcoolique sévère avec : • score de Maddrey : 79 (avec TP en pour cent) score de MELD pour hépatite alcoolique 32.9 avec mortalité 73% à 3 mois • très probable cirrhose d'origine alcoolique actuellement Child C (IRM du 10.04.2019) • syndrome hépato-rénal type I • encéphalopathie hépatique stade 2 Hépatite auto-immune sous Cellcept • Thrombocytopénie associée, Tc à 92 G/l le 28.03.2019 Autres médicaments : Sifrol, Calcimagon Hépatite auto-immune sous Prednisone 5 mg/jour et Imurek. Cirrhose sur hépatite auto-immune avec un score minimal. Paraplégie complète sensitivomotrice en dessous de L5 avec syndrome de la queue de cheval après foraminectomie en 2012. Cardiopathie ischémique. Diabète cortico-induit insulino-requérant (hémoglobine glyquée à 7,7% le 15.11.2018). Hypothyroïdie substituée sur thyroïdite de Hashimoto. Prolapsus muqueux péri-anal avec incontinence anale. Hépatite avec insuffisance hépato-cellulaire sur cirrhose Child C d'origine éthylique le 11.04.2019 • CLIF-C ACLF Score : 56 (mortalité 42% à 1 mois) • score de MELD pour hépatite alcoolique 32.9 (mortalité 73% à 3 mois) • score de Maddrey : 79 • score de Lille à J7 : 0.945 • encéphalopathie hépatique stade 3, troubles de la crase, choc vasoplégique/septique, hypoalbuminémie, pancytopénie, insuffisance rénale aiguë, troubles électrolytiques • histologie : cirrhose éthylique (histologie définitive en cours) Hépatite B avec virémie à 76 UI/ml. Hépatite B chronique. Hépatite B chronique actuellement sans traitement. Hépatite B chronique sous trithérapie. Hépatite B chronique. Séroconversion CMV. Hépatite B en 1972, transmission par acupuncture (anamnestique). Status post cure d'hernie hiatale. Quadruple pontage aorto-coronarien (AMIG/IVA, Vx/Mg/CX/IVP en séquentiel) fecit Dr. X (CHUV) le 06.11.2014 dans le cadre d'une cardiopathie ischémique tritronculaire silencieuse (découverte lors d'un bilan pré-opératoire pour une sténose de la carotide interne D) avec : • sténose IVA moyenne à 70-90 % • sténose 1er et 2ème diagonale à 70-90 % • sténose Cx moyenne à 70-90 % • sténose de la 1ère marginale à 70-90 % • sténose de la Cx distale à 90-99 % à la bifurcation avec une branche Mg • sténose de la CD proximale à 90-99 % • sténose de l'IVP à 70-90 %, coronarographie du Dr. X du 13.08.2014 • FEVG à 70% Réadaptation cardiovasculaire, contrôle des facteurs de risques et optimisation du traitement cardiovasculaire Rendez-vous à 6 semaines avec Dr. X (sera convoqué à domicile) Rendez-vous avec Dr. X à l'HFR Riaz le 13.01.2015 Atteinte polyvasculaire avec : • status post thrombendartériectomie et plastie d'élargissement de la bifurcation carotidienne droite (CHUV) le 08.10.2014 • occlusion totale de l'artère carotide interne gauche • syndrome de Leriche avec : • status post pontage aorto-bifémoral en 2000 • status post ischémie critique du membre inférieur gauche sur occlusion du jambage prothétique aorto-bifémoral • actuellement claudication intermittente membre inférieur G stade IIa Suivi clinique, Aspirine Diabète de type 2 non-insulino-requérant sous ADO Suivi endocrinologique ambulatoire Suivi podologique régulier Lymphocèle au site de saphénectomie Suivi clinique de la surinfection Soins quotidiens de la plaie à domicile Avis chirurgical selon évolution Probable passage du calcul vésiculaire avec : • stéatorrhée • douleur hypochondre droit • perturbation des tests hépatiques à prédominance cholestatique • US abdominal le 18.11.2014 : empierrement de la vésicule Status post cholélithiase il y a 10 ans en mai 2014 (anamnestique). Disparition des symptômes et normalisation des tests hépatiques. Hépatite B en 1972, transmission par acupuncture (anamnestique). Status post cure d'hernie hiatale. Quadruple pontage aorto-coronarien (AMIG/IVA, Vx/Mg/CX/IVP en séquentiel) fecit Dr. X (CHUV) le 06.11.2014 dans le cadre d'une cardiopathie ischémique tritronculaire silencieuse (découverte lors d'un bilan pré-opératoire pour une sténose de la carotide interne D) avec : • sténose IVA moyenne à 70-90 % • sténose 1er et 2ème diagonale à 70-90 % • sténose Cx moyenne à 70-90 % • sténose de la 1ère marginale à 70-90 % • sténose de la Cx distale à 90-99 % à la bifurcation avec une branche Mg • sténose de la CD proximale à 90-99 % • sténose de l'IVP à 70-90 %, coronarographie du Dr. X du 13.08.2014 • FEVG à 70% Réadaptation cardiovasculaire, contrôle des facteurs de risques et optimisation du traitement cardiovasculaire Rendez-vous à 6 semaines avec Dr. X (sera convoqué à domicile) Rendez-vous avec Dr. X à l'HFR Riaz le 13.01.2015 Atteinte polyvasculaire avec : • status post thrombendartériectomie et plastie d'élargissement de la bifurcation carotidienne droite (CHUV) le 08.10.2014 • occlusion totale de l'artère carotide interne gauche • syndrome de Leriche avec : • status post pontage aorto-bifémoral en 2000 • status post ischémie critique du membre inférieur gauche sur occlusion du jambage prothétique aorto-bifémoral • actuellement claudication intermittente membre inférieur G stade IIa Suivi clinique, Aspirine Diabète de type 2 non-insulino-requérant sous ADO Suivi endocrinologique ambulatoire Suivi podologique régulier Lymphocèle au site de saphénectomie Suivi clinique de la surinfection Soins quotidiens de la plaie à domicile Avis chirurgical selon évolution Probable passage du calcul vésiculaire avec : • stéatorrhée • douleur hypochondre droit • perturbation des tests hépatiques à prédominance cholestatique • US abdominal le 18.11.2014 : empierrement de la vésicule Status post cholélithiase il y a 10 ans en mai 2014 (anamnestique). Disparition des symptômes et normalisation des tests hépatiques. Hépatite B guérie. Hystérectomie totale avec annexectomie pour fibromes utérins. Adhésiolyse par laparoscopie pour iléus. Appendicectomie. Pose de TOT pour incontinence urinaire d'effort. Suspicion de sevrages aux opiacés le 03.02.2019. Hépatite B guérie. Hystérectomie totale avec annexectomie pour fibromes utérins. Adhésiolyse par laparoscopie pour iléus. Appendicectomie. Pose de TOT pour incontinence urinaire d'effort. Suspicion de sevrages aux opiacés le 03.02.19 Hépatite B inactive. Hépatite B non traitée, mais suivie. Hypertension artérielle sous Zanidip et Co-Aprovel. Diabète de type 2 insulino-requérant. Cirrhose hépatique CHILD B (7 points) post-hépatite B et consommation d'alcool. Hépatite C. Hépatite C chronique. Hépatite B chronique inactive. Polytoxicomanie active. Hépatite C (non traitée) Perturbation chronique de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition, ainsi que troubles du comportement avec désorientation récurrente : • ancienne toxicomanie et abus d'alcool • méningiome frontal Méningiome frontal (11 x 20 x 29 mm) : • épilepsie focale sous forme d'absences, traitée par Orfiril • diagnostic initial février 2015 • refus du traitement chirurgical. Troubles dégénératifs de la colonne vertébrale. Exotropie de l'œil gauche (congénitale). Trouble dépressif récurrent, sans idées suicidaires F 33 (2018). Possibles crises d'épilepsies récidivantes sur non compliance médicamenteuse et méningiome frontal (refus du traitement chirurgical par la patiente) : • Méningiome frontal diagnostiqué en février 2015, avec épilepsie secondaire • crise d'épilepsie partielle, type absence, le 23.01.2018 sur non compliance médicamenteuse. • état confusionnel le 22.05.2018 • probable crise d'épilepsie le 03.08.2018 CT cérébral du 14.08.2018 : stabilité du méningiome, pas d'hémorragie, pas d'ischémie. Hypoglycémies récurrentes d'origine indéterminée, déjà notifiées lors d'anciennes hospitalisations/consultations. Ancien tabagisme actif. Polyneuropathie des membres inférieurs d'origine toxico-métabolique probable sur ancienne dépendance à l'alcool, DD : syphilis. Chute avec TC avec PC et AC en raison d'un malaise d'origine indéterminée, le 15.12.2018 • dans un contexte de crises d'épilepsie sur mal compliance médicamenteuse et/ou méningiome • hypoglycémies récidivantes dans le cadre de troubles du comportement alimentaire (DD anorexie atypique) Suspicion d'épilepsie focal sous forme d'absence dans un contexte de méningiome frontal Hypoglycémie à 3.7 le 15.12.2018 • contexte d'hypoglycémies à répétition DD Malnutrition (anorexie atypique), sport intensif Hépatite C (non traitée). Perturbation chronique de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition, ainsi que troubles du comportement avec désorientation récurrente : • ancienne toxicomanie et abus d'alcool • méningiome frontal. Méningiome frontal (11 x 20 x 29 mm) : • épilepsie focale sous forme d'absences, traitée par Orfiril • diagnostic initial février 2015 • refus du traitement chirurgical. Troubles dégénératifs de la colonne vertébrale. Exotropie de l'œil gauche (congénitale). Troubles dépressifs récurrents, sans idée suicidaire F 33 (2018). Possibles crises d'épilepsies récidivantes sur mal compliance médicamenteuse et méningiome frontal (refus du traitement chirurgical par la patiente) : • méningiome frontal diagnostiqué en février 2015, avec épilepsie secondaire • crise d'épilepsie partielle, type absence, le 23.01.2018 sur non compliance médicamenteuse • état confusionnel le 22.05.2018 • probable crise d'épilepsie le 03.08.2018 • CT cérébral du 14.08.2018 : stabilité du méningiome, pas d'hémorragie, pas d'ischémie. Hypoglycémies récurrentes d'origine indéterminée, déjà notifiées lors d'anciennes hospitalisations/consultations. Ancien tabagisme actif. Polyneuropathie des membres inférieurs d'origine toxico-métabolique probable sur ancienne dépendance à l'alcool, DD : syphilis. Chute avec traumatisme crânien, perte de connaissance et amnésie circonstancielle en raison d'un malaise d'origine indéterminée, le 15.12.2018 • dans un contexte de crises d'épilepsie sur mal compliance médicamenteuse et/ou méningiome • hypoglycémies récidivantes dans le cadre de troubles du comportement alimentaire (DD : anorexie atypique). Suspicion d'épilepsie focale sous forme d'absences dans un contexte de méningiome frontal • EEG dans les limites de la norme août 2018 • Sous Orfiril depuis août 2018 • Taux médicamenteux infra-thérapeutiques récidivants. Hypoglycémie à 3.7 le 15.12.2018 • contexte d'hypoglycémies à répétition DD : malnutrition (anorexie atypique), sport intensif Hépatite C Psoriasis, traitements topiques intermittents Ancienne toxicomanie (sevrage par Méthadone) Hépatite C. Lombalgies chroniques sur hernie discale. Tétraplégie incomplète suite à un accident le 07.07.2017. Hépatite mixte cholestatique et hépato-cellulaire d'origine indéterminée. Furoncle sur la fesse droite le 21.06.2017. Décompensation de BPCO (2 critères d'Anthonisen) le 14.01.2019 avec : • culture d'expectorations le 14.01.2018 : Moraxella catarrhalis • BPCO stade IV oxygénodépendante à domicile. Lymphome folliculaire stade initial IV selon Ann Arbor • status post 5 cycles de R-CHOP en mai 2014 • status post 3 cycles de thérapie de maintien par Rituximab août à décembre 2014. Pemphigus paranéoplasique avec atteinte muco-cutanée diagnostiqué en 2014, réfractaire au traitement par Ciclosporine, Immunoglobuline et Prednisone avec : • stomatite lichénoïde (ouverture buccale limitée) • œsophagite lichénoïde (sténose du tiers moyen) • alimentation par PEG depuis mai 2014 en raison de troubles sévères de la déglutition dans le contexte du pemphigus paranéoplasique. Bronchiolite oblitérante sur pemphigus paranéoplasique : • syndrome obstructif très sévère • insuffisance respiratoire globale sous oxygénothérapie continue à 1.5 lt/min • échec d'appareillage par VNI en 2017 • dyspnée stade 4 selon NYHA. Inflammation cutanée locale au niveau de la sonde de PEG le 16.01.2019 : • pose en 2014. Anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 108 g/l le 15.01.2019 de probable origine inflammatoire avec : • B12, acide folique, TSH et ferritine dans la norme le 25.05.2018. Hépatite virale chronique C non traitée de génotype 1A • anti-HCV positif à 3 reprises depuis 2014 • charge virale du 19.08.2016 : 298 UI/ml • sérologie du 07.06.2016 : Ag HBs nég, Ac anti-HBs < 10 UI/l ; Ac anti-HBs IgG nég ; Ac anti-HBe nég ; Ac anti HIV1+2 et agHIVp24 nég. Hépatite virale chronique C non traitée de génotype 1A • anti-HCV positif à 3 reprises depuis 2014 • charge virale du 19.08.2016 : 298 UI/ml • sérologie du 07.06.2016 : Ag HBs nég, Ac anti-HBs < 10 UI/l ; Ac anti-HBs IgG nég ; Ac anti-HBe nég ; Ac anti HIV1+2 et agHIVp24 nég. Hépatite virale chronique C non traitée de génotype 1A • anti-HCV positif à 3 reprises depuis 2014 • charge virale du 19.08.2016 : 298 UI/ml • sérologie du 07.06.2016 : Ag HBs nég, Ac anti-HBs < 10 UI/l ; Ac anti-HBs IgG nég ; Ac anti-HBe nég ; Ac anti HIV1+2 et agHIVp24 nég. • Troubles de la crase liés à l'HCV. Hépatite virale chronique C non traitée de génotype 1A Perturbation de l'activité et de l'attention sous Ritaline. Insuffisance mitrale post-endocardite mitrale à Entérocoque faecalis depuis septembre 2016. Lombosciatalgies avec syndrome radiculaire L5 gauche (IRM juin 2016 sans particularités). Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de drogues multiples (opiacés, cocaïne, cannabis et benzodiazépines) et troubles liés à l'utilisation d'autres substances psychoactives : • polytoxicomanie active avec injections intra-veineuses de drogues, s/p placement sous PAFA à l'Hôpital de Marsens • situation sociale précaire, avec Mr. Y sans domicile fixe • Syndrome de dépendance substituée par L-Polamidon (lévométhadone). Hépatite virale chronique C non traitée de génotype 1A Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de drogues multiples (opiacés, cocaïne, cannabis et benzodiazépines) et troubles liés à l'utilisation d'autres substances psychoactives Perturbation de l'activité et de l'attention sous Ritaline Insuffisance mitrale post-endocardite mitrale à Entérocoque faecalis depuis septembre 2016. Lombosciatalgies avec syndrome radiculaire L5 gauche (IRM juin 2016 sans particularité). Hépatite virale chronique C non traitée de génotype 1A Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de drogues multiples (opiacés, cocaïne, cannabis et benzodiazépines) et troubles liés à l'utilisation d'autres substances psychoactives Perturbation de l'activité et de l'attention sous Ritaline Insuffisance mitrale post-endocardite mitrale à Entérocoque faecalis depuis septembre 2016. Lombosciatalgies avec syndrome radiculaire L5 gauche (IRM juin 2016 sans particularité). Hépatite virale chronique C non traitée de génotype 1A Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de drogues multiples (opiacés, cocaïne, cannabis et benzodiazépines) et troubles liés à l'utilisation d'autres substances psychoactives : • polytoxicomanie active avec injections intra-veineuses de drogues, s/p placement sous PAFA à l'Hôpital de Marsens • situation sociale précaire, avec Mr. Y sans domicile fixe. • Syndrome de dépendance substituée par L-Polamidon (lévométhadone). Hépato stéatose découverte US le 11.04.2019. Hépatocarcinome de stade C selon BCLC avec invasion portale avec cirrhose hépatique score de Child A d'origine éthylique VS NASH. date du diagnostic : 07.02.2018 • histologie (Promed P2018.1573) : hépatocarcinome moyennement différencié avec production de bile et infiltration vasculaire. Foyer de cirrhose micronodulaire • CT thoraco-abdominal 15.01.2018 : aspect hétérogène du foie faisant suspecter un hépatocarcinome. Thrombose de la veine porte d'allure tumorale • IRM hépatique 23.01.2018 : aspect très hétérogène du foie faisant suspecter un hépatocarcinome. Présence d'un kyste compliqué au niveau du rein gauche • AFP 18.01.2018 : 7 kUI/I • sérologie HBV et HCV négative • scintigraphie osseuse 14.03.2018 : absence d'image scintigraphique nette en faveur de métastase osseuse. Hypercaptation au niveau de la cheville gauche en relation avec le statut post-fracture connue • tumorboard viscéral HFR 21.03.2018 : pas de possibilité de prise en charge chirurgicale ou de chimioembolisation • traitement à visée palliative de 1ère ligne par Nexavar depuis le 03.04.2018, à dose réduite depuis le 01.05.2018 en raison d'une toxicité hépatique • progression nette du processus tumoral, évaluation d'une éventuelle radio-embolisation (SIRT) à la consultation de radiologie interventionnelle le 06.07.2018 : maladie localement trop avancée pour une SIRT • traitement à visée palliative de 2ème ligne par Opdivo (immunothérapie, anti-PD1) du 13.07.2018 au 01.11.2018, avec réponse initiale • traitement à visée palliative par Stivarga du 03 au 10.12.2018, compliqué par une hépatotoxicité sévère Actuellement : retrait thérapeutique, soins de support Suivi par Dr. X Hépatocarcinome multifocal sur cirrhose hépatique Child A6, MELD 12 (22.07.2016), suivi à l'Inselspital par Dr. X : • 2012-2015 : 1x SIRT (sélective radiation therapy), 3x TAE (transarterial embolisation), peu de progression des lésions segment V et 2 foyers en VII • IRM 03.2015 : thrombose des branches segmentaires de la veine porte droite • 17.12.2015 (IZI) : TAE supplémentaires à cause de charge tumorale • 4e TAE le 05.01.2016 : segment V et VIII • 24.03.2016 laparoscopie diagnostique : pas de possibilité d'ablation par micro-ondes car progression de la cirrhose avec hypertension portale et foyer non visualisable à l'ultrason intra-opératoire • 29.03.2016 Tumorboard : début d'une thérapie systémique par Sorafénib le 08.04.2016 • 04.05.2016 : CT de contrôle : 3 lésions de 5.7 cm (V), 2 cm (VIII et V), BCLC (Barcelona-Clinic Liver Cancer) stade B • 22.07.2016 : CT de contrôle : stationnaire, Sorafénib bien supporté (400 mg 2x/j) • 28.10.2016 : CT de contrôle : stationnaire (V, VII, VIII) avec fonte centrale masse tumorale s/p TAE, pas de nouvelles lésions, splénomégalie légèrement en progression Hypertension artérielle traitée Obésité de stade 3 (102 kg le 06.01.2016, donc indice de masse corporelle de 35 kg/m2) Hépatomégalie et stéatose hépatique US 01.2018 Troubles de la marche avec microangiopathie cérébrale sévère et troubles neurocognitifs Carcinome mammaire in situ du sein gauche avec • s/p mastectomie primaire en 2008 • radiothérapie adjuvante en 2009 • actuellement douleur persistante au niveau de la cicatrice Hépatomégalie stéatosique multi-nodulaire avec signes de décompensation cirrhotique (hypertension portale, ascite), d'origine éthylique • dernière décompensation cirrhotique le 19.11.2018 avec encéphalopathie hépatique grade II (Ammoniémie 88 umol/l, Facteur V 49% - Score MELD 22, Maddrey 47.6 pts (20.8 pts à J2)) • Child B (7 points le 26.11.2018) • OGD le 20.06.2018 : Pas de varice oesophagienne • sérologies HAV, HBV, HCV, HIV négatives - DOT hépatites auto-immunes négatif • s/p insuffisance hépato-cellulaire sur hépatite alcoolique le 29.05.2018 avec : Trouble de la crase - Syndrome hépato-rénal avec insuffisance rénale AKIN 2 Pancréatite chronique d'origine éthylique probable • pancréatite aiguë d'origine éthylique les 04.10.2017, 22.02.2018 et 20.10.2018 • pancréatite aiguë Balthazar A le 29.05.2018 avec : pseudokystes pancréatiques nouveaux (IRM du 27.02.2018 : pas de pseudokystes pancréatiques) - IRM abdominale le 06.06.2018 : pseudokyste pancréatique • pancréatite aiguë en novembre 2018 Tabagisme actif 75 UPA F10.2 Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool • Syndrome de dépendance F33.4 Trouble dépressif récurrent F60.3 Personnalité émotionnellement labile • idéations suicidaires scénarisées avec hospitalisation à Marsens en 2014 et 2016 Trouble de l'équilibre et de la marche d'origine multifactorielle : • OH chronique • malnutrition • polyneuropathie Syndrome de QT long (QTc 494 ms) le 27.03.2019 • déjà répertorié en 05/2018 (QTc 505 ms le 29.05.2018) DD : médicamenteux (Atarax, Ciprofloxacine) Lésion polypoïde de la fausse corde vocale G d'allure bénigne Hépatomégalie stéatosique Migraine Hypertension artérielle traitée Hépatopathie alcoolique avec cirrhose Child B le 08.05.2017. Varice gastro-œsophagienne de type II. Probable BPCO. Hypoacousie appareillée. Hépatopathie cirrhotique non bilantée le 03.04.2019 : • signe de cirrhose débutant au scanner abdominal 02/16 Hépatopathie de stase avec troubles de la crase le 23.04.2019 • DD : médicamenteux sur Cordarone, sur bas débit cardiaque Hépatopathie probablement d'origine médicamenteuse le 05.03.2019 : DD : sur nutrition entérale Hépatosplénomégalie modérée, mais pas de lésion focale hépatique décelable à l'ultrason du 04.12.2017 Lithiase vésiculaire à l'US du 04.12.2017 Alcoolisation aiguë à 3.15 pour mille le 03.09.2016 : • soins impossibles à domicile avec état de négligence majeure • 4 consultations au service des urgences pour des intoxications alcooliques Alcoolisation aiguë à 2.14 pour mille le 27.06.2016.Probable état dépressif avec idéations suicidaires non scénarisées le 03.09.2016. Hospitalisation à Marsens sous PAFA en avril 2014. Prothèse totale des deux hanches en 2007. Hépato-stéatose découverte fortuitement à l'ultrason du 11.04.2019. Herniation de graisse, mauvaise évolution de la plaie. Avis orthopédique (Dr. X) : désinfection, champage, ablation de l'hernie graisseuse, mise en évidence des berges. 3 points de suture au Prolène 3.0 (avec explications données par le médecin au préalable). Pansement, contrôle clinique à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Poursuite de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pour une totalité de 7 jours. Ablation des fils à 10 jours chez le médecin traitant. Contrôle clinique à 48h au secteur ambulatoire des urgences (si bonne évolution : arrêt de l'antibiothérapie). Hernie cervicale C3-C4 avec suspicion de myélopathie + hernie C5-C6. Consommation OH à risque. Tabagisme actif. Hernie cervicale C5 et C7 gauche avec hypoesthésie partielle sur le territoire du C7 au niveau des doigts sans trouble moteur depuis le 29.04.2013. Acouphène droit de 750 Hz à 20 dB en bruit blanc, d'origine indéterminée le 26.06.2017. Bicytopénie le 18.05.2017 avec : • anémie hémolytique auto-immune vs pauci-immune sur carences multiples en fer/B12 et folates. • thrombocytopénie auto-immune. Hernie cervicale diagnostiquée en 2013 avec paresthésies occasionnelles du membre supérieur droit. Hernie de la ligne blanche infra-ombilicale, incarcérée le 27.05.2018. • Laparotomie exploratrice sous-ombilicale, résection 20 cm iléon à 40 cm du Bauhin, anastomose latéro-latérale manuelle et cure d'éventration selon Rives avec Filet Progrip en position pré-péritonéale le 27.05.2018. • Choc hémorragique postopératoire probablement suite à une lésion d'un vaisseau sub-cutané dans le trajet du Redon et une macrohématurie dans le contexte d'une anticoagulation supra-thérapeutique le 31.05.2018. • Transfusion 4 CE et 3 PFC le 31.05.2018. • Protamine 5000 UI le 31.05.2018. • Beriplex le 27.05.2018. • Konakion le 27.05.2018. • Héparine dès le 27.05.2018, mise en suspens le 31.05.2018. • Protamine le 31.05.2018. • Reprise du Clexane le 04.06.2018 (2 x 80mg/j). Hystérectomie il y a une vingtaine d'années. Hernie diaphragmatique avec reflux gastro-oesophagien. Infections urinaires à répétition. Hernie discale L4-5 opérée en 1969. Cholecystectomie 1971. Appendicectomie 1973. AVC régressif il y a 10 ans. Hernie discale avec lombosciatalgies à répétition et hypoesthésies S1, canal lombaire étroit. Insuffisance rénale aiguë probablement d'origine pré-rénale stade AKIN I. Hernie discale cervicale. Hernie discale C6-C7 symptomatique, le 15.04.2019. Hernie discale C6-C7 avec compression de la racine C7 gauche non déficitaire le 02.12.2018. • Status post-infiltration péri-radiculaire C7 gauche sous scanner le 04.12.2018. • Status post-schéma dégressif de cortisone du 26.11.2018 au 01.12.2018. Discopathie dégénérative C5-C6 avec ostéophytose prédominante à D et rétrécissement foraminal bilatéral. Hernie discale D7-D8 diagnostiquée en 03/2019 (Lindenhof Spital). • Injection de corticoïde 03/2019. Hernie discale foraminale L4-L5 D. Hernie discale lombaire non opérée. Hernie discale lombaire traitée par physiothérapie il y a quelques années. Hernie discale L3-L4 D luxée vers le haut avec déficit sensitivomoteur L4. • cure de hernie discale L3-L4 D, le 19.03.2013. • vertébroplastie, discoplastie L3/L4 et L4/L5, cimentoplastie et stabilisation avec Matrix MIS L3-L5, décompression L3/L4 et L4/L5, le 13.08.2013. • vertébroplastie L3 complémentaire, le 15.04.2014. Dorso-lombalgies intenses dans le cadre d'une fracture type Pincer de L1 et une sténose du canal L1-L2 avec : • décompression du canal spinal L1-L2, décompression récessale et neurolyse D avec allongement de la stabilisation L2-T12. • vertébroplastie protectrice de D9 et spondylodèse L1-L2, le 31.12.2015. Cruralgies droites chroniques non déficitaires acutisées avec douleurs irradiant au niveau du genou droit le 24.10.2016 sur une sténose foraminale probable sur troubles dégénératifs et syndrome spondylogène sur arthrose apophysaire postérieure. Status post-prothèse du poignet gauche. Status post-PTH droite. Status post-opération du pied droit. Probable AIT vertébro-basilaire le 14.09.2016, DD crise d'angoisse. Pneumonie basale droite sur broncho-aspiration le 28.03.2017. Troubles de l'état de conscience le 27.03.2017 possiblement sur prise de Halcion et déshydratation. Fracture du cubitus distal gauche extra-articulaire non déplacée le 20.02.2017 (contrôle radiologique à 2, 6 et 12 semaines). Hernie discale L3-L4 droite médiane et paramédiane droite avec : • cure d'hernie discale L4-L5 en 1984 avec laminectomie L5. • pseudo-méningocèle dans la loge de laminectomie au niveau L4-L5 ponctionnée sous CT le 12.05.2009. Insuffisance veineuse chronique. Notion de cancer de la prostate. Épisode dépressif moyen. Pacemaker pour bradycardie sinusale. Hernie inguinale gauche indirecte. Hernie discale L4-L5 avec minime protrusion discale postérieure. Hernie discale L4-L5 droite calcifiée avec sténose du foramen traitée le 25.02.2019 par foraminotomie L4-L5 droite et ablation de la hernie discale calcifiée. Hernie discale L4-L5 para-médiane G luxée vers le bas et déficitaire. Hernie discale L4-L5 paramédiane G. • Parésie préopératoire G à M3. Kyste polaire rénal gauche compliqué et kyste polaire rénal droit non compliqué. Hernie discale L5-S1 à droite. Trémor essentiel. Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs de stade C5 avec artériopathie périphérique : • ulcère veineux (janvier 2018 et décembre 2017). • thrombose de la veine poplitée gauche en 2012. • thrombose occlusive des veines iliaque, fémorale et poplitée gauche en 2011. Syndrome des apnées du sommeil non appareillé. Consommation chronique d'alcool avec état anxio-dépressif. Trouble de la marche et d'équilibre d'étiologie multifactorielle chroniques multi-investiguées avec chutes à répétition. Hernie discale L5-S1 diagnostiquée il y a 5 ou 6 ans et traitée conservativement. Hernie discale paramédiane gauche L5/S1 non déficitaire. Hernie discale. Fibromyalgie. État dépressif. Syndrome des jambes sans repos. Hypothyroïdie. Kystes de rétention du bord supérieur droit et du tiers cranial de la face linguale droite de l'épiglotte. Lésion érythémateuse d'aspect bénin de la loge amygdalienne gauche. Hernie discale. Situation psycho-sociale précaire. Alpha-thalassémie hétérozygote. Obésité stade IV. Hernie et béance hiatale. • s/p oesophagite érosive de reflux de stade I. Hernie graisseuse incarcérée au pli inguinal droit le 21.04.2019. Hernie hiatale. Hernie hiatale. Hernie hiatale. Hernie hiatale avec oesophagite de reflux grade B à C selon Los Angeles et gastropathie portale légère. Hernie hiatale avec oesophagite stade 2 (OGD 27.06.2012 Dr. X). Hernie hiatale avec reflux acide.Hernie hiatale avec reflux acide Hernie hiatale axiale avec ulcérations (lésions Cameron): Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Artériopathie oblitérante de membres inférieurs. Emphysème pulmonaire sous-pleural apical droit (CT du 13.11.2015) avec: • tests des fonctions pulmonaires non réalisables en raison de la trachéotomie. • pas de décompensation respiratoire (4/2015 et 11/2015 Dr. X), selon lui les causes principales de la dyspnée sont la trachéotomie, l'emphysème et un probable déconditionnement. Insuffisance rénale chronique. Ostéoporose. Épilepsie avec: • suivi par Dr. X (Neuchâtel). • sous Mysoline et Tranxilium. • multiples crises entre l'adolescence et 30 ans, pas de récidive depuis lors. • CT cérébral (19.04.2016) : importantes lésions cérébrales cicatricielles anciennes (post-traumatiques ?) dans les lobes temporal, pariétal et frontal à gauche. Hypothyroïdie post-opératoire, substituée. • status post thyroïdectomie totale bilatérale pour goître diffus nodulaire plongeant (13.10.2010). Hernie hiatale et endo-brachy-œsophage court - OGD 22.11.2013 Suspicion de reflux gastro-oesophagien avec probable oesophage de Barrett (novembre 2013) Insuffisance rénale aiguë sur déshydratation (novembre 2013) Douleur à la cheville atraumatique d'origine indéterminée (novembre 2013) Syncope vaso-vagale Décollement de la rétine Syndrome lombo-vertébral sur troubles dégénératifs du rachis (décembre 2013) Sinusite sphénoïdale gauche en 2013 Fracture tassement D12 en 2013 Fracture de L1 traitée conservativement, le 13.02.2016 Fracture humérale sous-capitale gauche impactée non déplacée le 29.11.2016 Infection urinaire basse à E. Coli le 01.12.2016, chez une patiente connue pour des infections urinaires à répétition Anémie normochrome normocytaire hyporégénérative d'origine carentielle avec hémoglobine à 100 g/l sur: • déficit en acide folique Malnutrition protéino-énergétique légère avec: • protéines totales à 52.6 g/l • albumine à 36.7 g/l • BMI à 26 kg/m² • NRS 3/7 Hernie hiatale non opérée. Hernie hiatale symptomatique le 28.03.2019 Hernie hiatale traitée Hernie hiatale. Arthrose. Hernie hiatale Diabète non insulino-requérant sous Gliclazid HTA Syndrome des jambes sans repos sous Gabapentine Hernie hiatale Hémorroïdes internes stade I Migraines Tachycardie supra-ventriculaire sous bilol Antécédent de cupulolithiase Hernie hiatale Hémorroïdes internes stade I Migraines Tachycardie supra-ventriculaire sous bilol Antécédent de cupulolithiase Hernie hiatale Hémorroïdes internes stade I Migraines Tachycardie supra-ventriculaire sous bilol Sinusite virale le 04.04.2019 Hernie hiatale. Hernie discale L4-L5. Hernie hiatale Reflux gastro-oesophagien Stéatose hépatique Hypertension artérielle Polyarthrite rhumatoïde, sous Emrel et Methotrexate 1x/semaine Ostéoporose traitée depuis 2010 Psoriasis arthritique depuis 2010 Dépression traitée (tentamen en 2011) Hernie incarcérée droite Hernie inguinale. Hernie inguinale bilatérale plus marquée à gauche. Hydrocèle droite. Hernie inguinale bilatérale symptomatique Hernie inguinale droite directe et indirecte. Hernie inguinale droite étranglée, sans souffrance intestinale objectivée - le 15.08.2017, Dr. X : cure de hernie inguinale droite selon Lichtenstein par filet ProGrip. Prostatectomie et lymphadénectomie pelvienne pour adénocarcinome prostatique cT2-cT3 T3 T2 Gleason 7 en 2015. Plastie du mollet droit pour rupture tendineuse en 2007 (Dr. X). Appendicectomie en 1983. Cholecystectomie. Hernie inguinale droite indirecte le 28.09.2018. Hernie inguinale droite non incarcérée le 01.04.319 Hernie inguinale droite non-incarcérée le 07.04.2019. • opéré il y a 30 ans avec mise en place des deux côtés. Hernie inguinale droite opérée en 2003. Hernie inguinale droite opérée en 2003. Hernie inguinale droite opérée en 2003. Hernie inguinale droite opérée en 2003. Hernie inguinale droite opérée en 2003. Hernie inguinale droite sans signe de complication. Hernie inguinale droite symptomatique Hernie inguinale droite symptomatique Hernie inguinale droite symptomatique. Hernie inguinale droite symptomatique le 03.04.2019. • Pas de signe d'incarcération. Hernie inguinale gauche Hernie inguinale gauche. Hernie inguinale gauche asymptomatique. Hypercholestérolémie. Hernie inguinale gauche en pantalon. Hernie inguinale gauche non incarcérée le 07.11.2016. Lombo-sciatalgies avec déficit de sensibilité le 11.02.2019. Hernie inguinale gauche non incarcérée le 07.11.2016 Lombo-sciatalgies avec déficit de sensibilité le 11.02.2019 Status clinique avec status neurologique complet: avis cdc médecine Physiothérapie en ambulatoire Arrêt de travail pendant 1 semaine AINS Antalgie simple Hernie inguinale gauche non incarcérée le 13.04.2019. Hernie inguinale gauche opérée dans l'enfance. Amygdalectomie. IVG médicamenteuse à 5+4 SA selon DDR. Hernie inguinale gauche opérée en 2013 Ostéonécrose condyle fémoral interne droit en 2010 Hernie inguinale gauche opérée en 2013 Ostéonécrose condyle fémoral interne droit en 2010 Hyponatrémie hypo-osmolaire à 119 mmol/l probablement d'origine médicamenteuse le 18.04.2019 • Traitement thiazidique • Traitement de Tégrétol majoré récemment DD: néoplasie, pneumopathie Laboratoire Spot urinaire Arrêt du Thiazide Restriction hydrique à 1000 ml / 24 heures Avis neurologique: changement du traitement de Tégrétol par Trileptal au vu suspicion SIADH médicamenteux Suivi biologique avec amélioration des valeurs Suivi natrémie en ambulatoire Malaise probablement d'origine réflexe sur constipation, sans TC le 18.04.2019 DD: cardiogène, hyponatrémie ECG du 19.04.2019: BBG connu Laboratoire du 19.04.2019 Troponines: • H0 : 18 ng/l • H1 : 20 ng/l • H3 : 22 ng/l Holter en ambulatoire le 06.05.2019 à 10h45 Pic hypertensif à 200 mmHg de systole le 20.04.2019 et le 22.04.2019 • sensations d'oppression thoracique ECG: inchangé Nitré en R Amlodipine en R Introduction Bêta-bloquant et Aldactone Suivi tensionnel chez le médecin-traitant Hernie inguinale gauche réductible Hernie inguinale gauche réduite spontanément le 30.04.2019. Hernie inguinale symptomatique à droite Hernie inguino-scrotale droite. Hernie intercostale gauche oligo-symptomatique Surélévation de la coupole diaphragmatique droite (Diagnostic différentiel: parésie diaphragmatique, hernie diaphragmatique) Hernie médiane sous-ombilical incarcéré Hernie médiane sous-ombilicale incarcérée 19.03.2019 Hernie ombilicale. Hernie ombilicale graisseuse non-incarcérée sur un lipome pré-péritonéal Status post-cure d'hernie ombilicale avec pose de filet intra-abdominal par laparoscopie en 2009 Traitement conservateur actuel. Hernie ombilicale graisseuse réductible asymptomatique sans lésion cutanée Hernie ombilicale incarcérée le 08.04.2019 Hernie ombilicale incarcérée non réductible le 08.04.2019. • Status post appendicectomie par laparoscopie et cure de hernie ombilicale par suture directe, en urgence le 13.04.2017 Hernie ombilicale non incarcérée Hernie ombilicale réductible, non incarcérée d'environ 1 cm de diamètre. Orifice herniaire de 8 mm de diamètre environ. Hernie ombilicale 1.5 cm de diamètre le 15.04.2019. Hernie para-stomiale asymptomatique Hernie scrotale droite opérée au CHUV en janvier 2019 Herniectomie et microdiscectomie L5-S1 (OP le 29.03.2019) Herniectomie et microdiscectomie L5-S1 par la G (OP le 29.03.2019) Hernies discales multiples cervicales et lombaires. Hernies inguinales des 2 côtés. Valvulopathie mitrale et aortique. FEVG à 74%. Syndrome du tunnel carpien. Dégénérescence de la colonne lombaire. Cervicalgies sur importante uncodiscarthrose cervicale C5 à C7. QT long avec QTc à 520 ms et trouble de la repolarisation avec inversion des ondes T de V2 à V4. • Hernies inguinales indirectes bilatérales à contenu graisseux et hydrocèle bilatérale le 19.04.2019 • Herpès génital. • Herpès génital traité par Valaciclovir. • Herpès labial traité par Aciclovir en 2016 • Césarienne 2014 • Lithiases rénales D 2014 traité conservativement • Colique néphrétique chez patiente enceinte de 12 SA • Herpès paupière droite. • Herpès Zoster TH IV dorsal. Brivex 1-0-0 pour 7 jours, Imazol Crème locale. ad Hauptdiagnose, Nebendiagnose 1 et 2 : Am 28.04.2019 zeigte sich der Patient febril bei 38.3°C, normoton bei 122/88 mmHg und normokard bei 59/min, Allgemeinzustand reduziert. Laborchemisch zeigte sich einen Hämoglobinabfall von 109 g/l zu 62 g/l, eine Leukopenie bei 1.4 G/l, eine CRP bei 355 und eine Hypokaliämie bei 2.5 mmol/l. Klinisch war der Patient beschwerdefrei, er berichtet über einmaligen schwarzen Stuhlgang am 28.04.2019 morgens, am Nachmittag sei aber den Stuhlgang hell braun gewesen. Eine Abdomenuntersuchung zeigte sich dem Abdomen weich, mit diffuse Unterbauchdruckdolenz und Abwehrspannung. Bei Vd. a. akute Gastrointestinale Blutung mit begleitendem intraabdominalen Infekt und bei Risiko von akuter hämodynamischer Dekompensation verlegen wir den Patient auf der Notfallstation von Fribourg zur wertere diagnostische und gegebenenfalls chirurgischer Massnahmen. Es wurde Blutkulturen vor der Verlegung genommen. Nach Gespräch mit dem Dienstarzt Onkologie HFR Fribourg sehen wir die Leukopenie a.e. in Rahmen der Chemotherapie mit 5 FU (letzte am 18.04.2019). Nebendiagnose 3 : Wir interpretieren den akuten Durchfall am ehesten im Rahmen der Chemotherapie mit Fluorouracil. Wir führen eine Hydratation durch und beginnen mit einer Therapie mit Imodium, Buscopan bei Magenkrämpfen. Die Stuhlkulturen waren negativ auf Bakterien. Ad Nebendiagnose 4-9 : Keine Massnahmen während der Hospitalisation. Wir haben den Patient auf Notfall HFR Fribourg per Ambulanz zur weitere chirurgische Massnahmen verlegt. • Mr. Y stellte sich selbständig sur notre Notfallstation vor. Beim Patienten ist eine Alkoholabhängigkeit bekannt und er habe vor einem Jahr erfolgreich einen Entzug in Marsens gehabt. Nun habe er ohne offensichtlichen Grund vor 3 Wochen wieder zu trinken begonnen. Der Konsum habe sich stetig gesteigert und aktuell trinke er 1 Flasche (7dl) Whisky pro Tag. Er habe aufgrund des Konsums weniger gegessen und getrunken und sei auch nicht mehr arbeiten gegangen. Der Patient wünschte eine stationäre Aufnahme zum Entzug mit Anschlussbehandlung in Marsens. Status : 56-jähriger, wacher und orientierter Patient in ordentlichem Allgemein- und leicht adipösem Ernährungszustand. Kardio : Regelmässige, reine Herztöne, keine Nebengeräusche. Pulse peripher beidseits gut palpabel. Rekap < 2 Sekunden. Keine Beinödeme. Pneumo : Vesikuläres Atemgeräusch über allen Lungenfeldern, keine Nebengeräusche. Abdomen : Abdomen weich, keine Druckdolenz, keine Resistenzen, keine Abwehrspannung. Leber ca. 2 cm unter Rippenrand, Milz vergrössert ca. 3 cm unter Rippenrandtastbar Urogenital : Keine Klopfdolenz der Nierenloge. Neuro : Pupillen isokor, rund und reaktiv auf Licht. Motorik und Sensibilität an allen Extremitäten und im Gesicht erhalten. GCS 15 Ad. Hauptdiagnose : Auf unserer Abteilung erfolgte ein somatischer Alkoholentzug unter Medikation mit Seresta und Catapresan sowie Substitution mit Thiamin. Die vorbestehende Therapie mit Quetiapin, Brintellix und Zolpidem wurde weitergeführt. Die Entzugsbehandlung verlief problemlos. Am 03.04.2019 konnte Mr. Y ins psychiatrische Spital von Marsens zur weiteren Behandlung verlegt werden. Ad. Nebendiagnose 1 : Es wurde sonographisch eine fortgeschrittene Lebersteatose (a.e. im Rahmen des chronischen Alkoholkonsums) ohne zirrhotischen Umbau festgestellt. Ad. Nebendiagnose 2-6 : Keine Massnahmen während aktueller Hospitalisation, die medikamentöse Therapie wurde unverändert weitergeführt. Mr. Y konnte am 03.04.2019 ins psychiatrische Spital nach Marsens verlegt werden. • Mr. Y ist ein 65-jähriger Patient, der sich aufgrund von neuen Bauchschmerzen am 27.03.2019 notfällmässig vorstellte. Der Patient wurde von Riaz nach Tafers verlegt aufgrund Kapazitätsmangel. Seit dem 17.03.2019 verspürt der Patient diffuse Schmerzen im Bauch. Seit dem 24.03.2019 waren die Schmerzen stärker geworden, mit Ausstrahlung in Brust, Nacken und Schultern. Der Patient gibt keine B-Symptom an. Er sagt, dass er nur gelegentlich mit Freunden Alkohol trinke. Aufgrund des klinischen, laborchemischen und radiologischen Befunde stellen wir die Verdachtsdiagnose einer Pankreatitis. Das CT vom 27.03.2019 zeigt parenchymatöse Pankreatitis (Balthazar C), ohne Nekrose mit einer hypodensen Läsion im Pankreaskopf. Wir entscheiden uns für eine Antalgie und Hydration Behandlung. Zur weiteren Abklärung der Läsion im Pankreaskopf organisieren wir ein MRI für am 28.03.2019. Im MRI zeigt sich eine Tumorläsion des uncinate-Prozesses mit einem Durchmesser von etwa 4 cm, der mit mehreren hepatischen Metastasen assoziiert ist, von denen die Grösse in den Segmenten II und VII liegt. Die Tumormarker CA19-9 war 1451 U/ml. Während des stationären Aufenthalts ist der Patient schmerzkompensiert. Sein Fall wird am Tumorboard im HFR Fribourg am Mittwoch 03.04.2019 diskutiert um das weitere Prozedere zu besprechen. Nous pouvons Mr. Y am 02.04.2019 nach Hause entlassen. • Herzinsuffizienz bei valvulärer, rythmische und hypertensiver Kardiomyopathie mit/bei : • Transfermoraler, perkutaner Aortenklappenersatz (Core Valve Evolute 34mm) bei schwergradig degenerativ bedingter Aortenklappenstenose am 02.06.2017 • Bekanntem permanentem VHF (ED 2009) unter Eliquis • St. n. Pacemaker-Implantation (Medtronic Advisa DRMI, DDDR) vor TAVI bei RSB am 18.05.2017. • St. n. Echokardiographie am 08.06.18 (Dr. X) : stabile und normale LVEF (60%), konzentrische LV-Hypertrophie, keine Regionalität, schwergradige LA-Dilatation, einwandfreie Funktion der Aortenklappenprothese (MG 8 mmHg). • Schrittmacherkontrolle am 08.06.18: einwandfreie Schrittmacherfunktion, permanentes normokardes Vorhofflimmern, keine andere Rhythmusstörungen • Dekompensierte Herzinsuffizienz den 28.3.2019 • Substituierte Hypothyreose nach Thyreoidektomie • Diabetes mellitus Typ 2 nicht insulinpflichtig • unter Januvia und Metformin • Mikrozytäre, hypochrome Anämie • Hb 108 g/l, MCV: 81 fl, MCH 27 am 16.10.2018 • Mr. Y wünscht keine weiteren Abklärungen • Chronische Niereninsuffizienz Grad III b • Kreatinin: 131 • Entgleiste sekundäre Hypothyreose nach Thyreoidektomie • unter Euthyrox • Diabetes mellitus Typ 2 nicht insulinpflichtig • unter Januvia und Metformin • Primärer Hypoparathyreoidismus nach Thyreoidektomie • Kalziumacetat • Prostatakarzinom • unter Tamsulosin • Vd. a. Angststörung mit kognitiver Einschränkungen DD Depression: • Panikattacken zu Hause • Belastung des sozialen Umfeldes • MMS: 24/29, GDS: 6/15, Clock Test: 0/6 (09.08.2017) • unter Fluoxetin • Adipositas • Hypercholesterinämie • Parakardiales Lipom ED 06.12.2010 • Hétéroagression. • Hétéro-anamnèse. • Avis du psychiatre de garde. • Hospitalisation au RFSM de Marsens sous PAFA, départ en ambulance, accompagnée de son amie. • HGPO à 3 mois • Hiatushernie • Arterielle Hypertonie • Hidrosadénite (maladie de Verneuil) • plaie ouverte suite à accident de moto en 2014 • Plusieurs abcès dans le cadre de la maladie de Verneuil • Abcès périnéal gauche de 4 cm de diamètre environ dans le cadre de la maladie de Verneuil le 22.02.2019 • Avis chirurgical (Dr. X). • Antalgie avec Morphine 10 mg p.o., MEOPA, désinfection avec Bétadine, anesthésie locale avec 10 ml de Rapidocaïne, incision, drainage de l'abcès, rinçage à l'aiguille boutonnée avec mélange NaCl-Bétadine, pansement local, mise en place de mèche dans l'orifice. • Antalgie simple. • Contrôle chez le médecin traitant ou dans le secteur ambulatoire des urgences à 48h. • Histologie • Histologie: cf. annexes • Histologie du 08.04.19 • Histologie du 28.03.19 • Histologie scapulaire D du 11.04.2019 • Frottis VZV du 11.04.2019 • Historique hospitalisations: • 06.03 au 11.03.2019 HFR • 11.03 au 29.03.2019: CHUV • dès le 29.03.2019 au HFR • Historique antibiothérapie: • Vancomycine iv 1 g du 07.03.2019 au 11.03.2019 • Rocéphine iv 2 g du 11.03.2019 au 12.03.2019 • Pénicilline 5 mio Ui 4X/J dès le 12.03.2019 pour une durée de 4 semaines post-intervention • CHUV: antibiothérapie initiale par pénicilline et gentamycine puis pénicilline seule • Hémocultures le 06.03.2019: 4b+/8b Streptococcus Mitis • Culture du feuillet mitral du 22.03.19: positive à Globicatella Spp (NB: peut être confondu avec streptocoque) • ETT le 07.03.2019: ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Feuillet mitrale antérieur modérément épaissi. Insuffisance mitrale modérée à sévère (grade 2-3/3) très excentrique. Oreillette gauche modérément dilatée. Une endocardite n'est pas exclue • ETO du 11.3.2019 (Dr. X): rapport oral: végétation volumineuse avec perforation au niveau de la valve mitrale • Avis cardiologique (Dr. X): transfert en chirurgie cardiaque au CHUV le 11.3.2019 après-midi • Coronarographie: absence de lésions coronariennes • Bilan angiologique: pas d'artériopathie des troncs supra-aortiques • ETO du 19.03.19 (à 1 semaine du traitement antibiotique): végétation confirmée avec fuite mitrale importante • Chirurgie cardiaque le 22.03.2019 (Prof. X): tentative de plastie mitrale, puis renforcement de la jonction atrio-ventriculaire gauche par un patch en péricarde et remplacement valvulaire mitral par une prothèse métallique à double ailette type ATS taille 29, sous circulation extra-corporelle • ETT à J5: FEVG à 70%. Pas d'anomalie de la cinétique segmentaire. statut post RVM mécanique avec gradient moyen 4: absence d'insuffisance. absence d'épanchement. • Anticoagulation par Sintrom à vie avec cible INR entre 2.5 et 3.5 • Contrôle chez cardiologue à 4-6 semaines • La patiente sera convoquée par le CHUV pour un rendez-vous de suivi à la consultation du Prof. X à 6 semaines • HIV positif. • arrêt de son traitement il y a 1 mois, de son propre gré. • HIV positif avec charge virale indétectable le 07.03.2019 • HIV positif sous traitement rétro-viral depuis 2008 • HIV sous trithérapie par Isentress, Norvir et Prezista. • Hernie discale L4-L5. • Parésie du releveur du pied G avec force 4/5. • HIV stade initial A3 suivie par le Dr. X, sous Eviplera, virémie indétectable depuis janvier 2013 (dernier contrôle en ordre 14.03.19) • HBV chronique: ttt par Tenofovir dans trithérapie • Cholécystolithiase • Hochgradiger Verdacht auf hepatisch metastasierendes Pankreaskopfkarzinom mit / Bei: • Aktuell: akuter Pankreatitis (Balthazar C) und dringender Verdacht einer Raumforderung im Proc uncinatus des Pankreas • Holter • Holter à effectuer dans 3 mois • Holter de 24h du 05.04.2019 • Holter de 48 heures • Holter de 48h dans 1 mois (quantification des extrasystoles ventriculaires) et contrôle clinique avec discussion du résultat chez Dr. X/Dr. X. Ergométrie dans 1 année. • Holter de 72 heures du 08.04.19 • Holter de 72 heures du 09.04.2019 • Holter de 72h du 12.04.19 • Holter du 11.04.2019 • Holter du 24.04.2019 au 25.04.2019: rapport à pister • Holter du 28.03.2019 • Holter ECG à 3 semaines de l'épisode aigu. Mr. Y sera convoqué pour le rendez-vous • Rendez-vous en neurochirurgie le 07.05.2019 avec CT cérébral de contrôle le 06.05.2019 à 12h45 • Holter ECG • Arrêt du bêtabloqueur • Evaluer la nécessité à distance d'un pacemaker • Holter le 28.03.2019 • Holter rapport définitif à pister • Holter 24h • Contrôle cardiologique dans les 3 mois • Holter 72 heures du 09.04 au 12.04.19 • Xarelto dès le 04.04.19 • Hoquet depuis le 26.04.2018. • Hoquet d'origine indéterminée en février 2017. • Lombosciatalgies droites non déficitaires le 14.03.2012. • Hémorragie digestive haute d'étiologie indéterminée en mars 2019: • Mr. Y connu pour des varices oesophagiennes de grade 2 (sans notion de saignement) en 2016 • maelena objectivé. • Douleurs thoraciques d'origine fonctionnelle sur anémie en mars 2019 • DD: musculo-squelettiques, angor instable chez un Mr. Y connu pour cardiopathie hypertensive. • Thrombopénie sévère à 59 G/l sur probable hypersplénisme le 01.03.2019. • Hordeolum oeil gauche. • Hörgeräte bds. depuis 3 ans • Hörminderung • HORS CONSULTATION • Hospitalisation • Hospitalisation à l'HFR Fribourg pour reprise chirurgicale de la plaie dorsale • Hospitalisation à l'Inselspital • Hospitalisation à Marsens en 2008. • Oedème de Reincke au niveau des cordes vocales. • Ethylisation aiguë à 3.24 pour mille le 30.01.2016. • Traumatisme crânien probablement sur chute de sa hauteur dans le contexte de l'éthylisation aiguë le 30.11.2016. • Hospitalisation à Marsens le 06.04.2019 jusqu'au 25.04.2019 • Avis psychiatrique le 26.04.2019: pas de contre-indication retrouvée pour prise en charge en division d'orthopédie à ce stade (risque suicidaire jugé faible) • Retour à Marsens après hospitalisation en orthopédie • Hospitalisation au RFSM de Marsens en mode volontaire, départ en taxi. • Hospitalisation aux soins intensifs du 25.03.2019 au 27.03.2019 • CT cérébral natif le 25.03.2019 • IRM cérébrale le 26.03.2019 • Duplex des vaisseaux précérébraux le 28.03.2019 ETT le 01.04.2019 Holter sur 36h le 03.04.2019 : résultats en attente Avis neurologique (Dr. X) • Physiothérapie de mobilisation, ergothérapie • Anticoagulation thérapeutique par héparine ivc du 26.03 au 05.04.2019, Sintrom dès le 01.04.2019 • Adaptation du traitement antihypertenseur Contrôle clinique et adaptation du Sintrom le 08.04.2019 à 10h40 chez le médecin traitant Indication de l'anticoagulation à réévaluer par le médecin traitant dès résultats de l'Holter Hospitalisation aux soins intensifs sur lit monitorisé de Stroke Unit du 08.04 au 09.04.2019 CT Time is Brain le 08.04.2019 IRM le 09.04.2019 Avis neurologique (Dr. X) Dose de charge en Aspégic 250 mg IV le 08.04.2019 Clopidogrel dès le 09.04.2019 Hospitalisation dans le contexte d'une ataxie en position assise avec tendance à la chute vers la gauche. Mme. Y présente une infection des voies respiratoires supérieures depuis le 02.04.2019 et des vomissements que le 05.04.2019. À l'entrée, le statut neurologique était normal à partir de l'ataxie. On a trouvé des leucocytes à 16.8 G/l avec des neutrophiles à 12.5 G/l, une thrombocytose à 647 G/l, une VS à 18 mm/1h, mais le CRP < 5 mg/l. Le lactate était légèrement élevé à 2.7 mmol/l (capillaire) et l'ammoniac était en norme (35 umol/l). Un CT cérébral était normal. La recherche des virus à rota et adéno dans les selles était négative. Les hémocultures sont en cours, mais négatives jusqu'à maintenant. Pas de fièvre durant son séjour. Une IRM et une ponction lombaire étaient planifiées pour le 08.04.2019, mais la machine s'est cassée. Vu l'indisponibilité d'IRM à l'HFR, nous transférons Mme. Y à Berne, après un contact avec Dr. X, neuropédiatre pour la suite de la prise en charge. Hospitalisation dans le service d'orthopédie en vue d'une intervention chirurgicale, refusée par les anesthésistes au vu des co-morbidités. Transfert à l'HFR Fribourg pour prise en charge. Hospitalisation de 2 jours du nouveau-né au service de néonatologie Hospitalisation directe pour état fébrile Hospitalisation du nouveau-né en néonatologie dès le 13.04.2019 Hospitalisation élective Hospitalisation élective Hospitalisation élective. Hospitalisation élective. Bilan entrées/sorties. NaCl 1500 ml/24h. Hospitalisation élective, contrôle VNI. Hospitalisation élective de ce jeune patient de 10 ans qui avait été victime d'une chute à ski à Leysin le 19.03.2019 entraînant la fracture de l'avant-bras G traitée conservativement. En raison d'un déplacement fracturaire avec malunion du radius distal, l'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 01.04.2019, se traduisant par un échec de la tentative de réduction fermée ainsi qu'échec de la tentative de réduction ouverte et d'embrochage du radius distal G au vu de la consolidation avancée et du trait de fracture se prolongeant dans le cartilage de croissance. Les rx postop du 02.04.2019 ne montrent pas de déplacement supplémentaire de la fracture du radius distal G. Dès lors, poursuite du traitement conservateur avec immobilisation plâtrée AB. Absence de déficit neurologique du MSG. Retour à domicile le 02.04.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 19 ans pour l'intervention susmentionnée épaule D après 1ère luxation antérieure de l'épaule D et G le 02.02.2019, réduite le 03.02.2019 aux urgences de l'HFR Fribourg après essai de réduction aux urgences de l'HFR Riaz. Une IRM réalisée le 15.02.2019 a mis en évidence les lésions susmentionnées. L'intervention chirurgicale se déroule le 28.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies évoluent favorablement. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. pendant l'hospitalisation. Retour à domicile le 31.03.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 25 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 21.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Le statut neurologique du MSD reste dans la norme. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire évolue favorablement. Antalgie standard. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Retour à domicile le 23.03.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 26 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 20.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Les plaies opératoires évoluent favorablement. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane. Retour à domicile le 22.03.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 35 ans pour l'intervention susmentionnée suite à un accident de football le 11.01.2019. L'intervention chirurgicale se déroule le 26.03.2019 sans complications, les suites postopératoires sont simples. Le statut neurologique des membres inférieurs reste dans la norme. Le contrôle rx postopératoire est satisfaisant. La plaie opératoire évolue favorablement. Elle est calme et sèche le jour de la sortie. Le patient bénéficie d'une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane et d'un enseignement physiothérapeutique durant le séjour. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Retour à domicile le 29.03.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 37 ans pour l'intervention chirurgicale susmentionnée qui se déroule le 11.04.2019. Patient présentant une dysfonction thrombocytaire légère chez qui, afin d'optimiser les paramètres hématologiques au vu du risque de saignement important en peropératoire, Dr. X, hématologue traitant du patient à Lugano, recommande d'administrer du Cyklokapron 1 g 3x/24 h pour 3 jours postop + transfusion de 1 CE le 11.04.2019 en préopératoire. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie normochrome normocytaire avec Hb à 99 g/l le 12.04.2019, asymptomatique, ne nécessitant qu'un suivi biologique. Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche à la sortie. Hb à 97 g/l le 15.04.2019 Retour à domicile le 16.04.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 37 ans qui, le 06.03.2019, fait une chute à ski avec réception sur le dos et torsion du genou D. 1ère consultation à l'HFR Riaz à deux semaines du traumatisme en raison de douleurs lombaires et du genou D persistantes, sans déficit neurologique ou moteur. Les investigations mettent en évidence les diagnostics susmentionnés. L'indication opératoire est posée en regard des fractures L1 et L4. L'intervention chirurgicale se déroule le 22.03.2019, sans incident. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire évolue favorablement. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Absence de déficit neurologique des MI à la sortie. Antalgie standard. Concernant le genou D, une IRM et une consultation au team genou sont agendées au 05.04.2019. Retour à domicile le 23.03.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 41 ans connu pour des lombosciatalgies de longue date. L'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 15.04.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie hémorragique avec Hb à 124 g/l ne nécessitant qu'un suivi. La plaie opératoire évolue favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut pendant l'hospitalisation. À la sortie, nette amélioration des douleurs lombosciatiques suite à l'intervention chirurgicale. Retour à domicile le 19.04.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 44 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 15.04.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physio/ergothérapie. Retour à domicile le 17.04.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 45 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 05.04.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La microbiologie peropératoire revient négative à J2. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. jusqu'au 09.04.2019. Les plaies opératoires évoluent favorablement. Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 09.04.2019 avec une antibiothérapie p.o. Hospitalisation élective de ce patient de 48 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 26.03.2019, sans incident. Les suites postopératoires sont simples. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut puis reprise de l'anticoagulation thérapeutique par Xarelto 20 mg à J2. Rx postop satisfaisantes. Bonne perfusion postop, troubles de sensibilité connus. Les plaies opératoires évoluent favorablement. Adaptation d'un Schlupfgips. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 30.03.2019 avec des plaies calmes et sèches. Hospitalisation élective de ce patient de 56 ans pour l'intervention susmentionnée. Pour rappel, en date du 29.11.2018, le patient avait été victime d'un chauffard avec agression à haute vitesse (50 km/h) entraînant entre autres les lésions du genou G pour lesquelles l'indication opératoire est indiquée. L'intervention chirurgicale se déroule le 19.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. L'Hb reste stable. Rx postop satisfaisantes. Les plaies opératoires évoluent favorablement. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Antalgie standard. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane. Retour à domicile le 23.03.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 57 ans pour l'intervention susmentionnée sur cervicobrachialgies principalement C6 G sur discopathie sévère C5-C6 avec hernie discale foraminale G et rétrécissement foraminal disco-arthrosique C5-C6 G. L'intervention chirurgicale se déroule le 11.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Le patient reste apyrétique. Rx postop satisfaisantes. La plaie chirurgicale évolue favorablement. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut pendant l'hospitalisation. Le 13.03.2019, on organise le retour à domicile. À mentionner qu'à la sortie le patient présente des paresthésies en amélioration sur le dermatome C6 à gauche connues déjà avant l'intervention et une force préservée à M5 au niveau du MIG. Pas d'autre trouble neurologique objectivé. Hospitalisation élective de ce patient de 59 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 29.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies évoluent favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut pendant l'hospitalisation. Ablation du pansement Comfeel qui n'est plus étanche sur la cicatrice distale, réfection pansement simple. Retour à domicile le 01.04.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 60 ans connu pour un canal lombaire étroit avec sténose pluri-étagée plus marquée en L4-L5 avec une symptomatologie à prédominance D. Suite à une bonne réponse à une infiltration foraminale de L4 à D, l'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 25.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire évolue favorablement. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j pendant l'hospitalisation. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. À la sortie, absence de troubles de la motricité et amélioration de l'hypoesthésie sur le territoire L5 présente avant l'intervention chirurgicale. Retour à domicile le 29.03.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 67 ans connu pour un status post herniectomie et microdiscectomie L5-S1 G il y a plusieurs années qui présente actuellement une récidive de hernie discale L5-S1 G pour laquelle l'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 29.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire reste propre et calme. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j pendant l'hospitalisation. À la sortie, la force des MI est évaluée à M5, présence de paresthésies sur le territoire S1 G connues en préopératoire, en amélioration suite à l'intervention chirurgicale. Retour à domicile le 01.04.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 72 ans polymorbide avec, notamment, une artériopathie oblitérante des MI et insuffisance rénale terminale sous dialyse, qui présente des ulcères chroniques au niveau de la face dorsale des 1er et 2ème orteils pied G, ainsi qu'un ulcère de décubitus au talon G, il présente également une nécrose sèche avec ostéomyélite associée des 1er, 2ème et 3ème orteils du pied D s'étendant jusqu'à la tête du métatarsien respectif. Le patient a bénéficié d'un geste de reperfusion et d'un angio-CT montrant une perméabilité jusqu'en distalité de l'artère tibiale postérieure à D permettant un geste chirurgical bilatéral. Antibiothérapie par co-amoxicilline 625 mg 2x/j p.o. du 27.02. au 01.03.2019. Stop anticoagulation thérapeutique par Sintrom. Le 01.03.2019, amputation épibasale de P1 orteils 1 et 2 pied G, débridement de l'ulcère du talon G avec pose d'un pansement VAC ainsi qu'amputation transmétatarsienne pied D. Anticoagulation par Héparine i.v. dès le 02.03.2019. Le 04.03.2019, reprise de l'anticoagulation par Sintrom avec Héparine i.v. jusqu'à Sintrom thérapeutique. Les prélèvements peropératoires reviennent positifs pour un Proteus mirabilis. Sur ordre des infectiologues, instauration d'une antibiothérapie par Rocéphin 1x/j i.v. pour une durée de 2 semaines. Près de 3 semaines après l'amputation transmétatarsienne à D, l'évolution est défavorable en regard de la plaie chirurgicale caractérisée par une nécrose des berges et par la persistance d'un suintement de sang au niveau de la partie moyenne de la plaie motivant une révision au bloc opératoire le 20.03.2019. Le traitement antibiotique est prolongé en i.v. puis passage à une antibiothérapie p.o. par co-amoxicilline 625 mg 2x/j à partir du 22.03. et jusqu'au 29.03.2019. En postopératoire, la plaie chirurgicale du 2ème orteil G était calme, sans écoulement; en regard du moignon du gros orteil, on constate une nécrose sèche avec une suspicion d'infection en profondeur. L'indication à un nouveau débridement est posée et l'intervention se déroule le 02.04.2019. La microbiologie revient à nouveau positive pour un Proteus mirabilis en faible quantité. Dès lors, au vu du traitement chirurgical radical et d'un suivi régulier des plaies avec une bonne évolution, nous n'avons pas retenu nécessaire un nouveau traitement antibiotique. Les rx postop des 2 pieds en postopératoire sont satisfaisantes. Bonne évolution des plaies en regard du pied G et D ainsi que de l'ulcère du talon G pour lequel un traitement par pansement VAC a été réalisé du 01.03. au 04.04.2019. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie avec transfert lit-fauteuil.Le 20.04.2019, Mr. Y développe une bronchite aiguë avec toux et catarrhe, sans état fébrile. Un traitement par bronchodilatateur et mucolytique est proposé avec amélioration de la symptomatologie. Retour à domicile le 25.04.2019 avec des plaies calmes et sèches. Hospitalisation élective de ce patient de 73 ans pour l'intervention chirurgicale susmentionnée sur un canal cervical étroit avec myélopathie C5-C6 et C6-C7. L'indication opératoire avait été retenue suite aux potentiels évoqués somesthésiques et une imagerie par IRM et CT cervical confirmant le diagnostic décrit ci-dessus. Le scanner confirme quant à lui un OPLL C5-C6 et dans une moindre mesure C6-C7. Le patient rapporte une stabilité de sa symptomatologie avec des dysesthésies dans le territoire L5 et S1 D. L'intervention chirurgicale se déroule le 06.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire évolue favorablement. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j pendant l'hospitalisation. À noter une hypokaliémie et une hypomagnésémie qui sont substituées en p.o. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. À la sortie, le patient ne présente pas de troubles de la force ou de la motricité. Retour à domicile le 09.03.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 83 ans connu pour de multiples antécédents médicaux notamment du point de vue cardio-vasculaire (sous Aspirine et Efient) qui présente une claudication neurogène typique à prédominance D sur sténose canalaire L4-L5. L'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 22.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par un angor instable accompagné de signes de décompensation cardiaque. Selon avis des internistes, introduction d'un traitement diurétique par Lasix 40 mg 3x/24 h jusqu'à obtention du poids de base. Selon avis des cardiologues, une échocardiographie ETT est réalisée le 28.03.2019 sans changement par rapport à l'examen précédent du 01.02.2019. Un ECG Holter est demandé le 28.03.2019 à la recherche d'épisodes de FA et, en fonction, de stopper éventuellement la cordarone (les résultats seront communiqués directement au médecin traitant). Une infection urinaire basse à Proteus vulgaris est traitée par Ciproxine 500 mg 2x/24h du 28.03. au 01.04.2019. La plaie opératoire évolue favorablement. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j pendant l'hospitalisation. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Le 01.04.2019, Mr. Y est transféré en séjour de rééducation à l'HFR Billens. Hospitalisation élective de ce patient de 88 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 21.02.2019, sans incident. En peropératoire, transfusion de 2 CE au vu des pertes sanguines. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie normocytaire à 85 g/l le 25.02.2019 asymptomatique, Hb à 89 g/l le 05.03.2019. Un bilan de laboratoire est demandé le 07.03.2019 avec Vit B12 409 pg/ml, acide folique 3,7 ng/ml, ferritine 125 ug/l, réticuloc. automate 35 o/oo. Une insuffisance rénale aiguë nécessite une hydratation i.v. et p.o. En raison de diarrhées et de nausées persistantes en postopératoire probablement dans le cadre d'une colite à Clostridium difficile, un consilium de médecine interne et avis de gastro-entérologie sont demandés; ad traitement par Metronidazol p.o. puis, au vu de la persistance des symptômes, Vancomycine p.o. Le bilan nutritionnel a mis en évidence une malnutrition protéino-énergétique motivant, selon avis des diététiciens, une supplémentation par des substituts nutritifs oraux et un enseignement pour une alimentation enrichie. La plaie opératoire évolue favorablement. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Le 07.03.2019, Mr. Y est transféré en séjour de rééducation à l'HFR Billens. Hospitalisation élective de cette patiente âgée de 82 ans, active, droitière, qui a fait une chute mécanique de sa hauteur avec réception sur l'épaule droite le 30.03.2019. Après une consultation aux urgences de l'hôpital de Tafers, une radiographie a montré une fracture sous-capitale de l'humérus D non déplacée et pour laquelle un traitement conservateur a été proposé (immobilisation par gilet orthopédique). Les investigations mettent en évidence le diagnostic susmentionné et l'indication opératoire est posée. L'intervention se déroule sans complications le 18.04.2019. Les suites postopératoires sont simples, la plaie évolue favorablement. Les douleurs sont bien gérées avec l'antalgie. Rx postOP satisfaisante. Pendant l'hospitalisation, la patiente a bénéficié d'une prophylaxie thromboembolique par Clexane 20 mg s.c. et d'un enseignement physiothérapeutique. La plaie opératoire évolue favorablement, et le Comfeel est étanche à la sortie. Mme. Y ne présente pas de TNV au MSD à la sortie. Retour à domicile le 20.04.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 15 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 25.03.2019. L'opération se passe sans complication et les suites sont simples. Le status neurologique des membres supérieurs reste dans la norme et la plaie opératoire évolue favorablement. Elle est calme et sèche le jour de la sortie. Le patient bénéficie d'une attelle Münster par l'ergothérapie durant le séjour. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Au vu d'une bonne évolution, la patiente peut regagner son domicile le 26.03.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 22 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 28.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La microbiologie peropératoire du 28.03.2019 revient négative. Les plaies opératoires restent calmes et sèches. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Retour à domicile le 29.03.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 25 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 05.04.2019, sans complications. Rx postop satisfaisantes. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg. Retour à domicile le 09.04.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 39 ans connue pour un statut post plastie du LCA par DIDT genou G le 05.02.2019 qui développe une arthrofibrose pour laquelle une mobilisation sous narcose est agendée et réalisée le 19.03.2019, sans complications. Analgésie par cathéter périnerveux périphérique le 19.03.2019, gérée par les anesthésistes. Physiothérapie intensive. Les suites postopératoires sont simples. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg. Retour à domicile le 22.03.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 48 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 02.04.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Antalgie standard. Anticoagulation par Clexane thérapeutique 80 mg 2x/j et reprise Marcoumar le 04.04.2019. Mobilisation sous conduite de la physiothérapie avec marche en charge partielle et VACOpedes. La plaie opératoire évolue favorablement. Absence de troubles neuro-vasculaires. Retour à domicile le 08.04.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 49 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 18.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Le status neurologique des membres inférieurs reste dans la norme et l'hémoglobinémie reste stable. Rx postopératoires satisfaisantes. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche.Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. pendant l'hospitalisation. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Au vu d'une bonne évolution, la patiente peut regagner son domicile le 21.03.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 51 ans pour l'intervention susmentionnée. L'intervention chirurgicale se déroule le 04.03.2019. En peropératoire, nous constatons l'impossibilité d'avoir une fixation satisfaisante par plaque latérale. Dès lors et dans le même temps opératoire, la patiente est tournée en décubitus ventral et une fixation percutanée par système NEO de L2, L3 et L4 avec des vis en L2 et L3 + 2 tiges est réalisée, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par des lombalgies importantes motivant un CT-scanner de contrôle de la colonne lombaire le 12.03.2019. Cet examen permet de confirmer une bonne position du matériel et d'exclure une complication postopératoire. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. La patiente bénéficie d'une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant l'hospitalisation. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Ablation des agrafes le 14.03.2019. A la sortie, la force est évaluée à M5 aux MI, présence d'une hyposensibilité grade 1 sur les dermatomes L2-L3 ddc. Retour à domicile le 15.03.2019 avec une Hb à 129 g/l et une CRP à 10 mg/l. Hospitalisation élective de cette patiente de 52 ans pour l'intervention chirurgicale susmentionnée. Pour rappel, la patiente a été hospitalisée du 03.04. au 12.04.2019 en raison de l'acutisation de coxalgies chroniques G sur lésion partielle du tendon du muscle gluteus medius et minimus ainsi que bursite trochantérienne réactive post réinsertion d'une lésion chronique du muscle gluteus minimus et medius en novembre 2017. L'intervention chirurgicale se déroule le 16.04.2019, sans complications. Antibiothérapie par Cefuroxim 1,5 mg 3x/j i.v. dès le 16.04.2019. La microbiologie peropératoire revient négative à J2. Stop antibiothérapie le 18.04.2019. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire évolue favorablement sous le pansement Comfeel. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j. Les suites postopératoires sont marquées par la nécessité d'une antalgie par PCA (opiacés) avec un sevrage progressif et un passage à une antalgie p.o. à J5. Absence de troubles neuro-vasculaires du MIG. Suite à la suspicion de zona principalement des dermatomes C3-C8 à D lors de la dernière hospitalisation du 03.04.2019, l'histologie scapulaire D du 11.04.2019 est compatible avec le lupus et un frottis du 11.04.2019 est négatif pour VZV. Dès lors, stop Valtrex le 17.04.2019 et introduction d'un traitement topique par cortisone jusqu'au prochain contrôle en dermatologie. Retour à domicile le 24.04.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 57 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 09.04.2019, sans incident. Rx postop satisfaisantes. Les suites postopératoires sont marquées par un épisode de désaturation à 74% en AA associé à des douleurs rétro-sternales, dyspnées et brûlures gastriques mal systématisées. Un consilium de médecine interne est demandé. Un ECG et un contrôle des troponines permettent d'exclure un événement coronarien aigu et un CT thoracique permet d'exclure une embolie pulmonaire. La patiente présente très probablement une BPCO non diagnostiquée sur tabagisme actif avec toux et expectorations chroniques. A noter que la patiente déclare utiliser un traitement inhalatoire à domicile prescrit par son médecin traitant. Un traitement broncho-dilatateur et une majoration du traitement par IPP sont proposés et instaurés, améliorant ainsi la symptomatologie respiratoire et gastrique. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche le jour de la sortie. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane. Mobilisation sous conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 13.04.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 60 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 15.04.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Mobilisation sous la conduite de la physio/ergothérapie. Retour à domicile le 18.04.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 61 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 20.03.2019, sans complications. Selon avis des hématologues demandés en préopératoire, nous substituons le fibrinogène par Haemocomplettan durant le séjour, à savoir du 22.03. au 29.03.2019 avec une prophylaxie thrombo-embolique concomitante par Clexane 40 mg sous-cut. 1x/j. De plus, la patiente reçoit du Cyklokapron eff. 1 g p.o. 3x/j dès le 21.03.2019, à poursuivre jusqu'au 05.04.2019. Une anémie postopératoire avec Hb à 78 g/l le 27.03. et 93 g/l le 28.03.2019 nécessite la transfusion de 2 CE. Au vu des troubles de la crase préexistants, nous ne prévoyons pas de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane à la sortie. La plaie opératoire évolue favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 29.03.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 64 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 25.03.2019, compliquée par des pertes sanguines importantes nécessitant la transfusion de 2 CE et 1 PFC ainsi qu'une réexploration chirurgicale pendant le même temps opératoire afin d'obtenir une hémostase satisfaisante. Suite à l'intervention chirurgicale, la patiente bénéficie d'une surveillance hémodynamique aux soins intensifs du 25.03. au 28.03.2019. Cathéter artériel du 25.03. au 27.03.2019. Le Redon postopératoire peut finalement être retiré le 29.03.2019 avec couverture antibiotique par Zinacef jusqu'à cette date. Une anémie hémorragique postopératoire avec Hb à 96 g/l le 27.03.2019 est suivie cliniquement et biologiquement. A noter un état confusionnel aigu en postopératoire, le 26.03.2019, probablement induit par la Kétamine; introduction d'un traitement par Clonidine i.v. et Midazolam. La patiente répond aux ordres simples mais reste confuse jusqu'au 29.03.2019 où elle est dès lors bien orientée et collaborante. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j pendant l'hospitalisation. Le 03.04.2019, la patiente est transférée en séjour de rééducation à l'HFR Billens. Hospitalisation élective de cette patiente de 67 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 20.03.2019, sans incident. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire reste calme et sèche. Rx postop satisfaisantes. Une anémie postopératoire asymptomatique ne nécessite qu'un suivi biologique. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j pendant l'hospitalisation. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Le 27.03.2019, la patiente est transférée en séjour de rééducation à l'HFR Billens. Hospitalisation élective de cette patiente de 71 ans connue pour une scoliose dégénérative avec des troubles importants d'arthrose articulaire ainsi que 2 kystes articulaires importants au niveau L4-L5 et L3-L4 avec impingement de la racine L4 G visualisés sur l'IRM et qui présente cliniquement une aggravation progressive d'une claudication neurogène à G. L'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 01.03.2019 avec, en peropératoire, des brèches durales avec une fuite de LCR pour laquelle on met en place des patchs de TachoSil. Les suites postopératoires sont marquées par le développement d'une insuffisance respiratoire globale sur atélectases bibasales nécessitant une ventilation non invasive intermittente et une surveillance aux soins intensifs du 02 au 04.03.2019. Par la suite, la patiente bénéficie de séances de VNI 2x/24h et d'une rééducation physiothérapeutique. On remarque que la patiente présente une nette amélioration de la fonction respiratoire avec une saturation à l'air ambiant d'environ 95 % suite à la physiothérapie respiratoire et à la mobilisation. Une tachycardie sinusale paroxystique le 03.03.2019 nécessite un suivi clinique. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour. À mentionner qu'à la sortie, la patiente présente une force conservée à M5 au niveau des MI ddc et des cruralgies bilatérales à prédominance G en amélioration par rapport à l'état préopératoire. Le 14.03.2019, Mme. Y est transférée en rééducation à l'HFR Billens. La possibilité d'effectuer une réadaptation pulmonaire sera à évaluer à Billens après bilan. Hospitalisation élective de cette patiente de 71 ans en raison de l'évolution défavorable d'un mal perforant plantaire de la pulpe du 3ème orteil pied G. L'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 27.11.2018, sans incident. Dans le contexte opératoire, l'anticoagulation habituelle de la patiente pour son syndrome des anticorps antiphospholipides par Marcoumar a été remplacée par de la Clexane. Les suites postopératoires sont marquées par des douleurs abdominales. Les investigations réalisées révèlent la présence d'un hématome au niveau du bassin sur un saignement actif de l'artère épigastrique inférieure G. Elle bénéficie d'une embolisation le 01.12.2018. L'anticoagulation est reprise par la suite avec une récidive de saignement et une augmentation de volume de l'hématome (162 x 146 x 152 mm) entraînant d'importantes douleurs et une insuffisance rénale à composante post-rénale. Dans ce contexte, l'anticoagulation est mise en suspens et la patiente est transférée aux soins intensifs, après discussion avec sa famille, pour suite de prise en charge. Sur le plan orthopédique, les rx postopératoires sont satisfaisantes et la cicatrice reste calme durant le séjour. Les biopsies proximales reviennent positives pour un Staphylococcus aureus pour lequel, sur avis de nos collègues infectiologues, la patiente bénéficie d'une antibiothérapie par co-amoxicilline adaptée à la fonction rénale depuis le 29.11.2018 à poursuivre jusqu'au 09.12.2018. Transfert aux soins intensifs de médecine le 03.12.2018 pour suite de prise en charge. Hospitalisation élective de cette patiente de 71 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 15.04.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire évolue favorablement. Adaptation d'une attelle thermoformée par les ergothérapeutes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j pendant l'hospitalisation. Retour à domicile le 16.04.2019 avec une plaie chirurgicale calme et sèche. Hospitalisation élective de cette patiente de 85 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 07.03.2019, sans incident. Les suites postopératoires sont marquées par une surcharge hydrique avec une légère décompensation cardiaque avec désaturation sans dyspnée et œdèmes des MI motivant un avis de médecine interne : introduction d'un traitement diurétique p.o. avec amélioration graduelle de la saturation et des œdèmes. Une anémie postopératoire à 91 g/l le 13.03.2019 ne nécessite qu'un suivi. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche à la sortie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Antalgie standard. Le 14.03.2019, Mme. Y est transférée en séjour de rééducation à l'HFR Tafers. Hospitalisation élective de cette patiente de 86 ans pour l'intervention susmentionnée après traitement conservateur de la fracture de l'odontoïde par minerve rigide le 12.01.2019 à l'HFR Riaz. Le contrôle rx, lors de la 1ère évaluation le 31.01.2019, montre un alignement de la fracture ; lors de la 2ème évaluation, le 05.03.2019, un CT-scanner montre une pseudarthrose avec déplacement de la fracture et instabilité résiduelle. Au vu du contexte général de la patiente qui présente une démence avancée et qui n'a pas été compliante avec le traitement conservateur, l'indication opératoire est retenue après discussion avec la famille. L'intervention chirurgicale se déroule le 11.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une insuffisance rénale aiguë traitée par hydratation i.v. et arrêt des AINS. À noter un état d'agitation dans un contexte de troubles cognitifs nécessitant une contention physique puis Haldol en R. La plaie opératoire évolue favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Antalgie standard. Absence de déficit neurologique à la sortie. Retour au home le 14.03.2019. Hospitalisation élective en vue d'implantation d'une PTG à droite de cette patiente âgée de 71 ans, connue pour une gonarthrose varisante droite avec laxité latérale. L'intervention se déroule le 27.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La patiente reste apyrétique. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Chez cette patiente anticoagulée thérapeutiquement dans le contexte d'une fibrillation auriculaire, le Xarelto 15 mg 1x/24h a été arrêté le 23.03.2019 et depuis, la patiente a bénéficié d'une anticoagulation prophylactique par Clexane 80 mg s.c. 1x/24h jusqu'à l'intervention. En postopératoire immédiat, on continue l'anticoagulation prophylactique jusqu'au 31.03.2019, puis par dosages thérapeutiques de Clexane 100 mg 2x/24h. Le 02.04.2019, nous effectuons le relais par Xarelto 15 mg 1x/24h. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Le 02.04.2019, on organise le retour au home. À mentionner qu'à la sortie, la patiente présente une plaie sèche et calme et ne présente pas de troubles neurovasculaires au niveau des membres inférieurs. Hospitalisation élective en vue d'une implantation d'une PTG à droite de ce patient âgé de 62 ans, connu pour une gonarthrose tricompartimentale à droite. L'intervention se déroule le 26.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Le patient reste apyrétique. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Le contrôle RX postopératoire est satisfaisant. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Le 02.04.2019, on organise le retour à domicile. À mentionner qu'à la sortie, le patient présente une plaie sèche et ne présente pas de troubles neurovasculaires au niveau des membres inférieurs. Hospitalisation élective en vue d'une prise en charge chirurgicale de ce patient âgé de 20 ans, connu pour le diagnostic susmentionné. L'intervention se déroule le 05.04.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 09.04.2019. Hospitalisation élective en vue d'une prise en charge chirurgicale de ce patient âgé de 42 ans, connu pour le diagnostic susmentionné.L'intervention se déroule le 03.04.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Mr. Y bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 05.04.2019. Hospitalisation élective en vue d'une prise en charge chirurgicale de Mr. Y âgé de 74 ans, connu entre autres pour une omarthrose symptomatique à gauche. L'intervention susmentionnée se déroule le 01.04.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Mr. Y bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Le 05.04.2019 est organisé le transfert de Mr. Y à l'HFR Billens pour une réadaptation générale. Hospitalisation élective en vue d'une prise en charge chirurgicale de Mr. Y âgé de 74 ans, connu pour une insuffisance rénale chronique progressive dialysée et coxarthrose invalidante à D. L'intervention se déroule le 14.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Le contrôle RX postopératoire est satisfaisant. Mr. Y bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Liquemine 5000 UI 2x/jour durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Le 25.03.2019 on organise le retour à domicile. Hospitalisation élective en vue d'une prise en charge chirurgicale de Mr. Y âgé de 81 ans, connu pour une omarthrose symptomatique et une rupture partielle de la coiffe des rotateurs de l'épaule gauche. L'intervention se déroule le 28.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Mr. Y reste apyrétique. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Mr. Y bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Liquemine 5000 UI 2x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Le 05.04.2019 on organise le transfert de Mr. Y à l'HFR Tavel pour une réadaptation musculo-squelettique. Hospitalisation élective en vue d'une prise en charge chirurgicale de Mr. Y âgé de 88 ans, connu entre autres pour un status post réduction fermée et fixation interne d'une fracture pertrochantérienne droite par clou PFNA le 25 janvier dernier chez lequel on observe lors du suivi postopératoire, une dynamisation de la fracture avec en conséquence une perforation intra-articulaire de la lame. L'intervention susmentionnée se déroule le 04.04.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Mr. Y reste apyrétique. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Le contrôle RX postopératoire est satisfaisant. Mr. Y bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapeute. Retour à domicile le 09.04.2019. Hospitalisation élective en vue d'une prise en charge chirurgicale de Mme. Y âgée de 48 ans, connue pour les lésions susmentionnées au niveau du genou G suite à une chute à ski fin janvier 2019, qui présente toujours une instabilité fonctionnelle lors des mouvements de pivot malgré une rééducation bien menée. L'intervention se déroule le 09.04.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Mme. Y bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 12.04.2019. Hospitalisation élective en vue d'une prise en charge chirurgicale de Mme. Y âgée de 19 ans, connue pour le diagnostic susmentionné. L'intervention se déroule sans complications le 02.04.2019. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Mme. Y bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 07.04.2019. Hospitalisation élective en vue d'une prise en charge chirurgicale de Mme. Y âgée de 46 ans, connue pour le diagnostic susmentionné. L'intervention chirurgicale se déroule sans complications le 03.04.2019. Les suites postopératoires sont simples. Mme. Y reste apyrétique. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Mme. Y bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 09.04.2019. Hospitalisation élective en vue d'une prise en charge chirurgicale de Mme. Y âgée de 48 ans, connue pour une coxarthrose symptomatique à gauche. L'intervention susmentionnée se déroule le 28.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Le contrôle RX postopératoire est satisfaisant. Mme. Y bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Le 04.04.2019 on organise le retour à domicile. Hospitalisation élective en vue d'une prise en charge chirurgicale de Mme. Y âgée de 65 ans, connue pour une coxarthrose invalidante à droite. L'intervention susmentionnée se déroule le 21.03.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par l'apparition d'une parésie L5 à D associée à une hypoesthésie sur le territoire correspondant. On effectue en urgence un CT du bassin qui nous permet d'exclure un hématome compressif. Très probablement le déficit est dû à une neurapraxie peropératoire. Le contrôle RX postopératoire est satisfaisant. Mise en place d'une attelle Heidelberg (anti-équin). Mme. Y bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Le 27.03.2019 on organise le retour à domicile. Hospitalisation élective le 01.04.2019 au CHUV, dans un lit d'investigations, en accord avec le Dr. X, pour une seconde opinion; nous laissons aux collègues du CHUV le soin de juger de la pertinence (et d'organiser, le cas échéant) : • IRM de contrôle à 4-6 mois de l'hypercaptation vertébrale D3 et d'une éventuelle ponction vertébrale • suivi rhumatologique de la spondylarthrite dans le contexte de la maladie de Crohn En l'absence d'investigations supplémentaires modifiant significativement la prise en charge, le Dr. X (infectiologie, HFR Fribourg) prévoit de revoir Mr. Y à sa consultation afin de fixer la durée du traitement antibiotique selon un contrôle radiologique (organisé par le service d'infectiologie). À distance de cet épisode infectieux, Mr. Y devra être reconvoqué pour suivi gastro-entérologique de la maladie de Crohn et du traitement immunosuppresseur associé (gastro-entérologues en copie). Hospitalisation élective pour bilan entrées/sorties. Hospitalisation élective pour colonoscopie. Hospitalisation en chirurgie en vue d'un drainage neurochirurgical. Hospitalisation en chirurgie thoracique le 23.03.2019 (attendu à 13h00 au 15ème étage, à jeun; personne de contact: Dr. X) Prochaine séance d'immunothérapie à programmer avec le Dr. X, oncologue traitant Hospitalisation en médecine Hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge de l'anémie et investigations. Hospitalisation en PAFA en 2014 pour épisode maniaque à Wil (Saint-Gall). Hospitalisation en volontaire en 2015 pour épisode dépressif. Hospitalisation en psychiatrie pour introduction au lithium. Bilan neuropsychologique à distance événement aigu à organiser Hospitalisation en semi-urgence pour prise en charge chirurgicale de ce patient âgé de 47 ans, connu pour le diagnostic sus-mentionné et souffrant de fortes douleurs cervicobrachiales. L'intervention se déroule le 05.04.2019, sans complication. Les suites postopératoires sont simples. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Le contrôle radiologique post-opératoire est satisfaisant. Le patient bénéficie d'une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous conduite physiothérapeutique. Le 05.04.2019, on organise le retour à domicile. À mentionner qu'à sa sortie, le patient ne présente pas de troubles neurologiques et ne présente pas de douleur significative. Hospitalisation en Stroke Unit monitorisé du 29.04.19 au 30.04.2019 Thrombolyse intraveineuse par Alteplase à dose standard le 29.04.2019, débutée à 14h40 CT cérébral protocole Time is brain le 29.04.2019 IRM cérébrale le 30.04.2019 Echographie cardiaque transthoracique le 30.04.2019 Holter de 72 h : en attente Test de déglutition le 22.04.2019 : positif Avis neurologie Dr. X, Dr. X Surveillances et soins selon protocole AVC thrombolysé Clopidogrel 75 mg dès le 30.04.2019 soir Énoxaparine prophylactique dès le 01.05.2019 Mobilisation libre dès le 30.04.2019 soir Hospitalisation en Stroke Center, à l'Inselspital, Berne, du 02.04 au 06.04.2019 puis en Stroke Unit à Fribourg du 06.04 au 09.04.2019 Angio-CT cérébrale le 02.04.2019 IRM le 02.04.2019 (Inselspital) le 02.04.2019 CT thoraco-abdominale le 08.04.2019 Sintrom selon INR (cible entre 2 et 3) dès le 06.04.2019 Bilan neuropsychologique le 09.04.2019 Avis hématologique (Dr. X) le 09.04.2019 Anticorps anti-phospholipides, ANCA, FAN, ANA : en cours IRM de suivi à 6 mois, lundi 16.09.2019 à 11h45 Rendez-vous à 3 mois à notre consultation neurovasculaire, le jeudi 25.07 à 14h30 Rendez-vous à 6 mois à notre consultation neurovasculaire après l'IRM de contrôle, le jeudi 26.09 à 14h30 Rendez-vous à votre consultation de contrôle le 12.04.2019 (TP, INR) Hospitalisation en Stroke Center à l'Inselspital Berne du 07.04.2018 au 10.04.2019, puis en Stroke Unit non-monitoré, site de Fribourg du 10.04.2019 au 22.04.2019, puis dans le service de médecine interne du 22.04.2019 au 24.04.2019. Aspirine cardio 100 mg 1x/j dès le 08.04.2019 Plavix 75 mg 1x/j dès le 11.04.2019 Clexane prophylactique ETT le 15.04.2019 Holter de 72h posé le 15.04.2019 (interprétation en cours) Consilium neuropsychologique le 12.04.2019 Sonde naso-gastrique dès le 09.04.2019 Sonde urinaire du 07.04.2019 au 17.04.2019 Projet général : En attente pour neuro-réhabilitation intensive à Meyriez Hospitalisation en Stroke Unit monitorisé Avis neurologie Dr. X / Dr. X : CT Time is Brain --> pas d'hémorragie, pas d'occlusion vasculaire, pas d'ischémie ni d'asymétrie des cartes de perfusion ; AVC ischémique de petite taille pas exclu au vu des facteurs de risque (FA non anticoagulée, HTA), avec Aspégic 250 mg dose de charge (donné aux urgences), IRM demain (bon fait), surveillance en lit monitoré pour documenter passages en FA, suivi du statut neurologique fluctuant, suivi tensionnel ; faire bilan standard des facteurs de risque, attendre IRM pour décider si ETT Aspirine dès le 10.04.2019 Statine le 10.04.2019 CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 10.04.2019 IRM neurocrâne le 11.04.2019 : demandée Echocardiographie transthoracique le 11.04.2019 : demandée hospitalisation en urgence Hospitalisation en urgence depuis la consultation ce jour et spondylodèse de D10 à D12 planifiée pour le 10.04.2019. Le patient est informé des risques per et post-opératoires qu'il accepte en signant le consentement. Hospitalisation en urgence. Intervention chirurgicale prévue pour le 10.04.2019 Hospitalisation en urgence le 01.04.2019 pour la prise en charge antalgique et diagnostique de lombalgies post-opératoires en aggravation, dans le contexte de l'intervention sus-mentionnée. Pour rappel, le patient s'était déjà présenté aux urgences de l'HFR Fribourg le 30.03.2019 avec les mêmes plaintes (lombalgies avec irradiation dans les deux cuisses et hypoesthésies dans le territoire L5 sans troubles de force ou de la fonction sphinctérienne), raison pour laquelle une antalgie de Pallier III avait été prescrite, avant retour à domicile. L'Oxycontin et l'Oxynorm étant mal tolérés, il reconsult les urgences le 01.04.2019 avec persistance de la symptomatologie. L'antalgie est à nouveau adaptée durant l'hospitalisation et une IRM lombaire est demandée, montrant des signes dégénératifs et inflammatoires au niveau des articulations facettaires bilatérales L4-L5 et L5-S1. L'indication à une infiltration au niveau L5-S1 est donc posée. Mr. Y accepte notre proposition. Toutefois, étant donné qu'il supporte mal les douleurs liées à l'infiltration, celle-ci est prévue le 12.04.2019 au bloc opératoire, sous hypnose. Nous le laissons sous Xarelto vue l'embolie récente. Cela ne gênera pas l'infiltration étant donné qu'il s'agit d'une ponction loin du canal rachidien et des structures nerveuses. Retour à domicile le 08.04.2019. Hospitalisation en volontaire à Marsens. Hospitalisation en volontaire et idées noires/suicidaires. Hospitalisation en 2/2019 pour bronchiolite oxygénodépendante et troubles alimentaires à l'Inselspital Hospitalisation HDJ Hospitalisation le 18.04.2019 pour une cholécystectomie le jour même. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'à l'opération. Hospitalisation pour antalgie et investigations Hospitalisation pour antibiothérapie et surveillance clinique le 02.04.2019 Frottis cervico-vaginal et uricult Laboratoire Contrôle obstétrical Hospitalisation pour antibiothérapie par Co-amoxicilline i.v 2,2 gr 3x/j Antalgie simple. Hémocultures, urotube et frottis vaginaux : négatifs. RX thorax 05.04.2019 : Normale Test streptocoque à rapide négatif CT abdominal avec contraste 05.04.19 : Reins normaux, pas de foyer aux bases pulmonaires Hospitalisation pour cluster headache en 05.2018 Rhinite allergique Migraines sans aura Sinusite maxillaire droite Hospitalisation pour surveillance aux soins intensifs du 14.04 au 15.04.2019 Consilium psychiatrique le 15.04.2019 (Dr. X) Hospitalisation pour surveillance clinique. Hémocultures (2 paires du 02.04. et 04.04.2019) : négatives à J5 Consilium angiologie 03.04.2019 avec US Doppler artériel du MIG : excellente perméabilité des artères fémorale superficielle, poplitée, tibiale antérieure et pédieuse avec flux de bonne qualité jusqu'à la base du gros orteil. Une amputation limitée au gros orteil est possible. Arrêt de la Clindamycine le 04.04.2019 Hospitalisation pour surveillance neurologique aux heures pendant 4 h puis aux 3 h Hospitalisation pour surveillance tension aux 4 h formule simple le 24.04 pas de contrôle crase prévu vu administration des facteurs. Sinon proposition de vitamine K avec contrôle crase. Proposition avis hémato Hospitalisation pour un sondage gastrique partiel pour gastro-entérite aiguë à Rotavirus avec des difficultés alimentaires. Au moment de son arrivée, Mme. Y présente des signes de déshydratation modérée. La gazométrie montre une acidose métabolique compensée avec une hyponatrémie de 133 mmol/L et une hypoglycémie à 2.9 mmol/l.Hospitalisation pour un sondage gastrique partiel pour une gastro-entérite aiguë à rotavirus avec des difficultés alimentaires. Au moment de son arrivée, Mr. Y présente des signes de déshydratation modérée. La gazométrie montre un équilibre acido-basique. Suite à une évolution favorable avec résolution des vomissements et diarrhées et une reprise progressive de l'hydratation puis de l'alimentation, le sondage a pu être complètement réduit. Nous décidons d'un retour à domicile le 12.04.2019. Hospitalisation pour un sondage gastrique partiel pour une gastro-entérite aiguë avec des difficultés alimentaires. Au moment de son arrivée, Mr. Y présente des signes de déshydratation modérée. Par la suite, une évolution favorable avec résolution des vomissements et diarrhées et une reprise progressive de l'hydratation puis de l'alimentation, le sondage a pu être continuellement réduit. Nous décidons d'un retour à domicile le 20.04.2019. Hospitalisation pour une oxygénothérapie supplémentaire en cas de bronchiolite. Un test rapide pour RSV dans un frottis nasopharyngé a été négatif. L'évolution est favorable, permettant le sevrage de l'oxygène le 14.04. Mme. Y bénéficie d'une sonde nasogastrique jusqu'au 14.04, puis montre de bons apports per os. Nous décidons d'un retour à domicile le 15.04.2019. Hospitalisation pour une oxygénothérapie supplémentaire et inhalothérapie intensive en cas de bronchite spastique. Avec le traitement par Ventolin et Betnesol, Mme. Y a montré une amélioration rapide de la respiration de sorte que l'inhalation a pu être continuellement réduite. Mme. Y était en bon état général pendant toute la durée de l'hospitalisation et avait une bonne prise alimentaire. Elle a présenté une otite moyenne droite, suite à quoi nous avons commencé un traitement avec l'Algifor. Nous décidons d'un retour à domicile le 11.04.2019. Hospitalisation pour une réhydratation intraveineuse pour gastro-entérite aiguë à rotavirus avec des difficultés alimentaires. Au moment de son arrivée, Mme. Y présente des signes de déshydratation légère avec pâleur cutanée, tachycardie et une apathie. La gazométrie montre une acidose métabolique compensée, en bonne correction le 08.04. Par suite d'une évolution favorable avec résolution des vomissements et diarrhées et une reprise progressive de l'hydratation puis de l'alimentation, la perfusion est sevrée le 08.04. Devant une bonne prise hydrique et une diminution des pertes, elle peut rentrer à domicile le 09.04.2019. Hospitalisation sous responsabilité ORL pour prise en charge ORL. Hospitalisation suite à la consultation du team genou de ce patient de 87 ans pour l'adaptation de l'antalgie sur infection chronique de la PTH G à Staph. epidermidis multi R. Pour rappel, le patient a bénéficié d'une antibiothérapie de 7 mois entre le mois d'août 2017 et le mois de mars 2018 qui n'a pas apporté une résolution de l'infection. La seule solution thérapeutique serait un changement de prothèse qui est toutefois refusé par le patient. Actuellement, le patient présente un épanchement du genou G accompagné de douleurs à la mobilisation prolongée sans signe franc d'inflammation. On suppose que l'étiologie des douleurs est très probablement mécanique et on recommande par la suite une restriction de la mobilisation pour les prochaines 4 semaines avec une réévaluation clinique par la suite. Pendant le séjour, le patient accuse des lombo-cruralgies G non déficitaires, raison pour laquelle une IRM de la colonne lombaire est demandée le 28.02.2019. Cet examen met en évidence de multiples débords discaux L1-S1 ostéophytaires associés à une hypertrophie des ligaments jaunes rétrécissant de manière marquée le canal rachidien. En raison de l'infection du genou G, un test d'infiltration lombaire est contre-indiqué; dès lors, adaptation de l'antalgie. En raison de la présence de vésicules/phlyctènes groupées en regard de D6-D7, un consilium de dermatologie est demandé. Les dermatologues diagnostiquent un zona et instaurent un traitement de Valtrex 1 gr 3x/j pour une semaine ainsi qu'un traitement local par Tanno-Hermal qui va être continué jusqu'à l'assèchement des lésions. Retour à domicile le 06.03.2019. Hospitalisé au RFSM Marsens depuis le 09.04.2019. Retour au RFSM Marsens le 23.04.2019. Hospitalisation en unité stroke monitorisée du 04.04 au 06.04.2019 IRM le 05.04.2019. Aspirine dès le 08.04.2019. Hpokaliémie. HPV en cours, CINtec plus en cours. Suite de prise en charge selon résultats. HSA FISHER 3 WSNS 3 SHH 2-3 le 12.04.2019. HSA frontale gauche dans un contexte de TC avec PC sans AC le 04.04.2019 avec • Plaie occipitale profonde de 1 cm de long • Fracture occipitale droite • HSA frontale G HTA anciennement traitée par Nifédipine 5 mg (stoppée par le patient). Hypercholestérolémie (traitement stoppé par le patient). Sinusites à répétition (1x/an). Protrusion L5-S1. HTA bien contrôlée traitée par Exforge. Status post-deux interventions sur genoux en 67 et 98 pour séquelles d'un accident de sport. Sinusite chronique; status post-intervention sur le sinus maxillaire gauche en 1975. Status post-thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire massive bilatérale en 1995, arrêt du Sintrom en 2002 puis 2ème thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire en 2007, actuellement sous Sintrom. HTA bien contrôlée traitée par Exforge. Status post-deux interventions sur genoux en 67 et 98 pour séquelles d'un accident de sport. Sinusite chronique; status post-intervention sur le sinus maxillaire gauche en 1975. Status post-thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire massive bilatérale en 1995, arrêt du Sintrom en 2002 puis 2ème thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire en 2007, actuellement sous Sintrom.Masse surrénalienne gauche de 4x3x3 cm non sécrétante. Surrénalectomie gauche par laparoscopie prévue le 12.12.2011. Fracture non déplacée du cotyle + branche ilio-pubienne D (Avis Dr. X) traitée conservativement. HTA bien contrôlée traitée par Exforge. Status post-thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire massive bilatérale en 1995, arrêt du Sintrom en 2002 puis 2ème thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire en 2007, actuellement sous Sintrom. Masse surrénalienne gauche de 4x3x3 cm non sécrétante. Surrénalectomie gauche par laparoscopie prévue le 12.12.2011. Fracture non déplacée du cotyle + branche ilio-pubienne D (Avis Dr. X) traitée conservativement. HTA contrôlée Consommation OH à risque Tabagisme ancien à 10 UPA sevré depuis 2008 environ Crise de gouttes à répétition Arthrose débutante du carpe avec lésion partielle du ligament SL ainsi que lésion centrale du TFCC. HTA décompensée le 02.04.2019 HTA Diabète de type II Obésité HTA FA depuis 2009 anticoagulée HTA, Hérédité, Diabète (régime), Hypercholestérolémie. Médicaments : Coversum 5mg, Aspirine cardio 100mg, pravastatin 20mg. HTA Hypercholestérolémie Ancien tabagisme sevré en 1990 (environ 20 UPA) HTA non traitée HTA non traitée (selon MT, intolérance médicamenteuse) Lombosciatalgies chroniques avec claudication neurogène sur canal lombaire étroit L2-L5 avec : • s/p cure de canal lombaire étroit L2-L5 le 24.11.2014 sur claudication neurogène et arthrose lombaire (Dr. X) Lésion kystique IOTA I d'origine ovarienne probable, sans signes de malignité le 20.02.2018 • CA-125 : 11 ml/U • suivi par gynécologue traitant au vu de la stabilité de la lésion depuis 10 ans DD : cloisonnement dans le Douglas Omarthrose droite (opération prévue en février 2018 par le Dr. X) Dystrophie multi-nodulaire de la thyroïde Lombo-sciatalgies chroniques avec : • lésion ostéolytique de la 1ère sacrée à droite (myélome multiples) • lombosciatalgies chroniques avec claudication neurogène sur canal lombaire étroit L2-L5 avec s/p cure de canal lombaire étroit L2-L5 en 2014 • arthrose lombaire Bloc de branche gauche HTA non traitée Asthme allergique • Ventolin en réserve Insuffisance veineuse connue HTA non traitée Asthme d'effort • Ventolin en réserve Insuffisance veineuse connue HTA non traitée Dyslipidémie traitée HTA non traitée Tabagisme actif HTA non traitée Tabagisme actif HTA non traitée Tabagisme actif (env. 20 UPA) HTA Oligoarthrite dans un contexte de chondrocalcinose IRC stade IIIa : clairance de la créatinine CKD-EPI 17.4 ml/min (07.10.2016) HTA Oligoarthrite dans un contexte de chondrocalcinose IRC stade IIIa • Clairance de la créatinine CKD-EPI 17.4 ml/min (07.10.2016) CT 22.09.2016 : coupole diaphragmatique bilobée avec protrusion hépatique (dans la partie antéro-latérale), variante de la norme. HTA post-opératoire HTA primaire (traité par Nifédipine 10 mg). Constipation chronique échappant au traitement. Lavement de Practomil clyst 1000 ml. HTA probable sous Nebilet. HTA sévère HTA sévère, suspicion d'AVC HTA sous Beloc Hypothyroïdie substituée Carcinome mammaire traité en 2017, sans récidive actuellement (dernière mammographie en février 2019). HTA sous Beloc Hypothyroïdie substituée Carcinome mammaire traité en 2017, sans récidive actuellement (dernière mammographie en février 2019). HTA sous Beloc Hypothyroïdie substituée Carcinome mammaire traité en 2017, sans récidive actuellement (dernière mammographie en février 2019). HTA Syndrome d'apnée du sommeil, appareil par CPAP. Adipositas. HTA traitée HTA traitée HTA traitée HTA traitée HTA traitée HTA traitée HTA traitée. HTA traitée. HTA traitée. HTA traitée connue Hypercholestérolémie traitée Maladie coronarienne monotronculaire avec : • sténose subtotale de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale : PCI (1BVS) • fraction d'éjection VG 65 % • ESV symptomatique (sous Métozerok) Épilepsie traitée par Keppra HTA traitée (depuis le 01.03.2019) HTA traitée Diverticulose Arthrose Dermographisme avec urticaire secondaire sans origine allergique Acouphène Lithiase vésiculaire HTA traitée Dyslipidémie traitée Cirrhose biliaire primitive avec • anticorps anti-M2, antimitochondries et anticentromères • sclérodactylie • polyarthrite périphérique séronégative et non érosive • syndrome de Raynaud (capillaroscopie normale en 2006) • syndrome sec oral sur probable syndrome de Sjögren secondaire HTA traitée Dyslipidémie traitée Cirrhose biliaire primitive avec • anticorps anti-M2, antimitochondries et anticentromères • sclérodactylie • polyarthrite périphérique séronégative et non érosive • syndrome de Raynaud (capillaroscopie normale en 2006) • syndrome sec oral sur probable syndrome de Sjögren secondaire HTA traitée Hyperlipidémie DM type II NIR HTA traitée, mal contrôlée HTA traitée, mal contrôlée le 24.02.2017 Exacerbation d'une BPCO non stadée dans un contexte de pneumonie le 20.02.2017 Débridement sous-acromial de l'épaule droite sur rupture de la coiffe des rotateurs en 2000 Cure de tunnel carpien gauche en 1996 Cure pouce à ressaut droit en 1995 Diverticulose sigmoïdienne Anémie postopératoire avec Hb à 81 g/l traitée par transfusion de 2 CE le 05.04.2018 HTA traitée par Nebilet Hypercholestérolémie traitée Anxiété HTA traitée par Nebilet Hypercholestérolémie traitée Troubles anxieux généralisés HTA traitée • sous Vascord Hyponatrémie chronique hypo-osmolaire chez une patiente hypervolémique DD : • SIADH : CT thoraco-abdo ne montrant pas de néoplasie • cardiaque (rythme irrégulier, souffle aortique 2/6 protosystolique, peu d'arguments pour une origine ischémique) • peu d'arguments pour une piste hépatique • pas d'indice pour une potomanie • sur thiazides Trouble neurocognitif majeur d'intensité modérée d'origine probablement mixte • MMS 28/30 points (05/2016) MMS 30.01.2019 : 17/28 (tests écrits ou dessinés non réalisables) Test de l'horloge : 0 points (non réalisable) Bilan neuropsychologique 01.02.2019 : En comparaison à l'évaluation réalisée en juin 2016, ce nouveau bilan neuropsychologique met en évidence un fléchissement global des fonctions cognitives. Le tableau est aujourd'hui celui d'un trouble neurocognitif majeur d'intensité modérée d'origine probablement mixte compte tenu de l'évolution de la patiente, du type de difficultés retrouvées ainsi que des données de l'imagerie cérébrale. Précisions également qu'il n'est pas exclu que l'épisode aigu puisse participer aux difficultés observées. En raison du tableau cognitif et des multiples chutes à domicile selon les notes du DPI, nous soutenons le projet d'un séjour dans une structure cadrée (UATO ?) en vue d'un placement. Projet : UATO avec double projet Déconditionnement avec troubles de la marche d'origine multifactorielle : • hyponatrémie chronique • malnutrition • troubles de l'équilibre et de la marche avec multiples chutes à domicile • troubles cognitifs légers Physiothérapie FA paroxystique, ED 18.01.2019 • CHA2DS2-VASc-Score : 6 points • HAS-BLED Score : 3 points Nouvellement anticoagulée par Eliquis depuis 18.01.2019 ECG 29.01.2019 : rythme sinusal Vessie hyperactive Spasmo-urgénine dès le 31.01.2019 HTA traitée Ancien tabagisme à 15 UPA, stoppé en janvier 2019 Pontage aorto-fémoral commun gauche en 2004 • Pseudo-anévrisme à la hauteur de l'anastomose distale mesuré à 37 mm, du pontage aorto-fémoral commun gauche.Sténose serrée de l'aorte abdominale distale et de l'artère iliaque commune droite sur thrombus calcifié. • Bilan angiologique le 21.02.2019: anévrisme du pont fémoral veineux gauche thrombosé mais non obstructif. • CT aorte abdominale et membres inférieurs du 13.03.2019 Dysphagie et dysphonie post intubation orotrachéale HTA traitée Asthme traité • Vannair 200/6 2 inhalations 2x/jour et Spiriva 18 ug 1x/jour Malnutrition protéino-énergétique Carcinome rénal à cellules claires, bilatéral, avec métastases thyroïdiennes, hépatiques et suspicion de carcinomatose péritonéale • date du diagnostic: 27.03.2014 • statut post-néphrectomie G le 27.03.2014 et D le 08.08.2014 par le Dr X • IRM de l'abdomen du 14.07.2014 (HFR Fribourg - Hôpital cantonal) : mise en évidence de multiples lésions tumorales intra-rénales à D, la veine rénale D est perméable. Pas de thrombus visible dans la veine cave inférieure. Pas d'adénopathie rétropéritonéale ni de métastase • CT thoraco-abdominal du 01.12.2014: situation stable au niveau thoracique. Présence d'une petite lésion nodulaire rétro-cave inchangée. Présence de quelques ganglions para-aortiques inchangés • PET du 10.12.2014: mise en évidence d'une discrète captation thyroïdienne correspondant probablement à la métastase connue • thyroïdectomie totale bilatérale le 27.01.2015 avec résection d'un adénome parathyroïdien inférieur D • CT du 06.07.2018: réapparition des métastases hépatiques, progression des métastases pancréatiques et suspicion de carcinomatose péritonéale • Traitement par Cabometyx à partir du 31.07.2018 HTA traitée Asthme Anticoagulation sur statut post multiples thromboses IRC stade 3b Anémie d'origine mixte, post-opératoire et ferriprive le 28.12.2017 Troubles de la marche et de l'équilibre avec: • Fracture périprothétique de colonne antérieure avec fracture du cotyle et de la branche ilio-pubienne gauche post chute le 24.12.2017 traitée conservativement • statut post prothèse céphalique le 18.12.2017 pour fracture du col du fémur droite type Garden IV le 13.12.2017 • statut post prothèse céphalique pour fracture col fémur gauche type Garden IV le 30.09.2015 Thromboses veineuses à répétition • sous Eliquis 2.5 mg 2x/j IRC stade III (45 ml/min/1.73 m² eGFR) • Créat 62 mcmol/l, eGFR 76 ml/min selon CKD-EPI le 24.01.2018 Suspicion de troubles cognitifs légers à moyens avec: • MMS 24/30, test de la montre 3/9, GDS 3/15 le 10.01.2018 Malnutrition protéino-calorique sévère avec: HTA traitée. Bloc de branche droit complet et hémibloc antérieur gauche connus. Trouble anxieux. HTA traitée Brady/tachy-arythmie Pose de pacemaker (AAI-DDD à 60/min, IRM compatible pour 1,5 T) pour brady/tachy-arythmie le 20.12.2018 (Dr X) • Fibrillo-flutter paroxystique connu depuis 2016, sous Eliquis • ECG : rythme sinusal régulier à 100 bpm, axe hypergauche, QRS fins IRC stade 3 modérée d'origine indéterminée avec créatinine à 115 umol/l et MDRD à 55 ml/min le 30.06.16 HTA traitée Cardiopathie hypertensive (ETT du 02.05.2018 : artériosclérose importante avec plaques calcifiées au niveau des artères carotides, sclérose au niveau des artères des mollets (examen angiologique de 2011, Dr X) Surdité modérée bilatérale HTA traitée Cholélithiase HTA traitée Coxarthrose droite Lombosciatalgies gauches chroniques HTA traitée Diabète de type II insulino-traité HTA traitée Diabète de type II non insulino-requérant, sous Metformine HTA traitée Diabète de type 2 non insulino-requérant HTA traitée. Diabète de type 2 traité. FA sous Sintrom Incontinence urinaire type stress avec trigonite vésicale. Acidose métabolique chronique Insuffisance rénale chronique acutisée dans un contexte de rein unique en mai 2012 HTA traitée Diabète type II NIR Insuffisance rénale chronique HTA traitée Dyslipidémie Fibrillation auriculaire paroxystique nouvelle spontanément cardioversée le 11.03.2018: • CHADSVASC: 3 pts • HASBLED: 2 pts • Anticoagulation par Xarelto • ETT 12.03.18: VG non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale HTA traitée Dyslipidémie traitée HTA traitée Dyslipidémie traitée Obésité de stade I (BMI 34,4 kg/m²) Insuffisance veineuse du membre inférieur gauche de stade par incontinence de tributaires de la cuisse et de la jambe issues de la grande veine saphène SAOS appareillé HTA traitée. État anxieux avec antécédents de douleurs thoraciques d'étiologie anxiogène. HTA traitée Fibrillation auriculaire le 31.07.2018 HTA traitée Fibrillation auriculaire transitoire le 10.10.2016, dans contexte de déshydratation • dernier ECG en 2011 sinusal avec BBD incomplet • CHA2DS2-VASc score à 4 pts • HAS-BLED score à 1 pt • Echocardiographie transthoracique le 12.10.2016 • ECG de contrôle du rythme à la sortie : rythme sinusal Démence débutante depuis 2015 • MMS à 26 pts/30 le 01.06.2015 • MMS le 13.10.2016 à 23/30 pts • Test de la montre 0 pt Trouble obsessionnel compulsif HTA traitée Fibromyalgie Endométriose HTA traitée Glaucome HTA traitée Glaucome HTA traitée Hypercholestérolémie HTA traitée Hypercholestérolémie traitée Diabète de type 2 non insulino-requérant traité • atteinte macrovasculaire Hyperplasie bénigne de la prostate Maladie coronarienne tritronculaire sévère avec : • angor chronique • statut post angioplastie et stenting IVA prox. et circonflexe en avril 2007 • statut post angioplastie IVA moyenne en 2008 ; angioplastie de la diagonale, de l'IVA, dilatation 1ère septale en 2013 ; puis angioplastie et stent ostium de la circonflexe • anamnestiquement pose de 13 stents, dernière coronarographie en décembre 2018 pour angor, pas de stent mis en place car impossible selon le patient ; 3 coronarographies en 2018, avec pose de stent en mars et en juin 2018 (clinique Cecil) • sténose aortique modérée (surface aortique à 1,17 cm² (0,64 cm²/m²), gradient moyen VG-Ao à 27 mmHg), calcification anneau mitral, FEVG 60%, et une HTAP modérée (PAPs à 52 mmHg). • double antiagrégation par Efient et Aspirine HTA traitée Hypercholestérolémie traitée Arthéropathie des membres inférieurs avec: • claudication du MID avec recanalisation à deux reprises (2015/2016 - Dr X, bonne perméabilité au contrôle de mars 2017) • recanalisation d'une occlusion fémorale superficielle droite par angioplastie et pose d'endoprothèse (11.08.2015) • recanalisation d'une occlusion aiguë fémorale superficielle intra-stent par thrombectomie endovasculaire (21.08.2016) • sous ASA et Simvastatin HTA traitée Hypercholestérolémie, traitée Obésité, BMI 31 HTA traitée Hypercholestérolémie, traitée Obésité, BMI 31 HTA traitée Hypercholestérolémie traitée SAS appareillé Artériopathie des membres inférieurs avec: • claudication du MID avec recanalisation à deux reprises (2015/2016 - Dr X, bonne perméabilité au contrôle de mars 2017) • recanalisation d'une occlusion fémorale superficielle droite par angioplastie et pose d'endoprothèse (11.08.2015) • recanalisation d'une occlusion aiguë fémorale superficielle intra-stent par thrombectomie endovasculaire (21.08.2016) • sous ASA et Simvastatin HTA traitée Hypercholestérolémie Macro-nodule du lobe thyroïdien gauche partiellement calcifié Reflux gastro-oesophagien apparu suite à la chimiothérapie Probable syndrome de chevauchement asthme - BPCO (ACOS) Suspicion de SAOS HTA traitée Hypothyroïdie substituée HTA traitée. Hypothyroïdie substituée. HTA traitée. Hypothyroïdie substituée. HTA traitée. Hypothyroïdie substituée. Tabagisme ancien à 30 UPA. Obésité avec BMI à 33 kg/m². HTA traitée. Maladie coronarienne (obstruction de la coronaire D) avec échec de PTCA en 2001. Obésité stade IV. Diabète de type 2 non insulino-requérant. Goutte traitée. Lombosciatalgie D sur canal lombaire étroit avec conflit sur racine L5 D. Cystocèle avec incontinence urinaire de stress. Diverticulose sigmoïdienne. Constipation chronique. Syndrome du tunnel carpien D. HTA traitée Oesophagite de reflux Rectocèle, vaginocèle Dépression traitée depuis 1 an Suspicion de BPCO avec : • Tabagisme actif à 46 PA • Plusieurs épisodes de bronchite par année • Selon Mme. Y jamais de spirométrie effectuée • Peak flow au lit de Mme. Y 13.11.2018 : DEP 190 ml/sec Rv en ambulatoire chez Dr. X pneumologue 5/12/18 à 11h HTA traitée Ostéoporose HTA traitée Ostéoporose sous Biphosphonate HTA traitée Reflux gastro-oesophagien Asthme HTA traitée Retard mental décrit et présent depuis la naissance d'origine indéterminée Hydrocèle à droite • indolore, présent de longue date selon Mr. Y Hernie inguinale à gauche à l'effort • Connue et suivie par le médecin traitant, pas d'opération prévue pour le moment HTA traitée SAOS appareillé par CPAP Lombalgies chroniques HTA traitée Trouble dépressif traité Hypovitaminose D avec hyperparathyroïdie secondaire Carence en vitamine B12 sur malabsorption HTA traitée Hypercholestérolémie traité Mr. Y pied droit HTA Tremblement essentiel sous Inderal SAOS sous SEPAP HTA Trouble anxieux HTA Adénocarcinome du côlon sigmoïde : biopsie colique du 02.2019, prise en charge chirurgicale par Dr. X à l'hôpital Daler après réadaptation cardiovasculaire HTA Anxiété HTA Cancer du sein gauche en 2007 Hernie discale lombaire HTA Cardiopathie ischémique avec triple pontage en 2005 (AMIG-IVA, pontage veineux-branche diagonale, pontage veineux-CD) Diabète type 2 insulino-requérant Insuffisance rénale chronique Obésité classe l avec BMI à 31.6 kg/m2 le 28.08.2017 HTA Chondrocalcinose avec plusieurs poussées intéressant le genou D et le poignet G Surcharge pondérale Dyslipidémie HTA Dépression Obésité classe II selon l'OMS (BMI 39,5 kg/m2) Diabète de type II insulino-requérant • Décompensation diabétique sur gastro-entérite virale le 26.01.2016 • Décompensation diabétique sur sepsis avec pseudohyponatrémie en mars 2014 • Compliance médicamenteuse et diététique difficile Troubles cognitifs d'apparition progressive Maladie coronarienne bitronculaire • Sténose significative de l'IVA prox, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation): PCI/1DES • Sténose significative de l'IVA distale • Sténose significative de l'artère coronaire droite moyenne: PCI 1DES • Coronarographie le 21.03.2019 (Dr. X) HTA Diabète de type II insulino-requérant • Décompensation diabétique sur gastro-entérite virale le 26.01.2016 • Décompensation diabétique sur sepsis avec pseudohyponatrémie en mars 2014 • Compliance médicamenteuse et diététique difficile Troubles cognitifs d'apparition progressive Maladie coronarienne bitronculaire • Sténose significative de l'IVA prox, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation): PCI/1DES • Sténose significative de l'IVA distale • Sténose significative de l'artère coronaire droite moyenne: PCI 1DES • Coronarographie le 21.03.2019 (Dr. X): mise en place de 2 stents actifs. Plavix pour 6 mois. HTA Diabète de type II NIR sous bithérapie HTA Diabète de type 2 HTA Diabète de type 2 IR Artériopathie des membres inférieurs asymptomatique (bilan angiologique du 23.07.2018, Dr. X) • athéromatose aorto-iliaque et fémoro-poplitée bilatérale sans sténose significative visualisée • importantes calcifications des axes jambiers des deux côtés Hyperuricémie Polyarthrose Polyneuropathie d'origine multifactorielle : • diabétique • carence en vitamine B12 Scoliose lombaire sinistro-convexe Discopathie lombaire étagée L4-L5-S1 Sténose lombaire dégénérative multifactorielle avec rétrécissement focal foraminal L4 et L5 à gauche (IRM du 12.01.2016) • infiltration péri-radiculaire le 05.03.2015 (Dr. X) Névralgie entre orteil II et III pied gauche HTA Diabète de type 2 IR Artériopathie des membres inférieurs asymptomatique (bilan angiologique du 23.07.2018, Dr. X) • athéromatose aorto-iliaque et fémoro-poplitée bilatérale sans sténose significative visualisée • importantes calcifications des axes jambiers des deux côtés Hyperuricémie Polyarthrose Polyneuropathie d'origine multifactorielle : • diabétique • carence en vitamine B12 Scoliose lombaire sinistro-convexe Discopathie lombaire étagée L4-L5-S1 Sténose lombaire dégénérative multifactorielle avec rétrécissement focal foraminal L4 et L5 à gauche (IRM du 12.01.2016) • Infiltration péri-radiculaire le 05.03.2015 (Dr. X) Névralgie entre orteil II et III pied gauche HTA Diabète de type 2 non insulino traitée Kyste rénal droit de 15 mm Lithiases vésiculaires asymptomatiques HTA Diabète de type 2 Obésité Hyperlipidémie HTA Diabète non insulino-requérant Hypothyroïdie substituée Trouble anxiodépressif HTA Diabète non insulino traité Angor stable BPCO post-tabagique Trouble anxiodépressif HTA Diabète non insulino-requérant Hypothyroïdie substituée Trouble anxiodépressif HTA Diabète type 2 HTA Diabète type 2 non insulino-requérant Hypercholestérolémie Surcharge pondérale avec BMI à 27,7 kg/m2 Arythmie supraventriculaire de type tachycardie auriculaire Cardiopathie valvulaire avec : • Sclérose aortique et insuffisance aortique discrète • Insuffisance mitrale de degré discret à modéré avec ballonisation du feuillet postérieur de la valve mitrale • Insuffisance tricuspidienne discrète • FEVG 70-75% à la dernière ETT le 02.05.2016 • (Dr. X) Hypothyroïdie • Thyroïdectomie totale bilatérale le 03.12.2008 HTA DNID FA Pacemaker HTA Dyslipidémie Hypothyroïdie non substituée (suivi Dr. X) Ostéoporose • sous Prolia (dernière injection le 20.11.2017) • dernière densitométrie en 2016 Lombo-sciatalgie gauche depuis 4 semaines sur hernie discale L4-L5, avec : • Syndrome radiculaire L4-L5 à gauche • Aréflexie patellaire gauche • Hyposensibilité territoire L5 à gauche • Retro-Lasègue positif, Lasègue négatif, contro-Lasègue négatif Radiographie de la hanche G : pas de fracture, pas de coxarthrose Radiographie colonne lombaire : pas de fracture-tassement. Rectitude de la colonne lombaire (trouble statique) IRM lombaire le 19.06.2018 : Hernie discale L4-L5 gauche avec compression radiculaire L4 gauche intra-foraminale et dans le récessus latéral et contact avec la racine L5 gauche. • Contrôle à la consultation Spine (HFR Fribourg) le 10.07.2018 à 09h45 Hyponatrémie hypo-osmolaire euvolémique à 122 mmol/l, asymptomatique le 16.06.2018 : • chez Mme. Y connue pour une hyponatrémie hypo-osmolaire normo-volémique sur probable SIADH post-TCC (DD polydipsie) depuis novembre 2016 • Restriction hydrique 1000 ml/24h à domicile • CT-thoraco-abdomino-pelvien et IRM cérébrale sans particularité en novembre 2016 • Test au Synacthen normal en mars 2017 HTA État dépressif majeur HTA Fuites urinaires sur vessie hyperactive HTA Gonarthrose D Hernie discale C4-C5 Hyperplasie bénigne de la prostate HTA Goutte du tarse. Alcoolisme chronique. HTA HCT. Dyslipidémie. Fibrillation auriculaire tachycarde sous BB le 02.04.2013 traitée par xarelto et digoxine. HTA Hernie hiatale Troubles anxieux HTA Hypercholestérolémie HTA Hypercholestérolémie HTA hypercholestérolémie HTA Hypercholestérolémie Diabète de type II insulino-requérant Tabagisme actif Consommation OH à risque Anévrisme de l'aorte ascendante depuis 2006 Polyneuropathie périphérique d'origine multifactorielle probable : • sur diabète et consommation OH HTA. Hyperplasie bénigne de la prostate. Handicap moteur léger hémicorps droit depuis la naissance (probablement par accouchement avec pince). HTA Hyperplasie bénigne de la prostate Maladie variqueuse chronique Diabète de type 2 insulino-requérant HTA Incontinence urinaire HBPM Cluster headache Syndrome de Chilaiditi (interposition anse colique entre diaphragme et foie) HTA Lombalgie chronique État anxio-dépressif Abus OH ? HTA Obésité classe l avec BMI à 31.6kg/m2 le 28.08.2017 Cardiopathie ischémique avec triple pontage en 2005 (AMIG-IVA, pontage veineux-branche diagonale, pontage veineux-CD) avec : • Coronarographie 2009 : pontage sur la coronaire droite est occluse chroniquement et la coronaire droite native démontre une longue occlusion chronique distale, échec de recanalisation, hypocinésie postéro basal (inchangé depuis ECHO d'octobre 2009) • ETT en septembre 2013 : FEVG à 55% et hypokinésie modérée de la paroi postérieure et de la paroi inférieure moyenne et une dyskinésie de la paroi inféro-basale HTA Obésité Diabète de type 2 non insulino-requérant HTA Ostéoporose avec carence en Vit. D Acouphène pulsatile D depuis 2000 Syndrome de la sacro-iliaque dans le cadre d'une scoliose. HTAP dans le contexte d'atrésie tricuspidienne opérée dans l'enfance : • traitement d'Aspirine cardio et Revatio • suivi par Dr. X et Dr. X HTA Retard mental décrit et présent depuis la naissance d'origine indéterminée Hydrocèle à droite • indolore, présent de longue date selon le patient Hernie inguinale à gauche à l'effort HTA Status post hépatite C traitée par Gamma Interféron, sans récidive, virémie non détectable. • laparoscopie et biopsie du foie en 1999 • status post-traitement par IFN • stéatofibrose. Hépatites A et B Obstruction nasale vasomotrice dans un contexte de dépendance au Triofan Neuropathie ulnaire gauche après mise en place d'une prothèse il y a 20 ans HTA Tabagisme BPCO Huile de lavande application sur le thorax Toilette nasale Conseils de surveillance Consultation urgences si signes de gravité Consultation pédiatre si persistance dans 2 semaines HUMALOG 8 UI SC Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation. Hydratation. Hydratation. Hydratation. Hydratation, anti-nauséeux (primpéran, Zofran), Antalgie (Buscopan, paracétamol, morphine, novalgine) avec amélioration clinique Patient se rend à son CT prévu et rentrera à domicile avec des médicaments en réserve Critères de reconsultation expliqués Hydratation, apports en glucose Contrôle chez le pédiatre si persistance de la fièvre Consultation aux urgences si baisse de l'état général Hydratation avec boissons sucrées et salées pour une cible à minimum 1L/j Hydratation avec NaCl 0.9% 1000 ml aux urgences. Hydratation avec NaCl 1000ml. Hydratation avec Normolytoral Fébrifuges Médecine complémentaire Hydratation avec Normolytoral Fébrifuges Médecine complémentaire Hydratation avec Normolytoral Hydratation fractionnée à domicile Hydratation avec 500ml puis 1500ml en intraveineux sur 24 heures Lisinopril en pause Hydratation ciblée Hydratation, conseils hygiène de vie Suivi à votre consultation. Une sérothèque a été prélevée. Merci de contacter le service de pédiatrie si vous souhaitez ajouter des valeurs au laboratoire Hydratation crème Hydratation et alimentation avec suffisamment de sel. Suivi habituel chez le pédiatre Hydratation et alimentation difficile dans contexte de gastro-entérite Hydratation et antalgie. Hydratation et contrôle biologique Hydratation et décubitus dorsal Hydratation et surveillance biologique Hydratation fractionnée Consultation si déshydratation Hydratation fractionnée Consultation si signes de déshydratation Hydratation fractionnée Kamillosan pour vulvite Contrôle à votre consultation demain Hydratation fractionnée Toilettes nasales Contrôle pédiatre si persistance Consultation urgences si péjoration clinique Hydratation Gluc 5%. Suivi biologique. Hydratation initiale Hydratation intraveineuse Hydratation intraveineuse Hydratation intraveineuse Suivi biologique avec retour des valeurs à la baseline Hydratation intraveineuse IEC en suspens (non repris à la sortie au vu du profil tensionnel bas) Hydratation intraveineuse. Recherche de C. difficile dans les selles. PCR selles. Hydratation intraveineuse Restriction hydrique Hydratation intraveineuse Restriction hydrique Hydratation intraveineuse Suivi biologique Hydratation intraveineuse Suivi biologique Hydratation intraveineuse Suivi biologique Imipénem 4 x 500 mg intraveineux du 04.04.2019 au 11.04.2019 Hydratation IV Hydratation IV Hydratation IV Hydratation i.v Hydratation i.v Hydratation i.v Hydratation i.v. Hydratation i.v. Hydratation iv. Hydratation i.v aux urgences Insuline Lantus Metformin 500 mg/j dès le 16.04.2019 Enseignement gestion diabète Laboratoire Gazométrie artérielle Urines : Glycosurie, cétonurie, ECG : RSR, PQ sp, QRS fins, normoaxé, repolarisation précoce, bonne progression dans les précordiales Anticorps anti-GAD, anticorps anti-IA2 et anticorps anti-ICA demandé le 17.04.2019 : négatif Consilium diabétologique le 16.04.2019 Hydratation IV du 03.04 au 05.04.19 Mise en suspens du lisinopril et du rasilez du 03.04 Récolte d'urine de 24h (03-04 au 04.19) : protéinurie (7,14 g/24h), albuminurie (5'739 g/24h), albuminurie/creat (311 mg/mmol créat) US rénal (03.04.19) : pas d'anomalie rénale franche, grosse prostate; pas d'argument pour une obstruction Suivi néphrologique, recherche de causes à l'insuffisance rénale chronique et à la protéinurie en ambulatoire. Rendez-vous en néphrologie à distance Hydratation i.v. et p.o. Suivi biologique --> amélioration le 25.02.2019 avec Créa à 95µmol/l Légère détérioration le 06.03.2019 avec Créa à 111µmol/l --> ad hydratation i.v. et p.o., suivi biologique Hydratation i.v. et p.o. Suivi clinique et biologique Hydratation iv et suivi. Hydratation iv le 05.04.2019 Hydratation iv par NaCl. Suivi clinique et biologique (CK 218 U/l le 20.04.2019). Hydratation iv par NaCl 1000 ml par 24h Hydratation iv par NaCl 500 ml/12 heures. Hydratation iv puis per os Suivi biologique et clinique Hydratation i.v. Sonde urinaire du 05.04.2017 au 08.04.2017 Hydratation i.v. Stop AINS Créa : 95 µmol le 13.03.2019 Hydratation IV Suivi biologique Hydratation iv. Suivi clinique et biologique. Hydratation i.v. 2000ml NaCl 0.9% en 24h. Pause traitement diurétique.• Hydratation iv • Adaptation des médicaments néphrotoxiques • Hydratation iv • Alcalinisation des urines • Hydratation IV • Contrôle biologique • Hydratation iv • Contrôle biologique • Hydratation iv • Diminution IEC • Voltaren stoppé • Torasemide stoppé • Hydratation IV • Rocéphine 2 gr IV du 09.04 au 09.04 • Co-Amoxicilline du 09.04 au 19.04.19 • Aérosols et Atrovent • Physiothérapie respiratoire • Antigènes urinaires (12.04.19): absence • Hémocultures (09.04.19): négatives • Rx thorax (09.04.19): foyer lobaire droit • Hydratation i.v. • Spot Fe HST 28.03.2019: 6% • Hydratation IV • Suivi biologique • Hydratation i.v. • Suivi biologique • Hydratation iv. • Suivi biologique. • Hydratation i.v. • Suivi biologique • ATT: • Hydratation i.v. • Suivi biologique • Suivi diurèse: à viser > 30 ml/h adapter hydrate selon • Hydratation i.v. • Suivi biologique • Diminution Torasémide et Aldactone • Suivi quotidien du poids • Hydratation iv • Suivi fonction rénale • Hydratation i.v • Urine stix et sédiment: à pister • Spot urinaire à pister • Hydratation IV • Xyzal et Atarax • Mise en suspens Midostaurine et Ceftriaxone le 15.03.2019 • 1 CP le 14.03.2019 • Hydratation • Mise en suspens diurétiques • Hydratation, mise en suspens diurétique. • Suivi biologique. • Médecin traitant absent jusqu'au 28.04.2019, valeurs habituelles inconnues. • Hydratation NaCl 0.9%. • Hydratation NaCl 0.9 % • Hydratation NaCl 0.9% intraveineux, 1000cc / 24 heures • Restriction hydrique • Diminution Aldactone de 3cp à 2cp • NaCl 1 capsule 3x/jour par voie orale • Hydratation NaCl 0.9% IV. • Hydratation Nacl 1 l/24h. • Diurétique en pause. • Suivi biologique. • Hydratation Nacl 1000 ml sur 24h • Suivi biologique • Spot urinaire • Hydratation NaCl 1000 ml • Suivi biologique • Hydratation NaCl 1000 ml/24h. • Hydratation orale. • Contrôle à votre consultation en fin de semaine. • Hydratation par NaCl iv 1000 ml/24h. • Suivi clinique et biologique. • Hydratation par NaCl 0.9% intraveineux, 1000cc par 24 heures • Restriction hydrique • Diminution Aldactone de 3cp à 2cp • NaCl 1 capsule 3x/jour par voie orale • Hydratation par NaCl 0.9% 1500 ml/24h • Hydratation par NaCl 1000 ml iv • Suivi biologique • Hydratation par NaCl 500 ml. • Hydratation par 500 ml NaCl à 0.9%. • Suivi biologique. • Hydratation parentérale du 19.03 au 21.03.2019 • Lisinopril en suspens du 19.03 au 21.03.2019 • Spot urinaire le 27.02.2019: FEurée 36.8% • Spot urinaire le 19.03.2019: FEurée 22.5% • Hydratation parentérale par NaCl 0.9% puis par Ringer-lactate • Hydratation per os. • Hydratation per os • Suivi biologique • Contrôle chez le cardiologue traitant la semaine prochaine (médecin traitant absent) • Hydratation • Perenterol mis en réserve • Suivi clinique et biologique • Hydratation PO aux urgences bien tolérée sans vomissement • Surveillance clinique normale • Propose un contrôle clinique à votre consultation le 4.4.2019 • Hydratation PO. • Explications données par le médecin pour : • ECG: sans particularité. • Schellong négatif. • Attitude: • Retour à domicile avec conseil d'hydratation. • Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. • Hydratation, substitution, suivi biologique. • Hydratation. • Suivi biologique. • Hydratation • Suivi biologique • Avis néphrologique (Dr. X) • US doppler rénal prévu le 12.04.2019 à la recherche d'une étiologie ischémique. • Hydratation, surveillance. • Hydratation, surveillance. • Hydratation. • Surveillance simple. • Hydratation 1000 ml/24h. • Suivi biologique. • Hydratation 1000ml/24 h • Suivi biologique • Hydratation 1500 ml NaCl 0.9%. • Stimulation à boire. • Suivi biologique. • Hydratation 1500 ml/24 heures. • Suivi biologique. • Adaptation de la posologie de l'Ertapenem. • Hydratation 1500 ml/24h le 06.04.2019. • Hydratation 2000 ml/24h. • Suivi biologique - corrigée dès le 22.03.2019. • Hydratation 500 ml iv. • Stimulation per os dans les jours à suivre. • Hydratation 500 ml par NaCl iv. • Hydratation 500 ml par NaCl iv. • Hydratation. • Arrêt tranxilium. • Suivi clinique. • Hydratation • Digoxine le 23.04.2019 • Bêta-bloquants dès le 24.04.2019 • Hydratation • Eviction des médicaments néphrotoxiques • Hydratation • Furosémide le 27.04.2019 • Majoration du Fasturtec dès le 26.04.2019 • Hydratation • Hypovitaminose à 37 nmol/L, substitution • PTH en cours • Suivi biologique • Consultation à la sortie auprès de son endocrinologue Dr. X • Hydratation • Insuline-glucose • Hydratation • Insulinothérapie iv du 05.04 au 07.04.2019 • Relais par Insulatard et Humalog en réserve dès le 06.04.2019 • Bicarbonate le 05.04.2019 • Cathéter artériel radial droit du 05.04 au 07.04.2019 • Consilium diabétologie demandé • Hydratation • Laboratoire • Hydratation. • Mise en pause des médicaments néphrotoxiques : Torasémide et Spironolactone, repris par la suite. • Hydratation • Mise en suspens de traitements hyperkaliémiants • Hydratation • Mise en suspens des antidiabétiques oraux • Hydratation • Paracétamol 1 g iv • Beloc Zok 5 mg iv • Rx thorax (08.04.19): pas de foyer • Rx Bassin (08.04.19): pas de fracture • Test de Schellong (09.04.19): négatif • Hydratation • Prednisone 50 mg puis 60 mg dès le 18.04 • Infliximab le 24.04.19 • Culture de selles pour recherche C. difficile: négatif • Sérologies HAV, HBV, HCV, CMV: négatif • Biopsies coliques (15.04.19): colite subaigüe et chronique • Recto-sigmoïdoscopie et avis gastro-entérologique (Dr. X) le 15.04.19: maladie de Crohn active, avec zones ulcérées. Deux biopsies prélevées. Poursuite de la corticothérapie à 50 mg/j • Avis gastro-entérologique (Dr. X) le 26.04.19: poursuite de la corticothérapie, début de l'Infliximab • Prochaine cure d'Infliximab le 09.05.19 à 13h00 • Hydratation • Recherche de C. Difficile dans les selles (20.04.19): négatif • Hydratation • Résonium • Mise en susp. des médicaments en cause • Hydratation • Spot urinaire • Suivi biologique • Fraction d'excrétion du sodium à 0.1% • Clairance selon Cockroft à 26.4 mmol/l • Hydratation • Spot urinaire 21.04.2019 FENa: 0.9%, FEUrée: 24.8% (= origine probablement pré-rénale) • Hydratation • Suivi biologique • Hydratation • Suivi biologique • Hydratation • Suivi biologique • Hydratation • Suivi biologique • Hydratation • Suivi biologique. • Hydratation. • Suivi clinique. • Hydratation. • Surveillance. • Hydratation • Surveillance biologique • Hydratation • Test de Schellong (22.04.19): positif • Hydrocèle à droite • Hydrocèle droite 23.04.19 • Suivi par son urologue traitant Dr. X • Hydrocèle volumineux hémato-séreux. • Hydrocéphalie à pression normale • Hydrocéphalie à pression normale, diagnostic 09/16 avec: • Dernière PL soustractive en 12/17 • Tremblement essentiel • Tabagisme chronique • Dyslipidémie • Hypertension artérielle traitée • Insuffisance rénale chronique G2 selon KDIGO • Trouble anxio-dépressif chronique sévère • Bloc de branche D incomplet • Hernie discale L4-5 médiane, para-médiane et foraminale bilatérale avec conflit radiculaire: • Protrusion discale circonférentielle en L3-4, en contact de l'émergence des racines • Petite hernie médiane sans conflit radiculaire L5-S1 • Canal lombaire étroit • Nodule pulmonaire apical D (02/19) • Probable polyneuropathie des MI • Hydrocéphalie à pression normale, diagnostic 09/16 avec dernière PL soustractive en 12.17 • Tremblement essentiel • Tabagisme chronique • Dyslipidémie • Hypertension artérielle traitée • Insuffisance rénale chronique G2 selon KDIGO • Trouble anxio-dépressif chronique sévère • Bloc de branche D incomplet • Hernie discale L4-5 médiane, para-médiane et foraminale bilatérale avec conflit radiculaire: • Protrusion discale circonférentielle en L3-4, en contact de l'émergence des racines • Petite hernie médiane sans conflit radiculaire L5-S1 • Canal lombaire étroit • Nodule pulmonaire apical D (02/19) • Probable polyneuropathie des MI tests de dépistage neuropsychologique 11/2017 : MMS 27/30, Horloge 7/7, GDS 7/15 tests de dépistage neuropsychologique 02/2017 : MMS 20/30, Horloge 5/7, GDS 12/15 Cardiopathie dysrythmique avec : • Bradyarythmies asymptomatiques le 23.02.2017 dans le cadre d'une Bigeminus connue (expérience avec du métoprolol 12,5mg/jour, arrêt dû à l'aggravation de la bradyardie) • ETT 02/2017 : La FEVG a légèrement diminué avec une hypokinésie globale minimale de 50%. Polyneuropathie périphérique d'origine indéterminée Hernie hiatale (ED 2007) avec RGO : • Gastroscopie 06/2007 : reflux de bas grade, gastropathie réactive BPCO Stade GOLD 2 avec • actuellement pas de thérapie • Spirométrie au 14.03.2017 : FEv1 1,89 (51%), FVC 2,54, PEF 177, EV 0,09 • ancien tabagisme à 40 UPA Anévrisme aortique • CT 04/2009 : (Givision) : Anévrisme en forme de fuseau de degré moyen de l'aorte infrarénale (diamètre max. 3,3 cm) Névralgie post-zostérienne thoracique gauche à St. n. Herpès zoster ca. 2007 Hydronéphrose bilatérale le 04.04.2019 hydronéphrose congénitale gauche Hydronéphrose gauche sur sténose urétérale distale : • scintigraphie rénale MAG3 (28.06.16) : discrète asymétrie de fonction en défaveur du rein gauche qui présente une fonction discrètement diminuée par rapport au comparatif • status post-pyélonéphrite gauche avec pyurie stérile le 19.02.2016 • status post-pose de pigtail à gauche en 1997 • status post-réimplantation urétéro-vésicale gauche en 1997 • status post-calcul rénal gauche (à l'âge de 13 ans). • status post-Politano-Leadbetter (urétéronéocystostomie) apparemment non fructueux à l'âge de 12 ans. Asthme traité sous Symbicort. Hygrome coude droit probablement surinfecté Hypästhesie Beine links Hyper appui face antérieure de la rotule Irritation périoste pré-patellaire Bursite d'accompagnement pré-patellaire Hypertension artérielle traitée depuis 2017 Hyperbilirubinémie Hyperbilirubinémie à la maternité sans photothérapie Hyperbilirubinémie avec incompatibilité ABO mais Coombs négatif Hyperbilirubinémie de la prématurité Hyperbilirubinémie d'origine indéterminée le 10.03.2019 DD syndrome de Gilbert Hyperbilirubinémie (max 205 umol/l). Photothérapie intermittente du 19.03.2017 au 25.03.2017. Prématurée gémellaire née à 33 4/7 SA, PN 1970 g (P 25), TN 43 cm (P 25), PCN 30 cm (P 25). Jumelle 2. Hyperbilirubinémie (probable maladie de Gilbert) avec urobilinogénurie le 17.04.2019 Hyperbilirubinémie sans incompatibilité (Coombs négatif, Groupe sanguin A positif) Hyperbilirubinémie sans incompatibilité (enfant O Rhésus+ avec Coombs - ; et mère groupe O Rhésus positif) Hyperbilirubinémie sur incompatibilité foeto-maternelle (mère O-, bébé A-, Coombs positif) Hypercalcémie. Hypercalcémie à 1.56 mmol/l le 15.04 Hypercalcémie à 2.59 mmol/l Hypercalcémie à 2.98 mmol/l sur hyperparathyroïdisme primaire sur adénome parathyroïdien Hypercalcémie à 2.98 mmol/l sur hyperparathyroïdisme primaire sur adénome parathyroïdien le 16.04.2019 • actuellement non traité Hypercalcémie 1.51 mmol/l Hypercalcémie 2.61 mmol/l le 21.03.2019 sur déshydratation Hypercalcémie 2.85mmol/l le 26.03.2019 Hyperchlorémie sur apports iv Hypercholestérolémie Prostatahyperplasie Chronische Gangstörung • Gehen mit Stöcken • Gonarthrose links Dysrhythmische Kardiopathie mit intermittierendem hochgradigem AV-Block und Vorhof-flattern/flimmern am 29.08.2016 • leichte linksventrikuläre kardiale Dekompensation am 27.08.2016 • Echokardiographie vom 29.08.2016 : erhaltene Funktion, keine signifikante Valvulopathie, keine segmentäre Motilitätsstörung • US pleural (Dr. X) am 27.08.2016 : diskreter Pleuraerguss rechts • Holter am 30.08.2016 : normokardes Vorhofflimmern Diurétiques Thérapie Intermittierende Non-Invasive-Ventilation bis am 02.09.2016 Beta-Blocker pausiert Dementielle Entwicklung, DD Mild Cognitive Impairment • MMS (Mini Mental Status) vom 06.09.2016 : 20/30 Punkte • Uhrentest vom 06.09.2016 : 6/15 Punkte Hypercholestérolémie Hypercholestérolémie Hypercholestérolémie Hypercholestérolémie Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie avec dyslipidémie. Hypercholestérolémie depuis le 22.02.2019 Hypercholestérolémie familiale Hypercholestérolémie familiale. Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle. Surpoids. Hypercholestérolémie Hypoacousie et tinnitus ddc Hypertrophie bénigne de la prostate Diverticulose Hypercholestérolémie le 10.04.2019 Hypercholestérolémie le 24.04.2019 Hypercholestérolémie (non traitée). Hypercholestérolémie non traitée. Hypercholestérolémie non traitée. Hypercholestérolémie non traitée. Hypercholestérolémie non traitée pendant la grossesse Hypercholestérolémie Reflux gastro-oesophagien. Hypercholestérolémie • Rosuvastatine arrêtée par la patiente Hypercholestérolémie sous traitement. hypercholestérolémie stade IIa non traitée Hypercholestérolémie traitée Hypercholestérolémie traitée Hypercholestérolémie traitée Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle traitée BPCO non stadée sur tabagisme actif à 90 UPA (1.5-2 pq/jour) Cataracte bilatérale Diabète de longue date de type 2 non insulino-requérant Insuffisance cardiaque sur cardiopathie ischémique, hypertensive et dysrythmique • ETT en mars 2016 : FEVG 37 %. insuffisance mitrale (2/3), oreillette gauche très dilatée, insuffisance tricuspide sévère (3/3. HTAP post capillaire • Coronarographie + cathéterisme gauche-droite le 23.03.2016 : pas de sténose significative. FEVG 30 %. HTAP modérée à sévère à prédominance post-capillaire • S/p angioplastie de la coronaire droite pour infarctus inférolatéral en 1999 • FA anticoagulée sous Eliquis Artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade IV bilatérale avec : Gauche : • recanalisation d'une occlusion étendue fémorale superficielle gauche par angioplastie en partie sous-endothéliale le 05.08.2015 (radiologie) • recanalisation d'une longue occlusion fémorale superficielle gauche par angioplastie en partie sous-endothéliale et la pose de 3 stents auto-expansifs le 08.11.2016 Hypercholestérolémie traitée Ancien tabagisme Maladie monotronculaire • Status post-coronarographie avec mise en place de 2 stents dans la CD proximale et moyenne en février 2014 (Prof. X) • FEVG à 55% avec hypokinésie postérobasale Hypercholestérolémie traitée. Diabète non insulino-requérant. Hypercholestérolémie traitée. Hypertrophie de la prostate. Cardiopathie dysrythmique et ischémique • akinésie du septum basal, de la paroi inféro-basale et de la paroi postérieure moyenne, fraction d'éjection 50% (US 02.02.2009), hypertrophie concentrique • status post infarctus inféro-postérieur, en mars 1999 • fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom • status post bradycardie sous Sotalex et sous Digoxine. Maladie d'Alzheimer avec fléchissement global des fonctions cognitives Gammapathie monoclonale de type IgA Lambda. Hypercholestérolémie traitée. Tabagisme chronique. Diabète de type II insulino-requérant diagnostiqué en 2009, pose de pompe à insuline le 14.12.2015. Hypercholestérolémie Angiodysplasie gastrique avec : • hémorragie digestive haute le 09.01.2019 • OGD le 11.01.2019 : saignement actif des angiodysplasies antrales. • gastroscopie et colonoscopie le 28.02.2019 : léger saignement des angiodysplasies de l'antre. Polype pédiculé de 1.2 cm dans le colon descendant réséqué à l'anse froide. Hypercholestérolémie Angiodysplasie gastrique connue avec: • status post hémorragie digestive haute le 09.01.2019 : • Hb à 57 mg/l le 09.01.2019 • Avis Dr. X (gastroentérologie): ad gastroscopie et coloscopie. Ad Pantozol 40 mg 2x/j p.o. et transfusion de 2 concentrés érythrocytaires le 09.01.18 • OGD le 11.01.2019: saignement actif des angiodysplasies antrales. Nouvelle OGD dans 6-8 semaines. • status post-transfusion par 3 culots érythrocytaires le 13 et 14.02.2019 • IPP per os double dose 40 mg 2x/24h dès le 14.02.2019 • Gastroscopie et colonoscopie le 28.02.2019: léger saignement des angiodysplasies de l'antre. Traitement avec APC. Polype pédiculé de 1.2 cm dans le colon descendant réséqué à l'anse froide. Hypercholestérolémie Dépression Polyneuropathie à prédominance sensitive d'origine indéterminée depuis 2013 (Dr. X) Troubles cognitifs DD post-traumatique, neuro-dégénératif • Atrophie cérébrale diffuse (IRM cérébrale 01.05.2013) Insuffisance en vitamine D, substituée Probable kyste sébacé infra-orbitaire D Hémorroïdes internes Naevus mélanocytaire lombaire Cataracte bilatérale Hypercholestérolémie Diabète type II insulino-requérant Hypercholestérolémie Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie Hypertension artérielle. Cardiopathie ischémique avec : • status post-double pontage aorto-coronarien en 1998 • hypokinésie latéro-basale gauche, FEVG modérée à 50% en 2009 • sténose de 70% de la bifurcation carotidienne à gauche, refus d'intervention de Mme. Y État anxio-dépressif suite au décès de son mari (2009) dès avril 2014. Leucoencéphalopathie vasculaire, MMS 29/30 le 12.01.2015. Hernie abdominale asymptomatique, refus d'intervention de Mme. Y. Tremblements essentiels des membres supérieurs et de la tête en aggravation le 23.05.2017. Carence en acide folique avec substitution per os pour 1 mois. Hypercholestérolémie Insuffisance veineuse chronique Diabète type II non-insulino-requérant avec : • HbA1c janvier 2013 : 6,9 • pas de polyneuropathie Hypercholestérolémie Obésité stade II. Suspicion de syndrome d'apnées du sommeil • Score de STOP-BANG 4 points Anévrisme de l'aorte ascendante à 44 mm le 27.08.2018 Hypercholestérolémie Obésité. Tabagisme actif. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie Tremor sur anxiété DD essentiel Mild cognitive impairment • MMS 26/30, Clock 2/6 et GDS 2/15 en 2017 Petit hémangiome intra-corporéal Hyperglycémie Hyperglycémie à 16.5 mmol le 08.04.19 Hyperglycémie à 17.1 mmol/l avec suspicion de diabète inaugural Hyperglycémie à 17.1 mmol/l le 11.04.2019 dans un contexte de substitution Hyperglycémie à 28.2 mmol/l, HbA1c 10 le 19.04.2019. Hyperglycémie à 9.6 mmol/l cortico-induite Hyperglycémie d'origine indéterminée le 27.03.2019 Hyperkaliémie à 5.1 mmol/l Hyperkaliémie à 5.1mmol/l Hyperkaliémie à 5.3mmol/l Hyperkaliémie à 5.4 mmol/l le 25.03.19 Hyperkaliémie à 5.5 sans retentissement ECG le 08/04/19 Hyperkaliémie à 5.6 mmol/l Hyperkaliémie à 5.8 mmol/l dans contexte de dg.1 le 25.04.2019 Hyperkaliémie à 5.9 mmol/l d'origine mixte: médicamenteuse et sur l'insuffisance rénale le 16.04.2019 Hyperkaliémie à 6.1 mmol/l le 19.04.19 • sans modification ECG DD : origine médicamenteuse (IEC), acidose tubulaire rénale type IV d'origine médicamenteuse Hyperkaliémie à 6.4 mmol/l le 24.03.2019 d'origine médicamenteuse sur Aldactone et IEC • Labo le 08.04.2019: 4.2 mmol/l Hyperkaliémie à 7.1 mmol/l. Hyperkaliémie à 7.1 mmol/l le 25.12.2018 Décompensation cardiaque aiguë NYHA IV sur cardiopathie ischémique, valvulaire, rythmique et hypertensive le 25.12.2018 Résection in toto d'une kératose actinique hyperplasique sur l'avant-bras droit le 29.08.2017 Thrombose de la veine cave supérieure 19.08.2016 chez Mr. Y sous Sintrom (actuellement sous Marcoumar depuis mai 2017 pour INR trop instable sous Sintrom) Cure d'azote pour deux carcinomes basocellulaires (intrascapulaire droite et omoplate gauche) le 04.07.2016 Cellulite de la main droite sur morsure et griffure de chat le 14.04.2015 Résection in toto d'un carcinome spino-cellulaire du dos de la main gauche en septembre 2014 Hyperkaliémie, acidose métabolique compensée et hypovitaminose D secondaire à l'insuffisance rénale le 01.04.2019 Hyperkaliémie avec : • Potassium à 5.1mmol/l • Asymptomatique sur insuffisance rénale aiguë Hyperkaliémie d'origine mixte sur : • insuffisance rénale aiguë • acidose respiratoire • IEC. Hyperkaliémie d'origine multifactorielle • médicamenteuse sur Entresto et Aldactone • sur insuffisance rénale aiguë Hyperkaliémie Hyperkaliémie le 05.04.2019 • K 5.6 mmol/l Hyperkaliémie le 11.04.2019 Hyperkaliémie, le 16.04.2019 Hyperkaliémie le 22.04.2019 Hyperkaliémie le 23.01.2019, d'origine probablement rénale avec: • Labo le 23.01.2019: 5.5 g/l • Mr. Y avec un probable syndrome urémique et une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 Hyperkaliémie légère à 5.2 mmol/l le 09.04.2019. DD: sur IRA. Hyperkaliémie légère à 5.3 mmol/l le 09.04.2019 • diagnostic différentiel : sur IRA Hyperkaliémie légère à 5.4 mmol/l, le 26.03.2019 Hyperkaliémie légère à 5.8 mmol/l, le 20.03.2019 Hyperkaliémie modérée 6.2mmol/l le 06.04.19 • DD sur insuffisance rénale Hyperkaliémie sans retentissement ECG le 08.04.19 Hyperkaliémie secondaire à l'insuffisance rénale le 01.04.2019 Hyperkaliémie sévère à 7.0 mmol/l avec répercussion à l'ECG le 07.04.2019 Hyperkaliémie sévère le 31.03.2019 sur acidose métabolique lactique et transfusions importantesHyperkaliémie 6.6mmol/l le 23.03.2019. Hyperlactatémie modérée de type B sans acidose le 16.04.2019 • DD : metformine, sepsis, alcalose respiratoire Hyperlactatémie sur agitation le 09.04.2019. Hyperlaxité articulaire. Hyperlaxité ligamentaire généralisée • score de Beighton 7/9 • propension aux hématomes • AF : rupture d'anévrisme à 40 ans chez un cousin du père • Bilan angiologique le 09.04.2019 : pas d'altération vasculaire lors de notre examen, pas d'anévrisme, de dissection ou de sténose sur l'ensemble des axes explorés. Pas d'arguments cliniques suffisants pour conclure à une maladie de Ehlers-Danlos vasculaire. Hyperlipidémie mixte sévère le 03.03.2019. Hyperménorrhée sur utérus myomateux et douleur bas-ventre chronique chez Mme. Y, 3G 3P de 47 ans. Hyperménorrhées récidivantes et anémiantes sur myome sous-muqueux fundique chez une patiente nulligeste de 49 ans. Hypernatrémie à 149mmol/l le 10.04.19 sur hyperhydratation avec NaCl et possible manque d'apport d'eau libre. Hypernatrémie à 152 mmol/l le 21.03.2019. Hypernatrémie à 152mmol/L le 15.04.2019 sur hydratation et traitement diurétique. Hypernatrémie d'origine multifactorielle le 07.04.2017 • Traitement par Diamox, décompensation diabétique Hypernatrémie hyperosmolaire à 156 mmol/l, • déficit en eau libre calculé à 4 litres. Hypernatrémie le 15.04.2019. Hypernatrémie sévère. Hypernatrémie 154 mmol/l le 08.03.2019. Hyperparathyroïdie secondaire sur insuffisance rénale chronique. Hypovitaminose D sévère à 11 le 20.02.2019. Hyperparathyroïdisme primaire avec : • Adénome parathyroïdien inférieur droit Hyperphosphatémie à 1.87 mmol/l sur l'insuffisance rénale sévère le 15.04.2019. Hyperphosphatémie à 2.38 mmol/l le 26.01.2019 • DD rénale ; dans le contexte MGUS Hyperpigmentation d'apparition progressive en regard de L4-L5. Hyperpigmentation lombaire. Hyperplasie atypique mésothéliale /DD de mésothéliome malin sur la cytologie du liquide pleural du 01.10.2015 Possible thalassémie mineure, avec : • anémie microcytaire hypochrome arégénérative • dacryocytes au frottis • ferritine à 1100 ug/l, récepteur soluble de la ferritine dans la norme Syndrome de Rotor ou de Dubin-Johnson avec : • hyperbilirubinémie conjuguée et non conjuguée Hyperplasie bénigne de la prostate. Hyperplasie bénigne de la prostate avec obstruction. Insuffisance rénale chronique stade III. Status après insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 07.12.2011. Status après insuffisance rénale exacerbée de stade IV le 08.12.2012, probablement sur bas débit et néphropathie hypertensive. Status après accident vasculaire cérébral temporo-occipital droit le 12.12.2011. Status après état confusionnel aigu d'origine multifactorielle le 07.12.2011. Probable pancréatite chronique. Status après pancréatite aiguë d'origine toxique (éthylisme chronique, diagnostic différentiel : passage de calcul, Ranson à 48h : 2-3) le 07.12.2011. Dysphagie d'origine mixte (mécanique et moteur) avec : • Diverticule de traction du tiers distal de l'oesophage • Troubles moteurs oesophagiens probablement d'origine centrale (maladie de Parkinson) Malnutrition protéino-énergétique modérée avec anémie macrocytaire sur carence en folates. Anorexie (perte de l'appétit). Polyneuropathie des membres inférieurs. Chutes à répétition dans un contexte de troubles de la marche d'origine multifactorielle. Status après implantation de prothèses totales des deux genoux. Contusion du genou gauche avec épanchement intra-articulaire le 01.08.2017 avec : • CT genou gauche : pas de descellement ou de fracture péri-prothétique, épanchement articulaire non ponctionnable. Hématome périorbitaire gauche le 01.08.2017 : • CT cérébral : anciennes fractures des os propres du nez et du plancher orbitaire droit, pas d'HSD, pas de saignement intracrânien. Status après implantation de prothèses des deux épaules. Status après réduction de fracture pertrochantérienne multi-fragmentaire complexe du fémur proximal droit avec ostéosynthèse par clou gamma le 15.04.2015. Hémarthrose du genou droit : • Sans notion de traumatisme • Sur INR supra-thérapeutique sur traitement par Sintrom • Avec status après implantation de prothèse totale de genou droit • Anamnèse et examen clinique • Radiographie genou droit • Bilan biologique : pas de syndrome inflammatoire. Fractures tassements fraîches de L2 et L3 post-traumatiques dans un contexte de chutes à répétition, avec dernières chutes le 03.09.2018 et le 06.09.2018. Hernie discale L2-L3 avec : • Cimentoplastie L2-L3 le 01.02.2019. Hyperplasie bénigne de la prostate avec prostatectomie par voie transurétrale le 27.05.2013. Tabagisme ancien à 20 UPA (arrêté il y a 15 ans). Hyperplasie bénigne de la prostate et notion de tumeur vésicale en cours d'investigation. Hyperplasie bénigne de la prostate • Sous Avodart 1x/jour. Hyperplasie bénigne de la prostate sur prostatite chronique avec infections urinaires récidivantes à E.Coli multi-résistants. Presbyacousie bilatérale. Ancien tabagisme (70 UPA). HTA. Diabète de type II. Fibrillation auriculaire anti-coagulée. SAOS appareillée. Surcharge pondérale. Dyslipidémie traitée. Mise en place d'un Pacemaker en février 2018. Hyperplasie bénigne de la prostate sur prostatite chronique avec infections urinaires récidivantes à E.Coli multi-résistants. Presbyacousie bilatérale. Ancien tabagisme (70 UPA). HTA. Diabète de type II. Fibrillation auriculaire anti-coagulée. SAOS appareillée. Surcharge pondérale. Dyslipidémie traitée. Mise en place d'un Pacemaker en février 2018. Hyperplasie bénigne de la prostate. Incontinence fécale sur lésion sphinctérienne et trouble de proprioception : • Suivi proctologique ambulatoire par le Dr. X. État dépressif résistant à plusieurs traitements récurrents, actuellement suivi au Centre Bertigny par le Dr. X • status post-tentamen médicamenteux sur éthylisation aiguë. Oppression thoracique intermittente, non liée à l'effort (Diagnostic différentiel : angoisse). Anisocorie idiopathique le 04.11.2016. Hydrocéphalie à pression normale avec triade classique. • Dérivation ventriculo-péritonéale pariétale droite, le 31.05.2017. Hyperplasie bénigne de prostate. Hyperplasie bénigne de prostate. Hyperplasie de la prostate • Sonde urinaire à demeure depuis 2017, suivi par le Dr. X. Diabète de type II. HTA. Dyslipidémie. Status post-hématome sous-dural en 1984 avec : • Hémisyndrome droit. Hyperplasie hépatique nodulaire régénérative (2011) sur toxicité de l'Imurek et/ou atteinte auto-immune avec : • Hypertension portale • Gastropathie d'hypertension portale • Varices oesophagiennes de stade I • Thromboses partielles des veines porte et mésentérique supérieures depuis 2016 (initialement anticoagulées par Xarelto) • Décompensation ascitique inaugurale d'origine indéterminée (novembre 2016) • Hémorragies digestives hautes sur angio-dysplasies duodénales (mai et septembre 2018) • Décompensation ascitique d'origine multifactorielle (IRA, hypertension portale, corticothérapie) avec implantation TIPS en octobre 2018. ATCD d'épisodes d'angoisse en lien avec la dyspnée • Résolution sous Fentanyl IV en continu. Hyperplasie nodulaire focale du dôme hépatique situé entre les veines sus-hépatiques droite et moyenne de 3.5x4.5cm (CT abdominal injecté du 23 juillet 2013). Hernie hiatale non compliquée (Dr. X 27 juin 2008, Dr. X 15 juillet 2013). Hémorroïdes internes (Dr. X 15 juillet 2013). Nodules sous-pleuraux lobe inférieur gauche (4mm) et lobe inférieur droit (4mm) (CT 6 septembre 2013).Kyste biliaire du segment IVa (CT 6 septembre 2013). Contractures musculaires avec cervicalgies : traitement antalgique et myorelaxant. Dessiccation L5/S1 à l'IRM du 14.05.2012 avec lombalgies. Conflit coxo-fémoral droit (arthographie IRM hanche droite 24 mai 2012). Médicaments actuels : Cipralex. Hyperplasie nodulaire surrénalienne • Suspicion d'adénome (23 mm) à gauche • Hyperplasie de 10 mm à droite. Hyperplasie prostatique. Hyperplasie prostatique, découverte fortuite sur le CT du 28.03.2019. Hypersalivation gênante le 18.03.2019. Hypersensibilité D2 à D4 de la main gauche après traitement conservateur d'amputation de pulpe D2 à D4 de la main gauche le 24.08.2018. Hypersensibilité sino-carotidienne : • Diagnostiquée dans le cadre d'un malaise le 28.02.2019 • Massage du sinus carotidien positif avec bradycardie sinusale à 30 bpm. Hypersudation le 29.03.2019 DD médicamenteux sur Cubicine. Hypertension. Hypertension. Hypertension. Hypertension. Hypertension. Hypertension. Hypertension. Hypertension. Hypertension. Hypertension. Hypertension. Hypertension. Hypertension traitée. Hypertension à 170/70 mmHg aux urgences. Hypertension à 180 mmHg le 16.04.2019. • Palpitations associées. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle : • Crise hypertensive le 28.10.2018. Fibrillation auriculaire (paroxystique ?) le 28.06.2017. État anxio-dépressif. Angiomyxome vulvaire profond. Toux grasse d'origine mixte : • Sinusite aiguë • Présence de bronchiectasies bilatérales ; traitement par azithromycine 3x/sem sur avis Dr. X. Hypertension artérielle : • Crise hypertensive le 28.10.2018. Fibrillation auriculaire paroxystique le 28.06.2017. État anxio-dépressif. Hypertension artérielle • Lisitril compr. 10/12.5, Torasemid 5 mg. Lésion cutanée DD tumeur de la peau dans la joue D, non traitée. Presbyacusis. Hémisyndrome partiel D 1999 • Difficulté motrice légère D, persistante • Sous Aspégic 250 mg/j. Hypertension artérielle • Lisitril compr. 10/12.5, Torasemid 5 mg. Lésion cutanée DD tumeur de la peau dans la joue D, non traitée. Presbyacusis. Hémisyndrome partiel D 1999 • Difficulté motrice légère D, persistante • Sous Aspégic 250 mg/j. Hypertension artérielle • Sous Irbesartan 150 mg (majoré à 300 mg le 17.03.2019), Bilol 10 mg (diminué à 2.5 mg le 17.03.2019). Hypertension artérielle traitée sous Vascord. Hyponatrémie chronique hypo-osmolaire chez une patiente hypervolémique. DD : • SIADH : CT thoraco-abdo ne montrant pas de néoplasie (2016). Trouble neurocognitif majeur d'intensité modérée d'origine probablement mixte : MMS 30.01.2019 : 17/28 (tests écrits ou dessinés non réalisables). Test de l'horloge : 0 point (non réalisable). • Bilan neuropsychologique 01.02.2019 : fléchissement global des fonctions cognitives par rapport à 2016. Troubles de l'équilibre et de la marche avec multiples chutes à domicile. FA paroxystique, ED 18.01.2019 • CHA2DS2-VASc-Score : 6 points • HAS-BLED Score : 3 points. Anticoagulée par Eliquis depuis 18.01.2019. Vessie hyperactive. Spasmo-urgénine dès le 31.01.2019. Hypertension artérielle à 170 mmHg. Hypertension artérielle à 200 mmHg. Hypertension artérielle à 200 mmHg. Hypertension artérielle à 200/84 mmHg, le 29.04.2019. Hypertension artérielle actuellement sans traitement. Hypertension artérielle. Asthme. Obésité. Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle. Asthme. Obésité. Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle. Asthme. Obésité. Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle asymptomatique le 18.04.2019. Hypertension artérielle asymptomatique le 20.01.2019. • DD : sur névralgie du trijumeau, composante d'anxiété. St. n. Herniektomie bilat inguinal. St. n. Nikotinabusus 20 UPA. Dyselektrolytämie DD médicamenteux. • K 5.2 mmol/l, Na 138 mmol/l, Hstf 12.8 mmol/l (09.04.2015). Leichte Mangelernährung. Hypovitaminose D. St. n. prä-pylorischem Ulzera mit gastroinestinaler Blutung (Forrect IIc) 02.02.2015. Hypertension artérielle asymptomatique le 20.01.2019 • DD : sur névralgie du trijumeau, composante d'anxiété. St. n. Herniektomie bilat inguinal. St. n. Nikotinabusus 20 UPA. Dyselektrolytämie DD médicamenteux. • K 5.2 mmol/l, Na 138 mmol/l, Hstf 12.8 mmol/l (09.04.2015). Leichte Mangelernährung. Hypovitaminose D. St. n. prä-pylorischem Ulzera mit gastroinestinaler Blutung (Forrect IIc) 02.02.2015. Hypertension artérielle avec atteinte d'organe le 04.04.2019 • Microalbuminurie le 04.04.2019. • Remodelage cardiaque concentrique. • Rétinopathie hypertensive de garde 1-2. Hypertension artérielle avec rétinopathie hypertensive débutante. Hépatomégalie avec stéatose (US en 2012) sur éthylisme. Hernie hiatale avec oesophagite stade 1 (OGD 2011), avec éradication H. Pylori en 2001. Maladie de Berger, suivi par le Dr. X et le Dr. X (néphrologue à Fribourg). Patient porteur du gène de l'hémochromatose hétérozygote (bilan décembre 2012), stabilisation sous saignée. Trouble anxieux traité sous Temesta en réserve. Dupuytren du 4ème doigt des deux côtés. Pseudarthrose du scaphoïde sur statut post-opératoire. Goutte. Hypertension artérielle avec statut post multiples crises hypertensives. Prostato-épididymite récidivante (Dr. X). Maladie de Parkinson depuis 1992, akinéto-rigide et trémulante à prédominance droite avec pose DBS sous-thalamique bilatérale en 2000 avec : • Malaises récidivants sur hypoxie secondaire à des fausses routes sur troubles de la déglutition chroniques. • Hospitalisation au CHUV du 31.12.2013 au 08.01.2014 pour mouvements dystoniques bucco-faciaux droits récidivants dans le cadre de la majoration de la stimulation sous-thalamique gauche en novembre 2013. • Troubles sévères de la déglutition. Troubles dépressifs. Hypertension artérielle. BPCO. Syndrome de dépendance à l'alcool stoppé il y a 8 ans. Hypoacousie. Arthrose de la colonne. Luxation chronique de l'épaule droite. Hypertension artérielle • Cardiomyopathie hypertrophique homogène. FEVG à 80 % • HTAP minime (PAPs à 35 mmHg) Hernie discale L4-L5 Probable artériopathie des membres inférieurs non bilantée : • importante calcification des artères fémorales superficielles avec sténose de plus de 90 % du côté droit et de 60 % du côté gauche (CT du 07.02.2017) Hypertension artérielle • Cardiomyopathie hypertrophique homogène. FEVG à 80 % • HTAP minime (PAPs à 35 mmHg) Hernie discale L4-L5 Probable artériopathie des membres inférieurs non bilantée : • importante calcification des artères fémorales superficielles avec sténose de plus de 90 % du côté droit et de 60 % du côté gauche (CT du 07.02.2017) Adénocarcinome du bas rectum initialement classé cT3 cN+ cM0, stade III • date du diagnostic : le 25.01.2017 • histologie du 25.01.2017 (Promed P875.17) : adénocarcinome moyennement différencié de type colorectal partiellement ulcéré et couvert d’exsudat fibrinoleucocytaire (localisation rectum). • Colonoscopie le 24.01.2017 : lésion semi-circulaire de la marge anale s’étendant sur 8 cm • CT thoraco-abdominal du 07.02.2017 : épaississement bourgeonnant circonférentiel d’environ 12 mm visible dès le sphincter avec extension en amont dans le bas et moyen rectum sur une hauteur mesurable de 50 mm environ, quelques ganglions arrondis de 3 à 4 mm dans la graisse péri-rectale • IRM du pelvis du 08.02.2017 : lésion tumorale du bas rectum en contact avec le sphincter externe dans la partie postérieure touchant le fascia mésorectal associée à de petites adénopathies locorégionales • CEA du 02.02.2017 : 33,4 ng/ml • status post-radio- et chimiothérapie par Xeloda néo-adjuvante du 22.02.2017 au 28.03.2017 • status post-amputation rectale avec curage ganglionnaire (TME) et colostomie définitive le 26.05.2017 • histologie (Promed P5987.17 du 02.06.2017) : adénocarcinome résiduel dans une zone de remaniement fibro-cicatriciel avec ulcération profonde (4 cm de grand axe), ypT3 ypN0 (0/19) L/V0 R0 CRM négatif. Score de régression tumorale grade 2 (< 10 % de carcinome résiduel) • status post chimiothérapie adjuvante par Xeloda jusqu’au 29.10.2017 • métastases pulmonaires du lobe supérieur droit d’un adénocarcinome du bas rectum, le 24.01.2018 • histologie (Institut für Pathologie, Universität Bern, B2018.2712) : métastases d’un adénocarcinome intestinal • status post thoracoscopie uniportale droite avec adhésiolyse et segmentectomie S1 du lobe supérieur droit avec curage ganglionnaire le 24.01.2018 • récidive pulmonaire lobe supérieur gauche selon le scanner du 20.08.2018 et le PET-CT du 03.09.2018 • status post résection intra-anatomique du lobe supérieur gauche avec curage ganglionnaire par thoracoscopie uniportale le 20.09.2018 • pathologie (Berne B2018.32998) : infiltrat nodulaire d’un carcinome type intestinal de 0,8 cm correspondant au carcinome rectal connu avec des marges de résection de 1,8 cm, résection R0 • rémission complète selon le scanner du 10.12.2018 • actuellement : progression tumorale avec multiples lésions nodulaires pulmonaires bilatérales, augmentation de l’épaississement hilaire à droite, épanchement pleural droit, épanchement péricardique. Proposition : première ligne d’un traitement systémique par FOLFIRI + anticorps selon status RAS et RAF (en cours) Poursuite de la prise en charge oncologique A voir avec oncologue traitant Hypertension artérielle Cardiopathie hypertensive et valvulaire (bilan de dyspnée) avec : Cathéterisme gauche/droit le 22.03.2019 : • Sclérose coronarienne minime • Fonction ventriculaire gauche conservée • Sclérose/sténose aortique légère (Gradient moyen 4 mmHg) Status post-embolie pulmonaire en 1999 avec • fonctions pulmonaire complète, capacité de diffusion du CO et CT thoracique de juin 2013 dans la norme • Toux chronique et insuffisance respiratoire hypoxémique FRCV : HTA, ancien tabagisme à 20 UPA stoppé il y a 40 ans Hypertension artérielle Cardiopathie ischémique, hypertensive et valvulaire • Angiographie coronarienne 07.12.2017 : progression de la maladie coronarienne, sténose significative du R. interventriculaire antérieur (RIVA) avec mise en place d'un stent • ETT du 27.02.2019 : VG normal, EFVG 65 %. Sclérose aortic sans sténose significative, insuffisance aortique modérée (grade II / III). Pas de sténose mitrale. Régurgitation mitrale modérée. Légère dilatation et hypertrophie du ventricule droit. • Laboratoire 25.02.2019 : proBNP 4161 ng/l • Épisode unique de fibrillation auriculaire le 04.12.2017 Insuffisance rénale chronique KDIGO Stade 3b • Hypogénésie rénale droite avec sténose de l'artère rénale commune droite, le 27.08.2015 • eGFR 26 ml/min (25.02.2019) Malnutrition protéino-énergétique avec BMI 17.5 kg/m2 Hernie hiatale avec reflux gastro-oesophagien Hypertension artérielle chronique. Obésité. Intolérance à l'Adalat (céphalées). Asthme léger traité par Symbicort. Stérilisation tubaire selon désir de la patiente. Césarienne élective bi-itérative à 38 1/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 4G devenue 4P de 38 ans. Hypertension artérielle chronique. Obésité. Intolérance à l'Adalat (céphalées). Asthme léger traité par Symbicort. Stérilisation tubaire selon désir de la patiente. Césarienne élective bi-itérative à 38 1/7 SA chez une patiente 4G devenue 4P de 38 ans. HTA chronique traitée. Hypertension artérielle compensée. FA persistante de durée indéterminée avec retour en rythme sinusal objectivé le 24.06.2015. Lombalgies chroniques. Polyarthrose. Aérophagie. Psoriasis. Hypertension artérielle connue Hypertension artérielle décompensée le 13.03.2019 • Sous Lisinopril 10 mg/j et Torasemide 5 mg/j Hypertension artérielle décompensée sur : • Mise en suspens du traitement dans le cadre postopératoire. Hypertension artérielle. Dépression avec psychose depuis 2004. Dyslipidémie. Adipositas. Hypertension artérielle depuis 2008 Hypertension artérielle depuis 2010 Reflux gastro-oesophagien Syndrome douloureux lombaire chronique Cervico-scapulalgies chroniques bilatérales d'origine myo-tendineuse Hypertension artérielle. Diabète de type II insulino-requérant • Décompensation diabétique sur gastro-entérite virale le 26.01.2016 • Décompensation diabétique sur sepsis avec pseudohyponatrémie en mars 2014 • Compliance médicamenteuse et diététique difficile. Troubles cognitifs d'apparition progressive. Maladie coronarienne bitronculaire • Sténose significative de l'IVA prox, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) : PCI/ 1DES • Sténose significative de l'IVA distale • Sténose significative de l'artère coronaire droite moyenne : PCI 1DES • Coronarographie le 21.03.2019 (Prof. X) : mise en place de 2 stents actifs. Plavix pour 6 mois. Hypertension artérielle Diabète de type II non insulino-requérant sous bithérapie Hypertension artérielle. Diabète de type 2. Hypertension artérielle. Diabète T2. Hypertension artérielle diagnostiquée au CHUV Hypertension artérielle Dyslipidémie Anamnèse cardio-vasculaire familiale positive (père avec 3-PAC à 58 ans). Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Nodules pulmonaires d'origine indéterminée le 13.08.2014. Hypertension artérielle essentielle. Hypertension artérielle essentielle traitée. Hypertension artérielle essentielle. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose 90% de l'artère circonflexe distale : PTCA/1xDES (Bon). • Sténoses intermédiaires de l'ACD proximale, moyenne et distale. • Fraction d'éjection VG 65%. Hypertension artérielle et dyslipidémie traitées. Hypertension artérielle et hypercholestérolémie traitées. Hypertension artérielle Extrasystoles supra-ventriculaires Incontinence de type stress Migraines avec paresthésies du membre inférieur droit, traitées Zomig en réserve Malformation en collier de perles de l'artère rénale droite. Fibrillation auriculaire inaugurale intermittente le 07.04.2015 : • Cardioversion médicamenteuse par Amiodarone 2 bolus 150mg aux soins continus le 07.04.2015 • Anticoagulation thérapeutique par Xarelto 15mg (car insuffisance rénale chronique) dès le 09.04.2015. Diabète de type 2 insulino-requérant. Traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 23.11.2018 au 03.12.2018 avec : • Tests de la cognition du 27.11.2018 : MMSE à 24/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 3/15. Hypertension artérielle. Fibrillation auriculaire sous Sintrom. Hypertension artérielle Goutte. Diabète de type II non-insulino-requérant • HbA1c 6.7%, Majoration Metformine 500 mg 3x/j en janvier 2019. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Syndrome coronarien. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Excès pondéral. Hernie hiatale. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Hyperuricémie. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Insuffisance rénale chronique stade G3bA2 selon KDIGO, probablement dans le cadre d'une néphropathie hypertensive et d'une néphroangiosclérose. Hypothyroïdie subclinique sous Cordarone, actuellement substituée. Fibrillo-flutter intermittent, Score CHADS2-VASC à 2, HAS-BLED à 3, sous Xarelto depuis le 16.11.2015. Tachycardie supra-ventriculaire connue depuis 2006. Bloc atrio-ventriculaire complet intermittent alternant avec une bradycardie sinusale à 30/min, bloc de branche droit complet et hémibloc antérieur gauche dans le contexte d'une probable maladie de l'oreillette le 02.12.2015 : • pose de pacemaker bi-caméral AAI-DDD IRM compatible (1.5 T, non corps entier) le 03.12.2015 (Dr. X) • contrôle pacemaker le 08.10.2018 : absence d'activité auriculaire, dépendance du PCMK. Maladie coronarienne avec lésion monotronculaire : • sténose significative de l'IVA proximale avec mise en place d'un stent actif le 03.12.2015 (Professeur X) • échocardiographie transthoracique du 05.10.2018 (Dr. X) : sans les limites de la norme, FEVG 48%, PAP discrètement élevée, dilatation des veines sus-hépatiques • test effort le 05.10.2018 (Dr. X) : sous-maximal et incomplet, doublement négatif. Insuffisance rénale chronique avec clairance de la créatinine à 30 ml/min selon Cockroft & Gault. Anémie normochrome normocytaire chronique avec hémoglobine à 95 g/l le 09.01.2019, • probablement d'origine inflammatoire. Lymphome diffus à grandes cellules en stade II (versus IV, infiltration épiploon/ou muscle abdominal) stade IPI intermédiaire à haut risque. • date du diagnostic : 27.11.2018 • histologie : lymphome de haut grade à cellules B compatible avec un lymphome diffus à grandes cellules B, type centro-germinatif. • PET-CT du 22.10.2018 : hypercaptation ganglionnaire rétropéritonéale, hypercaptation abdominale diffuse, absence de lésion hypermétabolique ainsi que d'autres organes. • ponction-biopsie de moelle le 24.10.2018 : pas d'infiltration lymphomateuse. • échocardiographie transthoracique le 25.10.2018 : FEVG 65%, HTAP modérée à 48. • status post biopsies des tissus mous le 24.10 et le 31.10.2018 : non conclusive. • status post laparoscopie exploratrice avec biopsie le 22.11.2018 (Dr. X) : lymphome diffus à grandes cellules. • actuellement : chimiothérapie par R-CHOP sans Endoxan au vu de l'insuffisance rénale. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Insuffisance rénale chronique stade G3bA2 selon KDIGO, probablement dans le cadre d'une néphropathie hypertensive et d'une néphroangiosclérose. Hypothyroïdie subclinique sous Cordarone, actuellement substituée. Fibrillo-flutter intermittent, Score CHADS2-VASC à 2, HAS-BLED à 3, sous Xarelto depuis le 16.11.2015. Tachycardie supra-ventriculaire connue depuis 2006. Bloc atrio-ventriculaire complet intermittent alternant avec une bradycardie sinusale à 30/min, bloc de branche droit complet et hémibloc antérieur gauche dans le contexte d'une probable maladie de l'oreillette le 02.12.2015 : • pose de pacemaker bi-caméral AAI-DDD IRM compatible (1.5 T, non corps entier) le 03.12.2015 (Dr. X) • contrôle pacemaker le 08.10.2018 : absence d'activité auriculaire, dépendance du PCMK. Maladie coronarienne avec lésion monotronculaire : • sténose significative de l'IVA proximale avec mise en place d'un stent actif le 03.12.2015 (Professeur X) • échocardiographie transthoracique du 05.10.2018 (Dr. X) : sans les limites de la norme, FEVG 48%, PAP discrètement élevée, dilatation des veines sus-hépatiques • test effort le 05.10.2018 (Dr. X) : sous-maximal et incomplet, doublement négatif. Insuffisance rénale chronique avec clairance de la créatinine à 30 ml/min selon Cockroft & Gault. Anémie normochrome normocytaire chronique avec hémoglobine à 95 g/l le 09.01.2019, • probablement d'origine inflammatoire. Lymphome diffus à grandes cellules en stade II (versus IV, infiltration épiploon/ou muscle abdominal) stade IPI intermédiaire à haut risque, diagnostiqué le 27.11.2018. • histologie : lymphome de haut grade à cellules B compatible avec un lymphome diffus à grandes cellules B, type centro-germinatif. • PET-CT du 22.10.2018 : hypercaptation ganglionnaire rétropéritonéale, hypercaptation abdominale diffuse, absence de lésion hypermétabolique ainsi que d'autres organes. • ponction-biopsie de moelle le 24.10.2018 : pas d'infiltration lymphomateuse. • échocardiographie transthoracique le 25.10.2018 : FEVG 65%, HTAP modérée à 48. • status post biopsies des tissus mous le 24.10 et le 31.10.2018 : non conclusive. • status post laparoscopie exploratrice avec biopsie le 22.11.2018 (Dr. X) : lymphome diffus à grandes cellules. • actuellement : chimiothérapie par R-CHOP sans Endoxan au vu de l'insuffisance rénale. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Tabagisme chronique Consommation OH à risque Ostéoporose fracturaire. Hypertension artérielle Incontinence urinaire sur vessie neurogène Canal lombaire étroit Coxarthrose bilatérale, à prédominance droite Paralysie di-sciatique poplité externe. Hypertension artérielle Incontinence urinaire sur vessie neurogène Canal lombaire étroit Coxarthrose bilatérale, à prédominance droite Paralysie di-sciatique poplité externe Plaques athéromateuses mixtes à la bifurcation carotidienne D > G. • Anticoagulation par Eliquis 5 mg 2 x/j. Fibrillation auriculaire tachycarde à 120 bpm le 21.03.2019.• St. post Fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide le 12.03.2019 • CHA2DS2-VASc Score à 8 points, HAS-BLED à 4 points • Eliquis 2x 5 mg/j dès le 25.03.2019 • Digoxin 0.25 mg/j du 22.03.2019 au 28.03.2019 puis 0.125-0-0-0 Hypertension artérielle Insuffisance rénale chronique GFR III Etat anxieux Glaucome Insuffisance artérielle des MI avec angioplastie de l'artère iliaque commune G avec pose d'un Stent en 2012 Insuffisance veineuse des MI avec cure de varice en 2015 Goutte Status post PTH D, Clinique Générale, Dr. X Hypertension artérielle Insuffisance rénale chronique GFR III Etat anxieux Glaucome Insuffisance artérielle des MI avec angioplastie de l'artère iliaque commune G avec pose d'un Stent en 2012 Insuffisance veineuse des MI avec cure de varice en 2015 Goutte Status post PTH D, Clinique Générale, Dr. X Hypertension artérielle labile Hypertension artérielle l'arrivée au service des urgences Hypertension artérielle l'arrivée aux urgences Hypertension artérielle le 02.04.2019 Hypertension artérielle le 05.04.2019 Hypertension artérielle le 09.04.2019. Hypertension artérielle le 10.04.2019 Hypertension artérielle le 25.04.2019. TAG 152/98, TAD 149/91. Hypertension artérielle légère, non traitée. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : tests de la cognition du 04.03.2019 : MMSE à 28/30, test de la montre à 7/7 ; GDS à 1/15. Hypertension artérielle Lésion cutanée DD tumeur de la peau de la joue D, non traitée Presbyacousie Carence en Vit. D Hémisyndrome partiel D 1999 • difficulté motrice légère D, persistante • sous Aspégic 250 mg/j. Troubles cognitifs importants Insuffisance rénale chronique degré G3b Hypertension artérielle Leucémie lymphoïde chronique à cellules B stable (suivi par Dr. X et le médecin traitant) Hypertension artérielle mal contrôlée : • asymptomatique Hypertension artérielle mal contrôlée avec 200/100mmHg aux urgences Hypertension artérielle mal contrôlée. DD : erreur de prise tensionnelle. Hypertension artérielle mal contrôlée sous Irbesartan, Torasémide et Amlodipine Glaucome Cardiopathie hypertensive avec (coronarographie le 16.01.2019) • Sclérose coronarienne minime, non significative • Hypertension artérielle • Bonne fonction VG systolique Cardiopathie valvulaire avec rétrécissement aortique serré, d'origine dégénérative (ETT 01.2019) Status après ostéosynthèse par plaque pour une fracture pathologique de la diaphyse humérale droite type AO 12A1-c sur métastase le 12.01.2019 (Dr. X) Hypertension artérielle mal contrôlée Hypertension artérielle mal contrôlée probablement d'origine rénale Hypertension artérielle non contrôlée Hypertension artérielle non symptomatique le 27/04/19 Hypertension artérielle non traitée. Hypertension artérielle non traitée Hypertension artérielle non traitée • Asymptomatique Hypertension artérielle non traitée le 04.04.2019 • asymptomatique • aux alentours de 140/90 mmHg DD : Effet blouse blanche, prednisone, sur toux et dyspnée Hypertension artérielle non traitée le 26.04.2019. Hypertension artérielle non traitée Anémie normochrome normocytaire avec Hb à 90g/l Compression médullaire au niveau T4 dans le contexte du diagnostic principal avec : • dorsalgie et signe de Lhermitte • globe urinaire sans hypoesthésie en selle le 18.11 et 04.12.2018 • déficit moteur du membre inférieur droit et hyper-réflexie des membres inférieurs du 04.12. au 21.12.2018, actuellement résolus Avis orthopédique team-Spine : radiographie de la colonne dorsale le 18.01.2019 Avis orthopédique team-Spine (Dr. X) : pas de kyphoplastie aigue. Refaire une radiographie de la colonne dorsale à un mois (semaine du 28.02.2019), avec un avis orthopédique du team-Spine Sonde urinaire du 18.11 au 27.11.2018 Sonde urinaire du 04.12 au 20.12.2018 Contrôle clinique étroit : si réapparition des déficits neurologiques, faire CT et demander un avis Team-Spine Densitométrie osseuse dans l'année avec évaluation de l'indication à des bisphosphonates (iv car ulcère digestif) Hypertension artérielle non traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle non contrôlée Hypertension artérielle non traitée Ancien polytoxicomanie actuellement sous Méthadone • Métadone per os 150mg 2 fois par jour, Focalin XR per os 15mg 3 fois par jour, Lamictal comprimé 100mg 2 fois par jour, Rivotril per os 2mg 1 fois par jour, Seroquel per os 100mg 2 fois par jour • status post plusieurs séjours en milieu psychiatrique Hypertension artérielle non traitée Lombalgies chroniques Hypertension artérielle. Obésité avec BMI à 35.5. Hypertension artérielle Obésité de stade I selon l'OMS Notion de sténose aortique lâche • Suivi cardiologique annuel Hypertension artérielle pulmonaire modérée au cathéterisme gauche-droit du 22.03.2019 Hypertension artérielle (prise de Vascord 40/10 mg). Hypercholestérolémie (prise d'Atorvastatine à 40 mg). Abus d'alcool présumé latent. Traitement de sevrage prophylactique avec Distraneurine, Becozym et Benerva. Hypertension artérielle • profil tensionnel bas sous traitement habituel Hypertension artérielle. Progression d'un adénocarcinome des angles coliques gauche et droit cTx cNx cM1 (carcinose péritonéale/hépatique) stade IV, le 09.01.2019 - Arrêt du Stivarga. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Lombalgies chroniques sur troubles dégénératifs. Hypertension artérielle réfractaire traitée avec Lisinopril. Trouble bipolaire sous traitement par Lithium. Lésion nodulaire hépatique de 3 cm d'origine indéterminée et de découverte fortuite le 04.01.2019. DD : CHC, hémangiome atypique • IRM hépatique le 22.01.2019 : lésion supracentimétrique du foie gauche pas spécifique. Wash out rapide en phase portale pouvant évoquer un CHC. • US hépatique le 22.01.2019 : Lésion connue du segment II du foie, mesurant environ 25 mm de diamètre, hétérogène avec un aspect hypoéchogène prédominant et une discrète vascularisation périphérique. Cette lésion ne présente pas les caractéristiques typiques d'un hémangiome. AFP dans la norme à 2.2 ng/ml le 22.01.2019. • Convocation en oncologie à la consultation du Dr. X (HFR Fribourg) le 12.02.2019 avec prise de contact et explication de la situation. • Pet Scan pour bilan d'extension avec prise de sang et Tumorboard le 20.02.2019. • Rendez-vous pour discuter des résultats avec le patient le 25.02.2019. Hypertension artérielle sévère probablement dans le contexte infectieux Hypertension artérielle, sous Co-Valsartan 80/12.5mg Obésité Maladie variqueuse chronique avec multiples interventions sur ses varices • incontinence des petites veines saphènes des 2 côtés Hypertension artérielle sous Coveram 5mg Dyslipidémie sous Pravastatine 20mg Hypertension artérielle • sous Coveram 5/5mg Hypertension artérielle sous Enalapril Syndrome douloureux lombo-radiculaire S1 à droite Gonarthrose droite Hypertension artérielle sous Enalapril Syndrome douloureux lombo-radiculaire S1 à droite Gonarthrose droite Hypertension artérielle sous Lisinopril Hypertension artérielle sous pentathérapie Hypercholestérolémie traitée AOMI stade IV Obésité classe II selon l'OMS (BMI 36.7 kg/m2) Hypertension artérielle sous Sotalol 40 mg le soir 1x. Arthrose rachidienne notamment cervicale (anamnestique). Névralgies d'Arnold. Notion anamnestique de souffle vasculaire avec imagerie (CT?) il y a environ 7 ans sans anévrisme. Hypertension artérielle sous traitement Hypertension artérielle sous traitement par Lisinopril 10mg 1-0-0-0 Suspicion d'hernie inguino-crurale gauche. Hypertension artérielle Stéatose hépatique sur éthylisme chronique Bronchopneumopathie chronique obstructive sur tabagisme • Probable potomanie • Probable syndrome de Korsakoff • Hypertension artérielle. • Surpoids. • Omalgie gauche sur déchirure de la coiffe des rotateurs (infiltrations de Cortisone). • Hypertension artérielle symptomatique le 10.04.2019. • Hypertension artérielle systolique • Hypertension artérielle systolique symptomatique le 01.04.2019 • TDAH et HP (Dr. X). • Ronchopathie simple sévère (Dr. X, 06/2016). • Thrombophilie (mutation facteur V Leiden et déficit Protéine S) sous anticoagulation par Sintrom (5 cp par jour habituellement) • Maladie thrombo-embolique sans compromission hémodynamique (anticoagulation infra-thérapeutique) avec embolie pulmonaire centrale droite et thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche en 2011. • Canal lombaire étroit avec discopathie L4-L5, L5-S1. • Hypertension artérielle traitée • Hyperlipidémie non traitée • Démence débutante • Hypertension artérielle traitée à prédominance nocturne. • Hypertension artérielle traitée à prédominance nocturne. • Syndrome obstructif des apnées du sommeil non appareillé • BMI: 35,9 kg/m2 (obésité sévère), • avec IAH à 21.1/h et saturation d'O2 moyenne durant la nuit de 86.5 %. • Sclérose coronarienne. • Hyperplasie bénigne de la prostate traitée. • Hypothyroïdie substituée. • Epigastralgies chroniques post prandiales. • Hypertension artérielle traitée (Aprovel). • Hypercholestérolémie traitée (Crestor). • Goutte traitée (Allopur). • Calcification osseuse de la partie haute de la laparotomie médiane. • Hypertension artérielle traitée avec Coversum (prise non régulière du médicament). • Lombalgies. • Hypertension artérielle traitée • Cardiopathie ischémique • Hypertension artérielle traitée. • Cardiopathie ischémique: • stent actif dans la CX pour angor instable le 01.10.2008, • FEVG 79%. • Douleurs neuropathiques chroniques dorsales avec irradiation vers l'hémithorax gauche. • Ethylisme chronique ancien, sevré en 2008. • Résection tri-segmentaire du poumon gauche en 2008 pour carcinome (HFR Fribourg). • Adénocarcinome de la prostate grade 3 avec résidu post-mictionnel à 750 ml et pose d'une sonde vésicale le 26.01.2018: • Status post prostatite aiguë avec état fébrile à 39°C et pose d'une sonde vésicale pour rétention urinaire en janvier 2018, • Status post résection transurétrale de la prostate le 21.03.2018 par Dr. X, suivie d'une nouvelle rétention urinaire à 1300 ml • BPCO stade I A selon Gold sur/avec : • Ancien tabagisme, • Syndrome obstructif léger, • Troubles diffusionnels de degré moyen. • NSCLC cT1b cN0 cM0, stade IA2, lobe supérieur droit: • Exérèse le 15.11.2018 et résection Rx. • Hypertension artérielle traitée depuis avril 2015. • Souffle systolique cardiaque, échocardiographie en ambulatoire. • Hypertension artérielle traitée. • Diabète type 2 non insulino-requérant. • Insuffisance rénale chronique. • Hypertension artérielle traitée (Diminution du Zanidip à 5 mg, Poursuite Lisinopril, Schellong le 25.06.2018: négatif) • Douleurs abdominales basses (FID, sus-pubien, FIG) chroniques d'origine indéterminée depuis le 29.09.2016: • DD : colique, gynécologique, urinaire, post-opératoire, syndrome colon irritable, status post gastroentérite virale 02.2018, néoplasie non exclue • CT thoraco-abdominal le 18.06.2018: pas d'argument pour maladie de Crohn • Calprotectine dans les selles : 221 le 27.06.2018 (752 en 02.2018) • Avis gynécologique (dernière consultation chez Dr. X le 14.11.2017) : cysto-rectocèle, sinon normal, US vaginal normal, contrôle gynéco seins + OGE/OGI sp • Gastrite chronique • Syndrome douloureux d'origine indéterminée avec : • douleurs thoraciques aigües et extra-thoraciques chroniques mal systématisées, résistantes à un traitement anti-inflammatoire. • DD : suspicion de pleurite avec bruits de frottements de la plèvre bilatéraux. • Douleurs basithoraciques gauche chroniques reproductibles à la palpation d'allure neuropathique d'origine spondylogène (DD : syndrome de Maigne, sleeping rib syndrome) • Antalgie : Prégabaline • Physiothérapie avec mobilisation segmentaire du dos • Consilium antalgie (Dr. X) le 27.06.2018: proposition d'infiltration du nerf intercostal sous US refusée par la patiente • Myalgies et douleurs tendineuses à prédominance distale des membres supérieurs et inférieurs (chevilles) reproductibles à la palpation et à prédominance nocturne • DD : syndrome des jambes sans repos, douleurs mécaniques post-traumatique (entorse cheville D en 2011), connectivité (peu probable) • Examen ambulatoire: • dot myosite 05.2018 HFR: SRP et PL7 +, dot connectivité 05.2018 HFR: ANA +, anti SSA Ro60 +, à l'InselSpital en mars 2018: tous les dot myosites et connectivités étaient négatifs • CK: dans la norme, aldolase 27.03.2018: <1U/l • Biopsie glandes salivaires: infiltrat lymphoplasmocytaire interstitiel très discret, sans formation de foyer lymphocytaire • scintigraphie osseuse le 22.03.2018: pas d'image en faveur d'une atteinte inflammatoire active au niveau ostéo-articulaire, absence d'image scintigraphique nette en faveur d'une éventuelle atteinte tumorale ou post-traumatique au niveau du squelette • ENMG (Hecker) 10.04.2018: normal • Fonctions pulmonaires simples le 06.04.2018: absence de trouble ventilatoire obstructif. Diminution DEM 25-75% compatible avec obstruction petites voies aériennes • IRM colonne totale et sacro-iliaque 23.05.2018 : Pas d'argument, sur l'examen actuel, en faveur d'une sacro-iliite. • Discopathie étagée modérée plus marquée au niveau cervical en C4-C5 et C5-C6 ainsi qu'au niveau lombaire en L2-L3, L4-L5 et L5-S1. Pas de compression radiculaire nettement visible sur l'examen actuel. • CT thoraco-abdominal le 18.06.2018 • Essai Sifrol et Madopar sans réel effet chez son médecin traitant (compliance douteuse) • Nodules sous-cutanés douloureux bras droit et fesse droite subaigus (DD : lipome). • Consilium dermatologique en ambulatoire le 05.09.2018 • Troubles du sommeil • Syndrome des jambes sans repos avec lésions purpuriques d'origine indéterminée Douleurs basithoraciques gauche chronique reproductible à la palpation d'allure neuropathique d'origine spondylogène (DD : syndrome de Maigne, sleeping rib syndrome) Douleurs chroniques le 07.09.2018 • dans un contexte de prise en charge multidisciplinaire déjà instaurée (rhumatologie, anesthésie) Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie traitée. Hypertension artérielle traitée et dyslipidémie traitées. Hypertension artérielle traitée. Fibrillation auriculaire paroxystique sous Xarelto. Ostéoporose avec fracture stable de D12. Arthrose interfacettaire L4-L5 avec lombalgies chroniques Gammapathie monoclonale type IgM kappa. Lymphome B de la zone marginale stade IV diagnostiqué en 2004 avec : • nodule parotide gauche traité par résection et radiothérapie en 2004 • amygdalectomie en 2008 • infiltrat pulmonaire symptomatique en 2008, traitement par Mabthera jusqu'en 2011 avec réponse radiologique complète • infiltration parotide droite en août 2012 avec reprise Mabthera tous les 2 mois depuis septembre 2012, dernière cure début février 2013. Lombalgies chroniques sous traitement de Fentanyl. Hypertension artérielle traitée Hernie hiatale non compliquée Coxalgie bilatérale avec atrophie de la tête fémorale gauche Gonarthrose droite Troubles anxiodépressifs Status post prothèse totale de la hanche droite en 2006 Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle traitée Hyperthyroïdie Troubles de la déglutition sur troubles de la vigilance liés à la méningite Dépression sévère récidivante sous Lithium, Quétiapine et Sertraline Troubles de la marche et de l'équilibre avec : • Intoxication au lithium (2.22mmol/l le 16.02) • Status post PTG à gauche le 31.01.2018 pour gonarthrose gauche • Incontinence urinaire • Obésité • Dépression sévère traitée par Lithium, Sertraline, Quétiapine • Carence sévère en vitamine D • Hypothyroïdie Trouble dépressif récurrent, F33.3, 23.02.2018 • sous traitement par Lithium, Sertraline, Quétiapine • Z91.5 Antécédents personnels de lésions auto-infligées (2006 et 2009) avec hospitalisations à Marsens Consilium psychiatrique 23.02.2018 (Dr. X) : trouble dépressif récurrent, actuellement épisode dépressif de degré léger. Déficits cognitifs d'origine peu claire. Poursuivre traitement par Quilonorm 1x/j. Le traitement combiné de lithium et anti-dépresseur est une bonne alternative. Rendez-vous chez son psychiatre conseillé à la sortie. Poursuite du traitement Troubles cognitifs débutants • MMS 20/30, Test de la montre 2/7, GDS 2/15 Tests gériatriques Evaluation neuro-psychologique le 05.03.2018 Hypertension artérielle traitée, mal contrôlée le 24.02.2017 Exacerbation d'une BPCO non stadée dans un contexte de pneumonie le 20.02.2017 Débridement sous-acromial de l'épaule droite sur rupture de la coiffe des rotateurs en 2000 Cure de tunnel carpien gauche en 1996 Cure pouce à ressaut droit en 1995 Diverticulose sigmoïdienne Anémie postopératoire avec Hb à 81 g/l traitée par transfusion de 2 CE le 05.04.2018 Hypertension artérielle traitée • Nebilet plus 5/12.5 0.5 cpr./j et Comilorid 5/50 1 cpr. 2x/semaine Polyarthralgies fluctuantes avec syndrome de Raynaud intermittant Cervicalgies récidivantes chroniques Hypertension artérielle traitée, non connue. Pas d'autre maladie connue. Hypertension artérielle traitée par Bisoprolol et Nifédipine. Carcinome rénal gauche, le 14.04.2016. Broncho-pneumopathie chronique obstructive non stadée. Anémie normocytaire, normochrome, régénérative d'origine ferriprive. Embolie pulmonaire bilatérale segmentaire et sous-segmentaire le 14.04.2016 : • Pose de filtre cave le 15.04.2016, ablation prévue le 04.07.2016 en radiologie à l'HFR Fribourg. • Patient sous anticoagulation avec Xarelto de 20 mg. • Fibrillation auriculaire, date inconnue, passage transitoire en flutter auriculaire le 15.04.2016. • Sous Xarelto jusqu'au 23.01.2017. Carcinome rénal gauche le 14.04.2016. • Suivi par le Dr. X (surveillance et CT de contrôle en 2017). Hypertension artérielle traitée par Candesartan. Rhume des foins traité par Bilaxten. Asthme traité par médicament X. Hypertension artérielle traitée par Concor 5 mg et Lisitril comp 20/12.5 mg. Hypercholestérolémie traitée par Sortis 20 mg. Hypertension artérielle traitée par Concor 5 mg. Hypercholestérolémie traitée par Sortis 20 mg. Hypertension artérielle traitée par Lisinopril Dyslipidémie traitée par Zanidip Tabagisme actif (10 cigarettes/jour) Hypertension artérielle traitée par Meto Zerok 50mg 1-0-1 et Exforge 10/160/25 1-0-0 Hépatomégalie avec stéatose Hypertension artérielle traitée par Meto Zerok Traitement d'Aspirine cardio 100 mg, raison non connue par la patiente. 2 autres médicaments, vraisemblablement contre la tension artérielle Hypertension artérielle traitée par Votum Plus. Diabète de type 2 non-insulino-requérant. Hypertension artérielle traitée par Zanidip. Hypertension artérielle traitée par Lisinopril 10-12.5 mg Tabagisme actif 60 UPA Dyslipidémie traitée par régime Fibrillation auriculaire intermittente à conduction rapide le 18.03.2019 • Pas d'indication à une cardioversion chimique. • Traitement freinateur par Beloc Zok dès le 18.03.2019 et anticoagulation par Xarelto 20 mg/j • ETT du 19.03.2019 : ventricule G non dilaté, non hypertrophié, FEVG 55%, oreillette G très dilatée, dysfonction diastolique minime (grade I), discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Hypertension artérielle traitée • sous Amlodipin, Beloc Zok, Physiotens Hypertension artérielle traitée • sous Exforge HCT 5/160/12.5mg, en pause depuis le 11.03.2019 dans le contexte de diarrhées Hypertension artérielle traitée Anémie normochrome normocytaire légère chronique Hernie hiatale (s/p ulcère de l'estomac en 2008) Diverticulose sigmoïdienne Hypertension artérielle traitée Asthme allergique Ostéopénie sévère Hypertension artérielle traitée. Asthme traité. Petite hernie ombilicale avec un collet de 5 mm asymptomatique. Diabète de type 2 (Dr. X). Trouble de la marche dans un contexte de polyneuropathie sur diabète de type 2 insulino-requérant. Syndrome des jambes sans repos. Troubles cognitifs. Hypertension artérielle traitée Asthme Anticoagulation sur status post multiples thromboses IRC stade 3b Anémie d'origine mixte, post-opératoire et ferriprive le 28.12.2017 Troubles de la marche et de l'équilibre avec : • Fracture périprothétique de colonne antérieure avec fracture du cotyle et de la branche ilio-pubienne gauche post chute le 24.12.2017 traitée conservativement • Status post prothèse céphalique le 18.12.2017 pour fracture du col du fémur droite type Garden IV le 13.12.2017 • Status post prothèse céphalique pour fracture col fémur gauche type Garden IV le 30.09.2015 • Vitamine D dans la norme, 90 nmol/l le 11.01.2018 • TSH dans la norme le 11.01.2018 • Vitamine B12 et folates dans la norme le 11.01.2018 Réhabilitation musculo-squelettique DXA à rediscuter Thromboses veineuses à répétition • sous Eliquis 2.5 mg 2x/j Poursuite du traitement IRC stade III (45 ml/min/1.73 m² eGFR) • Créat 62 mcmol/l, eGFR 76 ml/min selon CKD-EPI le 24.01.2018 Stimulation aux boissons Surveillance Suspicion de troubles cognitifs légers à moyens avec : • IRM en ambulatoire 22.05.2017 • MMS 24/30, test de la montre 3/9, GDS 3/15 le 10.01.2018 • Evaluation neuro-psychologique (résultat en cours) : troubles de la mémoire multiples, léger manque du mot et dysfonctions exécutives Tests gériatriques Evaluation neuro-psychologique Evaluation neuro-psychologique à organiser à distance Malnutrition protéino-calorique sévère avec : • BMI : 14.4 kg/m2 • NRS 5/7 • Albumine 34.4 g/l, Préalbumine 0.26 g/l Evaluation nutritionnelle Introduction de substituts nutritifs Hypertension artérielle traitée Broncho-pneumopathie chronique obstructive de stade III et un tabagisme actif Hypercholestérolémie traitée Troubles cognitifs débutants Nodule thyroïdien bénin droit investigué et sous Euthyrox Réadaptation pour déconditionnement dans le contexte d'une hospitalisation depuis le 15.11.2018 avec : • Contexte social précaire • Dénutrition protéino-énergétique • Hypovitaminose Hypertension artérielle traitée. Carcinome urothélial papillaire non invasif de bas grade de la vessie (G1) avec résection le 18.02.2019 (Dr. X) : • Cystoscopie tous les 3 mois (prochaine à prévoir en mai 2019) Hypertension artérielle traitée. Carcinome urothélial papillaire non invasif de bas grade de la vessie (G1) avec résection le 18.02.2019 (Dr. X) : • cystoscopie tous les 3 mois (prochaine à prévoir en mai 2019). Hypertension artérielle traitée Cardiomyopathie hypertrophique homogène dilatée • Décompensation cardiaque sur cardiopathie hypertrophique dilatée le 04.08.2012 (DD : myocardite vs OH chronique) Syndrome de dépendance à l'alcool (8 bières/j) avec atrophie cortico-subcorticale globale précoce Suspicion de carcinome bronchique hilaire droit, probablement classé T1c N1 M0, le 21.02.2019 • CT thoraco-abdominal le 21.02.2019, IRM cérébrale le 21.02.2019, PET-CT le 25.02.2019 • Bronchoscopie (EBUS) le 26.02.2019, biopsie transthoracique sous guidage CT le 04.03.2019 • Tumor Board de chirurgie thoracique le 06.03.2019 : pathologie non-conclusive mais suspicion clinique et radiologique très élevée. Convocation en chirurgie thoracique pour résection des segments concernés, avec potentielle chirurgie additionnelle suivant les résultats (29.03.2019) Emphysème pulmonaire sans obstruction, le 22.02.2019 • BPCO stade I A avec réversibilité significative • Tabagisme actif à 37 UPA • Fonctions pulmonaires complètes le 08.03.2019 • Introduction de Symbicort du 23.02 au 08.03.2019 Hypertension artérielle traitée Cardiomyopathie hypertrophique homogène (Echo du 05.01.2017) Coxarthose gauche Hypertension artérielle traitée Cardiopathie dysrythmique avec maladie de l'oreillette débutante Polyarthrite rhumatoïde séropositive avec : • lésions cutanées psoriasiformes depuis 2011 Carence en vitamine D (24 nmol/l le 18.04.2016) Hypertension artérielle traitée. Cardiopathie ischémique avec maladie coronarienne tritronculaire : • NSTEMI en 08.2016 (subocclusion CD moyenne : PTCA et pose de stent) • décompensation cardiaque globale d'origine hypertensive probable le 09.10.2016 • coronarographie le 25.10.2016 : excellent résultat à long terme après PTCA/DES de l'artère coronaire droite moyenne, sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale : primary stenting DES. Insuffisance rénale chronique stade III (CKD-EPI 47 ml/min) sur néphropathie probablement mixte (hyperuricémie, vasculaire, hypertensive) : • avec acutisation d'origine probablement rénale le 17.10.2016 - Créatinine 134, Fe urée 36 % le 17.10.2016 • avec acutisation d'origine pré-rénale (post injection coronarographie) le 26.10.2016 - Créatinine 166, Fe urée 24.9 % • anémie normochrome normocytaire hyporégénératif à 127 g/l le 09.10.2016, d'origine rénale probable • déficit en vitamine D à 36 nmol/l le 13.10.2016. Hyperuricémie. Hyperplasie prostatique sous Pradif. Hypertension artérielle traitée Cardiopathie ischémique avec STEMI antérieure étendue en 2007, maladie coronarienne tri-tronculaire avec : • status post-PCI de l'interventriculaire antérieure et de l'artère coronaire droite en août 2007 et en 2011. • coronarographie du 14.10.2016 : • occlusion chronique DA et petite PLA et une sténose de novo 80 % bifurcation MA. • fraction d'éjection ventricule gauche à 50 %. • angioplastie de la première marginale avec implantation d'un stent actif. Hypercholestérolémie traitée Pyrosis occasionnel Hypertension artérielle traitée Consommation d'alcool à risque Status post-fracture ouverte trimalléolaire de la cheville gauche, avec des douleurs chroniques persistantes le 30.09.2016, avec suivi en anesthésie-antalgie à l'HFR (Dr. X) Hypertension artérielle traitée Déficit vitamine D Diabète de type 2 insulino-requérant (status après Whipple) Hypertension artérielle traitée. Diabète de type II traitée. Hypertension artérielle traitée Diabète de type II cardiopathie ischémique avec status post pose de stents Notion de consommation d'OH à risque Hypertension artérielle traitée. Diabète de type II. cardiopathie ischémique avec status post pose de stents. Notion de consommation d'OH à risque Hypertension artérielle traitée Diabète de type II Dyslipidémie Maladie hypertensive et coronarienne tritronculaire avec : • Sténose 75 % bifurcation IVA/DA (MEDINA 0-1-1, 2 DES ; trousers technique) : Bon • Bon résultat après stenting de l'ACD moyenne en 2007, ACD/IVP en mai 2014 • Bon résultat après stenting MA et RCx en mai 2014 • Fraction d'éjection VG 70 % Hypertension artérielle traitée Diabète de type 2 non insulino-requérant Hypertension artérielle traitée. Diabète de type 2 traité. FA sous Sintrom. Incontinence urinaire type stress avec trigonite vésicale. Acidose métabolique chronique. Insuffisance rénale chronique acutisée dans un contexte de rein unique en mai 2012. Hypertension artérielle traitée. Diabète non insulino-requérant. Obésité morbide. Adénocarcinome de la prostate cT2 Nx Mx G2 (iPSA 5,715, Gleason 7), diagnostiqué le 03.10.2011, traité par prostatectomie radicale. Dysfonction érectile. Hypertension artérielle traitée. Diabète type 2. Insuffisance veineuse chronique stade I (G > D). Troubles dégénératifs de la colonne vertébrale. Hypertension artérielle traitée Diverticulose Ostéoporose Troubles de la marche et de l'équilibre sur : • dégénérescence maculaire à droite • hypoacousie appareillée • prothèse totale de hanche gauche • ostéoporose fracturaire avec tassement ancien de D12 • anémie • hypovitaminose D Traitement de réhabilitation gériatrique précoce complexe du 02.12.2016 au 13.12.2016 Test de la cognition le 05.12.2016. Reflux gastro-oesophagien dans un contexte de hernie hiatale avec endo-brachy-oesophage court en 2013 Cholestase et cytolyse hépatique avec perturbation des tests hépatiques Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie ETT août 2018 : FEVG conservée, pas de valvulopathie significative Hypothyroïdie substituée sur : • S/p Thyroïdectomie totale bilatérale le 26.07.2018 pour goitre multinodulaire : • Nodule dominant lobe gauche de cytologie folliculaire (Bethesda IV le 04.08.2017) • Suivi endocrinologique par Dr. X, dernier contrôle le 16.01.2019 Polypes hyperplasiques du recto-sigmoïde sans signe de malignité en 2011 Hémorroïdes internes stade I en 2011 Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie non traitée Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie non traitée Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie non traitée Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie. Sténose asymptomatique de l'artère carotide interne gauche. Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Fibrillation auriculaire paroxystique nouvelle spontanément cardioversée le 11.03.2018 : • CHADSVASC à 3 pts et HASBLED à 2 pts • Anticoagulation par Xarelto Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Hyperplasie bénigne prostate non traitée Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Hyperplasie bénigne prostate non traitée Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Maladie coronarienne bitronculaire • sténose de 50% de l'IVA proximale • sténose de 70% de la première marginale • s/p infarctus myocardique non daté (cicatrice myocardique au CT thorax en 2009) • s/p dilatation et double stenting de la première marginale en 2009 Méningiome parasellaire droit (connu depuis 2009) avec probable compression du sinus caverneux droit Cure d'éventration avec filet (de date inconnue) • s/p intervention en raison d'une infection du filet en 2011 • s/p laparotomie avec adhésiolyse et résection segmentaire de 20 cm de l'iléon pour iléus postopératoire en 2012 • s/p perforation intestinale en 2015 • plaies abdominales chroniques (suivi par Dr. X, réfection des pansements 3x/sem) • diarrhées chroniques dans le contexte de multiples interventions abdominales avec probable composante inflammatoire chronique (calprotectine 111 mcg/l en 2017) Décollement de rétine œil gauche multiopéré avec cécité presque complète • Vitrectomie par la pars plana, cryocoagulation et échange eau-gaz SF6 en 2012 Diarrhées chroniques multi-investiguées Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Maladie coronarienne bitronculaire • sténose de 50% de l'IVA proximale • sténose de 70% de la première marginale • s/p infarctus myocardique non daté (cicatrice myocardique au CT thorax en 2009) • s/p dilatation et double stenting de la première marginale en 2009 Méningiome parasellaire droit (connu depuis 2009) avec probable compression du sinus caverneux droit Cure d'éventration avec filet (de date inconnue) • s/p intervention en raison d'une infection du filet en 2011 • s/p laparotomie avec adhésiolyse et résection segmentaire de 20 cm de l'iléon pour iléus postopératoire en 2012 • s/p perforation intestinale en 2015 • plaies abdominales chroniques (suivi par Dr. X, réfection des pansements 3x/sem) • diarrhées chroniques dans le contexte de multiples interventions abdominales avec probable composante inflammatoire chronique (calprotectine 111 mcg/l en 2017) Décollement de rétine œil gauche multiopéré avec cécité presque complète Vitrectomie par la pars plana, cryocoagulation et échange eau-gaz SF6 en 2012 Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Obésité de stade I (BMI 34,4 kg/m2) Insuffisance veineuse du membre inférieur gauche de stade C3SEPASPR par incontinence de tributaires de la cuisse et de la jambe issues de la grande veine saphène SAOS appareillé Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie Hypothyroïdie non substituée (suivi Dr. X) Ostéoporose • Sous Prolia (dernière injection le 20.11.2017) • Dernière densitométrie en 2016 Hernie discale L4-L5 avec lombo-sciatalgie gauche le 19.06.2018 avec : • Syndrome radiculaire L4-L5 à gauche • Aréflexie patellaire gauche • Hyposensibilité territoire L5 à gauche • Retro-Lasègue positif, Lasègue négatif, contre-Lasègue négatif • Radiographie de la hanche G : pas de fracture, pas de coxarthrose • Radiographie colonne lombaire : pas de fracture-tassement. Rectitude de la colonne lombaire (trouble statique) • IRM lombaire le 19.06.2018 : hernie discale L4-L5 gauche avec compression radiculaire L4 gauche intra foraminale et dans le récessus latéral et contact avec la racine L5 gauche Hyponatrémie hypoosmolaire euvolémique à 122 mmol/l, asymptomatique le 16.06.2018 : • chez patiente connue pour une hyponatrémie hypo-osmolaire normo-volémique sur probable SIADH post-TCC (DD polydipsie) depuis novembre 2016 • restriction hydrique 1000 ml/24h à domicile • CT-thoraco-abdomino-pelvien et IRM cérébrale sans particularité en novembre 2016 • test au Synacthen normal en mars 2017 Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie. Malnutrition protéino-énergétique. Anxiété généralisée. Lésion suspecte du rein gauche. Hypertension artérielle traitée Epilepsie partielle multifocale traitée par Keppra Diabète type II insulino-requérant compliqué avec : • Multiples décompensations hyper-osmolaires • Polyneuropathie des membres inférieurs avec troubles de l'équilibre Fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée Trémor essentiel Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Epilepsie partielle multifocale • Polyneuropathie des membres inférieures probablement d'origine diabétique • Surinfection d'un ulcère du membre inférieur droit sur neuropathie diabétique • Tests cognitifs du 19.02.2019 : MMSE à 23/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 4/15 Surinfection de l'ulcère du membre inférieur droit au niveau du tendon d'Achille, traité depuis le 08.02.2019 • Avis stomatothérapeutique le 11.02.2019 : • Suspicion d'une composante vasculaire à la plaie • Suivi régulièrement durant l'hospitalisation • Protocole : Bétadine, tulle à changer toutes les 48 heures • Consilium d'angiologie le 12.02.2019 (Dr. X) : artériopathie avec médiacalcinose, persistance du flux jusqu'au niveau des artères jambières en péri-malléolaire et au dos du pied des deux côtés, ainsi que de bonnes valeurs de pléthysmographies aux gros orteils des deux côtés ; mise en place d'une contention élastique pour combattre l'oedème • Avis du chirurgien de garde Dr. X : une crème et du tulle de Bétadine, si mauvaise évolution probable mettre la crème corticoïde, éventuellement une greffe à distance Diabète II insulino-requérant avec instabilité glycémique • Consilium de diabétologie : • Arrêt de l'Insuline Lantus durant l'hospitalisation car les valeurs glycémiques sont mal contrôlées. • Ad Insuline Rhyzodeg durant l'hospitalisation avec des valeurs glycémiques très bien contrôlées. Hypertension artérielle traitée. Etat dépressif. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine le 29.03.2018. Hypertension artérielle traitée Fibrillation auriculaire le 31.07.2018, anticoagulée initialement par Xarelto 20 mg, stoppé sur désir de la patiente en raison d'épisodes d'épistaxis. Hypertension artérielle traitée Fibrillation auriculaire sous Xarelto BAV 2ème degré (Mobitz 2) avec pose de pacemaker en janvier 2016 (appareil compatible avec IRM) Cardiopathie ischémique avec lésion monotronculaire de l'IVA avec coronarographie avec angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure moyenne avec implantation d'un stent actif le 23.08.12 Cardiopathie ischémique et rythmique avec • FEVG à 65% en 2017 Hypertension artérielle traitée. Fibrillation auriculaire sous Xarelto BAV 2ème degré (Mobitz 2) avec pose de pacemaker en janvier 2016 (appareil compatible avec IRM) Cardiopathie ischémique avec lésion monotronculaire de l'IVA avec coronarographie avec angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure moyenne avec implantation d'un stent actif le 23.08.12 Cardiopathie ischémique et rythmique avec • FEVG à 65% en 2017 Hypertension artérielle traitée Gonarthrose uni-compartimentale fémoro-tibiale interne genou D Hypertension artérielle traitée Goutte Hypertension artérielle traitée Goutte Hypertension artérielle traitée Hernie hiatale mixte Coxarthrose bilatérale Spondylarthrose Hypertension artérielle traitée Hernie hiatale mixte Coxarthrose bilatérale Spondylarthrose Fibrillation auriculaire rapide paroxystique le 18.03.2019 avec anticoagulation par Sintrom : • CHA2DS2 VASc : 3 pts, HAS-BLED : 2 pts • Echocardiographie transthoracique le 25.03.2019 (Dr. X) : fraction d'éjection ventriculaire gauche à 70%, septum hypertrophique avec minime obstruction asymptomatique, sténose aortique dégénérative modérée, sténose mitrale légère Hypertension artérielle traitée Hernie hiatale, sous Pantozol Cypho-scoliose Arthrose Anisocorie depuis l'enfance Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Cardiopathie hypertensive, (écho de 2010), fonction bi-ventriculaire conservée, taille des cavités normale, sclérose aortique avec petite insuffisance, petite insuffisance mitrale, pas d'HTAP. Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Hypoacousie appareillée ddc Angor instable sur maladie coronarienne tri-tronculaire : • bon résultat PCI IVA proximale le 01.06.2018 pour NSTEMI/IC aiguë • bon résultat après PCI IVA moyenne à distale, RCx proximale et distale le 23.07.2018 • lésion intermédiaire de la 1ère diagonale • sténose significative de l'ostium de la première marginale. Lésion intermédiaire de l'artère bissectrice • lésion intermédiaire de l'artère coronaire D moyenne. Sténose significative de l'artère rétroventriculaire postérieure. Occlusion aiguë de l'ostium de la 1ère rétroventriculaire G. • sténose significative de l'artère interventriculaire postérieure : angioplastie sans stent Coronarographie le 31.01.2019 (Dr. X) Insuffisance cardiaque sur maladie coronarienne tri-tronculaire • ETT du 01.02.2019 : FEVG 33% stable, pas de signe indirect d'hypertension pulmonaire Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec • Douleurs dorsales chroniques Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Syndrome de CREST : • Prednisone depuis octobre 2016 (25 mg/j le 10.02.2019). Reflux gastro-oesophagien sur syndrome de CREST • Introduction Pantoprazole. Incontinence urinaire à l'effort. Exacerbation de polyarthralgies dans un contexte de syndrome douloureux chronique le 04.10.2018 • Douleurs chroniques sur fibromyalgie • Syndrome de CREST avec anticorps anti-Centro mère positifs • Composante neuropathique des douleurs : paresthésies, brûlures surtout nocturnes. Kyste ovarien droit le 15.10.2018. Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie Artériopathie des membres inférieurs avec : • Occlusion étendue de l'artère fémorale superficielle droite • Sténoses étagées multiples de l'artère fémorale superficielle gauche • Ischémie critique du pied droit et claudication MB du pied gauche • Status après multiples dilatations et stents en juillet 2017 Insuffisance rénale chronique de stade KDIGO G3a sur possible néphropathie hypertensive : • eGFR selon CKD-EPI 40.8 ml/min, créatinine 137 mmol/l (25.09.2017) Ostéoporose fracturaire : • Fracture du bassin le 22.08.2017 • Bilan phosphocalcique le 23.08.2017 • Sous Calcimagon D3 Anémie normocytaire hypochrome hyporégénérative à 109 g/l post hématome le 23.08.2017 Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie. Artériopathie des membres inférieurs avec : • Occlusion étendue de l'artère fémorale superficielle droite. • Sténoses étagées multiples de l'artère fémorale superficielle gauche. • Ischémie critique du pied droit et claudication MB du pied gauche. • Status après multiples dilatations et stents en juillet 2017. Insuffisance rénale chronique de stade KDIGO G3a sur possible néphropathie hypertensive : • eGFR selon CKD-EPI 40.8 ml/min, créatinine 137 mmol/l (25.09.2017). Ostéoporose fracturaire : • Fracture du bassin le 22.08.2017. • Bilan phosphocalcique le 23.08.2017. • Sous Calcimagon D3. Anémie normocytaire hypochrome hyporégénérative à 109 g/l post hématome le 23.08.2017. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Artériopathie des membres inférieurs. • Contusion de la hanche gauche le 27.02.2019. Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie Athéromatose de l'aorte abdominale • rétrécissement estimé à 50% (ultrason de juillet 2012) Diverticulose sigmoïdienne sévère au niveau du rectum et du sigmoïde • coloscopie du 16.09.2016 : polypes hyperplasiques • status post-résection de 10 polypes de 3 à 10 mm au niveau du rectum en 2008 Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie. Cardiopathie ischémique avec maladie coronarienne tritronculaire : Quadruple pontage coronarien le 06.07.2017 (Dr. X). • NSTEMI le 18.01.2017 : sténose de 70-90% de l'artère coronaire droite, traitée par stent actif. • FEVG à 76%. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade IIb avec : • subocclusion de 90% en fémorale commune droite. • sténose de 50% au niveau de l'iliaque externe droite. • sténose de 70% au niveau de l'iliaque externe gauche. • sténose de 80% au niveau fémoral commun gauche. Insuffisance rénale chronique GFR le 13.07.2017 : 63 ml/min. Probable syndrome d'apnées obstructives du sommeil le 01.01.2017, non appareillé : • apnées nocturnes avec désaturation, péjorées par surdosage en Fentanyl et Baclofène. Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie Diabète de type 2 non insulino-requérant Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie Diabète de type 2 non insulino-requérant Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie. Goutte. Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie Tabagisme actif (30 UPA) Consommation éthylique à risque Syndrome des apnées nocturnes discret de type obstructif Cardiopathie ischémique avec : • status post STEMI inférieur sur longue occlusion thrombotique de la coronaire D le 17.11.2013 traitée par PTCA CD (2 stents actifs) proximal et distal. FEVG 63%. Artériopathie des MI stade IIB avec occlusion de l'artère fémorale superficielle D distale Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie. Tabagisme actif (30 UPA). Consommation éthylique à risque. Syndrome des apnées nocturnes discret de type obstructif. Cardiopathie ischémique avec : • status post STEMI inférieur sur longue occlusion thrombotique de la coronaire D le 17.11.2013 traitée par PTCA CD (2 stents actifs) proximal et distal. FEVG 63%. Artériopathie des MI stade IIB avec occlusion de l'artère fémorale superficielle D distale. Maladie thrombo-embolique sous Xarelto 20 mg. Hypertension artérielle traitée. Hyperglyémie. Prostatisme. Hypertension artérielle traitée. Hyperparathyroïdie. Hypertension artérielle traitée. Hyperparathyroïdisme primaire sur adénome parathyroïdien Hypertension artérielle traitée Hyperplasie bénigne de la prostate Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle pulmonaire Maladie coronarienne tritronculaire : • Coronarographie 06.12.2018 : sténose subocclusive de la bissectrice, sténose subocclusive de la diagonale, sténose subocclusive de la coronaire droite moyenne ; fraction d'éjection ventriculaire gauche à 40-45%. Hypertension artérielle pulmonaire • Facteurs de risques cardiovasculaires : hypertension artérielle traitée, diabète de type 2 • Coronarographie le 15.01.2019 : angioplastie de la bissectrice avec implantation d'un stent actif et une angioplastie (PTCA only) de la première diagonale avec bon résultat final Sténose aortique sévère (Surface à 0.95 cm2) Diabète de type 2 Hypertension artérielle traitée. Hyperthyroïdisme traité. Angine de poitrine avec dyspnée d'effort. Hypertension artérielle traitée Hypertrophie bénigne de la prostate Hypertension artérielle traitée. Hypothyroïdie substituée. Hypertension artérielle traitée. Hypothyroïdie traitée par Euthyrox. Hypertension artérielle traitée. Incontinence urinaire d'effort par défaut de transmission. Incontinence urinaire d'effort par défaut de transmission. Hypertension artérielle traitée. Insuffisance rénale chronique. Syndrome des apnées du sommeil appareillé. Tabagisme actif. Hypertension artérielle traitée. Insuffisance de la valve aortique. Hypertension artérielle traitée Insuffisance veineuse chronique de stade III avec lymphoedème chronique : • Episodes d'érysipèle récurrents des membres inférieurs • Status après ulcère variqueux de la région malléolaire interne à gauche Insuffisance artérielle de stade I avec artériosclérose généralisée au niveau des membres inférieurs, sans sténose relevante (Dr. X 2015) Polyarthrose Diverticulose sigmoïdienne Gastrite chronique, avec : • Status après éradication d'Hélicobacter Pylori en 2011 Sténose aortique modérée le 11.10.2018 : • Souffle holosystolique à 3/6, p.m. Erb • Echocardiographie transthoracique du 12.10.2018 (PD Dr. X) : le souffle systolique correspond à une sténose aortique modérée ; il y a un remodelage concentrique probablement dans le cadre d'une maladie hypertensive Trouble anxiodépressif traité Hypertension artérielle traitée. Lésion cutanée, DD : tumeur de la peau dans la joue droite, non traitée. Presbyacousie. Hémisyndrome partiel droit 1999, avec difficulté motrice légère droite persistante, sous Aspégic. Déficience auditive. Carence en vitamine D. Troubles cognitifs importants. Insuffisance rénale chronique stade G3b. Hypertension artérielle traitée Maladie de Gilbert Hypertension artérielle traitée Maladie de Parkinson avec syndrome akinéto-rigide, à prédominance droite, évoluant depuis 2008, suivi par Dr. X, sous Madopar et Pramipexol Hypertension artérielle traitée Néphropathie chronique d'origine probablement hypertensive (créatinine environ 180 mcrmol/l en 2018) Hyperuricémie traitée Obésité (120 kg pour 186 cm, BMI 35 kg/m2) Ancien tabagisme Anamnèse familiale positive (père : infarctus myocardique) Hypertension artérielle traitée Notion de fibrillation auriculaire en 2010, sous Sintrom Troubles dégénératifs étagés de la colonne lombaire. Arthrose sacro-iliaque. Coxarthrose bilatérale. Hypertension artérielle traitée. Obésité (BMI à 32.3 kg/m2). Sténose à 55 % au départ de la carotide droite et de 60 % au niveau du départ de la carotide gauche. Foramen ovale perméable grade 2 avec anévrisme du septum interauriculaire. Troubles dégénératifs du rachis lombaire Ostéoporose traitée par perfusion annuelle de Zolédronate Hypertension artérielle traitée Obésité stade III (BMI 46.9 kg/m2) Maladie veineuse chronique stade C3 bilatérale sur hypertension veineuse à valves saines Hypertension artérielle traitée Ostéoporose fracturaire sous Biphosphonate Suspicion de troubles cognitifs légers • MMSE 29/30. Hypertension artérielle traitée Polyarthralgie Mastopathie fibro-kystique Hypertension artérielle traitée Probable neuronite de Ménière (traitement par Betaserc) Hypertension artérielle traitée. Syndrome d'apnées obstructives du sommeil le 04.03.2019. Hypertension artérielle traitée Syndrome de Li Fraumeni : • Carcinome invasif mammaire gauche Dx 2013, avec tumorectomie et curage axillaire gauche le 13.12.2013 : carcinome canalaire invasif NST pT2 G3 récepteurs oestroprogestatifs positifs. HER2 négatif. Traité par tumorectomie, chimiothérapie (3 cycles FEC 100 et Taxotère 100, radiothérapie. Traitement anti-aromatase par Létrozole (en suspens depuis mi-avril 2016) • Carcinome baso-cellulaire crânien excisé en 2004 • Tumeur ovarienne borderline opérée par annexectomie bilatérale et hystérectomie en 2010 Lésions malpighienne intra-épithéliale de haut grade (VIN2) de la vulve le 18.02.2019 Hypertension artérielle traitée Syndrome lombo-radiculaire sur troubles dégénératifs, discopathie et sténose absolue du canal spinal en L3/L4 : • Aspiration kyste synovial L3/L4 et infiltration facettaire et épidurale 30.09.2016 Tendinopathie des épaules des deux côtés, à gauche moins qu'à droite Vertiges d'origine indéterminée de longue date Syndrome d'apnées-hypopnées du sommeil de degré sévère, diagnostiqué en février 2014 : • CPAP débutée le 07.04.2014, mais arrêtée Crampes musculaires nocturnes idiopathiques Status variqueux stade CIII des deux côtés : • Status après thrombo-phlébite membre inférieur gauche • Status après crossectomie et stripping des veines saphènes internes et phlébectomie des veines saphènes externes Hypertension artérielle traitée Tabagisme actif à 70 UPA Consommation d'alcool à risque, quasi-abstinence depuis février 2018 Migraine avec aura Maladie hémorroïdaire Malnutrition protéino-énergétique sévère Déhiscence de plaie de laparotomie médiane le 16.09.2018 • Suivi de la plaie par service de stomatologie Artériosclérose mixte dilatative et occlusive généralisée, avec : • Anévrisme de l'aorte sous-rénale de 43 mm • Anévrisme de l'artère iliaque commune gauche de 24 mm • Mise en place d'un stent iliaque gauche en octobre 2012 avec in-sent thrombose en progression • Artère fémorale commune gauche sténosée avec sténose significative du départ de l'artère fémorale superficielle • Importante athéromatose avec des sténoses étagées fémorales distales ddc • Sténose du tronc cœliaque sans opacification de l'ostium Hypertension artérielle traitée Tabagisme actif (UPA inconnu) Hypertension artérielle traitée Tabagisme chronique et actif à environ 100 UPA Éthylisme chronique à environ 1 l. de vin par jour Hypertension artérielle traitée Trouble dépressif récurrent Reflux gastro-oesophagien. Hypertension artérielle traitée. Trouble dépressif récurrent. Reflux gastro-oesophagien. Hypertension artérielle traitée. Trouble dépressif traité. Hypovitaminose D avec hyperparathyroïdie secondaire. Carence en vitamine B12 sur malabsorption. Hypertension artérielle traitée. Troubles anxieux Hypertension artérielle traitée. Troubles anxieux. Hypertension artérielle traitée. Troubles cognitifs débutants. Hypertension artérielle traitée Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Troubles cognitifs d'origine non précisée : • Tests de la cognition du 15.01.2019 : MMSE à 23/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 10/30 Hypertension artérielle traitée. Troubles mentaux du comportement liés à l'utilisation d'alcool : syndrome de dépendance. Hypertension artérielle traitée Varices des membres inférieurs bilatérales Notion de BPCO (Médecin traitant absent pour plus d'informations) Hypertension artérielle traitée Vertiges rotatoires séquellaires d'un AVC hémorragique cérébelleux avec inondation ventriculaire d'origine hypertensive le 19.10.2018, manifesté par des nausées, vomissements et vertiges (NIHSS initial 0) Dermite séborrhéique Hypertension artérielle • traitement habituel de Zanidip Hypertension artérielle Accuretic en suspens dans le cadre de la septicémie Reprise par Lisinopril 5 mg le 07.03.2019, 10 mg dès le 10.03.2019 Hypertension artérielle Adénomes surrénaliens des deux côtés, de découverte fortuite (IRM du 10 avril 2017) Colite à collagène Psoriasis Tabagisme actif Hypertension artérielle Ancien tabagisme à 20 unités paquet par an, stoppé en 1957 Hypertension artérielle. Anévrisme aortique infra-rénal de 3 cm de diamètre. Bloc de branche gauche connu depuis novembre 2017. Hypertension artérielle Anévrisme de 7.5 mm de l'artère carotide interne droite dans son segment intra-caverneux le 01.07.2016 Malnutrition protéino-énergétique légère BPCO non stadée avec dyspnée de stade II NYHA sur : • Tabagisme à 45 UPA Hypertension artérielle Artériopathie des membres inférieurs • sp angioplastie de l'artère fémorale superficielle droite en 2010 Trouble de la marche et de l'équilibre avec vertiges d'origine indéterminée 08/2018 • mini-Schellong nég (TA 99/59 mmHg couché, 96/66 mmHg après 3 min debout) • Pallesthésie 6/8 malléolaire le 06.08.2018, sensibilité profonde distale préservée Possible BPCO • Spirométrie impossible chez le médecin traitant • Désaturation au test de marche de 6 minutes à 88 % • O2 à l'effort à domicile Suspicion de consommation d'alcool à risque Seresta en réserve Maladie coronarienne tritronculaire avec NSTEMI secondaire le 22.01.2013 avec une atteinte surtout de la périphérie des vaisseaux coronaires : • sténose subtotale de l'artère interventriculaire antérieure distale, plusieurs lésions intermédiaires de l'IVA proximale et moyenne • occlusion de la branche marginale • sténoses subtotales de l'artère rétroventriculaire • dysfonction ventriculaire gauche (FEVG 45 %) sur hypo-akinésie diaphragmatique et antéro-latérale Diabète de type 2 Hypothyroïdie symptomatique à TSH 19,1 mU et T4 à 10 pM le 07.02.2019. Hypertension artérielle. Asthme. Tabagisme à 30 UPA. Hypertension artérielle Athéromatose de l'aorte abdominale • rétrécissement estimé à 50 % (ultrason de juillet 2012). Diverticulose avec polypes au niveau du rectum et du sigmoïde • coloscopie du 16.09.2016 • résection de 10 polypes au niveau du rectum en 2008 Hypertension artérielle Cholangite aiguë dans le contexte de progression tumorale le 09.10.2018, traitée par nettoyage de stent par ERCP. Hypertension artérielle. Constipation chronique. Cystites à répétition. Hypothyroïdie sur thyroïdite de Hashimoto. Psoriasis. Syndrome anxio-dépressif. BPCO sur tabagisme actif à 20 UPA. Hypertension artérielle. Démence mixte. Lombalgies chroniques. Constipation chronique. Hypertension artérielle. Démence mixte. Lombalgies chroniques. Constipation chronique. Hypertension artérielle Dépression Hypertension artérielle Diabète de type II Obésité Hypertension artérielle Diabète de type 2 Hypertension artérielle. Diabète de type 2 non insulino-requérant, DD pancréatoprive. Pancréatite chronique (anamnestique): • avec insuffisance pancréatique exocrine. Sclérose aortique avec insuffisance aortique discrètes. Baisse de l'acuité visuelle depuis janvier 2015 d'origine peu claire. Choléstase chronique sur obstruction des voies biliaires. Hernie hiatale avec œsophage de Barrett (histologie Promed 14.09.2017). Hypertension artérielle. Diabète de type 2. Cholélithiase connue au CT du 23.12.2012. Hernie inguinale graisseuse gauche au CT du 23.12.2012. Hypertrophie prostatique au CT du 23.12.2012. Hypertension artérielle Diabète de type 2 Hypercholestérolémie Syndrome des apnées du sommeil non appareillé Insuffisance rénale chronique de stade 3b Syndrome de dépendance à l'alcool, actuellement patient abstinent depuis 6 mois Troubles bipolaires Maladie de Parkinson Maladie thrombo-embolique sous Sintrom • Status après embolie pulmonaire • Status après syncope le 08.12.2012 sur embolie pulmonaire bilatérale • Status après thrombose veineuse profonde Hypertension artérielle Diabète insulino-requérant secondaire à une insuffisance pancréatique exocrine et endocrine avec : • rétinopathie diabétique bilatérale. • suspicion de polyneuropathie des membres inférieurs. Pancréatite chronique récidivante avec : • status post-laparotomie médiane après poussée de pancréatite. • syndrome de dépendance à l'alcool. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs avec : • pontage fémoro-poplité du membre inférieur droit en 2003 et gauche en 2006. BPCO de stade II (fonctions pulmonaires de 2008) sur tabagisme actif à >80 UPA. Hypertension artérielle. Diabète type II. Maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et circonflexe). • Fonction systolique globale et régionale du ventricule gauche conservée (FE : 64 %). • IVA moyenne : PCI/ 1 DE. • 2ème marginale circonflexe : PCI/ 1 DES. Hypertension artérielle. Diabète type 2. Hypertension artérielle. Diabète type 2 non-insulino-requérant. Dyslipidémie. Cardiomyopathie hypertrophique obstructive • ETT 05/2018 : Systolic anterior mitral movement. FEVG > 55 %. Hypertension artérielle Diabète type 2 non-insulino-requérant Goutte Emphysème pulmonaire (CT thoracique 2008) Névralgie d'Arnold persistante depuis décembre 2019 sur infiltration vertébrale tumorale de C2 • Infiltration locale sans amélioration • Avis team spine du 28.02.2019 (Dr. X/Dr. X) : corticale conservée, lésion stable pour l'instant, ad. radiothérapie pour consolidation et antalgie • Radiothérapie crâne et colonne jusqu'à C4 Ataxie à la marche nouvelle le 01.03.2019 sur progression des métastases cérébrales. Hypertension artérielle Diabète type 2 non-insulino-requérant Goutte Emphysème pulmonaire (CT thoracique 2008) Névralgie d'Arnold persistante depuis décembre 2019 sur infiltration vertébrale tumorale de C2 • Infiltration locale sans amélioration • Avis team spine du 28.02.2019 (Dr. X/Dr. X) : corticale conservée, lésion stable pour l'instant, ad. radiothérapie pour consolidation et antalgie • Radiothérapie crâne et colonne jusqu'à C4 Ataxie à la marche nouvelle le 01.03.2019 sur progression des métastases cérébrales. Hypertension artérielle Douleurs épaule droite avec suspicion de lésion dégénérative de la coiffe des rotateurs Insuffisance rénale chronique Goutte Hypertension artérielle Dyslipidémie Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Hypertension artérielle. Dyslipidémie (probable). Hypertension artérielle. Dyslipidémie (probable). Hypertension artérielle Dyslipidémie Cardiopathie sénile avec valvulopathies non significatives Démence modérée avec troubles cognitifs Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Cardiopathie. Obésité. Artériopathie des membres inférieurs. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Diabète type II non insulino-requérant. Notion de FA paroxystique, anticoagulée. Néphropathie diabétique avec protéinurie estimée à 1 g/24 heures. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Diabète type 2. Tabagisme à 50 UPA. Fibrillation auriculaire. Hypertension artérielle Dyslipidémie Fibrillation auriculaire intermittente sous BB et Xarelto (2013) Hypertension artérielle Dyslipidémie Obésité BPCO stade IIID selon GOLD avec multiples exacerbations, la dernière le 09.11.2018 Ethylo-tabagisme chronique avec : • hépatopathie chronique d'origine alcoolique en 2012 avec : • hépatite alcoolique aiguë les 17.12.2015 et 09.05.2016 • intoxication éthylique aiguë avec sevrage éthylique compliqué nécessitant une intubation et un séjour aux soins intensifs (Cormack I) le 09.05.2016 • cirrhose éthylo-toxique Child A Idéation suicidaire avec intoxication alcoolique le 31.05.2015 AOMI Fontaine IIB du membre inférieur gauche avec occlusion iliaque externe commune et fémorale superficielle : • absence des pouls pédieux et tibial postérieur à gauche Fibrillation auriculaire paroxystique dans un contexte de sevrage alcoolique les 15.09 et 17.09.2017 • 1 épisode en 2016 lors d'une alcoolisation aiguë • cardioversion électrique le 09.05.2016 • CHADS-VASC = 2 le 20.09.2017 Hypertrophie de prostate avec résidus post-mictionnels de 160 cc et vessie de lutte le 20.09.2017.Hernie inguinale gauche à contenu graisseux non compliquée. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Tabagisme actif. Problème hématologique : trop de fer. Hypertension artérielle Dystonie bucco-faciale (suivi neurologique par Dr. X), syndrome de Meige traité par Botox : • Avec alimentation mixée à domicile • Cures de Botox, dont la dernière en 2017. Achalasie probable connue depuis 2002 avec : • Section des muscles péri-oesophagiens et adhésiolyse 2003. Kyste de l'oreillette gauche le 26.01.2018. Troubles cognitifs débutants : • Tests de la cognition du 27.02.2018 : MMS à 24/30 et test de la montre à 6/7. • Consilium neuropsychologique le 02.03.2018. Anémie normochrome normocytaire d'origine multiple : insuffisance rénale, composante inflammatoire. Epaississement de l'antre gastrique de découverte fortuite le 20.01.2018. Hyperthyroïdie iatrogène le 07.03.2018 dans le cadre d'une substitution initiée lors d'un probable euthyroid sick syndrome, le 21.01.2018. Malnutrition protéino-énergétique grave. Hypertension artérielle. FA paroxystique intermittente, sous anticoagulation. Hypercholestérolémie. Nodule thyroïdien sécrétant. Traits de personnalité schizo-typique, avec status post trouble psychotique. Fibrillation auriculaire rapide intermittente : • Sintrom • INR supra-thérapeutique 3.79 le 16.03. Anémie normochrome normocytaire à 116 g/l dans un contexte inflammatoire : • 19.03.2018 102 g/l, CRP 26 mg/l. Hypertension artérielle Fibrillation auriculaire anticoagulée par Xarelto. Hypertension artérielle Fibrillation auriculaire depuis 2016, sous Xarelto 20 mg/jour. Insuffisance aortique centrale probablement modérée avec : Goutte. Hypertension artérielle. Fibrillation auriculaire paroxystique connue, anticoagulée par Sintrom. Fraction d'éjection du ventricule gauche normale le 11.10.2016. Troubles de la marche d'origine multifactorielle. Hypertension artérielle Fibrillation auriculaire Calcifications coronariennes Adénocarcinome du côlon transverse et descendant le 14.11.2016 pT3 (2) N0 (0/40) L0 V1 Pn0 G2 R0. Colectomie subtotale (côlon transverse et descendant) et iléo-colostomie par laparotomie le 14.11.2016. Ascite surinfectée à Proteus vulgaris, E. faecium, E. coli le 27.11.2016 secondaire à une colectomie sub-totale. Laparotomie de révision, résection partielle épiploon, lavage abdominal et application d'un pansement aspiratif (VAC) sur la plaie abdominale le 28.11.2016 (Dr. X, Dr. X). Changement de VAC abdominal itératif au bloc opératoire et fermeture secondaire le 15.12.2016. Fibrillation auriculaire chronique avec réponse ventriculaire rapide le 15.11.2016. Anticoagulation thérapeutique. Thrombus de l'OD chez un patient anticoagulé pour une fibrillation auriculaire. Hypertension artérielle Fibromes utérins. Hypertension artérielle. Gonarthrose. Insuffisance rénale chronique de stade 3. Cardiopathie ischémique sur maladie tri-tronculaire avec : • status post-coronarographie élective le 14.03.2019 avec angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale à moyenne, implantation de 1 stent actif, angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure moyenne à distale par implantation de 1 stent actif. Hypertension artérielle. Goutte. Hypercholestérolémie. Insuffisance rénale chronique. Oesophagite ulcéreuse sévère distale. Cirrhose CHILD B (15.02.2018). Diabète de type 2 insulino-requérant. Consommation OH chronique. Hypertension artérielle. Hémochromatose. Dyslipidémie. Hypertension artérielle. Hernie hiatale. Cardiopathie rythmique, valvulaire et hypertensive : • échocardiographie du 29.12.2014 : FEVG 50-55 %, insuffisance mitrale à 1/4, dilatation importante de l'atrium droit et de l'atrium gauche. • fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide anticoagulée par Eliquis 2 x 2.5 mg (au vu de l'âge). Hypertension artérielle Hernie hiatale Hernie discale L4-L5. Hypertension artérielle Hernie hiatale Hernie discale L4-L5. Hypertension artérielle Hernie hiatale Insuffisance mitrale. Hypertension artérielle. Hyperthyroïdisme d'origine X. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie - sous Atorvastatin. Arthrite goutteuse - sous Spiricort. Syndrome d'apnée du sommeil suspecté. Classe d'obésité II (IMC 35 kg/m2). Abus actif de nicotine (40 PA). Lumbago chronique. Polyglobulie. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Diabète type 2 non insulino-requérant. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Arythmies X. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Déficience G-6-PD érythrocytaire. Hypovitaminose D traitée. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Déficience G-6-PD érythrocytaire. Hypovitaminose D traitée. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Déficience G-6-PD érythrocytaire. Hypovitaminose D traitée. Lombalgies chroniques non spécifiques, exacerbées avec irradiation spondylogène dans le membre inférieur gauche avec troubles dégénératifs lombaires étagés (discopathies et arthrose postérieure L4-L5 et L5-S1). Syndrome lombo-vertébral dans le contexte de lombalgies chroniques. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Fibrillation auriculaire intermittente, sous Pradaxa. Troubles de la marche et d'équilibre d'origine multifactorielle avec chute à domicile. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Hyperuricémie. Epilepsie traitée. Gonarthrose et méniscopathie interne du genou gauche. Arthrite psoriasique traitée par Humira sous-cutanée 1 x/3sem (Dr. X) avec : • arthrite du poignet droit en octobre 2010. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Insuffisance rénale chronique de stade 2 : • MDRD VFG à 69 ml/min/1.73m2 le 06.07.2018. Suspicion de polyneuropathie sur déficit en B12 en 2011 : substitution, et antalgie par Lyrica et Saroten. Maladie des jambes sans repos. Canal lombaire étroit avec : • S/p claudication spinale sur canal lombaire étroit, traité par infiltrations translaminaires en 2008, 2009 et 2010 (sous Lyrica). Gonarthrose. Varices. Tremor main gauche. Baisse de la vision à l'œil D dans le cadre d'une cécité à l'œil gauche sur thrombose de la veine centrale 2014. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Obésité de classe 3 selon OMS avec un BMI à 47 kg/m2. Diabète de type 2 insulino-requérant. Syndrome d'apnées du sommeil appareillé. Alpha-thalassémie hétérozygote. Cardiopathie hypertensive. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Reflux gastro-oesophagien. Hypertension labile. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Tabagisme. Hypertension artérielle. Hyperplasie bénigne de la prostate. Hypertension artérielle. Hyperplasie bénigne de la prostate. Omarthrose épaule droite. Hypertension artérielle. Hypothyroïdie substituée. Hypertension artérielle Hypothyroïdie substituée. Démence vasculaire probable. Hyperactivité vésicale avec urgences mictionnelles. Troubles de l'équilibre avec chutes à répétition. Hypertension artérielle. Hypothyroïdie substituée par Euthyrox. Ostéoporose fracturaire avec fractures vertébrales. Hypertension artérielle. Hypothyroïdie substituée. Carences vitaminiques multiples en janvier 2019 : • discrète insuffisance en vitamine D à 54 nmol/L • acide folique limite inférieur à 5 ng/ml • carence en vitamine B12 à 115 pg/ml. Trouble de la vidange vésicale sur hypertrophie prostatique avec : • rétention urinaire à 800 ml le 28.01.19 avec miction par regorgement. • sous Hytrin à domicile. Chirurgie plastique du visage avec greffe pour tache de naissance (?) (1984). Hématome œil droit, lèvre supérieure droite connu. Hypertension artérielle Hypothyroïdie Goutte. Hypertension artérielle. Incontinence urinaire sur vessie neurogène. Hypertension artérielle Insuffisance rénale chronique de stade V (terminale) avec : • Ostéodystrophie avec déficit en vitamine D et hyperparathyroïdisme secondaire.Maladie thrombo-embolique (sous Sintrom) avec : • Thrombose membre supérieur droit en 1999 • Embolie pulmonaire sous-segmentaire non datée • Thrombose veineuse profonde poplitée droite le 04.02.2015 Diplopie verticale sur probable skew déviation en relation avec une probable encéphalopathie vasculaire avec : • Électroencéphalogramme vasculaire (IRM en septembre 2012) : leuco-encéphalopathie vasculaire • Hypertension artérielle. • Insuffisance tricuspidienne modérée à 2/4. • Anémie rénale substituée. • Hyperparathyroïdisme secondaire modéré. • Hyperuricémie. • Kératose solaire avec multiples carcinomes cutanés. • Hypothyroïdisme. • BPCO discrète à modérée (stade I à II selon Gold) avec composante asthmatique. • Dyslipidémie. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle dans le contexte d'un : • status après réaction d'hypersensibilité médicamenteuse le 18.07.2014 • insuffisance rénale chronique terminale stade V et séances de dialyse 3 x/semaine depuis 2012 • malnutrition protéino-énergétique grave • sarcopénie • pics hypertensifs sur status post dialyse • status après confection d'une fistule artério-veineuse selon Cimino au membre supérieur gauche (30.07.2012). Insuffisance rénale chronique terminale stade V pour multikystose bilatérale et tuberculose rénale, sous dialyses depuis le 25.09.2012. • transplantation rénale droite en 2015 (donneur fils) p depuis le 30.09.2014. • Hypertension artérielle. • Leucémie lymphoïde chronique à cellules B stable (suivi par Dr. X et le médecin traitant). • Cardiopathie dilatée avec troubles de la cinétique segmentaire le 05.04.2019. • Hypertension artérielle • Maladie coronarienne tritronculaire avec NSTEMI secondaire le 22.01.2013 • Atteinte surtout de la périphérie des vaisseaux coronaires : • sténose subtotale de l'artère interventriculaire antérieure distale, plusieurs lésions intermédiaires de l'IVA proximale et moyenne • occlusion de la branche marginale • sténoses subtotales de l'artère rétroventriculaire • dysfonction ventriculaire gauche (FEVG 45 %) sur hypo-akinésie diaphragmatique et antéro-latérale • Échocardiographie le 24.01.2013 (Dresse X) • Coronarographie et ventriculographie le 29.01.2013 (Prof. X) • Traitement conservateur Artériopathie des MI avec status post angioplastie de l'artère fémorale superficielle D en 2010 Diabète de type 2 insulino-requérant Trouble de la marche et de l'équilibre avec vertiges d'origine indéterminée 08/2018 • mini-Schellong nég (TA 99/59 mmHg couché, 96/66 mmHg après 3 min debout) • Pallesthésie 6/8 malleolaire le 06.08.2018, sensibilité profonde distale préservée Possible BPCO • Spirométrie impossible chez le médecin traitant • Désaturation au test de marche 6 minutes à 88% • O2 à l'effort à domicile. • Hypertension artérielle. • Maladie du sinus. • Cardiopathie dysrythmique et valvulaire. • Intolérance au glucose. • Hypertension artérielle. • Maladie thrombo-embolique veineuse. • Hypertension artérielle • Obésité • BPCO sur status post-tabagisme associée à une maladie asthmatique • Bloc de branche droit • Hypercholestérolémie • Hypertension artérielle • Obésité • Hyperuricémie • Syndrome de Ménière • Tabagisme 40 UPA • OH occasionnel, ancienne consommation à risque • 2 anévrismes de branches pancréatico-duodénales, le plus volumineux mesure 15 mm de diamètre, stables aux contrôles IRM de 2016 et 2017 • Hypertension artérielle. • Obésité. • Hypothyroïdie substituée. • Lymphœdème chronique du membre supérieur gauche, sur status post curage ganglionnaire axillaire post-mastectomie. • État anxio-dépressif chronique. • Diabète non insulino-requérant. • Insuffisance rénale chronique stade IIIb avec clearance à 44.7 ml/minute selon MDRD le 10.01.2018. • Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. • Tabagisme à 30 UPA sevré en 2015. • Souffle holosystolique maximal au foyer aortique 4/6 non bilanté. • Lésion actinique sur le dos de la main gauche. • Hypertension artérielle. • Obésité. • Tabagisme actif à 15 UPA. • Hernie hiatale avec reflux gastro-œsophagien. • Hypertension artérielle • Œdèmes asymétriques des MI (à prédominance droite) le plus probablement dans le cadre d'une insuffisance veineuse chronique • Insuffisance rénale chronique de stade III : • Clearance de la créatinine à 39 ml/min selon Cockcroft-Gault le 08.04.2015 Troubles dégénératifs lombaires sévères avec scoliose, arthrose et discopathies pluri-étagées Déformation en valgus du tibia droit d'origine indéterminée : • Status après accident • Omarthrose droite sévère secondaire après fracture claviculaire • Hypertension artérielle. • Pacemaker pour fibrillation supra-ventriculaire. • Hypertension artérielle • Polyarthrite rhumatoïde anciennement sous Methotrexate • Hypertension artérielle • Polyarthrite séronégative traitée par Méthotrexate du 19.02 au 30.11.2018 (diagnostiqué par Dr. X, pas de suivi) • BPCO non investiguée • Hypertension artérielle • Prostatisme opéré il y a 5 ans • Hypertension artérielle. • Prostato-épididymite récidivante suivie par le Dr. X. • Maladie de Parkinson depuis 1992 akinéto-rigide et trémulante à prédominance droite avec pose DBS sous-thalamique bilatérale en 2000 avec : • malaises récidivants sur hypoxie secondaire à des fausses routes sur troubles de la déglutition chroniques • hospitalisation au CHUV du 31.12.2013 au 08.01.2014 pour mouvements dystoniques bucco-faciaux droits récidivants dans le cadre de la majoration de la stimulation sous-thalamique gauche en novembre 2013 • troubles sévères de la déglutition. • Troubles dépressifs. • Hypertension artérielle • sous Lisinopril, Coversum, Amlodipine • Hypertension artérielle • Status post 2 épisodes d'épistaxis importants • Glaucome de l'œil G • Status post opération cataracte œil D en 2005 • Hypertension artérielle. • Stéatose hépatique. • Maladie de reflux gastro-œsophagien sur hernie hiatale. • Trouble affectif bipolaire traité. • Ovaire multi-folliculaire gauche avec exploration laparoscopique en 2014. • Hypertension artérielle. • Syndrome d'apnée du sommeil. • Bloc de branche droit complet. • Trouble anxieux chronique. • Ostéoporose fracturaire. • Infiltration spiculée péri-bronchovasculaire dans le segment apico-post gauche, d'allure cicatricielle post-infectieuse (CT thoracique du 15.04.2018). • Hypertension artérielle • Syndrome de dépendance à l'alcool, sous Antabus, sevré depuis 2014 • Hernie hiatale • Lombalgies • Tabagisme actif • Syndrome sacro-iliaque G avec > Sténose canalaire L4-L5 avec discopathie et listhésis de grade 1 selon Meyerding > Discopathie L5S1 avec protusion discale > Décompensation de l'articulation sacro-iliaque G • Hypertension artérielle. • Syndrome des jambes sans repos • Hypertension artérielle Tabagisme actif à 70 UPA Consommation d'alcool à risque Migraine avec aura Maladie hémorroïdaire Malnutrition protéino-énergétique sévère Déhiscence de plaie de laparotomie médiane le 16.09.2018 • Suivi de la plaie par service de stomatologie Artériosclérose mixte dilatative et occlusive généralisée, avec : • Anévrisme de l'aorte sous-rénale de 43 mm • Anévrisme de l'artère iliaque commune gauche de 24 mm • Mise en place d'un stent iliaque gauche en octobre 2012 avec in-sent thrombose en progression • Artère fémorale commune gauche sténosée avec sténose significative du départ de l'artère fémorale superficielle • Importante athéromatose avec des sténoses étagées fémorales distales ddc • Sténose du tronc ciliaque sans opacification de l'ostium Hypertension artérielle. Tabagisme actif avec BPCO. Sténose cicatricielle de l'angle colique droite et du côlon transverse proximale sur env. 13 cm (diagnostic différentiel inflammation sur consommation chronique de AINS, cicatrice d'une ancienne inflammation). Dépendance au Tramadol. Hypertension artérielle TDAH et HP (Dr. X) Ronchopathie simple sévère (Dr. X, 06/2016) Hypertension artérielle Troubles cognitifs Troubles de la marche et de l'équilibre avec suspicion de syndrome parkinsonien Goutte Hypertension artérielle. Troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition sur sarcopénie, prise de benzodiazépines et infection, avec : • Contusion colonne dorsale. • Escarre de pression de la région sacrée et au niveau D5. • Contusion des deux coudes. Hypertension artérielle. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • dégénérescence de la rétine • hypoacousie • status après fracture pertrochantérienne du fémur gauche en avril 2017 • troubles cognitifs. Arthrose acromio-claviculaire gauche avancée. Hypertension artérielle Vertiges orthostatiques Insuffisance rénale chronique Notion de cirrhose hépatique et d'un abus OH Hypertension • avec valeurs maximales à 211/96 Hypertension essentielle de stade 1. Hypertension Hypercholestérolémie Hypertension labile • avec état confusionnel aigu, aphasie et hémianopsie transitoire le 23.02.19 • bilan hypertension secondaire en cours (TSH, métanéphrines urinaires et plasmatiques US artères rénales, sp) (aldostérone, rénine) Hypertension non traitée Hypertension non traitée Hypertension non traitée Dyslipidémie non traitée Hypertension portale d'origine extra-hépatique avec • cavernome porte (DD : post thrombotique) • hypersplénisme (splénomégalie, thrombocytopénie) • varices oesophago-duodénales • gastrite hypertensive Traitement en cours : Propranolol 40 mg PO 1x/j ATCD • bilan thrombophilie le 12.09.2017 sans particularités • bilan en hépatologie au HUG : PBH avec absence de remaniement histologique notable ; angiographie de la veine porte le 15.12.2017 ne montre pas de Rex : pas possible de faire un shunt mésentérico-Rex. Sténose du cholédoque moyen et aspect dysmorphique du foie avec un lobe gauche atrophique et un lobe caudé hypertrophique. Alpha thalassémie légère (délétion alpha 3.7 hétérozygote et triplication alpha 3.7 hétérozygote). Présence de débris métalliques (éclat de bombe) au niveau de la face droite. Hypovitaminose D. Hypertension pulmonaire d'origine indéterminée • CT thoracique 21.03.2019 : pas d'embolie pulmonaire Hypertension pulmonaire d'origine indéterminée • CT thoracique 21.03.2019 : Pas d'EP. Pas de suspicion de pneumopathie. Hypertension sous traitement de Périndopril. Hypertension sur mauvaise compliance médicamenteuse. Hypertension symptomatique le 29.04.2019 : • Palpitations • Oppression thoracique • Dyspnée. Hypertension traitée au Brésil. Hypertension traitée Diabète de type II insulino-requérant IRC pré-terminale SAOS Hypertension traitée Diabète de type II insulino-requérant Hypertension traitée par Cosartan 1x/j Hypertension traitée Dyslipidémie mixte Diabète mellitus type 2 insulino-requérant Hypertension traitée Dyslipidémie mixte Diabète type 2 insulino-requérant Hypertension traitée. Fibromyalgie. Endométriose. Hypertension artérielle traitée. Hypertension. Hypercholestérolémie. Hernie inguinale à gauche spontanément réductible. Lombalgie sans déficit. Hypertension artérielle grade 2 non contrôlée • Sous Lisitril 10 mg Hypertension artérielle sous Olmétec Hypertension artérielle traitée • thérapie habituelle par Lisinopril 10 mg 1x/j Hypertension artérielle traitée. Trouble cognitif débutant. Hyperthermie maligne Hyperthermie maligne. Hyperthermie maligne sur syndrome malin des neuroleptiques post-chirurgie, avec rhabdomyolyse (CK 9551) avec DD sur Droperidol le 11.06.2016. Chutes multiples en 2016 • Tassements vertébraux L3 et surtout L1 (perte de hauteur de 50 % du mur antérieur, recul d'environ 5 mm dans le canal rachidien ; janvier 2016, stable en avril 2016) • Fracture très peu déplacée du plateau supérieur de L4 (avril 2016). AVC pariéto-occipital droit, avec hémianopsie gauche transitoire, d'origine cardio-embolique le 06.02.2010. • Troubles moteurs axiaux, avec nette altération des réflexes posturaux, festination/freezing sévère et chutes répétées. • Syndrome extrapyramidal akinéto-rigide et trémulant à prédominance gauche, d'origine médicamenteuse probable. • Troubles moteurs d'origine frontale, avec paratonie. • Tremblement essentiel (dès 1975 environ) avec tremblement de type rubral (tremor de Holmes), à prédominance gauche. Bradycardie symptomatique avec pause sinusale de 10 secondes et instabilité hémodynamique d'origine médicamenteuse le 02.04.2011. Cure d'hernie inguinale combinée droite symptomatique (plastie selon Lichtenstein 11.06.2015) Appendicectomie par laparoscopie suite à une appendicite aiguë perforée (09.02.2010) Pneumonie rétro-cardiaque dans les suites d'une chute avec fracture de côtes multiples non déplacées : Delirium hypermotorique dans le contexte d'une maladie psychiatrique chronique connue et de cette infection pulmonaire • MMS 15/30, Clock 4/6, GDS 2/15 le 19.03.2018 Adaptation médicamenteuse (ad Leponex en réserve) Fractures non déplacées de la 6ème à la 11ème côtes droites. Fracture non déplacée de la 7ème côte gauche : • visualisées sur CT-thoracique du 14.03.2018 • probablement sur chute il y a 10 jours • cliniquement patient sensible à la palpation thorax à gauche > droite Traitement antalgique et suivi clinique Hyperthyroïdie, (Thyroïdite dans le cadre de l'immunothérapie DD autoimmune) - 01.02.19 TSH < 0.03, TRAK-Ac négatif, TPA-AK 62 U/ml (limite de la norme). Traitement symptomatique avec Inderal - 14.02.19 : TSH 0.75 pmol/l Status post érythème chronique migrant (muscle fessier gauche) Hyperthyroïdie actuellement bien contrôlée selon patiente Hyperthyroïdie avec goitre nodulaire plongeant. Cardiopathie hypertensive, rythmique, ischémique sur maladie mono-tronculaire avec : • infarctus myocardique subaigu en 2005 avec dilatation de la coronaire droite et pose de deux stents. • fraction d'éjection du ventricule gauche de 65 %, hypokinésie sévère inféro-basale, insuffisance mitrale stade 1/4 en 2012. • fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom. Hyperplasie bénigne de la prostate avec PSA à 1,97 ug/l en février 2014. Oesophagite de reflux sur engagement hiatale réductible. Diverticulose à prédominance sigmoïdienne. Cervicarthrose pluri-étagée. Insuffisance veineuse du membre inférieur droit. Tremor essentiel. Gonarthrose droite. Syndrome du sinus carotidien • Abstention thérapeutique. Hyperthyroïdie (diagnostic le 19.09.2018) probablement réactionnelle au produit de contraste, corrigé le 30.10.2018 avec : • Ac anti-TSH-récepteur dans la norme (le 21.09.18) • Ac anti-thyréopéroxidase augmenté à 41 IU/ml (norme à 34 IU/ml) • Anticorps anti-thyréoglobuline dans la norme (le 21.09.18) Laboratoire le 01.11.2018 : TSH 0.392 mU/l, T4 libre 12 pmol/l, T3 libre 4,10 pmol/l Hyperthyroïdie infraclinique avec TSH à 0.217 mU/l le 23.04.2019 • T3 totale 1.9 nmol/l, T4 19 nmol/l • T3 libre à 4.75 pmol/l Hyperthyroïdie subclinique • contexte d'hypothyroïdie substituée Hyperthyroïdie sur: • Maladie auto-immune mixte de la thyroïde: maladie de Basedow, avec composante de thyroïdite de Hashimoto • Adaptation du traitement par Néo-Mercazole à 7.5 mg, majoré à 10 mg le 04.12.2018 selon avis Dr. X puis à 15 mg le 21.02.2019 • le 15.02: TSH à 0,032 mU/l, T4L et T3 dans la norme Hyperthyroïdie sur Cordarone (février 2012) -> arrêt de la Cordarone. Status post-cure d'hernie inguinale D. Status post-appendicectomie. Status post-pancréatite probablement biliaire traitée par cholécystectomie par scopie (2009). Insuffisance respiratoire aiguë sur œdème pulmonaire aigu dans le contexte d'une crise hypertensive le 14.06.2012. Décompensation cardiaque de prédominance gauche sur bronchite virale le 11.12.2017 Hyperglycémie à 15 mmol/l le 17.12.2017 avec: • diabète non insulino-requérant connu. Hyperthyroïdie sur effet TSH like des BHCG Hyperthyroïdie sur maladie de Basedow: • sous Neomercazole • suivi par Dr. X • TSH 0.462 mU/l le 21.02.2019 Hyperthyroïdie sur nodule autonome du lobe gauche de 2.2 x 1.1 x 2 cm Hyperthyroïdie traitée (DD adénome thyroïdien, suivi par Dr. X à Fribourg) • traitement de Néomercazole Adénome surrénalien G Athéromatose de l'aorte thoracique et de l'aorte abdominale supérieure Hypertonie Hypertonie Hypertonie Hypertonie artérielle. Dyslipidémie. Dégénérescence maculaire (anamnestique) Hypertonie artérielle. Dyslipidémie. Dégénérescence maculaire (anamnestique). Hypertonie artérielle traitée Hypertriglycéridémie importante à 6.3 mmol/l Hypertriglycéridémie sévère le 24.04.2019 • triglycérides à 6.3 mmol/l Hypertriglycéridémie. Cardiopathie valvulaire et ischémique avec: • remplacement de la valve aortique, de l'aorte ascendante et de l'hémi-crosse aortique par Composite-Graft biologique (27/30), associé à un mono-pontage AMIG sur IVA le 15.03.2018 (Dr. X). • occlusion de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Double ostium de la coronaire gauche (coronarographie du 15.02.2018). • insuffisance aortique sévère sur dilatation de l'anneau. • FEVG 39%. Fibrillation auriculaire anticoagulée par xarelto post opératoire 03.2018. Hypertrophie bénigne de la prostate. Hypertrophie bénigne de la prostate avec calcul vésical. Hypertrophie bénigne de la prostate sous Prostagutt. HTA. Hypertrophie bénigne de la prostate sous Tamsulosine depuis novembre 2013 Hypertrophie prostatique (sous Tamsulosine). Status après bronchite et état fébrile à 38,4° traitée par antibiothérapie du 30.07 au 09.08.2012. Obésité. Hypertrophie tonsillaire bilatérale III/V. Hyperuricémie symptomatique avec crise de goutte à répétition dès l'âge de 40 ans avec: • suivi chez Dr. X (Vevey) • Uro-moduline urinaire normale excluant une mutation sur le gène UMOD (néphrite interstitielle AD). Insuffisance rénale chronique stade G2/A3 selon KDIGO 2009 d'origine indéterminée (eGFR 84 ml/min/1.73 m2 selon CKD-EPI sur la créatinine du 01.05.2017, avec rapport albumine/créatinine à 43.7 le 11.07.2018, accompagnée d'une hématurie d'origine glomérulaire). Kystes rénaux corticaux bilatéraux. Syndrome métabolique avec: • hypertension artérielle traitée par Losartan 50 mg • obésité stade I (BMI 30.8 kg/m2) • dyslipidémie • hyperuricémie. Hyperventilation psychogène le 16.10.2017. Hypokaliémie le 16.10.2017 avec faiblesse généralisée. PARESTHÉSIES du visage d'origine indéterminée depuis 4 jours le 19.10.2017. DD: psychogène, sclérose en plaque. Consultation neurologique en ambulatoire. Hypoacousie. Hypoacousie. Hypoacousie. Hypoacousie gauche dans le contexte de bouchon de cérumen. Hypoacousie post-traumatique droite suite à un coup de poing le 27.04.2019. Hypoacousie subite gauche > droite le 02.04.2019. Hypoacousie sur l'oreille droite opérée avec tympanoplastie en 2012 le 20.04.2019. Hypoalbuminémie Hypoalbuminémie. Hypoalbuminémie car apport protéinique insuffisant lors de l'hospitalisation (non ingestion de viande) • Albumine le 28.02.2019: 31 g/l (au CHUV) • Albumine le 04.03.2019: 28.5 g/l Hypoalbuminémie 23.5 g/l avec anasarque. Hypocalcémie à 2.16mmol/l. Hypocalcémie asymptomatique le 23.04.2019 Hypocalcémie discrète à 2.16 mmol/l le 15.04.2019 Hypocalcémie le 03.04.2019 DD: manque d'apports, néoplasie Hypocalcémie post-natale (minimale à 1.09mmol/l) Hypo-cyphose thoracique Hypoesthésie. Hypoesthésie. Hypoesthésie. Hypoesthésie dans le territoire du nerf plantaire médial et latéral et douleurs neuropathiques du pied D postopératoire dans le contexte de: • Status post-ostéotomie de la malléole externe à D, ablation du matériel au niveau de la malléole interne et implantation d'une prothèse de cheville à D type Zimmer (Trabecular metal) et ostéosynthèse de la malléole externe par plaque tiers tube le 22.02.2019 pour une arthrose douloureuse suite à une fracture trimalléolaire en 2010. Hypoesthésie de la face externe du genou D sur un status post-prothèse totale du genou en 2017 par Dr. X. Hypoesthésie membre supérieur gauche transitoire le 04.04.2019 DD: composante fonctionnelle sur trouble anxieux, AIT à répétition d'origine indéterminée dans le contexte d'une microangiopathie cérébrale hypertensive. Hypofibrinogénémie congénitale familiale • Suivi par Dr. X Hypogammaglobulinémie IgG • électrophorèse le 24.02.2016: IgG 6.08 g/l (N 8-15 g/l) Hématurie macroscopique dans le cadre d'une tumeur vésicale nouvelle (paroi antérieure) Démence à corps de Lewy • MMS 25/30, test de l'horloge 3/6, combinaison 3/9 (07.03.2016) • épisodes de délires et agitation • péjoration de la symptomatologie motrice (Tremor) • discussion avec Dr. X: arrêt Brintellix et Risperidon. Haldol fixe et en réserve, Temesta en réserve. Akineton pour Tremor • suivi neurologique Dr. X Agitation et idéations suicidaires intermittentes • status post-dépression avec idéations suicidaires et symptômes psychotiques 24.02.2019 • status post-hospitalisation à Marsens du 25.02 au 26.02.2019 et du 11.03 au 21.03.2019 Hypoglycémie. Hypoglycémie à 3 mmol/l asymptomatique sous insulino-thérapie • maladie oncologique avancée, régime alimentaire insuffisant, dosage inadapté de l'insulino-thérapie Hypoglycémie asymptomatique à 3.8 mM le 26.03 • Sur arrêt de l'alimentation Hypoglycémie asymptomatique minimale à 1.8 mM (Mme. Y avec diabète gestationnel non insulino-requérant) Hypoglycémie asymptomatique, minimale à 1.4 mmol/l Hypoglycémie minimale à 1.5mmol/l Hypoglycémie minimale à 1.9mmol/l à 3h de vie Hypoglycémie modérée à 3.8 mmol/l. • Dans le contexte d'alcoolisation, carence alimentaire. Hypoglycémie modérée sous insulinothérapie habituelle le 13.04.2019 Hypoglycémie néonatale Hypoglycémie néonatale asymptomatique (min. 1.9 mmol/l) • NN hypotrophe avec RCIU symétrique, PN 2170 g à 37 6/7 SG (< P3) RCIU harmonieux de 37 6/7 SG, PN 2170 g (< P3), TN 43 cm (< P3), PC 31 cm Hypoglycémie sur probable accumulation d'ADO Hypoglycémie sur probable accumulation d'anti-diabétique oral Hypoglycémie symptomatique à 2.6 le 06.04.19 • DD: jeûn, insulinothérapie Hypoglycémie symptomatique à 2.6 mmol/l le 06.04.19 Hypoglycémie symptomatique le 24.03.2019 dans un contexte de diabète sur-traité et manque d'apport avec: • HbA1c à 5.4%. Hypoglycémie 3.1 mmol/L asymptomatique Hypoglycémie 3.1 mmol/L asymptomatique Hypoglycémies dès le 17.04.2019 dans un contexte de diabète de type 2 insulino-requérant • Hypoglycémies occasionnelles • Migraine • Hypoglycémies sur apports insuffisants dans un contexte de diabète de type 2 insulino-requérant • Hypokaliémie à 2.3 mmol/L le 01.04.2019 • Hypokaliémie à 2.4 mmol/L • Hypokaliémie à 2.4 mmol/L le 09.04.2019 corrigée le 15.04.2019 • Hypokaliémie à 2.4 mmol/L le 08.04.2019 : • Diagnostic différentiel : origine médicamenteuse (Esidrex) • Hypokaliémie à 2.7 mmol/L le 23.04.2019. • Hypokaliémie à 2.7 mmol/L le 23.04.2019 sur manque d'apport, sur Iléus • Hypokaliémie à 2.8 mmol/L le 01.04.2019 • Origine mixte sur diurétiques, hypomagnésémie, flucloxacilline haute dose • Hypokaliémie à 2.8 mmol/L le 08.04.2019 d'origine probablement spoliative • Dans le contexte de diarrhée récidivante • Hypokaliémie à 2.8 mmol/L sur insulinothérapie le 24.03.2019. • Hypokaliémie à 2.8 mmol/L le 18.03.2019 • Hypokaliémie à 2.9 mmol/L le 09.04.2019 • Hypokaliémie à 2.9 mmol/L le 25.03.2019 sur diarrhées. • Hypokaliémie à 2.9 mmol/L le 28.03.2019 • DD dans un contexte de diarrhée • Hypokaliémie à 2.9 mmol/L le 09.04.2019. • Hypokaliémie à 2.9 mmol/L le 19.04.2019 • sur vomissements • Hypokaliémie à 2.9 mmol/L le 15.04.2019 • Hypokaliémie à 3 mmol/L le 30.03.2019. • Hypokaliémie à 3 mmol/L le 09.04.2019. • Hypokaliémie à 3.0 mmol/L, DD sur diurétiques, apport insuffisant • Hypokaliémie à 3.0 mmol/L le 08.03.2019 • Hypokaliémie à 3.0 mmol/L le 10.04.2019 • Hypokaliémie à 3.0 mmol/L le 18.04.2019 • Hypokaliémie à 3.0 mmol/L le 25.04.2019 • Hypokaliémie à 3.1 le 02.04.2019 : • Hypokaliémie à 3.1 mmol/L. • Hypokaliémie à 3.1 mmol/L le 08.04.2019 • Hypokaliémie à 3.1 mmol/L le 09.03.2019 : • Chez un patient avec une hypokaliémie chronique • Hypokaliémie à 3.1 mmol/L le 14.03.2019 sur diurétique • hypomagnésémie chronique. • Hypokaliémie à 3.1 mmol/L le 19.03.2019 • Hypokaliémie à 3.1 mmol/L le 21.03.2019. • Hypokaliémie à 3.1 mmol/L sur jeûne le 18.04.2019. • Hypokaliémie à 3.1 mmol/L le 04.04.2019 • Hypokaliémie à 3.2 mmol/L • Hypokaliémie à 3.2 mmol/L. • Hypokaliémie à 3.2 mmol/L le 05.04.2019 • Hypokaliémie à 3.2 mmol/L le 12.04.2019. • Hypokaliémie à 3.2 mmol/L le 16.04.2019 • Hypokaliémie à 3.2 mmol/L • Hypokaliémie à 3.3 mmol/L • Hypokaliémie à 3.3 mmol/L. • Hypokaliémie à 3.3 mmol/L le 19.04.2019 • Hypokaliémie à 3.3 mmol/L le 21.03.2019. • Hypokaliémie à 3.3 mmol/L le 04.04.2019 • Hypokaliémie à 3.3 mmol/L le 26.03.2019 • Hypokaliémie à 3.3 mmol/L le 31.03.2019 • Hypokaliémie à 3.4 mmol/L le 08.04.2019. • Hypokaliémie à 3.4 mmol/L le 11.04.2019 • Hypokaliémie à 3.4 mmol/L le 25.04.2019 • Hypokaliémie à 3.5 mmol/L • dans un contexte de majoration du traitement diurétique • Hypokaliémie à 3.5 mmol/L le 05.04.2019. • Hypokaliémie à 3.5 mmol/L le 13.04.2019 • Hypokaliémie à 3.5 mmol/L le 18.04.2019 • Hypokaliémie à 3.5 mmol/L le 28.03.2019 • Hypokaliémie à 3.5 mmol/L le 31.03.2019 : • K+ à 4.1 mmol/L le 17.04.2019 • Hypokaliémie à 3.5 mmol/L sur épisodes de diarrhées et vomissements. • Hypokaliémie à 3.6 mmol/L le 11.04.2019. • Hypokaliémie à 3.7 mmol/L le 23.03.2019 • Hypokaliémie asymptomatique à 3.4 mmol/L le 09.04.2019. • Hypokaliémie avec 3.1 mmol/L le 05.04.2019. • Hypokaliémie d'origine indéterminée. DD : médicamenteux avec modification de l'ECG le 27.02.2019. • Hypokaliémie et hypomagnésémie discrètes. • Hypokaliémie légère à 3.1 mmol/L le 22.03.2019 • Hypokaliémie légère à 3.3 mmol/L. • Hypokaliémie légère à 3.4 mmol/L le 01.04.2019 • Hypokaliémie légère à 3.4 mmol/L le 10.04.2019 • Magnésium ___ • Hypokaliémie légère à 3.4 mmol/L le 15.04.19 • Hypokaliémie légère à 3.4 mmol/L le 21.03.2019 • Hypokaliémie légère, K : 3.5 mmol/L le 04.03.2019 • Hypokaliémie légère sans répercussion à l'ECG le 24.05.2019 • Hypokaliémie modérée : • À 2.8 mmol/L, le 01.03.2019, nouvelle diminution à 2.7 mmol/L le 09.03.2019 et à 2.8 mmol/L le 21.03.2019 • Diagnostic différentiel : alcalose sur hypoalbuminémie • Hypokaliémie modérée à 2.6 mmol/L le 15.04.2019, d'origine iatrogène • prise de sang prise sur le bras avec perfusion NaCl. • Hypokaliémie modérée le 03.04.2019 • Hypokaliémie modérée, le 25.04.2019 • Hypokaliémie sévère le 28.04.2019 • sur perte intestinale et manque d'apport • Hypokaliémie sur diurétiques avec malaise et chute le 07.06.2018 • Hyponatrémie chronique légère asymptomatique sous diurétiques • Trouble de la motilité gastrique avec vomissements à la consommation de viande • Hypokaliémie sur diurétiques avec malaise et chute le 07.06.2018 • Hypokaliémie sur pertes digestives et hyperglycémie • Hypokaliémie sur probable carence alimentaire le 18.03.2019 • Hypokaliémie 2.5 mmol/L. • Hypokaliémie 2.8 mmol/L le 29.03.2019 • Hypokaliémie 3.0 mmol/L sur diarrhées le 30.03.2019 • Hypokaliémie 3.2 mmol/L. • Hypokaliémie 3.2 mmol/L sur manque des apports sur hypokaliémie chronique le 26.02.2019. • Omalgie droite sur probable décompensation arthrosique le 25.02.2019. • Probable pneumonie débutante du lobe moyen droit le 26.02.2019 dans un contexte oncologique. • Pyélonéphrite gauche en 2016. • Gastro- et oesophago-parésie avec malnutrition protéino-énergétique en 2015. • Cure d'hernie hiatale en 2014. • Ulcère gastrique pré-pylorique avec gastrite et érosions multiples avec anémie hypochrome microcytaire sur hémorragie digestive haute non datée. • Mucite sur candidose bucco-pharyngée. • Déconditionnement global chez une patiente avec carcinome invasif du QSE du sein droit sous chimiothérapie. • Anémie normocytaire hypochrome avec hémoglobine à 90 g/L. • Carcinome invasif du QSE du sein droit de type NST triple négatif, cT3, G3 cN,cM0 stade IIIA, ER 0%, PGR 5%, Mlb-1 70%, HER-2 non amplifié, traité par chimiothérapie néo-adjuvante, radiothérapie et mastectomie, curage axillaire droite en 2018 avec métastase hépatique en décembre 2018. Actuellement sous chimiothérapie par Halaven. Hypokaliémie 3.2 mmol/l sur manque des apports sur hypokaliémie chronique le 26.02.2019. Omalgie droite sur probable décompensation arthrosique le 25.02.2019. Probable pneumonie débutante du lobe moyen droit le 26.02.2019 dans un contexte oncologique. Pyélonéphrite gauche en 2016. Gastro- et oesophago-parésie avec malnutrition protéino-énergétique en 2015. Cure d'hernie hiatale en 2014. Ulcère gastrique pré-pylorique avec gastrite et érosions multiples avec anémie hypochrome microcytaire sur hémorragie digestive haute non datée. Mucite sur candidose bucco-pharyngée. Déconditionnement global chez une patiente avec carcinome invasif du QSE du sein droit sous chimiothérapie. Carcinome invasif du QSE du sein droit de type NST triple négatif, cT3, G3 cN,cM0 stade IIIA, ER 0%, PGR 5%, Mlb-1 70%, HER-2 non amplifié, traité par chimiothérapie néo-adjuvante, radiothérapie et mastectomie, curage axillaire droite en 2018 avec métastase hépatique en décembre 2018, actuellement sous chimiothérapie par Halaven. Hypokaliémies récidivantes sur trouble du comportement alimentaire. Tentamen médicamenteux 2010. Hospitalisation à l'HFR en janvier-mars 2010 pour anorexie. Hospitalisations à Marsens juin 2010 et octobre/novembre 2010 (troubles du comportement avec auto-mutilation). Hypokaliémie modérée sur dénutrition et vomissements volontaires le 13.12.2018 avec allongement du QT. Hypokaliémie légère 3.4 mmol/L. Hypomagnésémie à 0.48 mmol/l le 07.03.2019. Hypomagnésémie à 0.58mmol/l. Hypomagnésémie à 0.63 mmol/L le 15.04.2019. Hypomagnésémie à 0.66mmol/l. Hypomagnésémie à 0.66mmol/l le 18.03.2019. Hypomagnésémie à 0.67mmol/l le 06.03.2019. Hypomagnésémie à 0.68 mmol/l. Hypomagnésémie à 0.77mmol/l. Hypomagnésémie le 07.04.2019. • Mg 0.69 mmol/l Hypomagnésémie le 19.04.2019. Hypomagnésémie légère à 0.75 mmol/l le 11.04.2019. Hypomagnésémie légère à 0.76 mmol/l le 01.04.2019. Hypomagnesémie légère 0.76 mmol/L. Hypomagnésémie modérée : • A 0.63mmol/l le 01.03.2019 Hypomagnésémie modérée à 0.73mmol/l, le 12.03.2019. Hypomagnésémie modérée le 25.04.2019. Hypomagnésémie sur nutrition entérale. Hypomagnésiémie. Hypomagnésiémie à 0.54mmol/l le 03.04.2019. Hypomagnésiémie à 0.68 mmol/l. Hypomagnésiémie à 0.69 mmol/l. Hypomagnésiémie discrète. Hypomagnésiémie d'origine X. Hypomagnésiémie le 23.04.2019. Hypomagnésiémie légère le 17.04.2019. Hyponatrémie à 116 mmol/l hypo-osmolaire à 240 mosm/kg chez un patient en surcharge DD sur insuffisance cardiaque, SIADH. Hyponatrémie à 120 mmol/L hypoosmolaire à 221 mosmol/kg chronique, probablement dans un contexte de SIADH avec : • osmolarité urinaire à 254, Na urinaire à 41. Hyponatrémie à 121 mmol/l, hypoosmolaire à 273 mosmol/kg le 24.02.2019 : • osmolalité urinaire 589 mosm le 25.02.2019 • FE Na : 0.35%. Fracture et ostéosynthèse tibia-péronés gauche en 1975. Fracture Weber B cheville gauche. Contusion genou gauche. Hyponatrémie à 122mmol/l le 21.03.2019. Hyponatrémie à 123mmol/l. Hyponatrémie à 126 mmol/l, hypoosmolaire à 274 mmol/l le 23.03.2019. Hyponatrémie à 126 mmol/l le 08.04.2019. Hyponatrémie à 127 mmol/l. Hyponatrémie à 127 mmol/l le 13.03.2019. Hyponatrémie à 127 mmol/l le 15.03.2019. Hyponatrémie à 127 mmol/l normo-osmolaire. Hyponatrémie à 128 mmol/L. Hyponatrémie à 129 mmol/l. Hyponatrémie à 129mmol/l et acidose métabolique compensée. Hyponatrémie à 130 mmol/l. Hyponatrémie à 131 mmol/l le 12.04.2019. Hyponatrémie à 131 mmol/l le 15.04.2019. Hyponatrémie à 131 mmol/l normo-osmolaire le 15.03.2019. Hyponatrémie à 132 mmol/l le 20.03.2019. Hyponatrémie à 133 mmol/l, le 07.04.2019. Hyponatrémie à 133 mmol/l le 21.03.2019. Hyponatrémie à 134 mmol/l hypertonique le 14.03.2019. Hyponatrémie chronique. Hyponatrémie chronique à 129 mmol/l le 14.04.2019. Hyponatrémie dans un contexte de pyélonéphrite gauche. Hyponatrémie hyperosmolaire. Hyponatrémie hyperosmolaire à 126mmol/l. Hyponatrémie hyper-osmolaire à 132 mmol le 30.03.2019. Hyponatrémie hyperosmolaire le 09.04.2019 : • hypovolémie • osmolarité urinaire à 445. Hyponatrémie hypoosmolaire à 258 mosmol à volume extracellulaire conservé le 08.04.2019. DD : SIADH. Hyponatrémie hypo-osmolaire à 119 mmol/l probablement d'origine médicamenteuse le 18.04.2019 : • Traitement thiazidique • Traitement de Tégrétol majoré récemment DD : néoplasie, pneumopathie. Hyponatrémie hypo-osmolaire à 123 mmol/l sur probable potomanie le 04.05.2018. Alcoolisation aiguë à 1.5 dans un contexte de consommation d'alcool chronique le 15.06.2018. Traumatisme crânien sur alcoolisation en 2017. Traumatisme crânien, avec acutisation de cervicalgies connues C4-C6 en 2016. Cholécystectomie laparoscopique en 2015. Pancréatite aiguë Ranson 3, lithiasique et éthylique, en 2014. Cure de hernie inguinale droite. Hyperkaliémie à 6.0 mmol/l. Alcoolisation aiguë dans le contexte d'un syndrome de dépendance à l'alcool le 17.03.2019 : hospitalisation au RFSM de Marsens jusqu'au 16.03.2019. Hyponatrémie hypoosmolaire à 124 mmol à volume extra cellulaire conservé. DD SIADH. Hyponatrémie hypo-osmolaire à 127 mmol/l le 08.02.2019. Hyponatrémie hypoosmolaire à 127 mmol/l le 12.04.2019 d'origine mixte. Hyponatrémie hypoosmolaire à 129mmol/l sur probable SIADH. Hyponatrémie hypo-osmolaire à 130 mmol/l (DD : SIADH). Hyponatrémie hypoosmolaire, avec : • Sodium à 126mmol/l • Osmolalité à 275mosmol/kg • Fraction d'excrétion du sodium à 2.1%. Hyponatrémie hypo-osmolaire chronique : • Hyponatrémie hypo-osmolaire à 115 mmol/L le 19.02.2019 sur SIADH probablement paranéoplasique. Insuffisance rénale aiguë AKIN II le 15.09.2017 GFR 45ml/min (CKD-EPI) d'origine prérénale avec acidose métabolique. Syndrome tunnel carpien et canal de Guyon poignet droit en postopératoire le 23.11.2016. Rhizarthrose, arthrose STT au pouce D. Status post ostéosynthèse fracture intra-articulaire déplacée radius distal poignet D, le 23.11.2016. • AMO le 01.05.2017. Status post plastie de Weilby pouce D. Fracture L1. Hyponatrémie hypoosmolaire chronique modérée sur SIADH dans contexte de pathologie pulmonaire. Hyponatrémie hypo-osmolaire discrète : • DD : SIADH central, salt wasting syndrome. Hyponatrémie hypoosmolaire et normo-volémique à 128 mmol/l le 06.04.2019 avec : • Na+ urinaire 87 mmol/l. • DD : SIADH médicamenteux (Citalopram). Hyponatrémie hypoosmolaire euvolémique à 123 mmol/l sur probable SIADH. DD : SIADH sur fibrose pulmonaire, médicamenteux. Hyponatrémie hypo-osmolaire hypovolémique à 123 mmol/l le 05.04.2019 : • DD : sur perte rénale (diurétiques). Hyponatrémie hypo-osmolaire le 07.04.2019. Hyponatrémie hypo-osmolaire légère à 124mmol/l le 24.03.2019. Hyponatrémie hypoosmolaire modérée d'origine indéterminée le 15.03.2019 : • non investiguée au vu du projet. Hyponatrémie hypo-osmolaire normo-volémique chronique • Le 14.04.2019 : natrémie à 129 mmol/l • Contexte de SIADH Hyponatrémie hypo-osmolaire probablement sur perte intestinale DD : SIADH, sur Thiazide Hyponatrémie hypoosmolaire sévère chronique (112 mmol/l) et symptomatique le 11.04.2019 avec • suspicion de SIADH médicamenteux : hydrochlorothiazide, pantoprazole Hyponatrémie hypoosmolaire sévère chronique (>48h) symptomatique avec • Na 112 mmol/l Hyponatrémie hypoosmolaire sévère d'étiologie indéterminée le 19.04.2019 Hyponatrémie hypo-osmolaire subaiguë sévère à 115 mmol/l, symptomatique dans un contexte d'hypovolémie chronique DD : • SIADH, manque d'apport, perte digestive sur possible fistule entéro-vésicale Hyponatrémie hypoosmolaire sur SIADH, le 20.04.2019 Hyponatrémie hyposmolaire sévère sur SIADH probable, le 19.04.2019 • Na sérique : 114 mmol/l, Osmolarité sérique : 247 mmol/l • Na urinaire : 29 mmol/l, Osmolarité urinaire : 387 mmol/l Hyponatrémie iso osmolaire à 128 mmol le 07.04.2019 DD SIADH contexte infectieux Hyponatrémie iso-osmolaire à 130 mmol/l le 21.04.2019 Hyponatrémie légère Hyponatrémie légère à 129 mmol/l le 19.03.2019 d'origine probablement médicamenteuse (thiazide) Hyponatrémie légère à 131 mmol/l, le 11.04.2019. Hyponatrémie légère à 134 mmol/l Hyponatrémie légère asymptomatique à 132 mmol/l Hyponatrémie légère le 07.03.2019. Hyponatrémie légère Hypophosphatémie légère Hyponatrémie modérée à 117 mmol/l hypo-osmolaire Hyponatrémie modérée à 126 mmol/l le 02.04.2019. Hyponatrémie modérée à 129 mmol/L (DD : pseudo hyponatrémie). Hyponatrémie modérée à 132 mmol/l Hyponatrémie normo osmolaire légère, le 20.04.2019 Hyponatrémie normo-osmolaire à 128 mmol/l le 31.03.2019 Hyponatrémie normoosmolaire à 130 mmol/l Hyponatrémie normoosmolaire 132 mmol/L probablement sur hyperglycémie le 15.03.2019 Hyponatrémie normo-volémique le 22.03.2019 Hyponatrémie probablement sur syndrome paranéoplasique (SIADH). Hyponatrémie sévère associée à un diabète insipide. Hyponatrémie sévère normo-osmolaire à 119 mmol/l de type pseudo-hyponatrémie le 08.04.2019 avec : • FeUrée : 45 %, FeNa : 1.2 %. Hyponatrémie subaiguë sévère à 115 mmol/l sur chronique hypo-osmolaire chez une patiente plutôt hypovolémique DD : • SIADH, manque d'apport, perte digestive sur fistule Hyponatrémie 122 mmol/l le 23.03.2019. Hyponatrémie 131 mmol/l Hyponatriémie à 126 mmol/l le 31.03.2019 • Na+ à 134 mmol/L le 17.04.2019 Hyponatriémie à 132 mmol/l. Hyponatrémie d'allure chronique d'origine indéterminée • Labo le 15.04.2019 : Na 132 mmol/l • Labo en novembre 2018 : Na 130 mmol/l Hyponatrémie hypoosmolaire modérée à 123 mmol/l le 02.04.2019 • contexte de surcharge cardiaque Hyponatrémie modérée à 123 mmol/l : • contexte de surcharge cardiaque Hyponatrémie hypoosmolaire modéré à 123 mmol/l • Na 129 mmol/l (28.02.2018), 132 mmol/l (12.03.2018). Hyponatrémie secondaire à l'insuffisance cardiaque le 15.04.2019 • Labo le 15.04.2019 : Na 131 mmol/l Hyponatrémie 128 mmol/L dans contexte hydratation IV Hypoenatrémie hyperosmolaire à 132 mmol/l le 09.04.2019 • Hypovolémie • Osmolarité urinaire à 445 Hypophosphatémie à minima 0.88 mmol/L Hypophosphatémie à 0.31 mmol/l. Hypophosphatémie à 0.44 mmol/l. Hypophosphatémie à 0.49 mmol/l Hypophosphatémie à 0.67 mmol/l Hypophosphatémie à 0.77 mmol/l le 17.04.2019 Hypophosphatémie et hypokaliémie le 08.04.2019 Hypophosphatémie le 17.04.2019 Hypophosphatémie le 30.03.2019 • Phosphate 0.63 mmol/l Hypophosphatémie légère, le 20.04.2019 Hypophosphatémie modérée à 0.65 mmol/l. Hyposphagma bilatéral et xérophtalmie post chimiothérapie le 01.04.2019 Hyposphagma bilatéral le 01.04.2019 et sécheresse oculaire post chimio Hyposphagma de l'œil gauche le 17.04.2019. Hyposphagma du quadrant latéral externe de l'œil gauche le 04.04.2019. Hyposphagma œil droit le 20.04.2019. Hypotension Hypotension Hypotension Hypotension Hypotension Hypotension. Hypotension à 80/50 mmHg le 16.04.2019 DD : contexte de traitement diurétique Hypotension artérielle à 89/58 mmHg, probablement sur déficit d'hydratation • à jeûn depuis ce matin Hypotension artérielle à 90/40 mmHg : • Diagnostics différentiels : iatrogène sur traitement antihypertenseur, manque d'apports sur inappétence récente, dans le contexte inflammatoire avec possible décompensation cardiaque Hypotension artérielle asymptomatique Hypotension artérielle (TA systolique 79 mmHg) sur administration de Nifédipine Retard le 28.04.2019 Hypotension dans contexte déshydratation, accumulation traitement anti hypertenseur ? Hypotension d'origine indéterminée le 25.04.2019 DD hypovolémie, (sepsis débutant d'origine incertaine) Hypotension d'origine mixte dans un contexte médicamenteux et de déshydratation. Hypotension orthostatique Hypotension orthostatique dans un contexte de trouble de l'hydratation le 22/04/19 Hypotension orthostatique dans un contexte d'une déshydratation le 22.04.19 Hypotension orthostatique (DD : dans le contexte du diagnostic principal, d'origine indéterminée) Hypotension orthostatique d'origine probablement hypovolémique Hypotension orthostatique le 02/11/18 Hématome inguinal D iatrogène 25.01.2019 • US-Doppler artériel et veineux du pli inguinal D le 25.01.2019 : aucune complication vasculaire significative. Hypotension orthostatique le 02.11.2018 Hématome inguinal droit iatrogène 25.01.2019 sans complication vasculaire significative à l'US-Doppler Hypotension orthostatique le 18.03.2015. Pyélonéphrite gauche le 02.07.2016. Hypotension orthostatique Syndrome d'apnée du sommeil Hyperplasie bénigne de la prostate Cholécystite aiguë gangréneuse alithiasique le 16.01.2018 Embolie pulmonaire récidivante • sous Xarelto Épaississement irrégulier de la paroi vésicale • probablement dans le cadre d'une hyperplasie bénigne de la prostate Hypotensions symptomatiques les 28.02, 01.03.2019 et le 05.03.19 • Hypotension connue de longue date chez la patiente Hypothermie à 35.1 sans retentissement ECG Hypothermie et asthénie le 28.04.19 sans argument clinique ni biologique pour une infection. Hypothermie minimale à 35.7 ° au Daler Hypothyréose subclinique avec suspicion de Low T3 Syndrome • TSH 4.5 mU/l, fT3 3.37 pmol/l, fT4 15 pmol/l le 04.04.2019 Hypothyréose subclinique le 06.04.2019 • TSH 1.730 mU/l, T3 libre 3.23 pmol/l, T4 libre 12 pmol/l Hypothyréose substituée Hypothyroïdie. Hypothyroïdie. Hypothyroïdie. Hypothyroïdie. Hypothyroïdie. Hypothyroïdie. Hypothyroïdie avec s/p thyroïdectomie totale bilatérale avec résection de la glande parathyroïde inférieure G et réimplantation dans la musculature cervicale pour gros goitre thyroïdien Hypothyroïdie avec TSH à 9.2 mU/l le 22.03.2019 Hypothyroïdie biologique Hypothyroïdie biologique le 01.04.2019 Hypothyroïdie de découverte fortuiteHypothyroïdie de Hashimoto Ostéoporose • fracture Th11 2008 Cervicalgie chronique avec lésions dégénératives de la colonne cervicale Oesophagite de reflux dans le contexte d'une hernie hiatale Maladie coronarienne bitronculaires avec: • sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • sténose subocclusive et calcifiée de la coronaire droite moyenne : rotablator/PTCA/DES x3 • fonction systolique du VG normale FE VG 60%. • Tamponnade post rotablator de la coronaire droite : • mise en place d'un drain péricardique Saignement actif depuis une branche de la postéro-latérale : • occlusion de la branche par mise en place d'un stent couvert dans le vaisseau principal postéro-latéral au niveau de sa bifurcation avec la branche • Aspirine à vie, Plavix jusqu'au 09.03.2019 (initialement prévu jusqu'au 27.05.2019) Mild cognitive impairment • 01.2019: MMS 19/30, Clock-test 2/9 Hypothyroïdie de Hashimoto diagnostiquée en 2015 Scoliose de l'adolescence Polyarthrose Trouble dépressif Hypothyroïdie gestationnelle substituée Hypothyroïdie gestationnelle traitée Hypothyroïdie iatrogène substituée sur St/p thyroïdectomie en 2011 Hypothyroïdie non gestationnelle sous Euthyrox 50 mcg/j Hypothyroïdie pré-gestationnelle Hypothyroïdie primaire (Hashimoto) Carence en Vitamine D3 et acide folique Psoriasis Obésité de stade III St/p dysthymie réactionnelle Hystérectomie par laparoscopie le 07.03.2019 Hypothyroïdie primaire (Hashimoto). Carence en Vitamine D3 et acide folique. Tests hépatiques perturbés. Psoriasis. Obésité de stade III. Status post dysthymie réactionnelle. Hypothyroïdie probablement post immunothérapie par Nivolumab le 28.03.2019 avec: • TSH 64 mU/L • T3 0.9 nmol/L, T4 6 pmol/L Hypothyroïdie secondaire à immunothérapie, non contrôlée sous substitution actuelle avec TSH à 16 mU/L Hypothyroïdie secondaire substituée. Déficit complet en hormone de croissance secondaire, substitué (Somatropine 3 UI/jour). Céphalées pariétales droites d'origine indéterminée, probablement sur cicatrice cérébrale. Hypothyroïdie sous Euthyrox Hypothyroïdie sous Euthyrox. Hypothyroïdie sous Euthyrox Ralentissement psycho moteur Etat dépressif Hypothyroïdie sous substitution infrathérapeutique, avec: • s/p thyroïdectomie totale bilatérale en 2015 dans le contexte de métastases thyroïdiennes • TSH 22.78 mU/l le 06.03.2019, TSH 34.52 mU/l et fT4 12 nmol/l le 11.03.2019 • suspicion d'interaction médicamenteuse avec le Cabometyx Hypothyroïdie subclinique Hypothyroïdie subclinique : • TSH : 8350 mU/L, T4f : 16 pmol/L, T3f : 3.74 pmol/L Hypothyroïdie subclinique avec : • TSH à 6.18 mU/I Hypothyroïdie subclinique • avec TSH à 5.130 mU/I • chez patient connu pour une hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie subclinique avec TSH à 7.05 mU/l et T4 libre à 12 pmol/l en 2013 Douleurs rétrosternales avec résolution spontanée le 07.07.2017 Infection urinaire haute compliquée le 17.02.2016 Insuffisance rénale aiguë stade AKIN 2 d'origine mixte, pré-rénale sur déshydratation et rénale dans le contexte infectieux avec : • GFR à 31 ml/min/1.73 m2 (CKD-EPI), 35 ml/min/1.73 m2 (MDRD) Globe vésical avec : • Pose de sonde urinaire du 18.02.2016 au 22.02.2016 Hypothyroïdie subclinique avec TSH à 7.05 mU/l et T4 libre à 12 pmol/l en 2013. Infection urinaire haute compliquée le 17.02.2016. Insuffisance rénale aiguë stade AKIN 2 d'origine mixte, pré-rénale sur déshydratation et rénale dans le contexte infectieux avec : • GFR à 31 ml/min/1.73 m2 (CKD-EPI), 35 ml/min/1.73 m2 (MDRD). Globe vésical avec : • Pose de sonde urinaire du 18.02.2016 au 22.02.2016. Hypothyroïdie subclinique avec TSH élevée et T4 normale le 10.04.2019 Hypothyroïdie subclinique avec: • TSH le 01.04.2019 à 5.83 (n < 4.2) • T3 et T4 libre dans la norme Hypothyroïdie subclinique avec: • TSH 5.25 mUI/l, T4L 12 pmol/l, T3L 3.12 pmol/l Hypothyroïdie subclinique en 2017. Hypothyroïdie subclinique probablement dans un contexte de phase aiguë • (25.03.19): TSH: 5.770 mU/L, FT3: 3.21 pmol/l, FT4: 14 pmol/l Hypothyroïdie subclinique • TSH à 8.82 mU/l, fT4 dans la norme le 20.02.2019 • sous Euthyrox 25 mcg/j depuis le 20.02.2019 Hypothyroïdie subclinique TSH à 8.82 mU/L le 20.02.2019 Hypothyroïdie subclinique TSH le 01.04.2019 à 5.83 (n < 4.2) T3 et T4 libre dans la norme Hypothyroïdie subclinique (TSH 11.19 mU/L, T4 libre 14 pmol/l). Hypothyroïdie subclinique • TSH: 4.9 mU/l, FT4: 24 pmol/l, FT3: 2.36 pmol/l le 15.04.2019 Hypothyroïdie subclinique • TSH 6.73 mU/L le 19.12.2018, 5.77 mU/L le 22.03.2019 • contexte de traitement par Cordarone Anévrisme de l'artère communicante antérieure de 8 x 6 x 7 mm, anévrisme du tronc basilaire (dd : tronc basilaire "en palette ") à hauteur de la bifurcation des artères cérébrales postérieures, 8 x 7 x 7 mm (découverte fortuite au CT cérébral du 22.03.2019) Névralgie du trijumeau à droite le 09.03.2019, sous Lyrica Ostéopénie et coxarthrose bilatérale Découverte fortuite d'un foie d'allure cirrhotique au CT abdominal en 12/2018, sans signes d'hypertension portale Hypothyroïdie subclinique • 28.03.2019 : TSH 11.19 mU/l, T4 libre 14 pmol/l • Avis endocrinologie : contrôle de la fonction thyroïdienne (TSH et T4 libre) dans 8 semaines. Il n'est pas nécessaire d'introduire de traitement dans l'intervalle. Hypothyroïdie subclinique le 16.04.2019 Hypothyroïdie substituée Hypothyroïdie substituée Hypothyroïdie substituée Hypothyroïdie substituée Hypothyroïdie substituée Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Cardiopathie coronaire, rythmique et valvulaire: • 11.2018: décompensation cardiaque biventriculaire aiguë. • TAVI 27.07.2018: Medtronic CoreValve Evolut PRO 29 mm Bioprothèse. • ED 11.2017 : fibrillation ventriculaire paroxystique CHA2DS2VASc Score 7/9 points, HAS BLED 3/9 points, EHRA 1. Léger déficit d'énergie et protéines (NRS 4/7, BMI 20.4) avec: • Laboratoire 28.11.2018: hypoalbuminémie 30,6 g/l. • Logopédie 05.12.2018: pas de trouble à la déglutition. Insuffisance rénale chronique stade G3aAx KDIGO. Trouble de l'équilibre et vertiges chroniques avec: • Polyneuropathie • Prothèse totale de hanche droite. • Physiothérapie. Suspicion de trouble cognitif léger. Hypothyroïdie substituée Obésité Bypass gastrique 2016 Hypothyroïdie substituée par Eltroxine (2 j 0.1 et 1 jour 0.15). Hypothyroïdie substituée par Euthyrox 100 mg Un épisode de reflux gastro-oesophagien en 10/2011 (traité par 1 cp de pantozol 40 mg). Pas de médication régulière à part Euthyrox actuellement, pas d'autre maladie connue. Hypothyroïdie substituée post thyroïdectomie en 2009. Écrasement P3 D2 de la main droite avec arrachement osseux. • débridement, ablation des fragments osseux ulno-palmaires P3 D2 D, suture (OP le 27.04.2012). Hypothyroïdie substituée post thyroïdite de De Quervain en 1990 • TSH dans la norme le 11.10.2018 Hypothyroïdie substituée, suivi par le Dr. X (début du traitement le 21.08.2017): Euthyrox 50/j BMI 40 Tabagisme actif Hypothyroïdie substituée sur statut post lobo-isthmectomie D (1998) pour adénome (Dr. X) Asthme intrinsèque (Dr. X) Lombalgie sur discopathie sévère L5-S1, modérée L4-L5 (2018 - Dr. X) Troubles dépressifs et du sommeil suivis par psychiatre Hyperlaxité ligamentaire Diverticulose sigmoïdienne Gastrite chronique Tremor MSD traité par Inderal Herpès ophtalmique récidivant sous traitement prophylactique Hypothyroïdie substituée. Tabagisme actif à 35 UPA. Hypothyroïdie substituée, 850 mcg/semaine. Hypothyroïdie substituée Arthrose Hypothyroïdie substituée Dépression Arythmie cardiaque • Hernie hiatale sous Pantoprazol • Hypothyroïdie substituée • Dépression • Arythmie cardiaque • Hernie hiatale sous pantoprazole • Hypothyroïdie substituée • Dépression • Arythmie cardiaque • Hernie hiatale sous Pantoprazole. • Hypothyroïdie substituée. • Dépression. • Arythmie cardiaque. • Hernie hiatale sous Pantoprazole. • Hypothyroïdie substituée • État anxio-dépressif • Hypothyroïdie substituée. • Hypercholestérolémie. • Hypertension artérielle. • Hypothyroïdie substituée. • Diabète de type II. • Hypothyroïdie substituée • Hypertension artérielle traitée • Hypothyroïdie substituée • Hypoacousie bilatérale appareillée depuis 2000 (origine indéterminée) • Hypothyroïdie substituée • Névralgie d'Arnold à gauche • Hernie discale L4-L5 • Trouble dépressif récurrent, épisode actuel moyen avec syndrome somatique • Épigastralgie chronique • Hypothyroïdie substituée • Notion de fibromyalgie • Névralgie d'Arnold à gauche • Vertiges positionnels paroxystiques bénins • Hernie discale L4-L5 • Trouble dépressif récurrent, épisode actuel moyen avec syndrome somatique • contexte anxieux • Hypothyroïdie substituée. • Obésité. • Bypass gastrique en 2016. • Hypothyroïdie substituée • Tabagisme actif • Hypothyroïdie substituée. • Troubles dépressifs. • Troubles du sommeil. • Hyperlaxité ligamentaire • Hypothyroïdie substituée • Volumineuse hernie discale L4-L5 médiane et paramédiane bilatérale, à prédominance G: • Spondylodèse L4-L5 par système Romeo (Spineart) • Discectomie L4-L5 par la G et mise en place d'une cage TLIF Juliet 10/4° (Spineart) • (OP le 06.06.2016) • Probable hématome muscle psoas G, se manifestant par une parésie algogène de la flexion de la hanche G, de résolution complète pendant l'hospitalisation. • Hypothyroïdie traitée. • Hypothyroïdie traitée. • Hypothyroïdie traitée par Euthyrox • Hypothyroïdie traitée. • Dislipidémie. • Hypothyroïdie traitée • Pas d'allergie connue • Hypothyroïdie. • Constipation chronique. • Hypothyroïdie • HTA • Hypothyroïdie • HTA • Hypothyroïdie. • Hypertension artérielle traitée. • Hypothyroïdie. • Obésité morbide. • Hypothyroïdie • Psoriasis • Hypotonie de la vessie sur probable dénervation incomplète : • Colpo suspension par TVT, cystoscopie pour incontinence type stress grade II 2/2000, révision pour difficultés mictionnelles postopératoires 6/2000 (Stucki) • Consilium urologie 8/2000 (Bollmann) • Infections urinaires basses à répétition • Infection urinaire basse par K. pneumoniae le 19.01.2016 • Migraines simples récidivantes : • IRM cérébrale mai 2013 Givision : sans particularité • CT cérébral et orbites 5/2013 Givision : sans particularité • Décompensation migraineuse sur abus médicamenteux le 01.02.2016 • Dysthymie anxio-dépressive : • Tentamen au Sotalex 10/2009 • Nodule pulmonaire de 6 mm lobe inférieur droit visualisé au scanner du 22.01.2016 • Maladie coronarienne monotronculaire: • Coronarographie 12/1999 (Stauffer) : discrète sclérose débutante, pas de sténose, EF 84%. • Échographie 5/2011 (Schönenberger) : pas d'hypertrophie, pas de valvulopathie relevante, EF 75%. • Ergométrie 11/2011 (Schönenberger) : doublement négatif (125W). • Ergométrie 11/2012 (Stauffer) : doublement négatif (7.1 METS). • Coronarographie élective 13.12.2018: FEVG 70%, sténose significative de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Sténose fonctionnellement significative. FFR = 0,63 (1,00 au repos). Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Lésion intermédiaire de la première diagonale. Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. Lésion non significative de l'ostium de l'artère marginale du bord droit. Succès d'angioplastie de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Implantation de 1 stent actif. • Coronarographie élective 17.01.2019 : Absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. Lésion intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Sténose fonctionnellement non significative. FFR = 0,86 (1,00 au repos), Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Lésion intermédiaire de la première diagonale. FEVG 78%. • Coronarographie le 09.04.2019 : sténose en série à 50-70% de l'IVA proximale, moyenne et distale --> angioplastie et mise en place de 4 stents actifs • FRCV : ancien tabagisme (stop 1989), dyslipoprotéinémie, HTA, AF positive (mère, deux sœurs, un frère) • Hypotrophie mammaire bilatérale chez une patiente 1G1P de 33 ans • Hypoventilation alvéolaire nocturne sur: • Syndrome d'obésité-hypoventilation, BPCO stade II A selon GOLD et SAOS (IAH 22/h en 2013) • Tabagisme ancien à 40 UPA • Exacerbation de la BPCO le 02.07.2016 • Fonctions pulmonaires du 22.04.2015 : trouble ventilatoire obstructif de degré sévère (VEMS à 46% du prédit) avec réversibilité aiguë significative après inhalation de béta-2-mimétique. Air-trapping statique, DLCO corrigé à 71% du prédit • CT thoracique injecté du 12.06.2018 : absence de masse, atélectasie sous-segmentaire de la lingula inférieure • Appareillé par BiPAP depuis 2011 • Traitement : Spiriva 1-0-0 et Seretide jusqu'à 2019, Ultibro 110/50 ug dès 04.2019. • Hypoventilation généralisée sur les deux plages : • Diagnostics différentiels : asthme cardiaque, bronchopneumopathie chronique obstructive non bilantée • Hypovitaminose B12 à 154pg/ml et acide folique à 3.3ng/ml le 18.03.2019 • Hypovitaminose B9. • Hypovitaminose B9 à 3.1mmol/l et hypomagnésémie à 0.77mmol/l • Hypovitaminose B9 et D. • Hypovitaminose B9 • Substitution • Hypovitaminose B9 2.6 ng/ml le 01.04.2019 • Hypovitaminose D • Hypovitaminose D • Hypovitaminose D • Hypovitaminose D • Hypovitaminose D à 10nmol/l le 29.03.19 • Hypovitaminose D à 22 nmol/l le 15.03.2019 • Hypovitaminose D à 25 mmol/l le 03.04.2019 • Hypovitaminose D à 26nmol/l • Hypovitaminose D à 33 nmol/L le 12.04.2019 • Hypovitaminose D à 34 nmol/l. • Hypovitaminose D à 36 nmol/l • Hypovitaminose D à 37nmol/L le 29.03.2019 • Hypovitaminose D à 40nmol/l • Hypovitaminose D à 43 nmol/l. • Hypovitaminose D à 44nmol/l • Hypovitaminose D à 47 nmol/l le 01.04.2019 • Hypovitaminose D à 47nmol/l le 26.02.2019 • Hypovitaminose D à 59 nmol/l (06.04.2019) • Hypovitaminose D à 66 nmol/L le 02.04.2019 • Hypovitaminose D avec : • Vitamine D 30nmol/l • Hypovitaminose D avec hypocalcémie le 10.03.2019 • Hypovitaminose D dans contexte insuffisance rénale chronique le 18.04.2019 • Hypovitaminose D de grade modéré le 27.02.2019 • Labo le 27.02.2019 : 30 nmol/l Vit D • Hypovitaminose D et hypofolatémie • Hypovitaminose D le 08.04.2019 • 25OH Vit D2-3 : 36 nmol/l • Hypovitaminose D le 12.04.2019 : • 25OH Vitamine D2-3 à 30 nmol/l • DD : composante ethnique • Hypovitaminose D le 25.04.19 • 45nmol/l • Hypovitaminose D le 28.03.19 • Hypovitaminose D légère • Hypovitaminose D modérée le 27.03.2019 • Hypovitaminose D sévère • Hypovitaminose D sévère : 22 nmol/L (le 26.03.2019) • Hypovitaminose D 15 nmol/L le 19.03.2019 • Hypovitaminose D • 25OH vitamine D2-3 : 27 nmol/L • Hypovitaminose D 29 nmol/L le 21.03.2019 • Hypovitaminose D3 • Hypovitaminose D3 sévère à 17 nmol/l le 06.04.2019 • Hypovitaminose D3 sévère à 1.8 mmol/l le 11.04.2019 • Hypovitaminose en acide folique et vitamine D3 dès le 08.03.2019 • Hypovitaminose en vitamine D3 : • Calcémie corrigée à la limite de la norme • Hypovitaminose en vitamine D3 et acide folique, le 19/03/2019 • Hypovitaminose en vitamine D3, le 15.03.2019 • Hypovitaminose en vitamine D3, le 18.03.2019 Hypoxémie à 6.6 mmHg isolée le 05.04.2019 (Lc 4.9 G/l, CRP 10 mg/l, Hb 154 g/l). Hypoxémie à 7.6 • sans hypercapnie associée Hypoxémie sévère sur la nuit du 14 au 15.03.19 • Atélectasie droite complète • Majoration épanchement pleural Hypoxémie sur probable broncho-aspiration. 11/2011 Hyponatrémie 126 mmol/l. 11/2011 Crise d'épilepsie inaugurale le 03.11.2011 Hystérectomie. Hystérectomie. Hystérectomie. Appendicectomie. Ablation d'un nodule mammaire 2008. Pyélonéphrite gauche à E. Coli avec malaises et syncope orthostatique 2012. Hystérectomie avec annexectomie il y a environ 15 ans. Hystérectomie avec annexectomie vers 1971 Fracture de côtes 7 et à 8 à gauche le 15.09.2016. Hystérectomie avec annexectomie ~1971 Fracture de côtes 7 et à 8 à gauche le 15.09.2016. Hystérectomie avec annexectomie ~1971. Fracture de côtes 7 et à 8 à gauche le 15.09.2016. Hystérectomie avec annexectomie ~1971 Fracture de côtes 7 et à 8 à gauche le 15.09.2016 Oedème aigu du poumon sur fibrillation auriculaire rapide non datée et pic hypertensif le 22.04.2019. Hystérectomie en juin 2015 APP en 2003. Hystérectomie en mai 2017 Etat confusionnel aigu d'origine multiple probable, le 17.03.2018 • DD : encéphalopathie hépatique, infection urinaire basse, possible démence débutante. Hypothyroïdie infra-clinique, le 21.03.2018. Hystérectomie en mai 2017 Etat confusionnel aigu d'origine multiple probable, le 17.03.2018 • DD : encéphalopathie hépatique, infection urinaire basse, possible démence débutante • Régime pauvre en protéines • Duphalac 20 ml 1x/jour + 3x en R pour obtenir 1-3 selles molles/jour • MMS du 20.03.2018 à 26/30 • Infection urinaire basse à Klebsiella multisensible le 23.03.2018 • Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 17.03.2018, le 23.03.18 et le 28.03.2018 Hypothyroïdie subclinique le 21.03.2018. Acidose métabolique à trou anionique normal le 23.03.2018 • Hyperlactatémie à 2.8 mmol/l. Hystérectomie en mai 2017 Etat confusionnel aigu d'origine multiple probable, le 17.03.2018 • DD : encéphalopathie hépatique, infection urinaire basse, possible démence débutante • Régime pauvre en protéines • Duphalac 20 ml 1x/jour + 3x en R pour obtenir 1-3 selles molles/jour • MMS du 20.03.2018 à 26/30 • Infection urinaire basse à Klebsiella multisensible, le 23.03.2018 • Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 17.03.2018, le 23.03.18 et le 28.03.2018 Hypothyroïdie subclinique, le 21.03.2018. Acidose métabolique à trou anionique normal le 23.03.18 • hyperlactatémie à 2.8 mmol/l. Hystérectomie en 1978. Hystérectomie en 1992. Cholécystectomie en 1963. Décompensation cardiaque droite le 29.12.2017. Fracture non déplacée branches ilio-pubienne et ischio-pubienne à droite le 13.07.2018. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes. Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 17.07.2018 au 30.07.2018. Traumatisme crânien sans perte de connaissance le 13.07.2018. Thrombocytopénie à 87G/l le 13.07.2018. Hyponatrémie modérée, normo-osmolaire à 132 mmol/l le 18.07.2018. Ectropion oeil gauche, opération le 19.07.2018. Hystérectomie en 2002 3 accouchements par voie basse (1972 avec épisiotomie/1975/1977). Cholécystectomie en 1994. Hystérectomie en 2007. Ablation d'un mélanome localisé sur cuisse droite en 1990. Cure ongle incarné, avec malaise et paralysie disparue spontanément après 2 heures. Hystérectomie en 2007 Fibrome du sein G en 1991 2 curetages utérins Hémorragie digestive haute • ulcération intra-pylorique Forrest III à H.Pylori. Possible oesophage de Barrett • dd : gastrite à H.Pylori. Hystérectomie en 2012 Pose de filet pour incontinence urinaire en 2012 Op ligament croisé D en 2010 Op ménisque droit en 2016 et 2018 Amygdalectomie dans l'enfance Césarienne en 1990. Hystérectomie en 2017. Intervention chirurgicale de la colonne vertébrale L5-S1, L3-L4 en 2004, 2005, 2010. TVP à l'âge de 18 ans. Hystérectomie et ovariectomie unilatérale pour un fibrome, à l'âge de 37 ans. Status post-crâniotomie ostéo-plastique péritonéale à gauche avec clipping d'un anévrisme à la bifurcation de l'artère cérébrale moyenne. Hystérectomie laparoscopique supracervicale avec sacrocolpopexie le 11.10.2016 (Spitalzentrum Biel). Douleur thoracique, musculo-squelettique. Hernie ombilicale symptomatique Ø 2 cm. Réparation laparoscopique d'une hernie ombilicale par laparoscopie avec insert en filet (IPOM) le 24.10.2018 (fecit Dr. X/Dr. X). Epuisement professionnel débuté par un trouble du sommeil. Hystérectomie par laparoscopie le 07.03.2019. Status post 2x AVB, 1x césarienne (Kosovo). Hystérectomie pour carcinome utérin en 2000. Pseudarthrose et probable nécrose tête fémorale en 2010. Luxation prothèse hanche droite avec changement de celle-ci en 2010. Colite pseudomembraneuse en 2011. Embolies pulmonaires bilatérales en 2011 avec pose de filtre cave. Pneumonie basale gauche à 2 reprises en 2011. Pneumonie bilatérale en février 2019. Etat confusionnel aigu probablement para-infectieux en mars 2019. IRA post-rénale sur globe urinaire en mars 2019 avec infection urinaire. Hystérectomie pour fibrome en 1980. Varicectomie gauche. Ulcère gastrique en 2009. Thromboses veineuses profondes multiples (06/2009, 09/2010, 12/2010). Status après fracture tri-malléolaire de la cheville gauche le 13.10.2013 avec luxation, ostéosynthèse de la malléole externe et de la malléole interne. Adénome tubuleux du côlon avec dysplasie/néoplasie intra-épithéliale de bas grade. Hémorragie digestive haute sur vaste ulcère bulbaire et ulcères gastriques en novembre 2013. Status post-pancréatite sur migration lithiasique aiguë marquée avec des coulées ainsi que du liquide intra-péritonéal et de possibles zones de nécrose au niveau du corps et de l'isthme du pancréas le 30.10.2017. Hystérectomie pour fibromes mars 2019. Hystérectomie subtotale en novembre 2011 (adénomyose). Thermo-ablation pour extrasystolie en février 2011 au CHUV. Cystites à répétition. Hystérectomie supra-cervicale et annexectomie bilatérale en décembre 2012 avec : • tumeur de la granulosa de l'ovaire (2.3 cm dans le grand axe), sans rupture capsulaire ni signe d'angio-invasion. Prothèse totale de hanche bilatérale sur dysplasie des hanches bilatéralement avec coxarthrose sévère. Prothèse totale du genou des deux côtés (prothèse totale du genou droit en septembre 2010). Thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit le 01.01.2011. Dermohypodermite du membre inférieur droit le 06.07.2011. Episode dépressif en 1972. Décompensation diabétique dans le cadre d'un diabète insulino-requérant en juin 2013. Phakectomie gauche le 05.06.2013. Hémorragie digestive haute sur ulcères gastriques (Forrest IIb) sur prise d'AINS et anti-coagulation supra-thérapeutique le 30.07.2014. Insuffisance rénale aigüe Rifle R d'origine pré-rénale le 30.07.14 avec : • hyperkaliémie 6.7 mmol/l sans modification ECG. Hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale par laparoscopie le 18.04.2019 sous anesthésie générale. Antalgie simple. Thromboprophylaxie par Clexane durant l'hospitalisation. Hystérectomie totale avec annexectomie gauche et salpingectomie droite par laparoscopie le 28.03.2019. Pièce opératoire envoyée en anatomo-pathologie. Hystérectomie totale en 2010. Césarienne en urgence pour pré-éclampsie à 7 mois, en 2006, en République Dominicaine. Mort de l'enfant à 5 jours de vie. Césarienne en urgence pour placenta praevia à 8 mois, en 2000, en République Dominicaine. Laparotomie pour kyste ovarien en 2001. FC à 2 mois en 2005 (complication pyélonéphrite). Césarienne élective itérative chez une patiente IV-geste III-pare à 37 4/7 SA avec stérilisation tubaire en 09.2010.Exérèse chirurgicale d'un probable botriomycome sur la face palmaire de la 2e phalange du 2e doigt de la main droite en 10.2010 (Dr. X à l'Inselspital). Hystérectomie totale inter-annexielle par laparoscopie en raison de ménorragies le 09.01.2013 Embolie pulmonaire bilatérale massive post-opératoire le 30.01.2013 Hystérectomie 1987 Carpaltunnelspaltung beidseits 2008 und 2009 • St. n. KP links Hallux valgus beidseits, Hammerzehenbildung Dig II beidseits, Spreizfuss ainsi que Senkfuss beidseits • Hallux valgus Scarf Osteotomie, lateraler Weichteilrelease, ainsi que mediale Kapselraffung. Hammerzehenkorrektur Dig II Fuss rechts (OP am 26.11.2013) Hystérectomie. Adénoïdectomie. Hystérectomie Stripping varice Appendicectomie Adénoïdectomie Arthroscopie épaule gauche Hystérectomie. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle et chute de sa hauteur le 04.02.2017, avec : • fracture de la branche ischio-pubienne droite • contusion de l'épaule gauche • déficit en vitamine D • anémie. Hystéroscopie avec curetage biopsique, rectoscopie et cystoscopie le 29.03.2019 Hystéroscopie avec résection de polype et curetage le 02.05.2019 sous anesthésie xxx Antalgie simple. Matériel envoyé en anatomo-pathologie. Hystéroscopie diagnostique avec curetage biopsique le 18.04.2019 sous anesthésie générale. Antalgie simple. Hystéroscopie diagnostique et curetage biopsique le 07.05.2019 sous anesthésie générale. Antalgie simple. Hystéroscopie diagnostique et curetage évacuateur le 12.04.2019 sous anesthésie générale. Interruption médicamenteuse selon protocole (grossesse gémellaire): Mifegyne le 16.02.2019 et Cytotec le 18.02.20019. Expulsion objectivée le 18.02.2019 Hystéroscopie et curetage biopsique le 25.04.2019 sous anesthésie générale. Matériel envoyé en anatomo-pathologie. Hystéroscopie et curetage évacuateur le 01.05.2019 sous anesthésie générale. Matériel envoyé en anatomo-pathologie Hystéroscopie et curetage explorateur le 29.03.2019 Matériel envoyé en anatomo-pathologie. Hystéroscopie opératoire avec cure de synéchie et mise en place de gel d'acide hyaluronique intra-cavitaire le 30.04.2019 sous anesthésie générale. Hystéroscopie opératoire avec polypectomie le 09.04.2019 Antalgie simple. Hystéroscopie pour endométriose Hépatite virale en mars 2017 Ialugen Plus. Contrôle clinique dans 48h en F34 car son médecin traitant n'est pas disponible. Red Flags expliqués à la patiente. En cas de péjoration clinique, la patiente est avertie de reconsulter les urgences. Ialugen Contrôle chez le médecin traitant dans 24h. IAMI avec : • status post PTA/Stent de l'artère fémorale superficielle ainsi qu'une angioplastie périphérique de l'artère iliaque commune et externe à droite le 18.01.2018 • status post PTA/stent de l'artère fémorale superficielle à gauche le 05.07.2016 HTA traitée Dyslipidémie ibuprofen 600mg dafalgan 1g repos Physiothérapie du dos ibuprofen 600mg 3x/ jour Novalgin 1g 4x/ jour Antibiotika aufhören, Kein Dafalgan, Schönung et kein Sport jusqu'à la prochaine contrôle ibuprofen 600mg novalgine 1g et dafalgan 1g à besoin Ichtolan 50 %. US au lit du malade (Dr. X) : lésion partiellement liquidienne. Pas d'incision car vidange serait incomplète. Rendez-vous de suivi et évaluation d'une incision le 15.04.2019 au secteur ambulatoire des urgences. Consulte avant en cas de péjoration clinique, fièvre, forte douleur. ICP avec retard physique et mental. Épilepsie traitée par Orfiril 300 mg 2x/jour. Ostéoporose sévère. Ictère de la sclère oculaire sur une probable maladie de Gilbert. Ictère, état fébrile. Ictère sur probable allaitement maternel ne nécessitant pas de photothérapie Ictus mnésique le 20/04/19. Idéation suicidaire avec plan, envie de passage à l'acte. Idéation suicidaire scénarisée le 22.01.2018. Status post plusieurs hospitalisations à Marsens. Status post tentamen médicamenteux et alcool à but suicidaire, avec idées suicidaires et tentatives de suicides à plusieurs reprises. Plaie pulpaire D4 main gauche superficielle avec déficit cutané tangentiel de 4 x 5 mm. Hypotension et bradycardie d'origine médicamenteuse (Quétiapine). Idéations suicidaires le 09.06.2018. Idées suicidaires récurrentes 25.07.2018. Idée suicidaire avec scénario de tentamen médicamenteux. Idéations suicidaires. Idées noires. Idées noires avec comportement à risque sur le plan financier. Idées noires avec idéations suicidaires. Séjours dans l'unité Vénus à Marsens 4 fois. Multiples contusions par des coups de son copain avec traumatisme crânien sans perte de connaissance, sans arrêt cardiaque le 22.12.2018 : • hématome orbitaire droite > gauche. • hématomes de l'étranglement sur le cou. • plusieurs hématomes - de 1 à 2 cm coudes des deux côtés, genoux des deux côtés, épaule gauche. • hématome région para-lombaire L3 à droite 4 cm linéaire. Laparoscopie exploratrice pour des douleurs en fosse iliaque gauche il y a 4 ans (anamnestique). Idées suicidaires récidivantes scénarisées le 18.04.2019 : • s/p automutilation il y a 14 jours avant-bras gauche. • notion de trouble de la thymie sur le versant dépressif depuis 14 jours. Idées suicidaires renouvelées le 28.03.2019 dans le cadre de troubles anxio-dépressifs connus, avec: • s/p tentamen suicidaire en 11/2018 • s/p cinq hospitalisations à Marsens, la dernière en 11/2018 Idées suicidaires scénarisées le 15.04.2019. Idées suicidaires scénarisées le 18.04.2019. Idées suicidaires 10.03.2019 dans un contexte de troubles psychiatriques connus avec: • Trouble dépressif récurrent, en rémission actuellement. • Troubles mixtes de la personnalité et autres troubles de la personnalité. • Traits paranoïaques, narcissiques et impulsifs. • Autres difficultés liées à l'entourage immédiat, y compris la situation familiale. • Rupture des liens avec ses enfants. État dépressif sévère avec idées suicidaires 01.019: • Transfert en ambulance avec la police à Marsens sous PAFA. Tentamen médicamenteux le 22.10.2018: • Transfert en ambulance à l'hôpital de Marsens. Accident de la voie publique il y a 25 ans avec: • Traumatisme crânio-cérébral sévère. • Multiples fractures, avec actuellement, de légers troubles cognitifs et un syndrome tétra-pyramidal sans déficit sensitivomoteur. Fracture du col du fémur traitée chirurgicalement par pose de vis. Prothèse totale de la hanche droite sur fracture secondaire déplacée par insuffisance osseuse du col fémoral droit le 06.12.2013 avec: • Réhabilitation générale avec physiothérapie et ergothérapie. Anémie macrocytaire normochrome à 83 g/l le 12.12.2013. Rhabdomyolyse dans un contexte de chute à répétition le 11.03.2019 avec alcoolisation aiguë. Probable dermatite séborrhéique le 13.03.2019. Idées suicidaires. Idiopathic toe walking. IEC, bétabloqueur, statine Echocardiographie à organiser IEC et bêta-bloquant dès le 13.04.2019 Atorvastatine dès le 13.04.2019 IECA en suspens Suivi biologique Il continue la physiothérapie surtout pour décollement de la cicatrice. Nous lui conseillons de protéger les deux genoux par le port de protections d'appui. Le patient a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 06.03.2019 au 08.04.2019. 50% du 09.04.2019 au 12.05.2019. 0% à partir du 13.05.2019. Pour nous, le traitement a pris fin ce jour le 22.04.2019, dans notre service. Il est actuellement trop tôt pour définir si l'infiltration a eu un effet optimal ou non. Toutefois, au vu de la persistance partielle de l'impotence fonctionnelle, nous organisons une 3ème infiltration extra-foraminale sous CT puis le reverrons 4 semaines après ce geste. Dans l'intervalle, nous prions le patient de rester le plus calme possible. Arrêt de travail à 100% pour 2 mois, pas de physiothérapie. Nous lui donnons toutefois quelques conseils d'hygiène posturale pour limiter les douleurs. Antalgie de palier I au besoin. Il est clair que le délai est long après la lésion mais le patient est gêné et souhaite une prise en charge chirurgicale. La littérature apporte de bons résultats pour des durées tout de même moindres. Assistant en orthopédie, il comprend bien la situation, s'est également renseigné et souhaite que je le prenne en charge chirurgicalement. Je remplis avec lui le formulaire d'informations et de consentement. Je pense que le fait d'avoir un faisceau encore partiellement attaché permettra de repérer la partie latérale du chef et d'ensuite pouvoir mobiliser le muscle. Si la mobilisation devait être insuffisante, on pourrait utiliser une greffe thermale acellulaire plutôt qu'un tendon donneur pour combler ou renforcer le défect. Fixation transosseuse par abord delto-pectoral. Une date opératoire est agendée. Il est difficile à dire si la matrice de l'ongle a été touchée ou pas, voir en fonction de l'évolution. Pas de fracture sous-jacente. Contrôle dans 1 semaine. Doit laisser l'ongle en place. Il est recommandé de porter des chaussures à semelles dures, ainsi que de débuter une antalgie simple ces prochains jours. En cas de péjoration des douleurs, le patient est invité à reconsulter. Il existe des radiographies du 10.04.2019 qui montrent une fracture déjà consolidée et non déplacée, matériel d'ostéosynthèse en place. Il existe effectivement une asphéricité de la tête fémorale des deux côtés, actuellement asymptomatique, mais susceptible d'entraîner une clinique d'impingement. Par ailleurs, on ne retient pas d'argument radiologique en faveur d'une rétroversion du cotyle, soit à gauche ou à droite. En l'absence de symptôme en regard de la hanche, nous ne prévoyons pas de revoir d'emblée la patiente, mais nous l'invitons à nous reconsulter en cas de survenue de symptôme. Nous restons à disposition. Il existe une lésion du LCA qui s'exprime par une légère instabilité antéro-postérieure du genou. En première ligne, nous proposons un traitement conservateur avec de la physiothérapie pour la stabilisation et le renforcement musculaire. Une réévaluation sera faite à 6 semaines du traumatisme à notre consultation pour discuter de la suite de la prise en charge. La patiente peut dès ce jour enlever l'attelle Jeans, marcher avec soutien des cannes avec une charge selon douleurs. Dès la charge complète, elle peut arrêter la Clexane. Il me semble difficile de faire la part des choses chez cette patiente qui me consulte avec des plaintes fluctuantes. Pour la forme, je me sens obligé de faire un examen neurologique au niveau du poignet G, à la recherche d'un syndrome de loge de Guyon. Vu que la patiente présente à nouveau des fourmillements à la main D, je vais faire bilanter également ce côté-là chez le Dr X. En ce qui concerne l'IRM de l'épaule G, je n'ai pas trouvé de pathologie particulière. Vu l'absence de gêne de la patiente en ce moment, pas d'attitude active de ma part. Je reverrai la patiente après l'examen auprès du Dr X. Il me semble qu'il reste un potentiel de rééducation majeur chez ce patient. Pour cette raison, poursuite de l'ergothérapie. Prochain contrôle à ma consultation le 14.10.2019. Il n'y a pas de signe clinique en faveur d'une boursite ou d'une arthrite septique du genou, raison pour laquelle nous nous contentons de désinfecter les dermabrasions et d'en retirer les tissus nécrotiques. Un rendez-vous est agendé à 48 heures à la policlinique d'orthopédie pour un contrôle clinique. Le patient est averti qu'il ne doit pas mouiller le pansement et qu'il doit consulter rapidement les urgences en cas de péjoration des douleurs ou d'apparition de fièvre ou trajet lymphangitique. Il persiste des douleurs sur la face dorsale surtout au niveau de l'articulation calcanéo-cuboïdienne 8 mois après le diagnostic susmentionné. Elle a été suivie en physiothérapie avec une nette amélioration des douleurs mais est encore limitée dans son travail et dans sa vie quotidienne. Son assurance a prévu une expertise. Pour le moment, elle va arrêter la physiothérapie. Prolongation de l'arrêt de travail à 50% jusqu'au 17.05.2019. Nous la reverrons dans 6 semaines. Si elle n'a pas fait d'IRM par le médecin d'assurance, nous compléterons le bilan avant son contrôle. Il persiste un épanchement résiduel qui n'est cependant pas symptomatique. Celui-ci devrait se résorber. Si la gêne devait persister, le patient prendra contact avec notre secrétariat. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'office, mais restons à disposition en cas de besoin. Il présente un ongle incarné sans signe de surinfection. Au vu des antécédents, nous souhaiterions avoir l'avis des angiologues pour une guérison d'une plaie en post-opératoire. Nous le reverrons ensuite pour planifier une cure d'ongle incarné. Il s'agit cliniquement d'un pouce à ressaut symptomatique de stade avancé. Selon le souhait de la patiente, j'organise une prise en charge chirurgicale en ambulatoire et en anesthésie locale. Une date opératoire est agendée, éventuellement sur le site de Tavel. Il s'agit de poursuivre le renforcement musculaire et l'activité proprioceptive et de gainage afin de pouvoir travailler la stabilité monopodale et bipodale de ce genou.Je le reverrai en juillet pour discuter la suite et qui est, à mon avis, plutôt non-chirurgical. Il s'agit des séquelles d'une contusion qui sont très probablement liées à une cicatrisation abondante de la dossière des extenseurs et un rétrécissement de la mobilité de la MCP 2. Je préconise une infiltration loco dolenti par cortisone puis un suivi en ergothérapie. L'infiltration est programmée le 3.5.2019. Il s'agit donc d'un patient de 41 ans, sans antécédents personnels connus, mais qui rapporte chez la soeur un diabète et chez la mère une HTA essentielle, qui consulte notre permanence pour des céphalées persistantes et inhabituelles. L'examen a révélé d'une part une tachycardie sinusale que nous avons difficilement ralentie par 50 mg de Beloc Zock per os puis 5 mg IV (la FC avait atteint 160 bpm et a diminué aux alentours de 100 bpm); et d'autre part des chiffres tensionnels élevés avec une PAS allant de 160 à 200 mmHg et une PAD entre 90 et 110 mmHg, probablement en rapport avec un syndrome métabolique. Par ailleurs, le bilan biologique a révélé des paramètres hépatiques fortement perturbés, évoquant en premier lieu une hépatopathie alcoolique ou stéatosique. Aux dires du patient, ce dernier aurait consommé une grande quantité d'alcool durant le week-end de Pâques ce qui pourrait expliquer la tachycardie sinusale et la perturbation du bilan hépatique. Nous prescrivons au patient du Listril 20 mg avec une auto-mesure de la TA à domicile et des réserves de Nifédipine. Nous recommandons vivement un contrôle des paramètres du foie dans deux semaines si persistance de l'élévation pour évaluer la nécessité d'une échographie abdominale. Il s'agit du 3ème épisode d'agression, pour cette raison la patiente a un rendez-vous chez LAVI cet après-midi. L'examen clinique permet d'exclure la nécessité d'une imagerie. Nous préconisons une antalgie et un contrôle chez le médecin traitant selon besoin. Il s'agit d'un contrôle clinique d'une plaie. Le patient décrit une situation stable, des douleurs occasionnelles mais en régression, pas d'état fébrile. L'examen clinique est sans particularité, il n'y a pas de signe d'inflammation, pas d'écoulement, les points sont en place. Nous effectuons une désinfection par bétadine et refaisons le pansement. Le patient a rendez-vous mardi en policlinique pour le suivi de la plaie. Il s'agit d'un hallux valgus complexe dans le cadre de pieds plats avec des douleurs débutantes sur le trajet du tendon tibial postérieur. Le geste chirurgical sera une arthrodèse de l'hallux et une cure d'orteils en marteau mais également un geste sur le calcanéus comme une ostéotomie de varisation selon Myerson. Les suites comporteront une immobilisation par plâtre sans appui pendant 6 semaines puis avec appui pendant 2 semaines. La patiente doit donc réfléchir et s'organiser. Elle nous contactera lorsqu'elle sera décidée. Lors du prochain contrôle, nous ferons des radiographies des pieds en charge f/p, cheville f, arrière-pied Salzmann, Kunst pour position des sésamoïdes. Il s'agit d'un jeune patient de 36 ans victime d'une chute à ski le 30.03.2019 qui a été pris en charge initialement aux urgences de Monthey. Il a présenté des douleurs très importantes au niveau de la charnière dorso-lombaire. Le bilan radiologique réalisé à Monthey par scanner et radiographie a mis en évidence des fractures sur 3 niveaux, D11, D12 et L1 qui ont été interprétées comme stables au départ. Le patient est donc mis au bénéfice d'un traitement conservateur et demande un 2ème avis, lequel est effectué hier le 09.04.2019 avec un complément de bilan par IRM de la colonne lombaire qui a mis en évidence une déchirure complète de l'appareil ligamentaire postérieur au niveau supérieur de D11 sur les séquences STIR. Au vu de la claire instabilité de cette lésion, nous lui proposons une hospitalisation en urgence et une opération planifiée pour le 10.04.2019 avec immobilisation jusqu'à une stabilité correcte. Nous expliquons au patient le geste de fixation percutanée postérieure de D10 à D12 ce qu'il accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule le 10.04.2019 sans complication. Le contrôle radiologique postopératoire est satisfaisant. Les suites opératoires sont simples avec des plaies calmes. Le statut neurologique à la sortie est sans particularité. Retour à domicile le 14.04.2019. Il s'agit d'un kyste scapho-lunaire classique. Vu l'absence d'une gêne, voire de claquements lors du test de Watson, je peux raisonnablement exclure une lésion scapho-lunaire. Je préconise donc l'excision du kyste. J'informe le patient du déroulement intra et postopératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue le 11.06.2019. Il s'agit d'un patient avec une bursite olécrânienne droite avec un écoulement de pus par une petite plaie, une rougeur, une chaleur et une tuméfaction au niveau de l'avant-bras droit, malgré le traitement antibiotique. Après l'avis du Dr. X, orthopédiste, nous organisons l'hospitalisation pour la bursectomie le matin du 06.04. Le consentement est signé et se trouve dans le dossier, le site est marqué et la BO est annoncée dans le dossier. Nous réservons le lit à l'étage F où le patient se présentera à 8h00. L'ECG préopératoire est fait. Le patient doit être à jeun depuis minuit, il peut prendre son traitement pour l'hypertension artérielle et un éventuel AINS en cas de douleurs mais avec peu d'eau. Il s'agit d'un patient ayant bénéficié le 05.02.2019 d'une thromboendartérectomie de l'artère fémorale profonde et d'un pontage iliaque externe-fémorale profonde du côté droit. L'évolution postopératoire est marquée par une ischémie aiguë du membre inférieur droit dans le contexte d'une dissection fémorale avec obstruction secondaire, nécessitant une reprise chirurgicale le 05.02.2019 avec endartérectomie fémorale droite. Le 06.02.2019, la situation se complique par un syndrome des loges, raison pour laquelle une fasciotomie des 4 loges est effectuée avec mise en évidence d'une musculature très atteinte au niveau de la loge antérieure. En raison de la mise en évidence d'une maladie coronarienne tritronculaire sévère, un pontage aorto-coronarien est effectué à Berne, le 25.02. En raison d'une mauvaise évolution du MID avec mise en évidence de germes multirésistants traités par débridements et antibiothérapies adaptées, le patient est retransféré dans notre service pour suite de prise en charge chirurgicale. Nous poursuivons l'antibiothérapie par Ceftriaxone et Vancomycine jusqu'au 19.03.2019. Des changements de VAC itératifs avec débridements sont poursuivis. L'évolution est favorable. Nous pouvons réaliser une greffe de Tiersch le 22.03.19 dont le résultat se révèle bon avec une prise sur la plupart de la surface sauf sur la partie proximale de la loge postérieure. Au vu de la bonne évolution sur le plan chirurgical, le patient est transféré le 12.04.2019 pour une réadaptation au CTR d'Estavayer-le-Lac afin de poursuivre un reconditionnement physique et rééducation à la marche. Le patient sera revu régulièrement à la consultation spécialisée des plaies de notre service. Sur le plan internistique, le patient présente un angioedème de la joue droite sans trouble respiratoire associé à une symptomatologie compatible avec de l'urticaire aux membres supérieurs depuis quelques mois. Nous n'avons pas de piste médicamenteuse. Nous prenons contact avec nos collègues internistes qui préconisent de doser la triptase et IgE en cas de récidive. Contrôle à la consultation de stomathérapie le 17.04.2019 à 09h30 et le 24.04. à 14h45.Nos secrétaires enverront une copie du rapport à la policlinique d'angiologie de l'Inselspital afin que le patient soit convoqué pour un contrôle clinique et Duplex-Doppler de l'a sous-clavière avec mesure haute à 3 mois (durant le mois de juin 2019) (fax: 031/632.42.99). Mr. Y recevra par la suite une convocation. Rendez-vous le 30.04 chez le Dr. X (rue de Romont 1, Fribourg). Arrêt des anti-allergiques dès le 25.04. Il s'agit d'un patient de 19 ans en bonne santé habituelle qui, après avoir porté une lourde charge à son travail de maçon le 10.04.2019, ressent des douleurs rétrosternales gauches irradiant dans le bras et l'épaule gauches, type coup de couteau. Il relate également une sensation de dyspnée. Le patient vous consulte le 12.04.2019 et, suspectant une dissection aortique en raison de l'intensité des douleurs et de tensions asymétriques au niveau des bras, vous organisez un CT-Scan. Celui-ci met en évidence un pneumothorax droit de 26 mm et vous nous adressez le patient pour suite de la prise en charge. A l'entrée, au status pulmonaire, murmure vésiculaire symétrique, sans bruit surajouté. Auscultation cardiaque sans particularité. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance, antalgie et oxygénothérapie. L'évolution est favorable, le status respiratoire est dans la norme. La radiographie du thorax du 13.04.2019 montre un petit pneumothorax à l'apex gauche, mesuré à 13 mm. La symptomatologie douloureuse a disparu et, devant cette bonne évolution, le patient peut retourner à domicile le 13.04.2019. Il s'agit d'un patient de 28 ans en bonne santé habituelle qui rapporte une blessure accidentelle à la face latérale de l'AMTP5 du pied droit par des échardes de bois étant passées à travers sa chaussure durant la fin du mois de mars. Le 14.04.2019, Mr. Y se présente aux urgences en raison d'un hématome en regard de la plaie et de douleurs à la face dorsale du pied. A noter par ailleurs que le patient avait déjà présenté une fracture du Chopart, aujourd'hui radiologiquement consolidée. Le 14.04.2019, le membre inférieur droit est immobilisé dans une attelle jambière postérieure et le patient est autorisé à rentrer à domicile avec un contrôle prévu le lendemain. Le 15.04.2019, le bilan biologique retrouve un syndrome inflammatoire avec élévation de la CRP, sans leucocytose. Par ailleurs, Mr. Y se plaint de douleurs de plus en plus invalidantes et un CT injecté met en évidence la présence d'un épanchement articulaire au niveau talo-naviculaire. Le patient est alors hospitalisé dans le service d'orthopédie et le bilan est complété par une IRM injectée le 16.04.2019. Celle-ci révèle la présence d'un épanchement intra-articulaire avec bombement de la capsule articulaire en dorsal, sans signes d'ostéomyélite mais avec une infiltration de la graisse en regard de l'articulation. L'indication à une ponction articulaire au bloc opératoire est retenue et a lieu le 16.04.2019, permettant l'aspiration de 3 cc de liquide jaune non filamenteux, envoyé pour analyse microbiologique. Une antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g/jour est débutée. Les cultures des prélèvements per-opératoires reviennent négatives à 5 jours, raison pour laquelle l'antibiothérapie est stoppée le 22.04.2019. Par ailleurs, nous notons une évolution clinique favorable, avec diminution des douleurs et une marche en charge possible sans boiterie. Le patient est également apyrétique durant tout le séjour et le suivi biologique met en évidence une disparition du syndrome inflammatoire avec une CRP inférieure à 5 mg/l le 22.04.2019 et une absence de leucocytose durant toute l'hospitalisation. La réfection régulière des pansements de la plaie en regard de l'AMTP5 retrouve des cicatrices calmes, sans signes inflammatoires locaux. Nous prenons un avis rhumatologique auprès de la Dr. X. Celle-ci évoque une monoarthrite para-infectieuse ou micro-cristalline devant la présentation clinique et l'anamnèse et propose un traitement par anti-inflammatoire jusqu'à disparition des symptômes, puis un nouveau dosage de l'acide urique sanguin à 3 mois de l'épisode. La valeur de l'acide urique au moment de l'épisode actuel est dans les normes (277 umol/l le 22.04.2019). Il n'y a par ailleurs pas d'indication à effectuer des sérologies actuellement. Le 23.04.2019, Mr. Y peut retourner à domicile avec un traitement anti-inflammatoire à poursuivre jusqu'au 26.04.2019. Il s'agit d'un patient de 39 ans, connu pour une colique néphrétique droite en janvier 2018, pris en charge à Morges, qui se présente aux urgences de l'HFR Riaz le 07.04.2019 en raison de l'apparition subite de douleurs dans la loge rénale gauche, irradiant en fosse iliaque, EVA à 8/10, similaires à celles ressenties lors du précédent épisode. Pas d'état fébrile, ni de frissons. Par ailleurs, il est à relever que le calcul avait déjà mis en évidence à gauche lors du CT effectué en janvier 2018. A l'admission, patient normocarde et normotendu, afébrile. Auscultation cardio-pulmonaire sans particularité. A l'examen, douleurs en fosse iliaque gauche avec défense, sans détente, bruits abdominaux normaux. Loge rénale gauche douloureuse à la percussion. A l'examen clinique, la loge rénale gauche est douloureuse à la percussion, la droite est indolore. Présence également d'une douleur élective à la palpation de la fosse iliaque gauche, avec défense, sans détente. Les bruits abdominaux sont normaux. Le reste du status clinique est sans particularité. Mr. Y reçoit une antalgie simple par voie intraveineuse, ne permettant qu'une légère amélioration sur la symptomatologie douloureuse. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire et, au sédiment urinaire, il y a une discrète micro-hématurie. Au vu de la clinique et de la persistance des douleurs malgré l'antalgie, un CT abdominal est effectué, mettant en évidence un calcul de 3 x 3 mm dans l'uretère pelvien gauche, de densité 1100 HU accompagné d'une discrète ectasie pyélique de 10 mm. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie pour instauration d'une analgie efficace, surveillance et filtrage des urines. L'évolution clinique est favorable, la symptomatologie douloureuse s'amenuisant et le patient étant peu algique sous antalgie simple per os. Un micro-calcul est retrouvé dans le filtre urinaire, calcul envoyé pour analyse. En raison de cette évolution favorable, Mr. Y peut retourner à domicile le 09.04.2019 avec une antalgie simple et un anti-inflammatoire. Il s'agit d'un patient de 40 ans, déjà opéré à différentes reprises et suivi à la consultation du Dr. X pour la maladie suscitée. Ces derniers temps, il présente un écoulement intermittent persistant par un orifice secondaire en bas de la ligne inter-fessière, environ à 2 cm de la ligne médiane. En plus, il a un ou plusieurs orifices primaires sur la ligne médiane. De surcroît, on a l'impression d'une tuméfaction caudale à ces orifices sur la fesse droite. Le Dr. X retient l'indication opératoire, intervention qui a lieu le 08.04.2019.Les suites opératoires sont favorables, avec bonne gestion de l'antalgie. Le 09.04.2019, devant une bonne évolution clinique et une reprise bien tolérée de l'alimentation, Mr. Y peut retourner à domicile. Il s'agit d'un patient de 44 ans qui a séjourné dans notre service de chirurgie du 29 au 30.03.2019 suite à une urétéroscopie avec fragmentation de calculs et pose d'une sonde double J par le Dr. X le 29.03.2019. Vu la bonne évolution, Mr. Y était retourné à domicile le lendemain. Le patient se représente aux urgences le 31.03.2019 en raison d'une recrudescence de douleurs du flanc gauche, sans état fébrile, ni frisson. Au status, l'abdomen est souple, sensible en fosse iliaque gauche, sans défense, ni détente. Loge rénale gauche sensible à la percussion. Le reste du status est sans particularité. Le bilan biologique met en évidence une légère augmentation de la CRP à 43 mg/l. Le Dr. X propose l'hospitalisation de Mr. Y et l'antibiothérapie par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour est poursuivie jusqu'au 02.04.2019. L'évolution est favorable avec diminution progressive des douleurs, permettant à Mr. Y de retourner à domicile le 02.04.2019 avec une antalgie simple. La dernière dose d'antibiothérapie ce même jour. Il s'agit d'un patient de 52 ans qui ressent des douleurs mécaniques et nocturnes persistantes suite à un mouvement de torsion et traction de l'épaule droite en 2017. L'arthro-IRM effectué par la suite a mis en évidence une luxation du long chef du biceps avec atteinte des parties hautes du sous-scapulaire. Vu la gêne ressentie par Mr. Y, le Dr. X retient l'indication à l'intervention susmentionnée. Les suites opératoires sont simples, les douleurs sont bien gérées, initialement par cathéter interscalénique, puis par l'antalgie standard. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Le patient bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation active et passive de l'épaule. Face à la bonne évolution clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 05.04.2019. Il s'agit d'un patient de 52 ans, sous traitement de Marcoumar suite à la pose d'une valve aortique mécanique, qui se coupe au travail avec un cutter au niveau de l'avant-bras distal droit, face palmaire, le 12.04.2019. Il présente un saignement actif, raison pour laquelle il se présente aux urgences. Le bilan biologique montre un INR à 5. L'exploration effectuée aux urgences ne permettant pas de régler le saignement, l'indication à une révision au bloc opératoire est retenue et effectuée le 12.04.2019, sans complication. Le laboratoire montrant un INR à 5, le patient reçoit du Konakion et le Sintrom est mis en suspens. Le contrôle biologique effectué le lendemain montre un INR dans la norme. Le patient a signé la décharge de responsabilité afin de pouvoir rentrer plus vite à domicile pour raisons personnelles. Au vu du départ soudain de Mr. Y le 13.04.2019, nous n'avons pas pu réintroduire le Sintrom. Le patient a été averti par téléphone de l'importance de reprendre l'anticoagulation et de contrôler l'INR à votre consultation. Il s'agit d'un patient de 56 ans suivi par le Dr. X pour une tendinite chronique du tendon d'Achille gauche. L'indication opératoire est retenue, Mr. Y entre électivement le 15.04.2019 en vue de l'intervention le même jour. Les suites opératoires sont simples, la plaie opératoire est calme et sèche. Les douleurs sont gérées par l'antalgie standard et Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, sous protection de cannes anglaises et attelle articulée pour une durée de 6 semaines. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour a été instaurée et sera poursuivie durant 6 semaines post-opératoires. Devant la bonne évolution clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 16.04.2019. Il s'agit d'un patient de 57 ans, suivi à la consultation du Dr. X pour une coxarthrose. Il a déjà bénéficié d'une arthroplastie totale de la hanche gauche et l'indication est actuellement retenue pour le même geste à droite. Mr. Y se plaint de douleurs essentiellement localisées au niveau de la région trochantérienne, accompagnées d'une boiterie en augmentation avec une limitation du périmètre de marche à 1 heure au maximum. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et les douleurs répondent bien à l'antalgie standard. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge selon douleurs, sous la protection de deux cannes anglaises pendant 6 semaines. Une prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg/jour sera poursuivie durant 6 semaines post-opératoires. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Le contrôle biologique de sortie révèle une hémoglobine à 106 g/l chez un patient asymptomatique. Devant la bonne évolution clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 23.03.2019. Il s'agit d'un patient de 59 ans qui présente une mauvaise évolution suite à l'ostéosynthèse d'une guérison ralentie d'une fracture du tiers moyen du scaphoïde gauche, la dernière intervention ayant eu lieu le 11.12.2018. A trois mois post-opératoires, on constate une non guérison avec déplacement secondaire de l'ostéosynthèse du scaphoïde. Le Dr. X discute des options thérapeutiques avec le patient et, vu la mauvaise évolution, il retient l'indication opératoire, suite à une discussion du cas avec le Dr. X, intervention qui se déroule sans complication le 29.03.2019. Les suites post-opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie et contrôle radiologique post-opératoire en ordre. Les cicatrices, contrôlées à travers un pansement Comfeel étanche, sont propres et calmes. Une immobilisation par attelle de poignet est mise en place, qui sera changée pour un plâtre AB fendu à porter jusqu'à l'ablation des fils. Par la suite, un plâtre AB fermé sera en place pour 6 semaines post-opératoires. Face à l'évolution favorable, Mr. Y peut retourner à domicile le 31.03.2019. Il s'agit d'un patient de 61 ans, aux antécédents et co-morbidités suscités, amené aux urgences de l'HFR Riaz le 26.03.2019 suite à une chute de sa hauteur, avec réception sur le côté droit, survenue la veille dans le contexte d'un malaise d'origine indéterminée, sans prodrome. Traumatisme crânien, sans perte de connaissance, ni amnésie circonstancielle. Le bilan radiologique met en évidence une fracture supra-condylienne non déplacée du coude droit, ainsi qu'une fracture de la 5ème côte droite et permet d'exclure une fracture de la hanche droite. Par ailleurs, le patient présente une plaie sous-mentonnière ne nécessitant qu'une désinfection et un rappel antitétanique. En ce qui concerne la fracture du coude, l'indication opératoire est retenue et, après une surveillance neurologique sans particularité, l'intervention se déroule le 30.03.2019. Dans les suites post-opératoires, mise en évidence d'une anémie à 88 g/l, à priori non explicable par les pertes intra-opératoires. C'est la raison pour laquelle un stix urinaire et des hémofécatests sont effectués. Le prélèvement urinaire est négatif mais le premier fécatest met en évidence des traces de sang dans les selles, les deux autres prélèvements étant encore en attente. Vous recevrez une copie dès réception du résultat.Au vu des antécédents de Mr. Y, un bilan métabolique est effectué durant le séjour, amenant à la consultation d'une malnutrition protéino-énergétique légère motivant la demande d'un avis nutritionniste qui préconise une adaptation du régime. Ce bilan révèle également une hypothyroïdie subclinique, ne nécessitant pas d'emblée l'instauration d'un traitement selon l'avis de l'endocrinologue. Nous vous laissons par contre le soin de procéder à un contrôle de la fonction thyroïdienne d'ici 8 semaines. Sur le plan orthopédique, les suites opératoires se déroulent sans complication, les douleurs sont bien gérées par l'antalgie standard et la cicatrice est propre et sèche. Le contrôle radiologique est en ordre et Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation du coude droit. Le 08.04.2019, Mr. Y est transféré à l'HFR Billens pour suite de la prise en charge. Il s'agit d'un patient de 61 ans, connu pour un diabète de type 2 insulino-requérant, une cirrhose CHILD B et un statut post-hémorragie digestive haute le 01.03.2019, qui consulte en raison d'une faiblesse générale et de glycémies anormales depuis sa sortie de l'hôpital le 12.03.2019. Il a mesuré sa glycémie à 22 au réveil le matin de l'admission, puis à 25 après le repas de midi et correction d'insuline. Il n'a pas d'autre plainte. L'examen clinique à l'entrée se révèle sans particularité. L'ECG effectué aux urgences montre une bradycardie sinusale à 46 bpm, connue. Le laboratoire montre une hyperglycémie à 26 mmol/l, une pseudo-hyponatrémie dans un contexte d'hyperosmolarité plasmatique, une insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 122 umol/l et une perturbation des tests hépatiques connue. Le patient présente également une pancytopénie chronique. La gazométrie ne montre pas d'acidose et le sédiment urinaire permet d'exclure la présence de corps cétoniques. Au vu de l'hyperglycémie, nous débutons une hydratation par NaCl et le patient reçoit 8 UI de Novorapid sc. Le Lantus est augmenté de 16 à 20 UI et le Novorapid à 8-8-6 UI. Le patient est hospitalisé en médecine pour la suite de la prise en charge. Il bénéficie d'un enseignement diététique et d'un suivi diabétologique, qu'il poursuivra en ambulatoire. Durant son séjour, les glycémies sont stables. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y regagne son domicile le 29.03.2019. Il s'agit d'un patient de 68 ans, aux co-morbidités suscitées, sous Aspirine Cardio, qui est amené aux urgences par la police le 22.04.2019 suite à un accident de la voie publique à une vitesse d'environ 70 km/heure. Pas de traumatisme crânien. Le patient se plaint de douleurs au niveau de la cage thoracique droite, majorées à la mobilisation et à la respiration profonde, ainsi que de la clavicule et de la main droites. Lors de l'anamnèse approfondie, Mr. Y ignore s'il a présenté un malaise ou s'il s'est endormi au volant. Il décrit une fatigue constante depuis son carcinome pulmonaire. A l'examen clinique d'entrée, l'auscultation cardiaque montre des B1-B2 bien frappés, sans souffle surajouté, pas d'oedème des membres inférieurs. Status pulmonaire dans la norme. Abdomen et loges rénales souples et indolores. Présence d'une macro-hématurie. Sur le plan neurologique, Glasgow 15/15, pas de latéralisation, ni de déficit sensitif, force conservée. Palpation de la colonne sans particularité, douleurs à la palpation de l'arc antéro-latéral des côtes 4-5 sur la ligne médio-claviculaire droite, ainsi que de l'arc latéral des côtes 6-7 sur la ligne axillaire antérieure. Douleurs également à la palpation du tiers distal de la clavicule droite et de l'éminence thénarienne droite. L'ECG est sans particularité. Le bilan biologique montre une hémoglobine stable, les trains de troponines sont négatifs aux 4 heures. Le sédiment urinaire met en évidence une forte présence d'érythrocytes. Le bilan radiologique (thorax, clavicule et main droites) permet d'exclure toute fracture ou complication pulmonaire. Mr. Y bénéficie d'une surveillance rythmique aux urgences avant d'être admis à l'étage de chirurgie. En cours de séjour, la macrohématurie disparaît. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie simple. Un consilium de médecine interne est demandé et nos collègues préconisent un contrôle chez le cardiologue et l'angiologue traitants au début de la semaine du 29.04.2019 afin de compléter le bilan cardiaque. Devant la bonne évolution globale, Mr. Y regagne son domicile le 24.04.2019. Il s'agit d'un patient de 69 ans, connu pour une fibrillation auriculaire sous Xarelto, une BPCO et une consommation chronique d'alcool, hospitalisé en électif pour une colonoscopie en raison de ses comorbidités et de troubles de la marche. Le Xarelto est en pause depuis le 24.03.2019. Le patient n'a pas de plainte, son transit est régulier (1 x/2 jours). A noter une perte pondérale sur une année, de 110 kg à 69 kg. Pas de sudation nocturne. A l'examen clinique d'entrée, le status cardio-pulmonaire est sans particularité hormis un rythme irrégulièrement irrégulier. Il n'y a pas d'oedème aux membres inférieurs, pas de souffle. Le murmure vésiculaire est symétrique. Au status abdominal, présence d'une hépatomégalie, sans autre particularité. Le patient bénéficie de sa colonoscopie le 28.03.2019, sans complication. Trois polypes sont réséqués et deux clips hémostatiques prophylactiques sont posés. Au niveau de la charnière recto-sigmoïdienne, deux biopsies de polypes sont effectuées. Le traitement de Xarelto sera repris dès le 31.03.2019. Le bilan biologique montre une anémie microchrome microcytaire d'origine ferriprive et carentielle sur carence en acide folique, avec une hémoglobine à 120 g/l, substituée par voie orale. Nous recommandons un suivi en ambulatoire, avec réévaluation d'une substitution par Ferinject dans un second temps. Le patient présente une collection avec fistulisation à la peau, face médiale, tiers distal de la cicatrice du genou droit post-PTG droite. Nos collègues orthopédiques ne retiennent pas de critère d'urgence vu l'absence d'inflammation et d'une situation qui dure depuis un mois selon le patient. A noter qu'une consultation est prévue en orthopédie à l'HFR Fribourg le 02.04.2019 pour le suivi. Mr. Y regagne son domicile le 29.03.2019. Il se présentera à votre consultation pour prendre connaissance du résultat histopathologique de sa colonoscopie. Il s'agit d'un patient de 70 ans, aux antécédents et co-morbidités suscités, qui est suivi par Dr. X pour une hypertrophie bénigne de la prostate ainsi que pour un calcul vésical. L'indication opératoire est retenue et l'intervention se déroule le 27.03.2019 sans complication. L'évolution post-opératoire est favorable, les urines se normalisent et, après ablation de la sonde, reprise normale des mictions. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie prophylactique par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour du 27 au 30.03.2019. Face à la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 30.03.2019. L'Aspirine Cardio, mise en suspens, pourra être reprise dès le 05.04.2019. Il s'agit d'un patient de 73 ans, suivi pour un carcinome urothélial de la vessie en progression avec une prise en charge purement palliative, qui consulte aux urgences le 02.04.2019 pour un état fébrile avec frissons. A noter que Mr. Y se trouvait à l'hôpital Riviera-Chablais le matin même pour une première séance de radiothérapie à visée hémostatique et de contrôle local.Depuis la nuit passée, le patient décrit une baisse de l'état général ainsi qu'un état fébrile mesuré jusqu'à 39.6°C, avec frissons. Pas de dyspnée, pas de douleur thoracique, pas de modification du transit. Au niveau urinaire, il décrit des symptômes chroniques liés à son carcinome (hématurie macroscopique, douleurs abdominales à la miction), associés à une pollakiurie avec algurie. Par ailleurs, il a présenté un épisode de vomissements cet après-midi. A l'examen clinique d'entrée, patient en état général diminué, fébrile à 39.7°, normocarde et normotendu. A l'auscultation cardiaque B1-B2 lointains, réguliers, souffle carotide droit. Au niveau respiratoire, murmure vésiculaire symétrique, pas de bruit surajouté. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité, l'abdomen est souple et dépressible, sans défense ni détente. Les loges rénales sont souples et indolores à la mobilisation. Mydriase fixe connue à l'œil droit. Aux urgences, le bilan biologique montre une créatinine à 113 umol/l, un sodium à 132 mmol/l et des leucocytes à 22.7 G/l. Le stix et le sédiment urinaires s'avèrent pathologiques avec des leucocytes et des érythrocytes. Un urotube et deux paires d'hémocultures sont prélevés. L'ECG est dans la norme. La radiographie du thorax pose un doute sur un possible foyer apical gauche, mais ne montre pas d'épanchement. Nous retenons un probable urosepsis débutant et initions aux urgences un traitement de Cefepime 2 g iv et hospitalisons le patient en médecine. L'antibiothérapie est initialement réduite pour de la Rocéphine en absence de critères pour une antibiothérapie à large spectre. Le 04.04.2019, les hémocultures reviennent positives pour un Staphylocoque aureus. Après discussion avec nos infectiologues, nous effectuons une ETT à la recherche d'endocardite qui revient dans la norme. Un CT thoraco-abdominal ne met pas en évidence de source endovasculaire d'infection claire. Les hémocultures à froid reviennent négatives. Le traitement de Ceftriaxone est stoppé, remplacé par de la Cubicine 500 mg dès le 04.04.2019. Suite aux résultats de l'antibiogramme, ce dernier est stoppé le 05.04.2019 et de la Flucloxacilline 2000 mg - 4 x/jour est initiée. L'urotube revient positif pour un E. coli et un staphylocoque aureus en forte quantité. Au vu du contexte oncologique du patient avec une infiltration tumorale de la vessie et la présence du Staphylocoque doré dans les urines, nous concluons à une source urinaire de la bactériémie. A noter sur le CT thoraco-abdominal une possible pyélo-urétérite. A la lumière de ces résultats, sur avis de la Dr. X, nous débutons un traitement de Céfuroxime 1.5 g - 3 x/jour avec un relais pour de la Cubicine per os - 500 mg/jour jusqu'au 17.04.2019. L'évolution clinique est favorable, permettant un retour au domicile avec réactivation des soins à domicile le 09.04.2019. Il s'agit d'un patient de 73 ans, transplanté rénal gauche en 2014 et suivi en consultation de néphrologie par Dr. X à l'HFR Riaz, qui est admis électivement le 28.03.2019 en vue d'une cure de hernie inguinale droite, avec composante directe et indirecte, selon Lichtentsein. Les suites post-opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie. La reprise de l'alimentation et de la mobilisation est bien tolérée et, face à cette bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 29.03.2019. Il s'agit d'un patient de 74 ans, connu pour un adénocarcinome de la prostate avec métastases osseuses, qui se présente aux urgences le 20.04.2019 en raison d'une hématurie macroscopique sur Cystofix depuis le jour même. Mr. Y gère habituellement à domicile de petites hématuries avec son épouse qui s'occupe de procéder aux lavages. Toutefois, l'hématurie s'avère beaucoup plus abondante aujourd'hui. Aucun symptôme urinaire, ni douleur abdominale, pas de fièvre. Mr. Y est suivi par le Dr. X, avec changement de Cystofix tous les 3 mois (dernier changement il y a 2 mois). L'examen clinique d'entrée est sans particularité, les paramètres sont alignés. Le bilan biologique met en évidence une hémoglobine à 105 g/l, sans syndrome inflammatoire. Le Dr. X, urologue de garde, est contacté et le patient est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance d'une nuit. Un traitement de Cyklokapron 2 cpr/jour est instauré. Le lendemain, l'évolution clinique est bonne, le patient n'est pas algique et les rinçages ramènent des urines rosées. Mr. Y peut retourner à domicile le 21.04.2019. Il prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Il s'agit d'un patient de 75 ans, aux comorbidités et antécédents suscités, sous Aspirine Cardio, qui se présente aux urgences le 26.03.2019 suite à deux épisodes d'hématochézie accompagnés de selles diarrhéiques les 25 et 26.03.2019. Mr. Y a eu une coloscopie le 13.03.2019, avec ablation de quelques polypes sessiles du côlon descendant, transverse et du bas-fond caecal. L'analyse histologique met en évidence un adénome tubuleux en dysplasie de bas grade dont la base passe en muqueuse colique normale. A l'examen clinique d'entrée, l'abdomen est globuleux, souple, sans défense, ni détente. Les bruits intestinaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Au toucher rectal, présence de sang frais en petite quantité sur le doigtier. Loges rénales souples et indolores. Le reste du statut est sans particularité. Le bilan biologique met en évidence une anémie normochrome normocytaire à 135 g/l, s'abaissant à 129 g/l 3 heures plus tard. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance clinique et biologique. Le traitement d'Aspirine Cardio est mis en suspens. Durant le séjour, le patient présente un dernier épisode de selles sanglantes dans la nuit du 26.03.2019, sans autre plainte abdominale. L'hémoglobine du 27.03.2019 se monte à 107 g/l. Par la suite, le patient ne présente plus d'hématochézie et l'hémoglobine se stabilise. Sur le plan néphrologique, relevons une insuffisance rénale aiguë Akin I, probablement d'origine pré-rénale, répondant bien à l'hydratation mise en place et la mise en pause des médicaments néphrotoxiques. Face à la bonne évolution, le patient peut retourner à domicile le 29.03.2019. Il prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle clinique et biologique en début de semaine du 01.04.2019. Le traitement d'Aspirine Cardio, en suspens, pourra être repris dès le 12.04.2019. En cas de réapparition de la symptomatologie, le patient se représentera aux urgences. Il s'agit d'un patient de 75 ans en bonne santé habituelle, connu pour les antécédents chirurgicaux suscités, qui se présente aux urgences le 06.04.2019 en raison de la mise en évidence d'une hématurie macroscopique lors de ses trois dernières mictions le jour même. A noter que Mr. Y est connu pour des infections urinaires à répétition, raison pour laquelle un stix urinaire est effectué tous les trois mois. Le patient est suivi par son urologue, le Dr. X, ainsi que par vous-même, avec contrôle de la PSA tous les 3 mois suite à un adénome de la prostate opéré en 2009. A l'arrivée aux urgences, le patient ne rapporte pas d'épisode traumatique, ni état fébrile, ni frisson, mais il se plaint essentiellement de pollakiurie et d'impériosité depuis environ deux mois, accompagnées de brûlures mictionnelles le jour de son hospitalisation. A l'examen clinique, l'abdomen est souple, dépressible, avec une légère douleur au repos en région hypogastrique, sans douleur élective à la palpation. Bruits intestinaux normaux en fréquence et en tonalité. Pas d'organomégalie. Au toucher rectal, prostate dure et indolore, de taille augmentée.Le bilan biologique effectué aux urgences montre une crase et une fonction sanguine normales. L'analyse des urines met en évidence du sang et une flore bactérienne, avec nitrites négatifs, absence de leucocytose. Un uricult est en cours d'analyse. Un bladder scan met en évidence un résidu post-mictionnel de 150 ml motivant la mise en place d'une sonde urinaire en continu, avec Uroflac. Le patient est mis sous antibiothérapie par Ciproxine 500 mg. En raison de difficultés à vidanger la vessie par la sonde urinaire, le Dr. X met en place une sonde urinaire à trois voies, avec échec de toute tentative. Dès lors, une sonde urinaire simple de calibre 16 est mise en place, avec une sonde sus-pubienne (Cystofix). Le 08.04.2019, en raison d'un mauvais rinçage par la sonde urinaire, nous tentons à nouveau de mettre en place une sonde à trois par sondage écho-guidé, soldant par un échec à deux reprises, avec extériorisation importante de sang et de caillots par l'urètre lors de la manœuvre et forte suspicion d'obstruction, avec lésion urétrale associée. Devant l'impossibilité de mise en place de la sonde urinaire et du saignement important associé, le Dr. X est contacté et propose un transfert de Mr. Y à l'hôpital Daler où il sera pris en charge au bloc opératoire le jour même. À sa sortie de notre service, le patient est hémodynamiquement stable et présente, lors du dernier contrôle sanguin, une valeur d'hémoglobine à 107 g/l. Il s'agit d'un patient de 77 ans, aux multiples antécédents et co-morbidités, qui chute de sa hauteur et se réceptionne sur le côté gauche le 08.04.2019. D'emblée, il présente des douleurs de la hanche gauche, avec impotence fonctionnelle. Mr. Y est amené aux urgences où le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic pour lequel l'indication opératoire est retenue. En outre, une plaie sous-rotulienne gauche est suturée par 3 points et le patient reçoit un rappel antitétanique. Des douleurs de l'épaule gauche motivent la réalisation d'une radiographie permettant d'exclure toute fracture. Mr. Y est hospitalisé dans le service d'orthopédie mais, en raison de ses multiples co-morbidités, il est récusé par les anesthésistes de l'HFR Riaz et est transféré à l'HFR Fribourg le 11.04.2019 pour prise en charge chirurgicale. Il s'agit d'un patient de 77 ans vivant au Foyer Ste-Marguerite de Vuisternens-devant-Romont depuis 3 ans, connu pour un carcinome épidermoïde du lobe pulmonaire inférieur gauche classé cT1 cN0 cM0 stade IA, un flutter auriculaire sous Xarelto, qui est admis le 30.03.2019 aux urgences de l'HFR Riaz suite à une chute de sa hauteur, avec réception sur le flanc postérieur droit. À noter que le patient est sous Co-Amoxicilline pour une pneumonie jusqu'au 06.04.2019. À l'admission, Mr. Y se plaint de fortes douleurs en regard du flanc postérieur droit. Au status cardiovasculaire, les B1 et B2 sont irréguliers. Au niveau pulmonaire, mentionnons des râles crépitants bibasaux. Au status ostéo-articulaire, soulignons une douleur en regard de la 7ème côte droite avec un hématome, mais une colonne indolore à la percussion. Le reste du status est sans particularité. Le bilan biologique signale un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 7 mg/l et une leucocytose à 12.7 G/l. La radiographie du thorax écarte un pneumothorax, mais indique une importante désorganisation de la trame bronchovasculaire avec un probable épanchement pleural gauche et un trouble ventilatoire bibasal sur emphysème. Au vu de l'anticoagulation, nous réalisons un CT cérébral qui ne montre pas de saignement. Concernant la pneumonie en cours de traitement lors de l'entrée du patient, nous poursuivons la Co-Amoxicilline comme prévu jusqu'au 06.04.2019. À propos de la chute, nous adaptons son traitement antihypertenseur, arrêtons son traitement d'IEC et de diurétiques, et augmentons le traitement de bêtabloquant. Quant au cancer pulmonaire, rappelons un dernier examen fin 2017 par les collègues oncologues, qui proposaient une IRM cérébrale afin d'investiguer des possibles métastases, ce que le patient et sa femme avaient refusé. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À la sortie, son périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 45 mètres. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 86/126, identique à celle de l'entrée. (MIF physio : transferts 4/7, marche 2/7, escaliers 1/7). Le bilan nutritionnel objective une malnutrition protéino-énergétique grave, raison pour laquelle nous mettons en place deux suppléments nutritionnels quotidiens ainsi que des potages enrichis. Les tests cognitifs s'avèrent impossibles chez ce patient peu coopérant et ne paraissant pas en comprendre l'importance. Une évaluation ergothérapeutique ne s'avère pas nécessaire, le patient étant institutionnalisé. Finalement, étant donné une évolution favorable, Mr. Y quitte notre service le 09.04.2019 pour rejoindre le Foyer Ste-Marguerite de Vuisternens-devant-Romont où il réside. Il s'agit d'un patient de 81 ans, dément, connu pour un antécédent de cholangite en février 2019, qui est amené par ambulance aux urgences le 24.03.2019 après que son épouse l'ait retrouvé affalé à terre, incapable de se relever. Pas de notion de traumatisme crânien. Selon l'hétéro-anamnèse, Mr. Y présente une baisse de l'état général depuis 7 jours, avec inappétence, sans nausée, ni vomissement. Pas de plainte de douleurs abdominales ou de diarrhées. Pas de toux, de dyspnée ou d'état fébrile récent. Un contrôle clinico-biologique aurait été réalisé le 18.03.2019 à votre consultation, sans perturbation. Lors de la prise en charge ambulancière, Mr. Y est fébrile à 38,5°. Au status à l'admission, TA 124/63 mmHg, fréquence cardiaque 87 bpm, saturation 91% à l'air ambiant, température 37,3°. B1-B2 bien frappés, sans bruit surajouté, pas d'œdème des membres inférieurs, extrémités bien perfusées. Le patient est eupnéique, murmure vésiculaire symétrique, sans bruit surajouté. À l'examen abdominal, bruits de tonalité et de fréquence normales. L'abdomen est globuleux, diffusément sensible. Il n'y a ni défense, ni détente. Signe de Murphy négatif. Loges rénales souples et indolores. Le toucher rectal est indolore, présence de selles dans l'ampoule rectale, avec trace de selles dans la protection. Pas de plaie du scalp. Douleurs à la palpation de T2, de T3 et du sacrum, le reste de la palpation est indolore. Compression antérieure du bassin et palpable de la crête iliaque indolores. Sur le plan neurologique, Glasgow 15/15, patient calme, désorienté aux trois modes. Pupilles isocores et isoréactives. Force grossièrement conservée aux quatre membres. Sensibilité non testable au vu du manque de collaboration. Le bilan biologique révèle un syndrome inflammatoire avec CRP à 79 mg/l, leucocytes 16 G/l avec déviation, ainsi qu'une importante perturbation des tests hépatiques, avec cytolyse et cholestase. Des hémocultures sont prélevées, revenant négatives. Le bilan urinaire retrouve de l'urobiline et de la bilirubine, sans argument pour une infection urinaire. Un urotube est également effectué, qui reviendra négatif. L'ECG est sans argument pour une atteinte d'origine cardiaque. Sur le plan ostéo-articulaire, au vu des douleurs localisées à la palpation de T2, T3, une radiographie est réalisée, permettant d'exclure une fracture. Nous retenons donc le diagnostic de contusion dorsale sans déficit neurologique associé. Un ultrason abdominal est effectué, retrouvant de multiples calculs dans la vésicule biliaire, sans hydrops. Une lame de liquide libre est mise en évidence en périphérie de la vésicule biliaire. Cependant, l'examen est réalisé difficilement au vu de l'agitation du patient.Vu l'antécédent récent de cholangite et la perturbation des tests hépatiques, nous suspectons une migration de calcul et Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie, mis sous antibiothérapie intraveineuse dans l'attente de la réalisation d'une cholangio-IRM. En cours de séjour, nous assistons à une péjoration initiale des signes de cholestase, qui tendront à se normaliser dès le 26.03.2019. Une cholangio-IRM est réalisée sous sédation le 29.03.2019, retrouvant un calcul du cholédoque mesurant 8 mm. Nous prenons contact avec les gastro-entérologues de l'HFR Fribourg qui retiennent l'indication à une ERCP le 03.04.2019. A noter que le patient présentera une pancréatite post-ERCP, de résolution spontanée, sans autre complication. Nous profitons également de l'hospitalisation pour prendre contact avec la famille du patient qui émet, suite à divers entretiens avec le service de liaison, le souhait que Mr. Y soit placé dans un foyer au vu d'un maintien à domicile impossible. Le 10.04.2019, le patient quitte notre service pour se rendre au Foyer St-Vincent de Vuadens. Résumé de l'antibiothérapie : • Rocéphine 2 g iv/jour et Métronidazole 3 x 500 mg/jour du 24.03 au 09.04.2019, inclus. Il s'agit d'un patient de 86 ans, connu pour une récidive de cancer urothélial avec de multiples hospitalisations sur les 16 derniers mois. Pour rappel, il a été hospitalisé jusqu'au 18.03.2019 dans le service de Gériatrie aiguë de Meyriez des suites d'une récidive tumorale. Le retour à domicile était alors jugé non optimal. Le patient chute à domicile le 23.03.2019 et est retrouvé au sol par les soins à domicile qui l'amènent à la Permanence de Meyriez. Un laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire et l'analyse d'urine met en évidence une leucocyturie. Nous retenons le diagnostic d'infection urinaire et nous initiions une antibiothérapie. Un urotube est en cours. Le projet social est discuté avec Mr. Y qui souhaite absolument rentrer à domicile. Le patient est anosognosique quant aux risques encourus à la maison, raison pour laquelle nous proposons d'organiser un recours à la Justice de Paix pour mise en danger et organiser par la suite un placement en home médicalisé. Mr. Y est transféré en gériatrie aiguë pour la suite de la prise en charge. Il s'agit d'un patient de 86 ans, connu pour une récidive d'un carcinome urothélial et des multiples hospitalisations pour différentes raisons sur les 16 derniers mois qui nous est transféré de la médecine de HFR Meyriez le 26.03.2019 pour suite de prise en charge d'un syndrome inflammatoire d'origine probable urinaire ou tumorale et une chute à domicile le 23.03.2019. Pour rappel, il a été hospitalisé jusqu'au 18.03.2019 dans notre service suite à une fracture pertrochantérienne droite traitée par ostéosynthèse, une insuffisance rénale aiguë d'origine postrénale et une récidive tumorale. Le retour à domicile était alors jugé très précaire mais désiré à tout prix par le patient et alors réalisé avec les soins à domicile trois fois par jour et des soins palliatifs par Voltigo. Mr. Y est porteur d'une sonde vésicale. Le patient est sous Rocéphine pour une suspicion d'infection urinaire compliquée. Une culture urinaire revient positive pour E. faecalis et P. aeruginosa. Selon avis infectiologique, l'antibiothérapie est relayée par du Piperacillin/Tazobactam selon antibiogramme et nous débutons un traitement antibiotique d'éradication de l'E. faecalis avec de l'Amoxicilline pendant 8 semaines. Une consultation urologique chez Dr. X le 10.04.2019 confirme l'approche thérapeutique conservatrice avec poursuite de la sonde vésicale et les soins de confort chez ce patient ne désirant pas de néphrostomie qui nécessiterait une dialyse ni de radio-/chimiothérapie. Concernant l'anémie normochrome normocytaire d'origine rénale, le patient reçoit une transfusion de deux culots érythrocytaires. Un traitement à l'EPO est contre-indiqué en raison du contexte tumoral. Parallèlement, Mr. Y bénéficie de séances de physio- et d'ergothérapie permettant de maintenir son niveau d'autonomie et de mobilité. Après discussion avec le patient et sa belle-soeur, un placement en home est décidé suite à un échec de retour à domicile après la dernière hospitalisation. Une sortie de Mr. Y est alors prévue pour le 12.04.2019 au home médicalisé des Bonnes Fontaines. Malheureusement, le patient présente une chute d'origine mécanique le soir du 11.04.2019 avec une fracture pertrochantérienne de la hanche gauche objectivée à la radiographie, raison pour laquelle Mr. Y est transféré en orthopédie de l'HFR Fribourg le 12.04.2019 pour une prise en charge chirurgicale. Il s'agit d'un patient de 88 ans connu pour un cancer prostatique en 2004 et bronchopneumopathie chronique obstructive non stadée, qui a séjourné en gériatrie aiguë HFR Riaz du 07.03 au 15.03.2019 en raison d'une pneumonie basale droite. L'évolution clinique de la pneumonie s'avérant favorable, Mr. Y est désormais pris en charge pour une réadaptation gériatrique à l'HFR Riaz. Au status cardiovasculaire, nous notons un B1 et B2 bien frappé, avec un souffle systolique au foyer mitral à 2/6, d'importants oedèmes aux membres inférieurs, une turgescence jugulaire et des reflux hépato-jugulaires, des mollets souples et au balant conservé. Pouls périphériques palpables. Sur le plan respiratoire, signalons des râles crépitants en base droite. Sur le plan digestif, relevons des bruits abdominaux normaux en fréquence et tonalité et un abdomen souple et indolore, sans défense ni détente. Les loges rénales sont souples et indolores. Suite à une décompensation cardiaque globale durant l'hospitalisation en gériatrie aiguë, le patient bénéficiait initialement de Lasix 20 mg 3x/24h en augmentant à 40 mg 3x/24h sans effet, raison pour laquelle nous débutons une pompe de Lasix intraveineux 4 mg/h que nous majorons au cours du séjour étant donné une réponse clinique défavorable. Par la suite, de la métolazone est introduite. En raison de l'évolution lente au niveau de la recompensation cardiaque, chez ce patient ne profitant pas suffisamment de la réhabilitation, une reprise en charge en gériatrie aiguë HFR Riaz est décidée pour le 27.03.2019. Sur le plan orthopédique, Mr. Y a été évalué durant son séjour en gériatrie aiguë par notre service d'orthopédie pour des douleurs invalidantes du genou droit. Le liquide d'une ponction du genou droit parle en faveur d'une arthrite goutteuse, justifiant l'introduction de la Colchicine. Sur le plan métabolique, le patient bénéficie d'une substitution par voie orale en acide folique et vitamine D. L'insuffisance rénale chronique est acutisée sur cause iatrogène (traitement diurétique). Les valeurs restent cependant acceptables au cours de l'hospitalisation. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche accompagné est de 100 m à l'aide d'un rollator. Les escaliers ne sont pas réalisables. Remarquons que l'activité de remobilisation est compliquée par une dyspnée en lien avec la décompensation cardiaque ainsi que par les douleurs du genou droit. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 70/126, par rapport à 56/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 5/7, marche à 1/7, escaliers à 1/7). Le TUG est à 21.38 secondes avec un rollator. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 13.03.2019 signalaient des performances altérées avec un MMS à 25/30 et un test de la montre à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 0/15.Au niveau nutritionnel, le patient présente une anorexie en lien avec inappétence, avec des apports couvrant 75% des besoins énergétiques totaux. Dans ce contexte, nous mettons en place des suppléments oraux que le patient ne souhaite pas poursuivre après son séjour, malgré nos explications quant à leur importance. En ergothérapie, Mr. Y profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Le 27.03.2019, au vu de l'évolution défavorable sur le plan cardiaque, un avis cardiologique et une échocardiographie sont demandés le 27.03.2019, mettant en évidence une insuffisance mitrale sur un prolapsus du feuillet postérieur avec une probable rupture de cordage. Mr. Y est repris en charge en gériatrie aiguë HFR Riaz (lettre n°3). Il s'agit d'un patient de 94 ans, connu pour un adénocarcinome sténosant au niveau de l'angle recto-sigmoïdien, réséqué en 2017, qui est hospitalisé dans un contexte de flutter auriculaire à conduction 2:1 nouveau. Pour rappel, il a été récemment hospitalisé au Lindenhof dans un contexte de pneumonie. Il est transféré à la Permanence de Meyriez par son médecin traitant pour une tachycardie nouvelle. Cliniquement, il est asymptomatique et ne présente aucun signe d'insuffisance cardiaque. Un ECG est effectué et met en évidence un flutter auriculaire à conduction 2:1. Un laboratoire met en évidence des troponines à 174 ng/l, probablement dans le contexte du flutter, cependant un NSTEMI ne peut être écarté. Nous décidons cependant de ne pas effectuer de deuxième train de troponines au vu de l'âge du patient. Un traitement ralentisseur par bêta-bloquant et digoxine est introduit avec bonne évolution. Nous introduisons une anticoagulation orale et organisons un rendez-vous en cardiologie à distance pour la discussion d'une cardioversion médicamenteuse ou électrique. Une hypothyroïdie subclinique est mise en évidence et une substitution est initiée. Le patient peut rentrer à domicile le 29.03.19. Il s'agit d'un patient dont le bilan clinique, de laboratoire et d'imagerie permet de poser le diagnostic de douleurs thoraciques antérieures gauches, probablement musculo-squelettiques, supra-costales punctiformes subaiguës. Le bilan de biologie montre aussi un DM mal contrôlé, avec HbA1c à 10.8. Le patient a déjà un rendez-vous prévu chez le diabétologue le 08.04. Concernant les douleurs thoraciques, nous instaurons un traitement par AINS et conseillons un contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Il s'agit d'un patient fumeur, sans apparente exposition professionnelle à des toxiques, qui se présente pour 3 épisodes d'hématurie sans douleur, accompagnés par un état fébrile à 37.3°C. L'examen de laboratoire montre une Hb à 137 g/l et l'examen urinaire montre seulement la présence de sang. Nous envoyons l'urinocult (DD : cystite hémorragique) et organisons l'ultrason pour demain le 05.04.2019 à 11H30, suivi par un contrôle à la filière des urgences ambulatoires. Il s'agit d'un patient menuisier qui, suite à une plaie au niveau de la phalange D de D2 de la main D, est suivi à la policlinique pendant six semaines. L'évolution clinique est favorable, le patient a bénéficié d'un arrêt de travail pour un mois suite à la prise en charge chirurgicale. On conseille un prochain contrôle clinique dans un mois pour l'évaluation de la croissance de cet ongle. Il s'agit d'un patient qui a bénéficié d'un traitement conservateur et d'une rééducation par physiothérapie pour les fractures susmentionnées suite au traumatisme par écrasement du coude G. Étant donné la bonne évolution clinique, le traitement à la policlinique est terminé. Il s'agit d'un patient qui arrive avec résolution spontanée de son épistaxis. Les constantes vitales sont stables, Hb 136 g/l, crase normale. Nous le laissons sortir avec indication de se représenter en cas de récidive. Il s'agit d'un patient qui avait présenté une évolution favorable avec un traitement physiothérapeutique en 2017. Nous lui proposons donc de reprendre ce traitement axé sur le relâchement musculaire, proprioception, gainage et renforcement musculaire. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'office mais restons à disposition au besoin. Il s'agit d'un patient qui, en jouant au tennis le 22.03.2019, se donne accidentellement un coup de raquette au coude droit. Par la suite, apparition d'une tuméfaction, avec rougeur et chaleur locales, raison de la consultation aux urgences. Le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic suscité et une incision, avec prélèvements bactériologiques, est effectuée aux urgences. Le patient est hospitalisé dans le service d'orthopédie et bénéficie, le lendemain, d'une bursectomie. Les suites opératoires sont simples, le patient est mis sous antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g/jour. Les prélèvements ne révèlent pas de germe mais l'antibiothérapie sera poursuivie par voie orale jusqu'au 08.04.2019 inclus. Les douleurs sont gérées par l'antalgie standard et, face à la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 29.03.2019. Il s'agit d'un patient qui présente les fractures mentionnées ci-dessus. Nous mettons en place une attelle postérieure plâtrée, le patient sera contrôlé à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Il s'agit d'un patient qui présente un état grippal. Le streptotest est négatif et l'examen des poumons ne montre pas de bruit surajouté. Nous lui donnons de l'antipyrétique, le patient se représentera aux urgences si péjoration clinique. Le patient refuse l'arrêt de travail. Il s'agit d'un patient qui présente une discopathie aggravée avec ostéophytose et douleurs invalidantes, difficilement supportables. Dans ce contexte et au vu des anomalies objectivées lors de l'examen clinique, nous organisons en semi-urgence une décompression, discectomie et mise en place de cages en C4-C5 et C5-C6 +/- stabilisation par plaque. Mr. Y est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Une date opératoire est fixée pour demain, au soulagement du patient qui est fortement demandeur d'une prise en charge chirurgicale. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Il dit ne pas nécessiter de temps de réflexion supplémentaire et signe le consentement directement. Il en reçoit néanmoins une copie. Il s'agit d'un patient qui présente une évolution défavorable avec une entorse du LLI de grade II, traitée conservativement, et déchirure du corps de ménisque externe traitée par méniscectomie partielle le 21.09.2018. En effet, le patient présente toujours des douleurs au niveau de l'insertion proximale du LLI et a développé en postopératoire des douleurs au niveau de l'interligne fémoro-tibiale externe. Ces douleurs apparaissent dans un contexte de déchirure méniscale persistante et d'un kyste méniscal à l'IRM du 19.02.2019. Dans ce contexte, nous proposons au patient, pour le moment, de s'abstenir de toute prise en charge chirurgicale et nous lui proposons de débuter un traitement conservateur axé sur le renforcement musculaire, le maintien des amplitudes articulaires et une perte de poids. Poursuite de l'arrêt de travail à 50% (demi-journée jusqu'au 30.04.2019). Il reprendra son activité professionnelle à 100% dès le 01.05.2019. Prochain contrôle clinique le 31.05.2019. Il s'agit d'un patient qui présente une évolution favorable de son pied D. Étant donné la disparition des douleurs à la charge complète, le traitement est terminé. Le patient a bénéficié d'un arrêt de travail jusqu'au 29.03.2019. Il s'agit d'un patient qui se coupe avec un ustensile utilisé pour couper de la viande. L'examen clinique et l'exploration permettent d'exclure une atteinte du tendon et de la capsule articulaire. Le patient est vu par le Dr. X, orthopédiste. Nous effectuons une anesthésie, exploration, rinçage et suture par Ethilon 4.0 de la plaie du 3ème doigt. Désinfection et pansement par Adaptic pour la perte de substance du bout du 4ème doigt à gauche. Antalgie, Co-Amoxicilline 1 g 3 x/jour pour 3 jours, contrôle à la policlinique le 05.03.2019. Arrêt de travail 2 semaines.Il s'agit d'un patient qui, suite à un traumatisme, s'est occasionné une plaie à la face dorsale tiers distal avant-bras D. Contrôle à 2 jours en policlinique d'orthopédie. La plaie est calme. On refait le pansement. Le patient bénéficie d'un arrêt de travail jusqu'au 15.04.2019. Changement de pansement tous les deux jours chez son médecin traitant avec ablation des fils à deux semaines du traumatisme. Il s'agit d'un patient victime d'une chute à ski le 16.03.2018 avec de fortes douleurs au niveau de la jambe G et impotence fonctionnelle par la suite. Le bilan radio-clinique met en évidence le diagnostic sus-mentionné. Une indication opératoire est posée. Les risques et bénéfices de l'intervention sont expliqués et le consentement éclairé est signé. L'intervention se déroule sans complications le 17.03.2019. Le contrôle radiologique postopératoire met en évidence un recurvatum de 10°. Nous complétons l'imagerie avec un CT-scan qui exclut d'autres déformations. Le 10° de recurvatum est acceptable. Les suites opératoires sont simples avec des plaies calmes. Retour à domicile le 23.03.2019. Il s'agit d'une patiente de 93 ans, résidente du Home de Morat, connue pour une HTA et FA anticoagulée ainsi qu'une démence, qui est hospitalisée dans un contexte de déshydratation sur diarrhées aigües. Pour rappel, elle a été hospitalisée du 20 au 27.03.19 à l'hôpital de Tiefenau pour la prise en charge chirurgicale d'une fracture pertrochantérienne du fémur droit suite à une chute le 20.03.19. À son entrée, la patiente est stuporeuse et confuse. À l'hétéroanamnèse, nous apprenons qu'elle souffre de selles défaites depuis son retour de Tiefenau avec des moments de somnolence. À l'examen clinique, on retrouve une patiente pâle et diaphorétique avec tachycardie à 160/min, hypoperfusion périphérique avec pouls tibiaux et pédieux faiblement palpables. Elle présente des signes de déshydratation avec une muqueuse buccale sèche et un pli cutané pathologique. Un laboratoire met en évidence un discret syndrome inflammatoire ainsi qu'une légère hypokaliémie. Les urines sont pathologiques et un urotube revient positif pour une flore mixte indiquant une contamination. Une radiographie de thorax datant du 20.03.19 ne montrait ni foyer de condensation pulmonaire ni signes de décompensation cardiaque. Un ECG est effectué et retrouve une FA connue ainsi qu'une tachycardie à QRS fins. Nous intensifions le traitement bêta-bloquant et mettons en place une hydratation intraveineuse avec évolution positive. Mme Y peut rentrer dans son Home le 03.04.19. À sa sortie, la patiente est stable au niveau des douleurs et au niveau clinique mais son état général est nettement diminué suite à l'opération. Une réhabilitation n'est cependant pas indiquée au vu du contexte global. Il s'agit d'un phénomène que j'observe somme toute rarement (1/10) suite à l'ablation de ce genre de kyste, avec limitation de mobilité du poignet. Cette raideur est plutôt signe d'une cicatrisation tardive. Un traitement local par patchs de silicone, physiothérapie et instruction pour un stretching articulaire à domicile est instauré. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 19.04.19 avec reprise à 100% dès le 20.04.19. Prochain contrôle à ma consultation le 16.05.19. Il s'agit d'un traumatisme ouvert du doigt sans fracture, ne nécessitant pas de points de suture. Nous faisons une désinfection à la permanence et expliquons au patient le changement de pansement tous les 3 jours avec un RDV de contrôle le 10.04.2019. Il s'agit d'une arthrose suite à cet ostéochondrome qui est responsable de la limitation de mobilité de l'IP du pouce. Vu l'absence d'une gêne majeure subjective au niveau des douleurs ainsi qu'au niveau fonctionnel, pas d'attitude active de ma part. Auto-mobilisation. Contrôle radio-clinique chez moi à une année post-opératoire le 11.11.2019. Il s'agit d'une bonne évolution clinique d'entorse LLE cheville D stade 2. La patiente marche en charge selon les douleurs, on met en place un bandage et on conseille un arrêt de sport pendant 6 semaines. Contrôle chez le pédiatre à 3 et 6 semaines dès l'entorse. Il s'agit d'une contracture para-lombaire D pour laquelle nous ne prévoyons rien de plus qu'une antalgie standard. Un retour au travail peut être envisageable avec le port d'une ceinture abdominale. Le certificat établi par le médecin traitant est encore en cours jusqu'au 14.05.2019. Pas de prolongation de celui-ci. Pas de nouveau contrôle prévu, nous restons à disposition au besoin. Il s'agit d'une contusion de l'hallux droit pour laquelle nous prescrivons des anti-inflammatoires. Il s'agit d'une contusion sacrale que nous proposons de traiter par décharge partielle à l'aide de cannes anglaises jusqu'à 4 semaines post-traumatisme puis reprise progressive de la charge durant 2 semaines. Concernant l'élargissement de l'articulation sacro-iliaque G, nous rediscuterons avec le Dr. X, spécialiste de la chirurgie de la hanche afin de définir la prise en charge à entreprendre. En cas de changement par rapport au traitement proposé ce jour, nous recontacterons la maman de Mme. Y. Pas de sport pour 3 mois. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Il s'agit d'une dermoabrasion sans signe de surinfection. Nous faisons le pansement et les prochaines contrôles cliniques se feront chez le pédiatre. Pas de piscine. Il s'agit d'une entorse de cheville gauche de stade 2 (ligament fibulo-talare antérieur et fibulocalcanéen). Nous conseillons le port d'une attelle Aircast et marche en charge, contrôle en policlinique d'orthopédie le 26.04.2019 et suite chez le médecin traitant. Il s'agit d'une fracture inhabituelle de la clavicule latérale. La patiente présente la fracture avec un arrachement des ligaments coraco-claviculaires. Je préconise donc un laçage coraco-claviculaire combiné avec une stabilisation de la clavicule latérale. J'informe la patiente du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 2.04.2019. Il s'agit d'une lésion de l'articulation du Chopart. L'immobilisation doit se faire par une botte plâtrée fermée pour encore 5 semaines, soit 8 semaines au total. Comme la patiente est connue pour un Morbus Sudeck, nous lui prescrivons du Redoxon pour la durée de l'immobilisation. Nous la reverrons dans 5 semaines pour un contrôle radioclinique hors plâtre. Si elle développe des douleurs, elle nous recontactera avant. Il s'agit d'une lésion dégénérative du sus-épineux qui est encore assez bien compensée, mais plutôt compliquée par des douleurs. Je préconise tout d'abord un traitement conservateur avec mise en place d'un traitement de physiothérapie pour recentrage de la tête humérale, renforcement des abaisseurs de la tête humérale et renforcement des stabilisateurs de l'omoplate. Pour soulager les douleurs du patient, je préconise une infiltration qui aura lieu le 05.04.2019. Je reverrai le patient suite à cette infiltration pour juger de l'évolution. Pour des raisons professionnelles, le patient ne pourra pas se faire opérer avant le mois d'août 2019, mais j'ai déjà profité de l'occasion pour lui parler de la chirurgie si le traitement conservateur s'avère inefficace. Prochain rendez-vous le 02.05.2019. Il s'agit d'une mauvaise évolution d'une probable neurite Parsonage Turner au bout de 2 ans de traitement conservateur. Il me semble opportun d'effectuer une IRM de l'hémi-thorax droit qui inclut le plexus brachial, à la recherche d'un thoracic outlet syndrome, d'une neurite du plexus rachial et pour faire l'état des lieux d'une atrophie du dentelé antérieur. En outre, je préconise une IRM de l'épaule droite afin de faire la part des choses pour une éventuelle atrophie musculaire. Je demande une consultation neurologique approfondie au Dr. X.Je reverrai la patiente après les IRM pour faire la part des choses et coordonner la suite de la prise en charge. • Il s'agit d'une nécrose tardive de la tête humérale avec actuellement une phase aiguë avec d'importantes douleurs. Je complète le bilan par un CT scan et de la physiothérapie dans l'intervalle. Si la situation ne devait pas s'améliorer, il faudrait envisager la mise en place d'une prothèse d'épaule. • Il s'agit d'une ossification hétérotopique qui semble être la source des douleurs du patient. Malgré un traitement anti-inflammatoire en post-opératoire, le patient a fait cette ossification. Le seul moyen pour soulager le patient serait une ablation de cette ossification hétérotopique. Même s'il s'agit d'une opération dangereuse étant donné la cicatrisation et vu la proximité au nerf inter-osseux postérieur, je propose un tel geste. J'informe le patient du déroulement intra et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue le 21.05.2019. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 07.04.2019, puis reprise à 100% le 08.04.2019 dans une activité adaptée. • Il s'agit d'une patiente âgée de 39 ans victime d'un AVP en tant que passagère le 31.03.2019 suite auquel elle est amenée aux urgences de l'HFR Fribourg. À l'examen clinique, la patiente présentait des douleurs au niveau cervical ainsi qu'au niveau du pouce G, un scotome sur le champ visuel de l'œil G et une hypoesthésie sur le territoire du nerf ulnaire G. Le CT-Total Body met en évidence les lésions osseuses sus-mentionnées. L'IRM de la colonne cervicale confirme la lésion disco-ligamentaire suspectée en C6-C7 et l'indication à une stabilisation chirurgicale de ce niveau est posée. Les risques et bénéfices de l'intervention sont expliqués et le consentement éclairé est signé. L'intervention se déroule le 01.04.2019 sans complication. Le contrôle radiologique post-opératoire est satisfaisant. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Durant le séjour, la patiente bénéficie d'une consultation de nos collègues ophtalmologues qui mettent en évidence le décollement partiel du vitré postérieur de l'œil G. Dans ce contexte, la patiente sera revue dans 2 semaines pour un nouveau contrôle ophtalmologique. Un consilium psychiatrique est également demandé. La patiente bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Le 05.04.2019, on organise le retour à domicile. À mentionner qu'à la sortie, la patiente ne présente pas d'autres troubles sensitivo-moteurs hormis l'hypoesthésie sur le territoire du nerf radial G, déjà présent avant l'intervention et très probablement dû à la contusion du poignet. • Il s'agit d'une patiente connue pour une cardiopathie hypertensive et dysrythmique, anticoagulée par coumarines, qui est amenée en ambulance suite à un malaise soudain avec persistance de troubles de l'état de conscience. Le bilan met en évidence une hémorragie cérébrale sur rupture d'anévrysme. En vue de la situation globale, des soins de confort sont administrés et la patiente décède le 12.04.2019. • Il s'agit d'une patiente de 19 ans, 1G 0P à 6 3/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 13.04.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 15.04.2019 pour prise de Cytotec. La patiente n'expulse pas le produit de conception après avoir reçu deux doses de Cytotec (2x 400ug). Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. La contraception future désirée se fera par Elyfem 30. • Il s'agit d'une patiente de 20 ans connue pour des troubles schizo-affectifs dans un contexte de toxicomanie, qui consulte les urgences accompagnée de son ami suite à des brûlures aux pieds. Elle explique que la veille au soir, elle s'est endormie après avoir pris 1/2 cp d'entumine et 3 cp d'imovane. Ses pieds sont au-dessus d'une bougie et prennent feu. Elle se réveille à cause d'une explosion, puis se rendort. Une amie la voit et lui donne 1 cp de Dafalgan. Elle consulte ce jour aux urgences car elle présente des douleurs importantes. La patiente a été vue par le chirurgien de garde Dr. X le 29.04.19 qui a proposé un pansement par Ialugen crème et pansement standard. Ce jour, elle se présente pour un contrôle clinique. Sur avis du Dr. X, nous prenons contact avec le chirurgien plasticien de l'HFR qui préconise une hospitalisation en orthopédie pour prise en charge chirurgicale le 01.04.19 à Riaz. • Il s'agit d'une patiente de 20 ans, 1G 0P à 7 0/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 23.04.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 25.04.2019 pour prise de Cytotec. La patiente expulse le produit de conception après avoir reçu deux doses de Cytotec (2x 400ug). Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. La patiente désire discuter de la contraception future avec Dr. X. • Il s'agit d'une patiente de 23 ans, 1G 0P à 6 3/7 semaines d'aménorrhée, qui nous est envoyée par Dr. X pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 06.04.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 08.04.2019 pour prise de Cytotec. La patiente expulse le produit de conception après avoir reçu une dose de Cytotec (1x 400ug). Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. Elle désire une contraception par DIU qu'elle souhaite poser chez Dr. X. • Il s'agit d'une patiente de 23 ans, 2G future 2P, à 35 1/7 semaines d'aménorrhée admise dans notre service pour suspicion de pyélonéphrite à gauche. À l'admission, la clinique est peu spécifique sans état fébrile, mais une pollakiurie et une loge rénale gauche douloureuse à la percussion font évoquer une pyélonéphrite. On constate au CTG des contractions utérines irrégulières moyennement ressenties sans répercussion cervicale, et un US montre une présentation par le siège d'un garçon de 2600g. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour une antibiothérapie par Rocéphine et surveillance. Les suites sont simples et favorables, la patiente reste apyrétique pendant son séjour. Après 48h d'antibiothérapie, le laboratoire est stable et les douleurs sont en amélioration mais toujours présentes, à l'examen physique on met en évidence une contracture musculaire para-vertébrale pour laquelle on organise des séances de physiothérapie. Après discussion avec Dr. X, la patiente est motivée pour un AVAC. Un segment inférieur à 5,6 mm le permet, et une version céphalique externe est organisée pour le 03.05.2019. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile le 23.04.2019 en bon état général. • Il s'agit d'une patiente de 24 ans, primigeste devenue primipare à 39 4/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Y a été admise en salle d'accouchement le 25.04.19 pour mise en travail spontanée avec rupture prématurée des membranes.Devant un portage du streptocoque B, nous introduisons le Clamoxyl parentéral selon le protocole. Mme. Y dilate harmonieusement et accouche spontanément le lendemain matin. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans aide du tire-lait. La contraception future se fera par la mise en place d'un stérilet auprès de sa gynécologue traitante à 6 semaines post-partum. Dans l'attente, Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 29.04.2019 en bon état général et sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines. Il s'agit d'une patiente de 25 ans, 1G 1P, admise en salle d'accouchement le 21.04.2019 pour une rupture prématurée des membranes. Elle se met en travail de manière spontanée. La dilatation est rapide. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 2700 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. En raison d'une anémie spoliative, on débute une substitution par Maltofer. La contraception se fera par préservatif en attendant une discussion de contraception lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y regagne son domicile le 24.04.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 26 ans, primigeste devenue primipare à terme + 1/7. Mme. Y a été admise en salle d'accouchement pour contractions utérines avec rupture des membranes le 31.03.2019 à 7h00, après laquelle nous décidons d'une provocation par Syntocinon au vu d'un portage streptocoque B positif. Elle se met alors en travail, la dilatation est harmonieuse et elle accouche le même jour. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la mise en place d'un stérilet au cuivre dès 6 semaines post-partum. Dans l'attente, Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y rentre à domicile le 03.04.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 26 ans, 3G2P, qui est hospitalisée le 25.03.2019 à 38 1/7 semaines d'aménorrhée pour un état grippal aigu avec des symptômes pouvant évoquer une pré-éclampsie. Elle signale une asthénie depuis 4 jours, des épigastralgies et des céphalées associées à des phosphènes et des vertiges. À l'entrée, Mme. Y est normotendue, afébrile, les réflexes ostéo-tendineux sont normovifs. Le laboratoire objective un discret syndrome inflammatoire avec une CRP à 44 mg/l et des leucocytes à 4.1 G/l. Le frottis pour la grippe revient positif pour l'influenza A. Le bilan de gestose revient normal en dehors d'une uricémie à 467 µmol/l. Le rapport protéine/créatinine revient positif à 0.128. Nous décidons donc d'hospitaliser Mme. Y pour une surveillance tensionnelle et une protéinurie sur 24 h. Elle est mise sous isolement de contact. Une provocation par Propess, qui était déjà prévue pour son diabète gestationnel insulino-requérant, est initiée le 26.03.2019. Mme. Y dilate rapidement et harmonieusement. Elle donne naissance par voie basse à une fille de 3380 g. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Les symptômes grippaux diminuent et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 29.03.2019 en bon état général. Nous organisons un entretien avec l'interprète juste avant son départ pour le débriefing de son hospitalisation et les recommandations pour la suite. Il s'agit d'une patiente de 27 ans, 1G 0P à 6 3/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Mme. Y a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 30.03.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 01.04.2019 pour la prise de Cytotec. Mme. Y expulse le produit de conception après avoir reçu une dose de Cytotec (1x400ug). Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. La contraception future sera discutée avec sa gynécologue traitante au contrôle. Il s'agit d'une patiente de 27 ans, 1G 0P à 6 4/7 semaines d'aménorrhée, envoyée par son gynécologue traitant pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Mme. Y a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 06.04.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 08.04.2019 pour la prise de Cytotec. À l'entrée, Mme. Y nous dit avoir perdu des caillots de sang à domicile. Après une dose de Cytotec, nous n'objectivons pas de produit de conception. Un ultrason endovaginal ne révèle plus de sac gestationnel mais la présence de caillots de sang. Nous concluons à une expulsion qui s'est probablement faite à domicile. Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. En raison d'un LSIL, la recherche CINtec et HPV du col de l'utérus est en cours. Mme. Y sera reconvoquée selon les résultats. La contraception future est à discuter au contrôle post-IVG. Il s'agit d'une patiente de 27 ans, 2G future 1P, admise en salle d'accouchement le 21.04.2019 pour une rupture prématurée de membranes avec mise en travail par la suite. Elle dilate harmonieusement et donne naissance à un garçon pesant 3730 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La cicatrice périnéale est calme et propre avant son départ. La contraception future se fera par pilule dès J21 du post-partum. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 24.04.2019, en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 27 ans, 3G 1P à 6 6/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Initialement, il s'agit d'une grossesse gémellaire dont un des deux sacs gestationnels présente une grossesse arrêtée à 5 SA. Mme. Y a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 23.04.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 25.04.2019 pour la prise de Cytotec. Mme. Y expulse le produit de conception après avoir reçu deux doses de Cytotec (2x400ug). Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. Une nouvelle colposcopie est prévue dans 6 semaines en raison de la persistance d'un ASCUS. La contraception future désirée est le stérilet Kyleena. Pose à prévoir selon les résultats de la colposcopie. Il s'agit d'une patiente de 27 ans, 4G2P à 8 1/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Elle opte pour une interruption opératoire de la grossesse. Nous proposons un curetage interrupteur qu'elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. Une vasectomie chez le conjoint est planifiée. Il s'agit d'une patiente de 27 ans, 7G 2P à 12 0/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse gémellaire bichoriale-biamniotique, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, un curetage interrupteur lui est proposé. Elle accepte après signature du consentement éclairé.L'intervention se déroule sans complication. Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. Elle désire une contraception future par Azalia. Il s'agit d'une patiente de 27 ans, 7-gestes devenue 5-pares à 38 6/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Y a été admise en salle d'accouchement le 26.04.19 en vue d'une césarienne élective itérative. L'intervention est effectuée le 26.04.2019 et se déroule sans complications. Le risque thrombo-embolique est couvert par clexane sous-cutané durant son séjour. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors de la consultation post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 29.04.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 28 ans, connue pour une maladie de Crohn, sous Humira, qui est hospitalisée pour une suspicion d'une tuberculose miliaire pulmonaire. Pour rappel, la patiente a voyagé en Amérique centrale de janvier jusqu'à fin mars 2019. Début février, elle présente un épisode de douleurs abdominales avec des diarrhées pendant 4 jours. Depuis début mars, lors de son séjour à Costa Rica, elle note l'apparition d'une toux avec des expectorations jaunâtres et des états fébriles jusqu'à 38,3°. Rentrée en Suisse le 27.03.2018 et devant la persistance de la toux et des sueurs nocturnes, elle consulte son médecin traitant le 28.03.2019 avec prescription d'Azithromycine pendant 3 jours, sans amélioration. Une nouvelle consultation chez le médecin traitant a lieu le 17.04.2019 avec radiographie thoracique et ensuite un CT thoracique le même jour qui montre un infiltrat bien localisé dans la partie dorsale du lobe supérieur droit avec scissurite et une infiltration miliaire diffuse touchant l'ensemble des deux plages pulmonaires. La patiente est hospitalisée en médecine pour une bronchoscopie. Une bronchoscopie est effectuée avec prélèvement de BAL, aspiration et une biopsie tissulaire. Un traitement par anti-tuberculeux par Rimstar est débuté avec une prophylaxie par Vitamine B6. Un dépistage de tuberculose par GeneXpert revient négatif. Après avis infectiologique, la patiente peut rentrer à domicile en poursuivant le Rimstar. Mme. Y ne présente pas actuellement de contagiosité au vu des 2 GeneXpert négatifs. Elle sera revue par le Dr. X le 25.04.2019, une fois les résultats de l'analyse génétique pour les mycobactéries obtenus. Il s'agit d'une patiente de 28 ans, primigeste devenue primipare à 38 5/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Y a été admise en salle d'accouchement le 24.04.19 en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant. Elle bénéficie de la mise en place d'un Misodel. Elle se met en travail le 25.04.2019, la dilatation est harmonieuse et donne naissance le 25.04.2019 à 09h24, par ventouse Kiwi pour CTG suspect à épines +2, à un garçon pesant 3340 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La cicatrice périnéale est calme et propre avant son départ. La contraception future se fera par stérilet en cuivre, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 28.04.2019, en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 28 ans, 1G future 1P admise en salle d'accouchement le 19.04.2019 pour une provocation pour terme dépassé. Elle bénéficie d'une provocation par Propess. La dilatation est harmonieuse. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 4010 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception se fera par préservatif en attendant une discussion de contraception lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile le 23.04.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 28 ans, 2G 2P, à deux semaines d'un AVB sans complications au Daler et qui nous est adressée par les urgences pour évaluation d'une pyrexie puerpérale. EF à domicile à 39°C depuis 3 jours. Suivi initial par la sage-femme à domicile qui préconise un traitement symptomatique par Dafalgan et Irfen, sans amélioration. Mastodynies initialement D puis bilatérales. À l'anamnèse systématique : dysurie avec pollakiurie. Lochies malodorantes. Pas de troubles digestifs. En raison d'une dyspnée décrite aux urgences, une RX thorax ainsi qu'un ECG sont effectués, qui reviennent sans particularité. À l'examen clinique, la patiente est stable hémodynamiquement et fébrile à 40°C. Léger érythème du QSI du sein G et du QSE du sein D. Pas de masse fluctuante palpable. Au spéculum, col d'aspect multipare en ordre, lochies d'aspect normal. KOH positif. L'examen direct montre de très nombreux leucocytes. La mobilisation du col et des annexes est douloureuse surtout à G. À l'US mammaire, pas de masse visualisée. L'USTV montre un hématomètre à 15 mm, doppler négatif. Les annexes sont sans particularité. Le passage de la sonde est douloureux. Pas de liquide libre dans le Douglas. La percussion de la loge rénale G est très douloureuse, bien que le stix urinaire et l'urotube reviennent négatifs. Au laboratoire, on trouve un important syndrome inflammatoire avec une CRP à 183 et des leucocytes à 12,8. Au vu des observations, nous hospitalisons la patiente pour antibiothérapie IV pour suspicion d'endométrite vs pyélonéphrite, mais les résultats d'examens reviennent tous négatifs. Après 48 h d'antibiothérapie, il est décidé de prolonger de 24 h la thérapie intraveineuse après avis de la médecine en raison de la présence d'un Staphylococcus aureus dans les hémocultures. Par la suite, la patiente reste afébrile et le syndrome inflammatoire est en amélioration. Elle peut regagner son domicile le 08.04.2019, en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 28 ans, 3G 0P, à 5 4/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 06.04.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 08.04.2019 pour prise de Cytotec. La patiente expulse le produit de conception après avoir reçu une dose de Cytotec (1x 400ug). Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. La contraception future se fera par Elyfem 30 à débuter dès ce jour. Il s'agit d'une patiente de 29 ans, 1G 0P qui nous est envoyée par le Dr. X pour un curetage évacuateur en raison d'une grossesse non évolutive. À l'ultrason, nous mettons en évidence un embryon sans activité cardiaque arrêté à 5 5/7 selon la LCC. Elle accepte l'intervention après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 29 ans, 2G 1P à 6 2/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 20.04.2019 et devait être hospitalisée en ambulatoire le 22.04.2019 pour prise de Cytotec. À son entrée, la patiente relate l'expulsion d'un possible sac gestationnel à domicile suivi d'un saignement abondant avec des caillots en diminution. L'ultrason objective un endomètre épais à 25 mm sans sac gestationnel. Il est décidé d'un protocole de Cytotec 48 h et un contrôle après les prochaines règles.La contraception future désirée est un DIU Mirena. Il s'agit d'une patiente de 29 ans, 2G 1P à 5 4/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 20.04.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 22.04.2019 pour prise de Cytotec. La patiente expulse le produit de conception après avoir reçu une dose de Cytotec (1x400ug). Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. La contraception future est Elyfem 20. Il s'agit d'une patiente de 30 ans, 2G future 1P, admise en salle d'accouchement le 18.04.19 en vue d'une césarienne élective pour placenta praevia à 36 4/7 semaines d'aménorrhée. Elle donne naissance à une fille pesant 2440 g, de bonne adaptation néonatale. L'intervention est compliquée d'une hémorragie du post-partum sur une atonie utérine modérée (PE : 1600cc). Un traitement utérotonique est initié et un redon est laissé en place en intra-péritonéal. Les suites post-partum sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. En raison d'une anémie spoliative, on débute une substitution par Maltofer. La contraception future se fera par préservatif en attendant une discussion sur la contraception lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 23.04.2019, en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 30 ans, 2G future 2P, à 40 1/7 semaines d'aménorrhée, avec un antécédent d'utérus cicatriciel, admise en salle d'accouchement le 24.04.2019 pour contractions. Elle se met ensuite en travail spontanément et la dilatation est rapide. Au vu de la non-progression de la présentation avec CTG suspect de plus de 40 minutes, nous posons l'indication à une urgence de 30 minutes. Elle donne naissance à un garçon pesant 3740 g, de bonne adaptation néonatale. L'intervention se complique d'une hémorragie suite à une déchirure du paramètre droit et de l'angle droit de l'utérotomie nécessitant une hémostase par ligature de l'artère utérine droite et de l'artère du ligament rond droit avec pose de Tabotan, perfusion de Syntocinon et Nalador, ainsi que la mise en place d'un redon intra-péritonéal. Les suites post-partum sont marquées par un séjour aux soins continus pour une surveillance après une hémorragie du post-partum. Elle est transférée dans notre service à J1 du post-partum avec retrait du redon. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La cicatrice est calme et propre avant son départ. La contraception future se fera par Azalia dès J21 du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 29.04.2019, en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 30 ans, 2G 0P à 7 0/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 27.04.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 29.04.2019 pour prise de Cytotec. La patiente expulse le produit de conception après avoir reçu deux doses de Cytotec (2x400ug). Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. La contraception future désirée est le Nuvaring à débuter dans une semaine. Il s'agit d'une patiente de 30 ans, 4G future 4P, admise en salle d'accouchement le 21.04.2019 pour une mise en travail spontanée. La dilatation est harmonieuse et elle donne naissance à une fille pesant 3830 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partum sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La cicatrice périnéale est calme et propre. La contraception future se fera par pilule dès J21 du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 23.04.2019, en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 30 ans, 4G 3P à 6 4/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 13.04.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 15.04.2019 pour prise de Cytotec. La patiente expulse le produit de conception après avoir reçu deux doses de Cytotec (2x400ug). Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. La contraception future désirée est un DIU Mirena. Il s'agit d'une patiente de 31 ans, 1G future 1P, admise en salle d'accouchement le 23.04.2019 à 40 4/7 semaines d'aménorrhée, pour rupture prématurée des membranes. Après une attitude expectative, on déclenche le travail par Syntocinon sur un col favorable. En raison d'une suspicion de chorio-amnionite (syndrome inflammatoire biologique et état fébrile maternel), nous débutons un traitement antibiotique selon le protocole habituel et, devant une bradycardie fœtale sur un col effacé à 4 cm, nous posons l'indication à une césarienne en urgence de 30 minutes, car entretemps, nous avons une récupération du rythme cardiaque fœtal. L'intervention se déroule sans complications et la patiente donne naissance à une fille pesant 3650 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partum sont simples et la patiente reste afébrile. Pas de symptômes de chorio-amniotite post-accouchement, raison pour laquelle nous arrêtons les antibiotiques à J1 du post-partum. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La cicatrice est calme et propre avant son départ. La contraception future se fera par pilule progestative dès J21 du post-partum. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.04.2019, en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 31 ans, 1G 0P à 5 4/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée en raison de conception durant la prise d'un médicament tératogène chez le partenaire (Cellcept), sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 06.04.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 08.04.2019 pour prise de Cytotec. La patiente expulse le produit de conception après avoir reçu deux doses de Cytotec (2x400ug). Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. Contraception par préservatif. Il s'agit d'une patiente de 31 ans, 3G future 3P, admise en salle d'accouchement le 22.04.2019 pour un oligoamnios à terme dépassé diagnostiqué lors de son contrôle. Elle bénéficie d'une provocation par Propess et elle se met en travail par la suite. La dilatation est harmonieuse et très rapide. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3780 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partum sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La cicatrice périnéale est calme et propre avant son départ. La contraception se fera par préservatif en attendant une discussion sur la contraception lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile le 25.04.2019, en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 32 ans qui glisse et chute en faisant un mouvement de torsion du pied gauche le 19.04.2019. Elle se présente aux urgences de l'HFR Fribourg où le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. Mme. Y est informée du déroulement intra et post-opératoire, elle donne son consentement. En raison d'une indisponibilité du bloc opératoire de l'HFR Fribourg, la patiente est adressée à l'HFR Riaz pour la prise en charge chirurgicale.L'intervention se déroule sans complication le 24.04.2019 et les suites post-opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en décharge, sous protection d'une botte plâtrée. La réfection du pansement montre une cicatrice calme et le contrôle radiologique est en ordre. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée pour une durée de 6 semaines. Devant la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 29.04.2019. Il s'agit d'une patiente de 32 ans, 4G2P, connue pour un utérus cicatriciel, qui consulte en urgence en salle d'accouchement le 15.04.19, à 38 4/7 semaines d'aménorrhée, pour des contractions utérines. Lors de ce contrôle, nous retrouvons un CTG suspect en raison de phases restreintes récurrentes et d'un manque d'accélérations, raison pour laquelle nous lui proposons une hospitalisation et une provocation, qu'elle accepte. La provocation est débutée par rupture artificielle des membranes sur un col favorable. La mise en travail et la dilatation se font de manière harmonieuse, et l'accouchement est spontané, mais la patiente présente une rétention placentaire complète hémorragique, posant l'indication à une délivrance artificielle avec révision des 3 étages en urgence au bloc opératoire. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia dès 21 jours post-accouchement. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 17.04.2019, en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 32 ans, 6-gestes devenue 4-pares à 38 5/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Y a été admise en salle d'accouchement le 25.04.19 pour mise en travail spontanée avec rupture prématurée des membranes le 25.04.2019 à 02h45. Elle dilate très rapidement et donne naissance à un garçon pesant 3270 g, de bonne adaptation néonatale, qui présente une fente labiale découverte pendant la grossesse. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative dès J21 du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.04.2019, en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 33 ans, primigeste devenue primipare à 39 5/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Y a été admise en salle d'accouchement pour des contractions utérines douloureuses. Après un pré-travail persistant, nous effectuons une rupture artificielle des membranes et débutons une stimulation par Syntocinon. La dilatation est lente, le CTG devient pathologique avec une tachycardie fœtale persistante et le labo montre un syndrome inflammatoire. Nous posons l'indication à une césarienne en urgence 30 minutes devant le travail dystocique compliqué d'une forte suspicion de chorio-amniotite. L'intervention se déroule le 20.04.2019 sans complications. Le liquide amniotique paraît laiteux lors de l'utérotomie, confirmant la suspicion d'infection. Elle donne naissance à une fille de 3540 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile pendant son séjour. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La cicatrice est calme et propre avant son départ. La contraception future se fera par préservatif en attendant une discussion de la contraception lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 24.04.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 33 ans, 4G future 3P, admise en salle d'accouchement le 24.04.2019 pour des contractions utérines sur l'utérus bi-cicatriciel. Les contractions sont devenues douloureuses et on a pris la décision de faire une césarienne en urgence. La patiente a donné son accord en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication et elle donne naissance à une fille pesant 2620 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel se complique d'un engorgement du sein droit sans écoulement de lait par le mamelon. Un US confirme le diagnostic et exclut une abcédation. Nous préconisons l'arrêt de la stimulation du sein droit et prescription d'anti-inflammatoires. L'allaitement sera poursuivi avec le sein contra-latéral. La cicatrice est calme et propre avant son départ. La contraception future se fera par la pose d'un stérilet Mirena au post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 29.04.2019, en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 34 ans, 1G0P à 9 1/7 semaines d'aménorrhée suivi en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, un curetage interrupteur lui est proposé. Elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. Contraception future : préservatifs. Il s'agit d'une patiente de 34 ans, 2G future 3P, admise en salle d'accouchement le 19.04.2019 en vue d'une provocation pour terme dépassé dans le contexte d'un utérus cicatriciel. Elle bénéficie de la mise en place d'un ballonnet le 19.04 puis d'une poursuite de la provocation par Syntocinon le 20.04.2019 à 22h. Une rupture artificielle des membranes sur col épais à 2 doigts larges est effectuée à 3h45 le 21.04.2019 sans incident avec du liquide amniotique clair. À 7h35, le cardiotocogramme démontre une décélération compliquée à 80 battements par minute et le toucher vaginal met en évidence une procidence du cordon à 3 cm de dilatation. Nous posons alors l'indication à une césarienne en urgence. L'intervention se déroule sans complications et elle donne naissance à un garçon pesant 4340 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Elle est mise sous antibio-prophylaxie par Co-amoxicilline 48 heures en raison d'une main vaginale pratiquée en per-opératoire. Pendant son séjour, la patiente a pu recevoir une visite de notre équipe de psychologues suite à un accouchement vécu comme stressant. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La cicatrice est calme et propre avant son départ. La contraception future se fera par préservatif et sera rediscutée lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.04.2019, en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 34 ans, 3G future 3P, admise en salle d'accouchement le 20.04.2019 en vue d'une provocation pour fatigue maternelle. Elle bénéficie de la mise en place d'un Misodel le soir du 20.04.2019. Elle se met ensuite en travail avec une dilatation rapide et harmonieuse. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3550 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet Mirena, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.04.2019, en bon état général.Il s'agit d'une patiente de 34 ans, 4G 3P qui a bénéficié d'une interruption médicamenteuse de grossesse le 18.02.2019 compliquée d'une endométrite traitée par antibiotiques le 28.02.2019 qui présente une suspicion de rétention de matériel trophoblastique. Dans ce contexte, nous proposons une hystéroscopie diagnostique avec curetage évacuateur. La patiente désire une contraception par DIU Kyleena. L'intervention se déroule sans complications. Nous retrouvons un reste trophoblastique dans la cavité qui est évacué sans difficulté. Un DIU Kyleena est posé en per-opératoire. Il s'agit d'une patiente de 34 ans, 5G 2P à 6 4/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 27.04.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 29.04.2019 pour prise de Cytotec. À l'entrée dans le service, elle présente quelques saignements et nous rapporte avoir perdu quelques caillots à domicile. En raison de l'expulsion de matériel trophoblastique semblant incomplet après avoir reçu une dose de Cytotec de 400ug, un ultrason est réalisé et montre une cavité utérine sans sac gestationnel mais avec la présence de sang et de caillots dans le col utérin. Nous concluons à une expulsion du matériel trophoblastique et la patiente peut regagner son domicile le même jour en bon état général. La contraception future désirée est le préservatif. Il s'agit d'une patiente de 35 ans, nulligeste, chez qui nous suspectons une endométriose sévère. Elle décrit des douleurs pelviennes chroniques avec une dyspareunie, une dysménorrhée, une dyschézie et un épisode de rectorragie. De plus, la patiente présente une infertilité primaire avec désir de grossesse depuis 2 ans. Actuellement, elle présente une aménorrhée sous Visanne qui a été débutée en novembre 2018. À l'examen clinique, un nodule de la cloison recto-vaginale est suspecté. À l'ultrason, une adénomyose est suspectée et 3 noyaux fibromateux de 27 et 2x 15mm sont mis en évidence ainsi qu'un kyste de 28 mm, évoquant un endométriome sur l'ovaire droit. Un IRM confirme la suspicion d'endométriose avec doute sur un nodule touchant l'intestin, sans pour autant mettre en évidence un nodule de la cloison recto-vaginale. Un avis chirurgical a été demandé et une colonoscopie avec endosonographie se sont révélées normales. Une lésion d'endométriose de la muqueuse rectale reste peu probable. Dans ce contexte, nous proposons une laparoscopie avec résection de foyer d'endométriose ainsi qu'une kystectomie de l'ovaire droit avec épreuve au bleu de la perméabilité tubaire +/- conversion en laparotomie si nécessaire. La patiente accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications et sans nécessité de conversion en laparotomie. Nous retrouvons une endométriose rAFS III. La perméabilité tubaire se révèle positive des deux côtés. Au vu de la bonne évolution, la patiente peut regagner son domicile à J3 en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 35 ans, 1G 0P à 6 5/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 02.03.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 04.03.2019 pour prise de Cytotec. Durant l'hospitalisation, elle fait un malaise vagal sur la douleur qui est résolu rapidement et spontanément après antalgie IV par Toradol et Buscopan et hydratation par Ringer lactate de 500ml. La patiente expulse le produit de conception après avoir reçu deux doses de Cytotec (2x 400ug). Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. La contraception future se fera par Azalia à débuter dès ce jour. Il s'agit d'une patiente de 35 ans, 2G devenue primipare à 39 5/7 semaines d'aménorrhée. La patiente a été admise en salle d'accouchement le 17.04.2019 pour une rupture prématurée des membranes. Au vu d'une non-mise en travail après 12h d'expectative, nous débutons une provocation par Propess ainsi qu'une antibiothérapie prophylactique. La patiente se met en travail, la dilatation est harmonieuse et elle donne naissance à une fille pesant 3120g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Le sevrage maternel primaire est initié et se déroule sans complication. La cicatrice périnéale est calme, souple et propre avant son départ. La contraception se fera par préservatif en attendant une discussion de contraception lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 23.04.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 36 ans, 1G 0P chez qui une grossesse arrêtée à 6 semaines d'aménorrhée a été constatée. La grossesse était survenue suite à une insémination intra-utérine. Après une semaine d'expectative, un curetage évacuateur lui est proposé. Elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 36 ans, 4G 2P qui est suivie à notre consultation ambulatoire pour une grossesse non évolutive arrêtée à 8 semaines d'aménorrhée selon l'ultrason. En premier lieu, nous avons adopté une méthode expectative. Au contrôle 10 jours plus tard, la patiente n'a eu aucun saignement. Dans ce contexte et au vu des risques de la méthode médicamenteuse sur un utérus cicatriciel, nous proposons un curetage évacuateur que la patiente accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 36 ans, 4G 3P, à 10 0/7 semaines d'aménorrhée, envoyée par son médecin traitant pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, un curetage interrupteur lui est proposé. Elle accepte après signature du consentement éclairé. Elle désire une contraception par DIU Mirena à poser en per-opératoire. L'intervention se déroule sans complications. La patiente rentre à domicile le même jour, en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 37 ans, 2G 1P à 5 4/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 13.04.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 15.04.2019 pour prise de Cytotec. La patiente expulse le produit de conception après avoir reçu deux doses de Cytotec (2x 400ug). Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. La contraception future désirée est un DIU cuivre. Il s'agit d'une patiente de 38 ans, 2G future 2P, admise en salle d'accouchement le 22.04.2019 pour une rupture prématurée de membranes. Après une attitude expectative, elle bénéficie d'une provocation par Syntocinon ainsi qu'une prophylaxie antibiotique. Le travail est dystocique et en raison d'une stagnation à 6 cm pendant 4h, nous posons l'indication à une césarienne en urgence 1. L'intervention se déroule sans complications et elle donne naissance à un garçon pesant 2840g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complications. La cicatrice est calme et propre avant son départ. La contraception future se fera par pilule Desonur dès J21 du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin.Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.04.2019, en bon état général. • Il s'agit d'une patiente de 38 ans, 3G 1P, à 5 6/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 09.04.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 11.03.2019 pour prise de Cytotec. La patiente expulse le produit de conception après avoir reçu une dose de Cytotec (1x 400ug). Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. La contraception future sera discutée à votre consultation. • Il s'agit d'une patiente de 38 ans, 3G 2P à 6 3/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Après signature du consentement éclairé, elle reçoit la Mifegyne le 06.04.2019 et est hospitalisée en ambulatoire le 08.04.2019 pour prise de Cytotec. La patiente expulse le produit de conception après avoir reçu deux doses de Cytotec (2x 400ug). Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. En raison d'un LSIL, la recherche CINtec et HPV du col de l'utérus est en cours. La patiente sera convoquée selon les résultats. La patiente désire une contraception par DIU cuivre. • Il s'agit d'une patiente de 39 ans, connue pour hernie discale L4-L5 et suivie à Vevey par le Dr X, neurochirurgien, qui consulte les urgences le 22.03.2019 pour des lombalgies aiguës ayant débuté le 21.03.2019 suite à un effort, alors qu'elle soulevait son panier de linge. Elle décrit une douleur vive au niveau lombaire des deux côtés, en barre, irradiant dans le territoire L4-L5 à gauche, ne cédant pas à l'antalgie habituelle de Tramadol. Pas de perte des selles ni des urines, pas de trouble sensitivomoteur. À noter que la patiente a bénéficié d'une infiltration lombaire le 20.02.2019 au centre de la douleur à Vevey. Au statut neurologique d'entrée, sensibilité normale, tonus sphinctérien conservé, force M5 symétrique, réflexes ostéotendineux rotuliens hypovifs des deux côtés, sinon réflexes normovifs et symétriques. Au niveau ostéo-articulaire, fortes douleurs diffuses à la palpation et à la percussion lombaire paravertébrale. Le reste du statut est normal. Nous initions une antalgie par morphine titrée aux urgences, relayée par Oxycontin. Nous réalisons une radiographie de la colonne lombaire qui ne montre pas de fracture et prenons un avis orthopédique auprès de la Dresse X qui confirme l'attitude conservatrice avec mise en place d'un traitement de Diclofénac et Sirdalud. La patiente étant encore algique malgré le traitement reçu, nous l'hospitalisons en médecine pour adaptation de l'antalgie. Dans un premier temps, nous augmentons l'Oxycontin et introduisons du Sirdalud et du Tranxilium, sevré progressivement, avec bonne tolérance. La patiente bénéficie aussi de physiothérapie, qui la soulage. Nous prenons contact avec le Dr X, neurochirurgien qui suit la patiente. La patiente ne s'étant pas rendue à son rendez-vous prévu le 19.03, nous reprenons un nouveau rendez-vous pour le 02.04.2019 à 08:30. Au vu de la bonne évolution, Mme Y regagne son domicile le 29.03.2019, en bon état général. • Il s'agit d'une patiente de 44 ans, 3G 1P, à 8 2/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, un curetage interrupteur lui est proposé. De plus, la patiente est demandeuse d'une stérilisation tubaire, raison pour laquelle nous lui proposons également une laparoscopie avec stérilisation tubaire. Elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. • Il s'agit d'une patiente de 45 ans, nulligeste, connue pour une endométriose stade IV sous Elyfem 20 en continu, admise dans notre service pour une hystérectomie et annexectomie gauche par laparoscopie pour dyspareunie profonde invalidante et kyste ovarien gauche symptomatique. Après discussion, la patiente ne désire pas poursuivre un traitement hormonal et nous lui proposons une hystérectomie avec annexectomie gauche que la patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention a lieu le 28.03.2019 et se déroule sans complications. Les pièces opératoires sont envoyées en anatomo-pathologie. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste afébrile. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile le 30.03.2019 en bon état général. • Il s'agit d'une patiente de 45 ans, nulligeste, qui est admise dans notre service pour un debulking en raison d'un adénocarcinome ovarien post-chimiothérapie néo-adjuvante. En octobre 2018, suite à une baisse de l'état général associée à une distension abdominale, un scanner a mis en évidence une carcinose péritonéale avec une ascite abondante. Celle-ci est positive pour un adénocarcinome de point de départ tubo-ovarien et au laboratoire, on vérifie une élévation importante de Ca-125. Après discussion multidisciplinaire, l'équipe d'oncologie propose d'abord une chimiothérapie néoadjuvante suivie d'une intervention debulking. Après les explications dans notre service de l'intervention chirurgicale, la patiente donne son accord en signant le consentement éclairé. L'intervention a lieu le 27.03.2019 et se déroule sans complications. Elle bénéficie d'une antalgie postopératoire par péridurale qui est diminuée progressivement jusqu'au retrait. Au retrait du redon le 29.03.2019, un saignement venant du tissu sous-cutané est suturé par 2 points sous anesthésie locale, avec tarissement immédiat. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste afébrile. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile le 31.03.2019 en bon état général. • Il s'agit d'une patiente de 46 ans, primigeste à 12 4/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse spontanée, qui se présente en ambulance pour hémorragie vaginale importante (estimée à 2L par les ambulanciers). La patiente s'est réveillée le matin en constatant un saignement vaginal sans douleur abdominale ou autres symptômes. À l'entrée dans notre service, la patiente est hémodynamiquement stable et normocarde. L'hémoglobine est à 109 g/L et reste stable par la suite. À l'ultrason, nous suspectons un hématome proche de l'orifice interne du col de l'utérus. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour surveillance clinique. Par la suite, les saignements se tarissent spontanément. En raison d'une anémie ferriprive, nous planifions une supplémentation par Ferinject iv dans une semaine et continuons le traitement martial par Maltofer en attendant. Au contrôle échographique avant la sortie de la patiente, nous retrouvons une bonne vitalité fœtale. La patiente regagne son domicile en date du 25.04.2019 en bon état général. • Il s'agit d'une patiente de 48 ans, en bonne santé habituelle, qui a été opérée en février 2019 d'une réduction ouverte et ostéosynthèse pour une fracture du plateau tibial Schatzker VI. L'évolution est marquée par une ankylose du genou droit avec quasi impossibilité de flexion. Le Dr X retient l'indication à une mobilisation du genou sous narcose, celle-ci se déroule le 03.04.2019 et permet d'atteindre une flexion à 130°. L'évolution est simple, les douleurs sont bien gérées par l'antalgie standard et Mme Y bénéficie d'une physiothérapie intensive permettant d'atteindre une flexion à 110°. Devant la bonne évolution clinique, Mme Y peut retourner à domicile le 05.04.2019. Elle poursuivra la physiothérapie ambulatoirement.Il s'agit d'une patiente de 52 ans, hospitalisée du 09.03 au 16.03.2019 pour une probable neuronite vestibulaire d'origine virale, qui consulte les urgences le 04.04.2019 en raison de céphalées et d'une sensation vertigineuse. A sa sortie de l'hôpital le 16.03, la patiente décrivait des vertiges persistants uniquement lors des changements de position. Elle se plaint actuellement de vertiges rotatoires persistants mais majorés lors des changements de position, avec troubles de l'équilibre et difficultés à la marche. Elle présente aussi des céphalées holocrâniennes. Les maux de tête sont connus de la patiente, sous forme de serrement, sans sonophobie ni photophobie. Pas de nausée ni de vomissement, pas d'état fébrile. Pas de trouble de l'audition, pas d'acouphène, pas de vision trouble ni de mouches volantes. Pas de traumatisme cervical récent mais douleur à l'épaule gauche irradiant vers la nuque, pour laquelle une IRM a été effectuée. A l'examen clinique d'entrée, la patiente est hémodynamiquement stable. Du point de vue neurologique, les nerfs crâniens sont sans particularité. Le test de Halmagyi est négatif et le Romberg montre une tendance à pencher vers l'arrière. Barré et Mingazzini tenus. Les épreuves cérébelleuses sont dans la norme. Au status ORL, les tympans et les conduits auditifs externes sont calmes. La manoeuvre de Hallpike testant le canal postérieur droit revient positive. Pas de nystagmus aux lunettes de Frenzel. Le reste du status est non contributif. Le bilan biologique pratiqué aux urgences revient normal. L'ECG est sans particularité. Au vu d'une manoeuvre de Hallpike positive à droite (nausées et vertiges sans nystagmus observé), nous tentons de réaliser une manoeuvre libératrice qui échoue. Nous retenons le diagnostic de possible VPPB, complication fréquente (10%) d'une névrite vestibulaire d'origine virale. Au vu d'une patiente symptomatique avec des difficultés à la marche et vivant seule à domicile, nous l'hospitalisons en médecine, et poursuivons le traitement instauré aux urgences de Betaserc, Atarax et Prednisone, et ajoutons du Primperan en réserve. Pour améliorer la marche, la patiente bénéficie de physiothérapie. Un consilium ORL est demandé auprès de nos confrères à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal, qui aura lieu le 11.04.2019. Dans l'attente de cet examen, Mme. Y regagne son domicile le 09.04.2019. Il s'agit d'une patiente de 53 ans avec statut post-hystérectomie en 2005 qui présente une masse annexielle à droite. A l'ultrason nous mettons en évidence une masse annexielle qui est retrouvée à l'IRM également et décrite comme kystique et bilobée d'environ 23x32x39mm. Au laboratoire, nous ne trouvons pas de particularités et les marqueurs tumoraux sont négatifs. Dans ce contexte, nous proposons une annexectomie bilatérale par laparoscopie que la patiente accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Les suites postopératoires étant favorables, la patiente peut regagner son domicile le 10.04.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 58 ans présentant une gonarthrose bilatérale prédominant à droite, suivie par le Dr. X. En raison de la présence actuellement de douleurs invalidantes au genou droit, l'infiltration réalisée en septembre 2018 n'ayant eu un effet bénéfique que temporaire, le Dr. X retient l'indication opératoire. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la cicatrice est calme et sèche. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge selon douleurs, sous protection de cannes anglaises. L'évolution est toutefois marquée par des douleurs modérées malgré une antalgie adaptée, initialement par cathéter fémoral, avec une progression lente en physiothérapie. Dès lors, le 05.04.2019, Mme. Y est transférée à l'HFR Billens pour la suite de la réhabilitation musculo-squelettique. Une prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg per-os/jour a été instaurée pour une durée de 6 semaines post-opératoires. Il s'agit d'une patiente de 60 ans, qui se présente aux urgences pour une épigastralgie qui se prolonge jusqu'en fosse iliaque gauche d'apparition progressive depuis hier, sans vomissement, sans changement de transit. Elle ne présente pas de douleur rétrosternale, ni de dyspnée. L'examen clinique cardio-pulmonaire est sans particularité et l'examen abdominal montre un abdomen souple avec une douleur à la palpation de l'épigastre jusqu'en fosse iliaque gauche, sans défense, ni détente. Nous effectuons un examen de laboratoire montrant une CRP à 12 et des leucocytes à 11.8 G/l, avec une lipase dans les normes. Un examen échographique au lit du patient est également fait qui revient rassurant, sans cause étiologique constatée. Dans ce contexte, nous décidons de revoir la patiente lundi à la filière avec un contrôle laboratoire pour évaluer le syndrome inflammatoire. La patiente repart avec un traitement antalgique et Nexium. Il s'agit d'une patiente de 61 ans, ménopausée, qui est admise dans notre service pour une chirurgie de Debulking en raison d'un adénocarcinome mucineux ovarien. Dans un contexte de douleurs abdominales, un CT-Scan en février 2019 met en évidence une masse ovarienne gauche associée à une obstruction urétérale et une ascite. Une sonde double J est posée le 14.02.2019 par Dr. X et une cytologie de l'ascite revient positive pour un adénocarcinome mucineux. Après discussion multidisciplinaire au Tumorboard, nous proposons une chirurgie de Debulking que la patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention a lieu le 29.03.2019 et se déroule sans complications (cf. rapport opératoire). La sonde vésicale est retirée à J1 avec reprise des mictions spontanées. Au contrôle laboratoire de routine à J1, nous mettons en évidence une hypoalbuminémie et débutons une substitution i.v. Les suites post-opératoires sont compliquées par un ileus paralytique. La patiente est mise à jeun dès J5 et une sonde nasogastrique est posée à J6. En raison de pics hypertensifs asymptomatiques, nous relayons sa thérapie habituelle de Lisitril 10mg par des patchs de Deponit 5mg avec une réserve de nitroglycérine. Dans la nuit du 04.04.2019 à J6, elle présente un pic fébrile à 38.4. Nous ne retrouvons pas de foyer au niveau clinique et le laboratoire infectieux ne montre pas de syndrome inflammatoire. Les hémocultures sont en cours. Il est décidé d'une attitude expectative. En cas d'apparition de symptômes ou de nouveaux pics fébriles, une antibiothérapie sera à évaluer. En raison d'une hypokaliémie, nous débutons une substitution i.v de potassium à J6. La patiente est transférée à J6 en chirurgie viscérale pour la suite de la prise en charge postopératoire. Il s'agit d'une patiente de 62 ans suivie par le Dr. X pour un hallux valgus gauche très douloureux. L'indication opératoire est retenue, raison de l'hospitalisation actuelle. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, la radiographie de contrôle est en ordre et les douleurs sont gérées par une antalgie standard. Le retour à la marche se fait en charge selon douleurs, sous protection d'une chaussure Barouk. En accord avec le Dr. X, Mme. Y retourne à domicile le 30.04.2019. Le premier pansement sera fait le 06.05.2019 à sa consultation. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour a été instaurée et sera à poursuivre durant 2 semaines post-opératoires. Il s'agit d'une patiente de 63 ans, sous Aspirine Cardio pour un statut post-AVC, amenée aux urgences par ambulance le 28.03.2019 suite à un traumatisme de la cheville droite survenu après que la patiente se soit enroulée et ait réalisé un mouvement de torsion de la cheville, le pied fixé au sol. La patiente chute mais sans traumatisme crânien, ni perte de connaissance ou autre traumatisme. Elle ressent d'emblée des douleurs et présente une impotence fonctionnelle totale. Le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire.L'oedème de la cheville est très important, Mme. Y est hospitalisée dans le service d'orthopédie, dans l'attente d'un status local permettant l'intervention chirurgicale. Cette dernière a lieu le 04.04.2019 dans de bonnes conditions. Les suites post-opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie et des cicatrices calmes et propres. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la patiente bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en décharge du membre inférieur droit, sous protection de cannes anglaises. Une botte plâtrée est en place pour une durée de 6 semaines au total. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et sera poursuivie durant 6 semaines. Face à la bonne évolution, la patiente peut retourner à domicile le 08.04.2019. Il s'agit d'une patiente de 70 ans, connue notamment pour un carcinome de la tête du pancréas avancé cT4 cN0 traité avec dérivation bilio-digestive en Y selon Roux et une chimiothérapie palliative de 1ère ligne par Gemzar/Abraxane, que vous adressez à l'HFR Riaz en raison de dorsalgies au niveau de D12 et lombaires irradiant dans la fesse droite, suite à une chute sur le dos alors que Mme. Y tentait de se mettre debout sur une chaise. Le bilan radio-clinique met en évidence la fracture suscitée, pour laquelle l'indication opératoire est retenue. La patiente est transférée à l'HFR Fribourg et l'intervention se déroule le 15.04.2019. Mme. Y est retransférée à l'HFR Riaz pour le suivi post-opératoire. L'évolution est favorable, avec bon contrôle de l'antalgie et reprise d'une mobilisation avec marche en charge libre, selon douleurs, sans flexion-extension, rotation extrêmes de la colonne. Le contrôle radiologique post-opératoire est satisfaisant et le contrôle biologique est aligné. La cicatrice est calme et, face à cette bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 20.04.2019. Mme. Y sera ultérieurement convoquée par le service de rhumatologie de l'HFR Fribourg pour un bilan de l'ostéoporose. Il s'agit d'une patiente de 73 ans, aux antécédents et co-morbidités suscités, qui souffre d'omalgies gauches chroniques sur une omarthrose excentrée importante. Elle utilise également toujours une canne anglaise du côté gauche en raison de séquelles d'une chirurgie de la hanche. Après bilan et discussion avec le Dr. X et le Dr. X, le Dr. X retient l'indication à la mise en place d'une prothèse inversée, malgré le fait que la patiente utilise une canne, avec un peu plus d'inclinaison afin de mieux neutraliser les forces. L'intervention se déroule dans de bonnes conditions le 16.04.2019. Les suites post-opératoires sont favorables, les douleurs sont initialement gérées par un cathéter interscalénique, puis par une antalgie standard. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation active en abduction-élévation libre, rotation externe 30°, rotation interne sur le ventre. La rotation interne contre résistance et l'appui axial sont proscrits. Le contrôle biologique révèle une valeur d'hémoglobine à 104 g/l et une créatinine à 49 umol/l, albumine à 33 g/l et des protéines totale à 53,4 g/l. Le reste du laboratoire est aligné. En raison de l'hypoalbuminémie, un bilan nutritiel sera organisé par la suite en ambulatoire, celui-ci n'ayant pas pu être effectué durant le week-end pascal. Le 20.04.2019, Mme. Y peut retourner à domicile. Une ordonnance pour un fauteuil roulant a été effectuée afin de faciliter les déplacements de la patiente. Il s'agit d'une patiente de 74 ans qui consulte les urgences pour des douleurs thoraciques typiques avec irradiation dans le bras gauche en augmentation l'après-midi du 06.04.2019. L'ECG montre un STEMI inférieur, motivant une coronarographie en urgence. L'examen confirme une maladie coronarienne tritronculaire avec une FEVG à 40% avec comme corrélat anatomique du STEMI une occlusion de l'artère circonflèxe ostiale, traitée par stent actif. A noter une lésion à 80% de l'artère inter-ventriculaire antérieure, qui sera traitée dans un deuxième temps. Un traitement par inhibiteur de l'enzyme de conversion et bêtabloquant est introduit, de même qu'un traitement d'Atorvastatine au vu d'une hypercholestérolémie. Le 08.04.2019, Mme. Y est transférée dans notre service de médecine pour suite de prise en charge. A son arrivée, elle est orientée, collaborante, et n'a aucune plainte. Le status se révèle sans particularité avec, à l'auscultation cardiaque, des B1-B2 bien frappés, sans souffle audible, un murmure vésiculaire symétrique à l'auscultation pulmonaire et un abdomen souple, sans défense ni détente, avec des bruits hydro-aériques dans la norme. Nous poursuivons le traitement médicamenteux instauré par nos collègues de Fribourg. La mobilisation post-coronarographie est débutée, selon schéma, et se déroule sans complication. La physiothérapie sera poursuivie en ambulatoire à domicile. A noter une notion de selle foncée au domicile sans méléna durant le séjour aux soins intensifs ni dans notre service. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y regagne son domicile le 11.04.2019. Une coronarographie est prévue dans un mois pour le traitement de l'IVA moyenne. Une ergométrie est à prévoir dans une année. Une physiothérapie cardiovasculaire à Billens est à organiser après la prochaine coronarographie. Il s'agit d'une patiente de 75 ans qui se présente pour des métrorragies post-ménopausiques sous Xarelto. Une pipelle de Cornier a révélé la présence de cellules endométriales atypiques avec une suspicion élevée de malignité. Dans ce contexte, un IRM du bassin a été demandé révélant une tumeur endométriale atteignant la séreuse avec suspicion d'infiltration de la vessie et des annexes. Un PET-CT révèle la suspicion d'une atteinte ganglionnaire. Après présentation au tumorboard, une hystéroscopie avec curetage biopsique ainsi qu'une cysto- et rectoscopie sont proposées. La patiente accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule le 29.03.2019 et la patiente peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 77 ans, connue pour des troubles anxio-dépressifs, qui est hospitalisée dans un contexte de crise hypertensive. La patiente présente sur les dernières semaines des vertiges avec céphalées associés à une fatigue et troubles du sommeil chroniques. Elle présente un épisode de pression de 240 de systolique, raison pour laquelle elle consulte la Permanence de Meyriez. A son entrée, nous retrouvons une patiente hypertendue à 208/104, le reste du status, notamment neurologique, et les paramètres vitaux sont dans la norme. Nous introduisons un traitement d'Amlodipine et adaptons son traitement par Aprovel avec évolution plutôt au hypotension. Dans ce contexte, et en raison d'une insuffisance rénale aigue le 28.03.19, nous décidons de stopper l'Aprovel avec bonne évolution du profil tensionnel. Lors de son entrée, la patiente se plaint de douleurs neuropathiques et nous retrouvons des troubles de la sensibilité à l'examen clinique. Nous introduisons un traitement par Pregabaline sans réponse thérapeutique, raison pour laquelle nous stoppons ce traitement à la sortie.La patiente présente une symptomatologie dépressive avec composante anxieuse. Elle se plaint de tristesse, fatigue et troubles du sommeil sans idées suicidaires. Elle rapporte des crises d'angoisse par moments sur la journée, notamment lorsqu'elle doit sortir de chez elle, elle décrit une agoraphobie. Les symptômes sont déjà présents depuis plusieurs années mais se sont empirés depuis le suicide de son fils en septembre 2018. Nous introduisons un traitement par Remeron le soir et proposons un suivi psychiatrique. La patiente semble motivée et prendra elle-même rendez-vous avec l'aide de son mari. La patiente se plaint d'omalgies droites avec difficultés nouvelles à élever le bras. À l'examen clinique, nous retrouvons des douleurs à la palpation et à la mobilisation active et passive avec un test de Palm Up pathologique. Un cliché radiologique effectué en novembre montre des signes d'omarthrose chronique et nous suspectons cliniquement une rupture de la coiffe des rotateurs. Une antalgie est introduite avec effet positif. Durant son séjour, Mme. Y présente des troubles de la marche et de l'équilibre pour lesquels nous introduisons un moyen auxiliaire. Nous proposons à la patiente d'effectuer des séances de physiothérapies en ambulatoire. Au vu de l'amélioration clinique, la patiente peut rentrer à domicile le 29.03.19. Il s'agit d'une patiente de 77 ans qui chute de sa hauteur avec réception sur le côté gauche. Le bilan radio-clinique réalisé aux urgences permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire, intervention qui se déroule le 09.04.2019 sans complication. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive et active assistée. En dehors des séances de physiothérapie, un gilet orthopédique est en place pour une durée de 6 semaines. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Les douleurs sont bien gérées par l'antalgie prescrite. Devant la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 13.04.2019. À noter une insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale répondant bien à une hydratation intraveineuse. Une hyperkaliémie légère a motivé un suivi biologique. Il s'agit d'une patiente de 79 ans, connue pour une maladie coronarienne bitronculaire et une FA intermittente qui est hospitalisée dans un contexte de lombalgies non déficitaires. La patiente présente depuis plus de deux semaines des lombalgies en péjoration avec de multiples consultations chez son médecin traitant qui met en place une antalgie et demande une radiographie lombaire qui met en évidence une arthrose importante. En raison de soins à domicile impossibles, elle est amenée aux urgences de Fribourg le 26.03.19. À son entrée dans notre service, la patiente se plaint de douleurs lombaires au moindre mouvement avec irradiation dans la cuisse droite, sans trouble sphinctérien. Pas d'autre plainte à l'anamnèse par système. Au status, on retrouve une douleur à la palpation des muscles para-vertébraux et à la percussion de la colonne lombaire sans déficit de force ou de sensibilité, Lasègue négatif. Une antalgie est introduite avec de discrets effets positifs. La patiente présente une confusion et désorientation discrète lors de son entrée et nous apprenons à l'hétéro-anamnèse avec ses filles que depuis quelques mois elle oublie beaucoup de choses et qu'elle est parfois agressive. Un MMS est effectué et met en évidence des troubles cognitifs qui sont bilantés avec un IRM cérébral dont le résultat est encore en attente. Une demande d'évaluation neuropsychologique est faite. Le projet global sera à discuter selon le résultat des tests neuropsychologiques et selon l'évolution des douleurs et la reprise de la mobilité. La patiente est transférée le 01.04.19 dans notre service de gériatrie aiguë. Il s'agit d'une patiente de 80 ans en bonne santé habituelle, connue pour une réduction fermée et enclouage centro-médullaire par clou Gamma long du fémur droit le 31.01.2018 pour une fracture pertrochantérienne. Au début 2019, migration du matériel d'ostéosynthèse, avec impossibilité à la marche. Après bilan radiologique, l'indication à une ablation du matériel d'ostéosynthèse et arthroplastie totale de la hanche droite est retenue. Malheureusement, en pré-opératoire, Mme. Y chute en chambre et présente une fracture de l'humérus proximal droit, ceci rendant donc impossible la prise en charge immédiate du fémur droit. Une ostéosynthèse par plaque Philos 7 trous de l'humérus droit est réalisée le 01.02.2019 et, après objectivation d'une consolidation osseuse radiologique, l'intervention sur la hanche droite est alors agendée au 12.04.2019 et se déroule sans complication. Dans les suites post-opératoires, une légère anémie post-opératoire motive la transfusion d'un culot érythrocytaire, avec bonne réponse. Les douleurs sont gérées par une antalgie standard et le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre. Par contre, sur le plan de la mobilisation, l'évolution est très lente, Mme. Y ayant été alitée durant les trois mois précédant l'intervention et présentant une forte appréhension à la marche. Celle-ci peut se faire en charge selon douleurs, sous la supervision des physiothérapeutes. Une anticoagulation prophylactique par Xarelto 10 mg/jour est à poursuivre jusqu'au 24.05.2019. Le 17.04.2019, Mme. Y est transférée à l'HFR Billens pour la suite de la réhabilitation. Il s'agit d'une patiente de 82 ans, aux multiples antécédents et co-morbidités suscités, sous Xarelto pour une fibrillation auriculaire paroxystique, qui se présente aux urgences le 01.04.2019 en raison d'une plaie profonde pré-tibiale droite survenue alors que la patiente perd l'équilibre et se plante une branche de framboisier. Présence d'un saignement actif important. Aux urgences, le traitement de la plaie révèle une peau très fine, rendant impossible une bonne coaptation de la plaie. Des points de rapprochement sont posés et Mme. Y est hospitalisée dans le service d'orthopédie pour surveillance de la plaie. Une antibiothérapie prophylactique par Co-Amoxicilline 3 x 1,2 g iv/jour est instaurée, qui sera relayée per os à la sortie à raison de 3 x 625 mg/jour à poursuivre jusqu'au 07.04.2019 inclus. L'évolution est favorable, sans aucun signe de nécrose de la plaie et un bon tissu de granulation visible. Face à la bonne évolution, Mme. Y quitte notre service le 05.04.2019. Le suivi de la plaie sera assuré par les infirmières des soins à domicile. Il s'agit d'une patiente de 83 ans, connue pour une FA anticoagulée, qui est hospitalisée pour un bilan de chute. Pour rappel, la patiente est amenée à la Permanence par ambulance suite à une chute à domicile le 03.04.19. Elle aurait senti avoir une perte de force dans les jambes, avec un sentiment de faiblesse, et serait tombée de sa hauteur avec traumatisme crânien, sans perte de connaissance. Elle décrit avoir eu des troubles de la vision, avec modification des couleurs, sans voile noir. À son entrée, la patiente n'a pas de plainte spontanée, le reste de l'anamnèse systématique est non-contributif. À l'hétéro-anamnèse, nous apprenons que la patiente va moins bien depuis une opération de PTH droite il y a un an avec des troubles cognitifs en péjoration et des troubles de l'équilibre avec de nombreuses chutes depuis quelques semaines. Au niveau social, la patiente vit seule à domicile, dans un appartement, avec livraison des repas à midi. Pas de soins à domicile. La copine du fils s'occupe des IADLs (paiements, ménage, lessive). À l'examen clinique d'entrée, nous mettons en évidence un trouble de la marche et de l'équilibre, le reste de l'examen neurologique étant normal.Le bilan de chutes comprend un laboratoire qui ne met pas en évidence de trouble électrolytique, un ECG qui montre un trouble du rythme type Flutter auriculaire lent. Un test de Schellong est effectué à la Permanence qui est fortement pathologique avec une chute de la tension artérielle de >20 mmHg. Un scanner cérébral ne retrouve pas de source de saignement. Nous commençons un traitement avec bas de contention et hydratation. Nous remplaçons également le Temesta par Distraneurin. En raison des valeurs de tension artérielle augmentées, nous introduisons un traitement avec Lisinopril 10 mg avec bon effet. Un traitement avec Remeron 15 mg est introduit à cause de trouble de sommeil, avec une amélioration de la qualité du sommeil. Des troubles cognitifs déjà présents en 2018 sont retrouvés avec un MMS à 20/30 et nous introduisons un traitement par Exelon. La patiente est transférée au service de gériatrie de notre hôpital pour la suite de la prise en charge. Il s'agit d'une patiente de 86 ans vivant seule en appartement protégé, sous Eliquis pour une fibrillation auriculaire, qui est amenée aux urgences le 09.04.2019 suite à un déconditionnement avec soins impossibles à domicile se manifestant par un trouble de la marche et de l'équilibre. Mme. Y est initialement hospitalisée dans le service de gériatrie aiguë pour prise en charge. En cours d'hospitalisation, Mme. Y mentionne des douleurs de la hanche droite lors de la mobilisation, en augmentation. Ceci motive la réalisation de radiographies qui objectivent une fracture du col du fémur droit Garden IV. Dès lors, l'indication opératoire est retenue et Mme. Y est transférée dans le service d'orthopédie. Le 13.04.2019, une prothèse céphalique est mise en place, sans complication. Dans les suites post-opératoires, une anémie à 88 g/l motive la transfusion de deux culots érythrocytaires le 15.04.2019, avec bonne réponse sur la valeur d'hémoglobine. Les douleurs post-opératoires sont bien gérées et la cicatrice reste calme et sèche. Le contrôle radiologique est en ordre et Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge selon douleurs, sous protection d'un moyen auxiliaire, avec quelques pas en chambre possibles. Le traitement d'Eliquis est repris au dosage habituel et, dans l'intervalle, l'anticoagulation a été assurée par Clexane 60 mg sc/jour. Le 18.04.2019, la prise en charge orthopédique étant terminée, Mme. Y est transférée dans le service de réhabilitation gériatrique pour suite de la prise en charge. Il s'agit d'une patiente de 87 ans en bonne santé habituelle, qui était initialement hospitalisée du 20.03.2019 au 27.03.2019 en orthopédie HFR Riaz pour prise en charge d'une fracture du col du fémur gauche par prothèse céphalique bipolaire suite à une chute de sa hauteur. A l'entrée dans notre service de réadaptation gériatrique HFR Riaz le 27.03.2019, Mme. Y n'a pas de plainte particulière. L'examen clinique met en évidence une sensibilité à l'hypochondre droit à la palpation. La cicatrice chirurgicale est calme. Sur le plan orthopédique, l'antalgie est maîtrisée. Les contrôles de la plaie opératoire ne mettent pas en évidence de signe infectieux. Nous effectuons une ablation des fils de suture à 14 jours. La patiente bénéficie d'une physiothérapie de remobilisation comme décrite ci-dessous. Nous effectuons par ailleurs un test de Schellong qui s'avère positif. Nous vous proposons de continuer le bandage des membres inférieurs afin de diminuer le risque de chute à l'avenir. Sur le plan dermatologique, nous diminuons le traitement d'Atarax afin d'affaiblir le risque de somnolence et de chute. Sinon, nous poursuivons le traitement comme indiqué par sa dermatologue, le Dr. X. Sur le plan abdominal, rappelons une ultrasonographie abdominale réalisée lors de son séjour en orthopédie HFR Riaz mettant en évidence une suspicion de cholécystite, pour laquelle une antibiothérapie par Rocéphine est indiquée par le Dr. X. L'évolution sous ce traitement est favorable avec une nette diminution de la symptomatologie au cours de l'hospitalisation ainsi qu'une normalisation des paramètres hépatiques aux laboratoires. Nous stoppons l'antibiothérapie après 7 jours de traitement. Par ailleurs, la patiente présente des nausées et vomissements en fin de séjour que nous mettons sous le compte d'une gastrite aiguë médicamenteuse. Au vu d'une nette amélioration sous Pantoprazol, nous en proposons un traitement de 14 jours avec réévaluation par vos soins par la suite. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 22/30 et un test de la montre à 2/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Une évaluation neuropsychologique sera nécessaire en ambulatoire. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge selon douleurs. A sa sortie, le périmètre de marche accompagnée et avec l'aide d'un rollator est de 120 mètres. La patiente peut gravir 9 marches avec accompagnement. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 103/126, par rapport à 72/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 6/7, escaliers à 5/7). Le TUG est à 29.58 secondes avec un tintébin à deux roues. Au niveau nutritionnel, la patiente présente une malnutrition protéino-énergétique légère, en lien avec une inappétence, démontrée par des ingestas couvrant 65% de ses besoins énergétiques théoriques et un NRS à 3/7. Dans ce contexte, Mme. Y bénéficie de conseils diététiques, mais ne souhaite pas de changement alimentaire actuellement. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Finalement, au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 10.04.2019, avec de la physiothérapie ambulatoire et des soins à domicile. Il s'agit d'une patiente de 91 ans institutionnalisée au foyer Ste-Marguerite à Vuisternens-Romont, sous Sintrom pour une fibrillation auriculaire, connue pour une prothèse totale de la hanche droite depuis 2002. Le 27.03.2019, Mme. Y est amenée aux urgences par ambulance suite à une chute de sa hauteur, objectivée par le personnel du home. Pas de traumatisme crânien, ni perte de connaissance ou amnésie circonstancielle. Mme. Y présente d'emblée des douleurs de la hanche gauche et du pli de l'aine gauche, sans autre plainte. Le bilan radio-clinique met en évidence la fracture suscitée pour laquelle l'indication opératoire est retenue. Mme. Y est hospitalisée dans le service d'orthopédie, le Sintrom est mis en suspens, remplacé par Clexane. La radiographie du thorax et l'ECG effectués comme bilan pré-opératoire sont sans particularité. La crase étant favorable, l'intervention peut avoir lieu le 29.03.2019, sans complication. Les suites opératoires sont simples, néanmoins marquées par une anémie post-opératoire à 83 g/l d'hémoglobine, motivant la transfusion d'un culot érythrocytaire le 31.03.2019. La valeur remonte à 93 g/l le 01.04.2019. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et Mme. Y peut effectuer quelques pas en chambre, en charge selon douleurs, sous la supervision des physiothérapeutes. La réfection du pansement montre une cicatrice propre et calme. Dès le 01.04.2019, le Sintrom est réintroduit et la Clexane sera poursuivie jusqu'à obtention de deux INR thérapeutiques. Face à la bonne évolution clinique, Mme. Y peut regagner le foyer Ste-Marguerite le 02.04.2019. Il s'agit d'une patiente de 95 ans, présentant une démence, institutionnalisée, qui est notamment connue pour un status post-ostéosynthèse pertrochantérienne du fémur droit en février 2019. Le 21.04.2019, Mme. Y est amenée aux urgences suite à une chute de sa hauteur. Le bilan radiologique met en évidence la fracture suscitée pour laquelle l'indication opératoire est retenue, intervention qui se déroule le 22.04.2019.En raison d'une anémie préopératoire à 95 g/l d'hémoglobine, Mme. Y reçoit deux culots érythrocytaires durant l'intervention. Le suivi biologique montre une valeur à 86 g/l le 25.04.2019, ce qui motive la transfusion d'un troisième culot érythrocytaire le 25.04.2019. Le contrôle biologique du lendemain retrouve une valeur à 102 g/l. Les douleurs post-opératoires sont bien contrôlées par une antalgie simple. Mme. Y est autorisée à marcher en charge selon les douleurs et bénéficie de séances de physiothérapie afin de réaliser les transferts. La réfection régulière des pansements met en évidence des cicatrices calmes et sèches, sans signe inflammatoire local. Une anticoagulation prophylactique par Xarelto 10 mg/jour est instaurée pour une durée de 6 semaines post-opératoires. Le 26.04.2019, Mme. Y peut retourner à la Maison Bourgeoisiale de Bulle. Il s'agit d'une patiente ménopausée, 1G 1P de 59 ans, qui présente un kyste multiloculaire de l'ovaire droit persistant depuis 2014. Le kyste étant initialement asymptomatique et au vu des comorbidités, la patiente a bénéficié d'une surveillance avec imagerie régulière. Récemment, elle se plaint de douleurs en fosse iliaque droite dans la zone de ce kyste. Au bilan, un CA 19-9 est revenu légèrement au-dessus de la norme. Un CT-scan abdominal révèle un kyste d'aspect septé de 11 cm ainsi qu'un utérus d'aspect myofibromateux connu. De plus, découverte fortuite d'un adénome surrénalien gauche et d'une lithiase vésiculaire asymptomatique. Au vu des co-morbidités citées ci-dessus, un consilium d'anesthésie et de pneumologie a eu lieu et a montré des volumes dynamiques ainsi qu'une fonction musculaire diminuée liée à sa maladie de Steinert. Dans ce contexte, une annexectomie bilatérale avec washing péritonéal par laparotomie (Pfannenstiel) sous anesthésie locorégionale lui est proposée. Elle accepte après lecture du consentement éclairé. L'anticoagulation par Sintrom est remplacée par Clexane à partir du 29.03.2019. L'intervention se déroule sans complication sous anesthésie générale (décision des anesthésistes le jour opératoire). Les anesthésistes ont placé une antalgie péridurale en préopératoire. Les redons sont retirés à J2. En raison de désaturations au postopératoire jusqu'à 74 %, nous demandons un avis pneumologique et réalisons une radiographie thoracale qui montre notamment des atélectases (rapport définitif en cours). Une gazométrie n'a malheureusement pas pu être réalisée. La patiente étant asymptomatique du point de vue respiratoire, et les saturations à l'air ambiant variant fortement selon l'état de la patiente qui s'endort souvent sous l'effet de la morphine, nous concluons qu'il s'agit le plus probablement d'un effet dû aux opiacés. La péridurale est retirée, les opiacés sont éliminés, la physiothérapie respiratoire est continuée et la patiente reste en observation sous 1 L de O2. Par la suite, les saturations restent stables à 92 % à l'air ambiant. Au vu de la bonne évolution, elle regagne son domicile à J5 en bon état général. Elle sera convoquée en pneumologie si nécessaire, comme convenu en préopératoire. Il s'agit d'une patiente nulligeste de 16 ans ayant bénéficié d'échographie mammaire le 12.09.18 et 27.03.2019 dans un contexte d'auto-palpation de masses mammaires bilatérales. Mise en évidence à l'US de lésions suspectes de fibroadénome en croissance des QI D, QSI D et QSE G. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente une excision des lésions sous anesthésie générale. Elle accepte et signe le consentement. L'intervention se déroule sans complication le 17.04.19. Les suites post-opératoires étant simples, elle rentre à domicile le jour même en bon état général. Il s'agit d'une patiente nulligeste de 49 ans qui nous est envoyée par Dr. X pour la prise en charge chirurgicale d'hyperménorrhées anémiantes sur un myome sous-muqueux. Au contrôle préopératoire chez Dr. X, un myome sous-muqueux fundique de 38 x 25 mm est mis en évidence. La patiente ne désire pas d'hystérectomie. Dans ce contexte, une hystéroscopie opératoire avec résection du myome lui est proposée. Elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications et elle peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente nulligeste, péri-ménopausique de 48 ans qui est suivie en ambulatoire pour un polype de l'endocol découvert en février 2019. Le PAP revient dans la norme et les frottis cervico-vaginaux mettent en évidence une gardnarella vaginalis qui est traitée par Fluomizin. Dans ce contexte, nous proposons une hystéroscopie opératoire avec ablation du polype endocervical suivi d'un curetage biopsique. Elle accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications et elle peut regagner son domicile le même jour. Le matériel est envoyé pour analyse en anatomo-pathologie. Il s'agit d'une patiente nulligeste qui se présente en raison de douleurs sus-pubiennes irradiant dans le dos dans un contexte d'hyperménorrhées et pollakiurie. À l'ultrason, nous mettons en évidence un utérus myomateux pouvant expliquer les symptômes. La patiente ne désirant pas de traitement hormonal, nous discutons d'une hystérectomie conservatrice des annexes qu'elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications le 04.04.2019. Les suites post-opératoires sont marquées dès J1 d'une rétention urinaire post-ablation de la sonde vésicale, raison pour laquelle elle bénéficie d'un sondage aller-retour avec nouveau globe vésical. Une nouvelle sonde à demeure est alors posée le 06.04.2019 avec retrait le 07.04.2019 après une épreuve de clampage-déclampage en ordre. 3 résidus post-mictionnels sont réalisés à la suite du retrait de la sonde urinaire, qui sont en ordre à chaque fois. La patiente reste afébrile pendant tout son séjour et devant la bonne évolution clinique, elle regagne son domicile le 07.04.2019 en bon état général. Un contrôle post-opératoire devra être fait dans 10 jours pour ablation des fils. Il s'agit d'une patiente postménopausique de 58 ans qui se présente chez Dr. X pour un épisode de métrorragie. Le PAP est dans la norme et la pipelle de Cornier est sans particularité. À l'ultrason, un myome intramural avec compression de la cavité est mis en évidence. L'IRM confirme le diagnostic. Dans ce contexte, une hystérectomie avec annexectomie bilatérale est proposée. Elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. La sonde vésicale est retirée à J1 et les mictions spontanées sont reprises. Elle regagne son domicile en date du 21.04.2019 en bon état général.Il s'agit d'une patiente postménopausique de 59 ans, que nous suivons en raison d'une suspicion de polype intracavitaire découvert en février 2018 suite à un épisode de saignement. Une hystéroscopie diagnostique avait permis d'émettre la suspicion de polype dans une cavité atrophique avec présence de synéchies, mais pour des raisons financières, la patiente a repoussé l'intervention jusqu'à ce jour. En raison de la détection d'une syphilis, elle a bénéficié d'un traitement par Benzylpénicilline en novembre 2018. L'intervention se déroule sans complications et la patiente peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Durant l'intervention nous mettons en évidence plusieurs synéchies mais pas de polype. Un curetage biopsique ramène très peu de matériel qui est envoyé en anatomopathologie. Il s'agit d'une patiente primigeste de 26 ans envoyée par sa gynécologue traitant pour prise en charge d'une grossesse non évolutive. À l'ultrason nous confirmons une grossesse intra-utérine avec un embryon sans bcf, arrêtée à 9 3/7 semaines d'aménorrhée selon la mesure de la LCC. Dans ce contexte, nous discutons d'une prise en charge chirurgicale par curetage évacuateur qu'elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications et la patiente peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente primigeste de 32 ans, admise en salle d'accouchement le 14.04.2019 pour une rupture prématurée des membranes. La dilatation est rapide et harmonieuse. Après une heure de poussées actives, face à une présentation haute et un CTG pathologique, nous posons l'indication à une césarienne en urgence. L'intervention est marquée par une légère atonie utérine, raison pour laquelle nous poursuivons 20 UI de Syntocinon au post-opératoire immédiat. Elle donne naissance à une fille pesant 3450 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia dès 21 jours post-accouchement. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 18.04.2019, en bon état général. Il s'agit d'une patiente primigeste de 39 ans avec grossesse sur insémination intra-utérine, chez qui on découvre au dernier contrôle du 27.03.2019 une grossesse arrêtée à 9 1/7 semaines d'aménorrhée. Nous lui proposons un curetage évacuateur qu'elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications, permettant un retour à domicile le jour même avec une patiente en bon état général. Il s'agit d'une patiente primigeste qui est envoyée par le Dr X pour suspicion de grossesse molaire. Dans ce contexte, nous proposons un curetage évacuateur qu'elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications et la patiente peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente primigeste suivie en consultation de fertilité en raison d'une infertilité primaire d'origine mixte. Elle a bénéficié d'un transfert d'embryon après ICSI le 27.02.2019. Au contrôle échographique nous constatons que la grossesse est arrêtée vers 5 semaines d'aménorrhée avec un décollement partiel. Dans ce contexte nous proposons un curetage évacuateur que la patiente accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications et la patiente peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente qui présente une douleur type colique en FID sans irradiation en fosse lombaire, 2 épisodes nocturnes en 24 h. La patiente est aussi connue pour probable PID et microfollicules ovariens. Diminution de la douleur par novalgin, perfalgan et voltaren pendant l'observation aux urgences. L'examen de laboratoire résulte complètement négatif. Après avis du chef Dr X, on donne rendez-vous pour US et contrôle clinique. On donne des comprimés de paracétamol et tramal à prendre selon douleur pendant la nuit. Il s'agit d'une patiente 1G0P à 25 4/7 semaines d'aménorrhée qui se présente en urgence pour douleurs sus-pubiennes irradiantes en loge rénale gauche depuis 3 jours. Pas de pollakiurie, dysurie. Pas de Cus. Pas de trouble du transit. Pas de fièvre. Pas de perte de LA ou de sang. Reste de l'anamnèse sans particularité. Status : Normocarde, normotendue, apyrétique. Abdomen : indolore à la palpation. Percussion LR sensible à gauche. Speculum : col fermé post, d'aspect court. Pas de leuco. Pas de sang. PROM test négatif, fibronectine négatif. CTG RNP. Absence de Cu objectivée. Dans ce contexte, nous transférons la patiente au CHUV sous tocolyse par Adalat, antibiothérapie par Rocéphine et débutons la cure de Celestone. Il s'agit d'une patiente 1G0P de 34 ans qui se présente pour une hystéroscopie opératoire avec cure de synéchies intra-utérines. Mme Y est suivie en consultation de PMA en raison d'une infertilité secondaire. Suite à une hystéroscopie et un curetage en raison d'une grossesse arrêtée en 2018 (grossesse sur insémination artificielle), elle présente une aménorrhée secondaire. Elle a bénéficié d'une hystéroscopie diagnostique en ambulatoire qui a montré des synéchies utérines étendues. Dans ce contexte, nous proposons une hystéroscopie opératoire avec cure de synéchies. Elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications et la patiente regagne son domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente 1G1P de 33 ans qui se présente en vue d'une augmentation mammaire en raison d'une hypotrophie mammaire bilatérale. Dans ce contexte, la patiente est vue à la consultation du Dr X, chirurgien plasticien, et une augmentation mammaire lui est proposée. L'intervention se déroule sans complications. Les redons sont retirés le soir même. La patiente peut regagner son domicile en date du 24.04.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 1G1P de 34 ans qui est suivie à notre consultation pour une dysplasie du col de l'utérus (initialement LSIL). À la dernière colposcopie, des biopsies ont révélé une suspicion de HSIL, CIN 2 ne pouvant formellement être affirmé. Dans ce contexte, nous proposons une conisation qu'elle accepte après lecture du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications et la patiente peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Elle reçoit une dose de Métronidazole 1 g en dose unique comme antibioprophylaxie avant de rentrer à domicile. Il s'agit d'une patiente 1G1P de 36 ans connue pour un carcinome du sein droit diagnostiqué le 26.07.2018. Après présentation du cas au Tumorboard, la patiente a bénéficié d'une chimiothérapie néo-adjuvante du 03.09.2018 au 10.12.2018 avec rémission complète à l'IRM. Le dépistage onco-génétique s'est révélé positif pour une mutation du gène BRCA 1. La biopsie d'une adénopathie axillaire droite pré-chimiothérapie n'a pas montré de métastases.Après consultation des chirurgiens plasticiens du CHUV ainsi qu'une nouvelle présentation du cas au Tumorboard, une mastectomie bilatérale avec curage axillaire droit sont proposés à la patiente. Le curage axillaire a été proposé au vu des adénopathies suspectes à l'IRM et au PET-Scan pré-chimiothérapie néo-adjuvante et la mastectomie prophylactique à gauche au vu du portage du BRCA1. Une reconstruction mammaire ainsi qu'une laparoscopie avec annexectomie bilatérale seront proposés dans un deuxième temps. La patiente signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Des redons sont laissés en place au niveau axillaires et site de mastectomie à droite et site de mastectomie à gauche. Ceux-ci sont retirés le jour de sa sortie. La patiente débute une physiothérapie au post-opératoire. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile en date du 21.04.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 1G1P de 46 ans qui est envoyée par son gynécologue traitant pour investigation d'une incontinence urinaire. Un examen urodynamique met en avant une incontinence urinaire mixte avec une composante à l'effort avec une instabilité vésico-urétrale justifiant la pose d'un TOT. Elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Les surveillances postopératoires ne montrent pas de résidus post-mictionnels. La patiente peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente 2-gestes devenue 2-pares à 35 6/7 semaines d'aménorrhée après une césarienne en urgence pour RPM sur utérus cicatriciel le 13.04.2019 au Daler qui nous est adressée à J1 pour un rapprochement mère-enfant (enfant transféré pour SDR). L'intervention s'est déroulée sans complications avec des pertes à 500 cc. Les suites post-partales sont simples et la patiente est afébrile. La cicatrice est calme et belle. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans particularités. La patiente désire discuter de la contraception avec son gynécologue traitant et utilisera une contraception par préservatifs en attendant. La patiente peut regagner son domicile en date du 17.04.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 2-gestes 0-pare de 29 ans admise en salle à 25 0/7 semaines d'aménorrhée pour IMG en raison d'une malformation d'Arnold-Chiari de type 2. Foeticide réalisé le 29.03.19 par injection intra-funiculaire. Naissance par voie basse d'un enfant mort-né de sexe féminin pesant 704 g. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Sevrage primaire de l'allaitement par Dostinex. Le couple ne souhaite pas de contraception. Le couple refuse l'autopsie, frottis bactériologiques foetaux et placentaires. Le placenta est envoyé en anatomo-pathologie. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 31.03.2019. Contrôle post-partum prévu dans 4 semaines chez le gynécologue traitant. Prochaine consultation psychologique avec Mme. Cariboni dans 2 semaines. Sage-femmes à domicile 2 x/semaine selon le souhait de la patiente. Il s'agit d'une patiente 2-gestes 1-pare qui se présente à 41 2/7 semaines d'aménorrhée pour une provocation de l'accouchement pour terme dépassé et oligoamnios dans un contexte de diabète gestationnel non insulino-requérant. La patiente accepte et signe le consentement éclairé. La provocation est effectuée par deux Propess, et une pose de ballonnet. Elle se met en travail et accouche spontanément d'un garçon de 4300 g, de bonne adaptation néonatale. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complications. Les suites de couches sont simples et la patiente reste afébrile. La contraception future sera à rediscuter avec traducteur à la consultation du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Elle rentre à domicile avec son bébé le 22.04.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 2G1P de 26 ans qui se présente pour un cerclage prophylactique du col de l'utérus à 13 5/7 SA en raison d'un antécédent d'accouchement prématuré avec insuffisance du col de l'utérus en 2013. La patiente accepte l'intervention après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Un contrôle obstétrical de la vitalité foetale est réalisé avant et après l'intervention et montre une activité cardiaque positive avec un liquide amniotique en quantité normale. La patiente peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente 2G1P qui s'est initialement présentée le 21.02.2019 pour un saignement en début de grossesse. Une grossesse n'avait pas pu être visualisée à l'échographie et il a été conclu à une probable fausse couche spontanée en cours. Elle a bénéficié d'un suivi des bHCG de manière hebdomadaire. Ceux-ci ont adéquatement diminué jusqu'au 20.03.2019 où une nouvelle augmentation puis stagnation des bHCG s'est révélée. Elle ne présente plus de saignements depuis le 28.02.2019 et est asymptomatique. L'ultrason gynécologique du 22.03.2019 apparaît normal avec un endomètre à 8.3 mm. Dans ce contexte nous proposons une hystéroscopie diagnostique avec curetage explorateur qu'elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Une rétention de matériel est suspectée et est réséquée. Le matériel est envoyé en anatomo-pathologie. Elle regagne son domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente 2G2P connue pour un kyste ovarien simple (IOTA 1) à droite découvert fortuitement au contrôle annuel et persistant depuis le 01.06.2018. De plus, à l'ultrason nous mettons en évidence une image évoquant un hydrosalpinx à droite. Dans ce contexte nous lui proposons une laparoscopie diagnostique avec kystectomie et salpingectomie à droite. Elle accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. En raison de la mise en évidence d'un fitz-hugh-curtis et d'un status hyperémié avec des annexes adhérentielles des deux côtés, nous effectuons un prélèvement bactériologique intra-abdominal. Un test au bleu montre une perméabilité tubaire du côté gauche. La patiente peut regagner son domicile le même jour. Il s'agit d'une patiente 2G2P de 38 ans se présentant en urgence suite à la non-amélioration d'un abcès du sein gauche sous antibiothérapie et AINS. A l'US du 13.04.19, mise en évidence d'un abcès de 20 mm de grand axe en regard d'un érythème cutané mammaire du QII du sein gauche. Dans ce contexte, nous proposons une incision et drainage de l'abcès sous anesthésie générale. La patiente accepte et signe le consentement. L'intervention se déroule sans complications. Les suites opératoires étant simples, la patiente est autorisée à rentrer à domicile le jour même. Un contrôle post-op est programmé le 19.04.2019 à la consultation du Dr. X pour ablation du drain et changement des pansements. Il s'agit d'une patiente 2G2P de 38 ans se présentant en urgence suite à la non-amélioration d'un abcès du sein gauche sous antibiothérapie et AINS. A l'US du 13.04.19, mise en évidence d'un abcès de 20 mm de grand axe en regard d'un érythème cutané mammaire du QII du sein gauche. Dans ce contexte, nous proposons une incision et drainage de l'abcès sous anesthésie générale. La patiente accepte et signe le consentement. L'intervention se déroule sans complications. Les suites opératoires étant simples, la patiente est autorisée à rentrer à domicile le jour même. Un contrôle post-op est programmé le 19.04.2019 à la consultation du Dr. X pour ablation de la lame multitubulée.Il s'agit d'une patiente 2G2P de 40 ans qui se présente en urgence pour des douleurs abdominales et des frissons depuis 24 heures dans un contexte post-opératoire avec kystectomie droite, salpingectomie droite et test au bleu pour kyste persistant de l'ovaire et hydrosalpinx le 02.04.2019. Intervention sans complication. La patiente est rentrée à domicile le jour même. A l'entrée, la patiente se plaint de douleurs abdominales diffuses avec frissons depuis le 08.04.19 malgré la prise efficace de Dafalgan et d'Irfen. Elle signale également des métrorragies du 2 au 04.04 en quantité plus abondante que des règles. Le transit intestinal est conservé avec 3 épisodes de selles depuis l'intervention. Pollakiurie et dysurie depuis l'intervention, en péjoration ce jour. Au statut, nous trouvons une patiente apyrétique, normocarde et normotendue. L'abdomen présente une douleur du côté gauche avec défense mais pas de détente. Notamment, le point d'insertion du trocart est sensible à la palpation et présente une petite ecchymose avec discrète induration d'un centimètre. L'examen gynécologique met en évidence une douleur des deux fosses iliaques ainsi qu'à la mobilisation du col. L'ultrason trans-vaginal est dans la norme. Le laboratoire montre une CRP à 72 sans leucocytose. Dans ce contexte, nous suspectons une PID et hospitalisons la patiente pour une antibiothérapie intraveineuse. Par la suite, l'évolution clinique et biologique étant favorable, nous pouvons initier l'antibiothérapie par voie orale et la patiente peut regagner son domicile le 12.04.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 2G2P de 55 ans qui est suivie à notre consultation ambulatoire pour un épisode de métrorragie post-ménopausique. Un prélèvement endométrial (endosampler) n'a pas montré de malignité et le frottis PAP ne montre pas de particularités. A l'ultrason, un endomètre épaissi à 12 mm est mis en évidence. Dans ce contexte, nous proposons une hystéroscopie diagnostique avec curetage biopsique qu'elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans particularités. Nous retrouvons un endomètre hypertrophique avec de multiples polypes. Le matériel est envoyé en anatomo-pathologie. La patiente peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente 2G2P de 81 ans qui nous est envoyée en raison d'une masse palpable du sein gauche. Au bilan, nous retrouvons une masse suspecte qui est biopsiée confirmant le diagnostic d'un carcinome du sein gauche. Le cas est présenté au Tumorboard et une tumorectomie est proposée. En raison des co-morbidités onco-gériatriques, lors de l'explication du consentement éclairé, en présence de son représentant légal, nous évoquons la possibilité d'une résection élargie, soit quadrantectomie, pamectomie ou une mastectomie. La patiente et son représentant légal acceptent après signature du consentement éclairé. L'intervention a lieu le 24.04.2019. Vu la taille de la lésion, nous optons pour une quadrantectomie et pamectomie, qui se déroulent sans complications. En raison d'une insuffisance rénale, nous demandons un consilium de néphrologie. Après investigations biologiques, une origine pré-rénale due à une déshydratation semble être la piste la plus probable. Nous encourageons la patiente à s'hydrater et proposons un contrôle de la fonction rénale dans une semaine. Les suites post-opératoires sont simples et favorables. Le drain est retiré à J2. La cicatrice est calme et propre avant son départ. La patiente est retransférée vers son home en date du 26.04.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 3G 1P à 13 4/7 SA qui se présente en urgence pour métrorragie active et douleurs abdominales crampiformes. Au statut d'entrée, la patiente est tachycarde et hypotendue. Au spéculum, après évacuation de nombreux caillots, expulsion spontanée de l'embryon avec saignement actif par le col. Nous décidons, dans ce contexte, d'effectuer en urgence une aspiration curetage au bloc opératoire. L'intervention se déroule sans complication. Les pertes sanguines sont estimées à 600 ml. Une perfusion de 20 UI de Syntocinon est poursuivie sur 6 heures. L'hémoglobine postopératoire est à 106 g/L. Nous débutons une supplémentation martiale par voie orale. La patiente peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Contrôle dans 4 semaines chez le gynécologue traitant. Il s'agit d'une patiente 3G2P qui se présente en ambulance dans notre service le 30.04.2019 en raison d'un saignement vaginal à domicile, plus fort que des règles, avec perte de caillots. A l'anamnèse, elle décrit avoir fait une fausse couche au Portugal fin mars à 7 2/7 SA, dans un contexte de grossesse non visualisée. A noter un groupe sanguin Rhésus négatif avec une injection de Rhophylac le 12.04.2019 au cabinet de son gynécologue traitant. À son admission, la patiente ne présente plus de saignement. Il n'y a pas d'anémie. Les B-HCG sont à 49 U/l. L'image échographique étant évocatrice d'une rétention placentaire, nous proposons une hystéroscopie avec ablation du reste trophoblastique et curetage. Elle accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication en date du 01.05.2019 et la patiente peut regagner son domicile le même jour. Le matériel est envoyé pour analyse en anatomo-pathologie. Concernant un kyste hémorragique de 32 mm au niveau de l'ovaire à gauche, nous proposons un suivi échographique à 2 mois. Il s'agit d'une patiente 3G3P de 47 ans, qui se présente en raison d'une hyperménorrhée et de douleurs pelviennes chroniques depuis 2 ans malgré un traitement par Gynéra débuté en août 2018. A l'ultrason, un myome d'environ 6 cm au niveau postéro-fundique est mis en évidence. Le PAP ainsi que le prélèvement endo-utérin reviennent dans la norme. De plus, la patiente se plaint d'une incontinence urinaire. Un examen urodynamique met en évidence une incontinence urinaire mixte ainsi qu'une cystocèle de grade 1. Elle a bénéficié d'un traitement par Betmiga durant 3 mois avec amélioration passagère des symptômes. Dans ce contexte, nous proposons une hystérectomie avec salpingectomie bilatérale par laparoscopie. La nécessité d'un TOT sera à réévaluer et éventuellement proposée dans un second temps. Elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. La sonde vésicale est retirée à J1 avec reprise des mictions spontanées. Les suites postopératoires sont simples et la patiente reste afébrile. Elle rentre à domicile le 04.04.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 3G1P de 40 ans qui nous est envoyée par Dr. X pour une grossesse non évolutive arrêtée à 11 semaines. Dans ce contexte, nous proposons un curetage évacuateur que la patiente accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications et la patiente peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente 3G2P de 51 ans qui se présente pour des métrorragies post-ménopausiques sous forme de spotting intermittent depuis mai 2018. Un traitement hormonothérapie substitutif par Estradot et Utrogestan a été débuté en mars 2018 et arrêté le 08.03.2019. L'ultrason endovaginal montre un endomètre difficilement visualisable avec une épaisseur d'environ 4 mm. Le PAP ainsi que le prélèvement endométrial reviennent dans la norme. Dans ce contexte, nous proposons une hystéroscopie diagnostique qui parle en faveur d'une atrophie complété par un curetage biopsique. L'intervention se déroule sans complications et la patiente peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente 3G3P de 45 ans qui, lors de sa mammographie de contrôle du 11.03.2019 post-pamectomie pour DCIS à gauche en 2010, a présenté des microcalcifications irrégulières du QII à gauche d'aspect suspect. La biopsie de cette lésion a montré de multiples foyers de DCIS de grade 3 ainsi qu'un foyer de 0.15 cm de type NST grade 1.Dans ce contexte, après présentation du dossier au TumorBoard le 02.04.19, nous préconisons une mastectomie gauche avec ganglion sentinelle gauche. La patiente accepte l intervention et signe le consentement éclairé. L intervention se déroule sans complication le 16.01.19 avec mise en place de redons. Les suites postopératoires sont simples. Les redons sont retirés à J4. La patiente rentre à domicile le 20.04.2019 en bon état général. Il s agit d une patiente 3G3P de 45 ans qui, lors de sa mammographie de contrôle du 11.03.2019 post-pamactomie pour DCIS à gauche en 2010, a présenté des microcalcifications irrégulières du QII G d aspect suspect. La biopsie de cette lésion a montré de multiples foyers de DCIS de grade 3 ainsi qu un foyer de 0.15 cm de type NST grade G1. Dans ce contexte, après présentation du dossier au TumorBoard le 02.04.19, nous préconisons une mastectomie gauche avec ganglion sentinelle gauche. La patiente accepte l intervention et signe le consentement éclairé. L intervention se déroule sans complication le 16.01.19 avec mise en place de redon. Les suites postopératoires sont simples. Les redons sont retirés à J4. La patiente rentre à domicile le 20.04.2019 en bon état général. Il s agit d une patiente 3G3P de 54 ans chez qui un carcinome du sein droit, triple négatif a été diagnostiqué suite à une mammographie de dépistage. En effet après un ultrason mammaire avec biopsies suivi d un IRM, le diagnostic d un carcinome invasif NST à cheval sur les quadrants externes du sein droit a été posé. Dans ce contexte, le cas est présenté au TumorBoard avec proposition d exérèse du ganglion sentinelle avant le début d une chimiothérapie néo-adjuvante. Les chirurgiens poseront un port-à-cath dans le même temps opératoire. La patiente accepte l intervention après signature du consentement éclairé. L intervention se déroule sans complications. Redon en place dans le creux axillaire droit, retiré le 18.04.2019. La patiente regagne son domicile en date du 18.04.2019 en bon état général. Il s agit d une patiente 3G3P de 72 ans qui nous est envoyée par l infirmière à domicile en raison de pertes vaginales brunâtres. À l ultrason, nous mettons en évidence un endomètre épaissi. Une biopsie de l endomètre n a pas pu être réalisée. Le PAP est inconclusif. Une IRM pelvienne fait suspecter un carcinome de l endomètre. Dans ce contexte, nous proposons une hystéroscopie diagnostique avec curetage biopsique au bloc opératoire. L intervention se déroule sans complications. La patiente peut regagner son domicile en date du 18.04.2019 en bon état général. Il s agit d une patiente 6G 2P qui nous est envoyée par son gynécologue traitant pour un curetage évacuateur en raison d une grossesse arrêtée à 8 semaines d aménorrhée. Elle accepte en signant le consentement éclairé. L intervention se déroule sans complications (fecit Dr. X) et la patiente peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Il s agit d une patiente 6-gestes devenue 2-pares à 39 3/7 semaines d aménorrhée après une césarienne élective itérative le 11.04.2019 au Daler qui nous est adressée à J1 pour un rapprochement mère-enfant (enfant transféré pour SDR). La césarienne a été avancée d un jour en raison de contractions douloureuses en augmentation à l entrée. L intervention s est déroulée sans complications. La sonde vésicale est retirée à J1 et les mictions spontanées sont reprises. Les suites post-partales sont simples et la patiente est afébrile. La cicatrice est calme et propre. L allaitement maternel complet est initié et se déroule sans particularités. La patiente peut regagner son domicile en date du 15.04.2019 en bon état général. Il s agit d une patiente 6G2P qui nous est envoyée par son gynécologue traitant, le Dr. X, pour un curetage évacuateur en raison d une grossesse arrêtée à 8 SA. Elle accepte en signant le consentement éclairé. L intervention se déroule sans complications et Mme. Y peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Il s agit d une patiente 8G1P à 27 2/7 semaines d aménorrhée qui consulte en urgence en raison de métrorragies abondantes depuis 1 heure accompagnées de douleurs lombaires et pelviennes bilatérales de type spasmodique, continues, depuis 72 h. Pas de facteur déclenchant des métrorragies (pas de RS). Pas de fièvre. Pas de signes urinaires. Pas de troubles du transit. Pas de signes de pré-éclampsie. s/p 3 fausses couches précoces avec bilan thrombophilie sans particularité. s/p Interruption volontaire de grossesse en Roumanie en 2010. s/p Interruption volontaire de grossesse médicamenteuse HFR 2012. s/p IMG à 3 mois pour séroconversion CMV en 2013. s/p néphrectomie partielle rein D. s/p césarienne en Roumanie en 2005 G 3200g. Hépatite B chronique. STATUS : CTG : CUs en début de CTG ressenties douloureuses qui s espacent et diminuent en intensité puis reprennent par la suite. Abdomen : Utérus souple à la palpation. Douleurs reproductibles à la palpation des fosses iliaques droite et fosses iliaque gauche sans défense ni détente. Palpation cicatrice de césarienne indolore. Speculum : col fermé, long, postérieur. Présence de sang rouge en quantité modérée avec des caillots sans saignement actif visualisé. Percussion des loges rénales indolores. Stix : GR +++. Laboratoire : Hb 119 g/L, lc 8.7, CRP 6, glc 4.5, crase en ordre. Groupe sanguin O Rhésus positif. L US montre un fœtus en présentation transverse, de bonne vitalité fœtale, PFE 1300g (P90), liquide amniotique en ordre (GC 10), placenta postérieur marginal non recouvrant, pas d hématome rétro-placentaire ou de décollement visualisé. DO et Doppler ACM dans la norme. Col long de 45 mm. Pas de vasa praevia visualisé. Maturation pulmonaire débutée le 24.4.2019 à 00:30. Tocolyse par Adalat débutée. Frottis vaginal et urotube en cours. Au vu de la prématurité et du contexte obstétrical, nous transférons la patiente pour suite de prise en charge. Il s agit d une probable adénopathie cervicale droite probablement d origine inflammatoire réactionnelle, pour laquelle nous prescrivons des anti-inflammatoires et recommandons à la patiente de reconsulter en cas de non-amélioration ou de persistance. Il s agit d une situation complexe avec de multiples fractures dont plus de 80% non déplacées. A priori un traitement conservateur pourrait être discuté. Par contre, vu la complexité du cas, je vais discuter de ce cas avec mes collègues de l'HFR Fribourg et recontacterai le patient pour discuter de la suite de la prise en charge. Il s agit d une situation complexe avec une évolution plutôt lente. Je préconise maintenant un traitement ergothérapeutique pour rééducation sensitive et motrice ainsi que désensibilisation cicatricielle. Prochain contrôle chez moi dans 2 mois le 24.6.2019. Il s agit principalement d une raideur post-traumatique de l épaule. Avant de discuter infiltration, je préconise un traitement physiothérapeutique à sec et dans l eau. Prochain contrôle chez moi le 23.5.2019 pour refaire le point. Il s agit probablement d une tendinite calcarea du tendon glutéus médius avec une irritation secondaire de la bourse. On planifie une infiltration de la bourse G avec needling du tendon. Il s agit très probablement d une tumeur à cellules géantes. Avant de discuter de l excision de celle-ci, je vais bilanter la situation par IRM et je reverrai la patiente à la suite de cet examen pour discuter des différentes options thérapeutiques.Il y a cliniquement et neurographiquement un syndrome de tunnel carpien à droite mais le ressenti des paresthésies diffuses sur toute la main n'est pas typique. Dans le cadre de cervicalgie chronique connue, j'organise une IRM cervicale afin d'exclure une compression plus proximale. Je prescris une attelle nocturne à confectionner en ergothérapie. Je revois la patiente dans 6 semaines pour suivre l'évolution anti-inflammatoire en réserve. Iléite distale sur poussée de Crohn avec: • Maladie de Crohn diagnostiquée en décembre 2018 • Poussée de Crohn le 19.04.2019 avec hospitalisation au Hib Payerne de 3 jours, traité par Prednisone 60 mg/24h Iléite distale sur poussée de Crohn le 19.04.2019 • Maladie de Crohn diagnostiquée en décembre 2018 avec atteinte iléale et atteinte extra-digestive (sacro-iliite) • sous traitement d'Infliximab, poussée à J10 de la dernière injection • Suivi par le Prof. X et le Dr. X Iléite terminale probablement d'étiologie infectieuse le 27.03.2019. Iléus : • DD : sur brides, sur constipation opiniâtre, sur opiacés. Iléus d'origine indéterminée le 27.03.2019 Iléus en mars 2018 Status post abcès périanal Chirurgie de l'épaule des deux côtés en 1972 Hernie discale en 1973 Embolie pulmonaire avec infarctus pulmonaire en 2010 Œdème aigu du poumon en 2010 Pneumonie récurrente (2011, 2012, 05 et 12/2013, 2014, 2015, 2017) Iléus grêle avec saut de calibre au niveau du jéjunum le 13.03.2019 Iléus grêle mécanique récidivant sur status adhérentiel le 21.04.2019 Iléus grêle probablement sur adhérences. Iléus grêle sur hernie de la ligne médiane le 10.04.2019 • Cholécystectomie par laparotomie avec dérivation bilio-digestive pour Mirizzi type II (calcul dans le cholédoque avec échec d'extraction par ERCP) en 2003 Iléus grêle sur 3 hernies de la ligne médiane le 10.04.2019 Iléus iléo-terminal le 08.04.2019 Iléus mécanique dans un contexte de carcinome du rectum et carcinome urothélial, le 20.03.2019 • status post résection antérieure inter-sphinctérienne et colostomie terminale le 04.09.2012 • status post chirurgie par de Bricker en juin 2014 • iléus grêle mécanique sur status adhérentiel le 13.08.2017 Iléus mécanique grêle le 26.03.2019 Iléus mécanique grêle le 26.03.2019 • Laparotomie exploratrice et adhésiolyse le 29.03.2019 Cholangite sur obstruction des voies biliaires sur occlusion d'un stent cholédocien le 29.03.2019 • ERCP avec changement de stent le 30.03.2019 Bicytopénie le 26.03.2019 avec thrombopénie à 39 G/l et anémie à 80 G/l • Transfusion d'un CE le 29.03.2019 et le 06.04.2019 • Transfusion de 2 CP le 29.03.2019, le 30.03.2019 et le 06.04.2019 Iléus mécanique le 28.04.2019 Iléus mécanique le 29.04.2019 Iléus mécanique récidivant sur status abdominal adhérentiel le 21.04.19 sur: • status post 5 laparotomies pour iléus entre 1987 et 2015 Iléus mécanique sur adhérence 2016 Fracture sous-capitale humérus D traitée conservativement en 08.2010 PTG D en 2005 (Dr. X) • Changement PTG D en 2007 (Dr. X) Ré-OS tubérosité tibiale D en 2008 (Dr. X) Ablation vis d'ostéosynthèse de la tubérosité tibiale en 2008 (Dr. X) PTG (non datée) Hépatectomie D et cholécystectomie pour échinococcose en 2004 et récidive en 2006 Appendicectomie à 30 ans Hystérectomie à 43 ans Iléus mécanique sur bride le 09.04.2019 Iléus mécanique sur bride le 09.04.2019, chez patient connu pour: • Adénocarcinome modérément différencié du sigmoïde pT2 pN0 (0/23) L0 V0 G2 traité par colectomie subtotale et iléostomie en 11.2010, puis rétablissement de continuité en 12.2010 • Iléus mécanique sur bride en mars 2018 Iléus mécanique sur bride 19.04.2019 avec: • status post-sigmoïdectomie selon Hartmann dans le cadre d'une diverticulite chronique avec iléus mécanique le 01.08.2015 • status post-rétablissement de la continuité par laparotomie et iléostomie de protection le 20.10.2015 • status post-fermeture d'iléostomie le 06.01.2016 Iléus mécanique sur bride 19.04.2019 • S/p sténose du côlon sigmoïde distal sur diverticulite chronique avec iléus mécanique le 01.08.2015 • status post-sigmoïdectomie oncologique selon Hartmann avec descendostomie terminale en fosse iliaque gauche le 01.08.2015 (Dr. X) • status post-rétablissement de la continuité par laparotomie et iléostomie de protection le 20.10.2015 • fermeture d'iléostomie le 06.01.2016 Iléus mécanique sur hernie inguinale non incarcérée le 28.04.2019 Iléus mécanique sur sténose de la jonction recto-sigmoïdienne sévère dans le contexte d'un probable cancer ovarien gauche (DD cancer colo-rectal). Iléus mécanique sur sténose de la jonction recto-sigmoïdienne sévère 25.04.2019 • DD sur cancer ovarien, colo-rectal • CT abdominale 25.04.2019 Iléus multiples: • Iléus mécanique au niveau jéjunale sur hernie interne avec laparotomie exploratrice, adhésiolyse étendue et fermeture d'hernie interne le 17.08.2015 • Subiléus récidivant sur status adhérentiel probable en août 2010 • Iléus mécanique sur bride en 2005 avec: • Laparotomie, adhésiolyse et libération d'une bride le 20.09.2005 • Re-laparotomie, adhésiolyse, anastomose latéro-latérale de dérivation du grêle le 27.09.2005 • Iléus mécanique : laparotomie exploratrice, section d'une grosse bride épiploïque, libération d'adhérences et appendicectomie le 21.05.1996 • Iléus d'origine indéterminée traité conservativement en novembre 1990 • Laparotomie exploratrice pour iléus d'origine indéterminée en avril 1987 • Iléus sur gastroentérite traité conservativement en février 1987 Status post-fracture tête radial type Mason II à gauche • Bactériémie secondaire à une thrombose septique de la veine sous-clavière gauche à Staphylocoque Epidermidis le 09.08.2015 dans le contexte d'une voie veineuse centrale et d'une nutrition parentale Contusion costale gauche le 15.02.2017 traitée conservativement Pneumonie communautaire le 21.04.2017 Iléus paralytique Iléus paralytique dès le 01.04.2019 Iléus paralytique d'origine indéterminée le 04.04.19 • avec selles liquides paradoxales DD central (atteinte insulaire dans le cadre de l'encéphalopathie), médicamenteux Iléus paralytique post-opératoire avec: • Status post-laparotomie médiane avec annexectomie bilatérale, mobilisation de l'uretère gauche, dépéritonealisation du Douglas, Omentectomie infra-gastrique, mobilisation du colon ascendant avec biopsie péritonéale para-colique droite, résection iléo-caecale avec anastomose latéro-latéral et washing péritonéal le 29.03.2019 pour adénocarcinome mucineux ovarien gauche cT3 N0 M0, FIGO 3C Iléus paralytique post-opératoire depuis le 27.03.2019 Iléus paralytique post-opératoire le 29.03.2019 Iléus paralytique sur le sepsis le 16.04.2019 Iléus paralytique 17.03.2019 Iléus post-opératoire à J10 Iléus probablement paralytique le 30.03.2019 sur colite • saut de calibre au niveau de iléo-caecale • rectorragies le 06.04.2019 Iléus probablement paralytique sur colite le 30.03.2019 • saut de calibre au niveau iléo-caecal • rectorragies le 06.04.2019 Iléus sur bride le 23.03.2019 Iléus sur bride précoce Iléus sur coprostase. Iléus sur volvulus iléal. Image de néphrite droite au CT abdominal du 19.03.2019, sans corrélat clinique Imagerie formelle à discuter Imageries CT thorax-abdomen-pelvis le 25.03.2019 : Volumineuse lésion pariétale ulcérée avec perte de substance mesurant environ 130 x 76 mm allant au contact de la musculature pariétale. Nodule du quadrant inféro-externe du sein droit à corréler au bilan mammographique/échographique. À l'étage abdominal, suspicion de maladie de la jonction à droite avec dilatation du pyélon et séquelles corticales suggérant un ancien évènement ischémique ou infectieux.IRM colonne dorso-lombaire injectée le 27.03.2019 : Lésion de la partie postérieure gauche du corps vertébral de D12, sans bombement du mur postérieur. Cette lésion, compte tenu de son comportement, est suspecte. Tassement des vertèbres D10 et D11, beaucoup plus marqué en D11 avec une angulation postérieure. Compte tenu de l'aspect de ces deux tassements, on devrait plus évoquer des tassements frais d'origine ostéoporotique que des tassements tumoraux. Toutefois, comme il y a une lésion suspecte dans le corps vertébral de D12, le diagnostic différentiel peut également se poser avec une lésion secondaire à l'origine des tassements. Pas de lésion visible sur cet examen au niveau de la partie examinée du cordon médullaire. Altérations dégénératives du rachis examiné. IRM abdomen/aorte abdominale du 05.04.2019 (Dr. X) • Ulcération des parties molles dans le quadrant supéro-externe, sans atteinte des organes intra-abdominaux. • Multiples métastases punctiformes dans les cartilages costaux ddc. • Tassement de la vertèbre D11. • La lésion dans le quadrant inféro-externe du sein droit non caractérisable, n'est accessible à l'échographie. PET CT du 08.04.2019 : On retrouve la volumineuse lésion cutanée ulcérée de la paroi abdominale en regard de l'hypochondre droit d'aspect globalement inchangé, devant correspondre au carcinome baso-cellulaire connu. On visualise quelques discrètes lésions sclérosantes de l'os iliaque gauche, sur la partie droite du sacrum et en regard de la partie postéro-supérieure du cotyle droit qui sont hypermétaboliques à l'examen fonctionnel et qui doivent correspondre à des métastases. Fractures non déplacées de l'arc antérieur de la 3ème côte à gauche et de l'arc postérieur de la 9ème côte à droite. Les autres captations osseuses n'ont pas de franche traduction à l'examen morphologique. Reste du status radiologiquement superposable. Mise en évidence d'une intense hypercaptation cutanée infiltrant la paroi abdominale antérieure droite correspondant à la tumeur primitive connue avec de multiples métastases osseuses. Absence de lésion hypermétabolique suspecte pulmonaire ou hépatique. Consilium gynécologie le 28.03.2019 : Nodule externe du sein droit de 7 mm découvert fortuitement sur le scanner. Bilan clinique mammaire rassurant. Bilan à compléter par mammographie US mammaire et biopsie si lésion suspecte puis consultation en ambulatoire. Pas de prise en charge du myome utérin. Consilium urologique le 26.03.2019 : Probable sinus extrarénal (extrarénal pelvis) DD syndrome de la jonction Consilium spine team Dr. X le 26.03.2019 : Indication pour IRM dorso-lombaire, finalisée à dépister fractures ostéoporotiques-traumatiques récentes (séquences STIR) ou éventuellement lésions/fractures vertébrales pathologiques (séquences injectées). Dès que disponibles les images et l'avis des radiologues, on pourra rediscuter en ce qui concerne une indication pour kyphoplastie voire biopsie transpédiculaire. IMC (infirmité motrice cérébrale) depuis la naissance. Immobilisation AB Edimbourg fondu CT main poignet à prévoir Immobilisation avec MacDavid pendant 3 semaines Contrôle clinique chez le médecin traitant à 1 semaine Charge selon douleurs, Ibuprofène 600 mg en R Immobilisation cheville G par botte plâtrée fendue le 04.02.2019 Réduction ouverte, OS malléole externe par embrochage rétrograde et plaque tiers tube Réduction ouverte, OS malléole interne par cerclage-haubanage, cheville G (OP le 12.02.2019) Immobilisation dans un combicast fendu Mesure de la pression intraarticulaire des 4 loges de la jambe : (Antérieure 20 mmHg, latérale 15 mmHg, post sup 7 mmHg, post profonde 7 mmHg) Immobilisation dans un plâtre AB pour six semaines. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. Immobilisation dans une attelle aircast pour 3 semaines. Marche en charge selon douleurs. Contrôle de la plaie chez le médecin traitant dans 3-4 jours. Fin de traitement. Immobilisation dans une attelle jambière postérieure en plâtre de Paris. Anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc/jour. Contrôle radiologique à 1 semaine en policlinique d'orthopédie pour confection d'une botte de décharge en résine. Immobilisation dans une attelle Splintpod pour 1 semaine, marche en décharge, puis immobilisation par Aircast pour les 5 semaines suivantes. Thromboprophylaxie par Clexane. Immobilisation dans une botte plâtrée pendant 5 semaines. Prochain contrôle le 15.05.2019. Immobilisation dans une botte plâtrée pour 6 semaines, les 3 premières semaines en décharge, les 3 semaines suivantes en charge partielle selon douleurs. Thromboprophylaxie par Clexane pour toute la durée d'immobilisation. Physiothérapie post immobilisation. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. Immobilisation de la cheville dans un Vacoped court, marche en décharge. Suivi radiologique en policlinique d'orthopédie. Immobilisation de la cheville G par Splintpod en décharge avec cannes anglaises et thromboprophylaxie par Clexane pour la première semaine. Immobilisation par attelle Aircast en charge selon douleurs pour les cinq semaines suivantes. Immobilisation du membre inférieur G pour 8 semaines. Les 3 premières semaines en décharge, les 3 semaines suivantes en charge partielle selon douleurs dans une botte plâtrée, les 2 dernières semaines dans un VACOped short en charge partielle selon douleurs. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. Physiothérapie post-immobilisation. Immobilisation du membre inférieur gauche durant 6 semaines : les 3 premières semaines en décharge, les 3 semaines suivantes mobilisation en charge partielle selon douleurs. Immobilisation du pouce avec plâtre fendu. Contrôle prévu à la permanence avec ultrasonographie. Immobilisation durant 4 semaines dans un plâtre. Prochain contrôle clinique dans une semaine et contrôle radioclinique à 4 semaines post traumatisme. Immobilisation durant 4 semaines. Nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique à 4 semaines de la fracture et ablation de l'attelle. Immobilisation en attelle alu, antalgie, arrêt de sport 6 semaines. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans 2 semaines. Immobilisation par attelle Aircast pour six semaines. Immobilisation par attelle alu dorsale 20° de flexion pour deux semaines. Immobilisation par syndactylie pour les quatre semaines suivantes. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. Immobilisation par attelle de la phalange médiale à visée antalgique. Contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours. Immobilisation par attelle Edimbourg jusqu'à cicatrisation. Antibiothérapie prophylactique par Zinacef 1.5 g iv. Suivi de plaie. Ablation des fils le 13.04.2019. Immobilisation par attelle jambière postérieure avec marche en décharge à l'aide de cannes anglaises pour la première semaine, puis immobilisation par attelle Aircast sport pour les cinq semaines suivantes. Immobilisation par attelle jambière postérieure en décharge avec cannes anglaises et thromboprophylaxie par Clexane pour la première semaine. Immobilisation par attelle Aircast pour les cinq semaines suivantes. Immobilisation par attelle jambière postérieure en décharge avec cannes anglaises pour une semaine. Pas d'anticoagulation prophylactique car la patiente est non réglée. Immobilisation par attelle Aircast pour les cinq semaines suivantes. Immobilisation par attelle jambière postérieure en décharge avec thromboprophylaxie par Clexane la première semaine. Immobilisation par attelle Aircast pour les cinq semaines suivantes. Immobilisation par attelle thermoformée intrinsèque Plus pour 6 semaines. Prochain contrôle le 14.05.2019. Immobilisation par bande élastique pour cinq semaines. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie.• Immobilisation par botte durant 2 semaines. • Immobilisation par gantelet pour une semaine. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation par plâtre AB pour une durée de six semaines. Immobilisation par attelle poignet palmaire pour deux semaines supplémentaires. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation par Rucksack pour 4 semaines. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation par un plâtre AB pour 4 semaines. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation par un plâtre AB pour 6 semaines. Physiothérapie post immobilisation. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation par un plâtre AB prenant le pouce pour une durée totale de 6 semaines. Ergothérapie post immobilisation. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation par VACOped pour 4 semaines. Thromboprophylaxie par Clexane pour toute la durée de l'immobilisation. Suivi en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation pendant encore 4 semaines dans l'attelle BAB Cockroft. Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines. • Immobilisation plâtrée pour six semaines (les trois premières semaines en décharge, les trois semaines suivantes en charge partielle selon douleurs). Thromboprophylaxie pour la durée de l'immobilisation. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation pouce Ultrasonographie le 10.4.2019 prévue afin d'évaluer la continuité du tendon. Évaluer la nécessité d'une prise en charge chirurgicale. Ibuprofen 600mg • Immodium Surveillance clinique • Immuno-électrophorèse de protéines plasmatiques le 25.04.2019: • rapport kappa/lambda à 39 le 25.04.2019 • Immuno-électrophorèse des protéines à contrôler • Immunofixation et électrophorèse sérique de contrôle à 6 mois • Immunofixation (11.04.19): présence d'une bande monoclonale IgG kappa Contrôle par dosage des immunoglobulines tous les 6 mois • Immunothérapie en pause, sera réévaluée lors prochain rdv oncologique. Prochain rdv chez Dr. X le 01.05.2019 à 9h. • Impaction alimentaire transitoire le 23.09.2018. Traumatisme crânio-cérébral avec perte de connaissance sur chute le 15.11.2017. Entorse de la cheville droite de stade II en avril 2017. Epistaxis droit postérieur sur probable pic hypertensif chez Mr. Y sous Xarelto le 27.04.2016. Traumatisme crânio-cérébral chez un Mr. Y sous Xarelto, avec plaie profonde de l'arcade sourcilière gauche en avril 2016. Traumatisme crânien simple, sans perte de connaissance, avec dermo-abrasion au niveau frontal droit. Contusion costale droite avec perturbation des tests hépatiques. Ulcère gastrique en 2010. Traitement pour cancer de la prostate de 2004 à 2005. Infarctus en 2004. Cure d'hernie inguinale droite en 2001. Opération de l'épaule gauche en 1992. Cure d'hernie inguinale gauche en 1977. Amputation de la phalange distale du 5ème doigt de la main gauche en 1964. Amygdalectomie en 1958. Probable angor instable, le 14.03.2019 Tests cognitifs le 18.03.2019. Probable anémie inflammatoire normochrome normocytaire avec une hémoglobine à 81 g/l, le 18.03.2019. DD : saignement digestif à bas bruit. • Impétiginisation d'une papule philtrum et narine gauche • Impétigo au niveau de la face avec prise oculaire gauche le 22.04.2019. • Impétigo de la paume droite à Streptocoque du groupe A • Impingement fémoro-acétabulaire bilatéral de type mixte plus symptomatique à gauche qu'à droite sur rétroversion acétabulaire. • Impingement sous acromial à G Rupture chronique de la coiffe des rotateurs à D décompensée. Polyarthrite séronégative et fibromyalgie. Status post fracture lombaire et maladie de Scheuermann. • Implanon, Nikotin 1 Päckchen/Tag seit ca. 10 Jahren • Implantation de prothèses totales de hanches bilatérales en 2004 et 2006. Résection transurétrale de la prostate en 2003. Status après laparotomie pour un iléus grêle sur bride en 2014. Status après décompensation cardiaque globale le 07.02.2017. Épanchement de la base pulmonaire gauche sur fractures costales gauches. Traumatisme crânien simple. Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique connue, avec créatinine à 166µmol/l. • Implantation d'une affinis short anatomique de l'épaule et résection de l'AC à gauche (OP le 01.04.2019) Rx épaule G le 02.04.2019 • Implantation d'une prothèse à charnière rotatoire Mathys le 27.03.2019 avec : • tibia T2, cimenté, quille à offset 12 mm de diamètre • polyéthylène 10 mm • fémur F2, cimenté, quille avec offset 15 mm de diamètre • cale de distalisation 4 mm médiale et latérale • rotule 34, cimentée. • Implantation d'une prothèse céphalique bipolaire hanche D (OP le 18.03.2019) Transfusion de 1 CE en peropératoire le 18.03.2019 • Implantation d'une prothèse céphalique bipolaire sur fracture du col fémoral D Garden III le 25.03.2019 • Implantation d'une prothèse céphalique hanche D (OP le 20.04.2019) • Implantation d'une prothèse céphalique hanche G (OP le 13.03.2019) • Implantation d'une prothèse totale genou D, Balansys : • Fémur A, cimentée, PS. • Plateau tibial 67, cimenté. • Polyéthylène 67/8, PS. • Rotule 34, cimentée. (OP le 03.04.2019) • Implantation d'une prothèse valvulaire aortique TAVI le 18.02.2019 de type Corevalve Evolut Pro 29 mm par voie percutanée trans carotidienne G • ETT péri-opératoire du 19.02.2019 (Dr. X) : bon positionnement de la valve, fuite modérée en fin de processus. Bon fonctionnement initial Complications post-procédures : • insuffisance para-prothétique résiduelle • Implantation d'une PTG Mathys Balansys genou D (OP le 20.03.2019) • Implantation primaire de PTH à gauche le 17.04.2019 Paracétamol en fixe et Buprénorphine en réserve Cefuroxim iv du 17.04.2019 au 18.04.2019 Anticoagulation prophylactique • Implantation primaire d'une PTG Balansys PS avec : • fémur cimenté taille E • tibia cimenté taille 85 • inlay taille 85/9 • rotule cimentée taille 37 (OP le 26.03.2019) • Implantation prothèse céphalique à D par abord transglutéal (Tige MS 30 6 Standard cimentée, tête M 42/28 bipolaire) (OP le 16.04.2019) • Implantation prothèse totale inversée de l'épaule gauche le 20.11.2017. Rupture partielle du sus-épineux et sous-épineux après une entorse de l'épaule droite le 06.01.2014 • status post-refixation de la coiffe des rotateurs en 1999 et 2000 à la clinique Ste-Anne Dr. X. Entorse du LLI genou droit stade I le 09.05.2014. Sigmoïdectomie en 2006 sur diverticulose. Spondylodèse L4-S1 (Pangea Synthes) + greffe DBX, décompression L4-S1 par laminectomie L5 en 2009 sur syndrome facettaire L4-S1 + sténose • ablation du système de spondylodèse le 11.02.2011 sur gêne du matériel avec un liseré autour des deux vis au niveau S1 bilatéral. Libération, section partielle du nerf péroné superficiel jambe droite le 16.02.2010 sur compression du nerf péroné superficiel jambe droite post ostéosynthèse de fracture diaphysaire du tibia et péroné distal à droite par clou UTN et plaque 1/3 tubulaire le 15.07.2007, syndrome des loges avec status post-fasciotomie avec fermeture secondaire par greffe de Thiersch à la jambe droite. Neurolyse nerf péroné superficiel cheville droite sur névrome et AMO 4 vis clou UTN le 19.08.2008 • douleurs neuropathiques dans le territoire périphérique du nerf péroné superficiel pied droit • insertionite tendon d'Achille pied gauche. Omarthrose sur arthropathie de la coiffe des rotateurs épaule droite. Implantation prothèse totale inversée épaule droite (OP le 15.03.2018). Tendinopathie des extenseurs de l'épaule droite sur conflit prothétique probable, le 07.08.2018. • Implantation prothèse totale inversée de l'épaule gauche le 20.11.2017.Rupture partielle du sus-épineux et sous-épineux après une entorse de l'épaule droite le 06.01.2014 • status post-refixation de la coiffe des rotateurs en 1999 et 2000 à la clinique Ste-Anne Dr. X. Entorse du LLI genou droit stade I le 09.05.2014. Sigmoïdectomie en 2006 sur diverticulose. Spondylodèse L4-S1 (Pangea Synthes) + greffe DBX, décompression L4-S1 par laminectomie L5 en 2009 sur syndrome facettaire L4-S1 + sténose • ablation du système de spondylodèse le 11.02.2011 sur gêne du matériel avec un liseré autour des deux vis au niveau S1 bilatéral. Libération, section partielle du nerf péroné superficiel jambe droite le 16.02.2010 sur compression du nerf péroné superficiel jambe droite post ostéosynthèse de fracture diaphysaire du tibia et péroné distal à droite par clou UTN et plaque 1/3 tubulaire le 15.07.2007, syndrome des loges avec status post-fasciotomie avec fermeture secondaire par greffe de Thiersch à la jambe droite. Neurolyse nerf péroné superficiel cheville droite sur névrome et AMO 4 vis clou UTN le 19.08.2008 • douleurs neuropathiques dans le territoire périphérique du nerf péroné superficiel pied droit • insertionite tendon d'Achille pied gauche. Omarthrose sur arthropathie de la coiffe des rotateurs épaule droite. Implantation prothèse totale inversée épaule droite (OP le 15.03.2018). Tendinopathie des extenseurs de l'épaule droite sur conflit prothétique probable, le 07.08.2018. Implantation PTH D en 2009 sur coxarthrose primaire. Sténose canalaire L2-L3, L3-L4, L4-L5 sur troubles dégénératifs avec hypertrophie du ligament jaune • claudication neurogène Décompression par laminectomie L2-L5 (OP le 05.11.2018) Nausées avec dyspepsies, le 08.11.2018 ECG du 08.11.2018 dans la norme. D-Dimères nég. Avis chirurgical le 08.11.2018 : ad hydratation. Primperan en R. Implantation PTH D. Ostéotomie du col. Reconstruction du fond cotyloïdien. Ablation de 3 ostéophytes au niveau antérieur, postérieur et double fond (OP le 14.03.2019) Implantation PTH D Ostéophytectomie antérieure et postéro-inférieure (OP le 20.03.2019) Implantation PTH G. Bursectomie trochantérienne. Ostéophytectomie antéro-supérieure et postéro-inférieure. (OP le 07.03.2019) Implantation PTH G primaire (OP le 05.03.2019) Implantation PTH primaire D le 22.03.2018. Important hématome sur la face postérieure de l'avant-bras droit avec menace cutanée. Important retard du développement psychomoteur • troubles du comportement • épilepsie rolandique • malformation ou pathologie cérébrale Importante hernie de la ligne blanche chronique connue sans signes de complications Importants oedèmes des membres inférieurs douloureux multifactoriel sur cirrhose et carence nutritionnelle Impossibilité à la marche sur douleurs aux membres inférieurs • dans un contexte postopératoire (réduction ouverte et ostéosynthèse du plateau tibial externe à gauche le 03.02.2019) • syndrome douloureux chronique • évaluation empirique, difficile, dans le contexte de la barrière culturelle et de la langue Impossibilité de soins à domicile Impossibilité de sondage sur phimosis et suspicion d'hypertrophie de la prostate : • pose d'un cystofix par Dr. X le 05.03.2019 : retour de 1000 ml d'urine • contrôle en ambulatoire chez le Dr. X le 15.04.2019 Impotence fonctionnelle du membre supérieur D d'origine indéterminée post-traumatique par traction le 16.03.2015 Impression clinique : antalgie insuffisante, pas d'argument pour une complication infectieuse ou hémorragique. Adaptation antalgie. Contrôle déjà prévu avec l'opérateur le 29.04.2019. IMR épaule G du 14.02.2019 : tendinopathie sus-épineux et fracture non déplacée de l'omoplate. Inappétence Inappétence, asthénie et perte pondérale 17.04.2019 • probablement effet secondaire Fentanyl • possible composante anxio-dépressive Inappétence avec dénutrition protéino-énergétique modérée dans le cadre de la cirrhose • suivi nutritionnel et nutrition entérale transitoire • syndrome de renutrition inappropriée le 24.03.2019 Inappétence dans le contexte oncologique terminal - syndrome d'anorexie-cachexie Inappétence et perte de poids de 6 kg en 2 semaines dans le cadre d'un épisode dépressif inappétence et vomissement Inappétence post-chimiothérapie (dysgueusie, nausées) • avec antécédent de malnutrition sévère • maladie oncologique • polymédication Inappétence sur sensation de serrement de la gorge en post-prandial d'origine indéterminée le 01.04.2019. DD : • psychogène sur angoisse. Incidentalome hépatique le 26.04.2019. Incidentalome hépatique segment VIII, le 26.04.2019. Incidentalome surrénalien • à priori asymptomatique Incision drainage - Marsupialisation Mèche bétadinée Paroi de kyste en pathologie Incision drainage à 3h avec contre-incision à 12h avec mise en place d'un Penrose le 08.04.2019 (Dr. X) Co-amoxicilline 2,2 mg iv 4x/j du 08.04.2019 au 09.04.2019 Incision drainage à 3h avec contre-incision à 12h et mise en place d'un Penrose le 08.04.2019 (Dr. X). Co-Amoxicilline 2,2 mg iv 4x/j du 08.04.2019 au 09.04.2019. Incision d'un abcès péri-anale à 7h en position gynécologique Incision et drainage d'un abcès périanal à 4h en PG le 05.04.2019 Incision et drainage le 20.04.2019 Co Amoxi 2.2 gr et solumedrol 125 mg IV Relais per os le jour même Labo CRP 245 Lc 21 Incision et drainage sous anesthésie locale, Co-Amoxicilline 2.2 g i/v 3x/j + Solumedrol 125 mg 1x/j du 25.04.2019 au 27.04.2019 Frottis microbiologique du 25.04.2019 : S. dysgalactiae Quelques 1 Prevotella sp. ++ 2, Flore bucco-pharyngée Quelques 3 sensible à la pénicilline Incision et rinçage au bloc opératoire le 25.04.2019 Incision para-médiane de 3 cm sous Meopa, co-Amoxicilline 2,2 gr iv. RAD avec prescription de co-Amoxicilline 1 gr 2x/jour. Contrôle clinique le 22.04.19 : changement de compresse bétadinée. Contrôle clinique le 24.04.2019 : ablation de la compresse bétadinée. Rinçages 4x/jour. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 26.04.2019, Le 26.04.2019 : excellente évolution de l'incision, poursuite des douches 4x/jour. Critères de reconsultation transmis à la patiente. Incision selon Misgav-Ladach sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous anesthésie générale le 27.03.2019 Utérotomie isthmique transverse basse (PE 500 cc) Agrafes à la peau Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5 g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous anesthésie générale Utérotomie isthmique transverse basse (PE 400 cc) Surjet intradermique Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous anesthésie générale Utérotomie isthmique transverse basse Epreuve au bleu Surjet intradermique à la peau Clexane 40 mg Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous péridurale et utérotomie isthmique transverse basse (PE 500 cc) le 24.04.2019 Incision selon Pfannenstiel sous péridurale Utérotomie isthmique transverse basse (PE 100 cc) Surjet intradermique Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous péridurale Utérotomie isthmique transverse basse (PE 500 cc) Agrafes à la peau Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous péridurale Utérotomie isthmique transverse basse (PE 800 cc) Surjet intradermique et agrafes Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1,5 g puis co-amoxicilline pendant 48h pour main vaginale Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie/AG Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie (péridurale pendant la provocation) Utérotomie isthmique transverse basse (PE 550cc) Agrafes à la peau Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie suivie d'une sédation profonde Utérotomie isthmique transverse basse (PE 1600 cc) Redon intrapéritonéale laissé en place Surjet intradermique Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse (PE 200cc) Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse (PE 300cc) Surjet intradermique Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse (PE 400cc) Complément d'utérotomie en T au niveau de l'angle D sur 1.5cm Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse (PE 500cc) Surjet intradermique Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse (PE 600cc) Surjet intradermique à la peau Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches Incision sous le lobule. Drainage et rinçage. Méchage. Contrôle à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Incision sous méopa avec lame, rinçage avec 60ml aiguille boutonnée, désinfection hibidil, Mepore Contrôle dans 48h aux urgences Co-amoxicilline 90mg/kg/j en 3 doses pendant 10 jours Incision sus Meopa de la grande tuméfaction avec 3-5 ml de pus sorti, rinçage abondant par Nacl 60ml. Petite tuméfaction labiale: lésion croûteuse retirée avec pertuis visualisé au centre excrétion purulente sous-jacente de quelques gouttes. Incompatibilité du groupe sanguin avec ictère précoce. groupe sanguin maternel: 0+, enfant: B+, coombs +, anticorps: Anti-B + (1:4). hyperbilirubinémie indirecte, maximale à 415mcmol/l à 38h de vie. Photothérapie du 30.04 au 04.05. Réhydratation iv du 30.04 au 4.05. Immunoglobuline (Intratec) 1g/kg iv le 01.05. Nouveau-né à terme, PN 3990 g (P 50-75), TN 52 cm (P 25-50), PCN 37 cm (P 75). Oléovit, Konakion J1 et J4. Pronation douloureuse réduite spontanément le 14.11.2012. Inconfort dans le plâtre. Inconfort dans une attelle BAB pour réduction et ostéosynthèse de fracture complexe du condyle radial de l'humérus distal gauche avec fracture de l'épicondyle radial le 03.04.2019. Incontinence urinaire mixte Incontinence anale multifactorielle. Incontinence fécale sévère avec score de Wexner à 15/20 Cardiopathie dysrythmique Maladie thromboembolique sous Marcoumar Troubles cognitifs sévères diffus d'origine neuro-dégénérative mixte (maladie d'Alzheimer et vasculaire) avec : MMS à 22/30 et Clock test à 5 Hypertension artérielle essentielle Diabète de type 2 insulino-dépendant connu depuis 1976 sous insuline depuis 2008, actuellement sous traitement insuline les jeudi et vendredi Hyperthyroïdie secondaire préclinique le 07.11.2016 Goutte traitée par Allopurinol Anémie normocytaire hypochrome hyporégénérative Anticoagulation supra-thérapeutique le 16.11.2017, dans contexte de fibrillation flutter à conduction variable Flutter auriculaire à conduction variable avec HAS BLEED : 8.9% (4 points) Chad2DS2 7.2% (5 points) le 17.11.2017 conversion avec Cordarone en 2001 et 3 cardioversions électriques en janvier 2003 FEVG 65 % en 2013 Introduction de Marcoumar le 27.11.2017 Maladie hémorroïdaire degré III symptomatique avec : rectorragies, douleurs anales sur prolapsus et émissions de glaires St/p hémorroïdectomie selon Ferguson avec cure de prolapsus muqueux et marisquectomie à 11h en PG en août 2013 avec reprise pour hémorragie post-opératoire Alzheimer d'après l'hétéro-anamnèse Incontinence urinaire. Incontinence urinaire de type mixte. Gastrite à helicobacter à 2 sulcus gastrique en 2007. HTA traitée. État anxieux chronique. Incontinence urinaire d'effort Incontinence urinaire d'effort grade III (INGELMANN-SUNDBERG): sur distension traumatique du sphincter urinaire post-expulsion de la sonde urinaire ballonnet gonflé (10 cc) à l'extraction de J2 Incontinence urinaire d'origine mixte sondage de longue durée entraîne une rétraction de la vessie probable vessie hyperactive d'origine neurogène Incontinence urinaire et fécale Incontinence urinaire et fécale Incontinence urinaire mixte chez une patiente 1G 1P de 46 ans. Incontinence urinaire nouvelle : depuis l'intervention du 26.02.2019 microhématurie persistante Incontinences urinaire et fécale nouvelles Index réticulocytaire à 1.56 Bilan vitaminique et Ferritine dans la norme TSH à 5.3 mU/L, légèrement élevée, à recontrôler à distance Recherche sang occulte dans les selles : suivi biologique 1 CE le 17.04.2019 Ferinject 500 mg les 24.04 et 25.04.2019 Indication à pose de sonde de resynchronisation ventricule droit le 28.03.2019 Radiographie post-opératoire: matériel en place, pas de complications Contrôle de la plaie à 10 jours chez son médecin-traitant Contrôle du pacemaker à 4-6 semaines en cardiologie Indication à réalisation d'une colonoscopie à réévaluer à distance. Indication à un traitement antibiotique d'emblée (Amoxicilline 50 mg/kg/j sur 5 jours) Antalgie en réserve Nasonex au besoin Indication au traitement par Sulfate de Quinine non connu. Indication de boire 2L d'eau par jour Indication opératoire donnée Patiente transférée à l'HFR Riaz le 09.04.2019 pour prise en charge chirurgicale Indigestion avec épigastralgies, vomissements alimentaires et pyrosis. Induction de travail Induction de travail Induction de travail Induction de travail Induction de travail pour diabète gestationnel insulino-requérant Induction de travail pour diabète gestationnel insulino-requérant Induction de travail pour position instable après version manuelle externe Induction de travail pour terme dépassé Induction du travail pour terme dépassé. Induction du travail par Propess Induction du travail pour désir maternel Induction du travail pour diabète gestationnel insulino-requérant. Induction du travail pour oligoamnios. Induction du travail pour présentation instable après une 2ème version Induction du travail pour terme dépassé. Infarctus antérieur en 2007 avec pose d'un stent (CHUV) Infarctus du myocarde en 1996 stenté au CHUV Infarctus du myocarde en 2000, avec pose de stent au CHUV. Maladie coronarienne avec : status post-STEMI inférieur en 2000 sténose significative de l'IVA moyenne : PTCA/2xDES (bon résultat) bon résultat à long terme après stenting de l'ACD moyenne fonction systolique du VG normale, EF 60%. Coronarographie le 30.10.2018 (prof. X). Infarctus du myocarde subaigu antéro-latéral sur sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne le 11.04.2019 Infarctus du myocarde (1991) Infarctus du myocarde Colique néphrétique droite suspicion de maladie de la jonction pyélo-urétérale droite le 10.02.2015 Arthrotomie traumatique du genou gauche avec plaie délabrée le 26.03.2015. Episode dépressif majeur avec tentamen en se jetant sous un train le 16.03.2016 Cure de hernie discale L5-S1 Spondylodèse L3-S1 Reprise pour déplacement de la cage L5-S1 Spondylodèse C5-C6 et foraminotomie postérieure C5-C6 en 2016 et 2017 avec décompression d'une pseudo-méningocèle Infarctus en 2005: pose d'un stent. Douleur rétrosternale d'origine X en 2008 (Inselspital). Hypercholestérolémie. Probable hypertension artérielle. Anamnèse familiale: infarctus chez le père à 72 ans, AVC chez la mère (âge?). Infarctus en 2005; pose d'un stent. DRS d'origine X en 2008 (Inselspital) Hypercholestérolémie. Probable HTA. AF: infarctus chez le père à 72 ans; AVC chez la mère (âge?). Infarctus mésentérique avec résection sigmoidienne et iléostomie temporaire 05/09 • Sp cure d'anévrisme de l'aorte abdominale Adénome tubulaire sessile du caecum avec dysplasie de bas grade traité par endoscopie (16.10.2008) • colonoscopie (16.10.2008): sigmoïdite distale avec rigidité de la paroi légèrement rétrécissante et cicatricielle, sténose légère à l'extrémité du segment inflammatoire, compatible avec la sigmoïdite ischémique chronique. Zone muqueuse polypoïde plate du caecum. Hémorroïdes internes • Pathologie B 08.39295 (18.10.2008): adénome muqueux tubulaire sessile avec dysplasie épithéliale de bas grade Cholécystectomie Deux abcès périanaux en 2008 • Sp prothèse de genou droit • Sp fracture de la phalange moyenne de l'index gauche, traité de façon conservatrice Infarctus myocardique aigu avec élévation ST (STEMI) antérieur sur maladie tritronculaire et subocclusion de l'interventriculaire antérieure ostiale le 01.04.2019 • Sténose critique de l'artère interventriculaire antérieure ostiale • Sténose significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la bissectrice (lésion de bifurcation). • Lésion significative de l'artère coronaire droite moyenne • Succès d'angioplastie de la trifurcation (tronc commun distal, IVA ostiale, LCX ostiale, bissectrice ostiale) avec 3 stents actifs avec un bon résultat • Fraction d'éjection VG: 50% • facteurs de risque cardiovasculaires: adipositas, HTA, anamnèse familiale positive, dyslipidémie, tabagisme (stoppé il y a 20 ans, 12 UPA) Infarctus myocardique aigu avec élévation ST (STEMI) antérieur sur maladie tritronculaire et subocclusion de l'interventriculaire antérieure ostiale le 01.04.2019 FE VG à 50% Pic de CK le 01.04.2019 à 1134 U/l Infarctus myocardique avec coronaropathie non-obstructive (MINOCA - Myocardial Infarction With Nonobstructive Coronary Arteries) le 10.04.2019 DD myocardite • FEVG de 60% à 45% avec hypokinésie inférieure le 10.04.2019, puis globale minime le 12.04.2019 Infarctus myocardique avec élévation ST (STEMI) antérieur aigu à subaigu sur occlusion thrombotique de l'artère interventriculaire antérieure moyenne le 22.04.2019 • Pic de CK à 2485 U/l le 23.04.2019 Infarctus myocardique sans élévation ST (NSTEMI) sur subocclusion de la bissectrice et sténose significative de l'interventriculaire antérieure le 13.04.2019 Infarctus myocardique sans élévation ST (NSTEMI) sur subocclusion de la bissectrice et sténose significative de l'interventriculaire antérieure le 13.04.2019 • Pic de CK à 923 U/l Infarctus splénique d'origine indéterminée 07.04.2019 • DD FA paroxystique, PFO, coagulopathie Infarctus splénique et rénal gauche en 2013 probablement dans un contexte cardio-embolique sur fibrillation auriculaire. Opération hanche gauche dans l'enfance. Infarctus spléniques multiples secondaires à la rupture de l'anévrisme de l'artère splénique et occlusion précoce du stent-graf le 11.04.2019. Infarctus spléniques 07.04.2019 • sur suspicion de syndrome des anticorps anti-phospholipides Infarctus stenté il y a 20 ans Dernière coronarographie 2010: Lésion monotronculaire avec: Lésion intermédiaire de la première diagonale. Lésion non significative de la seconde marginale. Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. Absence de resténose de l'artère coronaire droite moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif. Lésion non significative longue de l'artère rétroventriculaire postérieure. EF 59% Infection à C. difficile le 21.03.2019 avec: • diarrhées Infection à E. Coli multirésistant sur probable cholangite (traitée par Meropenem du 24.02.2019 au 02.03.2019) Pancréatite aiguë biliaire le 21.02.2019 Balthazar E et CTSI de 4 (modérée) Pancréatite biliaire aiguë en 1994 Cholécystectomie 1994 Pyélonéphrite à droite en 2013 TUR-B au papillome de la vessie 2007 Hystérectomie et annexectomie Paralysie faciale périphérique 1997 Rupture de la coiffe des rotateurs épaule droite en 2002 Gonarthrose tricompartimentale droite avec s/p arthroscopie du genou à droite avec biopsie et irrigation avec suspicion d'arthrite septique (23.11.2011) Infection à Parvovirus B19 Infection abdominale probablement colique. Infection aiguë hanche gauche à Propionibacterium acnes le 16.01.2016 sur statut post : • Ablation d'espaceur PTH G, ablation 2 câbles Dall-Miles, OST et ré-OS du fémur par 4 câbles Dall-Miles, réimplantation PTH G le 20.02.2013. • Explantation PTH G, débridement, prise des biopsies et implantation d'un espaceur et mise en place d'Osteoset le 27.12.2012 sur descellement septique tige PTH G non cimentée implantée le 13.07.2012 sur ostéoarthrite chronique de la hanche (Staph. aureus, Staph. coag. négatif, Bacillus et Propionibacterium acnes). • Ponction liquide articulaire hanche G aux urgences le 16.01.2016 : 52'600 éléments dont 99% de polynucléaires. • Rapport d'analyse liquide articulaire hanche G prélevé le 16.01.2016 (IMU-Microbiologie du CHUV - Lausanne) : recherche par PCR-large, spectre d'ADN bactérien: négatif (la PCR eubactérienne est moins sensible que les PCR spécifiques. En conséquence, un résultat négatif n'exclut pas la présence de bactéries dans le prélèvement). • Arthrotomie avec débridement, rinçage intra-articulaire, ablation du câble Dall-Miles proximal hanche gauche (OP le 17.01.2016). • Changement du noyau et de la tête de PTH G, débridement étendu des tissus mous, musculaires, tendineux et osseux, mise en place de 2 portions de pellets d'Ostéoset avec un total de 4 g de Vancomycine, ostéophytectomie antérieure et postérieure. (OP le 22.01.2016). • Consilium d'infectiologie le 20.01.2016: Amoxicilline et Rimactan pour 6 mois. Fracture sous-trochantérienne fémur gauche le 13.01.2013 sur OST hémi-circonférencielle le 27.12.2012, traité conservativement. Appendicectomie Excision kyste pied droit Infection aiguë hanche gauche à Propionibacterium acnes le 16.01.2016 sur statut post : • Ablation d'espaceur PTH G, ablation 2 câbles Dall-Miles, OST et ré-OS du fémur par 4 câbles Dall-Miles, réimplantation PTH G le 20.02.2013. • Explantation PTH G, débridement, prise des biopsies et implantation d'un espaceur et mise en place d'Osteoset le 27.12.2012 sur descellement septique tige PTH G non cimentée implantée le 13.07.2012 sur ostéoarthrite chronique de la hanche (Staph. aureus, Staph. coag. négatif, Bacillus et Propionibacterium acnes). • Ponction liquide articulaire hanche G aux urgences le 16.01.2016: 52'600 éléments dont 99% de polynucléaires. • Rapport d'analyse liquide articulaire hanche G prélevé le 16.01.2016 (IMU-Microbiologie du CHUV - Lausanne): recherche par PCR-large, spectre d'ADN bactérien: négatif (la PCR eubactérienne est moins sensible que les PCR spécifiques. En conséquence, un résultat négatif n'exclut pas la présence de bactéries dans le prélèvement).• Arthrotomie avec débridement, rinçage intra-articulaire, ablation câble Dall-Miles proximal hanche gauche (OP le 17.01.2016). • Changement du noyau et tête de PTH G, débridement étendu des tissus mous, musculaires, tendineux et osseux, mise en place de 2 portions de pellets d'Ostéoset avec un total de 4 g de Vancomycine, ostéophytectomie antérieure et postérieure. (OP le 22.01.2016). • Consilium d'infectiologie le 20.01.2016: Amoxicilline et Rimactan pour 6 mois. Fracture sous-trochantérienne fémur gauche le 13.01.2013 sur OST hémi-circonférencielle le 27.12.2012, traité conservativement. Appendicectomie. Excision kyste pied droite. Infection compliquée des voies urinaires • St. N. Circoncision dans le contexte de phimosis avec infections récurrentes des voies urinaires 26.03.2019 (Fecit Dr. X) Infection cutanée Infection cutanée, état fébrile. Infection de D1 à droite le 07.04.2019 • DD: Dactilyte, Paronychie étendue, Infection de D1 main droite le 07.04.2019 DD: paronychie étendue au niveau de la pulpe, dactylite. Infection de plaie opératoire au niveau lombaire, le 15.04.2019 avec: • s/p herniectomie L4-l5, le 22.03.2019 (Dr. X) Infection des tissus mous Infection des voies aériennes d'origine probablement virale Infection des voies aériennes le 01.04.2019. DD: • angine virale. DD: • bronchite. Infection des voies aériennes supérieures. Infection des voies aériennes supérieures • d'origine probablement virale Infection des voies aériennes supérieures avec: • Otite moyenne aiguë à gauche • Conjonctivite bilatérale Infection des voies aériennes supérieures avec: • Pharyngo-amygdalite • Syndrome descendant • Conjonctivite bilatérale Infection des voies aériennes supérieures avec otite débutante à droite. Infection des voies aériennes supérieures avec rhume Infection des voies aériennes supérieures avec: • Rhume • Conjonctivite • Pharyngite • Otite bilatérale Infection des voies aériennes supérieures débutante avec: • Rhume • Pharyngo-amygdalite Infection des voies aériennes supérieures d'origine probablement virale Infection des voies aériennes supérieures et inférieures d'origine probablement virale, avec: Infection des voies aériennes supérieures et inférieures d'origine virale avec probable pneumonie surajoutée chez une patiente immunosupprimée, avec: Infection des voies aériennes supérieures et inférieures d'origine virale avec probable pneumonie surajoutée chez une patiente immunosupprimée. Pour cela nous prescrivons un traitement antibiotique par Co-amoxicilline et un traitement symptomatique. Nous prévoyons un contrôle clinique le 17.04.2019 à la Permanence. En cas d'aggravation des symptômes, nous lui conseillons de réconsulter rapidement. Infection des voies aériennes supérieures le 01.04.2019. Infection des voies aériennes supérieures le 02.04.2019 Infection des voies aériennes supérieures le 12.06.2016. Probable rhinite allergique saisonnière. Probable mycose vaginale le 12.06.2016 avec leucorrhée anormale, rougeur et démangeaisons vulvaires. Récidive d'infection urinaire. Infection des voies aériennes supérieures le 22.04.2019. Infection des voies aériennes supérieures, probablement d'origine virale le 20.04.2019 Infection des voies aériennes supérieures probablement virale Infection des voies aériennes supérieures, probablement virale, le 16.04.2019. Infection des voies aériennes supérieures sur probable origine virale le 13.04.2019. Infection des voies respiratoires supérieures, d'origine virale probable le 04.01.2019 Tachycardie supraventriculaire symptomatique, le 04.01.2019 • spontanément résolutif Infection des voies respiratoires supérieures, d'origine virale probable le 04.01.2019. Choc cardiogénique sur une tachycardie ventriculaire monomorphe (189/min) sur cicatrice d'infarctus le 25.03.2019. Cardioversion sous sédation. Coronarographie le 25.03.2019 (Prof. X): mise en place stent actif au niveau de la CD. Surveillance rythmique et hémodynamique aux soins intensifs du 25.03 au 28.03.2019. Bradycardie sinusale post-cardioversion le 25.03.2019. Pacing externe le 25.03.2019. Implantation d'un pace provisoire endovasculaire du 25.03 au 26.03.2019. Pose d'un boîtier de pacemaker-défibrillateur AAI-DDD (compatible IRM 1.5T) le 28.03.2019 (Dr. X). Contrôle pacemaker le 28.03.2019. NSTEMI secondaire à la TV monomorphe dans le cadre d'une cardiopathie ischémique sur maladie coronarienne tritronculaire avec: • lésion intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure proximale. • absence de resténose de l'ostium de la première marginale au niveau du site d'implantation du stent actif. • resténose intermédiaire de l'artère coronaire droite moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif: PTCA/1x stent actif le 25.03.2019. • ETT le 26.03.2019: fraction d'éjection VG 55%. • arrêt cardio-respiratoire sur STEMI inféro-latéral (fibrillation ventriculaire, ROSC après 35 min) le 05.09.2013. • occlusion aiguë de l'ostium de la 1ère marginale, traitée par PTCA avec mise en place de 2 stents actifs le 05.09.2013. • sténose subtotale de la coronaire droite moyenne: PTCA avec 1 stent actif le 24.09.2013. Coronarographie le 25.03.2019 (Prof. X). Echocardiographie le 26.03.2019. Infection des voies respiratoires Infection des voies respiratoires au décours Infection des voies respiratoires supérieures le 02.04.2019 Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures. Infection des voies respiratoires supérieures. Infection des voies respiratoires supérieures. Infection des voies respiratoires supérieures. Infection des voies respiratoires supérieures. Infection des voies respiratoires supérieures • avec composante inférieure, de type bronchite obstructive • chez une patiente tabagique environ 35 UPA Infection des voies respiratoires supérieures • d'origine probablement virale Infection des voies respiratoires supérieures • d'origine probablement virale Infection des voies respiratoires supérieures • d'origine probablement virales Infection des voies respiratoires supérieures • probablement virale Infection des voies respiratoires supérieures avec: • Rhume • Conjonctivite bactérienne bilatérale • Pharyngo-amygdalite Infection des voies respiratoires supérieures avec Pharyngo-amygdalite probablement virale Infection des voies respiratoires supérieures avec: • Rhume • Pharyngite DD: grippe Infection des voies respiratoires supérieures avec syndrome descendant Infection des voies respiratoires supérieures avec toux le 02.04.2019 DD: pneumonie Infection des voies respiratoires supérieures d'origine virale le plus probable le 10.04.2019.Infection des voies respiratoires supérieures le 01.03.19. Retour à domicile avec traitement symptomatique et conseils d'hydratation. Nous proposons au patient de revenir si pas d'amélioration. Infection des voies respiratoires supérieures le 04.04.19. Infection des voies respiratoires supérieures, le 12.04.2019. Infection des voies respiratoires supérieures le 17.04.2019. Infection des voies respiratoires supérieures le 25.04.2019. Infection des voies respiratoires supérieures le 30.04.2019. Infection des voies respiratoires supérieures probablement virale le 15.04.2019 avec: • otite moyenne aiguë congestive bilatérale. • rhinosinusite aiguë. DD: composante allergique. Infection des voies respiratoires supérieures 02/2019 Tunnel carpien. Infection des voies respiratoires supérieures (12.02.2016). Infection des voies respiratoires. Hépatite C. Infection des voies urinaires basses, à germe indéterminé, le 08.04.2019. Infection des voies urinaires basses le 21.04.2019. Infection des voies urinaires supérieures, le 20.04.2019. Infection doigt. Infection d'origine probablement virale • avec tropisme pour les voies aériennes et digestives. Infection du tissu au niveau de l'olécrâne à droite. Infection d'une prothèse d'épaule inversée droite par propionibacterium acnes sur statut post : • luxation traumatique de la glénosphère de la prothèse Affinis Inverse du 31.10.2017 • statut post changement de métaglène, changement des composantes glénosphères et insert huméral le 30.12.2017. • statut post implantation de prothèse inversée droite le 31.10.2017. • statut post prothèse inversée gauche le 23.5.2017. Infection Herpès simplex virus de type 1. Opération des deux genoux. Amygdalectomie. Sclérose en plaques de type récurrent depuis 2007. Incontinence de stress. Boulimie stabilisée sous antidépresseurs. Infection interphalangienne distale, II Orteil pied droit, à MRSA et streptocoque anginosus/milleri sur artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade IV avec ischémie critique du membre inférieur droit par sténoses étagées intra-pontage fémoro-jambier. Pontage fémoro-jambier du membre inférieur gauche pour ischémie critique sur thrombose d'un anévrisme poplité en 2007 et amputation 5ème orteil pour nécrose. Amputation trans-articulaire du métatarso-phalangien du gros orteil du pied droit en août 2012. Ischémie subaiguë du membre inférieur droit sur anévrisme poplité thrombosé traitée par pontage fémoro-jambier à l'aide d'une veine in situ en août 2012. 16.10.2018 : Amputation épibasale du 2ème orteil du pied droit. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade IV avec ischémie critique du membre inférieur droit par sténoses. Consilium angiologie 02.08.2018 avec échographie doppler artériel du membre inférieur droit. Consilium angiologie 08.08.2018 avec échographie doppler artériel du membre inférieur droit. Artériographie du membre inférieur droit avec recanalisation de multiples sténoses dans le pontage par angioplasties au ballon non actif le 10.08.2018 (Dr X). Status post-incision d'un hématome avec excision d'une fistule cutanée, rinçage et débridement le 14.09.2018. Chutes récidivantes, la dernière survenue le soir du 30.07.2018 à domicile avec fracture des côtes 3 à 6 à D avec pneumothorax, traumatisme crânien simple, contusion de la hanche droite, contusion de l'épaule gauche. Consilium de médecine interne le 01.08.2018 au vu d'une détresse respiratoire et douleurs thoraciques : pathologie cardiaque exclue. Pose d'un drain thoracique gauche sous Stand-by (opération le 01.08.2018) Dr X. F 43.21 Troubles de l'adaptation, réaction dépressive prolongée. Consilium de psychiatrie le 07.08.2018. Cardiopathie ischémique monotronculaire et fibrillation auriculaire sous Sintrom avec réponse ventriculaire rapide aux urgences le 31.07.2018 (HAS-BLED : 4 pts (haut risque), CHAD-VASC : 5 points (haut risque), NSTEMI en septembre 2010 avec PTCA/stent nu de la 1ère marginale, fibrillation auriculaire inaugurale cardioversée électriquement en décembre 2010, fibrillation auriculaire rapide compliquée d'une instabilité hémodynamique peropératoire le 28.04.2016, décompensation cardiaque globale sur une fibrillation auriculaire rapide le 05.05.2016. Saignement anal sur hémorroïdes. Anémie hypochrome microcytaire régénérative avec Hb à 98 g/l d'origine carentielle dans le contexte d'une polycythémie vera le 02.08.2018 sur carence acide folique. Carences multiples le 07.08.2018, acide folique 1.9 ng/ml, Vit. D 53 nmol/l, Hypokaliémie à 3.3 mmol/l. Troubles cognitifs avec mise en danger de lui-même et incapacité de discernement. Lésion ulcère en regard de la tête du premier métatarsien en médial à droite. Soins topiques. Infection intravasculaire à Bartonella Henselae le 14.03.2019 avec : • probable endocardite avec critères de Duke : 1 majeur (germe compatible) et 2 mineurs (température, phénomène vasculaire). Infection Malaria p. Falciparum le 05.04.2019. Infection néonatale • température augmentée • tachypnée isolée • CRP 54 mg/l Amoxicilline et Gentamycine i.v. pendant 72 heures Perfusion G10% puis G5% jusqu'au 10.11.2010 Hyperbilirubinémie précoce • bili 218 à 20 hrs. de vie Photothérapie 6.11.-9.11. Infection ORL 1x/an (proposition d'ablation des Amygdales). Infection pavillon oreille gauche le 20.04.2019. Infection post opératoire le 13.11.2017 traitée par co-amoxicilline. Hystérectomie et annexectomie bilatérale en 2008. OP d'une sténose pylorique et d'une hernie ombilicale à l'âge d'environ 16 semaines. Infection précoce du site opératoire profond à S. aureus le 24.04.2019 • abcès péri-anastomotique prothèse artère fémorale commune G • tunnelite pré-péritonéale avec dermohypodermite pubienne secondaire. Infection probablement virale des voies respiratoires supérieures. Infection probablement virales des voies aériennes supérieures • dans un contexte probable de BPCO. Infection pulmonaire chronique à Mycobacterium avium non traitée diagnostiquée en 2013 : • Nombreux essais de thérapie antibiotique, toujours arrêtés en raison de symptômes GI (diarrhées, vomissements, douleurs). • Fonctions pulmonaires correctes avec tendance restrictive en août 2018. Cardiopathie dysrythmique et hypertensive avec : • Maladie de sinus avec tachy-bradycardie le 14.02.2013. • Status post implantation d'un pacemaker (Reply DDDR), dernier contrôle le 06.02.2019. • FEVG à 30% en décembre 2018. Reflux gastro-oesophagien. Hypertension artérielle traitée. Ostéoporose. Hernie ombilicale asymptomatique. Kératose actinique faciale (Dr X). Vertiges positionnels paroxystiques bénins sous Betaserc. Hypovitaminose D3 sévère et déficit alimentaire en calcium. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Déconditionnement physique suite à une surinfection bronchique à Pseudomonas le 04.12.2018, dans un contexte d'infection pulmonaire chronique à Mycobacterium Avium connu depuis 2013. • Malnutrition protéino-énergétique. • Polyneuropathie périphérique d'origine indéterminée. • Troubles neuro-cognitifs légers à modérés. Insuffisance rénale chronique stade 3b selon KDIGO avec : CrCl Cockcroft-Gault le 18.12.2018 : 43 ml/min. Infection respiratoire de probable origine virale. Infection respiratoire de probable origine virale.Infection sous-cutanée à la face antérieure du genou droit, spontanément résolutive. Infection urinaire Infection urinaire. Infection urinaire à Citrobacter koseri et entérocoque faecalis multisensible. Infection urinaire à E. Coli au décours • Antibiothérapie par Monuril le 12.03.2019 • Ceftriaxone du 17.03. au 20.03.2019 Infection urinaire à Entérocoque Faecalis le 07.02.2019, récidive le 20.02.19. Infection urinaire à entérocoques faecium VRE le 22.02.2019 • s/p hospitalisation à Bern en décembre 2018 Infection urinaire à Klebsiella Pneumoniae. Infection urinaire à Klebsiella pneumoniae ESBL le 19.04.19. Infection urinaire asymptomatique chez une patiente à risque. Infection urinaire asymptomatique le 14.04.19. Infection urinaire au décours. Infection urinaire avec baisse de l'état général le 18.04.2019. Infection urinaire avec • IRA. Infection urinaire avec possible composante de prostatite débutante en 2015. Infection urinaire avec urétrite. Infection urinaire basse Infection urinaire basse Infection urinaire basse Infection urinaire basse Infection urinaire basse Infection urinaire basse. Infection urinaire basse à bactérie non identifiée. Infection urinaire basse à E. coli le 22.03.2019. Infection urinaire basse, à germe indéterminé. Infection urinaire basse à Pseudomonas aeruginosa le 02.03.2019. Infection urinaire basse avec : • Mauvaise évolution sous Monuril 3g. Infection urinaire basse avec : • mauvaise évolution sous Monuril 3 g. Infection urinaire basse avec : • suspicion d'hyperplasie bénigne de la prostate DD prostatite • Bladder Scan : résidu post-mictionnel < 20 ml. Infection urinaire basse avec grossesse à 10 semaines d'aménorrhée. Infection urinaire basse compliquée chez patient avec sonde à demeure. Infection urinaire basse le 06.04.2019. Infection urinaire basse le 08.12.2015. Infection urinaire basse le 11.04.2019. Infection urinaire basse le 13.04.2019. Infection urinaire basse le 15.04.2019. Infection urinaire basse le 16.04.2019 avec : • mauvaise évolution sous Monuril 3 gr • persistance des symptômes à 24H d'antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour. Infection urinaire basse le 17.03.2019. Infection urinaire basse le 18.03.2019. Infection urinaire basse le 19.04.2019 : • DD : glomérulonéphrite post-streptococcique débutante. Infection urinaire basse le 20.03.2019. Infection urinaire basse le 21.04.2019. Infection urinaire basse le 24.04.2019 ; à germe indéterminé • chez patiente porteuse de sonde vésicale à demeure. Infection urinaire basse le 24.04.2019 • urotube prélevé chez le médecin traitant. Infection urinaire basse le 27.03.2019. Infection urinaire basse le 28.03.2019. Infection urinaire basse le 29.01.2014. Grossesse extra-utérine avec abortus tubaire à droite chez une patiente 1G 0P. Laparoscopie avec traitement conservateur (milking tubaire droite le 23.10.2015). Méthotrexate 58mg i.m. le 23.10.2015. Douleur abdominale d'origine indéterminée le 31.12.2017 DD : MICI ?, iléite infectieuse ? • CT-scan en ambulatoire en novembre 2017 : montrant des adénopathies en fosse iliaque droite. Infection urinaire basse, le 29.04.2019. DD : passage de calcul rénal. Infection urinaire basse non compliquée. Infection urinaire basse non compliquée asymptomatique le 17.04.2019. Infection urinaire basse non compliquée le 04.04.2019. Infection urinaire basse non compliquée le 09.04.2019. Infection urinaire basse non compliquée le 10.04.2019. Infection urinaire basse non compliquée le 25.05.2018, à E.Coli multi-sensible. Bicytopénie avec : • anémie macrocytaire hypochrome à 50 g/l sur diagnostic n°1 le 23.05.2018 • thrombocytopénie 19 G/l le 23.05.2018. Résection segmentaire du sigmoïde 1997 pour résection endoscopique de polypes carcinomateux du sigmoïde. Salpingectomie pour kyste ovaire gauche en 1963. Appendicectomie sur appendicite perforée avec péritonite en 1952. Infection urinaire basse nosocomiale le 18.04.2019. Infection urinaire basse probable le 30.04.19. Infection urinaire basse récidivante sur auto- sondage le 07.04.2019. • contexte de paraplégie avec trouble sphinctérien post dissection aortique de Type A. Infection urinaire basse symptomatique à E. Coli multisensible. Probable hémorragie digestive haute sur gastrite érosive. Fracture radiale distale extra-articulaire droite. Pneumonie basale droite communautaire avec une bactériémie à Veillonella parvula en 01.2019. Anémie hypochrome normocytaire ferriprive, à 74g/l le 11.01.2019. Status après hystérectomie. Carcinome basocellulaire pré-tibial gauche. Carcinome basocellulaire scapulaire droit. Infection urinaire basse traitée par Rocéphine 2g iv du 05.05. au 07.05.2018. Pneumonie bi-basale traitée par Tazobactam 4.5g 2x/24 du 07.05.2018 au 14.05.2018. Fracture ouverte Gustilo III malléole externe droite le 06.02.2018. • débridement de la plaie du talon D et résection du tendon d'Achille et des tendons péroniers le 16.02.2018. • 3ème look et débridement plaies du talon D le 20.02.2018. • débridement et rinçage des plaies étendues du talon D le 27.02.2018. • débridement, rinçage et mise en place d'un pansement VAC jambe distale D le 06.03.2018. • greffe de Tiersch de la plaie du talon droit et confection d'un pansement aspiratif type Renasys le 06.03.2018. • arthrodèse cheville D le 15.05.2018. Biopsie : tendon achilléen D du 16.02.2018 : P. aeruginosa multi-sensible. Pose de TPN (Thérapie par pression négative ou VAC). Surinfection de la plaie par pseudomonas aeruginosa multisensible le 18.02.2018 traitée par Tazobactam 4500mg 3x par jour du 18.02.2018 - 01.03.2018. Fracture olécrâne D le 29.12.2016. • réduction ouverte et ostéosynthèse par cerclage-haubanage de l'olécrâne D le 30.12.2016. Fracture quatre parts de l'humérus proximal G déplacée en valgus, le 07.12.2016. • réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos 3 trous et plaque du sillon bicipital 1.5 à 6 trous le 08.12.2016. Status post fracture radius distal D traité par réduction ouverte et ostéosynthèse le 07.12.2016. Status post fracture branche mandibulaire légèrement déplacée à gauche le 07.12.2016. Infection urinaire à P. Aeruginosa multisensible sur sonde vésicale le 01.10.2016. Antélisthésis L5-S1 de grade II avec suspicion de lyse isthmique bilatérale à ce niveau le 28.09.2016. Hydrocèle testiculaire droit le 27.09.2016. Traumatisme crânio-cérébral modéré le 17.09.2016, traité conservativement avec : • hématome sous-dural bilatéral frontal et intra-parenchymateux frontal G.• hémorragie sous-arachnoïdienne des citernes de la base. • fracture transverse du rocher droite, de la calotte occipitale droite et de la paroi latérale de l'orbite à droite. Hypoacousie droite péjorée depuis le TCC du 17.09.2016 avec acouphène mixte type bourdonnement et sifflement persistant. • surdité de perception de type presbyacousie à G, probablement pré-existante. • surdité mixte à D avec composante perceptionnelle probablement pré-existante et composante transmissionnelle possiblement sur lésion tympanique versus lésion chaîne ossiculaire d'origine traumatique. Malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une inappétence le 27.02.2018. Infection urinaire à pseudomonas aeruginosa. Incontinence urinaire par regorgement sur hypertrophie de la prostate d'origine X. Infection urinaire basse traitée par Uvamine. Lombalgie. Colite néphrétique le 02.02.2016. Infection urinaire chez un patient avec cathéter sus-pubien. Infection urinaire compliquée. Infection urinaire compliquée à entérocoque faecalis et MRSA, probable prostatite chronique, • dernier épisode d'infection urinaire en janvier 2019. Infection urinaire compliquée à P. aeruginosa et E. faecalis le 23.03.2019, DD syndrome inflammatoire d'origine tumorale dans le contexte du diagnostic suppl. 1, avec: • patient porteur de sonde vésicale à demeure • s/p infection urinaire à E. faecalis en 09 et 12/2018 • Lc 15.7 G/l et CRP 148 mg/l le 23.03.2019 • Lc 11.5 G/l et CRP 107 mg/l le 08.04.2019 Infection urinaire compliquée chez l'homme dans un contexte de s/p cystectomie partielle le 25.03.2019 (Dr. X) Infection urinaire compliquée le 24.09 avec: • état fébrile à 38.6°C aux urgences. Douleurs abdominales sur colon irritable avec: • constipation depuis 7 jours. Cholecystectomie en 2011. Infection urinaire compliquée le 28.04.2019. Infection urinaire compliquée sur conduit vésical selon Mirtofanof le 28.04.2019 sur status post-lithotripsie le 19.04.2019. Infection urinaire dans le cadre d'un globe vésical le 09.04.2019. Infection urinaire DD: contamination. Infection urinaire en mars 2014 (Dr. X). Dermohypodermite chronique du membre inférieur droit le 10.11.2011 sur: DD: dermite de stase. Ancien accident vasculaire cérébral hémorragique thalamique droit avec hémiplégie gauche régressive le 09.11.2011 (CT et IRM). Hypovitaminose D3 avec hypocalcémie symptomatique en octobre 2011. Pneumonie bibasale (G > D) dans le cadre d'une broncho-pneumopathie sévère le 18.10.2011. Cholécystectomie pour cholécystite le 01.08.2011 compliquée par: • choc hémorragique suite à saignement intra-opératoire traité par réanimation liquidienne • abcès hépatique le 16.08.2011 traité par drainage percutané (16.08.2011 - 01.09.2011) • déhiscence de la cicatrice de la laparotomie avec exsudat purulent et traitement antibiotique. Entérocolite à Clostridium difficile 2011. Sigmoïdectomie 2007. Ulcères gastriques récidivants 1999. Cure d'hernie inguinale des deux côtés en 1980. Infection urinaire en novembre 2012. Néphrolithiase gauche en 2010. Cure de hernie inguinale bilatérale, à deux reprises à gauche. Cure de hernie discale lombaire il y a 30 ans. Infection urinaire fébrile • traitement par Ciproxin von 11.02.2019 bis 18.02.2019 • Uricult (26.02.2019) • Rocéphine du 26.02 au 02.03.2019, Ciprofloxacine du 03.03 au 08.03.2019, Bactrim du 08.03 au 11.03.2019 (durée totale traitement 14 jours) IRA AKIN 2 prérénale sur déshydratation le 26.02.2019 • eGFR 23 mL/min selon CKD-EPI Carence en Vitamine D • vitamine D: 21 nmol/L (08.03.2016) • substitution Infection urinaire haute le 03.04.2019 Infection urinaire haute le 20.04.2019 Infection urinaire haute le 20.05.2018. Pharyngite. Infection urinaire le 08.04.2019 Infection urinaire le 10.04.2019 Infection urinaire le 15.01.2019 dans le cadre d'une diverticulite sigmoïdienne avec fistule sigmoïdo-vésicale Diverticulite sigmoïdienne récidivante avec: • Diverticulite en janvier 2019 avec 2 abcès et suspicion de fistule sigmoïdo-vésicale • Résection sigmoïdienne avec anastomose descendo-rectale latéro-terminale et iléostomie de protection le 04.03.2019 Iléus sur bride précoce le 11.03.2019 • Ré-laparotomie, adhésiolyse, lavage, VAC sous-cutané le 13.03.2019 • Nécrose au niveau du fascia Infection urinaire le 21.03.2019 Infection urinaire le 28.03.2019 Infection urinaire le 29.04.2019. Infection urinaire non compliquée le 22.04.2019. Infection urinaire nosocomiale le 23.03.2019, dans contexte de sondage vésical Infection urinaire probablement basse le 05.04.2019: • porteur de sonde double J. Infection urinaire récidivante le 17.04.2019. Infection urinaire simple. Infection urinaire simple avec • globe urinaire (700 ml) Infection urinaire simple avec hématurie microscopique Infection urinaire simple le 12.04.2019. Infection urinaire simple le 15.04.2019 Infection urinaire simple le 17.04.2019. Infection urinaire simple le 23.04.2019 Infection virale avec rhume et possible gastroentérite virale Infection virale des voies aériennes inférieures et supérieures, avec: Infection virale des voies aériennes superieures et inférieures, avec: Infection virale des voies respiratoires Infection virale des voies respiratoires Infection virale des voies respiratoires Infection virale des voies respiratoires Infection virale des voies respiratoires Infection virale des voies respiratoires hautes. Infection virale des voies respiratoires le 19.04.2019. Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures avec adénopathie sous-mandibulaire bilatérale Infection virale des voies respiratoires supérieures le 01.02.2014 Probable dermatite des majeurs Gastro-entérite virale au décours le 01.02.2014 Infection virale des voies respiratoires hautes Infection virale respiratoire supérieure Infection voies urinaires en 2013 Thrombocytopénie à 89 G/ en 2013 Infections des voies respiratoires avec sinusite Infections urinaires. Infections urinaires à répétition. Infections urinaires à répétition. Infections urinaires à répétition. Infections urinaires à répétition 2009 thyroïdite auto-immune type Basedow 2011 anémie sévère d'origine inconnue, gastro- et coloscopie effectuées ne montraient rien de particulier à part l'hernie hiatale et des diverticules dans le sigmoïde. Status après hystérectomie Hémorragie digestive haute le 17.03.2019 (hernie hiatale et suspicion de syndrome Mallory Weiss) Hypokaliémie à 2.8 mmol/l le 18.03.2019 Rash cutané prurigineux le 24.03.2019 d'origine indéterminée Pneumonie basale droite sur broncho-aspiration le 17.03.2019 au décours Probable pyélonéphrite gauche le 17.03.2019 : • Dans un contexte d'infections urinaires basses récidivantes (dernière en novembre 2018) • Diagnostic différentiel : bactériurie asymptomatique à E. coli multisensible Status après hystérectomie Infections urinaires basses à répétition. Infection urinaire basse récidivante le 17.10.2018 • 16.09.2018 (E. coli) • 17.10.2018 (E. coli) • 18.11.2018. Infections urinaires basses à répétition. Urosepsis sur prostatite aiguë le 03.12.2013, PSA à 77 ng/ml. Infections urinaires compliquées récidivantes : • Infection à Escherichia coli le 13.03.2019 • Colonisation avec plusieurs populations avec résistances différentes • Uroculture le 31.12.18 et 16.01.2019 : positive à P. Aeruginosa et E. Faecalis • Urotube du 20 et 22.02 : les deux positifs pour P. aeruginosa multisensible, malgré le changement de sonde entre les 2 prises • Pyélonéphrite G le 10.10.2018 sur E. coli multisensible et E. faecalis, traitée par pipéraciline-Tazobactam du 10-10-2018 au 13-10-2018 • Infection urinaire probable à P. Aeruginosa et E. faecalis le 31.12.2018 • Contexte de sonde double J à demeure • Changement des sondes JJ le 12.02.2019 (Dr. X). Infections urinaires récidivantes depuis l'enfance. Infertilité d'origine masculine sur tératospermie légère. Infertilité primaire depuis 2017. Infertilité primaire depuis 4 ans. Infertilité primaire d'origine mixte. Infertilité primaire sur PCOS. Migraines avec aura. Infertilité secondaire. Infertilité secondaire chez une patiente de 33 ans, 1 geste, 0 pare, status post salpingectomie droite et kystectomie bilatérale : Laparoscopie diagnostique et opératoire sous anesthésie générale le 16.05.2017 avec • résection fibrome sous séreux • épreuve au bleu : perméabilité trompe gauche • status post salpingectomie droite, pas de fistule Hystéroscopie opératoire • utérus arqué, incision du fond utérin et élargissement des bords latéraux. Infiltrat para-pneumonique lobe inférieur gauche. Carcinome canalaire invasif bilatéral, à droite pT1c pN0 (0/6), stade IA, à gauche pT2 pN0 (0/5), stade IIA, diagnostic initial avril 2011 • date du diagnostic avril 2011 • pathologie (Buenos Aires) : droite : ER pos. PR pos. HER-2 nég. grade 3, gauche : ER pos. PR pos. HER-2 nég. grade 3 • status post-tumorectomie bilatéral et mini-curage ganglionnaire en avril 2011 • status post-chimiothérapie adjuvante avec 6 cycles de Doxorubicine et Cyclophosphamide en 2011 • status post radiothérapie adjuvante bilatérale mammaire • status post-traitement anti-hormonal adjuvant par Anastrozole de septembre 2011 à mai 2012, relayé par Tamoxifen en raison d'une ostéoporose • actuellement : poursuite du tamoxifen pour 5 à 10 ans. Surveillance sénologique par mammographie et ultrason mammaire annuels. Adénocarcinome du sigmoïde moyennement différencié pT2 pN1 (2/12) cM0, stade IIIAm diagnostic initial 22.05.2019 • date du diagnostic : 22.05.2018 • histologie (Hospital Británico, Buenos Aires) : adénocarcinome du sigmoïde moyennement différencié de grade 2 de taille 4 x 2 cm avec des marges de résection saines (R0) sans invasion vasculaire (V0) ni périneurale (Pn0), présence de métastases sur 2 des 12 ganglions lymphatiques régionaux • CT thoraco-abdomino-pelvien du 03.04.2018 : absence de métastases à distance. Lésion du sigmoïde connue, présence de lésions kystiques hépatiques • Colonoscopie virtuelle du 30.05.2018 : image sténosante à la jonction du colon descendant et sigmoïde. • status post-hémicolectomie gauche le 06.06.2018 • chimiothérapie adjuvante par XELOX (1er cycle avec Eloxatine et Capécitabine, 2ème et 3ème cycles par Capécitabine seule, pas de 4ème cycle au vu de la toxicité cutanée grade IV sous Capécitabine) • actuellement : proposition : colonoscopie complète à la fin de la chimiothérapie et début de la surveillance selon les recommandations. Infiltration. Infiltration antalgique sous guidage CT le 14.03.2019 avec Lopamiro, Fortecortin et de Ropivacaïne. Consilium anesthésie 19.03.2019 : adaptation de l'antalgie avec opioïdes, AINS et Sirdalud. Mise en place de pompe PCA le 20.03.2019. Herniectomie L4-L5 G (OP le 22.03.2019). Attelle anti-step pied G. Electrostimulation par Compex. Infiltration articulation CMC1 G le 05.04.2019 : • Désinfection et champage classiques. • Repérage de l'articulation CMC1 sous scopie. • Infiltration de Dépo-Médrol dans l'articulation CMC1. • Rétraction de l'aiguille, pansement stérile. Infiltration au niveau de l'épaule droite en 2007 pour douleurs dont l'origine ne nous est pas connue. Probable lymphome en 1997 traité par chimiothérapie. Infiltration cx1-2 sous CT par Curavisc le 06.05, 20.05 et 03.06.2019. Prochain contrôle le 27.06.2019. Infiltration de l'articulation CMC1 gauche le 26.04.2019. Désinfection et champage classique. Repérage de l'articulation CMC1 sous scopie. Infiltration de Dépo-Médrol dans l'articulation CMC1. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. Infiltration du genou gauche du 10.04.2019. Désinfection et champage habituel. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou gauche. La mobilisation immédiate est bien tolérée par la patiente. Infiltration du genou gauche du 03.04.2019. Désinfection et champage habituels. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou gauche. La mobilisation immédiate est bien tolérée par le patient. Infiltration du sillon bicipital D le 05.04.2019 : • Désinfection classique, repérage digital du sillon bicipital. • Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne dans et autour du sillon bicipital. • Rétraction de l'aiguille, pansement stérile. Infiltration du sillon bicipital distal droit le 26.04.2019. Désinfection classique. Repérage loco-dolenti. Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne sur le sillon bicipital distal. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. Infiltration du sillon bicipital, épaule D le 05.04.2019 : • Désinfection classique, repérage loco dolenti digitalement • Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne dans et autour du sillon bicipital. • Rétraction de l'aiguille, pansement stérile. Infiltration du sillon bicipital le 26.04.2019. Désinfection classique. Repérage digital du sillon bicipital et injection d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne au loco-dolenti. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. Infiltration du tunnel tarsien G par Dr. X. Prochain contrôle le 02.09.2019. Infiltration du 1er compartiment des extenseurs du poignet gauche le 18.04.2019. Désinfection et champage classiques. Repérage digital du 1er compartiment des extenseurs.Infiltration de Dépo-Médrol à l'intérieur et autour du 1er compartiment. Rétraction de l'aiguille. Pansement. Infiltration épaule droite le 26.4.2019. Désinfection classique. Repérage de l'articulation gléno-humérale sous scopie. Infiltration du produit Sinovial one sous scopie. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. Infiltration épidurale au niveau lombaire L3-L4 en antalgie (merci de convoquer le patient) Contrôle chez nous par la suite. Infiltration épidurale L3-L4 avec approche foraminale gauche sous CT le 17.04.2019 Prochain contrôle le 09.05.2019. Infiltration épidurale L4-L5 D sous CT le 01.04.2019 (HFR Tavel) Prochain contrôle le 04.04.2019 Intervention chirurgicale le 05.04.2019. Infiltration épidurale L4-L5 et ponction kyste sous CT le 14.05.19 (CIMF) Prochain contrôle le 06.06.2019. Infiltration extra-foraminale L4-L5 D sous CT Prochain contrôle suite à ce geste. Infiltration extra-foraminale L5-S1 sous CT Prochain contrôle le 28.05.2019. Infiltration facettaire L2-L3 sous scopie + corset plâtré le 07.05 (salle des plâtres) Prochain contrôle le 04.06.2019 après IRM du jour. Infiltration facettaire L4-L5 DDC sous CT (Dr. X) - selon décision de la patiente. Infiltration facettaire L5-S1 bilatérale sous CT le 24.04.2019 Prochain contrôle le 14.05.2019. Infiltration facettaire L5-S1 bilatérale sous hypnose prévue le 12.04.2019. Infiltration facettaire L5-S1 G sous CT le 10.04.2019 (HFR Riaz) Prochain contrôle le 30.04.2019. Infiltration facettaire L5-S1 sous scanner IRM colonne lombaire le 07.05.2019 Prochain contrôle le 23.05.2019. Infiltration facettaire sous CT Bilan au Neurocentre Contrôle chez nous par la suite. Infiltration foraminale L4 D sous CT le 24.04.2019 Prochain contrôle le 14.05.2019. Infiltration foraminale L4-L5 D sous guidage CT le 10.04.2019. Infiltration foraminale L5 D sous CT le 08.04.2019 Prochain contrôle le 02.05.2019. Infiltration foraminale L5 D sous CT Prochain contrôle le 23.05.2019 avec IRM lombaire. Infiltration foraminale L5-S1 sous CT Prochain contrôle suite à ce geste. Infiltration genou droit du 3.4.2019. Désinfection et champage habituels. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou droit. La mobilisation immédiate est bien tolérée par la patiente. Infiltration genou droit le 27.03.2019. Désinfection et champage habituels. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou droit. La mobilisation immédiate est bien tolérée par le patient. Infiltration genou G du 10.04.2019. Désinfection et champage habituel. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou G. La mobilisation immédiate est bien tolérée par la patiente. Infiltration genou gauche du 10.04.2019. Désinfection et champage habituel. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou gauche. La mobilisation immédiate est bien tolérée par la patiente. Infiltration genou gauche du 24.04.2019. Désinfection et champage habituels. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou gauche. Infiltration genou gauche. Désinfection et champage habituel. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou gauche. La mobilisation immédiate est bien tolérée par le patient. Infiltration intra-articulaire hanche D le 29.04.2019. Infiltration grand trochanter D le 27.05.2019. Prochain contrôle le 09.07.2019. Infiltration intra-articulaire sous-acromiale épaule G le 05.04.2019 : • Désinfection classique. • Repérage de l'espace sous-acromial. • Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne dans l'espace sous-acromial. • Rétraction de l'aiguille. • Ponction gléno-humérale antéro-supéro-latérale et infiltration de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en intra-articulaire. • Rétraction de l'aiguille, pansement stérile. Infiltration le 02.04.2019. Prochain contrôle le 15.05.2019. Infiltration le 02.05.2019. Prochain contrôle le 15.05.2019. Infiltration le 04.04.19. Prochain contrôle le 05.09.19. Op. le 25.09.19. Infiltration le 04.04.2019. Prochain contrôle le 29.04.2019. Infiltration le 06.05.2019. Prochain contrôle le 11.06.2019. Infiltration le 08.04.2019. Infiltration le 09.04.2019. Prochain contrôle le 22.05.2019. OP le 27.05.2019. Infiltration le 11.04.2019. Prochain contrôle le 06.05.2019. Infiltration le 13.05.2019. Contrôle suite infiltration le 04.06.2019. Infiltration le 13.06.19. Infiltration le 14.05.2019. Prochain contrôle le 03.07.2019. Infiltration le 18.04.2019 Prochain contrôle le 06.05.2019. Infiltration le 23.04.2019. Infiltration le 25.04.2019. Prochain contrôle le 13.05.2019. Infiltration loco-dolenti inter-épineuse L5-S1 sous scopie (Salle des plâtres) Evaluation au Neurocentre (merci de convoquer le patient) Prochain contrôle après ces examens. Infiltration loco-dolenti sous scopie le 14.05.2019 (Salle des plâtres) Prochain contrôle le 28.05.2019. Infiltration L4 D sous CT Prochain contrôle par la suite. Infiltration L4-L5 G sous CT Prochain contrôle 3 semaines après l'infiltration. Infiltration L4-L5 sous CT le 09.05.2019 (CIMF) Prochain contrôle le 28.05.2019. Infiltration par Curavisc (salle des plâtres) : 07.05.19 28.05.19 Prochain contrôle le 13.06.2019. Infiltration péri-radiculaire C5 D sous CT le 30.04.2019 Prochain contrôle le 23.05.2019. Infiltration péri-radiculaire L3 G sous CT (HFR Fribourg) Prochain contrôle 3 semaines après l'infiltration. Infiltration sacro-iliaque bilatérale avec du Curavisc (salles des plâtres) le 30.04.2019 Prochain contrôle le 23.05.2019. Infiltration sacro-iliaque bilatérale le 30.04.2019 (Salle des plâtres) Prochain contrôle le 14.05.2019. Infiltration sacro-iliaque bilatérale (selon décision de la patiente) Prochain contrôle dans une année. Infiltration sacro-iliaque bilatérale sous scopie par CURAVISC le 14.05.2019 (Salle des plâtres)Prochain contrôle le 13.06.2019 • Infiltration sacro-iliaque D le 09.04.2019 (salles des plâtres) Prochain contrôle le 18.04.2019 • Infiltration sacro-iliaque D par Curavisc, sous sédation le 03.05.2019 (bloc opératoire) • Infiltration sacro-iliaque D par Curavisc, sous sédation le 23.05.2019 (bloc opératoire) • Infiltration sacro-iliaque D par Curavisc, sous sédation le 14.05.2019 (bloc opératoire) Prochain contrôle 3 semaines après la dernière infiltration • Infiltration sacro-iliaque ddc par CURAVISC (salle des plâtres) le 23.04.2019 Bilan rhumatologique Prochain contrôle le 23.05.2019 • Infiltration sacro-iliaque droite par Curavisc (salles des plâtres) : 30.04.2019 Prochain contrôle le 28.05.2019 • Infiltration sacro-iliaque droite par Curavisc (salles des plâtres) le 23.04.2019 Prochain contrôle le 16.05.2019 après CT lombaire du jour • Infiltration sacro-iliaque G avec Curavisc (salles des plâtres) le 23.04.2019 Prochain contrôle le 09.05.2019 • Infiltration sacro-iliaque gauche le 07.05.2019 (salles des plâtres) Prochain contrôle le 06.06.2019 • Infiltration sacro-iliaque gauche le 23.04.2019 (salle des plâtres) RDV au Neurocentre Prochain contrôle le 14.05.2019 • Infiltration sinus du tarse à G le 18.04.2019 Prochain contrôle le 01.05.2019 • Infiltration sous CT Contrôle chez nous par la suite • Infiltration sous CT le 10.05.19 Prochain contrôle le 04.06.2019 • Infiltration sous CT le 13.05.19 Prochain contrôle le 04.06.2019 • Infiltration sous CT le 15.04.2019 Prochain contrôle le 09.05.2019 • Infiltration sous CT le 15.05.2019 Prochain contrôle le 04.06.2019 • Infiltration sous scanner Contrôle chez nous par la suite • Infiltration sous scanner le 08.05.2019 Prochain contrôle le 28.05.2019 et le 18.07.2019 • Infiltration sous-acromiale, épaule D le 05.04.2019 : - Désinfection classique. - Repérage de l'espace sous-acromial sous scopie. - Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. - Rétraction de l'aiguille, pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale ce jour. J'explique au patient la nature de la pathologie. Le pronostic est bon, on va suivre sur les semaines à venir l'effet de l'infiltration et de la physiothérapie. Si la situation devait stagner, je l'adresserai en consultation d'antalgie. Il reste en incapacité de travail. • Infiltration sous-acromiale de l'épaule gauche le 14.09.2018. Réinsertion du sus-épineux, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps pour rupture transfixiante complète traumatique du tendon du sus-épineux et subluxation du tendon du long chef du biceps, épaule droite, le 19.01.2016, Dr. X. Adhésiolyse sous-acromiale et sous-deltoïdienne de l'épaule gauche le 23.04.2018. Ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, réinsertion du sous-scapulaire le 13.06.2017. Ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, réinsertion du sus-épineux de l'épaule droite le 19.01.2016. Douleurs résiduelles sur status post-adhésiolyse sous-acromiale et sous-deltoïdienne de l'épaule gauche le 23.04.2018, sur status post-ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, réinsertion sous-scapulaire le 13.06.2017. • Infiltration sous-acromiale épaule D le 05.04.2019 : - Désinfection classique, repérage de l'espace sous-acromial sous scopie. - Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. - Rétraction de l'aiguille, pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale épaule droite le 26.04.2019. Désinfection classique. Repérage de l'espace sous-acromial sous scopie. Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale épaule G le 03.04.2019. Procédure : Désinfection classique, repérage de l'espace sous-acromial sous scopie. Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. Rétraction de l'aiguille, pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale épaule G le 05.04.2019 : - Désinfection classique, repérage de l'espace sous-acromial sous scopie - Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. - Rétraction de l'aiguille, pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale épaule G le 05.04.2019 : - Désinfection classique, repérage de l'espace sous-acromial sous scopie. - Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. - Rétraction de l'aiguille, pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule D le 05.04.2019 : - Désinfection classique. - Repérage de l'espace sous-acromial sous scopie - Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. - Rétraction de l'aiguille. - Ponction antéro-/supéro-latérale de l'articulation gléno-humérale. - Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en intra-articulaire. - Rétraction de l'aiguille, pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule droite le 26.04.2019. Désinfection classique. Repérage de l'espace sous-acromial et infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. Rétraction de l'aiguille. Maintenant ponction gléno-humérale antéro-supéro-latérale. Contrôle de la bonne position de l'aiguille et injection d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en intra-articulaire. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. • Infiltration tendinite de De Quervain G le 05.04.19 : - Désinfection et champage classiques. - Repérage du 1er compartiment des extenseurs en digital. - Infiltration de Dépo-Médrol dans et autour du 1er compartiment des extenseurs. - Rétraction de l'aiguille, pansement stérile. • Infiltration TMT 1 le 02.05.2019. Prochain contrôle le 15.05.2019 après CT du 23.04.2019. • Infiltration tumorale médulaire à l'étage D4-D7 avec compression médulaire dans un contexte d'adénocarcinome de la prostate multimétastatique. • Infiltrations sacro-iliaque D sous CT par CURAVISC les : - 11.04.2019 - 25.04.2019 - 09.05.2019 Prochain contrôle le 28.05.2019 • Infiltrations sous CT par CURAVISC les 22.05, 08.05 et 05.06.2019 Prochain contrôle le 13.06.2019 • Inflammation au niveau du port-à-cath : - mise en place le 05.04 et jamais utilisé. • Inflammation chronique de la vessie depuis 20 ans, multi-investiguée par urologues. Connectivité chronique (nom inconnu), traitée par Aspirine cardio 100 mg le matin • Inflammation de la patte d'oie du genou gauche le 27.03.2019 avec contracture des ischio-jambiers. • Inflammation des gaines des tendons des extenseurs, DII, MD, le 21.04.2019 sur - Corps étranger d'origine indéterminée • Inflammation des longs adducteurs jambe gauche le 15.04.2019. • Inflammation du genou D - sur probables lésions du ligament collatéral médial • Inflammation du mamelon gauche. • Inflammation d'un cor de l'interphalangienne proximale du 2ème orteil sans signe infectieux. • Inflammation fat pad au niveau de la tête du premier métatarse du pied gauche. • Inflammation gingivale en regard de la dent 26 • Inflammation infra-malléolaire interne localisée d'origine indéterminée de la cheville droite sans notion de traumatisme. • Inflammation locale de la poche du port-à-cath. • Inflammation membre inférieur droit sur injections de cocaïne le 02.07.2014 et status post dermohypodermite du membre inférieur gauche. Status post HCV traité par Interféron. Bronchite le 14.06.2014. Insuffisance rénale aiguë AKIN I secondaire à l'infection le 14.06.2014. Plaie membre inférieure gauche le 18.06.2014. Erysipèle du tibia gauche. Fracture de la phalange proximale de l'orteil I du pied droit. • Inflammation péri-unguéale. • Inflammation péri-unguéale D3 de la main droite, sans signe infectieux. • Influenza A Influenza A compliquée d'un ARDS le 02.03.2019: • possible surinfection bactérienne Influenza A le 01.01.2018. MRSA positive (abcès cutané le 14.09.2014). • frottis MRSA le 02.01.2018 négatif. Hypertension artérielle traitée. Ancien tabagisme. Informations divergentes sur EP • selon rapport écrit du CT du 07.03 pas de EP • Selon rapport oral (Dr. X du 07.04: EP sous-segmentaire déjà présent le 07.03 stable en taille le 07.04): Pas d'EP paracentrale ou centrale. Pas de répercussions sur le cœur. Informations données au patient concernant: CT cérébral natif (pas d'hémorragie, pas de fracture des os du crâne). Donné consignes de surveillance en présence de son épouse. Informations données au patient concernant: Rx thorax. ECG. Laboratoire. Schellong négatif. Massage du sinus négatif. Retour à domicile, bilan cardiologique en ambulatoire (demande de convocation en cours); suite chez le médecin traitant selon résultat (complément par bilan neurologique selon résultats du bilan cardiologique). Informations données au patient relativement à: • Laboratoire, • Sédiment urinaire. Avis urologie. Sonde urinaire à demeure. Suite de prise en charge chez urologue traitant. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile ou frissons. Informations données au patient relativement à: • Laboratoire. • Rx thorax. • ECG. Prednisone 40 mg, aérosols aux urgences; poursuite Ultibro, ajout Ventolin et Prednisone jusqu'à amélioration des symptômes, réexplication technique d'inhalation. Suite chez le médecin traitant avec consultation pneumologique à organiser pour adaptation du traitement. Informations données au patient relativement à: • Laboratoire: CRP 124, leucocytes 24.7 G/l. • Sédiment urinaire: leucocytes incompt., érythrocytes 6-10/champ, nitrite pos., bactéries +++. • Culture urinaire: en cours. Avis urologique (Dr. X). Aux urgences: Ceftriaxone 2 g i.v. Ciprofloxacine 2x500 mg pendant 14 jours, à prolonger par le médecin traitant selon l'évolution. Antalgie par Dafalgan. Consultation de suivi la semaine prochaine par le médecin traitant. Rendez-vous à prévoir chez un urologue après la fin du traitement. Informations données au patient relativement à: • Laboratoire, Troponine H0: 4. • Radio thorax, le 23.04.2019. • ECG. Antalgie. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile, frissons, douleurs rétrosternales oppressives. Ingestion accidentelle d'un implant dentaire avec: • localisation du corps étranger au niveau du duodénum, sans évidence de perforation de l'intestin. Ingestion de corps étranger. Ingestion de corps étranger: 3 lames de rasoir + 2 aimants. Ingestion de corps étranger: • avec présence d'une bille de 15 mm de diamètre dans l'intestin grêle. Ingestion de corps étranger sans complication. Ingestion de liquide lessive et réception de produit au niveau de l'œil G. Ingestion de Zolpidem CR 12.5 mg en octobre 2012. Entorse LLE de stade 2 cheville D. Ingestion de 2 lames de rasoir et 1 pièce de 50 centimes le 21.04.2019. Ingestion des lames de rasoir. Ingestion médicamenteuse. Ingestion/inhalation/insertion de corps étranger. Ingestion/inhalation/insertion de corps étranger. Inhalation accidentelle d'eau de Javel le 06.04.2019 à 16h15 avec: • insuffisance respiratoire partielle (Gazométrie pO2 8.1, pCO2 4.6, saturation 92% à l'air ambiant) • irritation des voies aériennes supérieures avec toux sèche et sibilances à l'auscultation pulmonaire initiale. Inhalation d'eau de Javel. Inhalation NaCl. Makatussin en R. Physiothérapie respiratoire. +/- reprise Dexaméthasone si majoration de la toux. Inhalations eau salée, compresses humides tièdes, Dafalgan. Initialement, on a loupé la fracture du tibia qui nécessite normalement une immobilisation dans un plâtre cruro-pédieux pendant 4 semaines puis encore 2 semaines dans une botte plâtrée. À présent, on peut voir la fracture qui est quasiment guérie. Cela fait déjà 2 semaines qu'il marche sur cette fracture par conséquent on ne recommence pas une immobilisation. On le laisse marcher selon tolérance. L'axe du tibia est normal. Prochain contrôle clinique dans 4 semaines. Initialement on se trouve confronté à une patiente qui a fait un traumatisme crânien dans un contexte peu clair avec une amnésie rétro et antérograde, raison pour laquelle un avis neurologique est demandé. Une fois que le bilan radiologique s'avère normal, nous effectuons un dosage des D-Dimères dans le contexte d'un bilan de syncope, ces derniers s'avèrent positifs. Cependant, au cours de la prise en charge nous sommes contactés par le témoin de la chute. La patiente se serait encoublée avec une chute en avant. Elle aurait essayé de se retenir à la branche d'un arbre, mais serait tout de même tombée en avant avec réception sur le menton. Nous retenons donc comme diagnostic une chute mécanique avec traumatisme crânien et une amnésie globale post-traumatique. Dans ce contexte, nous nous sommes donc permis de ne pas effectuer de scanner thoracique à la recherche d'embolie pulmonaire même si la valeur des D-Dimères était positive (5736 ng/ml). Nous gardons la patiente en surveillance sur la nuit et elle montre une résolution de l'amnésie globale. Par ailleurs, le statut neurologique reste complètement normal. Injection de fer. Suivi chez le médecin traitant avec recherche de spoliation chronique (prévoir gastro- et colonoscopie). Injection de KCL et morphine intra-cordonal. Analyse génétique cytologique et/ou autopsie refusée par la patiente. Frottis bactériologique du placenta et culture du liquide amniotique. Injection de Rabipur. Injection Rabipur 1ml IM par infirmière de tir. Inquiétude sur sa santé. INR à contrôler le 02.04.2019. INR à 1.8. Augmentation de dosage à 2 mg ce jour et contrôle chez le médecin traitant dans 3 jours. INR à 2.1 le 05.03.2019. Konakion 10 mg/ml 3x i.v en préopératoire. Prophylaxie thrombo-embolique par Héparine. Reprise Sintrom le 11.03.2019. INR infra-thérapeutique sous Sintrom avec: • INR 1.2 le 18.04. INR infra-thérapeutique sous Sintrom le 12.04.2019. INR sous thérapeutique chez patient anti-coagulé par Sintrom le 20.04.2019 avec: • s/p cure d'anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale de 60 mm par Endoprothèse aortique (EVAR), le 15.04.19. INR supra thérapeutique à 3.8 le 20.03.2019. INR supra thérapeutique à 4.9 le 10.04.2019. INR supra-thérapeutique à plus de 5.5. INR supra-thérapeutique à 3.5. INR supra-thérapeutique à 3.8 le 28.03.2019. INR supra-thérapeutique à 4.3. INR supra-thérapeutique à 5: • Dans un contexte d'insuffisance rénale aiguë • Chez patient sous Sintrom pour maladie thrombo-embolique. INR suprathérapeutique le 10.04.2019. INR suprathérapeutique le 17.04.2019. INR supra-thérapeutique supérieur à 5.5. INR supra-thérapeutique >5.5 et TP <10%. INR supra-thérapeutique (>5.5) sous anticoagulation par Sintrom (pour fibrillation auriculaire). INR suprathérapeutique >5.5 le 17.04.2019. INR thérapeutique à 2 chez patient anticoagulé par Sintrom • status post-cure d'anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale de 60 mm, par endo-prothèse aortique (EVAR le 15.04.2019). INR thérapeutique à 2.4 chez patient anticoagulé par Sintrom le 24.04.2019 • INR à 2 le 21.04.2019 • status post-cure d'anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale de 60 mm, par endo-prothèse aortique (EVAR le 15.04.2019) • INR le 24.04.2019. Inselspital du 06.03 au 13.03.2019. IRM cérébral le 06.03.2019 (images pacsées): pas de lésion nouvelle. EEG le 06.03.2019: lateralized periodic discharges de l'hémisphère gauche. EEG longue durée le 06.03.2019 (sous Keppra, CBZ, Rivotril): amélioration des LPD. Ponction lombaire du 07.03.2019 : pression d'ouverture à 22 cmH2O, LCR eau-de-roche, 1 cellule Sédiment urinaire le 09.03.2019 : Lc +++, nitrites pos EEG du 11.03.2019 (sous Keppra, CBZ, Primidone) : amélioration avec régression du potentiel épileptiforme Urotube le 14.03.2019 : 10E5, Klebsiella pneumoniae, NitrofurantoïneR, CiproS Taux sériques de Primidone et Carbamazépine le 15.03.2019 : valeurs thérapeutiques Avis neurologique (Dr. X, Dr. X) Monuril 3g d.u. le 10.03.2019 Keppra 2g i.v. puis 500mg bid dès le 06.03.2019, majoration de la Carbamazépine à 1cpr qid Sevrage complet lent de Primidone : 250 mg tid dès le 15.03.2019 pendant 1 mois puis - 125 mg toutes les 2 semaines Nitrofurantoïne 100 mg bid du 15.03 au 17.03.2019 (stoppé pour nausée) Contrôle neurologique avec EEG chez le Dr. X le 28.06.2019 à 9h00 Insomnie. Insomnie aiguë depuis 10 jours dans le contexte d'angoisse liée à la maladie oncologique de son mari. Insomnie corrélée avec stress psychologique. Insomnie dans un contexte de stress relationnel le 05.04.2019 • suivi psychiatrique souhaité par la patiente Insomnie et baisse de l'état psychique. Insomnie invalidante, le 03.04.2019. Insomnies sur syndrome anxio-dépressif chronique. Névralgies du trijumeau. Coxalgie droite chronique. Hypoacousie. Inspection et toucher rectal. AINS. Rendez-vous en policlinique de chirurgie jeudi le 18.04.2019. Arrêt de travail. Instabilité antérieure genou D sur insuffisance du LCA post • AS genou D, débridement du LCA des reliquats de la plastie du LCA, prélèvement greffe crête iliaque D, ablation vis d'interférence tibiale et fémorale et greffe des tunnels fémoral et tibial le 15.07.2015; entorse genou D en mai 2015. • Rupture plastie LCA genou D en 2013 • Plastie LCA genou D en 2012 • AS genou D avec plastie de reconstruction du LCA par tendon du quadriceps. (OP le 17.02.2016) Instabilité antérieure genou D sur statut post : • entorse genou D avec rupture complète LCA et partielle LLI le 04.08.2016 Instabilité chronique de la cheville sur lésion du LTFA sur statut post entorse grade II de la cheville D il y a 5 ans. Instabilité de la rotule D Status post 3 épisodes de luxation de la rotule (premier épisode le 03.02.2019) Instabilité de la rotule D sur dysplasie du condyle fémoral. Status post première luxation traumatique le 14.11.2017 et actuellement luxation latérale de la rotule récidivante. Instabilité de l'épaule G Instabilité de l'épaule gauche > droite et s/p luxation gléno-humérale antérieure gauche et reposition spontanée le 26.04.2019 avec : • Hyposensibilité subjective du membre supérieur gauche non-délimitée à un dermatome, DD : plexopathie sans franc déficit. • S/p luxation initialement traumatique postérieure gauche. • S/p multiples luxations gauches > droites. • S/p échec de physiothérapie. Instabilité du long chef du biceps avec atteinte des parties hautes du tendon du sous-scapulaire, épaule droite. Instabilité épaule gauche avec lésion SLAP • AS épaule gauche, refixation labrum le 16.12.2013 Pancréatite aiguë sur chronique d'origine éthylique le 22.01.2019 Traumatisme crânien avec plaie superficielle cuir chevelu Instabilité fémoro-patellaire gauche opérée le 10.04.2019 • Status post rétention du vaste interne en Macédoine • Transposition TTA, plastie en Z du retinaculum, plastie MPFL (Fribourg) Instabilité fémoro-patellaire gauche. Status post cure tunnel tarsien et cure de fasciite plantaire gauche. Instabilité hémodynamique sous anesthésie générale Instabilité postéro-inférieure épaule G. Instauration d'un traitement conservateur avec attelle Edimbourg et contrôle avec radiographie dans 1 semaine en ortho urgences. Si pas de déplacement, on maintient l'attelle Edimbourg pendant 4 semaines, puis poursuite en ergothérapie. Instauration d'un traitement conservateur par physiothérapie, antalgie et arrêt de travail à 100% jusqu'au 31.05.2019. Nous organisons également une infiltration foraminale L4-L5 G sous CT puis le reverrons 3 semaines après ce geste. Il est informé des symptômes devant motiver une consultation aux urgences. Insuffisance rénale chronique, stade III, le 09.03.2019 acutisée AKIN I • (CKD-EPI 47 ml/min) • sur néphropathie probablement mixte (hyperuricémie, vasculaire, hypertensive) • acidose rénale tubulaire type IV (hyperkaliémie sous spironolactone) Insuffisance aiguë pré-rénale sur chronique • FE urée : 29% Insuffisance aortique minime Hémorroïde stade 3 Adénocarcinome moyennement différencié et sténosant au sigmoïde, infiltrant le mésos/N+, métastatique (hépatique) • Colonoscopie du 23.05.18 : Tumeur non franchissable à 40 cm, Histo : adeno CA G2 • CT abdomino-thoracique du 28.05.18 : Masse primaire sigmoïdienne exophytique avec multiples ganglions adjacents. Métastases hépatiques multiples. Vésicule biliaire lithiasique. • Marqueur tumoral du 28.05.2018 : CEA 6.3, CA 19-9 normal • PET-CT du 30.05.2018 : Mise en évidence d'une intense hypercaptation sigmoïdienne correspondant à la tumeur primitive connue avec des métastases hépatiques bilatérales et probables ganglionnaires hilaires pulmonaires bilatérales. Absence de lésion hypermétabolique suspecte au niveau pulmonaire et osseux. • Tumorboard du 30.05.2018 : chimiothérapie palliative • Mise en place d'une transversostomie et pose de PAC à droite le 07.06.2018 Insuffisance aortique sévère d'origine iatrogène sur : • Thermoablation d'une ESV le 27.03.2019 à l'Inselspital • suivie par Dr. X Insuffisance aortique sévère iatrogène sur : • Thermoablation d'une ESV le 27.03.2019 à l'Inselspital (ablation au niveau du LCC) • Malcoaptation de la cusp coronaire droite et acoronaire, régurgitation sous le cusp acoronaire • Vena contracta 6 mm, reflux diastolique au niveau de l'aorte descendante • NYHA II-III Insuffisance artérielle des MI de stade IIb avec multiples chirurgies vasculaires sous anticoagulation par Sintrom Insuffisance cardiaque à FEVG abaissée sur maladie coronarienne tritronculaire. Insuffisance cardiaque à fraction d'éjection abaissée sur cardiomyopathie dilatée d'origine ischémique • FEVG à 35% en 01.2018 Insuffisance cardiaque à fraction d'éjection abaissée sur maladie coronarienne monotronculaire de l'IVA : • Fraction d'éjection VG 30% Insuffisance cardiaque à prédominance gauche (DD chronique versus acutisée) avec : • NT proBNP à 12'056 ng/l • dyspnée • aspect radiologique de surcharge. Insuffisance cardiaque aiguë sur hypervolémie et d'étiologie ischémique présumée avec : • œdème pulmonaire aigu le 29.04.2019 • échocardiographie de qualité médiocre montrant une FEVG 40% avec une hypokinésie inférieure voire inféro-septale, une IM 3/4 et un petit épanchement péricardique sans répercussion hémodynamique • bloc de branche gauche sur l'ECG. Insuffisance cardiaque avec dysfonction systolique sévère d'origine probablement multifactorielle • Maladie coronarienne tritronculaire • Cardiomyopathie toxique • Fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide • CHADS-VASC à 2, HAS-BLED à 5 Insuffisance cardiaque congestive Goutte chronique Hernie hiatale asymptomatique Hernie inguinale droite Papillome malpighien oesophagien (OGD le 03.11.2016, suivi par le Dr. X) : • Colonoscopie et OGD le 03.11.2016 (HFR Riaz, Dr. X) avec biopsie : papillome malpighien oesophagien sans dysplasie Appendicectomie en 1968 Débridement d'ulcères du tiers distal de la face externe de la jambe gauche (opération le 12.12.2017) Statut après cure d'ulcères bilatéraux des membres inférieurs sur angiodermite nécrosante en janvier 2018 Dermohypodermite gauche Méniscectomie du genou gauche Encéphalopathie hépatique de stade II le 10.08.17 avec : • Carcinome hépato-cellulaire multifocal sur cirrhose hépatique Child A, MELD 9 points (27.01.2017) sous Sorafénib depuis le 08.04.2016, avec circulation collatérale porto-systémique et splénomégalie, stable au CT de contrôle du 26.07.2017 (Inselspital) • Asterixis bilatéral, ralentissement psychomoteur, dysmétrie et tremblement d'action Insuffisance rénale chronique de stade II acutisée le 10.08.2017 Insuffisance veineuse chronique de stade C4 Ancien abus d'alcool sevré depuis 2008 Tabagisme ancien à 10 unités paquet par an Insuffisance cardiaque congestive Goutte chronique Hernie hiatale asymptomatique Hernie inguinale droite Papillome malpighien oesophagien (OGD le 03.11.2016, suivi par le Dr. X) : • Colonoscopie et OGD le 03.11.2016 (HFR Riaz, Dr. X) avec biopsie : papillome malpighien oesophagien sans dysplasie Appendicectomie en 1968 Débridement d'ulcères du tiers distal de la face externe de la jambe gauche (opération le 12.12.2017) Statut après cure d'ulcères bilatéraux des membres inférieurs sur angiodermite nécrosante en janvier 2018 Dermohypodermite gauche Méniscectomie du genou gauche Encéphalopathie hépatique de stade II le 10.08.17 avec : • Carcinome hépato-cellulaire multifocal sur cirrhose hépatique Child A, MELD 9 points (27.01.2017) sous Sorafénib depuis le 08.04.2016, avec circulation collatérale porto-systémique et splénomégalie, stable au CT de contrôle du 26.07.2017 (Inselspital) • Asterixis bilatéral, ralentissement psychomoteur, dysmétrie et tremblement d'action Insuffisance rénale chronique de stade II acutisée le 10.08.2017 Insuffisance veineuse chronique de stade C4 Ancien abus d'alcool sevré depuis 2008 Tabagisme ancien à 10 unités paquet par an Insuffisance cardiaque dans un contexte de pic hypertensif le 15.04.2019 avec : • Oedème pulmonaire aigu et insuffisance respiratoire aigue hypoxémique secondaire • Contexte du diagnostic Insuffisance cardiaque décompensée NYHA IV sur FA rapide le 17.11.2017. Appendicectomie État confusionnel aigu et idées de persécution le 19.01.2018 : DD effet secondaire Isoprénaline, infection urinaire Bicytopénie avec anémie et thrombocytopénie le 18.01.2018 Anémie fracturaire (88 g/l le 26.07.2018) Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique • GFR selon MDRD et Cockroft à 30 ml/min Traumatisme crânien, sans perte de connaissance • Plaie lèvre supérieure avec perte de substance • Hématome pyramide nasale Statut post prothèse totale d'épaule inversée à droite pour une fracture 4 parts de l'humérus proximal droit le 23.07.2018. Insuffisance cardiaque décompensée NYHA IV sur fibrillation auriculaire rapide le 17.11.2017. Appendicectomie État confusionnel aigu et idées de persécution le 19.01.2018 : diagnostic différentiel effet secondaire Isoprénaline, infection urinaire Bicytopénie avec anémie et thrombocytopénie le 18.01.2018 Anémie fracturaire (88 g/l le 26.07.2018) Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique • GFR selon MDRD et Cockroft à 30 ml/min Traumatisme crânien, sans perte de connaissance • Plaie lèvre supérieure avec perte de substance • Hématome pyramide nasale Statut post prothèse totale d'épaule inversée à droite pour une fracture 4 parts de l'humérus proximal droit le 23.07.2018. Insuffisance cardiaque diastolique de stade II sur cardiopathie ischémique (maladie tri-tronculaire) et hypertensive : • Suivie par le Dr. X, dernière consultation en 2017 • Double revascularisation myocardique par greffon en Y mammaire sur l'IVA intra myocardique et la marginale circonflexe par le Dr. X le 04.04.2017 à la Clinique Cecil et pose de stent actif dans l'ACD moyenne le 09.06.17 (Dr. X) • US en 08.2017 : FEVG à 71%, hypertrophie concentrique Insuffisance rénale chronique de stade KDIGO G4 sur néphropathie diabétique et hypertensive • Suivi par Dr. X • GFR (Cockroft-Gault) à 20 ml/min le 19.02.2019 • Protéinurie à 0.8 g/24h le 27.02.2018 • Ostéodystrophie rénale (hyperparathyroïdisme) • Anémie normocytaire et normochrome régénérative • Encéphalopathie urémique (65.8 mmol/l), en 12.2018 Syndrome métabolique avec : • Diabète mellitus de type 1 sous insuline depuis l'âge de 36 ans, anciennement sous pompe à insuline (de 2000 à 2019) • Rétinopathie diabétique avec baisse de l'acuité visuelle • Artériopathie des membres inférieurs • Dyslipidémie • Hypertension artérielle systolique isolée sous pentathérapie depuis le 21.08.2017 • SAOS anciennement appareillée, actuellement non-appareillée AOMI non symptomatique Insuffisance cardiaque d'origine hypertensive (DD coronarienne) • Diagnostic le 15.02.2016, • ETT 16.02.2016 : FVEG 20-25%, akinésie septale et apicale, hypertrophie concentrique • Coronarangiographie 16.02.2016 : Insuffisance cardiaque droite avec importants OMI. Insuffisance cardiaque droite avec importants OMI • BNP 19.03.2019 : 171 ng/l Insuffisance cardiaque droite (15.11.2017) Souffle à 4/6 au foyer aortique sur sclérose aortique Hypertension artérielle Maladie de Parkinson Insuffisance cardiaque gauche modérée NYHA II sur toxicité aux anthracyclines avec : • Fraction d'éjection ventriculaire gauche à 41 % le 01.07.2014 avec hypokinésie globale et dysfonction diastolique légère - dysfonction systolique modérée à sévère (FEVG 30-35%) (03.2019) • Cardiopathie dilatative Insuffisance cardiaque gauche modérée NYHA II sur toxicité aux anthracyclines avec : • Fraction d'éjection ventriculaire gauche à 41 % le 01.07.2014 avec hypokinésie globale et dysfonction diastolique légère Trouble schizo-affectif sous Leponex depuis 2006 Carcinome cutané épidermoïde bien différencié et kératose séborrhéique inversée au niveau de la région parotidienne gauche ainsi qu'hyperplasie épidermique avec acanthose orthokératose et para-kératose, télangiectasies et prolifération fibroblastique dans le derme capillaire de l'hélix de l'oreille droite Carcinome épidermoïde bien différencié de l'oreille D de stade pT1G1 • Histologie 08.02.2018 (D18-2469) • Excision Dr. X 30.07.2018 (Histologie Promed P2018.8525) : hyperplasie épidermique, pas de diagnostic affirmatif de carcinome épidermoïde, excision apparemment complète • Actuellement : surveillance clinique Réfection pansement quotidienne Consultation ORL le 25.03.2019 • Biopsie lésion suspecte hélix droite • Fermeture avec 1 point vicryl 6.0 Contrôle en ORL prévu le 01.04.2019 à 15h pour ablation des fils et suite de prise en charge selon résultat de pathologie Tremblements et spasmes musculaires nouveaux le 13.03.2019 Électrolytes dans la norme Taux Leponex du 14.03.2019 dans la norme Bêta-D-Glucan positif le 07.03.2019 • dans contexte d'agranulocytose • absence de suspicion clinique d'infection fongique Suivi taux de Posaconazole 1x/semaine Insuffisance cardiaque gauche 10.04.2019 • sur NSTEMI • nt-proBNP 10.04.2019: 4012 ng/l Insuffisance cardiaque gauche Décompensation cardiaque dans contexte de probable insuffisance cardiaque d'origine indéterminée, avec : • fraction d'éjection conservée • échographie cardiaque transthoracique le 12.12.2018 (Inselspital Bern) : fraction d'éjection normale 65%, hypertension artérielle pulmonaire avec PaPs à 46 mmHg Lésion non spécifique au niveau basal du poumon gauche de découverte fortuite au CT angio thoracique du 12.12.2018 (effectué à l'Inselspital Bern), avec tabagisme ancien à 7 UPA environ, stoppé il y a 40 ans Pyélonéphrite gauche bactériémique à E. Coli multisensible sur infection urinaire traitée par Zinat, puis Meropénem et Amikacin, Rocéphine en septembre 2018 Prothèses totales de genoux bilatérales Arthrose coude gauche et neuropathie du nerf ulnaire : • mise en place d'une prothèse totale de coude gauche • neurolyse nerf ulnaire, résection tête radiale gauche (opération le 20.02.2012) Fracture T11 non datée (suspectée depuis fin novembre 2018) : • cyphoplastie T11, vertébroplastie T10 et T12, le 15.12.2018 Inselspital Bern Insuffisance cardiaque globale d'origine indéterminée en 01/2019 • DD : sur anémie (high output heart failure), cardiopathie hypertensive sous-jacente Hypertension artérielle Anémie à 82 g/l d'origine mixte le 29.01.2019 avec : • probable lymphome lymphoplasmocytaire indolent (macroglobulinémie de Waldenström) DD : MGUS • agglutinines froides et composante hémolytique (premier épisode en 03.2018, non investigué) • composante rénale • Avis hématologue (Dr. X) • Avis hématologique le 04.02.2019 (Dr. X) • CT thoraco-abdo-pelvien le 01.02.2019 • Électrophorèse et Immunofixation le 30.01.2019 • Bilan vitaminique le 30.01.2019 • Supplémentation en acide folique au long cours (1 j/2) en raison de l'hémolyse chronique • Mesure de protections contre le froid • !! Seuil de transfusion à 80 g/l d'Hb (transfusions chauffées) !! Suspicion de polyarthrite rhumatoïde séronégative • Suivi par le Dr. X • Traitements par Leflunomid et Methotrexate, arrêtés • Injection de corticostéroïdes aux 3 mois, dernière le 23.11.2018 Syndrome du canal carpien bilatéral Hernie discale L5-S1 Gonarthrose à gauche Rupture du tendon du muscle supra-épineux à gauche Incontinence urinaire partielle Maladie d'Alzheimer débutante : • Tests cognitifs le 08.03.2018 : Mini mental status (MMS) 28/30, Test de l'horloge 5/7 • Traitée par Donepezil Insuffisance cardiaque globale le 23.04.2019 • sur fibrillation auriculaire à conduction rapide Insuffisance cardiaque globale probablement secondaire au sepsis pulmonaire le 07.04.2019 • chez patiente connue pour une insuffisance respiratoire partielle (hypoxémique) sur HTAP avec polyglobulie secondaire Insuffisance cardiaque globale récurrente à FEVG diminuée d'origine hypertensive, valvulaire, rythmique • hypertension artérielle • fibrillation auriculaire permanente non anticoagulée asymptomatique CHA2DS2-VASc 2; HAS-BLED 2 • bloc de branche gauche connu • échocardiographie 2017: FEVG 25% • Pacemaker le 09.11.2017 Hypothyroïdie substituée (s/p thyroïdectomie en 1998) Insuffisance veineuse chronique des MI • Dermite jaune d'ocre Tassement D12 Incontinence urinaire de stress Décompensation d'insuffisance cardiaque globale multifactorielle NYHA II probablement sur mise en suspens du traitement dans contexte d'IRA pré-rénale, avec : • Syndrome cardio-rénal • Prise de poids (6 kg depuis l'entrée) et orthopnée • s/p décompensation cardiaque sur arrêt du ttt en 06/16 Adalat dès le 10.12.2018 Lombalgies chroniques acutisé non déficitaires le 23.11.2018 • Red flags : âge, chute en septembre 2018 • lombalgies en péjoration depuis 04/2018 Antalgie Miacalcic 200 U/I par jour pendant minimum 6 semaines Physiothérapie Rx rachis lombaire le 23.11.2018 IRM lombaire le 27.11.2018 Avis team rachis : Traitement conservateur, contrôle clinique et radiologique prévu le 20.12.2018 Transfert pour réadaptation gériatrique à Riaz le 13.12.2018 Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN I probablement pré-rénale le 28.11.2018 • FEurée : 40%, osm.urinaire >500, creatinine ratio urine/plasma >40 • CKD-EPI 36 ml/min/1.44 m² • Péjoration le 08.12.2018 : eGFR (CKD-EPI) 26.6 ml/min/1.44 m², FE urée 28% Hydratation par NaCl 500 ml/24h le 10.12.2018 Mise en suspens médicament néphrotoxiques, reprise Torem et Aldactone le 11.12.2018 Aprovel 75 mg à reprendre dès fonction rénale suffisante Hyponatrémie chronique à 129 mmol/l • hyperosmolaire le 28.11.2018 • iatrogène sur diurétiques Spot urinaire Suivi biologique Insuffisance cardiaque globale secondaire au sepsis pulmonaire le 07.04.2019 • chez patiente connue pour une insuffisance respiratoire partielle (hypoxémique) sur HTP avec polyglobulie secondaire d'origine indéterminée • ETT le 11.03.2019 (Dr. X) : FEVG 50 %. Dilatation importante des cavités droites. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4) Insuffisance cardiaque. Hypertension artérielle pulmonaire chronique. • Embolie pulmonaire en 2010, sous Sintrom 09/2013 et actuellement sous Xarelto 20 mg. Syndrome dépressif. Sténose dégénérative lombaire avec sténose canalaire L4-L5 et L5-S1 • Hernie discale paramédiane L5-S1 traitée conservativement en 2012 Douleurs chroniques sous antalgie. Insuffisance cardiaque inaugurale avec une FEVG à 30% le 9.04.2019 Insuffisance cardiaque sévère décompensée sur STEMI le 16.04.2019 Insuffisance cardiaque sévère sur cardiopathie hypertensive, ischémique (maladie tritronculaire) et valvulaire (insuffisance mitrale grade IV) avec : • PCI de l'IVA moyenne 09.12.2016 • PCI de l'ACD proximale • pacemaker-défibrillateur (Primo-implantation en 03.2014 par Dr. X) • 09.01.2019 : sepsis avec bactériémie à Staphylococcus aureus (MSSA) sur infection de sonde de pacemaker-défibrillateur • 25.01.2019 : ablation des sondes de pacemaker et défibrillateur au CHUV • 08.02.2019 OAP sur NSTEMI • 08.02.2019 : Coronarographie (Dr. X) : resténose intrastent 90% de la Cx moyenne revascularisée par ballon éluant, FEVG 25%, LVEDP 30mmHg • 21.02.2019 : repose d'un pacemaker le 21.02.2019 (Dr. X) • Echocardiographie transthoracique le 06.03.2019 : FEVG à 20 %. Dilatation importante du ventricule gauche d'origine ischémique avec une hypokinésie globale sévère. Insuffisance mitrale importante (grade 4/4) ischémique. Insuffisance rénale chronique sévère d'origine multifactorielle sur : • Déshydratation et sepsis le 09.01.2019 • Aggravation le 16.01.2019 (DD néphrite interstitielle médicamenteuse sur Cefuroxime +/- para-infectieuse) • Épuration extra-rénale continue du 28.01 au 02.02.2019 • Hémodialyse intermittente dès le 04.02.2019 (lu-me-ve) • Suivi en néphrologie (Dr. X) • Pose de cathéter de dialyse permanent (Dr. X) Artériopathie avec atteinte poly-vasculaire : • sténose de l'artère carotide interne droite à 80% • dolicho-artériomégalie avec importantes tortuosités des artères iliaques • anévrisme poplité à gauche • anévrisme poplité à droite avec pontage fémoro-poplité et thrombus mural le 19.08.2013 Maladie thromboembolique veineuse avec : • TVP d'une veine péronière du MID en 09.2013 • EP segmentaire ou sous-segmentaire dans le segment médio-basal du lobe inférieur D, asymptomatique le 10.09.2013 • EP sous-segmentaire le 25.11.2013 sur arrêt précoce de l'anticoagulation • Sous Sintrom Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Hyperplasie de la prostate Insuffisance cardiaque sévère sur cardiopathie hypertensive, ischémique (maladie tritronculaire) et valvulaire (insuffisance mitrale grade IV) avec : • PCI de l'IVA moyenne 09.12.2016 • PCI de l'ACD proximale • pacemaker-défibrillateur (Primo-implantation en 03.2014 par Dr. X) • 09.01.2019 : sepsis avec bactériémie à Staphylococcus aureus (MSSA) sur infection de sonde de pacemaker-défibrillateur • 25.01.2019 : ablation des sondes de pacemaker et défibrillateur au CHUV • 08.02.2019 OAP sur NSTEMI • 08.02.2019 : Coronarographie (Dr. X) : resténose intrastent 90% de la Cx moyenne revascularisée par ballon éluant, FEVG 25%, LVEDP 30mmHg • 21.02.2019 : repose d'un pacemaker le 21.02.2019 (Dr. X) • Echocardiographie transthoracique le 06.03.2019 : FEVG à 20 %. Dilatation importante du ventricule gauche d'origine ischémique avec une hypokinésie globale sévère. Insuffisance mitrale importante (grade 4/4) ischémique. Insuffisance rénale chronique sévère d'origine multifactorielle sur : • Déshydratation et sepsis le 09.01.2019 • Aggravation le 16.01.2019 (DD néphrite interstitielle médicamenteuse sur Cefuroxime +/- para-infectieuse) • Épuration extra-rénale continue du 28.01 au 02.02.2019 • Hémodialyse intermittente dès le 04.02.2019 (lu-me-ve) • Suivi en néphrologie (Dr. X) • Pose de cathéter de dialyse permanent (Dr. X) Artériopathie avec atteinte poly-vasculaire : • sténose de l'artère carotide interne droite à 80% • dolicho-artériomégalie avec importantes tortuosités des artères iliaques • anévrisme poplité à gauche • anévrisme poplité à droite avec pontage fémoro-poplité et thrombus mural le 19.08.2013 Maladie thromboembolique veineuse avec : • TVP d'une veine péronière du MID en 09.2013 • EP segmentaire ou sous-segmentaire dans le segment médio-basal du lobe inférieur D, asymptomatique le 10.09.2013 • EP sous-segmentaire le 25.11.2013 sur arrêt précoce de l'anticoagulation • Sous Sintrom Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Hyperplasie de la prostate Insuffisance cardiaque suivie par Dr. X. Anomalie congénitale valve mitrale ? (sténose ?) Insuffisance cardiaque sur cardiopathie mixte avec : • Fibrillation auriculaire chronique • Hypokinésie ventriculaire gauche globale • PM-CRT-D depuis 2010 • Hypertension artérielle pulmonaire modérée • Anticoagulation par Sintrom Artériopathie des membres inférieurs des deux côtés de stade IV avec petit ulcère face latérale du pied droit : • Artériographie sélective du membre inférieur gauche avec recanalisation d'une longue occlusion de l'artère tibiale antérieure et de l'artère pédieuse, angioplastie de la partie haute de l'artère péronière le 07.02.2012 • Artériographie du membre inférieur droit avec recanalisation d'une réocclusion tibiale antérieure distale par des angioplasties de l'artère tibiale antérieure et de la pédieuse avec excellent résultat le 12.01.2016 • Amputation du gros orteil droit pour nécrose humide en janvier 2016 • Revascularisation endovasculaire de l'artère tibiale antérieure distale/pédieuse proximale et PTA du départ de l'artère tibiale postérieure le 17.05.2016 Diabète type 2 insulino-requérant Anémie chronique Hernies de la ligne blanche et inguinale gauche Syndrome des apnées du sommeil appareillé (suivi par Dr. X) Diabète Insuffisance chronique stade IV sur masse néphronique réduite et sénescence avec créatinine à 321µmol/l : • Possible anémie rénale • Hyperparathyroïdie secondaire • MDRD à 16.7ml/min/1.73m2 • Fraction d'excrétion de l'urée à 36.7% (pré-rénale) le 13.03.2019 • Absence d'investigations rénales préalables Insuffisance chronique stade 4 d'origine postrénale dans le cadre du diagnostic suppl. 1 et rénale sur néphropathie hypertensive, avec : • créatinine 228 mcmol/l, eGFR selon CKD-EPI 21 ml/min le 07.02.2019 • créatinine 225 mcmol/l, eGFR selon CKD-EPI 20 ml/min le 23.03.2019 • US abdominal le 06.02.2019 : masse vésicale dans la partie basse de la vessie envahissant le méat urétéral droit et probablement aussi le méat urétéral gauche avec dilatation urétérale et pyélocalicielle en amont des deux côtés • s/p résection transurétrale de la prostate et biopsie vésicale le 11.02.2019 • avis urologique par Dr. X : masse envahissant totalement les uretères donc pas de sonde double J possible, si péjoration néphrostomies bilatérales mais impliquant soins continus/dialyse (non souhaité par Mr. Y) Insuffisance chronotrope chronique Insuffisance chronotrope diurne relative Insuffisance de l'extenseur de l'hallux à D le 15.02.2019 sur status post exploration de la plaie, débridement avec ablation des corps étrangers, rinçage, suture du EHB avec un Kessler en Prolene 3.0 et du EHL avec un double Kessler en Prolene 3.0 et adaptation des tendons avec surjet en Prolene 6.0 le 24.01.2019 sur plaie profonde du dos du pied avec section du tendon du muscle extensor hallucis longus et de l'extensor hallucis brevis et section de la corticale dorsale du 1er métatarse avec présence de plusieurs corps étrangers métalliques. Insuffisance du tendon du muscle tibial postérieur G stade 2A sur status post entorse cheville G en mars 2018. Insuffisance hépatique d'origine indéterminée DD métastases hépatiques DD foie de stase le 23.03.2019. Insuffisance hépatique en péjoration CHILD C (score 10 points) avec péjoration de l'encéphalopathie hépatique (stade 1). Insuffisance hypophysaire antérieure partielle avec : • hypothyroïdie centrale • taux ACTH abaissé • LH/FSH abaissés Clubbing idiopathique familial avec : • doigts en baguette de tambour • ongles en verre de montre Insuffisance rénale chronique terminale (stade V) : • Dans un contexte de néphrite interstitielle sur phénacétine et abus de diurétiques et de laxatifs • Dans un contexte d'acidose tubulaire distale de type I congénitale • Status post multiples néphrolithiases • Biopsie rénale le 14.08.2008 : glomérules atubulaires, remaniement interstitiel chronique • CT-scan abdominal 12.08.2008 : reins de taille diminuée des deux côtés, multiples petites lithiases des deux côtés, calcification marginale de corticale, kyste pôle inférieur rein droit • Acidose réno-tubulaire distale, pas de protéinurie, sédiment urinaire inactif • Confection d'une fistule artério-veineuse humérale selon Brescia-Cimino / proximalisation au niveau du membre supérieur droit le 23.11.2015 • Dialyse 3x/sem depuis 2015, via Permacath (posé par ponction veine jugulaire interne D le 04.07.2017) Complications associées à l'IRT : • Hyperparathyroïdisme secondaire • Ostéopathie complexe avec ostéoporose et ostéomalacie avec status post fracture spontanée des genoux des deux côtés, hanche et radius D • Anémie chronique normochrome, normocytaire, hyporégénérative d'origine rénale Arthrose des chevilles et des pieds Anorexie mentale avec : • Malnutrition protéino-énergétique • Cachexie (BMI 15 kg/m2) le 01.07.2015 • Abus de diurétiques et laxatifs de longue date Insuffisance mitrale Insuffisance mitrale légère sur valve épaissie. Insuffisance mitrale modérée FA paroxistique anticoagulée par sintrom Blepharospasme Hernie discale L4/L5 Coxarthrose D Hypothyroïdie subclinique IRC stade III HTA Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 sur chronique G5 A3 selon KDIGO sur probable néphropathie hypertensive et néphroangiosclérose, DD : • néphrite interstitielle sur Co-Amoxi • d'origine prérénale sur nécrose tubulaire • sur syndrome obstructif et urétéro-pyélocaliciel gauche chronique • pose d'une sonde double JJ refusée par la famille. Insuffisance rénale à 110 mmol/l sans comparatif. Insuffisance rénale aiguë. Insuffisance rénale aiguë acutisée AKIN I sur IRC grade II connue Hyponatrémie chronique avec Natrémie à 132mmol/L le 17.03.2019 Cardiopathie hypertensive et valvulaire avec dyslipidémie, adiposité et hypertonie artérielle FUVG 65% le 05.01.2015, traité par Co-Aprovel Hypomagnésiémie chronique avec magnésiémie à 0.55mmol/L le 17.03.2019, sous Magnésiocard Suspicion de BPCO non stadée, avec tabagisme actif à 20 UPA, sous Spiriva Anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 113g le 17.03.2019 Troubles du sommeil sous Zolpidem Hypothyroïdie substituée par Euthyrox Dermatite bulleuse avec prurite chronique sous Atarax Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 sur probable manque d'apport hydrique • 58 ml/min • FEurée 25% Insuffisance rénale aiguë AKIN d'origine prérénale 17.04.2019 • Fe Urée : 31.5 % • eGFR (MDRD) : 27ml/min • probablement sur déshydratation Insuffisance rénale aiguë AKIN I : • Avec créatinine à 114µmol/l • Avec Cockroft calculé à 61.6ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I • créatinine à 116 umol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN I à 106 umol/L. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec : • créatinine à 119 umol/l • clairance 44 ml/min. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec clairance de la créatinine à 65 ml/min selon Cockroft & Gault d'origine rénale • FE Urée à 43%. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec : • créatinine à 110 umol/l • clairance à 55 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I, avec créatinine à 124 µmol/l le 07.04.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN I DD pré-rénale sur Torasémide • CrCl 35 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I DD pré-rénale sur Torasémide • CrCl 35 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I de probable origine pré-rénale le 02.04.2019 • Créatinine à 116 umol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN I, de type pré-rénale, le 11.04.2019 Insuffisance rénale aiguë, AKIN I, de type pré-rénale probable, le 23.04.2019 DD : Syndrome cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 24.03.2019 sur déshydratation • Labo le 24.04.2019 : Crea 112 umol/l, eGFR 57.1 ml/min • Labo le 08.04.2019 : Crea 103 umol/l, eGFR 63.1 ml/min • Normalisation pendant l'hospitalisation Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine indéterminée Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine mixte pré-rénale et post-rénale 29.03.2019 • DD : déshydratation sur vomissement, obstruction, NTA médicamenteuse Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine prérénale Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale avec FENa 23.5 % • clairance à 55 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale dans un contexte probable de syndrome cardio-rénal • contexte d'insuffisance rénale chronique (créatinine habituelle à 100 umol/l) • clairance à 30 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine prérénale (Fe Urée à 19.1%) avec : • Créatinémie à 138 umol/l le 06.04.19 (Cockroft à 33 mL/min) • Acidose métabolique (pH à 7.32, Bic 16mmol/L) • Hyperkaliémie jusqu'à 6.3mmol/l DD : • sepsis • syndrome cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 11.04.2019 • Fe Urée 30.1% Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur bas débit dans le contexte du diagnostic 1, le 14.09.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur insuffisance rénale chronique. Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur insuffisance rénale chronique le 11.04.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement pré-rénale le 15.04.2019, avec : DD : sur déshydratation dans le cadre du diagnostic principal Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement pré-rénale sur déshydratation avec : • créatinine à 132 umol/l • clairance 80 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 03.04.2019 DD prérénale, sepsis Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 07.02.2019 d'origine probablement pré-rénale sur diurétiques (introduction d'Aldactone et majoration du Torem dès le 04.02.2019) Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 18.03.2019 avec : • GFR selon CKD-EPI à 45 ml/min, créatinine 118 umol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 20.02.2019 avec 118 de créatinine et GFR selon CKD-EPI 41ml/min • Normalisation par la suite Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 22.03.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I pré-rénale le 01.04.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I pré-rénale le 15.03.2019 • Fe Urée à 28%, créatinine 165 umol/l DD : choc septique avec MOF • Hyperkaliémie Insuffisance rénale aiguë AKIN I pré-rénale le 19.03.2019 • Transplantation rénale gauche en 2014 • Biopsie en février 2019 à l'Inselspital, résultats en cours • Suivi à l'Inselspital par Dr. X 031 932 31 44 ; néphrologue et MT Dr. X • Immunosuppression par Ciclosporine, Mycophénolate Mofétil, Prednisone • Renal resistive index 0.8 (29.03.2019) Insuffisance rénale aiguë AKIN I pré-rénale le 19.03.2019 • Transplantation rénale pelvienne gauche en 2014 • Biopsie en février 2019 à l'Inselspital, résultats en cours • Suivi à l'Inselspital par Dr. X 031 932 31 44 ; néphrologue et MT Dr. X. • Immunosuppression par Ciclosporine, Mycophénolate Mofétil, Prednisone • Renal resistive index 0.8 (29.03.2019) Insuffisance rénale aiguë AKIN I pré-rénale le 19.03.2019 • Transplantation rénale pelvienne gauche en 2014 • Biopsie en février 2019 à l'Inselspital, résultats en cours • Suivi à l'Inselspital par Dr. X 031 932 31 44 ; néphrologue et MT Dr. X. • Immunosuppression par Ciclosporine, Mycophénolate Mofétil, Prednisone • Renal resistive index 0.8 (29.03.2019) Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique avec • créatinine à 113 mcmol/l • GFR : 32 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique de stade 3b, d'origine prérénale avec : • Créatinine à 210µmol/l le 22.02.2019 Cockroft à 23 ml/min Fraction d'excrétion de l'urée à 18.5% Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique G2 KDIGO, le 30.03.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique probablement d'origine cardio-rénale le 09.04.2019, avec : • créatinine à 113 mcmol/l • GFR calculé : 32 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique stade 3 le 16.03.2019, DD syndrome cardio-rénal, diurétiques • probable néphroangiosclérose et hyalinose segmentaire et focale • hyperparathyroïdie secondaire stable • FeUrée 16% le 16.03.2019 (origine pré-rénale) • eGFR selon CKD-EPI : 49 mL/min/1.73 m² (le 26.03.2019) Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur déshydratation avec • créatinine 130 mcmol/l • GFR : 40 ml/min • FEUrée : 17.7% Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique avec clearance à 36 ml/min d'origine prérénale. Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique stade IIIb, • clearance créatinine à 26.2 mg/min/1.73 m². Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur probable insuffisance rénale chronique, probablement dans un contexte hépato-rénal • créatinine à 151 umol/l. • clairance à 52 ml/min. Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur rhabdomyolyse et produit de contraste le 20.04.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I vs chronique • créatinine à 116 umol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN II avec • créatinine 245 mcmol/l, GFR : 25 ml/min, FEUrée : 39% (pré-rénal) • hyperkaliémie à 5.3 mmol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN II, d'origine indéterminée. Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine mixte le 29.03.2019 sur : • pré-rénale dans le contexte septique • néphropathie au produit de contraste • FeNa : 2.0 %, FeUrée : 31%. Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine pré-rénale Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine pré-rénale et d'origine multifactorielle le 05.04.2017 : • déshydratation sur Diamox, diarrhées, décompensation diabétique • FeUrée : 27% Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine pré-rénale sur bas débit Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine pré-rénale sur déshydratation et contexte septique avec : • créatinine 207 umol/l • clairance 35 ml/min • oligo-anurie (30 cc sur 8 h). Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine pré-rénale sur déshydratation (manque d'apports, contexte septique) • clairance à 27 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine rénale le 05.04.2019 • FE Urée à 96 % Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine rénale le 05.05.2019 • Fe urée à 96 % Insuffisance rénale aiguë AKIN II le 08.04.2019 d'origine post-rénale sur globe vésical : • fraction excrétion de l'urée à 53% (non pré-rénal) Insuffisance rénale aiguë AKIN II le 25.04.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN II oligo-anurique d'origine pré-rénale sur bas débit le 15.04.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN II pré-rénale le 02.03.2019 • DD : bas débit, produits de contraste Insuffisance rénale aiguë AKIN II prérénale sur néphropathie chronique diabétique et hypertensive grade 3 le 11.04.2019 avec : • FE urée 15% • protéinurie • acidose métabolique hyperkaliémique • hypocalcémie et hyperphosphatémie Insuffisance rénale aiguë AKIN II prérénale sur néphropathie chronique grade 3 le 11.04.2019 avec : • FE urée 15% • IRC G3b A2 sur néphropathie vasculaire et diabétique avec GFR à 40 ml/min selon CKD-EPI • acidose hyperkaliémique de type IV • protéinurie • hypocalcémie et hyperphosphatémie Insuffisance rénale aiguë AKIN III à 191 umol/l d'origine pré-rénale • clearance à 40 ml/min le 18.03.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN III anurique d'origine multifactorielle le 25.03.2019 avec : • acidose métabolique sévère et hyperkaliémie DD étiologique : • bas débit sur choc hémorragique puis choc vasoplégique (ischémie-reperfusion et septique) • infarctus rénaux multiples sur emboles per opératoire • rhabdomyolyse • nécrose tubulaire aiguë sur injection de produit de contraste Insuffisance rénale aiguë AKIN III anurique sur hypovolémie Insuffisance rénale aiguë AKIN III • DD prérénale, septique Insuffisance rénale aiguë AKIN III, d'origine indéterminée le 02.04.2019 • DD syndrome néphrétique • créatinine le 08.03.2018 : 95 mmol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine mixte : • pré-rénal : diarrhée, diurétiques • rénale : nécrose tubulaire aiguë sur produit de contraste Avec : • acidose métabolique • hyperkaliémie • hypomagnésémie Insuffisance rénale aiguë AKIN III, d'origine post-rénale sur rétention urinaire aiguë le 06.04.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN III, d'origine post-rénale sur rétention urinaire aiguë le 06.04.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN III le 19.03.2019 DD : • dans le contexte d'un possible syndrome hépato-rénal ? • dans le contexte du sepsis Insuffisance rénale aiguë AKIN III le 29.04.19 sur chronique • FE urée 34% • créat 137, GFR 29 ml/min • hyperkaliémie le 29.04.19 DD : syndrome cardio-rénal, pré-rénale avec déshydratation, médicamenteuse IEC Insuffisance rénale aiguë AKIN III le 31.03.2019 • sur produit de contraste, composante pré-rénale et médicamenteuse c/o diabétique • acidose métabolique, hyperkaliémie Insuffisance rénale aiguë AKIN III oligurique le 02.04.2019 sur glomérulonéphrite extra-capillaire pauci-immune, dans le cadre d'une vasculite telle qu'une micro-PAN avec : • anticorps ANCA-positifs anti-MPO • syndrome néphrotique (protéinurie 5.69 g/24 h) le 07.04.2019 • eGFR 6 ml/min le 10.04.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN III oligurique sur glomérulonéphrite extra-capillaire le 02.04.2019 • anticorps ANCA-positifs anti-MPO • syndrome néphrotique • clairance de la créatinine à 5 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN IV d'origine pré-rénale probable, le 25.04.2019 Clairance calculée CKD-EPI : Insuffisance rénale aiguë AKIN IV, le 25.04.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN x le 27.03.2019 • origine pré-rénale sur déshydratation Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 • créatinine à 112 µmol/le 22.02.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 dans le contexte septique : • insuffisance rénale chronique stade IV Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine mixte dans un contexte d'insuffisance rénale chronique sur : • myélome multiple • chimiothérapie par Kyprolis • décompensation cardiaque • avec créatinine à 167 µmol/l et Cockroft calculé à 23.1 ml/min • avec fraction excrétion de l'urée à 24.7% le 07.03.2019, parlant pour une origine pré-rénale Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine mixte le 03.12.2018 • pré-rénale sur bas débit rénal • post-rénale sur effet de masse par compression de l'hématome et tubulopathie au produit de contraste Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine mixte prérénale et rénale avec glomérulonéphrite Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale le 07.04.2019 • FE Urée : 30% Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale le 10.03.2019 • CrCl 34 ml/min • FeUrée 26% Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine prérénale le 27.04.2019 Clairance estimée à 33 ml/min à l'arrivée. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine prérénale le 17.04.2019 • FeUrée : 31.5 % • eGFR (MDRD) : 27 ml/min • Probablement sur déshydratation. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine probablement prérénale. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine probablement pré-rénale, avec créatinine à 124 mcmol/l. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine probablement pré-rénale le 21.04.2019 • avec acidose métabolique modérée. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 08.04.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 10.04.2019 : • GFR selon Cockroft : 75 ml/min. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 28.03.2019 avec une créatinémie à 142 micromol/l. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 post tachycardie ventriculaire le 21.03.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 pré-rénale le 01.04.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 prérénale avec néphropathie diabétique et hypertensive stade 3 le 16.04.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 prérénale dans le contexte d'une néphropathie diabétique chronique de stade III le 25.02.2019 : • Diagnostics différentiels : sepsis, syndrome cardio-rénal. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 pré-rénale le 11.04.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 prérénale le 15.04.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 prérénale le 15.04.2019 • acidose métabolique. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 prérénale le 15.04.2019 • Créatininémie à 81 mcmol/l (habituellement 46 mcmol/l) • Anurie. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 pré-rénale sur néphropathie diabétique et hypertensive stade 3 le 16.04.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 probablement prérénale, post-opératoire puis sur diarrhées. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1, sur chronique, le 16.04.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur chronique (néphropathie diabétique et hypertensive) d'origine mixte : • prérénale sur syndrome cardio-rénal • post-coronarographie avec produit de contraste. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 17.04.2019 • Fe Urée 30.6 % • Pré-rénale. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 25.04.2019 • origine probablement prérénale • FeUrée à pister. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 avec créatinine à 177 mmol/l le 23.04.2019 et troubles électrolytiques sévères : • clairance à 38 ml/min selon Cockroft • hypokaliémie sévère à 2.3 mmol/l • hyponatrémie modérée normosmolaire à 126 mmol/l • hypophosphatémie à 0.51 mmol/l. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine mixte prérénale sur déshydratation et traitement diurétique et post-rénale sur globe vésical : • Fraction d'excrétion de l'urée 18.1 %. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine probablement prérénale sur chronique stade G3a, avec : • eGFR selon CKD-EPI 21 ml/min le 08.04.2019 • eGFR selon CKD-EPI 54 ml/min le 15.04.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine rénale avec une créatininémie à 187 µmol/l en août 2018. Pyélonéphrite gauche atypique, résistante au traitement antibiotique depuis le 12.08.2018. Hématochésie d'origine indéterminée. Douleurs de la loge rénale gauche d'origine indéterminée. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 le 18.04.2019 • Fe Urée 3.91 %, Fe Na 0.12 % • prérénale vs septique vs embolisation septique. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 oligo-anurique prérénale le 17.04.2019 DD : choc cardiogénique, produit de contraste, médicamenteux. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 oligo-anurique sur bas débit cardiaque le 17.04.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 sur chronique KDIGO G2, le 20.03.2019 • FeUrée (après hydratation i.v.) : 37 %. Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 de probable origine pré-rénale le 25.04.2019 avec : • à l'entrée créatinine à 522 umol/l • eGFR 9 ml/min selon Cockroft-Gault DD : majoration du traitement diurétique, syndrome hépato-rénal. Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine plutôt prérénale le 23.02.2019 • FE du sodium 0.45 %, prérénal • FE de l'urée 39 % • 9.18 créatinine plasmatique à 84 chez médecin traitant. Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine pré-rénale probable le 25.04.2019 • FeUrée 33 % • Acidose métabolique compensée • Hyperkaliémie à 5.8 mmol/l le 25.04.2019 • DD étiologique : majoration du traitement diurétique et pertes digestives. Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine pré-rénale le 27.03.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine probablement pré-rénale avec créatinine à 232 umol/l et clairance à la créatinine à 13.6 ml/minute selon Cockroft. Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 le 13.04.2019 • composante pré-rénale sur déshydratation • composante post-rénale sur progression du lymphome. Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 sur bas débit cardiaque le 23.04.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine probablement prérénale dans le cadre du diagnostic principal sur insuffisance rénale chronique stade 3b • créatinine 267 mcmol/l, eGFR selon CKD-EPI 19 ml/min/1.73 m² le 01.04.2019 • créatinine 137 mcmol/l, eGFR selon CKD-EPI 42 ml/min/1.73 m² le 15.04.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 08.04.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 08.04.2019 sur probable déshydratation. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur insuffisance chronique (eGFR 25 ml/min selon MDRD / 16 ml/min selon Cockroft) d'origine probablement post-rénale (sur globe). Insuffisance rénale aiguë anurique AKIN 3 le 02.04.2019. Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 153 mcmol/l le 11.04.2019 GFR 34 ml/min. Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 120 mmol/L avec GFR à 55 ml/min. Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 147 mmol le 12.03.2019 suivie. Hyperkaliémie à 5.3 mmol traitée par Resonium 15 mg suivie. Déficit en acide folique D3 objectivé le 13.03.2019, substitué. Globe vésical le 15.03.2019 avec 700 cc avec pose de cystofix le 15.03.2019 par le Dr. X et ablation en ambulatoire. Phimosis important insondable et indécalotable, le 13.03.2019 suivi par Dr. Y avec consultation par rapport à une circoncision en avril. Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 249 umol/l - (clairance à 24 ml/min le 22.02.2019) sur insuffisance rénale chronique. Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 129 µmol le 10.03.2019 • GFR = 36 ml/min/1.73m2 stade 3b (probablement sur AINS et déshydratation induite). Insuffisance rénale aiguë DD chronique (créatinine à 149 umol/l). Insuffisance rénale aiguë d'origine fonctionnelle le 19.04.2019. Insuffisance rénale aiguë d'origine indéterminée le 21.04.2019. Insuffisance rénale aiguë d'origine mixte sur déshydratation sur diarrhée le 06.04.2019 : • Prérénale et médicamenteuse (Bactrim). Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale. Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale AKIN I, le 12.03.2019. Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale avec : • Cockroft à 35 mL/min. • FeUrée à 30 %. DD : surdosage en diurétique, perte gastrique sur vomissement, manque d'apport. Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale avec : • Créatinémie à 138 umol/l le 06.04.2019 • Acidose métabolique (pH à 7.32, Bic 16) • Cockroft à 33 mL/min • FeUrée à 19.1 % • DD : IC, perte extra-rénale sur diarrhée. Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale dans le contexte d'insuffisance rénale chronique G3b le 16.04.2019.GFR 31 ml/min FeUrée: 31.5% DD sur infection, Cardio-rénale Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 08.04.2019 GFR selon CKD-EPI 31 ml/min Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale, le 13.04.2019 Créatinémie à 115 mmol/l Cockroft à 63 ml/min FeUrée à 34.9% Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale le 23.01.2016 et le 16.08.2016. Pneumonie communautaire basale gauche le 15.08.2016. Hématurie macroscopique le 23.01.2016 avec : • paroi lamellaire avec épaississement et infiltration péri-vésicale au scanner. • diagnostic différentiel : adénocarcinome de la vessie, cystite, varice prostatique. Névralgie du trijumeau. Cures d'hernies inguinales des 2 côtés en 1974 (HFR Fribourg) et à gauche en 2006 (Clinique Cécil, Lausanne). Appendicectomie. Résection transurétrale de la prostate. Pyomyosite du membre supérieur gauche à Staphylocoque doré le 18.03.19 • avec abcès communicants intra-musculaires • Incision, débridement d'abcès intramusculaires face dorsale avant-bras G et prélèvements bactériologiques (OP 21.03.2019) • 2nd look avant-bras G avec débridement, lavage et réalisation de prélèvements bactériologiques (OP 24.03.2019) • 3rd look, exploration, prélèvements, rinçage collection avant-bras G face dorsale (OP 07.04.2019) • ATB: 18.03.-19.04.2019 (Co-Amoxi i.v. et p.o.) Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 18.03.19 avec : • GFR selon CKD-EPI à 45 ml/min, créatinine 118 umol/l Pseudo-hyponatrémie à 128 mmol/l hyperosmolaire Hypokaliémie à 2.8 mmol/L le 01.04.2019 • Probablement sur diurétiques, hypomagnésémie, flucloxacilline haute dose Surcharge hydrique 22.03.19 avec prise de 3 kg sur surhydratation • dans le contexte d'une cardiopathie rythmique et ischémique • OMI bilatéraux Insuffisance rénale aiguë le 10.04.2019 d'origine rénale • Créatinine 110 umol/l • FeUrée : 52.1% Insuffisance rénale aiguë le 09.04.2019 avec Clearance à 70 ml/min (vs 99 ml/min) d'origine pré-rénale. Insuffisance rénale aiguë le 29.04.19 • créat 137, GFR 29 ml/min Insuffisance rénale aiguë légère d'origine prérénale le 15.03.2019 Insuffisance rénale aiguë postopératoire avec : • eGFR 47.9 mL/min/1.73 m² selon MDRD le 20.03.2019 • eGFR 73 mL/min/1.73 m² selon MDRD le 12.04.2019. Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN I. Insuffisance rénale aiguë prérénale AKIN II sur insuffisance rénale chronique dans un contexte de diarrhées avec : • clairance de la créatinine à 19 ml/min selon Cockroft & Gault d'origine • FE urée 16% • hyperkaliémie 7.1 mmol/l. Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN III avec diurèse conservée sur insuffisance rénale chronique stade 3 le 09.04.2019 • clairance créatinine mesurée à 13 ml/min le 13.04.2018 • acidose métabolique associée • hyperphosphatémie et hypocalcémie Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN 1 sur insuffisance rénale chronique stade 3 sur néphro-angiosclérose et néphropathie diabétique le 14.03.2019 : • Fe Na: 46%. Insuffisance rénale aiguë prérénale avec clearance à 24 ml/min sur insuffisance rénale chronique, le 15.03.2019. Insuffisance rénale aiguë prérénale avec créatinine à 125 umol/l et urée à 12 mmol/l. Insuffisance rénale aiguë prérénale le 15.04.2019 • Cockroft à 41 ml/min • FeUrée à 11% DD : médicamenteux (Torem), manque d'apport, cardiorénalInsuffisance rénale aiguë pré-rénale 27.03.2019 • eGFR à 62 ml/min • Fe Na+ à 0.15% Insuffisance rénale aiguë probablement après injection de produit de contraste • St.p. coronarographie le 22.03.2019 Insuffisance rénale aiguë probablement d'origine multifactorielle (Cockroft 42 ml/min/1.75 m2) : • prérénale sur déshydratation • post-rénale en raison de la prostatite • syndrome cardio-rénal. Insuffisance rénale aiguë, probablement d'origine pré-rénale. Insuffisance rénale aiguë probablement d'origine pré-rénale sur déshydratation, KDIGO 1 • créatinine à 134 mcmol/l. Insuffisance rénale aiguë probablement d'origine pré-rénale sur manque de prise hydrique. Insuffisance rénale aiguë probablement pré-rénale le 22.03.2019. Insuffisance rénale aiguë récidivante oligo-anurique sur chronique stade 4 • sur syndrome cardio-rénal de type 2 et possible syndrome du compartiment abdominal • Permcath posé le 21.06.2018 Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN. Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN le 05.04.2019 • pister FeUrée Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN le 21.04.2019. Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN le 30.04.2019 DD contexte déshydratation. Insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN de probable origine pré-rénale le 03.04.2019. Insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN de probable origine pré-rénale le 03.04.2019 • FE urée à 35.5%. Insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN de probable origine pré-rénale sur insuffisance rénale chronique le 12.04.2019. Insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN de probable origine pré-rénale sur syndrome cardio-rénal le 07.04.2019. Insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN d'origine probablement pré-rénale • clearance à 50 ml/min. Insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN le 25.03.2019 DD : déshydratation, sepsis. Insuffisance rénale aiguë stade AKIN 1 d'origine mixte, prérénale sur origine septique et post-rénale. Insuffisance rénale aiguë stade AKIN 1 pré-rénale le 11.04.2018 • Fe urée à 11%. Insuffisance rénale aiguë stade AKIN 1 sur possible origine hépato-rénale le 11.04.2019 : • clearance à 17 ml/min selon MDRD • clearance à 30 ml/min selon Cockroft DD : déshydratation. Insuffisance rénale aiguë stade AKIN 2, rénale sur traitement anti-inflammatoire et pré-rénale sur DSH le 04.04.2019 : • Fraction d'excrétion de l'urée à 22% le 04.04.2019 • Clairance à la créatinine selon MDRD à 20ml/min. Insuffisance rénale aiguë stade II : • GFR 75 ml/min/1.73 m2. Insuffisance rénale aiguë sur chronique : • Clairance à la créatinine selon Cockroft calculé à 22l/min. Insuffisance rénale aiguë sur chronique avec créatinine à 176 µmol/l. Insuffisance rénale aiguë sur chronique dans le contexte de l'infection et déshydratation, • créatinine à 269 umol/l. Insuffisance rénale aiguë sur chronique de probable origine pré-rénale à 126 mmol/l le 06.04.2019 avec : • FEurée à 37 % • Spot inversé DD : déshydratation, infection urinaire. Insuffisance rénale aiguë sur chronique • GFR à 34 ml/min le 13.04.2019 • eGFR calculé avec la méthode CKD-EPI à 40.9 ml/min/1.73 m² le 17.04.2019. Insuffisance rénale aiguë sur chronique KDIGO G3a avec : • créatinine de base à 114 umol/L, EGFR 56 ml/min selon MDRD. Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 03.06.2018 • insuffisance rénale chronique d'origine inconnue • FE Urée 34%. Crise de goutte au niveau de la 1ère articulation métatarsophalangienne droite 30.05.2018. Insuffisance rénale d'étiologie mixte (pré-rénale et possible néphropathie sur produit de contraste) le 28.03.2011. Hydronéphrose gauche sur sub-sténose de la jonction pyélo-calicielle. Prothèse totale du genou gauche en 2010. Pancréatite post-ERCP le 23.03.2011. Cholécystectomie le 23.03.2011 à cause de cholécystolithiase symptomatique. Lésion d'une voie biliaire dans le lit vésiculaire intra-opératoire (branche du système antérieur droit). Laparoscopie exploratrice le 25.03.2011 avec lavage et remplacement du drainage. Collection biliaire sous-hépatique le 25.03.2011 avec surinfection par Entérocoques et Candida albicans. NSTEMI le 25.03.2011. Cholangite sur déplacement de stent le 08.04.2011 (ablation stent et papillotomie le 08.04.2011). Hémorragie duodénale sur escarre due au stent biliaire avec saignement actif de l'artère pancréatico-duodénale inférieure le 09.04.2011. Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 09.04.2019 • Créatinémie à 265 umol/l • Cockroft à 35 mL/min • FeUrée à 41.4 %. DD : prérénale sur vomissement. Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 09.04.2019 • Créatinémie à 265 Umol/l • Cockroft à 35 mL/minute • FeUrée à 41.4%. Diagnostic différentiel : prérénale sur vomissement. Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 24.04.2019 • Fe Na 3.45% d'origine rénale • Clairance (CKD -EPI) : 28ml/mn/1,73. Insuffisance rénale aiguë sur chronique (néphropathie hypertensive) AKIN I d'origine post-rénale sur hypertrophie de la prostate et masse vésicale avec sonde à demeure : • Creatinin 178 umol/l, GFR selon CKD-EPI 29 ml/min (27.2.19) • US abdominal 06.02.19 : masse vésicale dans la partie basse de la vessie envahissant le méat urétéral droit et probable aussi le méat urétéral gauche avec dilatation urétérale et pyélocalicielle en amont des deux côtés. • Résection transurétrale de la prostate et biopsie vésicale le 11.02.19 au Daler (Dr X). • Avis Dr X : pas de sonde double J possible vu masses envahissant totalement les urètres, si péjoration néphrostomies bilatérales mais impliquant soins continu/dialyse (non souhaité par Mr Y). Maintien de la sonde vésicale en place jusqu'à prochaine réévaluation urologique. • Suite de prise en charge urologique chez Dr. Y avec convocation prochaine. Insuffisance rénale aiguë sur chronique non stadée avec créatinine à 141µmol/l avec : • Clairance de la créatinine selon Cockroft à 22ml/min. Insuffisance rénale aiguë sur chronique, probablement pré-rénale (FE urée 15%). Insuffisance rénale aiguë sur chronique sans critère AKIN • CrCl 41ml/min. Insuffisance rénale aiguë sur chronique sans critères AKIN • créatinémie à 102mcmol/l (GFR selon MDRD à 57ml/min) en 02.2019 • clairance selon Cockroft à 42ml/min ou 45ml/min selon MDRD (le 16.04.19). Insuffisance rénale aiguë sur chronique stade III le 19.03.2019. Insuffisance rénale aiguë sur chronique • 26.03.2019 : Créatinine 220 mmol/l. Insuffisance rénale aiguë sur chronique 28.03.2019 • FE urée 39%, suggestif d'une origine prérénale. Insuffisance rénale aiguë sur chronique. Diagnostic différentiel : néphropathie à la Vancomycine, néphropathie au produit de contraste (CT-scan abdominal injecté le 14.03 et 19.03), infectieux, réabsorption électrolytes dans le conduit iléal. Insuffisance rénale aiguë sur chronique • GFR à 34 ml/min le 13.04.19. Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique, avec créatinine à 115 mmol/l. Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique avec créatinine à 135 mmol/l • clairance à Cockroft 48.4 ml/min. Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique d'origine mixte, avec : • Clairance selon Cockroft à 19.9ml/h • Fraction d'excrétion de l'urée à 34.9% (composante pré-rénale) • Composante post-rénale liée au globe vésical de 1000ml. Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique le 23.03.2019. Créatinine 363 µmol/l. Insuffisance rénale aiguë sur syndrome inflammatoire le 23.03.2019 : • Créatinine à 115µmol/l. Insuffisance rénale AKI 1 à 123 umol/l • Clearance 35 l/min selon Cockroft. Insuffisance rénale AKIN I. Insuffisance rénale AKIN I à 104 µmol/l. Insuffisance rénale AKIN I à 104 umol/L. Insuffisance rénale AKIN I avec une créatinine à 145 mcmol/l. Insuffisance rénale Akin I avec une créatinine à 145 mcmol/l Insuffisance rénale AKIN III d'origine mixte: pré-rénale et rénale sur prise d'AINS et déshydratation ainsi que composante post-rénale sur obstruction partielle le 25.02.19 • Spot urinaire: FeUrée 16.7% • Hyperphosphatémie Insuffisance rénale AKIN 1 • Créatinine 119 µmol/L, eGFR (CKD-epi) 53 ml/min Insuffisance rénale AKIN 1 sur insuffisance rénale chronique d'origine pré-rénale sur probable syndrome cardio-rénal le 01.04.2019 Insuffisance rénale anurique en 2009. Douleurs antéro-thoraciques gauche d'origine musculo-squelettique le 31.07.15. Crachats hémoptoïques le 31.07.15. DD: sur bronchiectasies, irritatif sur toux. Insuffisance rénale avec créatinine à 121µmmol/l. Insuffisance rénale chronique • CKD-EPI : 42 ml/min/1,73 m2 le 24.04.19 Insuffisance rénale chronique • Créatinine à 137µmol/l • Cockroft calculé à 38ml/min Insuffisance rénale chronique : • Créatinine à 147µmol/l le 12.03.2019 • Clearance de la créatinine selon Cockroft à 42ml/minute Insuffisance rénale chronique • GFR à 35mL/min • FeNa 3% Insuffisance rénale chronique à 96 umol/L de créatinine d'origine rénale • Clairance à 35 ml/min • Créatinine à 75 umol/L le 11.04.2019 Insuffisance rénale chronique acutisée • clairance de la créatinine estimée selon Cockcroft-Gault à 51 ml/min le 20.03.2019 Insuffisance rénale chronique acutisée AKIN 1 probablement sur déshydratation, avec : • Dernière créatininémie chez le médecin traitant à 156µg/l le 29.03.2017 Insuffisance rénale chronique acutisée AKIN 1 probablement sur déshydratation et d'origine iatrogène : • Créatinine à 200µmol/l le 30.03.2019 • Clairance à la créatinine selon Cockcroft and Gault le 30.03.2019 : 26ml/h Insuffisance rénale chronique acutisée sans critère AKIN d'origine pré-rénale le 04.04.2019 • Créatinine maximal à 144µmol/l (Cockroft) DD : cardio-rénal Insuffisance rénale chronique aiguë sans critère AKIN le 09.04.2019. Insuffisance rénale chronique avec : • Hyponatrémie chroniquement basse probablement sur utilisation de diurétique chronique • 27.03.2019 : Créatinine à 91 µmol/l, GFR 67 ml/min Insuffisance rénale chronique avec créatinine à 105 mmol/l le 09.04.2019, • clairance Cockroft 58 ml/min. Insuffisance rénale chronique avec créatinine à 110 mmol/l le 04.05.2019. • GFR à 35 mL/min • FeNa 3% Insuffisance rénale chronique avec créatinine à 154 mcmol/l le 10.04.19 Insuffisance rénale chronique avec créatinine à 195 µmol/l le 05.02.2019 Insuffisance rénale chronique avec Créatininémie à 180 umol/l, urée à 15,8 mmol/l. Insuffisance rénale chronique avec protéinurie significative et composante d'insuffisance rénale aiguë AKIN III sur produit de contraste le 01.04.2019 • GFR selon CDK-EPI à 13 mL/min le 02.04.19 Insuffisance rénale chronique avec une créatinine à 147 µmol/l. Insuffisance rénale chronique, connue Insuffisance rénale chronique, connue, le 18.04.2019. Insuffisance rénale chronique dans le cadre d'une néphrolithiase. Insuffisance rénale chronique dans le cadre d'une néphrolithiase. Baisse de la thymie et angoisse récidivante dans le contexte de maladie d'Alzheimer en progression le 4.4.19. Transfert en psychogériatrie (unité Aubépines). Insuffisance rénale chronique de stade V (terminale) avec : • Créatinine à 218µmol/l le 11.03.2019 Insuffisance rénale chronique de stade 3, avec : • Créatinine à 69µmol/l • Clearance de la créatinine selon Cockroft à 47ml/min Insuffisance rénale chronique de stade 3b Insuffisance rénale chronique de stade 4 • Labo le 15.04.2019: Crea 219 umol/l, eGFR selon CKD-EPI 23.2 ml/min Carcinome thymique • Diagnostic : 01.2013 • Histologie: carcinome muco-épidermoïde thymique combiné avec un thymome B3 avec micro-infiltration du tissu adipeux, résection non radicale • Thymectomie par thoracoscopie gauche 03.2013 • Trachéotomie depuis opération du thymus pour raisons multiples • Radiothérapie post-opératoire du 27.05 au 03.07.2013, 54 Gy • Récidive de thymome avec crise myasthénique en janvier 2014, thymectomie avec patch péricardique le 14.01.2014 • Suivi par Prof. X Fibrillation auriculaire normocarde le 24.10.2018 • Antécédent de fibrillation auriculaire paroxystique 07.2015 • Pas d'anticoagulation en raison d'un risque de saignement élevé Hypertension artérielle Bloc atrio-ventriculaire du 1er degré (potentiellement sous Mestinon) Diabète de type 2 insulino-traité Ostéoporose fracturaire sur thérapie corticoïde au long cours en raison de la myasthénie grave avec : • Thérapie par Calcimagon et Prolia depuis le 01.10.2015, actuellement stoppé • Status post cyphoplastie D11 et L1 par système SpineJack et cimentage par Cohésion 3.6cc (OP le 29.07.2015) • Vertébroplastie préventive de D12 par système Masterflow et Cohésion 3cc (OP le 29.10.2015) • Vertébroplastie bi-pédiculaire de L2-L3 par système Masterflow et cimentage par Cohésion 4cc (OP le 25.09.2015) • Vertébroplastie mono-pédiculaire D de L4 par système Masterflow et cimentage par Cohésion 3cc (OP le 25.09.2015) Omarthrose et rupture complète de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite depuis mai 2017 avec : • Status post infiltration le 23.05.2017 Cirrhose hépatique Child A d'origine multifactorielle • Syndrome métabolique • Consommation OH modérée • Mutation H63D du gène HFE à l'état hétérozygote Comblement chronique des cellules mastoïdes des deux côtés Insuffisance respiratoire potentielle chronique d'origine multifactorielle avec : • Myasthénie Gravis secondaire à un carcinome du thymus • Trachéostomie depuis 2013 suite à la thymectomie • Oxygénothérapie à domicile • Syndrome restrictif sur obésité • Angoisses de mort par étouffement avec inscription chez Exit mais ambivalence en raison de sa famille Insuffisance rénale chronique d'origine inconnue • eGFR (MDRD) 04.04.2019: 52ml/min Insuffisance rénale chronique d'origine rénale avec créatinine à 154 mmol/l le 10.04.2019 • GFR à 45ml Insuffisance rénale chronique et diabétique Stade 3B sans acutisation • Créatinine 145 umol/l, Clearance 38.5 mL/min/1.73m² selon CKD EPI (43.4 mL/min/1.73m² selon MDRD) Insuffisance rénale chronique G3a le 08.04.2019 • CKD EPI 57 ml/min DD : néphropathie diabétique Insuffisance rénale chronique G3b A3 nouvellement diagnostiquée DD sur néphropathie diabétique, hypertensive • Clearance (sur urines de 24h) à 35 ml/min le 16.04.2019 • Fraction d'éjection de l'urée le 15.04.2019: 28% • Avec hypovitaminose D associée • Avec protéinurie de 2.67 g/24h et albuminurie à 319 mg/l associées • Bicarbonates dans la norme à 26 mmol/l Insuffisance rénale chronique G4 selon KDIGO • Créatinine le 01.03.2019 à 137 umol/l, GFR à 27 ml/min/1.73 m² selon CKD-EPI Insuffisance rénale chronique G4-5 A2 secondaire à néphrite interstitielle immuno-allergique sur AINS et nécrose tubulaire aiguë avec tolérance à l'aspirine inconnue • absence d'amyloïdose rénale à la biopsie rénale de 2006 • pas de projet de dialyse à long terme (en raison des comorbidités, non amyloïdose sénile) • Creat 317 umol/l, CKD-EPI: 11 ml/min/1.73 m² (30.03.2019) • Creat 278 umol/l, CKD-EPI: 13 ml/min/1.73 m² (11.04.2019)Insuffisance rénale chronique • Hydronéphrose chronique sur fibrose rétro-péritonéale • S/p pose de sonde vésicale à demeure, pour rétentions urinaires à répétition, dès le 20.04.2016 • Sondes double J bilatérales dans un contexte d'hydronéphrose chronique • S/p TURV sur hématuries sévères sur lésions post-radiques le 20.04.2016 • Changement des sondes JJ le 12.02.19 (HFR - Dr. X) Insuffisance rénale chronique KDIGO Insuffisance rénale chronique KDIGO G2 • créatinine 49 umol/l, EGFR selon Cockroft 62 ml/min • s/p néphrectomie droite sur atrophie rénale Progression d'une échinococcose alvéolaire, épiploïque et pulmonaire, sous traitement de Mébendazole (Vermox) • Diagnostic en mai 2018 • Zentel 400 mg 2x/j, puis à dose réduite de mai à août 2018 • Vermox 1000 mg 2x/j puis 500 mg 2x/j en août 2018, stoppé en novembre 2018 • Vermox 1000 mg 2x/j repris le 26.11.2018 Hépatite d'origine médicamenteuse DD dans le contexte de l'échinococcose hépatique Trouble dépressif modéré le 13.12.2018 avec : • troubles de l'adaptation • IRM cérébrale le 30.10.2018 (au CIMF Fribourg) : pas de manifestation de l'échinococcose alvéolaire. Très petit méningiome de la faux postérieur à droit. Pour le reste, IRM cérébrale parfaitement normale. Diabète de type 2 non-insulinorequérant mal contrôlé • sous Metformine • Hba1c le 6,6 % Avis diabétologue (Dr. X) le 14.12.2018 : thérapie optimale au vu des glycémies et de l'hépatopathie serait une insuline basale. Diminution Metformine à cause de l'hépatite Tentative d'introduction d'un schéma insuline lente dès le 11.12.2018 avec échec de compliance Metformine/Januvia dès le 18.12.2018 Suivi des glycémies et réévaluation d'une insulinothérapie à distance par le médecin traitant Malnutrition modérée dans le contexte d'infection parasitaire chronique et de trouble dépressif modéré Déficit vitamine D le 14.12.2018 • 59 nnoml/l Hypertension artérielle traitée Insuffisance rénale chronique KDIGO G4A2 dans le contexte d'une micro-angiopathie thrombotique, probablement secondaire à un traitement de Ciclosporine en octobre 2018 • Créatinine habituelle autour de 250 mmol/l Insuffisance rénale chronique KDIGO stade IV le 02.01.2019 • Echo-doppler des artères rénales le 07.09.2018 : néphroangiosclérose débutante d'origine hypertensive probable, pas d'argument pour sténose aux départs des art. rénales vu temps d'accélération dans les normes Syndrome métabolique : hypertension artérielle, obésité de stade I. Thrombocytémie essentielle. Gastrite chronique. Hypertrophie bénigne de la prostate. Hernie inguinale bilatérale. Eczéma subaigu avec lésion de grattage sans signe de surinfection, xérose cutanée, prurit et zone chroniquement érosive. Synovite symétrique séronégative résolutive avec oedèmes prenant le godet (RS3PE) sous Méthotrexate depuis 2017 - RS3PE sous Methotrexate (actuellement mis en suspend au vu de la créatinine depuis quelques mois avant 07.2018). Goutte sous Allopurinol. Lombalgie non déficitaire. Insuffisance rénale chronique KDIGO stade IV le 02.01.2019 • Echo-doppler des artères rénales le 07.09.2018 : néphroangiosclérose débutante d'origine hypertensive probable, pas d'argument pour sténose aux départs des art. rénales vu temps d'accélération dans les normes Syndrome métabolique : hypertension artérielle, obésité de stade I. Thrombocytémie essentielle. Gastrite chronique. Hypertrophie bénigne de la prostate. Hernie inguinale bilatérale. Eczéma subaigu avec lésion de grattage sans signe de surinfection, xérose cutanée, prurit et zone chroniquement érosive. Synovite symétrique séronégative résolutive avec oedèmes prenant le godet (RS3PE) sous Méthotrexate depuis 2017 - RS3PE sous Methotrexate (actuellement mis en suspend au vu de la créatinine depuis quelques mois avant 07.2018). Goutte sous Allopurinol. Lombalgie non déficitaire. Insuffisance rénale chronique KDIGO stade IV le 02.01.2019 • eGFR (MDRD) 16.04.2019 : 30 ml/min • Echo-doppler des artères rénales le 07.09.2018 ; néphroangiosclérose débutante d'origine hypertensive probable, pas d'argument pour sténose aux départs des art. rénales vu temps d'accélération dans les normes Insuffisance rénale chronique KDIGO Stade 3b • 06.04.2019 : eGFR 40 ml/kg Insuffisance rénale chronique le 09.04.2019 : • Spot urinaire : FE urée à 34% • Clairance : 40 mL/min • Créatinine à 150 umol/l en mars 2019 Insuffisance rénale chronique le 14.04.2019. GFR à 58.5 mL/mn. FeNa : 2.93%. Insuffisance rénale chronique, le 19.04.2019 Insuffisance rénale chronique légère de stade 2 selon KDIGO avec : • Clairance à la créatinine estimée selon Cockcroft and Gault à 64ml/min Insuffisance rénale chronique pré-terminale sur probable glomérulosclérose focale et segmentaire : • Acutisée le 24.03.2019 avec une créatinine à 405µmol/l • Clearance de la créatinine 15ml/min/1.73m2 selon MDRD • Fraction d'excrétion de l'urée à 49.3% le 26.03.2019 Insuffisance rénale chronique progressive stade 5 sur : • Glomérulonéphrite chronique • Clearance de la créatinine calculée à 14ml/min • Légère anémie rénale corrigée • Hyperparathyroïdisme secondaire • Acidose métabolique • Hyperuricémie et crises de goutte • Hypertension artérielle traitée Insuffisance rénale chronique, stable dans le contexte d'une probable néphropathie à IgA • clearance 30-38 ml/min Insuffisance rénale chronique stade G2 GFR EPI 88 mL/min (Creat 69 uM 06.2018) Insuffisance rénale chronique stade G3a, clearance selon CKD-EPI 53 mL/min le 29.11.2018 Probable démence d'origine indéterminée • MMSE : 12/27; Horloge 0/6 (tests limités par les troubles de la vision) GDS 2/15 le 21.11.2018 • Bilan neuropsychologique le 18.12.2014 : troubles neuropsychologiques modérés avec déficits mnésiques sémantiques et troubles des fonctions exécutives Troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes récurrentes d'origine multifactorielle • fracture non déplacée de la branche ilio et ischio pubienne gauche le 21.11.2018 • CT Bassin le 22.11.2018 : Fracture peu déplacée ilio et ischio pubienne gauche. Ancienne fracture ischio pubienne droite. • troubles visuels prononcés dans le contexte d'une dégénérescence maculaire bilatérale • artériosclérose modérée des vaisseaux précérébraux sans sténose significative • ostéoporose sous Calcimagon et vitamine D • status post fractures des plateaux vertébraux supérieurs L1+L3 (Rx colonne lombaire le 22.04.2012) • status post fractures ilio et ischio pubiennes à droite et arrachement du grand trochanter 12/2014 Anémie normocytaire normochrome Hb 99 g/l le 21.11.2018 sur hypofolatémie 2.8nmg/ml Probables fractures des côtes 6-8 à droite le 26.11.2018 Dysphagie modérée en 11.2018 DMLA. Insuffisance rénale chronique stade G3a • Creat 100 umol/l, CKD-EPI : 44.69 ml/min (23.04.2019), Insuffisance rénale chronique stade G3a eGFR selon CKD-EPI 43 ml/min/1.73 m² le 04.04.2019 Insuffisance rénale chronique stade G3a eGFR selon CKD-EPI 43 ml/min/1.73 m² le 04.04.2019 Insuffisance rénale chronique stade G3a Creat 148 umol/l, CKD-EPI: 28 ml/min/1.73 m² (21.03.2019) Creat 116 umol/l, CKD-EPI: 37.61 ml/min (09.04.2019) Insuffisance rénale chronique stade G3a (25.02.2019): GFR à 53.7 ml/min/1.73 m² selon CKD-EPI Insuffisance rénale chronique stade G3b Labo du 11.03.2019: Créat 111 umol/l, GFR selon CKD-EPI 37.6 ml/min Insuffisance rénale chronique stade G3BA3 (KDIGO) d'origine multiple: • Glomérulopathie chronique • Diabétique • HTA GFR CKD-EPI 25 ml/min le 12.06.2018 Insuffisance rénale chronique stade III, avec: • Satus post-néphro-urétérectomie gauche par voie ouverte le 02.03.2018 sur carcinome urothélial sténosant de l'uretère G pTaR0 • Clairance 26 ml/min le 09.04.2019 Insuffisance rénale chronique stade IIIb acutisée Arthrose des doigts • arthrose des articulations inter-phalangiennes distales avec les noeuds d'Heberden • rhizarthrose à gauche Remitting séronégative symetric synovitis with pitting edema (RS3PE-Syndrom) Anémie normochrome normocytaire • Hb 112 g/l le 05.06.2013 Substitution de Vitamine B12 et d'acide folique Démence • exelon Patch 5 mg à partir du 10.05.2013 • MMS 18/30, Clock-Test 0/6 (06.05.2013) • MMS 25/30, Clock-Test 3/6 (18.06.2013) Ostéoporose cliniquement apparente • status post-fracture de la tête humérale droite avec réduction (10.04.2013) • status post-fracture lombaire spontanée, sacrum bilatérale (type H) et os pubienne branche inférieure gauche (février 2011) • modifications dégénératives de la colonne vertébrale • Bonviva dernière fois en février 2013 tous les 3 mois, Aclasta dernière fois en mai 2011 • DEXA 10/2012 : T-scores LWS -2.5, Femurhals -2.4, distal Radius -2.2 • DEXA 06/2009 : T-scores LWS -3.3, Femurhals -2.4, distal Radius -2.0 Incertitude de la marche d'origine multifactorielle • chutes récidives • carence en vitamine D • immobilité et faiblesse générale • malnutrition légère • périarthropathie de la hanche droite Insuffisance rénale chronique Stade IV : • GFR selon CKD-EPI : 29 ml/min/1.73 m² • FeNa 2.4% Insuffisance rénale chronique stade IV selon KDIGO • Dans le contexte d'une HTA et d'un diabète insulino-requérant • GFR CKD-EPI: 20 ml/min (27.02.2019) : FeUrée à 50% • GFR CKD-EPI: 24.7 ml/min/1.73 m² (04.03.2019) • GFR CKI EPI : 25 ml/min (18.03.2019) FeUrée : 62% • GFR CKI EPI : 34 ml/min (25.03.2019) Insuffisance rénale chronique stade KDIGO G4 A1 DD hypertensive, diabétique, maladie kystique du rein • eGFR selon CKD-EPI 15 mL/min le 08.04.2019 • absence d'acidose métabolique, d'hyperparathyroïdie secondaire, d'hyperkaliémie • anémie chronique avec composante rénale, sous Recormon 5000 UI 1x/10j • suivi par Dr. X Insuffisance rénale chronique stade KDIGO G4 • CrCl (Cockroft) à 25 ml/min le 22.04.2019 Insuffisance rénale chronique stade KDIGO stade G4 A1 (Cl selon Cockroft 21) • d'origine hypertensive probable avec composante diabétique et sur maladie kystique du rein • FeNa 4.53%, FeUrée 47.65% (rénal) le 27.09.2018 • créat 286 le 22.08.2018, 204 en avril 2018, 197 en mai 2017, 250 en décembre 2016 • absence d'acidose métabolique, ni hyperparathyroïdie secondaire, ni hyperkaliémie • suivi par Dr. X, prochain contrôle le 30.10.2018 Diabète de type II insulino-requérant • ED en 1987, insulino-requérant dès 2002 BPCO stade II • exacerbation le 15.12.2017 SAOS appareillé (CPAP depuis 2004, suivi Dr. X) Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs FRCV : • Obésité • Dyslipidémie non traitée • Hypertension traitée, ETT le 16.01.2018 : FEVG 65%, oreillette gauche modérément dilatée • Tabagisme ancien à 40 UPA Goître nodulaire avec hypothyroïdie substituée Diverticulose colique Gonarthrose prédominante à gauche Lombalgie chronique Troubles cognitifs non bilantés Cardiopathie hypertensive et coronarienne avec : • Sténose 50% IVA proximale • Occlusion chronique RCx proximale : PCI (1DES) : Bon • Subocclusion RCx moyenne (dominance gauche) : PCI (1DES) : Bon • Sténose 75% RCx distale : PCI (1DES) : Bon Insuffisance rénale chronique stade V : • néphropathie hypertensive/néphroangiosclérose probable (pas de ponction biopsie rénale, refus de la mère) • début des dialyses le 13.11.2009 • anémie rénale substituée • hyperparathyroïdisme secondaire Cardiopathie hypertensive Hypertension artérielle sévère (rétinopathie hypertensive degré 1-2) Retard mental congénital, d'étiologie indéterminée Syndrome d'apnées obstructives du sommeil (sous CPAP) Prostatisme Insuffisance rénale chronique stade V avec hydronéphrose chronique sur fibrose rétro-péritonéale avec: • GFR selon CKD-EPI le 11.02.2019: 20.5 ml/min/1.73 m² • GFR selon CKD-EPI le 18.03.2019: 18.4 ml/min/1.73 m² • Acutisation de l'IRC sur migration de la sonde double J à D le 26.10.2018, avec une clairance selon Cockroft à 22 ml/min le 26.10.2018 Insuffisance rénale chronique stade 2 à 150 mcmol/l le 08.04.2019 • Cockcroft Gault : 57 ml/min. Insuffisance rénale chronique stade 2-3a • eGFR selon CKD-EPI 53 mL/min le 02.04.2019 Insuffisance rénale chronique stade 3a • eGFR selon CKD-EPI 52 ml/min/1.73 m² le 28.03.2019 Insuffisance rénale chronique stade 3A KDIGO : • eGFR selon CKD-EPI: 49.6 ml/min/1.73 m² (le 24.05.2018) • eGFR selon CKD-EPI: 55 ml/min/1.73 m² (le 04.07.2018) Insuffisance rénale chronique stade 3b • creat 158 mcmol/l, eGFR selon CKD-EPI 36 ml/min/1.73 m² le 18.03.2019 Insuffisance rénale chronique stade 3b • eGFR selon CKD-EPI 36 mL/min (13.03.2019) Insuffisance rénale chronique stade 3b • eGFR selon CKD-EPI: 73 ml/min, creat: 79 umol/l le 05.04.2019 • eGFR selon CKD-EPI: 52 ml/min, creat: 87 umol/l le 12.04.2019 Insuffisance rénale chronique stade 4 acutisée AKIN 1 Insuffisance rénale chronique stade 4 dans le contexte de greffon rénal avec • Hyperkaliémie à 5.8 mmol/l le 17.04.2018 • Acidose métabolique le 17.04.2019 Insuffisance rénale chronique stade 4 GFR à 28 ml/min le 03.04.2019 Insuffisance rénale chronique sur néphropathie diabétique • Cl créatinine à 28 ml/min selon Cockroft le 05.04.2019 • FeUrée 43.4% Insuffisance rénale chronique sur SHU Insuffisance rénale chronique sur SHU ; clairance à 15.6 ml/min Insuffisance rénale chronique terminale • Clairance à 11.1 ml/min/1.73 m² Insuffisance rénale chronique terminale sur néphropathie diabétique et hypertensive et prise chronique d'anti-inflammatoire non-stéroïdien, avec : • anémie rénale • hyperparathyroïdie secondaire • hyperkaliémie contrôlée par Sorbisterit • thrombectomie de la fistule artério-veineuse, le 06.06.2016 • diurèse de 800 ml, en avril 2016 de 400 ml en 2018 • hémodialyse chronique intermittente dès le 07/2015 • thrombectomie de la fistule artério-veineuse et patch d'élargissement bovin sur une anastomose artérielle et veineuse, le 28.10.2015 • thrombose de la fistule artério-veineuse radio-céphalique prothétique au membre supérieur droit, le 10.04.2017 (5ème récidive). Antiagrégation par Plavix • pose de Permacath à droite, le 10.04.2017 (Dr. X), actuellement souvent obstrué Insuffisance rénale chronique terminale d'étiologie multifactorielle (néphropathie hypertensive et diabétique, rejet chronique) avec : • status post-deuxième greffe rénale en 2008 (donneur : fils) • traitement immunosupresseur par Tacrolimus, Prograf et Prednisone • syndrome néphrotique. Insuffisance rénale chronique terminale dialysée sur glomérulonéphrite à IgA Insuffisance rénale chronique terminale dialysée sur glomérulonéphrite à IgA.Suivi par Dr. X Insuffisance rénale chronique terminale, non dialysée • Clairance à 11.1 ml/min/1.73m2 Insuffisance rénale chronique terminale sur polykystose hépato-rénale familiale • Hypocalcémie, Hyperphosphatémie, Acidose métabolique • Anémie normochrome normocytaire (décembre 2016) • Confection d'une fistule radio-céphalique selon Cimino-Brescia le 15.12.2016 Cardiopathie hypertensive avec échocardiographie normale en décembre 2015 Obésité morbide avec un poids actuel à 157 kg (BMI 51 kg/m2) Hypertension artérielle traitée (Belok Zok), contrôlée Diabète de type II traité, bien contrôlé Maladie goutteuse actuellement non traitée Suspicion de syndrome des apnées du sommeil Notion d'asthme allergique au pollen, avec : Crise d'asthme sévère le 07.12.2016 • 340 l/in au Peak Flow (prédit à 590 l/min - 57% du prédit) Insuffisance rénale chronique. Hypertrophie bénigne de la prostate avec statut post-TURP en 2007 • Prostatite chronique. État dépressif. Insuffisance rénale CKD stage 3 • GFR 55 ml/min/1.73m2 Insuffisance rénale de cinétique inconnue, probablement aiguë sur déshydratation (FE urée 33.2%). Insuffisance rénale d'origine multifactorielle Insuffisance rénale d'origine pré-rénale le 26.03.19 Insuffisance rénale (d'origine pré-rénale probablement sur déshydratation.) • Créatinine à 125 micromol/l Insuffisance rénale d'origine X du 09.04.2019 Insuffisance rénale et syndrome inflammatoire persistants Insuffisance rénale légère AKIN I, d'origine rénale, le 20.04.2019 • Fe Urée : 45.8% Insuffisance rénale légère avec créatinine à 69 mmol/l, probablement d'origine pré-rénale : clearance à la créatinine selon MDRD à 73,6 ml/minute. Insuffisance rénale légère (Cockcroft à 50ml/min). Hernie inguinale bilatérale asymptomatique. Kyste épidermoïde au niveau de la 3ème phalange du 4ème doigt à gauche depuis 20 ans. Ischémie critique stade IV du membre inférieur droit avec ulcère infecté au 2ème orteil, pontage fémoro-poplité bas du membre inférieur droit à l'aide d'une veine inversée et amputation du 2ème orteil du pied droit le 27.08.2010. Traumatisme crânien avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle, le 26.02.2019 chez un patient sous Plavix. Plaie linéaire d'environ 2cm au niveau pariétal droit, le 26.02.2019 : rappel tétanos le 26.02.2019. Fracture de l'écaille de l'omoplate droite, le 26.02.2019. Fracture du tiers externe de la clavicule droite avec détachement de fragments osseux, le 26.02.2019. Insuffisance rénale persistante sous corticostéroïdes Insuffisance rénale possiblement chronique • CrCl 41ml/min Insuffisance rénale post-rénale sur globe urinaire de 2L Insuffisance rénale post-rénale dans le cadre de diagnostique principal Insuffisance rénale prérénale le 19.03.2019 DD médicamenteuses (AINS) Insuffisance rénale probablement chronique Insuffisance rénale probablement chronique avec créatinine à 116 mcmol/l le 16.05 • CKDEPI 49.9ml/min • MDRD 55 ml/min • FE urée ___ Insuffisance rénale probablement chronique avec créatinine à 132 mcmol/l Insuffisance rénale probablement chronique avec créatinine à 132 mcmol/l. Insuffisance rénale probablement chronique avec une créatinine à 128 mcmol/l. Insuffisance rénale probablement chronique avec une créatinine à 136 µmol/l le 23.04.2019. Insuffisance rénale sans critères AKIN, le 20.04.2019, probablement sur déshydratation et prise de AINS Insuffisance rénale sur AINS vs pré-rénale le 21.03.19 Insuffisance rénale sur rein unique avec taux de filtration glomérulaire à 25 ml/min et créatinine à 102µmmol/l. Insuffisance rénale sur rein unique le 27.04.2019 • Créatinine à 102 mcmol/l • eGFR (MDRD): 42 ml/min Insuffisance rénale terminale à diurèse conservée (RIFLE Failure) d'origine multifactorielle (nécrose tubulaire aiguë, néphrite interstitielle sur chimiothérapie, néphrocalcinose sur syndrome de lyse tumorale, lymphostase) avec : • biopsie rénale du 03.01.2014 : dommage tubulaire aigu, néphrocalcinose, oedème interstitiel, inflammation interstitielle • dialyse intermittente 3x/semaine dès le 07.12.2013 • cathéter de dialyse droit • diurèse résiduelle Insuffisance rénale terminale avec : • rein unique après néphrectomie totale droite • probable néphropathie hypertensive sous-jacente • créatinine à 500 umol/l en augmentation depuis le début de l'année • suivi par Dr. X. Insuffisance rénale terminale chronique de stade III-IV, probablement mixte (hypertensive, diabétique et sur réduction néphrotique en 1998) avec dialyse 3x/semaine (depuis le 17.10.2011) Insuffisance rénale terminale sous dialyse • s/p transplantation rénale en fosse iliaque gauche le 06.03.2004 avec rejet de greffe le 12.03.2016 • fistule artério-veineuse autologue avec V. céphalique au niveau avant-bras gauche (07.11.2003) • urétéro-cystonéostomie et prostatectomie ouverte pour reflux dans le rein transplanté de grade II-III et urine résiduelle en 08.2004 • complications rénales : hyperparathyroïdisme secondaire, hypertension artérielle, anémie rénale • hémodialyse 3x/semaine (depuis fin 2016) • suivi par Dr. X. Insuffisance rénale terminale stade KDIGO G5A3 sur néphropathie diabétique et hypertensive compliquée de : • syndrome néphrotique • acidose métabolique • hyperparathyroïdie secondaire • anémie d'origine mixte (rénale et hyporégénérative sur déficit en acide folique) Insuffisance rénale terminale sur néphrectomie bilatérale Insuffisance rénale terminale sur néphrectomie bilatérale en 2014 • thrombose d'une fistule artério-veineuse selon Brescia-Cimino du MSG le 19.06.2015 • confection d'une nouvelle fistule artério-veineuse avec Omniflow à gauche le 19.06.2015 Insuffisance rénale terminale sur probable néphroangiosclérose (DD : néphropathie sur produit de contraste) • Hémodialyse intermittente 3x/semaine depuis janvier 2014, sur Permacath droit • Complications : hypovitaminose D, anémie normocytaire hypochrome, hyperparathyroïdie secondaire Cardiopathie ischémique tritronculaire, valvulaire, rythmique et hypertensive avec : • fibrillation auriculaire permanente anticoagulée par Marcoumar, rate-control • implantation de défibrillateur de resynchronisation le 08.01.2015 (Dr. X) - dernier contrôle le 12.02.2019 • ablation noeud AV 16.04.2017 • coronarographie 09.08.2018 (Dr. X) : FEVG 35%. Resténose intermédiaire de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent nu sans impact fonctionnel. Pas d'autre sténose significative ETT 12.02.2019 (Dr. X) : FEVG 35%. Dilatation modérée du VG avec hypokinésie globale. Rétrécissement aortique lâche (1.6 cm2). Insuffisance aortique modérée (2/4). Insuffisance mitrale modérée à moyenne (2-3/4). Oreillette gauche très dilatée. Absence de signes indirects d'HTAP SAHS complexe mise en évidence en août 2016, non appareillé, sans indication à oxygénothérapie nocturne Hypertriglycéridémie non traitée (cf. intolérance) Hypothyroïdie substituée Goutte sous Allopur Syndrome des jambes sans repos, sous Rivotril et Rotigotine Polyneuropathie sensitivo-motrice depuis 2015 sous Gabapentine, suivie par Dr. X Lésion surrénalienne gauche de 43 mm (DD : myélolipome) Ostéoporose à L1-L2-L3-L4 sévère • Densitométrie le 30.08.2018 : T-score - 3.3D Insuffisance respiratoire Insuffisance respiratoire aiguë d'origine multifactorielle le 22.03.2019 • pneumonie bibasale sur broncho-aspiration • décompensation cardiaque aiguë • obstruction aiguë sur bouchon muqueux Insuffisance respiratoire aiguë globale d'origine mixte le 20.04.2019 • composante cardiaque avec décompensation par un flutter auriculaire rapide • pneumonie sur possible broncho-aspiration • atélectasie • composante restrictive liée à la maladie de base (myopathie de Becker) Insuffisance respiratoire aiguë globale d'origine multifactorielle le 09.04.2019 • décompensation cardiaque gauche • probable infection pulmonaire sur atélectasie DD bronchoaspiration Insuffisance respiratoire aiguë globale sur exacerbation de BPCO le 06.03.2019 • critère d'Anthonisen 3/3 Insuffisance respiratoire aiguë globale sur exacerbation de BPCO le 07.04.2019 : • pneumonie basale gauche à genre indéterminé • critères d'Anthonisen 3/3 • BPCO de stade IV selon Gold Insuffisance respiratoire aiguë globale sur grippe A le 27.02.2019 : • compliquée d'une surinfection bactérienne à Serratia marcescens, Haemophilus influenzae, Corynebacterium propinquum • Bronchopneumopathie chronique obstructive de stade III selon GOLD, tabagisme à 60 unités paquets par an • Traitée par : • Intubation orotrachéale (Ck1) et ventilation mécanique du 27.02.2019 au 06.03.2019 • Relai par ventilation non invasive 2 séances par 24h dès le 07.03.2019 • Co-Amoxicilline du 27.02.2019 au 01.03.2019 • Céfépime du 01.03.2019 au 07.03.2019 (taux de Céfépime 04.03.2019 normal) Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique dans un contexte de sepsis pulmonaire, DD choc septique Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique d'origine multifactorielle : • sur OAP sur pic hypertensif 17.03.2019 • probable pneumonie communautaire État confusionnel aigu d'origine indéterminée les nuits du 18.03 et du 19.03.2019 Epistaxis antérieur droit sur anticoagulation par Xarelto et double anti-aggrégation 03/2019 • Cautérisation le 20.03.2019 Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique le 27.03.2019 : • Épanchements pleuraux • Atélectasies • Et possible surinfection pulmonaire Compliquée d'un sevrage ventilatoire impossible Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique le 15.03.2019 avec : • RSV positif • empyème pleural droit, récidive le 02.04.2019 Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique le 18.04.2016 d'origine multifactorielle sur atélectasies bi-basales, avec syndrome restrictif et épanchements pleuraux Rectorragie sur hémorroïdes dans un contexte d'anticoagulation et anti-agrégation en avril 2016 Cholécystectomie (pour pancréatite biliaire) et cure d'éventration avec filet ProGrip (pour éventration médiane sur cicatrice sous-costale droite, status après surrénalectomie droite) le 05.02.2013 par Dr. X Colique néphrétique gauche sur calcul urétéral distal de 10 mm x 8 mm x 6 mm radio-opaque avec lithotripsie et mise en place d'une sonde double J le 22.09.2012 État dépressif en 1995 et rechute en 2002 Découverte fortuite d'un nodule rétropéritonéal de densité kystique en 2016, évoquant une lésion kystique de nature indéterminée surinfectée, en croissance sur le CT du 18.03.2019 : • Pas de suivi ni d'investigation supplémentaire selon avis radiologique Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique le 25.04.2019 sur atélectases Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur néoplasie pulmonaire le 25.03.2019 • traitement de Co-Amoxicilline 1 g 2x/j et Prednisone 20 mg depuis 1 semaine par médecin traitant DD : surinfection pulmonaire Insuffisance respiratoire aiguë le 08.04.2019 : • sur pneumonie à éosinophiles sous Cubicine (fin de traitement le 08.04.2019) Insuffisance respiratoire aiguë partielle sur Influenza A, surinfectée à germe indéterminé le 11.02.2019 • Co-amoxicilline du 05.02 au 06.02.2019 • Ceftriaxone du 08.02 au 11.02.2019 • Piperacillin/Tazobactam du 11.02 au 18.02.2019 • IOT avec ventilation mécanique du 11.02 au 19.02.2019 • Catheter artériel radial droit du 11.02 au 21.02.2019 • VVC jugulaire droite du 11.02 au 16.02.2019 Rétention urinaire aiguë de 500 ml le 05.02.2019 le plus probable dans le contexte de l'infection • Sonde urinaire du 05.02 au 22.02.2019 St. p. Fracture tassement type A1 de la vertèbre L5 04/2018 • Cyphoplastie par système SpineJack 5.0 + 4 cc de ciment Cohésion (OP le 16.04.2018) St. p. Fracture tassement de L2 type AO A1.2. • Cyphoplastie bipédiculaire de L2 par système Tektona et système SpineJack, cimentage par Cohésion 7 cc (OP le 29.05.2015) Insuffisance respiratoire aiguë sévère suite à la grippe A le 03.02.2019 • IOT (Cormack 1) du 03.02 au 06.02.2019, réintubée du 06.02 au 08.02.2019 pour détresse respiratoire sur probable broncho-aspiration dans un contexte de dysfonction des cordes vocales postextubation, réintubée du 09.02 au 10.02.2019 pour paralysie bilatérale des cordes vocales, trachéotomie du 10.02 au 18.03.2019 • Pneumothorax droit • Tamiflu du 03.02 au 07.02.2019, Co-Amoxicilline IV du 03.02 au 11.02.2019, Clarithromycine du 03.02 au 04.02.2019 Insuffisance respiratoire aiguë sur bronchite asthmatiforme chronique le 14.02.2015 Insuffisance respiratoire aiguë sur décompensation de BPCO le 20.02.2018 Exacerbation de BPCO le 24.08.2018 avec : • critère d'Anthonisen 3/3 Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN le 24.08.2018 Formation para-valvulaire mitrale d'origine indéterminée le 30.11.2018 DD : Thrombus de présentation atypique, lésion tumorale, endocardite non infectieuse AVC ischémique aigu multifocal pluri-territorial (insulaire à gauche, 2 lésions frontales à gauche et une lésion occipitale à gauche) le 29.11.2018 d'origine indéterminée DD : Cardio-embolique : Masse para-mitrale suspecte de thrombus intra-ventriculaire de présentation atypique VS lésion tumorale, arythmie emboligène. • Symptomatologie : Dysarthrie et ptose labiale droite. • NIHSS à l'entrée : 1 point (Dysarthrie persistante). NIHSS à la sortie 0. • Transfert de l'Inselspital, après avis chirurgie cardiaque sans indication chirurgicale retenue, le 05.12.2018. Insuffisance respiratoire aiguë sur fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide le 08.04.2019 • CHA2DS2-VASc 3 points (risque Stroke de 3.2 % par année) • HAS-BLED 1 point (risque faible de saignement majeur) Insuffisance respiratoire aiguë sur Fibrillation auriculaire rapide le 08.04.2019 • CHA2DS2-VASc 3 points (risque stroke de 3.2 % par année) • HAS-BLED 1 point (risque faible de saignement majeur) Insuffisance respiratoire dans un contexte de pneumopathie interstitielle et alvéolaire diffuse d'origine indéterminée le 22.03.2019 avec : • État inflammatoire d'origine indéterminée chez une patiente immunosupprimée par Cimzia (anti TNF) DD : infectieux (TB latente réactivée sous IS) • Insuffisance respiratoire dans le cadre d'une bronchite spastique le 19.02.2016. • Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite modérée avec RSV négatif. • Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite RSV négative. • Insuffisance respiratoire dans un contexte : • Décompensation cardiaque sur arythmie • Trigger infectieux sans foyer clair. • Insuffisance respiratoire dans un contexte d'une bronchite spastique. • Insuffisance respiratoire d'origine mixte le 07.02.2019 : • Obstructive sur probable BCCG • Syndrome restrictif sévère sur obésité et paralysie hémidiaphragmatique D • Troubles acido-basiques avec acidose respiratoire avec hypercapnie et alcalose métabolique • Troubles de la diffusion CO2 • Décompensation cardiaque globale • Paralysie diaphragme D iatrogène post pontage coronarien 1999. • Endartérioectomie en 2006 (AOMI stade 3) entre artère fémorale profonde ddc et sténose sévère de a.fémorale commune D et a.profonde fémorale G. • Diverticulite du colon descendant 02.2008. • Status post fermeture d'hernie inguinale. • Status post hypovitaminose B12 récidivante. • Reflux oesophagien. • Insuffisance respiratoire globale aiguë dans le contexte d'une exacerbation de BPCO non-stadée sur broncho-pneumonie basale droite à Streptococcus pneumoniae le 31.03.2019. • Insuffisance respiratoire globale aigüe d'origine multifactorielle le 11.04.2019 : • Pneumonie communautaire • Sclérose latérale amyotrophique. • Insuffisance respiratoire globale aiguë d'origine multi-factorielle le 21.04.2019 : DD : • Syndrome d'hypoventilation-obésité • SAOS de degré sévère • Paralysie diaphragmatique (coupole droite) avec atélectasie passive. • Décompensation cardiaque globale discrète • Possible primo-infection à CMV. • Insuffisance respiratoire globale aiguë d'origine plurifactorielle le 19.04.2019 : • Décompensation de BPCO • Décompensation cardiaque gauche NYHA IV. • Insuffisance respiratoire globale aiguë sur atélectases bibasales postopératoires le 02.03.2019. • Insuffisance respiratoire globale avec acidose respiratoire : • DD multifactoriel (postopératoire, obésité, BPCO, asthme). • Insuffisance respiratoire globale avec hypercapnie nocturne d'origine mixte : • SAOS de degré très sévère appareillé par VNI dès le 15.04.2019 • Déconditionnement physique global • Polyneuropathie des soins • BPCO Gold III A (DD : ACOS). • Insuffisance respiratoire globale avec/sur : • Syndrome restrictif de degré léger à moyen • Paralysie diaphragmatique D • Status post atélectasies bibasales postopératoires le 02.03.2019 • Obésité • Ventilation non-invasive depuis 2009. • Insuffisance respiratoire globale d'origine mixte le 18.03.2019 avec : • Exacerbation de BPCO non stadée. Critère Anthonisen 3/3 • Décompensation cardiaque globale • OAP sur BAV Mobitz 2 (2:1) • ECG : BAV Mobitz 2, BBG • BNP > 4000 • ETT 19.03.2019 : FEVG conservé, taille VD normale avec fonction ventriculaire réduite. Pas de dysfonction valvulaire. Valve aortique bio-prothétique fonctionnelle. Valve mitrale épaissie. • Pacing endoveineux du 19 au 22.03.2019 • Implantation pacemaker bicaméral le 22.03.2019. • Insuffisance respiratoire globale d'origine mixte le 28.02.2018 : • Décompensation cardiaque globale • Pneumonie. • Insuffisance rénale chronique stade 3 acutisée (AKIN 2) d'origine prérénale, avec : • Créatinine à 242 mcmol/l le 28.02.2018 • Hyperkaliémie 6.8 mmol/l • Fraction d'excrétion de l'urée 8.5 % le 28.02.2018, 30.6 % le 04.03.2018. • Anémie microcytaire, hypochrome en mars 2018 : • Ferritine 36 ug/l • Acide folique 2.5 ng/ml. • Hypoglycémie symptomatique à 2.3 mmol/l le 28.02.2018, d'origine médicamenteuse. • Gastro-entérite aiguë le 22.07.2015. • Drainage d'abcès périnéal/glutéal le 15.12.2012. • Hystérectomie en 1999. • Syndrome de dépendance à l'alcool - abstinence depuis 1998. • Cure d'hernie discale en 1970. • Appendicectomie en 1965. • Insuffisance respiratoire globale d'origine multifactorielle (atélectasies, broncho-aspiration, surcharge, contusion pulmonaire base droite) le 12.04.2019. • Insuffisance respiratoire globale d'origine multifactorielle le 30.09.2016 : • Œdème aigu du poumon flash sur pics hypertensifs • Décompensation cardiaque gauche sur dysfonction diastolique modérée et insuffisance mitrale (1/4) • BPCO stade IV. • NSTEMI secondaire sur bas débit le 24.04.2017 : • Échocardiographie le 25.04.2017 • Avis cardiologique le 28.04.2017 • Coronarographie le 04.05.2017. • Lésion hypodense infracentimétrique de la tête du pancréas - probable IPMT (stable au CT de contrôle en 2016). • PTH D le 17.07.2012. • PTH G le 13.03.2012. • Ostéonécrose du calcanéum depuis printemps 2010. • Sclérose de la tête humérale droite sur probables séquelles d'infarctus osseux le 03.10.2016. • Fracture peu déplacée du condyle radial, humérus distal D, traitée par réduction ouverte, ostéosynthèse par plaque et vis, le 07.07.2016. • Décompensation gonarthrose fémoro-tibiale interne D le 29.04.2017. • Insuffisance respiratoire globale d'origine probablement multifactorielle le 11.04.2019 : • Progression de la maladie, infection des voies aériennes. • Insuffisance respiratoire globale le 01.03.2019 sur : • Troubles de la déglutition et pneumonie de bronchoaspiration (CT-scan thoracique le 01.03.2019) • Co-amoxicilline du 01.03.2019 au 07.03.2019 • IOT du 02.03 au 03.03.2019 • Trachéotomie dès le 03.03.2019 avec canule Shiley • Décanulation (fermeture médicale) le 22.03.2019. • Insuffisance respiratoire globale le 14.03.2019. • Insuffisance respiratoire globale nocturne avec : • Syndrome d'apnées/hypopnées obstructives du sommeil de degré moyen • Fatigue diurne importante, sommeil agité • Score d'Epworth 11/24 • Poids 87 kg, taille 163 cm, BMI 32.7 • Polygraphie diagnostique 10.2017 : IAH 17.5/h, IDO 18.3/h, SpO2 moyenne 81 % • Capnographie nocturne 04.2018 : tcpCO2 moyenne 8 kPa, SpO2 moyenne 87 % • Polygraphie de contrôle sous BiPAP 07.2018 : IAH à 1.2/h (hypopnées), IDO 1.2/h, SpO2 moyenne 86.3 % • Paramètres ventilatoires dès 04.2018 : BiPAP Philips A40 mode A VAPS ST, EPAP 5, IPAP 10 à 22, FR 16, VC 520 ml, cyclage 60 %, masque facial Air Fit F20 taille S • Oxygénothérapie nocturne à 1 l/min dès 04.2018, majoré à 2 l/min en 07.2018 • Actuellement : Hospitalisation élective pour suivi de BiPAP en avril 2019 avec FPS et capnographie. • Insuffisance respiratoire hypoxémiante d'origine mixte le 14.03.2019 : • Contexte d'une volumineuse masse pulmonaire avec atélectasie et syndrome obstructif • Suspicion de BPCO le 14.03.2019 avec tabagisme actif à 40 UPA • Atélectase surinfectée. • Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë d'origine multifactorielle le 09.06.2018 : • Pneumonie bibasale à germe indéterminé • Exacerbation de BPCO • Embolie segmentaire et sous-segmentaires du lobe inférieur droit 06.2018 : introduction Lixiana adaptée au poids < 60 kg donc 30 mg.• Décompensation cardiaque globale sur cœur pulmonaire aigu sur chronique • Ventilation non-invasive intermittente du 09.06 au 23.06.2018, Optiflow du 09.06 au 18.06.2018 • Dr. X Pneumonie organisante post-infectieuse le 21.06. Pneumonie bibasale acquise en communauté, à germe indéterminé Embolie segmentaire et sous-segmentaires du lobe inférieur droit le 09.06.2018, traitée par Lixiana Décompensation cardiaque globale sur cœur pulmonaire aigu sur chronique le 13.06.2018 • cardiopathie ischémique bitronculaire CD (stentée 2010) et IVA • hypertension pulmonaire à 69 mmHg le 13.06.2018 Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë plurifactorielle le 23.04.2019 • progression et lyse tumorale • hypervolémie • épanchements pleuraux bilatéraux et atélectasies de contact Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë plurifactorielle le 29.01.2019 : • Pneumonie d'aspiration • Atélectasies post-opératoires • Syndromes restrictif (SOH) et obstructif (BPCO III) connus Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë sur pneumonie à Streptococcus pneumoniae le 16.04.2019 • qSOFA-Score : 1 point (AF 24/min) • PSI-Score : 83 points, Risk Class III Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë sur pneumonie atypique avec foyer basal droit et infiltrat diffus à Streptococcus pneumoniae le 16.04.2019 • qSOFA-Score : 1 point (AF 24/min) • PSI-Score : 83 points, Risk Class III • CURB65-Score : 0 Insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine mixte sur pneumonie bibasale et décompensation cardiaque le 06.03.2012 Décompensation cardiaque globale en 2007 Décompensation cardiaque à prédominance droite NYHA 3 sur cardiopathie ischémique et rythmique le 20.06.2018 Décompensation cardiaque globale le 28.12.2018 Exacerbation de BPCO le 04.01.2019 Pneumonie nosocomiale le 13.03.2017 Ancien éthylisme chronique, abstinent depuis novembre 2015 Insuffisance rénale AKIN I d'origine pré-rénale sur déshydratation le 28.08.2018 (créatinine à 167 umol/l, urée 30 mmol/l, FeUrée à 24.4%) Hyperkaliémie iatrogène à 6.3 mmol/l le 03.01.2019, substituée et traitement d'Aldactone Infection urinaire basse à E. Coli résistant à la Ciproxine le 04.01.2019 • avec état confusionnel aigu • Ceftriaxone 2g IV du 04.01.2019 au 05.01.2019 puis Bactrim forte PO du 06.01.2019 au 10.01.2019 Hypokaliémie 2.8 mmol/l le 28.12.2018 sur diurétique Prostatectomie pour troubles urinaires obstructifs sur phimosis en mai 2018 Sepsis sévère sur colite ascendante et sigmoïdite à Campylobacter Jejuni le 05.10.2015 Hématochézie le 01.03.2017 sur probable diverticulose sigmoïdienne Anémie normocytaire normochrome hyporégénérative avec Hb 101 g/l le 28.08.2018 Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale sans critères AKIN à 134 umol/l le 31.12.2018 : • récidive le 11.01.2019 avec créatinine à 137 micromol/L • DD : diurétiques, syndrome cardio-rénal Troubles de la crase sur anticoagulation par Sintrom, le 28.12.2018 • INR 4.8 le 28.12.2018 • INR > 5.5 le 09.01.2019 Insuffisance respiratoire hypoxémique du 20.04.2019 DD : constitutionnel sur BPCO, décompensation cardiaque légère Insuffisance respiratoire hypoxémique le 01.04.19 sur probable LIP (pneumopathie interstitielle lymphocytaire) • avec probable composante infectieuse surajoutée (pneumonie lobaire supérieur droit) DD : LIP d'origine idiopathique vs secondaire Insuffisance respiratoire hypoxémique le 08.04.2019 : • Sur pneumonie à éosinophiles sous Cubicine (fin de traitement le 08.04.2019) Insuffisance respiratoire hypoxémique, le 26.04.2019 Insuffisance respiratoire hypoxémique postopératoire : Insuffisance respiratoire hypoxémique sur crise d'asthme sévère le 21.03.2019 • patient connu pour un asthme intrinsèque éosinophilique avec probable ACOS • 2ème exacerbation depuis janvier 2019 • suivi pneumologique par Dr. X DD : Aspergillose broncho-pulmonaire allergique Insuffisance respiratoire hypoxémique sur décompensation cardiaque et syndrome d'apnées obstructives du sommeil Insuffisance respiratoire hypoxémique sur migration de stent trachéal, stent trachéal actuellement en place Récidive péricardique et pleurale sur l'angio-CT du 26.11.2018 et PET-CT du 18.12.2018 Pneumonie à Haemophilus influenzae le 27.07.2018, traitée par Ceftriaxone pendant 7 jours. État confusionnel hyperactif le 07.08.2018 Phlegmasia cerulea dolens sur thrombose veineuse profonde étendue (iliaco-fémoro-poplitéo-jambière) du membre inférieur droit d'étiologie secondaire sur ECMO veino-veineuse, avec syndrome des loges, avec : • fasciotomie des loges antérieure et latérale le 17.08.2018 (Dr. X) • fermeture de la fasciotomie le 23.08.2018. Embolie pulmonaire lingulaire le 16.08.2018 avec pose d'un filtre cave le 17.08.2018. Insuffisance respiratoire hypoxémique sur OAP le 21.03.2019 Insuffisance respiratoire le 01.03.2019 sur probable surinfection pulmonaire Insuffisance respiratoire le 24.04.19 sur une probable décompensation respiratoire dd : décompensation BPCO Insuffisance respiratoire mixte aiguë le 22.04.2019 sur : • OAP sur FA rapide Insuffisance respiratoire mixte le 13.10.2017, dans le contexte de BPCO, décompensation cardiaque gauche. Iléus mécanique avec adhésiolyse le 26.09.2017 avec malnutrition protéino-énergétique modérée. Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 11.10.2017 sur globe vésical et obstruction de la sonde vésicale. Occlusion de l'artère fémorale superficielle et des stents avec recanalisation par angiojet et pose de 5 stents par ponction de l'artère fémorale commune droite le 29.09.2017, avec : • syndrome des loges de la jambe droite avec fasciotomie le 05.10.2017. • révision de la fasciotomie et excision d'une partie du muscle non-viable et fermeture le 09.10.2017. État confusionnel aigu hyperactif d'origine mixte (sevrage OH, désafférentation, benzodiazépines au CHUV) le 07.10.2017, avec : • évaluation gériatrique au CHUV. • trouble mnésique transitoire prolongé lié à l'hospitalisation au CHUV. Déconditionnement physique sévère d'origine multi-factorielle suite à une hospitalisation de longue durée. Insuffisance rénale aiguë KDIGO stade 2 d'origine post-rénale sur obstruction sonde vésicale le 11.10.2017. État confusionnel aigu hyperactif d'origine mixte (OH et désafférentation) le 07.10.2017. Choc septique sur pneumonie à Pseudomonas aeruginosa le 26.09.2017. Iléus mécanique sur bride avec souffrance grêle avec laparotomie médiane, adhésiolyse, 2 lésions ischémiques grêles réversibles, VAC par laparostome le 24.09.2017. Érythème maculo-papulo-pustulaire touchant 80-90% de la surface corporelle, le 13.08.2017, DD : toxidermie sur produit de contraste de type DRESS, réaction allergique au produit de contraste, AGEP. Anémie ferriprive normocytaire hypochrome régénérative à 76 g/l le 02.08.2017. Malaise à répétition avec prodromes le 02.08.2017, DD : coronaropathie, hypotension médicamenteuse, anémie. Thrombose veineuse profonde de la veine jambière et de la poplitée gauche le 24.09.2016. Sepsis d'origine urinaire à E. coli ESBL le 27.04.2016. Cure d'un canal lombaire étroit, décompression de la racine L5 en juillet 2013. Dermo-hypodermite du membre inférieur droit avec révision de cicatrice post dermo-hypodermite du membre inférieur droit en juin 2009. Thrombose veineuse profonde de la jambe droite avec anticoagulation thérapeutique par Sintrom de 2009 à 2012. Choc septique sur dermo-hypodermite du membre inférieur droit avec insuffisance rénale aiguë et oligurie, décompensation cardiaque avec œdème pulmonaire et délirium tremens suspecté sur éthylisme chronique en mars 2009. Pose de bandelette type TVT-O le 30.10.2010 pour récidive d'incontinence urétrale. • TVT-O pour incontinence urinaire de stade 3 en 2007. Hystérectomie et annexectomie bilatérale en 2001. IVG par curetages en 1967 et 1980. Appendicectomie à l'âge de 18 ans.Multiples épisodes de douleurs rétrosternales légères type oppressif respiro-dépendantes d'apparition subite. Insuffisance respiratoire mixte 2012 Claustrophobie Status après résection rectosigmoïdienne en 1997 Hernie ombilicale Dermatite de stase bilatérale des membres inférieurs Artériopathie des membres inférieurs avec endartérioectomie en 2006 Cardiopathie ischémique avec pontage coronarien à deux reprises à l'Inselsital Berne en 1999 (Dr. X) • St.p. coronarographie en 2004 et 2006 (revascularisation de l'IVA et de la CX) • Double anti-agrégation Aspirine-Plavix • Décompensation cardiaque globale le 07.02.2019 • NSTEMI secondaire (augmentation des troponines sans changement sur ECG) sur hypoxie ou événement ischémique possible • Echocardiographie 01.02.2019 (Dr. X): FEVG 47%, akinésie septo apicale et hypokinésie sévère en inféro et postéro apical • Coronographie 02.2019 non réalisable, car le patient n'arrive pas à rester couché • Suivi par Dr. X FRCV • Adiposité • Hyperlipidémie • Hypertonie • Tabagisme actif jusqu'en 02.2019, 50 PY Insuffisance respiratoire partielle avec alcalose respiratoire. • dans le cadre de 1. Oxygénothérapie au besoin. Bronchopneumonie il y a 4-5 ans avec notion vague d'asthme sans traitement depuis (Portugal). Appendicectomie et résection partielle de l'intestin sur appendicite compliquée (Portugal, non daté). Epanchement pleural cloisonné droit d'origine indéterminée le 23.12.2018. • DD : empyème, tuberculeux. Thoracoscopie droite, décortication pleurale le 10.01.2019. Radiographie du thorax de contrôle le 11.01.2019. Radiographie du thorax de contrôle le 14.01.2019. Insuffisance respiratoire partielle avec/sur : • Hypoxémie modérée • Syndrome restrictif sur cypho-scoliose • Syndrome des apnées/hypopnées du sommeil, traitement par Bi PAP pour hypoventilation alvéolaire associée depuis 2006 • Oxygénothérapie de longue durée à domicile depuis novembre 2011 Insuffisance respiratoire partielle d'origine mixte avec. • Décompensation BPCO sur pneumonie apicale droite • Décompensation cardiaque globale Insuffisance respiratoire partielle d'origine mixte le 04.04.2019 : • Décompensation cardiaque • Décompensation asthme léger persistant • 02 à domicile 1 l/min depuis 02.2019 DD BPCO/Asthme fixé exacerbé Insuffisance respiratoire partielle d'origine mixte sur : • Décompensation BPCO sur pneumonie apicale droite • Composante de décompensation cardiaque surajoutée Insuffisance respiratoire partielle d'origine multifactorielle le 10.12.2018 avec : • emphysème pulmonaire • fibrose interstitielle d'origine indéterminée • syndrome restrictif, Tiffeneau 69%, FVC 74% • Trouble sévère de la diffusion au CO. Anémie normocytaire hypochrome avec hémoglobine à 85 g/L le 18.10.2018 post-opératoire. Décompensation cardiaque globale d'origine indéterminée, le 04.06.2018. Remplacement de la bifurcation de l'aorte abdominale par prothèse en mars 2017 (Dr. X, 03.2017). Embolie pulmonaire segmentaire et sous-segmentaire du lobe inférieur bilatéralement et lingula de découverte fortuite le 03.03.2016 sous Xarelto. Thrombose veineuse superficielle au niveau de la grande veine saphène gauche et de ses branches variqueuses en janvier 2015. Cure d'hernie inguinale. Hémothorax gauche le 26.10.2015, probablement sur fracture des côtes 7 et 8 à gauche le 08.10.2015. Masse pulmonaire extrinsèque obstruant la segmentaire latéro-basale du lobe inférieur gauche et comprimant la segmentaire antéro-basale du lobe inférieur gauche (cytologie : pas de cellule suspecte de malignité dans le matériel examiné). Infection urinaire basse. Insuffisance rénale AKIN 1 d'origine probablement prérénale. Hypokaliémie légère sous diurétiques. Chirurgie pour reconstruction de l'arcade de l'orbite avec plaque en métal. Troubles visuels d'origine indéterminée (suspicion psychogène). Insuffisance respiratoire partielle (hypoxémique) sur hypertension pulmonaire avec polyglobulie secondaire le 17.11.2017 : • Origine indéterminée, patient ne désire pas d'autres investigations • Composante cardiaque probable (n'expliquant pas pleinement les pressions pulmonaires constatées) : coeur pulmonaire chronique, sténose aortique, syncopes à répétition d'étiologie indéterminée DD : sur HTP • Composante pulmonaire probable (anamnèse familiale d'oxygénodépendance, possible syndrome des apnées obstructives du sommeil) • Notion d'asthme • Oxygénothérapie à domicile à 3 l repos et 3.5 l effort (sans valve économiseuse), dès novembre 2017 • Suivi par Dr. X Cardiopathie hypertensive et rythmique : • Flutter auriculaire permanent anticoagulé par Xarelto Hypertension artérielle traitée Anisocorie droite physiologique Insuffisance respiratoire partielle sur hypertension pulmonaire avec polyglobulie secondaire le 17.11.2017 : • Composante cardiaque probable (n'expliquant pas pleinement les pressions pulmonaires constatées) • Composante pulmonaire probable (anamnèse familiale d'oxygénodépendance, possible syndrome des apnées obstructives du sommeil) • Notion d'asthme • Oxygène au domicile au besoin Cardiopathie hypertensive et rythmique : • Flutter auriculaire intermittent anticoagulé par Xarelto Hypertension artérielle mal contrôlée avec poussée hypertensive le 17.11.2017 Pied tombant droit depuis novembre 2014 Troubles cognitifs légers Anisocorie droite physiologique Hypotension orthostatique Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute : • Malnutrition • Status après implantation de prothèse totale de hanche droite • Pied tombant droit • Troubles cognitifs légers • Hypotension orthostatique Malnutrition protéino-énergétique grave Insuffisance respiratoire partielle sur pneumonie à S. pneumoniae le 03.04.2019 Insuffisance respiratoire partielle sur probable décompensation de BPCO le 09.04.2019 DD progression de la maladie oncologique Contexte d'adénocarcinome pulmonaire du lobe moyen droit avec métastases ganglionnaires hilaires et médiastinales en stade IIIB, date du diagnostic radiologique : 18.12.2018 Actuellement sous Keytruda dernier cycle le 05.04.2019 Suivie par Dr. X Insuffisance respiratoire partielle sur probable exacerbation de BPCO le 09.04.2019 DD progression de la maladie oncologique, pleurite dans contexte immunothérapie Insuffisance respiratoire suite à Influenza A avec pneumonie et myocardite chez une patiente immunosupprimée et souffrant d'une pneumopathie interstitielle Insuffisance respiratoire sur bronchiolite à RSV Insuffisance respiratoire sur bronchiolite à RSV modérée (Score de Wang à 8) en mars 2019 Oxygénothérapie du 02.01 au 08.01.2019 Traitement symptomatique et médecine anthroposophique Difficultés alimentaires dans le contexte de bronchiolite IVRS avec angine virale et conjonctivite bilatérale Insuffisance respiratoire sur bronchiolite (non-RSV) avec : • Otite moyenne aiguë gauche • Thrombocytose à 595 G/l et neutropénie légère à 1.21 G/l dans le contexte infectieux Insuffisance respiratoire sur bronchite obstructive débutante (DD : infection des voies aériennes supérieures) Insuffisance respiratoire sur bronchite obstructive RSV positive. Insuffisance respiratoire sur bronchite spastique légère Insuffisance respiratoire sur bronchite spastique oxygénodépendante Insuffisance respiratoire sur bronchite spastique péri-infectieuse modérée (PRAM 7) Insuffisance respiratoire sur pneumonie virale à RSV Insuffisance respiratoire sur probable surinfection pulmonaire le 25.03.2019. Insuffisance respiratoire sur une pneumonie apicale gauche et hilaire droite, compliquant une bronchiolite non RSV Atélectase lobe supérieur droit le 21.04.2019 Insuffisance respiratoire Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 33 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée de Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté.Insuffisance veineuse chronique avec des oedèmes aux mollets ddc assez importants Insuffisance veineuse chronique avec douleurs aiguës du membre inférieur droit. Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs Hypothyroïdie substituée Insuffisance veineuse chronique des MI : • status post crossectomie et stripping MIG en 2008 • status post cure anévrisme poplité veineux en 2004 Maladie thrombo-embolique avec syndrome des anticorps antiphospholipides • Anticoagulation par Marcoumar Les anticorps anti-phospholipides seraient à l'origine d'une anopsie D ainsi que du mal perforant. Mme. Y est suivie en rhumatologie (Dr. X) et a été mise sous Plaquenil puis Méthotrexate. Dyslipidémie Insuffisance veineuse chronique stade CEAP C2 Insuffisance veineuse chronique • oedèmes membres inférieurs Insuffisance veineuse des deux côtés. Hypertension artérielle. Obésité morbide avec BMI à 50.1 kg/m² (130 kg/160 cm). Lombalgies chroniques avec coxarthrose bilatérale et gonarthrose. Status post-ostéosynthèse pour une fracture du col du fémur gauche en 1971. Insuffisance veineuse des membres inférieurs. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie traitée. Obésité. Thrombophlébites récidivantes. Probable syndrome de l'apnée du sommeil. Prostatisme. Goutte. Notion anamnestique de trouble intermittent du rythme cardiaque. Insuffisance veineuse des membres inférieurs stade IV. Hernie sous-ombilicale réductible. Chutes à répétition. Coxarthrose sévère dans un contexte de dysplasie congénitale de la hanche droite. Insuffisance veineuse le 22.04.2019. Insuffisance veineuse symptomatique de la veine saphène interne et externe gauche (stade C4, Ep, As, PR) : • status post-crossectomie et stripping de la veine saphène interne à droite, phlébectomies des deux côtés en 2008 • crossectomie et stripping court de la veine saphène interne gauche et phlébectomies étagées du membre inférieur gauche le 17.10.2013. Gonalgie gauche sur pré-arthrose et chondrocalcinose compartimentale externe. Douleurs dentaires post-extraction le 13.07.2017. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine probablement pré-rénale, DD : post-rénale • créatinine 120 mcmol/l. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 sur chronique DD étiologie iatrogène Insuline glucose Bicarbonate de sodium Gluconate de calcium Insuline iv aux soins intensifs Relais par Insulatard dès le 03.04.2019 Attitude : • suivi rapproché des profils glycémiques • adaptation des doses d'insuline Insuline i.v. du 15.03. au 16.03.2019 Introduction Insulatard + Novorapid Consilium de diabétologie le 15.03.2019 • Adaptation des doses d'insuline selon suivi des diabétologues • Enseignement ou majoration des soins à domicile à prévoir Insuline iv (48 UI/24 en cours de séjour) avec relais par Insulatard sc dès le 03.04.2019 Suivi rapproché des profils glycémiques Insuline IVC du 17.03. au 18.03.2019 Reprise du schéma insuline basale et bolus Consilium endocrinologie Insuline-glucose Insuline-glucose le 31.03.2019 Insulinothérapie intraveineuse continue du 29.01.2019 au 06.02.2019 Suivi diabétologique durant toute l'hospitalisation (Dr. X) avec adaptations du traitement d'insuline Contrôles rapprochés des glycémies Insulinothérapie iv continue du 10.04.2019 au 16.04.2019 et sous-cutanée depuis le 16.04.2019 Consilium diabétologique (Dr. X/Dr. Y) Insulinothérapie IVSE du 19.03.2019 au 22.03.2019 Adaptation de l'insuline Novomix Suivi diabétologique Podologie le 11.04.19 Interdiction de conduire pendant 3 mois. Interdiction de conduite pour les trois prochains mois, spécifiée au patient Rendez-vous de consultation et de contrôle clinico-biologique est prévu à votre cabinet le 25.04.2019 à 8h30 Suivi neurologique de contrôle le 01.05.2019 chez le Dr. X à l'HFR-Fribourg Suivi ambulatoire avec un rendez-vous le 21.05.2019 à 09h00 au Centre métabolique de l'HFR-Fribourg Suivi ambulatoire au service de pneumologie pour appareillage par CPAP pour le SAOS Interrogation du défibrillateur (Dr. X) Amiodarone dose de charge intra-veineuse en continue du 10.04.2019 au 12.04.2019 puis per os (dose totale 10 g) Amiodarone 200 mg/j dès charge terminée Coronarographie à organiser selon évolution de l'hémorragie cérébrale Interruption médicale de grossesse à 25 semaines d'aménorrhée Interruption thérapeutique de grossesse le 29.03.2019. Mifegyne 200 mg 3 cpr le 27.03.2019 Foeticide puis induction de l'expulsion par Cytotec selon schéma le 29.03.2019 Anesthésie péridurale Accouchement voie basse, périnée intact Délivrance normale et complète vérifiée par US Interruption thérapeutique de la grossesse en raison d'une rupture prématurée des membranes à 18 1/7 semaines d'aménorrhée le 17.05.2018 S/P Accouchement par voie basse avec ventouse kiwi pour défaut d'expulsion après provocation par Misodel pour tensions artérielles labiles à terme + 2 en novembre 2016. Complication : Hémorragie sur rétention de matériel placentaire (pertes sanguines 900 ml) Interruption volontaire de grossesse médicale en 2013 Fausse couche spontanée en 2016 Accouchement par voie basse spontanée en 2012 à Dole en France Lithiase rénale droite avec pose de pigtail en 2012 Intertrigo inguinal bilatéral chronique sévère Intertrigo inguinal, sous-mammaire gauche et interfessier Intertrigo inguino-scrotal Intertrigo sous-mammaire gauche Intervention au niveau vésical en 2006 • bandelette TOT implantée pour prise en charge de l'incontinence urinaire (gynécologue Dr. X)Hystérectomie et annexectomie. Brûlure thoracique dans l'enfance (chéloïde). Infection urinaire simple à E. faecalis le 03.11.2017 Agranulocytose fébrile sur probable mucite digestive le 21.09.2017 • douleurs abdominales • diarrhées Agranulocytose fébrile sur mucite digestive le 09.10.2017 Agranulocytose fébrile avec bactériémie à Enterococcus faecalis le 20.10.2017 • sous Cefepime et Metronidazole dès 17.10.2017 • sur translocation digestive avec probable infection de cathéter veineux central Agranulocytose fébrile sur pneumonie avec insuffisance respiratoire hypoxémique le 26.10.2017. Pancréatite radiologique le 03.10.2017. Saignement digestif d'origine indéterminée le 23.10.2017, spontanément résolutif le 24.10.2017. Probable syndrome de Fanconi chimio-induit avec troubles électrolytiques sévères (hypokaliémie, hypomagnésémie, hypophosphatémie). Entérite d'origine indéterminée le 03.12.2017. Angio-CT abdo : Typhlite avec iléite terminale avec faible quantité de liquide libre Avis chir (Dr. X) : Hospitalisation en médecine au vu de la LMA et en l'absence de sanction chirurgicale Intervention au niveau vésical en 2006 • bandelette TOT implantée pour prise en charge de l'incontinence urinaire (gynécologue Dr. X). Hystérectomie et annexectomie Brûlure thoracique dans l'enfance (chéloïde) Infection urinaire simple à E. faecalis le 03.11.2017 Urotube 03.11.2017 : E. faecalis (10E4) Sédiment urinaire propre (Leucocytes < 3/champ). Fosfomycine 3 g le 03.11.2017 Nitrofurantoïne du 07.11 au 13.11.2017. Agranulocytose fébrile sur probable mucite digestive le 21.09.2017 • douleurs abdominales • diarrhées. Agranulocytose fébrile sur mucite digestive le 09.10.2017. Agranulocytose fébrile avec bactériémie à Enterococcus faecalis le 20.10.2017 • sous Cefepime et Metronidazole dès 17.10.2017 • sur translocation digestive avec probable infection de cathéter veineux central. Agranulocytose fébrile sur pneumonie avec insuffisance respiratoire hypoxémique le 26.10.2017 DD : ARDS dans le cadre de la sortie d'agranulocytose Pancréatite radiologique le 03.10.2017 Saignement digestif d'origine indéterminée le 23.10.2017, spontanément résolutif le 24.10.2017. Probable syndrome de Fanconi chimio-induit avec troubles électrolytiques sévères (hypokaliémie, hypomagnésémie, hypophosphatémie). Entérite d'origine indéterminée le 03.12.2017 Angio-CT abdo : Typhlite avec iléite terminale avec faible quantité de liquide libre Avis chir (Dr. X) : Hospitalisation en médecine au vu de la LMA et en l'absence de sanction chirurgicale. Metformin en suspens Suivi biologique PCR bactéries dans les selles : en cours Bicytopénie dans un contexte de LMA (C.f. ci-dessous) le 02.12.2017 • thrombopénie • anémie Suivi biologique. Intervention brève pour limitation de la consommation d'alcool Contrôle des paramètres du foie dans deux semaines si persistance évaluer US abdominal Intervention brève Substitution en vitamines B Intervention chirurgicale dans les années 1990 pour occlusion intestinale Intervention chirurgicale le 02.05.2019. Intervention chirurgicale le 03.04.2019 Intervention chirurgicale le 06.05.2019 Intervention chirurgicale le 08.04.2019 (ambulatoire) Intervention chirurgicale le 13.05.2019 Intervention chirurgicale le 15.04.2019 (ambulatoire) Intervention chirurgicale le 24.05.2019 Intervention chirurgicale le 26.04.2019 Intervention chirurgicale le 26.09.2019 Intervention chirurgicale le 28.06.2019 Intervention chirurgicale le 29.04.2019 Intervention chirurgicale pour le 27.05.2019 Intervention de cryogénie prévue le 23.04, actuellement repoussée en raison du syndrome infectieux. Reconvocation viendra de manière ultérieure par l'anesthésie HFR Fribourg Intervention dentaire en juin 2012. Abcès dentaire en regard de la dent 38. Antibiothérapie pour 7 jours - Traitement symptomatique. Intervention diététicienne Conseil et traitement diététique, au moins 2 unités de traitement Intervention élective Intervention en urgence Intervention le 05.06.2019. Intervention le 06.06.2019. Intervention le 06.11.2019. Intervention le 10.07.2019. Intervention le 12.06.2019. Intervention le 13.06.2019. Intervention le 19.06.2019. Intervention le 26.06.2019. Intervention le 29.05.2019. Intervention planifiée Intervention planifiée Intervention planifiée Intervention planifiée Intervention planifiée Intervention poignet droit en avril 2018 Cure de tunnel carpien droit en 2010, Dr. X Cure d'hallux valgus droit en 2009 Strumectomie en 2003 Lésion du tendon sus-épineux de l'épaule droite Suture de la coiffe, acromioplastie, bursectomie sous-acromiale, ténolyse et ténodèse du long chef du biceps le 10.11.2011 (Dr. X) Déchirure méniscale de la corne postérieure du ménisque interne du genou gauche avec kyste poplité le 11.02.2019 avec : • volumineux kyste intra-osseux sous le massif des épines tibiales avec œdème osseux • volumineux kyste arthrosynovial circonscrivant la jonction myotendineuse poplitée de 4.5 cm • chondropathie fémoro-patellaire externe de grade IV • dégénérescence mucoïde des ligaments croisés Intervention programmée Interventions, conseil et traitement diététiques, au moins deux unités de traitement Interventions Conseil et traitement diététique, au moins 2 unités de traitement Interventions Conseil et traitement diététique, au moins 2 unités de traitement, nutrition parentérale du 17.03 au 21.03.2019 Suppléments nutritifs oraux Interventions Conseil et traitement diététiques, au moins 2 unités de traitement Interventions Conseil et traitement diététiques, au moins 2 unités de traitement, nutrition entérale Mise en place d'une sonde nasogastrique et nutrition entérale dès le 27.03.2019 INTERVENTIONS: • Re-laparotomie, mise en place d'un filet intra-abdominal double face, VAC sous-cutané le 07.03.19 (Dr. X). • Mise en place d'un VAC laparostome le 11.03.2019. • Retrait du filet intra-abdominal et pose de laparostome le 13.03.2019. • Changements itératifs de laparostomes du 11.03.2019 au 03.04.2019. • Fermeture secondaire avec filet sous-cutané le 03.04.2019. ANTIBIOTHÉRAPIE : • Meropenem 07.03 - 20.03.2019 • Vancomycine 15.03 - 26.03.2019 • Ertapenem 26.03 - 01.04.2019 • Fluconazole 22.03 - 05.04.2019 Intestin paresseux (a eu une coloscopie à l'âge de 10 ans). Intolérance à l'Oxynorm le 14.10.2017 avec : • prise accidentelle de 30 mg au lieu de 3 mg • vomissements et épigastralgies secondaires Cholangite microscopique avec SIRS le 07.03.2019 • SIRS 3/4 état fébrile, leucocytose, hypotension Intolérance au lactose Intolérance au Mydocalm. Intolérance aux PLV, DD virose Intolérance aux protéines bovines Intolérance aux protéines de lait de vache Intoxication Intoxication aigue. Intoxication aigue alcoolique et au cannabis le 13.04.2019. Intoxication aiguë au cannabis et aux benzodiazépines. Hématome sous-unguéal du pouce droit suite à un traumatisme. Appendicectomie. Pyélonéphrite droite non compliquée à Escherichia coli multisensible 09.2018 Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv du 12 au 14.09.2018 • Ciproxine 500 mg per os 2x/j jusqu'au 20.09.2018. Souffle systolique 3/6 prédominant au foyer mitral. Bilan cardiologique en ambulatoire. Intoxication aiguë: OH, paracétamol, antidépresseur, Imodium et Bexine le 30.04.2019. Intoxication alcoolique. Intoxication alcoolique aiguë le 07.04.19 Intoxication alcoolique aigüe le 08.04.2019. Intoxication alcoolique le 11.04.2019 • alcoolémie 0.52% le 12.04.2019 Intoxication alcoolique modérée le 11.04.2019. Intoxication alimentaire aiguë le 09.04.2019 Intoxication alimentaire avec diarrhées aigues acqueuses et vomissements. Intoxication alimentaire (DD : bactérienne, ail des ours). Intoxication alimentaire (DD: début de GEA) Intoxication alimentaire. • douleurs 4h post-prandiales de type crampiforme, diarrhées, nausées et vomissements. Echographie des urgences (Dr. X) : lithiase vésiculaire sans Murphy échographique, pas d'épaississement de paroi, pas de dilatation des voies biliaires, lame d'épanchement dans le Douglas. Primpéran. Intoxication alimentaire le 09.03.2011. Pic hypertensif en 01.2017. Probable intoxication alimentaire le 24.06.2017. DD: gastro-entérite d'origine virale. Traitement conservateur avec Motilium, Buscopan, Dafalgan. Contrôle chez le médecin traitant à 48 h à 72 h si non amélioration de la symptomatologie. Intoxication alimentaire le 11.04.19. DD : Gastro-entérite virale. Intoxication alimentaire le 26.04.2019. DD : gastro-entérite virale. Intoxication alimentaire le 31.08.2014. Traitement symptomatique. Lombalgies non déficitaires. Intoxication alimentaire vs gastro-entérite débutante Intoxication alimentaire. DD : gastro-entérite. Intoxication éthylique aiguë le 12.04.2019- Intoxication médicamenteuse Intoxication médicamenteuse à but suicidaire en novembre 2012 (12 g de Paracétamol). Intoxication médicamenteuse le 23.04.2019 • connue pour état dépressif majeur avec hospitalisation à Marsens en mars 2019 • suspicion prise de Brintelix 400 mg, Quétiapine 1250 mg, Imovane 75 mg Intoxication médicamenteuse volontaire Intoxication médicamenteuse volontaire avec troubles de l'état de conscience le 23.04.2019 • suspicion prise de Brintelix 400 mg, Quétiapine 1250 mg, Imovane 75 mg Intoxication médicamenteuse volontaire et scarification des membres supérieurs le 20.03.2014. Déchirure de l'épaule gauche. Intoxication médicamenteuse volontaire le 25.08.2016 par (quantité non connue mais au maximum à) : • Zoldorm 210 mg • Imovane 225 mg • Cymbalta 240 mg • Lyrica 450 mg • Seroquel 400 mg Tentamen médicamenteux et par immersion dans la Sarine le 31.03.2018 • prise de 15 cp de Zoldorm 10 mg • hypothermie à 32.4°C. Leucocytose et thrombocytose (DD: sur hypothermie) le 31.03.2018 Tentamen par immersion dans la Gérine le 25.09.2018. Réchauffement physique. Laboratoire. ECG. Avis psychiatre: ad hospitalisation en volontaire à Marsens. Intoxication médicamenteuse volontaire le 03.03.2018. Rhabdomyolyse d'origine multifactorielle (décubitus prolongé, statines) le 06.03.2018. Bactériémie à Staph. aureus R pénicilline, le 19.03.2018. Bursite pertrochantérienne hanche droite, germe (22.03.2018) : Staph aureus qq; culture nég. à J14 • bursectomie, débridement, rinçage hanche D (OP le 22.03.2018). Plaie face radiale P2 et P3 Dig II D le 21.06.2017. Etat dépressif avec idées suicidaires le 04.10.2017. Consommation d'alcool à risque avec : • état d'éthylisation aiguë le 04.11.2017 (2.95 pour mille) • stigmate au laboratoire (élévation de la gamma-GT, macrocytose). Probable bronchite avec possible pneumonie basale D débutante le 07.11.2017. Tentamen médicamenteux le 04.11.2017. Exanthème maculo-papuleux généralisé, probablement d'origine médicamenteuse, le 21.06.2018 • quatre médicaments en cours (Lamotrigine, Zoldorm, Escitalopram, Lipanthyl), le plus incriminé étant le Lamotrigine. • introduction de Selincro il y a 15 jours, mais pas incriminé d'après son Psychiatre Dr. X • prise de Dolo-Spedifen 400 mg durant deux jours (samedi et dimanche). DD : • infectieux : pas de symptôme, pas de leucocytose • agent physique : non retrouvé à l'anamnèse • alimentaire : pas de consommation d'aliment nouveau • mastocytose : tryptase en cours au laboratoire du CHUV Sevrage progressif du Lamotrigine durant l'hospitalisation, dangerosité importante au niveau des réactions cutanées. Interdiction de conduite automobile durant 15 jours. Traitement symptomatique par Solumédrol 125 mg et Tavegyl 2 mg iv en ordre unique. Xyzal 5 mg et Prednisone 50 mg 1x/j, durant 5 jours. Prévoir consultation allergologique en ambulatoire. Intoxication médicamenteuse volontaire le 14.04.2019. Intoxication médicamenteuse volontaire par Rivotril, maximum 200 mg, janvier 2019. Intoxication médicamenteuse volontaire 13.02.2019 par : • 10 cpr de Temesta 1 mg • 10 cpr de xanax 0.5 mg • 1 cpr d'atarax 25 mg • Hospitalisation au RFSM Marsens le 14.02.2019 sous PAFA. Mouvements anormaux des membres supérieurs le 07.01.2019 de type choréiforme DD : dyskinésie/dystonie sur surdosage en Citalopram/Olanzapine, trouble somatoforme. Hypokaliémie à 2.9 mmol/l et acidose métabolique à trou anionique normal le 07.01.2019 DD : hypokaliémie sur Citalopram. QT long à 450 ms le 07.01.2019. Tentamen médicamenteux le 07.01.2019 dans un contexte de trouble de la personnalité borderline. Tentamen médicamenteux le 08.07.2018 sur prise d'alcool. Alcoolisation aiguë le 08.07.2018. Greffe fécale en juin 2018 pour colite pseudomembraneuse récidivante. Rupture de kyste ovarien avec drainage laparoscopique et appendicectomie en 2014. Intoxication OH le 13.04.2019. Intoxication volontaire à moins de 24 h au Paracétamol le 12.04.19. Intoxication volontaire par du paracétamol le 08.04.2019 • hépatite aiguë toxique. Introduction anticoagulation thérapeutique par Clexane 60 mg 2x/j dès le 27.03.2019 Avis cardiologique (Dr. X) Aspirine et Efient stoppés le 27.03.2019 Attitude : • anticoagulation à stopper le 03.04.2019 au matin • cardioversion à rediscuter selon évolution Introduction Atorvastatine Surveillance biologique et clinique Introduction d'Amlodipine 5 mg dès le 25.03.19 Mise en suspens de l'Atacand en raison d'une insuffisance rénale aiguë le 28.03.19 ainsi qu'un profil tensionnel bas Introduction de Cholecalciférol 600 Ul par jour dès le 13.04.2019 Suivi biologique Introduction de diurétiques iv vide infra. Transfert aux soins intensifs, HFR Fribourg, pour monitoring hémodynamique et investigations. Introduction de diurétiques iv (250 mg bolus puis 20 mg/h pour bilan négatif). Discussion de l'initiation de dialyse ou hémodiafiltration avec les néphrologues. Introduction de Gabapentine 100 mg 1x/j à la place de Pregabaline le 18.03.2019 selon avis neurologique, majoré à 100 mg 2x/j le 20.03.2019 Mise en place de 2 attelles adaptées pour les poignets pour la nuit par l'ergothérapie le 20.03.2019 (attelle personnelle non adaptée) Introduction de Glucophage 500 mg 2x/jour puis arrêt Introduction de G5 en continu du 26.03 au 03.04.19, puis du 08.04.19 au 12.04.19 Introduction de l'Esidrex 25 mg 1-0-0 Introduction de Lisinopril dès le 07.04.2019 Introduction de Remeron le 26.03.19 Quétiapine en fixe et en réserve Proposition de suivi psychiatrique en ambulatoire Introduction de Tramal. Reprise de contact avec le médecin traitant et neurologue traitant pour adaptation de l'antalgie et éventuelle réhabilitation en clinique antalgique. Introduction de Tritico 25 mg le soir le 10.04.2019 Sevrage progressif du Seresta et de l'Imovane Introduction d'inhalation d'Anoro Elipta 1x/j Suivi pneumologique en ambulatoire Introduction du Lexotanil. Introduction d'un traitement et d'une ETT à discuter en ambulatoire Introduction d'une insulinothérapie sous-cutanée Suivi ambulatoire par le médecin traitant Introduction d'une statine Introduction d'une substitution depuis le 21.02.2019 Introduction d'une substitution Euthyrox 25 mg depuis le 21.02.2019 Contrôle des valeurs thyroidiennes à 6 semaines Introduction insuline en continu aux soins puis Insulatard jusqu'au 01.04.19 Résolution durant le séjour à l'arrêt de la dexaméthasone Introduction insuline en continu aux soins puis Insulatard 2x/j Introduction insuline Ryzodeg Suivi glycémiques et schéma de correction du 06.04 au 17.04 Introduction Métoprolol et Lisinopril Double antiagrégation aspirine (à vie) et efient (6 mois) Coronarographie le 30.03.2019 (Dr. X) Coronarographie le 5.04.19 (Dr. X) Introduction Tamsulosine Introduction traitement par Aldactone Introduire IEC dès que possible selon fonction rénale et suivi de la kaliémie. Prévoir coronarographie en ambulatoire dès que possible selon fonction rénale et source de l'anémie découverte. OGD le 09.05.2019 et consultation pré-anesthésique le 30.04.2019 à 10h20. Intrusion dentaire dent 61 avec plaie de la gencive en regard Intubation difficile Cormack 3 imprévue le 12.04.2019 Intubation et ventilation mécanique du 12.04 au 14.04 puis du 16.04 au 18.04.2019 Ventilation non invasive du 14.04 au 16.04.2019 Co-Amoxicilline du 11.04 au 18.04.2019 Traitement diurétique Intubation et ventilation mécanique du 25.03 au 05.04.2019 Antibiothérapie par Meropenem du 27.03 au 05.04.2019 Intubation naso-trachéale et ventilation mécanique le 16.04.2019 Solumédrol le 16.04.2019 Prednisone du 17.04.2019 au 20.04.2019 Tavegyl 2 mg 2x/jour du 16.04.2019 au 20.04.2019 Echocardiographie transthoracique le 16.04.2019 Proposition : Organiser un rendez-vous chez un allergologue dès que possible. Intubation oro-trachéale (Cormack I) et ventilation mécanique du 22.04.2019 au 23.04.2019 CT-scan cérébral le 22.04.2019 Evaluation pédopsychiatrique Intubation oro-trachéale du 22.03 au 23.03.2019 Oesogastroduodénoscopie du 22.03.2019 (Dr. X) Oesogastroduodénoscopie le 28.03.2019 (Dr. X) : Alimentation entérale par SNG du 22.03 au 29.03.2019 À jeun strict per os initialement puis régime mixé lisse avec liquides épaissis dès le 01.04.2019 IPP à double dose dès le 22.03.2019 Transit au télébrix du 02.04.2019 Tumorboard du 03.04.2019 Bilan d'extension non réalisé car au vu de la démence du patient, une prise en charge oncologique nous semble non bénéfique (famille en accord avec cette attitude) Att : • poursuite régime mixé lisse avec épaississement des liquides à domicile • le patient sera convoqué pour la mise en place d'un stent oesophagien en ambulatoire Intubation 5h à Bern, CPAP jusqu'à J3 puis à l'AA dès le 11.03 Intussusception recto-rectale. Intoxication alimentaire DD : Gastro-entérite débutante Invagination Invagination intestinale iléo-caecale dans le contexte d'une gastro-entérite à Rotavirus Invagination, probablement iléo-caecale Investigation à l'aiguille boutonnée, profondeur < 5 mm, rinçage au Prontosan, compresse et bande. Poursuite antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3x/j pendant 7 jours (prolonger à 10 jours selon évolution). Conseils donnés au patient avec rinçages quotidiens et pansements. Suite de prise en charge avec contrôle à 7 jours chez le médecin traitant. Patient averti des symptômes devant l'amener à reconsulter. Investigation douleurs cervicales sur possibles lésions lytiques Investigation d'une insuffisance cardiaque et adaptation du traitement diurétique à rediscuter Investigations : • laboratoire • gazométrie artérielle • CT : cellulite périorbitaire phlegmoneuse à gauche avec doute sur une discrète composante post-septale médiale. Pas d'atteinte sinusienne ou intracrânienne. Encéphalomalacie de la région temporo-occipitale droite en rapport à des séquelles d'AVC • avis ophtalmologique : évaluation en cas d'évolution défavorable ou signes d'œdème papillaire (baisse de vision des couleurs, BAV) ou si proptose/trouble oculomotricité/aréactivité pupillaire. Attitude • hospitalisation en ORL • Co-Amoxicilline i/v 2,2 g 4x/j • mise en suspens du Fosinopril-HCT, Metformine au vu du contexte septique, à réévaluer selon contexte. Schéma correctif d'insuline • Solumédrol 125 mg i/v aux Urgences et une dose le 16.04.2019 • labo de contrôle demain matin (CRP, FSS, électrolytes), rajout HbA1c sur le labo de ce jour Investigations • CT : cf prob 1 Attitude • Revoir si suspicion de métastase déjà présentes au CT • REVOIR QUEL COMPRIMÉ DE CHIMIOTHÉRAPIE PREND la patiente et prescrire le cas échéant (sur liste des médics : écrit chimio 2 cp 50 mg et 1 cp 100 mg) Investigations • Feurée : 35.8% Attitude • NaCl 500 sur 8h post CT pour EP en raison de l'insuffisance rénale • Suivi biologique le 22.04 en raison de l'injection de produit de contraste, selon valeur de créatinine, ad 2ème perf • Rediscuter poursuite d'investigations • CAVE néphrotoxiques • Resonium à la place de veltassa car pas disponible à l'hôpital -> ad suivi kaliémie Investigations : • Laboratoire • Gazométrie veineuse • ECG • CT abdominal : pas de cholécystite, pas de pancréatite. Plage hypodense au niveau du foie (méta ?). Métastases osseuses Rein droit : perfusion ralentie, pas d'excrétion de produit de contraste, réhaussement paroi pyélon et uretère droite. Légère infiltration de la graisse périrénale. • Déficit en eau libre : 2 litres Attitude • Aux urgences : 1L NaCl sur 1h, puis 1L sur 2h, puis 1L sur 12h + K 30 mmol effervette aux urgences puis 20 mmol KCl dans la perfusion de 1L sur 12h + 10 U d'actrapid puis pompe de 5U/h jusqu'à HGT de 15 + Contrôle de la kaliémie.• Hospitalisation en médecine avec poursuite du traitement de Lantus et schéma de correction d'Humalog • Antalgie et antinauséeux en réserve et d'office • Contrôle labo le 24.04 Investigations: • Laboratoire: • Hémocultures à froid: à pister • Avis orthopédique (Dr. X) • US pied: infiltration des tissus mous, pas de collection Attitude • Hospitalisation en médecine à Riaz. Patient parti par ses propres moyens. Voie veineuse bandée • Délimitation de la plaie • Augmentin 2,2 iv aux urgences puis 2,2 iv 3x/j • Clexane prophylactique • Mobilisation: repos Investigations: • Laboratoire. • ECG. • CT cérébral natif et injecté avec les axes : hémorragie frontale intraparenchymateuse, sous-arachnoïdienne et sous durale. Dissection vertébrale gauche en V3. Fracture de l'os frontal. • Avis neurochirurgical. • Avis neurologique (Dr. X) : surveillance monitorisée nécessaire. Attitude: • Antalgie et anti-nauséeux. • Aspirine 250 iv à 18h00. • En absence de place monitorisée à Fribourg, transfert à l'Inselspital pour surveillance en Stroke unit en accord avec le neurologue de garde. Investigations: • Laboratoire • Gazométrie artérielle • CT: Cellulite périorbitaire phlegmoneuse à gauche avec doute sur une discrète composante post-septale médiale. Pas d'atteinte sinusienne ou intracrânienne. Encéphalomalacie de la région temporo-occipitale droite en rapport à des séquelles d'AVC • Avis ophtalmo: Evaluation en cas d'évolution défavorable ou signes d'œdème papillaire (baisse de vision des couleurs, BAV) ou si proptose/trouble oculomotricité/aréactivité pupillaire. Attitude • Hospitalisation en ORL • Co-amoxiciline iv 2,2g 3x/j • Mise en suspens du Fosinopril-HCT, metformine au vu du contexte septique, à réévaluer selon contexte. Schéma correctif d'insuline • Solumédrol 125mg IV aux urgences et une dose le 16.04.2019 • Labo de contrôle demain matin (CRP, FSS, électrolytes), rajout HbA1c sur le labo de ce jour Investigations: • Laboratoire • Gazométrie artérielle: pas de lactate • Sédiment urinaire • ECG • US de débrouillage: globe urinaire • Radiographie du thorax: pas de franc froyer • Hémocultures à pister • Culture d'urines: à pister Attitude • Pose d'une sonde urinaire • Ceftriaxone 1 dose aux urgences puis relais par ciprofloxacine • Hydratation • Paracétamol Investigations: • Laboratoire le 18.03.2019: CRP 89 mg/L, leucocytes 4 G/L • Radiographie main/poignet gauche 18.03.2019: Tuméfaction des parties molles, notamment sur le versant ulnaire de la main. • US articulaire du 19.03.2019, Dr. X (rhumatologie) : Synovite grade 1 du poignet G, lame de liquide au niveau du premier compartiment des tendons (long abducteur et extenseur du pouce). • Radiographie main/poignet gauche 20.03.2019: Interlignes articulaires régulières, importantes calcifications vasculaires. • CT-Scan avant-bras gauche injecté le 20.03.19: Volumineux abcès communicants entre eux situés dans la musculature des extenseurs de la main et du poignet débutant à mi avant-bras se prolongeant sur une distance de 19 cm au total, avec atteinte de la musculature du thénar et au contact du tendon de l'extenseur du pouce. • US de l'avant-bras le 01.04.2019 (rapport oral): Collection sur le versant radial de la cicatrice pouvant correspondre à un hématome ou un sérome, une origine infectieuse ne peut pas être formellement exclue. Collection le long de la cicatrice avec extension le long de l'extenseur radial du carpe (court et long) pouvant rentrer dans le cadre du statut post-opératoire. Avis rhumatologique le 19.03.2019 : US ne montre pas assez de liquide pour une ponction mais met en évidence une synovite de grade I au niveau du poignet. Ad bilan chondrocalcinose. Avis orthopédique le 20.03.2019 (Dr. X): Poursuivre l'antibiothérapie avec Co-Amoxicilline, ad CT-Scan. Avis orthopédique le 04.04.2019 (Dr. X) : Tuméfaction en augmentation avec chaleur, collection sous-cutanée présente à drainer chirurgicalement, débridement organisé pour le 06.04.2019. Prélèvements: • Liquide abcès per-opératoire du 21.03.2019: Staphylocoque doré 5/5 positifs • Antibiogramme du 21.03.2019: MSSA sensible à flucloxacilline • Liquide abcès per-opératoire du 24.03.2019: Staphylocoque doré 3/3 positifs Traitements: • Co-amoxicilline i.v. du 18.03 au 22.03.19 • Débridement chirurgical le 21.03.19 (Dr. X), avec pose de Redon du 21.03 au 22.03.19 avec peu de rendement • Reprise au bloc avec second débridement (second look) le 24.03.19 (Dr. X): pas de nécrose musculaire • Flucloxacilline i.v. du 22.03.19 au 04.04.2019 • Augmentin IV dès le 04.04.2019 • Drainage chirurgical prévu le 06.04.2019 puis transfert pour suite de prise en charge en orthopédie • Physiothérapie • Surélévation du membre supérieur gauche et contrôles réguliers de la plaie par les orthopédistes • Contrôle clinique à la consultation du team membre supérieur le 26.04.2019 à 9h30 Investigations: • Laboratoire (Meyriez). • Sédiment urinaire. • Test de grossesse urinaire négatif. • US hépatique : dans la limite de la normale, notamment pas de signe de cholécystite ni dilatation des voies biliaires. • Avis chirurgical (Dr. X) : abdomen non chirurgical, contrôle clinico-biologique à 24h, si persistance de la symptomatologie, ad CT à la recherche d'une appendicite. Attitude: • Retour à domicile avec antalgie et Pantozol. • Arrêt de travail le 12-13.04.2019. • Contrôle clinico-biologique au secteur ambulatoire des urgences le 13.04.2019, si persistance de la symptomatologie, ad CT à la recherche d'une appendicite. • Critères de reconsultation expliqués. Investigations: • Pister Spot urinaire Attitude: • Suspension du comilorid, à réévaluer selon évolution biologique • Suspension irfen • Rediscuter bilan étiologique Investigations: • QTc 492 Bazett 459 Frederica Attitude • CAVE aux médicaments allongeant le QT Investigations: • Radiographie du thorax • SSU/spot: à demander à l'étage Attitude • Suivi clinique et biologique • Pister urines Investigations: • Radiographie du thorax • SSU/spot: à demander à l'étage Attitude • Suivi clinique et biologique • Pister urines Investigations: • Radiographies de la hanche et du bassin: pas de fracture • CT-scanner bassin et hanches (Dr. X): pas de fracture, pas d'hématome, pas d'épanchement, importante coxarthrose - IRM bassin et colonne vertébrale : L'IRM du bassin et de la hanche droite s'avère normal. Pas de fracture des vertèbres de la colonne lombaire. En L3-L4, arthrose facettaire activée et protrusion discale. En L4-L5, petite hernie discale foraminale à extraforaminale droite, entraînant un déplacement et une irritation de la racine L4 en extraforaminale. Arthrose facettaire hypertrophiée et activée. Le reste de l'IRM de la colonne lombaire s'avère normal. Avis orthopédique (Dr. X) + team spine: probable douleur sur hernie foraminale avec compression radiculaire partielle. Hospitalisation pour infiltration scanno-guidée Attitude • Hospitalisation en orthopédie pour infiltration scanno-guidée du foramen L4 à droite le 10.04 • Antalgie • Anticoagulation prophylactique Investigations: • Rx hanche et bassin: Fracture per-trochantérienne du fémur gauche, non déplacée, classée Kyle I. • Rx colonne lombaire: pas de fracture visualisée. Important troubles dégénératifs du rachis lombaire, avec ostéophytes antérieurs et latéraux. Discopathies pluri-étagées. Alignements conservés des murs vertébraux antérieur et postérieur. Hauteurs préservées des corps vertébraux. Calcifications vasculaires.Hospitalisation en orthopédie • Avis orthopédique (Dr. X) Attitude • Hospitalisation en orthopédie • Intervention chirurgicale • A jeun • Lit strict avec gouttière jusqu'à intervention • Antalgie par dafalgan et tramadol • Clopidogrel en P jusqu'à op, à réévaluer • Clexane prophylactique après l'intervention Investigations étendues à prévoir Investigations insuffisance rénale Investigations: • Laboratoire • ECG • Radiographie du thorax Attitude • Hospitalisation en médecine pour bilan de syncope (Holter-échocoeur) • Surveillance neurologique aux 4h +/- CT selon évolution • Shellong: à demander à l'étage. Investigations: • Laboratoire • ECG • Radiographie du thorax Attitude • Hospitalisation en médecine pour bilan de syncope (Holter-échocoeur) • Surveillance neurologique aux 4h +/- CT selon évolution • Shellong: à demander à l'étage. Investigations: • Laboratoire • Gazométrie artérielle • ECG • Radiographie thoracique: redistribution vasculaire cardiaque, minime épanchement pleural à droite • CT recherche embolie pulmonaire: pas d'embolie pulmonaire Attitude • Hospitalisation en médecine • Lasix 2x40 à adapter selon évolution • Suivi clinicobiologique • Avis cardiologique à demander lors de l'hospitalisation • Liquémine 2x5000 pour prophylaxie • NaCl 500 sur 8h post CT pour EP en raison de l'insuffisance rénale Investigations: • Laboratoire • Sédiment urinaire • Hémocultures: à pister • Culture d'urine: à pister • US par urgentiste (Dr. X): dilatation pyélocalicielle, lithiase rénale Attitude • Ceftriaxone 2g iv aux urgences puis à l'étage, en rediscuter selon évolution • Revoir les images (dilatation ?) • Prendre un avis urologique + rediscuter suite de prise en charge Investigations: • Laboratoire • Sédiment urinaire • US abdominal du 22.04.2019: examen difficile car air ++, appendice non visualisé, liquide libre non visualisable, ganglion de 6x10mm en fosse iliaque droite • CT abdominal du 22.04.2019: à la relecture: appendicite aiguë de la pointe de l'appendice avec présence de deux stercolithes à la base de l'appendice et un dans sa partie distale. Lame de liquide libre dans le pelvis. • Avis chir (Dr. X): ad OP par laparoscopie Aux urgences: Rocéphine 2g i.v. et Flagyl 500 mg i.v. le 23.04.2019 à 15h Attitude: • A jeûn • Prise en charge chirurgicale laparoscopique et hospitalisation en chirurgie Investigations: • Laboratoire • Sédiment urinaire • US abdominal du 22.04.2019: examen difficile car air ++, appendice non visualisé, liquide libre non visualisable, ganglion de 6x10mm en fosse iliaque droite • CT abdominal du 22.04.2019: à la relecture: appendicite aiguë de la pointe de l'appendice avec présence de deux stercolithes à la base de l'appendice et un dans sa partie distale. Lame de liquide libre dans le pelvis. • Avis chir (Dr. X): ad OP par laparoscopie Aux urgences: Rocéphine 2g i.v. et Flagyl 500 mg i.v. le 23.04.2019 à 15h Attitude: • A jeûn • Prise en charge chirurgicale laparoscopique et hospitalisation en chirurgie Investigations: • Laboratoire: cinétique de troponines et CK • Gazométrie artérielle • ECG: BBG superposable à l'ECG en cardiologie (Dr. X) • RX thorax: redistribution sanguine, épanchement pleural • US par urgentiste: épanchement pleural bilatéral, lignes B • Echocardiographie (Dr. X): Dysfonction avec FEVG 35%. Trouble cinétique segmentaire • Avis cardiologique (Dr. X): coronarographie indiquée, patiente hésitante ayant refusé la coronarographie en 2015. • Coronarographie 17.04.19 ____ Attitude • Lasix 40mg iv, à poursuivre 1x/j • Aspirine 250mg iv Investigations: • Laboratoire • ECG • Gazométrie artérielle • CT embolie pulmonaire: multiples embolies pulmonaires sur presque tous les lobes, lobaires segmentaires et sous-segmentaires. Pas d'infarcissement pulmonaire. Épanchement pulmonaire bilatéral. Atélectasie lamellaire et condensé, ne parlant pas pour 1 foyer pulmonaire. Pas de répercussion sur les cavités cardiaques droites. Attitude • Anticoagulation par Clexane 80mg 1 dose en oncologie puis Xarelto 15mg 2x/j pendant 3 semaines puis 20mg • Contrôle de la crase le 10.04 • Réévaluer poursuite aspirine Investigations: • Laboratoire. • FAST: pas de liquide libre. • Radiographie thorax: pas de fracture costale. • Radiographie poignet face/profil: fracture multifragmentaire du radius distal droit. • CT poignet. Attitude • Reposition et plâtrage fendu. • Retour à domicile avec opération en ambulatoire le 25.04. • Antalgie. Investigations: • Laboratoire: syndrome inflammatoire et leucocytose • Gazométrie artérielle • ECG • Radio thorax: suspicion foyer rétro-cardiaque • US aux urgences: épanchement pleural droit • Hémocultures (à froid): négatives à 5 jours • Sédiment urinaire: leucocyturie, érythrocyturie et bactériurie • Urotube: 10^3 germes/mL • Antigènes urinaires: négatifs • ProBNP: 2883 ng/L Attitude • Antibiothérapie par Ceftriaxone IV du 27.03.2019 au 01.04.2019 puis passage à Co-amoxicilline per os adapté à la fonction rénale pour une durée totale de 7 jours Investigations leucopénie Investigations refusées par la patiente Iodothérapie le 15.04.2019 Scintigraphie et PET-CT le 17.04.2019 Suite de prise en charge au cabinet du Dr. X IOT (Ck 2) du 29.04.2019 au 30.04.2019 Sonde nasogastrique du 29.04.2019 au 30.04.2019 Avis psychiatrique le 30.04.2019 IOT (Cormack 1) et ventilation mécanique le 22.03.2019 (per-opératoire) IOT (Dr. X) tube 7, 23cm AD, GL 1 et ventilation mécanique du 29.04.2019 biologie gazométrie Rx thorax SNG 14 (Dr. X) IOT du 26.03.2019 au 27.03.2019 IOT et ventilation mécanique du 15.04.2019 au 16.04.2019 Cathéter artériel radial droit du 15.04.2019 au 16.04.2019 Consilium psychiatrique le 16.04.2019: absence d'idéation suicidaire. Retour à domicile avec suivi ambulatoire IOT et ventilation mécanique du 16.03 au 23.03.2019 Sédation du 16.03 au 22.03.2019 Curarisation le 18.03.2019 VNI du 15.03 au 16.03.2019 Drainage épanchement pleural droit le 17.03 au 19.03.2019 Drain pleural (Pigtail) posé sous CT le 19.03.2019, retiré le 29.03.2019 RX thorax post-retrait de drain thoracique le 29.03.2019 Actilyse le 24.03.2019 Bronchoscopie le 18.03.2019 (Dr. X) Drain pleural (Pigtail) posé sous CT le 02.04.2019: retrait de 20 ml envoyé en culture Cultures liquide pleural négatives Gazométrie artérielle le 02.04.2019: légère hypoxémie avec O2 à 10.9, pH, CO2 et lactates sp 2ème drain pleural (Pigtail) posé sous CT le 03.04.2019 Protocole d'Actilyse sur 2 drains pleuraux le 05.04.2019 Avis Dr. X 10.04.2019: bonne évolution, ablation des 2 drains le 10.04 et le 11.04.2019 IOT et ventilation mécanique du 29.04.2019 au 30.04.2019 Avis psychiatrique le 30.04.19 (Dr. X). IOT et ventilation mécanique 14.-17.04.2019 Contention jusqu'à 18.04.2019 Haldol 16.04.-18.04.2019 Seroquel dès le 18.04.- Catapresan 16.04.-18.04.2019 Temesta 16.04.-18.04.2019 IOT et ventilation mécanique 14.-17.04.2019 Contention jusqu'à 18.04.2019 Haldol 16.04.-18.04.2019 Seroquel dès le 18.04.2019 Catapresan 16.04.-18.04.2019 Temesta 16.04.-18.04.2019 IPMN dans la jonction céphalo-isthmique du pancréas: Endosonographie et ponction le 01.07.2014 Examen cyto-pathologique du 03.07.2014: ponction à l'aiguille fine trans-duodénale de la tête du pancréas avec un épithélium cylindrique produisant peu de mucus et atypie de bas degré, élément de contenu de kyste ainsi que présence de saignement. Résultat compatible avec une lésion mucineuse papillaire intraductale du pancréas. Endosonographie du 04.03.2015: cytologie rassurante, mais lésion kystique au niveau de la tête et l'isthme du pancréas avec augmentation progressive de la taille. IRM abdominale du 23.03.2015: en confrontation avec l'imagerie antérieure réalisée en 2012 et 2014, nette régression de la lésion focale kystique située à la jonction céphalo-isthmique du pancréas. Compte tenu de cette régression, elle évoque plutôt un cystadénome séreux. Pas d'autre lésion focale pancréatique apparue. Pas de dilatation du canal de Wirsung. Duodéno-pancréatectomie céphalique (selon Whipple) le 23.10.15. Hypertension artérielle. Polyarthrite rhumatoïde séropositive. Colite lymphocytaire sous Centocor 3 mg/jour. Lésion hépatique de 33 x 17 mm du bord inféro-postérieur correspondant à un hématome avec : • biopsie sous guidage CT le 23.06.2014 • rapport histo-pathologique du 25.06.2014 : image histologique suggérant en premier lieu des fragments d'un hématome encapsulé et du tissu fibreux adipeux en bordure. IPP iv puis po, jusqu'au 14.05.2019 (8 semaines) OGD le 22.03.2019 (Dr. X) OGD de contrôle à discuter à distance IPP 40 mg bid pour 6 semaines IPP 40 mg id ECG = sinusal régulier sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation OGD (24.04.19) : maladie de reflux gastro-oesophagien OGD de contrôle le 04.07.19 à 11h30 IR avec clairance à 32.7 selon Cockroft & Gault : • origine prérénale FE Na 0.1%. IRA AKIN I IRA AKIN I d'origine prérénale • FEurée 33.25% le 01.04.2019 IRA AKIN I le 07.03.19 • dans un contexte inflammatoire IRA AKIN II (CKD EPI 17.4 ml/min) dans contexte IRC stade IIIa IRA AKIN II (CKD EPI 17.4 ml/min) dans contexte IRC stade IIIa le 16.04.2019 sur déshydratation (gastro-entérite) • FeUrée 20% (pré-rénal) IRA AKIN 1 sur rhabdomyolyse le 17.03.19 IRA (AKIN 2) sur IRC (KDIGO G3a) • créatinine du 08.03.2019 : 142 umol/l IRA AKIN1 sur IRC DD • prérénal • rénal • post-rénal : pas d'arguments IRA sur insuffisance rénale chronique stade G4 d'origine indéterminée • Avec probable infection urinaire IRA sur IRC dans contexte de néphropathie diabétique avec GFR CKD-EPI à 49 ml/min le 14.03.2019 (Cockcroft 56 ml/min) IRA sur IRC dans contexte de néphropathie diabétique avec GFR CKD-EPI à 49 ml/min le 14.03.2019 (Cockcroft 56 ml/min) IRA sur probable néphropathie hypertensive (créatinine 123 micromol/l le 22.01.2019) Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë d'origine multifactorielle le 01.06.2018 avec : • embolies pulmonaires segmentaires antérieure lobaire supérieure D et antéro-basale D • décompensation cardiaque dans un contexte d'insuffisance aortique sévère • épanchements pleuraux bilatéraux (à droite plus qu'à gauche) • suspicion de pneumonie versus décompensation de bronchopneumopathie chronique obstructive • intubation orotrachéale et ventilation mécanique du 01.06.2018 au 02.06.2018 • ponction pleurale D le 01.06.2018 (exsudat, 2000 ml) • ponction pleurale D le 10.06.2018 (exsudat, 500 ml) • Céfépime le 01.06.2018 • Co-Amoxicilline du 01.06.2018 au 05.06.2018 Carcinome vésical suivi par le Dr. X IRA DD • prérénale • rénale • post-rénale : pas d'arguments IRC acutisée en post-opératoire : • clairance de la créatinine à 28 ml/min selon Cockcroft IRC avec clairance à 61 ml/min selon CKD-EPI le 26.02.2019 IRA aiguë d'origine prérénale le 19.03.2019, clairance 38.2 ml/min selon CKD-EPI IRC avec créatinine à 195 µmol/l le 05.02.2019 et 167 µmol/l le 25.03.2019 IRC de stade G4 Ax selon KDIGO, probablement sur néphropathie hypertensive, néphroangiosclérose et possible syndrome cardio-rénal. • Décompensation de l'insuffisance rénale chronique le 22.03.2019 IRC G3bA2 le 21.04.2019 d'origine mixte DD Néphroangiosclérose/post-rénal/cardio-rénale/amyloïdose IRC stade G4 selon KDIGO IRC stade G4 SAOS appareillé Cardiopathie ischémique • stent sur IVA en 2004 • BAV 1er degré BPCO non stadée Diverticulose sigmoïdienne Hyperplasie de la prostate IRC sur probable néphropathie diabétique • clairance calculée à 57 ml/min selon CKD EPI le 03.04.2019 Irfen 3x/j, 3 jours et contrôle chez le pédiatre Si forte douleur testiculaire soudaine, consultation immédiate aux urgences Irfen 400 mg 1-1-1 IRM : aspect plutôt grêle et remanié de la plastie LCA compatible avec une distorsion. Absence d'atteinte méniscale. Collatéraux stables. Pas de lésion chondrale. IRM : cf. diagnostic. IRM : déchirure du LCA avulsé depuis son origine fémorale. Atteinte du collatéral interne touchant environ 20% des fibres. Intégrité des fibres résiduelles. Ménisque interne avec petite lésion dans la corne postérieure sans fragment luxable ou luxé dans l'articulation. IRM : déchirure du LCA, entorse du collatéral médial, intégrité méniscale et cartilagineuse. IRM : petite structure kystique tri-lobée, n'expliquant pas la symptomatologie de la patiente. Examen clinique superposable à la consultation précédente. Sans nouveaux symptômes. Immobilisation par attelle poignet palmaire en réserve. Arrêt de travail. IRM : effondrement cartilagineux fémoro-tibial interne tant au niveau condylien que du plateau tibial. Extrusion méniscale de la corne moyenne et postérieure. Intégrité cartilagineuse du compartiment externe fémoral et tibial ainsi que de la portion méniscale. IRM : intégrité des structures cartilagineuses du compartiment interne et externe ainsi que des structures méniscales. La rotule est effectivement plus mince avec un aspect dysplasique. Toutefois, pas d'atteinte de l'os sous-chondral. IRM : intégrité des structures cartilagineuses et méniscales internes et externes. Le collatéral médial présente dans la portion proximale une atteinte pratiquement complète touchant 80% des fibres environ. Toutefois, la continuité semble encore maintenue. IRM : intégrité des structures cartilagineuses méniscales et ligamentaires. Pas d'épanchement. Lésion de surcharge en regard du compartiment fémoro-tibial externe. IRM : intégrité des structures méniscales périphériques et centrales. Zone de contusion du plateau tibial externe. IRM : intégrité du ligament du TFCC. Son origine montre un signe de petit arrachement partiel, son aspect arciforme est maintenu. La radio-ulnaire est également en continuité et elle montre des signes de distorsion. Il y a une légère translation antérieure de la position ulnaire par rapport au radius mais ceci peut être lié à la position du poignet lors de l'examen. IRM : intégrité du pivot central et du collatéral latéral. Intégrité des structures méniscales et cartilagineuses. Oedème et inflammation en regard de l'origine fémorale du LLI. IRM : lésion partielle du tendon du sus-épineux pourtant assez tendu, avec encore des fibres du côté articulaire intactes. Omarthrose débutante avec une diminution de la couche cartilagineuse sur la tête humérale. IRM : lordose partiellement conservée, sans clair signe de Modic. Rétrécissement canalaire au niveau L3-L4 sur kyste articulaire à droite, sans franche compression du canal lombaire associée à une discopathie L5-S1 débutante avec débord discal vers le foramen et le recessus à gauche sans franc conflit disco-radiculaire.IRM : Mise en évidence d'une lame de liquide sous-acromial avec calcification dans la partie postérieure du sus-épineux. IRM : Pas de lésion de la coiffe des rotateurs visible. Pas de lésion cartilagineuse. Légère arthrose AC. IRM : Pas de lésion de Steiner. Lésion partielle du ligament collatéral cubital de la MCP I. IRM : pas d'élément en faveur d'une atteinte du périostite. IRM : pas encore vu les images. Selon rapport : oedème en regard de la plastie LCA. IRM : petite irritation en regard du tendon extenseur quadricipital. Lésion de grade I en regard du ménisque interne. Pas d'altération cartilagineuse ou ligamentaire périphérique ou central. IRM : Rupture du sus-épineux avec une rétraction du 2ème degré avec une bonne qualité musculaire. Pas d'atteinte du reste de la coiffe des rotateurs. IRM : status post ménisectomie. Les ménisques sont remaniés mais conservent leur image très dimensionnée, pas de fragment luxable ou luxant l'articulation. L'intégrité cartilagineuse est encore acceptable des 3 compartiments. IRM : tendon bicipital à sa place. Assez grosse ossification hétérotopique proche du radius dans la musculature des extenseurs. IRM : très probable ancienne ostéochondrite disséquante, laissant une surface articulaire rugueuse au niveau du capitellum. Pas de corps articulaire libre visible sur cet examen. IRM : visualisation de faibles lésions patellaires plutôt de la facette externe de la rotule. Plica fémoro-patellaire sp. IRM : visualisation de structure nodulaire bien délimitée plutôt liquidienne évoquant des granulomes. Visualisation d'une zone également le long du tractus ilio-tibial au tiers moyen de la cuisse. IRM : visualisation d'un effondrement cartilagineux fémoro-tibial interne. Expulsion du ménisque interne. Le compartiment fémoro-tibial externe est encore assez intègre avec intégrité méniscale et de la surface cartilagineuse. Fémoro-patellaire avec signes d'arthrose mais sans effondrement ni subluxation patellaire. IRM : Visualisation d'un kyste de Baker en position atypique en postéro-médial mesurant 6x2 cm. Arthrose fémoro-tibiale interne avec effondrement de la structure cartilagineuse complète avec extrusion du ménisque interne. IRM : visualisation d'un oedème en regard de la portion proximale du LLI. Continuité des fibres. Ménisque en place. Intégrité cartilagineuse et du pivot central. IRM : visualisation d'une déchirure du LCA. IRM : visualisation d'une déchirure du LCA. Intégrité des structures méniscales et périphériques. Cartilage sp. Zone d'impaction typique d'une atteinte du LCA. IRM : visualisation d'une entorse en regard du pivot central sans lésion au sens propre. Intégrité des structures méniscales en externe et en interne ainsi que des collatéraux. IRM : visualisation d'une intégrité des structures ligamentaires périphériques et centrales. Pas d'altération cartilagineuse des 3 compartiments. Intégrité des structures méniscales en interne et en externe. Visualisation d'un ossicule séquellaire d'Osgood Schlatter au sein du tendon rotulien avec un signal d'oedème compatible avec un traumatisme récent. IRM : visualisation d'une languette du détriment de la zone cartilagineuse de la rotule. IRM : visualisation d'une surcharge sur le labrum postérieur et inférieur mais sans déchirure complète de ce dernier. La zone cartilagineuse est normale et il n'y a pas d'oedème de l'os sous-chondral pouvant justifier des phénomènes d'instabilité répétée. La tête est centrée et la glaine est bien congruente. IRM : visualisation d'une zone d'oedème en regard du condyle externe. Trochlée fémorale légèrement dysplasique mais pas de contre-coup en regard de la facette interne de la rotule. Pas de lésion cartilagineuse non plus même si la zone en regard de la trochlée ne peut pas être bien visualisée. En tout cas, il n'y a pas de fragment libre intra-articulaire. IRM : visualisation d'une zone d'impaction en regard du condyle fémoral externe sur un état après luxation latérale de la rotule. Intégrité des structures méniscales et ligamentaires périphériques. Status post-plastie du LCA qui apparaît intègre. Grosse lésion kystique en regard du tunnel tibial. IRM : visualisation d'une zone d'oedème de tout le ménisque interne corne moyenne. Pas de déchirure franche ou de fragment luxé ou luxable dans l'articulation. Cartilage sp. Pas d'oedème de l'os sous-chondra. IRM : Visualisation d'une zone d'oedème en regard du plateau tibial interne avec un petit kyste sous-méniscal. Le compartiment externe révèle une intégrité méniscale et cartilagineuse même s'il y a un petit kyste à l'intérieur du corps méniscal de la corne moyenne du ménisque externe sans transfixation à travers la zone articulaire. IRM : Voir diagnostic susmentionné. IRM à prévoir IRM à prévoir avec contrôle au Team Genou. IRM Affidea genou D : bone bruise plateau tibial antéro-médial avec bone bruise condyle externe et plateau tibial postéro-latéral. IRM amenée par la patiente mettant en évidence un oedème au niveau de l'articulation AC et une bursite sous-acromiale. IRM août 2018 : signes débutants de surcharge articulaire L4-L5 droite sur le niveau au-dessus de la stabilisation avec hyperintensité inter-facettaire sur les séquences T2 au niveau L4-L5. IRM bassin et hanche droite : induration au niveau des crêtes iliaques sur environ 7 cm à partir de l'épine supérieure antérieure vers dorsal avec une induration du muscle moyen fessier, sans signe de lésions dans les structures osseuses du bassin. Pas de signe de collection, comme un abcès, dans le muscle du moyen fessier. L'induration respecte bien la structure du muscle du moyen fessier. IRM cardiaque à prévoir en ambulatoire. Discussion avec le patient sur l'arrêt de consommation alcoolique le 17.04.2019. IRM cérébral à effectuer. Evaluer avis neurochirurgical. IRM cérébral le 03.04.2019 : pas de lésion ischémique ou hémorragique récente. IRM cérébral Avis neurochirurgical : neurocytome DD subépendymome, indication à opérer en ambulatoire, prendre contact avec neurochirurgie de Berne. Avis neurochirurgical de Berne : envoyer le patient au service des urgences de Berne où il sera vu par les neurochirurgiens. IRM cérébrale : dans la norme. US abdominal dans la norme. Laboratoire : cf annexe. ECG : rythme sinusal régulier, axe normal, PR 120 ms, QRS fins, QTc 423 ms, pas de sus- ni de sous-décalage de ST. IRM cérébrale de contrôle en 05/2019 (patient sera convoqué). IRM cérébrale du jour : sur les séquences T2*, aucun signe de dépôt d'hémosidérine au niveau parenchymateux, pas de signe de suspicion de lésion post-traumatique. Les autres séquences ne montrent pas de signe d'ischémie aiguë ni tardive. IRM cérébrale du 25.04.19 : superposable. Bilan neuro-psychologique le 29.04.19 : présence de troubles mnésiques et exécutifs. Si persistance de troubles mnésiques, possibilité de réadresser la patiente en neuropsychologie pour suivi. Adaptation du traitement antihypertenseur : • poursuite sartan et b-bloquant • stop IEC/Thiazide (hyponatrémie) • introduction amlodipine. IRM cérébrale en ambulatoire sans anomalie. Education sur les signes devant amener à reconsulter. IRM cervicale en ambulatoire +/- nouvelle consultation ORL. Suite chez médecin de famille. IRM cérébrale externe. CT-Scan thoraco-abdomino-pelvien le 03.04.2019. EEG le 04.04.2019 : activité anormale. Couverture par Keppra 1 g 2x/j.Pet-Scan le 08.04.2019 à 11h00 Avis neurochirurgical (Dr. X) : 8 mg de Dexaméthasone à l'entrée, puis 3x4 mg dès le 03.04.2019 au matin ; CT thoraco-abdominal à organiser pour rechercher autre lésion, puis discussion multidisciplinaire avec oncologue pour discuter de la suite de prise en charge ; résection des 4 masses probablement non réalisable, mais possibilité de réséquer la plus volumineuse pour diminuer effet de masse et symptômes Consilium neurologique le 04.04.2019 Consilium radio-oncologique le 04.04.2019 Dexaméthasone 8 mg OU le 02.04.2019 puis 12-4-0-0 mg le 03.04.2019, puis 8-8-0-0 mg dès le 04.04.2019 Keppra 1 g 2x/j dès le 04.04.2019 Concertation multidisciplinaire avec prise en charge sur trois axes avec : • neurochirurgicale pour la plus grosse lésion ayant un effet de masse à Berne • radio-oncologique stéréotaxique pour les lésions restantes post-opératoire • poursuite de la prise en charge oncologique Transfert à l'Inselspital Bern le 04.04.2019 IRM cérébrale le 04.04.2019 Double antiagrégation pour 1 mois par Aspirine cardio 100 mg 1x/j dès le 04.04.2019 pour 1 mois et Plavix 75 mg 1x/j à long terme Pantozol 20 mg 1x/j le temps de la double antiagrégation IRM cérébrale le 05.04.2019 Minerve rigide 24h sur 24h, mobilisation libre avec la minerve en place Contrôle orthopédique team spine dans 3 semaines IRM cérébrale le 09.04.2019 (Centre imagerie Caroline Lausanne) : plusieurs formations punctiformes hyperintenses FLAIR positives dans la séquence de diffusion, de localisation occipitale bilatérale (une lésion à droite, environ 5 lésions à gauche, pas de sténose vasculaire, probable hypoplasie vertébrale D). Angio CT cérébral et des vaisseaux précérébraux le 10.04.2019 (CHUV) : hypoplasie a. cérébrale D, pas d'athéromatose ni sténose significative, pas d'AVC constitué. ETT le 10.04.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAP's à 30 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence de passage des microbulles en repos et après Valsalva, ASIA minime. Absence d'épanchement péricardique. Examen neurosonologique le 11.04.2019 : pas de sténose ni athéromatose significative. Bilan neuro-psychologique le 12.04.2019 : pas de trouble visuel ou attentionnel majeur lors de l'évaluation primaire, sera reconvoqué pour une évaluation plus approfondie. IRM cérébrale le 24.03.2019 Réadaptation neurologique IRM cérébrale le 28.03.2019 : Examen réalisé avec protocole T1 sans et avec injection de Gadolinium mettant en évidence deux lésions intra-axiales cortico-sous-corticales dont une occipitale gauche et l'autre temporale droite, compatibles avec des métastases Laboratoire : cf. annexes Histologie : cf. annexes IRM cérébrale le 28.03.2019 Craniotomie occipitale gauche et exérèse de la lésion occipitale le 29.03.2019 Histologie : Métastase cérébrale sur carcinome mammaire peu différencié, connu (Promed 04.04.2019 et 17.04.2019) IRM cérébrale le 28.03.2019 Craniotomie temporale droite et exérèse de la lésion temporale le 12.04.2019 IRM cérébrale 12.03.2019 : Examen réalisé sans injection de produit de contraste. Séquences réalisées FLAIR-T1 et DTI. Hématome temporo-insulaire et thalamique gauche. Leucoencéphalopathie périventriculaire. Système ventriculaire en place non dilaté. CT-scan natif cérébral le 26.03.2019 : Séquelles thalamiques et temporo-insulaires gauche. Persistance de petites composantes hémorragiques récentes (hyperdense) autour : médialement et inférieurement à la zone séquellaire, ainsi que latéralement à la partie antérieure et supérieure du 3ème ventricule. Séquelles ischémiques sur le territoire centre sémiovale G sur probable contexte d'occlusion carotidienne interne G. Le reste du statut est superposable au comparatif. IRM cérébrale 12.04.2019 : lésions séquellaires de lésion ischémique du lobe frontal gauche, se présentant par des plages de gliose, associées à une ectasie du ventricule latéral gauche. Atrophie du lobe temporal gauche (évoquant une maladie d'Alzheimer). Consultation neuropsychologique, le patient sera convoqué. IRM cervical le 29.04 IRM cervicale dans les limites de la norme. IRM épaule G montrant une diminution de la tendinopathie comparée à l'examen réalisé avant l'intervention, statut post-bursectomie et ténodèse du LCB. Diminution du volume articulaire. IRM cervicale du jour (PACS) : cf. diagnostic. Multiples petits kystes d'allure arachnoïdienne intra-foraminaux notamment au contact de la racine C7 du côté gauche sans d'autres troubles dégénératifs. Pas d'hypersignal STIR. IRM cervicale du jour (PACS) : pas de processus compressif nouveau, cage bien en place. IRM cervicale du jour (PACS) : Pas de hernie discale ni rétrécissement foraminal. IRM cervicale du 15.04.2019 (centre de radiologie de la Broye) : décompensation des segments de C5-C6 et C6-C7. Au niveau C5-C6, visualisation d'une dégénérescence discale avec dessiccation et hernie C5-C6 gauche et partielle à droite sans clair conflit disco-radiculaire. Au niveau C6-C7, présence d'une dégénérescence discale complète et signe de Modic I associé à un rétrécissement foraminal gauche avec conflit radiculaire et suspicion de conflit radiculaire radiologique sur la droite. IRM cervicale et contrôle le 23.04.19. IRM cervico-cérébrale du jour (PACS) : Pas d'évidence de micro-saignement sur les séquences T2* ni d'anomalie des vaisseaux. Dans l'ensemble, examen normal hormis une claire sinusite ethmoïdale et frontale à prédominance D. IRM cervico-dorsale du 01.04.2019 (RDLB) : Discopathie C4-C5, C5-C6 et C6-C7, sans compression médullaire ni signe de radiculopathie. Partiel rétrécissement foraminal bilatéral à ces niveaux, sans signe de conflit radiculaire. Pas de compression ni de troubles dégénératifs majeurs au niveau de la colonne dorsale. IRM cérébrale du 03.04.2019 (RDLB) : Pas de lésion cérébrale. IRM cheville D du jour : lésion du tendon d'Achille à 3 cm distal de son insertion. Kyste probablement articulaire sur la face postérieure du tibia. IRM cheville D du jour : pas de lésion cartilagineuse. Appareil ligamentaire intact sur toute la continuité avec prise de contraste. Liquide péri-tendineux au niveau des péroniers qui sont intacts sur tout le trajet.IRM cheville D du 18.04.2019 : discret hypersignal T2 en regard du ligament de spring. Pas de déchirure des ligaments. IRM cheville G du jour : contusion osseuse conséquente de l'épaule médiane du talus. IRM cheville G du jour : présence de liquide au niveau de la bourse pré-achilienne et signe inflammatoire au niveau de l'insertion des structures tendineuses. IRM chez Affidea Fribourg le 17.04.2019. IRM CIMF 05.03.2019 : cf. diagnostic. RX du jour avec f/e au niveau lombaire (PACS) : pas de glissement majoré sur les radiographies en flexion/extension. IRM colonne cervicale du jour (PACS) : Discopathie C4-C5. Pas d'œdème au niveau des corps vertébraux pouvant faire suspecter une fracture. IRM colonne cervicale du jour (PACS) : Situation stable par rapport à l'IRM du 18.04.2018. IRM colonne cervicale du 05.03.2019 (PACS) : Discopathie dégénérative marquée en C5-C6 et C6-C7 avec ostéophytose uncale et récessale. Compression foraminale C7 G. IRM colonne cervicale du 14.02.2019 (PACS) : cf. diagnostic. RX colonne cervicale face/profil et flexion/extension du jour (PACS) : Troubles dégénératifs ci-dessus. Pas d'évidence de luxation ni de fracture. IRM colonne cervicale du 22.03.2019 (IDMG) : Discopathie sévère C4-C5 et C5-C6 avec sténose foraminale C4-C5 et C5-C6 D. Compression médullaire C4-C5 et C5-C6 avec probable poussée de la moelle du côté contro-latéral. Ostéophytose aux mêmes niveaux. Suspicion de myélopathie sur les coupes sagittales. IRM colonne cervicale du 25.03.2019 (PACS) : cf. diagnostic. IRM colonne cervicale du 27.02.2019 (Givision, Givisiez) : Protrusion discale C5-C6 avec sténose foraminale C5-C6 D. Uncarthrose multi-étagée. IRM colonne cervicale et lombaire du jour (PACS) : Canal cervical et lombaire étroit constitutionnel avec rétrécissement cervical pluri-étagé, sans véritable compression. Pas de compression radiculaire. Troubles arthrosiques dégénératifs diffus. Spina Bifida occulta avec défaut des arcs postérieurs sacrés. IRM colonne dorsale du 16.04.2019 (PACS) : Collection liquidienne sous-cutanée en connexion avec la dure-mère dorsale, faisant suspecter un pseudo-méningocèle sur brèche durale. IRM colonne dorsale native et injectée du 16.04.2019 : aspect d'une collection liquidienne de LCR dont les mesures sont déjà mentionnées, exerçant un effet de masse sur le sac dural, sans signe de fistulisation cutanée et sans prise de contraste évoquant un caractère inflammatoire de la collection. Discrets signes inflammatoires des tissus mous avoisinants de la collection, en rapport probablement avec les suites inflammatoires post OP. IRM colonne dorso-lombaire le 25.04.2019 (HFR Riaz) Intervention chirurgicale le 26.04.2019. IRM colonne lombaire : scoliose lombaire sinistro-convexe. Fracture/tassement de L3. Discopathie pluri-étagée prédominant en L3-L4 et L4-L5 avec fragment discal comprimant les racines à droite aux étages L4-L5 et L3-L4. IRM du pelvis : hernie inguino-scrotale droite avec des sicules situés à la partie moyenne du canal inguinal. Phénomène d'épaulement de la jonction col/tête fémorale des deux côtés en relation avec un conflit fémoro-acétabulaire radiologique. IRM colonne lombaire : Si on compare l'IRM actuelle avec l'IRM qui date de juin 2018, on note une nette péjoration du canal lombaire au niveau L2-L3, L3-L4. Le canal lombaire au niveau L3-L4 est quasiment complètement occlus. IRM colonne lombaire de février 2019 (apportée par le patient) : cf diagnostic. IRM colonne lombaire du jour (PACS) : arthrose zygapophysaire hypertrophique avec lame de liquide en L4-L5, L5-S1 bilatéralement. Spacer inter-épineux L4-L5, L5-S1 en place. Disques ne présentant pas de hernie discale ou de grosse dégénérescence. IRM colonne lombaire du jour (PACS) : cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du jour (PACS) : nouvelle sténose du canal rachidien en L3-L4. Matériel de spondylodèse en place. IRM colonne lombaire du jour (PACS) : sténose canalaires L4-L5, L5-S1 avec arthrose facettaire bilatérale en L4-L5, L5-S1. Protrusion VS hernie discale L4-L5, L5-S1 para-médiane gauche surtout sur ces deux niveaux. Implant inter-épineux en place. IRM colonne lombaire du jour (PACS) : cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du jour (PACS) : cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du jour (PACS) : cyphoplastie stable, sans fuite de ciment visible. Pas de signe de conflit arthrosique ni radiculaire. Pas de hernie discale. Altération dégénérative au niveau L5-S1 avec débord discal G, sans conflit radiculaire. IRM colonne lombaire du jour (PACS) : distraction de l'articulation L4-L5, principalement à D. Pas de collection visualisée. Cage ALIF en place. Pas de compression médullaire visualisée. IRM colonne lombaire du jour (PACS) : hypersignal facettaire L4-L5 associée à une discopathie pouvant être liée à une décompensation du segment adjacent à la spondylodèse L3-L4. Le disque L5-S1 est également dégénéré de façon avancée, pouvant également expliquer les douleurs lombaires. Petit fragment discal L4-L5 foraminal G pouvant justifier la radiculopathie. Au niveau L5-S1 hernie discale médiane ne semblant pas compressive et n'étant pas associée à une symptomatologie S1. Myélographie fonctionnelle avec CT du 19.03.2019 (CIMF) : impingement bilatéral L4-L5 avec rétrécissement récessal G corrélant bien à la symptomatologie. Bilan neurologique du 18.03.2019 (Neurocentre) : Absence de signe neuropathique autre que la dénervation chronique L4 déjà documentée à l'ENMG. IRM colonne lombaire du jour (PACS) : Pas de nouvelle hernie discale ni compression résiduelle au niveau de la racine S1. Les séquences T2 montrent un hypersignal au niveau des articulations L4-L5 et surtout L5-S1 G, associée à une prise de contraste autour de cette articulation, faisant suspecter un syndrome inflammatoire résiduel. Pas de signe d'infection. IRM colonne lombaire du jour (PACS) : sténose canalaire L2-L3 et L4-L5. Arthrose facettaire multi-étagée, surtout marquée en L4-L5. Sténose foraminale L4-L5 G. Discopathie multi-étagée, plus marquée en L2-L3 et L5-S1. RX genou ddc face/profil et rotule axiale du jour (PACS) : Discrets signes d'arthrose ddc. IRM colonne lombaire du jour (PACS) : sténose foraminale bilatérale L4-L5, prédominante à D. Hypertrophie du ligament jaune en L4-L5 surtout ainsi qu'en L3-L4 dans une moindre mesure. Implant inter-épineux visualisé en regard des vertèbres L3-L4. IRM colonne lombaire du 01.04.2019 (PACS) : spondylolisthésis L4-L5 grade I avec phénomène d'épaississement ligamentaire ipsi-segmentaire et discopathie, engendrant un canal lombaire étroit L4-L5 avec conflit radiculaire L5 D. IRM colonne lombaire du 07.03.2019 (PACS) : cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du 09.04.2019 (PACS) : cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du 10.04.2019 (PACS) : discopathie dégénérative avec protrusion discale L4-L5 médiane. IRM colonne lombaire du 10.04.2019 (PACS) : minime hernie discale L4-L5 avec protrusion postérieure, sans signe de compression neurologique. Taille diminuée par rapport à l'examen de 2015. RX jambe G face/profil du jour (PACS) : pas de fracture. Tubérosité tibiale proéminente avec épaississement du périoste antérieur. IRM colonne lombaire du 15.02.2019 (PACS) : cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du 16.04.2019 (PACS) : pas de progression de la hernie L2-L3. Pas de changement par rapport à l'IRM de septembre 2018 avec une discopathie L2-L3, protrusion foraminale et extra-foraminale à ce niveau ainsi que discopathie L5-S1. IRM colonne lombaire du 18.02.2019 (Givision, Bulle) : discopathie L4-L5 et L5-S1 avec au niveau L5-S1, débord discal et hernie discale foraminale G, en conflit avec la racine L5. Pas de rétrécissement foraminal ni conflit disco-radiculaire D.IRM colonne lombaire du 18.04.2019 (HIB): Status post-décompression L3-L4 et L4-L5, sans récidive de sténose canalaire. Rétrécissement récessal bilatéral L3-L4 sur arthrose facettaire, pouvant provoquer un conflit arthro-radiculaire L4 bilatéral, expliquant la symptomatologie. IRM colonne lombaire du 19.03.2019 (PACS): Cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du 2.02.2019 (PACS): Cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du 21.03.2019 (CIF): Fracture-tassement L2 avec hyperintensité STIR pouvant à ce moment-là être classifiée comme Genant type II. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS): Aggravation du tassement L2, actuellement évalué comme Genant grade III. Pas de cyphose dorso-lombaire. IRM colonne lombaire du 22.02.2019: cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du 25.03.2019 (CIMF): Cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du 26.03.2019 (IDMG): Lésion avec hyper-intensité T2 et prise de contraste au niveau L2, avec tassement de la vertèbre et altération de la morphologie faisant suspecter une lésion secondaire mais n'excluant pas totalement une origine ostéoporotique. IRM colonne lombaire du 26.03.2019 (PACS): Cf. diagnostic. EMG du 19.03.2019 (Dr. X): Altération essentiellement des paramètres moteurs D D, évoquant plutôt un problème radiculaire plutôt qu'une polyneuropathie. Atteinte L5 et de façon moins nette, S1 D. IRM colonne lombaire du 26.03.2019 (PACS): Pas de récidive de sténose L5 G. Pas de nouvelle hernie. Tissu cicatriciel péri-radiculaire avec disques d'une hauteur relativement préservée. IRM colonne lombaire du 27.03.2019 (Givision, Givisiez): Discopathie L5-S1 grade IV selon Pfirmann avec bulging antérieur et kick sur les vaisseaux iliaques antérieurement. Sténose foraminale L5-S1 G. IRM colonne lombaire du 29.03.2019 (CIF) - uniquement sur la base du rapport: Pas de conflit disco-radiculaire ni lésion lombaire post-traumatique. IRM colonne lombaire du 29.03.2019 (CIF): Dans la norme. IRM colonne lombaire du 29.03.2019 (PACS): Fracture-tassement de L1 grade III wedge type selon Genant, avec une prise de contraste homogène dans la vertèbre, ne nous permettant pas d'exclure à 100% une métastase au vu du fait que la patiente est actuellement sous chimiothérapie. Sur le plan radiologique, celle-ci semble toutefois plutôt liée à une ostéoporose. IRM colonne lombaire le 23.04.2019 (CIF) Prochain contrôle le 30.04.2019 Date opératoire pré-réservée pour le 03.05.2019. IRM colonne lombaire le 26.03.2019 Prochain contrôle le 02.04.2019. IRM colonne lombaire le 28.02.2019. IRM colonne lombaire le 29.04.2019 Prochain contrôle le 30.04.2019. IRM colonne lombaire (PACS): cf. diagnostic. IRM colonne lombaire 26.03.2019. IRM colonne thoraco-lombaire le 09.04.2019 RX colonne lombaire f/p le 09.04.2019 RX colonne lombaire f/p le 12.04.2019. IRM dans les 2 prochaines semaines Team genou dans 2 semaines Arrêt sport 2 semaines. IRM de ce jour, fait à l'extérieur: lésion complète du LCA, lésion partielle du LLI. Possible petite lésion transverse du ménisque externe. Epanchement articulaire abondant. Bone-bruise du condyle fémoral et tibial postéro-médial et postéro-latéral. IRM de ce jour, genou D: lésion complète du LCA. Il présente une lésion partielle de la partie proximale du LLI. IRM de la cheville D: rupture partielle du ligament fibulo-talaire antérieur. Contusion osseuse de l'astragale. Pas de lésion des tendons péroniers, tibial antérieur/postérieur. Pas de lésion cartilagineuse. IRM de la cheville et pied D: montre une tendance à une tendinopathie du petit péronier mais pas de signe de tendinite du tibia postérieur ni du péronier. Pas de signe pour ostéochondrose disséquante de l'astragale. Pas d'autres lésions osseuses visibles. IRM de la cheville le 05.04.2019: fracture du processus antérieur du calcanéum, lésion du spring ligament, lésion partielle du ligament talo-fibulaire antérieur. Scanner du pied et de la cheville le 08.04.2019: fracture du processus antérieur du calcanéum non déplacée. Nous diagnostiquons une entorse grave du Chopart avec lésion au niveau du spring ligament et une fracture du processus antérieur du calcanéum non déplacée. Dans ce contexte, mise en place d'un traitement conservateur avec botte plâtrée en combicast fendue, décharge complète avec cannes anglaises durant 6 semaines, prophylaxie anti-thrombotique par Xarelto 10mg 1x/jour et port du plâtre pour 6 semaines. Contrôle Team Pied dans 1 semaine pour contrôle radioclinique avec circularisation du plâtre. IRM de la colonne cervicale native du 05.04.2019: les corps vertébraux sont de hauteur conservée sans signe de tassement. Hyposignal discal étagé. Pincement discal C5-C6. Discrète protrusion discale globale C5-C6 prédominant à droite. Pas d'hypersignal ligamentaire inter-épineux et sus-épineux. Ostéophytose marginale étagée antérieure. Le cordon médullaire est de morphologie normale. CONCLUSION: discopathie dégénérative étagée prédominant nettement à l'étage C5-C6 avec perte de lordose anatomique, pas d'hypersignal ligamentaire décelable ce jour. Le cordon médullaire est de morphologie et de signal normal. IRM DE LA MAIN, DU POIGNET ET DES DOIGTS GAUCHE NATIVE ET INJECTEE DU 12.04.2019 CHOP-Code: 88.94.12; 88.97.10 INDICATION: Patiente qui présente une tuméfaction douloureuse à la palpation, avec paresthésies distales, sans autre symptôme. Kyste? DESCRIPTION: L'os spongieux examiné se présente normalement, sans mise en évidence d'œdème. Il y a toutefois de discrètes altérations de signal dans le pôle distal de l'os triquetrum. Alignement des os du carpe physiologique. Congruence articulaire radio-ulnaire distale conservée. Le ligament scapho-lunaire ne démontre pas de lésion ni de prise de contraste. Le ligament luno-triquetral ne démontre pas de lésion ni de prise de contraste. Les tendons fléchisseurs sont sans particularités. Les tendons extenseurs sont sans particularités. Le tendon extensor carpi ulnaris est sans particularités. Le TFCC ne démontre pas de lésion significative. Les cartilages articulaires sont d'épaisseur conservée. Pas de lésion kystique de taille significative dans le poignet. Il y a une petite lésion kystique située médialement par rapport au pôle distal du scaphoïde à la face palmaire du carpe, trilobée, mesurant 5mm de plus grand axe et 3mm de plus petit axe. Récessus articulaire un peu plus marqué de l'interligne articulaire pisotriquetral. CONCLUSION: IRM du poignet mettant en évidence petite lésion kystique d'environ 5 x 3mm au contact du pôle distal du scaphoïde se situant à la face palmaire du poignet, sans toutefois d'effet de masse significatif sur les structures adjacentes. Pas d'autre lésion kystique significative mise en évidence. Pas de lésion suspecte, pas de prise de contraste. IRM de l'épaule le 26.04.2019 suite de prise en charge team membre supérieur. IRM de 2017: lyse isthmique L4-L5, L5-S1 à droite d'allure traumatique sans disque en vague. Trophicité musculaire dans la norme. IRM demandée. IRM des deux genoux du 1er mai 19: Bone Bruise du plateau tibial médial ddc, de façon symétrique. Le reste de l'examen est sp. IRM Dig V main G: parle plutôt en faveur d'une ancienne fracture à la base de P2 du 5ème rayon avec une fusion partielle du cartilage de croissance. On n'a aucun signe pour une maladie néoplasique. IRM du bassin et hanche D du 29.03.2019 avec séquence MAVRIC: on note encore d'importants artéfacts de susceptibilité magnétique. Il est difficile d'évaluer sur cet examen la présence ou l'absence d'une boursite trochantérienne.IRM du bassin, juillet 2018, apporté par la patiente : la hanche G est sp. Au niveau de la symphyse pubienne, on note un hypersignal en T1, intéressant l'os mais pas les orthèses. RX bassin face avec charge unipodale ddc : hanches sans particularités. Sclérose au niveau de la symphyse pubienne intéressant l'os pubien G plus qu'à D. Pas de signe de macro-instabilité. IRM du genou D : lésion du LCA, Bone Bruise au tibia latéral et du condyle latéral fémoral. IRM du genou D du 05.04.2019 : pas de lésion méniscale ni du LCA. Légère inflammation du Hoffa. IRM du genou droit agendée le 11.04.2019 à 15H00. IRM du genou droit du 25.03.2019 : par rapport au 18.06.2018, apparition d'un net remaniement de la corne postérieure du ménisque interne devant correspondre à une nouvelle déchirure atteignant la surface articulaire. Diminution des altérations autour du ligament collatéral qui présente toujours un aspect discrètement épaissi (st/p distorsion). Le LCA présente un aspect inchangé avec une nette hyperintensité de signal pouvant correspondre à une st/p lésion partielle - distorsion, sans rupture complète versus un remaniement mucoïde de cette structure anatomique. IRM du genou G : intégrité des structures méniscales, ligamentaires et cartilagineuses du genou. Peut-être, petit réhaussement en regard de la plica fémoro-patellaire médiale. IRM du genou G : tout à fait normal. IRM du genou G (Givisiez) : montre une claire déchirure des cornes postérieures et du ménisque interne jusqu'à la base. Le ménisque n'est pas déplacé. Le reste des ligaments est intacts. Lésion cartilagineuse sur une probable gonarthrose débutante au niveau du condyle fémoral interne. IRM du genou gauche du 15.04.2019 : cf. rapport d'IRM. IRM du jour : montre un bone bruise dans le condyle fémoral et plateau tibial sur le côté médial. Les ligaments sont intacts, les ménisques également. Un kyste de Baker est présent mais modéré. IRM du jour : ne montre aucun signe pathologique. IRM du jour mettant en évidence un status post-Bankart et remplissage avec un oedème au niveau du sous-épineux sans signe de lésion du labrum antérieur. Celui-ci est en position anatomique. IRM du jour (PACS) : cf. diagnostic. IRM du jour (PACS) : majoration de la sténose en L4-L5 sur hernie discale médiane très prononcée ainsi que lipomatose épidurale au même niveau avec compression claire des deux racines L5 ddc. Discopathie déjà connue sur le niveau L5-S1 avec arthrose facettaire concomitante. IRM du jour (PACS) : rupture du ligament inter-épineux postérieur D11-D12, cyphose marquée en regard de la fracture. Pas d'atteinte du mur postérieur. IRM du MI G le 29.04.2019. Consultation team genou le 03.05.2019. IRM du neurocrâne native et injectée : le système ventriculaire est de taille et de morphologie normales. Les espaces sous-arachnoïdiens sont bien définis. Pas de collection sous-durale ou extra-durale. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Sur les coupes en diffusion, pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Sur les coupes T2*, pas de saignement. Sur les coupes T2 FLAIR, pas de lésion de la substance blanche. Sur les coupes T1, la substance grise périphérique et les noyaux gris centraux sont bien définis. Après injection i.v. de Gadolinium, pas de prise de contraste pathologique intra-axiale. Les sinus veineux sont perméables. L'angio-IRM centrée sur le polygone de Willis démontre une perméabilité conservée des artères intracérébrales. Pas d'anévrisme, pas de sténose significative. L'angio-IRM centrée sur les vaisseaux pré-cérébraux : pas de sténose significative. Petit défaut d'opacification partielle du départ de l'artère vertébrale G qui est légèrement plus grêle qu'à D (probablement congénital et hémodynamiquement non significatif). Cavités sinusiennes de la face et cellules mastoïdiennes normalement pneumatisées, hormis le sinus maxillaire G qui est le siège d'un épaississement muqueux en cadre et d'un comblement partiel d'allure aiguë. Orbites sans particularité. CONCLUSION : IRM cérébrale dans les limites de la norme, sans sténose vasculaire significative. Pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Pas de lésion micro-vasculaire de la substance blanche. Petit défaut d'opacification partiel focal du départ de l'artère vertébrale G DD sténose hémodynamiquement non significative DD image construite en raison d'une angulation de ce vaisseau. Sinusite maxillaire G d'allure aiguë. IRM du pied D du 01.11.2018 : pas de franc névrome de Morton objectivé. IRM du pied D le 25.02.2019 : kyste qui présente une base d'implant jusqu'au Lisfranc selon le Dr X. IRM du pied G du jour : récidive de la névro-fibromatose. IRM du pied G du 04.04.2019 : suspicion d'une ostéomyélite chronique au niveau de la diaphyse du MT 4, connexion en regard du mal perforant et de l'os. IRM du 01.04.2019 : oedème osseux de la partie postéro supérieure de la tête humérale. Lésion du labrum antérieur. Intégrité de la coiffe. Pas d'anomalie du long chef du biceps. IRM du 04.04.2019 de la cheville D : ne montre aucune lésion ligamentaire. Pas de bone bruise visible. Dans l'ensemble, pas de pathologie qui éclaire la symptomatologie de la patiente. IRM du 04.12.2018 : colonne lombaire rectiligne avec une discopathie avancée pluri-étagée de L1 à L5, associée à des phénomènes arthrosiques facettaires qui rétrécissent le canal lombaire en L1-L2 de manière débutante, en L2-L3 de manière avancée, avec une composante herniaire médiane, au niveau L3-L4 et L4-L5 de manière avancée. Visualisation de signes de surcharge facettaire au niveau L2-L3 avec hyperintensité en T2 surtout du côté droit. La musculature para-spinale présente une hypotrophie avec composante graisseuse. IRM du 05.02.2019 : lésion ostéocartilagineuse de l'épaule postéro-latérale du talus avec important oedème osseux. IRM du 05.04.2019 : déchirure complète du LCA et blessure de la corne postérieure du ménisque externe (possible lésion type anse de seau). IRM du 08.04.2019 : Bone Bruise marqué sur le plateau tibial interne. Le reste du genou est sp avec un cartilage en ordre. Légère élongation du LCA dans le sens d'une déchirure partielle. Le reste des ligaments est intact. IRM du 09.04.2019 : déchirure complète du LCA. Lésion méniscale interne au niveau de la corne postérieure. Le reste des ligaments est intact. Tout léger Bone Bruise. IRM du 10.04.2019 : lésion en anse de seau du ménisque interne ainsi qu'un Bone Bruise sur le plateau tibial externe. IRM du 11.04.2019 : cf. rapport. IRM du 12.03.2019 : vertebra-plana au niveau L1. Hyperintensité du signal sur les séquences STIR au niveau de L2 et de L4, où l'on retrouve 2 fractures ostéoporotiques type Genant III bi-concaves. RX lombaire debout du jour (PACS) : aggravation de la fracture de L4 avec progression vers une vertebra-plana. Cyphotisation progressive de la colonne. IRM du 15.01.2019 (centre radiologique de la Broye) : arthrose facettaire lombaire pluri-étagée surtout au niveau L3-L4, L4-L5 et L5-S1 avec signes d'hyperintensité facettaire sur possible syndrome facettaire débutant aux mêmes niveaux plutôt à droite. Au niveau L5-S1, visualisation d'une petite hernie discale avec possible conflit disco-radiculaire qui pourrait justifier les douleurs lombo-sciatiques dans le dermatome S1 présentes durant les 2 derniers mois mais qui ont actuellement complètement disparu. IRM du 15.04.2019 : pas de lésion des ménisques visualisée. Bon état cartilagineux. Ligament croisé postérieur intègre. Ligaments collatéraux intègres. Lésion complète du ligament croisé antérieur. IRM du 18.04.2019 : fracture-tassement récente de L1 avec hyperintensité dans les séquences STIR. IRM du 21.03.2019 (Givision) : en comparaison avec l'IRM réalisée en mars 2017, aspect superposable de la petite lésion frontale para-ventriculaire droite dont l'aspect est en faveur d'un hémangiome caverneux de type IV vs une télangiectasie capillaire associée à une minime anomalie de développement veineux. Pas de modification significative par ailleurs.Laboratoire du 09.04.2019 : aligné. IRM du 23.04.19 : Examen évoquant un status post-luxation externe de la rotule avec : • Contusion osseuse du condyle fémoral externe ; • Contusion osseuse de la partie inféro-interne de la rotule, lésion à l'insertion de l'aileron rotulien interne, discrètes altérations du cartilage de la rotule, discrète excentration externe de la rotule ; • Contusion osseuse du plateau tibial externe. • Contusion osseuse de part et d'autre de l'articulation tibio-péronéenne proximale pouvant faire évoquer un status post-distorsion modérée de cette articulation. Aspect remanié le long du ligament collatéral interne évoquant un status post-distorsion. Epanchement articulaire modéré et plica parapatellaire interne. IRM du 25.02.2019 : volumineuse hernie discale L4-L5 gauche luxée vers le bas avec conflit radiculaire L5 gauche associée à une hernie discale L5-S1 gauche en conflit avec la racine S1 gauche. Suspicion de conflit disco-radiculaire intra-foraminale débutant avec la racine L5. IRM du 26.03.2019 : AVC multi-focaux d'origine embolique au niveau de la région insulaire gauche, occipital et pariétal droit sans transformation hémorragique. IRM du 28.03.2019 : absence de transformation hémorragique. Apparition d'une lésion nouvelle punctiforme occipitale droite. Avis neurologique (Dr. X) Avis neurologique (Dr. X) : surveillance aux SI pour surveillance car risque de transformation hémorragique, stop Marcoumar. Avis chirurgie cardiovasculaire à Inselspital Bern (Dr. X) : pas de remplacement de la valve mécanique, en vue d'un AVC frais (impossibilité de faire de l'ECMO). Prise en charge multidisciplinaire de neuroréadaptation. • Relais par Marcoumar dès le 04.04.2019 • Neuroréhabilitation à l'HFR Meyriez. IRM du 26.04.2019, genou gauche : cf. diagnostic. IRM du 27.03.2019 (CIMF) : Cf. diagnostic. IRM du 27.12.2018 : Plusieurs kystes dans des régions de l'os du carpe lunatum capitatum et une absence de cartilage dans la région radio-scaphoïdienne. Arthrose également en radio-ulnaire distal. Rx du 22.10.2018 : Arthrose de la DRUJ. Malposition du radius distal en extension d'environ 30°. Nous remarquons aussi des signes dégénératifs au niveau radio-carpien surtout dans la région de la pointe de la styloïde. IRM du 28.03.2019 : Aspect d'une entorse du ligament collatéral interne avec rupture partielle des fibres, essentiellement proximales sans signe de rupture complète. Discret œdème au niveau du muscle brachial. Discret œdème osseux au niveau de l'épicondyle latéral. Discret œdème osseux au niveau de la graisse sous-cutanée. IRM du 29.03.2019 : discrète dégénérescence graisseuse de l'insertion du moyen fessier correspondant au status postopératoire normal. RX bassin orthopédique de face et hanche axiale D de ce jour : positionnement du matériel superposable aux clichés postopératoires sans signe de descellement. RX colonne dorso-lombaire face et profil en orthostase de ce jour : examen superposable aux radiographies du 13.09.2018 avec légère cyphose segmentaire et scoliose sinistro-convexe induite. Pas de nouvelle lésion osseuse traumatique. IRM du 29.03.19 : Rupture totale du LCA, entorse ligament collatéral externe sans signe de rupture, déchirure du ménisque externe type bec de perroquet. IRM du 30.01.2019 mettant en évidence une bursite sous-acromiale avec tendinopathie de la partie antérieure et distale du tendon sus-épineux sans signe de déchirure. Altération de signal à l'interligne acromio-claviculaire. IRM effectuée à Bulle : fracture D7 d'allure récente avec une hyperintensité sur les séquences STIR associée à une fracture D8 subaiguë. Cimentoplastie au niveau D9-D10 et fracture de D11 d'allure ancienne de type vertebra-plana. IRM en ambulatoire. IRM en ambulatoire avec contrôle en filière 34 pour résultats (pas de médecin traitant pour le moment) et contrôle de la tension artérielle. IRM en ambulatoire avec suivi au Team Genou. IRM en ambulatoire. Certificat médical. Selon évolution consultation team épaule. Antalgie en réserve. IRM en ambulatoire. Contrôle en ortho urgences. IRM épaule avec clichés spécialisés AC à droite : lésion au niveau du ligament acromio-claviculaire avec une rupture du versant claviculaire supérieure. Également une rupture complète du trapézoïde et au-delà de 50% du conoïde. Nous avons encore des fibres restantes mais allongées du ligament conoïde. Légère dépériostation sous-claviculaire. Au niveau de l'épaule, nous avons encore une coiffe des rotateurs qui se présente intacte, une légère tendinopathie au niveau du sus-épineux. Au niveau de l'insertion du LCB, nous avons une intensité de signal présente. IRM épaule D : Lésion sus-épineux. Sillon bicipital avec des restes de tendon LCB non luxé. Tendinopathie du sous-scapulaire. IRM épaule G : Tendinopathie du sus-épineux avec lésion de la partie proximale du sous-scapulaire. Luxation LCB. IRM épaule D : Pas d'arrachement du sous-épineux objectivé. IRM épaule D du 30.01.2019 : Cuff-tear arthropathy type Hamada-Fukuda grade 4B. IRM épaule D le 29.03.2019 : rupture complète du sus-épineux. IRM épaule G du 20.03.2019 : Bursite sous-acromiale. Arthropathie acromio-claviculaire. Muscle de la coiffe sp. IRM épaule G du 22.01.2019 mettant en évidence un affaissement de la tête humérale avec une imposante collerette ostéophytaire. L'espace sous-acromial est conservé et a une tendinopathie du sus-épineux sans rupture. L'épaule est centrée. Du côté D, l'ostéophyse est moins importante mais l'arthrose également marquée. IRM épaule G du 27.03.2019 : Lésion au niveau du tendon sus-épineux avec dégénérescence des fibres musculaires. IRM épaule G faite à l'HiB : Visualisation du sus-épineux qui se présente avec une bonne cicatrisation de la lésion de la coiffe. Il présente également une bonne structure musculaire. Sillon bicipital avec une inflammation visible et un LCB guidé. La lésion de la tendinopathie du sous-scapulaire se présente stable. IRM épaule gauche du jour : très légère diminution de la nécrose de la tête fémorale. Rupture massive de la coiffe. IRM et contrôle le 04.04.19. IRM et contrôle le 09.04.2019. IRM et contrôle le 12.04.2019. IRM et contrôle le 29.03.19. IRM et prochain contrôle le 01.05.2019. IRM et prochain contrôle le 05.06.2019. IRM et prochain contrôle le 26.04.2019. IRM et prochaine consultation le 02.05.2019. IRM et prochaine consultation le 24.04.2019. IRM et RX cervicale + sonographie de l'artère vertébrale ddc organisé par le MT : dissection vertébrale dépistée. Confirmation d'une discopathie pluri-étagée avancée surtout au niveau C4-C5 et C5-C6, avec arthrose et rétrécissement canalaire au niveau C4-C5 et C5-C6. À ce même niveau, présence de signes débutants d'une possible ossification du ligament longitudinal postérieur. Hyperintensité visible sur les séquences T2 au niveau de la facette articulaire C4-C5 à droite qui pourrait être responsable des douleurs gênant le patient. Pas de signe radiologique pour une myélopathie cervicale. IRM et suite de la prise en charge par le team membre supérieur. IRM fait début mars en ambulatoire. Avis orthopédique (Dr. X) : • Traitement symptomatique, IRM et contrôle à 1 semaine au Team Pied avec discussion d'une prise en charge opératoire. Attitude : • Traitement symptomatique. • Contrôle Team Pied à 1 semaine. • Conseils d'usage.IRM faite à l'extérieur Avis Dr. X, neurochirurgie : 8 mg de Dexaméthasone à l'entrée, puis 3x4 mg dès le 03.04 au matin ; CT thoraco-abdominal à organiser pour rechercher une autre lésion, puis discussion multidisciplinaire avec oncologue pour discuter de la suite de la prise en charge ; résection des 4 masses probablement non réalisable, mais possibilité de réséquer la plus volumineuse pour diminuer effet de masse et symptômes IRM février 2019 : on observe une déchirure horizontale avec atteinte focale articulaire de la corne postérieure du ménisque interne. IRM genou D : aspect dégénératif important plus marqué au niveau du compartiment fémoro-tibial externe et fémoro-patellaire. IRM genou D : atteinte du LCA sous forme de distension. Intégrité des structures ligamentaires et méniscales. IRM genou D : cf diagnostic susmentionné. IRM genou D : déchirure du LCA et suspicion d'une lésion en anse de seau du ménisque externe. DD : ménisque discoïde. IRM genou D le 26.04.2019 : plastie LCA intacte. Ostéophyte condyle interne et externe présent bien marqué. Le ménisque interne ne présente pas de franche lésion mais une externalisation. Les ligaments collatéraux sont stables. Chondropathie du condyle interne en zone de charge plus prononcée qu'en externe. IRM genou D du 29.03.2019 : cf. diagnostic. IRM genou droit : cf diagnostic susmentionné. IRM genou droit : montre une lésion du LCA. Pas de lésion méniscale. Pas de lésion des ligaments collatéraux. IRM genou droit fait à Affidea : lésion LCA, arrachement proximal net avec alignement maintenu. Lésion LLI, tiers médial proximal, grade III. Epanchement articulaire. IRM genou G : pas d'atteinte méniscale, pas d'atteinte ligamentaire. IRM genou G du 03.04.2019 : status post-plastie du LCA. Début d'arthrose dans le compartiment médial. Pas de lésion du LCA. IRM genou G du 25.03.19 : pas de lésion ligamentaire. Présence d'un ménisque externe discoïde. Altération mucoïde parlant pour une lésion dégénérative de la corne postérieure du ménisque interne, sans signe de déchirure. Le cartilage rotulien ainsi que du condyle fémoral interne et externe, ainsi que du plateau tibial sont conservés. IRM genou gauche fait au CIF en mars 2019 : visualisation du point d'entrée du clou tibial. Kyste dans le fémur sous-trochléen. Minime lésion corne antérieure ménisque externe possible. Peu d'épanchement intra-articulaire. IRM Givision : inversion physiologique de la lordose cervicale avec dégénérescence débutante sur les niveaux C3-C4, C4-C5 et C5-C6. Sur le niveau C4-C5, présence d'un rétro-listhésis associé à une discopathie et hernie discale plutôt médiane para-médiane gauche sans franc conflit disco-radiculaire. IRM hanche G : pas d'atrophie des muscles. Pas de dégénérescence des muscles. Bursite très modérée de la bourse trochantérique à gauche. IRM importée : lame liquidienne en regard de la 11ème articulation costo-vertébrale droite signant une lésion traumatique articulaire. IRM le 01.05.2019. Prochain contrôle le 07.05.2019. IRM le 02.05.2019. Prochain contrôle le 02.05.2019 IRM le 02.05.2019. Prochain contrôle le 03.05.2019 IRM le 03.04.19. Contrôle le 05.04.19. IRM le 03.04.19. Prochain contrôle le 11.04.19. IRM le 03.04.2019. Prochain contrôle le 05.04.2019 IRM le 05.04.2019 et prochain contrôle le 16.04.2019 à la consultation du Dr. X IRM le 05.04.2019. Prochain contrôle le 29.05.2019. IRM le 06.05.2019. Prochain contrôle le 17.05.2019 IRM le 06.08.19. Contrôle le 09.08.19. IRM le 07.05.2019. Prochain contrôle le 08.05.2019 au team membre supérieur. IRM le 08.04 sous sédation - dans la norme, infirme l'hématome IRM le 08.04.2019. Contrôle le 12.04.2019 IRM le 09.04.2019. Prochain contrôle le 29.05.2019. IRM le 10.04.2019 en ambulatoire. Biopsie hépatique transjugulaire le 12.04.2019 (résultat à pister) CT thoraco-abdominal le 15.04.2019. Cathéter artériel droit du 14.04 au 16.04.2019. Cathéter artériel gauche du 18.04 au 20.04.2019 Noradrénaline du 12.04 au 14.04.2019. Ceftriaxone du 12.04 au 14.04.2019. Métronidazole du 12.04 au 14.04.2019. Meropenem du 14.04 au 19.04.2019. Vancomycine dès le 17.04.2019. Lactulose dès le 12.04.2019. IPP dès le 11.04.2019. 1 CP le 12.04.2019 et 1 CP le 19.04.2019 IRM le 10.05.2019 suite prise en charge par team MS. IRM le 13.03.2019. Prochain contrôle le 15.03.2019. IRM le 16.04.2019. Prochain contrôle le 25.04.2019. IRM le 17.04.2019 à 15:00 à l'HFR de Riaz en ambulatoire. Adaptation de l'antalgie. IRM le 18.04.2019 IRM le 20.05.2019. CT et prochain contrôle le 29.05.2019. IRM le 22.05.2019. Arthro-CT le 22.05.2019. Prochain contrôle le 28.05.2019. IRM le 22.05.2019. Prochain contrôle le 22.05.2019 à la consultation de Dr. X IRM le 23.04.19. Contrôle le 26.04.19. IRM le 25.04.19. Prochain contrôle le 26.04.19. IRM le 30.04.2019. CT et prochain contrôle le 17.05.2019. IRM le 7 mai 2019 suite de la prise en charge au team membre supérieur IRM les 29.03.2019 et 05.04.2019. Prochain contrôle le 09.04.2019. IRM lombaire au CIF le 24.04.19. Prochain contrôle le 30.04.2019 IRM lombaire CIF du 24.04.2019 : dessiccation discale associée à un rétro-listhésis débutant de L2 sur L3 de grade I, avec un possible conflit radiculaire avec la racine L3 droite. IRM lombaire du jour (PACS) : cf. diagnostic. IRM lombaire du jour (PACS) : cf. diagnostic. Compression de la racine L5 gauche par la partie médiane du complexe facettaire en raison d'un minime kyste voire arthrose sans récidive de hernie. IRM lombaire du jour (PACS) : hyperintensité du signal au niveau des muscles dorsaux et niveau lombaire sans signe de déchirure ligamentaire postérieure inter-épineuse ni supra-épineuse. IRM lombaire du jour (PACS) : protrusion discale en L4-L5 bilatéralement avec probable conflit au niveau de la racine L4 à droite. IRM lombaire du 12.03.2019 (PACS) : aspect en valgus des disques L4-L5 et L5-S1, pas de lyse isthmique L5-S1 visualisable. Hernie discale en médial L5-S1. Sténose foraminale L5-S1 à gauche sur kyste facettaire L5-S1. • Adaptation antalgie selon recommandations Dr. X (Oxycontin/Oxynorm, puis Fentanyl patch/effentora, puis hydromorphone puis adjonction gabapentine) Consilium anesthésiologique Dr. X : infiltration de corticoïdes prévue pour le 01.04.2019 au vu du probable syndrome facettaire à l'origine des douleurs, annulé en raison de l'AIT survenu avec la mise en suspend du Xarleto IRM lombaire le 29.04.2019 à Givision Bulle. Prochain contrôle le 14.05.2019 IRM lombaire séquences discales du 09.05.2019. Prochain contrôle le 14.05.2019 IRM lombaire 21.03.19. Zinacef i.v dès le 26.03.19 car syndrome inflammatoire important même si pas de foyer clair. Sérologies EBV et CMV 27.03 : infections anciennes. Ponction-biopsie processus transverse L4 22.03.19 : cultures négatives, recherche de mycobactéries en cours --> à pister. Rx thorax 25.03.19 : pas de foyer. Avis hématologique. Arrêt de la Clexane prophylactique et remplacement par Arixtra. Dosage des anticorps Anti-PF4 à pister. Transfusion de 1 CE le 08.04.2019 IRM lombo-sacrée du 09.04.2019 (RDLB) : Hyper-intensité au niveau de toute la partie G du sacrum sur les séquences T2, avec hyper-intensité également au niveau de l'articulation sacro-iliaque G. Ces altérations peuvent être liées à une fracture voire une contusion post-traumatique. Lyse isthmique bilatérale de L5, sans antéro-listhésis, actuellement asymptomatique. IRM main D de ce jour : montre une lésion millimétrique dans la région sous-cutanée du côté radial de la MCP, sans contact avec les ligaments ou l'articulation. IRM main gauche de ce jour : bonne substance tendineuse permettant une suture. IRM montrant une inversion de la courbure au niveau cervical avec un canal plutôt étroit sans compression.ENMG avec médian et cubital neurographiquement intacts. IRM natif : rupture d'une grande partie du sus-épineux sur très probable dégénérescence tendineuse pré-existante. IRM native : lésion partielle des parties antérieures mais transfixiantes du tendon du sus-épineux. Une bonne partie du sus-épineux reste intacte. IRM native de la colonne lombaire du 18.3.2019 : Comparée à l'IRM effectuée le 9.3.2018, il n'y a pas de différence. Il s'agit d'un statu quo d'une discopathie pluri-étagée et troubles dégénératifs des articulations facettaires postérieures. L'atteinte la plus marquée est sur le segment L4-L5 et L5-S1. Il existe des rétrécissements neuro foraminaux le plus important au niveau L1-L2 et L3-L4. IRM native du genou D : arthrose fémoro-patellaire avancée. Présence d'altérations mucoïdes de la corne postérieure du ménisque interne, présence de quelques ostéophytes des condyles fémoraux interne et externe faisant évoquer une arthrose fémoro-tibiale débutante. Présence d'un petit kyste de Baker. IRM native du genou droit : Rupture complète du LCA isolée. Pas d'autre lésion visualisée. IRM native du genou droit 03.04.2019 : fracture du plateau tibial avec détachement du massif des épines tibiales. Le ligament croisé antérieur est suivi sur sa longueur et s'insère toujours sur les épines tibiales. Pas de déchirure franche des ménisques atteignant la périphérie (suspicion d'une déchirure de la corne postérieure du ménisque externe mais sans atteinte des surfaces articulaires. Status post-ostéosynthèse du condyle fémoral interne et du plateau tibial interne. Lipo-hémarthrose dans le contexte de la fracture aiguë. CT genou/jambe droit natif 03.04.2019 : par rapport à la radiographie standard de la veille, on retrouve le status post-épiphysiodèse avec deux plaques vissées internes respectivement au niveau du fémur distal et du plateau tibial interne. On retrouve également la fracture du massif des épines tibiales avec des traits qui s'étendent au plateau tibial interne ainsi qu'au cartilage de croissance. IRM native du genou G du 28.03.2019 : L'IRM confirme la présence d'une arthrose tricompartimentale sur status post ligamentoplastie du ligament croisé antérieur. Le ligament croisé antérieur est re-rupturé. Probable ancienne résection partielle du ménisque interne en regard de la corne postérieure qui n'est quasiment plus visible. Présence d'une chondropathie stade IV fémoro-tibiale interne et chondropathie stade III à IV rétro-patellaire. IRM native du genou gauche : Dans le compartiment fémoro-tibial interne, présence d'une chondropathie avancée stade IV avec présence de kystes sous-adjacents de la lésion chondrale. Dégénérescence mucoïde des 2 ménisques qui sont toutefois encore présents, sans signe franc de déchirure. Le ligament collatéral interne a un aspect inflammatoire, sans signe de rupture. Le cartilage du côté fémoral en regard du compartiment fémoro-tibial externe montre une chondropathie stade II. Le cartilage dans le compartiment fémoro-patellaire est intact. Pas de lésion des ligaments croisés. IRM native du genou gauche : gonarthrose du compartiment fémoro-tibial interne avec un status post résection partielle du ménisque interne. Lésion dégénérative de celui-ci. Distorsion grade II du ligament collatéral interne. Hypersignal parlant d'une distorsion marquée du ligament croisé antérieur. IRM native du genou gauche du 15.2.2019 : Par rapport à la dernière IRM, nette diminution des altérations de signal de l'os spongieux du condyle fémoral interne avec toujours présence d'une petite zone d'oedème osseux dans la région sous-chondrale dans la zone de charge en regard du condyle fémoral. La convexité de la surface articulaire est maintenue. Il n'y a pas d'effondrement de la surface articulaire en zone de charge. L'épaisseur cartilagineuse est conservée. IRM native du genou gauche du 5.4.2019 : Présence d'une contusion osseuse du plateau tibial interne et externe avec une fracture peu imprimée du plateau tibial externe. Distorsion du ligament collatéral interne. Lésion grade II des cornes postérieures du ménisque interne et externe. IRM native du 8.4.2019 : Lésion cartilagineuse principalement de la gouttière inter-condylienne, surtout sur son versant interne et du cartilage rotulien sur son versant interne d'allure chronique. Quelques réactions de l'os spongieux sous-jacent. Le reste des altérations de signal visualisées au sein de l'os spongieux dans le condyle fémoral externe peut correspondre dans un contexte post-traumatique à des zones de contusions osseuses ? Dans ce contexte, on met en évidence une image d'une distorsion sévère du ligament collatéral interne, sans signe de rupture complète, mais dont l'importance est à corréler à la clinique. Pas de lésion des ligaments croisés, ni des ménisques. Grappe de kystes à l'insertion du ligament croisé postérieur DD dégénérescence mucoïde. IRM native épaule gauche de ce jour : lésion partielle du sus-épineux et bursite sous-acromiale. Pas d'argument pour une arthrite septique. IRM native genou D du 20.03.2019 : status post résection partielle du corps et de la corne postérieure du ménisque externe, chondropathie stade IV en regard du condyle fémoral externe et du plateau tibial externe. Du côté interne pas de lésion cartilagineuse, pas de lésion ligamentaire, ni du ménisque. IRM native genou G du 27.03.2019 : gonarthrose tricompartimentale à prédominance fémoro-patellaire et fémoro-tibiale interne avec une méniscopathie dégénérative de la corne postérieure du ménisque interne associée d'un kyste poplité de 4 cm de diamètre. IRM neurocrâne du 12.04.2019 : • lésions séquellaires de lésion ischémique du lobe frontal gauche, se présentant par des plages de gliose, associées à une ectasie du ventricule latéral gauche • atrophie du lobe temporal gauche (évoquant une maladie d'Alzheimer) • occlusion de l'artère carotide interne gauche post-opératoire IRM neurocrâne et carotides le 17.04.2019 : Poursuite d'une anti-agrégation simple. IRM ou CT à organiser par le médecin traitant (selon souhait de la patiente). Prochain contrôle le 09.05.2019. IRM panmédullaire en ambulatoire organisée le 16.04.2019 à 13h45 : Aspirine Cardio à rediscuter. Tamsulosine à réévaluer selon symptômes. IRM partielle colonne lombaire du 19.03.2019 (CIMF) : Antélisthésis de L5 sur S1. Discopathie et arthrose multi-étagée. L'IRM étant incomplète, aucun diagnostic précis ne peut être établi. IRM pied D du jour : oedème osseux malléole externe. Prise de liquide au niveau des tendons péroniers, tibial postérieur, tendon d'Achille qui se présentent avec un trajet normal. Pas de lésion cartilagineuse. Pas de lésion de la syndesmose. Appareil ligamentaire intact. IRM pied D fait à Riaz : lésion de 3 mm située dans l'espace intermétatarsien distal 3-4 qui est compatible avec un névrome de Morton. IRM pied G du jour : par rapport au contrôle de 2017, nous voyons une amélioration de l'ostéochondrite. Pas de lésion cartilagineuse importante. IRM pied G du 15.04.2019 : espace élargi entre la base des métatarses 1-2 avec un oedème. IRM pied G du 25.01.2019 : minimes changements dégénératifs au niveau TMT 1 et prise de liquide au niveau MTP 1. Rx pied G f/p/o en charge du jour : changements dégénératifs au niveau TMT 1. Bonne congruence articulaire sans signe d'arthrose au niveau de la MTP. IRM pieds ddc : pas de franche maladie de Haglund. Pas de signe d'inflammation au niveau du tendon d'Achille. IRM poignet : petit kyste sur le versant palmaire de la styloïde radiale sans autre pathologie visible. Il s'agit d'une IRM non-injectée mais je vois l'intégrité des ligaments scapho-lunaires et luno-triquétraux malgré cette limitation dans l'examen, le TFCC se présente sans particularité.RX : Angle scapho-lunaire correct. Pas de signe d'arthrose. EMG : Éventuellement syndrome du tunnel carpien débutant. IRM poignet D du 08.04.2019 : montre, au niveau du TFCC, une élongation sans rupture et sans vraie lésion. Le LCU est bien centré. La longueur du cubitus est correcte et bien alignée. IRM pour voir la condition de la coiffe des rotateurs et du ligament gléno-huméral. Suite au team membre supérieur pour discussion des résultats. Anti-inflammatoire, mobilisation libre de l'épaule. IRM. Prochain contrôle le 29.04.2019. IRM programmée pour le 29.05.2019 anticipé pour le 09.04.2019. Consultation chez Dr. X déjà programmée. IRM réalisée dans l'intervalle montrant une importante inflammation et un remaniement sur un paquet tendineux depuis le Retinaculum et distalement sur le dos de la main au niveau des tendons extenseurs. Irrégularité sur le trajet de l'extension Dig III qui peut tout de même être suivi. Je réalise ce jour encore un ultrason en ma présence qui montre une continuité sur l'extenseur Dig III jusqu'à la cicatrice. Bandelettes centrale et latérale intactes, bon guidage du tendon sur la MCP. IRM septembre 2018 : cf. diagnostic. IRM vendredi 05.04.2019 (recherche contusion racine nerveuse) avec contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires. IRM 07.03.2019 HLA-B27 le 18.03.2019 : négatif. Consilium rhumatologie (Dr. X / Dr. X) 15.03.2019. Attitude : • suivi rhumatologique à commencer (peut-être organisé à l'HFR ou chez Dr. X à la tour de Trême, selon préférence du patient) • IRM/ETT/Holter/Doppler des vaisseaux pré-cérébraux à organiser. Irritation bronchique persistante post inhalation de substance contenant du plastique (cigarette heets) avec léger syndrome obstructif avec : • peak flow à 77 % de la valeur prédite. Irritation conjonctivale de l'œil droit. Irritation conjonctivale sur jet de colle à bois reçu dans l'œil D. Irritation cutanée sur traitement topique intensif. Irritation de l'insertion du glutéus médius avec calcification du tendon et bursite secondaire. Irritation de l'œil droit. Irritation des deux yeux. Irritation des deux yeux sur projection de spray contenant de l'acétone le 02.04.2019. Irritation du gland post pose de sonde vésicale. DD : balanite. Irritation du nerf cubital coude G. Status post section du tendon extenseur D5 en regard de la MP. Irritation locale de contact du petit orteil du pied gauche, avec : Irritation oculaire droite simple, DD : corps étranger dans la cavité oculaire sorti spontanément. Irritation oculaire droite simple. DD : corps étranger dans la cavité oculaire sorti spontanément. Irritation oculaire droite simple. Diagnostic différentiel : corps étranger dans la cavité oculaire sorti spontanément. Status ophtalmologique : Pas de red flags ni de corps étranger. Continuité du globe préservée. Retour à domicile avec lacryvisc gel. Reconsulter un ophtalmologue si persistance des symptômes. Lombalgie non déficitaire. Examen clinique. Antalgie, myorelaxant. Arrêt de travail 3 jours. Contrôle chez le médecin traitant si péjoration. Irritation petit orteil pied gauche. Irritation siège. Irritation thoracale musculo-squelettique suite à effort répété, avec : Irritation yeux. Ischémie aiguë du membre inférieur droit stade Rutherford I dans un contexte d'artériopathie stade IV le 31.03.2019. • Recanalisation de l'artère fémorale superficielle droite par angioplastie et pose de stent le 30.09.2014. Ischémie aiguë du membre inférieur droit sur embolisation de l'artère poplitée distale le 25.03.2019, avec : • nécroses cutanées étendues de la face dorsale de la jambe et cuisse droite + fesse droite. Ischémie aiguë du membre inférieur droit sur maladie anévrismale bilatérale de l'artère fémorale avec : • Occlusion d'anévrisme de l'artère poplitée droite • Douleurs aigües présentes depuis le 17.12.2018 9 heures • gradient de température jambe droite • souffle vasculaire de la poplitée • absence de pouls périphériques à droite • jambe gauche asymptomatique. Ischémie aiguë du membre inférieur gauche chez une patiente avec une artériopathie périphérique des membres inférieurs. Ischémie aiguë du membre inférieur gauche de stade Rutherford I à IIa sur occlusion de l'artère poplitée et des 3 axes jambiers et occlusion d'une branche de l'artère fémorale profonde le 19.04.2019. • origine probablement artério-embolique sur artériopathie jambière chronique. Ischémie aiguë jambe gauche sur occlusion de l'artère poplitée le 19.04.2019. Ischémie aiguë Rutherford I du MID, le 31.03.2019 dans un contexte d'artériopathie stade IV des MI avec : • occlusion totale des artères commune, externe et interne D, sténose de l'artère fémorale commune D, occlusion de l'artère fémorale superficielle droite avec reprise au canal de Huntzer, sténose de l'artère fémorale superficielle G • s/p recanalisation de l'artère fémorale superficielle droite par angioplastie et pose de stent le 30.09.2014. Ischémie aiguë Rutherford I membre inférieur droit avec occlusion artère poplitée courte et artère tibiale postérieure le 03.04.2019. • chez patient connu pour insuffisance artérielle stade 2a avec stents iliaques (communes droite et gauche). • anticoagulation par Sintrom pour cardiopathie dysrythmique (FA chronique). Ischémie aiguë Rutherford IIA du membre inférieur droit. Ischémie aiguë Rutherford IIb du membre inférieur droit avec : • occlusion du pontage aorto-fémoral du membre inférieur droit le 20.04.2019. Ischémie critique subaiguë du membre inférieur droit le 11.04.2019 sur occlusion de l'a. fémorale commune et longue occlusion de tout l'axe fémoro-poplité dans un contexte d'AOMI stade IV : • Échec de recanalisation de l'occlusion étendue fémorale superficielle droite le 18.03.2016 (radiologie) • Recanalisation d'une longue occlusion de l'artère fémorale superficielle droite par angioplastie sous-endothéliale et pose de 2 longs stents le 05.04.2016 (Dr. X) • Thrombectomie par Rotarex pour occlusion intrastent de l'artère fémorale superficielle et poplitée à droite, angioplastie au ballon médicamenteux de l'artère fémorale superficielle et de l'artère poplitée le 18.05.2017 (Dr. X et Dr. X) pour une ischémie critique avec plaie prétibiale • Angioplastie au ballon médicamenteux de toute l'artère fémorale superficielle et de l'artère poplitée proximale après préparation avec cathéter Flex, stenting de l'artère fémorale superficielle distale et de l'artère poplitée proximale avec Pulsar 7 x 150 le 26.06.2018. Ischémie du membre inférieur droit. Ischémie du membre inférieur droit le 16.03.2019 : • Artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade III • Status post ischémie aiguë du MID stade I à IIA selon Rutherford sur une occlusion de l'artère iliaque commune D probable, d'origine aiguë sur pathologique chronique ou potentiellement embolique avec Revascularisation par voie endovasculaire, Rotarex, le 11.10.2016. Ischémie mésentérique avec nécrose cæcale le 31.03.2019 : • Choc septique sur translocation bactérienne • Encéphalopathie septique. Ischémie mésentérique avec translocation bactérienne : • choc hypovolémique sur déshydratation (nausée et vomissement itératif) le 15.03.2019.DD : effets indésirables de la chimiothérapie Ischémie MID Ischémie rénale gauche sub-aigue avec • dissection et thrombus de l'a. rénale gauche • infarctus rénal du 3/4 du rein Ischémie rénale gauche sub-aigue le 28.09.2019 dans un contexte de dissection et thrombose de l'artère rénale gauche d'origine indéterminée Ischémie subaiguë du membre inférieur droit le 08.04.2019. • Thrombose artère fémorale superficielle étendue. Isolation jusqu'au 05.03.2019 Metronidazole 500 mg p.o. 3x/j du 01.03 au 06.03.2019 Vancomycine 125 mg p.o. dès le 07.03.2019 pour 10 jours Consilium téléphonique de gastroentérologie : gastroentérite probablement dans le cadre d'une colite actinique, pas d'indication à une colonoscopie/gastroscopie actuellement, suivi clinique et poursuite antibiothérapie Isolement aérosols pour suspicion TB du 11.03 au 20.03.2019 CT Thoracique le 06.03.2019 CHUV PET-CT le 12.03.2019 RX thorax de contrôle post-bronchoscopie le 13.03.2019 Bronchoscopie en septembre 2018 (Dr. X) : distorsion lobaire inférieure droite avec sécrétions séreuses, muqueuses et sang • cytologie : absence de cellules tumorales, présence d'éléments inflammatoires légèrement hémorragiques • pas de matériel disponible pour tuberculose • mise en évidence Pantoea agglomérants (antibios donnés anamnestiquement) Échec de ponction pleurale à l'étage le 11.03.2019 et sous US le 12.03.2019 (quantité de liquide trop faible) Bronchoscopie avec biopsie pulmonaire du 13.03.2019 : • aspiration bronchique : GeneXpert M. tuberculosis complexe négatif • cytologie LBA : macrophages 93 % ; lymphocytes 5 % ; granulocytes neutrophiles 2/o. Cellules bronchiques : + ; sidérophages 18 % ; score de Golde 27. Absence de BAAR à la coloration de Ziehl Neelsen • cytopathologie LBA : répartition cellulaire du sédiment du LBA dans les limites de la norme. Pas de cellules suspectes de malignité dans le matériel examiné • LBA : GeneXpert M. tuberculosis complexe négatif • biopsie pulmonaire : sur ce matériel (4 prélèvements), pas de nécrose, pas de micro-organismes, pas de granulome, pas d'éosinophilie, pas de vascularite aiguë, pas de tissu dysplasique, pas de tissu néoplasique malin mis en évidence. Coloration Ziehl Neelsen Thoracoscopie le 20.03.2019 avec pose de drain ant. et pleur-X (Dr. X) Ablation du drain antérieur le 22.03.2019 et du pleur X le 26.03.2019 • Microbiologie : 1) Biopsie plèvre pariétale D : leuco qq, hématies qq, débris cell +, BAAR 0, Cultures : négatives à 2 jours 2) Biopsie poumon D : leuco qq, hématies +, débris cell +, BAAR 0, Cultures : négatives à 2 jours, mycobactéries : à pister 3) Biopsie plèvre pariétale D : leuco +, hématies ++, débris cell +, BAAR 0, Cultures : négatives à 2 jours • biopsie pulmonaire : PCR M. Tuberculosis (pool de 3 biopsies) : négatif • pathologie Promed : non contributif, pas de cellules néoplasiques Consilium pneumologie HFR Fribourg le 08.03.2019 Consilium infectiologie HFR Fribourg le 08.03.2019 Selon avis pneumo du 27.03.2019 (Dr. X) : résultats de multiples biopsies prélevées lors de la thoracoscopie du 20.03.2019 non contributifs, DD : possible ancienne TB ou autre piste infectieuse ou néoplasique, proposition de laisser le patient rentrer à domicile en attente d'une discussion du cas au tumor-board du 03.04.2019, le patient sera recontacté après avec proposition de suite de prise en charge, possiblement chirurgicale par lobectomie inférieure D Suivi en chirurgie thoracique en ambulatoire prévu le 12.04.2019 Contrôle le 09.04.2019 à J14 chez le Dr. X pour ablation des fils et réfection du pansement Isolement de contact Isolement de contact dès le 25.02.2019 jusqu'au 05.03.2019 • Contact avec un patient positif pour le VRE à l'HFR Fribourg Isolement de contact du 04.03.2019 au 09.03.2019 dans un contexte d'épidémie VRE à l'Inselspital Isolement de contact du 06.04.2019 au 09.04.2019 Isolement de contact du 08.04 au 12.04.2019 (hospitalisé à la Klinik Beau-Site Bern) Isolement de contact en raison de transfert de l'étranger du 16.04 au 19.04 Isolement de contact le 02.04.2019 Isolement de contact pendant toute la durée de l'hospitalisation. Isolement pendant 1 an à prévoir lors des prochaines hospitalisations. Isolement de contact post-hospitalisation à l'Hôpital de l'Ile, Berne en mars 2019 • Recherche VRE-CPE Isolement de contact préventif dès le 26.04.2019 Isolement de contact Laboratoires Surveillance clinique Isolement intra-hospitalier Pas de mesure de prévention extra-hospitalière Isolement protecteur du 24.03.2019 au 09.04.2019 Céfépime du 26.03.2019 au 30.03.2019 Cubicin du 28.03.2019 au 29.03.2019 Vancomycine intraveineuse du 29.03 au 03.04.2019 Meropenem du 30.03. jusqu'à l'arrêt des diarrhées Metronidazole intraveineuse du 28.03.2019, puis per os du 03.04 jusqu'à l'arrêt des diarrhées Vancomycine per os du 31.03 au 05.04.2019 Methylprednisolone le 28.03.2019 Recherche de Clostridium dans les selles le 03.04.2019 : Toxine absente, Clostridium positif Isolement social • mari décédé, pas d'enfants ni parenté Isolement social • mari décédé, pas d'enfants ni parenté • GDS 4/15 le 15.03.2019 Isolement VRE du 17.04.2019 au 20.04.2019 Isolement VRE pour hospitalisation à l'Inselspital • du 19.03 au 28.03.19 Isolette du 08.04 au 12.04 Lit chauffant du 12.04 au 17.04 Isolette du 12.02 au 27.02.19 Isolette du 13.04 au 19.04 Isolette du 15.04 au 24.04 Lit chauffant du 24.04 au 25.04 Isolette du 17.04 au 25.04 Lit chauffant du 25.04 au 29.04 Isolette du 19.03 au 26.03 Lit chauffant du 26.03 au 31.03.2019 Isolette du 28.03 au 01.04 Lit chauffant du 01.04 au 05.04 Isolette du 30.03 au 01.04 Lit chauffant du 01.04 au 06.04 Isolette du 30.03 au 01.04 Isolette T°34.1 à partir du 15.04 Isoprénaline du 17.04 au 19.04.2019, puis du 20.04 au 23.04.2019 Implantation d'un pacemaker bicaméral AAIR-DDDR (KORA 250 DR, IRM compatible 1.5 T) le 23.04.2019 (Dr. X) Contrôle de pacemaker le 25.04.2019 Echocardiographie transthoracique le 17.04, le 18.04.2019 Cathéter artériel radial droit du 17.04 au 23.04.2019 Isoprénaline en IV continu du 01.04 au 04.04.2019 Implantation d'un Pacemaker le 04.04.2019 (Dr. X) : Astra XT DR MRI X2DR01 / Mode AAI-DDD (Compatibilité IRM : Oui 3 T corps entier) Radiographie du thorax du 04.04.2019 Physiothérapie Attitude : • contrôle de plaie à votre consultation à 10 jours • contrôle à 1 mois chez Dr. X Isoprénaline en IV continu du 01.04.2019 au 04.04.2019 Implantation d'un Pacemaker le 04.04.2019 : Astra XT DR MRI X2DR01 / Mode AAI-DDD (Compatibilité IRM : Oui 3 T corps entier) Itinerol B6 suppositoire 1x/j Bonne hydratation Dafalgan 15 mg/kg/dose 4x/j si nécessaire mesures hygiéno-diététiques Minimum prise orale liquide 600 ml + compensation des pertes 1:1 avec normolytoral ou liquides variés (eau, sirop, éléments salés) Itinérol B6 1x/j Bonne hydratation Dafalgan 15 mg/kg/dose 4x/j si nécessaire mesures hygiéno-diététiques Minimum prise orale liquide 600 ml + compensation des pertes 1:1 avec normolytoral ou liquides variés (eau, sirop, éléments salés) Itinérol B6 Antalgiques en réserve Consignes de réhydratation Itinérol B6 Antalgiques en réserve Consignes de réhydratation Itinérol B6 Antalgiques en réserve Consignes de réhydratation Explication des signes de gravité Itinérol B6 Consignes de réhydratation Itinerol B6 Retour à domicile avec consignes de surveillance Itinerol B6 Retour à domicile avec consignes de surveillance Itinérol B6 Retour à domicile avec consignes de surveillance Itinérol B6 Retour à domicile avec consignes de surveillanceItinérol B6 Retour à domicile avec consignes de surveillance Itinérol B6 Retour à domicile avec consignes de surveillance et d'hydratation Itinérol B6 Retour à domicile avec consignes de surveillances et de déshydratation Ivermectine à J0 et J10 pour toute la famille Traitement des habits Remise de la brochure du traitement de la gale des HUG IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS (+/- faux croup léger ?) IVRS +/- gastroentérite débutante IVRS à Rhinovirus IVRS à RSV négatif IVRS au décours IVRS au décours avec • angine • toux probablement irritative IVRS avec • angine virale • conjonctivite virale IVRS avec angine virale IVRS avec angine virale IVRS avec angine virale IVRS avec angine virale IVRS avec angine virale IVRS avec angine virale IVRS avec angine virale et otite séromuqueuse gauche IVRS avec bronchite spastique IVRS avec bronchite spastique légère IVRS avec bronchite virale IVRS avec conjonctivite bilatérale IVRS avec diminution de l'alimentation IVRS avec EF depuis 3 jours IVRS avec OMA débutante à G IVRS avec otite moyenne gauche IVRS avec possible bronchiolite débutante IVRS avec rhinite et angine exsudative + éruption cutanée : • sans signes cliniques pour une bronchiolite IVRS avec rhume IVRS avec rhume et conjonctivite bilatérale IVRS avec : • Rhume • Pharyngo-amygdalite IVRS avec trachéite. Angine bactérienne à Streptocoques. IVRS. Contusion du pied droit par écrasement le 29.10.2018. IVRS (DD : angine à streptocoque) IVRS débutante avec : • myalgies • rhinorrhée toux • douleurs abdominales. IVRS et Angine virale IVRS, probable composante allergique IVRS virale IVRS DD grippe IVSR JACK2 et rapport définitif Holter J'adresse Mr. Y pour un avis spécialisé à la consultation du Dr. X. Vu qu'il s'agit d'une situation où il faut discuter de la mise en place d'une prothèse de l'IPP, je prie l'équipe du Dr. X de convoquer Mr. Y à sa consultation. En ce qui concerne les suites liées à l'index gauche, fin du traitement chez moi. J'ai expliqué à Mr. Y que les mouvements de rotation pour le genou sont à éviter. Il doit également faire attention à son travail. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle à une année postopératoire. J'ai fait confectionner ce jour une attelle en ergothérapie sur mesure laissant de la mobilité libre sur la MP mais également sur l'articulation trapézo-métacarpienne pour lui permettre de garder un maximum d'indépendance avec un bon appui sur l'extrémité distale de l'os du bras. Mme. Y est confortable dans cette attelle ; elle prendra contact avec l'ergothérapie en cas de gêne. Je prévois un contrôle radioclinique dans 4 semaines. J'ai transféré Mme. Y à la consultation du Dr. X, pour un deuxième avis. Arthrose bi-compartimentale s'aggravant progressivement probablement sur une position valgus de son genou. En attendant le RV chez Dr. X, j'ai mis Mme. Y au bénéfice d'une physiothérapie de mobilisation et de tonification musculaire intensive d'une part pour amoindrir la symptomatologie douloureuse et d'autre part pour la préparer en cas d'une prothèse totale du genou gauche. J'aimerais soulager Mme. Y de ses douleurs. Je préconise une infiltration du sillon bicipital pour voir si j'arrive à modifier les douleurs de Mme. Y. Cette infiltration est programmée pour le 26.4.2019. Jambe G f/p : fracture consolidée sans déplacement secondaire. Léger recul d'une des vis de verrouillage proximale. Pouce G f/p : fracture consolidée sans déplacement secondaire. Jambes en X sur des pieds plats. Janumet 50/1000 mg 2x/j dès le 21.03.2019 Januvia et Diamicron en doses diminuées Arrêt de la metformine et du Janumet Janvier 2017 : IRM thoracique pour dorsalgies : normale. 24.01.2017 : CT-thoracique pour douleurs basi-thoraciques : normale. 20.03.2018 : fonction pulmonaire par le Dr. X : spirométrie normale, distension thoracique et facteur de transfert au CO abaissé, ce qui pourrait être compatible avec un emphysème débutant (non visualisé sur le CT-scan du 24.01.2017) 14.06.2017 : US abdo supérieur : présence d'un petit polype de la paroi antérieure de la vésicule biliaire, pas d'anomalie de paroi.29.06.2017 : analyses de selles : selles solides, négatif pour parasites et bactéries 26.07.2017 : IRM cérébral : kyste colloïde stable 11.08.2017 : mammographie et US des seins : sans particularité 22.08.2017 : tests allergènes (lait, fromage et anti tTG IgA : sp) 01.09.2017 : CT abdomino-pelvien : hépatomégalie, tendance splénomégalie, aspect séquellaire de sacro-iliite prédominant à droite 05.09.2017 : B2-microglobuline et électrophorèse des protéines : sp 12.09.2017 : US abdominal : hémangiome hépatique, le reste sp 12.10.2017 : CT abdominal : présence de micronodules pulmonaires multiples aux apex (3-5mm) non présents en début 2017, hémangiome hépatique stable, sans autre anomalie 16.10.2017 : gastroscopie (CHUV) pangastrite à H. Pylori et foyer de métaplasie intestinale fundique sans dysplasie 21.10.2017 : HIV, Facteur rhumatoïde, ANA, Anti-CCP, P-ANCA, C-ANCA, Anti-SS-A/Ro60, Anti-SS-A/Ro52, Anti-SS-B, Anti Neutro. Cytoplasma AK, Complément C3 et C4 : négatifs 7.11.2017 : gastroscopie (Neuchâtel) pour recherche d'hémorragie digestive : Antro-bulbite congestive - pas d'hémorragie active ni de stigmate de saignement récent, il s'agit probablement de vomissement teintés d'aliments 03.12.2017 : lésion hyper-échogène du segment VII du foie de 9x6mm correspondant en premier lieu à un hémangiome, le reste de l'examen est sans particularité. Status post coloscopie 08.07.2016 : 2 polypes de 2 et 4 mm, 40 cm du canal anal dans le sigmoïde (histologie : adénome tubuleux de dysplasie bas grade). Status post coloscopie 16.09.2016 : 2 polypes réséqués dans le colon descendant et le rectum Status post OGD Status post curetage sur hyper-ménorrhée 2014 Status post ulcère d'estomac Status spirométrie 20.03.2017 : normale. Pas de BPCO, pas d'asthme OGD 16.10.2017 (CHUV) : pangastrite avec métaplasie sans dysplasie, biopsie positive pour H. Pylori et éradication H. pylori Troubles somatoformes indifférenciés • Multiples symptômes (dyspnée, nausées, douleurs abdominales, perte de poids, céphalées, hypersialorrhée, xérophtalmie, problème gynécologique) Suivi par psychiatre Dr. X puis par le Dr. X : troubles somatoformes/DD hypocondrie avec interprétation, nosophobie Adénomyose utérine vue à l'IRM 2014 Douleur abdominale d'origine indéterminée le 9.4.2018 Cystite simple Stix et sédiment urinaire Monuril 3 g dose unique Probable somatisation avec sensation de brûlures intra-thoraciques diffuses peu systématisées d'origine indéterminée • diagnostic différentiel neuropathique • patiente multi-investiguée • notion de dyspnée subjective suite à la prise d'anti-inflammatoires Douleur abdominale locale en région de la fosse iliaque droite Janvier 2018 : Accouchement par voie basse spontanée à 37 0/7 semaines d'aménorrhée, fille de 2600 g. Je comprends la gêne de la patiente et je préconise une AMO. Je lui explique clairement que ce geste ne pourra qu'influencer la gêne liée au matériel d'ostéosynthèse et pas forcément par rapport à la gêne de la branche superficielle thénarienne du nerf médian. Elle comprend mes explications et me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 20.05.2019. Je constate chez Mr. Y un status post simple contusion du tiers proximal de la jambe G, il est quasiment en rémission complète ce jour. Il n'y a pas de traitement à lui proposer. Il me recontactera en cas de réapparition de douleurs. Fin du traitement. Je discute assez longuement avec le patient qui pense à une lésion iatrogène de son nerf médian. Je ne peux pas exclure une telle lésion ni les autres diagnostics différentiels mentionnés ci-dessus. J'ai besoin d'une évaluation neurologique, aussi je prends contact par mail ce jour avec le Dr. X pour lui expliquer la situation et lui demander une évaluation rapide. Je propose également au patient en chirurgie de la main à l'Hôpital de l'Ile de Berne. J'attends juste le rendez-vous en neurologie avant d'organiser le 2ème avis. Je discute avec la maman et Mme. Y qui l'accompagne, que je ne retrouve pas de réelle origine mécanique à l'examen clinique. Je proposerais un consilium rhumatologique. Je prie le service de rhumatologie de convoquer cette patiente rapidement vu les limitations dans les activités de la vie quotidienne et l'anamnèse familiale positive. S'il le juge nécessaire, il pourrait me contacter pour organiser le bilan sanguin dans l'intervalle ou faire cela avec le médecin traitant, la Dr. X à Fribourg. Je demanderai également conseil à la Dr. X, infectiologue, en raison des séjours à l'étranger. J'attends sa réponse que je transmettrai en rhumatologie. Je discute avec le patient de la pathologie et du risque de récidive. Vu l'examen clinique et l'imagerie à disposition, je propose un traitement conservateur avec des risques de récidive présents mais qui me semblent modérés. Physiothérapie avec proprioception. Mobilisation sous l'horizontal jusqu'à la 4ème semaine avec une immobilisation par le bras en écharpe puis, par la suite, récupération progressive des amplitudes articulaires. Contrôle dans 6 semaines. Je discute avec Mr. Y de la situation, agriculteur, il a devant lui une saison de travaux lourds et ne souhaite pas de prise en charge chirurgicale actuellement vu le peu de gêne présente. Si, à long terme, l'évolution ne devait pas être suffisamment bonne et que la gêne provoquée par le déficit d'extension devait être trop importante, on prévoirait une prise en charge chirurgicale l'automne prochain. Je reste à disposition dans l'intervalle, je reverrai le patient à la fin de l'été pour discuter avec lui de la nécessité ou non d'une prise en charge chirurgicale. Je discute largement de la situation avec le patient. Je pense que le problème est la rigidité de la situation locale qui est probablement due aux opérations passées et, si l'inclination de l'articulation articulaire du premier métatarsien distal vers l'extérieur est d'environ 20° (norme entre 8 et 9°), il faudrait faire toute une correction de cet angle et une latéralisation de la tête métatarsienne. D'autre part, il faudrait une ténotomie de l'adducteur et probablement aussi une libération de toute la cicatrice. Si on désire une situation définitive, il s'agirait de faire une arthrodèse mais le patient n'est pas pour. Je propose également qu'on adapte la situation autour du pied avant de faire une intervention. Pour cette solution, je l'envoie chez l'Ortho team, qui va voir ce qu'il y a comme possibilités. Je revois le patient dans 2 mois pour réévaluer la situation et on fera des RX f/p/o en charge. Je n'ai actuellement pas d'option pour aider plus le patient. Il reste en incapacité de travail pour une activité manuelle en raison de l'arthrose post-traumatique. Je souhaiterais qu'il soit revu par le Dr. X qui l'a déjà vu par le passé pour évaluation et adaptation de l'antalgie. De mon côté, mon secrétariat va le reconvoquer pour un contrôle dans 6 mois. Je ne retiens pas d'indication opératoire. Traitement conservateur avec une attelle St-Maurice thermoformée. J'ai programmé un contrôle à 6 semaines d'immobilisation le 17.5.2019 pour refaire l'examen clinique. Je ne suis pas rassuré à 100% avec ce scanner du 13.3.2019. Entre-temps, le patient a repris son travail comme automaticien avec selon lui une bonne évolution et aucune douleur. J'aimerais pour la forme confirmer la consolidation définitive du scaphoïde avec un nouveau scanner qui sera programmé le 3.5.2019. Je reverrai le patient le 10.5.2019. Je ne trouve pas de pathologie majeure, à part une hyperlaxité de la MCP1 gauche. Je déconseille toute investigation vu que la patiente ne présente pas de gêne constante, mais plutôt variable et semble plutôt être désécurisée. Je prie la patiente de bien observer la suite. En cas d'aggravation des symptômes, elle peut sans autre me recontacter pour un nouveau rendez-vous.Je pense qu'il ne s'agit pas d'une coxarthrose relevante, car la patiente n'a pas de douleur à la rotation de la hanche. Je pense qu'il s'agit d'une lésion des abducteurs avec une bursite associée de la bourse trochantérienne. Au vu de l'âge avancé du patient, on va traiter cela par une infiltration thérapeutique de la bourse trochantérienne avec anesthésie locale et Dépo-Medrol. Je pense qu'il y a eu un lâchage partiel ou une perte d'adhérence au niveau de la ténodèse mais celle-ci est encore en continuité. J'ai conseillé à Mr. Y d'éviter les charges sur le biceps direct en respectant ces douleurs et de me tenir informé dans le courant des prochaines semaines. Je pense qu'une révision de la cicatrice est nécessaire au niveau du coude G qu'on pourrait associer à une AMO. Poursuite de l'antibiothérapie jusque-là et quelques semaines après la révision de plaie. Je peux raisonnablement exclure une complication majeure, sachant que l'ostéonécrose de la tête humérale est une épée de Damoclès dans une tête situation. Je préconise tout d'abord une infiltration de l'épaule droite en intra-articulaire et sous-acromiale pour faire avancer la patiente dans une meilleure mobilité. Suite à l'infiltration, on relancera la physiothérapie à sec et dans l'eau. Cette infiltration est programmée pour le 10.5.2019. Je préconise la neurolyse du nerf médian. J'informe le patient du déroulement intra et post-opératoire pour cette intervention qui aura lieu le 21.10.2019. Je préconise tout d'abord une arthro-IRM afin de poser un diagnostic correct, ce qui m'est impossible avec l'IRM à disposition actuellement. Ablation de la bretelle et début d'un traitement de physiothérapie pour récupération des amplitudes articulaires, déjà en pré-opératoire. Avant de discuter d'une chirurgie, il faut que le patient présente une mobilité adéquate, ce qui n'est pas le cas actuellement. Je revois le patient le 08.05.2019 afin de discuter des résultats de l'arthro-IRM et envisager la suite de la prise en charge. Je préconise tout d'abord une infiltration du premier compartiment des extenseurs qui est prévue le 05.04.2019. En ce qui concerne le syndrome du tunnel carpien G qui semble être plus important, je programme la cure de tunnel carpien et éventuellement une cure de De Quervain G pour le 20.05.2019. La patiente m'a donné son accord oral et signé pour ces interventions. Je préconise un traitement ergothérapeutique pour rééducation de la main. Ablation de l'attelle St-Maurice progressivement. Le patient va porter cette attelle encore lors des activités sportives à risques. Contrôle final chez moi dans 2 mois le 24.6.2019. Je préconise un 2ème avis neurologique auprès du Dr. X pour tirer au clair l'évolution par rapport à cette compression du nerf cubital au niveau du coude gauche. Je reverrai la patiente à la suite de cet examen pour discuter des options thérapeutiques. Je prie le secrétariat du Dr. X de convoquer la patiente au 076 396 60 45. Je préconise une arthro-IRM afin de faire la part des choses. Arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle chez moi. Prochain rendez-vous le 02.05.2019. Je préconise une arthro-IRM pour faire la part des choses. Je reverrai le patient à la suite de cet examen pour discuter des différentes options thérapeutiques. Je préconise une cure de doigt à ressaut D5 ddc. Le patient est informé du déroulement intra- et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention prévue pour le 23.4.19. Je préconise une cure de tunnel carpien droit. J'informe le patient du déroulement intra et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 14.5.2019. Vu la carrure du patient, je vais commencer par une cure de tunnel carpien en mini-open, je me réserve l'option de faire une neurolyse étendue vers proximal si la libération mini-open ne s'avère pas suffisante. Je préconise une infiltration de la poulie A1 afin de calmer les douleurs de la patiente. Celle-ci est prévue pour le 3.5.2019. Je préconise une infiltration de l'articulation CMC1 le 05.04.2019 avant de discuter d'une plastie selon Epping. Je revois la patiente le 26.4.19 afin de discuter des suites de la prise en charge. En ce qui concerne son hallux valgus à D, j'organise un suivi auprès du Dr. X. Je préconise une infiltration sous-acromiale et intra-articulaire au niveau de l'épaule gauche pour calmer les douleurs et pour permettre la récupération de la mobilité. Incapacité de travail à 20%. Rendez-vous pour l'infiltration le 03.05.2019. Rendez-vous après l'infiltration le 27.05.2019. Je préconise une nouvelle IRM le 2.4.2019 pour faire la part des choses. Je reverrai le patient le 3.4.2019. Poursuite d'un arrêt de travail jusqu'au 3.4.2019. Je propose au fils de me recontacter si péjoration (patient sans médecin traitant en Suisse). Je propose au patient de continuer la physiothérapie 2x/sem. Pour la douleur au niveau du biceps, appliquer des Flector-patch pour 10 jours consécutifs. Prise d'un comprimé de Tramal avant de se coucher. Le patient peut reprendre le fitness dans 2 semaines. Le patient reçoit une incapacité de travail à 100% du 04.03.2019 au 05.05.2019 avec une reprise à 100% dès le 06.05.2019. Le traitement prend fin ce jour, je reste cependant à disposition en cas de besoin. Je propose au patient une infiltration avec anesthésie locale et Dépo-Médrol qu'il accepte. Elle est réalisée en salle de plâtre avec désinfection et champage. Traitement anti-inflammatoires de courte durée et ergothérapie. Je revois le patient à distance. Je propose au patient une prise en charge chirurgicale avec stabilisation coraco-claviculaire et réinsertion de la capsule AC. Le formulaire d'informations et de consentement est rempli et signé. La date opératoire est agendée à lundi. Je propose de reprendre un traitement anti-inflammatoire, on pourrait essayer avec de la Novalgin et un traitement antalgique de base avec Dafalgan. Poursuite de la physiothérapie et du programme San Antonio ainsi que TheraBand à domicile. Je complète le bilan par une IRM du plexus et je reverrai le patient en salle d'infiltration. Il amènera les clichés d'IRM de l'épaule à ce moment. Je propose donc une arthrolyse et ablation du matériel d'ostéosynthèse afin de gagner en mobilité. Il est informé du déroulement intra- et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 28.5.19. Je propose la poursuite du traitement auprès du Dr. X pour le syndrome de Wartenberg. De ma part, vu la péjoration du syndrome du tunnel carpien, je propose une cure de tunnel carpien à droite. J'informe la patiente du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est programmée pour le 23.4.2019. Je propose la poursuite du traitement de physiothérapie pour le genou et pour la tendinite, vu la bonne évolution. Contrôle final dans 3 mois, le 04.07.2019. Je propose une AMO. La patiente va réfléchir à ces propositions. Je reverrai la patiente le 9.5.2019 pour refaire le point. Je remplis avec le patient le formulaire d'information et de consentement en vue de l'ablation de la broche, avec une anesthésie en bague, la semaine prochaine au bloc opératoire. Je reste à disposition en cas de péjoration. La situation clinique semble actuellement stable. Je retiens donc l'indication pour une cure de tunnel carpien bilatéral en commençant par le côté droit. Pour des raisons professionnelles, la patiente ne peut pas se faire opérer avant juillet 2019. L'intervention est planifiée pour le 29.7.2019. J'informe la patiente du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé.Je souhaite compléter le bilan par une IRM de l'épaule gauche. Il y a actuellement une symptomatologie sur le long chef du biceps mais également un conflit sous-acromial en rapport avec la mal-position du tubercule majeur. Aussi ce cas concerne à mon avis clairement les suites de l'accident de mars 2017. Travailleuse de force, elle ne peut pas travailler actuellement. Je la revois après l'IRM pour la suite de la prise en charge. Je souhaite que la patiente soit évaluée en consultation d'antalgie. Je pense qu'elle a une allodynie sur la branche palmaire du médian et une irritation du cubital proximalement au coude qu'on pourrait éventuellement mettre en relation avec le garrot mais qui se situe nettement proximalement au sillon. Je pense qu'un traitement local pourrait permettre d'améliorer la symptomatologie douloureuse. Le suivi en ergothérapie et en physiothérapie reste nécessaire. Je vais bilanter la situation par arthro-IRM le 2.4.2019 pour faire la part des choses pour une éventuelle arthrose et également pour une éventuelle lésion du sus-épineux. Je reverrai la patiente à la suite de cet examen le 24.4.2019. Mr. Y présente une amélioration de sa symptomatologie sous zofran 4 mg et voltaren 25 mg suppositoire. Une réhydratation PO est entamée après 30 minutes de la prise d'ondansétron et a permis une prise de 200 ml. Nous décidons un retour à domicile avec conseil de réhydratation et alimentation. Mme. Y est hospitalisée pour la prise en charge de douleurs abdominales. Sur le plan abdominal, elle présente de minimes douleurs dans la région épigastrique, qui sont soulagées avec l'application de chaud. Elle ne reçoit pas d'antalgie lors de son séjour. Elle ne présente pas de selles, mais reste confortable au niveau abdominal. Elle bénéficie du traitement du Movicol 2x 2 sachets par jour. Sur le plan urinaire, elle présente des douleurs mictionnelles qui se manifestent vers la fin de la miction avec un bilan urinaire négatif pour une infection. Vu que les douleurs persistent depuis l'opération à la fin de décembre, nous demandons un avis de Dr. X, urologue pédiatrique. Selon son avis, pas de traitement chirurgical nécessaire, ni autre examen urologique. Elle conseille de traiter la constipation qui soulagera les symptômes urinaires par la suite. Vu l'excellente évolution clinique, Mme. Y peut regagner le domicile le 3.04.2019. Jéjunite neutropénique 07.04.2019 • DD contexte immunothérapie Jéjuno-colite d'origine indéterminée le 27.03.19 • antibiothérapie empirique par Bactrim du 25.03.2019 au 27.3.19 DD: colite à collagène, colite microscopique, infectieuse Jelonet, compresses. Tétanos à jour. J'encourage la patiente à suivre un traitement de physiothérapie conséquent afin de récupérer le reste de l'extension. Il est impératif qu'elle porte son attelle d'extension. J'ai donné une ordonnance pour adapter l'attelle chez Riedo. Prochain contrôle dans 6 semaines : 16.05.2019. Jeune patient présentant une plaie simple du poignet, sans atteinte des structures nobles, nécessitant une fermeture par suture. Réalisation du geste sous MEOPA. Nous rinçons la plaie et nous suturons par 2 points d'Ethylon 4.0. Nous posons un pansement simple. Contrôle de la plaie le 22.04.2019 chez le pédiatre. S'il n'est pas disponible, il prendra rendez-vous à la polyclinique d'orthopédie. Ablation des fils dès 12 jours chez le pédiatre. J'explique au patient une possible réinsertion du sus-épineux en lui expliquant le déroulement intra et post-opératoire en incluant les risques inhérents à l'intervention. J'ai fixé un nouveau rendez-vous chez moi le 22.5.2019 pour faire le point et éventuellement programmer l'intervention pour le 17.6.2019. J'explique encore une fois les dangers d'une éventuelle infection tardive si la patiente attrape une infection cutanée, urinaire ou dentaire (qu'il faudra tout de suite traiter). Si la situation ne change pas, prochain contrôle radio-clinique dans 5 ans, respectivement autour de 10 ans ou si quelque chose change. Mr. Y avait présenté une bronchite cet hiver, traitée par Ventolin en ambulatoire. Autrement en bonne santé. Mr. Y a été hospitalisé à cause d'une pneumonie à varicelle avec insuffisance respiratoire traitée par Acyclovir en intraveineuse pendant 7 jours. Il a nécessité une oxygénation supplémentaire du 29.03 au 05.04.2019. Au niveau hydrique, il bénéficie d'une perfusion de GS 2:1 à cause d'une mauvaise prise hydrique. Comme la pneumonie à varicelle peut être un signe d'immunodéficience, nous recommandons des investigations immunitaires après la guérison. J'interprète les épisodes comme des épisodes de subluxation plutôt que de luxation. Je pense que le remplissage a fait un effet de ceinture et a permis de repositionner l'épaule. Il n'y a pas eu de lésion au niveau du labrum antéro inférieur. On peut donc espérer regagner une situation comme avant ces épisodes et en évitant les mouvements extrêmes en rotation externe / abduction. L'épaule devrait retourner à l'impression de stabilité qu'il avait l'année précédente. Physiothérapie avec renforcement, immobilisation à but antalgique puis immobilisation nocturne pour un total de 4 semaines. Proprioception / renforcement musculaire en évitant les activités à risque. Prochain contrôle dans 6-8 semaines. Il sera convoqué par mon secrétariat. Joint en annexe Mr. Y, 12 mois, est hospitalisé pour suite de prise en charge de sa gastro-entérite avec déshydratation. Il est réhydraté oralement par du Normolytoral, avec une bonne évolution, permettant un retour à domicile le 25.04.2019. J'organise un bilan neurologique à la recherche d'une atteinte de la branche dorsale du nerf cubital et une IRM du poignet à la recherche d'une tendinite de l'extenseur ulnaire du carpe. Je revois la patiente après ces examens. Je prescris de l'ergothérapie dans l'intervalle. J'organise une IRM de l'épaule D et je prescris de la physiothérapie avec programme San Antonio, TheraBand à domicile et US. Anti-inflammatoires Novalgin en raison d'épigastralgies. Je reverrai le patient en salle d'infiltration après l'examen pour discuter de la suite de prise en charge. J'organise une IRM de l'épaule D. Je reverrai la patiente après cet examen et avant son départ pour la France. J'organise une IRM de l'épaule droite pour exclure une lésion de la coiffe des rotateurs et pouvoir mieux diriger le traitement conservateur. Pour l'arthropathie et la boursite sous-acromiale, je propose un traitement de physiothérapie avec programme San Antonio et Terra band à domicile. Je vais encore demander à mon secrétariat de récupérer le rapport d'ENMG effectué au Neurocentre pour voir si le nerf radial a été investigué. Pour le tunnel carpien, je propose une attelle nocturne avec poignet et doigts en extension confectionnée en ergothérapie. Si le nerf radial n'avait pas été investigué, j'organiserai un nouvel ENMG. S'il y avait une compression à ce niveau, je proposerais une infiltration sous ultrason effectuée en consultation d'antalgie. Je rediscuterai de cette problématique lorsque je revois la patiente dans 6 semaines. J'organise une IRM de l'épaule gauche, je garde le bras immobilisé jusque-là. Incapacité de travail jusqu'au prochain contrôle. Juillet 2018 : Abcès du sein droit traité par ponction et antibiothérapie Jumeau J1 bi-chorial bi-amniotique né à 34 SA Constipation chronique sévère de 4 mois jusqu'à 4 ans de vie Pyélonéphrite en juin 2007 Pneumonie en mars 2011 Status post-exérèse d'un granulome à cellules géantes central de la mandibule datant de janvier 2016 (OP en avril 2017) Cystite à entérocoques en décembre 2017Satus post-orchidopexie D selon Shoemaker le 14.02.2019 (Dresse Peiry) Jusqu'à 3 mois après l'opération, c'est-à-dire jusqu'au 15 mai, le patient va encore utiliser les 2 béquilles, mais en charge progressive. Charge complète à partir du 15 mai en respectant éventuellement une douleur autour de sa hanche, respectivement au niveau de la cuisse. Il va poursuivre la physiothérapie plutôt pour musculation et faire la mobilisation avec vélo d'appartement. Il peut stopper le traitement anti-thrombotique. Il reste à l'arrêt de travail à 100% tout le mois de mai, puis à titre d'essai, il fera un 20% pour les travaux de bureau à partir du 01.06.2019 jusqu'au contrôle prévu dans 6 semaines. RX à faire selon la clinique. Prochain contrôle le 11.06.2019. J1 d'une grossesse gémellaire AVB avec mise en travail spontanée, née prématurée à 35 0/7, poids de naissance 2.160 kg. Bonne adaptation, pas de besoin de néonatologie. Bonne prise pondérale par la suite. Pas de vaccins reçus (seront administrés selon âge corrigée). J4 Guthrie (normal) et J14 (normal) Avis Prof. X, pneumologie pédiatrique et Dr. X, génétique médicale Test de la sueur le 22.05 et consultation chez Prof. X K eff 30 mmol 2x/j Contrôle biologique K effervette aux urgences. KCL retard 2 cp 2x/j pendant 2 jours. K effervette aux urgences. KCL retard 1 cp 3x/jour le 15.04.2019. Kamillosan bain 2x/j Kardiopathie, ischémique (3-Gefässerkrankung), St. n. Dysrhythmie mit Pacemakereinlage • Signifikante Stenose der RIVA proximal und mittig • PTCA + Stenting (DES) 19.06.2012 • FEVG: 55% • Stresstest, 22.04.2013: Klinisch und elektrisch negativ pour une Myokardischämie • Pacemaker-Einlage 21.03.2016, Dr. X, bei AV-Block Grad II Mobitz II, 2:1 intermittierend symptomatisch • bekannter Rechtsschenkelblock • kardiovasculäre Risikofaktoren: arterielle Hypertonie, Hypercholesterinämie, St. n. Nikotinabusus, FA positif (Vater an Myokardinfarkt im Alter von 56 gestorben) Mr. Y est un patient de 11 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales depuis le 05.04.2019 avec de nombreux vomissements. Lors de la consultation le jour-même, le diagnostic de gastro-entérite est retenu et une réhydratation intraveineuse est entreprise. Mr. Y reconsulte le 07.04.2019 en raison de douleurs abdominales en augmentation, localisées en fosse iliaque droite, accompagnées de vomissements et d'un état fébrile. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire important et le bilan radiologique confirme le diagnostic d'appendicite perforée. Le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique en urgence le 07.04.2019, qui se déroule sans complication notable. Une antibiothérapie empirique par Ciproxine et Métronidazole en intraveineux est mise en place. Les suites opératoires sont simples et l'évolution clinico-biologique est favorable, permettant un retour à domicile le 13.04.2019. L'antibiothérapie sera poursuivie pour une durée totale de 10 jours, soit jusqu'au 17.04.2019. Katzenbiss KCl 40 mmol/l sur 4h MgSO4 2g iv KCl 40 mmol en 2h dans 500 NaCl.. KCl 60 mmol/24h avec correction de l'hyponatrémie par la suite. Pas de suivi par la suite vu soins de confort. Keine Keine Keine Keine Keine Keine Keine Keine Keine Keine keine keine keine keine keine keine keine keine keine. keine bekannt Keppra 500 mg 2x/jour dès le 06.03.2019 ECG du 05.03.2019 : tachycardie supraventriculaire à 154 bpm Labo 05.03.2019 : CRP 129 mg/l, leucocytes à 17.5, créatinine à 56 mcg/l (Cockcroft à 84 ml/min) Sédiment urinaire du 05.03.2019 : propre Gazométrie (pendant la crise) 05.03.2019 : pH 7.13, pC02 61 mmHg, p02 120 mmHg, Bic 19 mM, lac 7.9 mM Gazométrie 05.03.2019 : pH 7.4, pC02 40 mmHg, p02 90 mmHg, Bic 24 mM RX thorax 05.03.2019 : opacité basale droite CT cérébral 05.03.2019 (HFR X) : prises de contraste occipitales droites, occipitale gauche et frontales droites posent le DD de métastases de siège cortical et/ou sous-cortical en 1er lieu. Des emboles septiques pourraient rentrer dans le DD Ponction lombaire 06.03.2019 (HFR X) aspect eau de roche, éléments 2/mm3, Glucose 4.9 mM, Protéines 0.32 g/1, Lactates 2.3 mM, Chlorures 121 mM GRAM suspect pour BGN mais suspicion faible EEG le 21.03.2019 : pas de claire activité épileptique visible sur ce tracé Investigations effectuées au CHUV le 06.03.2019 : • IRM cérébrale : quatre lésions cortico-sous-corticales en premier lieu en rapport avec des abcès. Ces lésions sont entourées d'une plage hypersignal T2 d'œdème périlésionnelle. Anomalie de signal de l'hippocampe droit en probable rapport avec l'état de mal épileptique récent (origine herpétique non exclue sur base de l'imagerie seule). Cavernome frontal gauche. • Procalcitonine 1.09 ug/L • Tuberculose (GenXpert sur expectos 3x) : négatif • AG sérique cryptococcus noformans : négatif • Dépistage (CLIA) Syphilis : négatif • HIV (Ag p24, anti-HIV 1/2) : négatif • Sérologie hépatite A ancienne (Anti HAV-IgM négatif), anti-HBc totaux positifs, anti HBs 146 UI/l, HBs-AG négatif, anti-HCV totaux : négatifs • Toxoplasmose (ECLIA) : IgG positif, IgM négatifs • Herpès, Anti HEV IgG et IgM : non effectué selon téléphone avec laboratoire du CHUV le 13.03.2019 (021 314 40 70) Consilium infectiologique CHUV 06.03.2019 (cf. examens complémentaires) Consilium neurochirurgical CHUV 06.03.2019 (cf. examens complémentaires) Consilium infectiologie HFR Fribourg le 08.03.2019 IRM cérébrale le 11.03.2019 Suivi neurologique prévu en ambulatoire Kératite post-traumatique le 30.03.2019. Kératite stromales non nécrosante œil gauche le 09.03.2019 DD. Kyste cornéen Kératose actinique frontale droite Klacid 500 mg per os 2x/j jusqu'au 12.04.2019 Contrôle à la consultation du Leishman le mercredi 10.04.2019 Klebsiella pneumoniae ESBL retrouvée au frottis rectal le 02.10.2018. Klebsiella pneumoniae 10*4/ml Podomexef per os Kleine RQW an der Oberlippe rechts. Wundversorgung in LA. Klinische Kontrolle mit éventuel Ultraschall Abdom um Nachweis die Hepatomegalie oder Splenomegalie den 17.4.2019 in der Permanence. Klinische Kontrolle Bronchitis Klinische Kontrolle Kardiale MRI ambulant je nach Klinik eventuell zu organisieren Klinische Kontrolle Proktologische Kontrolle ambulant je nach Klinik eventuell zu organisieren Klinische Kontrolle Proktologische Kontrolle ambulant zu organisieren Klinisvch Vd.a. Pneumonie links basal Kniekontusion rechts beim Skifahren am 23.03.2019 Kniekontusion rechts • Röntgen 04.01.2017: Kein Hinweis auf Fraktur Jeansschiene, Dafalgan et Brufen en réserve Nachkontrolle in der Orthopädie (Dr. X) am mercredi 11.01.2017 Knieschmerzen rechts Konakion avec normalisation du TP Konakion i.v. mise en suspend du sintrom Konakion i.v. Suivi crase Konakion 10 mg du 04 au 06.04.2019 Suivi biologique Konakion 10 mg en ordre unique le 05.04.2019. Suivi biologique. Konakion 10 mg IV aux urgences Konakion 10 mg iv (normalisation le 11.04.2019). Stop Sintrom, relais par Clexane en vue du geste opératoire prévu. Konakion 10 mg le 27.03.19 Suivi biologique Konakion 10 mg per os le 09.04.19 Reprise du sintrom le 09.04.19 avec suivi rapproché de l'INR Konakion 10 mg 1x/24h i.v. le 30.03.2019 Transfusion de 1 concentré de PFC le 31.03.2019 Transfusion de 1 CE le 31.03.2019 Konakion 10 mg Att: • suivi crase Konakion 10 mg en ordre unique le 22.03.2019 Konakion 10 mg IV Normalisation le 11.04.2019 liquémine 2 x 5000 UI liquémine prophylactique au vu de l'IR dès le 14.04 Konakion 2 x 10 mg i.v. le 29.03.2019 Beriplex 2 x 1500 IU i.v. le 29.03.2019 Konakion 2 mg le 08.04.2019 Reprise d'une anticoagulation prophylactique par héparine dans l'attente de deux INR thérapeutiques Konakion 5 mg per os. Sintrom en pause le 23.04.2019. Contrôle INR le 24.04.2019. Contrôle HB en début de semaine prochaine. Kontrole bei Hausarzt wenn kein Verbesserung die Symptome mit MRI Kontrole beim HNO empfohlen Kontusion Ellbogen gauche Kontusion pied gauche DD Chopart ou Lisfranc Fraktur, avec/chez: Kopfschmerzen Kostalkontusion DD Fraktur des 10. Rippenbogens droit avec/chez: KPhos 20 mmol sur 24 h iv continu Poursuite substitution per os par KCl ret 10 mmol 3 x/j, phosphate 500 mg 3 x/j Kronische Mikrozytäre normochrome Anämie KT artériel radial du 01.04 au 04.04.2019 Nitroglycérine iv continu du 01.04 au 04.04.2019 Introduction des IEC le 02.04.2019 Nifédipine le 02.04.2019 Contrôle en ambulatoire avec Remler tensionnel à distance KTVO de G10% à partir du 15.04 Pose de SNG du 15.04 MD 8 x 5 ml, puis Hipp 8 x 5 ml Kyphoplastie D7 2005. Kyste. Kyste annexiel et para-annexiel gauche chez une patiente IVG IIIP de 40 ans • Laparoscopie exploratrice avec kystectomie gauche le 20.04.2012 • Stérilisation tubaire par coagulation-section. Suspicion de Pityriasis rosé de Gilbert. Kyste arthro-synovial au dos du poignet D dans l'interligne radio-lunaire. Status post-suture du tendon extenseur du 5ème doigt de la main G le 22.03.2019. Kyste arthrosynovial de Baker avec extension en arrière du condyle fémoral interne le 06.04.2019. Kyste arthro-synovial IP pouce D sur arthrose débutante. Rhizarthrose G avec kyste. Kyste arthrosynovial sur le dos du pied D entre le premier et le deuxième rayon à hauteur du tarse avec status post-exérèse d'un kyste dorsal 2 x (à Bulle). Kyste au niveau testiculaire droit, vu par le médecin traitant, non opéré. Kyste auriculaire gauche, le 13.04.2019. Kyste coccygien Status post-confection d'une fistule artério-veineuse humérale proximale selon Brescia-Cimino / proximalisation au niveau du membre supérieur gauche (39.27) (opération le 07.10.2014) Status post-néphrectomie droite totale le 08.08.2014 Status post-néphrectomie totale gauche pour cancer rein Fuhrman 2 pT3a V2 R0 avec conservation de la surrénale Status post-mise en place d'une bandelette sous-urétrale pour incontinence urinaire d'effort Thrombose d'une fistule artério-veineuse selon Brescia-Cimino du membre supérieur gauche, le 19.06.2015 Confection d'une nouvelle fistule artério-veineuse avec Omniflow à gauche le 19.06.2015 Syndrome grippal avec faiblesse générale Bronchite virale à RSV, le 08.03.2019 Suspicion d'hématome intramusculaire au niveau du M. vastus medialis gauche • Sonographie du 26.03.2019: Persistance d'une collection sous-cutanée à la face interne du genou gauche et plus hypo-échogène que le comparatif, parlant pour un hématome en voie de chronicisation. Kyste coccygien Status post-confection d'une fistule artério-veineuse humérale proximale selon Brescia-Cimino / proximalisation au niveau du membre supérieur gauche (39.27) le 07.10.2014 Status post-néphrectomie gauche le 27.03.2014 et droite le 08.08.2014 sur cancer rein Fuhrman 2 pT3a V2 R0 avec conservation de la surrénale Status post-mise en place d'une bandelette sous-urétrale pour incontinence urinaire d'effort Kyste condyle médial du fémur gauche. Probable descellement de PTG à gauche. Status post-PTG Natural knee en mai 2007, Hôpital de Martigny. Excision-curetage d'une lésion kystique du genou gauche le 01.02.2012. Scintigraphie osseuse du 16.04.2015 : image compatible avec un descellement de la PTG gauche surtout dans sa partie interne. Scintigraphie aux anticorps anti-granulocytes marqués les 07 et 08.05.2015 : mise en évidence d'une accumulation précoce et tardive des anticorps anti-granulocytes marqués au niveau de la PTG à gauche conduisant à un paramètre inflammatoire actif actuellement, probablement infectieux. Status post-ponction articulaire du 01.05.2015 à Yverdon, stérile. Kyste de Baker arthro-synovial peu symptomatique, creux poplité D. Kyste de l'Ouraque Kyste de l'ovaire droit de 10 cm symptomatique et persistant Kyste de l'ovaire droit diagnostiqué en août 2018 Kyste dermoïde ovaire droit et kystes simples bilatéraux. • Laparoscopie en urgence avec kystectomie bilatérale. Kyste dermoïde sur la face inférieure du pénis à gauche près du frein sur fil de circoncision. Kyste endobuccal. Conjonctivite des 2 yeux. Appendicectomie en 2014. Maladie de reflux et gastrite. Plaie pénétrante face dorsale de l'IPP de l'annulaire droit sur traumatisme du 30.08.2018. Kyste épidermique de l'avant-bras droit, côté extenseur, tiers distal. Kyste épidermique surinfecté Kyste épidermique surinfecté Kyste épidermique surinfectée Kyste épidermoïde dorsal surinfecté de 7 x 7 cm. Kyste hépatique géant Kyste inflammé. Kyste inter-mammaire sous-cutané sans signe clinique de surinfection le 28.04.2019. Kyste mammaire connu Infection urinaire à répétition RGO avec gastrite chronique traité par terre de Silice Migraine mixte, traitée par Dafalgan. Kyste ovarien opéré en 1999 avec appendicectomie en passant Kyste persistant de l'ovaire et d'hydrosalpinx à droite Kyste pilonidal avec multiples drainages et opération en 2017 environ avec résolution des symptômes. Otite moyenne droite. Kyste pilonidal surinfecté Kyste pinéal de 16 mm de découverte fortuite le 08.03.2019 • IRM neurocrâne pour suivi à effectuer à 3 mois puis à 1 an si stable Kyste rénale droite 11 cm Arthrose nuque Migraine sans Aura depuis 2001 Chutes à répétition sur insécurité à la marche et troubles de l'équilibre Kyste rétro-auriculaire. Kyste rétro-auriculaire droit. Kyste sacro-coccygien gauche le 25.04.2019 • évacuation d'abcès par incision de 2 cm, rinçage abondant, mise en place d'une compresse bétadinée le 25.04. Kyste sacro-coccygien gauche le 25.04.2019. Kyste sacro-coccygien, le 21.04.2019. Kyste sacro-coccygien le 21.04.2019. • contrôle du 24.04.2019. Kyste sacro-coccygien le 21.04.2019. • 2ème épisode. Kyste sacro-coccygien le 21.04.2019 • 2ème épisode • laboratoire • hémoculture • US tissus mous • Co-Amoxicilline 2,2 g i.v. • incision paramédiane droite 3 cm, drainage, rinçage et compresse bétadinée. • antibiothérapie pour 5 jours. Kyste sacro-coccygien non infecté. Kyste sacro-coccygien surinfecté le 20.04.2019. Kyste sacro-coccygien surinfecté 20.04.2019: • S/p épisode pareil en 2012. Kyste scapho-lunaire poignet D symptomatique. Kyste sébacé à olécrane droit, centré sur une plaie croûtée. Kyste sébacé en début de surinfection. kyste sébacé infecté de l'aine D Kyste surinfecté au lobule de l'oreille gauche. Kyste synovial asymptomatique de l'articulation métacarpo-phalangienne du 3ème doigt face dorsale de la main gauche. Kyste synovial de la gaine du tendon extenseur de l'index droit en regard de la base du métacarpien. Kyste testiculaire 5 cm de diamètre le 16.04.2019. Kystes d'ovaires fonctionnels depuis 5-6 ans. Douleur en hypogastre d'origine indéterminée. Probable dysménorrhée. Kystes hépatiques bénins (ultasonographie en octobre 2011). Hypertension artérielle. Cholécystolithiase asymptomatique. Kystes mammaires bénins bilatéraux • Surinfection actuelle sous surveillance (prochaine mammographie en juin 2019) Adénocarcinome pulmonaire non à petites cellules du lobe supérieur droit, classé pT2a pN1 (1/7) M0 G2 R0 en 2009, traité par chirurgie et chimiothérapie adjuvante. Pas d'évidence de récidive (décembre 2018) Adénocarcinome mucineux du segment apical du lobe inférieur droit classé pT1a pN0 (0/2) M0 G2 R0 en 2013, traité par chirurgie. En rémission complète (dernier contrôle en décembre 2018) Ancien tabagisme à 25 UPA (stoppé en 2009) BPCO Kystes mammaires bénins bilatéraux. • Surinfection actuelle sous surveillance (prochaine mammographie en juin 2019). Adénocarcinome pulmonaire non à petites cellules du lobe supérieur droit, classé pT2a pN1 (1/7) M0 G2 R0 en 2009, traité par chirurgie et chimiothérapie adjuvante. Pas d'évidence de récidive (décembre 2018). Adénocarcinome mucineux du segment apical du lobe inférieur droit classé pT1a pN0 (0/2) M0 G2 R0 en 2013, traité par chirurgie. En rémission complète (dernier contrôle en décembre 2018). Ancien tabagisme à 25 UPA (stoppé en 2009). BPCO Kystes mammaires bilatéraux opérés 2004-2006 Cancer de l'endomètre 2006 Césarienne en 2004 et 2006 Adénome thyroïdien microfolliculaire du lobe droit • Thyroïdectomie totale droite et isthmectomie le 10.01.2018 Kystes ovariens récurrents. Endométriose. Céphalées dans le contexte d'une migraine chronique. Kystes rénaux prédominants à D de découverte fortuite Kystes rénaux prédominants à D de découverte fortuite le 22.04.2019 • dont un volumineux kyste mesuré à 85 mm à droite L'ECG ne montre pas d'anomalie et le laboratoire est dans la norme. Nous augmentons son traitement d'un comprimé d'Amolodipine 5 mg le soir. Un rendez-vous chez son médecin traitant a été planifié pour mardi. La brûlure au moment de la consultation est superficielle. Nous mettons en place du Bepanthène. Au vu de l'évolution possible de la brûlure, un contrôle à la filière des urgences ambulatoires à 24h est indiqué. La clinique (amygdales hypertrophiées, adénopathies sous angulo-mandibulaires et cervicales, pointe de rate palpable) et le bilan sanguin avec des lymphocytes stimulés et une petite touche hépatique laissent fortement suspecter une mononucléose infectieuse. Les sérologies sont en cours. Nous recommandons à la patiente de ne pas faire de sport et préconisons du repos et un traitement antalgique. Contrôle clinique chez le pédiatre en fin de semaine. Si péjoration, consulter avant. La clinique, de même que les examens paracliniques, sont compatibles avec une sarcoïdose. On retrouve une atteinte cutanée et articulaire mais aussi pulmonaire avec, au CT, la présence d'adénopathies médiastinales associées à des infiltrats micronodulaires et en verre dépoli. Nous complétons le bilan avec des fonctions pulmonaires qui s'avèrent normales. Au vu de l'absence de symptôme respiratoire, nos collègues pneumologues ne préconisent pas de traitement spécifique mais répéteront les fonctions pulmonaires d'ici 3 mois. Dans le cadre des investigations de la dyspnée, au vu d'un nt-BNP légèrement élevé, nous complétons par un bilan cardiaque, qui s'avère dans la norme, avec un ECG ne montrant pas de bloc de conduction et une ETT normale, notamment sans signe d'HTAP. Nous redoserons le nt-BNP à distance. Nous réalisons un ultrason polyarticulaire confirmant de multiples synovites, ainsi que des bursites des deux épaules et des épanchements articulaires des deux genoux, l'étendue des atteintes parlant plutôt pour une origine inflammatoire. Les radiographies des mains et des pieds ne montrent pas d'érosion, mais une importante arthrose. Nous instaurons un traitement anti-inflammatoire d'Arcoxia qui s'avère partiellement efficace, motivant son remplacement par du Celebrex. Cependant, au vu d'une perturbation aiguë des paramètres hépatiques, ce dernier est arrêté avec une bonne évolution des transaminases et des enzymes de cholestase. Un relais est pris par colchicine 1 mg/j, avec bon effet sur le syndrome inflammatoire et les lésions cutanées. La douleur n'étant pas soulagée par ce dernier, un traitement de Novalgine est instauré. Nous souhaitons, dans la mesure du possible, éviter une corticothérapie, cette dernière pouvant être à l'origine d'une chronicisation de la maladie, par entrave à l'élimination physiologique des granulomes. Compte tenu d'une possible composante arthrosique, nous prescrivons du Condrosulf pour 3 mois et de la physiothérapie. Une infection urinaire basse avec microhématurie est traitée par Furadantine pour 1 semaine. Un bilan ophtalmologique est prévu le 02.04.2019. Au vu du traitement combiné de Novalgine et Colchicine, nous vous serions reconnaissantes de réaliser dans une semaine une formule sanguine complète. Pour notre part, nous reverrons la patiente le 17.04.2019 pour un suivi clinique et biologique. La clinique est pour moi hautement suggestive d'une atteinte du sus-épineux, voire conflit sous-acromial. Je vais bilanter la situation par une arthro-IRM le 5.4.2019. En ce qui concerne la suspicion de syndrome du tunnel carpien, j'organise un examen neurologique le 12.4.2019. Je reverrai le patient à la suite de ces 2 examens le 2.5.2019 pour discuter des options thérapeutiques. Poursuite d'une incapacité de travail à 50%. La clinique est rassurante, nous ne visualisons pas d'arthrose avancée. Nous proposons à la patiente des séances de physiothérapie à but de tonification musculaire, massage et des exercices de proprioception et de renforcement musculaire. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'office, mais restons à disposition en cas de besoin. La clinique que présente Mme. Y est proche de la norme lors de la consultation. Malgré tout, au vu de la symptomatologie décrite par les parents et des antécédents de rupture de kyste chez la maman, nous proposons un ultrason dans les heures ouvrables le 06.04.19. Ainsi, elle se présentera aux URG le 06.04.19 à 10h pour un contrôle clinique et un US abdominal. La culture du 31.03 est négative (10^2) --> stop antibiotiques. Nous proposons de garder le RDV pour l'US des voies urinaires dans 3 semaines (car ATCD de choc septique sur IUH à 6 mois de vie). La dernière infiltration a partiellement amélioré les douleurs. Nous décidons donc d'en refaire une nouvelle. Prescription de physiothérapie et d'iontophorèse. Nous la reverrons suite à l'infiltration. La dernière radiographie effectuée à 5 semaines du traumatisme montre qu'il n'y a pas de déplacement de la fracture du coronoïde, par contre guérison de la fracture au niveau de la tête radiale. La dernière radiographie montre une bonne guérison de la fracture. La fracture est guérie. La mobilité est encore réduite. Poursuite de l'ergothérapie et de la physiothérapie afin d'améliorer cette situation avec des attelles en extension en 8 pour regagner surtout l'extension du doigt. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. La fracture initiale sort dans la grande tubérosité, laissant la partie antérieure jointe à la tête et à la petite tubérosité. Je souhaiterais avoir des informations sur l'état du sus-épineux et du LCB. Il faut également exclure une nécrose de la tête et confirmer la consolidation osseuse. Pour cette raison, j'organise un CT et une IRM de l'épaule. Je reverrai la patiente pour discussion de la suite de la prise en charge.La fracture s'est déplacée par rapport au dernier contrôle mais il y a maintenant la présence d'un cal osseux visible, qui nous donne de bonnes raisons de penser que maintenant la fracture ne se déplacera plus. Pas d'immobilisation mais pour l'instant pas de reprise du rugby. Nous reverrons le patient dans 3 semaines pour évaluer la reprise du rugby avec un contrôle radioclinique. Il faudra prévoir une radiographie de contrôle à 1 an du traumatisme pour s'assurer de l'absence de trouble de croissance, notamment l'absence d'une hémi épiphysiodèse. La fracture susmentionnée permet un traitement conservateur par un plâtre BAB pendant 4 semaines au total, c'est-à-dire encore pour 3 semaines. Prochain contrôle radioclinique hors plâtre dans 3 semaines à la consultation de la Dresse X. La gêne sur la face interne peut être mise en relation avec le matériel d'OS. Mme. Y et sa maman qui l'accompagne souhaitent une AMO. La hanche G reste encore luxée. La prochaine étape est une arthrographie en narcose et très probablement une réduction ouverte de la hanche G. Les parents de Mme. Y vont être contactés par l'hôpital de l'Ile à Berne pour fixer un rendez-vous à la consultation en vue de l'opération en ma présence. La hernie discale L5-S1 est actuellement asymptomatique, raison pour laquelle nous ne proposons pas de traitement spécifique. Par contre, les douleurs du côté D sont à notre avis dues à un syndrome sacro-iliaque D. Nous lui conseillons donc une prise en charge chiropractique de 3 mois puis nous le reverrons pour refaire le point. En cas d'absence d'amélioration, nous pourrons alors envisager une infiltration sacro-iliaque D. Nous expliquons bien à la patiente les symptômes auxquels être attentive dans le contexte de la hernie discale et de se présenter aux urgences si elle devait les rencontrer. La lésion susmentionnée peut être traitée conservativement, ce qui est également le souhait du patient. Mise en place d'une attelle thermoformée en ergothérapie type Edimbourg D3 à D5 pour les 5 prochaines semaines. Nous le reverrons pour un contrôle radioclinique dans 1 semaine pour exclure un déplacement secondaire. Arrêt de travail à 90% sous condition qu'il ne charge pas la main G. La localisation de la lésion ainsi que l'anamnèse de la plaie au niveau de l'olécrane font penser à une boursite septique. Le statut local est plutôt évocateur d'une lésion cutanée avec un début de surinfection. Un bilan biologique ne montre aucun syndrome inflammatoire. La radiographie est sans particularité. Après avoir demandé l'avis du Dr. X, orthopédiste, nous décidons d'inciser la lésion, avec extériorisation d'une collection pâteuse blanche. La plaie est laissée ouverte et le bras immobilisé dans une bretelle. La patiente sera revue dans 2 jours en policlinique d'orthopédie pour le contrôle de la plaie. Un arrêt de travail de 2 jours est délivré. La longue anamnèse, avec la nouvelle traumatisation du coude, me fait clairement penser à une ostéochondrite disséquante du passé, qui a mené à une irrégularité au niveau du capitellum, expliquant les blocages par intermittence du coude. Je n'ai par contre pas d'élément qui parle en faveur d'une chirurgie, notamment pas de signe de corps articulaire libre. Je déconseille un traitement chirurgical à ce stade. Je vais garder un œil sur la situation, un prochain contrôle est programmé dans 2 mois, afin de discuter les options thérapeutiques. Prochain rendez-vous le 03.07.2119. La maman dit que Mme. Y mange de tout et avec bon appétit donc la partie métabolique n'est pas un souci. Nous décidons de continuer la mobilisation à sec et en piscine, nous centrons le traitement physiothérapeutique sur un développement de la masse musculaire et en même temps sur une rééducation à la marche en charge totale sans aide. Vu l'ostéopénie importante, nous avons prévu un prochain contrôle à 6 mois de la fracture. Nous poursuivons la physiothérapie en piscine et à sec. Affaire à suivre. La maman nous montre des vidéos d'hier et ce matin où effectivement Mme. Y a une boiterie du côté droit, nous n'objectivons pas de boiterie lors de l'examen et les hanches sont calmes et indolores au testing, raison pour laquelle nous ne réalisons pas de bilan complémentaire pour l'instant et proposons un suivi clinique demain. La maman va continuer les massages du côté interne et sur le bord externe. Nous allons attendre que la patiente se mette debout pour mettre les chaussures à l'envers. Elle sera revue le 19.06.2019 chez la Dresse X. La mère évoque une suspicion d'intolérance aux protéines bovines car sa sœur aînée a présenté cela à son âge avec initialement des selles défaites puis des filaments de sang. Conseils de garder à l'œil et d'en parler à la pédiatre au besoin. La mère nous demande à plusieurs reprises la réalisation d'un frottis de gorge. Nous expliquons qu'au décours d'une varicelle, avec présence de toux et absence d'adénopathie cervicale, d'autant plus avec un âge de 3 ans et sans contact clair avec streptocoque, le risque d'une angine à SBEGA est vraiment bas. Même si le frottis devait être positif, Mr. Y est déjà sous antibiotiques. Nous expliquons que si la fièvre est d'origine virale, elle ne va pas répondre à l'antibiotique. L'évolution de l'otite est excellente. La nature est en train de régler le problème de la patiente. Je ne retiens aucune indication pour une ablation de l'ongle ou autre. Normalement, l'ongle devrait repousser spontanément. J'essaie de rassurer la patiente ce qui me semble légèrement difficile. Finalement, elle accepte mes explications. Je me tiens à disposition en cas de mauvaise évolution d'ici 3 mois. La patiente est admise de manière élective le 25.03.2019. La patiente ne présente pas de plainte à l'entrée. Son traitement d'insuline est baissé de 15 Ui de Tresiba à 8 Ui de Tresiba en raison du protocole de jeûne prévu avant la colonoscopie. Au vu des glycémies basses le jour de la colonoscopie, une perfusion de glucose 5% est démarrée. La colonoscopie se passe sans complication et quelques polypes sont excisés. Pas de signes inflammatoires ou de masse visualisés. La patiente rentre à domicile le même jour dans un bon état général. La patiente refusant catégoriquement la prise de sang, nous réalisons un prélèvement capillaire, mettant en évidence un syndrome inflammatoire. Les douleurs étant bien contrôlées, le patient est autorisé à rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Il sera revu à la filière des urgences ambulatoires le 15.04.2019 à jeun pour un contrôle échographique. La patiente a bénéficié de l'ostéosynthèse suscitée en décembre 2017, avec bonne guérison osseuse acquise mais des douleurs résiduelles lors de la marche. L'indication à une ablation du matériel d'ostéosynthèse est retenue, intervention qui se déroule sans complication le 17.04.2019. Les suites opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie et retour à la marche en charge selon douleurs sous protection de cannes anglaises. Devant la bonne évolution clinique, la patiente retourne à domicile le 19.04.2019. La patiente a bénéficié d'une évaluation auprès de l'oncologue qui a mis en évidence des lésions métastatiques osseuses liées au cancer du sein déjà connu par la patiente, nous n'avons aucun document en notre possession mais une fois que nous le recevrons, nous pourrons éventuellement nous exprimer en ce qui concerne la nécessité d'organiser un bilan spécifique de la colonne.Pas de prochain contrôle prévu en raison de la bonne amélioration clinique mais nous restons à disposition. Ajout du 16.05.2019 par le Dr. X : Ce jour, j'ai la possibilité d'avoir un rdv téléphonique avec Dr. X, l'oncologue de Mme. Y. Ce dernier nous informe avoir revu la patiente durant le mois d'avril. Le Dr. X nous mentionne que le dernier PET-CT a été réalisé en septembre et ne mettait pas en évidence une réactivation de la maladie concernant le carcinome mammaire pour lequel la patiente était déjà connue et le bilan de base du mois d'avril n'a pas mis en évidence de récidive non plus. Au vu de la présence de cette fracture-tassement de D6, pour laquelle nous suspectons une composante ostéopénique voire ostéoporotique, le Dr. X nous informe être d'accord avec notre avis mais envisagerait quand même une IRM dorsale avec produit de contraste pour exclure une éventuelle métastase au vu de l'absence d'une imagerie spécifique durant ces 8 derniers mois. Nous prenons donc contact ce jour avec la patiente et lui proposons d'organiser une IRM et de la revoir à notre consultation pour discuter des résultats de cet examen. L'oncologue était également d'accord de revoir la patiente pour un contrôle anticipé avant le mois de décembre. La patiente est bien informée de la situation ainsi que des risques éventuels d'une lésion secondaire méconnue liée à sa maladie de base, refuse cette IRM en nous rapportant que les douleurs au niveau dorsal ont complètement disparu. Elle n'est pas gênée par d'autre symptôme et ne souhaite pas faire d'examen complémentaire. Nous restons donc à disposition en cas d'aggravation des douleurs mais ne prévoyons pas de prochain contrôle. La patiente a déjà eu le traitement conservateur ainsi que de la physiothérapie sans effet positif. Je propose une prise en charge chirurgicale avec arthroscopie de l'épaule, éventuelle ténodèse du LCB si le tendon devait avoir d'importants dégâts, bursectomie et résection AC arthroscopique. Le formulaire d'informations et de consentement a été rempli en ce sens. La patiente a des douleurs invalidantes diurnes et nocturnes et souhaite une prise en charge chirurgicale. Je remplis avec elle le formulaire d'informations et de consentement en vue de la mise en place d'une prothèse totale d'épaule à G. Je prévois une prothèse Affinis Short avec en réserver une prothèse anatomique. Une date opératoire a été agendée. La patiente a des douleurs palmaires sur un kyste synovial. Nous mettons en place une immobilisation antalgique et un traitement par AINS. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour une consultation avec une programmation d'un ultrason en cas de non amélioration. La patiente a été mise sous antibiothérapie pour une infection respiratoire il y a 24h par son médecin traitant. Elle est apyrétique depuis. Le délai étant trop court pour évaluer l'évolution, nous poursuivons le traitement instauré par le médecin traitant. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle en cas de non amélioration dans les 48h. La patiente a été vue par de multiples spécialistes pour une symptomatologie encore peu claire. Afin de rendre la prise en charge plus cohérente, nous relirons le dossier, ce qui va prendre du temps, pour essayer de trouver une solution. Pour l'heure, nous la reconvoquerons avec un nouveau bilan radiologique (dernières rx en 2018) à la recherche de nouvelles anomalies. Selon les constatations, nous compléterons les investigations par une IRM et/ou proposerons de nouvelles thérapies après discussion avec le Dr. X. La patiente a été vue par le chirurgien de garde, le Dr. X qui propose un pansement par Ialugen crème et pansement standard. Elle reconsultera demain à jeun à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique éventuellement une prise en charge chirurgicale au bloc opératoire pour un débridement versus une greffe. Il reste à discuter d'une éventuelle prise en charge par l'orthopédiste pour pieds à risque. La patiente a eu une première luxation de la rotule avec réduction spontanée. A 1 mois de l'accident, il y a, à l'IRM, un signe de Bone bruise avec un étirement du MPFL. De plus, elle a eu une contusion au niveau du plateau tibial avec le signe de Bone bruise. Dans le cadre d'une première luxation avec une légère dysplasie trochléenne, la patiente doit commencer un traitement conservateur avec physiothérapie pour stabiliser la rotule et renforcement musculaire. Elle peut marcher en charge complète et sans canne. Concernant le sport, elle peut faire uniquement des mouvements dans l'axe et éviter les stress de pivot. Prochain contrôle clinique à fin juillet. La patiente a fait une crise pendant son séjour aux urgences d'allure non tonico-clonique. Elle était clonique asymétrique sans perte de connaissance, sans morsure de langue, sans perte d'urine ou de selle. La crise a cédé après l'administration de Rivotril 1 mg iv. Nous proposons à la patiente de reprendre contact avec son neurologue devant la majoration des épisodes, elle a déjà eu 3 épisodes cette année alors qu'elle en fait 2-3 par année habituellement. A noter que la patiente a déjà eu de multiples investigations dont une IRM, un CT et un EEG, tous sans particularité. La patiente a fait une radiographie sur demande de son médecin traitant qui montre une fracture de l'extrémité distale du radius gauche non déplacée. Nous mettons en place un plâtre antébrachial fendu avec une radiographie de contrôle post-plâtre qui ne montre pas de déplacement. La radiographie du poignet et de la main droite ne montre pas de fracture, mais nous ne pouvons pas exclure un arrachement. Vu que la patiente porte déjà un plâtre à gauche, après avis de la Dresse X qui voit la patiente, une attelle est mise en place à droite. Un contrôle en policlinique d'orthopédie sera effectué à 7 jours et en cas de persistance des douleurs un CT-scan sera à organiser. Pour la suite, la patiente souhaite un suivi chez le Dr. X, orthopédiste, car elle a déjà un rendez-vous en fin avril chez lui. L'aide-familiale sur demande de la patiente a été organisée. La patiente quitte les urgences avec antalgie. La patiente a signé le formulaire de consentement éclairé. L'intervention sera faite en ambulatoire. La patiente a une plaie infracentimétrique de l'arcade sourcilière droite que nous suturons par 1 point au Vicryl 5-0. Les consignes post-traumatisme crânien sont données aux parents. Le tétanos est à jour. La patiente avait consulté les urgences le 09.04.2019 pour une pyélonéphrite droite. La patiente avait reçu 2g iv de Rocéphine aux urgences et poursuivra per os avec de la Ciproxine jusqu'au 16.04.2019. Elle a été convoquée pour un contrôle clinique et du traitement pour pyélonéphrite. La patiente m'a dit n'avoir plus de fièvre et dit que les douleurs ont bien diminué (le 09.04.2019, les douleurs étaient à 8/10, aujourd'hui à 1/10). Elle n'a pas eu de symptôme urinaire. Au status, nous retrouvons un abdomen souple et dépressible sans défense ni détente, la patiente a de légères douleurs au flanc droit irradiant dans la région inguinale. Nous retrouvons aussi une légère sensibilité à la percussion de la loge rénale droite. Nous avons contrôlé les résultats de l'urotube. Le germe est sensible à la Ciprofloxacine et donc nous disons à la patiente de poursuivre le traitement jusqu'au 16.04.2019. Nous avons aussi fait une prise de sang de contrôle qui a montré une bonne diminution de la leucocytose. Nous avons conseillé à la patiente de poursuivre le traitement et de prendre un rendez-vous de contrôle avec le médecin traitant après la fin de l'antibiotique. Malheureusement, la patiente était fâchée en raison de la longue attente avant d'être examinée et elle est sortie de l'hôpital sans attendre les résultats sanguins.La patiente avait rapporté avoir ressenti un bénéfice du traitement par infiltration, la dernière ayant été réalisée en février 2019. Au vu de l'imagerie, une prise en charge chirurgicale pourrait certes être indiquée mais la symptomatologie de la patiente se rapporte principalement sur des paresthésies, sans déficit sensitivo-moteur et principalement en regard des territoires L5 et S1 G. Elle rapporte être surtout incommodée par la sensation de pied froid et les fourmillements. Dans ce contexte, nous introduisons un traitement par Lyrica dès ce jour, puis en parallèle, organisons une infiltration extra-foraminale L5-S1 G. La patiente ayant été satisfaite du résultat de l'infiltration et l'origine des douleurs ayant été localisée, nous proposons comme discuté lors de la dernière consultation un traitement plus durable par 3 injections de Curavisc au niveau Cx1-Cx2 que la patiente accepte. Ce geste est donc organisé avec les radiologiques sous CT à raison de 0.5 cc de Curavisc injectée sous CT toutes les deux semaines. Nous reverrons Mme. Y quelques semaines après ce geste. La patiente bénéficie de l'intervention susmentionnée et reste hospitalisée pour surveillance. Les suites sont simples et sans complication. Absence de déficit des nerfs facial et spinal accessoire est mise en évidence. Après un test de la déglutition en post-opératoire qui est sans particularité, ablation de la sonde nasogastrique le 03.04 avec une alimentation mixée lisse dans un premier temps. La patiente bénéficie pour la première semaine d'une immobilisation en décharge par une attelle jambière postérieure. Elle est ensuite revue en policlinique d'orthopédie ce jour le 03.04.2019 à une semaine du traumatisme. Face à ce début d'évolution rassurant, nous concluons à la fin de traitement en policlinique d'orthopédie, sachant que la patiente a reçu instruction de porter une attelle Aircast sport pour une durée supplémentaire de cinq semaines avant d'effectuer un contrôle clinique chez son pédiatre. La patiente chute accidentellement de sa hauteur et se réceptionne sur la main gauche. Le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire, intervention qui se déroule sans complication le 18.04.2019. A noter l'absence de déficit neuro-vasculaire en pré-opératoire. Les suites post-opératoires sont simples, avec bon contrôle de l'antalgie. Il n'y a pas de déficit neuro-vasculaire et les plaies chirurgicales sont calmes, le contrôle biologique montre une hémoglobine à 136 g/l. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et, vu la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 20.04.2019. La patiente continuera l'ergothérapie, elle devra abandonner l'attelle poignet. Elle prendra contact dans notre service en cas de besoin. Pour nous, le traitement prend fin ce jour le 10.04.2019. La patiente de 54 ans qui est connue pour troubles anxio-dépressifs, constipation chronique, porteuse d'une cystofix à demeure, adressée par son MT pour perfusion de Rocéphine IV 2g pour infection urinaire sur cystofix (traitement depuis le 11/4). Se plaint de constipation bien qu'elle ait eu des selles la veille en petite quantité. Nous lui indiquons un contrôle chez son MT si pas d'amélioration. La patiente décrit ces douleurs comme étant supportables. Elle rapporte par ailleurs trouver des stratégies satisfaisantes pour les gérer. Elle ne ressent pour le moment pas le besoin de refaire une infiltration. Nous prescrivons une nouvelle série de séances de physiothérapie pour antalgie et stratégie posturale. Une ordonnance d'antalgie palier I dont AINS topiques est prescrite, la patiente étant connue pour une gastrique chronique traitée par IPP. Pas de prochain contrôle prévu d'emblée mais nous lui rappelons que nous sommes à disposition en cas de recrudescence des symptômes. La patiente demande l'ablation de la partie proximale de cette plaque. Pour ma part, à 6 mois de recul, il est encore trop tôt. On organise un CT-scanner avec reconstruction multi-planaire au mois de juillet, puis consultation et décision si l'on enlève la bourse trochantérienne, ainsi que la partie proximale de la plaque modulaire. CT-scanner et contrôle le 02.07.2019 avec discussion si l'on peut enlever la plaque et faire une bursectomie en décubitus latéral. Si l'on fait ce geste, la patiente aura durant 1 semaine à 10 jours des béquilles à titre antalgique. Entre-temps, la patiente va continuer la physiothérapie à son niveau et je lui conseille également de faire des exercices isométriques pour le quadriceps et les abducteurs ce qui gênera moins le grand trochanter. La patiente doit continuer à suivre l'ergothérapie pour les douleurs au niveau du nerf superficiel péronier. Pas de contrôle prévu, nous restons à disposition. La patiente est actuellement peu handicapée par sa coxarthrose et préfère attendre avant d'envisager une intervention. Nous la rassurons en lui expliquant que l'intervention ne présente aucune urgence, qu'elle peut le faire lorsqu'elle le souhaite, quand les douleurs et l'atteinte fonctionnelle seront devenues intolérables. La patiente comprend nos explications et reprendra contact en cas de besoin. Dans l'intervalle, nous l'autorisons à effectuer de nouvelles infiltrations de la hanche mais l'avertissons que toute infiltration décale une éventuelle prise en charge chirurgicale d'un délai de 6 mois. La patiente est attendue le 11.04.2019 à 13h30 en neurologie (étage L) de l'Inselspital de Berne pour la suite de prise en charge. La patiente est demandeuse de répéter l'infiltration pour l'augmentation graduelle des gênes. Elle a peur de ne pas réussir à fixer un rendez-vous pour cette infiltration dès que les douleurs seront assez importantes, nous fixons donc un rendez-vous pour une infiltration dans 1 mois et elle l'annulera en cas de diminution des gênes. À ce moment-là, il faudra également refaire une radiographie face/neer de l'épaule G. La patiente est demandeuse d'une reprise de son activité sportive, soit le foot. Nous lui rappelons que la cheville présente encore une certaine raideur et qu'au vu des douleurs, une reprise du sport pourrait provoquer de plus graves lésions. Pour la marche vicieuse, nous l'encourageons à marcher avec des cannes pour mieux dérouler le pas au lieu de l'Aircast. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. La patiente est encore à l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 11.04.2019. Nous lui proposons de débuter un traitement de physiothérapie dès le 12.04.2019. Sur le plan professionnel, une reprise à 50% serait raisonnable dans un premier temps pour 3 semaines, avant une reprise à 100%. Mme. Y va discuter avec son employeur et nous rappellera pour nous confirmer la possibilité d'une reprise à temps partiel. Si cela n'est pas possible, l'état général actuel ne contre-indique pas une reprise à 100% si elle peut être aidée par ses collègues les premières semaines (patiente travaillant avec des patients âgés, non autonomes). Prochain contrôle dans 3 mois. La patiente est évaluée par la psychiatre de liaison qui lui propose une hospitalisation à Marsens. La patiente ne se sent actuellement pas prête pour une hospitalisation et désire plutôt un suivi en ambulatoire. Dans ce contexte, la psychiatre convient d'une hospitalisation facilitée en cas de nécessité et lui donne le numéro d'urgence en cas de besoin. Nous effectuons par ailleurs un pacte avec la patiente, qui promet de reconsulter en cas de détresse. La patiente est gênée par une masse ovarienne qui lui fait mal, provoquant des troubles du transit et une baisse de l'appétit. Dans ce contexte, nous évoquons l'intérêt d'une éventuelle résection chirurgicale dans le but de soulager la patiente. Nous prenons dans un premier temps contact avec son représentant thérapeutique, qui souhaite une intervention si celle-ci peut la soulager. La patiente est attendue le 08.04 à 10h à la consultation gynécologique de l'HFR Fribourg pour une consultation en vue d'une potentielle prise en charge chirurgicale.La patiente est hospitalisée devant son aphagie avec mise en place d'un traitement par Solumédrol 125 mg et Clindamycine afin de couvrir une éventuelle surinfection bactérienne. La ponction de l'amygdale droite permet d'exclure un abcès intra-amygdalien. Du Tavegyl est introduit en raison de la réaction cutanée. Le 16.04.2019, la patiente bénéficie d'une amygdalectomie à visée désobstructive devant l'apparition d'une dyspnée haute contemporaine d'une péjoration de l'hypertrophie amygdalienne. Du point de vue chirurgical, les suites sont simples mais l'antalgie nécessite toutefois un pallier 3 par Oxynorm/Oxycontin. Le rash cutané se péjore le 18.04 avec apparition de lésions purpuriques prédominantes au tronc et aux membres, mises sur le compte de l'antibiothérapie initiale par Augmentin et traitées par traitements topiques, chez une patiente restant stable. Une cause allergique est peu probable. La Clindamycine est stoppée vu l'absence de syndrome inflammatoire significatif, ainsi que le Solumedrol et le Tavegyl après avis dermatologique. Les lésions sont en amélioration progressive à la sortie. En cas de persistance des lésions cutanées, un nouveau consilium dermatologique sera demandé. Dans le contexte de la mononucléose, on note une altération des tests hépatiques motivant l'arrêt du Dafalgan, avec résolution progressive par la suite. La patiente rentre à domicile le 21.04.2019. Elle sera suivie en Policlinique ORL par la suite. La patiente est hospitalisée pour traitement conservateur de sa cellulite préseptale à point de départ d'une conjonctivite bactérienne bilatérale. Les hémocultures sont positives pour des streptocoques pyogenes sensibles à la Co-Amoxicilline. L'évolution clinique est favorable sous un traitement de Co-Amoxicilline avec diminution de l'érythème et de l'oedème périorbitaire bilatéral et baisse du syndrome inflammatoire. Le status ophtalmologique est dans les limites de la norme et les troubles électrolytiques sont compensés. La patiente rentre à domicile le 24.04.2019. La patiente est hospitalisée pour une dyspnée d'effort en péjoration sur les dernières semaines. Au service des urgences, Mme Y est tachypnéique, hypertendue et désaturée à l'air ambiant. Le status montre des râles crépitants fins aux deux bases pulmonaires. Le bilan radio-biologique montre des signes de décompensation cardiaque. L'interrogation du pacemaker ne montre pas de trouble du rythme. Une échocardiographie montre une bonne fonction cardiaque. Nous retenons une décompensation cardiaque à prédominance gauche sur une hypertension artérielle mal contrôlée. La patiente est connue pour une tension artérielle labile et aurait déjà eu un Remler. Nous adaptons à plusieurs reprises le traitement antihypertenseur avec une amélioration du profil tensionnel. Mme Y montre une bonne évolution clinique. Nous proposons à la patiente de suivre la tension artérielle à domicile et, si nécessaire, adapter les traitements avec le médecin traitant. Au niveau urinaire, une infection urinaire simple est diagnostiquée. Une antibiothérapie par Nitrofurantoïne per os pendant une semaine est introduite avec une bonne évolution clinique. Mme Y rentre à domicile le 24.04.2019 avec des soins à domicile deux fois par semaine. La patiente est informée de l'effet des médicaments, elle sera revue en contrôle à 6 semaines. La patiente est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques per et post-opératoires, elle donne son accord écrit. La patiente est informée du déroulement de l'intervention, des bénéfices et des risques pour lesquels elle signe le consentement éclairé. L'intervention consistera en une luxation chirurgicale avec correction d'offset et ostéotomie de dérotation fémorale. La patiente nous informe que sa sœur, qui fait des études de médecine à Bern, souhaiterait assister à l'intervention. Après accord du Dr X, la sœur de la patiente sera autorisée à participer à l'opération. La patiente est principalement gênée par des adhérences sous-deltoïdiennes et donc une raideur post-traumatique de l'épaule. Je l'encourage à faire ses exercices de physiothérapie elle-même et à continuer la physiothérapie sur une base régulière chez Physio Jungo à Bulle. Je lui explique clairement que le résultat final sera également lié à ses efforts pour rattraper les amplitudes articulaires. Un prochain contrôle est prévu chez moi dans 2 mois, le 24.06.2019. La patiente est rassurante d'un point de vue neurologique, avec une bonne cicatrisation de la plaie. Nous enlevons le fil. Il n'y a pas de nécessité de contrôle à distance. La patiente est satisfaite de l'évolution et ne souhaite pas de physiothérapie pour les raideurs arthrosiques aggravées par l'immobilisation de son pouce. Elle est contente d'avoir pu reprendre l'ensemble de ses activités et souhaite en rester là. Par conséquent, pas de nouveau contrôle mais nous restons à disposition. La patiente est suivie en ergothérapie. Prochain contrôle, avec ablation de l'attelle, à 6 semaines de la fracture, soit dans 4 semaines. La patiente est symptomatique depuis environ une année et en arrêt de travail à cause de ses plaintes au niveau de la main. Une infiltration serait faisable mais, vu la longue durée des symptômes, la patiente souhaite plutôt une prise en charge chirurgicale avec une solution définitive. Nous lui proposons une cure chirurgicale de ces doigts à ressaut. Opération en ambulatoire avec un arrêt de travail à prévoir pour environ 4 semaines. En post-opératoire, sans charge durant 3 semaines. La patiente est informée des risques et bénéfices de l'intervention ; elle signe le consentement éclairé. La patiente est totalement asymptomatique ce jour. Ablation du plâtre. Reprise des activités habituelles. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. La patiente est très contente du résultat. Vu l'absence de gêne avec le matériel d'ostéosynthèse, elle ne souhaite pas d'AMO. Je suis tout à fait d'accord avec cette attitude. Fin du traitement. Je me tiens toutefois à disposition. La patiente et son mari souhaitent que la suite de la prise en charge soit faite à Morat car il leur est difficile de se déplacer à Fribourg. Pour cette raison, prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines à la permanence de Morat. La patiente étant connue pour anorexie mentale avec crise boulimique, nous interprétons la perte de connaissance comme probablement due à un déficit nutritif. Les électrolytes étant dans la norme, nous recommandons un dosage vitaminique et du fer au plus tôt. Devant un bon état général, un bilan biologique dans la norme et l'absence de déficit, nous laissons repartir à domicile la patiente, qui aurait rendez-vous chez le médecin traitant demain pour contrôle. La patiente étant totalement asymptomatique et stable hémodynamiquement, nous sollicitons un avis de la part du Dr X, chirurgien thoracique, qui ne préconise pas de drainage thoracique dans l'immédiat. La patiente, vivant à proximité d'un service d'urgence, avec son mari, nous la laissons rentrer à domicile, avec l'indication de se représenter aux urgences en cas d'apparition de nouveaux symptômes, plus particulièrement de dyspnée. Nous prévoyons un contrôle clinique à la consultation de chirurgie thoracique du Dr. X le 10.05.2019 à 9H00 à l'HFR Fribourg. • La patiente étant très algique et au vu du déplacement secondaire, je propose aux parents de procéder à un traitement chirurgical avec une réduction fermée et ostéosynthèse par embrochage rétrograde de l'humérus et par un clou Prévot. Le père a signé le consentement éclairé après lui avoir expliqué les risques et bénéfices. L'opération est prévue pour cet après-midi, après ma consultation. • La patiente évoquant une éventuelle contusion cervicale en 2008, suite à une chute, je souhaite investiguer une éventuelle dégénérescence cervicale consécutive. Une IRM cervicale est organisée. Je revois Mme. Y le 26.4.19 afin d'en discuter les résultats. • La patiente insiste sur des examens complémentaires, notamment un CT cérébral et une prise de sang. Au vu du statut clinique et de l'anamnèse des plaintes, nous ne voyons aucune indication d'effectuer des examens complémentaires. Elle refuse, entre autres, une consultation psychiatrique. À noter que Mme. Y n'a pas d'idées noires. Elle souhaite simplement une réassurance par un examen complémentaire. • La patiente mérite un avis par un chirurgien de la main pour discuter d'une arthroscopie avec traitement de la lésion luno-triquétrale ainsi que du TFCC. En même temps, il faudrait très probablement stabiliser le tendon ECU. Je préconise un avis auprès du Dr. X pour faire la part des choses. • Poursuite d'un arrêt de travail à 50% jusqu'au prochain rendez-vous. Je me tiens à disposition. • La patiente montre une bonne évolution par rapport à la situation méniscale. Par contre, elle a une forte sensibilité au niveau de la cicatrice avec une raideur musculaire, raison pour laquelle on lui prescrit de la physiothérapie pour désensibiliser la cicatrice et faire du stretching pour la chaîne postérieure, mobilisation libre selon symptôme. Elle doit éviter les sports à pivot pour encore 3 mois. Prochain contrôle au début juillet. • La patiente montre une légère surcharge du tendon quadricipital et une certaine raideur suite au traitement avec attelle. À ce moment-là, la patiente peut commencer à mobiliser librement avec physiothérapie surtout avec un traitement dans l'eau. La charge peut ainsi être complète selon douleur. Nous attendons l'amélioration de la mobilisation au prochain contrôle dans 6 semaines et une certaine amélioration de l'algie. Nous pourrons juger la situation clinique plutôt définitive dans les prochains mois. Le but du traitement conservateur est quand même la reprise du sport (ski). Cela sera jugé dans le futur. • La patiente n'a pas apporté ses images, nous avons uniquement la lettre de la radiologie qui décrit la lésion susmentionnée. • La patiente ne présente pas de véritable amélioration depuis la première consultation en octobre 2018 même avec des séances de physiothérapie et des exercices de façon autonome. Le bilan du jour montre qu'il s'agit plutôt d'une pathologie multi-étagée, raison pour laquelle nous la référons à notre collègue, le Dr. X pour un bilan plus élargi et évaluation d'une nécessité de EOS et de torsion des jambes. Nous reverrons la patiente après ce bilan et continuerons à la suivre dans le cadre de la médecine du sport. • La patiente ne veut pas se faire opérer ni infiltrer. Je préconise donc la poursuite de la physiothérapie. Prescription de physiothérapie avec des massages, mobilisation douce. Je prie le Dr. X à Billens d'organiser un suivi de rééducation approfondi à Billens, rendez-vous le 2.5.2019. Je vais suivre la patiente avec un prochain contrôle chez moi dans 6 semaines, le 19.6.2019. • La patiente ne veut plus attendre. • La patiente n'est que très peu gênée dans sa vie quotidienne par les douleurs et les paresthésies. Au vu de l'examen clinique rassurant de surcroît, nous proposons pour l'instant la poursuite du traitement conservateur avec poursuite de l'antalgie par Lyrica (prescrit par le médecin traitant) et physiothérapie avec TENS. En cas de douleurs insupportables, une infiltration sera à envisager. En cas d'échec de cette prise en charge également, une intervention chirurgicale par discectomie totale et mise en place de cages sera alors indiquée. Nous informons la patiente que cette prise en charge chirurgicale est toutefois à garder en dernier recours. Pour l'heure, nous prévoyons un nouveau contrôle clinique dans 6 semaines. • La patiente note une amélioration après inhalation, mais cliniquement il reste un tirage. Nous adressons la patiente aux urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge. • La patiente note une amélioration clinique après inhalation de Pulmicort. En raison de la saturation à 93%, ainsi que de la pO2 abaissée, nous pensons qu'une surveillance clinique au minimum est indiquée. La permanence fermant ses portes, elle est adressée aux urgences de Fribourg. • La patiente nous est adressée par le service de gynécologie pour une suspicion d'EP. La patiente décrit une discrète gêne respiratoire depuis quelques jours, pouvant apparaître au repos. Dans ce contexte, nos collègues effectuent des D-Dimères, qui sont positifs. Les bilans échographique et biologique ne parlent pas en faveur d'une EP. Cependant, les D-Dimères sont trop élevés pour être imputables à la grossesse. Après discussion avec la patiente, nous lui proposons un CT, qu'elle accepte en connaissance des risques. Le scanner permet d'exclure une EP, mais démontre des adénopathies aspécifiques, ne nécessitant pas de suivi si la patiente est asymptomatique. Au vu de sa bonne évolution, la patiente peut rentrer à domicile. • La patiente nous est renvoyée suite à la consultation ORL le 05.04.2019. Vu l'absence de point d'appel pour une origine périphérique, demande d'IRM cérébrale ambulatoire (Dr. X), avec discussion des résultats chez nous et suivi clinique. • La patiente nous informe avoir signé un document pour refus de tout acharnement thérapeutique. Elle rapporte d'ailleurs durant la consultation qu'elle refuse toute prise en charge chirurgicale. Au vu de ce fait, nous n'avons aucune proposition particulière à lui soumettre. Dans le cas où elle changerait d'avis, il serait nécessaire de faire hospitaliser la patiente à Fribourg pour réaliser un bilan correct (imagerie IRM et bilan neurologique dont ENMG). Étant donné la ferme opposition de Mme. Y à toute prise en charge chirurgicale, nous ne prévoyons pas de contrôle d'office. Poursuite du traitement instauré à Tavel. Nous restons à disposition au besoin. • La patiente nous recontacte pour la date opératoire. • La patiente nous recontacte pour un contrôle pour discuter d'une OP. • La patiente peut maintenant charger complètement et abandonner les béquilles dans les 2 prochaines semaines. Poursuite de la physiothérapie avec école de marche et renforcement musculaire avec le vélo, éventuellement faire des drainages lymphatiques. Je conseille de prendre les bas de contention en fonction de la réaction du mollet à G après thrombose. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. • La patiente peut rentrer à domicile avec une antalgie adaptée et un arrêt de travail jusqu'au 11.04.2019. • La patiente porte déjà une attelle aircast qu'elle gardera pour 3 semaines. Prescription de physiothérapie pour renforcement de la musculature, coordination et proprioception. Contrôle chez le médecin traitant. En cas de persistance de la symptomatologie, la patiente contactera le secrétariat du team pied pour fixer un rendez-vous. • La patiente pratique toujours le Nordic Walking et la marche et prévoit prochainement de faire un pèlerinage à Lourdes. Elle avait par ailleurs bénéficié d'un traitement par Apranax, qui la soulage grandement. Nous l'encourageons à maintenir ses activités physiques régulières et lui rappelons qu'elle présente une maladie dégénérative mais qu'au vu du statut clinique rassurant, il n'y a pas d'indication chirurgicale pour l'instant. En présence de sa fille, nous ne lui proposons pas de contrôle d'emblée mais restons à disposition au besoin.La patiente prendra prochainement RDV à la consultation du Dr. X et chez son gynécologue traitant. La patiente prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X dès la sortie. Contrôle de l'INR à votre consultation le 01.05.2019. La patiente prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour le 25 ou 26.04.2019. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour ablation des fils dès J10. Rendez-vous à la policlinique de proctologie le 17.05.2019 à 13h45. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle selon évolution. La patiente prendra rendez-vous pour contrôle à votre consultation le 16.04.2019. La patiente prendra elle-même rendez-vous en ophtalmologie à sa sortie. La patiente présentant les signes et symptômes très évocateurs d'une appendicite, mais l'absence de syndrome inflammatoire et l'ultrasonographie revenant négative, nous entreprenons un traitement symptomatique et prévoyons un suivi clinique et biologique pour le jour suivant. La patiente présente cette symptomatologie en très lente péjoration depuis 2014. Au vu des symptomatologies multiples et probablement liées, entre la cervicarthrose, le statut post tunnel carpien et l'irritation du nerf ulnaire, nous proposons un traitement par étape. En premier temps, séances de physiothérapie à visée antalgique avec stratégie posturale antalgique nocturne. Nous reverrons la patiente dans 3 mois pour contrôle clinique et en cas d'échec de ce traitement conservateur une transposition du nerf ulnaire au coude à gauche sera donc planifiée. La patiente présente de multiples petites gênes sans que je puisse proposer un geste chirurgical vu l'absence d'une gêne majeure. Je rassure la patiente. J'ai l'impression qu'elle est contente de mes explications. Je me tiens à disposition pour effectuer l'infiltration du premier compartiment des extenseurs, voire du pouce gauche. Pour le moment, je me tiens à disposition. La patiente présente des douleurs abdominales hautes, à type de poing, mais également de brûlures épigastriques. Le bilan biologique est rassurant. Nous effectuons une échographie ciblée aux urgences, qui ne montre pas de lithiase vésiculaire ou de cholécystite. Cependant, nous visualisons une structure hypo-échogène au niveau du hile hépatique, que nous ne parvenons pas à identifier. Dans ce contexte, nous demandons une échographie abdominale. En raison de l'attente pour l'examen le jour de sa consultation, nous décidons en accord avec la patiente et le radiologue d'effectuer l'examen en ambulatoire. La patiente présente des douleurs en regard du fascia plantaire qui laissent suspecter une fascéïte plantaire pour laquelle nous prescrivons des séances de stretching des chaînes postérieures. Par ailleurs, la patiente dit présenter des tensions lorsqu'elle reste debout trop longtemps ou lorsqu'elle essaie de courir. Nous pensons que ses douleurs pourraient provenir d'adhérences pour lesquelles nous prescrivons des séances de physiothérapie. Prescription également de bas de contention grade II. Pas de nouveau contrôle nécessaire, mais nous restons à disposition au besoin. La patiente présente des douleurs mécaniques à la mobilisation du genou. Elle va essayer de marcher avec des cannes et nous la reverrons en juin pour juger de l'évolution et prendre une décision sur la suite. La patiente présente des luxations récidivantes de la rotule droite qui est actuellement stabilisée et se recompense grâce à la physiothérapie. À notre avis, la patiente peut poursuivre le traitement conservateur avec la physiothérapie pour renforcement du vaste médial ainsi que l'école de posture. Elle peut pratiquer toutes les activités sportives qu'elle désire, mais doit éviter les exercices en chaîne ouverte avec extension du genou. Prochain contrôle clinique en septembre pour juger d'une éventuelle indication opératoire. La patiente présente des raideurs de sa cheville en raison d'un manque de physiothérapie en postopératoire. Nous l'encourageons donc à suivre les séances que nous lui avions prescrites et prévoyons de la revoir en fin d'été pour un nouveau contrôle radio-clinique. La patiente est autorisée à reprendre progressivement ses activités habituelles. Pour rappel, elle est mère au foyer et pratique la course à pied comme loisir. La patiente présente les raideurs attendues après 1.5 mois d'immobilisation. Ces raideurs sont accentuées par le fait qu'elle n'a pas bénéficié de séances de physiothérapie. La patiente présente des cicatrices croûteuses qu'il convient de surveiller dans un contexte de fracture-luxation. Nous lui recommandons de laisser les croûtes tomber d'elles-mêmes et de consulter en urgence en cas d'inflammation ou de déhiscence. La patiente ne présente pas de signe d'algoneurodystrophie, mais étant donné ces antécédents, nous lui recommandons de poursuivre la vitamine C en prophylactique à 500 mg/jour, jusqu'au prochain contrôle. Nous lui prescrivons donc un nouveau bon de physiothérapie à but de mobilisation de la cheville et prévoyons de la revoir à 3 mois pour un nouveau contrôle radioclinique à la consultation du Dr. X. La patiente présente par ailleurs un tableau d'infection virale depuis 10 jours. Elle décrit depuis une semaine une prédominance de la symptomatologie d'otite moyenne bilatérale, traitée par antibiothérapie par le médecin traitant. L'examen clinique est rassurant, mais nous lui proposons tout de même une consultation en ORL à distance pour la persistance de ces symptômes. La patiente présente très probablement une pathologie suffisamment rare consistant en un conflit sous-coracoïdien. Je préconise une infiltration sous-acromiale et sous-coracoïdienne pour calmer les douleurs de la patiente. En fonction du résultat de cette infiltration, on discutera une chirurgie. Cette infiltration aura lieu le 10.5.2019. La patiente présente un foyer d'ostéochondrite disséquante au niveau talo-naviculaire ddc. Les symptômes sont plutôt liés à l'articulation de la cheville. Pour bilanter les lésions, nous organisons une IRM des pieds et la reverrons par la suite. Lors du prochain contrôle, nous effectuerons également des radiographies des pieds et des genoux. La patiente présente une infection de toute la partie distale du pouce droit. Cliniquement et échographiquement, nous ne retrouvons pas de collection à inciser. Dans ce contexte, les orthopédistes décident de ne pas inciser et de recontrôler la patiente à 24h. La patiente présente un tableau pouvant faire suspecter une composante mixte vasculaire (sur éventuelle TVP des MI) et neurogène (sur éventuelle claudication sciatique ddc). Nous commençons par un bilan en urgence des vaisseaux profonds des MI aux urgences avec D-Dimères, Doppler et US. Par la suite, nous organiserons une ENMG ainsi qu'une IRM à la recherche d'une éventuelle compression sciatique au niveau sous-jacent encore libre (L5-S1). Prochain contrôle suite à ces examens. Dans l'intervalle, nous ne modifions pas la thérapie. En cas d'absence de cause vasculaire ou neurogène, il faudra interpréter ces douleurs comme dues au rebalancement de la colonne et recommander des séances de physiothérapie avec fitness ainsi que TENS à but antalgique. Lyrica déjà en cours.La patiente présente une arthrose avancée de toute l'articulation du Lisfranc ddc avec des pieds plats. Pour le moment, elle est satisfaite par ses semelles orthopédiques. Elle est en cours d'investigations rhumatologiques à Genève sur recommandations du Dr. X en raison d'une maladie osseuse avec polyarthralgies et tendance aux hématomes inexpliquée. Poursuite des semelles. Nous la reverrons pour un contrôle radioclinique avec incidence de Salzmann ddc dans 3 mois. La patiente présente une bonne amélioration clinique suite au Ventolin et à la défervescence avec une normalisation de la fréquence respiratoire, et une diminution des tirages. Nous réalisons une pesée-tétée qui montre la prise de 65 ml, nous rassurant et motivant le retour à domicile avec un contrôle chez le pédiatre le 01.05. La patiente présente une bonne évolution clinique de la brûlure. Nous refaisons le pansement et expliquons à la Mme. Y comment le refaire (avec de la Bépanthène) et la patiente sera vue jeudi en policlinique de chirurgie. La patiente présente une bonne évolution clinique et de laboratoire d'un syndrome inflammatoire dans le contexte d'une pharyngite et de douleurs abdominales d'origine indéterminée, probablement viscérales mais hors le cadre d'un abdomen aigu. Étant donné la bonne évolution clinique, les contrôles à la filière des urgences sont terminés. Nous conseillons une bonne hydratation et un contrôle chez le médecin traitant si besoin. La patiente présente une bonne évolution dans le cadre d'un reconditionnement du genou à 6 semaines du traumatisme. Au vu de l'âge de la patiente et de sa demande fonctionnelle assez élevée (la patiente pratique le volley et le ski) et qu'elle est mère de 2 petits enfants, l'attitude thérapeutique se dirige vers une reconstruction du LCA, selon son souhait également. Elle désire se faire opérer fin septembre. Par conséquent, on continue les séances de physiothérapie pour le renforcement musculaire et l'évaluation de la stabilité. On la reverra dans 6 semaines pour le prochain contrôle clinique. La patiente présente une claudication neurogène, probablement sur la sténose foraminale L4-L5. Nous n'avons pas en notre possession le rapport opératoire de l'intervention du Lindenhof, c'est pourquoi nous prions le médecin traitant de nous en envoyer une copie. Notre proposition thérapeutique serait éventuellement une infiltration à visée antalgique. Celle-ci ne réglerait toutefois pas le problème. Le traitement ultime serait une prise en charge chirurgicale avec foraminotomie L4-L5 par la D et foraminotomie L4-L5 G par cross-over, +/- flavectomie L3-L4 bilatérale. Nous ne proposerions pas d'implant étant donné la maladie de Parkinson de la patiente. Nous lui soumettons ces propositions thérapeutiques et lui laissons un temps de réflexion. Nous l'informons également que nous ne pouvons pas nous prononcer de manière définitive sur la prise en charge, sans le protocole opératoire. Nous ne prévoyons pas de rendez-vous d'emblée, mais restons à disposition. Dans l'intervalle, prescription de physiothérapie à but antalgique et hygiène posturale. La patiente présente une déformation en hallux valgus bilatéral, symptomatique avec des douleurs en regard de la zone d'appui. L'adaptation des chaussures n'a pas donné d'effet favorable, raison pour laquelle nous proposons à la patiente, en regard de l'absence de trouble arthrosique et une bonne réductibilité des 2 orteils, une cure en mini-invasif. À D, il existe déjà une métatarsalgie II et III en regard du transfert de charge. La patiente souhaite réfléchir encore et planifier l'intervention avec l'employeur. Elle va nous recontacter pour planifier l'intervention en automne 2019. Nous aimerions revoir la patiente environ 2 mois avant l'intervention pour faire le consentement éclairé. Comme on opère ddc, nous allons faire ça en hospitalisation. En postopératoire, elle pourra se mobiliser avec des Vacopedes et des cannes, avec une charge selon douleurs et un arrêt de travail de 6 à 8 semaines pour une activité debout devrait être envisagé. La patiente présente une entorse de stade III du ligament latéral externe de la cheville droite. Nous mettons en place une attelle jambière postérieure et lui administrons de la Clexane. La patiente sera vue à la consultation du Dr. X dans une semaine (si pas de place, contrôle à la policlinique d'orthopédie). La patiente présente une évolution clinique favorable, nous lui expliquons que les résultats de l'analyse du calcul ne seront disponibles que dans 1 semaine environ et que nous la recontacterons. Nous lui conseillons une bonne hydratation et un régime alimentaire équilibré. Suite chez le médecin traitant si nécessaire. La patiente présente une importante déhiscence de la cicatrice de la malléole interne D avec une probable ostéite associée. Nous décidons d'hospitaliser la patiente pour effectuer un lavage/débridement et mise en place d'un VAC. Nous essayerons, si possible, de ne pas retirer le matériel. Au niveau infectiologique, la patiente étant tout à fait stable et afébrile, nous n'initions aucune antibiothérapie. L'intervention est prévue le 30.04.2019. La radiographie du fémur prévue à 8 semaines pourra également se faire durant l'hospitalisation. La patiente présente une infection de toute la partie distale du pouce droit. Cliniquement et échographiquement, nous ne retrouvons pas de collection à inciser. Dans ce contexte, les orthopédistes décident de ne pas inciser et de recontrôler la patiente à 24h. La patiente présente une otite purulente à droite avec une perforation du tympan. Nous prenons l'avis du Dr. X. Nous lui prescrivons de la Co-Amoxicilline et une antalgie. La patiente sera vue par le Dr. X le 26.04. La patiente présente une raideur articulaire assez marquée suite à la stabilisation du ligament collatéral cubital. Il s'agit par contre d'un statut que j'observe souvent et qui ne m'inquiète pas. On va tout de même introduire un traitement de physiothérapie et d'ergothérapie intense pour récupérer les amplitudes articulaires. Ablation de l'attelle. Prescription de patchs en silicone Cica-Care pour ramollir les tissus. Reprise du travail à 100% dès le 08.04.2019. Prochain contrôle le 02.05.2019. La patiente présente 2 composantes de douleurs. Une liée à cette gonarthrose avancée, surtout au niveau fémoro-patellaire pour laquelle nous avions déjà proposé une prothèse totale du genou que pour l'instant on laisse comme dernière option. Elle présente aussi une composante probablement liée à cette hernie discale pour laquelle, au vu de l'absence de nouvelle image, on organise une IRM de la colonne lombaire. Nous demandons à nos collègues du team spine de la voir par la suite. On lui prescrit de la physiothérapie pour école du dos et renforcement de la musculature de la colonne. Nous fixons un nouveau contrôle chez nous dans 6 mois pour évaluation clinique. La patiente rapporte avoir fait une IRM au Lindenhofspital en raison d'omalgies persistantes mais avec la possibilité de prendre rendez-vous à notre consultation dans moins de 2 mois. Cet examen aurait objectivé, selon la patiente, une rupture partielle d'un tendon dont elle ne connaît plus le nom. Nous contactons le Lindenhofspital pour récupérer le CD des radiographies et nous reverrons la patiente dans 4-6 semaines pour contrôle radioclinique d'une part et visualisation de l'IRM. La patiente nous rapporte un rendez-vous le 04.04.2019 au Lindenhofspital ; nous lui laissons le choix du lieu de son suivi. Rendez-vous d'emblée à 6 semaines qu'elle annulera selon son avis, qui se porte plutôt pour Fribourg pour le moment. Dans l'intervalle, nous prescrivons une nouvelle série de séances de physiothérapie de lutte contre la raideur de son épaule G dont séances en piscine.La patiente rapporte des plaintes multiples multisystémiques avec plusieurs consultations préalables et investigations complémentaires revenant sans particularité. Nous retenons ainsi des douleurs aspécifiques dans le contexte d'un trouble anxieux. Dans ce contexte, après réassurance et discussion avec la patiente, un soutien psychologique est agendé en ambulatoire au RFSM le 18.04.2019, avec coordonnées téléphoniques en cas de péjoration clinique dans l'intervalle. Un suivi chez le médecin traitant est de plus prévu dans 4 jours. La patiente rapporte l'absence de bénéfice suite à l'infiltration. Au vu de notre examen et de l'IRM montrant les lésions dégénératives susmentionnées et le caractère invalidant, constant et insomniant des douleurs, une prise en charge chirurgicale est nécessaire. Cela consisterait en une décompression foraminale, résection de l'uncarthrose et de l'ostéophytose ainsi que mise en place de cages intersomatiques en C5-C6 et C6-C7 +/- stabilisation par plaque en cas de signe de myélopathie intra-opératoire. Mme. Y est d'ores et déjà informée des risques, des bénéfices et du déroulement de cette intervention. Avant cela, nous souhaitons toutefois organiser un ENMG afin de confirmer que les douleurs sont bel et bien en lien avec les signes de radiculopathie objectivés à l'IRM. Prochain contrôle suite à cet examen. Dans l'intervalle, majoration de l'antalgie par Co-Dafalgan 3x/jour + 3x en réserve, Ibuprofen, IPP, Lyrica 25mg 3x/jour et Valium pour dormir. La patiente rapporte une nette amélioration de son hypoesthésie post-infiltration mais se plaint toujours de lombalgies chroniques, nécessitant une antalgie lourde suivie par le Dr. X, notamment par Gabapentin. Elle est également suivie par ce dernier pour la fibromyalgie. Mme. Y ne supporte plus ces douleurs lombaires et ne souhaite pas de nouvelle infiltration à visée antalgique. Elle avait auparavant bénéficié de séances de physiothérapie, ce qui n'avait permis qu'un effet très partiel. Nous lui proposons tout de même une infiltration facettaire loco-dolenti au niveau lombaire bas, ce qu'elle accepte. Prochain contrôle 3 semaines après ce geste. La patiente refuse de rester hospitalisée à Fribourg en raison du décès de sa mère ayant eu lieu il y a 6 mois au HFR. Après discussion et explications des risques encourus en cas de retour à domicile, elle accepte d'être hospitalisée à Payerne pour la suite de la prise en charge. La patiente ressent encore une forte sensation d'instabilité. Au niveau clinique, nous confirmons également la présence de signes d'instabilité à cause de la rupture du LCA. Nous essayons d'obtenir un meilleur renforcement musculaire et nous reverrons la patiente dans 2 mois. Probablement, au vu de l'âge et du taux d'activité de la patiente, il sera nécessaire d'envisager un traitement chirurgical. Cela sera à rediscuter avec la patiente dans 2 mois et avec Dr. X. La patiente se calme après l'administration d'Haldol. L'anamnèse reste peu contributive et la patiente montre des signes de psychoses et d'agitation. Dans ce contexte, nous prenons contact avec le centre de psychiatrie du Nord Vaudois et convenons d'un transfert sous PAFA pour une mise à l'abri. La patiente est attendue à l'unité Ivoire. La patiente se présente avec une symptomatologie compatible avec une atteinte cardiaque, motif pour lequel nous organisons un bilan clinique et biologique. L'ECG montre des altérations de type aspécifique et au bilan biologique, nous ne retrouvons pas d'altération des tests enzymatiques cardiotropes. Nous excluons au vu du bilan, de manière raisonnable, une atteinte ischémique aiguë au niveau cardiaque. Nous ne retenons non plus d'argument pour une atteinte vasculaire, pulmonaire. La radiographie revient dans la norme. Nous proposons à la patiente un traitement d'IPP et de reconsulter son cardiologue rapidement afin de discuter l'indication à répéter un test d'effort afin de démasquer une angine potentielle. La patiente a été invitée à reconsulter en cas de persistance ou péjoration de l'oppression thoracique. La patiente se présente donc ce jour pour un contrôle clinique, qui montre une évolution favorable en regard de la rougeur, en nette diminution. Concernant les douleurs, elles sont stables et présentes seulement quand elle pèse pour mettre la crème et pas de douleur quand elle marche. La patiente prend toujours du Brufen 3x/jour et applique de la crème Hirudoid et met des bas de compression à varices. Nous avons demandé l'avis du Dr. X, de médecine interne, et vu la longueur de la thrombose superficielle (20cm en total) et l'évidence courant sur le traitement (étude Calisto), nous expliquons à la patiente l'indication à la prise d'Arixtra 2.5mg pour 45 jours. Nous stoppons le Brufen, la patiente accepte le traitement d'Arixtra qui est débuté aux urgences. Nous lui expliquons de continuer avec les applications de crème et les bas de contention. Les prochaines contrôles cliniques seront faits par le médecin traitant, prochain contrôle le 29.04.2019. La patiente se présente pour gestion des douleurs au niveau des 4ème et 5ème métacarpes. Nous donnons une attelle poignet Velcro. La patiente a déjà prévu un contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie pour plaie du 3ème doigt à gauche, nous contrôlerons l'évolution des douleurs à la main droite. Ordonnance donnée la fois précédente. La patiente se présente pour la 3ème reprise pour des douleurs en fosse iliaque droite depuis 1 semaine. Elle ne montre pas d'amélioration malgré le traitement de l'infection urinaire et un traitement antalgique bien conduit. L'examen clinique et le bilan biologique du jour est rassurant. Cependant, au vu de la persistance des symptômes, nous lui proposons un CT abdominal le lendemain, avec résultats en F34. La patiente se sent toujours gênée par le matériel d'OS. Elle décrit également des douleurs nocturnes. Par conséquent, nous proposons tout d'abord de faire un bilan par IRM pour un contrôle de la coiffe des rotateurs. Nous reverrons la patiente pour discuter des résultats et planifier l'AMO. La patiente sera convoquée en consultation à Bern. Suivi ambulatoire du TP par le médecin traitant. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X au CHUV prochainement. La patiente sera revue à votre consultation en fin de semaine pour contrôle clinique et biologique (fonction rénale au vu d'une créatinine à 124 umol/l à la sortie). La patiente sera revue à votre consultation pour à 1 semaine. La patiente sera revue à votre consultation pour contrôle et ablation des fils le 26.04.2019. La patiente sera revue dans votre consultation le 04.04.2019 pour contrôle de l'hémoglobine et des tests hépatiques. IRM abdominal le 09.05.2019 à 8h, à jeûn. CT de repérage pour la radiothérapie le 02.04.2019. Rendez-vous à la consultation de Dr. X le 17.05.2019 à 10h. La patiente sera revue en policlinique d'orthopédie à 1 semaine pour un contrôle radio-clinique puis confection d'une botte de décharge en résine. Poursuite de l'anticoagulation prophylactique durant l'immobilisation. La patiente sera revue pour contrôle clinique et afin de discuter de la suite de prise en charge oncologique au tumorboard le mercredi 10.04 à 8h. La patiente signale une gêne abdominale sur constipation (dernières selles en petite quantité le 10.04), la patiente est déjà sous Movicol 3x/semaine et Duphalac en réserve. Elle reçoit les médicaments chaque jour à la pharmacie Sun Store à Bulle vu ses antécédents d'abus médicamenteux. La patiente n'est pas fiable pour gérer la prise des médicaments. Vu ses plaintes par rapport à la constipation, nous lui administrons du Movicol 1x/jour chaque jour et le Duphalac reste en réserve.Aux urgences, Mr. Y a reçu une dose de Rocéphine par voie intraveineuse sans complication. La prochaine injection est prévue pour le 14.04 à 12h en filière des urgences ambulatoires, puis Mme. Y continuera la prise en charge chez son médecin traitant. Mme. Y souffre d'un syndrome facettaire sur distraction post-ALIF. Au vu de la persistance de ces douleurs qui demeurent insomniantes et invalidantes et après discussion avec Mme. Y des différentes options thérapeutiques type infiltration ou dénervation, cette dernière opte pour une dénervation sensitive L4-L5 ddc. Nous prions donc le Dr. X de bien vouloir la convoquer à cet effet. Nous informons également Mme. Y qu'il n'est pas inhabituel que les douleurs durent 3 à 6 mois, le temps que le dos se rééquilibre. Prochain contrôle radio-clinique à 6 mois post-opératoires. Dans l'intervalle, poursuite de la physiothérapie à visée antalgique. Mme. Y souffre d'une fracture de fatigue de la malléole externe D. Le CT montre peu de signes de consolidation. Nous proposons de faire une attelle adaptée type Malleotrain et de commencer la physiothérapie avec du renforcement musculaire et des exercices de stabilité ainsi que des ondes de choc. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle radioclinique. Mme. Y souffre d'une tuméfaction douloureuse sur la face médiale de P1 du 2ème orteil. La radiographie n'a pas montré de tuméfaction osseuse. Une exostose n'est pas exclue. Nous organisons donc un CT. Elle présente également un hallux valgus indolore à la palpation. Si elle se met debout, nous voyons un bon espace interdigitale entre les rayons 1-2 sans contact. Nous ne pensons pas pouvoir améliorer la situation en enlevant l'os douloureux à la palpation. Nous la reverrons après cet examen pour discuter de la suite. Mme. Y souffre plutôt d'un hallux valgus à D que du névrome de compression du nerf digital dorsal au niveau de l'hallux. Nous rediscuterons du cas et recontacterons Mme. Y. Mme. Y va encore se déplacer avec les 2 béquilles et respecter une charge d'environ 30-40kg jusqu'à 3 mois après l'opération, c'est-à-dire jusqu'au 13.05, puis charge progressive selon la douleur de la hanche. Poursuite de la physiothérapie avec musculation et vélo d'appartement. Prochain contrôle clinique le 02.07.2019. Mme. Y va reprendre gentiment les activités sportives. Poursuite de la physiothérapie surtout pour propre réception et l'équilibre. Nous reverrons Mme. Y dans 1 année de l'intervention pour un contrôle radioclinique et évaluer une ablation du matériel d'ostéosynthèse. Mme. Y vient pour un avis ultérieur. Concernant le coude, nous lui expliquons qu'il y a un problème inflammatoire dû à une arthrite probablement psoriasique. Pour améliorer la symptomatologie du côté inflammatoire, il y aurait éventuellement une possibilité d'essayer une autre médication que celle qui lui a été prescrite (Léflunomide), qui pourrait peut-être améliorer la situation, ou freiner la situation inflammatoire pour les autres articulations qui ont un risque d'empirer. Concernant le coude, nous n'avons malheureusement pas d'autres propositions pour le problème mécanique dont elle souffre déjà et la seule option thérapeutique serait une mise en place d'une prothèse du coude. Mme. Y ne souhaite pas de cette intervention pour l'instant et consultera un rhumatologue pour le problème inflammatoire. Nous restons à disposition si nécessaire pour l'implantation d'une prothèse. Mme. Y présente une évolution favorable de ses douleurs abdominales par traitement de paracétamol et Pantozol. Nous organisons un contrôle clinique pour demain à la filière des urgences ambulatoires à 13H30. La physiothérapie sera poursuivie en ambulatoire. Sevrage Temgestic et Voltarène en ambulatoire. La plaie du crâne est abondamment rincée suite à la désinfection et anesthésie. La plaie est peu profonde, rectiligne. 3 points de suture sont mis en place. Le vaccin du tétanos est effectué. Concernant le traumatisme, compte tenu du mécanisme à faible énergie, de l'absence de chute, de perte de connaissance ou d'amnésie, et que le status neurologique est dans la norme, nous n'effectuons pas d'avantage d'examen paraclinique. Mr. Y rentre à domicile où il vit avec son épouse. Il reverra son médecin traitant à J7 pour ablation des fils. La plaie est bien sans signe de surinfection. Mr. Y insiste pour refaire un bilan angiologique car il s'inquiète du changement régulier de la coloration des pieds. Nous prions donc nos collègues de l'angiologie de convoquer Mr. Y à la recherche d'une micro-angiopathie, +/- traitement. Nous organisons également une IRM à la recherche de signe d'ostéomyélite chronique. Nous le reverrons suite à ces examens. Dans l'intervalle, poursuite des traitements de plaie selon le protocole instauré par son médecin traitant. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 31.04.2019. La plaie est rincée ce jour au Prontosan et nous appliquons un pansement tulle Bétadiné. Il peut se mobiliser avec une chaussure Darko sans mettre de pression sur la plaie. Pansement à changer tous les 48h. Prochain contrôle clinique dans 1 semaine. La plaie étant très superficielle et sans signe inflammatoire local, nous procédons simplement à une désinfection et mettons un pansement en place. Il consultera son médecin traitant à 48h pour contrôle de la plaie. La plaie ne nécessite pas de suture. Nous effectuons un bandage compressif. Mr. Y ne souhaite pas de rappel pour le tétanos. En cas de péjoration de l'état de la plaie, nous lui conseillons de réconsulter rapidement. La plaie superficielle ulcérée du Vème doigt main droite ne nécessite pas de suture. Nous procédons à la mise en place d'un pansement protecteur et compressif pour favoriser une guérison par 2ème intention. Nous lui administrons une dose de vaccin contre le tétanos. Elle ne souhaite pas d'antalgie. La ponction donne une quantité très minime de liquide, échantillon qu'il n'est pas possible de prélever avec une seringue mais nous faisons un frottis de la goutte de sang et de pus qui sort après la ponction. La ponction/infiltration de son genou D a été bénéfique. Mme. Y est satisfaite du résultat. Étant donné qu'elle va bientôt fêter son 90ème anniversaire, à mon avis l'indication opératoire n'est pas donnée. Nous allons poursuivre avec la même attitude. Je reste à disposition en cas de péjoration des douleurs afin de répéter une ponction articulaire éventuellement combinée à une infiltration par cortisone. Mme. Y est en accord avec cette proposition. J'ai toutefois proposé à Mme. Y d'effectuer quelques séances de physiothérapie (9 séances) afin de tonifier la musculature et donc améliorer la marche. Un contrôle clinique est prévu à ma consultation le 28.8.19. La poursuite du traitement antalgique, ainsi que des bains de camomille sont recommandés, jusqu'à réévaluation par l'opérateur. La prise de sang effectuée aux urgences revient sans particularité. Nous donnons un comprimé de Primperan à Mme. Y avec disparition des nausées. La tension reste dans la norme lors de la surveillance aux urgences. Mme. Y est asymptomatique quand elle est couchée, mais elle développe des vertiges, de faible importance, lors des déplacements. Le test de Shellong revient négatif et Mme. Y ne présente plus de vertige pendant l'exécution du test.La patiente se sent bien, avec disparition des vertiges et elle peut regagner son domicile avec un traitement de Betaserc 16 mg 3x/jour pour 3 jours, puis suivi chez le médecin traitant. La radio effectuée par le médecin traitant ne montre pas de fracture. Aux urgences, le patient est très algique et 10 mg de morphine ont été donnés. Nous prenons l'avis du Dr. X, orthopédiste, et nous effectuons un CT-scan de la main gauche qui montre une discrète fracture-arrachement de la face dorsale de l'os pyramidal. Nous mettons en place un plâtre scaphoïde fendu pour 3 semaines, avec un suivi en policlinique dans 1 semaine. Vu que le patient présentait de légères douleurs à la palpation en loge rénale gauche, nous avons effectué un sédiment urinaire qui n'a pas montré la présence de sang. Les douleurs ont été retenues d'origine musculaire. La radiographie de la cheville ne met pas en évidence de fracture osseuse. La marche est possible avec attelle Aircast/cannes. Contrôle à une semaine chez son médecin traitant, consultation avant si péjoration clinique. La radiographie de la cheville ne montre pas de fracture. Nous mettons en place une attelle Aircast. Le suivi se fera à la polyclinique d'orthopédie dans 7 jours. La radiographie de la cheville ne montre pas de lésion osseuse traumatique visible. Nous retenons une entorse de stade I de la cheville droite. Nous mettons en place une bande élastique. Le patient peut regagner son domicile le jour même et sera vu dans une semaine par son médecin traitant. La radiographie de l'épaule et de la clavicule effectuée aux urgences ne montre pas de fracture mais une petite opacité de la face postérieure de l'humérus qui représente peut-être une calcification du sous-épineux et un os acromial. Pas de surélévation de la tête humérale. Pas d'arthrose. La radiographie de l'épaule gauche ne montre pas de fracture. Étant donné l'examen clinique et radiologique qui sont rassurants, nous mettons un gilet orthopédique au patient, dans un but antalgique. Le patient rentre à domicile avec le traitement antalgique en réserve. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. La radiographie de l'index montre un arrachement osseux de la base de la 2ème phalange de l'auriculaire gauche. Devant l'examen clinico-radiologique, nous retenons une lésion de plaque palmaire de l'interphalangienne proximale de l'auriculaire gauche. Nous immobilisons dans une attelle dorsale à 20°. Le patient est adressé en ergothérapie pour la confection d'une attelle en 8. Il sera vu en policlinique d'orthopédie dans une semaine. La radiographie ne montre pas de fracture. Nous n'objectivons pas de trouble neurovasculaire. Après une anesthésie locale, une désinfection et un rinçage, nous suturons par 1 point de rapprochement à l'Ethilon 4-0. Nous appliquons ensuite un pansement épais. Le patient prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle à 48h et l'ablation des fils dès J7. Il pourra reprendre le travail dès le 10ème jour en cas de cicatrisation. La radiographie demandée par son médecin traitant met en évidence une possible fracture d'un ostéophyte présent au niveau radial. Nous immobilisons le poignet dans une attelle Velcro pour 2 semaines et nous mettons en place de l'antalgie. Le patient va prendre un rendez-vous à la consultation du Dr. X, orthopédiste, dans 2 semaines. La radiographie des urgences ne montre pas de fracture ou d'arrachement. La radiographie du coude droit montre une fracture peu déplacée du condyle externe droit avec signe Fat Pad. Sur avis orthopédique, nous mettons en place une attelle plâtrée postérieure avec un contrôle radiologique post-plâtre. Le patient rentre à domicile avec sa mère et le Dr. X, orthopédiste, prendra contact avec celle-ci le 14.04 au matin pour la suite de la prise en charge. La radiographie du coude montre une fracture supracondylienne de l'humérus gauche avec un phénomène fat pad antérieur. Nous mettons en place une attelle BAB postérieure plâtrée. Une radiographie post-plâtre ne montre pas de point d'appui ni de déplacement secondaire. Le patient peut regagner son domicile le jour même, accompagné de sa mère. Il sera vu dans une semaine en policlinique d'orthopédie. La radiographie du doigt montre une fracture ouverte de la houppe de la 3ème phalange du 5ème doigt de la main droite. Le tétanos est à jour anamnestiquement. Nous désinfectons la plaie et explorons sans mise en évidence de corps étranger. Nous rinçons abondamment au NaCl et suturons par 3 points simples à l'Ethilon 4-0. Nous mettons en place une attelle STACK en extension de la 3ème phalange du 5ème doigt avec une bonne réduction sur la radiographie de contrôle. Nous mettons le patient sous antibiotiques par Co-Amoxicilline 1 g per os 2x/24h durant 5 jours inclus. Il sera vu en policlinique d'orthopédie pour la réfection du pansement dans 48h. L'ablation des fils se fera à J14 en policlinique d'orthopédie avec une radiographie de contrôle à 1, 4 et 6 semaines. La radiographie du jour montre une bonne évolution au niveau de la fracture sans déplacement secondaire. La radiographie du jour montre une fracture en voie de consolidation sans déscellement du matériel. La radiographie du pied droit ne montre pas de fracture. Nous mettons en place une attelle plâtrée postérieure et une marche en décharge. Nous ne prescrivons pas de Clexane car la patiente n'est pas ménarche. Nous mettons en place le protocole RICE. Un rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans 1 semaine sera à organiser. La radiographie du pied est sans particularité. Une bande élastique a été mise et de l'antalgie donnée. Aux urgences, la patiente a été vue par le Dr. X et étant donné l'hétéro-agressivité de la patiente et la notion d'idées suicidaires (qui n'ont pas été exprimées aux urgences), la patiente est hospitalisée à Marsens en PAFA. Départ en ambulance. La radiographie du poignet D f/p montre une bonne réduction de la fracture et le matériel d'ostéosynthèse bien en place. La radiographie du poignet gauche montre un doute sur une fracture au niveau du radius distal. La radiographie du pouce droit montre un arrachement au niveau du ligament collatéral radial mais pas de fracture. Nous mettons en place une attelle poignet à gauche dans le doute d'une fracture. À droite, au vu de l'arrachement, nous mettons en place un plâtre gantelet. La radiographie post-plâtre ne montre pas de déplacement. Le patient sera vu en contrôle à la policlinique d'orthopédie à une semaine. Il rentre à domicile avec une antalgie et un arrêt du sport. Suite au colloque radiologique du 09.04, nous écartons une fracture du poignet à gauche. La mère du patient a été recontactée et l'attelle sera à enlever. La radiographie du thorax est sans particularité. Le bilan sanguin montre les troponines à H0 et H1 à 7 et 8 ng/l, mais pas de syndrome inflammatoire, une bonne fonction rénale sans trouble ionique. L'ECG montre un rythme sinusal régulier sans trouble ischémique. Devant l'examen, nous retenons un diagnostic de douleurs thoraciques probablement d'allure musculo-squelettique. Durant la surveillance aux urgences, la patiente ne présente plus de douleur thoracique sans avoir reçu aucune antalgie. La patiente peut regagner son domicile avec une antalgie standard. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle en début de semaine prochaine. La radiographie du thorax est sans particularité. L'ECG fait à l'arrivée de la patiente ne montre pas de signe d'ischémie active. Nous effectuons un ECG à chaque train de troponines qui ne montre pas de modification. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de leucocytose. Une perturbation des ASAT et ALAT est mise en évidence. La cinétique des troponines est positive mais non significative (DD : notion de tachycardie non soutenue).La patiente est mise sous Aspirine Cardio et elle consultera le 06.05.2019 pour test d'effort chez le Dr. X. Par rapport à la perturbation des tests hépatiques, nous proposons un contrôle qui sera fait lors de la consultation du 06.05.2019. La radiographie du 28.03.2019 montre une bonne évolution de la fracture. La radiographie du thorax ne met en évidence aucun foyer infectieux, ni d'épanchement pleural. Au vu de l'examen clinique rassurant et de l'état général conservé du patient, nous retenons le diagnostic sus-mentionné et le laissons rentrer à domicile avec une prescription pour un sirop antitussif. En cas de persistance des symptômes ou de l'apparition d'un état fébrile ou d'une dyspnée, nous lui conseillons de consulter à nouveau. La radiographie effectuée aux urgences ne montre pas de fracture. Une antalgie avec glace, Voltaren d'office et Dafalgan en réserve a été mise en place pour 5 jours. La radiographie effectuée ce jour montre la formation d'un début de cal osseux et l'absence de déplacement secondaire. La radiographie effectuée ce jour montre la présence d'un cal au niveau du 5ème métatarsien. La radiographie effectuée ce jour montre la présence d'un cal et l'absence de déplacement secondaire. La radiographie effectuée ce jour montre l'absence de déplacement secondaire. La radiographie effectuée ce jour montre l'absence de déplacement secondaire et l'absence de cal. La radiographie effectuée ne montre pas de lésion. Nous demandons un ultrason de la cheville et du pied droit, qui objective un petit œdème en regard de la blessure, mais pas de collection ni de corps étranger. Sur avis de la Dr. X, orthopédiste, nous procédons à un parage de la plaie, administration de Co-Amoxicilline IV 2.2g le 14.04.2019, pas d'écoulement, désinfection, immobilisation par attelle jambière postérieure, cannes anglaises, Clexane prophylactique, contrôle en policlinique d'orthopédie à 48h. Arrêt de travail donné. La radiographie en charge lors du dernier contrôle montre un arrachement dorsal au niveau du naviculaire sans déplacement secondaire. La radiographie et le CT-Scanner de la main droite mettent en évidence une fracture déplacée extra-articulaire de la base du 5ème métacarpien de la main droite sans atteinte vasculo-nerveuse avec indication opératoire. Nous mettons en place une attelle d'immobilisation dans l'attente d'une ostéosynthèse. La patiente est donc convoquée pour une prise en charge au bloc opératoire. La radiographie montre une fracture de la base de la 1ère phalange du 1er orteil du pied droit. Le patient souhaite garder ses baskets car elles sont confortables et il arrive à bien marcher avec. Il peut regagner son domicile avec une antalgie standard. Il sera revu dans une semaine à la consultation de son médecin traitant. La radiographie montre une suspicion de fracture Salter II de la 2ème phalange du pouce droit. Nous immobilisons le pouce par une attelle alu et le patient sera vu en policlinique d'orthopédie dans une semaine. Lors du contrôle en policlinique d'orthopédie, il est prévu de planifier un rendez-vous à la consultation du Dr. X pour un contrôle clinique de l'atrophie thénarienne. La radiographie montre une tendinopathie calcifiante. La patiente part en vacances le weekend prochain donc elle ne pourra pas prendre rapidement un rendez-vous à la consultation du Dr. X mais le fera dès son retour. Entretemps, nous mettons en place un traitement antalgique et un gilet orthopédique à but antalgique. Nous prescrivons à la patiente un bon pour de la physiothérapie à commencer dès son retour pour faire des ondes de choc à l'épaule. La radiographie ne met pas en évidence de fracture. Vu l'examen clinique et radiologique rassurant, le patient rentre à domicile avec une antalgie en réserve. La radiographie ne met pas en évidence de lésion. Nous posons donc le diagnostic et suivi associés. La radiographie ne montre pas de fracture. Le patient ne pouvant charger, nous mettons en place une attelle jambière postérieure avec cannes anglaises et Clexane prophylactique. Nous indiquons un contrôle à la policlinique d'orthopédie à J7. La radiographie ne montre pas de fracture. L'examen clinique met en évidence une avulsion de la partie distale de l'ongle avec une plaie transverse du lit de l'ongle, raison pour laquelle nous effectuons une ablation de l'ongle. Nous effectuons un rappel anti-tétanique. Nous désinfectons, nous faisons un champage et nous anesthésions en bague. Le lit de l'ongle est suturé par deux points, la partie latérale du doigt est suturée par un point simple et un ongle artificiel est greffé et suturé par un point en croix. Le patient sera revu à la policlinique d'orthopédie à 48 heures pour un contrôle de la plaie puis chez le médecin traitant en cas d'évolution défavorable. Ablation des fils de suture à 14 jours post-intervention à la consultation du médecin traitant. Nous donnons au patient des explications quant à l'ongle artificiel. La radiographie ne permet pas de juger correctement de la consolidation de l'arthrodèse MTP 1. Nous organisons donc un CT. Nous discuterons ensuite de faire soit une ablation de la vis soit une AMO complète. La radiographie permet d'écarter la présence d'une fracture, mais met en évidence la présence d'une épine calcanéenne. Un traitement anti-inflammatoire est mis en place et un suivi chez un physiothérapeute est à faire (ordonnance faite). De plus, un certificat pour arrêt de travail a été donné. La radiographie permet d'exclure une fracture alors que l'examen clinique est rassurant quant à la mobilité du doigt et à la stabilité des articulations. Nous introduisons un traitement symptomatique par Irfen, Dafalgan et immobilisation par attelle alu. La RX met en évidence une fracture de Pouteau Colles avec déviation dorsale de plus de 30°. La semaine prochaine, nous réévaluerons la situation en enlevant le plâtre et verrons comment les pieds se mettent spontanément. La situation actuelle n'est pas claire, en effet au vu de l'anamnèse et de l'examen clinique, il semblerait qu'une arthroplastie totale de hanche soit indiquée, mais l'infiltration n'ayant pas permis d'amélioration significative des symptômes, nous restons prudents pour l'instant sur l'indication. Nous proposons à la patiente de répéter l'infiltration qui sera réalisée par le Dr. X lui-même au niveau de la hanche D, afin de prendre une décision en fonction du résultat. Prochain contrôle suite à l'infiltration le 04.06.2019. La situation actuelle parle en faveur d'un traumatisme avec un syndrome post-contusif qui pourrait justifier la symptomatologie dont le patient se plaint. Nous organisons une IRM cérébrale et cervicale afin de dépister d'éventuelles lésions axonales diffuses ou des lésions au niveau cervical. Nous reverrons le patient après cet examen et une fois les images visualisées, nous pourrons discuter de la nécessité d'effectuer un bilan neuropsychologique. Arrêt de travail à 100% pour 30 jours. Nous laissons le soin à nos collègues ophtalmologues et de la chirurgie maxillaire l'éventuelle évaluation concernant le traitement pour les fractures susmentionnées qui actuellement ne gênent pas le patient. La situation actuelle présente plusieurs points complexes. L'état général de la patiente, avec ses comorbidités, a de plus en plus limité les activités physiques et ceci a engendré une faiblesse musculaire dorso-lombaire qui empêche une hygiène posturale correcte. Ceci pourrait engendrer les douleurs dorsales progressives depuis plusieurs années que présente la patiente. Une certaine composante peut être justifiée en raison de la suspicion de syndrome facettaire, qui pourrait aussi expliquer la prédominance à droite de ces douleurs. En revanche, il existe clairement un canal lombaire étroit qui actuellement ne présente pas de signe neurologique mais qui pourrait être à l'origine de la limitation progressive de la marche. L'IRM est trop ancienne pour juger de quelconque traitement, nous en organisons une nouvelle et reverrons la patiente par la suite. Nous pourrons discuter en ce qui concerne une éventuelle indication opératoire pour décompression du canal lombaire, d'une éventuelle indication à une infiltration facettaire au niveau L2-L3 et d'une éventuelle indication pour une réadaptation physiothérapeutique durant 4 à 6 mois pour la musculature dorso-lombaire et d'hygiène posturale afin d'améliorer les douleurs dorsales.La situation au niveau des hanches est favorable et asymptomatique. Concernant le problème de genou gauche, nous l'adressons au Dr. X. La situation clinique du patient n'a pas changé, le patient n'est pas gêné par des douleurs cervicales mais plutôt par la symptomatologie susmentionnée au niveau du MSG. Une infiltration péri-radiculaire C7 a été discutée mais refusée par le patient qui préfère commencer par des séances de physiothérapie et réévaluer l'indication à une éventuelle infiltration après ce traitement. Prescription de séances de physiothérapie pour mai, juin et juillet. Prochain contrôle à la fin août 2019. La situation est lente comme attendue en ce qui concerne la récupération de la mobilité au niveau du coude. Je préconise un traitement physiothérapeutique et ergothérapeutique pour récupérer les amplitudes articulaires à ce niveau. En outre, ergothérapie pour récupérer la mobilité de l'auriculaire gauche. Prescription de Miacalcic et Redoxon vu les signes de faible intensité d'une algo-dystrophie. Reprise du travail à titre d'essai à partir du 13.5.2019. Prochain contrôle chez moi le 13.6.2019. La situation est stable pour cette patiente qui peut se déplacer régulièrement avec le tintébin. Poursuite du traitement physiothérapeutique pour renforcement musculaire afin que le déficit partiel d'extension ne s'aggrave. Prochain contrôle dans 5 ans. La patiente nous contactera plus tôt en cas de problèmes. La situation est stable sans amélioration. Étant donné la phase de croissance, la problématique peut encore durer environ 1 année. Nous reverrons la patiente pour un contrôle clinique dans 3 mois. Si la situation est stable sans changement particulier, elle pourra éventuellement annuler le rendez-vous. La situation est stable sans grand changement. Elle arrive à une flexion de 100° avec un déficit d'extension de 10°. La présence d'un Bone Bruise sur l'IRM de février est la source des douleurs. Elle a encore un déficit au niveau de la mobilisation. On rediscutera de ceci avec le Dr. X afin de voir si une mobilisation sous narcose est nécessaire. On la reverra dans 6 semaines. La situation est stagnante. Elle souffre principalement de douleurs musculaires au niveau des extenseurs. Nous proposons de mettre en place une semelle rigide afin de limiter la mobilisation du pied. Toutefois, elle ne souhaite pas porter cela car elle a déjà essayé et la situation s'est empirée. L'IRM montre une fracture guérie et la situation des tendons est calme. Nous souhaiterions demander un avis à nos collègues de rhumatologie pour améliorer la situation musculo-tendineuse. Arrêt de travail prolongé à 100% jusqu'au 16.06.2019. Par la suite, elle va essayer de reprendre à 50%. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle dans 3 mois. La situation est très difficile. Mais suite à l'IRM du 29.01.2019 effectué après la chute, celle-ci montre une déchirure du LCA ainsi qu'une contusion osseuse au niveau des deux plateaux tibiaux et des condyles fémoraux externes, de plus il y a une entorse de grade I du LLI. Pour l'instant, nous lui proposons de prendre des anti-inflammatoires (Voltarène 75 mg en retard) à raison de 2x/j pendant 4 semaines. Prolongation de l'arrêt de travail. Prochain contrôle dans 6 semaines. La situation était favorable du côté G. Au niveau de la D, il faut calmer les douleurs et recommencer avec les exercices de stabilisation. Une fois que la situation à D sera calmée, une évaluation pour la mise en place de semelle pour surélévation du bord latéral du pied afin d'éviter des entorses dans le futur, serait à envisager. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. La situation globale est favorable car le patient a senti une amélioration avec la physiothérapie et finalement avec le traitement d'acupuncture. Néanmoins, on est face à une douleur chronique qui semble persister sans avoir une vraie explication à l'heure actuelle. Le statut clinique est vraiment rassurant. Je suis d'accord avec le patient de continuer la physiothérapie vu qu'il y a eu une amélioration clinique. Je lui prescris encore une fois 9 séances de physiothérapie à but antalgique. Un contrôle d'emblée chez moi n'est par contre pas prévu. Le patient me recontactera en cas de besoin. Autrement, fin du traitement. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. La situation n'évolue pas favorablement malgré le traitement pluridisciplinaire mis en place. Je pense que le soutien psychologique est très important chez ce patient et j'espère qu'il pourra bénéficier d'un traitement anti-dépresseur qui pourra aider à moduler la douleur. Il a eu une réaction type allergique anamnestiquement à l'infusion de Lidocaïne prescrite en consultation d'antalgie et il a décidé ensuite d'interrompre le traitement. Je lui propose de faire une pause avec la physiothérapie et l'ergothérapie et d'en profiter pour aller voir sa famille au pays. Je prévois de le revoir dans 3 mois et j'espère que j'aurai des nouvelles de l'AI dans l'intervalle. Incapacité de travail pour une durée indéterminée. La situation nous évoque une gêne du matériel d'embolisation pour laquelle nous posons une indication chirurgicale à l'ablation de celui-ci. Le patient est informé des risques et bénéfices de l'opération et donne son accord en signant le consentement éclairé. L'intervention se fera en ambulatoire et en 1ère position. La situation s'est bien améliorée grâce à l'infiltration. Pour le moment, elle refuse tout traitement chirurgical. Nous l'informons qu'en cas de réapparition des douleurs, nous pouvons refaire une infiltration. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. La solution radicale serait une spondylodèse L4-S1 avec discectomies et mise en place de cages. Cette option n'est toutefois pas proposée pour l'instant dans la mesure où l'infiltration a permis une amélioration. Nous maintenons donc le traitement conservateur avec physiothérapie et antalgie. Prochain contrôle d'ici 4 à 6 semaines. Sur le plan professionnel, ancien garde frontière, Mr. Y est au bénéfice d'une rente AI à 100% pour un état dépressif majeur. Nous précisons bien que l'invalidité pour les problèmes lombaires est de 0% et justifierait éventuellement une perte de rendement de 10 à 15% au maximum. La suspicion de la fracture au niveau de P2 D5 ne correspond pas à l'examen clinique présenté par la patiente qui présente uniquement des douleurs au niveau de l'IPD. Ablation de l'attelle ce jour et mise en place d'une syndactylie IV à V pour encore 3 semaines (4 semaines post-traumatique au total). Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 3 semaines. Dans l'intervalle, mobilisation libre sans charge.La symptomatologie actuelle de la patiente nous évoque plutôt un problème de dos. En raison d'un pacemaker vraisemblablement non IRM compatible, nous organisons une myélographie fonctionnelle avec CT et organisons un rendez-vous au team Spine pour discuter des résultats et de la suite de la prise en charge. La symptomatologie décrite par la patiente fait plutôt penser à une problématique rachidienne. La hanche D ne semble pas être la source de ses douleurs. Nous faisons donc ce jour des radiographies standards lombaires. J'organise une IRM de la colonne lombaire et prie l'équipe du rachis bien vouloir convoquer la patiente pour un avis spécialisé. La symptomatologie est très suspecte d'une origine migraineuse, malgré la durée persistante des troubles phasiques. Le CT cérébral est rassurant. Nous proposons un traitement antalgique par AINS et antiémétiques. Nous vous invitons à organiser une IRM en ambulatoire afin d'exclure définitivement une origine ischémique. La symptomatologie et l'examen clinique sont évocateurs d'une radiculopathie L5-S1 à gauche. Dans ce contexte, nous investiguons ces douleurs par une IRM à la recherche d'une sténose foraminale ou discopathie pouvant expliquer son mal. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'à réalisation de ces examens. Modification de l'antalgie par du Co-Dafalgan fixe et de réserve accompagné d'un schéma dégressif de dexaméthasone. Nous reverrons la patiente suite à l'IRM. La symptomatologie évoque une sinusite chronique. Nous donnons une ordonnance pour traitement et conseillons une consultation chez l'ORL si pas d'amélioration clinique. La symptomatologie la plus frappante s'objective lors de la palpation en regard du fascia plantaire. Une IRM de février 2017 montre un épaississement du fascia plantaire au niveau de l'insertion calcanéenne. Dans ce contexte, nous supposons que cette fasciite plantaire est à l'origine d'une probable décompensation de ces douleurs de la MTP 1 du pied D. Nous proposons donc de la physiothérapie avec stretching des chaînes postérieures. Elle porte déjà des semelles orthopédiques que nous ne changeons pas pour le moment. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle radioclinique. La symptomatologie la plus invalidante actuellement pour le patient sont les lombalgies irradiant dans la jambe G. Nous posons l'indication à une prise en charge chirurgicale par décompression et flavectomie par undercutting en L2-L3 et L4-L5 +/- mise en place d'un PAD. Mr. Y est informé que cette intervention est à réaliser sans urgence, après délai de réflexion. Nous le laissons le soin d'en discuter calmement et précisément avec son médecin traitant. Il nous recontactera une fois sa décision prise. La symptomatologie présentée par la patiente évoque le syndrome du tunnel carpien à droite. Pour cette raison, nous conseillons un EMG et un contrôle chez le Dr. X, orthopédiste. La syndactylie cutanée n'est pas en lien avec une éventuelle boiterie objectivée par les parents. Le status ne met pas en évidence une inégalité significative des membres inférieurs (tout au plus 2-3 mm). Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. La tige fémorale descellée est mobile et, conjointement avec l'infection chronique, peut expliquer les douleurs du patient. Nous proposons de procéder à une ponction de la hanche gauche et des deux genoux et de faire réaliser un CT-scanner à la recherche de collections et/ou de signes de descellement de la PTH G. Nous reverrons le patient après les examens pour refaire le point. Labétalol du 11.04 au 12.04.2019 Réintroduction traitement anti-calcique et bêta-bloquant Labo : absence de syndrome inflammatoire Hémocultures : à pister Analyses urinaires : propres Absence de récidive. Labo : Absence de syndrome inflammatoire Rx épaule D le 14.04.2019 : pas de fracture US épaule D le 14.04.2019 : CT épaule D le 14.04.2019 : Compatible avec hémarthrose IRM de l'épaule droite (demandé le 17.04.2019) : Échec. Avis angiologique (Dr. X) : Thrombose de la VJI droite connue et stable, sans autre thrombose du MSD. Avis orthopédique : Pas de ponction articulaire nécessaire. Possible rupture au niveau de la coiffe des rotateurs, IRM à évaluer. Avis hématologique (Dr. X) : Anticoagulation par Clexane à dose prophylactique à débuter le 15.04.2019 seulement si hémarthrose stable. Avis infectiologique (Dr. X) : Pas d'argument pour une arthrite infectieuse. Physiothérapie selon schéma de San Antonio Antalgie. Attitude : • Reprise de l'anticoagulation par Arixtra 7.5 mg/j dès le 19.04.2019 • RDV de contrôle en orthopédie à l'HFR dès que possible • RDV de contrôle chez Dr. X le mardi 23.04.2019 • Physiothérapie ambulatoire. Labo : BETA NAG à 43.8, Lysosime augmentés. Electrophorèse des protéines normales. Uro-CT le 01.04.2019. Pose de cathéter de dialyse en jugulaire droite le 02.04.2019. Dialyse du 02.04 au 06.04.2019. Noradrénaline du 31.03 au 01.04.2019. Lasix 80 mg iv dose unique le 05.04.2019. Lasix 5 mg/h du 05.04 au 06.04.2019 puis Torem. Labo : B12 sp, ferritine et acide folique diminué. Sang occulte dans les selles : négatif. Acide folique 5 mg 1x/j pendant 1 mois. Ferinject 1000 mg le 17.04.2019. Consultation gynécologique à prévoir en ambulatoire. Labo : CRP 45 mg/l, Leuko 5,7 G/l. Radio thorax : signes de décompensation cardiaque légère. Labo : D-dimère 1064 ng/ml. Scintigraphie le 25.04.2019 : pas embolie pulmonaire. ECG. RX thorax. ETT le 18.04.2019. Lasix puis Torasemid. Labo / ECG. CT cérébral (27.03.2019). Avis neurologique (Dr. X) : traitement indiqué pour hydrocéphalie à pression normale, PL évacuatrice +/- drain traitement non indiqué actuellement au vu de l'ethylisme chronique et d'un suivi probablement compliqué. Avis OH. Bilan physiothérapie et neuropsychologique avant et après la ponction lombaire. Ponction lombaire évacuatrice de 40 ml le 02.04.2019. Benerva 3x/j 300 mg iv 3j puis 1x/j 100 mg po. Becozyme. Seresta. ATT : • contrôle chez le médecin traitant le 10.04.2019 à 9h15 pour un contrôle bioclinique et organiser un suivi neurologique. Labo / ECG. CT Time is brain (03.04.2019). EEG (04.04.2019). Holter en cours. Avis neurologique (Dr. X) : pas d'introduction d'un traitement antiépileptique car région de la masse peu épileptogène. Attitude observationnelle. Interdiction de conduire pendant 3 mois. Si récidive, avis neurologique. Charge Aspirine 250 mg iv au service des urgences puis Aspirine 100 mg/j 04.04 au 09.04.2019. Stoppé car pas de cause ischémique. Labo : ferritine diminué, B12, acide folique sp, TSH sp. Avis néphrologique : correction de la carence en fer et attendre résolution de la décompensation cardiaque puis réévaluer l'introduction d'EPO. Ferinject 2 x 500 mg. ATT : • contrôle bioclinique dans une semaine chez médecin traitant. Prendre contact avec néphrologue pour réévaluer l'indication à un traitement d'EPO après la résolution de la décompensation cardiaque et la correction de la carence en fer. Labo : Hb 128 g/l. Toucher rectal sans anomalies. A évaluer. Labo : NT pro BNP 10979, TSH sp / ECG. RX du thorax le 10.04 et le 11.04.2019. Interrogation du PM (Dr. X) : flutter auriculaire rapide (2:1), pacemaker reprogrammé en VVIR à 70/min. Avis cardiologique (Dr. X) : introduire anticoagulation, majorer bêtabloqueur, adapter traitement de l'insuffisance cardiaque. Ponction pleurale : retrait de 200 ml de liquide pleural : transsudat. Lasix puis Torem. Clexane puis Eliquis 2x 5 mg/j dès le 12.04.2019. Majoration Entresto à 2x 100 mg/j. Introduction d'Aldactone. ATT : • suivi poids 1x/jour -> poids cible 87 kg • sera convoqué par Dr. X durant la semaine du 29.04 au 03.05.2019.Labo : pas de trouble électrolytique ECG : flutter lent versus tachycardie atriale avec BAV CT scanner du 03.04.19 : pas de saignement. Séquelles de fractures frontales Schellong le 04.04.19 : positif avec chute TAS >20 mmHg Holter : résultat pas attendable : enlevement des caves par la patiente Pallesthésie au niveau des malléoles externe et interne des deux côtés : 7/8 Stimulation de l'hydratation, bas de contention Labo // Radiothorax // ECG ETT du 25.03.2019 Holter de 24 h Avis cardiologique (Dr. X) Adaptation traitement insuffisance cardiaque : Majoration Torasemide, introduction Lisinopril ATT : • coronarographie à la recherche d'une maladie coronarienne est à réévaluer selon l'évolution clinique Labo // Rx thorax Antigènes urinaires négatifs Expectorations : flore bucco-pharyngée Cathéter artériel radial du 24.04 au 26.04.2019 Ventilation non invasive intermittente du 24.04.2019 au 29.04.2019 Methylprednisolone le 24.04.2019 puis Prednisone 40 mg du 25.04 au 26.04.2019 Céfépime du 24.04 au 29.04.2019 Introduction d'Azithromycine 3x/semaine dès le 26.04.2019 Poursuite des aérosols habituels Arrêt de la Théophylline ATT : • Rendez-vous chez le Dr. X le 13.05.2019 à 9 h Labo : syndrome inflammatoire avec CRP 250 mg/l Rx-thorax : infiltrat apical gauche Hémocultures : négatives à 5 j Co-amoxicilline 1.2 g IV dès le 22.03.19 avec passage à Rocéphine 2 g/j le 25.03.19 puis relais per os par Co-Amoxicilline 3x625 mg jusqu'au 01.04.19 Labo : syndrome inflammatoire Sédiment urinaire : pas de signe infectieux Hémocultures du 01.04 et 02.04.2019 stériles PET-CT (02.04.2019) : pas d'argument pour un foyer infectieux Labo : troponine H0 170 ng/l, troponine H1 356 ng/l, troponine H4 1614 ng/l ECG Avis Dr. X le 24.04.2019 Traitement donné : Clexane 40 mg, 250 mg Aspirine cardio (ambulance), morphine, deponit 5 mg Coronarographie le 25.04.2019 Labo / urines : Ag pneumocoque positif, légionelle négatif / Hémocultures : négatives RX thoracique le 16.04.2019 CT thoracique le 17.04.2019 : image en verre dépoli diffuse avec condensations prédominant dans lobe sup. D Avis pneumologie (Dr. X) SI du 16.04 au 17.04.2019 Physiothérapie respiratoire Ventilation non invasive le 16.04.2019 Cathéter artériel radial du 16.04 au 17.04.2019 Co-Amoxicilline du 16.04 au 17.04.2019 Clarithromycine 500 mg 2x/j et Ceftriaxone 2 g 1x/j IV du 17.04 au 21.04.2019 Co-Amoxicilline 1 g 3x/j po du 22.04 au 24.04.2019 Aérosols de Ventolin et d'Atrovent du 16.04 au 22.04.2019 ATT : • contrôle chez le médecin traitant : clinique après la fin de l'antibiothérapie puis radioclinique dans 2 mois. Si persistance de l'infiltrat pulmonaire diffus, compléter par un CT thoracique Labo Analyses urinaires Stimulation à l'hydratation US ciblé aux urgences (Dr. X) : pas de dilatation pyélo calicielle bilatéralement, vessie pleine, pas de globe vésical ; fait également US 4 points membres inférieurs qui ne met pas en évidence de TVP Mise en suspens ttt néphrotoxique (Irfen, Coversum, Torem, Metformin) Suivi biologique Transfert à Riaz en absence de place à Fribourg (et patiente domiciliée à Broc) Labo aux urgences : O2 haut débit, 120 mg de Verapamil, Zomig 2.5 mg intra-nasal Avis Dr. X : hospitalisation pour la gestion des crises, début du traitement avec Topamax 25 mg le soir Rendez-vous à ce jour le 02.04.19 à 16 h 00 au centre de la douleur pour infiltration occipitale par le Dr. X ATT • hospitalisation pour gestion des céphalées Labo cétonémie glucose 24.1 créat 162 osmolalité 325 Na 133 Sédiment cétonurie Gazométrie : pH 7.16 PCO2 1.6, PO2 15, bic 4 ECG Aux urgences : Nacl 0.9% 1000 ml IV, 1000 ml NaCl 0.9% rapidement, 10 U actrapid bolus, 9 U actrapid par heure hospitalisation aux soins Labo : cf. annexe Labo : cf. annexe Labo : cf. annexe RX thorax 05.04.2019 : étalement de la silhouette cardiaque en rapport avec la position couchée de la patiente. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas d'opacité pulmonaire en faveur d'un foyer. Atelectasie en bande dans le LIG, inchangée. Pas d'épanchement pleural significatif. Elongation de l'aorte thoracique et sclérose de la crosse. Cadre osseux inchangé. CT thoracique 05.04.2019 : petit hématome sous-galéal pariétal postérieur paramédian droit, sans fracture mise en évidence. Pas de saignement intracrânien. Le reste de l'examen est superposable au précédent. ETT 08.04.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Rétrécissement aortique très serré. Surface aortique à 0,52 cm² (0,32 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 35 mmHg. Insuffisance aortique physiologique (grade 0 à 1/4). Rétrécissement mitral lâche. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4). Fonction diastolique normale. Oreillette gauche modérément dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Sténose aortique et syncope : ad coro demain et discuter TAVI Labo : cf. annexe RX thorax 28.03.2019 : absence de comparatif. Silhouette cardiaque de morphologie normale. Sclérose et déroulement de l'aorte thoracique. Calcifications de l'arbre trachéo-bronchique. Épaississements bronchiques bilatéraux. Absence d'opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux constitué. Pas d'épanchement pleural. Discopathie pluri-étagée du rachis dorsal. Arthrose acromio-claviculaire bilatérale. CT abdominal du 27.03.19 : signe d'une colite / entéro-colite. Perte des lobulations pancréatiques avec aspect mal défini de la tête pancréatique et de nombreuses adénopathies péri-pancréatiques rétro-péritonéales centimétriques et du hile hépatique. Une tumeur pancréatique sous-jacente ne peut être exclue. Compléter par une IRM. IRM pancréas 10.04.19 : comme sur le comparatif, on retrouve une discrète infiltration à proximité de la tête du pancréas avec quelques petites adénopathies à proximité de la lame rétro-portale, sans masse pancréatique clairement visible. Compte tenu de la présence d'un calcul non obstructif au sein de la vésicule biliaire, on pourrait supposer que cette infiltration pourrait être provoquée par un passage récent de calcul versus une pancréatite non compliquée. Le reste de l'examen est superposable. Labo : cf. annexe Coronarographie le 16.04.2019 : tronc commun sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure moyenne indemne de resténose intrastent actif. La première diagonale présente une lésion intermédiaire à 50-70 %. L'ostium de la seconde diagonale présente une lésion intermédiaire à 50-70 %. Thrombus intraluminal. L'artère circonflexe est indemne de lésion coronaire significative. L'artère coronaire droite est indemne de sténose sur l'ensemble de ses segments. La ventriculographie gauche montre une hypokinésie antéro-latérale. La fraction d'éjection du ventricule gauche a été calculée à 55 % (en OAD). Dilatation et stent de la subocclusion de la seconde diagonale. En raison d'une sténose intrastent de l'IVA moyenne après PCI de la seconde diagonale, démontré à l'OCT, une optimisation de la bifurcation avec kissing-balloon est réalisée avec un bon résultat final. Labo : cf. annexe CT Thoraco-Abdominale le 25.04.2019 : à l'étage cervical, dilatation du canal de Wharton probablement déjà visible sur les PET-CT comparatif sous réserve de l'absence d'injection rendant l'interprétation difficile. Stabilité du nodule thyroïdien droit. Pas de nouvelle lésion thoracique. À l'étage abdominal, apparition d'une infiltration du hile hépatique, du rétropéritoine, d'une lame de liquide libre péri-hépatique, d'un oedème péri-portal, de troubles de perfusion hépatique associés à une prise de contraste des voies biliaires (hépatite ? cholangite ?). Majoration de taille du nodule péritonéal de 13 à 24 mm.Labo: cf. annexe ETT 10.04.2019 (Dr. X): Examen de mauvaise qualité. Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Valve aortique: Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg, absence d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Absence d'insuffisance mitrale significative. Fonction systolique du VD normale. Absence de dilatation du VD. Absence d'épanchement péricardique. Labo: cf. annexe IRM cérébral le 15.04.2019 : IRM cérébrale dans les limites de la norme en dehors des stigmates de sinusopathie chronique dans le sinus maxillaire à droite. Duplex des vaisseaux transcrâniens le 11.04.2019 Labo: cf. annexe OGD et colonoscopie le 02.04.2019: Volumineuse tumeur d'allure maligne dans le côlon ascendant proximal. • lésion bourgeonnante semi-circonférentielle et substénosante. • actuellement prise de biopsies et marquage à l'encre. Le médecin-assistant référent de la patiente a été informé d'organiser un bilan oncologique avec CT-thoraco-abdominal et présentation au TumorBoard viscéral le 03.04.2019 pour discuter de la suite de la prise en charge. À noter que nous avons également informé l'hématologue référent, le Dr. X pour la suite de la prise en charge, étant donné les nombreuses biopsies. À noter qu'une prochaine colonoscopie de surveillance sera nécessaire dans 1 année selon les recommandations de la société suisse de gastro-entérologie étant donné que nous avons effectué une colonoscopie complète et que les autres lésions ont été réséquées. CT thoraco-abdo 02.04.2019 Imagerie évoquant un carcinome colique du caecum cT3cN+cM0 Biopsies: Diagnostic anatomopathologique : 1) Adénocarcinome moyennement différencié de type colorectal ulcéré, couvert d'exsudat fibrinoleucocytaire et infiltrant par endroits des petits filets de musculature lisse (neuf biopsies et un débris ascendant). 2) Adénome tubuleux de la muqueuse colique avec une dysplasie de bas degré (trois biopsies transverse). ETT le 05.04.2019: Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Labo: cf. annexe RX thorax Labo: cf. annexe Sédiment urinaire Labo: CRP 12, leucocytes 14 G/L Spot urinaire : ___ (trop tard pour rajouter osmolalité plasmatique) RX thorax: Pas d'épanchement cardiaque CT cérébral US abdo Att: • Spot urinaire demandé • ETT demandé • Vu ATCD d'EP chronique (non anticoagulée vu thrombopénie, troubles de la crase): ad filtre veine cave? Labo: CRP 23 mg/l. Lc 7 G/l. Rx lombaire: arthrose lombaire, pas de fracture, pas de pincement articulaire Antalgie par Palexia 50 mg 2x/j, Lodine 600 mg retard et 300 mg, Dafalgan et Novalgine Physiothérapie Labo: CRP 24 mg/l, Leuco 14.7 G/l Rx thoracique: foyer en base pulmonaire gauche Urines: pas de leuco, pas de nitrites Co-amoxicilline 1.2 g IV dès le 30.03.19 puis relai per os le 02.04.19 jusqu'au 07.04.19 Hydratation Labo CRP 70 Rx membre inférieur US ciblé membre inférieur gauche: pas de collection Avis ortho Dr. X: effectuer un CT du membre inférieur pour voir s'il y a une collection. Débridement des berges de la plaie pour diminuer la charge bactérienne, traitement par antibiotique. Aux urgences: 2. 2 g de co-amoxicilline CT jambe gauche : infiltration diffuse du membre inférieur gauche surtout en distalité, pas de collection, sténose significative de l'a. poplitée à gauche sous-géniculée qui aurait pu favoriser l'infection ATT • hospitalisation en médecine pour antibiothérapie IV Labo: CRP 86, leucocytes 10 G/L, tests hépatiques en diminution par rapport au dernier laboratoire Sédiment urinaire: propre Pas de CT effectué en raison du laboratoire non-alarmant, des douleurs connues et de l'absence d'EF Morphine 10 mg PO 2x/j Att: • Antalgie à majorer selon le besoin • Physiothérapie à demander selon le besoin • Voltigo à mettre en place Labo: CRP 98 mg/l, Lc 7.1 G/l Sédiment urinaire: pas d'infection urinaire ECG Rx thorax: flou péri-bronchique hilaire sans foyer franc Co-amoxicilline 1.2 g IV 3x/j et Prednisone 50 mg pendant 5 jours Atrovent et Ventolin Physio mob et resp Hospitalisation à Riaz Labo CT abdominal injecté : épaississement de la vésicule biliaire, infiltration graisse péri-vésiculaire, pas de dilatation des voies biliaires, pancréas tuméfié, avec coulée de nécrose pariétale colique G et infiltration de la graisse péri-pancréatique Avis Dr. X : complément par US pour voir si lithiase biliaire ; hospitalisation en chirurgie Labo: D-Dimères à 130 ng/ml Labo D-Dimères 2041 Sédiment CT thoraco-abdominal : masse de la queue du pancréas avec infiltration de la rate (thrombus vasculaire ou infiltration) et infarcissement de la rate, métastase hépatique au niveau du segment 2 avec trouble de perfusion et dilatation des segments 2-3, métastase au niveau du hile qui comprime, épaississement de la surrénale gauche. Réhaussement de la paroi de l'estomac et de certaines anses grêles, adénopathies dans le rétro-péritoine. Nodules au niveau du péritoine. US abdomen complet : __ Suite des investigations Labo de 08.04.2019 : sans particularités • Consilium Rhumatologie 08.04.2019 • Consilium Neurologie (Dr. X): pas d'indication pour CT cérébral, bilan vitaminique. • Consilium Psychiatrie (Dr. X): suivi psychiatrique recommandé • Avis neurologique (Dre X) le 10.04.2019: compléter le bilan biologique sérique (bilan vitaminique, TSH, glucose, tests hépatiques). Sérologie HIV, Lyme et Syphilis. Ac anti-gangliosides (Uni Zürich). Ad PL avec électrophorèse des prot. et 2 sérothèques. Si < 20 éléments, introduire Intratect 0.4 g/Kg par jour pour 5 jours, surveillance aux SI. Compléter avec Peak flow et gazométrie de baseline. PL effectuée aux urgences le 10.04.2019 : pression d'ouverture 33 cm H2O Peak-Flow aux urgences: 180 au débimètre Avis neurologique (Dr. X/Dr. X): syndrome de Guillain-Barré retenu, capacité vitale à effectuer, introduction de Intratect 0.4 g/kg/jour pour 5 jours. Surveillance aux SI. Capacité vitale : 33 % du prédit Immunoglobulines 43 gr IV. • 0.4 gr/kg/jour pendant 5 jours Hospitalisation aux soins intensifs. Labo du 04.04.2019: Lc à 6 G/l, CRP à 5 mg/ml, Tc à 72 G/l Labo du 04.04.2019: leucocytose à 11 G/L, CRP 7 mg/ml Labo du 04.04.2019: Syndrome inflammatoire avec leucocytose à 11.5 G/l et une CRP à 89 mg/l Status urinaire du 04.04.2019: leucocyturie et bactériurie, nitrites négatifs et présence de cellules épithéliales. Uricult du 04.04.2019: Staphylococcus epidermidis multisensible Labo du 05.04.2019: Absence de syndrome inflammatoire avec leucocytes dans la norme et CRP < 5 mg/ml, fonctions hépatiques et pancréatiques normales. CT abdomen du 05.04.2019: Diverticulose colique et sigmoïdienne sans signe de diverticulite. Stase stéatorale dans le côlon ascendant et le côlon transverse. Pas de foyer infectieux intra-abdominal. Labo du 05.04.2019: Troponine > 40 ng/l, CK 249 U/I, CK-MB 42 U/I, Urée 9.6 mmol/l, créatinine 153 umol/l, Na 139 mmol/l, K 4.6 mmol/l, ASAT 31 U/I, ALAT 18 U/I, CRP < 5 mg/l, leucocytes à 7.2 G/l, Hb à 139 g/l ECG du 05.04.2019: Rythme sinusal régulier, normocarde à 65/min, absence de bloc PR, QRS large à 138 ms, présence d'un bloc de branche gauche non nouveau, léger sus-décalage du segment ST, mis en lien avec le bloc de branche gauche. QTc à 472 ms. ECG superposable à l'ECG de 2015.Rx Thorax du 05.04.2019: Cardiomégalie sans signe de décompensation cardiaque Labo du 09.04.2019 : Lc 13 g/l, CRP 79. Culture: strepto positif, cultures en cours. Labo du 10.04.2019 : Hb 163 g/l, Lc 23 g/l, CRP>200 Labo du 11.04.2019 : Lc 20 g/l, CRP 160 Labo du 11.03.2019 : CRP 0, leucocytes 7. IRM injectée du 22.02.2019 (PACS) : prise de contraste au niveau du disque inter-vertébrale L5-S1 Labo du 11.04.2019 : Hb 115, Créat 74, CRP 15. Labo du 11.04.2019: leucocytes à 21.3 G/l, CRP à 10 mg/l, Tc à 148 G/l, sérologie positive pour EBV US du 11.04.2019: Présence d'une splénomégalie à minimum 14 cm. Labo du 14.04.2019: Absence de syndrome inflammatoire, avec leucocytes à 5.9 G/l, et CRP < 5 mg/l Labo du 14.04.2019: Leuco à 9.4 G/l, CRP < 5 mg/l Labo du 17.04.2019: leucocytose à 11.3 G/l, CRP à 37 mg/l, phosphatase alcaline à la limite supérieure de la norme, ASAT normal Labo du 20.04.2019: leucocytes à 23.2 G/l, avec neutrophilie et déviation G, et CRP à 166 mg/l Labo du 20.04.2019: Urée à 9.4 mmol/l, créatinine à 99 umol/l, Na à 141 mmol/l, K 2.9 mmol/l, ASAT 37 U/l, LDH à 511 U/l, PA 63 U/l GGT 37 U/l, Bilirubine 14.7 umol/l, CRP 36 mg/l, BNP > 9'000, Lc à 8 G/l, Hb à 146 g/l Rx thorax du 20.04.2019: signes de décompensation cardiaque, avec distribution baso-apicale et émoussement costo-diaphragmatique bilatéral Labo du 24.02.2019 : Crase alignée, fibrinogène et LDH dans la norme, Hb 117 Labo du 26.03.2019: Hb 125 g/l, Lc 11.9 g/L, Tc 225 g/L, Crase eo electrolytes eo. Sérologies du 26.03.2019: en ordre PAP du 28.09.2018: sp Chlamydia du 26.03.2019: négatif Labo: ECG: QTc 400 ms INR: 1.0 Angio-CT cérébral le 30.03.2019: Nouvelle hémorragie intracrânienne, dans les citernes de la base, dans le foramen magnum ainsi que le long de la tente du cervelet, a priori sur nouvelle rupture/perforation anévrismale. À noter une taille plus importante de l'anévrisme par rapport au comparatif de février, sans thrombose visible. Labo ECG RX hanche : fracture du col du fémur à droite Garden III Rx genou droit : signe d'arthrose, pas de fracture Rx du thorax Aux urgences : antalgie avec morphine, primpéran 10 mg iv, Héparine bolus 5000 UI iv puis 1300 UI/h avec contrôle du PTT anti-Xa à 19 h, adaptation selon résultat. Arrêt de l'héparine selon l'opérateur. 40 meq de potassium dans 500 ml de NaCl 0.9% sur 4h en iv. Avis ortho Dr. X : hospitalisation en orthopédie pour suite de prise en charge, faire un contrôle de l'INR à 6h00 le 19.04.19. À jeun dès minuit ce soir. ATT : • hospitalisation pour suite de prise en charge en orthopédie Labo ECG Gazométrie Rx thorax CT non-réalisable car Mme. Y ne supporte pas la position allongée Oxygénothérapie aux urgences 3 l O2 Humidification par inhalation de Nacl 0.9% ATT : • Hospitalisation en soins intensifs • ATB • VNI Labo et analyses urinaires (médecin traitant) Hémocultures à pister (HFR) US ciblé aux urgences (Dr. X/Dr. Y) : pas de dilatation pyélo calicielle D ni G, reins sans particularités, pas de liquide libre dans l'abdomen supérieur ; masse liquidienne hétérogène au niveau ovarien vs tubaire G, avec lame de liquide au pourtour Avis gynécologique Dr. Y : US endo rectal montre masse de 9 cm derrière l'utérus, compatible avec un abcès ; origine? CT abdomino pelvien : appendicite perforée avec abcédation de 9 cm de diamètre Labo: Glycémie 21 mmol/L, osmolalité plasmatique 330 mosm/kg Gazométrie Rx pied droit le 18.03.2019 Hydratation et insuline aux urgences Adaptation traitement habituel de Lantus et ajout d'insuline rapide Trajenta débuté le 03.04.19 Suivi diabétologique Soins de plaie en stomatothérapie Labo: Hb 81 g/L Att : • Seuil transfusionnel à 70 g/L Labo: Hb 83 g/l US: pas de globe, important caillot de sang au niveau de la vessie Avis chirurgical (Dr. X): pose de sonde 3 voies, rinçage 3L/24h, contrôle de l'hémoglobine 2h après le CE et demain matin, hospitalisation en chirurgie 1 CE aux urgences = pas de complication post transfusion Pose de sonde 3 voies (Dr. X) Rinçage vésical 3L par 24h évaluer l'arrêt d'un traitement anti-agrégant (à discuter avec son cardiologue) Laboratoire de contrôle 2h après le CE (à prévoir et pister par la chirurgie) Laboratoire à pister demain matin Labo: lactates 0.7, bilirubine totale 25 mcg/L CT abdominal avec contraste (transmission orale Dr. X): iléus avec saut de calibre en FID, beaucoup de liquide libre diffus, pas de pneumopéritoine, axe vasculaire perméable ECG NaCl 1000 ml/24h A jeun Avis chirurgical (Dr. X) SNG posée aux urgences Att : hospitalisation en chirurgie Labo: Lc à 10.9 G/l, CRP < 5 mmHg Rx thorax: pas de foyer pulmonaire visualisé Labo le 02.04.2019 : absence de cytolyse Echographie hépatique le 07.03.2019 Attitude : • suivi clinique et biologique Labo le 02.04.2019: CRP à 100 ng/mL, absence de leucocytose CT thoraco-abdominal le 28.03.2019 Sédiment urinaire propre Attitude : • Contrôle en ambulatoire Labo le 04.04.2019: Ac anti-SSA 155 U, Ac anti-SSB et anti-Ro52 négatifs Pas d'autres investigations en raison d'une amélioration spontanée de la symptomatologie Labo le 07.04.2019 : CRP 35, leucocytes 14 G/L Sédiment urinaire le 07.04.2019 : leucocytes, nitrites, flore bactérienne Urotube le 08.04.2019 : E.Coli multisensible Rocéphine 2g IV du 08.04 au 11.04.2019 Relais PO par Bactrim 1000 mg du 12.04 au 18.04.2019 Labo le 16.04.2019: CK 106 U/L, CK-MB 39 U/L, troponines 83 U/L, HDL cholestérol 0.75 mmol/L, LDL 3.48 mmol/L, triglycérides 7.3 mmol/L ECG initial: sp ECG lors de recrudescence des symptômes: sus-décalage en I et aVL, sous-décalage en III Coronarographie (Dr. X): Dilatation et stent de la subocclusion de la seconde diagonale En raison d'une sténose intrastent de l'IVA moyenne après PCI de la seconde diagonale, démontré à l'OCT, une optimisation de la bifurcation avec kissing-balloon est réalisée avec un bon résultat final. ETT le 18.04.2019 (Rapport oral Dr. Y): FEVG conservée Avis cardiologique (Dr. X): Efient et liquémine, pas d'aspirine Aux urgences: • Nitroglycérine 0.8 mg caps • Morphine titrée i.v. • Efient 60 mg p.o. • Liquémine 5000 UI i.v. Surveillance rythmique et biologique aux SI durant 24 heures ATT : • Aspirine à vie • Efient pendant 2 ans • Contrôle dans 1 mois chez le médecin traitant • Ergométrie dans 1 année. • Arrêt de travail 1 mois • Physiothérapie cardiovasculaire ambulatoire • RDV chez le Dr. X prévu le 18.10.2019 Labo le 18.04.2019: CRP 11, leucocytes 12 G/L, hb 94 g/L Antalgie par oxycontin du 17-23.04.2019 puis antalgie simple Physiothérapie respiratoire Attitude : • Adaptation antalgie • Suivi en chirurgie thoracique à l'HFR: RDV post-op prévu le vendredi 03.05.2019 à 14h • Tumorboard de chirurgie thoracique à l'HFR prévu le 24.04.2019 • Réadaptation respiratoire à Billens le 24.04.2019 Labo le 20.04.2019 : CRP 46, leuco 5.4 Sédiment le 19.04 : propre. US Abdo le 19.04 : Appendice non visualisé, quelques ganglions visualisés au niveau de l'iléon terminal. Avis Dr. X : contrôle FUA le 21.04.2019 8h avec FSS, CRP +/- US abdo (discuter avec Dr. X) Labo le 22.04.2019 : cf. annexes. Diminution du syndrome inflammatoire (CRP 37 mg/l, leuco 10 G/l). Labo: Lipase 1783 U/l, CRP 48 mg/l, Lc 7.1 G/l CT abdominal (rapport oral) : micro œdème pancréatique, infiltration graisse pancréatique, augmentation Wirsung dilaté 7 mm, lithiase tête pancréatique, Balthazar C , CTSI 2 Avis chirurgical (Dr. X): laisser le patient à jeun, hydratation 3 L/24h, contrôle labo demain, prévoir US la semaine prochaine.Hospitalisation en chirurgie A faire: prévoir un US hépatique à la recherche de lithiases. Labo: Lipase 1783 U/l, CRP 48 mg/l, Lc 7.1 G/l CT abdominal:___ Avis chirurgical (Dr. X): laisser le patient à jeun, hydratation 3L/24h, contrôle labo demain, prévoir US la semaine prochaine. Hospitalisation en chirurgie A faire: prévoir un US hépatique à la recherche de lithiases. Labo • Majoration de l'oxycontin à 4x 10mg/j (au lieu de 10-5-10-5) • Effentora en 2e réserve • physio mobilisation • Contacter Dr. X et Dr. X demain Labo NT pro BNP 10979 ECG Rx du thorax épanchement important base pulmonaire droite Aux urgences: ponction pleurale avec repérage échographique, désinfection avec Betadine, anesthésie avec lidocaïne, pose du drain, retrait de 200 ml de liquide visqueux avec fibrine et caillot de sang Rx de contrôle: pas de pneumothorax Aux urgences: Lasix 20 mg iv Refus de sonde urinaire ATT hospitalisation en médecine Labo NT proBNP 2423 Prévoir US cardiaque Labo NT proBNP 2438 Rx thorax: épanchement à gauche Dr. X: garder le traitement actuel Aux urgences: Lasix 20 mg iv. Labo: pas de sd inflammatoire RX bassin: arthrose hanches bilatérales Attitude: • Antalgie • Physiothérapie • Bilan à faire (VitD, TSH) Labo: pas de syndrome inflammatoire, pas de leucocytose, pas d'anémie. Labo: pas de syndrome inflammatoire, pas de troubles électrolytiques. Labo: pas de syndrome inflammatoire, pas de troubles électrolytiques Urines: pas de signes d'infection urinaire Thérapie symptomatique Laxatifs Contrôle chez gynécologue Labo RX thorax: absence de foyer ou de signe de surcharge Dernier ETT 2016: PAPs 26 mmHg Att: • ETT demandé Labo Stimulation à l'hydratation Urotube en cours; pas d'antibiothérapie d'emblée Transfert en gériatrie aiguë avec accord Dr. X Revoir projet global avec la famille Labo stix/sédiment Aux urgences: commande de 2 CE, la patiente a reçu une nouvelle carte à domicile, besoin de sag irradié ATT • Suivi biologique, passage des CE dès demain Labo stix/sédiment Aux urgences: commande de 2 CE, la patiente a reçu une nouvelle carte à domicile, besoin de sag irradié 1 CE irradié le 15.04.2019 Neupogen 48 mio le 15.04.2019 Sérologie EBV le 15.04.2019: Négative ATT • À la sortie d'hospitalisation le 18.04.2019: Leucocytes 6.4 G/L, thrombocytes 68 G/L, hb 87 g/L • Suivi clinique et biologique en ambulatoire Labo: syndrome inflammatoire, insuffisance rénale aiguë sur chronique Frottis plaie + recherche MRSA: en cours Rx pied droit: signes d'ostéomyélite Avis garde orthopédie: transfert aux urgences de l'HFR-Fribourg pour bilan avec IRM Labo: syndrome inflammatoire, insuffisance rénale aiguë sur chronique Frottis plaie + recherche MRSA: en cours Rx pied droit: signes d'ostéomyélite Uricult: en cours Avis garde orthopédie: transfert aux urgences de l'HFR-Fribourg pour bilan avec IRM Labo: syndrome inflammatoire léger avec Lc à 11.6 G/l et CRP à 20 mg/l Labo: Trop H0 172 ng/l, H3 160 ng/l, CRP 13 mg/l, Lc 10.3 G/l Gazométrie artérielle: alcalose respiratoire à 7.47 ECG: suspicion de TV Valsalva modifié Cardioversion spontanée ECG de contrôle: rythme pacé, régulier, tachycarde avec extrasystoles ventriculaires Cordarone 150 mg iv en 30 minutes aux urgences Rx thorax: épanchement pleural D Avis cardiologique (Dr. X): probable TV, pas de choc en raison du PM à 170, modification du réglage du PM prévue, Cordarone 600 mg pendant 10 jours, pas de nécessité de soins intensifs, hospitalisation en médecine. Hospitalisation en médecine Dialyse le 29.04.2019 Labo: troponines dans la norme (5 ng/l) ECG aux urgences: normalisation des troubles de la repolarisation Labo: TSH sp Echocardiographie le 23.04.2019 Majoration du Metoprolol Eliquis 2.5 mg 2x/j dès le 24.04.2019 Labo, Tx de Keppra CT natif le 24.03.2019 CT vx pré-cérébraux 24.03.2019 IRM le 26.03.2019 EEG le 25.03.2019 Avis neurologique (Dr. X) Poursuite du Keppra Labo: vitamine B12, folate TSH sp, HbA1c 4.8% Vitamine B1, B6 en cours Consilium neurologique le 25.05: ENMG prévu en ambulatoire Labo 05.01.2019: Alb 26.6 g/l, Na: 135 mmol/l, CRP: 17 mg/l, Leuc: 8.5 g/l, TC 55 G/L, PA 198 U/L, gGT 234 U/L, INR 2 ECG: tachycardie sinusale sans trouble de la repolarisation Radiographie thorax: pas de signe de décompensation cardiaque, mauvaise inspiration, pas d'infiltrat Poursuite d'Aldactone 300 mg/jour et adaptation de Furosemide per os et intraveineux puis Torem 250 mg dès le 01.04.19 Ponction d'ascite le 21.03.19: 13.5 L de liquide hématique Albumine 100 g le 21.03.19 Labo 05.04.2019: CRP 185 mg/l, lc 12.8 G/l, Hb 122 g/l, TC 384 G/L Labo 07.04.2019: CRP 170 mg/l, lc 7.4 G/l, Hb 104 g/l, TC 3015 G/L Hémocultures: Staphylococcus aureus Uricult: stérile Frotti bactériologique vaginale normal. Test strepto. A rapide: négatif Influenza A/B: négatif. Labo: 128 mg/l, 36.6 G/l, LDH 1132 U/l CT cérébral-thoraco-abdominal: métastase de 18 mm occipitale D avec œdème localisé, thorax: masse infra-hilaires D suspecte de tumeur primaire, adénopathies médiastinales et hilaires, épanchement pleural D, Abdo: multiples lésions d'allure métastatiques au niveau du foie dans les 2 lobes, 2 nodules suspects au niveau du rein D, Osseux: métastases multiples, les plus grandes au niveau de l'arc postérieur de la 9ème côte G, rachis, branche ili-pubienne D, Embolie pulmonaire sous-segmentaire au niveau de la pyramide basale D. Dexaméthasone 8 mg iv aux urgences. Hospitalisation en médecine pour suite d'investigation. ---LABO--- • 14.02.2019: FAN 160 (Ac anti-mitochondries), gp210 pos, dot blot pos. Résultats déterminés comme non significatifs par les gastro-entérologues des HUG pour une cause auto-immune, avec une image histologique parlant plutôt pour une cause médicamenteuse ---RADIOLOGIE--- (voir examens complémentaires) • US abdominal 08.02.2019 • IRM abdominal 13.02.2019 • US abdominal 26.03.2019 Avis Dr. X le 27.03.2019: hépatite très probablement médicamenteuse, médicaments à éviter à vie, pas d'autres investigations nécessaires à ce stade. Atorvastatine: pourrait être réintroduite après fin AB par Cubicine (risque d'interaction avec myopathie), de manière progressive avec contrôle régulier de la fonction hépatique Adaptation médicamenteuse et proposition du 27.03.2019: • Mise en suspens Valériane: possible hépato-toxicité • Passage du Nexium au Pantozol en raison d'interaction avec Plavix Introduction Pravastatine le 16.04.2019 à basse dose Suivi régulier des tests hépatiques avec potentielle augmentation de la dose en ambulatoire Médicaments à éviter: • Antibiothérapie: éviction pénicilline + antibiotique avec noyau de B-lactamine (céfuroxime) • Éviction sartan • Éviter médication pro-épileptogène Labo Antalgie à adapter Hospitalisation en rhumatologie dans l'idéal, mais absence de place en médecine et rhumatologie à Fribourg; transfert à Riaz (région du patient) Contacter le 05.04.2019 rhumatologues de Fribourg pour discuter traitement spécifique ou autres investigations Labo US ciblé (Dr. X): pas de liquide libre, vésicule biliaire à parois fines, alithiasique, présence d'un kyste d'environ 7 cm de diamètre au niveau du pancréas, métastases hépatiques Att: • Hospitalisation en médecine pour antalgie • Revoir indication à un nouveau CT • Revoir avec Dr. X pour suite de prise en charge oncologique Labo Consilium team spine (Dr. X): hospitalisation, IRM lombaire (extension de l'infection?), +/- opération selon IRM. Pas d'antibiotique souhaité tant que le patient n'est pas septique. Attitude: • Hospitalisation en orthopédie • À jeun • IRM lombaire demandé en urgence (pas de place) • Antalgie Labo CT pelvien non injecté (suffisant pour poser diagnostic, au vu insuffisance rénale) Réversion crase (Konakion 10mg, Beriplex 3x20ml ; demi dose Beriplex au vu poids après discussion avec chirurgie et anesthésie, complèteront durant op) Méronem 2g, Vancomycine 1g donnés aux urgences Hémocultures en cours Durant séjour aux urgences, 1500cc NaCl reçu ; noradrénaline débutée sur avis Dr. X, soins intensifs Merci d'appeler son mari pour donner des nouvelles en post opératoire (numéro dans dossier) Labo CT-cérébral angio avec vsx pré-cérébraux: suspicion d'occlusion de l'AICA antéro-inférieur gauche, pas de signe d'ischémie Avis neurologique (Dr. X): CT cérébral et symptômes compatibles pour un AVC, charger avec aspirine 500mg, puis aspirine 100mg/j, hospitalisation en stroke non monitorisé Thérapie: • Aspirine 500mg po Attitude: • Hospitalisation en médecine interne dans un lit satellite car pas de place en stroke non monitorisé • Continuer aspirine cardio 1x/j • Lit strict • Traitement de l'hypertension si TA systolique > 220mmHg Labo CT-colonne cervicale et thoracique: pas de fracture FAST (Dr. X): pas de liquide libre intra-abdominal Avis orthopédique (Dr. X): antalgie par Sirdalud, AINS ; collerette mousse pour qques jours Attitude: • Collerette mousse • IRM cervicale si persistance des douleurs Labo ECG Avis neurologie Dr. X : hospitalisation pour surveillance neurologique, faire un contrôle de la valve mitrale pendant l'hospitalisation, ajout d'atorvastatin 40 mg 1x/j. Garder le traitement de Sintron s'il est thérapeutique selon le schéma du patient. Consilium cardiologie pour US Labo ECG echo abdominale ciblée Labo ECG CT-cérébral avec vsx pré-cérébraux et carte de perfusion: AVC au niveau postérieur gauche Thérapie: • Actilyse iv. 84.6mg (8.4mg en bolus, 76.2mg sur 1h) Attitude: • Continuer actilyse iv • Hospitalisation aux soins continus pour suite de prise en charge (protocole Stroke) Labo ECG Urine: test de grossesse négatif Angio-CT cérébral: pas de thrombose des sinus, pas de dissection carotidienne Avis neurologiques (Dr. X): suspicion d'AIT, ad aspirine 250mg iv, puis aspirine 100mg po, prévoir un IRM cérébral, hospitalisation au SIC pour monitoring Attitude: • Hospitalisation au SIC pour monitoring, suivre protocole AIT • Prévoir IRM cérébrale • Bilan lipidique et Hb1Ac à pister Labo Elastase dans les selles : en cours ATT : • proposition au médecin traitant de faire une recherche de sang occulte dans les selles vs colonoscopie Labo Gazométrie Rx thorax ECG Atrovent 0.5mg + Ventolin 5mg aux urgences (pas poursuivis au vu composante plutôt cardiaque selon examens complémentaires) Introduction traitement de Torem dès le 05.04 (Lasix en ordre unique à donner à l'étage à l'arrivée à Riaz) Prévoir échographie cardiaque ; réévaluer Holter pour dépister épisodes de FA (sinusale à l'ECG, cordarone dans le traitement et notion de FA paroxystique dans dossier) Labo Hémocultures 1x périphérique, 1x Port-à-Cath, négatif CT-abdominal : trouble de la perfusion dans le lobe hépatique D pouvant évoquer une cholangite, progression des métastases hépatiques Avis chirurgical (Dr. X) : maintenir antibiotiques 48h puis réévaluer Avis oncologique (Prof. X) : stopper chimiothérapie PO (Lonsurf) Rocéphine 2g iv du 27.03 au 29.03.2019 (48h) Flagyl 500 mg iv du 27.03 au 29.03.2019 (48h) Stop Longsurf Adaptation antalgie ATT : • consultation chez Prof. X le 10.03.2019 • consultation chez Dr. X le 02.04.2019. Revoir selon l'évolution des douleurs au niveau de la jambe gauche l'indication pour une radiothérapie sur les métastases osseuses dans la colonne lombaire Labo Nexium 40 mg iv Zofran 4 mg per os Besoins d'entretien A jeûn Labor Labor Labor Labor Labor : unauffällig, der Rest den Ergebnissen noch ausstehend Labor am 08.04.2019: CRP unter 5mg/l, Leukozyten 6.2G/l CT Abdomen mit Kontrastmittel (von Gynäkologe Dr. X, Murten angemeldet): bekannte Stenose des Truncus coeliacus, keine akute Darmischämie, leichte Koprostase des Colon ascendens und des Rectums, kein Faecalom Novalgin 40 Tropfen Dafalgan 1g i.v. Labor am 08.04.2019: CRP unter 5mg/l, Leukozyten 6.2G/l CT Abdomen mit Kontrastmittel (von Gynäkologe Dr. X, Murten angemeldet): bekannte Stenose des Truncus coeliacus, keine akute Darmischämie, leichte Koprostase des Colon ascendens und des Rectums, kein Faecalom Novalgin 40 Tropfen Dafalgan 1g i.v. im HFR : 10mg morphine iv, 1g paracetamol iv Dr. X : kein chirugisches Problem, keine anle Läsion, kein Faecalom. Wir könene ein Leber Ultaschall machen, die Schmerzen komen nicht von di bekannte Stenose des Truncus coeliacus ATT hospitalisation für Schmerzen Labo: CRP 37 mg/l, Hb 118 g/l, malaria test rapide négatif Test Dengue en cours Labo: Leuco 15.7G/l, CRP 148mg/l, Urée 20.6 mmol/l ECG: Rythme régulier, bloc AV Ier degré, QRS limites de la norme avec axe 90°, ST isoelectrique, ondes T concordantes. QTc 520ms Changement de sonde le 25.03.19 Uricult en cours Ceftriaxone 2g 1x/24h IV Labo: pas de syndrome inflammatoire, lymphopénie probablement contextuelle à la virose Neocitran, Brufen Arrêt de travail 1 semaine Labo: pas de syndrome inflammatoire, pas de troubles électrolytiques Urines: pas d'infection urinaire Laxoberon gouttes 10gtt 1x/j si constipation, réconsulter si aggravation symptômes Labo: pas de troubles electrolytiques, pas de syndrome inflammatoire Voie veineuse en place Paracetamol 1g IV + Novalgine 1g IV Avis Chirurgie Cdc de garde: adresser patiente à l'HFR Fribourg pour effectuer US/CT afin d'exclure appendicite. Labo: siehe Befundkopie. Labo: siehe Beilage Labo: siehe Beilage MMS 28/30 GDS 6/15 Uhrentest 6/6 am 29.3.19 Labo: siehe Beilage MMS 30/30 Uhrentest 6/6 GDS 3/15 am 18.03.2019 EKG am 19.03.2019: RSR 58/min, PR 176ms, feine QRS, Achse 2°, negative T-Wellen V1-4, QTc 420 ms. Röntgen Schulter links am 19.03.2019: Es zeigt sich eine stationäre Projektion der Verplattung in der lateralen Hälfte der linken Clavicula, ohne Hinweise auf eine Dislokation. Regelrechte Projektion des Humeruskopfs zum Glenoid. Etwas verminderte acromiohumerale Distanz entre 0,7 et 0,8 cm. Kein Nachweis einer subacromialen Verkalkung. Gering vermehrte subchondrale Sklerosierung im Glenoid, ohne wesentliche Verschmälerung des Gelenkspaltes. Insgesamt keine Zeichen einer fortgeschrittenen Schultergelenksarthrose. Zur Beurteilung der Rotatorenmanschette ist der Ultraschall geeignet. TTE am 03.04.2019: nicht dilatierter linker Ventrikel mit Akinesie der mittleren Hinterwand sowie der posterobasalen Wand. LVEF 50%. Minimale Aorteninsuffizienz (1/4). Physiologische Mitralinsuffizienz (0-1/3). Normale diastolische Funktion. Sehr dilatierter linker Vorhof. Deutliche Dilatation des rechten Vorhofes mit normalem rechten Ventrikel sowie Pulmonal- und Trikuspidalklappen. Kein Aneurysma des Septum interauricular, kein offenes Foramen ovale vor und nach Valsalva-Versuch. Erbringung einer mindestens 14-tägigen, geriatrischen, frührehabilitativen Komplextherapie bei gegebener Indikation wegen akutstationärer Behandlungsbedürftigkeit bei Epilepsie und gleichzeitig bestehender akuter geriatrischer Funktionsstörungen bei reduzierter Mobilität nach dem letzten Epilepsie-Anfall. Es wurde gemäss den Mindestmerkmalen CHOP eine individuell fokussierte Behandlung en un teamintegrierten Einsatz der Therapiebereiche Physiotherapie, Ergotherapie, Logopädie, Ernährungsberatung, Neuropsychologie, Krankenpflege (aktivierend- und begleitend-therapeutische Pflege durch besonders geschultes Personal (7/7d)) und Sozialarbeiterin (5-stufiges Sozialassessment) unter fachärztlich-geriatrischer Leitung (Dr. X, Chefarzt Geriatrische Rehabilitation und Akutgeriatrie, Geriatrie (FMH)) mit 30 Therapieeinheiten (max. 10% als Gruppentherapie) von mindestens 30 Minuten erbracht, die in wöchentlichen Teambesprechungen dokumentiert ist.La réunion d'équipe hebdomadaire se déroule sous la direction spécialisée du Dr. X toujours le mercredi avec la participation de tous les groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, consultation diététique, neuropsychologie, soins infirmiers, conseiller aux patients), documente l'évolution et formule chaque semaine le but thérapeutique individuel du patient. Ce but est formulé en accord avec le patient et est ensuite remis chaque semaine avec le plan de traitement individualisé, afin qu'il/elle puisse voir également les objectifs suivants à atteindre et y participer activement. Evaluation d'admission Mobilité (Tinetti) 2/28 Autonomie FIM (Mot./Cogn.) 29/18 MMS/CLOCK 30/30 • 6/6 GDS 3/15 Ass. Soc. (5 niveaux) 19.03.2019 Réunion d'équipe 1 20.03.2019 Réunion d'équipe 2 27.03.2019 Réunion d'équipe 3 03.04.2019 Evaluation de sortie Mobilité (Tinetti) 8/28 Autonomie FIM (Mot./Cogn.) 57/29 Laboratoire 10.04.2019: Hb 110 g/l Laboratoire 10.04.2019: Créatinine 133 mcmol/l, Urée 11.7 Laboratoire 10.04.2019: Na 134 mmol/l Laboratoire 10.04.2019: ProBNP 1'483, CRP 38mg/l Radiographie: légère décompensation cardiaque bilatérale sans épanchement pleural Torasémide 10mg 2x/jour Boire max 1.5L par jour, poids au 10.04.2019 109kg avec vêtements Contrôle clinique et biologique le 13.04.2019 Laboratoire: NT-ProBNP : 11'202, Troponines : H0 26 ng/H1 25 ng/l, bilan avec ferritine, TSH, électrophorèse des protéines dans la norme CT cérébral du 24.03.2019 : absence de saignement intracrânien. Hématome sous-galéal frontal droit. Pas de fracture d'aspect récent. Lésions parenchymateuses fronto-basale gauche, du gyrus précentral gauche et temporale gauche, d'allure séquellaire. CT des vaisseaux pré-cérébraux le 24.03.2019 : perméabilité préservée des vaisseaux pré-cérébraux et intracrâniens, sans sténose significative. Sur les coupes passant par l'étage thoracique, mise en évidence de signes de surcharge avec épanchements pleuraux bilatéraux. ETT du 25.03.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie globale sévère. La cinétique segmentaire fine n'est pas évaluable en raison de conditions techniques moyennes. Dysfonction systolique sévère avec FEVG à 30 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Insuffisance aortique minime. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Élévation franche des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche très dilatée. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Insuffisance tricuspide légère (grade 1/3). Hypertension pulmonaire avec une pression artérielle pulmonaire systolique estimée à 49 mmHg (Gradient OD-VD à 44 mmHg + POD à 5 mmHg) et diastolique à 25 mmHg (Gradient VD-AP à 20 mmHg + POD à 5 mmHg). Absence d'épanchement péricardique. Commentaire: Dysfonction systolique nouvelle avec une FEVG sévèrement diminuée à 30%, en diminution par rapport à la comparaison de 2017. Insuffisance tricuspidienne et mitrale légères. Présence d'une hypertension pulmonaire avec PAPs à 49mmHg et PAPd à 25mmHg. Ad bilan avec ferritine, TSH, électrophorèse des protéines sériques et urinaires. Un holter de 24h à la recherche de passage en FA rapide est indiqué. Une coronarographie à la recherche d'une maladie coronarienne doit être réévaluée selon l'évolution clinique de la patiente (investigations actuelles pour un état confusionnel). Optimisation du traitement d'insuffisance cardiaque avec IEC, bêta-bloquant et aldactone à réévaluer à long terme. EEG le 25.03.2019 : EEG discrètement hors norme, caractérisé par un discret foyer intermittent lent au niveau fronto-temporal gauche, toutefois sans caractère irritatif. IRM le 26.03.2019 : pas d'argument en faveur d'une lésion ischémique ou hémorragique. Lésions séquellaires fronto-basale, du gyrus précentral et temporale à gauche. Leucoaraïose de grade 3 selon Fazekas. RX de l'épaule : pas de fracture mise en évidence. Omarthrose. Radiographie thoracique : épanchement base droite, cardiomégalie. Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire. Pas de CK, pas de lactate. ECG : cf. annexes. RSR à 96/min, PR 146 ms, QRS fins avec axe à 55°, pas de troubles de repolarisation, QTc 425ms. Radiographie du coude droit : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Pas d'épanchement articulaire. Laboratoire : cf. annexes. Hémofecatest : 1 prélèvement positif. Saignement sur maladie oncologique ? ad coloscopie en cas de majoration de l'anémie. Laboratoire : cf. annexes. Hémofecatest : 1 prélèvement positif. Saignement sur maladie oncologique ? ad coloscopie en cas de majoration de l'anémie. PCR clostridium : négatif. Retour à domicile, reconsultation en cas d'évolution défavorable. Rapports envoyés au médecin, à l'urologue et à l'oncologue traitants. Laboratoire : CRP 66 mg/l, calcémie corrigée dans la norme, QuantiFERON-TB négatif ECG : RSR, pas de bloc de conduction Rx thorax le 23.03.2019 CT thoracique le 25.03.2019 Fonctions pulmonaires le 25.03.2019 US : bursite des 2 épaules, synovites grade II au MCP et TS des fléchisseurs, épanchement des genoux ddc Arcoxia puis Celebrex stoppé en raison d'une perturbation des tests hépatiques Colchicine 1mg/j dès le 29.03.2019 Examen ophtalmologique prévu le 02.04. Fonctions pulmonaires de contrôle dans 3 mois Laboratoire : leucocytes 10.5 G/l, pas de CRP gazométrie veineuse : alcalose respiratoire (pH 7.5, pCO2 3.7 kPa, bic 22 mmol/l, lactates 2.5 mmol/l), glucose 5 mmol/l radiographie thoracique : pas de pneumothorax, pas de foyer, hyperinflation Aux urgences adultes : • O2 6 l/min • aérosols Ventolin 5 mg et Atrovent 500 mcg, puis Ventolin répété 5 mg avec bonne tolérance cardiaque (FC autour de 110 bpm) • Solumedrol 50 mg i.v. (1 mg/kg) Transfert en pédiatrie pour suite de prise en charge : • une autre dose de Ventolin en aérosol 5 mg, 2 heures après la dernière administration • sevrage progressif O2 avec saturation en a.a. > 95% 2 heures après le dernier aérosol • RAD avec accord du père avec le plan suivant : • Prednisone po en schéma dégressif : 50 mg 2x/j le 08.04 puis 50 mg 1x/j le 09.04 puis 25 mg 1x/j le 10.04 puis stop • Ventolin 6 push avec aérochamber toutes les 2 heures, dès demain à espacer toutes les 3 heures si bonne tolérance, puis suivi demain-après/demain chez pédiatre ou pneumologue pour diminution progressive sur plusieurs jours • Atrovent 2 push 2x/j le 08.04 puis stop • RDV chez Dr. X dès que possible, avant la fin de cette semaine pour refaire le point. Laboratoire // Urines US abdominal ciblé (Dr. X) Adaptation antalgie : majoration de l'antalgie par Oxycontin Dexaméthasone 4 mg per os 1x/jour dès le 09.04.2019 Laboratoire : absence de syndrome inflammatoire. Avis orthopédique : Dr. X : ad antibiotique et contrôle à 48 heures, absence d'élément pour arthrite septique. Co-Amoxicilline 1g 2x/jour. RICE. Contrôle aux ambulatoires des urgences à 48 heures.Laboratoire : absence syndrome inflammatoire. Urines sans particularité. US abdominal (Dr. X). Antalgie. Contrôle clinique et biologique dans 24h au secteur ambulatoire des urgences. Reconsulter si péjoration. Laboratoire : acide folique dans la norme, ferritine dans la norme, B12 diminué. Suivi biologique. Substitution vit. B12. Laboratoire : alcoolémie à 3.26. Gaz du sang artériel : acidose métabolique à 7.32, à trou anionique augmenté sur hyperlactatémie à 2.5. Contrôle gazométrie, péjoration de l'acidose à 7.27. Avis Soins intensifs : Ok pour transfert soins intensifs pour surveillance continue. CAT : • Transfert soins intensifs. Laboratoire : alcoolémie à 3.69 pour mille, pas d'argument clinico-biologique pour une pancréatite/hépatite. CIWA et Oxazépam en réserve. Benerva 300 mg IV. Avis psychiatrique. Hospitalisation à Marsens pour suite de sevrage. Laboratoire : aligné. ECG : rythme sinusal, P pos en I II et nég en aVR, PR 200 ms, QRS 80 ms, axe -50°, T positive en précordiales et concordante avec QRd en frontale, pas de surélévation ST, pas d'onde Q pathologique. Laboratoire : amélioration du syndrome inflammatoire. Cf. annexes. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé (CRP inférieure à 5 mg/l, leucocytes dans la norme). Laboratoire : annexé. CT abdominal du 27.03.2019 : récidive de hernie inguinale indirecte à droite à contenu graisseux avec infiltration de la graisse, parlant en faveur d'une incarcération. Pas d'anses digestives au sein de la hernie. Probable sérome d'environ 52x10x40 mm au niveau du site opératoire inguinal droit. CT abdominal du 27.03.2019 : status post-cure de hernie inguinale droite avec un volumineux hématome du canal inguinal droit ainsi qu'un hématome plus petit également du canal inguinal gauche. US abdominal du 28.03.2019 : le canal inguinal est agrandi avec un contenu hypoéchogène hétérogène, par endroits anéchogène avec un diamètre d'environ 3 cm, compatible avec un hématome, mais pas de hernie inguinale mise en évidence, notamment à la manœuvre de Valsalva. Laboratoire : annexé. CT abdominal du 29.03.2019 : on trouve l'urétéro-hydronéphrose gauche en rapport avec un calcul descendu par rapport au dernier scanner et situé actuellement au niveau de l'uretère lombaire bas à la jonction de l'uretère iliaque avec une dilatation du bassinet mesurée à 15 mm, le calcul mesure par ailleurs 6 mm de grand axe. Laboratoire : annexé. CT abdominal natif du 17.04.2019 (non injecté vu l'insuffisance rénale) : diverticulose sigmoïdienne et du côlon descendant, mais sans signe de diverticulite. Suspicion de cholécystite aiguë lithiasique. Laboratoire : annexé. CT cérébral natif + sinus et massif facial natif 22.04.2019 : fracture des os propres du nez, s'étendant processus frontal de l'os maxillaire des deux côtés, et fracture de l'épine nasale antérieure, associée à une tuméfaction des tissus mous sous-cutanés en regard. Hématome sous-galéal frontal droit et hématome des tissus mous en regard de l'arcade zygomatique droite, sans fracture associée. Pas d'hémorragie intracrânienne. Laboratoire : annexé. CT jambe droite : infiltration des tissus mous en regard de la plaie, remaniement osseux sur status post-fracture. Scintigraphie osseuse : mise en évidence d'une hypercaptation tardive, tibiale distale droite, correspondant à l'ancienne fracture connue. L'absence d'hypercaptation précoce parle en défaveur d'un état inflammatoire d'origine infectieuse, actif actuellement. Absence d'autre image suspecte au niveau du squelette. Laboratoire : annexé. ECG : normoaxé, sinusal régulier, QRS fins, pas d'élévation ST, pas de bloc. RX bassin + hanche axiale gauche 25.03.2019 : les deux prothèses sont en place. Infiltration ostéopénique de la trame osseuse. Pas d'image de déscellement. RX colonne lombaire : pas d'image de tassement vertébral décelable. Discopathies dégénératives étagées prédominant nettement en L3-L4, L4-L5 et L6-S1. Ostéophytose marginale étagée antérieure et postérieure. Arthrose interfacettaire étagée. Scoliose dégénérative dextro-convexe. CT colonne lombaire et bassin : pas d'image de tassement vertébral. Alignement conservé des murs vertébraux. Discarthrose étagée. Ostéophytose marginale étagée antérieure et postérieure. On retrouve une fracture non déplacée des parois antérieures des ailerons sacrés, de façon bilatérale, évoquant des fractures par insuffisance osseuse. Fracture-arrachement de la tubérosité ischiatique à gauche. Aspect fortement ostéopénique de la trame osseuse. Les traits de fracture restent à distance des foramens vertébraux sacrés. IRM de la colonne lombaire native 27.03.2019 : canal lombaire rétréci par une discopathie protrusive et une hypertrophie des ligaments jaunes et une arthrose interfacettaire, le maximum siège à l'étage L3-L4 avec compression sur la racine sur la queue de cheval, pas d'image de tassement vertébral. Remaniement des plateaux vertébraux à l'étage L4-L5 type Modic graisseux. Laboratoire : annexé. ECG : RSR à 63 bpm, PR de 63 bpm, QRS fins normo-axé, pas de signe pour une ischémie aiguë. QTc de 419 ms. Laboratoire : INR 1.9, créat à 69, Hb 134. Laboratoire : annexé. ECG : RSR à 80 bpm, pas de bloc AV, QRS fin d'axe normal, segment ST isoélectrique, T négative en V1. CT thoracique par le médecin traitant : pneumothorax gauche de 26 mm. Thorax face du 13.04.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Petit pneumothorax à l'apex gauche mesuré à environ 13 mm de hauteur. Laboratoire : annexé. ECG : RSR à 86 bpm, espace PR 148 ms, QRS fins normo-axé, sus-décalage ST non significatif en V1-V3, pas d'inversion des ondes T. RX colonne cervicale face/profil du 30.03.2019 : rectitude du rachis d'origine probablement antalgique. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieur et postérieur. Pas d'épaississement des tissus mous prévertébraux. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. CT cérébral natif et CT sinus/massif facial natif du 30.03.2019 : fracture du toit de l'orbite gauche et de sa paroi interne sans incarcération musculaire ou graisseuse (fragment osseux au contact du muscle droit supérieur, à confronter à une étude de l'oculomotricité). Pneumoencéphalique frontale et pneumorbitie. Fracture de l'os frontal gauche. Important hématome périorbitaire du côté gauche, hématome sous-galéal frontal gauche. Hémorragies intra-parenchymateuses mesurant 6 mm dans la région frontale gauche et frontale droite corticale. CT cérébral natif 30.03.2019, comparatif de la veille : l'examen est superposable au précédent. On retrouve notamment l'hémorragie intraparenchymateuse frontale gauche et droite inchangée en taille. Persistance d'une pneumo-encéphalique et pneumorbitie gauche, en rapport avec la fracture de l'orbite gauche connue, ne montrant pas de déplacement secondaire. Laboratoire : annexé. ECG : RSR à 87/minute, PR à 200 msec, régulier. QRS à 65 msec, axe é 25°, transition de l'onde R en V2. Pas d'onde Q pathologique ni troubles de la repolarisation. QTc à 414 msec. RX thorax 17.04.2019 : pas d'hémothorax ni pneumothorax, pas de foyer, augmentation diffuse de la trame broncho-vasculaire. RX thorax 19.04.2019, comparatif du 17.04.2019 : on retrouve un cœur de taille dans la norme. Épaississements bronchiques diffus bilatéraux avec multiples infiltrats nodulaires intraparenchymateux associés à une prédominance sous-pleurale bilatérale ouvrant le DD de séquelles de sarcoïdose (phénomène précédemment décrit sur un CT thoracique du 03.12.2007). Compte tenu de la pneumopathie interstitielle diffuse, il est difficile d'exclure un éventuel foyer surajouté. Pas d'épanchement pleural décelable.Laboratoire : annexé. • ECG : RSR 97 bpm, PR 134 ms, QRS fins normoaxés, pas de troubles de repolarisation, QTc 428 ms, 1 ESV. • Rx thorax : silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de fracture costale, ni de pneumothorax visualisé. • Rx poignet et scaphoïde : fracture peu déplacée du tiers moyen du scaphoïde. • Rx poignet gauche, examen réalisé sous contention plâtrée : pas de pli visualisé et superposable pour le reste au comparatif du même jour, notamment sans déplacement secondaire de la fracture du tiers moyen du scaphoïde. • RX genou + rotules : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. • CT main/poignet gauche du 27.04.2019 : examen réalisé dans le plâtre. Fracture non déplacée du tiers moyen du scaphoïde. Absence d'autre trait de fracture visible. Infiltration des tissus mous en regard de la fracture. Reste de l'examen dans les normes. Laboratoire : annexé. • ECG : rythme sinusal régulier à 91/minute. Axe normal. PR 176 ms. QRS fins. Pas de sus ou sous-décalage ST, QTc 400 ms. • Rx clavicule droite du 22.04.2019 : pas d'image de fracture des structures osseuses. Calcification en projection des tendons de la coiffe des rotateurs. • Rx main droite du 22.04.2019 : pas d'anomalie visible des structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. • Rx thorax du 22.04.2019 : turgescences hilaires bilatérales. Aorte déroulée et calcifiée. Status post-cerclages de sternotomie. Epaississement bibasal de la trame bronchovasculaire prédominant au niveau basal à droite avec lésion d'infiltrat pulmonaire. • Rx thorax du 23.04.2019 : turgescences hilaires bilatérales. Aorte déroulée et calcifiée. Status post-cerclages de sternotomie. Epaississement bibasal de la trame bronchovasculaire prédominant au niveau basal à droite avec lésion d'infiltrat pulmonaire. Laboratoire : annexé. • Gazométrie : PH 7.42, PCo2 5.2, PO2 6.4, Bic 25, Lact 1.3, saturation 85%. • ECG : RSR à 66/minute. PR à 160 msec, régulier. QRS à 80 msec, axe à -20°, transition de l'onde R en V3. Pas d'onde Q pathologique. Absence de troubles de la repolarisation. Qtc à 426 msec. • Rx thorax face le 05.04.2019 : pas de foyer, pas d'épanchement. • CT cérébral natif 05.04.2019 : pas d'hémorragie intra-crânienne. • CT thoracique 05.04.2019 : pas d'argument scanographique pour une embolie pulmonaire. Laboratoire : annexé. • Hémocultures du 24.03.2019 : négatives à 5 jours. • Urotube du 24.03.2019 : 0 germe. • ECG : RSR à 89/minute, PR à 150 msec, régulier. QRS fin, axe normal, transition onde R en V4. Pas d'onde Q pathologique. Pas de troubles de la repolarisation. QTc à 400 msec. • US abdominal du 24.03.2019 : on retrouve une lithiase vésiculaire avec un aspect dématié des parois de la vésicule biliaire, pouvant correspondre à une cholécystite aiguë, toutefois pas de signe de Murphy radiologique. • Rx thorax du 24.03.2019 : légère augmentation de trame broncho-vasculaire, pas de foyer. • Cholangio-IRM du 29.03.2019 : dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques avec un calcul du cholédoque de 8 mm. Vésicule biliaire modérément distendue, siège de deux calculs. • Rx thorax du 08.04.2019 : légère augmentation de trame broncho-vasculaire, pas de foyer. Laboratoire : annexé. • Rx thorax 24.04.2019 : fracture légèrement déplacée de l'arc postérieur de la 5ème côte gauche. Pneumothorax apical gauche d'environ 2 cm sans décollement latéral. Plage pulmonaire droite sans particularité sans épanchement pleural et sans foyer. Silhouette cardiaque dans la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. • Rx colonne dorsale 24.04.2019 : discrète attitude scoliotique dextro-convexe de la colonne dorsale haute probablement antalgique. Sinon la hauteur des corps vertébraux est conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs, pas de tassement. • Rx colonne lombaire 24.04.2019 : la courbure de la colonne est physiologique. La morphologie des corps vertébraux, des disques intervertébraux, des processus latéraux et épineux est normale. Pas d'altération de la structure osseuse et pas d'ostéolyse. • Rx thorax du 25.04.2019 : par rapport à la radio de la veille, pas de majoration significative du pneumothorax. Celui-ci a même légèrement diminué en taille et son épaisseur maximale est actuellement d'environ 1,5 cm. Pas de décollement latéral. Persistance d'un petit épanchement du cul-de-sac costo-diaphragmatique gauche. Apparition d'une opacité alvéolaire de l'angle costo-vertébral gauche pouvant faire évoquer une atélectasie. Plage pulmonaire droite sans particularité. • Rx thorax du 26.04.2019 : persistance de la visibilité d'une ligne de décollement pleural apical gauche en rapport avec un pneumothorax de faible abondance. Aspect modérément ascensionné de la coupole diaphragmatique gauche avec troubles ventilatoires : hypoventilation basale gauche. Pas d'anomalie du poumon droit et pas d'épanchement pleural à droite. Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Laboratoire : annexé. • Strepto-test : négatif • EBV Test rapide mononucléose : négatif. Laboratoire : annexé. • Test de grossesse : négatif. • US abdomen complet : multiples ganglions agrandis en fosse iliaque droite, mais pas d'image pathognomonique pour une appendicite. Laboratoire : annexé. • Urotube du 28.03.2019 : <10°3 germes. • Hémocultures du 28.03.2019 : négatives à 5 jours. • Rx thorax face le 22.03.2019 : status post-mise en place d'une sonde nasogastrique en bonne position ainsi que status post-mise en place d'une voie veineuse jugulaire droite avec extrémité droite dans la veine cave supérieure. Lésions en bande péri-hilaires gauches évoquant des atélectasies en bande, mais pas d'image typique de foyer pulmonaire, ni d'épanchement pleural. Cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec ostéophytose intersomatique latéralisée à droite. • Rx thorax du 28.03.2019 : silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Status post-mise en place d'une voie veineuse centrale par abord jugulaire interne droite avec extrémité entre la veine cave supérieure et l'oreillette droite. • CT abdominal du 28.03.2019 : status post-sigmoïdectomie avec anastomose latéro-terminale perméable, franchie aisément par le lavement, sans signe de fuite à ce niveau dans la cavité péritonéale ou dans le petit bassin. Latéralement au rectum à gauche, on trouve une poche de produit de contraste qui pourrait correspondre soit à un repli du rectum, soit à une perforation couverte du rectum, dont l'ostium est d'environ 2 cm de diamètre. En regard du moignon colique en fosse iliaque droite, on trouve une petite image liquidienne avec bulles d'air en son sein, au contact d'anses intestinales. Il pourrait s'agir de repli de cette anse intestinale avec quelques bulles d'air ou d'une petite collection avec bulles d'air au contact des anses intestinales (petit abcès). Une petite quantité de liquide libre dans les gouttières pariéto-colique encore dans les limites de la norme au vu du contexte post-opératoire récent (J6). Une petite bulle d'air en avant du segment III hépatique faisant évoquer en premier lieu un reste d'air intrapéritonéal post-opératoire. Pas d'air libre significatif dans la cavité péritonéale. Une collection dans la cicatrice de laparotomie médiane infra-ombilicale d'environ 4 cm de long pour 1,5 cm de diamètre pouvant correspondre à un hématome.Laboratoire : annexé. • US abdominal du 13.04.2019 : lame de liquide libre péri-hépatique, mais pour le reste l'examen est dans les limites de la norme, notamment pas de lithiase vésiculaire. • US abdominal du 23.04.2019 : aspect d'un caillot vésical échogène mobile. Rein gauche de néphropathie chronique. Loge rénale droite libre. • Analyse du calcul : copie annexée. • CT abdomen natif et injecté 04.04.2019 : signes de diverticulite sans signe de complication ce jour. Multiples calculs vésiculaires simples. • CT abdomen natif et injecté 17.04.2019 : présence de quelques concrétions hyperdenses dans l'infundibulum de la vésicule biliaire qui ne présente pas de signes de cholécystite (DD : coliques biliaires ?). Par rapport à un comparatif de novembre 2018, aspect superposable de l'épaississement des parois de l'estomac. • US abdomen supérieur natif 18.04.2019 : aspect d'une cholécystite aiguë lithiasique. Foie de surcharge stéatosique. • CT abdomen natif et injecté 23.04.2019 : abcès pelvien en fosse iliaque droite qui, au vu de l'âge du patient, de la localisation de l'abcès et de l'absence de diverticule sigmoïdien, doit vraisemblablement provenir de l'appendice. Signes d'inflammation de contiguïté de la dernière anse iléale et du côlon sigmoïde. Liquide libre en fosse iliaque droite et dans le pelvis. • IRM du pelvis natif et injectée 24.04.2019 : volumineuse collection abcédée pelvienne droite, située entre le caecum en position latérale externe, le sigmoïde en position interne. Le diagnostic différentiel demeure ouvert entre un abcès sigmoïdien versus un abcès de la pointe appendiculaire sur inflammation perforation. Petite lame de liquide accompagnatrice. • CT abdominal natif 07.04.2019 : lithiase de 3 x 3 mm de l'uretère pelvien gauche (1100 HU) avec discrète ectasie pyélique à 10 mm en amont. Absence de signe de rupture de fornix. • CT cérébral natif et CT sinus/massif facial natif du 01.04.2019 : hématome supracentimétrique infra-orbitaire droit, sans fracture du massif facial, ni de saignement intracrânien. • Rx thorax et du poignet/main droite face/profil : pas de foyer. Pas de fracture. • CT cérébral natif du 29.03.2019 : tuméfaction sous-cutanée de l'hémiface droite. Absence d'autre lésion visualisée. • CT scan abdominal le 18.04 : iléus grêle avec des anses mesurées jusqu'à 4 cm de diamètre et un saut de calibre en fosse iliaque droite, ainsi que lame de liquide libre péri-hépatique, mais pas d'autre signe de souffrance. • Rx thorax du 23.04.2019 : status post-mise en place d'une sonde nasogastrique dont l'extrémité n'est pas visualisée sur ce cliché en position infra-diaphragmatique. Surélévation de la coupole diaphragmatique droite. Cœur de volume dans la norme sans signe de décompensation. Pas d'épanchement pleural décelable. Pas de foyer parenchymateux systématisé visible. Aérogrêlie dans un contexte d'iléus. • CT thoracique du 09.04.2019 (ambulatoire et prescrit par vous-même) : on visualise effectivement des fractures d'allure récente des arcs postérieurs des 9ème et 10ème côtes droites et l'on retrouve un emphysème bilatéral diffus avec un petit épanchement pleural des deux côtés, évoquant une insuffisance cardiaque. • US abdominal du 10.04.2019 : dilatation modérée des voies biliaires à mettre en relation avec le status post-cholécystectomie, mais pas de lésion hépatique, ni de liquide libre intra-péritonéal mise en évidence. Epanchement pleural bilatéral qui paraît en augmentation par rapport au CT scanner du 09.04.2019. • Rx thorax du 11.04.2019 : en confrontation avec le CT scanner du 09.04.2019, on retrouve un épanchement pleural basal droit remontant jusqu'à l'arc antérieur de la 7ème côte. Irrégularité de l'arc postérieur de la 9ème côte dans le contexte de la fracture connue. Actuellement pas de pneumothorax décelable. Emphysème pulmonaire bilatéral. Cœur de volume dans la norme, sans signe de décompensation. Absence de fracture/tassement des corps vertébraux. • ECG : RSR avec FC à 81/minute, PR 114 ms, QRS fins, pas de sus ou sous-décalage du segment ST, QTc 481 ms. • ECG : rythme régulier, sans signe d'ischémie. • CT cérébral natif du 07.04.2019 : fractures du sinus maxillaire droit avec hémosinus associé. Fracture de la paroi supérieure de l'orbite associée à une fracture de la grande aile du sphénoïde (paroi latérale de l'orbite) sans signe d'incarcération de la musculature oculomotrice. Deux sondes de stimulation intracrânienne dans le cadre de la maladie de Parkinson en position inchangée par rapport aux examens précédents. Pas d'hémorragie intracrânienne. • ECG : rythme sinusal régulier à 60/minute, axe QRS à -5, PR 160 ms, QRS 80 ms, QTc 398 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique. • ASP du 27.03.2019 : importante distension digestive dominant sur les anses grêles. Lésions dégénératives étagées de la colonne lombaire. • CT abdominal du 27.03.2019 : image compatible avec un iléus grêle. Il semble exister une diminution du calibre de la dernière anse iléale (doute sur un saut de calibre en fosse iliaque droite). Distension gazeuse et en partie liquidienne du côlon ascendant et transverse, sans distension du côlon descendant ou du rectum. Pas de distension stomacale. L'extrémité distale de la sonde nasogastrique est à l'entrée de l'estomac (à repousser pour être en position correcte). • ECG : tachycardie sinusale à 120 bpm, BAV du 1er degré, pas de signes d'ischémie active. • ECG le 17.04.2019 : rythme sinusal à 85 bpm, PR 194 ms, QRS fins, normoaxés, QTc 431 ms, ST isoélectriques, sans signe d'ischémie active. Bonne progression de l'onde R, transition en V4. • RX thorax de face du 17.04.2019 : absence d'un bon inspirium. Pseudo-élargissement de la silhouette cardiomédiastinale. Épaississement modéré de l'arbre bronchovasculaire. • CT abdomen natif et injecté du 17.04.2019 : appendicite aiguë non compliquée. • RX thorax du 23.03.2019 : cœur de taille à la limite supérieure de la norme, avec un petit épanchement pleural bilatéral, prédominant à gauche, ainsi que des épaississements bronchiques, mais pas d'image nette de foyer pulmonaire, ni d'autre signe d'insuffisance cardiaque. • CT abdominal du 23.03.2019 : épaississement pariétal du côlon sigmoïde et descendant, compatible avec une colite, associé à la présence de liquide libre dans les quatre quadrants. Épanchements pleuraux bilatéraux de faible abondance. • CT abdominal du 29.03.2019 : aspect stable de l'épaississement modéré de la paroi du côlon sigmoïde et descendant sans image de collection. Épanchement intra-péritonéal en régression. Persistance de l'épanchement pleural bilatéral. • US abdomen complet natif du 07.04.2019 : status post-cholécystectomie. Reins de taille normale, d'échostructure conservée, sans évidence de masse. Sonde urinaire avec ballonnet semblant à cheval sur la paroi vésicale, non en place. • US de contrôle du 08.04.2019 : ballonnet de sonde Cystofix en place. Plusieurs caillots de sang intra-vésicaux. Absence de visualisation de la sonde urinaire. • US abdomen complet natif 11.04.2019 : vésicule biliaire lithiasique. Pas de dilatation des voies biliaires. Discrète dysmorphie hépatique surajoutée. Pas d'autre anomalie décelable.Laboratoire : annexé. US abdomen supérieur natif ambulatoire aux urgences le 13.04.2019 : examen compatible avec une cholécystite aiguë lithiasique. Laboratoire : annexé. US abdominal du 13.04.2019 : lithiase vésiculaire. Pour le reste, l'examen est sans particularité. Laboratoire : annexé. US cheville et pied droits 14.04.2019 : petit oedème en regard de la blessure au niveau du bord externe de l'articulation MTP du 5ème rayon. Pas de collection, ni de corps étranger objectivés. CT cheville/pied droit natif et injecté 15.04.2019 : par rapport à l'échographie du 14.04.2019, on retrouve une infiltration du tissu sous-cutané en regard de l'articulation métatarso-phalangienne du 5ème rayon sur son versant externe, compatible avec un phlegmon. Infiltration de la graisse sous-cutanée du dos du pied en regard de la partie antérieure du talus et du naviculaire, avec un aspect de bombement de la synoviale supéro-interne de l'articulation talo-naviculaire, suspecte d'une arthrite septique. IRM du pied droit native et injectée 16.04.2019 : épanchement articulaire de faible abondance, essentiellement au niveau de l'interligne tibio-talien, sans altération de signal des structures osseuses, associé à une discrète lame liquidienne au niveau de l'interligne tibio-talien. Pas d'image de collection, pas de signe d'ostéomyélite surajouté. Laboratoire : ASAT 149 U/l, ALAT 141 U/l, phosphatase alcaline 173 U/l, gamma-GT 412 U/l. Urines stix et sédiment : propres. US abdominal ciblé (Dr. X) : reins de morphologie normale, pas de cholécystolithiase. CT scanner abdominal (rapport oral) : légère infiltration péri caecale compatible avec statut postopératoire, pas de signe d'abcès, pas de collections, pas de liquide libre, pas de pneumopéritoine. Présence d'une lésion centimétrique à la tête du pancréas d'aspect kystique, DD IPMN (intrapancreatic main duct nodule). Légère prise de contraste de l'uretère droite, DD artefact. Dilatation des voies biliaires extrahépatiques déjà présente au dernier scanner. Avis chirurgical (Dr. X, Dr. X) Aux urgences : Voltarène 50 mg p.o. Att : • Cholangio-IRM demandé pour 05.04.2019 (à jeun 4 heures avant l'examen) Laboratoire : B12, acide folique dans la norme. LCR normal. CT cérébral natif à 4h post-chute (Dr. X) : absence de saignement intracrânien. Pas de fracture. Hématome sous-galéal pariétal droit et hématome sous-cutané supra-orbitaire gauche. Élargissement marqué du système ventriculaire par rapport à l'atrophie du parenchyme cérébral, avec un angle callosal mesuré à 55° à hauteur de la commissure postérieure, faisant suspecter une hydrocéphalie à pression normale. Avis neurologique (Dr. X) : traitement indiqué pour hydrocéphalie à pression normale, PL évacuatrice +/- drain traitement non indiqué actuellement au vu de l'ethylisme chronique et d'un suivi probablement compliqué. À réévaluer si sevrage efficace. Bilan pré PL : Objectif : Eval : hydrocéphalie à pression normale. Ttt : Test 10m : 1er : Nbr pas aller 28 / temps aller 21 sec / Nbr pas demi-tour 6 / Nbr pas retour 24 / temps retour 19 sec. 2ème (avec rollator) : Nbr pas aller 24 / temps aller 19 sec / Nbr pas demi-tour 5 / Nbr pas retour 23 / temps retour 17 sec. Pusch test : stable. TUG : Sans MA : lever avec les bras - temps 17.93 / Avec rollator : lever avec les bras, 2x - temps 25.73 (rollator). Bilan post-PL : Objectif : Eval : hydrocéphalie à pression normale. Ttt : Test 10m : 1er : Nbr pas aller 16 / temps aller 8 sec / Nbr pas demi-tour 5 / Nbr pas retour 20 / temps retour 11 sec. 2ème : Nbr pas aller 18 / temps aller 11 sec / Nbr pas demi-tour 4 / Nbr pas retour 17 / temps retour 11 sec. Pusch test : stable. TUG : Sans MA : lever avec les bras - temps 13.36 sec / 13.05 sec. Bilan neuropsychologique pré et post PL : troubles exécutifs et mnésiques sans amélioration post PL. Laboratoire : cf. annexes. Troponines 4 ng/L, leucocytes 4.7 G/l, CRP < 5 mg/l, D-Dimères 226 ng/mL, Hb 156 g/l, Na 142 mmol/l, K 4 mmol/l, créatinine 83 µmol/l. ECG : cf. annexes. RSR à 68/min. PR à 140 msec, régulier, isoélectrique. QRS à 80 msec, axe -50°, transition de l'onde R en V5. Pas d'onde Q pathologique. Absence de troubles de la repolarisation. Qtc à 417 msec. Radiographie du thorax face/profil : quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax visualisé. Silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexe. Laboratoire : cf. annexe. Laboratoire : cf. annexe. Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 31.03.2019 : AVC constitué en région fronto-pariéto-temporale droite avec occlusion d'allure thrombotique d'une des branches M2-M3 de l'artère sylvienne droite. Occlusion totale de l'artère carotide interne droite sur toute sa hauteur commençant 2 cm au-dessus de la bifurcation carotidienne faisant suspecter une dissection dont le caractère récent ou ancien est difficile à déterminer, à corréler à l'IRM avec séquences dédiées dissection. Multiples zones séquellaires corticales dans le territoire sylvien superficiel droit et sylvien profond à gauche. Lacune centro-pontique gauche. IRM cérébrale le 02.04.2019 : volumineuses plages d'infarctus constitué intéressant les lobes frontal, pariétal et temporal à droite avec quelques discrètes suffusions hémorragiques mais sans effet de masse significatif, sans signe d'engagement. La chute modérée de signal sur les cartes ADC, l'absence de prise de contraste ou d'hypersignal T1 parlent en faveur d'un AVC ischémique aigu tardif. Par ailleurs, on retrouve une occlusion de l'artère carotide interne droite sans signe de dissection récente. Bilan neuropsychologique le 03.04.2019 : patient vu dans nos bureaux le 03.04.2019 : peu collaborant, anosognosique, persévère sur le fait que toutes les réponses aux questions qu'on lui pose se trouvent dans son dossier médical. Mise en évidence cliniquement d'une héminégligence gauche. Echocardiographie transthoracique le 01.04.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Absence d'évidence pour un FOP au repos. CT cérébral le 10.04.2019 : lésions parenchymateuses hypodenses frontale droite et fronto-pariéto-temporale droite avec extension insulaire, correspondant aux lésions ischémiques récentes. Majoration de l'œdème péri-lésionnel avec effacement des sillons adjacents, effet de masse sur le ventricule latéral droit et déviation de la ligne médiane vers la gauche de 4 mm. Pas de franche nouvelle lésion parenchymateuse, toutefois une nouvelle lésion ischémique de petite taille ne peut pas être exclue. Ultrason duplex des carotides le 11.04.2019 (Dr. X) : duplex précérébral : ACC diffusément infiltré, à droite avec un flux avec faible composante diastolique, à gauche avec flux physiologique. ACI aux bulbes de grande taille, avec à droite une occlusion dès environ 2 cm de son départ avec un flux de butée, et à gauche un bon flux orthograde. A. vertébrale bien perméable à droite et gauche. Conclusion : persistance d'une occlusion de l'ACI droite.IRM cérébrale 15.04.19: On retrouve les anomalies de signal en hypersignal T2 intéressant la région cortico-sous-corticale fronto-pariétale à droite en discrète augmentation par rapport au comparatif. Prise de contraste giriforme au sein de cette anomalie de signal compatible avec des lésions ischémiques subaiguës. Pas de restriction en diffusion pour une lésion ischémique aiguë apparue dans l'intervalle. Augmentation des anomalies de signal en hyposignal T2* au sein de la zone de lésion ischémique compatible avec des transformations hémorragiques. Pas d'engagement. On retrouve une discrète déviation des structures de la ligne médiane vers la gauche de l'ordre 2 mm. On retrouve la thrombose de l'artère carotide interne à droite juste avant sa terminaison. Le reste de l'examen est inchangé par rapport au comparatif. Laboratoire : cf annexe CT abdominal du 31.03.2019 : Pas de changement par rapport au CT comparatif de janvier 2019, et notamment pas d'iléus ou de perforation. Dolichosigmoïde, coprostate de l'iléon distal et pancolique. Stéatose hépatique du foie gauche et veines collatérales mésentériques en péri-colique et péri-gastrique, connues. Dystélectasies lamellaires de la lingula et du lobe moyen. Avis chirurgical (Dr. X): pas d'indication à une prise en charge chirurgicale, pas d'ischémie. CT-scan cérébral avec carte de perfusion et vaisseaux pré-cérébraux le 21.04.2019 : Absence d'argument en faveur d'un accident vasculaire ischémique ou hémorragique. Sténose au départ de l'artère carotide interne gauche mesurée à 66%. Unco-discarthrose pluri-étagée de la colonne cervicale. Antélisthésis de C2 sur C3 de grade I. Deux petits granulomes calcifiés dans le lobe supérieur droit. CT-scan thoraco-abdominal du 23.04.2019: Lame d'épanchements pleuraux bilatéraux. Granulome calcifié lobaire supérieur droit. Micronodule aspécifique. Pas de foyer parenchymateux. Bulles d'air à la face antérieure du foie (origine iatrogène sur injection? Pneumopéritoine?). Lame de liquide libre péri-vésiculaire. Fécalome. Unco-discarthrose cervicale basse et discarthrose L2-L3. Lombalisation de S1. Omarthrose bilatérale. ETT le 23.04.19: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Sténose aortique légère (grade 1/3). Surface aortique à 1,39 cm² (0,73 cm²/m²) par équation de continuité. Gradient moyen VG-Ao à 18 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. L'anneau mitral postérieur est calcifié. Présence d'une structure hyperéchogène mobile vers le versant ventriculaire. Pas de sténose mitrale. Gradient moyen OG-VG à 2 mmHg. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Conclusion : L'examen montre une fonction contractile segmentaire et globale normale. L'anneau mitral postérieur est calcifié avec une structure hyperéchogène mobile vers le versant ventriculaire (DD : cordage calcifié, endocardite) et d'une valve aortique très remaniée. Selon la suite des investigations infectiologiques et résultats des hémocultures, ad ETO. Laboratoire : cf annexe ECG : cf annexe Rx thorax du 01.04.2019 : Élargissement de la silhouette cardiaque. Athéromatose calcifiée de la crosse aortique. Épaississement de la bande paratrachéale droite déjà visible en 2012, à corréler vraisemblablement à des remaniements post-opératoires. Pas de foyer parenchymateux. Pas d'épanchement. Pas de nodule suspect. Troubles dégénératifs du rachis dorsal. St/p sterno-cerclage. Spondylarthroses. Echocardiographie transthoracique le 02.04.2019 (Dr. X) : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Cinétique paradoxale du septum (bloc de branche). Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. US abdominal le 01.04.2019 : Stéatose hépatique, contours réguliers, sans lésion focale visible. Volumineuse cholécystolithiase infundibulaire sans signe de cholécystite. Tronc porte perméable, de flux hépatopète. Veines sus-hépatiques perméables, de flux hépatofuge. Rate homogène mesurant 108 mm de grand diamètre. Reins de parenchyme homogène avec kystes corticaux d'allure simple des deux côtés (rein droit et gauche à 110 mm). Pas de dilatation des voies excrétrices urinaires. Aorte abdominale de calibre régulier à 11 mm. Veine cave inférieure sans particularité. Laboratoire : cf annexe Echocardiographie transthoracique le 16.04.2019: Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Aorte non dilatée. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Absence d'élément en faveur d'EP massive (absence de dilatation ou dysfonction du VD, absence d'aplatissement du SIV).Laboratoire : cf annexe ETT du 25.04.2019 : • Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. • FEVG à 65 % (évaluation visuelle). • Hypertrophie concentrique. • Aorte normale. • Valve aortique normale. • Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. • Pas d'insuffisance aortique. • Valve mitrale normale. • Absence d'insuffisance mitrale. • Dysfonction diastolique minime (grade I). • Oreillette gauche discrètement dilatée. • Discrète dilatation du ventricule droit. • Fonction systolique du ventricule droit discrètement altérée. • Oreillette droite modérément dilatée avec une discrète dilatation du ventricule droit. • Valve tricuspide normale. • Absence d'insuffisance tricuspide. • Valve pulmonaire normale. • Absence d'épanchement péricardique. Examen quasi superposable à l ETT de 2018 si ce n est pour une discrète dysfonction de la paroi libre du VD et une interdépendance ventriculaire à l inspirium. Il n y a pas de troubles de la cinétique francs. Laboratoire : cf annexe Rx thorax du 16.04.2019 : • Comparatif du 11.04.2017. • Examen réalisé en position couchée et en incidence AP. • Cardiomégalie avec un important flou péri-hilaire, des infiltrats péri-bronchovasculaires, quelques lignes de Kerley B ainsi que des épanchements pleuraux de faible quantité, le tout étant compatible avec un œdème pulmonaire d'origine probablement cardiogène. • Status post-sternotomie avec cerclages inchangés. • Lobe azygos. • Pas de foyer pulmonaire constitué. • Le reste de l'examen est superposable. Rx thorax du 18.04.2019 : • Cardiomégalie avec flou péri-hilaire et épanchements pleuraux de quantité moyenne. • L'évolution des épanchements est difficile à évaluer en raison d'un positionnement du patient différent. • Diminution des infiltrats péri-bronchovasculaires et des lignes de Kerley B, en rapport avec une diminution de l œdème pulmonaire. • Troubles ventilatoires de la base gauche, une surinfection ne peut être exclue. • Pas de foyer pulmonaire constitué dans le reste des plages pulmonaires. • Lobe azygos. • Status post-sternotomie avec cerclages inchangés. Echocardiographie transthoracique du 17.04.2019 : • Discrète dilatation du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. • FEVG à 30 % (évaluation visuelle). • La cinétique segmentaire n est pas évaluable. • Aorte non dilatée. • Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. • Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. • Pas d'insuffisance aortique. • Insuffisance mitrale minime (1/3). • Pas d'autre valvulopathie significative. • Oreillette gauche modérément dilatée. • Absence de dilatation des cavités droites. • La fonction systolique du VD est normale. • Absence d'insuffisance tricuspide. • Frange graisseuse sans épanchement péricardique. Coronarographie du 29.04.2019 (Dr. X) : • L examen invasif du jour démontre un bon résultat à long terme après stenting le pont veineux et l IVA moyenne 2016. • La coronarographie ne montre pas de progression relevant de la maladie tritronculaire connue. • La lésion au niveau de la bissectrice est inchangée en comparaison avec l intervention 2016. • L ACD distale est malade très diffusément, il n existe pas d indication pour une intervention pour ce territoire. • La décompensation cardiaque n était pas provoquée par une ischémie relevante. Laboratoire : cf annexe Rx thorax du 19.04.2019 : • Par rapport au comparatif, on retrouve une importante cardiomégalie avec redistribution vasculaire d'interprétation difficile en raison de la position couchée. • Dilatation marquée de l oreillette droite pouvant parler pour une hypertension pulmonaire. • Pas de foyer pulmonaire constitué. • Granulome calcifié connu du lobe moyen. • Pas d épanchement pleural. • Examen du cadre osseux superposable. Angio CT abdominal et des membres inférieurs le 19.04.2019 : • Importante athéromatose mixte dans l'ensemble du réseau artériel avec occlusion de l artère fémorale profonde gauche, ainsi que de l artère poplitée (P2), associée à une absence de vascularisation des artères tibiales antérieure et postérieure, ainsi que de l artère fibulaire jusqu en distalité. • Multiples occlusions focales des artères tibiales antérieure et postérieure, ainsi que de l artère fibulaire droites, avec reprise d'une opacification jusqu en distalité. • Kyste biliaire du segment hépatique II, inchangé. • Calcifications punctiformes de la rate et des glandes surrénales. • Kyste cortical de la lèvre antérieure du rein gauche, inchangé. • Diverticulose pan-colique, sans signe de diverticulite. • Hernies inguinales indirectes bilatérales, à contenu graisseux, non compliquées. • Hydrocèle bilatérale. • Cardiomégalie avec dilatation des quatre cavités cardiaques. • Pas d épanchement pleural. • Troubles dégénératifs du rachis thoraco-lombaire avec ostéophytes antérieurs et latéraux. • Coxarthrose bilatérale. • Chondrocalcinose de la symphyse pubienne. • Gonarthrose droite, associée à une chondrocalcinose bilatérale. • Arthrose tibio-fibulo-talaire droite. Echocardiographie transthoracique le 20.04.2019 : • Discrète dilatation du ventricule gauche avec une hypokinésie sévère de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale et une hypokinésie modérée des segments restants. • FEVG à 30 % stable par rapport à l examen comparatif du 03.2019. • Hypertrophie excentrique. • Absence de thrombus ventriculaire. • Aorte discrètement dilatée. • Valve aortique normale. • Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. • Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. • Insuffisance aortique minime (grade 1/4), d'origine dégénérative. • Valve mitrale normale. • Oreillette gauche très dilatée. • Dilatation importante du ventricule droit. • Fonction systolique du ventricule droit très altérée. • Dilatation importante des cavités droites. • Valve tricuspide normale. • Valve pulmonaire normale. • Absence d'épanchement péricardique. • Veine cave inférieure compliante et non dilatée.Laboratoire : cf annexe Antigènes urinaires légionelle et pneumocoque le 31.03.2019 : pneumocoque positif Frottis grippe le 31.03.2019 : négatif Culture expectorations le 31.03.2019 : en cours Rx thorax du 31.03.2019 : Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Grand volume pulmonaire avec horizontalisation des côtes évoquant des signes d'une BPCO. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Attitude scoliotique. CT thoraco-abdominal le 01.04.2019 : emphysème pulmonaire centro-lobulaire prédominant aux apex ainsi qu'un épaississement bronchique diffus devant être en rapport avec une BPCO. Discret épaississement des septas inter-lobulaires aspécifique, plus marqué aux bases, sans signe franc de fibrose pulmonaire. On retrouve un petit nodule de 6 mm du segment postéro-basal du lobe inférieur droit, inchangé depuis 2011. Pas de masse ou d'adénopathie médiastinale. Pas d'anomalie de l'œsophage. Pas de lésion suspecte dans le parenchyme mammaire. Pas d'adénopathie axillaire. Foie de taille et de morphologie normales, sans lésion focale suspecte. Plage hypo-dense de 19 mm, bien délimitée dans le segment II devant correspondre à un kyste biliaire simple. Petite image similaire de 4 mm dans le segment III. Pas de dilatation des voies biliaires intra- ou extra-hépatiques. Pas de calcul radio-opaque dans la vésicule biliaire. Le pancréas, la rate, les glandes surrénales et les reins se présentent normalement. Pas de masse ou d'adénopathie dans le mésentère ou dans le rétro-péritoine. Les organes uro-génitaux sont sans particularité. Pas d'anomalie du cadre colique, des intestins grêles ou des parois gastriques. Infiltration athéromateuse calcifiée de l'aorte et des artères iliaques, avec possible sténose de 50% du départ de l'artère iliaque commune droite. Pas d'anévrisme. Pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante. Consultation ORL le 01.04.2019 : langue oedématiée protruant vers l'extérieur, oedème de la luette, pas de bavage nasofibroscopie : FN sp, pharyngo-larynx oedématié avec bonne mobilité des cordes vocales et espace glottique suffisant. Coronarographie en urgence le 01.04.2019 : STEMI antérieur dans le contexte d'une maladie coronarienne tritronculaire avec sténose critique de l'artère interventriculaire antérieure ostiale, sténose significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la bissectrice (lésion de bifurcation), lésion significative de l'artère coronaire droite moyenne. Succès d'angioplastie de la trifurcation (tronc commun distal, IVA ostiale, LCX ostiale, bissectrice ostiale) avec 3 stents actifs avec un bon résultat. Fraction d'éjection VG : 50% Coronarographie le 10.04.2019 : Cet examen montre une maladie coronarienne sévère de 3 vaisseaux, avec une hypokinésie postérieure en relation avec la sténose subtotale de l'artère circonflexe ; la fonction systolique globale du ventricule gauche est conservée. Coronarographie le 11.04.2019 : L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne tri-tronculaire. Angioplastie de l'artère circonflexe proximale avec mise en place d'un stent actif et angioplastie de la CD distale avec un stent actif avec bon résultat final sans thrombose ni dissection. Les sténoses moins critiques de l'IVA moyenne et de la 1ère diagonale seront traitées dans un 2ème temps dans 3 semaines. Echocardiographie transthoracique le 12.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie minime de la paroi inféro-basale. FEVG à 55 %. Remodelage concentrique. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 8 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Coronarographie le 11.04.2019 : L'examen invasif démontre une athéromatose coronarienne sans sténose. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à EF 60% avec hypokinésie inférieure. MINOCA : DD Myocardite, infarctus sous-endocardique sans sténose coronarienne. Echocardiographie transthoracique le 12.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie globale minime. FEVG à 45 %. Remodelage concentrique. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Insuffisance aortique légère (grade 1/3). Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est discrètement altérée. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. CT abdominal injecté du 19.04.2019 : Pyélonéphrite aigue bilatérale prédominant à gauche, sans signe de complication. Le reste de l'examen est dans la norme, sans maladie diverticulaire colique et sans signe d'iléus. CT abdominal le 11.04.2019 : volumineux hématome dans l'arrière-cavité des épiploons s'étendant dans le récessus sub-hépatique, associé à un important hémopéritoine, le tout en rapport avec la probable rupture d'un petit anévrisme de 11 mm sur une boucle de l'artère splénique. Pas d'argument pour un saignement actif. Empreinte d'un ligament arqué sur le tronc cœliaque. Le reste de l'examen est dans la norme. CT abdominal de contrôle le 11.04.2019 : stent-graft couvrant l'anévrisme, occlus sur toute sa longueur, avec occlusion de l'artère splénique 1 cm avant et après le stent également. Présence de multiples plages d'hypoperfusions de la rate parlant pour des infarctus. Apparition d'une irrégularité pariétale à l'ostium du tronc cœliaque (diagnostic différentiel : dissection ? thrombus ? artéfact de flux ?). CT abdominal de contrôle le 13.04.2019 : pas de changement de l'occlusion du stent-graft couvrant l'anévrisme et de l'occlusion de l'artère splénique 1 cm avant et après le stent également. Infarctus spléniques, mais sont en moins grand nombre que sur l'examen précédent. Discrète diminution de l'hémopéritoine des 4 quadrants par rapport au comparatif. Apparition de foyers pulmonaires aux deux lobes inférieurs. Laboratoire : cf annexe CT cérébral : AVC constitué en région fronto-pariéto-temporale droite avec occlusion d'allure thrombotique d'une des branches M2-M3 de l'artère sylvienne droite. Occlusion totale de l'artère carotide interne droite sur toute sa hauteur commençant 2 cm au-dessus de la bifurcation carotidienne faisant suspecter une dissection dont le caractère récent ou ancien est difficile à déterminer, à corréler à l'IRM avec séquences dédiées dissection. Multiples zones séquellaires corticales dans le territoire sylvien superficiel droit et sylvien profond à gauche. Lacune centro-pontique gauche. Echocardiographie transthoracique le 01.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Pas de passage des microbulles au repos. Absence d'évidence pour un FOP au repos. Laboratoire : cf annexe CT cérébral avec cartes de perfusion le 16.04.2019 : AVC ischémique avec pénombre pariéto-temporo-occipitale gauche, sur les territoires profonds des artères cérébrales moyennes et postérieures homolatérales, sans occlusion visualisée. IRM cérébrale le 17.04.2019 : dans les limites de la norme sans lésion ischémique récente visible. Pas de dépôt d'hémosidérine visible sur la séquence T2*. La séquence angiographique sur le polygone de Willis (TOF) ne met pas en évidence de sténose significative, de lésion anévrismale ou d'occlusion sur le cours des artères cérébrales. Laboratoire : cf annexe CT cérébral du 16.03.2019 : Pas d'argument pour un accident vasculaire cérébral ischémique constitué ou hémorragique. Athéromatose mixte des vaisseaux précérébraux, notamment aux bifurcations carotidiennes bilatérales, associée à une sténose estimée à 60 % au départ de l'artère carotide interne droite, avec un thrombus flottant. On retrouve une dilatation marquée du système ventriculaire, stable, ainsi qu'une leucoaraïose microvasculaire de la substance blanche périventriculaire. CT cérébral post-lyse du 16.03.2019 : Absence d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Stabilité globale de la légère infiltration et du petit hématome sous-cutané, supra-orbitaire frontal gauche, de 9x5 mm dans le plan axial. Le reste de l'examen est superposable au comparatif. CT cérébral du 17.03.2019 : Absence d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. IRM cérébrale le 18.03.2019 : Mise en évidence de petits AVC ischémiques subaigus précoces, de localisation corticale et sous-corticale, intéressant les lobes frontal et pariétal à droite, notamment le gyrus post-central. Il n'y a pas de transformation hémorragique. Duplex des vaisseaux précérébraux le 19.03.2019 : Sténose de 50-60 % de la carotide interne droite. Echocardiographie transthoracique le 18.03.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Aorte normale. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche modérément dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Absence d'évidence pour une source cardio-embolique structurelle. Laboratoire : cf annexe CT cérébral et cervical natif et injecté du 22.04.2019 : Pas d'argument en faveur d'un accident vasculaire ischémique ou hémorragique. Analyse dans la norme des vaisseaux pré-cérébraux et intracrâniens. IRM cérébrale du 23.04.2019 : AVC ischémique aigu en région thalamique gauche sans transformation hémorragique. Pas d'autre lésion suspecte. Laboratoire : cf annexe CT scan cérébral natif le 10.04.2019 : importante atrophie cortico-sous-corticale diffuse sus- et sous-tentorielle. Séquelles d'AVC ischémique frontal gauche. Hypodensité de la substance blanche périventriculaire compatible avec une leucoaraïose. Absence de lésion traumatique hémorragique intracérébrale. Pas de fracture récente. Hématome sous-galéal frontal gauche. Interruptions de la paroi osseuse postéro-latérale du sinus maxillaire gauche, sans hématosinus actuellement présent. Fracture multifragmentaire à bords corticalisés ancienne de l'arcade zygomatique gauche. CT scan cérébral natif de contrôle le 11.04.2019 : comme sur comparatif de la veille, présence d'une petite hémorragie dans la corne occipitale du ventricule latéral gauche de quantité superposable. On retrouve également une minime quantité de matériel spontanément hyperdense au sein de la corne occipitale du ventricule latéral droit pouvant également évoquer une hémorragie. Pas d'hémorragie sous-arachnoïdienne ou intraparenchymateuse visible ailleurs. Pas de collection sous- ou extra-durale. Le reste de l'examen est superposable, hormis une discrète diminution de l'hématome sous-galéal frontal gauche. Contrôle du défibrillateur le 10.04.2019 (Dr. X) : tests de détection, stimulations et impédances dans les normes. Laboratoire : cf annexe CT scanner abdominal le 25.04.2019 : Épaississement circonférentiel de la paroi de l'iléon distal s'étendant sur environ 20 cm avec distension de l'iléon proximal mesurant à 3,2 cm, contenant du matériel fécaloïde, associée à une turgescence des veines dans le mésentère en regard de l'iléon, d'ensemble compatible avec une poussée de maladie de Crohn. Par rapport au comparatif, discrète augmentation de liquide libre dans le petit bassin. Pas de collection intrapéritonéale. Laboratoire : cf annexe CT thoraco-abdominal le 08.04.2019 : comblements bronchiques et condensations prédominantes dans le lobe supérieur droit et le lobe inférieur gauche. Pas de signe de foyer infectieux à l'étage abdominal. Coprostase du cadre colique. Importante déformation de la cage thoracique et de l'abdomen en rapport avec une scoliose en S dextro-convexe à l'étage thoracique et sinistro-convexe à l'étage lombaire. Remaniements dégénératifs du rachis en rapport avec la scoliose. Statut post-ostéosynthèse de l'aile iliaque droite et du fémur proximal droit. Coxarthrose bilatérale. Laboratoire : cf annexe. ECG du 19.03.2019 : rythme sinusal à 75 bpm, normoaxé, QRS fins, transition de l'onde R de V3-V5. Évaluation et prise en charge neuropsychologique du 20.03 au 09.04.2019 : cf rapport. Laboratoire : cf annexe ECG : RSR à 123/min, PR 152 ms, QRS fins avec axe - 90°, ondes T négatives en V2-V3, QTc 417 ms. Rx thorax du 15.04.2019 : aspect rétractile, déjà connu, séquellaire de l'hémi-champs pulmonaire supérieur droit. Rétraction du médiastin vers le côté droit. Asymétrie de volume des deux champs pulmonaires. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer.CT-scan thoraco-abdominal du 15.03.2019 : en comparaison avec l'examen du 2 avril 2019, on retrouve un status post bi-lobectomie des lobes supérieur et moyen droits, sans changement significatif. Diminution d'épanchement péricardique. A l'étage abdominal, troubles de perfusion transitoire du foie avec discret œdème péri-portale et d'une fine lame de liquide entourant la vésicule biliaire qui contient une faible quantité de matériel hyperdense en position déclive correspondant probablement à du sludge (DD : cholécystite versus cholangite débutante ?). Pas de foyer, de collection ou d'abcès visible sur l'ensemble du volume exploré. Laboratoire : cf annexe Échocardiographie transthoracique 04.04.19 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale préservée. FEVG à 50-55 % (évaluation visuelle). Asynchronisme de contraction intra-ventriculaire gauche modéré. Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Insuffisance aortique minime. Epaississement léger des 2 feuillets mitraux. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche discrètement dilatée. Ventricule droit non dilaté. Hypertrophie minime du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit normale. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. HTAP modérée (PAPs à 40 mmHg). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. CT thoracique 04.04.19. Multiples lésions kystiques du parenchyme pulmonaire dont l'un des principaux diagnostics différentiels est la pneumopathie interstitielle lymphocytaire. Condensation dans le lobe supérieur droit pouvant être compatible avec un foyer pulmonaire. Toutefois, une lésion primaire n'est pas formellement exclue. Pas d'embolie pulmonaire. Laboratoire : cf annexe Échocardiographie 19.03.19 : examen effectué sous de mauvaises conditions techniques (patient intubé) ne permettant que les conclusions suivantes : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. Pas de trouble de la cinétique segmentaire sous réserve d'une qualité d'image médiocre. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche modérément dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Insuffisance tricuspide minime. Absence d'épanchement péricardique. Radiographie thoracique du 17.03.2019 : pas de signe de décompensation cardiaque ou d'épanchement pleural, sous réserve d'un examen réalisé en position couchée. Opacité pulmonaire apicale droite compatible avec un foyer infectieux. Structures osseuses sans particularité. Radiographie thoracique du 19.03.2019 : par rapport au comparatif, status post-mise en place d'un tube orotrachéal en position correcte, à environ 4.5 cm au-dessus de la carène. Status post-mise en place d'une SNG semblant se terminer correctement au sein de l'estomac. On visualise également un status post-mise en place d'une VVC jugulaire interne droite se terminant en projection de l'oreillette droite. Par ailleurs, nette majoration de l'opacité de l'apex pulmonaire droit devant correspondre à un foyer de pneumonie (DD masse ?). Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Le reste de l'examen est superposable. Radiographie thoracique du 20.03.2019 : tube orotrachéal en position inchangée. Majoration de l'opacité lobaire supérieure droite avec apparition d'un émoussement du récessus costo-diaphragmatique droit parlant pour un épanchement. Le poumon gauche est superposable. Le reste de l'examen est inchangé. Radiographie thoracique du 22.03.2019 : probable majoration de l'épanchement pleural à droite sans changement significatif de la consolidation du lobe supérieur droit. Le reste du status est globalement superposable. Laboratoire : cf annexe Radiographie thoracique le 22.04.2019 : flou péri-hilaire et infiltrats pulmonaires bilatéraux associés à des épanchements pleuraux bilatéraux étendus en région déclive, compatible avec une insuffisance cardiaque décompensée. Échocardiographie du 23.04.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Insuffisance aortique légère (grade 1/3). Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Oreillette gauche modérément dilatée. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. L'examen est limité en raison d'une FA rapide. Présence d'un aspect de cardiopathie hypertensive avec FEVG conservée. Laboratoire : cf annexe Rx conventionnelle bassin, hanche G et fémur G 29.03.19 : on retrouve le status post-PTH droite, sans signe de descellement. Pas de déplacement. Pas de fracture péri-prothétique. Aspect raccourci et impacté du col fémoral gauche, inchangé. Chondrocalcinose. Calcifications vasculaires. Status post-implantation d'une prothèse totale du genou avec matériel intact sans signe de descellement. Pas de fracture péri-prothétique. Épanchement articulaire. Importantes calcifications vasculaires. Ultrason genou G 09.04.19 : tendon quadricipital épaissi, non suivi sur toute sa longueur, montrant une interruption hyperéchogène sur 2 mm à environ 1 cm de son insertion, pouvant évoquer un hématome. Pas d'épanchement articulaire. Dans le contexte de remaniements, l'examen est de qualité suboptimale et nous proposons un contrôle dans le but d'évaluer à nouveau le tendon quadricipital. Laboratoire : cf annexe Rx thorax du 05.04.2019 : aortenelongation mit Sklerose. Prominente, gefässtypische Hili. Allseits bis nach peripher abgrenzbare Lungenstruktur und Gefässzeichnung mit 1:1 bzw. 1:2 apiko-basaler Verteilung. Am ehesten postentzündliche narbige Residuen links parakardial. Kein Nachweis eines eindeutigen Infiltrates. Etwas retrokardiale vermehrte streifige Zeichnung sowie postentzündliche narbige Residuen links parakardial. RX thorax du 11.04.2019 : calcification de la crosse aortique. Cardiomégalie. Possible opacité rétro-cardiaque de nature indéterminée. Opacité infra-hilaire à droite, non visible sur le comparatif, foyer infectieux ? Le reste de l'examen est inchangé.CT abdominal natif du 09.04.2019: Pas de foyer pulmonaire. Pas de liquide ni air libre. Constriction trans-mésentérique avec sténose (saut de calibre) à 28 cm en amont de l'anastomose entéro-rectale, sans signe indirect d'étranglement. Estomac rempli de liquide, duodénum rempli de liquide avec un diverticule médian du deuxième duodénum rempli d'air, anses grêles dilatées remplies de liquide avec un diamètre de 4.5 cm et, en ventral, anse grêle dilatée remplie d'air d'un diamètre de 6.2 cm. Aucune preuve de métastases. Minime hernie hiatale chronique. Kystes corticaux rénaux gauches de la partie intermédiaire en légère augmentation et stable au pôle supérieur. Ostéochondrose L5-S1. CT abdominal natif du 13.04.2019: Saut de calibre dans le flanc droit avec une dilatation des anses intestinales en amont, néanmoins diminution de l'iléus avec dilatation de quelques anses proximales, mesurant jusqu'à 5 cm. Pas d'air libre ou de liquide libre. Petit diverticule para papillaire du D2. Condensations dans les deux lobes inférieurs compatibles avec des foyers de broncho-aspiration. Pour le reste, pas de changement notable. Laboratoire: cf annexe Rx thorax du 16.04.2019 : Silhouette cardiomédiastinale élargie, en position couchée. Pas de cardiomégalie. Les hiles sont difficilement interprétables. Absence de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Pas de nodule suspect ni de foyer infectieux. Cadre osseux sans particularité. Coronarographie le 16.04.2019 : STEMI latérale sur maladie coronarienne avec monotronculaire avec antécédent de STEMI antérieur le 21.02.2018, subocclusion de l'ostium de la seconde diagonale au niveau des stents de l'IVA (lésion bifurcation): angioplastie et mise en place de 1 stent actif, OCT et Kissing-balloon. Bon résultat après PCI de l'IVA proximale et moyenne. Fraction d'éjection du VG 55%, hypokinésie antéro-latérale. Laboratoire: cf annexe Rx thorax du 23.04.2019 : Thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Coronarographie le 23.04.2019 : maladie coronarienne bitronculaire, qui n'explique pas le syndrome coronarien aigu. Par contre, la ventriculographie met en évidence un aspect de syndrome Takotsubo de type 'mid-ventricular' avec une dyskinésie diaphragmal/antéro-latérale et une hyperkinésie des parois basale et apicale (FEVG à 45%). Les pressions télédiastoliques sont élevées à 34 mmHg. Pas d'argument pour une dissection aortique ou une embolie pulmonaire. Laboratoire: cf annexe Rx thorax du 30.03.2019 : Déroulement de l'aorte thoracique descendante. Port-à-cath pectoral droit dont l'extrémité se trouve en surprojection de la veine cave supérieure, en place. Épaississement bronchique à droite sans foyer pulmonaire. Pas de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Spondylarthrose. CT cérébral le 30.03.2019 : Uncodiscarthrose étagée en C5-C7. Examen du cerveau et des vaisseaux pré-cérébraux dans les limites de la norme, en particulier sans métastase mise en évidence. Laboratoire: cf annexe Rx thorax le 22.04.2019 : Pas de franc signe de décompensation cardiaque ou d'épanchement pleural, sous réserve d'un examen réalisé en position couchée. Épaississements bronchiques bilatéraux prédominants aux bases avec mise en évidence d'une opacité pulmonaire basale gauche. Structures osseuses sans particularité. Coronarographie le 22.04.2019 : recanalisation, aspiration, angioplastie et mise en place de 1 stent actif dans l'artère interventriculaire antérieure moyenne, angioplastie avec mise en place de 1 stent actif d'une longue sténose de l'IVA distale. Laboratoire: cf annexe Rx thorax le 31.04.2019 Laboratoire: cf annexe Rx thorax (02.04.19): Silhouette cardiaque dans la norme, sans signe de décompensation cardiaque. Discrets troubles ventilatoires des bases pulmonaires, notamment à gauche. Pas d'image pathologique en projection des plages pulmonaires et pas d'épanchement pleural. L'examen du cadre osseux est sans particularité. Coronarographie en urgence (01.04.19) : STEMI antérieur dans le contexte d'une maladie coronarienne tritronculaire avec sténose critique de l'artère interventriculaire antérieure ostiale, sténose significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la bissectrice (lésion de bifurcation), lésion significative de l'artère coronaire droite moyenne. Succès d'angioplastie de la trifurcation (tronc commun distal, IVA ostiale, LCX ostiale, bissectrice ostiale) avec 3 stents actifs avec un bon résultat. Fraction d'éjection VG : 50% ETT (03.04.19): Ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie modérée du septum apical, du septum moyen et de la paroi latéro-apicale. FEVG à 55 %. Hypertrophie concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4). Fonction diastolique normale. Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. US rénal et des voies urinaires (03.04.19): Échographie des voies urinaires dans les limites de la norme, hyperplasie prostatique avec protrusion du lobe médian dans la paroi postérieure de la vessie. Laboratoire: cf annexe Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf. annexes. Avis du Dr. X de médecine interne : faire un ultrason abdominal (appendicite, liquide libre). Ultrason : décrit ci-dessous. Avis et passage du chirurgien, le Dr. X : faire un CT-scan abdominal pour visualiser l'appendice. CT-scanner : décrit ci-dessous. Avis et passage du Dr. X (chirurgien de garde) : indication chirurgicale retenue, pas de possibilité au bloc opératoire de Riaz, ad transfert à l'HFR Fribourg. Appel à l'assistant de garde, qui accepte le transfert. Laboratoire: cf. annexes. CRP 10mg/l (12mg/l), leucocytes 6.2G/l (6.8G/l). Laboratoire: cf. annexes. CRP 42mg/l, leucocytes 10.9 G/l. Traitement symptomatique.Arrêt de travail pour 3 jours. Laboratoire : cf. annexes : Hb 137g/l, CRP <5mg/l, leucocytes 9.2G/l, hépato-pancréatique sp. Avis du Dr. X, de médecine interne. Traitement par Ulcar, Nexium et Dafalgan. Prise en charge dans 1 semaine à la consultation du médecin traitant pour contrôle clinique et réévaluation de l'indication aux traitements introduits. Reconsultation en cas d'évolution défavorable. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.4G/l, CRP <5mg/l., Na 141mmol/l, K 4.2mmol/l, créatinine 98µmol/l. Laboratoire : cf. annexes : leucocytose à la baisse (hier 17.7G/l, ce jour 13.9 G/l) CRP à la hausse. Reste aligné. Ultrason abdominal complet et recherche d'appendicite : pancréas partiellement masqué au niveau de la portion caudale par les superpositions aérodigestives. Foie discrètement agrandi de taille mesurant 14cm sur la ligne médio-claviculaire D. Contours discrètement arrondis. Parenchyme discrètement hyperéchogène stéatosique, sans lésion focale. Vésicule biliaire alithiasique, à parois fines, indolore. Les reins sont en place, de taille normale, d'échostructure conservée, bien différenciés, sans dilatation pyélocalicielle. Rate de taille normale, homogène. Vessie peu remplie. Utérus de morphologie dans la norme. Endomètre fin. Les ovaires sont partiellement masqués par les superpositions aérodigestives avec une formation kystique de 2cm de l'ovaire G. Plusieurs kystes folliculaires à D. Pas de liquide libre dans le douglas. Vascularisation présente au doppler couleur ddc. En FID, l'appendice n'est pas visualisé. L'analyse est limitée en raison du morphotype. Pas de collection décelable. CONCLUSION : analyse de la fosse iliaque D partiellement limitée par le morphotype. Appendice non visualisé. Kyste folliculaire de 2cm ovarien G connu. Pas de liquide libre. (Dr. X). CT-scan abdominal injecté : le foie est de taille, de configuration et de densité normales. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Aucun calcul radio-opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Les reins sont de taille et de configuration normales, sans dilatation du système excréteur. La vessie est peu remplie et l'on ne visualise pas de pathologie gynécologique. Petite infiltration de la graisse péri-caecale, avec quelques ganglions mésentériques modérément agrandis en regard et un appendice mesuré jusqu'à 9mm de diamètre. Irrégularité des plateaux vertébraux dorsaux inférieurs et lombaires supérieurs, pouvant correspondre à des séquelles de maladie de Scheuermann peu marquée. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. CONCLUSION : examen compatible avec une appendicite non compliquée. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Bilirubine totale 31.9µmol/l, bilirubine directe 10,3µmol/l, érythrocytes 5,35T/l, MCV 80fl, MCH 27pg. Stix et sédiment urinaire : propres. Cf. annexes. Test de grossesse : négatif. Laboratoire : cf. annexes. Ca corrigé 2.17, Mg 0.88, K 3.6. ECG : cf. annexes. RSR à 80 bpm avec plusieurs extrasystoles ventriculaires, PR à 160 ms, QRS dans la norme avec un axe à -10°, QTc à 420 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition tardive en V5, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. Laboratoire : cf. annexes. Cf. annexes. Radiographie du thorax : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Lésions dégénératives étagées de la colonne dorsale. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CK 296U/l, leucocytes 8.6G/l, CRP <5mg/l. Laboratoire : cf. annexes. Colonoscopie le 23.04.2019 (Dr. X, rapport provisoire) : description : inspection de la marge anale et toucher rectal : sans particularité. Pas d'hémorroïdes significatives. Bonne préparation colique et bonne visualisation de la muqueuse. Progression jusqu'au niveau de la flexure côté droit. À cet endroit, présence d'une tumeur sténosante exulcérée avec beaucoup de selles solides en regard iléo-caecal. Tumeur non traversable avec l'endoscope de 12 mm. Prise de prélèvements. Présence de quelques diverticules au niveau du sigmoïde sans signe d'inflammation. Présence de 3 polypes sessiles de 6 mm au niveau du rectum. Les 3 polypes sont réséqués à l'anse froide, macroscopiquement in toto. Conclusion : tumeur sténosante modérée et ulcérée au niveau de la flexure à droite avec beaucoup de selles solides au niveau proximal. Diverticulose sigmoïdienne légère sans complication endoluminale. Résection de 3 polypes sessiles de 6 mm au niveau du rectum. Laboratoire : cf. annexes. Consultation ORL le 01.04.2019 (Dr. X) : langue oedématiée protruant vers l'extérieur, oedème de la luette, pas de bavage. Nasofibroscopie : FN sp, pharyngo-larynx oedématié avec bonne mobilité des cordes vocales et espace glottique suffisant. Laboratoire : cf. annexes. CRP à 68mg/l, pas de leucocytose. Laboratoire : cf. annexes. CRP à 7mg/l, leucocytes à 13.6 G/l, bilan hépato-pancréatique normal. Laboratoire : cf. annexes. CRP 113G/l, leucocytes 8.5G/l. Radiographie lombaire face profil : pas d'image de fracture ou de tassement. Les corps vertébraux sont de hauteur conservée. Alignement conservé des murs vertébraux. Discrète attitude scoliotique sinistro-convexe. Ébauche d'ostéophyte étagé antérieur. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CRP 36mg/l, leucocytes 14.9G/l, fonctions rénales normales. Sédiment urinaire : cf. annexes. 21-40 leucocytes par champ, pas de sang. Urotube et hémocultures : à pister. Test grossesse urinaire : négatif. Laboratoire : cf. annexes. CRP 36mg/l, leucocytes 14.9G/l, fonctions rénales normales. Sédiment urinaire : cf. annexes. 21-40 leucocytes par champ, pas de sang. Urotube et hémocultures : à pister. Test grossesse urinaire : négatif. Rocéphine 2g iv en ordre unique le 29.04.2019. Ciprofloxacine 500mg 2x/jour du 30.04 au 05.05.2019 compris. Contrôle chez le médecin traitant en début de semaine prochaine. Laboratoire : cf. annexes. CRP 46mg/l. Sédiment urinaire : 6-10 érythrocytes par champ sans leucocyte. Test de grossesse : négatif. Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l, leucocytes 10G/l, tests hépatopancréatiques dans la norme, pas de signe de malnutrition. Sédiment urinaire : pas de leucocyte ni de nitrite, érythrocytes incomptables. CT-scan abdominal : calculs au niveau intra-rénal droit, sans dilatation des cavités rénales, au nombre de 3, déjà mentionnés. Pas de calcul intra-rénal à gauche. Calcul éliminé intra-vésical mesurant 5mm. Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l, leucocytes 10G/l, tests hépatopancréatiques dans la norme. Sédiment urinaire : dans la norme. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l, leucocytes 15G/l. Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l, leucocytes 6.1G/l. Sédiment urinaire : cf. annexes. Leucocytes incomptables. Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l, leucocytes 8.3G/l, bilirubine totale 29.8µmol/l et bilirubine directe 9.2µmol/l. Sédiment urinaire : cf. annexes. Érythrocytes incomptables. Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l, leucocytes 9.9G/l. Radiographie du genou droit et rotules ddc : pas d'anomalie visible des structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CRP 66mg/l, leucocytes 10.3G/l. Sédiment urinaire : cf. annexes. Pas de sang, pas de leucocyte. CT-scan abdominal : décrit ci-dessous. Rocéphine-Flagyl iv 1 dose. Retour à domicile avec antalgie + Buscopan et Co-Amoxicilline 1g 3x/jour pour 10 jours. Contrôle clinico-biologique mardi 23.04.2019.Rendez-vous avec le Dr. X à 1 mois pour cholécystectomie. Consultation avant si péjoration clinique. Laboratoire : cf. annexes. CRP 8 mg/l, leucocytes 5,8 G/l, acide urique 392 mmol/l. Avis du Dr. X, de médecine interne. Bains de Dakin et suivi chez un podologue. Laboratoire : cf. annexes. CRP 84 mg/l, sans leucocytose. ECG : RSR à 67/min, PR à 138 ms, régulier, isoélectrique. QRS fin à 92 ms, axe à -14°, transition de l'onde R en V3. Pas d'onde Q pathologique. QTc à 387 ms, pas de signe d'hypertrophie du ventricule gauche. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. CRP 9 mg/l, bilan hépato-pancréatique normal. Transfert pour évaluation en gynécologie à l'HFR Fribourg. Laboratoire : cf. annexes. CRP < 5 mg/l, leucocytes 5,6 G/l, pas de trouble électrolytique. Transfert en psychogériatrie au RFSM De Marsens, départ en ambulance. Laboratoire : cf. annexes. CRP < 5 mg/l, leucocytes 5,6 G/l. Co-Amoxicilline 1 g 2 x/jour pour 5 jours. Laboratoire : cf. annexes. CT thoracique du 04.03.2019 (externe) : volumineuse masse tumorale centrée sur le hile pulmonaire droit envahissant très largement le médiastin et se prolongeant dans le lobe moyen, avec une atélectasie quasi complète de ce dernier. Fonctions pulmonaires le 18.03.2019 PET-CT 18F-FDG du 19.03.2019 (Dr. X ; Dr. X) Comme sur le CT comparatif du 04.03.2019 réalisé à l'HIB, on retrouve une volumineuse masse tumorale du hile pulmonaire droit, provoquant actuellement une occlusion des bronches lobaires moyennes et inférieures, avec atélectasie complète du lobe moyen et du lobe inférieur droit. En raison des atélectasies et de l'absence d'injection iv de produit de contraste, il n'est pas possible de comparer la taille de la masse. On retrouve également de volumineuses adénopathies médiastinales, intéressant notamment la loge de Barety (4R) et la région sous-carinaire (7), de taille inchangée. Il n'y a pas de manifestation tumorale visible dans le reste du volume exploré. Sur les coupes passant par le cerveau, mise en évidence d'une plage cortico-sous-corticale hypodense du lobe frontal gauche devant correspondre à une lésion séquellaire. Une imagerie cérébrale dédiée est néanmoins recommandée afin d'exclure des métastases. Mise en évidence d'une intense hypercaptation pulmonaire droite envahissant massivement le hile et le médiastin et probablement le diaphragme, correspondant à une tumeur primitive du poumon. Absence de lésion hypermétabolique suspecte d'éventuelles métastases pulmonaires controlatérales, hépatiques, surrénaliennes ou osseuses. Bronchoscopie avec ultrasonographie endobronchique (EBUS) du 19.03.2019 (Dr. X) : Sténose complète du tronc souche droit par une volumineuse compression extrinsèque de provenance postérieure. Invasion de la muqueuse comprenant la carène principale et le départ du tronc souche gauche. Volumineuses adénopathies infracarinaires gauche et interlobaires inférieures droites ainsi que paratrachéales supérieures et inférieures droites (2R et 4R). Radiographie du thorax du 19.03.2019 (Dr. X) : Comme au PET-CT du même jour, on retrouve une opacité basale en rapport avec des atélectasies complètes du lobe moyen et du lobe inférieur droit. Sous réserve de la position, pas de pneumothorax visualisé. Le poumon gauche se présente normalement. Status post-sternotomie avec cerclages intacts. Discopathie dorso-lombaire étagée. Interprétation de la biopsie du 19.03.2019 PROMED P2019.3263 (Dr. X) : • biopsie masse tumorale tronc souche droit : carcinome à petites cellules de la muqueuse respiratoire (sept biopsies, masse tumorale tronc souche droit). • EBUS TBNA interlobaire inférieur gauche (station 11 L) et paratrachéal supérieur et inférieur droit (station 2 R et 4 R) : carcinome à petites cellules. IRM cérébrale natif et injectée du 21.03.2019 (Dr. X ; Dr. X) Absence de comparatif IRM. Absence de lésion néoplasique. Lésions séquellaires frontales bilatérales. Leucoaraïose de type II selon Fazekas. Laboratoire : cf. annexes. CT-scan cérébral injecté avec vaisseaux pré-cérébraux : les structures médianes sont en place. Le système ventriculaire est non dilaté. Pas d'hémorragie méningée. Pas d'hématome intraparenchymateux ou juxta-osseux. Les sinus veineux duremériens sont perméables. Perméabilité par ailleurs des artères carotides communes internes, externes et des artères vertébrales et du tronc basilaire de façon bilatérale avec très fines plaques calcifiées et infiltration athéromateuse, essentiellement des artères carotides internes. CONCLUSION : pas de lésion d'allure ischémique ou hémorragique visible au niveau cérébral. Perméabilité des troncs supra-aortiques. (Dr. X). ECG : cf. annexes. RSR à 63/min, pas de trouble de conduction, pas de trouble de la repolarisation. Laboratoire : cf. annexes. D-dimères 540 ng/mL, Na 138 mmol/l, K 3,8 mmol/l, créatinine 71 µmol/l, urée 4,7 mmol/l, leucocytes 7,3 G/l, CRP < 5 mg/l. ECG : cf. annexes. RSR à 62/min, PR à 172 msec, régulier. QRS à 76 msec, axe à 65°, transition de l'onde R en V3. Pas d'onde Q pathologique ni troubles de la repolarisation. QTc 436 msec. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Paracétamol 1000 mg, Nexium 40 mg, Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Retour à domicile avec antalgie. Contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Test d'effort à faire en ambulatoire. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 93 bpm, axe normal à 77°, QRS fins à 84 ms, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R en V3, QTc à 428 ms. Laboratoire : cf. annexes. ECG : flutteur auriculaire connu avec FC 114 bpm. CT thoraco-abdominal injecté le 07.04.2019 : à l'étage thoracique, pneumonie du lobe inférieur droit sans signe de complication. Hypertension pulmonaire associée à des signes de décompensation cardiaque. À l'étage abdominal, ascite dans le cadre de la décompensation cardiaque. Pas de signe de cirrhose hépatique ou de foyer abdominal profond. Anasarque. CT cérébral natif le 09.04.2019 : pas de fracture des os du crâne, ni de saignement intracrânien. Laboratoire : cf. annexes. ECG : RSR à 84 bpm, PR à 120 ms, QRS dans la norme avec un axe à 66°, QTc à 440 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 01.04.2019 : RSR 73 bpm, axe gauche, PR 140 ms, QRS fins 102 ms, pas de sus-/sous-décalage. Gazométrie du 02.04.2019, à l'air ambiant : pH 7.44, pCO2 4.16 kPa, pO2 10.01 kPa, BIC 20 mmol/l, satO2 96%. Spirométrie du 02.04.2019 : CVF 87% du prédit, VEMS 69% du prédit, Tiffeneau 62% - qualité D. Spirométrie du 09.04.2019 : CVF 94% du prédit, VEMS 103% du prédit, Tiffeneau 85% - qualité B. Diffusion du CO du 09.04.2019 : DLCO 89%. Polygraphie nocturne du 04.04.2019 : IDO 36.4/heure, IAH 44.6/heure. Oxymétrie nocturne du 10.04.2019 avec VNI sous O2 1 -> 0.5 lt/min : SpO2 moyenne 93%, index des événements de désaturation 6.4/heure. Radiographie thorax du 01.04.2019 (comparatif du 07.03.2019) : disparition partielle des altérations alvéolaires bibasales qui étaient plus marquées à la base gauche. Cardiomégalie inchangée. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Test des 6 minutes, à l'entrée, à l'air ambiant : distance parcourue 485 m. FC 79-108 bpm, TA 129/89 mmHg - TA 142/82 mmHg, satO2 99% - 96%, EVA dyspnée 0/10 - 4-5/10. Test des 6 minutes, à la sortie, à l'air ambiant : distance parcourue 605 m. FC 96-140 bpm, TA 114/81 mmHg - TA 149/82 mmHg, satO2 95% - 94%, EVA dyspnée 0/10 - 7/10. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 02.04.2019 : RSR, axe gauche, FC 90 bpm, ondes P négatives en V1, QRS fins, ondes T plates en V5, V6 et négatives en D3.Laboratoire : cf annexes. ECG du 02.04.2019 : RSR, axe gauche, FC 75 bpm, QRS fins, ondes T négatives en D3, pas d'autre trouble de repolarisation. Radiographie colonne cervicale face/profil, colonne dorsale face/profil, colonne lombaire face/profil et bassin du 09.04.2019 : • Colonne cervicale : ébauches d'ostéophytes au niveau du coin antéro-inférieur de C5 et antéro-supérieur de C6. Alignement conservé des murs vertébraux. Les espaces intersomatiques sont de hauteur conservée. Pas de diastasis C1-C2. • Colonne lombaire : attitude scoliotique dextro-convexe de la colonne lombaire. Les corps vertébraux sont de hauteur conservée. Ébauches d'ostéophytes étagés antérieurs. Pincement modéré de l'espace discal L5-S1. • Colonne dorsale : ébauches d'ostéophytes étagés antérieurs. Les corps vertébraux sont de hauteur conservée. Aspect modérément irrégulier des plateaux vertébraux au niveau dorsal haut. • Bassin : coxarthrose bilatérale avec ébauche d'ostéophyte au niveau des coins supéro-externes. Pas d'anomalie suspecte de la trame osseuse. Pincement modéré des coins supéro-externes. Laboratoire : cf annexes. ECG du 06.03.2019 : RSR 74 bpm, axe gauche, hémibloc antérieur gauche, PR 0.04 ms, QRS fins 90 ms, QTc 440 ms, ondes T négatives en DIII, V1 pas de sus-/sous-décalage. Gazométrie du 12.03.2019, à l'air ambiant : pH 7.43, pCO2 4.36 kPa, pO2 10.3 kPa, BIC 21 mmol/l, satO2 96.5 %. Spirométrie du 12.03.2019 : CVF 60 % du prédit, VEMS 56 % du prédit, Tiffeneau 79.6 % (qualité C). Diffusion du CO du 19.03.2019 : DLCO 33 %. Radiographie thorax du 07.03.2019 : cœur de volume dans la norme. Infiltrat réticulo-nodulaire étendu sur les 2 champs pulmonaires avec atteinte interstitielle prédominant aux 2 bases évoquant une fibrose. Un foyer de surinfection demeure difficile à exclure. Pas d'épanchement pleural. Variante de la norme avec présence d'un lobe azygos. Probable TIPS en projection intra-diaphragmatique droite. Radiographie thorax du 21.03.2019 : on retrouve des altérations interstitielles diffuses bilatérales d'allure réticulaire dans le contexte de la pneumopathie interstitielle connue. Actuellement, pas d'évidence de bronchogramme aérique en faveur d'un foyer constitué surajouté décelable. Pas d'épanchement pleural. Horizontalisation des arcs costaux. Pas de lésion costale suspecte visible. Absence de fracture/tassement des corps vertébraux. St/p mise en place d'un probable TIPS. Cœur de volume dans la norme. Test des 6 minutes, à l'entrée, à l'air ambiant : distance parcourue 220 m (arrêté après 4 '). FC 98-140 bpm, TA 123/81 mmHg - TA 148/97 mmHg, satO2 97 % - 88 %, EVA dyspnée 1-2/10 - 6-7/10. Test des 6 minutes, à la sortie, à l'air ambiant : distance parcourue 380 m. FC 98-133 bpm, TA 137/90 mmHg - TA 172/93 mmHg, satO2 97 % - 88 %, EVA dyspnée 0/10 - 4/10. Laboratoire : cf annexes. ECG du 07/04/2019 : rythme sinusal régulier à 66 bpm, PR 168 ms, QRS fin normoaxé, ST-isoélectrique, pas d'onde Q pathologiques, progression de l'onde R avec une transition précoce en V2, QTc 432 ms, pas de signe d'HVG. Cf annexes. Laboratoire : cf annexes. ECG du 11.03.2019 : RSR 65 bpm, axe normal, PR 160 ms, QRS fins 86 ms, ondes T négatives en aVR, aVL, V1, pas de sus-/sous-décalage. Gazométrie du 11.03.2019, sous O2 1 lt/min : pH 7.44, pCO2 5.27 kPa, pO2 8.4 kPa, BIC 26 mmol/l, satO2 92 %. Gazométrie du 26.03.2019, à l'air ambiant : pH 7.40, pCO2 5.4 kPa, pO2 8.3 kPa, BIC 24 mmol/l, satO2 92 %. Spirométrie du 12.03.2019 : CVF 67 % du prédit, VEMS 34 % du prédit, Tiffeneau 39 % (qualité B). Spirométrie du 28.03.2019 : CVF 79 % du prédit, VEMS 40 % du prédit, Tiffeneau 39 % (qualité A). Radiographie thorax du 12.03.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. Test des 6 minutes, à l'entrée, sous O2 2 lt/min : distance parcourue 20 m (avec rollator, arrêté après 1'20 ''). FC 69-68 bpm, TA 122/68 mmHg - TA 120/52 mmHg, satO2 97 % - 97 %, EVA dyspnée 2-3/10 - 6-7/10. Test des 6 minutes, à la sortie, à l'air ambiant : distance parcourue 240 m (avec rollator). FC 69-69 bpm, TA 126/49 mmHg - TA 110/50 mmHg, satO2 94 % - 92 %, EVA dyspnée 3/10 - 3/10. Laboratoire : cf annexes. ECG du 11.03.2019 : RSR 88 bpm, axe gauche, PR 182 ms, QRS fins 68 ms, ondes Q en DII, DIII, aVR, aVF, pas de sous-/sus-décalage. Gazométrie du 11.03.2019, sous O2 1 lt/min : pH 7.45, pCO2 5.30 kPa, pO2 11.4 kPa, BIC 27 mmol/l, satO2 97.5 %. Gazométrie du 12.03.2019, à l'air ambiant 30' : pH 7.43, pCO2 5.43 kPa, pO2 7.7 kPa, BIC 26 mmol/l, satO2 91 %. Gazométrie du 20.03.2019, sous O2 1 lt/min : pH 7.41, pCO2 5.6 kPa, pO2 9.6 kPa, BIC 26 mmol/l, satO2 97 %. Spirométrie du 12.03.2019 : CVF 58 % du prédit, VEMS 35 % du prédit, Tiffeneau 45 %. Spirométrie du 20.03.2019 : CVF 53 % du prédit, VEMS 26 % du prédit, Tiffeneau 36 % (les critères de qualité ne sont pas remplis). Diffusion du CO du 19.03.2019 : DLCO 24 %. Oxymétrie nocturne du 21.03.2019 sous VNI + O2 1.5 lt/min : SpO2 moyenne 89.9 %, SpO2 <90 % : 39.3 %, index des événements de désaturation 4.6/heure. Radiographie thorax du 12.03.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Distension pulmonaire bilatérale. Élargissement des espaces intercostaux. Élargissement des culs de sac costo-vertébraux. Minime épaississement à droite de la trame bronchovasculaire. Test des 6 minutes, à l'entrée, sous O2 1.5 lt/min : distance parcourue 185 m. FC 97-106 bpm, TA 125/75 mmHg - TA 154/79 mmHg, satO2 98 % - 97 %, EVA dyspnée 2/10 - 3/10. Laboratoire : cf annexes. ECG du 18.03.2019 : RSR 75 bpm, axe gauche, PR 170 ms, QRS fins 94 ms, QTc 438 ms, ondes T négatives en D1, aVR, aVL, V6. Gazométrie du 18.03.2019, à l'air ambiant : pH 7.44, pCO2 4.5 kPa, pO2 10.6 kPa, BIC 22 mmol/l, satO2 97 %, COHb 2.2 %. Spirométrie du 19.03.2019 : CVF 76 % du prédit, VEMS 82 % du prédit, Tiffeneau 85.5 % (qualité F - non interprétable). Spirométrie du 26.03.2019 : CVF 101 % du prédit, VEMS 97 % du prédit, Tiffeneau 75 % (qualité D). Radiographie thorax du 19.03.2019 (comparatif du 02.03.2019) : cœur de volume dans la norme, sans signe de décompensation. Épaississement bronchique marqué persistant en projection de la lingula. Pas d'infiltrat interstitiel ou alvéolaire systématisé visible à droite. Squelette visible sans particularité. Test des 6 minutes, à l'entrée, à l'air ambiant : distance parcourue 410 m. FC 86-99 bpm, TA 164/93 mmHg - TA 163/92 mmHg, satO2 98 % - 98 %, EVA dyspnée 0/10 - 2-3/10. Test des 6 minutes, à la sortie, à l'air ambiant : distance parcourue 450 m. FC 83-95 bpm, TA 125/77 mmHg - TA 182/91 mmHg, satO2 98 % - 98 %, EVA dyspnée 0/10 - 2/10. Laboratoire : cf annexes. ECG du 18.03.2019 : rythme sinusal à 64 bpm, normoaxé, QRS fins, pas de transition de l'onde R. Laboratoire : cf annexes. ECG du 19.03.2019 : RSR 84 bpm, axe N, PR 126 ms, QRS fins 88 ms, pas de sus-/sous-décalage, QTc 433 ms. Gazométrie du 22.03.2019, à l'air ambiant : pH 7.43, pCO2 5.4 kPa, pO2 10.2 kPa, BIC 26 mmol/l, satO2 97 %. Spirométrie du 26.03.2019 : CVF 57 % du prédit, VEMS 53 % du prédit, Tiffeneau 79 % (qualité A). Radiographie thorax du 18.03.2019 : hydro-pneumothorax gauche avec niveau hydro-aérique à la hauteur du 7ème espace intercostal. Clips chirurgicaux hilaires post-pneumectomie. Médiastin en place. Absence d'infiltrat interstitiel, alvéolaire ou nodulaire suspect sur l'ensemble du champ pulmonaire à droite. Pas d'épanchement pleural visible à droite. Discrète lésion dégénérative médiodorsale. Radiographie thorax du 26.03.2019 (comparatif du 19.03.2019) : on retrouve le st/p pneumonectomie G avec la présence d'un niveau hydro-aérique en discrète augmentation de hauteur. Test des 6 minutes, à l'entrée, à l'air ambiant : distance parcourue 490 m. FC 81-106 bpm, TA 119/76 mmHg - TA 128/79 mmHg, satO2 97 % - 97 %, EVA dyspnée 0/10 - 4/10. Test des 6 minutes, à la sortie, à l'air ambiant : distance parcourue 570 m. FC 83-128 bpm, TA 119/74 mmHg, TA 135/78 mmHg, satO2 97%, EVA dyspnée 0/10 - 3/10. Laboratoire : cf annexes. ECG du 22.03.2019 : RSR 79 bpm, axe normal, PR 132 ms, QRS fins 74 ms, QTc 414 ms. Laboratoire : cf annexes. ECG du 22.03.2019 : RSR 94 bpm, axe gauche, hémibloc antérieur gauche, PR 154 ms, QRS fins 84 ms, QTc 466 ms. Gazométrie du 22.03.2019, à l'air ambiant : pH 7.4, pCO2 5.2 kPa, pO2 7.2 kPa, pCO2 5.2 kPa, BIC 24 mmol/l, satO2 86%, COHb 2.4%. Spirométrie du 26.03.2019 : CVF 72% du prédit, VEMS 41% du prédit, Tiffeneau 44% - qualité A. Spirométrie du 09.04.2019 : CVF 76% du prédit, VEMS 46% du prédit, Tiffeneau 47% - qualité B. Polygraphie nocturne du 03.04.2019, sous CPAP : IDO 12.2/heure, IAH 29.2/heure. Oxymétrie le 10.04.2019, sous CPAP à l'air ambiant : SpO2 moyenne 93%, index des événements de désaturation 7.9/heure. Radiographie thorax du 25.03.2019 (comparatif du 24.02.2019) : augmentation de diamètre antéro-postérieur de la cage thoracique, un aplatissement voire presque éversion des coupoles diaphragmatiques associées à un épaississement bronchique diffus bilatéral. Raréfaction de la trame vasculaire en périphérie des 2 poumons avec destruction bulleuse prédominante aux bases plus à G qu'à D. Cœur de volume dans la norme sans signe de décompensation. Ostéopénie. US abdomen complet natif du 02.04.2019 : on retrouve un foie de taille à la limite supérieure de la norme, stéatosique, mais pas de signe de cirrhose actuellement, ni d'ascite ou de splénomégalie. Test des 6 minutes, à l'entrée, à l'air ambiant : distance parcourue 75 m. FC 104-118 bpm. TA 108/73 mmHg, TA 109/71 mmHg, satO2 89% - 92%, EVA dyspnée 0/10 - 7-8/10. Test des 6 minutes, à la sortie, à l'air ambiant : distance parcourue 430 m. FC 91-120 bpm, TA 148/94 mmHg, TA 167/93 mmHg, satO2 96% - 96%, EVA dyspnée 0/10 - 3-4/10. Laboratoire : cf annexes. ECG du 25.03.2019 : RSR 72 bpm, axe normal, PR 170 ms, QRS fins 76 ms, sus-décalage en DII, aVF de 1 mm. Laboratoire : cf annexes. ECG du 25.03.2019 : rythme sinusal à 73 bpm, normoaxé avec BBD incomplet. QRS 102 ms, transition de l'onde R en V1-V3. Évaluation neuropsychologique du 27.03-01.04.2019 : cf rapport. Laboratoire : cf annexes. ECG du 28.03.2019 : RSR 78 bpm, axe normal, PR 148 ms, QRS fins 84 ms, QTc 428 ms, pas de sous-/sus-décalage. Laboratoire : cf annexes. ECG du 29.03.2019 : rythme sinusal à 104 bpm, onde P bifide en aVF, hémibloc antérieur droit, PR allongé à 154 ms. Transition de l'onde R en V2-V3. Laboratoire : cf annexes. ECG le 08.04.2019 : RSR 77 bpm, axe normal, PR 144 ms, QRS 90 ms, QTc 427 ms. Laboratoire : cf annexes. Électroencéphalographie avec vidéographie No 24739/9 le 11.04.2019 (Dr. X) : malgré une dose de charge de Keppra de 2 g avec en parallèle une légère augmentation de la posologie à 2 x 1 g/jour depuis ce jour, l'EEG reste pathologique, témoignant de décharges paroxystiques fréquentes à prédominance bifrontale et par moment à prédominance droite, aggravées lors de la somnolence. Comme discuté, je préconise d'augmenter ultérieurement la posologie de Keppra à 3 x 1 g/jour avec en parallèle un traitement de Rivotril à raison de 2 à 3 mg sur 24h, à diminuer progressivement après 24h sous réserve d'une évolution clinique favorable. Contrôle laboratoire y compris tests hépatiques et taux de Lévétiracétam ainsi que contrôle d'EEG à prévoir pour le 12.04.2019. Pour le moment, surveillance aux soins, merci de contacter également les pneumologues devant un syndrome d'apnée du sommeil important. Prise en charge de l'obésité. Le patient reste inapte à la conduite automobile jusqu'à nouvel avis neurologique (contrôle en ambulatoire dans environ 3 mois encore à fixer avant la sortie de l'hôpital). Électroencéphalographie avec vidéographie No 24739/9 le 11.04.2019 (Dr. X) : suite à l'instauration d'un traitement de benzodiazépines à posologie plutôt faible, on ne constate pas d'amélioration significative, ni sur le plan clinique, ni sur le plan électroencéphalographique, avec persistance de décharges paroxystiques bifrontales fréquentes. Comme discuté, je préconise d'essayer encore une fois d'augmenter très légèrement la posologie de Rivotril à 1,5 mg/24 heures en i.v. continu. Par ailleurs, poursuite du Keppra 3 x 1 g/jour, complété par un traitement de Vimpat 2 x 50 mg/jour. Contrôle de laboratoire et contrôle électroencéphalographique le 12.04.2019. Électroencéphalographie avec vidéographie No 24746/10 le 12.04.2019 (Dr. X) : sous poursuite d'un traitement antiépileptique par Rivotril, Keppra et Vimpat, l'évolution clinique reste relativement favorable si ce n'est une importante somnolence et quelques vertiges mal systématisés. En revanche, on constate la persistance de décharges paroxystiques fréquentes à l'EEG de ce jour, éventuellement légèrement régressives durant les phases d'éveil, par contre plus marquées lorsque le patient se réveille du sommeil stade I. Comme discuté, je préconise une diminution progressive du Rivotril en passant à 2 x 0,5 mg/jour dès ce soir, et à 0,5 mg le soir dès le 15.04.2019. Pour le moment, poursuite du Keppra et Vimpat de manière inchangée avec un prochain contrôle d'EEG le lundi 15.04.2019. En fonction de l'évolution électro-clinique, le changement de molécule est éventuellement à considérer (épilepsie frontale non lésionnelle versus épilepsie primairement généralisée). Électroencéphalographie avec vidéographie No 24750/11 le 15.04.2019 (Dr. X) : activité de base aux alentours de 8-9 Hz, amplitude moyenne, par moment légèrement irrégulière avec superposition d'une activité bêta-thêta plus diffuse, spatialisation conservée. Effet d'arrêt conservé. De manière récidivante, des charges paroxystiques sous forme d'ondes delta moyennement hautes voltées à prédominance bifrontale, toutefois d'une durée en générale très courte, de 1 à 2 secondes, rarement jusqu'à 5 secondes. Conclusion : persistance d'un tracé d'EEG pathologique, les décharges paroxystiques étant néanmoins moins marquées par rapport à l'examen précédent du 12.04.2019. Polysomnographie le 10.04.2019 : cf rapport définitif. Laboratoire : cf annexes. Formule alignée, CRP <5 mg/l. Bactériologique : gonorrhée négatif, chlamydia négatif. Sédiment urinaire : pas de sang, pas de leucocyte, pas de nitrite. Cf annexes. Toucher rectal : très légères douleurs à la palpation prostatique, en claire diminution selon le patient. Poursuite du traitement antibiotique jusqu'au 11.04.2019. Suivi clinique chez le médecin traitant dans 1 semaine. Reconsultation en cas d'évolution défavorable (douleurs, fièvre, hématurie...). Laboratoire : cf annexes. Freka Clyss. Grand lavement. Radiographie de l'abdomen sans préparation couché : décrite ci-dessous. Laboratoire : cf annexes. FSS normale (Hb 156 g/l). Le reste normal. Radiographie du thorax face et gril costal : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. (Dr. X). Laboratoire : cf annexes. Hb 135 g/l, leucocytes 3.6 G/l, CRP<5 mg/l, créatinine 63 µmol/l, Na 142 mmol/l, K 5.2 mmol/l. Laboratoire : cf annexes. Hb 140 g/l, crase normale. 40 cc de sang frais objectivés dans la pelle. Test de grossesse urinaire : négatif. Sédiment urinaire : à la recherche de sang. Avis du Dr. X, chirurgien : au vu d'une patiente hémodynamiquement stable, retour à domicile avec un contrôle en policlinique de chirurgie le 05.04.2019 avec examen proctologique. Pommade grasse à appliquer au niveau de l'anus. Arrêt de travail pour le 05.04.2019.Application de vaseline en l'absence d'autres pommades grasses. Ordonnance pour Procto-Glyvenol faite. Laboratoire : cf. annexes. Hb 140g/l, INR 2.1. Poche à glace. Avis du Dr. X, de médecine interne. Avis du dentiste de garde. La patiente part en consultation chez le Dr. X, dentiste. Laboratoire : cf. annexes. Hb 142g/l, leucocytes 8.1G/l, CRP<5mg/l. Laboratoire : cf. annexes. Hb 143g/l, leucocytes 11.1G/l, CRP 22mg/l, créatinine 96µmol/l, pas de trouble électrolytique. Sédiment urinaire : cf. annexes. Hématurie +++ (6-10 érythrocytes/champ), purée de leucocytes, bactériurie ++, pas de nitriturie. Uricult : en cours. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Hb 152g/l. Laboratoire : cf. annexes. Hb 152g/l, CRP à 8mg/l, leucocytes 6.7G/l, TP 67, PTT 26. Sédiment urinaire : cf. annexes. Erythrocytes incomptables, leucocytes 3-5. Laboratoire : cf annexes Histologie : cf annexes CT abdomino-pelvien le 04.04.2019 : appendicite perforée avec appendicolithe à sa base. Liquide libre dans la fosse iliaque droite et le pelvis. Laboratoire : cf. annexes. Hydratation 1L NaCl. Arrêt de la prise de tout traitement laxatif. Avis du Dr. X : Bioflorin et Lopéramide avec contrôle chez le médecin traitant. Laboratoire : cf. annexes. IRM : décrite ci-dessous. Retour à domicile. Contrôle biologique : tests hépato-pancréatiques chez le médecin traitant à 3 semaines. Laboratoire : cf. annexes IRM cérébrale le 02.04.2019 (en externe au CIMED) : présence de quatre lésions arrondies, à bords nets, très oedématogènes évoquant en premier lieu des localisations secondaires. La lésion frontale gauche présente une composante nécrotique centrale et est responsable d'un important effet de masse avec engagement sous-falcoriel. CT-Scan thoraco-abdomino-pelvien natif et injecté du 03.04.2019 (Prof. X) : suspicion d'une croissance tumorale dans le segment IV b du foie et dans la surrénale droite. Selon l'indication clinique, un examen complémentaire par PET-CT pourrait être indiqué. Pet-Scan prévu le 08.04.2019. Laboratoire : cf. annexes. K 3.2mmol/l, pas de CRP ni leucocytose. ECG : cf. annexes. RSR à 47 bpm, PR à 190 ms, QRS dans la norme avec un axe à -30°, QTc à 465 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'onde Q pathologique. Laboratoire : cf. annexes. K 3.2mmol/l, troponines H0 6ng/L, H1 7ng/L. ECG : cf. annexes. RSR à 75 bpm, PR à 170 ms, QRS fins avec un axe à 80°, QTc à 387 ms, signes de repolarisation précoce de V2 à V6, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax visualisé. Scoliose lombaire sinistroconvexe. Laboratoire : cf. annexes. K 3.5mmol/l. ECG : cf. annexes. RSR à 78 bpm, BAV 1er degré, QRS fin avec axe normal, QTc 444 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 10G/l, CRP <5mg/l, Na 140mmol/l, K 3.8mmol/l, créatinine 72µmol/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 14.4G/l, CRP 17mg/l, thrombocytes 419G/l. Bladder scan : 80 ml. Radiographie de l'abdomen debout : quelques minimes niveaux hydroaériques grêles, mais sans dilatation grêle mise en évidence. Par rapport au comparatif du 26.10.2017, on retrouve des stents iliaques communs ainsi que de multiples clips chirurgicaux pelviens à mettre en relation avec le statut après prostatectomie et confection d'une néovessie. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 15.8G/l, CRP <5mg/l, ASAT 20 U/l, ALAT 12 U/l, LDH 403 U/l. B-HCG plasmatique : négatif. Stix et sédiment urinaire : cf. annexes. Erythrocytes 3-5/champ, leucocytes 3-5/champs. CT-scan de la colonne cervicale natif et CT-scan cérébral natif : absence de comparatif CT. Cérébral : Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Petit hématome de 2 mm d'épaisseur sous-galéal en région frontale. Absence d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Système ventriculaire et citernes de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas d'altération des sillons cérébraux. Comblement partiel et spumeux et épaississement muqueux du sinus maxillaire ddc. Épaississement muqueux du sinus sphénoïdal et des cellules ethmoïdales. Comblement de quelques cellules mastoïdiennes inférieures à gauche. Déviation de la cloison nasale vers la droite. Le reste des sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes sont libres. Cervical : examen de C0 à D3. Pas de fracture ou de luxation. Pas de tuméfaction des tissus mous pré-vertébraux. Rectitude de la colonne cervicale et discopathie C5-C6 avec réaction ostéophytaire. CONCLUSION : petit hématome sous-galéal frontal. Pas de lésion traumatique cérébrale ou cervicale. Comblement partiel et spumeux des sinus maxillaires (sinusite ?), à corréler avec le statut local. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 6.9G/l, CRP <5mg/l, ASAT 67U/l, ALAT 59U/l. Troponines H0 12ng/L, H1 15ng/L, H3 17ng/L. ECG à 18H52 : cf. annexes. RSR à 78 bpm, PR à 152 ms, QRS fins à 82ms avec un axe à 0°, QTc à 407 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V3-V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'onde Q, pas de trouble de la repolarisation, pas d'extrasystolie. ECG de 20h12 et de 22H13 : superposables. Radiographie du thorax face/profil : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.3G/l, Hb 137g/l, thrombocytes 228G/l, Na 136mmol/l, K 3.3mmol/l, créatinine 51µmol/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.5G/l, Hb 141g/l, érythrocytes 254G/l, CRP 51mg/l, créatinine 49µmol/l, Na 136mmol/l, K 3.6mmol/l, TP 66, PTT 32. Sédiment et stix urinaire : globules rouges incomptables, leucocytes 21-40/champ. Ultrason des voies urinaires : les 2 reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie en réplétion présente des parois fines et l'on ne visualise pas d'hématome à l'intérieur. La prostate est de taille dans les limites de la norme pour l'âge du patient avec un diamètre d'environ 47mm. CONCLUSION : pas de caillot mis en évidence au niveau de la vessie. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 8.1G/l. Patient vu par le Dr. X, orthopédiste. Examen clinique. Il reviendra demain le 17.04.2019 à 15h pour un ultrason et contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires. AINS-Dafalgan. Laboratoire : cf. annexes. Lyrica 50 mg 3x/jour. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Laboratoire : cf. annexes. Majoration de la CRP à 125 mg/l. Status clinique. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 20.04.2019. Laboratoire : cf. annexes. Na 109mmol/l. Retour au foyer. Prise de sang lundi 22.04.2019 : dosage Na, et osmolalité. Pas de Mirizine vendredi et dimanche, 1 push samedi. Reprise dès lundi en fonction des examens sanguins. Laboratoire : cf. annexes. Normalisation des tests hépato-pancréatiques, lipase 50U/l, amylase 74U/l. IRM de l'abdomen natif et injecté : comparatif : aucun. Foie : taille et morphologie normale. Pas de lésion focale. Pas de dilatation des voies biliaires. Pas de calcul au sein de la vésicule, dont les parois sont fines. Canal cholédoque fin sur les coupes en pondération T2 et sur les séquences MRCP. Rate : taille et morphologie normales.Pancréas : taille et morphologie normales. Pas de lésion focale hépatique. Pas d'infiltration des parties molles rétro-péritonéales péri-pancréatiques. Surrénales : fines ddc. Reins : taille et morphologie normales, bonne différenciation cortico-médullaire. Pas d'hydronéphrose. Vessie : sans particularités. Rétropéritoine : pas d'adénopathie rétro-péritonéale de taille radiologiquement significative. Petites lésions kystiques infra-centimétriques au contact du pilier du diaphragme à droite, aspécifiques DD petits kystes bronchogéniques du diaphragme. Aorte : taille normale. Estomac, intestin, colon : pas de lésion sous réserve d'un examen non-dédié. Parties molles : sans particularité. Bases pulmonaires : pas d'épanchement pleural. Colonne et os : pas d'altération de signal suspecte. Dessiccation discale L5-S1. CONCLUSION : IRM abdominal dans les limites de la norme. Pas de cholécystolithiase. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extrahépatiques. Pas de lésion focale pancréatique ni de signe d'inflammation de cette glande. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. PCR du liquide avec recherche de HSV et de Varicelle à pister. Valtrex 500 mg 2-2-2 pour 5 à 7 jours. Contrôle clinico-biologique à la FUA le 02.04.2019. Arrêt de travail pour 7 à 10 jours. Éviction des enfants. Traitement symptomatique des céphalées. Laboratoire : cf. annexes. PET-CT le 28.03.2019 Comparé au 28.01.2019 : à l'étage thoracique : aspect superposable de la composante tissulaire du médiastin. Apparition d'infiltrat de type bronchio-alvéolaire avec épaississement péri-bronchique du lobe supérieur droit et du lobe inférieur ddc en rapport avec une atteinte infectieuse. À l'étage abdominal : examen superposable au précédent sans manifestation tumorale. Sur le volume osseux exploré ; tassement des vertèbres D4, inchangés, nouveau tassement des plateaux supérieurs de D7 et D8. Par rapport à l'examen PET-CT 18F-FDG intermédiaire du 28.01.2019, nous ne constatons pas l'apparition de lésion hypermétabolique en faveur d'une éventuelle récidive du lymphome connu. On note l'apparition d'un infiltrat bronchiolo-alvéolaire à droite, évoquant premièrement une origine infectieuse. Laboratoire : cf. annexes. Pister les hémocultures. Bladder scan. CT abdominal : décrit ci-dessous. Avis chirurgical du Dr. X. Hospitalisation (transfert à l'HFR Tafers par manque de place après appel de la Dresse X). Départ en ambulance. Rocéphine 2 g iv et Flagyl 500 mg 3x/jour du 03.03.2019 (1 dose de Rocéphine et 1 dose de Flagyl) reçu aux urgences. NaCl 1 litre sur 24 heures. Pister laboratoire le 04.03.2019. Laboratoire : cf. annexes Radio thorax le 12.04.2019 : présence d'un drain thoracique droit. Sous réserve d'un examen réalisé en position couchée, élargissement de la silhouette cardio-médiastinale. Absence de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Présence d'un épanchement pleural bilatéral, limité à la base gauche et s'étendant à droite jusqu'à l'apex. Surélévation diaphragmatique droite post-opératoire. Absence de foyer constitué des deux côtés. Tissus mous et cadre osseux sans particularité. Radio thorax le 14.04.2019 : pas d'image de pneumothorax ou de pneumomédiastin. Pas d'autre complication post-ablation du drain thoracique visible. Persistance d'un épaississement pleural apical droit, a priori compatible avec un épanchement postopératoire. De plus, épanchement pleural de faible abondance dans les récessus costo-diaphragmatiques des deux côtés. Probables troubles ventilatoires de la base gauche, une surinfection ne peut être exclue. Le reste du statut est superposable. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. AINS IPP 5 jours. Contrôle chez le médecin traitant dans 48 heures. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du bassin + hanche gauche : absence de comparatif. Prothèse de la hanche gauche en place. Ossification hétérotopique périprothétique à gauche. Coxarthrose à droite avancée. (Dr. X). Radiographie du genou gauche et rotules ddc : gonarthrose tricompartimentale prédominant nettement en fémoro-tibial interne avec ébauche d'ostéophyte périphérique et pincement de l'interligne articulaire. Calcifications vasculaires et artérielles de l'artère poplitée et fémorale distale en distalité. Pas d'image de fracture décelable. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du pouce : mise en évidence d'une fracture épiphysaire de la base de P1. Pas d'anomalie d'allure traumatique décelable sur les autres structures osseuses. Rhizarthrose avancée avec arthrose scapho-trapézienne. CONCLUSION : fracture/arrachement de la base de P1 : probable arrachement du ligament collatéral radial du pouce. (Dr. X). CT-scan des sinus et massif facial natif : pas d'image de fracture décelable. Les sinus de la face sont bien pneumatisés. Pas d'image de fracture des parois orbitaires. Pas d'anomalie des tissus mous du massif facial. Les cellules mastoïdiennes sont bien pneumatisées. CONCLUSION : pas de lésion traumatique décelable du massif facial. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face : cœur de taille à la limite supérieure de la norme en tenant compte de la position couchée. Petite désorganisation de la trame broncho-vasculaire avec des épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisé. Calcification de l'anneau mitral. Radiographie de la colonne lombaire face/profil : statut après cimentoplastie de L4. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Calcifications de l'aorte. Radiographie du bassin et de la hanche axiale droite : par rapport au comparatif du 12.02.2014, on retrouve un statut après mise en place d'une PTH droite, en bonne position, d'aspect superposable, sans signe de complication. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. (Dr. X). CT-scan de la colonne lombaire natif et injecté et CT-scan de la colonne thoracique natif et injecté : statut post-cyphoplastie de L4 avec matériel intravertébral sans débordement extra-vertébral intra-canalaire ou intra-foraminal. Pas d'anomalie de densité au sein du canal lombaire sous réserve des artéfacts. Anté-listhésis de L4 sur L5 de grade 1. Présence d'une lésion ostéocondensante du corps vertébral de L1 sans lyse du mur postérieur ni argument pour une infiltration épidurale visible dans les limites de l'examen. Pas de masse para-vertébrale. Sur les coupes passant par la partie postérieure des bases thoraciques, troubles ventilatoires. Athéromatose aortique. CONCLUSION : statut post-cyphoplastie de L4 sans signe de complication, notamment pas de débord extra-vertébral du matériel de cyphoplastie ni en intra-canalaire ni en intra-foraminal. Anté-listhésis de L4 sur L5 de grade 1. Pas de prise de contraste pathologique ni de lésion spontanément dense intra-canalaire ou para-vertébrale néanmoins cet examen ne peut pas exclure formellement une lésion dans le canal lombaire, indication de compléter par une IRM. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. PAC sous-clavier D avec extrémité dans la veine cave supérieure. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax le 21.03.2019 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Hormis des remaniements pleuro-parenchymateux en périphérie du poumon gauche en rapport avec des séquelles de fractures costales en série déplacées, le parenchyme pulmonaire se présente normalement. Pas d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax. Statut post-ostéosynthèse de la clavicule gauche.CT thoracique le 25.03.2019 : majoration d'adénopathies médiastinales et hilaires bilatérales associées à un épaississement péri-bronchique diffus des deux côtés. Pas d'anomalie parenchymateuse susceptible d'expliquer la dyspnée ni embolie pulmonaire visualisée. Laboratoire : cf. annexes. Sang dans les urines. Uro-CT-scan abdominal natif : on visualise de multiples kystes parapyéliques ddc, prédominant du côté gauche avec un pyélon difficilement évaluable en raison de ces kystes et un uretère qui paraît fin. L'analyse est également rendue plus difficile par de multiples phlébolithes, une calcification pelvienne latéralisée à gauche (image 273 / 395 de la série 301) qui pourrait correspondre à un calcul intra-urétéral plutôt qu'à un phlébolithe, toutefois sans uretère dilaté en amont. Les deux reins sont par ailleurs de taille et d'épaisseur corticale conservées. Compte tenu de l'absence d'injection de produit de contraste, le foie, le pancréas, la rate et les glandes surrénales sont sans particularité. Aucun calcul radio-opaque n'est objectivé dans la vésicule biliaire. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis lombaire débutantes avec de petites réactions ostéophytaires intersomatiques. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée, avec un bon alignement des murs antérieur et postérieurs. CONCLUSION : pas de dilatation de l'uretère gauche sur toute sa longueur, toutefois, on visualise une calcification pelvienne latéralisée à gauche correspondant le plus probablement à un phlébolithe pelvien, mais un calcul intra-urétéral ne peut être formellement exclu. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Sang ++++, flore bactérienne. CT-scan abdominal natif et injecté : comparatif du 17.11.2016. Foie : taille et morphologie normales. Pas de lésion focale. Pas de dilatation des voies biliaires. Pas de calcul radio-opaque au sein de la vésicule, dont les parois sont fines. Rate : taille et morphologie normales. Pancréas : taille et morphologie normales. Glandes surrénales : fines ddc. Reins : taille et morphologie normales, bonne différenciation cortico-médullaire. Pas d'hydronéphrose. Vessie : sans particularités. Rétropéritoine : pas d'adénopathie rétropéritonéale de taille radiologiquement significative. Aorte : taille normale. Estomac, intestin, côlon : pas de lésion sous réserve de l'absence de préparation. Cavité péritonéale : présence de liquide relativement dense dans le petit bassin à gauche (environ 40UH) autour d'une lésion pelvienne circulaire bilobée hypodense d'environ 3,8 x 6,7 cm, située dans le petit bassin à gauche. St/p hystérectomie. Parties molles : infiltration aspécifique des tissus mous sous-cutanés de la paroi abdominale supra-ombilicale aspécifique. Bases pulmonaires : quelques dystélectasies. Pas de lésion nodulaire suspecte. Pas d'épanchement pleural. Colonne et os : hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas de lésion suspecte ostéolytique ou ostéocondensante. CONCLUSION : lésion pelvienne d'allure kystique d'environ 3,8 x 6,7 cm, latéralisée dans le petit bassin à gauche, entourée de liquide libre d'une densité élevée, pouvant faire évoquer un kyste hémorragique avec hémorragie dans le petit bassin. Pour aller plus loin dans les investigations, une consultation gynécologique serait l'examen de choix. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. 21/40 leucocytes/champs, pas de sang. Urotube : cf. annexes. Recherche chlamydia + gonocoques. Ultrason du Dr. X : décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, de médecine interne. Ciprofloxacine 500mg 2x/jour pour 14 jours + dose unique d'Azithromycine 1g. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 02.05.2019. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis du Dr. X, de médecine interne. Ultrason demain le 10.04.2019 à 8h30 avec contrôle à la filière des urgences ambulatoires. Le patient devra reconsulter dans la nuit en cas d'anurie. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Test de grossesse urinaire : négatif. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Ultrason de l'abdomen supérieur natif : le foie est de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule biliaire présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas et la rate sont sp. Les 2 reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. CONCLUSION : échographie de l'abdomen supérieur dans les limites de la norme, notamment pas de lithiase vésiculaire ou rénale mise en évidence. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : dans la norme. Cf. annexes. Novalgine 1g iv, Buscopan 20 mg iv, Tramal 50 mg retard. Retour à domicile avec antalgie. Contrôle clinique et biologique le 09.04.2019 à 14 heures. Imagerie à évaluer selon évolution clinique. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : propre. Cf. annexes. CT-scan thoracique natif et injecté : absence de comparatif. Examen réalisé avant et après injection i.v. de produit de contraste. Thorax : pas d'hémo-médiastin ou d'hémo-péricarde. Aorte thoracique de calibre normal, sans dissection. Cardiomégalie avec dilatation des quatre cavités cardiaques. Pas d'embolie pulmonaire visualisée jusqu'en sous-segmentaire. Présence d'adénopathies médiastinales. Les plus grandes dans le médiastin antérieur (image 89) et en infra-carinaire (image 137) mesurent respectivement 17 x 11 mm et 19 x 10 mm. Pas d'adénopathie axillaire. Dans le parenchyme pulmonaire, mise en évidence d'un nodule dans le segment médiobasal du lobe inférieur gauche (image 216) mesurant 7 x 6 x 9 mm (AP x LL x CC). Atélectasies sous-segmentaires aux deux bases pulmonaires. Pas de contusion pulmonaire. Absence d'hémothorax et de pneumothorax. Diaphragme et paroi thoracique sans particularité. CT-scan de l'abdomen natif et injecté : Abdomen : pas d'hémopéritoine, d'hémorétropéritoine ou de pneumopéritoine. Absence de lacération, contusion ou hématome des organes. Le foie est de taille, de configuration et de densité normale. Tronc porte et veines sus-hépatiques perméables. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extrahépatiques. Aucun calcul radio-opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. À l'exception d'une atrophie corticale de la lèvre antérieure du rein droit, compatible avec une séquelle de pyélonéphrite, les reins sont de taille et de configuration normale, sans dilatation du système excréteur. Hypertrophie prostatique avec calcifications. Le reste des structures urogénitales sont de morphologie normale. Aorte abdominale de calibre régulier, avec athéromatose mixte de ses branches, ainsi que des artères iliaques, sans sténose significative. Variante anatomique vasculaire avec une artère mésentérique supérieure, originaire du tronc cœliaque. Absence d'hématome du tube digestif ou du mésentère. Déhiscence de la paroi abdominale antérieure. Os : pas de fracture costale, sternale, claviculaire ou du rachis thoraco-lombaire. Absence de fracture du bassin et des hanches. Troubles dégénératifs du rachis thoraco-lombaire, avec ostéophytes antérieurs et latéraux, associés à des discopathies pluri-étagées. Hémangiome du corps vertébral de L3. Coxarthrose bilatérale. Pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION : pas de lésion traumatique à l'étage thoracique et abdominal. Mise en évidence d'un nodule mesurant 9 x 7 x 6 mm dans le lobe inférieur gauche, associé à des adénopathies médiastinales. Afin d'exclure une origine oncologique, nous recommandons un CT de contrôle dans 3 mois, selon les recommandations de Fleischner. Examen réalisé par télé-radiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg, avec résultats transmis à 22h40 au Dr. X.Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexes. CT-scanner abdominal natif du 13.04.2019 : absence de comparatif CT. Abdomen : calcul se trouvant à la jonction urétéro-vésicale gauche mesurant 4 x 4 x 4 mm avec une densité de 580 HU avec une dilatation du pyélon à 13 mm, des calices à 5 mm et de l'uretère proximal à 6 mm. Oedème du parenchyme rénal gauche. Le rein droit est de taille et de configuration normales, sans dilatation du système excréteur. Deux calculs de 2 mm dans les calices du rein droit. Le foie est de taille, de configuration et de densité normales. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Veine rénale gauche rétro-aortique. Pas de masse ou de collection pelvienne. Pas d'adénopathie, pas de liquide libre. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique : absence de lésion nodulaire suspecte. Pas d'épanchement pleural. Petite hernie hiatale par glissement. Osseux : absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION : calcul se trouvant à la jonction urétéro-vésicale gauche mesurant 4 x 4 x 4 mm de densité de 580 HU avec une dilatation du pyélon à 13 mm, des calices à 5 mm et de l'uretère proximal à 6 mm. Pour le reste, l'examen est dans les limites de la norme. Laboratoire : cf annexes. Stable. CRP à 9 mg/l sans leucocytose ni thrombocytose. Laboratoire : cf annexes. Status. Test hypotension orthostatique : normal. Laboratoire : cf annexes. Substitution avec K effervette 1 cp aux urgences puis 1 cp à domicile pour 2 jours. Suivi chez le médecin traitant en fin de semaine. Laboratoire : cf annexes. Suivi chez le médecin traitant. Laboratoire : cf annexes. Syndrome inflammatoire en baisse, valeurs hépato-pancréatiques sp, kaliémie à 3.2 mmol/l. Sédiment urinaire : sp. Cf annexes. ECG : cf annexes. Bradycardie sinusale et régulière à 55/min, axe QRS à 15*, PR 160 ms, QRS 80 ms, QTc 414 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique. Tension artérielle aux 4 membres : symétrique (<20 mmHg). Laboratoire : cf annexes. Tc 452 G/l, leucocytes 12.2 G/l, CRP <5 mg/l. Paramètres hépatiques normaux excepté bilirubine totale à 27.5 µmol/l et bilirubine directe à 9.7 µmol/l. Hb 148 g/l. Culture de selles : PCR multiplex négatifs Salmonelles, campylobacter, shiga-toxine, shigella spp. / EIEC. Cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Test de grossesse urinaire : négatif. Sédiment urinaire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Troponine à T0 10 ng/L, T1 11 ng/L. ECG : cf annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 74 bpm, axe normal à 16°, QRS fins à 88 ms, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R en V4, QTc à 443 ms. Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat, ni d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax visualisé. Laboratoire : cf annexes. Troponine H0 11 ng/L, H1 11 ng/L, D-dimères 525 ng/mL. ECG : cf annexes. RSR à 60 bpm, PR à 156 ms, QRS fins avec un axe à 30°, QTc à 394 ms, Bonne progression de l'onde R avec une transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. ECG de 12h42 : superposable, Fc à 54 bpm. Cf annexes. Radiographie du thorax face/profil : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Laboratoire : cf annexes. Troponines à H0 98 ng/L. ECG : cf annexes. RSR à 82 bpm, PR 200 ms, QTC 435 ms, QRS fins avec axe 10°, ST isoélectrique. Radiographie du thorax en chambre : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Laboratoire : cf annexes. Troponines H0 6 ng/L, H1 7 ng/L. ECG : cf annexes. Temesta 1 mg. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Retour à domicile. Discussion avec le médecin traitant pour prise en charge ambulatoire. Laboratoire : cf annexes. US ciblé : pas de liquide libre, vésicule biliaire à parois fines, alithiasique, voies biliaires extra-hépatiques non dilatées, présence d'un kyste d'env. 7 cm de diamètre au niveau du corpus pancréatique, métastases hépatiques et carcinomatose péritonéale. Pas de signe d'iléus. Laboratoire : cf annexes. Angio-CT des membres inférieurs le 12.04.2019 : perméabilité du stent dans l'artère iliaque externe gauche. Status post plastie d'élargissement de l'artère fémorale commune gauche, perméable. Aspect inchangé d'une occlusion de l'artère fémorale superficielle proximale sur un segment d'environ 9 cm. On retrouve une sténose courte serrée sur plaque mixte de l'artère fémorale superficielle distale au niveau du canal de Hunter ainsi qu'une sténose focale de l'artère poplitée supra-géniculée par une plaque calcifiée. Laboratoire : cf annexes. Antigènes urinaires le 21.03.2019 : négatifs Frottis grippe le 21.03.2019 : négatif CT thoracique le 20.03.2019 : Kein Pleuraerguss. Kein Abszess. Rechts dorsolateral im Unterlappen geringe subpleurale milchglasartige Verdichtungen, DD Minderbelüftung, DD minimales Infiltrat. Im Verlauf Progredienz der weichteildichten Raumforderung im lateralen Bronchus des Mittellappens mit kompletter Ausfüllung / Aufdehnung der Bronchien DD poststenotische Mucusansammlung. Zeichen eines deutlichen Refluxes im Ösophagus. Laboratoire : cf annexes. Antigènes urinaires légionelle et pneumocoque le 31.03.2019 : pneumocoque positif Frottis grippe le 31.03.2019 : négatif Culture expectorations le 31.03.2019 : en cours RX thorax du 31.03.2019 : pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Grand volume pulmonaire avec horizontalisation des côtes évoquant des signes d'une BPCO. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Attitude scoliotique. CT thoraco-abdominal le 01.04.2019 : emphysème pulmonaire centro-lobulaire prédominant aux apex ainsi qu'un épaississement bronchique diffus devant être en rapport avec une BPCO. Discret épaississement des septas inter-lobulaires aspécifique, plus marqué aux bases, sans signe franc de fibrose pulmonaire. On retrouve un petit nodule de 6 mm du segment postéro-basal du lobe inférieur droit, inchangé depuis 2011. Pas de masse ou d'adénopathie médiastinale. Pas d'anomalie de l'œsophage. Pas de lésion suspecte dans le parenchyme mammaire. Pas d'adénopathie axillaire. Foie de taille et de morphologie normales, sans lésion focale suspecte. Plage hypo-dense de 19 mm, bien délimitée dans le segment II devant correspondre à un kyste biliaire simple. Petite image similaire de 4 mm dans le segment III. Pas de dilatation des voies biliaires intra- ou extra-hépatiques. Pas de calcul radio-opaque dans la vésicule biliaire. Le pancréas, la rate, les glandes surrénales et les reins se présentent normalement. Pas de masse ou d'adénopathie dans le mésentère ou dans le rétro-péritoine. Les organes uro-génitaux sont sans particularité. Pas d'anomalie du cadre colique, des intestins grêles ou des parois gastriques. Infiltration athéromateuse calcifiée de l'aorte et des artères iliaques, avec possible sténose de 50 % du départ de l'artère iliaque commune droite. Pas d'anévrisme. Pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante.Laboratoire : cf. annexes. Artériographie le 11.04.2019 (Dr. X) : rapport définitif en cours. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X, orthopédiste. Parages des dermabrasions après désinfection. Pansement Adaptic et bande élastique. Contrôle à 48 heures à la policlinique d'orthopédie. Laboratoire : cf. annexes. Avis neurologique (Dr. X) le 14.04.2019 : suspicion de guillain-barré. Prévoir EMG, PL selon protocole, introduction de Lyrica, hospitalisation pour début des investigations et gestion des symptômes. Avis neurologique (Dr. X/Dr. X le 15.04.2019) : paresthésies douloureuses périphériques aux 4 membres MI > MS, d'origine indéterminée. Nous proposons de compléter l'examen biologique par une HbA1c à la recherche active d'un diabète, de compléter le bilan électrolytique par la calcémie, le bilan hépatique, une VS, bilan vitaminique par B1, B6, B12, acide folique, TSH, ferritine. EMNG sera effectué le 15 ou 16.04.2019, selon planning des neurologues. La suite des investigations sera à rediscuter selon le résultat des différents examens demandés. EMNG le 16.04.2019. Conclusion : EMG normal. Laboratoire : cf. annexes. Avis psychiatrique (Dr. X) : proposition de reprendre gentiment son traitement habituel de Venlafaxine à raison de 75 mg/jour, le matin. Disponible pour un entretien suivant. Oeso-gastroduodénoscopie du 26.03.2019 : ulcère Forrest III chronique dans angulus gastrique. Il n'y a donc actuellement pas de saignement actif nécessitant une prise en charge endoscopique particulière. Je propose une poursuite du suivi hémodynamique avec poursuite d'un traitement de Pantozol 40 mg iv 3x/jour pendant 3-5 jours puis 2x/j 40 mg pendant un minimum de 8 semaines. Il serait également important de s'assurer que la patiente a bénéficié d'un traitement d'éradication H. pylori au vu d'une sérologie positive en 2017. Si cela n'a pas été fait, un traitement d'éradication serait à proposer maintenant. Enfin, il faudra discuter de la situation avec les oncologues et discuter de l'arrêt de la corticothérapie. En cas de nouvelle péjoration hémodynamique, merci de nous recontacter pour organiser une nouvelle endoscopie digestive. Radiographie du thorax du 25.03.2019 : pas de comparatif à disposition. Opacité rétro-cardiaque devant correspondre à un foyer du LIG. Infiltrat paracardiaque droit, épaississement bronchique et discret flou péri-hilaire devant être en rapport avec une surcharge. Pas d'épanchement pleural de quantité radiologiquement significative. Calcifications de la crosse aortique et élongation de l'aorte thoracique descendante. Spondylarthrose dorsale. Radiographie du 26.03.2019 : par rapport au comparatif, status post-intubation orotrachéale se situant à environ 3,5 cm au-dessus de la carène. Pas de complication associée. Diminution de l'opacité pulmonaire paracardiaque droite. Quelques bandes d'atélectasie des bases pulmonaires. Pas d'épanchement pleural. Le reste du status est superposable. Radiographie du poignet du 29.03.2019 : pas d'examen comparatif à disposition. Ostéopénie diffuse. Pas de fracture visible. Discrète rhizarthrose et arthrose STT. Discrète arthrose radio-scaphoïdienne. Chondrocalcinose intéressant notamment le TFCC des articulations du carpe. Tuméfaction des parties molles. Laboratoire : cf. annexes. SCINTIGRAPHIE OCTREOSCAN DU 03.04.2019 : absence de foyer hyperactif pathologique net en faveur d'une éventuelle tumeur primitive neuro-endocrinienne, avec des récepteurs à la Somatostatine. Laboratoire : cf. annexes. Contrôle du défibrillateur le 10.04.2019 (Dr. X) : tests de détections, stimulations et impédances dans les normes. Les jours précédents : alternances TV/rythme sinusal. CT scan cérébral natif le 10.04.2019 : importante atrophie cortico-sous-corticale diffuse sus et sous-tentorielle. Séquelles d'AVC ischémique frontal gauche. Petite hémorragie dans la corne occipitale du ventricule latéral gauche de quantité. Pas de fracture récente. Hématome sous-galéal frontal gauche. CT scan cérébral natif de contrôle le 11.04.2019 : comme sur comparatif de la veille, présence d'une petite hémorragie dans la corne occipitale du ventricule latéral gauche de quantité superposable. On retrouve également une minime quantité de matériel spontanément hyperdense au sein de la corne occipitale du ventricule latéral droit pouvant également évoquer une hémorragie. Pas d'hémorragie sous-arachnoïdienne ou intraparenchymateuse visible ailleurs. Pas de collection sous- ou extra-durale. Le reste de l'examen est superposable, hormis une discrète diminution de l'hématome sous-galéal frontal gauche. RX doigt le 12.04.2019 : fracture de la phalange moyenne du 3ème rayon, diaphysaire oblique déplacée avec une angulation dorsale estimée à 12°. RX doigt le 15.04.2019 : en comparaison avec l'examen précédent du 12.04.2019. Pas de déplacement secondaire de la fracture de la phalange moyenne du 3ème doigt de la main droite avec persistance d'une angulation dorsale des fragments distaux, stable. Reste de l'examen superposable au comparatif. Laboratoire : cf. annexes. Contrôle pacemaker le 21.03.2019 : pas d'anomalies de fonctionnement. Consilium ORL le 20.03.2019 : pose de sonde nasogastrique. Radio thorax ap lat debout le 20.03.2019 : on retrouve un status post mise en place d'un pacemaker pré-pectoral gauche avec sonde intègre, connectée au boîtier. Status post mise en place d'un PAC sous-clavier droit. Pas d'image pathologique en projection des plages pulmonaires. Apparition d'un épanchement pleural de faible quantité à droite. Pas d'épanchement pleural visible à gauche. L'examen du cadre osseux est superposable. Radiographie du thorax le 16.04.2019 : en comparaison avec l'examen précédent du 09.04.2019. Examen effectué en position assise. Silhouette cardio-médiastinale inchangée. Pas de nodule suspect individualisé. Apparition d'une diminution de la transparence en projection du lobe moyen et le lobe inférieur droit, avec signes de la silhouette diaphragmatique, suspect de foyer. Emoussement des recessus costodiaphragmatici, notamment du côté droit. PAC sous-clavier droit se terminant dans la veine jugulaire droite. Pacemaker pectoral gauche en position inchangée. Sonde nasogastrique en place. Cadre osseux inchangé. Laboratoire : cf. annexes. Coronarographie le 02.04.2019 (Dr. X) : l'examen invasif en urgence démontre une akinésie étendue apicale type Takotsubo. Il existe par contre une longue sténose de l'IVA proximale, hémodynamiquement relevante (FFR 0.69). Stenting primaire DES. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 12 mois, IEC, BB, Aldactone. Echocardiographie dans quelques jours. ETT le 02.04.2019 (Dr. X) : ventricule gauche non dilaté avec une dyskinésie du septum moyen, une akinésie de la paroi apicale, une hypokinésie sévère du septum basal et de la paroi septale antérieure moyenne et une hypokinésie modérée de la paroi inférieure moyenne et de la paroi antérieure moyenne. FEVG à 45 % (selon Simpson biplan). Bourrelet septal sous-aortique sans obstruction dynamique. Aorte ascendante discrètement dilatée. Insuffisance aortique minime (grade 1/3) avec maladie annulo-ectasiante. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Dysfonction diastolique minime (grade I). Elévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTP (PAPs à 34 mmHg). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. ETT le 05.04.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une dyskinésie de la paroi apicale, une akinésie de la paroi septale antérieure moyenne et une hypokinésie minime de la paroi antérieure moyenne. FEVG à 45 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique sans obstruction dynamique ni effet de SAM. Aorte ascendante discrètement dilatée. Insuffisance aortique minime (grade 1/3) avec maladie annulo-ectasiante. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Dysfonction diastolique minime (grade I). Elévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique.Laboratoire : cf. annexes. Coronarographie le 08.04.2019 : la longue sténose subtotale de l'IVA a été traitée avec 3 stents actifs (2 stents pour l'IVA, un pour la deuxième diagonale) avec un bon résultat immédiat. Parce que l'IVA est la dernière artère et tous les autres territoires sont infarcis (évaluation avec IRM avant l'intervention), il a été décidé d'implanter par l'artère fémorale droite un assist device (Impella 2.5). Avec ce support, l'intervention a été bien tolérée. On note quand même à la fin de la procédure une légère décompensation cardiaque à cause d'une hypertension artérielle/insuff. mitrale. La PTCA de l'IVA a été faite par un accès radial gauche parce que l'artère iliaque interne est occluse chroniquement. Laboratoire : cf annexes CT abdominal du 08.04.2019 : hernie ombilicale, à contenu grêle, incarcérée, avec signes de souffrance, sans signe de nécrose ni iléus. Apparition d'un kyste (46 HU) cortical du rein droit, à recontrôler par ultrason ou IRM. CT abdominal du 11.03.2019 : iléus mécanique sur bride du flanc droit avec mise en évidence d'un saut de calibre. Laboratoire : cf. annexes. CT abdominal le 20.03.2019 : iléus grêle avec dilatation d'anses jéjunales jusqu'à 4,8 cm et présentant des niveaux hydro-aériques. Saut de calibre sur la ligne médiane au niveau du pelvis et en péri-ombilical. Bon rehaussement pariétal de l'ensemble des anses grêles et coliques sans pneumatose pariétale ni pneumopéritoine. Pas de liquide libre. Status post-résection antérieure basse et colostomie terminale au flanc gauche avec hernie graisseuse parastomiale. Status post-cystectomie et confection d'un conduit iléal (Bricker) s'abouchant au flanc droit avec également à ce niveau une petite hernie parastomiale graisseuse. Par rapport à l'examen du 24.01.2019, les deux reins présentent plusieurs défauts de rehaussement corticaux en faveur de foyers de néphrite. Pyélons extrasinusaux des deux côtés avec ectasie des uretères en aval et prise de contraste pariétale inchangée, à corréler au Bricker. Radio cheville/calcaneum droit du 22.03.2019 (Dr. X) : comparatif du 08.02.2019. Matériel d'ORIF intègre et en position inchangée. Pas de déplacement secondaire des fractures qui restent bien visibles, sans signe franc de consolidation, notamment de la fracture de la malléole externe. Le reste du status est superposable. Laboratoire : cf annexes CT abdominal le 22.03.2019 : iléus de la quasi-totalité de l'intestin grêle sans signe de souffrance, d'allure mécanique. Le saut de calibre semble se situer dans le petit bassin à gauche (à hauteur de S1), avec un fèces sign. Utérus agrandi, d'allure myomateux, à corréler au bilan gynécologique. Pas de diverticulite ni d'appendicite. Laboratoire : cf. annexes. CT abdominal le 25.03.2019 : collection des coulées visibles précédemment en avant du pancréas, sans liquide visible ailleurs dans l'abdomen. Parenchyme pancréatique dans les limites de la norme. Dilatation modérée des voies biliaires intra-hépatiques gauches. Aspect légèrement hétérogène du parenchyme hépatique (signe indirect de cholangite ?). CT abdominal le 10.04.2019 : pas de signe de foyer infectieux à l'étage thoracique. À l'étage abdominal, majoration en taille des innombrables lésions disséminées dans les deux lobes hépatiques, compatible en premier lieu avec des métastases puisque ces lésions étaient déjà présentes sur l'IRM comparative avant l'apparition du syndrome inflammatoire. Relative stabilité de la discrète hypodensité de la tête du pancréas devant correspondre à la tumeur suspectée. Stent cholédocien en place, sans argument en faveur d'une cholangite. Stabilité des pseudo-kystes au contact du corps et de la queue du pancréas s'étendant en avant du rein gauche. Aspect moucheté de la rate au temps artériel (DD : infiltration tumorale ? Trouble de perfusion transitoire ?). ERCP le 26.03.2019 : échec de cathétérisation du cholédoque. Cholangio IRM le 29.03.2019 : masse au niveau de la tête du pancréas, lésions hépatiques. ERCP avec pose de stent métallique et aspiration à l'aiguille fine le 04.04.2019 (Dr. X) : multiples métastases hépatiques, ectasie des voies biliaires intra- et extra-hépatiques, néoplasie intra-pancréatique avec infiltration du cholédoque, sténose du cholédoque pré-papillaire. Pose de stent métallique. Pathologie : carcinome à cellules moyennes à grandes, compatible avec un adénocarcinome. Avis infectiologique (Dr. X/Dr. X) le 10.04.2019 : compte tenu d'une suspicion d'infection urinaire haute apparue sous ceftriaxone et métronidazole, nous vous proposons d'effectuer un urotube et de débuter un traitement d'Imipénème afin de couvrir un éventuel ESBL ou entérocoque. Une fois en possession du résultat de l'urotube, l'antibiothérapie devra être ciblée. RX du thorax le 18.04.2019 : status post mise en place d'une PAC pectoral droit se terminant à hauteur de la jonction cavo-atriale. Le reste de l'examen est superposable, notamment pas de pneumothorax visualisé. Laboratoire : cf. annexes. CT abdominal supérieur le 17.04.2019 : voies biliaires fines avec perméabilité du stent cholédocien et stabilité des métastases hépatiques, sans explication radiologique à l'augmentation de la bilirubine. Majoration du liquide libre abdominal. Majoration en taille des métastases surrénaliennes bilatérales. Importante splénomégalie inchangée et stabilité des adénopathies rétropéritonéales. ERCP le 18.04.2019 (Dr. X) : la papille est sans particularité, status post-papillotomie. Un stent plastique sort de la papille et est retiré par l'anse. Après réintroduction du duodénoscope, on peut cathétériser le cholédoque avec un guide. Suite à l'injection de produit de contraste, on visualise la sténose importante au niveau du cholédoque moyen et distal. Placement d'un nouveau stent de 10F, 9 cm. Laboratoire : cf annexes. CT abdominal 20.04.2019 : sigmoïdite diverticulaire aigue non compliquée, classée Hansen and Stock IIa. Pas de collection pelvienne. Laboratoire : cf. annexes. CT cérébral du 01.04.2019 : comparatif du 30.03.2019 et du 16.08.2018 réalisés en externe. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. On retrouve les plages d'hypodensités occipitale gauche et cérébelleuse droite, d'allure séquellaire, inchangées. Hypodensité (3 HU) bien délimitée, mesurant 6 mm de diamètre, dans les noyaux lenticulaires gauches, inchangée, et devant correspondre à une dilatation d'un espace de Virchow-Robin. Ectasie du système ventriculaire et des citernes de la base. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Ectasie des sillons cérébraux. Calcifications des siphons carotidiens et du segment V4 des vertébrales. Sinus para-nasaux, les oreilles moyennes et les cellules mastoïdes droites sont libres. On retrouve un comblement partiel de quelques cellules mastoïdiennes à gauche.Pas de fracture des os du crâne, ni de saignement intracrânien. Lésions séquellaires occipitale gauche et cérébelleuse droite. Radiographie du thorax du 02.04.2019. Avis angiologue (Dr. X) : l'angioCT du 30.3.2019 permet d'exclure une progression des sténoses carotidiennes. On retrouve une athéromatose minime des bulbes carotidiens internes D et G, sans sténose serrée. Laboratoire : cf annexes CT cérébral et cervical le 19.04.2019 : hémorragie sous durale de l'hémi-convexité droite 3 mm, intra-parenchymateuse frontale droite et sous-arachnoïdienne frontale et temporale droite, intra-parenchymateuse 2 cm (épi)-durale (doute), fracture de l'os pariétal. CT cérébral injecté le 19.04.2019 : absence de thrombose des sinus veineux. On visualise de façon plus claire, un fin hématome épidural en regard de la fracture comprimant légèrement le sinus mais sans effet compressif. CT cérébral de contrôle le 19.04.2019 : début de résorption de l'hématome sous-dural de l'hémi-convexité droite, ainsi que de l'hémorragie sous-arachnoïdienne fronto-temporale homolatérale avec une meilleure délimitation de la vallée sylvienne. Légère majoration de l'hématome sous-galéal du vertex, se prolongeant au niveau frontal, antérieur, des deux côtés. Stabilité en taille des hémorragies intra-parenchymateuses fronto-temporales droites. Pas de déplacement de la fracture de l'os pariétal gauche. Laboratoire : cf. annexes. CT cérébral le 13.04.2019 (CHUV) : hématome épidural pariéto-occipital gauche augmentant d'épaisseur avec fracture non déplacée temporo-pariétale. Majoration de l'effet de masse de cet hématome sur l'hémisphère gauche avec déviation de la ligne médiane passant de 3 à 10 mm vers la droite. Hématome épidural temporo-pariétal gauche stable avec épaisseur de 8 mm et une fracture non déplacée en regard. Hémorragie sous-arachnoïdienne temporale droite. CT cérébral le 14.04.2019 (CHUV) : status après drainage de l'hématome épidural pariéto-occipital gauche et diminution de la déviation de la ligne médiane. Stabilité de l'hémorragie sous-arachnoïdienne temporale droite. Examen neuropsychologique le 16.04.2019 : symptomatologie cognitive à prédominance hémisphérique G se caractérisant par une aphasie transcorticale sensorielle associée à une atteinte numérique, praxique, des notions D/G, de la mémoire antérograde, ainsi que des fonctions exécutives et attentionnelles latéralisées (négligence unilatérale D multimodale) et non latéralisées. Laboratoire : cf. annexes. CT cérébral natif et injecté et des vaisseaux du cou le 31.03.2019 : examen du cerveau et des vaisseaux du cou normal. Pas d'anomalie sur les cartes de perfusion. Electroencéphalogramme le 31.03.2019 : rapport en cours. IRM cérébrale le 01.04.2019 : discrète altération de signal ponctiforme en frontal et pariétal droit sur la séquence en axial T2 FLAIR en rapport avec une leucoaraïose. Pas de lésion ischémique aiguë. Laboratoire : cf. annexes. CT cervico-thoracique le 26.03.2019 : hormis une discrète majoration de l'épanchement pleural gauche, CT scanner thoracique superposable au comparatif du 22.03.2019. Perméabilité préservée de la veine cave supérieure, des veines brachio-céphaliques et de la veine jugulaire interne droite. Thrombose de la veine jugulaire interne gauche, déjà présente sur le comparatif. Laboratoire : cf. annexes. CT colonne lombaire le 16.04.2019 : majoration du tassement du corps vertébral de L1 avec stabilité du recul du mur postérieur estimé à 5 mm. Stabilité des autres tassements vertébraux par rapport aux comparatifs. Pas de nouveau tassement vertébral décelé. Rx colonne dorsale et lombaire le 26.04.2019 : en cours. ETT le 17.04.2019 : examen de très mauvaise qualité (avec LV contraste). Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale préservée. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Absence de sténose aortique. Fonction systolique du VG préservée. Je propose de compléter le bilan avec un holter. Holter le 18.04.2019 : rapport en cours. Laboratoire : cf. annexes. CT thoracique du 01.04.2019 : pas de lésion traumatique des vaisseaux thoraciques, des troncs supra-aortiques et notamment des vaisseaux pré-cérébraux. Pas de lésion traumatique du rachis cervical ou dorsal. Découverte fortuite d'une embolie pulmonaire sous-segmentaire postéro-basale lobaire inférieure droite sans répercussion hémodynamique sur le cœur droit. Radiographie de la colonne lombaire du 02.04.2019 : minime attitude scoliotique dextro-convexe. Pas de fracture mise en évidence. L'alignement des corps vertébraux et des articulations facettaires est conservé. Les articulations sacro-iliaques se présentent normalement. US membres inférieurs le 02.04.2019 (Dr. X) : absence de TVP ou TVS des MI : Avis soins intensifs (Dr. X) : hospitalisation pour surveillance Avis orthopédique (Dr. X) : antalgie par Sirdalud, AINS ; collerette mousse pour quelques jours. Laboratoire : cf. annexes. CT thoracique du 18.04.2019 : contusion pulmonaire droite, fine lame de pneumothorax droit, emphysème sous-cutané remontant jusqu'à l'aisselle droite, emphysème sous-pleural gauche. Pas d'épanchement péricardique. Pas d'emphysème au niveau du cou. Radio thorax du 19.04.2019 : pas de pneumothorax, pas d'épanchement. Laboratoire : cf. annexes. CT thoraco-abdominal le 08.04.2019 : status post-probable broncho-aspiration avec comblements bronchiques et condensations prédominants dans le lobe supérieur droit et le lobe inférieur gauche. Pas de signe de foyer infectieux à l'étage abdominal. Coprostase du cadre colique. Laboratoire : cf. annexes. CT thorax et abdomen natif le 01.04.2019 (HFR Tafers) : pas de signe pour une tumeur ou métastase. Pas de signe de foyer infectieux. Lésion kystique dans la partie intermédiaire du rein gauche en légère progression. Laboratoire : cf. annexes. CT-scan abdominal injecté : acquisition tomodensitométrique hélicoïdale abdomino-pelvienne après injection de 90 ml de Iomeron 400 bien toléré. Foie de parenchyme homogène et contours réguliers sans lésion focale suspecte. Veines sus-hépatiques et tronc porte perméable. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extrahépatiques. Vésicule biliaire sans calcul radio-opaque ni signe de cholécystite. Surrénales, rate et pancréas sans particularités. Reins de parenchyme homogène et de bonne différenciation cortico-médullaire des deux côtés. Calcul caliciel du rein gauche. Pas de dilatation des voies urinaires des deux côtés. Vessie aux parois fines. Hyperhémie utérine à corréler au cycle menstruel. Corps jaune de l'ovaire droit. Ovaire gauche sans particularité. Lame de liquide libre pelvienne physiologique. Pas de pneumopéritoine. Pas d'épaississement pariétal gastrique ou autre anomalie du tractus digestif. Sur les quelques coupes passant par les bases thoraciques, pas de nodule ni foyer ni épanchement. En fenêtre osseuse, pas de lésion suspecte. CONCLUSION : examen dans les limites de la norme. Laboratoire : cf. annexes. CT-Scan cérébral et colonne cervicale, natif et injecté du 14.04.2019 (Dr. X ; Dr. X). Absence de comparatif. Pas de lésion traumatique crânio-encéphalique. Pas d'hémorragie cérébrale. Pas de fracture. Tuméfaction des parties molles en regard de l'os pariétal gauche.Echocardiographie transthoracique du 15.04.2019 (Dr. X) : • Ventricule gauche non dilaté. • FEVG à 65 % (évaluation visuelle). • Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. • Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. • Pas d'insuffisance aortique. • Épaississement léger des 2 feuillets mitraux. • Absence de rétrécissement mitral. • Insuffisance mitrale minime. • Fonction diastolique normale. • Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. • Oreillette gauche non dilatée. • Ventricule droit normal. • Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. • Absence d'HTAP (PAPs à 33 mmHg). • Valve tricuspide normale. • Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). • Valve pulmonaire normale. • Absence d'épanchement péricardique. Holter ECG sur 48h du 23.04.2019 : rapport en cours Ultrasonographie du cou le 18.04.2019 (Dr. X) : • Sténose calcifiée à l'origine de l'artère carotide interne G, estimée autour de 50%, avec flux d'aval conservé. • Artère vertébrale gauche prédominante. • Indication à un traitement médical optimal des facteurs de risque cardiovasculaires, avec idéalement cible LDL < 1.8 mM. • Un antiagrégant plaquettaire est également indiqué, à réévaluer selon le risque hémorragique et le rapport bénéfice/risque. Laboratoire : cf. annexes. CT-Scan cérébral et des tissus mous du cou natif et injecté du 23.04.2019 (Dr. X ; Dr. X) • Absence de comparatif CT. • Absence de saignement intracrânien. • Perméabilité dans la norme des vaisseaux pré-cérébraux et intracrâniens. IRM cérébrale native et injectée du 24.04.2019 (Dr. X) • Comparatif : CT-scanner du 23.04.2019. • Ectasie du système ventriculaire, et élargissement des sillons cérébraux en rapport avec l'âge de la patiente. • Lésion ischémique punctiforme du centre semi-ovale gauche sans transformation hémorragique. • Leucoaraïose de stade I voire II selon Fazekas. • Perméabilité du polygone de Willis. • Épaississement muqueux du sinus sphénoïdal droit. Échocardiographie transthoracique du 25.04.2019 (Dr. X) • Examen de mauvaise qualité. • Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. • FEVG à 65 % (évaluation visuelle). • Aorte non dilatée. • Absence de rétrécissement aortique. • Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. • Insuffisance aortique légère. • Absence d'insuffisance mitrale. • Oreillette gauche discrètement dilatée. • Oreillette droite normale. • Ventricule droit normal. • Absence de dilatation des cavités droites. • Valve tricuspide normale. • Insuffisance tricuspide physiologique. • Absence d'épanchement péricardique. Holter de 24 heures du 26.04.2019 : rapport en cours Laboratoire : cf. annexes. CT-scan cérébral natif le 24.04.2019 : par rapport aux comparatifs, on retrouve une hypodensité thalamique gauche, correspondant à la séquelle d'AVC du 26 février 2019. Pas d'argument en faveur d'un saignement cérébral. Reste de l'examen superposable au comparatif de mars 2019. Si persistance des symptômes, bilan à compléter par une IRM cérébrale. Laboratoire : cf. annexes. Dépistage pour chlamydia et gonorrhée. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 69 bpm, axe normal à 34°, QRS élargi 200 ms avec image de bloc de branche droit en V1, V2, V3, transition de l'onde R en V4, QTc à 455 ms. Laboratoire : cf annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 77 bpm, axe normal à 34°, QRS fins à 96 ms, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R entre V3 et V4. QTc à 405 ms. Radiographie du thorax face : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Radiographie de l'épaule gauche face/neer : bonne congruence gléno-humérale. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Radiographie du coude gauche : enthésopathie d'insertion du tendon tricipital. Pas d'anomalie visible des structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. Radiographie de la jambe gauche : pas d'anomalie visible des structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Laboratoire : cf annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 78 bpm, QRS fins à 92 ms, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R retardée en V5, QTc à 441 ms. Sédiment urinaire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : détaillée ci-dessous. Antalgie simple. Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine si persistance des symptômes. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : détaillée ci-dessous. Avis cardiologique et des soins intensifs de l'HFR Fribourg. Héparine IV 5000Ul reçue aux urgences. Transfert en ambulance à HFR Fribourg aux soins intensifs C pour une coronarographie. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : détaillée ci-dessous. Avis du Dr. X. Retour à domicile et consultation chez son médecin traitant la semaine prochaine si persistance des douleurs. Consultation avant aux urgences en cas de péjoration clinique. Laboratoire : cf annexes ECG : comparable CT cérebral natif Laboratoire : cf annexes. ECG du 18.03.2019 : RSR 87 bpm, axe gauche, PR 156 ms, QRS fins 88 ms, QTc 429 ms. Gazométrie du 18.03.2019, sous O2 1 lt/min : pH 7.42, pCO2 5.3 kPa, pO2 8.6 kPa, BIC 25 mmol/l, satO2 94%. Gazométrie du 02.04.2019, à l'air ambiant : pH 7.40, pCO2 5.26 kPa, pO2 9.3 kPa, BIC 24 mmol/l, satO2 94%. Spirométrie du 19.03.2019 : CVF 61% du prédit, VEMS 66% du prédit, Tiffeneau 85% (qualité A). Diffusion du CO du 20.03.2019 : DLCO 31%. Diffusion du CO du 02.04.2019 : DLCO 48%. Polygraphie nocturne du 27.03.2019 : IDO 9.8/heure, IAH 14.7/heure. CT thoracique natif et injecté du 21.03.2019 : plage en verre dépoli bilatérale avec quelques signes de distorsion bronchique prédominant au niveau lobaire inférieur à droite. Signes évoquant une pneumopathie fibrosante probablement de type PINS. (rapport du radiologue) Radiographie thorax du 19.03.2019 : cœur de volume dans la norme. Déroulement aortique modéré. Persistance d'altération péri-bronchique alvéolaire lobaire inférieure bilatérale ainsi qu'à l'apex pulmonaire droit au décours d'un ARDS. Radiographie thorax du 29.03.2019 : on retrouve un cœur de volume dans la norme, sans signe de décompensation. Discret épaississement bronchique péri-hilaire droit inchangé. Pas d'argument pour un foyer alvéolaire surajouté ddc. Discrètes lésions dégénératives du rachis dorsal. Test des 6 minutes, à l'entrée, sous O2 1 lt/min avec concentrateur : distance parcourue 370 m. FC 87-93 bpm, TA 123/79 mmHg - TA 126/86 mmHg, satO2 91% - 88% (93% après 1'), EVA dyspnée 2-3/10 - 4-5/10. Test des 6 minutes, à la sortie, sous O2 2 lt/min avec concentrateur : distance parcourue 495 m. FC 80-112 bpm, TA 120/78 mmHg - TA 144/80 mmHg, satO2 95% - 87%, EVA dyspnée 1/10 - 3-4/10. Laboratoire : cf. annexes. ECG : RSR à 123/min, PR 152 ms, QRS fins avec axe - 90°, ondes T négatives en V2-V3, QTc 417 ms. Rx du thorax le 15.04.2019 : aspect rétractile, déjà connu, séquellaire de l'hémi-champs pulmonaire supérieur droit. Rétraction du médiastin vers le côté droit. Asymétrie de volume des deux champs pulmonaires. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer. CT-scan thoraco-abdominal le 15.03.2019 : en comparaison avec l'examen du 2 avril 2019, on retrouve un status post bi-lobectomie des lobes supérieur et moyen droits, sans changement significatif. Diminution d'épanchement péricardique. À l'étage abdominal, troubles de perfusion transitoire du foie avec discret œdème péri-portale et d'une fine lame de liquide entourant la vésicule biliaire qui contient une faible quantité de matériel hyperdense en position déclive correspondant probablement à du sludge (DD : cholécystite versus cholangite débutante ?). Pas de foyer, de collection ou d'abcès visible sur l'ensemble du volume exploré.Laboratoire : cf. annexes. ECG : RSR avec FC à 75/min, image de bloc de branche droit incomplet. Radiographie de thorax le 13.04.2019 : rapport en cours. Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme irrégulièrement irrégulier à 103/min, axe hypergauche, pas de bloc atrio-ventriculaire, hémibloc antérieur gauche, pas de bloc de branche, pas de troubles de la repolarisation. Coronarographie le 26.03.2019 : l'examen invasif du jour démontre maladie coronarienne tritronculaire avec sténoses intrastents significatives de l'IVA proximale à moyenne, une occlusion intrastent de l'IVA distale, une subocclusion de la bissectrice et une occlusion chronique de la 1ère marginale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 35-40% avec une akinésie antéro-latérale. Au vu de la complexité de la maladie coronarienne et de la sténose aortique modérée, une revascularisation chirurgicale avec un remplacement de la valve aortique chez Dr. X est prévue. Orthopantomogramme du 27.03.2019 : status post-édentation supérieure complète et multiples édentations inférieures. Status post-multiples interventions des dents restantes. Il n'y a pas de lésion ostéolytique mise en évidence, notamment dans les régions péri-radiculaires. Les articulations temporo-mandibulaires se présentent normalement. Avis cardiologique du 27.03.2019 (Dr. X) : pas d'indication à antiagrégation si anticoagulation au vu de la période de temps passée depuis le dernier stent. Passage à un DOAC recommandé. Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme irrégulièrement irrégulier à 97/min, aspect de fibrillo flutter, axe gauche à 60°, pas de bloc de branche, transition onde R en V3-V4, pas de troubles de la repolarisation. ETT le 09.04.2019 : ventricule gauche non dilaté. FEVG à 50 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Oreillette gauche discrètement dilatée. Discrète dilatation du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Cavités droites discrètement dilatées. Insuffisance tricuspide minime. Probable hypertension pulmonaire avec dilatation des cavités droites, dysfonction systolique du VD et septum paradoxal. Minime épanchement péricardique. Commentaire : l'examen du jour montre une fonction systolique légèrement diminuée. Dilatation biauriculaire. Pas de valvulopathie significative. Présence montre la triade classique de l'hypertension pulmonaire probable d'origine chronique avec dilatation des cavités droites, dysfonction systolique du VD et septum paradoxal. IT minime ne permettant pas de calculer une PAPs. Nous proposons d'optimiser le traitement d'insuffisance cardiaque par BB et IEC. RX du thorax le 04.04.2019 : silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Surcharge hydrique avec redistribution vasculaire baso-apicale, émoussement des récessus costo-diaphragmatiques des deux côtés correspondant à des épanchements avec et des troubles ventilatoires passifs aux deux bases au sein desquels un foyer n'est pas exclu. Opacité en bande en projection de la mi-plage pulmonaire droite devant correspondre à une atélectasie en bande. Cadre osseux et parties molles sans particularité. Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme non sinusal à 36/min, bloc atrio-ventriculaire du 3ème degré, rythme d'échappement jonctionnel. ETT le 02.04.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. Pas de trouble de la cinétique segmentaire sous réserve d'une paroi antérieure difficilement évaluable (conditions techniques moyennes). FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 7 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Épaississement léger des 2 feuillets mitraux. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Oreillette gauche non dilatée. La fonction systolique du VD est normale. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime. IP minime. Absence d'épanchement péricardique. Radiographie du thorax 04.04.2019 : pas de pneumothorax. Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 64/min, axe normal, pas de signe d'ischémie active, pas d'onde Q pathologique. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 85/min, axe gauche à 17°, pas de bloc atrio-ventriculaire, pas de bloc de branche, transition R en V2/V3, pas de trouble de la repolarisation, QTc 446ms. U/S ciblé (Dr. X/Dr. X) du 07.04.2019 : pas de liquide libre. Pas de dilatation pyélocalicielle. Pas de cholélithiase. Aorte abdominale avec diamètre normal. CT abdominal le 07.04.2019 : images évoquant des infarctus spléniques plurifocaux sans occlusion ou sténose vasculaire visible (DD : fibrillation auriculaire? hémopathie? troubles de la crase? autre?). Présence d'une petite rate accessoire de 12mm. Absence de liquide libre. Structures grêles et coliques sans particularité, sans argument pour une ischémie mésentérique ou une hernie interne. CT thoracique du 08.04.2019 : absence d'embolie pulmonaire. Stabilité des adénopathies médiastinales et hilaires. Majoration de l'infiltrat micronodulaire aux deux apex pulmonaires associé à des réticulations sous-pleurales. Ces altérations sont aspécifiques mais peuvent entrer dans le cadre d'une sarcoïdose. IRM abdominale du 10.04.2019 : multiples infarctus spléniques sans argument pour la présence de lésions granulomateuses. Le reste de l'examen est globalement inchangé par rapport au comparatif. Echocardiographie du 08.04.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'épanchement péricardique. Pas de passage de microbulles au repos ni manoeuvre de Valsalva. Pas d'évidence pour un shunt. Avis chirurgical (Dr. X) : anticoagulation prophylactique. Avis hématologique (Dr. X) : compléter le bilan : test de Coombs, anticorps antiphospholipidiques. Anticoagulation 3 mois puis refaire les tests après avoir stoppé anticoagulation une semaine. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier, normocarde à 56 bpm, axe normal à - 6°C, QRS fins à 88 ms, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R en V4. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme sinusal régulier, normocarde à 67 bpm, axe gauche à -39°, QRS fins à 110 ms, transition de l'onde R retardée en V6, segment ST iso-électrique, QTc à 464 ms. CT-scan injecté le 03.04.2019 : en phase native, pas d'hémorragie intra ou extra-axiale ni effet de masse ni déviation de la ligne médiane. Discrète atrophie cortico-sous-corticale en lien avec l'âge de la patiente. Pas d'hypodensité ni dédifférenciation cortico-sous-corticale. En phase artérielle, on note une athéromatose calcifiée de la crosse aortique et des troncs supra-aortiques prédominant au niveau de la bifurcation carotidienne gauche et des siphons carotidiens des deux côtés sans sténose significative. Pas d'occlusion ni sténose des vaisseaux intracrâniens. Pas d'anévrisme. En phase veineuse, pas de prise de contraste suspecte intraparenchymateuse ou méningée. Sinus duraux et veines cérébrales internes perméables. À noter une hypodensité mal délimitée du lobe thyroïdien droit. Multiples ganglions cervicaux dans pratiquement toutes les aires ganglionnaires des deux côtés, sans adénopathie visualisée. Ganglions péri-parotidiens. La filière pharyngo-laryngée est difficilement analysable en raison d'artéfacts devant être engendrés par la déglutition de la patiente.CONCLUSION : pas d'AVC ischémique constitué ou hémorragique. Goitre thyroïdien, à corréler à un avis endocrinologique spécialisé selon besoin. IRM le 05.04.2019 : deux lésions ischémiques en restriction de la diffusion et hyper signal FLAIR : au niveau cérébelleux gauche évoquant des lésions ischémiques dépassant les 3 h. Anomalie veineuse de développement cérébelleuse gauche. ETO le 08.04.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Aorte non dilatée, athérome > 4 mm au niveau de la jonction sino-tubulaire et plusieurs athéromes au niveau de la crosse aortique et de l aorte descendante. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance aortique minime. Excès tissulaire du feuillet mitral postérieur. Restriction de mouvement du feuillet mitral postérieur. Il existe une masse de 21 x 24 cm sous le FMP du côté ventriculaire, en partie calcifiée avec minime augmentation de la taille par rapport au comparatif du 16.08.2018. Rétrécissement mitral lâche. Gradient moyen OG-VG à 4 mmHg. Insuffisance mitrale minime. Oreillette gauche très dilatée, sans thrombus visible. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Foramen ovale perméable avec un shunt léger à modéré gauche-droit. Anévrysme du septum interauriculaire. Absence d'épanchement péricardique. Bilan angiologique pré-bypass (Dr. X le 10.04.2019) : échographie doppler des vaisseaux pré-cérébraux : Philips Affiniti 70 G. Les artères carotides commune, interne, externe sont perméables, parcourues par un flux physiologique. Athérome diffus, prédominant à la bifurcation surtout à G où il est calcifié, avec cône d'ombre postérieur, sans sténose significative. Notamment à G, flux identique en amont et en aval de la plaque calcique, plaidant contre une sténose significative. Artères vertébrales en V2 parcourues par un flux antérograde des deux côtés, légèrement amorti à D, en rapport avec une probable sténose proximale de cette artère. Artères subclavières perméables des deux côtés, parcourues par un flux biphasique symétrique. A. mammaires perméables, flux physiologique, mesurées à 2.2 mm des deux côtés, flux triphasique. Repérage veineux des MI : Philips Affiniti 70 G. GVS compressibles des deux côtés, mesures selon schéma entre 1.3 et 5 mm à D et 1.6 et 3.2 à G. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier, normocarde à 82 bpm, axe normal à 3°, QRS fins à 88 ms, segment ST isoélectrique, on note une onde T négative en V4, V5, V6 chez un patient avec diagnostic d'infarctus il y a 1 mois. Transition de l'onde R en V3, QTc à 414 ms. cf. annexes. Radiographie du thorax : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme sinusal régulier (une ESV unique) à 71/min, axe hypergauche à -56°, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré, bloc de branche gauche, pas de trouble de la repolarisation. CT cérébral du 18.04.2019 : absence d'argument pour un AVC ischémique ou hémorragique aiguë. Absence de lésion sténosante significative du polygone de Willis et des vaisseaux précérébraux. Absence de thrombose des sinus veineux. IRM cérébral du 23.04.2019 : (rapport provisoire) : pas de lésion ischémique, leucoaraiose Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme sinusal régulier 65/min, axe hypergauche, bloc atrio-ventriculaire du premier degré, pas de bloc de branche, pas de trouble de la repolarisation. CT cérébral le 11.04.2019 : pas d'argument radiologique pour un accident vasculaire cérébral ischémique ou hémorragique. Lacunes anciennes bithalamiques. Absence d œdème cérébral. IRM cérébral le 18.04.2019 : atrophie cortico-sous-corticale modérée. Pas de lésion ischémique récente. Quelques lésions ischémiques séquellaires telles que décrites. Le polygone de Willis est perméable. EEG le 13.04.2019 : quelques épisodes de crise subclinique à prédominance temporale droite, au cours de l'enregistrement. Pas de modification comportementale à ce moment-là. EEG le 15.04.2019 : poursuite de crises partielles bitemporales, rajouter Urbanyl 10 mg le soir, réévaluer demain lorsque le paterne sera corrigé, mettre à 3x1gr/j de Keppra. Réévaluer cliniquement le 17.04. EEG le 18.04.2019 : absence de foyer irritatif. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : comparatif 05.09.2017. Silhouette cardiaque de volume dans la norme sans signe de décompensation. Absence d'infiltrat interstitiel ou alvéolaire systématisé. Pas de signe indirect pour une embolie pulmonaire. Pas d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax ou d'air libre sous les coupoles diaphragmatiques. Squelette visible sans particularité (Dr. X). Laboratoire : cf annexes. ECG du 01.04.2019 : RSR, FC 86 bpm, axe normal, PR 140 ms, QRS fins 84 ms, QTc 410 ms, pas de sus-/sous-décalage. Gazométrie du 02.04.2019, à l'air ambiant : pH 7.42, pCO2 4.81 kPa, pO2 9.6 kPa, BIC 23 mmol/l, satO2 95%. Spirométrie du 02.04.2019 : CVF 45% du prédit, VEMS 49% du prédit, Tiffeneau 88% - qualité A. Spirométrie du 16.04.2019 : CVF 48% du prédit, VEMS 52% du prédit, Tiffeneau 88% - qualité A. Radiographie thorax du 02.04.2019 (comparatif du 27.12.2017) : on retrouve un remaniement de l'interstice qui a nettement augmenté avec un aspect micronodulaire devant rentrer dans le cadre d'une pneumopathie interstitielle connue. Silhouette cardiaque à la limite supérieure de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Test de 6 minutes, à l'entrée, à l'air ambiant : distance parcourue 390 m. FC 111-150 bpm, TA 146/97 mmHg - TA 163/108 mmHg, satO2 95% - 91%, EVA dyspnée 1-2/10 - 6-7/10. Test de 6 minutes, à la sortie, à l'air ambiant : distance parcourue 505 m. FC 113-158 bpm, TA 137/107 mmHg - TA 139/83 mmHg, satO2 98% - 86%, EVA dyspnée 1/10 - 7/10. Laboratoire : cf annexes. ECG du 08.04.2019 : rythme sinusal à 75 bpm, normoaxé, QRS fins, transition de l'onde R en V2-V3. Laboratoire : cf annexes. ECG du 11.03.2019 : rythme sinusal à 76/min, axe à gauche, aspect d'un début de bloc de branche gauche, QRS à la limite supérieure à 120 ms. ENMG du 14.03.2019 : minime asymétrie des réponses H, reste dans les normes. Elle est compatible avec une irritation non-déficitaire des fibres sensitives S1 gauche. Radiographie colonne lombaire face/profil du 12.03.2019 : pincement discal L2-L3. Alignement conservés des murs vertébraux. Discrète arthrose interfacettaire L4-L5-S1. IRM colonne lombaire du 22.03.2019 (comparatif du 03.10.2017) : pas de changement significatif. Discopathies L5-S1 inchangées par rapport à l'examen du 03.10.2017 avec une protrusion discale à large rayon de courbure, sans hernie discale, sans conflit discoradiculaire, sans rétrécissement neuroforaminal significatif. Stigmates d'un st/p cure de hernie discale L5-S1 G, sans changement, sans signe de récidive.Laboratoire : cf annexes. • ECG du 13.03.2019 : RSR 71 bpm, axe normal, PR 178 ms, QRS fins 76 ms, pas de sous-/sus-décalage. • Gazométrie du 18.03.2019, à l'air ambiant : pH 7.41, pCO2 5.07 kPa, pO2 9.7 kPa, BIC 23.4 mmol/l, satO2 95.2%. Laboratoire : cf annexes. • ECG du 18.03.2019 : RSR 86 bpm, axe gauche, BAV 1 degré, QRS fins 88 ms, pas de sus-/sous-décalage. • Evaluation neuropsychologique du 29.03 et 22.03.2019 : cf rapport. Laboratoire : cf annexes. • ECG du 18.03.2019 : rythme sinusal à 73 bpm, axe gauche, QRS fin, transition tardive de l'onde R en V6. Laboratoire : cf annexes. • ECG du 18.03.2019 : rythme sinusal avec onde P propre avec tracking ventriculaire, QTc à 493 ms. • US système urogénital du 21.03.2019 : reins d'échostructure conservée, bien différenciés, sans dilatation pyélocalicielle. Vessie à parois régulières, sans masse exophytique ou caillot visualisé. Pas d'effet de masse pelvienne décelable (examen limité par le morphotype de la patiente). • Doppler veine jambe D du 28.03.2019 : pas de TVP objectivée au niveau du MID. Laboratoire : cf annexes. • ECG du 21.03.2019 : rythme sinusal à 77 bpm, axe à la limite de la norme, QRS fins, pas de transition de l'onde R. • CT cérébral natif du 24.04.2019 : évolution attendue d'hémorragie intraparenchymateuse. Disparition des composantes sous-arachnoïdiennes. Pas de nouvelle hémorragie. Laboratoire : cf annexes. • ECG du 25.03.2019. • CT-Scan thoraco-abdominal du 27.03.2019 : développement d'une masse dans le médiastin antérieur (DD : thymome ? carcinome thymique ? carcinoïde thymique ?). Emphysème pulmonaire. Hépatomégalie de 19 cm (inchangée par rapport à 2012) et apparition d'une splénomégalie de 18 cm (avec présence d'une rate accessoire au niveau du hile splénique de taille augmentée également). • RX mains et pieds le 27.03.2019 : mains droite et gauche : discrète arthrose des IPD. Pas d'érosion marginale. Pas d'altération de la structure osseuse. Les tissus mous se présentent normalement. Pieds droit et gauche : interlignes articulaires réguliers, d'épaisseur conservée, sans mise en évidence d'érosion marginale. Pas d'altération de la structure osseuse. Les tissus mous se présentent normalement. • Ponction biopsie de moelle le 27.03.2019 (Dr. X). • Radiographie du thorax de contrôle post-biopsie d'une masse médiastinale antérieure, le 29.03.2019 (Dr. X). Examen comparé au CT thoracique du 29.03.2019. Pas d'image de pneumothorax ou de pneumo-médiastin. La silhouette cardio-médiastinale est dans la norme. Présence d'un émoussement du récessus costo-diaphragmatique droit pouvant parler pour un épanchement pleural de faible quantité. Pas d'image pathologique en projection des plages pulmonaires. L'examen du cadre osseux est sans particularité. Laboratoire : cf annexes. • ECG du 26.03.2019 : RSR, FC 76 bpm, axe normal, PR 152 ms, QRS fins 84 ms, QTc 423 ms. • Gazométrie du 26.03.2019, à l'air ambiant : pH 7.41, pCO2 5.32 kPa, pO2 8.7 kPa, BIC 24 mmol/l, satO2 94%. • Gazométrie du 12.04.2019, à l'air ambiant : pH 7.36, pCO2 5.55 kPa, pO2 8.8 kPa, BIC 22 mmol/l, satO2 92%. • Spirométrie du 26.03.2019 : CVF 68% du prédit, VEMS 29% du prédit, Tiffeneau 33% - qualité A. • Spirométrie du 09.04.2019 : CVF 79% du prédit, VEMS 34% du prédit, Tiffeneau 34% - qualité B. • Oxymétrie nocturne du 27.03.2019, à l'air ambiant : SpO2 moyenne 88.5%, index des événements de désaturation 3.5/heure. • Radiographie thorax du 26.03.2019 (comparatif du 21.02.2019) : on retrouve la désorganisation de la trame ronchovasculaire avec radio-transparence à l'apex D et la base du même côté évoquant de volumineuses bulles d'emphysème, le tout d'aspect superposable, sans foyer, infiltrat ni épanchement pleural surajouté. Silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. • Test de 6 minutes à l'entrée, à l'air ambiant : distance parcourue 420 m. FC 77-97 bpm, TA 134/84 mmHg - TA 156/98 mmHg, satO2 90% - 85%, EVA dyspnée 1/10 - 3/10. • Test de 6 minutes à la sortie, à l'air ambiant : distance parcourue 535 m. FC 83-101 bpm, TA 106/72 mmHg - TA 139/83 mmHg, satO2 93% - 80% (90% après 2'), EVA dyspnée 0/10 - 6/10. Laboratoire : cf annexes. • ECG du 26.03.2019 : tachycardie supra-ventriculaire à 100 bpm, normoaxé, BBG incomplet (QRS = 118 ms). Laboratoire : cf annexes. • ECG du 26.04.2019 : rythme régulièrement irrégulier à 94/min, aspect de bigeminisme DD foyer atrial multifocal, axe dans la norme, pas de bloc atrio-ventriculaire, pas de bloc de branche, pas de trouble de la repolarisation. • Radiographie du thorax du 19.04.2019 : examen réalisé en position couchée, en incidence antéro-postérieure. Comparatif du 30.12.2015. Silhouette cardio-médiastinale ininterprétable en raison de la position couchée et d'une rotation de la patiente. Sclérose du bouton aortique. Épaississements bronchiques et réticulations diffuses pouvant rentrer dans le cadre d'une surcharge, sans changement par rapport au comparatif. Pas de franc épanchement pleural. Le cadre osseux est superposable. • CT cérébral du 20.04.2019 : majoration de la dilatation des ventricules avec diminution de l'angle callosal, associées à des signes de résorption trans épendymaire, le tout pouvant être compatible avec une hydrocéphalie à pression normale. Il y a une légère augmentation de l'atrophie cérébrale mais qui n'est pas autant marquée. Pas d'hémorragie intracrânienne. • IRM cérébral du 23.04.2019 : AVC ischémique récent occipital gauche et récent voire semi-récent cérébelleux ddc. Pas de transformation hémorragique. Légère majoration de la dilatation du système ventriculaire (troisième ventricule mesuré à 1.4 cm de diamètre contre 1.1 cm en 2015) avec un angle callosal estimé à 65°, évoquant une hydrocéphalie à pression normale. • Majoration des plages d'anomalie de signal de la substance blanche péri-ventriculaire et profonde devant correspondre à une leuco-encéphalopathie de stade III selon Fazekas (résorption trans-épendymaire surajoutée ?). • CT cérébral du 25.04.2019 : quelques minimes plaques calcifiées de la crosse aortique et à l'origine de l'artère sous-clavière gauche. Possible minime défaut d'opacification de la partie toute proximale de l'artère vertébrale à droite. Quelques plaques calcifiées à la bifurcation carotidienne et l'origine des artères carotides internes bilatérales sans sténose significative. Pas de dissection carotido-vertébrale. La circulation artérielle intracrânienne est sans particularité en dehors d'un anévrisme au départ d'une branche à la jonction du segment M1-M2 de l'artère cérébrale moyenne droite avec un collet de 3 mm et une profondeur d'environ 2.8 mm. Le reste de l'examen est inchangé. • Echocardiographie du 24.04.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. • EEG le 25.04.2019 : EEG pathologique par une activité de base ralentie et déstructurée, compatible avec une encéphalopathie. Pas de foyer irritatif. Laboratoire : cf annexes. • ECG le 02.04.2019 : rythme sinusal régulier à 93/min, axe gauche, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré, pas de bloc de branche, pas de troubles de la repolarisation.CT thoracique du 30.03.2019 : thorax. Embolies pulmonaires touchant le tronc principal à gauche, le segment inférieur de la lingula, quelques segments du culmen, tous les segments du lobe inférieur gauche, le segment antérieur du lobe supérieur droit, le segment médial du lobe moyen et plusieurs segments dans le lobe inférieur droit. Condensations pulmonaires touchant principalement les lobes supérieurs, prédominant en péri-bronchovasculaire. Important épanchements pleuraux bilatéraux avec atélectasie de contact. Dilatation du tronc pulmonaire mesurée à 32 mm. Rectitude du septum interventriculaire avec un ratio ventricule droit sur ventricule gauche supérieur à 0.9 témoignant d'une répercussion sur les cavités cardiaques. Pas d'épanchement péricardique notable. Multiples adénopathies dans le médiastin, notamment en sous-carinaire et dans la loge de Baretti. Absence de nodule suspect individualisé. Pas de pneumothorax. Athéromatose aortique. Sur les coupes passant par l'étage abdominal Absence de lésion suspecte. Kyste du rein gauche à 66 mm. Osseux : absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. Conclusion : embolies pulmonaires touchant de multiples artères segmentaires ddc et le tronc principal à gauche avec répercussion sur les cavités cardiaques et signes d'hypertension artérielle pulmonaire, ainsi que des épanchements pleuraux bilatéraux et condensations pulmonaires dans les lobes supérieurs ddc (DD : infarctus ? foyers ?). Laboratoire : cf. annexes. ECG le 17.01.2019 à 19h : rythme sinusal et régulier à 98/min, QRS fins avec bonne progression de l'onde R, segments PQ, QT et ST sans particularités, onde T négative en aVR et plate en V1, axe normal. ECG le 17.01.2019 à 21h : rythme sinusal et régulier à 68/min, QRS fins avec bonne progression de l'onde R, segments PQ, QT et ST sans particularités, onde T négative en DIII, aVR et plate en V1, axe normal. ECG le 18.01.2019 à 21h : rythme sinusal et régulier à 68/min, QRS fins avec bonne progression de l'onde R, segments PQ, QT et ST sans particularités, onde T négative en aVR et V1 et biphasique en DIII, axe normal. ECG le 20.01.2019 : rythme sinusal et régulier, QRS fins avec bonne progression de l'onde R, segments PQ, QT et ST sans particularités, onde T normalisée en DIII, axe normal. Coronarographie le 18.01.2019 : l'examen invasif en urgence démontre une progression importante de la maladie coronarienne. Je propose dans cette situation une revascularisation chirurgicale. Aspirine à vie, Nitro TTS, stop Efient !, Héparine. Duplex carotides, Echocardiographie transthoracique le 18.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique de morphologie et de fonction normale. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Valve mitrale de cinétique normale. Absence d'insuffisance mitrale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. US-Doppler artériel précérébral le 18.01.2019 : perméabilité des artères carotides communes, internes et externes des deux côtés avec flux physiologiques, peu résistifs et antérogrades. Absence d'athéromatose des bifurcations, absence de sténose. Repérage veineux des membres inférieurs le 18.01.2019 : les grandes saphènes sont perméables, sans thromboses ni varices. Leur diamètre est de 4 mm sur tout leur trajet aux cuisses. Elles peuvent être prélevées des plis inguinaux jusqu'en dessous des genoux des 2 côtés. Plus bas, elles sont trop fines. Laboratoire : cf. annexes. ECG le 27.04.2019 : rythme sinusal, régulier, pas de trouble de la conduction ni de la repolarisation. RX du thorax le 27.04.2019 : silhouette cardiaque dans la norme, pas d'épanchement, pas de foyer. Coronarographie le 27.04.2019 : cet examen montre une maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et coronaire droite) avec comme lésion coupable une sténose focale subtotale de l'artère coronaire droite moyenne, traitée par PCI/1 DES avec un bon résultat final. Je propose une ergométrie à 3 mois : si elle est positive ou si le patient présente un angor résiduel dans l'intervalle, re-coronarographie dans l'idée de traiter les sténoses limites de l'IVA. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, statine, BB, reste du traitement inchangé. Laboratoire : cf. annexes. ECG (16.04.2019) : rythme sinusal régulier, tachycarde, axe gauche, pas de trouble de la repolarisation. RX thorax le 16.04.2019 : absence de lésion. Une autre évaluation du thorax devrait avoir lieu avec la CT. CT thoracique du 17.04.2019 : condensations plurifocales et infiltrats en verre dépoli diffus dans les deux poumons, avec des condensations prédominant dans le segment apical du lobe supérieur droit et dans la pyramide basale droite, d'allure infectieuse. Multiples nodules à contenu graisseux (-119 HU) des deux glandes surrénales, évoquant en premier lieu des myélolipomes. Atrophie du pancréas. Discopathie pluri-étagée du rachis dorsal. Laboratoire : cf. annexes. EEG le 08.04.2019 : dysrythmie diffuse. Pas de potentiel épileptiforme. CT cérébral le 07.04.2019 : prémédication MIDAZOLAM 5 mg X2 + Haldol 5 mg, pas d'effet notable des traitements. IRM le 08.04.2019 : petite lésion ischémique corticale occipitale droite d'allure récente (infirmée lors de la relecture des images). Importante atrophie cortico-sous-corticale diffuse. Sténose d'environ 50 à 60 % de l'origine de l'artère carotide interne droite. Avis Psychiatre (Dr. X) = état confusionnel aigu (probablement surajouté à une atteinte neurologique chronique type démence fronto-temporale) - étiologie possible médicamenteuse Dd - décompensation d'un trouble bipolaire connu. À l'état actuel, il reste à poursuivre les investigations somatiques avant d'exclure une origine organique de l'état confusionnel et de s'assurer que des complications somatiques, conséquences d'une prise probablement anarchique des psychotropes, sont hors cause. Par la suite, une prise en charge en milieu psychogériatrique, sous PAFA, devrait être envisagée, en donnant priorité à l'hôpital psychiatrique du canton de domicile, Zoug. Avis Neurologue n° 1 = indication à une PL avec PCR multiplex vu l'état confusionnel sans étiologie claire. Avis Neurologue n° 2 = exclusion des étiologies vitales, vu l'étiologie peu claire de la confusion aiguë, hospitalisation en médecine avec projet d'un EEG le 08.04.2019 et IRM cérébrale durant l'hospitalisation devant le doute d'une lésion temporale postérieure. Introduction de 100 mg d'Aspirine devant le doute d'une possible lésion ischémique. Laboratoire : cf. annexes. Embolisation 29.03.2019 : Opérateurs : Dr. X, 1er chef de clinique, Dr. X, médecin-assistant L'intervention ainsi que ses complications sont exposées au patient. Recueil du consentement éclairé. Désinfection cutanée et champage du pli inguinal droit. Anesthésie locale à la peau et en profondeur au moyen de Rapidocaïne 1%. Ponction rétrograde de l'artère fémorale commune droite et mise en place d'un introducteur court 5 French. L'angiographie sélective de l'artère splénique confirme le pseudo-anévrisme juste avant le hile splénique. Surmonté le pseudo-anévrisme par un micro-cathéter, l'artère splénique est fermée vers l'arrière avec 7 coils de 6 mm. Le contrôle final confirme la perfusion résiduelle de la rate par voie collatérale et l'exclusion du pseudo-anévrisme. Retrait du matériel et fermeture du point de ponction au moyen d'un Femoseal. Mise en place d'un pansement compressif durant plusieurs heures. Médicaments administrés : 40 ml Iopamiro 300 i.v. PET CT du 08.04.2019 : On retrouve la masse de la tête pancréatique, avec dilatation du canal de Wirsung. A noter qu'il n'est pas possible de mesurer la masse de façon correcte, en raison de l'absence d'injection i.v. de produit de contraste. Par ailleurs, quasi-disparition de l'épanchement pleural gauche. Aspect inchangé d'une petite opacité nodulaire mais aplatie du segment apical du lobe inférieur droit, sans signe franc de malignité. On retrouve également une petite opacité sous-pleurale du même segment, d'allure inchangée. Status post-embolisation de l'artère splénique et diminution du pseudo-kyste au contact de la queue du pancréas. Le reste du status est superposable. Mise en évidence d'une intense hypercaptation correspondant à la masse tumorale de la tête du pancréas qui a très probablement une origine maligne. Absence de lésion hypermétabolique en faveur d'éventuelles métastases locorégionales et à distance. Laboratoire : cf. annexes. ETT le 02.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile globale normale. La cinétique segmentaire n'est pas évaluable en raison de mauvaises conditions techniques. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Radio du thorax le 06.04.2019 : Examen réalisé en position couchée, en incidence AP. On retrouve le status post-mise en place d'un cathéter de dialyse en position inchangée. Silhouette cardiomédiastinale superposable. De même, pas de nouvelle image pathologique en projection des plages pulmonaires. Pas d'épanchement pleural. Reste du status inchangé. Radio genou gauche le 11.04.2019 : Importante diminution de l'espace articulaire notamment du compartiment interne de l'articulation fémoro-tibiale avec des ostéophytes aux berges articulaires associés à une importante arthrose fémoro-patellaire. Pas d'épanchement intra-articulaire. Calcifications vasculaires. Laboratoire : cf. annexes. Examen neuro-sonographique des vaisseaux précérébraux le 11.05.2016 : Athéromatose modérée à importante des vaisseaux précérébraux avec l'examen neurosonologique : sténose > 50 % de l'artère vertébrale droite de V2 à V4. Sténose < 50 % de la partie proximale du tronc basilaire. Sténose débutante du siphon carotidien gauche. IRM neurocrâne et carotides le 09.05.2016 : Leucoencéphalopathie périventriculaire Fazekas II. Pas de lésion ischémique cérébrale récente. Uncodiscarthrose étagée de C3 à D1 avec rétrécissement canalaire sévère de C3 à C5 associés à une probable myélopathie sous-jacente. Discrète sténose du siphon carotidien gauche. Pas de nette sténose sur le cours des artères communes, carotides internes et vertébrales. OGD le 15.04.2019 : Très forte suspicion de varices sous-cardiales responsables de l'hémorragie. Pas d'hémorragie active au moment de l'endoscopie. Proposition : CT-Scan injecté. US hépatique le 15.04.2019 : Pas d'argument radiologique pour une hypertension portale. Stéatose hépatique, avec ectasie des veines sus-hépatiques, associées à une perte du flux physiologique, en lien avec une surcharge. Ectasie de l'aorte abdominale mesurant 21 mm de diamètre, à bilanter par un CT-scan. IRM neurocrâne et carotides le 17.04.2019 : Pas de lésion ischémique, pas d'hémorragie. Multiples irrégularités sur toute la hauteur de l'artère vertébrale gauche sans signe de dissection notable. Leuco-araïose Fazekas II. Laboratoire : cf annexes. Histologie : cf annexe. Colonoscopie du 18.04.2019 : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Histologie du 09.04.2019 : cf annexes. CT pulmonaire natif le 08.04.2019 : Condensations diffuses éparses dans les deux poumons, associées à des discrets épanchements pleuraux bilatéraux, aspécifiques (DD : origine infectieuse ? ARDS ?). A noter que l'aspect des altérations du parenchyme pulmonaire n'est pas typique d'une pneumonie à éosinophiles. Status post-ostéotomie de l'extrémité médiale de la clavicule gauche avec remaniement tissulaire au pourtour. Laboratoire : cf annexes. Hydratation par 500 ml de Ringer (ambulance) puis de 1000 ml NaCl, puis de 1000 ml NaCl sur 12 heures. Avis du Dr. X. Surveillance aux urgences. Laboratoire : cf annexes. IRM abdominale du 01.04.2019 : En comparaison avec le CT scanner du 28 mars 2019, on retrouve l'épaississement pariétal circonférentiel de la région pylorique s'étendant segment D1 et D2 du duodénum compatible avec une origine tumorale. Fistule duodéno-vésicale provenant de la portion D1 du duodénum. Calculs vésiculaires cholestéroliques. Adénopathie péri-coeliaque, stable. Infiltration de la graisse péri-duodénale et péri-vésiculaire en rapport avec une carcinose péritonéale. Contact intime du pancréas et de la lésion duodénale avec probable infiltration tumorale de la région céphalique. Laboratoire : cf annexes. IRM cérébrale le 02.04.2019 : Examen réalisé seulement avec quelques coupes sans injection de gadolinium, comparé au CT du 19.03.2019. Multiples lésions ischémiques subaiguës dans la substance blanche péri-ventriculaire ddc ainsi que dans le lobe frontal droit. Laboratoire : cf annexes. IRM cérébrale le 02.04.2019 : Masses orbitaires bilatérales connues invoquant des lésions métastatiques. Pas de lésion métastatique intra-parenchymateuse. Rehaussement à la limite du physiologique des méninges, aspécifique (ponction lombaire récente ?). CT thoraco-abdominal le 03.04.2019 : Progression tumorale à la fois dans le sein mais également au niveau abdominal avec apparition de métastases hépatiques et d'implants péritonéaux. RX thoracique le 09.04.2019 : Examen réalisé en position assise, en incidence antéro-postérieure. Comparatif RX du 22 juin 2018 et CT du 3 avril 2019. Status après mise en place d'un PAC sous-clavier droit, dont l'extrémité se projette sur la veine cave supérieure. Silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Absence d'image pathologique au sein des champs pulmonaires. Pas de pneumothorax. Absence d'épanchement pleural. Le cadre osseux est inchangé et les lésions métastatiques ne sont pas discernées. Laboratoire : cf annexes. IRM cérébrale le 04.04.2019 : Cerveau : pas d'imagerie antérieure. Comparatif. Multiples hypersignaux FLAIR de la substance blanche péri-ventriculaire et sous-corticale dans les régions frontale, temporale et pariétale ddc avec trois lésions prenant le contraste en périphérie en faveur de lésions démyélinisantes actives, une dans le centre semi-ovale droit et l'autre dans la région sous-corticale frontale droite. Une troisième lésion prend le contraste en périphérie dans la région sous-corticale frontale droite également active. Hypersignal du tronc cérébral pontique, d'allure ancienne et d'autre lésion également dans les pédoncules cérébelleux sans signe d'inflammation active. Les structures médianes sont en place. Aspect élargi des sillons corticaux et des ventricules en rapport avec une très discrète atrophie cortico-sous-corticale marquée pour l'âge. Pas d'autre prise de contraste pathologique. Pas de thrombose veineuse. Pas d'anomalie des espaces cisternaux des régions sellaire et supra-sellaire. Pas d'anomalie de la charnière cervico-occipitale. Sur les coupes passant la moelle cervicale en C2-C3, pas de lésion inflammatoire. Le polygone de Willis se présente normalement, perméable sans image de sténose ni d'anévrisme avec un aspect hypoplasique de la terminaison de la vertébrale gauche. Orbite : hypersignal T2 avec tuméfaction du nerf optique dans sa portion rétrobulbaire à gauche avec prise de contraste parlant en faveur d'une névrite optique. Le nerf optique droit paraît de morphologie et de signal normaux. Pas d'anomalie de la graisse intra-orbitaire, ni des muscles oculomoteurs. Les globes oculaires se présentent normalement. Pas d'anomalie des sinus caverneux. Laboratoire : cf. annexes. IRM cérébrale le 10.04.2019 : AVC ischémiques aigus dans la région péri-rolandique et au niveau de la corona radiata à droite. Atrophie cérébrale. Épaississement méningé en regard des sites de trépanation. ETT le 09.04.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 32 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Holter le 11.04.19 : analyse en cours. Laboratoire : cf. annexes. IRM de la colonne totale le 27.03.2019 : pas de compression médullaire ou de myélopathie. Pas d'argument pouvant expliquer la symptomatologie de la patiente. À noter une prise de contraste focale du coin supéro-antérieur de L3 dd spondylarthropathie inflammatoire débutante ? RX bassin 09.04.2019 : la densité osseuse normale pour l'âge. Les rapports articulaires sont préservés. Les articulations sacro-iliaques sont sans particularité sous réserve de la limite de technique. Dispositif intra-utérin. Coprostase dans le cadre colique droit. Laboratoire : cf. annexes. Murphy négatif. Sédiment urinaire : cf. annexes. Contrôle clinico-biologique le 19.04.2019 avec ultrason. Reconsultation si péjoration clinique sur la nuit. Laboratoire : cf annexes. Spot du 03.04.2019 : FeNa à 0.7%, Fe urée à 32% = pré-rénale Sédiment 02.04.2019 : actif avec leucocyturie, hématurie extra-glomérulaire, protéinurie (UPCR et dosage quantitatif) sélective. RX thorax du 03.04.2019 : silhouette cardiaque à la limite supérieure de la norme. Pas de signe franc de décompensation cardiaque. Quelques discrètes réticulations aux bases pulmonaires, aspécifiques. Pas d'épanchement pleural. L'examen du cadre osseux est sans particularité. Ponction biopsie rénale le 08.04.2019 : glomérulonéphrite extra-capillaire pauci-immune avec : • Lésions actives : composante extra-capillaire (1 croissant cellulaire et 1 croissant fibro-cellulaire), inflammation interstitielle (10%), lésions épithéliales tubulaires, sans image de vasculite. • Lésions chroniques : sclérose glomérulaire (12%), composante extra-capillaire avec 3 croissants fibreux, fibrose interstitielle (40%), légère artério- et artériolo-sclérose. RX thorax du 10.04.2019 : infiltrat réticulo-nodulaire dans l'ensemble des plages pulmonaires à droite plus marquée dans le supérieur droit avec par endroits des bronchogrammes aériques pouvant évoquer des foyers infectieux. Émoussement du sinus costo-diaphragmatique à droite. RX thorax du 11.04.2019 : S/p mise en place d'un cathéter de dialyse, avec son extrémité distale qui se trouve en surprojetion de la veine cave supérieure. Majoration des opacités et des infiltrats nodulaires dans l'ensemble de l'hémi-plage pulmonaire à droite. CT abdominal natif du 02.04.2019 : absence de calcul le long des voies urinaires des deux côtés. Pas d'argument radiologique pour une cause obstructive à l'insuffisance rénale aiguë. CT thoracique natif du 04.04.2019 : œdème pulmonaire interstitiel peu marqué (d'origine rénale ou cardiaque). Bronchite chronique bilatérale avec quelques comblements particulièrement dans les deux bases. Quelques calcifications des coronaires et de la valve aortique. Multiples adénopathies médiastinales notamment dans la loge de Baretti mesurant 20 mm, en para-trachéale antérieure de 13 mm de diamètre et en région sous-carinaire. Échocardiographie trans-thoracique le 10.04.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Débit cardiaque dans les limites de la normale calculé à 4,95 l/min avec un index cardiaque à 2,34 l/min/m² (101% de la théorique). Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Surface aortique à 1,36 cm² (0,64 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 8 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. RX du thorax du 25.04.19 : permcath sous-clavier droit en place dont l'extrémité distale se situe dans l'oreillette droite (environ 70 mm sous le plan de la carène). Silhouette cardio-médiastinale normale. Pas d'épanchement pleural. Pas de foyer. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie : détaillée ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Désinfection, champagne, anesthésie locale. Incision sur 1 cm avec extériorisation d'une collection pâteuse blanche, drainage, curetage du fond de plaie, lavage abondant, plaie laissée ouverte. Pansement Adaptic, compresses, Cofix, immobilisation du bras par bretelle, prise en charge à 2 jours en policlinique d'orthopédie pour le contrôle de plaie. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie de la jambe gauche : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés (Dr. X). Radiographie du genou gauche : les interlignes articulaires sont conservés. Pas d'image de fracture décelable (Dr. X). Radiographie de la colonne dorsale : les corps vertébraux sont de hauteur conservée dans les limites de l'incidence réalisée. Les vertèbres dorsales hautes sont difficiles à analyser en rapport avec les multiples superpositions. Alignement conservé des murs vertébraux. Si forte suspicion de lésion traumatique, à compléter par un CT scanner à distance (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du bassin et des hanches axiale : détaillée ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Conseil de repos, antalgie, Sirdalud.Avis du Dr. X, chirurgien. Suivi chez le médecin. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du bassin et des hanches : comparatif du jour. Bassin réalisé après retrait de la ceinture de contention pelvienne. Contenu calcique, structures osseuses et rapport articulaire du bassin et des fémurs proximaux conservés. Articulations SI et coxofémorales symétriques, sans lésion traumatique visible. DIU en projection du petit bassin (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : aorte déroulée et calcifiée. Turgescence hilaire bilatérale prédominant à droite. Épanchement pleural à droite de faible abondance avec troubles ventilatoires. Lésions dégénératives étagées de la colonne dorsale (Dr. X). ECG : rythme sinusal régulier à 66/min, axe normal, pas de signe d'ischémie active, pas d'ondes Q pathologiques. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : détaillée ci-dessous. ECG : cf. annexes. Dafalgan 1 g. Retour à domicile avec antalgie. Contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : étalement de la silhouette cardiomédiastinale lié à la position couchée. Morphologie cardiopulmonaire dans la norme. Absence de CE radio-opaque en projection du thorax. Pas d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax (Dr. X). Radiographie de l'abdomen sans préparation : comparatif du 18.04.2019. Progression du corps linéaire de faible tonalité métallique, correspondant à une lame de rasoir qui se trouve actuellement en projection du côlon droit. Deux nouveaux corps étrangers métalliques correspondant aux probables aimants ingérés, en projection de l'hypocondre gauche. Pas de double contour des structures digestives en faveur d'un pneumopéritoine décelable. Le reste du statut est superposable (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : pas d'examen comparatif. Épaississement bronchique. Pas de foyer pneumonique visible. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Cadre osseux sp (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : silhouette cardiaque de morphologie normale. Sclérose de l'arc aortique. Le parenchyme pulmonaire se présente normalement, sans signe de foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax. Pas de fracture costale décelée. Discopathie pluri-étagée du rachis dorsal. Tassement de L1. CT cérébral 27.03.2019 : absence de saignement intracrânien. Pas de fracture. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax du 11.04.2019 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Opacité de la pyramide basale droite, compatible avec un foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Discopathie pluri-étagée du rachis dorsal. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax du 15.04.2019 (Dr. X). Radiographie comparative du 30.11.2018. St/p mise en place d'un pacemaker pectoral gauche d'allure intact. Pas de pneumothorax. Le reste de l'examen est inchangé. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. (Dr. X). ECG : cf. annexes. RS à 67 bpm, QRS fins avec axe à 40°, pas de signe d'ischémie active. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : cliché réalisé pratiquement en expirium. Tassement du parenchyme pulmonaire aux bases. Pas d'évidence de foyer. Cœur de volume dans les limites supérieures de la norme. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax le 04.04.2019. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax le 04.04.2019 (Dr. X). Comparatif du 28.12.2018. Silhouette cardio-médiastinale dans la norme. Pas d'image pathologique en projection des plages pulmonaires. Pas d'épanchement pleural. L'examen du cadre osseux est sans particularité. CT-scan abdominal natif et injecté du 04.04.2019 (Dr. X) : pas de liquide libre intra-péritonéal. Pas de pneumopéritoine. Pas de saignement actif. Pas de masse du cadre colique. Oeso-gastro-duodénoscopie du 04.04.2019 (Dr. X) : légère rougeur de la muqueuse antrale, DD Gastrite. Légère béance du cardia en rétroversion. Pour le reste, oeso-gastro-duodénoscopie dans les limites de la norme. Colonoscopie du 04.04.2019 (Dr. X) : hémorroïde de stade II, enflammée avec présence de sang frais. Marisques péri-anales de 1 cm. Pour le reste, iléo-colonoscopie dans les limites de la norme. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax le 24.03.2019 : en comparaison avec l'examen précédent du 22.02.2019. Silhouette cardio-médiastinale normale. Port-à-cath pré-pectorale gauche dont l'extrémité se situe à la jonction cavo-atriale. Pas de nodule suspect individualisé, pas de foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural ni de pneumothorax. Surélévation de la coupole diaphragmatique droite connue, superposable. Le reste de l'examen est également globalement inchangé. CT thoraco-abdomino-pelvien le 25.03.2019 : à l'étage thoracique, diminution de l'épaississement et de l'épanchement pleural à droite mais majoration de la masse tissulaire para-vertébrale gauche en regard de la spondylodèse. Pas de foyer. À l'étage abdominal, globale stabilité de la dilatation urétéro-pyélo-calicielle gauche mais avec discrète diminution de l'adénopathie rétro-péritonéale envahissant le muscle psoas et l'uretère lombaire. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax le 25.03.2019 Comparatif du 05.10.2018. Étalement de la silhouette cardiaque en lien avec la position du patient. Status post mise en place de 2 pacemakers situés en pré-pectoral droit et en pré-pectoral gauche avec sondes correctement reliées aux boîtiers. Discret flou péri-hilaire et épaississement bronchique devant être en rapport avec une légère surcharge. Pas d'épanchement pleural de quantité radiologiquement significative. Calcifications de la crosse aortique. Cadre osseux inchangé. CT thoraco-abdominal le 25.03.2019 : légère majoration de la dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques par rapport à juin 2016, associée à du matériel spontanément dense dans le bas cholédoque (dd : concrétions calciques ? lithiases), ainsi que des adénopathies dans le mésentère. Une cholangite ne peut être exclue. US abdomen supérieur le 29.03.2019 : comparatif CT du 25.03.2019 et ultrason du 22.01.2016. On retrouve une dilatation des voies biliaires intra et extrahépatiques, avec pour exemple du côté gauche une voie proximale mesurée à 4 mm de diamètre, et un cholédoque mesuré jusqu'à 17 mm de diamètre. Status post-cholécystectomie. Pas de calcul mis en évidence le long des voies biliaires, sous réserve de ne pas avoir visualisé le bas-fond cholédocien en raison d'artéfacts aériques. ERCP le 01.04.2019 : extraction du cholédoque de 2 concréments après lithotripsie et élargissement de la papille. Status après cholécystectomie et papillotomie. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax le 27.03.2019 : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Calcifications de la crosse aortique. Spondylarthrose dorsale. Radiographie de la cheville et de la jambe droite le 27.03.2019 : Cheville droite : fracture Weber B peu déplacée associée à une tuméfaction des tissus mous. Sur le cliché en charge, on note une diastase de la syndesmose estimée à 6 mm. Sur le cliché post mise en place de plâtre, pas de déplacement secondaire. Jambe droite : pas de fracture mise en évidence au sein du péroné proximal. Gonarthrose tricompartimentale. Radiographie de la cheville droite le 27.03.2019 : contrôle après pose de plâtre. Comparatif du même jour. Pas de déplacement secondaire notable de la fracture Weber B de la fibula distale. Echocardiographie le 29.03.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche discrètement dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Insuffisance tricuspide légère (grade 1/3) avec un jet très excentrique. Hypertension pulmonaire avec PAPs estimée à 47 mmHg (Grad OD-VD à 42 mmHg + 5 mmHg). Absence d'épanchement péricardique. Holter le 01.04.2019 : rapport en attente Radiographie de la cheville droite le 03.04.2019 : comparatif du 27.03.2019. Examen réalisé sous plâtre. On retrouve la fracture Weber B sans déplacement secondaire significatif. Le reste de l'examen est inchangé. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax le 28.03.2019 (Dr. X) : comparatif du 30.05.2018 => Comme sur le comparatif, on retrouve un status post-mise en place d'un pacemaker en position pré-pectorale gauche avec certaines sondes qui sont déconnectées. Les sondes connectées sont intègres. On retrouve une très volumineuse hernie hiatale globalement inchangée. Pas de foyer pulmonaire constitué. Suspicion d'un nodule bilobé de 11 mm en projection de la plage pulmonaire moyenne droite. Doute sur un possible épanchement pleural à droite, difficilement évaluable en raison de la volumineuse hernie hiatale. Calcifications en arc en projection du ventricule gauche (anévrisme ?). Le reste de l'examen est superposable. CT-Scan thoracique natif et injecté du 28.03.2019 (Dr. X ; Dr. X) : comparatif du 30.05.2018. Sous réserve de multiples artéfacts métalliques engendrés par le pacemaker pré-pectoral gauche, pas d'embolie pulmonaire. Pas de changement des structures cardiovasculaires. Légère progression en taille d'un nodule situé dans le segment antérieur du lobe supérieur droit passant de 4 à 6 mm. Pas de changement de la hernie hiatale connue avec up-side down stomach. Échocardiographie du 29.03.2019 (Dr. X) : cardiopathie ischémique avec dilatation importante du ventricule gauche avec anévrysme apical et akinésie étendue apicale, du septum moyen, de la paroi latérale moyenne, antérieure moyenne et de septale antérieure moyenne, une hypokinésie minime de la paroi inféro-basale et postéro-basale et une hypokinésie sévère des segments restants. FEVG à 25 % selon Simpson biplan. Hypertrophie excentrique. Absence de thrombus apical. Aorte non dilatée. Rétrécissement aortique non serré. Surface aortique à 0,99 cm² (0,75 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 9 mmHg. Insuffisance aortique modérée (grade 2/3). Excès tissulaire des 2 feuillets mitraux. Absence de rétrécissement mitral. Gradient moyen OG-VG à 3 mmHg. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/3) fonctionnelle. Oreillette gauche ectasique. Oreillette droite normale. Sonde de PM. Ventricule droit non dilaté. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTP (PAPs à 33 mmHg). VCI se collabe en inspiration en faveur d'une hypovolémie. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3). Minime épanchement péricardique circonférentiel, plus marquée en regard des cavités droites, infra-centimétrique, hémodynamiquement non relevante. Examen superposable à celui du 05.2018 en ce qui concerne la fonction et régionalités du VG, l'anévrysme apical, les valvulopathies aortique et mitrale, et l'épanchement péricardique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax le 29.03.2019 (Dr. X ; Dr. X) : comparatif du 03.03.2019. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Port-à-cathéter pré-pectoral gauche dont l'extrémité se trouve en surprojection de la veine cave supérieure, en place. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Le compartiment osseux se présente normalement. Clips chirurgicaux cervicaux à droite. CT-Scan thoraco-abdominal natif et injecté du 01.04.2019 (Dr. X) : pas de manifestation tumorale dans l'ensemble du volume exploré. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du 4ème doigt de la main droite : petite structure de tonalité calcique de forme ovale, bien délimitée mesurant 3 mm de long située sur le versant cubital dans les parties molles en regard de 3ème phalange du 4ème doigt. Tuméfaction des parties molles de 3ème phalange du 4ème doigt. Il pourrait s'agir d'une ancienne lésion calcifiée en vue de son aspect bien délimité et régulier plutôt que d'une fracture ouverte aiguë (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Régression de la symptomatologie lors du retrait du bandage. Confection d'un nouveau pansement. Rendez-vous prévu le 23.04.2019 à la consultation du Dr. X, orthopédiste. Laboratoire : cf. annexes. RX clavicule le 15.03.2019 : radio comparative du thorax du 01.06.2017. St/p ostéosynthèse par plaque vissée de la clavicule gauche. Matériel intact. Absence de signe en faveur d'un descellement. Absence de fracture péri-prothétique. Sous réserve d'une incidence différente au comparatif, absence de déplacement significatif du matériel d'ostéosynthèse. Le reste des structures osseuses est sans particularité. Tissus mous sans particularité. Laboratoire : cf. annexes. RX du thorax le 15.04.2019 (Dr. X ; Dr. X) : en comparaison avec l'examen précédent du 13.04.2019. Cardiomégalie avec redistribution apicale, infiltrat interstitiel bilatéral diffus, épaississements bronchiques, flou péri-hilaire péri-bronchovasculaire et émoussement du récessus costo-diaphragmatique notamment à gauche, compatible avec une insuffisance cardiaque. Status post mise en place d'un pacemaker bi-caméral se terminant en projection de l'oreillette droite et du ventricule droit, sans signe de complication, notamment pas de pneumothorax ni de déconnexion. Calcifications aortiques. Cadre osseux sans particularité. Échocardiographie le 16.04.2019 (Dr. X ; Dr. X) : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie globale minime. FEVG à 50 % (méthode de Simpson). Hypertrophie concentrique. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Laboratoire : cf. annexes. RX du thorax le 17.04.2019 (Dr. X) : comparatif du 08.10.2017. Silhouette cardiomédiastinale inchangée. On retrouve une sternotomie avec rupture du dernier cerclage. Status post-pontage aorto-coronarien. Pas de foyer pulmonaire constitué et pas d'épanchement pleural. L'examen du cadre osseux est inchangé. CT-scan cérébral natif le 17.04.2019 (Dr. X) : système ventriculaire de morphologie normale. Ectasie des sillons cérébraux en rapport avec l'âge de la patiente. Pas de déviation des structures de la ligne médiane. Pas d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous ou extradurale. Pas de lésion focale parenchymateuse. Calcifications des artères carotides internes à hauteur des siphons carotidiens des deux côtés ainsi que de l'artère vertébrale droite dans sa portion V4. Discret comblement spumeux du sinus sphénoïdal. Pneumatisation normale des autres cavités sinusiennes de la face ainsi que des cellules mastoïdiennes. Déviation gauche de la cloison nasale. Conclusion : absence de saignement intracrânien.Échocardiographie le 18.04.2019 (Dr. X, Dr. X) : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie globale modérée. FEVG à 40 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche modérément dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique longitudinale du VD est modérément diminuée mais globalement préservée. Insuffisance tricuspide légère (grade 1/3). Absence d'hypertension pulmonaire. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf annexes Rx lombaire le 30.04.2019 : CT des membres inférieurs le 24.04.2019 : À gauche, occlusion distale de l'artère tibiale antérieure avec une artère fibulaire irriguant l'artère pédieuse qui est très irrégulière en distalité puis occluse. Le reste du pied est vascularisé par l'artère tibiale postérieure. Laboratoire : cf annexes. RX thorax du 04.04.2019 : silhouette cardiaque non analysable sur ce cliché réalisé en incidence antéro-postérieure. On retrouve un élargissement des hiles bien délimités des deux côtés en faveur d'adénopathies (cf. CT du 10.05.2016). Apparition d'un infiltrat alvéolaire de l'hémi-plage inférieure droite traduisant un foyer dans le contexte. Pas d'épanchement. Cadre osseux et tissus mous sans particularités. Laboratoire : cf annexes. RX thorax du 14.03.2019 : opacité pulmonaire lobaire supérieure gauche correspondant à la lésion suspecte d'atteinte tumorale. Développement d'opacités dans la partie moyenne du poumon droit et dans une moindre mesure, en base pulmonaire droite, compatibles avec des foyers infectieux. Pas d'épanchement pleural. IRM de la colonne lombaire du 25.03.2019 : discret débord discal dans le foramen transverse gauche en L4-L5 avec contact étroit avec la racine L4. Troubles dégénératifs pluri-étagés du rachis lombaire. Sténose modérée du canal spinal en L4-L5. CT cérébral du 30.03.2019 : apparition d'une sténose de la carotide interne droite post-bulbaire de 50 % qui reste perméable mais grêle en aval. Sténoses de la portion supra-clinoïdienne des artères carotides internes ddc mais plus marquées à droite. Aspect inchangé de la dissection focale de l'artère carotide commune gauche distale s'étendant sur 1 cm, juste en amont de la bifurcation. Pas d'hémorragie ou d'ischémie nouvelle, cependant, pour une meilleure investigation, l'IRM est l'examen de choix. Occlusion de l'artère vertébrale droite inchangée. IRM cérébrale du 01.04.2019 : absence d'argument en faveur d'un accident vasculaire ischémique ou hémorragique. Leuco-araïose de type 2 selon Fazekas. Le reste de l'examen est superposable au comparatif CT du 30.03.2019. Laboratoire : cf annexes Rx thorax du 15.04.2019 : Élargissement de la silhouette cardiaque en raison de la position assise. Aspect proéminent des hiles pulmonaires. Pas de signe de décompensation cardiaque. Pas de nodule suspect individualisé ni de franc foyer infectieux. Les récessus costo-diaphragmatiques ne sont pas visualisés, un épanchement pleural ne peut pas être exclu. Cadre osseux normal, correspondant à l'âge et la constitution du patient. Status post mise en place d'une VVC jugulaire droite se terminant dans la veine cave supérieure. Rx abdomen couché du 16.04.2019 : Pas de distension pathologique de tube digestif. Coprostase dans le côlon descendant. Pas de calcification pathologique. Troubles dégénératifs étagés de la colonne lombaire. Arthrose sacro-iliaque. Coxarthrose bilatérale. Laboratoire : cf annexes. RX thorax du 15.04.2019 : élargissement de la silhouette cardiaque en raison de la position assise. Aspect proéminent des hiles pulmonaires. Pas de signe de décompensation cardiaque. Pas de nodule suspect individualisé ni de franc foyer infectieux. Les récessus costo-diaphragmatiques ne sont pas visualisés, un épanchement pleural ne peut pas être exclu. Cadre osseux normal, correspondant à l'âge et la constitution du patient. Status post mise en place d'une VVC jugulaire droite se terminant dans la veine cave supérieure. RX abdomen couché du 16.04.2019 : pas de distension pathologique de tube digestif. Coprostase dans le côlon descendant. Pas de calcification pathologique. Troubles dégénératifs étagés de la colonne lombaire. Arthrose sacro-iliaque. Coxarthrose bilatérale. Radiographie du thorax le 16.04.2019 : contrôle position de la sonde. La sonde naso-gastrique est en place et son extrémité distale se trouve en surprojection de la bulle gastrique. Laboratoire : cf annexes. RX thorax du 23.04.2019 : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Coronarographie le 23.04.2019 (Prof. X) : maladie coronarienne bitronculaire, qui n'explique pas le syndrome coronarien aigu. Par contre, la ventriculographie met en évidence un aspect de syndrome Tako-Tsubo de type mid-ventricular avec une dyskinésie diaphragmale/antéro-latérale et une hyperkinésie des parois basale et apicale (FEVG à 45 %). Les pressions télédiastoliques sont élevées à 34 mmHg. Pas d'argument pour une dissection aortique ou une embolie pulmonaire. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne bitronculaire, qui n'explique pas le syndrome coronarien aigu. Par contre, la ventriculographie met en évidence un aspect d'un syndrome Tako-Tsubo de type mid-ventricular avec une dyskinésie diaphragmale/antéro-latérale et une hyperkinésie des parois basale et apicale (EF 45 %). Les pressions télédiastoliques sont élevées à 34 mmHg. Pas d'argument pour une dissection aortique ou une embolie pulmonaire. Surveillance aux soins intensifs pour 24-48 h. ETT demain. Aspirine cardio 100 mg et IEC. Contrôle des facteurs de risque selon les cibles de la prophylaxie secondaire. Echocardiographie transthoracique le 24.04.2019 (Dr. X, Dr. X) : Examen réalisé en mauvaises conditions techniques. Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une akinésie du septum moyen, de la paroi latérale moyenne, de la paroi inférieure moyenne, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi septale antérieure basale, une hypokinésie sévère de la paroi septale antérieure moyenne et de la paroi postérieure moyenne, une hypokinésie modérée du septum basal et de la paroi latéro-basale et une hypokinésie minime de la paroi inféro-basale et de la paroi antéro-basale. FEVG à 40 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. L'examen est réalisé avec produit de contraste endocavitaire (Sonovue). Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du VD est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Echocardiographie transthoracique le 26.04.2019 (Dr. X, Dr. X) : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec des troubles de la cinétique segmentaire, plus marqués en mid-ventriculaire. FEVG évaluée à 45 % (évaluation visuelle), en amélioration par rapport à l'examen précédent. Laboratoire : cf annexes.RX thorax du 24.04.2019 : inspirium légèrement insuffisant. Pas de changement des dystélectasies lamellaires basale gauche et lobaire moyenne. Épaississement diffus des parois bronchiques. Pas d'épanchement pleural. Pas de foyer parenchymateux constitué visible. Aorte thoracique descendante déroulée. CT cérébral du 24.04.2019 : évolution attendue d'hémorragie intraparenchymateuse. Disparition des composantes sous-arachnoïdiennes. Pas de nouvelle hémorragie. IRM cérébrale du 25.04.2019. Conclusion : examen très artéfacté, non terminé en raison de l'état de la patiente. Lésion occipitale gauche entourée d'un œdème évoquant l'évolution d'un hématome. Discrète plage d'hypersignal sur les coupes FLAIR non spécifique, occipitale à droite. Laboratoire : cf. annexes. RX thorax du 25.03.2019 : infiltrat infra-hilaire droit, compatible avec une pneumonie. Opacité de 7 x 5 cm dans le lobe supérieur droit (péri-hilaire), avant tout une tumeur. Épanchement pleural gauche. Atélectasie en bande péri-hilaire gauche. Épaississement bronchique bilatéral, prédominant à droite. Pas de lésions osseuses démarquées. CT thoracique natif et injecté du 26.03.2019 : tumeur pulmonaire de 6 cm dans le lobe supérieur droit. Adénopathies médiastinales et hilaires bilatérales, hilaire droite avec sténose de la lumière bronchique et des artères pulmonaires (voir description). Épanchement pleural bilatéral prédominant à gauche et épanchement péricardique avec rehaussement des bords (DD : péricardite). Pas de métastases intra-abdominales ou osseuses. Lésion kystique sous-capsulaire de la rate, principalement compatible avec un pseudo-kyste post-traumatique. Échocardiographie le 26.03.2019 (Dr. X, Dr. X) : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile globale normale. La cinétique segmentaire fine n'est pas évaluable en raison de mauvaises conditions techniques. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Fibrose du feuillet mitral postérieur. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée. Cavités droites discrètement dilatées. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Les feuillets péricardiques sont discrètement épaissis. Léger épanchement péricardique localisé avec un diamètre maximal de 13 mm. Bonne tolérance hémodynamique. Conclusion : l'examen du jour montre une fonction systolique globale normale. Importante dilatation des cavités droites avec dysfonction du VD modérée. Léger épanchement péricardique en regard des cavités droites, d'aspect liquidien avec bonne tolérance hémodynamique. RX thorax du 28.03.2019 : tube orotrachéal se terminant à distance de la carène. SNG se terminant en sur-projection de l'estomac. Le reste de l'examen est superposable au comparatif, on retrouve une opacité dans la partie moyenne du poumon droit, correspondant à la masse visualisée au CT scanner, associée à des adénopathies médiastino-hilaires et à des épanchements pleuraux bilatéraux. RX thorax du 28.03.2019 : pas de signe de pneumothorax. Le reste de l'examen est inchangé. PET-CT du 03.04.2019 : par rapport au comparatif du 26.03.2019, légère augmentation de la volumineuse tumeur pulmonaire du lobe supérieur droit, et de la masse hilaire associée, avec occlusion de la bronche lobaire moyenne, progression de la sténose des autres bronches et majoration de l'atélectasie partielle du lobe moyen. Pas de changement des multiples adénopathies médiastinales, hilaires droites, et dans les régions supra-claviculaires. Apparition d'une petite masse d'un peu plus de 2 cm de la glande surrénale gauche parlant pour une métastase. Diminution des épanchements pleuraux bilatéraux, prédominant à gauche, et nette diminution de l'épanchement péricardique, avec persistance d'un discret épaississement du péricarde. Le reste du volume exploré est inchangé sur le plan radiologique, sous réserve de l'absence d'injection IV de produit de contraste iodé. Mise en évidence d'une intense hypercaptation pulmonaire droite, envahissant massivement le hile et le médiastin, correspondant à la tumeur primitive connue, avec de multiples métastases ganglionnaires, supra-claviculaires bilatérales, médiastinales, supra- et infra-carinaires bilatérales, et surrénaliennes gauches. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de métastases. Laboratoire : cf. annexes. RX thorax du 25.04.2019 : décompensation cardiaque avec infiltrat interstitiel diffus et péri-hilaire en lien avec un œdème pulmonaire. Petits épanchements pleuraux prédominant à gauche. Pas de foyer pulmonaire surajouté. Coronarographie du 26.04.2019 : l'examen invasif du jour démontre une resténose localisée dans la PAC-saphène. Le reste du statut coronarien est inchangé. Les pressions de remplissage VG sont dans les limites de la norme. Angioplastie avec ballon à élution de la resténose. Laboratoire : cf. annexes. RX thorax le 08.04.2019 : sous réserve d'un examen réalisé en position couchée, cardiomégalie associée à une turgescence hilaire bilatérale et émoussement de sinus costo-diaphragmatiques bilatéraux, tous ensemble évoquant une surcharge cardiaque. Pas de franc foyer pulmonaire décelable. Calcification de la crosse aortique. L'os est sans particularité. ETT le 11.04.2019 (Prof. X) : dilatation importante du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 27 % (méthode de Simpson). Aorte normale. Valve aortique normale. Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Insuffisance mitrale modérée (dilatation de l'anneau). Oreillette gauche très dilatée. Oreillette droite modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. HTAP modérée. PAPs 54 mm HG. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Valve pulmonaire normale. Coronarographie le 17.04.2019 : artères coronaires athéromateuses. Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. Laboratoire : cf. annexes. RX thorax le 10.04.2019 : pacemaker en position pré-pectorale gauche avec trois sondes connectées au boîtier se terminant en surprojection de l'oreillette et du ventricule droit ainsi que du sinus coronaire. Sclérose de l'arc aortique. Flou péri-hilaire associé à un épanchement pleural de moyenne abondance à droite et de faible abondance à gauche, compatible avec une insuffisance cardiaque décompensée. Opacité pulmonaire basale droite évoquant en premier lieu une atélectasie de contact à l'épanchement. Un foyer infectieux surajouté ne peut toutefois pas être exclu. Discopathie pluri-étagée du rachis dorsal. Interrogation PM le 11.04.2019 : contrôle du pacemaker resynchronisation : tachycardie atriale à 118/min, pacemaker reprogrammé en VVIR à 70/min. Seuils, détections et impédances stables. Pile encore bonne 7.5 ans. Vu par Dr. X. Laboratoire : cf. annexes. RX thorax 02.04.2019 : silhouette cardiaque légèrement agrandie mais sans autre signe franc de décompensation cardiaque. Opacités en bande dans la plage pulmonaire inférieure gauche parlant pour une atélectasie sous-segmentaire. Pas d'autre pathologique en projection des plages pulmonaires, pas d'épanchement pleural. Le reste de l'examen est superposable. Laboratoire : cf. annexes. RX thorax 16.04.2019 : radiographie comparative du 18.09.2016. Calcification aortique. Émoussement du sinus costo-diaphragmatique à droite. Pas de franc foyer pulmonaire décelable. Pas de pneumothorax. L'os est sans particularité. ETT le 17.04.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique.Aorte normale. Rétrécissement aortique lâche calcifié, d'origine dégénératif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Oreillette gauche très dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf. annexes. RX thorax 31.03.2019 : cardiomégalie, épanchement pleural D tiers inférieur, nodule centimétrique lobe inférieur D. Calcifications aortiques. ECG 31.03.2019 : rythme FA avec tachycardie non sinusale à 120, QRS fins avec bonne progression dans les précordiales, pas de décalage significatif du segment ST, pas d'inversion des ondes T. ETT 02.04.2019 : FEVG à 50 % (méthode de Simpson). Insuffisance mitrale légère à modérée (grade 1-2/3). SOR de l'IM à 0,19 cm². Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit normal. Oreillette droite modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3). Hypertension pulmonaire avec PAPs à 56 mmHg. Laboratoire : cf annexes. Sédiment : cf annexes. Ultrason abdominal le 26.04.2019 : sonde vésicale en place avec vessie quasi-vide. Dans ce contexte, il n'y a pas de lésion pariétale focale visible. L'épaisseur de la paroi vésicale n'est pas évaluable dans les conditions d'examen. Reins normaux, avec multiples kystes corticaux rénaux simples à droite, classés Bosniak I. Pas de dilatation des voies urinaires. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie de la colonne cervicale : examen réalisé sans injection de produit de contraste. Absence de comparatif à disposition. La morphologie des corps vertébraux, des disques intervertébraux, des processus latéraux et épineux est normale. Pas d'altération de la structure osseuse et pas d'ostéolyse. Absence de trait de fracture. Tissus mous pré-cervicaux fins. La filière pharyngo-laryngée et la thyroïde se présentent normalement. Les coupes passant par les apex pulmonaires ne mettent pas en évidence de nodule suspect. CT-Scanner de la colonne cervicale : examen réalisé sans injection de produit de contraste. Absence de comparatif à disposition. La morphologie des corps vertébraux, des disques intervertébraux, des processus latéraux et épineux est normale. Pas d'altération de la structure osseuse et pas d'ostéolyse. Absence de trait de fracture. Tissus mous pré-cervicaux fins. La filière pharyngo-laryngée et la thyroïde se présentent normalement. Les coupes passant par les apex pulmonaires ne mettent pas en évidence de nodule suspect. CT-Scanner abdominal : absence de comparatif CT. Examen réalisé avant et après injection de 90 cc de Iomeron 400 IV. Abdomen : le foie est de taille, de configuration et de densité normale. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Les reins sont de taille et de configuration normale, sans dilatation du système excréteur. Les structures uro-génitales ont une morphologie normale. Pas de masse ou de collection pelvienne. Pas d'adénopathie, pas d'ascite. Pas d'anomalie de l'aorte ou de la veine cave inférieure. Les structures vasculaires pelviennes sont sans particularité. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique. Absence de lésion nodulaire suspecte. Absence d'épanchement pleural. Osseux : absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. Conclusion : examen dans les limites de la norme, sans argument scanographique en faveur d'une lésion des organes pleins de l'abdomen supérieur. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie de l'abdomen couché : composante de coprostase significative au niveau du côlon droit et côlon gauche, aussi au niveau du côlon transverse et au niveau rectal. Pas d'image de pneumopéritoine. Pas d'anomalie décelable des structures osseuses. Ultrason abdominal complet natif : foie de taille normale, de contours réguliers, d'échostructure homogène, sans lésion focale. Pas de dilatation des voies biliaires. La vésicule biliaire est à parois fines sans image de calcul. Le pancréas, la rate et les reins sont sans particularité. Le tronc porte est perméable. Pas de liquide libre intra-péritonéal. L'exploration de la fosse iliaque droite difficile en rapport avec l'interposition d'un écran gazeux colique. La vessie est à parois fines, à contenu homogène. CONCLUSION : l'exploration de la fosse iliaque droite est limitée en rapport avec la douleur du patient et l'interposition d'un écran gazeux. Un CT-scanner abdominal est recommandé. CT-scan abdominal natif et injecté : le foie est de taille normale, de contours réguliers, de densité homogène. Pas de dilatation des voies biliaires. Pas de calcul radio-opaque dans la vésicule biliaire. Le pancréas, la rate et les reins sont sans particularité. On trouve par ailleurs une importante densification de la graisse au niveau de la région sous-caecale avec épaississement inflammatoire de la paroi caecale inférieure, appendicite difficile à analyser. Composante de coprostase colique droite. Il existe par ailleurs une structure borgne sous-caecale évoquant un appendice et l'inflammation est due très probablement à une inflammation iléo-caecale distale. CONCLUSION : aspect pouvant cadrer avec une iléo-colite droite, le diagnostic d'une appendicite reste peu probable en rapport avec la visualisation d'une structure borgne à distance. Infiltration de la graisse péri-caecale. Toutefois le diagnostic d'appendicite ne peut être formellement exclu. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. CT-Scanner abdominal : absence de comparatif CT. Examen réalisé natif. Abdomen : petit calcul de 2 mm se trouvant au contact de la paroi antérieure de la vessie. Pas de calcul clairement individualisé dans le reste des voies urinaires, on note une ectasie de l'uretère gauche sans calcul mis en évidence sur son trajet. Les reins sont de taille et de configuration normale, sans dilatation du système excréteur. Le foie est de taille, de configuration et de densité normale. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Pas de masse ou de collection pelvienne. Pas d'adénopathie, pas de liquide libre. Pas d'altération dans les tissus mous. Important panicule adipeux. Coprostase du colon ascendant. Sur les coupes passant par l'étage thoracique : absence de lésion nodulaire suspecte. Pas d'épanchement pleural. Osseux : absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. Anomalie de la charnière lombosacrée avec lombalisation de S1. Conclusion : petit calcul de 2 mm se trouvant dans la vessie au contact de la paroi antérieure. Coprostase du colon ascendant. Pour le reste, l'examen est dans les limites de la norme. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. CT-Scanner abdominal : mise en évidence d'un calcul urétéral proximal discrètement en aval de la jonction pyélo-urétérale. Ce calcul mesure 5 x 4 mm de diamètre, d'une densité de 574 UH. Ectasie pyélique d'amont à 10 mm de diamètre antéro-postérieur. Pas d'autre calcul radio-opaque décelable en projection des voies urinaires. Les reins sont en place, de taille normale, à bords réguliers, sans infiltration de la graisse péri-rénale. Compte tenu de la non-injection, protocole low dose, aspect du foie, de la rate et du pancréas sans particularité. Absence de lithiase radio-opaque en projection des voies urinaires. Vessie en bonne réplétion. Parois régulières. Prostate, vésicules séminales sans anomalie. Non opacification du tractus digestif. Pas de masse, pas d'infiltration du mésocôlon, absence d'iléus grêle ou colique. Appendice fin.Volume osseux exploré sans particularité. Conclusion : calcul urétéral proximal à la hauteur du plateau supérieur de L3 à gauche de 5 x 4 mm. Ectasie pyélique d'amont à 10 mm. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Toucher rectal. Avis du Dr. X, chirurgien. Ultrason abdominal : détaillé ci-dessous. Recherche de Chlamydia et Gonorrhée. Retour à domicile avec Spasmo-Urgénine et complément de ciprofloxacine pour 1 semaine supplémentaire. Contrôle le 09.11.2018 à la filière des urgences ambulatoires. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Ultrason abdominal : détaillé ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien. Contrôle clinique le 20.04.2018 à la filière des urgences ambulatoires avec laboratoire et +/- nouvel ultrason de la vessie pleine (appeler le Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Ultrason abdominal : pancréas partiellement masqué par les superpositions aéro-digestives. Foie en place, de taille normale, d'échostructure conservée à bords et contours réguliers. Parenchyme homogène. Veine porte perméable, à flux hépatopète. Rate de taille normale, homogène. Diamètre bipolaire de 12,4 cm. Vésicule biliaire alithiasique à parois fines, indolore. Rein droit en place, mesurant 12,8 cm. Différenciation parenchymato-sinusale conservée. Pont parenchymateux polaire supérieur. Pas de dilatation pyélocalicielle ou urétérale. Rein gauche en place, mesurant 11,9 cm de grand axe, d'échostructure conservée, bien différenciée, sans dilatation pyélocalicielle. Pas de calcul. Vésicule biliaire alithiasique, à parois fines, indolore. Pas de distension des voies biliaires intra ou extra-hépatique. Vessie peu remplie, limitant l'analyse du petit bassin. Utérus antéfléchi. Pas d'endomètre décelable (prise d'un traitement hormonal interrompant le cycle menstruel selon la patiente). Les ovaires sont masqués par les superpositions aéro-digestives. Pas d'évidence de masse pelvienne. En fosse iliaque droite, on retrouve plusieurs ganglions, le plus grand de 6 mm de petit diamètre. L'appendice n'est pas retrouvé. Les parois de la dernière anse sont fines. Peu de mobilité des structures digestives. Pas de collection suspecte décelable. Conclusion : examen limité par une vessie en faible réplétion. Appendice non visualisé. Pas de signe indirect pour une appendicite en fosse iliaque droite. Appendice rétro-caecal ? (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Ultrason abdominal : pas d'argument pour lithiase ni cholécystite. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Urotube : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Stix urinaire : négatif, cf. annexes. Radiographie du bras droit : très probable fracture en motte de beurre du tiers distal du radius. Pas d'anomalie décelable sur les autres structures osseuses (Dr. X). Radiographie du bras droit post-plâtre : Par rapport à la radio avant le plâtre, pas de changement significatif. Pas de déplacement secondaire notable de la fracture en motte de beurre du radius distal (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Taux résiduel d'ertapenem Ertapenem 6.4 mg/l proche des taux minimum généralement recommandés (5 à 10 mg/L). US abdominal 08.02.2019 : Échographie abdominale dans les limites de la norme, notamment pas de signe de cirrhose hépatique, ni de dilatation des voies biliaires. IRM abdominale 13.02.2019 : IRM native sans argument pour un processus expansif décelable au niveau hépatique des voies biliaires ou du pancréas. Pas d'obstruction ou d'empierrement des voies biliaires. Un ganglion aspécifique, centimétrique, en avant de la veine cave, en arrière de la veine porte. Nous restons à disposition en fonction de l'évolution de la fonction rénale si un complément injecté devait s'avérer nécessaire. US abdominal 26.03.2019 : Vésicule biliaire et voies biliaires sans particularité. Hépatomégalie. CT CÉRÉBRAL NATIF ET INJECTÉ DU 21.03.2019 Pas de lésion hémorragique ou foyer infectieux intracrânien. Sinusite sphénoïdale gauche. IRM DU NEUROCRÂNE NATIVE ET INJECTÉE DU 22.03.2019 : Absence de lésion cérébrale ischémique ou hémorragique. Leuco-araïose de type I selon Fazekas. CT cérébral du 28.03.2019 : Hématome sous-cutané pariétal droit. Absence d'autre lésion traumatique cranio-cervicale. CT cérébral du 29.03.2019 à 10 h . Apparition d'une hémorragie sous-arachnoïdienne de la citerne quadrigéminé gauche avec une composante intraparenchymateuse du lobule quadrangulaire de l'hémisphère cérébelleux gauche en regard. CT cérébrale du 29.03.2019 à 16 h 30 : Stabilité de l'hémorragie sous-arachnoïdienne de la portion inférieure de la citerne quadrigéminales gauche avec probablement une petite composante intraparenchymateuse au niveau du lobule quadrangulaire de l'hémisphère cérébelleux gauche. EEG 22.03.2019 : Tracé modérément anormal par une activité de base légèrement déstructurée et par un foyer lent fronto-central droit, de très faible entité. Pas d'argument pour un syndrome épileptique sous-jacent. À signaler une activité de base légèrement déstructurée, compatible avec une légère encéphalopathie d'origine mixte (toxico-métabolique, inflammatoire) et un foyer lent non irritatif fronto-central droit. ETT du 28.03.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Augmentation du débit cardiaque calculé à 9,68 l/min avec un index cardiaque à 5,42 l/min/m² (195 % de la théorique). Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Insuffisance tricuspide légère (grade 1/3). Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. ETT du 01.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté, avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche très dilatée. Examen superposable à celui de 28.03.2019. Laboratoire : cf. annexes. Thorax face/profil du 20.03.2019. Silhouette cardiaque inchangée. Flou péri-hilaire un peu plus marqué avec un épaississement bronchique DD décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Pas de foyer pneumonique visible. Status post cimentoplastie nouvelle des vertèbres dorsales basses. Prothèse d'épaule inversée ddc connue. ECG RS régulier à 70 bpm, PR 160 ms, QRS à 80 ms, pas de signes d'ischémie active. Frottis de grippe : négatif. ETT du 25.03.2019 (Dr. X). Examen de mauvaise qualité : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Dysfonction diastolique minime (grade I). Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Valve aortique : gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Oreillette gauche modérément dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. La patiente rapporte avoir des épisodes (2x/mois) avec des palpitations pendant environ 30 minutes. Add Holter de 72h par la suite. CT thoracique pour recherche d'embolie pulmonaire natif et injecté du 21.03.2019. Perméabilité des artères pulmonaires et leurs branches de division lobaire et segmentaire. Pas d'épanchement pleural ou péricardique. Aspect en poumon de mosaïque avec alternance de zones hypodenses et hyperdenses avec accentuation de ce contraste sur l'hélice en expirium. Épaississement des parois bronchiques essentiellement au niveau des 2 bases pulmonaires associé à quelques bronchiectasies. Foyer de condensation avec lésion nodulaire juxta-scissurale du lobe inférieur gauche. Foyer de condensation sous-pleural du lobe inférieur droit au niveau postéro-basal. Pas de signe d'embolie pulmonaire. Aspect pouvant cadrer avec une bronchiolite oblitérante constructive. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason abdomen complet du 15.04.2019 (Dr. X). Absence de comparatif. Échographie abdominale dans les limites de la norme, sans occlusion du tronc porte et du confluent spléno-mésaraïque. Pas d'argument pour une cholécystite. Radiographie du thorax du 15.04.2019 (Dr. X). Comparatif du 20.04.2013. Silhouette cardiomédiastinale dans la norme. Pas d'image pathologique en projection des plages pulmonaires et pas d'épanchement pleural. L'examen du cadre osseux est superposable. Pas de signe pour un pneumopéritoine. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason abdominal : examen difficile, interposition d'un écran gazeux avec foie sous-costal. Dans les limites de l'examen, le foie est de taille normale de contours réguliers, d'échostructure homogène hyperéchogène. Pas de calcul dans la vésicule biliaire. Pas d'épaississement de la paroi vésiculaire. Le pancréas exploré dans sa partie céphalique paraît d'aspect normal. La rate est d'aspect normal. Les 2 reins sont de taille normale de contours réguliers, bien différenciés sans dilatation des cavités rénales. Pas de liquide libre en intra-péritonéal. Vessie à parois fines et contenu homogène. Appendice non visible. Conclusion : foie de surcharge stéatosique. Pas de calcul vésiculaire. Pas d'hydronéphrose rénale droite. Appendice non visible. À confronter aux données cliniques et biologiques (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Ultrason abdominal : le foie est de grande taille, mesurant environ 16 cm de diamètre antéropostérieur sur la ligne médioclaviculaire et présente un parenchyme diffusément hyperéchogène, compatible avec une stéatose, mais sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule biliaire présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas et la rate sont sp. Les 2 reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie en réplétion présente des parois fines et l'on ne visualise pas de liquide libre intrapéritonéal. Pas d'image pathognomonique pour une APP. Conclusion : hépatomégalie modérée ainsi que stéatose hépatique, mais pas d'image pathognomonique pour une APP, ni de liquide libre intrapéritonéal objectivé (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Ultrason abdominal du 17.04.2019 : sludge dans la vésicule biliaire. CT abdominal du 18.04.2019 : pancréatite Balthazar C de la queue du pancréas, pas de dilatation des voies biliaires ou du wirsung, pas de lithiase vésiculaire. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason abdominal le 12.03.2019 (Dr. X) : absence d'examen comparatif à disposition. Foie présentant de nombreuses lésions hypo-échogènes dans tous les segments, avec distorsion architecturale et de ce fait difficulté d'analyse des vaisseaux intra-hépatiques. Le tronc porte visualisable sans évidence de thrombose. Les veines sus-hépatiques sont très difficilement visibles. Le parenchyme hépatique visible est hyperéchogène par rapport au parenchyme rénal. Diamètre cranio-caudal sur la ligne médio-claviculaire XX mm. De même, les voies biliaires sont difficilement analysables. Vésicule biliaire à parois fines, à contenu liquidien anéchogène. Le pancréas et le rétropéritoine ne peuvent être visualisés en raison d'un périmètre abdominal augmenté et d'un météorisme. Rate homogène mesurant 128 mm de grand diamètre. Reins de morphologie normale, aux contours réguliers avec bonne différenciation cortico-médullaire (rein droit 114 mm, rein gauche 116 mm). Pas de dilatation des voies excrétrices urinaires. Vessie à parois fines, à contenu liquidien anéchogène. Pas de liquide libre dans le petit bassin. Au vu de très nombreuses lésions du parenchyme hépatique et d'un cancer colorectal connu, des métastases sont le plus probable. Une analyse plus poussée est recommandée soit par scanner soit par IRM hépatique, entre autres pour l'analyse des vaisseaux hépatiques. Absence de signe en faveur d'une cholécystite. Absence de liquide libre intra-abdominal. CT thoraco-abdominal le 13.03.2019 (Dr. X, Dr. X) : absence de comparatif CT-scanner à disposition. Infiltration métastatique diffuse du parenchyme hépatique avec mise en évidence d'un saignement actif sous-capsulaire en périphérie du segment VIII, associée à une collection sous-capsulaire en regard de 7 mm d'épaisseur. Thrombose partielle de la branche portale gauche. Lésions ostéocondensantes suspectes de métastases dans le corps du sternum à droite, dans l'arc latéral de la 3ème côte droite, dans l'arc latéral de la 6ème côte à gauche, et dans le corps vertébral de L1, L3 et L4. Tassement du plateau supérieur du corps vertébral de D10, touchant le mur postérieur sans le déplacer, possiblement sur métastase. Diagnostic anatomopathologique de la biopsie trans-jugulaire le 14.03.2019 : importante fibrose, en partie réticulée, avec un remaniement architectural marqué, importante stéatose et discrète inflammation lobulaire du parenchyme hépatique (biopsie, foie droit). Commentaires : sur ce matériel • nous sommes en présence d'une fibrose marquée avec un remaniement architectural clairement visible, qui pose le diagnostic différentiel entre remaniement cirrhotique partiel et une cirrhose irrégulière, mais qui ne peut être résolu sur les biopsies actuelles. • du point de vue de l'étiologie, vu l'importance de la stéatose et la présence d'assez nombreux noyaux glycogénés, il s'agit probablement d'une hépatopathie stéatosique, soit éthylique soit non éthylique (NAFLD), en fonction des données anamnestiques. Toutefois, vu la présence de quelques images d'hépatite de l'interface focale, il convient encore d'éliminer l'éventualité d'une hépatite virale C. Une hépatite auto-immune paraît nettement moins probable. • absence de signes de malignité. Biopsie lésion colonne lombaire le 26.03.2019 (Dr. X) : métastase osseuse d'un adénocarcinome de morphologie et de profil immunohistochimique compatibles avec un carcinome hépatocellulaire. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason abdominal 14.04.2019 : Appendicite avec liquide libre dans le Douglas. Les ovaires ne sont pas clairement identifiables du fait d'importants artéfacts aériques pelviens. Histologie : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason des voies urinaires : asymétrie de taille des reins en défaveur de la droite. Le rein D est atrophique au niveau de son pôle supérieur en partie hyperéchogène et un parenchyme aminci. Notion anamnestique d'intervention rénale dans l'enfance. Un possible calcul caliciel inférieur de 6 mm de diamètre. Pas de collection intra- ou péri-rénale visible. Pas de dilatation pyélocalicielle. Le rein G mesure 9.6 cm de grand axe. Différenciation parenchymato-sinusale conservée. Pas de calcul. Pas de collection intra- ou péri-rénale visible. Vascularisation globale au Doppler énergie, sp. La vessie, en réplétion moyenne, présente des parois régulières et un contenu transonore. Au Doppler couleur, les jets urinaires apparaissent latéralisés avec un mouvement oblique en direction des parois latérales de la vessie. La patiente rapporte une intervention au niveau de la vessie dans l'enfance. Opération selon Cohen pour cure de reflux vésico-urétéral ? Pas de liquide libre dans le petit bassin. Utérus et ovaires masqués par les superpositions aéro-digestives. Pas de masse pelvienne. CONCLUSION : asymétrie de taille des reins avec atrophie corticale polaire supérieure du rein D. Pas de dilatation pyélocalicielle ou de collection intra- ou péri-rénale visible. Jets urinaires latéralisés au niveau de la vessie, sans calcul urétéral distal décelable. St/p intervention au niveau de la vessie (voir texte). (Dr. X).Laboratoire : cf annexes Ultrason des voies urinaires le 27.03.2019 : pas de dilatation pyélocalicielle ddc, vessie en réplétion incomplète, pas de signe de cause post-rénale. Doppler rénal le 27.03.2019 : perfusion homogène des 2 reins, mais avec une sténose de >60% de l'A. rénale droite (déjà visible sur les différents CT de 2018). Le rein gauche plutôt avec des index de résistances (RI) élevés compatible avec une atteinte parenchymateuse. Nous ne proposons pas de faire une angiographie/stenting de l'A. rénal droite d'emblée, mais restons à disposition selon évolution. Radio thoracique le 27.03.2019 : port-à-cath sous-clavier droit se terminant en surprojection de la veine cave supérieure. Cardiomégalie associée à un flou péri-hilaire et à des épanchements pleuro bilatéraux témoignant d'une insuffisance cardiaque décompensée. Dystélectasies en bande basales gauches. Structures osseuses sans particularité. Laboratoire : cf annexes. Ultrason parties molles du squelette du 27.04.2019 (Dr. X) : présence d'une infiltration des tissus mous avec œdème principalement sur le côté latéro-postérieur du pied, sans collection constituée. Cette infiltration phlegmoneuse remonte le long des fascias des muscles péroniers. Absence de liquide le long du tendon d'Achille. CT-scan jambe, cheville et pied gauche natif et injecté du 27.04.2019 (Dr. X) : infiltration phlegmoneuse des tissus mous prédominant sur le côté latéral de la cheville et du pied avec discrète infiltration remontant le long de tous les fascias musculaires des loges latérales et postérieures jusqu'au creux poplité, sans prise de contraste significative. Absence de bulle d'air ou d'autre signe en faveur d'une fasciite nécrosante. Les vaisseaux sont perméables sans signe de thrombose. Au niveau osseux, absence d'ostéolyse ou d'érosion, particulièrement au niveau du calcanéum. Laboratoire : cf annexes. Uro-CT 28.03.2019 : néphrolithiases de 6 x 5 x 15 mm enclavée à la jonction pyélo-urétérale droite et provoquant une discrète dilatation pyélocalicielle en amont. Coprostase colique et caecum mobile de position pelvienne. Laboratoire : cf annexes. US abdominal le 26.03.2019 : vésicule biliaire et voies biliaires sans particularité. Hépatomégalie. RX du thorax en chambre le 28.03.2019 : dans le contexte, on visualise une probable opacité à la base pulmonaire gauche pouvant parler pour un foyer sur broncho-aspiration. Emoussement du récessus costo-diaphragmatique gauche pouvant parler pour un épanchement. Le reste du parenchyme pulmonaire est sans particularité. Silhouette cardio-médiastinale élargie pouvant être en rapport avec la position couchée. CT cérébral natif et injecté le 21.03.2019 : pas de lésion hémorragique ou foyer infectieux intracrânien. Sinusite sphénoïdale gauche. IRM du neurocrâne native et injectée le 22.03.2019 : absence de lésion cérébrale ischémique ou hémorragique. Leuco-araïose de type I selon Fazekas. CT cérébral le 28.03.2019 : apparition d'une hémorragie sous-arachnoïdienne de la citerne quadrigéminale gauche avec une composante intraparenchymateuse du lobule quadrangulaire de l'hémisphère cérébelleux gauche en regard. CT cérébral le 29.03.2019 : comparatif du même jour. Stabilité de l'hémorragie sous-arachnoïdienne de la portion inférieure de la citerne quadrigéminale gauche avec probablement une petite composante intraparenchymateuse au niveau du lobule quadrangulaire de l'hémisphère cérébelleux gauche. CT cérébral le 01.04.2019 : aspect moins dense de la petite hémorragie sous-arachnoïdienne connue de la citerne quadrigéminale gauche, sans nouvelle lésion hémorragique intra ou extra-axiale. Le reste de l'examen est inchangé. EEG le 22.03.2019 : tracé modérément anormal par une activité de base légèrement déstructurée et par un foyer lent fronto-central droit, de très faible entité. Pas d'argument pour un syndrome épileptique sous-jacent. A signaler une activité de base légèrement déstructurée, compatible avec une légère encéphalopathie d'origine mixte (toxico-métabolique, inflammatoire) et un foyer lent non irritatif fronto-central droit. ETT le 28.03.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Augmentation du débit cardiaque calculé à 9,68 l/min avec un index cardiaque à 5,42 l/min/m² (195 % de la théorique). Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Insuffisance tricuspide légère (grade 1/3). Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. ETT le 01.04.2019 : ventricule gauche non dilaté, avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche très dilatée. Examen superposable à celui de 28.03.2019. CT pulmonaire natif le 08.04.2019 : condensations diffuses éparses dans les deux poumons, associées à des discrets épanchements pleuraux bilatéraux, aspécifiques (DD : origine infectieuse ? ARDS ?). A noter que l'aspect des altérations du parenchyme pulmonaire n'est pas typique d'une pneumonie à éosinophiles. Status post-ostéotomie de l'extrémité médiale de la clavicule gauche avec remaniement tissulaire au pourtour. Laboratoire : cf annexes. US abdominal supérieur le 29.03.2019 (Dr. X) : absence d'hématome ou de liquide libre, remaniements en lien avec thermoablation. Laboratoire : cf annexes. US FAST du 06.04.2019 (Dr. X/Dr. X) : épanchement pleural ddc. Ascite. Pas de bonne visualisation du cœur. ETT du 08.04.2019 : dilatation modérée du ventricule gauche, sans hypertrophie avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 30 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Cardiopathie dilatée est stable par rapport à l'examen précédent. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale modérée à moyenne (grade 2 à 3/4). Oreillette gauche très dilatée. Dilatation modérée du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Dilatation modérée des cavités droites. Insuffisance tricuspide modérée à moyenne (grade 2 à 3/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Contrôle du pacemaker du 08.04.2019 : 100% épisodes de FA lente, épisode de FA rapide de 2 minutes. Stimulation ventriculaire : 88 %.Radiographie du thorax du 06.04.2019 : examen de qualité sous-optimale en raison de nombreuses surprojections (câble et avant-bras du patient). Sous réserve d'un examen réalisé en position couchée, la silhouette cardiaque semble dans la norme. Status post-mise en place d'un pacemaker tri-caméral pré-pectoral droit avec les sondes connectées en surprojection des cavités cardiaques. Status post-sternotomie avec cerclage intact. Calcifications du bouton aortique. Volumineux épanchement pleural droit prenant l'hémi-thorax droit. Un foyer sous-jacent ne peut être exclu. Flou péri-broncho-vasculaire en rapport avec des signes de surcharge cardiaque sans signe d'OAP. Cadre osseux et parties molles extra-thoraciques sans particularité. Radiographie du thorax du 10.04.2019 : aspect émoussé du récessus costo-diaphragmatique à gauche devant correspondre à un épanchement de faible quantité. On retrouve une opacité rétrocardiaque pouvant éventuellement parler pour un foyer infectieux du LIG versus une atélectasie. Le reste du status est globalement superposable. Radiographie du thorax du 16.04.2019 : on retrouve l'épanchement pleural à droite d'allure inchangée sous réserve de la différence de la position entre l'examen de ce jour et le comparatif. Diminution de l'épanchement pleural gauche. Calcification aortique. Pas de franc foyer pulmonaire décelable. Le reste de l'examen est inchangé. CT du bassin du 11.04.2019 : nette ostéoporose. Angulation entre les segments S4 et S5 pouvant évoquer la présence d'une petite fracture difficile à visualiser. Il y a un décrochement sacro-coccygien qui pourrait également évoquer une lésion traumatique. Nous n'avons pas mis en évidence la classique fracture en H du sacrum. Laboratoire : cf annexes. Vaccin anti-tétanique à jour. Fentanyl 3x25mg en IV. Co-amoxicilline 2.2 g en IV aux urgences. Radiographie du 4ème doigt de la main droite : détaillée ci-dessous. Exploration de la plaie sous anesthésie locale qui ne montre pas d'atteinte des structures nobles. Rinçage et désinfection abondants et rapprochement des berges avec de l'Etylon 4-0. Pansement par tulle betadiné. Contrôle en policlinique d'orthopédie le 26.04.2019 pour la réfection du pansement et la réévaluation de la nécessité de réviser les points de rapprochement. S'il n'y a pas de place en policlinique, le patient téléphonera aux urgences pour un contrôle en filière des urgences obligatoires le 26.04.2019. Ordonnance pour une antalgie simple, Co-Amoxicilline 1g 3x/jour pendant 5 jours. Arrêt de travail. Laboratoire : cf annexe THORAX F DU 20.04.2019 : Flou péri-hilaire témoignant d'une surcharge. Perte de radiotransparence diffuse en surprojection des bases pulmonaires pouvant correspondre à des épanchements pleuraux étendus en région déclive. Sclérose de l'arc aortique. Structures osseuses sans particularité. Laboratoire : cf annexe US BILAN HEPATIQUE DU 27.03.2019 : Rétrécissement de la veine porte gauche dans sa partie moyenne sans thrombus visualisé avec flux turbulent à ce niveau et ectasie de la veine ombilicale (ATCD de thrombus porte à ce niveau ?). Le tronc porte principal et la veine porte droite se présentent normalement sans signe d'hypertension portale. Air dans la vésicule biliaire en rapport avec un status post pose de drain interne-externe. THORAX F DU 28.03.2019 : Pas d'examen comparatif à disposition. Silhouette cardio-médiastinale dans la norme. VVC jugulaire interne droite se terminant en projection de la veine cave supérieure. Quelques fines bandes d'atélectasie en base gauche. Pas d'autre image pathologique en projection des plages pulmonaires. Pas d'épanchement pleural. L'examen du cadre osseux est sans particularité. IRM DU NEUROCRANE NATIVE ET INJECTEE DU 29.03.2019 : Examen compatible avec une hydrocéphalie à pression normale, stable par rapport au comparatif CT du 5 mars 2019. Pas d'autre lésion suspecte. Leuco-araïose de type 2 selon Fazekas. EPAULE GAUCHE FACE/NEER DU 01.04.2019 : Pas d'examen comparatif à disposition. Minime ostéophytose de l'articulation gléno-humérale parlant pour une discrète arthrose. Surélévation de la tête humérale par rapport à la glène pouvant parler pour une lésion de la coiffe des rotateurs. Pas de calcification sur le trajet des tendons de la coiffe. Discrète arthrose AC. POIGNET GAUCHE ET SCAPHOIDE GAUCHE DU 05.04.2019 : Pas d'examen comparatif à disposition. Décroché de la corticale sur le versant radial du tiers distal du scaphoïde en rapport avec la fracture connue. Pas de signe de déplacement. L'intervalle scapho-lunaire est élargi, mesuré à 4.5 mm pouvant parler pour une dissociation. Importante rhizarthrose et arthrose STT. Chondrocalcinose du poignet. CT THORACO-ABDOMINAL DU 15.04.19 : Pas de signe de foyer infectieux à l'étage thoracique. Status post-stenting cholédocien avec stent d'aspect perméable, sans argument scannographique en faveur d'une cholangite. Remaniement inflammatoire longeant le ligament falciforme, superposable au comparatif (DD : séquellaire d'une précédente tentative de drainage percutané des voies biliaires ? surinfection ?). Laboratoire : cf copie. Laboratoire : cf copies annexées. Laboratoire : cf copies annexées. Laboratoire : cf copies annexées. Laboratoire : cf copies annexées. Laboratoire : cf copies annexées. Laboratoire : cf copies annexées. Laboratoire : cf copies annexées. Laboratoire : cf copies annexées. Alcoolémie : 0,05. CT scan cérébral natif du 25.04.2019 : absence de lésion hémorragique intra ou extra-axiale. Pas de fracture. Sinusite polypoïdale maxillaire bilatérale prédominant à droite. Laboratoire : cf copies annexées. Alcoolémie : 2,04. Test de Schellong : négatif. ECG du 21.04.2019 : rythme sinusal régulier à 70/min, PR à 198 ms, QRS fins normoaxés, pas de trouble de la repolarisation, QTc à 396 ms. Laboratoire : cf copies annexées. Culture de selles : négative. Recherche de toxine C. difficile : négative. ECG du 19.03.2019 : rythme sinusal régulier à 95/min, axe QRS à 15°, PR 140 ms, QRS 80 ms, QTc 461 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique. RX thorax du 19.03.2019 : cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée. Petite désorganisation de la trame bronchovasculaire avec des images en bandes à la base droite, mais pas d'image typique de foyer pulmonaire. Port-à-cath sous-clavier droit avec extrémité à la jonction entre la veine cave supérieure et l'oreillette droite. CT scan cérébral natif du 27.03.2019 : perte de volume généralisée de l'encéphale inchangée un peu plus marquée dans la région fronto-temporale des deux côtés. Pas d'hémorragie intra-cérébrale. Laboratoire : cf copies annexées. Culture d'expectorations : flore bucco-pharyngée. ECG du 08.04.2019 : rythme sinusal régulier à 100/min, PR à 146 ms, QRS fins normoaxé, segment ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R avec une transition en V4, QTc 436 ms, pas d'hypertrophie ventriculaire gauche. RX thorax du 08.04.2019 : comparatif 07.03.2019. On retrouve l'opacité polylobée basale droite connue semblant inchangée en taille, correspondant à une lésion tumorale ouvrant le DD avec une origine maligne ou inflammatoire. Un surcroît d'opacité au croisement de l'arc antérieur de la 2ème côte et l'arc postérieur de la 4ème côte à droite ouvrant le DD d'une image construite. Pas d'épanchement pleural. Cœur de volume dans la norme. Discrète accentuation diffuse aspécifique de la trame en base gauche. Contexte de BPCO connue. Pas de net foyer surajouté visible. Laboratoire : cf copies annexées. Culture d'expectorations : flore bucco-pharyngée.ECG du 30.03.2019 : rythme sinusal à 76/min, axe dans la norme, intervalle PR, QRS et QT dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. RX thorax du 30.03.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire avec probable lésion d'infiltrat prédominant au niveau bibasal droit. Pas d'épanchement pleural visible. CT scan thoracique du 04.04.2019 : aspect d'une bronchiolite infectieuse bilobaire inférieure et du lobe moyen avec signe de bronchite inflammatoire, discrète bronchiolectasie des 2 lobes inférieurs prédominant à droite. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 01.04.2019 : rythme en fibrillation auriculaire à 75/min, normo-axé, QRS fins, ondes T négatives en DII, DIII, aVF, V3, V4, QTc à 458 ms. RX thorax du 01.04.2019 : par rapport au 06.12.2016, on note actuellement une nette asymétrie de radio-transparence des plages pulmonaires en défaveur de la droite, sans phénomène alvéolaire clairement identifié. Il pourrait s'agir soit d'une atteinte pleurale (épanchement pleural postérieur droit sur cette radiographie effectuée en position couchée). A gauche, pas de baisse de la radio-transparence, pas de foyer de pneumonie constitué. On retrouve des calcifications hilaires gauche connues, inchangées. Cardiomégalie connue, inchangée. Sclérose et déroulement de l'aorte thoracique, connues, inchangées. Retrait de la sonde nasogastrique par rapport à l'examen de 2016. RX thorax du 07.04.2019 : cardiomégalie malgré la position couchée. Multiples plis cutanés en projection des plages pulmonaires, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pour le reste, l'examen est superposable au comparatif du 01.04.2019 avec notamment des calcifications hilaires gauches. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 01.04.2019 : rythme sinusal régulier à 90/min, QRS fins à 74 ms, axe normal à 43°, QTC à 420 ms, segment ST isoélectrique, bonne progression de l'onde R avec transition en V4. RX thorax du 01.04.2019 : comparatif du 29.06.2017. Cœur de volume dans les limites supérieures de la norme avec indice cardio-thoracique de 14,5/28,1. Discrète accentuation de l'azygos et des hiles vasculaires. Pas d'épanchement pleural. Par rapport au comparatif, accentuation diffuse de l'interstice pulmonaire prédominant à droite avec discrète asymétrie de transparence des plages pulmonaires. L'atteinte prédomine au niveau lobaire supérieur, ainsi qu'en rétro-basal droit. Foyer débutant ? OGD - Dr. X - du 04.04.2019 : suspicion d'une masse responsable d'une compression externe à la hauteur de la partie antrale pré-pylorique, d'environ 5 cm, au niveau de la grande courbure en position dorsale. Proposition d'un CT thoraco-abdominal après résultat des biopsies, à la recherche d'une masse comprimant l'estomac. Colonoscopie - Dr. X - du 04.04.2019 : hémorroïdes de stade II. Reste de l'examen dans les limites de la norme. DAP, biopsie duodénum - Promed P2919.4005 - du 04.04.2019 : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 04.04.2019 : fibrillation auriculaire à 114/min, axe dans la norme, bloc de branche droit. US abdominal du 08.04.2019 : status post-cholécystectomie. Pas de distension des voies biliaires intra- ou extra-hépatiques. Épanchement pleural basal bilatéral. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 04.04.2019 : rythme sinusal régulier à 81/min, PR à 176 ms, QRS fins avec axe à -21°, pas de trouble de la repolarisation, QTc à 460 ms, présence d'une extrasystole ventriculaire. US abdomen du 08.04.2019 : foie d'hépatopathie chronique. Ralentissement modéré des vitesses du tronc porte avec un flux qui reste hépatopète. Pas d'ascite et pas de splénomégalie. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 08.04.2019 : rythme sinusal avec extrasystoles ventriculaires en bi-trigéminisme, pas de signes d'ischémie. RX thorax du 08.04.2019 : absence d'un bon inspirium. Aorte déroulée et calcifiée. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. Émoussement bilatéral du cul-de-sac costo-diaphragmatique. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 08.04.2019 : rythme sinusal irrégulier à conduction moyenne avec plusieurs extrasystoles auriculaires conduites. PR régulier à 200 ms. QRS à 80 ms, axe 0°, transition de l'onde R en V4. Pas d'onde Q pathologique ni trouble de la repolarisation. QTc à 401 ms. CT scan cérébral et des vaisseaux précérébraux, natif et injecté, du 08.04.2019 : pas de signe d'accident vasculaire cérébral récent, ni d'hémorragie intracrânienne mise en évidence. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 08.04.2019 : rythme sinusal régulier à 95/min, pas de bloc atrio-ventriculaire, QRS fins d'axe normal à -3° avec progression de l'onde R en V3, onde T négative en V1. RX thorax du 08.04.2019 : silhouette cardiaque de morphologie normale. Sclérose de l'arc aortique. Discrets épanchements pleuraux bilatéraux émoussant les récessus costo-diaphragmatique postérieurs, associés à des lignes de Kerley B aux deux bases, compatibles avec une surcharge. Discrète opacité pulmonaire postéro-basale gauche compatible avec un foyer infectieux débutant. Discopathie pluri-étagée du rachis dorsal. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 09.04.2019 : rythme en fibrillation auriculaire à 90/min, QRS fins, pas de sus- ni de sous-décalage du segment ST, pas de trouble de la repolarisation. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 09.04.2019 : rythme sinusal normocarde à 78/min, ondes P à 104 ms de morphologie et amplitude dans la norme, intervalle PR isoélectrique de 180 ms, QRS fins d'axe normal, progression de l'onde R avec inversion en V4-V5, intervalle ST isoélectrique, ondes T normales, QTc de 465 ms. RX thorax/CT scan thoracique du 09.04.2019 : pas d'embolie pulmonaire visible jusqu'en sous-segmentaires, sous réserve des artéfacts liés aux troubles ventilatoires aux deux bases. Signes de décompensation cardiaque avec reflux du contraste dans les veines sus-hépatiques, épaississement des septa interlobulaires, verre dépoli postéro-basale bilatérale, épanchements pleuraux bilatéraux et épaississement péri-bronchique diffus. Echocardiographie transthoracique - Dr. X - du 11.04.2019 : cet examen confirme la suspicion clinique d'une insuffisance cardiaque mais ne permet pas de déterminer son étiologie. Coronarographie et angioplastie - Dr. X - du 12.04.2019 : l'examen invasif du jour confirme une dysfonction VG systolique avec uniquement une sténose focale de l'ACD (traitée par un stent actif de 4ème génération) qui n'explique pas la dysfonction. EF 25%. A l'anamnèse, piqûre de tique. Nous proposons de ce fait de discuter avec l'infectiologue de garde d'un traitement par Rocéphine ou doxycycline d'emblée. Si pas, au moins faire les sérologies par ELISA et PCR. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Clopidogrel 75 mg 1-0-0 pour 1 mois, reste du traitement inchangé. Suite selon antibiothérapie. Reste du bilan à faire avec IRM cardiaque, holter de 48 heures (ICD ?) et contrôle échocardiographique transthoracique dans 1 mois chez Dr. X. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 09.04.2019 : rythme sinusal régulier à 40/min, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré, QRS fins, axe hypergauche à -50°, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R en V5, segment ST isoélectrique, pas d'onde T négative. RX colonne lombaire + bassin du 08.04.2019 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Calcifications vasculaires. US abdominal aux urgences : pas d'anévrisme de l'aorte abdominale, pas de liquide libre. CT scan abdominal natif et injecté du 08.04.2019 : le foie est de taille, de configuration et de densité normales. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio-opaque n'est objectivé dans la vésicule. Épaississement pariétal du fond de la vésicule biliaire (DD : cholestérolose? Adénomyose?). Rate de morphologie normale. Dilatation du canal de Wirsung jusqu'à 6 mm, sans lésion notable décelée au sein du parenchyme pancréatique. Lésion nodulaire de la glande surrénale droite, trop petite pour être caractérisée. Lésion nodulaire de la glande surrénale gauche mesurant 19 mm, de densité graisseuse, compatible avec un adénome. Kyste cortical simple du pôle inférieur du rein droit et de la lèvre postérieure du rein gauche. Urolithiase calicielle inférieure droite (max. 12 mm). Pas de lithiase décelée sur le cours des uretères ni au sein de la vessie. Ectasie pyélocalicielle et urétérale droite en comparaison au côté controlatéral, associée à une prise de contraste des parois du pyélon et de l'uretère, témoignant d'une pyélo-urétérite. Pas de signe de foyer de néphrite. Vessie sans particularité. Calcifications prostatiques. Pas d'adénopathie. Pas de liquide libre. Altérations athéromateuses mixtes aorto-bi-iliaques. Pas d'altération dans les tissus mous. Coupes passant par l'étage thoracique : sans particularité. Osseux : remaniements dégénératifs des articulations sacro-iliaques, coxo-fémorales et de la symphyse pubienne. Discopathie pluri-étagée du rachis dorsal bas.Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 11.04.2019 : flutter de conduction 1/3 à 79/min, QRS fin normoaxé, ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R avec une transition en V4, QTc 405 ms. Rx thorax du 11.04.2019 : par rapport au comparatif du 04.04.2019, on retrouve une surélévation de l'hémi-coupole diaphragmatique droite ainsi qu'un cœur de taille à la limite supérieure de la norme et un statut post-mise en place d'un port-à-cath sous-clavier droit, le tout d'aspect superposable. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisé. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 11.04.2019 : rythme sinusal régulier à 59/min, PR à 198 ms, QRS fins avec axe à 49°, segment ST isoélectrique, onde U diffuse, QTc à 376 ms. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 11.04.2019 : rythme sinusal régulier à 75/min, pas de bloc atrio-ventriculaire, QRS fin d'axe normal à 10°, progression de l'onde R en V4, segment ST isoélectrique, onde T négative en V1. QTc 429 ms. Pas d'image S en DI et Q en DIII. CT scan thoracique du 11.04.2019 - demandé par le service d'oncologie : embolie pulmonaire massive bilatérale avec plusieurs zones d'infarctus pulmonaire, trois en base droite et deux en base gauche. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 12.04.2019 : rythme sinusal régulier à 71 bpm, QRS à 98 ms normoaxé, pas de signe pour une ischémie aiguë, QTc à 430 ms, espace PR à 200 ms. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 14.04.2019 : rythme sinusal régulier à 80/min, PR à 140 ms, QRS fins avec un axe à 65°, QTc à 425 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. RX thorax du 14.04.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 22.04.2019 : rythme sinusal régulier à 81/min, PR à 168 ms, QRS fins avec un axe à -14°, pas de trouble de repolarisation, QTc 414 ms. Quelques extrasystoles auriculaires avec pause compensatoire au scope (non visible sur ECG long). CT scan cérébral natif du 22.04.2019 : hémorragie sous-arachnoïdienne fronto-basale droite. Hématome sous-galéal pariéto-occipital gauche. Pas de fracture. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 23.03.2019 : fibrillation auriculaire normocarde à 83/min, axe normal à 86°, QRS fins à 88 ms, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R en V4, QTc à 445 ms. RX thorax du 23.03.2019 : par rapport au comparatif du 19.03.2019, on retrouve le foyer de pneumonie basale droite avec une image de condensation du lobe moyen sur le cliché de profil, pouvant correspondre à une atélectasie possiblement complète, le tout sans amélioration significative. Pour le reste, l'examen est superposable. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 23.03.2019 : rythme sinusal régulier à 91/min, PR régulier à 220 msec compatible avec un bloc atrio-ventriculaire du 1er degré. QRS à 80 ms, axe 0°, transition de l'onde R en V4. Onde Q en aVR et III. Absence de trouble de la repolarisation. QTc à 410 ms. RX colonne cervico-dorsale F/P du 23.03.2019 : tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. CT scan colonne cervicale, natif, du 23.03.2019 : alignement satisfaisant des murs antérieurs et postérieurs des vertèbres. Hauteur préservée des corps vertébraux. Pas de fracture ni de luxation mis en évidence. Unco-discarthrose pluri-étagée prédominant en C3-C4. Absence d'argument en faveur d'un hématome épidural. Pas d'infiltration notable dans les parties molles paravertébrales. Calcifications des bulbes carotidiens des deux côtés. Les coupes passant par la base du crâne et par les apex pulmonaires sont sans particularité. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 24.03.2019 : rythme sinusal régulier à 59/min, PR à 176 ms, QRS fins, axe normal, transition de l'onde R en V4. Pas d'onde Q pathologique. Pas de trouble de la repolarisation. QTc à 408 ms. RX thorax du 24.03.2019 : cœur de taille à la limite supérieure de la norme avec un déroulement et des calcifications de l'aorte, sans signe d'insuffisance cardiaque. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 24.03.2019 : rythme sinusal régulier à 68/min, QRS fins à 104 ms, axe normal à 16°, QTc à 420 ms, segment ST isoélectrique, pas d'onde T négative, bonne progression de l'onde T avec transition en V2. RX thorax du 24.03.2019 : cœur de taille à la limite supérieure de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Statut post-sternotomie pour pontage aorto-coronarien. Volumineuse hernie hiatale, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. OGD - Dr. X - du 01.04.2019 : hernie para-oesophagienne. Ulcère en voie de guérison au niveau du pylore. Biopsies OGD 01.04.2019 : • Muqueuse gastrique pylorique non inflammatoire, d'aspect cicatriciel (4 biopsies pyloriques) • Muqueuse gastrique de type antral d'aspect normal (3 biopsies gastriques) • Pas d'H. pylori, pas de métaplasie intestinale ni de signe de dysplasie ou de malignité, pas de granulome. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 25.03.2019 : rythme sinusal régulier à 76/min, normoaxé, PR à 170 ms, QRS fins, pas de sus- ni de sous-décalage du segment ST, présence d'extrasystoles ventriculaire tri- ou quadrigéminé. US abdominal du 28.03.2019 : discrète dysmorphie hépatique avec des contours grenelés et une pointe du foie gauche émoussée, sans lésion suspecte. Le tronc porte est perméable à flux hépatopète. Pas de splénomégalie et pas d'ascite. OGD - Dr. X - du 01.04.2019 : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 28.02.2019 : rythme sinusal régulier à 60/min, axe gauche, onde P bifide en V1, QRS fins, ondes T plates en D3, pas d'autre trouble de la repolarisation. RX thorax du 28.02.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Épaississement bibasal de la trame broncho-vasculaire avec lésion d'infiltrat pulmonaire. Pas de bon inspirium.CT scan thoracique natif du 07.03.2019 : par d'anomalie suspecte visible en projection du parenchyme pulmonaire notamment pas de signe de pneumopathie chronique fibrosante. Épaississement modéré des 2 bases pulmonaires, des septa interlobulaires pouvant cadrer avec une composante d'médateuse interstitielle. Echocardiographie transthoracique - Dr. X - du 06.03.2019 : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 31.03.2019 : rythme sinusal régulier à 83/min, PR à 190 ms, QRS fins, pas de sus- ni de sous-décalage du segment ST, QTc à 424 ms. RX thorax du 31.03.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Pas d'épanchement pleural visible. Laboratoire : cf copies annexées. Frottis grippe : négatif. Hémocultures : négatives. Otoscopie : sans particularité des deux côtés. CT scan abdominal du 27.03.2019 : iléite terminale avec ganglions réactionnels dont le plus grand mesuré à 10 mm. Pas de perforation, présence d'un calcul dans la vésicule, pas de dilatation des voies biliaires. Laboratoire : cf copies annexées. H. Pylori dans les selles : négatif. Hémofecatest : positif. ECG du 07.04.2019 : rythme sinusal régulier, normocarde à 93/min, axe normal à 15°, QRS fins à 84 ms, sous-décalage du segment ST de max 1 mm en V4, V5 et V6, QTc à 450 ms. RX thorax du 07.04.2019 : cardiomégalie modérée en tenant compte de la position assise. Infiltrat interstitiel bilatéral diffus prédominant aux bases avec petit arrondissement du sinus costo-diaphragmatique droit, mais pas de signe majeur d'épanchement pleural. Echocardiographie transthoracique - Dr. X - du 11.04.2019 : séquelle d'infarctus antéro-septal-apical. Insuffisance mitrale hémodynamiquement non significative. Sténose aortique ne paraissant pas hémodynamiquement significative et modérée par calcul. Ad antiagrégation plaquettaire et coronarographie dès que la source de l'anémie ferriprive aura été traitée et selon l'évolution de l'insuffisance rénale, IEC/sartan selon créatinine et kaliémie, bétabloquant à petites doses, statine après bilan lipidique complet (cf copie annexée). Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : en cours. Culture de selles : positive pour Campylobacter spp. ECG du 30.03.2019 : rythme sinusal régulier, tachycarde à 102/min, axe normal à 19°, QRS fins à 80 ms, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R précoce en V1, QTc à 432 ms. RX thorax du 30.03.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. CT scan abdominal du 30.03.2019 : pan-colite et iléite terminale, d'origine vraisemblablement infectieuse, DD inflammatoire en présence d'adénopathies. Pas de maladie diverticulaire colique. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. ECG du 06.04.2019 : rythme sinusal régulier à 117 bpm, PR 140 ms, QRS fin avec un axe à -41°, ST isoéléctrique, progression de l'onde R avec une transition précoce en V2, pas d'onde Q pathologique, QTc 462 ms. RX thorax du 06.04.2019 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe de décompensation cardiaque. Discrète sclérose aortique. Discrète désorganisation et accentuation diffuse de la trame interstitielle liée à l'âge. Pas de net foyer systématisé visible. Hiles vasculaires, non agrandis. Pas d'épanchement pleural. Ostéopénie. Pas de fracture/tassement des corps vertébraux. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. ECG du 14.04.2019 : rythme sinusal à 96/min, PR à 154 ms, QRS fins avec axe à 10°, pas de signe d'ischémie active. RX thorax du 14.04.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural, notamment pas de signe de broncho-aspiration. US abdomen complet du 16.04.2019 : foie de surcharge stéatosique. Pas de liquide libre en intrapéritonéale. L'exploration reste toutefois difficile en rapport avec l'interposition d'un écran gazeux. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. ECG du 21.03.2019 : rythme sinusal régulier à 80/min, QRS fins à -5° d'axe, PR 160 ms, QTc 416 ms, segment ST isoélectrique, onde T physiologique. RX thorax du 21.03.2019 : par rapport au 04.12.2018, apparition d'une opacité plutôt linéaire à la base pulmonaire gauche compatible avec un foyer de pneumonie, DD broncho-aspiration. À droite, pas de foyer. Silhouette cardiaque dans la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Cadre osseux sans particularité. CT scan thoracique du 25.03.2019 : par rapport au 03.12.2018, apparition d'un comblement alvéolaire partiel du segment antérieur du lobe supérieur droit. Disparition des condensations alvéolaires lobaire moyen et lobaire inférieur droit. Persistance de comblement bronchique et alvéolaire de la pyramide basale gauche. Ces lésions sont aspécifiques DD broncho-aspiration, DD pneumonie, DD COP ? Une manifestation tumorale semble peu probable. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. ECG du 26.03.2019 : rythme sinusal régulier à 95/min, PR à 178 ms, QRS fins, pas de sus- ni de sous-décalage du segment ST. Présence d'une extrasystole supra-ventriculaire. RX thorax du 26.03.2019 : élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale. Turgescences hilaires bilatérales. Important épaississement de la trame broncho-vasculaire. Emoussement bilatéral du cul-de-sac costo-diaphragmatique. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. Frottis nasal grippe : négatif. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. ECG du 18.03.2019 : rythme sinusal régulier à 90 bpm, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré à 220 ms, QRS fin d'axe normal avec progression de l'onde R en V3, segment ST isoéléctrique, onde T négative en V1. RX thorax du 18.03.2019 : aorte déroulée, calcifiée. Importante lésion d'infiltrat pulmonaire du champ pulmonaire droit avec probable plaque calcifiée pleurale. Pas d'épanchement pleural visible. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. ECG du 11.04.2019 : rythme sinusal régulier à 63 bpm, PR 162 ms, QRS fin normoaxé, ST isoéléctrique, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R avec une transition en V4, QTc 398 ms. RX thorax du 11.04.2019 : cœur de taille dans les limites de la norme. Aspect flou mal délimité du médiastin supérieur du côté droit compatible avec un foyer, mais une autre étiologie, telle une atélectasie voire une néoplasie n'est pas formellement exclue. Quelques épaississements bronchiques, mais pas d'autre image suspecte pour un foyer pulmonaire. Pas d'épanchement pleural. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. ECG du 24.03.2019 : rythme sinusal régulier à 126/min, PR à 122 ms, régulier. QRS fins, axe à -45° compatible avec un hémibloc antérieur gauche. Pas d'onde Q pathologique. Pas de trouble de la repolarisation. QTc à 346 msec. RX thorax du 24.03.2019 : par rapport au comparatif du 03.03.2019, on retrouve l'asymétrie de taille des plages pulmonaires en défaveur du côté droit avec également des lésions en bande hilifuge vers l'apex du côté droit, compatible avec un status post-lobectomie et l'on retrouve également une désorganisation de la trame bronchovasculaire avec un aplatissement des coupes diaphragmatiques évoquant une BPCO. À la base gauche, on visualise une opacité compatible avec un foyer pulmonaire, à confronter avec la clinique. RX thorax du 29.03.2019 : par rapport au comparatif du 24.03.2019, on retrouve une opacité à la base gauche avec effacement partiel de l'hémi-coupole diaphragmatique, compatible avec un foyer pulmonaire, qui paraît en discrète amélioration.Pour le reste, l'examen est superposable avec notamment une asymétrie de taille des plages pulmonaires en défaveur du côté droit et des lésions en bande hilifuge droites vers l'apex, compatibles avec un status post-lobectomie. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. Recherche de C. difficile dans les selles : négative. ECG du 11.03.2019 : rythme sinusal régulier à 49/min, PR à 180 ms, QRS fins avec axe à 36°, pas de trouble de repolarisation, QTc 431 ms. CT scan cérébro-cervical du 11.03.2019 : pas de lésion osseuse aiguë, pas d'hémorragie intra-crânienne. US abdomen complet natif du 12.03.2019 : on retrouve une métastase connue du segment hépatique III, mais pas d'autre anomalie objectivée. CT scan thoraco-abdomino-pelvien du 15.03.2019 : dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques : probable migration d'un contenu dense vésiculaire : Sludge versus micro-calcul du cholédoque distal. Une BILI IRM est indiquée à distance pour meilleure étude du confluent biliaire inférieur. Contenu dense vésiculaire avec œdème péri-vésiculaire. Rate globuleuse. Pas d'anomalie à l'étage thoracique d'allure métastatique. Cholangio-IRM du 19.03.2019 : apparition d'une dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques avec interruption du cholédoque dans sa partie distale sans toutefois pouvoir détecter une cause objectivable (pas de masse évidente alentour, pas de calcul au sein de la vésicule biliaire). Image d'une lésion tissulaire mal délimitée située médialement par rapport au canal cholédoque, en dessous de la confluence spléno-mésentérique (séquence 501, image 20/55), sans effet de masse sur le canal cholédoque, de nature indéterminée DD fibrose DD adénopathie métastatique. Au vu du contexte et de la terminaison en "bec de plume" du canal cholédoque, une tumeur localisée infra-radiologique peut également être suspectée. Très discrète croissance en taille de la lésion focale du segment III par rapport au mois de février 2019, passant de 1,6 x 2,3 cm à 1,8 x 2,4 cm de diamètre. La lésion du segment VII n'est toujours pas retrouvée sur cet examen. La lésion de la partie droite du corps vertébral de L1 est inchangée. ERCP du 25.03.2019 : sténose de 15 mm avec 2 rétrécissements probablement situés à la jonction du canal hépatique commun et du cholédoque. Mise en place d'un stent de polyéthylène dans la sténose pour dériver la bile. Pancréatographie normale. À noter que de tels stents restent ouverts durant 3 à 6 mois et se bouchent. Les tests hépatiques se perturbent alors lentement. En cas d'élévation de la bilirubine, de fièvre ou d'état septique, il faut penser à changer rapidement de stent. Ceci peut être fait en ambulatoire avec une nouvelle ERCP. RX thorax du 26.03.2019 : port-à-cath bas situé. Troubles ventilatoires en bandes des deux bases pulmonaires. Absence d'un bon inspirium. Pas de foyer de condensation décelable. Pas de foyer décelable dans les limites de l'incidence réalisée. CT scan abdominal natif du 28.03.2019 : status post-mise en place d'un stent cholédocien avec une aérobilie devant traduire la perméabilité du stent. Ce dernier se termine toutefois à la hauteur de l'ampoule de Vater mais ne déborde pas dans la lumière duodénale. Le duodénum présente des parois discrètement épaissies, aspécifiques, DD inflammatoires DD pancréatite de contiguïté. En effet, l'augmentation de l'infiltrat rétropéritonéal autour du pancréas pourrait faire évoquer une pancréatite aiguë post-ERCP. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. RX thorax du 02.04.2019 : comparatif du 11.01.2019. On retrouve une perte de volume de l'hémithorax associée à une ascension de la coupole diaphragmatique qui est partiellement effacée par la présence d'un épanchement pleural de faible abondance objectivée au CT du 28.01.2019. Le tout est à intégrer au status post-lobectomie inférieure. L'analyse du rétrocarde est donc limitée. Discrète altération de signal interstitiel latéro-basal droit sur la face, n'effaçant pas la coupole diaphragmatique, ne permettant pas d'exclure une surinfection débutante. Port-à-cath sous-clavier droit en place. Cœur de volume dans la norme. Status post-plastie tendineuse de l'épaule gauche. CT scan thoracique du 02.04.2019 : pas d'embolie pulmonaire. Aspect micronodule bronchiolaire du lobe supérieur droit et inférieur droit évocateur de signes de bronchiolite infectieuse probable, à contrôler après traitement. Séquelles opératoires avec asymétrie de volume pulmonaire. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. Urotube : E. coli multisensible. US des voies urinaires du 25.03.2019 : examen compatible avec un foyer de pyélonéphrite au niveau du pôle supérieur du rein gauche, mais pas de signe d'obstruction, ni de calcul mis en évidence. US des voies urinaires du 28.03.2019 : pas de signe de complication sur une probable pyélonéphrite, notamment pas d'image d'abcès ou de phlegmon péri-néphrétique, pas de signe d'hydronéphrose. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. Urotube : ininterprétable car patient sondé. ECG du 27.03.2019 : rythme en flutter à conduction variable normocarde, électro-entrainé par moments. RX thorax du 27.03.2019 : par rapport au 01.11.2014, on retrouve une cardiomégalie, un status post-sternotomie pour pontage aortocoronarien, une sclérose et un déroulement de l'aorte thoracique relativement inchangés. Apparition par contre d'un flou péri-hilaire hilifuge compatible avec une insuffisance cardiaque décompensée. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Pacemaker pectoral gauche en surprojection, inchangé. Mise en évidence de sonde de neurostimulateur en surprojection de la région dorso-cervicale et de la région dorsale basse. ASP couché du 27.03.2019 : granité stercoral dans l'hypocondre droit. Distension des anses intestinales grêles, compatible avec un iléus débutant à corréler toutefois à la clinique. Sonde urinaire. Boîtier de stimulateur dans le flanc gauche avec une sonde en surprojection de l'hypocondre gauche. CT scan abdominal du 27.03.2019 : absence d'iléus. Coprostase colique et caecum mobile. Légère splénomégalie. Vessie sondée avec vessie vide mais aux parois semblant épaissies (DD : cystite ?). Sur les coupes passant à l'étage thoracique, épanchements pleuraux de faible abondance des deux côtés avec atélectasie passive partielle des lobes inférieurs. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. Urotube : négatif, mais prélevé après l'introduction de l'antibiothérapie. ECG du 30.03.2019 : rythme sinusal régulier, tachycarde à 103/min, axe normal à 0°, QRS fins à 80 ms, présence d'une image de bloc de branche droit en V1, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R dans la norme en V3, QTc à 492 ms. RX thorax du 30.03.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Pas d'épanchement pleural à droite. Minime émoussement du cul-de-sac costo-diaphragmatique à gauche. Pas de foyer pneumonique décelable. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. Consilium psychiatrique - Dr. X - du 08.04.2019 : • troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool, probable syndrome de dépendance, actuellement abstinente mais dans un environnement protégé - F10.21 • état confusionnel aigu au décours, possiblement surajouté à une démence débutante - F05.1 Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. Urotube : positif pour Klebsiella Pneumoniae. RX thorax du 09.04.2019 : on trouve l'ascension modérée de la coupole diaphragmatique droite déjà connue. Pas de foyer pneumonique décelable. Pas d'épanchement pleural visible.Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. US pied du 11.04.2019 : infiltration liquidienne dans les tissus mous sous-cutanés de la face postérieure du pied gauche sans collection visible. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : positives pour E. Coli. Urotube : positif pour E. Coli (même profil de résistance que les hémocultures). Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. ECG du 22.03.2019 : tachycardie supraventriculaire à 160/min par rentrée extra-nodale, bloc de branche droit connu, QTc 480 ms. RX thorax du 22.03.2019 : comparatif du 16.12.2015. Effacement partiel de la coupole diaphragmatique gauche et du rétrocarde ne permettant pas d'exclure un foyer parenchymateux surajouté visible. Le cœur semble de taille dans les limites de la norme. Pas de foyer systématisé visible à droite. Discrète obliquité du cliché. Pas d'épanchement pleural visible à droite. Transit baryté du 26.03.2019 : pas d'obstacle lors de la déglutition décelé des liquides au niveau bucco-pharyngien et œsophagien. Franchissement aisé de la jonction œsogastrique avec un estomac qui montre peu de péristaltisme (faible péristaltisme pouvant expliquer les symptômes). Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : positives 4/4 pour un E. coli sensible à la Ceftriaxone et Ciprofloxacine. Urotube : E. coli 10E6. US des voies urinaires du 31.03.2019 : kystes séreux simples bilatéraux infracentimétriques, pas de dilatation des cavités rénales et pas d'image de calcul dans les limites de l'ultrason. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures (2 paires) du 07.04.2019 : 1 paire positive pour entérocoque faecalis. Hémoculture (2 paires) du 08.04.2019 : 1 bouteille/paire positive pour entérocoque faecalis. Urotube du 07.04.2019 : 10E6 staphylocoque aureus ++. Urotube du 09.09.2019 : 10E6 entérocoque faecalis et staphylocoque aureus. ECG du 07.04.2019 : rythme sinusal régulier, bradycarde à 55 bpm, pas de bloc atrio-ventriculaire, QRS fin d'axe normal à -20°, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R en V5, segment ST isoélectrique, onde T négative en V1. RX thorax du 07.04.2019 : cardiomégalie modérée avec un déroulement de l'aorte thoracique. Multiples épaississements bronchiques, mais pas d'image nette de foyer pulmonaire, ni d'épanchement pleural. Image de tonalité calcique en regard du hile pulmonaire gauche évoquant une calcification péricardique. RX pied droit entier du 12.04.2019 : on trouve une destruction osseuse articulaire essentiellement métatarso-métatarsienne du 1er rayon avec irrégularité et érosion osseuses. Signes péjorés par rapport à la radiographie du 16.01.2018. Subluxation articulaire par ailleurs M1-M2. Organisation de l'architecture osseuse des os du tarse. Importante médiacalcose. Bilan angiologique - Dr. X - du 08.04.2019 : pas d'artériopathie significative avec bon flux triphasique jusqu'en tibial postérieur et pédieux des deux côtés et excellentes valeurs de pléthysmographies des deux côtés. Insuffisance veineuse superficielle connue et séquelle d'ancienne thrombose veineuse profonde poplitée interne gauche avec reflux profond, pas de thrombose veineuse profonde ni superficielle récente. Dermite de stase chronique bilatérale d'origine multifactorielle (obésité, sédentarité, trouble de la déambulation...) avec décompensation lymphatique secondaire (dermo-hypodermite surajoutée non exclue) au membre inférieur droit et au pied droit. Pas de contre-indication artérielle à contention élastique d'abord par bandes puis par bas de classe 2 au long cours pour éviter des œdèmes chroniques de stase dans le contexte d'obésité et de sédentarité augmentée, avec décompensation lymphatique secondaire. Pas de geste de revascularisation nécessaire car bon flux triphasique au niveau de l'ulcère du talon gauche. Echocardiographie transthoracique - Dr. X - du 11.04.2019 : pas de valvulopathie hémodynamiquement significative. Découverte d'un épaississement nodulaire du bord libre du feuillet coronarien gauche, avec un doute pour une échogénéicité flottante rattachée sur le versant ventriculaire, devant faire évoquer une endocardite dans le contexte de la bactériémie (DD : séquelle d'endocardite ou dégénératif, mais pas d'examen comparatif disponible). Laboratoire : cf copies annexées. IRM colonne lombaire du 19.03.2019 : pas d'image de hernie discale. Aspect modérément dégénératif du disque intervertébral L2-L3. Laboratoire : cf copies annexées. PCR multiplex selles : positive pour Campylobacter spp. Culture de selles : négative. Recherche de Clostridium difficile : négative. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. ECG du 04.04.2019 : fibrillation auriculaire normocarde à 95/min, QRS fin d'axe normal à 60°, pas d'onde Q négative, segment ST isoélectrique, pas d'onde T négative. RX thorax du 04.04.2019 : cœur de taille à la limite supérieure de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Désorganisation de la trame bronchovasculaire avec des épaississements bronchiques, ainsi qu'un infiltrat à la base gauche, compatible avec un foyer pulmonaire. Déminéralisation osseuse diffuse. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. ECG du 14.04.2019 : rythme sinusal régulier à 85/min, PR à 290 ms (bloc atrio-ventriculaire du 1er degré connu), QRS fins avec un axe à 10°, QTc à 440 ms, mauvaise progression de l'onde R avec une transition en V2, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'onde Q pathologique. RX thorax du 14.04.2019 : par rapport au comparatif du 03.05.2016, on retrouve la surélévation de l'hémi-coupole diaphragmatique gauche avec une condensation parenchymateuse en regard pouvant être surinfectée, à confronter avec la clinique. Le bord gauche du cœur n'est pas visualisable en raison de la surélévation de la coupole, mais le cœur paraît agrandi avec un déroulement de l'aorte thoracique. Pas de foyer visualisé au niveau de la plage pulmonaire droite. Luxation acromio-claviculaire droite. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. Frottis grippe : négatif. ECG du 19.03.2019 : rythme sinusal régulier à 86/min, QRS fins à 95 ms, axe normal à 46°, QTc à 450 ms, segment ST isoélectrique, bonne progression de l'onde R avec transition en V4. RX thorax du 19.03.2019 : cœur de taille à la limite supérieure de la norme en tenant compte de la position couchée avec une désorganisation de la trame bronchovasculaire ainsi que des épaississements bronchiques et un infiltrat interstitiel bilatéral diffus, évoquant une surinfection de BPCO, mais une composante d'insuffisance cardiaque surajoutée est également possible. Status post-mise en place d'une prothèse de l'épaule gauche et ostéosynthèse d'une fracture proximale de l'humérus en-dessous associée à une angulation de l'humérus et une image de cal exubérant, une pseudarthrose n'étant pas exclue, à confronter avec la clinique. CT scan thoracique du 21.03.2019 : pas d'embolie pulmonaire. Troubles ventilatoires en bande, lingulaires, inférieurs, du lobe moyen et du lobe inférieur gauche. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. Hémocultures : négatives. ECG du 30.03.2019 : rythme sinusal régulier à 110/min, PR à 160 ms, régulier, QRS à 90 ms, axe à 80°, transition de l'onde R en V4. Pas d'onde Q pathologique ni trouble de la repolarisation. QTc à 440 ms.RX thorax du 30.03.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Épanchement pleural bilatéral prédominant à droite. Hypoventilation des deux bases pulmonaires. Probable foyer de condensation pneumonique au niveau basal droit, à confronter aux données cliniques. Tests de la cognition du 04.04.2019 : MMSE à 29/30, test de la montre à 4/7 ; GDS à 3/15. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche de Bacilles de Koch : négative. Sérologie HIV : négative. Culture d'expectorations : leucocytes +++, débris cellulaires +, pas de germes identifiés. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. Hémocultures : négatives. ECG du 21.03.2019 : rythme sinusal régulier à 78/min, PR 198 ms, QRS à 108 ms avec axe gauche, bloc de branche gauche incomplet, pas de sus- ni de sous-décalages. RX thorax du 21.03.2019 : par rapport au comparatif du 15.01.2017, on retrouve un infiltrat du lobe moyen (récidive d'un foyer pulmonaire ?). On retrouve également une petite désorganisation de la trame bronchovasculaire avec de multiples épaississements bronchiques. Cœur de taille à la limite supérieure de la norme avec des calcifications de la crosse. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal. CT scan thoracique du 25.03.2019 : examen mettant en évidence une atélectasie du lobe moyen ainsi que des infiltrats en arbre bourgeonnant bilatéral prédominant aux bases associés à des adénopathies médiastinales. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche de sang occulte dans les selles : positive. ECG du 21.03.2019 : fibrillation auriculaire normocarde à 64/min, QRS fins, axe hypergauche à -40°, segment ST isoélectrique. RX pied gauche du 27.03.2019 : orteils en griffes. Dans ce contexte les phalanges distales et moyennes sont mal déroulées sur l'incidence de face comme sur l'incidence oblique. Toutefois, on met en évidence une fracture qui intéresse très probablement l'extrémité distale de P2 O2. Pas de fracture de P1 O2. Il est difficile de dire s'il existe également une fracture de P3 O2. Le reste des structures osseuses examinées se présente normalement, avec des rapports anatomiques physiologiques. Ostéopénie modérée. OGD - Dr. X - du 29.03.2019 : exclusion d'un saignement du tract digestif supérieur (cf copie annexée). DAP, biopsie gastrique - Promed P2019.3750 - du 29.03.2019 : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. RX thorax/CT scan thoracique du 08.04.2019 : absence d'embolie pulmonaire visualisée jusqu'en sous-segmentaire. Calcifications coronaires tri-tronculaires. Le reste des structures cardiaques sont de morphologie normale. Mise en évidence d'un reflux du produit de contraste dans la veine cave inférieure et les veines sus-hépatiques. Calcifications de l'aorte thoracique, ainsi que des vaisseaux supra-aortiques. Pas d'adénopathie médiastinale, hilaire et axillaire. Dans le parenchyme pulmonaire, atélectasies sous-segmentaires des deux lobes inférieurs. Pas de nodule suspect individualisé. Présence de quelques épaississements bronchiques. Pas d'épanchement pleural. Présence d'une petite hernie graisseuse de Bochdalek à droite. Sur les coupes passant par l'étage abdominal, sous réserve d'un temps d'injection précoce, les morphologies des parenchymes hépatiques, spléniques, pancréatiques, surrénaliens droits et rénaux se présentent normalement. On retrouve une hyperplasie modérée de la glande surrénale gauche, inchangée. Importants troubles dégénératifs du rachis thoracique avec ostéophytes antérieurs et latéraux, associés à une fusion des corps vertébraux de T10 et T11. Discopathies pluri-étagées, avec phénomènes de vides discaux. On retrouve un hémangiome du corps vertébral de T9. Laboratoire : cf copies annexées. Sédiment urinaire : microhématurie avec flore bactérienne et leucocyturie. Hémocultures : négatives. Uricult : 10E6, E. Coli multisensible. Laboratoire : cf copies annexées. Sédiment urinaire : purée de leucocytes, purée d'érythrocytes, pas de nitrite. Urotube : positif pour E. coli +++ et quelques cocci gram +. Hémocultures à froid : positives à J2 1/4 pour un E. coli. ECG du 10.04.2019 : rythme sinusal régulier à 96 bpm, PR 142 ms, QRS fin normoaxé, ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R avec une transition en V2, QTc à 459 ms. Rx-thorax du 10.04.2019 : silhouette cardiomédiastinale de morphologie dans la norme. Absence d'infiltrat interstitiel ou alvéolaire systématisé visible. Remaniement pleural apical bilatéral aspécifique. Pas d'épanchement pleural. Asymétrie de taille des ombres mammaires en défaveur de la droite. Pas de lésion nodulaire suspecte sur l'ensemble des deux champs pulmonaires. Absence d'air libre sur les coupoles diaphragmatiques. Lésions dégénératives étagées du rachis dorsal sans fracture/tassement visible. Pas de destruction osseuse suspecte. Pas de lésion ostéo-condensante visible. Laboratoire : cf copies annexées. Taux Tacrolimus du 24.03.19 : 5 ug/l. Taux Tacrolimus du 26.03.19 : 6.3 ug/l. Taux Tacrolimus du 01.04.2019 : 7.7 ug/l. ECG du 25.03.2019 : rythme sinusal régulier à 68/min, PR à 160 ms, bloc de branche droit connu, pas de trouble de la repolarisation. QTc à 484 ms. RX thorax du 27.03.2019 : par rapport au 24.05.2018, apparition d'un épanchement pleural basal droit. Pas d'épanchement pleural à gauche. Silhouette cardiaque dans la norme, inchangée. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. US abdominal au lit du patient du 25.03.2019 : greffon en place, mesurant 14 cm de long axe, sans signe de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques (extra-hépatiques non visualisées et vésicule biliaire absente). Petite lame d'épanchement péri-hépatique post-opératoire. Vaisseaux abdominaux et pancréas non visualisables. Reins symétriques de petite taille, mesurés à 5 cm de longueur. Splénomégalie modérée à 12 x 8 cm. Vessie remplie sans signes d'anomalies à 170 mL environ. Prostate non visualisée. Lésion ronde, bien délimitée, probablement hématique en voie de consolidation en sous-cutané (1.5 cm de profondeur environ) en base épigastrique, de 34 x 26 x 29 mm sans signal power doppler (pas de signes d'hémorragie active). 2ème hématome sans signes d'hémorragie active de 45 x 16 x 25 mm sous-cutané en regard de l'hypochondre droit. US abdominal complet du 27.03.2019 : on visualise 2 zones d'hématome sous-cutané en regard de la cicatrice. Splénomégalie, mais pas d'anomalie objectivée au niveau du greffon hépatique. Volumineux épanchement pleural droit. Laboratoire : cf copies annexées. Test de grossesse : négatif. Anticorps : anti-GAD, anti-îlots, anti-IA-2 : négatifs. ECG du 21.03.2019 : rythme sinusal à 80/min, PR 172 ms, QRS fins avec axe à 15°, pas de signes d'ischémie. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : +++ E. coli multisensible. ECG du 14.03.2019 : fibrillation auriculaire avec transmission ventriculaire normocarde, QRS fin d'axe normal avec progression de l'onde R en V3, pas d'onde Q pathologique. Segment ST isoélectrique, pas d'onde T négative. QTc 414 ms. RX thorax du 14.03.2019 : cardiomégalie sans signe franc d'insuffisance cardiaque. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Bladder scan aux urgences : 230 ml d'urine. US rénal du 19.03.2019 : examen fortement limité par le morphotype du patient. Reins de taille dans la norme à droite, dans la limite inférieure de la norme à gauche. Absence d'obstruction des voies urinaires. Vessie peu remplie, limitant l'analyse de la loge prostatique. Echocardiographie transthoracique - Dr. X - du 18.03.2019 : pas d'argument pour une dysfonction systolique ou une valvulopathie gauche significative. Il existe par contre des signes suspects d'une HTAP significative.Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : +++ E. coli multisensible. RX thorax F/P du 28.03.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Emoussement modéré du cul-de-sac osseux diaphragmatique gauche avec trouble ventilatoire modéré. Pas de foyer de condensation décelable dans les limites de l'incidence réalisée. CT scan cérébral et des tissus mous du cou du 28.03.2019 : lésion unique intra-axiale supra-centimétrique pariétale gauche suspecte (DD : gliome de haut grade ? métastase (sein, poumon, liposarcome) ? autre lésion tumorale primaire ? un abcès semble moins probable). Examen à compléter par une IRM cérébrale. Absence d'argument pour un accident vasculaire cérébral ischémique constitué ou hémorragique. Absence de lésion sténosante significative des vaisseaux précérébraux et du polygone de Willis. Absence de thrombose des sinus veineux. Goitre thyroïdien. IRM cérébrale du 29.03.2019 : 2 lésions solides nécrosées de siège cortico-sous-cortical au niveau temporal antérieur et postérieur gauches, associées à de l'œdème péri-lésionnel pour la lésion postérieure évoquant des lésions d'allure solide tumorale métastatique. L'absence de restriction de la partie centrale de la lésion est contre le diagnostic d'abcès. Le 1er diagnostic à évoquer est celui de lésions métastatiques. Le diagnostic de glioblastome reste peu probable en rapport avec la multiplicité. CT scan thoraco-abdomino-pelvien du 02.04.2019 : hypertrophie du lobe droit de la thyroïde avec lésion nodulaire déjà connue. Probable image sténosante avec probable épaississement tissulaire de la paroi du côlon droit distal versus spasme. PET scan du 09.04.2019 : sur les coupes passant par le cerveau, on retrouve la masse intra-axiale connue du lobe pariétal gauche, de taille inchangée. Pas d'autre manifestation tumorale radiologique dans le reste du volume exploré. Mise en évidence d'une hypercaptation colique droite, évoquant plutôt de la radioactivité transportée physiologiquement qu'une lésion tumorale. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de néoplasie. Au vu de ce tableau PET-CT 18F-FDG, je pense que la lésion temporale gauche est plutôt une tumeur primitive du cerveau. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : négatif. RX thorax du 08.04.2019 : pas de foyer pneumonique visible. Quelques dystélectasies basales gauches, aspécifiques. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Rectitude de la colonne dorsale avec discrètes lésions dégénératives discales. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : 10E3 germes, signe d'une contamination. PCR multiplex selles : négative. ECG du 02.04.2019 : rythme sinusal à 80/min, PR 190 ms, QRS fins normoaxés, QTc non allongé à 442 ms, ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, bonne progression de l'onde R avec transition en V3. ASP du 02.04.2019 : aérocolie, aérogrêlie augmentées sans distension aérique en faveur d'un iléus actuellement décelable. Probable dolichocôlon. Ampoule rectale aérée vide de selles. Peu de résidus stercoraux. Pas de fécalome. Multiples phlébolithes pelviens. Lésions dégénératives du rachis. Perte de hauteur de plusieurs vertèbres lombaires notamment L1 et L2 (IRM 11.04.2018). Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : 10E4 germes. Hémocultures : négatives à 5 jours. ECG du 08.04.2019 : rythme sinusal régulier à 60/min, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré à 210 ms, QRS fin d'axe normal à 0° avec progression de l'onde R en V5, segment ST isoélectrique, pas d'onde T négative en V1. RX thorax F/P du 08.04.2019 : par rapport au 10.12.2018, pas de changement significatif. Silhouette cardiaque dans la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Silhouettage de la coupole diaphragmatique gauche connue et inchangée DD atélectasie chronique ? Status post-sternotomie, connue et inchangée. Cadre osseux sans particularité. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : 10E4 germes. Staph. haemolyticus et Enterococcus durans. Hémocultures du 12.04.2019 : négatives. RX colonne lombaire F/P du 08.04.2019 : comparatif du 08.03.2019 : status post-cyphoplastie de L4. Répartition du ciment prédominant dans les 2 tiers supérieurs du corps vertébral inchangée avec récupération partielle de la hauteur. Actuellement pas de tassement des vertèbres sus-jacentes. Cunéiformisation de D12 et L1 connue, inchangée. Reste du status également superposable. RX hanche droite et bassin du 12.04.2019 : coxarthrose bilatérale avec pincements des bords supéro-externes des interlignes articulaires. Aspect modérément ostéopénique de la trame osseuse. Pas d'image de fracture décelable dans les limites des incidences réalisées. Arthrose sacro-iliaque bilatérale. Bilan angiologique - duplex artério-veineux du membre supérieur gauche - Dr. X - du 08.04.2019 : débit à 1450/cc min pour tahd à 140/72 mmHg, petite accélération à l'anastomose veineuse, au site de transposition et prolongation de boucle, non significative, hématomes thrombosés aux sites des cicatrices, non alimentés, thrombose superficielle de v, céphalique du bras sans extension vers la profondeur, le reste du réseau veineux étant libre au bras et à l'avant-bras. IRM lombaire le 17.04.2019 : péjoration du tassement vertébral de L4 avec importants signes inflammatoires du reste du corps vertébral de L4 et L3 et extension des signes inflammatoires au niveau des tissus mous péri-vertébraux antérieurs et au niveau des éléments des arcs postérieurs. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : 10E5 germes, signes d'une contamination. Culture d'expectorations : flore bucco-pharyngée. ECG du 14.03.2019 : rythme sinusal régulier. P biphasique positif en DII, bifide en DIII et aVF, QRS fin à 105 ms sans image de bloc de branche droite ou gauche, axe limite gauche à - 40°, segment ST isoélectrique, QTc à 487 ms. RX thorax du 11.03.2019 : pseudo-élargissement de la silhouette cardiomédiastinale. Déformation déjà connue des arcs costaux. Lésion d'infiltrat pulmonaire bilatérale prédominant au niveau basal à droite avec épaississement bronchique. Echocardiographie transthoracique - Dr. X - du 18.03.2019 : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube et hémocultures : positifs à E. coli résistant au Bactrim et Ampicilline le 07.04.2019. CT scan abdominal du 05.04.2019 : discrète dilatation du bassinet à 12 mm avec densification de la graisse péri-urétérale et péri-pyélique, sans calcul décelable, une composante de surinfection surajoutée reste probable. Probable expulsion d'un éventuel calcul. Laboratoire : cf copies annexées. US abdomen supérieur du 11.04.2019 : échographie de l'abdomen supérieur dans les limites de la norme. Laboratoire : cf copies annexées. Antigènes urinaires pour Legionelle et Pneumocoque : négatifs. RX thorax du 02.04.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural. Présence d'une hypoventilation en bande ne permettant pas d'exclure un foyer sous-jacent (à confronter avec la clinique) avec troubles ventilatoires. Absence d'un bon inspirium. Bonne visibilité des deux hiles pulmonaires. Laboratoire : cf copies annexées. Antigènes urinaires pour Legionelle et Pneumocoques : négatifs. Hémocultures : négatives à 5 jours. RX thorax du 31.03.2019 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Foyer pulmonaire du lobe inférieur gauche. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Le compartiment osseux se présente normalement. CT scan abdominal du 31.03.2019 : foyers de pneumonie segmentaires bilatéraux. Absence de foyer abdominal, en particulier pas de signe d'appendicite ou de diverticulite. Laboratoire : cf copies annexées.CT scan cérébral du 21.03.2019 : deux masses intra-parenchymateuses (fronto-insulaire gauche et pariéto-occipitale gauche) suspectes d'atteinte tumorale (DD : glioblastome ? Métastases ?), associées à un œdème péri-lésionnel avec effet de masse provoquant une déviation de 4 mm de la ligne médiane vers la droite. Hématome sous-galéal et sous-cutané frontal droit avec saignement actif, sans fracture des os du crâne. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 12.03.2019 : rythme sinusal régulier, PQ < 200 ms, QRS fins, pas de sus- ni de sous-décalage du segment ST. RX thorax du 12.03.2019 : par rapport au 25.09.2018, pas de foyer pulmonaire systématisé. Épaississement bronchique bibasal DD bronchite. Silhouette cardiaque dans la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Déroulement aortique connu et inchangé. Pas d'épanchement pleural. RX thorax du 22.03.2019 : par rapport au 12.03.2019, silhouette cardiaque inchangée. Déroulement de l'aorte thoracique inchangé. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Remaniements de la trame pulmonaire en rapport avec l'emphysème connu. Pas d'épanchement pleural. Sonde nasogastrique en surprojection correcte dont l'extrémité se situe en surprojection de l'hypocondre gauche. Attitude scoliotique dextro-convexe de la colonne dorso-lombaire. RX colonne lombaire du 13.03.2019 : aspect très déminéralisé de la trame osseuse. Absence d'une bonne superposition des bords osseux. Arthrose interfacettaire étagée. Discarthrose étagée. Calcification de l'aorte abdominale. Si forte suspicion de tassement à compléter par un CT scanner. CT scan colonne dorso-lombaire du 14.03.2019 : tassements vertébraux étagés de D12, D11 et L2, sans recul du mur postérieur. Aspect très ostéopénique de la trame osseuse. Discarthrose et arthrose interfacettaire étagées. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 14.03.2019 : rythme sinusal régulier à 56/min, QRS fins avec axe normal, bloc de branche droit (superposable à 2018). Absence de progression de l'onde R. Pas d'onde Q pathologique. Extrasystole auriculaire isolée. Pas de trouble de la repolarisation. RX thorax F/P du 14.03.2019 : petite désorganisation de la trame bronchovasculaire et aplatissement des coupoles diaphragmatiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. Déminéralisation osseuse diffuse ainsi que lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal inférieur et du rachis lombaire avec réaction ostéophytaire intersomatique. Test de la cognition du 15.03.2019 : MMS à 17/30, test de la montre à 0/7, GDS à 4/15. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 18.03.2019 : rythme en fibrillation auriculaire tachycarde à 104/min, QRS fins normoaxés, QTc 447 ms, segment ST isoélectrique, bonne progression de l'onde R avec transition en V4. RX thorax du 18.03.2019 : aorte déroulée, calcifiée. La silhouette cardio-médiastinale est dans les limites supérieures de la norme. Épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. CT scan cérébral natif du 18.03.2019 : absence de saignement intracrânien. Pas de fracture. Lacunes au sein des deux hémisphères cérébelleux. Test de la cognition du 19.03.2019 : MMSE à 16/30, test de la montre à 0/7, GDS impossible à compléter. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 23.04.2019 : rythme sinusal régulier à 52/min, PR 200 ms, QRS large à 112 ms avec axe 90°, pas de signe d'ischémie active. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. ECG du 22.03.2019 : fibrillation auriculaire à 180/min, axe QRS 45°, QRS 80 ms, QTc 382 ms, segment ST isoélectrique, onde T physiologique. RX thorax F/P du 22.03.2019 : comparatif du 10.12.2018. Importante désorganisation et raréfaction de la trame pulmonaire associée à une augmentation du diamètre antéro-postérieur, un aplatissement modéré des coupoles diaphragmatiques dans le contexte d'un syndrome obstructif lié à l'âge. Par rapport au comparatif, nette régression du foyer de bronchopneumonie postéro-basale lobaire supérieure droite. Actuellement accentuation péri-bronchique lobaire inférieure droite d'allure superposable au comparatif. Une surinfection débutante ne peut être exclue. Épaississement bronchique, sclérose, trachéo-bronchique péri-hilaire inchangée. Pas d'épanchement pleural. Cœur de volume dans la norme sans signe de décompensation visible. Sclérose aortique. Trouble de la statique dorso-lombaire avec scoliose en S avec convexité thoracique droite. Pas de fracture/tassement des corps vertébraux. Ostéopénie. Laboratoire : cf copies annexées. Hémofécatest : 3x négatifs. ECG du 28.03.2019 : rythme sinusal régulier à 98/min, QRS fins à 76 ms d'axe normal à 33°, QTc à 470 ms, segment ST isoélectrique, bonne progression de l'onde R avec transition en V2. RX thorax du 28.03.2019 : la silhouette cardiomédiastinale est dans les limites supérieures de la norme. Aorte déroulée calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Opacité rétro-cardiaque médiane, probable hernie hiatale ou autre, un scanner peut être discuté à distance. US abdominal du 30.03.2019 : ultrason abdominal sans anomalie. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. Urotube : négatif. Recherche de C. difficile dans les selles : négative. PCR multiplex selles : négative. RX thorax du 19.03.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Présence d'infiltrats alvéolaires aux 2 bases prédominant du côté droit, compatibles avec une pneumonie bi-lobaire. Pas de volumineux épanchement pleural. CT scan thoracique du 22.03.2019 : infiltrats alvéolaires diffus lobaires inférieurs bilatéraux évoquant une pneumonie sans complication ou composante liquidienne actuellement visible. Laboratoire : cf copies annexées. RX épaule gauche du 02.04.2019 : comparatif 08.04.2015. Signes indirects de rupture de la coiffe des rotateurs. Rupture du cintre gléno-huméral, ascension de la tête humérale, importante réduction de l'espace sous-acromial. Remaniement sclérotique de la face inférieure de l'acromion et réaction ostéophytaire débutante de la partie supérieure de la glène. Pas de fracture récente surajoutée visible. Intégrité de la partie visible du gril costal. RX épaule droite du 03.04.2019 : statut post-résection de la tête humérale (mention de l'amputation de la tête humérale sur une Rx de thorax de janvier 2013) (antécédent d'OS pour fracture du col de l'humérus D). Y a-t-il une nécrose de la tête et retrait du matériel d'OS ? Tranche de section diaphysaire calme sans signe de complication. Plusieurs remaniements osseux en regard du bord postérieur de la glène, bien corticalisés. Anciens fragments libres ? Pas d'atteinte traumatique récente de la partie visible de l'omoplate ou de la clavicule. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG : rythme sinusal régulier à 60/min, axe du QRS à 30°, PR 130 ms, QRS 80 ms, QTc 400 ms, segment ST isoélectrique, onde T physiologique. Test de Schellong : négatif. RX thorax du 19.03.2019 : élargissement du médiastin supérieur mais qui ne paraît pas remonter jusqu'à la thyroïde et qui parle plutôt contre un goitre. Cœur de taille dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. CT thoracique et des tissus mous du cou du 19.03.2019 : adénopathies cervicales droites, sus-claviculaires droites et médiastinales, majoritairement à centre nécrotique, suspectes d'atteinte tumorale métastatique, sans lésion tumorale primaire franche décelée. La plus volumineuse de ces adénopathies, située dans le médiastin supérieur, protrusant au sein de la veine cave supérieure, témoigne d'une infiltration de cette dernière.Lésion hypodense à l'interface des segments II et III hépatiques, aspécifique (DD : métastase?). DAP de la biopsie ganglionnaire latéro-cervicale droite du 22.03.2019 - Promed, P2019.3450 : • Agrégats linéaires de cellules épithéliales atypiques de taille moyenne à large à la surface du tissu essentiellement nécrotique. • Résultat histopathologique tout à fait compatible avec un carcinome non à petites cellules, notamment un adénocarcinome pulmonaire. • Rapport complémentaire : cf. copie ci-jointe. • Laboratoire : cf. copies ci-jointes. • Hémocultures du 02.04.2019 : 2 paires positives pour Staphylocoque aureus. • Urotube du 02.04.2019 : positif pour E. coli et Staphylocoque aureus. • Hémocultures du 04.04.2019 : 2 paires négatives après 5 jours. ECG : rythme sinusal régulier à 100 bpm, QRS de 98 ms, axe normal, pas de signe pour une ischémie aiguë. RX thorax du 02.04.2019 : étalement de la silhouette cardio-médiastinale lié à la position couchée. Pas de signe de décompensation cardiaque. Absence d'infiltrat interstitiel ou alvéolaire systématisé visible. Pas d'épanchement pleural. Opacité ronde en projection de la jonction chondro-costale I à gauche ouvrant le DD d'un remaniement dégénératif versus un nodule pulmonaire, suspect de métastase. CT thoraco-abdominal du 05.04.2019 : on retrouve un status post-mise en place d'une prothèse aortique et de pontages, iliaque commun droit ainsi que axillo-fémoral du même côté, ces derniers étant thrombosés, une surinfection ne pouvant être exclue. Aspect épaissi avec discret rehaussement du pyélon et de l'uretère gauche, pouvant correspondre à une pyélo-urétérite. Echocardiographie du 05.04.2019, Dr. X : pas de signe pour une végétation gauche significative mais qui ne peut être clairement exclue sur la base de cet examen trans-thoracique de qualité limitée. Très probable séquelle d'infarctus inféro-latéral, voire inférieur. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. • Ag. urinaires pour Légionelle et Pneumocoques du 18.03.2019 : négatifs. • Hémocultures du 19.03.2019 : 2 paires négatives après 5 jours. • Culture d'expectoration du 20.03.2019 : flore bucco-pharyngée. • PCR eubactérienne pleurale : négatif. • RSV PCR du 20.03.2019 : positif. • PCR Influenza A + B : négative. • Bactériologie du liquide pleural du 23.03.2019 : négative après 2 jours. ECG 17.03.2019 : rythme sinusal régulier tachycarde à 124 bpm, axe gauche à -34°, QRS fins à 70 ms, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R tardive en V5. QTc à 438 ms. RX thorax du 17.03.2019 : présence d'un épaississement de la trame bronchique en base droite compatible avec un foyer, pas d'autre pathologie visualisée. RX thorax du 18.03.2019 : on retrouve un foyer de condensation au niveau basal gauche associé à un effacement de la coupole diaphragmatique avec composante d'épanchement pleural. Pas d'épanchement pleural à droite. Aorte déroulée, calcifiée. RX thorax du 23.03.2019 : par rapport au comparatif du 18.03.2019, on retrouve un épanchement pleural gauche encore en augmentation, avec également une augmentation de l'infiltrat en regard compatible avec une pneumonie. Silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Apparition également d'un petit épanchement pleural droit. RX thorax du 24.03.2019 : par rapport au comparatif de la veille, on retrouve le status post-mise en place d'un drain pleural gauche, en bonne position, avec un emphysème des tissus mous en regard sans pneumothorax visualisé, avec persistance d'un petit épanchement et d'une atélectasie passive d'aspect superposable. Pour le reste, l'examen est superposable. RX thorax du 28.03.2019 : Aorte déroulée calcifiée. Épanchement pleural à gauche associé à un foyer de condensation avec troubles ventilatoires. Pas d'épanchement pleural à droite. Épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. CT thoracique du 20.03.2019 : image compatible avec une pneumonie nécrosante et possiblement phlegmoneuse du lobe inférieur gauche se caractérisant par des plages hypodenses entourées par du matériel relativement tissulaire (phlegmon-début d'abcédation possible notamment dans le segment apical du lobe inférieur gauche). Pas d'épanchement pleural, pas d'empyème. CT thoracique du 23.03.2019 : majoration de la condensation touchant la quasi-totalité du lobe inférieur gauche, contenant plusieurs zones de défaut de rehaussement avec début d'excavation, compatible avec une pneumonie nécrosante. Pas de mise en évidence de niveaux liquidiens suspects d'abcès au sein des zones de nécrose. Nette majoration de l'épanchement pleural gauche, sans signe d'empyème. Majoration également de l'épanchement pleural droit de faible abondance ainsi que de la condensation en regard au sein de la pyramide basale (DD : atélectase de contact ? foyer ?). CT thoracique du 01.04.2019 : régression en taille du foyer de condensation lobaire inférieur gauche avec péjoration modérée de la cavitation. Pas de signe d'empyème : régression nette de l'épanchement pleural à gauche, de faible abondance. Troubles ventilatoires en bande au niveau de la base pulmonaire à droite. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG : RX thorax du 10.03.2019 : augmentation diffuse de la trame broncho-vasculaire avec redistribution de la vascularisation vers les apex, pouvant correspondre à une insuffisance cardiaque versus une origine infectieuse. Pas d'épanchement pleural visualisé en position couchée. Silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme avec des calcifications au niveau de la crosse de l'aorte. CT thoracique du 11.03.2019 : examen mettant en évidence des signes de broncho-aspirations avec également de petits infiltrats en verre dépoli bilatéraux diffus, non spécifiques (atteinte infectieuse ? hémorragie). Épaississement pariétal de l'œsophage étendu évoquant en premier lieu une oesophagite. PET-CT 26.03.2019 : comparé au 11 mars 2019 on retrouve un épaississement pariétal de l'œsophage distal, en diminution. Diminution également en taille des multiples adénopathies médiastinales associées. Par rapport à l'examen PET-CT 18F-FDG pré-traitement du 05.12.2018 nous constatons une diminution de la captation au niveau de la tumeur primitive et l'apparition d'une hypercaptation de la moitié distale de l'œsophage liée très probablement à la présence de la sonde naso-gastrique. On note une diminution de la captation au niveau des ganglions hilaires pulmonaires bilatéraux et la disparition des captations ganglionnaires médiastinales et sous-diaphragmatiques para-aortiques droites. Absence de nouvelle lésion hypermétabolique suspecte de métastases.RX thorax du 17.03.2019 : par rapport au 10.03.2019, pas de changement significatif. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. RX thorax du 21.03.2019 : par rapport au comparatif du 17.03.2019, on constate un status post-mise en place d'une sonde naso-gastrique avec extrémité dans l'estomac. Pour le reste, l'examen est superposable au comparatif du 17.03.2019 avec quelques épaississements bronchiques. RX thorax du 22.03.2019 : status post-mise en place d'une sonde naso-gastrique avec extrémité au niveau du cardia. Pour le reste, l'examen est par ailleurs superposable au comparatif du 21.03.2019 avec notamment quelques épaississements bronchiques. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG : rythme sinusal à 80 bpm, BAV 1er degré, QRS fin avec axe à -50°, ST iso-électrique. RX thorax du 06.04.2019 : coeur de volume dans la norme sans signe de décompensation. Sclérose aortique. Accentuation diffuse de la trame bronchique, plus marquée au niveau péri-hilaire gauche, au niveau infra-hilaire gauche par rapport à la droite. Absence d'infiltrat interstitiel ou alvéolaire systématisé surajouté visible. Pas d'épanchement pleural. Rectitude dorsale. Pas de fracture/tassement des corps vertébraux. Duplex veineux des membres inférieurs du 08.04.2019, Dresse Rey : pas de thrombose veineuse profonde ni de thrombose veineuse superficielle. Scintigraphie pulmonaire du 09.04.2019, HFR Fribourg - Hôpital cantonal : absence d'image scintigraphique nette en faveur d'une éventuelle embolie pulmonaire. Aspect hétérogène des poumons dans les deux phases de l'examen évoquant plutôt une atteinte pleuro-parenchymateuse. Absence de signe indirect d'hypertension pulmonaire. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG : rythme sinusal régulier à 44 bpm, PR à 180 ms, QRS fins avec un axe à 40°, QTc à 380 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, sus-décalage en V2-V3 connu, absence d'onde Q pathologique. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG du 06.04.2019 : cf. copie ci-jointe. Echocardiographie trans-thoracique du 08.04.2019 : cf. copie ci-jointe. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG du 08.04.2019 : rythme de FA, sans onde P visible, bradycarde à 40 bpm, QRS fins, axe normal, ST iso-électrique, QTc 392 ms. ECG du 10.04.2019 : rythme de FA, sans onde P visible, bradycarde à 41 bpm, QRS fins, axe normal, ST iso-électriques, QTc 392 ms. RX thorax du 08.04.2019 : par rapport au 22.09.2013, on retrouve une cardiomégalie inchangée. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Volumineuse hernie hiatale. Surcroît de densité dans la partie toute latérale de la plage pulmonaire droite en regard de la pointe de la scapula, DD image construite, DD épaississement pleural, DD image construite dans le contexte d'anciennes fractures de côtes et/ou l'apparition de calcifications chondro-costales. Echocardiographie trans-thoracique du 09.04.2019, Dr. X : cf. copie ci-jointe. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Manoeuvre de Hallpike : positive à gauche, manoeuvre libératrice sans effet. Test de Halmagyi : négatif. ECG : RSR normocarde à 85 bpm, onde P de 106 ms d'amplitude et de morphologie normale, intervalle PR iso-électrique à 172 ms, QRS fin avec axe normal, progression de l'onde R avec inversion en V2-V3, segment ST iso-électrique, ondes Q normales, QTc de 427 ms. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Urotube du 26.03.2019 : flore mixte (contamination). Hémocultures du 26.03.2019 : 2 paires négatives après 5 jours. Culture de selles du 27.03.2019 : PCR multiplex négatif. Clostridium difficile positif. ECG : tachycardie sinusale à 110 bpm, PR à 130 ms, QRS fins avec un axe à 77°, QTc à 460 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, ST iso-électrique, pas de signe d'ischémie active, absence d'onde Q pathologique. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. US du 07.04.2019 : boîtier de port-à-cath en position pectorale droite. Pas de collection entourant la poche musculaire du boîtier. Pas d'infiltration suspecte des tissus graisseux sous-cutanés. Absence d'hyperémie au doppler couleur. Pas d'argument pour une déconnexion du cathéter. Laboratoire : cf. copies en annexe. ECG d'entrée : RSR à 50 bpm, onde P à 182 ms, PR à 200 ms, QRS fins sans sus- ou sous-décalage ST, transition de l'onde R en V3-V4, QTc à 451 ms et onde T négative en V2-V6. ECG de sortie : RSR à 61 bpm, onde P à 124 ms, PR à 200 ms, QRS fins sans sus- ou sous-décalage ST, transition de l'onde R en V3-V4, QTc à 460 ms et onde T négative en V2-V6. Holter 24h du 01.04.2019 : rythme de base sinusal avec une FC moyenne à 57 bpm (min 41 bpm en fin de matinée, max 94 bpm en fin de journée), pas de bloc ou trouble de conduction de haut degré, pas de pause. ESV non significatives (38), ESV<10/h (183). Faible variabilité sinusale diurne. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 375 m, FC repos 49 bpm, FC fin 72 bpm, FC récup 61 bpm, TA repos 111/64 mmHg, TA fin 137/74 mmHg, BORG 4/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 480 m, FC repos 50 bpm, FC fin 88 bpm, FC récup 64 bpm, TA repos 96/53 mmHg, TA fin 152/74 mmHg, BORG 4/10. Laboratoire : cf. copies en annexe. ECG d'entrée : RSR à 58 bpm, onde P de 104 ms, intervalle PR de 160 ms, QRS fin avec axe hypergauche à 67°, ondes Q en V2-V4, segment ST avec aspect anévrismal en V3-V4, QTc de 453 ms. ECG de sortie : RSR à 68 bpm, onde P de 114 ms, intervalle PR de 152 ms, QRS fin avec axe hypergauche à 66°, ondes Q en V2-V4, segment ST avec aspect anévrismal en V3-V4, QTc de 465 ms. Epreuve d'effort du 09.04.2019 : limitée par des problèmes dorsaux au pic de l'effort, la FC explore 70% de la réserve coronaire; DP à 19.200 mmHg/min. Pas d'arythmie et clinique négative, les paramètres en phase de récupération sont dans la norme. ETT du 01.04.2019 : large séquelle anévrismale apicale (1/3 distal VG) avec altération sévère de la fonction systolique (FEVG à 30% selon Simpson). Dysfonction diastolique de type III. Séquelle de thrombus VG en voie de résolution. Calcification micro-aortique sans conséquence hémodynamique. Anneau mitral non dilaté. Pas d'HTAP. Péricarde sans particularité. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 420 m, FC repos 55 bpm, FC fin 62 bpm, FC récup 56 bpm, TA repos 176/97 mmHg, TA fin 183/94 mmHg, BORG 0/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 475 m, FC repos 66 bpm, FC fin 80 bpm, FC récup 71 bpm, TA repos 169/94 mmHg, TA fin 183/99 mmHg, BORG 1/10. Laboratoire : cf. copies en annexe. ECG d'entrée : RSR à 69/min, onde P de 104 ms, intervalle PR de 168 ms, BBD avec QRS de 126 ms et axe normal, segment ST iso-électrique, QTc de 434 ms. ECG de sortie : RSR à 70/min, onde P de 114 ms, intervalle PR de 170 ms, présence d'ESSV avec pause compensatrice et bigéminisme atrial, BBD avec QRS de 126 ms et axe normal, segment ST iso-électrique, QTc de 459 ms. ETT du 01.04.2019 : axe non adéquat. Cardiopathie hypertrophique avec FE conservée (>60%). TAVI en place sans fuite para-annulaire ni centro-valvulaire. DP : 7/14 mmHg. Dilatation oreillette G>D. VCI non dilatée. Sonde PM visible et en place. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 250 m. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 280 m. Laboratoire : cf. copies en annexe. Epreuve d'effort du 18.03.2019 : bonne capacité fonctionnelle démontrée. EE arrêtée pour atteinte de la limite musculo-respiratoire. 83% de la réserve coronaire sont explorés : pas d'ischémie, ni arythmie et clinique négative. Tendance à l'HTA pour effort intense, à suivre. ETT du 29.03.2019 : HVG relative avec ischémie limitée (discrète dyskinésie inféro-septale inféro-moyenne). FEVG à 60%. Dysfonction diastolique de type I. Pas de valvulopathie. VCI plutôt plate. Pas d'HTAP.Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 380 m, FC repos 58 bpm, FC fin 72 bpm, FC récup 66 bpm, TA repos 105/69 mmHg, TA fin 109/77 mmHg, BORG 2/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 590 m, FC repos 76 bpm, FC fin 120 bpm, FC récup 95 bpm, TA repos 105/71 mmHg, TA fin 150/75 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. Radiographie du thorax du 02.04.2019 : pas de radiographie de thorax comparative. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Status post sternotomie avec multiples clips dans le contexte d'un probable status post pontage aorto-coronarien et d'un status post plastie de l'anneau mitral. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. ECG d'entrée : rythme sinusal régulier à 97 bpm, ondes P de 78 ms, bloc AV de 1° avec intervalle PR de 222 ms, QRS fin avec axe hypergauche, progression de l'onde R avec inversion en V2-V3, segment ST isoélectrique, QTc de 477 ms. ECG de sortie : rythme sinusal régulier à 81 bpm, ondes P de 108 ms, intervalle PR de 172 ms, QRS fin avec axe gauche à -41°, progression de l'onde R avec inversion en V3-V4, segment ST isoélectrique, QTc de 456 ms. ETT à l'entrée : petite lame péricardique non significative. FEVG à 50-55 % sur retard septal. Cavités non dilatées. Valves : aspect pseudo-bicuspidie aortique. Status post annulo-plastie nitrale et réimplantation de néocordages ; microfuite centro-valvulaire banale, non significative. DP 2/4 mmHg. Pas d'HTAP. VCI plate. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 280 m, FC repos 85 bpm, FC fin 92 bpm, FC récup 88 bpm, TA repos 106/72 mmHg, TA fin 117/74 mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 435 m, FC repos 85 bpm, FC fin 96 bpm, FC récup 86 bpm, TA repos 95/67 mmHg, TA fin 101/68 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. Radiographie du thorax du 05.03.2019 : par rapport au 12.12.2018, apparition d'un status post sternotomie pour pontage aorto-coronarien. Quelques troubles ventilatoires à la base gauche dans ce contexte et un épanchement pleural bilatéral un peu plus marqué à droite par rapport à l'examen précédent. Quelques dystélectasies en base droite. Sinon le cœur est à la limite supérieure de la norme sans signe net de décompensation cardiaque. Ostéopénie et spondylose dorsale modérée. Radiographie du thorax du 21.03.2019 : comparatif du 05.03.2019. Status post sternotomie avec cerclages intacts pour pontage aorto-coronarien. Ce jour, persistance d'un épanchement pleural bilatéral en diminution à gauche. Absence de redistribution vasculaire vers les apex en faveur d'une décompensation cardiaque. Accentuation péri-bronchique aux bases, sans net foyer alvéolaire surajouté. Discrète surinfection bronchique débutante non exclue. ECG d'entrée : rythme sinusal régulier à 87 bpm, onde P de 102 ms, intervalle PR de 142 ms, BBG avec QRS élargi à 136 ms avec axe normal, progression onde R avec inversion en V4-V5, segment ST isoélectrique, ondes Q inversées en V2-V6, QTc de 455 ms. ECG de sortie : rythme sinusal régulier à 87 bpm, onde P de 98 ms, intervalle PR de 144 ms, BBG avec QRS élargi à 128 ms avec axe normal, progression onde R avec inversion en V4-V5, segment ST isoélectrique, ondes Q inversées en V2-V6, QTc de 454 ms. Gazométrie du 20.03.2019 : pH 7.48, pCO2 4.03 kPa, pO2 9.5 kPa, bic 24 mmol/l. ETT du 20.03.2019 : échogénéicité médiocre. OG un peu augmenté de volume. FEVG de 50 % sans septum paradoxal. Pas d'HTP, ni d'épanchement pleural ni péricardique. Pas d'arguments pour une EP. Valve aortique mal visualisée. Epreuve d'effort du 29.03.2019 : EE menée jusqu'à 90 % de la FCTM et arrêtée pour atteinte de la limite de tolérance des membres inférieurs et respiratoire physiologique. EE négative sur les plans clinique, électrique et rythmique. Récupération dans les normes. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 245 m, FC repos 85 bpm, FC fin 100 bpm, FC récup 90 bpm, TA repos 125/75 mmHg, TA fin 122/74 mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 390 m, FC repos 88 bpm, FC fin 97 bpm, FC récup 90 bpm, TA repos 114/75 mmHg, TA fin 120/81 mmHg, BORG 3-4/10. Laboratoire : cf copies en annexe. Radiographie du thorax du 08.03.2019 : comparatif le 11.02.2012. Status post mise en place d'un TAVI. Cœur de volume dans les limites supérieures de la norme. Épanchement pleural basal bilatéral émoussant les sinus costophréniques latéraux et postérieurs. L'épanchement prédomine à gauche. Pas d'autre signe de décompensation cardiaque. Sclérose aortique et trachéo-bronchique. Absence de foyer infiltrant systématisé surajouté. Lésions dégénératives pluri-étagées du rachis dorsal inférieur. ECG d'entrée : FA normocarde à 71 bpm, QRS fin à 114 ms avec axe horizontal, segment ST isoélectrique, QTc de 429 ms. ECG de sortie : FA normocarde à 83 bpm, QRS fin à 114 ms avec axe horizontal, segment ST isoélectrique, QTc de 429 ms. Holter de 48h du 05.03.2019 : FA de fond avec une FC moyenne de 65/min. Il n'y a pas de pause ventriculaire > 2 sec, ni arythmie. ETT du 25.03.2019 : aspect de cardiopathie valvulaire hypertrophique modérée avec FEVG à 55-60 %. Dilatation sévère de l'oreillette G. TAVI en place avec fuite para-valvulaire modérée (7 h), DPAo 5/12 mmHg. Remaniement de l'appareil valvulaire mitral responsable d'une fuite de grade 1/4 ; VCI dilatée, compliante aux mouvements respiratoires ; pas d'HTAP. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 150 m, FC repos 81 bpm, FC fin 100 bpm, FC récup 83 bpm, TA repos 126/57 mmHg, TA fin 138/52 mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 210 m, FC repos 60 bpm, FC fin 88 bpm, FC récup 65 bpm, TA repos 133/63 mmHg, TA fin 167/63 mmHg, BORG 2-3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. RX du thorax du 18.03.2019 : élargissement de la silhouette cardiomédiastinale. Aorte déroulée et calcifiée. Épanchement pleural à droite de faible abondance avec troubles ventilatoires. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. ECG d'entrée : RSR à 82 bpm, ondes P à 116 ms, intervalle PR à 138 ms, QRS large à 124 ms avec axe vertical, segment ST isoélectrique, QTc à 440 ms. ECG de sortie : RSR à 66 bpm, ondes P à 118 ms, intervalle PR à 134 ms, QRS large à 126 ms avec axe vertical, segment ST isoélectrique, QTc à 467 ms. Epreuve d'effort du 25.03.2019 : alternance rythme propre et rythme électroentrainé avec tendance à une tachycardisation un peu rapide par rapport à l'effort demandé. Pas d'arythmie et clinique négative. ETT du 29.03.2019 : persistance d'une dyskinésie septo-latéro-apicale, une FEVG (Simpson) à 35-40 %. Les sondes du pacemaker sont en place, nous notons aussi des calcifications au niveau mitral avec une micro-fuite mitrale postérieure. Contrôle du pacemaker du 29.03.2019 : pas d'arythmie. Fonction correcte du pacemaker. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 180 m. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 330 m. Laboratoire : cf copies en annexe. RX thorax du 01.04.2019 : absence de cliché comparatif à disposition. Cœur de volume dans les limites supérieures de la norme. Importante frange graisseuse à l'apex cardiaque et dans l'angle cardiophrénique. Pas d'épanchement péricardique. Pas de signe de décompensation cardiaque. Très discrète sclérose aortique. Absence d'infiltrat interstitiel ou alvéolaire systématisé visible. Discret épaississement bronchique péri-hilaire. Lésions dégénératives pluri-étagées du rachis dorsal. Pas de fracture/tassement. ECG d'entrée : RSR à 60 bpm, présence d'extrasystoles ventriculaires avec pause compensatrice, onde P de 114 ms, BAV de 1° avec intervalle PR de 220 ms, BBG avec QRS élargi à 124 ms, axe hypergauche, progression de l'onde R avec inversion en V4-V5, segment ST isoélectrique, QTc de 408 ms.ECG de sortie : RSR à 53 bpm, BAV de 1° avec intervalle PR de 250 ms, BBG avec QRS élargi à 130 ms, aspect de bigéminisme, axe hypergauche, progression de l'onde R avec inversion en V5-V6, segment ST isoélectrique, QTc de 421 ms. ETT du 05.04.2019 : HVG avec FEVG conservée (limite inférieure) avec FEVG à 52% environ. Troubles de la fonction diastolique type I, OG dilatée en antéro-postérieur. Sclérose aortique avec DeltaP à 12 mmHg. Péricarde : discret décollement. Holter du 04.04.2019 : s/s 2.5 mg de bisoprolol permettant de réduire la charge arythmique mais responsable d'une insuffisance chronotrope. 68926 battements sont retenus. RSR tendance bradycarde à 52/min ; plusieurs épisodes de bradycardie non soutenue à 35-40/min. ESV : charge de 10,6% ; 7328 ESV sans polymorphisme, intervalle de couplage tardif, souvent décalante ; 338 épisodes trigéminés. Ectopie SV à 2.3% sans FA ou Flutter atrial objectivé (mais un épisode reconnu au pouls lors d'un contrôle clinique). Faible variabilité sinusale surtout en diurne. En plus de l'ectopie ventriculaire qui doit être recontrôlée, suspicion de maladie brady-tachy. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 265 m, FC repos 73 bpm, FC fin 100 bpm, FC récup 70 bpm, TA repos 144/59 mmHg, TA fin 157/58 mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 367 m, FC repos 62 bpm, FC fin 88 bpm, FC récup 72 bpm, TA repos 158/60 mmHg, TA fin 182/67 mmHg, BORG 4/10. Laboratoire : cf copies en annexe. RX thorax du 01.04.2019 : par rapport au 13.03.2019, pas de changement de la cardiomégalie connue. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Sclérose, déroulement de l'aorte thoracique. Pacemaker en surprojection correcte avec des sondes connectées au boîtier. Status post sternotomie connue inchangée. Pas de foyer pneumonique visible. Discret émoussement des sinus costo-diaphragmatiques connu inchangé. Cadre osseux sans particularité hormis pour une ostéopénie connue. Remaniement du bord latéral de la clavicule G devant correspondre à une ancienne fracture avec pseudarthrose inchangée. ECG d'entrée : rythme sinusal électro-entraîné à 74 bpm. ECG de sortie : rythme sinusal électro-entraîné à 80 bpm. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 75 m, FC repos 71 bpm, FC fin 83 bpm, FC récup 77 bpm, TA repos 92/61 mmHg, TA fin 99/58 mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 180 m, FC repos 70 bpm, FC fin 100 bpm, FC récup 90 bpm, TA repos 102/74 mmHg, TA fin 91/62 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. RX thorax du 07.03.2019 : status post sternotomie avec cerclages intacts pour valvuloplastie mitrale. Epanchement pleural basal bilatéral de faible abondance, prédominant à gauche. Pas de foyer parenchymateux systématisé surajouté visible. Lésions dégénératives étagées du rachis dorsal inférieur. ECG d'entrée : RSR tachycarde à 112 bpm, onde P de 118 ms, intervalle PR de 154 ms, QRS fin avec axe normal, microvoltage des complexes QRS dans les dérivations inférieures, progression de l'onde R avec inversion en V2-V3, segment ST isoélectrique, QTc de 444 ms, quelques extrasystoles ventriculaires. ECG de sortie : RSR à 102 bpm, onde P de 122 ms, intervalle PR de 164 ms, QRS fin avec axe normal, microvoltage des complexes QRS dans les dérivations inférieures, progression de l'onde R avec inversion en V1-V2, segment ST isoélectrique, QTc de 466 ms. ETT orientée du 11.03.2019 : HVG modérée avec FEVG à 48%, minime épanchement péricardique sans conséquence hémodynamique. Bon résultat post annuloplastie mitrale (pas de fuite trans-valvulaire ou para-annulaire ; DP 1.3/3 mmHg). Epreuve d'effort du 22.03.2019 : EE menée jusqu'à l'épuisement musculaire des membres inférieurs permettant d'obtenir une FCTM de 88%. Cette épreuve largement sous-maximale est restée négative cliniquement, électriquement et rythmiquement. Profil FC et TA secondaire au status post-opératoire récent. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 350 m, FC repos 103 bpm, FC fin 108 bpm, FC récup 96 bpm, TA repos 116/82 mmHg, TA fin 116/82 mmHg, BORG 2-3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 600 m, FC repos 103 bpm, FC fin 112 bpm, FC récup 111 bpm, TA repos 109/75 mmHg, TA fin 116/73 mmHg, BORG 2-3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. RX thorax du 12.03.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Distension pulmonaire bilatérale. ECG d'entrée : RSR à 93 bpm, ondes P de 100 ms, intervalle PR de 154 ms, QRS de 120 ms avec axe hypergauche, progression de l'onde R avec inversion en V3-V4, segment ST isoélectrique, QTc de 440 ms. ECG de sortie : RSR à 79 bpm, ondes P de 56 ms, intervalle PR de 154 ms, QRS fin avec axe hypergauche, progression de l'onde R avec inversion en V3-V4, segment ST isoélectrique. Gazométrie du 01.04.2019 AA : pH 7.46, pCO2 à 4.37 kPa, pO2 9.4 kPa, bic 24 mmol/l. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 230 m. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 360 m. Laboratoire : cf copies en annexe. RX thorax du 28.02.2019 : status post-sternotomie avec cerclages intacts pour pontage aorto-coronarien. Émoussement des sinus costo-phréniques latéral et postérieur, témoignant d'un épanchement pleural de faible abondance. Absence de foyer parenchymateux systématisé surajouté. Cœur de volume dans les limites supérieures de la norme sans signe de décompensation. Franges graisseuses à l'apex cardiaque et dans l'angle cardio-phrénique. ECG d'entrée : RSR à 62 bpm, ondes P de 94 ms, intervalle PR de 150 ms, QRS fin avec axe horizontal, progression de l'onde R avec inversion en V4-V5, présence d'extrasystoles ventriculaires avec pause compensatrice, segment ST isoélectrique. ECG de sortie : RSR à 61 bpm, ondes P de 100 ms, intervalle PR de 154 ms, QRS fin avec axe horizontal, progression de l'onde R avec inversion en V3-V4, présence d'extrasystoles ventriculaires avec pause compensatrice, segment ST isoélectrique, QTc de 461 ms. ETT du 20.03.2019 : cardiopathie ischémique avec séquelle anévrismale distale sans thrombus. FEVG à 37% (Simpson). Pas d'HTP, pas de valvulopathie. Epreuve d'effort du 20.03.2019 : EE arrêtée pour atteinte de la limite musculaire surtout des membres inférieurs. 75% de la FCTM sont explorés : absence d'arythmie, pas de modification ECG suspecte et clinique négative. Bonne récupération. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 385 m, FC repos 55 bpm, FC fin 66 bpm, FC récupération 73 bpm, BORG 2-3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 505 m, FC repos 65 bpm, FC fin 88 bpm, FC récupération 68 bpm, TA repos 101/63 mmHg, TA fin 114/83 mmHg, BORG 2/10. Laboratoire : cf copies en annexe. Stix et sédiment urinaires : leucocytes <3/champ, érythrocytes <3/champ, nitrites négatifs. ECG du 27.03.2019 : rythme sinusal régulier à 87/min, QRS fins à 82 ms, d'axe normal à 16°, QTc à 450 ms, ST isoélectrique, bonne progression de l'onde R avec transition en V4. RX thorax du 27.03.2019 : pas de comparatif. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Calcification du bouton aortique. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. CT scan abdominal du 27.03.2019 : status post-hémicolectomie droite, sans signe de complication. Multiples métastases infra- et supracentimétriques du parenchyme hépatique, disséminées dans les deux lobes ; la plus volumineuse, confluente, est située dans le dôme hépatique et présente une petite bulle d'air (métastase nécrosée surinfectée ?). Lésion kystique bien délimitée de 16 mm venant au contact avec le bas cholédoque, à hauteur du D2 du duodénum (cholédococèle ? kyste de duplication du duodénum ?).Laboratoire : cf. dossier. ECG le 19.03.2019 : RSR à 90 bpm, pas de bloc AV, QRS fin d'axe normal à 22° avec progression de l'onde R en V3, pas d'onde Q pathologique, segment ST isoélectrique, onde T inversée dans l'ensemble des dérivations sauf V1 (ce qui n'était pas le cas au comparatif de 2017). OGD le 21.03.2019 : ulcère Forrest III d'environ 1.8 cm entre le bulbe duodénal et la part 2 duodénale. Varices de stade 2 à 3 dans le bas œsophage sur une longueur d'environ 5 cm sans signe de saignement récent. Pas de saignement actif. US abdominal du 20.03.2019 : foie de petite taille, de configuration cirrhotique au parenchyme hétérogène nodulaire. Le flux porte n'est pas analysable, fortement ralenti. Importante quantité d'ascite répartie dans les quatre quadrants péritonéaux limitant l'analyse du rétropéritoine et du pelvis. Vessie vide. Les reins sont en place, de taille normale, bien différenciés, non obstructifs. Rate de taille normale, homogène. A disposition pour réitérer l'examen après ponction d'ascite. US abdominal le 22.03.2019 : aspect de cirrhose avancée du foie qui présente une dysmorphie, des contours bosselés et un aspect hétérogène. Tronc porte perméable avec inversion du flux. Veines sus-hépatiques non visualisables. Fine lame d'ascite. Hydrops vésiculaire avec calculs intraluminaux sans signe clair de cholécystite. Absence de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Radiographie du thorax du 21.03.2019 : examen réalisé en position couchée et en incidence AP. Sous réserve de la position couchée, la taille du cœur est normale. Important élargissement des hiles pulmonaires avec des opacités péri-broncho-vasculaires ainsi que des infiltrats alvéolo-interstitiels intéressant la périphérie des deux poumons, le tout étant aspécifique (ARDS ? œdème pulmonaire ? origine infectieuse ?). Status post-mise en place d'un tube orotrachéal se terminant à environ 15 cm au-dessus de la carène. Status post-mise en place d'une VVC jugulaire interne gauche se terminant en projection de l'oreillette droite. Pas d'image de pneumothorax et pas d'épanchement pleural. Le reste de l'examen est superposable. Radiographie du thorax du 01.04.2019 : examen réalisé en position couchée, en incidence AP et avec un inspirium insuffisant. Dans ce contexte, on retrouve un status post-mise en place d'une SNG ainsi que d'une VVC jugulaire interne gauche, qui sont en position inchangée. La silhouette cardiaque est de taille normale. Flou péri-hilaire et redistribution vasculaire pouvant être en rapport avec la position couchée. Disparition des multiples opacités pulmonaires collatérales présentes sur le comparatif. Pas d'épanchement pleural. Le reste du status est superposable. Laboratoire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Avis de Dr. X : ad Angio-CT thoracique. Angio-CT : cf. ci-dessous. Pas de clinique en faveur d'une TVP, contrôle clinico-biologique à 48 h à la FUA. Laboratoire : cf. annexes. Schellong non pathologique. Laboratoire : CK 221 U/l, CK-MB 42 U/l. Sédiment urinaire : demandé pour l'étage. Rx bassin. Rx thorax ap. CT abdomino-pelvien injecté (Dr. X, rapport téléphonique) : fx branches ilio- et ischiopubiennes ddc, fx du pubis à gauche, fx aileron sacré à gauche, petit arrachement de l'aile iliaque postérieure à gauche, pas de fracture vertébrale, infiltration hématique dans le pelvis (diffus de la graisse pelvienne), pas de saignement actif, abdomen sp. Aux urgences : 50 ug Fentanyl, hydratation intraveineuse 1 L. Avis orthopédique (Dr. X, Dr. X) : fractures stables, pas d'opération pour l'instant. Att : • hospitalisation en orthopédie • antalgie fixe et réserve • physiothérapie dès le 26.04.2019, avec charge possible sur le côté droit, pas du tout sur le côté gauche • pas de charge sur le côté gauche pendant 6-8 semaines • Rx de contrôle bassin face, inlet, outlet à 1 semaine ; si déplacement de fracture, discussion d'opération. Laboratoire : CPR inférieure à 5. Leucocytes dans la norme. Bactériologie de la ponction de la hanche gauche : négative. Scanner 3D impingement du 18.03.2019 : torsion fémorale de 8°. Pas de pseudo-tumeur. IRM bassin avec réduction des artéfacts métalliques du 23.04.2019 : pas de pseudo-tumeur. Laboratoire : créatinine à 109 mmol/l. Recommandation au patient de bien s'hydrater si persistance des diarrhées. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire : créatinine à 123 umol/l, eGFR 43 ml/min selon CKD-EPI (le 16.04.2019). Laboratoire : créatinine à 328 umol/l, eGFR à 15 ml/min selon CKD-EPI (le 06.04.2019). Relevé d'obstacle par pose de sonde vésicale. Surveillance de diurèse entrées/sorties. Laboratoire : créatinine 114 umol/l, eGFR à 48 ml/min selon MDRD. Contrôle de la créatinine par prise de sang le 08.04.2019. Laboratoire : créatinine 137 µmol/l. Stimulation à la boisson. Laboratoire : créatinine 258 umol/l. Stimulation hydratation. Contrôle biologique chez le médecin traitant. Laboratoire : CRP < 5 mg/l, leucocytes 13.4 G/l. Sédiment urinaire. Aux urgences : Voltarène 50 mg, Rocéphine 2 g iv., Flagyl 500 mg iv. US abdominal (Dr. X) : appendice non visualisé. CT abdominal injecté (Dr. X, rapport téléphonique) : appendicite débutante. Avis chirurgical (Dr. X). Rocéphine 2 g 1x/jour. Flagyl 3x500 mg/jour. Pantozol pendant 1 mois. Antalgie fixe et réserve. Prise au bloc opératoire. Hospitalisation en chirurgie. Laboratoire : CRP < 5 mg/l, leucocytes 15.1 G/l, pas de perturbation des paramètres hépatiques. 2 paires d'hémocultures : en cours. Radiographie de thorax ap/lat : pas de pneumothorax, possiblement fracture au niveau du sternum. CT cérébral injecté (rapport téléphonique) : sans particularité, pas d'abcès. Avis Dr. X : rapporte que lors de sa consultation le 4 avril, le patient présentait déjà des idées délirantes mystiques, mais en étant tout à fait calme. Ne pense pas à une cause somatique. Avis psychiatrie (Dr. X). Hospitalisation à Marsens volontaire, après discussion avec le Dr. X. Laboratoire : CRP à 114 mg/l, leucocytes à 4.6 G/l. Radiographie du thorax le 24.04.2019 : pas de franc foyer par rapport au comparatif. Surveillance clinique et biologique. Laboratoire : CRP à 162 mg/l, leucocytose à 17.4 G/l. Analyses urinaires : bactériurie avec leucocyturie, nitrites positif. ECG. Urotube en cours. Radiographie de thorax : pas de franc foyer pulmonaire visualisé. US abdominal (Dr. X) : pas de dilatation pyélo-calicielle. Att : • Rocéphine 2 g iv 1x/jour • hospitalisation en médecine interne • avertir l'opérateur (Dr. X). Laboratoire : CRP 103 mg/l, troponine H0 à 8 ng/l, H1 à 8 ng/l. Radiographie thorax ap/lat. Contrôle laboratoire et clinique dans 2 jours chez le médecin traitant. Alucol 3x/jour, Pantozol augmenté à 2x40 mg/jour. Test de détection de H. pylori recommandé chez le médecin traitant avant nouvelle gastroscopie. Laboratoire : CRP 14 mg/l, leucocytes 10.6 G/l. Aux urgences : Co-Amoxi 2.2 g iv., Gentamicine 160 mg iv., Dafalgan 1 g, Voltarène 50 mg. Germes cutanés couverts par antibiothérapie avec Co-Amoxi. Lamisil crème 1x/jour pendant 1 semaine en interdigital. Laboratoire : CRP 148 mg/l, leucocytes 11 G/l, ASAT 64 U/l, ALAT 63 U/l, LDH 483 U/l, phosphatase alcaline 181 U/l, GGT 55 U/l, bilirubine totale 19.4 µmol/l, directe 15.2 µmol/l. Cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. 3-5 leucocytes par champ, pas de globule rouge. Laboratoire : CRP 155 mg/l, leucocytes 9.6 G/l. ECG. Gazométrie artérielle (sous 2 L O2) : pO2 14 kPa, pCO2 4 kPa, pH 7.44, bicarbonate 20 mmol/l. Sédiment urinaire. 2x2 hémocultures : en cours. Frottis de grippe : en cours. Rx thorax ap/lat : pas de foyer franc visible.Aux urgences : NaCl 500 ml i.v., Novalgine 1 g i.v., paracétamol 1 g i.v., Morphine 2 mg i.v. Hypotension à 80/50 mmHg aux urgences, ayant bien répondu à 1000 ml de NaCl 0.9% à 110/60 mmHg. Gazométrie de contrôle : pas de lactates. Co-amoxicilline 1,2 g iv O.U aux urgences, puis 3x/jour Att : • hospitalisation en médecine • surveillance clinique et biologique • co-amoxicilline 1,2 g iv 3x/j Laboratoire : CRP 18 mg/l, Lc 5.5 G/l. Très bonne évolution clinique. Poursuite du Co-Amoxicilline 1 g per os 2x/jour pour 7 jours au total. Repos, arrêt de travail. Consulte avant en cas de fièvre, baisse de l'état général, péjoration clinique. Laboratoire : CRP 231 mg/l, leucocytes 13.3 G/l Urines : _____ CT abdominal : APP perforée avec très petite quantité de liquide localement, pas d'abcès, pas de diverticulite Avis chirurgical (Dr. X) Aux urgences : NaCl 500 ml i.v., Novalgine 1 g i.v., Rocéphine 2 g i.v., Flagyl 500 mg i.v. Att : • Hospitalisation en chirurgie • Opération d'appendectomie laparoscopique prévue pour le 03.04.2019, patient à jeun avant OP • antalgie en réserve • antibiothérapie avec Rocéphine + Flagyl Laboratoire : CRP 28 mg/l, Lc 9.6 G/l. Marquage de la rougeur. Co-amoxicilline 1.2 g iv aux urgences. Co-amoxicilline 1 g per os 2x/jour pendant 7 jours. Repos, arrêt de travail. Rendez-vous de suivi clinique et biologique le 13.04.2019 au secteur ambulatoire des urgences. Consulte avant en cas de fièvre, baisse de l'état général, péjoration clinique. Laboratoire : CRP 326 mg/l, leucocytes 29.3 G/l Gazométrie veineuse : alcalose respiratoire Sédiment urinaire ECG Radiographie du thorax du 25.03.2019 Culture d'expectorations : S. Aureus et Pneumocoque sensibles à la co-amoxicilline Antigènes urinaires (Pneumocoque et Légionelle) : négatifs Hémocultures (2p) : Stériles à 5j Frottis grippe : Influenza A positif Consilium infectiologique (Dr. X/Dr. X) Antibiothérapie : • Cefepime 2 g 2x/j du 25.03 au 26.03.2019 • Co-amoxicilline 1.2 g 4x/j du 26.03 au 30.03.2019 • Co-amoxicilline 625 mg 3x/j du 30.03 au 08.04.2019 Physiothérapie respiratoire Cellcept en suspens les 48 premières heures avec majoration transitoire Prednisone à 15 mg pendant 2j puis schéma dégressif Taux résiduel Tacrolimus le 28.03.2019 dans les cibles (à 8.8 mcg/L) : poursuite Advagraf 5 mg 1x/j Laboratoire : CRP 341 mg/l, leucocytes 24 G/l Sédiment urinaire : leucocyturie, érythrocyturie, nitrite pos., bactériurie Culture urinaire : en cours 2 paires d'hémocultures : en cours ECG : bigeminus supraventriculaire, FC à 93/min, QTc à 503 ms, axe QRS normal, pas de troubles de la repolarisation Aux urgences : Dafalgan 1 g, Novalgine 1 g, Meropénème 1 g i.v. Att : • hospitalisation aux soins intensifs • antibiothérapie avec Méropénème 2x500 mg i.v./jour du 07.04.2019 - _______ • NaCl 1500 ml/jour • contrôle laboratoire le 08.04.2019 Laboratoire : CRP 38 mg/l, leucocytes 8 G/l, paramètres hépatiques normaux. Sédiment urinaire : leucocytes 11-20/champ, nitrite nég., érythrocytes 3-5/champ, bactéries ++. Urotube : en cours. Ciproxine 2x500 mg/jour pendant 7 jours. Antalgie et Primpéran. Laboratoire : CRP <5, Lc 5.5. Recherche de malaria : négative. Attitude : • Explications des critères de reconsultation au patient. • Suite de prise en charge chez médecin traitant. Laboratoire : CRP 5, LC 10.6 G/l à la baisse. Recherche de Clostridium difficile dans les selles : la patiente va ramener un échantillon au laboratoire. Contrôle clinique et résultat de clostridium difficile au secteur ambulatoire des urgences le 13.04.2019. Laboratoire : CRP <5 mg/L, leucocytes 3.1 G/l, flore bactérienne +++. Cf. annexes. Laboratoire : CRP 57 mg/l. Laboratoire : CRP 80, Leuco 20 g/l. CT abdominal : normal. Sédiment urinaire : propre. Avis chirurgie (Dr. X). Avis gynécologique : cf consilium, pas de cause gynécologique. Traitement symptomatique par anti-douleur. Contrôle secteur ambulatoire des urgences le 09.04.2019. Laboratoire : CRP 91 Urines : en cours Radiographie thorax Rocéphine 1 2 g en O.U. aux urgences Laboratoire : CRP 97 mg/l, Lc 12 G/l, Hb 85 g/l. Avis chirurgical (Dr. X) : augmentation de l'antalgie Targin 20-0-20, Oxynorm 5 mg max 8x/jour, Duphalac 20 ml 6x/j, Daflon, Ciproxine 500 mg 2x/j, rendez-vous de suivi le 15.04.2019. Consulte en cas de fièvre, péjoration de l'état général, péjoration des douleurs. Laboratoire : dans la norme. Cf. annexes. Laboratoire : dans la norme. Cf. annexes. Laboratoire : dans la norme. Cf. annexes. ECG : cf. annexes. RSR à 76 bpm, PR à 164 ms, QRS fins avec un axe à 60°, QTc à 382 ms, signes de repolarisation précoce en V2 V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Radiographies du pouce droit et poignet droit face/profil : contenu calcique, structures osseuses, rapports articulaires du poignet et du pouce conservés, sans lésion traumatique visible. (Dr. X). Laboratoire : dans la norme. Cf. annexes. Sédiment urinaire : dans la norme. Cf. annexes. Laboratoire : D-Dimères à 247 ng/mL. Cf. annexes. Laboratoire : D-Dimères négatifs. ECG : fibrillation atriale sans trouble de la repolarisation. Adalat 20 mg PO. RX thoracique. Retour à domicile. Réassurance. Réévaluation avec médecin traitant le 24.04.2019. Conseils d'usage. Laboratoire : D-Dimères nég. US parties molles et vaisseaux (Dr. X) : pas de thrombose, pas de kyste de Baker, tendinopathie de la patte d'oie du membre inférieur droit. Avis orthopédique (Dr. X) : anti-inflammatoire, repos. Antalgie. Arrêt de travail. Laboratoire : D-Dimères nég. US 4 points (Dr. X) : pas de thrombose veineuse profonde visualisée. Antalgie simple, suite chez médecin traitant. Laboratoire : décroissance du syndrome inflammatoire. Attitude : • Poursuite de l'antibiothérapie. • Retour à domicile. • Conseils d'usage donnés au patient. Laboratoire : dépistage HCV et HIV chez patient et personne source. Suivi ambulatoire. Laboratoire : diminution/perturbation des tests hépatiques. Avis ORL (Dr. X) : pas de saignement visualisé. Hospitalisation en ORL pour surveillance. Dicynone bains de bouche 3x/j. Laboratoire : • Dosage Anti Xa : Attitude : • Poursuite Xarelto 20 mg • Physiothérapie drainage Laboratoire : • Dosage Anti-Xa : thérapeutique Physiothérapie avec drainage Nouvel avis angiologique le 09.04.2019 (Dr. X) : • Dupplex du MI : thrombose stable • Poursuite du Xarelto 20 mg indiquée • Contention élastique par bandes du lever au coucher jusqu'à la cuisse, à relayer par bas de contention élastique classe 2 jusqu'à la cuisse une fois œdème amélioré Suivi angiologique à poursuivre • prochain contrôle prévu le 2 mai en Angiologie (HFR) Laboratoire // ECG // RX thorax Gazométrie artérielle : insuffisance respiratoire partielle (pO2 9.4 kPa, pCO2 9.4 kPa, pH 7.44, bicarbonate 23 mmol/l) 2 paires d'hémocultures : négatif à 5j Au service des urgences : Co-Amoxi 1.2 g i.v., Solu-Medrol 125 mg i.v., Dafalgan 1 g p.o., Ventolin 5 mg inh, Atrovent 2x 250 mcg inh Co-Amoxi 3x1.2 g i.v./jour du 25.04 au 29.04.2019 puis 1 g po 2x/j du 30.04 au 01.05.2019 Prednisone 40 mg/jour du 25.04 au 29.04.2019 Aérosols Atrovent et Ventolin Reprise traitement en place dès le 30.04.2019 Attitude : • sera convoquée par le Dr. X pour des fonctions pulmonaires à distance Laboratoire // ECG // Rx thorax Gazométrie artérielle : insuffisance respiratoire partielle (pO2 9.4 kPa, pCO2 9.4 kPa, pH 7.44, bicarbonate 23 mmol/l) 2 paires d'hémocultures : négatif à 5j Aux urgences : Co-Amoxi 1.2 g i.v., Solu-Medrol 125 mg i.v., Dafalgan 1 g p.o., Ventolin 5 mg inh, Atrovent 2x250 mcg inh Co-Amoxi 3x1.2 g i.v./jour du 25.04.2019 au 29.04.2019 puis 1 g po 2x/j du 30.04.2019 au 01.05.2019 Prednisone 40 mg/jour du 25.04.2019 au 29.04.2019 Aérosols Atrovent et Ventolin Reprise traitement en place dès le 30.04.2019 Laboratoire / ECG ETT le 11.04.2019 Attitude : • anticoagulation par Lixiana dès le 11.04.2019 • stop Aspirine Laboratoire / ECG Metoprolol 10 mg IV aux urgences Diltiazem 25 mg IV aux urgences Echocardiographie transthoracique le 12.04.2019 (Dr. X) Coronarographie le 17.04.2019 : pas de maladie coronarienne Apixaban 5 mg 2x/j dès le 08.04.2019 Lisinopril et Aldactone dès le 13.04.2019 avec adaptation des doses Cordarone 1200 mg en continu le 09.04.2019 Cordarone per os 200 mg 3x/jour du 10.04.2019 au 20.04.2019, puis 20 mg 1x/j Diurétique i.v. et per os TSH à 3 mois Holter en ambulatoire Laboratoire / ECG CT cérébral natif 27.03.2019 EEG : EEG dans les limites de la norme ; pas de présence de foyer irritatif ATT : convocation pour un Holter en ambulatoire Laboratoire / ECG ETO le 08.04.2019 : masse de 21 x 24 cm sous le FMP de la côte ventriculaire Avis cardiologique Anticoagulation par héparine thérapeutique dès le 08.04.2019. Att : transfert en chirurgie cardiaque à Berne pour un bypass de la coronaire droite et une intervention sur la valve mitrale le 11.04.2019 Laboratoire / ECG Réintroduction aspirine transitoire en hospitalier Attitude : • changement de boîtier de pacemaker en ambulatoire (Dr. X) • contrôle INR et adaptation Sintrom Laboratoire : électrolytes légèrement diminués, pas de syndrome inflammatoire, pas de critères pour une pré-éclampsie. ECG : rythme sinusal régulier, pas de trouble de la repolarisation, pas de signes d'ischémie, image de BBD incomplet. Antalgie par Paracétamol et Morphine. Primpéran. Nouvel examen neurologique complet avant de libérer la patiente : sans particularité, aucun signe de latéralisation. Attitude : • Au vu de l'amélioration, retour à domicile et optimisation du traitement antalgique • Suite de prise en charge chez le médecin traitant. • Explications données à la patiente sur les conditions dans lesquelles il faudra re-consulter. Laboratoire : en cours ECG (16.04.2019) : rythme sinusal régulier tachycarde, axe gauche, pas de trouble de la repolarisation RX thorax : infiltrat lobe inférieur droit, pas d'épanchement, opacités bilatérales. CT thoracique du 17.04.2019 : condensations plurifocales et infiltrats en verre dépoli diffus dans les deux poumons, avec condensations prédominantes dans le segment apical du lobe supérieur droit et dans la pyramide basale droite, d'allure infectieuse. Multiples nodules à contenu graisseux (-119 HU) des deux glandes surrénales, évoquant en premier lieu des myélolipomes. Atrophie du pancréas. Discopathie pluri-étagée du rachis dorsal. Laboratoire : fonction rénale plasmatique en ordre, fonction hépatique normale, FSS en ordre Spot : 900 mg/24h de protéinurie Protéinurie de 24 h : 410 mg Laboratoire : gamma-GT à 93 U/l Thiamine 300 mg dose de charge IV pendant 3 jours puis 300 mg per os 1x/jour Supradyn per os Score de CIWA aux 4 h, Seresta en réserve selon score de CIWA Evaluation psychiatrique en vue d'un sevrage alcoolique Avis psychiatrique et addictologique le 17.04.2019 : proposition d'hospitalisation à Marsens avec suivi ambulatoire au centre Matrix Consultation au centre d'addictologie CCA-Fribourg le 23.04.2019 Consultation en addictologie au centre Matrix le 07.06.2019 Laboratoire / Gazométrie / ECG / Radiographie de thorax du 30.04.2019 Aux Urgences : • hydratation NaCl 3000 ml • bolus insuline Actrapide 5 IU o.u Laboratoire / Gazométrie / ECG / Stix et sédiment urinaire RX thorax le 16.04.2019 ETT le 17.04.2019 Adénosine 6 mg i.v. et Belok Zok 10 mg au service des urgences Poursuite Bétabloqueur Stop Eliquis le 24.04.2019 en raison de l'ethylisme chronique et du haut risque de saignement Laboratoire / Gazométrie / ECG Angio-CT thoracique le 30.03.2019 Echocardiographie (Dr. X) Avis chirurgie vasculaire (Inselspital) : pas d'indication à une thrombectomie Avis cardiologie (Inselspital) : indication à une EKOS-Lyse Thérapie : • Liquémine 5000 bolus iv 22h15, puis liquémine 20'000 iv en continu • Clexane 60 mg s.c 2x/j dès le 03.04.2019 • Lasix 20 mg iv du 30.03 au 31.03.2019 Attitude : • transfert à l'Inselspital aux soins continus cardiologiques pour une lyse EKOS par les cardiologues, refusé par la patiente, retour HFR Fribourg le 31.03.2019 • en cas de stabilisation clinique, possibilité de débuter une anticoagulation par Eliquis 10 mg 2x/j pendant 7 jours puis 5 mg 2x/j pendant 3 mois • stop Plavix au vu du traitement anticoagulant et > 12 mois depuis dernier événement ischémique/stent Laboratoire / Gazométrie / radio de thorax CT thoracique le 20.03.2019 Cathéter artériel radial droit du 20.03 au 24.03.2019 Ventilation non-invasive intermittente dès le 20.03 Microbiologie : Frottis grippe négatif Hémoculture le 20.03.2019 : négatif à 5 jours Expectorations : P. Aeruginosa Antigènes urinaires : négatif Co-Amoxicilline le 20.03.2019 Ceftriaxone le 20.03.2019 Clarithromycine du 20.03 au 21.03.2019 Céfépime du 21.03 au 27.03.2019 Ciprofloxacine du 28.03 au 04.04.2019 Prednisone 40 mg du 20.03 au 24.03.2019 Atrovent / Ventolin Consultation et suivi par pneumologie HFR Physiothérapie respiratoire avec sevrage progressif de la VNI (de 23/24 h à 13 h/24 h) ATT : • support avec 2 appareils BPAP pour le domicile • inscription en réhabilitation pulmonaire à Heiligenschwendi • physiothérapie en ambulatoire Laboratoire / Gazométrie CT thoracique du 01.04.2019 US des membres inférieurs le 02.04.2019 (Dr. X) Avis soins intensifs (Dr. X) Avis angiologique (Dr. X) Attitude : • pas d'anticoagulation au vu de la présence d'une embolie pulmonaire sous-segmentaire avec facteurs de risque réversibles et en raison de l'accident de la voie publique • la patiente prendra rendez-vous en gynécologie pour un changement de contraceptif sans œstrogène • rendez-vous de contrôle pour US des membres inférieurs le 17.04.2019 • entretien motivationnel pour arrêt du tabac : arrêt progressif décidé par la patiente Laboratoire : Hb à 88 Demande de 2 culots érythrocytaires Angio-CT Embolisation par radiologie interventionnelle. Laboratoire : Hb 114 g/l, le reste est dans la norme. Laboratoire : Hb 126 g/l Anuscopie aux urgences : peu de sang frais, pas de fissures, pas d'hémorroïdes Recto-sigmoïdoscopie le 01.04.2019 : grosse varice rectale. Diverticulose sigmoïdienne. Pas de trace d'une hémorragie fraîche. Electrofulguration de 2 possibles angiodysplasies de 5 à 8 mm dans le caecum Laboratoire : Hb 136 g/l, leucocytes 8.2 G/l, crase en ordre. Cf. annexes. Laboratoire : Hb 149 g/l, pas d'atteinte de la fonction rénale. Analyses urinaires : pas de microhématurie. CT abdominal : pas de contusion rénale ni de rupture de rate. Retour au domicile avec antalgie simple après ré-assurance du patient. Laboratoire / hémocultures / sédiment urinaire Frottis grippe et RSV : Négatif Incubation prolongée des hémocultures : Négatif à 14 jours Sérologies Coxiella et Bartonella 15.03.2019 : négatif Complément (C3, C4) : augmentés ETT le 02.03.2019 (Dr. X) : sans particularité ETO le 06.03.2019 (Dr. X) : structures mobiles au niveau de valve mécanique mitrale ETO le 18.03.2019 (Dr. X) : absence d'évidence pour abcès ou déhiscence ETO le 27.03.2019 (Dr. X) : examen ciblé pour recherche d'une végétation significative comme corrélat de l'AVC superposable à l'ETO du 18.03.2018 Fond d'œil le 18.03.2019 : sp, pas de tache de Roth Avis infectiologique le 02.03.2019 (Dr. X), le 06.03.2019 (Dr. X) Avis rhumatologique le 06.03.2019 (Dr. X) Avis chirurgie cardiaque le 13.03.2019 (Dr. X) Avis cardiologie 22.03.2019 (Dr. X) Ceftriaxone/Métronidazole du 07.03 au 08.03.2019 Vancomycine du 08.03 au 09.03.2019 Flucloxacilline du 08.03 au 25.03.2019 Daptomycine (Cubicine) du 26.03 au 09.04.2019Attitude : • ETO de contrôle à prévoir selon avis cardiologique Laboratoire Hémocultures le 13.04 et le 14.04.2019 : 4 paires négatives après 5 jours Culture urinaire le 14.04.2019 : Klebsiella pneumoniae et E.coli sensibles à la Ceftriaxone et à la Ciprofloxacine Rocéphine 2g iv du 14.04 au 18.04.2019 relais per os par Ciprofloxacine 500 mg du 18.04 au 21.04.2019 Laboratoire : hémoglobine à 131 g/l, ferritine et TSH en cours (examen avec explication donnée par le médecin). Reconsultation aux ambulatoires des urgences le 02.04.2019 pour communication des résultats de la ferritine. Laboratoire : hémoglobine 113 g/l (avec explication donnée par le médecin). Consilium chirurgical Dr. X injoignable. Réfection du pansement. Contrôle clinique et biologique à J3 d'intervention (suivi de l'hémoglobine). Patient informé de reconsulter si nouveau saignement ou nouveaux symptômes. Laboratoire : hémoglobine 92 g/l, thrombocytes 24 G/l Pas de transfusion car hémoglobine et thrombocytes au-dessus du seuil de transfusion défini Contrôle biologique le 08.04.2019 prévu en hématologie à Bâle Laboratoire : hépatolyse et cholestase Urines Sérologies Hépatites B et C : à pister Radiographie thorax Suite de la prise en charge en médecine interne. Laboratoire : H0 24 ng/l, H1 24 ng/l, H3 22 ng/l. ECG : superposable. Consultation chez son cardiologue traitant pour évaluer la nécessité de poursuivre le bilan. Laboratoire. IEC repris le 12.04.2019. Laboratoire : immunofixation : négative, Coombs négatif, EBV négatif, CMV négatif, VIH négatif, Quantiféron négatif, anti-phospholipides : lupus anticoagulant : positif, cardiolipines IgG 15.3 U/ml (faiblement positif), béta 2 glycoproteine : négatif, mutation JACK 2 : négatif US ciblé le 07.04.2019 (Dr. X/Dr. X) CT abdominal du 07.04.2019 CT thoracique du 09.04.2019 IRM abdominal du 10.04.2019 ETT le 08.04.2019 Holter le 08.04.2019 : résultats définitifs à pister Avis chirurgical (Dr. X) Avis hématologique (Dr. X/Dr. X) Antalgie pallier 3 Anticoagulation prophylactique intrahospitalière par Clexane Vaccin méningocoque (Menveo) et pneumocoques (Prevenar) le 16.04.2019 Attitude : • anticoagulation 3 mois par Sintrom (jusqu'au 16.07.2019), Arixtra tant que INR non thérapeutique, puis nouveau contrôle des anticorps anti-phospholipides 1 semaine après arrêt anticoagulation (le 23.07.2019 entre 8h et 9h à l'HFR) • vaccin conjugué contre les méningocoques A-C-Y-W135 (Menveo) rappel à 4-8 semaines puis tous les cinq ans. • vaccination annuelle contre la grippe. • rapport définitif holter à pister Laboratoire : Leuc 12,0 CRP 102. Coproculture en cours. Ciprofloxacine 500 mg. Laboratoire : Leuco 17.5 G/l, CRP 292 mg/l US du genou droit le 10.04.2019 Co-Amoxicilline p.o. 1 g 3x/j du 06.04 au 08.04.2019 Co-Amoxicilline i.v. 2.2 g au service des urgences puis i.v. 4x/j du 08.04 au 12.04.2019 Relais avec Co-Amoxicilline 1 g 3x/j du 13.04 au 21.04.2019 Laboratoire : leucocytes 10.6 G/l, Hb 137 g/l, Ptl 140, Na 133 U/l, créatinine avec urée et K sp. Cf. annexes. Urines : sang, nitrites négatifs, pas de leucocytes. Cf. annexes. Uricult envoyé. Laboratoire : leucocytes 17.5 G/l, CRP 90 mg/l, NT-proBNP 450 ng/l Gazométrie artérielle : insuffisance respiratoire partielle (pO2 9.4 kPa, pCO2 9.4 kPa, pH 7.44, bicarbonate 23 mmol/l) ECG : bloc de branche droit connu, rythme régulier tachycarde à 117/min Culture d'expectorations : en cours 2 paires d'hémocultures : en cours Rx thorax ap/lat : pas de franc foyer Aux urgences : Co-Amoxi 1.2 g i.v., Solu-Medrol 125 mg i.v., Dafalgan 1 g p.o., Ventolin 5 mg inh, Atrovent 2x250 mcg inh Att : • Co-Amoxi 3x1.2 g i.v./jour du 25.04.2019 - ________ • Prednisone 40 mg/jour pendant 5 jours • Atrovent et Ventolin en fixe et réserve • Symbicort et Spiriva en suspens Laboratoire : leucocytes 17.5 G/l, CRP 90 mg/l, NT-proBNP 450 ng/l Gazométrie artérielle : insuffisance respiratoire partielle (pO2 9.4 kPa, pCO2 9.4 kPa, pH 7.44, bicarbonate 23 mmol/l) ECG : bloc de branche droit connu, rythme régulier tachycarde à 117/min 2 paires d'hémocultures : négatif à 5j Rx thorax ap/lat : pas de franc foyer Laboratoire : leucocytes 17.5 G/l, CRP 90 mg/l, NT-proBNP 450 ng/l. Gazométrie artérielle : insuffisance respiratoire partielle (pO2 9.4 kPa, pCO2 9.4 kPa, pH 7.44, bicarbonate 23 mmol/l). ECG : bloc de branche droit connu, rythme régulier tachycarde à 117/min. 2 paires d'hémocultures : négatif à 5j. RX thorax ap/lat : pas de franc foyer. Laboratoire : leucocytose à 11.7 G/L sans CRP, TSH en cours. Manoeuvres libératrices sans soulagement complet de la patiente, mais avec diminution de la symptomatologie permettant le retour à domicile de la patiente. Convocation en ambulatoire en consultation ORL. Laboratoire : leucocytose à 15.6 G/l, CRP à 22 mg/l. Cf. annexes. Laboratoire : leucocytose 11,9. Pas d'atteinte de la fonction rénale. US abdominal aux urgences (Dr. X/Dr. X) : dilatation pyélocalicielle droite. Pas de visualisation du calcul. Soulagement du patient aux urgences. Retour à domicile avec antalgie par Dafalgan et Irfen, Buscopan et Tamsulosine et Tramadol en réserve. Explications données au patient de filtrer ses urines. Uro CT à 48h afin de visualiser le calcul. Suite chez le médecin traitant. Laboratoire : leucopénie à 2.6, CRP <5, D-dmère positif à 530, troponine négatives, LDH négatif. Attitude : • Contrôle biologique à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Laboratoire : leucopénie à 2.6, CRP <5, D-dmère positif à 530, troponine négatives, LDH négatif. ECG : rythme sinusal régulier, PQ sp, QRS fin, normoaxé, QRS fin, pas de trouble de la repolarisation. CT thoracique (transmission orale Dr. X) : absence d'embolie pulmonaire, d'adénopathie médiastinale ou d'anomalie du parenchyme. Attitude : • Réassurance. • Antalgie simple. • Suite chez le médecin traitant. Laboratoire : • Leucopénie à 2.6, CRP <5, D-dmère positif à 530, troponine négatives, LDH négatif. ECG : RSR, PQ sp, QRS fin, normoaxé, QRS fin, pas de trouble de la repolarisation. CT thoracique (Transmission orale Dr. X) : absence d'EP, d'ADP médiastinale ou d'anomalie du parenchyme. Laboratoire : lipase 6'828 U/l, ASAT 240 U/l, ALAT 46 U/l, LDH 804 U/l, gamma-GT 149 U/l, bilirubine directe 6.2 umol/L, CRP < 4 mg/l Sédiment urinaire : propre 2 paires d'hémocultures : en cours Gazométrie artérielle : pH 7.32, pO2 9.6 kPa, pCO2 5.2 kPa, bicarbonate à 19 mmol/l, lactate à 5.9 mmol/l CT abdominal injecté (Dr. X, rapport téléphonique) : pancréatite avec œdème surtout de la tête et incus, pas de signe de nécrose (mais possiblement CT trop tôt, normalement score Balthasar à 72h), avec liquide péri-pancréatique (= coulée de nécrose) descendant au niveau de fascia rénal côté droit, dilatation du cholédoc jusqu'à 20 mm (pathologique), s/p cholecystectomie, dilatation des voies biliaires intra-hépatiques, pas de signe de cholangite (pas de prise de contraste dans les voies biliaires), pas d'obstacle radio-opaque visible, zone à cheval entre le segment VII-VIII présentant une dilatation plus marquée Aux urgences : Paracétamol 1 g i.v., Novalgine 1 g i.v., morphine titrée à 8 mg i.v., hydratation 2000 ml i.v. NaCl Avis chirurgical (Dr. X) Avis soins intensifs (Dr. X) Att : • antalgie • patiente à jeun • hospitalisation aux soins intensifs • Hydratation NaCl i.v. • Cholangio-IRM demandé pour le 15.04.2019, bon de sécurité déjà faxé, dans le dossier de la patiente • ERCP si péjoration clinique en urgence, autrement si confirmation de lithiase à la cholangio-IRM (gastro-entérologue Dr. X avertie) Laboratoire : natrémie 140. Contrôle biologique chez le médecin traitant. Laboratoire : Nt-ProBNP à 4273 ng/L ETT le 22.03.2019 Laboratoire : NT-proBNP 745 ng/L, TSH sp, reste : cf. annexes. RX thorax le 13.04.2019 : Examen réalisé en position couchée et en incidence AP. Dans le contexte de l'examen, on retrouve un statut post-mise en place d'un pacemaker avec sondes intègres en position inchangée. Silhouette cardiomédiastinale dans la norme. Pas de signe franc de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. L'examen du cadre osseux est superposable. Interrogation PM : contrôle du pacemaker bicaméral : seuils, détections et impédances stables. Aucune arythmie significative enregistrée (quelques épisodes de tachyatriales d'une durée maximale de 4 à 30 secondes). Pile encore bonne 4 ans. ETT 15.04.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Remodelage concentrique. Absence d'insuffisance mitrale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. 2 sondes de pacemaker en position OD et VD. Absence d'HTP (PAPs à 35 mmHg). VCI se collabe en inspiration en faveur d'une hypovolémie. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : parasitémie positive mesurée à <1 o/oo. Gazométrie. Urines stix et sédiment. Antalgie aux urgences : • Voltarène 50 mg po. • Morphine 2 mg iv. Avis infectiologue (Dr X) : au vu des résultats de laboratoire favorables et de la bonne évolution clinique de la patiente après antalgie, pas de critère de sévérité nécessitant une prise en charge hospitalière. Au vu du faible taux de parasitémie, pas d'indication à un contrôle biologique à 24h. Initier un traitement par RIAMET à raison de 4 cpr 2x/24h pendant 3 jours. Attitude : • Traitement par RIAMET 4 cpr 2x/24h. • Antalgie par Dafalgan, Irfen et Tramal. • Contrôle chez médecin traitant à 72h. • Explication des critères de reconsultation au patient. Laboratoire : pas d'anémie, pas de trouble électrolytique. Feuille de directives post TCC transmise et expliquée à la patiente. Laboratoire : pas de CRP ni de leucocytose. Cf. annexes. Laboratoire : pas de leucocytose, CRP 19. Laboratoire : pas de symptôme inflammatoire. Consilium gynécologique : • US endovaginal : pas de liquide libre. • Test de grossesse négatif. • Stix urinaire propre, pas d'infection urinaire. Réassurance de la patiente concernant une complication post-opératoire, explications données à la patiente de poursuivre son suivi auprès de son équipe du centre de la douleur et de neurochirurgie de Thoune pour la suite de prise en charge de ses douleurs abdominales, dorsales avec irradiation au niveau des membres inférieurs. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, CK 45 U/l ECG : fibrillation auriculaire tachycarde entre 105 et 120/min, axe QRS normal, pas de troubles de repolarisation. Sédiment urinaire : érythrocytes 3-5/champ, leucocytes 6-10/champ, nitrite nég. Test de Schellong : réaction orthostatique sympathicotonique. CT cérébral injecté (Dr X, rapport téléphonique) : pas de lésion hémorragique, pas de thrombose, pas de prise de contraste nouvelle. Bilan cardiaque demandé : Holter. IRM cérébrale à discuter avec vaisseaux précérébraux. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, créatinine 130 umol/l. Stix/Sédiment urinaire : érythrocytes 6-10/champ, leucocytes 3/champ, nitrite nég., flore bactérienne nég. UroCT (Dr X) : Calcul de 5 mm dans l'uretère lombaire gauche, dilatation du pyélon de 31 mm, signe de souffrance rénale avec infiltration de la graisse péri-rénale. Avis chirurgical (Dr X, Dr X) Mise en place de sonde double J le 07.04.2019. Patient à jeun. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, hémoglobine à 137 g/l. Avis chirurgical (Dr X). Changement de pansement avec compresses et Tegaderm, à continuer à domicile. Contrôle en filière 34 le 22.04.2019, avec avis chirurgical à demander pour voir l'évolution (Dr X de garde). Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, pas de perturbations des tests hépatiques, ni de la lipase ni de la choléstase. ECG : rythme sinusal normocarde avec présence d'une extrasystole. Analyses urinaires : pas d'infection urinaire. Retour au domicile avec traitement symptomatique et Pantozol. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, pas de leucocytose. Bladder scan : pré-mictionnel 248 ml, post-mictionnel 66 ml. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, pas de leucocytose, pas d'anémie. Cf. annexes. Majoration des IPP à 40 mg par jour. Proposition de trouver un médecin traitant et d'évaluer avec lui la pertinence d'une recherche d'HP. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique ni de trouble de la fonction rénale. D-Dimères négatifs. Alcoolémie négative. ECG : rythme sinusal normocarde à 70/min avec image d'un bloc de branche droite. Bloc incomplet avec un QRS de 112 mm/sec. (pas de comparatif). Réassurance et explication de son malaise probablement dans un contexte orthostatique et vagal (dans un bar, longtemps debout avec probablement pièce chauffée). Recommandation de reconsulter si symptômes d'hypertension intracrânienne. Recommandation d'une évaluation cardiologique en ambulatoire à organiser par le médecin traitant en raison de la découverte fortuite d'un bloc de branche droite incomplet. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, troponine H0 à 8 ng/l, Troponine H1 à 9 ng/l. ECG. Pantozol 80 mg i.v. aux urgences. CT abdominal (Dr X, rapport téléphonique) : hernie hiatale assez importante par glissement (partie du fundus à l'étage supra-diaphragmatique), hiatus élargi à 4 cm, pas de signe de souffrance, pas d'iléus, pas d'abcès. Avis chirurgical (Dr X, Dr X). Retour à domicile avec Pantozol 2x40 mg/jour. Antalgie symptomatique. Convocation pour consultation chirurgicale. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Urine : pas de signe d'infection urinaire. US abdominal ciblé (Dr X/Dr X) : pas de dilatation pyélocalicielle. Aorte abdominale non dilatée. Pas de lithiase vésiculaire. Paroi vésiculaire sans particularité. Soulagement de la patiente après Buscopan, Zofran, Primpéran. Réassurance de la patiente avec retour à domicile avec traitement symptomatique par Dafalgan, Novalgine, Buscopan, Primpéran et Pantozol en réserve. Explications données à la patiente de consulter en ambulatoire son gynécologue concernant l'image US particulière de l'utérus. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Analyses urinaires : microhématurie avec flore bactérienne sans leucocyturie. CT abdominal (Dr X rapport oral) : calcul intra-urétéral gauche au niveau lombaire faisant 4x4x5 mm, dilatation pyélo-calicielle en amont de 16 mm au niveau du pyélon, ligament arqué au niveau du tronc cœliaque à corréler à la clinique. Attitude : • Retour à domicile avec traitement antalgique et Pradif. • Patient a reçu le matériel et les explications relatives pour filtrer ses urines. • Explications données au patient dans quelles conditions il faudra re-consulter en urgence. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Consultation gynécologique : pas de cause gynécologique de la douleur. Attitude : • Au vu d'un nouveau bilan biologique aligné, d'une consultation gynécologique sans particularité et du fait qu'on ne retient pas de critère à un bilan d'imagerie, le patient rentre à domicile avec suite de prise en charge chez le médecin traitant. • Explications données à la patiente dans quelles conditions il faudra re-consulter.Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire ECG Gazométrie artérielle Frottis grippe négatif le 27.03.2019 Radiographie de thorax du 26.03.2019 : pas de foyer CT-scanner thoracique protocole embolie pulmonaire (Dr. X) : pas d'embolie pulmonaire ETT le 26.03.2019 • poursuite aérosols habituels, et transitoirement Ventolin et Atrovent en fixe puis en réserve • Prednisone 50 mg 1x/j pendant 5 jours • Lasix 40 mg IV au service des urgences et majoration transitoire Torasémide Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire Sédiment urinaire : propres Rx genou droit ap/lat/pat Rx hanche droite Rx hanche gauche Rx colonne lombaire ap/lat CT colonne lombaire, bassin, hanches : pas de fracture nouvelle, articulations très arthrosiques Avis orthopédique (Dr. X) : • hospitalisation en gériatrie aiguë pour un bilan de chute avant retour à domicile • contrôle rx à 1 semaine au team spine Aux urgences : Voltarène 75 mg, Morphine 20 mg p.o. Att : • hospitalisation à Tafers en médecine • bilan de chute • antalgie fixe et en réserve • contrôle rx à 1 semaine au team spine Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire US doppler en angiologie en ambulatoire le 05.04.2019. Antalgie en réserve. Laboratoire : pas d'élévation des enzymes cardiaques, pas de syndrome inflammatoire. ECG : rythme sinusal régulier avec sous-décalage en inférieur. US cardiaque bedside (Dr. X, Dr. X) : pas d'épanchement péricardique, bonne fonction systolique. En pré-hospitalier : • 100 mcg de Fentanyl, 250 mg de Nitroglycérine Aux urgences : • 1 g de Dafalgan • 400 mg d'Ibuprofène Retour à domicile avec traitement anti-inflammatoire. Contrôle en filière le 04.04.2019 (Mr. Y n'a pas de médecin traitant). Explication à Mr. Y dans quelles situations il faudra reconsulter en urgence. Laboratoire : péjoration insuffisance rénale chronique, pas de trouble électrolytique, lactates veineux 1.4. Cf. annexes. Laboratoire : potassium 5.1 mmol/l. Poursuite du Résonium 15 gr 2x/jour durant 2 jours. Contrôle biologique chez le médecin traitant. Laboratoire : résultats coprocultures négatifs. CRP 6, pas de leucocytose, lipase en descente. Contrôle chez son médecin traitant. Laboratoire : sans particularité, alcoolémie à 1.71/mille. Sédiment urinaire : sans particularité. Vaccination anti-tétanique à jour. Désinfection (Octenisept), champage, anesthésie locale (Bicarbonate-Rapidocaïne 1%), exploration et rinçage, 3 et 2 points simples au Prolène 5.0, pansement simple. CT cérébral et massif facial. Co-Amoxicilline 1.2 g IV aux urgences (fracture ouverte et patient à jeun), puis relais per-os par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour jusqu'au 27.04.2019 inclus. Contrôle ORL et ablation des fils à la consultation du Dr. X à J5, avec photo. Laboratoire : sans particularité. Cf. annexes. Radiographie abdomen du 22.04.2019 : on retrouve les CE à type de cuillère et pièce métallique, denses, en projection des deux hypocondres. Résidus de produit de contraste. Pas d'anomalie visible des structures osseuses. Radiographie du thorax du 22.04.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas de CE décelable. Pas d'épanchement pleural visible. Radiographie du thorax du 22.04.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. On retrouve le CE en projection du flanc G. (Dr. X). Laboratoire : sans particularité. Cf. annexes. Test de Schellong : négatif. Laboratoire : sans particularité Urines : traces de sang dues aux règles, sinon sans particularité Test de grossesse : négatif USTV Kystectomie droite et washing par laparoscopie sous anesthésie générale le 14.04.2019 Laboratoire : saturation transferrine dans la norme Sérologies : HIV/HBV/HCV : négatifs DOT hépatite auto-immune : à pister DOT ANCA : négatif US abdominal du 09.04.2019 CT abdominal du 10.04.2019 Attitude : • suivi ultrason et alpha foeto-protéine aux 6 mois • suivi du poids et introduction de diurétique au besoin Laboratoire / sédiment urinaire / ECG Radiographie de thorax Radiographie d'abdomen Arrêt Fentanyl patch Adaptation antalgie Avis psychiatrique le 18.04.2019 et durant l'hospitalisation (Dr. X) Laboratoire // sédiment Urotube : Lactobacillus Attitude : • Pas de traitement au vu du germe non pathogène Laboratoire : sp. Cf. annexes. Stix urinaire : sp. Cf. annexes. Laboratoire : sp. Cf. annexes. Sédiment urinaire : sp. Cf. annexes. Radiographie du bassin face : cliché réalisé avec ceinture de contention pelvienne en place. Contenu calcique, structures osseuses du bassin et des fémurs proximaux conservés, sans lésion traumatique. Articulations sacro-iliaques et parties visibles des articulations coxofémorales symétriques sans lésion. DIU en projection du petit bassin. (Dr. X). Laboratoire // spot urinaire RX Thorax CT cérébral natif le 12.04.2019 Avis neurologie (Dr. X/ Dr. X) le 12.04.2019 Avis neurologie (Prof. X) le 13.04.2019 Surveillance clinique de 24 heures en médecine interne Contrôle chez le médecin traitant sur la semaine du 15.04.2019 Si persistance de ralentissement psychique : complément d'investigation par IRM cérébrale Laboratoire : stabilité de la Créatinine. Surveillance clinique et biologique. Laboratoire // Stix // Sédiment Radiographie de thorax du 25.04.2019 stix et sédiment urinaire Laboratoire / Stix & Sédiment urinaire / Radiographie thorax AG légionelle & pneumocoque négatif Rocéphine 2 g IV 1x/j du 28.03 au 01.04.2019 Co-amoxicilline po 1 g 2x/j du 02.04 au 06.04.2019 ATT : contrôle chez médecin traitant le 09.04.2019 à 11h40 pour un contrôle bioclinique Laboratoire : syndrome inflammatoire. Gazométrie. Hémocultures. Antigènes urinaires : à pister. Aux urgences : • Co-Amoxicilline 2.2 gr i.v. • NaCl 0.9% 1000 ml i.v. Mme. Y refuse l'hospitalisation et quitte le service des urgences contre avis médical. Nous proposons à Mme. Y une consultation ambulatoire à 12h et lui communiquons les risques encourus, ainsi que les critères de gravité pour lesquels elle est invitée à reconsulter aux urgences. Laboratoire : tests hépatiques. Cf. annexes. Radiographie de la colonne cervicale et dorsale : Colonne cervicale : pas d'image de fracture décelable dans les limites des incidences réalisées. Alignement conservé des murs vertébraux. Pas de diastasis C1-C2. Si forte suspicion de lésion traumatique, à compléter par un CT-scanner à distance. Colonne dorsale : multiples superpositions au niveau de la colonne dorsale haute. Sur les autres vertèbres, pas d'image de tassement décelable. Ébauche d'ostéophyte étagée antérieure. Alignement conservé des murs vertébraux. (Dr. X). Laboratoire : trop H0 = 3, trop H1 = 3. ECG : rythme sinusal régulier sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation. Radiographie thoracique. Pantozol 40 mg PO. Attitude : • Pantozol 40 mg. • Réassurance. • Conseils d'usage. • Conseil de réévaluer avec médecin de famille en ambulatoire avec réalisation d'une OGD à la recherche d'une gastrite. Laboratoire : Troponine H0 à 14 ng/l, H1 à 15 ng/l, H3 à 15 ng/l ECG Radiographie thorax Aux urgences : Nitroglycérine capsule, Nitroglycérine 3 mg en i.v. par pompe Avis cardiologique (Dr. X) : • Aspirine-Cardio à vie • Prasugrel jusqu'au 09.10.2019 • Contrôle tensionnel avec Nifédipine en réserve à maintenir • Ad Coversum 10/2.5 1x/jour • Ergométrie à prévoir en ambulatoire dans une semaine Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y par le médecin. Laboratoire : troponine H0 : 7, H1 : 6, H3 : 7, d-dimères <500. ECG le 10.04.2019 : sous-décalage infracentimétrique de V4-V6. ECG de contrôle : résolution des sous-décalages. Aspirine 500 mg IV. Nitré p.o et en IV continu, Lisinopril 5 mg : amélioration des douleurs. Radiographie du thorax le 10.04.2019. Avis cardiologique (Dr. X) : prise en charge en coronarographie le 11.04.2019, proposition d'augmenter le traitement anti-hypertenseur du patient avec Meto Zerok 25 mg et Nitroderm patch 5 mg, ad aspirine cardio. Pas de modification du traitement anti-hypertenseur du patient en accord avec les cardiologues car le patient n'avait pas reçu son traitement habituel ce matin, va prendre 1/2 cp de son traitement habituel dès son retour à domicile. Coronarographie le 11.04.2019 à 7 h en cardiologie ambulatoire. Consulte les urgences en cas de récidive des symptômes. Laboratoire : troponine sans cinétique // ECG Attitude : • adaptation antalgie Laboratoire : troponine T hs H0 à 16 ng/l ECG Rx thorax ap/lat : pas de pneumothorax US ciblé du cœur et abdominal (Dr. X) : Pas de troubles de contractilité, aorte abdominale non dilatée, pas de dilatation du VD et VG, vésicule biliaire distendue et alithiasique Aux urgences : Morphine 8 mg i.v., Pantozol 40 mg p.o., Temesta 1 mg p.o., héparine 5000 IE i.v., aspégic 250 mg i.v. Avis cardiologique (Dr. X) Coronarographie en urgence Laboratoire : Troponine T hs H0 à 346 ng/l, H1 à 339 ng/l, NT-proBNP 4'012 ng/l, CK-MB 31 U/l, CK 169 U/l ECG : Rythme sinusal à 98/min, axe QRS normal, pas de sur- ou sus-élévations ST, multiples extrasystoles ventriculaires Rx thorax ap/lat : pas d'infiltrat, pas d'épanchement Aux urgences : • 60 mg Clexane US ciblé (Dr. X) : Pas d'épanchement péricardique. ATT : • Surveillance aux urgences pour manque de place aux soins intensifs • Avis cardiologique + coronarographie à prévoir Laboratoire : troponine 55 ng/l ECG : bloc AV I°, rythme sinusal normocarde, pas de signes d'ischémie Hospitalisation en médecine interne Pas de coronarographie planifiée en raison de l'âge et de la démence connue Rediscussion de l'indication d'aspirine cardio avec les cardiologues (pas conseillé selon les cardiologues de l'Ile, raison pas claire) Isoket spray en réserve si DRS Laboratoire : Troponines H0 = 5 ECG Radiographie thoracique Attitude : • Retour à domicile • Réassurance • Traitement d'épreuve par IPP • Conseils d'usage. Laboratoire : Troponines négatives. ECG : rythme sinusal avec trigéminisme. Réassurance de la patiente avec retour au domicile. Consilium cardiologique avec convocation ambulatoire chez le Dr. X pour évaluer la nécessité de refaire une coronarographie ou un test d'effort (dernière coronarographie en 2015). Contrôle de la TSH par le médecin traitant. Laboratoire : voir annexes US SYSTÈME UROGÉNITAL DU 23.04.2019 Rein droit de position et de morphologie normales mesurant 53 x 25 x 27 mm, avec bonne différenciation cortico-médullaire, sans dilatation pyélocalicielle. Rein gauche de position et de morphologie normales mesurant 51 x 24 x 29 mm, avec bonne différenciation cortico-médullaire. Minime dilatation pyélocalicielle avec des calices mesurant environ 4 mm de diamètre et un pyélon mesurant 5 mm de diamètre antéro-postérieur à hauteur du hile rénal. Vascularisation rénale riche, homogène et symétrique. Vessie aux parois fines, à contenu liquidien anéchogène. Pas d'obstacle décelable dans les méats urétéraux. Laboratoire à l'entrée le 09.04.2019 : CRP 72, Leuco 6 g/L, Hb 132 g/L Laboratoire du 12.04.2019 : CRP 55, Leuco 4.6 g/L, Hb 113 g/L Culture urinaire : négative Frotti cervico-vaginal : en cours Chlamydia intra-abdominal du 02.04.2019 : négatif USTV du 09.04.2019 : Ovaire droit de 44 x 26 mm, Ovaire gauche de 34 x 23 mm, Utérus d'aspect normal, Endomètre fin et homogène épais de 6 mm. Pas de liquide dans le Douglas. Laboratoire à 08.04.2019. CT-scanner le 23.04.2019. Ponction le 29.04.2019. Contrôle le 28.05.2019. Laboratoire à 3 h 30 : Hb à 101 Laboratoire à 10 h 00 : Hb à 77 Gazométrie ECG CT-scan abdominal du 19.04.2019 : Pancolite, pas de signe d'hémorragie active Avis soins intensifs : • Ad avis gastroentérologie • 5 gr Mg i.v. à débuter • Place disponible dès 17 h, indication aux soins à réévaluer selon évolution Avis gastroentérologie (Dr. X) • Stop Fragmin, maintien Plavix • Pantozol 40 mg i.v en continu à 4 mg/h • Colonoscopie et gastroscopie possibles demain avec préparation à débuter dès ce soir • Reste à disposition au besoin Aux urgences : • 1600 ml de Ringer Lactate en 4 h • 500 ml NaCl 0.9% • Pantozol 4 mg/h en continu • Rocéphine/Flagyl • Recormon 8000 UI Ferritine et bilan protéinique à effectuer Avis chirurgical du 19.04.2019 (Dr. X/Dr. X) : • Anuscopie dans la norme, pas de visualisation de saignement actif • Coproculture à prélever : non effectué aux urgences • Rocéphine 2 gr i.v. et Flagyl 500 mg i.v. • Hospitalisation en chirurgie avec contrôle de Hb aux 4 h • Suivi nutritionnel à organiser Laboratoire : absence de syndrome inflammatoire, PR et anti CCP en cours. Radiographie des mains et des deux genoux. Antalgie par AINS et Tramal. Suite de prise en charge demandée en rhumatologie. Laboratoire : absence de syndrome inflammatoire. Sédiment urinaire : urines propres. Antalgie par Dafalgan et Novalgine en réserve. Poursuite du traitement par IPP. Introduction de Primperan en réserve. Suivi biologique et reconsultation au Secteur Ambulatoire des Urgences si non-amélioration sous 48 heures. Laboratoire : • Absence de syndrome inflammatoire. • Troponines négatives. ECG : rythme sinusal régulier, variation RR en fonction de la respiration, PQ sp, QRS fins, normoaxé, bonne progression dans les précordiales, Sokolov positif, repolarisation précoce. Radiographie du thorax face : pas de pneumothorax, pas de caverne, pas de foyer ou d'épanchement visualisé. Echographie ciblée du thorax aux urgences (Dr. X). • Absence de pneumothorax. Laboratoire : absence de syndrome inflammatoire. US testiculaire (Dr. X) : absence de collection, abcès, hydrocèle volumineux remontant vers le canal inguinal, absence d'orchite. Absence de thrombose veineuse. Liquide estimé 30 cc. Avis chirurgical (Dr. X) : retour à domicile avec AINS, contrôle chez le Dr. X dans 48 h, continuer AB. Antalgie + AT 50 %. Reconsulter si péjoration. Laboratoire : aligné, pas de trouble électrolytique ECG : sans particularité La patiente reprendra contact avec son neurologue traitant pour la suite du bilan Rivotril 1 mg iv Laboratoire aligné. Pantozol 40 mg aux urgences avec bonne réponse. Traitement symptomatique. Laboratoire : annexe. Laboratoire annexe : CRP 66 Monotest négatif Leucocytose 17,5 avec neutrophilie. Laboratoire annexe : sédiment urinaire calme, CRP < 5, pas de leucocytose (examen avec explication donnée par le médecin). Contrôle chez son médecin ou retour aux urgences si pas d'amélioration. Laboratoire annexe (explications données au patient). Laboratoire. Antalgie. Traitement symptomatique. Surveillance en lit d'observation aux urgences. Laboratoire Antalgie Consultation en neurologie dès que possible. Laboratoire. Antalgie. Repos. Conseils d'usage. Suite chez le médecin traitant. Laboratoire. Antibiothérapie par : • co-amoxicilline 1,2 g iv 4 x/j du 02 au 08.04.2019 • co-amoxicilline 1 g per os 3 x/j du 09 au 12.04.2019. Laboratoire. Antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. RX thorax. Oxygénothérapie du 02 au 03.04.2019. Physiothérapie respiratoire. Antibiothérapie par : • co-amoxicilline 1,2 g iv du 02 au 03.04.2019 • co-amoxicilline 1 g per os 2 x/j du 04 au 12.04.2019. Laboratoire. ASP. CT scan abdominal injecté. Avis Dr. X, chirurgien.Flagyl 500 mg • 1 dose reçue aux urgences. Lavement 1000 ml. Traitement laxatif. Laboratoire Att: • Suivi glycémique • Adaptation traitement dans le contexte de sepsis Laboratoire. Attitude : • Retour à domicile avec traitement symptomatique et arrêt de travail. Laboratoire Attitude : • Retour à domicile avec Alucol • Consultation chez le médecin traitant pour revoir l'indication à une éventuelle OGD. Laboratoire Attitude : • Retour à domicile avec traitement symptomatique et stimulation de la réhydratation notamment avec des bouillons. Laboratoire au contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 02.04.2019 : pas de leucocyte, CRP à 9 mg/l, pas de thrombocytose. Cf. annexes. PCR du liquide avec recherche de HSV et de Varicelle à pister. Valtrex 500 mg 2-2-2 pour 7 jours. Poursuite de l'arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant à la fin du traitement de Valtrex (Dr. X). Laboratoire avec bilan lipidique IEC et bêta-bloquant dès le 13.04.2019 Atorvastatine dès le 13.04.2019 Laboratoire, avec cinétique troponines à la baisse (pas d'argument pour contusion myocardique dans ce contexte). ECG. US ciblé aux urgences-FAST (Dr. X / Dr. X) : doute sur lame de liquide péri hépatique et péricardique CT thoraco abdominal : pas de liquide libre, pas de lésion d'organe, y compris pas d'épanchement péricardique ; pas d'atteinte de l'aponévrose. Rappel anti tétanique. Suture plaie abdominale aux urgences par Dr. X ; laissé Penrose en place, à enlever à 24-48 h ; ATB par Augmentin 2 x 1 g pour 5 jours, avec 1ère dose Augmentin 2.2 g iv aux urgences ; contrôle le 24.04 en F34 avec rinçage de la plaie via le Penrose et avis chirurgical à demander. Laboratoire avec dépistage d'un éventuel diabète : cf annexes. Ultrason doppler des pouls périphériques du membre inférieur droit : signaux présents aux pouls pédieux des 2 côtés, et faible aux pouls tibial post des 2 côtés. Radiographie du thorax face/profil du 24.04.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Aorte déroulée et calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. Minime épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Laboratoire avec dépistage d'un éventuel diabète : cf annexes. Intervention brève pour l'arrêt du tabac. Ultrason doppler des pouls périphériques du membre inférieur droit : décrit ci-dessous. Bilan angiologique en ambulatoire, rendez-vous à organiser par le secrétariat d'angiologie (consilium fait). Prescription d'Aspirine cardio 100 mg 1 x /jour en prophylaxie. Laboratoire avec électrolytes Gazométrie ECG Stix et sédiment urinaire Rx thorax ETT demandé : à pister Adénosine 6 mg i.v. Belok Zok 10 mg i.v. Att : • Hospitalisation en médecine pour bilan Laboratoire (avec explication donnée par le médecin) : syndrome inflammatoire avec CRP à 39 mg/l, sans leucocytose, pas d'atteinte des tests hépatiques ni de la cholestase ni de la lipase, augmentation de l'IPP de 40 mg 2 x /jour avec adjonction de l'Alucol et du Motilium en réserve. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire (avec explication donnée par le médecin) : leucocytes 8, CRP 19. Suivi clinique et biologique chez le médecin traitant. Laboratoire (avec explication donnée par le médecin). Antalgie par Morphine titrée aux urgences. Retour à domicile avec physiothérapie, arrêt de travail et antalgie par Paracétamol, Ibuprofène, Oxycontin 10 mg 2 x /jour et Oxynorm 5 mg 4 x /jour en réserve. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant dans 7 à 10 jours. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Antibiothérapie : Nitrofurantoïne 100 mg 2 x /jour pendant 7 jours. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile/frissons. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Attitude : • Ferinject 100 mg dans 50 mL NaCl • Retour à domicile. • Prochain rendez-vous pour Ferinject chez son médecin traitant dans 2 semaines. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Attitude : • Demande de consultation en ORL pour cautériser. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Attitude : • Poursuite du traitement symptomatique prescrit chez le médecin traitant. • Contrôle en ORL dans la semaine au vu de la mauvaise évolution sous antibiothérapie. • Critère de reconsultation expliqué à la patiente. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Aux urgences : • Le patient accepte de recevoir son traitement habituel. • NaCl 0.9 % 1000 ml. • Seresta 15 mg 2 x. Le patient refuse d'être hospitalisé pour surveillance et retourne à domicile. Retour à domicile avec possibilité d'appeler le Centre psychosocial à Fribourg. Communication des critères de gravité. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Avis de l'urologue (Dr. X) : au vu du laboratoire rassurant et de la clinique sans signe de gravité, retour à domicile avec majoration de l'antalgie. La patiente sera réévaluée par un urologue en ambulatoire pour suite de prise en charge. • Majoration de l'antalgie. • Réévaluation ambulatoire par l'urologue. Laboratoire (avec explication donnée par le médecin). Avis neurologique (Dr. X / Dr. X) : IRM en ambulatoire, reconsulter le Dr. X en cas d'examen pathologique. Antalgie et arrêt de travail n'ont pas pu être donnés car le patient était parti avant la fin de la consultation. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin : BHCG sérique en cours. Avis gynécologique. Attitude : • Patiente adressée en gynécologie pour suite de prise en charge. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Consilium chirurgical (Dr. X). Aux urgences : • Drainage de 25 ml de bile avec une seringue par le drain, avec soulagement des symptômes. Attitude : • Poursuite rinçage et drainage actif. • Suite comme planifié en chirurgie. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin : créatinine 115 umol/l. ECG, avec explication donnée par le médecin : rythme sinusal normocarde à 63/minute, axe QRS gauche, pas de trouble de la repolarisation. IRM cérébrale le 12.04.2019, avec explication donnée par le médecin (Dr. X, rapport téléphonique) : pas de lésion ischémique. Avis neurologique (Dr. X et Dr. X). Convocation du patient suivra pour : • Contrôle de pacemaker en cardiologie pour mettre en évidence des épisodes de fibrillation auriculaire. • Echocardiographie transthoracique. • Doppler des vaisseaux pré-cérébraux. Proposition de contrôle de cholestérol et HbA1c chez le médecin traitant. Si confirmation de FA dans les examens ambulatoires, proposition au médecin traitant de changer Sintrom pour un nouvel anticoagulant oral. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin : CRP 356 mg/l sans leucocytose. Analyses urinaires, avec explication donnée par le médecin : pas d'infection urinaire ni de microhématurie. Scanner abdominal, avec explication donnée par le médecin : pas de perforation. Soulagement des douleurs aux urgences. Réassurance de la patiente avec retour à domicile avec antalgie par Dafalgan et Buscopan. Explications données à la patiente de reconsulter si état fébrile, péjoration des douleurs abdominales, sang dans les selles. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin : diminution du syndrome inflammatoire, CRP à 30, pas de leucocytose (majorité lymphocyte). Hémoculture du 18.04.2019 : pas de croissance bactérienne à 48 heures, de même pour la culture de LCR du 18.04.2019. Réassurance du patient. Explication des reds flags qui devraient le mener à reconsulter. Stop antibiothérapie. Prescription de Xylométazoline Mepha en spray. Prolongation d'un certificat médical jusqu'au 25.04.2019 chez un patient travaillant dans la préparation alimentaire. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin.ECG avec explication donnée par le médecin. Angio-CT abdominal: pas de signe d'ischémie mésentérique, occlusion de l'artère mésentérique inférieure connue et superposable à l'examen de 2015. Adaptation de traitement laxatif et traitement symptomatique par Buscopan. Recommandation de reconsulter en cas d'état fébrile, frisson, douleurs abdominales. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. ECG, avec explication donnée par le médecin. Attitude: • Traitement symptomatique. • Suite chez le médecin traitant. • Critères de reconsultation expliqués au patient. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. ECG, avec explication donnée par le médecin: rythme sinusal régulier, pas de trouble de la conduction, pas de trouble de la repolarisation, pas de bloc de branche. Avis du Dr. X: indication à un CT cérébral avec carte de perfusion et vaisseaux, si CT normal, retour à domicile avec indication à la réalisation d'une IRM cérébrale si persistance des symptômes. Préconisation à une limitation à la conduite. Pas d'indication à une antiagrégation préventive. CT cérébral avec carte de perfusion et vaisseaux pré-cérébraux: pas d'anomalie de la perfusion cérébrale, pas de lésion hémorragique, pas de lésion ischémique, visualisation d'un nodule lobe supérieur gauche (à recontrôler dans 6 mois). • Retour à domicile. • Réassurance. • Préconisation à une limitation à la conduite jusqu'à disparition des symptômes. • Si persistance des symptômes à 24 heures, conseil de réalisation d'une IRM cérébrale. • Contrôle à 6 mois devant découverte fortuite d'un nodule du lobe supérieur droit. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. ECG, avec explication donnée par le médecin. US ciblé (Dr. X): pas de thrombose fémorale ou poplitée visible. CT-thoracique (transmission orale): pas d'embolie pulmonaire. Attitude: • Retour à domicile. • Convocation en angiologie dès que possible. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin: leucocytose à 21 G/l, CRP à 15 mg/l. Analyses urinaires, avec explication donnée par le médecin: pas d'infection urinaire, pas de microhématurie. Scanner abdominal, avec explication donnée par le médecin: présence d'une lame de liquide libre dans le Douglas, pas de diverticulite. Avis gynécologique: rupture d'un kyste ovarien droit, ovaire gauche rien à signaler, retour au domicile avec traitement symptomatique, contrôle biologique à 48 h en gynécologie. Soulagement des douleurs en fosse iliaque gauche lors de la surveillance aux urgences. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin: pas de syndrome inflammatoire, pas de perturbation des tests hépatiques. Urines, avec explication donnée par le médecin: propres. CT abdominal injecté ce jour, avec explication donnée par le médecin: pas d'explication pour la douleur, appendice fin et pneumatisé, ovaires sans particularité des deux côtés, vésicule biliaire et intestins sans particularité. Proposition de reprendre rendez-vous chez son médecin traitant. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin: pas de syndrome inflammatoire. Stix et sédiment urinaire: pas de signe d'infection. Ultrason de débrouillage BETSIDE (Dr. X), avec explication donnée par le médecin: examen fast sans particularité. Attitude: • Retour à domicile avec traitement symptomatique. • Explication des red flags à la patiente suite auquel il faudrait reconsulter. • Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin: pas de syndrome inflammatoire. CT abdominal (Dr. X): (rapport oral) calcul intra-urétéral gauche au niveau lombaire faisant 4x4x5 mm, dilatation pyélocalicielle en amont de 16 mm au niveau du pyélon; ligament arqué au niveau du tronc coeliaque à corréler à la clinique. Attitude: • Retour à domicile avec traitement antalgique et Pradif. • Mr. Y a reçu le matériel et les explications relatives pour filtrer ses urines. • Expliqué au patient dans quelles conditions il faudra reconsulter en urgences. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin: pas de trouble électrolytique, pas d'hémoconcentration, pas de syndrome inflammatoire. Laboratoire (avec explication donnée par le médecin). Practoclyss 1x aux urgences: peu de selles. Laxoberon 15 mg per os. Avis chirurgical (Dr. X): prévoir consultation proctologie + colonoscopie en ambulatoire. Absence d'indices pour un CT scan abdominal. Colonoscopie en ambulatoire demandée. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Radiographie du thorax, avec explication donnée par le médecin. Avis rhumatologique (Dr. X). Attitude: • Retour à domicile avec AINS. • Sera revue d'ici 15 jours en rhumatologie pour une nouvelle évaluation. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Retour à domicile avec antalgie. Critères de reconsultation expliqués. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin: stable. Avis chirurgical (Dr. X): pas d'autre investigation actuellement. Prise en charge Wait and Watch avec antalgie. Recommandation de consulter en cas de persistance de la symptomatologie, état fébrile ou frisson. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Stix et sédiment, avec explication donnée par le médecin: négatif. Test de grossesse urinaire: négatif. Discussion avec le radiologue: au vu de l'ultrason normal, d'une biologie normale, pas d'indication à réaliser une imagerie supplémentaire pour écarter une cause viscérale. Avis du gynécologue: pas d'argument pour une étiologie gynécologique. CT abdominal: lésion dans le foie de 6 cm qui correspond à une hyperplasie nodulaire focale à conforter avec une IRM hépatique. Kyste dans la glande de Bartholin. Nodule sous la cicatrice de laparoscopie. • Retour à domicile. • Traitement symptomatique. • IRM hépatique à réaliser en ambulatoire pour exploration d'une lésion hépatique de découverte fortuite. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Suite comme prévu avec médecin traitant et psychiatre traitante. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin: syndrome inflammatoire. Avis angiologique (Dr. X): examen superposable au précédent, origine ischémique peu probable. Avis de chirurgie (Dr. X). Antalgie et IRM le mardi 23.04.2019. Recommandation de consulter si état fébrile/frissons: patient et EMS informés. Suite de prise en charge à la consultation de chirurgie. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Test de grossesse: négatif. Radiographie du thorax, avec explication donnée par le médecin. Antalgie. Critères de reconsultation expliqués. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin: tests hépatiques à la baisse. Attitude: • Antalgie en réserve. • Contrôle biologique et clinique chez le médecin traitant dans 5 jours. • Critères de gravité communiqués à la patiente. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin: troponines avec cinétique négative avec exclusion d'un syndrome coronarien aigu, pas de syndrome inflammatoire, lipases négatives. ECG, avec explication donnée par le médecin: présence d'un bloc de branche gauche (connue selon le patient par le médecin traitant avec rendez-vous prévu en cardiologie dans 3 semaines). Traitement empirique par Pantozol 40 mg 2x/j et Alucol. Suite de prise en charge avec le médecin traitant avec évaluation de la nécessité d'une gastroscopie si persistance de la symptomatologie. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Ultrason par un urgentiste (Dr. X), avec explication donnée par le médecin. Retour à domicile avec IPP et antalgie. Gastroscopie en ambulatoire, le patient sera convoqué. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Critères de reconsultation expliqués au patient. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Urines. Attitude: • contrôle chez le médecin traitant en cas de récidive. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. ECG, avec explication donnée par le médecin. Test de Schellong, avec explication donnée par le médecin. Avis neurologique (Dr. X): • Continuation du traitement par Carbamazépine 200 mg 2x/jour. • Interdiction de conduire pendant les 6 prochains mois. • Pas d'EEG ni d'IRM d'emblée. • Suivi chez le neurologue à organiser en ambulatoire. Rendez-vous de contrôle prévu chez la Dr. X le 16.04.2019. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. ECG, avec explication donnée par le médecin. Attitude: • retour à domicile avec antalgie. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. ECG, avec explication donnée par le médecin. Radiographie du thorax face, avec explication donnée par le médecin. Attitude: • Réassurance. • Traitement symptomatique. • Suite chez le médecin traitant. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Ultrason de débrouillage (Dr. X), avec explication donnée par le médecin: masse de 0.75 cm de diamètre anéchogène. Contrôle chez le médecin traitant dans 48 heures. En cas de péjoration et d'apparition de fièvre, ad CT-Scan et consultation ORL. Critères de gravité communiqués. Laboratoire avec recherche de malaria: 1ère visualisation frottis négatif (explications données au patient). Attitude: • RAD avec traitement symptomatique • Mr. Y appelle demain pour avoir le résultat de la lecture par une deuxième personne, du frottis du test malaria (n'a pas pu être effectuée la nuit) • Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité Laboratoire. Avis chirurgical (Dr. X): Ad Co Amoxi 1gr 2x/j pour 5 jours, contrôle chef de clinique de chirurgie, évaluation cholecystectomie dans 7 jours. Arrêt de travail. Laboratoire. Avis neurologique (Dr. X): au vu des symptômes intermittents, AVC moins probable, exclure en premier lieu myasthénie, syndrome de Miller Fischer, puis en 3ème lieu AVC. Proposition d'hospitalisation pour être vue demain par neurologue, difficile d'organiser en ambulatoire un rendez-vous rapidement. Au vu du manque de place dans l'hôpital, durée des symptômes et état général très bon, il est convenu avec la famille d'un rendez-vous en secteur ambulatoire des urgences avec examen par assistant de neurologie, puis IRM et recherche Ac pour myasthénie selon examen. Laboratoire. Bilan anémie: TSH, haptoglobine, bilan martial complet, folates, B12, taux d'hémoglobine dans les réticulocytes. Hémofecatest. RX thorax. US abdominal. Bilan diététique. 4 culots érythrocytaires (2 CE le 28.03.2019, 1 CE le 29.03.2019, 1 CE le 30.03.2019). Nexium 80 mg iv en ordre unique, puis 40 mg per os 2x/j. Ferinject 1750 mg en 2 doses (le 29.03.2019 et le 2.04.2019). OGD et colonoscopie à l'HFR Fribourg en ambulatoire (Mme. Y sera convoquée). Laboratoire (bilan de polyneuropathie) • MCL: HIV négatif, vitamine B1 légèrement abaissée (65 nmol/L), B6 dans la norme (21.03.2019) • Syphilis négative Substitution vitamine B1 Poursuite et adaptation du Lyrica Laboratoire. Bladder scan. Remplissage par 2 l de NaCl 0.9% aux urgences. Perfusion d'entretien NaCl 0.9% 2 l/24 h. Sondage urinaire. Laboratoire. Bladder scan. Sondage urinaire. Traitement du sepsis. Laboratoire: bonne fonction rénale, pas de trouble électrolytique, FSS aligné. Ultrason de l'abdomen: pas de liquide libre dans le petit bassin, appendice non-vue. Stix urinaire: pas de leucocyte, pas de nitrite, sang +++, érythrocytes 3-5/champs. Laboratoire: CA-125: 582 U/ml CT thoraco-abdomino-pelvien le 04.04.2019 ETT le 05.04.2019 (Dr. X): masse au niveau de la face latérale du VG, qui se poursuit probablement postérieurement aux oreillettes, pas de tamponade ni d'épanchement péricardique liquidien, FEVG conservée, pas de masse dans le cœur. Consilium de gynécologie le 05.04.2019 Avis oncologie (Dr. X) le 05.04.2019 Biopsie ganglionnaire inguinale D sous US le 08.04.2019 (ProMed P2019.4136): adénocarcinome séreux de haut grade, à priori d'origine ovarienne. Ponction pleurale D le 10.04.2018: 800 ml, exsudat avec cellules tumorales • cytologie (ProMed C2019.480): cellules d'un adénocarcinome d'architecture papillaire Pose de PAC D 15.04.2019 Mme. Y sera convoquée pour une consultation oncologique en ambulatoire. Contrôle de pansement PAC aux ambulatoires oncologiques C4 à l'HFR Fribourg le 24.04.2019 à 10h45 Laboratoire: cf. annexe Laboratoire: cf. annexe. Laboratoire: cf annexe Laboratoire: cf annexe. Laboratoire cf annexe Laboratoire: cf annexe (dont microbiologie). Laboratoire: cf. annexe. ECG: cf. annexes. Rythme sinusal régulier à 103 bpm, PR 170 ms, QRS fin normoaxé, ST-isoélectrique, pas d'onde Q pathologiques, progression de l'onde R avec une transition en V5, QTc à 426 ms. Laboratoire: cf. annexe. Rx-thorax du 05.04.2019: Rx-bassin du 05.04.2019: Laboratoire: cf annexe CT cérébral et du cou natif et injecté du 23.04.2019: Absence de saignement intracrânien. Perméabilité dans la norme des vaisseaux pré-cérébraux et intracrâniens. IRM cérébrale native et injectée du 24.04.2019: Ectasie du système ventriculaire, élargissement des sillons cérébraux en rapport avec l'âge de Mme. Y. Lésion ischémique punctiforme du centre semi-ovale gauche sans transformation hémorragique. Leucoaraïose de stade I voire II selon Fazekas. Perméabilité du polygone de Willis. Épaississement muqueux du sinus sphénoïdal droit. Laboratoire: cf annexe CT thoracique et des sinus le 24.04.2019: CT des sinus et du thorax sans argument radiologique pour une vasculite. Lésion tissulaire du médiastin antérieur, compatible avec un résidu thymique. Laboratoire: cf. annexe Cytométrie de flux 25.04.2019: Les lymphocytes constituent 89.7% des éléments nucléaires. L'expansion des lymphocytes B au détriment des lymphocytes T et des lymphocytes N. Les lymphocytes B montrent le phénotype suivant: CD5+, CD79b., CD81(+). CD38 est négatif. Il y a une restriction de la chaîne légère kappa. L'immunophénotypage suggère un b-CLL en raison de la faible intensité de fluorescence de la chaîne légère de surface, de l'expression du CD5 et de l'expression plus faible du CD20. Laboratoire: cf annexe ECG le 07.04.2019: rythme sinusal régulier 95/min, PR 126 ms, QRS fins, axe -37°, pas de troubles de la repolarisation, QTc 448 ms IRM cérébrale le 28.03.2019 Pas de perte de volume significative de l'encéphale (GCA1). Quelques lésions de la substance blanche sur les coupes FLAIR devant correspondre à des altérations dégénératives vasculaires Fazekas 1. Une démence vasculaire semble dès lors peu probable. Pas d'argument pour une ancienne lésion ischémique stratégique. Quelques élargissements des espaces de Virchow Robin. Pas de dilatation significative des cornes temporales ni d'atrophie significative des hippocampes MTA / Scheltens II. En spectroscopie, pas d'argument pour une démence de type Alzheimer. Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de min. 21 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en raison d'un déconditionnement important d'origine multifactorielle. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 31 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires.Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 11/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 24/16 MMS/CLOCK 17/30 • 2/6 GDS 2/15 Evaluation sociale (5 domaines) 21.03.2019 Colloque interdisciplinaire 1 27.03.2019 Colloque interdisciplinaire 2 03.04.2019 Colloque interdisciplinaire 3 10.04.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 18/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 45/22 Laboratoire: cf annexe ECG le 22.04.2019: rythme sinusal régulier, absence d'onde U, pas de QT long Rx thorax du 22.04.2019 : Opacité triangulaire de la base pulmonaire gauche (flat waist sign), compatible avec une atélectasie du lobe inférieur homolatéral. Le reste du parenchyme pulmonaire se présente normalement. Pas d'épanchement pleural. Étalement de la silhouette cardio-médiastinale, en lien avec la position couchée. Le cadre osseux se présente normalement. CT cérébral et cervical natif et injecté du 22.04.2019: Absence de saignement intracrânien. Pas d'argument en faveur d'une lésion ischémique. Probable dysgénésie du corps calleux, semblant absent dans la partie postérieure du tronc. Laboratoire: cf annexe ECG le 24.04.2019: Bloc de branche droit incomplet, BAV 1° avec nombreuses extrasystoles, pas de troubles de la repolarisation, pas de QT long ECG le 25.04.2019: Bloc de branche droit, bradycardie avec rares ondes P non conduites. CT cérébral le 24.04.2019: Hémorragie intraparenchymateuse pariéto-occipitale gauche avec effet de masse sur le système ventriculaire et le cortex adjacent sans signe d'engagement. Pas de lésion suspecte sous-jacente visible pouvant expliquer l'hémorragie mais à recontrôler après résorption du saignement. CT cérébral le 25.04.2019: On retrouve l'hémorragie intraparenchymateuse occipitale gauche, mesurant d'environ 4 x 2,7 cm en axiale d'allure inchangée par rapport au comparatif, entourée par un oedème péri-lésionnel, ce dernier est également superposable. Stabilité de l'effet de masse sur la corne occipitale et l'atrium du ventricule latéral gauche. Pas de déviation des structures de la ligne médiane. Pas d'apparition de nouvelle lésion dans l'intervalle. Laboratoire: cf annexe ECG: rythme sinusal régulier à 65/min, axe gauche, pas de bloc atrio-ventriculaire, pas de bloc de branche, transition R en V3-V4 Laboratoire: cf annexe ECG 05.04.2019: FA bc, axe gauche, pas de troubles de repolarisation ECG 17.05.2019: Rythme irrégulier à 60 bpm, fibrillation auriculaire avec ondes P absentes, pas de déviation axiale (QRS: 30° (+/- 30°)), pas de trouble de la conduction ni de la repolarisation. Rx thorax du 05.04.2019 : Aortenelongation avec sclérose. Prominente, gefässtypische Hili. Allseits bis nach peripher abgrenzbare Lungenstruktur et Gefässzeichnung avec 1:1 bzw. 1:2 apiko-basaler Verteilung. Am ehesten postentzündliche narbige Residuen links parakardial. Kein Nachweis eines eindeutigen Infiltrates. Etwas retrokardiale vermehrte streifige Zeichnung ainsi que postentzündliche narbige Residuen links parakardial. RX thorax du 11.04.2019: Calcification de la crosse aortique. Cardiomégalie. Possible opacité rétro-cardiaque de nature indéterminée. Opacité infra-hilaire à droite, non visible sur le comparatif, foyer infectieux ? Le reste de l'examen est inchangé. CT abdominal natif du 09.04.2019: Pas de foyer pulmonaire. Pas de liquide ni air libre. Constriction trans-mesentérienne avec sténose (saut de calibre) à 28 cm en amont de l'anastomose entéro-rectale, sans signe indirect d'étranglement. Estomac rempli de liquide, duodénum rempli de liquide avec un diverticule médian du deuxième duodénum rempli d'air, anses grêles dilatées remplies de liquide avec un diamètre de 4,5 cm et, en ventral, anse grêle dilatée remplie d'air d'un diamètre de 6,2 cm. Aucune preuve de métastases. Minime hernie hiatale chronique. Kystes corticaux rénaux gauches de la partie intermédiaire en légère augmentation et stable au pôle supérieur. Ostéochondrose L5-S1. CT abdominal natif du 13.04.2019: Saut de calibre dans le flanc droit avec une dilatation des anses intestinales en amont, néanmoins diminution de l'iléus avec dilatation de quelques anses proximales, mesurant jusqu'à 5 cm. Pas d'air libre ou de liquide libre. Petit diverticule para-papillaire du D2. Condensations dans les deux lobes inférieurs compatibles avec des foyers de broncho-aspiration. Pour le reste, pas de changement notable. Laboratoire: cf annexe EEG le 10.04.2019 EEG le 11.04.2019 Laboratoire: cf annexe MMS 23/30 points, test de la montre 3/6 points, GDS 3/15 points (05.04.2019) ECG le 08.04.2019: RSR 74/min, axe -24°, PR 180 ms, QRS limite avec bloc de branche gauche incomplet. Pas de troubles de la repolarisation, QTc 447 ms. Laboratoire: cf annexe MMS 26/30, test de la montre 0/6, GDS 3/15 le 27.03.2019 Laboratoire: cf annexe Radiographie de la main gauche du 01.04.2019: rapports anatomiques physiologiques. Pas de fracture. Pas de corps étranger radio-opaque mis en évidence. Laboratoire: cf annexe RX cervicale le 27.04.2019: rapport en cours Laboratoire: cf annexe RX lombaire le 27.04.2019: rapport en cours Laboratoire: cf annexe RX thorax du 03.04.2019: Silhouette cardiaque à la limite supérieure de la norme. Pas de signe franc de décompensation cardiaque. Quelques discrètes réticulations aux bases pulmonaires, aspécifiques. Pas d'épanchement pleural. L'examen du cadre osseux est sans particularité. Rx thorax du 10.04.2019 : Infiltrat réticulo-nodulaire dans l'ensemble des plages pulmonaires à droite plus marqué dans le supérieur droit avec par endroits des bronchogrammes aériques pouvant évoquer des foyers infectieux. Émoussement du sinus costo-diaphragmatique à droite. RX thorax du 11.04.2019: S/p mise en place d'un cathéter de dialyse, avec son extrémité distale qui se trouve en surprojection de la veine cave supérieure. Majoration des opacités et des infiltrats nodulaires dans l'ensemble de l'hémi-plage pulmonaire à droite. CT abdominal natif du 02.04.2019: Absence de calcul le long des voies urinaires des deux côtés. Pas d'argument radiologique pour une cause obstructive à l'insuffisance rénale aiguë. CT thoracique natif du 04.04.2019: Oedème pulmonaire interstitiel peu marqué (d'origine rénale ou cardiaque). Bronchite chronique bilatérale avec quelques comblements particulièrement dans les deux bases. Quelques calcifications des coronaires et de la valve aortique. Multiples adénopathies médiastinales notamment dans la loge de Baretti mesurant 20 mm, en para-trachéale antérieur de 13 mm de diamètre et en région sous-carinaire. Echocardiographie trans-thoracique le 10.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Débit cardiaque dans les limites de la normale calculé à 4,95 l/min avec un index cardiaque à 2,34 l/min/m² (101% de la théorique). Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Surface aortique à 1,36 cm² (0,64 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 8 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf annexe Rx thorax le 01.04.2019 : légère cardiomégalie et discrets épanchements pleuraux bilatéraux en nette amélioration. Pas de signes de décompensation cardiaque. Pas d'infiltrat. Rx thorax le 06.04.2019 : progression discrète des épanchements pleuraux bilatéraux avec augmentation du flou péri-hilaire dans un contexte d'insuffisance cardiaque. Infiltrat rétrocardiaque gauche. ECG le 06.04.2019 : Rythme sinusal régulier 60/min, axe QRS à 60°, PR 170 ms, bloc de branche gauche, QTc 495 ms Laboratoire : cf annexe Rx thorax le 24.04.2019 : En comparaison avec l'examen précédent du 04.03.2019. Pas de foyer constitué. Pas de pneumothorax sous réserve de la position. Ablation du cathéter jugulaire gauche. Le reste de l'examen est inchangé, avec un emphysème pulmonaire marqué et des grands volumes pulmonaires ainsi que des remaniements pleuroparenchymateux à gauche. Laboratoire : cf. annexes Avis du Dr. X, chirurgien. Diminution du syndrome inflammatoire. Poursuite Levofloxacine. Appel au représentant thérapeutique, Mr. Y (beau-frère de la patiente) : souhaite une intervention car la patiente est symptomatique. Avis gynécologique : consultation le 08.04 à 10h chez le Dr. X en vue d'une potentielle prise en charge chirurgicale. Laboratoire : cf annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. CT-scanner des tissus mous du cou : décrit ci-dessous. Co-Amoxicilline 2,2g IV 1 dose à 13h. Avis de l'ORL de garde : ad dentiste en urgence. Rendez-vous le 01.04 à 17h45 chez la Dresse X, dentiste de garde. Laboratoire : cf annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. Ultrason de l'abdomen : décrit ci-dessous. Retour à domicile. Laboratoire : cf annexes. Avis du Dr. X, orthopédiste. CT-scanner lombaire : décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, Spine team. Transfert en ambulance à l'HFR Fribourg pour une hospitalisation à visée antalgique +/- intervention chirurgicale. Laboratoire : cf. annexes CT abdominal du 22.03.2019 : Calculs radio-opaques au sein du canal du Wirsung et dans l'ampoule de Vateri avec signe d'une pancréatite aiguë autour de la tête du pancréas sur pancréatite chronique. Status post opération jéjunale, compte tenu des signes d'une pancréatite chronique. ERCP du 26.03.2019 : cf. annexes Laboratoire (cf. annexes) CT abdominal (21.03.19) : Par rapport au comparatif du 5 février 2019 : Majoration en taille de la masse mésentérique, avec apparition de bulles de gaz au sein de cette dernière, ouvrant le diagnostic différentiel entre une nécrose, une surinfection ou une fistulisation à l'intestin grêle adjacent ; Majoration en taille du nodule de Soeur Marie-Josèphe ; Pas d'argument radiologique pour un iléus ou une colite ; Nette diminution de la quantité de liquide libre intra-abdominal ; Diminution en taille des épanchements pleuraux bilatéraux, prédominants à droite, associés à une atélectasie passive et partielle des deux lobes inférieurs. CT abdominal (06.04.19) : Par rapport au comparatif du 5 février 2019 : Majoration en taille de la masse mésentérique en partie nécrotique envahissant le D1 et D2 du duodénum, l'estomac ainsi que la tête et le corps du pancréas, engendrant une dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Le Wirsung n'est pas dilaté. En aval de cette masse, le duodénum et le jéjunum proximal sont dilatés. Au-delà de l'angle de Treitz, le jéjunum proximal remonte vers la masse avec probable fistulisation ; par la suite, l'intestin grêle est plat. L'anse iléale en direction de l'anastomose iléo-colique est également modérément dilatée. Pas d'argument en faveur d'un saignement actif au moment de l'examen, ni de pneumopéritoine. Majoration en taille du nodule de Soeur Marie-Joseph, de la carcinomatose péritonéale juste en arrière de cette métastase, et progression en taille d'une métastase sous-capsulaire dans le segment VII du foie. Discrète majoration du liquide libre en périhépatique, dans les gouttières coliques et dans le pelvis. Majoration de l'épanchement pleural droit avec atélectasie passive partielle du LID. Laboratoire : cf annexes. CT-scanner abdominal : décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien : retour à domicile si amélioration des douleurs. Contrôle clinico-biologique le 18.04 en filière des urgences ambulatoires. Le patient prendra contact avec le secrétariat du Dr. X pour organiser un rendez-vous dans une semaine. Laboratoire : cf annexes. CT-scanner cérébral natif du 08.04.2019 : acquisition tomodensitométrique hélicoïdale centrée sur le cerveau sans injection de produit de contraste. Comparatif du 6 août 2018. Pas d'hémorragie intra ou extra-axiale ni effet de masse ni déviation de la ligne médiane. Système ventriculaire symétrique. Citernes de la base libres. Atrophie cortico-sous-corticale plus marquée en région fronto-temporale. Hypophyse sans particularité. Pas d'anomalie des noyaux gris centraux. Sinus de la face et cellules pétro-mastoïdiennes bien pneumatisés avec expansion des sinus frontaux. Orbites sans particularité. Pas de lésion osseuse suspecte. CONCLUSION: pas de lésion post-traumatique. Pas de saignement intra-crânien, à compléter par une IRM/PL si persistance des symptômes. Pneumo sinus dilatans. Atrophie fronto-temporale marquée pour l'âge.Laboratoire: cf annexes. CT-scanner des tissus mous du cou natif et injecté du 01.04.2019: mise en évidence d'une collection hypodense avec prise de contraste périphérique juxta-osseuse, externe, en regard de la dent 35, mesurant 5 mm de grand axe. Visibilité d'un trajet fistuleux en communication avec la racine dentaire. Multiples ganglions d'allure inflammatoire au niveau sous-angulo-mandibulaire bilatéral, au niveau jugulo-carotidien et au niveau sous-mentonnier. Perméabilité de l'axe vasculaire du cou. Comblement des cellules éthmoïdales et des sinus maxillaires. Pneumatisation normale des cellules mastoïdiennes. CONCLUSION: très probable abcès sous-périosté en rapport avec une infection dentaire en regard de la dent 35. L'abcès mesure approximativement 5 mm de grand axe. Probable sinusite maxillaire bilatérale et éthmoïdale. Multiples ganglions inflammatoires dans les différentes chaînes cervicales, de façon bilatérale. Laboratoire: cf annexes. ECG à 11h34: tachycardie supraventriculaire fonctionnelle régulière et soutenue à 194/min, axe normal pour l'âge à -16°, onde P rétrograde négative visible en II, s'inscrivant immédiatement après le QRS, QRS fins à 70 ms, QTc 256 ms, onde QS en V1, segment ST sous-décalé en I, II, III, aVf, V2-V6, onde T négative non-concordante en aVL, négative et non-concordante en V1, bonne progression de l'onde R avec une transition précoce en V1-V2. ECG à 11h46: tachycardie sinusale régulière à 104/min, axe à -15°, PQ court à 120 ms, QRS fins à 82 ms, QTc 435 ms, pas d'onde Q pathologique, sous-décalage de segment ST infra millimétrique en I, II, V2-V6, onde T négative non-concordante en aVL, négative et concordante en V1, bonne progression de l'onde R avec une transition précoce en V1-V2. ECG à 12h44: rythme sinusal régulier normocarde à 87/min, axe à -13°, PQ 126 ms, QRS 86 ms, QTc 439 ms, pas d'onde Q, segment ST isoélectrique, onde T négative et concordante en III et V1, bonne progression de l'onde R avec une transition précoce en V1-V2. ECG à 14h52: rythme sinusal régulier à 76/min, axe -16°, PQ 136 ms, QRS 84 ms, QTc 432 ms, sinon superposable. CT-scanner abdominal natif du 24.04.2019: examen effectué sans injection de produit de contraste, en protocole basse dose avec patient en procubitus. Absence de comparatif. Présence d'un calcul radio-opaque dans l'uretère distal à droite juste avant la jonction urétéro-vésicale, mesurant 4x3 mm de diamètre (HU : 850), avec dilatation urétérale et pyélocalicielle en amont (uretère droit max. 10 mm, pyélon droit max. 18 mm). Rein droit modérément tuméfié (120 mm de grand axe, rein gauche 93 mm) avec légère infiltration périrénale, sans collection visualisée. Au moins 6 calculs radio-opaques dans le système caliciel à gauche (max. 4 mm). Pas de dilatation pyélocalicielle gauche ni de calcul radio-opaque urétéral gauche ou dans la vessie. Pour le reste et sous réserve de l'absence d'injection de contraste, morphologie normale du foie, de la rate, du pancréas et des glandes surrénales. Pas d'infiltration de la graisse viscérale, pas d'adénopathie ou d'ascite. Structures osseuses sans lésion suspecte. Pas de micronodule ou d'épanchement pleural sur les coupes passant par les bases pulmonaires. CONCLUSION: urolithiase urétérale pelvienne droite de 4x3 mm avec dilatation urétéro-pylélo-calicielle en amont (pyélon droit max. 18 mm de diamètre). Plusieurs calculs radio-opaques dans le système caliciel à gauche, non obstructifs. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Isoket 1 push. Paracétamol 1 g IV. Morphine 2 mg IV. Aspégic 500 mg IV. Arixtra 2.5 mg. Morphine 2 mg IV. Avis du cardiologue de garde: Héparine 5000 puis Héparine continue en dose thérapeutique et Efient 60 mg, transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg. Transfert à l'HFR Fribourg en ambulance. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Radiographie du thorax face/profil du 05.04.2019: silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Pas d'air libre sous les coupoles diaphragmatiques. St/p probable fixation d'un Bankart osseux versus stabilisation de la glène à G. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Radiographie du thorax face/profil du 05.04.2019: silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Pas d'altération des structures costales visibles. De profil, la fenêtre claire rétrosternale est libre, sans refoulement de la ligne des parties molles rétrosternales. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexes. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Irfen 600 mg 3x/jour pour 3 jours. Laboratoire: cf annexes. ECG du 01.04.2019: RSR, FC 97 bpm, PR 130 ms, axe normal, QRS fins 82 ms, pas de sous-/sus-décalage, QTc 413 ms. Gazométrie du 02.04.2019, à l'air ambiant: pH 7.44, pCO2 5.18 kPa, pO2 8.3 kPa, BIC 26 mmol/l, satO2 92%, COHb 1.1%. Spirométrie du 02.04.2019: CVF 84% du prédit, VEMS 45% du prédit, Tiffeneau 40% - qualité F. Spirométrie du 09.04.2019: CVF 92% du prédit, VEMS 55% du prédit, Tiffeneau 44% - qualité A. Diffusion du CO du 09.04.2019: DLCO 76%. Radiographie thorax du 01.04.2019: silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Déroulement de l'aorte, le bouton aortique est partiellement calcifié. Le trajet tortueux de l'aorte thoracique descendante est expliqué par la scoliose dextro-convexe de la colonne vertébrale. Grand volume pulmonaire avec remaniement de la trame, augmentation de l'espace clair rétrosternal et aplatissement des coupoles diaphragmatiques en rapport avec un emphysème. Spondylose dorsale basse dans le cadre de la scoliose connue. US abdomen du 01.04.2019: résidu post-mictionnel est d'environ 3 ml. Examen dans les limites de la norme. Evaluation neuropsychologique du 09.04.2019: cf rapport. Test des 6 minutes, à l'entrée, à l'air ambiant: distance parcourue 325 m. FC 83-101 bpm, TA 137/71 mmHg - TA 134/75 mmHg, satO2 95% - 86% (96% après 1'), EVA dyspnée 0/10 - 3-4/10. Test des 6 minutes, à la sortie, à l'air ambiant: distance parcourue 360 m. FC 93-94 bpm, TA 90/57 mmHg - TA 131/61 mmHg, satO2 96% - 94%, EVA dyspnée 0/10 - 3/10. Laboratoire: cf annexes. ECG du 06.03.2019: rythme sinusal à 88 bpm, normoaxé, QRS fins, transition de l'onde R en V3-V4. Laboratoire: cf annexes. ECG du 21.03.2019: RSR 61 bpm, axe normal, PR 154 ms, QRS 96 ms, QTc 414 ms, pas de sus-/sous-décalage. Gazométrie du 21.03.2019, sous O2 2 lt/min: pH 7.42, pCO2 5.4 kPa, pO2 9.2 kPa, BIC 26 mmol/l, satO2 95%. Spirométrie du 26.03.2019: CVF 65% du prédit, VEMS 30% du prédit, Tiffeneau 36% - qualité A. Spirométrie du 09.04.2019: CVF 58% du prédit, VEMS 28% du prédit, Tiffeneau 37% - qualité A. Radiographie thorax du 23.03.2019 (pas de comparatif): silhouette cardiaque dans la norme. Discret déroulement de l'aorte thoracique. Petite dystélectasie linéaire para-hilaire D dans la partie moyenne. Aspect légèrement agrandi des hiles ddc d'origine probablement vasculaire avec à D une lésion ovale relativement dense pouvant correspondre à une ganglion-adénopathie calcifiée. Ostéopénie. US abdomen complet natif du 04.04.2019: lésion focale du segment VI hépatique compatible avec un hémangiome de 14 mm de diamètre. Pas d'argument pour une cholécystite aiguë. Pas de cholécystolithiase. Pas de liquide libre dans l'abdomen. Vessie de lutte avec parois épaissies et de multiples diverticules. Test des 6 minutes, à l'entrée, sous O2 3 lt/min (pulsé): distance parcourue 375 m. FC 80-123 bpm, TA 100/49 mmHg - TA 139/67 mmHg, satO2 97% - 90%, EVA dyspnée 0/10 - 7-8/10. Test des 6 minutes, à la sortie, sous O2 3 lt/min (pulsé) : distance parcourue 390 m. FC 65-112 bpm, TA 141/68 mmHg - TA 180/103 mmHg, satO2 97% - 88%, EVA dyspnée 0/10 - 7/10. Laboratoire : cf annexes. ECG du 25.03.2019 : RSR 83 bpm, axe normal, PR 194 ms, QRS fins 86 ms, QTc 426 ms. Gazométrie du 25.03.2019, à l'air ambiant : pH 7.4, pCO2 5.4 kPa, pO2 8 kPa, BIC 26 mmol/l, satO2 92.7%. Gazométrie du 05.04.2019, à l'air ambiant : pH 7.4, pCO2 5.48 kPa, pO2 8.6 kPa, BIC 24 mmol/l, satO2 93.7%. Spirométrie du 26.03.2019 : CVF 78% du prédit, VEMS 60% du prédit, Tiffeneau 65% (qualité B). Oxymétrie nocturne du 27.03.2019, avec CPAP : SpO2 moyenne 84.9%, SpO2 < 90% : 97.4%, index des événements de désaturation 9.1/heure. Oxymétrie nocturne du 04.04.2019, avec CPAP : SpO2 moyenne 82.5%, SpO2 < 90% : 99.9%, index des événements de désaturation 12.4/heure. Radiographie thorax du 26.03.2019 : petite désorganisation de la trame bronchovasculaire avec des épaississements bronchiques ainsi qu'un aplatissement des coupoles diaphragmatiques, dans le cadre de la BPCO connue. Cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Test des 6 minutes, à l'entrée, à l'air ambiant : distance parcourue 180 m. FC 96-132 bpm, TA 140/89 mmHg - TA 159/83 mmHg, satO2 96% - 93%, EVA dyspnée 0/10 - 3-4/10. Test des 6 minutes, à la sortie, à l'air ambiant : distance parcourue 250 m. FC 87-94 bpm, TA 125/72 mmHg - TA 150/92 mmHg, satO2 93% - 89%, EVA dyspnée 0/10 - 3/10. Laboratoire : cf annexes. ECG du 29.03.2019 : rythme sinusal régulier normocarde à 73 bpm, PR 190 ms, QRS large à 124 ms BBD connu, pas d'onde Q pathologique, ST isoélectrique, progression de l'onde R avec une transition en précoce en V2, QTc à 473 ms. Laboratoire (cf annexes) ECG le 25.03.2019 Radiographie du thorax du 25.03.2019 : Pas de comparatif à disposition. Grand volume pulmonaire en lien avec la BPCO connue. Pas de foyer pulmonaire constitué. Absence d'épanchement pleural de quantité radiologiquement significative. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Cadre osseux sans particularité. Laboratoire : cf annexes. ECG : RSR à 69/min, PR à 160 ms régulier. QRS à 80 msec, axe à 30°, transition de l'onde R en V4. Pas d'onde Q pathologique. Pas de troubles de la repolarisation. Qtc à 406 msec. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal à 105 bpm, PR 156 ms, QRS fins et normoaxés, QTc 469 ms, ST isoélectriques, sans signe d'ischémie active. Progression retardée de l'onde R avec transition en V6. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 60/min, PR 180 ms, QRS fins avec axe à -9°, ondes T négatives en D3, V3, V4, QTc 406 ms. ECG superposable aux ECG précédents. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 62/min, axe normal, pas de signes d'ischémie active, pas d'onde Q pathologique, pas de signe d'HVG. Test de Shellong : négatif. Radiographie du thorax face du 13.04.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. CT-scanner de la colonne cervicale et cérébral natif du 13.04.2019 : Absence de comparatif CT. Cérébral : pas de fracture des os du crâne. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Système ventriculaire et citernes de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas d'altération des sillons cérébraux. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. Cervical : rectitude de la colonne cervicale sans fracture ou luxation notable. La morphologie des corps vertébraux, des disques intervertébraux, des processus latéraux et épineux est normale. Pas d'altération de la structure osseuse et pas d'ostéolyse. CONCLUSION : CT cérébral et cervical dans la norme, sans lésion traumatique. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 73 bpm, PR 140 ms, QRS fin normoaxé, ST-isoéléctrique, pas d'onde Q pathologiques, progression de l'onde R avec une transition en V3, QTc à 458 ms. Radiographie du thorax face/profil du 05.04.2019 : inspirium profond avec aplatissement des coupoles diaphragmatiques. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax. Squelette visible sans particularité. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 78/min. PR à 190 msec, régulier, isoéléctrique. QRS à 90 sec, axe à -20°, transition de l'onde R en V4. Absence d'onde Q pathologique. Absence de troubles de la repolarisation. Qtc à 441 msec. Radiographie du thorax face/profil du 01.04.2019 : par rapport au comparatif du 27.01.2049, on retrouve le st/p sternotomie avec le cerclage supérieur brisé, d'aspect superposable. Cardiomégalie modérée, sans signe d'insuffisance cardiaque. Quelques troubles ventilatoires, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Quelques épaississements bronchiques et aplatissement des coupoles diaphragmatiques correspondant à des signes de BPCO, mais pas de pneumothorax visualisé. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 79/min, PR régulier à 150 msec, isoélectrique. QRS à 88 msec, axe à 45°, transition de l'onde R en V4. Pas d'onde Q pathologique. Pas de troubles de la repolarisation. Qtc à 424 msec. Radiographie du thorax face/profil du 13.04.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme avec des franges graisseuses à la pointe. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 84/min, axe à -20°, PR à 144 msec. QRS à 100 msec, transition de l'onde R en V3-V4. Pas d'onde Q pathologique, segment ST isoélectrique, pas de trouble de la repolarisation. QTc à 419 m. Radiographie du thorax face/profil du 01.04.2019 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Discrètes lésions dégénératives débutantes médiodorsales. Pas d'air libre sous les coupoles diaphragmatiques. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier, normocarde à 87 bpm, axe normal à 71°, QRS fins à 84 ms, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R en V4, QTc à 422 ms. CT-scanner abdominal natif du 24.04.2019 : examen effectué sans injection de produit de contraste, en protocole basse dose avec patient en procubitus. Absence de comparatif. Présence d'un calcul radio-opaque dans l'uretère distal à droite juste avant la jonction urétéro-vésicale, mesurant 4x3 mm e diamètre (HU : 850), avec dilation urétérale et pyélocalicielle en amont (uretère droit max. 10 mm, pyélon droit max. 18 mm). Rein droit modérément tuméfié (120 mm de grand axe, rein gauche 93 mm) avec légère infiltration périrénale, sans collection visualisée. Au moins 6 calculs radio-opaques dans le système caliciel à gauche (max. 4 mm). Pas de dilatation pyélocalicielle gauche ni de calcul radio-opaque urétéral gauche ou dans la vessie. Pour le reste et sous réserve de l'absence d'injection de contraste, morphologie normale du foie, de la rate, du pancréas et des glandes surrénales. Pas d'infiltration de la graisse viscérale, pas d'adénopathie ou d'ascite. Structures osseuses sans lésion suspecte. Pas de micronodule ou d'épanchement pleural sur les coupes passant par les bases pulmonaires. CONCLUSION : urolithiase urétérale pelvienne droite de 4x3 mm avec dilatation urétéro-pylélo-calicielle en amont (pyélon droit max. 18 mm de diamètre). Plusieurs calculs radio-opaques dans le système caliciel à gauche, non obstructifs.Laboratoire: cf annexes. Gazométrie du 11.04.2019, à l'air ambiant: pH 7.40, pCO2 5.8 kPa, pO2 7.4 kPa, BIC 27 mmol/l, satO2 86%. Capno-oxymétrie nocturne du 09.04.2019, avec CPAP à l'air ambiant: tcpCO2 6.3 kPa, SpO2 moyenne 78%, indice des événements de désaturation 52.58/heure. Capno-oxymétrie nocturne du 11.04.2019, avec VNI + O2 0.5lt/min: tcpCO2 6.6 kPa, SpO2 moyenne 82.8%, indice des événements de désaturation 21.57/heure. Oxymétrie nocturne du 10.04.2019, avec CPAP à l'air ambiant: SpO2 moyenne 78%, index des événements de désaturation 8.1/heure. Oxymétrie nocturne du 11.04.2019, avec VNI + O2 0.5lt/min: SpO2 moyenne 78.2%, index des événements de désaturation 6.2/heure. Radiographie thorax face/profil du 05.04.2019: on trouve l'ascension de la coupole diaphragmatique à droite. Turgescences hilaires bilatérales. Aorte déroulée et calcifiée. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. Laboratoire: cf annexes. Hémocultures: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. Histologie. Laboratoire: cf annexes. Histologie: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Histologie: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Hydratation NaCl 0.9% 1000 ml. Laboratoire: cf annexes. Lyrica 50 mg 3x/jour pour 2 semaines. Contrôle chez le médecin traitant en début de semaine prochaine. Laboratoire: cf annexes. PCR du liquide avec recherche de HSV et de Varicelle à pister. Valtrex 500 mg 2-2-2 pour 5 à 7 jours. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 02.04.2019. Arrêt de travail pour 7 à 10 jours. Éviction des enfants. Traitement symptomatique des céphalées. Laboratoire: cf annexes. Potassium effervette 1 cpr aux urgences. Laboratoire: cf annexes. Radiographie de la cheville droite du 24.04.2019: les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Tuméfaction des parties molles périmalléolaires externes. Pas de CE radio-opaque mis en évidence au niveau de la cheville. Au niveau de la diaphyse moyenne du tibia et du péroné, les CE en surprojection doivent correspondre aux habits retroussés. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du bassin et de la hanche axiale droite du 19.03.2019: st/p mise en place d'une PTH D avec une désolidarisation de l'élément fémoral et de la tête de la PTH associée à une ascension du fémur. On visualise également des calcifications au niveau des tissus mous en regard de la région sous-trochantérienne. Coxarthrose gauche encore modérée ainsi que lésions dégénératives de la symphyse pubienne. Clips chirurgicaux en regard du plancher pelvien. Radiographie du thorax face du 19.03.2019: cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Radiographie du genou droit du 19.03.2019: gonarthrose tricompartimentale débutante, en relation avec l'âge du patient. Pas d'épanchement articulaire notable. Petite image linéaire de tonalité calcique se projetant sur l'incidence de face en regard du plateau tibial interne (arrachement ?). CT-scanner de la hanche/cuisse droite natif du 19.03.2019: par rapport à la radiographie standard du même jour, on retrouve le st/p mise en place d'une PTH D avec désolidarisation de la tête de la PTH de l'élément fémoral, ce dernier étant luxé supérieurement et antérieurement par rapport à la tête. On visualise également, en périphérie de la tête de la prothèse, au niveau des tissus mous, une image de volumineuse collection à parois, en partie calcifiées, mesurant environ 10 cm de grand axe, qui remonte dans le bassin, en avant du muscle iliaque D et qui passe en arrière de la musculature du quadriceps crural le long du fémur proximal, évoquant en premier lieu une métallose. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du bassin et de la hanche axiale gauche du 08.04.2019: pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. Rapports articulaires physiologiques. Plusieurs petits clips en surprojection du pelvis à corréler aux antécédents chirurgicaux de la patiente, inchangés par rapport au 21.09.2015. Radiographie de l'épaule gauche face/neer du 08.04.2019: pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. Radiographie de la colonne dorsale face/profil du 08.04.2019: la courbure de la colonne est physiologique. La morphologie des corps vertébraux, des disques intervertébraux, des processus latéraux et épineux est normale. Pas d'altération de la structure osseuse et pas d'ostéolyse. Examen de la colonne dorsale correspondant à la norme. CT-scanner cérébral natif et CT-scanner de la colonne cervicale natif du 08.04.2019: absence de comparatif. Cérébral: pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Système ventriculaire et citernes de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas d'altération des sillons cérébraux. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. Cervical: pas de fracture, ni de luxation du rachis cervical. Unco-discarthrose débutante en C6-C7. Légère arthrose zygapophysaire pluri-étagée. Pour le reste, sous réserve d'un examen réalisé sans injection de produit de contraste, pas de lésion suspecte dans la filière pharyngolaryngée. Absence d'adénopathie cervicale de taille radiologiquement significative. Les glandes salivaires et la thyroïde sont de morphologies normales. Pas de lésion suspecte dans le parenchyme pulmonaire exploré. CONCLUSION: pas de fracture des os du crâne, ni du rachis cervical. Absence de saignement intracrânien. Examen réalisé par télé-radiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg avec résultats transmis à 21h45 au Dr. X. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du bassin et de la hanche droite: décrite ci-dessous. 1 comprimé de Paracétamol 1 g IV aux urgences. Avis du Dr X, orthopédiste. CT-scanner de la hanche droite: décrit ci-dessous. Avis du Dr X, orthopédiste. Transfert en ambulance à l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du coude droit du 05.04.2019: contenu calcique, structures osseuses conservées. Enthésophyte à l'insertion du tendon tricipital sur l'olécrâne. Aspect régulier des corticales osseuses. Pas de calcification en projection des parties molles. Discret surcroît de densité au niveau de la bourse rétro-olécrânienne. Pas de signe indirect d'épanchement intra-articulaire. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du genou droit et des rotules des deux côtés du 28.04.2019: les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Épanchement intra-articulaire. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du genou gauche du 24.04.2019: par rapport aux radios du même jour effectuées au cabinet Bulle Santé, nous avons effectué uniquement une radio de profil strict du genou. Pas d'épanchement intra-articulaire. Pas de fracture. On devine la petite structure calcifiée, mieux visible sur l'incidence faux profil effectuée à l'extérieur et qui correspond à une lésion du condyle fémoral interne DD ostéochondrome. À corréler à une IRM pour tenter d'en déterminer sa nature.Laboratoire: cf annexes. Radiographie du thorax face/profil du 28.04.2019: faible inspirium. Dystélectasies bibasales en rapport avec le faible inspirium. Pas de fracture déplacée des côtes, notamment à gauche. Silhouette cardiaque dans la norme. Pas d'épanchement pleural. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. CT-scanner abdominal natif du 17.04.2019: comparatif 03.12.2013. Examen non injecté en raison d'une insuffisance rénale chronique avec créatininémie élevée. Les reins sont en place mesurant 9,7 cm de grand axe à droite et 9,4 cm de grand axe à gauche. Importante fibrolipomatose des sinus rénaux. Actuellement pas de dilatation pyélocalicielle visible. Pas de calcification radio-opaque en projection des reins ou des uretères. Vessie peu remplie, sans calcul visible. Volumineux utérus antéfléchi avec volumineux myome calcifié connu. St/p cholécystectomie. Parenchyme hépatique, pancréatique et splénique homogène. Infiltration lipomateuse du pancréas. Compte tenu de la non-opacification du tractus digestif, estomac, intestin grêle et cadre colique sp. Pas de signe d'inflammation du mésocôlon. Les gros vaisseaux rétropéritonéaux sont de calibre conservé. Nombreuses plaques calcifiées de l'aorte à prédominance infrarénale. Calcifications à l'origine du tronc cœliaque, de l'artère mésentérique supérieure et de l'artère rénale gauche. Les quelques coupes explorant les bases pulmonaires sont sp. Discrets pincements intersomatiques des étages dorsaux inférieurs ainsi qu'en L5-S1 avec discopathie L5-S1. Lésions dégénératives postérieures bilatérales. Absence d'atteinte osseuse suspecte. CONCLUSION: reins de taille dans les limites inférieures de la norme. Fibrolipomatose des sinus rénaux. Absence de pathologie lithiasique des voies urinaires visibles. Pas d'obstruction pyélocalicielle ou urétérale. Myome utérin calcifié. St/p cholécystectomie. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Paracétamol 1 g IV. Ecofénac 75 mg IV. Tramal 50 mg. Avis du Dr. X, chirurgien. Ultrason abdominal: décrit ci-dessous. CT-scanner abdominal: décrit ci-dessous. Transfert à l'HFR Fribourg pour opération. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Radiographie de l'abdomen: décrite ci-dessous. Lavement Practomyl. Amélioration clinique. Retour à domicile avec Movicol et Pursana sirop de figue. Conseils diététiques et de comportements donnés. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Ultrason abdominal complet et recherche d'appendicite du 07.03.2019: le foie est de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. St/p cholécystectomie. Le pancréas et la rate sont sp. Les 2 reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie en réplétion présente des parois fines et on ne visualise pas de pathologie gynécologique. Pas de liquide libre intrapéritonéal. CONCLUSION: échographie abdominale dans les limites de la norme avec un appendice qui n'a toutefois pas été visualisé. (Dr. X) CT-scanner de l'abdomen natif et injecté du 07.03.2019: examen réalisé avant et après injection intraveineuse de 80 ml de Iomeron 400. Appendice rétro-caecal de diamètre augmenté jusqu'à 9 mm, avec mise en évidence d'un stercolithe dans son tiers moyen. Infiltration de la graisse péri-appendiculaire, avec quelques petits ganglions iléo-caecaux, sans adénopathie. Infiltration liquidienne au contact de la pointe de l'appendice remontant jusqu'à dans la gouttière pariétocolique droite, avec petite collection d'environ 14x10 mm à sa pointe. Le reste des structures digestives se présente normalement. Pas de liquide ni d'air libre. Les reins sont symétriques en taille et en aspect, sans dilatation de leur système excréteur. Sur l'acquisition native, on met en évidence dans le tiers proximal de l'uretère droit (image 181/409) une hyperdensité spontanée de 2 mm x 1 mm, mais qu'on ne retrouve pas après injection du produit de contraste (microcalcul urinaire ?). Pas d'infiltration péri-urétérale. Vessie aux parois fines, à contenu hypodense homogène. Foie de taille, de configuration, et de densité normales, sans lésion focale mise en évidence. Status post-cholécystectomie avec ectasie du cholédoque à 9 mm de diamètre. Pas de dilatation des voies biliaires intrahépatiques. Le pancréas, la rate, et les surrénales sont sans particularité. Pas d'anomalie visible des organes génitaux internes. Pas d'adénopathie pelvienne. Les coupes passant par l'étage thoracique sont sans particularité. Le cadre osseux ne montre pas de lésion suspecte. CONCLUSION: appendicite rétro-caecale avec un abcès à la pointe, sans argument pour une perforation. Hyperdensité spontanée millimétrique dans le tiers proximal de l'uretère droit (microcalcul ?), non retrouvée sur l'acquisition après injection produit de contraste, sans dilatation du système excréteur. En cas de persistance des douleurs et d'une hématurie, nous recommandons un contrôle à distance. L'examen a été réalisé à l'hôpital de Riaz, et interprété en téléradiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg, avec transmission des résultats par téléphone au médecin en charge de la patiente. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Urotube: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Urotube: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Urotube: cf annexe. CT-scanner abdominal natif du 28.04.2019: Absence de comparatif CT. Abdomen: rein droit de taille et de morphologie normale, avec présence d'un pyélon extrasinusal mesuré à 17 mm et présence de deux calculs caliciels, le plus grand mesurant 14 x 8 mm et le plus petit environ 2 mm de diamètre. Aspect irrégulier et hypotrophique du pôle supérieur et du pôle inférieur du rein gauche, avec dilatation des structures pyélocalicielles (pyélon mesuré à 31 mm) et présence d'un calcul caliciel dans le pôle supérieur, mesurant au maximum 2 mm de diamètre et de structures calcifiées du parenchyme du pôle inférieur, mesurant au plus grand 5 mm de diamètre. Discrète infiltration de la graisse péri-rénale gauche. Dilatation minime de l'uretère gauche à maximum 6 mm tout le long de son trajet avec présence d'un calcul à la jonction urétéro-vésicale gauche mesurant 2 mm de diamètre et présentant une densité d'environ 120 HU. Pas d'autre calcul visible. Les structures uro-génitales ont une morphologie normale. Pour le reste et sous réserve d'une absence de produit de contraste: le foie est de taille, de configuration et de densité normale. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Pas de masse ou de collection pelvienne. Pas d'adénopathie, pas de liquide libre. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique: absence de lésion nodulaire suspecte. Pas d'épanchement pleural. Osseux: absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION: calcul à la jonction urétéro-vésicale de 2 mm de diamètre, avec dilatation du système excréteur à gauche. Aspect cicatriciel du pôle inférieur et supérieur du rein gauche, dans un contexte post-pyélonéphrite. Présence de plusieurs calculs dans le système caliciel à droite et probable néphrocalcinose à gauche, DD calculs. (Dr. X)Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Urotube: cf annexe. Rocephin 2 g IV aux urgences. Ciproxine 500 mg 2x/jour à domicile (à réévaluer à la consultation en filière des urgences ambulatoires). Rendez-vous en filière des urgences ambulatoires le 27.04 à 10h00 pour contrôle clinique et résultats de l'urotube. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: leucocytes à 12.5 G/l, reste sans particularité avec tests hépatiques dans la norme. Laboratoire: cf annexes. Spot urinaire: cf annexe. NaCl 500 ml aux urgences. Suivi chez le médecin traitant dans 1 semaine. Laboratoire: cf annexes. Spot urinaire. NaCl 0.9% 1000 ml/6 h IV aux urgences. Avis du Dr. X: pas de traitement à envisager au vu de l'osmolalité normale. Prévoir un contrôle biologique à 48h. A disposition en cas de problèmes. Laboratoire: cf annexes. Spot urinaire. Sédiment urinaire: cf annexe. Hydratation IV par NaCl. Laboratoire: cf annexes. Stix-sédiment urinaire: cf annexe. Bhcg urinaire: négatif. Laboratoire: cf annexes. Stix-sédiment urinaire: cf annexe. ECG: cf annexe. Avis psychiatrique du Dr. X. Hospitalisation à Marsens en PAFA pour altération du comportement fonctionnel social, anosognosie et IRM pathologique. Transfert en ambulance. Laboratoire: cf annexes. Stix-sédiment urinaire: cf annexe. ECG: rythme sinusal régulier à 67/min. PR à 240 msec, régulier compatible avec un BAV 1er. QRS à 80 msec, axe à -25°, transition de l'onde R en V5. Pas d'onde Q pathologique. Pas de troubles significatifs de la repolarisation. QTc à 400 msec. Laboratoire: cf annexes. Ultrason abdominal complet et recherche d'appendicite du 13.04.2019: le foie est de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule biliaire présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas et la rate sont sp. Les deux reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie est peu remplie mais présente des parois fines. Pas d'image pathognomonique pour une APP, mais à noter quelques ganglions agrandis en FID, mesurés jusqu'à 7mm de petit axe. CONCLUSION: quelques ganglions mésentériques agrandis en FID, mesurés jusqu'à 7mm de petit axe, mais pas d'image pathognomonique pour une APP. Laboratoire: cf annexes. Ultrason abdominal: décrit ci-dessous. AINS et Dafalgan. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 19.04. La patiente prendra contact avec le Dr. X pour une cholecystectomie en électif. Laboratoire: cf annexes. Ultrason des tissus mous musculo-squelettiques du 01.04.2019: en regard de la masse douloureuse de la région inguinale gauche, on visualise un ganglion réactionnel sous-cutané mesuré à environ 10 mm de petit axe, bien vascularisé à l'échodoppler couleur, sans image d'abcès actuellement. Laboratoire: cf annexes. Ultrason Doppler de la veine fémoro-poplitée gauche: décrit ci-dessous. Bande élastique (orteils => mi-cuisse). Marche en charge selon douleurs, cannes anglaises. Thromboprophylaxie par Clexane jusqu'à charge complète sur le membre inférieur. Contrôles à 48h et 72h chez le médecin traitant pour suivi clinique. Reconsulter en cas d'évolution défavorable. Laboratoire: cf annexes. Angio-CT aorte et membres inférieurs (Dr. X rapport oral): occlusion pigmentaire de l'art poplitée MID et reprise de la perfusion en distalité. Tronc tibio-péroné unique sans bifurcation avec nouvelle occlusion au niveau distal de la face plantaire du pied. Découverte fortuite d'une cirrhose hépatique, sans lésions visualisées. Angiographie 04.04.19 (Dr. X et Dr. X): 1 passage au Rotarex avec ouverture de l'art poplité et angioplastie au niveau de P2. Tibiale ant et post bien revascularisées. Ad aspegic 250 mg puis liquémine 2500 Ui. Reprendre liquémine thérapeutique dès 17h00. Laboratoire: cf annexes. Cholangiographie le 12.04.2019 (Dr. X): l'intervention et ses complications ont été exposées au patient. Intervention réalisée sous anesthésie générale. Désinfection cutanée et champage. La cholangiographie montre que les drainages sont bien positionnés. Changement des deux drainages avec introducteur 7F. Opacification des voies biliaires par une petite quantité de produit de contraste qui montre une sténose à l'origine du stent gauche et débris dans les 2 stents. Dilatations intra-stent avec un ballon 8 x 40 mm. Le contrôle montre un meilleur passage de contraste, mais encore une sténose à l'origine proximale du stent gauche. Décision de poser un stent 8 x 40 mm et dilatation du stent avec un ballon 8x40 mm. Passage de contraste sans difficulté. Retrait du matériel et pose d'un pansement stérile. Laboratoire: cf annexes. Colonoscopie (02.04.19): présence de deux angiodysplasies de grand diamètre (2 et 3 cm), avec deux polypes de petite taille. Laboratoire: cf annexes. CT abdominal: collection scrotale droite de 46 x 33 x 31 mm compatible avec un abcès. Pas d'argument pour une colite ou diverticulite. Laboratoire: cf annexes. CT abdominal du 07.04.2019: récidive de diverticulite à la jonction sigmoïdo-colique, non perforée, classée IIA selon Hansen-Stock. Le reste de l'examen est superposable au comparatif. Hydrocèle droite. Laboratoire: cf annexes. CT abdominal du 13.04.2019: pas de perforation digestive ni de signe d'iléus. Pas d'ascite ni de pneumopéritoine. Surélévation de la coupole diaphragmatique gauche de l'estomac et de la rate en rapport avec une paralysie diaphragmatique présente depuis une imagerie de 07.12.2016. Ultrason abdominal du 14.04.2019: sludge dans la vésicule biliaire sans signe de cholécystite. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Stéatose hépatique. Radio thoracique du 14.04.2019: St/p mise en place de la sonde naso-gastrique qui est en place. Pas de pneumothorax. Pas d'épanchement pleural. On retrouve une importante surélévation de la coupole diaphragmatique gauche. Pas de franc foyer pulmonaire décelable. Gastroscopie le 17.04.2019. Laboratoire: cf annexes. CT abdominal du 18.04.2019: volumineuse collection pelvienne polylobulée de 9 x 6 x 9 cm devant correspondre à un abcès situé dans le cul-de-sac de Douglas, avec signes de recto-sigmoïdite et de probable appendicite. Il n'est pas possible de distinguer entre une complication d'une appendicite ou d'une sigmoïdite diverticulaire, même si la première hypothèse semble plus vraisemblable, compte tenu de l'âge de la patiente. Il n'y a pas d'argument pour une perforation libre/péritonite disséminée. Multiples petites adénopathies réactionnelles du rétropéritoine. Annexite de contiguïté. Laboratoire: cf annexes. CT abdominal du 19.03.2019: iléus grêle avec saut de calibre au niveau d'une volumineuse éventration contenant des anses grêles ainsi qu'une partie du côlon, y compris le cæcum. Laboratoire: cf annexes. CT abdominal du 19.04.2019: iléus grêle jusqu'à 42 mm de diamètre, sur un saut de calibre localisé en fosse iliaque droite compatible avec une bride. Liquide libre au contact des anses les plus dilatées dans les quadrants abdominaux droits, sans autre signe de souffrance. Laboratoire: cf annexes. CT abdominal du 24.04.2019: diverticulite phlegmoneuse de la jonction colo-sigmoïdienne correspondant à un grade IIa selon la classification Hansen & Stock. Ectasie des voies biliaires intra-hépatiques sans calculs radio-opaques le long de l'arbre biliaire. Cependant, doute sur la présence de concrétions dans le bas cholédoque.Ultrason abdominal 29.04.2019: vésicule biliaire à parois fines, contenant une faible quantité de sludge. Pas de lithiase franche décelée. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extra-hépatiques avec un canal cholédoque mesuré à 4 mm. Laboratoire: cf. annexes CT abdominal du 27.03.2019: Présence de deux trajets fistuleux s'étendant depuis une anse grêle dans le flanc droit vers la ligne médiane, qui présente du tissu cicatriciel remanié, sans collection mise en évidence. IRM abdominale du 29.03.2019: Comparatif CT scanner du 27 mars 2019 : Examen effectué avant puis après injection de 15 ml de Dotarem bien tolérée par Mme. Y. On retrouve un magma inflammatoire de la paroi abdominale en région ombilicale. On visualise un trajet fistuleux se dirigeant vers une anse grêle qui est en contact étroit avec le péritoine. Ce trajet fistuleux se rehausse après injection de gadolinium. Pas de collection ou d'abcès visible. Le reste des structures est superposable au comparatif. Laboratoire: cf. annexes CT abdominal du 29.03.2019: Récidive de lâchage de fermeture de moignon rectal avec collection couverte en continuité du moignon. Suspicion de cystite de contiguïté. Laboratoire: cf. annexes CT abdominal du 29.03.2019: Status post-bypass gastrique, sans signe de complication post-opératoire ni argument en faveur d'une hernie interne. Liquide libre dans le pelvis, aspécifique, sans autre anomalie associée. Laboratoire: cf annexes CT cérébral du 26.03.19: Progression en taille de la masse en regard du confluent ventriculaire droit, avec mise en évidence en périphérie de cette lésion d'une plage spontanément hyperdense de 5 mm, posant le diagnostic différentiel entre un saignement et une composante spontanément dense à la lésion tumorale. La deuxième lésion située en marge de la zone de résection frontale gauche est stable par rapport au comparatif. Laboratoire: cf. annexes CT cérébral et cervical le 19.04.2019: hémorragie sous-durale de l'hémi-convexité D 3 mm, intra parenchymateuse frontale D et sous-arachnoïdienne frontale et temporale D, intra parenchymateuse 2 cm (epi) durale (doute), fracture os pariétal. CT cérébral injecté le 19.04.2019: Absence de thrombose des sinus veineux. On visualise de façon plus claire, un fin hématome épidural en regard de la fracture comprimant légèrement le sinus mais sans effet compressif. Laboratoire: cf annexes CT cérébral injecté 23.04.19: pas de saignement, pas de fracture, pas de thrombose, pas de complication post-op, pas de gaz; comblement des cellules ethmoïdales antérieures et du sinus frontal droit compatible avec une sinusite; goitre plongeant jusqu'au médiastin. Laboratoire: cf annexes CT cérébral natif et injecté du 07.04.2019 et CT tissus mous cervicaux injecté du 07.04.2019: AVC constitué des noyaux gris centraux gauche avec zone de pénombre sylvienne gauche de taille significative sur une occlusion vraisemblablement thrombotique de l'artère carotide interne gauche, de l'ACM gauche jusqu'à sa portion M2 où la branche postérieure montre une perméabilité et une reprise par voie de collatéralisation piale. Pas de saignement cérébral. Pas de prise de contraste pathologique de l'encéphale. On note quelques plaques calcifiées des segments V4 des artères vertébrales, le reste des vaisseaux précérébraux ne présente pas de lésion sténosante significative. Radiographie du thorax du 10.04.2019: Comparatif avec Rx thorax du 07.04.2019. Par rapport au comparatif, apparition de quelques opacités avec infiltrat nodulaire bi-basale et en rétro-cardiaque, tous ensemble dans le contexte évoquant une broncho-aspiration. Émoussement du sinus costo-diaphragmatique à droite. Le port-à-cathéter par voie sous-clavière à droite est en place. La sonde naso-gastrique est en place, toutefois son extrémité distale n'est pas incluse dans le cliché. Le reste de l'examen est inchangé. Échocardiographie trans-thoracique du 15.04.2019: Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. Cinétique fine segmentaire non évaluable en raison de mauvaise échogénicité en apicale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Aorte non dilatée. Rétrécissement aortique lâche. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. La présence de FOP ne peut pas être évaluée en raison de mauvaise échogénicité en apicale. Consilium neuropsychologique: Patient très ralenti, dysarthrie importante avec discours non fluent et non informatif, difficultés de compréhension orale, néanmoins capable de se concentrer 1 h, collaborant, volontaire et conscient de ses difficultés. CT crâne natif du 21.04.2019: Ectasie du système ventriculaire et élargissement des sillons cérébraux et cérébelleux en rapport avec l'âge du patient. Pas de déviation des structures de la ligne médiane. Hypodensité parenchymateuse centrée sur les noyaux gris centraux à gauche avec extension insulaire et frontale, correspondant à la lésion ischémique connue séquellaire de l'AVC du 07.04.2019. Pas d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Calcification des artères carotides internes à hauteur des siphons carotidiens des deux côtés ainsi que des artères vertébrales dans leur portion V4. Anciennes fractures des os propres du nez. Pas de nouvelle fracture décelée. Déviation dextro-convexe de la cloison nasale. Discret comblement du sinus maxillaire gauche. Sonde naso-gastrique passant par la cavité nasale droite. Laboratoire: cf. annexes CT cérébral natif 25.03.2019: Comparatif du 04.03.2019: Volumineux hématomes frontaux, pariétaux, temporo-occipitaux ddc, encore en péjoration avec un effet de masse et une diminution du volume des ventricules latéraux. Densités plus élevées, compatibles avec des saignements récents. Pour le reste, l'examen est superposable avec, notamment, un st/p phakectomie bilatérale. Laboratoire: cf annexes CT cérébral 18.03.19: Pas d'hémorragie intracrânienne et pas de fracture de os du crâne. Atrophie cérébrale modérée et lésion séquellaire de la corona radiata droite. Rx thoracique 18.03.19: Étalement de la silhouette cardio-médiastinale, en lien avec la position couchée du patient, ainsi que de l'incidence antéro-postérieure du faisceau de rayon X. Cardiomégalie connue avec épaississement bronchique et possible petit épanchement pleural ddc, devant être en lien avec une surcharge. Pas de foyer constitué. Rx pied gauche 18.03.19: s/p amputations du 1er rayon, intéressant la tête métatarsienne et les phalanges, ainsi que du 3ème rayon, intéressant la tête de la phalange proximale et les phalanges moyenne et distale, inchangées. Pas de fracture visualisée. Absence de lésion focale ostéolytique. Importantes calcifications vasculaires. Épine calcanéenne. ETT 19.03.19: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie globale modérée et plus marquée en inféro-basal. FEVG à 35 % (méthode de Simpson biplan). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche modérément dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est modérément altérée. Absence d'insuffisance tricuspide. Épanchement péricardique de moyenne abondance circonférentiel, d'aspect liquidien et partiellement organisé. Le diamètre maximal de cet épanchement est de 20 mm en regard du VG en postérieur. Pas de compression de l'oreillette droite ni du ventricule droit. Variation inférieure à 45 % du flux diastolique tricuspide et supérieure à 25 % du flux diastolique mitral. Pas de septal bounce. Absence de swinging heart. Indication à une surveillance de l'épanchement. Épanchement hémodynamiquement relevant sans signe échocardiographique de tamponnade.Commentaire: L'examen du jour montre une dysfonction systolique modérée avec des troubles de la cinétique segmentaire dans le contexte d'une maladie coronarienne connue (rechercher la présence d'un comparatif effectué à la Clinique la Source). Présence d'un épanchement péricardique de moyenne abondance circonférentiel, d'aspect liquidien et partiellement organisé (DD: origine urémique ?). Le diamètre maximal de cet épanchement est de 20 mm en regard du VG. Épanchement hémodynamiquement relevant mais sans signes francs échocardiographiques de tamponnade (installation probablement progressive de l'épanchement) ou plus tôt si en présence de symptômes (tachycardie, hypotension). IRM 22.03.2019: Atrophie cortico-sous-corticale touchant également les lobes temporaux ceci pouvant être classé Scheltens III. Pas d'argument sur cet examen en faveur d'une lésion ischémique aiguë. Les plages d'hypersignaux au niveau de la substance blanche sur les coupes FLAIR doivent correspondre à des altérations dégénératives vasculaires, avec une séquelle notamment dans la région de la corona radiata à droite. Solution de continuité à la base de l'apophyse odontoïde (ancienne lésion ?), remaniements au niveau de cette dernière (en relation avec des altérations dégénératives ? avec une chondrocalcinose ?). Si l'on veut aller plus loin dans les investigations, il faudrait discuter de réaliser un CT osseux de cette région. ETT 27.03.19: Ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie globale modérée. FEVG à 30 % (méthode de Simpson). Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche modérément dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Épanchement péricardique de moyenne abondance, circonférentiel. Régression partielle de l'épanchement péricardique. Laboratoire: cf. annexes CT scan thoraco-abdominal le 04.04.2019: Status post-spléno-pancréatectomie caudale avec liquide libre en regard de la zone de résection pancréatique caudale sans collection notable. Prise de contraste nodulaire dans l'uncus du pancréas mesurant 13 mm contre la veine mésentérique supérieure suspecte (autre masse neuro-endocrine ? métastase du cancer rénal vu la néphrectomie à droite ? adénopathie ?). Épanchement pleural de faible abondance ddc avec atélectasie passive de contact et quelques dystélectasies lamellaires bibasales. Laboratoire: cf annexes CT thoracique du 20.04.19: Importante majoration de l'épanchement pleural droit, avec atélectasie passive de la quasi-totalité du lobe inférieur et atélectasie partielle du lobe moyen. Régression de l'épanchement pleural gauche. Disparition des infiltrats d'allure infectieuse précédemment visibles. Majoration en taille des adénopathies médiastinales et hilaires. RX thoracique du 21.04.19: Après ponction pleurale, il persiste un épanchement pleural droit de moyenne abondance, sans pneumothorax. CT abdominal du 23.04.19: Augmentation de taille millimétrique des adénopathies sous-diaphragmatiques. Stabilité de l'hépato-splénomégalie et des lésions lytiques du bassin. Disparition de la collection au sein de la graisse sous-cutanée en fosse iliaque droite. Laboratoire, cf annexes CT thoracique natif et injecté du 26.02.2019: Lésion partiellement ostéolytique et ostéocondensante de l'hémicorps vertébral de D5 venant au contact du mur postérieur à gauche et se prolongeant dans le pédicule gauche. Pas d'autre lésion suspecte visible. Élargissement homogène de la glande thyroïde. IRM de l'abdomen native et injectée du 26.02.2019: Les multiples masses kystiques du foie présentent d'importantes variations de signal avec certaines se caractérisant par des niveaux liquide-liquide avec matériel hyperintense sur les séquences en pondération T1, parlant pour un contenu protéique ou hémorragique. La plus grande masse du segment VI présente également des septations épaisses et tissulaires avec une prise de contraste et une restriction de la diffusion. Compte tenu de la présence d'une carcinomatose péritonéale, il s'agit le plus vraisemblablement de métastases hépatiques kystiques à contenu protéique (p. ex. tumeur primaire mucineuse) ou hémorragique. D'après la littérature, les métastases hépatiques avec un niveau liquide-liquide pourraient avoir une origine neuroendocrine. L'aspect des lésions n'est pas typique d'une échinococcose. Par rapport au comparatif, la lésion kystique/collectée sous-capsulaire à cheval entre les segments VI et VII a nettement augmenté de taille. On retrouve les deux masses d'allure plutôt tissulaire au contact de la tête du pancréas, dont il est difficile de dire s'il s'agit d'adénopathies ou de lésions pancréatiques primaires. On retrouve également une masse kystique à contenu hémorragique ou protéique du hile hépatique. Pas de changement des multiples implants de carcinomatose péritonéale précédemment décrits mais disparition de l'ascite péri-splénique. Pour le reste, présence d'une probable métastase de l'os coxal droit. Biopsie implant péritonéal sous US le 28.02.2019: Mise en place d'une aiguille co-axiale 18G jusqu'à dans la lésion sous guidage échographique et prélèvement de 3 carottes. Matériel de bonne qualité que nous envoyons pour analyse histo-pathologique. Pas de complication immédiate. Biopsie implant péritonéal sous CT le 08.03.2019: Ponction d'un implant péritonéal situé dans la région sous-hépatique para-colique droite et à l'aide d'une aiguille de biopsie 18 G. Prélèvement de 3 carottes avec contenu nécrotique. Pas de complication en décours de la procédure. Les prélèvements sont envoyés pour analyse histo-pathologique chez Promed. PET-CT le 14.03.2019: Examen PET-CT 18F-FDG objectivant des foyers hypermétaboliques au niveau thyroïdien, du hile hépatique droit, au niveau hépatique et de multiples implants hypermétaboliques carcinomateux et épiploïques. Deux foyers hypermétaboliques osseux au niveau du pédicule de D5 et de la partie iliaque de l'articulation sacro-iliaque droite. Sous réserve d'un examen réalisé sans injection IV de produit de contraste, il ne semble pas y avoir de changement significatif des métastases hépatiques connues, des masses à proximité de la tête du pancréas ou des implants de carcinomatose péritonéale. De même, pas de changement des métastases mixtes intéressant le corps vertébral de D5 et l'os coxal à droite. Présence d'une petite adénopathie hilaire droite de 11 mm de petit axe, inchangée par rapport au comparatif, pouvant être suspecte. Le reste de l'examen est superposable. CT abdominal le 30.03.2019: Apparition d'un saignement actif au sein d'une métastase hépatique du segment VI du foie. Collection dd hématome avec début d'organisation au sein de la graisse omentale sous-hépatique. Le radiologue interventionnel est informé pour une éventuelle prise en charge. Ponction sous guidage scannographique le 30.03.2019 de cette lame de liquide et mise en place d'un guide Amplatz. Le matériel est recueilli pour analyse microbiologique et chimique. Suture du drain à la peau. Mise en place d'un pansement stérile.Laboratoire, cf annexes CT thoracique protocole aorte le 20.04.2019: Absence de dissection aortique. Dissection difficilement de l'artère sous-clavière gauche à son départ sur un segment estimé à 3 cm, avec un flap intimal épaissi devant avoir une origine chronique. L'examen ne fournit pas de signe radiologique expliquant les symptômes de Mr. Y. Duplex artériel précérébral le 20.04.2019 (Dr. X) • ACC ddc avec bon flux orthograde, avec discrète athéromatose au niveau des bifurcations ddc sans sténose. A. vertébrale droite avec bon flux orthograde en V2, à gauche également bon flux orthograde en V1 et V2. • A. sous-clavière droite avec bon flux triphasique, à gauche sténose d'environ 50% dans sa partie proximale avec Vsyst jusqu'à 2.4 m/s, puis bon flux monophasique dans l'artère sous-clavière moyenne. • Repérage veineux des MI (bilan pré-RVA/pontage, cf schéma): GVS entre 2.6 et 3.2 mm à la cuisse/genou droite, puis <2 mm au niveau jambier. A gauche, GVS entre 2.5 et 3.5 mm à la cuisse, puis post-phlébitique au genou et <2 mm au niveau jambier. • Il est fort probable que les douleurs décrites par Mr. Y sont expliquées par une dissection nouvelle de l'a sous-clavière gauche, sans dissection de l'aorte thoracique. A noter que l'a. vertébrale part depuis l'aorte. Nous avons envoyé les images du CT au chirurgien cardiaque de garde du CHUV qui propose de débuter une faible dose de bétabloquant, et de le surveiller cliniquement jusqu'à demain. En cas de péjoration des douleurs, ad nouveau CT. Je propose également d'introduire un ttt par aspirine cardio et statine dans le contexte de sa sténose coronarienne. Nous avons également effectué le bilan angiologique pré-RVA/pontage qui était agendé pour le 03.05.2019: Absence de sténoses significatives aux artères précérébrales, avec comme variante de la norme un départ de l'a. vertébrale gauche directement depuis l'aorte (cf AngioCT du 19.04.2019). Les GVS à la cuisse ddc sont utilisables pour un éventuel pontage. Laboratoire: cf annexes CT thoracique 01.04.2019: Foyers de bronchopneumonie intéressant les bases pulmonaires ddc sans complication associée. Volumineuse hernie hiatale mixte avec upside-down stomach. Lésion d'allure kystique du corps du pancréas dont l'aspect évoque une IPMN. Volumineux kyste de 9 cm de plus grand diamètre du pôle supérieur du rein gauche classé Bosniak 2. Laboratoire: cf annexes CT thoracique 28.03.19: Embolies pulmonaires bilatérales, segmentaires et sous-segmentaires, lobaires supérieures droites, lobaires inférieures droites et lobaires inférieures gauches, sans signe d'hypertension artérielle pulmonaire associée. Condensations au sein du lobe moyen, de la pyramide basale droite, de la lingula et de la pyramide basale gauche, dont l'aspect évoque des atélectases partielles. Infiltrats associés en verre dépoli, aspécifiques. ETT 01.04.2019: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. La FEVG est estimée à 55 % (estimation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Insuffisance tricuspide minime. Absence d'épanchement péricardique. La fonction systolique contractile segmentaire et globale du VG est normale. Pas de signe de répercussion hémodynamique sur les cavités droites (pas de dilatation des cavités droites, fonction systolique du VD normale, rapport VD/VG <1). Laboratoire: cf annexes CT thoraco-abdominal injecté du 29.03.2019: Résolution complète de l'épanchement pleural gauche mais apparition de discrets infiltrats nodulaires en verre dépoli des lobes supérieurs des deux côtés, prédominant à gauche, évoquant un processus infectieux en premier lieu dans le contexte (DD chez patients immunosupprimés : CMV, pneumocystis, autre étiologie virale). Hépato-splénomégalie inchangée avec cicatrisation des infarctus spléniques. Le reste de l'examen est inchangé. Rx thorax du 29.03.2019: Par rapport au comparatif, status post-mise en place d'une VVC jugulaire interne droite se terminant en projection de la veine cave supérieure. On visualise également un status post-mise en place d'une Picc-line se terminant à la jonction cavo-atriale. Pas de pneumothorax ou de pneumo-médiastin. Le reste de l'examen est globalement superposable. Laboratoire: cf annexes CT thoraco-abdomino-pelvien du 03.04.19: • Augmentation en taille de la masse pulmonaire du LIG au contact de la plèvre adjacente. Possible discrète augmentation des épaississements des septa interlobulaires par endroits irréguliers évoquant une lymphangite carcinomateuse dans le contexte avec une discrète augmentation de lame d'épanchement pleural à gauche. • Stabilité des nodules pulmonaires du lobe moyen et supérieur gauche. • Aspect mieux visible d'une lésion Sonaz Malekzadehlashkariani Laboratoire, cf annexes CT thoraco-abdomino-pelvien le 04.04.2019: Volumineuse masse vraisemblablement aux dépens de l'ovaire responsable d'une compression des urtères et une dilatation pyélocalicielle bilatérale plus marquée à droite. Adénopathies nécrotiques supra et infra-diaphragmatiques. Carcinose péritonéale avec probablement signe de lymphangite carcinomatose. Signes de carcinose péricardique. Prise de contraste dans la partie antérieure du canal lombaire à la hauteur de L3-L4-L5 évoquant une épidurite tumorale. Épanchement pleural bilatéral. ETT le 05.04.2019: Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Les feuillets péricardiques sont épaissis. Présence d'un épaississement/masse du péricarde avec une échogénicité hétérogène (DD : tumeur primaire/métastase) plus marquée en regard du VG et de la paroi postérieure des oreillettes. Commentaire: Réévaluer ETO en fonction de l'attitude thérapeutique. Laboratoire: cf annexes CT thoraco-abdomino-pelvien natif et injecté du 22.02.2019: Mise en évidence d'une splénomégalie, sans adénopathie à l'étage thoraco-abdominal. Lésion annexielle supracentimétrique droite associée à du liquide libre dans le Morrison, la gouttière pariéto-colique droite ainsi que dans le cul-de-sac de Douglas, évoquant un kyste hémorragique rupturé (DD : torsion ovarienne ?). Aspect discrètement dense avec zones de raréfaction de l'os spongieux examiné, aspécifique (en lien avec une hémopathie ?). Echocardiographie transthoracique du 22.02.2019: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Rx thorax du 22.02.2019: Status post mise en place d'une VVC jugulaire interne droite se terminant correctement en projection de la veine cave supérieure. Pas d'image de pneumothorax ou de pneumo-médiastin. Pas d'épanchement pleural. Pas d'image pathologique en projection des plages pulmonaires. Examen du cadre osseux sans particularité. Echographie gynécologique du 22.02.2019 : Corps jaune hémorragique à droite avec lame de liquide libre para-ovarien et lame de liquide dans le Douglas, Surveillance clinique, pas d'argument pour prise en charge chirurgicale, Injection de Lucrin à administrer dès que possible. Rx thorax du 26.02.2019 : Mise en évidence d'une opacité bi-basale silhouette des coupoles diaphragmatiques ddc devant correspondre à des épanchements pleuraux avec possible atelectasies passives associées. Une éventuelle surinfection ne peut être exclue. Opacité linéaire à la mi-plage inférieure droite devant correspondre à une atelectasie. Status post mise en place d'une voie veineuse centrale par voie transjugulaire droite en position normale. Status post mise en place d'une sonde naso-gastrique dont l'extrémité distale se surprojette au niveau de l'estomac. Cadre osseux superposable comparatif. Rx thorax du 02.03.2019 : Par rapport au comparatif, diminution des épanchements pleuraux précédemment décrits avec quelques petites opacités en bande des bases pulmonaires parlant pour des troubles ventilatoires. Il n'y a pas de foyer pulmonaire constitué. Le reste de l'examen est superposable. CT thoraco-abdominal natif et injecté du 11.03.2019 : Infiltration de la graisse mésentérique, associée à des adénopathies mésentériques. Épaississement inflammatoire des anses intestinales grêles en regard de la région ombilicale dd entérite infectieuse. Diminution en taille de la lésion ronde centrée sur l'annexe droite et apparition d'une seconde lésion ronde centrée sur l'annexe gauche, DD kystes ovariens. À noter que l'appendice présente des parois rehaussées mais de diamètre dans la norme, réactionnel au contact du liquide libre, à contrôler. Les uretères se rehaussent ddc également dd urétérite. Diminution du liquide libre dans le Morrison, la gouttière pariéto-colique droite et dans l'espace Douglas. Orthopantomogramme du 22.03.2019 : Pas de lésion lytique péri-radiculaire visible. Pas de lyse osseuse visible ailleurs. Les ATM se présentent normalement. Les sinus maxillaires sont pneumatisés. Laboratoire : cf annexes. CT thorax (25.03.19) : Par rapport au 20.03.2019, discrète augmentation de l'épanchement pleural gauche ainsi que des défauts de rehaussements focaux au sein de l'atélectasie du LIG devant correspondre à des zones de nécrose parenchymateuse, sans argument en faveur d'un empyème. Reste de l'examen globalement superposable. Rx thorax (25.03.19) : Comparatif du 27 février 2019. Par rapport au comparatif, nette majoration de l'épanchement pleural gauche, avec troubles ventilatoires au contact. Pas de foyer clairement visible dans les parties ventilées des poumons. Hormis un status post mise en place d'un PAC sous-clavier gauche, le reste du statut est superposable. Rx thorax (27.03.19) : On visualise un status post mise en place d'un drain pleural gauche avec très discrète diminution de l'épanchement. Il n'y a pas de pneumothorax associé et pas d'autre complication visible. Le reste du statut est superposable. Laboratoire : cf annexes. CT-scanner le 30.03.2019 : On retrouve la pancréatite œdémato-interstitielle classée Balthazar E avec une nette augmentation de taille des collections au contact de la grande courbure de l'estomac compatible avec des pseudokystes avec apparition d'une prise de contraste de leur paroi pouvant traduire une surinfection. Pas de signe de perforation ou de pneumopéritoine. Nette augmentation des coulées de nécroses se présentant maintenant dans le mésentère, les gouttières pariéto-coliques et augmentation de l'épanchement péri-hépatique et péri-splénique. CT-scanner le 08.04.2019 : Sur les coupes passant par l'étage thoracique, développement d'épanchements pleuraux bilatéraux. À l'étage abdominal, défaut de rehaussement focal dans le corps du pancréas compatible avec une zone de nécrose au vu du contexte de pancréatite. Persistance d'une infiltration de la graisse péri-pancréatique, principalement en avant de la tête et du corps du pancréas. Majoration en taille des collections situées au contact de la grande courbure de l'estomac, la plus volumineuse mesurant 85 x 60 mm dans le plan axial contre 78 x 50 mm sur l'examen comparatif. Pas de nouvelle collection péri-pancréatique décelée. Relative stabilité du liquide libre en région péri-hépatique et péri-splénique ainsi que dans la gouttière pariéto-colique droite. Le reste de l'examen est superposable au comparatif. Radiographie thorax le 03.04.2019 : Épaississement péribronchovasculaire ddc avec redistribution vasculaire et épanchements pleuraux de faible quantité, le tout pouvant parler pour des signes de décompensation cardiaque. Opacité rétrocardiaque dont le DD se poste entre un foyer basal gauche et une atélectasie. Laboratoire : cf annexes. ECG : cf annexes. Radiographie du thorax : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signe de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Pas de masse suspecte. Absence d'air libre sous les coupoles diaphragmatiques. Squelette visible sans particularité. Laboratoire : cf annexes. ECG du 01.04.2019 : tachycardie sinusale à 116 bpm, normoaxé, QRS fins, pas de transition de l'onde R. Spirométrie du 09.04.2019 : CVF 73 % du prédit, VEMS 69 % du prédit, Tiffeneau 34.4 %. Laboratoire : cf annexes. ECG du 11.03.2019 : rythme sinusal à 60 bpm, QRS fins à 80 ms d'axe normal, bonne progression de l'onde R avec transition en V3, ST isoélectriques, QTc 433 ms. Radiographie thorax du 18.03.2019 : aorte dilatée et calcifiée. Bonne visibilité des deux hiles pulmonaires. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Minime épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. Laboratoire : cf annexes. ECG du 14.03.2019 : rythme sinusal régulier à 87/min, PR à 176 ms, QRS fins à 102 ms d'axe normal à 2°, QTc 455 ms, ST isoélectriques, progression tardive de l'onde R avec transition en V5. Gazométrie du 14.03.2019, sous O2 3 lt/min : pH 7.38, pCO2 6.42 kPa, pO2 8.8 kPa, BIC 28 mmol/l, satO2 92 %. Gazométrie du 01.04.2019, à l'air ambiant : pH 7.37, pCO2 6.34 kPa, pO2 6.9 kPa, BIC 26.7 mmol/l, satO2 81.2 %. Gazométrie du 02.04.2019, à l'air ambiant : pH 7.34, pCO2 7.42 kPa, pO2 7.4 kPa, BIC 28.9 mmol/l, satO2 85.3 %. Spirométrie du 19.03.2019 : CVF 59 % du prédit, VEMS 52 % du prédit, Tiffeneau 69.2 %. Capno-oxymétrie nocturne du 25.03.2019, sous VNI : SpO2 moyenne 81.8 %, tcpCO2 7 kPa, indice de désaturation 67.42/heure. Oxymétrie nocturne du 30.03.2019, sous VNI : SpO2 moyenne 83.6 %, SpO2 < 90 % : 83.4 %, index des événements de désaturation 27/heure. Laboratoire : cf annexes. ECG du 18.03.2019 : rythme sinusal régulier à 63/min, PR à 148 ms, QRS fins à 78 ms d'axe normal à -12°, QTc 381 ms, ST isoélectriques, bonne progression de l'onde R avec transition en V3. Laboratoire : cf annexes. ECG du 19.03.2019 : rythme sinusal régulier à 68/min, PR à 208 ms avec P bifide en II (P mitral), QRS à 125 ms d'axe gauche à -41° parlant pour un BBG complet connu, pas de signe d'ischémie nouvelle. Radiographie mains du 28.03.2019 : on visualise effectivement une arthrose touchant surtout les IPD des 2ème à 5ème rayons du côté G avec des réactions ostéophytaires et un aspect en aile de Goéland. Les articulations interphalangiennes proximales sont mieux conservées ddc et les articulations métacarpo-phalangiennes présentant un aspect normal. Rhizarthrose encore modérée prédominant à G. Laboratoire : cf annexes. ECG du 19.03.2019 : rythme sinusal régulier à 76/min, PR à 174 ms, QRS fins à 90 ms d'axe normal à 5°, QTc à 429 ms, ST isoélectriques, bonne progression de l'onde R avec transition en V3.Laboratoire: cf annexes. ECG du 20.03.2019 : rythme sinusal à 68 bpm, BAV 1er degré (PR = 248 ms), QRS fins, QTc 492 ms ; HBAG, ondes T négatives en territoire antéro-latéral. Laboratoire: cf annexes. ECG du 20.03.2019 : rythme électro-entraîné à 61/min, QRS à 104 ms, pas de signe d'ischémie, QTc à 441 ms. Evaluation neuropsychologique du 08.04.2019 : cf rapport. Laboratoire: cf annexes. ECG du 22.03.2019 : rythme sinusal, FC 70 bpm, normoaxé, ondes T négatives en V1, biphasiques en V2-V3, transition de l'onde R en V3-V4. Laboratoire: cf annexes. ECG le 29.04.2019 : FA à réponse ventriculaire normocarde. Rx du thorax le 29.04.2019 : cardiomégalie, épanchement pulmonaire droit. Echocardiographie transthoracique le 30.04.2019 : Aspect de cardiopathie hypertensive (end-stage) avec dysfonction systolique, IM modérée à sévère, TI sévère et sténose aortique légère à modérée. Add ttt de l'insuffisance cardiaque. Laboratoire: cf annexes. ECG le 29.04.2019 : FA à réponse ventriculaire normocarde. Rx du thorax le 29.04.2019 : cardiomégalie, épanchement pulmonaire droit. Echocardiographie transthoracique le 30.04.2019 : Cardiopathie hypertensive avec hypertrophie ventriculaire G. IM modérée, IT sévère. Dilatation biatriale importante. FEVG estimée à 40 %. Laboratoire: cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 74/min, axe normal, pas de signe d'ischémie active, pas d'onde Q pathologique, pas de signe d'HVG. Radiographie du thorax du 13.04.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Laboratoire: cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 89 bpm, PR 146 ms, QRS fin avec un axe normal, ST-isoélectrique, pas d'onde Q pathologiques, progression de l'onde R avec une transition en V4, QTc 464 ms. Laboratoire: cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier, normocarde à tachycarde à 92 bpm, axe normal à 80°, QRS fins. Radiographie du thorax face/profil du 24.04.2019 : importantes lésions d'infiltrat pulmonaire bilatérales prédominant au niveau des champs pulmonaires supérieurs. Aspect irrégulier des contours du cœur. Laboratoire: cf annexes. ECG (19.04.19) : rythme sinusal à 67 bpm, axe du QRS normal à 30° (+- 30°), pas de trouble de la repolarisation, pas de signe d'ischémie. CT thoracique natif et injecté et radiographie du thorax (19.04.19) : Pas d'embolie pulmonaire ni de dissection aortique mise en évidence. Infiltration athéromateuse modérée de l'aorte avec quelques plaques ulcérées à la jonction thoraco-abdominale mais non pénétrantes. Pas d'autre anomalie scanographique pouvant expliquer les symptômes du patient. US abdomen supérieur natif (20.04.19) : Vésicule biliaire alithiasique, présentant un épaississement pariétal. En raison du fait que nous ne pouvons formellement exclure une cholécystite débutante, nous recommandons un avis chirurgical et/ou une autre modalité d'imagerie (CT-scan). Cholangio-IRM (23.04.2019) : Vésicule biliaire contenant du sludge - de multiples petits calculs avec un épaississement pariétal et une prise de produit de contraste au niveau de sa paroi, évoquant une cholécystite aiguë sur probable cholécystite chronique. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Pas de calcul visible sur l'examen actuel au niveau du canal cholédoque. Hernie hiatale. Face à la clinique du patient, on doit évoquer probablement un status post-passage de petits calculs. Echographie transthoracique (25.04.19) : FEVG à 60 %. En résumé, la fonction systolique est conservée. Dysfonction diastolique légère. Pas de valvulopathie significative (sclérose aortique). Une atteinte coronarienne est probable vu l'âge et les antécédents de PTCA en 1994. Au vu des antécédents de chutes et aux résultats du Holter du mois de février, l'insuffisance cardiaque est possible liée à une insuffisance chronotrope. Proposition de répéter l'examen Holter et de considérer pacemaker. Coro à discuter selon opération et état neurocognitif. Laboratoire: cf annexes. ECG 20.04.2019 : sinusal, axe gauche, sus décalage minime II, III, AVF, sous décalage AVL V1-V6. ECG 20.04.2019 : sinusal, axe normal, T négatif V5/V6, AVL. Coronarographie le 20.04.2019 : L'examen invasif du jour démontre une subocclusion d'une trifurcation marginales/RCx avec revascularisation quasi-complète (TIMI 2) à la suite des médicaments administrés par le SMUR. La fonction VG systolique est légèrement diminuée. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 48 %. Succès d'angioplastie de l'artère circonflexe proximale avec implantation de 1 stent actif avec bon résultat final. Rx Thorax le 20.04.2019 : Pas de comparatif. Pas de signe de décompensation cardiaque majeure. Plages pulmonaires bien aérées, sans évidence d'infiltrat ou d'épanchement pleural. Matériel de support en projection de la cage thoracique. Cadre osseux dans les limites de la norme. ETT le 23.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une akinésie de la paroi latéro-basale et de la paroi inféro-basale. FEVG à 50-55 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3) sur restriction du feuillet mitral postérieur. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Insuffisance tricuspide minime. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf. annexes. ECG 24.04.19 : rythme sinusal normocarde, QRS fins, pas de troubles de repolarisation ni de signes d'ischémie aigus. Consilium ophtalmologique (Dr. X) 26.04.2019 : Étant donné le champ visuel légèrement moins bon de l'œil droit, nous proposons de refaire un contrôle dans 2-3 mois. Pas de névrite rétrobulbaire actuellement, ni de vasculite visible au fond d'œil. IRM colonne cervicale et dorsale le 26.04.2019 : Présence d'une unique lésion T2w hyperintense du myélon à hauteur de l'espace intervertébral T8-T9, de localisation postéro-latérale gauche, avec discrète prise de contraste. Le reste de la moelle vertébrale se présente de manière normale, sans autre lésion focale. Structure osseuse et tissus mous sans particularité. Pas de trouble dégénératif significatif. Reste de l'examen dans les normes. Laboratoire: cf. annexes. ECG 29.03.2019 : rythme sinusal, 51/min, QT 432 (N 427) ms. T profonde V1, V2. ECG 04.04.2019 : rythme sinusal, 49/min, QT 436 ms, T profonde V1, V2. Vidéo-fluoroscopie 04.04.2019 : pas de trouble de la déglutition. Laboratoire: cf annexes. ECG 29.04.2019 : Tachycardie sinusale à 107/min, PR à 160 ms, QRS fins avec image de BBD incomplet. T négatifs de V1 à V3, biphasiques en V4. Sous-décalages millimétriques de V2 à V4. (sous décalage connu). CT protocole Time is Brain le 29.04.2019 : Examen compatible avec une lésion ischémique aiguë sans infarctus constitué au sein du gyrus pré et post central à droite et antérieurement au gyrus précentral dans le lobe frontal, en rapport avec une occlusion d'une branche M3 de l'artère cérébrale moyenne droite. Sinusite maxillaire et ethmoïdale gauche chronique avec probable composante aiguë. Les axes artériels du cou sont perméables, sans sténose significative. Signes de surcharge avec épanchements pleuraux bilatéraux. IRM cérébrale le 30.04.2019 : Echocardiographie transthoracique le 30.04.2019 : Cardiomyopathie hypertrophique d'origine infiltrative sur amyloïdose avec une hypokinésie modérée de la paroi postérieure et de la paroi antéro-basale et une hypokinésie minime de la paroi latérale et de la paroi inféro-basale. FEVG à 42 % (méthode de Simpson), global myocardial strain diminué (-6.3 %). Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Insuffisance aortique minime. Épaississement léger des 2 feuillets mitraux. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime. Dysfonction diastolique modérée (grade II). Élaboration franche des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche modérément dilatée. Ventricule droit non dilaté avec hypertrophie modérée. Fonction systolique du ventricule droit globalement préservée (FAC 34 %) avec une fonction longitudinale sévèrement diminuée (TAM 7 mm, S' 5.6 cm/s). Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique.Laboratoire: cf. annexes EEG du 22.03.2019: EEG probablement anormal par la suspicion d'une crise observée en région fronto-polaire droite, sans corrélat clinique. Cet EEG est globalement dans les normes. Néanmoins, on observe la suspicion d'une crise électrique en région frontale droite, d'une durée d'environ 40 s. Il pourrait s'agir d'une crise plus profonde, par exemple temporale-médiale droite, faiblement visible à l'EEG de surface. IRM neurocrâne du 28.03.2019: Stabilité de l'hypersignal Flair bi-hippocampique pouvant rentrer dans le cadre d'une encéphalite limbique. Hyper signal bipallidal inchangé devant faire rechercher une intoxication au CO et qui pourrait aussi expliquer un hypersignal hippocampique associé. Leucopathie micro-vasculaire Fazekas II. IRM médullaire du 29.03.2019: Minime anomalie de signal sur la séquence T1 dans la partie postérieure du cordon médullaire à hauteur de C4-C5 après injection de gadolinium sans image pathologique sur la séquence T2, correspondant très probablement à un artéfact. CT thoraco-abdominal natif et injecté du 29.03.2019: Nodule pulmonaire sous-pleural de 9 x 8 mm du segment antéro-basal du lobe inférieur gauche, et nodule para-scissural de 8 x 5 mm du segment apical du lobe inférieur gauche, aspécifiques. Adénopathie fémorale commune gauche de 12 mm, également aspécifique. Pas franche lésion focale suspecte d'atteinte tumorale primaire. ETT (02.04.19): Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Aorte non dilatée. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale légère à modérée (grade 1-2/3). SOR de l'IM à 0,07 cm². Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche discrètement dilatée. Ventricule droit non dilaté. Fonction systolique du ventricule droit normale. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. HTP légère (PAPs à 45 mmHg). Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3). Absence d'épanchement péricardique. Holter 72h (04.04.19): examen en cours Laboratoire: cf. annexes. Gazométrie: cf. annexes. Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf. annexes Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf. annexes Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf. annexes Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf. annexes Ultrason abdominal du 28.03.2019: appendice non visualisable. Pas de liquide libre. Pas d'adénopathie CT abdominal du 29.03.2019: appendicite aiguë non perforée Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf. annexes Ultrason abdominal le 07.04.2019: appendice non visualisée, liquide libre en petite quantité. CT abdominal le 07.04.2019: Appendicite perforée de situation pelvienne associée à un volumineux stercolithe en base appendiculaire. Abcès dans le cul de sac de Douglas. Subi iléus grêle et colite ascendante réactionnelle. Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf. annexes Echographie abdominale du 27.03.2019: appendicite aigue avec appendice de 10 mm rétro-coecal avec liquide libre péritonéal et multiples ganglions mésentériques. Laboratoire: cf. annexes IRM cérébrale non injectée le 27.03.2019: AVC ischémique aigu fronto-temporal gauche cortical sans traduction sur la séquence FLAIR pouvant être daté de moins de 4h. Présence d'une hypo intensité T2* dans une branche M3 de l'artère sylvienne droite en frontal pouvant correspondre à un thrombus intravasculaire. Polygone de Willis perméable. Pas de saignement intracrânien. IRM cérébrale le 01.04.2019: La séquence en axiale T2* montre une perte de signal dans la lésion ischémique du lobe frontal gauche en rapport avec une transformation hémorragique de l'AVC. Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux (sous thrombolyse) le 27.03.2019: Zone de dédifférenciation cortico-sous-corticale focale dans le territoire sylvien superficiel frontal gauche, en corrélation à la plage de restriction de diffusion visualisée en IRM, correspondant à une lésion ischémique aigue, sans signe de transformation hémorragique post-lyse. Pas de sténose significative des vaisseaux précérébraux ni d'occlusion vasculaire visible. Signes de surcharge sur les coupes passant par les apex pulmonaires. CT cérébral natif le 28.03.2019: Constitution d'une lésion ischémique du lobe frontal gauche sans transformation hémorragique. Echographie cardiaque transthoracique le 28.03.2019: Cardiopathie ischémique probable avec : • Dyskinésie de la paroi inféro-apicale et de la paroi antéro-apicale, une akinésie du septum apical, de la paroi latéro-apicale et de la paroi antérieure moyenne, une hypokinésie modérée de la paroi latérale moyenne et une hypokinésie minime de la paroi septale antérieure, du septum moyen et de la paroi latéro-basale. • FEVG à 35 %. • Géométrie normale du ventricule gauche. • Oreillette gauche modérément dilatée. • Au vu de la régionalité, une maladie coronarienne avec atteinte de l’IVA est fortement probable (DD: tako-tsubo, dysfonction fonctionnelle) • Une origine cardioembolique (FA ou thrombus intraventriculaire) est certaine. • L’aorte descendante démontre des plaques d’athéromatose. Echographie cardiaque transthoracique le 03.04.2019: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 30%. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Oreillette gauche modérément dilatée. Ventricule droit normal. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. HTAP modérée (PAPs à 53 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. CMD sur FA rapide: traité l’IC avec IEC ou Sartan et ralentir la FA avec Dilzem et si échec TEE pour CV. Laboratoire: cf. annexes IRM cérébrale (24.04.19): Fracture de l'os frontal connue, sans déplacement. Stabilité des hématomes sous-duraux du vertex et frontal droit ainsi que des hémorragies parenchymateuses frontales droites associées à une petite hémorragie sous-rachnoïdienne. Contusion parenchymateuse temporo-polaire droite. Images évoquant un petit cavernome pariétal gauche. On retrouve la dissection focale du segment V3 de l'artère vertébrale gauche difficilement datable, avec un axe vasculaire bien perméable. Echographie cardiaque transthoracique (25.04.19): Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de rétrécissement aortique. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Valve mitrale normale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique.L'examen du jour ne montre pas d'anomalie structurelle pouvant expliquer la possible syncope. EEG (24.04.19): EEG légèrement hors norme, mettant en évidence des dysrythmies intermittentes non irritatives au niveau bifrontal à prédominance droite, possiblement séquellaires au traumatisme crânien. Sur la base de l'anamnèse ciblée et de l'EEG de ce jour, on ne retient pas d'élément significatif en faveur d'une crise d'épilepsie inaugurale à la base de la chute, il faudra en premier lieu s'assurer qu'il ne s'agit pas d'un trouble cardiaque dans un contexte de traitement de SSRI et d'une consommation d'alcool légèrement plus élevée lors de l'événement. Pas d'indication à d'autre investigation sur le plan épileptologique pour le moment, pas d'introduction d'un traitement de manière prophylactique. Laboratoire: cf. annexes PET-CT le 15.04.2019: Mise en évidence d'une intense hypercaptation iléo-caecale, correspondant très probablement à la tumeur primitive, avec des métastases hépatiques et ganglionnaires abdominales. Mise en évidence de 3 petites hypercaptations hilaires pulmonaires gauches, costales postérieures gauches et iliaques droites, suspectes. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de néoplasie. Colonoscopie le 17.04.2019: forte suspicion pour un adénocarcinome légèrement sténosant du côlon ascendant séparé de la valve iléo-caecale. Laboratoire: cf annexes PET-CT (02.04.19): La lésion correspond, jusqu'à preuve du contraire, à un cancer bronchique du lobe supérieur droit, avec métastases pulmonaires, ganglionnaires, homolatérales, médiastinales et contralatérales, et au niveau supra-claviculaire gauche et abdominal rétropéritonéal. Laboratoire: cf annexes Radio thorax du 12.04.2019: silhouette cardio-médiastinale de taille et morphologie normales. Plages pulmonaires bien ventilées sans condensation ni nodule suspect. Pas d'épanchement pleural. Pas d'air sous les coupoles diaphragmatiques. Cadre osseux et tissus mous sans particularités. CT abdomino-pelvien du 12.04.2019: signes de pancréatite aiguë et de cholécystite, sans mise en évidence d'une cholécystolithiase ni de dilatation des voies biliaires intra- ou extra-hépatiques. Diverticulose calme sans signe de diverticulite. Pas de signe d'ischémie mésentérique. Ultason abdomen supérieur du 13.04.2019: pancréatite d'origine biliaire avec concrétions de calculs biliaires dans la vésicule biliaire, sans signe d'inflammation de cette dernière. La partie distale du cholédoque n'est pas analysable du fait du morphotype du patient, on ne note pas de dilatation des voies biliaires. Laboratoire: cf annexes. Radiographie de thorax: Étalement de la silhouette cardio-médiastinale en raison de l'apposition. Par rapport au comparatif, apparition de quelques réticulations bi-basalement discrètement plus marquées à gauche, broncho-aspiration? Status post-intubation endotrachéale avec extrémité distale du tube située à 2 cm de la carène. Status post mise en place d'une sonde naso-gastrique transitant par l'hiatus œsophagien, sans visualisation de son extrémité distale. Cadre osseux superposable. Laboratoire (cf. annexes) Radiographie des chevilles et calcanéus droit et gauche du 24.03.2019: Cheville droite: Les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Cheville gauche: Les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Échographie inguinale bilatérale le 26.03.2019 (Dr. X; Dr. X) Multiples ganglions dans la région inguinale bilatérale. Pas de collection. Pas d'infiltration liquidienne notable. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du bassin et de la hanche gauche : en confrontation avec le CT-Scanner du 10.10.2018, nous retrouvons un st/p double cerclage du grand trochanter gauche avec élément métallique en place, en position inchangée, intact. Volumineuse ossification supra-trochantérienne connue, sans évidence de déplacement secondaire. Séquelles d'ostéosynthèses calmes en projection du massif trochantérien. Avulsion crânialisation du petit trochanter. Coxarthrose bilatérale à prédominance supéro-externe. Compte tenu de l'ostéopénie, pas d'évidence de lésion traumatique récente surajoutée décelable. Nombreux clips chirurgicaux au niveau de la racine des cuisses et en projection du pli inguinal gauche après pontage aorto-bifémoral et intervention vasculaire, possible coiling à la bifurcation fémorale gauche (Dr. X). Laboratoire: cf annexes Radiographie du thorax du 06.04.2019: Comparatif du 8 novembre 2016. Les structures cardio-médiastinales se présentent normalement. Pas d'épanchement pleural. Le parenchyme pulmonaire ne présente pas d'opacité suspecte de foyer infectieux. Aspect cunéiforme de la vertèbre T9 en probable rapport avec un tassement ancien. CT cérébro-cervical du 06.04.2019: Absence d'argument pour une lésion traumatique cranio-cervicale. Absence d'hémorragie intracrânienne. Uncodiscarthrose pluri-étagée avec antélisthesis de C4 sur C5 d'allure dégénérative de grade Meyerding. CT abdominal du 08.04.2019: Examen compatible avec une procto-colite s'étendant jusqu'à l'angle colique gauche, sans signe de complication Laboratoire (cf annexes) Radiographie du thorax et CT-Scan thoracique natif et injecté du 28.03.2019 : Dilatation modérée du côlon évoquant un syndrome d'Ogilvie associé à une coprostase modérée. Dolichosigmoïde avec saut de calibre dans le flanc droit et distension sigmoïdienne, mais sans image classique pour un volvulus du sigmoïde. Absence d'air libre ou de liquide libre. Fracture récente du plateau supérieur de L2 sans recul du mur postérieur. ETT 29.03.2019: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. IP minime. Absence d'épanchement péricardique. Commentaire: L'examen du jour montre une fonction contractile segmentaire et globale normale. Pas de valvulopathie. Ad holter de 24 h. Laboratoire, cf annexes Radiographie du thorax le 18.04.2019: Comparatif: CT du 17 avril 2019. Comme sur le comparatif, on retrouve un infiltrat micronodulaire, de disposition miliaire, des deux plages pulmonaires, associé à une opacité basale du lobe supérieur droit, au contact de la grande et de la petite scissure. Pas de pneumothorax, ni d'épanchement pleural. Silhouette cardio-médiastinale de morphologie normale. Le cadre osseux et les tissus mous se présentent normalement. Laboratoire: cf annexes Radiographie du thorax le 30.03.2019: silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas d'élargissement médiastinal notable. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Spondylarthrose. Tassement connu de la vertèbre D8. Le reste du compartiment osseux se présente normalement.ETT le 01.04.2019 (Dr. X). ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction systolique normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime. Dysfonction diastolique minime (grade I). Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche discrètement dilatée. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Coronarographie le 02.04.2019 (Dr. X) : l'examen invasif du jour est tout à fait rassurant et démontre des artères coronaires athéromateuses sans lésion significative. Fonction systolique du VG normal, FEVG 60%. Laboratoire : cf annexes Radiographie du thorax le 30.03.2019 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas d'élargissement médiastinal notable. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Spondylarthrose. Tassement connu de la vertèbre D8. Le reste du compartiment osseux se présente normalement. Radiographie jambe droite du 02.04.2019 : pas de fracture. CT cérébro-cervical du 02.04.2019 : petites hémorragies sous-arachnoïdiennes et parenchymateuses temporo-pariétales gauches, associées à un hématome sous-galéal fronto-pariéto-occipital homolatéral, sans fracture des os du crâne. IRM cérébrale le 03.04.2019 : hémorragies sous-arachnoïdiennes bi-frontales et temporale gauche, stables depuis le CT. Pas de nouvelle lésion hémorragique. Pas de lésion disco-ligamentaire des vertèbres cervicales, ni de fracture des corps vertébraux. Hématome sous-galéal gauche. Laboratoire : cf annexes Radiographie main/poignet gauche du 18.03.2019 : tuméfaction des parties molles, notamment sur le versant ulnaire de la main. Fracture de la base de l'apophyse styloïde ulnaire consolidée. Importantes calcifications vasculaires parlant pour une angiopathie diabétique. Arthrose érosive intéressant, notamment les articulations IPP et IPD de l'index. Arthrose des articulations IPD. Pas de franche anomalie visible de l'articulation MCP 1. US articulaire du 19.03.2019, Dr. X (rhumatologie) : synovite grade 1 du poignet gauche, lame de liquide au niveau du premier compartiment des tendons (long abducteur et extenseur du pouce). Pas assez de liquide pour faire une ponction. Radiographie du poignet gauche du 20.03.2019 : interlignes articulaires réguliers, d'épaisseur conservée. Pas d'altération de la structure osseuse. Importantes calcifications vasculaires. Radiographie du bassin du 20.03.2019 : examen réalisé en position couchée. Coxarthrose bilatérale avec pincements articulaires, sclérose sous-chondrale, débords ostéophytaires et géodes. Le reste de la structure osseuse se présente normalement. Pour le reste, coprostase colique ascendante. Importantes calcifications vasculaires. Radiographie des genoux droit et gauche du 20.03.2019 : interlignes articulaires réguliers, d'épaisseur conservée. Pas d'altération de la structure osseuse. Importantes calcifications vasculaires. Pas d'argument pour une chondrocalcinose. CT-Scan avant-bras gauche injecté le 20.03.2019 (Dr. X) : volumineux abcès communicants entre eux (DD : pyomyosite ?) situés dans la musculature des extenseurs de la main et du poignet débutant à mi avant-bras se prolongeant sur une distance de 19 cm au total, avec atteinte de la musculature du thénar et au contact du tendon de l'extenseur du pouce. Absence de bulles d'air, sans qu'une fasciite nécrosante ne puisse être exclue. Pas de signes d'ostéomyélite. Radiographie du thorax du 24.03.2019 (post-mise en place VVC) : comparatifs du 23.11.2018. Par rapport aux comparatifs, status post mise en place d'une VVC jugulaire interne droite se terminant en projection de la jonction cavo-atriale. Pas d'image de pneumothorax ou de pneumomédiastin. Apparition d'un émoussement du récessus costo-diaphragmatique gauche ainsi qu'une opacité rétro-cardiaque pouvant correspondre à un épanchement avec atélectasie associée. Le reste du status est superposable. US de l'avant-bras gauche du 01.04.2019 : collection sur le versant radial de la cicatrice pouvant correspondre à un hématome ou un sérome, une origine infectieuse ne peut pas être formellement exclue. Persistance d'une collection le long de la cicatrice avec extension le long de l'extenseur radial du carpe (court et long) pouvant rentrer dans le cadre du status post-opératoire. Laboratoire : cf annexes Recto-sigmoïdoscopie (15.04.2019) : image typique avec une récidive de maladie de Crohn. Possible colite pseudo-membraneuse. Biopsies rectales et coliques (15.04.2019) : colite subaiguë et chronique, active, folliculaire, ulcéreuse, d'intensité sévère avec de nombreuses images cryptiques, d'abcess cryptiques, de destruction glandulaire, de perturbation architecturale avec un aspect régénératif. Rx thorax (23.04.2019) : comparatif du 14 janvier 2016. La petite image nodulaire précédemment décrite en projection de l'arc postérieur de la 6ème côte à droite n'est pratiquement plus visible actuellement et on ne visualise qu'une petite réticulation. Pas de nouvelle image nodulaire suspecte en projection du parenchyme pulmonaire. Pas d'épanchement pleural. Silhouette cardiomédiastinale dans la norme. Reste du status superposable. Laboratoire : cf annexes Rx bassin, hanche et cuisse droite le 28.03.2019 : matériel d'ostéosynthèse en place. On retrouve par ailleurs des fractures d'avulsion du petit trochanter à droite, sans déplacement significatif sous réserve d'incidences différentes. Pas de nouvelles fractures. Le reste de l'examen est superposable. Laboratoire : cf annexes Rx bassin, hanche gauche du 27.03.2019 : pas de déplacement de la fracture de la branche ischio-pubienne et du cotyle à gauche. Pas de nouvelle fracture visible. S/p mise en place de deux PTH en position inchangée. Rx colonne lombaire du 27.03.2019 : fracture-tassement biconcave de L4 avec perte de hauteur estimée à environ 40 % dans sa partie centrale, sans recul du mur postérieur, globalement stable par rapport au CT-scan de 2017. Fracture-tassement du plateau supérieur de L2 avec perte de hauteur du mur antérieur estimée à 20 %, sans recul du mur postérieur, globalement stable par rapport à 2011. Fracture-tassement du plateau supérieur du L1 avec perte de hauteur estimée à 60 % dans sa partie centrale, sans recul du mur postérieur. Tassement du plateau supérieur de D12, sans perte de hauteur significative ni recul du mur postérieur. Remaniements dégénératifs pluri-étagés du rachis.Laboratoire: cf annexes Rx jambe droite le 26.03.2019: ne permet pas de visualiser une atteinte osseuse CT scanner jambe droite le 26.03.2019: Abcès sous-cutané de la face interne du tibia de 4 cm au grand axe IRM jambe gauche du 28.03.2019: pas de signes d'ostéomyélite Laboratoire: cf. annexes Rx thorax du 03.04.2019: En comparaison avec l'examen du 7 mars, insuffisance cardiaque décompensée avec apparition d'une redistribution vasculaire baso-apicale et d'un net épanchement pleural à droite à l'origine de troubles ventilatoires en regard. Stabilité de l'épanchement pleural à gauche. Cardiomégalie, pacemaker et status post-sternotomie connus. Le reste de l'examen est inchangé. Laboratoire: cf. annexes Rx thorax du 06.03.2019: Status post-sternotomie avec rupture des deux cerclages supérieurs. Silhouette cardiaque de morphologie normale. Sclérose de l'aorte thoracique. Pas de signe de décompensation cardiaque. Hétérogénéité de la trame parenchymateuse pulmonaire dans le cadre d'un emphysème pulmonaire connu avec remaniements pleuro-parenchymateux bi-apicaux et dans la partie postérieure du culmen, globalement superposables au comparatif. Pas de franche nouvelle opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Rx thorax du 14.03.2019: St/p sternotomie, avec fracture connue des deux cerclages crâniaux. Stabilité en taille de la silhouette cardio-médiastinale avec déroulement athéromateux de l'aorte. Hiles pulmonaires proéminents des deux côtés. Absence de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Discret émoussement des récessus costo-diaphragmatiques des deux côtés, dans le cadre d'un emphysème, compatible avec des adhérences diaphragmatiques. Épaississement de la trame pulmonaire avec infiltrat rétro-cardiaque à gauche, avec mise en évidence de bulles d'emphysème en projection, compatible avec un foyer débutant. Plage pulmonaire droite sans foyer constitué. Cadre osseux et tissus mous sans changement par rapport aux comparatifs. Rx genou droit du 14.03.2019: Trame osseuse légèrement ostéopénique. Discret pincement de l'interligne du compartiment médial. Absence d'ostéophyte ou de sclérose sous-chondrale. Absence de lésion osseuse focale d'ostéolyse. Importante athéromatose calcifiée des axes vasculaires. Présence de plusieurs clips dans les tissus mous. Discret épanchement intra-articulaire. Enthésopathie débutante à l'insertion du tendon quadricipital. Laboratoire: cf. annexes Rx thorax du 27.03.2019: S/p mise en place d'une PICC Line à droite, de position correcte et inchangée. On retrouve les opacités lamellaires en sur-projection de la base pulmonaire gauche, compatible avec des atélectases en bande. Absence d'opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. Absence d'épanchement pleural. Le reste de l'examen est superposable au comparatif. CT sinus et thoraco-abdomino-pelvien natif et injecté du 01.04.2019: Infiltration des tissus mous péri-anaux notamment à droite du pli interfessier en rapport avec la dermo-hypodermite connue chez la patiente. On retrouve quelques comblements bronchiques intéressant notamment la pyramide basale gauche avec quelques troubles ventilatoires en distalité mais sans foyer infectieux notable. Laboratoire: cf annexes Rx thorax F: Examen réalisé en position couchée et en incidence AP. Silhouette cardio-médiastinale dans la norme. Pas d'image pathologique en projection des plages pulmonaires. Pas d'épanchement pleural. L'examen du cadre osseux est sans particularité. Laboratoire: cf. annexes Rx thorax face le 29.03.2019: Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax sous réserve de la position. Le compartiment osseux se présente normalement. Laboratoire: cf annexes Rx thorax F/P le 29.03.19: Status post-sternotomie avec cerclages inchangés. La silhouette cardio-médiastinale est actuellement de taille normale. Status post-mise en place d'un pacemaker bicaméral avec sondes intègres et connectées au boîtier. Pas d'image de pneumothorax ou de pneumo-médiastin. Diminution des infiltrats alvéolo-interstitiels bilatéraux qui ont quasi disparu du côté gauche. Émoussement des récessus costo-diaphragmatiques parlant pour des épanchements pleuraux. Le reste de l'examen est superposable. Laboratoire: cf annexes Rx thorax le 04.04.19: On retrouve une cardiomégalie sans signe franc de décompensation cardiaque. On retrouve également une importante surélévation de la coupole diaphragmatique droite inchangée. Pas de foyer pulmonaire constitué et pas d'épanchement pleural. Le reste du status est superposable. Laboratoire: cf annexes Rx thorax le 30.03.19: On retrouve un status post-mise en place d'un pacemaker bicaméral en position prépectoral gauche, avec sondes intègres et connectées au boîtier. Apparition d'un épanchement pleural bilatéral, plus marqué du côté gauche, avec troubles ventilatoires au contact. À noter qu'une surinfection en base gauche ne peut être totalement exclue sur cet examen. Pas de foyer infectieux clairement visible dans le reste du parenchyme pulmonaire. Laboratoire: cf annexes Rx Thorax 04.04.2019: Par rapport au comparatif, status post-remplacement du boîtier du pacemaker en position prépectoral gauche et rajout d'une sonde. Les sondes sont intègres et connectées au boîtier. Pas d'image de pneumothorax ou de pneumomédiastin. Silhouette cardio-médiastinale inchangée. Pas d'image pathologique en projection des plages pulmonaires et pas d'épanchement pleural. Le reste de l'examen est superposable. Laboratoire: cf. annexes. Sédiment urinaire: cf. annexes. Uro-CT-Scanner : en raison d'un problème technique le rapport correct a été perdu. Il y a un calcul radio-opaque de 5 mm à la jonction urétéro-vésicale droite avec discrète ectasie des voies urinaires en amont (diamètre antéro-postérieur du pyélon mesuré à 11 mm), sans signe de complication. Apparition d'un petit calcul caliciel non obstructif de 2.5 mm du groupe supérieur du rein droit. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Test de grossesse: négatif. Laboratoire: cf. annexes. Sédiment urinaire: leuco 21-40, ery 6-10. Urotube: CT-scan de la colonne lombaire le 16.04.2019: Discarthrose étagée, essentiellement en L1-L2 et L2-L3. Arthrose interfacettaire lombaire basse étagée. Pas d'image de tassement vertébral. Nodules de Schmorl étagés, essentiellement en L2, L3 et L4. IRM lombaire le 17.04: Aspect d'une spondylodiscite à l'étage L1-L2 avec infiltration inflammatoire des tissus mous péri-vertébraux. Pas de véritable collection abcédée de taille significative. ETT du 18.04: examen de qualité médiocre limitée par l'obésité, une endocardite ne peut pas être exclue sur la base de cet examen. FEVG 70%. CT scan thoraco-abdo injecté du 20.04: Présence d'abcès au niveau des muscles psoas: à gauche abcès de 130 mm au niveau L2-L5, à droite abcès de 19 mm au niveau de L2. Pas d'autres abcès. Présence d'un calcul dans l'uretère proximal à droite de 5-6 mm. Aorte pas touchée par l'inflammation. Laboratoire: cf annexes Ultrason abdominal du 09.04.2019: volumineuse collection abdominale basse au-dessus de la vessie, compatible avec un abcès, possiblement sur appendicite perforée. L'appendice n'est cependant pas visualisé. CT abdominal du 09.04.2019: examen compatible avec une appendicite perforée avec abcès au contact de la pointe de l'appendice. CT abdominal du 15.04.2019: status après drainage d'abcès pelvien à droite avec drain en position correcte, inchangée, et mise à plat de la collection. Pas d'autre collection suspecte d'abcès mise en évidence. Régression du liquide libre dans le pelvis, mais discrète majoration d'une lame de liquide libre au contact du segment VI hépatique. Le reste de l'examen est inchangé.Laboratoire: cf. annexes Ultrason abdominal du 19.04.2019: appendice de 9mm, infiltration de graisse et filme lame de liquide Histologie: cf annexes Laboratoire: cf. annexes Ultrason abdominal du 19.04.2019: appendicite aiguë Histologie: cf. annexes Laboratoire: cf. annexes Urines: cf. annexes Uricult: cf. annexes Hémocultures: cf. annexes Laboratoire: cf. copie. Laboratoire: cf. copie ECG Laboratoire: cf. copie. ECG: RSR, normocarde 59bpm, normoaxé, QRS fin, pas de trouble de la repolarisation. Laboratoire: cf. copie Echographie abdominale (Dr. X): Examen non contributif au vu du morphotype Laboratoire: cf. copie Echographie abdominale (Dr. X): Examen non contributif au vu du morphotype. Laboratoire: cf. copie Echographie abdominale (Dr. X): Appendice semblant être visible en fosse iliaque droite de diamètre à la limite de la norme. Pas de liquide libre. Pas d'adénopathie. Annexe droite sans particularité. Annexe gauche non visualisée. Echographie endovaginale en gynécologie: Pas de torsion de kyste ou d'autre explication gynécologique aux douleurs. Laboratoire: cf. copie Echographie abdominale (Dr. X): Appendice semblant être visible en fosse iliaque droite de diamètre à la limite de la norme. Pas de liquide libre. Pas d'adénopathie. Annexe droite sans particularité. Annexe gauche non visualisée. Echographie endovaginale en gynécologie: Pas de torsion de kyste ou d'autre explication gynécologique aux douleurs. Laboratoire: cf. copie MMS 30/30 test de la montre 5/6 GDS 1/15 (14.03.2019) ECG le 15.03.2019: RSR 61/min, PR limite 198ms, axe normal, pas de trouble de la repolarisation, QTc 463 ms Laboratoire: cf. copie MMS/GDS le 25.03.2019: MMS test 29/30 points, Clock test 0/6 points, GDS Test 2/15 points. MoCA le 28.03.2019: 22/30 points. Scintigraphie pulmonaire ventilation et perfusion le 26.03.2019: Mise en évidence d'une amputation perfusionnelle du segment postérieur du lobe supérieur droit, compatible avec une embolie pulmonaire. Absence de signe indirect d'hypertension pulmonaire. Rx thorax le 05.04.2019: légère cardiomégalie. Pas d'épanchement, pas de signes de décompensation cardiaque. Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de min. 14 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus en raison d'une embolie pulmonaire. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 25 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 17/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 70/25 MMS/CLOCK 29/30 - 0/6 GDS 2/15 Evaluation sociale (5 domaines) 26.03.2019 Colloque interdisciplinaire 1 27.03.2019 Colloque interdisciplinaire 2 03.04.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 20/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 81/29 Laboratoire: cf. copies annexées. Frottis de grippe: négatif. Culture d'expectorations: Moraxella catarrhalis ++, Rothia mucilaginosa ++, Leucocytes +++ Hémocultures: négatives. ECG du 01.03.2019: rythme sinusal irrégulier à 75/min, QRS fins, normoaxé à 76°, QTC à 411 ms, pas de signe d'ischémie. ECG du 25.03.2019: rythme sinusal irrégulier à 85/min, QRS fins à 90 ms, axe 82°, QTC 412 ms, pas de signe d'ischémie. RX thorax du 13.02.2019: aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Aorte déroulée et calcifiée. Foyer de condensation sus-hilaire à gauche, d'allure rétractile, ancien. Aspect désorganisé de la trame bronchovasculaire. Comblement des culs de sac costo-diaphragmatique de façon bilatérale. RX thorax du 01.03.2019: On retrouve le foyer de condensation rétractile au niveau de l'hémichamp pulmonaire supérieur gauche. Aspect très désorganisé de la trame broncho-vasculaire en rapport avec les séquelles de BPCO. Aplatissement de la coupole diaphragmatique. Aspect irrégulier de la trame broncho-vasculaire et des contours du cœur. RX thorax du 06.03.2019: aspect distordu du parenchyme pulmonaire de façon bilatérale. Régression modérée de l'épaississement de la trame broncho-vasculaire par rapport à la radiographie du 01.03.2019. Minime épaississement du cul-de-sac costo-diaphragmatique. RX thorax du 20.03.2019: signe de distorsion péri-bronchovasculaire bilatérale avec lésion rétractile connue de l'hémichamp pulmonaire gauche. Aplatissement des coupoles diaphragmatiques. Aspect irrégulier des contours du cœur. Emoussement du cul-de-sac costo-diaphragmatique de façon bilatérale. RX thorax du 21.03.2019: distorsion péri-bronchovasculaire bilatérale. Emoussement du col distal costo-diaphragmatique. Status post-mise en place d'une sonde nasogastrique. Aspect irrégulier des contours du cœur. CT scan thoraco-abdominale du 15.02.2019: par rapport au comparatif du 13.11.2018, on constate une petite régression de la masse tumorale sus-hilaire gauche, mais l'on constate l'apparition de multiples infiltrats alvéolaires au niveau du lobe moyen et du lobe inférieur droit, compatibles avec des foyers de bronchopneumonie, à confronter avec la clinique. Par ailleurs, pas de métastase visualisée aux étages thoracique et abdominal. CT scan thoracique natif et injecté du 01.03.2019: régression des foyers de condensation sous-pleuraux du lobe inférieur droit. Pas de signe de progression tumorale. Pas de nouvelle lésion suspecte décelable ce jour. Laboratoire: cf. copie Tests cognitifs le 14.03.2019: MMS 17/30, test de la montre 3/6, GDS 2/15 ECG le 15.03.2019 rythme sinusal régulier 84/min, PR 132ms, QRS fin, axe normal, pas de trouble de la repolarisation Doppler membre inférieur droit le 15.03.2019: petite thrombose d'une veine du muscle gastrocnémien, pas de thrombose veineuse profonde. CT abdomino-pelvien injecté le 18.03.2019: pas de thrombose veineuse profonde. Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de min. 14 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus en raison d'une pancréatite aiguë et d'un diabète décompensé. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 24 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires.Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 17/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 53/26 MMS/CLOCK 17/30 • 3/6 GDS 2/15 Evaluation sociale (5 domaines) 15.03.2019 Colloque interdisciplinaire 1 20.03.2019 Colloque interdisciplinaire 2 27.03.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 24/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 79/28 Laboratoire: cf copie. Urines: cf copie. CT abdominal low dose (transmission orale Dr. X): calcul à la jonction vésico-urétérale de 4x4x5mm, dilatation pyélocalicielle à 15mm, et urétéral 6mm. Laboratoire: cf. copie. Urines: cf. copie. Radiographie thorax F: absence de pneumothorax ou d'épanchement. Echographie ciblée abdomen (Dr. X): • Pas de liquide libre, pas de dilatation pyélo-calicielle, aorte de calibre normal, vessie pleine. • Pas de pneumothorax, pas d'épanchement, doute sur une fracture de côte 5 non déplacée. • FEVG visuellement conservée, pas d'épanchement péricardique, veine cave inférieure sans particularité. Laboratoire: cf copie Urines: Leucocyturie, bacteriurie ECG rsr absence de S1 DIII T3<0 atypique Echographie ciblée urgences (Dr. X) • Veines compressibles au niveau fémoral et poplité • Pas de dilatation des cavités droites, bonne cinétique segmentaire, absence de septum paradoxal, VCI compliantes CT thoracique injecté (transmission orale): pas d'EP, adénopathie thoracique aspécifique. Pas de contrôle nécessaire si asymptomatique. Laboratoire: cf copie Urines: propres CT cérébral injecté: Laboratoire: cf. dossier ECG: rythme sinusal et régulier à 80/min, axe QRS à 40*, PR 180 ms, QRS 80 ms, QTc 443 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique Laboratoire. Cf. annexes. Sédiment urinaire. Uro-CT. Avis Dr. X (chirurgie). Traitement anti-inflammatoire et par Tamsulosine avec filtrage des urines. Contrôle chez son médecin traitant en début de semaine prochaine pour un contrôle clinique. Consultation avant si péjoration clinique. Laboratoire: cf en annexe Laboratoire (chez le médecin traitant) : détection de vérotoxines positives. Avis infectiologique téléphonique (Dr. X) : les vérotoxines sont souvent des faux négatifs, une symptomatologie qui dure depuis 4 semaines est peu compatible avec une origine bactérienne, il faut rechercher des parasites dans les selles. Recherche de parasites sur 3 jours différents, les tubes ont été donnés à la patiente, le médecin traitant a été mis en copie des résultats. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Laboratoire: cholestérol total 3.3 mmol/l, LDL cholestérol 1.57 mmol/l, HbA1c 6.8 % IRM cérébrale protocole "time is brain" le 27.03.2019 Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux (sous thrombolyse) le 27.03.2019 CT cérébral natif le 28.03.2019 IRM cérébrale le 02.04.2019 Echographie cardiaque transthoracique le 28.03.2019 Bilan neuropsychologique le 01.04.2019 Aspirine du 29.03.2019 au 30.03.2019 Eliquis 2.5 mg 2x/j dès le 31.03.2019 Projet général: demande de réhabilitation neurologique intensive soumise à Meyriez le 28.03.2019 Capacité à la conduite à réévaluer à la sortie de la neuroréhabilitation intensive. Consultation neurovasculaire de contrôle le 24.07.2019 à 14h30 Laboratoire: cholestérol total 3.9 mmol/l, LDL cholestérol 2.12 mmol/l, HbA1c 5.3 % Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 31.03.2019 CT cérébral natif le 10.04.2019: majoration de l'oedème péri-lésionnel par rapport au comparatif du 30.03, avec déviation de la ligne médiane de 4 mm sur le ventricule droit. IRM cérébrale 02.04.19 Examen neurosonologique le 01.04.2019 (rapport oral): absence de dissection carotidienne, athéromatose significative de la carotide interne droite. Echographie cardiaque transthoracique le 01.04.2019: absence de FOP Holter sur 72 heures du 10.04. au 12.04.19 Bilan neuropsychologique: absence de collaboration et anosognosie rendent examen impossible. Patient sera revu lors d'amélioration. Pas de conduite, à réévaluer après réadaptation. Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 31.03.2019 au 02.04.2019, puis non monitoré dès le 02.04.2019 Dose de charge en Aspirine cardio 500 mg IV puis Plavix 75 mg 1x/j Consultation neuro-vasculaire de contrôle le 09.07.2019 à 11h NRHI à Meyriez le 23.04.19 Laboratoire: CK à la baisse, hydratation, pas de contrôle nécessaire. Laboratoire. Critères de reconsultation expliqués au patient. Antalgie. Laboratoire: CRP < 5 mg/l, leucocytes 7.5 G/l. Laboratoire: CRP à 116 sans leucocytose. Sédiment urinaire: propre. Echographie ciblée abdomen (Dr. X). Antibiothérapie par Levofloxacine et antalgie. Suite de prise en charge chez urologue traitant. Recommandation de consulter en cas de péjoration de la clinique. Laboratoire: CRP à 162 mg/l, leucocytose à 17.4 G/l Analyses urinaires: bactériurie avec leucocyturie, nitrites positif ECG Urotube: germes <10E3 Radiographie de thorax: pas de franc foyer pulmonaire visualisé. US abdominal (Dr. X): pas de dilatation pyélo-calicielle. CT abdominal le 07.04.2019 (non injecté au vu de fonction rénale): épaississement d'allure tumoral de la paroi latérale droite de la vessie. Liquide libre dans l'espace rétro-vésical prédominant à droite en quantité significative. Structure relativement spontanément hyperdense sus-pubien et pré-vésical non caractérisable sans injection IV Rocéphine 2 g iv 1x/j du 05.04 au 07.04.2019 Pipéracilline-Tazobactam 4.5 g (adapté à fonction rénale) du 07.04 au 12.04.2019 Laboratoire: CRP à 200, PCT à 2.6 Radiographie du Thorax, le 23.04.2019 Sédiment urinaire Antibiothérapie par Co-Amoxiciline 2.2g IV Laboratoire: CRP à 25, Leuco 8.9. Laboratoire: CRP à 29 mg/l, Neutrophile à 9.6 G/L. Urotube: leuco +, bactéries +, sang +++. Laboratoire: CRP à 348 mg/l, leucocytose à 20 G/l avec neutrophilie Analyses urinaires: pas d'infection urinaire Radiographie de thorax CT thoraco-abdomino-pelvien: abcès rénal de 10X10 cm Avis chirurgical (Dr. X) Hospitalisation en chirurgie pour drainage percutané par radiologie interventionnelle le 28.04.2019 A jeûn Antibiothérapie par Co-amoxicilline 2.2 g iv 3x/j + Gentamycine 300 mg iv par 48h (à réévaluer selon la clairance) Laboratoire: CRP à 60, leuco à 16 ECG: tachycardie atriale multifocale avec FC Radiographie de thorax Gazométrie artérielle Aux urgences: • aérosols Atrovent et Ventolin x1 • Prednisone 50mg • Rocéphine 2gr • Klacid 500mg Attitude: • hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge Laboratoire: CRP à 63, sans leucocytose Sédiment urinaire, le 20.04.2019: Leucocyturie 2 paires d'hémocultures, le 20.04.2019: 1 sur le PAC, 1 en périphérie, en cours le 22.04 Urotube, le 20.04.2019: Enteroccocus Faecalis Hydratation IV Antibiothérapie par Ceftriaxone 2g IV du 20.04 au 22.04 Co-amoxicilline 1g PO du 22.04 au 01.05.2019 Laboratoire: CRP à 68mg/l, pas de leucocytose. Laboratoire: CRP à 79 mg/l sans leucocytose Fenêtre thérapeutique actuellement sans antibiotique Suivi biologique et clinique Hospitalisation en médecine interne Laboratoire: CRP en péjoration à 78 mg/l (21 la veille), leucocytose à 14 g/l (13.2 la veille), test malaria négatifs. Streptotest: négatif. Laboratoire: CRP 100, Lc 14, crase sp. CT injecté au CIF le 12.04.2019: Récidive de diverticulite aigüe sigmoidienne moyenne sur environ 5cm de longueur avec complication par une perforation couverte dans une collection du mésosigmoide de 5x2x1.5cm. Pas d'appendicite aigüe. Consilium chirurgical (Dr. X): Traitement conservateur par Tazobac, suivi clinique et biologique journalier, garder à jeûn. Aux urgences: • Piperacilline et Tazobactam IV 4500mg Attitude: • Poursuite Tazo Bac (probablement même diverticulite que janvier, mal traitée sous cipro/flagyl) • Antalgie simple • A jeun • Suivi clinique et biologique quotidien Laboratoire: CRP 110, leucocytes 11 G/L ECG: RSR normocarde. Extrasystole supraventriculaire. BBD incomplet connu. RX thorax CT-cérébral le 05.04.2019: Petit hématome sous-galéal pariétal postérieur paramédian droit, sans fracture mise en évidence. Pas de saignement intracrânien. ETT 08.04.2019 (Dr. X): FEVG à 65 %. Rétrécissement aortique très serré. Surface aortique à 0,52 cm² (0,32 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 35 mmHg. Insuffisance aortique physiologique (grade 0 à 1/4). Holter de 24h du 05.04.2019: en cours Discussion avec la patiente et le fils le 08.04.2019: patiente très au clair sur situation, refuse risques liés à intervention, souhaite privilégier la qualité de vie Beloc-zok majoré le 09.04.2019 Laboratoire: CRP 16 mg/l, Lc 11.2 G/l. Urines: propres. CT thoraco-abdominal: augmentation des thromboses veineuses mésentériques supérieures et apparition de thrombose au niveau de la veine gastrique gauche, thromboses obstruant partiellement la lumière, pas de signe d'engorgement, pas d'iléus, pas d'air ni de liquide libre, métastases pulmonaires stables, pas de carcinose péritonéale. Avis oncologique (Dr. X): stop Xarelto, relais par Clexane thérapeutique, poursuivre jusqu'au RDV de suivi en oncologie le 30.04.2019. Clexane 100 mg aux urgences. Antalgie. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter. Laboratoire: CRP 16 mg/l, Leucocytes 17 G/l avec déviation à gauche, Hb 116 g/l. Laboratoire: CRP 300 mg/l, LDH 1245 U/L CMV dans la moelle 490 copies/ml, CMV sang périphérique: 300 copies/ml Radiographie de thorax du 11.02.2019 CT thoraco-abdominal du 12.02.2019 CT thoraco-abdominal du 18.02.2019 PET-CT le 19.02.2019 CT abdominal le 12.03.2019 CT abdominal le 20.03.2019 CT abdominal le 14.04.2019 Biopsie sous CT le 13.02.2019: Promed (P2019.1861) Lymphome à cellule B matures de haut grade, histomorphologiquement avec des blastes de moyenne à grande taille, avec haute fraction de cellule en prolifération (Ki67>90%) ainsi qu'avec infiltration focale de faisceaux de musculature striée. Ponction biopsie de moelle le 14.02.2019 Suivi oncologique (Dr. X) Avis hématologique (Dr. X) Avis anesthésique pour gestion des douleurs Avis psycho-oncologique Dexaméthasone du 19.02.2019 au 16.04.2019 avec schéma dégressif Allopurinol du 19.02 au 14.04.2019 Adaptation i.v. et p.o. des diurétiques Morphine iv continue du 25.02 au 27.02.2019 Prégabaline du 26.02 au 14.04.2019 Saroten du 26.02 au 14.04.2019 Lidocaïne 200 mg iv le 26.02 et 220 mg le 12.03.2019 Hydromorphone i.v. et p.o. du 04.03 au 16.04.2019 avec adaptation des doses Kétamine i.v. continue du 12.03 au 02.04.2019 Neurodol patch dès le 13.03.2019 Rivotril i.v. en réserve Sonde naso-gastrique de décharge du 14.04 au 16.04.2019 5 culots plaquettaires péri-geste le 13.02.2019 au 20.3.2019 3 Culot érythrocytaire le 20.02.2019 au 28.03.2019 Neupogen 30mio du 15 au 19.03.2019 Chimiothérapie par Gemzar 1500 mg iv 1x le 08.03.2019 Immunothérapie le 29.03.2019 (Rituximab et Polatuzumab) Décès le 16.04.2019 à 16h Laboratoire: CRP 300 ng/l, LDH 1245 U/L Hémocultures à chaud le 11.02.2019 et 18.02.2019: négatives à J5 Sédiment urinaire: propre Frottis de grippe: négatif Radiographie de thorax du 11.02.2019 CT thoraco-abdominal du 12.02.2019: Foyers infectieux pulmonaires débutants. CT thoraco-abdominal du 18.02.2019: Présence d'une atélectasie partielle du lobe inférieur gauche avec apparition de quelques comblements bronchiques ainsi que des zones d'hypoperfusion pouvant parler pour une surinfection. Avis infectiologique (Dr. X/Dr. X): couvrir pour piste pulmonaire, durée de traitement: 10 jours, stéroïdes ok Médicament: • Céfépime du 12.02.2019 au 22.02.2019 • Klacid du 12.02.2019 au 13.02.2019 Laboratoire: CRP 34, leuco 15.8 Stix et sédiment urinaire US abdominal (Dr. X): examen de mauvaise qualité chez patiente corpulente et enceinte, appendice non visualisé, multiples adénopathies, pas de liquide libre, dilatation pyélo-calicielle droite de 14 mm Avis chirurgical (Dr. X): ad hospitalisation en gynécologie et IRM demain pour suspicion d'appendicite Aux urgences: • Co-amoxicilline 2.2 g i.v Attitude: • hospitalisation en gynécologie • demande IRM envoyée, suite de prise en charge par chirurgie Laboratoire: CRP 50 mg/l, leucocytes 3.7 G/l. Ultrason du système urogénital du 24.04.2019: les 2 reins sont de taille normale, de contours réguliers, bien différenciés. Pas de dilatation des cavités rénales. Pas d'image de calcul au niveau rénal de façon bilatérale. La vessie est à parois fines, à contenu homogène. Pas de liquide libre en intra-péritonéal. L'ovaire D est visible folliculaire. L'ovaire G est caché par un écran gazeux. Appendice non visible. CONCLUSION: US de l'appareil urinaire sans anomalie. (Dr. X) Laboratoire: CRP 6 mg/l, Lc 4.6 G/l. US abdominal le 13.04.2019: appendice pas visualisé, pas de signe indirect pour une appendicite, ganglions millimétriques, liquide libre physiologique, beaucoup d'air au niveau du caecum, pas d'invagination. Consilium chirurgical (Dr. X): US abdominal, au vu de l'US, du laboratoire et de la clinique, pas d'argument pour un CT abdominal, probable coprostase, donner un grand lavement à la patiente à faire à domicile et la revoir pour discuter de l'effet du grand lavement et suivi des douleurs. Rendez-vous de suivi au secteur ambulatoire des urgences le 14.04.2019 pour le suivi de l'effet des lavements et suivi clinique. La patiente va prendre un document de son gastro-entérologue lors de la consultation. Laboratoire: CRP 94 mg/l, leucocytose à 11 G/l. D-dimères à 16000 ng/ml. Hb 108 g/l. Analyses urinaires: pas d'infection urinaire, ni de microhématurie. ECG: tachycardie sinusale US veineux ciblé (Dr. X): pas de TVP au niveau fémorale, poplitée, tib. post et péronéenne. US cardiaque ciblé (Dr. X): pas de dilatation des cavités droites. Angio-CT thoracique: EP centrale D et segmentaire G avec foyer sur infarctus pulmonaire au niveau du lobe inf. D et G. ATT: • Introduction de clexane thérapeutique: 2x 60 mg sc • Hospitalisation en médecine interne pour surveillance et antalgie • consultation gynécologique pour contrôle du bébé Laboratoire: CRP Hémoculture 2 paires à froid : A pister Radiographie jambe droite CT jambe droite: Signe de dermohypodermite avec thrombose veineuse septique saphène Avis Orthopédie (Dr. X): Débridement Antibiothérapie IV: Co-Amoxicilline 2.2 g IV Anticoagulation par Clexane thérapeutique Hospitalisation: • Consilium Angiologie : US des membres inférieurs • Consilium Cardiologie : ETT • Consilium Infectiologie : adaptation d'antibiothérapie selon FdR (injection drogue IV) Laboratoire CT abdominal injecté le 26.03.2019 Antibiothérapie par Tazobac du 26.03.2019 au 28.03.2019, relais per os par Ciproxine et Flagyl jusqu'au 09.03.2019 Laboratoire. CT scan abdominal. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv le 06.03.2019, puis 1 g iv dès le 07.03.2019 • Métronidazole 500 mg 3x/j du 06 au 08.03.2019 • Tazobac 2,25 g 3x/j du 08 au 15.03.2019. Retrait thérapeutique/soins de confort. Laboratoire. CT scan cérébral. Dexaméthasone 20 mg en ordre unique le 22.03.2019 puis 8 mg/j. Suivi glycémique. Pantozol 40 mg. Sonde urinaire de confort du 21 au 24.03.2019. Séjour de reclassement dans l'attente d'une place en EMS. Laboratoire. CT scan cérébral le 25.04.2019. Hydratation. Reprise et majoration du Duphalac. Konakion 10 mg le 24.04.2019. Benerva 300 mg le 24.04.2019. Suivi hémoglobine. Laboratoire CT scan Thoraco-Abdominale le 25.04 (Dr. X): À l'étage abdominal, apparition d'une infiltration du hile hépatique, du rétropéritoine, d'une lame de liquide libre péri-hépatique, d'un oedème péri-portal, de troubles de perfusion hépatique associés à une prise de contraste des voies biliaires (hépatite ? cholangite ?). Majoration de taille du nodule péritonéal de 13 à 24 mm. Pas de dilatation selon Dr. X cholangite mais sans signe d'obstruction ad hospitalisation en médecine après discussion avec Dr. X et Dr. X Aux URG: Rocéphine 2g Metronidazole 500mg 3x/j Durée AB IV à discuter selon évolution Discuter sérologie hépatites selon évolution Reprise alimentation selon clinique/douleurs abdominales Laboratoire. CT-Scan cérébral et colonne cervicale : pas de fracture visualisée, pas de saignement. Retour à domicile. Antalgie standard. Informations et consignes de gravité sur les TCC légers communiqués. Laboratoire: CT-scanner thoraco-abdominale du 17.04.2019 (Dr. X): • Caecum mobile positionné dans le petit bassin, montrant un épaississement tumoral jusqu'à 15 mm d'épaisseur sur une longueur estimée à 5 cm. • Suspicion d'invasion tumorale de la graisse adjacente dans l'espace périrectal, avec contact intime avec la paroi antérieure du rectum à corréler à une IRM. • Adénopathies mésentériques métastatiques. • Embolies pulmonaires bilatérales, lobaires inférieures et supérieures du côté droit, s'étendant dans 3 segments, et segmentaire antéro-basale dans le LIG Attitude: • hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge • introduit anti-coagulation thérapeutique par Clexane au vu de la notion de saignement gastro-intestinal d'origine tumorale Laboratoire. Culture de selles. Hydratation. Laboratoire Culture de selles pour recherche C. difficile Avis Gastro-entérologie (Dr. X) Att: • Hospitalisation en médecine • Recto-sigmoïdoscopie ce jour, puis réévaluation de l'introduction de Prednisone 60mg/j selon OM Dr. X • Pister résultats C. Difficile • Faire Stix et sédiment urinaire dès que possible (Mr. Y n'a pas uriné aux urgences) Laboratoire. Culture d'expectorations. ECG. RX thorax. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Oxygénothérapie à 1 litre/minute. Antalgie par Tramal 50 mg en réserve. Prednisone 40 mg per os pendant 5 jours, stop le 29.04.2019. Antibiothérapie par co-amoxicilline 625 mg per os 1x/j (dose adaptée à la fonction rénale). Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Culture d'expectorations. ECG. RX thorax. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Prednisone 50 mg per os 1x/j du 08 au 09.04.2019. Augmentation du Symbicort 200/6 à 2 inhalations 2x/j. Antibiothérapie par : • Co-Amoxi 1,2 g iv 3x/j du 08 au 09.04.2019 • Co-Amoxi 1 g per os 2x/j du 09 au 14.04.2019. Laboratoire. Culture d'expectorations. ECG. RX thorax. CT scan thoracique le 04.04.2019. Fluimucil 200 3x/j. Bronchodilatateur. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire: D dimères 750 Consilium angiologique demandé Fragmin 12 500 UI /jour en attendant le consilium d'angiologie. Explications données à Mr. Y par le médecin. Laboratoire: dans la norme Sédiment urinaire ECG: RSR à 80 bpm, PR à 140 ms, QRS fins avec un axe à 65°, QTc à 425 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. Rx thorax Laboratoire: D-Dimères à 757 ng/l, Troponines H0: 21 ng/l H1: 20 ng/l H3: 20ng/l, CK-Mb 28 U/l. ECG: rythme électro-entrainé sub-tachycarde (93 bpm) avec BBG et hypertrophie ventriculaire gauche Radiographie thoracique: pas de franc foyer, pas d'épanchement pleural, possible atélectasie basale gauche. Echographie ciblée (Dr. X/Dr. X): fonction globale possiblement altérée, pas d'épanchement péricardique, pas de dilatations des cavités droites, veine cave non dilatée. RAD avec traitement d'épreuve par Pantoprazol 20 mg. Contrôle clinique et tensionnel chez le MT et contrôle chez le cardiologue traitant. Laboratoire: D-Dimères 1196 ng/ml. Echographie ciblée vasculaire (Dr. X): • Veine fémorale droite (+ crosse de la saphène): parfaitement compressible anéchogène. • Veine fémorale gauche (+ crosse de la saphène): parfaitement compressible anéchogène. • Veine poplitée droite: parfaitement compressible anéchogène. • Veine poplitée gauche: parfaitement compressible anéchogène. Conclusion: pas d'argument pour une thrombose veineuse proximale profonde. RAD avec traitement symptomatique. Mr. Y sera convoqué en ambulatoire pour un US par nos collègues angiologues afin d'exclure une thrombose veineuse distale profonde. Mr. Y et entourage informés des signes qui devraient le pousser à reconsulter les urgences. Laboratoire: D-dimères 3'697 ng/mL, troponines nég. ECG Gazométrie artérielle CT thoracique le 29.03.2019: Embolies pulmonaires segmentaires bilatérales, comprenant les 3 lobes à droite et le lobe inférieur à gauche ETT le 01.04.2019: Fonction systolique contractile segmentaire et globale du VG normale. Pas de signe de répercussion hémodynamique sur les cavités droites. Score PESI le 01.04.2019 à 0 Xarelto 15 mg 2x/j Antalgie Oxygénothérapie Attitude: • Anticoagulation thérapeutique avec Xarelto 15 mg 2x/j pendant 2 semaines puis 1x 20 mg pour au moins 6 mois • Contrôle clinique chez le médecin traitant dans le courant de la semaine • Consultation ambulatoire en angiologie pour discussion de la durée de l'anticoagulation et indication à des investigations thrombophiliques - Mr. Y sera convoqué Laboratoire, D-Dimères. RX thorax. Bilan angiologique le 08.04.2019 (Dr. X). Scintigraphie pulmonaire le 09.04.2019. Héparine thérapeutique du 06.04.2019 au 07.04.2019. Xarelto 15 mg - 2 x/jour du 07.04.2019 au 09.04.2019. Antalgie. Laboratoire de contrôle le 28.03.2019 Pause du méthotrexate, pause Depakin Laboratoire de contrôle le 29.04.2019 : 113µmol/l de créatinine. Laboratoire de contrôle le 31.03.2019 Mise en suspens du traitement Laboratoire d'entrée le 25.03.19 : Hb 94 g/L, Lc 6.8 G/L, Tc 272 G/L, CRP 8 mg/L Hb post-partale : 99 g/l Groupe sanguin A+. AC irréguliers négatif le 25.03.2019 Streptocoque du groupe B négatif le 25.03.2019 Sérologies novembre 2018 : Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle, faite. Laboratoire Deux paires d'hémocultures : à pister Radiographie du thorax Rocephin 2g intraveineux du 27.03.2019 au 03.04.2019 avec bonne évolution clinique et biologique Laboratoire : diminution de la CRP et de la leucocytose. Ag Legionelle : négatif. Stop Clarithromycine. Contrôle au Secteur Ambulatoire des Urgences dans 7 jours, car médecin traitant non disponible, reconsulter au préalable si péjoration clinique. Patiente vue par Dr. X en oncologie. Suite de PEC. Laboratoire : discret syndrome inflammatoire avec CRP à 23 mg/l, Lc 10.1, tests hépatiques, choléstase et lipases dans la norme. CT abdominal du 08.04.2019 : épaississement de la paroi duodénale OGD à prévoir dès que possible (prévue pour le 24.04) Hydratation iv Hospitalisation pour antalgie et OGD Laboratoire : discret syndrome inflammatoire avec CRP à 24 mg/l et leucocytose à 11.7 G/l Gazométrie artérielle : pH 7.31, PCO2 à 6.9 kPa, PO2 27 kPa, Bic 25 mmol/l, lactates à 1.6 mmol/l ECG : tachycarde sinusale Scanner cérébral natif et injecté : pas de saignement intracrânien, pas d'AVC massif Scanner thoracique : opacité lobe supérieur droit (DD atélectasie, foyer pulmonaire) et atélectasies du poumon gauche avec intubation sélective droite ATT • Rivotril 1 mg iv, Keppra 1 g iv, phénytoïne 2x 750 mg iv • induction par Etomidate 30 mg iv et Esméron 100 mg iv, intubation avec tube taille 7.5, à 24 cm à l'arcade dentaire (Cormack 2) • relais de sédation par Propofol 200 mg/h iv continu • retrait du tube de 5 cm • hospitalisation aux soins intensifs Laboratoire (Dr. X) : CRP <5. Poursuite du traitement symptomatique avec Dafalgan, AINS, rinçages à l'eau salée et spray topique. Suite chez le médecin traitant selon l'évolution. Laboratoire (Dr. X). ECG, avec explication donnée par le médecin. Radiographie du thorax, avec explication donnée par le médecin. Avis psychiatrique (Dr. X) : hospitalisation à la Métairie possible seulement dans 2 semaines, patiente refuse une hospitalisation à Marsens, elle va organiser avec son médecin traitant une hospitalisation à la Métairie. Attitude : • retour à domicile avec Temesta en réserve. • médecin traitant appelé pour informer de l'impossibilité d'hospitalisation en milieu somatique. Laboratoire du 01.04.2019 : Hb 117 g/l, Lc 11.9 G/l, Tc 146 G/l Laboratoire du 04.04.2019 : anti-Xa 0.25, PTT 136 Laboratoire du 08.04.2019 : INR 2, PTT 47 Groupe sanguin B Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 01.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 28.02.2019 Sérologies du 16.11.2018 : Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Boostrix effectué durant la grossesse Laboratoire du 01.04.2019 : Hb 124 g/l ; Leuco 7.2 G/l ; Tbc 256 G/l, Crase en ordre. Groupe sanguin O Rhésus positif Sérologies du 21.02.2019 : Toxo non-immune ; CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif, non-vaccinée ; HCV négatif ; HIV négatif ; parvo B19 immune ; Varicelle faite PAP du 04.10.2018 : sans particularité Chlamydia du 29.03.2019 : absence US du 29.03.2019 : Ut AVF avec embryon de LCC 27.5 mm correspondant à 9 3/7 semaines d'aménorrhée sans bcf, ovaires sans particularité des deux côtés. Laboratoire du 01.04.2019 : Hb : 140 g/l, GB : 17.1 g/l, Plaq : 198 G/L, CRP : 6, TP> 100% Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 07.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 15.03.2019 Sérologies 2018 : Toxo immune, Rubéole immune, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, varicelle faite. Particularités : vaccin grippe le 26.10.2018. Boostrix fait durant la grossesse Laboratoire du 02.04.2019 : Hb : 112 g/l, GB : 13.4 G/l, Plaq : 318 G/L, CRP : 6 Groupe sanguin : A Rhésus positif Stix : sang +++, prot + Uricult négatif Frottis vaginal en cours Echographie : J1 PC, BCF +, anamnios, placenta latéral gauche ; J2 transverse avec grande citerne à 5 cm, excellente vitalité foetale, placenta latéral gauche. Laboratoire du 03.01.2019 : Hb 134 g/l ; Leuco 4.5 G/l ; Tbc 332 G/l, Crase en ordre Groupe sanguin A Rhésus positif PAP du 04.06.2018 : en ordre Sérologies du 13.02.2019 : VDRL négatif ; Hépatite B guérie, HCV négatif ; HIV négatif Laboratoire du 03.04.2019 : Hb à 95 g/l stable, leuco 12.2 G/l, CPR : 117 mg/l, créat normal Laboratoire du 05.04.2019 : Hb à 100 g/L, ferritine à 473 ng/ml Groupe A Rhésus positif. AC irréguliers négatifs le 31.03.2019 Streptocoques du groupe B négatif 01.03.2019 Sérologies 08.2018 : Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Particularités : Boostrix effectué durant la grossesse Laboratoire du 03.04.2019 : Hb : 119 g/l, GB : 5.2 g/l, Plaq : 181 G/L, TP> 100% Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatifs le 03.04.2019 Streptocoque du groupe B négatif le 22.03.2019 Sérologies du 11.10.2018 : Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif vaccinée, HCV négatif, HIV négatif. Varicelle faite. Boostrix non effectuée Laboratoire du 04.04.2019 : Hb 127 g/l ; Leuco 9.8 G/l ; Tbc 262 G/l Groupe sanguin A Rhésus positif, RAI nég le 04.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif du 26.0.2019 Sérologies : CMV non-immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite Laboratoire du 04.04.2019 : Hb 134 g/l, Leuco 13.4 G/l, Tbc 288G/l Groupe sanguin O Rhésus positif, RAI nég le 04.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 05.03.2019 Sérologies : Rubéole non-immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle immune. Laboratoire du 05.04 : pas de syndrome inflammatoire, VS à 4 mm/h Radiographie des mains du 05.04.19. Sérologie Lyme : IgM positif, attente du résultat de ADMED. Avis infectiologique (Dr. X) : pas d'argument clinique pour une arthrite de Lyme. Avis rhumatologique (Dr. X) : probable maladie rhumatologique (DD : spondylarthropathie, PR, connectivité) : • patient vu en consultation rhumatologique ce jour et sera suivi en rhumatologie par la suite. Laboratoire du 05.04.2019 : Hb 113 g/l ; Leuco 5.9 G/l ; Tbc 271 G/l Hb post-partale : 103 g/l Groupe sanguin O Rhésus négatif, RAI nég le 04.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif 19.03.2019 Sérologies : Toxo non-immune ; CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite Laboratoire du 05.04.2019 : Hb 125 g/l ; Leuco 9.0 G/l ; Tbc 227 G/l. CRP <5 mg/l Groupe sanguin A Rhésus positif, RAI nég le 04.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif 15.03.2019 Sérologies : Toxo non-immune ; CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite Laboratoire du 06.04.2019 Hb 128 g/l, Lc 21.3 G/l ; Tc 257 G/l ; Groupe sanguin B Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 05.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 21.03.2019 Sérologies : Rubéole + ; VDRL - ; HBS - ; HCV - ; HIV - ; Varicelle faite Laboratoire du 06.04.2019 : Hb 107 g/l ; Leuco 6.2 G/l ; Tbc 199 G/l, CRP <5 Groupe sanguin O Rhésus positif, RAI nég le 21.08.2018 Streptocoques du groupe B positif 15.03.2019 Sérologies : Toxo non-immune ; CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS vaccinée ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite Laboratoire du 07.03.2019 : pas de carence vitaminique B12 à 852 pg/ml, folates > 20 ng/ml Physiothérapie Laboratoire du 07.04.19 : Hb 140 g/l, Lc 14 G/l ; Tc 196 G/l ; CRP 16 mg/l Hb post-partale: 101 g/l Groupe sanguin A positif, AC irréguliers négatif le 07.04.2019 Streptocoques du groupe B inconnu Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 07.04.2019: Hb: 125 g/l, GB: 8.3 g/l, Plaq: 108 G/L Laboratoire du 13.04.2019: Hb 107 g/L, Lc 11.5 G/L, CRP 212 mg/L Laboratoire du 14.04.2019: Lc 10.1 G/L, CRP 151 mg/L Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 02.10.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 04.03.2019 Sérologies: CMV immune, Rubéole immune, Syphilis négatif, HBS positif, HCV négatif, HIV positif, particularités. Boostrix fait le 21.12.18 Risque de Trisomie 1/140: investigations supplémentaires refusées par la patiente Laboratoire du 07.04.2019: Hb: 127 g/l, GB: 8.9 g/l, Plaq: 205 G/L, TP> 100% Groupe sanguin B+, AC irréguliers négatif le 15.08.2018 Streptocoque B négatif le 13.03.2019 Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite Laboratoire du 08.04.2019: • D-dimères à 3720 ng/l CT-scan thoraco-abdominal du 08.04.2019: pas d'embolie pulmonaire. Stix/ Sédiment du 08.04.2019: propre Uriculture du 08.04.2019: à pister Hémocultures du 08.04.2019: à pister Hospitalisation à Riaz pour suite de prise en charge ( Dr. X secteur F8 ) Pistage d'hémocultures et uriculture. +/- Avis chir selon évolution symptomatologie. Laboratoire du 08.04.2019: • thrombocytes à 81 G/l • leucocytes à 3.2 G/l • hémoglobine à 96 g/l Laboratoire du 08.04.2019: Avis rhumatologique du 08.04.2019: pas de Avis neurologique ( Dr. X ): pas d'indication à effectuer un CT-scan cérébral ce jour, ad bilan vitaminique. Avis psychiatrique (Dr. X): ad suivi psychiatrique sans urgences ad hospitalisation à Tavel ad nouvel avis neurologique avec suivi Laboratoire du 08.04.2019 Attitude: • refaire score de Child à l'entrée • faire une ammoniémie • évaluer l'indication à une ponction de d'ascite selon l'évolution • évaluer l'introduction d'une anti-coagulation Laboratoire du 08.04.2019: Hb: 128 g/l, GB: 19.3 g/l, Plaq: 376 G/L, TP> 100%, ASAT/ALAT: 17/11, Bili tot: 6.3, Acide urique: 473, CRP: 39, Haptoglobine: 3.09, Fibrinogène: 6.9, Rapport prot/créat: 0.032 Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 05.11.2018 Sérologies: Toxo immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HIV négatif, Varicelle, faite, particularités: Boostrix le 15.02.2019 US: Placenta antérieur. Décollement rétro placentaire sur 7 cm. Présentation podalique décomplétée. PFE: 2150 g (p25). Manning 10/10, DO et cérébrale en ordre. ILA en ordre. Anatomopathologie du placenta: en cours Laboratoire du 08.04.2019 CT-scan natif et cervicale du 08.04.2019 (Dr. X): pas de fracture, pas de saignement Benerva 300 mg iv aux urgences Attitude: • Seresta 15 mg 4x/jour d'office avec sevrage progressif pendant l'hospitalisation + 15 mg en réserve. • Ad hospitalisation pour soins impossible à domicile. • score CIWA Laboratoire du 08.04.2019 ECG du 08.04.2019 Radiographie thoracique du 08.04.2019 hospitalisation en médecine interne pour suite de prise en charge. Laboratoire du 09.04.2019 • H0 : 6 ng/l • H1 : 7 ng/l ECG du 09 04.2019: non modifié. US cardiaque (Dr. X). Attitude: Retour à domicile. Adalat 20 mg cpr retard en réserve si TAS 180/100 mmHg. Consilium pour test d'effort et US cardiaque à effectuer en ambulatoire, la patiente sera convoquée. Laboratoire du 09.04.2019 Spot du 09.04.2019: ___ Hydratation Suspension du traitement par Metformine, Jardiance Suivi de la fonction rénale Laboratoire du 09.04.2019 Poursuivre bilan d'exclusion de néoplasie Laboratoire du 09.04.2019: cf. annexes Laboratoire du 09.04.2019: Hb: 122 g/l, GB: 16.2 g/l, Plaq: 220 G/L, TP> 100% Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 09.10.2018 Streptocoques du groupe B positif le 15.03.2019 Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle, particularités: Boostrix le 11.12.18 Laboratoire du 09.04.2019: Hb: 139 g/l, GB: 8.1 g/l, Plaq: 179 G/L, TP> 100% Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 23.10.2018 Streptocoque B négatif le 09.04.2019 Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif Laboratoire du 09.04.2019 Suivi en médecine interne Laboratoire du 09.04.2019. Avis psychiatrique (Dr. X): ad hospitalisation à Marsens, unité Vénus. Hospitalisation à Marsens en volontaire. Laboratoire du 09.04.2019. CT-scan cérébral natif et injecté avec vaisseaux pré-cérébraux (Dr. X) du 09.04.2019: pas de thrombose, pas d'ischémie visualisée. Attitude: • réassurance • retour à domicile • patient instruit qu'il doit reconsulter si persistance ou péjoration de la symptomatologie. Laboratoire du 09.04.2019 Dr. X: stop Aspirine cardio, stop xarelto avec introduction d'HPBM Stop Xarelto, ad Clexane thérapeutique Poursuite Clexane, suivre fonction rénale Laboratoire du 09.04.2019 ECG du 09.04.2019 Radiographie thoracique du 09.04.2019 Surveillance en médecine interne Laboratoire du 09.04.2019. ECG du 09.2019. Attitude: Carnet tensionnel et rendez-vous chez médecin traitant pour +/- introduction d'un traitement anti-hypertenseur. Laboratoire du 10.01.2019 Potassium Effervette 30 mmol/L per os Laboratoire du 10.04.2019 Laboratoire du 10.04.2019: Hb: 135 g/l, GB: 11.5 g/l, plaquettes: 237 G/L, TP> 100% Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 02.10.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 25.03.2019 Sérologies: Toxo immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS, Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle, particularités: Boostrix fait 26.02.19 Laboratoire du 10.04.2019: tests hépatiques stables Pistage du bilan vitaminique Laboratoire du 10.04.2019: Hb: 135 g/l, GB: 7.6 g/l, Plaq: 225 G/L, Hb foetale: 0, TP> 100% Groupe sanguin O rhésus négatif, immunoglobuline anti-D le 28.02.2019, AC irréguliers négatif le 12.12.2018 Streptocoques du groupe B positif le 28.02.2019 Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif, Hépatite B guérie (consilium le 03.01.19 en infectiologie-> pas de suivi nécessaire) Laboratoire du 10.04.2019 CT-scan cérébral natif et injecté du 10.04.2019: pas de saignement intra-parenchymateux, pas d'ischémie visualisée, plages leuco-arriose et hypodensité au niveau des noyaux gris centraux. Suivi bilan vitaminique, bilan gériatrique Laboratoire du 11.04: Hb 111 g/l, Lc 9.3 G/l; Tc 297 G/l; Groupe sanguin A rhésus négatif, AC irréguliers négatif le 11.04.2019 Sérologies: Rubéole non-immune; VDRL négatif; HBS négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 11.04.2019: Hb 129 g/l, Lc 11.1 G/l; Tc 267 G/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 11.04.2019 Streptocoques du groupe B positif le 26.03.2019 Sérologies: Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 11.04.2019: Hb 105 g/l; Leuco 33.2 G/l; Tbc 306 G/l, CRP à 84 mg/l Laboratoire du 15.04.2019: Hb 83 g/L, Lc 11.7 G/L, Tc 286 G/L, CRP 113 mg/L Groupe sanguin O rhésus positif, RAI négatif le 11.04.2019 Actim Prom: négatif Actim Partus: positif Frottis bactériologie vaginale du 11.04.2019: flore normale. Streptocoques du groupe B négatif. Urotube du 11.04.2018: E.coli 10E6 TV le 11.04.2019: postérieur, long, mi-mou, perm 1 doigt CTG à l'entrée: R-NP, ligne de base à 140-145 bpm, CUs aux 5 min non ressenties par la patiente.CTG à la sortie: R-NP, pas de CU US le 11.04.2019: Manning à 8/8, céphalique dos à gauche, PFE à 2881g (p80), placenta fundique, ILA à 6 avec GC à 3.9cm, Do: IR à 0.49, IP à 0.66, col stable à 36 mm US des voies urinaires le 12.04.2019: dilatation pyélo-calicielle de 13 mm à droite d'aspect physiologique, pas de dilatation à gauche, pas d'argument pour un abcès Sérologies: CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif, HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Laboratoire du 11.04.2019: Hb 118 g/l, Lc 11.1 G/l; Tc 187 G/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 11.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 15.03.2019 Sérologies: Rubéole non-immune; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 11.04.2019: Hb 130 g/l, Lc 5.8 G/l; Tc 300 G/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 11.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 11.03.2019 Sérologies: Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 11.04.2019: Hb 131 g/l, Lc 9.3 g/l, Tc 416 g/l, tests hépatiques et de la fonction rénale en ordre, électrolytes en ordre, crase en ordre. Marqueurs tumoraux du 11.04.2019: CA125 53 U/ml, autres dans la norme. PAP du 13.03.2019: présence de sang, absence de cellules endométriales; HPV-HR négatif. USTV du 13.03.2019: utérus en Avf de 70x32.8 mm, endomètre de 30x15 mm, ovaires non-visualisés. IRM pelvienne du 15.03.2019: Tumeur endométriale avec élargissement de la cavité utérine, associée à un probable prolapsus à travers le col utérin, celui-ci présente un aspect également irrégulier (suspect). Laboratoire du 11.04.2019: Hb 136 g/l, Lc 13.7 G/l; Tc 222 G/l; Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 11.04.2019 Streptocoques du groupe B positif Sérologies: Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 12.03.2019: • bilan vitaminique dans la norme • hyperferritinémie à 370 ug/l, Suivi clinique et biologique Laboratoire du 12.04.2019: leuco 12, CRP 49 Stix/Sédiment du 12.04.2019: propre Test de grossesse urinaire: négatif CT abdominal (Dr. X rapport oral) Avis chirurgical Ciproxine et Flagyl 13.04.-___ Att: • Hospitalisation chir • ATB i.v. • Suivi clinique et biologique • prévision colono à distance Laboratoire du 12.04.2019: pas de syndrome inflammatoire. • CK à 546 U/L. CT-scan cérébral natif (non injecté en raison d'une allergie au produit de contraste) du 12.04.2019: cicatrice de toxoplasmose sans effet de masse, pas de saignement actif, pas de thrombose des sinus visualisée. Avis neurologique du 12.04.2019 (Dr. X): ischémie très peu probable au vue de la symptomatologie - pas d'indication à complément d'IRM cérébrale en urgences, pas d'indication d'emblée pour une ponction lombaire pour recherche de toxoplasmose active. Le patient a probablement présenté un type de migraine avec hypertension artérielle. Pas d'argument pour une crise d'épilepsie, pas de nécessité de faire un EEG ou une IRM. Proposition de mettre en place un traitement de Nebilet 5 mg 1x/jour. Attitude: • Surveillance neurologique sur la nuit aux urgences. • Mise en place d'un traitement Nebilet 5 mg cp. • Retour à domicile avec réassurance. Laboratoire du 12.04.2019 ECG du 12.04.2019: Fibrillation auriculaire à 116 bpm Avis cardiologique: • Interrogation du pacemaker (Dr. X): présence de bruits produits par défaut de sonde de défibrillateur. Ad désactivation du défibrillateur, suivi aux soins, reprise le 15.02 • US cardiaque du 12.04.2019 (Dr. X): FEVG à 35% stable, pas de dysfonction majeure du VD ou VG Rx thoracique du 12.04.2019 Att: Beloc Zok 10 mg iv Hospitalisation soins pour suivi sur le week-end Reprise du défibrillateur le 15.04.2019 Laboratoire du 12.04.2019: Hb 104 g/l; Leuco 11.9 G/l; Tbc 286 G/l 13.04: Hb fœtale négative. Groupe sanguin O Rhésus positif, RAI négatif le 13.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif 21.02.2019, répété le 12.04.2019 Sérologies: VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 12.04.2019: Hb 121 g/l, Lc 10 G/l, Tc 257 G/l, CRP <5 mg/l Urotube du 12.04.2019: contaminants Frottis cervico-vaginal du 12.04.2019: flore normale Hb post partale du 17.04.2019: 96 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 17.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 12.04.2019 Sérologies: Rubéole non-immune; VDRL négatif; HBS: ancienne hépatite B guérie; HCV négative; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 12.04.2019: Hb 130 g/l; Leuco 11.3 G/l; Tc 208 G/l Groupe sanguin A Rhésus positif, RAI nég le 12.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 05.04.2019 Sérologies: Toxo non-immune; CMV non-immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS vaccinée; HCV négatif; HIV négatif; Laboratoire du 12.04.2019: Hb 136 g/l, Leuco 7 G/l, Tbc 295 G/l, CRP <5 mg/l Groupe sanguin B Rhésus positif, RAI négatif le 12.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 11.04.2019 Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite Laboratoire du 12.04.2019 • H0 à 9 ng/l • H1 à 9 ng/l ECG du 12.04.2019 CT-Scan thoraco-abdominal du 12.04.2019: hernie hiatale connue, dissection aortique résorbée. Suivi avec Dr. X durant la semaine du 12.04.2019. Laboratoire du 12.04.2019 Deux paires d'hémocultures du 12.04.2019 Avis chirurgie (Dr. X): ad CT-scan abdominal CT-scan abdominal du 12.04.2019: abcès de 5 cm Att: Prise au bloc opératoire pour drainage (Dr. X) Hosp en chirurgie pour suite de prise en charge. Laboratoire du 12.04.2019 ECG du 12.04.2019 Laboratoire du 12.04.2019 ECG du 12.04.2019 Laboratoire du 12.04.2019 Spot du 12.04.2019 Laboratoire du 12.04.2019 Spot du 12.04.2019: ___ Att: Hydratation Suivi de la fonction rénale. Laboratoire du 13.03.2019: Hb 145 g/l; Leuco 10.0 G/l; Tbc 289 G/l, crase eo. Groupe sanguin O Rhésus positif Sérologies du 13.03.2019: VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif PAP du 11.10.2018: eo Endosampler du 10.10.2018: Fragments d'endomètre prolifératif peu actif et irrégulier. Pas de malignité. US du 13.02.2019: Ut de 93x95 mm avec fibrome postéro-fundique de 63 mm, endomètre à 4 mm Laboratoire du 13.04.2019: Hb 124 g/l, lc 16 G/l, Tc 275 G/l, CRP 28 mg/l Actim Prom positif Actim Partus positif Bactériologie vaginale en cours Streptocoque B en cours Uricult en cours, stix négatif US abdominale: Position en siège complet, Manning 8/8, AFi en ordre avec grande citerne à 3.3 cm, doppler ombilical et cérébral en ordre. PFE 994g sexe M, placenta antérieur normo-inséré avec suspicion d'insertion du cordon marginale/vélamentaire sur le rebord inférieur. USTV, col de 3 cm, stable au Valsalva, placenta à distance de l'orifice interne, pas de vasa praevia Suivi de grossesse: Groupe sanguin O+ Sérologie: Rubéole immune; syphilis négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 13.04.2019: Hb 134 g/l; Leuco 9.1 G/l; Tbc 256 G/l, CRP à <5 mg/l Hb post partale: 119 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, RAI négatif le 13.04.2019 Sérologies: Toxo non-immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle immune Laboratoire du 13.04.2019: Hb 143 g/l; Lc 11.1 G/l; Tc 317 G/l Speculum: col nullipare, leucorrhées physiologiques. Satus gynécologique: OVD agrandi en taille, sensible lors de la palpation, sans douleurs, pas de défense, pas de détente. Utérus indolore à la mobilisation. OG: non-palpable, loge annexielle G indolore à la palpation H0 à 8 ng/l H1 à 6 ng/l D-dimères 693 ng/ml ECG du 13.04.2019 Angio-CT du 13.04.2019 : pas d'embolie pulmonaire, pas d'infiltrats, calculs visualisés dans la vésicule biliaire. US abdominal du 13.04.2019 : _______ • Rocéphine 2g iv • Flagyl 500 mg iv • Hospitalisation en chirurgie pour suite de prise en charge. Laboratoire du 14.04.2019 : cf. annexes. Hb 158 g/l, leucocytes 6.5 G/l, CRP 47 mg/l, créatinine 64 µmol/l, D-dimères 452 ng/ml. Laboratoire du 14.04.2019 Hb 118 g/l, Lc 12.2 G/l; Tc 322 G/l; CRP <5 mg/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 14.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 29.03.2019 Sérologies : Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Laboratoire du 14.04.2019, avec explication donnée par le médecin. Attitude : • Hydratation 1000 NaCl. • Traitement symptomatique. Le patient est instruit des symptômes nécessitant une consultation aux urgences. Laboratoire du 14.04.2019 Hb 108 g/l, Lc 10.6 G/l; Tc 265 G/l; Hb post-partale : 98 g/l Groupe sanguin O+ AC irréguliers négatif le 14.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 29.03.2019 Sérologies : CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; Vaccinée ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite. Laboratoire du 14.04.2019 : Hb 124 g/l ; Leuco 10.8 G/l ; Tbc 151 G/l, CRP à 9 mg/l Groupe sanguin O Rhésus négatif, RAI positif à anti-D le 21.03.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 21.03.2019 Sérologies : Toxo non-immune ; CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle immune. Laboratoire du 14.04.2019. • H0 : 7 ng/l. • H1 : 8 ng/l. ECG du 14.04.2019 : superposable. Carnet de tension artériel avec suivi chez le médecin traitant. Le patient est instruit des symptômes graves nécessitant une reconsultation en urgences. Laboratoire du 14.04.2019. • H0 à 23 ng/l. • H1 à 23 ng/l. • H3 à 21 ng/l. ECG du 14.04.2019 : pas de modification. US abdominal supérieur (Dr. X) : pas de dilatation des voies intra ni extra-hépatiques, présence de deux calculs au niveau de la vésicule biliaire de 7 et 9 mm, pas d'épaississement de la paroi vésiculaire, cholédoque à 7 mm. Rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant pour suivi des tests hépatiques, le patient prendra rendez-vous durant la semaine. Nous proposons également d'effectuer un nouveau bilan cardiovasculaire avec tests d'effort et écho-cardiaque chez le patient. Le patient est instruit des symptômes nécessitant une consultation en urgence. Laboratoire du 14.04.2019 ECG du 14.04.2019 Gazométrie du 14.04.2019 : pH 7.42, PCO2 à 4.3 kPa, PO2 à 11.0, Bic à 20 mmol/l, lactate à 1.4 mmol/l Rx thorax du 14.04.2019 Avis cardio (Dr. X) du 14.04.2019 : suivi aux soins, Cordarone 1200 mg/24h, Mg 1g +/- coronarographie le 15.04.2019, ETT : FEVG à 20%. Avis soins intensifs (Dr. X) : pas d'indication à une surveillance aux soins, car pace-défi fonctionnel. ATT : • Mg 1g iv urgences • Cordarone 150 mg iv sur 1h • Cordarone 400 mg po 2x/j malgré suspicion d'allergie peu claire, ordre confirmé avec chef • Hospitalisation en médecine interne • Ré-évaluer coronarographie le 15.04.2019. Laboratoire du 14.04.2019. Spot du 14.04.2019. Suivi des fonctions rénales chez le médecin traitant. Laboratoire du 15.04.2019 Hb 113 g/l, Lc 12 G/l, Tc 248 G/l Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 15.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 13.03.2019 Sérologies : Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 15.04.2019 : Leuco 16 G/l, CRP 26, Tc 320 G/l, Hb 139 g/l Hb post-partale du 16.04.2019 : 98 g/l Groupe sanguin B positif, AC irréguliers négatif le 15.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 22.03.2019 Sérologies : Rubéole non-immune, HBs AG négatif, VDRL négatif, CMV non-immune, HIV négatif, HCV négatif, Toxo non-immune. Laboratoire du 15.04.2019 à pister Rx thoracique du 15.04.2019 Urines du 15.04.2019 à pister • Rocéphine 2g iv non reçue par la patiente • Klacid 500 mg iv non reçue par la patiente • Aérosol ventolin, Atrovent Attitude de prise en charge expliquée et confirmée par la patiente pour soins de confort sans soins intensifs (Dr. X & Dr. X) Hospitalisation à la villa saint-françois pour suite de prise en charge. Laboratoire du 15.04.2019 : Hb 125 g/l, Lc 9.9 G/l, Tc 314 G/l Groupe sanguin O Rhésus négatif, immunoglobuline anti-D le 27.02.2019, AC irréguliers négatif le 27.02.2019 Sérologies : Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif le 01.11.2018, HBS négatif le 01.11.2018, HCV négatif le 01.11.2018, HIV négatif le 01.11.2018, Varicelle positif le 01.11.2018 (faite) Laboratoire du 15.04.2019 • H0 : 6 ng/l • H1 : 7 ng/l Laboratoire chez MT du 15.04.2019 : trop et D-dimères négatifs ECG du 15.04.2019 : superposable Angio-CT avec vaisseaux pré-cérébraux du 15.04.2019 : pas de dissection, pas de sténose, pas d'ischémie subaiguë visualisée. Avis neurologique du 15.04.2019 (Dr. X) : ad angio-CT scan et hospitalisation pour investigations cardiaques et IRM cérébral. Introduction d'Atorvastatin 40 mg. Charge d'Aspirine cardio 250 mg iv. Bilan cardiologique avec ETT +/- Holter + consilium cardiologique. ATT : • Charge 250 mg Aspirine IV • Hospitalisation pour bilan cardiaque, ETT et US demandé & IRM cérébrale à la recherche d'une ischémie ou autre lésions. Laboratoire du 15.04.2019 Gazométrie du 15.04.2019 ATT : • Induction par Propofol • Intubation cormack I, tube 6.5 mm • Transfert aux soins intensifs. Laboratoire du 15.04.2019 Radiographie bassin + hanche F/p du 15.04.2019 ECG du 15.04.2019 Rx thoracique du 15.04.2019 Avis orthopédique du 15.04.2019 (Dr. X) : ad hospitalisation, gouttière, antalgie. ATT : • Hospitalisation en chirurgie orthopédique • Redéfinir le 16.04 de l'attitude thérapeutique avec la famille • Évaluer avec anesth l'opérabilité. Laboratoire du 16.04.19 : Gr Sg O nég., Hb 143 g/l, Tc 142 G/l, CRP 0, sérologie en cours. Laboratoire du 16.04.19 : Hb g/l, Tc G/l, CRP, HIV, HCV, HBV. Laboratoire du 16.04.2019 aligné Sédiment propre. Réassurance de la patiente. Retour à domicile avec Co-Dafalgan, Movicol, Laxoberon, Freka Clyss et traitement d'épreuve par Pantozol pour 1 mois. Reprise de contact avec le médecin traitant dès le 24.04.2019 pour suite de la prise en charge et suivis réguliers. Discuter d'une gastroscopie à distance après rassemblement du dossier médical complet. En cas d'impossibilité de suivi ambulatoire, une hospitalisation pour faire le point sur les investigations nécessaires ou non et la mise en contact avec un psychiatre psychosomatique est à envisager. Laboratoire du 16.04.2019 : Hb 121 g/l, Lc 12 G/l, Tc 219 G/l, CRP 6 mg/l Groupe sanguin O positif, AC irréguliers négatif le 16.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 03.04.2019 Sérologies : Rubéole non-immune le 12.10.2018, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. Radiographie du bassin et hanche gauche du 17.04.2019 : La densité osseuse normale pour l'âge. Pas de fracture visible. Rapports articulaires sont préservés. Élargissement de l'espace de la symphyse pubienne vraisemblablement en rapport avec la grossesse. Colonne lombaire : Bon alignement des murs antérieur, postérieur et des articulations postérieures. La hauteur des corps vertébraux est préservée. Pas de fracture visible. Laboratoire du 16.04.2019 : Hb 130 g/l, GB 9.1 g/l, Plaq 163 G/L, TP >100% Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 11.09.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 13.04.2019 Sérologies : Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Laboratoire du 17.04.2019 : Hb 123 g/l, Lc 11 G/l ; Tc 227 G/l ; bilan de gestose aligné Groupe sanguin A positif, AC irréguliers négatif le 17.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 01.04.19 Sérologies: Toxoplasmose non-immune, CMV immune, Rubéole non-immune, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite Laboratoire du 17.04.2019: Hb 105 g/L, Leucocytes 8.0 G/l; Thrombocytes 123 G/l Hb post partale à 112g/l Groupe sanguin AB-, AC irréguliers négatif le 05.02.2019, immunoglobuline anti-D administrée le 05.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 11.03.2019 Sérologies du 12.11.2018: Rubéole immune; TPHA négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif Laboratoire du 17.04.2019: Hb: 111 g/l, GB: 8.8 g/l, Plaq: 178 G/L Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif Streptocoques du groupe B négatif le 29.03.2019 Sérologies: Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite, particularités: Rougeole négatif Laboratoire du 17.04.2019: Hb 130g/l, Leucocytes 14.6 G/l, Thrombocytes 296 G/l. Crase sans particularité. Hb post-partum: 102 g/l. Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 06.11.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 21.02.2019 Sérologies: Toxo non-immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 18.04.2019: Hb 122g/l, Leucocytes 10.5G/l, Thrombocytes 268 G/l, crase alignée, CRP 6 mg/l Groupe sanguin B-, AC irréguliers négatifs le 18.04.2019 Sérologies du 23.03.2017: CMV immune, Rubéole immune, du 13.03.2019: HBS négatif, HCV positif guérie, HIV négatif. Sérologies de bilan de fausse couche tardive en cours US obstétrical: Col complètement béant avec protrusion complète de la poche des eaux au niveau vaginal, contenu cordonal. Bonne vitalité fœtale. Biométrie fœtale correspondant à l'âge gestationnel Laboratoire du 18.04.2019: Hb: 123 g/l, GB: 13.9 g/l, Plaq: 348 G/L, CRP: 7 Bactériologique du liquide de ponction du sein gauche faite le 18.04.2019: Staphylococcus aureus Hémocultures négatives à 5 jours Laboratoire du 19.04.2019: aligné. US effectué aux urgences (Dr. X/Dr. X) : dilatation du cholédoque à environ 1cm, polype d'environ 1cm intra-vésiculaire, pas de sludge. US du 19.04.2019 (Dr. X) : 4 polypes vésiculaires, dont 2 polypes sessiles. Le plus grand 9x6 mm. Cholédoque dilaté de 8 mm. Pas de visualisation de calculs. Kyste hépatique stable. Pas de signe de cholécystite ou de sludge. Avis chirurgical (Dr. X) : ad IRM en ambulatoire avec contrôle chef de clinique post IRM pour bilan polypes vésiculaires. Traitement symptomatique. Rendez-vous en secteur ambulatoire pour contrôle clinique et biologique à 48h. IRM en ambulatoire avec contrôle chez les chefs de clinique de chirurgie. Laboratoire du 19.04.2019: leucocytose à 13. US abdominal du 19.04.2019: appendice de 9mm, infiltration de graisse et fine lame de liquide • ATT Rocéphine 2g iv Flagyl 500mg iv Hospitalisation en chirurgie Prise en charge au bloc opératoire Laboratoire du 19.04.2019: pas de syndrome inflammatoire Avis chirurgical du 19.04.2019: Ad prise en charge au bloc opératoire • ATT À jeun Prise en charge au bloc opératoire pour drainage. Hospitalisation en chirurgie. Laboratoire du 19.04.2019: pas de syndrome inflammatoire Drainage chirurgical le 19.04.2019 Laboratoire du 19.04.2019: sans particularité Traitement symptomatique. Potassium Effervette 30 mmol aux urgences. Pantozol 40 mg 1x/j pendant 15 jours. Proposition de contrôle chez médecin traitant début de semaine prochaine pour dosage du potassium. Laboratoire du 19.04.2019: Hb 139 g/l, Leuco 9.8 G/l, Tbc 232 G/l, CRP à 5mg/l Hb post partale à 119 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 19.10.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 22.03.2019 Sérologies: Toxo immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite Laboratoire du 19.04.2019 Hémocultures 2 paires à froid ECG du 19.04.2019 CT-scan abdominal du 19.04.2019 : cholédoque dilaté jusqu'à 11mm, dilatation des voies intra-hépatiques, pas de réhaussement des voies biliaires, cholangite non exclue. Réhaussement au niveau de l'ampoule de Vater (ampullome?). Anastomose calme, pas de récidive de diverticulite, pas de liquide libre. • ATT Rocéphine 2g iv Flagyl 500mg iv Hospitalisation en chirurgie Laboratoire de contrôle avec tests hépatiques du 20.04.2019 À jeun +/- ERCP demain à rééaliser. Laboratoire du 19.04.2019 Radiographie thoracique du 19.04.2019 ECG du 19.04.2019 CT-scan cérébral natif du 20.04.2019 : pas de saignement intra-parenchymateux, pas de fractures, pas de signe d'hypertension intra-crânienne, hyperdensité en périventriculaire leuco-arriose, hydrocéphalie à pression normale non exclue. • ATT Réévaluer indication à PL ? Physiothérapie pour aide à la marche Laboratoire du 19.04.2019 Spot urinaire du 19.04.2019 • ATT Mise en suspens du Thiazidique Restriction hydrique à 1000 ml / 24 heures Suivi Natrémie: selon contrôle à 08h00, Na attendue de 122 mmol/l. Si inférieur, discuter pour ajouter 1000 ml d'hydratation de NaCl 0.9% par 24 heures Laboratoire du 20.04.2019; syndrome inflammatoire CRP 104 CT-time is brain le 20.04.2019 : discrète diminution du flux à la jonction tempo-pariétale-occipitale du côté gauche. Avec sténose ACI D, hygrome droit constant en comparaison avec examens du 09.04 Avis Neurologique (Dr. X) : stop Plavix, 45 degrés avec mobilisation progressive, discussion attitude oncologique avec soins palliatifs (demande d'immunothérapie en cours). • ATT Passage de 2 culots érythrocytaires HémoQ après premier culot érythrocytaire 72h Laboratoire de contrôle 1h post-culot Hospitalisation en médecine interne pour contrôle neuro avec discussion soins palliatifs. Laboratoire du 20.04.2019: TP à 1.5 • ATT Pas de carnet à dispositions À suivre Laboratoire du 20.04.2019: Hb 103 g/L, Lc 11.7 G/L, Tc 307 G/L Groupe sanguin A-, immunoglobuline anti-D le 15.02.2019, AC irréguliers négatif le 28.08.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 29.03.2019 Sérologies: CMV immune le 05.04.2017; Rubéole immune le 05.04.2017; TPHA négatif le 28.08.2018; HBS négatif le 05.04.2017; HCV négatif le 28.08.2018; HIV négatif le 28.08.2018; Varicelle faite. Laboratoire du 20.04.2019: Hb 119 g/L, Lc 18 G/L, Tc 147 G/L, CRP 22 mg/L Groupe sanguin A rhésus négatif, immunoglobuline anti-D le 23.01.2019, AC irréguliers négatif le 07.11.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 26.03.2019 Sérologies: CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite, particularités: Boostrix le 20.02.2019 Laboratoire du 20.04.2019: Hb 131 g/L, Lc 11 G/L, Tc 306 G/L Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 21.07.2017 Streptocoques du groupe B négatif le 28.03.2019 Sérologies: Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Laboratoire du 20.04.2019 ECG du 20.04.2019 CT-scan time is brain : hémorragie au niveau fosse cérébelleuse postérieure de 2 cm de diamètre Avis neurologique du 20.04.2019 (Dr. X): < 140/80 mmHg, Avis neurochirurgie du 20.04.2019 (Dr. X) : ad suivi aux soins intensifs, systolique < 160, surveillances aux 3 heures, lit stricte, CT natif à 02h00 du matin, surveillance 24h SIC, IRM à prévoir Mardi. • ATT Labétalol iv titrage aux urgences Hospitalisation aux soins intensifs Laboratoire du 20.04.2019 ECG du 20.04.2019 Radiographie épaule gauche + bassin du 20.04.2019 CT cérébral natif du 20.04.2019 : atrophie corticale, pas de lésion hémorragique, pas de lésion osseuse CT membre inférieur gauche du 20.04.2019 : fracture pertrochantérienne sans déplacement Avis orthopédique (Dr. X) du 20.04.2019 : traitement conservateur, charge partielle max 15kg, absence d'abduction contre résistance, physiothérapie d'encadrement à la marche. • ATT Traitement conservateur avec charge partielle 15 kg Physiothérapie pour rééducation à la marche • ATT Passage de 2 culots érythrocytaires Laboratoire de contrôle après 2ème culots Discussion de l'attitude oncologique avec soins palliatifs (immunothérapie en cours de financement) Laboratoire du 21.04.2019 : pas de syndrome inflammatoire CT thoracique protocole EP du 20.04.2019 : pas d'EP Ponction pleurale (Dr. X) du 20.04.2019 : après repérage échographique, désinfection 3x champagne anesthésie locale Xylo 1% 3ml 1 ponction sp prélevé 1L de liquide séro-sanguinolant Radiographie de contrôle post ponction du 20.04.2019 : pas de pneumothorax Analyse de liquide pleural du 20.04.2019 : cytologie et culture à pister __ Hémocultures du 21.04.2019 à pister __ • ATT Hospitalisation en médecine interne pour suite de prise en charge Pister les hémocultures et les analyses de liquide pleural Laboratoire du 21.04.2019, avec explication donnée par le médecin : pas de syndrome inflammatoire, pas d'atteinte des tests hépatiques ni de cholestase ni de lipase. Ultrason abdominal du 19.04.2019 (Dr. X) : présence de 4 polypes vésiculaires, dont 2 polypes sessiles. Le plus grand 9x6 mm. Cholédoque dilaté de 8 mm. Pas de visualisation de calcul. Kyste hépatique stable. Pas de signe de cholécystite ou de sludge. Avis chirurgical du 19.04.2019 (Dr. X) : ad IRM en ambulatoire avec contrôle chez le chef de clinique post IRM pour bilan des polypes vésiculaires (la patiente sera convoquée dès le 23.04.2019). Réassurance de la patiente. Explication donnée à la patiente des red flags et de reconsulter si péjoration des douleurs, changement au niveau du transit ou état fébrile. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Laboratoire du 21.04.2019 : Hb 104 g/l ; Leuco 11.2 G/l ; Tbc 223 G/l, CRP < 5 mg/l Groupe sanguin A Rhésus positif, RAI négatif le 21.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 12.04.2019 Sérologies : Toxo non-immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif. Laboratoire du 21.04.2019 Hb 122 g/l, Lc 9.3 G/l ; Tc 322 G/l. Groupe sanguin AB+, AC irréguliers négatif le 21.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 25.03.2019 Sérologies : CMV immune ; Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, Vaccinée ; HCV négatif, HIV négatif, Varicelle, faite. Laboratoire du 21.04.2019 Hb 129 g/l, Lc 8.1 G/l ; Tc 201 G/l. Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 21.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 05.04.2019 Sérologies : CMV non-immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. Laboratoire du 21.04.2019 : Hb 132 g/l, Lc 14.3 G/l, Tc 301 G/l, fonction hépatique dans la norme, CRP 14 mg/l. Laboratoire du 23.04.2019 : Hb 127 g/l, Lc 13.7 G/l, Tc 266 G/l, CRP 14 mg/l. Spot urinaire : négatif Urotube du 21.04.2019 : négatif US du 23.04.2019 (Dr. X) : Présentation en siège complète, PFE 2585 g, bonne vitalité foetale. AFI dans la norme. Placenta antérieur NI. SI 5,6 mm. Laboratoire du 21.04.2019 : pas de syndrome inflammatoire CT thoracique du 20.04.2019 : pas d'EP, importante majoration de l'épanchement pleural droit, avec atélectase passive de la quasi-totalité du lobe inférieur et atélectase partielle du lobe moyen. Disparition des infiltrats d'allure infectieuse précédemment visibles. Ponction pleurale (Dr. X) le 20.04.2019 : retrait de 1L de liquide séro-sanguinolant exsudatif, rares cellules suspectes -> exsudat selon les critères de Light Radiographie de contrôle post ponction du 20.04.2019 : pas de pneumothorax Analyse de liquide pleural du 20.04.2019 : • culture : stérile à 2 jours • cytologie : épanchement lymphocytaire atypique, sans cellule carcinomateuse. impossible d'affirmer ou non la présence de cellules lymphomateuses dans le matériel Hémocultures du 21.04.2019 : stériles à 5j Physiothérapie respiratoire Corticothérapie par dexaméthasone 8 mg/j du 24.04.19 au 26.04.19 puis 4 mg/j Laboratoire du 22.04.2019 : Hb 137 g/l ; Leuco 8.8 G/l ; Tbc 236 G/l Groupe sanguin B Rhésus positif, RAI négatif le 22.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 16.04.2019 Sérologies : Toxo immune ; CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite Laboratoire du 22.04.2019 : Hb 141 g/l ; Leuco 10.4 G/l ; Tbc 233 G/l, CRP < 5 mg/l. Groupe sanguin A Rhésus positif, RAI négatif le 22.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 05.04.2019 Sérologies : CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite ; particularités : Fluarix fait Laboratoire du 23.03.2019 : Hb 133 g/l ; Leuco 10.3 G/l ; Tbc 231 G/l Groupe sanguin O Rhésus positif, RAI négatif le 23.03.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 08.03.2019 Sérologies : Toxo immune ; CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite ; particularités : Boostrix le 30.01.2019 Laboratoire du 23.04.2019 : acide urique 462µmol/l, CRP < 5 mg/l, leucocytes normaux. Cf. annexes. Laboratoire du 23.04.2019 à 13h : Hb 138 g/l ; Leucocytes 11.8 G/l ; Thrombocytes 225 G/l, CRP 5 mg/l Laboratoire du 23.04.2019 à 23h : Hb 132 g/l ; Leucocytes 20.5 G/l ; Thrombocytes 219 G/l, CRP 18 mg/l Groupe sanguin AB+, anticorps irréguliers négatifs le 23.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 25.03.2019 Sérologies du 11.02.2018 : Toxo non-immune ; CMV non-immune ; Rubéole immune ; TPHA négatif ; HBS, Vaccinée ; HCV négatif ; Varicelle faite. Laboratoire du 24.04 02h21 Hb 135 g/l, Lc 9 G/l ; Tc 221 G/l Hb post-partale : 83 g/l Groupe sanguin A pos, AC irréguliers négatif le 24.04.19 Streptocoques du groupe B négatif le 27.03.19 Sérologies : Rubéole non-immune le 23.02.2017, du 17.10.2018 : VDRL négatif, HBS négatif, HIV négatif, Varicelle faite Laboratoire du 24.04.2019 : Hb 108 g/l ; Leucocytes 14.7 G/l ; Thrombocytes 425 G/l. Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 25.10.2018 Streptocoques du groupe B inconnu Sérologies : CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle positif, faite, Boostrix à jour Laboratoire du 24.04.2019 : hémoglobine d'entrée à 109 g/L, 4h plus tard à 99 g/L, Lc 12.2 g/L, Tc 332 G/L US 1er trimestre 23.04.2019, CN 1.6 mm, Conclusion : absence d'anomalie décelée. Dépistage du 1er trimestre en cours. PAP test : normal le 20.03.2019 Chlamydia urinaire du 24.04.2019 : négatif Sérologies du 20.03.2019 : Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif, particularités : Parvovirus B19 immune US obstétrical du 24.02.2019 : Grossesse intra-utérine évolutive, BCF+, bonne vitalité foetale, trophoblaste recouvrant l'OI du col sans signe de décollement, hématome de 3x1 cm, probable myome de la paroi postérieure (FIGO 6) de 3x3 cm Laboratoire du 25.03.2019 : Hb 104 g/l ; Leuco 4.1 G/l ; Tbc 172 G/l, CRP à 44 mg/l, bilan de gestose négatif Spot urinaire du 25.03.2019 : rapport protéine/créatinine à 0.128 Protéinurie de 24 heures du 28.03.2019 : 0.27 g Frottis nasopharyngés du 25.03.2019 : Influenza A positif Groupe sanguin A Rhésus positif, RAI négatif le 25.10.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 11.03.2019 Sérologies : Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite Laboratoire du 25.03.2019 : Hb 107 g/l, Lc 10.2 G/l ; Tc 334 G/l Hb post-partale : 77 g/l Groupe sanguin O positif, RAI négatif le 01.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 25.03.2019 Sérologies : Toxo négatif ; séroconversion CMV début de grossesse ; Rubéole négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite Laboratoire du 25.03.2019: Hb 114 g/l, Leuco 21 G/l, Tbc 230 G/l, CRP 15 mg/l Groupe sanguin B Rh positif, RAI négatif le 25.03.2019 Streptocoques du groupe B du 25.03.2019 inconnu Sérologies septembre 2018: Toxo immune, CMV non immune, Rubéole non immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite Laboratoire du 25.03.2019: Hb 129 g/l, Lc 11.8 G/l; Tc 223 G/l; CRP <5 mg/l Hb post-partale du 26.03.2019: 126 g/l Groupe sanguin A rhésus négatif, AC irréguliers positif pur anti-D le 30.03.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 21.02.2019 Sérologies: Toxo non-immune; CMV non-immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 25.04.19: Hb 108 g/l, Lc 12 G/l; Tc 292 G/l Groupe sanguin B pos, AC irréguliers négatif le 24.04.2019 Streptocoque du groupe B négatif le 03.04.2019 Sérologies: Toxo immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite Laboratoire du 25.04.19: Hb: 127 g/l, GB: 18 G/l, Plaq.273 G/l Groupe sanguin O positif, AC irréguliers négatif le 26.04.19 Streptocoques du groupe B positif le 25.03.19 Sérologies: Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle immune Laboratoire du 25.04.2019: en cours Groupe sanguin O rhésus positif, AC irréguliers négatif le 01.02.2019. Frottis bactériologie + streptocoque le 25.04.2019: en cours Urotube en cours Sérologies: Rubéole immune, HBS négatif, HCV négatif, HIV positif, particularités: HIV positif en 2008, suivi par le Dr X Syphilis dépistage: AC négatif Laboratoire du 25.04.2019: Hb 122 g/l, leucocytes 7.5 G/l, CRP 20 mg/l, fonction rénale dans la norme, crase en ordre Sérologies du 25.04.2019: Hépatite C positive (connu), Hépatite B négatif, HIV négatif PAP du 19.03.2019: normal Laboratoire du 25.04.2019: Hb: 141 g/l, GB: 8.2 g/l, plaq: 258 G/L, TP> 100% Groupe sanguin AB+, AC irréguliers négatif le 22.10.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 08.04.2019 Sérologies: Rubéole immune du 22.02.2016, su 22.03.2019: VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle négatif Laboratoire du 25.04.2019: Hémoglobine 133 g/l, Leucocytes 10.8 G/l, Thrombocytes 220 G/l, CRP <5 mg/l, crase en ordre. Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 27.03.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 27.03.2019 Sérologies: Toxo immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif Laboratoire du 26.03.2019: Hb 107 g/l; Leucocytes 7.4 G/l; Thrombocytes 180 G/l; Hb post-partum: 93 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 10.01.2019; Streptocoques du groupe B négatif le 19.03.2019 Sérologies du 10.01.2019: Rubéole immune; VDRL négatif; TPHA négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle positif Laboratoire du 26.03.2019: Hb 123 g/l; Leuco 12.4 G/l; Tbc 305 G/l, Crase en ordre Groupe sanguin O Rhésus positif Sérologies du 26.03.2019: VDRL négatif; Hép B vaccinée; HCV négatif; HIV négatif PAP du 26.03.2019: en ordre Chlamydia et Gonocoque du 13.02.2019: négatifs Laboratoire du 26.04.2019: pas de syndrome inflammatoire Radiographie pied gauche F/P/O: fracture fatigue base du 3ème métatarse Avis orthopédique du 26.04.2019: semelle rigide 6 semaines, RICE, arrêt de travail minimum 2 semaines, décharge 2-3 jours Traitement symptomatique. Arrêt de travail 2 semaines à réévaluer chez médecin traitant. Laboratoire du 27.03.2019: Hb 118 g/l; Leuco 13.8 G/l; Tbc 189 G/l Groupe sanguin A Rhésus positif, RAI nég le 03.04.2019 Sérologies 10.2018: CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. particularités: Boostrix non effectué Laboratoire du 27.03.2019: Hb 120 g/L, Lc 3.7 g/L, Tc 319 g/L, Crase en ordre PAP du 27.03.2019: normal Frottis cervico-vaginal du 13.02.2019: gardnarella vaginalis positif (traitement par Fluomizin reçu), Chlamydia/Gonocoque négatif Laboratoire du 27.03.2019: Hb 132 g/l; Leucocytes 11.1 G/l; Thrombocytes 173 G/l, CRP 9 mg/L Groupe sanguin O+ AC irréguliers négatif le 02.08.2018; Streptocoques du groupe B négatif le 27.02.2019; Sérologies: Toxo non-immune Rubéole immune; VDRL négatif; HBS, Vaccinée; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite; Laboratoire du 27.03.2019: Hb 99 g/l, Lc 8.9 G/l; Tc 304 G/l; Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers positif 25.10.2018 Aspécifique Sérologies: Rubéole immune le 29.09.2014; HBS négatif le 26.10.2018; HCV négatif le 26.10.2018; HIV négatif le 26.10.2018; Varicelle positif le 25.10.2018; faite; particularités: Syphilis anticorps négatifs Laboratoire du 27.04.2019: Hb 133 g/l, Lc 8.4 G/l; Tc 233 G/l; Groupe sanguin B+, AC irréguliers négatif le 27.04.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 05.04.2019 Sérologies: Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 28.03.2019: Hb: 143 g/l, GB: 8.5 g/l, Plaq: 186 G/L, TP> 100% Groupe sanguin B+, AC irréguliers négatif le 26.09.2018 Streptocoque du groupe B négatif le 08.03.2019 Sérologies: Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite Laboratoire du 28.03.2019: Hb 102 g/l, Lc 247 G/l; Tc 12.2 G/l; Groupe sanguin B+, AC irréguliers négatif le 28.03.2019 Streptocoques du groupe B positif le 14.03.2019 Sérologies 2015: Rubéole immune; VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite, particularités: Boostrix effectué le 09.01.2019 Laboratoire du 28.03.2019: Hb 112 g/l, Lc 11.6 G/l; Tc 252 G/l; Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 28.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 12.03.2019 Sérologies du 24.10.2018: Rubéole immune, HBS négatif, Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif, faite; particularités: Dépistage syphilis: AC négatifs. Boostrix non à jour Laboratoire du 28.03.2019: Hb 119 g/l; Leuco 9.1 G/l; Tbc 296 G/l Groupe sanguin B Rhésus positif, RAI nég le 28.03.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 27.02.2019 Sérologies du 18.09.2018: Toxo non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS, Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Boostrix effectué durant la grossesse Laboratoire du 28.03.2019: Hb 124 g/l, Leucocytes 10.7 G/l, Thrombocytes 206 G/l Groupe sanguin A+. AC irréguliers négatif le 10.09.2018; Streptocoques du groupe B négatif le 21.03.2019 Sérologies du 10.09.2018: Toxo non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS, Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Boostrix non souhaité Laboratoire du 28.03.2019: Hb 126 g/l, Lc 9.3 G/l; Tc 192 G/l; CRP <5 mg/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 21.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 14.03.2019 Sérologies: Toxo non-immune le 27.10.2018; CMV non-immune le 01.10.2018; Rubéole immune le 29.04.2011; VDRL négatif le 01.10.2018; HBS négatif le 21.01.2019; HCV négatif le 21.01.2019; HIV négatif le 01.10.2018; Varicelle positif le 29.04.2011 Laboratoire du 28.04.2019: Hb 93 g/l; Leuco 12.6 G/l; Tbc 376 G/l Groupe sanguin A Rhésus négatif, RAI négatif le 28.04.2019 Laboratoire du 29.03: Hb 119 g/l, Lc 10.2 G/l; Tc 297 G/l; Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 29.03.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 18.03.2019 Sérologies: Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 29.03.2019: Hb 114 g/l, Leuco 10.6 G/l, Tbc 192 G/l, LDH à 483 U/l, acide urique à 424 µmol/l, crase normal, spot à 0.334. Laboratoires 31.03: Altération légère de la fonction rénale avec créat à 104 umol/l et LDH à 622 mais stable Laboratoire du 01.04.2019: Hb 91 g/l, Leuco 14.4 G/l, LDH 516 U/l, acide urique à 481 µmol/l haptoglobine 1.29 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, RAI nég le 29.03.2019 Streptocoques du groupe B négatif 25.03.2019 Sérologies 10.2018 : CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Boostrix fait chez son gynécologue traitant CTG à l'entrée : R-NP, contractions utérines irrégulières non ressenties US le 29.03.2019 (Dr. X) : J1 à gauche, F, 2091g, SGA, cassure de la courbe de croissance ce jour, PC J2 à droite M, 2108g, RCIU avec PA 100 % Hb post-opératoire : 105 g/l Groupe sanguin B Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 21.09.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 13.03.2019 Sérologies 21.09.2018 : Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, varicelle non immune et anamnèse négative. Laboratoire du 31.03.2019 : Hb : 121 g/l, GB : 16 g/l, Plaq : 314 G/L, CRP : 9 Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 27.09.2018 Streptocoques du groupe B positifs le 04.03.2019 Sérologies septembre 2018 : Toxo immune, CMV immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Boostrix ? Laboratoire du 31.03.2019 : Hb : 124 g/l, GB : 6.2 g/l, Plaq : 302 G/L Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 05.03.2019 Streptocoques du groupe B positifs le 05.03.2019 Sérologies le 21.09.2018 : Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, HBS vaccinée, HCV négatif, HIV négatif. Boostrix effectué durant la grossesse. Laboratoire ECG Laboratoire ECG : BAV de premier degré connu Radiographie de thorax CT-scanner cérébral injecté le 18.04.2019 : pas de fracture, pas de saignement, pas de masse ; macro-adénome hypophysaire connu (comparatif IRM cérébrale 2017) Schellong : dans la norme Massage des sinus carotidiens aux urgences : sans particularités ETT 24.04.2019 : ventricule gauche normal, sans dilatation avec fonction contractile segmentaire normale, FEVG 60 %, oreillette gauche non dilatée, insuffisance aortique légère (grade 1/3), ventricule droit normal Holter 72h en ambulatoire le 01.05.2019 à 10h15 Avis neurologique : peu typique d'épilepsie de type absence EEG 23.04.2019 : EEG dans les limites de la norme, avec d'abondants artéfacts. Pas d'argument pour une épilepsie sur la base du tracé Patient averti qu'il ne peut plus conduire jusqu'aux résultats du Holter et l'aval de son médecin-traitant Laboratoire ECG Radiographie du thorax Traitement diurétique par Lasix 40 mg bolus puis 20 mg 3x/j Metolazone Laboratoire ECG : rythme sinusal normocarde Troponines H0 à 27 ng/L, H1 à 28 ng/L Gazométrie : hypoxémie RX thorax : signes de surcharge pulmonaire Adaptation des diurétiques Oxygénothérapie Transfert à l'Inselspital Bern (Herzgefässchirurgie) le 16.04.2019 Laboratoire ECG Attitude : • Retour à domicile avec Nebilet 5 mg 1x/j • Consultation chez le médecin traitant pour adaptation du traitement si nécessaire. Les examens effectués aux urgences sont expliqués au patient par le médecin. Laboratoire ECG Avis cardiologie (Dr. X) Att : • Coronographie le 30.04.2019 • Hospitalisation aux soins intensifs Laboratoire ECG Avis cardiologie (Dr. X) : changement du pace en rythme VVI au lieu de DDD Cordarone 150 mg i.v sur 20 min Att : • Hospitalisation aux soins intensifs • Cordarone 200 mg 3x/j pendant 10 jours • Contrôle à une semaine chez le MT (ECG) • Demander stix et sédiment (patient n'a pas uriné aux urgences) Laboratoire ECG Avis orthopédie (Dr. X) Att : • À jeun • Hospitalisation et prise en charge au bloc opératoire dès que possible Laboratoire ECG Avis Tox Info Suisse : • Nexium 80 mg iv en bolus puis Nexium 8 mg/h en pompe • Fluimucil dose de charge 9 g/1 heure puis 3 g/4 heures et 6 g/16 heures • Hydratation NaCl 6 l/24 heures. Surveillance en lit d'observation. Évaluation psychiatrique. Transfert au RFSM CSH Marsens le 15.04.2019. Laboratoire ECG CT cérébral-cervical : Fracture occipitale droite descendant dans la masse latérale occipitale droite et venant au contact du siphon carotidien droit sans signe de dissection ou de thrombus de l'artère carotide interne droite ou des sinus veineux, multiples hémorragies sous-arachnoïdiennes en région frontale gauche, petit hématome sous-galéal occipital droit. Avis neurochirurgie (Dr. X) Plaie : désinfection et champagne habituel, rinçage au NaCl 0.9 %, 2 points de suture au prolène 3-0 Att : • Hospitalisation aux soins continus 24h pour surveillance • CT cérébral de contrôle dans 6h • Pas d'AB pour le moment • Ablation des fils à la tête dans 10 jours • Test de Schellong à réaliser dans un 2ème temps pour bilan de chute Laboratoire ECG CT scan cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux. Primperan 10 mg iv. Prednisone 85 mg per os 1x/j du 08 au 15.04.2019 (pas d'indication à un schéma dégressif). Solumedrol 125 mg en iv pour vomissements après dose de Prednisone le 08.04.2019. Suivi des glycémies. Laboratoire ECG CT scan cérébral natif. Surveillance en lit d'observation aux urgences. CT scan cérébral de contrôle le 15.05.2019. Avis neurologique - Dr. X : • pas d'introduction d'anti-épileptique • pas d'EEG • sevrage progressif des benzodiazépines • EEG seulement si le patient fait une crise sous benzodiazépines. Laboratoire ECG CT scan thoracique. Clexane 80 mg 2x/j pour 1 semaine, puis 1.5 mg/kg 1x/j (100 mg 1x/jour). Contrôle angiologique le 08.07.2019 - Prof X. Laboratoire ECG CT-Scan Aux urgences : • Temesta 2 mg i.v. • Quétiapine 50 mg puis 25 mg p.o. • Remplissage avec NaCl 0.9 % 1000 ml i.v. sur 6h • Surveillance neurologique aux 2h Hospitalisation en médecine interne. Ad avis neurologique et psychiatrique. Laboratoire ECG CT-Scan cérébral et carotides : AVC occipital droit constitué Avis neurologique (Dr. X/Dr. X) : • Surveillance en lit monitoré • Bilan avec IRM cérébrale, bilan lipidique et ETT à prévoir • Changement de l'Aspirine pour Plavix 75 mg (pas de contre indication ortho) • Atorvastatin 40 mg à introduire Laboratoire ECG CT-Scan natif : hyperdensité de 3 mm au niveau des noyaux gris centraux à G, compatible avec un saignement ponctiforme Avis neurologique (Dr. X) : • Traitement antiagrégant à suspendre • Monitoring aux soins sur la nuit • IRM cérébral à prévoir pour demain Laboratoire ECG CT-Scan Time is Brain (Dr. X) : Les cartes fonctionnelles mettent en évidence une très discrète asymétrie frontale en défaveur de la gauche avec diminution du CBF, augmentation du MTT, et conservation du CBV. L'asymétrie est à la limite de la significative, et n'apparaît pas sur la série calculée tissu classification. Pas d'argents pour AVC franc, à confirmer par IRM. Quelques irrégularités athéromateuses des vaisseaux cérébraux et précérébraux, sans sténose ni occlusion. Probable fracture de l'ossification du ligament longitudinal postérieur à hauteur de C5, sans déplacement. IRM cervicale : canal médullaire étroit maximal en C4, pas de signe de saignement, pas de signe de myélopathie aiguë Avis neurochirurgie (Dr. X) : Ad Solumedrol 125 mg 2x/j, discussion PEC chirurgicale selon évolution prochaines 24h, surveillance neurologique aux 4h IRM cérébrale à organiser selon évolution Laboratoire. ECG du 09.04.2019 : rythme sinusal régulier à 90/min, QRS fins, axe à -60°. Segment ST isoélectrique, pas de trouble de la repolarisation. QTC à 452 ms. RX thorax du 09.04.2019 : aorte déroulée calcifiée. Absence d'un bon inspirium. Troubles ventilatoires en bande des 2 bases pulmonaires. Épaississement modéré de la trame bronchovasculaire. RX genou droit + rotule droite du 09.04.2019 : gonarthrose tricompartimentale très avancée avec ostéophytose périphérique. Aspect très ostéopénique de la trame osseuse. RX bassin + hanche axiale droite du 11.04.2019 : fracture du col fémoral droit de type Garden 4. Pour mémoire, status post-ostéosynthèse par clou Gamma d'une fracture pertrochantérienne gauche. Laboratoire. ECG du 14.04.2019 : rythme sinusal régulier à 100/min, PR à 110/min, QRS fins avec un axe à 10°, QTc à 420 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. RX thorax du 14.04.2019 : par rapport au comparatif du 10.01.2019, on retrouve les multiples métastases pulmonaires en lâcher de ballons de taille et d'aspect superposables et l'on constate l'apparition d'un épanchement pleural droit. Silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Portacath sous-clavier gauche. Laboratoire. ECG. Échangeurs cations. Suivi biologique. Laboratoire ECG Gazométrie RX thorax Hémocultures Diurétiques IV puis per os Introduction Bêta-bloquant ETO le 01.04.2019 (Dr. X) : FEVG 45%, sténose mitrale dégénérative avec restriction importante des 2 feuillets mitraux sur calcification importante, IM modérée, oreillette gauche dilatée Laboratoire ECG Gazométrie Rx thorax Hémocultures US ciblé (Dr. X) : épanchement pleural minime bilatéral ; lignes de Kerley B toutes plages pulmonaires, présence d'une calcification au niveau de la valve mitrale Cordarone 300 mg i.v. sur 1h Lasix 20 mg i.v. Nitroglycérine 0.8 mg Aspegic 500 mg Avis cardiologique (Dr. X) : à l'US, insuffisance mitrale modérée, sténose mitrale sévère. Réalisation d'une ETO et corona dans un 2ème temps Att : • Hospitalisation en médecine • ETO ce jour --> pister rapport • Pister hémocultures • Revoir indication à une coronographie avec les cardiologues Laboratoire. ECG. Hydratation. Substitution électrolytique et vitaminique. Avis Dr. X, psychiatre de liaison. Transfert au RFSM CSH Marsens le 10.04.2019. Laboratoire ECG Magnésium 1 ampoule Dilzem 12.5 mg Pantozol 80 mg i.v. bolus, puis 8 mg/h OGD Dr. X : hernie hiatale à 35-40 cm, ulcère oesophagien à 20 cm de l'arcade dentaire d'origine peu claire, paroi très friable Pas de saignement actif. Pas de biopsie effectuée au vu des troubles de la crase. Gastrite dans l'estomac, pas de saignement actif ou ancien. Duodénum sans particularité. Rectoscopie sans préparation : Méléna visualisé. Proposition : Pantozol 40 mg iv 3x/j, Gaviscon 3x/j, répéter une OGD début de la semaine prochaine pour effectuer des biopsies Att : • Hospitalisation en médecine Laboratoire ECG Radio thorax Avis cardiologique (Dr. X) Coronarographie le 26.04.2019 Surveillance au soins intensifs du 26.04 au 27.04.2019 Lasix IV bolus du 25.04 au 29.04.2019 Xarelto remplacé par Eliquis 5 mg 2x/j Laboratoire. ECG. RX thorax. Adaptation du traitement neuroleptique. Physiothérapie. Ergothérapie. Nutrition clinique. Test de la cognition le 19.03.2019. Transfert au RFSM CSH Marsens le 25.03.2019. Laboratoire. ECG. RX thorax. Anticoagulation. Traitement diurétique. Laboratoire. ECG. RX thorax. CT scan thoracique le 09.04.2019 Echocardiographie transthoracique le 11.04.2019. Lasix 20 mg 4x/jour. Torem 20 mg per os dès le 12.04.2019. Beloc Zok 12,5 mg dès le 11.04.2019. Losartan et Aldactone dès le 12.04.2019. Laboratoire. ECG. RX thorax. Fluimucil. Antibiothérapie par : • Amoxicilline, majoration à 1 g 3x/j pour un total de 7 jours. Physiothérapie respiratoire. Contrôle radiologique pour s'assurer de la bonne évolution de l'atélectasie (+/- CT scan si persistance). Laboratoire. ECG. RX thorax. Glucose 20 g dans l'ambulance. G 40% 2 ampoules et G 5% 4h aux urgences. Diminution de la posologie de l'insulinothérapie. Contrôle glycémies pré- post-prandiales 6x/j. Glucosalin 1000 mg/24 h. Laboratoire. ECG. RX thorax. Lasix 40 mg le 07.04.2019 Lasix 20 mg iv 5x/j, puis Torem 20 mg per os dès le 10.04.2019, réduit à 10 mg le 11.04.2019 Laboratoire. ECG. RX thorax. Oxygénothérapie avec sevrage progressif. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. ECG. RX thorax. Prednisone 50 mg pendant 4 jours. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Physiothérapie respiratoire. Ajout chambre d'inhalation pour le Seretide. Co-amoxicilline 1,2 g iv 3x/j, du 08.04.2019 au 12.04.2019. Laboratoire. ECG. RX thorax. Stimulation à l'hydratation per os. Physiothérapie. Rendez-vous à la consultation de la Dr. X le 24.04.2019 pour discuter de la suite de la chimiothérapie palliative. Laboratoire ECG Rx thorax Stix et sédiment urinaire : nitrites, leucocytes, sang En dialyse ce jour : • 2 paires d'Hémocultures • Urotube Att : • Hospitalisation en médecine • Pister hémocultures • Revoir mise en place d'une antibiothérapie avec le Dr. X Laboratoire ECG superposable Troponines H0 à 27 ng/L, H1 28 ng/L Gazométrie Rx thorax signe de surcharge pulmonaire aux urgences : 3 L 02 aux lunettes Avis cardiologique/chirurgie cardiaque à prendre dès le 15.04.2019 Laboratoire. ECG. Test de Schellong. Hydratation NaCl iv. Surveillance en lit d'observation. Laboratoire ECG Troponines H0 : 20 ng/l, H1 : 18 ng/l, H2 : 18 ng/l Hémocultures : négatives à 5 jours CT thoracique le 31.03.2019 : pas d'embolie pulmonaire Echocardiographie transthoracique le 01.04.2019 (Dr. X) : FEVG à 55-60 %. Examen stable par rapport au 29.01.2018 avec sténose lâche et une insuffisance modérée après plastie mitrale avec un anneau Avis cardiologique le 01.04.2019 (Dr. X/ Dr. X) Avis auprès du Dr. X (Clinique Bois-Cerf) pour cimentoplastie : en cours d'évaluation Adaptation antalgie Laboratoire. ECG. Troponines H0 : 16 ng/l, H1 : 11 ng/l. Adaptation antalgie. Consultation dans 48h à la clinique Cécil pour cimentoplastie. Laboratoire ECG Urines Attitude : • Réassurance • Antalgie pour céphalées • Proposition de compléter le bilan par une Ferritine • Conseil à la patiente de trouver un médecin traitant. Laboratoire ECG Urines US aux urgences (Dr. X) veine cave inférieure 3 cm peu collabable, pas de dilation VD, bonne fonction VG visuelle, ligne b bilatérale apex, léger épanchement pleural gauche Aux urgences : • Lasix 40 mg i.v. • Nitrés 0.8 mg 2x Radiographie du thorax Hospitalisation en médecine interne. Laboratoire ECG Urines CT-Scan cérébral : pas de saignement, pas de fracture Avis cardiologique (Dr. X) • ETT : surcharge du cœur droit avec PAPs à 60 mmHg, FEVG conservée, pas de surcharge du cœur gauche, pas d'hypokinésie, interdépendance respiratoire VD VG CT-Scan thoracique : embolie pulmonaire bilatérale sous-segmentaire Avis SI (Dr. X) : • Surveillance à l'étage, anticoagulation par clexane Reçu aux urgences : • Héparine 5000 UI en bolus • puis 28'000/24h en i.v. continu Hospitalisation en médecine interne. Laboratoire ECG US pulmonaire (POCUS) : lignes B jusqu'à mi-bases, avec épanchement pleural droit mesuré jusqu'à 4 cm. Radiographie du thorax Holter rendu ce jour Aux urgences : • Lasix 40 mg i.v. avec bonne réponse • Oxygenothérapie à 2 L Hospitalisation en médecine interne. Laboratoire. ECG. CT cérébral : occlusion de l'artère carotide interne à gauche au départ, occlusion de l'artère cérébrale moyenne portion M1-M2. Pas de différenciation cortico-sous-corticale. Pas de saignement. PACS des images à Berne. Aux urgences : actylise 6.8 ml en bolus puis 60.8 ml sur 1h Avis neurologique (Dr. X) : demande d'un avis à Berne, probable double thérapie avec lyse et intervention endovasculaire. Avis neurologue Berne (Dr. X) : début de la lyse avec bolus 10 % puis reste sur 1h. Transfert pour suite de prise en charge à Berne. Attitude : • Transfert à Berne sur suite de prise en charge. Laboratoire ECG CT cérébral le 07.04.2019 Majoration du traitement de Keppra à 750 mg 2x/j Avis neurologique (Dr. X) le 08.04.2019 : indication à une IRM cérébrale retenue Taux de Keppra non mesuré à l'arrivée (inutile après la majoration du traitement au service des urgences) IRM cérébrale le 10.04.2019 : nodule connu de la partie antéro-inférieure de la cavité de résection d'environ 15 mm parlant pour une récidive. Augmentation de l'œdème/gliose péri-lésionnel mais sans effet de masse significatif Attitude : • augmentation du traitement par Dexaméthasone à 8 mg/jour dès le 11.04.2019 avec schéma régressif tous les 5 jours (8 mg, puis 6 mg, puis 4 mg, puis 2 mg à long terme) • poursuite du suivi chez le Dr. X • médication en protocole d'urgences donnée pour le retour à domicile : Dormicum 2.5 mg intra-nasal Laboratoire ECG CT cérébral (transmission orale) : pas de saignement actif, pas d'effet de masse, ectasie du système ventriculaire et citernes de la base. Att : • Hospitalisation en médecine • Avis neuro à prendre dès demain avec réévaluation indication à un EEG Laboratoire ECG Manœuvre de Valsalva inversé Adénosine 6 mg, 12 mg, 12 mg Dormicum 3 mg IV, suivi d'un choc synchrone de 100 J Fentanyl 50 ug Diltiazem 5 mg iv Avis cardiologique (Dr. X) : indication à hospitalisation pour bilan cardiologique complet. À organiser : • ETT • Ergométrie d'effort • IRM cardiaque • R-Test en cardiologie Att : • Organiser les examens cardiologiques • Surveillance clinique • Pister résultats TSH, T3, T4 Laboratoire ECG Pacing externe transitoire le 13.04.2019 Implantation d'un pacemaker sous-cutané par le Dr. X le 15.04.2019 avec comme caractéristique : • Pacemaker : EDORA 8 DR-T - 69299761 • Implantation : 15/04/2019 • Compatibilité IRM : Oui à 3 T corps entier • Mode de stimulation : AAI-DDD avec fréquence de base à 60 battements par minute et maximale à 130 battements par minute Cathéter artériel radial gauche du 13.04.2019 au 15.03.2019 Oxygénothérapie du 13.04 au 18.04.2019 Atropine le 13.04.2019 Isoprénaline du 13.04.2019 au 14.04.2019 Beloc Zoc 12.5 mg 1-0-0-0 dès le 18.04.2019 Consultation de contrôle cardiologique le 14.05.2019 à 16h15 Transfert en unité d'accueil temporaire et d'orientation (UATO) le 24.04.2019 puis placement en appartement protégé Laboratoire ECG Radiographie du thorax CT thoracique : pas d'embolie pulmonaire centrale Avis cardiologique le 29.03.2019 : pas d'urgence pour une coronarographie. À rediscuter dès que la situation gastro-intestinale est réglée Echocardiographie transthoracique le 29.03.2019 : FEVG à 25 %. Examen superposable à celui du 05.2018 en ce qui concerne la fonction et régionalités du VG, l'anévrysme apical, les valvulopathies aortique et mitrale, et l'épanchement péricardique Nouvel avis cardiologique le 08.04.2019 (Dr. X/Dr. X) : pas d'indication à réaliser une coronarographie Mise en suspens de la Digoxine le 30.03.2019 Anticoagulation par Clexane 40 mg 2x/j du 28.03 au 30.03.2019 Héparine du 30.03 au 31.03.2019 Reprise du Sintrom le 01.04.2019 avec adaptation des posologies selon l'INR Mise en place oxygénothérapie à domicile Laboratoire. ECG. Rx thorax. Magnésium 8 mg iv. Introduction de Cordarone : • dose de charge 300 mg iv puis relais 200 mg 3 x/j per os le 09.04.2019. Cordarone 200 mg 3x/jour du 10 au 28.04.2019 puis 1 x par jour. Xarelto 20 mg à poursuivre jusqu'au contrôle cardio le 28.05.2019 Rendez-vous de contrôle cardiologique, Dr. X, le 28.05.2019 à 08h00. RDV chez Dr. X le 17.04.2019 pour ECG de contrôle. Laboratoire. ECG. RX thorax OGD et colonoscopie le 04.04.2019. Biopsies duodénales et gastriques à pister. Transfusion de 2 culots érythrocytaires le 01.04.2019 et le 04.04.2019. Ferinject 1000 mg le 02.04.2019. Laboratoire effectué à Payerne CT-SCAN : MID avec occlusion du pontage aorto-fémoral à droite, reprise de l'opacité au niveau fémoral profonde et au niveau de la poplité. Tibial antérieure occluse proximale jusqu'en distalité. Artère tibiale postérieure perméable jusqu'en distalité. MIG : pontage perméable, sub-occlusion fémoral superficielle ; sténose dans la portion P2 au niveau poplité. Quelques occlusions focales au niveau de l'art tibial antérieur avec perte de perfusion dès la dorsale du pied. Avis angiologie (Dr. X) : • voie endovasculaire impossible Avis chirurgie (Dr. X) • intervention de thrombectomie prévue pour ce soir/demain • anticoagulation autre que Héparine à introduire Laboratoire effectué chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • stix/sédiment • US abdomen de débrouillage : dilatation pyélocalicielle de grade I à gauche • uro-CT : calcul de 3 mm à la jonction urétro-vésicale. Attitude : • traitement conservateur avec antalgie et spasmolytique • filtrage des urines • consultation chez le médecin traitant en cas de péjoration des symptômes. Laboratoire effectué chez médecin traitant : CRP à 23, leucocytes : 9.7, Na à 143, K à 4.3, Créatinine à 94 ECG : fibrillation auriculaire, rythme irrégulièrement irrégulier, hémibloc antérieur gauche A reçu 80 mg de Torasemide chez le médecin traitant. Hospitalisation en médecine interne. Laboratoire : électrolytes à la limite inférieure de la norme Maintien à jeun 24h puis réalimentation progressive Réhydratation Glucosalin 2500 ml/24h Primpéran iv, Itinérol B6 en réserve Atropin sulfate 1x/j Laboratoire : électrophorèse, recherche Lyme, fonction thyroïdienne, tests hépatiques • pister bilan biologique cardiomyopathie dilatée • IRM cardiaque à prévoir en ambulatoire Laboratoire et sédiment urinaire le 20.03.2019 Pas d'investigations supplémentaires Laboratoire (examen avec explication donnée par le médecin). Avis neurologique (Dr. X) : faire une ponction lombaire et compléter le bilan pour une sclérose en plaques et organiser une consultation en ambulatoire avec le Dr. X. Prendre contact pour la suite si numération cellulaire > 50 cellules au niveau du LCR. Ponction lombaire aux urgences : liquide limpide, eau de roche, 0 élément, pas d'érythrocyte. Retour à domicile avec consultation en ambulatoire en neurologie. Laboratoire (examen avec explication donnée par le médecin). Avis chirurgical (Dr. X) : incision et drainage avec mèche, contrôle chez le médecin traitant à 48 heures. Contrôle en proctologie à 1 semaine, le patient sera convoqué. Laboratoire Examen clinique Traitement symptomatique avec Makatussin Laboratoire (explications données au patient) US abdominal Laboratoire. Fluconazole 200 mg iv aux urgences puis 200 mg 1x/jour du 05.04 au 11.04.2019. Mycostatine 1 ml 4x/jour buccal le 04.04.2019. Soins de bouche. Laboratoire Frottis de plaie Avis chirurgie (Dr. X) Att: • Hospitalisation en chirurgie • Prise au bloc opératoire • Pas d'AB pour le moment • Pister frottis de la plaie Laboratoire. Frottis grippe. RX thorax. CT scan thoraco-abdominal. Bilan de déglutition. Oxygénothérapie. Prednisone 30 mg du 15.02 au 22.02.2019. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv du 15.02 au 21.02.2019 • Ciproxine 500 mg 2x/j du 06.03 au 14.03.2019 • Céfépime 1 g 2x/j du 26.03 au 29.03.2019 • Ciproxine 500 mg 2x/j du 30.03 au 02.04.2019. Laboratoire : FSS alignée, pas de troubles électrolytiques, CRP < 5 mg/l stix : Cétones ++ US obstétrical du 17.04.2019 : Bonne vitalité foetale de J1 et J2, col long fermé, pas de vasa ou placenta praevia, pas de signe de décollement placentaire, myome intramural latéral gauche de 8 cm Frottis bactériologique en cours (chlamydia) Sérologies du 16.01.2018 : Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, du 12.04.2018 HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif Laboratoire : FSS dans la norme, pas de trouble de la fonction rénale. Méchage par Rhino stop 7.5 cm, avec tarissement du saignement. Consultation en ORL le 02.04.2019 pour ablation de la mèche et évaluation de cautérisation. RAD avec réassurance du patient et antalgie simple. Laboratoire Gazométrie : acidose métabolique Recherche de toxicité urinaire CT cérébral natif (Dr. X) : Pas de saignement Att: Transfert aux soins intensifs pour la suite de la prise en charge Laboratoire Gazométrie artérielle ECG : superposable aux ECG précédents Radiographie de thorax : syndrome interstitiel D > G Antigènes urinaires pneumocoques et légionellose à pister Évaluer aérosols de NaCl selon évolution Laboratoire Gazométrie artérielle ECG : superposable aux ECG précédents Radiographie de thorax : syndrome interstitiel D > G Hospitalisation en médecine interne Majoration du traitement diurétique par Torasémide 5 mg 1x/j Lasix 40 mg iv en bolus aux urgences Organiser un contrôle échocardiographique Suivi du poids, électrolytes et créatinine Physiothérapie respiratoire Laboratoire Gazométrie artérielle Dosage du Xarelto infra-thérapeutique le 15.04.2019 (non-prise de Xarelto sur 3 jours au vu des vomissements) Radiographie de thorax : normale Échographie abdominal (Dr. X) : normale Avis chirurgical : abdomen souple, pas d'argument pour réaliser un scanner Introduction de Pantozol 40 mg 1-0-1-0 dès le 15.04.2019 Alucol et Primpéran en réserve Surveillance clinique et biologique Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Radiographie de thorax ATT • Lasix 20 mg ivd avant et post transfusions • Majoraton du torasémide à 20 mg Laboratoire Gazométrie artérielle US abdominal (Dr. X, rapport oral) : pas de lithiase vésiculaire, pas de cholécystite, pas de thrombose de la veine porte Radiographie de thorax : pas d'air sous la coupole diaphragmatique, pas de foyer pulmonaire Avis chirurgical : abdomen souple, pas d'arguments pour réaliser un scanner ATT Pantozol 40 mg 2x/j, Alucol en réserve, Primpéran en réserve Hospitalisation en médecine interne pour surveillance de la prise de Xarelto (en vue de vomissements post-prandiaux) et switch par Héparine le cas échéant au vu de la maladie thrombo-embolique Laboratoire. Gazométrie. ECG du 11.04.2019 : rythme sinusal régulier à 83/min, PR à 178 ms, QRS à 104 ms, axe à 28°, transition de l'onde R en V4. Absence de troubles de la repolarisation. RX thorax du 11.04.2019 : cœur de taille à la limite supérieure de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Ostéophytose intersomatique antérieure marquée au niveau D11, D12. US abdominal de débrouillage : pas d'ascite. Bladder scan : 330 ml. Laboratoire Gazométrie ECG Rocéphine 2g Erythromycine 250mg Sandostatin 50ug i.v. bolus, puis 50ug/h Pantozol 80mg i.v. Att: • Hospitalisation aux soins intensifs • OGD en urgence Laboratoire. Gazométrie. RX thorax. Oxygénothérapie. Co-amoxicilline intraveineux 2.2 g 3x/j. Laboratoire, gazométrie Stix, sédiment urinaire, chimie urinaire US abdo le 22.04 ASP le 24.04 Cholangio-IRM le 25.04 Gastroscopie le 28.04 Bilan hydrique Consilium par la gastro-entérologue pédiatre (Dr. X) Bolus de NaCl 0.9% 500ml le 22.04 Compensation de 2/3 des pertes en plus des besoins sur 8h le 22.04 par Glucosalin Glucosalin 2:1 en entretien jusqu'au 26.04 puis en schéma dégressif jusqu'au 28.04 Nexium 60mg iv en o.u. le 23.04 puis 40mg iv du 24.04 au 28.04 Potassium 2mEq/kg = 60meq = 30ml de KCl 15% iv du 23.04 au 26.04 puis en schéma dégressif Movicol 1 sachet 2x/j du 27 au 28.04 Antalgie par Novalgine et Paracétamol Zofran 4mg en R si nausées Laboratoire, gazométrie Stix, sédiment urinaire US abdominal le 05.04 : appendice non visualisé Laparoscopie exploratrice et appendicectomie laparoscopique le 05.04.2019 (Dr. X) Laboratoire : glycémie à 17.1 mmol/l, pas de corps cétoniques. Gazométrie artérielle : pH 7.31, Bicarbonates à 21 mmol/l, lactates 2.4 mmol/l Clairance des lactates à 1.1 mmol/l après remplissage iv. Laboratoire : Glycémie 17, Hb1Ac à 11.2, pas de syndrome inflammatoire Gazométrie artérielle Urines : Glycosurie, cétonurie, ECG : RSR, PQ sp, QRS fins, normoaxé, repolarisation précoce, bonne progression dans les précordiales Aux urgences : • Pantozol 40mg • Hydratation IV 1500ml • Insuline 6UI Attitude : • Hospitalisation en médecine • Chambre seul et sécuritas • Suivi glycémique, introduction traitement de base et éducation Laboratoire Hb glyquée le 03.04.2019 : 6.2% Contrôles par les soignants des doses de corrections gérées par le patient Adaptation du schéma d'insuline - Stop Lantus le 05.04.2019 en raison d'hypoglycémies nocturnes et d'un profil glycémique labile Attitude : • Suivi en ambulatoire à l'HFR Laboratoire : Hb 101 g/L, Lc 9.6 g/L, CRP 10, Tc 324 g/L Hémocultures du 04.04.2019 : en cours Laboratoire : Hb : 133 g/l, GB : 11.3 g/l, plaq : 222 G/L, TP > 100% Groupe sanguin O rhésus négatif, immunoglobuline anti-D 28.02.2019, AC irréguliers négatif le 31.01.2019 Streptocoques du groupe B positif le 22.03.2019 Sérologies : Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle, particularités : Boostrix fait le 03.01.2019 Laboratoire : Hb 70 g/L RX thorax à pister Analyse urinaire à pister Transfusion d'1 CE aux urgences le 03.04.2019 Pantozol 40 mg IV dose unique aux urgences (à ne pas poursuivre en raison de l'intolérance connue) Au vu des examens effectués récemment sans étiologie claire hormis la constipation et les hémorroïdes (colonoscopie le 19.03.2019 + juillet 2018, gastroscopie février 2018, CT-abdominal en octobre 2018), rediscuter indication à nouvel OGD + colonoscopie avec gastro-entérologues (consultation en proctologie prévue le 09.04.2019) CT-scan abdominal à discuter Hospitalisation en médecine Laboratoire. Hémocultures : positives pour S. aureus les 16, 17, 18 et 19.04.2019.Urotube du 16.04.2019 : négatif. CT scan colonne lombaire natif du 16.04.2019 : discarthrose étagée, essentiellement en L1-L2 et L2-L3. Arthrose interfacettaire lombaire basse étagée. Pas d'image de tassement vertébral. Nodules de Schmorl étagés, essentiellement en L2, L3 et L4. IRM colonne lombaire native et injectée du 17.04.2019 : aspect d'une spondylodiscite à l'étage L1-L2 avec infiltration inflammatoire des tissus mous péri-vertébraux. Pas de véritable collection abcédée de taille significative. Echocardiographie transthoracique - Dr. X - du 18.04.2019 : ventricule gauche de taille et fonction systolique normales. Oreillettes de taille normale. Flux mitral de type dysfonction diastolique de stade 1. La valve aortique paraît tricuspide sans sténose ou insuffisance significative. La valve mitrale est mal visualisée, discrètement sclérosée et avec une insuffisance, paraissant petite. Les valves droites ne sont pas visualisables. Les cavités droites sont mal visualisées, la taille et la fonction systolique du ventricule droit paraissant normales. HTAP très probable avec une PAPs estimée à 50-55 mmHg. Pas d'épanchement péricardique significatif. Une endocardite ne peut pas être exclue sur la base de cet examen transthoracique de qualité médiocre. CT scan abdominal du 20.04.2019 : sous réserve d'un examen de qualité sub-optimale, spondylodiscite L1-L2, associée à des abcès des muscles psoas bilatéraux, prédominants à gauche. Laboratoire. Hémocultures à froid. ECG. RX thorax. VNI. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Prednisone 40 mg durant 5 jours. Antibiothérapie par : • co-amoxicilline 2,2 g iv 4x/j du 26 au 31.03.2019 • co-amoxicilline 1 g 3x/j jusqu'au 02.04.2019. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Hémocultures à froid. Urotube. RX thorax. Hydratation NaCl 1500 ml/24h. Avis infectiologique, Dr. X. Antibiothérapie par : • Imipenem 1 g iv le 10.04.2019 • Imipenem 500 mg iv 3x/jour du 10 au 12.04.2019 • Invanz du 12 au 15.04.2019, relais par Bactrim per os 2x/jour pour 4 semaines. Consultation Dr. X, urologue, le 30.04.2019. Laboratoire. Hémocultures. ECG. RX thorax. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 06 au 09.04.2019 • Klacid 500 mg per os 2x/j du 06 au 07.04.2019. Laboratoire. Hémocultures. ECG. RX thorax. CT scan thoracique. Antibiothérapie par : • Imipenem du 21 au 25.03.2019 • co-amoxicilline per os du 25 au 31.03.2019. Physiothérapie respiratoire. CT scan thoracique de contrôle à un mois. Laboratoire. Hémocultures. Frottis grippe. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. ECG. RX thorax. CT scan thoraco-abdominal. Sonde gastrique en aspiration. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv en ordre unique le 14.03.2019 • Flagyl 500 mg iv en ordre unique le 14.03.2019 • Tazobac 4,5 g 3x/j du 15 au 18.03.2019. Noradrénaline iv continu 0,01 - 1 ug/kg/min du 14 au 16.03.2019. Traitement diurétique par Lasix iv. Solucortef. Dafalgan iv. Laboratoire Hémocultures le 07.03.2019 : positives en <12h à S.aureus Cathéter artériel radial droit du 08.03 au 09.03.2019 Sonde vésicale du 07.03 au 20.03.2019 Picc line membre supérieur gauche le 14.03.2019 Remplissage vasculaire Noradrénaline le 08.03.2019 Antibiotiques : • Ceftriaxone/Métronidazole du 07.03 au 08.03.2019 • Vancomycine du 08.03 au 09.03.2019 • Flucloxacilline du 08.03 au 25.03.2019 • Daptomycine du 26.03 au 09.04.2019 Recherche de foyer : • CT thoraco-abdominal injecté le 08.03.2019 • IRM cérébrale et rachis cervical le 08.03.2019 • IRM rachis lombaire le 11.03.2019 Attitude : • suivi clinique et biologique Laboratoire Hémocultures le 23.03.2019 Co Amoxi iv. du 16.03.19 au 25.03.2019 Bandes de contention refusées par le patient Physiothérapie de drainage refusée par le patient Suivi clinique et biologique Laboratoire Hémocultures : négatives à 48h CT scan Thoraco-Abdominale le 25.04.2019 Rocephine 2g aux urgences le 24.04.2019 Rocéphine 2g iv 1x/j et Metronidazole 500mg iv 3x/j du 25.04.2019 au 26.04.2019 Ciprofloxacine 500mg po 2x/j et Metronidazole 500mg po 3x/j du 27.04.2019 au 04.05.2019 ATT : • Contrôle bioclinique (syndrome inflammatoire, tests hepatiques, phosphate, magnésium) chez le médecin traitant la semaine prochaine Laboratoire. Hémocultures. Oxygénothérapie 2 l/min du 22 au 23.03.2019. Traitement bronchodilatateur par Atrovent, Ventolin et Pulmicort aux urgences. Prednisone 50 mg per os aux urgences. Antibiothérapie par : • co-amoxicilline 1,2 g iv 4x/j du 22 au 24.03.2019 • co-amoxicilline 1 g per os 2x/j du 25 au 29.03.2019. Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. ECG. RX thorax. Antibiothérapie par : • Klacid 500 mg per os 2x/j du 11 au 12.04.2019 • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 11 au 13.04.2019 • Co-Amoxi 1 g per os 2x/j du 14 au 20.04.2019 inclus. RX thorax 2 - 3 semaines après la fin de l'antibiothérapie. CT scan thoracique si persistance du foyer. Contrôle chez Dr. X si nécessaire. Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. ECG. RX thorax. Antibiothérapie par : • Céfépime 2 g iv 2x/j du 24 au 27.03.2019 • Klacid 500 mg per os 2x/j du 24 au 25.03.2019 • Ciprofloxacine et Clindamycine per os du 28.03 au 01.04.2019. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. ECG. RX thorax. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 30.03 au 02.04.2019 • Klacid 500 mg iv 2x/j du 30.03 au 01.04.2019 • co-amoxicilline 1 g per os 2x/j du 05 au 10.04.2019. Physiothérapie respiratoire. Oxygénothérapie. Tests de la cognition le 04.04.2019. Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Frottis nasal grippe. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 18 au 23.03.2019 • Klacid 500 mg 2x/j du 18 au 19.03.2019 • co-amoxicilline 1 g per os 2x/j du 24 au 25.03.2019. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Hémocultures. RX thorax. Antibiothérapie par : • co-amoxicilline 2,2 g iv 4x/j du 27 au 28.03.2019 • co-amoxicilline 1 g per os 3x/j du 29 au 31.03.2019. Laboratoire. Hémocultures. RX thorax. Hydratation iv. Laboratoire. Hémocultures. Suivi biologique. Laboratoire. Hémocultures. Urotube. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv du 31.03 au 04.04.2019 • Ciproxine 500 mg per os 2x/j le 05.04.2019. Laboratoire. Hémocultures. Urotube. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv le 10.04.2019 • Tienam du 10.04.2019 au 11.04.2019 • Ertapenem 750 mg iv 1x/j du 11.04 au 20.04.2019. Laboratoire. Hémocultures. Urotube. Ecofenac 75 mg iv. Novalgine 1 g iv. US des voies urinaires. Hydratation. Antibiothérapie par : • Ceftriaxone iv du 25 au 28.03.2019 • Ciprofloxacine per os du 29.03 au 08.04.2019. Laboratoire. Hémocultures (4/8 positives). Urotube. RX thorax. Echocardiographie transthoracique le 11.04.2019. Avis infectiologique (Dr. X). Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 07 au 08.04.2019 • Cubicine dès le 09.04.2019 pour un total de 10 jours, à réévaluer par Dr. X, infectiologue. Laboratoire. Hémocultures Culture de selles. CT scan abdominal le 30.03.2019 Hydratation iv. Antibiothérapie par : • Rocéphine du 30.03 au 01.04.2019 • Flagyl du 30.03 au 01.04.2019. Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Urotube. ECG. RX thorax. Antibiothérapie par : • Meropenem 1 g 3x/j du 22 au 23.03.2019 • Rocéphine 2 g iv du 24.03 au 05.04.2019. Laboratoire. Hydratation. Laboratoire Hydratation intraveineuse Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 03.04.2019 au 10.04.2019 avec : • Physiothérapie avec évaluation de la marche.Ergothérapie Bilan nutritionnel Tests de la cognition du 03.04.2019 : MMSE à 26/30, test de la montre à 5/7 ; GDS à 3/15 Laboratoire. Hydratation. Mis en suspens de l'Aldactone et du Torem du 24.03 au 27.03.2019. Laboratoire : H0 13 ng/l, H1 15 ng/l, H3 14 ng/l. ECG : rythme sinusal régulier sans troubles de la repolarisation. Attitude : • retour à domicile avec suite de prise en charge chez le médecin traitant • le patient a déjà bénéficié d'un bilan cardiologique complet en début d'année chez le Dr. X ; on propose éventuellement d'organiser un Holter de 72 heures/Reveal en cas de persistance de la symptomatologie • expliqué au patient dans quelles situations il faudra reconsulter. Laboratoire H0 : 27, H1 : 214 ECG Monitoring sous défibrillateur Avis Cardiologie/US cardiaque (Dr. X) : AVNRT/AVRT dans un contexte de déshydratation probable. Cause ischémique improbable. Hydratation IV sous pression Défibrillation synchrone à 50 et 100 MV : pas de ralentissement de rythme Adénosine 6 mg IV flushé : ralentissement du rythme Hospitalisation • Refaire US cardiaque lors de l'hospitalisation et adapter TTT. +/- discuter Laboratoire : H0 : 4, H1 : 4 H3 : 6 ECG : sous décalage territoire IVA Nitré, Aspegic 500 mg Avis cardiologique (Dr. X) : Surveillance aux urgences puis coronarographie prévue le 9.4.19 Attitude : • Surveillance aux urgences et coronarographie le 9.4.2019 • Prise des médicaments du semainier ce matin sauf antidiabétique et aspirine cardio • Suite de prise en charge aux SI Laboratoire : INR à 1.2 et PTT à 43 secondes US de repérage au lit du patient : quantité d'ascites modérée (estimée à environ 3L) => Ponction d'ascite évacuatrice non effectuée en raison de la faible quantité et de l'absence de symptomatologie abdominale Poursuite des traitements diurétiques et transfert à la Villa Saint-François dès la semaine prochaine Réévaluation régulière de l'indication à une nouvelle ponction Laboratoire : INR à 2. Pas d'atteinte des tests hépatiques de cholestase ni de lipase. Discret syndrome inflammatoire avec CRP à 24 mg/l. Pas de leucocytose. Avis chirurgical Dr. X : RAD avec antalgie simple, en fonction du contrôle biologique. Schéma de Sintrom de 5 mg le 21.04.2019, 4 mg le 22 et 23.04.19. Contrôle d'INR le 24.04.2019, avec cible INR entre 2 et 3, au Secteur Ambulatoire des Urgences. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire : INR 1.4. Attitude : • Sintrom 5 mg le 20.04.2019, dose de Fraxiparine 0.8 ml le 20.04.2019, nouveau contrôle de la crase en F34 le 21.04.2019 • Noté sur le cahier d'anticoagulation les détails par rapport à la thérapie anticoagulante. Laboratoire IRM de la colonne totale le 27.03.2019 : pas de compression médullaire ou de myélopathie RX bassin le 09.04.2019 : sans particularité Antalgie simple Myorelaxant Physiothérapie Cymbalta le 04.05.2019 (intolérance) Oxynorm en réserve le 02.04.2019 (intolérance) Tramadol en réserve dès le 03.04.2019 Avis neurochirurgical (Dr. X) le 27.03.2019 Avis neurologique (Dr. X) le 27.03.2019 Avis psychiatrique (Dr. X) demandé le 04.04.2019 ATT : • RAD avec physiothérapie et école du dos en ambulatoire • Suivi psychiatrique à débuter en ambulatoire, probablement au secteur AOP du nord vaudois Laboratoire : joint en annexe Radiographie de thorax 29.03.2019 (externe) : infiltrat alvéolaire bilatéral Laboratoire. Lasix 20 mg IV 3x/j du 02 au 03.04.2019. Lasix 20 mg IV 4x/j du 04 au 05.04.2019. Torem 30 mg per os dès le 06.04.2019. Laboratoire. Lavages au sérum physiologique aux urgences. Cyclokapron 2 cpr aux urgences puis 2x/jour jusqu'au 22.04.19 inclus. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X la semaine suivante. Laboratoire : Lc à 13, pas de CRP. Radiographie F/P : pas de CE, pas de réaction périosté. Avis orthopédique (Dr. X, Dr. X). Attitude : • Antibiothérapie par Co-Amoxicilline pour 7 jours. • Immobilisation dans une attelle BAB ouverte à 60° pour 10 jours à réévaluer. • Contrôle clinique au secteur ambulatoire des urgences avec avis orthopédique à 48h. • Arrêt de travail pour 10 jours. Laboratoire : Lc 14, CRP 60 Gazométrie artérielle : acidose métabolique, pas d'hypercapnie ECG : RSR, BAV 1er degré, BBD complet, onde T négative en latéral (comparable) RX thoracique : foyer apical droit, cardiomégalie, épanchement pleural gauche Aux urgences : • Rocéphine 2g IV • Prednisone 30mg Attitude : • Hospitalisation aux médecines internes • Poursuite Rocéphine • Prednisone à dose réduite (contexte de diabète mal contrôlé) • Atrovent et Ventolin d'office • Revoir traitement de fonds avec MT • Pister antigène urinaire Laboratoire le 02.04.2019. Ponction hanche G et genoux DDC le 15.04.2019. CT-scanner injection du bassin, de la hanche, de la cuisse et du genou G à la recherche de collection et de signe de déscellement de la PTG G le 18.04.2019. Prochain contrôle le 30.04.2019. Laboratoire le 05.04.2019 : ALAT 117 U/L, PAL 589 U/L, bilirubine totale 10.6 umol/L, bilirubine directe 7.8 umol/L, CRP 52 mmol/L Rocéphine 2 g 1x/j IV du 05.04.2019 au 16.04.2019 Flagyl 500 mg 3x/j PO du 08.04.2019 au 16.04.2019 Antalgie par Oxycontin Cholangiographie transhépatique percutanée bilatérale le 05.04.2019 (Dr. X, Dr. X) avec : • bilioplastie • pose de 2 drains avec rinçage 1x/j Cholangiographie de contrôle le 10.04.2019 Cholangiographie le 12.04.2019 avec : • ablation des drains percutanés • pose d'un stent biliaire Microbiologie de la bile le 05.04.2019 : Streptococcus anginosus ++, Enterococcus faecium ++, Aeromonas sp +, Streptococcus constellatus ++ Attitude : • Suivi clinique et biologique chez le médecin traitant Laboratoire le 15.04.2019 : cf annexes. Radiographie de thorax le 15.04.2019 : Comparatif du 08.06.2018. Nette majoration de la masse pulmonaire supérieure droite, avec un grand axe qui passe de 8,5 cm à 14,2 cm. Il s'y associe l'apparition d'un épanchement pleural modéré à droite ainsi que des infiltrats et des bronchogrammes aériques en base droite, pouvant parler pour une pneumonie (origine infectieuse versus tumorale). Redistribution vasculaire diffuse pouvant être en rapport avec un certain degré de surcharge. Pas d'épanchement pleural visible du côté gauche. Le reste du status est superposable. Laboratoire le 17.04.2019 : CRP 144 mg/l, leucocytes 16 G/l 2 paires d'hémocultures (à froid) le 17.04.2019 : positif en < 12h d'une bouteille sur 4 avec enterococcus galinarum sur PAC 2 paires d'hémocultures (à froid) le 18.04.2019 : positif à 2 jours d'une bouteille sur 4 avec enterococcus galinarum en périphérie CT abdominal supérieur le 17.04.2019 : pas d'occlusion de stent, épaississement vésicule, pas de dilatation des voies biliaires, augmentations des lésions surrénaliennes Metronidazole 500 mg IV le 17.04.2019 Ceftriaxone IV le 17.04.2019 Piperacilline/Tazobactam 4,5 g IV 3x/jour du 17.04. au 20.04.2019 Co-amoxicilline IV 2.2 g du 20.04 au 24.04.2019 ERCP le 18.04.2019 (Dr. X) : obstruction visible de l'ancien stent et remplacement par stent en plastique, absence de complications Attitude : • Changement du stent à 3 mois à prévoir, ou plus tôt si récidive de symptômes Laboratoire le 17.04.2019 : Hb : 127 g/l, GB : 14.9 g/l, Plaq : 264 G/L, CRP < 5 Groupe sanguin O rhésus négatif, immunoglobuline anti-D le 18.01.2019, AC irréguliers négatif le 18.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 21.03.2019 Sérologies : CMV non-immune, Rubéole non-immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite, particularités : Boostrix le 18.01.19 Laboratoire le 18.03.2019. CT-scanner le 19.03.2019. Ponction le 03.04.2019. Laboratoire le 18.04.2019 : CRP à 38 mg/l, leucocytes à 18.8 G/l sans déviation gauche ECG le 18.04.2019 : superposable Urotube le 18.04.2019 : E.coli multisensible. Réhydratation prudente par NaCl 0.9% IV 125 ml sur 2 heures Ceftriaxone IV 2 g le 18.04.2019 puis 1 g du 19.04 au 23.04.2019 Laboratoire le 19.04.2019 : CRP 144 mg/l, leucocytes 8.9 G/l Sédiment urinaire le 19.04.2019 : pathologique Culture urinaire le 19.04.2019 : E. coli (10E6) multisensible 2 paires d'hémocultures le 19.04 : E. colimultisensible CT abdominal : pyélonéphrite bilatérale, pas de calcul visible, pas d'obstruction, pas de dilatation pyélocalicielle Rocéphine 2 g IV 1x/j du 19.04.2019 au 23.04.2019 Ciprofloxacine 500 mg PO 2x/j du 24.05.2019 au 03.05.2019 Laboratoire le 19.04.2019 : CRP 144 mg/l, leucocytes 8.9 G/l Sédiment urinaire le 19.04.2019 : pathologique Culture urinaire le 19.04.2019 : en cours 2 paires d'hémocultures : présence de bacilles gram- dans 3/4 cultures CT abdominal : pyélonéphrite bilatérale, pas de calcul visible, pas d'obstruction, pas de dilatation pyélocalicielle En filière 34 : Rocéphine 2 g i.v. Att : • hospitalisation pour administration d'antibiotiques i.v. (Rocéphine 2 g/jour) • primpéran 3x/jour contre les nausées • Dafalgan en réserve contre les douleurs/fièvre • prise de sang pour le 22.04.2019 Laboratoire le 22.04.2019 : cf. annexes. CRP 37 mg/l, leucocytes 10 G/l. Laboratoire le 25.04.2019. Urines / sédiment le 25.04.2019. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Conseils d'usage. Mme. Y est instruite des symptômes nécessitant une consultation en urgences. Laboratoire le 27.03.2019 : Hb 112 g/l, Thrombocytes 370 G/l, leuco : 11.6 g/l. Hb post-délivrance en salle d'opération : 66 g/l, recontrôlée 2 heures plus tard à 73 g/l Groupe sanguin O+, Ac irréguliers négatifs le 27.03.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 20.03.2019 Sérologies le 09.10.2018 : Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire le 28.03.2019 : CRP 70 mg/l, absence de leucocytose, pas de dysélectrolytémie Sédiment urinaire le 31.03.2019 : sans particularité ECG : Ondes T inversées en III, AVL ETT le 29.03.2019 (Dr. X) : Cavités non dilatées, non hypertrophiées, absence de valvulopathie, FEVG 60 %. Test de Schellong le 29.03.2019 et le 03.04.2019 : positif Taux de Valproate le 02.04.2019 : infra-thérapeutique à 49 mg/l (norme 50-100 mg/l) Holter de 48 h posé le 01.04.2019 : Examen en cours d'interprétation, à pister par le médecin traitant Pas de récidive de chute durant le séjour Attitude : • Stimulation hydratation PO : Cible 1.5-2 L d'eau par jour • Réévaluation en institution par le Dr. X (neurologue traitant) • Rollator • Pister résultats du Holter • Bilan vitaminique à effectuer Laboratoire : leuco à 17.8 G/l, CRP à 78 mg/l Analyses urinaires : microhématurie avec flore bactérienne et leucocyturie. Urotube en cours Ceftriaxone 2 g iv aux urgences Poursuite antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pour 7 jours Laboratoire : leuco à 17.8 G/l, CRP à 78 mg/l Analyses urinaires : microhématurie avec flore bactérienne et leucocyturie. Urotube en cours Ceftriaxone 2 g iv aux urgences Hémocultures à chaud le 15.04.2019 en cours (post-première dose de Ceftriaxone) Laboratoire d'entrée en cours Attitude : • Hospitalisation à Riaz étage G • Antibiothérapie par Ceftriaxone Laboratoire : leuco 11, CRP <5, D-dimères 218. ECG : RSR à 75 bpm, PR à 180 ms, QRS fins dans la norme avec un axe à 50°, QTc à 410 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V2, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. Rx thorax : pas de pneumothorax décelable. Pas de foyer de condensation visible. Pas d'épanchement pleural décelable. Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Rx épaule G : Pas d'anomalie visible des structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. (Dr. X) Laboratoire : Leuco 12.7 G/l, Hb 144 g/l, thrombo 312 G/l, ASAT 15 U/l, ALAT 17 U/l, Gamma-GT 33 U/l, PAL 98 U/l, Bili tot 13.9 umol/l, bili direct 6.6 umol/l, lipase 29 U/l, CRP 50 mg/l, créat 53 umol/l, Na+ 138 mmol/l, K+ 3.7 mmol/l. Test de grossesse : négatif. Laboratoire : leucocytes 15 G/l, CRP 134 mg/l. Radiographie du thorax face/profil du 28.04.2019 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. (Dr. X) Laboratoire : leucocytes 3.1 G/l, CRP < 5 mg/l. Ultrason abdominal complet et recherche d'appendicite du 05.04.2019 : le foie est de taille normale de contours réguliers, d'échostructure homogène. Le pancréas, la rate et les reins sont sp. Pas de liquide libre en intrapéritonéal. Multiples ganglions mésentériques d'allure inflammatoire, infracentimétriques et centimétriques. Appendice non visible. CONCLUSION : multiples ganglions mésentériques pouvant cadrer avec une adénite mésentérique. Appendice non visible. À confronter aux données cliniques et biologiques. (Dr. X) Laboratoire : Leucocytes 4.9 G/l, CRP < 5 mg/l. Sédiment urinaire : pas de leucocytes, pas de globules rouges. Radiographie de l'abdomen couché du 05.04.2019 : aérocolie, aérogrêlie de répartition aspécifique, sans distension pathologique grêle ou colique visible. Coprostase. Pas de fécalome. Absence de calcification pathologique en projection des voies urinaires. En position couchée, attitude scoliotique. Squelette visible sp. (Dr. X) Laboratoire : Leucocytes 5 G/l, CRP < 5 mg/l. Sédiment urinaire : propre. Ultrason abdominal complet et recherche d'appendicite du 24.04.2019 : le foie est de taille et de morphologie normales. Pas de lésion focale échographiquement décelable. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extra-hépatiques. Vésicule biliaire aux parois fines, au contenu liquidien, anéchogène. Flux veineux porte hépatopète. Veines sus-hépatiques perméables, de flux hépatofuge. Pancréas partiellement visualisé, sans particularités. Rate de taille et de morphologie normales (110 mm de plus grand axe). Rein droit de 112 mm et rein gauche de 103 mm de plus grand axe. Bonne différenciation cortico-médullaire. Pas de dilatation des voies urinaires excrétrices. Signal échodoppler symétrique. Vessie presque vide au contenu liquidien anéchogène. Aorte abdominale de calibre normal (13 mm de diamètre). Liquide libre dans le petit bassin de moins de 10 ml en regard de l'abouchement du drain de dérivation ventriculo-péritonéale qui circule dans le flanc droit. Lors de l'exploration de la fosse iliaque droite, le patient présente de légères douleurs. Elles sont plus marquées en sous-ombilicales sur la ligne médiane. Appendice non visualisé. Les parois du caecum sont encore dans les limites de la norme à environ 2 mm d'épaisseur. CONCLUSION : US abdominal dans les limites de la norme, hormis pour la présence d'une lame de liquide dans le petit bassin liée à la présence d'un drain de dérivation ventriculo-péritonéale. Appendice non visualisé. (Dr. X) Laboratoire : leucocytes 58 G/l, lymphocytes 45 G/l, LDH 455 U/l. Absence de cytopénie ou de lyse. Cytométrie de flux sérologique le 25.04.2019 (Berne) : Expression du CD5, faible intensité de fluorescence de la chaîne légère de surface, faible expression du CD20, le tout parlant pour une LLC. Electrophorèse des protéines le 24.04.2019 : Alpha-2 globulines 13%, beta-globulines 14%. Avis hématologique (Dr. X) : En présence d'une LLC avec faible quantité de leucocytes, pas de nécessité de PBM, pas de CT. Suivi ambulatoire tous les 3-4 mois avec FSS suffisant. Avis pharmacoclinique (Dr. X) : Des molécules semblables à l'olanzapine peuvent avoir un lien avec des lymphomes ou des leucémies myéloïdes chroniques - à substituer si possible (éviter également la quétiapine, la clozapine, l'asénapine). Att: • Rendez-vous de contrôle chez le Dr. X le 07.08.2019 à 14h • Annonce de l'effet indésirable potentiel de l'Olanzapine à Swissmedic. Laboratoire: Leucocytes 6.9 G/L, CRP < 5 mg/L, Hb 153 g/L, créatinine 110 umol/L (valeur habituelle depuis 2005). Sédiment urinaire: pas de leucocyte ni de nitrite, 11-20 érythrocytes par champ. CT-scanner abdominal natif du 01.04.2019: rein D de taille normale, de contours réguliers. Pas de dilatation des cavités rénales D. Mise en évidence de deux microcalculs caliciels supérieurs D de 2 mm. On retrouve par ailleurs une discrète dilatation des cavités excrétrices G avec un bassinet mesurant approximativement 12 mm de diamètre. À G, on retrouve une dilatation des cavités excrétrices avec un bassinet mesurant 12 mm. Mise en évidence d'un microcalcul caliciel supérieur de 4 mm et de deux microcalculs caliciels inférieurs de 3 et 2 mm. Infiltration de la graisse péri-rénale à G. On retrouve par ailleurs le calcul obstructif à G au niveau de l'uretère pelvien distal mesurant approximativement 3 mm. CONCLUSION: syndrome obstructif urétéro-pyélocaliciel G en amont d'un calcul de l'uretère pelvien G mesurant 3 mm. La dilatation du pyélon G est mesurée à 12 mm en antéro-postérieur avec infiltration de la graisse. Microcalculs caliciels bilatéraux : voir description. (Dr. X) Laboratoire: Leucocytose à 10.1, CRP 17. Pas de perturbation significative de la cholestase. Lipase à 64 U/l. ECG: sans particularité. Radiographie du thorax debout: pas de signe de perforation. Aux urgences: morphine 10 mg per os, morphine 2 mg iv, Pantozol 40 mg iv. Gastroscopie prévue le 12.04.2019. Retour à domicile avec Oxynorm en réserve pour l'antalgie et gastroscopie en ambulatoire le 12.04.2019. Laboratoire: Leucocytose et CRP à 103 mg/L Rx du thorax le 16.04.2019 Gazométrie artérielle: insuffisance respiratoire partielle Hémocultures: négatives à 3 jours Urotube négatif Antigènes urinaires négatifs Tavanic 500 mg 1X/J pour une durée de 7 jours Laboratoire: leucocytose 13000 US en gynécologie le 03.04.2019: examen fœtal rassurant, ovaire droit visualisé US abdominal le 03.04.2019: suspicion haute d'APP Avis chirurgical (Dr. X): hospitalisation en chirurgie, appendicectomie par laparoscopie dans les 24h, surveillance et contrôles péri-opératoires de la grossesse par l'équipe de gynécologie Indométacine 75 mg per os 1x avant opération et 1x 24h après Rocéphine 2 g IV + Flagyl 500 mg pré-op Laboratoire: Leucopénie à 2.6, CRP <5, D-Dimères positif à 530, troponine négatives, LDH négatif. Contrôle biologique chez le médecin traitant à 48h. Le patient est averti de contacter les urgences en cas d'indisponibilité du médecin traitant. Laboratoire: lipase à la baisse, pas de syndrome inflammatoire. Attitude: • Retour à domicile avec suite de prise en charge chez le médecin traitant, si persistance des douleurs évaluer l'indication à une nouvelle échographie. Laboratoire • MCL: HIV négatif, vitamine B1 légèrement abaissée (65 nmol/L), B6 dans la norme (21.03.2019) • Syphilis négative MMSE 17/30 horloge 2/6 GDS 2/15 le 20.03.2019 IRM cérébrale le 28.03.2019 Réafférentation Substitution vitamine B1 Laboratoire (Meyriez) Avis orthopédique (Dr. X): Laboratoire: normal. Sédiment urinaire: hématurie microscopique. US aux Urgences (Dr. X), le 10.04.2019: dilatation pyélocalicielle droite stade III, CT abdominal, le 10.04.2019: Suite de prise en charge: • la patiente a reçu le matériel et les explications relatives pour filtrer ses urines à la recherche d'un calcul • explication des red flags à la patiente pour lesquels il faudrait reconsulter aux urgences Recommandation de consulter en cas d'état fébrile/frissons. Laboratoire: NT-proBNP 2438 ng/l Radiographie thorax: épanchement pleural gauche Echocardiographie transthoracique le 14.04.2019 (Dr. X) Coronarographie le 15.04.2019 (Prof. X) Avis cardiologique (Dr. X): ETT avec discrète diminution de la FEVG. Ad coronarographie et cardioversion électrique. Aux urgences: Furosemide 20 mg IV en O.U. le 14.04.2019 Cardioversion électrique le 16.04.2019 (Dr. X) Laboratoire: NT PROBNP 3800 ECG: Fibrilloflutter à 118 BPM Radiographie Thorax, le 11.04.2019: signes de redistribution Furosemide 20 mg IV et Metoprolol 25 mg p.o Anticoagulation par Xarelto Hospitalisation en Médecine Interne: • ETT Laboratoire: NT-proBNP à ___ Aux urgences: • 20 mg de Lasix i.v Attitude: • prévoir un nouveau bilan cardiaque Laboratoire: NTPro-BNP à 2944 ng/l Rx thorax 18.03.19: Cardiomégalie connue avec épaississement bronchique et possible petit épanchement pleural DDC ETT 20.03.19 (Dre X): hypokinésie globale modérée et plus marquée en inféro-basal. FEVG à 35 %. Avis cardiologique (Dre X) Traitements: Lasix iv, passage en iv continu dès le 22.03.19 • Relais PO par Torem le 02.04.2019 Beloc Zok dès le 20.03.19 Métolazone 5 mg dès le 21.03.19 Aldactone 50 mg dès le 03.04.2019 Suivi poids: cible 99-100 kg Laboratoire: NT-proBNP à 6955 ng/l US pleural : lignes de Kerley B bien visibles à G avec petite lame de liquide pleural; lignes de Kerley B également visibles à D mais beaucoup moins présentes Echocardiographie transthoracique le 23.04.2019: • Cardiomyopathie dilatative d'origine indéterminée => bilan étiologique à faire (ferritine, TSH, électrophorèse des protéines sériques et urinaires), coronarographie à la recherche d'une maladie coronarienne, Holter de 24h Bilan étiologique de la cardiomyopathie dilatative: TSH dans la norme, Ferritine dans la norme, Electrophorèse et immunofixation des protéines sériques dans la norme Coronarographie le 29.04.2019: exclusion d'une ischémie cardiaque comme explication de la dysfonction systolique du VG. Les artères coronariennes sont tortueuses mais peu athéromateuses. Lasix 40 mg IV donné aux urgences en O.U. Poursuite avec du Torem 5 mg dès le 23.04.2019 Introduction de Lisinopril et Aldactone dès le 24.04.2019 Suivi quotidien du poids Traitement médicamenteux de l'insuffisance cardiaque à titrer par le médecin traitant Contrôle en consultation de cardiologie HFR prévu le 21.05.2019 à 11h. Laboratoire. OGD le 01.04.2019. Expansion volémique. Nexium 80 mg en bolus puis 8 mg/h puis per os 40 mg 2x/j dès le 28.03.2019. Transfusion de 2 culots érythrocytaires le 25.03.2019. Sandostatine 50 mcg puis 25 mcg/h du 25 au 29.03.2019. Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv du 25 au 29.03.2019. Coagulation par Argon prévue le 15.04.2019 à l'HFR Fribourg. Laboratoire: pas d'anémie. Évaluer la nécessité d'une imagerie cérébrale au vu de la forte inquiétude de la patiente par rapport aux antécédents familiaux. Évaluer également la nécessité d'une consultation ORL afin d'exclure un syndrome de Ménière. Poursuite du traitement symptomatique prescrit par le médecin traitant et suite de prise en charge à sa consultation. Laboratoire: pas de cinétique de troponines. ECG superposable. Investigations cardiologiques en cours, prochain RDV en cardiologie le 23.04.19 comme prévu. Laboratoire (pas de cinétique des troponines) Rx thorax le 06.04.2019 ECG le 06.04.2019 Métolazone 06. - 07.04.2019 Deponit patch 06. - 10.04.2019 Laboratoire: pas de corps cétoniques. Gazométrie: pH 7.31, bicarbonates à 21 mmol/l, lactates 2.4 mmol/l Normalisation du pH après hydratation iv Pister Hb glyquée Laboratoire: • Pas de perturbation des tests hépato-biliaire et pancréatique. • Troponines à 7, sans cinétique. ECG: rythme sinusal régulier, PQ sans particularité, normoaxé, bonne progression dans les précordiales, Sokolov positif, ST sus-décalé en V2 non significatif, pas de trouble de la repolarisation. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire.Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, K 3.3 mmol/l, Na 129 mmol/l. CT-scanner lombaire natif du 26.02.2019: fracture des plateaux supérieurs et inférieurs de D12 avec atteinte des murs antérieurs et postérieurs ainsi que du pédicule droit. Recul significatif de 3 mm du mur postérieur de D12, sans argument pour un hématome dans le canal rachidien. Multiples bulles d'air au sein interfracturaires et du disque intervertébral D11-D12. Fracture de la 12ème côte droite à sa jonction costo-vertébrale. Pour le reste, discopathies pluri-étagées avec ostéochondrose érosive en L5-S1 et volumineux ostéophyte postérieur à cet étage. Phénomènes de vide discal pluri-étagés. Altérations dégénératives des articulations sacro-iliaques ddc avec présence de petits pneumatokystes sur les versants sacré et iliaque des articulations sacro-iliaques. CONCLUSION: fracture "Burst complète" récente de D12 avec recul significatif de 3 mm du mur postérieur de D12, classée A4 selon AO. Fracture de la 12ème côte droite à sa jonction costo-vertébrale. (Dr. X) Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Pas de leucocytose ni de CRP. Poursuite de l'antalgie par Dafalgan. Mme. Y informée de consulter le gynécologue afin de trouver une solution antalgique appropriée. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, pas de perturbation hépato-pancréatique, hémoglobine stable. Cf. annexes. Tension aux 4 membres: symétrique. Avis du Dr. X (chirurgien). CT abdominal avec prise de contraste: s/p CCK. Cf. annexes. Disparition des douleurs abdominales de façon spontanée. Consultation chez son médecin traitant le 29.04.2019 pour l'ablation des fils. Consultation avant si péjoration clinique. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, pas de perturbation hépato-pancréatique, hémoglobine stable. Tension aux 4 membres: symétrique. CT abdominal du 20.04.2019: comparatif du 23 novembre 2015. Examen réalisé avant et après injection intraveineuse de 90 ml de Iomeron 400. Les structures digestives se présentent normalement, sans distension ni défaut de rehaussement. Bonne progression du produit de contraste, sans fuite extradigestive. Fine lame de liquide libre dans le pelvis, aspécifique. Pas d'air libre. Infiltration des tissus mous sous-cutanés de la paroi abdominale en lien avec les trajets de trocarts laparoscopiques. Foie de taille et de configuration normales, sans lésion focale. Ectasie des voies biliaires intra et extrahépatiques en rapport avec le status post-cholécystectomie. Discrète infiltration du lit de cholécystectomie en lien avec le status post-opératoire, sans collection. Le pancréas, la rate, les reins, et les surrénales se présentent normalement. Pas de dilatation des systèmes excréteurs. Vessie aux parois fines et à contenu hypodense homogène. Pas d'anomalie des organes génitaux internes. Pas d'anomalie de l'aorte et de la veine cave inférieure. Pas d'adénopathie de taille radiologiquement significative. Sur les coupes passant par l'étage thoracique, on met en évidence quelques troubles ventilatoires, sans autre particularité du parenchyme pulmonaire. Status après mastectomie droite. Status après spondylodèse de D12 et plus haut, incomplètement visualisée. CONCLUSION: status post-cholécystectomie avec discrète infiltration du lit vésiculaire et des tissus mous sous-cutanés sur les trajets de trocarts, sans collection mise en évidence. Pas d'anomalie visible du tractus digestif. L'examen a été réalisé à l'hôpital de Riaz, et interprété en téléradiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg, avec transmission des résultats par téléphone au médecin en charge de la patiente. (Dr. X) Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique majeur. TSH en cours. ECG: tachycardie sinusale à 110. Contrôle en filière 34 le 23 avril 2019 pour résultat de la TSH et adaptation de l'Euthyrox chez Mme. Y substituée pour une hypothyroïdie et réalisation d'un ECG pour vérification du rythme. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Sédiment urinaire: trace de sang dans les urines, mais menstruations. Test de grossesse urinaire: négatif. Ultrason de l'abdomen complet natif du 05.04.2019: le foie est de taille normale, de contours réguliers, d'échostructure homogène. Pas de calcul vésiculaire. Pas d'épaississement de la paroi vésiculaire. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extra-hépatiques. Le pancréas, la rate et les reins sont sans particularité. La vascularisation rénale est conservée. Pas de liquide libre en intra-péritonéal. Appendice non visible. Les 2 ovaires sont visibles folliculaires. CONCLUSION: ultrason abdominal sans anomalie. Appendice non visible. A confronter aux données cliniques et biologiques. (Dr. X) Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, testes hépato-pancréatiques sans particularité. Fonction rénale ainsi que Na, K sans particularité. Sédiment urinaire: érythrocytes incomptables, reste sans particularité. Uro-CT: calcul urétéral D de 4 x 3 x 2 mm, tiers distal, 12 mm de dilatation pyélo-calicielle. Absence de comparatif. Examen réalisé sans injection de produit de contraste, en protocole basse dose, et avec un patient placé en procubitus. Calcul de 3 x 4 x 2 mm localisé dans le tiers distal de l'uretère droit. Dilatation pyélocalicielle droite mesurée à 12 mm d'axe antéro-postérieur. Pas d'infiltration de la graisse sinus rénal ni péri-rénale. Pas de dilatation pyélocalicielle gauche. Pour le reste, le foie est de taille, de configuration, de densité normales, sans lésion focale. Vésicule biliaire à contenu hypodense homogène, sans signe inflammatoire. Pas de dilatation des voies biliaires extrahépatiques. Le pancréas, la rate, et les surrénales sont sans particularité. Diverticulose sigmoïdienne calme, sans autre particularité du système digestif. Pas d'adénopathie mésentérique ou rétropéritonéale. Pas de liquide libre ni de pneumopéritoine. Le cadre osseux est sans particularité. Les coupes passant par les bases thoraciques sont sans particularité. CONCLUSION: calcul urinaire droit de 3 x 4 x 2 mm situé dans le tiers distal de l'uretère, associé à une minime pyélocalicielle, sans signe de complication. (Dr. X) Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, VS à 4 mm/h. Radiographie des mains. Sérologie Lyme: à pister. Retour à domicile avec traitement de Doxycycline comme pour maladie de Lyme de stade II et AINS. - contrôle en filière 34 le 08.04.2019, pister les sérologies de Lyme: • en cas de IgG +: poursuivre le traitement de la maladie de Lyme, prévoir un avis infectiologique. • en cas de IgG -: organiser rapidement un avis rhumatologique. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Co-amoxicilline 1 g 2x par jour, antalgie et novalgine 2x par jour. Rendez-vous prévu chez le dentiste à 24h pour ablation de la dent et suite de prise en charge. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. EEG le 09.04.2019 (transmission orale Dr. X): irritatif et post critique. IRM le 09.04.2019. Avis neurologique (Dr. X/Dr. X): PL le 09.04.2019 pour exclure une encéphalite herpétique. Avis neurologique (Dr. X): - Keppra 20 mg/kg en dose de charge iv. - poursuite par introduction de Keppra 20 mg/kg réparti en 2 prises per os. Aux urgences: - Insuline Lantus 20 UI. Surveillance aux urgences avec contrôle neurologique aux 2h. RAD avec conseil de reconsulter en cas de récidive. Pas de conduite automobile durant 6 mois. Mme. Y sera convoquée en consultation neurologique à 3 mois. Laboratoire: pas de troubles électrolytiques, Troponines 13 ng/L, D-dimères < 190 ng/L. ECG: doute sur un bloc AV Möbitz 2:1 vs onde T biphasique, pas de signes d'ischémie. Avis cardiologique (Dr. X): suspicion onde T biphasique, consultation cardiologique et ETT en ambulatoire.Poursuite du traitement habituel (Olmesartan 20 et Amlodipine 5) au vu de la baisse spontanée des tensions. Reconsulte si réapparition des symptômes. Laboratoire. PCR multiplex selles. Culture de selles. Recherche de C. difficile. Traitement symptomatique. Laboratoire Poursuite Recormon Laboratoire. Primperan 10 mg, Ecofenac 75 mg aux urgences. Hydratation iv du 09.04 au 13.04.2019. Oxygénothérapie. Antalgie simple. Suivi ambulatoire par Dr. X, neurologue. Laboratoire. Radio de thorax : silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat, ni d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax visualisé. Clips chirurgicaux en projection de l'hypochondre D évoquant un st/p cholécystectomie. ECG : RSR à 74/min, PR à 118 ms, QRS fins normo-axés, pas de signes d'ischémie active ni de troubles de repolarisation, QTc 429 ms. Laboratoire Radiographie bassin, hanche droite Radiographie de thorax ECG ATT : Hospitalisation en orthopédie Antalgie, prophylaxie anti-thrombose A jeûn Laboratoire. Radiographie du genou : pas de fracture visualisée. Retour à domicile avec traitement antalgique. Consultation de contrôle chez le médecin traitant pour poursuite des investigations. Reconsulter si fièvre ou péjoration des douleurs. Laboratoire Radiographie du thorax Ferritine : 650 Fer sérique : N CT-scan abdominal le 04.04.2019 OGD et colonoscopie le 04.04.2019 Dernière colonoscopie le 19.03.2019 sans anomalies (hormis les hémorroïdes) Avis gastro-entérologie le 04.04.2019 (Dr. X) 2 CE le 03.04.2019, 1 CE le 05.04.2019, 1 CE le 08.04.2019 Pantozol 40 mg IV dose unique au service des urgences (à ne pas poursuivre en raison de l'intolérance connue) Rendez-vous 15.04.2019 au cabinet Balsiger et Seibold pour ligature des hémorroïdes. Laboratoire. Rappel tétanos fait aux urgences. Avis de Dr. X, chirurgien : contacter la chirurgie de l'HFR Fribourg, pas de prise en charge possible. Avis du garde de chirurgie plastique du CHUV : - pas de risque de péjoration pendant la nuit au vu de l'absence de brûlure au niveau du pli du coude. - Lavage avec NaCl. - Asportation de la peau morte. - Ialugen Plus. - Jelonet. - Antalgie. - Surélévation du bras. - Rendez-vous demain matin en chirurgie plastique du CHUV à 9 heures. - Le patient devra consulter le CHUV pendant la nuit en cas de péjoration des douleurs. Laboratoire. Recherche antigènes urinaires légionnelle et pneumocoque. RX thorax. CT scan thoracique. Antibiothérapie par : - Rocéphine 2 g iv du 19 au 24.03.2019 - Zinat 500 mg per os 2x/j du 25.03 au 02.04.2019 - Klacid 500 mg per os du 19.03 au 02.04.2019. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Recherche de sang occulte dans les selles. OGD. Transfusion de 3 culots érythrocytaires durant le séjour. Nexium 40 mg iv 2x/j, passage per os dès le 26.03.2019. Maltofer et acide folique per os. Ferinject 1000 mg iv le 27.03.2019. Xarelto en pause depuis le 19.03.2019. Reprise anticoagulation par Eliquis 2,5 mg 2x/j dès le 31.03.2019. Colonoscopie en ambulatoire. Laboratoire. Remeron 15 mg le soir dès le 21.03.2019, arrêt du Tranxilium. Drap Zewi la nuit. Avis géronto-psychiatrique. Laboratoire RX cheville G CT cheville G Avis orthopédie (Dr. X) : réduction de la fracture avec pose de plâtre fendu Att : - Hospitalisation en orthopédie - Stop sintrom et Clexane 40 mg 1x/j - Chirurgie dans un deuxième temps Laboratoire RX colonne Avis orthopédie (Dr. X) Att : - Hospitalisation en orthopédie - Dexaméthasone 4 mg 2x/j - Revoir avec team spine pour suite de prise en charge, notamment si ad IRM Laboratoire. RX genou droit. Physiothérapie. Nutrition clinique. Laboratoire. RX thorax. US abdominal. Primpéran 10 mg iv. Ondansetron 4 mg iv. Hydratation 1500 ml. Traitement antiémétique en réserve. Laboratoire. RX thorax. Antibiothérapie par : - Cefepime 2 g iv aux urgences puis 1 g 1x/j du 02 au 03.04.2019 - Ceftriaxone iv du 04 au 08.04.2019. Laboratoire. RX thorax. Avis Dr. X, infectiologue le 01.04.2019 : arrêt de l'antibiothérapie le 01.04.2019, fenêtre thérapeutique et surveillance, fièvre probablement d'origine médicamenteuse. Laboratoire. RX thorax. Bronchodilatateur. Oxygénothérapie. Prednisone 40 mg pendant 5 jours. Tavanic 500 mg du 31.03.2019 au 04.04.2019. Réadaptation à l'HFR Billens en ambulatoire (demande faite). Laboratoire. RX thorax. CT scan thoracique. Oxygénothérapie 2 l/min. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Lasix 20 mg iv dose unique. Ciproxine 500 mg 2x/j du 06 au 14.03.2019. Morphine. Laboratoire RX thorax ECG Hospitalisation en médecine. Laboratoire. RX thorax. Expansion volémique. Laboratoire. RX thorax. Hydratation iv. Transfusion de 2 culots érythrocytaires aux urgences. Limitation thérapeutique en accord avec la famille. Hospitalisation pour antalgie et soins de confort. Laboratoire. RX thorax. Lasix : 1 x 40 mg iv, puis 1 x 20 mg iv. Surveillance en lit d'observation aux urgences. Majoration du traitement de Torasemide à 10 mg + 5 mg en réserve en cas de prise pondérale. Physiothérapie respiratoire (Inspirex) à effectuer à domicile. Contrôle clinique et biologique à la consultation de Dr. X le 02.05.2019. Laboratoire. RX thorax. OGD - Dr. X - le 01.04.2019 avec biopsies. Nexium 80 mg le 24.03.2019 Nexium 8 mg/h en iv continu du 24 au 26.03.2019 puis per os 2x 40 mg/j du 26.03 au 31.05.2019. Mise en suspens Aspirine du 24 au 26.03.2019. Transfusion de 3 culots érythrocytaires le 24.03.2019. Laboratoire. RX thorax. Oxygénothérapie. Antibiothérapie par : - Rocéphine 2 g iv du 12 au 19.03.2019 - Relais par Zinat 500 mg 2x/j du 19 au 25.03.2019. Pas de Prednisone (allergie). Physiothérapie respiratoire. Laboratoire sanguin : cf annexes CT cérébral et cervical le 04.04.2019 : hématome épidural pariétal droit de 5 mm, pas de déviation de la ligne médiane, pas d'engagement, fracture en regard, rétrolisthésis au niveau C5-C6 avec dégénérescence vertébrale. CT cérébral le 04.04.2019 à 6h : pas de modification de l'hématome épidural, petite diminution de 1 mm. Laboratoire sanguin : cf. annexes. Furadantine 100 mg 2x/jour pendant 5 jours. Antalgie, AINS à la demande. Laboratoire sanguin d'entrée Laboratoire sanguin de contrôle CT abdominal le 10.04.2019 Rocéphine 2 g iv et Flagyl 500 mg iv du 10.04.2019 au 20.04.2019. Laboratoire sanguin d'entrée Laboratoire sanguin de contrôle CT-scanner d'entrée le 30.03.2019 CT-scanner de contrôle le 08.04.2019 Tienam 500 mg 4x/j du 30.03.2019 au 12.04.2019. Laboratoire : sans particularité Aux urgences : O2 haut débit, 120 mg de Verapamil, Zomig 2.5 mg intra-nasal Infiltration occipitale de Depomedrol à l'HFR le 02.04.2019 par Dr. X Avis Dr. X du 03.04.2019 : Ad Verapamil d'office et surveillance clinique avec médication de réserve habituelle Topamax 25 mg 2x/j dès le 02.04.2019 - Majoré à 25 mg 1x/j et 50 mg 1x/j du 05.04-08.04.2019 Verapamil 2x120 mg dès le 03.04.2019 Oxygénothérapie (jusqu'à 10 L/min) en réserve Zomig en réserve Attitude : Majoration du Topamax à 2 x 50 mg par jour le 09.04.2019 Consultation au centre des céphalées au CHUV. Laboratoire : sans particularité ECG : sans particularité Radiographie du thorax. Laboratoire Sédiment CT-Scan injecté : ischémie du 3/4 du rein avec lamination et dissection de l'a. rénale gauche, perfusion du pôle rénal inférieur. Pas de liquide libre. Avis chirurgie Dr. X : mettre un bolus de 5000 UI en bolus puis 20000 UI en 24h avec cible thérapeutique 0.35-0.55. Intervention endovasculaire avec pose de stent. Hospitalisation pour surveillance de la tension, fonction rénale. Si le patient présente une complication avec abcès, il nécessitera une néphrectomie.Aux urgences : Novalgine 1 g iv, 16 de morphine iv, groupage avec CE en réserve au CTS, bolus de liquémine 5000 UI et 20000 UI sur 24h. suite de prise en charge en radiologie interventionnelle et soins Laboratoire Sédiment CT-Scan injecté : ischémie du 3/4 du rein avec lamination et dissection de l'a. rénale gauche, perfusion du pôle rénal inférieur. Pas de liquide libre. Avis chirurgie Dr. X : mettre un bolus de 5000 UI en bolus puis 20000 UI en 24h avec cible thérapeutique 0.35-0.55. Intervention endovasculaire avec pose de stent. Hospitalisation pour surveillance de la tension, fonction rénale. Si le patient présente une complication avec abcès, il nécessitera une néphrectomie. Laboratoire Sédiment et spot urinaire Substitution iv et per os Contrôle sanguin chez le médecin traitant en fin de semaine Laboratoire Sédiment urinaire Avis chirurgical (Dr. X) Hospitalisation en gynécologie avec prise en charge par la chirurgie Contrôle laboratoire le 27.04. Si augmentation du taux de globules blancs, contrôle US. Laboratoire. Sédiment urinaire. Consilium gynécologique : Petit fibrome utérin, reste de l'examen sans particularité hormis présence de selles en quantité. Pas d'explications gynécologiques à la douleur. Antalgie avec résolution de la symptomatologie. Retour à domicile avec laxatifs et antalgie. Contrôle clinico-biologique à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Laboratoire Sédiment urinaire : nég Avis chirurgical (Dr. X) : hospitalisation avec prise en charge chirurgicale CT pelvien : Abcès de 5 cm au plus grand axe autour du canal anal qui remonte jusqu'au 1/3 distal du rectum, environ 5 cm de hauteur. Suspicion d'1 trajet entre le rectum et l'abcès. ATT • hospitalisation et prise en charge chirurgicale Laboratoire. Sédiment urinaire. Sondage (850 ml env). Retour à domicile avec sonde et contrôle chez l'urologue à 7-10 jours. Consigne de bien s'hydrater. Reconsulter si douleurs, fièvre, hématurie. Laboratoire Sédiment urinaire ECG CT cérébral natif le 29.03.2019 IRM cérébral le 01.04.2019 Avis Dr. X (neurologue) Physiothérapie Ergothérapie Transfert en gériatrie aiguë HFR Meyriez pour une neuro-réadaptation le 05.04.2019 Laboratoire. Seresta. Benerva. Laboratoire Solumedrol 125 mg i.v. Co-Amoxiciline 2.2 gr i.v. Avis ORL (Dr. X) : • Drainage ce jour sous anesthésie locale • Contrôle à 24h en ORL • frottis à pister Laboratoire Sonde vésicale 3 voies : hématurie macroscopique sans caillot visualisé Avis chirurgie (Dr. X) : • Hospitalisation en chirurgie • Rinçage 3 L / 24h Laboratoire Sonde 3 voies avec rinçage en continu CT-Scan abdominal injecté : prostate très agrandie compatible avec hyperplasie de la prostate, avec partie moyenne de la prostate prostruée dans la vessie, avec vessie de lutte, et hyperdensité dans la vessie compatible avec du sang et caillots. Pas d'atteinte des reins ni des urethères. Hospitalisation en chirurgie avec : • Rinçage en continu et intermittent Laboratoire Sonde 3 voies avec rinçage vésicaux Mise en pause Plavix Laboratoire Spot urinaire Laboratoire Spot urinaire : FeNa 0.8 % Hydratation iv 500 ml NaCl aux urgences, puis NaCl 1000 ml iv par 24h Contrôle biologique Laboratoire Spot urinaire : FeNa 0.8 % Hydratation iv 500 ml NaCl aux urgences, puis NaCl 1000 ml iv par 24h Contrôle biologique Laboratoire : stabilité des tests hépatiques Avis ORL (Dr. X) : Pas de saignement visualisé. Hospitalisation en ORL pour surveillance. Dicynone baine de bouche 3x/j Laboratoire stable. Laboratoire, stix et sédiment et CT abdominal chez le médecin traitant Laboratoire aux urgences US ciblé (Dr. X) : sludge, doute sur épaississement des parois de la vésicule biliaire US (transmission orale Dr. X) : Calcul de 12x6x8 mm dans l'infundibulum, pas de signe de cholecystite, stéatose hépatique Avis chirurgie (Dr. X) Attitude : • Hospitalisation en chirurgie • Pas d'antibiothérapie pour le moment Laboratoire Stix et sédiment urinaire : négatif TG : négatif US abdominal (transmission orale) : appendicite de 10 mm avec liquide libre en quantité modérée Avis chirurgie (Dr. X) Rocéphine 2 g iv Metronidazole 500 mg Att : • Prise en charge au bloc opératoire Laboratoire Stix et sédiment urinaire ECG : flutter auriculaire nouvellement diagnostiqué à l'ECG le 15.04.2019 Avis orthopédie (Dr. X) : réaliser un CT et une IRM avec séquences STIR. Si tassement récent, rappeler la team Spine pour évaluation d'une vertébroplastie. Att : • Hospitalisation en gériatrie et prise en charge du syndrome inflammatoire et de l'antalgie • Réaliser le CT et l'IRM dès que possible, puis rappeler team spine Laboratoire stix et sédiment urinaire spot urinaire Aux urgences : • 2 Mg de Magnésium i.v • 2 ampoules de KPhos sur 24 heures Attitude : • contrôle des électrolytes à 19 heures • pister les résultats du spot urinaire Laboratoire. Stix. Sédiment. Attitude : • retour à domicile avec antalgie en réserve et contrôle clinique au secteur ambulatoire des urgences. Laboratoire Stix/sédiment Test de grossesse : négatif Avis chirurgical (Dr. X) : Probable hernie inguinale droite. Rendez-vous à la consultation du chef de clinique de chirurgie, le patient sera convoqué. Explications des examens effectués données au patient par le médecin. Laboratoire Substitution par 2 gr Mg sur 2h Laboratoire Substitution par 2 gr Mg sur 2h Laboratoire. Suivi chez le médecin traitant. Laboratoire Suivi clinique et biologique Laboratoire : syndrome inflammatoire avec CRP à 125 mg/l avec leucocytose à 11.4 G/l avec déviation gauche. Gazométrie artérielle : acidose métabolique compensée (pH 7.42, PCO2 à 3 kPa, Bic 14 mmol/l). Hémocultures en cours (labo HFR). Coproculture en cours (labo HFR). Analyses urinaires. ECG. ATT : • Antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j per os • remplissage par NaCl à poursuivre • suspension des traitements diurétiques et anti-hypertenseurs • isolement de contact. Laboratoire : syndrome inflammatoire et leucocytose Gazométrie artérielle : insuffisance respiratoire partielle Hémocultures à froid : négatives Cultures d'expectoration du 28.03.2019 : Haemophilus Influenza multi-sensible Antigènes urinaires Legionelle et Pneumocoque : négatifs Radio thorax : suspicion de foyer basal gauche avec épanchement associé CT thoracique 01.04.2019 : foyers de bronchopneumonie intéressant les bases pulmonaires sans complication associée. Pas de lésion suspecte tuberculeuse ou tumorale à l'étage thoracique. Volumineuse hernie hiatale mixte avec upside-down stomach. Céfépime IV du 29.03.2019 au 02.03.2019 Co-amoxicilline per os du 02.04.2019 au 04.04.2019 Laboratoire : syndrome inflammatoire (leuco : 10.1 G/L, CRP : 103 mg/l) ECG Rx thorax : signes de décompensation cardiaque Torasemide le 16.04.2019 Introduction Entresto après discussion avec Dr. X et Dr. X Laboratoire Test de Schellong : positif Hospitalisation en gériatrie pour suite de prise en charge. Laboratoire : Trend augmentant des Lc, thrombocytose, CRP stable à 59 Frotti de plaie : à suivre Consilium chirurgical (Dr. X, Dr. X) : Attitude : • Hospitalisation en chirurgie Laboratoire : Trop H0 H1 H3 à 17 ng/l, NT-proBNP 2541 ng/l. ECG. Echographie cardiaque et pleurale ciblée (POCUS) (Dr. X) : • pas d'épanchement péricardique, dysfonction systolique légère à modérée, dilatation légère OG, cavités droites sans particularité. Probable dyskinésie septale. • pleural: pas d'épanchement, quelques lignes B uniquement en base gauche, probablement sur troubles ventilatoires. Avis cardiologique (Dr. X): • Echographie transthoracique: superposable à celle de 2017 avec FEVG conservée, sténose aortique modérée en légère augmentation (1.16 cm2). • Hospitalisation en médecine impossible en raison de manque de place. • A jeun dès minuit • Traitement anti-hypertenseur habituel. • Coronarographie le 10.04.2019: lésions calcifiantes chroniques non significatives au niveau de la coronaire droite. Avis cardiologique (Dr. X): adaptation du traitement anti-hypertenseur au vu de l'hypertension artérielle mal contrôlée, et de l'augmentation de la sténose aortique. Introduction de Nitroderm patch 5 mg, suivi de la TA à domicile et RDV dans 1 semaine chez le médecin traitant. Introduction de Pantozol 40 mg pour les épigastralgies. Pantozol 40 mg aux urgences. Surveillance post-coronarographie et point de ponction. Adaptation du traitement anti-hypertenseur et introduction de Pantozol 40 mg. Suivi de la tension à domicile. RDV de suivi chez le médecin traitant dans 1 semaine. laboratoire: Trop H0 24, H1 22, H3 22 gazométrie artérielle radiographie de thorax US de débrouillage bedside (Dr. X, Dr. X): fonction ventriculaire G diminuée sans trouble cinétique segmentaire, IR visuellement modérée Aux urgences: • lasix 20 mg i.v • Beloc zok 20 mg i.v Attitude: • hospitalisation en médecine • majoration du traitement diurétique • mise en suspens de l'Eliquis, ad Clexane 60 mg x2/j, évaluer ponction pleurale pour épanchement pleural droit • prévoir un avis cardiologique (nouvelle coronarographie? re-interrogation PM?) Laboratoire: trop H0 29 ng/l, trop H1 22 ng/l. ECG: bloc de branche droit connu, hémibloc antérieur gauche connu, séquelles d'infarctus antéro-septal. Aux urgences: • 1 cpr de Nitroglycérine à croquer • 1 mg de Temesta. Avis cardiologique (Dr. X): pas d'origine cardiaque de la douleur, ad retour à domicile. Attitude: • retour à domicile avec suite de prise en charge chez son médecin traitant et son cardiologue traitant. Laboratoire (trop T0 34, T+1 54). Radiographie du thorax. Aspégic 500 mg iv, puis Liquémine 5000 UI iv, Efient 60 mg per os suite à avis tél Dr. X ; transfert en coronarographie, puis à la Clinique Cécil au vu du résultat. laboratoire: Trop 1776 ng/l, CK 1284 U/L, CK-MB 166 U/L ECG en pré-hospitalier: • 500 mg Aspirine per os • 5000 UI Héparine avis cardiologique (Dr. X): atteinte subaigue, pas de coronarographie Echocardiographie (Dr. X, Dr. X): FEVG 25%, IM modérée, akinésie apicale; ad majoration du Sotalol et dès que possible augmentation des doses de IEC Attitude: • hospitalisation en médecine pour traitement médicamenteux du STEMI laboratoire: Trop 5 ng/l ECG aux urgences: normalisation des troubles de la repolarisation Laboratoire: troponine à 110, stable (IRA et IC), Pro BNP à 11000 ECG Radiographie thorax F/P Aux urgences: • Lasix 40 mg iv Attitude: • Lasix 40 mg/j • Avis cardiologie pour adaptation du traitement Laboratoire: troponine H0: 54, H1 49 ECG, le 02.04.2019: normale Laboratoire: Troponines à H0 19 ng/l, H1 23 ng/l, H3 25 ng/l ECG Avis Dr. X (cardiologue): surveillance rythmique, faire échocardiographie demain matin et évaluer délai pour la coronarographie Attitude: surveillance rythmique sur la nuit aux SI Laboratoire: Troponines à 9 ng/l sans cinétique. ECG: BAV du 1er degré à 210 ms (déjà présent sur le comparatif de 01/2019, en discrète augmentation). Radiographie de thorax : pas de pneumothorax, pas de surcharge cardiaque, pas de foyer pulmonaire. Soulagement de la symptomatologie sous Nitroglycérine 0.8 mg. Réassurance de la patiente, prescription de Nitroglycérine 0.8 mg en réserve en cas de douleurs thoraciques. Explication donnée à la patiente de contacter Dr. X, cardiologue traitant, pour évaluer la nécessité d'un nouveau test d'effort (dernier test d'effort négatif en 01/2019) et/ou coronarographie. Laboratoire: Troponines H0 12, H1 13 ECG Radiographie thorax Attitude: • Retour à domicile avec antalgie • Prise de rendez-vous chez le cardiologue traitant dès que possible durant la semaine, et si non possible en cardiologie à l'HFR. • Explications données au patient par le médecin, si apparition de douleurs rétrosternales, reconsulter. Laboratoire: Troponines H0 20 ng/l, H1 60 ng/l Laboratoire: Troponines H0 271 ng/l, H1 266 ng/l, pro-BNP 5627 ECG Gazométrie Rx Thorax Score de Wells: 1.5 pts, probabilité de EP faible Traitement aux urgences: Inhalation Atrovent/Ventolin 5 mg Lasix 40 mg iv Aspirine 250 mg per os Nitro caps 0.8 mg Magnesium 2g iv Oxygénothérapie 1 l Diurèse de 1300 ml / heure aux urgences Avis cardiologique (Dr. X): suspicion de décompensation cardiaque globale dans un contexte d'épisode ischémique subaigu. Proposition: effectuer une ETT pour le bilan de la décompensation. ETT (Dr. X/Dr. X): FEVG 20%, Dilatation VG Att: • Hospitalisation aux soins continues • Coronarographie le 10.04.2019 Laboratoire. Troponines H0 4 ng/l ECG : rythme sinusal et régulier, QRS fins, pas de troubles de la repolarisation, pas de sus/sous décalages ST Urines stix et sédiment. Poursuite du traitement actuel. Demande de gastroscopie en ambulatoire, la patiente sera convoquée pour l'examen. Explication des critères de reconsultation à la patiente. Laboratoire: Troponines sans dynamique laboratoire: troponines T 4 ng/l, nt-proBNP 11 ng/l US de débrouillage aux urgences (Dr. X, Dr. X): • membres-inférieures: image de TVP au niveau du mollet gauche avec mauvaise compression et impression de thrombus intra-vasculaire • cardiaque: dilatation des cavités droites avec septum paradoxal CT-scanner thoracique protocole embolie pulmonaire (Dr. X): embolie pulmonaire centrale à cheval au niveau du tronc pulmonaire; dilatation des cavités droites sans dilatation du tronc pulmonaire avis soins intensifs (Dr. X) anticoagulation avec Héparine en continu: • bolus de 5000 UI • 34'000 UI sur 24 heures • stop héparine puis reprise à 28000 IU sur 24h à 6h Attitude: • laboratoire: PTT et activité anti-Xa à 12h • ad ETT • hospitalisation aux soins intensifs Laboratoire: TSH à 3,010 ,T4 à 18 ,T3 à 3,79 le 04.04.2019 Réévaluation dans 4 semaines Laboratoire: TSH, B12, calcium dans les normes. Syphilis négative Sédiment urinaire: glucose, pas de signe infectieux CT cérébral: pas d'hémorragie intracrânienne. Atrophie cérébrale modérée et lésion séquellaire de la corona radiata droite IRM cérébrale 22.03.19 atrophie cortico-sous-corticale touchant également les lobes temporaux. Pas d'événement ischémique récent, altérations dégénératives vasculaires, avec une séquelle notamment dans la région de la corona radiata à droite. MMS du 21.03.2019: 26/30 MOCA du 21.03.2019: 22/30 Avis neurologique (Dr. X): probable péjoration de troubles cognitifs préexistants dans contexte aigu (décompensation diabétique, insuffisance rénale aiguë urémique, décompensation cardiaque, chutes à répétitions) Traitement des diagnostics sous-jacents Laboratoire: TSH en cours, pas de syndrome inflammatoire ECG Radiographie de thorax: cardiomégalie, pas de signes de surcharge. Analyses urinaires : leuco asymptomatique, FENA 23 % Hydratation iv NaCl 500 ml Métoprolol 15 mg iv Laboratoire. Urines. Antibiothérapie pour 7 jours. Laboratoire Urines US abdominal (Dr. X): appendice tuméfiée à 7 mm avec multiples ganglions périmuqueux, pas de liquide libre. Avis chirurgical (Dr. X): • Rocéphine • Metronidazole i.v. • Hospitalisation en chirurgie Laboratoire Urines US aux urgences CT-Scan abdominal Avis gynécologique: • US endovaginal: collection liquidienne dans le cul de sac de Douglas, ovaires et uterus sp • Pas d'argument pour atteinte gynécologique Avis chirurgie: • Rocéphine 2gr • Flagyl 500mg • Hospitalisation en chirurgie. Laboratoire Urines ECG CT-Scan cérébral (transmission orale): pas de saignement, pas de fracture Laboratoire. Urotube. ASP. Perenterol 3x/j. Suivi clinique. Laboratoire. Urotube. Hémocultures. Antibiothérapie par: • Ceftriaxone 2 g iv du 15 au 16.04.2019 • Co-amoxicilline 1 g per os 2x/j du 17 au 28.04.2019. Laboratoire. Urotube. Hémocultures. Culture de selles. CT scan thoracique. Laboratoire. Urotube. RX thorax. Antibiothérapie par: • Rocéphine 2 g iv le 09.04.2019 • Ciproxine 500 mg per os 2x/j du 10 au 22.04.2019. Laboratoire US abdomen Laboratoire US abdominal le 12.04.2019: Foie d'aspect cirrhotique, avec une hépatomégalie et une discrète stéatose diffuse, sans lésion focale. Ascite en quantité importante. Pas de franc argument à l'image pour une origine cardiaque, les veines sus-hépatiques notamment sont fines. Suivi: • Bilan cirrhose complet à effectuer lors du séjour à Meyriez Laboratoire. US abdominal Hydratation iv. Bilan hépatique à distance. Laboratoire. US hépatique le 12.03.2019. CT scan thoraco-abdomino-pelvien le 15.03.2019. Cholangio-IRM le 19.03.2019. ERCP le 25.03.2019 avec mise en place d'un stent. Laboratoire: vide annexes Laboratoire: vide annexes Laboratoire: vide annexes ECG (04.04.19): rythme sinusal à 150 bpm OGD (Dr. X)(04.04.19): hernie hiatale à 35-40 cm, ulcère oesophagien à 20 cm de l'arcade dentaire d'origine peu claire, paroi très friable. Pas de saignement actif. Pas de biopsie effectuée au vu des troubles de la crase. Gastrite dans l'estomac, pas de saignement actif ou ancien. Duodénum sans particularité. Rectoscopie sans préparation (04.04.19): Méléna visualisé. OGD (12.04.19): sévère candidose de l'oesophage; béance du cardia avec petite hernie hiatale. EEG (09.04.19): irritation aspécifique au niveau fronto-temporal gauche Rx thorax (09.04.19): Pas de franc foyer pulmonaire décelable. Asymétrie de transparence des plages pulmonaires en défaveur du côté droit, vraisemblablement positionnelle. Pas d'épanchement pleural ni de pneumothorax sous réserve d'un examen réalisé en position assise. Le reste de l'examen est inchangé par rapport à la radiographie comparative du 31 mars 2019. IRM cérébrale (16.04.19): Atrophie cortico-sous-corticale fronto-bi-temporale évoquant une maladie d'Alzheimer. Leucoaraïose péri-ventriculaire Fazekas II et lésions dégénératives d'origine vasculaire. Laboratoire: vide annexes ECG (06.04.19): bigéminus supraventriculaire, FC à 93/min, QTc à 503 ms, axe QRS normal, pas de troubles de la repolarisation Laboratoire: vide annexes ECG (08.04.19): rythme sinusal régulier à 90 bpm ECG (09.04.19): rythme sinusal régulier à 90 bpm Rx thorax (08.04.19): Pas de franc foyer pulmonaire décelable. Calcification de la crosse aortique. Épaississement bronchique. Pas d'épanchement pleural ni de pneumothorax. On retrouve les anciennes fractures de l'arc latéral de 7 et 9ème côtes à droite. Pas de nouvelle fracture costale déplacée visible. Port-à-cath par voie sous-clavière à droite est en place, partiellement investiguée, son extrémité distale se trouve en surprojetant la veine cave supérieure. Rx Bassin (08.04.19): CT comparatif, le 11 mars 2019. Coxarthrose bilatérale avec signes de nécrose avasculaire de la tête fémorale à droite déjà visibles sur le comparatif. Pas de fracture visible. Pas de lésion osseuse suspecte décelable. Arthrose lombaire basse. Calcifications vasculaires. CT thoracique (08.04.19): Absence d'embolie pulmonaire. Discrète régression en taille de la majorité des nodules pulmonaires, régression de l'épanchement péricardique et disparition de l'épanchement pleural droit. Laboratoire: vide annexes ECG (16.04.19): BBG superposable à l'ECG en cardiologie (Dr. X) Rx thorax (16.04.19): Cardiomégalie avec flou péri-hilaire, discrète redistribution vasculaire, infiltrats péri-broncho-vasculaires, des lignes de Kerley B ainsi que des fines lames d'épanchement pleural, le tout pouvant parler pour une décompensation cardiaque. Troubles ventilatoires aux bases pulmonaires sans qu'une surinfection ne soit exclue. Pas de foyer clairement visible ailleurs. Hormis une déminéralisation osseuse, l'examen du cadre osseux ne montre pas d'anomalie significative. ETT (16.04.19): Ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie sévère du septum apical, du septum moyen, de la paroi antéro-apicale et de la paroi antérieure moyenne et une hypokinésie modérée des segments restants. FEVG à 35%. Aorte normale. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4). Fonction diastolique normale. Oreillette gauche très dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Absence d'épanchement péricardique. Coronarographie (17.04.19): Cet examen montre des artères coronaires saines, avec des fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE: 60%). Laboratoire: vide annexes ECG (20.04.19): rythme électro-entrainé. BBG présent, sans modification aux derniers ECG Rx thorax (20.04.19): On retrouve un étalement de la silhouette cardiaque ainsi qu'une discrète opacité rétrocardiaque gauche pouvant être en rapport avec des troubles ventilatoires. Emoussement du sinus diaphragmatique gauche. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Mise en place d'un pacemaker bicaméral de position inchangée. Calcifications de la crosse aortique et élongation de l'aorte thoracique descendante. Cadre osseux inchangé. Laboratoire: vide annexes OGD (24.04.19): maladie de reflux gastro-oesophagien avec oesophagite de stade C selon Los-Angeles, hernie hiatale axiale avec béance du cardia en rétroversion, gastrite antrale et duodénite. Laboratoire: vide annexes Rx poignet (02.04.19): Pas de lésion traumatique osseuse visible. Arthrose modérée des articulations interphalangiennes du 2ème et 3ème rayon. CT cérébral (02.04.19): Pas de lésion post-traumatique. Calcification étendue des noyaux dentelés et lenticulaires des deux côtés évoquant une maladie ou un syndrome de Fahr à corréler au reste du bilan pour en exclure les causes secondaires (endocrinopathie, infection, maladie métabolique, etc.). Atrophie cortico-sous-corticale diffuse. Laboratoire: voir annexe ECG le 28.03.2019: rythme sinusal régulier 59/min, PR 166ms, QRS fins, axe 13°, pas de troubles de la repolarisation, QTc 426 ms Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de min. 7 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus après lobectomie thyroïdienne et syncopes à répétition. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 15 thérapies de 30 min chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires.Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 25/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 78/21 MMS/CLOCK 22/30 • 2/6 GDS 2/15 Évaluation sociale (5 domaines) 27.03.2019 Colloque interdisciplinaire 1 03.04.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 25/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 88/23 Laboratoire: voir annexes. Laboratoire 04.04.2019: joint en annexe Oesophagogastroduodénoscopie 08.04.2019: Intubation de l'oesophage sp, muqueuse de l'oesophage sans anomalie ni lésions de surface, dans toute sa longueur. 1 languette remontant de la ligne z, < 2cm, calme. Muqueuse du corps avec les grands plis normaux, antre 3 petites aphtes superficielles, dont une aurait pu être la source de saignement. Pylore normal, bulbe ok dans la circonférence entière, duodénum 2 ok. En retroflexion fundus et cardia sp, plis cardiaque bien visible et compétent, ligne z- à 38 cm. Des biopsies sont prises à/n duodénum 1+2 x 3, antre x 3 et oesophage à 35 et 30 cm. Laboratoire 06.04.2019: Hb 132g/l, Leucocytes 10.0G/l, Thrombocytes 199G/l Hb post-partale: 100 g/L Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatifs 06.04.2019 Streptocoques du groupe B négatifs 11.03.2019 Sérologies: CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif HBS, Vaccinée ; HCV négatif ; HIV négatif, Boostrix fait le 7.2.2019 Laboratoire 07.04.2019: Hb: 125 g/l, GB: 15.8 g/l, plaq: 137 G/L, TP> 100% Hb post-partale à 111 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, anticorps irréguliers le 07.04.2019 Streptocoques groupe B négatifs le 27.03.2019 Sérologies: Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. Laboratoire 10.04.2019 : Hb 90 g/l, Lc 3.3 G/l (neutrophiles totaux 2.54 G/l), Tc 111 G/l. Rendez-vous : mardi 23.04.2019 à 09h30 (laboratoire pour prise de sang) puis consultation avec Dr. X Laboratoire 10.04.2019 : pas de syndrome inflammatoire (CRP : 9) Hémoculture 03.04.2019 : 1/4 germe mixte (anaérobe stricte et P. aeruginosa) Hémocultures (2 paires) 07.04.2019 à froid : négatives Hémocultures (2 paires) 10.04.2019 à froid : négatives CT thoraco abdominal : pas de foyer identifié, légers comblements endobronchiques, diverticulose sans signe de diverticulite Avis infectiologue : bactéries considérées comme contaminants Bilan des investigations : pas de pathologies aiguës Laboratoire 13.04.2019 : Hb 118, Leuco 8.2 CRP<5, tests hépato-pancréatiques dans les normes (ASAT 15 ALAT 5 GGT 9 PAL 36 Lipase 41 Amylase 81), Créat 43 pas de troubles électrolytiques, Troponines T 3, D-dimères<190. ECG : Fc 81, rythme sinusal régulier, axe normal, QRS fins, pas de trouble de la conduction, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie thorax F/P : pas de foyer infectieux ni pneumothorax visualisés. Laboratoire (15.04.2019) Attitude: • Antalgie simple • Reconsulte si augmentation de douleurs, état fébrile, conseils donnés à la patiente par le médecin. Laboratoire (15.04.2019) Consilium chirurgical (Dr. X) : pas d'indication opératoire, suite de la prise en charge comme prévue avec IRM abdominale le 17.04. et consultation chez Dr. X le 18.04.2019 Attitude: • Antalgie simple • Contrôle biologique et IRM abdominale prévue le 17.04.2019 • Consultation en chirurgie à la consultation de Dr. X le 18.04.2019 Explications données à la patiente par le médecin. Laboratoire 19.04.2019: Hb 135g/l; Leucocytes 6.2G/l; Thrombocytes 166G/l Hb post-partum: 115 g/l Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatifs le 19.04.2019 Streptocoques du groupe B au niveau vagino-anale négatifs le 15.04.2019 Sérologies: Toxo immune, CMV non-immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBV Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire 21.04.2019 : Créatinine : 209 umol/l, Na : 130 mmol/l Sédiment urinaire // spot urinaire • FeUrée : 35.2% • GFR selon Cockroft 32 ml/min • GFR selon MDRD 29 ml/min • Récolte urinaire de 24h : protéinurie à 0.23 g/24h et albuminurie à 36 mg/24h au-dessus de la norme, Clearance à la créatinine à 33 mL/min • US artères rénales 16.04.2019 : reins de taille symétrique, vascularisation homogène, sténose artère rénale exclue sur portion visible. Index de résistance élevé au niveau intra-parenchymateux témoignant d'une néphroangiosclérose • US voies rénales et résidu post-mictionnel le 18.04.2019 : taille normale des reins, pas de sténose artère rénale, index de résistance distal augmenté au rein droit, épaississement pariétal de la vessie, absence de résidu post-mictionnel • Scintigraphie rénale le 25.04.2019 : fonction rénale globale abaissée. Le rein gauche a un indice d'accumulation nettement inférieur à la norme, ce qui laisse soupçonner un problème post-rénal Réintroduction IEC à réévaluer selon résultat recherche hyperaldostéronisme primaire Consultation urologique à organiser afin d'évaluer si prise en charge nécessaire Laboratoire : 3 trains de troponines sans cinétique (H0 33, H1 29, H2 29 ng/l) ECG : rythme pacé normocarde, avec rythme de flutter sous-jacent (DD : BAV haut grade), sous-décalage du segment ST dans les dérivations V5-V6 Radiographie thorax : épanchement pleural gauche Aux urgences • Nitro 0.8 mg avec résolution des douleurs • Aspégic 250 mg Avis cardiologique (Dr. X) : pas d'indication à faire une coronarographie en urgence, faire un US pour évaluer la fonction cardiaque. Faire une coronarographie lundi. Avis cardiologique (Dr. X) : US cardiaque avec discrète diminution de la FEVG à 47 %, avec dilatation du VG et hypokinésie latérale. Poursuivre l'anticoagulation avec Xarelto 15 mg en vue d'une cardioversion à venir. Coronarographie le 15.04.2019 (Dr. X, radiale) : L'examen invasif du jour démontre des artères coronaires athéromateuses. Absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif. Cardioversion électrique le 16.04.2019 (Dr. X) avec rythme sinusal par la suite. Contrôle de pacemaker le 16.04.2019 sans particularité. Laboratoire 30.04.2019 : Hb 131 g/l, Lc 9.8 G/l, Tc 257 G/l, crase eo, B-HCG 49 kU/l b-HCG du 15.04.2019 : 155 U/L Groupe sanguin : A Rhésus négatif Frottis vaginal 30.04.2019 : en cours US endovaginale 30.04.2019 : Ut Avf, image hétérogène intracavitaire de 15 mm avec hyperémie myométriale en regard, corps jaune kystique à droite, kyste hémorragique de 32 mm à gauche Laboratoire. 40 MEq K/4h aux urgences. K effervette 30 mmol 3x/j. Suivi biologique. Laboratoire : 40'000 NT pro-BNP, syndrome inflammatoire.ECG, le 15.03.2019: BAV 1, BBG connu et superposable Radiographie du thorax, le 15.03.2019: Lasix du 21.3.19 au 02.4.19 relais Torem le 3.4.19 Aldactone dès le 24.3. Metolazone du 25.3 au 29.3.19 Suivi poids Proposition: suivi du poids 3x/semaine Laboratoire Ad Haldol 1 mg IM 4x/j + 1 mg IM 6x/R Laboratoire. Ag. urinaires pour Pneumocoques et Légionelle. RSV, grippe. Hémocultures. Culture d'expectorations. Ag. Pneumocoque pleural, PCR eubactérienne pleural. Suivi radiologique (RX thorax, CT thoracique le 20.03.2019, 23.03.2019 et 1.04.2019). Oxygénothérapie. Physiothérapie respiratoire. Antibiothérapie : Avis Dr. X le 23.03.2019 • Klacid 500 mg du 17.03.2019 au 18.03.2019 y compris • Rocéphine 2 mg iv du 17.03.2019 au 20.03.2019 • Co-Amoxicilline 2.2 g - 4 x/jour du 20.03.2019 au 23.03.2019 • Tazobac 4.5 g - 3 x/jour du 24.03.2019 au 25.03.2019 • Linezolid 600 mg - 2 x/jour du 23.03.2019 au 28.03.2019 • Tavanic 750 mg/jour dès le 28.03.2019, à réévaluer le 18.04.2019 Drain thoracique gauche du 23.03.2019 au 28.03.2019 (Dr. X) : 800 ml, exsudat. Laboratoire Alcoolémie 2.3 pour mille GCS 15/15 à la réévaluation clinique le 19.04.2019 à 8h Retour au domicile accompagné de ses parents. Conseils d'usage Laboratoire. Amlodipine 1x aux urgences. Laboratoire. Analyse urinaire. Radiographie des doigts 3 et 4 à droite : pas de fracture visualisée. Radiographie de thorax. Antalgie par Dafalgan et Irfen. Immobilisation des doigts 3 et 4 pour antalgie par syndactylie. Consultation au secteur ambulatoire des urgences le 13.04.2019 pour constat médical. Suite chez le médecin traitant. Laboratoire Analyses urinaires: bactériurie asymptomatique sans leucocyturie. Suivi biologique et clinique Laboratoire. Analyses urinaires. Novalgine 1g per os donné aux urgences. Test de grossesse urinaire négatif. Suite en gynécologie. Laboratoire. Analyses urinaires. Retour à domicile avec antibiothérapie, traitement symptomatique; Patiente informée des signes qui devraient la pousser à reconsulter. Contrôle clinique au Secteur Ambulatoire des Urgences à 48h. Laboratoire Analyses urinaires Test de grossesse Laboratoire: AngioCT aorto-iliaque et membre inférieur gauche (Dr. X): pseudo-anévrisme de l'artère fémorale gauche de 5 cm de diamètre, ADP pli inguinal, tuméfaction tissu mou quasiment circonférentielle au niveau de la cuisse, circonférentielle au niveau de la jambe 1 paire d'hémoculture Avis chirurgical (Dr. X): Augmentin 2.2 grammes puis 1.2 gramme iv 3x/j, indication opératoire retenue pour le 17.04.19 Cible tensionnelle à 140 mmHg: 3 capsules de nitré aux urgences Att: Hospitalisation en chirurgie pour la suite de la prise en charge Laboratoire Antalgie : Paracétamol 1 g, Buscopan iv, titrage de Mo 9 mg iv CT scanner abdominal (Dr. X): épaississement circonférentiel de la paroi de l'iléon distal s'étendant sur environ 20 cm avec distension de l'iléon proximal mesurant 3.2 cm, contenant du matériel fécaloïde, associée à une turgescence des veines dans le mésentère en regard de l'iléon, d'ensemble est compatible avec une poussée de maladie de Crohn. Par rapport au comparatif, discrète augmentation de liquide libre dans le petit bassin. Pas de collection intrapéritonéale. Avis Gastroentérologue (Dr. X): traitement par Solumedrol iv 100 mg 1x/24h à réévaluer demain sur avis gastro, Antibiothérapie de prophylaxie par Metronidazole 500 mg 3x/24h et Ciprofloxacine 500 mg 2x/24h. Colonoscopie demain. Discuté avec Dr. X: patient refuse de prendre la préparation par Moviprep. Proposition: hydratation per os, pas d'aliments solides, lavement haut le 26.04 au matin Att: • Pas d'aliments solides, stimuler à boire minimum 2 l jusqu'au 26.04 matin • Metronidazole 500 3x/24h iv • Ciprofloxacine 500 mg 2x/24h iv • Solumedrol 100 mg/24h iv, à réévaluer le 26.04 • Practomil à 6 h le 26.04 Laboratoire. Antalgie + Sirdalud 48h. Physiothérapie école du dos. Laboratoire Antalgie aux urgences par Morphine iv avec soulagement partiel du patient Hospitalisation pour gestion antalgie (Villa St François contactée, pas de place pour l'instant); réévaluer adjonction Cymbalta ou tricyclique pour composante neurogène; réévaluation rotation opiacés selon évolution Laboratoire Atorvastatine 20 mg dès le 10.04.2019 Attitude : • Contrôle test hépatique et bilan lipidique à distance Laboratoire Attitude • transfusion d'un culot érythrocytaire • voir suite de prise en charge avec Dr. X pour suite des investigations Laboratoire. Attitude : • Au vu de la résolution de la symptomatologie, retour à domicile avec optimisation du traitement antalgique. • La patiente sera convoquée pour une IRM en ambulatoire. • Critères de reconsultation donnés à la patiente et à sa sœur. Laboratoire Attitude: • Hospitalisation en médecine pour adaptation du traitement antalgique • Majoration du Targin et de l'oxynorm et de l'ibuprofène Laboratoire. Attitude : • Retour à domicile. • Arrêt de la Ciproxine, devant certitude d'une colique néphrétique. • Conseils d'usage donnés au patient. Laboratoire. Attitude : • Retour à domicile avec traitement symptomatique. • Recommandation de consulter en cas de signe de gravité, persistance de la symptomatologie. Laboratoire Aux urgences: • G10% 500ml Attitude: • Suivi glycémique Laboratoire. Aux urgences : NaCl 500 ml i.v., Zofran sublingual. Motilium lingual en réserve. Laboratoire Aux urgences: • Résonium 15mg • Insuline 3UI dans G10 500ml Attitude: • Suivi biologique • Poursuite Résonium Laboratoire Aux Urgences: • Titration Morphine • 2mg Midazolam puis 15 mg de Kétamine iv : sans effet Avis anesthésiste Attitude: • Hospitalisation soins intensifs pour gestion antalgie • Faire imagerie une fois que douleurs contrôlées Laboratoire Aux urgences: 80mg Pantoprazol i.v. Avis gastroentérologique (Dr. X): Pantoprazole i.v. Suivi biologique et clinique. Si instabilité hémodynamique: stabilisation aux soins intensifs et contacter Dr. X. Pas d'indication à Sandostatine, pas d'ATB Att: • Suivi biologique et clinique • Pantoprazole i.v.c. 8mg/h Laboratoire Avis Angiologie (Dr. X): volumineux pseudo-anévrysme partiellement thrombosé, à collet très large. angio-CT et avis chirurgie vasculaire. Attention au risque élevé de surinfection de l'hématome. Avis Chirurgie Vasculaire (Dr. X, Dr. X): Hospitalisation en chirurgie pour une révision du pli inguinal le 04.04.19. Augmentin et hémoculture si EF, cible tensionnelle pas plus de 130 mmHg Angio-CT fémorale (Dr. X): Pas de saignement actif, hématome de 10cm x 5cm, pseudo-anévrisme de 2 cm, thrombose Hospitalisation Laboratoire Avis angiologique (Dr. X) le 19.03.2019: commencer avec la plus petite dose d'Atorvastatine Atorvastatine 10mg dès le 19.03.2019 Laboratoire. Avis angiologique: pas de thrombose, signe de lymphangite. Avis chirurgical (Dr. X): • Peu d'intérêt à inciser au vu de la petite taille et de l'absence d'extension en profondeur. • Co-Amoxicilline, réévaluation à 48h en filière 34. • Consultation en dermatologie à distance pour la probable maladie de Verneuil (patient sera convoqué). Laboratoire. Avis angiologue: pas de TVP ni TVS des membres inférieurs. Laboratoire Avis chirurgical (Dr. X) Att: • Prise en charge au bloc opératoire • Hospitalisation en chirurgie Laboratoire Avis chirurgical (Dr. X) Antibiothérapie par ciprofloxacine 500mg po Incision et rinçage le 25.04.2019 au bloc opératoire Laboratoire Avis chirurgical (Dr. X) Aux urgences: Rocéphine 2g et Flagyl 500 mg i.v. Attitude: • Hospitalisation en chirurgie en attente du bloc, patient consenté et marqué • A jeun • Prophylaxie par Rocéphine et KlacidUS voies biliaires (Dr. X): Hydrops, vésicule biliaire à 12 cm sur le long axe, calcul 2 cm dans l'infundibulum, pas de dilatation des voies biliaires intrahépatiques, voies biliaires extra-hépatiques pas visualisables au vu de la présence de gaz et du calcul hyperéchogène. Rocéphine 2 grammes iv du 22.04.19 au ___ Flagyl 500 mg iv 3x/j du 22.04.19 au ___ Att: hospitalisation en chirurgie pour la suite de la prise en charge. Laboratoire Avis chirurgical (Dr. X) CT abdomino-pelvien (Dr. X): Pas de d'intestin ou de graisse dans le sac herniaire, large hydrocèle droite Hospitalisation en chirurgie pour gestion de l'antalgie. Laboratoire Avis diabétologique le 01.04.2019 • Hydratation • Insulatard uniquement 22 UI le matin du jour de la chimiothérapie, 20 UI le lendemain à midi Laboratoire Avis hématologie (Dr. X): • Ce patient présente une LLC-B, pour laquelle il n'y a pas d'indication à effectuer un traitement spécifique à l'heure actuelle • Examen clinique pour la recherche des adénopathies palpables (+/- CT scan cervico-thoraco-abdomino-pelvien). • Surveillance de cette LLC par un suivi régulier clinique et biologique (comprenant au moins une FSC et une chimie de routine dont des LDH) au moins 1x/3 mois, qui peut être effectuée par le médecin traitant. • L'indication à un traitement serait: l'apparition de symptômes constitutionnels (symptômes B), l'apparition d'une insuffisance médullaire progressive (Hb <110 g/l et/ou thrombopénie <100 G/l imputable à une infiltration médullaire par la LLC), l'apparition de phénomènes auto-immuns (anémie hémolytique auto-immune, thrombopénie auto-immune), une splénomégalie progressive ou massive, des adénopathies progressives ou massives, ou encore un temps de doublement lymphocytaire inférieur à 6 mois. Laboratoire • Avis neurologique (Dr. X): Angio-CT des vaisseaux pré-cérébraux, avis de chirurgie vasculaire afin de discuter une prise en charge chirurgicale sur la carotide droite probablement à l'origine des lésions ischémiques. Merci de rediscuter avec eux l'indication à une hospitalisation dans un lit monitoré. Si cette indication n'est pas retenue, alors nous recommandons une hospitalisation en médecine interne (par faute de place en Stroke Unit) en lit strict (0-30°) et une TAS cible < 160 mmHg. charger le patient en Aspirine cardio 250 mg IV et en Plavix 300 mg ce jour, puis dès le 17.04, traitement par Plavix 75 mg 1x/j et Aspirine cardio 100 mg 1x/j. Nous recommandons également de débuter dès ce jour un traitement par Atorvastatine 80 mg 1x/j. • Avis chirurgical (Dr. X et Dr. X): indication opératoire retenue, hospitalisation en médecine pour surveillance neurologique, ETT pour bilan pré-opératoire Angio CT des vaisseaux-précérébraux (Dr. X): Occlusion totale carotide interne gauche, subocclusion carotide interne droite. Occlusion artère vértébrale gauche dès son départ avec une reperfusion par le rameau spinal de l'artère cérébrale ascendante. Charge en Aspirine 250 mg iv, Plavix 300 mg po le 16.04.19. Laboratoire Avis neurologique (Dr. X, Dr. X, Dr. X) ENMG le 16.04.2019 Lyrica dès le 14.04.2019 Becozyme/Benerva dès le 17.04.2019 Attitude : • Échec de la ponction lombaire aux urgences, s/p opération du canal rachidien avec fibrose importante, pas de nouvel essai au vu bonne évolution clinique sous Lyrica et de l'exclusion d'un Guillain-Barré après l'ENMG • Vitamine B1 et B6 à pister • Si persistance ou péjoration, réorganiser un bilan neurologique en ambulatoire Laboratoire Avis NeuroSpine (Dr. X): Ad hospitalisation SI pour surveillance aux heures, si péjoration appeler neurochir. Laboratoire. Avis ORL: l'anamnèse parle pour VPPB. Attitude : • Consultation ORL. • Mme. Y reconsultera si récidive des symptômes. Laboratoire. Avis ORL (Dr. X): endoscopie laryngée. Antalgie. Spray corticoïde. Décongestionnant et rinçage nasal. Laboratoire. Avis ORL (Dr. X): Ad transfert E4 pour suite de PEC spécialisée. Pose de mèche 7.5 cm aux Urgences avec arrêt du saignement antérieur, mais persistance saignement postérieur. Laboratoire Avis ORL (Dr. X) Aux urgences: Co-Amoxicilline 2.2 g i.v., Solumédrol 125 mg i.v. Amygdalectomie bilatérale à chaud le 21.04.2019. Laboratoire Avis ortho (Dr. X): pas de trouble neurologique avec 45 d'hémoglobine donc probablement pas d'ischémie. Arrêter le Xarelto et mettre en place une prophylaxie anti-thrombotique. Faire un IRM lundi 15.04.19. Si le patient présente des symptômes neurologiques, effectuer un CT angio en urgence et discuter du cas avec Bern et Lausanne pour une thrombectomie. Attitude: • IRM lundi 15.04.19. Laboratoire. Avis orthopédique (Dr. X). US de la cuisse droite (Dr. X): important épaississement cutané de la face postéro-inférieure de la cuisse droite, avec infiltration liquidienne en regard du fascia superficiel des muscles postérieurs, compatible avec une dermo-hypodermite. Mise en évidence de quatre hyper-échogénéités linéaires, avec cônes d'ombre postérieurs, mesurant entre 2 et 3 mm de long et se situant entre 2 et 5 mm de profondeur, pouvant correspondre à des échardes. Exploration de plaie: désinfection par Bétadine, champage, anesthésie locale par Lidocaïne 1%, incision scalpel 11 et ablation de 2 corps étrangers. Majoration de la thérapie antibiotique à 1 g 3x/j pendant 5 jours selon avis orthopédique. Contrôle en F34 à 24 heures, si bonne évolution deuxième contrôle à 48 heures et par la suite prise en charge par le médecin traitant. Laboratoire. Avis orthopédique (Dr. X): pas d'incision, contrôle biologique. Si absence de syndrome inflammatoire, poursuite de l'antibiothérapie et contrôle le 09.04.2019. Contrôle clinique le 09.04.2019 (appeler orthopédiste pour contrôle). Critères de reconsultation expliqués à Mme. Y. Laboratoire. Avis orthopédique (Dr. X). Radiographie de l'avant-bras: pas de corps étranger. Débridement et rinçage par le Dr. X. Augmentin 2,2 grammes iv le 16.04.19. US de l'avant-bras et de la main le 18.04.19 (transmission orale Dr. X): pas d'abcès, pas d'infiltration. Examen clinique: nette amélioration de la plaie. Poursuite des antibiotiques Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour durant 7 jours. Critères de reconsultation transmis à Mme. Y. Laboratoire. Avis psychiatrie (Dr. X): Ad hospitalisation à Marsens en mode volontaire dans le contexte d'un épisode dépressif. Laboratoire. Avis psychiatrique (Dr. X): pas de mise en évidence de mise en danger ni de pathologie psychiatrique grave. Surveillance monitorée aux urgences. Retour à domicile avec consignes de sécurité communiquées. Laboratoire. Avis psychiatrique. Transfert à Marsens sous PAFA. Laboratoire. Avis rhumatologique (Dr. X). Pas de Solumédrol ces jours au vu du contrôle chez rhumatologue dans 24h. Conseil de consulter si péjoration ou symptômes ophtalmologiques ou péjoration des céphalées. Antalgie simple. Signes de gravité expliqués justifiant une consultation sur la nuit. Laboratoire Avis SPINE = hospitalisation pour antalgie avec réévaluation par team spine pour discussion d'une infiltration à visée antalgique. CAT : • Hospitalisation en ortho (carence de place en médecine et nécessité du plateau technique) pour suite de prise en charge • Traitement symptomatique Laboratoire. Avis urologique (Dr. X): Co-amoxicilline 1g, rendez-vous à 13h30 au cabinet. Laboratoire Bilan nutritionnel CT-Scan thoraco-abdominal le 27.03.2019 Biopsie rétro-sternale sous guidance CT-Scan le 29.03.2019 Histopathologie Promed P2019.3736: prolifération lympho-épithéliale lobulée, avec présence de septa fibreux, un espace périvasculaire questionnable ainsi que mixture d'une composante à lymphocytes T immatures de type thymique et d'une composante épithéliale de type cortical (trois biopsies et débris, masse du médiastin antérieur).Substitution des électrolytes Suivi clinique et biologique Tumor board du 03.04.2018 : prise en charge chirurgicale. La patiente sera convoquée Colonoscopie à prévoir en novembre 2019 (contrôle à 3 ans) laboratoire:cfr en annexe Laboratoire Co-amoxicilline 1 g - 2 x/jour du 24.03 au 31.03.2019. Laboratoire Consilium infectiologique (Dr. X) : Attitude : • Hospitalisation en médecine • Poursuite Tazo Bac • Réévaluation clinique et biologique demain Laboratoire. Consultation de contrôle le 04.04.19 au secteur ambulatoire des urgences. Consultation ORL le 04.04.19 pour nasofibroscopie (consilium fait) Scanner cérébro-cervico-thoracique (bon fait). Certificat médical. Éducation sur les signes devant amener à reconsulter. Laboratoire Contrat thérapeutique avec patiente : • pas d'injection pendant hospitalisation • substitution par Sevre-Long 480 mg/j du 27.04 au 28.04.2019 Avis et vérification du traitement avec Dr. X (addictologue traitant Centre ZOPA Zentrum ZG) le 29.04.2019 • Majoration de Sevre-Long à 600 mg/j dès le 29.04.2019 • Sertraline 50 mg 2-0-0-0 • Abilify 5 mg 1-0-0-0 • Sinquan 25 mg 0-0-0-2 Poursuite de suivi au Centre ZOPA Zentrum à Zoug avec Dr. X Laboratoire Contrat thérapeutique avec patiente : pas d'injection pendant hospitalisation, substitution par Sevre Long 480 mg/j + R, CAVE : contacter centre ZOPA Zentrum (ZG) pour pister dosage réel (Suivi Dr. X) Laboratoire. Contrôle chez son médecin traitant. Laboratoire. Convocation chez dermatologue (organisé). Reconsulter si péjoration. Laboratoire Coronarographie le 20.04.2019 : • subocclusion trifurcation circonflexe proximale : PCI (1DES) avec bon résultat • Sclérose non significative de l'interventriculaire antérieure et de la coronaire droite • Fraction d'éjection VG 48 % ETT le 23.04.2019 : akinésie de la paroi latéro-basale et de la paroi inféro-basale avec une FEVG à 50-55 % Physiothérapie Efient pour 12 mois Aspirine, beta-bloquant, IEC, statine Contrôle dans 1 mois à la consultation du Dr. X Laboratoire. CT. Laboratoire CT abdominal du 25.03.2019 Laboratoire CT abdominal le 28.03.2019 Antibiothérapie par Ceftriaxone et Metronidazole du 28.03.2019 au 30.03.2019 Antalgie, anti-inflammatoire Laboratoire CT abdominal (transmission orale) : réhaussement préservé, liquide libre au contact de la hernie à contenu grêle, anse distendue à 39 mm Avis chirurgie (Dr. X) Att : • Prise en charge au bloc opératoire, puis hospitalisation Laboratoire CT abdominal Ciproxine et Flagyl 12.04-15.04.2019 Laboratoire CT abdominale (Transmission orale, Dr. X) : Appendicite aiguë. Liquide libre en FID et dans le petit bassin. Avis chirurgical (Dr. X) ATT : • Opération • Antibiothérapie • Hospitalisation Laboratoire. CT cérébral et vaisseaux pré-cérébraux : pas de saignement, pas de masse, pas de thrombose veineuse, pas d'AVC, pas de sinusite, épaississement muqueux des sinus sans liquide, augmentation de taille des amygdales. Antalgie. Explications données au patient des symptômes nécessitant une consultation aux urgences. Proposition de suivi chez son médecin traitant la semaine prochaine avec suivi des symptômes neurologiques du membre inférieur droit. Laboratoire. CT cérébral et vaisseaux pré-cérébraux (Dr. X) : • Hémorragie sous-arachnoïdienne péri-mésencéphalique avec extension dans la citerne ambiante et dans les sillons occipitaux, plus marqué du côté droit, associée à un début d'hydrocéphalie avec élargissement du troisième ventricule et des cornes temporales des deux ventricules latéraux, sans mise en évidence d'un anévrisme. DD d'origine veineux. • Signes d'une sinusite maxillaire droite et sphénoïdale gauche chronique. • Arc bovin. Avis neurocrâne (Dr. X) : • Transfert à Berne. Cyklokapron 1000 mg iv. Trandate 10 mg iv, puis 10 mg/h. Attitude : • Transfert à Berne. • Cible TAs < 160 mmHg. • Décubitus dorsal. Laboratoire CT cérébral le 01.04.2019 IRM cérébral le 03.04.2019 Avis neurologique le 01.04.2019 (Dr. X) Avis neurologique le 04.04.2019 (Dr. X/Dr. X) Bilan lipidique : LDL-cholestérol 3.98 mmol/l HbA1c 5.5 % Échocardiographie transthoracique le 03.04.2019 : FOP de grade II Test de déglutition sp Aspirine 500 mg o.u. Aspirine Cardio 100 mg dès le 02.04.2019, à discuter Atorvastatine 40 mg dès le 02.04.2019 IRM panmédullaire en ambulatoire le 16.04.2019 à 13h45 Laboratoire CT cérébral natif (Dr. X) : pas d'hémorragie Retour à domicile. Les examens effectués aux urgences sont expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire CT épaule et bras G + rx épaule, coude, bras G 14.03.2019 : status post mise en place d'une prothèse totale inversée épaule G. Fracture péri-prothétique multifragmentaire déplacée passant au contact de la pointe de la tige prothétique humérale avec extension dans la partie moyenne de la diaphyse. Pas de fracture du matériel ni signe de descellement proximalement à la fracture. Congruence articulaire prothétique préservée. Infiltration des parties molles en regard du foyer de fracture. Les structures thoraciques visualisées se présentent normalement Rx thorax 15.03.2019 Rx bras G 15.03.2019 post-op : matériel en place. Pas de signe de luxation de la PE. CT bras et épaule G 17.03.2019 : persistance d'un diastasis interfragmentaire atteignant 8 mm dans la partie proximale de la fracture où l'on note un fragment osseux à angle aigu à proximité du passage du nerf radial. Pas d'hématome notable au sein des parties molles. Pas de saignement actif décelé. Infiltration diffuse des tissus mous en rapport avec le trauma et le statut postopératoire récent. Rx thorax 27.03.2019 Laboratoire CT le 18.04.2019 IRM le 18.04.2019 Investigations radiologiques (CT/IRM le 18.08.2019) Avis Neurologie (Dr. X) Aspirine à vie Atorvastatine pour 3 mois Attitude : • ETT le 20.05.2019 à 14 h • Holter mardi 07.05.2019 à 10h • Rediscuter poursuite Atorvastatine après 3 mois de traitement en fonction de l'évolution • Patiente sortant de l'hôpital avant que l'entièreté des examens (US et holter) aient pu être réalisés, avertie et consciente des risques et conséquences Laboratoire CT scan abdominal : • aérobilie. hernie incarcérée de la ligne médiane avec saut de calibre et liquide libre intra-abdominal. Avis chir (Dr. X) : • prise en charge opératoire Att : • A JEUN • Ad SNG selon évolution des douleurs Laboratoire. CT scan abdominal le 31.03.2019 Traitement conservateur. Laboratoire. CT scan abdominal : La cicatrice en région inguinale G présente un aspect calme et l'on ne visualise notamment pas de collection. Par ailleurs, pas de signe de récidive de hernie inguinale, notamment à la manœuvre de Valsalva. Laboratoire CT scan abdominal Suivi bilirubine Laboratoire. CT scan colonne thoraco-lombaire. IRM colonne vertébrale. Avis oncologique - Dr. X, Dr. X : radiothérapie en urgences Avis neurochirurgical : pas d'indication chirurgicale => radiothérapie Avis radio-oncologie : radiothérapie dès le 30.04.2019. Dexaméthasone 20 mg aux urgences, puis 12 mg/jour. Transfert HFR Fribourg le 26.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Laboratoire. CT scan (Dr. X) : présence fracture lame papiracée avec pneumatisation sous-cutanée, absence infiltration orbitaire, pas de trapping musculaire. Avis ORL : Ad Co Amoxicilline 1.2g 2x/, contrôle en ORL dans 24h, pas de mouchage. Antalgie. Laboratoire CT scan : Majoration de taille du nodule péritonéal de 13 à 24 mm. Évaluer PEC avec oncologue/CHUV (Dr. X)Laboratoire CT scan: Majoration de taille du nodule péritonéal de 13 à 24 mm. Suivi par Dr. X ATT: • Contrôle le 28.05.2019 à 15h30 chez Dr. X Laboratoire. CT scan natif (Dr. X) : pas de signe d'engagement. Ponction lombaire (Drs X et X) : • repérage, désinfection, champage, anesthésie locale par Lidocaïne • premier essai par Dr. X : sortie de LCR mais Mr. Y a bougé et plus de liquide • deuxième essai par Dr. X : Mr. Y hyperalgique et qui bouge, ad Meopa • troisième essai sous MEOPA par Dr. X : Mr. Y hyperalgique, bouge +++ dès l'introduction de l'aiguille Au vu d'un risque de blessure élevé sur les mouvements importants de Mr. Y, arrêt de la procédure avec explications à Mr. Y. Co-Amoxicilline 2.2 g i.v en dose unique aux urgences. Retour à domicile avec traitement antibiotique de Co-Amoxicilline. Contrôle secteur ambulatoire des urgences le 09.04.2019. Explication donnée à Mr. Y concernant les red flags amenant à reconsulter avant. Laboratoire. CT scan rachis total du 23.04.2019 : pas d'image de compression osseuse, l'IRM médullaire reste par ailleurs l'examen de choix pour rechercher une atteinte infiltrative tumorale d'origine de la symptomatologie clinique. Métastases ostéocondensantes diffuses par ailleurs. IRM colonne vertébrale du 24.04.2019 : très probable infiltration tumorale péri-médullaire antérieure postérieure à l'origine d'un engainement du cordon médullaire en regard de D4-D5-D6. L'examen n'est pas optimal en rapport avec les mouvements de Mr. Y surtout sur les séquences injectées. Signe d'ostéo-carcinose diffuse osseuse. Laboratoire CT scan time is brain (Dr. X): absence hémorragie. Absence dissection artérielle. Avis ORL (Dr. X): ad hospitalisation en ORL, Primperan en R, Tanganil 500 mg 3x/j IV Evaluer IRM Neurocrâne si persistance des symptômes Laboratoire. CT. Sédiment urinaire: Hématurie +++. Antalgie : Voltarène 75 mg iv, Morphine 4 mg iv. Uro-CT (Dr. X rapport oral): présence d'une lithiase urétérale gauche de 4 x 3 x 3 mm, de 1000 HU, avec ectasie urétérale en amont et du pyélon mesuré à 12 mm sans signe de complication. • Antalgie avec Paracétamol, Irfen, Tramal et Buscopan. • Filtration des urines avec entonnoir. • Contrôle chez Dr. X urologue traitant à 1 semaine. • Explication des critères de reconsultation à Mme. Y. Laboratoire CT thoracique Laboratoire CT thoraco-abdomino-pelvien le 25.03.2019 Avis oncologie (Dr. X) : situation oncologique stable, pas de nouvelle cure de chimiothérapie pour le moment, sera reconvoquée en ambulatoire Laboratoire CT Time is brain, le 18.04.2019 Avis Neurologie (Dr. X) Hospitalisation en Médecine interne • Bilan lipidique, glycémique, rythmique, ETT, IRM • Status REA à rediscuter avec famille Laboratoire CT time is brain: pas de lésion/occlusion artérielle Avis Neurologie (Dr. X) Réfection de pansement Hospitalisation aux Soins Intensif • Bilan lipidique/Glycémique/cardiaque Laboratoire CT-colonne cervicale et thoracique du 01.04.2019 FAST (Dr. X) : pas de liquide libre intra-abdominal Avis orthopédique (Dr. X) Attitude : • collerette mousse quelques jours, antalgie et relaxant musculaire • IRM cervicale si persistance des douleurs Laboratoire CTG Examen vaginal Frottis vaginal et urotube Actim Partus positif Echographie abdominale et trans-vaginale Maturation pulmonaire le 12.04.2019 et le 13.04.2019 Tocolyse par Adalat du 12-14.04.2019, puis par Tractocile dès le 14.04.2019 à 18h00 Laboratoire CT Piperacillin-Tazobactam 4 x 4,5 g i.v. du 12.04.2019 au 19.04.2019 Laboratoire. CT-Scan cérébral : pas de saignement. Antalgie standard. Contrôle clinique et biologique dans 48h au secteur ambulatoire des urgences. Laboratoire CT-Scan cérébral et carotides le 23.04.2019 IRM cérébrale le 24.04.2019 Échocardiographie le 25.04.2019 Holter le 26.04.2019 Aspégic 250 mg le 23.04.2019 Clopidogrel dès le 24.04.2019 Laboratoire. CT-scan cérébral natif et injecté : pas de lésion cérébrale, pas d'hémorragie, pas de thrombose sinusienne, sinus sans particularité. Attitude : • Conseils d'usage. • Traitement conservateur. • Contrôle clinique chez le médecin traitant en fin de semaine. Laboratoire CT-scan cervical et cérébral le 08.04.2019 (Dr. X) Benerva 300 mg iv 3x/j du 08.04 au 10.04.2019 puis per os 6 semaines Becozyme CIWA et Seresta schéma dégressif Consilium psychiatrie du 11.04.2019 Consilium addictologie du 10.04.2019 Seresta 15 mg 4x/jour d'office avec sevrage progressif pendant l'hospitalisation + 15 mg en réserve Attitude : • mise en place hôpital de jour Laboratoire. CT-scanner cérébral et cervical natif (Dr. X) : pas de fracture, pas de saignement. Retour à domicile avec traitement antalgique. Mr. Y a reçu la feuille de surveillance post-TCC et les relatives explications. Contrôle en filière à 48 heures car le médecin traitant est en vacances pour suivi de la créatinine et suivi des plaies. Laboratoire CT-scanner natif (Dr. X) : superposable au précédent Avis neurologique (Dr. X/ Dr. X) Attitude : • hospitalisation en médecine/gériatrie pour soins impossibles à domicile • Physiothérapie vestibulaire • avis ORL Laboratoire CT-scanner thoraco-abdominal du 17.04.2019 Anticoagulation thérapeutique par Clexane dès le 17.04.19 (au vu de la notion de saignement gastro-intestinal d'origine tumorale) pour 3 mois a priori Laboratoire. Culture d'expectorations. Frottis grippe. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. ECG. RX thorax. Oxygénothérapie du 19 au 26.03.2019 et séances de VNI du 19 au 21.03.2019. Aérosols de Ventolin, Atrovent et Pulmicort aux urgences. Prednisone 50 mg du 19 au 23.03.2019. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv du 19 au 21.03.2019 • Klacid 500 mg per os 2x/j du 19 au 20.03.2019 • co-amoxicilline 1 g per os 3x/j du 22 au 28.03.2019. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Culture d'expectorations le 26.03.2019. Oxygénothérapie augmentée à 2 l/min. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Antibiothérapie par : • Céfépime 1 g 2x/j du 26 au 29.03.2019 • Ciproxine 500 mg 2x/j du 30.03 au 02.04.2019. Laboratoire Cultures (hémocultures, ascite, urine, expectorations) : stériles Ceftriaxone du 19.03 au 22.03.2019 (hémorragie digestive chez Mme. Y avec ascite) Pipéracilline-Tazobactam du 22.03 au 26.03.2019 Laboratoire Deux paires d'hémocultures : négatif Antigène urinaire légionelle : négatif Culture d'expectorations : négatif Gazométrie veineuse (gazométrie artérielle refusée) ECG Rx thorax face : hyperinflation, pas d'infiltrat, minime épanchement bilatéral US ciblé (Dr. X) : pas de pneumothorax Aux urgences : Atrovent et Ventolin, O2, Rocephine 2 g Rocephine du 25.03 au 30.03.2019 Prednisone du 25.03 au 29.03.2019 Atrovent et Ventolin Physiothérapie respiratoire Transfert pour l'HFR-Billens le 08.04.2019 Laboratoire Dopplersonographie 11.04.2019 (Dr. X) : on confirme une TVP dans plusieurs veines du MID, notamment dans la VFS proximale, probablement suite à compression par le volumineux pseudoanévrisme, puis plusieurs TVP poplité et des vv jambières. Une anticoagulation pendant 3 mois est indiquée, le type d'anticoagulation dépend du résultat de CT. En cas de nécessité d'opérer rapidement Mme. Y (dans le prochain 1-3 mois), avec nécessité d'arrêter l'anticoagulation, la pose d'un filtre cave serait recommandée. Angio-CT thoracique (rapport oral Dr. X) : Pas de signe d'ulcération, pas de signe de lésion aortique, pas de dissection, Emboles multiples dans les deux poumons. Poumon droit : emboles dans artère lobaire et segmentaire du lobe inférieur et art. segmentaire du lobe supérieur. Poumon gauche : art. segmentaire basale et lingulaire.US cardiaque (Dr. X) : pas de signe de dilatation du ventricule droit. Att : • Hospitalisation en médecine • Début de l'anticoagulation par Clexane 60 mg sc 2x/24h Laboratoire DOT vasculite : ANCA négatif Quantiféron le 18.04 : négatif Consultation ophtalmologique en urgence le 18.04.19 : épisclérite et uvéite antérieure asymptomatique à partir du traitement topique. Nouveau contrôle mardi 24.04.2019. • Cortisone ophtalmique dès le 18.04.2019 à schéma dégressif CT massif facial et cérébral le 18.04.19 : pas d'anomalie CT thoracique le 18.04.19 : pas de changement, hormis une très légère majoration du verre dépoli Solumedrol 1 g/j du 18.04 au 20.04.2019 Prednisone 60 mg dès le 21.04.2019 Mabthera 1 g le 24.04.2019 Prochaine consultation en ophthalmologie le 30.04.2019 à 9h15 Prochaine consultation en rhumatologie chez le Dr. X le mardi 14.05.2019 à 15h15 Prochaine perfusion de Mabthera le 08.05.2019 Laboratoire. ECG : BAV 1er degré. Schellong : pas de chute de la tension artérielle mais augmentation de la fréquence cardiaque et apparition de la symptomatologie. Angio-CT thoracique : pas d'embolie pulmonaire. Radiographie thorax ap/lat. Echographie transthoracique (Dr. X) : interdépendance ventriculaire à l'inspiration, pas d'anomalie structurelle. Hydratation 1000 ml NaCl sans amélioration de la symptomatologie. Avis cardiologique (Dr. X). Pose de Holter de 24 h 03.05.2019 à 10h15. Consultation cardiologique pour discussion des résultats le mercredi 15.05.2019 à 13h00, +/- tilt test. Laboratoire. ECG : rythme normocarde irrégulièrement irrégulier, QRS fins, QTc prolongé à 540 ms, pas de sus/sous décalage. Schellong : négatif. Attitude : • Holter de 7 jours organisé en ambulatoire. • Contrôle ECG pour vérification du QTc chez médecin traitant à 3 semaines. Laboratoire. ECG : rythme sinusal régulier, BAV 1, pas de trouble de la repolarisation, pas de bloc de branche droit et gauche. CT cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux et carte de perfusion : pas d'argument pour un AVC hémorragique ou ischémique, vaisseaux perméables. Avis neurologue (Dr. X) : bolus d'aspirine avec poursuite jusqu'à réalisation d'une IRM cérébrale en ambulatoire. Faire en ambulatoire bilan cardiaque avec suivi en ambulatoire par neurologue. Attitude : • Retour à domicile. • Aspirine 100 mg/jour jusqu'au résultat IRM. • Bilan cardiaque en ambulatoire (faire demande auprès du secrétariat de neurologie). • IRM cérébrale en ambulatoire (bon fait). Laboratoire. ECG : rythme sinusal régulier, bradycarde, pas de trouble de la conduction, pas de trouble de la repolarisation. Avis neurologique (Dr. X) : pas d'indication à un CT avec carte de perfusion (faire CT cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux), contrôle de la récidive d'un hématome sous-dural avec réintroduction de l'aspirine si pas de contre-indication. Possibilité d'un retour à domicile après concertation avec la famille, sinon hospitalisation en médecine pour surveillance clinique. CT cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux : pas d'hémorragie, pas de récidive d'hématome, vaisseaux pré-cérébraux perméables. Discussion avec le beau-fils, la petite-fille et concertation avec la fille qui ne souhaite pas la réintroduction d'aspirine au vu des antécédents de saignement intracérébral. Attitude : • Retour à domicile. • Surveillance le 06.04.2019 par la famille de la patiente. • Conseils d'usage. Laboratoire. ECG : rythme sinusal régulier, ESA non conduite, QRS fin, pas de trouble de la repolarisation, QTc sans particularité. Urines : leucocyturie, nitriturie, bactériurie. Radiographie thorax face/profil : petit épanchement à gauche, pas de foyer, pas de signe de surcharge. Attitude : • Nitrofurantoïne pour 5 jours. • Contrôle clinique chez le médecin traitant à 7 jours. Laboratoire. ECG : rythme sinusal régulier sans troubles de la repolarisation. Aux urgences : ad Adalat R 20 mg. Attitude : • Retour à domicile avec suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire. ECG : sans particularité. Manoeuvre de Dix-Hallpike : pas de nystagmus, péjore les vertiges. Manoeuvre de Semont. Motilium lingual 10 mg p.o. Consultation ORL recommandée si récidive des vertiges. Laboratoire ECG = sinusal régulier sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation IPP 80 mg puis 8 mg/h au pousse-seringue électrique CAT : • Hospitalisation médecine pour suite de prise en charge • Discuter de l'intérêt d'un consilium gastroentérologue +/- OGD devant dysphagie du patient Laboratoire. ECG avant la cardioversion : AVNRT avec FC à 164 bpm sans trouble de la repolarisation. ECG après la cardioversion : rythme sinusal régulier avec FC à 108 bpm, pas de trouble de la repolarisation. CT-scan thoraco-abdominal protocole aorte (Dr. X) : superposable au dernier scanner de février 2019, pas de signes de dissection aortique. Aux urgences : • Beloc zok 50 mg per os. Attitude : • Retour à domicile avec contrôle ambulatoire en cardiologie. • Explications quant aux red flags données à la patiente pour reconsulter. Laboratoire. ECG : BAV de premier degré Radiographie de thorax Massage des sinus carotidiens aux urgences : sans particularités Suture de la plaie occipitale aux urgences avec 9 points de suture avec Prolene 4.0 CT-scanner cérébral avec injection de produit de contraste (Dr. X) : pas de fracture, pas de saignement, pas de masse ; macro-adénome hypophysaire connu Attitude : • Hospitalisation en médecine pour suite d'investigations • Prévoir un contrôle cardiologique Laboratoire ECG : comparable CT cérébrale natif Laboratoire. ECG CT cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux (transmission orale) : multiple sténose subocclusive calcifiée d'allure chronique dans un contexte de patient dialysé, pas d'événement aigu hémorragique ou ischémique. Attitude : • Retour au home. Laboratoire. ECG du 03.04.2019 : rythme sinusal régulier, normocarde à 67/min, axe gauche à -39°, QRS fins à 110 ms, transition de l'onde R retardée en V6, segment ST isoélectrique, QTc à 464 ms. CT scan cérébral injecté du 03.04.2019 : pas d'accident vasculaire cérébral ischémique constitué ou hémorragique. Goitre thyroïdien, à corréler à un avis endocrinologique spécialisé selon besoin. IRM neurocrâne du 05.04.2019 : deux lésions ischémiques en restriction de la diffusion et hypersignal FLAIR : au niveau cérébelleux gauche évoquant des lésions ischémiques dépassant les 3 h. Anomalie veineuse de développement cérébelleux gauche. Laboratoire. ECG du 26.04.2019 : bloc de branche gauche. RX thorax du 26.04.2019 : opacités intéressant les deux plages pulmonaires (principalement interstitielles à gauche, interstitielles et en partie alvéolaire à la base droite) nouvellement apparues par rapport à l'examen précédent DD décompensation cardiaque. Épanchement pleural majoré à la base droite. Cavité de résection à contenu liquidien de l'apex pulmonaire droit dans le contexte post-opératoire, connue et inchangée, avec toujours une discrète attraction de la trachée. RX thorax du 29.04.2019 : majoration de l'infiltrat interstitiel des deux plages pulmonaires et d'une condensation basale droite avec majoration de l'épanchement pleural à la base droite DD insuffisance cardiaque décompensée avec atélectasie vs insuffisance cardiaque sur foyer infectieux de la base pulmonaire droite, à corréler avec la clinique. Le reste est inchangé. Laboratoire ECG : FA non connue CT time is brain Avis neurologique (Dr. X) Avis neurologique (Inselspital) : accès vasculaire très risqué, au vu de l'amélioration du NIHSS post-lyse, intervention actuellement non-indiquée NIHSS d'entrée 5, post-CT 7, post-lyse 3 Aux urgences : Labétalol 10 mg bolus puis 20 mg/h i.v. Actilyse standard 0.9 mg/kg Attitude : Ad SI ECG: FA rapide à 150 BPM Metoprolol 10 mg IV + Diltiazem 25 mg IV + Clexane 80 mg s.c aux Urgences Avis Cardiologie (Dr. X) Cardioversion médicamenteuse obtenue après metoprolol et diltiazem HOSPITALISATION: ETT le 09.04.2019 Metoprolol et Apixaban Laboratoire. ECG. Hydratation par NaCl iv 500 ml aux urgences puis 3000 ml/24 h. Lasix iv 20 mg 4x aux 6h puis stop. Zometa 4 mg iv en dose unique. Arrêt du traitement par vitamine D. Consilium endocrinologie. Pas d'indication opératoire retenue pour le moment. Mimpara 30 mg 1x/jour à débuter dès que réponse de l'assurance maladie pour le remboursement. Demande faite le 17.04.2019. Réadmission à Marsens le 18.04.2019 Propositions : bilan biologique avec calcémie et phosphatémie 1x/semaine, bonne hydratation avec 1.5 - 2 litres minimum. Laboratoire ECG, le 25.04.2019 Substitution IV et per os Laboratoire ECG: RSR, PQ limite sup, QRS fin, mais inconstant avec image de bouncing heart, Sokolov positif, pas de trouble de la repolarisation. Consilium neurochirurgical (Dr. X): Opération le 13.04 par le Dr. X Echographie ciblée cœur aux urgences (Dr. X, Dr. X): pas d'épanchement péricardique Attitude: • Hospitalisation en chirurgie • Mise en suspend de l'Aspirine • A jeun dès minuit pour intervention le 13.04.2019 (Dr. X) • Surveillance neurologique aux 4h Laboratoire ECG. Rx thorax. US abdominal de contrôle le 27.03.2019 Antalgie Suivi du Taux de Tacrolimus jusqu'à dose cible (atteinte le 02.04.2019). Suivi post-greffe par le service de transplantation du CHUV - Dr. X. Valganciclovir à poursuivre jusqu'au 04.09.2019 (Constellation CMV D+/R-) Entecavir pour une hépatite B ancienne à poursuivre Laboratoire ECG: rythme sinusal régulier RX thorax face Antigènes urinaires légionnelle et pneumocoque: Nég. Dosage IgE totaux le 02.04.2019: 55 U/ml (norme < 100 U/ml) Peak-flow le 03.04.2019: 340 - 350 - 350 (92% du prédit) Avis pneumologique (Dr. X) Traitements: • Rocéphine IV du 29.03 au 02.04.2019 • Klacid du 29.03-01.03.2019 • Aerosol de Ventolin et d'Atrovent • Prednisone 50 mg du 29.03-02.04.2019 • Vannair 200/6 3x/j dès le 01.04.2019 • Spiriva 1x/j dès le 01.04.2019 • Physiothérapie respiratoire Attitude: • Prick test à effectuer en ambulatoire • RDV ambulatoire chez le Dr. X • Poursuite Vannair 200/6 et peak-flow à domicile • Patch Nicotinel, à la demande de la patiente Laboratoire ECG: superposable Schellong négatif objectivement, symptomatique subjectivement avec vertiges Urines en cours Attitude: • Hospitalisation en gériatrie à Riaz (acceptée par Dr. X) pour évaluation gériatrique Laboratoire. ECG. Attitude : • Au vu d'un tracé électrocardiographique sans particularité et d'un laboratoire aligné, retour à domicile. • Le patient sera convoqué pour un Holter en ambulatoire. • Critères de reconsultation donnés au patient. Laboratoire ECG Aux urgences: • Pantozole 80 mg IV • 2 CE aux urgences • 500 ml NaCl Discussion avec la fille le 07.04: pas d'endoscopie, demande d'hospitalisation pour surveillance Attitude: • Transfert pour une hospitalisation à Tafers (attendu aux urgences) • Laboratoire de contrôle à son transfert à pister • Poursuite Pantozole 40 mg journalier • Suivi clinique et biologique • Rediscuter Aspirine en cas de récidive Laboratoire ECG Avis cardiologique (Dr. X) : indication pour la pose d'un pace-maker, à rediscuter avec la patiente et sa fille Hospitalisation aux soins intensifs pour surveillance rythmique et discuter la pose d'un pacemaker endo-veineux. Laboratoire ECG Avis Dr. X NIHSS = 0 En raison de l'apparition des symptômes depuis moins de 7h, nous prenons un avis auprès de la Dr. X, neurologue, qui demande un transfert à Fribourg pour imagerie et la suite de la prise en charge Laboratoire ECG Avis gynécologique (Dr. X): pas de décollement placentaire, pas d'arguments pour une éclampsie Avis neurologique (Dr. X): • vérifier taux de lamictal • retrouver taux de lamictal antérieur à la grossesse • 25 mg de lamictal ce soir, 100 mg demain matin, à augmenter selon EEG de demain • si crise plus longue ad Rivotril • pas de Keppra sauf si état de mal Aux urgences: 2x G40 10 ml i.v., Lamictal 25 mg p.o., NaCl 0.9% 1000 ml i.v. sur 1h Attitude: ad SI Laboratoire ECG Avis Neurologique (Dr. X): suspicion de migraines et vomissements en raison du traitement par Millepertuis. Proposition d'introduire un traitement par Zomig et Primpéran intra rectal avec réévaluation de son traitement le 30.04.2019 à sa consultation Retour à domicile Consultation Dr. X le 30.04.2019 Laboratoire. ECG. Avis neurologique (Dr. X) : effectuer un CT cérébral natif non injecté, si pas de saignement, laisser la patiente rentrer à domicile et poursuivre son traitement actuel. CT cérébral natif : pas de saignement, pas de signe de lésion ischémique ancienne. Retour à domicile avec réassurance. Proposition de reconsulter si apparition de nouveaux symptômes neurologiques. Laboratoire. ECG. Avis psychiatrique (Dr. X) : pas d'indication à une hospitalisation en urgence, contrat de confiance entre patiente et psychiatre avec projet de consulter aux CPP le 09.04.2019 pour suite de prise en charge. Attitude : • Retour à domicile. • Réévaluation en ambulatoire par CPP. • Arrêt de travail Laboratoire ECG Coprocultures: Clostridium Difficile et culture de base négatifs Ceftriaxone 2 g du 01.04.19 au 03.04.19 Métronidazole du 01.04.19 au 03.04.19 Prednisone 70 mg du 02.04.19 au 08.04.19 puis schéma dégressif (30 mg au transfert) Budénofalk mousse 2 mg du 10.04.19 au 16.04.2019 Substitution transitoire per os et Iv K+ et Mg2+ Laboratoire ECG CT cérébral et carotides (transmission orale, Dr. X): quelques signes d'atrophie cérébrale, pas de dissection, pas de saignement intracrânien, vaisseaux perméables Avis neurologique (Dr. X): • lit monitorisé stroke • Aspégic 250 mg i.v. • Plavix 75 mg p.o. dès demain matin à la place de l'aspirine cardio • Bilan lipidique • IRM cérébrale • Protocole stroke Laboratoire ECG CT cérébral natif et rachis cervical: pas de saignement intracrânien, pas de fractures cervicales Hospitalisation en médecine interne pour SIDO Laboratoire ECG CT cérébral natif: pas de saignement intracrânien Cultures des selles Hydratation S.c et IV Laboratoire ECG CT cérébral natif (transmission orale Dr. X): Fracture non déplacée pariétale droite, avec hémorragie Consilium neurochirurgical (Dr. X): Réversion crase par Beriplex, Konakion, Antibiotique, suture aux urgences et hospitalisation en chirurgie avec contrôle neurologique rapproché Avis soins intensifs (Dr. X) : Pas d'hospitalisation au SI sauf si sanction chirurgicale Aux urgences: • Réversion de la crase avec du Beriplex 1350 UI IV • Konakion 10 mmol IV • Co Amoxiciline 1.2 g IV • Rappel Tétanos aux urgences • Contrôle de crase à H2: 1.2 Désinfection à l'hypochlorite, champage habituelle, anesthésie locale par de la Radidocaïne. Exploration de la plaie, avec visualisation de la calotte crânienne, mais pas de la fracture. Pas de saignement artériel. Rinçage abondant au NaCl 1500 ml. Suture par 18 points de Prolène 4-0. Attitude: • Hospitalisation en chirurgie avec surveillance neurologique rapprochée • Mise en suspension Sintrom et suivi de la crase (Laboratoire demain) • Ablation des fils à J10 chez le médecin traitant Laboratoire ECG CT cérébral time is brain avec cartes de perfusion (transmission orale Dr. X): asymétrie occipito-temporal à droite avec large zone de pénombre compatible avec l'artère cérébrale postérieure droite Avis neurologique (Dr. X): hors délai, pas d'indication à la lyse. Double anti-agrégation pour 2 mois. Lit stroke non monitoré. Au vu de la péjoration du NIHSS, lit aux SI. Aux urgences: Aspégic 250 mg Attitude: ad SI Laboratoire ECG CT time is brain: Absence d'hémorragie. Stabilité de l'occlusion de l'artère vertébrale gauche en V2-V3 avec reprise à rétro de la portion V4. Infarctus chroniques constitués des lésions ischémiques cérébelleuses gauches connues. Discrète asymétrie du MTT en défaveur de la partie médiale du lobe occipital gauche pouvant être en rapport avec l'ancien AVC occipital gauche connu versus une nouvelle lésion ischémique. Pas possible d'exclure un nouvel AVC cérébelleux gauche et une IRM cérébrale est recommandée. IRM (transmission orale Dr. X): lésion ischémique aiguë territoire cérébral post gauche, plusieurs lésions ischémiques aiguës dans le vermis cérébelleux ainsi que dans l'uvule du vermis cérébelleux à G. Lésions ischémiques dans le lobe cérébelleux paramédian gauche dans le territoire de la PICA gauche. Avis neurologie (Dr. X): hospitalisation aux SI, lit strict 0-30° ce jour, tension jusqu'à 220 de systole Aspirine 250 mg i.v. Atorvastatin 80 mg Ticagrelor 90 mg po Att: • Hospitalisation dans l'unité Stroke Laboratoire ECG CT-scanner cérébral avec injection de produit de contraste: pas de saignement, pas de fracture, pas de thrombose, pas de complication post-op, pas de gaz; comblement des cellules ethmoïdales antérieures et du sinus frontal droit compatible avec une sinusite; goitre plongeant jusqu'au médiastin En pré-hospitalier: • 1 g de Perfalgan Aux urgences: • 1 g de Novalgine avec bonne évolution de la douleur Attitude: • hospitalisation en médecine Laboratoire ECG CT-scanner cérébral injecté 23.04.19 Antalgie Manœuvre de Toupet-Semont dans le service de médecine Avis ORL (Dr. X) 24.04.19: réitération des manœuvres libératrices pour canalolithiasis au niveau du canal semi-circulaire latéral gauche avec nystagmus mais sans provocation de vertige. Désencombrement nasal. Rendez-vous en ORL chez le Dr. X à un mois. Si vertiges récidivants, patient s'annonce auprès du secrétariat d'ORL Laboratoire ECG CT-scanner cervico-thoraco-abdomino-pelvien (Dr. X) Avis hématologique (Dr. X) Avis chirurgical (Dr. X, Dr. X) Attitude: • hospitalisation en médecine pour suite d'investigations • ponction de biopsie de moelle par Dr. X demain à 14:00 • contacté les chirurgiens pour une biopsie excisionnelle des adénopathies axillaires, il sera mis sur le planning opératoire demain • caveat si état fébrile >38.3°C ad cultiver et couvrir par Céfépime comme pour agranulocytose fébrile Laboratoire ECG Echocardiographie transthoracique le 09.04.2019 Gazométrie (après > 30 min à air ambiant) le 12.04.2019 Séjour aux soins intensifs du 07.04 au 10.04.2019 VNI intermittente du 07.04 au 10.04.2019 Cathéter artériel radial droit du 07.04 au 10.04.2019 Prednisone du 08.04 au 10.04.2019 Tavanic du 07.04 au 12.04.2019 Oxygénothérapie Laboratoire ECG FAST: neg. CT scan total body Avis Neuro (Dr. X): prévoir EEG, peu d'arguments pour phénomène épileptique. Avis ORL (Dr. X): Suture au URG plaies, Ad Co Amoxicilline PO pour 5 jours, ablation fils à Hospitalisation Chir pour surveillance neuro aux 4h Pister avis neuro et EEG, évaluer indication IRM Laboratoire ECG Gastroscopie et colonoscopie le 11.04.2019 Pantozol 40 mg 2x/j du 06.04 au 12.04.2019, puis à nouveau 1x/j Arrêt de l'Aspirine Cardio le 09.04.2019 Laboratoire ECG Gazométrie artérielle CT thoracique Oxygénothérapie du 09.04 au 12.04.2019 Physiothérapie respiratoire Antalgie par Targin et Oxynorm Anticoagulation par Xarelto Laboratoire ECG Gazométrie artérielle US de débrouillage bedside (Dr. X, Dr. X): pas de signes de TVP, pas de signes de décompensation cardiaque, cavités cardiaques droites sp, fine lame d'épanchement péricardique CT-scan thoracique (Dr. X): Pas d'EP, épanchement pleural, atelectasie de contact homogène sans signes de surinfections. carcinomatose connue, apparition de 2-3 lésions nouvelles au niveau de la lingula. Épanchement péricardique présent sur le CT comparatif légèrement augmenté. Zone lytique au niveau du manubrium sternal (partie postérieure gauche)? Attitude: • Hospitalisation en médecine • Pas d'antibiothérapie pour le moment, si T> 38,5°C introduire une antibiothérapie • Drainage de l'épanchement à l'étage • Avis oncologique (Dr. X) Laboratoire ECG Gazométrie artérielle US de débrouillage bedside (Dr. X, Dr. X) 23.04.2019 : pas de signe de TVP, pas de signe de décompensation cardiaque, cavités cardiaques droites sp, fine lame d'épanchement péricardique CT-scan thoracique 23.04.2019 US thoracique de repérage pour ponction pleurale le 25.04.2019 : lame de liquide libre <1cm, pas de ponction pleurale réalisable RX thorax du 30.04.2019 Traitement conservateur : diurétique et oxygénothérapie Pas d'indication à ponction CT-guidée selon avis Dr. X Co-Amoxicilline 1g 2x/j pendant 7 jours du 26.04 au 02.05.2019, pour possible pneumonie associée Prescription de courte durée d'oxygénothérapie à 0.5 ml/min Laboratoire. ECG. IPP 40 mg 1x/jour et antalgie en réserve. Laboratoire. ECG. KCl 40 mmol en i.v. sur 4 heures. Potassium effervette 30 mmol p. o. Laboratoire. ECG. Manœuvre de Hallpike et test de Halmagyi. Betaserc 16 mg, Prednisone 50 mg, Atarax 25 mg aux urgences, puis Betaserc 16 mg - 3 x/jour, Atarax 25 mg/jour et Prednisone 50 mg/jour. Primperan en réserve. Physiothérapie. Consultation ORL le 11.04.2019 à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Laboratoire. ECG. Mesures de contention physique aux urgences. Mesures de contention médicamenteuse aux urgences : • Dormicum intra-nasal 3 mg. • Haldol 1 mg i.v., Haldol 2.5 mg i.m. CT-scanner cérébral injecté avec vaisseaux pré-cérébraux (Dr. X) : anévrisme calcifié au niveau de l'hémisphère cérébelleux gauche, non rompu ; autrement pas de modification. Avis psychiatrique (Dr. X). Attitude : • Hospitalisation à Marsens volontaire dans l'unité de crise pour entre autres un soutien social. Laboratoire ECG Nous vous laissons le soin au médecin traitant de prévoir un contrôle de l'hémoglobine ces prochains jours ainsi que d'effectuer un bilan d'anémie. Laboratoire ECG Organiser endoscopie (gastroscopie + colonoscopie) Hospitalisation en médecine interne Sintrom en suspens, poursuite de l'aspirine cardio au vu des comorbidités Évaluer transfusion érythrocytaire en fonction de la symptomatologie Laboratoire ECG Radiographie bassin + hanche gauche Radiographie genou gauche Radiographie thorax Scanner fémur gauche 2 culots érythrocytaires commandés Avis orthopédique (Dr. X) Aspirine cardio en suspens Ad Clexane 40 mg 1x/j sc A jeûn dès minuit Hospitalisation en orthopédie Repos au lit avec gouttière membre inférieur gauche Laboratoire ECG Radiographie de thorax Hémocultures en cours Culture d'expectoration en cours ATT • Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1.1 g iv 3x/j • Aérosols de Ventolin et Atrovent • Hydratation iv par NaCl 1500 ml par 24h • Hospitalisation en gériatrie à Riaz Laboratoire ECG Radiographie des mains et des pieds le 27.03.2019 CT-Scan thoracique le 27.03.2019 Consilium rhumatologique le 27.03.2019 Avis hématologique le 27.03.2019 : • ad Neupogen comme traitement d'épreuve • prévoir PBM, si résultat non spécifique organiser ponction et biopsie de la masse rétrosternale Ponction biopsie de moelle le 27.03.2019 Biopsie retro-sternale le 29.03.2019 Esidrex et Tilur en suspens Substitution acide folique Tumor board du 03.04.2018 : prise en charge chirurgicale. La patiente sera convoquée Laboratoire ECG Radiographie du thorax Atrovent ventolin Att: hospitalisation en Laboratoire ECG Radiographie du thorax ATT: Lasix 40 mg iv Hospitalisation en gériatrie à Meyriez Laboratoire ECG Radiographie épaule F/N et coude F/P Radiographie thorax F CT Bras/coude D Consilium orthopédique (Dr. X) Attitude: • Hospitalisation en orthopédie • À jeun pour probable intervention Laboratoire ECG Radiographie thorax F/P Aux urgences • Nitré 0.8 mg avec résolution des douleurs Avis cardio Dr. X : pas d'indication à faire une coronarographie en urgence, faire une US pour évaluer la fonction cardiaque. Faire une coronarographie lundi. Avis cardio Dr. X : US cardiaque avec FEVG à 45 %, avec dilatation du VG latérale, possible diminution de la contractilité, mais difficile à dire avec le pacemaker. Poursuivre l'anticoagulation avec xarelto 15 mg pour la cardioversion le lundi 15.04.19. Contacter l'assistant de cardiologie lundi matin pour voir si c'est possible d'avancer le rendez-vous pour la cardioversion Attitude: • Hospitalisation en médecine Laboratoire. ECG. Réalimentation. Attitude : • Retour à domicile avec consigne de nutrition. • Bon de taxi. • Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire. ECG. Résonium 15 g 3x/j. Contrôle biologique en filière. Laboratoire ECG RX : absence de fracture Avis Ortho (garde) : Ad Co Amoxicilline 2.2 g IV, antalgie, prise bloc pour révision + hospitalisation. Laboratoire ECG Rx coude D, bassin f, hanche D ax. 15.03.2019 CT cérébral-colonne cervicale 15.03.2019 Rx épaule D 15.03.2019 CT épaule/bras D 15.03.2019 Rx épaule D 16.03.2019 Rx épaule D 20.03.2019 Rx thorax 22.03.2019 ECG Holter 22.03.2019 Laboratoire. ECG. RX thoracique. CT cérébral avec injection : pas d'argument pour une lésion ischémique, pas d'argument pour une lésion hémorragique, vaisseaux perméables, présence d'une sinusopathie, volumineuse lésion lytique de la dent 12. Toxicologie urinaire. Prévoir en ambulatoire une IRM cérébrale avec consultation post IRM cérébrale en ambulatoire avec neurologue pour recherche d'étiologie. Laboratoire. ECG. RX thorax. Bêtabloquant en suspens. Surveillance monitorée en lit d'observation aux urgences du 08.04 au 09.04.2019. Echocardiographie le 09.04.2019 (Dr. X). Laboratoire ECG Scanner cérébro-cervical Radiographie jambe droite Avis neurochirurgie de garde (Dr. X) : contrôle scanner (ou IRM au vu nécessité IRM cervicale) le 03.04.2018 à 8h, contrôle neurologique sur la nuit et imagerie si péjoration clinique Aspirine cardio en suspens Laboratoire ECG Sédiment et spot urinaire CT thorax et abdomen natif le 01.04.2019 HIV négatif, Hépatite C négatif (27.03.2019, Dr. X) Sérologie Hépatite B : status post vaccination Sérologies ROR et varicelle : status post vaccination ou exposition Test Quantiféron : négatif DOT vasculites : Ac anti-PR3 positif FR : 21 U/ml, FAN : 80 Avis néphrologie (Dr. X/Dr. X) durant l'hospitalisation (patient suivi par Dr. X) Avis rhumatologique (Dr. X/Prof. X) le 03.04.2019 Avis infectiologique (Dr. X/Dr. X) le 03.04.2019 Ponction biopsie rénale le 05.04.2019 (envoyé à Lausanne, rapport oral) : 10 glomérules visualisés : 5/10 avec une nécrose, pas de dépôt à l'immunofluorescence, 10 % de fibrose dans l'interstice Bilan ophtalmologique le 08.04.2019 : dans la norme Bilan ORL le 09.04.2019 (Dr. X) : examen clinique ORL dans la norme sans plainte de la part du patient. Si les résultats de la biopsie rénale ne permettent pas de conclure à un diagnostic, une biopsie au niveau nasal pourra être effectuée Prednisone 15 mg/j jusqu'au 04.04.2019 Solu-medrol 500 mg i.v. du 05.04 au 07.04.2019 Endoxan (Cyclophosphamide) dès le 06.04.2019 Prednisone 1 mg/kg/j dès le 08.04.2019 Prophylaxie par Bactrim 3x/semaine introduite dès le 09.04.2019 sur avis infectiologique Suivi néphrologique à poursuivre (Dr. X) • Prochain contrôle le 15.04.2019 Laboratoire ECG Test de Schellong Aux urgences : hydratation orale. Laboratoire ECG US aux URG (Dr. X) : Angio CT Thoraco abdominal : grosse lésions sub occlusive susclavier calcifié, Avis chir vasc (Dr. X) : Ad hospitalisation SI pour surveillance, compléter bilan avec CT thoracique, contrôle TA < 140 mmHg, Laboratoire ECG US aux URG (Dr. X/Dr. X) : cholécystolithiase US abdominal (transmission orale, Dr. X) : cholécystolithiase importante, pas d'arguments pour une cholécystite, cholédoque non visualisé Laboratoire ECG 2 bouteilles d'Ultracharbon Attitude : Surveillance aux soins continus Laboratoire ECG 2 paires d'hémoculture à froid CEFTRIAXONE 2 g IV METRODINAZOLE 500 mg IV CT abdominal (transmission orale Dr. X) : cholécystite avec plusieurs calculs enclavés dans la vésicule, épaississement non évaluable car non injecté. Doute sur une lithiase (DD : calcification du pyélon) US abdominal (transmission orale Dr. X) : examen suboptimal, paroi un peu épaissie, pas de dilatation des voies biliaires, multiples calculs. Avis Chirurgie (Dr. X) Att : • Hospitalisation en chirurgie avec antibiothérapie et opération dès que possible • Pister hémocultures Laboratoire. Echographie ciblée vasculaire (Dr. X) : thrombose proximale profonde du membre inférieur gauche. Traitement anticoagulant par Xarelto, bas de contention. Consultation en angiologie en ambulatoire. Laboratoire Entretien G5 IV Laboratoire Entretien G5 IV Laboratoire ERCP avec Papillotomie le 09.04.2019 Rocephin 1 x 2 g i.v. du 08.04.2019 au 12.04.2019 Métronidazole 3 x 500 mg i.v. du 08.04.2019 au 12.04.2019 Laboratoire. Excision sous anesthésie locale et Meopa. Avis chirurgical (Dr. X / Dr. X) : • Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 5 jours • Douche 2x/jour au niveau de la plaie. Contrôle au Secteur ambulatoire des urgences à 48h. Laboratoire Ferinject 500 mg i.v. 3 doses Laboratoire Frottis de plaie : à suivre Rx jambe droite F/P Consilium orthopédique (Dr. X) Attitude : • Suite en orthopédie • À jeun pour possible intervention sur la nuit Laboratoire Frottis de plaie Rx jambe droite F/P Laboratoire Gaz du sang artériel = acidose métabolique compensée à 7.44 de pH Radiographie thoracique CT cérébral avec carte de perfusion et vaisseaux pré-cérébraux = Pas de lésion hémorragique, pas de lésion ischémique majeure, sténose artère carotide gauche avec plaque molle en regard Avis Neurologue = Dr. X = Charge d'ASPIRINE 250 mg avec relai PLAVIX le 22/04/19, hospitalisation aux SIC pour surveillance. Bilan IRM cérébral, ETT et complément bilan biologique durant l'hospitalisation Discussion avec femme et mari par rapport au statut réanimation : • Ok pour RCP • Ok pour IOT Avis Soins intensifs = ok pour transfert soins intensifs CAT : • Transfert SIC Laboratoire Gaz du sang artériel = acidose respiratoire hypercapnique à 7.1 ECG = Fibrillation atriale Intubation orotrachéale = induction par ETOMIDATE, ESMERON, pose d'un tube 7.5 au 23 lèvres, CORMACK 1. Radiographie thoracique = Tube orotracheale d'allure sélectif remonté au 22 lèvres. Doute sur début de foyer infectieux. Discussion projet réanimation avec famille = Épouse maximaliste, le patient aurait exprimé dans son passé l'envie de ne pas s'acharner (à reconfirmer avec la famille) Avis Soins intensifs Dr. X = ok pour transfert soins intensifs pour suite de prise en charge SOLUMEDROL 125 mg IV MAGNESIUM 2 g IV CAT : • Transfert soins intensifs Laboratoire Gazo artérielle Hémocs : à suivre Antigène urinaire : légionnelle à pister Radiothorax Aux urgences : • Inhalations Atrovent/Ventolin • 2 g Rocephin i.v. 500 mg Klacid p.o. Att : • Antibiothérapie • Aérosol • Oxygénothérapie Laboratoire Gazométrie (discrète acidose respiratoire, lactate s.p.) 2 paires d'hémocultures ECG le 30.04.2019 : ECG le 30.04.2019 : rythme sinusal régulier, pas de trouble de la repolarisation, pas de trouble de conduction. Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Remplissage vasculaire : 1000 NaCl 0.9 % + 1000 Ringer Lactate PANTOZOL 80 mg IVD puis 8 mg/h au pousse seringue électrique ACIDE TRANEXAMIQUE 1g IVD Pose d'un cathéter artériel : Dr. X, pose d'un cathéter en radial gauche 20G sans complication post-geste. Avis gastro-entérologue = Ok pour réalisation d'une OGD en urgence. ERYTHROMYCINE 300 mg IV Avis soins intensifs = ok pour transfert soins intensifs pour suite de prise en charge. CAT : • Transfert soins intensifs • Laboratoire • Gazométrie artérielle • ECG • Radiographie de thorax • Antigènes urinaires légionellose et pneumocoques en cours ATT : • Rocéphine 2g IV 1x/j et Klacid 500 mg per os 2x/j • Aérosols de Ventolin et Atrovent • Physiothérapie respiratoire Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Radiographie de thorax Aux urgences : • Manœuvre de Vasalva modifié infructueuse • Adénosine 6 mg IV en flush : mise en évidence d'un flutter auriculaire • Métoprolol 15 mg IV • Mg 1g IV Avis cardiologique (Dr. X) avec ETO pour exclusion d'un thrombus intra-auriculaire suivie d'une cardioversion électrique en fonction sous narcose complète. Surveillance aux soins intensifs après cardioversion étant donné la myopathie de Becker. Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Radiographie de thorax Avis cardiologique (Dr. X) avec ETO pour exclusion d'un thrombus intra-auriculaire suivie d'une cardioversion électrique en fonction sous narcose complète. Surveillance aux soins intensifs après cardioversion étant donné la myopathie de Becker. Laboratoire Gazométrie artérielle Radiographie thoracique : infiltrats bilatéraux DD surcharge associée. 2 paires d'hémocultures à chaud : en cours. Sédiment urinaire : urines propres. 1g de Paracétamol IV. 3 mg de Morphine IV en O.U. Séance de VNI par les physiothérapeutes. Avis soins intensifs (Dr. X) : à disposition si nécessité d'un transfert. Avis infectiologique (Dr. X) : surveillance rapprochée de la VVP (pas nécessaire de l'enlever pour l'instant) et dès que possible introduction de Céfépime 2g IV. Élargissement du spectre antibiotique par Céfépime 2g IV 2x/jour dès le 26.04.2019 (soir), relais par Tavanic dès le 30.04 jusqu'au 05.05. Laboratoire Gazométrie artérielle US de débrouillage aux urgences (Dr. X/Dr. X) : présence de liquide libre intra-abdominal. CT abdominal le 11.04.2019. Remplissage IV de 1000 ml de NaCl aux urgences. Transfusion d'un culot érythrocytaire le 11.04.2019 aux urgences. Cathéter artériel radial gauche le 11.04.2019. Avis chirurgical (Dr. X). Avis radiologique interventionnel (Dr. X). Transfert en radiologie interventionnelle pour angiographie et traitement de l'anévrysme. Hospitalisation aux soins intensifs pour surveillance. Laboratoire Gazométrie Radiographie du thorax. Lasix 40mg aux urgences et autres deux autres doses de Lasix 20mg. Pose de sonde vésicale pour bilan. Relais par Torem et adaptation du traitement. Tests de la cognition le 01.02.2019 : MMSE à 26/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 0/15. Laboratoire Gazométrie veineuse Radiographie de thorax Aux urgences : • Aérosols Atrovent 250 mcg et Ventolin 0.5 ml 2 fois • Solumedrol 50 mg IV Attitude : • Transfert en pédiatrie pour suite de prise en charge. Laboratoire Gazométrie veineuse Stix et sédiment urinaire Spot urinaire US des voies urinaires (Dr. X) Avis néphrologique (Dr. X, Dr. X) Attitude : • Hospitalisation aux soins intensifs pour suite d'investigations. • Mise en suspens des traitements néphrotoxiques, mise en suspens du Propanolol au vu de la bradycardie. Laboratoire Gazométrie ECG Radiographie thorax Lasix 40mg IV. Clexane 40mg IM. Attitude : • ETT • Hospitalisation • Suivi clinique, poids et évaluation du traitement diurétique. Laboratoire Gazométrie ECG RX Bassin. CT scan total body. Avis Ortho (Dr. X) : ostéosynthèse du cotyle à prévoir. Transfert SI pour surveillance. Second Survey à 24h. Laboratoire Gazométrie Hémocultures CT thoraco-abdominal (Dr. X) : foyer du lobe inférieur gauche avec obstruction complète de la bronche ainsi que lobe supérieur droit. Coprostase importante, pas d'iléus ni signe de souffrance. Co-amoxicilline 625mg IV. Dafalgan 1000mg IV. NaCl 0,9% 500ml IV. Attitude : Hospitalisation aux soins intensifs pour suite de prise en charge. Laboratoire Gazométrie Radiographie du thorax. Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 21.03.2019 au 02.04.2019, avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Avis nutritionnel • Test de la cognition du 23.03.2019 : MMS à 24/29, test de la montre non effectué ; GDS à 6/15 (tests écrits non complétés vu la douleur au bras droit). Atrovent et Ventolin. Lasix 20mg intraveineux aux urgences. Lasix 20mg 3x/jour intraveineux du 20.03.2019 au 25.03.2019. Torem 15mg du 26.03.2019. Laboratoire Gazométrie RX thorax RX bassin. Paracétamol 1g IV. Beloc Zok 5 mg IV. Hospitalisation, surveillance clinique. Laboratoire : Hb 145 g/l, leucocytes 16 G/l, thrombocytes 311 g/l, CRP 35 mg/l. Groupe A Rhésus positif. Sérologies du 25.04.2019 négatives : HCV, HBV, HIV. Culture ponction du liquide d'abcès du 18.04.2019 : Prevotella bivia. Laboratoire. HbA1c 6.3%. Resucrage per os avec repas. Laboratoire Hémoculture 3.4.19 : 1/4 germe mixte (anaérobe stricte et P. aeruginosa). Hémocultures (2 paires) 7.4.19 à froid : en cours. Hémocultures (2 paires) 10.4.2019 à froid : en cours. CT thoraco-abdominal. Avis infectiologique. Laboratoire Hémocultures : négatives. Frottis de plaie le 01.04.2019 : Staphylococcus aureus positif, multisensible. Radiographie thoracique. Avis téléphonique du médecin de garde oncologique au CHUV. Co-amoxicilline 2.2g IV, Ciprofloxacine 750 mg PO du 29.03 au 30.03.2019. Relais par Céfépime 2g 2x/j du 30.03 au 02.04.2019. Co-amoxicilline 1000 mg 2x/j et Ciprofloxacine 750 mg 2x/j PO du 02.04 au 07.04.2019. Suivi clinique et biologique. Mycostatine 1 ml 4x/j du 29.03 au 02.04.2019. Bain de bouche 2x/j. Laboratoire. Hémocultures : 4/4 négatives. Avis infectiologique (Dr. X) : Co-amoxicilline 2.2 g puis 1.2 g - 4x/jour du 06.04.2019 au 08.04.2019. US au niveau du port-à-cath le 07.04.2019. Avis chirurgical (Dr. X). Avis oncologique. Laboratoire Hémocultures (à froid) : à pister. IRM cérébrale (Dr. X) : pas de lésion ischémique nouvelle, IRM superposable au comparatif de mars 2019. ETT (Dr. X) : pas de déhiscence ni fuite paravalvulaire ni végétation, endocardite ne peut être formellement exclue, ad ETO seulement en cas de suspicion clinique haute. Avis (Dr. X), neurologue : retour à Meyriez en neuroréhabilitation possible ce jour. Att : avancer le prochain RDV en ophtalmologie prévu mi-mai. Laboratoire. Hémocultures à froid. US pied le 11.04.2019. Clexane prophylactique. Antibiothérapie par : • Augmentin 2.2 g IV aux urgences puis 1.2 g IV 4x/j. • Co-amoxicilline 1 g 2x/j du 14 au 19.04.2019. Laboratoire Hémocultures du 13.03.2019 : positives 4/4 à S. Bovis. Urotube du 13.03.2019 : stérile. Consilium infectiologique (Dr. X) : • Rocéphine IV 2g du 14.03 au 27.03.2019 inclus (2 semaines). • Prévoir colonoscopie pour rechercher une source de translocation. • Au vu de l'absence de bactériémie prolongée vu le tableau clinique, endocardite peu probable. Échocardiographie transthoracique le 15.03.2019. Colonoscopie le 19.03.2019 (Dr. X) : Résection de 11 polypes, dont 2 résections difficiles (valve iléo-caecale et sigmoïde). -> DAP : multiples adénomes tubulo-villeux avec dysplasie de bas grade (iléo-caecal, ascendant, transverse et descendant). Att : une nouvelle colonoscopie à 3 mois est proposée par le gastro-entérologue (à l'HFR car ASA 3). Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires légionelle et pneumocoque. Culture d'expectorations. RX thorax. CT scan thoracique. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g IV du 23 au 28.03.2019. • Co-amoxicilline 1 g per os 2x/j du 29.03 au 04.04.2019. Avis infectiologique, Dr. X : • Recherche de BK dans les expectorations.• sérologie HIV • pas de nouvelle recherche de CIVD • bilan de déglutition • consultation ORL à l'HFR Fribourg agendée pour le 15.04.2019 • couverture prophylactique par Zithromax 250 mg 3x/semaine dès le 08.04.2019. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Hémocultures. US des tissus mous. Aux urgences : Co-Amoxicilline 2.2 g i.v. Anesthésie locale 1cc Rapidocaïne. Meopa (15l). Incision paramédiane droite de 3cm, drainage, rinçage par NaCl 0.9% et mise en place d'une compresse bétadinée. Attitude : • Antibiothérapie pour 5 jours • Contrôle au secteur ambulatoire dans 24h pour retrait de la compresse bétadinée. • Antalgie standard. Laboratoire Hémocultures 07.04.2019 : en cours CT abdominal 07.04.2019 : Jéjunite non-compliquée. Avis oncologique (Dr. X) : Neupogen 30 Mio IU jusqu'à Neutrophiles >2.5 G/L Cefepime et Flagyl le 07.04.2019 Meropenem dès le 08.04.2019 Hydratation agressive Pompe de fentanyl i.v. Décès le 09.04.2019 Laboratoire Hémocultures 07.04.2019 : négative CT abdominal 07.04.2019 : jéjunite non-compliquée Avis oncologique (Dr. X) : Neupogen 30 Mio IU jusqu'à Neutrophiles >2.5 G/L Cefepime et Flagyl le 07.04.2019 Meropenem dès le 08.04.2019 Hydratation agressive Passage à des soins de confort le 08.04.2019 Pompe de fentanyl i.v. Décès le 09.04.2019 Laboratoire Hémocultures 2 paires : à suivre Urines Consilium orthopédie (Dr. X) : Hosp, pas d'op en urgence, bilan vasculaire, poursuite clindamycine et avis infectio demain. Attitude : • Hospitalisation en orthopédie pour suite de la prise en charge • Laboratoire demain • Demande angiologie faite • Demander avis infectiologie demain • Revoir traitement avec la fille Laboratoire. Hémocultures. Antigènes urinaires pour Legionelle et Pneumocoque. RX thorax. CT scan abdominal le 31.03.2019. Antibiothérapie par : • Co-amoxicilline 2,2 g iv 3x/j du 31.03 au 03.04.2019 puis 1 g per os 2x/j jusqu'au 07.04.2019 • Klacid per os 500 mg 2x/j du 31.03 au 01.04.2019. Laboratoire. Hémocultures. ECG. RX thorax. CT scan abdominal. Hydratation iv par NaCl. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv du 27 au 29.03.2019 • Flagyl 500 mg per os 3x/j du 27 au 28.03.2019. Avis chirurgical, Dr. X : pas d'indication à une intervention chirurgicale. Laboratoire Hémocultures Frottis naso-pharyngé le 20.02.2019 Radiographie thoracique le 20.02., 26.02. et 04.03.2019 Avis infectiologique (Dr. X) le 20.02.2019 Tamiflu 75 mg 2x/j du 20 au 25.02.2019 Isolement gouttelettes du 20 au 25.02.2019 Aérosol Atrovent et Ventolin Laboratoire Hémofecatest. Nexium 80 mg en bolus, puis 40 mg per os 2x/j. Ferinject le 11.04.2019. Transfusion d'un culot érythrocytaire le 12.04.2019. OGD et colonoscopie organisées en ambulatoire. Laboratoire Hydratation intraveineuse par NaCl transitoire Suivi de la créatininémie avec clairance calculée à 57 ml/min le 29.03.2019 Laboratoire Hydratation iv RL 1000 ml aux urgences, poursuite par 1000 ml par 24h Laboratoire. Hydratation iv 1 l/24 heures + stimulation à boire. Adaptation des médicaments. Bilan entré-sortie. Suivi biologique. Laboratoire Hydratation PO avec résolution le 09.04.2019 Laboratoire Hydratation Suivi biologique Laboratoire Hydratation Suivi biologique Mise en suspens momentané des traitements néphrotoxiques Laboratoire IRM cérébral le 15.04.2019 : IRM cérébrale dans les limites de la norme en dehors des stigmas de sinusopathie chronique dans le sinus maxillaire à droite. US des vaisseaux transcrâniens le 11.04.2019 (rapport oral Dr. X) : sans particularité ECG avant la sortie (car médicaments arythmiques) Avis Neurologie (Dr. X) le 08.04.2019 Solumédrol 125 mg/j dès le 09.04.19 durant 3 jours puis schéma dégressif de prednisone jusqu'au 17.04.19 Topamax à 2x50 mg/j dès le 09.04.2019 Poursuite traitement habituel (O2 + Zomig + Topamax + Vérapamil) Rendez-vous en consultation neurologique du Dr. X le 03.05.2019 Consultation de contrôle au centre des céphalées du CHUV, le patient sera convoqué Laboratoire IRM native de la colonne lombaire du 13.03.2019 (Dr. X; Dr. X) comparatif du 4 décembre 2015 : apparition d'une nouvelle hernie discale L4-L5 paramédiane gauche luxée caudalement venant comprimer la racine L5 gauche au niveau du récessus. Infiltration sous guidage CT-Scan lombaire du 14.03.2019 (Dr. X; Dr. X) : repérage du point de ponction à l'aide d'une grille et marquage à la peau. Désinfection cutanée et mise en place d'un champ stérile. Anesthésie locale par 10 cc de Rapidocaïne 1%. Ponction foraminale L4-L5 gauche à l'aide d'une aiguille spinale 22 G. Après avoir vérifié le bon positionnement de l'aiguille par injection de Iopamiro 300, injection d'une ampoule de 1 ml Fortecortin et de 2 ml de Ropivacaïne. Laboratoire Majoration de l'Oxycontin à 4x 10 mg/j (au lieu de 10-5-10-5) Majoration de l'Oxynorm en 1ère réserve Introduction d'Effentora en 2ème réserve Physiothérapie et mobilisation Attitude : • poursuite du suivi en ambulatoire chez Dr. X et Dr. X Laboratoire Mg iv 2 g sur 20 min, puis 10 meq/h de KPhos dans 500 ml de NaCl 0.9% ATT : supplémentation per os Laboratoire. Morphine 16 mg i.v Dormicum 1 mg Uro-CT (transmission orale) : pas de dilatation pyélo-calicielle, pas de lithiase rénale visible Avis chirurgie (Dr. X) : pas de pathologie chirurgicale, contrôle au besoin. Attitude : • Retour à domicile avec antalgie • Consultation chez le médecin traitant au besoin • Filtrer les urines Les examens effectués aux urgences sont expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. N-acétylcystéine iv continu du 08 au 12.04.2019. Avis service d'hépatologie CHUV (Dr. X) le 10.04.2019 et 11.04.2019 : • suivi bilan hépatique et crase 1x/j • poursuite du protocole N-acétylcystéine jusqu'à amélioration du bilan hépatique • US hépatique à la recherche de signe ischémique, recherche hépatites B, C, E et PCR hépatite E. US hépatique le 11.04.2019. Sérologies HBV et HCV nég. Contrôle des paramètres hépatiques chez le médecin traitant en ambulatoire à 1 mois. Laboratoire NIHSS 12 points ECG CT cérébral Time is Brain 27.03.2019 : Progression en taille de la masse en regard du confluent ventriculaire droit, avec mise en évidence en périphérie de cette lésion d'une plage spontanément hyperdense de 5 mm, posant le diagnostic différentiel entre un saignement et une composante spontanément dense à la lésion tumorale. La deuxième lésion située en marge de la zone de résection frontale gauche est stable par rapport au comparatif. Avis neurologique (Dr. X /Dr. X) • Suspicion d'atteinte corticale pariétale droite, compatible avec la lésion tumorale et l'oedème péri-lésionnel, par effet compressif ou irritatif avec phénomène de Todd secondaire • Reprise traitement de Keppra 2x750 mg • Pas d'EEG ou d'IRM actuellement • Majoration de Dexaméthasone à 12 mg puis schéma dégressif progressif Amélioration clinique avec récupération de l'hémisyndrome Laboratoire: NT-ProBNP > 2200 ECG Diurèse forcée avec Lasix ivd Liquémine thérapeutique le 11.04.2019 Xarelto 20 mg po 1x/j dès le 11.04.2019 pendant 1 mois Torem 10 mg po 1x/j Aldactone 12,5 mg po 1x/j Lisinopril 5 mg po 1x/j Beloc zok en pause. Évaluer reprise selon fréquence cible 60-70 bpm. Amiodarone 150 mg iv le 11.04.2019 Cordarone 200 mg 3x/j du 11 au 20.04.2019, puis 200 mg 1x/j pour une durée totale de 3 mois ETO le 11.04.2019 : Dilatation du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 20 %. Oreillette gauche modérément dilatée. Dilatation modérée du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit très altérée. Absence de thrombus intracardiaque. Cardioversion électrique le 11.04.2019 : retour en rythme sinusal suite à l'administration d'un choc électrique (120 Joules) Coronarographie du 12.04.2019 : normale Suivi : • suivi électrolytes (Na, K) • contrôle ECG dans 1 semaine Laboratoire Osmolalité dans la norme Laboratoire. PCR multiplex selles : négative. ECG du 08.04.2019 : rythme sinusal régulier à 50/min, PR à 200 ms, QRS dans la norme avec un axe à 100°, QTc à 480 ms, ondes T avec amplitudes réduites, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'onde Q pathologique. RX thorax du 09.04.2019 : par rapport au 01.03.2018, on retrouve une cardiomégalie importante avec une dilatation du médiastin sur cette radiographie effectuée en position couchée et en obliquité droite. Sclérose et déroulement de l'aorte thoracique, connus et inchangés. Augmentation de la trame interstitielle, probablement en rapport avec une insuffisance cardiaque décompensée. Emoussement des sinus costo-diaphragmatiques pouvant faire évoquer un épanchement pleural modéré dans ce contexte. Pas de foyer pneumonique visible. US abdominal du 11.04.2019 : ascite prédominant au niveau périhépatique. Foie sans lésion focale décelable. Asymétrie de taille des reins en défaveur de la gauche avec un rein gauche de taille à la limite inférieure de la norme. Hyperéchogénéicité du parenchyme rénal dans le contexte de l'insuffisance rénale connue. Kystes corticaux des deux côtés. Une volumineuse formation kystique au contact du pôle inférieur du rein droit ouvrant le DD entre un volumineux kyste polaire inférieur et une masse annexielle polykystique. Laboratoire. Phoscap caps 1-1-1 pendant 3 jours. Contrôle chez médecin traitant à 4 jours. Laboratoire. Photos insérées dans Synedra. Aux urgences : Clindamycine 600 mg i.v. Retour à domicile avec Clindamycine 300 mg 3x/j pendant 5 jours. Contrôle clinique en F34 à 48h. Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Laboratoire Physiothérapie Laboratoire Physiothérapie et ergothérapie. Anticoagulation prophylactique par clexane 40 mg s.c. jusqu'au 24.03.2019. Adaptation de l'antalgie. Contrôle radiologique de la cheville gauche le 25.03.2019 : pas de déplacement secondaire des fractures. Consultation orthopédique à l'HFR Fribourg le 25.03.2019 : plâtre et charge partielle encore 2 semaines. Contrôle radiologique et consultation orthopédique le 08.04.2019 : la charge progressive sous protection d'une bottine plâtrée fendue sous guidance physiothérapie. Après 2 semaines (24.04.2019) une RX f/p en charge, hors plâtre. Physiothérapie pour des exercices de mobilisation. Laboratoire Physiothérapie Suivi clinique Laboratoire Ponction lombaire le 25.04.2019 IRM de la colonne cervicale et dorsale native et injectée du 26.04.2019 Avis neurologique (Dr. X/Dr. X) Avis ophtalmologique (Dr. X) 26.04.2019 Avis psychiatrique (Dr. X) 25.04.2019 Cure de solumedrol 1 g du 27.04. au 29.04.19 y compris avec protection gastrique Laboratoire Poursuite Recormon Laboratoire. Primperan 10 mg iv. Prednisone 80 mg 1x/jour du 13 au 19.04.2019. Contrôle des glycémies. Laboratoire. Primpéran 10 mg paracétamol 1000 mg Voltarène 75 mg iv Nexium 40 mg Avis de Dr. X, médecine interne CT cérébral : cfr ci-dessous avis neurologue de garde Dr. X : • Clopidogrel 300 mg en ordre unique aux urgences • Aspirine 100 mg, Clopidogrel 75 mg, Pantozol 40 mg dès le 25.03.2019 Transfert en ambulance aux soins intensifs de l'HFR Fribourg hôpital cantonal. Laboratoire Proposition de test de déglutition par les physiothérapeutes, évaluation d'un transit barité Évaluation de la marche Évaluation par les diétéciens Laboratoire Radio épaule droite et gauche Avis orthopédique (Dr. X) : • immobilisation dans gilet ortho • Hospitalisation en orthopédie pour prise en charge chirurgicale Laboratoire Radiographie avant-bras droit, coude droit, poignet droit OPG : pas de fracture de dents ou de la mâchoire visualisée Avis orthopédique (Dr. X) Hospitalisation en orthopédie A jeûn Antalgie Laboratoire Radiographie cheville droite Avis orthopédique (Dr. X) : • Réduction fermée et mise en place de plâtre aux urgences sous MEOPA et Fentanyl • Radiographie de contrôle • Scanner pour la planification préopératoire • Détuméfaction, lit strict jusqu'à ostéosynthèse définitive • Traumanase et Clexane Hospitalisation en orthopédie Laboratoire Radiographie de doigt US doigts , le 21.04.2019 : Pas de collection visualisée, pas d'inflammation des tendons, légère inflammation des tissus mous Avis Orthopédie (Dr. X) • Débridement au bloc opératoire Hospitalisation en orthopédie. Laboratoire Radiographie de thorax Attitude : • traitement ambulatoire expliqué dans quelles conditions il faudra rapidement re-consulter aux urgences. • antibiothérapie, Prednisone et Fluimucil • suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire Radiographie du genou du 29.04.2019 Avis orthopédique (Dr. X, Dr. X) Antalgie pallier 3 Attitude : • hospitalisation en orthopédie pour opération Laboratoire Radiographie du membre inférieur gauche US ciblé membre inférieur gauche : pas de collection Hémocultures le 09.04.2019 CT genou et jambe gauche le 09.04.2019 Avis ortho les 09.04.2019 (Dr. X) et 11.04.2019 (Dr. X) Co-Amoxicilline 2.2 g IV du 09.04.2019 au 13.04.2019 Relais avec Ciproxine 750 mg 2x/j et Clindamycine 600 mg 3x/j du 13.04 au 19.04.2019 Consultation angiologique à prévoir en ambulatoire Laboratoire. Radiographie du pied droit. Avis orthopédique (Dr. X). US du membre inférieur droit (Dr. X) : pas de collection, pas de phlegmon des tendons. infiltration des tissus sous-cutanés compatible avec une dermo-hypodermite. Attitude : • Retour à domicile avec poursuite de l'antibiothérapie de Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour. • Contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 14.04.2019. • Expliqué à Mr. Y dans quelles situations il faudra re-consulter avant. Laboratoire Radiographie du thorax du 18.04.2019 CT abdominal le 25.03.2019 ERCP le 26.03.2019 (Dr. X) : échec de cathétérisation du cholédoque Cholangio IRM le 29.03.2019 CT abdominal le 10.04.2019 ERCP avec aspiration à l'aiguille fine transgastrique et transduodénale 03.04.2019 (Dr. X) avec : • pose de stent métallique en raison d'une sténose du cholédoque pré-papillaire Pathologie (Länggasse Z2019.1671) Discussion au colloque oncologique multidisciplinaire le 10.04.2019 Pose de port à cath le 17.04.2019 Chimiothérapie Gemzar le 12.04.2019 et 18.04.2019 Attitude : • Poursuite chimiothérapie en ambulatoire • Suivi par Professeur X Laboratoire Radiographie du thorax, le 19.04.2019 Hospitalisation en raison de soins impossible à domicile • Discussion avec famille pour instaurer soins à domicile Laboratoire Radiographie du thorax, le 23.04.2019 ECG, le 23.04.2019 Interrogation du PM (Dr. X) Avis cardiologique (Dr. X/Dr. X) : pas de coronarographie au vu de l'âge de Mr. Y, prise en charge médicamenteuse Amiodarone 300 mg IV Introduction de Dancor, Amiodarone Traitement diurétique IV Hospitalisation Laboratoire Radiographie du thorax, le 26.04.2019 Hospitalisation Physiothérapie Laboratoire. Radiographie genou droit : pas de fracture ni de descellement de prothèse. CT cérébro-cervical : pas de saignement intracrânien, pas de fracture cervicale, présence d'une hernie discale avec protrusion du disque en C6-C7. Avis orthopédique (Dr. X) : hématome de la bourse infrapatellaire droite. Surveillance neurologique aux urgences. Retour au domicile le 26.04.2019. Laboratoire Radiographie hanche, bassin, cuisse droites le 28.03.19 : fracture d'avulsion du petit trochanter droit Antalgie par Prégabaline, Novalgine, Oxycontin et Oxynorm Physiothérapie Laboratoire. Radiographie thoracique. ECG. Retour à domicile avec antalgie et réassurance. Laboratoire.Radiographie thorax F/P. CT abdominal en ambulatoire avec contrôle en F34 après l'examen le 04.04.2019. Majoration du traitement. Laboratoire. Radiographie thorax : fracture. AUX URG : Co Amoxicilline 2.2 g IV. Co Amoxicilline 1.2 g PO 2x/j pour 5 jours. Contrôle dans 3-5 jours, avant si péjoration. Laboratoire Radiographies de la hanche et du bassin : pas de fracture Avis orthopédique (Dr. X) CT-scanner bassin et hanches (Dr. X) : pas de fracture, pas d'hématome, pas d'épanchement, importante coxarthrose Attitude : • RAD avec optimisation du traitement antalgique, béquilles et décharge • contrôle en orthopédie avec le team hanche à 7 jours avec évaluation d'une IRM de la hanche en cas de persistance des douleurs • expliqué au patient les red-flags (surtout fièvre et signes inflammatoires) Laboratoire Radiographies hanche et bassin. Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X) CT bassin (Transmission orale, Dr. X) Attitude : • Charge 15 kg avec des cannes • Antalgie au besoin • Contrôle clinico-radiologique à semaines 1-2-3-6 en orthopédie urgences. Le patient sera convoqué. Explications données au patient par le médecin. Laboratoire. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. RX thorax. Traitement bronchodilatateur. Oxygénothérapie. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 14 au 16.04.2019 • co-amoxicilline 1 g per os 2x/j du 17 au 20.04.2019. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire Recherche de C. difficile dans les selles le 08.04.2019 : absent Hydratation per os Suivi clinique Laboratoire Recherche de pouls MID avec doppler : pouls pédieux dorsal droit non trouvé, pouls tibial post droit bonne intensité US ciblé des membres inférieurs (Dr. X/ Dr. X) : Visualisation d'un thrombus en veine fémorale droite, avec veine incompressible. Veine poplitée droite non visualisable en raison de l'oedème proéminent. Veines fémorale et poplitée du MIG compressibles sans signe d'obstruction. Proposition : au vu du risque hémorragique, nous proposons une hospitalisation pour monitoring de l'anticoagulation par héparine iv et surveillance clinique. Selon évolution, réévaluer l'indication à une chirurgie de déviation pour meilleur contrôle des hématochézies. Att : • Thérapie anticoagulante par Héparine iv 25'000 U/24h cible anti-Xa 0.3-0.5 • Angio-CT avec temps veineux le 23.04.2019 • Suivi des diamètres de la cuisse et mollet à l'étage • Surveillance de l'extériorisation et contrôle Hb si nécessaire • Avis angiologique demandé à pister le 23.04.2019 Laboratoire Recherche de sang occulte dans les selles négatives. Transfusion d'1 CE le 25.04.19 (patient cardiopathie, projet de réhabilitation) Laboratoire. Retour à domicile avec poursuite du traitement par Buscopan et Iberogast. Suite de prise en charge chez médecin traitant +/- imagerie, colonoscopie si péjoration ou persistance des symptômes. Laboratoire. Retour à domicile avec réassurance et poursuite des investigations en ambulatoire. Laboratoire. Retour à domicile avec suite de prise en charge chez le médecin traitant. Critères de reconsultation expliqués. Laboratoire. Retour à domicile. Antalgie. Convocation le 25/04/19 pour demande de consilium ORL pour suite de prise en charge. Laboratoire. Rocéphine 1 dose iv puis Ciprofloxacine PO. Consignes de surveillance. Laboratoire Rx bassin + hanche droite : • fracture acétabulaire et de l'ischion droit non déplacées CT bassin : • fractures multiples non déplacées Avis ortho (Dr. X) : • Lit stricte. clexane. • pas de prise en charge possible ces prochaines 24h Sonde vésicale Att : • Lit stricte • Clexane 40 mg 1x/j • Prise en charge opératoire ces prochains jours Laboratoire Rx du thorax Gazométrie artérielle 2x2 hémocultures à chaud Antigènes urinaires prélevés Tavanic 500 mg p.o. aux urgences Hospitalisation en médecine Laboratoire Rx jambe/genou droite : • fracture péri prothétique du fémur distal CT scan genou droit (Dr. X) Avis ortho (Dr. X) : • prise en charge opératoire après arrêt de l'ACO Sonde vésicale Att : • Mise en suspens du Xarelto • Antalgie et immobilisation du MID • Prise en charge opératoire Laboratoire Rx thorax le 15.03.2019 Céfépime 2 g 2x/j du 15 - 29.03.2019 Laboratoire. RX thorax. CT cervico-thoracique le 19.03.2019. Avis du chirurgien thoracique à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. 22.03.2019, Dr. X : excision d'une adénopathie cervicale. Histologie de la biopsie ganglionnaire. Avis Dr. X, oncologue : • Next Generation Sequencing chez Promed demandé • IRM cérébrale prévue le 04.04.2019 à 11h45 à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal • PET-CT prévu le 04.04.2019 à 07h45 à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal • consultation auprès de Dr. X le 15.04.2019 à 15h. Laboratoire. Rx thorax. Retour à domicile. Réassurance. Consultation chez le médecin traitant pour contrôle clinique et biologique le 23.04.2019. Reconsulte les urgences si apparition de nouveaux symptômes. Laboratoire Rx thx Co-amoxicilline 2.2 g Att : • hosp préchirurgical • réévaluer le traitement habituel Laboratoires : cf. annexes. ECG le 03.04.2019 : rythme sinusal régulier normocarde à 87/min, PQ 190 ms, QRS fins à 80 ms, axe normal à 0°, transition de l'onde R en V4, pas d'onde Q significative, pas de trouble de la repolarisation, QTc 450 ms. RX du thorax le 03.04.2019 : légère cardiomégalie avec signe de surcharge. Opacité alvéolaire en projection de l'hémiplage pulmonaire droite, correspondant à un foyer. Pas d'épanchement pleural. Calcification de la crosse aortique et élongation de la paroi thoracique. Pas de changement significatif du volume osseux exploré, avec notamment séquelles de fractures costales à droite. CT thoracique le 15.04.2019 : atélectases en bande dans les deux poumons associés à la présence d'infiltrats modérés dans le segment apical du lobe supérieur droit et le lobe moyen, devant correspondre au status post pneumonie. Épanchement pleural droit de faible abondance, sans argument pour un empyème, sous réserve de l'absence d'injection de produit de contraste. Laboratoires : cf. annexes. ECG le 15.03.2019 : RSR 90/min, axe QRS 0°, pas BAV, ni de tr. de la repolarisation, QTc 450 ms. CT abdominal injecté le 15.03.2019 : pas d'iléus mis en évidence. Apparition d'un remaniement tissulaire péri-aortique abdominal infra-rénal associé qui semble correspondre à des petites adénopathies infiltrées (DD : début de fibrose rétropéritonéale ? aortite ? lymphome ?). Mise en évidence de thrombus hémi-circonférentiel nouveau dans l'aorte thoracique descendante et dans l'aorte abdominale, non obstructif. Les axes à destination viscérale sont perméables et il n'y a pas de signe d'ischémie des organes abdominaux. Impression du ligament arqué avec subocclusion de la partie proximale du tronc cœliaque et dilatation post-sténotique inchangée. Probable globe vésical avec hydronéphrose bilatérale et dilatation des uretères ddc inchangées. CT thoracique injecté le 15.03.2019 : thrombus de l'aorte thoracique descendante, nouveau par rapport au comparatif de février, sans image de dissection associée. Disparition de la dilatation pyélo-calicielle bilatérale probablement en rapport avec un status post-sondage vésical et levée du globe vésical. Le reste de l'examen est inchangé. RX genou droit le 21.03.2019 : comparatif du 25.01.2017. On retrouve un status post-ostéosynthèse du tibia proximal avec matériel métallique inchangé. Pas de changement du remaniement de l'os trabéculaire du tibia proximal. Gonarthrose globalement superposable avec chondrocalcinose. Important épanchement articulaire. RX du thorax le 25.03.2019 : comparatif du 5 février 2019. Silhouette cardiomédiastinale dans la norme. PAC sous-clavier droit inchangé. On retrouve des épaississements bronchiques diffus discrètement plus marqués avec des infiltrats péri-broncho-vasculaires aux bases parlant pour une bronchite. On retrouve l'opacité pulmonaire apicale droite en surprojection de l'arc antérieur de la 2ème côte correspondant à une lésion connue du parenchyme pulmonaire. Pas d'épanchement pleural. Reste du status superposable.Laboratoires : cf. annexes. CT thoraco-abdominal et de la jambe droite natif du 15.03.2019 • foyers de pneumonie bilatéraux, avec un épanchement pleural droit et une atélectasie subtotale du LM et du LID. • dermohypodermite du membre inférieur droit, sans évidente collection ou emphysème au sein des parties molles étudiées. CT thoraco-abdominal natif et injecté du 19.03.2019, drainage sous CT du 19.03.2019 Empyème pleural droit cloisonné et mise en place d'un drain Resolve 12F, sans complication. Condensation pulmonaire bibasale avec atélectasie partielle du LID possiblement surinfectée et foyer du LIG. Infiltration diffuse du parenchyme pulmonaire, aspécifique (DD : OAP, ARDS, d'origine infectieuse ?). Cirrhose hépatique avec ascite en quantité relativement importante. CT thoracique injecté du 23.03.2019 Examen réalisé après injection i.v. de 80 ml de Xenetix 350. Nette régression de l'épanchement pleural droit en rapport avec le status post drainage, l'extrémité du drain se situant au sein du récessus costo-diaphragmatique postérieur en regard du segment postéro-basal du lobe inférieur droit. Persistance d'un épanchement pleural droit, d'aspect cloisonné, à paroi rehaussée et contenant des septa, à hauteur du récessus costo-diaphragmatique antérieur, du récessus costo-diaphragmatique postérieur ainsi que médialement à hauteur du médiastin supérieur. Nette amélioration de la ventilation du lobe inférieur droit avec persistance de condensations résiduelles et d'infiltrats en verre dépoli dans la pyramide basale. Régression des infiltrats du lobe supérieur droit. Relative stabilité des infiltrats dans le lobe moyen. Régression des infiltrats et des condensations dans le poumon gauche et disparition quasi complète de l'épanchement pleural gauche. Sur les coupes passant par l'abdomen supérieur, on retrouve un foie de configuration cirrhotique, au contour bosselé. Nette régression de l'ascite. Sonde naso-gastrique se terminant en surprojection de l'antre gastrique. ENMG le 28.03.2019 : neurographie : médian moteur D : normal. Médian sensible D : normal. Stimulation répétitive. Pas de diminution d'amplitude. Cubital moteur D : normal. Cubital sensible D : normal. Myographie : jambier antérieur D : normal. Triceps D : normal. Conclusion : EMG normal. Il n'existe particulièrement pas de signe d'une polyneuropathie digne d'une myopathie. Pas de signe non plus d'un trouble de la transmission neuromusculaire. CT thoracique injecté du 01.04.2019 Par rapport à l'examen du 23 mars 2019 : • majoration en taille des empyèmes pleuraux à droite ; • épanchement pleural gauche de petite quantité ; • majoration en taille des infiltrats pulmonaires pan-lobaires, avec images en crazy paving, d'origine probablement infectieuse ; • majoration en taille et en nombre des adénopathies médiastinales, hilaires et axillaires ; • foie cirrhotique, avec majoration du liquide libre péri-hépatique et apparition d'une petite quantité de liquide libre péri-splénique. Drainage pleural sous CT du 02.04.2019 Mise en place d'un drain ReSolve 8F dans la collection pleurale connue, par abord trans-costal latéral droit, sans complication immédiate. Drainage sous CT du 04.04.2019 Mise en place d'un drain ReSolve 8F dans la collection pleurale connue, par abord trans-costal postéro-latéral droit, sans complication immédiate. Laboratoires : cf. annexes. CT thoraco-abdominal le 01.04.2019 : adénopathies axillaires gauche avec un épaississement cortical, jusqu'à preuve du contraire suspect. Adénopathie de 13 mm inguinale gauche et centimétrique à droite. Le reste de l'examen est normal, correspondant à l'âge et la constitution de la patiente. Laboratoires : cf. annexes. CT-scan cérébral le 17.04.2019 : infarctus chroniques constitués des lésions ischémiques cérébelleuses gauches connues. Discrète asymétrie du MTT en défaveur de la partie médiale du lobe occipital gauche pouvant être en rapport avec l'ancien AVC occipital gauche connu versus une nouvelle lésion ischémique. Il n'est pas possible d'exclure un nouvel AVC cérébelleux gauche et qu'une IRM cérébrale est recommandée. Absence d'hémorragie. Stabilité de l'occlusion de l'artère vertébrale gauche en V2-V3 avec reprise à rétro de la portion V4. IRM cérébrale le 17.04.2019 : AVC ischémique aigu cortical punctiforme de la région pariéto-occipitale gauche (territoire de l'artère cérébrale postérieure gauche) ainsi que centimétrique du vermis cérébelleux et de la partie paramédiane du lobe cérébelleux gauche (territoire de la PICA gauche). AVC ischémique subaigu de la partie inférieure de l'uvule du vermis cérébelleux gauche (territoire de la PICA gauche). Pas de transformation hémorragique. Examen neurosonologique le 23.04.2019 : occlusion V2 distale, flux antérograde au niveau V3-V4, pas de flux rétrograde. Laboratoires : cf. annexes. CT-scan cérébral selon le protocole Time is brain du 14.04.2019 : pas d'hémorragie, pas de lésion ischémique constituée. Pas de sténose significative des axes pré-cérébraux. Les cartographies de perfusion témoignent d'une zone de pénombre ischémique dans le territoire de l'AICA droite. Bonne perméabilité du polygone de Willis et absence de sténose significative des vaisseaux pré-cérébraux ou de signe de dissection. Atrophie cérébrale. CT cérébral natif du 15.04.2019 (24h post-lyse) Comparatif du 14.04.2019. Absence de saignement intracrânien. Examen superposable au comparatif, sans lésion franche ischémique constituée décelée. IRM du neurocrâne native et injectée du 16.04.2019 Sous réserve d'artefacts de mouvement, pas de signe de lésion ischémique. Pas de saignement intra-crânien. Echocardiographie transthoracique le 15.04.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Aorte non dilatée, avec des calcifications peu importantes. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Surface aortique à 2,48 cm² (1,29 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Épaississement léger des 2 feuillets mitraux. Rétrécissement mitral lâche. Gradient moyen OG-VG à 3 mmHg. Surface mitrale estimée à 1,99 cm² par ITV et à 1,49 cm² par PHT. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche modérément dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 28 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoires : cf. annexes. ECG du 23.04.2019 : rythme sinusal 83 bpm, axe droit, présence d'extrasystoles ventriculaires, QRS fins, pas de transition de l'onde R. Radiographie thorax face/profil du 23.04.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Cul de sac costo-diaphragmatique à D coupé. Pas d'épanchement pleural à G. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. Laboratoires : cf. annexes. ECG du 27.03.2019 : rythme sinusal régulier normocarde à 67 bpm, PR 160 ms, QRS fin normoaxé à 43°, pas d'ondes Q pathologiques, ST isoélectrique, progression de l'onde R avec une transition en V4, QTc 415 ms. Laboratoires : cf. annexes. ECG le 15.04.2019 : RSR avec FC à 63/min, QRS fins, pas de sus-/sous-décalage du segment ST, pas de trouble de la repolarisation. Echocardiographie transthoracique le 13.04.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. L'aorte est modérément calcifiée. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Valve mitrale normale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche modérément dilatée. Ventricule droit normal. Oreillette droite modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. Absence d'HTAP (PAPs à 30 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique.Coronarographie le 13.04.2019 : l'examen invasif en urgence démontre une subocclusion d'une petite artère bissectrice et une sténose significative de l'IVA moyenne comme corrélat pour le SCA. Après dilatation/recanalisation et implantation de deux stents actifs, le résultat est bon. La fonction systolique est normale. Laboratoires : cf. annexes. Gastroscopie le 11.04.2019 : béance du cardia sans hernie hiatale ni reflux gastro-oesophagien. Pas de source de saignement, ni de sang frais ou ancien. Coloscopie le 11.04.2019 : petite angiodysplasie caecale traitée par coagulation au plasma Argon. 2 petits polypes de moins de 1 cm qui sont laissés en place au vu de l'âge. Hémorroïdes stade I. Multiples télangiectasies rectales distales, peut-être suite à la radiothérapie du cancer de la prostate. Donner le minimum de l'anticoagulation ou antiagrégation nécessaire. Il faut observer le cours spontané. Laboratoires : cf. annexes. RX du thorax le 05.04.2019 : comparatif du 17.03.2019. On retrouve un status post-mise en place d'un pacemaker bicaméral pré-pectoral gauche avec ses sondes connectées et en surprojection des cavités cardiaques. Calcifications du bouton aortique. Discret émoussement du sinus costo-diaphragmatique gauche en rapport avec un minime épanchement pleural. Le reste du parenchyme pulmonaire ne présente pas d'opacité suspecte de foyer infectieux. Spondylose dorsale. Parties molles extra-thoraciques sp. CT cérébral natif le 07.04.2019 : absence de lésion traumatique visualisée. Atrophie cérébrale cortico-sous-corticale globale. Sinusite chronique maxillaire gauche de possible origine fongique. ETT le 10.04.2019 (Dr. X) : ventricule gauche non dilaté avec une akinésie de la paroi apicale, de la paroi septale antérieure et du septum moyen, une hypokinésie sévère de la paroi inférieure moyenne et de la paroi antérieure moyenne et une hypokinésie modérée du septum basal et de la paroi postérieure moyenne. FEVG à 40 % (méthode de Simpson). Bourrelet septal sous-aortique. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Surface aortique par planimétrie à 1.83 cm² (1.18 cm²/m²). Pas d'insuffisance aortique. Épaississement considérable des 2 feuillets mitraux. Gradient moyen OG-VG à 5 mmHg. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4). Élévation franche des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche modérément dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Laboratoires : cf. annexes. RX du thorax le 07.04.2019 : examen réalisé en position couchée. Les structures cardio-médiastinales se présentent normalement. Calcifications du bouton aortique. Pas d'épanchement pleural. Le parenchyme pulmonaire ne présente pas d'opacité suspecte de foyer infectieux. Cadre osseux et parties molles extra-thoraciques sp. Laboratoires : cf. copies annexées. ECG du 04.04.2019 : rythme sinusal régulier à 95 battements par minute, espace PR de 152 ms, QRS fins, normoaxé, QTc de 423 ms. RX thorax face profil du 04.04.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques ainsi qu'aplatissement des coupoles diaphragmatiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Scoliose lombaire dextro-convexe. Ancienne fracture de l'arc latéral de la 10ème côte droite. Laboratoires : cf. copies annexées. Laboratoires : cf. copies annexées. Laboratoires : cf. copies annexées. Laboratoires : cf. copies annexées. Laboratoires : cf. copies annexées. Laboratoires : cf. copies annexées. Laboratoires : cf. copies annexées. Laboratoires : cf. copies annexées. Laboratoires : cf. copies annexées. Laboratoires : cf. copies annexées. - Analyse bactériologique et C. difficile des selles : négatives. ECG du 15.03.2019 : rythme sinusal irrégulier à 99 battements par minute, axe dans la norme, intervalle PR à 112 ms, QRS fins à 75 ms, QT et QTc dans la norme, progression de l'onde R en V4, T négatives de V1 à V3. ECG superposable à celui du 10.03.2019. Évaluation géronto-psychiatrique, Dr. X du 20.03.2019 : cf. rapport annexé. Réévaluation géronto-psychiatrique, Dr. X du 27.03.2019 : cf. rapport annexé. Test de la cognition du 20.03.2019 : MMS à 23/30, test de la montre à 2/7, GDS à 12/15. Laboratoires : cf. copies annexées. - Hémocultures : négatives. RX thorax de face du 31.03.2019 : cliché effectué en position couchée. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. Probable foyer de condensation de l'hémichamp pulmonaire supérieur droit. Troubles ventilatoires en bande des deux bases pulmonaires. Déviation du médiastin vers le côté droit. CT cérébral natif le 02.04.2019 : pas de lésion post-traumatique. Atrophie cortico-sous-corticale en lien avec l'âge de la patiente. Laboratoires : cf. copies annexées. Hémofecatest : 1/3 positif. Laboratoires : cf. copies annexées. MMSE : 22/27. GDS : 7/15. TUG : 45.4 secondes. NRS : 2/7. Laboratoires : cf. copies annexées. Scintigraphie osseuse du 22.03.2019 : mise en évidence d'hypercaptations costales bilatérales ainsi que sacro-iliaques évoquant premièrement des fractures. Je ne peux exclure totalement que ces lésions aient eu lieu sur de l'os pathologique, mais cette hypothèse me semble moins probable. Absence d'image scintigraphique nette en faveur de métastase. Aspect dégénératif très avancé de la colonne vertébrale et des grosses articulaires, mais spécialement l'épaule droite, le poignet et le genou à gauche. Absence de signe de descellement de la PTH et de la PTG droite. Tests de la cognition le 15.03.2019 : MMSE à 29/30, test de la montre à 7/7 ; GDS à 0/15. Test de Schellong du 19.03.2019 : négatif. Test de Schellong du 20.03.2019 : négatif. Laboratoires : cf. copies annexées. - Sédiment urinaire : cf. copies annexées. ECG du 21.03.2019 : rythme sinusal régulier normocarde à 82 battements par minute, PR à 200 ms, QRS larges avec un bloc de branche droit complet connu, pas d'onde Q pathologiques, ST-isoélectrique, progression de l'onde R avec une transition en V3, QTc à 494 ms. RX thorax du 21.03.2019 : cardiomégalie avec un infiltrat interstitiel bilatéral diffus, ainsi que des épaississements bronchiques, et des épanchements pleuraux des deux côtés, évoquant une insuffisance cardiaque. Bilan angiologique du 01.04.2019, Dr. X : duplex artério-veineux membres inférieurs. Pas de thrombose veineuse profonde ni superficielle mise en évidence à la cuisse et aux jambes des deux côtés (étage jambier difficilement examinable vu la patiente très peu mobile et examinée en position couchée). Les artères pédieuses bilatérales et tibiales postérieures gauches ont un flux monophasique avec un excellent temps d'accélération permettant le port d'une contention élastique dans le but de diminuer les oedèmes chroniques que présente la patiente. Tests de la cognition le 08.04.2019 : MMSE à 24/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 4/15. Laboratoires : cf. copies annexées. - Sédiment urinaire : leucocytes à 21-40 G/l, érythrocytes à 6-10 T/l, nitrites positifs. Cf. copies annexées.ECG du 02.04.2019 : rythme sinusal régulier à 89 battements par minute, intervalle PR normal, QRS fins normo-axé, QTc de 427 ms, pas de trouble nouveau de la repolarisation. CT abdominal injecté le 03.04.2019 : multiples lésions métastatiques au niveau des bases pulmonaires et au niveau abdominal. Hypertrophie endométriale avec séquelles de tumeur, une récidive tumorale ne peut être exclue ce jour. Multiples ganglions mésentériques et rétropéritonéaux. Tassements d'allure ancienne de L1 du plateau supérieur. Laboratoires : cf copies annexées. • Spot et sédiment urinaires : cf copies annexées. Laboratoires : cf copies annexées. • Uricultures : cf copies annexées. ECG du 01.04.2019 : rythme sinusal régulier à 53 battements par minute. PR à 240 ms, régulier (bloc atrioventriculaire du 1er degré). QRS à 120 ms, axe à -61° (hémibloc antérieur gauche), transition de l'onde R en V3. Onde Q en aVR et V1. Absence de trouble de la repolarisation. QTc à 297 ms. RX thorax couché 02.04.2019 : cardiomégalie globale majorée par la position couchée, associée à une accentuation discrète diffuse de l'interstice ne permettant pas d'exclure en position assise, une discrète composante de surcharge. Hypoventilation bi-basale discrètement prédominante à droite. Epanchement pleural de faible abondance non exclu. Sclérose aortique et trachéo-bronchique. Tests de la cognition du 02.04.2019 : MMS à 18/27, test de la montre impossible (malvoyance et arthrose des mains), GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. • Urotube : non contributif. • Hémocultures : négatives. RX thorax du 23.03.2019 : par rapport au comparatif du 07.03.2019, nous retrouvons un infiltrat interstitiel bilatéral diffus, compatible avec une fibrose pulmonaire, d'aspect superposable compte tenu de la différence de position, sans évidence de foyer surajouté. Laboratoires : cf copies annexées. CT scan thoracique du 13.03.2019 : par rapport au comparatif du 05.03.2019, nous constatons encore une péjoration de l'infiltrat alvéolaire du lobe supérieur droit, compatible avec une pneumonie, mais pour lequel une néoplasie n'est pas formellement exclue. RX thorax du 18.03.2019 : persistance de la visibilité d'un foyer de condensation parcouru par des bronchogrammes aériques lobaires supérieurs droits bien limités par la scissure. Epaississement de la trame bronchovasculaire par ailleurs au niveau de l'hémichamp pulmonaire inférieur droit et au niveau du champ pulmonaire gauche. Aorte déroulée et calcifiée. Emoussement du cul-de-sac costo-diaphragmatique à droite. RX thorax du 02.04.2019 : nous trouvons, le foyer de condensation persistante en projection du champ supérieur droit. Poumons emphysémateux. Aorte déroulée et calcifiée. Pas d'anomalie à type de condensation visible sur les autres champs pulmonaires. Laboratoires : cf copies annexées. CT thoracique injecté le 26.03.2019 : pas d'embolie pulmonaire. Emphysème pulmonaire modéré. Multiples nodules pulmonaires infracentimétriques solides et semi-solides bilatéraux, évoquant en premier lieu une origine infectieuse (diagnostic différentiel : néoplasique ?). Nous proposons un examen de contrôle à 4 semaines. Nodule supracentimétriques du lobe thyroïdien droit à corréler à un examen direct en fonction de la clinique. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 18.03.2019 : rythme du pacemaker à 75 battements par minute, axe droit à 145°, pas de troubles nouveaux de repolarisation, ECG superposable à celui du mois de novembre 2018. CT scan du 12.03.2019 : coprostase colique avec un épaississement circonférentiel du rectum distal. Tests de la cognition du 21.03.2019 : MMSE à 22/30, test de la montre à 2/7. Laboratoires : cf copies annexées. ECG de contrôle du 24.03.2019 : rythme en fibrillation auriculaire à 85 battements par minute, QRS fins, pas de modification du segment ST. Tests de la cognition du 25.03.2019 : MMSE à 26/29, test de la montre non évaluable (arthrite sévère), GDS à 4/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 01.03.2019 : rythme sinusal régulier, axe gauche, fréquence 100 battements par minute, bloc atrioventriculaire du premier degré, onde Q en D1, aVL, V2. Scanner abdominal du 01.03.2019 : foie de cirrhose avec lésions de CHC connues. Ascite de moyenne abondance en péri-hépatique et péri-splénique et au niveau du cul-de-sac de Douglas. Importante circulation collatérale. Oesogastroduodénoscopie du 21.03.2019 : maladie de reflux gastro-oesophagien sur hernie hiatale avec oesophagite de reflux grade B à C selon Los Angeles et gastropathie portale légère. Cf rapport annexé. Scanner abdominal du 22.03.2019 : épaississement pariétal du colon au niveau de l'angle splénique, évoquant en premier lieu une colite. Nous retrouvons des signes de cirrhose avec CHC, circulation collatérale ainsi qu'une ascite. Test de la cognition du 04.03.2019 : MMSE à 23/30, test de la montre à 5/7 ; GDS à 5/13. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 02.04.2019 : fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide, fréquence cardiaque à 126 battements par minute, QRS fins, pas d'onde Q pathologique et pas de signe d'ischémie. Tests de la cognition du 03.04.2019 : MMSE à 26/30, test de la montre à 5/7 ; échelle gériatrique de dépression à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 02.04.2019 : rythme sinusal régulier, normocarde à 79 battements par minute, axe gauche à -31°, QRS fins, intervalles QTc à 460 ms. RX thorax du 02.04.2019 : étalement de la silhouette cardiomédiastinale majorée par la position couchée avec probable discrète cardiomégalie sans signe de décompensation. Absence de foyer parenchymateux interstitiel ou alvéolaire systématisé visible. Pas d'épanchement pleural décelable. Calcifications chondrocostales. Sclérose aortique. Lésions dégénératives étagées du rachis dorsal. RX poignet et de la main droits du 02.04.2019 : contenu calcique en relation avec l'âge de la patiente. Pincement articulaire radiocarpien et radio-ulnaire. Importante calcification en projection du TFCC de l'interligne articulaire radio-carpien évoquant une chondrocalcinose. Déformation osseuse, pincement articulaire, réaction dégénérative et sclérose dans le contexte d'une rhizarthrose sévère. Pas de fracture surajoutée visible. Médiocalcinose. présence de dégénérescence arthritique importante de la carpo-métacarpienne. Tests de la cognition du 27.11.2018 : MMSE à 24/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 07.03.2019 : rythme sinusal régulier 68 battements par minute, bloc atrioventriculaire du 1er degré avec PR à 234 ms, QRS fins avec axe limite de la déviation gauche, possible hyperventricule gauche, pas de troubles de la repolarisation, QTc à 426 ms. RX colonne lombaire du 07.03.2019 : aspect très ostéopénique de la trame osseuse. Discarthrose L5-S1. Alignement conservé des murs vertébraux. Si forte suspicion de lésion traumatique, à compléter par un CT-sanner à distance. RX bassin et hanche gauche du 07.03.2019 : pas d'image de fracture visible. Aspect très ostéopénique de la trame osseuse. Prothèse de la hanche droite en place. Scanner bassin du 12.03.2019 : fracture peu déplacée des ailerons sacrés droit et gauche (avec un trait de fracture nettement plus visible à gauche qu'à droite). Pas de fracture de l'os iliaque. Pas de fracture de la tête fémorale ou du col fémoral à gauche. Status après implantation de prothèse totale de hanche droite, sans signe de descellement, sans fracture péri-prothétique. Fracture du processus transverse gauche de L5. Stigmate d'une fracture de la 4ème pièce sacrée. Infiltration liquidienne modérée en avant du sacrum dans ce contexte.Tests de la cognition du 08.03.2019 : MMSE à 26/33, test de la montre à 4/7 ; GDS à 4/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 07.04.2019 : rythme électro-entraîné à 74 battements par minute. IRM cérébrale native et injectée et des carotides le 10.04.2019 : pas de lésion ischémique décelable. Leucopathie vasculaire Fazekas 4. Microbleed isolé cérébelleux gauche. Contrôle du stimulateur cardiaque (pacemaker bicaméral, marque LivaNova, Modèle Kora) le 10.04.2019 : fonctionnement du dispositif normal, sans arythmie significative détectée depuis le dernier contrôle (très brèves salves de tachycardie auriculaire), le mode IRM a été activé avec une bonne tolérance (DOO, 80 battements par minute) et l'examen s'est déroulé sans complications. Le contrôle du stimulateur cardiaque après l'IRM est normal et la programmation habituelle a été remise. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 07.04.2019 : rythme irrégulier, sinusal, fréquence à 81 battements par minute. Axe normal. Extrasystole supraventriculaire. Cf tracé en copie. CT cérébral de contrôle du 06.04.2019 : Diminution de l'hématome sous-dural gauche avec une épaisseur maximale actuellement mesurée à 13 mm contre 16 mm précédemment. Hémorragies sous-arachnoïdiennes de la fissure choroïdienne droite et des citernes ambiantes, stables. Persistance d'une discrète déviation de la ligne médiane mesurée à 6 mm contre 7 mm sur le comparatif. Le reste est superposable au comparatif. CT cérébral de contrôle du 11.04.2019 : Globale stabilité de taille de l'hématome sous-dural de l'hémiconvexité gauche qui présente néanmoins une conformation différente, avec légère majoration de sa composante en position déclive et diminution de la composante frontale, à corréler à la position couchée prolongée. Il y a également une diminution de son hyperdensité spontanée, parlant pour un début de chronicisation. La déviation de la ligne médiane à droite reste stable à 6 mm. Persistance d'une hémorragie sous-arachnoïdienne péri-mésencéphalique gauche mais disparition à droite. Disparition de l'hémorragie de la fissure choroïdienne droite. Fine lame d'hémorragie au sein de la corne occipitale du ventricule latéral droit, mieux visible par rapport au comparatif. Le reste de l'examen est superposable. CT épaule gauche du 15.04.2019 : Fracture de l'acromion effleurant l'articulation acromio-claviculaire dans sa partie postérieure. Infiltration des tissus mous en regard. Arthrose de l'articulation gléno-humérale avec surélévation de la tête humérale par rapport à la glène, parlant en faveur d'une lésion du tendon du muscle sus-épineux. Atrophie des muscles de la coiffe des rotateurs avec involution graisseuse plus particulièrement marquée à hauteur des muscles supra- et infra-épineux, parlant en faveur d'une atteinte tendineuse chronique. CT cérébral de contrôle du 17.04.2019 : Majoration en taille de l'hématome sous-dural de l'hémiconvexité gauche, mesurant 11 mm d'épaisseur maximale contre 8 mm sur le comparatif, et discrète majoration de l'effet de masse sur le ventricule latéral gauche et de la déviation de la ligne médiane vers la droite, mesurée à 6 mm contre 5 mm sur le comparatif. Persistance d'une composante hyperdense au sein de l'hématome sous-dural, en régression par rapport au comparatif. Régression complète des hémorragies sous-arachnoïdiennes péri-mésencéphaliques visibles précédemment. Stabilité de la discrète hémorragie intraventriculaire dans la corne occipitale du ventricule latéral droit. Le reste est superposable au comparatif. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 10.03.2019 : rythme sinusal à 67 battements par minute, axe dans la norme à -10°, bloc atrioventriculaire du 1er degré avec PR à 240 ms, QRS fins, intervalles QT et QTc dans la norme, T négatives en V1, pas de troubles de la repolarisation. ECG du 15.03.2019 : rythme sinusal à 92 battements par minute, axe dans la norme à -10°, bloc atrioventriculaire du 1er degré avec PR à 240 ms, QRS fins, intervalles QT et QTc dans la norme, T négatives en V1, pas de troubles de la repolarisation. RX thorax le 10.03.2019 : cardiomégalie avec un infiltrat bilatéral interstitiel diffus, compatible en premier lieu avec une insuffisance cardiaque, à confronter avec la clinique. Importante scoliose dorso-lombaire en S, ainsi qu'omarthrose droite marquée. CT scan thoracique le 14.03.2019 : plage en verre dépoli diffuse et bilatérale avec épaississement des lignes septales évoquant un signe de comblement alvéolaire, pas de signe d'embolie pulmonaire. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 11.03.2019 : rythme sinusal régulier à 60 battements par minute, bloc atrioventriculaire 1°, QRS fins, limite déviation gauche, QTc 420 ms, pas de troubles de repolarisation. RX thorax du 11.03.2019 : pas de foyer, pas de pneumothorax. Surélévation des deux coupoles diaphragmatiques (patient très tordu lors de la radiographie). RX coude gauche de face et profil du 11.03.2019 : statut après fracture transversale du radius proximal, superposable au comparatif. RX cheville gauche du 11.03.2019 : suspicion fracture calcanéum. Scanner cérébral du 11.03.2019 : pas de saignement intra- ou extra-axial. Pas de fracture osseuse sur le volume exploré. Atrophie cérébrale et leuco-araïose connue. Scanner cheville gauche du 12.03.2019 : fracture multi-fragmentaire peu déplacée de la tubérosité postérieure du calcanéum. Pas d'atteinte de l'articulation talo-calcanéenne. Ostéopénie diffuse liée à l'âge. Scanner abdominal du 12.03.2019 : pas d'ascite, ni d'air libre intra-péritonéal, mais l'on visualise toutefois une anse grêle modérément dilatée au niveau pelvien. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 12.03.2019 : rythme en fibrillation auriculaire à 143 battements par minute, bloc de branche droit, QTc à 497 ms. RX thorax et CT thoracique natif et injecté du 12.03.2019 : embolie pulmonaire segmentaire latérale du LM. Pas d'autre embolie pulmonaire visible. Dilatation du tronc pulmonaire à 36 mm pouvant parler pour une hypertension artérielle pulmonaire. Fine lame d'épanchement pleural à droite. Le reste de l'examen est sans particularité. CT abdominal du 13.03.2019 : iléus grêle avec saut de calibre au niveau du jéjunum associé à une petite quantité de liquide libre intrapéritonéal, correspondant à un signe de souffrance. RX thorax du 13.03.2019 : absence d'un bon inspirium. Pas d'épanchement pleural visible. Omarthrose bilatérale. RX thorax du 14.03.2019 : statut après mise en place d'une sonde nasogastrique avec extrémité à la jonction oesogastrique. Pour le reste, l'examen est superposable au comparatif de la veille. RX thorax du 14.03.2019 : cardiomégalie modérée, sans signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer, d'infiltrat, ni d'épanchement pleural. Statut après mise en place d'une sonde nasogastrique avec extrémité dans le fundus. RX abdomen sans préparation du 15.03.2019 : nous retrouvons un iléus grêle avec des anses mesurées jusqu'à 3,5 cm de diamètre, en discrète diminution par rapport au CT-scan du 13.03.2019. Statut après mise en place d'une sonde nasogastrique avec extrémité qui remonte vers le cardia. RX abdomen sans préparation du 18.03.2019 : persistance d'une composante d'iléus avec distension digestive. Minime composante de coprostase colique droite. Sonde nasogastrique en place. Lésions dégénératives étagées de la colonne lombaire. Opacification oesophage/estomac/intestin du 19.03.2019 : le produit de contraste du transit a atteint le côlon moins de 6 h après son ingestion. RX abdomen sans préparation du 19.03.2019 : le produit de contraste du transit a atteint le côlon moins de 6 h après son ingestion. Tests de la cognition du 18.03.2019 : MMSE à 20/30, test de la montre à 3/7 ; GDS à 0/15.Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 13/03/2019 : rythme sinusal régulier à 74 bpm, PR 188 ms, QRS fin avec un axe normal à 94°, pas d'ondes Q pathologiques, progression de l'onde R avec une transition en V3, pas d'onde T négatifs, QTc 409 ms. Rx-cheville droite du 13/03/2019 : Fracture peu déplacée de la malléole externe droite correspondant à une fracture Weber A. Pas de déplacement de la syndesmose sur les radiographies effectuées en charge. Rx-doigt droit du 13/03/2019 : Pas de fracture. Bonne congruence articulaire. Pas de tuméfaction des parties molles. Rx-cheville droite du 13/03/2019 : Fracture peu déplacée de la malléole externe droite correspondant à une fracture Weber B. Pas de déplacement de la syndesmose sur les radiographies effectuées en charge. US-D5 main droite du 13/03/2019 : Discrète tuméfaction des parties molles en regard de l'articulation métacarpo-phalangienne du 5ème rayon de la main droite sans collection ou abcès visible. Pas d'épanchement intra-articulaire. Rx-cheville droite du 14/03/2019 : Comparatif du jour. Radiographie effectuée en charge. Pas de déplacement secondaire. Le reste est superposable. Rx-cheville droite du 14/03/2019 : Examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé et sans déplacement secondaire de la fracture de la malléole externe de type Weber B. Rx-cheville droite du 20/03/2019 : Comparatif du 14.03.2019. Sous contention en résine, évolution favorable sans déplacement secondaire d'une fracture malléolaire externe de type Weber B. Rapports articulaires conservés. Pas de pli ou de point de pression au niveau de la contention. Tests de la cognition du 14.03.2019 : MMSE à 28/30, test de la montre à 4/7 ; GDS à 2/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 17.03.2019 : rythme sinusal régulier, normocarde à 75 battements par minute, axe gauche à -49°, QRS fins à 106 ms, présence d'une extrasystole ventriculaire, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R retardée en V6, QTc à 454 ms. ECG du 18.03.2019 : rythme sinusal régulier à 87 battements par minute, axe gauche à -55°, QRS fins à 106 ms, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R retardée en V6, QTc à 451 ms. Coronarographie et angioplastie du 18.03.2019 : cf rapport annexé. CT thoracique natif et injecté du 17.03.2019 : aorte thoracique de calibre régulier, sans dissection, associée à des plaques d'athéromatose mixte. Athéromatose mixte au départ des artères sous-clavières, sans sténose significative. Calcifications coronaires, ainsi que de la valve mitrale. Les cavités cardiaques sont de morphologie normale. Absence d'embolie pulmonaire visualisée jusqu'en sous-segmentaire. Présence d'une ligne hypodense passant par la lingula supérieure, ainsi que par l'artère pulmonaire lingulaire supérieure et l'artère lobaire inférieure, correspondant à un artéfact (photon starvation) en lien avec du matériel médical extracorporel sur le trajet du faisceau. Ganglions médiastinaux agrandis, à titre d'exemple, les plus grands dans la loge de Baréty et en infra-carinaire mesurent 9 mm de petits axes. Absence d'adénopathie axillaire. Dans le parenchyme pulmonaire, pas de nodule suspect individualisé. Discret infiltrat en verre dépoli dans les parties déclives des lobes inférieurs, pouvant correspondre à des troubles ventilatoires. Présence d'un micronodule mesurant 4 mm de diamètre dans le segment latéral du lobe moyen (image 170/554). Pas d'anomalie de l'arbre trachéo-bronchique. Absence d'épanchement pleural, ni de pneumothorax. Présence de nodules thyroïdiens hétérogènes, en partie hypodense, des deux lobes. CT abdomen natif et injecté du 17.03.2019 : conclusion : aorte de calibre régulier, sans mise en évidence de dissection sur l'ensemble de son trajet. Mise en évidence de nodules thyroïdiens hétérogènes, supra- et infracentimétriques, à corréler à un avis endocrinologique. Persistance d'une splénomégalie mesurant 135 mm de grand axe. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 18.03.2019 : rythme irrégulier tachycardie à 105 battements par minute. QRS larges d'environ 120 ms d'axe normal. QTc à 427 ms. Extrasystoles. Bloc de branche gauche. ECG du 21.03.2019 : rythme sinusal à 78 battements par minute, irrégulier (extrasystoles). PR supérieur à 200 ms. QRS larges, normoaxés. Bloc atrioventriculaire du premier degré. Extrasystoles, bloc de branche gauche. RX thorax du 18.03.2019 : absence d'un bon inspirium. Aorte déroulée, calcifiée. Importante lésion d'infiltrat pulmonaire bilatéral avec épaississement de la trame broncho-vasculaire et turgescence hilaire bilatérale, évoquant des signes de décompensation cardiaque. À confronter aux données cliniques. RX épaule gauche face neer du 19.03.2019 : comparatif du 12.01.2018 : nous retrouvons des signes d'omarthrose excentrée avec ascension de la tête humérale. Importante ostéocondensation sous-chondrale des berges articulaires. Remaniements dégénératifs de la tête humérale et de l'acromion. Si forte suspicion de fracture, à compléter par un CT à distance. CT de l'épaule gauche natif du 19.03.2019 : par rapport à la radiographie standard du même jour, nous retrouvons une arthrose gléno-humérale avancée avec sclérose sous-chondrale prédominant sur le versant de la glène, ainsi que réaction ostéophytaire en couronne au niveau de la tête humérale avec des géodes sous-chondrales. Nous retrouvons également une importante diminution de l'espace sous-acromial, compatible avec une rupture complète du tendon distal du muscle sus-épineux. Nous visualisons également des calcifications dans la région des tendons distaux des muscles sous-épineux et sous-scapulaire et une subluxation gléno-humérale supérieure, ainsi qu'une arthrose acromio-claviculaire. RX thorax du 20.03.2019 : par rapport au 18.03.2019, nous retrouvons une cardiomégalie avec un flou péri-hilaire nettement plus marqué, avec une augmentation de l'interstice faisant évoquer une insuffisance cardiaque en évolution défavorable (OAP). Opacité alvéolaire basale droite, diagnostic différentiel : foyer surajouté. Épanchements pleuraux bilatéraux nettement majorés par rapport à l'examen précédent. Matériel de support visible à la peau (masque à oxygène). Omarthrose droite avec rupture chronique de la coiffe des rotateurs. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 18.03.2019 : rythme sinusal régulier, axe normal, bloc de branche droite, troubles de repolarisation diffuses. RX thorax du 18.03.2019 : absence d'un bon inspirium. Discrète ascension de la coupole diaphragmatique gauche. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. IRM du neurocrâne natif et injectée du 22.03.2019 : le système ventriculaire est modérément élargi ainsi que les sillons corticaux. Les espaces sous-arachnoïdiens sont bien définis. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Sur les coupes en diffusion, pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Sur les coupes T2*, pas de saignement. Sur les coupes T2 FLAIR, pas de lésion significative de la substance blanche. Sur les coupes T1, la substance grise périphérique et les noyaux gris centraux sont bien définis. Après injection i.v. de Gadolinium, pas de prise de contraste pathologique intra-axiale. Les sinus veineux sont perméables. Spectroscopie : rapports Cho/Cr=1, NAA/Cr=1.74, NAA/Cho=1.74, mI/Cr=0.0114. L'angio-IRM centrée sur le polygone de Willis démontre une perméabilité conservée des artères intracérébrales. Pas d'anévrisme, pas de sténose significative. Cavités sinusiennes de la face et cellules mastoïdiennes normalement pneumatisées. Orbites sans particularité. Évaluation neuropsychologique du 21.03.2019 : cf rapport annexé.Evaluation gérontopsychiatrique du 03.04.2019, Dr. X : cf rapport annexé. Tests cognitifs du 21.03.2019 : MMS à 14/30, test de montre à 2/7 ; GDS à 1/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 20.03.2019 : fibrillo-flutter à 103 battements par minute, axe gauche à -45°, intervalles QRS fins, intervalles QT et Qtc dans la norme, progression de l'onde R en V5, pas de troubles de la repolarisation ni de la conduction. RX thorax du 20.03.2019 : par rapport au 05.09.2017, nous retrouvons une cardiomégalie. Majoration du flou péri-hilaire et péri-bronchique devant entrer dans le cadre d'une insuffisance cardiaque décompensée. Epanchement pleural bilatéral nouveau, nettement plus marqué à droite avec des opacités alvéolaires faisant évoquer une insuffisance cardiaque décompensée. Une surinfection n'est pas formellement exclue. Sclérose déroulement de l'aorte connue et inchangée. Cadre osseux inchangé. RX thorax de contrôle le 25.03.2019 : comparatif au 20.03.2019 : évolution favorable. Diminution de taille des épanchements pleuraux bilatéraux. Persistance d'un émoussement du sinus costophrénique postérieur gauche. Hypertrophie du cœur gauche. Pas d'autre signe de décompensation cardiaque. Régression de la turgescence hilaire et de l'infiltrat interstitiel associés. Actuellement pas de foyer parenchymateux surajouté visible sclérose aortique. Test de la cognition du 23.03.2019 : MMS à 24/29, test de la montre non effectué ; GDS à 6/15 (tests écrits non complétés au vu de douleurs au bras droit). Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 20.03.2019 : rythme sinusal à 100 battements par minute, PR à 148 ms, axe 50°, pas de signes d'ischémie active. RX thorax du 20.03.2019 : par rapport au 30.01.2017, pas de changement significatif. Nous retrouvons la surélévation de la partie antérieure de la coupole diaphragmatique droite occasionnant une opacité relativement bien délimitée. Nous retrouvons la graisse épicardique occasionnant une baisse de la radio-transparence en regard de la pointe du cœur. Une opacité rétrocardiaque devant correspondre à une hernie hiatale. Une diminution de la radio-transparence des deux plages pulmonaires à mettre en premier lieu avec un inspirium insuffisant. Pas de foyer constitué mis en évidence dans ce contexte. RX abdomen du 25.03.2019 : distension aérique dense grêle médio-abdominale chez un patient aux antécédents de colectomie subtotale. Actuellement pas de distension pathologique décelable en projection du flanc gauche. Pas d'image de double contour en faveur d'un pneumopéritoine. Statut après cholécystectomie. Filtre cave en projection inchangée à la hauteur de L3-L4. Importantes lésions dégénératives du rachis lombaire. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 21.03.2019 : rythme électro-entraîné à 72 battements par minute. ECG superposable à celui du 24.02.2019. Test de la cognition du 23.03.2019 : MMSE 29/30, test de la montre 7/7 ; GDS 4/15. Test de Schellong du 30.04.2019 : négatif. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 21.03.2019 : rythme sinusal régulier à 85 battements par minute, PR à 170 ms, QRS larges connus avec un axe à 30°, QTc à 440 ms, ST sus-décalé en V2 connu, T négatives en II, aVR, aVL, V5, V6 connus. RX thorax du 21.03.2019 : désorganisation de la trame bronchovasculaire avec des épaississements bronchiques et un effacement de l'hémicoupole diaphragmatique gauche évoquant une surinfection de bronchopneumopathie chronique obstructive. Pas d'épanchement pleural. Tassement sévère du corps vertébral de D9 et dans une moindre mesure D8, et D10. Ancienne fracture de côtes en série du côté droit. Cardiomégalie modérée. Tests de la cognition du 25.03.2019 : MMSE à 13/27, test de la montre non évaluable en raison de troubles visuels importants ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 22.02.2019 : rythme sinusal régulier à 60 battements par minute, bloc atrioventriculaire du 1er degré (PR à 220 ms), QRS fins normoaxés, QTc long à 513 ms, pas de trouble de repolarisation. Scanner cérébral du 22.02.2019 : absence de saignement intracrânien. Pas de fracture d'aspect récent. RX thorax du 22.02.2019 : cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée avec un déroulement de l'aorte thoracique. Surélévation de l'hémi-coupole diaphragmatique gauche. Quelques épaississements bronchiques mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Statut après mise en place de prothèses des deux épaules. Fracture de l'arc postérieur de la 7ème côte droite d'allure déjà ancienne. RX bassin et hanche droite du 22.02.2019 : coxarthrose avancée, clou gamma en place, pas de fracture nouvelle. RX genou gauche du 26.02.2019 : prothèse totale de genou gauche en place. Pas de signe de fracture ou de descellement. Médiacalcose de l'artère poplitée et de l'artère fémorale superficielle en distalité. Scanner cérébral du 21.03.2019 : pas de saignement cérébral. Atrophie cortico-sous-corticale. Electro-encéphalogramme du 25.03.2019 avec vidéographie No 24687/7 : renseignements cliniques : état confusionnel le 21.03.2019. Maladie de Parkinson, troubles bipolaires. Technique : montage standard. Pas d'hyperpnée, ni de SLI effectuée. Patient collaborant. Description : activité de base de 7 c/s, d'amplitude moyenne, mal spatialisée. Nombreux artéfacts de clignements. Quelques ondes thêta dans les régions fronto-centrales à légère prédominance droite. ECG : rythme sinusal régulier. Conclusion : bradydysrythmie diffuse à prédominance droite. Tests de la cognition du 22.02.2019 : MMSE à 17/28, test de la montre non évaluable (Parkinson très avancé) ; GDS à 8/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 22.03.2019 : rythme sinusal et régulier à 65 battements par minute, axe QRS à -15°, PR 230 ms, QRS 140 ms, QTc 458 ms, segment ST iso-électrique, Bloc atrioventriculaire de I°, Bloc de branche droit complet. RX thorax face et profil du 22.03.2019 : en confrontation avec la radiographie standard du 13.04.2016 et le CT-scanner du 13.04.2016, nous retrouvons une importante surélévation de la coupole diaphragmatique gauche avec une aérocolie en projection de la base thoracique. Perte de transparence de la partie postérieure du sinus costophrénique sur le profil, évoquant un épanchement pleural +/- atélectasie surajoutée. Un foyer ne peut être formellement exclu. Opacité également présente au niveau de la partie inférieure du lobe supérieur évoquant un foyer (à la hauteur du tronc pulmonaire). Absence de foyer systématisé visible à droite. Pas d'épanchement pleural droit. Le cœur est difficilement quantifiable. Lésions dégénératives étagées du rachis dorsal. Pas de fracture/tassement. RX thorax de face et profil du 01.04.2019 : par rapport au comparatif du 22.03.2019, nous retrouvons une importante surélévation de l'hémi-coupole diaphragmatique gauche avec opacité en regard, évoquant une atélectasie, toutefois un épanchement pleural et un foyer surajouté ne peuvent être formellement exclus. Pas d'opacité d'apparition nouvelle par rapport au comparatif. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 24.03.2019 : rythme sinusal régulier à 72 battements par minute, PR à 280 ms (bloc atrioventriculaire du 1er degré connu), QRS fins avec un axe à 50°, QTc à 440 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. CT-scanner cérébro-cervical : absence d'argument en faveur d'une atteinte ischémique ou hémorragique. Perméabilité préservée des vaisseaux pré-cérébraux et intracrâniens. RX du thorax 27.03.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Des foyers de condensation des deux bases pulmonaires. Déviation modérée de la trachée vers le côté droit.RX du genou droit 28.03.2019 : gonarthrose tricompartimentale très avancée avec ostéophytose hypertrophique périphérique. Importante ostéopénie de la trame osseuse. Important pincement de l'interligne articulaire de façon tricompartimentale, prédominant en fémoro-tibial interne. Important épanchement articulaire avec comblement du cul-de-sac sous-quadricipital. Si forte suspicion de fracture, à compléter par un CT-scanner vue l'importante ostéopénie. CT-scanner du genou droit 31.03.2019 : pas d'image de fracture décelable. Aspect très ostéopénique de la trame osseuse. Gonarthrose tricompartimentale très avancée avec ostéophytose périphérique et pincement articulaire. Composante d'épanchement articulaire essentiellement au niveau du récessus sous-quadricipital. Importante médiacalcose de l'artère poplitée et des artères jambières au niveau proximal. RX du thorax et du coude gauche : • Thorax : aorte déroulée et calcifiée. Ascension de la coupole diaphragmatique gauche. Hypoventilation des deux bases pulmonaires. • Coude gauche : arthrose avancée huméro-radiale, huméro-ulnaire avec ostéophytose périphérique et hypertrophique. Aspect très ostéopénique de la trame osseuse. Tests de la cognition : refusés par la patiente en raison de sa malvoyance et d'un manque d'envie ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 24.03.2019 : rythme sinusal régulier à 78 bpm, pas de signes d'ischémie active. CT scan cérébral et des tissus mous du cou du 24.03.2019 : occlusion de l'artère vertébrale gauche dans sa portion V2-V3, possiblement en lien avec un débord osseux ostéophytaire au sein du foramen transversal à hauteur de C3, associé à la présence de deux lésions parenchymateuses vraisemblablement ischémiques au sein de l'hémisphère cérébelleux gauche. IRM neurocrâne du 26.03.2019 : accident vasculaire cérébral aigu des hémisphères cérébelleux et du vermis, prédominant à gauche, ainsi que du lobe occipital gauche. Pas de transformation hémorragique. Occlusion de l'artère vertébrale gauche connue. Leucoencéphalopathie vasculaire dégénérative de grade Fazekas 2 et signes de microangiopathie hypertensive. RX thorax du 25.03.2019 : comparatif du 19.03.2019. Silhouette cardio-médiastinale dans la norme. Pas d'image pathologique en projection des plages pulmonaires. Pas d'épanchement pleural. Status post-cimentoplastie de la vertèbre D8, non clairement évaluable en raison d'un cliché réalisé uniquement en incidence de face. Le reste du status est superposable. RX colonne dorsale F/P du 27.03.2019 : examen comparé au CT thoraco-abdominal du 28.09.2016. Par rapport au comparatif, status post-cimentoplastie de D8 sans signe de complication. Apparition d'un aspect biconcave de la vertèbre D12 avec un discret décroché de la corticale du coin supéro-inférieur pouvant parler pour un tassement récent. Pas de fracture visible ailleurs. Le reste du status est superposable. CT scan colonne thoraco-lombaire du 28.03.2019 : comparatif radiographie et CT abdominal du 28.09.2016. Apparition d'une fracture tassement vertébrale du plateau supérieur de D12 sans recul du mur postérieur. Status post-cimentoplastie de D8 et L5 inchangée. Pas d'autre fracture. Pas d'hématome para vertébral. Echocardiographie transthoracique du 25.03.2019 : cf copie annexée. Bilan neuropsychologique du 27.03.2019 : cet examen neuropsychologique réalisé auprès de cette patiente collaborante de 70 ans montre la préservation de l'ensemble des fonctions cognitives testées. Les aspects exécutifs et attentionnels étant dans la norme, il n'y a pas de contre-indication à la reprise de la conduite automobile, d'un point de vue strictement neuropsychologique. IRM colonne dorso-lombaire du 01.04.2019 : status post-cimentoplastie connue D8 et L5. Fracture récente avec aspect concave du plateau supérieur de D12, respect de hauteur des murs antérieurs et postérieurs compatible avec une fracture ostéoporotique. Les dimensions du canal rachidien sont conservées, sans hernie discale ou myélopathie visible. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 25.03.2019 : rythme sinusal régulier à 53 battements par minute, axe gauche à -40°, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré, troubles de la repolarisation aspécifiques de V1 à V2 (superposable au ECG de janvier 2019). RX thorax du 25.03.2019 : comparatif au 30.01.2019. Nous retrouvons un effacement des coupoles diaphragmatiques sur épanchement pleural basal bilatéral avec composante intra-scissurale au niveau de la petite scissure à droite, dans le contexte d'une décompensation cardiaque. Atélectasie passive accompagnatrice avec perte de transparence du rétrocarde ne permettant pas d'exclure une surinfection surajoutée. Sclérose trachéo-bronchique. Importantes calcifications chondrocostales. Lésions dégénératives du rachis dorsal inférieur. Tests de la cognition le 01.02.2019 : MMSE à 26/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 0/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 28.03.2019 : fibrillation auriculaire rapide à 140 battements par minute. ECG du 02.04.2019 de contrôle : normoaxé, rythme de fibrillation auriculaire à 96 battements par minute, extrasystole supraventriculaire, QT 390 ms. RX thorax de face et profil du 28.03.2019 : absence d'un bon inspirium. Silhouette cardiomédiastinale dans les limites supérieures de la norme. Bonne visibilité des 2 hiles pulmonaires. Important syndrome interstitiel et réticulo-nodulaire bilatéral prédominant au niveau des 2 bases pulmonaires. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 28.03.2019 : rythme irrégulier en fibrillation auriculaire à 83 battements par minute. Axe légèrement gauche. QRS larges. QTc à 463 ms. Bloc de branche droit. ECG du 31.03.2019 : rythme irrégulier en fibrillation auriculaire à 81 battements ventriculaires par minute. Axe normal, QRS larges, QTc à 447 ms. Bloc de branche droit connu. Echocardiographie transthoracique le 28.03.2019 : cf copies annexées. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 29.03.2019 : rythme sinusal régulier à 60 battements par minute, bloc atrioventriculaire du premier degré avec PR à 320 ms, QRS fins d'axe gauche. QTc à 442 ms. Transition de l'onde R précoce en V2. Hémi-bloc antérieur gauche. RX pouce droit le 29.03.2019 : pas de fracture ou de luxation. Ostéopénie généralisée. Arthrose radio-carpienne, métacarpo-phalangienne et rhizarthrose. Chondrocalcinose. RX poignet droit le 29.03.2019 : ostéopénie. Pas de fracture évidente. Arthrose radio-carpienne, des os du carpe et carpo-métacarpienne. Chondrocalcinose. RX thorax le 29.03.2019 : comparatif du 14.01.2017 : radiographie non centrée. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Important déroulement de l'aorte thoracique descendante et sclérose de la crosse. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Déformation scoliotique du rachis sinistro-convexe à l'étage dorsal. CT cérébral natif le 29.03.2019 : atrophie cérébrale. Petit hématome sous-galéal de 2 mm d'épaisseur en occipital droit. Absence d'autre lésion traumatique, pas de saignement intracrânien ou de fracture. IRM cérébrale le 01.04.2019 : lésion ischémique aiguë dans le territoire de l'artère choroïdienne antérieure gauche. Pas de lésion vasculaire décelable sur l'angio-IRM des vaisseaux pré-cérébraux ou sur l'angio-IRM des vaisseaux intracérébraux. Pas d'hémorragie. Les deux lésions punctiformes hypointenses visibles sur la séquence T2* pourraient correspondre à des microbleeds, diagnostic différentiel : cavernomes. Tests de la cognition du 04.04.2019 : MMS à 13/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 14/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 29.03.2019 : rythme sinusal régulier à 69 battements par minute, axe gauche, PQ 0.16 ms, QRS 0.96 ms, QTc 439 ms.Tests de la cognition du 04.04 : MMSE est à 28/30 ; échelle gériatrique de dépression à 7/15. Laboratoires : cf copies annexées ECG le 24.03.2019 : rythme sinusal à 97 battements par minute. PR 150 ms, QRS fins à 70 ms et normoaxés. QTc 418 ms. ST isoélectriques et absence d'onde Q. T inversés en aVR et en V1 concordant avec QRS. Bonne progression de l'onde R avec transition en V2. ECG superposable à celui effectué le 04.03.2019. RX thorax le 24.03.2019 : par rapport au comparatif du 04.03.2019, nous retrouvons une petite augmentation de la trame sous-hilaire droite, mais pas d'image nette de foyer pulmonaire, ni d'épanchement pleural. Cœur de taille à la limite supérieure de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique, sans signe d'insuffisance cardiaque. Tests de la cognition du 26.03.2019 : MMSE à 23/30, test de la montre à 5/7 ; GDS à 3/10. Évaluation neuropsychologique du 15.04.2019 en ambulatoire : cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. ECG 30.03.2019 : fibrillation auriculaire normocarde sans nouveau trouble de la repolarisation. RX thorax du 30.03.19 : aspect désorganisé de la trame bronchovasculaire. Rétraction du médiastin vers le côté gauche. Surélévation de la coupole diaphragmatique gauche avec composante d'épanchement pleural. Multiples lésions d'emphysème, diffuses. Multiples troubles ventilatoires des deux bases pulmonaires. Un CT peut être indiqué. CT cérébral 30.03.2019 : examen du cerveau superposable au précédent, sans lésion traumatique mise en évidence. Laboratoires : cf copies annexées. Échocardiographie transthoracique du 27.03.2019, Dr. X : cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. IRM abdomen et pelvis du 01.03.2019 : une structure aux contours anfractueux, avec prise de contraste périphérique dans la grande lèvre droite s'étendant sur un maximum de 4.7 cm et mesurant environ 1.3 cm de plus petit diamètre, aspécifique, diagnostic différentiel : lésion infectieuse versus tumorale. Dans la grande lèvre gauche, mise en évidence d'une structure à contenu liquidien, d'environ 4 cm de diamètre, prenant le contraste en périphérie posant le diagnostic différentiel d'une lésion kystique. Elle contient un sédiment relativement dense, avec restriction de la diffusion dans ce sédiment, diagnostic différentiel de lésion avec hémorragie en son sein. Artéfact de susceptibilité magnétique dans le fond utérin aspécifique (CE ?) à corréler à une radiographie du bassin. Status après hystérectomie. Adénopathies d'allure nécrotique, inguinales droites dans ce contexte. Radiographie du thorax du 14.03.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Épaississement bibasal de trame bronchovasculaire. Épanchement pleural bilatéral de faible abondance. CT des sinus natif du 19.03.2019 : nous visualisons effectivement des épaississements muqueux des sinus maxillaires ainsi que du fond du sinus sphénoïdal gauche, le sinus sphénoïdal droit contenant un peu de mucus. On visualise également des épaississements muqueux de multiples cellules éthmoïdales ainsi qu'un comblement des cellules mastoïdiennes qui n'étaient pas présents sur le comparatif du 28.06.2017. Pas d'image d'abcès. RX du thorax du 22.03.2019 : par rapport au comparatif du 14.03.2019, nous retrouvons un cœur de taille à la limite supérieure de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique ainsi qu'une désorganisation de la trame bronchovasculaire avec des épaississements bronchiques, mais pas d'image typique de foyer pulmonaire, ni d'épanchement pleural. Pour mémoire, multiples granulomes calcifiés aux 2 bases. CT thoracique natif et injecté du 25.03.2019 : nous visualisons des lésions en bande aux apex, notamment une lésion en bande au niveau du segment postérieur du lobe supérieur D qui contient des calcifications, ainsi que de multiples granulomes calcifiés aux bases. Pas de foyer, ni d'épanchement pleural. Multiples ganglions hilaires, pulmonaires et médiastinaux calcifiés avec également des calcifications bronchiques, mais pas d'adénopathie. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal en relation avec l'âge de la patiente. Volumineuse hernie hiatale. Multiples bronchectasies bilatérales. Fonctions pulmonaires du 22.03.2019, Dr. X : cf rapport annexé. Tests de la cognition du 25.02.2019 : MMSE à 28/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 5/15. Laboratoires : cf copies annexées. IRM colonne lombaire et dorsale effectuée au Centre Pôle Sud à Bulle le 08.03.2019 : conclusion IRM colonne lombaire : protrusion discale foraminale et extra foraminale droite en L4-L5 à l'origine d'un conflit radiculaire. Aspect cunéiforme des corps vertébraux D11-D12 sans œdèmes de l'os spongieux ni de caractère aigu. Nous avons complété cet examen par une IRM dorsale en raison du syndrome algique de Mr. Y. Conclusion IRM colonne dorsale : fracture tassement aigu D8 sans atteinte du mur postérieur. RX thorax du 14.03.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Émoussement du cul-de-sac costo-diaphragmatique à droite. RX colonne dorsale du 26.03.2019 : fracture de D8 connue, relativement inchangée par rapport à la radio de thorax du 14.03.2019. Pour le reste, la hauteur des corps vertébraux est conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. À noter une ostéopénie sévère. Tests de la cognition du 13.03.2019 : MMSE à 26/30, test de la montre à 6/7 ; GDS 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. IRM lombaire 17.04.2019 : péjoration du tassement vertébral de L4 avec d'importants signes inflammatoires du reste du corps vertébral de L4 et L3 et extension des signes inflammatoires au niveau des tissus mous périvertébraux antérieurs et au niveau des éléments des arcs postérieurs. CT colonne lombaire 18.04.2019 : nous retrouvons le status après cimentoplastie de L4 et constatons une ostéolyse d'une grande partie du corps vertébral dans sa partie supérieure et antérieure avec absence de visibilité de la corticale. Pour le reste, l'examen n'apporte pas d'éléments nouveaux par rapport à l'IRM de la veille et nous retrouvons des lésions dégénératives multi-étagées avec notamment des discopathies prédominant en L4-L5 et L5-S1. CT abdominal natif et injecté le 23.04.2019 : nous trouvons par ailleurs la nécrose osseuse du corps vertébral de L4 avec phénomène de vide somatique, pas d'image de fuite de ciment en intra-canalaire. Importante infiltration des tissus mous en regard du corps vertébral nécrosé. Nous retrouvons un discret bombement antérieur de l'aorte abdominale, en regard de la vertèbre nécrosée, mais sa paroi postérieure reste par ailleurs à distance des phénomènes inflammatoires et ischémiques nécrotiques de la vertèbre tassée. L'aorte abdominale est de calibre conservé dans ses différents segments, sans image d'anévrisme, siège de plaques mixtes calcifiées et lipidiques. Plaques calcifiées au niveau de l'ostium des artères rénales ainsi qu'au niveau des artères iliaques primitives, de façon bilatérale. Laboratoires : cf copies annexées. IRM neurocrâne du 25.03.2019 : perte de volume généralisée de l'encéphale liée à l'âge. Séquelles d'AVC ischémique de la fosse postérieure (vermis cérébelleux et hémisphère cérébelleux gauche, ainsi que partie gauche du pons et de la medulla oblongata) et séquelles d'AVC ischémique lacunaire dans le thalamus gauche. Pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Les altérations de la substance blanche ne bordant pas les zones de défect parenchymateux doivent correspondre à des lésions micro-vasculaires chroniques. Perméabilité du polygone de Willis avec, toutefois, un segment P1 D relativement grêle dans un contexte d'une artère cérébrale postérieure droite d'origine fœtale.Tests de la cognition du 13.03.2019 : MMSE à 16/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 3/15. Brève évaluation neuropsychologique du 21.03.2019 : conclusion : atteinte cognitive sévère et diffuse avec des difficultés d'orientation spatiale, des troubles mnésiques antérogrades, des difficultés exécutives (incitation, anosognosie des difficultés cognitives), des difficultés de langage oral (manque du mot, paraphasies phonémiques) et écrit, une atteinte du traitement des nombres, une perturbation praxique constructive. MMSE : 15/30. L'orientation temporelle est globalement préservée. Le tableau cognitif est possiblement majoré par les événements médicaux récents. Cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. Pose de gastrostomie percutanée radiologique le 15.03.2019 : cf rapport annexé. Test de la cognition du 05.03.2019 : MMS à 29/30, test de montre à 7/7 ; GDS à 2/15. Evaluation géronto-psychiatrique, Dr. X, du 20.03.2019 : cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. RX bassin du 01.04.2019 : par rapport au comparatif du 22.03.2019, nous ne visualisons pas de déplacement secondaire de la fracture de la branche ilio-pubienne droite s'étendant au cotyle. Pas de déplacement secondaire également de la fracture de la branche ischio-pubienne, la fracture du sacrum étant difficilement visualisée sur ces incidences. Pour mémoire, status après mise en place d'un clou gamma au niveau du fémur proximal gauche pour fracture pertrochantérienne consolidée. Laboratoires : cf copies annexées. RX bassin et genou gauche du 11.04.2019 : genou gauche : fracture spiroïde diaphysaire distale du fémur droit nouvellement apparue par rapport au 30.05.2014. La fracture est déplacée, avec une discrète angulation entre les fragments dans le plan sagittal. Epanchement intra-articulaire dans ce contexte avec lipohémarthrose. Status après mise en place de prothèse totale de genou. Calcifications vasculaires. Bassin : pas de comparatif. Coxarthrose plus marquée à droite qu'à gauche. Quelques calcifications à l'insertion de la musculature fessière sur le grand trochanter. Calcifications des parties molles. Sur l'incidence du fémur, nous retrouvons la fracture spiroïde du fémur distal déplacée. CT genou et jambe gauches, natif du 12.04.2019 : par rapport à la radiographie standard de la veille, nous retrouvons le status après mise en place d'une prothèse totale de genou avec une fracture diaphysaire spiroïde du fémur qui arrive à la hauteur de l'élément fémoral de la prothèse avec un déplacement interne d'environ 2cm et une angulation postérieure d'environ 40°. Nous retrouvons également un épanchement articulaire. Calcifications artérielles. Laboratoires : cf copies annexées. RX genou droit et genou gauche de face et profil, rotules bilatérales et cheville gauche du 20.04.2019 : • Genou droit : gonarthrose tricompartimentale. Aspect régulier du plateau tibial externe avec calcifications déjà visibles au niveau de l'échancrure intercondylienne d'allure ancienne. Aspect ostéopénique de la trame osseuse. Ostéophytose hypertrophique. Si forte suspicion de fracture, à compléter par un CT-scanner. • Genou gauche : gonarthrose tricompartimentale. Ostéophytose hypertrophique. Surcroît d'opacité en surprojection des parties molles. • Cheville droite : aspect ostéopénique de la trame osseuse. Arthrose tibio-talienne. Ebauche d'épine calcanéenne. Surcroît d'opacité en projection des parties molles. Calcifications vasculaires veineuses. Laboratoires : cf copies annexées. RX thorax du 31.01.2019 : par rapport au 25.01.2019, nous retrouvons une cardiomégalie avec sclérose et déroulement de l'aorte thoracique, flou péri-hilaire et infiltrat hilifuge, compatible avec une insuffisance cardiaque décompensée. Emoussement des sinus costo-diaphragmatiques ddc. PAC pectoral gauche en surprojection inchangé. Stigmates opératoires de l'épaule droite. RX thorax du 12.02.2019 : absence d'un bon inspirium. Epanchement pleural bilatéral prédominant à gauche avec troubles ventilatoires. Important épaississement de la trame bronchovasculaire évoquant des signes de décompensation cardiaque. RX thorax du 19.02.2019 : élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale. Absence d'un bon inspirium. Epanchement pleural bilatéral de faible abondance prédominant à gauche. Importantes lésions d'infiltrat pulmonaire bilatérales, avec lésions réticulo-micro-nodulaires. RX thorax du 07.03.2019 : élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale. Lésions d'infiltrat pulmonaire bilatéral. Hypoventilation basale gauche avec probable foyer de condensation. Laboratoires : cf copies annexées. Test de la cognition du 14.03.2019 : MMS à 27/30, test de la montre à 3/7 ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. Test de Schellong : négatif. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition : MMSE à 22/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 1/15. Test de Schellong le 03.04.2019 : positif. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition : MMSE à 29/30, test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition du 16.03.2019 : MMSE à 30/30, test de la montre à 4/7 ; GDS à 0/15. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition du 26.11.2019, service de réadaptation gériatrique, HFR Riaz : MMSE à 15/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 3/15. Test de Schellong le 25.03.2019 : négatif. Laboratoires : cf copies annexées. US bilan des parties molles du 21.03.2019 : Nous visualisons effectivement une hernie inguinale gauche à contenu graisseux qui se péjore à la manœuvre de Valsalva et qui n'est que partiellement réductible. Laboratoires : copies annexées. ECG le 08.04.2019 : rythme sinusal, PR non allongés à 160ms, QRS fins à 88ms, normoaxés, ST isoélectriques sans signe d'ischémie active, pas d'onde Q pathologique, progression retardée de l'onde R avec transition en V5, QTc 464ms, présence d'extrasystoles ventriculaires monomorphes. CT abdominal du 08.04.2019 : pas d'iléus. Pas de signe de cholécystite. Pas de masse intra-abdominale suspecte. À noter deux diverticules du segment D2 et D3 du duodénum, importante athéromatose mixte molle et calcifiée de l'aorte abdominale et ses branches mais sans sténose significative ainsi qu'un tassement de L2 non présents en mai 2011. Laboratoires : LDL >1.8 mM, HbA1c 5.5%. ECG. CT-cérébral natif le 07.04.2019. IRM cérébrale du 10.04.2019. ETT le 09.04.2019. Holter (sur 72h) posé le 11.04.2019. Consilium neurologie le 08.04.2019. Initiation d'une anti-agrégation par aspirine 100mg. Introduction de l'Atorvastatine 20mg. Selon les résultats du Holter, nous vous laissons le soin d'évaluer l'indication et la balance bénéfice/risque de l'introduction d'une anticoagulation. Laboratoires : annexes. CT cérébral le 11.04.2019 : Pas d'argument pour un accident vasculaire cérébral ischémique ou hémorragique. Lacunes anciennes bithalamiques, à gauche mesurant 5 x 4 mm (sur le plan axial). Elargissement des sillons cérébraux. Elargissement de la fossa sylvii des deux côtés. Polygone de Willis et artères cérébrales perméables jusqu'en distalité, sans sténose, ni occlusion ou anévrisme. Variante anatomique vasculaire avec une origine fœtale de l'artère cérébrale postérieure droite. Opacification conservée des sinus veineux intracrâniens, sans thrombose. Épaississement muqueux et spumeux du sinus maxillaire droit, du sinus sphénoïdal droit et sinus frontal gauche. Épaississement muqueux avec kystes de rétention du sinus maxillaire gauche. Comblement de quelques cellules ethmoïdales. Les oreilles moyennes et les cellules mastoïdes sont libres. Sur les cartes de perfusion : pas d'asymétrie notable. Athéromatose mixte sans sténose significative des artères carotides communes bilatérales, des artères carotides internes dans leurs portions pétreuses et supra-clinoïdiennes, au départ de l'artère vertébrale droite, de la crosse aortique, ainsi que du départ du tronc brachio-céphalique et des artères sous-clavières. Pas de lésion suspecte dans la filière pharyngo-laryngée. Pas d'adénopathie cervicale. Pas de lésion suspecte dans le parenchyme pulmonaire exploré. Troubles dégénératifs du rachis cervical avec unco-discarthrose C3-C6.Electro-encéphalogramme le 13.04.2019: quelques épisodes de crise subclinique à prédominance temporale droite, au cours de l'enregistrement. Pas de modification comportementale à ce moment-là. Laboratoires: cf annexe Angio-CT des membres inférieurs le 12.04.2019: perméabilité du stent dans l'artère iliaque externe gauche. Status post plastie d'élargissement de l'AFC gauche, perméable. Aspect inchangé d'une occlusion de l'artère fémorale superficielle proximale sur un segment d'environ 9 cm. On retrouve une sténose courte serrée sur plaque mixte de l'artère fémorale superficielle distale au niveau du canal de Hunter ainsi qu'une sténose focale de l'artère poplitée supra-géniculée par une plaque calcifiée. Laboratoires: cf annexe Coronarographie le 13.04.2019: l'examen invasif en urgence démontre une maladie coronarienne sans lésion significative. L'aortographie ne montre pas une dissection mais une valve aortique calcifiée et serrée avec une insuffisance modérée. Le gradient moyen transvalvulaire est à 31 mmHg, correspondant à une sténose aortique modérée à sévère. Angio-CT scan thoracique le 13.04.2019: athéromatose calcifiée de l'aorte thoracique et du départ des troncs supra-aortiques. L'artère vertébrale gauche prend son départ directement depuis la crosse aortique et semble hypoplasique. Calcifications de la valve aortique et des artères coronaires. Pas d'embolie pulmonaire jusqu'en sous-segmentaire. Dilatation du tronc pulmonaire à 31 mm. Pas d'adénopathie ou de masse médiastino-hilaire. L'œsophage se présente normalement. Hernie hiatale par glissement. La thyroïde est sans particularité. Status post mise en place d'un pacemaker pré-pectoral droit. Pas d'adénopathie axillaire. Le tissu mammaire analysé se présente normalement. Au sein du parenchyme pulmonaire, pas de nodule suspect mis en évidence. Dystélectasie du lobe moyen, du segment lingulaire et du lobe inférieur gauche. Sur les quelques coupes passant par les structures infra diaphragmatique, pas de lésion suspecte visible. Calcifications du parenchyme pancréatique et rate accessoire. Sur le volume osseux exploré, pas de lésion ostéolytique ou ostéo-condensante visible. Remaniements dégénératifs pluri-étagés du rachis. DISH dorsal. Echocardiographie transthoracique le 14.04.2019: ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Débit cardiaque dans les limites de la normale calculé à 5,13 l/min avec un index cardiaque à 2,7 l/min/m² (109 % de la théorique). Aorte normale. Rétrécissement aortique non serré calcifié, d'origine dégénératif. Surface aortique par planimétrie à 1,2 cm² (0,63 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 19 mmHg. Insuffisance aortique sévère (grade 3/3), d'origine dégénérative. Valve mitrale normale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche modérément dilatée. Discrète dilatation du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit normale. Cavités droites discrètement dilatées. HTAP minime (PAPs à 37 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. L'examen montre une valve aortique dégénérée induisant une sténose modérée et, en raison d'une inversion du flux protodiastolique au niveau de l'aorte thoracique descendante, vraisemblablement une insuffisance sévère qui ne peut pas être quantifiée par des méthodes standard en raison de son excentricité (vers le FMA, PHT et PISA impossibles à quantifier lors de l'examen du jour). Le VG n'est pas dilaté. Un bilan en ambulatoire s'impose (IRM, ETO ?). Laboratoires: cf. annexes. ECG du 29.03.2019: rythme sinusal régulier normocarde à 59/min, PQ 160 ms, QRS fins à 90 ms, axe normal à -20°, transition de l'onde R en V3, pas d'onde Q significative, pas de trouble de la repolarisation, QTc 400 ms. RX du bassin le 29.03.2019: Pas de fracture décelée. Remaniements dégénératifs des articulations sacro-iliaques. Les articulations coxo-fémorales se présentent normalement. Calcification en sur-projection du sacrum para-médiane droite (DD: myome utérin calcifié ?). Laboratoires: cf. annexes. Gazométrie artérielle (22.03.19) sous FiO2 60 %: pH 7.35, bic 18, pO2 17 kPa, pCO2 4.6, SO2 98 %, lactate 2.5. ECG du 22.03.2019: rythme sinusal régulier tachycarde 108/min, PQ 170 ms, QRS fins à 70 ms, axe normal à -20°, transition de l'onde R non interprétable, pas d'onde Q significative, pas de trouble de la repolarisation, QTc 480 ms. RX du thorax (22.03.19): Signes de surcharge avec épaississement bronchique, flou périhilaire et possible petit épanchement pleural ddc. Infiltrats bibasaux devant correspondre à des foyers. Tube du trachéostoma. Calcifications de la crosse aortique. Laboratoires: cf. annexes. RX épaule gauche le 25.03.2019: Interruption de la corticale du tubercule majeur devant correspondre à une fracture non déplacée. Omarthrose et arthrose acromio-claviculaire. Discrète tuméfaction des parties molles. CT cérébral natif le 25.03.2019: Absence d'argument pour un nouveau AVC ischémique constitué ou hémorragique. Lésions ischémiques séquellaires multiples. IRM neurocrâne native le 26.03.2019: Lésion ischémique aiguë punctiforme du tegmentum pontique à droite. Occlusion de l'artère carotide interne gauche avec une perfusion des artères cérébrales antérieure et moyenne à gauche assurée par les artères communicantes. Multiples microbleeds de l'hémisphère droit et multiples petites lésions séquellaires sous-corticales et pontiques pouvant être en rapport avec une microangiopathie hypertensive. Duplex des vaisseaux précérébraux le 28.03.2019 (Dr. X): Persistance d'une occlusion athéromateuse de l'artère carotide interne gauche dès son départ. Reste des axes vasculaires sans sténose significative. ETT le 01.04.2019 (Dr. X): Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. RX épaule gauche le 01.04.2019: Comparatif du 25.03.2019. Pas de déplacement secondaire. Le reste de l'examen est superposable. Holter sur 36h le 03.04.2019: résultats en attente. Laboratoires: cf annexes. Consilium de psychiatrie le 17.04.2019 (Dr. X): trouble dépressif récurrent, épisode actuel sévère sans symptômes psychotiques et auto-intoxication par des narcotiques et psychodysleptiques. Indication à hospitalisation en milieu psychiatrique fermé.Laboratoires: cf annexes Consilium de psychiatrie le 17.04.2019 (Dr. X): trouble dépressif récurrent, épisode actuel sévère sans symptômes psychotiques et auto-intoxication par des narcotiques et psychodysleptiques. Indication à hospitalisation en milieu psychiatrique fermé. Laboratoires: cf annexes Coronarographie le 08.04.2019: la longue sténose subtotale de l'IVA a été traitée avec 3 stents actifs (2 stents pour l'IVA, un pour la deuxième diagonale) avec un bon résultat immédiat. Parce que l'IVA est la dernière artère et tous les autres territoires sont infarci (évaluation avec IRM avant l'intervention), il a été décidé d'implanter par l'artère fémorale droite un assist device (Impella 2.5). Avec ce support, l'intervention a été bien tolérée. On note quand même à la fin de la procédure une légère décompensation cardiaque à cause d'une hypertension artérielle/insuffisance mitrale. La PTCA de l'IVA a été faite par un accès radial gauche parce que l'artère iliaque interne est occluse chroniquement. Laboratoires: cf annexes Coronarographie le 13.04.2019: l'examen invasif en urgence démontre une maladie coronarienne sans lésion significative. L'aortographie ne montre pas une dissection mais une valve aortique calcifiée et serrée avec une insuffisance modérée. Le gradient moyen transvavluaire est 31 mmHg, correspondant à une sténose aortique modérée à sévère. Laboratoires: cf annexes Coronarographie le 17.03.2019: l'examen invasif du jour démontre une occlusion de l'IVA proximale au niveau de la bifurcation avec la 1ère diagonale que j'ai recanalisée et traitée avec un stent actif de 4ème génération (durée de DAPT réduite). Dysfonction VG systolique. Élévation des pressions VG diastoliques. Echocardiographie du 19.03.19 Laboratoires: cf annexes Coronarographie le 25.04.2019: STEMI subaigu inférieur sur thrombose de stent très tardive sur maladie coronarienne tritronculaire: bon résultat à long terme après stenting de l'IVA proximale/moyenne/distale en 2000/sténose subocclusive de la circonflexe moyenne/occlusion thrombotique in stent de la coronaire droite proximale-moyenne et distale: recanalisation/OCT/PTCA/DES/. Légère dysfonction ventriculaire gauche avec dyskinésie apicale FEVG 50%. L'examen invasif en urgence démontre comme corrélat pour le STEMI inférieur une occlusion thrombotique in stent de la coronaire droite proximale-moyenne et distale. Les stents de l'IVA montrent un excellent résultat à long terme. La circonflexe montre une de novo sténose. Légère dysfonction ventriculaire gauche avec dyskinésie apicale, FEVG 50%. Une recanalisation avec mise en place d'un long stent actif CD proximale-moyenne et distale avec bon résultat final est effectuée. Aspirine à vie et Efient 10 mg/j pour la durée de minimum 1 année, préférablement suivi après une année par 5 mg/j. Echocardiographie transthoracique le 26.04.2019: Ventricule gauche non dilaté avec un anévrysme du septum apical et de la paroi inféro-apicale, une akinésie de la paroi latéro-apicale et de la paroi antéro-apicale, une hypokinésie modérée de la paroi postéro-basale et une hypokinésie minime du septum moyen, de la paroi latérale moyenne et de la paroi inférieure moyenne. FEVG à 50% (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 8 mmHg. Insuffisance aortique légère (grade 1/3). Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche modérément dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Insuffisance tricuspide légère (grade 1/3). IP minime. Absence d'épanchement péricardique. Radiographie du thorax le 30.04.2019: Pas de signe de foyer infectieux, pas d'épanchements, pas de pneumothorax, infiltrat interstitiel diffus. Laboratoires: cf annexes Coronarographie le 26.04.2019: l'examen invasif en urgence démontre une diminution du flux coronarien dans l'IVA et principalement la branche diagonale. L'angiographie démontre un état coronarien stable sans sténose significative. La fonction VG systolique est inchangée avec akinésie inféro-basale. L'arcographie ne démontre pas de dissection. Une imagerie endocoronaire par imagerie OCT démontre une résorption quasi-complète des stents bio-résorbables de l'IVA mais un pont résiduel en regard de la branche diagonale. Dès lors, le diagnostic le plus probable est une embolisation du matériel de dégradation dans la branche diagonale. Il n'y a pas d'occlusion qui justifierait un geste thérapeutique. Suivi enzymatique. Echocardiographie pour exclure signes de surcharge du cœur droit. AngioCT thoracique au besoin. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie. Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois en cas de cinétique positive des bio-marqueurs cardiaques. Laboratoires: cf annexes Coronarographie le 27.04.2019 (Dr. X): Cet examen montre une maladie coronarienne de 3 vaisseaux avec comme lésions coupables une sténose de 70-90% de l'IVA proximale-moyenne, associée à une sténose de 70-90% de la 1ère diagonale (lésion de bifurcation), traitées par PCI/1 DES de l'IVA proximale-moyenne, PCI/1 DES de la 1ère diagonale et kissing balloon final avec un bon résultat. Je propose de traiter les sténoses de l'artère circonflexe dans un mois. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, BB, statine. Laboratoires: cf annexes CT cérébro-cervico-thoraco-abdominal natif et injecté du 28.02.2019: Régression de l'épanchement pleural droit. Majoration de la taille de la rate par rapport au précédent examen. Relative stabilité de la lésion ovoïde du mésentère compatible avec un chlorome au vu du contexte clinique. Chloromes connus dans les deux seins, difficilement évaluables en raison d'une densité élevée du parenchyme mammaire. Echocardiographie transthoracique du 28.02.2019: Dilatation du ventricule gauche (volume télédiastolique 82 ml/m2) avec une hypokinésie globale modérée à sévère, FEVG 30-35% (estimation visuelle). Hypertrophie excentrique. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime. Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche modérément dilatée. Ventricule droit normal. Oreillette droite modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. HTAP minime (PAPs à 46 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. L'examen du jour démontre une cardiopathie dilatative connue avec péjoration de la fonction systolique par rapport de 02/17, actuellement il y a une dysfonction systolique modérée à sévère sans valvulopathies significatives. Rx thorax du 01.03.2019: Status post mise en place d'une VVC jugulaire interne droite se terminant à la jonction cavo-atriale. Pas d'image de pneumothorax ou de pneumo-médiastin. Apparition d'un épanchement pleural de quantité modérée du côté droit. Cardiomégalie sans signe franc de décompensation cardiaque. Le reste de l'examen est superposable. Rx thorax du 10.03.2019: Relative stabilité de l'épanchement pleural droit connu, remontant dans la grande scissure. Pas de franche nouvelle opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. Le reste de l'examen est inchangé. Echocardiographie transthoracique du 11.03.2019: Cardiopathie dilatée avec une fonction systolique modérément diminuée. Présence d'une hypokinésie globale modérée. FEVG modérément diminuée (30-35%). Hypertrophie excentrique. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Insuffisance aortique minime. Excès tissulaire des 2 feuillets mitraux. Insuffisance mitrale légère. Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche.Oreillette gauche très dilatée. Oreillette droite modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. HTAP minime (PAPs à au moins 37 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Commentaire: Cardiopathie dilatée avec une fonction systolique modérément diminuée, stable par rapport à l'examen du 28.02.2019. Insuffisance tricuspide minime stable par rapport au comparatif du 28.02.2019. Absence de masse flottante/mobiles perçues sur les valves cardiaques suspectes pour des végétations/abcès sous réserve d'un examen transthoracique avec une qualité d'image moyenne. Laboratoires: cf annexes CT tissus mous du cou, genou/jambe bilatéral et main/poignet bilatéral le 19.04.19: • Cou : Collection d'allure abcédée intéressant la partie distale rétro-claviculaire du muscle sternocléidomastoïdien droit, mesurant 47 x 30 x 16 mm et contenant des bulles de gaz. Présence d'une seconde collection similaire du muscle subclavier droit de 59 x 17 x 13 mm. Infiltration de la graisse autour des collections et effet compressif sur la veine jugulaire interne droite mais sans thrombose de cette dernière. La veine jugulaire interne gauche est perméable. Importante infiltration athéromateuse mixte du bulbe carotidien gauche, avec subocclusion du départ de l'artère carotide interne gauche. Athéromes calcifiés du bulbe carotidien droit et des siphons carotidiens mais sans sténose significative. Les artères vertébrales sont perméables. Pas de lésion suspecte de la filière pharyngolaryngée ou de la graisse parapharyngée. Petite lésion de 9 mm d'allure kystique entre le lobe thyroïdien gauche et l'isthme devant correspondre à un kyste colloïde. Les glandes salivaires se présentent normalement. Prise de contraste épidurale qui s'étend de C3 à C5, avec effet compressif sur le cordon médullaire (DD : épidurite ? dilatation du plexus veineux ?). Pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante mise en évidence. Arthrose facettaire étagée plus marquée du côté droit. Discret épaississement muqueux des sinus de la face, avec faible quantité de matériel spumeux dans le sinus maxillaire gauche et dans le sinus sphénoïdal gauche. Les coupes intéressant le cerveau, les orbites et les rochers ne montrent pas d'anomalie significative, sous réserve d'un examen non dédié. De même, pas d'anomalie significative sur les coupes passant par les apex pulmonaires et par le médiastin supérieur. • Membres supérieurs : À droite, présence d'une importante tuméfaction avec infiltration de tissus mous du pouce, avec présence d'une petite collection au contact du tendon fléchisseur mesurant 10 x 6 x 8 mm, devant correspondre à un phlegmon. Il y a une importante infiltration péri-articulaire IP pouvant parler pour une arthrite septique. Cette articulation présente également d'importants signes d'arthrose. De même, signes d'arthrose des articulations IPD, avec arthrose érosive du 3ème doigt. À gauche, multiples collections d'allure abcédée intéressant la musculature de l'éminence thénar et de l'éminence hypothénar, la plus volumineuse mesurant 36 x 9 x 17 mm. On visualise également une importante tuméfaction avec œdème de l'ensemble du dos de la main, du poignet, et de l'avant-bras distal, avec multiples fines lames de liquide le long des tendons extenseurs qui présentent un aspect phlegmoneux. Fine lame de liquide au sein du TFCC et de l'articulation radio-ulnaire distale pouvant parler pour une arthrite septique. Importante arthrose de l'articulation IP du pouce et arthrose érosive des articulations IPD du 2ème et du 5ème doigt. Importante rhizarthrose. • Membres inférieurs : À droite, présence d'une importante tuméfaction et œdème sous-cutané de la partie antérieure de la jambe et de la cheville, ainsi que du dos du pied, avec multiples fines collections le long des muscles extenseurs et du muscle tibial antérieur parlant pour une atteinte phlegmoneuse. L'épaisseur maximale des collections est mesurée à 12 mm. Pas d'épanchement articulaire visible. Infiltration athéromateuse de l'artère poplitée et des artères jambières, sans sténose significative. Laboratoires: cf annexes CT-scan abdominal le 11.04.2019: sous réserve d'un examen sous optimal, en raison d'une acquisition trop précoce au temps artériel. Décompensation cardiaque, avec épanchement pleural bilatéral, liquide libre intra-abdominal et anasarque. Épaississement de la paroi vésiculaire dd cholécystite débutante, dd dans le cadre de l'insuffisance cardiaque ou vésicule en semi réplétion à corréler à un ultrason à jeun. Suspicion d'inflammation du caecum et du côlon ascendant (dd : spasme). À noter que le liquide libre au contact de ces derniers peut également être en lien avec la décompensation cardiaque. CT-scan cérébral et thoracique le 12.04.2019: absence d'hémorragie intracrânienne. Sous réserve d'une qualité sous-optimale, les vaisseaux précérébraux, le polygone de Willis et les sinus veineux sont perméables sans lésion sténosante significative. Image de décompensation cardiaque globale avec œdème du poumon. Épanchement pleural droit, globalement superposable au comparatif du 11.04.2019. Us abdominal le 12.04.2019: hépatomégalie à 17 cm. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extrahépatiques. Vésicule biliaire aux parois légèrement épaissies à 4 mm mais alithiasique et sans Murphy échographique. Us abdominal le 13.04.2019: pas de thrombose notable des vaisseaux : tronc porte et veine sus-hépatique. L'étude de l'artère hépatique est sous optimale car le patient ne pouvait pas retenir correctement sa respiration. Épanchement pleural droit. Échocardiographie transthoracique le 11.04.2019: Dilatation importante du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 25 % (méthode de Simpson). Hypertrophie excentrique. Athéromatose de l'aorte descendante de 3 mm d'épaisseur. Valve aortique normale. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Épaississement des deux feuillets mitraux. Il existe un prolapsus des 2 feuillets mitraux, plus marqué au niveau du feuillet postérieur. Insuffisance mitrale importante (grade 3/3) sur prolapsus de valve avec défaut de coaptation. SOR de l'IM à 0,83 cm². Oreillette gauche très dilatée, sans thrombus visible. Auricule gauche de taille importante, libre. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Discrète dilatation du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit visuellement diminuée. Oreillette droite modérément dilatée avec une discrète dilatation du ventricule droit. HTP minime. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3) par dilatation de l'anneau. Minime épanchement péricardique. Bonne tolérance hémodynamique. Échocardiographie transoesophagienne le 12.04.2019: Dilatation importante du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 25 % (méthode de Simpson). Hypertrophie excentrique. Athéromatose de l'aorte descendante de 3 mm d'épaisseur. Valve aortique normale. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Épaississement des deux feuillets mitraux. Il existe un prolapsus des 2 feuillets mitraux, plus marqué au niveau du feuillet postérieur. Insuffisance mitrale importante (grade 3/3) sur prolapsus de valve avec défaut de coaptation. SOR de l'IM à 0,83 cm². Oreillette gauche très dilatée, sans thrombus visible. Auricule gauche de taille importante, libre. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Discrète dilatation du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit visuellement diminuée. Oreillette droite modérément dilatée avec une discrète dilatation du ventricule droit. HTP minime. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3) par dilatation de l'anneau. Minime épanchement péricardique. Bonne tolérance hémodynamique.Coronarographie le 15.04.2019 Laboratoires: cf annexes CT-scan cérébral le 11.04.2019: les cartes fonctionnelles mettent en évidence une très discrète asymétrie frontale en défaveur de la gauche avec diminution du CBF, augmentation du MTT, et conservation du CBV. L'asymétrie est à la limite de la significativité, et n'apparaît pas sur la série calculée tissue classification. Quelques irrégularités athéromateuses des vaisseaux cérébraux et précérébraux, sans sténose ni occlusion. Probable fracture de l'ossification du ligament longitudinal postérieur à hauteur de C5, sans déplacement. IRM rachis cervical le 11.04.2019: calcification marquée du ligament longitudinal postérieur, s'étendant de C4 à C7, provoquant un rétrécissement du canal médullaire, plus particulièrement marqué en C4-C5, sans signe de myélopathie associée. Absence d'hématome intra-canalaire. Laboratoires: cf annexes CT-scan cérébral le 14.04.2019: les cartographies de perfusion témoignent d'une zone de pénombre ischémique dans le territoire de l'AICA droite. Bonne perméabilité du polygone de Willis et absence de sténose significative des vaisseaux pré-cérébraux ou de signe de dissection. Atrophie cérébrale. CT-scan cérébral le 15.04.2019: rapport en cours Echocardiographie transthoracique le 15.04.2019: ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Aorte non dilatée, avec des calcifications peu importantes. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Surface aortique à 2,48 cm² (1,29 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Épaississement léger des 2 feuillets mitraux. Rétrécissement mitral lâche. Gradient moyen OG-VG à 3 mmHg. Surface mitrale estimée à 1,99 cm² par ITV et à 1,49 cm² par PHT. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche modérément dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 28 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoires: cf annexes CT-scan cérébral le 17.04.2019: infarctus chroniques constitués des lésions ischémiques cérébelleuses gauches connues. Discrète asymétrie du MTT en défaveur de la partie médiale du lobe occipital gauche pouvant être en rapport avec l'ancien AVC occipital gauche connu versus une nouvelle lésion ischémique. Il n'est pas possible d'exclure un nouvel AVC cérébelleux gauche et qu'une IRM cérébrale est recommandée. Absence d'hémorragie. Stabilité de l'occlusion de l'artère vertébrale gauche en V2-V3 avec reprise à rétro de la portion V4. IRM cérébrale le 17.04.2019: AVC ischémique aigu cortical punctiforme de la région pariéto-occipitale gauche (territoire de l'artère cérébrale postérieure gauche) ainsi que centimétrique du vermis cérébelleux et de la partie paramédiane du lobe cérébelleux gauche (territoire de la PICA gauche). AVC ischémique subaigu de la partie inférieure de l'uvule du vermis cérébelleux gauche (territoire de la PICA gauche). Pas de transformation hémorragique. Laboratoires: cf annexes CT-scan cérébral natif le 24.04.2019: par rapport aux comparatifs, on retrouve une hypodensité thalamique gauche, correspondant à la séquelle d'AVC du 26 février 2019. Pas d'argument en faveur d'un saignement cérébral. Reste de l'examen superposable au comparatif de mars 2019. Si persistance des symptômes, bilan à compléter par une IRM cérébrale. Laboratoires: cf annexes CT-scan thoracique le 12.04.2019: embolie pulmonaire centrale à cheval sur le tronc pulmonaire s'étendant en aval à l'ensemble des artères lobaires, avec dilatation du ventricule droit, mais sans infarctus parenchymateux. Rate accessoire. Echographie ciblée aux urgences le 12.04.2019 (Dr. X, Dr. X): membres inférieures: image de TVP au niveau du mollet gauche avec mauvaise compression et impression de thrombus intra-vasculaire. Dilatation des cavités droites avec septum paradoxal. Echocardiographie transthoracique du 12.04.2019 (Dr. X): ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de rétrécissement aortique. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Valve mitrale normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Discrète dilatation du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit normale. Oreillette droite non dilatée avec une discrète dilatation du ventricule droit. HTAP minime (PAPs à 44 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Conclusion: l'examen montre une légère dilatation du VD avec une petite hypokinésie de la paroi libre du VD sans pour autant entraver la fonction systolique longitudinale. Il existe une interdépendance ventriculaire à l'inspiration. HTP avec une PAPs à 44 mmHg. Il n'y a donc pas d'argument pour une dysfonction droite majeure. Laboratoires: cf annexes CT-scan thoracique le 23.04.2019: fracture sous-capitale déplacée de l'humérus droit. Hématome de la région pectorale et axillaire droite en rapport avec une lésion traumatique de l'artère axillaire qui présente un saignement actif avec au-delà une interruption du flux. Reprise d'une opacification artérielle à la bifurcation en artère radiale et ulnaire avec défaut d'opacification dans la partie distale de ces deux artères (DD: artéfactuelle sur retard d'arrivée du produit de contraste? Occlusions sur embolisation?). Dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques jusqu'au bas cholédoque (12 mm), sans mise en évidence de lithiase radio-opaque en son sein. Vésicule biliaire distendue à 10,5 x 6,5 cm, contenant une lithiase, présentant des parois fines sans signe de cholécystite.Laboratoires: cf annexes CT-scan thoracique le 27.04.2019 (urgences de Tavel) Laboratoires: cf annexes CT-scan thoraco-abdominal le 10.03.2019: foyer pulmonaire bilatéral avec suspicion de début de nécrose à droite. Plage en verre dépoli bilatéral qui par endroits sont associées à des infiltrats réticulaires des septa interlobulaires, pouvant rentrer dans le contexte d'un ARDS (DD: infection par germe atypique ? Surcharge ?). Épanchements pleuraux bilatéraux modérés. Au niveau abdominal, pas de lésion suspecte mise en évidence. CT-scan thoraco-abdominal le 17.03.2019 • Stabilité globale en taille des multiples foyers pulmonaires bilatéraux dans un contexte d'ARDS avec cependant un aspect de consolidation plus marqué notamment dans le LIG, • Disparition des épanchements pleuraux bilatéraux de petite quantité ; • Retrait de l'intubation orotrachéale, ainsi que de la voie veineuse centrale jugulaire gauche ; • Mise en place d'une sonde naso-duodénale se terminant dans le duodénum D1 • Mise en évidence d'un sub-iléus paralytique grêle et colique, sans signe de souffrance Laboratoires: cf annexes Culture des selles le 11.04.2019 négative Absence de Clostridium difficile le 11.04.2019 Recherche de Norovirus le 12.04.2019 Culture d'urine le 11.04.2019 négative Hémocultures le 11.04.2019: en cours Radiographie du thorax le 11.04.2019: flou péri-hilaire en faveur d'une surcharge. Sclérose de la crosse aortique. Trouble ventilatoire rétro-cardiaque avec discrète image de bronchogramme aérique et condensation effaçant le récessus costo-diaphragmatique gauche évoquant un foyer débutant avec une possible lame d'épanchement surajoutée. Pas d'épanchement à droite. Pas d'autre anomalie du cadre osseux des tissus mous. CT-scan thoraco-abdominal le 11.04.2019: multiples adénopathies médiastinales, axillaires, rétro-péritonéales, iliaques et inguinales, associées à une splénomégalie, en lien avec la leucémie lymphoïde chronique connue. Présence de matériel spontanément dense dans la lumière gastrique, aspécifique (DD: Sang ? Alimentation ?), à corréler à la clinique d'un saignement digestif. Lipome du haut de la cuisse droite de 5 x 3 cm. Sous réserve d'un examen réalisé sans injection de produit de contraste, pas d'argument radiologique pour un foyer infectieux à l'étage thoracique et abdominal. Laboratoires: cf annexes. ECG du 08.03.2019: rythme sinusal régulier à 62/min, QRS fins à 98 ms d'axe -4°, QTc à 441 ms, ST isoélectrique, bonne progression de l'onde R avec transition en V3. Radiographie thorax du 11.03.2019: aspect normal de la silhouette cardio-médiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Minime émoussement du cul-de-sac costo-diaphragmatique à G. Radiographie bassin du 11.03.2019: coxarthrose bilatérale avec condensation sous-chondrale du coin supéro-latéral. Aspect ostéopénique modéré de la trame osseuse. Probable phlébolithe pelvien latéralisé à G. Radiographie colonne lombaire du 11.03.2019: les corps vertébraux sont de hauteur conservée. Aspect ostéopénique de la trame osseuse. Arthrose interfacettaire lombaire basse. Calcifications athéromateuses lombaires basses. Spirométrie du 26.03.2019: CVF 61% du prédit, VEMS 57% du prédit, Tiffeneau 72,4%. Évaluation neuropsychologique du 12-19.03.2019: cf rapport. Laboratoires: cf annexes Echocardiographie transthoracique le 08.04.2019: le ventricule gauche présente une hypokinésie modérée de la paroi antéro-basale et une akinésie des segments restants. FEVG estimée à 40% (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Présence d'un épaississement du feuillet mitral postérieur. Pas de sténose mitrale. PHT mitrale à 190 ms. Le gradient moyen OG-VG est de 3 mmHg. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Oreillette gauche non dilatée. Les cavités droites ne sont pas dilatées. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Insuffisance tricuspide légère (grade 1/3). IP minime. Hypertension pulmonaire avec PAPs estimée à 39 mmHg (Grad OD-VD 34 mmHg + POD estimée à 5 mmHg). Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. L'examen du jour montre une fonction systolique globale modérément diminuée avec une akinésie de tous les segments hormis une hypokinésie modérée du segment antérieur basal et une normokinésie de segments postérieur basal, latéral basal et inférieur basal. Présence d'un épaississement du feuillet mitral postérieur (DD: calcification, endocardite). Nous proposons de suivre le résultat des hémocultures et réévaluer une ETO selon le niveau de suspicion pour une endocardite et l'attitude discutée avec la famille et la patiente. Une coronarographie à la recherche d'une maladie coronarienne à distance de l'épisode infectieux est également à balancer selon l'attitude et projet thérapeutique. Laboratoires: cf annexes Echocardiographie transthoracique le 13.05.2019: ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65% (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. L'aorte est modérément calcifiée. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Valve mitrale normale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche modérément dilatée. Ventricule droit normal. Oreillette droite modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. Absence d'HTAP (PAPs à 30 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique Coronarographie le 13.04.2019: l'examen invasif en urgence démontre une subocclusion d'une petite artère bissectrice et une sténose significative de l'IVA moyenne comme corrélat pour le syndrome coronarien aigu. Après dilatation/recanalisation et implantation de deux stents actifs, le résultat est bon. La fonction systolique est normale. Laboratoires: cf annexes Echocardiographie transthoracique le 17.04.2019: ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55% (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Diminution du débit cardiaque calculé à 3,69 l/min avec un index cardiaque à 1,69 l/min/m² (66% de la théorique). Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Insuffisance mitrale moyenne (grade 3/4) sur prolapsus de valve. SOR de l'IM à 0,44 cm². Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit normal. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Minime épanchement péricardique. L'examen du jour montre une fonction contractile segmentaire et globale conservée. Présence d'une insuffisance mitrale sévère (grade 3/3) sur prolapsus du feuillet postérieur de la valve mitrale. Hypertension pulmonaire sévère avec pression artérielle pulmonaire systolique estimée à 80 mmHg. Ad hospitalisation et monitoring aux SI. Arrêt des BB et amiodarone. Ad Isoprénaline +/- PM endoveineux. Ad ETO demain. Echocardiographie transthoracique le 18.04.2019: ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70% (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit non dilaté. Fonction systolique du ventricule droit normale. Oreillette droite modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. HTAP modérée (PAPs à 44 mmHg). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Absence de valvulopathie significative. LV non dilaté, hypertrophié. Les insuffisances des valves atrio-ventriculaires à l'examen d'aujourd'hui sont de degré léger. Probable insuffisance plus importante fonctionnelle lors de l'examen d'hier en raison des paramètres hémodynamiques (bradycardie, élévation des pressions de remplissage VG).Rx thorax F/P 23.04.2019 : Status post-mise en place d'un pacemaker bicaméral pré-pectoral gauche avec sonde correctement reliée au boîtier. Pas d'image de pneumothorax. On retrouve les opacités des deux champs pulmonaires globalement stables avec redistribution vasculaire apicale. Reste de l'examen inchangé. US abdominale 24.04.19 Pas d'hépatosplénomégalie. Vésicule biliaire lithiasique mais sans signes de cholécystite. Discrète atrophie corticale rénale ddc, à confronter à la clinique. Le reste de l'examen est dans la norme. Laboratoires : cf annexes Radiographie du thorax le 11.04.2019 : flou péri-hilaire en faveur d'une surcharge. Sclérose de la crosse aortique. Trouble ventilatoire rétro-cardiaque avec discrète image de bronchogramme aérique et condensation effaçant le récessus costo-diaphragmatique gauche évoquant un foyer débutant avec une possible lame d'épanchement surajoutée. Pas d'épanchement à droite. Pas d'autre anomalie du cadre osseux des tissus mous. CT-scan thoraco-abdominal le 11.04.2019 : multiples adénopathies médiastinales, axillaires, rétro-péritonéales, iliaques et inguinales, associées à une splénomégalie, en lien avec la leucémie lymphoïde chronique connue. Présence de matériel spontanément dense dans la lumière gastrique, aspécifique (dd : Sang ? Alimentation ?), à corréler à la clinique d'un saignement digestif. Lipome du haut de la cuisse droite de 5x3cm. Sous réserve d'un examen réalisé sans injection de produit de contraste, pas d'argument radiologique pour un foyer infectieux à l'étage thoracique et abdominal. Laboratoires : cf annexes Radiographie du thorax le 12.04.2019 : Pas de signe de décompensation cardiaque. Absence d'opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Structures osseuses sans particularité. Rx bassin + hanche axiale gauche du 17.04.2019 : St/p mise en place d'une PTH gauche. Absence de fracture péri-prothétique ou d'autre complication immédiate. Emphysème des parties molles du membre inférieur gauche, post-opératoire. St/p mise en place d'une sonde vésicale. Rx thorax le 17.04.2019 : Index cardiothoracique dans la norme. Présence de multiples opacités des 2 hémi-champs pulmonaires, en périhilaire - base droite ainsi qu'en rétrocardiaque en base gauche, compatibles avec des foyers de pneumonie. Absence d'épanchement pleural. Discopathie pluri-étagée avec DISH dorsale. Echocardiographie transthoracique le 17.04.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Diminution du débit cardiaque calculé à 3,69 l/min avec un index cardiaque à 1,69 l/min/m² (66% de la théorique). Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Insuffisance mitrale moyenne (grade 3/4) sur prolapsus de valve. SOR de l'IM à 0,44 cm². Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit normal. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Minime épanchement péricardique. L'examen du jour montre une fonction contractile segmentaire et globale conservée. Présence d'une insuffisance mitrale sévère (grade 3/3) sur prolapsus du feuillet postérieur de la valve mitrale. Hypertension pulmonaire sévère avec pression artérielle pulmonaire systolique estimée à 80 mmHg. Echocardiographie transthoracique le 18.04.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit non dilaté. Fonction systolique du ventricule droit normale. Oreillette droite modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. HTAP modérée (PAPs à 44 mmHg). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Absence de valvulopathie significative. LV non dilaté, hypertrophié. Les insuffisances des valves atrio-ventriculaires à l'examen d'aujourd'hui sont de degré léger. Probable insuffisance plus importante fonctionnelle lors de l'examen précédent en raison des paramètres hémodynamiques (bradycardie, élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche). Echographie abdominale du 24.04.2019 : Pas d'hépatosplénomégalie. Vésicule biliaire lithiasique mais sans signes de cholécystite. Discrète atrophie corticale rénale bilatérale. Le reste de l'examen est dans la norme. Laboratoires (cf annexes) Rx thorax le 20.04.19 : Absence d'argument en faveur d'un foyer pulmonaire constitué. Le reste de l'examen est superposable au comparatif. Laboratoires : cf annexes Rx thorax le 20.04.2019 : status après sternotomie pour pontages coronariens. Sclérose de l'arc aortique. Silhouette cardiaque à la limite supérieure de la norme. Pas de signe de décompensation cardiaque. Absence d'opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Discopathie pluri-étagée du rachis dorsal. Arthrose acromio-claviculaire bilatérale. US abdominal le 23.04.2019 : foie aux contours légèrement bosselés dont l'aspect peut être compatible avec une cirrhose. Flux porte très ralenti et absent par endroits, parlant pour une hypertension portale sans qu'une thrombose porte ne soit totalement exclue. Faible quantité d'ascite péri-hépatique et péri-splénique. Les reins sont normaux, sans dilatation du système excréteur. Echocardiographie transthoracique le 23.04.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 20 % (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Oreillette gauche très dilatée. Dilatation importante du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit très altérée. Dilatation importante du ventricule droit. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique.laboratoires: cf annexes RX thorax 20.04.2019 Flou péri-hilaire et infiltrats pulmonaires bilatéraux à prédominance centrale témoignant d'une surcharge. Absence d'opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. Pas de franc épanchement pleural, sous réserve de la position couchée. Structures osseuses sans particularité. US cardiaque transoesophagien du 20.04.2019: cardioversion spontanée en rythme sinusal pendant l'examen d'échographie transoesophagienne. Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. D-shaping systolo-diastolique avec mouvement paradoxal du septum interventriculaire. Aorte normale non dilatée sans athéromatose. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée, sans thrombus visible. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Ventricule droit formellement non dilaté (PLAX 26 mm, proximal RVOT 27mm, anneau tricuspidien 26 mm, VD basal 26mm) mais rapport VD/VG visuellement à 1 avec D-shaping du VG. Fonction systolique du ventricule droit normale. Oreillette droite non dilatée. HTP minime (PAPs à 37 mmHg). VCI se collabe en inspiration en faveur d'une hypovolémie. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Minime épanchement péricardique infracentimétrique localisé en postérieur et en apical du VD sans répercussion hémodynamique. Epanchement pleural gauche minime. Laboratoires de contrôle • 15.03.2019: Hb 83 g/l hypochrome, microcytaire avec thrombocytose dans un contexte tumoral, Transferrin 1,5 g/l, Saturation transferrine 17,1 %, Réticulocyte 115 G/L, VitB12 et acide folique dans la norme, Fer 6,4 uM Laboratoires du 13.04.2019 à pister Laboratoires en annexe Echocardiographie transthoracique le 12.04.2019: dilatation importante du ventricule gauche avec une hypokinésie globale modérée. FEVG à 20 % (évaluation visuelle). Fonction systolique globale stable par rapport au comparatif. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3) par dilatation annulaire. Oreillette gauche modérément dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Contrôle du défibrillateur le 12.04.2019: marque et modèle : Arythmies enregistrées : épisode de FA: patient actuellement en FA rapide. L'arythmie semble avoir débuté après la série de chocs. Choc délivré : 7 chocs inappropriés sur la détection de bruit de la sonde ventriculaire. Chocs inappropriés sur sonde ventriculaire du défibrillateur abîmé. Défibrillateur désactivé. Radiographie du thorax le 12.04.2019: examen réalisé en position couchée. Cardiomégalie. Flou périhilaire bilatéral associé à des infiltrats réticulaires et à des opacités alvéolaires bilatérales compatibles avec des signes de surcharge. Pacemaker et défibrillateur en position inchangée. ETT du 15.04.2019 (après changement des sondes): dilatation importante du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 20 % (évaluation visuelle). Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/3) avec vena contracta à 5 mm. Oreillette gauche discrètement dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du VD est normale. Insuffisance tricuspide légère (grade 1/3) avec jet excentrique. IP minime. HTP avec PAPs à 42 mmHg (Grad OD-VD à + POD estimée à 5 mmHg). Absence d'épanchement péricardique. Contrôle du défibrillateur le 15.04.2019: le défibrillateur fonctionne de manière satisfaisante. Prochain contrôle dans un mois. Consilium angiologie avec US MSG le 15.04.2019: TVS secondaire de la veine céphalique de l'avant-bras G, post ponction, chez un patient hospitalisé, jusqu'au ras de la veine perforante du pli du coude, sans TVP associée. Hors CI, nous proposons une anticoagulation à dose prophylactique pendant la durée de l'hospitalisation. Un contrôle est préconisé avant la sortie d'hospitalisation. En cas d'hospitalisation inférieure à 10 j, la prophylaxie antithrombotique serait poursuivie pour 10 jours au total et nous pourrions le voir en ambulatoire pour suivi (merci alors d'agender un rdv). Laboratoires et gazométrie : cf copies annexées. ECG du 29.03.2019 : rythme sinusal régulier normocarde, PR 180ms, QTc 420ms, QRS fins normoaxés, microvoltages aux précordiales, ST isoélectrique, pas de troubles de repolarisation, ondes Q pathologiques en inférieur. RX thorax du 29.03.2019 : en position assise, inspirium médiocre avec tassement du parenchyme pulmonaire aux bases, surélévation des coupoles diaphragmatiques limitant l'analyse des bases et du rétrocarde. Pas d'évidence de foyer systématisé ou de bronchogramme aérique. Etalement de la silhouette cardiaque. Sclérose aortique. Pas de signe de décompensation. US abdominale du 29.03.2019 : examen difficile : foie de siège sous-costal. Dans les limites de l'US, pas d'anomalie hépatique. Foie exploré partiellement. Pas de dilatation des voies biliaires. Pas de lésion focale hépatique dans les limites de l'US. Le pancréas, exploré partiellement au niveau de sa partie céphalique, paraît d'aspect normal. La rate et les reins sont d'aspect normal. Pas de liquide libre intrapéritonéal. Laboratoires et spot urinaire Substitution Mg iv Substitution K per os NaCl en hydratation Suivi biologique Laboratoires (gazométrie artérielle) Suivi pneumologique: Capnographie nocturne du 17-18.04.2019: PaCO2 moyenne = 5.6 kPa Polygraphie nocturne du 17-18.04.2019: 20 apnées/nuit Capnographie et polygraphie nocturnes sans VNI du 18-19.04.2019: hypercapnie à 8.1 kPa, nécessité d'utiliser la VNI chaque nuit selon les pneumologues. Oxygénothérapie aux lunettes VNI diurne dès le 12.04.2019 VNI nocturne dès le 12.04.2019 VNI nocturne pour domicile (demande en cours) Co-amoxicilline i.v. du 11.04.2019 au 15.04.2019 Co-amoxicilline p.o. du 16.04.2019 au 17.04.2019 N-Acétyl-cystéine du 13.04.2019 au ____ Diminuer débit O2 aux lunettes et à VNI nocturne Laboratoires, spot, sédiment urinaire, prélèvements microbiologiques : cf copies annexées. ECG du 04.04.2019 : rythme sinusal régulier à 69 battements par minute. Rythme électro-entraîné à stimulation ventriculaire. Repolarisation non interprétable. RX thorax du 04.04.2019 : cardiomégalie modérée en tenant compte d'une mauvaise incidence. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Status après mise en place d'un pacemaker bicaméral en position pectorale gauche. Attitude scoliotique dorsale sinistro-convexe, probablement positionnelle. Tests de la cognition du 09.04.2019 : MMS à 13/30, test de la montre à 2/7. Laboratoires Uricémie Antalgie Laboratoire Sang occulte dans les selles: 1/3 prélevé: négatif Laxoberon Primperan/Ondansetron Motilium avant repas Pantozol puis Esoméprazole Attitude: • rediscuter gastroscopie à distance selon évolution • Metamucil, conseil hygiène de vie pour améliorer le transit Laboratoires Bilan cardiomyopathie dilatée dans la norme Echocardiographie transthoracique le 09.04.2019 (Dr. X/Dr. X) Coronarographie le 10.04.2019 (Dr. X) IRM cardiaque Tiefenau à Berne le 15.04.2019 Avis cardiologique (Dr. X): Traitement médicamenteux optimal avec Entresto (36h post-IECA), ad Aldactone et Plavix. Suivi cardiologique ambulatoire avec pose de défibrillateur à distance.Metoprolol dès le 11.04.2019 puis majoration dès le 16.04.2019 puis le 18.04.2019 Lisinopril du 10.04.2019 au 16.04.2019 Entresto dès le 18.04.2019 Aldactone dès le 16.04.2019 Plavix dès le 17.04.2019 Suivi volémie Réadaptation cardio-vasculaire stationnaire à Billens demandée Laboratoires Bilan cardiomyopathie dilatée dans la norme Furosemide i.v. le 09.04.2019 Torasemide i.v. dès le 10.09.2019 Laboratoire Scanner abdominal Laboratoires ECG: rythme sinusal normocarde CT abdominal le 08.04.2019: pas de calculs biliaires ni de dilatation des voies biliaires Interruption du traitement de cordarone le 09.04.19 Prévoir contrôle des tests hépatiques à distance Laboratoires ECG Radiographie du thorax du 06.04.19 Furosémide i.v. du 06.04.2019 au 11.04.19 Furosémide i.v. continu du 12.04.2019 au 15.04.2019 Relais Torasémide p.o. dès le 15.04.2019 Réhabilitation gériatrique à Riaz dès le 17.04.2019 Laboratoires ECG US par urgentiste (Dr. X) : pas d'ascite Radiographie de thorax Rifaximine dès le 06.04.2019 Duphalac 2 x 20 ml d'office et en réserve Switch de béta-bloquant en faveur du Propranolol 2 x 10 mg Attitude : • Adaptation du traitement laxatif pour 3 selles /jour • OGD à prévoir en mai 2019 selon recommandations gastro-entérologiques précédentes pour suivi des varices oesophagiennes Laboratoire Sédiment et Spot urinaire, le 19.04.2019 Restriction hydrique Laboratoire. Sédiment urinaire : leucocytes 21-40/champ, pas d'érythrocyte, flore bactérienne +. Uro-CT + CT thoraco-abdominal (avancé en accord avec oncologue) : absence d'urolithiase et de dilatation pyélocalicielle gauche. Progression tumorale sur le plan osseux. Pas de lésion intra-abdominale suspecte ni pulmonaire. Laboratoire. Sédiment urinaire : 21-40 leucocytes par champs. Urotube : 10E6 E.Coli multisensible. ECG : rythme sinusal régulier, normocarde à 95 bpm, axe gauche à -36°, segment ST isoélectrique, ondes T négatives concordantes dans les ondes précordiales, transition de l'onde R retardée en V5, QTc calculé à 456 ms. RX thorax du 23.04.2019 : pas d'anomalie visible en projection du parenchyme pulmonaire. Aorte déroulée et calcifiée. Probables calcifications des parois des prothèses mammaires à confronter aux antécédents de la patiente. Pas d'épanchement pleural décelable. US abdominal du 24.04.2019 : ascite de moyenne abondance avec hétérogénéité du parenchyme hépatique. Le tronc porte est perméable. La vésicule biliaire est lithiasique. Hydronéphrose à droite. Un complément par un CT-scanner abdominal reste indiqué à distance pour une meilleure caractérisation lésionnelle. CT scan thoraco-abdominal du 25.04.2019 : masse ovarienne gauche avec sténose de la jonction recto-sigmoïdienne sévère et dilatation du tractus digestif en amont avec dilatation du colon à 6.5 cm. Épanchements pleuraux bilatéraux D>G avec micronodules et verre dépoli (DD : sur foyer d'aspiration, sur métastases). Lésion hépatique d'allure métastatique. RX thorax du 25.04.2019 : status post-mise en place d'une sonde nasogastrique. On trouve la distension des anses grêles de façon diffuse et bilatérale avec hyperclarté diffuse mixte iléale et jéjunale. Pas de signe de pneumopathie d'aspiration. Pas d'épanchement pleural. Laboratoire. Sédiment urinaire. Contrôle clinique et biologique en filière à 24h en raison d'une élévation de la lipase toutefois inférieure à 3x la norme. Critère de reconsultation en urgence expliqués. Laboratoire Sédiment urinaire et urotube • Sondage vésical le 14.03.2019 (1600 mL d'urine), retrait de la sonde le 26.03.2019 avec miction spontanée US vessie le 01.04.2019: rétention asymptomatique de 1000 mL d'urine • nouvelle pose de la sonde vésicale le 01.04.2019 (au long terme) • arrêt Pradif le 02.04.2019 Laboratoire Sédiment urinaire: myoglobinurie Radiographie colonne lombaire/dorsale, le 23.04.2019 Physiothérapie mobilisatrice Laboratoire Sédiment urinaire: propre CT thoraco-abdomino-pelvien le 10.04.2019 IRM colonne totale le 10.04.2019 IRM cérébrale le 12.04.2019 Radiographie dorso-lombaire le 15.04.2019 Avis Team Spine les 10.04.2019 et 11.04.2019 (Dr. X/Dr. X) Avis neurologique le 11.04.2019 (Dr. X/Dr. X) Antalgie avec Oxycontin Ret 10 mg 2x/j et Oxynorm en R Transfert à la Villa St-François le 17.04.2019 Laboratoire Sédiment urinaire Bilan lipidique Introduction Insuline Lantus Enseignement diabétique Bilan ophtalmologique à effectuer en ambulatoire Laboratoire Sédiment urinaire CT abdominal le 31.03.2019 US rénal le 01.04.2019 Avis chirurgical le 31.03.2019 (Dr. X) Rocéphine 2 g iv du 31.03 au 02.04.2019, relais avec Ciproxine 500 mg 2x/j du 03.04 au 09.04.2019 Métronidazole 500 mg iv 3x/j du 31.03 au 02.04.2019, relais p.o. du 03.04 au 09.04.2019 Antiémétiques Antalgie Laboratoire Sédiment urinaire Hémocultures 2 paires (1 sur pac et une en périphérie), le 20.04.2019 Culture d'urine, le 20.04.2019 Rx thorax le 17.04.2018 : Co-Amoxicilline 1 g du 18 au 19.04.2019 Céfépime 2 g IV dès le 20.04.2019 Mis en suspens de Plavix (contexte de thrombocytopénie) Hospitalisation en Médecine Laboratoire Sédiment urinaire Hémocultures Culture d'urine et d'ascite RX de thorax du 01.04.2019 Ceftriaxone 2 g dès le 01.04.2019 Laboratoire. Sédiment urinaire. HGT 6,4 US abdominal : examen difficile car air ++, appendice non visualisé, liquide libre non visualisable, ganglion de 6x10 mm en fosse iliaque droite. CT abdominal : pas de signe d'appendicite. Avis chirurgical (Dr. X). Convocation au secteur ambulatoire des urgences le 24.04 avec contrôle clinico-biologique. Répétition de l'US si péjoration +/- laparo exploratrice selon résultat (pas de répétition du CT). Laboratoire Sédiment urinaire Retour à domicile avec réassurance et antalgie Contrôle chez le gastroentérologue la semaine suivante Laboratoire. Sédiment urinaire. Test de grossesse urinaire: négatif. Avis chirurgical (Dr. X) : ad contrôle clinique et biologique à 48h. US abdominal (Dr. X): appendice non visualisé, pas de liquide libre, pas d'adénopathie, gros cordon de selle Avis gynécologique: kyste ovaire droit avec corps jaune et follicule 18 mm. Traitement antalgique. Rendez-vous en secteur ambulatoire à 48h pour contrôle clinique et biologique avec avis chirurgical (Dr. X). Laboratoire Sédiment urinaire Urotube Hémocultures à froid : en cours Hémocultures à chaud : en cours CT abdominal le 04.04.2019 Avis chirurgical le 04.04.2019 (Dr. X) Co-amoxicilline 2.2 g IV au service des urgences le 04.04.2019 Co-amoxicilline 1g 2x/j du 05.04 au 14.04.2019 Rhinomer, Triofan Laboratoire. Sédiment urinaire. Urotube. Rocéphine 2 g iv 1x/j dès le 23.04.19. Laboratoire Sédiment urinaire 2 paires d'hémocultures en cours Tazobac 4.5 g aux urgences Aux urgences de Fribourg : • Morphine i.v. • Gazométrie CT abdominale: Péritonite stercorale sur probable lâchage de l'anastomose avec pneumopéritoine Prise au bloc opératoire. Laboratoire. Sérologie EBV: négatif. Contrôle F34 dans 48h. Laboratoires Hydratation Traitement diurétique Laboratoire SI persistance évaluer substitution évolution IR Laboratoire Spot urinaire Laboratoire Spot urinaire Laboratoire. Spot urinaire. Laboratoire Spot urinaire à pister en division de médecine Laboratoire. Spot urinaire Fe Urée à 46.3%. Contrôle biologique à 24-48h. Laboratoire Spot urinaire: FeNa à 0.2% Hydratation iv 4L NaCl aux urgences Pose de sonde vésicale aux urgences pour suivi des diurèses Poursuite d'hydratation iv Laboratoire Spot urinaire FENa 23.5 % Hydratation iv NaCl 500 ml Laboratoire Spot urinaire: FeUrée pré-rénale (33%) Laboratoire Spot urinaire Hydratation iv NaCl 0.9% Laboratoire Spot urinaire Hydratation iv NaCl 0.9% Amélioration des valeurs Laboratoire Spot urinaire Hydratation 1500cc sur 24 heures Suivi biologique Laboratoire. Spot urinaire: Na urinaire à 86 mmol/l. Contrôle biologique à 24-48h. Laboratoire Spot urinaire Traitement diurétique et restriction hydrique à 1l par jour Laboratoire Spot urinaire Adaptation des traitements Laboratoire Spot urinaire Arrêt du Thiazide Restriction hydrique à 1000 ml / 24 heures Avis neurologique: changement du traitement de Tégrétol par Trileptal au vu de la suspicion de SIADH médicamenteux Suivi biologique avec amélioration des valeurs Suivi natrémie en ambulatoire Laboratoire Spot urinaire C.f traitement décompensation cardiaque Laboratoire Spot urinaire Hydratation IV du 13.04 au 16.04.2019 Récoltes des urines sur 24 heures le 16.04.2019 Bilan laboratoire d'insuffisance rénale chronique Substitution de Vitamine D 1200 unités / jour pour 3 mois Pister les résultats de la parathormone Contrôle de la Vitamine D à 3 mois Laboratoire Spot urinaire Hydratation IV par Ringer-Lactate 1000 ml par 24 heures (hyperchlorémie) Suivi biologique Laboratoire Spot urinaire Hydratation Suivi biologique Adaptation de la thérapie diurétique Traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 04.03.2019 au 14.03.2019, avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Bilan nutritionnel • Test de la cognition du 04.03.2019 : MMSE à 23/30, test de la montre à 5/7 ; GDS à 5/13 Laboratoires Recherche clostridium 17.04.19: présence, toxine A/B positive Isolation de contact du 17.04.19 au 22.04.19 Flagyl per os dès le 18.04.19, passage iv du 22.04. au 27.04.19 en raison de nausées Hydratation iv initiale Laboratoires Spot urinaire: inversé, pas de protéinurie ou de microhématurie Avis néphrologique (Dr. X): épanchement péricardique probablement pas d'origine urémique Arrêt du Januvia Laboratoire. Status urinaire : sang ++++. Uro-CT le 04.04.2019 : lithiase uretère proximal 3x6x9mm. Avis urologue de garde : transfert au Daler pour ureterorenoscopie le 05.04.2019. Laboratoire. Stix et sédiment. Radiographie du thorax. Attitude : • Retour à domicile avec poursuite du traitement par Tavanic. • Rendez-vous chez le Dr. X dans 48h pour voir l'évolution. Laboratoire Stix et sédiment urinaire : Hémocultures 2 paires à froid : en cours Antigenurie pneumocoque + legionnelle : en cours Radiographie de thorax = Foyer infectieux lobe supérieur droit CO AMOXICILLINE 2.2g IV NaCl 0.9% 2000 ml sur 3 heures CAT : • Isolement contact • Surveillance clinico biologique en médecine • Poursuite antibiothérapie IV • Avis Oncologue traitant le 08/04/19 Laboratoire Stix et sédiment urinaire : Hémocultures 2 paires à froid : en cours Antigenurie pneumocoque + legionnelle : en cours Radiographie de thorax = Foyer infectieux lobe supérieur droit CO AMOXICILLINE 2.2g IV NaCl 0.9% 2000 ml sur 3 heures CAT : • Isolement contact • Surveillance clinico biologique en médecine • Poursuite antibiothérapie IV • Avis Oncologue traitant le 08/04/19 Laboratoire Stix et sédiment urinaire = négatif CT abdominal = Diverticulite descendante non compliquée 2A CEFTRIAXONE 2g IV METRODINAZOLE 500 mg Avis chirurgien = Ok pour transfert chirurgie pour suite de prise en charge CAT : • Transfert chirurgie pour suite de prise Laboratoire Stix et sédiment urinaire = négatif CT Abdominal = Diverticulite 2A visualisée sur la même zone que la diverticulite en automne 2018 CEFTRIAXONE 2g METRODINAZOLE 500 mg IV Avis Chirurgien = ok pour hospitalisation en chirurgie pour suite de prise en charge, boisson libre CAT : • Hospitalisation en chirurgie pour suivi clinico biologique • Poursuite de l'antibiothérapie • Anticoagulation par CLEXANE à discuter pour relais MARCOUMAR Laboratoire Stix et sédiment urinaire Attitude : • Retour à domicile avec traitement symptomatique et suite de prise en charge chez son médecin traitant • Mr. Y doit continuer à prendre les antibiotiques comme prescrit • Explications données à Mr. Y par le médecin dans quelles situations il faudra reconsulter aux urgences. Laboratoire Stix et sédiment urinaire: négatifs Avis gynécologique: Pas d'étiologie gynécologique, ovaires en place. US abdominal: Présence de selles au niveau du flanc droit, pas de liquide libre, appendice non visualisé, jonction iléo caécale non visualisée. Avis Chirurgical: Pas d'indication à une hospitalisation, réévaluation en ambulatoire au secteur ambulatoire des urgences avec bilan biologique +/- renouveler US si cinétique du syndrome inflammatoire en augmentation. Attitude : • Retour à domicile • Réévaluation clinico biologique au secteur ambulatoire des urgences. Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. Aux urgences: Pantozol 40 mg PO, avec bon effet. RAD avec traitement symptomatique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Mme. Y informée des signes qui devraient la pousser à reconsulter. Laboratoire Stix et sédiment urinaire ECG Aux urgences : • Alucol • Paracétamol 1 g • Hydratation i.v Attitude : • Transfert à Riaz pour hospitalisation, surtout dans le contexte de soins impossibles à domicile • Évaluer l'indication à une gastroscopie Laboratoire Stix et sédiment urinaire Gazométrie artérielle: acidose métabolique avec compensation respiratoire, lactates 7.8 ECG: fluttement auriculaire connu avec FC 114 bpm 2 paires d'hémocultures: en cours Frottis pour la grippe: en cours US de débrouillage bedside (Dr. X) CT-scan thoraco-abdominal (Dr. X): (rapport oral): • thoracique: foyer pulmonaire basal droit, dilatation importante de l'OD, reflux veineux dans les veines sus-hépatiques, épaississement des septa inter-lobulaires, épanchement pleural D>G • abdominal: ascite en quantité importante autour du foie descendant jusqu'à la gouttière pariéto colique droite, pas de signes d'iléus, pas de foyer intra-abdominal, foie d'aspect sp Aux urgences : • 2 g de Rocéphine i.v et 500 mg de Klacid i.v • 40 mg de Pantozol i.v Attitude : • Hospitalisation en médecine • Pister les résultats de la microbiologie • Tenir au courant la famille de l'évolution (Isabelle Nager fille 0787920984, Laurent Nager fils 0896710645) Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. RAD avec réassurance. Laboratoire Stix et sédiment urinaire Radiographie de thorax Gazométrie artérielle 2 paires d'hémocultures: en cours Antigènes urinaires Legionelle et pneumocoque: en cours Aux urgences : • 2 g de Rocéphine i.v • 500 mL de remplissage rapide avec NaCl Attitude : • Hospitalisation en médecine • Pister les résultats des antigènes urinaires Laboratoire. Stix et sédiment urinaire Test de grossesse urinaire = négatif US Abdominal = Appendice non visualisable, pas de signe indirect d'appendicite. CT Abdominal = Pas de signe d'appendicite, pas de liquide libre. Attitude : • Retour à domicile • Traitement symptomatique • Conseil d'usage donné à la famille de Mme. Y par le médecin. Laboratoire Stix et sédiment urinaire Urotube Att : • Rocéphine 2g pendant 7 jours, à réévaluer selon clinique • Pister Urotube Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. US de débrouillage bedside (Dr. X) : pas de dilatation pyélo-calicielle, pas de liquide libre. CT-abdominal (Dr. X) : calcul de 3mm au niveau de la vessie, multiples calculs infra-millimétriques au niveau du système caliciel droit et gauche. Pas de dilatation pyélo-calicielle visualisée. Attitude : • Retour à domicile avec traitement antalgique et Pradif. • Mr. Y a reçu le matériel et les explications relatives au filtrage des urines. • Critères de reconsultation expliqués à Mr. Y. Laboratoire. Stix et sédiment. Uro-CT : calcul de 4 mm à la jonction vésico-urétérale gauche, discrète dilatation pyélo-calicielle en amont de 19 mm. calcul de 5 mm dans le système pyélo-calicielle supérieur droit. Attitude sur avis urologique (Dr. X) : • Antalgie et spasmolytiques. • Filtrage des urines avec calcul à conserver pour analyse. • Contrôle chez le Dr. X dans la semaine pour analyse du calcul et suite de prise en charge. Laboratoire Stix/sédiment urinaire Test de grossesse : négatif US abdominal (Dr. X) : appendicite, partie distale non-visualisée (abcès non exclu) Avis chirurgical (Dr. X) : appendicectomie, hospitalisation en chirurgie, AB pré-opératoire Attitude : • Hospitalisation en chirurgie • Rocéphine 2 g iv et metronidazole 500 mg iv pré-opératoire • À jeun • Appendicectomie prévue cette nuit Laboratoire. Stix urinaire. Ciprofloxacine 500 mg 2x par jour pendant 5 jours. Antalgie standard. Consignes de bonne hydratation. Consignes de gravité communiquées au patient qui nécessiteront une reconsultation. Laboratoire Stix/Sédiment Glycémie capillaire Attitude : Traitement symptomatique Recontrôle de la fonction rénale chez le médecin traitant prochainement. Explications données au patient par le médecin. Laboratoire Stix/Sédiment urinaire CT abdominal : iléus iléo-terminal avec saut de calibre au niveau de la fosse iliaque droite, pas d'air, faible quantité de liquide libre, pas de signe de souffrance intestinale Avis chirurgie Dr. X : traitement conservateur, mettre une sonde naso-gastrique, à jeun, hydratation iv, hospitalisation à Tavel, faire une imagerie avec gastrographine ATT : hospitalisation à Tavel Laboratoire. Stix/sédiment urinaire. Ultrason organisé le 17.04.2019 par le médecin traitant. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Antalgie. Laboratoire Stix/Sédiment urinaire Urotube en cours US abdominal (Dr. X) : Dilatation pyélocalicielle D de 13 mm sans visualisation d'une urolithiase, jet urinaire visible uniquement à gauche. Antalgie par Morphine 7 mg, Voltaren 75 mg iv Avis urologique (Dr. X) : hospitalisation pour IRM le 8.4.2019, rappeler le Dr. X après résultat pour PEC urologique. Rocéphine 2 g iv Att : Hospitalisation en urologie IRM (questionnaire de sécurité rempli) le 8.4.2019 Laboratoire Stix/Sédiment urinaire US abdominal (Dr. X) 4.4.19 : vésicule globuleuse multi-lithiasique avec lithiases mobiles, 2 lithiases de 5 mm enclavées dans l'infundibulum, petit épaississement de la paroi vésiculaire avec lame liquidienne dans loge vésiculaire entre contour inférieur hépatique et paroi vésiculaire. Aspect de cholécystite multi-lithiasique sans évidence de lithiase au niveau des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Cholangio IRM (Dr. X) 5.4.19 : cholécystite multi-lithiasique, lithiase infundibulaire associée, pas de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques, présence d'un élément lithiasique intra-cholédocien au-dessus de la terminaison. Petite lame liquidienne sous-hépatique. Avis chirurgie (Dr. X) : hospitalisation pour antalgie et ERCP demain Attitude : Hospitalisation en chirurgie ERCP le 9.4.19 (HFR) Cholecystectomie le 10.4.19 (Dr. X) Laboratoire Stix/sédiment urinaire US de débrouillage (Dr. X/Dr. X) : deux calculs au niveau de la vésicule biliaire, dilatation pyélocalicielle du rein gauche CT abdominal (Dr. X) : Pas d'argument pour une pancréatite, pas de calcul biliaire visualisé Avis chirurgical (Dr. X) SI augmentation des tests hépatiques organiser une cholangio-IRM +/- ERCP US abdominale à la recherche des calculs biliaires Attitude : Hydratation 2500 ml/24h CT abdominal à 48 heures À jeun Laboratoire Stix/Sédiment Attitude : • Traitement symptomatique • Explications données à la patiente par le médecin des signes qui doivent amener à reconsulter : fièvre, douleurs abdominales importantes, nausées/vomissements. Laboratoire. Stix/sédiment. Refus de consultation psychiatrique. Suite de prise en charge psychiatrique ambulatoire avec réintroduction du traitement antidépresseur (non compliance). Suite de prise en charge chez médecin traitant + pister TSH. Laboratoire Stimulation à hydratation per os Laboratoire. Streptotest : négatif. Hémocultures à pister. LCR cultures : pister bactérie. CT-scanner sinus et crâne : pas de sinusite, pas de thrombose intracrânienne. En ORL : Solumedrol 125 mg IV, Augmentin 2.2 g IV. Ponction lombaire (Dr. X) : après désinfection, ponction atraumatique avec aiguille jaune, P ouverture 22 cm H2O, liquide eau de roche, retiré 5 tubes. Surveillance aux urgences pendant la nuit, avec bonne évolution clinique. Attitude : • Retour à domicile avec fébrifuge. • Antibiothérapie par Co-Amoxicilline pour 7 jours. • Contrôle biologique et clinique à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Laboratoire Substitution IV Laboratoire Substitution magnésium intraveineux 2 grammes Substitution par voie orale Laboratoire Substitution PO Laboratoire Substitution add Aldactone le 03.04.2019 Thiazide stop le 03.04.2019 Laboratoire Suite chez le médecin traitant Laboratoire. Suite chez le médecin traitant. Laboratoire Suivi biologique Laboratoire suivi biologique Laboratoire Suivi biologique Substitution PO Laboratoire Suivi clinique Laboratoire. Suivi clinique, contrôle si péjoration. Laboratoire Suivi clinique et biologique Laboratoire Suivi clinique et biologique Neulasta déjà administré dans le cadre du protocole de chimiothérapie Laboratoire Suivi des tests hépatiques Nécessité d'un contrôle des selles avec objectif de 3 selles par jour chez patient connu pour encéphalopathie hépatique Importal en réserve selon selles Laboratoire Suivi hématologique à prévoir Laboratoire. Suivi radiologique par RX thorax. CT thoracique le 11.03.2019. Co-Amoxicilline IV 2.2 g aux urgences, puis 2.2 g IV - 3 x/jour du 11.03 au 18.03.2019. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire Uro-CT du 08.04.2019 : Pas de DPC, pas d'urolithiase Sonde vésicale dès le 08.04.2019 Laboratoire Urotube : non contributif Hémocultures : négatives Radiographie du thorax Rocéphine intraveineux 2 g 1x/j du 23.03.2019 au 30.03.2019 Laboratoire. Surveillance clinique. Amélioration des symptômes après Temesta 1 mg. • Contrôle chez le médecin traitant à 48h. Laboratoire. Taux de lithium : < 0.1 mmol/l. Avis psychiatrique (Dr. X). Attitude : • Hospitalisation en PAFA en psychiatrie à St-Gall à la clinique de Wil, en accord avec la fille de la patiente. Laboratoire Test de grossesse : négatif Frottis plaie : _______ Pas d'hémocultures faites aux urgences (pas d'état fébrile) US (Dr. X) : Infiltration phlegmoneuse des tissus jusqu'au mi-mollets, partie latérale de la plaie. pas abcès. Le long des fascia et tendon péroniens, pas atteinte du tendon d'Achille. CT scan (Dr. X) : Absence de fasciite franche, absence d'air, infiltration le long de fascia avec oedème jusqu'au mollet. Avis Ortho (Dr. X/Dr. X/Dr. X) : DHD sans atteinte osseuse, débridement par ortho aux URG. Suite de PEC à Zug (canton où ses papiers sont déposés) Discussion avec Dr. X : Pas de transfert sur le week-end, contacter gestion flux patient début semaine pour organiser transfert en ambulance. (041 399 46 01) Co-Amoxi 2.2 g IV 3x/j du 27.04.2019 au ______ Att : • Hémocultures à faire si état fébrile • Discuter transfert à Zug lundi Laboratoire Test de grossesse : négatif Frottis plaie Pas d'hémoculture faite au service des urgences (pas d'état fébrile) Ultra-sonographie : infiltration phlegmoneuse des tissus mous. Pas d'abcès. Pas atteinte tendineuse CT-scan du membre inférieur : absence de fasciite franche ou d'ostéite. Infiltration le long de fascia avec oedème jusqu'au mollet Avis Ortho (Dr. X / Dr. X / Dr. X) : dermohypodermite sans atteinte osseuse. Débridement par orthopédistes au service des urgences. Suite de prise en charge à Zoug Co-Amoxicilline 2.2 G IV 3x/j dès le 27.04.2019 Discussion avec Dr. X (CDC Hôpital cantonal de Zoug) : transfert en ambulance dès le 25.04.2019 Transfert à l'hôpital cantonal de Zoug le 30.04.2019 Laboratoire. Test de grossesse négatif. Contrôle clinique à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Critères de reconsultation expliqués. Explication de la nécessité de se protéger en cas de rapports sexuels au vu de la perte d'efficacité de la pilule contraceptive. Laboratoire Toxiques urinaires Anesthésie (Dr. X): IOT et ventilation mécanique ATT: SNG, 1 flacon de charbon actif, transfert aux soins (discuté avec Dr. X) Laboratoire Transfusion: 1 CE le 03.04.2019 Laboratoire Trépanation bilatérale le 13.04.2019 (Dr. X) Surveillance neurologique Laboratoire. Ultrason organisé en ambulatoire avec suite chez médecin traitant ; explications quant à l'attitude données à la fin de consultation par collègue Dr. X en albanais Laboratoire. Ultrason organisé en ambulatoire pour confirmation du diagnostic. souffle cardiaque 2/6 mmHg patient suivi par le cardiologue avec bilan en cours. Laboratoire Urine spot • Hydratation orale 2 litres Laboratoire Urine spot Att: • Hydratation orale 2 litres • Bilan biologique le 13.04.2019 Laboratoire Urine Cultures de selles:____ Avis Gastroentérologie (Dr. X): cultures de selles, contrôle dans 2 jours à la F34, si persistance des symptômes rectosigmoïdoscopie en ambulatoire Avis Chirurgie (Dr. X) • hospitalisation • anuscopie Att: • A JEUN!! • Anuscopie Laboratoire Urines : albuminurie Réhydratation. Suivi chez le médecin traitant. Laboratoire Urines à prélever Laboratoire. Urines. Aux urgences: • Hydratation IV Stimulation à l'hydratation. Laboratoire. Urines: Leucocyturie, bactériurie, microhématurie. Aux urgences: • 2g Rocéphine i.v. (à cause de malentendu - dose donnée avant la prise d'un Urotube). Mme. Y n'a pas pu donner suffisamment d'urine pour un urotube et n'a pas pu attendre la prochaine miction Vu Mme. Y et son mari impatients, U/S des voies urinaires non réalisable aux urgences le 05.04.2019. Ciproxine pour 7 jours. Contrôle biologique et clinique le 06.04.2019 en F34. Prévoir U/S des voies urinaires pour exclure une dilatation. Evaluer Uro CT selon évolution. Mme. Y sera convoquée. Critères de reconsultation médicales expliqués à Mme. Y. Laboratoire Urines n'ont pas pu être prélevées aux urgences Laboratoire. Urines: propres. Avis gynécologique: • probable élongation des ligaments utérins sur la grossesse. Conseil d'usage. Traitement symptomatique. Contrôle clinico-biologique en F34 dans 48h. Laboratoire. Urines propres. Test de grossesse négatif. Echographie abdominale (Dr. X) : appendice semblant être visible en fosse iliaque droite de diamètre à la limite de la norme. Pas de liquide libre. Pas d'adénopathie. Annexe droite sans particularité. Annexe gauche non visualisée. Consilium chirurgical (Dr. X). Consilium gynécologique : pas d'étiologie gynécologique. Echographie endovaginale en gynécologie : pas de torsion de kyste ou d'autre explication gynécologique aux douleurs. Attitude : • Antalgie simple. • Contrôle clinique et biologique au secteur ambulatoire des urgences le 13.04.2019. En cas de persistance des douleurs, proposition du Dr. X d'effectuer un CT abdominal afin d'exclure une appendicite rétro-caecale. Laboratoire. Urines stix et sédiment: négatif. Radiographie du thorax. Streptotest négatif. Voltarène 50 mg et Dafalgan 1 g per os. Hydratation iv 500 ml par NaCl 0.9%. Co-Amoxicilline 1.2 g iv. Résolution de la fièvre et de la tachycardie aux urgences. Attitude : • Hémocultures à pister. • Test HIV à pister. • Majoration de Antibiothérapie Co-Amoxicilline 1g 3x/24h. • Antalgie et traitement antipyrétique. • Contrôle clinique au secteur ambulatoire des urgences à 48h, le patient sera convoqué. • Test HIV à réitérer dans 3 mois. Laboratoire Urines stix et sédiment Rx Thorax Dafalgan 1 g p.o. CT cérébral natif (rapport oral Dr. X): pas d'hémorragie pas de signe d'AVC nouveau. Avis neurologique (Dr. X / Dr. X): Suspicion de AIT/AVC sur embolisation per-coronarographie. Proposition : effectuer un CT scanner injecté incluant les vaisseaux précérébraux et garder le patient pour surveillance neurologique pendant 24h. Avis intensiviste (Dr. X) : Patient stable avec résolution des symptômes confusionnels. DD état confusionnel aigu sur déglobulisation post coronarographie. CT scanner cérébral injecté aurait peu d'impact thérapeutique. Proposition: US abdo à la recherche d'un hématome rétro-péritonéal et hospitalisation en médecine avec contrôle de Hb le 13.04.2019. Attitude discutée avec Dr. X : • contrôle de Hb à 6h • si baisse de Hb -> effectuer un CT natif abdominal pour identifier la source de saignement • Laboratoire le 13.04.2019 • Pas de CT cérébral le 13.04, éventuellement réévaluation de l'indication à IRM Laboratoire Urines Angio CT-cérébral le 31.03.2019 : pas de signe d'AVC, vaisseaux cérébraux et pré-cérébraux bien perfusés US vessie : pas de globe vésical EEG le 31.03.2019 : non pathologique IRM cérébrale le 01.04.2019 : pas de lésion ischémique aiguë Avis neurologique le 31.03.2019 (Dr. X) Avis neurologique le 01.04.2019 (Dr. X / Dr. X) Laboratoire. Urines. ASP. US ciblé (Dr. X): pas de liquide libre. Dilatation pyélocalicielle grade 1 droite. Double J visualisé dans la vessie. Avis urologique (Dr. X) : • rendez-vous le 12.04 pour retrait sonde double J • antalgie à continuer. Laboratoire Urines Attitude : • Hydratation prudente à 500ml/24h • Diminution de la dose de Januvia • Nephrotrans • Suivi fonction rénale et électrolytes le 07.04.2019 Laboratoire Urines Aux urgences: • Hydratation 1000 sur 12h Attitude : • Mise en suspense néphrotoxique (Janumet, Glimepiride, Epril et diminution Pregabaline) • Hydratation IV 500/24h • Stimulation à boire Laboratoire. Urines. Aux urgences, hydratation 500 ml iv. Stimulation hydratation. Contrôle biologique en filière au secteur ambulatoire des urgences à 24h Laboratoire. Urines. Consilium néphrologique. Consilium angiologique. Contrôle chez le médecin traitant le 15.04.2019. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter. Laboratoire. Urines. Contrôle biologique au secteur ambulatoire des urgences à 24h. Laboratoire Urines Coproculture: en cours Aux urgences: • Hydratation p.o. • Potassium effervette • Buscopan p.o. Attitude : • Hydratation p.o. • Traitement symptomatique • Ciproxine 5 jours. En cas de douleurs au talon : Stop Ciproxine et consultation médicale • En cas de persistance, le patient va consulter un médecin en Allemagne et pister les résultats de coprocultures. Le patient n'a pas de médecin traitant. Explications données au patient par le médecin. Laboratoire Urines CT- du 05.04.19: pas de calcul visible pas de dilatation pyélo-calicielle US abdominal 05.04.2019: (Dr. X): pas de calcul visible pas de dilatation pyélo-calicielle Oxycontin, Oxynorme Laboratoire Urines ECG CT cérébral injecté (transmission orale) : possible syndrome de Fhar (calcifications noyaux dentelés et lenticulaires) DD hyperparathyroïdisme, infectieux Sondage urinaire aller-retour: 600ml Aux urgences: • Haldol 6mg po, Haldol 5mg IM, Dormicum IV 3mg, Dormicum 7mg IM Laboratoire Urines ECG CT scan abdominal (Dr. X): Diverticulite au niveau colon descendant avant jonction du colico-sigmoidien. stade IIB H&H (suspicion de perforation couverte) Avis Chirurgical (Dr. X/Dr. X): Ad Rocéphine 2g + Flagyl 500 mg (pas de réaction allergique post-antibiothérapie), hospitalisation pour surveillance CAT : • Hospitalisation chirurgie Laboratoire. Urines. Echographie abdominale ciblée aux urgences (Dr. X, Dr. X) : pas de dilatation pyélocalicielle, pas de dilatation des voies biliaires, pas de liquide libre. Attitude : • Stimulation hydratation. • Remplacement du Lasix par du Torem, à moindre dose. • Adaptation du traitement diabétique (arrêt Metfin et Janumet, remplacé par Jardiance). • Contrôle biologique et adaptation du traitement chez le médecin traitant à 7 jours. Laboratoire Urines Hémoculture à froid:___ Hémoculture à chaud:___ CT abdominal (Dr. X): • petite collection du mésentère sous le site d'appendicectomie Avis chir (Dr. X): • CT abdominal s/p appendicectomie perforée dans la norme ; collection n'explique pas l'inflammation Att: • Hospitalisation pour surveillance, répétition du labo le 05.04 et réévaluation clinique • Proposition des collègues de chirurgie : compléter par une échographie des voies biliaires pour exclure formellement une cholécystite au vu d'un doute sur le Murphy au moment de leur examen Laboratoire. Urines. PCR urinaire (Chlamydia, Gonocoque) : à pister. Avis urologique et examen clinique (Dr. X) : pas de torsion testiculaire. Tarivid 10 jours. US testiculaire (transmission orale Dr. X) : flux artériel des deux côtés, pas d'hypervascularisation, pas de masse, pas d'adénopathie inguinale. Attitude : • Antibiothérapie 10 jours. • Antalgie simple. • Consulte chez le médecin traitant le 08.04.2019 pour contrôle clinique. • Pister les résultats microbiologiques. • Arrêt du traitement antibiotique et consultation médicale en cas de douleurs au tendon achilléen. • Mr. Y est informé des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Laboratoire Urines Suivi biologique Substitution PO Laboratoire. Urines. Test de grossesse négatif. Aux urgences : • Morphine 14 mg iv. • Paracétamol 1g iv. • Buscopan 10 mg po. Attitude : • Retour à domicile avec surveillance, Mr. Y est informé des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. • Poursuivre le traitement en réserve pour les douleurs dans l'attente de sa prochaine consultation en gynécologie. Laboratoire Urines Uricult:____ Hémocultures:____ SV 3 voies en place avec rinçage continu Avis chir: • rinçage manuel aux 4h et rinçage continu • CT abdominal Att: • rinçage manuel aux 4h • CT abdo à la recherche d'une lésion des voies urinaires le 08.04.2019 • Mise en pause du Plavix • Discuter de l'antibiothérapie à l'étage Laboratoire Urines Urotube: à suivre Radiothorax Rocéphine i.v. 2g 26.04.-___ ATT: • Suivi biologique et clinique • Rocéphine empirique Laboratoire Urines Urotube: en cours Attitude: • Piste urotube et suivi clinique, pas de traitement antibiotique d'office Laboratoire. Urines. Urotube. RAD avec contrôle chez le médecin traitant. Laboratoire. Urines. US abdominal (Dr. X) : épaississement des anses intestinales en faveur d'une entérite. Pas de visualisation de l'appendice. Adénopathies abdominales. Attitude : • Contrôle clinico-biologique au secteur ambulatoire des urgences dans 48h. • Traitement symptomatique. • Conseil d'usage. Laboratoire. Urines. U/S abdominale (Dr. X) : pas de liquide libre, aorte non dilatée, parenchyme hépatique inhomogène sans signes de cirrhose, Flux porte hépatopète, voies bilatérale intra-hépatique non dilatées, rein D : kyste du 1/3 supérieur Bosniak II, pas de dilatation pyélocalicielle, rein G dans la norme. Absence de lésions focales de la vessie. Lésion inguinale G adjacente aux vaisseaux iliaques, encapsulée, à contenu anéchogène sans signal Doppler avec à l'intérieur une composante solide sans signal Doppler non mobile et indolore à la palpation sonographique. Aux urgences: Freka Kliss. Réassurance. Traitement symptomatique. Contrôle clinique en F34 le 21.04.2019 et évaluation d'une imagerie. cf. synthèse. Mme. Y sera convoquée. Laboratoire. Urines. US ciblé au lit du patient des urgences (résultat cf infra). US abdominal (Dr. X): 2 calculs présents dans la vésicule, jusqu'à 2 cm dans le fundus, dilatation de la vésicule avec épaississement de la paroi de la vésicule à 38 mm. Pas de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Cholédoque et Wirsung difficilement visualisés au vu des anses coliques. Pas de dilatation pyélo-calicielle. Avis chir (Dr. X/Dr. X): retour à domicile avec antalgie, prévoir contrôle au secteur ambulatoire des urgences dans 24h clinique et biologique avec reprise de contact avec chirurgien de garde. Laboratoire. Urines. U/S ciblé (Dr. X/Dr. X): pas de liquide libre. Pas d'air libre. Pas de dilatation pyélocalicielle. Stéatose hépatique. Pantozol 80 mg iv avec excellente réponse clinique. Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine suivante. Colono +/- OGD en ambulatoire prévu. Mr. Y sera convoqué. Pantozol double dose. Les explications ont été données par écrit à Mr. Y pour pouvoir les traduire par son ami qui n'était malheureusement pas joignable. Laboratoire Urines U/S ciblé (Dr. X): Pas de liquide libre. Dilatation pyélocalicielle grade 1 droite. Rein gauche mal visualisé. Hypertrophie de la paroi de la vessie. Sonde vésicale en place. Aux urgences: • Voltarène, Dafalgan, 6 mg Morphine i.v. Avis urologique: • prise en charge pour antalgie US abdominal (Dr. X): • pas de dilatation des voies urinaires par rapport au comparatif. Double J en place à droite. Att: • hospitalisation pour antalgie. Laboratoire Urines U/S ciblé (Dr. X): Pas de liquide libre. Dilatation pyélocalicielle grade 1 droite. Rein gauche mal visualisé. Hypertrophie de la paroi de la vessie. Sonde vésicale en place. Aux urgences: • Voltarène, Dafalgan, 6 mg Morphine i.v. Avis urologique: • prise en charge pour antalgie US abdominal (Dr. X): • pas de dilatation des voies urinaires par rapport au comparatif. Double J en place à droite. Att: • hospitalisation pour antalgie. Laboratoire. Urotube en cours. Rocéphine 2 g IV. Ciprofloxacin 500 mg per os. Contrôle chez son médecin traitant. Laboratoire. Urotube, hémocultures. Culture de selles. ECG. Hydratation aux urgences. Rocéphine 2 g iv et Flagyl 500 mg iv - 3 x/jour du 26.03 au 28.03.2019, relayée par Vancomycine per os 125 mg - 4 x/jour pour 10 jours. Laboratoire. Urotube. Hémocultures le 5.04.2019 : 2/4 positives pour E. Coli. Uro-CT scan le 05.04.2019. Hydratation Antibiothérapie par : • Pipéracilline-tazobactam 4,5 g 3 x/j du 5.04.2019 au 07.04.2019 • Rocéphine iv du 07.04 2019 au 08.04.2019 • Ciproxine per os du 08.04.2019 au 18.04.2019. Laboratoire. US abdomen le 8.04.2019. Suivi biologique. Laboratoire. US abdomen supérieur (transmission orale Dr. X): Pas de dilatation des voies biliaires. Pas de lithiase mais cholédoque distal non visualisé. Foie sans particularité, voies portes et hépatiques perméables. Collection ombilicale anéchogène, pas de signes d'abcès, compatible avec sérome post-opération. Avis Chirurgical (Dr. X): DD passage de calcul biliaire, à contrôler à 24h. Contrôle clinique et biologique à 24h en filière 34, contacter le chirurgien de garde pour discussion du cas. Laboratoire US abdomen supérieur (transmission orale Dr. X): Pas de dilatation des voies biliaires. Pas de lithiase mais cholédoque distal non visualisé. Foie sans particularité, voies porte et hépatiques perméables. Collection ombilicale anéchogène, pas de signes d'abcès, compatible avec sérome post-op. Avis chir. (Dr. X): DD passage de calcul biliaire, à contrôler à 24h Attitude: • RAD avec contrôle clinique et biologique à 24h en filière 34, contacter le chirurgien de garde pour discussion du casUS Abdominal = Appendicite de 7 mm hypervascularisée non compliquée CEFTRIAXONE 2g IV Avis Chirurgien = Prise en charge chirurgicale ce jour CAT : • Prise en charge chirurgicale • Suite de prise en charge par chirurgie Laboratoire US abdominal (Dr. X) : Paroi de la vésicule épaissie à 5 mm, multiples lithiases intravésiculaires, pas de dilatation des voies biliaires, signe d'hépatomégalie avec stéatose Aux urgences : Mo 3 mg iv Paracetamol 1g Avis chirurgical (Dr. X / Dr. X) : hospitalisation en chirurgie pour traitement conservateur, Rocephine/Metronidazol. Att : • Antibiothérapie prophylactique par Rocephine 2g /24h iv, Metronidazol 500 mg iv 3x/24h • Antalgie • Suivi clinique Laboratoire US abdominal supérieur le 13.03.2019 CT abdominal le 13.03.2019 Biopsie trans-jugulaire le 14.03.2019 (Dr. X) Biopsie lésion colonne lombaire le 26.03.2019 (Dr. X) Présentation tumorboard mercredi 27.03.2019 Avis oncologique (Dr. X) Soins palliatifs ATT : • Voltigo • Consultation chez le Dr. X le 11.04.2019 à 14h45 Laboratoire US aux urgences (Dr. X) : pas de quantité de liquide suffisante pour ponction d'ascite Dafalgan 1000 mg, Morphine 2 mg Att : Hospitalisation en médecine interne pour avancer bilan • Add +/- PET CT • Allo gastroentérologue pour avancer l'intervention (OGD ou Endosono ?) prévue le 17.4.19 • Antalgie de 1er palier Laboratoire US hépato-biliaire le 15.04.2019 : (rapport oral) pas de dilatation des voies biliaires, légère stéatose hépatique, micro-calcifications dans le segment VIII aspécifiques (DD granulome calcifié, hémangiome calcifié) Suivi biologique et réalisation des sérologies des hépatites à distance Laboratoire US mammaire. Ponction du sein gauche. Antibiothérapie. Laboratoire US Testiculaire = Hypoperfusion du testicule gauche en faveur d'une torsion avec enroulement de l'épidydime Détorsion gauche et orchidopexie bilatérale le 25.04.2019 Laboratoire US vaisseaux précérébraux le 16.04.2019 (Dr. X) : occlusion complète au départ de la carotide interne à gauche ainsi qu'une sténose à environ 90 % de la carotide interne droite. Angio CT des vaisseaux-précérébraux (Dr. X) le 16.04.2019 ETT le 18.04.2019 Bilan facteur de risque cardio-vasculaire le 19.04.2019 : bilan lipidique et HbA1c Consilium Neuropsychologie le 18.04.2019 Consilium neurologie le 16.04.2019 : carotide droite probablement à l'origine des lésions ischémiques, lit strict (0-30°) 24h et une TAS cible < 160 mmHg. Charge en aspirine 250 mg iv, Plavix 300 mg po le 16.04.19 Aspirine 100 mg, Plavix 75 mg dès le 17.04.2019 Atorvastatin 80 mg 1x/j dès le 16.04.2019 Avis chirurgical (Dr. X et Dr. X) : indication opératoire retenue pour endarteriectomie de l'artère carotide droite. TEA carotide droite le 20.04.2019 et transfert en chirurgie Laboratoire Vitarubin s.c. 1000 mcg 3x/sem 18 - 31.03.2019 puis tous les 3 mois Laboratoire 2 culots érythrocytaires commandés, transfusion prévue à l'étage Laboratoire 2 groupes ECG, le 18.04.2019 : tachycardie sinusale avec BBD partiel Avis Chirurgie Vasculaire (Dr. X) : Pris au bloc opératoire en urgence Labétalol 20 mg IV bolus, puis 10 mg/h titré jusqu'à une TAS < 100 mmHg Hospitalisation au SIB avant prise au bloc opératoire Laboratoire 2CE aux urgences ATT : Hospitalisation en médecine Organiser OGD-colonoscopie en ambulatoire Laboratoire. 2 g iv le 07.03.2019, puis supplémentation per os par Magnesiocard 10 MEq 2x/j. Laboratoire Hémocs : à suivre Aux urgences : • Céfépime 2 g i.v. • 500 mg Métronidazole i.v. • Hydratation i.v. CT abdominale (Transmission orale, Dr. X) : Jéjunite non compliquée. Avis oncologique (Dr. X) : Origine infectieuse jusqu'à preuve du contraire. A introduire antibiothérapie. Évaluer corticothérapie si non-amélioration sous ATB. Neupogen 30 Mio IU jusqu'à Neutrophiles >2.5 G/L ATT : • ATB • Réévaluation selon évolution clinique : évaluer corticothérapie • Cultures des selles à prévoir Laboratoire Laboratoire Laboratoire Urines Laboratoire Urines Laboratoire Urin Frottis Plaie Laboratoire U/S ciblé (Dr. X / Dr. X) : Pas de liquide libre. Pas de dilatation pyélocalicielle. Pas de cholélithiase. Aorte abdominale avec diamètre normal. Aux urgences : • Dafalgan, Novalgine, Morphine CT abdominale (Dr. X) : Images évoquant des infarctus spléniques plurifocaux sans occlusion ou sténose vasculaire visible (DD : fibrillation auriculaire ? hémopathie ? troubles de la crase ? autre ?). Présence d'une petite rate accessoire de 12 mm. Absence de liquide libre Avis chirurgical (Dr. X) : Anticoagulation prophylactique. Avis hématologique (Dr. X) : Compléter le bilan : Test de Coombs, Anticorps antiphospholipidique ATT : • Hospitalisation • Anticoagulation prophylactique Clexane. • Bilan cardiologique : Holter, ETT • Bilan hématologique à prévoir Laboratoire Rx thorax Hémocultures en cours, à pister par le médecin traitant Retour à domicile avec traitement symptomatique (Dafalgan à domicile) et contrôle chez le médecin traitant d'ici 48-72h Laboratoire Soins de confort : Morphine iv, Temesta iv Constat de décès le 09.04.2019 à 14h50 Laboratoire Suivi neuro Laboratoire Urine : érythrocyturie, leucocyturie, protéinurie < 3g/L Spot urinaire : FeUrea 46 % (rénal intrinsèque) Avis néphrologie (Dr. X) : hospitalisation en médecine interne, complément de labo (vasculite, facteurs rhumatoïdes, C3, C4, sérologie HepB), hydratation 1000 mL/12h Attitude : • Hospitalisation en médecine interne pour suite des investigations • Continuer Prednison 15 mg/j • Pister le labo • Sérologie HepB • Suite de la prise en charge avec les néphrologues Laboratoire Urine Rx thorax Ponction lombaire (Dr. X) : pression intra-crânienne à 19 mmHg, désinfection, champtage, anesthésie locale avec rapidocaïne 1 mL, ponction lombaire (1ère tentative avec succès), LCR clair, prélèvement des tubes, pansement simple. LCR du 29.3.19 Microbiologie : 2x2 hémocultures : négatives Urines : antigène urinaire pour Legionnelle et Pneumocoque négatifs Urotube négatif PCR chlamydia et gonocoques absents Dépistage HIV, HBV, HCV et syphilis négatifs Rocéphine 2 g iv du 29.3. au 5.4.19 Klacid 500 mg po du 29.3. au 5.4.19 Laboratoire Urines US vésical : résidu vésical post-mictionnel > 100 mL MiBi : • Urotube • Hémocultures 2x2 (à froid) Avis urologique (Dr. X) : ad Rocephine 2 g iv, ad US abdominal : si résidu vésical post-mictionnel > 100 mL --> sondage vésical, hospitalisation en chirurgie pour antibiothérapie et suite de prise en charge Thérapie : • Rocéphine 2 g iv Attitude : • Continuer antibiothérapie iv • Pister hémoculture et urotube, éventuellement adaptation de l'antibiotique selon antibiogramme Laboratoire 27.3.19 : PL Surveillance clinique Évaluation physiothérapie Laboratoire Avis Ortho (Dr. X) : suivi clinique, bilan par maxillo-faciale à 24h, régime lisse Labyrinthite à gauche en juillet 2013 : cupulolithiase. Hyponatrémie hypo-osmolaire euvolémique à 119 mmol/l le 08.08.2015 compatible avec un SIADH. Douleurs abdominales chroniques d'origine mixte : • PID (Pelvic inflammatory disease), trouble du comportement alimentaire, constipation, psychosomatiques ? Pneumonie communautaire basale droite : • Rocéphine 2 g iv du 08 au 12.02.2019 • Klacid 500 mg per os du 08 au 12.02.2019 • Co-Amoxi 1 g per os 2x/j du 13 au 15.02.2019.Pneumonie communautaire basale droite. • Rocéphine 2 g iv du 08 au 12.02.2019 • Klacid 500 mg per os du 08 au 12.02.2019 • Co-Amoxi 1 g per os 2x/j du 13 au 15.02.2019. Lacération d'environ 8 cm sur le coup de pied droit et plaie en demi-lune d'environ 3 cm au niveau de la face dorsale du 5ème métatarsien le 03.07.2013. Lacération rate stade I/II avec : • Hb 105 g/L à l'entrée • Reçu en Italie 2 CE + 2 CP le 19.04. Lacération tendon extenseur D5 G. Arthrotomie traumatique MCP 5 G. Lacération tendon extenseur zone I majeur à D, le 23.02.2019. Immobilisé en attelle Stack depuis le 07.03.2019. Lâchage anastomotique deux jours après résection antérieure basse laparoscopique avec anastomose colo-rectale latéro-terminale à l'agrafeuse circulaire ILS 29 à environ 7 cm de la marge anale. Polype rectal de 1 cm de large en 2011. Bulbite duodénale en 2011. Pangastrite érosive et partiellement hémorragique en 2011. Pancréatite aiguë de la tête du pancréas d'origine probablement alcoolique en 2013. Occlusion de l'artère sous-clavière droite en 2007. Hernie discale L5-S1 avec arthrodèse. Diverticulite du côlon transverse non compliquée le 02.12.2015. Syndrome de Chilaiditi (interposition colique hépato-diaphragmatique droite). Appendicectomie en 2006. Status après résection antérieure basse, le 16.03.2016, pour un adénocarcinome du tiers supérieur du rectum, pTis N0, avec reprise à J2 pour fuite anastomotique et confection d'une colostomie transverse gauche à double canon. Le 23.05.2016, Dr. X : rétablissement de la continuité. Lâchage après suture de la coiffe des rotateurs à 2 reprises en février 2015 et novembre 2015. Lésion partielle de la coiffe des rotateurs épaule gauche traitée conservativement avec évolution favorable. État dépressif. Lâchage de petit renard sauvage sur peau intacte. Lâchage d'un point de fixation d'un drain transhépatique de la vésicule biliaire. Lâchage secondaire après réinsertion du tendon bicipital distal sur la tubérosité bicipitale du radius par Endobutton, bras D, le 11.08.2017. Épaule D : Lésion de la coiffe des rotateurs sus-épineux avec lésion du LCB. Épaule G : Tendinopathie du sus-épineux avec luxation du LCB et tendinopathie du sous-scapulaire. LACRINORM F UD gtt opht, OTRIVIN Natural Lavage nasal, TRIOFAN Rhume s cons spray adult/enf. Lactatémie à 2.4 mmol/l. Lactulose. Ponction et drainage d'ascite le 13.04.2019. Ponction et drainage d'ascite le 19.04.2019. Albumine. Spironolactone. LAG résiduel sur status post traitement conservateur d'un Mallet tendineux aigu D5 main gauche. Laminectomie décompressive L4 G avec décompression de la racine L4 et L5. Ablation des kystes à G. Décompression contro-latérale par undercutting. Mise en place de patchs TachoSil sur les brèches durales (OP le 01.03.2019). L'anamnèse est évocatrice d'une déchirure musculaire ou d'une thrombose veineuse. Un ultrason du membre inférieur montre une déchirure partielle du gastrocnémien gauche, avec un hématome aponévrotique de 7 cm. M. Y bénéficie d'une compression par bande élastique, ainsi que de la prescription de cannes anglaises avec une thromboprophylaxie par Clexane pour toute la durée de l'immobilisation. M. Y reçoit l'instruction de consulter son médecin traitant dans 48-72 heures pour un suivi clinique de l'hématome. Il poursuivra la thromboprophylaxie jusqu'à la charge complète sur le membre inférieur gauche. L'anamnèse est rapidement évocatrice d'une fascéite plantaire. M. Y présente des pieds plats, ce que son père présente également. Un bilan radiographique ne révèle pas d'éperon calcanéen. M. Y reçoit l'instruction de faire du stretching quotidiennement, avec prescription de semelles orthopédiques adaptées et traitement anti-inflammatoire. Les parents de M. Y vont prendre un rendez-vous à la consultation orthopédique du Dr. X mardi 16.04.2019. L'anamnèse est rassurante avec des céphalées sans signe de gravité. Au vu d'un B1 difficilement audible lors de l'auscultation cardiaque, un ECG est effectué et revient normal. Nous concluons à des céphalées bénignes et Mme. Y rentre à domicile avec prescription d'antalgie simple et instruction de reconsulter en cas de céphalées avec nausées/vomissements, fièvre, troubles visuels, aura. L'anamnèse et le status étant rassurants, nous écartons une étiologie néoplasique ou infectieuse. Nous n'avons pas non plus d'arguments pour un diabète inaugural. Nous effectuons tout de même un fond d'œil pour exclure une hypertension intracrânienne, qui se révèle normal. D'un point de vue somatique, nous n'avons pas d'élément expliquant les céphalées. Par ailleurs, le bilan sanguin effectué le 04.04 à Tafers est dans les normes (électrolytes, fonction rénale, formule sanguine et CRP). D'un point de vue psychologique, Hasna et sa mère disent qu'elle rencontre des difficultés scolaires et qu'actuellement elle a de nombreuses évaluations (jusqu'à 3x/j) depuis 2-3 semaines. La mère pense que la symptomatologie peut y être liée. Concernant les douleurs abdominales, nous n'avons pas d'élément pour une maladie inflammatoire de l'intestin, ni pour un abdomen chirurgical ou une coeliac. Nous proposons de faire un bilan à votre consultation en cas d'apparition de diarrhées. D'un point de vue psychologique, nous proposons au besoin une discussion avec la psychologue scolaire ou un pédopsychologue. L'anamnèse et l'examen clinique évoquent le diagnostic de crise migraineuse avec aura typique. Aux urgences, Mme. Y a reçu du Primperan 10 mg, du Dafalgan 1 g, du Voltaren 75 mg avec un effet favorable sur les douleurs. Mme. Y rentre à domicile avec antalgie en réserve. L'anamnèse et l'examen clinique permettent d'exclure une rupture du tendon d'Achille. Nous posons la suspicion d'une élongation musculaire à la face médiale du mollet gauche entre tiers proximal et moyen. Nous expliquons la nécessité de repos et de décharge que Mme. Y refuse, elle explique qu'il est très important pour elle de continuer le sport et qu'il lui faut une certitude du diagnostic pour s'arrêter. Pour cette raison, nous proposons un ultrason le 05.04.2019 à 14H30, suivi par une consultation à la filière des urgences ambulatoires. Nous expliquons à Mme. Y la nécessité de marcher en charge et les risques du décharge sans prophylaxie par Clexane. L'anamnèse et l'examen clinique pourraient éventuellement laisser supposer une atteinte d'un nerf au niveau de la cuisse, dans un premier temps nous demandons au Dr. X Médecin adjoint à l'HFR en radiologie d'effectuer une sonographie pour investiguer ou exclure un neurome, respectivement pour mesurer le calibre et le cas échéant d'effectuer une infiltration. Nous reverrons M. Y par la suite. L'anamnèse évoque une récidive des symptômes d'anxiété, apparaissant la nuit suite à des moments de ruminations. L'examen clinique se révèle dans la norme avec complète résolution des symptômes lors de son arrivée aux urgences. Après discussion avec Mme. Y, étant donné qu'il s'agit de la 2ème consultation aux urgences pour des symptômes similaires, un suivi psychologique semble adapté. Mme. Y ne présente cependant pas de critère pour une hospitalisation en psychiatrie, ni en demande, raison pour laquelle après contact avec le RFSM, il est convenu que Mme. Y contactera un psychiatre de son choix avec consultation rapprochée chez son médecin traitant. Langsames vollständiges Entwöhnen von Primidon : 250 mg 3x/T 15.03. - 14.04.2019, 250 mg 0-1-0.5-1 vom 15. - 28.04.2019, dann weiter -125 mg alle 2 Wochen.Kontrolle mit EEG bei Dr. X am 28.06.2019 um 09.00 Uhr (HFR Fribourg) • Lantus du 02.03.19 au 05.03.19 remplacé par Insulatard • Schéma de correction • Reprise Alpelisib avec reprise des insulines Actuellement, Insulatard le matin et schéma selon la glycémie pour le matin et soir pour simplifier le traitement au maximum et permettre à Mme. Y d'avoir les soins à domicile 2x/j et pas 3x/j. Mme. Y notera ses glycémies 3x/j • Laparoscopie avec annexectomie bilatérale et washing pré et post-opératoire le 09.04.2019 sous anesthésie générale. • Antalgie simple. • Pièces opératoires envoyées en anatomo-pathologie. • Laparoscopie avec hystérectomie totale et salpingectomie bilatérale le 02.04.2019 • Clexane selon schéma durant l'hospitalisation. • Laparoscopie avec hystérectomie totale et salpingectomie bilatérale le 04.04.2019 • Thromboprophylaxie par Clexane selon schéma durant l'hospitalisation. • Antalgie simple. • Laparoscopie avec kystectomie et salpingectomie à droite et test au bleu (trompe gauche perméable) le 02.04.2019. • Antalgie simple. • Matériel envoyé en anatomo-pathologie. • Frottis bactériologique et chlamydia intra-abdominal négatif • Laparoscopie diagnostique, biopsie péritoine et appendicectomie en passant le 24.04.2019 • Laparoscopie exploratrice à but diagnostic le 11.10.2011. • Status post duodéno-duodénostomie (en diamant) en laparoscopie le 17.01.2012. • Laparoscopie exploratrice avec adhésiolyse le 12.04.2019 (Dr. X) • Laparoscopie exploratrice en 2017 pour évaluation trompes • Laparoscopie exploratrice, résection iléo-caecale, examen histologique extemporané. Anastomose iléo-colique en 2 plans manuelle, application PICO épicutané le 17.04.2019. Promed (P2019.4588) • Laparoscopie opératoire avec adhésiolyse, urétérolyse, résection de deux nodules au niveau du ligament utéro-sacré et para-urétéral à droite, résection de foyers d'endométriose, kystectomie ovaire droit, épreuve au bleu de méthylène (positive des deux côtés) et myomectomie après clippage de l'artère utérine gauche le 10.04.2019 sous anesthésie générale. • Matériel envoyé en anatomo-pathologie. • Antalgie simple. • Visanne 1x/j jusqu'au désir de grossesse. • Laparotomie exploratrice et biopsie d'un ganglion mésentérique le 26.03.2019 Tumorboard le 27.03.2019: Radiochimiothérapie Anapathologie Promed P2019.3548: Métastase ganglionnaire d'un adénocarcinome peu différencié avec foyers de nécrose, extensions extranodale et infiltration du tissu adipeux ainsi qu'images de lymphangiose et d'infiltration vasculaire veineuse. • Laparotomie exploratrice et cure de volumineuse hernie ombilicale selon Rives et pose de VAC sous-cutané le 19.03.2019 Changement de VAC abdominal de manière itérative jusqu'au 21.04.2019 (thérapie par pression négative) Antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole i.v. du 19.03.2019 au 28.03.2019 Antibiothérapie par Amoxicilline p.o. du 29.03.2019 au 12.04.19. Sonde nasogastrique du 19.03.2019 au 22.03.2019 Catéter péridural du 19.03.2019 au 04.05.2019 • Laparotomie exploratrice et hémicolectomie droite avec CME (OP le 08.04.2019) CT abdominal le 02.04.2019 Avis hématologique le 26.03.2019 (Dr. X/Dr. X) Avis gastro-entérologique le 27.03.2019 (Dr. X) Présentation tumorboard viscéral le 03.04.2019 Echocardiographie le 05.04.2019 OGD et colonoscopie le 02.04.2019 2 CE le 26.03.2019 et 28.03.2019 Ferrinject 1000 mg iv le 27.03.2019 Ferrinject 500 mg iv le 04.04.2019 • Laparotomie médiane sus-ombilicale pour hernie Hématome sous-galéal pariétal post-traumatisme crânien mineur suite à une chute accidentelle le 21.01.2019 • Lara est hospitalisée pour une réhydratation dans le contexte de gastro-entérite à Rotavirus. Elle bénéficie d'une perfusion de GS 2:1 + NaCl 10% qui permet de corriger son acidose métabolique et l'hyponatrémie. Elle montre une excellente évolution clinique et peut rentrer à domicile le 02.04.2019 • L'arthro-CT confirme la présence de 2 vis qui dépassent la surface articulaire de la tête humérale. L'indication pour changement de ces 2 vis est donnée. Mme. Y est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé pour cette intervention agendée au 29.4.19. Étant donné son âge, il est prévu une hospitalisation de 2-3 jours, avec entrée la veille. • L'arthro-CT montre une intégrité de la coiffe des rotateurs. Arthrose AC avec un éperon de la clavicule latérale pesant sur le sus-épineux. • L'arthro-IRM montre un effacement du récessus postérieur et inférieur dans le sens d'une certaine capsulite. Lésion PASTA de petite taille. Pas de lésion transfixiante du sus-épineux. • L'arthro-IRM montre un sus-épineux aminci mais de bonne qualité sans trop de tendinopathie. Status post résection acromio-claviculaire à minima avec une articulation quasi conservée. Distance coraco-humérale de 4 mm avec un amincissement du sous-scapulaire. Pas d'autre pathologie visible. • Laryngite. • Laryngite et bronchite spastique • Laryngite légère traitée aux urgences • Laryngite sous-glotique Westley 3 • Laryngite sous-glottique • Laryngite sous-glottique • Laryngite sous-glottique Westley score <3 • Laryngite sous-glottique Westley 2 • Laryngite virale • Laryngite virale le 30.03.2019. • Laser du col de l'utérus en mai 20014 pour Papillomavirus. Incontinence fécale de longue date. • Laser glaucome à angle fermé 28.02.2018. Pose de pacemaker en 2015. Deux antécédents de calculs rénaux traités par lithotripsie. Pexie du côlon droit en 1975. Brûlures corporelles et du visage en 1948 avec multiples greffes cutanées. Appendicectomie et amygdalectomie dans l'enfance. Epistaxis sur crise hypertensive probable. • Lasix du 16.04.19 au 18.04.19 Aspirine ECG (16.04.19): BBG superposable à l'ECG en cardiologie (Dr. X) Rx thorax (16.04.19): signe de surcharge, avec redistribution vasculaire et épanchement pleural. US thorax aux urgences (16.04.19): épanchements pleuraux bilatéraux, lignes B ETT (16.04.19): FeVG 35%; hypokinésie sévère du septum. Coronarographie (17.04.19): artères coronaires saines, normocinésie globale, FeVG 60%. Holter de 72 heures: Mme. Y sera convoquée à distance. Avis cardiologique (Dr. X) (16.04.19) • Lasix en bolus intraveineux et relais par Torem par voie orale • Physiothérapie respiratoire • Suivi du poids • Lasix intraveineux continu du 28.03.2019 au 01.04.2019 • Lasix IV transitoire Intubation oro-trachéale (Cormack 1) du 21.03 au 23.03.2019 • Lasix iv 20 mg en ordre unique • Lasix le 17.03.2019 puis Torasémide TNT IVC du 17.03.2019 Lisinopril dès le 17.03.2019 Rocephine 2g du 19.03.19 au 25.03.19 VNI du 17.03.2019 au 18.03.2019 • Lasix 40 mg iv en OU entre les 2 CE ATT: Demander ETT pendant hospitalisation Discuter introduction torasémide selon clinique • L'aspect de la lésion ainsi que les antécédents dermatologiques du patient (psoriasis, irritations cutanées autour de la PICC-line durant la chimiothérapie) nous font évoquer le diagnostic de réaction cutanée à l'ablation de la PICC-line que nous traitons par Elocom 1x/jour. Le diagnostic différentiel d'érysipèle débutant subsiste au vu de la CRP élevée, raison pour laquelle nous avons délimité la lésion au stylo et demandé un rendez-vous de contrôle dimanche matin à la filière des urgences ambulatoires. • L'attelle Aircast devra être portée pour une durée totale de 6 semaines et puis le patient se rendra chez son médecin traitant pour un contrôle clinique avec prescription de séances de physiothérapie pour renforcement des muscles fibulaires et proprioception, si ce dernier le juge nécessaire. Concernant le sport, le patient bénéficie d'un arrêt de sport pour 6 semaines après le traumatisme. L'attitude sera réévaluée au colloque d'orthopédie, le patient sera informé de la suite de prise en charge. Si traitement conservateur suivi en policlinique d'orthopédie à 1 semaine. Lavage et débridement de la plaie. Suture du lit de l'ongle et mise en place d'un ongle artificiel au niveau de P3 D2 main D le 25.02.2019. Lavement avec Practomil 1 l. Lavement Freka. L'avulsion osseuse est à présent consolidée et le léger flexum ne dérange pas le patient dans ses activités habituelles. Dans ce contexte, nous l'autorisons à reprendre l'ensemble de ses activités sans limitation, en faisant cependant attention à éviter de s'accrocher le doigt et ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée. Nous restons bien évidemment à disposition en cas de nécessité. Laxatif et réalimentation légère Suivi transit Laxatifs Laxatifs, lavements. Laxatifs Suivi clinique Laxité constitutionnelle des membres inférieurs. Affaissement médio-pied bilatéral. Douleurs antérieures du genou. Symptomatologie de plica fémoro-patellaire médial, prédominant à gauche. Laxité de la plastie du LCA genou D. Laxité fémoro-patellaire genou gauche post-traumatique. Laxoberon Laxoberon 10 gttes 1x/j Lc 8.0 G/l, CRP 11 Le CT-scanner montre une fracture non datable de l'os trapèze. Selon avis orthopédique, une immobilisation par attelle Edimbourg est réalisée avec contrôle en policlinique d'orthopédie à 1-2 semaines. Le bilan biologique de ce jour montre une diminution de syndrome inflammatoire à une CRP 82 mg/l, sans leucocytose, par rapport à la veille à une CRP 148 mg/l et leucocytose à 13.9 G/l. L'ECG montre un rythme sinusal régulier sans trouble ischémique ni d'arythmie dont ECG superposable avec l'ECG du 01.04.2019. Devant l'examen clinico-biologique, nous retenons un diagnostic d'un probable syndrome grippal. Le patient peut regagner son domicile le jour même avec poursuite du traitement symptomatique. Il sera vu à la consultation de son médecin traitant dans une semaine. Le bilan biologique est aligné et le sédiment urinaire montre 6-10 leucocytes par champ. Au vu de l'examen clinique rassurant et du bon état général de la patiente, nous la laissons rentrer à domicile avec un traitement par Ulcar vu qu'elle est allergique au Pantozol. Elle consultera son médecin traitant si les douleurs persistent. Le bilan biologique est dans la norme. Le statut est rassurant. Nous mettons le crachat hémoptoïque dans un contexte de saignement des voies aériennes supérieures. Nous arrêtons l'Irfen et mettons à la place le Tramal d'office plus le Tramal en réserve. L'arrêt de travail a déjà été fait et le suivi sera à faire chez le médecin traitant. Le bilan biologique est rassurant, le stix urinaire est propre et l'ultrason ne visualise pas l'appendice, raison pour laquelle nous transférons la patiente à l'HFR Fribourg dans le service de gynécologie afin d'exclure une cause gynécologique des douleurs. La patiente y est transférée en ambulance. Le bilan biologique est sans particularité. Le CT abdominal est sans particularité hormis le s/p cholécystectomie. La douleur disparaît presque complètement durant son séjour après la prise du produit de contraste. Au vu de ces éléments, la patiente peut rentrer à domicile avec le suivi suscité. Le bilan biologique et le sédiment urinaire ne montrent pas de particularité. Au vu du bon état général et de l'examen clinique rassurant, nous laissons le patient rentrer à domicile avec une antalgie de réserve et organisons un US des testicules en ambulatoire le 01.05.2019 avec un contrôle clinique aux urgences ensuite. En cas de péjoration des douleurs, d'apparition d'une rougeur ou d'une tuméfaction, nous lui conseillons de consulter avant. Suite au colloque de chirurgie le 30.04.2019, le Dr. X, chirurgien, décide de revoir le patient plus rapidement pour effectuer l'ultrason, le 30.04.2019. Le patient est donc reconvoqué pour ce jour-là pour l'ultrason et suivi à la filière des urgences ambulatoires. Le bilan biologique et stix/sédiment urinaire étant dans la norme, nous ne retenons pas d'origine somatique ni d'indication à une hospitalisation. Après discussion avec son médecin traitant, il est mis en évidence que la patiente bénéficierait grandement d'une prise en charge psychiatrique plus importante avec un traitement adapté. La patiente aurait un suivi psychiatrique régulier (que son médecin traitant met en doute) mais reste non compliante concernant son traitement antidépresseur. Nous recommandons un suivi psychiatrique régulier et invitons le médecin traitant à pister le résultat de TSH. Le bilan biologique met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 7 mg/l et une leucocytose à 11.3 U/l. Au vu de l'anamnèse et de l'examen clinique, nous concluons à des douleurs dentaires sur infection de la gencive et de la carie, et nous proposons à la patiente une majoration de son traitement antalgique, de poursuivre le traitement antibiotique prescrit par son dentiste et un suivi clinique. En cas de péjoration des symptômes, nous lui conseillons de reconsulter les urgences. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 75 mg/l et une légère leucocytose à 10.9 G/l. Pas de trouble de la fonction rénale, pas de trouble électrolytique. Le sédiment urinaire est propre. Le test à streptocoques revient négatif. Au vu des examens complémentaires et du statut physique rassurant, nous retenons comme diagnostic une infection probablement virale des voies aériennes supérieures, et prescrivons un traitement symptomatique par anti-inflammatoires, antalgie simple, décongestionnant nasal. Nous lui conseillons également une bonne hydratation. En cas de persistance des symptômes, la patiente consultera son médecin traitant pour un contrôle clinico-biologique. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 62 mg/l, sans leucocytose. La radiographie du genou montre des lésions dégénératives, avec des ostéophytes, mais pas de fracture. Nous demandons l'avis de l'orthopédiste de garde, Dr. X, qui, au vu de l'état général conservé, l'absence d'état fébrile et de leucocytose, l'absence de plaie cutanée, ne retient pas d'indication à effectuer une ponction articulaire. Nous retenons le diagnostic sus-mentionné et laissons le patient rentrer à domicile. Nous lui conseillons un contrôle clinique chez son médecin traitant avec si nécessaire l'introduction de médicaments pour faire diminuer l'acide urique. En cas de péjoration des douleurs, d'apparition de rougeur ou d'un état fébrile, nous lui conseillons de consulter immédiatement. Le bilan biologique met en évidence une insuffisance hépatique sévère, des troubles électrolytiques multiples avec une hyponatrémie, une hyperkaliémie et une insuffisance rénale aiguë. La gazométrie montre une acidose métabolique avec des bic à 11 mmol/l compensée respiratoire avec une hypocapnie avec une pCO2 à 2.6 kPa. En ce qui concerne l'insuffisance hépatique, nous effectuons un CT abdominal natif qui montre une hépatomégalie avec un aspect inhomogène. Il y a également la présence d'amas ganglionnaire paraaortique et rétropéritonéale ainsi qu'une infiltration de la graisse mésentérique. Nous suspectons des métastases hépatiques dans le contexte de carcinomes primaires de la vessie et de la prostate et demandons un US abdominal pour compléter le bilan et préciser les lésions visualisées sur le CT ainsi que mesurer le flux de la veine porte.En ce qui concerne l'insuffisance rénale aiguë et l'hyponatrémie, nous mettons sous pause le traitement par diurétique et par AINS et instaurons une hydratation i.v. de 2000 ml de NaCl 0.9% en 24h. Pour l'hyperkaliémie, nous prescrivons un protocole d'insuline/glucose avec 20 U d'actrapide i.v. dans 250 ml de G20 en 20 minutes, ainsi que 20 g de resonium per os avec une amélioration à 5.5 mmol/l. Pour l'acidose métabolique, nous décidons d'effectuer des contrôles réguliers pour un suivi biologique sans mettre en place de substitution pour le moment. Mr. Y reste en surveillance sur la nuit en lit d'observation aux urgences le 23.03.2019. Un ultrason abdominal est prévu pour le lendemain pour préciser les lésions hépatiques visualisées au CT. Pour préciser le bilan oncologique, nous souhaitons corriger l'insuffisance rénale pour pouvoir effectuer un scanner injecté. Au vu de la péjoration de l'état clinique pendant la nuit, avec l'augmentation de la fréquence cardiaque, la baisse de la pression artérielle et l'apparition de marbrures au niveau abdominal, nous contactons le chef de clinique des soins intensifs et il est décidé d'un transfert en ambulance pour une hospitalisation aux soins intensifs de Fribourg. Une fois le bilan radiologique complété, il sera nécessaire de rediscuter de l'attitude Réa avec le patient et la famille, qui est pour l'instant maximaliste. Le bilan biologique met en évidence une légère hypokaliémie que nous substituons de manière parentérale aux urgences. Nous administrons un Frecaclyss avec expulsion de selles dures. Nous conseillons un suivi biologique et en cas de persistance de la coprostase, administrer 1 sachet de Moviprep 1x/jour pendant 3 jours. Nous retransférons Mme. Y au CSH Marsens pour suite de la prise en charge. Le bilan biologique met en évidence une leucocytose à 12.6 G/L, sans augmentation de la CRP. Les valeurs hépato-pancréatiques sont dans la norme. Au vu de l'examen clinique rassurant et de l'examen biologique sans élévation des valeurs hépato-pancréatiques, nous retenons comme diagnostic une probable gastro-entérite débutante, avec comme diagnostic différentiel une cholécystite. Les douleurs diminuent suite à l'antalgie donnée et la patiente n'a pas de nouvel épisode de vomissement. Nous la laissons rentrer à domicile avec une antalgie et des anti-nauséeux de réserve. Nous lui organisons un rendez-vous pour un contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 18.04.2019. En cas d'augmentation du syndrome inflammatoire ou d'une péjoration de la clinique, il sera discuté d'un examen radiologique (CT-abdominal). Le bilan biologique met en évidence une perturbation des tests hépatiques avec un signe de cholestase, avec notamment une augmentation des Gamma-GT à 241 U/l et une phosphatase alcaline à 177 U/l. Au vu de l'examen clinique et de l'anamnèse, nous soupçonnons une lithiase biliaire à l'origine des douleurs et proposons à la patiente d'effectuer un ultrason abdominal le lendemain avec un contrôle clinique ensuite avec le résultat de l'examen. Au vu de l'état général conservé et de l'examen clinique rassurant, nous la laissons rentrer à domicile avant l'examen prévu pour le lendemain à 8h. Elle ne souhaite pas d'antalgie pour la nuit. Le bilan biologique montre une situation stable, sans syndrome inflammatoire, sans perturbation des tests hépato-pancréatiques. Au vu de la régression totale des douleurs et des nausées sous le traitement prescrit et de l'examen clinique sans particularité, nous laissons le patient rentrer à domicile. Nous lui conseillons de poursuivre le traitement pendant 2 semaines puis d'effectuer un contrôle clinique chez le médecin traitant. En cas d'apparition de nouvelles douleurs, il consultera avant. Le bilan biologique montre des D-dimères à 618 ng/ml, une CRP à 32 mg/l mais pas de leucocytose. La radiographie du genou droit ne met pas en évidence d'atteinte osseuse. Nous calculons le score de Wells qui est à 1 avec la probabilité de thrombose veineuse profonde à 17%. Pour cette raison, et compte tenu des valeurs de D-dimères à 618 ng/ml, nous organisons un ultrason Doppler du membre inférieur droit par un angiologue pour le 29.04.2019. Le patient rentre à domicile avec le traitement par Clexane thérapeutique 100 mg sc 2x/jour et une antalgie en réserve. Le bilan biologique montre des GGT à 90 U/l, CK à 176 U/l, CRP à 41 mg/l et Hb à 127 g/l. Le sédiment urinaire revient propre. Le patient a été évalué par le Dr. X, chirurgien, et un CT-scan thoraco-abdominal a été demandé. Le CT-scan ne montre pas de lésion traumatique à l'étage thoracique et abdominal, mais met en évidence un nodule mesurant 9 x 7 x 6 mm dans le lobe inférieur gauche, associé à des adénopathies médiastinales. Afin d'exclure une piste oncologique, le radiologue recommande un CT-scan de contrôle dans 3 mois, selon les recommandations du Dr. X. Un traitement antalgique a été mis en place avec du Dafalgan et Brufen d'office et du Tramal en réserve. Concernant la lésion dans le lobe inférieur gauche, nous conseillons au patient un suivi chez le médecin traitant pour effectuer un CT-scan de contrôle dans 1 mois. De plus, vue la présence de ces adénopathies au niveau médiastinal, nous conseillons au médecin traitant d'écarter d'autres causes possibles, comme par exemple des lésions de la sphère ORL. Le résultat du CT-scan sera envoyé au médecin traitant. Le bilan biologique montre l'absence de perturbation des paramètres hépato-pancréatiques avec paracétamolémie en dessous des valeurs toxiques. Au vu de la portée de l'acte, un avis psychiatrique de garde est demandé, ce dernier niant tout risque suicidaire. Le patient rentre ainsi à domicile accompagné de sa femme avec un contrôle clinique rapproché chez son médecin traitant. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire avec une hyponatrémie sévère normo-osmolaire, compatible avec une pseudo-hyponatrémie, sans autre trouble électrolytique associé. Selon l'avis du Dr. X, aucune mesure correctrice n'est à envisager, avec proposition de contrôle biologique à 48h. Un stix-sédiment urinaire se révèle également dans la norme. Aucune origine n'est ainsi identifiée à l'origine des symptômes cliniques actuels progressant depuis 4 semaines, avec notamment l'absence d'argument pour un délirium. Au vu d'un épuisement familial avec une altération fonctionnelle sociale chez un patient complètement anosognosique de la situation actuelle, un avis psychiatrique est demandé. Le Dr. X, évoquant un tableau clinique avec une démence cognitive mixte, propose une hospitalisation à Marsens, en mode PAFA pour l'absence de capacité de discernement quant à la situation clinique actuelle. Le transfert se fait en ambulance. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire. Le bilan angiologique permet d'exclure une thrombose veineuse profonde, ainsi qu'un érysipèle. Il met en évidence un hématome prétibial dans le contexte d'une anticoagulation thérapeutique, probablement suite à un petit traumatisme. L'angiologue préconise un traitement local symptomatique avec application d'une crème héparinisée. Nous prescrivons de l'Hemeran crème à appliquer 3-4x/jour sur l'hématome jusqu'à sa disparition. Nous indiquons au patient de stopper l'antibiothérapie. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant la semaine prochaine pour un contrôle clinique. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire permettant d'écarter une origine infectieuse, avec une absence de foyer à la radiographie du thorax. Un STEMI est écarté sur la base de l'ECG ainsi que sur la base de troponines sans cinétique significative. Au vu de l'absence de symptômes aux urgences avec un monitoring cardiaque dans la norme, le patient regagne son domicile avec indication d'organiser un suivi clinique chez son médecin traitant et de reconsulter les urgences en cas de récidive des symptômes.Le bilan biologique montre les D-Dimères à 509 ng/ml, une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, pas de syndrome inflammatoire. L'ECG est sans particularité. Devant l'examen clinico-biologique, nous retenons une suspicion de thrombose veineuse superficielle à la partie distale et médiale de la cuisse droite proche de la fosse poplitée. Le patient reçoit une dose d'Arixtra 2,5 mg sc. aux urgences. Nous organisons un ultrason-doppler de la jambe droite pour le 06.04 à 09h00. En cas de thrombose superficielle supérieure ou égale à 5 cm à l'ultrason, nous conseillons de prescrire de l'Arixtra 2,5 mg 1x/jour s.c. pour 44 jours (durée totale 45 jours) et de montrer l'administration au patient pour qu'il puisse se faire des auto-injections dans la cuisse. Le patient peut regagner son domicile le jour même avec du Lyman forte gel 200 000 UI 2-3x/jour avec application topique. Il sera vu le 06.04 pour un contrôle clinique en filière des urgences ambulatoires après l'ultrason de la jambe droite. Le bilan biologique montre un arrachement de la plaque palmaire au niveau de la 2ème phalange du 3ème doigt de la main droite traitée par immobilisation par attelle alu, antalgie et arrêt de sport. Un contrôle à 2 semaines à la policlinique est indiqué. Le bilan biologique montre un ASAT à 46 U/l, ALAT 19 U/l. Le stix urinaire est propre. L'ECG montre un rythme en tachycardie sinusal à 124 bpm après une hydratation, la patiente revient normocarde à 80 bpm. La radiographie du thorax ne montre pas de fracture costale ni de pneumothorax. Devant l'examen clinique radiologique, nous retenons une contusion thoracique bilatérale. La patiente peut regagner son domicile le jour même avec une antalgie standard. Contrôle clinique et de l'hémoglobine auprès du médecin traitant en fin de semaine. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 5 mg/l, leucocytose à 12.4 G/l, bonne fonction rénale, pas de trouble ionique. Le sédiment urinaire montre une leucocyturie à 21-40 champs, microhématurie et nitrites positifs. Le test de grossesse urinaire est négatif. Après une antalgie par Dafalgan et AINS, les douleurs ont complètement disparu et les paramètres vitaux sont stables. Au vu de l'évolution clinique favorable, la patiente peut regagner son domicile le jour même avec une antalgie standard. Elle reviendra le 06.04.2019 à 09h30 pour un ultrason des voies urinaires et contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires. Si l'ultrason est négatif et si le laboratoire de contrôle montre toujours un syndrome inflammatoire, voir pour traiter comme une infection urinaire haute par Ciproxine 500 mg 2x/jour après avoir prélevé l'urotube. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire à une CRP de 94 mg/l sans leucocytose, bonne fonction rénale, pas de trouble ionique. La radiographie du thorax montre un foyer pulmonaire base droite. Nous débutons une antibiothérapie per os par Co-Amoxicilline 1 g 2x/24h durant 7 jours inclus. La patiente peut regagner son domicile le jour même et sera vue dans une semaine à la consultation de son médecin traitant pour un contrôle clinico-biologique. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 19 mg/l, sans leucocytose, pas d'anémie, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques, hyponatriémie à 132 mmol/l. Vu l'examen clinique et biologique rassurants et l'amélioration spontanée du patient aux urgences, il rentre à domicile avec le traitement symptomatique. Contrôle clinique et biologique chez le médecin traitant le 28.04.2019. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec examen urinaire sans particularité. Abdomen sans préparation réalisé, montrant quelques niveaux hydroaériques, sans dilatation des anses. Les douleurs diminuent progressivement aux urgences avec antalgie, avec absence de signes de péritonisme à l'examen clinique. L'avis du Dr. X est ainsi demandé, proposant un retour à domicile avec contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires au matin. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 31 ng/l sans leucocytose. L'examen clinique est rassurant avec un status digestif dans la norme. Nous prescrivons un traitement antalgique et anti-nauséeux en réserve et donnons au patient des conseils diététiques. Nous lui donnons également un certificat médical d'une semaine en raison du fait qu'il travaille dans l'alimentaire. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 33 mg/l, avec une leucocytose à 18.2 G/l. Nous retenons comme cause probable le traumatisme crânien avec l'hématome sous-cutané de la face. Les leucocytes sont diminués par rapport à l'examen de dimanche. Au vu de l'examen clinique rassurant avec un patient qui présente des paramètres vitaux dans la norme, malgré l'hypotension présente durant la prise en charge. Pas de symptôme associé, le patient se déplace normalement sans vertige et sans chute. L'état général est en amélioration par rapport à la consultation de dimanche, nous retenons comme diagnostic une baisse d'état général dans le contexte de la démence sévère, et laissons le patient rentrer à Marsens. Le transfert est effectué par la fille du patient. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 71 mg/l, sans leucocytose. Nous mettons cette élévation de la CRP dans le contexte post-opératoire. Le reste de l'examen est aligné. Nous demandons l'avis du chirurgien de garde, le Dr. X. Au vu de l'examen clinique rassurant et du bon état général du patient, nous retenons le diagnostic susmentionné et le laissons rentrer à domicile. Nous lui proposons d'appeler le secrétariat du Dr. X le lendemain pour prendre rendez-vous pour une consultation avec un contrôle clinique. Si les symptômes se péjorent, nous lui conseillons de consulter avant aux urgences. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 14.9 G/l et une CRP à 134 mg/l. Au vu d'un état fébrile à 38.1°C, des hémocultures sont prélevées. Selon avis chirurgical, l'abcès est drainé via une incision de 3 cm, avec un rinçage abondant au NaCl et Bétadine. Un contrôle clinique est prévu à la policlinique de chirurgie le 02.04. Le bilan biologique montre une augmentation de la CRP, sans leucocytose. La recherche pour le clostridium revient négative. Le patient allant cliniquement beaucoup mieux, avec reprise de selles formées et absence de douleurs abdominales, nous retenons le diagnostic de diarrhées aiguës sur surdosage médicamenteux. Un hémofecatest revient positif. Ceci, dans le contexte d'un traitement laxatif irritatif surdosé et d'un carcinome actif au niveau de la prostate avec des diarrhées aigües, n'est pas à investiguer par coloscopie dans l'immédiat. Nous proposons d'organiser une coloscopie en cas de majoration de l'anémie, ou de présence de sang non occulte dans les selles. Le bilan biologique montre une bonne fonction rénale, une légère hyperkaliémie à 5.1 mmol/l, pas de syndrome inflammatoire, les tests hépato-pancréatiques sont dans la norme. Le sédiment urinaire est propre. Le test de grossesse urinaire revient négatif. Nous demandons l'avis du chirurgien de garde qui voit la patiente et propose un ultrason abdominal qui est sans particularité. Au vu de ses douleurs costales basses et chez une patiente sous contraceptif oral, sur avis du Dr. X, nous demandons les D-dimères qui reviennent négatifs à 190 ng/mL. La patiente peut regagner son domicile le jour même avec une antalgie simple par Dafalgan et AINS. Si persistance des symptômes, elle reconsultera les urgences. Sinon, elle sera vue en début de semaine prochaine à la consultation de son médecin traitant.Le bilan biologique montre une CRP à 15 mg/l sans trouble de la crase. Un ultrason des parties molles montre en regard de la masse indurée de la fesse droite, une image hypoéchogène mal délimitée, ovalaire, d'environ 20 x 20 x 9 mm, globalement hypoéchogène, hétérogène, située dans le plan sous-cutané, avec un aspect d'œdème dans sa périphérie, dont l'aspect n'est pas typique mais qui pourrait correspondre à un abcès versus un kyste surinfecté. Nous prenons un avis auprès du chirurgien de garde le Dr. X et l'orthopédiste de garde qui voient le patient en au vu du fait qu'il s'agit d'une collection au niveau de l'endroit, la collection est en contact avec l'os et l'endroit d'où le patient reste assis par au-dessus, nous complétons le bilan pour savoir la nature de cette collection par une IRM du pelvis qui montre une image d'un abcès fessier gauche d'un diamètre de 2 cm de diamètre sans atteinte de l'os. Sur avis du chirurgien de garde nous effectuons initialement une ponction de cette collection juste pour savoir la nature de la collection. Durant la ponction, nous mettons en évidence un écoulement purulent, raison pour laquelle nous incisons cette collection avec présence d'une bonne quantité purulente. Nous rinçons abondamment au NaCl et mettons en place une mèche, qui doit être enlevée dans 24h par le patient lui-même. Il peut regagner son domicile le jour même sous antalgie en réserve. Post-ablation de la mèche, le patient doit faire les douches 3x/24h. Il sera vu en policlinique de chirurgie pour un contrôle clinique vendredi le 05.03.2019. Le bilan biologique montre une CRP à 7 mg/l sans leucocytose, pas d'anémie, pas de trouble de la crase, pas de trouble électrolytique. La radiographie du pouce met en évidence une fracture de la tête et de la base de phalange proximale du pouce gauche. Nous immobilisons le pouce par plâtre en Gontler. Contrôle clinique et radiologique prévus dans une semaine à la policlinique d'orthopédie. Étant donné la présence d'hématome et de douleurs à la palpation au niveau sous-orbital droit, nous complétons le bilan par le scanner du massif facial qui ne montre pas de fracture. La patiente rentre à domicile avec antalgie en réserve. Le bilan biologique montre une CRP stable sans leucocytose, une anémie normochrome et normocytaire stable à 93 g/l, des NT ProBNP à 7192, la gazométrie montre une très légère hypoxémie à 10.5. L'examen clinique ne montrant pas de signe d'insuffisance cardiaque avec une radiographie du thorax sans signe de surcharge ou épanchement nous procédons à un retour au foyer. Le bilan biologique montre une diminution des leucocytes passant de 18 G/l à 9.5 G/l avec une CRP passant de 71 mg/l à 136 mg/l. Devant un examen clinique rassurant, une diminution de la leucocytose et sur avis chirurgicale le patient rentre à domicile. Le bilan biologique montre une Hb ainsi qu'une crase alignée. Selon avis urologique du Dr. X, opérateur, un ultrason des voies urinaires est réalisé, ne montrant pas de caillot dans la vessie ni de sédiment urinaire. Dans ce contexte, au vu d'un saignement de faible quantité avec urines foncées brunâtres, attendu dans le suite d'une biopsie de prostate, ainsi que l'absence de traitement anticoagulant ou antiplaquettaire, aucune mesure complémentaire n'est envisagée. Un contrôle clinique est prévu le 10.04.2019 chez le Dr. X, urologue. Le bilan biologique montre une infection urinaire que nous traitons. Nous mettons par ailleurs en évidence une IRA prérénale, probablement d'étiologie mixte. Dans ce contexte, nous modifions son traitement et lui proposons de reconsulter le médecin traitant d'ici une semaine pour un contrôle biologique et clinique. Le bilan biologique montre une légère hypokaliémie à 3.4 mmol/l que nous substituons per os. Nous rassurons le patient et l'invitons à évaluer l'indication d'un traitement anxiolitique en raison d'angoisses récidivantes d'après l'hétéro-anamnèse. Concernant les diarrhées, nous mettons en place un traitement de Bioflorin et de Lopéramide à arrêter après arrêt des selles diarrhéiques. Le bilan biologique ne montre aucune particularité et l'examen clinique est également dans les normes. À l'arrivée aux urgences et pendant le séjour, la patiente est calme et collaborante. Elle rapporte une situation qui dure depuis des années et qui la pèse beaucoup. Elle n'aurait pas d'idée noire, pas d'idée d'auto ou d'hétéro-agression et souhaiterait juste pouvoir trouver une solution pour gérer le conflit avec ses voisins. Nous contactons son médecin traitant, la Dr. X, pour lui expliquer la situation. Sur ses conseils, nous laissons la patiente rentrer à domicile. Elle a rendez-vous chez sa psychiatre le lendemain pour un suivi clinique. Le bilan biologique ne montre pas de point d'appel infectieux ni d'argument pour une infection urinaire. L'uro-CT ne retrouve pas de lithiase et n'a pas d'argument pour une cause obstructive. Le laboratoire montre une créatinine à 283 mcmoles/L et une urée à 24 mmoles. Nous retenons une insuffisance rénale aiguë KDIGO 2 sur chronique d'origine prérénale pour laquelle une hydratation IV par 1500 mL de NaCl est débutée aux urgences et sera à poursuivre en psychogériatrie avec contrôle de la fonction rénale. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Au vu de la notion de traumatisme crânien pas clair avec des céphalées en progression et EVA à 10/10, une imagerie cérébrale est réalisée afin d'exclure une hémorragie intracrânienne. Cette dernière se révèle superposable au comparatif, nous permettant de conclure pour des céphalées de tension, déjà connues par la patiente. Après une réassurance de la patiente, une antalgie simple est proposée durant 3 jours avec un contrôle clinique à prévoir chez le médecin traitant dans la semaine. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire avec absence de foyer visible à la radiographie de thorax. L'électrocardiogramme revient sans particularité. Au vu des douleurs à la palpation de la cage thoracique, des douleurs musculosquelettiques semblent probables. Après disparition des symptômes après antalgie simple aux urgences, le patient regagne son domicile accompagné d'un ami n'ayant pas consommé d'alcool. Un suivi clinique par le médecin traitant est proposé. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire avec radiographie de thorax ne montrant pas de foyer ni signe de surcharge. Une fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide est constatée, présente probablement depuis une très longue date, motivant un traitement par bêtabloquant de Beloc 25 mg 1x/jour. Quant à une éventuelle anticoagulation, ce dernier refusant un traitement par Xarelto, son introduction par une molécule autre sera à discuter lors d'un suivi chez le médecin de famille, avec liste des médecins en ville remise au patient. Une mesure de la TSH pourra ainsi être réalisée à ce moment. Un suivi cardiologique est également à envisager en ambulatoire. Enfin, quant à une hypertension artérielle connue, asymptomatique, sans atteinte d'organe noble, aucun traitement n'est introduit à l'heure actuelle, avec suivi clinique après traitement bêtabloquant. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, bonne fonction rénale, légère hypokaliémie. Après avoir reçu une antalgie par Dafalgan et Novalgine, les douleurs ont quasiment disparu. La patiente peut regagner son domicile le jour même avec une antalgie simple. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire et la patiente est rassurante d'un point de vue clinique avec une régression de la symptomatologie pendant le séjour aux urgences. Nous lui proposons un retour à domicile avec une antalgie. Nous préconisons la réalisation d'une consultation gynécologique. En cas de réapparition de la symptomatologie, la patiente est invitée à se représenter aux urgences.Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire et la radiographie ne met en évidence aucun corps étranger et aucune atteinte des os. Nous effectuons un rappel antitétanique car celui du patient date de plus de 10 ans et au vu de l'anamnèse de la plaie par clou sale (rouillé), le patient reçoit une dose d'antibiotique Co-Amoxicilline 2200 mg par voie intraveineuse. Nous le laissons rentrer à domicile avec des anti-inflammatoires (de la pharmacie du domicile) et une antalgie de réserve. Nous organisons un contrôle clinico-biologique en filière des urgences ambulatoires pour le 18.04 avec une nouvelle dose d'antibiothérapie IV qui sera administrée (Co-Amoxicilline 2200 mg). En cas de péjoration de la clinique, l'avis d'un orthopédiste sera demandé. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire et le sédiment urinaire est propre. Au vu de ces examens et de l'examen clinique rassurant, nous retenons le diagnostic sus-mentionné et laissons le patient rentrer à domicile. Si les diarrhées persistent, nous lui conseillons l'organisation d'une colonoscopie pour exclure une origine oncologique au trouble du transit. En cas de péjoration des symptômes, de l'apparition de sang dans les selles, ou d'un état fébrile, nous lui conseillons de consulter à nouveau les urgences à tout moment. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques, pas de trouble de la crase. Le sédiment urinaire revient dans la norme. Vu l'examen clinique, radiologique et biologique rassurants, le patient peut rentrer à domicile avec de l'antalgie en réserve. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, pas de trouble électrolytique, pas de perturbation de la crase et des troponines à < 3 mg/l. L'ECG montre un rythme sinusal régulier à 74/min, un axe normal, pas de signe d'ischémie active, pas d'onde Q pathologique, pas de signe d'HVG. Vu l'absence de modification de l'ECG et les valeurs de troponines négatives, nous écartons tout événement cardiaque aigu. Nous administrons le traitement par Nexium 40 mg IV, ce qui soulage les douleurs. Le patient est rassuré et il rentre à domicile avec la majoration de dosage de Pantoprazol jusqu'à 40 mg/jour. Un contrôle clinico-biologique est prévu le 15.04 à Billens où il doit être hospitalisé le 15.04 pour une réhabilitation cardio-vasculaire. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, une légère leucocytose à 11.3 G/l. Au vu de l'examen clinique, nous retenons le diagnostic sus-mentionné. Nous désinfectons la plaie par Bétadine puis effectuons une incision sur 0.5 cm au scalpel sous anesthésie locale. Nous constatons un écoulement sanguinolent, mais pas de pus. Nous appliquons des stéristrips et une bande. Au vu de l'infection, nous administrons une antibiothérapie avec une dose de charge de Co-Amoxicilline 2.2 g IV aux urgences, puis 1 g 3x/jour pendant 7 jours. Nous prescrivons des AINS, une antalgie de réserve et un arrêt de travail de 1 jour et reconvoquons le patient pour un contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie à 1 jour. Le bilan biologique permet d'écarter un syndrome coronarien aigu avec absence de cinétique des troponines, l'ECG dans la norme et nous constatons une disparition complète des symptômes durant le séjour aux urgences. Un syndrome inflammatoire est par contre identifié dans un contexte de symptômes grippaux progressant depuis 4 jours avec un contage familial. Une origine virale semble être la plus probable, raison pour laquelle nous instaurons un traitement symptomatique pour 5 jours. Un contrôle clinico-biologique est prévu à la filière des urgences ambulatoires le 02.04. Enfin, quant aux symptômes anamnestiques de palpitations, la surveillance cardiaque aux urgences se révèle sans particularité. Au vu des antécédents similaires, un bilan rythmologique pourrait être envisagé en cas de récidive des symptômes. Le bilan clinique avec re-visualisation des images montre un patient qui a retraumatisé son genou avec, depuis le dernier traumatisme, une instabilité ressentie. Il a suivi la réhabilitation avec actuellement une bonne trophicité musculaire mais il ressent tout de même une insécurité du genou. Une indication pour une prise en charge chirurgicale est présente au vu du jeune âge du patient et des nombreuses activités sportives qu'il pratique. Nous lui expliquons que la formation de kystes méniscaux de la corne antérieure du ménisque externe est dégénérative et ancienne. Nous posons donc l'indication pour une reconstruction du LCA par TQ et méniscectomie partielle avec ablation des kystes par voie interne, éventuellement par voie externe. À savoir qu'à l'IRM, on ne voit pas de signe de dégénérescence cartilagineuse du compartiment interne. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques per et post-opératoires, il donne son accord écrit. L'intervention est agendée pour le 15.05.19. Le bilan clinique démontre une évolution tout à fait favorable avec reprise des activités précédentes sans problème. Nous ne prévoyons plus de contrôle chez nous mais restons à disposition. Le bilan clinique et d'imagerie permet de poser le diagnostic de kyste épidermique. Nous prenons l'avis chirurgical du Dr. X, excision organisée pour le 26.04.2019 sous anesthésie locale à la policlinique de chirurgie. Nous avons pris l'avis du Dr. X pour la gestion du Xarelto 20 mg (que le patient prend depuis 2016 pour une fibrillation auriculaire) : stopper le Xarelto 20 le 24, 25, 26 avril, introduction de Xarelto 10 mg le 24 et 25 avril. Le patient se présentera en triage le 24.04.2019 au matin pour changer les comprimés (boîte jour par jour sans étiquette des médicaments). Nous expliquons au patient la procédure et le procédé et avons son consentement éclairé oral. Le bilan clinique et le laboratoire permettent d'exclure toute lésion viscérale. Le bilan d'imagerie montre une fracture métaphysaire du radius distal droit, nous posons un plâtre antéro-brachial fendu et la patiente sera suivie à la policlinique d'orthopédie. Premier rendez-vous à 1 semaine. La patiente rentre à domicile avec une antalgie et un arrêt de sport pour 6 semaines. Le bilan clinique et radiologique est en faveur d'une inflammation du fat pad au niveau de la tête du premier métatarse. Vu l'absence de rougeur et de chaleur mais de la présence d'une tuméfaction légère, nous ne faisons pas de bilan biologique. Nous mettons en place un bandage antalgique et lui prescrivons antalgie et AINS. Le patient sera vu à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Le bilan clinique et radiologique est en faveur d'une réaction allergique sur probable piqûre d'insecte. Nous donnons une ordonnance avec antalgie, AINS, Aerius pour 5 jours. Nous conseillons à la patiente de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle le 29.04. Le bilan clinique et radiologique montre la fracture de la première phalange du 4ème orteil, nous effectuons une syndactylie, mettons une chaussure Barouk en place pour la marche en charge. La suite sera faite en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Le bilan clinique et radiologique montre le diagnostic mentionné ci-dessus. Nous mettons une attelle Alu au 3ème doigt. Vu l'absence de douleur spontanée et à la mobilisation des doigts en regard du 4ème rayon, le reste de la main n'est pas immobilisé. Le bilan clinique et radiologique ne montre pas de fracture ni d'épanchement pleural ni d'altération du laboratoire. Nous donnons de l'antalgie et conseillons un contrôle chez le médecin traitant selon besoins.Le bilan clinique et radiologique permet de poser le diagnostic de contusion. Nous mettons en place un bandage antalgique et la patiente sera vue à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Le bilan clinique et radiologique permet d'exclure des fractures. Nous mettons en place une syndactylie à but antalgique et donnons à la patiente une prescription d'AINS et antalgie. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle dans une semaine. Le bilan clinique et radiologique permet d'exclure une fracture. Nous posons le diagnostic d'entorse de la cheville gauche de stade I, nous mettons en place un bandage antalgique, conseillons l'arrêt du sport pour 6 semaines et contrôle chez le médecin traitant. Le bilan de laboratoire ne révèle aucun syndrome inflammatoire, et le sédiment est propre. Les résultats bactériologiques reviennent négatifs pour gonorrhée et chlamydia. Le statut clinique est complètement normal hormis une légère sensibilité à la palpation prostatique. Nous retenons le diagnostic de prostatite au décours. Le patient poursuivra son antibiothérapie jusqu'au 11.04.2019. Un contrôle clinique chez son médecin traitant dans une semaine est recommandé. Le bilan de laboratoire ne révèle pas de syndrome inflammatoire. Au vu de la présence d'urobilinogène dans les urines avec des plaintes de douleurs abdominales, un bilan hépatique est demandé mais revient normal. Les tests pancréatiques se révèlent normaux. Au vu de la relation entre la prise alimentaire et les symptômes, avec un laboratoire normal, nous évoquons le diagnostic différentiel de gastrite. La patiente bénéficie d'un traitement symptomatique et sera revue dans 1 semaine chez son médecin traitant pour contrôle clinique et réévaluation de l'indication aux traitements introduits ce jour. Le bilan IRM ne fait pas état d'une atteinte inflammatoire sur l'axe du tendon d'Achille. Il y a toutefois une visualisation d'un petit exostose type Haglund mais qui ne génère pas de conflit ni d'irritation de la bursite rétro-achilléenne. Le bilan permet d'exclure une fracture et nous faisons le rappel anti-tétanique. La patiente sera suivie par son médecin traitant selon besoin. Le bilan permet d'exclure une origine cardiologique. Le patient présente une symptomatologie qui peut évoquer la GERD (reflux oesophagien) DD : dysmotilité de l'oesophage. Nous conseillons un traitement par Pantozol et contrôle clinique chez le médecin traitant. Le bilan radioclinique à disposition laisse supposer un descellement de la tige fémorale G pour lequel nous proposons une ponction articulaire à la recherche d'une infection avec également une prise de sang (Leuco + CRP). Nous reverrons la patiente suite à ces examens. Nous lui demandons de nous fournir les anciennes images radiologiques. Le bilan radio-clinique a permis d'écarter toute lésion osseuse traumatique à l'origine des douleurs. Chez ce patient, les symptômes ont été occasionnés par 2 étiologies, d'une part un syndrome radiculaire sur compression herniaire, d'autre part une probable contusion au niveau du vaste externe, compte tenu des douleurs reproductibles à la palpation. À noter l'absence de toute symptomatologie douloureuse au niveau de la hanche actuellement. On recommande la poursuite du traitement conservateur et le patient reçoit en ce qui concerne le traumatisme au niveau de la cuisse une prescription pour 9 séances de physiothérapie à but d'antalgie et de récupération de la musculature. Nous ne prévoyons pas de revoir le patient en consultation. La suite de la prise en charge se fera à la consultation du Dr. X compte tenu du syndrome radiculaire persistant. Le bilan radio-clinique actuel évoque une correction insuffisante du cam avec une asphéricité de la tête fémorale toujours présente. Il n'existe en revanche pas de décentrage de la tête fémorale, ni de déficit du mur antérieur du cotyle. Toutefois, avant de prendre une décision, nous allons nous procurer l'ensemble des rapports médicaux qui concernent le patient à ce sujet et nous le reverrons dans les prochaines semaines. Le bilan radioclinique de la patiente nous laisse présager en raison de son très jeune âge un pronostic favorable concernant la consolidation de cette fracture. Nous prévoyons un contrôle radioclinique dans 4 semaines. Le bilan radio-clinique du patient nous évoque une étiologie urologique et rachidienne aux douleurs que présente le patient. Concernant la fracture/tassement avec les hernies discales, nous adressons le patient à la consultation du Dr. X pour la suite de la prise en charge. Concernant l'hernie inguino-scrotale droite, nous souhaitons que le patient soit convoqué par le service de chirurgie pour la suite de la prise en charge. Concernant les hanches, il n'y a a priori pas de symptomatologie présente, nous ne prévoyons donc pas de contrôle supplémentaire, mais nous restons à disposition si besoin. Le bilan radio-clinique du patient nous pousse vers une prise en charge chirurgicale. Vu le jeune âge du patient, nous souhaitons retarder le plus possible la mise en place d'une prothèse. Pour cela, nous proposons au patient une prise en charge chirurgicale avec luxation chirurgicale de la hanche, correction d'offset, transposition du grand trochanter, autographe ostéochondral de la tête fémorale, plus ou moins ablation des fragments intra-articulaires. Le patient est informé du déroulement de l'intervention, ainsi que des risques et bénéfices et il signe le consentement éclairé. Le bilan radioclinique effectué aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. La patiente bénéficie pour les 4 premières semaines d'une immobilisation par Rucksack. Elle est ensuite suivie régulièrement en policlinique d'orthopédie où elle présente une évolution favorable. Nous revoyons une dernière fois la patiente ce jour le 03.04.2019 à 9 semaines du traumatisme. Face à cette évolution rassurante avec une mobilité complète et symétrique, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. La patiente âgée de 12 ans n'a jamais bénéficié d'arrêt de travail pour ce traumatisme. Le bilan radioclinique est favorable, nous enlevons ce jour le plâtre et prescrivons de la physiothérapie pour mobilisation du coude sans charge jusqu'au prochain contrôle radioclinique dans 1 mois. Le bilan radio-clinique est très rassurant chez un patient qui est actuellement asymptomatique, raison pour laquelle nous ne prévoyons pas de rendez-vous de contrôle supplémentaire mais restons à disposition au besoin. Le bilan radioclinique met en évidence un conflit d'ordre mécanique antérieur D entre la prothèse et l'épine iliaque antéro-inférieure, pour lequel nous ne retenons aucune indication chirurgicale. Nous conseillons à la patiente des mesures d'hygiène posturales. Nous prévoyons un contrôle à 5 ans postopératoire. Entre temps, nous restons bien évidemment à disposition en cas de besoin. Le bilan radio-clinique montre un genou usé avec une arthrose tricompartimentale pour laquelle nous ne voyons pas d'indication chirurgicale dans l'immédiat et pour laquelle nous prescrivons des séances de physiothérapie avec également du Condrosulf pour 3 mois. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Le bilan radioclinique nous fait évoquer une entorse de l'interphalangienne proximale sur extension contrariée d'un orteil en griffe dû à la réception d'une caisse lourde sur les orteils. Le patient étant actuellement très symptomatique et ayant déjà repris le travail, nous ne prévoyons pas de contrôle supplémentaire mais restons à disposition. Le bilan radio-clinique nous fait retenir une importante faiblesse des abducteurs pour laquelle nous préconisons des séances de physiothérapie à sec et en piscine. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 an.Le bilan radioclinique permet d'exclure une fracture récente type Salter 2, nous pouvons uniquement mettre en doute la présence d'une éventuelle fracture de type Salter 1 sans déplacement de l'épiphyse du péroné. Le père explique qu'elle n'a jamais eu d'hématome localement. La patiente ne présente pas de douleur au niveau de la projection des ligaments, elle a uniquement des douleurs au niveau du péroné distal, suite à la contusion contre la cheville/pied d'un autre enfant il y a une semaine. Les douleurs sont tolérables et n'empêchent pas la charge, mais la patiente n'a jamais gardé le membre inférieur au repos et c'est probablement pour cela qu'elle présente encore des douleurs et une tuméfaction. Nous mettons en place un plâtre à but antalgique et la patiente sera vue à la policlinique d'orthopédie dans une semaine. Le bilan radioclinique peut exclure un descellement prothétique de la hanche D. En fait, le status clinique est très rassurant. Je ne propose aucun traitement. Du côté G, le patient est peu symptomatique, il n'y a pas d'indication opératoire pour le moment. Je n'ai pas d'explication particulière pour la gêne. On pourrait à la limite prescrire au patient quelques séances de physiothérapie pour tonifier la musculature, à voir avec son médecin traitant. Un contrôle d'emblée chez moi n'est pas prévu mais je propose au patient de faire un contrôle radiologique à 15 ans post pose de prothèse soit d'ici 5 ans. Le bilan radiographique ne montre pas de fracture. Le status clinique est évocateur d'une entorse du Chopart. Le patient bénéficie d'une immobilisation par botte plâtrée en décharge, fendue. Cannes anglaises et thromboprophylaxie par Clexane. Le patient sera revu dans 1 semaine en policlinique d'orthopédie pour un contrôle clinique et la circularisation du plâtre. Le bilan radiographique ne retrouve pas de fracture. Le status est normal hormis la présence de quelques caillots à la rhinoscopie. Le patient se plaint aussi de douleurs chroniques à la narine gauche, présentes avant le traumatisme du 08.04.2019. Ce nouvel élément nous fait demander l'avis du Dr. X, ORL de garde, qui préconise un rendez-vous de contrôle à sa consultation le 12.04.2019. Le bilan radiographique permet d'écarter une fracture. Au vu de l'anamnèse et du status clinique, nous retenons le diagnostic de contusion du genou. Le patient bénéficie d'une immobilisation par bande élastique à but antalgique, et prescription d'antalgie simple. Il va prendre un rendez-vous avec le Dr. X mardi 16.04.2019. Le bilan radiographique permet d'écarter une fracture. Le status clinique est évocateur d'une contusion du poignet droit (DD: entorse des ligaments radio-carpiens). Au vu de l'anamnèse de traumatisme direct, le diagnostic de contusion du poignet droit est retenu. Le patient bénéficie d'une immobilisation à but antalgique du poignet, dont il se sèvrera lui-même. Un contrôle clinique dans 1 semaine à la consultation du médecin traitant est recommandé. Le bilan radiographique permet d'écarter une fracture. Le status clinique est évocateur d'une entorse du ligament latéral externe de grade 2. Au vu d'une charge impossible, le patient est immobilisé en décharge dans une attelle jambière postérieure avec une thromboprophylaxie par Clexane et des cannes anglaises. Le patient sera revu dans 1 semaine en policlinique d'orthopédie pour un contrôle clinique et mise en place d'une attelle Aircast si possible. Le bilan radiographique permet d'écarter une fracture. Le status est évocateur d'une entorse du ligament latéro-externe de grade II. Le patient bénéficie d'une immobilisation par attelle Aircast qu'il devra porter pour une durée totale de 6 semaines, avec d'effectuer un contrôle clinique chez son médecin traitant. Le bilan radiographique révèle une fracture peu déplacée de la face dorsale du triquetrum. Le patient bénéficie d'une immobilisation par attelle Edimbourg, qu'il devra porter pour 6 semaines. Il sera revu dans 1 semaine en policlinique d'orthopédie pour un suivi radio-clinique. Le bilan radiologique avec un ultrason abdominal et un uro-CT ne met en évidence aucune lésion au niveau des reins, des voies urinaires ou de la vessie. Au vu de la clinique stable du patient, nous le laissons rentrer à domicile. Il conserve la sonde urinaire jusqu'à ce que les urines soient claires et prendra rendez-vous pour une consultation chez un urologue. Le bilan radiologique constate la présence d'un corps étranger extra-articulaire au niveau du bord médial de l'interphalangienne proximale du pouce droit. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Après exploration de plaie, le corps étranger est enlevé sous scopie suivi par rinçage abondant au NaCl et administration de dose unique de Zinacef. Un contrôle de plaie est prévu à moins de 24 heures à la policlinique d'orthopédie. Le bilan radiologique de ce jour révèle une bonne position de la prothèse qui a été posée il y a cinq ans à Neuchâtel. Du côté D, le patient présente une gonarthrose avancée. Le fait qu'il arrive toujours à faire du ski à haut niveau, cette année au total sept semaines sur les pistes, l'indication pour une implantation de prothèse à D n'est certainement pas donnée. Le patient me recontactera si nécessaire. Un contrôle d'emblée chez moi n'est pas prévu. Je propose par contre un contrôle radiologique de sa prothèse à G à dix ans post opératoires. Le bilan radiologique effectué chez le médecin traitant met en évidence le diagnostic de fracture distale du radius droit non déplacée. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste, qui préconise une prise en charge conservatrice avec une immobilisation dans un plâtre brachio-antébrachial palmaire fendu et un suivi avec des contrôles clinico-radiologiques à sa consultation à 1 et 2 semaines. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec une prescription pour des anti-inflammatoires, une antalgie de réserve et un arrêt de travail. Le bilan radiologique met en évidence le diagnostic de fracture impactée du tiers distal du radius et de l'ulna au niveau de l'avant-bras droit. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste de garde, qui préconise une réduction fermée que nous effectuons aux urgences sous Scopie et MEOPA. Au vu du résultat satisfaisant, nous immobilisons l'avant-bras dans un plâtre AB fendu, avec un contrôle radiologique ensuite. La patiente sera revue pour un contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 1 semaine. Nous la laissons rentrer à domicile avec une prescription pour des anti-inflammatoires et une antalgie de réserve. Le bilan radiologique met en évidence le diagnostic de fracture spiroïde du 4ème métacarpe non déplacée au niveau de la main gauche. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste, qui préconise une prise en charge conservatrice avec une immobilisation dans une attelle Edimbourg nuit et jour. Il verra la patiente à sa consultation dans 1 semaine pour un contrôle radio-clinique. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec une prescription pour des anti-inflammatoires et une antalgie de réserve. Le bilan radiologique met en évidence le diagnostic sus-mentionné. Nous demandons l'avis du chef de clinique d'orthopédie de garde, Dr. X, qui vient examiner le patient. La prise en charge de la fracture sera discutée le lendemain au colloque d'orthopédie et le patient sera reconvoqué. Les avantages et désavantages de l'opération ou du traitement conservateur lui sont expliqués en présence d'un membre de sa famille qui lui traduit. Le consentement est signé. Le patient rentre à domicile avec une immobilisation par attelle Edimbourg et une prescription pour des anti-inflammatoires et une antalgie simple, ainsi qu'un arrêt de travail de 6 semaines.Le bilan radiologique met en évidence le diagnostic sus-mentionné. Nous mettons en place une chaussure Burato pour décharge de l'orteil et prescrivons des anti-inflammatoires et une antalgie de réserve. Le patient rentre à domicile et prendra rendez-vous à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine pour un contrôle clinique. Le bilan radiologique met en évidence le diagnostic sus-mentionné. Nous mettons en place une chaussure Buratto que le patient portera jusqu'à son contrôle clinique en policlinique d'orthopédie à 1 semaine (il prend rendez-vous le lendemain). Nous prescrivons également des anti-inflammatoires et une antalgie de réserve ainsi qu'un arrêt de travail d'une semaine, qui sera prolongé si nécessaire au contrôle. Le bilan radiologique met en évidence le diagnostic sus-mentionné. Nous prenons contact avec la cheffe de clinique orthopédiste de garde, Dr. X, qui nous conseille d'immobiliser le bras dans un plâtre brachio-antébrachial. Nous indiquons à la patiente qu'elle devra être opérée pour le meilleur résultat de guérison et qu'elle sera contactée le lendemain pour discuter de la date de l'opération. Nous la laissons rentrer à domicile avec son mari, avec une prescription pour des anti-inflammatoires et une antalgie de réserve. En cas d'apparition de trouble de la sensibilité, de fortes douleurs résistantes à la prise d'antalgie, nous lui conseillons de consulter immédiatement les urgences. Le bilan radiologique met en évidence une prothèse du genou en place, pas de fracture. Au vu de l'examen clinique rassurant, de la régression des douleurs après un Paracétamol 1g et de l'anamnèse sans notion de chute ou de traumatisme, nous laissons le patient rentrer à domicile avec des anti-inflammatoires pendant 3 jours et une antalgie de réserve. Si les douleurs persistent, nous lui conseillons de prendre rendez-vous chez son médecin opérateur (Dr. X) pour un contrôle clinique. Le bilan radiologique montre un status post-luxation de la rotule avec un arrachement osseux versus du cartilage au niveau de la rotule. Nous immobilisons le genou dans une attelle jeans 0°, marche en décharge sur membre inférieur droit avec des cannes anglaises. Nous organisons une IRM du genou droit le 11.04.2019 avec un contrôle clinique prévu à la consultation du Dr. X, orthopédiste, le 16.04.2019 à 09H45. La patiente peut regagner son domicile le jour même accompagnée de son père avec une prophylaxie thromboembolique et une antalgie standard par Dafalgan et anti-inflammatoires non-stéroïdiens. Le bilan radiologique montre une diminution de l'interligne articulaire du compartiment externe. Sur la base de l'histoire clinique ainsi que le morphotype de la patiente, une arthrose débutante est suspectée, traitée par antalgie, repos et physiothérapie. Un contrôle clinique est indiqué à la consultation de Dr. X, orthopédiste. Le bilan radiologique montre une fracture déplacée de la clavicule. Nous prenons avis auprès de nos collègues d'orthopédie, qui préconisent une IRM afin d'évaluer les ligaments acromio-claviculaires. En cas d'atteinte de ces ligaments, une intervention serait alors proposée. La suite est donc organisée en ambulatoire avec le service d'orthopédie. Le bilan radiologique montre une suspicion de fracture Salter, traitée par immobilisation par attelle alu. Une antalgie est proposée avec arrêt de sport et contrôle en policlinique d'orthopédie à 7-10 jours. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune complication liée à une fracture de côte, il n'y a pas de pneumothorax, ni d'épanchement pleural. L'ultrason abdominal ne montre pas de lésion d'organe, pas de liquide libre. Au vu de l'examen clinique, nous concluons à une fracture de côte gauche, et laissons le patient rentrer à domicile avec une antalgie par Oxycontin 5mg 2x/jour pendant 5 jours et Dafalgan 1g en réserve. Nous lui conseillons également d'effectuer des exercices respiratoires (il possède un Inspirex à domicile). En cas de persistance des douleurs, nous lui conseillons de consulter son médecin traitant pour un contrôle clinique. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune fracture. Au vu de l'examen clinique et de l'anamnèse, nous concluons au diagnostic de contusion de la malléole externe du pied gauche et laissons la patiente rentrer à domicile avec une bande élastique et une pommade anti-inflammatoire par Voltarène, ainsi qu'une prescription pour des anti-inflammatoires et une antalgie de réserve. Si les douleurs persistent, elle consultera son médecin traitant pour un contrôle clinique. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune fracture. Au vu de l'examen clinique, nous retenons le diagnostic sus-mentionné et laissons le patient rentrer à domicile avec une bande élastique et une prescription pour des anti-inflammatoires et une antalgie simple et un arrêt de sport de 2 semaines. En cas de persistance des douleurs, il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune fracture. Cependant, au vu d'une impossibilité à la charge, une immobilisation par attelle jambière postérieure est réalisée avec contrôle en policlinique orthopédique à 7 jours. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune fracture. Nous demandons l'avis de l'orthopédiste de garde (Dr. X) qui observe également les radios. Nous retenons le diagnostic sus-mentionné et mettons en place une bande élastique coolfix. La patiente a déjà des anti-inflammatoires que nous lui conseillons de prendre pendant 5 jours. En cas de persistance des douleurs, elle consultera le médecin traitant. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse. Au vu de l'examen clinique, nous concluons au diagnostic sus-mentionné et mettons en place un protocole RICE avec une contention par attelle Aircast à porter pendant 6 semaines, des anti-inflammatoires pendant 5 jours et une antalgie simple. La patiente est reconvoquée pour un contrôle clinique chez Dr. X, orthopédiste, à 1 mois. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse. Au vu de l'examen clinique, nous laissons le patient rentrer à domicile avec une bande élastique, des anti-inflammatoires et une antalgie simple de réserve. Si les douleurs persistent, nous conseillons de consulter le pédiatre pour un contrôle clinique. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse. Au vu de l'examen clinique, nous retenons le diagnostic sus-mentionné et laissons le patient rentrer à domicile avec une prescription pour des anti-inflammatoires et une antalgie simple. En cas de persistance des douleurs, il consultera son médecin traitant pour un contrôle clinique. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse. Au vu de l'examen clinique, nous suspectons le diagnostic d'entorse du ligament latéral externe du genou gauche. Nous immobilisons le genou dans une attelle Jeans à 20° et prescrivons une prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg à faire une fois par jour, des anti-inflammatoires et une antalgie de réserve. Le patient prendra rendez-vous pour un contrôle clinique à la consultation de Dr. X la semaine prochaine. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse et l'examen clinique est rassurant avec une mobilisation de l'épaule réalisable et un testing de la coiffe des rotateurs qui ne montre pas de déficit. Nous concluons au diagnostic sus-mentionné et laissons le patient rentrer à domicile avec une prescription pour des anti-inflammatoires et une antalgie simple, un bon de 9 séances de physiothérapie pour une mobilisation active/passive de l'épaule et un arrêt de travail de 4 jours. En cas de persistance des douleurs, nous lui conseillons de consulter son médecin traitant.Le bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse, ni pneumothorax. Au sédiment urinaire, nous retrouvons une hématurie avec 6-10 érythrocytes par champ. Au vu de l'examen clinique rassurant, nous laissons le patient rentrer à domicile avec un contrôle clinique aux urgences le lendemain avec un nouveau sédiment urinaire et l'organisation d'un ultrason uro-génital en cas de persistance de l'hématurie. Nous prescrivons des AINS à prendre pendant 3 jours et une antalgie de réserve. Si les symptômes se péjorent, nous lui proposons de se représenter aux urgences. Le bilan radiologique ne montrant pas de fracture, nous retenons une contusion du genou gauche. Nous mettons en place une bande élastique pendant 5 jours et une antalgie standard. La patiente peut regagner son domicile le jour même et sera vue dans une semaine à la consultation de son médecin traitant. Si persistance de symptômes, à organiser une consultation chez un orthopédiste. Le bilan radiologique ne montre à priori pas de fracture, avec cependant une suspicion de fracture à la base de la 2ème phalange du majeur droit. Une immobilisation par attelle Stack est proposée et le patient prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle à 1 semaine. Le bilan radiologique ne montre pas de fracture du rachis et des côtes, avec absence de pneumothorax ou d'hémothorax visualisés. Une atteinte rénale est de même écartée en l'absence d'hématurie au stix urinaire. L'ECG se révèle enfin sans particularité. Une contusion est retenue, traitée par antalgie, myorelaxant et repos. Un contrôle clinique est proposé chez le médecin traitant. Le bilan radiologique ne montre pas d'atteinte osseuse. L'examen clinique évoque une entorse bénigne du ligament collatéral radial du pouce droit. Nous immobilisons le pouce droit avec une attelle alu et un pansement en 8. La patiente rentre à domicile avec une antalgie simple. Elle prendra rendez-vous chez le Dr. X pour un contrôle clinique. Le bilan radiologique ne montre pas de fracture costale ni de complication secondaire. L'ECG est sans particularité. Le bilan biologique ne montre pas d'atteinte hépatique ni rénale. Après une antalgie adaptée, le patient regagne son domicile avec un contrôle clinique dans la semaine chez le médecin traitant. Au vu de la profession du patient, un arrêt de travail est prescrit. Le bilan radiologique ne montre pas de fracture et l'examen clinique ne montre pas de limitation de mouvement avec des douleurs à la palpation en regard du trajet du muscle petit pectoral. Un étirement musculaire du muscle petit pectoral est retenu, traité par bretelle antalgique et repos. Un contrôle clinique est indiqué chez son pédiatre traitant. Le bilan radiologique ne montre pas de fracture. Face à l'examen clinico-radiologique, nous retenons une entorse bénigne du poignet droit. Nous mettons en place une attelle de poignet pendant une semaine à but antalgique. Le patient peut regagner son domicile le jour même avec une antalgie standard et sera vu dans une semaine en policlinique d'orthopédie. Le bilan radiologique ne montre pas de fracture ni de corps étranger. L'examen clinique révèle une plaie de 1 cm au niveau de la face dorso-radiale de l'index, sans atteinte de l'appareil tendineux, ce dernier étant non exposé. Nous suturons par 1 point à l'Ethilon 4-0, avec l'ablation des points à J14 chez le médecin traitant. Elle contactera celui de son père. Le bilan radiologique ne montre pas de fracture. Nous retenons une entorse de stade II de la cheville gauche. Nous immobilisons la cheville avec une attelle Aircast pour 6 semaines. La patiente peut regagner son domicile et sera vue dans une semaine par son médecin traitant. Le bilan radiologique ne montre pas de fracture. Une antalgie simple avec arrêt de sport sont proposées. Le bilan radiologique ne montre pas de fracture. Une antalgie simple avec un arrêt de sport sont proposés à la patiente. Le bilan radiologique ne montre pas de fracture. Une immobilisation par attelle Aircast est indiquée durant 6 semaines avec un arrêt de sport et un contrôle clinique chez le pédiatre à 7 jours. Le bilan radiologique ne montre pas de lésion des os. Au vu de l'examen clinique, nous retenons le diagnostic susmentionné et mettons en place un schéma RICe avec syndactylie D2D3, anti-inflammatoires pendant 3 jours, application de glace, et arrêt de sport pendant 1 semaine. Si les douleurs persistent, nous conseillons d'effectuer un contrôle clinique chez le pédiatre. Le bilan radiologique ne montre pas de lésion osseuse. Au vu de l'examen clinique, nous concluons au diagnostic d'entorse de stade II du ligament latéral externe de la cheville droite et prescrivons la pose d'une attelle Aircast et un arrêt de sport pendant 6 semaines. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec une prescription pour des anti-inflammatoires à prendre pendant 5 jours et une antalgie de réserve. Elle consultera son médecin traitant pour le suivi clinique. Le bilan radiologique ne montre pas de lésion osseuse. Au vu de l'examen clinique, nous retenons le diagnostic susmentionné. Nous immobilisons la patiente par une attelle Jeans à 20° avec une décharge par cannes anglaises, une prescription pour une prophylaxie antithrombotique par Clexane 40mg sous-cutanée tant que la charge complète n'est pas possible, des anti-inflammatoires pendant 5 jours et une antalgie de réserve. La patiente prend rendez-vous pour un contrôle clinique à la consultation du Dr. X à 1 semaine du traumatisme. Le bilan radiologique ne montre pas de lésion osseuse. Le bilan sanguin montre un syndrome inflammatoire à une CRP à 16mg/l et leucocytose à 19.7g/l. Le patient est connu pour un syndrome inflammatoire à une CRP 20mg/l et leucocytose à 19.2g/l en novembre 2018, bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, une anémie chronique connue à 107g/l de l'hémoglobine. Après avoir reçu une antalgie simple, les douleurs sont quasiment disparues et le patient arrive à bien se mobiliser. En ce qui concerne cette tuméfaction au niveau du grand trochanter gauche, le patient a effectué un ultra-son le 29.10.2018 à l'HFR montrant une collection de 6x3,8 x7,5 cm à contenu hypo-échogène au sein des tissus mous de la hanche gauche entourant une partie du cerclage et venant au contact du grand trochanter et de la partie proximale de la diaphyse fémorale sur le versant externe. Absence d'épanchement au sein de l'articulation coxo-fémorale gauche, parlant en défaveur d'une communication entre ces deux structures. Absence d'hyperémie au sein des parties molles au pourtour de la collection, parlant en défaveur d'une origine infectieuse, bien que celle-ci ne puisse être exclue sur la base de l'échographie. Au vu de l'évolution clinique favorable, le patient peut regagner son foyer le jour même avec une adaptation du traitement antalgique. Il sera vu dans une semaine à la consultation de son médecin traitant pour un contrôle clinique. Le bilan radiologique ne montre pas de lésion osseuse traumatique. Nous retenons une contusion des 3ème et 4ème métatarsophalangiens du pied droit. Nous mettons en place une bande élastique durant 5 jours. La patiente peut regagner son domicile le jour même avec une antalgie par Algifor en réserve. Elle sera vue dans une semaine à la consultation de son pédiatre. Le bilan radiologique ne montre pas de lésion osseuse traumatique visible. Le sédiment urinaire montre une microhématurie, à noter que la patiente n'a pas son cycle menstruel actuellement. Nous retenons une contusion lombaire et de l'index gauche. Au vu du fait que la patiente est hémodynamiquement stable, nous la laissons rentrer avec une antalgie simple. En ce qui concerne cette microhématurie, nous demandons un ultrason des voies urinaires qui est agendé le 08.04.2019 à 10h00.Le bilan radiologique ne montre pas de lésion osseuse traumatique visible (selon avis du Dr. X, radiologue, pas nécessaire de répéter les radiographies lombaires, celles de la veille étant suffisantes pour exclure une fracture). L'ultrason abdominal est normal et ne montre pas de liquide libre intra-abdominal. Nous retenons les diagnostics de contusion cervicale, de contusion fronto-temporale droite et de douleurs abdominales d'origine indéterminée. Les constantes et l'état clinique de la patiente étant rassurants, nous la laissons rentrer avec une antalgie simple et un contrôle clinique et laboratoire (stix urinaire) chez son médecin traitant en fin de semaine. Le bilan radiologique retrouve une fracture en motte de beurre du radius distal. Un plâtre AB fendu est réalisé, avec un contrôle à la policlinique d'orthopédie à 7 jours à organiser. Le bilan sanguin montre un syndrome inflammatoire à une CRP 12 mg/l et leucocytose à 12.4 G/l, et une bonne fonction rénale. Devant l'examen clinico-biologique et au vu qu'une intervention est prévue au bloc opératoire jeudi le 02.05.2019, nous ne voyons pas d'indication pour une incision. Le patient peut regagner son domicile le jour même avec une antalgie par Dafalgan et AINS et poche à glace. Il sera vu demain à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique. Le bilan sanguin montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, léger syndrome inflammatoire à une CRP 21 mg/l et leucocytose à 13.2 G/l. Le test de Malaria revient négatif. Le patient peut regagner son domicile le jour même avec une antalgie simple et il sera vu à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinico-biologique y compris un nouveau test de Malaria. Le bilan somatique de pré-hospitalisation au RFSM de Marsens retrouve une infection urinaire basse non compliquée, chez une patiente afébrile avec absence de syndrome inflammatoire. Dans ce contexte, une antibiothérapie par Bactrim est administrée 2x/jour durant 5 jours. Cependant, nous considérons que l'état de détresse psychique rapporté par l'hétéro-entourage ainsi que constaté lors du séjour aux urgences motive une prise en charge psychiatrique avec hospitalisation au RFSM de Marsens, car difficilement expliqué par l'infection urinaire actuelle. Comme anticipé par le Dr. X, un transfert à l'unité Aubépines est organisé. Départ en ambulance. Le bilan somatique est sans particularité. Après avis psychiatrique, la patiente est hospitalisée au RFSM de Marsens en mode volontaire, accompagnée de son compagnon. Les deux s'engagent à se présenter en milieu hospitalier et la patiente s'engage à faire un appel à l'aide au besoin. Le cas a été discuté avec le Dr. X ainsi qu'avec le Dr. X. Prochain contrôle dans une semaine pour exclure un déplacement secondaire. Le contrôle biologique montre une CRP à 5 mg/l et pas de leucocytose. L'ultrason montre la présence d'un calcul caliciel inférieur droit de 6 mm, sans dilatation ddc, sans argument pour une pyélonéphrite compliquée. Pas de calcul dans la vessie. L'ultrason a montré un rein droit plus petit que le gauche (ce qui est connu selon la patiente pour une opération à l'âge de 10 ans, mais elle ne sait pas laquelle). Nous prenons l'avis du Dr. X, chirurgien, qui nous conseille de prévenir l'urologue. Nous appelons le Dr. X, urologue de garde, qui conseille un rendez-vous à la consultation du Dr. X lundi 08.04.2019. La patiente doit continuer à filtrer les urines. Elle va reconsulter les urgences si réapparition des symptômes. Le contrôle clinique avec bilan IRM présente une amélioration au niveau de la lésion du sus-épineux avec une tendinopathie du sous-scapulaire stable. Le LCB se présente guidé dans son sillon. De notre part, nous lui prescrivons des séances de physiothérapie pour avoir un suivi. D'autre part, nous reverrons le patient pour un contrôle clinique dans 1 an. Au besoin, il nous recontactera avant. Pas de restriction. Le contrôle clinique est dans la norme. L'ablation des fils se fera comme prévu à 7 jours de l'accident chez le médecin traitant. Le contrôle clinique est rassurant. Une désinfection avec Bétadine a été faite et un pansement avec Adaptic a été refait. Le patient sera revu au contrôle à la policlinique d'orthopédie déjà programmé pour lundi 08.04.2019. Le contrôle clinique montre une bonne évolution avec une bonne mobilité et une bonne force au niveau du pouce. Malheureusement, le patient présente encore un déficit d'extension d'environ 10° qui s'améliore après mobilisation passive. Je lui propose de poursuivre encore avec la mobilisation telle quelle par les exercices acquis en ergothérapie et physiothérapie. Pas de contrôle prévu, le patient reprendra contact en cas de nécessité. Le contrôle clinique montre une bonne évolution. Concernant l'hypoesthésie, je propose des séances d'ergothérapie pour désensibilisation. Il est bien possible que suite à la pose du garrot pneumatique en intra-opératoire, le patient a subi une compression nerveuse de la branche du sural. Poursuite de l'arrêt de travail à 50% pour encore 4 semaines puis reprise à 100% par la suite. Prescription de physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Le contrôle des paramètres vitaux à l'entrée aux urgences met en évidence une hypertension artérielle à 175/100 mmHg, puis le contrôle régulier pendant la prise en charge aux urgences met en évidence une augmentation de la tension artérielle jusqu'à 209/105 mmHg. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale avec créatinine à 106 µmmol (connu depuis 2016), pas de trouble électrolytique, pas de syndrome inflammatoire, anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 119 g/l, pas de perturbation de la crase. Le sédiment urinaire montre une présence de protéinurie connue en 2016. Aux urgences, la patiente a reçu du Tramal 50 mg et de l'Ecofenac 75 mg avec un léger soulagement des douleurs au niveau de la loge rénale. Malgré la diminution des douleurs, les valeurs de tension artérielle restent stablement hautes. Nous administrons 1 push d'Isoket, 1 comprimé de Nifédipine 20 mg retard, 1 comprimé d'Amodipine avec un effet thérapeutique favorable. Pendant la surveillance aux urgences, les valeurs de la tension artérielle restent dans la norme. La patiente rentre à domicile avec de l'antalgie en réserve. Contrôle chez le médecin traitant dans les 2 à 3 jours. Le contrôle radioclinique démontre, au niveau de son épaule D, la lésion susmentionnée et, au niveau de son épaule G, les lésions susmentionnées. Au niveau de son épaule G, nous proposons une prise en charge chirurgicale consistant en une arthroscopie diagnostique et ténotomie-ténodèse du LCB avec éventuelle reconstruction du sous-scapulaire si nécessaire. D'autre part, au niveau de l'épaule D, nous proposons un traitement conservateur avec de la physiothérapie selon le schéma San Antonio. De la physiothérapie en piscine a également été prescrite. Le patient, à l'heure actuelle et suite au planning de cette année, aimerait attendre. Par conséquent, nous reverrons le patient pour discussion des détails de l'intervention en décembre 2019 avec organisation d'une date opératoire pour le début de l'année. Le contrôle radioclinique du jour est satisfaisant. Nous le reverrons pour un contrôle radioclinique le 09.05.2019. Autorisation de reprise du travail à 20% dès le 26.04.2019 jusqu'au 07.06.2019. Le contrôle radio-clinique montre la lésion susmentionnée. Concernant la lésion du LCA et la lésion LLI, un traitement conservateur est possible avec un schéma d'immobilisation à 0° pendant 2 semaines puis mobilisation jusqu'à 90° de flexion selon tolérance, non forcée, pas de charge axiale. Le risque d'une arthrofibrose est présent mais serait encore plus augmenté en cas de chirurgie, ce qui est bien discuté avec la patiente.Poursuite de l'arrêt de travail à 100%. Prochain contrôle clinique dans 5 semaines. Le contrôle radio-clinique montre une évolution favorable de la fracture pluri-fragmentaire du plateau tibial. Mme. Y rapporte une augmentation des douleurs le soir. Prescription d'antalgie au besoin avec proposition d'abandonner le Tramal en premier. Prescription de physiothérapie pour relâchement des chaînes postérieures, renforcement musculaire, école de la marche avec 10 kg supplémentaire par semaine possible. Arrêt de travail à 100% jusqu'à fin juillet. Prochain contrôle radio-clinique dans 2 mois. Le contrôle radio-clinique parle actuellement surtout pour un déconditionnement du genou gauche avec une possible petite lésion de la corne antérieure du ménisque externe. Nous proposons tout d'abord une prise en charge par physiothérapie avec du Senso Pro afin de rééduquer le genou. D'autre part, prise d'antalgie anti-inflammatoire et anti-douleurs selon nécessité. Nous reverrons Mr. Y pour un contrôle clinique dans 2 mois. En cas d'échec de cette première prise en charge, nous proposerons alors d'effectuer un CT-scan schéma lyonnais pour visualiser si Mr. Y présente des déviations d'axe ou de rotation suite au traumatisme subi en 2000. Le contrôle radio-clinique présente une douleur localisée avec palpation des rebords probablement de l'ostéophyte du condyle interne irrité depuis la contusion subie par la chute il y a 2 mois. Nous proposons alors un traitement thérapeutique par application de Flector patch le matin et le soir. Mme. Y nous contactera après une cure de 10 jours. Poursuite du protocole pour rééducation de la plastie du LCA. Arrêt de sport à l'école prescrit à Mme. Y pour 1 mois. Le contrôle radioclinique présente une évolution favorable. Je lui prescris de la physiothérapie pour école de la marche avec charge totale selon douleurs, renforcement musculaire et proprioception. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Le contrôle radioclinique présente une évolution tout à fait favorable. Mr. Y peut de plus en plus augmenter les charges selon douleurs. Un suivi en physiothérapie/ergothérapie lui est prescrit. Les activités sportives à haut risque sont encore à éviter durant 4 semaines. Reprise dans 4 semaines de toutes les activités sans limitation selon douleurs. Pas d'arrêt de travail. Nous reverrons Mr. Y pour un contrôle clinique dans 2 mois. Le contrôle radio-clinique présente une forte contusion avec un bone bruise du plateau tibial antéro-médial avec probablement, dans le mécanisme du traumatisme, une hyperflexion avec un bone bruise consécutif du condyle externe avec plateau tibial postéro-latéral. Je lui explique qu'il est absolument nécessaire de remobiliser le genou avec école de la marche avec l'aide de physiothérapie avec charge selon douleurs sous protection des cannes durant 4 semaines. L'attelle Jeans n'est plus nécessaire. Nous reverrons Mme. Y si nécessaire à 6 semaines pour un contrôle clinique. Reprise du travail à partir du 20.05.2019. Le contrôle radiologique est satisfaisant. Sur le plan clinique, on peut proposer à Mme. Y de poursuivre la physiothérapie axée sur la récupération fonctionnelle et l'antalgie. Elle reçoit une prescription pour 9 séances à cet effet. De plus, on recommande de poursuivre une thérapie par anti-inflammatoire non stéroïdien et Mme. Y reçoit une prescription pour de l'Irfen à prendre 3x/j. L'arrêt de travail est prolongé pour une durée de 4 semaines, puis d'entente avec Mme. Y reprise à 100% prévue dès le 7 mai prochain. Quant à nous, nous reverrons Mme. Y pour un contrôle clinique à 3 mois de l'intervention. Le CT datant de novembre 2018 montre une guérison de l'os dorsal et radial avec des bonnes pentes osseuses. L'IRM effectuée en 2018 montre une vascularisation symétrique. La position articulaire se présente bien. Pour mieux bilanter la guérison, on effectue un nouveau CT. Une date pour une éventuelle opération est pré-réservée au 25.04.2019. Le CT montre la fracture susmentionnée. Nous mettons donc en place un traitement conservateur par plâtre fermé avec une charge de 15 kg pour encore 7 semaines. Poursuite de la Clexane 40 mg. Prochain contrôle radioclinique dans 1 semaine. Arrêt de travail jusqu'au 27.05.2019. Le CT montre une bonne guérison ce qui permet d'organiser une AMO en juin. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. En post-opératoire, nous allons prévoir une mobilisation avec une semelle rigide en carbone pour 6 semaines. Le CT montre une guérison en cours avec des ponts osseux partiellement faits. Poursuite du traitement conservateur avec la physiothérapie pour la mobilisation et US. Prochain contrôle radioclinique dans 8 semaines. Le CT-scanner cérébral ne montrant ni fracture ni hémorragie, Mr. Y rentre à domicile. Sa fille qui vit au-dessus pourra passer régulièrement pour une surveillance neurologique de 24h. La feuille de surveillance post-traumatisme crânien lui a été donnée. Le décours post-opératoire fonctionne bien. Nous avons prescrit de nouvelles séances de physiothérapie pour amélioration ultérieure de la mobilité articulaire du poignet. Prochain contrôle radioclinique à 3 mois de l'intervention susmentionnée. Le décours postopératoire est très satisfaisant. Pas de nouveau contrôle programmé. Nous restons à disposition. Le Dr. X reconnaît également la présence d'un CRPS et proposerait encore d'attendre vu l'effet positif de l'infiltration avant une intervention chirurgicale. Le suivi en ergothérapie permet le maintien mais pas de progression au niveau de la mobilité. On continue avec des séances espacées et des exercices à domicile. Mme. Y me demande mon accord pour partir à l'étranger quelques semaines auprès de sa famille, je n'ai rien contre car elle s'est toujours montrée très impliquée dans le traitement. Je lui remets une autorisation dans ce sens. Je la revois dans 6 semaines. Le Dr. X passe explorer la plaie avec absence de visualisation de lésion de structures nobles (tendons, nerfs). De plus, la fonctionnalité est sans particularité des doigts. Nous suturons donc la plaie et posons le suivi suscité. Le jeudi 17.04.2019 à 10:00 chez le Dr. X pour contrôle post-opératoire avec ablation des fils. Le jeudi 25.04.2019 à 9h00, à notre consultation ambulatoire, pour contrôle échographique. Le kyste semble être la pointe de l'iceberg correspondant à une arthrose STT. Vu l'absence d'une gêne majeure en ce moment, pas d'attitude active. Mme. Y me recontactera en cas de réapparition de kyste ou de douleurs importantes. À ce moment-là, on pourra discuter soit de l'ablation du kyste, soit d'une plastie selon Epping. Le laboratoire du 16.04.2019 montre une Hb stable à 81g/l. Au vu de l'absence d'extériorisation et de symptômes, Mme. Y rentre avec proposition de contrôle laboratoire chez le médecin traitant, poursuite de la thérapie mise en place et prise en charge ambulatoire avec recherche de spoliation chronique. Le laboratoire est sans particularité, hormis un potassium à la limite inférieure de la norme. Nous effectuons un ECG qui ne montre pas de signes d'ischémie. Mme. Y reçoit 40 mg de Nexium iv, du Primpéran 10 mg et du paracétamol 1000 mg avec bénéfice. Nous effectuons une radiographie du thorax qui ne montre pas de hernie hiatale thoracique. Nous mettons en place un traitement par Pantozol 40 mg 2x/jour, Ranitidine 150 mg le soir et Motilium. Mme. Y verra son médecin traitant mardi 23.04.2019 pour dépistage de H. Pylori.Elle reconsultera en cas de péjoration de son état. Le laboratoire montre des leucocytes à 10.1 G/l et une CRP à 5 mg/l. La radiographie montre une fracture au niveau de la prothèse totale de hanche droite. Nous prenons l'avis du Dr. X, orthopédiste, et complétons par un CT-scan qui montre une fracture au niveau de la prothèse totale de hanche droite avec une collection tout autour. Le patient est transféré en ambulance à l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge. Le laboratoire montre un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 9 sans leucocytose, un acide urique à 463 mcmol/l et une créatinine à 128 mcmol/l. Nous prescrivons un traitement de Prednisone durant 5 jours et une antalgie à base d'oxycontin durant 5 jours et indiquons un contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le 23.04.2019. Le laboratoire montre un sd inflammatoire avec leucocytose à 14 G/l et CRP 15, bilan hépatopancréatique aligné. La Rx thorax ne montre pas de pneumopéritoine. L'ASP montre une dilatation d'une anse à gauche grêle/colique avec une distension gastrique. Aux urgences elle reçoit paracétamol 1 g IV, Nexium 40 mg IV, Primpéran 10 mg et (aldactone 25 mg, Amlodipine 5 mg, Atacand 16 mg et Lasix 40 mg de son TTT habituel). Nous prenons l'avis du Dr. X qui propose de mettre une sonde naso-gastrique (qui est retirée et refusée par la patiente par la suite) et de compléter les investigations par un CT abdominal qui montre (rapport oral Dr. X) un iléus grêle avec une volumineuse éventration avec passage de colon et éventration mésentérique. Nous concluons des douleurs abdominales sur hernie médiane sous ombilicale incarcérée et au vu des comorbidités de la patiente, nous la transférons en ambulance à l'HFR Fribourg pour prise en charge chirurgicale. Nous réalisons une gazométrie avant son transfert qui montre une acidose respiratoire à 7.30 avec rétention de CO2 à 7.4 et hypoxémie à 7.7. Nous administrons un aérosol et proposons de discuter d'une VNI à Fribourg. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 236 mg/l, leucocytes 14.9 G/l. Bladder scan montrant 100 ml. CT-scan abdominal natif et injecté : comparatif du 08.08.2018. Examen réalisé avant et après injection IV de 100 ml d'Iomeron 400, bien supportée par le patient. On retrouve une maladie diverticulaire sigmoïdienne avec présence d'un épaississement pariétal sigmoïdien et d'une très importante infiltration du méso-sigmoïde. Amas d'anses iléales au sein de l'infiltration qui présentent des parois épaissies parlant pour une iléite par contiguïté. Un diverticule sigmoïdien enflammé est au contact direct du dôme vésical à gauche, ce dernier présentant un discret épaississement pariétal et une prise de contraste. On retrouve un regroupement aspécifique d'anses jéjunales au contact de la paroi abdominale à l'hypochondre gauche, avec une dilatation modérée d'une anse à 4 cm, sans signes de souffrance. Pas de collection intra-abdominale et pas de pneumopéritoine. Fines lames de liquide dans le mésentère. Pas de fuite du produit de contraste administré par voie rectale. Pas de gaz dans la vessie. Présence de multiples petites adénopathies réactionnelles dans la racine du mésentère, la plus grande mesurant 1 cm. Le reste des structures intestinales est sans particularités. Le foie est inchangé, sans lésion focale suspecte. Pas de dilatation des voies biliaires et pas de calcul radio-opaque au sein de la vésicule. Le pancréas, la rate et les glandes surrénales sont superposables. Apparition d'un calcul radio-opaque non obstructif dans le pyélon du rein droit, mesurant 6.5 x 4.5 mm. On retrouve un calcul radio-opaque non obstructif actuellement de 7 mm dans le groupe caliciel inférieur du rein droit. Pas de dilatation des voies urinaires. Le parenchyme rénal est inchangé avec multiples petits kystes corticaux. Le réseau vasculaire abdominal est superposable. Le reste de l'examen est inchangé. Conclusion : récidive d'une diverticulite sigmoïdienne phlegmoneuse avec importante iléite par contiguïté. Un diverticule sigmoïdien enflammé est accolé au dôme vésical à gauche qui présente des signes de cystite mais sans argument pour une fistule. Pas d'abcès intra-abdominal et pas d'arguments pour une perforation libre. On retrouve un regroupement aspécifique d'anses jéjunales au contact de la paroi abdominale à l'hypochondre gauche, avec une dilatation modérée d'une anse à 4 cm, sans signes de souffrance. Apparition d'un calcul radio-opaque non obstructif dans le pyélon du rein droit, mesurant 6.5 x 4.5 mm. On retrouve un calcul radio-opaque non obstructif actuellement de 7 mm dans le groupe caliciel inférieur du rein droit. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 28 mg/l et des leucocytes à 11.5 G/l. Nous réalisons un streptotest qui revient négatif et nous indiquons un traitement conservateur avec contrôle chez le médecin traitant si non amélioration. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire sans leucocytose, le sédiment urinaire montre des leucocytes à 6-10/champs sans hématurie avec une flore bactérienne (3 croix) et des cellules épithéliales (2 croix). Sur avis chirurgical du Dr. X, nous réalisons un uro CT-scan ne montrant pas de calcul, pas de dilatation des cavités pyélocalicielles, pas de signe de pyélonéphrite. Après l'administration de l'antalgie aux urgences, la patiente décrit une disparition des douleurs. Nous retenons un probable passage de calcul et lui indiquons de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle en cas de non-amélioration. Le laboratoire montre une CRP à 153 avec des leucocytes à 14.9. Nous réalisons un score de Centor s'élevant à 4 justifiant un streptotest qui s'avère positif. Nous prescrivons une antibiothérapie durant 10 jours et conseillons un contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine ainsi qu'une consultation plus tôt si le patient ne constate aucune amélioration. Le laboratoire montre une CRP à 7 mg/l, des leucocytes à 13.6 G/l, et un bilan hépatopancréatique normal. Devant l'abdomen non chirurgical au statut et le bilan biologique rassurant, le patient rentre à domicile sous traitement symptomatique. Le laboratoire montre une leucocytose à 13.6 G/l sans CRP avec un sédiment urinaire avec des érythrocytes et leucocytes incomptables. Nous retenons une infection urinaire basse simple et prescrivons de la Nitrofurantoïne 100 mg deux fois par jour durant 5 jours. Le laboratoire retrouve un syndrome inflammatoire modéré et une hyperleucocytose. Le seul point d'appel reste urinaire. Une antibiothérapie est débutée, il est conseillé à la patiente de revoir son médecin traitant dans 48 h, les consignes de surveillance lui sont expliquées. Le lit de la plaie est en bon état, nous refaisons le pansement et mettons en place une attelle en alu et une bretelle. Elle commencera l'ergothérapie après le prochain contrôle à la policlinique d'orthopédie. La patiente prendra rendez-vous chez son psychiatre pour un contrôle. Le lundi 29.4.2019 à 10:00 chez le Dr. X. Le nouveau statut clinique effectué ce jour fait rétrograder le diagnostic à une entorse de stade II. L'attelle Aircast mise en place devra être portée durant encore 5 semaines. Face à cette évolution rassurante, nous mettons fin ce jour, 24.04.2019, au suivi en policlinique d'orthopédie. Mr. Y sera revu à la consultation d'un médecin de son choix dans 5 semaines pour un contrôle clinique. Ce mécanicien sur motos bénéficie d'un arrêt de travail à 100 % du 14.04.2019 au 28.04.2019, avec une reprise à 100 % dès le 29.04.2019. Le patient a bénéficié de la mise en place d'une prothèse totale du genou gauche le 24.01.2019 par le Dr. X, avec reprise pour suture du tendon quadricipital le 22.03.2019. Le 13.04.2019, Mr. Y se présente aux urgences en raison de douleurs du genou gauche apparues la veille au soir, en péjoration depuis lors, celles-ci étant présentes à la marche et à la moindre mobilisation du genou. Le bilan biologique met en évidence une forte élévation de la CRP, sans leucocytose. Devant la suspicion d'une arthrite septique, une ponction du genou gauche est réalisée au bloc opératoire.Mr. Y est hospitalisé dans le service d'orthopédie où il bénéficie d'une antalgie par AINS. Le genou gauche est immobilisé dans une attelle jeans. L'évolution est favorable, tant sur le plan clinique que biologique, avec bonne gestion de l'antalgie. Les prélèvements bactériologiques reviennent négatifs le 17.04.2019, excluant ainsi le diagnostic d'arthrite septique. Mr. Y peut retourner à domicile le 17.04.2019. Mr. Y a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 15.03.2019 au 03.05.2019, date de son prochain contrôle à la consultation du Dr. X. Mr. Y a bénéficié, en janvier, février et mars 2018, de trois interventions pour une bursite septique à MRSA du coude gauche, avec une assez bonne évolution. Par contre, apparition d'une fistule en mai 2018, traitée conservativement. La situation se calme en novembre 2018 et le traitement a été terminé. Mr. Y revient à la consultation du Dr. X en mars 2019 en raison d'un nouvel écoulement de la fistule, souhaitant une attitude active. Cliniquement, présence d'une fistule de petite taille au moment de la consultation mais, vu la persistance d'une tuméfaction et de cette fistule anamnestique, le Dr. X retient l'indication d'une nouvelle bursectomie et fistulectomie. Avant l'opération, le cas est discuté avec l'infectiologue de garde, Dr. X. L'intervention se déroule le 28.03.2019 sans complication. Sur avis infectiologique de Dr. X, une antibiothérapie empirique par Cubicine est initiée au vu de l'historique d'une infection par MRSA. Les suites post-opératoires sont simples, les douleurs sont gérées par l'antalgie standard, la plaie reste propre et sèche. Les prélèvements per-opératoires revenant positifs pour un Peptinophilus Harei, l'antibiothérapie est changée pour de l'Osepn 3 x 1,5 mioU/jour qui devra être poursuivie jusqu'au 12.04.2019 inclus. Devant la bonne évolution clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 03.04.2019. Mr. Y a bien compris les risques de récidive et surinfection en cas d'activité physique. Il doit partir le 20.04 pour un tour à vélo. Il réfléchira quant à ce voyage et est bien au courant des risques encourus s'il décide d'y prendre part. Nous le rendons également attentif à l'éventuelle problématique assécurologique en cas d'accident durant un voyage à vélo s'il est au bénéfice d'un certificat de travail. Dans ce contexte, nous convenons de stopper le certificat médical le 19.04 en cas de décision de partir à vélo de la part de Mr. Y. Mr. Y a commencé un traitement par physiothérapie avec une bonne évolution. Poursuite de cette physiothérapie et contrôle dans 2 mois pour voir l'évolution. Mr. Y a eu des problèmes d'estomac liés à l'antalgie. De ce fait, toute l'antalgie a été stoppée par le médecin traitant et remplacée par du Dafalgan le matin et Sirdalud la nuit. Ce traitement me semble actuellement insuffisant aussi je proposerai à la consultation d'antalgie de convoquer Mr. Y pour évaluation et prise en charge. Je pense qu'il serait également judicieux à ce moment de discuter avec lui d'un traitement anti-dépresseur vu l'état psychique qui s'est dégradé au cours des derniers mois. Je le laisse en incapacité de travail. Poursuite de la physiothérapie à sec et en piscine. IRM cervicale et IRM de contrôle de l'épaule G. Infiltration prévue en cas d'examen normal. Mr. Y a eu un accident de moto il y a quelques années sans notion de traumatisme au niveau de la colonne. Lombalgies sur troubles dégénératifs au niveau de la colonne lombaire. Mr. Y a fait une radiographie de contrôle à 2 jours de l'intervention qui montrait la phalange P3 sans le petit fragment osseux qui a été enlevé lors de l'intervention chirurgicale. Mr. Y a présenté des douleurs thoraciques d'allure pariétale dans un contexte anxieux. Les examens complémentaires permettent raisonnablement d'exclure une origine cardiaque ischémique et une origine thrombo-embolique n'est pas suspectée sur la base de l'anamnèse. Les palpitations ne sont pas expliquées mais ne nécessitent pour l'instant pas d'investigation supplémentaire en l'absence de lipothymie et au vu de leur courte durée. Mr. Y est averti de reconsulter en cas de récidive des douleurs ou des palpitations, auquel cas les investigations pourront éventuellement être complétées avec une échocardiographie et un holter. Mr. Y a rendez-vous à la consultation du Dr. X le 15.04.2019 à 10h00. Mr. Y a rendez-vous en consultation de proctologie du Dr. X le 16.04.2019. Mr. Y a souffert d'un choc axial le 01.04.2019. Le CT scan du 01.04.2019 a montré un grand os trigone qui n'est pas douloureux au test clinique ni à la palpation. C'est probablement seulement une légère inflammation, sans signe de fracture. Sous le choc axial, il n'est pas exclu que Mr. Y ait fait un bone bruise au niveau du tibio distal ou du talus. Pour exclure cela, on fait une IRM. Jusque-là, il peut charger selon douleurs sous protection des cannes. Prolongation de l'arrêt de travail à 80% jusqu'à la fin du mois. Mr. Y peut reprendre son travail administratif. Mr. Y a une fracture non déplacée de la rotule. On lui dit de garder l'attelle en extension pour encore une semaine et nous le reverrons pour juger de l'évolution. Si les douleurs ont diminué, alors on enlèvera l'attelle et débutera une mobilisation complète avec une charge selon douleurs et nous referons un contrôle radio-clinique à 6 semaines de l'accident. Mr. Y a une intervention cardiaque la semaine prochaine et est actuellement sous anticoagulant par Xarelto 20 mg. On organise un contrôle à la fin mai pour infiltration intra-articulaire s'il a encore des douleurs. Mr. Y avait déjà pré-réservé, le 23.04.2019, pour ablation de la plaque ; ce geste sera réalisé par Dr. X. Mr. Y est informé des risques de l'intervention et signe le consentement éclairé. Mr. Y bénéficie de l'intervention susmentionnée sans complication, confirmant un abcès péri-amygdalien et un début d'abcès parapharyngé droit. Les suites sont simples. Il rentre à domicile le 22.04.2019. Les consignes habituelles sont données concernant les repas et la surveillance. Arrêt de travail pour 2 semaines. Mr. Y bénéficie toujours d'une antalgie par Palexia avec un effet satisfaisant. Il avait également bénéficié de séances de physiothérapie jusqu'à la semaine dernière, ce qui l'a également aidé. L'évolution est très lentement favorable. Nous proposons donc la poursuite des séances de physiothérapie pour une durée indéterminée. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 an. Mr. Y chute sur le côté droit en faisant du patin à glace, le membre inférieur gauche percutant un poteau en métal. D'emblée, vives douleurs et impotence fonctionnelle, raison pour laquelle Mr. Y est amené par ambulance aux urgences. Le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. Mr. Y est pris au bloc opératoire le jour même pour réduction ouverte et ostéosynthèse. En fin d'intervention, la pression des loges est mesurée. Celle des compartiments antérieur et latéral dépasse le seuil de 30 mmHg. Pour cette raison, décision de compléter la fasciotomie également de la loge latérale et de la loge antérieure par une voie d'abord antéro-latérale de 7 cm sur la peau.Les suites opératoires sont simples, le contrôle radiologique est en ordre et les cicatrices sont calmes et propres, tant au niveau de l'ostéosynthèse que de la fasciotomie. Les douleurs sont gérées par l'antalgie standard. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge partielle de 15 kg, sous protection de deux cannes anglaises pendant 6 semaines. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et sera à poursuivre durant 6 semaines. Le 10.04.2019, Mr. Y peut retourner à domicile. Mr. Y consulte par rapport à ses lombalgies. Vu l'examen clinique rassurant, Mr. Y rentre à domicile avec antalgie pendant 5 jours par Dafalgan et Brufen. Contrôle clinique chez le pédiatre dans 2-3 jours. Mr. Y consulte pour avis sur sa baisse de capacité de concentration qu'il a remarquée suite au traumatisme. Le status neurologique est entièrement normal, chez un patient qui ne prend pas de traitement anti-coagulant. Nous retenons le diagnostic probable de commotion cérébrale. Mr. Y rentre à domicile avec consignes de surveillance neurologique (Mr. Y n'est pas seul à domicile). Il reconsultera en cas d'évolution défavorable. Mr. Y continue les séances d'ergothérapie et bénéficie d'un arrêt de travail à 100% depuis le jour de l'accident. L'arrêt de travail sera à réévaluer par le médecin traitant. NB Le rendez-vous avec le médecin traitant est prévu pour le 03.05.2019 avec reprise de travail à 50% dès le 06.05.2019 et à 100% dès le 13.05.2019. Mr. Y craint une récidive de colique néphrétique, mais l'histoire n'est pas typique et les examens complémentaires parlent contre ce diagnostic (entre autres, pas d'hématurie microscopique, pas de dilatation pyélo-calicielle). Dans ce contexte, nous le traitons pour des douleurs plutôt d'origine musculo-squelettique. Il reconsultera en cas de douleurs non gérables à domicile ou de récidive de macro-hématurie. Mr. Y demande de recommencer activement son activité professionnelle en tant que patron. Après l'accident du 14.02.2019, Mr. Y a été vu à notre consultation ambulatoire le 22.02; le 01 et 11.03; le 01 et 24.04.2019, jour de la fin du traitement. Il bénéficie d'un arrêt de travail à 100% du 14.02.2019 au 01.04.2019, 50% du 02.04.2019 au 30.04.2019, 0% dès le 01.05.2019. Traitement terminé le 24.04.2019. Mr. Y doit commencer immédiatement des séances de physiothérapie pour mobilisation du genou et renforcement musculaire. Arrêt de travail pour 6 semaines. Prochain contrôle dans 6 semaines. Mr. Y doit débuter la physiothérapie pour la mobilisation de son genou, massage et renforcement musculaire. Arrêt de travail jusqu'au mois de mai. Prochain contrôle fin juin. Mr. Y doit marcher encore 2 semaines avec des cannes et augmenter progressivement la charge jusqu'à charge complète. Poursuite de la physiothérapie. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un prochain contrôle radio-clinique. Mr. Y doit poursuivre avec la physiothérapie et renforcement musculaire par des mouvements de pivot. Prochain contrôle dans 2 mois. Mr. Y doit poursuivre le traitement en podologie et diabétologie. Il n'est pas capable de travailler debout. Nous le reverrons pour un contrôle radio-clinique avec des RX en charge pied G f/p/o dans 1 année. S'il remarque entre temps plus de douleurs ou des plaies chroniques, il nous recontactera. Mr. Y est adressé initialement à la polyclinique de l'HFR Meyriez par vos soins pour une fibrillation auriculaire rapide à 170 bpm et une hypotension, avant d'être transféré à Fribourg. Mr. Y présente en plus une baisse de l'état général depuis quelques semaines avec une perte de poids non quantifiée et depuis une semaine des douleurs abdominales et des diarrhées. À son arrivée chez nous, Mr. Y présente une tachycardie irrégulière. Nous retenons une fibrillation auriculaire rapide sur gastro-entérite et une mauvaise compliance médicamenteuse (objectivée par la fille de Mr. Y). Nous poursuivons un traitement par bêta-bloqueur avec une normalisation de la fréquence cardiaque. Les diarrhées disparaissent progressivement. Le bilan est complété par une échocardiographie qui revient dans la norme. Nous arrêtons l'anticoagulation par Eliquis au vu du risque hémorragique supérieur au risque cardioembolique. Au niveau de la baisse de l'état général, Mr. Y présente une perte de poids non quantifiée, une perte d'appétit et des diarrhées intermittentes. Symptômes que nous remettons dans un contexte d'éthylisme chronique. Il ne présente pas d'autres symptômes B. Mr. Y est connu pour un antécédent de sang occulte positif dans les selles mais n'a pas eu de colonoscopie dans les 10 dernières années. Nous proposons également au médecin traitant d'organiser une recherche de sang occulte dans les selles ou une colonoscopie. Au niveau rénal, Mr. Y est connu pour une insuffisance rénale chronique. Il présente à l'entrée une insuffisance rénale aiguë de type pré-rénal sur déshydratation qui se corrige par une réhydratation. Dans ce contexte, il présente également des troubles électrolytiques légers que nous suivons biologiquement et pour lesquels nous n'introduisons pas de supplémentation. Au niveau endocrinien, nous constatons une structure en partie calcifiée paratrachéale droite dans le médiastin supérieur connue depuis 2016. La TSH est dans la norme. Nous ne proposons pas de suivi particulier. Mr. Y rentre à domicile le 25.04.2019 avec des soins à domicile quotidiens. Mr. Y est adressé par son médecin traitant pour une découverte de lésions hépatiques de type "métastase", dans le contexte de douleur persistante en épigastre depuis 15 jours. Mr. Y décrit la douleur comme une sensation de tirement, constante, péjorée en position couchée et à l'inspiration profonde. Il consulte son médecin traitant qui initie un traitement par Pantoprazole (le 19.04), pour suspicion de gastrite, sans effet sur les douleurs selon Mr. Y. Il reconsulte son médecin traitant car persistance des douleurs et un CT-Scan est effectué le 24.04 pour suspicion de pancréatite. Le CT montre de multiples lésions hépatiques infracentimétriques jusqu'à max 3.5 cm dans les deux lobes. Pas d'autre lésion visualisée. Anamnèse par système : Cardio : B1, B2 bien frappés, rythme régulier, pas de souffle audible, pas de souffle carotidien, pas d'OMI. Pas de turgescence jugulaire, pas de RHJ. Pouls bien frappés en périphérie. Pulmonaire : MVS bilatéral, pas de bruit. Abdominal : bruits normaux aux 4 quadrants, abdomen souple, douloureux en épigastre à la palpation superficielle et profonde, pas de défense, ni détente, hépatomégalie à 4 cm du rebord costal, Murphy positif. McBurney négatif, Rovsing négatif. Psoas négatif. Loges rénales indolores à la percussion. Pas d'ictère. TR : érythème eczématiforme au niveau du pli interfessier, pas de masse externe visualisée, palpation de la prostate indolore et lisse, pas de masse palpée. Pas de sang au doigt. Mr. Y est afébrile et stable hémodynamiquement. Nous réalisons un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 12 mg/l et des leucocytes à 13.3 G/l. Nous prescrivons un traitement conservateur et indiquons un contrôle chez le médecin traitant si non amélioration. Mr. Y est autorisé à enlever la semelle rigide. Prochain contrôle dans 2 semaines et arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle. Mr. Y est autorisé à reprendre le basket à condition d'utiliser un strapping pour réaliser une syndactylie de Dig IV-Dig V pour les 6 prochaines semaines, lors des matchs et entraînements. Pas de nouveau contrôle nécessaire mais nous restons à disposition si besoin.Le patient est autorisé à reprendre le travail à 100 % dès demain. Concernant le sport, le patient pratique le football, il est autorisé à reprendre les entraînements de manière progressive, de manière à pouvoir effectuer son 1er match d'ici un mois. Pas de nouveau contrôle nécessaire mais nous restons à disposition en cas de besoin. Le patient est autorisé à reprendre le travail dès le 1er mai 2019. Pas de nouveau contrôle nécessaire mais nous restons à disposition en cas de besoin. Le patient est autorisé à se mobiliser librement selon douleur. Il a bénéficié d'un arrêt de sport pour 6 semaines et est autorisé à reprendre le sport dès le 22.04.2019. Pour nous, le traitement prend fin ce jour. Le patient est connu pour une arthrose débutante de l'articulation tibio-astragalienne. L'IRM et les radiographies ont montré un cartilage irrégulier et une inflammation importante sur la malléole interne ainsi qu'au niveau du dôme de l'astragalien. Les radiographies ont également montré des ostéophytes sur la face antérieure du tibia. Nous décidons de poursuivre la physiothérapie. Nous le reverrons fin mai pour un contrôle clinique. En cas de persistance des douleurs, nous pourrions envisager une cheilectomie. Le patient est conseillé de crémer et de protéger le genou en cas de sport de contact ou de promenades sur des surfaces irrégulières. Pour nous, le traitement prend fin ce jour. Le patient peut reprendre contact en cas de besoin. Le patient est examiné par le Dr. X et une désinfection par Bétadine est effectuée. Après rinçage, un pansement par Prontosan gel et Adaptic est mis en place. Pendant l'observation aux urgences, un saignement pulsatile est mis en évidence. Le pansement compressif ne permet pas d'arrêter le saignement. Le patient est vu une deuxième fois par le Dr. X et une suture de l'artériole par 2 points de Vicryl 3.0 sous anesthésie locale est effectuée avec arrêt du saignement. Au vu du saignement, nous effectuons un laboratoire avec Hb qui revient à 116 g/l et avec un INR qui revient à 4.31, PTT 72, TP 12.4. Nous administrons 5 mg de Konakion per os et nous recommandons de mettre en pause le Sintrom le 23.04.2019 au soir et de faire un INR de contrôle le 24.04.2019 pour adapter le schéma. Nous mettons en place une antalgie et le patient rentre à domicile avec un contrôle de plaie à effectuer chez le Dr. X vendredi matin (26.04.2019). Le patient est extrêmement gêné par ses douleurs, raison pour laquelle nous lui proposons une prise en charge chirurgicale arthroscopique. Nous lui expliquons les tenants et aboutissants de l'opération, de même que les risques opératoires. Le patient donne son accord pour l'intervention en signant le formulaire de consentement éclairé. Le patient est hospitalisé pour une récidive de polype rectal. Une colonoscopie selon la technique FTRD permet de résequer le polype. L'intervention se déroule sans complications. Le patient ne présente pas de douleurs ni de saignements. Le patient sera convoqué pour une sigmoïdoscopie de contrôle dans 6 mois auprès du cabinet Balsiger Seibold. Le patient rentre à domicile le 6.4.2019. Le patient est informé de la suspicion tumorale. Il ne souhaite pas d'hospitalisation ce jour. Hospitalisation élective le 24.3 à 9 h. PET-CT et fonction pulmonaire à organiser. Pister le rapport définitif de la radiologue de Fribourg. Le patient est initialement adressé par son médecin traitant pour une sinusite aiguë d'évolution défavorable après 48 h d'Augmentin et de rhino-soins avec antalgie. Il reste hautement fébrile avec frissons, céphalées intenses et un état général diminué. Le statut est peu en faveur d'une sinusite. Un CT scanner est demandé qui exclut une sinusite ou des otomastoïdites, pas de thrombose intracranienne. Après discussion avec les urgentistes, le patient est donc envoyé aux Urgences devant une suspicion de méningite. Le patient est inscrit en urgence au bloc opératoire pour la réparation tendineuse. La prise en charge est faite par les orthopédistes. Le patient est limité par l'extension dorsale et par la mobilité de l'hallux. Il n'est pas exclu qu'il y ait une interposition articulaire. Nous organisons donc un CT et le reverrons ensuite. Arrêt de sport. Le patient est maçon, nous lui donnerons une prolongation de son arrêt de travail, un bon pour de la physiothérapie et de l'antalgie. Le patient est porteur d'une tête Metasul 28. Nous lui expliquons que le taux de révision à 20 ans pour ce type de prothèse est aux alentours de 10 %. L'examen radiologique du jour étant tout à fait rassurant, le patient fait partie des 9 cas sur 10 ne nécessitant pas de révision chirurgicale à ce délai. Nous rassurons donc le patient et lui proposons un suivi radio-clinique tous les 5 ans. Il est bien évident qu'en cas de survenue d'une douleur nouvelle, il faudrait consulter plus tôt. Le patient est principalement gêné par le pouce D. J'expose au patient les différentes options thérapeutiques, notamment une éventuelle intervention avec excision du kyste. Il va réfléchir à ma proposition. Un prochain contrôle est d'ores et déjà prévu pour le 24.06.19 afin de discuter de la suite de la prise en charge. Le patient est rassuré et renvoyé à domicile. Contrôle à la consultation du Dr. X le 30 avril. Le patient est reconvoqué au vu d'une erreur d'administration, avec administration d'immunoglobulines (Berirab) au lieu du vaccin (Rabipur) le 14.04.2019. Nous communiquons au patient l'erreur de notre part, et la nécessité de revenir pour recevoir la dose de Rabipur. Le patient est reconvoqué pour la réalisation d'une CT pour exclure une fracture du plateau tibial externe du genou G. Monsieur dit que la douleur a diminué aujourd'hui et il arrive à marcher (il est arrivé en marchant sans cannes). À l'examen d'aujourd'hui du genou G, il n'y a pas de tuméfaction, pas de TNV, pas d'épanchement intra-articulaire. Le patient n'a pas de douleurs à la palpation/mobilisation de la rotule. Pas de douleurs à la palpation des interlignes articulaires interne ou externe. Les tests méniscaux sont positifs en externe. Le CT scan du genou : Pas de lésion osseuse traumatique visualisée, notamment pas de fracture du plateau tibial externe. Par ailleurs, pas d'épanchement articulaire. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Nous avons communiqué les résultats au patient. Le patient prendra contact avec le Dr. X pour une réévaluation clinique à 1 semaine/10 jours +/- IRM. Le patient est régulier dans les exercices à domicile et ne souhaite pas continuer la physiothérapie. Prochain contrôle dans 3 mois. Le patient est satisfait de l'évolution et demande pour recommencer le travail. Nous acceptons. Le patient a été vu le 20 et le 28.03.2019, le 04, le 08, le 11 et le 18.04.2019. Arrêt de travail à 100 % du 21.03.2019 au 14.04.2019. Reprise du travail à 100 % dès le 15.04.2019. Le traitement prend fin le 18.04.2019. Le patient est venu pour un suivi de soins de son kyste épidermoïde, il bénéficie d'un rinçage au NaCl et à la Bétadine, méchage par bêta-tulle et changement de pansement avec compresse et Mefix. Le patient étant afébrile, sans plaintes évoquant une cystite ou une pyélonéphrite, ni un état confusionnel, avec un statut dans la norme et un ultrason excluant un globe urinaire, il n'y a pas d'indication à débuter une antibiothérapie ni à changer la sonde en urgence, d'autant plus que le patient est connu pour une malformation anatomique nécessitant un changement par un urologue. Mr. Y rentre en institution le jour même et sera revu en ambulatoire par son urologue. Au vu d'une absence de douleurs ou de plaintes, nous ne prescrivons pas de nouveaux médicaments.Le patient étant en bon état général, nous le laissons rentrer à domicile avec une lotion de Tanno Hermal. En cas de péjoration de l'état clinique, nous recommandons au patient de se rendre à votre consultation. Le patient étant totalement asymptomatique, il ne souhaite pas de contrôle supplémentaire. Nous l'informons que nous restons à disposition si nécessaire et lui conseillons de ne pas reprendre le sport avant 6 semaines. Le patient extériorise 1x lors de son séjour aux urgences montrant des selles avec muqueuses et sang frais. Nous effectuons une coproculture qu'il reste à pister. Le patient montre une bonne évolution avec un traitement symptomatique. L'examen clinique et le bilan biologique est rassurant. Dans ce contexte, nous lui proposons un traitement symptomatique et de reconsulter en cas de fièvre ou de péjoration des douleurs. Le patient ne montre plus d'amélioration après un traitement physiothérapeutique et conservateur. Il est demandeur d'une intervention chirurgicale que nous lui proposons avec arthroscopie et réinsertion du sous-épineux. Afin de voir s'il est nécessaire de faire une résection AC ou pas, nous organisons une infiltration et nous verrons l'évolution 3 semaines après. Le patient ne présente pas d'atteinte d'organe liée à une crise hypertensive, notamment pas de céphalée, pas de trouble visuel ni de péjoration de la créatinine. De plus, l'hypertension ne semble pas être secondaire. Le traitement de Torem, déjà majoré ce jour en consultation ambulatoire par le Dr. X, est majoré à 1 cpr/jour. Le patient est informé d'avancer les doses matinales en cas de récidive d'hypertension nocturne, et de suivre son poids et sa tension de manière journalière. Il rentre à domicile le 29.04.2019. Le patient ne se montre pas collaborant pour un examen clinique. Cependant, il a consulté le 12.04 à l'HFR Fribourg avec un examen clinique rassurant. Nous prenons un avis psychiatrique auprès de la Dr. X qui indique une hospitalisation volontaire au centre Neuchâtelois de Psychiatrie (accompagné par les membres de sa famille) en psychiatrie pour une mise à l'abri des idées suicidaires. Le patient ne souhaite pas l'inhalation proposée. Planifier inhalation et oxygène au besoin, max 2-4L. Spirométrie à organiser. Le patient ne souhaite pas spécialement enlever les plaques qui ne le gênent pas. Il reprendra contact avec nous dans le cas contraire. Pas de contrôle prévu mais nous restons à disposition. Le patient nous consulte devant l'impossibilité d'effectuer son suivi biologique habituel chez le MT. Il n'a aucune plainte, il est stable selon sa mère. Nous faisons le nécessaire et vous transférons ci-joint les résultats de la biologie. Le patient nous dit que la situation est encore bien acceptable, mais qu'il souhaite éviter une progression de la maladie. Nous allons débuter avec un traitement conservateur en ergothérapie par l'application de silicone et attelle nocturne. Prochain contrôle clinique pour voir l'évolution sous traitement instauré, le 29.05.2019. Le patient nous recontacte pour fixer une date opératoire et une consultation 3-4 semaines avant. Le patient peut abandonner l'attelle. On discutera avec les radiologues de l'IRM concernant le ménisque externe. S'il s'agit d'une lésion en anse de seau alors on contactera le patient pour organiser une arthroscopie. S'il s'agit d'un ménisque discoïde alors il débutera la physiothérapie. Nous le reverrons dans 6 semaines. Le patient peut commencer à charger complètement et on ne va pas refixer le grand trochanter. Prescription pour des nouvelles séances de physiothérapie dans le but de renforcer les abducteurs. Prochain contrôle dans 6 semaines. Le patient peut continuer les séances de physiothérapie pour travailler le renforcement musculaire. Reprise de l'activité professionnelle à 100% dès le 01.05.2019. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle radioclinique. Le patient peut enlever le Vacoped et porter une talonnette. Physiothérapie pour renforcement musculaire. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Le patient peut recommencer le football à partir du 03.04.2019 avec précaution. Pour nous, le traitement prend fin ce jour. Le patient peut rentrer à domicile, avec des consignes d'hygiène. Le patient pourrait présenter une toux comme effet secondaire de l'Orencia. Le patient préfère rentrer à la maison et revenir demain matin au vu de l'attente pour la radiographie du genou. Retour à domicile avec consignes de charger et de dérouler le pied, le patient reviendra demain matin. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X la semaine suivante. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle, selon évolution. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation à 1 semaine pour suivi clinique, tensionnel et biologique (fonction rénale et paramètres d'hémolyse : haptoglobine, LDH et bilirubine) afin d'exclure une hémolyse retardée et réévaluer la reprise du sartan. Nous vous laissons le soin d'évaluer l'indication à un CT abdominal injecté à distance, selon la fonction rénale (bilan ectasie aortique, confirmer suspicion des varices sous-cardiales et exclure autre lésion du tractus digestif). Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour ablation des fils le 26.04.2019. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 29.05.2019 à 08h30. Le patient présente une bonne évolution de gastro-entérite virale, il est en train de prendre bioflorin avec bénéfice. Nous conseillons un contrôle clinique chez le médecin traitant selon les besoins. En cas de péjoration clinique (fièvre et péjoration douleurs/diarrhée), le patient se représentera aux urgences. Le patient présente des lombosciatalgies aiguës non déficitaires. Nous lui donnons de l'antalgie et des conseils de contrôle clinique chez son médecin traitant à 1 semaine. Il est averti de ne pas conduire après la prise de Sirdalud. Le patient présente des symptômes persistants 6 semaines après l'infiltration qui, malgré tout, l'a beaucoup aidé. À l'examen clinique, on voit bien que le patient évite d'activer son sus-épineux, ce qui provoque probablement l'inflammation suite à une compression chronique au même endroit. Nous proposons donc de reprendre la physiothérapie pour éviter ces mouvements de déviation et réapprendre à utiliser ses muscles de manière correcte. On effectue également une IRM pour recontrôler l'état du sus-épineux. Prochain contrôle dans 6 à 8 semaines après l'IRM. Le patient présente la lésion susmentionnée avec un arrachement important des ligaments et dommage au niveau des tissus mous. Une immobilisation pour 8 semaines au total est nécessaire. Ce jour, on regarde les zones d'appui et effectuons un plâtre ouvert. Nous referons un contrôle clinique des tissus mous la semaine prochaine. En cas de non-amélioration en regard de l'hématome de la malléole externe, on va effectuer un US pour quantifier l'hématome et pour discuter d'une éventuelle évacuation chirurgicale. Pour l'instant, mobilisation à minima à la maison avec surélévation pour dé-tuméfaction. Prochain contrôle clinique dans 1 semaine.Le patient présente principalement une raideur articulaire post-traumatique. Je préconise un traitement physiothérapeutique suite à l'infiltration sous-acromiale et intra-articulaire. Celle-ci sera effectuée le 26.4.2019. Je vais suivre le patient par la suite. Le patient présente son premier épisode de goutte, nous lui donnons un traitement de colchicine, stoppons le Voltaren, le patient peut prendre le Dafalgan et faire un contrôle clinique chez le médecin traitant dans 3 jours. En cas de diarrhée il doit arrêter le traitement par colchicine. Le patient présente toujours une faiblesse, mais qui est à mon avis plus un stigmate de l'excision du sarcome au niveau de la cuisse que secondaire à la PTH. Je ressens des séances de physiothérapie à but de tonification musculaire et reverrai la patiente dans 3 mois pour un contrôle clinique. Le patient présente très probablement une tendinopathie du LCB, éventuellement une instabilité. Je préconise une arthro-IRM le 30.4.2019 et je reverrai le patient le 3.5.2019. Pas d'arrêt de travail. Le patient présente un examen neurologique rassurant. Nous faisons la suture de plaie et expliquons la surveillance neurologique à la mère du patient. Le patient sera vu par le pédiatre pour les soins de plaie. Le patient présente un flexum, ainsi qu'une raideur de l'IPD. Cela ne le gêne pas dans ses activités habituelles et le patient n'est pas demandeur de traitement supplémentaire. Nous lui recommandons de poursuivre les séances d'ergothérapie plus intensément. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Le patient présente un impingement sous-acromial. Les tests de la coiffe des rotateurs sont dans la norme. Il n'y a pas d'argument pour une origine infectieuse. Nous proposons au patient de continuer la physiothérapie et le traitement anti-inflammatoire. Poursuite de l'arrêt de travail à 50% jusqu'au 21.04.2019. Prochain contrôle le 12.04.2019 pour juger l'évolution et la nécessité d'effectuer une IRM. Le patient présente un minime déséquilibre coronal et sagittal juvénile, qui peut être à notre avis corrigé par une bonne hygiène posturale et un renforcement musculaire ciblé. Nous n'avons pas d'indication à une réduction du déséquilibre par une semelle ni d'autre mesure plus agressive. Nous conseillons donc des séances de physiothérapie spécialisée à Courtepin et le reverrons pour un contrôle radio-clinique dans 6 mois. Le patient présente un oedème de la main remontant jusqu'au point distal de la bande élastique. Pas de syndrome inflammatoire, régression de la symptomatologie au retrait du bandage. Pas d'aspect inflammatoire du coude droit. Le patient poursuivra son traitement comme prévu par l'équipe d'orthopédie. Le patient présente une acutisation d'omalgie droite suite à un faux mouvement lors d'un match de basket. Cliniquement nous retrouvons uniquement une contracture de la musculature de l'omoplate, sans argument pour effectuer une radiographie. Nous lui proposons un traitement d'épreuve à base d'anti-inflammatoire et de myorelaxant et de consulter son médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Le patient présente une auto-résolution spontanée après un probable détachement de croûte au niveau du site opéré. Nous conseillons de la nourriture froide et de l'antalgie en cas de besoin. Nous expliquons le risque d'autre saignement vu la présence de croûtes qui peuvent se détacher, en cas de péjoration il doit se représenter aux urgences. Contrôle chez l'opérateur demain. Le patient présente une avulsion de l'ongle mentionnée ci-dessus. Nous conservons l'ongle en place par pansement. Nous expliquons que pendant 30 jours la croissance de l'ongle est arrêtée, ensuite la nouvelle poussera l'ancienne mais la nouvelle n'aura pas l'aspect normal, très probablement. Le patient présente une bonne amélioration de la symptomatologie douloureuse au niveau des vis. Les crépitations sous-rotuliennes sont non-douloureuses, tolérées. De notre part, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition au besoin. Le patient présente une bonne évolution de guérison de plaie, la suite sera faite chez le médecin traitant. Le patient présente un bouchon de cérumen de l'oreille droite que nous évacuons après utilisation de cérumenol. Le conduit auditif est légèrement érythémateux ainsi nous prescrivons des gouttes Otalgan et du Dafalgan en cas de douleur. Doit reconsulter si apparition de douleurs. Le patient présente une fracture type Sanders I qui permet un traitement conservateur par immobilisation dans un plâtre fermé, une charge partielle de 15 kg et de la Clexane 40 mg sc. Prochain contrôle radio-clinique (RX hors plâtre en charge) à 8 semaines post-traumatisme. Le patient présente une hématochézie de sang frais ce matin. Le bilan montre une anémie à 72, motivant la transfusion de 2 CE. Lors de sa surveillance, le patient ne montre pas de nouvelle extériorisation. Nous discutons avec la fille du patient et convenons de ne pas effectuer de colonoscopie au vu des comorbidités de Mr. Y. Dans ce contexte, nous lui proposons une hospitalisation à Tafers pour une surveillance clinique et biologique. Le patient est transféré en ambulance, suite à un hémocue de contrôle en nette amélioration. Le patient présente une luxation acromio-claviculaire V selon Rockwood. Au bilan radiologique, il démontre une lésion des ligaments coraco-claviculaires et acromio-claviculaires avec une dépériostation sous-claviculaire. Nous posons l'indication d'une prise en charge chirurgicale consistant en une refixation par Endobutton et Fibertape. Nous expliquons au patient les risques et bénéfices de l'intervention qu'il accepte en signant le formulaire d'information et de consentement. Le patient présente une maladie de Dupuytren qui a un stade débutant, stade I. Il est plutôt gêné par des douleurs au niveau de P1 et non pas par la perte d'extension au niveau de la MCP. Dans ce contexte, une infiltration par Xiapex (collagénase) ne peut lui être proposée ; la collagénase n'agit pas contre les noeuds qui ont une structure bien trop importante pour être digérée par l'enzyme. Ainsi, il ne reste plus que l'option d'une opération avec fasciectomie et ablation de ce noeud. Pour le moment, le patient désire ne pas se faire opérer vu qu'il n'a que peu de gênes. Nous restons à disposition si la gêne devait devenir suffisamment importante pour justifier un acte chirurgical. Nous n'avons pas prévu de nouveau rendez-vous avec lui mais restons à disposition. Le patient présente une symptomatologie algique au niveau du frein de la langue, sans signe d'inflammation locale. Selon le patient, les douleurs sont tolérables. Nous lui donnons de la vitamine B et lui conseillons de réduire le nombre de cigarettes par jour. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle dans 1 semaine. En cas de péjoration, il prendra rendez-vous chez un dentiste. Le patient présente 2 situations qui peuvent expliquer les douleurs au tendon tibialis postérieur. Constitutionnellement il a une tendance à un pied plano-valgus ddc, raison pour laquelle nous prescrivons des semelles pour décharger les tendons et soutenir la voûte plantaire. Deuxièmement, il présente un tendon symptomatique qu'en postopératoire qui peut être lié au matériel. Nous planifions donc un CT scan pour juger de l'évolution à 6 mois postopératoires et discuter d'une éventuelle ablation du matériel d'ostéosynthèse. Prochain contrôle après le scanner. Le patient rapporte n'avoir jamais ressenti de crise douloureuse auparavant. Nous lui expliquons que dans l'immédiat, le traitement de première ligne peut être une infiltration foraminale L5-S1 afin de soulager la symptomatologie actuelle. Au vu de la dégénérescence discale objectivée sur l'imagerie, le traitement définitif viserait toutefois à la mise en place d'une cage intersomatique L5-S1 pour rétablir la statique lombaire. Nous expliquons les avantages et les risques non négligeables de cette intervention. Nous n'agendons pas de date opératoire pour l'instant, espérant que l'infiltration le soulagera suffisamment.Le patient rapporte un bénéfice aux infiltrations qu'il a reçues même s'il est partiel. Le patient fait ses exercices à la maison et arrive à gérer ses omalgies bilatérales chroniques prédominantes à G actuellement. Nous l'encourageons à garder la mobilité de ses épaules, ce qu'il arrive à faire actuellement. Prochain contrôle clinique dans 6 mois et, selon état, réorganisation d'une infiltration. Le patient rapporte une amélioration de la symptomatologie depuis son intervention de 2017 mais pas d'amélioration du reste de ses symptômes. Les investigations étant en cours, nous laissons ces dernières se terminer afin de trouver une origine plus claire à sa symptomatologie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Le patient reçoit du Midazolam en intra-nasal 5 mg dans l'ambulance. À son arrivée aux urgences, il n'a aucune plainte et il souhaite rentrer chez lui. Il est, dans un premier temps, attaché au lit en raison de son agitation motrice. Il reçoit de l'Haldol 1 mg en sous-cutané puis de l'Haldol 1 mg en IV et finalement du Temesta 1 mg en IV, ce qui permet la diminution de son agitation motrice et verbale. Pas d'hétéro-agressivité aux urgences mais agressivité verbale. Le bilan somatique permet d'exclure une étiologie somatique à cette agitation et nous organisons un transfert en ambulance au RFSM de Marsens pour la suite de sa prise en charge. La belle-sœur de Mr. Y est mise au courant du transfert. À noter qu'une transfusion sanguine pour ce patient est prévue à l'hôpital de Riaz pour le 28.11.2018. Le patient reçoit un bon de physiothérapie pour 9 séances pour rééducation à la marche sans boiterie et tonification musculaire. Pas de sport de contact pendant un mois jusqu'au 10.05.2019. Physiothérapie à sec et en piscine. Le traitement prend fin ce jour, le 10.04.2019. Le patient refuse la prise de sang, tout comme la veille où un prélèvement capillaire avait été réalisé. Après un ultrason ne permettant pas de visualiser l'appendice mais retrouvant plusieurs ganglions mésentériques, le patient est autorisé à rentrer à domicile avec poursuite du traitement symptomatique. Il sera revu à la filière des urgences ambulatoires à 48h pour un contrôle clinique, +/- biologique selon l'évolution. Consultation aux urgences en cas de péjoration des symptômes. Le patient rentre à domicile, le 27.04.2019 et sera convoqué pour un angio-CT suivi d'une consultation à la consultation du Dr. X. Ablation des fils par le médecin traitant à J14 selon cicatrisation. Le patient reprendra contact. Le patient ressent des symptômes intestinaux et oesophagiens similaires à ceux de l'épisode précédent, qui avaient été calmés momentanément par la prescription d'IPP. Nous retenons le même diagnostic, à savoir une oesophagite peptique DD gastrite à HP que nous traitons en majorant le pantoprazol à 40 mg par jour. Nous encourageons le patient à trouver un médecin traitant et à évaluer avec lui la pertinence d'une recherche d'HP. Concernant le reste de la symptomatologie du patient, nous ne retrouvons pas d'étiologie somatique claire permettant de l'expliquer. L'examen clinique et le laboratoire normaux nous permettent d'exclure les causes graves. Une discussion avec le patient nous permet d'évoquer une possible cause psychogène qu'il valide comme une réelle possibilité. Il est en effet très anxieux en raison de son épididymite par rapport à son désir de procréation, il reconnaît qu'il ne ressent plus les symptômes lorsqu'il fait du sport ou se concentre sur autre chose et nous avoue même que, du fait d'en avoir parlé, il ne ressent actuellement plus de symptômes. Il est encouragé à reprendre une vie normale (stoppé toute activité physique depuis l'épididymite) et à consulter si péjoration ou changement des symptômes. Le patient se représentera en cas de globe urinaire. Sonde urinaire avec flux en continu, poche. Ultrason demain, le 05.04.2019 à 11H30 suivi d'un contrôle à 12h à la filière des urgences ambulatoires. Le patient se voit enlever son plâtre confectionné la veille, contre un plâtre brachio-antébrachial effectué ce jour. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 7 jours. Le patient sera contacté par les cardiologues de l'HFR Fribourg une fois la décision prise concernant le TAVI. Suivi du poids, adaptation des diurétiques. Le patient sera convoqué au secteur ambulatoire des urgences à 48h pour constat de coups. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 08.04.2019 pour contrôle. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X pour ablation des fils à 2 semaines post-opératoires, puis à 6 semaines pour un contrôle radio-clinique. Poursuite de l'anticoagulation prophylactique pendant 6 semaines. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X à 7-10 jours du traumatisme. Le patient sera revu à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 10 jours post-opératoires. Le patient s'est fait une importante contusion du genou avec un œdème important du plateau tibial mais les ligaments ne sont pas totalement déchirés. Il peut reprendre la marche avec une charge complète et enlever l'attelle. Arrêt de travail pour encore 3 semaines et ensuite il pourra reprendre le travail à 100% dès le 11.05.2019. Plus de contrôle prévu mais nous restons à disposition. Le patient s'est fait une sévère entorse de la cheville avec un mécanisme peu clair lors d'un choc direct du côté latéral. L'IRM montre des structures ligamentaires latérales étirées. Cliniquement, nous constatons une asymétrie dans le test du tiroir indiquant une légère instabilité. Dans un premier temps, nous proposons un traitement conservateur avec renforcement musculaire en physiothérapie et contrôle clinique dans 2 mois. Arrêt de travail à 90% jusqu'au 19.05.2019. Le patient souffre actuellement de légères lombalgies qui devraient se traiter soit par du baume, soit par du Flector patch. On pourrait également instaurer une physiothérapie, mais comme le patient travaille à Bâle et habite à Avenches, son organisation est compliquée. Ordonnance pour les médicaments. Arrêt de travail pour ce jour. En ce qui concerne la hanche gauche, le patient devrait revenir en contrôle d'ici 5 ans ou avant en cas de changement de la symptomatologie des deux côtés. Le patient souffre d'un raccourcissement ddc au niveau de la chaîne postérieure, surtout au niveau du tendon d'Achille, mais également au niveau des cuisses et des mollets. Nous l'informons de l'importance de faire des étirements chaque jour au moins 3 x 5 minutes. Nous l'envoyons en physiothérapie afin qu'ils contrôlent si les mouvements sont faits correctement. Comme la marche sur les pointes est à nouveau bien présente, nous lui prescrivons des semelles pyramidales. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Si, à ce moment-là, il n'arrive pas à faire un redressement de la chaîne postérieure, nous ferons une immobilisation dans une bottine plâtrée. Le patient souffre d'une antétorsion du fémur augmentée qui est encore acceptable pour l'âge du patient. Actuellement, il marche déjà presque plus en rotation interne des pieds. Ddc, il souffre d'un très léger pieds plano valgus qui sont bien réductibles s'il se met sur les pointes, sans signe d'insuffisance tendineuse. Actuellement, chez un patient complètement asymptomatique, on ne prévoit aucun traitement. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition au besoin.Le patient souffre d'une fascéïte plantaire. On prescrit de la physiothérapie pour apprendre à faire des exercices de stretching et traitement par US. On lui a également montré des exercices à faire lui-même avec une balle de tennis et des étirements. Nous le reverrons dans 2 mois. Le patient souffre probablement de douleurs au niveau de l'articulation calcanéo-cuboïdien, DD gêne du matériel d'ostéosynthèse ou arthrose débutante. Nous organisons un CT pour mieux évaluer l'articulation. Dans un premier temps, nous envisagerons une AMO. Concernant le genou G, nous organisons une IRM pour exclure une lésion du ménisque. Nous le reverrons suite à ces examens. Le patient souffre toujours d'un épanchement articulaire du genou droit suite à l'arthroscopie. Je propose donc de ponctionner ce genou et l'infiltrer directement par Cortisone. Le patient est d'accord. La ponction articulaire est prévue pour le 3.4.2019. Le patient souffre vraisemblablement d'une instabilité de la radio ulnaire distale sur lésion fovéale du TFCC, l'examen clinique ainsi que l'anamnèse est tout à fait typique. Nous organisons une arthro-IRM en parallèle, nous organisons déjà des séances de physiothérapie pour renforcement musculaire, proprioception. Nous reverrons le patient après qu'il ait effectué son arthro-IRM du 09.04.2019. Le patient va commencer de la physiothérapie/ergothérapie. Reprise du travail dès le mois de mai. Le patient verra son médecin traitant le 29.04.19 à 10h30 pour suivi clinique et biologique (INR, fonction rénale et électrolytes) pour adaptation de l'anticoagulation, du torasémide, de l'insulinothérapie et la réévaluation de la reprise de l'IEC. Le patient vient pour un constat de coup sur conseil de la police. L'examen clinique est rapidement rassurant avec uniquement des plaies superficielles au niveau des 2 mains, chez un patient qui n'a aucune plainte algique. Les 2 plaies ne nécessitant qu'une désinfection, cette dernière est effectuée et un constat de coup est remis au patient. Pas de suivi nécessaire pour les plaies. Le patient vient pour une ablation de fils au niveau de l'arcade sourcilière gauche. Plaie propre non-inflammatoire. Désinfection et ablation des fils. Le patiente présente un premier épisode de luxation gléno-humérale antéro-inférieure de l'épaule G avec un arrachement Bankart osseux qui s'est remis dans une bonne position. Nous discutons des options de traitement avec le patient et il choisit un traitement conservateur, donc dans un premier temps mobilisation en physiothérapie et par le patient au-dessus de l'horizontal en limitant la rotation externe à 0° pendant 6 semaines et ensuite reprise d'une mobilisation libre et graduellement un renforcement musculaire. Nous reverrons le patient dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Pour les activités sportives, pas de football pendant 3 mois, pas de sports de contact pendant 6 mois. Le patiente présente une proéminence de l'os naviculaire bilatérale et par conséquence un conflit mécanique dans les chaussures, ce qui provoque une rougeur de la peau. Il n'y a aucun argument pour une tendinite. Nous ne proposons pas de traitement spécifique mais il faut éviter la pression et adapter les patins à glace. Nous lui prescrivons une protection en silicone pour diminuer la zone d'appui. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Le pédopsy propose d'avancer le rendez-vous avec le psychothérapeute. Le premier avis orthopédique et radiologique de l'Hôpital cantonal de Fribourg propose une hospitalisation pour IRM en urgence afin d'écarter une rupture ligamentaire pouvant être la cause de l'antélisthésis de C2 présent au CT. La mère de la patiente voulant finalement une hospitalisation à l'Inselspital, un avis auprès de Dr. X reste sur une observation avec IRM seulement si péjoration des symptômes. Le Rapid-Rhino n'a pas été instauré au vu du tarissement spontané de l'épistaxis. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Prescription de Bepanthen onguent. Le résultat de laboratoire et l'ECG sont rassurants. La patiente ne présente plus de douleur pendant l'observation aux urgences. Elle se plaint de sécheresse des yeux et de la bouche depuis hier, et pour cette raison nous conseillons un suivi chez le médecin traitant. Concernant l'insomnie et la problématique familiale, la patiente ne montre pas de comportement à risque et pour cette raison nous lui conseillons une évaluation chez le médecin traitant pour envisager un suivi psychologique ou psychiatrique. Nous donnons des comprimés de Temesta 1mg pour 2 nuits pour dormir. Le scanner du poignet gauche ne montre pas d'anomalie visible des structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés avec une intégrité du scaphoïde, pas de diastasis scapholunaire ou radio-ulnaire distal. Sur avis de Dr. X, médecin-assistante en orthopédie, nous avons enlevé le plâtre et mis en place une attelle de poignet. La patiente peut regagner son domicile et sera vue dans une semaine en policlinique d'orthopédie comme prévu. Le scanner ne montre pas de lésion intracérébrale ainsi que de sinusite chronique, le laboratoire écartant une anémie, un trouble hépatique et un diabète, ainsi que l'amélioration des douleurs suite à l'administration d'aspirine 500mg, nous conseillons un repos avec antalgie au besoin. Le patient a décidé de changer de travail, car c'est un environnement qu'il ne supporte plus. Le scanner ne montre aucun déplacement de la fracture par contre, nous avons une phase avancée de la guérison. Après discussion avec Dr. X, on commence la mobilisation sous ergothérapie/physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Le sédiment est superposable à celui de la veille, avec hématurie sans leucocyturie. L'ultrason ne retrouve pas de calcul, mais des kystes parapyéliques à gauche. Au vu de l'anamnèse douteuse par rapport à la présence de douleurs abdominales précédant l'apparition de l'hématurie, et sur avis de Dr. X, urologue, un uro-CT est réalisé et révèle un calcul de 7x5x6mm au niveau de l'uretère proximal gauche. Au vu de la taille du calcul, l'indication à une pose de sonde double J est retenue. Le patient se présentera le 11.04.2019 à l'Hôpital Daler à jeun pour prise en charge sur un mode ambulatoire. Le sédiment montre une microhématurie, l'Uro-CT un calcul urétéral D de 4x3x2 mm dans le tiers distal avec une dilatation pyélo-calicielle de 12 mm. Nous posons donc le diagnostic et suivi suscité. Le patient est confortable à la sortie au niveau des douleurs. Le sédiment urinaire montre des signes d'infection urinaire et nous mettons en place un traitement avec Furadantine 100 mg 2x/jour. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. Par rapport aux douleurs, nous retenons une origine neuropathique, DD : psychogène. Une origine liée à la varicelle est exclue car le traitement par Valtrex est en cours. Nous mettons en place un traitement par Pregabaline 50 mg 3x/jour et la patiente rentre à son domicile. Par rapport à l'arrêt de travail, la patiente a eu déjà un certificat jusqu'au 07.04.2019 que nous jugeons encore valable. Nous ne posons pas d'indication à une prolongation de l'arrêt. Le sédiment urinaire montre une hématurie microscopique avec des érythrocytes à 11-20/champs. Le laboratoire montre une leucocytose à 25.6 G/l sans CRP. Durant son attente aux urgences, extériorisation d'un calcul d'environ 1.5 mm que nous envoyons au laboratoire pour analyse.Nous prescrivons un traitement d'AINS en réserve ainsi que de la Tamsulosine avec contrôle clinique et échographie le 23.04.2019 pour exclure d'autres calculs et écarter une dilatation pyélo-calicielle. • Le sédiment urinaire montre une microhématurie. Devant l'examen clinique, nous retenons une infection urinaire basse avec un diagnostic différentiel d'un passage de calcul rénal. Nous débutons une antibiothérapie par Furadantin 100 mg 2x/24h durant 5 jours inclus. Nous proposons ainsi un ultrason des voies urinaires pour exclure une lithiase urinaire mais la patiente ira en vacances et ne souhaite pas venir pour un ultrason le lendemain. Elle ira voir son médecin traitant dès qu'elle rentrera en Suisse pour effectuer l'ultrason urinaire. • Le sédiment urinaire revient sans particularité, pas d'hématurie et l'examen clinique est sans particularité. Nous laissons donc la patiente rentrer à domicile et lui conseillons un contrôle clinique chez le pédiatre si des douleurs apparaissent. • Le sinus maxillaire gauche est très douloureux à la percussion. Le bilan sanguin montre une péjoration du syndrome inflammatoire avec une CRP à 78 mg/l et leucocytose à 14 g/l. Le test de Malaria revient à nouveau négatif. Nous retenons le diagnostic de sinusite maxillaire gauche probablement bactérienne suite à un état grippal. Le patient peut regagner son domicile le jour même avec une antalgie simple et une antibiothérapie. Il consultera son médecin traitant pour un contrôle clinique et un ORL si ses symptômes se péjorent. • Le site opératoire présente une déhiscence de plaie, sans signe infectieux. Nous demandons l'avis du Dr. X, chirurgien, qui nous conseille d'effectuer un point de rapprochement central et un pansement simple. Le patient sera revu par le Dr. X le lendemain pour la suite de la prise en charge. Dans le cas où ce dernier ne pourrait pas s'occuper du patient, le contact de la policlinique de chirurgie lui est donné afin qu'il puisse prendre rendez-vous. • Le statut aux urgences est sans particularité, avec un examen neurologique dans la norme. Nous effectuons une hydratation rapide avec 500 ml de Ringer reçu dans l'ambulance puis 1000 ml de NaCl aux urgences et ensuite 1000 ml/12 heures de NaCl. Au vu de la glycémie très élevée, nous administrons 4 UI de Novorapid par IV. Le laboratoire montre une glycémie à 28.2 mmol/l, avec un potassium à 3.8 mmol/l et un sodium à 134 mmol/l. La gazométrie montre un pH à 7.35, PO2 10, PCO2 4.5. Au vu d'un potassium à 3.8, nous mettons en place 20 mmol de KCL retard sur 12 heures. L'HbA1c revient à 10. Nous effectuons un contrôle de la glycémie après 1 heure qui revient à 16 mmol/l. Nous faisons ensuite des contrôles toutes les heures. La dernière glycémie avant le petit déjeuner était à 13 mmol/l. Sur l'avis du Dr. X, le patient reste aux urgences en observation. Le matin, nous parlons avec le patient. Il est suivi à Fribourg par le Dr. X, mais il ne mesure pas les glycémies et fait son schéma en bolus suivant comment il se sent. Il vit encore avec ses parents, sa mère est une infirmière à l'HFR Fribourg. Nous avons contacté la mère du patient qui finalement arrive avec la télécommande de la pompe. Vu la normalisation des conditions cliniques du patient, en accord avec le Dr. X, médecin chef, nous le laissons rentrer à domicile vu que le patient et sa mère nous ont confirmé qu'ils ont le nécessaire pour contrôler la glycémie à la maison. Nous avons bien expliqué au patient les risques de ne pas monitorer la glycémie et que l'alcool est très dangereux pour lui. Le patient nous a dit qu'il a déjà un rendez-vous avec son diabétologue le 29.04.2019 où il devra discuter d'une adaptation du débit de la pompe au vu d'une hémoglobine glyquée à 10%. • Le statut clinique est rassurant. Après avis du Dr. X, nous expliquons aux parents les signes de gravité d'un traumatisme crânien et la patiente rentre avec une feuille de surveillance. Par rapport au traumatisme nasal, nous proposons un contrôle chez le pédiatre mardi ou mercredi prochain. Ils reconsulteront en cas d'apparition de symptômes nouveaux. • Le statut clinique est sans particularité. L'ECG montre un rythme sinusal régulier sans trouble ischémique ni de repolarisation. Le bilan sanguin montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, pas de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, une leucopénie est mise en évidence à 3.0 g/l, les tests hépato-pancréatiques reviennent dans la norme, les protéines et l'albumine sont dans la norme. Le test de Schellong revient positif. Devant l'examen clinico-biologique, nous retenons un diagnostic de lipothymie dans le contexte d'orthostatisme. Nous le remplissons au NaCl 1000 ml en 1 heure avec une bonne réponse car le patient se sent mieux cliniquement. Nous lui conseillons de bien s'hydrater par la suite. En ce qui concerne cette perte pondérale d'origine indéterminée, nous laissons le médecin traitant organiser un bilan endoscopique dès que possible. Ainsi, un bilan thyroïdien reste à effectuer à sa consultation avec un contrôle biologique suite à cette leucopénie à 3.0 g/l. • Le statut clinique exclut un déficit. Elle reçoit un traitement symptomatique par AINS, Dafalgan, Sirdalud et Tramal en réserve. Elle reçoit également des conseils d'hygiène de vie pour éviter les récidives. Le suivi sera fait par le médecin traitant. La patiente est libre de rentrer à domicile. • Le statut clinique met en évidence une nette amélioration de la lésion sous Elocon crème avec une légère rougeur résiduelle. Le patient ne présente pas de douleur. Pas d'écoulement. Nous recommandons de continuer le traitement par crème jusqu'au 15.04.2019 et d'effectuer un contrôle clinique chez le médecin traitant au milieu de la semaine. À noter que le patient est sous antibiotique depuis 6 jours pour une infection des voies respiratoires. Le contrôle chez le médecin traitant aura aussi le but de contrôler l'évolution de l'infection. • Le statut clinique nous évoque un hématome en voie de guérison. Le fait qu'il s'étale et qu'il change de couleur pourrait aller dans ce sens. Probablement, il y a eu un petit traumatisme facial méconnu. Il n'y a pas de signes de gravité laissant suspecter une fracture du plancher de l'orbite ni du massif facial. Il n'y a pas d'autres lésions cutanées. À savoir, pas de thrombopénie connue (dernier bilan 23.12.18). • Le statut est sans particularité. Les résultats de chlamydia et gonorrhée sont négatifs et le patient peut regagner son domicile le jour même. • Le statut fait aux urgences a montré un abdomen ballonné avec sensibilité diffuse mais sans défense ni détente, bruits diminués en tonalité et fréquence. Au toucher rectal, la patiente n'a pas de sensibilité et elle a une laxité des muscles sphinctériens. Présence de selles formées dans le rectum. Nous libérons des selles présentes dans le rectum (qui sont normales). Nous essayons avec un lavement d'un litre de solution avec de la glycérine qui n'est pas efficace car la patiente présente une incontinence anale. Nous réalisons aussi un ASP couché qui montre la présence de selles aussi dans le côlon droit. Vu que la patiente n'est pas soulagée après la libération manuelle des selles, nous la laissons rentrer avec une augmentation du traitement pour la constipation avec du Duphalac 30 ml 3 fois/jour pendant 3 jours. Nous conseillons aussi des lavements avec sa machine une fois/jour pour les prochains 3 jours. Nous avons dit à la patiente de reconsulter le médecin traitant ou les urgences si elle n'objective pas d'amélioration après trois jours de traitement. • Le statut parle en faveur d'une sinusite aiguë bilatérale non compliquée. Nous prescrivons un traitement symptomatique. Il reconsultera les urgences en cas de non-amélioration des symptômes dans les 72h.Le strepto-test revenant négatif, une étiologie virale est suspectée et un traitement symptomatique est débuté. En cas de péjoration, présentation à votre consultation ou à la permanence de Meyriez. Le streptotest revient positif. Nous débutons l'antibiotique par Co-Amoxicilline comprimés 1 g 2x/24h durant 7 jours inclus en traitant l'angine streptococcique. Nous expliquons à Mr. Y qu'en cas de mauvaise évolution, y compris une dysphagie importante, une dysphonie ou une dyspnée, il doit rapidement reconsulter les urgences. Mme. Y sera vue dans une semaine à la consultation de son médecin traitant. Le tableau clinique évoque des douleurs abdominales sur coprostase chez une patiente enceinte, connue pour une constipation chronique avec des apports liquidiens fortement réduits. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire avec une palpation abdominale rassurante. Un traitement laxatif est prescrit avec une majoration de l'hydratation orale, ainsi qu'un traitement par IPP pour une durée de 10 jours, au vu des douleurs à la palpation épigastrique. Un contrôle clinique chez le gynécologue traitant est prévu prochainement. Le tableau clinique évoque en 1er lieu une gastroentérite de probable origine virale, avec un très faible syndrome inflammatoire au bilan biologique, sans leucocytose, qui pourrait avoir comme origine soit de l'ingestion alimentaire soit de l'état grippal en décours la semaine précédente. Au vu des antécédents de bypass gastrique ainsi que de gastrite, le diagnostic différentiel évoque un ulcère gastrique en décours, sans signe de péritonisme à l'examen clinique, avec proposition de réaliser une OGD en cas de persistance des symptômes. Un contrôle clinique chez le médecin traitant est prévu dans les 7 jours. Un traitement symptomatique est indiqué avec IPP durant 7 jours. Le tableau clinique évoque une hypertension artérielle mal contrôlée, progressant depuis une semaine et étant très probablement responsable des douleurs rétrosternales oppressives, avec une composante anxieuse surajoutée. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire avec exclusion d'un syndrome coronarien aigu avec des troponines sans cinétique et un ECG sans particularité. Au vu de la résolution spontanée des symptômes oppressifs et la diminution des valeurs tensionnelles, certes toujours élevées, aucune médication n'est administrée aux urgences, d'autant plus que Mme. Y avait déjà majoré son traitement antihypertenseur. Un contrôle chez son médecin traitant est prévu le 02.04 avec une éventuelle adaptation du traitement selon les valeurs tensionnelles à domicile. Le tableau clinique n'est pas clair. Dans ce contexte, nous organisons une IRM et reverrons Mr. Y suite à cet examen. Dans l'intervalle, poursuite de la charge partielle sous protection du Vacoped ainsi que la prophylaxie antithrombotique par Héparine. Le test aux lunettes de Frenzel est effectué par le Dr. X, de médecine interne, et ne met pas en évidence de Nystagmus. Nous administrons du Dafalgan 1 g et du Brufen 600 mg per os avec amélioration des douleurs. Mr. Y dit être dans une période très stressante. Nous effectuons un test de Shellong qui revient négatif. Mr. Y présente une nette amélioration de la symptomatologie aux urgences. La dernière tension est à 114/70 mmHg. Le bilan biologique revient sans particularité. Au vu de l'absence de critère de gravité, Mr. Y rentre avec antalgie en réserve. Nous recommandons de suivre les valeurs de glycémie. Le tétanos est à jour. Après désinfection et anesthésie locale, nous effectuons une suture avec 3 points d'Ethylon 4.0 qui seront à enlever à 5 jours chez le médecin traitant. Pour ce qui concerne le traumatisme crânien simple, au vu d'un statut neurologique dans la norme, Mr. Y rentre avec une feuille de surveillance. Le tique, partiellement en place, est enlevé aux urgences. Après le séjour aux urgences, la rougeur a diminué. Une surveillance clinique est indiquée durant 7 jours avec l'indication de reconsulter si l'érythème est en expansion. Le traitement conservateur ne donne pas d'effets favorables, raison pour laquelle nous proposons un traitement chirurgical au niveau du côté G qui est plus symptomatique actuellement. Nous proposons donc une cure du tunnel carpien et une transposition du nerf ulnaire, plus ou moins une libération de celui-ci au niveau de la loge de Guyon selon le rapport du Dr. X, que nous devons encore demander. Mr. Y est informé sur les risques et les bénéfices de l'intervention et il signe le consentement éclairé. Arrêt de travail pour des travaux légers pour 4 semaines et pour des travaux lourds pour 6 semaines. L'intervention est prévue en ambulatoire. La date est fixée, Mr. Y va encore en discuter avec son employeur et nous appeler pour un éventuel changement de date. Le traumatisme ayant été fait sur une faible hauteur, et en l'absence de conséquence pratique en cas de fracture à l'imagerie, celle-ci n'est pas réalisée, après discussion avec Mme. Y. En cas de péjoration de la clinique, d'apparition de céphalées intenses, d'apparition de troubles de la vision nouveaux, Mme. Y est invitée à reconsulter. Le vendredi 26.04.2019 à 13:30 pour contrôle postopératoire avec changement des pansements. Le 01.04.2019, Dr. X : cholécystectomie laparoscopique. DAP : cholécystite chronique, par endroits active avec foyers de tissu de granulation sous-épithéliale et signes focaux de régénération épithéliale accrue, avec atrophie focale de la muqueuse, respectivement muqueuse en partie abrasée, foyers de métaplasie pylorique, sinus de Rokitansky-Aschoff en partie dilatés, ainsi que remaniement fibreux de la paroi. Lithiase vésiculaire. Cholestérolose vésiculaire en partie légèrement polypoïde. Drain type Jackson jusqu'au 02.04.2019. Clexane prophylactique pour 1 semaine. Ablation des fils à J12 à votre consultation. Le 01.04.2019, Dr. X, Dr. X : bursectomie olécranienne droite, prélèvements bactériologiques (biopsies et frottis), ostéotomie de l'éperon olécranien. Le 03.04.2019, Dr. X, Dr. X : second look, débridement, rinçage, frottis, fermeture après mise en place d'un Redon. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g iv/jour, puis relais per os à raison de 2 x 1 g/jour, à poursuivre jusqu'au 16.04.2019 inclus, soit une durée totale de 15 jours. Le 01.04.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos 3 trous. Immobilisation par gilet orthopédique durant 6 semaines. Physiothérapie. Le 01.04.2019, Mr. Y nous est réadressé pour la poursuite de la réhabilitation cardiovasculaire entamée. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine Cardio 100 mg, Beloc Zok 12.5 mg, Entresto 100 mg, Fentanyl 25 microg/24h patch, Miacalcic spray nasal, Pantozol 40 mg, Pravastatine 40 mg et Torasemide 10 mg. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, Mr. Y a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser jusqu'à un groupe d'intensité modérée tout au long du séjour. Lors de sa sortie, Mr. Y se déplace aisément avec des cannes anglaises alors qu'il se déplaçait jusqu'à présent avec un rollator. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo durant 15 minutes à une puissance de 25 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+105 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme.Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Un bilan neuropsychologique est réalisé, montrant des difficultés exécutives et attentionnelles pouvant limiter la conduite automobile. Afin de préciser les capacités du patient, un bilan en situation de conduite sera réalisé avec une monitrice d'auto-école à sa sortie. Le tableau cognitif du patient est compatible avec une étiologie vasculaire; une composante toxique sur consommation d'OH à risque ancienne est également possible. D'un point de vue juridique, une demande de curatelle est soumise à la justice de paix de la Gruyère au vu des difficultés rencontrées par le patient à son domicile (un mobile-home) ainsi que celles rencontrées lors de la gestion de ses affaires personnelles. Le 27.03.2019, Mme. Y est désignée comme curatrice de Mr. Y. À sa sortie de notre établissement, une évaluation de l'habitabilité du domicile de Mr. Y est réalisée. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.5 mmol/L, un HDL à 0.95 mmol/L, un LDL à 1.39 mmol/L et des triglycérides à 0.84 mmol/L. • la pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : • Hb 136 g/l • fonction rénale normale avec une créatinine à 79 µmol/l • électrolytes sont dans la norme • CRP 6 mg/l à sa sortie L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un statut de normo-compensation. Le 02.04, contrôle aux urgences avec scanner du pied droit sans déplacement. Contrôle à la consultation de Dr. X le 10.04 à 9h pour suivi. Le 02.04 : Débridement Ialugen Adaptic Pansement Contrôle urgences dans 48 heures Contrôle le 04.04 : Ialugen sur les 3 plaies encore présentes, reste à l'air Pansement Contrôle dans 48h Contrôle le 06.04 : Réfection des pansements comme supra Contrôle dans 48h chez le pédiatre puis selon évolution Le 02.04.2019 à 15h30 chez Dr. X : Francisco sera accompagné par sa maîtresse (maman absente). Le 02.04.2019, Dr. X : appendicectomie laparoscopique. DAP : appendicite aiguë ulcéro-phlegmoneuse avec péri-appendicite fibrino-purulente. Ablation des fils à J10 à votre consultation. Le 02.04.2019, Dr. X : néocrossectomie bilatérale avec ligatures des perforantes et phlebectomies étagées. Anticoagulation par Xarelto 10 mg/jour dès le 03.04.2019 pour un mois. Changement des bandages à une semaine en policlinique de chirurgie. Ablation des fils à J14 et ablation des bandages avec mise en place de bas en policlinique de chirurgie. Le 02.04.2019, Dr. X : arthroscopie diagnostique, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, refixation du sus-épineux sur deux rangées. Cathéter interscalénique antalgique. Le 02.04.2019, Dr. X : arthroscopie diagnostique, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, réinsertion des parties hautes du sous-scapulaire en deux rangées. Cathéter interscalénique antalgique. Le 03.04.2019, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par deux vis HCS 2.4 mm, puis plaque de neutralisation Aptus Elbow 2.8 mm, stabilisation additionnelle de l'épicondyle radial par une boucle de fiber tape. Le 03.04.2019, Dr. X : mobilisation sous narcose (flexion atteinte 130°). Physiothérapie. Le 04.04.2019, Dr. X : laparoscopie exploratrice. Conversion en laparotomie par abord au McBurney et résection segmentaire iléale avec anastomose latéro-latérale manuelle. DAP : tumeur neuro-endocrine bien différenciée (G2 d'après la classification des tumeurs neuroendocrines OMS 2017) avec : • 1,8 cm de grand axe • 5 mitoses/2 mm² • taux de prolifération (Ki 67) d'environ 10% • infiltration de la musculeuse et focale de la sous-muqueuse de l'intestin grêle, ainsi qu'infiltration du tissu sous-séreux, respectivement du mésentère arrivant par endroits en contact avec la séreuse, sans perforation certaine de cette structure • invasion de plusieurs veines musculaires • au moins deux images d'invasion lymphatique • infiltration périneurale étendue • une micro-métastase (0,6 mm de grand axe) dans un ganglion sur trois (1/3). Code TNM : pT3 pN1 (mi) (1/3) G2 L1 V1 pN1 R0. Ablation des fils et remise des résultats le 17.04.2019 à la consultation de Dr. X. Le 04.04.2019, Dr. X : cholécystectomie laparoscopique. DAP : cholécystite chronique, en partie active, avec foyers de tissu de granulation et discrets signes focaux de régénération épithéliale accrue, avec foyers de métaplasie pylorique, quelques sinus de Rokitansky-Aschoff en partie dilatés, ainsi que léger remaniement fibreux de la paroi. Lithiase vésiculaire. Drain type Jackson du 04 au 05.04.2019. Ablation des fils à J12 à votre consultation. Le 04.04.2019, Dr. X : réduction et ostéosynthèse par plaque d'appui du tibia distal 3.5, une plaque antiglide 6 trous au niveau de la malléole interne et une plaque tiers-tube 3.5 7 trous de la malléole externe. Le 05.04.2019, Dr. X : rectopexie laparoscopique. Sonde urinaire enlevée le 06.04.2019. Ablation des fils à J10 à votre consultation. Rendez-vous à la policlinique de proctologie le 17.05.2019 à 13h45. Le 05.04.2019, Dr. X : arthroplastie totale du genou gauche. Matériel implanté : prothèse Nexgen Zimmer, fémur 11, polyéthylène tibial 10, plateau tibial G, rotule 32. Instrumentation spécifique pour patient. Le 05.04.2019, Dr. X : débridement et excision de fistule, décortication avec prélèvements et pose de VAC. Le 10.04.2019, Dr. X : réfection du pansement VAC. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g vi/jour. Le 06.04.2019, Dr. X : fasciotomie des quatre loges par double voie d'abord. Le 06.04.2019, Dr. X : réduction et ostéosynthèse du tibia gauche par plaque métaphysaire tibia distal LCP 4.5/3.5, 14 + 4 trous. Le 08.04.2019, Dr. X : cure d'éventration médiane avec filet rétro-musculaire. Kefzol 3 x 2 g iv/jour du 08 au 09.04.2019. Ablation des drains type Jackson le 10.04.2019. Ablation des agrafes le 18.04.2019 à la consultation de Dr. X. Contrôle à la consultation de Dr. X le 22.05.2019 à 09h30. Port de la ceinture abdominale durant 1 mois. Réévaluation de l'arrêt de travail lors du contrôle à la consultation de Dr. X. Le 08.04.2019, Dr. X : excision selon Lord-Millar modifiée. Bloc péri-lésionnel à la Naropine 0,5%, 20 cc au total. Le 08.04.2019, Dr. X : mise en place d'une prothèse céphalique bipolaire MS 30 cimentée du fémur droit par voie transglutéale (tête fémorale e46/28, col M, tige 10, bouchon 3.5 mm). Le 09.04.2019, Dr. X : cure selon Lichtenstein, avec mise en place d'un filet Ultrapro Mesh, lot MMBDHWW0. Bloc ilio-inguinal à la Naropine 0,5%, 28 cc au total. Réfection du pansement le 15.04.2019 par l'infirmière des soins à domicile. Ablation des fils à votre consultation à J10. Le 09.04.2019, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos. Le 09.04.2019, Dr. X, Dr. X : hémi-arthroplastie céphalique de la hanche gauche par prothèse Mathys à double mobilité cimentée par voie transglutéale (tête bipolaire 44/28, col 28M, tige 10 latérale, bouchon 4 mm), ciment Palacos R+G 40. Le 09.04.2019, Dr. X, Dr. X : réduction fermée et enclouage centromédullaire par clou Gamma court. Matériel implanté : clou Gamma court 130°, 180 mm de longueur, vis céphalique 110 mm, vis de verrouillage distal 35 mm. Le 10.04.2019 à 15:15 pour contrôle postopératoire avec ablation des fils. Le 10.04.2019, Dr. X : arthroscopie, puis arthrotomie et refixation du fragment ostéochondral rotulien par trois Smart Nail.Le 11.04, car absence de notion de trauma à l'anamnèse : Bilan hémostase, FSC, Réticulocytes sans particularité Contrôle du 12.04 sp Le 11.04, Si pas d'amélioration malgré le traitement +/- rx et avis ortho Glaçage 3x/j, Algifor 3x/j et crème d'arnica Charge selon douleur Le 11.04.2019, Dr. X : implantation d'une prothèse totale de la hanche gauche par voie antérieure mini invasive. Matériel implanté : tige AMIStem 0, tête cobalt chrome 32 col M, cupule MPact 48, liner C 48/32, 2 vis spongieuses de 35 mm de longueur. Le 11.04.2019, Dr. X, Dr. X : bursectomie du genou gauche avec prélèvements intra-opératoires. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g iv/jour du 11 au 15.04.2019, puis relais per-os par Clamoxil 2 x 1 g/jour jusqu'au 25.04.2019 inclus. Immobilisation dans une attelle jeans en extension jusqu'à cicatrisation. Le 11.04.2019, pour ablation des agrafes et contrôle postopératoire à votre consultation. Le 11.05.2012 Césarienne élective pour siège à 38 2/7 semaines d'aménorrhée Familiaux : soeur cancer du sein à 35 ans. Soeur décédée d'un cancer de localisation inconnue à l'âge de 32 ans. Tante maternelle cancer du sein vers 50 ans. Cousine paternelle cancer du sein vers 50 ans. Le 12.04.2019, Dr. X : drainage de l'hématome, lavage et fermeture cutanée. Le 12.04.2019, Dr. X : ablation du clou Gamma long trochantérien droit. Arthroplastie totale de la hanche droite par voie antéro-latérale. Matériel implanté : cupule Selexys à double mobilité 50/polyéthylène 50/col long acier/tige Twinsys 10. Le 12.04.2019, Dr. X, Dr. X : exploration de la plaie au bloc opératoire, avec ligature de plusieurs petites veines. Rappel antitétanique effectué aux urgences. Le 13.03.2019, à 6 semaines du traumatisme une radiographie montre la formation d'un cal osseux. Le 13.04.2019, Dr. X, Dr. X : mise en place d'une prothèse céphalique de la hanche droite. Matériel implanté : Mathys tête 42, col M, tige 15, bouchon 4. 1 dose et demie de ciment Palacos. Le 14.04.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse du tibia distal droit. Matériel implanté : plaque tibia distal LCP 3.5, 2 vis corticales 3.5 et 5 vis LCP 3.5. Le 14.04.2019, Dr. X, Dr. X : ponction articulaire du genou gauche : bactériologie négative à 48 heures. Suivi biologique (CRP à la baisse, absence de leucocytose). Le 14.04.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse. Matériel implanté : 1 plaque tiers-tube 7 trous, 1 vis de compression 2.7 mm. Le 15.04.2019 : ablation plaque artériosclérose intra-anévrismale sur FAV (fistule artério veineuse) radio-céphalique MSG et plastie d'élargissement avec patch en xénopéricarde Le 15.04.2019, Dr. X : cure de hernie inguinale droite selon Lichtenstein. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour ablation des fils le 26.04.2019. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 29.05.2019 à 08h30. Le 15.04.2019, Dr. X : peignage tendon d'Achille gauche. Immobilisation dans une attelle articulée durant 6 semaines, charge selon douleurs. Thromboprophylaxie par Clexane pendant 6 semaines post-opératoires. Le 15.04.2019, HFR Fribourg : cyphoplastie D12 par système Spinejack avec prise de biopsies. Le 16.04.2019, Dr. X : cure de hernie inguinale bilatérale selon Lichtenstein et cure d'hydrocèle à droite. Drain de Penrose du 16 au 17.04.2019. Ablation des agrafes à J12 à votre consultation. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 28.05.2019 à 14h00. Le 16.04.2019, Dr. X : mise en place d'une prothèse inversée Affinis Inverse, métaglène standard, glénosphère 39, insert 39+3, tige 6x125. Cathéter interscalénique antalgique. Le 16.04.2019, Dr. X : débridement, excision de la cicatrice, curetage, lavage et fermeture. Le 16.04.2019, Dr. X, Dr. X : ponction articulaire et arthrocenthèse talo-naviculaire, débridement de la plaie de l'AMTP 5 du pied droit. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g/jour du 15 au 22.04.2019. Réfection du pansement à votre consultation, ablation des steristrips à 15 jours post-opératoires. Dosage sanguin de l'acide urique à 3 mois de l'épisode. Le 17.04 : Bilan sanguin : anémie hypochrome microcytaire avec Hb 119, MCH 27, reste des lignées normales, pas de déviation gauche Bilan iono, rénal : aligné Gazométrie : alignée LDH normale, acide urique normal CRP 7, VS 18 Sérologie : EBV, CMV, HIV, HSV -> IgG pour HSV1 pos. donc contact ancien, Bartonellose, Quantiferon -> négatif, Sérothèque prélevée Le 18.04 : Echographie cervicale : Présence de multiples adénomégalies cervicales et sus-claviculaires bilatérales, non nécrotiques, dont les plus grandes mesurent 24 mm à gauche et 22 mm à droite dans les chaînes jugulaires internes. DD : lymphome ? Mononucléose ? Rx thorax : masse médiastinale sans signes de compression CT cervico-thoraco-abdominal : magmas d'adénopathies cervicales bilatérales, sus-claviculaires bilatérales et du médiastin supérieur s'étendant jusqu'à la carène, compatibles avec un lymphome (Hodgkin ?). Pas d'adénopathie décelée à l'étage abdominal. Le 17.04.2019, Dr. X : ablation du matériel d'ostéosynthèse (plaque du plateau tibial interne). Le 17.04.2019, Dr. X : AMO de la plaque au pilon tibial, de la vis à la malléole interne et de la plaque à la malléole externe, jambe droite. Le 17.04.2019, Dr. X, Dr. X : mise en place d'une prothèse céphalique de la hanche gauche. Matériel implanté : Mathys tête 46, col S, tige latérale 13.75, bouchon 4. 1 dose et demie de ciment Palacos. Le 18.03.2019 au travail, le patient glisse sur du verglas et chute. En raison de la persistance de douleurs, Mr. Y est adressé à la consultation du Dr. X et un CT-Scan permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. L'intervention se déroule sans complication le 26.03.2019 et les suites opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge de 15 kg sur le membre inférieur gauche, sous protection de cannes anglaises durant 6 semaines. La réfection du pansement montre une cicatrice calme et propre. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée pour une durée de 6 semaines post-opératoires. Face à l'évolution favorable, Mr. Y peut retourner à domicile le 31.03.2019. Le 18.04.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse. Matériel implanté : 2 plaques 3.5 LCP à 7 trous pour le radius, 8 trous pour l'ulna. Le 19.03.2019, Dr. X : arthroscopie diagnostique, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, réinsertion du tendon du sus-épineux, résection acromio-claviculaire. Cathéter interscalénique antalgique. Le 20 janvier péridural sur césarienne. Depuis céphalées et vertiges. Vu par Dr. X mardi pour traitement qui soulage uniquement l'hémicrâne droit. Ce jour rappelle le centre de la douleur qui l'envoie aux urgences. Ne s'est pas traitée avec ses antalgies. Ne souhaite pas attendre plus longtemps, malgré mes explications. CDC Dr. X averti du départ. Le 20.01.2011 : colonoscopie avec ligature élastique hémorroïdes internes obstructives stade 1. sp polypectomie par colonoscopie : adénome tubulovilleux avec bas degré de dysplasie. sp 3 AVB. sp APP. sp crises d'angoisse il y a 3-4 ans. Status post : Hyperventilation chronique avec crise de tétanie avec chute, traumatisme crânien et probable perte de connaissance le 14.05.2012. Le 20.03.2019, Dr. X : arthroplastie totale de la hanche droite par voie antérieure minimale invasive. Matériel implanté : cupule MPack 58/liner F polyéthylène/col M céramique/tige standard non cimentée AMIStem taille 2. Le 20.04.2019, Dr. X : réduction ouverte, comblement du défect osseux métaphysaire par bloc osseux (allogreffe de la tête fémorale), ostéosynthèse par plaque Philos 3 trous. Cathéter interscalénique antalgique. Le 20.04.2019, Dr. X : laparotomie, annexectomie droite. DAP : cystadénofibrome mucineux de type endocervical de l'ovaire, multiloculaire, avec foyers de calcification et d'ossification. Foyers d'endométriose au niveau des paramètres. trompe utérine sans lésion. Le 20.04.2019, Dr. X : laparotomie, caecopexie. Le 20.04.2019, Dr. X : laparotomie, dévolvulation iléale. DA cytopathologique : matériel sans cellule tumorale maligne. Sonde nasogastrique du 18 au 23.04.2019. Alimentation parentérale du 19 au 26.04.2019. Sonde vésicale du 20 au 24.04.2019. Cathéter péridural du 20 au 24.04.2019. Changement du pansement à votre cabinet le 01.05.2019. Ablation des agrafes à votre cabinet le 03.05.2019. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 03.06.2019. Le 21.03.2019, Dr. X : sigmoïdectomie par laparotomie. DAP : • Diverticulose colique avec fibrose péri-diverticulaire (résection du côlon sigmoïde). Surveillance post-opératoire en lit monitoré de 24 heures, d'évolution simple. Nutrition parentérale du 21 au 26.03.2019. Ablation de la sonde nasogastrique le 24.03.2019 et reprise de l'alimentation le 25.03.2019. Ablation du drain Jackson droit le 26.03.2019. Ablation du drain Jackson gauche le 03.04.2019. Ablation des agrafes le 05.04.2019 à la consultation du Dr. X. Le 21.04 : uricult revient positif pour E.coli à 10^6, sensible au Podomexef. Poursuite traitement comme prévu. Le 22.04.2019, Dr. X : réduction ouverte, ablation du clou Gamma court, cerclage du foyer fracturaire, puis réostéosynthèse par clou Gamma long. Le 22.12.2016 : entorse grave de la MCP I de la main gauche. Mme. Y a eu une prise en charge initiale aux urgences avec immobilisation plâtrée du pouce avec évolution lente. IRM : présence d'une partie du ligament collatéral cubital encore en place avec l'autre partie du ligament arrachée. Instabilité, après discussion avec Mme. Y, nous procédons à la réinsertion ligamentaire sur ancre Mitek mini, augmentation par plastie ligamentaire d'une languette d'EP (Dr. X, Méd chef adjoint.) Moi Dr. X, j'ai suivi l'évolution de Mme. Y en ambulatoire après l'intervention du 25.01.2017 avec une consultation le 28.01.2017, à 3 jours post-opératoires d'une plastie de réinsertion ligamentaire qui était une consultation longue chez Mme. Y qui demande à savoir ce qu'elle a et où les manipulations doivent se faire méticuleusement. Le 02.02.2017 contrôle à 1 semaine +1 jour post-opératoire : réception de Mme. Y, installation de Mme. Y, discussion, ablation de l'attelle (gantelet), ablation du pansement, désinfection de la plaie, examen clinique délicat, redésinfection, re-ponçage, repositionnement de l'attelle, rediscussion avec Mme. Y et prise de congé de Mme. Y. Le 08.02.2017 nous avons procédé de la même façon, mais nous avons ajouté une ablation des fils au niveau du pouce avec une plaie qui évolue favorablement. Les suites se sont faites chez son chirurgien opérateur, Dr. X, vers le 09.03.2018. J'espère que ce sera suffisant pour vous sinon vous mettez le temps que vous considérez nécessaire. Le plus important étant que Mme. Y va bien. Le 23.04.2019, Dr. X : cholécystectomie laparoscopique élective. DAP : légère cholécystite chronique lithiasique, selon les données cliniques, légère fibrose pariétale et quelques sinus de Rokitansky. Contrôle clinique et ablation des fils le 07.05.2019 à votre consultation. Le 23.04.2019, Dr. X : révision du site, avivement du trochiter, réinsertion du sus-épineux en deux rangées. Cathéter interscalénique antalgique. Coussin d'abduction pour 6 semaines. Physiothérapie de mobilisation passive en abduction-élévation 90°, rotations libres. Le 23.04.2019, Dr. X, Dr. X : ablation du matériel d'ostéosynthèse du radius distal gauche. Le 23.04.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse. Matériel implanté : • malléole postérieure : plaque tiers tube 3.5 LCP 3 trous • péroné : 2 vis de compression 2.7 mm et plaque tiers-tube 3.5 LCP 8 trous • malléole interne : 1 vis 2.7 mm et 1 broche 1.6 mm. Immobilisation dans une botte de décharge durant 6 semaines. Prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines. Le 24.04.2019 à 10:30 notre consultation ambulatoire. Le 24.04.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse de la fracture tri-malléolaire de la cheville gauche. Matériel implanté : plaque LCP tiers-tube 3 trous pour la malléole postérieure, plaque antiglide tiers-tube LCP 3.5 pour la malléole externe, 2 vis de 2.7 mm pour la malléole interne. Le 25.03.2019, Dr. X : implantation d'une prothèse céphalique bipolaire, hanche droite. Matériel implanté : tige Zimmer MS30 taille 10 standard, cupule à double mobilité 48, col L, bouchon Weber 3.5 mm, ciment Palacos R+G. Le 25.03.2019, Dr. X, Dr. X : bursectomie du coude droit. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g/jour, puis relais per-os à raison de 2 x 1 g/jour à poursuivre jusqu'au 08.04.2019 inclus. Le 25.03.2019, Mr. Y est admis dans notre établissement pour réhabilitation cardiovasculaire. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine cardio 100 mg, Brilique 180 mg, Atorvastatin 40 mg, Pantozol 20 mg. Le 26.03.2019, nous proposons à Mr. Y l'introduction d'un traitement ß-bloqueur par Carvedilol, refusé par celui-ci. L'échographie transthoracique du 04.04.2019 montre une hypertrophie ventriculaire G relative avec composante ischémique antérieure et A-S, FEVG 48% et une akinésie apicale antérieure. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 30 minutes à une puissance de 110 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. À la fin de la prise en charge, il est capable de marcher aisément pendant une durée de 1 heure à une allure de 2 km/h sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 5.7 km/h sur une pente de 6.6% pendant 30 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+25 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.1 mmol/L, un HDL à 0.69 mmol/L, un LDL à 1.25 mmol/L et des triglycérides à 0.60 mmol/L. Le patient reste réfractaire à un traitement hypocholestérolémiant au long cours. Seuls les Omega-III semblent avoir un intérêt. Nous lui avons confirmé que les statines biologiques présentaient les mêmes effets secondaires. 2. Mr. Y dit fumer 2-3 cigarettes/semaine avec une consommation plus importante auparavant et a refusé un entretien avec notre tabacologue Dr. X. Nous lui conseillons vivement de stopper la tabagie. 3. La pression artérielle à l'état basal et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour. 4. Mr. Y a manifesté le désir d'avoir un suivi pour son stress et lui avons transmis les coordonnées de notre cardio-psychologue Mme. Y. Sur le plan biologique : • Hb à 132 g/l • fonction rénale normale avec une créatinine à 100 µmol/l • électrolytes dans la norme L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un statut de normo-compensation. Le 25.04 : • Gazométrie : alcalose légère d'allure respiratoire, reste aligné. Pas de trouble électrolytique • Zofran PO 4 mg • Bolus IV de 500 ml NaCl en 1 h suivi de Glucosalin Iso 1500 ml en 24 h augmentée à 100 ml/h à 13 h 30. Le 25.04.2019, Dr. X : stabilisation acromio-claviculaire par la technique twin tail tight rope modifiée. Le 25.04.2019, Dr. X : bursectomie olécranienne du coude gauche. Le 26.03.2019, Dr. X : AMO plaque Philos, mise en place d'une prothèse inversée Affinis Inverse de chez Mathys. Matériel implanté : tige 9x125 mm, bouchon obturateur 2,5, insert 39+0, glénosphère 39, métaglène standard. Cathéter interscalénique antalgique. Le 26.03.2019, Dr. X : prothèse totale du genou droit, Zimmer Persona. Le 26.03.2019, Dr. X : réduction ouverte, ostéosynthèse et greffe du plateau tibial externe. Le 26.04.2019, Dr. X : plastie du ligament croisé antérieur à l'aide du tendon du quadriceps et suture du ménisque externe par trois points. Le 27.03.2019 : (contrôle à une semaine) : plaie rétro-malléolaire externe à D calme. Depuis l'accident, le patient n'a consulté personne, il arrive à la consultation en marchant sans canne, sans attelle et heureusement sans douleur. À l'examen, la plaie est à l'air, aucune précaution de protection. Le fil est heureusement toujours en place. Début de la physiothérapie avec rééducation à la marche en charge et proprioception. Nous décidons de laisser la plaie à l'air pour une question de sécurité. Pas d'arrêt de travail, le patient est actuellement au chômage. Le 03.04.2019 : (contrôle à deux semaines), évolution favorable. Ablation des fils. Plaie calme. Pas de signe inflammatoire autour de la plaie. La mobilisation de la cheville est complètement libre et indolore. Le patient marche sans boiterie, ni douleur. Après ablation des fils, petit pansement qui peut être retiré à 48 heures. Reprise d'une vie normale. Le traitement est terminé le 03.04.2019. Le 27.03.2019, Dr. X : résection transurétrale de la prostate. DAP : hyperplasie glandulaire et fibro-musculaire du tissu prostatique avec quelques foyers d'hyperplasie post-atrophique. Prostatite chronique légère à modérée focale, en partie active et par endroits purulente. Sonde vésicale du 27 au 30.03.2019. Antibiothérapie per-os par Cefuroxime 500 mg/jour du 27 au 30.03.2019. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 27.03.2019, Dr. X : résection transurétrale de la prostate et ablation du calcul vésical. DAP : hyperplasie glandulaire et fibro-musculaire du tissu prostatique. Prostatite chronique légère à modérée focale, en partie active et par endroits purulente. Sonde vésicale du 27 au 30.03.2019. Antibiothérapie orale par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour du 27 au 30.03.2019. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 27.03.2019, Dr. X : cure de hernie inguinale droite incarcérée (récidive) par filet Progrip de 12x8 cm, selon Lichtenstein, après avoir enlevé l'ancien filet Ultrapro. Ablation des agrafes à J14 à votre consultation. Contrôle à la consultation du Dr. X le 13.05.2019 à 09 h 00. Le 27.03.2019, Dr. X : incision et drainage de l'hématome. Ablation des drains le 03.04.2019. Antibiothérapie prophylactique par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g iv/jour du 27.03 au 02.04.2019, puis relais per-os à raison de 2 x 1 g/jour jusqu'au 03.04.2019 inclus. Le 27.03.2019, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque tiers-tube de la malléole externe, réduction et embrochage de la syndesmose par 2 broches 1.6. Le 27.03.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque tiers-tube 6 trous, vis de compression 2.7 mm de 22 mm de longueur. Le 27.09.2019, Dr. X : résection transurétrale de la vessie. Pas de DAP disponible. Sonde vésicale du 27 au 29.03.2019. Antibiothérapie orale par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour du 27 au 30.03.2019. Reprise du Sintrom et contrôle à votre consultation en début de semaine suivant la sortie. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 04.04.2019 pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 28.03.2019, Dr. X : re-bursectomie, excision de fistule, prélèvements de biopsies. Antibiothérapie : • Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g iv/jour du 28.03 au 01.04.2019 • Ospen 3 x 1.5 mioU/jour du 02 au 12.04.2019 inclus. Immobilisation par attelle BAB postérieure jusqu'à cicatrisation. Le 29.03.2019, Dr. X : confection d'une colostomie gauche. Drain type Jackson du 29.03 au 02.04.2019. Soins à domicile et suivi en stomatothérapie avec rendez-vous le 18.04.2019. Contrôle à la consultation du Dr. X le 23.05.2019 à 09 h 00. Le 29.03.2019, Dr. X : scaphoïdectomie, fusion 4 corners avec styloïdectomie radiale. Le 29.03.2019, Dr. X, Dr. X : réduction fermée et ostéosynthèse par clou Gamma court 125°, vis fémorale 95 mm, vis distale statique de 35 mm de longueur. Stop Sintrom du 27.03 au 01.04.2019, avec relais par Clexane. Reprise du Sintrom le 01.04.2019, contrôle INR le 03.04.2019. Arrêt de la Clexane dès 2 INR thérapeutiques. Le 29.03.2019, Dr. X : urétéroscopie, fragmentation des calculs et pose d'une sonde double J. Ablation de la sonde à 3 heures post-opératoires. Antibiothérapie par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 29.04.2019, Dr. X : arthrodèse métatarso-phalangienne 1 du pied gauche. Le 30.03.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par deux plaques Medartis de l'humérus distal droit, médiane 13 trous et latérale 15 trous. Attelle BAB postérieure durant 6 semaines. Mobilisation hors attelle libre en passif et en actif assistés, sans charge, ni résistance durant 6 semaines. Le 30.04.2019 à notre consultation Mr. Y est hospitalisé pour une oxygénothérapie pour une bronchiolite. Le 12.04, il présente une clinique compatible avec une pneumonie avec état fébrile, détresse respiratoire et grunting et des signes d'inflammation (CRP à 96 mg/L) qui motivent une antibiothérapie orale par Co-Amoxicilline durant 8 jours (jusqu'au 20.04.2019). Le 17.04, il présente de nouveau des épisodes fébriles, mais le bilan sanguin est dans les normes. Cependant, en raison d'une nouvelle péjoration clinique le 21.04, avec atélectase du lobe supérieur droit à la radiographie, Mr. Y est mis au bénéfice de Highflow jusqu'à 12 litres avec une FiO2 maximale à 40 %. Le 23.04, en raison d'une persistance de la symptomatologie, sans franche amélioration, nous répétons le bilan sanguin et radiologique. Le bilan sanguin ne montre pas de syndrome inflammatoire, avec une CRP à 6 mg/L et des leucocytes à 10.3 G/L. La radiographie montre une amélioration de l'atélectase du lobe supérieur droit, mais confirme la présence de 2 foyers pulmonaires (un apical gauche et un hilaire droit), que nous ne traitons pas. L'évolution est lentement favorable, avec une FiO2 qui est progressivement diminuée jusqu'à 21 % le 26.04.2019 et un sevrage complet du flux le 28.04.2019. Sur le plan ORL, il présente une otite bilatérale au début du séjour, avec une bonne évolution sous antibiothérapie.Sur le plan gastro-intestinal, il est alimenté par sonde nasogastrique jusqu'au 16.04.2019. L'ECG effectué à l'entrée ne montre pas de particularité, notamment les T qui étaient inversés en V1, V2 et V3 sur l'ECG de Marsens sont à présent positifs en V2 et V3, négatifs en V1. Le reste de l'ECG est dans les normes. Le bilan biologique met en évidence une hypokaliémie à 2.8 mmol/l (2.6 mmol/l ce matin à Marsens). Nous prescrivons une substitution par NaCl 0.9% avec 40 mec de potassium que nous faisons couler en 2h de temps avec un contrôle biologique qui montre une amélioration des valeurs avec un potassium à 3.3 mmol/l. L'ECG effectué après la substitution n'est pas inquiétant. Nous retransférons donc la patiente au RFSM de Marsens où elle continuera son sevrage alcoolique et proposons une substitution per os par Potassium Effervette 3x/jour pendant 5 jours, avec des contrôles biologiques du potassium fréquents. Dans ce contexte d'hypokaliémie, nous modifions le traitement antihypertenseur en mettant sous pause le Co-Amilorid et en le remplaçant par un inhibiteur de l'enzyme de conversion Lisinopril 10 mg. Nous proposons d'adapter ce traitement au profil tensionnel de la patiente et de réévaluer à distance le diurétique. Dans un contexte d'examen clinique avec un souffle systolique et une modification de l'ECG, nous proposons un bilan cardiologique en ambulatoire. Départ en ambulance pour retour à Marsens. L'ECG effectué aux urgences ne met en évidence aucun trouble et le bilan biologique est également rassurant avec une absence de syndrome inflammatoire, les D-Dimères sont négatifs, et une cinétique des troponines qui permet d'écarter raisonnablement une origine cardiaque aux douleurs. Le scanner effectué la veille a écarté une embolie pulmonaire ou un infiltrat. Nous laissons donc la patiente rentrer à domicile après l'avoir rassurée et proposons l'organisation d'un bilan cardiologique à distance par le médecin traitant. En cas de nouveau symptôme, nous conseillons à la patiente de se représenter aux urgences à tout moment. L'ECG est normal et le laboratoire dans la norme. Nous prescrivons un traitement antalgique et laissons rentrer la patiente à domicile. L'ECG met en évidence un rythme sinusal, normocarde, sans trouble de la repolarisation, sans signe d'ischémie. Au bilan biologique nous retrouvons un bilan aligné avec des valeurs dans les normes. La radiographie du thorax ne montre pas de pneumothorax, pas d'épanchement pleural, pas de foyer. Le pneumothorax présent sur la radiographie de comparaison (13.04.2019) est bien résorbé. Au vu de l'examen clinique rassurant, du bon état général et des examens complémentaires dans les normes, nous retenons comme diagnostic des douleurs thoraciques d'origine probablement pariétale. Nous rassurons Mr. Y et le laissons rentrer à domicile. En cas de péjoration des douleurs, ou de l'apparition d'une dyspnée, nous lui conseillons de consulter à nouveau. L'ECG montre un rythme sinusal régulier sans signe d'ischémie. Le bilan biologique est aligné. Devant l'examen clinico-biologique nous retenons un diagnostic d'état anxieux, la patiente reçoit du Temesta 1 mg en ordre unique. Elle peut regagner son domicile le jour même avec un contrôle auprès de son médecin traitant dans une semaine. Si persistance des symptômes nous laissons le soin au médecin traitant d'organiser un suivi psychiatrique. L'ECG réalisé aux urgences montre un sus-décalage V2-V3. Nous chargeons Mr. Y avec de l'Aspirine 500 mg, du Plavix 600 mg et de l'Héparine 5000 UI. Mr. Y est transféré en ambulance à l'HFR Fribourg en salle de coronarographie. Léchage de renard sauvage à la main droite avec plaie existant au 3ème doigt. Léchage de renard sauvage sur main droite avec plaie. Lecture de l'antigénurie : pas d'argument pour une infection à légionelle. Attitude : • Poursuite de l'antibiothérapie devant syndrome inflammatoire diminuant et symptômes en décroissance. • Conseils d'usage donnés à Mr. Y et réassurance. Lecture de l'IRM : IRM sans particularité, pas d'argument pour une myélite. Attitude : • Poursuite de l'arrêt de travail devant la persistance des arthromyalgies diffuses. • Conseil de faire suivre par un rhumatologue pour écarter une étiologie rhumatologique. Mr. Y est hospitalisé pour suite de prise en charge d'une gastro-entérite à Rotavirus avec déshydratation modérée à sévère. A son arrivée aux urgences, il nécessite un bolus de NaCl 0.9% 20 ml/kg sur une heure, permettant une amélioration clinique. La gazométrie montre une acidose métabolique (pH 7.29, pCO2 2.7 kPa, Bic 9 mmol/l, EB -16 mmol/l) avec hyponatrémie à 128 mmol/l. Le bilan sanguin met en évidence un léger syndrome inflammatoire (CRP 26 mg/l, pas de leucocytose). Il bénéficie d'une perfusion d'entretien par glucosalin isotonique à 100% de ses besoins et au vu des pertes digestives très abondantes, il nécessite un 2e bolus de NaCl 0.9% 20 ml/kg le jour de l'hospitalisation. L'hyponatrémie et l'acidose se corrigent rapidement. Par la suite, nous compensons les pertes par une prise per os adéquate (normolytoral). Nous pouvons sevrer la perfusion le 24.04.19. En raison de la bonne évolution, Mr. Y peut rentrer à domicile le 24.04.2019. Léger retard mental et hypoacousie sur séquelles de méningite dans l'enfance. Trouble de l'adaptation avec perturbation mixte des émotions et des conduites. Cardiopathie hypertensive, valvulaire et rythmique. Insuffisance rénale chronique de stade 2 (CKD EPI) sur probable glomérulosclérose. Insuffisance veineuse périphérique C6S. Polyarthrite rhumatoïde séropositive anciennement sous Méthotrexate stoppé fin 2016. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine mixte, baisse de l'état général, déshydratation et dénutrition. Amputation de l'avant-pied gauche suite à un accident de la voie publique. Status post-prothèse totale de genou en 2013. Léger syndrome inflammatoire d'origine indéterminée. DD : érysipèle débutant du tibia droit. Légère anémie normocytaire hypochrome le 12.04.2019. Légère anémie normocytaire normochrome le 01.04.2019. Légère anémie normocytaire normochrome post-opératoire et thrombocytopénie chronique le 17.04.2019. Légère bursite pré-patellaire genou D sur contusion le 23.04.2019. Légère déviation des orteils en varus du pied G. Légère hypokaliémie à 3.4 mmol/l. Légère hypokaliémie à 3.4 mmol/l. Légère hypokaliémie à 3.4 mmol/l. Légère hypokinésie de la paroi postérieure moyenne avec FEVG normale le 11.04.2019. Légère insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale sur IRC stade G2. Légère perturbation des tests hépato-pancréatiques connue. Légère tendinopathie du tendon d'Achilles à G le 17.04.2019. Légères hyponatrémie et hypokaliémie. Légères hyponatrémie et hypokaliémie le 17.04.2019. Légers oedèmes des membres inférieurs des deux côtés DD sur hypoprotéinémie, avec : • prot. 58 g/l et alb. 36 g/l le 19.03.2019. • NT-proBNP 144 ng/l le 19.03.2019. Légers troubles moteurs cérébraux. L'EMG confirme un syndrome du tunnel carpien. L'EMG confirme un syndrome du tunnel carpien bilatéral. L'EMG confirme un syndrome du tunnel carpien bilatéral à prédominance droite. L'EMG confirme un syndrome du tunnel carpien droit. Léo est hospitalisé pour antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline en raison d'un impétigo à Streptocoque du groupe A. Le bilan sanguin ne montre une leucocytose à 18.6 G/L avec une déviation gauche. En raison d'une évolution favorable, un relais per os est possible dès le 26.04, pour une durée totale de 10 jours, soit jusqu'au 01.05.2019.Léo rentre à domicile le 26.04.2019. Les hémocultures reviendront négatives à 5 jours. Mme. Y a bien récupéré toute la mobilité. Elle ne ressent plus de douleurs et n'a plus d'instabilité. Elle peut reprendre le sport. Dans ce contexte, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Mme. Y est hospitalisée pour antibiothérapie intraveineuse en attente de sa prise en charge radiologique pour drainage de son abcès. En raison de l'indisponibilité de la chirurgie pédiatrique le 07.04 aux HFR, nous transférons Mme. Y au CHUV pour suite de prise en charge en accord avec l'équipe sur place. Aux urgences: • FSC + CRP: Leucocytose à 21 et CRP 24 • Echocardiographie abdominale: Abcès situé au flanc droit attenant au système digestif • Avis Chirurgical: mise sous ATB IV et à jeun • Mise sous Flagyl 10 mg/kg 3x/j et Rocéphine 80 mg/kg 1x/j inage sous contrôle radiologique le 07.04 au matin • Perfusion de glucosaline 2:1 400 ml • Leponex 12.5 mg en réserve L'épouse du patient contactera la consultation du Dr. X, chirurgien maxillo-facial, pour un contrôle à 7-10 jours du traumatisme. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 15.04.2019 inclus. Les bilans d'imagerie finissent par mettre en évidence une appendicite aigüe. Au vu d'une incapacité de place au bloc opératoire de l'HFR Riaz, la patiente est transférée au HFR Fribourg pour prise en charge chirurgicale. Le transfert est accepté par l'assistant de garde en chirurgie, après discussion avec son chef de clinique. Les dernières IRM de la patiente sont cervicales et datent de 2018. Dans ce contexte, nous proposons de refaire les examens de manière correcte, avec IRM de la colonne cervicale avec coupes sagittales, transverses et coronales, idem pour la colonne lombaire et sacrée. Prochaine consultation suite à ces examens. Dans l'intervalle, prescription de physiothérapie pour hygiène posturale ainsi que décontraction et antalgie au niveau cervical. Les différents examens permettent d'exclure une lésion intra-crânienne ou une fracture. Mme. Y renvoyée à la maison avec antalgie. Elle doit rediscuter avec son médecin traitant pour une thérapie antihypertenseur. Les douleurs actuelles sont mises en lien avec l'ulcère, et une antalgie est mise en place. La poursuite des soins de plaie doit être effectuée, et une prise en charge angiologique est fortement recommandée à la patiente pour l'amélioration du statut du MID. Nous vous laissons le soin d'assurer la suite de prise en charge. Les douleurs de la hanche étant en premier plan et en raison de l'emplacement difficilement accessible par arthroscopie de la lésion, nous proposons au patient une prise en charge par luxation chirurgicale de hanche et correction de l'offset. Nous lui expliquons les tenants et aboutissants de l'intervention ainsi que les risques chirurgicaux et les suites opératoires. Le patient nous donne son accord en signant le formulaire de consentement éclairé. Les douleurs de la patiente seraient plutôt dues à sa posture. Pour cela, nous prescrivons des séances de physiothérapie pour amélioration posturale ainsi que pour élongation musculaire. Nous conseillons à la patiente de pratiquer du nordic walking et du fitness. En raison de ses douleurs au niveau de la hanche droite et du genou droit, nous prions l'équipe hanche de bien vouloir convoquer la patiente pour un avis spécialisé, ainsi que l'équipe genou de bien vouloir convoquer la patiente pour un avis spécialisé. Les douleurs décrites par la patiente vont bien dans le contexte d'une lombo-sciatalgie gauche chronique due à la spondylarthrose multi-étagée. J'aimerais adresser la patiente à la consultation spécialisée de l'équipe spinal, Dr. X, à Fribourg pour un avis de traitement. En ce qui concerne le statut après implantation de PTG à gauche, la patiente doit être revue à 5 ans post-opératoires pour un contrôle radio-clinique. Les douleurs décrites par le patient proviennent probablement d'une problématique rachidienne. Nous allons donc organiser des radiographies rachis total en charge afin de bilanter la statique, et nous planifions une nouvelle IRM du rachis lombaire, la dernière datant de plusieurs mois. Nous reverrons ensuite le patient avec le Prof. X et le Dr. X. Les douleurs du patient évoquent en premier lieu une étiologie musculaire mais il convient d'exclure une étiologie infectieuse. Nous organisons donc un CT à la recherche de signes de déscellement et prévoyons de voir le patient à l'issue de cet examen avec une prise de sang effectuée ce jour. Dans l'intervalle, nous prescrivons de la physiothérapie sous forme de massage et de l'antalgie per os. Les douleurs du patient sont nettement améliorées par rapport à son passage de cette nuit, et il n'y a aucun nouveau symptôme gastro-intestinal ou urinaire. De plus, son abdomen est cliniquement rassurant, sans défense ni détente et avec des bruits normaux. Nous poursuivons l'antalgie initiée précédemment et le laissons repartir à domicile. Il consultera son médecin traitant s'il ne constate pas d'amélioration dans les prochains jours et les urgences en cas de péjoration des symptômes. Nous lui conseillons d'organiser avec son médecin traitant un suivi urologique de son hyperplasie bénigne de la prostate probable et de discuter avec lui des investigations nécessaires pour son inconfort abdominal chronique. Les douleurs en fosse iliaque gauche sont en diminution au cours de son séjour aux urgences et ses constantes restent sans particularité. La radiographie du bassin est sans particularité. Au vu de cela, la patiente peut rentrer à domicile et sera revue en contrôle clinico-biologique le 19.04.2019 vers 13h00. Les douleurs que présente la patiente sont le plus probablement dues à une irritation du nerf interosseux postérieur sur amélioration de la posture de son poignet grâce à l'attelle pour sa tendinite de De Quervain. Dans ce contexte, nous initions un traitement conservateur avec anti-inflammatoire topique, reprise des séances de physiothérapie dont massage et iontophorèse. Prochain contrôle clinique dans 3 mois, que la patiente pourra annuler si résolution de la symptomatologie. Les douleurs que présentent la patiente sont dues à une tendance aux pieds plats à gauche pour lesquelles je propose de mettre en place des semelles orthopédiques avec barre d'appui rétro-capitale pour soulager les zones d'hyperappuis en regard des têtes métatarsiennes II et III, avec soutien de la voûte longitudinale et un coin postérieur de supination. Par ailleurs, je l'encourage à continuer les exercices de stretching du mollet afin de lutter contre la rétraction des gastrocnémiens qui participe à l'hyperappui sur les têtes métatarsiennes. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 mois. Si dans l'intervalle, la patiente le désire, nous pourrons réévaluer la situation. Les douleurs résiduelles sont très probablement liées au changement de la géométrie du pied et de l'adaptation musculaire à la nouvelle statique. Nous attendons encore une amélioration spontanée. Avec les semelles, l'évolution est favorable. Nous prévoyons un prochain contrôle dans 4 semaines environ pour voir l'effet des semelles et également juger de sa situation au travail. Elle souhaite reprendre le plus vite possible ces 2 activités professionnelles. Les douleurs sont bien contrôlées. La mobilité est encore réduite mais on prescrit des séances de physiothérapie pour amélioration de la fonction articulaire de l'épaule gauche progressive sans charge. On va garder le gilet orthopédique pour 3 semaines pendant la nuit. Pas de nouveau rendez-vous pour le moment. Nous restons à disposition.Les douleurs sont bien justifiées par l'imagerie. Nous proposons dans un premier temps une infiltration péridurale L4-L5 afin de soulager les douleurs. Malheureusement, le rétrécissement canalaire est tel que le traitement par infiltration n'est pas envisageable à long terme. Une intervention de décompression canalaire par technique undercutting ou cross-over devrait donc être envisagée. Pour l'instant, une intervention de spondylodèse n'est toutefois pas à considérer au vu de l'absence de douleur lombaire. Mme. Y souhaite être suivie et traitée en Slovaquie, raison pour laquelle nous n'organisons pas de nouveau contrôle d'office. Les douleurs sont plutôt dues à une arthrose fémoro-patellaire à droite et non à une gêne du matériel d'ostéosynthèse. Comme discuté lors du dernier contrôle, dans un premier temps, nous pouvons faire une AMO et +/- une arthroscopie pour voir l'état cartilagineux. Si nécessaire, il faut faire une IRM après l'AMO. Nous pensons qu'elle sera mieux suivie au team genou pour cette arthrose. Comme elle ne peut pas se faire opérer avec novembre, nous prévoyons une consultation le 12.09.2019. Les douleurs sont rapidement dégressives suite à l'antalgie et les inhibiteurs de la pompe à protons administrés par voie veineuse. Comme diagnostic, nous retenons une dyspepsie ouvrant un diagnostic différentiel avec un ulcère gastro-duodénal au vu des douleurs en épigastre d'apparition nocturne, avec un contexte de prise importante d'AINS pour des douleurs chroniques, des douleurs d'origine psychogène dans un contexte de situation sociale difficile avec un choc émotionnel récent et des tensions au domicile. Au vu de l'amélioration clinique et des examens effectués rassurants, nous laissons Mr. Y rentrer à domicile avec une prescription pour du Pantozol 20 mg à prendre pendant 2 semaines. Après relecture du dossier, ce traitement avait donc consisté en la prescription de 40 mg de Pantoprazol le soir. Nous conseillons un contrôle clinique chez le médecin traitant avec, selon la persistance des douleurs, l'organisation d'une OGD. A noter qu'un ECG effectué à l'entrée montre un rythme sinusal, sans trouble de la repolarisation, sans modification du segment ST. Le bilan biologique met en évidence une formule sanguine alignée, pas de trouble électrolytique, pas de syndrome inflammatoire. La cinétique des troponines est négative avec des valeurs qui restent stables à H1. Les évolutions clinique et biologique sont favorables, avec une prise de sang qui revient dans la norme. Mme. Y prendra contact avec le Dr. X après Pâques pour une cholecystectomie en électif. Les examens de laboratoire sont négatifs. Ils sont communiqués à Mr. Y ce jour. Retour ensuite à domicile. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. ECG. Laboratoire. Temesta 1 mg po. Attitude : • conseil d'usage. Les examens effectués à Mme. Y. Anamnèse et examen clinique. US aux urgences : (Dr. X) : péritoine : pas de liquide libre. Vessie : pas de globe vésical, normal. Aorte : taille normale. Sédiment urinaire : normal. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Laboratoire. ECG = sinusal régulier sans trouble de la conduction sans trouble de la repolarisation. KEPRRA 1000 mg IV. Dosage du Keppra. Retour à domicile avec poursuite du traitement, nous proposons à Mme. Y de contacter son neurologue demain pour une consultation en ambulatoire. Avis neurologique : dosage du Keppra avec contrôle en ambulatoire. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. ECG superposable à celui du 16.03.19, pas de sus ou sous décalage. Laboratoire : H0 9 H1 10. Aux urgences : Pantozol 40 mg IV. Radiographie du thorax. CT thoracique : pas d'embolie pulmonaire, infiltrat minime à l'apex droit déjà décrit et stable, persistance d'un épanchement péricardique de 6 mm d'épaisseur. ATT : • Retour à domicile avec réassurance mise en place d'un traitement d'épreuve avec Pantozol 40 mg 1x/jour pendant 1 mois. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. ECG. Laboratoire. Beta HCG urinaires négatifs. Avis neurologique (Dr. X) : CT cérébral natif en urgence pour exclure hémorragie, puis ad Aspirine Cardio et IRM en ambulatoire avec suite chez médecin traitant selon résultats. CT cérébral natif : pas d'hémorragie, sinusite sphénoïdale gauche. Traitement sinusite avec Augmentin pour 7 jours, antalgie simple, organisation IRM en ambulatoire avec suite chez médecin traitant et discussion poursuite Aspirine Cardio selon résultats. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. ECG. Laboratoire. Radiographie thorax ap/lat. Attitude : • conseils d'usage. • traitement symptomatique. • contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Examen clinique : amélioration des symptômes. Laboratoire : diminution de la perturbation des tests hépatiques. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant, pas de nécessité de reconsultation. Critères de reconsultation transmis à Mme. Y. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Examen clinique. CT cérébral natif (Dr. X) : hématome sous-cutané frontal droit, pas d'hémorragie, pas de fracture. Surveillance neurologique à domicile par sa sœur. Critères de reconsultation transmis à Mme. Y. Antalgie. Arrêt de travail. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Examen clinique. ECG : bloc AV 1er degré. Laboratoire. Proposition d'effectuer un bilan cardiologique en ambulatoire. Mme. Y instruite des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Examen clinique. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Urines : sans particularité. CT scan effectué au CHUV le 12.04.19 : pas de lésion pouvant expliquer les symptômes (rapport dans le dossier médical). • rapport CT transmis à Mme. Y. Titration Morphine IV 10 mg avec bonne réponse. Laxoberon, Movicol, Magnésium. Rendez-vous au centre de la douleur le 17.04.2019 pour réviser le traitement antalgique. Mme. Y instruite des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Examen clinique. Laboratoire. Co-Amoxicilline 2-2 IV aux urgences. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1g 3x/jour durant 1 semaine + Fucidine locale. Nous proposons à Mme. Y un contrôle à 48h pour évolution clinique, elle refuse étant portugaise sans assurance, elle souhaite rentrer à son domicile le lendemain avec suivi au Portugal. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Examen clinique. Laboratoire. ECG. Proposition d'augmenter le Coveram 5/10/1,25 et consultation chez son médecin traitant. Réassurance et retour à domicile. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Examen clinique. Laboratoire. ECG. Radiographie thorax. Réassurance et retour à domicile avec traitement d'épreuve par Pantozol 40 mg durant 1 mois. Consultera son médecin traitant pour suite de prise en charge. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Laboratoire : aligné. ECG : rythme sinusal normocarde, FC 72/min, axe QRS normal, pas de trouble de la repolarisation. TSH : en cours. Demande de gastroscopie en ambulatoire en cours, convocation suivra. Prescription de Pantozol et Débridat à titre d'essai. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Avis chirurgical (Dr. X) : clinique rassurante. Réassurance de Mr. Y et retour à domicile. Ablation des fils dans 10 jours. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Laboratoire : Tropo H0 = 34, Tropo H1 = 32. ECG. CT cérébral avec vaisseaux précérébraux : pas d'hémorragie, lésions séquellaires d'AVC sylvien droit et gauche superposable aux anciennes, vaisseaux perméables. Radiographie thoracique. Echographie ciblée abdomen : Dr. X : pas de globe. Stix et sédiment urinaire = négatif. • Retour à domicile. • Réassurance. • Conseil d'hydratation donné au patient. • Conseil de réévaluer en ambulatoire par neuropsychologue pour évaluer le déclin cognitif. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Laboratoire : troponines négatives, pas de syndrome inflammatoire. ECG. Réassurance de la patiente. Antalgie par Dafalgan, AINS. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Laboratoire CRP à 30, reste du laboratoire dans la norme. Stix sans particularité. Aux urgences : Pantozol cpr 40 mg, Alucol 15 ml PO. Attitude : • retour à domicile avec traitement d'IPP 1 mois, contrôle de l'éradication de H. Pylori en ambulatoire • consultation en gastro-entérologie pour une gastroscopie si persistance des douleurs. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Laboratoire. ECG. Augmentation de la posologie du Dexilant à 60 mg jusqu'à consultation chez gastro-entérologue traitant, poursuite antalgie par Dafalgan et Alucol en réserve, donné conseils d'usage hygiène de vie et diététique. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Laboratoire. ECG rythme sinusal, régulier, pas de sus ou sous décalage, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie du thorax : sans particularité. Attitude : • Retour à domicile avec réassurance et antalgie en réserve. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Laboratoire. Echographie ciblée aux urgences (Dr. X). • Pas de liquide libre, pas de dilatation pyélocalicielle, pas de lithiase vésiculaire. Attitude : • Réassurance. • Poursuite traitement symptomatique. • Contrôle chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Laboratoire. Gazométrie. Peak flow d'entrée 200 l/min = 41% du prédit, après aérosols Ventolin 5 mg/Atrovent 0.5 mg, peak flow 400 l/min = 82% du prédit, après 2 h de séjour aux urgences, peak flow à 390 l/min = 79% du prédit. Prednisone 40 mg per os aux urgences. Enseignement contrôles avec peak flow à domicile, enseignement aérosols, intervention brève pour STOP tabagisme, retour à domicile avec Ventolin, Sérétide, Prednisone en schéma dégressif, expliqué signes d'alarme qui devraient pousser à consulter en urgence. Contrôle à 48 h à la consultation ambulatoire des urgences, demande de convocation en pneumologie non urgente également au vu de l'absence de médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Primpéran 10 mg, Pantozol 40 mg iv, Buscopan 20 mg iv, Temesta 1 mg per os, Zofran 4 mg, titration Morphine iv ; refus Morphine per os au début de la prise en charge au vu des nausées. Laboratoire, dont test de grossesse négatif. Retour à domicile avec antalgie et antiémétique ; suite de la prise en charge par son médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Radiographie du genou gauche : luxation latérale de la rotule. Radiographie de contrôle : rotule en place. Avis orthopédique : IRM dès que possible pour évaluer une lésion ligamentaire et du cartilage. Rendez-vous team genou après l'IRM. Attelle jeans 0° charge selon douleurs. Réduction de la luxation sous antalgie par Fantanyl. Attitude : • Retour à domicile avec attelle jeans 0° et antalgie en réserve. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Radiographie thorax : sans particularité. ECG : sans particularité. Retour à domicile avec antalgie et contrôle chez le médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués à Mme. Y. Streptotest = négatif. Avis Dr. X = réactivation de la tuberculose quasi improbable de la bonne compliance médicamenteuse, pas d'indication à la réalisation d'examen complémentaire, conseil de mesure de la température 2 fois par jour jusqu'à la prochaine consultation avec Dr. X le 09/04/19. • traitement symptomatique. • retour à domicile. • conseil de se représenter aux urgences si péjoration des urgences et ou fièvre. • suite de prise en charge par l'équipe d'infectiologie le 09/04/19. Les examens effectués sont expliqués au patient. ECG. Laboratoire H0 4, H1. Avis cardiologique Dr. X : pas d'élément pour une myo-péricardite, douleur d'origine pariétale dépendante des mouvements, effectuer un deuxième train de troponine si elles restent négatives, pas de nécessité de faire un ETT. CT thoracique : pas d'embolie pulmonaire, foyer de pneumonie basal gauche avec comblement de la bronche en regard. Attitude : • Retour à domicile avec traitement antibiotique, antalgie et arrêt de travail. Les examens effectués sont expliqués au patient. ECG (non visibles sur ECG même long, mais visualisées au scope). Laboratoire. Réassurance. Les examens effectués sont expliqués au patient. Examen clinique. Laboratoire. Stick, sédiment urinaire. US abdominal, vessie : 500 ml résiduels post-miction. Sondage vésical : 1000 ml d'urines. Pradif 400 mcg 1x/jour. Suite de la prise en charge par l'urologue : piste TPSA durant la semaine, (le patient prendra le rendez-vous). Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire : CRP 13. Avis chirurgical Dr. X : pas de complication, traitement en ambulatoire avec Métronidazole, Ciprofloxacine 7 jours. Attitude : • Retour à domicile avec antibiothérapie et antalgie. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire : D-Dimères négatifs, pas de syndrome inflammatoire. ECG : sans particularité. Test de Schellong : réaction orthostatique sympatico-tonique. Repos. Hydratation augmentée. Si persistance des symptômes, consulter le médecin traitant pour éventuelles investigations supplémentaires. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire : normal, alcoolisation à 1.43. Sédiment urinaire : normal. US aux urgences (Dr. X) : globe vésicale avec environ 500 ml visualisé, discrète dilatation pyélocalicielle de stade I bilatérale. Miction spontanée avant mise en place d'une sonde urinaire. Retour à domicile avec instruction de consulter en cas d'état fébrile/frissons. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire : pas de cinétique des troponines. ECG : sans particularité. Radiographie thorax : pas de foyer, pas d'épanchement. US ciblé cardiaque aux urgences (Dr. X / Dr. X) : pas d'épanchement, FEVG conservée, pas de dilatation des cavités droites, aorte non visualisée. Attitude : • Retour à domicile avec Dafalgan et Irfen pour 4 jours. • Conseil de reconsulter en cas de douleurs persistantes ou aggravées, apparition de nouveaux symptômes. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire : Troponines H0 7 ng/L, H1 7 ng/L. ECG : superposable, pas de sus ou sous décalage. Radiographie du thorax : pas de pneumothorax, pas d'épanchement. Attitude : • Retour à domicile avec antalgie de réserve, traitement d'épreuve Pantozol. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire. Sédiment. CT abdominal : pas de signe de colite ou de diverticulite, pas d'air libre, pas de liquide libre, pas de masse. Attitude : • Retour à domicile avec antalgie, consilium en proctologie avec contrôle en ambulatoire. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire. Analyses urinaires. Dafalgan et Pantozol 40 mg aux urgences avec diminution des douleurs. Traitement symptomatique avec Dafalgan, Motilium, Pantozol et suite chez le médecin traitant dans 2-3 jours. Les examens effectués sont expliqués au patient.Laboratoire. Aux urgences : NaCl 0,9% 2000 ml, Primpéran 10 mg, Zofran 8 mg iv, Buscopan 20 mg iv, Pantozol 40 mg iv, Perfalgan 1 g iv, motilium 10 mg sous lingual. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie : coude droit ap/lat : pas de fracture claire. CT coude (rapport téléphonique) : fracture. Avis orthopédie (Dr. X). Attelle brachio-antébrachiale. Contrôle ortho urgences à 1 semaine fixé. Antalgie. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie colonne cervicale ap/lat/dens : signes d'arthrose. Traitement symptomatique avec Dafalgan et Brufen pendant 3 jours. Sirdalud 2 mg le soir. Physiothérapie. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie Dig I pied droit. Avis orthopédique (Dr. X). Semelle rigide jusqu'à amélioration des douleurs. RICE. Antalgie simple. Cannes avec décharge selon douleurs. Pas de sport pendant 6 semaines. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie doigt V droite ap/lat. Avis orthopédique (Dr. X). Attelle Stack. Ergothérapie pour attelle adaptée, à porter pendant 6 semaines. Contrôle en orthopédie urgences à 6 semaines. Antalgie simple. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie D2 F/P : pas de fracture. Aux urgences : • Rappel tétanos. • Désinfection bétadinée, champage habituel. Exploration de la plaie qui ne montre pas d'atteinte des structures nobles. Suture par 1 point de Prolène 4-0. Pansement Adaptic digit. Attitude : • Antalgie simple. • Arrêt de travail. • Ablation des fils à 8 jours chez le médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie épaule gauche. CT épaule gauche = lésion Bankart et doute sur Hill Sachs postérieur. Avis orthopédique = nécessité d'une prise en charge chirurgicale en ambulatoire avec immobilisation par gilet orthopédique 3 semaines. • Retour à domicile. • Protocole GRACE. • Physiothérapie en ambulatoire à J7. • Réévaluation en ambulatoire par le team épaule. • IRM épaule gauche en ambulatoire. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie genou gauche, le 20.04.2019. Avis orthopédique (Dr. X). Antalgie. Recommandation de consulter en cas de troubles neurologiques. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie thorax/abdomen : implant dentaire visible en regard du grêle. CT abdominal : implant dentaire dans le duodénum niveau D3-D4, pas de pneumopéritoine. Avis chirurgical (Dr. X) : retour à domicile, régime riche en fibres avec examen régulier des selles pour retrouver le corps étranger. Conseils de reconsulter immédiatement si douleurs abdominales, méléna, rectorragies, nausées, vomissements, fièvre, frissons, douleurs à l'exonération ou tous autres symptômes inhabituels. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie thorax. Laboratoire. Au vu d'un épisode unique, pas d'autre investigation en urgence, le patient reconsultera en cas de récidive, avec réévaluation bilan endoscopique ORL. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie Avis orthopédique (Dr. X) Bande de soutien Traitement antalgique et contrôle dans deux semaines en ortho team pied avec radiographie en charge du pied gauche face et profil Information et suite de traitement avec décharge du pied gauche pendant 4-5 jours avec béquilles. Les examens radiologiques nous permettent d'exclure une fracture et nous retenons donc une entorse bénigne du ligament latéral externe du genou gauche. Nous instaurons un traitement antalgique par Dafalgan, Irfen et une immobilisation par attelle Jeans ainsi qu'un traitement prophylactique par Clexane 40 mg. Il sera revu en consultation à une semaine par le Dr. X, orthopédiste, et restera en arrêt de travail jusque-là. Les images de l'IRM réalisée le 15.01.2019 ne sont malheureusement pas visualisables ce jour. Nous demandons donc un CD de cet examen puis reverrons le patient pour discuter des suites de traitement. Les paramètres vitaux sont dans la norme. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, pas de trouble électrolytique, cinétique des troponines négative H0 à 7 ng/L, H1 à 7 ng/L. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer, pas de pneumo ni d'hémothorax. L'ECG montre un rythme sinusal régulier à 99/min, axe normal, pas de signe d'ischémie active, pas d'onde Q pathologique. Vu l'ECG et la cinétique des troponines négative, nous pouvons écarter un événement cardiaque aigu. Nous proposons au patient un contrôle à la consultation d'un cardiologue pour évolution et possiblement les tests d'effort. Les douleurs ont disparu spontanément pendant le bilan aux urgences. Vu l'examen clinique, biologique et radiologique qui sont rassurants, le patient rentre à domicile avec antalgie en réserve. Les parents devront aller réveiller Mr. Y cette nuit et le réveiller pour être sûrs de son état. Surveillance post TC expliquée et feuille donnée aux parents. Les cheveux ne doivent pas être lavés pendant 7 jours. Les parents sont rendus attentifs aux éléments pour lesquels il faut reconsulter (douleurs abdominales, vomissements). Les plaies présentent toutes une évolution favorable. Les plaies sont désinfectées puis pansées. La main est immobilisée dans une attelle Edimbourg. Mme. Y sera revue dans 48 h en policlinique d'orthopédie pour un suivi clinique. Les radiographies du genou gauche et du bassin effectuées aux urgences ne montrent pas de fracture. Les radiographies mettent en évidence un doute radiologique sur des fractures au niveau T11-T12, raison pour laquelle un CT-scan est réalisé. Ce dernier met en évidence des lésions dégénératives sans lésion osseuse aiguë. Au vu de cela, nous posons le diagnostic et le suivi susmentionné. Les radiographies ne montrent pas de fracture du pouce ni de l'épaule. Nous retenons les diagnostics de contusion de l'épaule gauche et d'entorse du ligament collatéral ulnaire de la 1ère métacarpophalangienne sans laxité pathologique. Nous mettons en place un gantelet du pouce droit avec l'interphalangienne libre. Le patient prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour une réévaluation clinique à 1 semaine. Nous lui donnons également un arrêt de travail pour une semaine. Les radiographies réalisées à l'HFR Riaz le 03.04.2019 ne mettent pas en évidence de déplacement secondaire. L'évolution radioclinique est satisfaisante, nous décidons alors d'une ablation du VACOped et d'une fin de suivi en policlinique d'orthopédie après avoir prescrit à Mme. Y des séances de physiothérapie ambulatoire. Mme. Y n'a pas bénéficié d'arrêt de travail étant donné qu'elle est femme au foyer. Les radiographies standards effectuées aux urgences ne permettent pas de voir une lésion osseuse, l'évolution est défavorable à environ 7 semaines de l'entorse, raison pour laquelle nous prescrivons une IRM de la cheville et du pied à droite. Mme. Y sera revue une fois celle-ci effectuée à la consultation du team pied. D'ici là, maintien de l'attelle et de la marche selon douleurs avec les cannes, et de la prophylaxie anti-thrombotique. Les résultats de l'IRM sont rassurants. On prescrit de la physiothérapie pour mobilisation du genou et traitement symptomatique. Elle peut abandonner les cannes lorsqu'elle n'aura plus de douleur. On la reverra en juillet pour faire un bilan radio-clinique de la PUC. Elle reste à l'arrêt de travail jusqu'au 21.04.2019, à réévaluer en cas de persistance des douleurs. Nous restons à disposition. Les résultats des ponctions entreprises au niveau de la hanche G, du genou G et du genou D le 15 avril dernier ont permis la mise en évidence, au niveau de l'articulation du genou G, d'un staphylocoque epidermidis résistant à la pénicilline. Au niveau de la hanche G, les prélèvements de la même date n'ont pas permis de mettre en évidence la présence de ce germe. De plus, l'incertitude plane toujours en ce qui concerne la situation au niveau du genou D, les prélèvements ayant été vraisemblablement mal identifiés. Afin de clarifier la situation, une fois pour toutes, on organise ce jour une ponction à but diagnostique au niveau du genou D. On explique déjà au patient qu'on s'achemine vraisemblablement vers un changement prothétique en 2 temps, tant au niveau de la hanche G, du genou G que probablement de son genou D. Une fois que nous aurons tous les résultats de manière claire et certaine, il s'agira de solliciter l'implication des infectiologues ainsi que de l'opérateur au niveau du genou, le Dr. X.Les résultats postopératoires sont très satisfaisants. Le patient n'a pas de douleurs. La mobilité est complète. Nous restons à disposition. Pas de contrôle ultérieur programmé. Les risques per- et post-opératoires sont expliqués, la patiente reçoit le consentement pour réflexion et signature, elle nous le retournera par la suite. L'intervention est fixée pour le 06.05.2019. Nous organisons un bilan en ORL au préalable afin de vérifier l'intégrité des cordes vocales et ce dernier sera effectué le 30.04.2019. Les semelles sont trop petites. Nous faisons donc une ordonnance pour une nouvelle paire de semelles avec support de la voûte plantaire. Nous lui recommandons de faire quotidiennement des exercices comme la marche sur les pointes ou sur la tranche latérale. Prochain contrôle clinique dans 2 ans. Les statines étant déjà arrêtées depuis quelques jours et un bilan ayant déjà été fait chez le MT, nous laissons repartir la patiente au domicile avec de la Novalgin, en lui expliquant qu'elle doit consulter son MT pour les résultats de laboratoires et que si les enzymes musculaires n'avaient pas déjà été dosées devraient l'être. Les suites sont simples, Mr. Y rentre à domicile le 18.04.2019 et sera revu par le Dr. X en consultation. Arrêt d'école 2 semaines. Les symptômes cliniques ainsi que le bilan biologique évoquent un état grippal en décours surajouté d'une dérivation de sommeil récente. Les vertiges sont en résolution progressive aux urgences, avec un examen neurologique dans la norme, motivant l'absence de réalisation d'examen radiologique et évoquant plutôt une origine périphérique aux symptômes décrits. Une consultation ORL est proposée en cas de récidive des symptômes et précédée par un contrôle clinique chez le médecin traitant. Les symptômes douloureux ne diminuant pas avec la thérapie introduite par le médecin traitant hier et s'inscrivant dans le cadre d'une problématique chronique et d'une intolérance importante à de nombreux médicaments, nous arrêtons le traitement avec Sirdalud et Vimovo avec contrôle chez le médecin traitant le lendemain. Le suivi de l'hypertension étant déjà organisé par le médecin traitant, nous ne débutons pas de prise en charge aux urgences. Afin de soulager de manière aigu les nausées, nous introduisons un traitement avec Ondansetron en réserve, que la patiente doit essayer ce jour. Les symptômes régressent complètement après la manœuvre de Dix-Hallpike et la manœuvre de Semont (avec les lunettes de Frenzel). La patiente retourne à domicile sans vertige, nausée ou céphalée. Nous conseillons une consultation ORL en cas de récidive de la symptomatique. Les 2 plaies ont été suturées avec 2 points d'Ethilon 4.0. Un contrôle de la plaie sera à faire à 48 heures chez le médecin traitant. Les fils sont à enlever chez le médecin traitant dans 14 jours. Antalgie simple à domicile. Les 7% de masse corporelle perdus selon les poids d'il y a 2 semaines et ce jour ne correspondent pas à l'état général de Mme. Y. Nous proposons à la maman de la peser à la maison pour comparer les poids. Lésion acromio-claviculaire droite Rockwood IV. Lésion Bankart osseuse et lésion partielle du sus-épineux suite à une luxation traumatique antéro-inférieure le 17.02.2019. Lésion buccale sur morsure. Lésion cartilagineuse du bord supéro-externe de la rotule droite et lésion kystique de l'os sous-chondral de 2 x 1.6 cm. Status post-débridement, lavage et exploration de la plaie avec bursectomie partielle le 07.04.2017 en raison d'une plaie profonde du genou droit avec bursotomie traumatique sur un accident de VTT. Suspicion clinique de névrome de Morton au pied gauche. Lésion chondrale du condyle fémoral externe genou gauche. Status post-AS, ablation lésion cartilagineuse, suture corne postérieure ménisque externe et régularisation de la corne postérieure du ménisque externe le 14.03.2019 sur : • Subluxation Genou G : Lésion cartilagineuse 4x3cm condyle fémoral externe, lésion cartilagineuse insertion corne post ménisque externe, lésion corne postérieure ménisque externe, lésion partielle LCA, lésion PAPE. Lésion chondrale grade IV crête rotulienne à gauche sur torsion du genou le 17.02.2019. Lésion chronique scapho-lunaire et TFCC à droite. Lésion complète du LCA à gauche datant du 11.09.2018. Lésion cornéenne centrale gauche. DD : persistance de corps étranger versus lésion post-corps étranger (lentille de contact). Lésion cornéenne gauche quadrant inférieur droit sur élément métallique : • Corps étranger enlevé aux urgences. Lésion cutanée croûteuse d'origine inconnue de 2 mm-1 mm le 12.03.2019 • au niveau du cuir chevelu. Lésion cutanée. Lésion cutanée. Lésion cutanée. Lésion cutanée. Lésion cutanée. Lésion cutanée lèvre supérieure G. Lésion cutanée suite à un accident avec réception d'un produit X. Lésion d'arrachement de la plaque palmaire D4 IPP main G • 2e épisode. Lésion de Chopard avec fracture non déplacée de la malléole interne et au niveau naviculaire dorsal. Lésion de la boutonnière doigt III main G et status post lésion EDC zone III avec suture le 17.03.2018. Lésion de la coiffe des rotateurs épaule G avec déchirure du tendon sus-épineux et tendinopathie du LCB G. Lésion de la plaque palmaire du 3ème doigt à droite le 04.05.2018. Lésion de la plaque palmaire PIP 5ème doigt de la main G. Lésion de la poulie A1 D3 main gauche. Lésion de la pulpe distale au majeur gauche. Lésion de Lisfranc à G le 12.10.2018 avec : • arrachement du fragment au niveau du cunéiforme médial • arrachement dorso-latéral et plantaire du cunéiforme latéral • arrachement de la partie dorsale et distale du cuboïde • fracture multifragmentaire de la base des métatarses 2 et 4 • fracture non déplacée de la base du 3ème métatarse • fracture/arrachement de la base plantaire latérale du 1er métatarse.• Arrachement du fragment au niveau du cunéiforme médial • Arrachement dorso-latéral et plantaire du cunéiforme latéral • Arrachement de la partie dorsale et distale du cuboïde • Fracture multifragmentaire de la base des métatarses 2 et 4 • Fracture non déplacée de la base du 3ème métatarse • Fracture/arrachement de la base plantaire latérale du 1er métatarse. Lésion de l'organe vestibulaire à droite. Lésion de varicelle au bord de la paupière inférieure gauche. Lésion de 23 mm sur le rein gauche inchangée depuis 2009. Opération pancréatique au Portugal sans autre précision. Décompensation diabétique hyperosmolaire, le 04.02.2019, sur non-compliance médicamenteuse avec : • HbA1c > 15 % le 04.02.2019 • Diabète secondaire à une pancréatite chronique • Status-post plusieurs hospitalisations pour décompensation diabétique (du 28.03 au 31.03.2014 ; du 30.04 au 08.05.2014 ; du 07.12 au 16.12.2016). Lésion de 26 x 21 cm au niveau du caecum suspecte de néoplasie de découverte fortuite le 13.03.2019, sans lésion à distance. Lésion dégénérative du tendon du sus-épineux épaule gauche. Lésion dentaire 21 durant l'OGD le 02.04.2019. Lésion des ligaments croisés à droite en 2017, OP en 2018. Lésion digitale superficielle annulaire droite. Lésion du collatéral radial du pouce droit le 21.04.2019. Lésion du collatéral ulnaire du pouce droit sans lésion de Stener. Lésion du frein de la lèvre supérieure, hématome gingival sur incisive gauche. Lésion du LCA genou droit le 18.03.2019. Lésion du LCA genou gauche avec lésion de la corne postérieure du ménisque interne sur une chute à ski en décembre 2018. Lésion du LCA genou gauche. Entorse LLI grade I genou gauche. Oedème osseux plateau tibial, partie postérieure. Lésion du ligament collatéral cubital de l'articulation MCP1 de la main gauche sans lésion de Stener. Lésion du méat de décubitus sur sonde vésicale avec macrohématurie. Lésion du tendon extenseur indicis proprius d'environ 60 % de la bandelette centrale avec arthrotomie de l'IPP Dig II main droite, le 25.03.2019. Lésion eczématiforme cuisse gauche. Lésion eczématiforme des coudes des deux côtés le 23.04.2019. Lésion en anse de seau du ménisque interne genou gauche. Lésion en anse de seau du ménisque interne genou gauche sur entorse le 16.03.2019. Lésion érythémateuse de 3 x 3 cm sur le côté gauche du cou et lésion érythémateuse de 1,5 x 1,5 cm sur la face antérieure droite du cou suite à une agression le 24.04.2019. Lésion érythémateuse papulaire cutanée de 6 x 3 cm d'étiologie inconnue. Pas de gradient thermique, pas de trajet lymphangitique, pas d'adénopathie inguinale, pas de piqûre. Lésion expansive intracérébrale occipitale gauche et tempo-basale droite. Lésion expansive intra-cérébrale temporale droite. Lésion génitale de degré I et éraillure para-urétrale gauche. Lésion génitale d'origine indéterminée. Lésion grade II ménisque interne, corne moyenne, genou droit. Lésion hépatique à l'interface des segments V et VI, suspecte d'éventuel cholangiocarcinome découverte fortuitement. Lésion hyperdense de la queue du pancréas DD tumeur neuroendocrine. • CT abdominal du 03.04.2019 : Lésion hypervasculaire de la queue du pancréas évoquant une tumeur neuroendocrine du pancréas. Lésion hypodense au niveau de la corticale postérieure du fémur distal entouré d'os réactif sans réaction périostée (évoquant radiologiquement un ostéome ostéoïde ou un fibrome non ossifiant) de découverte fortuite. Lésion iatrogène du grêle le 15.04.2019. Lésion inflammatoire d'apparition aiguë. • DD furoncle, acné. Lésion isthmo-corporéale à développement extra-utérin sous séreux à l'IRM du 09.02.2018. • Consilium gynécologique le 07.08.2018 : stable, pas d'opération nécessaire. Trouble neurologique mixte du membre supérieur droit : • Suivi par le Dr X. • Tunnel carpien débutant à droite. • Notion de cervico-brachialgie C8. Affections rhumatologiques multiples (suivi Dr X) : • Cervico-brachialgie droite (IRM colonne cervicale le 09.01.2018). • Ostéoporose fracturaire et densitométrique (- 3.8 DS colonne lombaire, 13.11.2018). • Fracture D12 non datée. • Aclasta 5 mg 1x/an (1e perfusion le 22.11.2018). • Substitution vitamine D. • Syndrome du tunnel carpien droit débutant (ENMG le 20.09.2018). • Lombalgies chroniques mécaniques. • Refus de physiothérapie en ambulatoire. • Rizarthrose bilatérale (G > D). Syndrome sec oral et oculaire, en cours d’investigation : • DD : médicamenteuse, hépatite C traitée. • Pas d’hypergammaglobulinémie, facteur rhumatoïde élevé à 47 U/mml. • Test de Schirmer du 16.11.2018 : négatif ddc. • Capillaroscopie : sans particularité. • Biopsie glandes salivaires : signes pour un Sjögren. Lésion jusqu'à l'os du IPP du 2ème orteil pied gauche côté tibial sur frottement important de l'hallux. Hallux valgus ddc. Orteils en griffe 2-3-4-5 ddc. Lésion kystique pulmonaire droite au niveau du segment 8. • Date du diagnostic radiologique : 10.01.2019. • CT thoracique du 10.01.2019 : lésion kystique vascularisée au niveau du segment 8 à droite à 11 mm de grand axe. Lésion LCA genou droit, traumatisme du 24.03.2019. Lésion ligament collatéral cubital, articulation MCP1 droite le 26.2.2019. Lésion ligament collatéral radial du 4-5ème doigts et fracture diaphysaire du 5ème métacarpe main droite. Lésion Lisfranc stable à gauche le 03.03.2019 avec fracture/arrachement antéro-latérale et antéro-médiale du bord inférieur du cuboïde gauche. Lésion LLI 2ème degré. Status post arthroscopie + ménisectomie partielle du ménisque interne le 03.10.2018. Status post plastie de reconstruction du LCA genou droit par tiers central du TR et suture corne moyenne et postérieure ménisque interne genou droit 2 x all-inside, 1 x outside in le 13.10.2015 sur re-déchirure du LCA genou droit. Lésion longitudinale du péronier court à gauche. Lésion luno-triquétrale droite post-traumatique avec suspicion d'instabilité du ECU et atteinte du TFCC poignet droit. Lésion luno-triquétrale partielle à droite dans le cadre d'une plaie première commissure prise en charge au CHUV le 05.03.2018. Lésion lytique de la dent 12 le 01.04.2019. Lésion méniscale interne gauche, le 09.04.2019. Lésion musculaire de la coiffe des rotateurs sur traumatisme le 28.04.19. Lésion musculaire du muscle ischio-jambier droit de grade II. Lésion noire indurée temporale gauche. • 1 mm x 6 mm, d'apparition progressive depuis quelques mois. • Pas d'antécédents de cancer cutané chez le patient ni dans la famille. Lésion osseuse tibia distal droit en partie granulomateuse. Suspicion d'infection mycobactérienne. Status post incision et biopsies sur forte suspicion d'atteinte infectieuse tibia distal droit le 16.01.2015. Lésion osseuse vertébrale L4 d'origine indéterminée : • Diagnostic différentiel : sur tumeur primitive d'origine indéterminée. • Date du diagnostic : 21.06.2018. • Pathologie (CHUV H1808897) : vertèbre L4, biopsies site fracturaire avec présence de rares cellules carcinomateuses de profil immunohistochimique évoquant en premier lieu une métastase d'un carcinome mammaire, d'immuno-phénotype ER, PR et HER2 négatifs (sous réserve d'un matériel très exigu). • Investigations à la Clinique Cecil : gastroscopie, colonoscopie et examen gynécologique. Lésion ostéochondrale épaule postéro-latérale du talus gauche. Status post infiltration sinus tarse à gauche le 21.02.2019 pour douleurs. Status post fracture arrachement de la partie interne de la malléole externe pour fracture-arrachement de la partie interne du talus gauche. Status post fracture de la partie postéro-latérale du calcanéum gauche. Status post fracture du naviculaire de la base du 2ème, 3ème et 5ème métatarses gauche sur AVP en 2017. Lésion ostéochondrale et non-union malléole interne cheville droite.Lésion ostéochondrale trochlée médiale Lésion ostéocondensante de la tête fémorale gauche Lésion ostéolytique du radius distal D avec perforation et infiltration liquidienne du carré pronateur sur probable ancienne ostéomyélite chronique • Biopsies et débridement du radius distal D par rapport au dorsal et ponction de l'articulation radio-carpienne le 17.01.2019 (microbiologie négative) Lésion partielle de l'insertion antérieure du sus-épineux de l'épaule D, arthrose acromio-claviculaire D. Lésion partielle du LCA avec Bone Bruise du plateau tibial postéro-latéral suite à une chute à ski il y a 3 semaines et une entorse le 04.04.2019. Lésion partielle transfixiante du sus-épineux, épaule droite. Rhizarthrose avancée gauche. Status post-infiltration de l'articulation CMC1 le 09.11.2018. Status post-infiltration sous-acromiale de l'épaule droite le 14.12.2018. Lésion partielle trans-fixiante du tendon du sus-épineux épaule droite traumatique avec raideur articulaire post-traumatique marquée. Status post infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule D le 1.2.2019. Lésion PASTA sus-épineux épaule D. Tendinopathie du sus-épineux épaule G. Status post infiltration sous-acromiale épaule G le 23.11.2018. Haute suspicion de tendinopathie du long chef du biceps. Lésion pénienne d'origine indéterminée. DD : Mycose, herpès débutant. Lésion péri unguéal 2ème orteil pied droit • DD : hématome, début infection. Lésion pharyngée d'aspect bénin avec adénopathies réactionnelles (découverte fortuite au CT-scan cervico-cranien du 01.09.2018 et US cervical du 11.09.2018) Lésion plaque palmaire inter-phalangienne proximale D4 à G le 17.04.2019. Lésion plaque palmaire IPP Dig II G du 01.02.2019 Lésion plaque palmaire MCP pouce droit Lésion plaque palmaire 3ème doigt main gauche le 30.09.2015. Contusion des 2 et 3èmes doigts de la main gauche traitée par attelle Edimbourg en 2013. Lésion pouce de skieur pouce gauche datant du 6.4.2019 sans lésion de Steiner. Lésion pseudo-papillaire à la base de la vessie proche de l'orifice urétéral gauche. Lésion quasiment transfixiante du tendon du sus-épineux de l'épaule gauche avec omarthrose débutante. Lésion ronde, croûteuse, faisant 2-3cm se situant en sous-scapulaire gauche Lésion SLAP épaule droite avec cliniquement haute suspicion d'instabilité du LCB droit. Infiltration du sillon bicipital droit le 14.12.2018. Lésion sous-cutanée mammaire gauche 06.04.2019 • découverte fortuite au CT • DD gynécomastie. Lésion sous-totale du tendon du sus-épineux de l'épaule gauche avec tendinopathie du long chef du biceps au niveau de la gouttière et arthrose acromio-claviculaire gauche. Lésion sous-totale du tendon EPL zone II pouce droit (accident du 25.01.2019). Lésion spiculée du lobe supérieur gauche nouvellement diagnostiquée le 23.4.2019 • toux et dyspnée NYHA III-IV, symptôme B avec sudation nocturne, frisson et fièvre • Sat02 à l'air ambiant 94% Lésion stade II du ligament collatéral interne coude D le 20.3.2019. Lésion subtotale transfixiante sus-épineux épaule droite. Instabilité du long chef du biceps. Lésion chronique du ligament collatéral médial genou droit. Lésion supra-centimétrique hypophysaire venant au contact avec le chiasma optique (DD : tumeur primaire vs métastatique) • date du diagnostic : 22.01.2019 • IRM du 22.01.2019 : lésion tissulaire 22 x 14 mm de l'hypophyse venant au contact avec la partie inférieure du chiasma optique et infiltrant les sinus caverneux et probablement la tige pituitaire évoquant en premier lieu une métastase. Absence d'autre prise de contraste pathologique de l'encéphale • actuellement : prise en charge en neurochirurgie de l'Inselspital Lésion surrénale droite de découverte fortuite au CT le 30.03.2019 DD Adénome Lésion suspecte ulcérée de la partie supéro-postérieure du pavillon de l'oreille droite Lésion transfixiante de petite taille des parties antérieures du tendon du sus-épineux de l'épaule gauche traumatique. Lésion transfixiante des parties antérieures du tendon du sus-épineux de l'épaule droite (dominante) traumatique. Lésion transfixiante sous-totale du tendon du sus-épineux de l'épaule D avec lésion non transfixiante des parties hautes du sous-épineux de l'épaule D. Lésion transfixiante sous-totale du tendon du sus-épineux de l'épaule droite avec lésion non transfixiante des parties hautes du sous-épineux de l'épaule droite. Lésion traumatique du MPFL sur la rotule le 19.04.2019, genou gauche. Lésion traumatique du sus-épineux sur status post 3ème épisode de luxation le 08.11.2018. Lésion tumorale du côlon Lésion tumorale du côlon ascendant le 21.03.2019 Lésion ulcéreuse de 0.5 x 0.5 cm au niveau postéro-supérieur du pavillon de l'oreille droite de mauvaise évolution depuis environ 1 mois DD carcinome basocellulaire ou spinocellulaire. Lésion unguéale avec ongle partiellement sorti du lit en face externe et fracture-arrachement base de la 2ème phalange le 27.08.2016. Lésion valvulaire mitrale d'origine indéterminée le 14.04.2019 • patient polytoxicomane avec ATCD d'endocardite mitrale en 2016 • injection intraveineuse récente (Cocaïne IV) • pas d'arguments pour endocardite Lésions cérébrales multiples d'origine indéterminée le 06.03.2019, avec : • crise d'épilepsie tonico-clonique le 06.03.2019 • crise d'épilepsie type absence le 05.03.2019 DD : abcès, métastase d'une lésion pulmonaire basithoracique droite en investigation (lymphome?) Lésions cutanées. Lésions cutanées. Lésions cutanées des deux mains en cours d'investigation. Lésions cutanées d'étiologie indéterminée le 10.04.2019. Lésions de frottement surinfectés sur le dos et côté externe du pied D Lésions dégénératives du ménisque interne et de moindre importance du ménisque externe, associées à une distorsion stade I du ligament collatéral interne du genou gauche. Probable gonarthrose du genou droit. Lésions eczématiformes autour du cou Lésions intra-cérébrales operculaires G et pariétales G, parlant en premier lieu pour des cavernomes, de découverte fortuite le 15.03.2019 avec céphalées et vertiges associés Lésions multiples au niveau du pied D : • fracture de la base du 5ème métatarse • lésion du Chopart avec arrachement au niveau de la calcanéo-cuboïdienne • lésion du talus dans sa partie dorsale latérale • lésion du processus latéral du talus. Lésions nodulaires basithoraciques millimétriques bilatérales --> contrôles 1x/an, stable selon la patiente BSH, pas de maladie connue, pas de médication régulière Lésions papulaires périnéales le 28.09.2017. Douleurs abdominales d'origine fonctionnelle probable le 04.03.2018. Infection des voies respiratoires supérieures d'origine probablement virale le 12.07.18. Douleur abdominale sans étiologie retrouvée le 06.09.18. Lésions papulo-vésiculeuses squameuses prurigineuses des mains avec ichtyose le 25.11.2013. Lésions superficielles lèvres inférieure et langue sur morsure dans le contexte de la crise convulsive L'état clinique et le bilan radiologique ont pu exclure un déplacement secondaire ou une infection post-opératoire. La situation n'est pas du tout inquiétante, le patient revient à ma consultation comme prévu au mois de mai pour programmer l'ablation précoce du matériel d'ostéosynthèse. Il a le droit de reprendre toutes les activités sportives sans limitation. Leu 11 CRP à 70 Sac collé pour le bilan mais ne fait pas aux urgences Leucémie Leucémie à larges cellules granulaires et lymphocytiques. • date du diagnostic : 07.07.2016. • biopsie médullaire : infiltration du tissu hématopoïétique environ 20 à 30% par des cellules T de petites tailles, matures, lymphocytaires à gros grain (T-LGL) (Promed P7259.16). • bilan d'extension : infiltration médullaire, pas d'adénopathie au scanner du 24.08.2016. • formule sanguine du 24.08.2016 : agranulocytose (0.35 x 10^9/l), hémoglobine 132 g/l, thrombocytes 259 x 10^9/l. • électrophorèse des protéines dans la norme. • status sous-chimiothérapie par Méthotrexate 10 mg/semaine associée à Prednisone (5 à 10 mg/jour). • ponction de moelle osseuse (biopsie et aspiration) du 15.02.2017 : infiltration médullaire (10 à 15%) par des cellules lymphocytaires T-granulaires. • traitement par Méthotrexate depuis août 2016, excellente tolérance et amélioration progressive de la leucopénie. • actuellement : excellente évolution des valeurs leucocytaires, status post-infection des voies respiratoires, bonne évolution sous antibiothérapie, carence martiale, substitution par Ferinject, poursuite du traitement par Méthotrexate. • Suivi par Dr. X. Lymphome de type MALT. • date du diagnostic : 1996. • status post-résection et radiothérapie en 1996. • maladie auto-immune de type Sjögren avec SSA (RO) à 144 (norme < 20) et SS-B (LA) à 116 (norme < 20). • actuellement : pas d'évidence de rechute, CT mars 2018. Leucémie lymphoïde chronique : • Diagnostiquée en 2014. • En rémission sous traitement d'Imbruvica (Ibrutinib). • Suivie par Dr. X. Leucémie lymphoïde chronique à cellules B le 23.04.2019. Leucémie lymphoïde chronique à cellules B stable (suivi par Dr. X). Leucémie lymphoïde chronique à cellules B-Kappa débutantes diagnostiquée le 04.03.2013 (Dr. X), stade A selon Binet et 0 selon Rai, avec marqueurs de bon pronostic (délétion 13q14.3 de type I le 04.03.2013 sur la cytogénétique du sang périphérique). Hypertension artérielle. BPCO stade II selon GOLD, sous 2 l/minute d'oxygène (23h/24h). Troubles dégénératifs méniscaux à gauche. Hernie et béance hiatales. Dolichocôlon. Diverticulose sigmoïdienne. Hémorroïdes internes stade I. Tremor (de repos et d'intention) d'apparition récente (mais non daté). Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec multiples chutes : • consommation d'alcool chronique • malnutrition Leucémie lymphoïde chronique à cellules B-Kappa débutantes diagnostiquée le 04.03.2013 (Dr. X), stade A selon Binet et 0 selon Rai, avec marqueurs de bon pronostic (délétion 13q14.3 de type I le 04.03.2013 sur la cytogénétique du sang périphérique). Hypertension artérielle. Troubles dégénératifs méniscaux à gauche. Hernie et béance hiatales. Dolichocôlon. Diverticulose sigmoïdienne. Hémorroïdes internes stade I. Tremor (de repos et d'intention) d'apparition récente (mais non daté). Leucémie lymphoïde chronique connue depuis 2010 • leucocytose et apparition de masses ganglionnaires en 2012 • réapparition d'une leuco-lymphocytose en janvier 2016 • chimiothérapie par Fludarabine et Endoxan, 6 cycles d'octobre 2012 à mars 2013, avec réponse clinique et biologique complète, Rituximab d'octobre 2012 à avril 2013, interrompu en raison d'une leucopénie avec surinfection récidivante • traitement par Imbruvica depuis février 2016 dans un contexte de mutation p53-délétion du chromosome 17, avec réponse hématologique complète. En raison de douleurs musculaires, le traitement d'Imbruvica a progressivement été diminué à 1 cp/jour sans que cela péjore la leuco-lymphocytose • arrêt du traitement par Imbruvica le 20.10.2017 au vu de la chimiothérapie en cours • actuellement : poursuite de la surveillance • bicytopénie le 26.03.2019 avec thrombopénie à 39 G/l et anémie à 80 G/l Leucémie lymphoïde chronique connue depuis 2010 • leucocytose et apparition de masses ganglionnaires en 2012 • réapparition d'une leuco-lymphocytose en janvier 2016 chimiothérapie par Fludarabine et Endoxan, 6 cycles d'octobre 2012 à mars 2013, avec réponse clinique et biologique complète, Rituximab d'octobre 2012 à avril 2013, interrompu en raison d'une leucopénie avec surinfection récidivante • traitement par Imbruvica depuis février 2016 dans un contexte de mutation p53-délétion du chromosome 17, avec réponse hématologique complète. En raison de douleurs musculaires, le traitement d'Imbruvica a progressivement été diminué à 1 cp/jour sans que cela péjore la leuco-lymphocytose • arrêt du traitement par Imbruvica le 20.10.2017 au vu de la chimiothérapie en cours • ponction-biopsie de moelle du 27.03.2019 (Promed P2019.3588) : infiltration diffuse par la LLC, environ 80 à 90 % de la moelle • actuellement : début d'un traitement par Mabthera et Zydelig 150 mg 2 x par jour le 12.04.2019 Leucémie lymphoïde chronique diagnostiquée en 2014, en rémission sous traitement d'Imbruvica (Ibrutinib), suivi par Dr. X. Leucémie lymphoïde chronique (LLC) stade A selon Binet et 0 selon Rai (diagnostiquée le 18.02.2019) • surveillance biologique sur 3-4 mois HTA. Hypercholestérolémie. Troubles dyspeptiques. Souffle cardiaque connu avec bilan cardiologique anamnestiquement normal en 2012. Leucémie myéloïde aiguë avec inversion (16)(p13.1q22), CBFB-MYH11 myélo-monocytaire M4 selon FAB • date du diagnostic : 19.03.2019 • présentation initiale : leucocytose avec blastose (30%), thrombocytopénie, anémie normocytaire normochrome • Sérologies : HIV négatif, CMV IgG positif, EBV IgG positif, HSV 1 IgG positif, HSV 2 négatif, VZV IgG positif, HBV négatif, HCV négatif, toxoplasmose négatif, syphilis négatif, Chagas négatif et Quantiféron négatif (origine brésilienne, dernier voyage il y a 2 ans) • Immunophénotypisation par cytométrie de flux le 19.03.2019 : trou blastique - CD45(+)/SSC low ; population cellulaire myéloïde avec phénotype CD34+, CD117+, CD13+, CD33+, HLA-DR+, MPO+, CD105+ (partiel), CD33+, CD123+, CD12+ (partiel) ; grande population monocytaire avec phénotype HLA-DR+, CD12+, CD33+, CD14+, CD34+, lysozyme+, IREM-2+, CD11b+, expression de CD2 aberrant • Typisation HLA le 21.03.2019 : HLA-A*01, HLA-A*30:02, HLA B*18, HLA B*57:03, DRB1*07, DRB1*13 • Biologie moléculaire (par NGS) le 19.03.2019 : -- RUNX1 avec c.617G>A, 0.4839 -- PTPN11 avec c.215C>T, 0.4298 Leucémie myéloïde aiguë myélo-monocytaire M4 selon FAB • date du diagnostic le 19.03.2019 • leucocytose avec blastose (30%) • thrombocytopénie • anémie normocytaire normochrome • Sérologies : HIV négatif, CMV IgG positif, EBV IgG positif, HSV 1 IgG positif, HSV 2 négatif, VZV IgG positif, HBV négatif, HCV négatif, toxoplasmose négatif, syphilis négatif, Chagas négatif et Quantiféron négatif (origine brésilienne, dernier voyage il y a 2 ans). • Immunophénotypisation par cytométrie de flux le 19.03.2019 : trou blastique - CD45(+)/SSC low ; population cellulaire myéloïde avec phénotype CD34+, CD117+, CD13+, CD33+, HLA-DR+, MPO+, CD105+ (partiel), CD33+, CD123+, CD12+ (partiel) ; grande population monocytaire avec phénotype HLA-DR+, CD12+, CD33+, CD14+, CD34+, lysozyme+, IREM-2+, CD11b+, expression de CD2 aberrant Leucémie myéloïde aiguë M4/M5 (monoblastique) selon FAB • date du diagnostic : 12/2013 • présentation clinique : adénopathies cervicales et inguinales, hépatosplénomégalie, hyperplasie gingivale, CIVD • laboratoire : Lc 160 G/l, Monocytes 97 G/l, Tbc 16 G/l, aplasie • CT 02.12.2013 : rehaussement de la paroi vésicale, liquide libre péri-hépatique, adénopathies médiastinales, bi-hilaires et axillaires gauche, hépatosplénomégalie • PBM 2.12.2013 : LMA avec infiltration de haut grade du parenchyme hématopoïétique • biologie moléculaire AML1-ETO, t(8;21) négatif ; CBFb-MYH11, inv(16) négatif ; FLT3 ITD positif ; PML-RARa, t(15;17) négatif ; NPM1 muté.• sérologies: VZV positif, CMV négatif 03.12.2013, HIV(1+2) négatif 30.11.2013, syphilis négative, 30.11.2013, hépatite B négative (status vaccinal), hépatite C négative, EBV : infection ancienne le 16.01.2014, toxoplasmose négative le 16.01.2014 • chimiothérapie d'induction par Cytosar et Zavedos du 3.12 au 9.12.2013 et agranulocytose du 07.12.2013 au 24.12.2013 • PBM 20.12.2013 (J18): parenchyme hématopoïétique hypocellulaire avec changement réactif après chimiothérapie et hématopoïèse régénérée. Cytométrie de flux: pas de persistance de blastes • PBM du 17.01.2014: frottis, rémission, cytométrie de flux : 3-5% de blastes. En rémission • chimiothérapie de consolidation avec cytarabine et idarubicine du 23.01.2014 au 29.01.2014 • ponction-biopsie de moelle du 17.03.2014 : absence de blastes au médullogramme et à la cytométrie de flux. Tissu hématopoïétique par endroit légèrement hypercellulaire avec légère hyperplasie et déviation à gauche de la myélopoïèse avec rares éléments d'un aspect monocytaire (< 5%). FLT3-ITD nég. Blastes à 0,0% le 18.03.2014 • 2ème chimiothérapie de consolidation par Cytosar, sans antracycline pour insuffisance cardiaque) du 02 au 09 juillet 2014 • PBM du 06.08.2014 : histologie Promed P 7169.14 : rémission dans le cadre de la leucémie myéloïde aiguë. Cytométrie du flux : légère persistance des blastes leucémiques avec un pourcentage de 0.1 % • ponction-biopsie de moelle du 06.11.2014 P9961.14 : rémission dans le cadre de la leucémie myéloïde aiguë • ponction-biopsie du sein du P20793.14 ARGOT Lab le 19.11.2014: infiltration du tissu mammaire par une néoplasie maligne évoquant en priorité une localisation de sa leucémie myéloïde aiguë (sein droit) • biologie moléculaire sur ponction-biopsie de sein FLTD3-ITD pos • chimiothérapie par Vidaza adaptée à la fonction rénale du 01.12.2014 au 30.04.2015 sous traitement de Nexavar seul 200 mg 2x/jour en continu du 01.05.2015 au 02.02.2017, ensuite 200 mg/jour en continu • avril 2018 : hépatite médicamenteuse sur Nexavar et apparition de tumeurs cutanées multiples, poursuite du traitement par Nexavar à raison de 200 mg 1 fois/jour • hépatite médicamenteuse sous Nexavar, correction spontanée • apparition de tumeurs cutanées multiples, traitées • Nexavar stoppé en mai 2018 par la patiente • Février 2019: recrudescence de blastes au laboratoire (63% le 28.02.2019), récidive LMA • Leucémie myéloïde aiguë M4/M5 (monoblastique) selon FAB • date du diagnostic: 12/2013 • présentation clinique: adénopathies cervicales et inguinales, hépatosplénomégalie, hyperplasie gingivale, CIVD • laboratoire: Lc 160 G/l, Monocytes 97 G/l, Tbc 16 G/l, aplasie • CT 02.12.2013: rehaussement de la paroi vésicale, liquide libre péri-hépatique, adénopathies médiastinales, bi-hilaires et axillaires gauche, hépatosplénomégalie • PBM 2.12.2013: LMA avec infiltration de haut grade du parenchyme hématopoïétique • biologie moléculaire AML1-ETO, t(8;21) négatif; CBFb-MYH11, inv(16) négatif; FLT3 ITD positif; PML-RARa, t(15;17) négatif; NPM1 muté • sérologies: VZV positif, CMV négatif 03.12.2013, HIV(1+2) négatif 30.11.2013, syphilis négative, 30.11.2013, hépatite B négative (status vaccinal), hépatite C négative, EBV : infection ancienne le 16.01.2014, toxoplasmose négative le 16.01.2014 • chimiothérapie d'induction par Cytosar et Zavedos du 3.12 au 9.12.2013 et agranulocytose du 07.12.2013 au 24.12.2013 • PBM 20.12.2013 (J18): parenchyme hématopoïétique hypocellulaire avec changement réactif après chimiothérapie et hématopoïèse régénérée. Cytométrie de flux: pas de persistance de blastes • PBM du 17.01.2014: frottis, rémission, cytométrie de flux : 3-5% de blastes. En rémission • chimiothérapie de consolidation avec cytarabine et idarubicine du 23.01.2014 au 29.01.2014 • ponction-biopsie de moelle du 17.03.2014 : absence de blastes au médullogramme et à la cytométrie de flux. Tissu hématopoïétique par endroit légèrement hypercellulaire avec légère hyperplasie et déviation à gauche de la myélopoïèse avec rares éléments d'un aspect monocytaire (< 5%). FLT3-ITD nég. Blastes à 0,0% le 18.03.2014 • 2ème chimiothérapie de consolidation par Cytosar, sans antracycline pour insuffisance cardiaque) du 02 au 09 juillet 2014 • PBM du 06.08.2014 : histologie Promed P 7169.14 : rémission dans le cadre de la leucémie myéloïde aiguë. Cytométrie du flux : légère persistance des blastes leucémiques avec un pourcentage de 0.1 % • ponction-biopsie de moelle du 06.11.2014 P9961.14 : rémission dans le cadre de la leucémie myéloïde aiguë • ponction-biopsie du sein du P20793.14 ARGOT Lab le 19.11.2014: infiltration du tissu mammaire par une néoplasie maligne évoquant en priorité une localisation de sa leucémie myéloïde aiguë (sein droit)• Biologie moléculaire sur ponction-biopsie de sein FLTD3-ITD positive • Chimiothérapie par Vidaza adaptée à la fonction rénale du 01.12.2014 au 30.04.2015 • Sous traitement de Nexavar seul 200 mg 2x/jour en continu du 01.05.2015 au 02.02.2017, ensuite 200 mg/jour en continu • Avril 2018 : hépatite médicamenteuse sur Nexavar et apparition de tumeurs cutanées multiples, poursuite du traitement par Nexavar à raison de 200 mg 1 fois/jour • Hépatite médicamenteuse sous Nexavar, correction spontanée • Apparition de tumeurs cutanées multiples, traitées • Nexavar stoppé en mai 2018 par la patiente • Février 2019 : recrudescence de blastes au laboratoire (63 % le 28.02.2019), récidive LMA Suivi hémato-oncologique par Dr. X Carcinome cutané épidermoïde bien différencié et kératose séborrhéique inversée au niveau de la région parotidienne gauche ainsi qu'hyperplasie épidermique avec acanthose, orthokératose et parakératose, télangiectasies et prolifération fibroblastique dans le derme capillaire de l'hélix de l'oreille droite. Carcinome épidermoïde bien différencié de l'oreille droite de stade pT1G1 • Histologie 08.02.2018 (D18-2469) • Excision Dr. X 30.07.2018 (Histologie Promed P2018.8525) : hyperplasie épidermique, pas de diagnostic affirmatif de carcinome épidermoïde, excision apparemment complète • Actuellement : surveillance clinique Réfection de pansement quotidienne • Leucémie myéloïde aigüe RUNX 1 mutée, selon l'OMS 2016 le 13.09.2017 • Syndrome myélodysplasique sous-jacent : anémie réfractaire avec excès de blastes RAEB-2 • Hémogramme au diagnostic Lc 3.2 G/l (ANC 0.2 G/l), Tc 74 G/l, Hb 102 g/l • Agranulocytose déjà objectivée le 25.08.2017 • PBM initiale le 14.09.2017 • Médullogramme : importante infiltration par blastes (40 %) ; compatible avec LMA type M0 ou M1. • Morphologie (Promed P2017.11147) : présence d'éléments blastiques ou suspects de blastes à 10-19 %, par endroit >20 %. Compatible avec un syndrome myélodysplasique de type anémie réfractaire avec excès de blastes, au minimum correspondant à une RAEB-2 selon OMS 2008, avec signes d'une transformation en leucémie myéloïde aiguë de type LMA avec changements liés à la myélodysplasie (selon OMS 2008). • Cytométrie de flux (Inselspital) : clone de blastes myéloïdes (10-15 %) CD 34+ CD 117+ HLA-DR+ CD 13+ CD 33+ MPO+ TdT+ CD 123+ • Biologie moléculaire : CBFb-MYH 11 INV(16) négatif, AM L1-ETO t(8;21) négatif, Hyperexpression WT 1 positif (NCN 29830), Hyperexpression EVI 1 négatif PBM initiale le 14.09.2017 • Médullogramme : importante infiltration par blastes (40 %) ; compatible avec LMA type M0 ou M1. • Morphologie (Promed P2017.11147) : présence d'éléments blastiques ou suspects de blastes à 10-19 %, par endroit >20 %. Compatible avec un syndrome myélodysplasique de type anémie réfractaire avec excès de blastes, au minimum correspondant à une RAEB-2 selon OMS 2008, avec signes d'une transformation en leucémie myéloïde aiguë de type LMA avec changements liés à la myélodysplasie (selon OMS 2008). • Cytométrie de flux (Inselspital) : clones de blastes myéloïdes (10-15 %), CD 34+ CD 117+ HLA-DR+ CD 13+ CD 33+ MPO+ TdT+ CD 123+ • Biologie moléculaire : CBFb-MYH 11 INV(16) négatif, AM L1-ETO t(8;21) négatif, Hyperexpression WT 1 positif (NCN 29830), Hyperexpression EVI 1 négatif. PBM le 02.10.2017 (J17) • Médullogramme : 5-15 % de cellules blastiques, compatible avec échec de la chimiothérapie d'induction • Cytométrie de flux (Inselspital) : clones de blastes myéloïdes (14 %), CD 34+, CD 117+, CD 13+, CD 33+, HLA-DR+, cTdT+, CD 7-, CD 19- PBM le 06.11.2017 (J33 de réinduction) : • Médullogramme : compatible avec rémission. • Cytométrie de flux (Inselspital) : 0.4 % de cellules blastiques (rémission). Agranulocytose du 13.09. au 28.10.2017. ---Chimiothérapie--- Induction (C1) avec protocole 7+3 (16.09 au 21.09.2017) • Cerubidine 100 mg J1-J3 • Cytosar 340 mg J1-J7 Réinduction (C2) (05.10 au 11.10.2017) • Idarubicine 20 mg IV J1-J3 • Cytosar 1700 mg 2x/j IV J1-J6 Neupogen du 26.10 au 29.10.2017 • Suivi par Dr. X • Sous fluoxetine en ambulatoire Consilium psycho-oncologie dans le contexte du diagnostic de leucémie. Malnutrition protéino-énergétique. Suivi nutrition clinique. Nutrition parentérale du 25.09 au 02.11.2017. Diabète type II • Contrôle ophtalmologique prévu en ambulatoire annulé dans le contexte du diagnostic de LMA • Décompensation diabétique cortico-induite et favorisée par la nutrition parentérale le 18.09.2017 • Leucémie myéloïde aiguë "therapy-related" selon la classification OMS 2008 dans le contexte du syndrome de Li-Fraumeni à caryotype complexe avec mutation de TP53, diagnostiquée le 31.05.2016 : • Hémogramme initial : Hb 75 g/l, thrombocytes 30 G/l, leucocytes 2.8 G/l dont 9 % de blastes • PBM du 31.05.2016 : • Cytologie : absence de grumeaux • Histologie : hyperplasie et signes de dysplasie de trois lignées. Présence d'éléments blastiques (CD34+ et CD 117+) représentant environ 15-20 % de la cellularité, très discrète fibrose réticulinique focale • Cytométrie de flux médullaire : présence d'une population blastique estimée entre 5-6 % de la cellularité CD 34+, CD 117+, CD 13+, CD 33+, HLADR+, cMPO, CD 71 et CD 123 partiellement positifs • Cytogénétique : 46XX, del(5)(q13q33), add(10)(p10)[1]/44, idem, del(2)(p21p25), add(3)(q12), -6, -7, add(12)(p13), 17+mar+[5]/46,XX[14] • FISH interphasique : monosomie 7 à 7.5 % (15 noyaux/200 analyses) et monosomie 5q31.2/5q33.1 à 10 % (20 noyaux/200 analyses), pas de réarrangement EVI1 ni MLL • Biologie moléculaire : hyperexpression de WT1 à 899 NCN (CBFb-MYH11 négatif, absence d'hyperexpression EVI, AML1-ETO négatif, FLT3-ITD négatif) • NGS : mutation c.2221A>G (7,7 %), du gène SF3B1 et mutation c.535C>T (53,9 %) du gène TP53 • 01.06.2016 : 1er cycle de chimiothérapie d'induction par FLAG en raison d'antécédents de traitement par anthracyclines avec obtention d'une rémission hématologique, cytogénétique et moléculaire complète (CR1, MRD nég) • 28.06.2016 : C2 de chimiothérapie d'induction par FLAG • 25.07.2016 : contrôle moelle osseuse : persistance de la RC1 avec MRD nég • 22.08.2016 : C1 de 5-azacytidine J1-J5 et Lenalidomide J1-J22 • 19.09.2016 : C2 de 5-azacytidine J1-J5 et Lenalidomide J1-J21 • 12.10.2016 : PBM HUG : non représentative à cause d'absence totale de grumeaux. FISH normal, biologie moléculaire : WT1/ABL 0,57 % • Statut de la maladie au bilan pré-greffe : rémission hématologique complète • PBM 21.10.2016 : cytologie sans excès de blastes ni de signes de dysplasie significatifs (sous réserve de la pauvreté du matériel). Cytométrie en flux pas d'excès de blastes. Histologie pas d'infiltrats de cellules blastiques et nette diminution de la cellularité et des formes dysplasiques, Cytogénétique conventionnelle : 46, XX[20], NGS mutation germline TP53 p. His 179Tyr a 52.18 % • 02.11.2016 : transplantation allogénique de cellules souches (HUG) : donneur non apparenté, de sexe féminin, HLA compatible 11/12, B+ (patiente O-), incompatibilité majeure de groupe sanguin, CMV positif (patiente nég), EBV pas d'infos dispo (patiente positif), toxoplasmose pas d'infos dispo (patiente positif), hépatite B négatif (patiente nég), hépatite C négatif (patiente nég) • 06.11.2017 : bilan à un an post-greffe : rémission hématologique complète, chimérisme 100 % donneur. Absence de signe de GVhd. Reconstitution immunitaire partielle. Récidive de leucémie myéloïde aiguë post-allogreffe le 04.10.2018 à 1 an 10 mois • PBM le 08.10.18 (Dr. X) : • Cytométrie de flux : 17,5 % de blastes. Population CD34+, CD117+, CD13+, CD33+, HLA-DR+, MPO+, CD45+, CD71(+), CD123(+) et CD105(+) • Cytogénétique médulaire : hyperexpression du gène WT1 • 1er cycle de chimiothérapie de rattrapage par CLAG du 13.10.2018 au 17.10.2018 avec obtention d'une rémission complète • DLI le 29.11.2018 • Vidaza 50% dose le 10.12.2018 2ème récidive de leucémie myéloïde aiguë post allogreffe le 16.01.2019 • Médullogramme : rechute cytologique avec blastose à 42% au niveau médullaire Chimiothérapie de rattrapage par Dacogen-Venetoclax dès le 23.01.2019 • Dacogen du 23.01.2019 au 01.02.2019 (J1 à J10) • Venetoclax du 23.01.2019 au 19.02.2019 (J1 à J28) Leucémie myéloïde aiguë, 3ème récidive le 10.04.2019 • LMA therapy-related selon la classification OMS 2008 dans le contexte du syndrome de Li-Fraumeni à caryotype complexe avec mutation de TP53 diagnostiquée le 31.05.2016 • 06/2016 : chimiothérapie d'induction par FLAG avec rémission hématologique cytogénétique et moléculaire complète • 08-09/2016 : 2 cures de chimiothérapie de 5-azacytidine et Lenalidomide • 11/2016 : transplantation allogénique de cellules souches (HUG) • 10/2018 : récidive de LMA, chimiothérapie de rattrapage par CLAG avec obtention d'une rémission complète • 01/2019 : 2ème récidive de LMA, chimiothérapie de rattrapage par Dacogen-Venetoclax • 10.04.2019 : 3ème récidive, chimiothérapie de rattrapage • Choc septique irréversible en agranulocytose le 15.04.2019 (cf. complication) Leucémie promyélocytaire aiguë M3 variante micro-granulocytaire t(15;17) • date du diagnostic : 22.02.2019 • avec leucocytes à 17.8 G/L, thrombopénie à 23 G/L et anémie arégénérative à 95 g/L le 21.02.2019 Leucocorie de l'œil droit en 2011. Brûlure chimique de la cornée de l'œil droit. Leucocytopénie dd contexte infectieux, idiopathique Leucocytose • Leucocytose à 30 G/L avec déviation gauche. DD post injection de Neupogen (il y a 1 semaine), infection débutante. • Leucocytose à 47 G/L • Mr. Y a reçu Neulasta • Leucocytose avec neutrophilie cortico-induite avec absence de foyer franc. • Leucocytose avec neutrophilie sans foyer. • DD Leucocytose induite par Prednisone. • Leucocytose 16.04.2019 • pas de déviation gauche • CRP 9 mg/L Leucocyturie asymptomatique. Leucocyturie asymptomatique le 11.04.2019 Leucocyturie asymptomatique le 22.04.2019 Leucocyturie asymptomatique le 22.03.2019 Leucocyturie asymptomatique le 28.03.2019 Leucocyturie le 11.04.2019 Leucocyturie probablement dans un contexte de status post-pose de sonde. Leucoencéphalopathie vasculaire Fazekas 3 (IRM du 27.07.2017) Suspicion de méningiome de 5 mm de diamètre de la faux antérieure du cerveau (IRM du 27.07.2017) Hypertension artérielle traitée Gonarthrose bilatérale Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle sur : • Alitement prolongé • Contexte inflammatoire au décours • Anémie • Canal lombaire étroit • Status après implantation de prothèses totales de hanches bilatérales • Gonalgies bilatérales chroniques sur arthrose • Troubles visuels sur cataracte des deux côtés • Malnutrition • Déficit en vitamine D • Bilan cognitif le 24.08.2017 : MMSE à 19/30, test de la montre à 2/7 Leucopénie à 3 G/L et thrombocytopénie à 79 G/L. Leucopénie à 3.0 G/L. Leucopénie à 3.3 G/L avec éosinophilie le 30.04.2019. Leucopénie le 13.04.2019. • DD : sur infection virale. Leucopénie le 13.04.2019 • DD : sur infection virale. Levetiracetam pour 4 jours dès le 13.04.2019 CT-scan cérébral le 11.04.2019 : pas d'argument pour un accident vasculaire cérébral, absence d'œdème cérébral IRM cérébrale : demandée EEG le 13.04.2019 (Dr. X) EEG le 15.04.2019 : demandée Lévétiracétam 1 g 2x/j dès le 24.04.2019 Levetiracetam 500 mg 2x/j dès 22.03.2019 au 08.04.2019, puis diminution progressive sur 3 semaines CT cérébral natif et injecté le 21.03.2019 IRM neurocrâne 22.03.2019 : absence de lésion cérébrale ischémique ou hémorragique. Leuco-araïose de type I selon Fazekas EEG 22.03.2019 : tracé modérément anormal par une activité de base légèrement déstructurée et par un foyer lent fronto-central droit, de très faible entité. Pas d'argument pour un syndrome épileptique sous-jacent. Mise en place d'un traitement de Keppra avec sevrage progressif (cf médicaments à la sortie). Contrôle EEG et consultation neurologique à 3 mois le 16.07.2019 à 14h00. Pas de conduite dans l'intervalle Avis neurologie le 21.03.2019 (Dr. X et Dr. X) : crise d'épilepsie provoquée par le contexte infectieux, les traitements médicamenteux abaissant le seuil épileptogène, et une probable leuco-encéphalopathie vasculaire vue au CT cérébral Levetiracetam 500 mg 2x/j dès 22.03.2019 au 08.04.2019, puis diminution progressive sur 3 semaines Levetiracetam 250 mg 2x/jour dès le 09.04.2019 CT cérébral natif et injecté le 21.03.2019 IRM le 22.03.2019 demandée EEG 22.03.2019 Avis neurologie le 21.03.2019 (Dr. X et Dr. X) Avis neurologie Nous suspectons une crise d'épilepsie provoquée par le contexte infectieux, les traitements médicamenteux abaissant le seuil épileptogène, et une probable leuco-encéphalopathie vasculaire vue au CT cérébral. Nous recommandons d'effectuer un EEG prochainement. Nous recommandons une IRM cérébrale afin d'exclure une lésion ischémique non visualisée au CT. Pas d'introduction de traitement pour l'instant. En cas de récidive avant l'EEG, nous vous invitons à administrer un traitement de Keppra 1000 mg en charge. EEG : tracé modérément anormal par une activité de base légèrement déstructurée et par un foyer lent fronto-central droit, de très faible entité. Pas d'argument pour un syndrome épileptique sous-jacent. A signaler une activité de base légèrement déstructurée, compatible avec une légère encéphalopathie d'origine mixte (toxico-métabolique, inflammatoire) et un foyer lent non irritatif fronto-central droit. Mise en place d'un traitement de Keppra 2 x 500 mg/jour jusqu'à résolution des facteurs favorisants (2 x 500 mg/jour pendant 3 semaines, puis sevrage progressif sur 3 semaines). 01.04.2019 : Avis Dr. X diminution de la posologie de Levetiracetam à 250 mg/12 h, à rediscuter le 02.04.2019 avec Dr. X pour la suite 02.04.2019 : Avis Dr. X : diminution du Levetiracetam à 500 mg/J, Seroquel 6,25 mg en R si confusion Lévocétirizine 5 mg per os, Prednisone 60 mg per os. Retour à domicile. Conseils d'alimentation donnés à Mr. Y. Consultation à 6 semaines chez un allergologue pour un bilan étiologique. 1 tube d'Epipen 0.3 mg, Lévocétirizine 5 mg comprimé 1x/jour pendant 5 jours, Prednisone 60 mg pendant 2 jours puis 40 mg pendant 2 jours puis 20 mg pendant 2 jours. Lévocétirizine 5 mg per os. Attitude : • Retour à domicile. • Réassurance. • Prescription d'un topique hydratant et un anti-histaminique. • Conseil de se présenter au CHUV ou à l'Insel Spital pour consultation dermatologique si persistance ou aggravation des symptômes. L'évolution à 3 mois postopératoires est favorable. Poursuite de la physiothérapie pour récupérer la supination. Reprise du travail à 100% du taux habituel soit à 80% dès le 08.04.2019. Elle nous recontactera pour un contrôle à 1 année postopératoire pour évaluer la nécessité d'une AMO. L'évolution à 3 mois postopératoires est favorable. Reprise du travail à 50% dès le 29.04.2019 et à 100% dès le 06.05.2019. Pas de contrôle prévu. Nous restons à disposition au besoin. L'évolution à 6 mois de l'intervention susmentionnée est très favorable avec reprise de la marche sans douleur. Nous le reverrons pour un contrôle clinique à 1 an postopératoire pour discuter s'il souhaite une AMO ou non. L'évolution à 6 mois postopératoires est marquée par une limitation de la mobilité, surtout en élévation et en rotation externe. Je propose donc une ablation précoce du matériel d'ostéosynthèse et mobilisation de l'épaule sous narcose. La patiente sera opérée le 03.06.2019. Elle sera hospitalisée pour quelques jours pour la mobilisation de l'épaule en physiothérapie en gardant un cathéter antalgique en place. La patiente est clairement informée du déroulement de l'intervention ainsi que les risques et les bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord oral et signé. L'évolution à 6 semaines postopératoire est favorable. Les douleurs résiduelles sont liées à l'inflammation visualisée lors de l'intervention. Nous expliquons au patient qu'il doit continuer avec la mobilisation et mettre des anti-inflammatoires locaux. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution actuelle est à notre avis bien corrélée à lésion hémorragique intra-parenchymateuse opérculaire G diagnostiquée. Nous suspectons en premier lieu un cavernome de moins d'1 cm de diamètre maximal. En général, il faut 6 à 12 semaines avant de remarquer une disparition complète de la symptomatologie et il n'y a actuellement de signe critique. L'épouse du patient nous rapporte par contre avoir remarqué des altérations aspécifiques de la parole comme incapacité de conduire un discours cohérent. Ceci n'est pas constaté durant la consultation où des tests neurologiques montrent une fonction phasique parfaitement conservée, soit pour la compréhension, soit pour la parole en langue française. Dans ce contexte, nous organisons un bilan neurologique afin d'exclure une éventuelle altération sub-clinique ou épileptique pouvant être liée à l'irritation péri-hémorragique. Au vu de l'absence de signe aigu, nous ne considérons pas nécessaire de réaliser un nouveau CT. Prochain contrôle clinique comme prévu, le 30.04.2019. Dans l'intervalle, en cas de signe d'épilepsie ou de souffrance cérébrale, l'IRM de contrôle que nous prévoyons en juin sera anticipée. Pour l'instant, il n'y a pas d'indication opératoire. Ceci serait justifié en cas de saignement à répétition (1.5 à 4 % par an), épilepsie résistant au traitement médicamenteux ou persistance d'une symptomatologie invalidante. L'évolution au niveau cervical est favorable, il devrait, selon toute vraisemblance, ne pas y avoir de limitation fonctionnelle. Le patient bénéficiera du séjour à la clinique de la Suva pour la rééducation globale. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition. L'évolution au niveau de la hanche est bonne, l'IRM est rassurant. Nous proposons à la patiente des anti-inflammatoires topiques et de la physiothérapie sous forme de stretching du tenseur du fascia lata et du grand fessier avec travail de la bandelette iléo-tibial. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Concernant les dorsalgies, qui sont les plaintes principales de la patiente, les radiographies du jour ne décelant rien d'urgent, nous lui conseillons de prendre rendez-vous à la consultation de nos collègues du team rachis. L'évolution au niveau de l'ostéosynthèse est positive avec une radiographie favorable. Au niveau clinique, les plaies montrent une guérison complète sur le côté médial et un léger retard mais sans signe inflammatoire sur le côté latéral. Le laboratoire exclut également le signe inflammatoire. Nous ne pouvons pas exclure à 100 % le Sudeck à vu de les antécédents de la patiente. Nous poursuivons donc la prophylaxie avec Redoxan ensuite on prolonge l'analgésie pour les 2 prochaines semaines. Nous souhaitons également organiser un contrôle en rhumatologie pour réaliser l'évaluation des critères (de Budapest) pour le Sudeck. Nous conseillons encore à la patiente de protéger les croûtes sur le côté latéral lors de la douche avec une pellicule adhésive. Nous reverrons la patiente pour un contrôle clinique dans 1 semaine. L'évolution au niveau du côté G est favorable. À D, on constate une évolution stable. Poursuite de l'antibiothérapie pour encore 3 jours pour une totalité de 10 jours comme prévu. Changement du pansement au niveau du site de point d'entrée de la broche et Bétadine pour désinfection par la patiente. Ablation des fils ce jour. Prochain contrôle clinique dans 1 semaine. En cas d'évolution favorable, les broches du côté D pourront être laissées durant 4 semaines et à G, comme habitude. Elle nous contacte en urgence si fièvre, écoulement purulent ou douleurs tapant dans le pied. L'évolution au niveau du fémur proximal est favorable. Nous proposons au patient de poursuivre la physiothérapie dans le but de travailler son équilibre, mais nous ne pouvons pas prolonger son arrêt de travail étant donné que son problème orthopédique n'est pas la raison de son incapacité. Par conséquent, nous prolongeons son arrêt de travail à 100 % jusqu'au 17.04.2019. Le patient prendra contact avec son médecin traitant afin de discuter d'une incapacité de travail en raison des troubles de l'équilibre. Pour la hanche, nous reverrons le patient à un an de l'intervention pour un contrôle radioclinique. L'évolution clinique à 6 semaines postopératoires est favorable. Mr. Y est conscient que la récupération nerveuse prend du temps et est dépendante également de l'âge et de la lésion initiale. Il est déjà satisfait de l'évolution. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique à 6 semaines postopératoires est tout à fait favorable. Il reste encore un léger épanchement articulaire. Je propose de continuer la physiothérapie avec encore une série de 9 séances. Je la reverrai dans 6 semaines pour le contrôle clinique à 3 mois postopératoires. En cas de persistance de l'épanchement articulaire, une ponction combinée d'une infiltration par cortisone pourrait être envisagée. Pour le moment, l'indication pour un tel geste n'est pas donnée. Prochain rendez-vous 07.06.2019. L'évolution clinique est bonne. Les fils sont à enlever chez le médecin traitant à 15 jours au total. La sœur du patient est infirmière et elle va s'occuper de refaire les pansements et de surveiller la plaie. Si apparition de signes de gravité (rougeur, chaleur, douleurs, écoulement) reconsulter les urgences ou le médecin traitant. L'évolution clinique est favorable, avec absence ainsi de bilan biologique, d'ailleurs refusé lors de la dernière consultation. Le traitement symptomatique est poursuivi avec contrôle clinique chez le médecin traitant. L'évolution clinique est favorable avec diminution de la rougeur et tuméfaction grâce aux AINS et au repos. Le patient sera vu par le médecin traitant dans 1 semaine, si péjoration il devra se présenter aux urgences. L'évolution clinique est favorable. En ce qui concerne la prothèse de hanche à droite, il existe une usure au niveau du cône de la tige pour laquelle un contrôle radioclinique doit être effectué à 6 mois. L'évolution clinique est favorable. L'antibiothérapie est poursuivie durant 14 jours avec attelle Splintpod jusqu'à disparition de l'érythème et repos. Un contrôle clinique chez le médecin traitant est indiqué à 7 jours. L'évolution clinique est favorable. Nous retenons soit une forte contusion, soit une fracture occulte probablement au niveau de la tête radiale. De toute façon, cette fracture n'aurait pas été déplacée, permettant un traitement fonctionnel. La patiente est actuellement quasiment asymptomatique. Elle bouge complètement et librement et n'a pas de gêne au travail. La patiente peut gentiment reprendre toutes les activités de la vie quotidienne avec une charge progressive selon les douleurs sur les prochaines semaines. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin.L'évolution clinique est favorable. On peut progressivement lever les restrictions qui sont données. Actuellement, je propose un port de charge progressif dans l'axe. Pas de charge au-delà de l'horizontal. Je prévois de le revoir dans 3-6 mois. L'évolution clinique est globalement favorable. Par contre, l'élévation de son bras pourrait être meilleure. Je propose au patient l'ablation du matériel d'ostéosynthèse en regard de son humérus et en même temps une mobilisation de l'épaule pendant la narcose. Le patient est d'accord. Il est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci et il nous donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention est prévue pour le 20.5.2019 a priori en ambulatoire. En fonction des douleurs post-opératoires, le patient devra éventuellement rester une ou 2 nuits à l'hôpital. L'évolution clinique est satisfaisante et nous mettons fin ce jour, 25.04.2019, au suivi en policlinique d'orthopédie. L'évolution clinique est satisfaisante et nous mettons fin ce jour, 26.04.2019, au suivi en policlinique d'orthopédie. La patiente arrêtera l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline le soir même après une période de 7 jours d'antibioprophylaxie après la morsure. Le port de l'attelle devra être poursuivi jusqu'à la disparition totale de l'hématome résiduel à la face dorsale des deux mains. La patiente n'a pas bénéficié d'arrêt de travail étant donné qu'elle ne travaille pas actuellement. L'évolution clinique est satisfaisante malgré la persistance d'un flexum de l'IPP à 15°. La patiente poursuivra les séances d'ergothérapie en ambulatoire. Elle a bénéficié d'un arrêt de travail de 100% du 11.02.2019 au 24.02.2019. La patiente a repris le travail à 80% (son taux horaire habituel) le 25.02.2019, la patiente travaillant dans le textile (réinsertion professionnelle). L'évolution clinique est satisfaisante. Nous décidons d'un traitement fonctionnel par bandage élastique. Conseils de repos, marche en charge selon les douleurs, surélévation du membre inférieur D et application de glace. Nous prescrivons des anti-inflammatoires et des anti-douleurs en réserve. Au niveau du travail, la patiente bénéficie d'un arrêt de travail de 100% du 23.04.2019 au 07.05.2019. L'évolution clinique est satisfaisante. Nous réalisons l'ablation des points de suture. Le patient a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 08.04.2019 au 23.04.2019. Il est autorisé à reprendre le travail à 100% dès le 24.04.2019. L'évolution clinique est satisfaisante, nous réalisons une réfection de pansement par Ialugen et Adaptic. La patiente se rendra chez son médecin traitant à la fin de la semaine pour réfection du pansement. Elle a bénéficié d'un arrêt de travail de 100% jusqu'au 26.04.2019. La reprise du travail sera réévaluée à la fin de la semaine à la consultation du médecin traitant. L'évolution clinique et de laboratoire est favorable, avec CRP <5mg/l, leucocytes normaux, acide urique stable à 462µmol/l et créatinine 136µmol/l. Nous prenons l'avis du Dr X qui conseille de poursuivre la Prednisone jusqu'au 26.04.2019 et de faire un contrôle chez le médecin traitant le 26.04.2019 et contrôles à distance pour évaluation clinique et début du traitement par Allopurinol. L'évolution clinique et radiologique pour la nécrose avasculaire du condyle fémoral interne du genou G est favorable. Ce jour, nous sommes à 5 semaines de la fracture des branches ilio et ischio-pubiennes et du sacrum. Je propose à la patiente de continuer la physiothérapie pour la rééducation à la marche à l'aide de deux cannes anglaises. Je la reverrai dans 6 mois pour une réévaluation radioclinique. La patiente me recontactera en cas de péjoration. Elle continue le traitement par Chondrosulf 800 mg/j associé à du Vita GS complexe 1 cp/j pour une durée totale de 3 mois. L'évolution clinique stagne avec la physiothérapie installée. Après discussion avec la patiente, nous nous mettons d'accord qu'elle vienne en physiothérapie chez nous à l'HFR Riaz pour une prise en charge différente. On réessaye encore une fois avec 9 séances de physiothérapie pour améliorer la mobilité. En cas de persistance de cette douleur, on pourrait éventuellement effectuer une infiltration par anesthésie locale et Cortisone à but diagnostique mais aussi thérapeutique. Je reverrai la patiente le 29.5.2019 pour un nouveau contrôle clinique. En ce qui concerne le travail, elle reste en arrêt de travail à 50% dès demain jusqu'au 19.5.2019. Reprise à 100% à terme d'essai depuis le 20.5.2019. L'évolution de la fracture pertrochantérienne est satisfaisante. Nous proposons à la patiente de poursuivre les séances de physiothérapie. Nous la reverrons à 3 mois pour un contrôle radioclinique. Concernant la voussure au genou D, la patiente ne signale pas d'amélioration des douleurs avec l'antalgie per os. Nous lui proposons donc d'essayer des anti-inflammatoires topiques. L'évolution de l'AC est bonne. Le patient présente toujours de la tension musculaire et des douleurs dans la région de la musculature trapézoïdienne. Nous proposons au patient une poursuite de la physiothérapie et un entraînement de MTT. En ce qui concerne les douleurs nucales, nous invitons le service de Rhumatologie à convoquer le patient. Le patient nous rapporte également que cet accident le travaille beaucoup, il nous parle de stress post-traumatique. Nous lui conseillons de prendre contact avec le Dr X pour une consultation. Nous reverrons le patient dans 6 mois pour un contrôle clinique. L'évolution en regard de la cure d'hallux valgus est favorable. La patiente présente une métatarsalgie avec des douleurs sur un hyperappui de la tête de la 3ème métatarsienne sur une hypoplasie de MT I et II qui est maintenant devenue symptomatique lors d'une décharge au niveau du premier rayon. Nous prescrivons en première ligne une semelle avec une barre rétro-capitale pour corriger cette situation. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an postopératoire. Reprise du travail à 100% prévue pour le 06.05.2019. L'évolution est bonne et dans la norme. Poursuite de la physiothérapie. Reprise des activités sportives sauf les sports de contact. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. L'évolution est bonne. Nous lui proposons de poursuivre ses activités habituelles selon les douleurs et prévoyons un prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. L'évolution est bonne. Nous proposons à la patiente de reprendre la marche en charge selon douleur et d'arrêter le port du plâtre. Nous proposons également de débuter de la physiothérapie à but de mobilisation de la cheville, de drainage, de proprioception et de renforcement progressif de la musculature. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle radioclinique. L'évolution est bonne. Nous proposons au patient d'abandonner progressivement les cannes ainsi que la prophylaxie antithrombotique. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines avec évaluation de la reprise de travail (employé dans une institution de soin de personnes handicapées).L'évolution est bonne. Nous proposons au patient d'arrêter de porter le Rucksack et de reprendre ses activités habituelles en évitant encore les sports de contact pendant 2 mois. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est bonne. Nous proposons au patient de reprendre ses activités habituelles à l'exception des sports de contact pour lesquels nous recommandons d'attendre encore au moins 2 mois. Nous expliquons au papa du patient qui est inquiet de ne pas avoir de contrôle radiologique, l'excellent taux de guérison de ce type de fracture et l'inutilité d'exposer son fils à des radiations supplémentaires en l'absence de nouveau traumatisme. Dans le cas où les douleurs devraient augmenter, nous laissons le soin au papa de reprendre contact avec nous, nous effectuerons alors les examens radiologiques requis. L'évolution est bonne. Nous proposons aux parents du patient d'arrêter le port du plâtre cruro-pédieux et de laisser l'enfant reprendre la marche à son rythme. Nous les informons que, dans un premier temps, l'enfant va marcher en boitant, ce qui est naturel. Cette boiterie devrait disparaître d'ici quelques mois. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution est bonne. Poursuite des activités habituelles mais éviter les activités à risques et la charge pendant encore 6 semaines. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution est excellente. Ablation du gantelet ce jour et nous proposons au patient de reprendre ses activités habituelles en évitant encore les activités à risques durant 3 semaines. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée, mais restons bien évidemment à disposition en cas de nécessité. L'évolution est excellente et le patient a déjà une mobilité quasi parfaite. Dans ce contexte, nous ne proposons pas d'ergothérapie et le patient peut reprendre toutes les activités hormis les activités à risques, qu'il convient d'éviter pour encore 6 semaines. Pas de nouveau contrôle prévu mais nous restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est excellente, mais il est encore trop tôt pour le port de charge et la charge du poignet. Nous proposons au patient d'attendre 3 mois après la fracture avant la reprise totale de ses activités. Nous la reverrons donc dans 1 mois pour refaire le point et la reprise du travail. Prolongation de l'incapacité de travail à 100% jusqu'au 06.04.2019. L'évolution est excellente, mais Mme. Y souhaite l'ablation du matériel qu'elle souhaite planifier aux alentours de la 2ème semaine de juillet. Nous serons alors à 11 mois postopératoires. Nous proposons donc à Mme. Y une ablation du matériel d'ostéosynthèse. Nous lui expliquons les tenants et les aboutissants de l'intervention, de même que les risques opératoires et les bénéfices escomptés. Mme. Y comprend nos explications et signe le formulaire de consentement éclairé. L'évolution est excellente. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est excellente. Nous ne proposons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est excellente. Nous proposons à Mme. Y de reprendre ses activités habituelles en évitant toutefois encore durant 3 semaines les activités à risques. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée, mais restons bien évidemment à disposition en cas de nécessité. L'évolution est excellente. Nous proposons au patient de finir les séances de physiothérapie et de reprendre normalement ses activités habituelles sans limitation jusqu'au seuil de la douleur. Nous reverrons le patient à un an de l'intervention pour un contrôle radioclinique et afin de discuter d'une éventuelle ablation du matériel d'ostéosynthèse. L'évolution est excellente. Nous proposons au patient de poursuivre et terminer la physiothérapie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Reprise de l'activité professionnelle à 100% dès le 29.04.2019. L'évolution est excellente. Nous proposons de revoir le patient à 1 an de l'intervention pour un nouveau contrôle radioclinique et pour discuter d'une éventuelle AMO. L'évolution est excellente. Nous reverrons le patient à 3 mois de l'intervention pour un nouveau contrôle radioclinique. L'évolution est excellente. Raison pour laquelle nous proposons au patient de poursuivre les séances de physiothérapie jusqu'à la reprise de son travail à 100%, à savoir le 17.05.2019. Nous le reverrons à 1 an de l'intervention pour un contrôle radioclinique. L'évolution est favorable à 4 mois de la fracture. Nous proposons à Mme. Y de poursuivre la physiothérapie à but de récupérer les quelques degrés d'amplitude manquante et à but de drainage. Nous lui prescrivons également des chaussettes de contention. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est favorable. À 5 semaines post-traumatisme, le patient peut commencer librement la mobilisation de la main mais pas encore charger. Poursuite de l'arrêt de travail à 90% jusqu'au 15.06.2019. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. L'évolution est favorable à 6 mois post-opératoires. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable à 6 mois post-opératoires. Reprise progressive de toutes les activités sportives. Physiothérapie pour renforcement musculaire, proprioception et reprise de confiance en son membre inférieur D. Prochain contrôle radioclinique à 1 année post-opératoire pour discuter d'une éventuelle AMO. L'évolution est favorable. Ablation du plâtre et poursuite de la charge partielle pour 2 semaines puis reprise progressive. Poursuite de la Clexane jusqu'à la charge complète. Arrêt de travail jusqu'au 30.06.2019. Prochain contrôle radioclinique (cheville G en charge pour planifier l'AMO des vis trans-syndesmotiques) dans 6 semaines. L'évolution est favorable. Ablation du Vacoped et mobilisation d'une semelle en carbone pour 4 semaines. Reprise du travail à 50%. Prochain contrôle radioclinique (pied G f/p en charge) dans 4 semaines. L'évolution est favorable actuellement. Au vu du contexte de la fracture, nous préconisons une attitude très prudente. En effet, une remobilisation progressive ne sera à envisager qu'à partir du 3ème mois. Ces fractures mettent en effet au minimum 3 voire 6 mois à guérir. Dans l'intervalle, Mme. Y peut se mobiliser debout mais uniquement accompagnée, à l'intérieur et à l'aide d'auxiliaires. Une remobilisation progressive telle qu'elle n'est à envisager qu'à partir du 20.05.2019. Prescription de physiothérapie dans ce sens. Pas de nouveau contrôle prévu d'emblée, nous restons à disposition en cas de recrudescence de la symptomatologie, de survenue de douleurs sacrales ou inguinales. L'évolution est favorable. Après désinfection, nous procédons à l'ablation des fils, puis nouvelle désinfection et application d'un sparadrap que le patient pourra retirer dans 24 à 48 h. Compte tenu de l'évolution favorable, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle, mais nous restons à disposition. L'évolution est favorable au niveau de la guérison de l'os ce qui permet une charge selon tolérance hors plâtre. Arrêt de la Clexane. Le reste de la peau doit encore se fermer et nous devons poursuivre le protocole de pansement. Prochain contrôle clinique dans 3 semaines. L'évolution est favorable. Au vu de la mobilité optimale, nous pouvons arrêter la physiothérapie. Prochain contrôle à 1 année post-opératoire pour discuter de l'AMO. L'évolution est favorable avec des douleurs en régression. Début de la physiothérapie pour la coordination et la mobilisation. Arrêt de sport selon douleur et ablation de l'Aircast à domicile, mais en réserve pour sortir et pour les longs trajets. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 5 semaines soit le 09.05.2019 (du fait que le patient n'a pas de médecin traitant).L'évolution est favorable avec le traitement conservateur. Ce jour, confection d'une chaussure Geisha à porter pour 4 semaines. Charge selon douleurs avec les cannes. Poursuite de la Clexane jusqu'à la charge complète (minime 4 semaines). L'évolution est favorable avec un cal osseux qui est maintenant visible. Poursuite du traitement en physiothérapie et prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. Mme. Y est autorisée à reprendre le travail à partir du 15.05.2019. L'évolution est favorable avec une nette amélioration des amplitudes depuis le dernier contrôle. Poursuite de la physiothérapie pour gagner encore en mobilité et en force. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution est favorable. Dans ce contexte, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle, mais nous restons à disposition. L'évolution est favorable. Dès ce jour, mobilisation en charge selon douleurs avec une semelle rigide en carbone. Physiothérapie pour école de marche et mobilisation. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 31.05.2019. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution est favorable et la fracture est consolidée dans une position acceptable. Mme. Y ne présente pas de raideur de son épaule, mais une spasticité due à son hémiplégie. Elle est déjà au bénéfice de séances de physiothérapie de lutte contre les spasticités. Dans ce contexte, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée, mais restons bien évidemment à disposition en cas de nécessité. L'évolution est favorable et le patient se mobilise sans limitation. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée, mais restons bien évidemment à disposition en cas de nécessité. L'évolution est favorable. Il a pu reprendre ses activités sportives. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable, il gardera la minerve rigide jusqu'au 28.04.2019 (2 mois au total) puis l'enlèvera et fera une mobilisation douce jusqu'au 28.05.2019, nous le reverrons pour un contrôle à 3 mois avec des radiographies cervicales dynamiques. L'évolution est favorable. Il peut reprendre progressivement ses activités sportives avec les semelles. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. La fracture ne présente pas de marches d'escaliers au niveau de l'articulation et elle ne s'est pas déplacée par rapport au dernier contrôle. Poursuite du traitement conservateur avec une attelle thermoformée en ergothérapie de type Edimbourg de Dig III à Dig V. Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines. L'évolution est favorable. La fracture permet un traitement conservateur par un gilet orthopédique durant encore 3 semaines et par la suite mobilisation progressive sans charge. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 semaines. L'évolution est favorable. Mme. Y est asymptomatique et nous ne proposons aucun traitement spécifique. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons en cas de besoin. L'évolution est favorable, Mme. Y est moins algique et bouge mieux que lors de la dernière consultation. Les douleurs résiduelles au niveau des tissus mous sont certainement dues à la bourse, elles passeront avec le temps. Il faut continuer à travailler en physiothérapie pour au moins 9 séances. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est favorable. Mme. Y est satisfaite du résultat. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Mme. Y ne souhaite pas d'autre prise en charge pour le pied et nous recontactera si nécessaire. L'évolution est favorable. Mme. Y n'est pas gênée dans ses activités habituelles et ne souhaite pas d'ablation du matériel. Nous lui proposons donc de poursuivre ses activités sans limitation et ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée. Mme. Y reprendra contact à notre consultation en cas de besoin. L'évolution est favorable. Mme. Y peut commencer à se mobiliser normalement sous protection de la Clexane 40 mg sc jusqu'à charge complète (au moins 6 jours en totalité). Physiothérapie pour mobilisation et école de marche. Arrêt de travail jusqu'au 27.05.2019, date du prochain contrôle. L'évolution est favorable. Mme. Y peut poursuivre les activités habituelles sans limitation. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est favorable. Mme. Y présente un léger flexum dû au port du plâtre prolongé. Cette situation s'améliorera d'elle-même avec la reprise de l'utilisation de sa main droite. Nous recommandons à Mme. Y d'éviter les activités à risques durant encore 2 mois et ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée. La grand-mère de Mme. Y reprendra contact à notre consultation si le flexum ne se résout pas spontanément. L'évolution est favorable. Mme. Y remarque une nette amélioration comparé au dernier contrôle. Poursuite de la physiothérapie pour travailler au niveau de la musculature et au niveau de la mobilité. Prochain contrôle clinique 6 mois post-traumatique. L'évolution est favorable. La petite plage de fibrine est débridée. Par contre, les croûtes sont toujours très stables. On décide de laisser les fils en place pour l'instant. On recommande la poursuite de la réfection du pansement par les soins à domicile régulièrement. Nous reverrons le patient dans 7 jours pour l'ablation des fils et réfection du pansement avec un contrôle clinique. L'évolution est favorable. La plaie se présente bien. Le patient va continuer à faire les changements de pansement lui-même. Il enlèvera les fils à J14 chez son médecin traitant. Il peut se mobiliser librement avec une charge selon tolérance et commencer la physiothérapie pour la souplesse, la mobilité et le renforcement musculaire. Prochain contrôle clinique à 6 semaines à notre consultation. L'évolution est favorable. Le patient montre une lésion partielle du sus-épineux qui peut tout à fait guérir sous traitement conservateur. Poursuite de ce traitement avec la physiothérapie pour mobilisation et renforcement musculaire. Prochain contrôle dans 8 semaines suite à une IRM, prévue le 19 juin, afin de bilanter la guérison de la lésion. Poursuite de l'arrêt de travail à 50% jusqu'au 24.06.2019. L'évolution est favorable. Le patient peut se mobiliser avec une orthèse de la cheville pendant les 4 prochaines semaines, date du prochain contrôle. L'évolution est favorable. L'hyposensibilité est probablement due à la tuméfaction de la cicatrisation en cours. Réfection d'une botte plâtrée fermée ce jour. Prochain contrôle clinique dans 14 jours pour l'ablation du plâtre et mise en place d'une chaussure Kuenzli (ordonnance donnée au patient et prendra cette chaussure lors du prochain contrôle). L'évolution est favorable. L'origine des douleurs reste peu claire mais par sécurité, je regarde l'image radiologique qui parle pour le diagnostic susmentionné et je prescris une semelle rigide à porter pour un total de 4 semaines. Nous ne planifions pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin.L'évolution est favorable mais il persiste une gêne sur le côté médial de la cheville. Nous décidons donc d'organiser une AMO. Nous allons enlever le matériel de cerclage du côté médial, et au vu de la position proche du tendon, nous ferons une ablation des vis et de la plaque. Par contre, la plaque de la malléole postérieure et du fragment Wackstaff, nous la laisserons. Si nécessaire, nous ferons une suture des tendons selon les résultats per-opératoires. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. L'évolution est favorable malgré la persistance d'un léger déficit d'extension. Poursuite de la physiothérapie pour extension et renforcement musculaire en raison des crampes. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% pour 2 semaines (apprenti chauffeur poids lourds) puis reprise à 100% (travail accompagné). Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. L'évolution est favorable. Marche en charge selon douleurs. Prochain contrôle radioclinique à 3 mois post-opératoires. L'évolution est favorable. Marche selon douleurs avec cannes en réserve. Poursuite de la physiothérapie. Arrêt de travail jusqu'au 22.04.2019 puis reprise à 100% (taux de travail à 50%). Prochain contrôle radioclinique dans 8 semaines. Pas de sport jusqu'au prochain contrôle. L'évolution est favorable. Mise en place d'une semelle en carbone pour la mobilisation selon douleurs. Début de la physiothérapie. Arrêt de travail à 50% jusqu'au 12.05.2019 puis reprise à 100%. Prochain contrôle clinique dans 2 mois pour évaluer la nécessité de semelles pour les pieds creux. Xarelto 10 mg 1 fois par jour pour 14 jours ou jusqu'à la charge complète. L'évolution est favorable. Mobilisation en charge complète. Prochain contrôle radioclinique à 1 année post-opératoire. L'évolution est favorable. Nous adaptons le Schlupfgips ce jour et reverrons le patient dans 2 semaines pour un nouveau contrôle radiologique et ablation du plâtre. Dans l'intervalle, poursuite de la marche en touch down avec la prophylaxie anti-thrombotique. L'évolution est favorable. Nous autorisons la patiente à arrêter les séances d'ergothérapie et lui prescrivons un nouveau bon de physiothérapie à but de mobilisation du doigt. Nous reverrons la patiente à 1 an de l'intervention pour un nouveau contrôle radioclinique et afin de discuter d'une éventuelle ablation du matériel d'ostéosynthèse. En cas de problème dans l'intervalle, la patiente reprendra contact à notre consultation. L'évolution est favorable. Nous autorisons la patiente à marcher en charge selon douleurs et d'arrêter le port du plâtre fendu. Nous lui prescrivons de la physiothérapie à but de rééducation à la marche et de mobilisation de la cheville à faire à la Villa Beausite à raison de 2x par semaine. Prochain contrôle dans 2 mois pour un contrôle radioclinique. L'évolution est favorable. Nous autorisons le patient à reprendre la marche en charge totale sans moyen auxiliaire de même que ses activités habituelles. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée, mais restons bien évidemment à disposition en cas de nécessité. L'évolution est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Poursuite des exercices de renforcement à domicile. L'évolution est favorable. Nous expliquons à la patiente l'évolution naturelle de sa pathologie, de même que la durée de la sensation d'inconfort. Nous lui proposons de terminer les séances de physiothérapie et de reprendre son travail à 100% dès le 11.05.2019. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est favorable. Nous expliquons à la patiente l'évolution naturelle de sa pathologie et lui proposons de poursuivre les séances de physiothérapie à but de drainage, de renforcement musculaire et de proprioception. Nous prescrivons également des bas de contention à porter durant la journée. Reprise de l'activité professionnelle à 100% dès le 13.07.2019. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est favorable. Nous expliquons à la patiente l'évolution naturelle de sa pathologie, notamment la durée des douleurs et des tuméfactions vespérales. Nous lui proposons de commencer la physiothérapie à but de drainage, de mobilisation de la cheville et de tonification de la musculature stabilisatrice. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée, mais restons bien évidemment à disposition en cas de nécessité. L'évolution est favorable. Nous expliquons à la patiente que nous avons fait tout ce qui est chirurgicalement possible afin d'améliorer sa condition. Pour les douleurs à la fesse, nous lui proposons de poursuivre les séances de physiothérapie et de continuer à marcher à l'aide d'une canne. Concernant le suivi de sa prothèse à gauche, nous la reverrons dans 5 ans pour un nouveau contrôle radiologique. L'évolution est favorable. Nous laissons une chance à la plaie de se fermer complètement. Poursuite des soins de plaie avec désinfection à la Bétadine puis Adaptic et compresses. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. En cas d'évolution défavorable, l'amputation sera à organiser. L'évolution est favorable, nous maintenons les séances de chiropractie pour une durée de 3 mois et le reverrons une fois ce délai passé. Si l'évolution devait être défavorable, il faudra discuter d'une infiltration de la sacro-iliaque gauche. L'évolution est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Nous pouvons commencer la physiothérapie selon le schéma de rupture du tendon d'Achille traitée conservativement. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable. Nous pouvons enlever l'attelle Jean ce jour mais il doit la mettre pour de longues marches. Nous pouvons augmenter l'amplitude de la mobilisation du genou selon douleurs. Poursuite de l'arrêt de travail à 50% jusqu'au 07.04.2019 puis reprise à 100%. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. L'évolution est favorable. Nous prescrivons de la physiothérapie. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines soit à 3 mois de la fracture. Poursuite de la marche selon douleurs sans canne ni attelle. L'évolution est favorable. Nous prescrivons des talonnettes amortissantes antalgiques. Nous ne proposons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est favorable. Nous prescrivons encore de la physiothérapie. Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois pour évaluer la nécessité de semelles. L'évolution est favorable. Nous prévoyons un traitement par plâtre pour 6-8 semaines. Nous reverrons le patient dans 2 semaines pour un prochain contrôle clinique. L'évolution est favorable. Nous proposons à la patiente de poursuivre la physiothérapie afin de récupérer les amplitudes manquantes et de débuter le renforcement progressif de la musculature avec une charge limitée à 2 kg. Nous prolongeons l'incapacité de travail à 50% jusqu'au 08.05.2019 avec reprise à 100% le 09.05.2019. Nous reverrons la patiente à 6 mois de l'intervention pour un nouveau contrôle radioclinique. L'évolution est favorable. Nous proposons à la patiente de poursuivre les séances d'ergothérapie afin de récupérer encore les quelques degrés d'amplitude manquante. Nous l'autorisons à reprendre à 100% ses activités professionnelles dans la restauration dès le 29.04.2019. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable. Nous proposons à la patiente de reprendre ses activités habituelles en évitant les activités à risque pour le poignet pendant encore 2 mois. La récupération fonctionnelle étant excellente à cet âge, nous ne prescrivons pas de physiothérapie d'emblée, mais proposons à la patiente de la revoir dans 2 mois afin d'évaluer la récupération des amplitudes, si celles-ci ne sont pas complètes, nous prescrirons de la physiothérapie à ce moment-là. Dans le cas où l'évolution est bonne, telle qu'attendue, la mère de la patiente annulera le rendez-vous.L'évolution est favorable. Nous proposons au patient de ne plus porter l'attelle que pour les activités à risque, notamment la natation qu'il pratique régulièrement, et de commencer les séances d'ergothérapie avec un protocole pouce du skieur. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique et prolongeons son arrêt de travail à 100% (100% de ses 30% d'activité) jusqu'au prochain contrôle. L'évolution est favorable. Nous proposons au patient de poursuivre les séances d'ergothérapie et de commencer la mobilisation passive, puis progressivement active. Nous l'autorisons à arrêter de porter son attelle lorsqu'il est tranquille, mais lui recommandons de continuer à porter celui-ci pour protection lors des activités à risque. Nous reverrons le patient dans 6 semaines pour un nouveau contrôle clinique. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 05.06.2019. L'évolution est favorable. Nous rassurons le patient qu'il est normal d'avoir encore des douleurs à la mobilisation et à la marche en charge. Nous lui conseillons de poursuivre les séances de physiothérapie afin d'améliorer la mobilisation de la cheville qui semble encore beaucoup limitée, ainsi que de travailler sur les douleurs résiduelles. Nous le reverrons pour un contrôle radioclinique dans 2 mois. Nous restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est favorable. On procède à l'ablation des fils après désinfection, puis à la couverture de la cicatrice avec un cutiplast. La patiente va maintenant pouvoir commencer la physiothérapie. On recommande toutefois de poursuivre l'éviction de toute charge en flexion sur les 2 derniers doigts au cours du prochain mois. On reverra la patiente dans 1 mois pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable. Pas de suspicion infectieuse. Radiologiquement, il nous semble encore trop tôt pour enlever les broches, surtout en raison de la bonne évolution des tissus mous actuellement. La situation nous permet d'attendre encore 2 semaines jusqu'au prochain contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires pour ablation des broches comme prévu en préopératoire. L'évolution est favorable. Poursuite de la physiothérapie avec renforcement musculaire ainsi que des exercices quotidiens à domicile. Nous la reverrons à 1 an post-opératoire pour un contrôle radioclinique et pour discuter d'une éventuelle AMO si les têtes de vis venaient à la déranger. L'évolution est favorable. Poursuite de la physiothérapie pour gagner en souplesse. Il pourra essayer de reprendre son travail à 100% dès le 19.04.2019, car il est impossible de travailler à temps partiel. En cas de problème, il nous contactera. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. L'évolution est favorable. Poursuite de la physiothérapie pour le renforcement musculaire et le travail sur la mobilité en raison de la diminution de l'amplitude de l'épaule. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% pour encore 3 semaines, puis reprise à 50% durant 3 semaines. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution est favorable. Poursuite de la physiothérapie pour regagner les amplitudes de l'épaule et pour la décontracture musculaire. Charge et mobilisation libres selon douleurs. Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. L'évolution est favorable. Poursuite de la physiothérapie pour regagner les amplitudes du poignet et de l'épaule. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. L'évolution est favorable. Poursuite du port de l'attelle. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour renforcement musculaire et proprioception. La patiente n'étant pas sportive, nous pouvons espérer retrouver une cheville suffisamment stable et indolore avec ce traitement conservateur. Prochain contrôle dans 2 mois. Reprise du travail dans 1 mois. Si la situation n'est pas suffisamment réglée avec ce traitement, nous envisagerons une chirurgie de type Blanchet. L'évolution est favorable. Poursuite du protocole de pansement par Hyiodine et Mepilex border. Prochain contrôle clinique dans 4 semaines. Poursuite du protocole selon le schéma de suture du tendon d'Achille. L'évolution est favorable. Poursuite du traitement conservateur. Nous le reverrons dans 1 semaine pour changer la bottine plâtrée. Poursuite de la Clexane jusqu'à la charge totale. L'évolution est favorable. Poursuite du traitement conservateur. Prochain contrôle en salle des plâtres dans 14 jours pour changer la bottine plâtrée. L'évolution est favorable. Prochain contrôle à 6 mois postopératoires pour un contrôle clinique. Reprise des activités sportives autorisée. L'évolution est favorable. Prochain contrôle dans 14 jours pour l'ablation des fils. Entre temps, réfection régulière de pansement par la patiente. Mobilisation dans le Vacopedes avec charge selon douleurs. Dès que la charge est complète, arrêt de la Clexane. L'évolution est favorable. Réfection régulière du pansement par les soins à domicile. Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Poursuite de la physiothérapie. Clexane 40 mg s.c. pour 6 jours postopératoires. Prochain contrôle clinique à 6 semaines. L'évolution est favorable. Reprise des activités sportives. Nous lui conseillons d'éviter de porter des chaussures qui serrent trop les orteils. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Reprise du travail dans 15 jours à 50% pour 1 semaine, puis à 100%. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. L'évolution est favorable suite à l'AMO. Les plaies sont sèches et la patiente est asymptomatique. Poursuite de l'arrêt du sport de la gym à l'école durant les 4 prochaines semaines. Changement de pansement régulier par les parents durant les 2 prochaines semaines. Les fils sont résorbables. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable suite à l'infiltration. Nous lui prescrivons des anti-inflammatoires en réserve. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de douleurs pour une nouvelle infiltration. L'évolution est favorable suite au traitement conservateur. Il peut reprendre toutes ses activités progressivement sans limitation. Poursuite du stretching. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable sur le plan chirurgical. Prescription de physiothérapie pour massages doux, sans manipulation pour améliorer les douleurs résiduelles. Pas de contre-indication à une reprise du travail sur le plan orthopédique. Suivi ORL pour les acouphènes. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an postopératoire. L'évolution est favorable sur le plan de l'ostéosynthèse. Dès ce jour, ablation de l'attelle, mobilisation et charge selon douleurs en physiothérapie. Nous lui prescrivons également de la physiothérapie pour un renforcement musculaire au niveau du poignet. En cas d'absence d'amélioration, nous effectuerons une radiographie du poignet en même temps que le contrôle radioclinique pour le coude dans 6 semaines. Pas de reprise des activités sportives jusqu'au prochain contrôle. L'évolution est favorable sur le plan radiologique. Cliniquement, elle ressent encore des douleurs en regard de l'arrachement du styloïde ulnaire. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle clinique à 6 mois postopératoires. L'évolution est favorable. Toutefois, il reste une importante enflure ainsi que des signes d'ostéopénie. Nous suspectons des signes dégénératifs type Charcot. Nous organisons donc un ENMG et une IRM. Nous le reverrons suite à ces examens. Nous mettons en place un plâtre pour protection.L'évolution est favorable. Une guérison de la plaie est en bonne voie. Poursuite de l'immobilisation stricte pour encore 2 semaines et après, le patient pourra commencer le traitement en ergothérapie pour une mobilisation et une réintégration douce sans forcer. Après 8 semaines (fin avril), le patient pourra complètement enlever l'attelle. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution est globalement bonne. Cependant, le patient garde d'importantes douleurs lors de la rotation externe et lors du port de charge, raison pour laquelle nous proposons qu'il soit réévalué à la Suva pour une atteinte à l'intégrité. De notre côté, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée, mais restons bien évidemment à disposition en cas de nécessité. L'évolution est globalement favorable. Poursuite de la physiothérapie. Nous la reverrons pour un contrôle radioclinique dans 3 mois. Les symptômes résiduels que présente la patiente semblent liés à un retard de consolidation de la composante fraîche de la fracture styloïde ulnaire. L'évolution est lente à 3 mois du traumatisme. La tuméfaction et la douleur nous indiquent qu'il y a encore un processus de cicatrisation en cours au niveau du ligament. Le ligament est stable au testing. Au niveau nerveux, il existe une irritation de la branche superficielle du nerf radial qui est actuellement en régression. Vu que les douleurs au niveau de l'articulation sont prédominantes, nous ne planifions pas comme discuté lors de la dernière consultation une infiltration. Poursuite du traitement en ergothérapie avec un traitement anti-inflammatoire local et oral en réserve. Nous envisageons un contrôle clinique dans 4 semaines, un mercredi afin de pouvoir discuter en cas de besoin avec Dr. X. L'évolution est lente avec une tendance de l'articulation à un épanchement réactif. En plus, le patient montre une forte atrophie du quadriceps qui doit être traitée par physiothérapie avec mobilisation et renforcement musculaire. Nous reverrons le patient au mois de juin. À notre avis, il doit rester à l'arrêt de travail à 100% jusqu'à fin avril avec possible adaptation de cet arrêt selon nécessité et évolution. L'évolution est lentement favorable. Comme elle est sous chimiothérapie en ce moment, nous ne pouvons donc pas envisager de traitement chirurgical. Nous lui prescrivons donc encore des ondes de choc. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle radioclinique. L'évolution est lentement favorable. Elle doit absolument faire de la physiothérapie afin d'améliorer la force et la proprioception. Concernant les hallux valgus, nous ferons des radiographies des pieds en charge lors du prochain contrôle. Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois, soit à 6 mois post-opératoires. L'évolution est lentement favorable. Réfection du pansement avec Hyiodine, Adaptic et Bépanthène autour de la plaie pour la peau sèche. À changer comme avant, 3x par semaine. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines. L'évolution est lentement favorable. Une origine musculaire concomitante des douleurs est probable. Nous prescrivons encore des séances d'ergothérapie pour la cicatrice et également de la physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. L'évolution est plutôt favorable. Nous la reverrons à une année post-opératoire pour un contrôle radioclinique et pour discuter d'une éventuelle AMO. L'évolution est plutôt favorable, nous proposons à Mr. Y d'apposer des crèmes hydratantes et d'attendre la repousse complète de l'ongle, et nous proposons qu'il prenne un rendez-vous dans 2 mois qu'il annulera en cas de bonne évolution. L'évolution est stable. Nous proposons à la patiente d'utiliser des bâtons de nordic walking à la place des cannes afin d'éviter des douleurs au niveau du rachis. Prochain contrôle dans une année. L'évolution est stagnante. Nous attendons peu d'amélioration en regard du statut qui n'a pas changé depuis 3 mois sous traitement conservateur. Nous proposons au patient une ablation du matériel d'ostéosynthèse complète avec une ténolyse du tendon extenseur. Le patient est d'accord avec cette intervention mais souhaite encore discuter avec son employeur et son coach de football pour trouver une date idéale. Il est déjà informé des risques et des bénéfices de l'intervention. Il signe le consentement. Il va nous contacter pour fixer une date. Si la date est plus loin que dans 3 mois, il devra être revu en consultation. L'opération se fera en ambulatoire. Arrêt de travail à prévoir de 2 semaines et arrêt de sport durant 4 semaines. Mobilité libre en postopératoire avec charge partielle du côté G durant 2 semaines pour la guérison de la peau. À prévoir également une attelle en extension durant la nuit en postopératoire. L'évolution est tout à fait favorable à une année post-opératoire, la patiente peut reprendre ses activités de la vie quotidienne sans restriction. Elle est également suivie à la consultation de chirurgie bariatrique à Estavayer, avec l'éventuelle possibilité de mettre un bypass gastrique à moyen terme. D'un point de vue orthopédique, nous n'avons pas de contre-indication à cette intervention. Nous restons à disposition pour d'éventuelles questions et ne prévoyons pas de prochain contrôle. L'évolution est tout à fait favorable à 2 ans post-opératoire. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est tout à fait favorable à 6 mois post-opératoires. Prochain contrôle radioclinique dans 6 mois, à 1 an post-opératoire. L'évolution est tout à fait favorable, avec un patient ayant repris une mobilisation complète non douloureuse. Nous maintenons quelques séances de physiothérapie, il peut reprendre les activités de sa vie quotidienne sans restriction dès ce jour. Pas de prochain contrôle prévu mais restons à disposition si nécessaire. L'évolution est tout à fait favorable, nous maintenons des séances de physiothérapie avec école du dos, allongement des chaînes antérieures et renforcement postérieur. Nous maintenons l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 31.05.2019, une reprise à 50% sera possible du 01.06.2019 au 31.06.2019 puis reprise à 100% dès le 01.07.2019. Prochain contrôle radioclinique dans le courant du mois de septembre. L'évolution est très favorable à 1 an postopératoire. Le patient présente uniquement quelques gênes au niveau du matériel d'ostéosynthèse. Il souhaite une ablation de celui-ci. Au vu de la fracture consolidée, on le consent pour une ablation du matériel. Les risques et les bénéfices lui sont expliqués. Il signe le consentement éclairé. L'évolution est très favorable. Elle peut reprendre toutes ses activités selon douleurs. Poursuite du port de la semelle en carbone pour 4 semaines en réserve. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est très favorable. Il manque peu pour une fermeture complète. Nous changeons ce jour le protocole de pansement avec mise en place de l'Iodine, Adaptic, Bépanthène autour de la plaie pour la peau sèche. Changement de pansement 3x par semaine et prochain contrôle clinique dans 2 semaines à notre consultation. L'évolution est très favorable. La patiente a repris à 100% son travail (elle travaille avec un pourcentage de 20% comme secrétaire de direction). La patiente me dit avoir quelques douleurs au niveau de la hanche et aimerait rencontrer Dr. X maintenant que le genou va mieux. Nous organisons donc un rendez-vous dans 3 mois à la consultation de Dr. X et nous reverrons la patiente à cette occasion.L'évolution est très favorable. Mr. Y est autorisé à reprendre toutes les activités physiques et sportives sans restriction. Nous prévoyons un contrôle clinique à 1 année du traumatisme pour nous assurer de la bonne évolution et de l'absence de trouble de croissance. L'évolution est très favorable. Mr. Y est gêné par le matériel au niveau de l'insertion des broches. Comme la fracture est consolidée, nous organisons l'ablation des broches. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement. L'évolution est très favorable. Pas d'indication absolue pour une ablation du matériel d'ostéosynthèse si Mr. Y n'est pas gêné. Il va encore réfléchir un peu ces prochains mois et reprendra contact avec nous cet été. L'évolution est très favorable suite à une courte immobilisation. Dans ce contexte, en l'absence de signe indirect/direct pour une fracture radiologique, nous proposons de traiter cette lésion comme une contusion avec une mobilisation douce selon douleurs et un contrôle selon nécessité à notre consultation. L'évolution étant favorable et plutôt stable, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition au besoin. L'évolution favorable du côté D et une augmentation du cal osseux du côté G. Nous retirons donc la broche suite à une désinfection. Poursuite de la mobilisation dans la chaussure normale à D et dans le Vacopedes à G jusqu'à ce que la semelle en carbone soit confectionnée. Prochain contrôle radioclinique (uniquement à G) dans 4 semaines. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 12.05.2019. L'évolution favorable. Prescription d'ergothérapie pour confection d'une attelle de protection pendant la nuit et les activités à risque. Mobilisation douce et progressive. Incapacité de travail pour une activité manuelle jusqu'à la fin avril. Prochain contrôle le 24.04.2019. L'évolution globale est bonne après l'infiltration. Il reste encore un léger épanchement articulaire pour lequel je propose à Mr. Y de rajouter encore une série de physiothérapie. Je le reverrai dans 3 mois pour une réévaluation clinique le 17.7.2019. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. L'évolution globale est favorable avec le traitement d'ergothérapie que Mr. Y doit absolument continuer. Une reprise de travail pour le moment n'est toujours pas possible étant donné les douleurs encore présentes au toucher du bout des doigts. Une demande auprès de l'AI a déjà été faite par son médecin traitant en vue d'une réintégration professionnelle. Je revois Mr. Y dans deux mois pour une réévaluation clinique. Il poursuit l'ergothérapie et reste à l'incapacité de travail à 100%. L'évolution globale est favorable, Mr. Y a de nouveau un genou stable. Il doit continuer à entraîner la proprioception avant de reprendre une activité sportive. Il peut par contre recommencer la course à pied et le vélo. Je le revois dans six semaines pour une réévaluation clinique. Pour le moment, l'indication opératoire n'est pas donnée. L'évolution globale est favorable. L'IRM a confirmé l'amélioration clinique. Je conseille à Mr. Y de continuer à perdre du poids, ce qui améliorera nettement l'évolution dans le futur. Vu l'amélioration aussi sur l'image par IRM, une décompression par forage du corps de la nécrose avasculaire n'est pas indiquée. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Mr. Y me recontactera en cas de réapparition de douleur. L'évolution locale est favorable. On procède à la désinfection à la Bétadine et application de compresses sèches, puis bandage et poursuite de l'immobilisation dans une attelle d'Edimbourg. On recommande à Mr. Y de garder l'attelle et de continuer l'antibiothérapie jusqu'à l'ablation des fils dans 5 jours chez son médecin traitant. Par la suite, celui-ci pourra évaluer si une rééducation fonctionnelle en ergothérapie s'avère nécessaire selon la raideur qui a pu s'installer au cours de ces 2 semaines. Nous ne prévoyons pas d'emblée de le revoir en consultation, mais nous restons à disposition. L'évolution post-opératoire est favorable. On continue la physiothérapie pour récupérer de la mobilisation articulaire du poignet. On fixe un nouveau rendez-vous pour contrôle radioclinique dans 8 semaines. L'incapacité de travail continue à 100% jusqu'au 14.04.2019, ensuite diminution de l'incapacité de travail à 50% à partir du 15.04.2019 jusqu'à la fin d'avril. Capacité de travail à 100% depuis le 01.05.2019. L'évolution postopératoire est favorable. Mme. Y peut commencer avec la physiothérapie et ergothérapie avec une mobilisation libre, sans charge pendant 3 semaines et par la suite une reprise progressive de la charge, sans force et sans appui pour 3 semaines supplémentaires. Prochain contrôle clinique à 8 semaines postopératoires. L'articulation présente un défect central au niveau de l'articulation radio-carpienne. Pour l'instant, nous attendons l'évolution spontanée postopératoire. En cas de symptomatologie au niveau du poignet suite à ce défect, une arthrodèse devrait être discutée. L'évolution radio-clinique à 10 jours du traumatisme est favorable. Étant donné que la marche en charge est encore impossible, nous réalisons un plâtre fermé que Mr. Y va garder pendant 5 semaines supplémentaires. Prescription du Redoxon retard 500 mg/1x jour en tant que prophylaxie d'un Sudeck. Prochain contrôle radio-clinique à la consultation du team pied dans 5 semaines ou plus vite en cas de besoin. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle. L'évolution radio-clinique à 4 mois est favorable. Nous préconisons, comme il avait été discuté précédemment, une poursuite de la réadaptation à Meyriez après le home et avant un retour à domicile. Une durée de 2 à 3 semaines devrait être suffisante pour permettre un retour à domicile dans de bonnes conditions. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. L'évolution radioclinique à 6 semaines postopératoires montre un arrachement osseux du tubercule mineur en regard de l'épaule droite. Ceci explique l'impotence fonctionnelle pour la rotation externe active. L'évolution radioclinique du poignet gauche est favorable. Mme. Y va continuer la physiothérapie pour améliorer la mobilité de son épaule. Vu l'arrachement osseux du tubercule mineur, Mme. Y ne va pas récupérer une rotation externe active. Pour arriver à une rotation externe active, il faudrait ré-opérer Mme. Y, ce qui n'est pas indiqué dans le contexte de la maladie d'Alzheimer. Globalement, Mme. Y va bien. Je propose donc de continuer la physiothérapie pour augmenter l'amplitude de son épaule et rééduquer la mobilité du poignet. Pas de contrôle prévu d'emblée chez moi. Je reste bien évidemment à disposition en cas de besoin. L'évolution radioclinique est favorable. Mr. Y reçoit une nouvelle prescription, la seconde, de 9 séances de physiothérapie à but de rééducation de la marche selon tolérance. Il reçoit à nouveau des rappels concernant l'enseignement sur les mouvements à éviter. Mr. Y va partir au Guatemala la semaine prochaine. Il s'est déjà organisé pour pouvoir bénéficier de physiothérapie pendant ce séjour. Prochain contrôle à son retour de voyage au mois de juillet. L'évolution radio-clinique est favorable. Les symptômes et la boiterie occasionnelle sont imputables à une origine musculaire et nous recommandons la poursuite de la physiothérapie axée sur le stretching et la relaxation musculaire, ainsi que sur le renforcement des abducteurs. Mme. Y reçoit une 3ème prescription pour 9 séances axées sur cette thérapie. D'autre part, on recommande à Mme. Y de renoncer à l'utilisation de la canne anglaise afin de favoriser la récupération musculaire. En ce qui concerne les activités sportives, on propose à Mme. Y une reprise progressive du yoga et de la course à pied dès l'amendement de la boiterie et des douleurs musculaires à sa convenance au cours des prochaines semaines. Mme. Y reste au bénéfice d'un arrêt de travail partiel à 75% de son taux habituel jusqu'à la fin du mois, puis reprise au taux habituel à partir du 1er mai comme prévu par le médecin traitant. Quant à nous, on la reverra pour un contrôle radio-clinique à 1 an postopératoire.L'évolution radioclinique est favorable. On procède à la circularisation du plâtre. On prévoit de revoir Mr. Y après 4 semaines d'immobilisation pour un contrôle radioclinique. A ce moment-là, selon la progression de la consolidation, on pourra libérer Mr. Y du plâtre ou au contraire prolonger la mobilisation de 2 semaines supplémentaires. Dans l'intervalle, on reste à disposition. L'évolution radioclinique est favorable. On procède au débridement minimal des croûtes après détersion au Prontosan. Mr. Y va continuer d'appliquer du Prontosan à domicile. L'arrêt de travail est maintenu jusqu'au 30 avril prochain. On reverra Mr. Y à la fin du mois pour évaluer sa capacité à une reprise professionnelle (machiniste de chantier). L'évolution radioclinique est favorable. Par ailleurs, Mr. Y est pratiquement asymptomatique et a récupéré la fonction de manière satisfaisante. Dans ce contexte, on prévoit un prochain contrôle radioclinique à 1 an postopératoire. L'évolution radioclinique est favorable sans déplacement secondaire de cette fracture que l'on peut traiter conservativement avec un gantelet type St-Moritz pour encore 3 semaines de manière fermée. Prochain contrôle radioclinique dans 3 semaines à notre consultation. L'évolution radioclinique est satisfaisante et nous mettons fin ce jour, 26.04.2019, au suivi en policlinique d'orthopédie. Mme. Y a bénéficié d'un certificat de contre-indication à la pratique sportive du 29.03.2019 au 10.05.2019, elle est autorisée à reprendre le sport dès le 11.05.2019. L'évolution radioclinique est satisfaisante et nous mettons fin ce jour, 26.04.2019, au suivi en policlinique d'orthopédie. Mr. Y a bénéficié d'un arrêt de travail de 100% du 03.02.2019 au 08.02.2019. L'évolution radioclinique est satisfaisante, l'Aircast est alors retirée et Mr. Y est autorisé à marcher en charge selon les douleurs. Il gardera cependant l'Aircast lors de la pratique du sport pour encore 3 semaines. Il est autorisé à reprendre le sport dès le 19.04.2019. L'évolution radioclinique est satisfaisante, Mr. Y est alors autorisé à reprendre le sport. L'évolution radioclinique est satisfaisante, nous décidons d'une fin de suivi en policlinique d'orthopédie après avoir prescrit à Mr. Y des séances de physiothérapie ambulatoire pour mobilisation libre de la cheville G selon douleurs. L'évolution radioclinique est tout à fait favorable plus de 3 ans après l'implantation de cette PTH. Mme. Y reste par ailleurs tout à fait asymptomatique depuis plusieurs années, sans limitation fonctionnelle. Dans ce contexte, on prévoit un prochain contrôle radioclinique à 5 ans postopératoires, mais on invite Mme. Y à nous consulter avant en cas de survenue de tout signe ou symptôme, toute limitation. L'évolution radiologique est favorable. Il reste une tuméfaction importante que nous considérons encore dans la norme au vu de la sévérité du traumatisme. Elle peut commencer à se mobiliser avec une semelle en carbone type Ottobock à l'aide de cannes, progressivement. Physiothérapie pour la mobilité de la cheville et école de marche. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 30.04.2019 puis reprise à 50% jusqu'au prochain contrôle radioclinique. Poursuite de la Clexane jusqu'à la charge complète. L'évolution reste bonne. Mr. Y n'a pas de grande gêne, c'est pourquoi il n'aimerait pas d'AMO pour l'instant. Prochain contrôle radioclinique périodique dans 1 an. L'évolution sous le plan clinique est positive avec un patient qui n'a pas de douleur et a une mobilisation libre protégée par les cannes. Par contre, au niveau radiologique, nous voyons clairement une aggravation de la difformité en valgus pour laquelle on va faire une évaluation avec scanner et nous allons discuter encore avec le Dr. X pour voir s'il serait éventuellement nécessaire d'envisager un traitement chirurgical. Nous allons recontacter Mr. Y par téléphone. Pour l'instant, Mr. Y doit continuer la décharge du côté droit avec les cannes. Prophylaxie pour la thrombose à continuer. L'évolution sous traitement conservateur est favorable. Prescription d'une attelle thermoformée en ergothérapie, type Edimbourg pendant 6 semaines. Prochain contrôle radioclinique dans 1 semaine. Si absence de déplacement secondaire au contrôle à une semaine, le prochain contrôle sera à 6 semaines post-traumatique pour contrôle de la guérison. L'évolution suite à l'infiltration est favorable avec une diminution importante des douleurs. Au vu de ce résultat, nous organisons une nouvelle infiltration locodolenti dans 4 semaines. L'examen clinique du genou est rassurant. La radiographie du genou ne montre pas d'atteinte osseuse, mais nous constatons la présence d'une calcification au niveau du condyle latéral du genou droit sur la radiographie axiale de la rotule. Vu l'antécédent de luxation du ménisque en 2017 avec un suivi par le Dr. X, nous organisons un contrôle à la consultation du Dr. X. Au vu de la sensation douloureuse et de lâchage lors de la charge, nous gardons l'immobilisation par attelle Jeans jusqu'au contrôle. Nous lui prescrivons de la Clexane prophylactique et une antalgie en réserve. L'examen clinique de Mr. Y (test en varus douloureux mais stable) nous permet de retenir le diagnostic d'entorse bénigne du ligament latéral externe du genou gauche. Les radiographies effectuées excluent une fracture. Mr. Y peut rentrer chez lui avec une attelle jeans et des cannes ainsi qu'un rendez-vous de contrôle chez le Dr. X dans une semaine. Nous lui prescrivons de la Clexane jusqu'à son rendez-vous de contrôle. L'examen clinique est évocateur d'un kyste dermoïde, DD : arthrosynovial. Le statut clinique de la main est complètement normal, hormis les paresthésies rapportées par Mme. Y. Une IRM pour caractérisation de la lésion est agendée au 12.04.2019, avec rendez-vous avec le Dr. X le 16.04.2019. Mme. Y reçoit une attelle poignet palmaire en réserve à but antalgique. L'examen clinique est marqué par une différence de force au niveau du sous-scapulaire, on pourrait interpréter la boursite sous-acromiale dans le cadre d'une lésion de l'intervalle des rotateurs mais sans symptôme sur le biceps. Je proposerais à priori un traitement conservateur avec physiothérapie pour tenter de tonifier la coiffe des rotateurs et suivre l'évolution. En cas d'échec, on pourrait envisager à distance une ténodèse du LCB. Je le revois dans 2 mois. L'examen clinique est normal et Mme. Y est asymptomatique, nous concluons donc à une probable gastro-entérite virale en cours de résolution. L'examen clinique est rapidement évocateur d'un phlegmon des fléchisseurs. Une radiographie permet d'exclure une atteinte osseuse. Le bilan biologique montre une élévation de la CRP à 20 sans leucocytose. Un US confirme le diagnostic de phlegmon avec présence d'une lame liquidienne tout le long du tendon fléchisseur de D5 droit, avec présence d'une collection phlegmoneuse au niveau du cul de sac de D5. L'indication chirurgicale est retenue. N'ayant pas de capacité au bloc opératoire de Riaz, un transfert au HFR Fribourg est organisé pour prise en charge chirurgicale en urgence. Contact avec le Dr. X, qui accepte le transfert.L'examen clinique est rassurant avec une diurèse conservée et l'absence d'érythrocytes au stix urinaire. Après réassurance du Mr. Y, une antalgie simple est proposée. Les parents en sont avertis téléphoniquement. L'examen clinique est rassurant et la patiente montre une bonne évolution avec le traitement antalgique proposé. L'examen clinique est rassurant et la patiente ne présente pas de plainte. Dans ce contexte de décompensation psychique, nous demandons un avis psychiatrique pour une hospitalisation volontaire au CSH Marsens. La patiente est ensuite transférée à Marsens. L'examen clinique est rassurant et le test à la Fluorescéine est négatif. Pas de corps étranger visualisable, après le rinçage aussi. Le Mr. Y se dit soulagé après le rinçage. Un traitement avec Tobradex et Vitamine A est mis en place. Le Mr. Y doit consulter un ophtalmologiste si persistance des symptômes. L'examen clinique est rassurant, le bilan biologique est aligné, la radiographie du thorax est sans particularité et l'ECG montre un rythme sinusal sans trouble de la repolarisation. Au vu des examens complémentaires dans les normes, du bon état général du Mr. Y, et des douleurs reproductibles à la palpation et à la mise sous tension musculaire, nous retenons des douleurs d'origine musculo-squelettique et nous laissons le Mr. Y rentrer à domicile avec une antalgie simple. Durant le séjour aux urgences, le Mr. Y présente un profil tensionnel élevé. Nous lui conseillons de diminuer les aliments salés et de faire une activité physique modérée quotidienne, et nous proposons un suivi des valeurs à distance avec éventuellement une médication anti-hypertensive si elles restent élevées. En cas de péjoration des symptômes, nous lui conseillons de reconsulter son médecin traitant ou les urgences. L'examen clinique est rassurant. Nous avons expliqué à la mère l'évolution de l'hématome et la surveillance neurologique à faire pendant 24 heures. Retour ensuite à domicile. Contrôle chez le pédiatre la semaine prochaine pour évaluer l'évolution de l'hématome frontal. L'examen clinique est rassurant sans sibilances. Nous réalisons un peak flow avec un résultat à 77 % de la VP. Nous prescrivons des aérosols avec amélioration du peak flow avec une valeur à 81 % de la VP. Nous rassurons la patiente qui rentre à domicile. L'examen clinique est rassurant, nous donnons de l'Ondansétron 4 mg avec bénéfice. La patiente rentre à domicile avec une ordonnance pour du Motilium, lundi 08.04.2019 elle prendra contact avec son oncologue. L'examen clinique est sans particularité. Les douleurs ont complètement disparu après 5 minutes de l'admission. Nous ne voyons pas d'indication pour une imagerie ni de dosage des troponines. L'ECG est sans particularité. Le bilan biologique est aligné. À noter que la patiente présente des douleurs thoraciques gauches sur crise d'agitation/angoisse. La patiente reçoit un Temesta avec un très bon effet. La patiente peut regagner son domicile le jour même accompagnée de son mari. L'examen clinique est superposable à celui de la veille avec une diminution des douleurs dorsales d'après le Mr. Y. Le sédiment urinaire est propre. Au vu de la clinique rassurante et du contrôle urinaire qui est normal, nous laissons le Mr. Y rentrer à domicile avec comme conseils de poursuivre l'antalgie prescrite la veille. Nous complétons la prescription par un bon de physiothérapie pour améliorer la mobilisation du dos. Un arrêt de travail a été prescrit jusqu'à lundi 08.04.2019. En cas de persistance des douleurs, nous conseillons au Mr. Y de consulter son médecin traitant pour un contrôle clinique. L'examen clinique et biologique permet de poser la suspicion de gastroentérite dans le contexte d'une constipation chronique. Nous conseillons à la patiente un traitement symptomatologique et suivi chez son médecin traitant. L'examen clinique et la symptomatologie sont en amélioration. Nous expliquons à la patiente les résultats de l'urotube et l'adressons chez son médecin traitant pour un contrôle post-antibiothérapie. L'examen clinique et le bilan de laboratoire et biologique parlent en faveur d'une gastroentérite. Nous donnons un traitement symptomatologique et le Mr. Y se présentera aux urgences en cas de péjoration. L'examen clinique et l'exploration sont rassurants, pas de dégat au niveau des structures nobles. Pour des raisons géographiques, le Mr. Y sera vu par la pédiatre pour le pansement et l'ablation des fils à 2 semaines. L'examen clinique et radiologique donne le diagnostic d'entorse du ligament collatéral et arrachement osseux de la plaque palmaire de l'interphalangienne proximale du 2ème doigt de la main gauche, et nous mettons en place une attelle alu. La suite du traitement se fera à la policlinique d'orthopédie. L'examen clinique et radiologique est sans particularité. Nous diagnostiquons une contusion de l'éminence thénar. Traitement symptomatique avec mise au repos, anti-douleurs, anti-inflammatoires, arrêt de travail. Suite chez le médecin traitant. L'examen clinique et radiologique permettent de poser le diagnostic d'entorse de Lisfranc des 1er et 2ème métatarses du pied droit. Nous mettons une attelle postérieure, des cannes et une décharge. Le Mr. Y ne présente pas de signe de puberté, donc la prophylaxie par Clexane n'est pas indiquée. La suite du traitement se fera à la policlinique d'orthopédie. L'examen clinique étant compatible avec une tendinite des muscles fibulaires, nous proposons un traitement symptomatique par bandage élastique, des consignes de repos, de la glace. Marche en charge selon les douleurs et traitement anti-inflammatoire. La patiente se rendra chez son médecin traitant en cas de persistance des douleurs à une semaine, malgré un traitement bien conduit. Concernant le travail, elle a bénéficié d'un arrêt de travail à 100 % du 25.04.2019 au 07.05.2019 (arrêt de travail prescrit lors de la consultation aux urgences le 25.04.2019). Elle est autorisée à reprendre le travail à 100 % dès le 08.05.2019. L'examen clinique évoque une origine périphérique aux vertiges, progressant depuis 3 jours. Une neuronite vestibulaire est ainsi retenue, traitée par corticothérapie et traitement symptomatique. Au vu d'un examen neurologique dans la norme, sans argument pour une atteinte centrale, avec notamment absence de signe de méningisme et un état fébrile isolé 3 jours auparavant, il est décidé de ne pas réaliser d'imagerie cérébrale. Un contrôle clinique est indiqué chez le médecin traitant. L'examen clinique met en évidence des lombocruralgies bilatérales sans déficit neurologique. Nous laissons donc le Mr. Y rentrer à domicile avec une prescription pour des anti-inflammatoires, un myorelaxant et une antalgie simple de réserve, ainsi qu'un bon pour de la physiothérapie et un arrêt de travail de 3 jours. En cas de persistance des douleurs, nous lui conseillons de reconsulter. L'examen clinique montre une contracture paravertébrale T10. Nous réalisons une radiographie thoracique ne montrant pas de pneumothorax et de fracture costale. La radiographie de la colonne dorsale est sans particularité. Le bilan biologique est aligné. Le sédiment urinaire montre une hématurie microscopique avec 3-5 GR par champ. Nous prescrivons une antalgie et un traitement myorelaxant avec contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 04.04.2019 pour suivi de la micro-hématurie. L'examen clinique montre uniquement une gêne en extension. J'explique à la patiente les différents diagnostics différentiels et je propose une arthro-IRM. Je reverrai la patiente après cet examen.L'examen clinique ne retrouve pas de corps étranger, cependant au vu de la notion anamnestique de réception de corps étranger métallique dans l'œil avec douleurs oculaires, un traitement topique par Floxal et Vitamine A est administré avec rappel du tétanos et consultation aux urgences ophtalmologiques de l'HFR Fribourg dans les 24h. L'examen clinique nous a poussé à exclure une fracture du cuboïde ou de la base du 5ème métatarse. Rassurés par les images radiologiques et par un patient qui parvient de nouveau à charger sur son pied gauche, nous le laissons rentrer à domicile après un diagnostic de contusion de la partie latérale de l'avant-pied gauche. Une immobilisation par bande élastique, à visée antalgique, est mise en place et le patient consultera son médecin traitant s'il n'y a pas d'amélioration dans une semaine. L'examen clinique ophtalmologique est, en dehors de la présence de sang au niveau de la sclère, sans particularité. Nous demandons l'avis de l'ophtalmologue de garde. Face à l'absence de symptômes, nous pouvons rassurer la patiente et la laisser rentrer à domicile avec un collyre oculaire hydro-salé à appliquer topiquement jusqu'à la disparition du saignement. En cas d'apparition de troubles visuels, de céphalées ou de douleurs au niveau de l'œil, nous lui conseillons de reconsulter. L'examen clinique permet de poser la suspicion d'une otite média-congestive à droite. Nous lui prescrivons un traitement symptomatique sur ordonnance et lui conseillons de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique dans 2 jours. L'examen clinique présente les déficits sensitifs susmentionnés pour lesquels nous ne répétons pas une imagerie cérébrale en raison d'une IRM récente. Nous administrons un traitement de Lyrica pour la composante neurologique et d'anxiété. Nous prenons également un rendez-vous auprès du Dr. X, neurologue, pour le 10.04.2019 à 18h15. L'examen clinique retrouve une otite moyenne aiguë de l'oreille droite, traitée par Augmentin 1g 2x/jour durant 5 jours, traitement adapté à la grossesse. Un contrôle clinique chez le médecin traitant est proposé. L'examen clinique révèle une douleur à la palpation du tiers moyen des 2ème et 3ème métatarses, cependant en l'absence de corps étranger visualisé ou de lésion cutanée. Le bilan radiologique montre également l'absence de corps étranger ou de lésion osseuse. Des dysesthésies de la plante du pied sont ainsi retenues, traitées par repos, antalgie et contrôle clinique chez le médecin traitant. Il est expliqué au patient de reconsulter aux urgences en cas d'apparition de signes locaux inflammatoires ou d'état fébrile. L'examen du jour n'était pas bien interprétable et une progression des fractures étant possible, nous proposons à nouveau une IRM à la patiente, ce qu'elle refuse toujours. Nous lui expliquons bien l'importance de cet examen et prions le médecin traitant d'en rediscuter avec Mme. Y. Prochain contrôle dans 3 semaines. Dans l'intervalle, adaptation de l'antalgie. L'examen est rassurant et les diagnostics d'urgence engageant le pronostic vital sont rapidement exclus. Au vu de la répétition des épisodes après des activités sportives et des symptômes non classiques de migraine (bilatéral), le diagnostic reste ouvert. Nous proposons à Mme. Y et sa maman un traitement symptomatique en cas de répétition des épisodes et de tenir un agenda des symptômes pour mieux comprendre. Elles consulteront à nouveau chez le pédiatre, pas forcément en urgence, en cas de récidive. L'examen gynécologique est en faveur d'un hématome surinfecté post-manipulation manuelle. Les différentes possibilités ont été discutées avec la patiente (traitement conservateur vs chirurgie), la patiente opte pour un traitement médicamenteux avec réévaluation. À ce but, un traitement antibiotique par Flagyl a été instauré dès le 13.04 avec un traitement local par Flector patch et Irfen comprimé. Une prochaine évaluation sénologique aura lieu dans 72H à la consultation du Dr. X. L'examen ne montre pas de lésion ischémique et suggère une discrète lésion sténosante au départ de l'artère vertébrale gauche. DD : artéfact. Au vu de la clinique et de l'imagerie, nous n'avons pas d'argument pour une origine périphérique ou orthostatique ni une origine centrale de ses vertiges. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec poursuite de son traitement habituel et l'invitons à se présenter à la consultation de son médecin traitant pour suite de la prise en charge. L'examen neurologique est dans la norme avec un traumatisme crânien chez un enfant en bonne santé habituelle sans perte de connaissance, pleurant de suite après. Le patient peut rentrer à domicile accompagné par sa mère après la remise de la feuille de surveillance neurologique de 24h. L'examen neurologique et ORL se révèle dans la norme, avec absence de syndrome inflammatoire au bilan biologique. Des douleurs de caractère migraineux sont retenues, traitées par antalgie et contrôle clinique chez le médecin traitant. Après réassurance du patient, ce dernier rentre à domicile avec antalgie adaptée. Une imagerie cérébrale pourrait être envisagée en cas de persistance des symptômes vertigineux. Un enseignement quant à la prise de la tension artérielle est donné, les valeurs élevées à domicile sont mises sur le compte des douleurs, avec valeurs tensionnelles acceptables aux urgences. L'examen neurologique se révèle sans particularité, avec notamment l'absence de territoire radiculaire ou de dermatome. Le bilan biologique montre une leucocytose isolée sans CRP, expliquée par le contexte de stress récent. Après réassurance de la patiente, une poursuite du suivi psychiatrique est proposée avec un contrôle chez le médecin traitant. L'examen radiologique du jour montre un déplacement secondaire avec ulna+. Nous expliquons à la patiente en présence de sa fille que dans ce contexte, si nous laissons la fracture se consolider dans cette position, elle présentera une impotence fonctionnelle, ainsi que des douleurs résiduelles. Nous lui proposons donc une prise en charge chirurgicale par réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque palmaire. Nous expliquons à la patiente les tenants et les aboutissants de l'intervention, de même que les risques opératoires. La patiente et sa fille comprennent nos explications et signent le formulaire de consentement éclairé. L'examen radiologique met en évidence le diagnostic susmentionné. Au bilan biologique, pas de particularité. Nous discutons de la prise en charge avec l'orthopédiste de garde, Dr. X. Nous immobilisons le genou dans une attelle Jeans à 20° avec décharge par cannes anglaises, prophylaxie antithrombotique par Clexane 40mg 1x/j. Nous proposons au patient de rester hospitalisé pour la nuit dans le service d'orthopédie mais il refuse. Le patient rentre à domicile et sera convoqué le lendemain pour la suite de la prise en charge. Nous lui prescrivons des anti-inflammatoires et une antalgie de réserve. L'examen radiologique met en évidence une fracture consolidée. L'examen radiologique montre l'effacement à plus de 60% du trait fracturaire. L'examen radiologique présente une consolidation presque anatomique. L'exploration chirurgicale ne montrant pas de structures nobles atteintes, le patient bénéficie de 2 points de suture simples et retourne à domicile avec un contrôle de plaie à 48h à l'hôpital de Morges selon son souhait. Ablation des fils à 10 jours chez le médecin traitant. Le patient est libre de rentrer à domicile. L'exploration de la plaie est sans particularité, sans structure noble exposée ni corps étranger. Nous rinçons abondamment au NaCl et suturons par 1 point de rapprochement à l'Ethilon 4-0. Nous lui donnons un arrêt de travail pour 1 semaine, car il travaille au contact de poussières. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation du fil à J14.L'exploration de la plaie nous permet de constater que les structures nobles ne sont pas atteintes et qu'il n'y a pas de corps étranger. Nous procédons à un rinçage et suturons la plaie par deux points Donati sous anesthésie locale. La plaie sera contrôlée ce lundi chez le médecin traitant qui enlèvera les points à 14 jours. Le patient consultera les urgences en cas d'apparition de signes infectieux durant le week-end. L'exploration de la plaie montre une rupture du 3ème tendon extenseur de la main droite, rupture de la bandelette de conjugaison entre les 3ème et 4ème tendons extenseurs. Nous suturons le tendon par fil de Vicryl 4.0 en Kessler modified. Nous faisons une immobilisation en attelle Edimbourg modifiée en hyperextension. Nous donnons à la patiente un bon pour de l'ergothérapie pour faire une attelle thermoformée le 23.04.2019. La patiente sera suivie à la policlinique d'orthopédie. L'exploration sous anesthésie locale ne montrant pas d'atteinte des structures nobles ni de corps étranger, nous effectuons un rinçage abondant puis une suture avec des points simples. Une radiographie de contrôle ne montre pas de fracture et les testings ligamentaires sont dans les normes. Nous laissons donc le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple, un arrêt de sport de 2 semaines et ablation des fils à 10 jours chez le médecin traitant. L'histoire clinique ainsi que l'examen clinique évoquent une urticaire, traitée par double traitement antihistaminique. L'origine reste peu claire, de probable nature idiopathique versus infectieuse. L'examen clinique révèle également une otite moyenne aiguë perforée, avec symptômes débutant la veille. Un traitement antibiotique est proposé durant 5 jours. Étant donné qu'il s'agit du 2ème épisode d'urticaire, un bilan allergologique pourrait être réalisé si persistance/récidive des symptômes. L'histoire clinique décrit des céphalées sur crise hypertensive se compliquant de troubles visuels, avec un status neurologique dans la norme aux urgences. Le bilan biologique et l'ECG se révèlent sans particularité. Au vu d'une amélioration des symptômes avec antalgie simple aux urgences, ainsi qu'une diminution du profil tensionnel, aucun traitement antihypertenseur n'est administré, cependant une majoration du traitement habituel par introduction d'un anticalcique est proposé. Un arrêt de travail avec repos et contrôle clinique chez le médecin traitant sont de même proposés. L'histoire clinique évoque une gastro-entérite de probable origine virale avec bilan biologique aligné et status abdominal rassurant. Un traitement symptomatique est proposé. Un arrêt de travail est donné. L'historique clinique et les examens complémentaires permettent de poser le diagnostic de colique néphrétique gauche avec calcul de 2x1mm à 6 mm de la jonction vésico-urétrale et faible dilatation de la voie pyélocalicielle. Une antalgie avec filtration des urines est proposée, avec consultation chez le médecin traitant et indication de consulter les urgences en cas de douleurs importantes ou de fièvre. Après analyse du calcul, une consultation urologique est indiquée, vu qu'il s'agit du 1er épisode. Mr. Y est hospitalisé pour suite de prise en charge d'une gastro-entérite avec déshydratation modérée. Sur le plan digestif, il est initialement réhydraté sur 4 heures avec du NaCl 0.9%, puis ses besoins d'entretien sont assurés par du Gluco-salin et les pertes sont compensées. L'évolution est rapidement favorable, permettant de stopper l'hydratation parentérale le 27.04.2019. Mr. Y rentre à domicile le 27.04.2019. Mme. Y présente une déshydratation estimée à 8% basée sur la perte de poids et la clinique. À son arrivée, elle bénéficie d'un bolus de NaCl IV 0.9% de 500ml en 1h et de Zofran 4mg qui permet une nette amélioration de la clinique et lui permet une reprise hydrique orale. Durant sa surveillance de 6h, elle a bu 600ml PO et a uriné une fois. Au vu de l'amélioration clinique, nous décidons d'un retour à domicile avec conseil de réhydratation et contrôle dans 24h aux urgences. L'idopathic toe walking est un souci qui se résout normalement spontanément. Afin d'éviter des contractures au niveau du tendon d'Achille, nous présc ridons ce jour des semelles pyramidales à porter la journée dans les chaussures. Nous confectionnons deux attelles type gouttière en extension dorsale maximale pour la nuit. Prochain contrôle clinique dans 6 mois. Ligamento-plastie droite. Status post-fracture non déplacée, incomplète, corps scaphoïde carpien D (classification Schernberg type III) en 2010. Déchirure ligaments croisés et ménisque en 2013. Opération hernies inguinales env. 2007. Lombalgie aiguë, sans déficit sensitivomoteur. Syndrome lombovertébral sans syndrome radiculaire associé et non déficitaire. Ligature d'une fistule artério-veineuse bras G le 22.09.2011. Hématome post-ligature de fistule artério-veineuse de l'avant-bras G le 22.09.2011. Limitation de mobilité en flexion de l'articulation MCP 2 D post-traumatique. L'indication pour la mise en place d'une PTH est posée. On voit implanter la prothèse par une voie d'abord antérieure avec des implants corail et pinnacle de Synthes. Nous expliquons au patient le déroulement de l'intervention, ainsi que les risques et bénéfices et il nous donne son accord en signant le consentement éclairé. Il sera vu par nos collègues de l'anesthésie. L'infiltration a eu un effet positif en ce qui concerne la douleur. La patiente est moins symptomatique. Par contre, en ce qui concerne les sensations de blocages dues à la patella alta, il est clair que l'infiltration n'a pas d'effet là-dessus. Je réexplique à la patiente que seule une intervention chirurgicale avec distalisation de l'insertion du tendon rotulien afin d'abaisser la rotule haute pourrait améliorer ses sensations de blocages. Par contre, l'arthrose fémoro-patellaire est déjà avancée et à mon avis il ne fait pas de sens de faire un tel geste chirurgical étant donné que la patiente aurait éventuellement besoin d'une implantation de prothèse totale. Pour le moment, l'indication opératoire pour un geste pareil n'est pas donnée. La patiente réfléchira et me recontactera en cas de péjoration de la situation. L'infiltration de l'articulation sacro-iliaque D a permis une légère amélioration de la symptomatologie. Nous proposons tout de même la réalisation d'une myélographie fonctionnelle afin d'exclure une compression nerveuse des racines L1 ou L2. Si ce n'est pas le cas, nous pourrons nous concentrer sur l'articulation sacro-iliaque avec une éventuelle série d'infiltrations par Curavisc. L'infiltration du genou droit n'a été efficace que pendant 10 jours. La patiente présente à nouveau un épanchement articulaire avec une douleur en péjoration. Je n'ai pas de signe clinique pour une arthrite septique. Je propose à la patiente de répéter le bilan par IRM de son genou. Depuis la dernière IRM du 3.1.2019, la patiente m'a dit avoir chuté 3 fois avec chaque fois une entorse de son genou droit. Avec cette nouvelle IRM, j'aimerais mettre les choses au clair avant de poser une éventuelle indication chirurgicale. Je reverrai la patiente le 23.4.2019 suite à l'IRM du 12.4.2019 afin de discuter des résultats et du traitement. L'infiltration du nerf médian ayant momentanément soulagé les douleurs de la patiente, il est possible que ce nerf contribue à une partie des douleurs. Malgré cela, étant donné la symptomatologie peu claire de la patiente et avant d'envisager une neurolyse chirurgicale, nous proposons de tenter de répéter une infiltration du nerf médian au poignet et, au cas où cette infiltration serait trop douloureuse, de tenter une infiltration plus proximale. Nous envoyons un courrier au Dr. X afin de l'informer de notre proposition. Nous reverrons quant à nous la patiente dans 3 mois pour un nouveau contrôle clinique.L'infiltration n'a permis qu'un soulagement partiel des douleurs. Au vu des douleurs persistantes depuis plus d'un mois, nous proposons une intervention chirurgicale pour cure de hernie discale +/- microdiscectomie. Mr. Y est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Une date opératoire pré-réservée pour le 15.04.2019. S'il souhaite tout de même voir le Dr. X pour un 2ème avis, il nous recontactera pour annuler cette intervention. Dans l'intervalle, poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 18.04.2019. L'infiltration s'est montrée efficace. Je propose à Mme. Y de quand même faire quelques séances de physiothérapie pour voir si l'on arrive à améliorer encore les symptômes. Je reverrai Mme. Y dans 2 mois pour un contrôle clinique le 12.6.2019. Si les douleurs reviennent ou persistent, il faudrait discuter l'éventuelle indication pour l'implantation d'une prothèse totale du genou gauche. Lipase: 289 U/L US abdominal: Foie de configuration cirrhotique, sans lésion focale suspecte d'atteinte tumorale, associé à des signes d'hypertension portale (ascite, splénomégalie de 14 cm). Vésicule biliaire lithiasique, aux parois diffusément épaissies, vraisemblablement en lien à l'ascite. Pas de dilatation des voies biliaires. Att: • suivi biologique Lipome en regard du thorax latéral droit, le 18.04.2019. Lipome inter-mammaire gauche connu. Lipome sous muqueux iléo-caecal mesurant 60 x 45 mm • Status post iléo-coloscopie du 08.04.2019 : lors de l'introduction de l'endoscope, on trouve la masse de l'angle hépatique et en la repoussant pour essayer de passer à côté, on se retrouve finalement dans le caecum. La masse a probablement dû entraîner une intussusception iléo-caecale dans le caecum et les lésions érythémateuses et érosives de l'iléon terminal sont peut-être des lésions ischémiques. Plusieurs biopsies ont été effectuées. • Histologie P2019.4104 : les différentes biopsies effectuées au niveau de l'iléon terminal ainsi que de la masse tumorale sont négatives pour une lésion maligne. • CT-scan abdominal du 14.03.2019 : cf annexe • PET-CT du 19.03.2019 : par rapport au comparatif du 14.03.2019, progression de l'invagination iléo-colique centrée sur une masse à contenu graisseux localisée dans la valve iléo-caecale dont l'aspect évoque un lipome simple. Le mésentère invaginé est légèrement infiltré mais il n'y a pas de signe franc de souffrance, pas d'iléus en amont. Absence d'hypercaptation pathologique nette correspondant à la lésion lipomateuse connue, ce qui parle en défaveur d'une origine maligne. Mise en évidence d'une hypercaptation au niveau du côlon transverse d'origine très probablement inflammatoire. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de malignité. • Tumor board du 10.04.2019 : résection iléo-caecale avec examen extemporané +/- hémicolectomie droite avec CME par laparotomie. Liposarcome sous-cutané pré-tibial droit avec : • résection le 16.05.2017 (fecit Dr. X au CHUV) • reconstruction par lambeau libre gracilis du corps vasculaire prélevé à la cuisse gauche. Polymyalgia Rheumatica. Gonarthrose du compartiment fémoro-tibial interne avec kyste de Baker volumineux à gauche. Conflit sous acromial bilatéral prédominant à gauche. Rhizarthrose avec arthrose nodulaire des doigts. Syndrome du tunnel carpien droit irritatif. Ostéopénie à prédominance trabéculaire. Hypertension artérielle traitée. Cardiopathie valvulaire (sténose aortique avec surface de 1,7 cm2, extrasystolie, ventricule gauche hyper dynamique, BAV du premier degré. Hypercholestérolémie. Déficit vestibulaire droit. Glaucome débutant bilatéral. Liposuccion et résection cutanée des deux côtés le 23.04.2019 (Dr. X) Céfuroxime 1.5 g du 23.04.2019 au 25.04.2019 Liposuccion. Consommation de cannabis. Lipothymie. Lipothymie avec possible TC le 12.04.2019. Lipothymie dans le contexte d'orthostatisme. Lipothymie d'origine probablement vagale 05.04.2019. Lipothymie d'origine vagale. Lipothymie le 22.04.2019 consécutive à une chute accidentelle avec traumatisme D4 à droite DD : vaso-vagale, mixte avec composante d'hypotension orthostatique. Lipothymie sans perte de connaissance ni traumatisme crânien le 22.04.2019. Lipothymies le 29.04.2019. • sur probable passage en FA non anticoagulée. Lipothymies répétées le 24.04.2019: DD : orthostatique, trouble du rythme, vasovagal. Liquemin thérapeutique ATT: • Prévoir introduction anticoagulation Liquide synovial 18.03.2019: aspect purulent, 130.000 cellules, 92% PMN Synovasure test 18.03.2019: positif 1) Arthroscopie diagnostique, débridement et lavage du genou droit le 19.03.2019 2) Arthrotomie du genou D, prélèvements, débridement et lavage le 21.03.2019 Liq. articulaire genou D le 19.03.19 : 1x nég. à 5j et 3x nég à 2 j Biopsie genou droit et capsule 21.03.19 : nég. à 2j Frottis de plaie le 03.04.2019: nég à 2j Bactériologie et PCR (CHUV): Parvimonas micra Consilium Infectiologie • Co-Amoxi 2.2g 4x/j du 18.03.2019 au 11.04.2019 • Co-Amoxi 1g 3x/J du 11.04.2019 jusqu'au 19.04.2019 • Anakinra 100mg SC 1x/j du 23.03 au 25.03.2019 puis du 03.04.2019 au 04.04.2019 • Anakinra 100mg SC 2x/j du 05.04.2019 au 09.04.2019 puis 1x/j du 10.04.2019 au 12.04.2019 puis du 15.04 au 18.04 • Prednison 10 mg du 19.04 au 21.04 puis Prednison 5 mg du 22.04 au 26.04 • Colchicine 0.5mg 1x/j dès le 23.03 L'IRM confirme la présence d'une forte contusion au niveau de l'os. On s'attend quand même à une symptomatologie qui peut durer durant 4-5 mois après l'accident. On laisse Mr. Y charger normalement, selon douleurs. Les sports ne sont pas interdits mais à adapter selon les douleurs. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition au besoin. L'IRM confirme un kyste multi-loculé à l'origine de l'articulation entre le trapèze et le premier métacarpien. L'IRM de 2018 montre un comblement du cartilage en regard du condyle externe et une légère atteinte de la fémoro-patellaire. L'IRM du genou montre clairement une lésion horizontale de la corne postérieure du ménisque. Avec la physiothérapie, les douleurs lors de l'accroupissement sont toujours présentes. A mon avis, Mr. Y pourrait profiter d'une arthroscopie et résection partielle de la corne postérieure du ménisque +/- suture de celui-ci. L'indication opératoire est théoriquement donnée. Mr. Y doit d'abord se renseigner auprès de son assurance s'il est assuré pour cette intervention. Il me recontactera une fois la situation éclaircie. Dans l'attente de ses nouvelles, je reste à disposition. Nous ne retenons pas de date opératoire pour le moment. L'IRM effectuée à IDMG (mise sur le PACS), montre une déchirure de 80% du tendon sus-épineux de l'épaule droite. Nous prenons l'avis du Dr. X, orthopédiste et un suivi en policlinique d'orthopédie a été programmé pour le 23.04.2019. La suite de la prise en charge sera à évaluer lors de la consultation en policlinique en fonction de l'évolution. De plus, Mr. Y va garder le bras dans une attelle pour épaule. Un arrêt de travail de 15 jours a été fait. L'IRM effectuée confirme la présence du matériel tendineux suffisant pour pouvoir effectuer une suture. Nous proposons à Mr. Y une suture ouverte du tendon extenseur au niveau de l'IPD du dig. III ainsi qu'une arthrodèse temporaire pendant 6 semaines. Mr. Y est informé du déroulement, des risques ainsi que des bénéfices de l'intervention et nous donne son accord en signant le formulaire de consentement éclairé. L'intervention est planifiée pour le 08.04.2019 en ambulatoire. En ce qui concerne l'hyperextension de l'IPP, Mr. Y va débuter dès aujourd'hui un traitement par une attelle en 8 et une flexion de 10°. Ce traitement est également à poursuivre en postopératoire.L'IRM et le contrôle clinique montre encore une symptomatologie de la lésion du Lisfranc. Dans un premier temps, nous lui prescrivons une semelle rigide puis nous organisons une infiltration. Nous le reverrons 2 semaines après ce geste. En cas d'échec de ce traitement, nous pourrions envisager une arthrodèse du Lisfranc. Le patient travaille comme agriculteur et souhaiterait éviter l'intervention. Prolongation de l'arrêt de travail à 75%. L'IRM et les RX disponibles sur le PACS montrent un arrachement osseux du sous-scapulaire. La rétraction est modérée. Je remplis avec le patient le formulaire d'information et de consentement en vue d'une prise. L'IRM faite à l'extérieur montre un arrachement de la malléole interne droite. Après avis de Dr. X, nous mettons en place une botte plâtrée et le patient prendra un rendez-vous en policlinique pour évaluer la pose d'un VacoPed. Nous mettons en place des cannes et pas de Clexane car le patient est en âge de prépuberté. Le patient sort avec antalgie et arrêt du sport. L'IRM met en évidence la persistance d'une bursite sous-acromiale, nettement moindre que sur l'examen précédent où on avait un épanchement important. Tendinopathie du sus-épineux sans lésion. Le biceps est bien guidé. Sous-scapulaire et sous-épineux intacts. L'IRM met en évidence un acromion type II avec une tête bien centrée, éventuel œdème au niveau de la clavicule latérale et un intervalle un peu lâche sans réelle subluxation du long chef du biceps ni remaniement à ce niveau. L'IRM met en évidence une ancre du biceps stable. Un labrum antérieur plutôt volumineux, désinséré avec le périoste antéro-inférieurement, sans infiltration de liquide articulaire ou là-dedans. Il est bien latéral par rapport à la glène, prolongeant la concavité. Minime encoche de Hill-Sachs avec œdème postérieur sur la tête. Le reste de l'examen est sp. L'IRM met en évidence une petite lame de liquide sous-acromial. La partie antérieure de l'acromion en regard de l'intervalle où il y a également un petit œdème sans lésion structurelle. Le LCB est bien guidé. L'IRM montre des séquelles d'une luxation gléno-humérale antérieure. Nous proposons au patient de réaliser un CT afin de compléter le bilan et de le revoir afin de discuter d'une stabilisation chirurgicale arthroscopique. L'IRM montre un tout petit début d'arthrose entre le 3ème métacarpien et grand os. Pas de kyste. Pas de bosse carpienne dans le propre sens du terme. L'IRM montre une bursite pré-achilienne et une tendinite de l'insertion du tendon d'Achille G. Dans un premier temps, nous allons essayer de calmer les douleurs avec une infiltration au niveau de la bourse pré-achilienne. Concernant la tendinite, avant d'envisager une chirurgie avec une réhabilitation importante, nous essayerons avec cette infiltration. Comme elle a bénéficié dernièrement d'une infiltration sacro-iliaque, nous prévoyons celle-ci dans 3 semaines au minimum. Nous la reverrons 2 semaines après ce geste. L'IRM montre une légère atrophie musculaire du point de vue du volume mais pas du tout dans la qualité osseuse et on peut suivre le muscle jusqu'en dessous du bord antérieur du deltoïde, on le perd ensuite. L'IRM montre une rupture dégénérative du sus-épineux avec une rétraction du 2ème degré avec une bonne musculature du sus-épineux conservée. Le reste de la coiffe des rotateurs est sans particularité. L'IRM montre une spondylose avec une discopathie multi-étagée surtout au C4-C6, la sortie des racines paraît réduite. L'IRM n'a pas montré de vraie lésion du TFCC. A l'IRM, on voit une élongation sans nette rupture. Bonne centralisation. Au niveau de la subluxation de la tête radiale, elle s'est bien remise après le traumatisme par ostéosynthèse du radius diaphysaire. Il montre une légère laxité au niveau du collatéral radial sans subluxation. Nous discutons avec le patient et sa maman de la suite du traitement. Flexion/extension du coude libre selon douleurs, également au niveau du poignet. Prosupination passive en extension du coude pour protection du ligament collatéral au niveau du coude. Exercices en ergothérapie. Pas de charge pour 6 semaines. Protection avec une attelle Munster, libre en flexion/extension du coude et du poignet. Prochain contrôle à 6 semaines de l'intervention. L'IRM native confirme le diagnostic d'une gonarthrose tricompartimentale du genou G. Je propose à Mme. Y une infiltration par cortisone pour soulager les douleurs ainsi qu'un traitement par physiothérapie. La patiente est d'accord avec cette attitude et l'infiltration est prévue pour le 10.04.2019 à l'HFR Riaz. À long terme, Mme. Y aura probablement besoin d'une implantation de prothèse totale du genou G. Pour le moment, l'indication n'est pas donnée. L'IRM native du genou D du 20.03.2019 peut exclure une atteinte méniscale interne ou une atteinte ligamentaire interne. Je n'ai donc rien qui puisse expliquer les douleurs décrites par le patient. Mr. Y n'a aucune douleur du côté externe où il a bénéficié d'une méniscectomie partielle et où l'on voit une lésion cartilagineuse stade IV. Je propose de continuer la physiothérapie à but antalgique pour tonifier la musculature et entraîner la proprioception. En cas d'échec de cette physiothérapie, on pourrait discuter une éventuelle infiltration par cortisone. Pour le moment, l'indication pour une infiltration n'est pas donnée. Je revois le patient dans six semaines pour une réévaluation clinique ou plus tôt en cas de péjoration. Le patient travaille à 100%. L'IRM native du genou gauche du 08.04.2019 a pu exclure une fracture du plateau tibial et montre, à part quelques lésions cartilagineuses, une distorsion marquée du ligament collatéral interne qui explique parfaitement la douleur décrite par le patient. Vu l'amélioration clinique spontanée, je n'ai pas de proposition thérapeutique pour Mr. Y. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Un contrôle d'emblée chez moi n'est pas prévu. Il me recontactera en cas de besoin. L'IRM permet d'exclure une lésion post-traumatique au niveau cervical. Concernant la discopathie visualisée, nous ne posons pas d'indication pour un traitement particulier au vu de la symptomatologie presque inexistante pour l'instant. L'évolution étant très favorable au niveau sacro-iliaque suite à l'infiltration, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle d'office mais restons à disposition au besoin. L'IRM permet d'exclure une lésion structurelle nécessitant une prise en charge chirurgicale. Au niveau des tendons péroniers, il s'agit d'une réaction inflammatoire suite à la guérison et au traumatisme. Nous lui prescrivons une manche de compression pour la cheville. Elle peut commencer la physiothérapie. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. L'IRM qui était prévue dans le contexte des cervicalgies ne met en évidence aucune lésion traumatique et l'examen neurologique est sans particularité. Nous laissons donc le patient rentrer à domicile sans modification du traitement et des conseils qui avaient été mis en place à la consultation du 02.04. Lisinopril dès le 07.04.2019 Lisinopril dès le 23.04.2019 Lisinopril 10 mg dès le 08.04.2019 Esidrex 12.5 mg dès le 10.04.2019 Lisinopril 30 mg/j, Bisoprolol 5 mg/jIntroduction d'Amlodipine 5 mg/j le 02.04.2019 • 10 mg/j dès le 05.04.2019 Lisinopril 5 mg dès 08.04.2019 • 10 mg dès 10.04.2019 • Suivi tensionnel journalier Lisinopril 5 mg dès 15.04.2019 • Surveillance clinique • Suivi tensionnel et adaptation du traitement pendant le séjour en gériatrie Lisinopril 5 mg introduit dès le 16.04.2019. • Suivi du profil tensionnel chez le médecin traitant le 25.04.2019. Lisitril 125 mg • Meto Zerok dosage non connu • Januvia 500 mg • Glycazide 30 - 0 - 60 Lit monitoré stroke unité du 22.04.19 au 23.04.19 • CT cérébral avec carte de perfusion et vaisseaux pré-cérébraux le 22.04.2019 • Ponction lombaire le 22.04.2019: sp (y.c. résultats CHUV) • IRM le 23.04.2019 • Echocardiographie transthoracique 24.04.2019 Aspirine le 22.04.2019 puis Clopidogrel dès le 23.04.2019 • Lisinopril dès le 23.04.2019 Pas de conduite durant 1 mois. • Holter de 72h à organiser. • Traitement antihypertenseur à adapter • Discuter réalisation bilan à la recherche d'hypertension secondaire Lit nimbus • Soins locaux • Antalgie fixe et antalgie de réserve et pré-soins locaux, Palexia depuis le 20.03, Switch à Fentanyl depuis 22.03.2019 • Avis téléphonique Dr. X (Chirurgie): poursuite des soins locaux actuellement, l'opération avec greffe de lambeaux n'est actuellement pas indiquée • Demande de consilium stomathérapie et suivi des plaies le 27.03.2019 en raison de l'ouverture spontanée de l'escarre: • Protocole talon : tous les 2 jours: Betadine tulle, Mepilex Border • Protocole sacrum: tous les 2 jours: rincer la plaie avec Microdacyn, Morphine gel, Adaptic Touch, compresses, Actisorb Silver, fixé avec Mefix ou Micropore Lit strict durant 24 h • Surveillance neurologique Lit strict jusqu'au 03.03.2019 Lit strict • Défi procédure le 29.04 • Antalgie Oxycontin 10 mg 2x/j + Oxynorm en R Lithémie en cours, TSH en cours, Leucocytes: 13.8 G/l, Hb 165 g/l, plaquettes: 332 G/l Lithiase biliaire connue. Lithiase biliaire récidivante symptomatique. • Éruption maculopapuleuse confluente au niveau des membres supérieurs des deux côtés le 22.02.2018 sur probable dermite allergique de contact. • Suspicion de portage de germes résistants: • Hospitalisation récente au Portugal. • Recherche MRSA aisselles, narines et plis inguinaux: négatif. • Recherche ESBL rectum: positif pour K. pneumoniae et E.Coli. • Douleur thoracique dans un contexte de bronchite virale au décours. Lithiase de l'uretère proximal droit Lithiase néphrétique droite de 5x3 mm dans le méat de l'uretère vésical droit. • dilatation du pyélon de 10 mm à droite. • Thyroïdectomie partielle en 1986. • Cystocèle C2 et défaut de transmission urétrale de type II chez une patiente de 53 ans, 6G 5P, ménopausée non substituée • Status post 1 césarienne. • Status post 4 AVB. • 1 fausse couche spontanée. • 2014: drainage abcès vulvaire droit. • Cure de cystocèle par laparoscopie avec Burch 2015. Lithiase rénale droite. • Lithiase rénale droite le 22.04.2019. • Lithiase rénale gauche asymptomatique le 13.04.2019 de 8x5 mm à 1 cm au-dessus de la jonction urétéro-vésicale. • Lithiase urétérale droite de 1 mm le 16.04.2019. • Lithiase urétérale droite 3x6x9 mm. • Lithiase urétérale droite 3x6x9 mm le 04.04.2019. • Laboratoire. • Status urinaire: sang ++++. • Uro-CT le 04.04.2019: lithiase uretère proximal 3x6x9 mm. • Avis urologue de garde : transfert au Daler pour urétéro rénoscopie le 05.04. Lithiase urétérale gauche proximale de 5x4 mm. Lithiase urinaire. Lithiase urinaire à la jonction urétéro-vésicale à droite le 29.04.2019 • dilatation pyéocalicielle en regard. Lithiase urinaire à répétition. • Prostatisme sur HBP. • s/p ulcère duodénale en 2009. Lithiase urinaire bilatérale avec globe vésical, le 10.04.2019 • calcul au niveau du groupe caliciel moyen du rein droit à 2x4 mm. • calcul dans le groupe caliciel inférieur du rein gauche à 3x3 mm. • pas de dilatation du système collecteur et de la cavité pyélocalicielle. • status radiologique superposable au CT du 05.04.2019. Lithiase urinaire bilatérale le 05.04.2019 avec: • calcul au niveau du groupe caliciel moyen du rein droit à 2x4 mm. • calcul dans le groupe caliciel inférieur du rein gauche à 3x3 mm. • pas de dilatation du système collecteur et de la cavité pyélocalicielle. Lithiase urinaire de 7 mm à gauche en distal de la jonction pyélocalicielle le 25.04.2019 avec : • Dilatation pyéocalicielle à 16 mm. Lithiase urinaire droite. Lithiase urinaire gauche de 7x4x9 mm au niveau de la jonction pyélo-urétérale le 25.02.2019 avec: • dilatation du pyélon gauche à 13 mm. Lithiase vésiculaire avec suspicion de cholécystite aiguë lithiasique. Lithiase vésiculaire symptomatique. Lithiase vésiculaire symptomatique avec coliques biliaires à répétition. Lithiases biliaires récidivantes symptomatiques. • Suspicion de portage de germes résistants: • hospitalisation récente au Portugal • recherche MRSA aisselles, narines et plis inguinaux: négatif • recherche ESBL rectum: positif pour K. pneumoniae et E.Coli. Lithiases rénales • St post cure hernie discale lombaire en 2000. Mme. Y est une patiente de 10 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleur en fosse iliaque droite associée à un état fébrile. A l'examen clinique nous objectivons une défense en fosse iliaque droite avec signe de Psoas positif. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire et le bilan radiologique par ultrason confirme le diagnostic d'appendicite aiguë. Mme. Y bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique en urgence le 27.03.2019, qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général le 28.03.2019. Lixiana mis en suspens du 25.02.19 au 08.04.19 • Heparine IV du 25.02.19 au 28.02.19 • Clexane thérapeutique du 28.02.19 au 08.04.19 Il s'agit d'un patient de 46 ans qui a consulté les urgences de l'HFR Fribourg le 11.04.2019 où un CT avait montré la présence d'un calcul de 3 mm de l'uretère distal gauche. Un traitement conservateur avait alors été mis en place. Le 12.04.2019, Mr. Y présente une récidive de ces mêmes douleurs, motivant une consultation aux urgences de l'HFR Riaz le 13.04.2019. L'anamnèse révèle une pollakiurie et des brûlures dans la verge, sans fièvre mais avec une sensation de chaleur et des sueurs importantes. Un épisode de nausées, spontanément résolu, pas de trouble du transit, pas d'antécédent de chirurgie abdominale. A l'examen clinique, Mr. Y est apyrétique à 36,4°, paramètres vitaux dans la normale. A l'examen digestif, bruits hydroaériques présents, abdomen souple, douloureux lors de la palpation sus-pubienne, de la fosse iliaque gauche et du flanc gauche, ainsi qu'à la percussion de la loge rénale gauche, sans défense, ni détente. Pas d'organomégalie palpée. Le bilan biologique est dans la norme hormis une créatinine à 120 umol/l. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie pour gestion de l'antalgie et filtrage des urines. L'évolution est favorable, avec expulsion du calcul, envoyé pour analyse et dont le résultat est annexé. Les douleurs disparaissent et Mr. Y peut retourner à domicile le 15.04.2019 et il sera revu à votre consultation pour un suivi clinique et biologique. Lobectomie D • AVP avec traumatisme thoracique le 09.06.2017 Lobo-isthmectomie à gauche le 10.04.2019 (Prof. X) Logopédie : thérapie en ambulatoire pour un suivi de contrôle 1x/mois à Meyriez (RDV le 25.04) • Contrôle du K+ en ambulatoire recommandé • Contrôle neurologique à distance chez le Dr. X Lombalgie.Lombalgie Lombalgie Lombalgie aiguë. Lombalgie aiguë chronique le 02.04.2019. • non déficitaire. Lombalgie aigüe le 26.04.2019. Lombalgie aigue le 28.04.2019 Lombalgie aigüe non déficitaire. Lombalgie aiguë non déficitaire avec contracture paravertébrale. Lombalgie aigue non déficitaire d'origine probablement musculo-squelettique. Lombalgie aiguë non déficitaire le 10.04.2019. Lombalgie aiguë non déficitaire le 10.04.2019. S/p OP pour varicocèle gauche en 1998 au Portugal. Lombalgie aiguë non déficitaire le 15.04.2019. Lombalgie aigue non déficitaire le 28.04.2019. Lombalgie aigue non déficitaire le 29.03.2019 • s/p cure d'hernie discale lombaire et canal lombaire étroit, pose d'une plaque en titane en 2011 • radiographie le 28.03.2019 : pas de fracture (Hôpital d'Yverdon). Lombalgie aiguë non déficitaire (lumbago) le 09.04.2019. Lombalgie aiguë non-déficitaire. Traitement symptomatique. Lombalgie aiguë sans critères de gravité, avec : Lombalgie avec irradiation. Lombalgie avec irradiation dans la jambe. Lombalgie avec irradiation (suspicion de radiculopathie sans trouble ni de motricité ni du contrôle sphinctérien). Lombalgie basse, coxalgies D et gonalgies D suivies par le Dr. X. • Suivi psychiatrique débuté depuis 4 semaines pour pathologie dont la patiente ne souhaiterait pas encore parler. Lombalgie chronique avec cruralgie aiguë. Lombalgie d'origine indéterminée avec irradiation sur le flanc droit. DD pariétal, coprostase, infection urinaire débutant. Lombalgie droite aiguë sur contractures musculaires paravertébrales non déficitaire sans signes de gravité, avec : Lombalgie droite aiguë. Traitement symptomatique. Dépression. Lombalgie et omalgie droite. Lombalgie gauche L4-L5 non déficitaire le 01.04.2019. Lombalgie invalidantes, non déficitaires le 29.03.2019, sur faux mouvement. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire atraumatique le 24.03.2019. Lombalgie non déficitaire bilatérale le 21.11.2014. • Contracture du trapèze à gauche. Lombalgie non déficitaire le 01.04.2019. Lombalgie non déficitaire le 02.04.2019. Lombalgie non déficitaire, le 03.04.2019. Lombalgie non déficitaire le 04.04.2019. Lombalgie non déficitaire le 11.05.2016. Lombalgies non déficitaires 19.09.2016. Lombalgie non déficitaire le 16.04.2019. Lombalgie non déficitaire le 21.04.2019. Lombalgie non déficitaire le 22.04.2019. Lombalgie non déficitaire. • IRM en mai 2017 : Discopathie L3-L4 et L4-L5 avec débord discal aux deux niveaux, avec probable déchirure annulaire focale postérieure. Rétrécissement canalaire au plus marqué en L4-L5 sur débord discal et pédicule court. Lombalgie non-déficitaire, le 09.04.2019. Lombalgie non-déficitaire le 21.10.2016. • Tumeur ORL en 1987. • Status post résection colique antérieure basse par scopie en 2006 pour des diverticulites à répétition. • Status post intervention ORL en 2006 pour néoplasie cervicale droite. • Status post cure de hernie inguinale droite. • Status post cure d'hernie discale. • Douleurs des membres inférieurs d'origine probablement musculaire. • apparition à la marche dès 500 mètres. • pouls périphériques palpables. DD : contusion musculaire, courbature, myosite sur statine, artériopathie des membres inférieurs, canal lombaire étroit. Douleurs neurogènes aux deux cuisses. DD : artériopathie des membres inférieurs. Hémoptysie sur foyer pulmonaire bilatérale en décembre 2013. Troubles de l'équilibre d'étiologie indéterminée le 21.01.2016. • Schellong négatif le 21.01.2016. • Hallpike négatif le 22.01.2016. • test de Tinetti à 27/28 du 26.01.2016. • résolution symptomatique. DD : vertiges orthostatiques, VPPB, neuronite vestibulaire, polyneuropathie des membres inférieurs. Crise hypertensive le 01.04.2017 et le 17.07.2018. • Epistaxis gauche dans le contexte de crise hypertensive. Douleurs abdominales avec trouble du transit chronique le 19.01.2018. • connu pour une résection colique sur diverticulite à répétition en 2006. Epigastralgies. • probablement dans le contexte de la constipation. Lombalgie non-déficitaire le 23.04.2019. Lombalgie, sans signes de sciatalgie, avec : • déficit du réflexe achiléen gauche (nouveau ?). Lombalgies Lombalgies Lombalgies Lombalgies Lombalgies Lombalgies Lombalgies Lombalgies Lombalgies Lombalgies Lombalgies Lombalgies Lombalgies Lombalgies Lombalgies LombalgiesLombalgies. Lombalgies aigües d'origine musculaire non déficitaire le 23.04.2019. Lombalgies aigües le 02.09.2016 Cystite simple le 02.10.2016 Idéation suicidaire avec hospitalisation volontaire à Marsens en novembre 2016 Entorse de stade 1 de la cheville droite diagnostiquée en novembre 2017 (traumatisme en juillet 2017). Lombalgies aigües non déficitaires atraumatiques le 30.04.2019. Lombalgies aigües non déficitaires. Lombalgies atraumatiques. Lombalgies atraumatiques non déficitaires. Lombalgies avec irradiation au MIG type sciatique L4-L5 sur probable hernie discale L4-L5. Lombalgies basses à droite sur : • probable lyse isthmique objectivée sur IRM en 2017 VS mal posture du rachis • probable décompensation sacro-iliaque droite Lombalgies basses bilatérales mécaniques sur fracture en H du sacrum en 2006 Syndrome polymyalgiforme cortico-résistant Ataxie fluctuante d'étiologie indéterminée avec troubles de la marche et chutes à répétition Démence avancée avec état anxieux et idéations persécutoires • Maladie d'Alzheimer avec MMS à 12/30 (05.05.2014) Bradycardie sinusale à 58/min Insuffisance rénale chronique Lombalgies bilatérales non-déficitaires. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques à droite sur discopathies étagées HTA traitée Maladie de Ménière État anxio-dépressif Lombalgies chroniques d'origine multifactorielle avec : • Infiltration médullaire diffuse par métastases d'un carcinome urothélial nouvellement diagnostiqué (28.03.19) • Anomalie de transition lombo-sacrée avec arthrose facettaire L5-S1 et L4-L5 à prédominance D • Lombalisation de S1 • Agénésie de l'hémicorps G de S1 avec légère scoliose sinistro-convexe de la charnière lombo-sacrée Suivies par l'équipe d'antalgie. Lombalgies chroniques exacerbées avec sciatalgie G connues depuis 2014 • IRM 28.02.2019 (Inselspital) : arthrose activée lombaire basse. Ostéochondrose activée LWK5/SWK1 avec hernie discale paramédiane D et tangentielle à la racine S1 à D. Hypersignal en T2w dans le neuroforamen BWK 1/2 à G de la racine du nerf correspondant, qui pourrait correspondre avec un Kyste DD Schwannome. Lombalgies chroniques : • IRM lombaire faite le 25.11.2015 à St-Thérèse. État dépressif traité. Lombalgies chroniques sous MST. Suivi en Rhumatologie. Lombalgies chroniques sur canal lombaire étroit. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec risque de chute. Tabagisme actif. Lombalgies chroniques sur hernie discale L4-L5. Lombalgies chroniques Troubles dépressifs légers sous Mirtazapine. Lombalgies chroniques. Diabète cortico-induit. Lombalgies communes simples. Lombalgies dans le contexte post-opératoire le 01.04.2019 • cage Synfix L4-L5-S1 le 14.01.2019 pour discopathie L5-S1 évolutive et comblement du foramen L5-S1 surtout du côté gauche avec anomalie Modic II des plateaux vertébraux. Lombalgies droites. Lombalgies droites non déficitaires. Lombalgies droites non-déficitaires atraumatiques. Lombalgies droites sur trouble dégénératif. Lombalgies gauches chroniques. Lombalgies gauches le 17.04.2019 • avec absence du réflexe achilléen gauche • pas de red flags. Lombalgies L4-5 et L5-S1 chroniques non déficitaires le 14.03.2019, sur probable syndrome facettaire • Questionnaire DN4 douleur neuropathique 0/10. Lombalgies mécaniques sur mauvaise attitude posturale et discopathie débutante L4-L5 et L5-S1 • Découverte fortuite d'une lésion intra-canalaire et intra-durale postérieure, infracentimétrique en L2-L3. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires, le 01.04.2019. Lombalgies non déficitaires le 28.01.2019. Entorse cheville droite le 23.08.2017. Déhiscence plaie face palmaire de P2 Dig III main D sur : status post débridement, extraction corps étrangers (béton) et suture cutanée d'une plaie profonde de P2 Dig III main droite avec corps étrangers millimétriques, le 25.07.2018 ; antibiothérapie par co-amoxicilline jusqu'au 30.07.2018. Exploration, débridement, rinçage, biopsies pour bactériologie, fermeture de la plaie P2 Dig III main droite (OP le 20.08.2018). Lombalgies non déficitaires le 29.04.2019. Lombalgies non déficitaires non traumatiques d'origine probablement musculaire. Lombalgies non déficitaires sur chute le 05.02.2019. Lombalgies non déficitaires. Ancien tabagisme actif à plus de 100 UPA, stoppé en fin décembre. Possible syndrome obstructif débutant sur tabagisme avec : • VEMS/CVF à 80 % • VEMS à 83 % • CRF à 134 %. Lombalgies non déficitaires D • avec symptômes pseudo-radiculaires. Lombalgies persistantes L5 non déficitaires début en juin 2018 : • IRM le 28 septembre 2018 : pointe herniaire médiane dans un contexte de discopathie en L5-S1 sans aucun conflit radiculaire en position d'examen. Lombalgies post traumatisme lombaire le 30.08.2013 sur troubles dégénératifs avec • discopathie L5-S1, arthrose facettaire postérieure L4-L5 et L5-S1 Status post luxation acromio-claviculaire épaule gauche, type Tossy I en 2009.Status post contusion avec hématome péri-orbitaire G en juin 2013. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 21.04.2016. Gastro-entérite le 15.11.2014. Lombo-sciatalgies non déficitaires le 03.04.2017. Malaise d'origine probablement vagal le 02.04.2017 • dans le contexte d'une douleur vive • avec traumatisme crânien sans perte de connaissance. Lombalgies post-traumatisme lombaire le 30.08.2013 sur troubles dégénératifs avec • discopathie L5-S1, arthrose facettaire postérieure L4-L5 et L5-S1. Status post luxation acromio-claviculaire épaule gauche, type Tossy I en 2009. Status post contusion avec hématome péri-orbitaire gauche en juin 2013. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 21.04.2016. Gastro-entérite le 15.11.2014. Lombo-sciatalgies non déficitaires le 03.04.2017. Malaise d'origine probablement vagal le 02.04.2017 • dans le contexte d'une douleur vive • avec traumatisme crânien sans perte de connaissance. Lombalgies post-contusionnelle sur lombalgies chroniques le 03.01.2019, sans fractures visualisées à l'imagerie. Hypoesthésie de DI-DIII et paraparésie DI-DII à droite main dominante d'origine indéterminée le 05.01.2019, non bilané par ENMG prévu en mars car résolution de la symptomatologie. Iléus mécanique sur brides 01/2016. Splénectomie en 2001. Appendicectomie en 1988. Lombalgies post-traumatiques non déficitaires. Lombalgies simples non irradiantes le 03.04.2019. Lombalgies sur : • Status post-abord rétropéritonéal par la G, décompression ddc avec ouverture de la partie de l'anulus postérieur L5-S1 gauche, extraction de la hernie discale et mise en place d'une cage Synfix 12 mm, 14°, pré-remplie de Ceracell avec correction de la lordose à l'aide de deux vis 25 mm en S1 et des vis 20 mm au niveau L5 ainsi que discectomie L4-L5 avec décompression ddc, mise en place d'une cage Synfix 12 mm 14° pré-remplie de Ceracell avec correction de la lordose et fixation par quatre vis de 20 mm le 14.01.2019, compliqué par un volumineux lymphocèle de 90x60x163 mm au niveau de la fosse iliaque G, drainé sous US le 29.01.2019 • Status post-cure de hernie L5-S1 G et discectomie L5-S1 le 06.01.2017. Lombalgies territoire S1 à droite, non déficitaires • sur probable hernie discale L5-S1 (IRM septembre 2018). Lombalgies territoire S1 D non déficitaire hyperalgique le 20.04.2019 sur : • hernie discale médiane et paramédiane droite L5-S1 très probablement conflictuelle avec la racine S1 droite à son émergence (IRM 17.04.2019). Lombalgies territoire S1 D non déficitaire • sur probable hernie discale L5-S1 (IRM septembre 2018). Lombalgies, tremblements, exsudation. Lombo sciatalgie déficitaire. Lombocruralgie L3/L4 hyperalgique le 15/04/19. Lombocruralgie L4 droite sur sténose foraminale L4 droite en raison d'une petite hernie discale ainsi qu'une arthrose avec : • status post-infiltration péri-radiculaire extra-foraminale L4-L5 droite en décembre 2018 et janvier 2019 et status post-infiltration péridurale L4-L5 en janvier 2019. Status post-herniectomie L4-L5 gauche (1989). Lombo-cruralgies aigües. Lombocruralgies bilatérales non déficitaires le 08.04.2019. Lombo-cruralgies droites non déficitaires atraumatiques le 03.04.2019. Lombo-cruralgies droites non traumatiques avec : • Lasègue positif à D à 30° • Abolition du réflexe ostéo-tendineux ROT quadriceps droit • hypoesthésie territoire L4-L5 membre inférieur droit. Antalgie par Morphine iv aux urgences. Hospitalisation en médecine. Oxynorm et Oxycontin. Sirdalud. Prednisone 20 mg du 12 au 16.03.2019. Prégabaline. Voltarène. IRM lombaire. Avis neurochirurgical le 13.03.19 (Dr. X) : hernie intra-foraminale L4. Recommande infiltration intra-foraminale par radiologue. Infiltration 18.03 CT-guidée avec amélioration moyenne. Rendez-vous à la Spine Team - HFR Fribourg - le 04.04.2019. Lombo-cruralgies G non compliquées. Lombocruralgies le 16.04.2019 avec réflexes ostéotendineux rotulien droit aboli, pas de déficit moteur, pas de déficit sensitif. Lombocruralgies L4 gauches. Lombocruralgies L4 gauches non déficitaires. Lombocruralgies non déficitaires G. Lombocruralgies persistantes et en aggravation sur suspicion de radiculopathie L3 et sur : • status post-décompression récessale et foraminale L3-L4 par la D le 18.01.2019 pour sténose foraminale L3-L4 D sur discopathie du segment adjacent L3-L4 • Status post-AMO système Viper L3-S1 le 15.01.2018 pour un chambrage autour des vis avec infection du matériel de spondylodèse à Proprionibacterium acnes • status post spondylodèse percutanée L3-S1 par système Viper (vis 6.5/45 en L3, L5 et S1 et 6.5/40 en L4) le 16.01.2017 pour scoliose lombaire et arthrose facettaire multi-étagée dans le contexte d'une discarthrose diffuse. • status post cure de hernie discale L2-L3 D le 29.08.2014 pour des lombo-cruralgies non déficitaires hyperalgiques sur hernie discale L2-L3 D luxée vers le bas. Lombo-radiculopathie bilatérale non déficitaire le 11.04.2019 • Récidive de hernie discale L4-L5 G sur discopathie sévère L4-L5 • Status post cure de hernie discale L4-L5 paramédiane G en septembre 2013 • S/p Spondylodèse percutanée L4-L5 par système Romeo MIS (vis 6.0/50) Discectomie L4-L5 en 2018. Lombo-sacralgie. Lombosacralgies non déficitaires le 10.04.2019. Lombosciatalgie aiguë atraumatique et non déficitaire récidivante à gauche. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque palmaire Aptus d'une fracture radius distal D le 07.08.10. Status post fistule anale en 1980. Status post appendicectomie en 1981. Status post annexite et ovariectomie D en 2008. Fracture sous-capitale humérus D avec impaction en varus type AO 11-A.2 • Réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos humérus D (OP le 09.01.2014). F43.9 Réaction à un facteur de stress sévère. Douleur atraumatique du pied sans critère de gravité avec : • probable tendinopathie des extenseurs statiques du pied. Lombo-sciatalgie aigüe non déficitaire le 26.04.2019. Lombosciatalgie aiguë, non déficitaire et non-traumatique le 01.05.2018. Examen clinique. Sédiment urinaire : Traitement AINS et anti-douleurs. Contrôle à 7 jours chez le médecin traitant. Pyélonéphrite droite le 06.09.18. Lombosciatalgie bilatérale. Lombosciatalgie bilatérale (gauche > droite) déficitaire sur : Lyse isthmique et spondylolisthésis grade I selon Meyerding L5/S1 et sténose foraminale bilatérale L5-S1. Lombosciatalgie bilatérale non déficitaire le 30.04.2019. Lombo-sciatalgie droite le 27.04.2019. Lombosciatalgie droite, non déficitaire. Lombosciatalgie droite non déficitaire. Lombosciatalgie gauche avec : • radiculopathie L5 et dans une moindre mesure S1 avec composante aiguë et chronique à l'ENMG de novembre 2018. • hernie discale L4-L5 gauche luxée en avril 2008 (Dr. X) • micro-discectomie L4-L5 gauche en urgence, le 03.04.2008 (Dr. X) • réintervention en urgence après récidive de hernie, en mars 2009 (Dr. X) • micro-discectomie L4-L5 gauche pour récidive de hernie, le 03.02.2010 (Dr. X) • spondylodèse L3-S1 avec système NFlex, le 05.03.2010 (Dr. X) • fusion intervertébrale lombaire antérieure L5-S1 (ALIF) avec cage dynamique en raison d'une pseudarthrose L5-S1 post spondylodèse, compliquée par un hématome de la paroi abdominale, le 23.03.2011 (Dr. X). Atrophie de la musculature glutéale gauche. Suspicion de syndrome douloureux régional complexe (CRPS) de type I du pied D avec : • status post fracture de fatigue de l'os cuboïde D en mai 2016, d'origine ostéoporotique non exclue. Scintigraphie osseuse (26.10.2016) hyperpigmentation précoce et tardive tarsienne D compatible avec une fracture de fatigue récente. Allergie aspécifique à la Pénicilline et Cobalt (allergie aux métaux et huile de coupe). Inégalité de longueur des membres inférieurs de 2 cm en défaveur de la gauche • prescription de chaussures orthopédiques avec compensation de 2 cm. BPCO de stade III selon Gold. Tabagisme actif à 40 UPA. Psoriasis vulgaire avec eczéma de contact. Suspicion de spondylarthropathie dans le contexte de psoriasis. Suspicion de maladie inflammatoire chronique MICI (en attente de colonoscopie). Rhinite allergique Lombosciatalgie gauche non déficitaire. Lombosciatalgie gauche non déficitaire. Lombosciatalgie gauche, non déficitaire en février 2011. Opération d'hernie inguinale droite. Amygdalectomie Crise de goutte Lombosciatalgie gauche, non déficitaire en février 2011. Opération d'hernie inguinale droite. Amygdalectomie Crise de goutte. Lombo-sciatalgie gauche non déficitaire le 15.04.2019. Status post hernie discale lombaire il y a 2 ans. Lombo-sciatalgie gauche non déficitaire sur hernie discale L4-L5 connue le 07.04.2019. Lombosciatalgie G. Status post PTH G, le 30.11.2017. Lombosciatalgie L3/L4 gauche non déficitaire. Lombosciatalgie L5 D avec déficit sensitivo moteur subaigu sur hernie discale paramédiane L4-L5 D, en conflit avec la racine L5 (IRM du 27.03.2019) Lombosciatalgie L5 gauche non déficitaire Lombosciatalgie L5 gauche non déficitaire Lombosciatalgie L5 non déficitaire hyperalgique le 20/04/19 Lombosciatalgie non déficitaire le 22.04.2019. Lombosciatalgie non déficitaire le 26.03.2019 • dorsalgies chroniques arthrosiques Lombosciatalgie non déficitaire L4-L5 gauche post-opératoire (le 19.10.2016 par le Dr. X) Avis orthopédique : augmentation de l'antalgie avec Ecofenac, Dafalgan, Novalgine, Tramal en réserve. Lombosciatalgie non déficitaire L5 le 31.03.2019. Lombosciatalgie non-déficitaire sans Red Flags le 21.06.2018 Lombosciatalgie non-déficitaire sans red flags le 21.06.2018 Lombosciatalgie non-déficitaire sans red flags le 21.06.2018 Antalgie RDV c/o rhumatologue dans 10 jours Lombosciatalgie post-traumatisme. Néphrectomie gauche en 2011. Lombosciatalgie symptomatique le 28.04.2019. Lombosciatalgies. Lombosciatalgies. Lombosciatalgies. Lombo-sciatalgies à droite non déficitaires le 23.02.2016. Gastrite aigue. Lombosciatalgies aigües Lombosciatalgies aigues droites, dermatomes L5-S1, avec déficit de force à l'extension de l'hallux droit (4/5). Lombosciatalgies aigues L4-5 et S1, membre inférieur droit. Lombosciatalgies aiguës sur chroniques gauches, dans le territoire L4-L5, non déficitaires. Lombosciatalgies basses irradiant dans la jambe G dans les territoires L2 à S1 avec diminution de la sensibilité sur: • sténose canalaire L2-L3, L4-L5 • sténose foraminale L4-L5 G • hypertrophie du ligament jaune • arthrose facettaire pluri-étagée, surtout marquée en L4-L5 D Lombosciatalgies bilatérales irradiantes dans les faces antérieures des deux cuisses chez un patient connu pour : • status post-herniectomie L4-L5, discectomie L4-L5 par abord D, mise en place d'une cage TLIF SteriSpine, ainsi que spondylodèse L4-L5 par système Safe Orthopaedics le 24.06.2016 pour une hernie discale L4-L5 à base large, avec rétrécissement canalaire à cette hauteur • syndrome sacro-iliaque bilatéral • facetopathie L5-S1 Lombosciatalgies bilatérales non déficitaires avec légères paresthésies des deux membres inférieurs avec légère hypoesthésie prétibiale droite. • Réflexes ostéotendineux rotuliens hypovifs ddc. • Réflexes ostéotendineux achiléens normovifs ddc. Lombo-sciatalgies chroniques acutisées sur canal lombaire étroit 2010: • Avec discopathies associées à des protrusions disco-ostéophytaires pluri-étagées et arthrose postérieure de L2 à L5 • Hypoesthésie L5-S1 gauche avec paraparésie à environ M4 des muscles du membre inférieur gauche • Laminectomie L2-L5 le 09.04.2010 Syndrome métabolique avec: • Surpoids avec BMI à 29.3 kg/m2 (poids cible de 75 kg, taille à 1.60 m) • Hypertension artérielle traitée • Diabète de type 2 non-insulino-requérant • Médication en pause • HbA1c du 12.03.2019: 5.4 % • Hypercholestérolémie traitée Psoriasis Sténose aortique probable, non-investiguée • absence de symptôme Dépression • En lien avec le suicide de son fils en 2018 • Sous Remeron 15 mg 1 x/jour • Introduction de Citalopram 20 mg Lombosciatalgies chroniques (depuis 2003). Stéatose hépatique avec une perturbation des tests hépatiques d'origine inconnue. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Diabète de type 2 insulino-requérant. Lombosciatalgies chroniques sur hernie discale L4-L5. Lombo-sciatalgies chroniques sur spondylarthrose multi-étagée sur scoliose lombaire dextro-convexe et canal lombaire étroit à prédominance au niveau L2-L3, L3-L4. Lombosciatalgies droite non déficitaires. Lombosciatalgies droites. Lombosciatalgies droites chronique non déficitaires (failed back surgery syndrome). Dépression. Lombosciatalgies droites chroniques, probablement dans le contexte d'une maladie de Scheuermann. DD Tendinite du tensor fascia lata droit. Lombosciatalgies droites déficitaires d'origine peu claire. • Status post-cimentoplastie L4 le 08.06.2018 pour une atteinte métastatique unique osseuse L4 sur carcinome d'origine indéterminée. Lombosciatalgies droites non déficitaires. Lombosciatalgies droites non déficitaires. Lombosciatalgies droites non déficitaires le 08.04.2019. Lombosciatalgies droites non déficitaires le 16.04.2019. Lombosciatalgies droites non déficitaires vs périarthrite hanche droite. Lombosciatalgies droites non-déficitaires persistantes avec notion de traumatisme en janvier 2019. Lombosciatalgies droites sur : • discopathie L4-L5 grade II selon Pfirmann • chute à vélo sur le côté droit • mauvaise posture • contusion musculaire Lombosciatalgies G chroniques sur : Spondylarthrose multi-étagée dégénérative de L1 à S1 avec rétrécissements neuro foraminaux surtout en L1-L2 à G, L3-L4 des deux côtés ainsi que L4-L5 et L5-S1. Status post implantation de PTG G le 10.03.2017. Status après infiltration articulation facettaire L3-L4 gauche sous contrôle de CT le 26.3.2018. Lombosciatalgies G. Status post PTH D en 2018 par le Dr. X avec reprise de la cupule en raison d'une instabilité antérieure la même année. Lombosciatalgies gauche non déficitaire le 22.04.2109 avec: • status post-lombalgies récurrentes depuis 2017. Lombosciatalgies gauches d'origine indéterminée. Epigastralgies à type de brûlures. Macule brunâtre d'environ 1 cm2 temporale gauche, avec une partie surélevée. Perte de substance avec atteinte unguéale de la 3ème phalange de l'annulaire gauche datant de plus de 48h. Lombosciatalgies gauches non déficitaires atraumatiques. Lombosciatalgies gauches non déficitaires le 02.04.2019. Lombosciatalgies gauches non déficitaires le 13.03.2019 Lombosciatalgies gauches non déficitaires non traumatiques. Lombosciatalgies gauches non déficitaires non traumatiques. Lombosciatalgies gauches non-déficitaires sur le dermatome de L5. Lombo-sciatalgies il y a quelques années traitées par physiothérapie. Lombo-sciatalgies L3-L4 gauche non déficitaires. Lombosciatalgies L4 gauches chroniques avec amyotrophie sur : • sténose canalaire pluri-étagée dégénérative et idiopathique • status post-laminectomie L3-L5 en 2017 au CHUV : sténose plus importante disco-ligamentaire L3-L4 mais aussi L2-L3 avec sténose foraminale pluri-étagée et minime listhésis Lombosciatalgies L5 et S1 bilatérale sur discopathie dégénérative et volumineuse hernie discale médiane et paramédiane L5-S1 bilatérale, plus marquée à G.Lombosciatalgies L5 voire S1 D sur canal lombaire étroit constitutionnel avec débords discaux et rétrécissement foraminal L5 et S1 D sur discopathie L4-L5 et L5-S1 • Status post herniectomie L5-S1 D le 12.05.2017 pour une hernie discale L5-S1 D dans le contexte d'une discopathie L4-L5 et L5-S1 et inversion de la lordose lombaire Lombosciatalgies non déficitaires. Lombosciatalgies non déficitaires chroniques avec : • ostéoporose • status post spondylodèse L3-L4 en 2009 • status post op hernie discale L4-L5 • status post fracture-tassement D12 avec cyphoplastie en 2007 • implantation neuro-stimulateur le 01.12.2014 (Dr. X) Adénopathies et remaniements parenchymateux loge moyen D au CT du 21.11.2014 • pas d'indice pour une maladie pulmonaire ancienne ou récente à l'anamnèse approfondie Ostéoporose fracturaire Trouble anxio-dépressif avec trouble du sommeil Lombosciatalgies non déficitaires le 12.04.2019 Lombosciatalgies S1 G chroniques non déficitaires évoluant depuis juin 2016 avec hernie discale L5/S1 G traitée par infiltration péri-radiculaire L5 G le 26.08.2016 • Cure de hernie discale par microdiscectomie L5/S1 G pour le 23.11.2016 • Status post infiltration facettaire L5-S1 le 21.07.2017 et péri-radiculaire S1 G le 02.08.2017 • Troubles dégénératifs et de la statique du rachis lombaire de degré léger à modéré Lombosciatiques L5. Longs axes : morphotype en varus à 6° à droite, accentuée par l'insuffisance du collatéral externe. Du côté gauche, varus à 5°. IRM : pas d'altération du compartiment fémoro-tibial interne sous forme de lésion cartilagineuse ou d'atteinte méniscale. Tout petit œdème sur une zone punctiforme du condyle interne. Loperamide en réserve Perenterol 250mg Contrôle clinique chez Médecin Traitant le 05.04.2019 Lorazépam en réserve L'origine de ces lombalgies est encore peu claire. En effet, soit il s'agit de cette lyse isthmique qui s'est péjorée, soit ces douleurs sont séquellaires de défauts posturaux de Mr. Y qui, par ailleurs, a une très bonne trophicité musculaire clinique. Nous proposons de répéter cette IRM avec séquences STIR afin de voir si cette lyse est fraîche ou ancienne et si d'autres troubles sont visualisés. Nous reverrons Mr. Y pour un contrôle clinique suite à cet examen. L'origine de la zone d'appui en regard du 5ème orteil est mécanique en raison d'un pied élargi avec un digitus quintus varus. Pour régler le problème à long terme, une ostéotomie de correction du 5ème métatarsien avec un raccourcissement de la phalange proximale du 5ème orteil serait nécessaire. Actuellement, les symptômes ne justifient pas une telle opération. Nous proposons donc un traitement conservateur avec la mise en place d'une protection latérale du 5ème orteil ddc après avoir débridé l'hyperkératose. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Lors de grippes, présence de vomissements, jusqu'à maintenant jamais avec sang. Entre les grippes en forme. Appendicectomie laparoscopique 04/2017 Oxyure (découverte fortuite intra-opératoire) traité avec Vermox 04/2017 Lors de la consultation, nous avons discuté avec les parents, que des lésions constatées peuvent être le résultat d'une sorte de strangulation. Anamnéstiquement, il n'y a pas d'explication pour un tel événement (pas de foulard, pas de peluche longue ou autres choses, avec lesquelles un étranglement serait possible). Les parents ne demandent pas spécifiquement un constat, nous faisons la documentation pour la mettre à disposition en cas de demande secondaire. Lors de l'agression, les enfants étaient présents. À ce titre, il faut, lors de la consultation à 48h pour le constat de coups, appeler le pédopsychiatre de garde pour lui demander s'il y a nécessité d'initier une thérapie pour les enfants. Mr. Y était également accompagné de son amie lors de l'agression. Lors de l'entretien, nous notons que Mme. Y n'a pas de clexane alors qu'elle est réglée depuis peu. Elle refuse catégoriquement les piqûres et s'engage à charger partiellement sur sa jambe gauche. Lors de son évaluation, Mme. Y est pauci symptomatique. L'examen clinique est rassurant. Le bilan biologique ne montre pas de perturbation des paramètres hépatiques et biliaires. Nous retrouvons un syndrome inflammatoire compatible avec la gastro-entérite au décours. Nous lui proposons dès lors de poursuivre son traitement symptomatique. Lors de son hospitalisation, Mme. Y présente des épisodes de tachycardie très brefs, impossibles à objectiver avec le moniteur. Vu par Dr. X, cardiologue, qui effectue le bilan ECG et Echo CG, qui revient dans la norme. Mme. Y garde un bon état général, bons contrôles cliniques et de signes vitaux et peut regagner son domicile le 1.04. Pas de traitement instauré lors de son hospitalisation. Lors de son transfert en rhumatologie, on constate la persistance d'une tuméfaction importante du genou notamment au niveau des tissus mous, la plaie est bien cicatrisée, sans écoulement et sans signe de surinfection. L'anamnèse et l'examen clinique ne mettent pas en évidence de foyer infectieux ni d'autre arthrite. Nous reprenons donc le traitement de Kineret à raison de 100 mg 1x/j jusqu'au 18.09.2019. Un relais par prednisone est prévu dès le 19.04 pour 8 jours. Au vu de diarrhées d'origine médicamenteuse probable sur co-amoxicilline et colchicine, nous réduisons cette dernière à 0.5 mg par jour. Nous préconisons de poursuivre ce traitement au long cours entre 0.5-1 mg/jours, selon tolérance, ce qui devrait diminuer le risque de récidive d'arthrite microcristalline. Au vu d'une insuffisance rénale aiguë probablement pré-rénale sur les diarrhées, nous mettons en suspens le Lasix et l'irbesartan, avec normalisation de ce paramètre. Nous vous laissons le soin de réévaluer la réintroduction de ces traitements. Pour finir, Mr. Y bénéficie d'une prise en charge podologique pour un ongle incarné de l'hallux D débutant. Un traitement local par Béthadine onguent et mise en place de cutiplast est à poursuivre 1x/j jusqu'à guérison. Mr. Y regagne le home Marc-Aurèle le 18.04.2019. Nous restons bien sûr à disposition pour revoir Mr. Y en ambulatoire si l'évolution s'avère non favorable. Lors du prochain contrôle radio-clinique, ablation du plâtre BAB et mise en place d'un plâtre AB, puis contrôle radio-clinique à 6 semaines avec ablation du plâtre. Lors d'une course d'obstacles avec son cheval, ce dernier s'arrête brutalement et Mr. Y chute en avant. Contact du front contre le sol. Des témoins rapportent une probable perte de connaissance avec tremblements pendant environ 3 minutes. Mr. Y présente une amnésie circonstancielle. Il est amené aux urgences par ambulance, sans autre plainte qu'une céphalée frontale. Le status neurologique effectué aux urgences révèle un Glasgow 15/15, nerfs crâniens dans la norme, sans latéralisation nette. Pupilles isocores et isoréactives, la poursuite oculaire est lisse, le champ visuel est conservé. Mingazzini tenu aux quatre membres, force et sensibilité conservées aux quatre membres. Il n'y a pas d'otorragie. Pas d'emphysème sous-cutané, ni hématome, ni plaie. Le status ostéo-articulaire est exempt de douleurs à la percussion de la colonne vertébrale ou des côtes. Par contre, présence d'une douleur para-cervicale et para-dorsale des deux côtés mais avec une mobilité cervicale complète et indolore. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Au vu de l'anamnèse de tremblements, un bilan biologique avec lactates et CK est effectué afin d'exclure une crise d'épilepsie. Ces valeurs sont dans la norme et le reste du bilan biologique est aligné.Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique. L'évolution est favorable, le status neurologique répété ne montre pas de péjoration et, le 07.04.2019, Mr. Y peut retourner à domicile. Lors d'une fête, cette patiente de 55 ans, en bonne santé habituelle, trébuche sous l'effet de l'alcool et chute avec réception sur la face. Pas de perte de connaissance, ni d'amnésie circonstancielle. L'anamnèse ne révèle aucune autre plainte. Au status d'entrée, patiente en bon état général, calme et non algique. Sur le plan neurologique, bonne orientation dans le temps et l'espace, pas de dysarthrie, nerfs crâniens 2 à 12 dans la norme, tonus, force, sensibilité et réflexes ostéo-cutanés conservés aux quatre membres, bras tendus dans la norme, Babinski en flexion et symétrique, test doigt-nez sans particularité, Romberg et marche non effectués. Présence d'une plaie de l'arcade sourcilière droite de 9 cm, à bord non net au centre, et plaie de 1 cm de la joue droite type dermabrasion. Pas de corps étrangers visibles ni structure noble. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique montre une alcoolémie à 2,74 pour mille, sinon le reste est aligné. Les plaies sont désinfectées, celle de l'arcade sourcilière suturée par 9 points d'Ethilon 4/0, steristrips sur la plaie de la joue droite. Mme. Y est admise dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique rapprochée. Celle-ci se déroule sans complication, le status neurologique répété reste dans la norme et, vu la bonne évolution, la patiente peut retourner à domicile le 20.04.2019 dans l'après-midi. Losartan 25 mg jusqu'au 16.03.2019, puis 50 mg jusqu'à 05.04.2019 Amlodipin 5 mg du 26.03.2019 au 05.04.2019. 10 mg/j dès le 06.04.2019. Luca est hospitalisé pour surveillance suite à l'administration de 3 mg de Dormicum intramusculaire par les ambulanciers. La nuit du 22 au 23.04.2019 se déroule bien, ainsi que la matinée, où Luca est parfaitement calme. Luca et sa mère se sentant prêts à rentrer, il peut rentrer à domicile le 23.04.2019. Il est prévu que Luca soit vu par sa pédopsychiatre, Dr. X le 24.04 à 11h et il se présentera comme prévu à cette consultation. L'ultrason a confirmé la présence de tophi goutteux sur la face interne et externe du pied gauche. L'indication pour une excision des tophi est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention est prévue pour le 29.04.2019. Le patient devra stopper le sintrom 5 jours avant l'intervention et le remplacer par de la Clexane 40 mg sous-cutané. Je demande à son médecin-traitant, le Dr. X, de bien vouloir organiser le changement de médicament. Le patient sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Selon les dires du patient, chaque fois qu'il a eu une anesthésie autre que locale, il a fait par après des crises de gouttes. Il est donc préférable que l'on fasse cette intervention avec une technique anesthésique ne nécessitant pas une anesthésie générale, par exemple un bloc périphérique. L'ultrason abdominal met en évidence plusieurs calculs biliaires avec les signes de cholécystite, le bilan biologique reste compatible avec celui du 12.04. Vu l'examen clinique et biologique rassurant, la patiente rentre à domicile avec un traitement par Ciproxine 500 mg per os 2x/jour, Flagyl 500 mg per os 2x/jour pendant 10 jours et une antalgie en réserve. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle la semaine prochaine. L'ultrason abdominal ne montre pas de signe d'appendicite, mais des ganglions en faveur d'une adénite mésentérique. Le laboratoire montre une majoration du syndrome inflammatoire mais devant une amélioration clinique subjective, un abdomen souple non douloureux, le patient rentre à domicile et est reconvoqué à la filière des urgences ambulatoires le 14.04 pour un contrôle du syndrome inflammatoire. L'ultrason abdominal ne montre pas d'événement aigu. Le patient reverra le Dr. X en début de semaine prochaine. L'ultrason Doppler réalisé ce jour ne montre pas de thrombose veineuse profonde, pas de phlébite, mais présence d'un kyste arthrosynovial de Baker avec extension en arrière du condyle fémoral interne. Nous réalisons une radiographie du genou à la recherche de signes d'arthrose ou d'arthrite qui montrent un pincement focal uniquement de l'articulation fémoro-patellaire, hyperostose, pas d'ostéophytes, pas de géode. Nous demandons un avis au Dr. X, orthopédiste de garde, qui propose un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X pour suite de la prise en charge. Dans ce contexte, le patient rentre avec un traitement par antalgie simple et le numéro pour prendre un rendez-vous à la consultation du Dr. X, orthopédiste. L'ultrason du mollet met en évidence les signes d'une déchirure musculaire superficielle, sans déchirure du tendon d'Achille et met en évidence la présence d'une lame liquide de 2.5 x 4 x 1 cm le long du muscle à mi-mollet sans présence de grosse déchirure franche. La patiente quitte l'hôpital sans avoir consulté le médecin en filière des urgences ambulatoires car elle doit récupérer ses enfants. Elle a indiqué à la radiologue qui a effectué l'ultrason que les douleurs étaient en diminution. La radiologue lui donne comme conseil de mettre sa jambe au repos, d'appliquer de la glace et de prendre le traitement anti-inflammatoire ainsi que l'antalgie de réserve qui avaient été prescrits lors de la consultation du 04.04. La patiente a déjà un rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique la semaine prochaine. L'ultrason montre une lésion endocavitaire. La patiente est vue par le Dr. X, chirurgien de garde. Nous effectuons un contrôle du syndrome inflammatoire qui revient à <5 mg/l. S'agissant d'une patiente connue pour une PID, nous demandons un avis gynécologique et la patiente est adressée aux urgences à l'HFR Fribourg pour un ultrason trans-vaginal. Le gynécologue nous rappelle pour nous informer qu'un traitement pour la PID a été mis en place. L'ultrason révèle une déchirure à la jonction myo-tendineuse du tendon d'Achille gauche. Un traitement conservateur par Vacoped est initié, avec des cannes anglaises et une thromboprophylaxie par Clexane. Le patient sera revu dans 3 semaines en policlinique d'orthopédie pour contrôle et adaptation du Vacoped selon schéma. Le patient a reçu l'instruction de reconsulter dans l'intervalle en cas d'évolution défavorable. Lumbago Lumbago. Lumbago aigu suite à une surcharge. Lumbago, fin 03/19. Urolithiase droite : calcul néphrétique droit de 3 mm de diamètre à la jonction vésico-urétrale. Lumbago lombaire avec EVA à 5/10. Asthme dans l'enfance. Lumbago lombaire avec EVA à 5/10. Asthme dans l'enfance. Lumbago sans sciatalgie associée. Lumbago. Diabète mellitus de type 2. Lumbago. Diabète mellitus de type 2 non insulino-requérant. Lumbalgien. Lupus cutané sous Plaquenil à partir de mai jusqu'à septembre. Lupus diagnostiqué en 2000. Lupus érythémateux cutané diagnostiqué en 2003, traité par Nivaquine stoppé en février 2018, actuellement sous Mifortic 180 mg 2x/24 h. Suspicion de zona principalement des dermatomes C3-C8 à D le 11.04.2019 avec : Histologie scapulaire D 11.04.2019 compatible avec le lupus. Frottis du 11.04.2019 négatif pour VZV. Lupus érythémateux discoïde connu depuis 2004.Traitement par Nivaquine stoppé en février 2018, actuellement Mifortic 180 mg 2x/24h. Nodule thyroïdien kystique infra-centimétrique à D • Suivi chez le Dr. X (endocrinologue) dans 1 an. Ménopause substituée par Activelle. Tabagisme actif Lupus érythémateux discoïde connu depuis 2004 • Traitement par Nivaquine stoppé en février 2018, actuellement Mifortic 180 mg 2x/24h. Nodule thyroïdien kystique infra-centimétrique à D • Suivi chez le Dr. X (endocrinologue) dans 1 an. Ménopause substituée par Activelle. Tabagisme actif Lupus érythémateux disséminé avec • glomérulonéphrite lupique de stade IV-G(A/C) selon ISM/RPS 2003 diagnostiqué le 05.09.2007 avec actuellement une insuffisance rénale stade II (clairance à la créatinine à 61,8 ml/min), protéinurie de 3.32 g/24h, hématurie glomérulaire, albuminémie à 20.4 g/l, • C3 ; 0.24 g/l, C4 <0.06 g/l, ANA : 1 :320, anti Histone : 3, anti SSA : 106 Hypothyroïdie subsubstituée post-thyroïdectomie Status post-opération d'hémorroïdes externes en 1996 Status post-ligature des trompes L'uricult retrouve un E. Coli sensible à la Ciprofloxacine. L'évolution clinique est favorable. Le traitement est poursuivi durant 7 jours avec contrôle clinique chez le médecin traitant. L'urotube revient contaminé. Au vu de la clinique, nous poursuivons l'antibiotique pendant 5 jours et la patiente reconsultera en cas de nouveaux symptômes. L'US ne montre pas de diastase significative, raison pour laquelle nous proposons d'instaurer un traitement conservateur selon le protocole (bottine plâtrée à 20° de flexion plantaire). Nous organisons également une IRM afin de bilanter exactement la lésion. Nous le reverrons suite à cet examen. Poursuite de la Clexane jusqu'à la charge complète. L'US laisse suspecter un granulome sur un corps étranger, probablement un granulome de fils. Nous confirmons alors l'indication opératoire pour une excision qui était déjà prévue pour le 16.04.2019 en ambulatoire. Charge complète et mobilisation libre en postopératoire à prévoir avec un contrôle de plaie à 48-72 heures à la consultation. Consentement rempli et signé ce jour. L'US ne confirme pas l'impression clinique. Je vais toutefois discuter avec le radiologue pour regarder les images ensemble et éventuellement, si nécessaire, organiser encore un examen complémentaire. Pour l'instant, la prise en charge reste un traitement fonctionnel de façon à assouplir au maximum la capsule articulaire qui est fortement inflammatoire. Elle sera revue en juillet. Luxation AC D Rockwood IV avec stabilisation coraco-claviculaire par FiberTape et Endobutton le 07.02.2019. Luxation AC Rockwood III-IV épaule D. Luxation acromio-claviculaire à droite type V selon Rockwood Luxation acromio-claviculaire droite Rockwood 2 le 31.03.2019. Luxation acromio-claviculaire épaule droite le 27.04.2019. Luxation acromio-claviculaire Rockwood 3 à droite le 22.04.2019. Luxation acromio-claviculaire Tossy II à gauche le 19.03.2019. Luxation acromio-claviculaire Tossy 3 à gauche sur traumatisme du 16.04.2019. Luxation acromio-claviculaire, 1er degré, selon Tossy, à gauche. Luxation antérieure de l'épaule D avec fracture du tubercule majeur le 30.12.18 Fracture épiphyse radiale G traitée conservativement 14.08.17 Segmentectomie apicale LSD : Hamartochondrome pulmonaire le 01.06.16 Burn out en 2013 Pyélonéphrite G en décembre 2012 Ablation kyste ovarien G par laparoscopie en 2011 SAOS transitoire traité par CPAP Fracture-luxation cheville G et rupture du tendon d'Achille (avec st. post-ostéosynthèse) sur chute dans les escaliers en 2001 Luxation antérieure de l'épaule droite en août 2016 Luxation antérieure de l'épaule droite le 13.09.2017 Luxation antérieure de l'épaule droite post-traumatique le 23.03.2019 avec fracture du coracoïde Bankart osseux et lésion de Hill-Sachs. Luxation antérieure de l'épaule G le 02.02.2019 avec lésion de Hill-Sachs et ébauche de lésion de Bankart • Réduction fermée de la luxation le 03.02.2019 Asthme allergique Luxation antérieure de l'épaule gauche avec lésion de Bankart le 01/04/19. Luxation antérieure de l'épaule gauche le 09.04.2019. Luxation antérieure de l'épaule gauche sur traumatisme en rotation externe le 23.04.2019. Luxation antérieure de prothèse céphalique Hanche G Luxation antérieure épaule droite. Entorse du ligament latéro-externe de grade II de la cheville droite sur traumatisme du 26.07.2018. Luxation antérieure épaule droite sur chute accidentelle 23.03.2019. • fracture du coracoïde, Bankart osseuse, lésion Hill-Sachs. Luxation antérieure épaule gauche. Luxation antérieure PTH gauche le 28.04.2019. • 1er épisode. • PTH gauche le 08.04.2019 à la clinique générale par le Dr. X. Luxation antéro-inférieure de l'épaule droite datant de 4 jours, le 01.03.2016. Réduction fermée sous anesthésie générale le 01.03.2016. Luxation antéro-inférieure épaule D le 23.03.2019 avec : • Fracture du tubercule majeur • Probable plexopathie cervico-brachiale post-traumatique prédominant au tronc moyen. DD : neuropathie radiale Luxation antéro-inférieure (2ème épisode) traumatique de l'épaule droite. Luxation articulation acromio-claviculaire G type Tossy III en 2015. Luxation chirurgicale hanche G avec : • correction de l'offset • adhésiolyse intra-articulaire • reconstruction du labrum avec le fascia lata • trimming du massif inter-trochantérien antérieur • OST de dérotation fémorale 20° • Refixation grand trochanter par 2 vis 4.5 • OS diaphyse fémorale par plaque 4.5/5.0, 6 trous (OP le 11.04.2019) Antalgie par PCA de morphine du 11 au 12.04.2019 Luxation de hanche Luxation de la patella droite (1er épisode) le 31.08.2018. Luxation de la phalange proximale du 3e orteil à D Luxation de la rotule gauche sur traumatisme le 18.05.19. Luxation de la surface en polythylène de l'hémiprothèse du genou droit le 20.04.2019. Luxation de l'articulation temporo-mandibulaire le 06.04.2019. Luxation de l'épaule gauche en 2015, sur chute dans les escaliers Opération au niveau de tendons de l'épaule gauche Douleurs à l'épaule gauche sur chute de sa hauteur en arrière sans traumatisme cérébral, ni perte de connaissance Luxation de l'interphalangienne proximale du 5ème doigt gauche le 22.04.2019 réduite par le patient. Luxation dentaire Luxation dorsale avec minime arrachement osseux de P1 distal droit avec plaie superficielle au regard d'interphalangienne D1 palmaire de 2 cm. Luxation dorsale de la 3ème phalange du doigt 3 de la main droite sur traumatisme le 11.04.2019. Luxation dorsale IPP doigt V main gauche Luxation du 5 doigt de la main droite Contrôle clinique et échographique à J3 d'un hémopéritoine sur rupture de kyste ovarien hémorragique chez Mme. Y de 22 ans, nulligeste, en BSH. US : Hémopéritoine de 70x45x26 au cul de sac de Douglas, ovaire droit sp, corps jaune de l'ovaire gauche. Luxation en anse de seau fragment méniscal interne genou gauche (2015), avec : • Status post-arthroscopie (clinique générale) Status post-fracture 5e métatarsien oblique diaphysaire déplacée à gauche Status post-hygrome coude gauche (2011) Luxation épaule droite en 2016. Opération du 4ème doigt à gauche. Probable fracture costale postérieure gauche le 03.07.2017. Pneumonie en mars 2017. Luxation épaule gauche. Luxation épaule gauche. Luxation erecta de l'épaule gauche 28.04.2019 avec : • lésion de Hillsachs et Bankart. • premier épisode. Luxation genou D type Schenck IIIL le 21.07.2012 avec : • Déchirure LCA. • Déchirure partielle LCP. • Déchirure stable non transfixiante de la corne postérieure du ménisque externe. • Status post arthroscopie diagnostique et réparation du plan externe le 06.08.2012 pour une déchirure du corps du LLE, du ligament poplitéo-fibulaire, avulsion distale du biceps fémoral, déchirure partielle du tendon poplité (Dr. X, CHUV). Neurapraxie traumatique du nerf péronier traitée par neurolyse le 06.08.2012 puis greffe du nerf péronier à partir du nerf sural controlatéral le 23.01.2013, puis transfert du tendon jambier postérieur D trans-membranaire sur les releveurs du pied et des orteils le 20.11.2014. Luxation genou D type Schenck IIIL le 21.07.2012 avec : • Déchirure LCA. • Déchirure partielle LCP. • Déchirure stable non transfixiante de la corne postérieure du ménisque externe. • Status post arthroscopie diagnostique et réparation du plan externe le 06.08.2012 pour une déchirure du corps du LLE, du ligament poplitéo-fibulaire, avulsion distale du biceps fémoral, déchirure partielle du tendon poplité (Dr. X, CHUV). Luxation gléno-humérale antérieure épaule G. Luxation gléno-humérale antéro-inférieur traumatique à G le 17.02.2019 avec : • lésion du sus-épineux transfixante. Arthrose acromio-claviculaire à G. Luxation gléno-humérale antéro-inférieure de l'épaule D le 05.01.2019. Luxation gléno-humérale antéro-inférieure, épaule gauche sur traumatisme du 14.04.2019 (premier épisode). Luxation latérale de la rotule D le 15.04.2019. Luxation latérale de la rotule gauche, 1er épisode, sur traumatisme le 18.05.2019. Status post-plastie du LCA genou gauche en 2010. Luxation latérale de la rotule genou G (1er épisode le 25.06.2018, 2ème épisode 09.01.2019). Lésion chondrale de grade IV au niveau du condyle fémoral externe. Luxation patellaire G avec s/p opération en Macédoine. Luxation postérieure de PTH à gauche sur traumatisme le 02.04.2019. • Rx Affidea. Luxation postérieure d'une PTH du 10.01.2019 (Clinique Général Fribourg Dr. X). Luxation postérieure coude G. • Réduction fermée coude G (OP le 28.06.2015). Luxation postérieure de l'épaule gauche le 21.03.2019. • avec lésion de reverse Hill-Sachs. Luxation postérieure sur faux mouvement de la PTH G le 19.03.2019 sur status post • Ostéosynthèse de la colonne postérieure du cotyle G par une vis libre de traction 3.5 ainsi qu'une plaque de reconstruction 3.5, 7 trous, droite, ostéosynthèse de la colonne antérieure par une vis 4.5, reconstruction du fond du cotyle par impaction grafting prise de la tête fémorale et implantation PTH G avec un anneau anti-protrusif Burch 50 le 21.02.2019 sur fracture pathologique en T du cotyle et fracture pathologique du col fémur G sur radio-ostéonécrose. • Radiothérapie en 2000 pour un adénocarcinome de la prostate avec récidive biochimique en 2017. Luxation récidivante de la rotule D dans le cadre d'une dysplasie fémoro-patellaire avec un défect de la face interne cartilagineuse d'environ 8 mm du genou D. Luxation récidivante PTH D • PTH primaire implantée le 08.03.2013. • réduction luxation postérieure PTH le 18 et 21.03.2013. • changement composante cotyloïdienne par un système double mobilité le 27.03.2013. • réduction luxation PTH le 04.06.2014. • 2ème changement composante cotyloïdienne le 17.06.2014. • 3ème changement composante cotyloïdienne le 09.09.2014. • luxation PTH le 17.06.2015. • ponction hanche D le 16.07.2015. Luxation rotule droite latérale. Luxation rotule gauche le 06.04.2018 (2ème épisode) avec réduction spontanée. Luxation rotulienne sur entorse du genou droit le 28.03.2019 dans le cadre d'une légère dysplasie trochléenne. Bone bruise du plateau tibial médial suite à l'entorse. Luxation traumatique à 2 ans d'un Bankart osseux arthroscopique épaule D avec fracture antéro-inférieure de la glène. Luxation traumatique antéro-externe du pouce gauche. Luxation traumatique de l'épaule D, le 04.02.2019, 4 ans après suture de la coiffe des rotateurs et ténodèse du LCB (2014, Dr. X) : • Status post stabilisation par Bankart arthroscopique en 2012 par le Dr. X pour 1ère luxation. Luxation traumatique rotule genou G le 06.10.2018. Luxations récidivantes de la rotule droite (dernier épisode le 08.12.2018, 1er épisode en 2015). Mr. Y est hospitalisé pour suite de prise en charge d'un premier épisode de bronchite spastique modérée, avec insuffisance respiratoire. Il reçoit initialement 3 x 6 pushs de Ventolin et du Betnesol. En raison d'une saturation insuffisante une heure après le traitement broncho-dilatateur, il est hospitalisé pour oxygénothérapie, qui peut être sevrée la nuit du 26 au 27.04.2019. Le Ventolin peut progressivement être espacé aux 4 heures. L'alimentation et l'hydratation sont bonnes durant le séjour. En raison de la bonne évolution, Mr. Y peut rentrer à domicile le 27.04.2019. Lymphadénectomie rétro-péritonéale le 28.03.2019 (Dr. X, Dr. X). Lymphocytose chronique acusité • connu pour une leucémie lymphocytaire chronique. Lymphoedème jambe gauche. Insuffisance rénale chronique sur rein unique post-chirurgical le 01.11.2015. • avec Cl créatinine à 31.2 (Cockroft-Gault) et à 38 (MDRD). Lymphome à cellules B mature de type folliculaire, à morphologie folliculaire et diffus, de bas grade (grade 2 d'après WHO 2017), de stade 3B avec Bulk, FLIPI-2 3/5 (risque élevé) • date du diagnostic : 14.05.2018. • histologie : lymphome à cellules B mature de type folliculaire, à morphologie folliculaire et diffus, de bas grade (grade 2 d'après WHO 2017), Ki67 environ 15 à 20 %. • staging : • CT thoraco-abdominal du 23.04.2018 : volumineuse masse d'environ 17 cm, centrée sur la fosse iliaque droite engainant les artères iliaques commune, externe et interne à droite, et probablement responsable d'une compression de la veine iliaque droite, possiblement de la convergence iliaque, responsable de l'œdème du membre inférieur. Multiples adénopathies de relativement grande taille en inguinal droit ainsi que dans le rétro-péritoine et en regard du départ de l'artère iliaque commune gauche. Splénomégalie à 14 cm. Hydronéphrose avec dilatation du pyélon mesurée à 3 cm. • PET-CT du 01.05.2018 : intense hypercaptation abdominale correspondant à la tumeur connue. Hypercaptations ganglionnaires rétro-péritonéales para-médianes gauches et inguinales droites suspectes d'être des métastases. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de métastase. • moelle osseuse du 18.05.2018. • symptôme B : transpiration nocturne. • sérologie : VIH négatif, Hépatite B et C négatives. • immuno-chimiothérapie par Ribomustin et Gazyvaro (anti-CD-20) du 24.05.2018 au 06.11.2018, 6 cycles au total, avec bonne réponse initiale. • CT thoraco-abdominal du 29.11.2018 : stabilité en taille des nodules pulmonaires. Progression tumorale au niveau iliaque droite. • PET-CT du 11.12.2018 : volumineuse masse tumorale lymphomateuse iliaque – pelvienne droite mesurant 15 x 11 x 11 cm avec une hypercaptation connue stable. • status post biopsie chirurgicale de la masse pelvienne au vu d'une suspicion de transformation le 12.12.2018. • histologie : lymphome à cellules B matures, histo-morphologiquement avec prolifération diffuse de blastes en majorité d'un aspect de centro-blastes, immuno-histochimiquement de type centro-germinatif (GCB selon Hans), moyennement prolifératif, Ki-67 40 à 70 %, avec triple hit par FISH (myc, Bcl-6 et Bcl-2), compatible avec un lymphome à cellules B de haut grade avec triple hit. • PET-CT du 29.01.2019 : modeste diminution de taille de la masse tumorale pelvienne droite mais augmentation discrète de son SUV (d'environ 10 %). Apparition d'un nodule de 8 mm dans le LSD, non captant mais suspect. Absence de nouvelle lésion hypermétabolique suspecte de malignité.• CT thoraco-abdominal du 02.02.2019 : Au niveau thoracique, stabilité des trois nodules pulmonaires connus. Au niveau abdominal, majoration en taille de la masse tumorale pelvienne droite en rapport avec un saignement récent en son sein, sans signe de saignement actif, associé au développement d'une hydronéphrose droite. • immuno-chimiothérapie de type R-CHOP du 20.12.2018 au 15.01.2019, 2 cycles, réponse insuffisante • chimiothérapie Etopophos-Holoxan-Uromitexan du 06.02.2019 au 12.02.2019 • actuellement : nouvelle chimiothérapie de type IMVP-16 + Mabthera du 05.03.2019 au 09.03.2019 • Radiothérapie en cours • Lymphome à cellules B mature de type folliculaire, à morphologie folliculaire et diffus, de bas grade (grade 2 d'après WHO 2017), de stade 3B avec Bulk, FLIPI-2 3/5 (risque élevé) • date du diagnostic : 14.05.2018 • histologie (Promed P2018.P5220) : lymphome à cellules B mature de type folliculaire, à morphologie folliculaire et diffus, de bas grade (grade 2 d'après WHO 2017), Ki67 environ 15 à 20 % • staging : • CT thoraco-abdominal du 23.04.2018 : volumineuse masse d'environ 17 cm, centrée sur la fosse iliaque droite engainant les artères iliaques commune, externe et interne à droite, et probablement responsable d'une compression de la veine iliaque droite, possiblement de la convergence iliaque, responsable de l'œdème du membre inférieur. Multiples adénopathies de relativement grande taille en inguinal droit ainsi que dans le rétro-péritoine et en regard du départ de l'artère iliaque commune gauche. Splénomégalie à 14 cm. Hydronéphrose avec dilatation du pyélon mesurée à 3 cm. • PET-CT du 01.05.2018 : intense hypercaptation abdominale correspondant à la tumeur connue. Hypercaptations ganglionnaires rétro-péritonéales para-médianes gauches et inguinales droites suspectes d'être de métastases. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de métastase. • moelle osseuse du 18.05.2018 • symptôme B : transpiration nocturne • sérologie : HIV négatif, Hépatite B et C négatives • immuno-chimiothérapie par Ribomustin et Gazyvaro (anti-CD-20) du 24.05.2018 au 06.11.2018, 6 cycles au total, avec bonne réponse initiale • CT thoraco-abdominal du 29.11.2018 : stabilité en taille des nodules pulmonaires. Progression tumorale au niveau iliaque droite • PET-CT du 11.12.2018 : volumineuse masse tumorale lymphomateuse iliaque – pelvienne droite mesurant 15 x 11 x 11 cm avec une hypercaptation connue stable • status post biopsie chirurgicale de la masse pelvienne au vu d'une suspicion de transformation le 12.12.2018 • histologie (Promed P2018.14430) : lymphome à cellules B matures, histo-morphologiquement avec prolifération diffuse de blastes en majorité d'un aspect de centro-blastes, immuno-histochimiquement de type centro-germinatif (GCB selon Hans), moyennement prolifératif, Ki-67 40 à 70 %, avec triple hit par FISH (myc, Bcl-6 et Bcl-2), compatible avec un lymphome à cellules B de haut grade avec triple hit • PET-CT du 29.01.2019 : modeste diminution de taille de la masse tumorale pelvienne droite mais augmentation discrète de son SUV (d'environ 10 %). Apparition d'un nodule de 8 mm dans le LSD, non captant mais suspect. Absence de nouvelle lésion hypermétabolique suspecte de malignité. • CT thoraco-abdominal du 02.02.2019 : Au niveau thoracique, stabilité des trois nodules pulmonaires connus. Au niveau abdominal, majoration en taille de la masse tumorale pelvienne droite en rapport avec un saignement récent en son sein, sans signe de saignement actif, associé au développement d'une hydronéphrose droite. • immuno-chimiothérapie de type R-CHOP du 20.12 au 15.01.2019, 2 cycles, réponse insuffisante • chimiothérapie Etopophos-Holoxan-Uromitexan du 06.02 au 12.02.2019 • actuellement : nouvelle chimiothérapie de type IMVP-16 + Mabthera du 05.03 au 09.03.2019 • Radiothérapie en cours • Lymphome à cellules B matures, de type lymphome folliculaire de grade 2, stade IV, FLIPI 1 et 2 à haut risque (nombre d'atteintes ganglionnaires, LDH, âge, stade IV et hémoglobine) avec : • date du diagnostic : 11.01.2019 • pathologie (Promed P15020) : excision ganglionnaire axillaire gauche : infiltration par un lymphome à cellules B matures, en premier lieu compatible avec un lymphome folliculaire, G2 (low-grade), DD (moins probable) : lymphome de la zone marginale ganglionnaire. Absence d'évidence d'une translocation t(14 ;18)CT thoraco-abdominal du 04.12.2018 : hépatomégalie discrète à 155 mm sur la ligne médio-claviculaire. Splénomégalie à 178 mm d'axe cranio-caudal. Adénopathies médiastinales, rétro-péritonéales et iliaques bilatérales dont la plus grande mesure 13 mm de diamètre, lésions lytiques osseuses des os du bassin et du manubrium sternal suspectes. Minime lame de liquide libre intra-péritonéal • PET-CT du 13.12.2018 : multiples hypercaptations ganglionnaires supra et infra-diaphragmatiques bilatérales et hypercaptations diffuses spléniques ainsi qu'au niveau du squelette • Ponction-biopsie de moelle osseuse du 28.12.2018 (pathologie Promed P2018.14998) : infiltration focale en partie para-trabéculaire d'environ 5 % par des cellules d'un lymphome B de type folliculaire compatibles avec le lymphome prélevé dans l'adénopathie axillaire. • Médullogramme avec légers signes de dysplasie, sans excès de blastes et sans infiltration lymphocytaire ou plasmocytaire parlant contre une atteinte médullaire par un lymphome • Bilan biologique du 07.12.2018 : LDH 608 U/l, CMV et EBV ancienne infection, HIV et hépatites négatives • Status post biopsie hépatique le 11.02.2019 : (pathologie Promed P2019.1738 : manifestation du même lymphome folliculaire grade 2 • Status post ponction d'un épanchement pleural le 04.03.2019 (cythologie Promed C2019.285) : lymphocytose sans possibilité de trancher entre une lymphocytose réactionnelle et un processus néoplasique • CT thoraco-abdominal du 18.03.2019 : globale stabilité des conglomérats d'adénopathie. Apparition d'épanchements pleuraux abondants bilatéraux et infiltrant en verre dépoli diffus des deux plages pulmonaires (DD = processus infectieux). Hépatosplénomégalie en légère majoration • Dernier rdv le 29.03.19 : au vu de l'absence de symptôme, d'une maladie globalement stable au scanner et d'une formule sanguine normalisée, poursuite de l'attitude watch et wait avec prochain contrôle clinique et biologique rapproché dans un mois (si apparition de symptômes, proposition d'un traitement par immunochimiothérapie par Bendamustine et Gazyvaro) Lymphome à cellules B matures, de type lymphome folliculaire de grade 2, stade IV, FLIPI 1 et 2 à haut risque (nombre d'atteintes ganglionnaires, LDH, âge, stade IV et hémoglobine) avec : • Date du diagnostic : 11.01.2019 • Pathologie (Promed P15020) : excision ganglionnaire axillaire gauche : infiltration par un lymphome à cellules B matures, en premier lieu compatible avec un lymphome folliculaire, G2 (low-grade), DD (moins probable) : lymphome de la zone marginale ganglionnaire. Absence d'évidence d'une translocation t(14 ;18) • CT thoraco-abdominal du 04.12.2018 : hépatomégalie discrète à 155 mm sur la ligne médio-claviculaire. Splénomégalie à 178 mm d'axe cranio-caudal. Adénopathies médiastinales, rétro-péritonéales et iliaques bilatérales dont la plus grande mesure 13 mm de diamètre, lésions lytiques osseuses des os du bassin et du manubrium sternal suspectes. Minime lame de liquide libre intra-péritonéal • PET-CT du 13.12.2018 : multiples hypercaptations ganglionnaires supra et infra-diaphragmatiques bilatérales et hypercaptations diffuses spléniques ainsi qu'au niveau du squelette • Ponction-biopsie de moelle osseuse du 28.12.2018 (pathologie Promed P2018.14998) : infiltration focale en partie para-trabéculaire d'environ 5 % par des cellules d'un lymphome B de type folliculaire compatibles avec le lymphome prélevé dans l'adénopathie axillaire. • Médullogramme avec légers signes de dysplasie, sans excès de blastes et sans infiltration lymphocytaire ou plasmocytaire parlant contre une atteinte médullaire par un lymphome • Bilan biologique du 07.12.2018 : LDH 608 U/l, CMV et EBV ancienne infection, HIV et hépatites négatives • Status post biopsie hépatique le 11.02.2019 : (pathologie Promed P2019.1738 : manifestation du même lymphome folliculaire grade 2 • Status post ponction d'un épanchement pleural le 04.03.2019 (cythologie Promed C2019.285) : lymphocytose sans possibilité de trancher entre une lymphocytose réactionnelle et un processus néoplasique • CT thoraco-abdominal du 18.03.2019 : globale stabilité des conglomérats d'adénopathie. Apparition d'épanchements pleuraux abondants bilatéraux et infiltrant en verre dépoli diffus des deux plages pulmonaires (DD = processus infectieux). Hépatosplénomégalie en légère majoration • Actuellement : au vu de l'absence de symptôme, d'une maladie globalement stable au scanner et d'une formule sanguine normalisée, poursuite de l'attitude watch et wait avec prochain contrôle clinique et biologique rapproché dans un mois. Si apparition de symptômes, proposition d'un traitement par immunochimiothérapie par Bendamustine et Gazyvaro Lymphome à grande cellules B primitif du médiastin (PMBL selon OMS 2017), Ki67 >90%, en partie positif pour CD30, infiltrant la vertèbre T4 le 18.11.2018 Lymphome cutané de type Mycosis fongoïde T3 N0 M0 B0 (diagnostiqué en 2006) • Suivi initialement par le CHUV et traité par chimiothérapie à répétition, puis à l'Inselspital • Récidive depuis le 07.03.2019 avec multiples histologies compatibles avec un lymphome à cellules T • Séjour en dermatologie à l'Inselspital du 19.03.2019 au 28.03.2019 avec initiation d'un cycle de chimiothérapie tous les 21 jours par Doxirubicine et Cyclophosphamide dès le 20.03.2019, prévue tous les 21 jours. Effets secondaires : leucopénie et vomissements • Prednisone 100mg du 20.03.2019 au 24.03.2019 • Antalgie par pompe PCA avec hydromorphone du 19.03.19 au 22.03.19 • Surinfection des plaies par Staphylococcus aureus et Clostridium perfringens. HSV-1, HSV-2 nég, VIH nég • CT total body 25.03.19 : parenchyme hépatique sans particularité, calcifications, DD granulomes, multiples lésions kystiques du rein G DD kystes hémorragiques/protéiniques, épanchements pleuraux légers, conglomérat de plusieurs adénopathies d'agrandissement non pathologique • Prise de 6kg sur corticostéroïdes et remplissage Lymphome diffus à grandes cellules B de stade IV le 22.11.2018 (score pronostique IPI 4) • Date du diagnostic : 08.05.2018 • Symptômes B, douleurs en fosse iliaque gauche • Histologie (Promed P2018.5069) : lymphome B diffus à grandes cellules • PET-CT du 01.05.2018 : hypercaptation abdominale gauche correspondant à la volumineuse masse du pancréas, hypercaptation ganglionnaire rétro-péritonéale ainsi qu'infiltration massive du squelette • Echocardiographie du 16.05.2018 : qualité médiocre, fraction d'éjection conservée • Ponction-biopsie de moelle du 17.05.2018 : infiltration médullaire par le lymphome • Sérologies HCV, HBV, HIV, EBV, CMV : négatives • Implantation d'un port-à-cath le 18.05.2018 • Pré-phase stéroïde du 17.05 au 23.05.2018 • Initiation d'une chimiothérapie selon R-mini-CHOP le 23.05.2018 • Status post-3 cycles de chimiothérapie par R-mini-CHOP • PET-CT du 09.07.2018 : bonne réponse à la chimiothérapie avec diminution en taille et en intensité • 3 cycles de chimiothérapie par R-mini-CHOP jusqu'au 05.09.2018 puis 2 cycles de Mabthera seul jusqu'au 18.10.2018 • PET-CT du 26.09.2018 : rémission partielle scannographique • Récidive du lymphome diffus à grandes cellules avec pancytopénie sur infiltration massive de la moelle osseuse en 11/2018 • Chimiothérapie par Gemzar et Mabthera dès le 26.11.2018 • PET-CT du 23.01.2019 : très bonne réponse partielle • Interruption de la chimiothérapie par Gemzar et Mabthera après le 3ème cycle le 30.01.2019 • Hospitalisation en clinique de gériatrie aiguë pour déconditionnement du 11.02-27.02.2019 (HFR Tavel) • Actuellement suivi clinico-biologique - interruption temporaire de la chimiothérapie prolongée en fonction de la symptomatologie Artériopathie des membres inférieursimportante infiltration de l'artère iliaque externe distale et du carrefour fémoral droit avec sténose d'environ 80% sans modification des flux au repos Plaques pleurales calcifiées des deux côtés suspectes • ponction pleurale gauche le 17.05.2018: exsudat à prédominance lymphocytaire, pas de cellules malignes • tumorboard thoracique le 30.05.2018: possible réaction inflammatoire à l'amiante, pas d'investigations supplémentaires Insuffisance veineuse chronique • status post-cure de la grande veine saphène du côté gauche par crossectomie et stripping long il y a une trentaine d'années • status post-cure chirurgicale des varices des 2 côtés le 08.02.2017 avec thrombose de la grande veine saphène droite et de quelques fragments de veines sur des sites de phlébectomies des 2 côtés mis en évidence en mars 2017 Syndrome des apnées du sommeil • appareillé jusqu'en 03.2018, puis arrêté à l'initiative du patient Hypertrophie bénigne de la prostate Douleurs chroniques sur sciatalgies droites non déficitaires • Discarthrose lombaire avec un rétrécissement foraminal prédominant au niveau L4-L5 et L5-S1 (angio-CT 06.2018) • corticothérapie par Prednisone dès le 17.07.2018, MST Continus et Morphine gouttes Hypoacousie sévère appareillée • péjoration des acouphènes après chimiothérapie • suspicion de syndrome de Ménière en 2015 • suivi en ORL Diabète cortico-induit sous Insulatard • HbA1c (le 05.02.2019): 5.4% Tension artérielle labile connue avec hypo- et hypertension symptomatiques • multiples essais thérapeutiques dans le passé, sans succès • DD dysautonomie liée à la chimiothérapie • Traitement anti-hypertenseur en réserve uniquement (Nifédipine) - stop Lisinopril Déconditionnement avec baisse d'état général dans un contexte oncologique (récidive de DLBCL) avec neutropénie subfébrile le 25.03.2019, agranulocytose du 26.03 au 28.03.2019 • Neupogen 30 mio UI du 26.03 au 28.03.2019 • Clexane en suspend dès le 28.03.2019 • Dexaméthasone 4 mg/j dès le 01.04.2019 • Dexaméthasone 3 mg/j dès le 12.04.2019 • Dexaméthasone 2 mg/j dès le 15.04.2019 • Dexaméthasone 1 mg/j dès le 24.04.2019 Lymphome diffus à grandes cellules B de stade IV le 22.11.2018 (score pronostique IPI 4) • date du diagnostic : 08.05.2018 • Symptômes B, douleurs en fosse iliaque gauche • histologie : lymphome B diffus à grandes cellules • PET-CT du 01.05.2018 : hypercaptation abdominale gauche correspondant à la volumineuse masse du pancréas, hypercaptation ganglionnaire rétro-péritonéale ainsi qu'infiltration massive du squelette • Echocardiographie du 16.05.2018 : qualité médiocre, fraction d'éjection conservée • Ponction-biopsie de moelle du 17.05.2018 : infiltration médullaire par le lymphome • Sérologies HCV, HBV, HIV, EBV, CMV : négatives • Implantation d'un port-à-cath le 18.05.2018 • Pré-phase stéroïde du 17.05 au 23.05.2018 • initiation d'une chimiothérapie selon R-mini-CHOP le 23.05.2018 • status post-3 cycles de chimiothérapie par R-mini-CHOP • PET-CT du 09.07.2018: bonne réponse à la chimiothérapie avec diminution en taille et en intensité • 3 cycles de chimiothérapie par R-mini-CHOP jusqu'au 05.09.2018 puis 2 cycles de Mabthera seul jusqu'au 18.10.2018 • PET-CT du 26.09.2018 : rémission partielle scannographique • récidive du lymphome diffus à grandes cellules avec pancytopénie sur infiltration massive de la moelle osseuse en 11/2018 • Chimiothérapie par Gemzar et Mabthera dès le 26.11.2018 • PET-CT du 23.01.2019: très bonne réponse partielle • Interruption de la chimiothérapie par Gemzar et Mabthera après le 3ème cycle le 30.01.2019 • hospitalisation en clinique de gériatrie aiguë pour déconditionnement du 11.02-27.02.2019 • actuellement suivi clinico-biologique - interruption temporaire de la chimiothérapie prolongée en fonction de la symptomatologie Lymphome diffus à grandes cellules B intra-vasculaire le 21.04.2019: Lymphome diffus à grandes cellules B NOS de type centro-germinatif, stade IEB (perte pondérale et asthénie) IPI 1 (âge) • CT cérébro-cervico-thoraco-abdominal du 01.02.2017 : importante tuméfaction de l'amygdale gauche hétérogène et adénopathie cervicale du segment IIB gauche laminant la veine jugulaire interne • Panendoscopie avec oro-pharyngectomie gauche par tonsillectomie gauche élargie au constricteur pharyngé supérieur et pilier amygdalien antérieur le 08.02.2017 • date du diagnostic : 13.02.2017 • histologie : lymphome diffus à grandes cellules B NOS ainsi que zone d'un lymphome folliculaire grade 3B. Immunohistochimiquement de type centro-germinatif • PET-CT du 22.02.2017 : intenses hypercaptations sous-mandibulaires gauches correspondant à des adénopathies, sans autre lésion hypermétabolique suspecte • échocardiographie transthoracique du 23.02.2017 : Fraction d'éjection du ventricule gauche 55% • ponction-biopsie de moelle osseuse du 24.02.2017 : absence d'infiltration lymphomateuse à la pathologie, cytométrie de flux et médullogramme • sérologie hépatite A : présence d'une infection guérie ou post-vaccination, sérologie hépatite B, C et HIV négatives • Echographie transthoracique du 23.02.2017: FEVG 55% • St/p 3 cycles de chimiothérapie de type R-CHOP du 09.03 au 20.04.2017 avec réponse complète au PET-CT du 27.04.2017 • St/p radiothérapie externe de consolidation de type involved field en regard de la zone ganglionnaire cervicale gauche et de la loge amygdalienne gauche, 30 Gy, le 29.04.2017 • Poursuite de la réponse partielle avec diminution de la taille de l'adénopathie latéro cervicale à gauche au CT cérébro cervico thoraco abdominal du 07.11.2017 et réponse complète au PET-CT du 23.01.18 et à la cytoponction d'un ganglion sus-claviculaire gauche • réponse complète au PET-CT du 30.04.2018 • actuellement: poursuite de la réponse complète au CT du 07.11.2018, poursuite de la surveillance avec prochain contrôle clinique et biologique dans 3 mois, prochain scanner dans 6 mois Adénocarcinome de la prostate, Gleason score 4+4=8, PSA à 24.6 ng/ml, classé cT2 cNx cM0, high risk • date du diagnostic: 08.01.2018 • Histologie : adénocarcinome prostatique, Gleason score 4+4, au niveau base médian et latéral droit, moyen et latéral droit, apex médian et latéral droit • iPSA à 24.6 ng/ml le 04.12.2017 • IRM prostatique du 19.01.2018: anomalie de signal dans la prostate périphérique postéro latérale et médiale droite. Absence d'atteinte extra-capsulaire, des vésicules séminales, ganglionnaire et osseuse • PET-CT et scanner injecté du 23.01.2018: absence d'adénopathie de taille significative. Hypertrophie de la prostate • Tumorboard d'urologie du 01.02.2018: pas d'intervention chirurgicale au vu de l'âge et des comorbidités. Agonistes LH-RH (Zoladex) 10.8mg en février 2018. • iPSA 15.02: 25.6 ng/ml (nouvelle augmentation) • Actuellement: rdv le 15.03.2019 avec le Dr X afin d'évaluer une nouvelle injection Fibrillation auriculaire sous Eliquis Cardiopathie ischémique avec: • Maladie mono-tronculaire et sténose subocclusive de la circonflexe moyenne traitée par angioplastie avec implantation d'un stent DES dans un contexte de NSTEMI le 27.12.2016 • NSTEMI le 19.06.2017 traité par majoration des bêta-bloquants et Dancor en réserve avec coronographie le 20.06.2017 montrant une sténose très serrée de la 1ère diagonale non traitée (petits vaisseaux). • NSTEMI sur sténose de l'IVA moyenne le 10.08.2018 stentée • Fraction d'éjection VG normale Hernie inguinale droite avec: • avis Dr X en cours Pollakiurie le 14.08.18: • chez un patient porteur de K. Pneumoniae ESBL • notion anamnestique de cancer prostatique sans autre précision (février 2018)HTA traitée Trouble anxieux avec crises d'angoisse récidivantes ayant motivé plusieurs consultations aux urgences. Lymphome diffus à grandes cellules B NOS de type centro-germinatif, stade IEB (perte pondérale et asthénie) IPI 1 (âge) • CT cérébro-cervico-thoraco-abdominal du 01.02.2017 : importante tuméfaction de l'amygdale gauche hétérogène et adénopathie cervicale du segment IIB gauche laminant la veine jugulaire interne • Panendoscopie avec oro-pharyngectomie gauche par tonsillectomie gauche élargie au constricteur pharyngé supérieur et pilier amygdalien antérieur le 08.02.2017 • Date du diagnostic : 13.02.2017 • Histologie (Promed C706.17, P1588.17, amygdale) : lymphome diffus à grandes cellules B NOS ainsi que zone d'un lymphome folliculaire grade 3B. Immunohistochimiquement de type centro-germinatif • PET-CT du 22.02.2017 : intenses hypercaptations sous-mandibulaires gauches correspondant à des adénopathies, sans autre lésion hypermétabolique suspecte • Échocardiographie transthoracique du 23.02.2017 : Fraction d'éjection du ventricule gauche 55% • Ponction-biopsie de moelle osseuse du 24.02.2017 : absence d'infiltration lymphomateuse à la pathologie (Promed P2257.17), cytométrie de flux et médullogramme • Sérologie hépatite A : présence d'une infection guérie ou post-vaccination, sérologie hépatite B, C et HIV négatives • Échographie transthoracique du 23.02.2017 : FEVG 55% • St/p 3 cycles de chimiothérapie de type R-CHOP du 09.03 au 20.04.2017 avec réponse complète au PET-CT du 27.04.2017 • St/p radiothérapie externe de consolidation de type involved field en regard de la zone ganglionnaire cervicale gauche et de la loge amygdalienne gauche, 30 Gy, dz 29.04.2017 • Poursuite de la réponse partielle avec diminution de la taille de l'adénopathie latéro cervicale à gauche au CT cérébro-cervico-thoraco-abdominal du 07.11.2017 et réponse complète au PET-CT du 23.01.18 et à la cytoponction d'un ganglion sus-claviculaire gauche • Réponse complète au PET-CT du 30.04.2018 • Actuellement : poursuite de la réponse complète au CT du 07.11.2018, poursuite de la surveillance avec prochain contrôle clinique et biologique dans 3 mois, prochain scanner dans 6 mois Adénocarcinome de la prostate, Gleason score 4+4=8, PSA à 24.6 ng/ml, classé cT2 cNx cM0, high risk • Date du diagnostic : 08.01.2018 • Histologie (Unilabs H2018.372-2377) : adénocarcinome prostatique, Gleason score 4+4, au niveau base médian et latéral droit, moyen et latéral droit, apex médian et latéral droit • iPSA à 24.6 ng/ml le 04.12.2017 • IRM prostatique du 19.01.2018 : anomalie de signal dans la prostate périphérique postéro-latérale et médiale droite. Absence d'atteinte extra-capsulaire, des vésicules séminales, ganglionnaire et osseuse • PET-CT et scanner injecté du 23.01.2018 : absence d'adénopathie de taille significative. Hypertrophie de la prostate • Tumorboard d'urologie du 01.02.2018 : pas d'intervention chirurgicale au vu de l'âge et des comorbidités. Agonistes LH-RH (Zoladex) 10.8 mg en février 2018 (Dr. X) • iPSA 15.02 : 25.6 ng/ml (nouvelle augmentation) • Actuellement : rdv le 15.03.2019 avec le Dr. X afin d'évaluer une nouvelle injection Fibrillation auriculaire sous Eliquis Cardiopathie ischémique avec : • Maladie mono-tronculaire et sténose subocclusive de la circonflexe moyenne traitée par angioplastie avec implantation d'un stent DES dans un contexte de NSTEMI le 27.12.2016 • NSTEMI le 19.06.2017 traité par majoration des bêta-bloquants et Dancor en réserve avec coronographie le 20.06.2017 montrant une sténose très serrée de la 1ère diagonale non traitée (petits vaisseaux). • NSTEMI sur sténose de l'IVA moyenne le 10.08.2018 stentée • Fraction d'éjection VG normale Hernie inguinale droite avec : • Avis Dr. X en cours Pollakiurie le 14.08.18 : • Chez un patient porteur de K. Pneumoniae ESBL • Notion anamnestique de cancer prostatique sans autre précision (février 2018) HTA traitée Trouble anxieux avec crises d'angoisse récidivantes ayant motivé plusieurs consultations aux urgences. Lymphome inguinal non hodgkinien de type immunoblastique en 1996 traité par excision locale et chimiothérapie Accident de véhicule à l'âge de 21 ans, depuis lors douleurs intermittentes au niveau cervical • Hernie discale médiane et paramédiane C5 à C6 ddc avec sténose du canal spinal et myélopathie débutante • Hernie discale non compressive D2 à D3 et D3 à D4, status post décompression avec spondylodèse le 17.01.2014 TVP du membre inférieur droit en décembre 2009 (anticoagulation pendant 6 mois) Laparotomie médiane pour une hernie d'une anse intestinale après grossesse extra-utérine en 1985 • Occlusion intestinale en 2001 Hystérectomie Zona dans le cadre de la corticothérapie le 31.10.2017 Mycose oropharyngée sur corticothérapie Décompensation diabétique en raison de la corticothérapie Lymphome non hodgkinien à cellules B matures blastiques en stade IVA • Date du diagnostic : 15.01.2014 • Histologie (Promed P402.14) : lymphome à cellules B matures blastiques avec haut taux de cellules en prolifération dans la masse surrénale gauche, MIB 90 %, compatible avec un lymphome B inclassable entre DLBCL et Burkitt lymphome, translocation BCL6 (examen par FISH) • CT thoraco-abdominal du 23.12.2013 : volumineuse masse rétropéritonéale • IRM du neurocrâne du 15.01.2014 : lésion céphalique thalamique gauche compatible avec un lymphome cérébral • Examen du LCR du 16.01.2014 : pléocytose et inflammation chronique lymphoplasmocytaire avec présence de rares cellules irrégulières d'allure plutôt réactionnelle • PET CT du 21.01.2014 : hypercaptation abdominale gauche englobant le rein et la surrénale, foyer hyperactif pulmonaire droit (DD : métastase ou deuxième tumeur synchrone) • Ponction-biopsie médullaire du 21.01.2014 : pas d'évidence d'infiltration du lymphome connu dans la moelle osseuse • Sérologies virales de janvier 2014 : HIV et EBV négatifs, CMV et toxoplasmose positifs • 1ère cure de chimiothérapie par R-CODOX du 25.01 au 29.01.2014 • Status post-chimiothérapie par Méthotrexate à haut dosage le 03.02.2014 • Status post-chimiothérapie par R-CODOX du 19.02 au 24.02.2014 • IRM du neurocrâne du 17.02.2014 : nette diminution en taille de la masse thalamique gauche • CT thoraco-abdominal du 04.03.2014 : nette diminution en taille de la masse lymphomateuse occupant la loge surrénale gauche d'environ 2/3 vu le bas de lésion pulmonaire décelable • Status post-2ème cure de chimiothérapie par R-CODOX du 12.03 au 16.03.2014 • Status post-2ème cure de Méthotrexate à haut dosage le 21.03.2014 • Status post-plusieurs chimiothérapies intrathécales entre janvier et mars 2014 • Status post-dernière cure par R-IVAC le 28.04 au 03.05.2014 • Rémission complète au PET-CT du 15.04.2014 • Status post-radiothérapie de consolidation sur la localisation cérébrale du 10.06.2014 au 03.07.2014 • Dernier contrôle le 14.01.2019 : rémission complète, pas d'évidence clinique de récidive tumorale, dernier CT en juillet 2018 • CT cérébral natif et injecté le 07.03.2019 : probable récidive du lymphome cérébral connu avec atteinte multifocale. Pas d'engagement cérébral ni d'hydrocéphalie. • IRM du 11.03.2019 : on retrouve les trois lésions parenchymateuses visualisées au CT-scan, une lenticulaire gauche, une frontale droite et une temporale gauche. L'ensemble de ces lésions sont hypointenses en pondération T1 et T2, présentent une restriction de la diffusion et sont associées à un œdème péri-lésionnel responsable d'un discret effet de masse sur les sillons adjacents. Ces lésions sont aspécifiques mais peuvent correspondre à une atteinte secondaire de lymphome. Pas de déviation de la ligne médiane. Système ventriculaire symétrique, sans signe d'hydrocéphalie. Avis oncologique Dr. X 03.2019: Dexaméthasone 12 mg/J, augmenter à 20 si pas de réponse, IRM pour diagnostic différentiel, avis neurologique et EEG Avis oncologique Dr. X 03.2019: Vue la résistance de l'état confusionnel à la Dexaméthasone, un retrait sur quelques jours par paliers est proposé. Un traitement oncologique n'est pas discutable pour le moment. Consilium radio-oncologie le 13.03.2019: Patient vu ce jour en radio-oncologie pour l'évaluation d'une re-irradiation cérébrale. Compte tenu de l'état de confusion et de désorientation du patient, les difficultés pratiques de réaliser une RT, le doute sur le diagnostic final et le peu de réponse à la corticothérapie, je ne retiens pas d'indication à un tel traitement pour le moment. Dernier contrôle 01.2019: poids 63 kg (août 68 kg), bilan clinique et biologique stable, prochain contrôle avec CT scan et prise de sang pour le 9.08.2019 avec CT crânio-cervico-thoraco-abdominal Suivi oncologique par Dr. X Lymphome non hodgkinien de stade IIAE, IPI 0 (surrénalien) • Date du diagnostic (CT-thorax / abdomen): 09.02.2018 • Histologie (biopsie sous scanner rétropéritonéal): lymphome non hodgkinien diffus à grandes cellules B, GCB avec un taux de prolifération élevé de 70 à 80% (Promed P2018.2956) • Ponction et biopsie de la moelle osseuse du 22.02.2018: aucune preuve d'infiltration (Promed P2018.2190) • CT-thorax et abdomen du 09.02.2018: adénopathie rétropéritonéale de 5 x 12 cm • PET-CT du 20.02.2018: masse tumorale rétropéritonéale, accumulation également dans la glande surrénale gauche, pas d'autres foyers • symptômes B: aucun • Antécédents familiaux: sœur atteinte d'un cancer du poumon • Facteurs de risque: aucun • Statut après 3 cycles de chimiothérapie avec Mabthera, Adriblastin, Endoxan et Oncovin, et prednisone du 22.03 au 08.05.2018, rémission partielle • Dysfonctionnement sensoriel du côté gauche du dermatome L3, examen IRM sans preuve d'une compression ou une progression de la tumeur, fin juin 2018 • statut après 2 autres cycles de chimiothérapie, Mabthera, Adriblastin, Endoxan et Oncovin, ainsi que la prednisone des 29.05 et 26.06.2018 • Examen IRM et PET-CT des 25.07 et 09.08.2018: Progression du lymphome avec infiltration para-aortique incluant psoas du côté gauche et racines nerveuses du côté gauche de L2 à L3 • Du 20.08 au 10.09.2018: 2 cycles de chimiothérapie selon le protocole ESAP avec une rémission partielle • Du 02.10 au 05.11: 5 cycles de R-ESAP • Du 10.12 au 16.12.2018: Chimiothérapie à haute dose selon le schéma BeEAM • Le 17.12.2018: greffe autologue de moelle osseuse • 15.01.2019: engraftment syndrome tardif traité par de la Prednisone du 15.01 au 29.01.2019 Adénome surrénalien gauche (2 cm) Maladie de Scheuermann Lombalgie non déficitaire gauche le 06.08.18: • Majoration en taille de l'infiltrat tissulaire dans le rétro-péritoine principalement en para-aortique gauche sur infiltration tumorale du M. Psoas gauche (cf. diagnostic supp.1) • IRM lombaire du 22.06.2018 (Affidea): discopathie étagée du rachis lombaire. Pas de hernie discale visible. Adénopathies dans le rétropéritoine, principalement dans la région para-aortique gauche infiltrant le muscle psoas principalement de L1 à L4. Ceci pourrait expliquer une éventuelle irritation de la racine L3 à gauche. Ces adénopathies infiltrant le muscle psoas étaient déjà présentes sur le PET CT du 24.05.2018. Hydronéphrose gauche déjà présente sur le PET CT du 24.05.2018. • IRM lombaire du 25.07.2018: progression infiltration calcifiante tumorale du M. Psoas gauche en comparaison avec les images du 22.06.2018 Suspicion d'angor stable le 13.11.2018 (DD: embolie pulmonaire) Lymphome non hodgkinien folliculaire, stade III - IV B, grade 3A, FLIPI III • date du diagnostic: 22.12.2009 • histologie (Promed P8292.09): lymphome diffus à grandes cellules B (moins de 5%) ainsi que lymphome folliculaire, grade 3A (plus de 95%) (excision ganglion inguinal gauche) • CT thoraco-abdomino-pelvien du 17.12.2009: adénopathies volumineuses de la chaîne jugulaire gauche, des deux creux axillaires, du médiastin postérieur avec une coulée s'étendant jusqu'à la bifurcation iliaque, des creux inguinaux des deux côtés et rétropéritonéales • PET-scan du 05.01.2010: multiples lésions hypermétaboliques supra- et infra-diaphragmatiques et la moelle hématogène correspondant très probablement à une infiltration lymphomateuse massive • biopsie de moelle osseuse du 30.12.2009 (CHUV, H1000077): moelle fibreuse et pauci-cellulaire avec foyers lymphoïdes atypiques partiellement para-trabéculaires de composante lymphocytaire T prédominante, d'allure séquellaire • sérologies HBV, HCV, HIV, CMV, EBV le 30.12.2009: négatives • statut post-8 cures de chimiothérapie de type Mabthera et CVP (Endoxan, Oncovin, Prednisone) du 13.01.2010 au 11.06.2010 (rémission complète au PET) • sous traitement de maintien par l'anticorps Mabthera depuis le 01.09.2010 • statut post-traitement de maintien par l'anticorps Mabthera du 01.09.2010 au 04.07.2012 • récidive en octobre 2015: réapparition des adénopathies supra-diaphragmatiques et des masses tissulaires au niveau des muscles dorsaux à droite ainsi qu'au niveau de l'angle costo-vertébral droit avec infiltration du trou de conjugaison D7 à D8, • statut post-biopsie de la masse dorsale du 27.10.2015: histologie (Promed P9497.15): lymphome à cellules B mature avec lymphome diffus à grandes cellules (type centro-germinatif d'un DLBCL) dans environ 50%, foyer d'un foyer folliculaire de grade IIIA (environ 50%) • statut post-6 cures de chimiothérapie par R-CEPP (pas d'Antracycline en raison d'une FEVG diminuée < 40%) du 09.11.2015 au 11.04.2016 (maladie résiduelle au PET) • statut post-4 cures d'une chimiothérapie par Rituximab, Endoxan, Caelyx et Prednisone du 09.05. au 18.07.2016 (bonne réponse partielle avec 2 foyers résiduels au PET, arrêt de la chimiothérapie au vu d'une cardiotoxicité cumulative (FEVG 35%) • statut post-radiothérapie ciblée au niveau des foyers résiduels sur le PET-CT au niveau amygdalien droit, de la lésion dorsale en regard de l'omoplate droite et de la région paravertébrale droite de D7 du 24.10 au 28.11.2016 (maladie résiduelle avec une progression au PET, chimiothérapie à titre palliatif récusée par le patient à ce moment • statut post 1 cure de chimiothérapie palliative par R-GDP (rituximab, Gemzar, carboplatine, dexaméthasone) du 07 au 14.06.2017 en raison d'une progression tumorale. (arrêt 1 cure au vu d'une toxicité trop importante) • statut post 4 cures d'une immuno-chimiothérapie par rituximab et bendamustine du 20.02 au 25.05.2018 au vu d'une progression tumorale (très bonne rémission partielle) • actuellement: légère progression tumorale, recontrôle à 3 mois (CT-scan au vu d'une baisse de l'état général du patient suite à une bronchite) Lymphome non hodgkinien folliculaire, stade III - IV B, grade 3A, FLIPI III • date du diagnostic: 22.12.2009 • histologie (Promed P8292.09): lymphome diffus à grandes cellules B (moins de 5%) ainsi que lymphome folliculaire, grade 3A (plus de 95%) (excision ganglion inguinal gauche) • CT thoraco-abdomino-pelvien du 17.12.2009: adénopathies volumineuses de la chaîne jugulaire gauche, des deux creux axillaires, du médiastin postérieur avec une coulée s'étendant jusqu'à la bifurcation iliaque, des creux inguinaux des deux côtés et rétropéritonéales • PET-scan du 05.01.2010: multiples lésions hypermétaboliques supra- et infra-diaphragmatiques et la moelle hématogène correspondant très probablement à une infiltration lymphomateuse massive • biopsie de moelle osseuse du 30.12.2009 (CHUV, H1000077): moelle fibreuse et pauci-cellulaire avec foyers lymphoïdes atypiques partiellement para-trabéculaires de composante lymphocytaire T prédominante, d'allure séquellaire • sérologies HBV, HCV, HIV, CMV, EBV le 30.12.2009 : négatives • status post-8 cures de chimiothérapie de type Mabthera et CVP (Endoxan, Oncovin, Prednisone) du 13.01.2010 au 11.06.2010 (rémission complète au PET) • sous traitement de maintien par l'anticorps Mabthera depuis le 01.09.2010 • status post-traitement de maintien par l'anticorps Mabthera du 01.09.2010 au 04.07.2012 • récidive en octobre 2015 : réapparition des adénopathies supra-diaphragmatiques et des masses tissulaires au niveau des muscles dorsaux à droite ainsi qu'au niveau de l'angle costo-vertébrale droit avec infiltration du trou de conjugaison D7 à D8, • status post-biopsie de la masse dorsale du 27.10.2015 : histologie (Promed P9497.15) : lymphome à cellules B mature avec lymphome diffus à grandes cellules (type centro-germinatif d'un DLBCL) dans environ 50%, foyer d'un foyer folliculaire de grade IIIA (environ 50%) • status post-6 cures de chimiothérapie par R-CEPP (pas d'Antracycline en raison d'une FEVG diminuée < 40%) du 09.11.2015 au 11.04.2016 (maladie résiduelle au PET) • status post-4 cures d'une chimiothérapie par Rituximab, Endoxan, Caelyx et Prednisone du 09.05. au 18.07.2016 (bonne réponse partielle avec 2 foyers résiduels au PET, arrêt de la chimiothérapie au vu d'une cardiotoxicité cumulative (FEVG 35%) • status post-radiothérapie ciblée au niveau des foyers résiduels sur le PET-CT au niveau amygdalien droit, de la lésion dorsale en regard de l'omoplate droite et de la région paravertébrale droite de D7 du 24.10 au 28.11.2016 (maladie résiduelle avec une progression au PET, chimiothérapie à titre palliatif récusée par le patient à ce moment • status post 1 cure de chimiothérapie palliative par R-GDP (rituximab, Gemzar, carboplatine, dexaméthasone) du 07 au 14.06.2017 en raison d'une progression tumorale. (arrêt 1 cure au vu d'une toxicité trop importante) • status post 4 cures d'une immuno-chimiothérapie par rituximab et bendamustine du 20.02 au 25.05.2018 au vu d'une progression tumorale (très bonne rémission partielle) • actuellement : légère progression tumorale, recontrôle à 3 mois (CT-scan au vu d'une baisse de l'état général du patient suite à une bronchite) Lymphome non-hodgkinien stade IV : - Date du diagnostic : 26.01.2006 - Histologie : lymphome folliculaire malin grade 3b des nœuds lymphatiques inguinaux excisés à gauche (Frimorfo H2006.933) - Staging : Examen de la moelle épinière sans indice d'infiltration CT : épaississement de la paroi stomacale et suspicion de métastases ioniques PET-CT du 01.03.2006 : atteinte de l'estomac et de la rate. Foyer d'hypercaptation paramédian intra-abdominal gauche Sérologie HIV et CMV négatives. EBV IgG positive, IgM négative Echocardiographie du 02.03.2006 : FE : 65% Status post-8 cycles de chimiothérapie selon CHOP/Mabthera, mars à août 2006 - Actuellement, pas d'indice pour une récidive d'un lymphome folliculaire non-hodgkinien Lymphome non-hodgkinien stade IAE : - Date du diagnostic : 07.03.2013 - Histologie (Promed P2009.13) : lymphome de la zone marginale de type MALT des poumons - CT thoracique du 02.03.2013 : lésions nodulaires lobe inférieur gauche. Nœuds lymphatiques de 2 cm de diamètre - Status post-résection Wedge des lésions nodulaires pulmonaires le 07.03.2013 par le Dr. X - Actuellement, pas d'indice pour des foyers de lymphome. Contrôles réguliers Dysfonction thyroïdienne : - Status post-hypothyroïdie diagnostiquée en 2000, traitée par Eltroxine - Ultrason de la glande thyroïdienne du 15.02.2017 : volume normal hétérogène Lypothymie. Lypothymie sur hypotension orthostatique, actuellement pas de traitement. Lyrica 2x 25mg dès le 26.03.2019 Lyrica 2x 25mg dès le 26.03.2019 Majoration Prednisone à 15mg/j le 27.03.2019 (pour 7 jours) puis reprise à dose habituelle de 5 mg/j 2x CE le 28.03.2019 RX thorax du 25.03.2019 Traitement de support dans le cadre du code soins palliatifs complexes RAD le 02.04.2019 avec soins à domicile et Voltigo Suivi oncologique chez le Dr. X avec rendez-vous prévu le jeudi 11.04.2019 Suivi en soins de support chez le Dr. X avec rendez-vous prévu le mardi 09.04.2019 Lyrica 75 mg 2x/jour, à réévaluer par le médecin traitant dans 14 jours. Lyrica 75 mg 2x/jour, à réévaluer par le médecin traitant dans 14 jours. En cas de persistance des douleurs, prévoir une consultation neurologique, à organiser par le médecin traitant, afin de discuter du bilan à faire (IRM cervicale ? stimulation magnétique transcrânienne ?). Lyse isthmique L5 bilatérale avec arthrose facettaire et possible surcharge facettaire sur : - Status post-discectomie L5-S1 par abord rétro-péritonéal par la G et mise en place d'une cage ALIF Synfix M 10.5/10°, pré-remplie au Ceracell et fixée par 2 vis de 20mm en L5 + 2 vis de 25mm en S1 le 02.11.2018 pour une discopathie évolutive L5-S1 avec protrusion discale Radiculopathie sensitive résiduelle L5 D, sans atteinte électroneuromyographique Lyse péri-radiculaire des dents au regard maxillaire le 02.04.2019. Mr. Y se présente aux urgences en raison d'une dyspnée présente depuis environ deux semaines, en péjoration depuis 48h associée à une toux grasse avec importante expectoration jaunâtre. Il ne présente pas d'état fébrile ou de frisson. Au vu d'une suspicion initiale de décompensation cardiaque en raison d'une augmentation de la NT-proBNP et d'œdème des membres inférieurs, un traitement diurétique intraveineux est mis en place. La volémie est rapidement corrigée sans aucune amélioration du point de vue pulmonaire. Le scanner thoracique du 04.04.19 met en évidence de multiples lésions kystiques du parenchyme pulmonaire évoquant une pneumopathie interstitielle lymphocytaire (LIP) ainsi qu'une condensation dans le lobe supérieur droit pouvant être compatible avec un foyer pulmonaire. Une antibiothérapie par Ceftriaxone est donc introduite pour une durée de 5 jours. Concernant les lésions kystiques du parenchyme pulmonaire, nous ne réalisons pas d'investigations plus poussées (bronchoscopie, biopsie) en raison de l'âge du patient et après discussion avec celui-ci. Mais au vu d'une image typique pour une pneumopathie interstitielle lymphocytaire, une corticothérapie est introduite permettant une rapide disparition de la symptomatologie pulmonaire. Un bilan à la recherche d'une étiologie secondaire à la pneumopathie interstitielle lymphocytaire est réalisé (FAN, C3, C4, IGg, IgA, dot connectivite, électrophorèse des protéines) et revient négatif. La corticothérapie sera poursuivie au domicile, nous laissons le soin au médecin traitant de diminuer progressivement la posologie de celle-ci et de référer le patient à un pneumologue si jugé nécessaire. Un retour à domicile est organisé le 12.04.19. Mr. Y, 77 ans, est admis aux soins intensifs pour un choc septique de point de départ urinaire le 06.04.2019. Il est connu pour un syndrome métabolique, une artériopathie oblitérante des membres inférieurs avec amputation supra-géniculée à droite et trans-métatarsienne à gauche, une cardiopathie ischémique pontée et insuffisance rénale. Il vit au home Marc-Aurèle à Avenches. Le patient est porteur d'une sonde vésiculaire à demeure, avec échec du changement de sonde le 05.04.2019 ayant pour conséquence un globe vésical et trouble de l'état de conscience (GCS à 13) qui s'améliore spontanément. Aux urgences, le patient présente un sepsis sévère à point de départ urinaire en raison d'une translocation bactérienne suite à la manipulation de la sonde vésicale. Une antibiothérapie par Meropenem est débutée le 07.04.2019 en raison d'une colonisation urinaire par Klebsiella pneumoniae ESBL. La culture des urines est en cours. Une insuffisance rénale post-rénale est également mise en évidence.A son arrivée aux soins intensifs, le patient reste hypotendu nécessitant plusieurs remplissages vasculaires mais pas d'amines. La sonde vésicale à trois voies avec un saignement du meat. Le patient est transféré en médecine le 07.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 36 ans, est admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire aiguë globale. L'insuffisance respiratoire est d'origine multifactorielle. La décompensation aiguë est certainement déclenchée par une pneumonie, possiblement de broncho-aspiration et une composante de décompensation cardiaque sur un flutter rapide. L'hypercapnie est de plus aggravée par une sédation pour l'ETO faite dans le contexte du flutter. L'évolution est favorable sous antibiotiques et ventilation non invasive dont le sevrage s'avère impossible. Ceci est attribué à une progression de la maladie de Becker, motivant un appareillage ventilatoire à long terme. Une réadaptation pulmonaire est envisagée à Billens et sera à organiser après un séjour en médecine tel que convenu avec Dr. X. Le flutter auriculaire est spontanément résolutif lors d'une stimulation vagale pendant l'ETO qui est effectué pour exclure un thrombus intra-auriculaire. Des récidives motivent un traitement temporaire par Cordarone et majoration des bêtabloquants. Après discussion avec son cardiologue au CHUV, on ne retient pas d'indication à une thermoablation. Une anticoagulation n'est pas débutée au vu d'un CHADSVASC à 0 points. Le patient présente des diarrhées dans le contexte d'antibiothérapie. La recherche de Clostridium est négative. Un traitement symptomatique de Bioflorin et Lopéramide permet un amendement des symptômes. Une phlébite du membre supérieur droit et membre inférieur gauche motivent l'ablation de la voie veineuse périphérique. On n'objective pas de signes locaux ni systémiques pour une infection. L'évolution est favorable avec des soins locaux. En attente d'une réadaptation respiratoire à Billens, le patient est transféré en médecine interne le 29.04.2019. Mr. Y est un patient de 50 ans en bonne santé habituelle ayant bénéficié le 04.03.2019 d'une septoplastie et turbinoplastie dans un contexte de SAOS. Il est hospitalisé dans le cadre de vertiges à type de tangage apparus brutalement au début d'une séance d'acupuncture et suivis par des céphalées frontales accompagnées de nucalgies d'intensité 9/10. Il décrit également des troubles de la marche avec chute du côté gauche ainsi qu'un fourmillement diffus sans photo- ni phonophobie ou autre plainte ORL ou neurologique. Pour rappel, le patient avait présenté un VPPB il y a 3 ans et était suivi par Dr. X et avait déjà consulté les urgences le 20.04.19 pour des vertiges que des manœuvres libératrices avaient soulagés. A l'admission aux urgences, des troubles diffus de la repolarisation sont mis en évidence à l'ECG. En l'absence de mouvement enzymatique cardiaque, ceux-ci sont mis dans le contexte de troubles électrolytiques diffus importants, lesquels peuvent être corrigés par voie intraveineuse et orale. Un contrôle reste à effectuer à la consultation du médecin traitant. Les troubles de la repolarisation sont par ailleurs régressifs. Ces troubles électrolytiques s'expliquent par un probable syndrome de renutrition, le patient ayant présenté une inappétence après sa récente intervention ORL. Dans le cadre du bilan des vertiges, un CT-scan permet d'exclure une hémorragie ainsi qu'une origine ischémique mais montre une sinusite au décours. Des manœuvres libératrices pour un VPPB sont effectuées avec provocation de vertiges. Les céphalées répondent bien à l'antalgie. Un consilium ORL permet de confirmer le diagnostic de canalolithiase du canal semi-circulaire latéral gauche. Le patient sera revu en consultation à un mois. A noter qu'un goitre plongeant est mis en évidence sur le CT d'entrée, pour lequel le patient bénéficie d'un suivi régulier en endocrinologie. Une TSH est dans la norme durant le séjour. Mr. Y peut rentrer à domicile le 24.04.2019 en bon état général. Mr. Y, 70 ans, a été admis aux soins intensifs pour une défaillance respiratoire aiguë dans le contexte d'une BPCO terminale avec bronchopneumonie à Streptococcus pneumoniae et choc septique réfractaire. Le patient était connu pour une BPCO de stade terminal, sous oxygénothérapie en continu, avec un déconditionnement majeur limitant toutes les activités de la vie quotidienne. Il vivait en Espagne et s'est rendu en Suisse pour visiter ses propres enfants. Son état général était fortement diminué et il ne voulait plus s'alimenter depuis plusieurs jours. La dyspnée s'étant fortement aggravée, la famille a fait appel à l'ambulance contre son gré. A l'arrivée aux urgences, il présentait une défaillance respiratoire aiguë majeure avec acidose mixte respiratoire et métabolique lactique, ainsi qu'un choc septique avec des marbrures cutanées étendues. La ventilation non invasive étant impossible, le patient a été rapidement intubé et ventilé mécaniquement. Un arrêt cardio-respiratoire avec activité électrique sans pouls a été provoqué par la vasoplégie et cardioplégie septique (fraction d'éjection ventriculaire gauche à 25 %), l'hyperinflation pulmonaire dynamique, l'hypertension pulmonaire et l'acidose sévère. Une réanimation cardio-respiratoire brève et l'administration d'adrénaline iv de manière itérative a permis un retour en circulation spontanée après 2 minutes. La défaillance respiratoire aiguë a été attribuée à une bronchopneumonie à Streptococcus pneumoniae avec un antigène urinaire positif. Un encombrement bronchique par des sécrétions purulentes abondantes a nécessité des aspirations endo-trachéales itératives suite à l'intubation. L'infection était d'emblée compliquée d'un choc septique réfractaire malgré un soutien vasopresseur de noradrénaline à haute dose, un remplissage vasculaire et une antibiothérapie de meropenem et clarithromycine. Malgré ces mesures, l'acidose lactique s'est rapidement aggravée et le patient est resté oligo-anurique, témoignant de l'apparition d'une défaillance multi-organique. Devant cet état de choc réfractaire avec les défaillances décrites, le pronostic était d'emblée sombre. La famille a été informée en détails de la situation critique et nous a confié que le patient avait exprimé à plusieurs reprises le désir de mourir et qu'il ne souhaitait pas de prise en charge médicale supplémentaire. Vu le mauvais état général, nous décidons d'un commun accord avec l’épouse et les enfants du patient d'instaurer des soins de confort. Le patient est décédé paisiblement le 02.04.2019 en présence de ses proches. Nous n'avons pas demandé d'autopsie ni considéré la possibilité d'un don d'organes à cœur arrêté vu le choc septique et les défaillances multi-organiques. Mr. Y est un patient de 87 ans, connu pour une hypertension artérielle et une hypercholestérolémie traitées, qui se présente aux urgences pour une constipation depuis mi-mars, sans amélioration. Il s'agit de la 3ème consultation aux urgences en raison de la non-amélioration des symptômes malgré un traitement par laxatif. Cette constipation est accompagnée de diarrhées paradoxales, mais sans autres symptômes abdominaux, ni de symptômes B. L'examen clinique met en évidence un abdomen souple et douloureux à la palpation profonde, sans détente, ni défense. Le laboratoire revient aligné. Après avis gastro-entérologique, nous décidons d'effectuer un scanner en ambulatoire, le 10.04.2019 à la recherche d'une masse abdominale qui motiverait la réalisation d'une colonoscopie. Nous majorons le traitement laxatif et la suite de la prise en charge se fera chez le médecin traitant du patient.Mr. Y est un patient de 61 ans, qui se présente aux urgences pour une douleur dans la fesse et la cuisse gauche consécutive à une douleur lombaire depuis samedi. Le patient ne présente pas de troubles neurologiques et l'examen clinique est rassurant. Nous décidons d'initier temporairement une antalgie par morphine IV pour soulager le patient. En raison de l'inquiétude importante concernant sa douleur, un avis rhumatologique concernant une hospitalisation pour antalgie est demandé, pour laquelle le patient refusera. Nous conseillons le patient de continuer la prescription de Dafalgan 1g, Irfen 800 mg, Tramadol 100 mg, Sirdalud par son médecin traitant et de poursuivre son suivi avec lui pour éventuellement une imagerie en ambulatoire. Le patient reconsultera son médecin demain. Mr. Y présente vraisemblablement une granulomatose avec polyangéite sans ANCA, avec une atteinte organique multisystémique pleuropulmonaire, oculaire, rénale, neurologique, cutanée et articulaire. En effet, une origine infectieuse a été raisonnablement exclue lors de l'hospitalisation. Même si les ANCA sont absents, passablement d'éléments orientent vers ce diagnostic, avec la présence de granulomes au niveau pulmonaire, une glomérulonéphrite typique à la biopsie, une antécédent de chondrite,... L'hospitalisation ayant eu lieu le vendredi fin d'après-midi, sans tarder, nous avons introduit un traitement par Solumedrol 1 g/24 h durant 3 jours avec un relais par prednisone 60 mg/jour. Le jour même, il a encore été vu par nos collègues ophtalmologues qui confirment la présence d'une épisclérite et uvéite antérieure de l'œil gauche. Un traitement par corticoïdes topiques est introduit. Au vu d'une exophtalmie de cet œil, nous réalisons un CT du massif facial ne montrant pas d'anomalie intra-crânienne ni au niveau des orbites. Au niveau pulmonaire, nous répétons le CT thoracique qui montre une stabilité des lésions, notamment de la consolidation du LSG. Cette dernière ayant un aspect spiculé, avec une suspicion d'infiltration de la graisse du médiastin, nous décidons de répéter le CT d'ici 4-6 semaines, bien que la biopsie réalisée en janvier ne montrait pas de lésion tumorale à ce niveau. Le patient présente aussi une atteinte rénale avec une IRA, associée à une albuminurie et une hématurie (non glomérulaire). Sur avis de nos collègues néphrologues, nous organisons une angio-IRM rénale montrant une anomalie de signal dans le pôle supérieur évocatrice d'une néphrite. Une biopsie rénale est faite le 26.04.2019 par nos collègues urologues. L'histologie démontre une glomérulonéphrite extracapillaire exsudative nécrosante évocatrice d'une vasculite à ANCA. On retrouve de plus une atteinte cutanée avec des lésions pétéchiales des MI et un érythème au niveau des joues avec évolution favorable en fin de séjour. À noter une atteinte articulaire avec notamment des gonalgies inflammatoires et des synovites franches des 5èmes IPP. L'évolution est favorable sous traitement, mais un bilan complémentaire devra se faire à notre consultation le 14.05 avec des radiographies et la recherche des ACPA, le FR étant très élevé, même si le tableau clinique n'est pas vraiment compatible avec une polyarthrite rhumatoïde inaugurale. Le patient se plaint encore de paresthésies et de douleurs neuropathiques des pieds. Il est évalué par nos collègues neurologues qui mettent en évidence une probable polyneuropathie périphérique à mettre probablement sur le compte de la vasculite systémique. Nous complétons le bilan biologique qui montre une TSH, vitamine B12, acide folique et HbA1c dans la norme. Nous introduisons un traitement de prégabaline à doses progressives. Notons néanmoins à l'examen neurologique une hyperréflexie tétra-appendiculaire, à surveiller. Si la symptomatologie venait à s'aggraver, il est proposé de réaliser une IRM cervicale. Finalement, sous corticoïdes à hautes doses, l'évolution est rapidement favorable et Mr. Y reçoit une première perfusion de rituximab 1 g le 24.04 comme traitement d'induction de rémission cortico-épargnant. Une deuxième perfusion est agendée dans notre service à semaines. Dans ce contexte, une prophylaxie contre le P. Jirovecii est introduite par du Bactrim Forte 3x/semaine. Nous instaurons une prophylaxie de l'ostéoporose avec une perfusion d'Aclasta le 25.04 et du calcimagon D3. Comme le traitement immunosuppresseur a été introduit sans tarder, nous n'avons pas fait le vaccin contre les pneumocoques, la réponse vaccinale étant moins bonne sous ce genre de traitement. Nous rattraperons le vaccin idéalement par Prevenar à distance de la 2ème perfusion de rituximab. Mr. Y a pu regagner le domicile le 29.04 et sera revu par les différents spécialistes dans les semaines à venir. Mr. Y est un patient de 77 ans connu pour des AVC ischémiques multiples objectivés lors d'une IRM effectuée en ambulatoire le 12.04.2019 d'origine artério-artérielle. La chronologie de l'AVC est peu claire avec une apparition des symptômes déficitaires probablement en début d'avril 2019. Le patient présente une parésie du membre supérieur gauche avec discrète asymétrie faciale en défaveur à droite. Un examen ultrasonographique des vaisseaux précérébraux le 16.04.2019, réalisé par Dr. X - qui nous l'adresse - dans le cadre du bilan étiologique, montre une occlusion de l'artère carotide interne gauche et une sténose subocclusive de l'artère carotide interne droite. Le bilan est complété par un Angio-CT. Un avis en chirurgie vasculaire (Dr. X) pose l'indication à une endartériectomie. Compte tenu de la chronologie peu claire de l'AVC, d'images radiologiques parlant pour des AVC subaigus et d'un statut de la vascularisation cérébrale antérieure critique, nous maintenons le patient en surveillance avec une mobilisation limitée jusqu'à son opération. Une échographie transthoracique le 18.04.2019 demandée pour compléter le bilan préopératoire montre un foramen ovale perméable uniquement après manœuvres de Valsalva, une FEVG à 65 % et un anévrisme du septum interauriculaire. Un consilium neurologique met en évidence des troubles cognitifs jusqu'alors non bilanés, raison pour laquelle un consilium neuropsychologique est demandé. Lors de l'échographie des vaisseaux précérébraux, le patient présente un rythme irrégulier. Un Holter est demandé. L'opération a lieu le 20.04.2019, et le patient est transféré en chirurgie pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 81 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë plurifactorielle, secondaire à l'évolution d'un probable lymphome diffus à grandes cellules B intravasculaire, à la lyse tumorale, à une hypervolémie, possibles atélectasies et épanchements pleuraux. Le patient a été initialement hospitalisé pour une suspicion d'AIT et le bilan biologique effectué à l'admission a montré une thrombopénie avec des blastes circulants. Une ponction-biopsie de moelle a été effectuée et est en cours d'analyse. La cytométrie de flux est non contributive. Un traitement corticoïde à haute dose a été débuté ainsi qu'une hydratation et un traitement de rasburicase en raison d'un syndrome de lyse tumorale. Une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë plurifactorielle est apparue le 23.04.2019 et a nécessité le transfert aux soins intensifs pour l'instauration d'une ventilation non invasive qui a permis une rapide amélioration clinique. Un état fébrile d'origine probablement tumorale a motivé un CT-scan thoraco-abdominal qui a montré uniquement des épanchements pleuraux bilatéraux en quantité modérée et une bulle d'air pré-hépatique d'origine indéterminée. L'échocardiographie a montré une calcification de l'anneau mitral postérieur avec une structure hyperéchogène mobile vers le versant ventriculaire pouvant correspondre à un cordage calcifié, bien qu'une endocardite ne puisse être exclue. Les hémocultures sont en cours. Une échocardiographie transoesophagienne devrait être envisagée en cas d'aggravation du syndrome inflammatoire et hémocultures positives. Une antibiothérapie empirique de céfépime a été débutée. Le syndrome inflammatoire s'est amélioré par la suite sous corticoïdes et antibiothérapie.Le patient est transféré le 25.04.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y, patient de 43 ans connu pour une toxicomanie sous Méthadone, est admis aux soins intensifs en raison d'un coma sur intoxication à GBL. Il est amené aux urgences avec des troubles de l'état de conscience fluctuants. Il est intubé et transféré aux soins intensifs avec une évolution favorable permettant une extubation le lendemain. Une évaluation psychiatrique ne retient pas d'indication à une hospitalisation en environnement psychiatrique. Un suivi en ambulatoire lui est proposé. Il peut regagner son domicile le 30.04.2019. Mr. Y est hospitalisé dans le contexte d'une hématurie nouvelle chez un patient sans antécédents urologiques hormis une hyperplasie bénigne de la prostate. Il présente, depuis le 01.04.2019, une macro-hématurie spontanée non-algique nouvelle. Lors de son évaluation aux urgences le 03.04.2019, une masse d'allure tumorale est mise en évidence au niveau du rein droit ainsi qu'un hématome intra-vésical. Une cystoscopie permet l'évacuation de l'hématome sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles et le patient ne présente pas de nouveaux saignements. Le patient sera présenté au colloque interdisciplinaire Tumorboard le jeudi 11.04.2019. D'autres examens dans le cadre du bilan de cette nouvelle tumeur ne sont actuellement pas indiqués, discuté avec le Dr. X. Mr. Y est hospitalisé depuis les ambulatoires après avoir eu une coronarographie le 08.04.19 en raison d'une acutisation de la fonction rénale avec hyperurémie et une somnolence et fatigue importantes. Pour rappel, depuis un mois, le patient se sent de plus en plus somnolent, avec de plus en plus de nausées et de vomissements surtout le matin accompagnés d'un manque d'appétit. Devant ce tableau clinique et des DRS au repos et au moindre effort, une coronarographie est effectuée en électif le 08.04.19 et ne montre pas de nouvelle sténose. En plus, il se plaint de paresthésies en péjoration des membres supérieurs des deux côtés évoluant depuis un mois. Au status, on retrouve un patient somnolent, facilement réveillable et orienté, sans déficit neurologique focal, cependant, on constate une hypoesthésie avec allodynie des membres inférieurs, déjà connue. Au laboratoire, on note une péjoration de la fonction rénale. Un spot urinaire est en faveur d'une cause pré-rénale. Les traitements diurétiques sont temporairement suspendus ou diminués, une hydratation est débutée. Pour un doute concernant un possible gobe urinaire avec de petites répercussions sur les uretères distaux sans dilatation pyélocalicielle à l'échographie, une sonde urinaire est posée pendant 24h. Un ultrason de contrôle après retrait ne montre plus de dilatation des voies urinaires mais met en évidence une prostate de volume à la limite supérieure de la norme. Selon un avis néphrologique, nous reprenons le traitement diurétique mais arrêtons l'Aldactone devant le risque d'une rétention potassique. Une récolte urinaire montre une protéinurie à 3g/24h. Un avis néphrologique est demandé en raison de la péjoration rapide de la fonction rénale et de l'apparition d'une protéinurie d'ordre néphrotique. Le bilan étiologique, à l'exception du dosage du PLAR2 qui est toujours en cours, reste sans particularités. Nous retenons donc actuellement une péjoration de la fonction rénale dans le contexte d'une hypertension et d'un diabète mal contrôlé. Nous organisons un suivi néphrologique et l'indication à une biopsie rénale sera à réévaluer en fonction de l'évolution. Pendant l'hospitalisation, nous objectivons une hypertension mal contrôlée et adaptons son traitement antihypertenseur par une augmentation des diurétiques et des nitrés, un changement du Metoprolol pour du Carvedilol et l'introduction du Physiotens et du Clonidine dont nous vous laissons le soin d'augmenter selon l'évolution clinique. Le traitement antidiabétique est adapté après un avis diabétologique. Devant la péjoration de l'insuffisance rénale et de la polyneuropathie, nous soulignons l'importance de contrôler les glycémies très rigoureusement et d'adapter son traitement si nécessaire. Devant la persistance des nausées malgré une normalisation de l'hyperurémie, nous mettons en suspens son traitement par Tamsulosine, sous lequel il aurait déjà présenté des nausées auparavant et augmentons son traitement par Creon pour une possible origine d'insuffisance pancréatique à ses nausées. Sur le plan des paresthésies, une consultation neurologique auprès du Dr. X en avril 2018 avec ENMG a pu démontrer une polyneuropathie sensitivo-motrice d'origine diabétique probable. Un bilan carentiel revient sans particularités. Nous instaurons un traitement par Pregabaline dont nous vous laissons le soin de l'adapter selon évolution clinique. Sur le plan hématologique, une anémie normo-régénérative avec des signes de destruction érythrocytaire sans remplir des critères d'hémolyse est mise en évidence. Après un avis hématologique, nous renonçons à d'autres investigations et substituons un manque en fer par une perfusion de Ferinject 1000 mg i.v le 16.04.2019. Mr. Y rentre à domicile le 19.04.2019. Mr. Y est un patient de 68 ans connu notamment pour une artériopathie des membres inférieurs et un carcinome épidermoïde de l'œsophage en 2015 actuellement en rémission. Il est transféré le 10.04.2019 en Stroke Unit non-monitoré suite à un AVC sylvien gauche sur occlusion de la carotide et de l'artère cérébrale moyenne. L'IRM cérébrale avait montré une occlusion de la carotide interne ainsi qu'une occlusion de l'artère cérébrale à gauche avec une lésion ischémique constituée dans le territoire sylvien gauche. Une thrombectomie et une pose de stent carotidien ont été effectuées à l'Inselspital de Berne. La symptomatologie initiale révélait un hémisyndrome sensitivo-moteur droit avec une aphasie et une héminégligence visuelle droite. Pour rappel, une pneumonie sur broncho-aspiration avait été diagnostiquée en début de prise en charge initiale et nécessitée une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine durant 10 jours avec bonne évolution clinique. Dans le cadre du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique se montre sans particularité. Un Holter de 72 heures est effectué mais son interprétation reste actuellement en cours et le résultat définitif est donc encore à pister. L'événement cérébrovasculaire est mis sur le compte d'une probable origine primairement artério-artérielle, même si une composante post-radique et para-néoplasique ne peut être exclue au vu du contexte. Sur le plan médicamenteux, une double antiagrégation par Plavix 75 mg 1x/j et Aspirine cardio 100 mg 1x/j est introduite et est à maintenir pour une durée de 3 mois, après quoi le traitement d'aspirine est recommandé à vie. En raison de la sténose carotidienne, un traitement hypolipémiant à haute dose par Atorvastatine 80 mg 1x/j est également initié. Un bilan lipidique ainsi qu'un contrôle des transaminases est recommandé à 1 mois, avec pour objectif une adaptation du traitement au besoin (cible LDL < 1.8 mmol/l). Dans le cadre de troubles de la déglutition, une nutrition entérale est débutée et le patient bénéficie d'un suivi diététique. Des exercices de physiothérapie sont proposés durant l'hospitalisation. En fonction de l'évolution, l'indication à une PEG reste à discuter.Au vu de l'évolution clinique favorable et de la stabilité des symptômes, le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Le patient est en attente d'un séjour en neuro-réhabilitation intensive à Meyrier. • Mr. Y est un patient connu pour un status post plusieurs coliques néphrétiques, suivi par le Dr. X, qui présente une récidive de la symptomatologie. Un CT met en évidence un calcul de 5 mm dans l'uretère lombaire gauche avec dilatation du pyélon. Une cystoscopie avec mise en place de double J est effectuée le 07.04.2019, sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles permettant un retour à domicile le 08.04.2019. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X dans 10 jours pour la suite de la prise en charge. • Mr. Y est un patient de 50 ans en bonne santé habituelle. Il est hospitalisé le 30.03.19 pour un STEMI suite à des douleurs rétro-sternales survenues durant la nuit (DD NSTEMI avec signes de repolarisation précoce). La coronarographie effectuée en urgence met en évidence une lésion de l'artère circonflexe traitée par un stent actif. Une double-antiagrégation est instaurée pour une durée de 1 an. Un traitement d'IEC et de statines est également initié. Les bétabloquants ne sont pas introduits au vu d'une bradycardie sinusale. Des lésions intermédiaires sont vues sur l'IVA et la première diagonale et une nouvelle échographie ainsi qu'une ergométrie sont recommandées dans 1 mois. Une réadaptation cardiaque en ambulatoire est demandée après discussion avec le patient. Au vu du jeune âge du patient, de l'anamnèse familiale, ainsi que du taux élevé du LDL, nous préconisons un suivi régulier biologique ainsi qu'un dosage de la lipoprotéine A avec adaptation éventuelle de la médication (cible de LDL < 1.8 mmol/l). Etant pilote de ligne, il est discuté avec lui du problème que sa maladie pourrait avoir sur sa capacité à exercer son métier et que cette dernière sera à réévaluer à distance en collaboration entre les cardiologues et les médecins de son entreprise. Mr. Y peut rentrer à domicile le 03.02.2019. • Mr. Y, 82 ans, est admis pour un AVC per coronarographie. Le patient présente en fin de coronarographie une aphasie nouvelle. L'imagerie montre des zones de pénombre multiples suggérant une cause embolique lors de l'intervention. La symptomatologie régresse rapidement. L'équipe de neurologie propose la réalisation d'un IRM du neurocrâne, en ambulatoire, à rediscuter selon l'évolution. Le patient avait initialement consulté pour des récidives de DRS à 24h post coronarographie. La coronarographie montre un bon résultat sur le stent posé le 17.04.2019. La Cx moyenne est traitée ainsi que l'IVA par voie radiale. Le Plavix est à poursuivre pour 12 mois et l'Aspirine à vie. Le patient était traité par Metformine pour un diabète de type 2 non insulino-requérant. Les profils glycémiques sont parfaits chez nous et nous vous proposons donc de réintroduire ce traitement selon l'évolution. Face à l'excellente évolution, le patient retourne à domicile le 19.04.2019 en présence de son épouse. • Mr. Y, patient de 80 ans, admis aux soins intensifs pour un NSTEMI subaigu. Il est connu pour HTA et hypercholestérolémie traitée qui consulte les urgences de Payerne à cause d'une sensation de serrement de la gorge et une sensation de dyspnée. Il a eu un changement de son traitement anxiolitique par du lyrica et depuis il se sent encore plus angoissé. Le laboratoire montre des Troponine à 150 avec des ondes T aplaties en précordiale et le patient est transféré chez nous pour une surveillance hémodynamique en attendant une coronarographie en raison de manque de place à Payerne. Il reçoit une charge en Aspirine, Brilique et Arixtra à Payerne. A son arrivée aux soins intensifs, il présente une hypertension artérielle traitée par trinitrine et par inhibiteur calcique. Il ne présente pas de récidive de douleur thoracique ou de dyspnée. La surveillance rythmique est sans particularité. Une coronarographie est programmée pour le 08.04.2019. Le patient est très anxieux, une anxiolyse par temesta lui est prescrite ainsi qu'une réassurance. Le patient est transféré en médecine interne le 06.04.2019 pour la suite de la prise en charge. • Mr. Y se présente le 16.04.2019 aux urgences avec un état fébrile associé à une hématurie macroscopique suite à une biopsie prostatique le 12.04.2019 au cabinet du Dr. X. L'examen clinique met en évidence des signes de prostatite ainsi qu'une orchite gauche associée. Un traitement antibiotique avec de la Rocéphine est débuté ainsi qu'un traitement anti-inflammatoire local et médicamenteux. Suite à des hémocultures positives pour un E. Coli ESBL nous changeons la thérapie antibiotique pour de la Ciprofloxacine. Par la suite le patient présente une évolution clinique et laboratoire favorable. Nous le laissons rentrer à domicile le 20.04.2019. Il poursuivra la Ciprofloxacine pendant 2 semaines et sera revu en contrôle par le Dr. X le 23.04.2019. • Mr. Y, 77 ans, est admis pour un STEMI. Le patient est pris en fast-track STEMI par les ambulanciers pour des douleurs depuis environ 24h. La coronarographie montre une lésion coupable sur l'IVA proximale qui est stentée. Une angioplastie est effectuée sur l'IVA distale. Du Reopro est injecté en dose unique durant la coronarographie en raison de la contre-indication à l'Aspirine (anamnèse d'angio-oedème). La CD reste à traiter dans 1 mois. Un traitement d'Efient est débuté pour 12 mois et l'Aspirine est ajoutée (traitement à vie). Une statine est introduite. Le pic de CK est atteint et la fraction d'éjection ventriculaire gauche est à 38%. Une insuffisance cardiaque aiguë est mise en évidence durant le STEMI avec une pression télédiastolique du ventricule gauche élevée motivant des diurétiques en dose unique qui seront à réintroduire selon la volémie du patient. Un traitement d'IEC est débuté ainsi qu'un bétabloqueur. Le patient décrit une clinique d'angio-oedème suite à la prise d'Aspirine en dose antalgique il y a 40 ans. Une désensibilisation est effectuée sans effet secondaire et donc nous proposons de traiter ce patient avec de l'Aspirine de manière classique. Peu avant son transfert en unité, le patient tente d'enlever sa sonde urinaire tout seul sans dégonfler le ballonnet. Il présente de ce fait une hématurie macroscopique dans le contexte de la double anti-agrégation. La sonde est rincée et aucun caillot n'est retrouvé. La situation est bien expliquée au patient. En cas de péjoration ou de l'apparition de caillot, nous vous conseillons la prise d'un avis urologique et la mise en place d'une sonde 3 voies afin d'effectuer des rinçages. Le patient est transféré en médecine interne pour la suite de la prise en charge. • Mr. Y est hospitalisé le 14.04.2019 dans le contexte d'une récidive de tumeur vésicale. Il bénéficie le 15.04.2019 d'une résection trans-urétrale de la vessie durant laquelle 3 lésions papillaires d'aspect superficiel sont réséquées et envoyées en pathologie. Les suites post-opératoires sont calmes, afébriles et le patient ne présente pas d'hématurie post-opératoire. Nous laissons le patient rentrer à domicile le 16.04.2019. Il prendra rendez-vous avec le secrétariat du Dr. X pour une consultation de contrôle dans 3-4 semaines.Mr. Y est un patient de 76 ans connu pour un carcinome épidermoïde du lobe inférieur gauche depuis 12.2016 traité initialement par radio-chimiothérapie à visée curative puis par immunothérapie (pembrolizumab) de janvier 2018 à 2019. Le patient consulte en urgence son oncologue le 01.04.19 en raison d'une baisse de l'état général associée à des diarrhées et une inappétence, compliquée d'une anorexie depuis 1-2 semaines. L'état général initial est nettement diminué chez un patient présentant par ailleurs une hypotension artérielle répondant au remplissage. L'abdomen est souple et indolore. Le bilan biologique montre un discret syndrome inflammatoire, une insuffisance rénale aiguë AKIN II et des troubles électrolytiques (hypokaliémie et hypomagnésémie) associées à des modifications ECG. Une substitution électrolytique est ainsi débutée en plus de l'hydratation et le patient est hospitalisé en médecine. Sur le plan infectieux, une antibiothérapie empirique par ceftriaxone-métronidazole est débutée le 01.04.19, arrêtée le 03.04.19 à la réception des coprocultures négatives. Devant une suspicion de diarrhées secondaires à l'immunothérapie, une corticothérapie est débutée le 02.04.19, renforcée transitoirement par du budénofalk rectal avec diminution des épisodes de diarrhées. Sur le plan métabolique, le patient présente un déséquilibre glycémique secondaire à la corticothérapie, nécessitant l'introduction d'une insulinothérapie. Sur le plan endocrinien, la TSH est toujours augmentée, motivant une majoration de la substitution thyroidienne. Un rendez-vous de suivi est prévu le 22.05.19 à la consultation de Dr. X. Sur le plan oncologique, nous avançons le CT TAP prévu le 18.04.19, qui montre une augmentation en taille de la masse pulmonaire du lobe inférieur gauche au contact de la plèvre adjacente et une possible lymphangite carcinomateuse. Le patient sera revu à distance par son oncologue, Dr. X, afin de discuter de la suite de la prise en charge. Un CT sera organisé à 2 mois puis une chimiothérapie discutée en cas de progression selon l'état général. À noter l'absence de signes de colite ou d'une autre étiologie visible expliquant les diarrhées actuelles sur ce scanner. Sur le plan cardiaque, le patient développe lors de son séjour des signes de surcharge clinique, motivant la réintroduction de son traitement diurétique et nécessitant du furosémide iv transitoirement. Au vu de l'évolution favorable, le patient est transféré le 26.04.19 à Billens pour reconditionnement afin de renforcer le projet ultérieur d'un retour à domicile. L'instauration d'un passage de Voltigo à domicile serait également favorable et est acceptée par le patient et sa famille. Mr. Y, résident en France, connu pour IRC pré-terminale, HTA traitée, diabète II IR et un SAOS appareillé, se présente aux urgences en raison d'une dyspnée d'apparition rapide en moins de 24h, avec durant la nuit un épisode de dyspnée paroxystique nocturne majeur, motivant la consultation aux urgences. À noter qu'il n'a pas apporté sa CPAP avec lui en Suisse, donc ne l'a pas portée ces 4-5 dernières nuits. Pas de DRS. Au status d'arrivée, on retrouve une hypertension artérielle, des râles crépitants remontant jusqu'à mi-plage pulmonaire ainsi qu'une désaturation à l'air ambiant. Nous diagnostiquons un œdème aigu du poumon probablement d'origine mixte : pic hypertensif et écart alimentaire avec surcharge en sel. L'évolution est rapidement favorable sous diurétique iv puis per os, dérivé nitré et séance de VNI permettant un sevrage de l'oxygène le 22.04.19. Au vu de la bonne évolution, une sortie de l'hôpital est organisée le 23.04.19, avec majoration des traitements diurétiques habituels. En raison de l'épisode récent, nous recommandons au patient de ne pas prendre l'avion avant une semaine. Mr. Y est un patient de 80 ans qui consulte les urgences de Tavel le 05.04.19 pour une dyspnée fébrile avec toux. Une exacerbation de BPCO est retenue et traitée par Co-Amoxicilline et corticoïdes. Par la suite le patient développe un iléus mécanique sur bride le 06.04.19. La situation se complique d'une insuffisance rénale AKIN III le 09.04.19, motivant son transfert aux soins intensifs de Fribourg. L'iléus mécanique est traité de manière conservatrice en accord avec les chirurgiens. L'administration de Gastrografin est effectuée à deux reprises en raison d'une absence de transit, avec à chaque fois une exonération de selles, démontrant que l'occlusion est sub-totale. Une composante paralytique dans le contexte du traitement opiacé est par ailleurs possible et le métoclopramide est administré ponctuellement. Le transit digestif est finalement repris et le patient peut être réalimenté progressivement. Sur le plan respiratoire, la situation se complique d'une broncho-aspiration dans le contexte de vomissements secondaires à l'iléus. Malgré une ventilation non invasive et la physiothérapie respiratoire, l'hypoxémie s'aggrave et le patient nécessite d'être intubé le 11.04.19. La bronchoscopie met en évidence un comblement de tout l'arbre bronchique gauche et un toilettage bronchique est effectué à deux reprises. Un Enterobacter complexe cloacae est identifié dans le lavage broncho-alvéolaire et l'antibiothérapie est réadaptée en fonction avec du Meropenem jusqu'au 20.04.19. Le patient peut être extubé avec succès le 14.04.19. Des séances de ventilation non invasives sont poursuivies ainsi que de la physiothérapie respiratoire avec bon effet. L'insuffisance rénale aiguë est d'origine principalement pré-rénale dans le contexte septique et secondaire au 3ème secteur important provoqué par l'iléus. Elle s'améliore progressivement après remplissage. La diurèse est par la suite stimulée par diurétiques à haute dose, permettant de progressivement corriger l'hypervolémie chez un patient oligurique. Malgré une insuffisance rénale initialement sévère, le patient n'a pas présenté de critères de dialyse. L'évolution est favorable avec une correction progressive de la fonction glomérulaire. Le traitement d'IEC reste à réintroduire dès stabilisation de la fonction rénale. Sur le plan métabolique, malgré la résolution de l'infection et l'arrêt de la nutrition parentérale, le patient présente un déséquilibre glycémique persistant, motivant l'introduction d'une insulinothérapie pour le domicile. Le patient bénéficie de l'enseignement nécessaire et rentre le 26.04.19 avec des soins à domicile initialement 1x/j (pour les injections d'insuline et d'héparine de bas poids moléculaire jusqu'à ce que l'INR soit thérapeutique sous sintrom). Mr. Y, 78 ans, est admis aux soins intensifs pour prise en charge d'un NSTEMI. Le patient présente des douleurs typiques et consulte aux urgences. L'ECG est normal mais les enzymes cardiaques sont légèrement à la hausse. Une coronarographie est planifiée et l'Aspirine est ajoutée au traitement d'Eliquis et de Plavix. La coronarographie du 11.04.2019 ne retrouve pas de lésions significatives. Nous proposons une poursuite du traitement médicamenteux avec du Plavix 75 mg et Eliquis 5 mg 1-0-1. Nous recommandons d'organiser une prise en charge psychiatrique chez ce patient qui est demandeur, malheureusement nous n'avons pas pu l'organiser avec le RFSM avant sa sortie. Mr. Y peut abandonner l'attelle et doit débuter la physiothérapie pour renforcement musculaire. Marche encore deux semaines avec les cannes. On le reverra pour un contrôle clinique dans 6 semaines. Mr. Y est un patient de 69 ans connu pour un diabète de type 2 non insulinoréquérant ainsi qu'une hypertension artérielle et une fibrillation auriculaire anticoagulée par Eliquis. Il est hospitalisé le 17.04.19 en raison d'une suspicion de pyomyosite à point de départ indéterminé.Le patient a été hospitalisé du 08.04 au 12.04.19 en raison de douleurs de la fesse droite non déficitaires irradiant sur la face antérieure de la cuisse. Dans le cadre de cette hospitalisation, un CT abdominal a révélé plusieurs remaniements dégénératifs (sacro-iliaques, coxo-fémorales) ainsi qu'une discopathie pluriétagée du rachis dorsal bas. Une antalgie simple a permis une évolution favorable et le patient a pu rentrer à domicile. À noter que le CT avait également mis en évidence des signes de pyélo-urétérite droite pour laquelle le patient n'a pas été traité dans la mesure où aucune corrélation anamnestique ou clinique n'a été retrouvée. Il se présente le 18.04.19 aux urgences en raison de l'apparition depuis le 14.04 d'un érythème avec tuméfaction au niveau de la face antérieure du pied et de la cheville droite, du pouce de la main droite et de la face dorsale de la main gauche ainsi que du poignet. Cette consultation fait suite à une précédente chez le médecin-traitant, lequel avait introduit un traitement anti-inflammatoire X le 15.04 (suspectant une crise de goutte) et de Co-amoxicilline le 16.04 en raison d'une mauvaise évolution. Après consultation des rhumatologues, orthopédistes et infectiologues, le diagnostic de pyomyosite est retenu. Toutefois, aucune porte d'entrée évidente n'est mise en évidence à l'examen clinique pour expliquer la pyomyosite. Le patient ne rapporte par ailleurs aucun état fébrile. Toutefois, il décrit le développement d'une phlébite au niveau du membre supérieur droit sur voie veineuse périphérique à la fin de son hospitalisation à Riaz. Des hémocultures sont prélevées et une ponction articulaire est effectuée au niveau de l'articulation du pouce. Une antibiothérapie par Daptomycine est ensuite introduite. L'analyse du liquide de ponction articulaire révèle la présence de Cocci GRAM + le 19.04.19. Alors qu'une échographie trans-thoracique ne révèle pas d'argument pour une endocardite, un CT centré sur les différents érythèmes présentés par le patient montre de nombreuses collections, dont une au niveau épidural présentant des signes de compression médullaire. Dans ce contexte, et après consultation multidisciplinaire, il est convenu d'un transfert en milieu universitaire pour suite de prise en charge. Mr. Y, 28 ans est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique suite à une chute de 7 mètres avec fracture de vertèbre C5 et dissection de l'artère vertébrale droite. Le patient présente une amnésie circonstancielle de cet épisode et un acte auto-agressif n'est pas exclu. Un CT total-body est effectué aux urgences de Riaz. Ce dernier retrouve une fracture du corps vertébral C5 instable et une dissection de l'artère vertébrale droite (V2 à V3). Une antiagrégation plaquettaire est introduite pour une durée de 6 mois en raison de la dissection de l'artère vertébrale. Le patient bénéficie le 05.04.2019 d'une IRM cérébrale qui confirme une fracture burst du corps vertébral de C5 associée à un recul du mur postérieur de 2 mm ainsi qu'une distorsion du ligament longitudinal antérieur et inter-épineux C4-C5 et C5-C6. Les neurochirurgiens ne retiennent pas une indication chirurgicale en raison du risque opératoire important et au vu de la possibilité de traiter la fracture conservativement avec une immobilisation par minerve rigide. Le patient devra être revu en consultation orthopédique spine dans 3 semaines avec des radiographies cervicales en position debout. La durée prévisionnelle de l'immobilisation est de 6 à 8 semaines. Une minerve rigide est prescrite à maintenir 24h sur 24h. La mobilisation est libre sous réserve du maintien à tout moment de la minerve. Une toilette cervicale est possible sous la minerve uniquement en position allongée, avec une personne présente pour maintenir la tête dans l'axe, et une autre personne pour effectuer la toilette. Le patient ne doit en aucun cas retirer lui-même sa minerve. En raison du risque suicidaire, le patient est transféré à l'hôpital de Marsens le 06.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 58 ans, est admis pour un AVC aigu pariéto-occipital gauche. Le patient en bonne santé habituelle présente un wake up stroke (dernier signe de bonne santé à minuit) avec dysarthrie et aphasie, NIHSS à 6. Le CT cérébral avec cartes de perfusion réalisé aux urgences montre un AVC ischémique en majorité constitué temporo-pariétal gauche sur probable occlusion M3 gauche. Une lyse intravasculaire est débutée à 6h40 selon l'avis neurologique. L'examen neurologique reste stable par la suite avec une persistance d'une dysarthrie sévère et aphasie. Un CT cérébral de contrôle 8h après la lyse montre une transformation hémorragique de l'AVC de la région fronto-pariétale gauche sous la forme d'hémorragies sous-arachnoïdiennes et intra-parenchymateuses. Sur avis hématologique, nous lui administrons de façon empirique du fibrinogène et du cyclokapron. Le patient présente toujours une dysarthrie et une aphasie importantes mais avec une légère amélioration de la compréhension et de la fluence verbale. Il prononce par moments des phrases cohérentes et adaptées à la situation. Le CT cérébral de contrôle du 06.04.2019 montre une stabilité des lésions. Le patient présente une fibrillation auriculaire nouvelle dans la nuit du 06.04 au 07.04.2019 avec une bonne tolérance hémodynamique, traitée par magnésium. Une cardioversion médicamenteuse pourrait être réalisée dans les 48h, en cas de persistance. Le patient est transféré en unité stroke le 07.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 70 ans, est admis en unité stroke monitorée pour un AVC ischémique aigu sylvien droit sur occlusion M3. Il est amené en ambulance aux urgences en raison de l'apparition brutale de troubles de l'élocution avec faiblesse et trouble de la sensibilité de l'hémicorps gauche le 29.04.2019. À l'arrivée, il présente une dysarthrie, une héminégligence gauche, une parésie faciale gauche, ainsi qu'une ataxie du MSG. Le CT protocole Time is brain met en évidence une pénombre frontale droite avec occlusion sylvienne droite distale en M2. Une thrombolyse intraveineuse est débutée à 5h du début des symptômes. L'évolution neurologique a été favorable avec toutefois la persistance d'une légère dysarthrie. Le bilan étiologique est en cours avec notamment une échocardiographie et Holter de 72h. L'IRM de contrôle à 24h ne montre pas de transformation hémorragique. Le bilan lipidique et l'hémoglobine glyquée est dans la norme. Concernant la médication, un traitement par Clopidogrel 75 mg est débuté le 30.04.19, l'anticoagulation prophylactique sera à débuter dès le 01.05.19. À noter un diagnostic récent de myélome multiple suivi à l'hôpital cantonal de Zurich depuis un mois, un suivi sera prévu à la consultation de Dr. X. Nous laissons le soin au collègue de l'étage de rapatrier les documents depuis Zurich et de clarifier la situation avec les oncologues. Un épanchement pleural bilatéral de découverte fortuite est mis en évidence sur le CT cérébral du 29.04.19. Une radiographie thoracique est prévue pour le 01.05.19. L'indication à la mise en place d'un traitement diurétique ou la réalisation d'une ponction pleurale est à réévaluer par les médecins de l'étage. Le patient a été transféré le 23.04.2019 en stroke unit pour suite de prise en charge. Mr. Y, 68 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour un choc hypovolémique avec une insuffisance rénale anurique dans un contexte d'iléostomie à haut débit après sigmoïdectomie. Il avait bénéficié d'une sigmoïdectomie avec iléostomie de protection le 04.03.2019. Il est rentré à domicile le 10.04.2019. Suite à l'interruption du traitement par Imodium, le patient constate des pertes excessives par la stomie. Il consulte les urgences de Tavel où une insuffisance rénale aiguë anurique est diagnostiquée.A son transfert aux soins intensifs, une réanimation volémique et un soutien transitoire aminergique permettent la correction de l'insuffisance rénale et la restauration d'une diurèse. La fermeture de l'iléostomie devra être discutée aussitôt que possible. Dans l'intervalle, l'Imodium et la teinture d'opium sont réintroduits pour ralentir le transit. Une déhiscence inférieure de la laparotomie est traitée par soins locaux. Après plainte de douleurs testiculaires, une orchido-épididymite est objectivée à l'ultrason et couverte par antibiothérapie pour une durée totale de dix jours. Mr. Y, 20 ans, a été admis aux soins intensifs pour une décompensation acido-cétosique sévère d'un diabète de type 1. Le patient a été amené par sa mère en raison d'une décompensation acidocétosique. La glycémie à l'admission était à 22 mmol/l avec une décompensation acido-cétosique sévère (pH 7.01, PaCO2 0.9 kPa, bicarbonate 2 mmol/l, BE -28.1 mmol/l). L'acidose s'est rapidement corrigée après remplissage vasculaire et insulinothérapie intraveineuse. La correction du profil glycémique a été progressive et les troubles électrolytiques ont été substitués. L'insulinothérapie habituelle par Tresiba 70 UI/jour et d'Humalog préprandial a été reprise dès le 24.04.2018. Comme facteur déclencheur de la décompensation actuelle, nous retenons une mauvaise adhérence thérapeutique avec l'arrêt de l'insuline rapide trois jours avant son hospitalisation. L'HbA1c est supérieure à 15%. Le patient a été transféré le 24.04.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y est transféré en unité frailty care le 10.04.19 pour réhabilitation. Le patient est hospitalisé au sein de l'HFR en soins aigus du 08.03.19 au 29.03.19 (cf. lettre de sortie du séjour) suite à une chute à domicile dans un contexte d'éthylisation aiguë avec comme conséquence une fracture pertrochantérienne du fémur gauche traitée par réduction fermée et ostéosynthèse par clou PFNA le 10.03.2019. Le séjour se complique d'un ARDS d'origine multifactorielle, d'un refeeding syndrome et d'un état confusionnel aigu. Au vu d'une situation sociale complexe et d'une compliance moyenne, une réhabilitation lui est refusée, raison pour laquelle une suite est organisée en frailty care. Après des séances de physiothérapie biquotidienne, l'évolution est rapidement favorable. Mr. Y se mobilise sans douleur à l'aide de deux béquilles, il peut également utiliser les escaliers sans risque de chute (escaliers au domicile). Le contrôle radiographique du 14.04.19 montre un bon résultat de l'ostéosynthèse. Un retour à domicile est organisé le 17.04.19. Mr. Y se présente pour des symptômes vagues de vertiges mal systématisés, d'asthénie et de toux. L'examen clinique poussé est sans particularité, notamment au niveau ORL, neurologique et respiratoire. Lors de son évaluation, le patient est asymptomatique. Dans ce contexte, nous lui proposons un traitement symptomatique et une consultation chez son médecin traitant au cours de la semaine. Mr. Y, 83 ans, est admis pour une suspicion d'AVC ischémique aigu sylvien droit le 03.04.2019 d'origine indéterminée. Le patient, déjà connu pour une maladie cérébrovasculaire, présente des symptômes avec paresthésies du membre supérieur gauche et une hémianopsie gauche, ainsi qu'une héminégligence discrète à gauche. Mr. Y bénéficie d'un traitement par aspirine aux urgences. Le NIHSS est à 3 initialement. L'évolution aux soins intensifs est favorable avec une disparition des symptômes et un NIHSS à 0 le 04.04.2019. Après discussion avec les neurologues, nous poursuivons le Plavix seul. L'échographie transthoracique est sans particularité, cependant présence d'une ectasie de l'aorte à contrôler dans une année. Pour compléter le bilan cardiaque, un Holter est prévu. Mr. Y, 83 ans, est hospitalisé en Stroke Unit pour une suspicion d'AVC ischémique aigu sylvien droit le 03.04.2019. Le patient, connu pour 2 antécédents de paresthésies ascendantes et parésie transitoire du MSG en 2015 et 2018, mis sur le compte d'accidents ischémiques transitoires dans le passé; présente une récidive des symptômes précités avec une héminégligence gauche surajoutée. Les symptômes sont spontanément régressifs en 24 heures. L'angio-CT cérébral effectué aux urgences montre une asymétrie des cartes de perfusion ne suivant pas un seul territoire vasculaire et l'IRM infirme la présence d'une lésion constituée. Devant cette symptomatologie non ictale, de 3 épisodes similaires stéréotypés et des cartes de perfusion ne suivant pas un seul territoire, l'hypothèse épileptique est soulevée. Un EEG met en évidence une discrète latéralisation fronto-pariétale en défaveur de la droite corrélant avec la clinique. Ainsi nous retenons épilepsie focale à départ pariétal droit. Afin de traiter l'épilepsie, nous entamons un traitement par Lamictal à dose progressives sur 2 mois afin d'atteindre une posologie thérapeutique de 2 x 75 mg/jour. Le patient, sa femme et ses filles en sont avertis. En cas de réaction/rash/plaque cutanée, nous expliquons au patient qu'il doit stopper immédiatement son traitement de Lamictal et consulter un médecin rapidement. La conduite est contre-indiquée pendant 3 mois minimum. Dans le cadre du bilan étiologique du diagnostic différentiel d'AIT, une échocardiographie transthoracique ne révèle pas de cause structurelle pouvant expliquer un AIT, mais révèle la présence d'une ectasie de l'aorte qui est à contrôler annuellement. Au vu de l'excellente évolution et de l'absence de récidive de la symptomatologie pendant l'hospitalisation, le patient rentre à domicile le 05.04.2019. Un contrôle neurologique avec EEG est prévu à 3 mois. Mr. Y, patient de 74 ans, connu pour une BPCO, une maladie de Parkinson et des chutes à répétition avec multiples tassements vertébraux, suivi en orthopédie, est hospitalisé pour un bilan étiologique d'une syncope avec trauma crânien dans la suite. Pour rappel, le patient aurait chuté à domicile avec un trauma crânien et une amnésie circonstancielle, sans DRS ou prodromes associés. Absence d'élément en faveur d'une origine épileptique hormis 1 épisode de perte de selles. Absence de déficit neurologique focal à l'entrée, hormis dysarthrie connue. Signes d'obstruction pulmonaire à l'auscultation. Un bilan étiologique syncopal est demandé. Un ultrason du cœur ne montre pas de sténose aortique et une FEVG conservée à 60%. Un Holter à la recherche d'une origine rythmogène est en attente. Un Schellong revient pathologique et nous retenons donc une origine orthostatique la plus probable. Un traitement par des bas de contention est débuté et le test de Schellong de contrôle par la suite est négatif. Pour son Parkinson, le patient bénéficie de la physiothérapie de mobilisation pour une éducation à la marche afin de diminuer le risque de chute. Selon l'avis neurologique par Dr. X, pas de changement de son traitement actuel. Mais devant une aggravation de son discours verbal, merci d'organiser un bilan neuro-psychologique. Devant une acutisation de la fonction rénale, nous mettons en suspens son traitement par Comilorid et Irfen. Nous vous laissons le soin de suivre la fonction rénale et de réintroduire son traitement selon évolution clinique et biologique. Pour les tassements vertébraux connus, pour lesquels il est suivi en orthopédie, il aurait eu une consultation en orthopédie prévue le jour de son hospitalisation, nous demandons donc un avis orthopédique. Devant des tassements sans signe de gravité radiologique et sans répercussion clinique, permettant de diminuer son traitement antalgique, une cimentoplastie n'est pas indiquée pour l'instant et le patient sera réévalué dans 3 semaines en orthopédie.Le patient est transféré le 26.04.2019 pour une réadaptation musculo-squelettique à Billens. Mr. Y est hospitalisé en raison d'une baisse de l'état général depuis le 11.04.19 apparue subitement avec asthénie et difficulté à se mobiliser. Il ne présente pas d'état fébrile ou d'autre plainte. Il rapporte uniquement un épisode de diarrhées important le 10.04.19 suite à un abus de laxatif. Le statut d'entrée est superposable au statut de sortie des précédentes hospitalisations (patient connu du service). L'origine de la baisse de l'état général est d'origine indéterminée, une déshydratation transitoire dans un contexte de diarrhées sur abus de laxatif est probable bien que le laboratoire d'entrée revienne dans la norme. Après 24 h d'hospitalisation, on note un retour à son état de base. Le patient est autonome en chambre et se mobilise avec son rollator. Un retour à domicile est organisé le 18.04.19 sans modification de la médication. Mr. Y est un patient en bonne santé habituelle qui présente l'apparition spontanée d'un premier épisode d'hématurie macroscopique. Un traitement conservateur avec des rinçages vésicaux par une sonde à 3 voies est instauré et le patient montre rapidement une évolution favorable avec un retour à des urines claires. Un ultrason ne montre pas de masse tumorale ou dilatation pyélocalicielle. La sonde vésicale peut être retirée le 27.04.2019 et le patient peut rentrer à domicile dans un bon état général. Dr. X. Coeliakie. Mr. Y se présente en ambulance pour un sevrage à l'héroïne. À son arrivée, il est agité et présente des symptômes de sevrage à l'héroïne. Nous débutons donc un traitement de benzodiazépines permettant de bien soulager les symptômes. Le patient est évalué par nos collègues de la psychiatrie qui ne retiennent pas d'indication à une hospitalisation en psychiatrie pour un sevrage. Dans ce contexte, un suivi en ambulatoire est organisé avec le CPS. Mr. Y, patient de 59 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique. Patient polyvasculaire adressé par les collègues angiologues dans un contexte de masse pulsatile en FIG apparue depuis 10 jours spontanément. Il se plaint de douleurs uniquement à l'effort depuis 48 h. Un avis auprès de Dr. X et un angio CT montrent un anévrisme connu de l'artère fémorale commune gauche avec 2 lésions pseudo-anévrismales dans la partie antérieure et crâniale du sac anévrismal. Il est hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique, en attendant une opération le 03.04.2019. L'intervention se passe sans particularité avec mise à plat de l'anévrisme fémoral gauche et pontage artère fémorale commune vers fémorale superficielle avec prothèse Intergard de 10 mm et réimplantation de la fémorale profonde dans le pontage. Les antibiotiques sont poursuivis pendant 48 h soit jusqu'au 04.04.2019. Les cibles tensionnelles sont respectées initialement sous Trandate intraveineux, puis dès le 04.04.2019 grâce aux traitements antihypertenseurs habituels du patient. Le patient ne présente pas de complication post-opératoire, notamment pas de syndrome de loge avec une bonne perfusion de membre inférieur G. Un nodule spiculé au niveau du lobe inférieur gauche est découvert fortuitement sur le CT thoracique du 01.04.2019. Sur avis pneumologique, nous demandons un PET CT. Selon les résultats, le patient doit être présenté au tumorboard thoracique, ce que nous vous laissons le soin d'organiser. La suspicion d'une lésion polypoïde dans la paroi postérieure du bas-rectum, découverte au CT abdominal, doit être clarifiée par une rectoscopie, ce qui reste aussi à organiser : Mr. Y n'est pas encore informé de ses deux lésions suspectes. Mr. Y, 73 ans, est admis aux soins intensifs le 21.04.2011 pour un probable AVC pontique gauche. Le patient, connu pour une cardiopathie ischémique, présente au réveil une cécité subite de l'œil gauche accompagnée d'un syndrome pyramidal et d'une légère dysmétrie. Le bilan d'imagerie retrouve une carotide interne gauche sténosée à 80 %. Le Plavix est rajouté à l'Aspirine et les statines sont poursuivies. Un avis de chirurgie vasculaire est demandé afin de prendre en charge cette lésion carotidienne. Il reste à pister l'IRM cérébrale, le doppler des artères pré-cérébrales, l'échocardiographie ainsi que l'avis ophtalmologique. Durant la surveillance, le patient reste stable sur le plan neurologique. Il garde les mêmes lésions décrites initialement. Le patient est transféré en stroke unit pour la suite de prise en charge. Mr. Y, 69 ans, est hospitalisé dans notre service de chirurgie pour prise en charge d'un adénome tubuleux du haut rectum non résecable par voie endoscopique. Il bénéficie, le 25.03.2019, d'une résection antérieure basse avec curage ganglionnaire et iléostomie de protection. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution post-opératoire est marquée par un iléus paralytique nécessitant la pose d'une sonde nasogastrique le 30.03.2019. Au vu du manque alimentaire, une nutrition parentérale est débutée le 01.04.2019. Nous administrons de la Gastrografin par la sonde nasogastrique le 03.04.2019 qui permet au patient de reprendre un transit le lendemain. Par la suite, l'évolution est favorable. L'alimentation est bien tolérée, la stomie rend constamment et le patient apprend le maniement de la stomie permettant un retour à domicile le 09.04.2019. Il sera revu à la consultation de Dr. X le mardi 07.05.2019 à 09 h 40. Ce rendez-vous permettra de planifier la fermeture de l'iléostomie. Macro créatine-kinase d'origine tumorale le 21.04.2019. Macro hématurie. Macrocytose. Macrocytose à 101 fl sans anémie le 10.04.2019. Macrocytose le 16.04.2019. Macrohématurie. Macrohématurie à J3 post-biopsie de prostate transrectale (Dr. X) le 04.04.2019. Macro-hématurie d'origine indéterminée le 07.04.2019. CRP < 5 mg/l, Lc 16.2 G/l, Neutrophile 14.39 G/l. DD lésion voies urinaires, néoplasique. Macro-hématurie d'origine X en 2013 avec statut post TUR-P en 2011 pour hyperplasie bénigne, suivi par Dr. X. Statut post-cure d'hydrocèle bilatérale. Macrohématurie nouvelle. Macrohématurie. Statut post-résection transurétrale de la vessie pour lésion pseudo-papillaire de la vessie proche de l'orifice urétéral gauche le 27.03.2019 par Dr. X. Macula de 3 mm au pli du coude droit. Macula de 3 mm au pli du coude droit probablement en raison d'une empreinte de bouton de chemise le 17.04.2019. Macule érythémateuse à centre desquamant depuis 1 semaine. Mme. Y bénéficie de l'intervention susmentionnée sans complication. Les suites opératoires sont simples. Les Redon sont retirés à J2. Elle présente des épisodes de pic hypertensif jusqu'à 180 de systole. Nous introduisons un traitement par Amlodipine 5 mg d'office et Nifédipine 20 mg en réserve sur avis de la médecine interne, avec amélioration du profil tensionnel. La patiente rentre à domicile le 12.04.2019. Son dossier sera présenté au consilium oncologique le 17.04.2019. Mme. Y, âgée de 75 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique suite à une PTE droite pour rupture de la coiffe des rotateurs récidivante le 11.03.2019. Pour rappel, la patiente avait déjà présenté une rupture de la coiffe des rotateurs en juin 2018, traitée par arthroplastie.Sur le plan social, la patiente est veuve depuis 30 ans. Elle vit seule à domicile. Elle est à la retraite (ancienne femme au foyer et vendeuse). A l'admission, la patiente ne se plaint que de légères douleurs au niveau de son épaule droite notamment lorsqu'elle ne porte pas la bretelle. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La mobilité du coude et du poignet ainsi que la sensibilité sont conservées. Durant le séjour, elle a présenté des douleurs importantes aux doigts surtout sur la main gauche avec une raideur lors de l'extension des doigts. Nous demandons une radiographie des 2 mains qui montre effectivement une arthrose touchant surtout les IPD des 2ème à 5ème rayons du côté G avec des réactions ostéophytaires et un aspect en aile de Goéland. Les articulations interphalangiennes proximales sont mieux conservées ddc et les articulations métacarpo-phalangiennes présentent un aspect normal. Rhizarthrose encore modérée prédominant à G. Le bilan biologique montre que les facteurs rhumatoïdes, les facteurs antinucléaires et les anticorps anti-CCP sont négatifs, la VS est à 24mm/1h. Concernant son diabète, nous notons des glycémies hautes sur toute la journée, l'hémoglobine glyquée est à 8.0 %, le 22.03.2019. Nous adaptons donc le traitement anti-diabétique avec ajout de 850 mg de Metformine à 12h avec un bon effet. La patiente se plaint des nausées depuis plusieurs mois. Elle note une péjoration des nausées suite à l'anesthésie générale et pendant les derniers jours de la réadaptation. Nous notons une hypersensibilité à la palpation de l'hypocondre D. Après discussion avec la patiente, nous poursuivrons le traitement par Motilium en réserve et vous laissons le soin de faire des investigations supplémentaires en cas de persistance de la symptomatologie. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. Elle arrive à monter 60 marches d'escaliers sans aide mais n'utilise pas le MSD. L'élévation antérieure du bras D est à 90° en actif assisté et le coude D a une bonne mobilité. Par contre, nous notons encore une tension importante dans la ceinture scapulaire. La patiente poursuivra la physiothérapie en ambulatoire. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 02.04.2019, en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de 9 séances de physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y, patiente de 79 ans, connue pour une cardiopathie hypertensive, rythmique avec fibrillation auriculaire non anticoagulée et ischémique (4 PAC en 2001), ainsi que pour un AVC ischémique de la capsule interne gauche en 2013, est hospitalisée dans le cadre d'un état confusionnel avec dysphasie nouvelle depuis la veille au réveil de sa sieste. L'anamnèse avec la patiente est non contributive. Le compagnon la décrit comme désorientée, agressive par moment et qui ne fait plus les choses comme d'habitude (courses, cuisine) depuis plusieurs semaines. Il rapporte des pertes de mémoire fréquentes depuis environ 2 mois. Mme. Y a présenté il y a 2 semaines déjà un épisode de confusion avec peine à trouver ses mots, ainsi que des troubles sensitivo-moteurs du membre supérieur gauche pour lesquels le médecin traitant a organisé une IRM (28.03.2019) sans signe de nouvelle lésion ischémique. La nuit du 06.04.2019, la patiente se serait levée plusieurs fois durant la nuit avec désorientation et ne pouvait plus parler ou difficilement au réveil. La patiente, également connue pour une anxiété importante avec agoraphobie, rapporte des malaises sans perte de connaissance lorsqu'il y a beaucoup de monde. Le status montre une patiente désorientée aux 3 modes, mais collaborante, répondant aux ordres simples. Le laboratoire d'entrée ne montre pas de syndrome inflammatoire, ni de trouble électrolytique hormis une légère hyponatrémie. Un CT cérébral injecté ne retrouve pas de signe d'AVC ischémique ni hémorragique. L'EEG montre une dysrythmie à prédominance hémisphérique gauche sans potentiel épileptiforme. Parallèlement, la symptomatologie de la patiente est résolutive avec une persistance du manque du mot avec des paraphasies. Après un nouvel avis neurologique, aucune indication à effectuer une ponction lombaire n'est retenue. Un discret syndrome parkinsonien fait évoquer une possible démence à corps de Lewy. Un avis psychiatrique est également sollicité, nos collègues diagnostiquent des troubles cognitifs légers et proposent la mise en place de soins à domicile pour la patiente, ainsi que des tests neuropsychologiques. Le bilan biologique est complété par la recherche de VIH et syphilis, tous deux négatifs et un bilan neuropsychologique est réalisé. Celui-ci met en évidence plusieurs troubles dont un manque du mot, des paraphasies verbales et sémantiques, un dysfonctionnement exécutif sévère se répercutant sur diverses fonctions cognitives et des difficultés aux praxies idéomotrices et constructives. Au vu du faible délai entre le bilan et l'épisode aigu, les résultats sont à considérer avec prudence et nous conseillons d'effectuer un bilan neuropsychologique à distance et la patiente sera convoquée à 1-2 mois. Après discussion avec la famille, Mme. Y peut rentrer à domicile le 17.04.2019 avec introduction d'aide à domicile. Mme. Y, âgée de 71 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une décompression foraminale, recessectomie partielle, hémi-laminectomie L4-5 à G, ablation d'un kyste arthrosynovial L3-L4, L4-L5 G et under-cutting le 01.03.2019 dans un contexte de claudication neurogène à prédominance crurale L3 et L4 gauche proximale. Les suites postopératoires ont été marquées par une péjoration de l'insuffisance respiratoire globale chronique sur atélectases bibasales le 02.03.2019, ayant nécessité un séjour aux soins intensifs du 02.03 au 04.03.2019, avec VNI intermittente et la mise en place d'une oxygénothérapie à 3 lt/min. Sur le plan social, la patiente vit avec son fils à domicile. Elle est à la retraite (ancienne sommelière, paysanne et femme de ménage). Elle marchait avec 1 canne ou un rollator à la maison. A l'admission, la patiente se plaint de fourmillements au niveau des hallux ddc. Elle présente encore des lombalgies non irradiantes, non déficitaires. Elle ne présente pas de trouble sphinctérien. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La mobilisation du rachis est douloureuse dans les mouvements extrêmes. Les NC sont dans la norme, on note un strabisme de l'oeil droit connu depuis la naissance. La force est globalement à M5, la sensibilité est conservée. Les ROT sont hypovifs au MI et normovifs au MS, symétriques. Le Babinski est absent. La coordination est dans la norme. A son arrivée, la patiente est sous O2 en lunettes avec titration régulière. Nous adaptons l'oxygénothérapie à 1 lt/min. L'oxymétrie montre une saturation moyenne à 83%, la capnographie montre un tcpCO2 à 7 et la gazométrie faite à l'air ambiant le 01.04.2019 met en évidence une hypoxie importante. Nous mettons aussi en évidence une hypercapnie progressive, raison pour laquelle nous arrêtons la supplémentation en oxygène. Vue que la patiente reste hypoxique, nous la transférons dans notre service de réadaptation pulmonaire, le 04.04.2019, afin d'adapter la VNI et de mieux titrer l'oxygénothérapie. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. Elle est autonome pour les transferts et la marche avec un rollator. Elle peut monter/descendre 10 escaliers avec 1 canne et la rampe. On relève une antéflexion du tronc à la marche que la patiente n'arrive pas à corriger. Mme. Y signale de moins en moins de douleurs au site opératoire, ce qui permet de diminuer progressivement les traitements d'opiacés. Après 2 semaines et demi d'hospitalisation, l'évolution est favorable du point de vue musculo-squelettique et Mme. Y est transférée en réadaptation pulmonaire le 04.04.2019. Mme. Y, âgée de 71 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par notre service de réadaptation musculo-squelettique pour adaptation de la VNI dans un contexte d'insuffisance respiratoire globale aiguë le 02.03.2019 chez une patiente appareillée de longue date par VNI. La patiente est porteuse d'un masque nasal. Le relevé des données de la VNI démontre d'importantes fuites et une adhérence thérapeutique < 6h/nuit. Malgré de nombreuses années de VNI, la patiente tolère difficilement son appareillage. Après modification de l'interface nasale par un facial et majoration de l'IPAP à 16 cmH2O, nous observons une amélioration du degré de fuites et des valeurs de la tcpCO2. Les valeurs gazométriques confirment l'amélioration des échanges gazeux (AA : pCO2 5.78 kPa, pO2 7.4 kPa). Néanmoins, une désaturation nocturne significative est constatée sous VNI nécessitant l'introduction d'une oxygénothérapie avec titration du débit et sous contrôle de la tcpCO2. La patiente s'oppose à ces modifications et reprend son masque nasal, malgré les bons résultats obtenus, et juge que l'oxygénothérapie est un poison et modifie durant la nuit son débit d'oxygénothérapie. Elle ne semble pas comprendre les différents enjeux de ces réglages et de l'oxygénothérapie malgré les abondantes informations des différents intervenants pour sa situation. Dès lors, la patiente rentre à son domicile, le 13.04.2019, avec son masque nasal et sans oxygénothérapie. Nous lui laissons le soin d'en rediscuter avec vous-même et son pneumologue traitant. Mme. Y est une patiente de 63 ans, à J15 post-opératoire d'une appendicectomie sur appendicite perforée, qui présente des douleurs en hémi-abdomen droit depuis 24h sans autres symptômes digestifs et systémiques. Elle a consulté son médecin traitant ce jour qui, au vu de la perturbation des tests hépatiques, l'a adressée aux urgences pour suite de prise en charge. Le laboratoire montre une cytolyse hépatique avec cholestase sans bilirubinémie augmentée et leucocytose sans syndrome inflammatoire. Nous réalisons un CT scanner abdominal qui montre un nodule supra-centimétrique à hauteur de la face interne du D2 du duodénum, juste en regard du processus unciné, avec infiltration de la graisse adjacente, évoquant une diverticulite duodénale. Le samedi 06.04.2019, la patiente présente un état fébrile avec apparition du syndrome inflammatoire, pour lequel nous introduisons une antibiothérapie de Ceftriaxone et Métronidazole pour une durée totale de 14 jours. Afin de préciser la suspicion radiologique, nous réalisons une IRM abdominale qui montre une probable diverticulite duodénale para-papillaire non compliquée (DD : surinfection d'un cholédococèle). En raison de l'apparition d'une douleur en fosse iliaque droite, nous réalisons un ultrason abdominal et fosse inguinale revenant sans particularité. L'évolution clinico-biologique est favorable permettant un retour à domicile le 11.04.2019. La patiente sera revu à la consultation du Dr. X le 09.05.2019 puis dans un 2ème temps, une écho-endoscopie gastrique sera organisée. Mme. Y, connue pour une anémie hémolytique avec statut post-splénectomie et transfusions aux 3 mois, présente depuis 4 jours une algurie, une macrohématurie et une pollakiurie traitées par phytothérapie (Fumanose). En raison de douleurs au niveau de la loge rénale droite, elle consulte les urgences de l'HFR Fribourg durant la nuit du 14 au 15.04.2019. Elle reçoit une dose de Rocéphine iv et rentre à domicile avec une antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg per os 2x/jour. Elle reconsulte les urgences le 15.04.2019 au matin en raison d'une sensation de malaise, d'un état fébrile à 38,2°C et de frissons. Pas d'autre plainte à l'anamnèse par systèmes. Dernières selles hier sans méléna ni hématochézie. Pas de vomissements. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire (CRP à 78 mg/l et leucocytes 17.8 G/l) ainsi qu'une anémie avec hémoglobine 75 g/l. La patiente présente de plus une hémolyse avec LDH à 678 U/l, bilirubine totale à 122 umol/l et directe à 15.2 umol/l. Mme. Y est transférée dans notre service pour la suite de la prise en charge. Sur avis de Dr. X, hématologue, la patiente bénéficie de la transfusion de 3 culots érythrocytaires dans le contexte infectieux ayant acutisé l'hémolyse. Nous contactons Dr. X, hématologue traitante, qui conseille une observation de 48 heures en milieu hospitalier en raison du risque d'aggravation de l'hémolyse. Concernant les brûlures mictionnelles, l'uricult revient positif pour un E. Coli multisensible. Nous retenons le diagnostic de pyélonéphrite et nous introduisons une antibiothérapie par Ceftriaxone 2 g iv du 15 au 16.04.2019 avec relais par co-amoxicilline 1 g per os à poursuivre jusqu'au 28.04.2019. Nous ne reprenons pas le traitement de Ciprofloxacine ni de Bactrim en raison d'un doute sur l'étiologie précise de l'hémolyse avec possible déficit en G6PD ne pouvant être exclu. Sous antibiothérapie, l'évolution est favorable. Les hémocultures reviennent négatives. Le 16.04.2019, la patiente décrit des épigastralgies. Au status digestif, l'abdomen est souple, sans défense ni détente, mais présence de douleurs à la palpation de l'épigastre. Nous mettons ces épigastralgies sur le compte du Brufen, administré en raison des douleurs au niveau de la loge rénale droite. Ce traitement est donc mis en suspens et nous débutons un traitement par Pantozol 40 mg 1x/j à poursuivre pendant 2 semaines ainsi que de l'Ulcar en réserve, avec bonne réponse sur les douleurs épigastriques. Le laboratoire de contrôle montre des paramètres d'hémolyse en diminution et compte tenu de la bonne évaluation clinique, Mme. Y peut regagner son domicile le 17.04.2019. Un contrôle des paramètres de l'hémolyse ainsi que la suite des investigations de son anémie est prévue le 2.05.2019 auprès de l'hématologue traitante. Mme. Y, patiente de 66 ans connue pour un diabète de type 2 insulino-requérant et une dyslipidémie traitée, nous est retransférée depuis l'Inselspital de Bern le 14.04.2019 pour la suite de prise en charge d'un AVC ischémique du 05.04.2019. Pour rappel, la patiente était déjà hospitalisée en Stroke Unit dans notre établissement du 05.04.2019 au 11.04.2019, date de son transfert vers l'Inselspital. Le CT-scan time is brain montrait un AVC ischémique pariétal gauche (du gyrus post-central) et une sténose à plus de 90% de l'artère carotide gauche, ainsi qu'une sténose à 70%-80% de l'artère carotide droite et une sténose distale de l'artère vertébrale gauche. Après présentation du cas de la patiente aux collègues neuro-radiologues de l'Inselspital de Berne, une intervention endovasculaire est planifiée, la patiente était alors transférée le 11.04.2019. A l'Inselspital, un stenting de l'artère carotide interne gauche est réalisé le 12.04.2019 et un CT-scan cérébral de contrôle le 13.04.2019 montre un stent en bonne place et perméable, une légère transformation hémorragique de l'ischémie connue, mais pas de nouvelles ischémies. La patiente, asymptomatique et avec un NIHSS à 0 points, est donc retransférée dans notre service pour suite de prise en charge, notamment pour un contrôle optimal de la tension artérielle, des glycémies et la correction d'une insuffisance rénale. Une majoration des traitements antihypertenseurs d'Irbesartan et d'Amlodipine permet un contrôle satisfaisant des tensions artérielles durant l'hospitalisation. Une adaptation du traitement antidiabétique (arrêt du Galvumet, diminution de la Lantus) permet d'obtenir un bon contrôle des glycémies. Nous vous invitons à poursuivre le suivi tensionnel et diabétologique. Une insuffisance rénale est mise en évidence durant l'hospitalisation. Au vu de l'absence de normalisation des valeurs de créatinines après une hydratation intraveineuse sur plusieurs jours et la mise en suspens de médicaments potentiellement néphrotoxiques, nous suspectons une insuffisance rénale chronique. Suite à la réception de valeurs de laboratoire prises sur les derniers mois chez le médecin traitant et d'un bilan sanguin et urinaire complet, nous posons le diagnostic d'insuffisance rénale chronique G3b sur probable néphropathie diabétique et hypertensive, avec une hypovitaminose D et une protéinurie de 2.67 g/24h associées. Nous substituons la vitamine D pour 3 mois et vous prions d'effectuer un suivi biologique régulier de la fonction rénale et des complications liées à l'insuffisance rénale chronique. À noter que le dosage de la parathormone est encore en cours, nous vous invitons à le pister. Mme. Y peut rentrer à domicile en bon état de santé général le 18.04.2019. Mme. Y, patiente de 66 ans, est hospitalisée aux soins intensifs en lit monitoré pour un AVC ischémique sylvien gauche le 05.04.2019. Elle consulte aux urgences de Payerne vers 17 h le 05.04.2019 pour une sensation de froid de la main droite apparue à 11h du matin. À Payerne, elle présente un NIHSS à 1 point. Le CT-scan Time is brain montre un AVC ischémique pariétal gauche (gyrus post-central) et une sténose à plus que 90% de l'artère carotide gauche, une sténose à 70%-80% de l'artère carotide droite et une sténose distale de l'artère vertébrale gauche. Elle reçoit une dose de charge d'Aspirine et est transférée à Fribourg. À son arrivée aux soins intensifs, la patiente présente un NIHSS à 3 points avec une hémianopsie homonyme latérale supérieure droite, une hypoesthésie du membre supérieur droit et une dysmétrie du membre supérieur droit. Lors de son séjour, elle reste dans les limites des cibles hémodynamiques avec une bonne évolution neurologique. Le bilan lipidique retrouve un cholestérol LDL à 2.68 mmol/L et une hémoglobine glyquée à 5.4%. La patiente est mise sous statine. Une double antiagrégation plaquettaire par Aspirine et Clopidogrel est introduite à la demande des neurologues. L'IRM cérébrale le 08.04.2019 montre des signes d'AVC ischémiques aigus touchant les territoires sylvien, postérieur et jonctionnel à gauche, sans transformation hémorragique. Cet examen ne montre pas de lésion vasculaire clairement visible, hormis un ralentissement du flux dans le siphon carotidien gauche et des artères cérébrales antérieure et moyenne à gauche pouvant être en rapport avec une sténose en amont. Les collègues de chirurgie vasculaire ne voient pas de possibilité d'intervention chirurgicale au vu du statut cutané local post-fasciite nécrosante cervico-thoracique en 2011 et proposent de discuter d'une éventuelle intervention endovasculaire. Après présentation du cas de la patiente aux collègues neuro-radiologues de l'Inselspital de Berne, une intervention endovasculaire est envisageable. La patiente est transférée en accord avec nos collègues neurologues au Stroke unit non monitoré pour suite de soins en attendant son transfert dans le service de neurologie de l'Insel le 11.04.2019 pour une intervention endovasculaire prévue le 12.04.2019. Mme. Y, patiente de 66 ans, est hospitalisée en Stroke Unit pour un AVC ischémique sylvien gauche le 05.04.2019. Elle consulte aux urgences de Payerne vers 17 h le 05.04.2019 pour une sensation de froid de la main droite apparue à 11h du matin. À Payerne, elle présente un NIHSS à 1 point. L'angio-CT initial sur place montre un AVC ischémique pariétal gauche (gyrus post-central) et une sténose symptomatique à plus que 90% de l'artère carotide interne gauche, une sténose à 70%-80% de l'artère carotide interne droite et une sténose distale de l'artère vertébrale gauche, asymptomatique. Elle reçoit une dose de charge d'Aspirine et est transférée à Fribourg. À son arrivée aux soins intensifs, la patiente présente à l'examen neurologique une hémianopsie homonyme latérale supérieure droite, une hypoesthésie du membre supérieur droit et une dysmétrie du membre supérieur droit. Lors de son séjour, elle reste dans les limites des cibles hémodynamiques avec une bonne évolution neurologique. Le bilan lipidique retrouve un cholestérol LDL à 2.68 mmol/L et une hémoglobine glyquée à 5.4%. La patiente est mise sous statine. Une double antiagrégation plaquettaire par Aspirine et Clopidogrel est introduite. L'IRM cérébrale le 08.04.2019 confirme des lésions ischémiques aiguës touchant les territoires sylvien, postérieur et jonctionnel à gauche, sans transformation hémorragique. Les collègues de chirurgie vasculaire ne voient pas de possibilité d'intervention chirurgicale au vu du statut cutané local post-fasciite nécrosante cervico-thoracique en 2011 et proposent de discuter d'une éventuelle intervention endovasculaire. Après présentation du cas de la patiente aux collègues neuro-radiologues de l'Inselspital de Berne, une intervention endovasculaire est envisageable et ils proposent de transférer la patiente dans le service de neurologie de l'Insel. Après validation du transfert avec les collègues neurologues de l'Inselspital, la patiente est transférée le 11.04.2019 dans le service de neurologie de l'Inselspital de Berne et une intervention endovasculaire est prévue le 12.04.2019. Le statut neurologique de sortie se révèle dans la norme. Une consultation neurovasculaire et neurosonologique de contrôle est prévue dans notre service le 26.07.2019 à 16h00. Mme. Y est une patiente de 85 ans connue pour une hypertension artérielle. Elle consulte aux urgences suite à une chute survenue à son domicile, sans perte de connaissance. La patiente décrit des prodromes à type de voile noir devant les yeux. Elle explique avoir déclenché son bouton de téléalarme une fois à terre. Le bilan aux urgences met en évidence un NSTEMI. Une échocardiographie ne montre aucune dyskinésie et révèle une bonne fonction ventriculaire droite. La patiente, refusant une angiographie coronarienne, il est convenu d'une prise en charge conservatrice. Dans le contexte d'une suspicion de maladie du sinus sur les différents ECG effectués, un Holter est actuellement en cours. Les résultats vous seront communiqués dans les meilleurs délais. Mme. Y présente dans ce contexte une faiblesse généralisée, qui, combinée à des troubles de la marche chroniques, limite sa mobilisation. Ces troubles se seraient péjorés suite à la prescription de Lexotanil par son neurologue traitant. Ce traitement est ainsi mis en suspens et un séjour de réadaptation gériatrique est proposé à la patiente afin d'envisager un retour à domicile dans les meilleures conditions. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Mme. Y est une patiente de 61 ans connue pour un carcinome pulmonaire du lobe inférieur droit avec métastases osseuses (pubis et sacrum) et cérébrales. Traitée par carboplatine et Taxol en juin 2018 (2 cycles) puis en septembre 2018 (2 cycles) puis par radiothérapie locale pour les métastases osseuses et stéréotaxique pour les métastases cérébrales. Elle débute un traitement d'Opdivo en 10.18 jusqu'à début février. Les raisons de l'arrêt du nivolumab restent à éclaircir avec son ancien oncologue traitant (Dr. X). En janvier 2019, suite à la découverte de métastases cérébrales, une thérapie par prednisone haute dose (80 mg) est débutée. Celle-ci est poursuivie jusqu'au 9.4.19 avec un schéma dégressif. La patiente se présente à la consultation de Dr. X pour débuter une immunothérapie par pembrolizumab. La prise de sang met en évidence une agranulocytose avec une CRP qui triple en 2 semaines ainsi qu'une érythroblastose. La patiente est hospitalisée pour suite d'investigations. Concernant l'érythroblastose, une ponction biopsie de moelle réalisée par Dr. X et les résultats sont à pister. Nous administrons une dose unique de neupogen le 10.4.19. La patiente sort d'agranulocytose le 11.4.19. Concernant la CRP en augmentation, la patiente rapporte une toux ainsi qu'une dyspnée d'apparition progressive avec des frissons sans fièvre les dernières nuits. Nous réalisons un scanner cérébro-thoracico-abdomino-pelvien qui met des infiltrats en verre dépoli bi-basaux en évidence. Nous débutons un traitement empirique de la PCP au vu d'une anamnèse et d'une clinique hautement suspectes. Au vu de l'agranulocytose nous optons pour un traitement par Primaquine et clindamycine plutôt que de bactrim. De même nous majorons la prednisone à 80 mg/jour. Les PCR d'expectoration reviennent positives pour le pneumocystis jiroveci, les PCR à beta D-glucane et galacto mannane restent à pister. Le traitement antibiotique est à poursuite jusqu'au 1 er mai. Un schéma dégressif de prednisone est mis en place et sera poursuivi jusqu'au 29.4.19. Nous remercions les oncologues de bien vouloir poursuivre le schéma dégressif lors de la prochaine consultation. Du point de vue oncologique, le CT du 9.4.19 ainsi que l'IRM du 10.4.19 mettent en évidence la persistance d'une lésion hypodense située en lieu et place de la lésion tumorale traitée possiblement compatible avec une nécrose centrale ainsi qu'une majoration d'une métastase hépatique et une majoration de la lésion métastatique du sacrum. Les lésions cérébrales quant à elles, sont augmentées en taille dans les régions frontale et pariétale droite ainsi que l'œdème péri-lésionnel. La patiente reçoit une première dose d'immunothérapie de pembrolizumab le 09.04.19. Ces doses seront à répéter aux 3 semaines. La patiente sera désormais suivie par Dr. X. La prochaine immunothérapie est prévue le 30.4.19. Concernant les métastases, nous contactons Dr. X qui propose de réintroduire une radiothérapie seulement en cas de douleurs. À noter la présence de Keppra dans le traitement que nous décidons d'arrêter au vu de l'absence d'antécédent de crise d'épilepsie. Nous demandons à la patiente de consulter son médecin traitant à 1 semaine afin de discuter des résultats de la ponction biopsie de moelle ainsi que pour une surveillance clinique de la pneumonie à pneumocystis. Mme. Y est une patiente de 58 ans connue pour un carcinome mammaire invasif depuis le 14.09.2017, qui a nécessité une mastectomie et chimio-radiothérapies. Des lésions expansives cérébrales temporale droite et occipitale gauche ont motivé une première crâniotomie occipitale gauche et l'exérèse de cette lésion le 29.03.2019, confirmant l'origine métastatique. Actuellement, la patiente bénéficie le 11.04.2019 d'une crâniotomie temporale droite avec exérèse de la deuxième lésion secondaire. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables permettant un retour à domicile le 17.04.2019. Mme. Y est une patiente de 58 ans connue pour une lésion occipitale probablement d'origine néoplasique qui bénéficie d'une craniotomie occipitale gauche et exérèse de la lésion occipitale le 29.03.2019. L'intervention se déroule sans complication. En post-opératoire, la patiente est surveillée aux soins intensifs pour une nuit et peut ensuite être transférée à l'étage. Une quadranopsie inférieure droite est déjà connue et retrouvée en post-opératoire. La surveillance neurologique reste sans particularité avec une évolution clinique favorable permettant un retour à domicile le 03.04.2019. La patiente a bénéficié d'une corticothérapie par Dexaméthasone depuis le 04.03.2019 au vu d'un œdème au niveau de la métastase occipitale. L'œdème est actuellement en régression et la corticothérapie est à sevrer avec un schéma dégressif. Le bilan radiologique d'entrée met en évidence une augmentation en taille de la métastase temporale droite comparé à la dernière imagerie cérébrale de début mars 2019. Après discussion avec la famille, la patiente sera convoquée pour une intervention à distance de l'intervention aigu. Mme. Y est une patiente de 69 ans, qui se présente le 10.04.2019 aux urgences en raison de douleurs abdominales dans le contexte de plusieurs hernies sur la ligne blanche suite à une laparotomie en 2003 pour dérivation bilio-digestive en raison d'un Mirizzi. Les hernies sont de tailles importantes et la patiente ne présente plus de passage de gaz le lendemain de l'hospitalisation, raison pour laquelle nous posons l'indication à une cure de ces volumineuses éventrations selon Rives avec mise en place d'un large filet rétro musculaire. L'intervention se déroule le 12.04.2019 et nécessite deux résections segmentaires grêles. Les suites post-opératoires sont simples. La réalimentation est bien tolérée. L'antibiothérapie par Zinacef en intraveineux est continuée jusqu'au jour de l'ablation du dernier Redon le 22.04.2019. Des coprocultures prises en raison d'une diarrhée à la recherche de clostridium reviennent négatives. Le reste de l'hospitalisation reste simple permettant à la patiente un retour à domicile le 26.04.2019. La patiente sera revue le 29.04.2019 pour un contrôle de la cicatrice de laparotomie. Mme. Y, 58 ans, a été hospitalisée en électif pour l'exérèse d'une métastase cérébrale temporale droite d'un carcinome mammaire avec une surveillance post-opératoire aux soins intensifs. La patiente est connue pour un carcinome mammaire invasif depuis le 14.09.2017, qui a nécessité une mastectomie et chimio-radiothérapie. Des lésions expansives cérébrales temporale droite et occipitale gauche ont motivé une première craniotomie occipitale gauche et exérèse de cette lésion le 29.03.2019, confirmant l'origine métastatique. La crâniotomie et exérèse de la lésion temporale droite a été réalisée sans complication le 12.04.2019. La surveillance neurologique aux soins intensifs s'est déroulée sans particularité. Un traitement par dexaméthasone est poursuivi. Une antibioprophylaxie de céfuroxime a été administrée pour 24h. La patiente a été transférée le 13.04.2019 dans le service de chirurgie. Mme. Y, 16 ans, a été admise aux soins intensifs pour un trouble de l'état de conscience suite à une éthylisation aiguë. La patiente est sortie de l'hôpital psychiatrique le 18.04.2019. Elle a été amenée le 22.04.2019 en ambulance aux urgences suite à une consommation de whisky (pas d'autre substance) avec un état de conscience altéré à son arrivée, qui nécessite rapidement une intubation oro-trachéale.Le scanner cérébral fait aux urgences n'a pas identifié de lésion aiguë. L'évolution a été rapidement favorable, avec une amélioration de l'état de vigilance permettant l'extubation le 23.04.2019. Le reste de l'examen clinique neurologique est normal, sans déficit focal. Une probable dysgénésie du corps calleux, semblant absent dans la partie postérieure du tronc cérébral, a été découverte fortuitement lors du CT-scan. Une anémie microcytaire hypochrome est mise en évidence et serait à bilanter dans un second temps à la recherche d'une carence martiale ou d'une thalassémie mineure. Au réveil, la patiente était très labile émotionnellement avec des pleurs et une détresse importante. La mise en danger était volontaire et à but contestataire, la patiente ne souhaitant pas être placée dans un foyer. Elle demande explicitement de retourner à Marsens. Un projet de placement dans un foyer, prévu initialement le 24.04.2019, est en cours auprès de la Justice de Paix. Le risque suicidaire est élevé compte tenu de l'impulsivité de la patiente, de la sévérité de son alcoolisation et des idées suicidaires scénarisées. Après un entretien avec la pédopsychiatre de garde, la patiente est transférée à l'hôpital de Marsens où la prise en charge globale sera redéfinie avec les parents, la Justice de Paix, le Service de l'Enfance et de la Jeunesse et l'équipe de pédopsychiatrie. Mme. Y est une patiente de 59 ans connue pour des diverticulites sigmoïdiennes non compliquées à répétition qui est actuellement hospitalisée pour un nouvel épisode de diverticulite sigmoïdienne Hansen Stock IIa, traité ambulatoirement par Flagyl par voie orale depuis 8 jours sans amélioration clinique. Sous antibiothérapie par Tazobac, l'évolution clinico-biologique est rapidement favorable permettant un retour à domicile le 29.03.2019. Mme. Y est une patiente de 76 ans, aux antécédents sus-mentionnés, qui est hospitalisée dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'un nodule intra-luminal de la paroi de la vésicule biliaire. Elle bénéficie le 09.04.2019 d'une cholécystectomie par voie laparoscopique. L'opération se déroule sans complication et l'examen extemporané décrit une lésion bénigne ne nécessitant ainsi pas de résection plus entendue. La suite est marquée par un épisode d'hypotension asymptomatique avec des tensions systoliques de 80 mmHg mais une fréquence cardiaque normale pendant la première nuit. L'hypotension a été interprétée dans le contexte du cathéter péridural en place qui par la suite a été mis en suspens. Sur ce geste, la tension s'est normalisée. Les contrôles de l'hémoglobine et des tests hépatiques restent sans particularité. Le reste de l'hospitalisation est simple. La patiente retourne à domicile le 11.04.2019. Elle sera revue à la consultation du Dr. X le 20.05.2019 pour un suivi clinique de l'intervention. Mme. Y, connue pour une BPCO avec une dernière hospitalisation du 29.12.2017 au 12.01.2018, est amenée aux urgences en ambulance le 19.03.2019 en raison d'une dyspnée depuis 2 à 3 jours, avec toux grasse et expectorations jaunâtres en augmentation. Pas de douleur thoracique ni d'état fébrile, pas de trouble mictionnel ou autre plainte. L'anamnèse est difficile en raison de la détresse respiratoire, d'une hypoacousie et de troubles cognitifs sévères. A l'admission aux urgences, Mme. Y est en état général diminué. Elle est subfébrile à 37,7°C. Au status pulmonaire, la patiente est tachypnéique à 32/min avec tirage sus-sternal et sous-costal. Le murmure vésiculaire est diminué dans tous les champs pulmonaires, surtout en base gauche avec sibilances et ronchis bilatéraux diffus. Au niveau cardiovasculaire, on note des varices des 2 membres inférieurs, sans oedème des membres inférieurs. Les mollets sont souples. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Au bilan biologique, on trouve un syndrome inflammatoire avec CRP à 13 mg/l sans leucocytose et la radiographie du thorax est compatible avec une surinfection de BPCO. La patiente reçoit des aérosols de Pulmicort, Ventolin et Atrovent ainsi que de la Prednisone 50 mg. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv et Klacid 500 mg 2x/j. La gazométrie montre une acidose respiratoire avec rétention de CO2 à 6.7 kPa et hypoxémie à 9.2 kPa, raison pour laquelle Mme. Y est gardée en surveillance en lit d'observation aux urgences et bénéficie d'une VNI à plusieurs reprises durant la nuit. L'évolution est favorable permettant un transfert à l'étage de médecine le 21.03.2019. Les hémocultures, la recherche d'antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque ainsi que le frottis grippe reviennent négatifs. Le Klacid est arrêté le 20.03.2019 et la Rocéphine est relayée par la co-amoxicilline per os dès le 22.03.2019 au vu de l'évolution clinique favorable. L'oxygénothérapie peut être également progressivement sevrée avec des gazométries de contrôle satisfaisantes. En raison des troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle ainsi que de troubles cognitifs, et dès le 27.03.2019, Mme. Y reste hospitalisée dans notre service dans l'attente d'une place en réadaptation gériatrique. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, patiente de 86 ans connue pour une bronchopneumopathie chronique obstructive non stadée sur tabagisme actif ainsi que des troubles cognitifs sévères d'origine mixte sur démence dégénérative et vasculaire, nous est transférée ce jour pour réadaptation gériatrique après hospitalisation en médecine HFR Riaz. En effet, la patiente y séjournait depuis le 19.03.2019 pour prise en charge d'une décompensation de BPCO d'origine infectieuse sur pneumonie basale gauche probable, traitée par antibiothérapie (Rocéphine et Klacid, puis relais par Co-Amoxicilline par voie orale du 22.03.2019 au 28.03.2019, et des aérosols de Ventolin, Atrovent et Pulmicort) ; l'évolution sur le plan pulmonaire fut rapidement favorable permettant un sevrage progressif de l'oxygène. Le 04.04.2019, la patiente est donc transférée dans notre service de réadaptation gériatrique pour suite de sa prise en charge. Sur le plan biologique, nous relevons une absence de syndrome inflammatoire ou de troubles électrolytiques. Nous effectuons un bilan d'anémie avec dosage de la vitamine B12 dans la norme à 415 pg/ml, déficit en acide folique à 2.9 ng/ml et vitamine D à 27 nmol/l, que nous substituons. Nous décidons aussi d'arrêter le traitement de statine en prévention secondaire, considérant l'âge de la patiente et le bénéfice à long terme versus effets indésirables. Sur le plan pulmonaire, Mme. Y ayant de bonnes saturations à l'air ambiant (93%), est donc rapidement sevrée de l'oxygène, avec une évolution clinique favorable, permettant une reprise de son traitement habituel par Spiriva et Pulmicort. À noter qu'un enseignement d'utilisation correcte des inhalations est donné à la patiente. Sur le plan nutritionnel, Mme. Y bénéficie d'une évaluation diététique avec mise en évidence d'apports protéiniques insuffisants en lien avec une prise alimentaire de quantité restreinte, et démontrés par une couverture des besoins protéiques de 81 %. Des propositions et un enseignement nutritionnel sont transmis faits par nos diététiciennes qui sont à poursuivre à domicile, sans nécessité de rajout de suppléments nutritifs oraux. Le poids de sortie est de 60.9 kg.Durant le séjour, Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation et physiothérapie respiratoire. A sa sortie, le périmètre de marche est supérieur à 130 m sans moyen auxiliaire, et la patiente peut gravir 18 marches d'escaliers en se tenant par la rampe. La patiente est indépendante pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 87/126 à la sortie, par rapport à 84/126 à l'entrée. Le TUG se réalise en 14.6 secondes. Le risque de chute est faible. Sur le plan social, Mme. Y est veuve et vit seule dans un appartement avec ascenseur, aménagé avec une douche. La patiente est aidée par sa fille pour les courses, la lessive et le ménage, et gère elle-même ses repas. A son retour à domicile, nous organisons le passage des soins à domicile 3x/semaine pour l'aide à la douche, 1x/semaine pour contrôle de santé et suivi du poids ; les repas et les médicaments sont gérés par elle-même. A noter qu'en raison de la présence de saignements vaginaux constatés sur la protection, un rendez-vous en consultation gynécologique auprès de Dr. X à l'HFR Riaz est prévu le 10.04.2019 à 16 h, la patiente pouvant ainsi regagner son domicile par la suite. Mme. Y, patiente de 68 ans, est admise aux soins intensifs pour un tentamen médicamenteux par opiacés et benzodiazépines. La patiente est connue pour un trouble dépressif récurrent ainsi que des lombalgies chroniques. Elle a été retrouvée inconsciente à domicile. Après administration de Naloxone en pré-hospitalier, la patiente récupère un état de conscience avec un GCS à 13 points. A l'arrivée aux urgences, la patiente explique avoir voulu mettre fin à ses jours par auto-intoxication avec des opiacés et des benzodiazépines. D'un point de vue somatique, l'évaluation clinique est sans particularité. L'état de conscience est stabilisé aux urgences par perfusion de Naloxone qui est progressivement sevrée aux soins intensifs avec rapide récupération d'un état de conscience normal (GCS à 15 points). Un bilan biologique sommaire effectué aux urgences retrouve une acidose respiratoire expliquée par l'état comateux ainsi qu'une anémie macrocytaire secondaire à un déficit en acide folique, dont la substitution a été débutée. Un bilan vitamino-métabolique ne retrouve pas d'étiologie claire à cette anémie. Vu l'absence de symptômes et de signes d'extériorisation, un suivi à distance est proposé. D'un point de vue psychiatrique, la patiente est évaluée aux urgences par les collègues de la psychiatrie. Ceux-ci diagnostiquent un trouble dépressif récurrent avec un épisode actuel sévère sans symptômes psychotiques ainsi qu'une auto-intoxication par des narcotiques et psychodysleptiques. Ils retiennent l'indication à une hospitalisation en milieu psychiatrique fermé. La patiente est transférée à l'Hôpital de Marsens le 18.04.2019 en mode volontaire (unité Jasmin). Mme. Y, patiente de 68 ans, est admise aux soins intensifs pour un tentamen médicamenteux par opiacés et benzodiazépines. La patiente est connue pour un trouble dépressif récurrent ainsi que des lombalgies chroniques. Elle a été retrouvée inconsciente à domicile. Après administration de Naloxone en pré-hospitalier, la patiente récupère un état de conscience avec un GCS à 13 points. A l'arrivée aux urgences, la patiente explique avoir voulu mettre fin à ses jours par auto-intoxication avec des opiacés et des benzodiazépines. D'un point de vue somatique, l'évaluation clinique est sans particularité. L'état de conscience est stabilisé aux urgences par perfusion de Naloxone qui est progressivement sevrée aux soins intensifs avec rapide récupération d'un état de conscience normal (GCS à 15 points). Un bilan biologique sommaire effectué aux urgences retrouve une acidose respiratoire expliquée par l'état comateux ainsi qu'une anémie normochrome et normocytaire. Un bilan vitamino-métabolique ne retrouve pas d'étiologie claire à cette anémie. Vu l'absence de symptômes et de signes d'extériorisation, un suivi à distance est proposé. D'un point de vue psychiatrique, la patiente est évaluée aux urgences par les collègues de la psychiatrie. Ceux-ci diagnostiquent un trouble dépressif récurrent avec un épisode actuel sévère sans symptômes psychotiques ainsi qu'une auto-intoxication par des narcotiques et psychodysleptiques. Ils retiennent l'indication à une hospitalisation en milieu psychiatrique fermé. La patiente est transférée à l'Hôpital de Marsens en mode volontaire. Mme. Y est amenée aux urgences en ambulance le 12.04.2019 en raison de vertiges rotatoires en péjoration. Les vertiges sont apparus le matin, associés à un épisode de vomissements et une instabilité à la marche. La patiente décrit une légère amélioration au repos dans l'après-midi, puis réapparition des symptômes avec majoration de ceux-ci. A l'admission aux urgences, Mme. Y présente plusieurs épisodes de vomissements et se plaint toujours de vertiges rotatoires. Au status neurologique, la patiente est orientée et collaborante. Les pupilles sont isocores et isoréactives. Nystagmus spontané gauche, Halmagyi positif à droite, pas de divergence verticale. Pas de déficit sensitivomoteur, pas de syndrome pyramidal, doute sur une dysmétrie droite à l'épreuve doigt-nez. Il existe une latéralisation à droite à la marche sur place. Les status cardio-pulmonaire et digestif sont dans la norme. L'ECG est sans particularité. Aux urgences, l'examen clinique étant fortement en faveur d'une neuronite vestibulaire (nystagmus spontané gauche, Halmagyi positif à droite, pas de divergence verticale), nous n'effectuons pas d'imagerie d'emblée. Les vomissements sont partiellement soulagés par l'injection de 10 mg de Primperan iv. Un traitement par Prednisone est débuté en association avec un traitement de Betahistine et du Primperan en réserve. Mme. Y est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. A l'arrivée dans notre service, elle décrit une amélioration de la symptomatologie. Le status neurologique est dans la norme. Les manoeuvres de Dix-Hallpike ne provoquent pas de vertiges ni de nystagmus. L'Halmagyi est négatif et nous objectivons un nystagmus battant à gauche rapidement épuisable. Le traitement par Prednisone est poursuivi avec une évolution favorable. Ce traitement sera à poursuivre jusqu'au 19.04.2019 au même dosage. Sur le plan des électrolytes, une hypokaliémie à 3.2 mmol/l est substituée per os du 13 au 15.04.2019 avec un potassium à la sortie à 3.9 mmol/l. Nous vous laissons le soin de recontrôler cette valeur lors d'une prochaine consultation. Mme. Y peut regagner son domicile le 15.04.2019 avec poursuite du traitement par Prednisone ainsi que du Primperan en réserve. Mme. Y est hospitalisée le 29.04 pour une suspicion d'hémorragie digestive haute manifestée par des vomissements fréquents et deux épisodes d'hématémèse le 29.04. La patiente bénéficie d'une gastroscopie le 30.04 mettant en évidence une œsophagite de reflux sévère sans saignement actif ni ulcère gastrique. Un traitement IPP haute dose est donc à poursuivre pour une durée d'un mois au terme duquel une gastroscopie devra être répétée pour exclure un processus néoplasique sous-jacent. Durant son séjour en soins aigus, la patiente ne représentera pas d'épisode d'hématémèse. L'évolution est favorable et la patiente peut rentrer à domicile le 01.05 après sa séance de dialyse. Mme. Y, patiente de 69 ans, connue notamment pour plusieurs facteurs cardio-vasculaires et récemment hospitalisée du 24.03 au 28.03.2019 pour un AVC ischémique aigu cérébelleux gauche sur occlusion de l'artère vertébrale gauche en V2-V3, suit d'un séjour en gériatrie aiguë, reconsulte au service des urgences le 17.04.2019 pour une symptomatologie similaire à celle de son précédent AVC, soit des vertiges de type tangage d'apparition soudaine.L'IRM cérébrale met en évidence deux lésions ischémiques centimétriques nouvelles au niveau pariéto-occipital gauche ainsi qu'au niveau cérébelleux gauche. Sur le plan du bilan étiologique, un ultrason des vaisseaux précérébraux retrouve l'occlusion vertébrale gauche en distalité du segment V2 connue avec un flux antérograde en V3-V4. Le bilan cardiologique avec échographie transthoracique et Holter ayant déjà été effectué durant la dernière hospitalisation, il n'est pas répété. Sur le plan médicamenteux, au vu d'une intolérance au Clopidogrel (vertiges) qui avait été prescrit lors du dernier séjour et sur avis neurologique, une charge en Aspirine et Ticagrelor est administrée au service des urgences. Un traitement par double antiagrégation plaquettaire d'Aspirine/Ticagrelor pour une durée totale de 2 semaines, suivi par de l'Aspirine à vie est préconisé. En raison des deux événements cérébrovasculaires rapprochés et de la sténose de l'artère vertébrale connue, nous majorons le traitement hypolipémiant par Atorvastatine 80 mg/j. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Après une bonne évolution clinique et une nette régression des vertiges, Mme. Y rentre à domicile le 24.04.2019. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mme. Y, 69 ans, a été admise en unité Stroke monitorée pour un accident vasculaire cérébral (AVC) ischémique aigu pariéto-occipital-cérébelleux gauche. La patiente est connue pour un AVC ischémique aigu cérébelleux gauche sur occlusion de l'artère vertébrale gauche survenu en mars 2019. Elle s'est présentée aux urgences pour des vertiges de type tangage survenus subitement. Le score NIHSS initial était de 0 point. Le CT-scan cérébral et l'IRM cérébrale ont mis en évidence un AVC ischémique aigu pariéto-occipital-cérébelleux gauche dans le territoire de l'artère cérébrale postérieure gauche et de la PICA (artère cérébelleuse postéro-inférieure) gauche et subaigu vermien gauche dans le territoire de la PICA gauche. Au vu d'une intolérance au Clopidogrel (vertiges) qui avait été prescrit lors du dernier séjour et sur avis neurologique, une charge en Aspirine et Ticagrelor a été administrée aux urgences. Un traitement par double antiagrégation plaquettaire d'Aspirine/Ticagrelor pour une durée totale de 3 mois, suivi par de l'Aspirine à vie est préconisé. Au vu du récent antécédent d'AVC en mars 2019, un nouveau bilan étiologique (notamment par échocardiographie transthoracique) n'est pas d'emblée réalisé. Un ultrason des vaisseaux pré-cérébraux effectué en mars 2019 montrait une occlusion vertébrale gauche au niveau du segment V2 (partie distale), ainsi qu'un flux rétrograde de l'artère vertébrale gauche en V4. Une nouvelle ultrasonographie des vaisseaux pré-cérébraux sera effectuée. Les symptômes neurologiques se sont améliorés et le score de NIHSS est resté 0 point le 18.04.2019. La patiente a été transférée le 18.04.2019 en Stroke Unit non monitorée. Mme. Y, âgée de 74 ans, connue pour les comorbidités susmentionnées, nous est adressée par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche après une foraminotomie L4-L5 droite et ablation de la hernie discale calcifiée le 25.02.2019. Le statut à l'entrée est sans particularité mis à part une patiente très algique après le trajet. Durant son séjour, nous adaptons l'antalgie avec l'introduction d'Oxycodone en fixe et en réserve. Mme. Y se plaignant de douleurs de type neurogène (dysesthésie MID globalement, dominant dans le territoire du dermatome L5-S1) avec un Lasègue positif à 50° à l'admission, nous prescrivons de la Prégabaline avec des dosages progressivement croissants jusqu'à 150 mg/j avec des effets positifs. Nous vous laissons le soin de réévaluer la posologie de cette molécule en ambulatoire. Concernant l'antalgie, Mme. Y est sevrée progressivement aussi à l'approche de la sortie et rentre à domicile avec une antalgie à base de Paracétamol en fixe et de la Novalgine en réserve. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. Elle peut monter et descendre les escaliers avec la rampe. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 29.03.2019, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y, âgée de 88 ans, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, nous est adressée par le service de réhabilitation cardiovasculaire pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche dans un contexte de déconditionnement physique global d'origine multifactorielle. Pour rappel, la patiente a séjourné en réhabilitation cardiovasculaire à l'HFR Billens du 06.03 au 25.03.2019 suite à l'implantation d'un pacemaker Medtronic Astra DDDR le 12.02.2019 à l'hôpital Daler, par le Dr. X, en raison d'une cardiopathie dysrythmique. En post-opératoire, la patiente aurait présenté une fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide, nécessitant une cardioversion médicamenteuse et mise en place de Digoxine. Ainsi, la patiente aurait présenté une décompensation cardiaque globale avec épanchement pleural bilatéral à prédominance gauche nécessitant une ponction à plusieurs reprises. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile. Elle est à la retraite. À l'admission, la patiente se plaint de douleurs à l'épaule D et des douleurs cervicales connues. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Durant son séjour, elle a présenté une prise de poids significative, ainsi que des œdèmes et érythèmes des membres inférieurs. Nous introduisons un traitement diurétique par Torem et Aldactone avec une bonne réponse. Nous notons une péjoration de la fonction rénale et une hyperkaliémie, mais qui sont en amélioration à la sortie. Nous vous laissons le soin de réaliser un bilan biologique de contrôle par la suite. Sur le plan nutritionnel, la patiente a refusé la mise en place d'une sonde naso-gastrique ainsi que les compléments alimentaires par voie orale. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts avec appui et la marche avec un rollator sur un périmètre de 120 m avec 2 pauses. Elle peut monter/descendre 10 escaliers avec 1 canne. Nous notons une amélioration significative de son autonomie par rapport à l'entrée. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 09.04.2019, en état général conservé. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile 1 fois/semaine. Les soins à domicile sont réactivés. Mme. Y est une patiente de 66 ans, qui est hospitalisée suite à une chute mécanique accidentelle avec réception sur l'occiput et sur le dos, perte de connaissance et amnésie circonstancielle. Au bilan radiologique, deux petites hémorragies sous-arachnoïdiennes et parenchymateuses temporo-pariétales gauches, associées à un hématome sous-galéal fronto-pariétal-occipital homolatéral sont mises en évidence. Dans ce contexte, la patiente bénéficie d'une surveillance neurologique rapprochée aux soins intensifs pendant 24 heures.Au niveau cervical, l'IRM de contrôle permet d'infirmer une fracture cervicale avec un appareil ligamentaire intact et montre une stabilité des lésions hémorragiques. Le reste de la surveillance neurologique est sans particularité, permettant un transfert en réadaptation à Billens le 09.04.2019. Le traitement par Aspirine restera en suspens pendant une durée totale de 4 semaines, soit jusqu'au prochain contrôle scanographique et clinique en neurochirurgie le 25.04.2019. Mme. Y nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire ambulatoire suite à l'implantation d'un pacemaker Medtronic Astra DDDR le 18.02.2019. Le traitement à l'entrée est composé de : Bisoprolol 2.5 mg, Entresto 50 mg, Cordarone 200 mg, Calcimagon D3 1 cp/j, Daflon 1000 mg, Torasemide 10 mg, Vit D3 0.5 ml/matin, Xarelto 10 mg, Dancor 20 mg, Magnesiocard 5 mg, Patch Deponit 5 mg de 20h00 à 08h00, Resonium 30 mg, Dafalgan 1 g et Xanax 0.5 mg en réserve. Au niveau pulmonaire, les épanchements ont bien évolué sous thérapie diurétique tant sur le plan clinique que radiologique; en effet, la RX du thorax du 21.03.2019 montrait une diminution des épanchements. Sur le plan clinique, nous avons diminué l'O2 (à l'entrée, la patiente était sous 4 L d'O2). Sur le plan médicamenteux, au vu d'une décompensation cardiaque globale, nous avons augmenté le Bisoprolol et l'Entresto avec une bonne réponse sur les OMI et pour la sténose mitrale, nous avons poursuivi la Digoxine, en contrôlant la digoxinémie (IRC). Le 13.03.2019, Mme. Y a développé une hyponatriémie à 127 mmol/l, résolue sous restriction hydrique à 1 L/jour. Sur le plan antalgique, la patiente s'est plainte de douleurs diffuses au niveau du dos et surtout de l'épaule D; introduction de 1 patch de Fentanyl 12 mcg/24h du 06.03 au 13.03.2019 avec une bonne réponse, mais les douleurs se faisant à nouveau sentir une fois le traitement de Fentanyl terminé, une RX de la colonne dorsale et cervicale a été réalisée, montrant une importante scoliose et des lésions dégénératives. Nous avons donc conseillé à la patiente de se lever durant la journée et de s'installer dans un fauteuil; le 18.03.2019, son traitement est complété par de l'Oxynorm 5 mg/soir. Sur le plan nutritionnel, au vu de la perte pondérale importante avec une albuminémie à la limite de la norme et une perte d'appétit, nous avons introduit des suppléments nutritionnels avec du Fresubin, en plus d'un régime hyper-protéiné. Au sujet du réentraînement à l'effort, la patiente se plaignant de douleurs dorsales et d'une dyspnée nécessitant l'apport d'O2, elle a débuté son programme en individuel; puis nous lui avons proposé un transfert en réadaptation générale où la physiothérapie sera adaptée en fonction de ses douleurs. Mme. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.5 mmol/L, un HDL à 1.26 mmol/L, un LDL à 1.98 mmol/L et des triglycérides à 0.76 mmol/L. • La pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : • L'Hb est à 104 g/l • La fonction rénale est stable avec une IRC avec créatinine à 167 µmol/l • Les électrolytes sont dans la norme • La CRP est à 120 mg/l en diminution Le 25.03.2019, Mme. Y est transférée en réadaptation générale. Mme. Y, une patiente de 49 ans dont les antécédents vous sont bien connus, est hospitalisée pour une iodothérapie élective pour carcinome papillaire de la thyroïde. Le traitement se déroule sans complications. Un PET-CT et une scintigraphie sont réalisés lors de l'hospitalisation. La suite de prise en charge se fera à la consultation du Dr. X. Mme. Y rentre à domicile le 17.04.2019. Mme. Y nous est adressée pour une réhabilitation cardiovasculaire suite à un quadruple pontage aorto-coronarien le 15.02.2019. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine Cardio 100 mg, Metoprolol 25 mg, Candesartan 4 mg, Aldactone 25 mg, Rosuvastatin 20 mg, Euthyrox 100 mcg. Mme. Y a été en isolement du 27.02 au 02.03.2019 pour un dépistage d'Enterococcus résistants à la Vancomycine, vu l'épidémie à l'Inselspital à Berne. La recherche est revenue négative. Sur le plan du stress, Mme. Y a bénéficié d'un entretien avec notre cardio-psychologue vu son vécu de stress au travail précédent l'infarctus. Elle se trouvait typiquement dans une situation à risque (grande charge psychologique), elle sera d'ici la fin de l'année à la retraite. Elle a reçu l'information de devoir changer son poste de travail juste avant son infarctus, ce qui l'a perturbée et a aggravé son stress. Sur le plan clinique, pendant le séjour, la patiente n'a pas eu de complication et elle a pu bien profiter de la réhabilitation. Au sujet du réentraînement à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité modérée et elle a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 5 km/h sur une pente de 1% pendant 30 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 120 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final est rassurant: négatif sur le plan rythmique et clinique avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. À l'ETT de contrôle, nous retrouvons une séquelle anévrismale sans thrombus avec une FEVG à 37%, pour laquelle nous conseillons un contrôle à distance. Mme. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.7 mmol/L, HDL à 1.19 mmol/L, LDL à 1.49 mmol/L, triglycérides à 0.66 mmol/L. • La pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme. • Concernant son poste de travail; il est trop tôt pour qu'elle réintègre l'ancien poste vu la charge de stress. Mme. Y désire en parler avec son supérieur du travail pour trouver la solution la mieux adaptée. Sur le plan biologique : • L'Hb est à 116 g/l. • La fonction rénale est normale avec créatinine à 56 micromol/l. • Les électrolytes et les tests hépatiques sont dans la norme. • La CRP est à 8 mg/l. L'examen clinique de sortie est sans particularité, statut normo-compensation avec une pression artérielle de 132/68 mmHg avec une FC à 57 bpm. Le sternum est stable et les cicatrices sont saines et calmes. Mme. Y, patiente de 88 ans et connue pour hypertension artérielle traitée, bronchopneumopathie chronique obstructive de stade III sur tabagisme actif et troubles cognitifs débutants, nous est transférée depuis l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour suite de sa prise en charge et réhabilitation gériatrique. Pour rappel, la patiente s'était présentée à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal où elle a été prise en charge dans un contexte d'insuffisance respiratoire partielle suite à une infection respiratoire haute. Un CT thoracique avait été effectué par nos collègues de Fribourg qui mettait en évidence un emphysème pulmonaire modéré ainsi que de multiples nodules pulmonaires infracentimétriques solides et semi-solides bilatéraux, évoquant une origine infectieuse. Un CT thoracique de contrôle a été organisé pour le 29.04.2019 à 12h.A l'examen clinique à l'admission, nous accueillons une patiente sarcopénique. A l'auscultation pulmonaire, nous obtenons des bruits bien frappés sans souffle audible, des pouls périphériques perçus, mais pas d'oedème. L'auscultation pulmonaire signale des râles fins bibasaux. L'abdomen est souple et dépressible avec des bruits normaux en fréquence et tonalité ; les loges rénales sont indolores à la percussion. Nous effectuons un bilan d'anémie qui ne met pas en évidence de carence en acide folique (à 12.2ng/ml) ni en vitamine B12 (559pg/ml). Notons également une hypovitaminose D légère à 74nmol/l, que nous substituons. Signalons aussi une insuffisance rénale aiguë AKIN II sur insuffisance rénale chronique d'origine prérénale, avec bonne évolution sous hydratation, et une valeur de créatininémie à la sortie à 103µmol/l, et de la clairance selon Cockroft calculée à 21.4ml/h, sans troubles électrolytiques associés. Sur le plan respiratoire, l'évolution est rapidement favorable permettant l'arrêt des aérosols et la reprise du traitement habituel par Spiriva et Symbicort, sans besoin d'oxygène. Anamnestiquement, Mme. Y présente une perte pondérale importante d'environ 8kg depuis le mois de décembre 2018, période à laquelle son mari avait été hospitalisé pour une opération orthopédique pendant quelques mois. La patiente évoque depuis là un syndrome de glissement et une inappétence, ne se donnant plus la peine de faire à manger. Nous notons une albuminémie basse à 34.6g/l. Sur le plan nutritionnel, l'évaluation diététique met en évidence une malnutrition protéino-énergétique sévère en lien avec une inappétence chronique, démontrée par un NRS à 5/7, avec indice de masse corporelle à 15.3kg/m2 et couverture de 70% de ses besoins théoriques, avec adaptation du régime et rajout des suppléments nutritifs oraux. Durant le séjour, la patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation et de physiothérapie respiratoire. A sa sortie, Mme. Y peut se déplacer sur une distance de plus de 160m de manière sécuritaire et autonome, sans moyen auxiliaire, et peut gravir 18 marches d'escaliers en se tenant à la rampe. La patiente est autonome pour les soins. Le test TUG s'effectue en 17.10 secondes. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle de sortie s'élève à 98/126, par rapport à 86/126 à l'entrée (MIF physiothérapeutique : transferts 5/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Au niveau social, il s'agit d'une patiente vivant à domicile avec son mari. Sa fille et son fils sont très présents et habitent à proximité. Mme. Y a une femme de ménage et bénéficie du passage du CMS pour le semainier 1x/semaine. Sa fille l'aide pour les commissions. A la sortie le 09.04.2019, nous augmentons les prestations avec passage des soins à domicile 3x/semaine pour l'aide à la douche, contrôle de santé et suivi du poids. Mme. Y est une patiente de 85 ans connue pour une cardiopathie valvulaire avec statut post remplacement de valve aortique. La patiente était hospitalisée du 06.03 au 12.03.19 dans le contexte d'une pneumonie avec bonne évolution sous antibiothérapie par Co-amoxicilline. Toutefois, elle décrit une nouvelle péjoration d'une dyspnée et toux sèche après environ 1 semaine, raison pour laquelle elle est adressée aux urgences. Un traitement antibiotique par Céfépime est instauré au vu d'un risque d'infection à Pseudomonas. Au vu de la 2ème infection en quelques semaines, un CT thoracique est effectué mais ne retrouve pas d'argument pour une pneumonie compliquée, une tuberculose ou un précurseur tumoral. Les cultures d'expectorations reviennent positives pour un Haemophilus Influenza multi-sensible permettant un changement de traitement par Co-amoxicilline pour une durée totale de 7 jours. Mme. Y peut rentrer au home le 04.04.2019 après une bonne évolution. Mme. Y, une patiente de 75 ans, nous est transférée de l'orthopédie de l'HFR Fribourg pour suite de traitement d'une boursite hémorragique traumatique au niveau du genou gauche après une perte d'équilibre et chute de sa hauteur le 18.02.2019 qui est traitée de manière conservatrice. Pour rappel, Mme. Y est connue pour un carcinome rénal à cellules claires bilatéral en progression avec métastases thyroïdiennes, hépatiques et pancréatiques, traité par Carbometyx, avec une néphrectomie bilatérale en 2014, raison pour laquelle la patiente est en hémodialyse à la HFR Fribourg, ainsi qu'une thyroïdectomie totale bilatérale en 2015 avec substitution orale. La patiente vit avec son mari dans un immeuble au premier étage avec 12 marches d'escalier pour accéder à l'appartement, et n'a pas d'enfants. Elle est indépendante dans les BADL et IADL et conduit la voiture. Il n'y a pas d'autres chutes reportées à l'anamnèse. A son entrée, le genou est fortement tuméfié avec une flexion limitée à environ 30° en actif et en passif, rendant la marche instable. Une compression par bandes élastiques de la jambe gauche, les poches à glaces 4x/24h ainsi que l'attelle jeans pendant la nuit sont poursuivies avec application d'une crème résorbante. La flexion de la jambe s'améliore progressivement lors de l'hospitalisation pour atteindre 70° à la sortie, permettant à la patiente de retrouver une autonomie dans les activités de la vie quotidienne et la mobilité. La tuméfaction diminue également progressivement. Un ultrason est effectué le 26.03.2019 afin d'exclure un abcès au niveau du M. vastus medialis, qui démontre un hématome sous-cutané de volume diminué en voie de cronification. L'anticoagulation thérapeutique par Sintrom est suspendue en raison de la boursite hémorragique, et remplacée par du Liquemine 5000 UI 2x/jours à dose prophylactique. Une reprise du Sintron sera effectuée selon l'évolution par les néphrologues. Au vu d'une hypothyroïdie avec une TSH à 34 mU/l sur probable substitution infrathérapeutique, un consilium endocrinologique est effectué. Une interaction médicamenteuse avec le Cabometyx en raison d'une prise concomitante à jeûn est suspectée. La patiente est donc instruite à une prise correcte de l'Euthyrox séparée du Carbometyx à 30 min d'écart au minimum. Un contrôle de la TSH avant la sortie montre une amélioration de la TSH autour de 21 mU/l. Nous vous laissons le soin de suivre cette évolution. Le 08.03.2019, Mme. Y présente un état grippal avec des symptômes ORL et bronchique que nous traitons par une thérapie symptomatique. Malheureusement, elle présente une baisse de l'état général avec une hausse du CRP jusqu'à 50 mg/l le 15.03.2019. Un frottis revient négatif pour l'Influenza A et B, mais confirme la présence d'une virose à RSV. En raison d'une possible surinfection bactérienne au niveau pulmonaire, une antibiothérapie par Cefepime est instaurée pour une durée de sept jours, avec une bonne évolution clinique de suite. Parallèlement, Mme. Y bénéficie d'une réadaptation précoce avec physio- et ergothérapie. A l'entrée, elle est autonome dans les transferts et se mobilise sous supervision avec le tintebin. Le Tinetti est à 15/28 avec un risque de chute élevé. A la sortie, la patiente se déplace de manière autonome avec deux bâtonnets de marche et peut monter 27 marches d'escalier en sécurité. Le Tinetti est à 18/28. Mme. Y peut regagner son domicile le 28.03.2019 avec l'aide du Spitex une fois par jour (poursuite du bandage élastique). Mme. Y, âgée de 58 ans, connue pour une BPCO stade II selon Gold, nous est adressée par le HIB Payerne pour une réadaptation pulmonaire suite à une défaillance respiratoire globale aiguë sur décompensation de BPCO le 27.02.2019.Sur le plan social, la patiente vit à domicile avec son ami. Elle est toiletteuse à 100% pour chiens et chats. A l'admission, la patiente se plaint d'une fatigabilité. Au status, nous notons une obésité importante, diminution du murmure respiratoire bilatérale et présence de légers OMI. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec une BPCO stade II selon Gold. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une saturation à 93% avec une hypoxémie légère à 8 kPa, sans hypercapnie et les paramètres s'améliorent à la sortie. Les paramètres de la CPAP démontrent une excellente adhérence thérapeutique et tolérance à l'appareillage. L'index d'apnées/hypopnées est abaissé. Les données de l'oxymétrie attestent d'un index de désaturation satisfaisant, mais d'une désaturation sévère en lien avec son obésité morbide. La patiente est informée qu'une perte pondérale significative pourrait améliorer ce paramètre. La radiographie du thorax montre une petite désorganisation de la trame bronchovasculaire avec des épaississements bronchiques ainsi qu'un aplatissement des coupoles diaphragmatiques, dans le cadre de la BPCO connue, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. La patiente refuse la spirométrie à la sortie. Nous poursuivons le traitement inhalateur d'Anoro, par la suite changé pour Spiolto Respimat, préféré par la patiente. Durant son séjour, Mme. Y a présenté des vertiges, en amélioration par la suite, elle est connue pour VPPB. Le status neurologique est dans la norme et le test de Schellong revient négatif. Nous reprenons le traitement habituel par Concor au vu de la FC élevée au repos chez une patiente en RSR. La patiente présente des OMI bilatéraux, elle est connue pour une maladie veineuse chronique, le proBNP est à 73 ng/l. Mme. Y est au bénéfice d'un traitement diurétique de thiazide, que nous maintenons à la sortie. Sur le plan nutritionnel, la patiente présente une obésité de classe 3, en lien avec un stress professionnel et une baisse de l'activité physique, démontrée par un BMI à 45. Nous fournissons les informations pour une perte de poids. Le poids à la sortie est à 116 kg. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 180 m à l'entrée à 250 m à la sortie. La réhabilitation est toutefois limitée par des gonalgies sur gonarthrose bilatérale. La patiente augmente la distance parcourue sur le vélo pendant 20 minutes de 2.40 km à 2.510 km. A la sortie, elle bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 06.04.2019, en état général conservé. Mme. Y consulte les urgences le 30.03.2019 en raison de diarrhées abondantes depuis 3 jours suite à la consommation de poulet et de bœuf lors d'une fondue bourguignonne. Ce jour, la patiente présente un épisode d'hématochésie et un état fébrile à 38°C, accompagnés de douleurs abdominales en région sus-pubienne de type crampiforme. A l'admission aux urgences, la patiente est hémodynamiquement stable, afébrile et en bon état général. Au status digestif, l'abdomen est souple, dépressible et indolore avec une défense en fosse iliaque gauche. Le toucher rectal est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 272 mg/l et une légère leucocytose à 10,4 G/l ainsi qu'une hypokaliémie à 3,3 mmol/l que nous substituons. Le CT scan abdominal permet d'exclure une diverticulite sigmoïdienne et met en évidence une pancolite avec une iléite terminale d'allure infectieuse. Un traitement empirique par Rocéphine et Flagyl est instauré. Les cultures de selles reviennent positives pour un Campylobacter jejuni permettant de stopper l'antibiothérapie avec une évolution rapidement favorable dès le 31.03.2019 avec amendement des diarrhées et baisse importante du syndrome inflammatoire. Mme. Y peut regagner son domicile le 02.04.2019. Mme. Y, patiente de 52 ans, connue pour un adénocarcinome d'origine primaire peu claire en stade métastatique, est hospitalisée par le Dr. X pour une incontinence urinaire et fécale nouvelle depuis environ 2 semaines ainsi que des douleurs lombaires atraumatiques depuis environ 3 semaines sur fractures nouvelles. La patiente dit avoir des incontinences urinaires d'effort et ne plus ressentir la réplétion vésicale. La prise d'Irfen, Dafalgan et Tramadol ne permet pas une prise en charge satisfaisante des douleurs. La patiente se plaint d'une faiblesse depuis environ 10 jours avec impossibilité de se lever normalement de son lit. Mme. Y consultait le Dr. X pour un contrôle avant un 3ème cycle de chimiothérapie par Carboplatine Taxol (1ère dose le 28.02.2019). Au vu de ces nouveaux symptômes, un CT cérébro-thoraco-abdominal est réalisé en urgence montrant des fractures nouvelles au niveau L5 avec recul du mur postérieur et au niveau T11-12 et le bilan est complété par une IRM de la colonne totale. Après avis neurochirurgical, les images montrent des fractures de tassement au niveau de D11-D12 nouvelles et une fracture L5 d'allure ancienne non compressive, ainsi que des images de myélite au niveau cervical bas et thoracique haut. Les neurochirurgiens ne retiennent aucune indication à une opération de décompression en urgence. Une radiographie dorso-lombaire le 15.04.2019 ne montre pas de péjoration de la kyphotisation. Un avis neurologique est également demandé afin de mieux caractériser ces lésions de myélite. Ils retiennent une myélite pluriétagée à prédominance postérieure d'origine indéterminée (DD: paranéoplasique, carcinomateux, toxique) et une ponction lombaire est réalisée le 15.04.2019 dont les résultats sont encore en cours. Le bilan est complété avec une IRM cérébrale montrant une progression en taille de la lésion vraisemblablement métastatique centrée sur l'hypophyse. Sur le plan oncologique, le CT d'entrée montre des signes de progression de la maladie oncologique et la tumeur primaire semble probablement être une tumeur bronchique. La chimiothérapie est stoppée et une immunothérapie par Opdivo est initiée le 15.04.2019 après la ponction lombaire. Un bilan dentaire devrait être réalisé en vue d'un traitement par bisphosphonates. Parallèlement, le traitement de Dexaméthasone mis en place il y a plusieurs mois est diminué progressivement avant le début de l'immunothérapie et une adaptation de l'antalgie est effectuée avec introduction d'Oxycontin durant le séjour. Nos collègues de radio-oncologie voient également la patiente afin de discuter une radiothérapie sur la lésion cérébrale probablement métastatique. Un CT de planification est effectué le 17.04.2019. Concernant ses incontinences nouvelles, un sédiment urinaire revient négatif et la symptomatologie ne s'améliore pas durant l'hospitalisation, avec un bilan radiologique ne mettant pas en évidence de compression nerveuse, mais des signes de myélites pouvant participer à la symptomatologie. Un toucher rectal effectué à l'entrée montre un tonus sphinctérien partiellement conservé avec hypoesthésie en selle. Sur le plan social, la patiente a un fils de 11 ans et est veuve depuis environ 10 mois suite au décès de son mari d'un problème cardiaque. Les diverses investigations étant terminées, après discussion avec le Dr. X, Mme. Y est transférée à la Villa St-François le 17.04.2019 pour la suite de prise en charge.Mme. Borgognon est transférée dès la permanence le 06.04.2019 en raison d'une lombalgie importante avec sciatalgie droite. À l'entrée, la patiente se plaint des douleurs au niveau lombaire avec extension à la jambe droite, qui sont présentes depuis le 04.06.2019. Il n'y a pas de chute décrite, mais l'anamnèse se présente difficile et peu crédible en vue de troubles cognitifs. La patiente habite seule. Un CT-Scan du bassin et de la colonne vertébrale montre plusieurs fractures de compression, dont deux d'allure récente, du plateau supérieur de L2 et du plateau inférieur de L4. On note que les tassements ne s'étendent pas aux pédicules. Un traitement conservateur avec analgésie (Oxycontin et Oxynorm en réserve) et mobilisation par le physiothérapeute est commencé. Un traitement pour l'ostéoporose avec Calcimagol D3 1 par jour et Alendronate 70 mg 1 par semaine est prescrit. L'évolution se montre favorable avec une amélioration de la symptomatologie et de l'état général. La mobilisation est possible avec l'Arjo pour 120 m avec supervision. En raison des épisodes d'angoisse, nous avons prescrit une réserve de Quetiapine 12.5 mg au besoin. Un bilan biologique montre une normo-osmolaire hyponatrémie à 129 mmol/l le 06.04.2019, qui se corrige pendant le reste de l'hospitalisation. En raison des valeurs de tension artérielle élevées, nous commençons un traitement avec Lisinopril 5 mg le 15.04.2019. La patiente développe à la fin du séjour en médecine une lésion cutanée de typologie eczémateuse au niveau de la clavicule droite et de la scapula gauche, raison pour laquelle nous avons commencé un traitement topique avec Diprosalic pommade deux fois par jour dès le 15.04.2019 prévu pour une semaine. Nous prions les collègues de gériatrie de suivre et adapter la thérapie selon l'évolution clinique. La patiente est transférée au service de gériatrie pour la suite de la prise en charge le 15.04.2019. Mme. Bossel, connue pour une AREB-t, est amenée aux urgences en ambulance le 22.02.2019 en raison d'une baisse de l'état général et d'un état confusionnel, remarqués par une voisine le matin même. À l'anamnèse systémique, la patiente rapporte une toux avec dyspnée depuis 3-4 jours ainsi qu'une myasthénie. Pas d'autre plainte ni douleur. À l'admission aux urgences, la patiente est en état général diminué, pâle, présentant un ralentissement psychomoteur. Elle est afébrile à 36°C, normotendue à 120/60 mmHg, tachycarde à 102/min, tachypnéique à 25/min avec une saturation en oxygène à 94% à l'air ambiant. Au statut cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers. Pas de souffle audible, pas d'irradiation dans les carotides, pas d'œdème des membres inférieurs. Les mollets sont souples et indolores. À l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est présent sur toutes les plages. Au niveau digestif, les bruits abdominaux sont diminués en fréquence, normaux en tonalité. L'abdomen est souple, sans défense ni détente. Au statut urogénital, les loges rénales sont indolores à la percussion. Au toucher rectal, pas de douleur, pas de sang au doigtier. Au niveau ORL, le fond de gorge est calme, la langue est desséchée. Au statut neurologique, Glasgow à 14/15, la patiente est désorientée dans le temps, orientée dans les autres modalités. Les nerfs crâniens sont sans particularité. La force et la sensibilité sont conservées dans les 4 membres. Les réflexes ostéotendineux sont hypervifs et symétriques. Babinski positif des deux côtés. Le laboratoire met en évidence une transformation aiguë d'une leucémie myéloblastique chronique avec une leucocytose à 144 G/l avec 4% de blastes et des bâtonnets à 14,4 G/l. On retrouve l'AREB-t connue (anémie réfractaire avec excès de blastes en transformation) mais acutisée avec une hémoglobine à 35 g/l pour laquelle nous transfusons 2 culots érythrocytaires, permettant d'améliorer la symptomatologie. On constate encore une infection urinaire. Au vu de la maladie de base connue et du refus de la patiente d'une prise en charge thérapeutique en octobre 2017 et après discussion avec Mme. Bossel et sa nièce, qui est très proche, nous décidons d'une limitation thérapeutique claire avec des soins de confort. Il est décidé de ne plus effectuer de transfusion sanguine, de ne pas traiter par antibiotique ni d'effectuer de manœuvre de réanimation. La patiente est hospitalisée pour des soins de confort. À l'étage, elle se plaint d'une asthénie et d'une grande fatigue. Le 28.02.2019, nous organisons un colloque familial en présence de la nièce de la patiente, ses frères, sa sœur et le Dr. X, oncologue. La situation clinique est clairement précisée et Mme. Bossel accepte un transfert aux soins palliatifs à la Villa St-François. Toutefois, le 03.03.2019, Mme. Bossel présente une importante péjoration de son état avec une dyspnée aiguë avec tachypnée et tachycardie, sans syndrome douloureux. Nous administrons une oxygénothérapie à raison de 1l/min et 5 mg de morphine en sous-cutané. Une voie veineuse périphérique est mise en place, la patiente reçoit 2 mg de bolus iv de Morphine suivi d'une perfusion continue de 1 mg/h pour diminuer la sensation de dyspnée et cibler un confort respiratoire. Mme. Bossel décède environ une heure après le début de la dyspnée aiguë. Mme. Bossel est hospitalisée de manière élective pour son contrôle annuel de syndrome d'apnées/hypopnées complexes du sommeil avec hypoventilation alvéolaire sur obésité appareillée depuis 2007, sous ASV depuis 2016. Mme. Bossel a récemment présenté une bronchite en fin février-début mars, traitée par elle-même avec du sirop pour la toux. Actuellement en amélioration, mais se sent encore légèrement plus fatiguée, dyspnéique et tousse plus qu'habituellement. Avant son épisode de bronchite, elle dit avoir des symptômes respiratoires stables par rapport à l'an dernier avec une dyspnée de stade mMRC 1 et une toux sèche, sans expectoration. Elle présente des céphalées stables depuis des années associées à des troubles de la vision en lien avec son méningiome non traité d'après elle. Pas de somnolence diurne. Elle ne fait pas de sieste durant la journée. Elle se couche aux alentours de 20h30, s'endort rapidement et se réveille en forme le matin vers 7h, sans réveil entre deux. Elle a pris 5 kg en un an. L'analyse ResScan de l'année montre une excellente compliance de la part de Mme. Bossel. La nuit dans notre service de pneumologie se passe bien, mais nous constatons une augmentation du nombre d'hypopnées d'allure centrale avec un IAH résiduel à 23/h. De plus, la SpO2 moyenne nocturne, à la limite de la norme depuis des années, est estimée à la polygraphie nocturne à 88 % avec 56 % du temps à moins de 90 %. Nous proposons donc d'introduire une oxygénothérapie nocturne à 1.5 litres. Les résultats sont satisfaisants avec une SpO2 moyenne de 90 % avec 39 % du temps en dessous de 90 %. L'IAH résiduel est mesuré à 9/h. Mme. Bossel a bien dormi et s'est réveillée en forme. Nous proposons donc de garder les mêmes paramètres ventilatoires qu'à l'arrivée, et d'ajouter une oxygénothérapie à 1.5 litres seulement durant la nuit. La patiente est mise au courant et a bien compris les risques liés à la consommation de tabac avec l'oxygénothérapie, et nous assure qu'elle ne fume jamais durant la nuit, ni à l'intérieur du domicile. Nous la reverrons dans un an pour son contrôle annuel. Mme. Bosson est une patiente de 71 ans, qui se présente le 11.04.2019 aux urgences en raison de douleurs crampiformes du flanc droit depuis 5 jours. À noter que la patiente est depuis 48 heures sous traitement de Co-Amoxicilline introduit par son médecin traitant. Le bilan effectué aux urgences retrouve une cholécystite aiguë. Au vu de la durée des douleurs, nous optons pour un traitement conservateur avec cholécystectomie à distance. La patiente est hospitalisée dans notre service pour antalgie et antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole. Les suites sont simples permettant un retour à domicile le 15.04.2019. La patiente sera revue à la consultation des chefs de clinique afin d'organiser une cholécystectomie élective à environ 6 semaines de l'épisode aigu.Mme. Bourdin, 37 ans, a été récemment hospitalisée en gynécologie en raison d'une endométrite sur probable rétention de matériel post curetage évacuateur (13.03.2019) pour grossesse arrêtée à 11 semaines d'aménorrhée. Elle se présente aux urgences le 13.04.2019 en raison de vomissements et d'épigastralgies. Un bilan biologique montre une légère perturbation des tests hépatiques. Un ultrason met en évidence une vésicule biliaire présentant du sludge, sans épaississement pariétal ou dilatation des voies biliaires. La patiente est hospitalisée et une antalgie est débutée. L'évolution est, par la suite, favorable avec une amélioration des tests hépatiques et une disparition des douleurs. La patiente présente des nausées depuis le début du traitement par Ciproxine et Flagyl, raison pour laquelle nous décidons, en accord avec nos collègues de gynécologie, de changer l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline et Doxycycline à partir du 16.04.2019. Au vu de la bonne évolution, Mme. Bourdin rentre à domicile le 17.04.2019. Un rendez-vous à la consultation des chefs de clinique est prévu le 02.05.2019 à 11h30. La patiente poursuivra l'antibiothérapie jusqu'au 20.04.2019, comme prévu. Mme. Bovet, 25 ans, a été admise pour une insuffisance respiratoire hypoxémique et hypercapnique aiguë secondaire à une pneumonie d'aspiration bilatérale sur coprostase chronique. La patiente présente un épisode de vomissement avec probable broncho-aspiration le 06.04.2019. Par la suite, elle développe une dyspnée avec tachypnée et tachycardie le 08.04.2019 qui s'aggrave rapidement. Le bilan radiologique aux urgences confirme le diagnostic de pneumonie d'aspiration bilobaire. Un traitement par Co-amoxicilline adapté au poids est débuté. Au vu de l'insuffisance respiratoire partielle, la patiente est transférée aux soins intensifs pour des séances de ventilation non invasive en alternance avec de l'oxygénothérapie à haut débit et de la physiothérapie respiratoire. L'évolution est rapidement favorable avec un sevrage du soutien ventilatoire le 12.04.2019. La patiente nécessite encore une oxygénothérapie avec une FiO2 de 24%. Une crise d'épilepsie a été observée le 13.04.2019, similaire aux crises survenant à domicile selon la mère. L'alimentation entérale est poursuivie avec le traitement laxatif habituel. Une macrocytose chronique a été constatée. Un bilan étiologique pourrait être envisagé à l'occasion d'un prochain prélèvement sanguin. Le capital veineux étant très limité et difficile d'accès, des prélèvements de sang capillaire ont été nécessaires. La patiente a été transférée le 13.04.2019 dans le service de médecine interne pour le sevrage de l'oxygénothérapie. Mme. Y bénéficie de l'intervention susmentionnée. Les suites opératoires sont simples et sans complication. Au vu de l'évolution clinique favorable, elle peut retourner à domicile. Mme. Y nous est adressée depuis le service de gériatrie aiguë HFR Meyriez, pour la suite de la prise en charge des déficits neurologiques suite au St. post. AVC ischémique aigu sylvien profond gauche avec une petite zone de transformation hémorragique le 10.03.2019, d'origine cardio-embolique, dans le contexte d'une fibrillation auriculaire nouvelle. À l'entrée, elle se plaint de douleurs au ventre avec constipation depuis quelques jours et de douleurs au siège. De plus, elle se plaint toujours de difficultés à la mobilisation des bras, D > G, ainsi que du membre inférieur gauche. Au status, on observe une patiente partiellement désorientée dans le temps et l'espace. Au status local, une plaie fibrineuse péri-anale. Au niveau neurologique, elle souffre de troubles mnésiques, troubles du langage caractérisés par une dysarthrie, et une aphasie mixte accompagnée d'un manque du mot, parésie de la main gauche. Ad Diagnostic principal Sur le plan fonctionnel à l'entrée, Mme. Y fait les transferts avec aide légère (FIM 4), elle ne peut pas marcher (FIM 1), ni monter les escaliers. Le Tinetti est de 8/28 avec un tintebin. Des mesures de neuro-réadaptation, comprenant entre autres physio- et ergothérapie, sont mises en place. Au vu de la courte période du séjour et de la plaie au siège, la patiente n'a pas montré de progrès. Ad DS 1 + compl 3) En ce qui concerne les plaies au siège sur incontinence mixte, nous n'avons pas remarqué d'amélioration et nous continuons par la suite les soins de la plaie. La patiente a présenté aussi un escarre catégorie I au niveau du sacrum le 24.04.2019, nécessitant un suivi par notre collègue en stomathérapie. Ad DS 2) Nous avons poursuivi la correction de la glycémie par l'insuline Humalog rapide. Une adaptation de l'insuline Tresiba (actuellement 18 UI) était nécessaire pour contrôler l'hyperglycémie avec une évolution favorable. Ad DS 3) L'examen biologique montre une fonction rénale stable avec une évolution favorable. Ad DS 4) Nous avons poursuivi le traitement de Ferrinject jusqu'au 21.04.2019. Ad DS 5) Pas de nouveaux éléments concernant ce sujet (cf. lettre GERA). Ad DS 6) Pas de nouveaux éléments concernant ce sujet (cf. lettre GERA). Ad complication 1) Le 14.04.2019, la patiente a présenté des douleurs à la main droite et au poignet droit sur une crise de chondrocalcinose de la tête du 2ème métacarpien droit. Mme. Y bénéficie d'un traitement par Prednisone et d'une attelle avec bonne évolution. Ad complication 2) Le 23.04.2019, Mme. Y a présenté une pollakisurie sans état fébrile. Au vu d'un sédiment urinaire pathologique avec l'absence de syndrome inflammatoire, nous introduisons une dose unique de Monuril avec bonne évolution. Au vu de la péjoration des plaies au niveau du siège avec une nouvelle escarre du sacrum, nous transférons Mme. Y dans le service de gériatrie aiguë du même étage le 25.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, soeur dans un couvent, nous est transférée de la clinique de médecine de l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge après un AVC ischémique aigu temporo-occipito-thalamique gauche, d'origine probablement artério-artérielle, le 09.03.2019. La patiente vit dans un couvent où les différents étages sont liés par un ascenseur. À son entrée, le status neurologique révèle la persistance de l'hémianopsie homonyme latérale à droite, une alexie, une aphasie modérée, une désorientation spatio-temporelle et des troubles mnésiques. L'examen cardiovasculaire et pulmonaire est sans particularités. À son arrivée, la patiente est en déconditionnement suite à son AVC. Nous poursuivons l'antiagrégation plaquettaire par Plavix 75 mg et le traitement hypolipémiant par Atorvastatin 40 mg pendant l'hospitalisation. En plus de la physio- et de l'ergothérapie, un suivi logopédique ainsi que neuropsychologique est débuté. Concernant la thérapie antidiabétique, l'insuline est progressivement remplacée par la majoration des antidiabétiques oraux (Metformine, Januvia et Diamicron) avec un contrôle des glycémies dans la cible. La valeur de l'hémoglobine glyquée est de 7.2%. Une thrombose probablement chronique du sinus sigmoïde gauche et une sténose significative du départ de l'artère carotide interne gauche ont été diagnostiquées par CT et IRM à l'HFR Fribourg. La patiente sera convoquée pour un contrôle par IRM cérébrale en 05/2019, deux semaines avant la prochaine consultation chez son neurologue traitant.En raison d'une malnutrition, un suivi diététique est organisé. Une insuffisance rénale est diagnostiquée avec une clearance de la créatinine à 44 ml/min/1.73 m². Après une hydratation et l'arrêt des diurétiques, la fonction rénale s'améliore jusqu'à 52 ml/min/1.73 m². Parallèlement, Mme. Y bénéficie d'une réadaptation précoce avec physio- et ergothérapie. À l'entrée, elle est autonome dans les transferts et marche avec le rollateur sous supervision. À la sortie, elle se déplace seule avec le rollateur sur une distance de 120 m et peut monter 18 marches d'escalier sous supervision. Le Tinetti est à 20/28. Mme. Y peut être transférée à la clinique de neuroréadaptation intensive le 04.04.2019. Mme. Y, 79 ans, est amenée aux urgences le 19.04.19 suite à une chute sur voie publique avec une plaie occipitale. Les ambulanciers ont objectivé une parésie du membre supérieur droit avec dysarthrie spontanément régressive après environ 15 minutes. Le CT cérébral ne retrouve pas de lésions post-traumatiques. Le laboratoire met en évidence une hyponatrémie sévère à 114 mmol/L. L'origine de la chute et de l'état confusionnel de la patiente est probablement mixte entre l'hyponatrémie et un possible AIT surajouté. Sur le plan métabolique, l'étiologie de l'hyponatrémie est probablement médicamenteuse. Elle se corrige progressivement sous NaCl et arrêt du Coversum N Combi. Afin de maintenir un profil tensionnel adéquat, un traitement d'amlodipine est rajouté au traitement de fond. Sur le plan neurologique, au vu du déficit neurologique transitoire nouveau dans l'ambulance, nous complétons les investigations par une IRM cérébrale qui ne retrouve pas de lésion ischémique. Cet épisode peut s'expliquer par l'hyponatrémie sévère, mais un AIT demeure cependant possible. Au vu de l'athéromatose des vaisseaux pré-cérébraux sans sténose, sur le CT cérébral, une origine artério-artérielle semble le plus probable. Dans ce contexte, les neurologues préconisent un contrôle des facteurs de risques cardio-vasculaires, sans investigations supplémentaires. Sur le plan cognitif, le beau-fils et le médecin traitant décrivent un déclin progressif sur plusieurs semaines-mois. Une IRM cérébrale avait déjà été réalisée en ambulatoire mi-avril avec mise en évidence d'une leucoencéphalopathie et une atrophie cortico-sous-corticulaire. Un bilan neuropsychologique est réalisé qui montre la présence de troubles mnésiques et exécutifs modérés. Si ceux-ci persistent, un suivi en neuropsychologie pourra être poursuivi à votre demande à l'HFR. À noter que la patiente a déjà arrêté la conduite et rendu son permis de conduire. Au vu de l'évolution favorable, la patiente rentre à domicile le 30.04.19 avec des soins à domicile quotidiens. Mme. Y, 79 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour prise en charge d'une hyponatrémie sévère symptomatique avec chute et traumatisme crânien. Elle présente une chute sur voie publique avec une plaie occipitale sans perte de connaissance. Les ambulanciers ont objectivé une parésie du membre supérieur droit avec dysarthrie spontanément régressive après environ 15 minutes, fortement suspectes d'un AIT à l'origine de sa chute. Le CT cérébral révèle une athéromatose des vaisseaux pré-cérébraux sans lésion parenchymateuse. Un complément de bilan (IRM cérébrale, ETT, doppler des vaisseaux pré-cérébraux) est à organiser. Aux urgences, une hyponatrémie associée à un état confusionnel est mise en évidence. L'étiologie est peu claire. Une origine médicamenteuse est possible, mais la patiente ne se remémore pas de sa médication qui est à compléter. L'hyponatrémie se corrige progressivement sous NaCl. Mme. Y nous est adressée le 27.03.2019 par l'hôpital Daler pour prise en charge avec reconditionnement après thyroïdectomie. À noter que la patiente avait présenté une syncope après l'opération, probablement liée à la double prise d'anti-hypertenseurs qui avaient été adaptés. À son entrée, la patiente se plaint de faiblesse des membres inférieurs installée depuis plusieurs semaines. Au statut, nous retrouvons une patiente légèrement désorientée dans le temps et l'espace, mais collaborante, avec un état général conservé. Un souffle aortique irradiant dans les carotides est retrouvé, sans signe de décompensation cardiaque. L'examen neurologique est dans les limites de la norme hormis l'anisocorie connue de longue date et la présence d'un nystagmus multidirectionnel épuisable, et une impossibilité d'élever complètement le bras droit. Mme. Y est veuve, vit dans un immeuble au rez-de-chaussée avec 5 marches. Elle reçoit de l'aide pour le ménage toutes les 2 semaines et est indépendante pour les AVQ et AVQ instrumentales. La tension artérielle est stable sous traitement de Coveram et Carvedilol aux doses prescrites à la sortie. La patiente ne présente pas de nouvelle syncope durant son séjour. À noter qu'au vu des problèmes de gestion médicamenteuse évoqués lors du séjour à l'hôpital Daler, nous instaurons des soins à domicile quotidiens pour l'administration des médicaments. Sur le plan cognitif, nous observons une possible démence débutante. Nous vous proposons de compléter le bilan par un test neuropsychologique en ambulatoire et le cas échéant une IRM cérébrale pour compléter le bilan. Le bilan d'anémie ne montre pas de carence particulière. Une carence en vitamine D est mise en évidence et substituée. Parallèlement à sa prise en charge internistique, Mme. Y bénéficie d'ergothérapie et de physiothérapie intensives. Au bilan d'entrée, la patiente parvient à réaliser les transferts de façon autonome, la marche et la montée de marches (2x9 avec rampe) sont réalisées sous supervision. Le périmètre de marche est de 100 m sans moyen auxiliaire. Le risque de chute est relativement faible. À sa sortie, la patiente se déplace de façon autonome tant pour les transferts que pour la marche et la montée des marches (>18). Le périmètre de marche est de >300 m et le risque de chute est faible. Mme. Y peut rentrer à domicile le 05.04.2019 en bon état général. Mme. Y, patiente de 82 ans, connue pour une cardiopathie ischémique et rythmique (patiente porteuse d'un pacemaker depuis 2016 et anticoagulée par Xarelto pour une FA) se présente aux urgences pour des douleurs thoraciques. Elle est hospitalisée en médecine interne pour la prise en charge d'une décompensation cardiaque et pour investigations étiologiques le 14.04.2019. La patiente décrit des douleurs thoraciques connues depuis plusieurs mois, à caractère très variable et apparaissant le plus souvent au repos, qui au soir du 14.04.2019 sont associées à une sensation de lourdeur et irradiation dans le haut du bras gauche, ce qui l'amène à consulter. Elle rapporte également avoir une fatigue plus importante, une péjoration de sa dyspnée d'effort (estimée actuellement à NYHA III sur les derniers mois) et note l'apparition de dyspnée paroxystique nocturne nouvelle. Des oedèmes des membres inférieurs à prédominance droite sont connus depuis des années chez cette patiente, mais seraient également en péjoration ces derniers temps. Au vu du tableau clinique, un bilan cardiaque est réalisé à l'entrée aux urgences. D'un point de vue biologique, l'absence de cinétique des troponines permet l'exclusion d'un syndrome coronarien aigu, néanmoins une élévation des peptides natriurétiques parle en faveur d'une décompensation cardiaque. Du Lasix intraveineux est donné aux urgences avec bon effet. Le Torasemid peut être repris à dose habituelle. Une cardioversion déjà prévue avant l'hospitalisation est réalisée le 16.04.19 avec un retour à un rythme sinusal. Le contrôle de pacemaker effectué le même jour ne montre pas de particularité.D'un point de vue ostéo-articulaire, la patiente rapporte une chute d'origine mécanique le 10.04.2019, avec d'importantes douleurs au niveau du genou droit. Une radiographie ne montre pas de fracture et un traitement conservateur par antalgie et physiothérapie permet une mobilisation sécure. La patiente peut rentrer le 17.04.19 à domicile au vu de la bonne évolution clinique. Mme. Y est une patiente de 45 ans qui se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales basses progressives depuis 3 jours, accompagnées de nausées, sans troubles du transit. Un bilan biologique met en évidence une leucocytose à 15 G/L et une CRP à 99 mg/L. Un CT abdominal le 20.04.2019 montre une diverticulite sigmoïdienne IIa selon Hansen Stock. Une antibiothérapie par Rocephin et Metronidazole est instaurée. L'évolution est par la suite bonne. Mme. Y rentre à domicile le 21.04.2019 avec une antibiothérapie per os pour une durée totale de 10 jours. La patiente sera convoquée par la gastroentérologie pour effectuer une colonoscopie dans 6 semaines. Mme. Y nous est adressée en raison de douleurs abdominales importantes associées à des diarrhées liquides, afébriles et non sanguinolentes depuis 10 jours. Une antibiothérapie par Bactrim a été introduite dès le 25.03.2019 sans amélioration de la symptomatologie. Un scanner abdominal est réalisé et montre un épaississement de la paroi colique en plusieurs endroits ainsi que des signes d'inflammation jéjunale. Nous débutons un traitement empirique par Entocort qui n'apporte aucun soulagement symptomatologique. La calprotectine fécale étant dans les normes, nous évoquons les diagnostics de colites microscopiques ou de colites à collagène. Au vu d'une symptomatologie spontanément résolutive, nous ne poussons pas plus loin les investigations. En cas de réapparition de diarrhées avec répercussion sur la qualité de vie, la réalisation d'une colonoscopie devra être réévaluée. Un retour à domicile est organisé le 14.04.19 avec des soins à domicile, passage 1x/j. Mme. Y, patiente de 63 ans, est admise aux soins intensifs le 11.04.2019 pour une insuffisance respiratoire aiguë globale multifactorielle dans un contexte de sclérose latérale amyotrophique avec possible pneumonie de broncho-aspiration. Une antibiothérapie par Co-amoxicilline i.v. associée à des séances de VNI intermittente ainsi qu'un soutien ventilatoire nocturne sont mis en place. Sur le plan urinaire, on retrouve un Staphylococcus simulans et un Arthrobacter cumminsii lors de culture urinaire pour une leucocyturie asymptomatique. Un suivi avec un sédiment urinaire de contrôle est proposé avant la sortie de l'hospitalisation. La patiente évoluant favorablement sur le plan respiratoire, elle est remontée à l'étage de médecine dès le 16.04.2019. À l'étage, la patiente continue 2 séances de VNI par jour, associées à la VNI nocturne. Elle se sent confortable sous 3 litres d'oxygénothérapie aux lunettes. Durant son séjour, nous essayons de diminuer le débit d'oxygène aux lunettes et sur la VNI nocturne. La patiente réagit adéquatement. Une capnographie et polygraphie nocturnes sont faites avec VNI puis sans VNI entre le 17.04.2019 et le 19.04.2019. Les résultats de ces examens pneumologiques suivront dans des rapports séparés. Une légère amélioration clinique se présente avec bonne tolérance sous 1L d'O2 aux lunettes. Par ailleurs, nos collègues pneumologues organisent un appareillage de VNI pour le domicile afin que cela puisse être utilisé au long cours. Sur le plan social et familial, la patiente vit actuellement dans une maison avec son mari. Un déménagement dans un appartement à Cossonay est prévu au cours du mois d'avril 2019. Dans ce contexte, une hospitalisation de courte durée (7 jours) à la Villa St-François avait déjà été organisée avant l'hospitalisation actuelle. Nous maintenons la demande de séjour à la Villa Saint-François le temps du déménagement. La patiente pourra ensuite rentrer à domicile, le mari ayant aménagé avec précaution le nouveau domicile pour sa femme. Un suivi au CMS de Cossonay sera organisé. De par la stabilité clinique de la patiente, celle-ci est transférée à la Villa Saint-François dès le 23.04.2019 pour un court séjour en réadaptation palliative. Mme. Y, patiente de 63 ans, est admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire aiguë globale dans un contexte de sclérose latérale amyotrophique avec possible pneumonie de broncho-aspiration. La patiente est connue pour une sclérose latérale amyotrophique et présente depuis 3-4 jours une dyspnée aiguë avec toux non productive. Le bilan initial effectué aux urgences met en évidence une insuffisance respiratoire globale. L'étiologie est multifactorielle avec d'une part une progression de la maladie neurologique connue et une possible pneumonie de broncho-aspiration qui est suspectée sur la base du tableau clinique et d'un syndrome inflammatoire biologique, sans toutefois retrouver de foyer radiologique évident. Une antibiothérapie empirique par Co-amoxicilline est instaurée dès l'admission avec une évolution clinique et biologique favorable et sera à poursuivre pour une durée totale de 7 jours. L'insuffisance respiratoire s'améliore progressivement avec un soutien ventilatoire non invasif. Après discussion avec nos collègues pneumologues, l'indication à poursuivre la ventilation non invasive nocturne au long cours est retenue. Concernant la sclérose latérale amyotrophique, la neurologue traitante propose de poursuivre le traitement habituel sans mesure diagnostique ou thérapeutique supplémentaire. D'un point de vue social et familial, la patiente vit actuellement dans une maison avec son mari. Un déménagement dans un appartement est prévu au cours du mois d'avril 2019. Dans ce contexte, une hospitalisation de courte durée (7 jours) à la Villa St-François avait déjà été organisée avant l'hospitalisation actuelle. Le 15.04.2019, la patiente est transférée dans le service de médecine interne pour la suite de la prise en charge et le séjour aux soins palliatifs sera à rediscuter une fois l'évaluation pneumologique finie. Mme. Y est admise pour une coronarographie élective en raison d'un angor stable stade II chez une patiente connue un antécédent d'AIT vertébro-basilaire en 2016. Cet examen montre une maladie coronarienne de 3 vaisseaux. J'ai procédé à une double PCI de l'IVA proximale et moyenne avec implantation de 2 stents actifs et à une PCI/2 DES de l'artère circonflexe proximale. Traitement de la sténose restante sur l'artère coronaire droite, seulement si angor résiduel. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Nous stoppons le Nitroderm. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 18.04.2019. Mme. Y, âgée de 66 ans, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une PTG D sur gonarthrose tricompartimentale le 03.04.2019. Sur le plan social, Mme. Y, veuve depuis presque 3 ans, vit seule dans une maison avec une quarantaine de marches d'escaliers. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable. Au status, la plaie opératoire évolue favorablement mais présente un léger écoulement séreux. La flexion du genou D en actif est de 65° et 80° en passif avec présence d'un flexum de 15°. La force du quadriceps D est cotée à M2.Durant son séjour, elle a présenté une bonne évolution bio-clinique avec une régression du syndrome inflammatoire et une adaptation de l'antalgie. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises en alterné. Elle peut monter et descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension du genou D à 100-0-0. Après 10 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 18.04.2019, en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile pour augmenter les amplitudes articulaires et le périmètre de marche. Mme. Y, connue pour un carcinome pulmonaire à petites cellules du lobe inférieur droit, actuellement sous traitement radio-chimiothérapeutique par Platinol et Etopophos à visée curative, et dont la dernière cure a eu lieu le 04.04.2019, est adressée par le service ambulatoire d'oncologie pour asthénie, inappétence avec myalgies diffuses sans état fébrile. La patiente se plaint d'odynodysphagie essentiellement aux solides avec une impossibilité d'alimentation par voie orale depuis la sortie de la dernière hospitalisation le 27.03.2019. Une mucite oro-pharyngée et oesophagienne poste radique est objectivée au bilan ORL, associée à une candidose persistante malgré le traitement de Mycostatine. La patiente reçoit une dose unique de Fluconazol 400 mg et une thérapie par ingestion de la mycostatine après gargarisme pendant 15 jours et gargarisme avec préparation magistrale à volonté avant l'ingestion de solides/liquides qui est mise en place. En cas de persistance de la symptomatologie à 15 jours, un avis gastroentérologique pour OGD sera à demander. De plus, la patiente se plaint de douleurs dentaires et gingivales très invalidantes et limitant l'alimentation. Une consultation auprès du service dentaire est organisée pour le 18.04.2019. Au vu des nombreuses hospitalisations sur l'année écoulée (10 au total depuis mai 2018), et de la sortie récente de la précédente hospitalisation, après discussion avec la patiente, du Dr. X et du Dr. X, une suite d'hospitalisation en soins palliatifs malgré la thérapie curative en cours est proposée. Mme. Y est transférée à l'HFR Meyriez en soins palliatifs le 17.04.2019. Mme. Y est une patiente de 26 ans, qui est hospitalisée à l'hôpital de Tavel dans le cadre d'une néphrolithiase obstructive avec une lithiase de 6x5x15 mm à la jonction pyélo-urétérale. La patiente développe par la suite un sepsis motivant un transfert aux soins intensifs le 29.03.2019. Dans ce contexte, la patiente bénéficie d'une cystoscopie avec la pose de sonde double J à droite qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples et afébriles et les valeurs infectieuses au laboratoire sont en nette amélioration. Nous laissons la patiente rentrer à domicile le 02.04.2019. Mme. Y est une patiente de 41 ans connue pour un carcinome épidermoïde de la vessie, qui bénéficie d'une cystectomie selon Bricker avec hystérectomie et salpingo-ovariectomie et appendicectomie le 01.03.2019. L'intervention se déroule sans complications, la surveillance aux soins intensifs reste sans particularité et la patiente peut être transférée à l'étage de chirurgie le 02.03.2019. En raison d'une pyélonéphrite abcédante, une antibiothérapie par Meronem est initiée le 01.03.2019. L'évolution est initialement favorable mais se complique par une éviscération à J6 post-opératoires avec un hématome intra-péritonéal sur saignement de l'artère épigastrique à gauche. La patiente bénéficie alors d'une re-laparotomie avec lavage péritonéal et pose d'un filet rétro-musculaire ainsi que pose de VAC sous-cutané le 07.02.2018. Lors du premier changement de pansement VAC, on note une nouvelle déhiscence de la paroi abdominale. Le filet est laissé en place avec pose d'un VAC sur le filet. Après mise en évidence d'un entérocoque faecium et de candida dans le liquide péritonéal, le filet est enlevé avec pose d'un VAC laparostome et l'antibiothérapie est élargie avec de la Vancomycine. Des changements itératifs de laparostomes sont effectués jusqu'au 03.04.2019. Une fermeture secondaire à l'aide d'un filet sous-cutané se déroule sans complication le 03.04.2019. La plaie montre, par la suite, une évolution favorable. La patiente présente un iléus post-opératoire le 11.03.2019 nécessitant la mise en place d'une sonde nasogastrique qui a pu être enlevée après résolution le 20.03.2019. La réalimentation progressive est bien supportée avec un retour d'un transit abdominal normal. Mme. Y reçoit 2 transfusions de concentrés érythrocytaires le 26.03.2019 dans le cadre d'une anémie spoliative. Le suivi laboratoire montre, par la suite, un maintien à des limites d'hémoglobines supérieures au seuil de transfusion. Au cours de son hospitalisation, Mme. Y présente une acutisation de son insuffisance rénale associée à des troubles électrolytiques probablement accentués par la réabsorption des électrolytes dans le conduit iléal. Un traitement est débuté le 22.03.2019 après discussion avec le service de néphrologie, permettant la correction des troubles. En raison d'une perte de bicarbonate dans le conduit iléal, nous poursuivons un traitement de Néphrotrans 3x/j. La poursuite de ce traitement sera à réévaluer par le médecin traitant selon les valeurs de laboratoire lors du suivi. À sa sortie le 17.04.2019, Mme. Y présente la persistance d'un petit écoulement séreux sur la partie distale de la plaie. Nous organisons un changement de pansement journalier à domicile et un contrôle de la plaie en stomathérapie le jeudi 25.04.2019, durant lequel les points de suture seront à enlever si le statut de la plaie le permet. Mme. Y, connue pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, consulte les urgences le 10.04.2019 en raison d'un état fébrile et frissons depuis la veille, avec baisse de l'état général. Pas de toux ni d'expectoration, pas de nausée/vomissement, pas de dysurie ni pollakiurie, pas de douleur abdominale. A l'admission aux urgences, Mme. Y est hypotendue à 87/52 mmHg avec bonne réponse au remplissage, tachycarde à 105/min, afébrile à 37.1° C et eupnéique à l'air ambiant à 95%. Le status cardio-pulmonaire est dans la norme. Au status digestif, les bruits abdominaux sont diminués en fréquence et en tonalité. L'abdomen est souple, sans défense ni détente. Murphy négatif. Au niveau urogénital, la loge rénale gauche est douloureuse à la percussion, la loge rénale droite est indolore. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 136 mg/l et une leucocytose à 21.5 g/l, une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 115 µmol/l, une légère hypokaliémie à 3.5 mmol/l, ainsi une anémie chronique avec une hémoglobine à 105 g/l. Le sédiment urinaire montre une pyurie et une microhématurie. Nous prélevons deux paires d'hémocultures à froid et un urotube. La radiographie du thorax est sans particularité. Nous retenons le diagnostic d'urosepsis et nous débutons une antibiothérapie par Imipenem 1 g iv en ordre unique. Mme. Y est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Sur le plan infectieux, l'urotube et les hémocultures (1/4 à 2 jours) reviennent positifs pour un E. coli (ESBL). Sur avis de Dr. X, infectiologue, l'antibiothérapie par Imipenem est relayée par l'Invanz du 12 au 15.04.2019 avec relais par Bactrim per os dès le 16.04.2019 pour 4 semaines dans le contexte de l'uropathie chronique.Sur le plan urologique, la patiente est connue pour une hydronéphrose bilatérale mise en évidence au PET-scan du 20.02.2019 compatible avec un syndrome de la jonction pyélo-urétérale, avec conseil de poursuivre en ambulatoire les investigations. Une consultation chez le Dr. X est prévue le 30.04.2019. Concernant les multiples adénopathies en cours d'investigations, une biopsie est réalisée à Fribourg le 12.04.2019. Nous vous laissons le soin de pister les résultats. Sur le plan hématologique, nous mettons en évidence une anémie normocytaire normochrome avec hémoglobine à 98 g/l. Nous élargissons le bilan avec un dosage de la vitamine B12 qui revient à 360 pg/ml, le fer à 5.4 umol/l avec une ferritine à 463 ug/l dans le contexte du syndrome inflammatoire, une transferrine à 1.3 g/l, une saturation de la transferrine à 16.6 % et un acide folique à 2.4 ng/ml. Nous substituons l'acide folique et le fer per os. L'évolution clinico-biologique est par la suite favorable et Mme. Y peut regagner son domicile le 17.04.2019 avec l'antibiothérapie par Bactrim 2x/j à poursuivre jusqu'au 08.05.2019. Mme. Y, patiente de 76 ans, est hospitalisée en médecine après une hospitalisation à l'HFR Riaz, puis une brève surveillance hémodynamique aux soins intensifs suite à une FA cardioversée par traitement médicamenteux dans le contexte d'une bronchiolite d'étiologie indéterminée chez une patiente sous immunosuppression par anti-TNF en raison d'une polyarthrite rhumatoïde. Elle est hospitalisée à l'HFR Riaz depuis le 20.03.2019 pour une dyspnée en péjoration progressive qui est initialement mise sur le compte d'une infection pulmonaire avec décompensation cardiaque. Le CT thoracique montre des infiltrats diffus en mosaïque compatibles avec une bronchiolite constrictive. Le Céfépime est dès lors suspendu et une bronchoscopie est organisée pour déterminer l'étiologie de l'atteinte pulmonaire. Après discussion avec nos collègues pneumologues, le projet de bronchoscopie est mis en suspens en raison des risques importants d'une telle procédure chez cette patiente. Pour cette raison, une attitude conservatrice avec traitement par bronchodilatateur est privilégiée avec une évolution lentement favorable. L'étiologie de la pathologie pulmonaire n'est pas clairement identifiée. Des sous-décalages à l'ECG dans le territoire inféro-latéral d'apparition nouvelle, sans douleur thoracique associée motive la réalisation d'une ETT qui s'avère grossièrement dans la norme avec une FEVG à 60 %. Une dysfonction diastolique minime et une oreillette gauche modérément dilatée sont néanmoins mises en évidence. Nos collègues cardiologues préconisent la réalisation d'un Holter de 72h qui est réalisé par la suite et pour lequel le rapport est toujours en cours. En raison d'un refus de prise en charge assécurologique pour une réadaptation respiratoire à l'HFR Billens malgré une indication médicale claire, Mme. Y est reclassée le 03.04.2019 en attente d'une réadaptation extra-cantonale à Berne. Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR Fribourg bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, connue pour un statut post-pneumonie lobaire supérieure droite en décembre 2018, consulte les urgences le 22.03.2019 pour une fatigue en augmentation depuis 2 jours ainsi qu'une toux grasse sans expectoration. Ces symptômes sont les mêmes que ceux présentés en décembre. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système. A l'admission aux urgences, la patiente se présente très fatiguée. A l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique sans bruit surajouté. Le statut cardiaque et digestif est dans la norme. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 69 mg/l et des leucocytes à 7,1 G/l et la radiographie du thorax est compatible avec une pneumonie basale droite. Aux urgences, nous administrons 20 mg de Prednisone en ordre unique et la patiente bénéficie également d'un traitement bronchodilatateur par Atrovent, Ventolin et Pulmicort. Durant la surveillance aux urgences, Mme. Y développe une fibrillation auriculaire que nous cardioversons par 12,5 mg de Diltiazem intraveineux. La patiente est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Elle bénéficie d'une oxygénothérapie à 2 l/min et nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 1,2 g iv 4x/j dès le 22.03.2019. L'évolution est favorable permettant un sevrage de l'oxygène et un relais de l'antibiothérapie par co-amoxicilline per os 2x/j dès le 25.03.2019, à poursuivre jusqu'au 29.03.2019. Les hémocultures reviennent négatives à 5 jours. En raison de deux épisodes de pneumonie en peu de temps, nous demandons un avis à Dr. X, infectiologue, qui ne préconise pas d'autres investigations (contrôle scannographique à distance selon évolution). Mme. Y peut regagner son domicile le 26.03.2019. Mme. Y nous est adressée par son médecin traitant le 08.04.2019 en raison de la persistance de diarrhées depuis une semaine, avec soins impossibles à domicile. Pour rappel, la patiente bénéficie d'un traitement par Maltofer depuis des mois. Il y a une semaine, la dose a été doublée et depuis lors, Mme. Y présente des diarrhées (10x/j). La patiente a pris la double dose pendant environ 4 jours, puis au vu de la persistance des diarrhées, elle a arrêté le traitement et a pris de l'Imodium avec une légère amélioration des diarrhées (2-3x/j). Dernières diarrhées à 17 heures ce jour. La patiente est faible, ne mange plus et dort beaucoup. Pas de douleur abdominale. Mme. Y présente une plaie au niveau du pied gauche et une au niveau du pied droit, depuis environ 6 mois, qui sont prises en charge par les soins à domicile. Sur le plan social, la patiente vit à domicile avec sa fille. Elle se mobilise en fauteuil roulant. Sa fille nous signale que la patiente ne marche plus depuis quelques années et que les troubles de la mobilisation sont liés surtout au déconditionnement. A noter que depuis une semaine, la patiente est devenue complètement dépendante pour toutes les AVQ. A l'admission aux urgences, la patiente est déshydratée. A l'auscultation pulmonaire, hypoventilation sur les deux plages pulmonaires. Le reste du statut d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë AKIN II sur insuffisance rénale chronique avec clairance de la créatinine à 19 ml/min selon Cockroft & Gault d'origine pré-rénale probablement dans le contexte de diarrhées. Les tests hépatiques sont stables. La CRP est à 26 mg/l et les leucocytes à 13 G/l. Le laboratoire met également en évidence une hyperkaliémie à 7.1 mmol/l. Concernant l'hyperkaliémie, un protocole avec 20 UI de novorapid en 250 ml de G20% en 20 minutes est mis en place, avec 15 g de Resonium. Pour l'insuffisance rénale aiguë, nous initions une hydratation et mettons en pause la Metformine, le Furospir, le Gliclazid et l'Adénuric. Ces médicaments seront à réévaluer en fonction de l'évolution biologique. Mme. Y est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. En ce qui concerne le suivi de l'hyperkaliémie, nous poursuivons le schéma de correction par Insuline Glucose, le traitement par Resonium et la réhydratation avec une évolution favorable. Un US rénal permet d'exclure une cause post-rénale de l'insuffisance et met en évidence un ascite prédominant au niveau périhépatique ainsi que des kystes corticaux des deux côtés, déjà connus selon le médecin traitant.Suite à la majoration de l'ascite avec une prise pondérale considérable probablement dans le cadre de la réhydratation et d'une surcharge sur insuffisance rénale, nous stoppons l'hydratation et initiions un traitement diurétique à 20 mg de Torem. Mme. Y est transférée dans le service de gériatrie aiguë le 15.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, 53 ans, est connue pour un adénocarcinome du lobe supérieur gauche stade pT1b pN2 M0 diagnostiqué en novembre 2017 avec segmentectomie S1-2 du lobe supérieur gauche et lymphadénectomie (01.2018) puis chimiothérapie adjuvante (02-04.2018) suivie d'une radio-chimiothérapie de 01.2019 à 03.2019. Des complications induites par la radio-chimiothérapie ont nécessité une hospitalisation en février 2019. Elle débute une immunothérapie adjuvante par Imfinzi 690 mg i.v. tous les 15 jours dès le 15.04.2019. Dès le 15.04.2019, elle présente une dyspnée progressivement péjorative à stade NYHA 4 le 23.04.2019, raison pour laquelle elle se présente au service des urgences. Elle présente également depuis le 15.04.2019 une douleur thoracique latérale gauche à 4/10, sans irradiation, respiro-dépendante calmée par la prise de Dafalgan 1g 3x/j. Un CT thoracique le 23.04.2019 montre une majoration de l'épanchement pleural gauche avec suspicion de carcinomatose pleurale, des infiltrats suspects d'atteinte infectieuse ainsi qu'un épanchement péricardique mais pas de signe d'embolie pulmonaire. Une ponction pleurale n'est pas réalisée car le liquide est insuffisant. Nous mettons en place une prise en charge conservatrice avec l'introduction de diurétiques et d'oxygénothérapie. Mme. Y reste hypoxémique à l'air ambiant, principalement la nuit, manifesté par des céphalées et motivant le maintien de l'oxygène à bas débit, qui sera poursuivi à domicile pour une courte durée. Un rendez-vous à la consultation du Dr. X est prévu le 02.05.2019 suite à l'immunothérapie. Du point de vue oncologique, après avis au Dr. X, son immunothérapie est poursuivie. La prochaine séance est prévue le 02.05.2019. La thérapie étant relativement nouvelle, les indications au scanner du 23.04.2019 d'une progression tumorale ne sont pour l'instant pas prises en compte. Un syndrome inflammatoire persistant le 26.04.2019 avec infiltrats suspects d'atteinte infectieuse et une immunothérapie en cours motive l'introduction d'antibiothérapie par augmentin pour 7 jours. Une échographie transthoracique le 24.04.2019, motivée par l'épanchement péricardique visible au scanner, montre une FEVG à 65% avec un minime épanchement péricardique (surtout au niveau du VD), hémodynamiquement non significatif. Nous n'effectuons donc pas d'investigation supplémentaire. Au vu de la bonne évolution clinique, nous laissons Mme. Y rentrer à domicile le 30.04.2019. Mme. Y, connue pour une BPCO de stade II, un emphysème bulleux et une hypertension artérielle traitée, consulte les urgences le 31.03.2019 en raison d'une exacerbation de sa BPCO se manifestant par une péjoration de la dyspnée et une augmentation du volume des expectorations depuis environ une semaine. Vous débutez une antibiothérapie et une corticothérapie le 27.03.2019, sans amélioration clinique. À l'admission aux urgences, la patiente est hémodynamiquement stable et présente une désaturation à 84% à l'air ambiant rapidement corrigée sous 2 litres d'oxygène. L'auscultation met en évidence des râles crépitants en base droite, une hypoventilation en base gauche ainsi que des sibilances sur les 2 plages pulmonaires. Le laboratoire ne montre pas de franc syndrome inflammatoire. La radiographie de thorax montre un épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire sans épanchement pleural visible, ni de foyer. Nous retenons une exacerbation de sa BPCO avec 2/3 critères d'Anthonisen. Nous débutons une antibiothérapie par Tavanic, une corticothérapie par Prednisone ainsi qu'un traitement bronchodilatateur et Mme. Y est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Elle bénéficie également de séances de physiothérapie. L'évolution est favorable, l'oxygénothérapie est rapidement sevrée et Mme. Y peut regagner son domicile le 04.04.2019. Une demande de réhabilitation respiratoire ambulatoire à l'HFR Billens est effectuée. Mme. Y consulte les urgences le 06.04.2019 en raison d'une dyspnée au repos apparue ce jour, associée à des douleurs rétrosternales type oppression et une toux avec expectorations jaunâtres. Pas de notion d'état fébrile ni de frisson. À l'admission aux urgences, la patiente est fébrile à 38°C. À l'auscultation pulmonaire, présence de râles crépitants fins en base droite. Le murmure vésiculaire est symétrique sans râle de stase ni sibilance. La sphère ORL est sans particularité. Le statut cardiovasculaire et digestif est dans la norme. L'ECG montre une tachycardie sinusale à 117/min sans trouble ischémique, revenant en rythme normocarde à 90/min durant la surveillance aux urgences. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire, une leucocytose à 17 G/l. Les troponines sont négatives, la fonction rénale est bonne et nous ne mettons pas en évidence de trouble électrolytique. Des hémocultures sont prélevées. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer pulmonaire franc. Nous retenons toutefois le diagnostic de pneumonie basale droite et débutons une antibiothérapie par Rocéphine iv 2 g 1x/24h et Klacid 500 mg 2x/j. Mme. Y est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. En reprenant l'anamnèse, Mme. Y rapporte une asthénie importante depuis la veille de l'admission. Elle signale faire des pneumonies à répétition depuis 3 ans, environ 2 épisodes par année depuis 2016. À noter qu'elle travaillait dans la métallurgie avec exposition aux fumées. Elle signale une notion de pneumonie fibrosante suivie en ambulatoire par Dr. X. Dans le contexte de pneumonies à répétition chez une patiente avec une fibrose pulmonaire connue et sous traitement par Orencia, nous poursuivons le traitement par Rocéphine jusqu'au 08.04.2019. Les hémocultures reviennent négatives. Sous antibiothérapie, l'évolution est favorable et Mme. Y peut regagner son domicile le 10.04.2019. Mme. Y, patiente de 72 ans, connue pour HTA et hypothyroïdie traitées, s/p résection d'un polype rectal adénovilleux en 2010 avec multiples récidives, dont la dernière résection date de décembre 2018 par Dr. X, qui préconise une résection FRTD. Elle est donc hospitalisée en électif pour une colonoscopie avec résection de polype. La patiente présente le lendemain de l'intervention plusieurs épisodes de rectorragies. Le contrôle biologique montre une hémoglobine à 122 g/l. Cela ne se représente pas lors des 24h suivantes, et l'hémoglobine reste stable. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Y rentre à domicile le 31.03.2019, avec consigne de reconsulter en cas de réapparition de saignement. Mme. Y est une patiente de 89 ans, amenée aux urgences de l'HFR Fribourg le 13.03.2019 suite à une syncope survenue aux toilettes, sans traumatisme crânien mais avec traumatisme de la cheville droite et une plaie du 5ème doigt de la main droite. Après un bilan radio-clinique montrant la fracture susmentionnée, la patiente est transférée à l'HFR Riaz pour suite de la prise en charge conservatrice, après mise en place d'une immobilisation plâtrée. La plaie du 5ème doigt a été désinfectée, un rappel antitétanique a été effectué et un pansement mis en place avant le transfert.La patiente ne décrit aucune plainte sur le plan cardio-respiratoire, digestif ni urinaire. La patiente est continente sur le plan urinaire et fécal. L'appétit et le transit sont conservés et réguliers, respectivement. Sur le plan social, Mme. Y vit seule dans un appartement, sans soins à domicile. Elle se mobilise sans moyen auxiliaire. Le statut cardiovasculaire est sans particularité. Au niveau pulmonaire, nous auscultons des murmures vésiculaires symétriques sans râle de stase ni de sibilances. Sur le plan urogénital, les loges rénales sont souples et indolores. La percussion du rachis est indolore. Sur le plan électrolytique, le bilan biologique met en évidence un déficit en vitamine D3 et acide folique, que nous substituons per os. Nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs à distance. Nous vous laissons aussi les soins d'organiser un bilan d'ostéoporose en ambulatoire dès que possible. Sur le plan endocrinologique, nous avons augmenté la posologie de l'Euthyrox à 75 mcg 1x/24h au lieu de 50 mcg suite à un bilan thyroïdien avec une TSH haute à 22.82 mU/l et un T3 total à 1.0 nmol/l et T4 libre 11 pmol/l, qui reviennent basses. Nous vous laissons les soins de répéter ce bilan dans trois mois et en fonction d'adapter l'Euthyrox. Durant son séjour, la patiente bénéficie d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 14.03.2019 au 27.03.2019. La patiente a été victime de chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Nous retenons en particulier un statut post-fracture Weber B de la cheville droite traitée conservativement. Concernant cette fracture, nous mettons en place une mobilisation plâtrée durant 6 semaines inclus avec une prophylaxie thrombo-embolique. La radiographie de contrôle à une semaine ne démontre pas de déplacement secondaire. Elle bénéficiera par la suite d'un suivi à la policlinique d'orthopédie de l'HFR Fribourg Hôpital Cantonal. Durant le séjour, la patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. À la sortie, le périmètre de marche à l'aide de cannes est de 5-10 mètres en décharge complète avec l'aide d'un tintébin. La mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 83/126 par rapport à 70/126 à l'entrée. (MIF physio : transfert 6/7, marche 2/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas testé. Mme. Y bénéficie également d'un bilan nutritionnel qui met en évidence une malnutrition protéino-énergétique grave. Elle bénéficie d'un enseignement diététique, mais ne souhaite pas de substitution nutritive orale. Dans le respect de ses voeux, nous lui conseillons l'adaptation de sa diète selon les recommandations des diététiciens et proposons un suivi par vos soins. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Elle bénéficiera d'une poursuite de cette thérapie à l'UATO. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances légèrement altérées avec un MMS 28/30 et un test de la montre à 4/7. Sur le plan gastro-intestinal, la patiente présente une coprostase pendant le séjour nécessitant un traitement laxatif avec bon rendement. Au vu de sa situation sociale, nous proposons un séjour à l'UATO du Home La Providence et Mme. Y est transférée le 27.03.2019. Mme. Y, votre patiente de 69 ans, connue pour une hypertension traitée, un diabète non-insulino-requérant et une obésité classe II, a été hospitalisée pour une suspicion de syndrome coronarien aigu attribué finalement à un probable syndrome de Takotsubo de type mid-ventricular. En effet, la patiente se présente en ambulance au service des urgences le 23.04.2019 pour une douleur thoracique oppressive avec dyspnée d'apparition subite le jour même vers 11h. L'examen clinique initial et les paramètres vitaux sont sans particularité. L'électrocardiogramme du service des urgences ne montre aucun trouble de la repolarisation, alors que le dosage des troponines T hs est positif avec une cinétique faisant suspecter un NSTEMI. La coronarographie réalisée en urgence montre une maladie coronarienne bitronculaire, sans syndrome coronarien aigu. Par contre, la ventriculographie met en évidence un aspect d'un syndrome Tako-Tsubo de type mid-ventricular avec une dyskinésie diaphragmale/antéro-latérale et une hyperkinésie des parois basale et apicale (avec une fraction d'éjection ventriculaire gauche estimée à 45%). Les pressions télédiastoliques sont élevées. La surveillance rythmique aux soins intensifs est sans particularité. Une première échocardiographie transthoracique confirme des troubles de la contractilité segmentaire. Un traitement habituel par sartan est repris le 25.04.2019, ainsi qu'une antiagrégation et une statine. Nous réalisons une seconde échocardiographie de contrôle objectivant une amélioration par rapport à l'examen précédent parlant en faveur d'un diagnostic de Tako-Tsubo selon les cardiologues. Mme. Y sera revue en consultation cardiologique de contrôle dans un mois. À noter la survenue d'un érythème maculo-papuleux non-prurigineux sur le décolleté, les avant-bras et le haut du dos, apparus le matin du 24.04.2019 dans le décours de la coronarographie et de l'introduction d'inhibiteur de l'enzyme de conversion et régressant les jours suivants. Un taux d'éosinophiles normal infirme le diagnostic d'un possible DRESS : drug reaction with eosinophilia and systemic symptoms, mais le diagnostic d'une possible réaction au produit de contraste ne peut être exclu. Mme. Y sort le 26.04.2019 sans aide avec un rendez-vous en cardiologie agendé le 16.05.2019. Mme. Y, 69 ans, a été hospitalisée pour une suspicion de syndrome coronarien aigu attribué finalement à un probable syndrome de Takotsubo de type mid-ventricular. Elle est connue pour un diabète non insulino-requérant et une hypertension artérielle traitée. Elle a été adressée en ambulance pour une douleur thoracique oppressive avec dyspnée d'apparition subite à 11h le 23.04.2019. Aux urgences, l'ECG n'a pas montré de trouble de la repolarisation mais la troponine T hs est positive à 98 puis 356 ng/L. Un NSTEMI est suspecté et une dose de charge d'aspirine et de ticagrelor a été administrée. La coronarographie réalisée en urgence a montré une maladie coronarienne bitronculaire, sans syndrome coronarien aigu. Par contre, la ventriculographie met en évidence un aspect d'un syndrome Takotsubo de type mid-ventricular avec une dyskinésie diaphragmale/antéro-latérale et une hyperkinésie des parois basale et apicale (FE 45%). Les pressions télédiastoliques sont élevées à 34 mmHg. La patiente a été traitée initialement par inhibiteur de l'enzyme de conversion, puis le traitement habituel d'olmesartan sera repris dès le 25.04.2019. La surveillance rythmique aux soins intensifs a été sans particularité. L'échocardiographie transthoracique du 24.04.2019 confirme les troubles segmentaires qui seront contrôlés le 26.04.2019. La patiente est transférée le 24.04.2019 en médecine interne pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est une patiente de 75 ans, multimorbide et connue, entre autres, pour une AOMI stade IV, qui est hospitalisée suite à une artériographie du membre inférieur droit. Elle présente une douleur subaiguë du membre inférieur droit depuis 3 semaines. Sa jambe droite est érythémateuse, œdématiée sans plaie importante. Le bilan angiologique a mis en évidence une occlusion de l'a. fémorale commune et longue occlusion de tout l'axe fémoro-poplité. Une thrombectomie de l'a. fémorale commune droite, un stenting de l'a. fémorale commune proximale, et une angioplastie par ballonnet de l'a. fémorale superficielle avec bon résultat final sont réalisés le 11.04.2019. Le geste se déroule sans complications, avec un membre inférieur droit redevenu chaud à J1. Un souffle éjectionnel sans induration, ni douleur, ni anévrisme est mis en évidence post-geste. Selon l'avis angiologique, ce souffle n'est pas apparu en postopératoire et est plutôt en lien avec l'AOMI sous-jacente. Une antiagrégation pour 3 mois est débutée durant l'hospitalisation.En raison d'une hyperthyroïdie sur nodule autonome du lobe gauche, sa thérapie par Neo-Mercazole est augmentée en peropératoire. Mme. Y rentre à domicile le 12.04.2019. Mme. Y, âgée de 76 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une révision de PTG G le 12.03.2019 dans un contexte de douleurs persistantes. Sur le plan social, la patiente vit seule à domicile; son fils habite la même maison. Elle était jusqu'alors complètement autonome pour les AVQ, n'avait qu'une aide pour le ménage 1x/mois et marchait occasionnellement avec 1 CA par sécurité. Elle est à la retraite (ancienne vendeuse). A l'admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Elle rapporte une prise de poids de 5 kg à l'HFR Fribourg (poids de forme de 60 kg), raison pour laquelle elle est sous Torem 5 mg, à poursuivre jusqu'à normalisation du poids. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La flexion/extension du genou G est de 30-0-0° en actif et 40-0-0° en passif. La force du quadriceps G est cotée à M2 et la sensibilité est conservée. Nous effectuons un suivi clinique des oedèmes et du poids qui montre une persistance des OMI et une stagnation du poids sous 5 mg de Torem, nous l'augmentons donc à 10 mg le 20.03.2019 avec suivi de la fonction rénale qui est dans la norme et une bonne réponse clinique avec un poids à la sortie à 61.3 kg. Au de l'évolution clinique favorable, nous revenons au Torem 5 mg en vous laissant le soin de réévaluer ce traitement selon l'évolution clinique. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises dans tout le périmètre de l'hôpital. Elle peut monter/descendre les escaliers sans la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension du genou G à 50-0-0° en actif et 55-0-0 en passif. Après 10 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 29.03.2019, en état général conservé. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Elle est sortie sans soins à domicile. Mme. Y, âgée de 81 ans, connue pour une artériopathie oblitérante des membres inférieurs, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique dans un contexte d'ischémie aiguë Rutherford IIa du membre inférieur droit. Pour rappel, elle a bénéficié le 17.03.2019 d'une angioplastie, kissing stent de l'axe iliaque commun. Les suites opératoires sont compliquées par une ischémie aiguë sans trouble sensitivomoteur franc au membre inférieur droit. Un bilan angiologique est réalisé et montre une nouvelle occlusion de l'artère fémorale profonde, une occlusion connue de l'artère fémorale superficielle et poplité. Mme. Y est reprise pour traitement endovasculaire le 18.03.2019 et bénéficie d'une recanalisation et stenting 6 x 60 mm de l'artère fémorale superficielle. Mme. Y a présenté une FA avec mise en place d'un traitement freinateur et anticoagulation sur le long terme. Sur le plan social, la patiente vit seule. Elle est ancienne serveuse. A l'admission, la patiente se plaint de douleurs stables aux membres inférieurs. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, nous retrouvons des PPP ddc. La patiente est désorientée dans le temps, orientée dans l'espace. Le séjour se déroule sans complication. La patiente est autonome pour la marche sur un périmètre illimité et pour les escaliers. Après 7 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut à sa demande quitter notre service pour rejoindre son domicile le 28.03.2019, en état général conservé. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Nous augmentons le passage des SAD à 2x/semaine pour la gestion des médicaments avec mise en place du semainier. Le fils cautionne ce projet. Mme. Y, résidant au home du Châtelet, connue pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, est adressée aux urgences le 01.04.2019 en raison d'une baisse de l'état général. Pour rappel, la patiente a été traitée par co-amoxicilline du 25 au 27.03.2019 puis par Rocéphine 1 g du 27.03 au 01.04.2019 pour une pneumonie. A l'admission aux urgences, la patiente est désorientée dans tous les modes et ne rapporte pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable, normotendue, eupnéeique et afébrile. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, irréguliers. Pas d'oedème des membres inférieurs. Au niveau pulmonaire, présence de râles crépitants bibasaux et jusqu'à mi-plage à droite. Au status digestif, l'abdomen est souple et dépressible sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Les loges rénales sont souples et indolores. Le laboratoire montre une hypokaliémie modérée à 2,9 mmol/l, une hypercalcémie légère à 2,73 mmol/l, une hypomagnésiémie à 0,53 mmol/l et une pseudo-hyponatrémie légère à 131 mmol/l. Mise également en évidence d'un syndrome inflammatoire avec une CRP à 198 mg/l et des leucocytes à 10,2 G/l. La radiographie du thorax montre un possible foyer en base droite. Nous retenons le diagnostic de pneumonie communautaire. Nous débutons une antibiothérapie par Céfépime adapté à la fonction rénale et Mme. Y est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. L'évolution est favorable et l'antibiothérapie est passée per os par Rocéphine 2 g 1x/j du 04 au 08.04.2019. Sur le plan cardiaque, la patiente présente une décompensation cardiaque gauche avec des NT proBNP à 12'056 ng/l et une dyspnée, sans oedème des membres inférieurs. Un traitement par Lasix iv 20 mg 3x/j est mis en place et poursuivi jusqu'au 05.04.2019 au vu d'une persistance des crépitants bibasaux. Nous effectuons un relais par Torem 30 mg per os dès le 06.04.2019 avec une bonne évolution clinique. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution des signes de surcharge et du poids et adapter le traitement diurétique en conséquence. En ce qui concerne les troubles électrolytiques, nous substituons le potassium en iv et per os. Nous prescrivons également du Magnesiocard 1x/j, à poursuivre. Mme. Y peut regagner le home du Châtelet le 08.04.2019. Mme. Y, âgée de 49 ans, en bonne santé habituelle, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une insuffisance respiratoire aiguë sévère suite à une grippe A le 03.02.2019. Lors du séjour à l'HFR Fribourg, la ventilation mécanique s'est compliquée par deux épisodes de pneumothorax droit avec drainage et une broncho-aspiration, nécessitant une trachéotomie (sevrée le 18.03.2019). Une reprise d'un régime mixé lisse sous surveillance est effectuée dès le 15.03.2019 après multiples tests sans fausse route, ni stase.En raison d'une suspicion de neuromyopathie jusqu'ici jamais investiguée, un ENMG est réalisé et révèle de possibles lésions axonales sans argument pour une maladie de la jonction neuromusculaire. Un EEG est sans particularité et un test au Tensilon se révèle négatif. Un dosage des anticorps anti-RACh, anti-MuSK et anti-GQ1B revient négatif. Vu certains éléments anamnestiques et cliniques, une dystrophie musculaire génétique sous-jacente est suspectée. Sur le plan social, Mme. Y vit avec son conjoint, elle n'a pas d'enfant. Elle travaille comme secrétaire dans un bureau d'architectes. À l'admission, Mme. Y relate être vite fatiguée. Au status, Mme. Y est orientée et collaborante. La trachéotomie est fermée. Auscultation pulmonaire sans particularité. Pas de souffle cardiaque. La force des MI et MS est cotée à M4. Nous observons une ptose palpébrale ddc, Mme. Y n'arrive pas à monter les sourcils. Marche avec steppage ddc. Durant son séjour, Mme. Y a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et elle marche sans moyen auxiliaire dans tout le périmètre de l'hôpital. Elle peut monter/descendre les escaliers. Mme. Y manque de fluidité à la marche, marche en steppage. Nous réalisons également des exercices pour corriger la posture à la marche en insistant sur le déroulement du pas, diminution de l'hyperextension des genoux, redressement du dos et meilleure participation de la ceinture scapulaire. Néanmoins, Mme. Y n'est pas gênée par son schéma de marche et la posture pathologique. Nous lui transmettons également des explications concernant la suspicion d'une dystrophie musculaire. Mme. Y va réfléchir quant à la suite de la prise en charge au CHUV et elle en rediscutera à votre consultation. Un test de déglutition ne révèle pas de fausses routes avec un régime normal dysphagique. Le poids à la sortie est de 62 kg. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 04.04.2019, en état général conservé. À la sortie, Mme. Y bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y est une patiente de 70 ans qui bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique le 12.04.2019. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables permettant un retour à domicile le 14.04.2019. Mme. Y, patiente de 76 ans, est hospitalisée en électif pour mise en place d'un pacemaker pour une hypersensibilité sino-carotidienne diagnostiquée suite à un malaise en février 2019. L'intervention se déroule sans complication, la radiographie de thorax post-geste ne montre pas de pneumothorax et un matériel bien en place. Mme. Y rapporte une sensibilité au niveau de la plaie, soulagée par du paracétamol. La cicatrice est calme. Mme. Y peut rentrer à domicile le 30.04.2019. Mme. Y, patiente de 84 ans, est admise aux soins intensifs en surveillance post-coronarographie d'un STEMI subaigu inférieur sur thrombose de stent tardive sur maladie coronarienne tritronculaire. Mme. Y est connue pour une cardiopathie ischémique tritronculaire avec dernière coronarographie en 2000. Elle présente depuis 7 jours des douleurs thoraciques en aggravation motivant une consultation aux urgences le 24.04.2019. Le bilan électrocardiographique et biologique retient un diagnostic de STEMI inférieur. Une coronarographie retrouve comme corrélat pour le STEMI une occlusion thrombotique in stent de la coronaire droite proximale-moyenne et distale qui est traitée par mise en place d'un long stent actif. La ventriculographie montre une légère dysfonction ventriculaire gauche avec dyskinésie apicale. Une échocardiographie transthoracique de contrôle montre une légère dysfonction ventriculaire gauche avec une FEVG à 50% et une dyskinésie apicale. Une double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine et Efient débutée en per-coronarographie sera à poursuivre pour une durée de 12 mois. Le traitement de statine et sartant est poursuivi. L'hydrochlorothiazide est remplacé par du Torasémide au vu d'une légère surcharge hydrique. Le beta-bloquant n'est pas introduit au vu d'une bradycardie. Mme. Y bénéficie de physiothérapie avec une excellente évolution clinique. Au niveau pulmonaire, nous constatons une possible pneumopathie interstitielle au niveau radioclinique. Nous proposons au médecin traitant de réévaluer l'indication à des fonctions pulmonaires à distance. Mme. Y rentre à domicile le 01.05.2019. Un contrôle est prévu chez le médecin traitant le 03.05.2019. Mme. Y, 84 ans, a été admise aux soins intensifs suite à un transfert d'un lambeau pédiculé de l'avant-bras gauche sur un défaut cutané du coude gauche survenu après une prothèse totale du coude gauche. Mme. Y a présenté une chute le 01.02.2019 avec une fracture supracondylienne basse nécessitant une mise en place d'une prothèse complète du coude gauche le 14.02.2019. Suite à l'intervention, la plaie ne se ferme pas et nécessite une nouvelle intervention avec un transfert d'un lambeau pédiculé. La surveillance clinique rapprochée du lambeau avec un ultrason Doppler est sans particularité et les contrôles biologiques sont favorables. La durée de l'antibiothérapie par co-amoxicilline iv, débutée le 19.03.2019, devra être discutée avec le consultant des maladies infectieuses. Des séances de physiothérapie et d'ergothérapie devront être organisées dès que possible et avec l'aval de l'opérateur. La transfusion d'un concentré érythrocytaire a été effectuée en raison d'une anémie. La macrocytose a été attribuée à une carence en acide folique qui devra être substituée dès le 03.04.2019. Mme. Y consulte les urgences le 01.04.2019 en raison d'une dyspnée NYHA IV apparue progressivement depuis 2 jours, accompagnée d'une toux sans expectoration. Elle rapporte avoir eu des épigastralgies sans nausée/vomissement, sans hématémèse, sans sang dans les selles, ni trouble du transit. Pas d'autres plaintes ni douleur à l'anamnèse par système. À l'admission aux urgences, Mme. Y désature à 85% à l'air ambiant. Le reste des paramètres est dans la norme. À l'auscultation pulmonaire, on note des râles crépitants bibasaux avec hypoventilation en base gauche. Au niveau cardiaque, neurologique et abdominal, l'examen clinique est dans la norme. Le laboratoire montre une osmolalité à 304 mosmol/Kg, une CRP à 21 mg/l, une hémoglobine à 92 g/l avec une ferritine à 8 ug/l et des NT Pro BNP à 2602 ng/l. La gazométrie réalisée sous 2 litres d'oxygène montre une légère hypoxémie sans autre trouble. La radiographie du thorax montre une discrète asymétrie de transparence des plages pulmonaires. L'atteinte prédomine au niveau lobaire supérieur, ainsi qu'en rétro-basal droit. En absence d'autre piste, nous retenons comme étiologie à la dyspnée une anémie symptomatique hypochrome microcytaire ferriprive, chez une patiente ayant une Hb à 131 G/l en 12.2018. L'évolution de la dyspnée est favorable après transfusion de 2 CE, avec un sevrage de l'oxygénothérapie. Nous substituons le déficit en fer par du Ferinject le 02.04.2019 et un traitement par Nexium 40 mg 2x/j est instauré sur une suspicion de spoliation digestive. Une OGD et une colonoscopie sont effectuées le 04.04.2019. L'OGD laisse suspecter une compression externe à la hauteur de la partie antrale pré-pylorique d'environ 5 cm (DD : GIST). Des biopsies sont prélevées. Après discussion avec le gastro-entérologue, nous n'effectuons pas de CT thoraco-abdominal d'emblée.Mme. Conne peut regagner son domicile le 05.04.2019. Un contrôle de l'hémoglobine est prévu dans une semaine avec la réévaluation de la nécessité d'un CT scan thoraco-abdominal. Mme. Corbat consulte les urgences de l'HFR Fribourg le 08.04.2019 pour une asthénie depuis 2 jours avec état fébrile à 39°C le 07.04.2019. A l'anamnèse par système, pas de céphalée, pas de nausée, pas de vomissement. Mme. Corbat ne rapporte pas de douleur thoracique ni de palpitation. Elle se plaint d'une orthopnée depuis mars mais stable selon elle. Pas de douleur abdominale mais un épisode de diarrhée importante le 07.04.2019, sans vomissement. Pas de dysurie, mais urines troubles et malodorantes. A l'admission aux urgences, la patiente est en état général diminué. Elle est normocarde et normotendue. Initialement elle présente une tachypnée avec désaturation à 86%, qui se corrige à 98% sous 3 litres d'oxygène. Le status cardiologique met en évidence des oedèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'à mi-mollets. Au niveau pulmonaire on retrouve un murmure respiratoire avec des râles crépitants. Le reste du status est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 69 mg/l et des leucocytes à 7,3 G/l. L'hémoglobine est à 112 g/l et la créatinine à 117 umol/l. Les D-Dimères sont à 3720 ng/l. Dans ce contexte il est décidé d'effectuer un CT scan thoracique qui exclut une embolie pulmonaire. Un problème chirurgical en lien avec l'opération récente est évalué à notre demande mais est raisonnablement écarté par les médecins des urgences de l'HFR Fribourg. Concernant l'insuffisance rénale chronique avec Clairance Cockroft à 58 ml/min, chez une patiente prenant régulièrement de l'Epril et de la Metformine, nous vous laissons le soin d'adapter le traitement antidiabétique lors du prochain contrôle à votre consultation. Mme. Corbat est transférée à l'HFR Riaz en raison d'un manque de place dans le service de médecine de l'HFR Fribourg, pour investigations avec suspicion d'infection urinaire au vu d'urines malodorantes. Toutefois, le stix et le sédiment urinaires reviennent dans la norme, l'uricult est contaminé et les hémocultures reviennent négatives. En raison de diarrhées nous effectuons une PCR multiplex selles qui revient également négative. Le contrôle de la stomie ne montre pas de signe d'infection ni d'inflammation. Présence de selles formées. Durant le séjour, la CRP diminue spontanément. Nous concluons à un état fébrile d'origine virale, probablement une gastroentérite. L'évolution étant favorable, Mme. Corbat peut regagner son domicile le 12.04.2019. Nous lui conseillons de prendre rendez-vous à votre consultation d'ici 10 jours. Mme. Corbat est une patiente de 78 ans, connue pour les comorbidités et antécédents sus-mentionnés, qui bénéficie d'une cure de hernie par abord direct avec un filet le 22.03.2019. L'intervention se déroule sans complication. Par la suite, le Redon qui est posé sur le filet peut être enlevé mais celui qui se trouve en sous-cutanée présente encore un débit important. L'évolution est favorable avec une reprise du transit et une réalimentation bien supportée permettant un retour à domicile le 29.03.2019. Mme. Corbat est une patiente de 78 ans, connue pour un antécédent de sigmoïdectomie avec confection de colostomie terminale, qui a bénéficié le 22.03.2019 d'une cure de hernie parastomiale. Elle se présente aux urgences le 14.04.2019 pour un écoulement séreux-sanguin au niveau de la cicatrice avec induration, rougeur et douleur, accompagné d'un état fébrile. Une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Métronidazole en intraveineux est mise en place et la patiente est prise au bloc le 15.04.2019 pour révision de la plaie et mise en place d'un pansement VAC. Nous procédons à des changements de VAC de manière itérative avec fermeture cutanée secondaire le 23.04.2019. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mme. Corbat regagne son domicile en bon état général le 25.04.2019. Mme. Corpataux, patiente de 101 ans connue pour un antécédent de poliomyélite et une cardiopathie rythmique (fibrillo-flutter sous Eliquis) consulte en raison de douleurs basithoraciques constantes depuis quelques jours augmentées à la prise alimentaire. Elle présente par ailleurs des OMI depuis quelques jours sans orthopnée ou dyspnée paroxystique nocturne. Elle relève ces derniers temps un stress important dans le contexte d'une hospitalisation de plusieurs proches. L'ECG révèle un BBG nouveau par rapport à un comparatif de l'année dernière et un dosage des enzymes cardiaques confirme la suspicion de STEMI. Un avis cardiologique est pris, soutenant une attitude conservatrice au vu de l'âge de la patiente. Nous majorons le traitement diurétique ainsi que le traitement Bêta-bloquant. Un ultrason cardiaque montre une insuffisance cardiaque sévère avec une FEVG à 15%. La situation se péjore, notamment au niveau respiratoire et des soins de confort sont instaurés. Mme. Corpataux décède le 21.04.2019 entourée de sa famille. Mme. Cortesi Driot sera revue à la consultation du Dr. X le 17.04.2019 pour ablation des fils et discussion des résultats anatomopathologiques. Mme. Cretin est une patiente de 71 ans connue pour des lombo-sciatalgies chroniques ainsi qu'un antécédent d'AVC que vous nous référez pour une péjoration des troubles de la marche, des troubles mnésiques ainsi qu'une incontinence urinaire depuis environ 1 mois. La patiente décrit également des sensations de palpitations, une dyspnée d'effort, des céphalées en barre et des lombalgies connues mais en péjoration. Le bilan biologique ne met pas d'anémie ni de dysthyroïdie en évidence. Nous excluons également des troubles électrolytiques ainsi qu'un syndrome inflammatoire. Nous réalisons un examen neuropsychologique qui ne montre de déficit spécifique évocateur d'une maladie neurodégénérative. De même, une évaluation par nos collègues neurologues n'oriente pas vers une étiologie organique neurologique. Le bilan neuropsychologique révèle uniquement de légères difficultés de mémoire épisodique. Une étiologie fonctionnelle est donc probable. Une évaluation par nos collègues psychiatres met en évidence un trouble dépressif ainsi que des difficultés en lien avec son entourage. Ils préconisent de débuter un suivi et de réévaluer l'introduction d'un traitement antidépresseur. Concernant les lombalgies, nous introduisons un traitement de Tilur, qui est bien toléré par la patiente et permet une antalgie efficace. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Cretin rentre à domicile le 25.04.2019. Mme. Cuennet, patiente de 82 ans connue pour fibrillation auriculaire anticoagulée par Xarelto, un asthme bronchique et une insuffisance veineuse chronique est hospitalisée en urgence le 09.04.2019 pour une douleur du membre inférieur gauche. La patiente rapporte une douleur en augmentation le jour même avec érythème et tuméfaction. Elle a également présenté un état fébrile à 39,9°, mais sans frisson. La patiente a été mordue par son chat le 05.04.2019 et depuis, l'infirmière des soins à domicile a réalisé une désinfection de la plaie avec changement de pansement quotidien. De plus, elle rapporte des douleurs abdominales diffuses crampiformes connues et habituelles avec 1 épisode de vomissement alimentaire sans sang ni bile. Le bilan initial retrouve un syndrome inflammatoire (CRP à 70 mg/l) et deux paires d'hémocultures sont prélevées. Elles reviennent négatives. Sur avis de nos collègues chirurgiens orthopédiques, un CT scan du membre inférieur gauche est réalisé et permet d'exclure une collection ou des signes d'ostéomyélite. Nous retenons donc le diagnostic de dermo-hypodermite et après débridement des berges de la plaie, un traitement antibiotique par Co-Amoxi 2.2g IV 3x/j est débuté le 09.04.2019. A noter que le CT scan montre également une athéromatose sténosante de l'artère poplitée gauche, ayant pu contribuer à la péjoration de l'infection et nous vous proposons donc d'organiser une consultation angiologique en ambulatoire pour cette patiente, déjà connue pour une insuffisance veineuse chronique.D'un point de vue cardiaque, l'ECG d'entrée montre des modifications des segments ST compatibles avec une intoxication à la Digoxine. Après dosage sérique du médicament retrouvant un taux légèrement supra thérapeutique, nous mettons la Digoxine en suspens pour 2 jours et la reprenons à dose adaptée dès le 12.04.2019, en raison d'une patiente présentant des fréquences cardiaques subtachycardes. Après avis cardiologique, le traitement est modifié avec introduction de Cordarone. Selon l'évolution, une réévaluation du rythme à distance pourra être réalisée et nous restons à disposition si une cardioversion électrique était nécessaire. Sur le plan respiratoire, la patiente présente une péjoration de son asthme bronchique nécessitant une oxygénothérapie et une adaptation du traitement avec aérosols et corticothérapie durant 5 jours. L'évolution est favorable et son traitement habituel de Vannair est repris. Durant le séjour, la patiente présente un état confusionnel avec hallucinations visuelles. Après investigations, celui-ci est attribué à la Co-amoxicilline et se résout après changement d'antibiothérapie pour de la Ciproxine et Clindamycine. La patiente reçoit 10 jours d'antibiothérapie au total. Au vu des hospitalisations répétées et après discussion avec Mme. Y et sa fille, une réhabilitation gériatrique à Riaz est organisée et la patiente est reclassée le 18.04.2019. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y nous est adressée le 14.03.2019 de l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique suite à l'implantation élective d'une prothèse totale de hanche gauche. À l'entrée, la patiente se plaint de légères douleurs au niveau de la hanche gauche et du genou gauche. En outre, elle rapporte une dyspnée d'effort. Le reste de l'anamnèse par systèmes est sans particularité. Nous trouvons une patiente de 85 ans, bien orientée et en état général conservé. La plaie opératoire est propre. On note la persistance d'œdèmes des membres inférieurs à prédominance gauche. L'auscultation pulmonaire est propre. Mme. Y habite dans un couvent avec ascenseur. Avant l'opération, elle était autonome dans ses activités quotidiennes et se mobilisait sans moyens auxiliaires. Ad diagnostic principal) À l'entrée, il y a une légère limitation de la mobilité avec un risque de chute accru. Mme. Y effectue les transferts sous supervision et elle se déplace sur une distance de > 50 m avec un Arjo sous supervision. Les escaliers ne sont pas encore testés. Le traitement antalgique est adapté avec succès. La patiente bénéficie durant son séjour de physio- et ergothérapie intensives. Les limitations de charge et de mouvement sont bien respectées. À la sortie, elle effectue les transferts de façon autonome et marche > 200 m avec 2 béquilles. Elle monte 3x9 marches de manière autonome avec main courante et béquille. Le risque de chute n'est que légèrement augmenté. Ad diagnostic secondaire 1) L'évolution clinique est favorable avec une normalisation du statut cardio-respiratoire, raison pour laquelle le Torem est stoppé le 22.03.2019. Ad diagnostic secondaire 2) En raison d'une hypertension artérielle systolique, nous majorons le traitement d'Amlodipine de 5 mg à 10 mg avec une réponse clinique favorable. Ad diagnostic secondaire 3) La glycémie est restée stable pendant le séjour. Ad diagnostic secondaire 4) Le contrôle de laboratoire du 15.03.2019 montre un taux de TSH élevé à 22.9 mU/L. Nous majorons le traitement d'Euthyrox dès le 20.03.2019 et vous laissons le soin de contrôler la TSH et d'adapter le traitement à distance. Ad diagnostic secondaire 5) En raison d'une anémie post-opératoire, nous effectuons un bilan vitaminique qui révèle une hypovitaminose B12, raison pour laquelle nous introduisons une substitution par Vitarubin, qui sera à poursuivre tous les 3 mois en ambulatoire. Au vu de son bon état général et de ses excellents progrès fonctionnels, Mme. Y peut retourner au couvent le 04.04.2019 avec une prescription de physiothérapie ambulatoire. Mme. Y, votre patiente de 76 ans, est connue pour un accident vasculaire cérébral ischémique thalamo-occipital gauche survenu le 26.02.2019, traité par lyse et initialement manifesté par un hémisyndrome sensitivo-moteur ataxique droit à prédominance sensitif. Actuellement sous une double antiagrégation, la patiente ayant favorablement évolué, garde toutefois la persistance d'une dysesthésie droite séquellaire. Plusieurs récidives des mêmes symptômes (le 01.03 et le 22.03.2019) avaient motivé des imageries supplémentaires, sans nouvelle lésion mise en évidence. Mme. Y consulte à nouveau le service des urgences le 24.04.2019 pour une récidive des symptômes sous forme d'hémi-hypoesthésie et dysesthésie droite, prédominant au membre inférieur. L'examen clinique initial retrouve un hémi-syndrome sensitif superficiel et profond droit avec une légère ataxie à la marche et des troubles de la motricité fine. Le CT-scan cérébral natif du service des urgences met en évidence une lésion punctiforme des noyaux gris à gauche initialement interprétée comme pouvant être compatible avec une micro-hémorragie. Le traitement antiagrégant est mis transitoirement interrompu et la patiente est hospitalisée aux soins intensifs pour surveillance neurologique. La réévaluation clinique par nos collègues neurologues et radiologues et la relecture des images du CT-scan cérébral natif ne retrouve qu'une hypodensité thalamique gauche, correspondant à la séquelle de l'AVC du 26.02.2019 et sans argument en faveur d'un saignement cérébral. Dans ce contexte, nos collègues neurologues ne retiennent pas d'indication pour une nouvelle imagerie cérébrale (par CT-scan ou IRM). Le traitement antiagrégant plaquettaire est repris avec uniquement poursuite du Clopidogrel. L'étiologie de ce nouvel épisode semble fonctionnelle ou anxio-dépressive. Nos collègues psychiatres ne retrouvent pas d'élément clair en faveur de la lignée dépressive, ni anxieuse, mais proposent toutefois un essai de traitement anxiolytique par benzodiazépines. Étant donné l'insécurité à la marche secondaire aux troubles neurologiques séquellaires de l'accident vasculaire cérébral connu, nous suggérons à nouveau une prise en charge en neuroréhabilitation stationnaire à l'HFR Billens, proche du domicile de la patiente, ce que cette dernière accepte. Une demande en ce sens est effectuée auprès de l'HFR Billens et des assurances. La patiente sera convoquée. Dans l'attente, la patiente sera reçue par le Dr. X le lundi 29.04.2019 à 10h00 pour une consultation. Une consultation neuropsychologique de suivi est également agendée le 30.04.2019 à 09h00, ainsi qu'une consultation neurologique de contrôle le lundi 17.06.2019 à 16h00. Pour le reste, rappelons que votre patiente est également connue pour des lombosciatalgies gauche chronique post-cure d'hernie discale pour lesquelles elle bénéficie d'un traitement d'opiacés au long cours par Morphine, avec suspicion d'une dépendance secondaire, et pour laquelle, nous initiations une diminution progressive dans un but de sevrage. Nous vous proposons d'évaluer la possibilité de poursuivre le sevrage.Mme. Davet sort le 26.04.2019 avec aide à domicile, physiothérapie ambulatoire et le suivi tel que discuté. Mme. De Blasi est une patiente de 82 ans connue pour des lombalgies non déficitaires depuis 6 mois ainsi que des vertiges séquellaires d'un AVC cérébelleux en octobre 2018. Elle a également bénéficié d'une ostéosynthèse en 12.2018 suite à une fracture pertrochantérienne droite. Elle est hospitalisée dans le service de Médecine Interne le 28.03.2019 en raison d'une exacerbation de ses lombalgies chroniques. La patiente décrit une nette péjoration des lombalgies à type de décharges à la mobilisation et en position assise. Les douleurs irradient sur la face postérieure de la cuisse droite, dans le territoire S1, toutefois sans déficit sensitivo-moteur. Un bilan biologique de base effectué aux urgences se révèle sans particularité et des radiographies du bassin, de la hanche et de la cuisse droites montrent un matériel d'ostéosynthèse en place, sans autre découverte pathologique. Le traitement antalgique de Prégabaline et Oxycodone est majoré, ce qui permet une évolution favorable et une mobilisation rapide encadrée par l'équipe de physiothérapie. Suite à une évolution rapidement favorable, la patiente peut rentrer à domicile le 03.04.2019. Une proposition de soutien par des soins à domicile est faite mais est refusée par la patiente. Nous vous laissons le soin d'en rediscuter l'indication selon l'évolution. Mme. De Carvalho est une patiente de 43 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales en fosse iliaque gauche depuis 4 jours, accompagnées de quelques épisodes de selles liquides, sans état fébrile associé. Un bilan biologique met en évidence une leucocytose à 15.1 G/L et une CRP à 73 mg/L. Un CT abdominal réalisé le 20.04.2019 montre une diverticulite aiguë non compliquée du côlon descendant, classée Hansen et Stock IIa. Une antibiothérapie par Rocéphine et Metronidazole est instaurée. L'évolution est par la suite bonne. Mme. De Carvalho rentre à domicile le 24.04.2019 avec une antibiothérapie per os pour une durée totale de 14 jours. La patiente sera convoquée par la gastroentérologie pour effectuer une colonoscopie dans 6 semaines. Mme. De Reynier nous est adressée en électif pour une révision de sonde de son pacemaker, implanté pour une maladie du sinus. L'intervention se déroule le 15 avril au matin, les sondes sont révisées. Un hématome volumineux s'installe, accompagné de douleurs importantes. L'hématome n'est pas cloisonné et ne nécessite pas d'intervention chirurgicale. Une radiographie thoracique met en évidence un pneumothorax basal droit sans déviation médiastinale, que nous traitons conservativement. La patiente ne se plaint pas de dyspnée et demeure bien oxygénée. Mme. De Reynier retourne à son domicile le 18 avril. Elle sera revue à la consultation des cardiologues. Mme. Decorvet est admise pour une angine à streptocoques aphagiante sans complication. Nous instaurons un traitement par Clindamycine 600 mg et Solumedrol par voie intraveineuse pendant 48 heures, avec une bonne évolution de la symptomatologie et du statut. Nous recommandons de recommencer les injections de Cosentyx à distance de l'infection. Mme. Defferrard présente probablement une tendinite du pes anserinus suite à la rééduction de son genou pour la lésion du ligament collatéral interne du genou G. Je propose d'appliquer du Flectoparin patch à changer toutes les 12 heures et de continuer la physiothérapie pour la rééducation de son genou. Neuf nouvelles séances de physiothérapie lui sont prescrites. Pas d'arrêt de travail. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. La patiente me recontactera en cas de persistance de douleurs après les 9 séances de physiothérapie. Mme. Dejussel est amenée aux urgences en ambulance le 03.04.2019 en raison de vertiges de type tangage, avec troubles visuels indescriptibles pour la patiente, d'apparition brutale alors qu'elle regardait la télévision. La marche est possible mais altérée. Symptômes complètement régressifs sur quelques heures. À l'admission aux urgences, la patiente est hypertendue à plus de 210 mmHg de systole. Elle rapporte une sensation de picotement dans l'œil droit avec sensation de pression et de chaleur péri-oculaire. Elle signale également une pollakiurie sans dysurie. Pas de céphalée, pas de nausée/vomissement. Pas de notion de chute ni de traumatisme crânien récent. Pas de douleur thoracique ni de dyspnée. Le statut cardio-pulmonaire est sans particularité. Au niveau digestif, douleurs diffuses à la palpation. Au statut neurologique, présence d'une iridotomie à l'œil droit mais le reste est sans particularité. Au niveau ophtalmologique, la palpation des bulbes est symétrique et souple, la poursuite oculaire est dans la norme sans nystagmus. Absence de nystagmus aux lunettes de Frenzel, avec une légère diminution du champ visuel du quadrant inférieur droit. La patiente est capable de lire avec chaque œil, diplopie monoculaire de l'œil droit à la fixation, sensation de voir les objets bouger. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 40 mg/l sans leucocytose, le reste du bilan est sans particularité. En raison de vertiges possiblement centraux, nous effectuons un CT scan cérébral injecté qui ne montre pas de signe d'accident vasculaire cérébral ni d'hémorragie intracrânienne. Nous suspectons une crise hypertensive traitée par Nifédipine 20 mg retard, Amlodipine 5 mg et Isoket 1 push permettant une normalisation tensionnelle et une diminution de la symptomatologie. Au vu de la persistance des douleurs oculaires et de l'antécédent d'iridotomie à l'œil droit, nous contactons le Dr. X, ophtalmologue de garde, qui propose de l'Oculac et du Floxal sur la nuit et d'effectuer un contrôle le lendemain. Nous administrons 250 mg d'Aspegic iv avec bonne réponse. Le contrôle ophtalmologique du 04.04.2019 est dans la norme, montrant une rétine avec vaisseaux tortueux compatibles avec une rétinopathie hypertensive. La patiente poursuivra son suivi chez son ophtalmologue, le Dr. X. L'IRM neurocrâne effectuée le 05.04.2019 à la recherche d'une éventuelle lésion ischémique non visualisée au CT scan met en évidence 2 lésions cérébelleuses gauches subaiguës, d'allure embolique. Après avis neurologique, nous majorons le traitement hypolipidémiant et effectuons un bilan lipidique et l'Hb1Ac. Au vu de la masse mitrale diagnostiquée en 2016 et contrôlée en 2018 par une IRM (nécrose caséeuse), nous contactons le cardiologue de garde qui n'exclut pas une possible embolisation de la masse. Une nouvelle échocardiographie transoesophagienne avec une coronarographie dans le cadre d'un bilan préopératoire de la masse mitrale sont agendées pour le 08.04.2019 à l'HFR Fribourg. Le bilan de l'accident vasculaire cérébral par Holter de 72h et doppler des vaisseaux pré-cérébraux n'a pas été effectué lors de l'hospitalisation. Mme. Dejussel est transférée à l'HFR Fribourg le 08.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mme. Delabays, âgée de 74 ans, connue pour un syndrome myélodysplasique avec anémie réfractaire, maladie lithiasique et pseudo-kyste pancréatique, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une ERCP le 20.03.2019 avec retrait des concréments et papillotomie et un drainage endoscopique trans-gastrique le 26.03.2019 du pseudo-kyste pancréatique. À noter que la patiente a suivi un traitement antibiotique par Rocephin et Métronidazole i.v. du 18.03 au 21.03.2019, Ciproxine et Flagyl p.o. du 21.03 au 25.03.2019 et Ciproxine i.v. du 25.03 au 30.03.2019.Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule dans un appartement dans le même immeuble que son fils. Elle est à la retraite et a travaillé comme aide au bureau. A l'admission, la patiente se plaint d'une fatigue. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. A l'anamnèse par systèmes, la patiente signale une baisse de l'appétit, des nausées et une tendance à la constipation. Au status, la patiente est orientée et collaborante. A l'auscultation cardiaque, nous percevons un souffle holosystolique, maximal à l'apex avec irradiation au foyer aortique et mitral que la patiente dit connaître mais qui n'a jamais été investigué. A l'auscultation pulmonaire, nous notons des fins crépitants en base D. L'examen digestif révèle une douleur à la palpation de l'épigastre, pas de défense ni détente et bruits hydroaériques normaux. Un diabète a été mis en évidence pendant l'hospitalisation à l'HFR Fribourg et une insulinothérapie a été débutée. La patiente a participé à plusieurs séances d'enseignement pour le traitement du diabète. Le jour de son transfert au foyer St-Joseph, le traitement est composé d'un ADO et d'une insuline lente. Sur le plan nutritionnel, la patiente reçoit des conseils concernant l'adaptation de la diète et des SNO sont introduits. A l'admission, nous notons un souffle holosystolique qui est connu selon la patiente mais qui n'a jamais été investigué selon elle. L'ETT effectuée par le Dr. X met en évidence une HVG avec FE normale ainsi qu'une sténose aortique légère. Le Dr. X conseille une attitude conservatrice avec surveillance échocardiographique 1x/année. Durant son séjour, nous notons que la patiente est anxieuse et qu'elle a des difficultés à dormir. Vu qu'elle est connue pour une maladie bipolaire, actuellement sous traitement antidépresseur sans suivi, nous demandons un avis auprès de la Dr. Y, psychiatre de liaison, qui conseille de poursuivre le traitement antidépresseur, de faire attention à un possible virage maniaque, ainsi que d'introduire de l'Imovane. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante et moins craintive pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre le foyer de St-Joseph le 15.04.2019. Mme. Y est une patiente de 74 ans, notamment connue pour un syndrome myélodysplasique avec anémie réfractaire, une maladie lithiasique et un pseudokyste pancréatique, qui nous est adressée en raison d'une suspicion radiologique et clinique de pancréatite dans le cadre d'un contrôle scannographique réalisé à la clinique Daler le jour même. En raison d'une choléstase biologique et d'une image de cholédocholithiase, nous réalisons une ERCP le 20.03.2019 avec retrait des concréments et papillotomie. L'évolution clinico-biologique est favorable, avec une normalisation de la choléstase. Un rendez-vous de contrôle à la consultation des chefs de clinique sera organisé le 11.04.2019 pour discuter de l'indication à une cholécystectomie élective. Suite à une augmentation de taille du pseudokyste au contrôle scannographique du 18.03.2019, nous posons l'indication à un drainage endoscopique trans-gastrique le 26.03.2019. L'intervention se déroule sans complication et ses suites opératoires sont simples. La patiente présente une hémoglobine à 73 g/L en début de séjour dans un contexte de syndrome myélodysplasique avec anémie réfractaire et de multiples transfusions. Nous transfusons 2 culots érythrocytaires le 20.03.2019. En fin de séjour, l'hémoglobine se retrouve à nouveau abaissée à 77 g/L. Nous proposons au médecin traitant de recontrôler l'hémogramme dans 48 heures, éventuellement d'effectuer une transfusion si nécessaire et de prendre contact avec son hématologue traitant afin de discuter de la suite de la prise en charge hématologique. A son entrée, Mme. Y présente une décompensation diabétique aiguë, raison pour laquelle un traitement antidiabétique est instauré sur avis de nos collègues diabétologues ainsi qu'un suivi diététique. Nous vous proposons d'adapter ce traitement en fonction des glycémies. Aux vues des difficultés de la gestion du diabète ainsi que d'une malnutrition protéino-énergétique, Mme. Y est transférée le 02.04.2019 en réadaptation générale à Billens pour un reconditionnement, une renutrition ainsi que la poursuite de l'adaptation du traitement anti-diabétique et les enseignements en vue du retour à domicile. Mme. Y est une patiente de 86 ans qui est admise pour une surveillance neurologique dans le cadre d'un hématome épidural pariétal droit post-traumatique de 5 mm. L'imagerie à 6 h est rassurante. Le status d'entrée est sans particularité. L'étiologie de la chute n'est pas claire en raison d'une amnésie. Le fait que cela se soit passé dans les escaliers évoque une cause accidentelle, mais la syncope cardiogène n'est pas exclue, raison pour laquelle nous proposons la pose d'un Reveal le 09.04.2019. Sur le plan ostéo-articulaire, elle présente une fracture distale non déplacée de l'ulna droite, traitée conservativement par immobilisation pendant 6 semaines. L'évolution clinique neurologique étant favorable, ainsi qu'un risque de chute modéré, la patiente rentre à domicile le 11.04.2019 avec des soins à domicile. Mme. Y est une patiente de 94 ans, connue pour une hypertension artérielle qui nous est adressée par le foyer St-Joseph de Morlon où elle réside en raison d'une dyspnée et d'une prise pondérale importante selon l'infirmière (7 kg en trois mois). La patiente ne présente pas de douleur thoracique ni de plainte digestive ou urogénitale. Sur le plan général, Mme. Y décrit une perte de force progressive des 4 membres avec une fatigue chronique depuis environ 3 mois. L'appétit et le transit sont respectivement conservés et réguliers. Mme. Y ne signale aucune plainte sur le plan cardio-respiratoire hormis une dyspnée et une prise pondérale importante ; elle n'a pas de plainte digestive ni urinaire et est continentale sur le plan urinaire et fécal. Au niveau social, rappelons que Mme. Y est institutionnalisée et qu'elle se mobilise avec un rollator. A son arrivée, la patiente se trouve en état général diminué. Le status cardiovasculaire met en évidence un souffle systolique à 4/6 au foyer aortique avec d'importants œdèmes aux membres inférieurs ainsi qu'une turgescence jugulaire et un reflux hépato-jugulaire. Sur le plan pulmonaire, notons des râles en base droite. Au niveau urogénital, remarquons des loges rénales souples et indolores. La percussion du rachis est indolore. Le reste du status n'est pas contributif. Au sujet de la décompensation cardiaque globale probable sur crise hypertensive, nous débutons un traitement diurétique intraveineux par Lasix, que nous adaptons selon le poids. En raison d'œdèmes persistants des membres inférieurs, un avis angiologique est demandé, mettant en évidence une origine probablement multifactorielle, raison pour laquelle des bandes de contention sont prescrites. Durant son séjour, Mme. Y perd 9.1 kg, avec nette diminution de ses œdèmes. Sur le plan métabolique, nous mettons en évidence un déficit en acide folique que nous substituons par voie orale. Nous vous laissons le soin de recontrôler ces valeurs à distance. Sur le plan chirurgical, la patiente présente une escarre sacrée en évolution au cours du séjour, nécessitant un avis chirurgical auprès du Dr. X ainsi qu'un suivi par notre stomatothérapeute. Après mise en place d'un protocole de soins de plaie, l'évolution est favorable. Des suivis rapprochés en policlinique sont prévus.Sur le plan infectieux, la patiente présente un état inflammatoire, sans fièvre. En l'absence d'un foyer clair, nous surveillons la situation, avec une évolution clinique et biologique favorable. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 22.03.2019 au 05.04.2019. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 24/10 et un test de la montre à 2/7 ; l'échelle gériatrique de dépression s'élève à 4/15 le 08.04.2019. Sur le plan médicamenteux, nous stoppons le Co-Lisinopril, ne conservant que le Lisinopril. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 70 mètres. Les escaliers ne sont pas testés. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 60/126, par rapport à 56/126 à l'entrée (mesure d'indépendance fonctionnelle physiothérapeutique : transferts 4/7, marche 4/7, escaliers non testés). Le TUG est à 51,60 secondes. Le risque de chute est élevé. La patiente bénéficie également d'un bilan nutritionnel ne mettant pas en évidence de déficit nutritionnel (score NRS à 1/7). De l'Abound est mis en place afin de favoriser la guérison de l'escarre sacrée. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Mme. Y peut regagner le foyer St-Joseph de Morlon le 09.04.2019 avec de la physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y, patiente de 35 ans, en bonne santé habituelle, enceinte à 30 SA, est hospitalisée en raison d'une dermohypodermite du membre inférieur droit de mauvaise évolution. Pour rappel, elle a consulté initialement le service des urgences pour une douleur pré-patellaire du genou droit, surtout à la mise en charge avec érythème associé. La patiente est rentrée la veille en avion d'un voyage en Espagne. Un US des membres inférieurs exclut une thrombose veineuse mais au vu d'une baisse d'état général avec fièvre, une dermohypodermite est traitée par antibiothérapie per os. La patiente est vue en contrôle à 48h au service des urgences et au vu de l'érythème en augmentation avec récidive de fièvre et syndrome inflammatoire important, la patiente est hospitalisée pour antibiothérapie intraveineuse. Mme. Y ne présente plus d'état fébrile et l'évolution clinico-biologique est favorable. L'antibiothérapie est relayée de manière per os le 13.04.2019 pour un total de 14 jours. Sur le plan hématologique, une thrombocytopénie légère est mise en évidence. La patiente bénéficie d'une thromboprophylaxie durant le séjour. Sur le plan gynécologique, un contrôle obstétrical est sans particularité. Le sédiment urinaire et l'Urotube ne retrouvent pas de germe. Des sérologies CMV et HCV reviennent également négatives. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 13.04.2019 avec contrôle à 2 semaines chez sa gynécologue traitante, le Dr. X. Mme. Y, patiente de 72 ans, connue pour divers facteurs de risque cardiovasculaires, une cardiopathie hypertensive, rythmique et ischémique monotronculaire dont une fibrillation auriculaire paroxystique, se présente aux urgences le 17.04.2019 pour vertiges mal systématisés en péjoration depuis 3 jours, dans un contexte de palpitation et d'asthénie. Le bilan initial met en évidence une fibrillation auriculaire rapide, supra-thérapeutiquement anticoagulée avec une insuffisance rénale aiguë nouvelle. La patiente bénéficie d'un traitement par bêta-bloquant avec une bonne diminution de la fréquence cardiaque qui demeure cependant irrégulière et une résolution complète des vertiges. Un CT-scan cérébral est néanmoins effectué et exclut tout saignement intra-crânien. Après une suspension transitoire de l'anticoagulation, nous la reprenons et vous suggérons la poursuite de la surveillance biologique. Nous complétons le bilan par une échocardiographie transthoracique qui montre une hypokinésie globale modérée avec une fonction diminuée avec une FEVG à 40 % (évaluation visuelle), possiblement sous-estimée dans un contexte de fibrillation auriculaire rapide (DD : tachy-cardiomyopathie). Sur avis de nos collègues cardiologues, nous initions un traitement de Cordarone suivi d'une consultation de contrôle chez son cardiologue traitant en ambulatoire (Dr. X) la semaine prochaine. La patiente sera convoquée. Au vu de l'introduction du traitement de Cordarone, l'Escitalopram est suspendu en raison d'un risque accru de torsades de pointe sur prolongation du QT. Nous vous laissons le soin de réévaluer la reprise de ce traitement à distance en fonction de la surveillance électrocardiographique. L'insuffisance rénale aiguë se normalise progressivement après hydratation, mais sera à recontrôler dans les meilleurs délais en raison de la valeur de sortie encore sous-optimale. Pour le reste, la patiente ne souhaitant pas prolonger son séjour en milieu hospitalier, nous vous laissons le soin d'évaluer des investigations plus étendues, en ambulatoire, notamment oncologiques et colonoscopiques, dans le contexte connu des selles diarrhéiques chroniques avec une perte pondérale de 10 kg en une année, une inappétence et des sudations nocturnes occasionnelles. Au vu de l'évolution globale favorable, la patiente quitte l'hôpital le 20.04.2019 pour un retour à domicile sans aide avec poursuite de suivi tel que discuté. Mme. Y, 51 ans, se présente le 12.04.2019 aux urgences en raison de douleurs abdominales en fosse iliaque gauche depuis 24 h. Le bilan effectué aux urgences retrouve une diverticulite. La patiente est hospitalisée dans notre service pour un traitement antibiotique et antalgique. Les suites sont simples permettant un retour à domicile le 15.04.2019. La patiente bénéficiera d'une colonoscopie en ambulatoire. Mme. Y est une patiente de 89 ans, Soeur des Oeuvres de Ste-Croix, connue pour cardiopathie dysrythmique avec FA nouvelle sous Xarelto et pose de pacemaker en 2011, ainsi qu'ischémique avec s/p STEMI antérieur le 17.03.2019 sous double antiagrégation. Elle est hospitalisée pour hémorragie digestive haute. Elle est adressée par son médecin traitant pour chute de l'hémoglobine sans extériorisation, accompagnée de vomissements et péjoration d'une dyspnée d'effort. Durant l'hospitalisation, des épisodes de méléna sont objectivés. Après discussion avec la patiente et sa soeur supérieure, elle ne désire pas de bilan endoscopique. Une origine digestive haute est suspectée, c'est pourquoi une thérapie par IPP intraveineux est débutée. De plus, l'anticoagulation est mise en suspens avec adaptation du régime alimentaire. L'évolution clinico-biologique est favorable. Après réintroduction d'une anticoagulation, une chute de l'hémoglobine est objectivée pour laquelle la patiente reçoit 1 culot érythrocytaire. Il est décidé après avis cardiologique, en raison du haut risque de récidive hémorragique, vu l'absence de thrombus apical et une FA non significative (1 % des épisodes), d'arrêter une anticoagulation thérapeutique. Concernant l'antiagrégation, il est décidé de poursuivre à vie le Clopidogrel seul, moins ulcérogène que l'Aspirine Cardio. Cependant, une double antiagrégation est indiquée pour 3 mois. Sous double antiagrégation, la patiente reste stable avec une hémoglobine stable, notée à 103 g/l le 14.04.2019.Mme. Doka quitte l'HFR le 15.04.2019. Comme discuté lors de la dernière hospitalisation, elle entre directement à l'EMS de Metzingen. Mme. Donzallaz, âgée de 76 ans, en bonne santé habituelle, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à l'implantation d'une PTH D sur coxarthrose le 20.03.2019. Sur le plan social, la patiente vit seule. Elle est à la retraite, a travaillé dans la publicité. À l'admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme mais il y a une rougeur autour du Comfeel. Les amplitudes de la hanche droite montrent une flexion/adduction à 80° et abduction à 20°. La force du MID est cotée à M4 pour le quadriceps à M4 et psoas à M2+. Au vu de cette rougeur cutanée autour du Comfeel, nous réalisons un suivi biologique qui montre une CRP stable autour de 20 mg/l, sans leucocytose. À noter que la cicatrice reste calme, sans écoulement. La rougeur est possiblement due à l'hématome sous le site opératoire ou une réaction irritative du Comfeel. La patiente est revue à la consultation du Dr. X le 02.04.2019 qui préconise un gel anti-inflammatoire. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises sur 130 m. Elle peut monter/descendre 20 escaliers avec 1 canne et la rampe. Après 1 semaine d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Donzallaz peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 05.04.2019, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mme. Dos Santos est une patiente de 82 ans, aux antécédents susmentionnés, qui est hospitalisée dans notre service pour une prise en charge chirurgicale d'un adénocarcinome du caecum. Elle bénéficie, le 08.04.2019, d'une hémicolectomie droite avec CME, qui se déroule sans complication notable. En raison d'une hypo-fibrinogénémie congénitale familiale connue, la patiente est admise aux soins intensifs en post-opératoire pour surveillance hémodynamique pendant 24 h. Les suites post-opératoires sont simples. Selon l'avis de nos collègues de l'hématologie, la patiente bénéficie de l'administration journalière de fibrinogène (Haemocomplettan) et Cyklokapron pendant les 10 premiers jours post-opératoires avec des contrôles journaliers de fibrinogène ainsi que substitution si nécessaire. L'évolution est, par la suite, favorable. Le cas de Mme. Dos Santos est discuté au colloque interdisciplinaire du 17.04.2019, où il est décidé d'effectuer une surveillance clinique. Mme. Dos Santos rentre à domicile le 19.04.2019. La famille est informée de faire des contrôles réguliers (la patiente restera en Suisse encore quelques mois puis elle sera suivie au Portugal). Un rendez-vous de contrôle à la consultation des chefs de clinique est prévu le 23.05.2019 à 09h30. Mme. Dos Santos Pereira est hospitalisée à l'HFR Fribourg le 26.03.2019 en raison d'une anémie. Elle est référée au service des urgences par son médecin traitant en raison d'une anémie à 72 g/L. À son arrivée, elle se plaint de douleurs épigastriques intermittentes avec des selles méléniques occasionnelles depuis décembre 2018, raison pour laquelle elle avait été hospitalisée à l'HFR Riaz en janvier de cette année. Une OGD effectuée était revenue sans particularité. Le status au service des urgences est normal. Le laboratoire confirme une anémie spoliative. Nous administrons deux culots érythrocytaires et du Ferinject. Une colonoscopie montre une grande masse d'allure tumorale au niveau du colon ascendant. Les biopsies réalisées montrent un adénocarcinome. Un CT abdominal montre un adénocarcinome colique du caecum cT3cN+cM0. La patiente est présentée au Tumor Board. Il est décidé de réaliser une hémicolectomie droite avec CME. Mme. Dos Santos Pereira est connue pour une hypofibrinogénémie congénitale familiale. Le bilan biologique d'entrée montre un fibrinogène indétectable. Au vu du saignement digestif et des interventions (colonoscopie, hémicolectomie droite), nous substituons le fibrinogène de manière quotidienne sur avis du Dr. X. Nous introduisons également un traitement par Cyklokapron. Le traitement par Cyklokapron et la substitution par Haemocomplettan sont à poursuivre jusqu'à 10 jours post-opératoire avec un taux cible de fibrinogène à 0,8 g/l. Mme. Dos Santos Pereira est transférée en chirurgie viscérale à l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge. Mme. Dos Santos souffre d'un syndrome du tunnel carpien de la main D avec compression du nerf médian. L'indication pour une neurolyse du nerf médian est donnée. La patiente est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord oral et signé. J'aimerais bien connaître les raisons et la durée du traitement de Prednisone. Il est souhaitable de faire l'intervention une fois le traitement de Prednisone terminé. Après un téléphone avec la secrétaire du Dr. X, nous attendons une réponse de sa part dès son retour le 08.04.2019. La patiente sera ensuite convoquée par téléphone par notre secrétariat pour organiser un rendez-vous chez l'anesthésiste pour la consultation pré-anesthésique et pour programmer une date opératoire. Mme. Doutaz, patiente de 84 ans institutionnalisée au home Le Manoir et connue pour une cardiopathie valvulaire, hypertensive et rythmique, nous est adressée par son médecin traitant au service des urgences le 09.04.2019 pour la prise en charge d'une décompensation cardiaque. Pour rappel, la patiente a subi une intervention de remplacement de valve aortique (TAVI) le 18.02.2019, compliquée d'une fuite para-prothétique et souffre également d'une insuffisance mitrale modérée. Après l'intervention, elle a suivi un programme de réhabilitation cardiovasculaire à l'HFR Billens qui s'est terminé le 21.03.2019, date de son institutionnalisation. Mme. Doutaz rapporte depuis plusieurs jours la péjoration d'une dyspnée d'effort (stade NYHA III-IV), soulagée par l'oxygénothérapie mise en place dans son home. Elle ne rapporte pas de douleurs thoraciques typiques, mais une douleur en barre épigastrique lors des repas qui dure environ 1h30 et qui est soulagée par la mobilisation. Le médecin traitant met en évidence une élévation des NT-proBNP à plus de 34 000. À l'arrivée au service des urgences, on retrouve une patiente présentant une clinique compatible avec une décompensation cardiaque globale. Le bilan biologique met en évidence une hypokaliémie sévère et une péjoration de la fonction rénale et la radiographie de thorax retrouve des signes de décompensation cardiaque. D'un point de vue cardiaque, une échocardiographie transthoracique met en évidence une péjoration des valvulopathies aortique et mitrale, notamment une insuffisance mitrale à 4/4. Une opération de remplacement bi-valvulaire chez cette patiente avait déjà été plusieurs fois discutée, notamment lors de la réhabilitation cardiovasculaire à l'HFR Billens, et il est décidé, selon le souhait de la patiente et après discussion avec ses filles et nos collègues de la cardiologie, de ne pas faire d'intervention ou opération cardiaque. En effet, selon sa famille, la patiente aurait exprimé plusieurs fois son souhait de ne pas faire de nouvelle opération. Nous optons donc pour une thérapie conservatrice médicamenteuse avec adaptation des médicaments diurétiques.Sur le plan rénal, l'acutisation de son insuffisance rénale chronique est traitée avec hydratation prudente au vu de l'insuffisance cardiaque. Les traitements néphrotoxiques sont également adaptés. Durant le séjour, la patiente présente une chute sur lipothymie, suite à laquelle un CT cérébral est réalisé, ne montrant pas de saignement intracrânien. L'état de la patiente se dégradant avec une asthénie importante, un nouveau bilan est réalisé le 18.04.2019, retrouvant une infection urinaire traitée par Rocéphine avec légère amélioration. Par la suite, la patiente se plaint de douleurs abdominales et nous mettons en évidence un globe urinaire soulagé par la pose d'une sonde vésicale. Au vu de la péjoration progressive de son état de santé et après discussion avec les filles de la patiente, il est discuté d'un retour au Manoir avec soins de confort le 23.04.2019. Le lendemain, Mme. Y présente une respiration de Cheyne-Stokes et un traitement de confort est instauré dans notre service. Mme. Y décède le 26.04.2019. Mme. Y présente un status après fracture de la tête de l'humérus gauche qui est en voie de consolidation. Elle présente également une rupture de la coiffe des rotateurs (chronique ?) du sus-épineux et de l'infra-épineux de l'humérus gauche. En accord avec la patiente, nous organisons un arthro-CT de l'humérus gauche, ceci nous permettra de juger de la qualité de la coiffe des rotateurs et du progrès de la consolidation osseuse. J'adresse la patiente à la consultation du Dr. X, spécialiste du membre supérieur pour un avis de traitement. Pas de contrôle prévu d'emblée chez moi. Rendez-vous chez le Dr. X le 13.05.2019. Mme. Y, connue pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, est amenée aux urgences en ambulance le 14.04.2019, à la demande de Dr. X, médecin de garde, pour suspicion de cystite et de gastroentérite. Depuis le 09.04.2019, la patiente a présenté 10 épisodes de diarrhées par jour, avec faiblesse et manque d'appétit. Elle rapporte des douleurs abdominales de type crampiforme diffusent ainsi que deux épisodes de vomissements le 13 et le 14.04.2019. Pas d'état fébrile, pas de notion de contage. De plus, depuis 3 semaines, Mme. Y se plaint d'une dysurie et d'une pollakiurie. Il y a une semaine, elle a pris un sachet de Monuril, sans amélioration des symptômes urinaires. Elle n'a pas de dyspnée ni de palpitations. A l'admission aux urgences, au status digestif, l'abdomen est souple avec des douleurs diffuses à la palpation, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont lointains mais augmentés en fréquence et de tonalité normale. Les loges rénales sont indolores. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence une CRP à 75 mg/l sans leucocytose. Notons également une perturbation des tests hépatiques connue. Le sédiment urinaire est propre. Nous retenons le diagnostic de gastroentérite virale et nous introduisons un traitement par Buscopan et Nexium. Mme. Y n'étant pas soulagée par le traitement introduit et se disant trop faible pour rentrer à domicile, elle est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Une culture de selles revient positive pour un Campylobacter. Au vu de l'absence de diarrhées depuis le 15.04.2019, nous introduisons uniquement un traitement symptomatique. L'évolution est favorable et Mme. Y peut regagner son domicile le 17.04.2019. Mme. Y se présente aux urgences de l'HFR Riaz le 07.04.2019 suite à une consultation dont elle a bénéficié à l'hôpital du Samaritain à Vevey en raison de la proximité de son domicile. Depuis la veille, Mme. Y rapporte un début de pollakiurie, sans dysurie puis elle est réveillée vers 03h00 du matin avec des douleurs aiguës en loge rénale droite, EVA 8/10, constantes, en coup de couteau, irradiant dans l'hypochondre droit. Celles-ci sont accompagnées de nausées et de vomissements ainsi que de deux à trois épisodes de diarrhées, sans sang. Pas de macrohématurie, ni dysurie dans la journée, d'état fébrile ou de frissons. Relevons enfin des règles particulièrement douloureuses chez cette patiente accompagnées de crises hyper-ventilatoires associées. Devant le diagnostic de probable pyélonéphrite, nos collègues débutent une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv, antibiothérapie qui sera stoppée à l'arrivée de la patiente dans notre service au vu de l'absence d'infection. Par ailleurs, afin d'exclure une uro-lithiase, la patiente bénéficie d'un uro-CT à l'hôpital de Montreux. Celui-ci montre la présence d'une urolithiase droite de 2 mm de diamètre à 3 cm de la jonction urétéro-vésicale avec dilatation pyélocalicielle en amont à 22 mm. Le bilan biologique effectué à Vevey montrait une CRP inférieure à 5 mg/l et une leucocytose à 15,3 G/l. Au sédiment urinaire, leucocytes ++, sang ++, nitrites négatifs. Un uroculte a été prélevé à Vevey dont le résultat n'est pas encore en notre possession. Une fois le diagnostic posé, la patiente, dont la maman travaille à l'HFR Riaz, souhaite une suite de traitement dans notre établissement. A l'examen clinique d'entrée, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Douleur élective à la palpation de l'hypochondre droit, l'abdomen est sinon souple, sans défense, ni détente. Douleur à la percussion de la loge rénale droite, la loge rénale gauche est indolore. La patiente est hospitalisée dans le service de chirurgie où elle bénéficie d'une antalgie. Un traitement par Pradif 0,4 mg/jour est instauré et sera poursuivi jusqu'à l'expulsion du calcul. L'évolution clinique est favorable, l'antalgie est efficace et Mme. Y regagne son domicile le 09.04.2019 avec une antalgie standard. Elle poursuivra à domicile la filtration des urines et, une fois le calcul expulsé, la patiente l'apportera à votre cabinet en vue d'une analyse. Mme. Y, patiente de 72 ans vivant au foyer de Vuisternens-dt-Romont et connue pour une démence d'Alzheimer et un syndrome de Diogène, est amenée aux urgences en ambulance le 21.03.2019 en raison d'une dyspnée et d'une désaturation après le repas de midi. Pour rappel, la patiente est traitée par Ciproxine depuis le 19.03.2019 pour une infection pulmonaire. Le 20.03.2019, elle aurait présenté un épisode d'état fébrile à 39°C et aurait fait une fausse route ainsi qu'une dyspnée aiguë nécessitant l'administration d'un traitement bronchodilatateur. Sur le plan social, la patiente a deux filles avec lesquelles elle a très peu de contact suite à un conflit familial. Elle a également une sœur qui est sa représentante thérapeutique. Nous la contactons et cette dernière demande des soins limités sans acharnement thérapeutique (notamment pas de mesures diagnostiques et thérapeutiques lourdes et invasives, pas de nutrition entérale ou parentérale). A l'admission aux urgences, Mme. Y sature à 70-75% à l'air ambiant, remontant à 90% sous 12 litres au masque. Elle est afébrile. L'anamnèse n'est pas réalisable en raison des troubles cognitifs. A l'auscultation pulmonaire, on retrouve des ronchis diffus sur toutes les plages. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 81 mg/l et une leucocytose à 14,8 mg/l ainsi que des troubles électrolytiques avec une hypernatrémie à 152 mmol/l et une hypokaliémie à 3,1 mmol/l. La gazométrie sous 12 litres/min d'oxygène montre un pH à 7,44 avec une hypoxémie à 7,9 kPa, PCO2 4,3 kPa et lactates à 2,4 mmol/l. La radiographie de thorax montre de discrètes lésions d'infiltrats pulmonaires au niveau para-cardiaque droit. Nous retenons le diagnostic de pneumonie sur probable broncho-aspiration. Nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline adaptée à la fonction rénale ainsi qu'un traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Au vu de l'hypernatrémie et de l'hypokaliémie, nous mettons en place une perfusion de 1000 ml de G5 sur 12 h avec substitution par 40 mmol de KCL. En raison d'un profil tensionnel élevé, un patch de Nitroderm est mis en place, sur incapacité d'administration de Nitroglycérine en spray.Mme. Dubois est hospitalisée en gériatrie pour la suite de la prise en charge. La situation à l'étage est initialement stable, avec une patiente réveillée et collaborante. Le 24.03.2019, elle présente un épisode de désaturation à 75-78% et nous suspectons une nouvelle broncho-aspiration. Le bilan biologique montre une hausse du syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 15.8 G/l et une CRP à 172 mg/l. Un traitement symptomatique par morphine est mis en place avec bon effet et des saturations qui remontent à 90% sous 4 litres. Sur le plan nutritionnel, des troubles de la déglutition en lien avec la démence sont constatés et nous mettons en place un régime lisse et des boissons épaissies. Nos collègues diététiciennes mettent également en évidence une malnutrition protéino-énergétique sévère avec NRS à 5/7 et perte pondérale de 9.7% sur un mois. Par la suite, l'état clinique et biologique se péjorent. Nous contactons la sœur de la patiente (représentante thérapeutique), son compagnon et ses filles et il est décidé de renoncer à des investigations supplémentaires. Nous poursuivons uniquement l'antibiothérapie, l'hydratation et l'antalgie, la patiente refusant tout autre traitement. Elle refuse également de se nourrir. Le 28.03.2019, le laboratoire de contrôle met en évidence une augmentation du syndrome inflammatoire. Nous contactons la famille de Mme. Dubois pour les informer de la situation clinique. Selon leur souhait, nous arrêtons les traitements et optimisons le confort de la patiente. De la morphine iv et du Dormicum en continu sont mis en place. Mme. Dubois décède le 05.04.2019 entourée de sa famille. Mme. Ducrest, patiente de 86 ans, connue pour une fibrillation auriculaire sous Eliquis et une hypertension artérielle, résidant au foyer Monférini de Bulle, est amenée aux urgences en ambulance le 09.04.2019 en raison d'une baisse de l'état général se manifestant par des troubles de la marche et de l'équilibre. À l'anamnèse, la patiente décrit une faiblesse dans les membres inférieurs et une fatigue généralisée. Elle relate ressentir un craquement ainsi que des douleurs au niveau du genou droit à l'arrivée aux urgences. À noter que Mme. Ducrest a été traitée par Furadantine du 04 au 09.04.2019 pour une infection urinaire. Au status cardiovasculaire, on note des œdèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'à mi-cuisses des deux côtés. Au status pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique avec présence de râles fins crépitants en base droite. Au niveau neurologique, asymétrie faciale avec déviation labiale connue, ainsi que clignement de l'œil gauche connu. Au status ostéoarticulaire, douleurs au niveau du genou droit, en particulier au niveau du plateau tibial avec mobilisation passive et active douloureuse. La palpation des hanches et du rachis est indolore. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le bilan biologique montre une légère hyponatrémie à 131 mmol/l et une hypovitaminose B9 à 3.2 ng/ml et vitamine D à 26 nmol/l. Le sédiment urinaire est propre. L'hyponatrémie présente à l'entrée peut être liée à la prise de Remeron (SIADH) et au traitement diurétique qui a été mis en pause. On observe également un syndrome inflammatoire qui a posteriori est attribué à la fracture en l'absence d'autre piste clinique. Nous effectuons une radiographie du genou droit qui montre une gonarthrose tricompartimentale très avancée. Mme. Ducrest est hospitalisée dans notre service de gériatrie aiguë pour la suite de la prise en charge. Au vu d'une impotence fonctionnelle et de la persistance de douleurs au niveau du genou droit malgré l'antalgie, nous complétons le bilan par une radiographie du bassin et de la hanche droite qui met en évidence une fracture du col fémoral droit de type Garden 4. Sur avis orthopédique, la patiente est gardée en lit strict avec attelle en mousse dans l'attente d'une prise en charge chirurgicale prévue le 13.04.2019. Dans ce contexte, l'anticoagulation par Eliquis est mise en suspens 48 heures avant l'intervention chirurgicale et relayée par la Clexane thérapeutique que nous arrêtons également 24 heures avant l'intervention chirurgicale. Mme. Ducrest est transférée dans le service d'orthopédie le 13.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mme. Efremova est une patiente connue pour une cardiopathie coronarienne monotronculaire en 12.2018 avec pose de 4 stents, avec thrombus intraventriculaire gauche nécessitant une anticoagulation par Xarelto qui est hospitalisée pour la pose d'un défibrillateur pour cardiomyopathie dilatative. L'intervention a lieu le 08.04.2019 sans complication. La patiente présente des douleurs répondant au Tramal ainsi qu'un état subfébrile motivant une surveillance jusqu'au 10.04.2019. Les paramètres cliniques et biologiques étant rassurants au matin du 10.04.2019, Mme. Efremova rentre à domicile. Elle sera reconvoquée par le Dr. X. À noter l'arrêt du Xarelto et l'introduction de l'Efient au vu de l'absence de thrombus ventriculaire au contrôle échocardiographique. Nous vous proposons de discuter la réintroduction d'une anticoagulation pour les antécédents d'embolie pulmonaire et de TVP lors du prochain contrôle. Mme. Eggertswyler est une patiente de 63 ans connue pour un lymphome à cellules B matures de type folliculaire suivi par Dr. X, avec une attitude watch and wait jusqu'à présent au vu d'une maladie d'évolution lente. Elle avait été hospitalisée au mois de février pour des épanchements pleuraux bilatéraux d'origine probablement para-pneumonique (DD: tumorale) avec évolution favorable sous antibiothérapie, puis également au mois de mars pour une récidive de ses épanchements dans un contexte de grippe A surinfectée. La patiente se présente de nouveau aux urgences le 20.04.19 pour une récidive d'une dyspnée invalidante depuis quelques jours, cette fois en l'absence de symptômes infectieux associés. Le CT thoracique réalisé permet d'exclure une embolie pulmonaire et montre une disparition des infiltrats infectieux précédents. Il y a cependant une nette majoration de l'épanchement pleural droit. Une ponction évacuatrice est réalisée, permettant de soulager la patiente. L'analyse parle en faveur d'un exsudat. La cytologie retrouve un épanchement lymphocytaire atypique sans que la présence de cellules lymphomateuses puisse être confirmée. La culture du liquide tout comme les hémocultures se révèlent sans particularité. Après discussion avec l'oncologue traitant de la patiente, Dr. X, l'origine la plus probable de l'épanchement récidivant est oncologique et le lymphome semble par ailleurs progresser au vu des images du dernier CT thoraco-abdominal. Une immuno-chimiothérapie est donc à planifier prochainement. La patiente sera ainsi vue en consultation oncologique le 26.04.19 pour discuter des modalités. Afin de limiter la reformation d'un épanchement d'ici le début du traitement oncologique, un traitement de corticoïdes est débuté le 24.04.19. L'évolution respiratoire est favorable après la ponction, avec la physiothérapie respiratoire et la corticothérapie, permettant un retour à domicile le 26.04.19. Mme. Emonet présente donc des xiphodynies transfixiantes, multi-investiguées sans diagnostic clair à ce jour. En effet, diverses imageries ont déjà été effectuées ne montrant pas de substrat clair à cette douleur. Un SPECT n'avait par ailleurs pas montré de signes en faveur d'un syndrome de SAPHO. À l'examen clinique, nous n'avons pas d'arguments pour une dysfonction intervertébrale mineure. Nous demandons un avis à nos collègues neurologues qui ne retiennent pas d'origine neurologique à cette douleur. Cette dernière ne serait pas non plus expliquée par la syringomyélie connue depuis 2016 et stable actuellement. En plus de l'Humira, nous introduisons un traitement de Celebrex qui est bien supporté. La patiente décrit une légère amélioration des douleurs. En l'absence d'explication claire de ces douleurs, nous vous proposons d'organiser un nouveau suivi par les antalgistes pour une éventuelle infiltration de la zone douloureuse.De plus, Mme. Y présente une perte de poids de 13 kg depuis l'automne 2018. La prise de sang, notamment l'électrophorèse des protéines, s'avère rassurante. Nous avons aussi réalisé un Quantiféron qui s'est avéré négatif, de même qu'un bilan de malabsorption. Par ailleurs, les diverses imageries déjà effectuées n'ont pas montré de masse suspecte. La patiente a d'ores et déjà eu une colonoscopie normale en 2017 et une gastroscopie elle aussi sans particularité en 2018. La patiente bénéficie fréquemment de bilans mammographiques et d'US mammaire. Les derniers examens de l'année passée s'étaient avérés rassurants. Nous complétons le bilan avec un PET-CT qui s'avère dans la norme, ne montrant pas de néoplasie ni de périaortite. Nous proposons tout de même à la patiente de refaire prochainement une consultation gynécologique. La patiente bénéficie des conseils de nos collègues diététiciennes pour enrichir les repas. La patiente prendra un RDV en ambulatoire si ces mesures ne suffisent pas. Au vu des douleurs chroniques, nous proposons à la patiente d'être vue par notre équipe de psychiatrie de liaison afin d'évaluer le retentissement de ses symptômes sur son état psychologique. De plus, la perte de poids pourrait être aussi en lien avec une composante psychologique. La patiente ne désire pour le moment pas un tel suivi mais préfère en rediscuter avec vous en ambulatoire. Mme. Y nous est transférée de la clinique Beau-Site pour une réhabilitation musculo-squelettique pour des troubles de la marche suite à une spondylodèse L2-4 le 25.03.2019. À l'entrée dans notre service, la patiente présente une lombalgie, irradiante dans la face postérieure de la cuisse jusqu'au genou gauche. L'examen clinique montre un bon état général, œdème aux membres inférieurs, la marche sur les talons et les orteils est impossible. D'un point de vue ostéo-articulaire, la patiente arrive à se mobiliser sans douleur et marche actuellement avec 2 cannes. Le reste de l'examen clinique se révèle sans particularité. Ad diag. principal : À l'entrée, nous adaptons l'antalgie avec une bonne réponse. Parallèlement, nous débutons une réhabilitation avec physiothérapie et ergothérapie. À l'entrée, la patiente pouvait faire les transferts de façon autonome (FIM 6), elle pouvait marcher 120 mètres avec les cannes (FIM 6) et pouvait monter 2 marches d'escaliers (FIM 5). À la sortie, la patiente est totalement autonome pour marcher 200 mètres et monter 18 marches d'escaliers avec une canne et une rampe ou 2 cannes (FIM 6). Le score de mobilité Tinetti est amélioré de 21 à 22/28. Ad diag. 1, 2 : L'examen biologique d'entrée révèle une anémie normochrome normocytaire à 97 g/l et une thrombocytose à 387 g/l probablement d'origine postopératoire. L'hémoglobine s'est améliorée spontanément jusqu'à 104 g/l. Nous vous prions de bien vouloir effectuer un suivi biologique en ambulatoire. Ad diag. 3 : Une carence en vitamine D est substituée. Ad diag. 4 : Le laboratoire montre une légère baisse des valeurs de T3 et T4 libre, nous vous proposons de contrôler les tests thyroïdiens à distance. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mme. Y a pu rentrer à la maison en bon état général le 13.04.2019. Mme. Y consulte les urgences le 25.03.2019 suite à deux épisodes d'hématémèse et 2 épisodes de méléna. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système. Pour rappel, la patiente a été hospitalisée du 19 au 21.11.2018 à l'HFR Fribourg pour une symptomatologie similaire. Une OGD effectuée n'a pas montré de varices œsophagiennes et une colonoscopie a mis en évidence des polypes sessiles qui ont été réséqués. Hormis un toucher rectal présentant des selles méléniques, le status complet est sans particularité, notamment absence d'ascite, abdomen souple et indolore avec des bruits normaux en tonalité et fréquence. Le foie est mesuré à environ 2 cm du rebord costal sur la ligne médio-claviculaire. Le laboratoire met en évidence une anémie avec hémoglobine à 100 g/l, s'abaissant à 71 g/l 3 heures plus tard et justifiant la transfusion de 2 culots érythrocytaires. L'hémoglobine remonte à 96 g/l le 26.03.2019. Le laboratoire met également en évidence une hyperkaliémie à 5,6 mmol/l pour laquelle nous introduisons le Résonium et mettons en pause la spironolactone avec bonne évolution. Sur le plan hépatique, notons une perturbation des tests avec une ALAT à 65 U/l, une ASAT à 101 U/l, une Gamma GT à 165 U/l, une phosphatase alcaline à 111 U/l et une bilirubine totale à 40.2 umol/l et directe à 19.8 umol/l. La crase est perturbée avec INR à 1.7, PT à 38%, l'ammoniémie dans la norme à 12. Suspectant une hémorragie digestive haute, Mme. Y est gardée pour surveillance en lit d'observation aux urgences pour la nuit et nous débutons un traitement IPP par Nexium 80 mg en bolus puis 8 mg/h. Nous introduisons également la Sandostatine à raison de 50 mcg puis 25 mcg/h en raison de la suspicion de rupture de varices œsophagiennes. De plus, nous ajoutons la Rocéphine 2 g iv afin de couvrir une éventuelle péritonite bactérienne spontanée. La patiente est transférée à l'étage de médecine dès le 26.03.2019. Nous effectuons un ultrason abdominal qui montre un foie légèrement dysmorphique sans lésion suspecte et un flux porte préservé sans signe d'hypertension portale. En outre, absence d'ascite. La Rocéphine est arrêtée le 29.03.2019. Une OGD effectuée le 01.04.2019 ne met pas en évidence de saignement sur varices, mais montre un vaisseau proéminent au niveau de la petite courbure avec des télangiectasies, compatible avec un saignement sur lésion de Dieulafoy. Dans ce contexte, une OGD pour traitement par Argon est agendée pour le 15.04.2019 à l'HFR Fribourg. Au vu de la stabilité hémodynamique, de l'absence de nouvelle extériorisation et d'une hémoglobine stable, Mme. Y peut regagner son domicile le 02.04.2019. Nous l'informons de reconsulter les urgences rapidement en cas de nouvel épisode de méléna ou d'hématémèse et effectuons une intervention brève quant à la consommation d'alcool. Mme. Y se présente aux urgences le 29.03.2019 en raison d'une toux avec expectorations verdâtres. L'examen clinique aux urgences révèle des sibilances expiratoires diffuses et un expirium prolongé. L'évolution est favorable sous aérosols de bronchodilatateurs. Le diagnostic de nouvelle exacerbation infectieuse de BPCO est retenu et il est convenu d'une hospitalisation et de l'introduction d'une antibiothérapie brève. Un avis pneumologique (Dr. X) est pris durant l'hospitalisation et un asthme mal contrôlé semble prédominer dans le tableau clinique. Un traitement ciblant l'asthme est introduit, permettant une évolution, la patiente ne nécessitant jamais d'oxygène au cours de l'hospitalisation et pouvant se remobiliser progressivement. Des hypoglycémies nocturnes sont révélées durant le séjour, motivant la baisse progressive de l'insuline lente jusqu'à son arrêt lors de la sortie, au profit de corrections glycémiques seules. La patiente sera revue en consultation diabétologique à l'HFR.Durant le séjour, Mme. Y présente un profil tensionnel légèrement élevé (TA 140/90). Toutefois, aucun traitement de fond n'est introduit dans le cadre de l'exacerbation de sa dyspnée et nous vous laissons le soin d'introduire un traitement anti-hypertenseur selon l'évolution. Mme. Y rentre à domicile le 05.04.2019 après réactivation de ses soins à domicile 2x par semaine. Mme. Y, patiente institutionnalisée, est adressée depuis le home pour un état confusionnel en péjoration et une désaturation à 83% à l'air ambiant, associé à un état subfébrile à 37.8°. Il est constaté aux urgences un syndrome inflammatoire motivant l'instauration d'un traitement antibiotique pour couvrir un sepsis à potentiel départ pulmonaire. La piste urinaire est également évoquée, l'urotube cependant revient non contributif. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, nous passons le traitement antibiotique per os pour une durée totale de 7 jours. Nous constatons un INR labile chez une patiente sous Sintrom pour une FA paroxystique, nous changeons le traitement anticoagulant par de l'Eliquis. Concernant le traitement, le diurétique et le Sartan mis en suspens au vu de l'insuffisance rénale aiguë, nous préconisons de ne pas les reprendre au vu de l'état général et des comorbidités de la patiente. Mme. Y peut rentrer au Home de la Sarine le 02.04.2019. Mme. Y, connue pour une dépression, est amenée aux urgences en ambulance le 14.04.2019 suite à un tentamen médicamenteux. Selon ses dires, la patiente a ingéré, dans un but suicidaire: 14 cprs de Dafalgan 1g; 30 cprs de Xanax 0,25 mg; 23 cprs d'Ecofenac 75 mg; 5 cprs de Brufen 600 mg; 6 cprs d'Algifor; 10 cprs de Lasix 40 mg; 12 cprs de Co-Amoxi; 8 cprs de Mydocalm; 4 cprs de Pantozol; 10 cprs de Fluoxétine 20 mg; 6 sachets d'Aspegic et du Pretuval. Suite à ce geste, elle demande de l'aide à des amis qui appellent l'ambulance. Selon l'hétéroanamnèse avec une amie, la patiente présente une situation difficile à domicile avec son mari en raison de problèmes avec leur fille. À l'admission aux urgences, Glasgow à 15/15, tension artérielle 135/90 mmHg, index de choc négatif, fréquence cardiaque 90/min, fréquence respiratoire 16/min et saturation à 96% à l'air ambiant. Au status neurologique, la patiente est orientée dans les 3 modes mais endormie. Les pupilles sont isocores et isoréactives. Les nerfs crâniens sont grossièrement dans la norme. La force est réduite mais symétrique, la sensibilité est conservée aux 4 membres. Doigt-nez avec dysmétrie des deux côtés, marche et Romberg impossibles à tester. Le status cardio-pulmonaire et digestif est sans particularité. Au laboratoire, alcoolémie à 0,59. Les tests hépato-pancréatiques et les électrolytes sont dans la norme. La radiographie du thorax est sans particularité. Le taux sanguin de Paracétamol à 4 heures après la prise des médicaments est à 57.5 mg/l. La gazométrie est sans particularité. Sur avis du Tox Info Suisse, nous débutons un traitement par Nexium 80 mg iv en bolus plus Nexium 8 mg/h. De plus, nous mettons du Fluimucil en dose de charge 9 g dans 1 heure puis 3 g dans 4 heures et 6 g dans 16 heures. Une sonde vésicale est mise en place et la patiente est hydratée. Mme. Y est gardée en lit d'observation aux urgences pour la nuit. Durant la surveillance, la patiente reste stable, toujours réveillable avec des constantes dans la norme. Le 15.04.2019 au matin, la patiente est bien éveillée et calme. En reprenant l'anamnèse, elle dit ne pas se souvenir de ce qui s'est passé et de ne pas savoir qui a appelé l'ambulance. Elle verbalise regretter de ne pas avoir réussi son geste. Mme. Y est évaluée par le Dr. X, psychiatre de liaison et elle est transférée, en mode volontaire, au RFSM CSH Marsens le 15.04.2019. Mme. Y est une patiente de 20 ans qui nous est transférée de l'HFR Riaz le soir du 08.04.2019 pour une appendicite aiguë. La patiente aurait consulté la veille en raison de douleurs épigastriques d'origine indéterminée. Un rendez-vous avait été planifié ce jour pour un contrôle clinique et biologique qui a montré une hausse du syndrome inflammatoire avec une clinique persistante motivant nos collègues à effectuer un scanner. Le scanner a confirmé le diagnostic susmentionné. Nous posons donc à l'arrivée de la patiente l'indication à une appendicectomie. L'intervention se passe sans particularité. Les suites post-opératoires sont simples. La patiente se réalimente sans problème et se mobilise bien, permettant un retour à domicile le 10.04.2019. Mme. Y, patiente de 89 ans, connue pour une maladie coronarienne tri-tronculaire (IVA stentée, lésion non significative dans CD et Cx) avec antécédent de NSTEMI en 2011, est adressée depuis l'UATO en ambulance pour des douleurs abdominales. La patiente rapporte des douleurs abdominales crampiformes diffuses depuis environ une semaine, en péjoration depuis deux jours, accompagnées de nausées et deux épisodes de vomissements brunâtres. Elle a aussi présenté de multiples épisodes de diarrhées liquides sans trace de sang, sans fièvre ni frissons. Le laboratoire d'entrée met en évidence un léger syndrome inflammatoire et le sédiment urinaire une leucocyturie. Un CT abdominal montre un épaississement pariétal circonférentiel du côlon sigmoïde, une diverticulose ainsi que de multiples kystes rénaux déjà connus. Au vu de la clinique et de ces résultats, nous concluons à une sigmoïdite et la patiente bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl. L'évolution est favorable avec résolution des douleurs et diminution de la CRP. Un relais per os est réalisé le 03.04.2019 par Ciproxine et Flagyl. Sur le plan rénal, un Proteus mirabilis est retrouvé le 28.03.2019. Un nouvel urotube à l'entrée revient négatif et Mme. Y ne rapporte pas de plainte urinaire. Sur le plan hématologique, la patiente présente une anémie à son arrivée, déjà connue, pour laquelle un bilan étiologique avait été réalisé lors de son hospitalisation en février 2019, sans particularité. Au vu d'une péjoration des valeurs d'hémoglobine sans signe d'extériorisation, un US rénal complète le bilan à la recherche d'une rupture de kyste, pas franchement retrouvée. Une recherche de sang occulte revient positive. Au vu de l'âge de la patiente et après discussion avec celle-ci, aucune investigation supplémentaire n'est réalisée et un traitement par IPP est introduit avec arrêt de la thromboprophylaxie par Clexane. Durant le séjour, la patiente rapporte un ras-le-bol de son hospitalisation, ainsi que le désir de limiter les soins au confort si son état devait se péjorer. Un traitement par Temesta en réserve est introduit. Au vu de l'amélioration des symptômes, Mme. Y est retransférée à l'UATO le 04.04.2019 pour suite de prise en charge. Mme. Y est une patiente de 73 ans, qui est hospitalisée dans notre service de chirurgie pour investigation de deux nodules pulmonaires au niveau du lobe inférieur droit et du lobe supérieur droit. La patiente bénéficie le 28.03.2019 de l'intervention susmentionnée. L'évolution postopératoire est favorable, permettant un retour à domicile le 01.04.2019. Elle sera revue à la consultation de chirurgie thoracique dans 6 semaines. Mme. Y est amenée aux urgences en ambulance le 21.03.2019 suite à un malaise alors qu'elle faisait ses courses. La patiente se serait levée, et en raison de dorsalgies importantes accompagnées d'une sensation vertigineuse et de céphalées, elle aurait fait un malaise sans perte de connaissance selon elle. La patiente a été rattrapée par une personne puis allongée au sol. Selon les ambulanciers, notion de perte de connaissance avec mouvements tonico-cloniques objectivés par les témoins avec trismus de durée indéterminée sans perte de selles ou urine.A l'arrivée des ambulanciers, Mme. Y présente une hyperglycémie à 30 mmol/l, cela après avoir reçu 4 g de sucre après le malaise. Elle n'est pas connue pour un diabète. Elle décrit une polyurie et polydipsie depuis plusieurs mois, ce qui est difficile à préciser avec la patiente. Pas de nausée ni de vomissement, pas de douleur thoracique. Le status neurologique est dans la norme. Le laboratoire met en évidence une hyperglycémie à 22.8 mmol/l, sans acidose à la gazométrie artérielle, raison pour laquelle nous hydratons la patiente par 1000 ml de NaCl et administrons 8 UI de novorapid en bolus iv. La glycémie à 1 heure de l'administration de l'insuline rapide est à 13.5 mmol/l. Le laboratoire met également en évidence une HbA1c > 15% et une élévation de la créatinine à 119 umol/l (clairance à 67 ml/min selon Cockcroft). Le sédiment urinaire montre une glycosurie sans corps cétoniques. Le test de grossesse est négatif. Le diagnostic de diabète inaugural avec état hyperglycémique hyperosmolaire est retenu et la patiente est hospitalisée pour instauration d'une insulinothérapie, surveillance des glycémies et enseignement au sujet de la gestion de son diabète. Nous introduisons un traitement par Metformine 500 mg 2x/j et une insulinothérapie par Insulatard dans un premier temps puis Lantus 30 U/j avec schéma de correction par Novorapid. Dans le bilan pour ce diabète inaugural, nous mettons en évidence une dyslipidémie comme autre facteur de risque cardio-vasculaire et un traitement par Statine est instauré et sera à adapter en ambulatoire. Par rapport à la chute, nous retenons le diagnostic de syncope neurogène, compte tenu de la description des faits reportée par les témoins et la patiente, des antécédents de la patiente et du status clinique dans la norme. Par rapport aux douleurs dorsales, ces dernières sont bien contrôlées par une antalgie simple par Dafalgan 1 g. La patiente présente également une insuffisance rénale aiguë qui se corrige suite à l'hydratation iv. Mme. Y peut regagner son domicile le 28.03.2019 avec passage des soins à domicile 3x/j dans un premier temps pour supervision du traitement antidiabétique. Ce dernier sera à adapter à domicile en fonction des glycémies et à simplifier. Mme. Y, 42 ans, connue pour un nodule thyroïdien partiellement kystique du lobe droit suivi par le Dr. X, est hospitalisée en électif le 17.04.2019 afin de bénéficier d'une lobo-isthmectomie à droite. L'intervention se déroule sans particularité. La suite est favorable avec des calcémies stables. La réalimentation est bien tolérée. Mme. Y peut retourner à domicile le 18.04.2019. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X puis, lors de la consultation de contrôle, par le Prof. Dr. X. Mme. Y se présente en consultation d'angiologie pour une recanalisation de l'artère poplitée gauche sténosée. L'intervention se solde par un échec, ainsi que par le développement d'un pseudo-anévrysme au site d'implantation du cathéter artériel. La patiente développe alors un volumineux hématome en regard du pli inguinal, s'étendant aux organes génitaux externes. Il est convenu d'une immobilisation au lit strict et d'une surveillance clinique et biologique. Celle-ci s'avère sans particularité, avec notamment une relative stabilité du taux d'hémoglobine n'indiquant pas à une transfusion érythrocytaire. Au vu de l'échec de revascularisation angiologique, les collègues de chirurgie vasculaire sont consultés mais ne retiennent pas de possibilité de revascularisation chirurgicale au vu d'un capital veineux insuffisant. Ils souhaitent toutefois suivre l'évolution de l'AOMI et il est convenu d'un rendez-vous à la consultation du Dr. X le 11 juin 2019. La patiente présente par ailleurs une asthénie marquée avec une importante réduction de son périmètre de marche et de sa capacité à emprunter les escaliers. En raison de la situation à domicile et après discussion avec la famille, qui souhaite maintenir la patiente à domicile, nous proposons une réadaptation gériatrique à Riaz, afin d'envisager un retour à domicile dans les meilleurs délais. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, connue pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, notamment un adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur droit sous thérapie ciblée palliative, est adressée aux urgences le 26.04.2019 par l'Hôpital de Jour en raison de l'apparition d'une dyspnée suite à la transfusion de deux culots érythrocytaires. La symptomatologie a débuté après le passe d'1,5 culots. Au status pulmonaire, notons des râles crépitants à droite, jusqu'à mi-plage, avec sibilances diffuses et râles grossiers sur le champ pulmonaire gauche. Au niveau cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, pas de souffle audible, pas d'oedème des membres inférieurs. Au status digestif, l'abdomen est souple, sans défense ni détente. La radiographie du thorax montre un épanchement pulmonaire à droite. Une première gazométrie montre un pH à 7.17, une PCO2 à 6.4 kPa, une PO2 à 10 kPa et des bicarbonates à 17 mmol/l. L'hémoglobine est à 128 g/l. La seconde gazométrie montre un pH à 7.40, une PCO2 à 4.3 kPa, une PO2 à 11.7 kPa et des bicarbonates à 20 mmol/l. L'hémoglobine est à 112 g/l. Nous administrons 40 mg puis 20 mg de Lasix iv avec bonne réponse clinique et élimination d'environ 2.8 litres d'urine. Mme. Y est gardée en lit d'observation aux urgences durant la nuit pour surveillance respiratoire. L'évolution est favorable et l'auscultation pulmonaire montre une diminution des bruits surajoutés, avec présence de râles crépitants en base droite. Le laboratoire de contrôle du 27.04.2019 montre une hémoglobine stable à 100 g/l. L'évolution étant favorable, Mme. Y peut regagner son domicile le 27.04.2019 avec une majoration de son traitement diurétique par Torasémide. Nous vous laissons le soin de réévaluer la posologie à distance en fonction de la prise de poids et de la présence d'oedème des membres inférieurs. En cas de réapparition de dyspnée ou d'autres symptômes, nous conseillons à la patiente de reconsulter aux urgences. Mme. Y se présente aux urgences le 25.02.19 dans le cadre d'une asthénie marquée, associée à une anorexie, des nausées avec vomissements et douleurs importantes en regard de la loge rénale droite. Elle ne décrit pas de douleur mictionnelle, pas de pollakiurie ni de polyurie. Un CT abdominal met en évidence une lithiase enclavée dans l'urètre droit, à la jonction urétéro-vésicale, ainsi qu'un rein droit congestionné. Un diagnostic de pyélonéphrite est donc retenu; le calcul est retiré chirurgicalement et une sonde double J est implantée à droite par nos confrères urologues. Durant l'hospitalisation en chirurgie, Mme. Y développe un choc septique avec défaillance multi-organique qui est attribué à une infection des voies urinaires par un Candida Krusei. La patiente est donc transférée aux soins intensifs, la sonde double J est retirée et une thérapie antifongique est initiée. Un soutien hémodynamique par amines est nécessaire. L'évolution est favorable, avec une rémission de l'instabilité hémodynamique. Après un traitement antifongique de trois semaines, un nouvel examen bactériologique urinaire confirme l'éradication de la candidémie et le traitement est stoppé. L'indication à poser une nouvelle sonde double J n'est par ailleurs pas retenue.Sur le plan cardiologique, la patiente présente le 13.03.19 une TSV instable qui se cardioverse spontanément. Elle ne présente pas de troubles électrolytiques ni d'infiltration tumorale péricardique. Une origine médicamenteuse est retenue; le procoralan est temporairement mis en suspens et du métoprolol est introduit. Suite à la défaillance organique, la patiente présente par ailleurs une diminution de sa fraction d'éjection ventriculaire, qui demeure par la suite stable tout au long de son hospitalisation. Sur le plan néphrologique, Mme. Y présente à l'admission une insuffisance rénale aiguë d'origine mixte pré-rénale et rénale sur prise d'AINS et déshydratation ainsi qu'une composante post-rénale sur obstruction partielle. L'évolution est progressivement favorable après levée de l'obstruction, réhydratation et arrêt des traitements néphrotoxiques. La patiente décrit une dyspnée rapidement progressive ayant débuté peu avant l'hospitalisation. Des examens radiologiques mettent en évidence un épanchement pleural droit. La thoracocentèse ramène un fluide exsudatif dont l'analyse témoigne d'une origine néoplasique, avec présence de cellules compatibles avec une transformation secondaire de l'adénocarcinome connu en carcinome à petites cellules. En raison de la présence de multiples cloisons au niveau pleural, il est décidé de ne pas implanter de drain de décharge. La dyspnée s'amende par ailleurs progressivement. Sur avis de son oncologue traitant, le Dr. X, la patiente bénéficie d'une séance de chimiothérapie palliative par Carboplatine, laquelle se déroule sans complication. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Y peut rentrer à domicile le 08.04.19. Elle ne souhaite pas bénéficier d'aide infirmière, notamment pas de soutien de la part de Voltigo. Mme. Y nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire stationnaire post TAVI avec mise en place d'une prothèse valvulaire Edwars Sapiens 26 mm par voie percutanée fémorale D. Son traitement à l'entrée est composé de : Oméprazole, Ecofenac, Cedur retard, Asacol, Calcimagon D3, Distraneurin, Vitamine B12, Lixiana 30 mg. Mme. Y présentant OMI et épanchement pleural prédominant à gauche, une thérapie de décharge (Torasemide et Aldactone) est débutée le 08.03.2019; la thérapie est stoppée le 20.03.2019, vu la bonne évolution clinique. Sur le plan rythmique, la tendance est tachycarde en début de séjour ; nous avons introduit, dès le 13.03.2019, un chronotrope négatif. Comme demandé par le Dr. X, nous avons réalisé un Holter de 48 h qui n'a pas mis en évidence ni pause ni bradycardie ou arythmie pathologique. Nous avons également procédé à une ETT orientée montrant un aspect de cardiopathie valvulaire hypertrophique modérée avec une dilatation sévère de l'oreillette G. La FEVG est conservée à 55-60% et le TAVI est en place avec une petite fuite para-valvulaire (à 7 h). Le gradient est normal : 5/12 mmHg. Présence d'une régurgitation mitrale modérée sur remaniement calcifié de l'appareil mitral. Au bilan sanguin, notons une anémie avec un MCV aux limites supérieures, raison pour laquelle nous avons introduit de la Vitamine B12 à poursuivre jusqu'au 29.03.2019 et de l'acide folique à poursuivre jusqu'au 08.04.2019. À recontrôler à distance. Lors de son séjour dans notre établissement, Mme. Y a développé un œdème au niveau de la main G sans douleur ni rougeur ou chaleur; au bilan sanguin, ni syndrome inflammatoire ni crise de goutte mis en évidence. L'œdème a bien régressé sous le traitement de Colchicine, que nous conseillons de poursuivre encore pendant deux semaines. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, la patiente a débuté avec un physiothérapeute individuel avec qui elle a pu progresser lentement tout au long du séjour, en sevrant progressivement l'O2 lors des efforts. À la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du vélo pendant 10 minutes à une puissance de 15 watts sans symptôme ni limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 60 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mme. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 4.2 mmol/L, un HDL à 2.01 mmol/L, un LDL à 2.08 mmol/L et des triglycérides à 0.88 mmol/L. • La pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : • L'Hb est à 109 g/l, les thrombocytes à la limite inférieure de la norme à 142 G/l • la fonction rénale est dans la norme avec une créatinine à 71 µmol/l • les électrolytes sont dans la norme, la CRP à < 5 mg/l. L'examen clinique de sortie est dans la norme. Status de normo-compensation avec une pression artérielle de 156/77 mmHg et une FC à 68 bpm. Mme. Y manifestant la volonté d'écourter son séjour, nous activons les soins à domicile pour le suivi à domicile. Mme. Y est une patiente de 18 ans, qui est hospitalisée dans notre service de chirurgie pour prise en charge d'une lésion kystique pulmonaire au niveau du segment 8 à droite. Elle bénéficie le 28.03.2019 de l'intervention susmentionnée. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution post-opératoire est favorable, permettant un retour à domicile le 31.03.2019. Mme. Y sera vue à la consultation de chirurgie thoracique le vendredi 10.05.2019 à 10h00. Mme. Y, 84 ans en bonne santé habituelle, est hospitalisée aux soins intensifs pour prise en charge d'une décompensation cardiaque dans le cadre d'une fibrillation auriculaire. Elle présente une dyspnée intermittente associée à des palpitations depuis une semaine. Un ECG est réalisé et met en évidence une fibrillation auriculaire nouvellement diagnostiquée. Un traitement par anticoagulant (Eliquis) et rythmique (Métoprolol et Dilzem) est mis en place aux urgences. La patiente est transférée aux soins intensifs pour une surveillance rythmique. Durant son séjour aux soins intensifs, nous introduisons un traitement par cordarone IV continu puis per os dès le 10.04.2019, associé à un traitement par bêta-bloquant. La patiente alterne entre une fibrillation auriculaire et un rythme sinusal avec des extrasystoles ventriculaires et supra-ventriculaires. L'anticoagulation par Eliquis 5 mg 2x/jour est poursuivie. Pour la décompensation cardiaque d'origine rythmique, Mme. Y nécessite un support respiratoire par VNI associé à un traitement par diurétique initialement par voie IV relayé dès le 11.04.2019 par du Torem per os. Devant l'évolution favorable, nous diminuons progressivement le support ventilatoire qui est à poursuivre une fois par jour. La patiente bénéficie d'une ETT le 11.04.2019, nous vous laissons le soin d'adapter son traitement en fonction des résultats. Mme. Y, âgée de 67 ans, connue pour une HTA traitée, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à l'implantation d'une prothèse de la hanche droite, le 20.03.2019 en raison d'une coxarthrose. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile mais sa famille est très présente. Elle est à la retraite (ancienne professeur) mais travaille à 20% dans une bibliothèque. À l'admission, la patiente se plaint de douleurs à la hanche droite. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont moyennement contrôlées par l'antalgie en place.Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme avec un hématome de la face latérale de la hanche droite jusqu'au genou. La flexion/extension de la hanche droite est de 50-0-0° en actif et 60-0-0° en passif. La force du membre inférieur droit est à M5 et la sensibilité est conservée. Sur le plan nutritionnel, nous notons un apport oral insuffisant en lien avec une légère inappétence dans le contexte d'une baisse de moral, démontrée par une couverture des besoins théoriques à 72% en énergie et 62% en protéines. La patiente est évaluée par le Dr. X, psychiatre de liaison, qui diagnostique un trouble dépressif moyen et conseille un traitement par Remeron 15 mg le soir que nous introduisons pendant le séjour sans succès. La patiente ne souhaite pas poursuivre ce traitement car dit ne pas le supporter. Nous vous laissons le soin de reprendre la discussion avec la patiente et proposer un suivi psychiatrique en ambulatoire si vous le jugez nécessaire. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises sur un périmètre de 60 m en respectant la décharge. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes anglaises. A la sortie, la plaie est propre et à l'air. Après 10 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 05.04.2019, en bon état général. Les soins à domicile sont activés. Mme. Y, récemment hospitalisée dans notre service, se présente en consultation d'oncologie pour un état fébrile associé à des frissons solennels, ainsi qu'à une péjoration des nausées qu'elle présente depuis quelques mois. Mme. Y se plaint par ailleurs de selles liquides et d'une inappétence. Mme. Y est donc transférée en Médecine pour prise en charge. Notre examen de CT-scan abdominal met en exergue une croissance en taille de la masse mésentérique et du nodule de soeur Marie-Joseph. Une partie de la masse mésentérique présente des signes indirects de surinfection et de fistulisation à l'intestin grêle. Au vu de la situation globale de la patiente, toute intervention chirurgicale est jugée déraisonnable en raison de la progression tumorale et des importants risques opératoires. Initialement, une antibiothérapie par ceftriaxone et métronidazole est initiée. Après avis infectiologique, ce traitement est substitué par une thérapie de Co-Amoxicilline et de ciprofloxacine pour une durée de quatre mois. Sur le plan oncologique, la situation est revue par les spécialistes, qui préconisent une chimiothérapie par 5-FU après deux semaines d'antibiothérapie efficace. Nous débutons alors cette chimiothérapie continue le lundi 8 avril. L'évolution étant fort défavorable, avec l'apparition d'un ictère sur obstruction métastatique des voies biliaires, nous stoppons la chimiothérapie et investissons des soins de confort. L'antibiothérapie est donc stoppée, ainsi que la nutrition parentérale. Mme. Y décède en la date du 22 avril, sans souffrance et en présence de sa famille. Mme. Y, votre patiente de 82 ans, connue pour un adénocarcinome d'origine probablement ovarienne droite, hebdomadairement traité par Carboplatine et corticoïde, et connue également pour un diabète de type 2 insulino-requérant, se présente au service des urgences le 30.03.2019 pour une glycémie à 27 mmol/L asymptomatique malgré un traitement avec Insulatard 16 UI le jour même à midi. L'anamnèse ne révèle aucune plainte particulière, et l'examen initial est sans particularité. Le bilan retrouve une décompensation diabétique hyperosmolaire qui se corrige après administration d'insuline rapide et d'hydratation. Le contrôle des glycémies par la suite est sans particularité. Sur avis de nos collègues diabétologues, le schéma insulinique de la patiente est adapté comme susmentionné. Mme. Y sort ce mercredi 03.04.2019 pour un retour à domicile avec l'aide habituelle et poursuite de la prise en charge en diabétologie et en oncologie. Mme. Y est une patiente de 58 ans connue pour un status post-Whipple en février 2019 dans le cadre d'un adénocarcinome de la tête du pancréas ainsi qu'un pontage veineux de l'artère mésentérique supérieure sous Plavix et Fragmine qui se présente aux urgences le 19.04 pour des hématochézies. Un CT scan abdominal met en évidence des signes de pancolite pour laquelle la patiente bénéficie d'une antibiothérapie par Ceftriaxone et Metronidazole. Une OGD et une colonoscopie ne permettent pas de visualiser une source de saignement. Malgré un taux d'hémoglobine à 60 nous n'effectuons pas de transfusions sanguines en raison d'un refus de la patiente. La patiente bénéficie d'une injection d'érythropoïétine et de Ferinject le 25.04.2019. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable permettant un retour à domicile le 26.04.2019. Mme. Y est une patiente de 80 ans, connue pour une cirrhose hépatique CHILD B sur probable NASH, ayant été hospitalisée deux fois sur les 12 derniers mois pour encéphalopathie hépatique, qui est hospitalisée à l'hôpital fribourgeois pour un état confusionnel aigu fluctuant depuis le 03.04.2019 avec une nette péjoration le 06.04.2019 accompagné de vomissements alimentaires. Au laboratoire, on retrouve une ammoniémie avec des tests hépatiques perturbés mais alignés aux valeurs de février 2019 et une insuffisance rénale aiguë. Un stix-sédiment urinaire indique une possible infection urinaire. Nous retenons une encéphalopathie hépatique, dans un contexte d'infection urinaire favorisée par une déshydratation. Sur le plan hépatologique, la patiente récupère de son état confusionnel dès J1 avec l'hydratation et la poursuite du Duphalac. Nous introduisons une thérapie par Rifaximine dès le 08.04.2019 que la patiente tolère bien. La dernière oeso-gastro-duodénoscopie remontant au 22.05.2018 ayant par ailleurs montré des varices oesophagiennes de stade 2, une nouvelle OGD serait indiquée au cours du mois de mai 2019 pour suivi. La patiente ne présente pas d'état confusionnel dans sa période d'hospitalisation. Sur le plan urinaire, une antibiothérapie empirique par ceftriaxone est initiée le 08.04.2019 pour l'infection du tractus urinaire. La culture urinaire montre une infection à Escherichia coli et Raoultella spp multi-sensibles. Un relai par Co-amoxicilline est alors effectué pour 7 jours de traitement au total. Sur le plan rénal, la fonction rénale s'améliore après hydratation et mise en suspens des traitements néphrotoxiques, avec une filtration glomérulaire se stabilisant autour des 45 ml/min. Nous proposons également un arrêt définitif des antidiabétiques oraux au vu de la combinaison d'atteinte hépatique et rénale chronique et poursuivons l'insulinothérapie par Ryzodeg avec un profil glycémique adéquat. Par la suite, la patiente présente des discrets signes de surcharge motivant l'adaptation des diurétiques. Sur le plan social, nous proposons d'instaurer des soins à domicile 2 fois par semaine afin que Mme. Y soit davantage entourée. Mme. Y ainsi que sa famille acceptent notre proposition. Nous laissons aux filles de Mme. Y le soin d'organiser un rendez-vous de contrôle chez son médecin traitant à une semaine de distance pour suivi clinique et biologique et adaptation des diurétiques. Une oeso-gastro-duodénoscopie de contrôle des varices oesophagiennes est à organiser pour le mois de mai. Mme. Y, 80 ans, admise aux soins intensifs le 25.04.2019 en raison d'une insuffisance rénale aiguë sévère.Elle est adressée initialement aux urgences par son médecin traitant pour une insuffisance rénale aiguë mise en évidence lors d'un examen de suivi (créatininémie initiale à 522 umol/l, pH 7.12). Pour rappel, elle a été récemment hospitalisée en médecine interne du 06 au 12.04.2019 en raison d'un état confusionnel aigu secondaire à une encéphalopathie hépatique décompensée. Depuis sa sortie de l'hôpital, elle rapporte une dyspnée en progression associée à une prise pondérale de près d'un kilo ayant motivé une augmentation des posologies de diurétiques. En parallèle, elle décrit des épisodes répétés de selles liquides qu'elle attribue au Duphalac, avec déshydratation modérée secondaire. Elle est admise dans notre service pour réanimation volémique ciblée et suivi rapproché des électrolytes et de la diurèse. L'insuffisance rénale aiguë est attribuée en premier lieu à une composante pré-rénale sur déshydratation progressive (diurétiques et diarrhées sous Duphalac chez Mme. Y sous IECA). Nous n'avons pas d'élément franc à ce stade pour une éventuelle composante hépato-rénale. Un US abdominal a permis d'écarter une cause post-rénale de même qu'une éventuelle thrombose porte. En l'absence de signe de sepsis franc chez une patiente par ailleurs totalement asymptomatique tout au long du séjour, nous nous sommes abstenu de ponctionner l'ascite (en faible quantité) à la recherche d'une éventuelle infection à ce niveau. L'évolution biologique est lentement favorable après réanimation volémique ciblée. Les IECA sont suspendus dès l'admission. Un suivi quotidien du poids, de la diurèse et de la fonction rénale est préconisé. Mme. Y est une patiente de 17 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte aux urgences le 27.01.2019 en raison de douleurs abdominales depuis la veille, au niveau du bas ventre en fosse iliaque droite, accompagnées de sept épisodes de vomissements, sans état fébrile. Le laboratoire initial montre une légère augmentation de la CRP. Un ultrason abdominal met en évidence une appendicite avec du liquide libre. L'indication opératoire est retenue et la patiente bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 14.04.2019. L'évolution est par la suite favorable. Mme. Y rentre à domicile le 18.04.2019. Mme. Y, patiente de 76 ans, nous a été adressée le 13.03.2019 pour une réadaptation musculo-squelettique suite à la mise en place d'une prothèse totale de hanche gauche le 05.03.2019 suite à une fracture de l'hanche gauche dans un contexte d'une chute mécanique le 03.03.2019. L'anamnèse et l'examen clinique à l'entrée sont sans particularité. Mme. Y était en bon état général, elle n'avait pas de plaintes. La patiente vit seule dans un appartement avec un ascenseur, elle doit monter juste une marche d'escalier. Elle est séparée depuis 13 ans et elle a deux fils. Avant l'hospitalisation, elle était autonome pour les AVQ et marchait sans moyen auxiliaire. À l'entrée, la patiente a une mobilité légèrement diminuée avec un risque de chute augmenté. Les transferts et la marche (30 m avec un tintebin) sont faits sous supervision. La montée des escaliers n'est pas testée. La patiente profite d'une physiothérapie intensive avec entraînement d'équilibre, renforcement musculaire des extrémités supérieures et inférieures et entraînement de la condition de la marche. L'ergothérapie a évalué le besoin d'aide de la patiente et son autonomie pour les tâches quotidiennes. À la sortie, la patiente peut faire les transferts et la marche (100 m avec des cannes) de façon autonome. La montée des escaliers est faite sous supervision (18 marches d'escaliers). Une thrombocytose et une anémie postopératoire ont été stabilisées au cours de l'hospitalisation. En raison d'une malnutrition protéino-énergétique légère avec NRS 3/7, nous effectuons un suivi diététique. La patiente peut retourner à domicile dans un état général amélioré le 05.03.2019 avec Spitex en ambulatoire. Mme. Y a été traitée conservativement six semaines pour une fracture de la tête radiale à D. La patiente a bénéficié d'un arrêt de travail jusqu'au 02.04.2019. Étant donné la bonne évolution radioclinique, nous concluons à la fin de traitement. Mme. Y, âgée de 43 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par le Dr. X pour une neuro-réadaptation suite à un déconditionnement physique global dans le cadre d'une paraplégie flasque progressive. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. À l'admission, la patiente se plaint de douleurs. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au status, la patiente est orientée et collaborante. Elle se plaint d'une faiblesse progressive prédominant aux membres inférieurs associée à un état de fatigue chronique. Durant son séjour, elle a présenté des dorsalgies ainsi que des douleurs de la patte d'oie gauche ainsi qu'une bursite pré-rotulienne au genou droit. Cette dernière a été traitée avec un traitement local avec de bons résultats (patch Flector et poche à glace). Mme. Y a eu une infiltration de son genou gauche avec Diprophos et Lidocaïne le 18.04.2019 sous asepsie rigoureuse par le Dr. X avec un bon effet sur l'antalgie. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un rollator et les attelles des releveurs ddc. Elle peut monter et descendre les escaliers avec la rampe et l'aide physique d'une personne. Mme. Y est indépendante pour se laver et s'habiller. Par contre, elle nécessite de l'aide pour mettre les attelles de releveurs en raison d'un manque de force (peut les enlever seule). Elle se sent sûre dans ses déplacements avec le rollator (intérieur et extérieur). Bien que le bilan JAMAR ne démontre pas de progrès, elle fait le constat de l'amélioration de sa force de préhension au quotidien. La dextérité fine comme grossière s'est quant à elle significativement améliorée. Concernant la sensibilité dans les mains, aucun changement significatif n'a été mis en évidence. Les fourmillements au niveau de la plante des pieds ont diminué. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 26.04.2019, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie à domicile pour pouvoir, à court terme, continuer le renforcement musculaire, le travail d'endurance et d'équilibre en statique et dynamique. À long terme, nous retenons comme objectif l'amélioration du périmètre de marche avec le rollator. Les soins à domicile sont activés. Mme. Y est une bonne candidate pour une neuro-réadaptation stationnaire à l'HFR Billens 1x/année afin de consolider les acquis. Mme. Y est une patiente de 93 ans, en bonne santé habituelle, vivant seule à domicile, qui chute accidentellement de sa hauteur à domicile le 14.04.2019 avec réception sur le côté gauche. Elle est retrouvée couchée par terre le 16.04.2019 et est amenée aux urgences où le bilan radiologique met en évidence la fracture susmentionnée pour laquelle l'indication opératoire est retenue. L'intervention se déroule sans complication. Les contrôles biologiques réalisés les jours suivants mettent en évidence une anémie aiguë dont la valeur la plus basse est à 93 g/l le 23.04.2019. Cependant, Mme. Y étant totalement asymptomatique et n'ayant pas de cardiopathie ischémique, aucune transfusion n'est effectuée. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la cicatrice, visualisée à travers un pansement Comfeel étanche, est calme. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie per os et Mme. Y bénéficie d'une anticoagulation prophylactique par Xarelto 10 mg/jour pour une durée totale de 6 semaines. Elle bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge selon douleurs, rééducation qui sera poursuivie dans le service de réadaptation gériatrique, service dans lequel la patiente est transférée le 26.04.2019.Mme. Y, âgée de 46 ans, connue pour une polymyosite (Ac anti-Jo1 positifs) avec pneumopathie interstitielle, diagnostiquée en 2007, nous est adressée par le CHUV pour une réadaptation pulmonaire et reconditionnement physique suite à une insuffisance respiratoire à Influenza A avec pneumonie et myocardite. Sur le plan social, la patiente vit avec son mari et ses enfants à domicile. A l'admission, la patiente se plaint d'une fatigue générale avec une dyspnée NYHA II à III. Elle se plaint de douleurs intercostales gauches à l'effort et d'une toux. Le statut général est sans particularité hormis une faiblesse musculaire diffuse à 4/5 ainsi que des râles de type velcro prédominants aux bases. La gazométrie artérielle ne démontre pas d'hypoxémie ni d'hypercapnie. Le test de marche démontre une désaturation significative à l'effort, compatible avec son diagnostic de pneumopathie interstitielle. Les valeurs fonctionnelles sont compatibles avec un syndrome restrictif d'entité moyennement sévère et une altération sévère de la DLCO (non corrigée à 33% de la valeur prédite). Ces valeurs fonctionnelles se sont altérées depuis celles pratiquées chez le Dr. X. La radiographie thoracique montre des altérations interstitielles diffuses bilatérales d'allure réticulaire dans le contexte de la pneumopathie interstitielle connue. L'évolution clinique et des performances physiques sont favorables et nous réduisons, comme convenu, le dosage de Prednisone à 22.5 mg et organisons avec le Dr. X la prochaine injection de Rituximab. Le jour de la sortie, la valeur de la CRP s'élève progressivement à 93 mg/l (Procalcitonine 0.25ug/l) nécessitant le report de cette injection et le contrôle chez son médecin traitant. La majoration de ce paramètre inflammatoire pourrait être en relation avec une infection urinaire à E. Coli. Un traitement de Co-Amoxicilline a été prescrit, mais la patiente n'a pas pris ce traitement durant sa sortie du weekend. La patiente présente des œdèmes aux membres inférieurs. Elle bénéficie d'un traitement diurétique par Torem que nous maintenons à la sortie. Le poids à la sortie est à 74.2 kg. La créatinine à la sortie est à 251 µmol/l, électrolytes dans la norme. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort sous oxygénothérapie et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 220 m à 380 m et la patiente augmente la distance parcourue sur le tapis roulant pendant 20 minutes de 0.500 km à 0.770 km. A la sortie, elle bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 26.03.2019, en état général conservé. Mme. Y, âgée de 54 ans, connue pour des discopathies pluri-étagées prédominant en C5-C6 et L4-L5, nous est adressée par le Dr. X pour une réhabilitation musculo-squelettique, rééducation à la marche et adaptation de l'antalgie dans un contexte de douleurs diffuses non contrôlées par la prise en charge ambulatoire. Sur le plan social, la patiente vit avec son mari dans une ferme, a 4 enfants et elle s'est occupée longtemps de ses beaux-parents. Mme. Y a développé, il y a une vingtaine d'années, des talalgies qui ont été multi-investiguées. Depuis 5 ans, les douleurs sont devenues diffuses, intéressant le rachis et les membres inférieurs, pour lesquelles différentes explorations n'ont pas apporté d'explication claire. De même, les différentes thérapies entreprises n'ont pas amené de soulagement notable chez cette patiente qui reste malgré tout très active. A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. A l'anamnèse par systèmes, la patiente signale un traitement dentaire en cours et des infections urinaires à répétition (dernière en novembre 2018). Au statut, la patiente est orientée et collaborante. L'auscultation cardio-pulmonaire est normale ainsi que la palpation digestive. Les loges rénales sont libres et l'examen neurologique normal. La force musculaire est cotée à M5 aux 4 membres et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, un traitement par Celebrex a été essayé sans amélioration significative de la douleur. Le bilan biologique met en évidence une légère carence en vitamine D. Les radiographies de la colonne vertébrale et du bassin mettent en évidence des modifications dégénératives. La patiente a été évaluée par le Dr. X, psychiatre de liaison, qui propose l'introduction de Cymbalta afin d'augmenter le seuil de la douleur, à poursuivre au-delà de 1 mois si efficace. La patiente tolère bien le traitement. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. Pendant les séances de physiothérapie, elle a bénéficié d'exercices de mobilisation et hygiène posturale, fango, thérapies en bassin thérapeutique, fitness, relaxation et marche qui ont légèrement amélioré les douleurs, raison pour laquelle la patiente va poursuivre la physiothérapie en ambulatoire. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. Après 2 semaines et demi d'hospitalisation, l'évolution est moyennement favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 19.04.2019, en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Une aide au ménage est activée. Mme. Y présente donc plusieurs types de douleurs chroniques. D'une part, des douleurs axiales d'allure inflammatoire mais aussi mécanique en lien avec sa spondylarthropathie, une hyperlaxité et des troubles de la statique. Elle présente aussi au niveau périphérique des polyarthralgies d'allure elle aussi inflammatoires mais aussi des douleurs plus diffuses qui ont un caractère neuropathique. Dans ce contexte, nous instaurons initialement un traitement de Cymbalta à 30 puis 60 mg ainsi que du Temgesic en R qui sont bien tolérés, mais sans grand effet. Nous demandons avis à nos collègues antalgistes qui procèdent à une infiltration des facettes lombaires postérieures en L4 à S1 avec un bon effet sur les douleurs locales. Selon l'évolution, une nouvelle infiltration diagnostique suivie d'une dénervation serait envisageable. La prise en charge est de plus complétée par une perfusion de Lidocaïne le 18.04. L'effet est bénéfique avec une réduction globale supplémentaire de l'EVA de 5 à 3. La patiente bénéficie en parallèle d'une physiothérapie à sec et en piscine. Concernant la spondylarthropathie, nous poursuivons le traitement de Cosentyx débuté tout récemment. Le Felden n'ayant pas d'effet favorable, nous le changeons pour de l'Aulin. A noter que la patiente présente de longue date des plaintes digestives telles que douleurs abdominales et constipation chronique. Elle relate de plus quelques épisodes d'hématochézie et de diarrhées occasionnelles. Nous réalisons donc une calprotectine à la recherche d'arguments pour une maladie inflammatoire de l'intestin. Celle-ci s'avère élevée à 1323 µg/g (sous AINS). Nous prévoyons donc une colonoscopie en ambulatoire chez le Dr. X qui nous lit en copie.La patiente se plaint à l'entrée d'une sécheresse buccale et oculaire importante, nous réalisons une sialométrie et un test de Schirmer qui s'avèrent tous 2 parfaitement normaux. Nous n'effectuons donc pas d'autres investigations supplémentaires pour le moment. À noter lors du bilan biologique la mise en évidence d'une carence en vitamine D et en acide folique que nous substituons. Au vu de l'évolution favorable du point de vue antalgique, la patiente rentre à domicile le 18.04.2019. Elle sera prochainement revue à la consultation rhumatologique du Dr. X. Mme. Y présente un état fébrile jusqu'à 39°C et une toux non productive depuis 10 jours durant un voyage au Vietnam. Elle consulte un médecin au Vietnam il y a 2 jours, qui la met au bénéfice d'un traitement antibiotique. De retour ce jour en Suisse, elle consulte les urgences en raison d'une baisse de l'état général avec une inappétence importante. À l'anamnèse systématique, la patiente se plaint de dysphagie, douleurs de gorge, douleurs abdominales diffuses provoquées par l'effort de toux, diarrhées et épigastralgies depuis l'introduction du traitement antibiotique au Vietnam. À noter qu'en début d'année 2019, la patiente a été traitée par IPP d'épreuve pendant un mois pour une toux durant depuis 2-3 mois. Mme. Y a déjà été vaccinée pour l'hépatite B (nombre de doses inconnu), mais n'a pas bénéficié de la prophylaxie anti-malarique. Au status, on trouve une patiente hémodynamiquement stable et saturant à 91 % à l'air ambiant. Elle est déshydratée. À l'auscultation pulmonaire, présence de râles grossiers en base droite. Au status digestif, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en intensité. L'abdomen est souple mais sensible à la palpation épigastrique. Les status cardiaque et ORL sont sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 134 mg/l et leucocytes à 9,6 G/l, un sodium à 135 mmol/l et un potassium à 3,1 mmol/l. La radiographie du thorax montre une image compatible avec une pneumonie basale droite. Les antigènes urinaires prélevés reviendront négatifs et la patiente n'arrivant pas à expectorer, une culture des expectorations n'est pas effectuée. Mme. Y est hospitalisée et nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv et Klacid 500 mg per os 2x/j. La patiente est hydratée et l'hypokaliémie est substituée. Devant des diarrhées dans un contexte de traitement antibiotique, une recherche de Clostridium est effectuée et revient négative ainsi que la PCR de recherche des bactéries courantes dans les selles. L'évolution est dans un premier temps favorable sous antibiothérapie avec sevrage de l'oxygène. Cependant, le 22.03.2019, la patiente développe à nouveau une dyspnée nécessitant une oxygénothérapie à 1 l/min et le laboratoire met en évidence une majoration du syndrome inflammatoire. Dans ce contexte, nous effectuons un CT scan thoracique qui confirme la pneumonie et ne met pas en évidence de complication. Par la suite, la patiente évolue favorablement et le sevrage de l'oxygène est possible dès le 23.03.2019. Au vu de la suspicion d'un germe atypique dans le contexte du voyage, nous poursuivons l'antibiothérapie par Klacid 500 mg 2x/j jusqu'au 02.04.2019 et nous relayons la Rocéphine par le Zinat du 25.03 au 02.04.2019. Mme. Y peut regagner son domicile le 27.03.2019 avec poursuite de la physiothérapie en ambulatoire. Nous recommandons un contrôle à votre consultation avec radiographie du thorax. Mme. Y, connue pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, résidant au Portugal, consulte les urgences le 09.04.2019 en raison d'un état fébrile à 37,8 - 38°C depuis 3 jours, associé à des douleurs abdominales diffuses et des vomissements. Pas de symptôme urinaire, pas de diarrhée, pas de toux. La patiente rapporte que les douleurs sont similaires à celles présentées en octobre 2018 lors d'une infection urinaire compliquée à E. Coli ayant nécessité une hospitalisation dans notre service du 02 au 10.10.2018. L'anamnèse avec la patiente est difficile en raison de la barrière linguistique. Mme. Y est suivie par un néphrologue au Portugal et un rendez-vous de contrôle est agendé début mai. Aux urgences, la patiente reçoit du Motilium avec bon effet sur les vomissements. Elle est hémodynamiquement stable, normotendue, tachycarde à 110/min et fébrile à 38,4 °C. Au status cardiaque, B1B2 sont bien frappés. Pas de souffle, pas d'œdème des membres inférieurs. À l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique. Au status digestif, l'abdomen est souple mais douloureux au niveau de l'épigastre et de l'hypochondre droit, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Le Murphy est négatif, les loges rénales sont souples et indolores. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 111 mg/l et des leucocytes à 16,8 G/l avec 13,8 G/l de neutrophiles ainsi qu'une insuffisance rénale aiguë sur chronique avec créatinine à 135 mmol/l. Les tests hépato-pancréatiques sont dans la norme. Le sédiment urinaire montre des leucocytes incomptables. Des hémocultures et un urotube sont prélevés. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv puis le Tienam au vu d'un ESBL dans le passé ainsi qu'une hydratation et Mme. Y est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. L'urotube revient positif pour Klebsiella ESBL, l'antibiothérapie est relayée par l'Ertapenem 750 mg iv 1x/j, adapté à la fonction rénale, dès le 11.04.2019, avec une évolution biologique favorable. Mme. Y peut regagner son domicile le 16.04.2019. La poursuite de l'antibiothérapie iv est agendée en ambulatoire à l'Hôpital de Jour et à la Filière Urgence Ambulatoire. Mme. Y est une patiente de 19 ans, connue pour des douleurs en fosse iliaque droite récidivantes investiguées à multiples reprises. Les bilans effectués par ultrason et IRM ne permettent pas de poser un diagnostic expliquant ces douleurs, raison pour laquelle la patiente bénéficie d'une laparoscopie diagnostique avec appendicectomie à froid le 24.04.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et permet de diagnostiquer une endométriose stade 1. Les suites post-opératoires se compliquent de douleurs non gérables par une antalgie simple, raison pour laquelle la patiente est hospitalisée en chirurgie. L'évolution est par la suite favorable, permettant un retour à domicile le 25.04.2019. Mme. Y, 91 ans, a été hospitalisée aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypercapnique aiguë dans le cadre d'une fibrillation auriculaire rapide avec œdème aigu pulmonaire. La patiente est connue pour un diabète de type 2 non insulino-requérant, une hypertension artérielle et une sténose aortique de degré inconnu. Elle a été amenée en ambulance pour une dyspnée aiguë avec palpitations évoluant depuis quelques jours. Une fibrillation auriculaire rapide de durée indéterminée était la cause de l'œdème pulmonaire aigu, d'une insuffisance respiratoire hypercapnique, ainsi que d'un foie de stase. L'évolution a rapidement été favorable sous traitement diurétique et ventilation non invasive. La fibrillation auriculaire rapide a été ralentie par majoration de la posologie du métoprolol. L'indication à une anticoagulation thérapeutique n'a pas été retenue dans l'immédiat au vu du score HAS-BLED à 3 points et de l'âge de la patiente. Cependant, cette indication devrait être discutée avec le médecin traitant.L'échocardiographie transthoracique du 23.04.2019 a montré une cardiopathie hypertensive avec fonction ventriculaire gauche conservée, une sclérose aortique et légère insuffisance aortique et mitrale. Les cardiologues recommandent de répéter l'examen lorsque la fréquence cardiaque sera normalisée, afin de mieux évaluer le degré de la valvulopathie. Sur le plan social, Mr. Y vit à domicile avec une bonne qualité de vie jusque-là. Cependant, il souhaite déménager dans une institution par la suite afin d'être mieux accompagné. Il a par conséquent déjà effectué les démarches en ce sens auprès de plusieurs établissements de la région. Mr. Y est transféré le 23.04.2019 dans le service de médecine interne. Une attitude générale raisonnable limitée a été décidée avec Mr. Y et son neveu. Mme. Y, 91 ans, a été hospitalisée aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypercapnique aiguë dans le cadre d'une fibrillation auriculaire rapide et un pic hypertensif avec un œdème aigu pulmonaire. Mme. Y est connue pour un diabète de type 2 non insulino-requérant, une hypertension artérielle. Elle a été amenée en ambulance pour une dyspnée aiguë avec palpitations évoluant depuis quelques jours. Une fibrillation auriculaire rapide de durée indéterminée et un pic hypertensif étaient la cause de l'œdème pulmonaire aigu, d'une insuffisance respiratoire hypercapnique, ainsi que d'un foie de stase. L'évolution a rapidement été favorable sous traitement diurétique et ventilation non invasive. La fibrillation auriculaire rapide a été ralentie par majoration de la posologie du métoprolol. Mme. Y est transférée à l'étage de médecine interne le 23.04.2019. L'échocardiographie transthoracique du 23.04.2019 montre une cardiopathie hypertensive avec fonction ventriculaire gauche conservée, une sclérose aortique et une légère insuffisance aortique et mitrale. Une anticoagulation par éliquis est introduite. Nous majorons le traitement du métoprolol et adaptons les traitements antihypertenseurs avec une bonne évolution clinique. Au niveau du sommeil, Mme. Y présente une insomnie traitée par des benzodiazépines depuis de nombreuses années. Mme. Y n'arrive pas à dormir sans ce traitement. Nous retenons une dépendance aux benzodiazépines et poursuivons le traitement en place. Sur le plan social, Mr. Y vit à domicile avec une bonne qualité de vie jusque-là. Cependant, il souhaite déménager dans une institution par la suite afin d'être mieux accompagné. Les démarches sont effectuées en ce sens auprès de plusieurs établissements de la région. Mr. Y est reclassé le 26.04.2019 en attente d'une place dans une institution médicalisée. Mme. Y est une patiente de 68 ans qui bénéficie d'une thoracoscopie droite avec résection extra-anatomique du lobe supérieur droit et curage ganglionnaire médiastinal le 28.03.2019 dans le cadre du diagnostic susmentionné. L'intervention se déroule sans complication et les suites postopératoires sont favorables, permettant un retour à domicile le 01.04.2019. Mme. Y consulte les urgences le 09.04.2019 en raison de céphalées d'apparition progressive, en péjoration ce jour et accompagnées de vomissements. Pour rappel, elle a bénéficié d'une ponction lombaire aux urgences de l'HFR Fribourg le 08.04.2019 pour investigations de paresthésies au niveau de l'hémicorps droit avec hypoacousie droite et baisse de la vision à droite. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système, notamment pas d'état fébrile. A l'admission aux urgences, Mme. Y est normocarde et normotendue. Au status neurologique, Glasgow à 15/15. Les pupilles sont isocores et isoréactives, la poursuite oculaire est lisse, les nerfs crâniens sont dans la norme. La force est difficilement évaluable car pas de symétrie. Notons une hyposensibilité au niveau de l'hémi-face droite (connue et pas en péjoration selon Mme. Y). Pas de signe de méningisme. Le point de ponction de la ponction lombaire est calme. Le status cardio-pulmonaire est dans la norme. Au niveau digestif, l'abdomen est souple avec des douleurs diffuses à la palpation profonde. Le laboratoire est sans particularité. Aux urgences, nous administrons 10 mg de primpéran et 75 mg d'Ecofenac avec un bon effet et diminution des céphalées. Nous mettons en place une hydratation et de l'oxygène et la patiente est gardée en lit strict aux urgences pour la nuit, puis transférée à l'étage de médecine. Durant le séjour, le status neurologique reste superposable. Dès le 13.04.2019, disparition des céphalées et résolution des nausées. A noter une suspicion de neuropathie optique rétrobulbaire (NORB) pour laquelle elle a bénéficié d'une IRM cérébrale en ambulatoire revenant dans la norme. L'immuno-électrophorèse des protéines dans le LCR ne montre pas de bandes oligoclonales et le reste de l'analyse du LCR revient dans la norme. La suite de la prise en charge neurologique est organisée auprès du Dr. X. Mme. Y peut regagner son domicile le 14.04.2019 avec un traitement antalgique simple. Mme. Y nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire hospitalière suite à une opération de Bentall (Dr. X le 27.02.2019 à la clinique Cecil) pour une ectasie de l'aorte ascendante compatible avec une dissection chronique de type II de Bakey et une insuffisance valvulaire aortique secondaire. Son traitement à l'entrée est composé de : Sintrom, Pantozol, Beloc Zok 50 mg, Amlodipine 5 mg, Seroquel 25 mg, Dafalgan et Anoro Ellipta. Mme. Y présentant des tendances bradycardes, nous avons diminué le Beloc Zok à 12.5 mg à 2x/jour. Tendance HTA justifiant l'introduction du Lisinopril jusqu'à 20 mg/j. Avant son intervention chirurgicale, Mme. Y prenait du Lixiana et nous demande si elle peut le reprendre. Nous lui expliquons que pour les 3 prochains mois, elle doit continuer le Sintrom puis discuter avec son médecin traitant. Sur le plan clinique, Mme. Y n'a pas présenté de complication. Sur le plan psychologique, Mme. Y est une personne anxieuse, ayant tendance à éviter tout ce qui lui fait peur, à baisser les bras, a bénéficié d'une prise en charge par notre cardio-psychologue. Elle dit être bien entourée par son mari qui l'encourage à aller de l'avant; par contre, elle souffre de la relation difficile qu'elle entretient avec son fils, regrette qu'il ne soit pas venu lui rendre visite pendant son hospitalisation. Notons aussi qu'elle insiste pour écourter son séjour. Au sujet du réentraînement à l'effort, d'autres patients ont débuté dans un groupe d'intensité faible et ils ont pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, ils sont capables de faire du vélo pendant 20-30 minutes à une puissance de 40 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+133 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. L'épreuve a montré une tendance à l'HTA en fin d'effort et post-effort immédiat mais avec une réponse chronotrope pondérée; l'IEC est augmenté jusqu'à 20 mg/j. Nous avons aussi réalisé une ETT de contrôle qui a montré une bioprothèse aortique en place avec micro-fuite à 8h et un petit décollement péricardique résiduel, sans conséquence hémodynamique; la FEVG est à 57%. Mme. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques.Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 4.5 mmol/L, un HDL à 1.02 mmol/L, un LDL à 3.03 mmol/L et des triglycérides à 1.56 mmol/L. • Patiente ancienne tabagique, stoppée en 2018, dit ne plus ressentir l'envie de fumer. • La pression artérielle basale et la FC sont restées sous traitement adapté dans la norme pendant le séjour. Nous avons visé une TA systolique basale de 110-120 mmHg au maximum et pendant les efforts de ne pas dépasser 150 mmHg, 170-190 mmHg lors de l'épreuve d'effort. Comme la valeur systolique maximale d'effort est dépassée, le traitement est encore renforcé. Sur le plan biologique : • Hb à 131 g/l • légère insuffisance rénale avec créatinine à 115 µmol/l • électrolytes dans la norme. L'examen clinique de sortie est dans la norme, status de normo-compensation. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. Auscultation cardio-pulmonaire ne relevant aucun bruit suspect. Mr. Y, âgé de 92 ans, connu pour un mélanome classé pT3b, pN1b, diagnostiqué en 2017, traité par radiothérapie en 2018, est amené aux urgences en ambulance le 21.03.2019 après avoir été retrouvé devant chez lui, au sol, inconscient avec une plaie au niveau du front. Perte de connaissance de durée inconnue. À l'arrivée des ambulanciers, le patient est désorienté. Une quantité non négligeable de sang est retrouvée sur le site. À l'admission aux urgences, l'anamnèse est impossible en raison de la confusion. Mr. Y présente des nausées et des efforts de vomissement sans rejet de matière. Pas de douleur. À noter que selon sa famille, l'état du patient se serait péjoré ces derniers mois (orientation, équilibre, vue). Au status clinique, le patient est hémodynamiquement stable et sature à 95% à l'air ambiant. Au niveau neurologique, les pupilles sont isocores et isoréactives, les nerfs crâniens sont globalement dans la norme, mais l'examen est difficilement réalisable au vu de l'état confusionnel. Mr. Y bouge les 4 membres. Pas de lésion au niveau du dos, percussion de la colonne vertébrale indolore. Au status cutané, notons une plaie de 4 x 2 cm frontale droite avec perte de substance, saignement actif, pas de corps étranger visualisé, pas de signe infectieux. Le reste du status est sans particularité. Au vu de la désorientation et des nausées, un CT cérébral est réalisé et montre 2 lésions dans l'hémisphère gauche avec minime déviation de la ligne médiane sans engagement important, compatible avec des métastases. L'attitude est discutée aux urgences avec le neveu du patient et une prise en charge palliative est décidée. Mr. Y est hospitalisé et nous débutons un traitement par Dexaméthasone permettant d'atténuer l'état confusionnel. Dans ce contexte, un suivi glycémique est effectué et ne rapporte pas de valeurs pathologiques. Concernant la plaie, cette dernière est suturée à l'admission et nous retirons les fils le 26.03.2019. Dès le 27.03.2019 et dans l'attente d'une place en EMS, Mr. Y reste hospitalisé dans notre service bien que la prise en charge spécifique soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant qu'il a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est amenée aux urgences le 08.04.2019 en raison de vertiges rotatoires apparus au réveil, ce jour, et accompagnés de nausées et vomissements. Les vertiges sont décrits comme rotatoires, constants mais augmentant de manière importante lors des mouvements de la tête et de l'ouverture des yeux. Pas de céphalée franche mais sensation de lancée de l'hémicrâne droit. Pas d'otalgie, otorrhée, diminution de l'audition ou acouphène. Pas de dysarthrie, dysphagie ou trouble oculaire. Pas de déficit sensitivomoteur. Pas de traumatisme récent. Pas de dyspnée, de toux ni d'état fébrile. À noter une pharyngite il y a 2 semaines traitée par antibiothérapie. À l'admission aux urgences, tension artérielle 182/78 mmHg, fréquence cardiaque 63/min, température 35,5°C et saturation à 92% à l'air ambiant. Au status neurologique, Glasgow à 15/15. Les pupilles sont isocores et isoréactives. Légère photophobie et nystagmus horizonto-rotatoire non épuisable et battant vers la droite. La poursuite oculaire est saccadée vers le regard droit, les champs visuels ne sont pas testés. Les nerfs crâniens 5, 7, 8, 9, 10, 11, 12 sont dans la norme. Il n'y a pas de trouble sensitivomoteur ni de signe de Babinski. L'épreuve talon-genou est dans la norme et les épreuves cérébelleuses des membres supérieurs sont non testables en raison d'une patiente très symptomatique. L'examen ORL montre des tympans calmes bilatéralement, sans vésicules dans le conduit auditif externe. L'auscultation cardio-pulmonaire est dans la norme. Au vu de la forte symptomatologie, nous effectuons un CT scan cérébral qui ne montre pas de lésion cérébrale. Nous retenons une neuronite vestibulaire à l'origine de la clinique actuelle. Un traitement par corticothérapie 1 mg/Kg est débuté dès le 08.04.2019 avec une 2ème dose iv au vu de vomissements suivant la 1ère dose per os et Mme. Y est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. À l'étage, la patiente se dit très fatiguée. Nous poursuivons le traitement par Prednisone 85 mg/jour per os du 08 au 15.04.2019. Nous prescrivons également de la physiothérapie et de l'ergothérapie avec une évolution favorable de la symptomatologie. L'examen neurologique reste dans la norme tout au long de l'hospitalisation. Mme. Y peut regagner son domicile le 15.04.2019 avec activation des soins à domicile. Mme. Y, patiente de 80 ans, est hospitalisée pour une chute avec traumatisme crânien et perte de connaissance. La patiente présente des frissons avec des nausées et des douleurs abdominales le 26.03.2019 vers 16 h pour lesquelles elle va se reposer. Elle se réveille vers 21 h à terre à côté du lit avec un traumatisme crânien, une amnésie circonstancielle, une fatigue généralisée, sans perte d'urine ou de selle ni morsure de langue. Elle rapporte que le tapis et la table de nuit sont déplacés, ce qui indique qu'elle s'est probablement levée. La patiente passe la nuit à terre, n'arrive pas à se lever et est retrouvée par son fils le lendemain. Au service des urgences, la patiente rapporte des céphalées. Le status montre une patiente fébrile avec des hématomes péri-orbitaux et sur les genoux. Le reste du status est dans la norme. Un bilan biologique montre un syndrome inflammatoire, une légère cholestase et des urines sales. Nous retenons une cholangite versus une infection urinaire et introduisons une antibiothérapie avec une bonne évolution bioclinique. Pour la perte de connaissance avec traumatisme crânien et amnésie circonstancielle, un CT cérébral ne montre pas de signe ischémique ni de saignement. Un EEG est dans la norme. Un ECG est sans particularité. Nous retenons une chute avec un traumatisme crânien et une commotion cérébrale pour expliquer l'amnésie circonstancielle. La chute a probablement été favorisée par le contexte septique sur orthostatisme ou vasovagal. Une cause hypoglycémique est peu vraisemblable étant donné que le lecteur glycémique en continu indique 9 mmol/l de glycémie à 16 h le 26.03.2019. Mme. Y sera convoquée pour un Holter pour exclure un trouble du rythme. Au niveau angiologique, la patiente est connue pour une sténose subocclusive à 90% de la carotide interne droite suivie par le Dr. X. Un ultrason doppler re-confirme cette sténose subocclusive. Le Dr. X a pris contact avec la chirurgie vasculaire de Berne et la patiente sera revue le 01.05.2019 pour un contrôle. Au niveau endocrinien, la patiente est connue pour un diabète de type 2 insulino-requérant et mal contrôlé sur les dernières semaines. Nous adaptons le traitement sous le conseil du Dr. X avec une amélioration du profil glycémique. Un rendez-vous de contrôle est prévu le 12.04.2019 à 10h à l'HFR Fribourg chez le Dr. X. Mme. Y rentre à domicile le 05.04.2019 avec des soins à domicile. Mme. Y présente des céphalées associées à une aphasie à domicile. Elle parvient à appeler une ambulance et est amenée aux urgences où un pic hypertensif à 230 mmHg de systole est mis en évidence. La patiente présente de plus une hémianopsie droite. Elle bénéficie d'une prise en charge en filière AVC avec un CT time is brain sans lésion constituée, puis est admise en unité de stroke monitorisé. La tension artérielle est, dans un premier temps, jugulée avec l'introduction de la Nifédipine et du Torasémide en plus de son traitement habituel de Métoprolol et Lisinopril. D'un point de vue neurologique, l'évolution en cours d'hospitalisation est favorable avec une disparition de l'hémianopsie droite ainsi que de l'aphasie. Il persiste toutefois quelques troubles praxiques dans l'exécution de tâches complexes que nous vous proposons d'investiguer par un bilan neuropsychologique à distance de l'épisode aigu. Du point de vue tensionnel, nous réalisons un bilan d'hypertension secondaire. Il n'y a pas de sténose des artères rénales, les métanéphrines et nor-métanéphrines urinaires et plasmatiques sont dans les normes et ne reste qu'à pister la rénine et l'aldostérone plasmatiques en ambulatoire. Nous parvenons à un profil tensionnel satisfaisant au moyen d'aldactone, d'inderale et d'Adalat que nous vous proposons de réévaluer en ambulatoire. Nous maintenons également des réserves d'Adalat au vu de pics hypertensifs asymptomatiques persistants en cours d'hospitalisation. Nous constatons une saturation à air ambiant en dessous de la norme que nous complétons par une gazométrie qui met en évidence une hypoxie. Nous complétons le bilan par un scanner qui met en évidence de multiples embolies pulmonaires segmentaires et sous-segmentaires bilatérales. Nous instaurons un traitement par Sintrom et recommandons un prochain contrôle le 15.03.19 chez vous. Un bloc de branche gauche incomplet est observé à l'ECG (pas de comparatif), un souffle aortique irradiant carotide est ausculté. Une radiographie du thorax ne montre pas de signe de surcharge. Une échocardiographie met en évidence un rétrécissement aortique lâche calcifié, une hypertrophie du ventricule gauche avec une fraction d'excrétion conservée. Mme. Y est une patiente de 76 ans qui nous est transférée de la neurochirurgie de Berne des suites d'une opération de décompression d'un canal lombaire étroit L3-5 le 12.03.2019 pour des lombosciatalgies non-déficitaires à droite. Pour rappel, elle présentait depuis plusieurs mois des difficultés à la marche en augmentation avec des douleurs dans la jambe, la cuisse et le pli inguinal droits nécessitant des pauses et diminuant son périmètre de marche. Les suites postopératoires ont été favorables quant aux symptômes pré-hospitaliers mais la patiente a développé rapidement des dorsalgies nouvelles. À son entrée, Mme. Y se plaint de dorsalgies non-irradiantes liées aux mouvements et également présentes la nuit. Elle rapporte une légère amélioration sur les derniers jours. De plus, elle présente des douleurs neuropathiques résiduelles dans le territoire L4-5. La patiente ne rapporte aucun trouble sphinctérien. Pas d'autre plainte à l'anamnèse systématique. Au status, nous mettons en évidence des douleurs à la palpation de la musculature para-vertébrale sans douleur à la percussion de la colonne. Le status neurologique ne met pas en évidence de déficit focal mais la marche est limitée par les douleurs. Le reste du status est dans la norme. D'un point de vue social, Mme. Y est séparée de son mari, a une fille vivant près de Zoug et habite seule dans une maison avec quatre volées de 8 marches. Elle était totalement indépendante dans ses déplacements et ses AVQ. Nous adaptons dès son entrée le traitement antalgique avec l'introduction de l'Oxycontin et du Pregabaline qui permettent un contrôle satisfaisant des douleurs. Sur souhait de la patiente, les opiacés sont arrêtés avant la sortie. Après l'ablation des fils le 29.03.2019, la cicatrice postopératoire reste calme, sans signes inflammatoires. L'anticoagulation prophylactique par Clexane est arrêtée le 15.04.2019 en raison d'une mobilisation suffisante. Le traitement antihypertenseur avec Lisinopril est suspendu à l'entrée en raison d'un profil tensionnel bas, et repris à petite dose durant l'hospitalisation. Sur le plan fonctionnel, à l'entrée, la patiente est déjà capable de faire les transferts sous supervision, mais la marche est possible uniquement sur de courts trajets avec le rollator et une aide importante. Les escaliers ne sont pas faisables à cause des douleurs, et le Tinetti est 7/28. Grâce à des séances de physio- et d'ergothérapie intensives, des progrès sur le plan de la mobilité et de l'autonomie sont observés. À la sortie, Mme. Y est capable de faire les transferts et de marcher avec deux cannes anglaises de manière autonome. De plus, elle peut monter les escaliers (plus de 50 marches) seule avec l'aide d'une canne. Le Tinetti est 20/28. Vu l'évolution clinique positive de la patiente, l'opérateur confirme la permission de conduire la voiture sur de courtes distances à partir de la sortie. Mme. Y peut regagner son domicile le 17.04.2019, en état général amélioré. Mme. Y, patiente de 91 ans, connue pour une cardiopathie rythmique (bloc atrio-ventriculaire complet avec pacemaker micra et fibrillation auriculaire), valvulaire (TAVI) et ischémique, traitée par Sintrom, est amenée aux urgences en raison d'un traumatisme crânien après une chute, sur probables troubles de la coordination connus. L'examen clinique neurologique est sans particularité hormis des discrètes céphalées au point d'impact crânien. Nous réalisons un CT-scanner cérébral qui montre une fracture pariétale, qui montre une minime contusion temporale sous-jacente. Aux urgences, la plaie du scalp est suturée par 18 points de suture et la crase est reversée par du Beriplex. Nous hospitalisons la patiente pour surveillance neurologique rapprochée, revenant sans particularité durant toute la durée de l'hospitalisation. Nous organisons un rendez-vous à la consultation de neurochirurgie à 4 semaines et un CT-scanner de contrôle parallèlement, suite auquel nous allons décider de la reprise du Sintrom. En raison de chutes fréquentes au domicile, nous accélérons la demande d'institutionnalisation faite au préalable par la famille et transférons la patiente dans un établissement médico-social fribourgeois le 16.04.2019. Mme. Y, patiente de 47 ans, connue pour un antécédent de thrombose veineuse profonde au mollet droit il y a 7-8 ans, est hospitalisée en raison d'embolies pulmonaires centrales bilatérales. La patiente rapporte une douleur du mollet gauche le 12.04.2019, avec péjoration progressive, suivie de douleurs thoraciques avec dyspnée et un épisode de malaise. Le bilan effectué aux urgences avec CT thoracique montre une embolie pulmonaire centrale bilatérale, avec un mouvement de troponines, et une dilatation du ventricule droit motivant une surveillance aux soins intensifs. Une échocardiographie transthoracique confirme une dilatation modérée du ventricule droit sans dysfonction majeure et la patiente bénéficie d'une anticoagulation thérapeutique par Héparine IV continue. Un relais per os est réalisé le 15.04.2019 avec Xarelto 15 mg 2x/j pour 3 semaines, puis 20 mg 1x/j à vie. De même, nous prescrivons des bas de contention, à porter à long terme. Une échocardiographie de contrôle est organisée à 3 mois.Sur le plan hématologique, une légère anémie est mise en évidence. Le bilan retrouve des valeurs de fer aux limites inférieures et un traitement de fer oral est introduit 1 jour sur 2. Nous vous laissons le soin de réévaluer un bilan de thrombophilie à 3 mois de l'événement aigu au vu d'une maladie thrombo-embolique récidivante chez cette jeune patiente sans autre facteur de risque. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 18.04.2019. Mme. Y, 47 ans, a été admise pour une embolie pulmonaire centrale bilatérale avec dilatation du ventricule droit. La patiente a un antécédent de thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit en 2012/2013. Elle a présenté des symptômes progressifs sur 2-3 jours (douleurs du membre inférieur gauche, douleur thoracique et dyspnée). Un CT-scan thoracique a identifié une embolie pulmonaire centrale bilatérale avec une dilatation du ventricule droit. La cinétique légèrement positive de la troponine T hs a motivé une surveillance initiale aux soins intensifs. L'échocardiographie transthoracique a confirmé la dilatation modérée du ventricule droit, sans dysfonction droite majeure. Une anticoagulation thérapeutique par héparine a été débutée et adaptée selon la valeur de l'activité anti-Xa, puis sera substituée par du rivaroxaban avant la sortie de l'hôpital. Face à une probable maladie thrombo-embolique, un bilan de thrombophilie devrait être effectué. De même, l'étiologie d'une légère anémie hypochrome devra être recherchée selon l'évolution. Vu la stabilité hémodynamique, la patiente a été transférée le 13.04.2019 dans le service de médecine interne. Mme. Y consulte les urgences le 08.04.2019 en raison d'une faiblesse, de nausées et de palpitations à son réveil, suite à un tentamen médicamenteux la veille. Plus précisément, le 07.04.2019 vers 14h00, la patiente aurait pris 3 comprimés de dafalgan 500 mg et 16 comprimés de Dafalgan 1 g. Après cela, elle se serait couchée et endormie. Vers 20 heures, la police se rend à son domicile, appelée par une amie, afin de vérifier si tout allait bien. Après leur départ, elle présente quelques épisodes de vomissements puis se rendort. Pas de douleur abdominale, ni d'autre plainte. Il s'agit du premier épisode de tentamen, mais ce n'est pas la première fois qu'elle y pense. Mme. Y aurait bénéficié d'un suivi psychiatrique à Lausanne, arrêté en raison de son déménagement dans le canton de Fribourg. Au status digestif, l'abdomen est souple et sensible au niveau épigastrique. Pas de défense ni de détente. Les bruits abdominaux sont normaux, le Murphy est négatif. Les loges rénales sont souples et indolores. Le status cardio-pulmonaire est dans la norme. Au status cutané, notons d'anciennes traces de scarifications sur les avant-bras, faites il y a 6 ans pour se punir. Aux urgences, Mme. Y dit se sentir mieux au niveau psychologique et ne rapporte pas d'idée noire. Nous mettons en place un protocole de N-Acétylcystéine (150 mg/kg/h sur 1 heure, 12.5 mg/kg/h pour 4 heures, puis 6.25 mg/Kg/h pour 16 heures) et la patiente est hospitalisée en médecine pour la suite de la prise en charge. À l'étage, la patiente signale des céphalées et des nausées persistantes ainsi que des douleurs à la palpation au niveau de l'hypochondre droit. Du point de vue psychiatrique, la patiente ne rapporte pas d'idées noires. La paracétamolémie est à 27 mg/l. Durant le séjour, la patiente développe une hépatite aigue toxique avec de légers troubles de la crase (facteur V 62%), motivant un avis hépatologique du CHUV, qui nous conseille de poursuivre le protocole de N-acétylcystéine au-delà du protocole standard, d'effectuer une US hépatique à la recherche de complications ainsi qu'un dépistage des hépatites. L'US abdominal revient dans la norme. Nous n'effectuons pas l'ensemble des sérologies hépatiques en raison d'une anamnèse claire d'intoxications au paracétamol sans argument pour une hépatite virale. L'évolution sur le plan hépatique est par la suite favorable permettant l'arrêt de la N-acétyl-cystéine. Un contrôle du bilan hépatique est à effectuer en ambulatoire afin de confirmer la normalisation des transaminases. Sur le plan psychiatrique, Mme. Y est évaluée le 10 et le 12.04.2019. Le Dr. X, psychiatre de liaison conclut à des troubles de l'adaptation avec prédominance de la perturbation des conduites et passage à l'acte et une suspicion de trouble de la personnalité émotionnellement labile de type borderline. Selon elle, le risque suicidaire est faible et il n'y a pas d'indication à une hospitalisation en milieu psychiatrique. Une prise en charge en ambulatoire au CSSM de Bulle est proposée et les numéros de téléphone sont donnés à la patiente. Au vu d'une évolution clinique favorable, tant sur le plan somatique que psychologique, Mme. Y peut regagner son domicile le 13.04.2019. Nous recommandons un contrôle clinico-biologique, notamment des paramètres hépatiques, à un mois. Mme. Y est un patient de 57 ans, qui se présente le 08.04.2019 aux urgences en raison de douleurs en HCD fluctuantes avec nausées et vomissements depuis une semaine. Le bilan effectué par le médecin traitant retrouve une cholécystite multi-lithiasique ainsi qu'une lithiase cholédocienne. La patiente est hospitalisée dans notre service pour antalgie. Une ERCP avec papillotomie est effectuée le lendemain de l'hospitalisation qui se passe sans particularité. L'opération initialement planifiée au Daler pour le 10.04.2019 est annulée. La suite de la prise en charge reste simple permettant à la patiente un retour à domicile le 12.04.2019. Le traitement antibiotique sera continué pour une totalité de 14 jours. La patiente sera revue lors de la consultation du Dr. X afin de discuter d'une cholécystectomie. Mme. Y est admise aux soins intensifs pour un choc hémorragique dans le contexte d'une perforation de l'artère fémorale droite suite à une coronarographie réalisée le 25.04.2019 pour un NSTEMI. La patiente, adressée aux urgences le 25.04.2019 par son médecin traitant pour un NSTEMI sur occlusion de la circonflexe moyenne, bénéficie de la mise en place d'un stent actif le 25.04.2019. En fin de coronarographie, elle présente un état de choc secondaire à une hémorragie rétropéritonéale visualisée au CT scan. Elle bénéficie de la mise en place d'une endoprothèse fémorale droite en urgence. Ce geste, associé à la transfusion de 2 CE et à une réversion partielle de la crase (protamine 5 000 UI) permet une stabilisation hémodynamique de suite. Elle nous est alors adressée pour suite de prise en charge. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable, sans récidive hémorragique ni angor. Une double antiagrégation plaquettaire par Aspirine et Prasugrel est reprise, qui est prévue pour 12 mois. Nous introduisons des bêta-bloquants avec une bonne tolérance clinique. L'introduction d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion est à considérer selon l'évolution des profils tensionnels. La patiente est transférée en médecine interne le 26.04.2019 pour suite de prise en charge. Mme. Y, patiente de 72 ans, est adressée au service des urgences par son médecin traitant pour des douleurs thoraciques oppressives en péjoration depuis 4 jours, accompagnées d'une dyspnée d'effort. La patiente est hospitalisée pour un NSTEMI et la coronarographie retrouve une occlusion de l'artère circonflexe moyenne. La patiente bénéficie de la mise en place d'un stent actif le 25.04.2019. En post-coronarographie, la patiente présente un choc hémorragique sur un saignement rétropéritonéal visualisé au CT. Elle est stabilisée avec transfusions de 2 culots érythrocytaires ainsi qu'une correction de la crase. Après mise en place d'une endoprothèse fémorale droite par nos collègues angiologues, elle reste hémodynamiquement stable.L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable. Une double antiagrégation plaquettaire par Aspirine et Prasugrel est prévue pour 12 mois. Nous introduisons des bêta-bloquants et des inhibiteurs de l'enzyme de conversion, et un traitement par statine est à reconsidérer au vu des antécédents d'intolérance aux statines de la patiente. L'hémoglobine demeure stable suite à l'hémorragie et un bilan de carence en fer pourrait être réalisé à distance. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 30.04.2019. Mme. Y, 67 ans, est admise aux soins intensifs pour une détresse respiratoire hypoxémique. Pour rappel, la patiente est immuno-supprimée en raison d'une transplantation rénale en 2014 et a présenté un ARDS sur une infection à Rhinovirus avec intubation du 21.03 au 26.03.2019. Après l'extubation, elle reste dépendante de la VNI à cause de la surcharge et des atélectases avec une évolution lentement favorable. Elle est transférée à l'étage le 03.04.2019 au vu d'une situation stable au niveau respiratoire. Elle présente un épisode d'agitation associée à une détresse respiratoire avec une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique. Le bilan d'entrée ne montre pas d'origine claire de sa décompensation. Une possible prise de Benzodiazépine est évoquée. Sous ventilation non-invasive, la situation respiratoire s'améliore rapidement. L'échographie pleurale montre des épanchements pleuraux bilatéraux, mais non ponctionnables, épanchements minimes, avec risque de pneumothorax trop important. L'évolution aux soins est rapidement favorable, nous poursuivons la VNI 2x/j de manière prophylactique pour éviter de nouveaux épisodes d'encombrements. Mme. Y ne présente pas de récidive d'agitation, mais semble confuse et désorientée. L'évaluation neurologique fine est rendue difficile du fait de la barrière de la langue. Nous mettons en évidence une baisse de l'élan vital avec un possible syndrome de glissement et un état dépressif récurrent pour lesquels nous reprenons la venlafaxine. Les douleurs sont insuffisamment soulagées par Fentanyl 50 ug/72h, nous le majorons le 05.04.2019 à 75 ug/72 h. L'immunosuppression post-greffe rénale est assurée par Cellcept, ciclosporine et Prednisone. Après discussion avec les néphrologues et après réception des résultats du taux de ciclosporine du 04.04.2019, nous adaptons les posologies de la ciclosporine (200 mg matin et 150 mg le soir), et nous majorons la Prednisone de 15 mg par jour. Nous voulons lui laisser le soin de poursuivre l'adaptation de son traitement immunosuppresseur. Nous profitons aussi de son séjour aux soins pour ré-adapter son traitement antihypertenseur; nous lui laissons également le soin de contrôler et adapter de nouveau selon l'évolution. Mme. Y est une patiente de 37 ans qui bénéficie d'une résection iléo-caecale dans le cadre du diagnostic susmentionné. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables, permettant un retour à domicile le 23.04.2019. Mme. Y est une patiente de 48 ans, qui est hospitalisée dans notre service de chirurgie en urgence dans le cadre d'un iléus mécanique grêle avec saut de calibre en fosse iliaque gauche. Le traitement conservateur instauré initialement est réfractaire avec une péjoration du tableau clinique et un syndrome inflammatoire à la hausse, motivant une prise en charge chirurgicale. La patiente bénéficie le 25.03.2019 d'une laparotomie exploratrice permettant la résection d'une bride. L'évolution est par la suite favorable, permettant un retour à domicile le 02.04.2019. Mme. Y est hospitalisée pour la pose de sonde de resynchronisation à son pacemaker. Au vu d'une symptomatologie de dyspnée en augmentation, elle a effectué un ultrason cardiaque montrant une péjoration de sa fonction cardiaque malgré un traitement médicamenteux important. Le Dr. X pose l'indication à l'intervention. Celle-ci se déroule sans complication. La radiographie post-opératoire confirme la bonne tenue de l'intervention. Un contrôle de la plaie aura lieu à 10 jours chez son médecin-traitant et du pacemaker à 4-6 semaines en cardiologie. Mme. Y rentre à domicile le 01.04.2019. Mme. Y nous est adressée par nos confrères de l'Inselspital pour la suite de prise en charge d'un traumatisme crânien de grade 3, survenu lors d'une chute dans les escaliers. Le scanner des urgences avait mis en évidence des hémorragies frontale intraparenchymateuse, sous-arachnoïdienne et sous-durale, ainsi qu'une dissection de l'artère vertébrale gauche. Lors de son admission dans notre service, Mme. Y ne formule pas d'autre plainte que des céphalées diffuses périodiques, amendées par la prise de paracétamol. Aucun déficit neurologique focal n'est par ailleurs objectivé. Une IRM cérébrale témoigne d'une stabilité des hématomes sous-duraux et sous-arachnoïdiens. La dissection de l'artère vertébrale initialement décrite au CT-scan semble être chronique. Nous organisons alors un examen d'US-Doppler à distance des axes pré-cérébraux. En raison des hématomes et de la dissection vertébrale, le profil tensionnel est réadapté avec une cible de TA systolique maximale de 140 mmHg. Un traitement par anticalcique et diurétique est donc introduit et le dosage de l'IEC majoré. La situation neurologique sera réévaluée en ambulatoire par le Dr. X. Mme. Y sera par ailleurs convoquée à distance pour un examen neuro-psychologique. Nous informons par ailleurs la patiente que la conduite de tout véhicule automobile est prohibée pour une durée de trois mois, à réévaluer par la suite. Dans le cadre du bilan de chute et du suivi post-hémorragique, un EEG est effectué, ne révélant pas d'argument pour une épilepsie. Un bilan cardiaque est effectué, avec une échocardiographie transthoracique qui démontre une bonne fonction cardiaque ainsi qu'un examen de Holter dont l'interprétation est encore en cours par les cardiologues; les résultats vous seront communiqués dans les meilleurs délais. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à son domicile le 30 avril. Mme. Y présente une fracture peu déplacée du plateau tibial externe associée à des lésions de stade II des cornes postérieures des 2 ménisques de son genou gauche. Je propose un traitement conservateur. La patiente garde son genou immobilisé dans l'attelle jeans à 20° de flexion. Physiothérapie pour la rééducation à la marche à l'aide de 2 cannes anglaises avec une charge maximale de 5 kg pendant encore 4 semaines. La flexion est limitée à 60°. Extension complète. La patiente continue la thrombo-prophylaxie sous forme de Clexane 40 mg sous-cutané 1x1/jour jusqu'au prochain rendez-vous radio-clinique qui est prévu le 1.5.2019 à ma consultation. Arrêt de travail attesté à 100% jusqu'au prochain rendez-vous du 1.5.2019. Mme. Y est amenée aux urgences par ambulance pour un état confusionnel aigu agité, évoluant depuis ces dix derniers jours, sans réponse à la majoration des neuroleptiques que vous lui avez prescrit. Notre bilan initial écarte un trouble ischémique cardiaque, ainsi qu'un accident vasculaire cérébral. Notre examen permet de retrouver un fécalome, ainsi qu'un globe vésical et un état de déshydratation. Nous suspendons l'administration d'acide valproïque, de quétiapine et de distraneurine. Nous majorons le traitement d'halopéridol, traitons le globe urinaire, évacuons le fécalome et hydratons le patient. Mme. Y présente alors une rémission de son délirium.Nous vous proposons de poursuivre l'administration d'halopéridol, ainsi que d'administrer de la levomépromazine en cas d'agitation. Sur le plan ostéo-articulaire, Mme. Y présente un hématome avec douleurs à la mobilisation du poignet G, sans défaut anatomique franc. Une radiographie ne montre pas de fracture. Nous optons alors pour un traitement antalgique simple. Au niveau cardiologique, la patiente est connue pour une fibrillation auriculaire sous xarelto. Nous constatons une FA à conduction ventriculaire rapide. Un traitement par beta-bloqueur est mis en place. Sur le plan thyroïdien, Mme. Y présente un trouble de la fonction thyroïdienne sans étiologie claire. Nos endocrinologues ne retrouvent pas d'explication claire et suspectent un Euthyroid sick syndrom. Nous vous proposons alors de contrôler la fonction thyroïdienne (TSH, T4 libre et T3 libre) dans deux semaines. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à l'EMS à la date du 10 avril. Mme. Y, 50 ans, est admise pour un STEMI antérieur sur l'occlusion de l'IVA proximale. La patiente, tabagique et en bonne santé habituelle, se présente aux urgences de Payerne avec des douleurs thoraciques irradiant dans le dos et les deux bras. L'ECG montre un STEMI antérieur et elle est transférée à Fribourg où la coronarographie montre une occlusion proximale de l'IVA qui est ouverte par l'insertion d'un stent actif. Un traitement d'Aspirine est à prendre à vie et du Brilique pour 12 mois. Le pic de CK est rapidement atteint. Une échocardiographie est encore à effectuer. Une insuffisance cardiaque avec une fraction d'éjection à 30% est mise en évidence. Un traitement complet par IEC, bétabloqueurs et statine est débuté. En raison d'un OAP, un traitement diurétique de l'anse est débuté ainsi que de la VNI avec une bonne évolution. Une cytolyse hépatique est mise en évidence et est probablement secondaire à une insuffisance cardiaque. Les valeurs s'améliorent dès amélioration clinique. La patiente est transférée pour suite de prise en charge aux soins intensifs de Payerne. Mme. Y nous est adressée par son médecin traitant pour une décompensation cardiaque, une anémie et des soins difficiles à domicile. La patiente se plaint de dyspnée d'effort NYHA III et de légers oedèmes des membres inférieurs. Les NT-proBNP étaient à 2198 pg/ml chez le médecin traitant. L'ECG montre un rythme sinusal. Le bilan radioclinique montre une décompensation cardiaque que nous mettons sur le compte d'une hypertension mal contrôlée ou de possibles passages en fibrillations auriculaires rapides. Une échocardiographie montre une fonction cardiaque conservée. Nous introduisons des diurétiques avec une bonne évolution clinique. Au vu de la persistance d'une saturation autour de 85% à l'air ambiant, une scintigraphie est réalisée (insuffisance rénale) qui permet d'exclure une embolie pulmonaire. Au vu du risque de chute élevé, nous décidons de ne pas introduire d'anticoagulation pour la fibrillation auriculaire intermittente. Nous proposons au médecin traitant de réévaluer l'indication à une anticoagulation selon l'évolution de la mobilisation et du lieu de vie (domicile ou EMS). Au niveau hématologique, nous observons une anémie microcytaire normochrome arégénérative d'origine mixte : ferriprive, carence en acide folique et éventuellement spoliative sur saignements vaginaux intermittents en lien avec le prolapsus vaginal. La recherche de sang occulte dans les selles est négative. Nous administrons une dose unique de Ferinject et de l'acide folique pendant 1 mois. Nous proposons au médecin traitant de réaliser un contrôle biologique en mi-mai. Au niveau angiologique, Mme. Y présente un ulcère au niveau de la malléole externe du membre inférieur droit. Un bilan angiologique montre un flux correct jusqu'en distalité permettant la cicatrisation de la plaie. Nous proposons un suivi clinique. En cas de non-évolution, en pesant le rapport bénéfice-risque, une artériographie par cross over avec angioplastie de l'AFC pourrait être proposée. Au niveau rénal, nous constatons une insuffisance rénale de type rénal pour laquelle la patiente était déjà connue. Une éviction des médicaments et des procédures néphrotoxiques est appliquée. Au niveau abdominal, nous découvrons de manière fortuite à la radiographie du thorax une volumineuse hernie hiatale qui est asymptomatique chez la patiente. Nous ne proposons pas de suivi particulier. Mme. Y présente depuis une année une baisse de l'état général avec des difficultés au niveau de l'hygiène, de l'alimentation et de la mobilité avec des chutes. Elle ne présente pas de symptôme B. Elle est connue pour une consommation d'alcool à risque. Un suivi ciwa ne montre pas de signe de sevrage. De la physiothérapie est réalisée. Au niveau social, la patiente vit seule dans une grande maison à Cresuz avec un isolement géographique et social rendant les soins difficiles à domicile. Lors d'un réseau avec la famille et la patiente, nous décidons que Mme. Y irait en court séjour à l'EMS de la Rose d'automne. Par la suite, il sera décidé si la patiente rentre à domicile avec une augmentation des soins à domicile ou si elle va dans un EMS. Mme. Y est reclassée le 26.04.2019 en attente d'une place dans un établissement médico-social. Mme. Y, patiente de 68 ans, connue pour une hypertension artérielle traitée par Zanidip et des polyarthralgies, nous est envoyée par son médecin traitant en raison d'une suspicion de NSTEMI. La patiente rapporte une douleur thoracique la veille en coup de couteau unique, d'intensité extrême (évaluée à 10/10), d'une durée de quelques secondes, au niveau rétrosternal gauche sans irradiation, une douleur qui est immédiatement suivie par des palpitations durant plus d'une heure et menant à des épisodes répétés de pré-syncopes. Elle rapporte également une asthénie générale avec un état nauséeux et de mal-être, ainsi que des céphalées en casque, motivant une consultation chez son médecin traitant. Le médecin traitant retrouve alors un ECG sans particularités, une TAS à 200/90 et une perturbation des enzymes cardiaques avec 37 ng/l de troponines, raison pour laquelle il nous l'adresse pour un bilan cardiovasculaire. Lors du bilan biologique, nous retrouvons également une élévation des troponines à 35 ng/l, cependant sans cinétique. L'ECG est sinusal et normocarde, sans signes d'ischémie. Il est décidé de réaliser un Angio-CT cardiaque au vu de la faible probabilité clinique d'atteinte ischémique. L'examen est dans la norme, montrant de petites calcifications non significatives. Nous interprétons la douleur thoracique de la patiente comme probablement due à un pic hypertensif. La patiente présentant des tensions artérielles élevées durant l'hospitalisation et rapportant plusieurs pics hypertensifs à l'anamnèse, nous introduisons un traitement supplémentaire d'Irbesartan et nous proposons un suivi régulier des tensions artérielles à domicile et par le médecin traitant. En ce qui concerne les épisodes de palpitations avec symptomatologie de pré-syncope, nous n'observons pas de récidives durant l'hospitalisation et la patiente étant asymptomatique et apte, nous proposons un suivi en ambulatoire avec la réalisation d'un R-Test. Mme. Y peut rentrer à domicile le 18.04.2019 en bon état de santé général. Mme. Y bénéficie de l'intervention susmentionnée. Les suites opératoires sont simples et sans complication. L'ablation des Merocels se fait à J1. Les douleurs postopératoires sont bien contrôlées. Au vu de l'évolution clinique favorable, elle peut retourner à domicile.Mme. Kolly est admise pour une coronarographie élective en raison d'un angor stable stade II avec une ergométrie négative et une échocardiographie normale chez une patiente connue pour une HTA, hérédité, diabète (régime) et hypercholestérolémie. L'examen du jour révèle une maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et coronaire droite), avec comme lésions sévères une sténose subtotale de la 1ère branche diagonale de l'IVA traitée par PCI / 1 DES et une sténose de 70-90% de l'IVA moyenne traitée par PCI / 2 DES avec un bon résultat final. Seulement en cas d'angor résiduel, l'indication serait donnée à traiter la sténose non critique de l'IVP dans un 2ème temps. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 25.04.2019. Mme. Kolly est une patiente connue pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, qui est prise en charge chirurgicalement pour une cure de pseudarthrose avec Matrix Rib et neurolyse des côtes 6 à 9 à gauche le 09.04.2019. L'opération se déroule sans complication et les suites post-opératoires sont favorables permettant un retour à domicile le 16.04.2019. Mme. Kolly, patiente de 68 ans, en bonne santé habituelle, est transférée du CHUV le 17.04.2019 suite à une craniotomie pariéto-occipitale gauche le 14.04.2019 pour deux hématomes épiduraux gauches après une chute accidentelle d'une échelle avec réception sur les fesses puis la tête. La patiente présente une amnésie rétrograde et antérograde jusqu'au réveil de l'intervention. L'hétéro-anamnèse avec son fils qui était présent nous apprend que l'échelle sur laquelle se trouvait la patiente a glissé et qu'elle a chuté avec TC sans PC. Elle a présenté par la suite des vertiges avec troubles de l'équilibre sans autre plainte, motivant son transfert en ambulance vers l'hôpital de Payerne. Là-bas, le status neurologique est dans la norme, un CT cérébral est demandé. La patiente présente par la suite une dysesthésie au niveau de la main droite et l'imagerie montre un hématome épidural gauche. Elle présente par la suite un hémisyndrome brachio-crural droite motivant son transfert au CHUV où un second CT cérébral montre une augmentation de l'hématome avec déviation de la ligne médiane. Une craniotomie temporo-pariétale gauche est réalisée pour évacuer les hématomes épiduraux, environ 7h après la chute. Un CT cérébral le 14.04.2019 montre un status après drainage de l'hématome épidural et une diminution de la déviation de la ligne médiane et une stabilité de l'HSA temporale droite. Un test neuropsychologique est réalisé au CHUV montrant un bon potentiel de récupération et la patiente nous est transférée pour suite de prise en charge. Une demande de neuroréhabilitation intensive sur le site de Meyriez est demandée et la patiente bénéficie d'exercices de physio et d'ergothérapie avec amélioration de la symptomatologie. Lors de son transfert, la patiente présente encore des troubles de la marche et de l'équilibre avec un Romberg tenu mais une marche du funambule instable. L'héminégligence droite est en régression, tout comme la dysmétrie droite. Une hypertension artérielle est diagnostiquée lors de son séjour au CHUV et un traitement par Amlodipine est introduit avec bon contrôle des valeurs tensionnelles. Le traitement est poursuivi avec des valeurs demeurant stables durant le séjour. Mme. Kolly est transférée en neuroréhabilitation à Meyriez le 25.04.2019. Une consultation de contrôle à la consultation du Dr. X au CHUV est organisée le 14.06.2019 à 15h30 avec un CT cérébral natif le 28.05.2019 à 10h45. Mme. Korhan-Mikail, patiente de 79 ans, est admise aux soins intensifs pour la surveillance d'une pancréatite aiguë et d'une cholangite. La patiente, connue pour des antécédents de pancréatites ainsi qu'un status post cholécystectomie, consulte les urgences pour des douleurs abdominales hyper-aiguës. Le bilan biologique retrouve une lipase augmentée et un CT-scan confirme une pancréatite avec œdème surtout de la tête et de l'incus. Dans ce contexte, la patiente est admise aux soins intensifs. Une possible origine biliaire est évoquée pour l'épisode actuel de pancréatite. En effet, le CT-scan d'entrée aux urgences retrouve une dilatation pathologique du canal cholédoque jusqu'à 20 mm. Une cholangio-IRM est organisée sans urgence afin de mieux caractériser les voies biliaires. L'évolution clinique et biologique est cependant rapidement défavorable avec l'apparition d'un état de choc septique mis sur le compte d'une cholangite bactériémique associée à la pancréatite. Un soutien aminergique est introduit ainsi qu'une antibiothérapie large spectre (Méropénème, Vancomycine et Gentamycine) au vu aussi des antécédents d'hémocultures positives à E. Coli BLSE en février passé. Une ERCP est effectuée en urgence et montre une sténose cholédocienne qui peut être dilatée. Suite au résultat des hémocultures, l'antibiothérapie est adaptée par co-Amoxicilline. L'évolution est favorable avec une diminution du syndrome inflammatoire. La nutrition peut être instaurée per os. Dans le cadre du choc septique, la patiente est devenue délirante et a dû être traitée par benzodiazépine, antipsychotique et clonidine. L'évolution a été favorable grâce à la présence 24h/24 de la famille en chambre chez cette patiente. La patiente a présenté un OAP sur une agitation compliquée d'un pic hypertensif. La fonction cardiaque a été bilantée et la volémie adaptée. La patiente est transférée en unité de chirurgie pour la suite de prise en charge. Mme. Koverova est une patiente de 46 ans connue pour un carcinome canalaire invasif du sein droit ayant échappé à plusieurs lignes de chimiothérapie et sans alternative thérapeutique. Elle bénéficie d'un soutien médico-infirmier par Voltigo à domicile dans le contexte de douleurs diffuses et d'une dyspnée en péjoration. C'est dans ce contexte que la patiente doit être hospitalisée le 28.03.19 en raison de suites de soins impossibles à domicile. Après consultation avec le Dr. X, oncologue traitant de la patiente, et l'équipe de chirurgie thoracique, il est décidé de ne pas procéder à une thoracocentèse malgré des épanchements pleuraux bilatéraux d'origine oncologique. Les risques d'un geste dépassent largement le bénéfice espéré et la pose d'un Pleurix dans ce même contexte n'avait amené aucune amélioration par le passé. Il est donc convenu de traiter la dyspnée avec une pompe de Fentanyl dont le dosage doit être progressivement majoré. Mme. Koverova décède calmement dans la nuit du 1er au 2 avril. Mme. Krattinger a séjourné dans notre service du 16.04. au 17.04.2019 pour un contrôle de VNI. Depuis son dernier contrôle en octobre 2018, la patiente rapporte une tolérance modérée à l'appareillage notamment liée à l'anxiété d'avoir un masque sur le visage. Par ailleurs, pas de point de pression désagréable, de fuites importantes ou de sécheresse des muqueuses de la sphère ORL rapportées. Elle nous décrit donc une utilisation pas systématique avec un jour de non-utilisation tous les 3 jours environ. Elle ne remarque pas de changement au niveau de la fatigue ou de la somnolence sur la journée qu'elle porte ou non sa VNI. Pas de symptômes évoquant une hypercapnie nocturne ni d'infection des voies respiratoires depuis son dernier contrôle. À noter le diagnostic récent d'un carcinome de l'ovaire droit ayant motivé une opération au niveau gynécologique et le début d'une chimiothérapie actuellement.La polygraphie nocturne avec capnographie du jour révèle une excellente prise en charge des apnées du sommeil avec des valeurs de capnie moyenne sur la nuit normales. On note également une bonne oxygénation sanguine. Dans ce contexte, nous n'effectuons pas de changement des paramètres et reverrons la patiente dans une année pour un nouveau contrôle. Entre-temps, nous l'encourageons à porter le plus possible sa VNI et lui rappelons de prendre contact avec la ligue pulmonaire si des problèmes liés à la machine devaient apparaître. Mme. Y est une patiente de 61 ans, connue pour une épilepsie depuis l'enfance sous bithérapie avec hémiparésie facio-brachio-crurale droite sur s/p état de mal épileptique en 1979. Elle a été hospitalisée à l'Inselspital Bern pour une crise tonico-clonique généralisée non objectivée le 06.03.2019 sur la nuit, retrouvée le matin par le Spitex. Elle a présenté une perte de contact avec amnésie, ainsi qu'une morsure de langue avec dysarthrie en péjoration. À son arrivée à l'Inselspital Bern, son GCS est à 8/15 avec bonne évolution sous charge de Keppra. Le bilan réalisé à l'Inselspital Bern ne montre pas d'origine nouvelle à cette crise. À son arrivée à l'HFR Fribourg, les seules modifications de son statut neurologique par rapport à son statut habituel sont une dysarthrie modérée avec troubles de la marche. Les taux sériques des antiépileptiques sont thérapeutiques. Concernant la Primidone, sur conseil neurologique, un sevrage lent est débuté en raison des interactions médicamenteuses, de sa potentielle participation aux mouvements anormaux et de son atteinte sur le bilan phosphocalcique. Un contrôle neurologique avec EEG est agendé à 3 mois. Durant l'hospitalisation à l'Inselspital Bern, elle aurait présenté des douleurs thoraciques atypiques avec mouvement enzymatique et régionalité à l'échocardiographie. Une coronarographie réalisée montre des coronaires saines. Sur avis cardiologique, une prévention primaire par Aspirine Cardio est introduite. Elle relate une hématochézie évoluant depuis 3 mois. Elle est connue pour des hémorroïdes stade II mises en évidence lors d'une rectoscopie en 2004. Durant l'hospitalisation, aucune extériorisation n'est mise en évidence. Une consultation proctologique +/- bilan endoscopique sera à organiser en ambulatoire. De plus, elle présente des douleurs avec limitations de la mobilité de l'épaule gauche sur s/p OS pour fracture claviculaire gauche, sans traumatisme récent. Un bilan radiologique ne montre pas de déplacement secondaire, ni fracture nouvelle. Nous proposons de poursuivre une physiothérapie de mobilisation. En cas de mauvaise évolution, nous vous prions de demander un avis orthopédique pour réévaluer la pertinence d'une ablation d'AMO. Concernant son ostéoporose mise en évidence lors d'une densitométrie en août 2017, elle n'a reçu qu'une seule dose d'Aclasta en 2017. Nous vous prions de revoir avec le médecin traitant la poursuite des biphosphonates annuels et d'organiser une densitométrie de contrôle en automne 2019. Dans l'intervalle, nous majorons la substitution de vitamine D et de calcium. Mme. Y est transférée pour réadaptation gériatrique à l'HFR Tafers le 18.03.2019. Mme. Y, 90 ans, est admise aux soins intensifs pour une décompensation cardiaque globale. La patiente consulte aux urgences en raison d'une dyspnée d'effort de stade NYHA III-IV, en péjoration progressive depuis plusieurs semaines. Une cyanose des extrémités et labiale est notée à l'admission, mais décrite comme habituelle par la patiente depuis plusieurs mois, faisant suspecter une décompensation d'apparition subaiguë. La radiographie de thorax révèle un épanchement pleural droit, de faible quantité. L'échocardiographie transthoracique du 30.04.2019 montre une FEVG diminuée à 40%, avec des signes de surcharge volémique. Au vu d'une hypoxémie, un traitement par VNI est instauré, en complément de Lasix IV, avec une bonne réponse sur le plan respiratoire et de la diurèse. Une insuffisance rénale aiguë d'allure prérénale est stable durant l'hospitalisation aux soins intensifs. Un érysipèle du membre inférieur droit est suspecté à l'admission, néanmoins, en raison de l'absence de syndrome inflammatoire ou d'état fébrile et le caractère pauci-symptomatique de la patiente, le traitement par Co-Amoxicilline introduit aux urgences n'est pas reconduit. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente est transférée en division de médecine interne pour suite de prise en charge. Mme. Y, 90 ans, est admise aux soins intensifs pour une décompensation cardiaque globale. La patiente consulte aux urgences en raison d'une dyspnée d'effort de stade NYHA III-IV, en péjoration progressive depuis plusieurs semaines. Une cyanose des extrémités et labiale est notée à l'admission, mais décrite comme habituelle par la patiente depuis plusieurs mois, faisant suspecter une décompensation d'apparition subaiguë. La radiographie de thorax révèle un épanchement pleural droit, de faible quantité. L'échocardiographie transthoracique du 30.04.2019 montre une FEVG diminuée à 40%, avec des signes de surcharge volémique. L'évolution est rapidement favorable sous VNI et majoration du traitement diurétique. Une insuffisance rénale aiguë d'allure prérénale est stable durant l'hospitalisation aux soins intensifs. Le traitement par IEC est mis en suspend et sera à reprendre le plus rapidement possible. Un érysipèle du membre inférieur droit est suspecté à l'admission, néanmoins, en raison de l'absence de syndrome inflammatoire ou d'état fébrile et le caractère pauci-symptomatique de la patiente, le traitement par Co-Amoxicilline introduit aux urgences n'est pas reconduit. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente est transférée en division de médecine interne pour suite de prise en charge. Mme. Y, résidant au home de la Vallée de la Jogne, est amenée aux urgences en ambulance le 28.02.2018 en raison d'une dyspnée d'apparition brutale durant la nuit du 27 au 28.02.2019. Dans ce contexte, le Dr. X, médecin de garde, augmente l'oxygénothérapie de 2 à 4 l/min, administre un push de Ventolin et d'Atrovent ainsi qu'une dose de Lasix 20 mg im et adresse la patiente aux urgences. À noter qu'un ECG effectué met en évidence une fibrillation auriculaire. À l'admission aux urgences, la patiente est hypertendue à 158/74 mmHg, normocarde à 58 bpm, afébrile à 37.6°C, tachypnéique à 24/min et sature à 98% sous 4 litres d'oxygène. Au status cardiovasculaire, notons un souffle holosystolique en foyer aortique d'intensité 3/6, sans œdème des membres inférieurs. L'auscultation pulmonaire met en évidence des râles crépitants bilatéraux au niveau des deux bases pulmonaires. Le laboratoire met en évidence une créatinine à 173 mcmol/l et la gazométrie sous 4 litres d'oxygène montre une acidose respiratoire avec hypercapnie à 8.0. Nous effectuons une radiographie du thorax qui montre des signes de surcharge. L'ECG effectué par le Dr. X montre une fibrillation auriculaire qui n'est pas confirmée par l'ECG effectué aux urgences. Au vu de la situation, nous retenons le diagnostic de décompensation cardiaque sur fibrillation auriculaire paroxystique. Nous débutons un traitement diurétique IV et, en raison d'un score de CHADSVASC à 5, nous débutons également une anticoagulation par Eliquis. Au niveau cardiaque, Mme. Y demeure dyspnéique au cours du séjour malgré notre traitement. Nous introduisons un traitement diurétique per os par Torasémide le 02.03.2019. Nous contactons le home et le personnel soignant nous informe que la patiente bénéficie d'une oxygénothérapie à 2 l/min depuis plusieurs semaines en raison des désaturations. Après avoir effectué une catamnèse autour de la dyspnée d'apparition brutale avec sensation de malaise, nous suspectons une embolie pulmonaire. Au vu de l'anticoagulation pour une fibrillation auriculaire ainsi que de l'insuffisance rénale, nous renonçons à effectuer un CT scan thoracique injecté. Le CT scan thoracique natif montre un épaississement des bases compatible avec la surcharge constatée cliniquement. Nous réalisons également une échocardiographie transthoracique qui ne met pas en évidence de pathologie cardiaque sous-jacente. La patiente étant sous oxygénothérapie suite à une pneumopathie infectieuse, nous tentons un sevrage de l'oxygène avec succès et l'évolution clinique reste stable.Sur le plan rénal, nous constatons une péjoration de la fonction rénale sur traitement diurétique. Par conséquent, une partie des traitements potentiellement néphrotoxiques est suspendue. Nous stoppons également la Colchicine en raison de l'absence de symptomatologie goutteuse. Nous vous prions de reprendre le traitement habituel par Torasémide, Prégabaline et Losartan dès amélioration de la fonction rénale. Mme. Y peut regagner le home le 11.03.2019. Mme. Y, 64 ans, connue pour un goitre multinodulaire avec hyperthyroïdie symptomatique depuis 2014 sous traitement par Néomercazole et suivie par le Dr. X, est hospitalisée en électif le 17.04.2019 afin de bénéficier d'une thyroïdectomie totale bilatérale. L'intervention est effectuée le jour même de l'entrée et se déroule sans particularité. La suite est favorable avec des calcémies stables, une patiente non algique sous antalgie standard et une alimentation bien tolérée. Mme. Y, connue pour un statut post-colectomie droite en juin 2018 dans un contexte d'adénocarcinome colique, actuellement avec métastase hépatique en investigation (coelioscopie le 21.03.2019), domiciliée et suivie à Marseille (en vacances chez sa fille en Suisse), est amenée aux urgences en ambulance le 27.03.2019 en raison d'un état fébrile à 39°C avec frissons depuis le 25.03.2019 associé à une baisse de l'état général. La patiente rapporte également 4 épisodes de diarrhées le 25.03.2019 et un épisode de vomissement le 26.03.2019. Pas d'autre plainte à l'anamnèse par systèmes. Les status digestif, cardio-pulmonaire, ORL et neurologique sont sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP à 263 mg/l et leucocytose à 18 G/l. Mise également en évidence d'une perturbation des tests hépatiques avec ASAT à 74 U/l, ALAT à 24 U/l, Gamma GT à 262 U/l, phosphatase alcaline à 175 U/l et LDH à 1927 U/l ainsi qu'une hypokaliémie à 3,2 mmol/l. Le sédiment urinaire est dans la norme et la radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Nous complétons le bilan par un CT scan abdominal qui est suspect pour une collection abcédée du dôme hépatique vs métastase nécrotique. Cependant, le diagnostic de fièvre tumorale est très probable. Au vu de l'hypokaliémie, nous mettons en place 20 MEq sur 2 heures avec normalisation de la kaliémie. On réalise un remplissage NaCl 1500 ml. Le Dr. X (chirurgien) prend avis auprès du chirurgien de Fribourg qui ne retient pas d'indication à un drainage chirurgical de la lésion suspecte. Dans ce contexte, un avis chirurgical et médical conjoint (Dr. X et Dr. X) est pris et une antibiothérapie par Rocéphine 2g iv + Flagyl 500 mg iv est débutée après prélèvement de 2 paires d'hémocultures. La patiente est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. L'évolution est rapidement favorable et le traitement par Flagyl est arrêté le 28.03.2019 et la Rocéphine le 29.03.2019. La patiente ne développe pas de symptômes et reste afébrile. Au laboratoire, nous notons une amélioration des tests hépatiques et une diminution du syndrome inflammatoire. Les hémocultures reviennent négatives. Nous retenons donc le diagnostic d'état fébrile d'origine tumorale et Mme. Y peut quitter notre service le 02.04.2019. Mme. Y est une patiente de 59 ans, connue pour un statut post-cure d'éventration par implantation de filet en 2007 avec multiples révisions chirurgicales pour récidives d'abcès de la paroi abdominale, qui se présente aux urgences en raison d'un écoulement purulent en regard de la cicatrice sous-ombilicale. A l'examen clinique, nous objectivons une plaie sous-ombilicale d'environ 6 mm, sans signe d'inflammation. Un CT puis une IRM abdominale mettent en évidence deux trajets fistuleux s'étendant depuis une anse grêle vers la ligne médiane, sans collection et sans abcès. Nous débutons une surveillance rapprochée avec des rinçages de la fistule à la Bétadine diluée. Par la suite, l'écoulement par la fistule se montre minime sans répercussion clinique, pas d'état fébrile, pas de douleur abdominale. Les frottis de la plaie montrent un E.coli et une K. Pneumoniae. Au vu de l'absence de syndrome inflammatoire et de la clinique rassurante, un traitement antibiotique n'est pas mis en place et une prise en charge chirurgicale n'est pour le moment pas indiquée. Mme. Y rentre à domicile le 01.04.2019. Des soins de plaies avec rinçages 2x/jour seront assurés par les soins à domicile. Un rendez-vous est organisé en stomathérapie le 10.04.19 à 11h00 avec un suivi régulier au besoin. Mme. Y, une patiente de 80 ans, connue pour une cardiopathie ischémique et valvulaire, nous est envoyée pour suite de traitement et reconditionnement après implantation d'une prothèse totale de la hanche droite le 25.03.2019 sur coxarthrose invalidante. Elle habite avec son mari dans une grande maison sur deux étages avec 20 marches d'escalier. Elle est indépendante dans les BADL et IADL. Mme. Y aurait fait plusieurs chutes mécaniques à la maison, la dernière remontant à environ une année. A son entrée, la patiente n'a aucune plainte. Au statut, nous retenons un œdème du membre inférieur droit consécutif à son opération. La plaie postopératoire est calme. Sous Dafalgan, les douleurs sont contrôlées de manière satisfaisante. La prophylaxie antithrombotique par Xarelto est poursuivie et prescrite jusqu'au prochain contrôle orthopédique. La cicatrice postopératoire reste calme, sans signes inflammatoires. Sur le plan neurologique, nous mettons en évidence une perte de sensibilité bilatérale sur toute la partie inférieure des jambes (objectivée à l'épreuve du toucher-piquer) associée à un trouble proprioceptif avec une apallesthésie 0/8 au membre inférieur gauche et une hypopallesthésie à la jambe droite à 5/8. Il n'y a pas de notion d'abus d'alcool à l'anamnèse. Le bilan laboratoire montre un HbA1c, un TSH, des valeurs vitaminiques, des sérologies de syphilis et Borréliose ainsi qu'une électrophorèse des protéines sériques dans la norme. Vu le profil tensionnel dans la limite inférieure de la norme à l'entrée, nous mettons en suspens le Candesartan. Durant l'hospitalisation, il est repris à moitié de la dose habituelle. Nous vous laissons le soin de suivre cette évolution. Une hypovitaminose D contribuant au risque de chute est substituée oralement. Parallèlement, Mme. Y bénéficie d'une réadaptation précoce individuellement adaptée avec un renforcement musculaire, une amélioration de l'endurance ainsi que de l'entraînement de la marche, de l'équilibre et des escaliers. A la sortie, la patiente est autonome dans les transferts, peut marcher seule avec des cannes anglaises sur de longues distances et monter 36 marches d'escalier de manière autonome. Le Tinetti est à 20/28. Mme. Y peut regagner son domicile le 12.04.2019, en bon état général. Mme. Y, connue pour une résistance à la protéine C activée et mutation hétérozygote du facteur V de Leiden, se présente au service des urgences le 27.03.2019 pour des lombalgies.Pour rappel, la patiente présente depuis plusieurs années des lombalgies, durant habituellement 3-4 jours, avec résolution complète entre les épisodes. L'épisode actuel est atraumatique, plus intense que d'habitude, avec une sensation de lâchage des membres inférieurs et une perte de quelques gouttes d'urine une semaine avant la consultation, survenant dans un contexte de surmenage. Elle se plaint également de paresthésies aux membres supérieurs et inférieurs. Elle aurait déjà consulté le service des urgences au Samaritain à Vevey, qui aurait préconisé un traitement symptomatique. Au vu d'un déficit moteur objectivé au service des urgences, une IRM lombaire est effectuée en urgence sur avis neurochirurgical. Celui-ci revient dans la norme, hormis une prise de contraste au niveau L3. L'évaluation par les neurologues ne met aucun déficit en évidence. Mme. Y est hospitalisée en médecine interne pour une antalgie simple et de la physiothérapie. Un avis rhumatologique préconise un bilan biologique de neuropathie et une sérologie pour la Borréliose et l'encéphalite verno-estivale à tiques, au vu d'une anamnèse d'érythème migrant sur l'épaule il y a 3 ans. Le bilan revient dans la norme. Un suivi ambulatoire rhumatologique est organisé au vu de la lésion focale pouvant éventuellement parler pour une spondylarthrite ankylosante, bien que les arguments cliniques soient faibles, et le test de confirmation du Lyme est à ré-effectuer dans un mois pour vérifier s'il y a une séroconversion. L'antalgie se révèle difficile à régler, la patiente étant intolérante à l'Oxycontin et ne ressentant pas d'amélioration avec le Tramal. Elle souhaite diminuer l'antalgie afin de pouvoir correctement localiser les douleurs et évaluer l'évolution. Du Brufen est maintenu au fil des jours. Devant un bilan étiologique négatif, chez une patiente se disant surmenée lors de l'apparition des douleurs et avec une prédisposition à internaliser les difficultés de sa vie privée, la composante fonctionnelle aux douleurs est expliquée. La patiente a initialement de la peine à accepter cette composante, voulant à tout prix trouver une étiologie purement somatique. Au fil des jours, celle-ci accepte graduellement un suivi psychiatrique, débuté en hospitalisation avec effet favorable. Un antidépresseur à but antalgique est introduit puis immédiatement arrêté en raison d'effets indésirables gastro-intestinaux et de fatigue. Une radiographie du bassin est effectuée à la demande insistante de la patiente, ayant la sensation que ses vertèbres s'étaient délocalisées. Celle-ci revient dans les normes. Mme. Y rentre à domicile le 09.04.2019, avec les conseils de prévention concernant les lombalgies, une ordonnance de physiothérapie en ambulatoire et un arrêt de travail. Nous vous laissons le soin de réévaluer les médicaments antalgiques ainsi que l'arrêt de travail dans la semaine qui suit. Mme. Y est admise pour surveillance rythmique suite à une tachycardie atriale dans le cadre d'une cardiomyopathie dilatée (CMD). La patiente est connue pour une CMD sévère d'étiologie indéterminée avec un QT long congénital et équipée d'un pacemaker-défibrillateur avec resynchronisation. Elle est adressée par son médecin traitant pour des douleurs thoraciques et de la dyspnée. Aux urgences, une tachycardie atriale à l'interrogation du pacemaker avec entraînement ventriculaire rapide est mise en évidence par le cardiologue (Dr. X) sans instabilité hémodynamique. Une charge d'amiodarone est administrée avec conversion du mode du pacemaker de DDD à VVI, ce qui permet le contrôle de fréquence. La charge d'amiodarone est à poursuivre pendant 10 jours. Une insuffisance rénale aiguë se développe à la faveur du bas débit, ce qui nécessite temporairement la mise en suspens du lisinopril et de la spironolactone. Devant une plainte de brûlures mictionnelles, une infection urinaire est suspectée. Des prélèvements microbiologiques sont effectués. Une couverture antibiotique serait indiquée si persistance de la dysurie. Mme. Y, 29 ans, diagnostiquée d'une leucémie myéloïde aiguë, est admise aux soins intensifs pour la surveillance hémodynamique d'une agranulocytose fébrile avec colite compliquée par un iléus paralytique le 30.03.2019. Pour rappel, elle est hospitalisée pour une LMA depuis le 18.03.2019. En début de son séjour, elle présente un ARDS dans le contexte de poumon lésionnel avec une intubation de trois jours. Suite à la chimiothérapie (du 21-27.03.2019), elle développe une agranulocytose fébrile depuis le 26.03.2019 dans un contexte de mucite intestinale. La mucite intestinale (sans documentation microbiologique) s'aggrave sous traitement par Cefepime et Metronidazole avec développement d'un iléus paralytique, motivant un transfert aux soins intensifs le 30.03.2019. Le traitement antibiotique est modifié par Meronem-Vancomycine intraveineuse (couverture Entérocoques), la VVC jugulaire droite est retirée et changée pour une autre à gauche le 31.03.2019 (poursuite de Posaconazole comme traitement antifongique). Le CT abdominal du 30.03.2019 retrouve un iléus du grêle sur colite probablement infectieuse avec des signes de défaut de rehaussement muqueux du cadre colique par endroits, faisant suspecter une colite nécrosante mais sans signe de pneumatose ni de perforation. Un traitement conservateur est proposé par les chirurgiens. Nous ajoutons du Metronidazole iv et Vancomycine orale (traitement empirique de Clostridium). Les prélèvements de selles sont positifs pour Clostridium difficile le 03.04.2019 sans toxine. La diminution progressive du syndrome inflammatoire permet l'arrêt de la Vancomycine intraveineuse le 03.04.2019. L'évolution clinique est favorable avec la reprise de transit dès le 02.04.2019. Le 06.04.2019, le CT abdominal de contrôle fait pour une recrudescence des douleurs abdominales associées à des rectorragies retrouve une stabilité de la colite digestive, avec l'iléus toujours présent. Devant la persistance de la pancytopénie, la patiente bénéficie d'un soutien transfusionnel (culots plaquettaires et érythrocytaires) avec un traitement stimulateur par Neupogen depuis le 31.03.2019. L'évolution est favorable avec une sortie d'agranulocytose le 09.04.2019, nous arrêtons donc le traitement par Neupogen. Après discussion avec les hématologues, nous arrêtons le soutien transfusionnel systématique par culot plaquettaire le 09.04.2019. Nous vous laissons le soin de contrôler régulièrement la formule sanguine. Dans ce contexte de thrombopénie, la patiente présente des hyposphagma bilatéraux le 01.04.2019, pour lesquels les ophtalmologues préconisent un suivi clinique. L'épanchement péricardique connu depuis le 19.03.2019 est stable sans répercussion hémodynamique et suivi régulièrement par des échographies transthoraciques. La tachycardie sinusale, probablement dans un contexte de stress, est traitée dès le 04.04.2019 par des Béta-bloquants. Prochain contrôle échographique le 15.04.2019. Lors du contrôle ETT du 03.04.2019, nous mettons en évidence un épanchement pleural gauche, qui se majore sur le CT le 06.04.2019, que nous drainons le 07.04.2019. Il s'agit d'un exsudat sans empyème. L'évolution est favorable avec la persistance d'épanchements minimes aux deux bases. Mme. Y présente donc une récidive d'une lésion du ménisque interne en regard de la corne postérieure. Je propose une nouvelle arthroscopie avec résection de la lésion de la corne postérieure du ménisque +/- suture de celui-ci. La patiente est d'accord. Elle est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et bénéfices liés à celle-ci. Elle me donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire le 25.04.2019. Jusque-là, la patiente continuera son travail à un taux réduit de 50%.Mme. Macherel, âgée de 81 ans, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture du col fémoral Garden I à gauche, traitée par réduction fermée et ostéosynthèse le 17.03.2019. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule dans un appartement. Elle se déplace habituellement avec un tintébin à l'extérieur. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable. Le statut est sans particularité mise à part une suspicion de troubles cognitifs. La flexion de la hanche G est de 80° en passif et 60° en actif, l'abduction est à 20°. La force du psoas G est cotée à M1 et le quadriceps G à M4-. La cicatrice opératoire est sous Comfeel. Durant son séjour, nous mettons en évidence une polyneuropathie périphérique des membres inférieurs, raison pour laquelle nous effectuons un bilan extensif. Nous diagnostiquons aussi une ostéoporose fracturaire avec carence sévère en vitamine D, pour laquelle nous mettons en place une supplémentation orale en vitamine D ainsi que de l'Alendronate. Nous vous laissons le soin d'organiser un contrôle biologique à distance. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un tintébin, tout en ne respectant pas totalement la décharge. Un oubli fréquent des consignes simples (freins de la chaise roulante, décharge etc.) est objectivé par les différents intervenants, nous faisant suspecter des troubles cognitifs. Les amplitudes articulaires à la sortie montrent une flexion/extension de la hanche G à 90-0-0 en passif. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Macherel peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 17.04.2019, en bon état général. Dans un premier temps, un court séjour avait été envisagé, mais la petite-fille de la patiente s'étant engagée à suivre la patiente, nous validons d'un commun accord le retour à domicile. Des pré-inscriptions ont été effectuées. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances d'ergothérapie à domicile afin d'effectuer différentes adaptations. Les soins à domicile sont réactivés. Mme. Maeder, 80 ans, connue pour une BPCO post-tabagique et un asthme, consulte le service des urgences pour une dyspnée en augmentation. La patiente présente depuis une semaine une augmentation de la dyspnée avec toux et expectorations verdâtres et un état fébrile depuis 24 heures. Le statut pulmonaire montre des sibilances sur toutes les plages pulmonaires. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire. Nous retenons une exacerbation BPCO. Nous introduisons une corticothérapie durant 5 jours, une antibiothérapie et des aérosols. De la physiothérapie respiratoire est réalisée. La patiente montre une bonne évolution clinique. Nous proposons de poursuivre l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline per os pour un total d'une semaine suivi d'un contrôle chez le médecin traitant. Au niveau ostéo-articulaire, la patiente a bénéficié d'une foraminotomie L3-L4 bilatérale sur canal lombaire étroit L3-L4 sévère dans le cadre d'une scoliose dégénérative le 27.02.2019. Par la suite, la patiente a bénéficié d'une réhabilitation. Les douleurs lombaires sont néanmoins encore mal contrôlées à domicile. Le statut ne montre pas de troubles sensitivo-moteurs. Nous adaptons l'antalgie et réalisons de la physiothérapie avec une bonne évolution clinique. De ce fait, nous annulons l'IRM lombaire qui avait été organisée en ambulatoire en raison des douleurs mal contrôlées, et proposons au médecin traitant de réévaluer son indication selon l'évolution clinique à domicile. Nous proposons de poursuivre la physiothérapie en ambulatoire. La patiente rentre à domicile le 30.04.2019. Mme. Maeder, 80 ans, connue pour une BPCO post-tabagique et un asthme, est hospitalisée pour une dyspnée en augmentation. La patiente présente depuis une semaine une augmentation de la dyspnée avec toux et expectorations verdâtres et un état fébrile depuis 24 heures. Aux urgences, la patiente est tachypnéique et désature à air ambiant. Le statut pulmonaire montre des sibilances sur toutes les plages pulmonaires. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire. Une radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux. Les hémocultures sont négatives. Nous retenons une exacerbation BPCO. Nous introduisons une corticothérapie durant 5 jours, une antibiothérapie et des aérosols. De la physiothérapie respiratoire est réalisée. La patiente montre une bonne évolution clinique. Nous proposons de poursuivre l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline per os pour un total d'une semaine suivi d'un contrôle chez le médecin traitant. Au niveau ostéo-articulaire, la patiente a bénéficié d'une foraminotomie L3-L4 bilatérale sur canal lombaire étroit L3-L4 sévère dans le cadre d'une scoliose dégénérative le 27.02.2019. Par la suite, la patiente est allée en réhabilitation. Les douleurs lombaires sont néanmoins encore mal contrôlées à domicile. Le statut ne montre pas de troubles sensitivo-moteurs. Nous adaptons l'antalgie et réalisons de la physiothérapie avec une bonne évolution clinique. De ce fait, nous annulons l'IRM lombaire et proposons au médecin traitant de réévaluer son indication selon l'évolution clinique à domicile. Nous proposons de poursuivre la physiothérapie en ambulatoire. La patiente rentre à domicile le 30.04.2019. Mme. Magnin, patiente de 86 ans, connue pour des troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle (fracture pertrochantérienne opérée en 2017 avec déplacement secondaire du matériel d'ostéosynthèse, canal lombaire étroit), nous est adressée par Dr. X pour un état fébrile avec suspicion de pneumonie. En outre, Mme. Magnin décrit une fatigue importante avec toux et expectorations jaunâtres depuis 3 à 4 jours. Au statut aux urgences de l'HFR Riaz, la patiente est hypertendue à 165/114 mmHg, normocarde à 94 battements par minute, fébrile à 39.1 °C, saturant à 95 % à l'air ambiant. À l'auscultation cardiaque, signalons des B1 et B2 bien frappés, sans souffle audible. À l'auscultation pulmonaire, relevons des sibilances aux deux plages pulmonaires et des râles crépitants bibasaux à prédominance droite. L'abdomen est souple et indolore avec des bruits normaux, et des loges rénales indolores à la percussion. Le bilan biologique montre une leucocytose à 21 G/l, une CRP à 78 mg/l et des neutrophiles à 91.3 %. La radiographie du thorax visualise quelques épaississements bronchiques et aplatissement des coupoles diaphragmatiques sans signe de foyer ou d'infiltrat. Sur suspicion clinique, chez une patiente avec des signes de déshydratation, une pneumonie basale droite est retenue. Deux paires d'hémocultures sont réalisées, revenant négatives par la suite. Un prélèvement d'antigènes urinaires revient positif pour un pneumocoque par la suite. Un traitement par Co-Amoxicilline 1.2 g intraveineux 3x/j est donc débuté, avec relais par voie orale dès le 08.04.2019, pour un total de 7 jours. L'évolution clinique et biologique s'avère favorable. Un bilan d'anémie met en évidence une anémie normochrome macrocytaire, avec hémoglobine à 111 g/l. Remarquons un déficit en acide folique à 1.9 ng/ml, mais des vitamines B12 dans la norme à 846 pg/ml. Les douleurs sont efficacement gérées par une antalgie de palier III. Durant son séjour dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz, Mme. Magnin profite d'une physiothérapie respiratoire et de mobilisation. À sa sortie, elle est capable de marcher sur plus de 120 m à l'aide d'un rollator, de manière sécuritaire et autonome. La patiente est également capable de gravir 18 marches d'escalier en se tenant à la rampe. Mme. Magnin est indépendante pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 99/126, par rapport à 94/126 à l'entrée. Le TUG est à 21.95 secondes. Le risque de chute est faible.Sur le plan social, la patiente est veuve et vit seule dans un appartement au 1er étage ; sa fille habite à proximité et est très présente. Mme. Y a déjà une aide familiale et des repas livrés à domicile, mais elle mange également chez sa fille 3x/semaine. Pour le retour, des soins à domicile sont mis en place avec passage 1x/semaine pour suivi du poids et semainier et 2x/semaine pour aide à la douche. Finalement, Mme. Y regagne son domicile le 10.04.2019. Mme. Y présente en premier lieu une tendinite des muscles du pes anrelinus. Comme diagnostic différentiel, on peut retenir une dégénérescence du ménisque interne. Je propose dans un premier temps un traitement physiothérapeutique ainsi que prescription de Voltarène emulgel local. Je la revois dans deux mois pour une réévaluation clinique. Mme. Y est admise pour des vertiges rotatoires post-opératoires. Nous instaurons un traitement de Tanganil et de Prednisone et antiémétiques. Elle ne présente pas de nystagmus spontané et latéralise à droite. L'évolution clinique est favorable avec résolution des vertiges et des nausées. L'audiogramme de contrôle montre une surdité de perception avec un GAP d'environ 40 dB. Le CT-scan des rochers montre une prothèse en place sans signe de complication. Les audiogrammes de contrôle montrent une amélioration dans les basses fréquences. Au vu de l'évolution clinique favorable, elle peut retourner à domicile. Mme. Y présente des séquelles de douleurs après un claquage musculaire du jumeau interne, associées maintenant à une atrophie musculaire due à l'immobilisation des dernières semaines. Je propose à la patiente d'enlever le Vacoped ce jour et débuter une marche en charge progressive. Je lui prescrits également de la physiothérapie afin de remuscler le MIG. Le Miacalcic spray nasal est à poursuivre ainsi que les comprimés de Redoxon, introduits par le Dr. X afin de prévenir un CRPS. Un contrôle clinique est prévu le 08.05.2019 à ma consultation pour une réévaluation clinique. Elle va poursuivre la thromboprophylaxie par Clexane 40 mg sous-cut./jour jusqu'à la marche en charge complète. Mme. Y, âgée de 83 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une PTH G sur coxarthrose le 12.03.2019. Sur le plan social, la patiente est veuve depuis 1 an et a 3 filles. Elle vit seule à domicile et était tout à fait autonome sans soins à domicile. Elle marchait, en raison de ses douleurs, avec une canne anglaise, notamment lorsqu'elle sortait de chez elle. Elle est à la retraite (ancienne femme au foyer, sommelière, femme de ménage). À l'admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. À l'anamnèse par systèmes, la patiente signale une tendance à faire des apnées lors de son sommeil (objectivées par la voisine de chambre à la clinique générale) sans observer de somnolence diurne marquée. De plus, elle rapporte une dyspnée NYHA I connue. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La flexion de la hanche G est de 70° en actif. La sensibilité est conservée et la dorsiflexion du pied préservée. La force de l'iliopsoas et quadriceps à gauche est à M3+. Concernant la suspicion de SAOS, nous effectuons un score d'Epworth qui est à 5/24. Nous vous laissons le soin d'organiser une polygraphie en ambulatoire. En fonction du résultat, l'adresser chez un pneumologue de votre choix. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises dans tout le périmètre de l'hôpital. Elle peut monter/descendre les escaliers avec une canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension de la hanche G à 80-0-0 en actif. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 31.03.2019, en état général conservé. À la sortie, les soins à domicile sont activés. Mme. Y est une patiente de 90 ans sous traitement par Aspirine Cardio pour une sténose aortique modérée, se présente le 06.04.2019 aux urgences suite à une chute avec traumatisme crânien. Le bilan effectué retrouve un hématome sous-dural, raison pour laquelle la patiente est hospitalisée dans un premier temps aux soins intensifs pour une surveillance neurologique avec un traitement conservateur. Une infection urinaire est diagnostiquée et traitée par Rocéphine. L'évolution est favorable, permettant un transfert à l'étage le 08.04.2019. Des scanners cérébraux de contrôle le 11.04.2019 et le 17.04.2019 ne montrent pas de péjoration et comme la patiente ne présente à aucun moment des symptômes neurologiques, nous ne retenons pas d'indication à une opération d'évacuation de l'hématome. La suite de l'hospitalisation est marquée par une pyélonéphrite motivant la continuation du traitement antibiotique jusqu'au 13.04.2019. Par la suite, l'évolution est favorable. Le bilan effectué pour les douleurs de l'épaule gauche suite à la chute retrouve une fracture de l'acromion à gauche. Nos collègues du service d'orthopédie proposent un traitement conservateur. En attente d'un transfert le 23.04.2019 en réadaptation gériatrique à Riaz, la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, 90 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour un hématome sous-dural aigu et un hématome péri-mésencéphalique suite à une chute le 06.04.2019. Elle est connue pour une HTA mal contrôlée et une BPCO non stadée avec des troubles cognitifs. Elle est retrouvée au sol suite à une chute devant son domicile avec une blessure au visage. Le CT cérébral montre un hématome sous-dural d'aspect aigu et subaigu, avec zone d'hémorragie active à l'intérieur, début d'engagement sous-falcoriel. Un CT cérébral de contrôle est effectué à 20 h et montre une légère amélioration du saignement. L'aspirine est stoppée et un contrôle strict de la tension artérielle est effectué par Trandate pour maintenir une tension artérielle systolique inférieure à 140 mmHg. Le Trandate peut être sevré rapidement et le traitement bêta-bloquant habituel est repris. Une infection urinaire est diagnostiquée et traitée par Ceftriaxone. L'urotube est en cours et à pister pour l'adaptation secondaire de l'antibiothérapie. La patiente présente une insuffisance rénale aiguë probablement due à l'injection de produit de contraste. La patiente est transférée en chirurgie le 06.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est une patiente de 52 ans connue pour une occlusion de l'artère iliaque commune G asymptomatique, qui est hospitalisée en électif pour une cholécystectomie laparoscopique suite à la mise en évidence d'une lithiase vésiculaire symptomatique. La patiente bénéficie de l'intervention susmentionnée le 15.04.2019. L'intervention se déroule sans complication, l'évolution est par la suite favorable. Mme. Y rentre à domicile le 17.04.2019.Mme. Y se présente aux urgences le 06.04.19 dans le cadre d'une asthénie avec diarrhées profuses qui se sont installées suite à une antibiothérapie initiée suite à une griffure de chat. Au vu de la notion anamnestique de chute avec traumatisme crânien précédant la baisse de l'état général, un CT cérébral est effectué, ne mettant pas en évidence de lésion traumatique, ischémique ou hémorragique. Des prélèvements de selles sont effectués, révélant une infection à Clostridium difficile et un CT abdominal met en évidence une pseudo-colite ascendante. Une antibiothérapie est ainsi initiée par Metronidazole, relayée par la Vancomycine. L'évolution est favorable, avec une rémission des diarrhées. Dans le cadre du bilan initial, une électrophorèse avec immunofixation est effectuée, révélant une bande monoclonale IgG kappa compatible avec un MGUS. Un nouveau contrôle par dosage des immunoglobulines est préconisé tous les 6 mois et la patiente peut être adressée à notre service d'hématologie en cas d'évolution à type de myélome. Mme. Y présente par ailleurs une faiblesse généralisée, avec une forte réduction de son périmètre de marche. Nous lui proposons ainsi une réadaptation gériatrique, afin d'envisager un retour à domicile dans les meilleures conditions. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, âgée de 55 ans, connue pour un ancien tabagisme, nous est adressée par le CHUV pour une réadaptation pulmonaire suite à une pneumectomie gauche par thoracotomie le 05.03.2019 pour adénocarcinome mucineux et non mucineux du LSG pT4pN2 (6/23, ECE+). Une complication avec emphysème sous-cutané de faible abondance suite à l'ablation du drain thoracique retiré le 07.03.2019 est en résolution actuellement. Actuellement, Mme. Y présente une infection urinaire au décours à E. Coli traitée par Ceftriaxone. Sur le plan social, la patiente vit dans un appartement au 3ème étage avec ascenseur. Elle travaille à 100 % dans une agence de placement. À l'admission, la patiente se plaint de douleurs au site opératoire et de la persistance d'une dyspnée NYHA II en postopératoire. Actuellement, pas de toux ni d'expectoration. Au status, silence auscultatoire en plage pulmonaire gauche, MVS poumon D, cicatrice sous-scapulaire gauche sans signe d'inflammation, pas d'emphysème sous-cutané palpé. OMI bilatéraux avec des bandes de contention en place. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome restrictif moyennement sévère dans le cadre de la pneumectomie gauche. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une hypoxémie légère à pO2 10.2 kPa, sans hypercapnie. La patiente réalise un bon test de 6 minutes sans désaturation à l'effort, paramètre démontrant une bonne adaptation post-pneumonectomie. La radiographie du thorax met en évidence un hydro-pneumothorax gauche avec niveau hydro-aérique à la hauteur du 7ème espace intercostal sans épanchement pleural. Nous réalisons une radiographie de contrôle qui montre un niveau hydro-aérique G en discrète augmentation de hauteur. Les douleurs sont bien contrôlées avec l'antalgie en place (Arthrocine, Targin et Oxynorm en réserve). La patiente présente des effets secondaires avec nausées sous le traitement d'opiacés. Nous mettons en place un traitement symptomatique d'antiémétique et laxatif en réserve. Nous vous prions de réaliser le sevrage des opiacés. À noter que, durant son séjour, Mme. Y a présenté un urticaire sous traitement de Lyrica. À son arrivée, la patiente est sous traitement de Ceftriaxone pour une infection urinaire avec évolution favorable. Mme. Y a présenté des OMI bilatéraux qui se sont résolus sous traitement diurétique de Torem qui est stoppé à la sortie. Le poids à la sortie est de 68.6 kg. Sur le plan nutritionnel, Mme. Y présente une dénutrition légère (NRS 3/7) sur inappétence en postopératoire. Au début de la prise en charge, elle couvrait ses besoins théoriques à environ 60 % avec des ingestas à 50 % des habitudes. Nous l'avons sensibilisée à l'importance de maintenir un bon état nutritionnel en vue des traitements oncologiques à venir. Nous avons essayé d'adapter les repas ainsi que les collations et testé un supplément nutritif par jour afin d'améliorer la couverture des besoins. En raison de croyances et d'intolérances alimentaires, ces interventions ont été mises en échec et les ingestas ne se sont pas améliorés. Nous avons vivement encouragé Mme. Y à s'adresser à un service de nutrition en cas de difficulté à s'alimenter durant les traitements oncologiques. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. Mme. Y montre de très bons résultats. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 490 m à 570 m et la patiente augmente la distance parcourue sur le tapis roulant pendant 20 minutes à plat, passant de 1.000 km à 1.580 km. À la sortie, elle bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 30.03.2019, en bon état général. Mme. Y, connue pour une démence vasculaire avec des troubles schizo-affectifs et actuellement hospitalisée au RFSM CSH Marsens sous PAFA en raison d'idées suicidaires, est amenée aux urgences en ambulance le 11.04.2019 en raison de la mise en évidence d'une hypercalcémie dans un contexte de baisse de l'état général depuis quelques jours (pas de perte de poids objectivée). L'anamnèse est difficile auprès de la patiente. Nous prenons contact avec sa fille par téléphone. Cette dernière constate un déclin cognitif depuis 1-2 ans permettant toujours un maintien à domicile sans aide et une péjoration nette et rapide depuis 2 semaines. À l'admission aux urgences, Mme. Y est calme. Les constantes sont dans la norme hormis une hypertension artérielle à 154/77 mmHg. Les statuts cardio-pulmonaire, digestif et neurologiques sont dans la norme. Le laboratoire confirme l'hypercalcémie (3.08 de Ca corrigé) avec signes à l'ECG d'une hypercalcémie, sans autre anomalie notable. Une réhydratation iv est initiée et le traitement hypercalcémiant est mis en pause (vitamine D). Mme. Y est hospitalisée pour la suite des investigations. À l'admission dans le service, la patiente est confuse et désorientée, rendant l'anamnèse difficile. L'auscultation cardiaque objective des bruits bien frappés avec un souffle systolique, sans œdème des membres inférieurs et des pouls périphériques palpés. L'auscultation pulmonaire est dans la norme. Sur le plan des troubles électrolytiques, en raison de l'hypercalcémie, nous administrons 4 doses de Lasix iv 20 mg aux 6h et augmentons la perfusion iv à 3000 ml/24h avec 1 dose unique de biphosphonates en iv le 12.04.2019. La calcémie à la sortie du 18.04.2019 est de 2.5 mmol/l. Un spot urinaire montre une calciurie de 1.3 mmol/l. Nous dosons la PTH qui revient à 131 ng/l, compatible avec une hyperparathyroïdie primaire, mais difficilement évaluable en raison d'une dose d'Alendronate per os reçue avant le dosage. L'examen clinique n'objective pas d'adénopathie palpée ni de masse abdominale palpée ni de masse au niveau des seins. Dans ce contexte, en accord avec les endocrinologues de l'HFR Fribourg et en l'absence de piste oncologique sur le plan clinique, nous optons pour un traitement de Mimpara 30 mg 1x/jour avec une demande de remboursement faite à l'assurance le 17.04.2019. Une bonne hydratation de 1.5 à 2 litres minimum est à maintenir. Nous ne retenons pas d'indication opératoire pour l'instant et ne réalisons pas d'imagerie d'emblée à la recherche d'une piste oncologique. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à réaliser davantage d'investigations en cas d'apparition de signes cliniques suspects ou de persistance de l'hypercalcémie malgré le traitement de Mimpara introduit.Dans ce contexte, Mme. Y est réadmise au RFSM CSH Marsens le 18.04.2019 avec proposition de réaliser un bilan biologique par semaine avec contrôle de la calcémie et de la phosphatémie ainsi que de débuter le traitement de Mimpara 30 mg 1x/jour dès l'obtention de la réponse de l'assurance maladie de Mme. Y. A noter que nous avons reçu une réponse positive de la part de l'assurance de Mme. Y. Nos collègues du RFSM ont été avertis et le traitement par Mimpara a été débuté. Mme. Y est une patiente âgée de 35 ans, connue pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, qui présente depuis 3 semaines des douleurs nocturnes intermittentes au niveau de l'hypocondre gauche et épigastrique sans troubles du transit intestinal. Mme. Y se présente aux urgences en raison d'une persistance des douleurs abdominales accompagnées de vomissements sans état fébrile ni frissons. Le laboratoire sanguin ne montre une leucocytose sans syndrome inflammatoire ainsi qu'une discrète cytolyse hépatique. Le CT scanner abdominal est compatible avec une cholécystite aiguë. Au vu du caractère sub-chronique, nous traitons par antibiothérapie avec Ceftriaxone et Métronidazole pour une durée totale de 10 jours. L'évolution clinico-biologique est favorable permettant un retour à domicile le 13.04.2019. Une opération est prévue à 6 semaines post-hospitalisation à la clinique Daler. Mme. Y, une patiente âgée de 69 ans, connue pour 3 accouchements par voie basse et hystérectomie, se présente aux urgences en raison d'un prolapsus rectal objectivé 72 heures auparavant, sans effort de poussées ni douleurs ressenties. Aux urgences, nous procédons à une réduction manuelle avec succès. Nous organisons une défécographie par imagerie conventionnelle le 10.04.2019 à 08h15, suivie d'un rendez-vous de contrôle le jour même à la consultation de proctologie afin de discuter d'une indication opératoire. Mme. Y est admise de manière élective à notre centre du sommeil pour un contrôle de VNI débuté en janvier 2019 au décours d'une insuffisance respiratoire globale mixte. Mme. Y rapporte avoir globalement bien supporté l'appareillage. Son sommeil reste peu réparateur avec une légère somnolence diurne qu'elle attribue à son déconditionnement général et aux douleurs chroniques dont elle souffre. Le masque est bien toléré sans point de pression important, de fuite ou de sécheresse des muqueuses de la sphère ORL. Pas de symptômes faisant évoquer une hypercapnie matinale. La compliance est globalement satisfaisante au vu du contexte général. Pour une raison inconnue, la polygraphie respiratoire nocturne avec capnographie est réalisée avec un débit d'oxygène à 3.5 l/min contrairement aux 2 l/min prescrits. Nous observons une relativement bonne prise en charge des apnées du sommeil. La saturation moyenne en oxygène est de 86% à la polygraphie et 90% à la capnographie (plus précis) avec un CO2 moyen légèrement élevé à 6.2 kPa, mais en amélioration par rapport au début de la thérapie. La gazométrie au réveil est rassurante. Au vu d'une saturation moyenne en oxygène dans la cible sans franche élévation du CO2, nous décidons de majorer l'oxygénothérapie nocturne à 3.5 l/min sans modification des paramètres de ventilation. Mme. Y peut regagner son home le 09.04.2019 et nous la convoquerons pour un nouveau contrôle dans une année. Mme. Y est une patiente de 56 ans, aux antécédents susmentionnés, qui se présente aux urgences en raison d'épigastralgies aggravées par la prise de nourriture et accompagnées de nausées. A l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité à la palpation de l'épigastre. En vue des nausées, une sonde nasogastrique est posée. L'évolution par la suite est favorable, permettant l'ablation de la sonde nasogastrique le 16.04.2019. Une gastroscopie est effectuée le 17.04.2019, montrant une légère gastrite antrale. Nous poursuivons donc le traitement par Pantozol et Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général le 17.04.2019. Mme. Y consulte le 19.04 aux urgences en raison de douleurs basi-thoraciques respirodépendantes postérieures évoluant depuis 1 semaine, accompagnées d'une toux sèche sans fièvre ni frissons. Après un bilan biologique élargi comprenant les D-dimères, un CT thoracique injecté permet de mettre en évidence l'origine des douleurs, à savoir des embolies centrales D et segmentaires G avec foyers et infarctus pulmonaires au niveau des lobes inférieurs D et G. Un traitement anticoagulant thérapeutique est initié par clexane 60 mg 2x/j. Au vu de l'évolution clinico-biologique favorable, la patiente rentre à domicile le 22.04 avec poursuite de l'anticoagulation à domicile pour une durée totale de 3 mois. Un contrôle clinique et biologique chez son médecin traitant est vivement recommandé dans 1 semaine. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte de dyspnée d'apparition progressive. En effet, elle avait consulté son médecin traitant pour ceci et un traitement diurétique avait été instauré. Cependant, au vu de la mauvaise évolution, elle consulte au service des urgences. Il est mis en évidence des signes de décompensation cardiaque clinique, biologique et radiologique. Celle-ci est mise sur le compte d'une FA nouvelle rapide. Mme. Y était déjà sous anticoagulation par Sintrom au vu d'un syndrome primaire des antiphospholipides avec 2 épisodes de TVP par le passé. Un traitement freinateur est également instauré. A la sortie de l'épisode aigu, nous constatons une cardioversion spontanée le 08.04.2019. Concernant la décompensation cardiaque, le traitement diurétique est majoré ; nous instaurons un suivi régulier du poids et des signes de surcharge. L'évolution est rapidement favorable. Un ultrason cardiaque est effectué et montre une sténose mitrale sévère sur probable calcification. Le cas est discuté lors du colloque de chirurgie cardiaque et une prise en charge chirurgicale est préconisée à Bern. Cette atteinte pourrait être partie intégrante du syndrome primaire des antiphospholipides ou du syndrome de Sneddon, ou des atteintes valvulaires, particulièrement mitrales, ont été observées. Une histologie de la valve permettrait de potentiellement répondre à cette question. En vue de l'intervention, nous effectuons une coronarographie, un ultrason des vaisseaux pré-cérébraux et un OPG revenant sans anomalie. La patiente sera convoquée à la consultation du Dr. X afin de planifier l'intervention. Mme. Y peut rentrer à domicile le 11.04.2019. Mme. Y, patiente de 59 ans, connue pour un syndrome des antiphospholipides, un syndrome de Sneddon et une résistance à l'APC, hospitalisée du 01.04 au 11.04.2019 pour une décompensation cardiaque globale FA rapide et sténose mitrale sévère, est hospitalisée pour une nouvelle décompensation cardiaque globale.Le bilan d'entrée exclut raisonnablement un infarctus ou une embolie pulmonaire. L'ECG montre un rythme sinusal régulier et les D-dimères sont dans la norme. La radiographie de thorax montre des signes de surcharge et la patiente est hospitalisée pour adaptation de son traitement diurétique avec introduction de Lasix intraveineux. L'évolution est favorable avec une perte de poids et résolution des symptômes, cependant la patiente reste oxygéno-dépendante durant le séjour. Mme. Y, étant en attente d'une convocation de Berne pour une intervention valvulaire, et au vu de la récente hospitalisation, nous prenons contact avec l'Inselspital Bern afin d'organiser un transfert et d'avancer la prise en charge chirurgicale de la valvulopathie de la patiente. Un bilan avait été effectué lors de la dernière hospitalisation (01.04 au 11.04.2019) avec coronarographie, US des vaisseaux précérébraux et investigation d'une anémie chronique. La patiente présente un épisode de confusion le 15.04.2019. Elle appelle sa sœur et dit ne plus se rappeler la raison de son hospitalisation. Elle présente une désaturation à 82% sans signe de dyspnée ni autre plainte, résolu après administration d'oxygène. Le status neurologique est dans la norme et la patiente est rapidement à nouveau orientée aux 3 modes. Une surveillance neurologique est effectuée par la suite, sans particularité. Mme. Y est transférée à l'Inselspital Bern en chirurgie cardiaque le 16.04.2019 pour suite de prise en charge. Mme. Y est une patiente de 49 ans, aux antécédents sus-mentionnés, qui est hospitalisée dans notre service pour la prise en charge chirurgicale de cholangites récidivantes sur cholédocholithiase. Elle bénéficie le 16.04.2019 d'une dérivation bilio-digestive, qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples, avec une antalgie qui est initialement assurée par un cathéter péridural, puis par la prescription standard. En vue d'une déhiscence de plaie sur 2 cm, nous introduisons une prophylaxie par Co-Amoxicilline et organisons des soins à domicile quotidiens. L'évolution clinico-biologique étant favorable, Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général le 25.04.2019. Elle sera revue pour contrôle à la consultation du Prof. X le 29.04.2019 ainsi que le 20.05.2019. Mme. Y est une patiente de 73 ans, connue pour les antécédents sus-mentionnés, qui bénéficie le 08.04.2019 d'une endartérectomie par éversion de l'artère carotide interne gauche. Les suites opératoires sont simples et sans complication. Sur le plan chirurgical, la plaie est propre. Sur le plan neurologique, Mme. Y ne présente pas de complication post-opératoire. Un angio-CT est réalisé le 11.04.2019 qui ne montre pas de complication, pas de sténose résiduelle au niveau du carrefour carotidien gauche. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 12.04.2019. Mme. Y bénéficiera d'un contrôle Doppler par nos collègues neurologues suite auquel nous la reverrons en consultation. Mme. Y, patiente de 73 ans, est admise aux soins intensifs en surveillance post-opératoire d'une thrombo-endartériectomie de l'artère carotide interne gauche. Pour rappel, la patiente a bénéficié en février 2019 d'un bilan vasculaire préopératoire en vue de la pose d'une prothèse de l'épaule gauche. Ce bilan a mis en évidence des sténoses carotidiennes bilatérales. Au vu des antécédents vasculaires de la patiente (antécédent d'AVC sylvien gauche en 2007), une indication opératoire est retenue et une intervention par thrombo-endartériectomie de l'artère carotide interne gauche est effectuée le 08.04.2019. La patiente est admise aux soins intensifs en surveillance post-opératoire. L'antalgie post-opératoire est simple. La surveillance clinique et biologique est favorable avec un maintien transitoire des amines sevré après remplissage. L'évolution neurologique est sans particularité et la patiente est transférée à l'étage de chirurgie pour suite de prise en charge. Mme. Y sera revue à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 12 jours post-opératoires. Mme. Y consulte pour une dyspnée progressive sur les 3 derniers jours, associée à des douleurs thoraciques et un épisode unique de fièvre à 39°C la veille. L'examen clinique et l'ECG sont rassurants. Nous dosons des D-dimères qui s'avèrent positifs. Un scanner permet d'exclure une embolie pulmonaire. Par ailleurs, le bilan biologique met en évidence une leucopénie. Nous effectuons des LDH qui sont normales. Sans autre explication qu'une leucopénie post-virale, nous lui proposons tout de même de contrôler ces valeurs à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Mme. Y, âgée de 64 ans, connue pour HTA, diabète et trouble anxio-dépressif, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une spondylodèse D11-L1 par System Viper, décompression du canal au niveau D11-L1, décompression par foraminotomie gauche ddc au niveau L4-L5, L5-S1 avec laminectomie L5 gauche le 25.03.2019. Sur le plan social, la patiente, mariée, vit avec son fils et sa belle-fille en Suisse et son mari vit en Algérie. Elle est à la retraite (femme au foyer). A l'admission, la patiente se plaint de douleurs dorsales. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. A l'anamnèse par systèmes, la patiente signale une constipation importante habituellement, péjorée par le changement récent du traitement, ainsi que des brûlures gastriques. Au status, la patiente est orientée et collaborante. L'auscultation cardiopulmonaire est normale. La cicatrice est calme. Il n'y a pas de déficit moteur ni sensitif des membres inférieurs. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. Lors du transfert, elle est indépendante pour les transferts avec appui et la marche avec 2 cannes anglaises. Elle peut monter/descendre 10 marches avec 1 canne et la main courante. Après introduction et titration du Targin, la patiente est confortable et arrive à effectuer les exercices recommandés par le physiothérapeute. Malgré une évolution lentement favorable sur le plan des douleurs, nous notons l'apparition d'une tuméfaction péri-cicatricielle le 09.04.2019 qui augmente de taille progressivement. Nous réalisons une IRM qui montre une suspicion d'un pseudo-méningocèle. La patiente est transférée dans le service d'orthopédie de l'HFR Fribourg le 18.04.2019 pour prise en charge spécialisée. Mme. Y, 82 ans, est admise aux soins intensifs en raison d'une insuffisance rénale aiguë anurique. La patiente présente une baisse de l'état général depuis deux semaines avec une hypertension mal contrôlée pour laquelle une adaptation du traitement a été effectuée. Le bilan a été complété par un CT thoracique injecté. Après l'examen, elle est devenue oligurique puis anurique. Le bilan initial révèle une insuffisance rénale aiguë AKIN 3 avec une hyperkaliémie et une acidose métabolique. L'uro-CT permet d'exclure une origine post-rénale. L'insuffisance rénale aiguë est donc probablement d'origine mixte, d'une part pré-rénale sur pertes digestives (selles liquides) et traitement diurétiques, et d'autre part d'origine rénale sur injection de produit de contraste. La patiente bénéficie dès le 02.04.2019 d'une dialyse quotidienne. Elle a repris une diurèse le 04.04 (50ml), un début de traitement diurétique est prévu après la dialyse. On révèle une fibrillation auriculaire non documentée auparavant. Le bêta-bloquant est donc repris pour un contrôle de la fréquence. L'échocardiographie transthoracique montre une FEVG à 60%. Au vu de cette fibrillation auriculaire nouvellement découverte et la mutation du facteur V Leiden, l'anticoagulation thérapeutique par héparine est continuée.Mme. Meuwly, 82 ans, est adressée par Medhome en raison d'une insuffisance rénale aiguë anurique. La patiente présente une baisse de l'état général depuis deux semaines avec une fibrillation auriculaire nouvelle, des diarrhées, une hypotension et une tachypnée pour laquelle un CT thoracique a été effectué en ambulatoire, ce qui a permis d'exclure une embolie pulmonaire. Depuis l'examen, elle est devenue oligurique puis anurique. Le status au service des urgences montre un rythme cardiaque irrégulier et des oedèmes des membres inférieurs. Le reste du status est dans la norme. Le bilan initial révèle une insuffisance rénale aiguë AKIN 3 avec une hyperkaliémie et une acidose métabolique. L'uro-CT permet d'exclure une origine post-rénale. Mme. Meuwly est admise aux soins intensifs. Le bilan montre une insuffisance rénale aiguë d'origine mixte : pré-rénale sur pertes digestives et traitement diurétiques, et rénale avec une nécrose tubulaire aigue sur produit de contraste. La patiente bénéficie de séances de dialyse du 02.04 au 06.04.2019 et la diurèse est stimulée par des diurétiques. La patiente ne présente rapidement plus de diarrhées et un suivi bioclinique montre une normalisation de la diurèse, une normalisation des troubles électrolytiques et une amélioration de la fonction rénale avec une clérence à 25 mL/min le 17.04.2019. Nous vous proposons un suivi bioclinique à sa sortie. Au niveau cardiaque, une fibrillation auriculaire est diagnostiquée chez la patiente un mois avant l'hospitalisation avec introduction d'un traitement par Xarelto, le bêta-bloquant est repris pour un contrôle de fréquence. Une échocardiographie transthoracique montre un FEVG à 60 %. Au vu de l'insuffisance rénale, l'anticoagulation par Xarelto est remplacée d'abord par une anticoagulation par héparine puis par Sintrom. Au niveau hématologique, Mme. Meuwly est connue pour une anémie normocytaire normochrome normo régénérative à 96 g/l sur carence en B12. Un bilan réalisé chez le médecin traitant ne montre pas d'autre étiologie. Au niveau ostéo-articulaire, la patiente est connue pour une gonarthrose bilatérale traitée par du Dafalgan et Targin ainsi que de l'Oxynorm en réserve. La patiente présente durant l'hospitalisation des gonalgies bilatérales limitant la mobilisation. Au vu de l'insuffisance rénale, nous stoppons le Targin d'office. Une antalgie par Temgesic provoque un état confusionnel, ce pourquoi nous l'arrêtons. Nous introduisons une antalgie par Dafalgan et Oxynorm en réserve. Les rhumatologues proposent de poursuivre une prise en charge conservatrice. De la physiothérapie de mobilisation est réalisée et la patiente montre une diminution des douleurs et une amélioration du périmètre de marche (20 m avec le taurus). Nous proposons de poursuivre la physiothérapie en ambulatoire. Au niveau diabétique, nous stoppons la Metformine au vu de l'insuffisance rénale. La patiente montre de bons profils glycémiques avec l'insulinothérapie en place. Au niveau social, Mme. Meuwly vit à domicile avec son mari et des soins à domicile. Après un réseau avec le mari et les trois fils, il est décidé, au vu de la mobilisation très limitée et de la perte d'autonomie dans les activités de la vie quotidienne, d'institutionnaliser la patiente dans un établissement médico-social. La patiente est reclassée le 18.04.2019 en attente d'un placement dans un EMS. Mme. Meuwly reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Meyer, 82 ans, en bonne santé habituelle, est hospitalisée dans un contexte d'AVC ischémique subaigu thalamique gauche. Pour rappel, la patiente est amenée en ambulance en raison d'une diplopie binoculaire apparue la veille du 19.04.2019 avec des troubles de l'élocution remarqué le matin et sensation de perte d'équilibre menant à une chute sans trauma crânien ni perte de connaissance. Au service des urgences, la patiente présente une diplopie binoculaire, dysarthrie et troubles de la marche. L'Angio-CT cérébral et des vaisseaux précérébraux révèle une occlusion focale de l'artère vertébrale droite (V4) et l'IRM cérébral confirme un AVC ischémique subaigu thalamique gauche, sans transformation hémorragique. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une fonction cardiaque conservée et exclut une source cardio-embolique. La neurosonologie confirme une occlusion focale de l'artère vertébrale droite dans sa portion V4 et montre une athéromatose diffuse. Sur le plan médicamenteux, une double anti-agrégation par Aspirine et Plavix est mise en place. L'Aspirine sera à continuer jusqu'au 20.05.2019. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est introduit en raison d'une hypercholestérolémie et en prévention secondaire. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Au niveau ophtalmologique, un rendez-vous avec examen orthoptique de suivi est prévu le 13.05.2019. Au niveau neurologique, une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue le 23.08.2019 par Dr. X avec réalisation d'un ultrason des vaisseaux pré-cérébraux. À noter que pendant l'hospitalisation, Mme. Meyer présente des mouvements répétitifs et très stéréotypés des jambes compatibles avec le syndrome des jambes sans repos. Nous introduisons donc un traitement par patch Neupro à 1 mg/24 h. En fonction de la réponse, nous vous laissons adapter le traitement. L'évolution clinique est favorable. À la sortie, au status neurologique, la patiente présente une persistance de la diplopie. Mme. Meyer peut regagner son domicile le 30.04.2019, une physiothérapie ambulatoire sera à organiser pour la suite à l'HFR Billens. Elle bénéficiera également d'un contrôle en ambulatoire d'ophtalmologie. Mme. Y a bénéficié d'un arrêt de travail à 100 % du 09.03.2019 au 28.04.2019. 50 % du 29.04.2019 au 12.05.2019. 0 % dès le 13.05.2019. Pour nous, le traitement prend fin ce jour le 23.04.2019 dans notre service. Mme. Molleyre présente une fracture Weber A non déplacée de la malléole externe à G dont le traitement est conservateur par immobilisation dans un VACOped pour une durée totale de 6 semaines. J'introduis une prophylaxie antithrombotique par Xarelto 10 mg 1 cp/j à prendre pendant 5 semaines. La patiente a le droit de marcher en charge sous réserve de garder sa cheville immobilisée dans le VACOped. En ce qui concerne l'épaule, je retiens une simple contusion bénigne en rémission quasi complète. Aucun traitement n'est à proposer. En ce qui concerne les deux genoux : on retient un début d'arthrose rétro-rotulienne sur le versant interne des deux côtés. L'IRM a pu exclure une atteinte méniscale. Je n'ai pas de proposition thérapeutique actuellement. En cas de péjoration des douleurs, la patiente pourrait éventuellement profiter d'une infiltration par cortisone. Mme. Molleyre va continuer ses activités sportives adaptées à ses douleurs au niveau des genoux, c'est-à-dire éviter les marches en montagne et favoriser des marches dans des terrains plats. Je propose un nouveau contrôle radiologique à 6 semaines post-accident pour sa cheville G. Un arrêt de travail a été attesté par Dr. X du 19.04.2019 au 30.04.2019. Reprise du travail à 100 % dès le 01.05.2019.Mme. Y présente des gonalgies bilatérales d'origine indéterminée. Comme diagnostic différentiel, je retiens une gonarthrose bilatérale débutante. Afin de clarifier la situation, je demande une IRM native des 2 genoux le 12.4.2019 et je reverrai la patiente le 30.4.2019 pour discuter des résultats et du traitement. Mme. Y est une patiente de 75 ans, connue pour un carcinome rénal droit, traité par néphrectomie en 2005 et suivi régulièrement par scanner abdominal. Lors du dernier examen en date du 21.12.2018, une masse tumorale de la queue du pancréas est décelée. Dans ce cadre, un bilan est effectué par PET-CT ainsi que par endosonographie avec ponction de cette masse. Elle bénéficie d'une spléno-pancréatectomie le 02.04.2019. L'intervention se déroule sans complications. Les suites postopératoires sont simples avec une antalgie contrôlée par cathéter de péridural. Le traitement par Sandostatine est poursuivi et une antibiothérapie par Dalacin est proposée pour 24h (allergie à la Pénicilline). Mme. Y est une patiente de 75 ans qui bénéficie le 0.04.2019 d'une spléno-pancréatectomie caudale dans le cadre du diagnostic susmentionné. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont marquées par des atélectases bibasales avec un début de surinfection. Une antibiothérapie par Levofloxacine est alors débutée. L'évolution clinico-biologique est par la suite favorable, permettant un retour à domicile le 12.04.2019. Au moment de la sortie, un drain de Jackson est en place et des soins à domicile sont organisés pour le changement du pansement 1 fois par jour. Les résultats postopératoires de Mme. Y sont discutés au colloque oncologique multidisciplinaire du 10.04.2019. Comme il s'agit d'une métastase d'un carcinome rénal à cellules claires avec une 2e lésion visualisée au niveau de l'uncus pancréatique encore en place, il est décidé d'effectuer une surveillance avec CT scan par le service d'oncologie. Je me permets de vous écrire concernant le patient susnommé. Je l'ai vu pour la dernière fois en consultation en date du 15.4.2019. Il avait donc été hospitalisé dans notre service du 25.2.2019 au 11.3.2019 dans un contexte de maux perforants multiples au niveau de ses 2 pieds. Sous soins locaux et correction de sa fonction cardiaque, en particulier son insuffisance droite, on a assisté à une évolution tout à fait favorable. Au dernier contrôle de ce jour, il reste un mal perforant au niveau de la face dorsale de l'inter-phalangienne distale de son premier orteil gauche d'environ 3 mm de diamètre avec un bon tissu de granulation. Le 2ème orteil de ce côté est guéri. Quant au premier orteil droit, l'ulcère est pulpaire, d'environ 2 mm de diamètre et fibrineux en profondeur. On est frappé par l'apparition de nouveaux œdèmes assez importants au niveau de ses 2 MI, prenant le godet jusqu'à mi-mollet. Pour ce patient, je pense que le protocole de pansement doit être une désinfection au Prontosan, un curetage à droite là où il existe la fibrine et la mise en place d'un pansement avec Ialugen. Un facteur déterminant dans sa cicatrisation sont aussi ces œdèmes des MI. Je pense qu'il vaudrait la peine de discuter le traitement de fond diurétique avec le Dr. X. La courbe pondérale restera aussi, je pense, un facteur déterminant. Pour ma part, je le reverrai courant juin. En vous remerciant de votre collaboration et en restant à disposition, je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, mes meilleures salutations. Mme. Y, 18 ans, est admise aux soins intensifs suite à un abus médicamenteux. La patiente a été hospitalisée en mars 2019 au RFSM site de Marsens pour une dépression sévère avec un risque auto-agressif. Le 23.04.2019, elle a ingéré environ dix fois la dose de son traitement antidépresseur (Vortioxétine, Quétiapine et Zopiclone) dans le but de dormir, sans idées suicidaires clairement exprimées. Elle précise avoir apprécié l'effet anesthésiant des médicaments au niveau émotionnel. Les parents la retrouvent somnolente vers 21 h, peu après la prise des médicaments, et la conduisent aux urgences où elle bénéficie d'un traitement par charbon actif. Elle est ensuite transférée aux soins intensifs pour surveillance. Elle présente un état de conscience altéré avec un score de Glasgow à 13/15. L'évolution neurologique est par la suite favorable, la patiente étant somnolente mais réveillable. La surveillance hémodynamique et le bilan biologique sont sans particularité. L'évaluation psychiatrique est possible dès le lendemain matin. La patiente présente toujours un état dépressif sévère avec des idées noires, une thymie fortement abaissée et un risque de passage à l'acte élevé. Elle est anosognosique quant à la sévérité de son acte et ambivalente quant à sa volonté de mourir. Elle se décrit également comme impulsive et décrit un mal-être profond. Refusant de se faire hospitaliser en milieu psychiatrique, la patiente est mise sous placement à fin d'assistance et transférée au RFSM Marsens le 24.04.2019. Le formulaire lui a été remis et les voies de recours lui ont été indiquées. Mme. Y est une patiente de 72 ans, connue pour une hypertension artérielle traitée. Elle est adressée par l'orthopédie de Sonnenhof pour une réhabilitation musculo-squelettale après implantation d'une prothèse totale du genou gauche le 13.03.2019 en raison d'une gonarthrose invalidante. À l'entrée, la patiente se plaint spontanément de troubles du sommeil depuis son séjour hospitalier; elle prend de manière fixe 1 mg de Temesta le soir depuis longtemps. Le genou est encore légèrement douloureux, surtout à la marche. Elle présente également un œdème du membre inférieur gauche, présent depuis l'opération, unilatéral, sans perte de force ou de sensibilité par rapport au côté controlatéral. À l'anamnèse systématique, Mme. Y décrit une sensibilité émotionnelle, particulièrement depuis le décès de son mari il y a 4 ans, et ne désire pas prendre d'anti-dépresseur. Elle rapporte aussi une toux sèche au décours, ainsi que des épisodes de palpitations durant la nuit, qu'elle met en lien avec sa nervosité, sans douleurs thoraciques ou autres symptômes associés. Le transit est irrégulier depuis l'opération, avec une régularisation progressive; dernières selles ce matin, molles, avec absence de sang. Au niveau social, la patiente vit seule depuis le décès de son mari il y a 4 ans, dans un appartement accessible par ascenseur, sans marche pour accéder au logement. Elle est complètement autonome et indépendante dans les ADLs et iADLs, elle n'a pas de soins à domicile, elle n'avait pas de moyen auxiliaire pour la marche. Elle n'a pas d'enfants, mais deux sœurs qui entourent Mme. Y et l'aideront pour le retour à domicile. Dans le cadre de son opération, elle ne peut pas conduire jusqu'à 6 semaines postopératoires. Au statut d'entrée, la patiente présente une chaleur avec rougeur légère et tuméfaction ainsi qu'une douleur discrète à la palpation du genou gauche. La cicatrice est calme sans signes inflammatoires ou écoulement, les agraphes bien en place. La marche est possible avec une charge complète à l'aide de deux cannes anglaises. Nous notons un flexum à la station debout mais une bonne mobilité globale de l'articulation avec une flexion possible jusqu'à 90° à l'entrée. Nous débutons une réhabilitation avec physio- et ergothérapie intensives. À l'entrée, Mme. Y est déjà autonome dans les transferts et se mobilise avec des CA sous supervision. Le Tinetti est à 13/28 avec un risque de chute élevé. À la fin de l'hospitalisation, la patiente est autonome dans la marche et les escaliers, avec de nouveau une autonomie ainsi qu'une sécurité satisfaisantes dans la mobilité et les activités de la vie quotidienne. Le Tinetti est à 18/28.Durant l'hospitalisation, une carence en acide folique et en vitamine D est observée, avec une substitution en conséquence. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y peut regagner son domicile le 27.03.2019 avec le passage du Spitex 1x/jour. Mme. Y présente des lombo-sciatalgies chroniques sur canal lombaire étroit qui sont dues à une spondylarthrose multi-étagée sur scoliose lombaire dextro-convexe. En même temps, elle souffre d'une coxarthrose bilatérale symptomatique à droite. Je suis tout à fait d'accord avec son médecin de famille qu'il faut tout d'abord s'intéresser au canal lombaire étroit qui montre clairement une péjoration sur l'IRM actuelle comparée aux clichés datant d'une année. Je peux m'imaginer que la patiente profitera d'une décompression de canal lombaire et spondylodèse. En ce qui concerne la hanche, la patiente est également symptomatique mais la principale douleur parvient quand même du dos. J'ai convenu avec la patiente qu'elle me recontacte une fois qu'elle aura eu l'avis du Dr. X pour organiser la suite du traitement de sa hanche droite. L'indication pour l'implantation d'une prothèse totale de la hanche droite sera posée en fonction de la souffrance de la patiente. Dans le cas de Mme. Y, l'implantation d'une PTH par voie antérieure mini-invasive pourrait être réalisée. Mme. Y est une patiente de 75 ans, connue pour une BPCO non stadée et asthme, un syndrome métabolique avec un diabète de type 2 et HTA et une insuffisance cardiaque, qui nous est transférée de l'HFR à Riaz en raison d'un iléus grêle avec volumineuse hernie ombilicale avec passage d'anses grêles ainsi qu'une partie du côlon, visualisé au CT abdominal du 19.03.2019. La patiente s'était initialement présentée en raison de douleurs épigastriques associées à des vomissements, apparues sur une hernie ombilicale importante de longue date. La patiente bénéficie d'une cure de hernie ombilicale selon Rives avec mise en place d'un pansement VAC en urgence le 19.03.2019, qui se déroule sans complication notable. L'évolution post-opératoire se complique par une insuffisance respiratoire globale, raison pour laquelle la patiente est transférée aux soins intensifs pour des séances de VNI. L'évolution sur le plan respiratoire est rapidement favorable, permettant un transfert à l'étage de chirurgie le 22.03.2019. Sur le plan abdominal, nous procédons à des changements de pansement VAC de manière itérative, avec fermeture cutanée le 21.04.2019. Une nutrition parentérale est introduite au vu d'une malnutrition protéino-énergique. Nous proposons une réadaptation à Riaz pour la suite, que Mme. Y refuse. À noter que nous avons adapté le traitement diurétique et antihypertenseur de la patiente. Au vu de l'évolution de la patiente et après discussion avec nos collègues internistes, nous décidons de stopper le Lasix et Aldactone et d'introduire le Torem 20-10-0-0 mg. Au vu d'une tension artérielle qui reste dans la norme, nous arrêtons l'Amlodipine et la dose d'Atacand est réduite à 8 mg 1x/jour. Nous vous prions de faire un contrôle clinique et d'adapter le traitement en cas de nécessité. D'autre part, nous vous laissons le soin d'organiser un bilan pneumologique en ambulatoire. Mme. Y, 71 ans, connue pour une hypothyroïdie substituée, est hospitalisée en lit monitoré pour une surveillance neurologique du 4 au 6.4.2019, puis non monitoré dès le 6.04.2019 en raison d'une hémorragie sous-arachnoidienne frontale gauche post-traumatique ainsi qu'un AVC ischémique aigu. Au niveau anamnestique, elle rapporte avoir ressenti des prodromes sous forme de chaleur thoracique et voile noire alors qu'elle achetait du pain à la boulangerie. Elle chute alors en arrière avec traumatisme crânien occipital et brève perte de connaissance. Dès son réveil, elle présente des vertiges rotatoires nouveaux. Le CT cérébral initial du 05.04.2019 montre de multiples hémorragies sous-arachnoïdiennes en région frontale gauche, un petit hématome sous-galéal occipital droit associé à une fracture occipitale droite. En raison des vertiges persistants, une IRM cérébrale est réalisée le 05.04.2019 et montre un AVC ischémique aigu dans la région inter-pédonculaire en paramédian gauche. Il n'est pas clair si l'AVC a précédé la perte de connaissance et le traumatisme, ou s'il est survenu dans les suites de la chute (avec éventuellement la mobilisation d'une plaque). De sa taille et sa localisation, il semble improbable qu'il ait causé une perte de connaissance telle que décrite par la patiente. Nous effectuons un bilan étiologique de l'AVC. L'échocardiographie transthoracique est dans la norme et ne met pas en évidence de lésions structurelles cardiaques expliquant la survenue de l'AVC. Un Holter de 72 heures est posé, dont l'interprétation est encore en cours et les résultats définitifs restent à pister. Nous effectuons également un US Doppler des vaisseaux pré-cérébraux car les coupes de l'angio-CT ne descendent pas jusqu'à la bifurcation carotidienne. Sur le plan neurologique, l'évolution est favorable avec l'absence de déficit sur le séjour et une bonne évolution radiologique de l'hémorragie sous-arachnoïdienne. La patiente se plaint néanmoins d'une raideur nucale ainsi que de vertiges rotatoires persistants s'améliorant lentement durant le séjour. En raison de cette symptomatologie ainsi que d'une tuméfaction au niveau de la parotide droite, un bilan est effectué par nos collègues ORL. Ils retiennent une origine non-périphérique aux vertiges de la patiente et diagnostiquent une sialadénite bactérienne qu'ils préconisent de traiter par antibiotique ainsi qu'un schéma dégressif de Prednisone. L'évolution de cette infection est favorable mais les vertiges persistent durant le séjour. Un contrôle ambulatoire en ORL avec ultrason parotidien est prévu pour le 16.05.2019 où la possible composante périphérique des vertiges pourra être réévaluée. Sur le plan médicamenteux, un traitement hypolipémiant par Atorvastatine 40 mg/j est introduit avec par la suite également une antiagrégation par Aspirine 100 mg/j après scanner de contrôle post-hémorragie ainsi que l'avis de nos collègues de neurochirurgie. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/). La patiente rentre à domicile le 4.4.2019 avec une aide familiale organisée par le service de liaison. Une imagerie de contrôle par scanner cérébral ainsi qu'une consultation chez notre collègue neurochirurgien Dr. X est agendée au 9.5.2019. Le suivi neurologique se fera à 3 mois à la consultation neurovasculaire le 7.8.2019 où la capacité à conduire sera réévaluée. Dans l'intervalle, Mme. Y est informée que la conduite est contre-indiquée. Mme. Y, 71 ans est hospitalisée aux soins intensifs pour TCC consécutif à un AVC ischémique. Elle est connue pour une hypothyroïdie substituée et chute de sa hauteur alors qu'elle était dans la boulangerie avec traumatisme crânien et perte de connaissance. Elle présente comme prodromes une sensation de froid avec voile noir. Dès son réveil, elle présente un vertige de type rotatoire, uniquement soulagé lors de la position couchée et de la fermeture des yeux. Au reste de l'anamnèse, elle dit présenter une sinusite depuis 48h avec toux et crâchats, traitée par de la clarithromycine 500 mg. Le CT cérébral initial du 05.04.2019 montre de multiples hémorragies sous-arachnoïdiennes en région frontale gauche, un petit hématome sous-galéal occipital droit associé à une fracture occipitale droite. Le CT cérébral de contrôle à 6h montre une stabilité des lésions.L'examen neurologique est sans particularité hormis la persistance de vertige rotatoire. Par conséquent une IRM cérébrale est réalisée le 05.04.2019 et montre un AVC ischémique aigu dans la région inter-pédonculaire en paramédian gauche. Un avis est pris auprès des neurologues qui préconisent de débuter l'aspirine à partir de 4-5 jours après l'hémorragie. La patiente est transférée en stroke unit le 06.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mme. Mottis est amenée aux urgences par ambulance pour une orthopnée en péjoration depuis ces deux derniers jours. Mme. ne formule pas d'autre plainte. Aux urgences, un cliché du thorax met en exergue une redistribution vasculaire, ainsi qu'un minime épanchement pleural. Une échocardiographie transthoracique est effectuée et témoigne d'une FeVG abaissée à 35%, ainsi que d'un trouble cinétique segmentaire. Au vu d'une cinétique en majoration des troponines, nous décidons de soumettre la patiente à une coronarographie, qui démontre des artères coronaires saines, une normocinésie globale, et une bonne fraction d'éjection ventriculaire. Nous demandons un examen de Holter, qui sera effectué à distance. Sur le plan tensionnel, nous objectivons un profil élevé, ce qui motive l'introduction d'olmesartan, qui par ailleurs simplifie la prise médicamenteuse. Nous vous proposons de revoir à distance la réponse à ce traitement, ainsi que sa posologie. Sur le plan respiratoire, l'évolution est favorable sous diurétiques, avec rémission de la dyspnée. Nous établissons un programme de physiothérapie et proposons à la patiente un séjour en réadaptation cardiovasculaire, ce qu'elle refuse. Mme. rentre donc à son domicile en la date du 18 avril, sans aucune aide. Mme. Moullet, connue pour une insuffisance rénale chronique stade G5 A3 suivie par le Dr. X depuis mars 2017 (patiente refusant la dialyse en cas de péjoration) ainsi que de troubles cognitifs importants, est amenée aux urgences le 07.03.2019 en raison de douleurs en fosse iliaque gauche et sus-pubiennes depuis la veille, avec nausées, vomissements et inappétence. Pour rappel, la patiente est en attente de placement dans un EMS suite à son hospitalisation du 15 au 27.02.2019 pour une acutisation de son insuffisance rénale. Un syndrome obstructif et urétéro-pyélocaliciel gauche d'allure chronique avec un bassinet mesuré à 37 mm en antéro-postérieur est mis en évidence avec un refus d'intervention pour la pose d'une sonde double J. À l'admission aux urgences, la patiente est hémodynamiquement stable. Au status cardiovasculaire, présence d'un souffle systolique 3/6. Le status pulmonaire est sans particularité. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë AKIN 3 sur chronique, une hyponatrémie, un important syndrome inflammatoire et une anémie normochrome normocytaire légère d'origine rénale. Mme. Moullet est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Nous effectuons un CT scan abdominal qui ne montre pas de diverticulite mais une infiltration de la graisse entourant le pyélon du rein gauche. Nous constatons un possible début de péritonite avec une défense en fosse iliaque gauche et para-ombilicale. Dans ce contexte, nous introduisons du Tazobac afin de couvrir un spectre plus large. Malgré l'antibiothérapie, l'évolution clinique et biologique est défavorable. Suite à un colloque avec ses proches, et selon leur désir, un traitement symptomatique par morphine, à visée de confort est introduit dès le 15.03.2019. Mme. Moullet reste par la suite confortable et elle décède paisiblement le 28.03.2019. Mme. Moura prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 10 jours du traumatisme. Mme. Muenger, connue pour un trouble bipolaire avec de multiples consultations aux urgences, est adressée aux urgences le 12.04.2019 par le Dr. X, médecin de garde, en raison de céphalées pariétales droites apparues 2 jours auparavant. À noter que la patiente est suivie par le Dr. X, centre de la douleur - HFR Fribourg, et qu'elle a bénéficié d'un traitement par injection intra-nasale 5 jours auparavant pour des céphalées pariétales droites et des vertiges, avec diminution des symptômes mais apparition de douleurs contro-latérales déjà connues par le passé. Les douleurs sont décrites sous forme d'écrasement pulsatile, majorées à la position debout. Elle rapporte également des vertiges rotatoires positionnels lors de la marche, connus mais en augmentation depuis quelques jours. Acouphènes gauches, en continu depuis ce jour au matin, avec otalgie bilatérale, sans symptôme visuel. Mme. Muenger signale également une chute la veille de l'admission, sur probable syncope, avec probable traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Nausées avec vomissements lors des vertiges, sans plainte abdominale autre. Pas de plainte cardio-respiratoire nouvelle. Hypoesthésie connue du membre inférieur droit depuis la péridurale, sans déficit moteur nouveau. Pas d'état fébrile, mais frissons ce jour. Mme. Muenger consulte ce jour les urgences de l'HFR Fribourg, sans consultation médicale en raison du délai d'attente. Par la suite, elle consulte le Dr. X, médecin de garde, qui l'adresse aux urgences après consultation, pour soins impossibles à domicile, la patiente ne se sentant pas en sécurité de rentrer seule à la maison et aucun proche ne pouvant s'occuper d'elle. Aux urgences, l'examen clinique neurologique retrouve une patiente calme et collaborante. Les pupilles sont isocores et isoréactives, sans photophobie ni diplopie avec vision centrale/périphérique conservée et poursuite oculaire lisse. La force et la sensibilité du visage sont symétriques des deux côtés avec absence de déviation de la luette et motricité de la langue, du visage et des épaules symétrique des deux côtés. Pas de trouble de l'acuité auditive avec head impulse test dans la norme, déclenchant une sensation de vertige après environ 3 minutes, résolutif spontanément en moins d'une minute. La force est symétrique aux 4 membres ainsi que les réflexes et un réflexe cutané plantaire en flexion. Une hypoesthésie de la face externe du membre inférieur droit est retrouvée, connue selon la patiente, avec reste de la sensibilité symétrique aux 4 membres. Enfin, les épreuves cérébelleuses sont dans la norme. L'examen clinique ORL ne retrouve pas de nystagmus, au repos ni aux lunettes de Frenzel, avec tympans calmes des deux côtés. Douleurs à la palpation para-cervicale et pariéto-occipitale gauche. Malgré un examen clinique sans particularité, au vu des symptômes décrits, de la notion de traumatisme crânien et d'un réseau social limité, Mme. Muenger est gardée en surveillance en lit d'observation aux urgences pour la nuit avec traitement symptomatique. La surveillance se passe sans complications, l'examen neurologique est dans la norme et la symptomatologie douloureuse diminue. Mme. Muenger peut regagner son domicile le 13.04.2019. Mme. Muller est une patiente âgée de 74 ans, aux comorbidités et antécédents sus-mentionnés, qui est prise en charge chirurgicalement pour une cholécystectomie et hémicolectomie gauche élargie avec CME par laparotomie le 05.04.2019. L'opération se déroule sans complication. Le cas de Mme. Muller a été discuté lors du colloque pluridisciplinaire onco-chirurgie du 17.04.2019 où la décision pour une chimiothérapie adjuvante est retenue. À noter qu'en raison de symptômes urinaires, nous réalisons un sédiment urinaire qui montre une infection urinaire, que nous traitons par antibiothérapie par nitrofurantoïne pendant 5 jours. Les suites post-opératoires sont simples et permettent un transfert en réhabilitation à Riaz le 12.04.2019.Mme. Musy consulte les urgences le 05.04.2019 en raison d'une dyspnée de stade NYHA 4 depuis le 24.03.2019, avec toux non expectorante depuis le 20.03.2019 et frissons solennels (température non mesurée), dans les suites d'un état grippal la semaine auparavant. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par systèmes. La patiente est vaccinée contre la grippe. A noter une hospitalisation dans le service de gériatrie aiguë du 02 au 12.03.2019 pour sepsis sévère d'origine indéterminée. A l'admission aux urgences, la patiente est fébrile à 40°C avec une légère désaturation à l'air ambiant. Au status pulmonaire, la patiente est tachypnéique. A l'auscultation, notons une légère hypoventilation bibasale, sans bruits surajoutés. La patiente est cachectique. Les bruits abdominaux sont normaux, pas de souffle aortique, l'abdomen est indolore, tendu à la palpation de l'hémi-abdomen supérieur, sans détente ni défense. Les status urologique, cardiovasculaire et neurologique sont dans la norme. Le laboratoire revient dans la norme, sans syndrome inflammatoire. La gazométrie montre une alcalose respiratoire avec une hypoxémie et la radiographie du thorax met en évidence un foyer basal gauche. Des hémocultures et une recherche d'antigènes urinaires sont prélevées et Mme. Musy est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Le diagnostic de pneumonie débutante du lobe inférieur gauche est retenu et au vu de la récente hospitalisation, une antibiothérapie par Cefepime et Klacid est débutée. Le traitement par clarithromycine est interrompu le 25.03.2019 en raison des antigènes urinaires négatifs. Le traitement est relayé per os dès le 28.03.2019 par Ciprofloxacine et Clindamycine pour une durée totale de 7 jours. Les hémocultures reviennent négatives. Durant le séjour, la patiente présente des états fébriles intermittents, malgré une amélioration clinique et biologique ainsi qu'une radiographie du thorax montrant une régression du foyer basal gauche. Sur avis du Dr. X, infectiologue, l'antibiothérapie est arrêtée le 01.04.2019. Suite à l'arrêt du traitement, la patiente ne présente pas de récidive de pic fébrile. Une probable étiologie médicamenteuse est donc retenue. Concernant l'adénocarcinome pulmonaire, la patiente bénéficie de la suite de son traitement de Pembrolizumab le 04.04.2019. Le reste du suivi sera assuré en ambulatoire auprès du Dr. X. Mme. Musy reste afébrile et elle peut regagner son domicile le 05.04.2018. Mme. Nager, votre patiente de 87 ans, connue pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur HTAP sous oxygénothérapie à domicile et flutter auriculaire anticoagulé, est hospitalisée pour pneumonie basale droite et décompensation cardiaque globale. La patiente présente le 07.04.2019 une détresse respiratoire aiguë avec frissons solennels et désaturations malgré une oxygénothérapie à domicile. Elle rapporte une orthopnée nouvelle avec péjoration de ses oedèmes des membres inférieurs. Le bilan radiologique confirme le foyer du lobe inférieur droit avec signes de décompensation cardiaque. Après discussion avec la famille et la patiente, une antibiothérapie est débutée ainsi qu'une majoration de l'oxygénothérapie. Des diurétiques sont introduits. L'évolution clinique est favorable. Une bouteille d'hémocultures revient positive pour un germe anaérobe (Atopobium parvulum). Afin de couvrir les anaérobes, l'antibiothérapie est switchée pour Co-Amoxi IV (car la patiente a des nausées à l'ingestion des comprimés oraux) adaptée à la fonction rénale pour 10 jours au total. Les diurétiques sont diminués progressivement en raison d'une péjoration de la fonction rénale d'origine pré-rénale sur déshydratation avec composante orthostatique. Dans le cadre d'une possible broncho-aspiration, un bilan de déglutition montre un risque modéré de fausse route qui est travaillé avec les physiothérapeutes. En raison de l'insuffisance rénale, le Xarelto est mis en suspens avec relai par héparine prophylactique. Sa reprise sera à évaluer selon la récupération de la fonction rénale. Concernant la prise en charge cardiaque, le Dr. X proposait un bilan par cathétérisme cardiaque. Au vu des comorbidités et de l'âge de la patiente, il est décidé de ne pas poursuivre les investigations et de privilégier un traitement conservateur. Durant la nuit du 08.04 au 09.04.2019, la patiente est retrouvée à côté de son lit, confuse, sans troubles neurologiques focaux. En raison d'un possible traumatisme crânien sans plaie apparente sous anticoagulation, un CT cérébral est réalisé et ne montre pas de lésion traumatique, ni saignement intracrânien. Troubles électrolytiques, nous vous demandons de contrôler les électrolytes le vendredi 19.04.2019. Mme. Nager est transférée en réadaptation gériatrique à l'HFR-Tavel le 16.04.2019. Mme. Negro, patiente de 69 ans, nous est transférée du service d'orthopédie à l'HFR Fribourg pour une rééducation musculo-squelettique suite à une fracture spontanée de la malléole interne gauche traitée conservativement le 10.02.2019. A l'entrée, la patiente ne se plaint pas de douleurs. Au status d'entrée, l'état général est légèrement diminué sans autres particularités. La mobilisation était difficile vue la limitation de la charge partielle. Ad Diag. principal: Sur le plan de l'activité, la patiente ne pouvait pas se lever du lit, avait besoin de l'aide de deux personnes, était totalement dépendante. Elle ne pouvait pas marcher et ne pouvait pas faire d'escalier. Le Tinetti (avec tintébin) était à 1/28. La patiente était dépendante de l'aide du personnel soignant pour les soins de la partie inférieure du corps. Des mesures de réadaptation gériatrique, comprenant entre autres une physio- et une ergothérapie, sont mises en place. Durant les séances de physiothérapie, elle renforce ses membres inférieurs, exerce son équilibre. En ergothérapie, nous évaluons la nécessité d'une nouvelle aide auxiliaire à la marche (tintébin, rollateur) et nous exerçons les activités de la vie quotidienne. A la sortie, Mme. Negro fait le transfert par Arjo avec aide de type contact de 2 personnes, marche avec tintébin sur 15 m, elle a peur de monter les escaliers, Tinetti 5/28. Au niveau médical, une anticoagulation prophylactique par clexane 40 mg/j est mise en place jusqu'au 24.03.2019. Le traitement antalgique est adapté. Suite aux consultations orthopédiques à l'HFR Fribourg le 25.03.2019 (chez Dr. X) et le 08.04.2019 (chez Dr. X), il a été décidé de garder le plâtre jusqu'au prochain contrôle du 24.04.2019. Ad Diag. 1 Dans le contexte d'une fracture spontanée et d'une carence en vitamine D, nous vous proposons de continuer le bilan à la recherche d'une ostéoporose et éventuellement instaurer un traitement en fonction. Une substitution en vitamine D a été entamée. Ad Diag. 2,3 Nous notons pendant l'hospitalisation, un syndrome extrapyramidal probablement dans le contexte du traitement neuroleptique et du lithium depuis des années. Nous remplaçons par la suite le Risperidon par Quetiapin. Le taux de lithémie reste dans la norme. Le traitement par Losartan est arrêté vu l'interaction médicamenteuse avec le Lithiofor. Les tremblements sont légèrement améliorés par la suite. Un traitement antihypertenseur par Amlodipine 10 mg/j est débuté avec une bonne réponse. Grâce à la physiothérapie, la mobilisation de la patiente est améliorée. Néanmoins, en raison d'une guérison lente de la fracture, elle ne peut toujours pas charger la cheville gauche et ne peut donc pas continuer la physiothérapie. Cela a été discuté lors des discussions familiales avec les proches de la patiente. Pour cette raison, un court séjour de 2 mois en home a été suggéré.Nous laissons la patiente quitter notre service de réadaptation musculo-squelettique dans un bon état général, à destination au cours séjour à la Villa Beausite. Mme. Y, admise pour une coronarographie élective en vue d'un bilan pour TAVI chez une patiente connue pour une sténose aortique sévère avec AVA 0.60 cm2 et dyspnée NYHA III. L'examen invasif du jour confirme la sténose aortique sévère. La fonction systolique du VG est normale. La coronarographie démontre une sténose subocclusive de la bifurcation de l'IVA/DA et une lésion intermédiaire de l'ostium de la coronaire droite. Nous procédons après discussion avec Mme. Y à une dilatation avec mise en place de deux stents actifs (IVA/DA) avec bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Nous planifierons un angio-CT de l'aorte en prévision d'une TAVI. Le patient rentre à domicile le 10.04.2019. Mme. Y, patiente de 88 ans, connue pour une cardiopathie ischémique et dysrythmique, anticoagulée par Eliquis, présente depuis le 31.03.2019 une dyspnée d'effort en péjoration et une orthopnée associée à des palpitations. La patiente avait été traitée par Augmentin pour une pneumonie jusqu'au 30.03.2019. Au service des urgences, une décompensation cardiaque gauche est mise en évidence, ainsi qu'une FA rapide. Au vu du diagnostic récent de fibrillation auriculaire, une échocardiographie transthoracique est réalisée, qui montre une fraction d'éjection ventriculaire gauche conservée mais diminuée par rapport au comparatif de 2014, ainsi qu'une dilatation de l'oreillette gauche. En raison de la tachycardie persistante, un traitement de Dilzem est instauré en addition au traitement de B-Bloquants. Un Holter de 24 heures est réalisé le 04.04.2019, permettant d'exclure des pauses significatives sous cette double thérapie. Au vu de l'évolution clinique satisfaisante, Mme. Y retourne à son domicile le 06.04.2019. Le suivi se fera chez son médecin traitant à qui nous laissons le soin de pister les résultats définitifs du Holter réalisé. Mme. Y se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales diffuses évoluant depuis le mois de janvier 2019, prédominantes au niveau de l'épigastre et augmentées après la prise alimentaire. Les douleurs sont en cours d'investigation en ambulatoire, avec CT abdominal (30.01.19) et colonoscopie (26.02.19). Un dosage de la Gastrine (augmenté) ainsi que de la chromogranine A (augmenté) est réalisé en raison d'un antécédent d'adénome parathyroïdien et d'une suspicion de NEM. Un Octréoscan est agencé le 03.04.19. L'octréoscan du 03.04.2019 ne montre pas de foyer hyperactif pathologique en faveur d'une éventuelle tumeur primitive neuro-endocrinienne avec récepteurs à la Somatostatine. L'hypergastrinémie et l'hyperchromograninémie sont probablement secondaires au traitement par inhibiteur de la pompe à proton pris au long cours et non stoppé avant la réalisation du bilan sanguin. Une maladie ulcéreuse ou une infection à H. Pylori sont également probables, dans ce contexte nous organisons une gastroscopie en ambulatoire. Un retour à domicile est organisé le 10.04.19. Mme. Y, 73 ans, a été admise aux soins intensifs suite à une dyspnée paroxystique et oppression rétrosternale, attribuées à une maladie valvulaire aortique. La patiente est porteuse d'un pacemaker, avec un récent contrôle cardiologique. Mis à part un épisode de douleurs thoraciques en septembre 2018 ayant motivé une courte hospitalisation, la patiente n'a pas d'autres antécédents ou comorbidités cardiovasculaires. Le 13.04.2019, elle était en visite chez sa fille à Estavayer-le-Lac et a présenté une oppression thoracique aiguë avec dyspnée. Elle a été amenée en ambulance aux urgences de Fribourg puis directement en salle de coronarographie. L'examen invasif a démontré une maladie coronarienne sans lésion significative. L'aortographie n'a pas identifié de dissection mais une valve aortique calcifiée et serrée avec une insuffisance modérée. Le gradient moyen transvalvulaire était à 31 mmHg correspondant à une sténose aortique modérée à sévère. Le bilan de la sténose aortique a été complété par une échocardiographie transthoracique qui montre une valve aortique dégénérée induisant une sténose modérée et, en raison d'une inversion du flux protodiastolique au niveau de l'aorte thoracique descendante, vraisemblablement une insuffisance sévère qui ne peut pas être quantifiée par des méthodes standards en raison de son excentricité. Sur avis cardiologique, un bilan en ambulatoire par échocardiographie transoesophagienne et IRM myocardique est préconisé. Une embolie pulmonaire a été exclue par angio-CT scan du fait d'une légère élévation des D-dimères. Des épisodes de bloc atrio-ventriculaire du 3ème degré suivi d'un électro-entraînement ont été observés durant le monitoring aux soins intensifs. La patiente est restée asymptomatique sans récidive d'oppression thoracique. Le profil de pression artérielle étant modérément élevé, nous avons doublé la posologie de valsartan et poursuivi le bétabloqueur. Nous avons proposé à la patiente de vous consulter afin d'adapter le traitement en fonction du profil tensionnel en ambulatoire, de contrôler la fonction rénale et d'envisager la suite des investigations concernant la maladie valvulaire aortique. Le 10.04.2019, la patiente avait présenté des coliques néphrétiques, soulagées par la prise d'AINS, sans récidive durant l'hospitalisation. Mme. Y est rentrée à domicile le 14.04.2019. Mme. Y, connue pour une BPCO stade III B avec tabagisme ancien, est amenée aux urgences en ambulance le 25.03.2019 dans un contexte de détresse respiratoire (dyspnée en progression depuis trois jours), avec état fébrile et toux grasse avec expectorations jaunâtres. Elle relate également quelques épisodes de vomissements, possiblement sur effort de toux. À noter que la patiente ne bénéficie pas d'oxygène à domicile, par choix, en raison d'effets indésirables (assèchement des muqueuses). L'examen clinique initial retrouve une patiente présentant un état général diminué avec une déshydratation, une légère tachycardie régulière et une insuffisance respiratoire avec une tachypnée, un tirage et, à l'auscultation pulmonaire, des sibilances pulmonaires prédominant à droite. Nous retenons une exacerbation de sa bronchopneumopathie chronique obstructive, dans un contexte probablement infectieux mais sans foyer radiologique clair. La patiente bénéficie d'une antibiothérapie empirique par Rocéphine pendant cinq jours, une corticothérapie, ainsi qu'une intensification des aérosols, une oxygénothérapie et une physiothérapie respiratoire. L'hospitalisation est marquée par une bonne évolution clinique, permettant un sevrage de l'oxygène. Elle présente encore des épisodes d'angoisse, sans désaturation et qui répondent aux anxiolytiques. La patiente est transférée le 08.04.2019 à l'HFR-Billens pour une réadaptation respiratoire et amélioration de l'autonomie avant un retour à domicile. Mme. Y nous est adressée depuis Meyriez pour une suspicion d'ostéomyélite. Elle a été amenée aux urgences à Meyriez devant un état sous-fébrile. Aux urgences, nous retenons une suspicion d'une nécrose sèche sans signe d'infection aiguë en accord avec les collègues d'orthopédie et d'infectiologie. Un IRM est prévu en hospitalier. Nous retenons le diagnostic d'une décompensation cardiaque gauche dans le contexte infectieux et introduisons un traitement diurétique.Au CT abdominal, un déplacement de la sonde double J gauche est mis en évidence. Nous interprétons le syndrome inflammatoire dans un contexte d'une possible infection urinaire ou dans le contexte de surinfection de la plaie. Nous décidons d'abord de ne pas introduire d'antibiothérapie et de suivre cliniquement et biologiquement l'évolution. Mme. Y présente un état confusionnel aigu. Anamnéstiquement, elle présente un état confusionnel intermittent depuis janvier 2019. Nous introduisons un traitement à Distraneurin au vu du QT long. Mme. Y est une patiente de 36 ans qui se présente aux urgences pour une clinique d'appendicite aiguë, le diagnostic est confirmé par un ultrason abdominal et la patiente bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 27.04.2019. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables permettant un retour à domicile le 28.04.2019. Mme. Y est une patiente de 62 ans qui bénéficie d'une hémicolectomie gauche par laparotomie le 27.03.2019 dans le cadre du diagnostic sus-mentionné. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables permettant un retour à domicile le 03.04.2019. Mme. Y, âgée de 80 ans, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une neuro-réadaptation dans un contexte d'hémorragie pariétale G le 04.03.2019 avec prise en charge au CHUV du 04.03 au 11.03.2019. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile. Elle bénéficiait du passage des soins à domicile, d'une aide au ménage ainsi que de la livraison de repas chauds. À son admission, la patiente est désorientée aux 4 modes. Elle présente des troubles phasiques avec difficulté à l'élocution et de compréhension ainsi qu'une héminégligence droite sans signe de latéralisation. Pas de déficit sensitivomoteur. Le 05.04.2019, la patiente présente une crise de goutte au métatarse D, traitée efficacement par Colchicine. Nous instaurons un traitement de fond par Allopurinol à distance de la crise. Durant son séjour, nous effectuons un suivi rapproché des glycémies afin d'adapter au mieux son traitement. Une évaluation neuropsychologique et logopédique met en évidence une désorientation temporo-spatiale, des troubles langagiers (accès lexical, troubles de compréhension orale et écrite dès le mot isolé, agraphie et alexie mixte sévère), des signes importants d'héminégligence D, un dysfonctionnement exécutif (persévérations +++), des troubles praxiques constructifs et idéomoteurs, des troubles mnésiques, des troubles gnosiques visuels et des difficultés attentionnelles. Le MMSE aboutit au score de 14/30. Ces troubles dépassent le cadre de l'état confusionnel aigu au décours des hémorragies. Nous ne notons pas d'amélioration avec une péjoration progressive la semaine du 15.04.2019 mise sur le compte de l'infection urinaire basse. Sur le plan nutritionnel, la patiente a un régime normal difficile avec la prise de médicaments écrasés au vu des troubles praxiques ainsi que de la déglutition. Mme. Y a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec ergothérapie, physiothérapie et neuropsychologie. En ergothérapie, elle a bénéficié d'un entraînement des AVQ (habillage, hygiène) en essayant d'instaurer une routine afin de lui donner des repères. Elle est aussi accompagnée afin de stimuler la praxie lors des repas. Nous ne notons malheureusement pas d'évolution nette mais relevons un état fluctuant. En physiothérapie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un rollator. Elle peut monter et descendre les escaliers avec la rampe. Nous travaillons l'équilibre et stimulons l'utilisation de son côté D en raison de l'héminégligence D. Un colloque de famille a eu lieu le 17.04.2019 en présence de l'équipe pluridisciplinaire et de la famille de Mme. Y afin de leur expliquer les difficultés de la prise en charge et de l'impossibilité d'un retour à domicile selon notre évaluation. S'en découle une décision d'un placement. La famille ne s'est pas encore prononcée sur le choix de l'institution. Le 24.04.2019, Mme. Y présente une altération de son statut neurologique (au réveil). L'anamnèse est malheureusement non contributive. Le score NIHSS non plus au vu de l'altération du statut habituel. L'ataxie est plus importante, la marche est non sécuritaire même avec le moyen auxiliaire habituel. Le tonus musculaire est diminué ainsi que la force à M3+ (surtout à gauche). Nous n'obtenons pas de réponse aux ordres simples. Les pupilles sont isocores et isoréactives. La poursuite oculaire est lisse. Pas de Babinski. Examen des nerfs crâniens SP hormis IX, X, XI, XII non évaluables en raison d'une mauvaise compréhension de la patiente (écholalie, sans exécution). Barré et Mingazzini tenus. Force symétrique aux membres supérieurs et inférieurs, sensibilité symétrique. Nous n'objectivons pas de déviation labiale ni de signes d'asymétrie faciale. Le reste du statut est superposable. Au vu de la péjoration de l'état clinique de Mme. Y, nous la transférons le 24.04.2019 à l'HFR Fribourg pour investigations et prise en charge spécialisée. Mme. Y est connue pour une cure d'hernie discale en 2014 par le Dr. X avec une complication post-opératoire sous forme de paralysie glutéale droite séquellaire, présentant depuis le mois de janvier 2019 des douleurs à la fesse gauche irradiant sur la face postérieure de la jambe jusqu'aux orteils, avec notion de paresthésie sous le pied. La patiente, suivie par le Dr. X et a bénéficié d'une IRM lombaire en janvier 2019 ne montrant pas de nouvelle lésion hormis les troubles dégénératifs. Elle a également bénéficié de 2 infiltrations, avec effet de courte durée en ambulatoire. Le Dr. X propose alors une approche chirurgicale mais la patiente refuse catégoriquement tout contact avec le Dr. X. Un rendez-vous ambulatoire à Lausanne a été annulé ce jour en raison de problèmes assécurologiques motivant une consultation aux urgences pour prise en charge de ses lombalgies. Elle ne décrit pas de perte de force, pas de troubles sphinctériens. À l'examen clinique, la percussion du rachis cervical et thoracique est indolore, présence de douleurs à la palpation du rachis lombaire avec contracture paravertébrale importante. La patiente refuse le testing de la mobilité du rachis. La force est conservée bilatéralement, les réflexes ostéotendineux sont normovifs et symétriques. Le toucher rectal est indolore avec un tonus sphinctérien dans la norme. La patiente marche en charge avec boiterie. Aux urgences, nous administrons une antalgie avec Sirdalud, Brufen et Dafalgan, sans nette amélioration des symptômes. À sa demande, Mme. Y est hospitalisée et nous débutons un traitement par Oxycontin d'office, Oxynorm en réserve, que nous sous laissons le soin de sevrer progressivement en ambulatoire, et antalgie simple. À savoir que la patiente avait déjà pris l'Oxycontin il y a des semaines sans grand effet, mais à dosage inconnu. Durant le séjour, la patiente bénéficie également de physiothérapie standard. Sous antalgie et physiothérapie, l'évolution est favorable, permettant à Mme. Y de marcher pendant environ 20 minutes. La patiente nous rapporte que les douleurs sont toujours les mêmes depuis janvier. La patiente ne voulant plus être suivie par le Dr. X, elle refuse que nous prenions un avis neurochirurgical à l'HFR Fribourg et désire organiser elle-même la suite de la prise en charge chez le médecin de son choix. Dans ce contexte, nous lui proposons de vous revoir pour la suite de la prise en charge à 1 semaine après sa sortie. Mme. Y peut regagner son domicile le 12.04.2019 avec prescription de physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y est une patiente de 61 ans, connue pour un adénocarcinome mucineux ovarien gauche FIGO 3C, qui a bénéficié d'une chirurgie de debulking par nos collègues gynécologues le 29.03.2019. Les suites post-opératoires sont marquées par l'apparition d'un iléus paralytique prolongé, raison pour laquelle la patiente est transférée dans notre service de chirurgie pour suite de la prise en charge. Une sonde naso-gastrique est posée le 04.04.2019 et en vue d'une malnutrition protéino-énergétique, une nutrition parentérale est débutée. L'évolution est par la suite favorable, permettant l'ablation de la sonde naso-gastrique ainsi qu'une réalimentation progressive dès le 06.04.2019. Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général le 13.04.2019. Mme. Y, 80 ans, hospitalisée à l'HFR Billens en réhabilitation dans le cadre d'une hémorragie intraparenchymateuse temporo-pariétale gauche avec une héminégligence droite et un état confusionnel aigu, est transférée à l'HFR Fribourg en raison d'une péjoration du statut neurologique. Elle présente en effet le 24.04.2019 une péjoration de son état cognitif et l'apparition d'un hémisyndrome brachio-crural gauche nouveau, avec une diminution de l'exécution des ordres par rapport aux jours précédents. À son arrivée au service des urgences, elle bénéficie d'un CT cérébral qui ne met pas en évidence de saignement nouveau. Elle est évaluée par les neurologues, qui ne retrouvent pas à ce moment-là l'hémisyndrome sensitivo-moteur gauche décrit à l'HFR Billens. Elle bénéficie d'un EEG qui parle contre une origine épileptique (rapport définitif non disponible à l'heure actuelle, à pister). L'IRM cérébrale, de mauvaise qualité en raison des mouvements de la patiente, montre une lésion punctiforme d'origine possiblement ischémique. Celle-ci ne permet toutefois pas d'expliquer la symptomatologie et l'évolution est favorable avec un retour au statut neurologique habituel. Nous vous proposons de réintroduire l'Aspirine cardio dès que possible en fonction d'éventuelles contradictions que nous vous laissons le soin de discuter avec les neurochirurgiens du CHUV. Nous mettons en pause la statine, qui devra être reprise à distance de l'événement hémorragique, avec une cible de LDL-cholestérol inférieure à 1.8 mmol/l. Le bilan étiologique (comprenant un EEG et un Holter) est à compléter en fonction des examens déjà réalisés au CHUV. Sur le plan biologique, Mme. Y présente à l'admission un syndrome inflammatoire nouveau, sans état fébrile associé et sans piste infectieuse retrouvée. Elle présente également des troubles électrolytiques multiples que nous substituons. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution biologique. Mme. Y est transférée à l'HFR Billens le 26.04.2019 pour suite de prise en charge. Mme. Y, 85 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour une syncope révélant un bloc auriculaire du 3e degré. Elle présente le 01.04.2019 une syncope au volant avec déviation de la voiture sans accident. Elle présente une dyspnée associée au moindre effort depuis 3 mois. L'ECG montre un BAV du 3ème degré. Sous perfusion d'isoprénaline, la patiente reste stable hémodynamiquement avec une bradycardie et une hypertension artérielle systolique. En raison d'une hypertension artérielle systolique, un traitement par TNT en intraveineux continu est débuté, relayé par du Lisinopril. Il sera par la suite nécessaire de contrôler le profil tensionnel de la patiente par un Holter tensionnel dans 2-4 semaines. Un pacemaker est posé le 04.04.2019, l'intervention se déroule sans complications, les contrôles sont bons. En raison d'une élévation biologique de la TSH et d'une diminution de T3, un avis endocrinologique est demandé et il est proposé de contrôler la fonction thyroïdienne par TSH et T4L dans 6 semaines avec les anticorps anti-TPO et anti-thyréoglobuline. Mme. Y, 44 ans, atteinte d'un lymphome cutané, est hospitalisée aux soins intensifs pour un choc septique sur une gangrène de Fournier. Elle est prise au bloc opératoire en urgence pour débridement large avec plusieurs reprises pour réviser et compléter les résections cutanées avant la mise en place d'un VAC. Elle est maintenue intubée pour ces multiples opérations et extubée le 16.04.2019. Une reconstruction plastique chirurgicale est prévue à distance. Une antibiothérapie à large spectre (Meronem et vancomycine) est relayée par Tazobac pour une flore polymicrobienne anaérobe. La durée totale de l'antibiothérapie devra être discutée avec les infectiologues. Au niveau hémodynamique, elle est stabilisée par une expansion volémique ciblée et un soutien aminergique. Pour rappel, la patiente était dialysée depuis juin 2018 pour une insuffisance rénale survenue dans un contexte de microangiopathie thrombotique médicamenteuse sur gemcitabine. La nécessité de poursuivre la dialyse n'est pas retenue, selon les néphrologues. Le cathéter de dialyse est donc retiré pendant le séjour aux soins intensifs. La nutrition parentérale en complément de l'alimentation orale est à arrêter selon atteinte de la cible calorique. Sinon, une nutrition entérale par SNG devrait être privilégiée en complément de la prise orale. L'anticoagulation thérapeutique est reprise pour une notion d'embolie pulmonaire massive en 2012. Mme. Y est une patiente de 73 ans, qui est hospitalisée dans notre service de chirurgie pour l'investigation de ganglions mésentériques suspects de métastases d'un adénocarcinome de la valve iléo-caecale. La patiente bénéficie d'une laparotomie exploratrice avec biopsie de ganglions le 26.03.2019. L'histopathologie confirme le diagnostic de métastases ganglionnaires. Il est décidé au Tumorboard interdisciplinaire d'une prise en charge par radio-chimiothérapie. La patiente sera convoquée au site de Riaz le 10.04.2019. Par ailleurs, la patiente présente une insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale nécessitant un remplissage vasculaire. Elle développe par la suite une décompensation cardiaque gauche motivant une thérapie par Lasix intraveineux continu jusqu'au 01.04.2019. Par la suite, l'évolution est favorable, raison pour laquelle la patiente rejoint son domicile le 02.04.2019. Mme. Y présente des gonalgies G d'origine indéterminée. Comme diagnostic différentiel, il faut retenir un ménisque discoïde externe. Je propose à Mme. Y une infiltration de son genou G, à but diagnostique, mais aussi thérapeutique. Ce geste est prévu pour le 10.04.2019. Un contrôle est prévu le 08.05.2019 afin d'en discuter les résultats. Mme. Y, patiente de 59 ans connue pour une tumeur cérébelleuse opérée dans l'enfance, est transférée du service de gériatrie suite à une perte fonctionnelle dans le contexte d'une fracture trimalleolaire de la cheville gauche survenue le 15.11.2018 et opérée le 27.11.2018. Elle est transférée dans notre service pour une neuroréhabilitation. Mme. Y vit seule à domicile, dans un appartement adapté à ses séquelles fonctionnelles. Elle a deux sœurs qui sont très présentes et lui amènent un repas tous les jours. Les weekends, elle est chez une de ses sœurs. Elle pouvait marcher sans moyen auxiliaire à la maison (information non confirmée) et avec une canne à l'extérieur. À l'admission, Mme. Y se plaint de douleurs légères au niveau de la cheville opérée. L'examen neurologique montre une patiente orientée dans les trois modes, calme et collaborative. Discours cohérent avec un ralentissement cognitif. On note des déficits de la mémoire de travail et à court terme, des troubles attentionnels légers. Pas de persévération (frises de Luria). Pupilles isocores et isoreactives, pas d'amputation des champs visuels à la confrontation digitale. La poursuite oculaire est saccadée sans nystagmus. Pas de diplopie, pas de parésie faciale, pas de trouble de la sensibilité au niveau facial. La patiente présente une hypoacousie appareillée bilatéralement (plus marquée à gauche). On note une dysarthrie cérébelleuse ainsi qu'une dysphonie (voix grave). La force se présente à M5 au niveau des quatre membres. Pas de trouble de la sensibilité superficielle et profonde aux quatre membres. Réflexes ostéo-tendineux hypervifs MID. Dysmétrie (hypométrie) à l'épreuve index-nez/index-index, et à l'épreuve talon-genou. On note un tremblement d'action des 4 membres. Dysdiadococinésie bilatérale et le rebound test est dans la limite de la norme bilatéralement.Sur le plan fonctionnel, à l'entrée, il subsiste une diminution importante de la mobilité avec un risque de chute important. La patiente fait les transferts avec l'aide du rollator et sous supervision, marche avec un déambulateur et l'aide d'une personne et n'arrive pas à monter les escaliers. La patiente bénéficie d'exercices de physiothérapie et d'ergothérapie qui améliorent en partie sa mobilité. A la sortie, la patiente fait les transferts couché-assis de façon autonome et les transferts assis-debout en sécurité avec un déambulateur. Elle marche seule avec le rollator à l'intérieur, et sous supervision avec le rollator à l'extérieur. Elle est capable de monter les escaliers avec l'aide de la rampe et sous supervision. Sur le plan logopédique, le bilan d'entrée montre une dysphagie légère de la phase orale et pharyngée (mouvements de mastication ralentis et peu fréquents) et probable difficulté du mécanisme de protection laryngée avec une dysarthrie légère à modérée connue depuis des années. Les séances de logopédie ont été orientées à l'amélioration de l'intelligibilité de la parole du discours lors de la lecture et lors du discours spontané. Pendant le séjour on note une lésion cutanée croûteuse au niveau du cuir chevelu (entre l'os pariétal et l'os occipital) d'origine indéterminée, avec des contours irréguliers, légèrement surélevée de coloration mixte (claire et noire). Un RDV ambulatoire dermatologique est prévu pour le 02.05.2019 à 11:00 h par le Dr. X à l'HFR Fribourg. La patiente rentre à domicile le 24.02.2019 avec l'aide des soins à domicile. Une poursuite de la physiothérapie et de l'ergothérapie est prévue à domicile. Mme. Y présente une rémission quasi complète suite à une fracture du plateau tibial postéro-externe du genou G. Fin de traitement. Je n'ai pas de proposition thérapeutique. La patiente peut progressivement reprendre toute activité sportive. L'attelle jeans peut être abandonnée ainsi que les cannes anglaises. Elle me recontactera si nécessaire. Mme. Y, 25 ans, est admise aux soins intensifs le 15.04.2019 pour prise en charge d'un coma sur intoxication au GHB. La patiente est connue pour une toxicomanie substituée par Méthadone sevrée depuis 2017. Elle est amenée par une de ses amies qui l'a retrouvée dans la rue inconsciente après consommation de GHB. Elle est intubée à son arrivée aux urgences en raison d'un coma avec un score de Glasgow <7. A noter que la patiente a présenté dans le contexte de l'intoxication une chute avec fracture dentaire associée, visualisée lors de l'intubation. L'évolution neurologique est rapidement favorable permettant une extubation le matin du 16.04.2019. L'entretien psychiatrique conclut à l'absence d'idées suicidaires. Un retour à domicile de la patiente accompagnée par un proche est décidé ainsi qu'un suivi psychiatrique en ambulatoire. Mme. Y est une patiente de 34 ans connue pour une obésité morbide, qui bénéficie d'un bypass gastrique proximal par laparoscopie le 01.04.2019. L'évolution post-opératoire est favorable avec une réalimentation bien tolérée et une reprise du transit permettant un retour à domicile le 03.04.2019. Mme. Y, âgée de 75 ans, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une neuro-réadaptation suite à un AVC hémorragique multifocal sur angiopathie amyloïde. Dans le contexte de l'angiopathie amyloïde, toute anti-agrégation ou anticoagulation est contre-indiquée. Si toutefois, la patiente devait développer une pathologie nécessitant un tel traitement, un avis neurologique devra être demandé. Le statut neurologique d'entrée révèle essentiellement des troubles de la marche et de l'équilibre avec une marche très ralentie et peu sécuritaire. L'examen ne révèle pas de trouble neurologique focal. Un complément d'examen neuropsychologique, réalisé chez une patiente collaborante, met en évidence des difficultés d'attention divisée, des troubles exécutifs (inhibition, abstraction), ainsi que des difficultés pragmatiques et de cognition sociale. Le reste des fonctions investiguées (traitement des nombres, praxies, gnosies visuelles, mémoire) est globalement dans la norme. En regard de l'examen du 05.03.2019 (HFR-Fribourg), les performances restent globalement superposables hormis une amélioration de la mémoire à court terme verbale. Au vu des résultats, de l'absence de troubles de compréhension, et de la bonne nosognosie de la situation médicale, la capacité de discernement concernant le choix du lieu de vie est, d'un point de vue strictement neuropsychologique, actuellement préservée. Au terme de la prise en charge, nous observons une légère amélioration au niveau de la vitesse de traitement et des capacités d'inhibition, mais peu de progression en attention divisée et sélective. La patiente sera revue lors de la consultation interdisciplinaire le 10.05.2019 et une éventuelle prise en charge ambulatoire sera discutée lors de ce rendez-vous. Sur le plan nutritionnel, Mme. Y présente une dénutrition sévère, avec un NRS 5/7, des besoins couverts à 60% et une perte de 4.7% de son poids de forme en 3 semaines. Les adaptations mises en place ainsi que l'introduction d'un SNO ont permis d'améliorer la couverture des besoins, bien que la patiente n'ait pas toujours été preneuse des conseils diététiques. Pour son retour à domicile, nous lui avons prodigué des conseils de sortie pour une alimentation enrichie. Elle n'a pas souhaité continuer la prise de SNO. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises dans tout le périmètre de l'hôpital. La force au MID est globalement à M4, MIG à M3+ (moyen fessier, psoas, quadriceps et TA) et M4 pour le TS. Elle peut monter et descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service à sa demande pour rejoindre son domicile le 10.04.2019, en état général conservé. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y sera revue pour une consultation interdisciplinaire avec le Dr. X à l'HFR Billens le 10.05.2019. Mme. Y, patiente de 74 ans, est admise aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique pour un STEMI inférieur sur une occlusion de l'artère circonflèxe le 06.04.2019. La patiente décrit depuis le 05.04.2019 au soir des douleurs thoraciques de type angor avec irradiation dans le bras gauche avec une nette aggravation depuis le 06.04.2019. L'électrocardiogramme montre un STEMI inférieur et la coronarographie faite en urgence confirme une maladie coronarienne tritronculaire avec une FEVG à 40% avec comme corrélat anatomique du STEMI une occlusion de l'artère circonflèxe proximale. Un stent actif est mis en place. L'artère interventriculaire antérieure est à traiter dans un deuxième temps, la patiente sera convoquée. Durant sa surveillance aux soins intensifs, la patiente ne présente pas de trouble du rythme. Elle récidive des douleurs thoraciques sans trouble de la repolarisation à l'ECG et avec un cycle de CK toujours en diminution. Nous introduisons un traitement par inhibiteur d'enzyme de conversion et bétabloquant, nous vous laissons le soin d'adapter ce traitement en fonction des profils tensionnels de la patiente. Le bilan lipidique montre une hypercholestérolémie et un traitement par Atorvastatine est débuté. Elle mentionne également des épisodes de méléna depuis environ une semaine, sans récidive durant son séjour aux soins intensifs. Un traitement par Pantoprazol est introduit et la poursuite est à réévaluer durant le séjour en médecine interne. Mme. Y, 74 ans, est admise aux soins intensifs le 28.04.2019 pour NSTEMI. La patiente est connue pour une HTA, une dyslipidémie ainsi qu'une cardiopathie ischémique tritronculaire avec STEMI traité le 06.04.2019. Elle consulte le 28.04.2019 en raison de douleurs thoraciques oppressives. Le diagnostic de NSTEMI est retenu en raison des troponines positives et des modifications électriques à l'ECG. La coronarographie révèle une sténose de l'IVA moyenne qui est traitée par la pose d'un stent actif. La double antiagrégation par Aspirine Cardio au long cours et Efient pour 6 mois est reconduite. En raison d'une tension artérielle à la limite inférieure de la norme, nous ne réintroduisons pas d'IEC, nous vous invitons à réévaluer ce traitement en fonction du profil tensionnel. Le traitement de bétabloquant est par contre modestement majoré en raison d'une tachycardie. La surveillance aux soins continus est sans particularités. La patiente est transférée en division le 29.04.2019. Mme. Y, connue pour une dénutrition sévère ainsi qu'une iléostomie terminale continente le 03.03.2016 pour un iléus sur bride, consulte les urgences le 12.03.2019 en raison d'une dyspnée importante (NYHA III). Depuis une semaine, la patiente se sent plus faible dans le contexte d'un état grippal persistant avec une toux grasse, expectorations jaunâtres et dyspnée s'aggravant. Ayant énormément de difficultés à se mobiliser ce jour, la patiente est amenée aux urgences par son ami. Elle n'a pas d'autres plaintes, pas de signe de décompensation cardiaque. À l'admission aux urgences, Mme. Y est en état général diminué. Elle désature à 86% à l'air ambiant, le reste des paramètres vitaux est dans la norme. Au status pulmonaire, pas de tirage ni d'utilisation de la musculature accessoire. L'ampliation thoracique est symétrique. Le murmure vésiculaire est symétrique avec présence de sibilances diffuses. Au status digestif, l'abdomen est diffusément sensible à la palpation (connu selon la patiente), sans défense ni détente. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Au laboratoire, on trouve un syndrome inflammatoire avec CRP à 240 mg/l et leucocytose à 13.5 G/l. On note de plus une acutisation de l'insuffisance rénale chronique avec créatinine à 269 umol/l et urée à 25.6 mmol/l ainsi que des troubles électrolytiques avec hypocalcémie à 1.80 mmol/l, hypomagnésémie à 0.78 mmol/l, hyponatrémie à 131 mmol/l (chronique), albumine à 29.6 g/l et protéines totales à 56.4 g/l. Mme. Y est hospitalisée et nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv. Durant le séjour, elle bénéficie également d'une physiothérapie respiratoire. L'évolution sur le plan respiratoire est favorable permettant le relais de l'antibiothérapie par Zinat per os dès le 25.04.2019. L'insuffisance rénale évolue favorablement sous hydratation. La patiente est également connue pour des douleurs chroniques sous Oxycontin pour des tassements vertébraux étagés. En raison d'une acutisation des douleurs, nous effectuons un CT scan du rachis dorso-lombaire qui ne montre pas de nouvelle lésion. Nous majorons l'antalgie avec amélioration des douleurs. Sur le plan nutritionnel, la patiente est évaluée par Dr. X et refuse dans un premier temps un support nutritionnel entéral par sonde nasogastrique. Après rediscussion, elle comprend l'intérêt majeur d'une renutrition et accepte la pose d'une sonde le 22.03.2019. Un transfert en réadaptation gériatrique est initialement prévu le 29.03.2019. En raison d'une hyperkaliémie nouvelle à 6,6 mmol/l le 20.03.2019, la patiente reste hospitalisée dans notre service et nous introduisons un traitement par Resonium 15 g 3x/j du 30 au 31.03.2019 avec bonne réponse et une kaliémie à 5,6 mmol/l le 01.04.2019. L'ECG est superposable à celui de l'admission. Mme. Y, domiciliée dans le canton de Vaud, quitte notre service le 01.04.2019 pour une réadaptation à l'HCR site de Mottex. Mme. Y, patiente de 83 ans, est admise aux soins intensifs pour un œdème aigu du poumon sur pic hypertensif post-coronarographie. La patiente est connue pour une cardiopathie rythmique (fibrillation auriculaire sous Xarelto), valvulaire (insuffisance mitrale sévère) et ischémique (lésions tritronculaires). Pour rappel, la patiente avait présenté le 22.03.2019 un NSTEMI avec une coronarographie ayant montré une maladie coronarienne sévère avec des occlusions chroniques de la CX et de l'ACD (collatérales par l'IVA partiellement). Une coronarographie en électif est alors organisée pour le 08.04.2019 pour le traitement de l'IVA sous support hémodynamique (Impella). Concernant l'intervention susmentionnée (coronarographie sous Impella), celle-ci a permis le traitement de la longue sténose subtotale de l'IVA avec 3 stents actifs (2 stents pour l'IVA, un pour la deuxième diagonale). Parce que l'IVA est la dernière artère et tous les autres territoires sont infarcis (évaluation avec IRM cardiaque en ambulatoire), un assist device (Impella 2.5) a été implanté par l'artère fémorale droite en per-coronarographie. Avec ce support, l'intervention a été bien tolérée avec tout de même en fin de procédure une légère décompensation cardiaque. En post-coronarographie, Mme. Y présente toutefois un œdème aigu du poumon sur pic hypertensif. Le contrôle tensionnel par dérivés nitrés en patch et une diurèse forcée par Furosemide permettent une évolution clinique favorable. Sur avis cardiologique, le traitement anti-thrombotique par Xarelto, Clopidogrel et Aspirine est repris dès le 09.04.2019 avec une durée du traitement à réévaluer selon l'évolution clinique et biologique. En raison d'une bradycardie asymptomatique, le traitement habituel de bêta-bloquant est mis en suspens temporairement et repris le 12.04.2019. La patiente est transférée à l'étage de médecine interne le 09.04.2019. Les suites de l'hospitalisation se déroulent sans complications et Mme. Y rentre à domicile après une surveillance clinique de 48 heures après intervention.En post-coronarographie, la patiente présente toutefois un œdème aigu du poumon sur pic hypertensif. Le contrôle tensionnel par dérivés nitrés en patch et une diurèse forcée par Furosemide permettent une évolution clinique favorable. Sur avis cardiologique, le traitement anti-thrombotique par Xarelto, Clopidogrel et Aspirine est repris dès le 09.04.2019 avec une durée du traitement à réévaluer selon l'évolution clinique et biologique. En raison d'une bradycardie asymptomatique, le traitement habituel de bêta-bloquant est mis en suspens et sera à reprendre à distance. Mr. Y est transféré à l'étage de médecine interne le 09.04.2019 pour suite de prise en charge. Mme. Y est une patiente de 75 ans, aux antécédents susmentionnés, qui est hospitalisée dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'un adénocarcinome du haut rectum. Elle bénéficie le 10.04.2019 d'une résection antérieure basse avec confection d'iléostomie de protection, qui se déroule sans complication notable. La patiente est transférée aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique de 24 heures. Les suites opératoires sont simples avec un transit qui reprend rapidement par la stomie. Le cas de Mme. Y est discuté lors de notre colloque interdisciplinaire d'onco-chirurgie et nous préconisons une surveillance. Au vu de l'évolution clinico-biologique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général avec des soins à domicile le 18.04.2019. Elle sera revue à la consultation du Dr. X pour un contrôle le 04.06.2019. Mme. Y, 75 ans, est hospitalisée pour surveillance post-opératoire d'une résection antérieure basse par laparoscopie. La patiente est connue pour un adénocarcinome de la jonction recto-sigmoïdienne classée cT3 cN0 cM0, pour lequel un traitement néo-adjuvant de radiothérapie et chimiothérapie par Xeloda a été administré entre le 09.01.2019 et finira le 12.02.2019. À l'arrivée aux soins intensifs, la patiente présente une vasoplégie d'origine mixte, secondaire à un retard de remplissage et secondaire à la péridurale, pour laquelle Mme. Y bénéficie de Noradrénaline jusqu'au 11.04.2019, rapidement sevrée après remplissage adéquat et adaptation du débit de la péridurale. L'antalgie est parfaitement contrôlée sous Péridurale (Bupivacaïne et Fentanyl) à 5 ml/h, sans bloc moteur. À noter que la patiente est connue pour une sténose carotidienne interne bilatérale traitée par Clopidogrel, qui a été mise en suspens et sera à reprendre au plus tôt en post-opératoire selon avis chirurgical. Mme. Y nous est adressée par nos confrères de Meyriez, où elle était hospitalisée pour une baisse de l'état général associée à des douleurs abdominales. Un CT abdominal avait mis en exergue un abcès rénal, ce qui motive son transfert à Fribourg pour un drainage. La ponction de la lésion rénale est effectuée le 11 avril et permet de retirer du liquide sanguinolant. L'analyse témoigne de la présence d'un E. Coli, ce qui motive la poursuite de l'antibiothérapie pour une durée totale de 1 mois de traitement. Un drain est mis en place et devra être retiré lorsqu'il ne ramènera plus de liquide. Nous vous invitons par ailleurs à reprendre l'anticoagulation à distance, une fois que le drain sera retiré, et de substituer le Xarelto par de l'acenocoumarol. Un ultrason rénal témoigne d'un hématome péri-rénal et ne met pas en évidence d'argument pour un processus néoplasique. Nous vous invitons à effectuer à distance une IRM rénale afin de préciser plus avant l'étiologie de cet hématome. Mme. Y est transférée à nouveau à Meyriez pour la suite de prise en charge, en date du 17 avril. Mme. Y, 78 ans, connue pour une paraplégie depuis 2014 en raison d'une ischémie myélique et avec Zystofix, nous est adressée le 17.04.2019 après la pose d'un drain sur abcès rénal gauche le 11.04.2019, pour une réhabilitation. Pour rappel, la patiente se présente le 08.04.2019 en raison de douleurs crampiformes à hauteur du rein gauche et d'une baisse de l'état général. Un CT thoraco-abdominal montre un abcès au rein gauche d'environ 7 cm de diamètre. Une indication pour un drainage à Fribourg est posée. Le drainage est posé le 11.04.2019 par le Dr. X et un écoulement sanguinolant est remarqué. Une culture du liquide montre une infection par E. Coli, raison pour laquelle la patiente est mise sous antibiothérapie pour 1 mois. Le drainage est retiré le 21.04.2019 après une absence d'écoulement par ce dernier. À son arrivée à Meyriez, nous remarquons des débuts d'escarre au niveau des talons (G>D), pas ouvertes. Un traitement des plaies est mis en place et sera poursuivi par les soins à domicile de la patiente. Les bas de contention de la patiente sont suspendus dans ce contexte. En raison du geste, l'anticoagulation par Xarelto de la patiente est mise en pause et remplacée par Clexane. Une reprise par Marcoumar est débutée à la sortie de la patiente. En raison du bon état général de la patiente, elle regagne son domicile le 24.04.2019. Mme. Y, âgée de 90 ans, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture du col fémoral D Garden IV traitée par arthroplastie de la hanche D le 14.03.2019. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile. Elle bénéficie du passage des soins à domicile et d'une aide au ménage 1x/semaine. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et orientée. Elle ne se plaint pas de douleurs. Elle se mobilise avec un rollator. À noter une infection urinaire basse sous Nitrofurantoïne jusqu'au 24.03.2019. Au status, on observe un œdème et un hématome important au niveau de la hanche D. La flexion de la hanche D en actif est à 50° et 80° en passif. La force au MID est cotée à M4 pour l'ilio-psoas et M4+ pour le quadriceps. Durant son séjour, elle a présenté une hyponatrémie euvolémique résolue avec une restriction hydrique à 1.2 lt/24h. Sur le plan thyroïdien, nous ajustons la médication au vu de la dysthyroïdie manifeste à l'admission. Mme. Y a présenté aussi des diarrhées sans syndrome inflammatoire bien résolues avec l'introduction de l'Optifibre. Mme. Y rapporte une baisse de la thymie et des troubles du sommeil, raison pour laquelle elle a été évaluée par notre psychiatre de liaison (Dr. X) qui ne retient pas une indication à un traitement antidépresseur. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un rollator ou 2 cannes anglaises en alterné sous surveillance. Elle peut monter et descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de la hanche D avec une flexion en actif à 60° et en passif à 90°. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre le home de Billens pour un court séjour, le 16.04.2019, en bon état général. Mme. Y, votre patiente de 72 ans, actuellement en cours de bilan de lésions suspectes supra et infra-diaphragmatique, est hospitalisée électivement le 22.04.2019 pour une colonoscopie dans le cadre du bilan de la maladie oncologique.À l'anamnèse initiale, la patiente ne rapporte aucune plainte hormis une toux chronique, une perte de poids d'environ 10 Kg dans les six derniers mois et une alternance entre constipation et diarrhées. L'hétéro-anamnèse mentionne une aggravation des troubles cognitifs connus depuis quelques mois. L'examen clinique initial est sans particularité, hormis les troubles cognitifs connus ainsi que des troubles de la sensibilité profonde des membres inférieurs. La colonoscopie met en évidence une tumeur sténosante exulcérée à l'angle colique droit qui est biopsiée et dont les résultats vous parviendront dans les plus brefs délais. La surveillance post-colonoscopie est sans particularité. Pour prévenir une constipation, nous introduisons un traitement par Metamucil. Concernant les troubles cognitifs connus, nous vous laissons juger de l'intérêt d'une évaluation plus approfondie avec notamment une IRM cérébrale dans le contexte oncologique en cours. La patiente rentre à domicile ce mercredi 24.04.2019 avec ses aides habituelles. Mme. Y est une patiente de 54 ans, qui est amenée aux urgences en ambulance suite à une chute avec traumatisme crânien et perte de connaissance. Un CT cérébral met en évidence un hématome sous-dural de l'hémi-convexité à droite, stable au contrôle scannographique. L'évolution est favorable, permettant un retour à domicile le 24.04.2019. Mme. Y, patiente de 78 ans, connue pour une cardiopathie coronarienne et hypertensive et une athérosclérose généralisée avec artériopathie oblitérante des membres inférieurs bilatérale, nous est transférée depuis l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge d'un traitement conservateur d'une fracture non déplacée de la branche ischio-pubienne droite sur chute mécanique le 22.03.2019. Selon avis orthopédique, un traitement conservateur avec charge selon douleurs en physiothérapie a été préconisé avec radiographies de contrôle à 1 et 6 semaines. Sur le plan orthopédique, une antalgie a été mise en place par co-dafalgan et Temgesic en réserve avec bonne gestion des douleurs (intolérance au Tramadol et oxycontin). Nous réalisons le contrôle radiologique à une semaine qui ne montre pas de déplacement secondaire. Un rendez-vous de contrôle avec radiographie à 6 semaines est déjà fixé le 07.05.2019 en consultation à la policlinique d'orthopédie à l'HFR Fribourg. Sur le plan biologique, nous effectuons un bilan d'anémie avec dosage de l'acide folique à 5.8 ng/ml et vitamine B12 à 397 pg/ml revenant dans la norme. En outre, nous notons un déficit en vitamine D à 44 nmol/l, que nous substituons. Durant son séjour, la patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation en charge selon douleur. À sa sortie, le périmètre de marche est supérieur à 140 m à l'aide de 2 cannes anglaises de manière sécuritaire et autonome. La patiente peut gravir 9 marches d'escaliers en se tenant à la rampe. Elle est indépendante pour les soins. Le TUG est à 27.29 secondes. La mesure d'indépendance fonctionnelle en physiothérapie est de 6/7 pour les transferts, 6/7 pour la marche et 2/7 pour les escaliers, avec une MIF de sortie à 100/126, par rapport à 96/126 à l'entrée. La physiothérapie sera poursuivie en ambulatoire. Sur le plan nutritionnel, Mme. Y profite d'une évaluation diététique qui écarte une problématique nutritionnelle, avec un NRS à 2/7 et un poids et un appétit stables. Sur le plan social, Mme. Y est veuve depuis 30 ans, vivant seule à domicile dans une maison avec 3 marches d'accès. La livraison des repas et une aide au ménage sont prévus pour la sortie le 11.04.2019. Mme. Y, votre patiente de 78 ans, est emmenée en ambulance au service des urgences le 13.04.2019 suite à un malaise. À l'anamnèse initiale, la patiente relate une chute sans prodrome après s'être levée de son canapé. Dans un contexte de brûlures mictionnelles depuis plusieurs semaines. Le bilan initial montre une infection urinaire à Klebsiella pneumoniae et E.coli sensibles à la Ceftriaxone. Une antibiothérapie par Rocéphine est initiée puis changée pour de la Ciprofloxacine au vu de l'antibiogramme favorable. Dans le contexte de syncope, nous complétons le bilan étiologique par un Holter et une échocardiographie. Cette dernière est dans la norme avec une fraction d'éjection ventriculaire gauche (FEVG) à 65% (évaluation visuelle), mais avec une discrète dilatation auriculaire droite. Les résultats du Holter sont encore en cours et vous parviendront dès que possible. À noter que le CT-scan cérébral et cervical natif réalisé dans le contexte post-traumatique est sans particularité. À son entrée, nous auscultons un souffle carotidien gauche qui vous est déjà connu avec un précédent Angio-IRM rassurant mentionnant une hypoplasie probablement congénitale de la cérébrale postérieure droite revascularisée par la communicante postérieure. Sur avis de nos collègues angiologues, nous effectuons une échographie des vaisseaux précérébraux qui montre une sténose calcifiée à l'origine de l'artère carotide interne gauche (prédominante), estimée visuellement autour de 50%. Nous initions un traitement hypo-cholestérolémiant dans le but d'optimisation médicale avec une cible de LDL en dessous de 1.8 mM. Nous poursuivons également l'antiagrégation plaquettaire. Mme. Y rentre à domicile le 25.04.2019 sans aide. Mme. Y, 54 ans, est amenée en ambulance suite à une chute dans les escaliers. Après avoir consommé de l'alcool, elle est tombée sans notion de perte de connaissance. La famille a appelé une ambulance. Le CT de contrôle révèle un hématome sous-dural de l'hémi-convexité droite, une hémorragie sous-arachnoïdienne fronto-temporale homolatérale avec des hémorragies intra-parenchymateuses sans effet de masse ni de fracture au niveau cervical. Elle ne présente pas de latéralisation. Le contrôle scannographique montre un début de régression des hématomes intracérébraux. Il y a une légère majoration de l'hématome sous-galéal occipital à surveiller. À sa sortie, la patiente est somnolente sans déficit périphérique mais lucide et collaborante. Elle est à risque de sevrage alcoolique, pour lequel une vitaminothérapie et une hydratation sont initiées. En raison de la somnolence, elle n'a pas reçu pour l'instant de benzodiazépines. Le neurochirurgien Dr. X autorise son transfert et suivra son évolution à l'étage. Mme. Y se réveille brutalement dans la nuit du 29 au 30.03.2019 en raison d'une dyspnée importante et par la suite, apparition de troubles de la vigilance, motivant un appel au 144 puis à la REGA, qui l'adresse au CHUV avec une suspicion d'accident vasculaire cérébral. À son arrivée aux urgences du CHUV, la patiente est dans un coma profond, ne répondant pas à l'appel ni à la douleur. Un Four Score est calculé à 8 (E0M2R2R4). Un CT scan cérébral réalisé montre une importante hémorragie tétra-ventriculaire sans composante parenchymateuse visible, probablement sur malformation artério-veineuse sans toutefois exclure une autre étiologie. Mme. Y nous est adressée le 30.03.2019 pour soins de confort. Son ami et sa sœur sont avertis de la gravité de la situation. Mme. Y décède le 31.03.2019 au matin. Mme. Y, connue pour un liposarcome sous-cutané pré-tibial droit opéré en 2017 au CHUV par le Dr. X, est adressée aux urgences le 28.03.2019 en raison d'un trouble de l'équilibre avec sensation d'instabilité à la marche et un trouble de la parole, de type sensoriel, remarqué par la patiente et sa fille. À l'admission aux urgences, la patiente est hémodynamiquement stable, calme, collaborante et orientée. Le statut neurologique est globalement normal, la patiente ne décrivant qu'un scotome de l'hémichamp nasal droit d'apparition récente. Par moments, aphasie de type Wernicke avec jargonaphasie. Nous remarquons une instabilité à la marche avec une augmentation du polygone de sustentation. L'épreuve de Romberg est cependant tenue.La patiente rapporte également une dysurie depuis quelques jours et un sédiment urinaire montre une leucocyturie et une hématurie associée à un E. coli. Nous instaurons un traitement par nitrofurantoïne 100 mg 2x/j pendant 5 jours. Le bilan sanguin réalisé aux urgences est sans particularité. Nous complétons le bilan par un CT scan cérébral qui montre une lésion du lobe temporal gauche mesurant 15 x 16 x 17 mm sans signe d'engagement ou d'effet de masse. Le premier diagnostic évoqué est un glioblastome avec un diagnostic différentiel de métastase cérébrale. Un traitement de Dexaméthasone est initié avec diminution de la symptomatologie. Ce traitement est diminué par la suite à 6 mg. L'IRM réalisée le 29.03.2019 retrouve cette lésion solide nécrosée de siège cortico-sous-cortical au niveau temporal postérieur gauche, associée à de l'œdème péri-lésionnel évoquant une lésion d'allure solide tumorale primaire ou secondaire. Un CT scan thoraco-abdomino-pelvien réalisé le 02.04.2019 retrouve une hypertrophie du lobe droit de la thyroïde avec la lésion nodulaire déjà connue et une image sténosante de la paroi du côlon droit distal mais pas de tumeur primaire visualisée. Sur demande formelle des oncologues, un PET scan est réalisé mais ne montre pas de tumeur primaire. Devant la nécessité d'une biopsie cérébrale pour la suite de la prise en charge chez une patiente avec une bonne qualité de vie et souhaitant un traitement, un avis neurochirurgical est demandé au Dr. X, neurochirurgien à l'HFR Fribourg. Il recommande une biopsie stéréotaxique en milieu universitaire. La patiente a rendez-vous avec la Drsse X au CHUV le 15.04.2019 à 11h00 pour une évaluation. Mme. Y rentre à domicile le 10.04.2019 qui est un appartement protégé à côté du foyer de Bouleyres à Bulle. Nous transmettons des informations quant à la mise en place d'un télé-alarme. Une inscription dans un home est recommandée mais refusée par la patiente. Mme. Y est une patiente de 69 ans qui a bénéficié de l'ostéosynthèse susmentionnée. Par la suite, elle développe une pseudo-paralysie de l'épaule gauche avec une impossibilité d'abduction au-delà de 60°. Un examen neurologique exclut une atteinte du nerf axillaire, un arthro-CT effectué par la suite met en évidence une lésion du sus-épineux expliquant la pseudo-paralysie. Mme. Y présentant passablement de douleurs et, devant la mauvaise fonction de l'épaule, le Dr. X retient l'indication à une AMO et mise en place d'une prothèse inversée. L'intervention se déroule sans complication le 26.03.2019 et les suites opératoires sont simples, les douleurs étant gérées initialement par cathéter interscalénique, puis par l'antalgie standard habituelle. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre. Le pansement Comfeel ayant été arraché, il est changé pour un pansement standard, la cicatrice est calme et propre. Un coussin d'abduction est initialement en place, par une écharpe. La patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation active en abduction-élévation, ainsi que rotation externe, rotation interne en passif. La rotation externe brusque est proscrite. Durant son séjour, la patiente bénéficie d'une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour, traitement qui est stoppé à la sortie. Devant la bonne évolution, Mme. Y peut quitter le service le 01.04.2019, l'aide à domicile ayant été organisée. Mme. Y, patiente de 84 ans, institutionnalisée à la Maison Bourgeoisiale de Bulle, connue pour une démence et un bloc atrioventriculaire III avec pose de pacemaker en 2018 et probable status après accident ischémique transitoire en 2006, est adressée aux urgences de l'HFR Riaz en ambulance après avoir présenté des troubles de la motricité des membres supérieurs le même jour, associés à une déviation labiale et des troubles de l'élocution de quelques minutes. A son arrivée, le score GFAST est à 0. A l'examen clinique, la patiente présente un score de Glasgow 15/15, est orientée et collaborante, avec une anisocorie droite (connue) isoréactives des deux côtés ; le reste des nerfs crâniens est dans la norme, la force symétrique conservée aux membres supérieurs, et à 5/5 aux membres inférieurs, avec sensibilité sans particularité et réalisation des épreuves cérébelleuses dans la norme. A l'auscultation cardiaque, nous obtenons des B1 et B2 bien frappés sans souffle audible, des pouls périphériques palpés, et nous constatons l'absence d'œdème périphérique. A l'auscultation pulmonaire, remarquons un murmure vésiculaire symétrique sans bruit surajouté. L'abdomen est souple et indolore avec des bruits normaux et des loges rénales indolores à la percussion. Le bilan biologique réalisé ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire ou de trouble électrolytique. Un stix et un sédiment urinaires relèvent des nitrites positifs sans leucocyturie, la patiente étant par ailleurs asymptomatique. Une IRM cérébrale native et injectée avec les carotides a été réalisée (avec activation mode IRM et réactivation après IRM) ne révélant pas de lésion ou signe d'occlusion vasculaire, une leucopathie vasculaire et microbleed isolé cérébelleux gauche ne pouvant pas expliquer la symptomatologie. Un traitement par Aspirine Cardio en prévention secondaire est débuté. Au vu de l'anamnèse et de l'événement peu clairs, une demande d'interrogation du pacemaker est réalisée auprès du Dr. X qui conclut à un fonctionnement normal du dispositif, sans arythmie significative détectée depuis le dernier contrôle (très brèves salves de tachycardie auriculaire). Un bilan vitaminique constate un déficit en vitamine B9 à 2.6 ng/ml que nous substituons, et une vitamine B12 dans la norme à 251 g/ml. Notons aussi une hypovitaminose D à 20 nmol/l que nous substituons par une dose de charge et instauration d'un traitement d'entretien. Merci d'effectuer un contrôle à distance. Pendant son hospitalisation, la patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, elle est capable de parcourir 140 m de manière sécuritaire et autonome à l'aide d'un rollator, et de gravir 18 marches d'escaliers en se tenant à la rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 83/126, par rapport à 76/126 à l'entrée. Le TUG est à 34.9 sec. Concernant les troubles cognitifs, une évaluation de leur évolution pourrait être effectuée en ambulatoire. Nous vous laissons également le soin de bilanter l'ostéoporose suite à un tassement vertébral ancien et d'instaurer un traitement antirésorptif. Finalement, Mme. Y regagne la Maison Bourgeoisiale de Bulle le 12.04.2019. Mme. Y est une patiente de 87 ans, connue pour une hernie hiatale non traitée, ainsi qu'une cardiopathie valvulaire, dysrythmique et ischémique avec une FEVG à 25 % et anticoagulée pour un anévrisme apical avec suspicion de thrombus, qui est également porteuse d'un CRT-D. La patiente est hospitalisée pour la prise en charge d'un NSTEMI. La patiente consulte le service des urgences le 28.03.2019 en raison d'une baisse de l'état général depuis un mois avec des diarrhées, une perte pondérale, une fatigue et une inappétence en péjoration depuis 48 heures avec dysphagie, épigastralgies et satiété précoce, ainsi que des importantes nausées et vomissements. Par ailleurs, la patiente se plaint d'une douleur au niveau précordial, décrite comme transfixiante, sans autre plainte cardio-respiratoire.Le bilan initial met en évidence un NSTEMI avec une cinétique des troponines à la hausse et une augmentation des D-Dimères dans un contexte d'hypokaliémie secondaire aux diarrhées sur probable gastro-entérite. La radiographie du thorax montre une déconnexion de certaines sondes du pacemaker, la présence d'une très volumineuse hernie hiatale et nous suspectons également un nodule bilobé de 11 mm à droite. Le CT thoracique retrouve une hernie hiatale importante, stable par rapport au comparatif. Sur le plan cardiaque, l'échographie ne montre aucune modification majeure par rapport au comparatif de 05.2018 en ce qui concerne la fonction et les regionalités du VG, l’anévrysme apical, les valvulopathies aortique et mitrale, et l’épanchement péricardique, avec une fraction d'éjection du ventricule gauche qui reste stable à 25%. Après avis cardiologique, une coronarographie n'est pas indiquée en urgence. Après résolution de la problématique gastrique, nous reprenons contact avec nos collègues cardiologues qui ne posent pas l'indication à une coronarographie. Le traitement par Entresto est également réintroduit lors du séjour (50 mg 2x/j). Celui-ci sera à majorer en ambulatoire si la tension artérielle de Mme Y le permet. À noter que Mme Y a présenté des hypotensions importantes lors de l'hospitalisation, mais asymptomatiques. Une oxygénothérapie mise en place durant l'hospitalisation. Nous ne parvenons pas à sevrer Mme Y de celui-ci au vu de la BPCO sous-jacente ainsi que le NSTEMI nouveau. L'oxygène à domicile est introduit. Sur le plan digestif, Mme Y bénéficie d'une mise en place d'une sonde naso-gastrique de décharge. Après avis gastro-entérologique et anesthésique, une oeso-gastro-duodénoscopie n'est pas réalisable au vu des comorbidités de Mme Y et du NSTEMI actuel. Mme Y bénéficie d'un traitement par IPP 2x/j et la sonde naso-gastrique peut être retirée après quelques jours et une reprise progressive de l'alimentation est réalisée avec bonne évolution. La protection gastrique est à poursuivre au long cours. Si les symptômes (nausées, vomissements) venaient à se répéter, une chirurgie mini-invasive pourrait éventuellement être rediscutée. Sur le plan pulmonaire, le CT thoracique met également en évidence une légère progression en taille d'un nodule situé dans le segment antérieur du lobe supérieur droit passant de 4 à 6 mm, et pour lequel aucune investigation supplémentaire n'est prévue pour l'instant au vu de l'âge de Mme Y et des diverses comorbidités. Sur le plan nutritionnel, un avis diététique est demandé chez cette patiente à risque de syndrome de renutrition. Lors du retrait de la sonde naso-gastrique, elle bénéficie de substituts vitaminiques pour prévenir celui-ci. Un régime normal est progressivement repris durant le séjour. Au vu de l'amélioration clinique, Mme Y peut rentrer à domicile le 16.04.2019. D'un point de vue psycho-social, Mme Y vivant avec son fils actuellement sans aide à domicile, une instauration de soins à domicile est mise en place par notre service de liaison. Mme Y prendra rendez-vous chez le Dr X 1 mois après l'intervention pour un contrôle de la plaie. Mme Y présente des multiples plaintes en réaction à une situation de stress personnel. Elle nous exprime le souhait primaire de régler les troubles du sommeil afin qu'elle puisse avoir l'énergie pour résoudre les autres problématiques. Pour cela, nous lui donnons 4x comprimés de Quetiapine 25 mg afin qu'elle puisse réussir à se reposer pendant le weekend férié. En raison d'une labilité psychologique, nous ne donnons pas d'ordonnance, mais lui conseillons de réconsulter auprès de votre consultation, chez un psychologue ou à la Permanence la semaine du 22.04 afin de réévaluer la situation et mettre en place un traitement anxiolytique ou anti-dépresseur à long terme. Nous établissons un contrat oral et Mme Y s'engage à réconsulter rapidement en cas d'idées noires. Mme Y présente une récidive de colique néphrétique sans signes de gravité (surinfection, globe vésical, insuffisance rénale) sur des calculs urinaires bilatéraux mis en évidence le 10.04.2019. Nous contactons la garde de Urologie qui conseille de mettre en place un traitement par Tamsulosine, une antalgie par palier et organiser un rendez-vous en ambulatoire en Urologie en début de la semaine prochaine. Mme Y rentre à son domicile avec un traitement antalgique et un rendez-vous fixé le 15.04.2019. En cas de non réponse des douleurs à l'antalgie ou d'apparition de fièvre ou anurie, nous lui expliquons de se rendre rapidement aux Urgences. Mme Y est une patiente de 35 ans connue pour des antécédents d'une cure de hernie supra-ombilicale sans filet en mai 2016 qui avait récidivé par la suite et une cure de cette récidive avec mise en place d'un filet selon Rives en février 2018. Depuis la deuxième intervention, Mme Y présente des douleurs neurogènes chroniques en hypochondre gauche. Elle bénéficie d'une révision chirurgicale avec neurolyse de la branche antérieure du nerf intercostal gauche (Th 7,8,9,10) le 29.03.2019. L'intervention se déroule sans complication. L'antalgie par un cathéter péridural est enlevée à J 5. Les douleurs sont supportables avec une antalgie par Dafalgan, Novalgine et Oxycontin. Mme Y peut regagner son domicile le 04.04.2018. Mme Y se présente aux urgences le 10.04.2019 pour une déhiscence de la plaie et bénéficie d'une application d'un pansement VAC le 10.04.2019 avec des changements de VAC par la suite jusqu'à la fermeture cutanée le 23.04.2019. À noter que pendant le séjour, Mme Y présente des diarrhées sanguinolentes. Des cultures de selles mettent en évidence un clostridium difficile et la patiente est traitée par Flagyl du 15.04.2019 au 24.04.2019. Mme Y est connue pour un antécédent de néphrolithiase droite en 2017 avec statut post-urétérorénoscopie avec lithotripsie par le Dr X. Elle présente depuis 3 semaines des douleurs abdominales aspécifiques traitées avec des antibiotiques par le médecin traitant (1x 10j et 1x 5j, antibiotique inconnu). Le 24.04.2019 au soir, la patiente présente des nouvelles douleurs en fosse iliaque gauche associées à des douleurs en loge rénale gauche. Le bilan des urgences montre une urétéro-lithiase de 4 mm avec une dilatation pyélocalicielle associée. Un traitement conservateur avec de l'antalgie et Tamsulosine est débuté et la patiente est hospitalisée dans notre service de chirurgie. Le jour même, elle présente la disparition complète de la symptomatologie probablement sur passage du calcul. Nous laissons la patiente rentrer à domicile le 25.04.2019 en bon état général avec un traitement antibiotique pour 3 jours. Nous préconisons un contrôle clinique et laboratoire chez le médecin traitant en début de semaine prochaine. Mme Y, âgée de 67 ans, connue pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture multifragmentaire du plateau tibial et du péroné proximal G le 05.02.2019 traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque le 19.02.2019 suite à une chute à ski.Au status à l'entrée, la patiente marche avec un tintébin en respectant la décharge sur un périmètre de 20 m. La flexion du genou G en actif est de 50° avec un flexum de 5°. La cicatrice opératoire est calme. Le 05.04.2019, Mme. Y a été revue à la consultation du Dr. X pour un contrôle radioclinique. Suite à cette évaluation, la décharge de 15 kg est maintenue pour les 3 prochains mois. Un nouveau contrôle est prévu le 14.06.2019. À noter que lors de la surveillance des signes vitaux, nous observons une tachycardie supraventriculaire avec un profil tensionnel élevé, raison pour laquelle nous introduisons du Metoprolol 25 mg/j dès le 27.03.2019 avec bonne évolution. Nous vous laissons le soin de réévaluer ce traitement en ambulatoire. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises en respectant la décharge sur un périmètre de 60 m. Elle peut monter et descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires du genou G montrent une flexion active à 90°, extension active/passive 0°. Concernant la cheville G, flexion dorsale -15° avec extension du genou (rétraction mollet encore présente + rétraction capsulo-ligamentaire), -10° en flexion du genou; flexion plantaire à 40° (contre 50° à droite). Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 17.04.2019, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à sec 2x/semaine et en bassin thérapeutique 1x/semaine afin d'augmenter les amplitudes articulaires de la cheville et de continuer le travail sur le schéma de marche en piscine. Mme. Y est une patiente de 35 ans, connue pour un antécédent de bypass gastrique en 2014, qui est hospitalisée dans notre service pour la prise en charge d'une ptose cutanée au niveau des cuisses des deux côtés. Elle bénéficie d'une liposuccion avec résection cutanée des deux cuisses le 23.04.2019, qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples et l'évolution clinique favorable, permettant un retour à domicile le 25.04.2019. Elle sera revue à la consultation du Dr. X pour un contrôle à 2 semaines post-opératoires. Mme. Y est transférée du CHUV pour suite de prise en charge après une endocardite mitrale traitée par remplacement valvulaire le 22.03.2019. Pour rappel, la patiente avait consulté à l'HFR le 23.02.2019 pour une dyspnée d'effort et un état fébrile. Plusieurs échocardiographies avaient mis en évidence une végétation au niveau de la valve mitrale. Après discussion avec l'équipe de chirurgie cardiaque du CHUV, une prise en charge chirurgicale avait été préconisée. Celle-ci a lieu le 22.03.2019 (Dr. X). Une culture du feuillet mitral est dès lors effectuée et révèle une Globicatella Sp sensible à la pénicilline. Le traitement est à poursuivre pour une durée totale de 4 semaines depuis l'intervention. Une anticoagulation par Sintrom est par ailleurs instaurée à vie avec des cibles d'INR entre 2.5 et 3.5. Un contrôle cardiologique est recommandé à 1 mois, avant un rendez-vous de suivi à la consultation du Dr. X à 6 semaines de l'intervention. Des demandes sont effectuées auprès de l'assurance de la patiente pour l'organisation d'une antibiothérapie sous forme de pompe en IV continu. L'attente de leur réponse résulte en un séjour de reclassement. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit terminée. Dans le cadre du séjour de reclassement, vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, votre patiente de 45 ans, connue pour spondylarthropathie traitée par de la sulfasalazine et du Brufen, se présente au service des urgences le 03.04.2019 pour une anémie symptomatique avec orthostatisme. Pour rappel, la patiente se plaint de baisse de l'état général depuis plusieurs mois, associée à des selles liquides, une inappétence et une perte pondérale de 10 kg sur la dernière année. Raison pour laquelle plusieurs investigations gastro-entérologiques sont réalisées, dont une gastroscopie en février 2018, une colonoscopie en juillet 2018, un CT-scan abdominal en octobre 2018, et plus récemment, le 19.03.2019, une nouvelle colonoscopie, sans relever une anomalie structurelle, hormis la mise en évidence récente des hémorroïdes de stade II qui sont traitées avec succès par Procto-Glyvenol et Flatulex. Peu avant sa dernière colonoscopie, Mme. Y présente des hématochésies, qui s'intensifient depuis la colonoscopie du 19.03.2019. Les anti-inflammatoires sont arrêtés sans amélioration de la symptomatologie et elle bénéficie d'une perfusion de fer par vos soins. La patiente se présente au service des urgences pour hématochésie associée à une asthénie et un orthostatisme nouveau et des vomissements, ainsi qu'un pyrosis. À l'examen clinique initial, la patiente présente un état général diminué avec une impressionnante pâleur cutanéo-muqueuse avec une majoration du temps de recoloration cutanée. L'auscultation cardio-vasculaire révèle un souffle systolique aortique et carotidien droit. Notons également une gêne douloureuse à la palpation abdominale inférieure. Le bilan initial met en évidence une anémie normochrome normocytaire qui nécessite deux transfusions de concentré érythrocytaire avec amélioration clinique. Nous complétons le bilan par un CT-Scan abdominal qui est tout à fait normal. L'œso-gastro-duodénoscopie est dans les limites de la norme, hormis une possible gastrite. Nous initions un traitement d'inhibiteur de la pompe à proton pendant quatre semaines puis en réserve en cas de pyrosis. Un prélèvement est effectué afin d'exclure la colonisation d'un Helicobacter pylori et les résultats vous parviendront dans les plus brefs délais. La colonoscopie est également dans les limites de la norme, hormis des hémorroïdes de stade II, enflammées avec présence de sang frais et des marisques péri-anales de 1 cm. L'hémorragie semble donc provoquée par des hémorroïdes. Sur avis du gastro-entérologue, nous initions un traitement avec du Scheriproct crème pendant 2 semaines, suivi de Procto-Glyvenol crème en réserve, ainsi qu'une régularisation des selles avec du Metamucil. En cours d'hospitalisation, Mme. Y bénéficie de trois culots de concentrés érythrocytaires avec correction de son anémie. Les rectorragies diminuent avec une persistance dans une moindre mesure. Nous organisons une prise en charge par les gastro-entérologues en ambulatoire. La patiente sera vue le 15.04.2019 au cabinet Balsiger et Seibold pour ligature des hémorroïdes. Le matin du 09.04.2019, la patiente présente un épisode de 2 heures où elle est allongée, immobile dans son lit et ne répond pas au personnel soignant. Après un contrôle des constantes et une prise de sang excluant un trouble électrolytique majeur ou une hypoglycémie pouvant expliquer un état de conscience altéré, nous contactons nos collègues psychiatres afin d'évaluer un éventuel trouble de la conversion. La patiente reprend connaissance et l'évaluation psychiatrique met en évidence un trouble de l'humeur nécessitant de plus amples investigations en ambulatoire. Mme. Y sera suivie par le Dr. X. Un premier rendez-vous est fixé à sa sortie de l'HFR Fribourg le 12.04.2019.Mme. Ramirez, patiente de 34 ans, est hospitalisée initialement aux soins intensifs puis en Stroke Unit pour une suspicion d'AIT. La patiente avait en effet consulté au service des urgences pour un épisode d'hémisyndrome sensitivo-moteur gauche avec paralysie faciale gauche d'une durée de quelques secondes à deux reprises les 19.04 et 20.04.2019. A l'examen clinique, on retrouve des signes en faveur d'une atteinte centrale avec notamment un syndrome pyramidal unilatéral et un signe de Babinski et Hoffmann à droite. L'IRM cérébrale effectuée montre de multiples lésions compatibles avec une sclérose en plaques. Ce diagnostic est également confirmé au niveau anamnestique, la patiente rapportant plusieurs épisodes de troubles neurologiques transitoires ces dernières années mentionnant notamment une dysarthrie et des troubles de l'équilibre en 2018. Une ponction lombaire est réalisée et révèle une cellularité et protéinorachie modérées. Un bilan biologique extensif est également réalisé afin d'exclure une maladie infectieuse ou immunologique concomitante et en prévision d'un éventuel traitement immuno-modulateur par la suite. Une cure de 3 jours de Solumedrol IV est débutée en hospitalisation et sera poursuivie à l'hôpital de jour à l'HFR Riaz les 25.04 et 26.04.2019. Mme. Ramirez rentre à domicile le 24.04.2019. En raison d'un test Quantiféron revenant positif après le départ de la patiente, nous contactons nos collègues d'infectiologie. Selon le Dr. X, une infection tuberculeuse latente est probable. Il convoquera la patiente par téléphone afin de débuter un traitement avant son voyage au Mexique afin d'éviter un risque de réactivation lors d'un possible traitement immunosuppresseur par la suite, probablement par Ocrelizumab ou Tysabri. Le suivi neurologique se fera à la consultation du Dr. X avec un rendez-vous prévu le 04.06.2019 à 8h. La suite des résultats biologiques sera pistée à ce moment-là. La patiente sera également convoquée pour un bilan ophtalmologique et neuropsychologique à Fribourg ainsi que pour une IRM de la colonne totale à l'HFR Riaz. Il est vivement conseillé à la patiente de se trouver un médecin traitant afin d'avoir un suivi médical régulier et notamment un contrôle de la vitamine D à 3 mois vu la substitution initiée durant le séjour. Un vaccin par Prevenar serait à envisager en collaboration avec nos collègues infectiologues, ainsi que la mise à jour du statut vaccinal selon les recommandations de l'OFSP. Ceci en prévision de l'introduction d'un traitement immuno-modulateur par la suite. Mme. Ramirez, patiente de 59 ans, connue pour un lymphome non hodgkinien suivi par le Dr. X consulte les urgences pour une acutisation brusque de lombosciatalgies chroniques. Pour rappel, la patiente avait déjà présenté la même symptomatologie, mise en lien avec une infiltration nerveuse rétropéritonéale du lymphome. Le status initial met en évidence une hypoesthésie sur le territoire L2/L3 à gauche déjà connu, sans autre particularité. Le bilan radiologique ne met pas en évidence de lésion osseuse au niveau de la hanche droite. Durant l'hospitalisation, la patiente présente des états fébriles récidivants, en présence d'un important syndrome inflammatoire au laboratoire. Au vu d'une absence de foyer clinique, un CT cervico-thoraco-abdominal est effectué, montrant une importante masse rétropéritonéale, suspecte d'une récidive du lymphome. Dans ce contexte, sur avis de nos collègues oncologues, un bilan avec une biopsie de la lésion est effectuée confirmant une récidive de la maladie tumorale. Une ponction biopsie de moelle ne montre pas d'infiltration de la part du lymphome. Un bilan d'extension par PET-CT révèle de multiples hypercaptations ganglionnaires rétropéritonéales bilatérales, sans autre lésion hypermétabolique suspecte. En raison d'une péjoration des douleurs lombaires, un nouveau CT thoraco-abdominal est effectué, montrant une augmentation des masses formées par le lymphome, probablement responsable des douleurs. Un traitement par stéroïde est introduit initialement pour quelques jours, sans apparition de syndrome de lyse, mais réintroduit au vu de l'apparition de douleurs très importantes ne répondant pas à de hautes doses de morphine IV. Durant le séjour, l'antalgie est adaptée à plusieurs reprises afin de soulager la patiente, notamment avec une PCA d'hydromorphone avec bon effet. D'un point de vue oncologique, la patiente bénéficie d'une chimiothérapie unique par Gemzar le 08.03.2019. Les douleurs s'aggravant, un nouveau CT abdominal est réalisé, mettant en évidence une progression de la maladie tumorale ainsi qu'une réponse à la chimiothérapie au vu d'une nécrose tumorale. Au vu de la progression tumorale mise en évidence aux différents scanners effectués, il est décidé d'une immunothérapie avec un traitement de Rituximab qui a lieu le 29.03.2019. La patiente présente également une pancytopénie fluctuante, nécessitant la transfusion de plaquettes ou érythrocytes. La patiente reçoit également du Neupogen pour une leucopénie, mais les valeurs des neutrophiles restent toujours au-dessus des valeurs d'agranulocytose. D'un point de vue infectieux, la patiente présente deux surinfections pulmonaires, motivant une antibiothérapie avec bonne évolution clinique et biologique. Une infection urinaire à VRE est traitée par Cubicine pendant 10 jours. Du point de vue urologique, une dilatation pyélocalicielle gauche est mise en évidence sur le CT, sur envahissement tumoral de l'uretère gauche. Une néphrostomie est mise en place par nos collègues de radiologie interventionnelle après avis urologique. On observe une bonne évolution biologique et radiologique avec une disparition de la dilatation sur le CT abdominal de contrôle. Dès le 13.04.2019, la patiente présente une péjoration clinique et biologique avec une insuffisance rénale. Les traitements sont adaptés et une nouvelle imagerie montre une progression de la maladie tumorale avec infiltration nouvelle de l'uretère droite et compression sur le duodénum avec dilatation gastro-oesophagienne. Une sonde naso-gastrique de décharge est posée pour le confort. Au vu de la dégradation de l'état général de la patiente et de l'absence de réponse aux traitements oncologiques, des soins de confort sont initiés. La patiente décède le 16.04.2019 entourée de sa famille. Mme. Ransinangue est une patiente de 79 ans, connue pour une cardiopathie ischémique, un diabète de type 2 et une dyslipidémie traitée, qui nous est transférée depuis le service de médecine interne de Fribourg le 10.04.2019, pour suites de prise en charge d'un AVC ischémique aigu sylvien gauche d'origine cardio-embolique sur FA inaugurale survenue le 27.03.2019. A l'entrée, l'anamnèse est difficile du fait d'une aphasie mixte modérée. La patiente se plaint cependant de palpitations qui surviennent par intermittence. Il n'existe pas d'autre plainte à l'anamnèse systématique. Socialement, la patiente vit avec son mari qui est très présent. Ils n'ont pas d'enfants. Au status neurologique, nous avons une patiente calme et collaborante, orientée dans les 3 modes, présentant une aphasie mixte modérée dans les modalités orale et écrite avec un manque du mot, des troubles de la dénomination, cependant répétition partiellement préservée avec dysarthrie ; pas de troubles de la compréhension des ordres simples mais ordres complexes non réussis, une dysgraphie, pas de dysmétrie au doigt-nez, cependant ralentissement important dans les mouvements distaux à droite, pas de franche ataxie au talon-genou, eudiadococinésie, rebound négatif. Pupilles isocores isoréactives, pas d'amputation des champs visuels, oculomotricité lisse, pas de nystagmus, pas de parésie faciale, pas d'hypoesthésie de la face au toucher-piquer, contraction du voile du palais symétrique, motricité langue à la protrusion sp. Pas de méningisme, pas de tremor, pas de rigidité en roue dentée, pas de bradykinésie. Epreuves de Barré et Mingazzini tenues. Force segmentaire globalement conservée aux 4 membres. Pas d'hypoesthésie aux 4 membres au toucher-piquer. ROTs normovifs et symétriques aux 4 membres, RCP indifférent à gauche, en extension à droite.Sur le plan fonctionnel, à son entrée, la patiente fait les transferts de manière autonome, elle marche de façon autonome sur 200 m (son endurance, faible, est déjà connue de longue date), elle monte les escaliers avec l'aide de la rampe marche par marche (mais n'en a pas besoin à domicile). Un contrôle biologique lors de l'hospitalisation à Fribourg a mis en évidence une hypothyroïdie sub-clinique avec TSH à 5.83 et des niveaux de T3 et T4 dans la norme. Nous proposons un nouveau contrôle à 3 mois de l'hospitalisation à organiser par le médecin traitant. Lors de son séjour, Mme. Y présente un profil glycémique élevé avec une hémoglobine glyquée à 6.8 %. Nous augmentons progressivement la Metformine jusqu'à 2x1000 mg par jour avec évolution favorable des glycémies. Mme. Y a bénéficié d'une échocardiographie lors de son séjour à Fribourg qui a mis en évidence une fonction ventriculaire abaissée avec une suspicion de cardiopathie ischémique. Une coronarographie est planifiée pour le 17.05.2019. Le 23.04.2019, la patiente, de retour de congé thérapeutique à son domicile, exprime la volonté claire de rentrer chez elle, expliquant ne plus pouvoir supporter d'être loin de chez elle. Étant donné l'âge de la patiente, son bon état fonctionnel et la présence d'un encadrement à domicile avec la présence de son mari, nous décidons d'organiser la poursuite des thérapies logopédiques en ambulatoire. La patiente rentre donc à domicile le 26.04.2019 dans un bon état général. PROCEDURE • Poursuite de la Logopédie ambulatoires (liste remise à la patiente) • Conduite automobile contre-indiquée jusqu'à une évaluation neuropsychologique dans 6 mois (la patiente sera convoquée) • Consultation neurovasculaire HFR Fribourg le 24.07.2019 à 14h30 • Consultation neuroréhabilitation dans 6 mois (la patiente sera convoquée après l'évaluation neuropsychologique) • Contrôle FRCV par médecin traitant • Contrôle fonction thyroïdienne par médecin traitant • Coronarographie le 17.05.2019 (patiente informée). Mme. Y est une patiente de 79 ans, transférée depuis la Stroke Unit dans le service de médecine interne pour suites de prise en charge d'un AVC ischémique aigu sylvien gauche. La patiente est en attente de la neuro-réhabilitation à Meyrier. Sur le plan métabolique, la patiente présente des glycémies légèrement élevées dans le contexte d'un diabète de type 2 connu, ce pourquoi le traitement de Metformine est majoré. Une nouvelle évaluation du traitement anti-diabétique oral est à effectuer à distance par le médecin traitant. Nous vous renvoyons aux lettres de sortie des soins intensifs, respectivement de la Stroke Unit pour les détails concernant la prise en charge de l'AVC. L'évolution dans notre service du 03.04.2019 au 04.04.2019 est favorable, le statut clinique de la patiente étant parfaitement stable. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le/la patient/e a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. La date de transfert en neuro-réhabilitation intensive à Meyrier est prévue pour le 10.04.2019 dans la matinée. Mme. Y, patiente de 79 ans, connue pour une BPCO non stadée et non traitée et une hypertension artérielle traitée, est amenée aux urgences en ambulance le 30.03.2019 en raison d'une dyspnée en péjoration depuis environ 2 semaines, accompagnée d'une toux, d'un état fébrile apparu de jour et d'expectorations jaunâtres. Sur le plan social, la patiente habite seule, sans soins à domicile, dans un appartement protégé et se mobilise sans moyens auxiliaires. A l'admission aux urgences, la patiente est tachycarde à 114/min, hypertendue à 140/85 mmHg, fébrile à 38.4°C et sature à 85% à l'air ambiant. A l'auscultation pulmonaire, présence de râles crépitants sur le tiers inférieur de la plage pulmonaire droite. Le reste de l'examen clinique est sans particularités. Le bilan biologique met en évidence une leucocytose à 15.8 G/l et une CRP à 117 mg/l et la gazométrie montre une hypoxémie à 10.7 kPa avec une légère hypercapnie à 5.6 kPa. La radiographie du thorax met en évidence un foyer basal droit. Notons une tachycardie sinusale régulière à 110/min à l'ECG. Le diagnostic de pneumonie basale droite est retenu et nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2g iv 1x/j et Klacid 500 2x/j iv dès le 30.03.2019. Au vu d'une tachypnée à 40/min avec oxygène-dépendance à 3 l/min, Mme. Y est gardée en lit de surveillance aux urgences pendant 24 heures. L'évolution est favorable, permettant un transfert à l'étage de gériatrie aiguë. Sur le plan pulmonaire, l'évolution est favorable sous antibiothérapie intraveineuse. Nous effectuons un relais per os par co-amoxicilline au moment de la sortie. Le syndrome inflammatoire diminue et la patiente est progressivement sevrée de l'oxygénothérapie. Les prélèvements microbiologiques et les antigènes urinaires reviennent négatifs. Elle bénéficie par ailleurs d'une physiothérapie respiratoire avec effet favorable. Sur le plan addictologique, nous effectuons une substitution vitaminique et effectuons des entretiens motivationnels afin de rappeler les risques liés au tabagisme et à la consommation d'alcool à risque. Sur le plan électrolytique, nous effectuons une substitution potassique au vu de l'hypokaliémie avec une normalisation de ce paramètre. L'hyponatrémie se normalise suite à l'hydratation intraveineuse. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage mettent en évidence un MMS à 29/30, un test de la montre à 4/7 et un GDS à 3/15. Durant son séjour, la patiente effectue une physiothérapie de mobilisation. A la sortie, le périmètre de marche accompagné est de 120 mètres. Les escaliers ne sont pas testés au cours du séjour. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 79/126, par rapport à 70/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 6/7, escaliers à 1/7). Le TUG est non testé au moment de la sortie. L'évaluation nutritionnelle ne met pas en évidence de déficit. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Au vu de l'évolution favorable et selon son souhait, Mme. Y regagne son domicile le 05.04.2019. Mme. Y, patiente de 88 ans connue pour une cardiopathie ischémique, une hypertension artérielle et un syndrome démentiel, est hospitalisée dans un contexte de chute à domicile. La patiente est amenée en ambulance à la Permanence le 30.03.19 accompagnée par sa fille en raison d'une chute au domicile. Elle a été retrouvée au domicile par l'équipe de Spitex ce matin vers 09h00. Elle était consciente sans plainte spontanée. A l'admission, Mme. Y n'a pas de plainte spontanée. Elle ne se souvient pas des circonstances ni de la dynamique de la chute. Pas de plainte à l'anamnèse systématique. D'un point de vue social, la patiente habite seule dans un appartement. Son fils habite dans l'appartement au-dessus et a également une fille qui habite dans la région. Elle bénéficie du passage de Spitex 2x/jour. A l'examen clinique, on retrouve une patiente désorientée avec un état général diminué, un important hématome de la face gauche ainsi que des troubles de l'équilibre et de la marche à l'examen neurologique sans déficit focal.Un laboratoire d'entrée met en évidence un syndrome inflammatoire et une radiographie de thorax confirme un foyer débutant de pneumonie. Un traitement antibiotique est initié avec évolution rapidement favorable. Le lendemain de son entrée, la patiente présente un état confusionnel aigu avec chute motivant un scanner cérébral qui met en évidence des signes d'AVC sub-aigu sous aspirine. Un ECG est effectué et met en évidence une fibrillation auriculaire nouvelle. Nous introduisons un traitement anticoagulant et proposons de répéter un ECG à distance. Au vu des événements récents ainsi que de sa démence non bilantée et d'une situation sociale à risque, nous proposons un transfert dans notre service de Gériatrie. La patiente quitte notre service le 05.04.19. Mme. Y, patiente de 71 ans, en bonne santé habituelle, est hospitalisée pour des embolies pulmonaires découvertes fortuitement lors d'un scanner de bilan suite à la mise en évidence d'une masse céocale nouvelle lors d'une colonoscopie. Pour rappel, elle avait bénéficié d'une gastroscopie et colonoscopie par Dr. X dans un contexte de constipation chronique avec notion de selles noires, et des biopsies ont révélé un adénocarcinome du caecum de type colorectal. Des analyses spéciales faites à Bâle sont en cours. Au sujet des embolies pulmonaires, à mettre très probablement dans le contexte tumoral, une anticoagulation thérapeutique par Clexane est mise en place pour 3 mois. Sur le plan oncologique, une chimiothérapie néo-adjuvante est proposée au tumorboard pour les 3 prochains mois à but de down-staging, suivie d'une résection. La suite de prise en charge ainsi que les résultats du PET scan du 23.04.19 seront discutés lors d'une consultation ambulatoire en oncologie le 29.04.19. Mme. Y rentre à domicile le 23.04.19 et fera les piqûres de Clexane elle-même. Mme. Y, patiente de 98 ans et connue pour des troubles de la marche et de l'équilibre depuis novembre 2018, nous est adressée par le service de médecine de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour réhabilitation, à la suite d'une hospitalisation pour chute avec traumatisme crânio-cérébral. Par rappel, dans le contexte du traumatisme crânien, un scanner cérébral avait été réalisé à l'HFR Fribourg le 15.03.2019, montrant un hématome sous-galéal frontal droit et permettant d'exclure une hémorragie intra-crânienne. Un pneumothorax apical droit de 4 mm était également mis en évidence au même scanner cérébro-cervical, toutefois, au vu de l'absence de répercussions respiratoires et sur avis des chirurgiens, il n'y a pas eu d'indication à une intervention. Une pyélonéphrite avait également été mise en évidence, justifiant un traitement par Rocéphine durant 7 jours, encore en cours actuellement. Sur le plan social, Mme. Y est veuve, a une fille et deux garçons, vivant chez sa fille depuis novembre 2018, après une chute à domicile. Elle se déplace toujours accompagnée de sa fille, s'aidant d'une simple canne. La patiente participe à la toilette du haut du corps et nécessite l'aide de sa fille pour le bas. Cette dernière l'aide également à l'habillage. Relevons que la fille est infirmière, raison pour laquelle la patiente n'avait pas de soins à domicile. Mme. Y se trouve en bonne santé habituelle. Sur le plan général, la patiente n'a pas de plainte, mais décrit une asthénie importante. L'auscultation cardiovasculaire met en évidence des B1 et B2 bien frappés, avec souffle mitral systolique à 4/6. À l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est normo-transmis, sans bruit surajouté. L'abdomen est légèrement tendu, non douloureux à la palpation, sans défense ni détente. Sur le plan cutané, remarquons une plaie temporale droite (suturée aux urgences) évoluant de manière adéquate, avec l'ablation des fils réalisée le 25.03.2019. Une plaie au niveau du coude droit est également constatée, mais en bonne évolution. Dans notre service, le bilan biologique met en évidence un déficit en vitamine D3 que nous supplémentons par voie orale. Nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs dans 3 mois. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage ne sont pas réalisables car la patiente les refuse à plusieurs reprises. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À la sortie, son périmètre de marche à l'aide d'un tintébin est de 40 mètres. Elle ne peut pas gravir d'escalier et nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 56/126, identique à celle de l'entrée. (MIF physio : transferts 3/7, marche 3/7, escaliers 1/7). Le risque de chute est élevé. Mme. Y bénéficie également d'un bilan nutritionnel soulignant une malnutrition protéino-énergétique sévère en lien avec une inappétence et démontrée par un NRS 5/7, un indice de masse corporelle à 16.4 kg/m2 et des ingesta estimés à 50 % maximum des besoins. Dans ce contexte, nous ajoutons une supplémentation protéino-calorique aux repas. Le 11.04.2019, la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, Mme. Y sera institutionnalisée au Home de la Providence à Fribourg le 23.04.2019. Mme. Y est une patiente de 81 ans, institutionnalisée au foyer de Bouleyres, qui chute sur les fesses le 25.03.2019 au soir. D'emblée, elle ressent des douleurs et une impotence fonctionnelle, raison pour laquelle elle est amenée aux urgences par ambulance. Il n'y a pas de notion de traumatisme crânien, ni perte de connaissance. Le bilan radio-clinique, complété par un CT et une IRM de la colonne, permet de poser le diagnostic. Mme. Y est hospitalisée dans le service d'orthopédie pour traitement antalgique et traitement conservateur sous forme d'une mobilisation selon douleurs, sous la supervision des physiothérapeutes. Les radiographies de contrôle effectuées à J4 et J7 révèlent des fractures stables, non déplacées. Avant son admission, la patiente était sous antibiothérapie, gérée par vos soins, pour une infection chronique de la prothèse totale de la hanche droite. Localement, présence d'un écoulement séreux à la partie centrale de la cicatrice opératoire de la hanche droite. Pour rappel, la patiente présente une infection chronique de la PTH droite, sous antibiothérapie par Co-Amoxicilline à vie, traitement changé par vos soins. La patiente ne présente aucune douleur et demeure stable. Dès lors, une discussion a lieu entre Dr. X, le fils de Mme. Y et Dr. X, infectiologue. Les options thérapeutiques sont les suivantes : prise en charge plus poussée à l'HFR Fribourg ou prise en charge conservatrice avec soins locaux et pansements, tout en étant clairs sur les risques à venir, à savoir une infection généralisée et les conséquences que cela pourrait avoir. La famille est bien consciente de la situation et opte pour le retour au home avec des soins de plaie. La proposition de l'infectiologue d'arrêter le traitement antibiotique et de laisser la fistule couler est acceptée. Vous-même acceptez cette proposition. À noter également que Dr. X a pris contact avec l'opérateur de Mme. Y à l'HFR Fribourg, Dr. X, pour l'informer de la situation.Le 01.04.2019, Mme. Y retourne au foyer de Bouleyres. Mme. Y, 66 ans, est hospitalisée en Stroke Unit pour prise en charge d'un AVC cérébelleux gauche le 18.03.2019. Elle est connue pour une hypertension artérielle, un tabagisme actif et un alcoolisme chronique. Elle est amenée aux urgences de Riaz en ambulance le 18.03.2019 pour des céphalées d'apparition aiguë durant la nuit du 18.03.2019 à 4 h du matin, d'une durée de 10 minutes, avec ensuite diminution progressive des céphalées, mais apparition de vertiges importants, accompagnés de nausées et plusieurs épisodes de vomissements. L'angio-CT cérébral révèle une lésion hypodense cérébelleuse gauche dans le territoire de l'AICA et l'IRM cérébrale confirme plusieurs lésions ischémiques aiguës cérébelleuses bilatérales et occipitales droites dans la circulation postérieure. La patiente est transférée depuis Riaz en Stroke Unit le 19.03.2019. L'examen clinique à l'entrée révèle une ataxie tronculaire prononcée et de l'hémicorps gauche ainsi que des troubles de la marche handicapants. La surveillance neurologique de 24 h en lit monitoré est sans particularité, sans trouble du rythme retrouvé. Sur le plan médicamenteux, l'antiagrégation plaquettaire est poursuivie par du Plavix 75 mg 1x/j. Un traitement par Atorvastatine 40 mg 1x/j est également débuté. Nous recommandons un bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Nous majorons le traitement de Losartan de 50 à 100 mg 1x/j au vu d'une hypertension pendant l'hospitalisation. Comme cible ambulatoire, nous recommandons une TA < 130/80 mmHg. Mme. Y présentant une HbA1c à 7.2 %, nous débutons un traitement par Metformine avec stabilisation des glycémies. Sur le plan étiologique, une échocardiographie transthoracique ne montre pas d'élément en faveur d'une étiologie cardio-embolique. Cependant, l'ETT retrouve un aspect de cardiopathie hypertensive avec une FeVG à 60 %. Le Holter sur 72 heures ne retrouve pas de passage en FA. L'origine de cet AVC reste à ce jour indéterminée, bien qu'une origine artério-artérielle nous semble le plus probable vu le profil des facteurs de risques cardiovasculaires précités. Mme. Y nous confie avoir une addiction à l'alcool, buvant environ 1 litre de Martini par jour, et qu'elle souhaite en sortir. Nous demandons l'avis de nos collègues psychiatres qui mettent en évidence un trouble dépressif modéré surajouté. Nous débutons donc un traitement par Brintellix, qui est bien supporté. La patiente est suivie par une infirmière spécialiste en addictologie pendant toute son hospitalisation et remet à la sortie de Mme. Y tous les numéros et personnes de contact pour la suite de prise en charge en ambulatoire. Un traitement par Seresta est encore en cours, actuellement en phase de dégression avec encore 1 dose d'office de 15 mg le soir au coucher. Une substitution vitaminique par Becozyme et Benerva est en cours. Un bilan neuropsychologique se révèle dans la norme et le bilan ophtalmologique révèle une hémianopsie latérale homonyme à gauche partielle avec une vision préservée à 160°, ainsi sans contre-indication à la conduite. Au niveau neurologique, l'évolution est lentement favorable avec une diminution de polygone de sustentation, une marche sécuritaire avec une seule canne. L'ataxie aux membres supérieurs gauche est persistante et handicapante chez cette patiente gauchère. L'évolution est cependant favorable sous traitement ergothérapeutique. Afin de maximiser les chances de récupération, Mme. Y est transférée en neuroréhabilitation intensive à Meyriez le 04.04.2019. Mme. Y est une patiente de 64 ans, aux antécédents susmentionnés, qui est hospitalisée pour la prise en charge chirurgicale d'un adénocarcinome du colon ascendant. Elle bénéficie le 16.04.2019 d'une hémicolectomie droite avec CME, qui se déroule sans complication notable. Les suites postopératoires sont simples avec une antalgie bien gérée par la prescription standard, une réalimentation bien tolérée et une reprise rapide du transit. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général le 25.04.2019. Le cas de Mme. Y est discuté lors de notre colloque interdisciplinaire d'onco-chirurgie, et en vue des résultats histopathologiques, nous préconisons une chimiothérapie adjuvante. Elle sera revue à la consultation du Dr. X pour contrôle le 20.05.2019 puis convoquée par nos collègues oncologues afin d'organiser la suite de la prise en charge. Mme. Y est une patiente de 37 ans aux antécédents susmentionnés, qui bénéficie d'un bypass gastrique proximal par laparoscopie le 26.04.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples avec une évolution favorable. Mme. Y rentre à domicile le 28.04.2019. Un rendez-vous de suivi chez le Dr. X est prévu le 28.05.2019 à 15 h 00. Nous laissons à la patiente le soin de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils. Mme. Y, âgée de 69 ans, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, nous est adressée par le Dr. X pour une réadaptation musculosquelettique dans un contexte de dorso-lombalgies dans le cadre d'une discopathie sévère L5-S1 avec hernie discale traitée par corset ainsi qu'une arthrose interfacettaire également marquée de L4 à S1 évoluant depuis une dizaine d'années. Sur le plan social, la patiente vit avec son mari à domicile. Elle est à la retraite (ancienne bouchère). À l'admission, le statut est sans particularité mise à part des râles ronflants diffus, des OMI et des dorsalgies que la patiente évalue à 10/10 sur l'EVA douleurs. Durant son séjour, Mme. Y présente un globe vésical le 20.03.2019 d'origine probablement médicamenteuse (Ditropan). Les investigations étant revenues négatives (urotube, US, sédiment). Après l'arrêt de cette molécule, nous avons retiré la sonde vésicale le 26.03.2019 avec reprise de la miction. Mme. Y se plaint d'omalgies D. À la radiographie de l'épaule D, effectuée en novembre 2018, une arthrose gléno-humérale débutante avec des réactions ostéophytaires en regard des bords inférieurs et supérieurs de la glène est mise en évidence. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X le 25.04.2019 pour effectuer éventuellement des infiltrations à but antalgique. Des douleurs au genou D se sont déclarées sans symptôme inflammatoire. Le traitement local par application de glace et Flector patch est efficace. Le 05.04.2019, Mme. Y rapporte des douleurs rétrosternales reproductibles à la palpation. L'examen clinique et les investigations cardiologiques sont sans particularité. Sur le plan nutritionnel, Mme. Y présente une obésité (BMI 37.7), un gain de poids non intentionnel (+ 10 à 14 kg en 4 mois), un manque de connaissance en lien avec les aliments et la nutrition et une adhésion limitée aux recommandations combinées à des recommandations nutritionnelles. La patiente a évoqué le désir de perdre du poids, raison pour laquelle nous lui avons proposé des 1/2 portions. Malgré cela, elle a pris du poids durant son hospitalisation, ce qui peut s'expliquer par une consommation de boissons sucrées et de sucreries. Nous lui avons proposé de participer aux cours sur l'alimentation cardiovasculaire afin de poser de premiers objectifs avant de débuter un suivi ambulatoire, mais elle ne s'y est pas rendue. Après discussion pour poursuivre un suivi ambulatoire, la patiente a décidé de s'adresser à une connaissance diététicienne qui pourrait lui proposer un programme nutritionnel.Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un rollator. Elle peut monter et descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Nous obtenons une bonne amélioration au niveau des douleurs ainsi que sur la condition physique de la patiente grâce à cette prise en charge pluridisciplinaire. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 12.04.2019, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à sec et en piscine afin d'améliorer l'endurance. Les soins à domicile sont réactivés. Mme. Y, votre patiente de 86 ans, connue pour une démence depuis quelques années, nous est adressée le 23.04.2019 par le Dr. X de MedHome pour suspicion d'accident ischémique transitoire. En effet, la patiente présente vers 11h du matin un épisode de désorientation associé à des vertiges et des troubles de l'équilibre avec une impotence fonctionnelle à la marche. Il y aurait eu également de façon transitoire des troubles de la compréhension, régressifs en une heure à l'arrivée de l'équipe de MedHome. À son admission au service des urgences, Mme. Y ne présente aucune plainte particulière. L'examen clinique initial retrouve une faiblesse du membre inférieur gauche. Le bilan initial par CT-cérébral injecté ne montre aucune lésion constituée et une perméabilité normale des vaisseaux précérébraux et intracrâniens. La patiente bénéficie néanmoins d'une charge en Aspirine puis est admise en Stroke Unit monitorée. Le bilan est complété par une IRM cérébrale qui met en évidence une lésion minime au niveau frontal sous-cortical gauche, n'expliquant pas le tableau clinique. Un traitement anti-agrégant au long cours est débuté. Un traitement hypolipémiant est initié en raison de la mise en évidence d'une hypertriglycéridémie. Nous vous laissons le soin de juger de la nécessité d'un traitement supplémentaire par des fibrates ou une thérapie combinée de type Inegy (Simvastatine et Ezetimibe) en fonction du suivi biologique. Mme. Y est transférée à l'étage de médecine non monitorée où le bilan étiologique est complété par une échocardiographie transthoracique qui est normale avec une fraction d'éjection ventriculaire gauche (FEVG) à 60% (évaluation visuelle). Un Holter est réalisé et les résultats vous parviendront dans les plus brefs délais. Une étiologie angiopathique ne peut être exclue. Nous vous suggérons de poursuivre le contrôle des facteurs de risques cardiovasculaires. Sur le plan diabétologique, la patiente affiche un profil glycémique élevé sans toutefois requérir une insulinothérapie et avec une hémoglobine glyquée légèrement élevée. C'est la raison pour laquelle nous majorons la dose de Metformine 500 mg à deux fois par jour. Sur le plan social, la patiente, bien qu'entourée de sa famille et vivant en alternance chez ses filles, reste dépendante pour les activités de la vie quotidienne. Dans un contexte d'épuisement familial, nous organisons un service de soins à domicile avec un passage quotidien pour des soins généraux et une évaluation infirmière hebdomadaire. Mme. Y sort le 30.04.2019 pour un retour avec aide et poursuite de la prise en charge telle que discuté. Mme. Y, 86 ans, a été admise en unité stroke monitorée dans le contexte d'un accident vasculaire cérébral ischémique. La patiente a présenté le 23.04.2019 un épisode de désorientation, des vertiges et des troubles de l'équilibre. Une aphasie de compréhension aurait également été objectivée. Les symptômes ont régressé spontanément après une heure. À son arrivée aux urgences, une faiblesse du membre inférieur droit a été constatée (NIHSS à 1 point). Le CT-scan cérébral en urgence n'a pas identifié d'AVC constitué. L'IRM effectuée le lendemain a mis en évidence une lésion ischémique punctiforme du centre semi-ovale gauche d'origine indéterminée. Un traitement anti-agrégant de Clopidogrel a été débuté. L'étiologie reste pour le moment indéterminée, bien qu'une origine micro-angiopathique en premier lieu soit à considérer. Une hypertriglycéridémie a été mise en évidence et un traitement hypolipémiant a été introduit. Le bilan cardiaque est à compléter et les facteurs de risques cardiovasculaires à contrôler. En cas d'arguments objectifs pour une origine cardio-embolique, l'indication à une anticoagulation pourrait être discutée dans un second temps en tenant compte du risque hémorragique élevé. Mme. Y souffre d'un syndrome du tunnel carpien avancé de la main gauche, confirmé par EMG. L'indication pour une neurolyse du nerf médian est donnée. La patiente est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et bénéfices liés à celle-ci. Elle donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est programmée pour le 09.05.2019, en ambulatoire. La patiente sera vue avant l'intervention pour la consultation pré-anesthésique. Mme. Y est une patiente de 91 ans connue pour une masse rénale gauche suspecte d'une étiologie maligne. Elle est hospitalisée de manière élective pour embolisation de celle-ci. Pour rappel, lors d'un scanner abdominal en 2018 dans le bilan de diarrhées chroniques, une masse rénale gauche a été découverte de manière fortuite. L'aspect radiologique évoque un carcinome à cellules claires et une prise en charge par thermoablation est décidée. Cependant, au vu de la taille trop importante de la masse, il est convenu d'effectuer en premier lieu une embolisation afin de réduire la taille. Une tentative a lieu en novembre 2018 mais le résultat reste insuffisant, motivant un nouveau geste. L'embolisation se déroule sans complications hémorragiques. Toutefois, Mme. Y présente un état fébrile le 30.03.2019 accompagné d'une désaturation. Les examens biologiques et radiologiques laissent suspecter une pneumonie, motivant un traitement antibiotique pour une durée de 7 jours. Mme. Y peut rentrer à domicile le 04.04.2019. La suite de prise en charge se fera au cabinet du Dr. X. Mme. Y est une patiente de 77 ans, connue pour une néoplasie invasive du caecum, qui est hospitalisée en électif le 01.04.2019 afin de bénéficier d'une hémicolectomie droite. L'intervention se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples. L'alimentation est bien tolérée. Le reste de l'hospitalisation reste simple permettant un transfert en réhabilitation gériatrique à Riaz le 11.04.2019. Le cas de la patiente a été discuté au colloque interdisciplinaire du 10.04.2019, où une surveillance de la néoplasie a été recommandée. Mme. Y est une patiente de 61 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, qui est hospitalisée pour bénéficier d'une endartérectomie du carrefour fémoral gauche. Les suites opératoires sont simples et sans complication. Sur le plan vasculaire, les signaux sont présents en distalité et Mme. Y ne présente pas de douleur. La plaie inguinale gauche est propre et sans écoulement. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 22.04.2019. Mme. Y est une patiente de 51 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales associées à des diarrhées avec une décoloration des selles et une urine foncée depuis 2 jours. Le bilan biologique et radiologique met en évidence une cholestase sans visualisation d'un calcul dans les voies biliaires mais un hydrops de la vésicule biliaire et une colite à C. difficile. Une antibiothérapie avec Metronidazole est débutée. L'évolution de suite est favorable avec une diminution de la fréquence des diarrhées et du syndrome inflammatoire ainsi qu'une normalisation de la bilirubine. Dans le suivi biologique, elle présente une hypokaliémie probablement dans le cadre des diarrhées nécessitant une substitution intraveineuse. La kaliémie augmente de suite. Le 03.04.2019, nous prenons le relais de l'antibiothérapie par voie orale, ce qui permet un retour à domicile le même jour.Mme. Sauthier, patiente de 66 ans, est admise aux soins intensifs pour des douleurs rétro-sternales en post-coronarographie le 10.04.2019. La patiente a bénéficié d'une coronarographie le 09.04.2019 dans le contexte d'un angor stable avec une ergométrie électriquement et cliniquement positive. L'examen invasif démontre des sténoses significatives en série de l'artère interventriculaire antérieure proximale, moyenne et distale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 60%. Elle bénéficie d'une angioplastie avec mise en place de 4 stents actifs avec un bon résultat final. Le traitement par double anti-agrégation est à poursuivre pour 6 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques sont compliquées par un hématome du bras droit nécessitant une compression locale longue. Le pouls radial est présent avec une bonne perfusion de la main à l'examen avant sortie des SI. Le 10.04.2019, la patiente présente des douleurs rétro-sternales de type angor avec des modifications de l'électrocardiogramme associées à un pic hypertensif. Les enzymes cardiaques restent stables. Nous objectivons une normalisation de la tension suite à l'administration d'un traitement anti-calcique et nitroglycérine avec une diminution des douleurs. La surveillance rythmique est sans particularité et la patiente ne présente plus d'épisodes de douleur thoracique. La patiente rentre le 11.04.2019 à domicile. Mme. Savary, 90 ans, est hospitalisée aux soins intensifs en raison d'un bloc atrio-ventriculaire de 3ème degré symptomatique par une asthénie et une syncope lors de son évaluation aux urgences. Un pacing externe est débuté temporairement et relayé par un traitement transitoire par Isoprénaline avec passage ultérieur en rythme sinusal, permettant le sevrage d'Isoprénaline. Le 15.04.2019, la patiente bénéficie de la mise en place d'un pacemaker définitif qui se passe sans complication immédiate ou ultérieure. Dans le contexte de la mise en suspens du traitement antihypertenseur habituel, la patiente a présenté un œdème pulmonaire aigu sur pic hypertensif. L'évolution est favorable sous traitement diurétique et ventilation non invasive transitoire et le traitement antihypertenseur est repris en partie. Vu la décompensation cardiaque précipitée par le pic hypertensif, ainsi que la présence d'un bloc de branche gauche a priori nouveau, nous vous proposons d'organiser une échocardiographie transthoracique. Une phlébite du membre supérieur gauche est mise en lien avec le cathéter veineux superficiel qui est enlevé et un traitement par Co-Amoxicilline est administré pour une durée de 2 jours. Le 15.04.2019, la patiente est transférée à l'étage de médecine interne pour la suite de la prise en charge. Mme. X présente donc des polyarthromyalgies depuis bientôt 1 an au décours d'une mononucléose infectieuse avec une fatigabilité musculaire et des paresthésies des mains, associés à des ANCA légèrement positifs. Nous répétons les CK qui reviennent dans la norme et les ANCA (Dots) qui reviennent négatifs. Le CT thoracique et des sinus ne montre pas d'argument en faveur d'une vasculite à ces niveaux. La patiente se plaignant de diverses lésions cutanées avec des pustules nouvelles et un probable phénomène de Knober, nous demandons un avis dermatologique. Une biopsie est effectuée au niveau d'une des lésions pustuleuses, les résultats sont actuellement encore en cours. Il n'y a cependant pas de lésion cutanée évocatrice de vasculite à l'examen clinique. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire associé et nous ne relevons aucun autre indice d'atteinte organique. Dans ce contexte, nous ne retenons pas le diagnostic de vasculite. La symptomatologie pourrait être en lien avec une spondylarthropathie, notamment au vu de l'IRM réalisée précédemment. Nous introduisons donc un traitement d'Arcoxia 60 mg. Le diagnostic différentiel reste cependant ouvert sur une maladie de Behçet au vu de la notion d'aphtose buccale et les lésions cutanées, ou un syndrome douloureux chronique avec fatigue chronique post-infectieuse sur la mononucléose de 2018. Nous n'avons pas actuellement d'argument pour une connectivité ni une myopathie inflammatoire. La patiente se plaint aussi depuis plusieurs mois d'une dyspnée stade I-II, sans autre symptôme respiratoire. Dans ce contexte, nous effectuons un test de 6 minutes qui s'avère normal, sans désaturation ni tachypnée. Le CT thoracique ne montre d'ailleurs pas de lésion pulmonaire. Nous complétons le bilan par des fonctions pulmonaires qui auront lieu en ambulatoire le 30.04.2019. Concernant les paresthésies, celles-ci sont fluctuantes depuis 4-5 mois, au niveau des mains, peu localisées sans autre trouble sensoriel associé. La patiente est évaluée par nos collègues neurologues qui proposent la réalisation d'une ENMG en ambulatoire. Mme. X rentre donc à domicile le 25.04.2019. Elle prendra prochainement rendez-vous à la consultation du Dr. X pour les résultats des examens encore en cours et un suivi clinique. Mme. X est hospitalisée électivement le 28.03.2019 pour thermoablation d'une lésion hépatique du segment V d'un carcinome hépatocellulaire. Le geste se déroule le jour même, sans complications immédiates. En raison d'une hémoglobine basse, un ultrason de l'abdomen supérieur est effectué ne montrant pas d'hématome ou de liquide libre. La patiente reçoit au total 2 concentrés érythrocytaires, avec une hémoglobine stable lors de sa sortie. À noter qu'elle décrit des épisodes de selles noires non objectivés, anamnestiquement peu compatibles avec du méléna. L'origine de l'anémie est très probablement oncologique. Un contrôle de l'hémoglobine est cependant agendé à votre cabinet, et en cas de suspicion de saignement digestif, des examens endoscopiques seront à prévoir. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. X rentre à domicile le 01.04.2019, en bon état général. Mme. X, une patiente de 93 ans institutionnalisée à Charmey, connue pour une fibrillation auriculaire non anticoagulée et une dégénérescence maculaire bilatérale, est adressée aux urgences par son médecin traitant le 10.04.2019 en raison de l'apparition de troubles phasiques nouveaux de type aphasie non fluente chez cette patiente sans troubles neurocognitifs majeurs connus jusqu'ici. Pour rappel, Mme. X avait déjà présenté un épisode décrit comme un accident ischémique transitoire le 24.03.2019 avec un angio CT sans lésion ischémique mise en évidence. Aux urgences, le CT cérébral effectué ne révèle pas de lésion ischémique et hémorragique. La patiente est hospitalisée en lit monitoré pour une surveillance neurologique suite à une dose de charge d'aspirine. Durant la surveillance neurologique, la symptomatologie s'amende avec une disparition de l'aphasie à environ 24 heures du début des symptômes. Au niveau cardiaque, la fibrillation auriculaire connue est une nouvelle fois objectivée. L'IRM cérébrale réalisée par la suite confirme l'absence de lésion ischémique ou hémorragique. Sur le plan du bilan étiologique, une échocardiographie transthoracique est réalisée, le résultat n'étant pas disponible le 03.05.2019 en raison d'un problème technique, il sera transmis par la suite.Sur le plan médicamenteux, après discussion avec le médecin traitant, nous décidons de débuter une anticoagulation par Eliquis à une dose de 2.5 mg 2x par jour en prévention secondaire. Après évaluation physiothérapeutique et hétéroanamnèse auprès des soignants du home de Mme. Y, nous considérons le risque de chute comme faible à condition d'une mobilisation uniquement accompagnée et avec le rollator déjà utilisé par Mme. Y. Nous diminuons le traitement par béta-bloquant à 50 mg/j en raison d'une fréquence dans la norme durant le séjour et afin de minimiser le risque de chute. Durant son hospitalisation, la patiente se montre compliante sur ce point. La patiente ne conduisant plus, la question de la capacité à conduire n'a pas été abordée. La patiente rentre dans son home à Charmey le 13.4.2019. Pour le confort de Mme. Y, nous vous proposons d'effectuer le suivi à votre cabinet. Nous restons néanmoins à disposition et vous laissons le soin de nous réadresser la patiente pour un contrôle à la consultation neurovasculaire si vous le jugez nécessaire. Mme. Y nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire hospitalière suite à un remplacement valvulaire aortique par TAVI le 25.03.2019 pour une sténose aortique serrée symptomatique. Son traitement à l'entrée est composé de : Sintrom, Pantozol 20 mg, Bilol 2.5 mg, Redormin 500 mg, Calcipos ainsi que du Dafalgan en réserve. Suite à une difficulté à maintenir l'INR dans des valeurs thérapeutiques, nous l'avons stoppé et introduisons l'Eliquis 2.5 mg 2x/jour à partir du 02.04.2019. Concernant la réadaptation cardiovasculaire à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long de son séjour. A la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à une puissance de 10 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une légère augmentation de la distance parcourue (+330 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. A sa sortie, nous recommandons à Mme. Y de marcher 20-30 min/jour dans le but d'améliorer encore sa condition physique. Mme. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan cardiaque, la pression artérielle basale et la fréquence cardiaque sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : • Hb stable avec une valeur à 116 g/l • fonction rénale alignée avec une créatinine à 84 µmol/l • électrolytes dans la norme. • CRP légèrement augmentée à 32 mg/l, afébrile, sans point d'appel infectieux. L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un statut de normo-compensation. La cicatrice de l'abord inguinal est calme et sans signe d'inflammation. Mme. Y, âgée de 76 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture de la vertèbre D12, type Burst A3 selon la classification AO Spine, traitée par Vertebral Body Stenting D12 bilatéral avec cimentation le 04.03.2019. A noter qu'au vu de l'absence de traumatisme, une biopsie à la recherche d'un processus infectieux, dégénératif ou tumoral a été effectuée et était dans la norme. Sur le plan social, la patiente vit seule à domicile. Elle est à la retraite (ancienne infirmière). A l'admission, la patiente se plaint de douleurs au niveau de la vertèbre D12, occasionnelles, non irradiantes, sans déficit, sans trouble sphinctérien. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au statut, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La mobilité du rachis reste douloureuse dans tous les axes. Les nerfs crâniens sont dans la norme. La force est diminuée de manière antalgique à M4- au niveau des psoas, des quadriceps et des abducteurs des deux côtés, à M5 sinon. La sensibilité superficielle et profonde (pallesthésie à 7/8 ddc) est conservée. Les ROT sont vifs et symétriques, le Babinski est indifférent ddc, le Hoffmann est absent. La coordination est préservée à l'épreuve doigt-nez. La marche est stable et sécuritaire. Durant son séjour, elle a présenté une toux grasse avec difficultés à expectorer des crachats plutôt jaunâtres, accompagnée d'un état fébrile à 38°C. On constate des râles crépitants en base gauche. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire. Des hémocultures et une culture d'expectorations reviendront négatifs. La patiente est mise sous Co-Amoxicilline 1 g 2x/j pour 7 jours avec amélioration relativement favorable. En effet, elle reste afébrile et le laboratoire se normalise. Cependant, une légère toux persiste. Nous demandons avis à Dr. X (pneumologue) qui propose d'augmenter l'IPP et de switcher l'IEC par sartan avec une bonne évolution clinique. Si la toux persiste, nous vous laissons le soin d'organiser un CT-thoracique. A noter aussi que durant son séjour, la patiente présente une dysurie avec pollakiurie sans douleur abdominale ni douleur à la palpation des loges rénales, un stix urinaire revient négatif. Au vu de la clinique d'une infection urinaire basse, nous débutons une antibiothérapie par Monuril 3 g en ordre unique. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un rollator ou 2 cannes anglaises. Elle peut monter/descendre les escaliers avec une canne et la rampe. La mobilité du rachis est indolore et la force aux membres inférieurs est symétrique. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 28.03.2019, en état général conservé. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire à domicile. Les soins à domicile sont activés. Mme. Y, 76 ans, est admise aux soins intensifs pour la surveillance respiratoire postopératoire et optimisation de l'antalgie après la stabilisation d'une fracture atraumatique D11. La patiente, connue pour une ostéoporose fracturaire, ayant déjà bénéficié d'une cyphoplastie D12 le 04.03.2019, a nécessité une nouvelle intervention en raison d'une fracture-tassement D11 symptomatique. L'intervention s'est passée sans complication immédiate et la patiente a été transférée aux soins intensifs pour surveillance post-opératoire en raison d'une insuffisance respiratoire hypoxémique et d'une antalgie potentiellement difficile. L'évolution sur le plan respiratoire est favorable durant la surveillance aux soins intensifs avec un minime besoin en oxygène persistant en raison du traitement opiacé et de l'immobilisation. Une physiothérapie respiratoire est indiquée pour la suite. L'antalgie est contrôlée avec Paracétamol, Oxycontin et Novalgine. Vue l'évolution favorable, la patiente est transférée à l'étage le 30.04.2019. Une diminution progressive du nombre et des doses des médicaments antalgiques sera à effectuer progressivement selon l'évolution des douleurs. Mme. Y, patiente de 79 ans connue pour une paraplégie suite à un accident de chasse en 2009 et conséquemment des douleurs neuropathiques chroniques des membres inférieurs, est hospitalisée le 22.04.2019 pour une exacerbation de ses douleurs. Les douleurs chroniques sont habituellement bien gérées mais il persiste des périodes de crises algiques, la dernière menant déjà à une hospitalisation en janvier 2019.La patiente rapporte une nouvelle crise algique au matin du 22.04.2019 avec des douleurs estimées à 9/10 par la patiente. Il s'agit de douleurs connues de la patiente, sous forme de brûlures dans les membres inférieurs. Une majoration de son traitement fixe d'Oxycontin à 4 x 10 mg par jour, ainsi que la majoration des réserves d'Oxynorm puis l'introduction de Fentanyl (Effentora) en deuxième réserve, permettent de contrôler les douleurs durant l'hospitalisation et d'arriver à un équilibre connu de la patiente entre absence de douleurs lors du sommeil et douleurs supportables (entre 2 et 5/10) durant la journée. Une augmentation des valeurs de CRP lors des premiers jours d'hospitalisation nous fait suspecter un foyer infectieux. Une radiographie thoracique nous permet d'exclure un franc foyer pulmonaire. Le suivi clinique et biologique durant l'hospitalisation est satisfaisant avec un syndrome inflammatoire à la baisse spontanément. À noter que lors du premier jour d'hospitalisation, la sonde vésicale supra-pubienne à demeure s'est délogée et une nouvelle sonde a dû être posée par nos collègues urologues. Le geste s'est déroulé sans complications et le status local reste calme durant l'hospitalisation. Mme. Y peut rentrer à domicile en bon état général le 26.04.2019. La suite de la prise en charge des douleurs chroniques se fera en ambulatoire chez le Dr. X et le Dr. X. Mme. Y, patiente de 86 ans connue pour dorsolombalgies chroniques, hypertension artérielle traitée, accident vasculaire cérébral ischémique en 2011 non séquellaire et accident ischémique transitoire en 2013, nous est adressée par son médecin traitant en raison d'une baisse d'état général depuis 4 mois ainsi que de douleurs dorsolombaires en péjoration depuis quelques jours. Au status d'entrée, la patiente est orientée et collaborante. À l'auscultation cardiaque, les b1b2 sont bien frappés, sans souffle audible, avec des œdèmes prenant le godet des deux côtés, à prédominance droite. À l'auscultation pulmonaire, signalons un murmure vésiculaire symétrique, sans bruit surajouté. Mme. Y est hospitalisée en gériatrie aiguë pour investigations et suite prise en charge. Nous effectuons donc un bilan d'anémie, qui ne met pas de carence en évidence, avec dosage de la vitamine B12 à 304 pg/ml, d'acide folique à 4.5 ng/ml et de ferritine à 149 µg/l. Un dosage de la TSH revient également dans la norme à 0.762 mU/l. Notons cependant une hypovitaminose D à 70 nmol/l que nous substituons en dose de charge et que nous vous remercions de bien vouloir contrôler à distance. Un dosage de calcium revient dans la norme à 2.41 mmol/l justifiant l'arrêt du traitement par Calcimagon. Il est également décidé de stopper le traitement par statine en prévention secondaire, tenant compte de l'âge de la patiente et de ses facteurs de risques cardiovasculaires pour un événement à long terme, versus effets indésirables. Nous vous prions de réaliser un bilan lipidique à distance. Concernant la gestion des douleurs dorsales, celles-ci sont efficacement gérées par Dafalgan et Brufen en réserve. Durant son séjour, la patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. À la sortie, son périmètre de marche est supérieur à 100 m à l'aide d'une canne et de manière sécuritaire et autonome ; la patiente peut gravir 18 marches d'escaliers en se tenant à la rampe. Mme. Y est indépendante pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 103/126, par rapport à 94/126 à l'entrée. Le TUG est à 16 secondes. La mesure d'indépendance fonctionnelle à la sortie est de 6/7 pour la physiothérapie, les déplacements et les escaliers. Mme. Y bénéficie d'une évaluation diététique qui met en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence sur stress émotionnel, et démontrée par un NRS à 4/7 et une perte de 6% de son poids en 1 mois. Des propositions sont réalisées pour des adaptations du régime et la consommation de 3 repas par jour, et un enseignement lui est donné quant à la favorisation des sources protéiniques. Aucun ajout en supplémentation nutritive ne s'est avéré nécessaire. La patiente ne présente pas de trouble de la déglutition. Son poids de sortie est à 61.6 kg. Sur le plan cognitif, signalons qu'un MMSE est à 28/30 et l'échelle gériatrique de dépression s'élève à 7/15. Sur le plan thymique et au vu du risque de chute, nous adaptons le traitement antidépresseur et anxiolytique de la patiente avec mise en suspens du Deanxit et maintien du Brintellix et du Temesta en réserve. Sur le plan social, la patiente avec son époux qui est actuellement hospitalisé à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Cette situation crée chez elle une angoisse importante. Pour le retour à domicile le 08.04.2019, un passage des soins est prévu 2x/semaine pour un contrôle de santé et aide à la douche, ainsi que la livraison des repas. Mme. Y, 60 ans, a été admise aux soins intensifs en raison d'une tachycardie ventriculaire itérative qui a été cardioversée 7 fois par son pacemaker-défibrillateur. La patiente a présenté plusieurs épisodes de tachycardie ventriculaire traitée par son défibrillateur interne qui a administré 7 chocs au total. Elle a été amenée en ambulance aux urgences où un traitement anti-arythmique par amiodarone en continu a été introduit. En raison d'une hyperthyroïdie infraclinique, un relais par Sotalol a été effectué. Le traitement par bêta-bloquant est également adapté. Le traitement anti-arythmique est à poursuivre et adapter selon l'évolution clinique. La patiente reste asymptomatique pendant son séjour aux soins intensifs. Après discussion avec le Dr. X, la patiente est attendue le 06 mai 2019 au CHUV en vue d'une thermo-ablation qui est planifiée le 07 mai 2019. La fonction thyroïdienne sera à contrôler à distance. Mme. Y, 60 ans, est admise aux soins intensifs pour une surveillance rythmique. Une tachycardie ventriculaire monomorphe instable est cardioversée au service des urgences. Cette dernière est probablement séquellaire à son STEMI de 2013. Un pacemaker-défibrillateur est implanté en prévention. Elle développe suite à la cardioversion une bradycardie sinusale symptomatique avec des troubles de l'état de conscience. Dans ce contexte, un pacing externe est débuté et une coronarographie effectuée. L'examen révèle une sténose modérée intrastent de la coronaire droite qui est traitée, sans autre particularité. L'implantation d'un pacemaker endovasculaire permet une normalisation de la fréquence cardiaque et une normalisation de la clinique. Une double antiagrégation est introduite. Une coronarographie est programmée dans deux semaines pour traiter l'IVA. La pose du pacemaker-défibrillateur se passe sans particularité. Un contrôle radiographique et par l'équipe de rythmologie est effectué avant son transfert en médecine. Nous proposons un contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant et un contrôle chez le Dr. X dans 4 à 6 semaines. Il est contre-indiqué de conduire pendant 1 mois. À l'étage, nous introduisons de l'Ezetimib, la patiente ayant mal toléré un traitement par statine par le passé. Nous adaptons le traitement de l'insuffisance cardiaque. En raison de la bonne évolution clinique, Mme. Y rentre à domicile le 02.04.2019.Mme. Schwarz est admise pour un saignement post-opératoire après amygdalectomie. Aucune récidive de saignement lors de la surveillance. Le status oropharyngé est calme. Elle présente une candidose oropharyngée que nous traitons par Amphomoronal. La biopsie effectuée par le dermatologue revient positive pour une réaction secondaire à la prise de Co-Amoxicilline dans un contexte d'une mononucléose. Le bilan biologique montre une diminution de la perturbation des tests hépatiques. Nous instaurons un traitement de Xyzal en réserve pour le prurit. Au vu de l'évolution clinique favorable, elle peut retourner à domicile. Mme. Seydoux présente un état après entorse bénigne du genou droit avec potentiel conflit mécanique sur le ménisque externe. Aujourd'hui, elle est asymptomatique. Fin de traitement. Une thérapie n'est pas nécessaire. La patiente me recontactera en cas de réapparition de problème. Reprise du travail dès demain à 100%. Mme. Siffert est une patiente de 17 ans, en bonne santé habituelle, qui nous est adressée par son médecin traitant en raison de douleurs abdominales accompagnées d'un état fébrile avec syndrome inflammatoire important. À l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité à la palpation en fosse iliaque des deux côtés et le bilan radiologique met en évidence une appendicite perforée avec abcédation de 9 cm de diamètre. Une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Métronidazole i.v. est instaurée et la patiente bénéficie le 19.04.2019 d'un drainage d'abcès sous contrôle scannographique, qui se déroule sans complication notable. Les suites sont simples, permettant un relais de l'antibiothérapie par Ciproxine et Flagyl p.o. le 24.04.2019. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mme. Siffert peut regagner son domicile le 24.04.2019 avec un drain en place. Elle sera revue à la consultation des chefs de clinique le 02.05.2019 pour contrôle du drain Pigtail ainsi que pour planification d'une appendicectomie à distance. Un CT abdominal de contrôle sera effectué au préalable le 29.04.2019. Mme. Siffert, patiente de 67 ans, connue pour une cardiopathie ischémique mono-tronculaire et BPCO non stadifiée, est hospitalisée dans le cadre d'une insuffisance respiratoire. La patiente rapporte une dyspnée progressive en péjoration depuis 2 jours avec toux et expectorations blanchâtres-brunâtres, sans état fébrile. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire et la gazométrie artérielle retrouve une acidose respiratoire avec hypoxémie sévère. La patiente est transférée aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale aiguë, une antibiothérapie par Ceftriaxone et Clarithromycine est initiée. Elle bénéficie également d'un traitement par ventilation non-invasive. Les antigènes urinaires reviennent positifs pour le pneumocoque. Nous concluons donc à une exacerbation BPCO sur une broncho-pneumonie à pneumocoque et la patiente reçoit également de la Prednisone 40 mg durant 5 jours. Après discussion avec la patiente, celle-ci décide de stopper sa consommation tabagique durant le séjour. Elle ne nécessite pas de substitut nicotinique. Nous proposons d'organiser une réadaptation respiratoire avec organisation des fonctions pulmonaires et un suivi pneumologique à distance de l'infection aiguë. Mme. Siffert mentionne également une diminution de la force depuis plusieurs mois avec une perte de 10 kg les derniers 6 mois. Un CT thoraco-abdominal montre un emphysème centro-lobulaire, sans autre pathologie. Un avis diététique est demandé et la patiente bénéficie d'un substitut nutritif oral. Au vu d'une hyponatrémie hypo-osmolaire, son traitement est adapté avec arrêt de l'hydrochlorothiazide. La patiente montrant de légers signes de surcharge, du Torasémide est introduit avec bonne évolution. Durant le séjour, l'hypertension artérielle est mal contrôlée mais asymptomatique. Son traitement habituel par Atacand Plus est repris le 03.04.2019 et majoré avec de l'Amlodipine 5 mg dès le 06.04.2019. Un suivi par le médecin traitant avec adaptation du traitement antihypertenseur est à prévoir pour la suite, avec contrôle biologique pour exclure une récidive d'hyponatrémie. Au vu de l'amélioration clinique, une réadaptation pulmonaire en ambulatoire à l'HFR Billens est organisée. Mme. Siffert peut rentrer à domicile le 08.04.2019. Elle sera convoquée par l'HFR Billens pour la suite. Un suivi en ambulatoire est organisé chez le Dr. X. Mme. Siffert, 67 ans, est admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale aiguë dans le contexte d'une exacerbation BPCO sur une broncho-pneumonie à pneumocoques. La patiente présente depuis 2 jours une aggravation de la dyspnée, associée à une toux avec des expectorations blanchâtres-brunâtres. Elle ne mentionne pas d'état fébrile. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire et nous débutons une antibiothérapie par Ceftriaxone et Clarithromycine. Elle bénéficie également d'un traitement par ventilation non-invasive. Les antigènes urinaires reviennent positifs pour le pneumocoque. La patiente mentionne également une diminution de la force depuis plusieurs mois avec une perte de 10 kg les derniers 6 mois. Nous organisons un CT thoraco-abdominal qui montre un emphysème centro-lobulaire, sans autre pathologie. Nous proposons d'organiser une réadaptation respiratoire (la patiente va décider dans les prochains jours le lieu de la réadaptation) avec organisation des fonctions pulmonaires et un suivi pneumologique à distance de l'infection aiguë. Mme. Y est une patiente de 34 ans qui vient aux urgences pour une coupure de l'extrémité à l'index gauche effectuée par une mandoline. Après examen clinique et image radiologique excluant une atteinte nerveuse et osseuse, un pansement occlusif est appliqué. Un vaccin anti-tétanique est également effectué. La patiente sera revue pour contrôle clinique le 15.04.2019 au secteur ambulatoire des urgences. Mme. Y est une patiente connue pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, qui est prise en charge chirurgicalement pour une laparoscopie exploratrice avec adhésiolyse le 12.04.2019 (Dr. X) dans un contexte de douleurs hypochondre gauche post-prandiales sur torsion grêle intermittente. L'opération se déroule sans complication et les suites post-opératoires sont favorables permettant un retour à domicile le 14.04.2019. Mme. Y est une patiente de 84 ans, connue pour une cure de dissection aortique de type A et asthme bronchique depuis ses 30 ans, qui est hospitalisée pour réaction anaphylactique type I stade III avec œdème de Quincke sur prise de noix. Elle présente suite à l'ingestion de noix une sensation de brûlure dans les mains puis l'apparition d'un œdème de langue et de la face avec difficulté respiratoire et stridor sans syncope. Au vu de l'œdème de Quincke avec œdème laryngé, elle a été prise en charge aux soins intensifs sans nécessité d'intubation. L'évolution clinique est favorable sous Solumedrol 125 mg, Tavegyl 2 mg et aérosols d'adrénaline durant 3 jours, permettant son transfert à l'étage. La corticothérapie et thérapie antihistaminique sont poursuivies pour 4 jours au total. Une insuffisance rénale aiguë prérénale s'améliore après correction volémique. Une hypertension artérielle symptomatique sous stéroïde a nécessité l'administration ponctuelle de Diltiazem i.v., puis une reprise du traitement habituel. Un bilan pneumologique était agendé la semaine suivante à l'HFR Fribourg. Au vu de l'épisode aigu et après avis du Dr. X, il est décidé de repousser la consultation et les fonctions pulmonaires à 4-6 semaines de cette hospitalisation. De plus, la patiente se plaint d'une fatigue persistante depuis sa fracture de l'anneau pelvien en juin 2018. Nous vous laissons le soin de suivre l'hypothyroïdie subclinique et bilanter l'anémie normocytaire hypochrome chronique.Mme. Sion rentre à domicile le 04.04.2019. Elle sera convoquée pour une consultation allergologique à distance chez le Dr. X. Dans l'intervalle, nous lui suggérons d'éviter l'ingestion de tous types de noix. Mme. Sion, 84 ans, a été admise aux soins intensifs pour une surveillance après réaction anaphylactique avec œdème laryngé. Le 31.03.2019, la patiente a ingéré un mélange de noix et présenté un angioedème rapidement par la suite. Elle a par la suite appelé sa voisine qui contacte les ambulances. L'équipe du SMUR objective un stridor avec angioedème puis administre de l'adrénaline en SC ainsi que des aérosols. La patiente reçoit du Solumédrol iv et du Tavégyl iv par la suite aux urgences. Elle est hospitalisée aux soins intensifs pour la surveillance respiratoire. L'évolution est par la suite favorable avec nette diminution de l'œdème sous corticothérapie, antihistaminique et aérosols d'adrénaline. Une insuffisance rénale aiguë prérénale est en voie d'amélioration après correction volémique. Une hypertension artérielle symptomatique sous stéroïde a nécessité l'administration ponctuelle de diltiazem iv, puis une reprise du traitement habituel. La patiente a été transférée le 02.04.2019 dans le service de médecine interne pour suite de prise en charge et adaptation du traitement. Mme. X, qui est hospitalisée pour une résection d'un polype dans le bas fond caecal. La patiente a subi une résection subtotale d'un polype dans le bas fond caecal le 13.12.2018. Il est décidé de répéter une colonoscopie selon la technique FTRD afin de réséquer la totalité du polype. L'intervention est réalisée par le Dr. X et se déroule sans complications. Une colonoscopie est proposée dans 3 ans. La patiente passe une nuit en observation sans plaintes. Nous ne modifions pas le traitement en place. Mme. X rentre à domicile le 30.03.2019. Mme. X, votre patiente de 31 ans, sans domicile fixe (mais ayant des papiers déposés à Zoug où se trouve le domicile de ses parents), connue pour des addictions multiples dont une toxicomanie à l'héroïne intraveineuse (environ 2 grammes par jour), et actuellement substituée par de la Méthadone (Sevre-long 480 mg/j), un éthylisme chronique et tabagisme actif, se présente au service des urgences le 27.04.2019 pour une plaie douloureuse au niveau de la malléole externe du pied gauche. À l'anamnèse, la patiente décrit l'apparition de la lésion cinq jours plus tôt, sur un phlyctène qui par la suite se serait percé spontanément, avec apparition secondaire de douleur à la mobilisation de la cheville gauche et à la charge du membre inférieur gauche. L'examen clinique retrouve une plaie de 2 cm avec un pourtour kératosique humide et une hypoesthésie en regard, sans écoulement, mais avec un érythème de 15 cm de diamètre remontant le long de la face dorsale du membre inférieur gauche, sans adénopathie régionale. Au bilan initial, l'ultrasonographie décrit une infiltration phlegmoneuse sans abcès visualisé. Le CT-scan du membre inférieur gauche ne retient aucun argument en faveur d'une fasciite nécrosante sous réserve d'une sensibilité relativement faible pour la pathologie. Il n'y a pas non plus d'argument pour une ostéomyélite. Mme. X bénéficie d'un débridement de la plaie par nos collègues orthopédistes, et des prélèvements sont faits, dont les résultats vous parviendront dès que possible. Nous initions une antibiothérapie de principe par Co-Amoxicilline dont nous vous laissons le soin de juger de la poursuite du traitement en fonction de la clinique et des résultats de la culture des prélèvements locaux. Après révision de la plaie malléolaire externe gauche, nos collègues orthopédistes suggèrent un nouveau contrôle orthopédique à l'hôpital cantonal de Zoug, avec évaluation pour un nouveau débridement de la plaie. Une anticoagulation prophylactique est également initiée. Au niveau addictologique, la patiente est suivie par le Dr. X, lequel, sur avis téléphonique, nous suggère de majorer la substitution par Sevre-Long à 600 mg/j, et poursuivons son traitement antidépresseur et neuroleptique habituel. Par ailleurs, un contrat thérapeutique d'éviction d'injection d'héroïne est convenu avec la patiente durant son hospitalisation. Mme. X est transférée le 30.04.2019 à l'hôpital cantonal de Zoug pour la suite de la prise en charge. Mme. X, 51 ans, suivie par le Dr. X pour un carcinome neuro-endocrine de l'œsophage et un carcinome épidermoïde invasif de la langue, les deux diagnostiqués en septembre 2018, est hospitalisée en médecine interne pour une baisse de l'état général dans le contexte oncologique. La situation oncologique est d'emblée palliative. La patiente récuse une chimiothérapie au moment du diagnostic. Elle bénéficie ensuite d'un traitement à la Klinik Medias à Burghausen. De retour en Suisse en février 2019, le bilan radiologique par PET-CT montre une progression tumorale avec apparition de métastases hépatiques et osseuses. Une chimiothérapie par Etoposide et Paraplatine est de nouveau proposée fin mars à la patiente, qui attend un second avis du CHUV. Elle se présente au service des urgences le 20.04.2019 pour une asthénie et une dyspnée en péjoration depuis une semaine avec de plus une dysphagie aux solides, une gêne abdominale et une constipation. De l'ascite cloisonnée est retrouvée à l'échographie, avec échec de ponction. Une condensation possiblement d'origine infectieuse et un épanchement droit antérieur sont observés à la radiographie. Aucune ponction de diagnostic n'est effectuée. Une antibiothérapie par Ceftriaxone est débutée de façon empirique puis finalement arrêtée après plusieurs jours, en l'absence de corrélat clinico-biologique. La chimiothérapie palliative initialement proposée par le Dr. X n'est plus envisageable en raison d'une thrombopénie nouvelle. De plus, l'état clinique de Mme. X diminue progressivement, la patiente ne s'alimentant plus et ne se mobilisant plus hors du lit. Une prise en charge exclusivement symptomatique de la dyspnée avec de la Morphine permet une nette amélioration de son confort. À la demande de la patiente, un transfert est planifié dans l'unité de soins palliatifs de l'HFR Meyriez et Mme. X quitte notre service le 01.05.2019. Mme. X est hospitalisée dans un contexte de toux productive et des symptômes grippaux. Le bilan biologique et radiologique laisse suspecter une pneumonie lobaire moyenne droite. Des prélèvements microbiologiques sont effectués. Dans l'intervalle, un traitement empirique par Tavanic est débuté (au vu d'une allergie à la Pénicilline) pour une durée de 7 jours. Nous constatons une hypercalcémie dans un contexte d'adénome parathyroïdien actuellement sans traitement. Nous introduisons une hydratation avec amélioration des valeurs. Nous constatons une carence importante en vitamine D que nous substituons. À la sortie, la patiente prendra rendez-vous chez son endocrinologue pour le suivi. Lors de l'ECG d'entrée, nous observons des troubles de la repolarisation nouveaux sans douleurs rétrosternales et sans cinétique des enzymes cardiaques. Un ultrason effectué ne montre pas d'importantes anomalies de la cinétique segmentaire mais au vu des anomalies ECG et l'impossibilité d'effectuer un test d'effort, une IRM cardiaque est organisée en ambulatoire afin de chercher une potentielle atteinte ischémique. Par la suite, la patiente sera convoquée en cardiologie. Mme. X rentre à domicile le 18.04.2019.Mme. Y, patiente de 77 ans, connue pour une hypertension artérielle traitée, est hospitalisée dans un contexte de suspicion d'AVC ischémique cérébelleux droit. Pour rappel, la patiente avait initialement consulté à l'HFR Tafers pour des palpitations avec douleur thoracique et dyspnée. Au service des urgences de l'HFR Tafers, la patiente présente subitement une diplopie décrite comme monoculaire gauche et des vertiges rotatoires. Un CT-scan cérébral montre une zone de pénombre ischémique dans le territoire de l'artère cérébelleuse antéro-inférieure droite. Sur avis neurologique, Mme. Y est transférée à l'HFR Fribourg pour une lyse intraveineuse. La patiente est hospitalisée en lit monitoré pour une surveillance neurologique de 24 heures puis est hospitalisée à l'étage en Stroke Unit. À l'arrivée aux soins intensifs de l'HFR Fribourg, il persiste des troubles de la vue sous forme de vision floue dans le regard latéral à gauche sans formelle diplopie. Après validation avec le neurologue de garde, une lyse intraveineuse est débutée selon protocole. Une imagerie cérébrale de contrôle par CT-scan cérébral est effectuée à 24h de la lyse et ne montre pas de transformation hémorragique. Vu la suspicion initiale d'AVC, un bilan étiologique est effectué. Une échocardiographie transthoracique ne retrouve aucune anomalie et les résultats du Holter de 72 heures seront à pister. Pour les facteurs de risque cardio-vasculaires, un bilan lipidique et d'hémoglobine glyquée montre un profil lipidique dans la norme et une hémoglobine glycée à 5.3%. L'IRM cérébrale effectuée par la suite ne met pas en évidence de lésions ischémiques et remet en question donc la suspicion diagnostique d'AVC. En effet, les cartes de perfusion sont peu fiables dans la fosse postérieure. Bien qu'improbable, un AVC mineur/AIT promptement traité par lyse i.v. et ensuite sous corrélat IRM reste une possibilité. Le diagnostic différentiel reste donc ouvert avec notamment une cause orthostatique, des troubles du rythme et une composante anxieuse pouvant être à l'origine de la symptomatologie de la patiente. Sur le plan médicamenteux, nous introduisons un traitement d'Aspirine 100 mg/j dont l'indication sera à réévaluer par la suite. En l'absence d'information quant au dosage du traitement anti-hypertenseur de Mme. Y et vu le relativement bon contrôle tensionnel lors du séjour sans anti-hypertenseur, l'Enalapril est réintroduit à une dose de 5 mg/j. Nous vous laissons le soin d'adapter le dosage par la suite. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée jusqu'au bilan ophtalmologique prévu le 07.05.2019. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Après une bonne évolution avec disparition des troubles visuels et amélioration des vertiges, Mme. Y rentre à domicile le 19.04.2019. Un contrôle de suivi chez le médecin traitant serait indiqué à 1 à 2 semaines. Mme. Y, patiente de 77 ans, est admise aux soins intensifs en Stroke Unit monitorée pour un AVC ischémique cérébelleux droit lysé. La patiente, uniquement connue pour une hypertension artérielle traitée, consulte les urgences de Tavel pour un épisode de douleurs thoraciques et de dyspnée. Un bilan biologique et électrocardiographique est sans particularité. Toutefois, lors du séjour aux urgences de Tavel, la patiente se plaint subitement de troubles de l'équilibre avec vertige et trouble de la vue avec diplopie. Un CT-scan cérébral montre une zone de pénombre ischémique dans le territoire de l'artère cérébelleuse antéro-inférieure droite. Sur avis neurologique, la patiente est transférée à Fribourg pour une lyse intraveineuse. À l'arrivée aux soins intensifs de Fribourg, il persiste des troubles de la vue sous forme de vision floue dans le regard latéral à gauche sans formelle diplopie. Après validation avec le neurologue de garde, une lyse intraveineuse est débutée selon protocole. Une imagerie cérébrale de contrôle par CT-scan cérébral est effectuée à 24h de la lyse et ne montre pas de transformation hémorragique. Concernant le bilan étiologique de l'AVC, une échocardiographie transthoracique ne retrouve aucune anomalie. Le bilan sera à compléter avec un ECG-Holter, une IRM cérébrale et une consultation ophtalmologique (examens organisés). Pour les facteurs de risque cardio-vasculaires, un bilan lipidique et d'hémoglobine glyquée montre un profil lipidique dans la norme et une hémoglobine glyquée à 5.3%. La surveillance clinique en SU monitorée est sans particularité avec un NIHSS d'entrée à 1 point et un NIHSS de sortie à 0 point et elle est transférée en SU non monitorée le 15.04.2019. Mme. Y est admise dans notre service pour une thérapie à l'iode radioactif dans le cadre de la prise en charge de son carcinome thyroïdien. Dans ce contexte, un bilan pré-traitement par PET-CT est effectué. L'hospitalisation se déroule sans complications. La suite de la prise en charge se fera au cabinet du Dr. X. Mme. Y rentre à domicile le 10.04.2019. Mme. Y présente donc une gonarthrose tricompartimentale à prédominance compartiment fémoro-tibial interne et fémoro-patellaire. Je propose dans un premier temps une infiltration par cortisone et par la suite de la physiothérapie. La patiente est d'accord avec cette attitude. L'infiltration est prévue le 10.04.2019 à 13h15. Je reverrai la patiente pour un contrôle clinique à trois semaines de l'infiltration. Pour le moment, l'indication pour une prothèse de genou n'est pas donnée. Mme. Y, 70 ans, a été admise aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique après ponction sous CT d'un hématome sous-hépatique. La patiente est hospitalisée depuis plus d'un mois pour investigations d'une baisse de l'état général avec douleurs abdominales. Elle est sous anticoagulation orale depuis plusieurs années en raison d'antécédents d'embolies pulmonaires. Elle a été hospitalisée de manière élective par son médecin traitant pour investigation de masses hépatiques suspectes mises en évidence au scanner thoracique effectué en ambulatoire. Le bilan par imagerie, PET-CT, biopsies par laparoscopie permet finalement de conclure à un mélanome métastatique au niveau péritonéal, hépatique, osseux et thyroïdien. La tumeur primaire n'a pas été identifiée. En raison d'un état septique sans instabilité hémodynamique malgré une antibiothérapie, une imagerie de contrôle permet de mettre en évidence une majoration de la masse sous-hépatique avec un saignement actif en son sein. Compte tenu de la suspicion d'infection de cette collection, une ponction sous guidage radiologique a été effectuée. L'intervention s'est déroulée sans complication. Une antibiothérapie empirique de ceftriaxone et métronidazole a été instaurée dans l'attente des prélèvements microbiologiques. L'évolution a été favorable avec une stabilité hémodynamique et de l'hémoglobine (aux environs de 80 g/l). L'anticoagulation qui avait été mise en suspens pourra être reprise en prophylactique dès le 01.04.2019 au soir en accord avec le radiologue interventionnel (Dr. X) et le drain est laissé en place afin de pouvoir constater un éventuel saignement. La patiente exprime le souhait durant son séjour de rediscuter les possibilités thérapeutiques quant à sa situation oncologique. Il est également proposé dans le cas où une récidive de saignement se manifesterait à l'introduction de l'anticoagulation thérapeutique, de la possibilité de mise en place d'un filtre cave. Mme. Y est une patiente de 51 ans qui bénéficie d'un bypass gastrique le 24.04.2019 dans le cadre du diagnostic sus-mentionné. La patiente est surveillée aux soins intensifs pour une nuit en raison d'un SAOS non appareillé. Les suites cliniques et biologiques sont favorables permettant un retour à domicile le 26.04.2019.A noter que lors de la surveillance aux soins intensifs, on met en évidence une bradycardie sinusale asymptomatique avec un QT long à la limite supérieure. L'examen clinique et l'anamnèse, notamment l'anamnèse familiale de mort subite, sont sans particularité. Sur avis de nos collègues de cardiologie, nous organisons un Holter en ambulatoire. Mme. Y présente une gonarthrose du compartiment fémoro-tibial interne sur statut post plastie du ligament croisé antérieur et probable méniscectomie partielle du ménisque interne en 2013. J'ai tenté d'expliquer à la patiente que je crains qu'une arthroscopie avec méniscectomie partielle et toilettage articulaire ne pourrait être qu'une solution temporaire et qu'elle n'en profitera pas sur une longue durée. Il s'agit d'une jeune patiente qui n'a que 46 ans et une implantation de prothèse totale de genou doit être bien réfléchie. Dans le contexte global, vu les comorbidités de la patiente, un geste chirurgical doit être bien réfléchi. Je préfère attendre au minimum 3 mois suite à l'infiltration articulaire par cortisone avant un geste chirurgical. Malheureusement, Mme. Y s'est fâchée durant notre entretien et elle a quitté la consultation. Elle veut aller voir un autre chirurgien. Pas de contrôle prévu d'emblée chez moi, mais je reste bien sûr à disposition pour tout renseignement complémentaire. Mme. Y, connue pour une hypertension artérielle traitée et un tabagisme actif, est hospitalisée le 28.03.2019 pour investigations d'un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée sans état fébrile. La patiente rapporte une infection des voies respiratoires supérieures en début du mois de mars avec notion de contage par son mari et ses collègues de travail, qui se résout après une semaine. Le 15.03.2019, apparition d'une odynophagie avec des adénopathies sous-mandibulaires pour lesquels vous avez fait effectuer un ultrason cervical non contributif. Depuis le 20.03.2019, apparition de myalgies diffuses invalidantes des membres supérieurs et des membres inférieurs sans atteinte axiale. Les myalgies sont décrites comme continues, sans facteurs aggravants mais s'améliorant sous traitement symptomatique par AINS. En parallèle, apparition de lésions cutanées de type érythème noueux sur les extrémités, plus marquées aux membres inférieurs. Nous effectuons un bilan sanguin large qui montre avant tout un syndrome inflammatoire important sans piste infectieuse, ni atteinte hépatorénale. Une bande monoclonale de type IgG kappa sans gammapathie est mise en évidence. Selon avis hématologique, cette anomalie rentre dans le contexte d'un possible MGUS que nous vous proposons de recontrôler à 6 mois par immuno-fixation et électrophorèse sérique. Sur avis rhumatologique, une origine paravirale reste la plus probable, pouvant durer jusqu'à 6 semaines. De ce fait, le traitement de fond est adapté avec AINS de longue durée d'action. Un CT thoraco-abdominal ne montre pas de signe pour une sarcoïdose, ni lésions tumorale primaire, ni splénomégalie. Cependant, il met en évidence des adénopathies axillaires gauche ainsi qu'une adénopathie de 13 mm inguinale gauche et centimétrique à droite d'allure radiologiquement suspecte sans lésion primaire. La patiente ayant réalisé une mammographie de dépistage, anamnestiquement négative il y a 2 ans, nous vous proposons de poursuivre le bilan de dépistage habituel tous les 2 ans. De plus, nous lui suggérons d'organiser une colonoscopie de dépistage en ambulatoire. En cas de péjoration clinique de ces adénopathies lors du contrôle chez le médecin traitant, un bilan ultrasonographique avec biopsie doit être envisagé afin d'écarter une origine tumorale. Mme. Y rentre à domicile le 02.04.2019. Mme. Y est une patiente de 68 ans connue pour une maladie coronarienne tritronculaire avec STEMI antéro-latéral en 2018 qui consulte ce jour en raison de douleurs thoraciques apparues au repos irradiant dans la mâchoire, similaires aux épisodes précédents d'infarctus. Les examens complémentaires mettent en évidence des troponines avec une cinétique positive et un ECG dynamique avec sous-décalage dans le territoire latéral. Une coronarographie est effectuée le 25.04.2019 qui retrouve une resténose intra-stent de la circonflexe moyenne et distale avec angioplastie et mise en place de deux stents actifs avec un bon résultat final. La surveillance rythmique aux soins intensifs est sans particularités et la patiente peut rentrer à domicile le 26.04.2019. Mme. Y est une patiente de 65 ans connue pour un adénocarcinome pulmonaire avec statut post lobectomie droite. Elle est hospitalisée à la demande de son oncologue traitant, le Dr. X, pour une suspicion de colite à germe indéterminé. Pour rappel, la patiente a récemment été hospitalisée pour une pneumonie, laquelle a été traitée par antibiothérapie jusqu'au 31.03.19. Elle mentionne des diarrhées non hémorragiques d'apparition progressive depuis la fin de la dernière hospitalisation accompagnées de douleurs abdominales crampiformes surtout en fosse iliaque gauche, avec gaz. L'examen clinique révèle un ventre souple, avec une sensibilité épigastrique sans défense ou détente. Au laboratoire, on observe un syndrome inflammatoire avec leucocytose à prédominance neutrophile et CRP élevée. Au vu d'une suspicion de colite à Clostridium, la patiente est isolée et une coproculture réalisée confirme le diagnostic. Une antibiothérapie par Flagyl est initiée avec hydratation intraveineuse. Des nausées avec vomissements sont mises sur le compte d'une intolérance à l'antibiotique et l'antibiothérapie est administrée par voie intraveineuse avec un traitement anti-émétique symptomatique avec bon effet. Les diarrhées s'amendent progressivement et la patiente présente par la suite une tendance à la constipation, raison pour laquelle des laxatifs sont introduits. Une anémie d'origine multifactorielle est substituée par une transfusion le 17.04.19 avec stabilisation de l'hémoglobine. Le bilan biologique révèle une carence en acide folique qui est substituée. Des troubles électrolytiques sur pertes gastro-intestinales sont également substitués. En raison d'une faiblesse générale d'origine multiple, la patiente bénéficie de séances de physiothérapie et d'un suivi nutritionnel avec mise en place de suppléments nutritifs oraux. Une réhabilitation palliative avant un retour à domicile est nécessaire et souhaitée par la patiente. A noter que les soins à domicile de Voltigo avaient déjà été mis en place lors d'une précédente hospitalisation à la Villa St-François. La patiente est transférée le 25.04.19 à la Villa St-François en vue d'une réhabilitation. Mme. Y, patiente de 65 ans, connue pour un adénocarcinome du lobe supérieur droit, actuellement sous traitement palliatif par Taxotere, consulte le service des urgences en raison d'une toux avec expectorations jaunâtres, et d'un état fébrile. Elle est tachypnéique et tachycarde à son arrivée, le laboratoire d'entrée montre une CRP élevée, avec une leucopénie et sans déviation gauche. Nous retenons une infection pulmonaire au vu de la clinique, malgré l'absence de clair foyer pulmonaire à l'imagerie et débutons une antibiothérapie par Ceftriaxone. Du point de vue oncologique, la situation est discutée avec le Dr. X, qui décide de mettre en suspens le Taxotere pour le moment. La patiente sera convoquée en ambulatoire pour discuter la suite de prise en charge. Initialement, une suite de prise en charge à la Villa St-François est discutée, mais en raison de l'attente pour avoir une place et de l'évolution clinique favorable, nous optons finalement pour un retour à domicile avec poursuite du suivi ambulatoire avec Voltigo.Au vu de l'évolution favorable, Mme. Y rentre à domicile le 04.04.2019. Mme. Y présente des douleurs en regard du 4ème orteil du pied G très probablement dues à une surcharge des têtes métatarsiennes II à IV en raison d'un affaissement de la voûte horizontale de l'avant-pied. Je propose de corriger cette déformation par des semelles orthopédiques avec appui rétro-capital. Je revois la patiente dans trois mois pour une réévaluation clinique. Il n'y a pas d'indication opératoire pour réopérer le 4ème orteil du pied G. Mme. Y est une patiente de 81 ans, aux antécédents sus-mentionnés, qui se présente aux urgences en raison d'une récidive de hernie ombilicale avec douleurs péri-ombilicales accompagnées de vomissements. Le bilan par CT abdominal met en évidence une hernie ombilicale à contenu grêle incarcérée, raison pour laquelle la patiente bénéficie d'une cure de hernie selon Rives en urgence le 09.04.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites post-opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, la patiente peut regagner son domicile le 14.04.2019. Mme. Y est une patiente de 36 ans, qui est hospitalisée en électif pour un bypass gastrique proximal le 11.04.2019. L'intervention est effectuée le jour même et reste sans particularité. Les suites post-opératoires sont simples. L'antalgie est contrôlée par antalgie simple en per os dès J1 de l'intervention. Le transit est repris après l'admission de la Gastrografin permettant à la patiente un retour à domicile le 13.04.2019. Mme. Y sera revue à la consultation du Dr. X pour un suivi post-opératoire. Mme. Y présente en premier lieu une tendinite de l'insertion des muscles du pes anserinus. Je propose dans un premier temps un traitement par AINS et physiothérapie à but antalgique. La patiente me recontactera si ces mesures thérapeutiques ne sont pas efficaces. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Mme. Y est une patiente de 81 ans qui est hospitalisée en urgence aux soins intensifs pour prise en charge d'un hémopneumothorax traumatique sur pose de PM pour BAV II M I avec perforation traumatique aortique. En effet, elle bénéficie le 11.04.2019 de la pose d'un PM avec mise en place de la sonde ventriculaire sans particularité, mais difficulté à la pose de la sonde auriculaire qui est laissée en place avec instabilité hémodynamique. Le CT thoracique du 11.04.2019 retrouve une perforation proximale de la veine sous-clavière gauche avec perforation du parenchyme pulmonaire avec hémopneumothorax, qui bénéficie en urgence de la pose d'un drain thoracique. Cette sonde auriculaire perfore également l'aorte par la suite. Un contact est pris avec nos collègues de chirurgie vasculaire et thoracique de Bern, et la patiente est transférée en urgence le 11.04.2019. La patiente bénéficie uniquement d'un support par Propofol mais les amines ont été sevrées. Mme. Y nous est adressée par nos confrères de Berne, où elle était hospitalisée pour la prise en charge d'une perforation aortique iatrogène, associée à une lacération pulmonaire et à un pneumothorax gauche, survenus lors de l'implantation d'une sonde de pacemaker à Fribourg, en la date du 11 avril. À l'InselSpital, Mme. Y a été opérée en urgence, avec suture de l'aorte et du poumon perforés. L'évolution post-opératoire a été favorable, avec l'absence de toute complication. Mme. Y n'a point formulé de plainte et est demeurée stable hémodynamiquement. Sur le plan chirurgical, Mme. Y sera revue à la consultation ambulatoire de notre confrère, Dr. X, chirurgien vasculaire. Nous avons par ailleurs agendé un examen d'angio-CT aortique à distance de l'événement, afin de bilanter plus avant l'évolution sur le plan vasculaire. Mme. Y présente toutefois un état général diminué, avec une asthénie et une réduction marquée du périmètre de marche. Nous lui proposons ainsi une réadaptation cardiovasculaire à Billens, afin d'envisager un retour à domicile dans les meilleurs délais. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est une patiente de 67 ans, aux antécédents sus-mentionnés, qui est hospitalisée dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'un goitre plongeant multinodulaire du lobe thyroïdien gauche. Elle bénéficie d'une lobe-isthmectomie gauche le 10.04.2019, qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples et l'évolution clinico-biologique favorable, permettant un retour à domicile le 12.04.2019. Elle sera revue à la consultation du Dr. X le 25.04.2019 puis à la consultation du Dr. X le 20.05.2019. Mme. Y souffre donc d'un syndrome du tunnel carpien bilatéral à prédominance D. L'indication pour une neurolyse du nerf médian est donnée. La patiente est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord et le consentement est signé. L'intervention est agendée pour le 29.04.2019. Mme. Y, 85 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour une hyponatrémie d'apparition récente avec confusion et agitation. La patiente, connue entre autres pour des troubles cognitifs et des troubles de la marche et de l'équilibre, avec des chutes à répétition, vivant seule à domicile, est actuellement amenée en ambulance en raison d'une baisse de l'état général et d'un état confusionnel aigu. Le bilan biologique retrouve une hyponatrémie à 115 mmol/L chez une patiente connue pour une hyponatrémie chronique, ainsi qu'une insuffisance rénale aiguë qui est d'origine post-rénale probable dans le contexte d'un globe vésical. Lors de la mise en place de la sonde vésicale, des urines fécaloïdes sont mises en évidence, faisant suspecter une fistule entéro-vésicale. Un CT-scan abdominal sans injection intravasculaire de produit de contraste, en raison de la fonction rénale, mais avec injection de produit de contraste intravésical, ne met pas en évidence de fistule. Cet examen montre par contre des niveaux hydro-aériques, sans dilatation du grêle, faisant suspecter un iléus qui n'est toutefois pas symptomatique. L'hyponatrémie se corrige progressivement avec une hydratation prudente par du NaCl isotonique et l'évolution neurologique est favorable avec résolution de l'état confusionnel aigu et persistance des troubles cognitifs connus. L'origine est multifactorielle, à savoir une déshydratation, un probable défaut d'apport et une possible perte digestive, le tout dans un contexte d'hyponatrémie chronique sur SIADH probable. Concernant la suspicion de fistule vésicale, un CT-scan injecté sera à effectuer dans les prochains jours afin de confirmer ou infirmer ce diagnostic. Une antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl est débutée dans l'intervalle, sachant que la patiente présente également un syndrome inflammatoire biologique. Nous mentionnons une anémie normochrome et normocytaire avec une hémoglobine à 89 g/l le 29.04.2019, sans extériorisation et sans instabilité hémodynamique que nous vous laissons le soin de contrôler et de bilanter. L'évolution de l'état confusionnel étant favorable après la correction des facteurs en cause, la patiente est transférée à l'étage de médecine interne pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est une patiente de 73 ans qui nous est adressée en raison d'un syndrome de fragilité dans le cadre d'une exacerbation de douleurs chroniques avec des lombalgies d'origine multifactorielle et un tunnel carpien bilatéral en péjoration depuis quelques mois.A l'anamnèse, Mme. Y décrit des douleurs bilatérales dans les mains, gauche > droit, avec un syndrome du tunnel carpien bilatéral en péjoration depuis 6 mois. Une opération aurait été non envisagée pour l'instant, car la patiente aurait des troubles de la circulation empêchant une bonne cicatrisation. Elle porte une attelle au poignet gauche non adaptée pendant la nuit. Sinon, Mme. Y décrit des douleurs dorsales à la marche évaluées à 5/10 EVA, avec irradiation dans la cuisse droite. De plus, elle se sent épuisée depuis quelque temps. Depuis le décès de son mari, elle n'a plus de famille dans la région et a peu de contacts sociaux. Sur le plan de l'anamnèse sociale, la patiente vit seule dans une maison pour personnes âgées à Fribourg, avec le passage par les soins à domicile 1x/jour pour le contrôle de la médication. Son mari est décédé à l'âge de 52 ans en raison d'un infarctus, et elle n'a pas d'enfant. Mme. Y est indépendante pour les ADL et partiellement pour les IADL, avec une curatrice qui s'occupe des factures. Elle n'a pas de parenté. Au niveau de sa mobilisation, elle se déplace avec un rollator à l'extérieur de son appartement. A l'entrée, nous retrouvons une patiente cachectique en état général légèrement diminué. Les tests de Phalen et de Tinel sont positifs des deux côtés. De plus, elle présente un tophus au niveau de la MTP I du pied droit douloureux à la palpation. En raison des douleurs persistantes au niveau des deux poignets et mains, le Pregabaline est remplacé par du Gabapentine selon avis neurologique, avec une majoration progressive de la dose. De plus, des attelles adaptées pour les deux poignets sont mises en place par l'ergothérapie. Avec ces mesures, Mme. Y passe de nouveau des nuits calmes. Sur le plan alimentaire, elle présente une malnutrition grave, raison pour laquelle elle bénéficie d'un suivi diététique durant l'hospitalisation. Malgré une substitution perorale, une hypoferritinémie persiste. Après discussion avec la patiente, nous remplaçons le Maltofer par Ferinject, en tout 750 mg. Nous vous proposons un contrôle à distance de la ferritine. Au vu d'une goutte topheuse et d'une hyperuricémie, un traitement par Allopurinol est initié. En cours d'hospitalisation, Mme. Y présente une forte douleur insomniante au niveau du genou droit durant la nuit du 20 au 21.03.2019, sans notion de traumatisme ou facteur déclenchant, avec tuméfaction locale, douleur latérale de la patella et légère limitation de la mobilité. En raison d'une progression au cours de la journée, une radiographie du genou est effectuée, mettant en évidence d'importantes calcifications au niveau de l'articulation, compatibles avec une chondrocalcinose. Une radiographie des poignets met également en évidence des signes de chondrocalcinose. Dans ce contexte, nous débutons une thérapie de courte durée de Prédnisone 20 mg pendant 4 jours avec bonne amélioration clinique. Parallèlement, Mme. Y bénéficie d'une réadaptation précoce individuellement adaptée avec un renforcement musculaire et une amélioration de l'endurance et de la marche, en alternance avec des séances de relaxation. La patiente profite d'ailleurs régulièrement de l'hydrothérapie. A la sortie, elle est autonome dans les transferts, marche seule avec le rollator sur de longues distances et peut monter et descendre des escaliers. Le Tinetti est à 23/28. Au vu de l'amélioration sur le plan clinique, Mme. Y peut être transférée le 25.03.2019 dans le service de réhabilitation. Mme. Y nous est transférée du service de gériatrie aiguë pour un déconditionnement d'origine multifactorielle sur syndrome de fragilité, une exacerbation des douleurs chroniques dorsales et articulaires diffuses, un syndrome de tunnel carpien bilatéral invalidant et une malnutrition grave. A son entrée, elle est collaborante et se plaint principalement de ses douleurs neuropathiques dans les deux mains (gauche plus qu'à droite) avec des réveils nocturnes réguliers. Elle mentionne également une perte de poids (5 kg depuis le début de l'année) ainsi qu'une grande solitude avec isolement social, la patiente n'ayant plus aucune famille et vivant seule dans un studio pour personnes âgées à Fribourg. Mme. Y n'a pas d'escaliers à son domicile. Elle est indépendante pour les ADL et presque toutes les IADL, avec une curatrice administrative et une visite de soins à domicile une fois par jour pour le contrôle des médicaments. Elle utilise un rollator uniquement quand elle sort de la maison. La patiente ne mentionne pas de chute à domicile. A l'examen clinique, nous retrouvons une patiente cachectique avec un poids à 45 kg. Le test de Tinel et Phalen est positif des deux côtés, avec des troubles sensitifs dans la région d'innervation du nerf médian confirmant le syndrome du tunnel carpien bilatéral diagnostiqué chez Dr. X. Un tophus de goutte probable d'apparence blanchâtre est également observé au niveau de la MTP I du pied droit. Mme. Y bénéficie de séances de physio- et d'ergothérapie intensives avec un renforcement musculaire spécifique des membres inférieurs et supérieurs, entraînement de l'endurance, de l'équilibre, de la marche et des escaliers, l'élaboration d'un programme d'exercice autonome, de l'hydrothérapie et des exercices de détente. A la sortie, elle est autonome dans la mobilité. L'antalgie est adaptée avec l'ajout de Palexia à petite dose fixe. Au vu de la perte de poids, avec des troubles boulimiques dans le passé, le soutien diététique est poursuivi. Une douleur accompagnée d'une rougeur et d'un épanchement articulaire léger déjà apparu une première fois le 21.03.2019 au genou droit est également constatée au genou gauche le 28.03.2019. Au vu de l'introduction d'Allopurinol quelques jours auparavant, nous installons également un traitement à la Colchicine afin de traiter une éventuelle crise de goutte qui sera poursuivie pendant une durée déterminée de trois mois. Nous vous laissons le soin de suivre l'acide urique et de majorer l'Allopurinol jusqu'à une valeur cible en dessous de 350 mcmol/l. Egalement dans un contexte d'hypercalcémie sur substitution médicamenteuse avec dépôts de calcium interarticulaire et arthrose tricompartimentale à la radiographie des deux genoux, nous retenons le diagnostic d'une probable chondrocalcinose et arrêtons la substitution calcique. Les bilans biologiques ne parlent pas en faveur d'une autre cause rhumatologique. Après une bonne réponse clinique à la Prednisone, nous faisons une ordonnance de réserve pour du Prednison 10 mg sur 5 jours au cas où une crise aiguë de douleurs articulaires soit de nouveau perçue. Sur le plan orthopédique, une consultation chez le team membre supérieur est organisée pour le 05.04.2019 afin de discuter d'une éventuelle opération du syndrome de tunnel carpien. Au vu d'une pression artérielle stable autour de 130/80 mmHg avec une FC vers 60 bpm lors de l'hospitalisation, nous diminuons à la sortie la dose du Beloc Zok de 50 à 25 mg. Mme. Y peut regagner son domicile le 05.04.2019, en bon état général. Mme. Y se présente le 03.04.2019 aux urgences en raison de douleurs abdominales en sus-pubien et en fosse iliaque droite depuis la nuit. Au moment de la présentation aux urgences, la patiente est enceinte à 19 semaines d'aménorrhée avec une grossesse gémellaire. Le bilan effectué aux urgences retrouve une appendice de taille supérieure à la norme, incompressible et compatible avec une appendicite aiguë. Nous posons donc l'indication à l'appendicectomie par voie laparoscopique le jour même. Un contrôle par nos collègues du service de gynécologie avant l'opération ne retrouve pas de particularité empêchant une prise en charge chirurgicale. La patiente bénéficie d'un traitement tocolytique par Indocid en pré et post-opératoire selon avis de nos collègues de la gynécologie. L'opération se déroule sans particularité et le contrôle de la grossesse en post-opératoire est normal. Les suites post-opératoires sont simples. La patiente se mobilise et tolère bien l'alimentation. Le traitement par Indocid est répété à J1 de l'opération. Mme. Y peut regagner son domicile le 05.04.2019.Mme. Wickramasingam est adressée aux urgences le 11.04.2019 par MedHome, en raison d'une baisse de l'état général, d'un état fébrile à 40,5°C, de frissons solennels ainsi que de douleurs basithoraciques droites. La patiente rapporte également des nausées/vomissements, des céphalées ainsi qu'une photophobie. Pas de toux, pas de raideur de nuque, pas de plainte respiratoire, pas de plainte digestive ni urogénitale. Aux urgences, l'auscultation pulmonaire est symétrique sans bruit surajouté. Les statuts cardiaque, digestif et urogénital sont sans particularité. Le bilan sanguin montre un syndrome inflammatoire à une CRP 166 mg/l et une leucocytose à 23,7 g/l, une légère hyponatrémie à 131 mmol/l qui se corrige durant le séjour et une anémie normocytaire normochrome à une hémoglobine à 117 g/l. La fonction rénale est bonne. La gazométrie met en évidence une légère hypocapnie à 4,5 kPa, PO2 20,5 kPa sous 2 litres d'oxygène et un pH dans la norme à 22 mmol/l. Nous prélevons deux paires d'hémocultures et les antigènes urinaires. La radiographie du thorax montre un foyer au niveau du lobe supérieur droit. Nous retenons le diagnostic de pneumonie lobaire supérieure droite. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv ainsi que Klacid per os 500 mg 2x/24h et la patiente est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. A l'admission à l'étage, Mme. Wickramasingam est stable. Elle n'a pas de plainte particulière excepté la persistance de légères céphalées. L'évolution clinique et biologique est favorable. Les hémocultures ainsi que la recherche d'antigènes urinaires reviennent négatives. Le Klacid est arrêté le 12.04.2019 et la Rocéphine iv est relayée par le Co-Amoxi per os 1 g 2x/j dès le 14.04.2019, à poursuivre jusqu'au 20.04.2019. Cependant, au vu d'une radiographie suspecte ne permettant pas d'exclure une autre étiologie, telle une atélectasie voire une néoplasie, nous proposons d'effectuer un contrôle clinico-radiologique à 2-3 semaines de la fin de l'antibiothérapie afin de déterminer si un foyer persiste. Sur le plan hématologique, l'anémie normocytaire normochrome reste stable avec une hémoglobine de sortie à 116 mmol/l, que nous n'investiguons pas dans le contexte inflammatoire. Mme. Wickramasingam peut regagner son domicile le 15.04.2019. Mme. Wittkopf est hospitalisée pour la pose d'un pacemaker double chambre DDD pour une maladie du sinus symptomatique. L'intervention se déroule sans complication. La radiographie post-opératoire confirme la bonne tenue de l'intervention. Nous proposons un contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant. Le patient sera convoqué dans 4-6 semaines pour un contrôle du pacemaker. Mme. Wittkopf peut rentrer à domicile le 12.04.2019. Mme. Wittmann, actuellement hospitalisée au RFSM CSH Marsens pour un syndrome anxio-dépressif et une démence type Alzheimer débutante, est amenée aux urgences en ambulance le 14.04.2019 en raison de nausées et vomissements depuis le matin. Pas de douleur abdominale ni de diarrhée. La patiente a été vue par le médecin de garde qui a introduit un traitement par Dafalgan suppositoire et Primpéran. Toutefois, son époux étant inquiet, il demande qu'elle soit conduite aux urgences. A noter un malaise vasovagal ce matin, mais sans chute, chez une patiente connue pour des vertiges. A l'admission, Mme. Wittmann est hémodynamiquement stable. Elle est normocarde, normotendue et afébrile. En raison des vomissements, nous administrons 10 mg de Primpéran. Au statut digestif, douleurs diffuses à la palpation profonde, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux. Au statut neurologique, Glasgow à 15/15, pas de latéralisation nette, la force et la sensibilité sont conservées aux 4 membres, la poursuite oculaire est lisse, les pupilles sont isocores et isoréactives. A l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique avec râles aux bases des deux côtés. Le statut cardio-vasculaire est sans particularité. Le laboratoire ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire ni de perturbation des tests hépatiques. Notons une leucocytose à 13,7 G/l. La radiographie du thorax est sans particularité. La patiente est hydratée et elle reçoit 4 mg d'Ondansetron iv avec une bonne réponse clinique. Pendant la surveillance aux urgences, Mme. Wittmann se plaint de vertiges et d'une sensation de dyspnée. Le statut neurologique étant rassurant, nous administrons 1 cpr de Distraneurine. Nous retenons le diagnostic de gastroentérite virale et en raison des vomissements et du risque de déshydratation, la patiente est hospitalisée pour traitement symptomatique. A l'étage, elle ne présente plus de vomissement ni de diarrhée. Le 15.04.2019, nous notons un état fébrile à 38,4°C. Des hémocultures sont prélevées et reviennent négatives. A l'examen physique, l'auscultation pulmonaire est dans la norme. Au niveau digestif, l'abdomen est souple, sans défense ni détente mais douloureux à la palpation profonde au niveau du flanc droit. Dans ce contexte et au vu d'une CRP en augmentation au laboratoire, nous effectuons un ultrason abdominal qui revient dans la norme. Par la suite, nous notons une CRP en diminution et une évolution clinique favorable. Dans le contexte de la maladie d'Alzheimer débutante avec troubles neuro-cognitifs et anxio-dépressifs, la patiente est évaluée par le Dr. X, psychiatre de liaison, afin de programmer la suite de la prise en charge. Compte tenu des arguments et des inquiétudes de la famille, de l'avis des soignants de notre service et du fait que le réseau à domicile avec des prestations spécifiques en cas de maladie d'Alzheimer ne soit pas encore en place, le Dr. X valide l'indication à un retransfert à Marsens. Mme. Wittmann est réadmise au RFSM CSH Marsens, Unité Jasmin, le 19.04.2019. Mme. Wittmann est une patiente de 29 ans, connue pour un status post-bypass gastrique il y a un mois, qui se présente aux urgences en raison de douleurs en fosse iliaque gauche associées à des nausées et diarrhées. A l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité à la palpation profonde de la fosse iliaque gauche. Un CT abdominal ne montre pas de signe de complication post-opératoire. Nous hospitalisons la patiente pour surveillance et antalgie. Par la suite, l'évolution est favorable, permettant un retour à domicile le 31.03.2019. Mme. Wittmann sera revue à la consultation du Dr. X pour contrôle. Mme. Wright souffre de plus en plus d'une gêne mécanique du matériel d'ostéosynthèse en regard du fémur gauche, particulièrement les vis distales qui dépassent la corticale du condyle fémoral interne et chicanent localement les tissus mous. L'indication pour une ablation du matériel d'ostéosynthèse est donc donnée. La patiente est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci et elle nous donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention est prévue pour le 13.05.2019. Mme. Wyss est hospitalisée suite à l'apparition d'une détresse respiratoire. Lors d'une consultation oncologique ambulatoire du 04.04.2019, et au vu de sa dyspnée, un CT thoracique est effectué et montre une récidive d'épanchements pleuraux bilatéraux (dernière ponction pleurale effectuée le 18.03.2019) due à une carcinomatose pleurale dans le contexte de carcinome mammaire.La mise en place d'un PleurX à droite est organisée à but symptomatique avec légère amélioration des symptômes. Au vu d'une réponse insuffisante au traitement avec notamment la persistance d'une oxygénothérapie, un deuxième PleurX est posé à contralatéralement. Des soins à domicile sont organisés 3x/semaine pour la prise en charge des PleurX à domicile. Sur le plan oncologique, la chimiothérapie par Gemzar a dû être reportée à cause de l'hospitalisation. La suite de prise en charge se fera à la consultation du Dr. X le 24.04.2019. Mme. Y, âgée de 73 ans, connue pour BPCO stade III selon GOLD, nous est adressée par le HIB pour une réadaptation pulmonaire suite à une insuffisance respiratoire globale sur pneumonie basale droite à germe indéterminé le 26.03.2019. Sur le plan social, la patiente, divorcée, vit seule à domicile. Elle est actuellement en cours de déménagement. Elle est retraitée (gérante d'un club nautique). A l'admission, la patiente se plaint d'une fatigue générale. En général, il rapporte une dyspnée stade II selon NYHA, sans toux ni expectorations. Le status général est sans particularités hormis une hyposensibilité péri-anale avec tonus sphinctérien dans la norme. La patiente se plaint d'une sensation de non-vidage de la vessie. Dans ce contexte, nous réalisons un US de l'abdomen à la recherche d'un résidu post-mictionnel, qui revient dans les limites de la norme. La spirométrie réalisée en début de séjour ne remplit pas les critères de qualité, mais celle pratiquée en fin de séjour montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré moyennement sévère, selon les critères ATS/ERS et confirme le diagnostic de BPCO stade II selon Gold, stade D. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une saturation à 92% avec une hypoxémie légère à pO2 8.3 kPa, sans hypercapnie. Nous réalisons un DLCO qui est à 76% du prédit, soit dans la norme inférieure. Nous poursuivons le traitement inhalateur de l'Ultibro. La radiographie du thorax montre une silhouette cardiaque dans les limites de la norme, des grands volumes pulmonaires avec remaniement de la trame, augmentation de l'espace clair rétrosternal et aplatissement des coupoles diaphragmatiques en rapport avec un emphysème. Mme. Y a maintenu le sevrage tabagique durant son séjour et n'envisage pas de le reprendre. Une évaluation neuropsychologique est effectuée en raison de la suspicion de troubles mnésiques, en début d'hospitalisation, et montre des scores dans la norme à l'ensemble des fonctions testées. Sur le plan nutritionnel, la patiente présente une malnutrition sévère (NRS à 5, perte de 7.1% de son poids de forme en 1 mois, BMI à 19.1 kg/m²). Les adaptations alimentaires et la prise de 1 SNO/j ont permis de couvrir ses besoins, ce qui a permis une reprise pondérale (+ 1 kg). Elle a participé à la conférence sur la nutrition et les maladies respiratoires et a bien compris l'importance du maintien du poids et de la masse musculaire. Elle poursuivra la prise de SNO à domicile et est en possession d'une ordonnance pour un suivi diététique ambulatoire, auquel nous l'invitons à donner suite en cas de nouvelle perte de poids. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 325 m à 360 m. La patiente augmente la distance parcourue sur le tapis roulant pendant 20 minutes de 0.660 km à 1.040 km. A la sortie, elle bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 20.04.2019, en état général conservé. Mme. Y est une très bonne candidate pour la réadaptation pulmonaire. Mme. Zogaj est une patiente de 36 ans, qui se présente le 24.04.2019 aux urgences en raison d'une douleur à la fesse gauche depuis 48 heures en péjoration sur la journée. L'examen clinique met en évidence un abcès de la fesse de taille importante. Nous posons l'indication à une incision et drainage de l'abcès. Au vu de la taille de l'abcès, l'intervention est effectuée au bloc opératoire qui se déroule sans particularité, permettant à la patiente un retour à domicile le 25.04.2019. Elle sera revue à notre consultation le 26.04.2019 pour ablation du Penrose. Mme. Zogaj, 36 ans, se présente le 24.04.2019 aux urgences en raison d'une douleur à la fesse gauche depuis 48 heures en péjoration sur la journée. L'examen clinique met en évidence un abcès de la fesse d'une taille importante. Nous posons l'indication à l'incision et au drainage de l'abcès. Au vu de la taille l'intervention est effectuée au bloc opératoire. L'intervention se déroule sans particularité. Le Penrose mis en place lors de l'opération est retiré le 26.04.2019 permettant à la patiente un retour le jour même. Mme. Zollino est une patiente de 71 ans, connue pour une néoplasie neuro-endocrine gastrique bien différenciée, hospitalisée en électif le 03.04.2019 afin de bénéficier d'une gastrectomie atypique en laparoscopie avec, dans le même temps opératoire, une cure de hernie ombilicale. L'intervention se déroule sans complication. Les suites opératoires sont marquées initialement par un épisode de vomissements à J1 de l'intervention mais qui sont favorables par la suite. L'alimentation est ensuite bien tolérée et successivement augmentée. La patiente reprend un transit à J2 de l'intervention. Le Jackson mis en place en per-opératoire peut être retiré le 07.04.2019 permettant à la patiente un retour à domicile le 09.04.2019. Le cas de la patiente sera discuté lors du colloque oncologique interdisciplinaire pour discussion de la suite avant que la patiente ne soit revue lors de notre consultation de contrôle. Madopar 250mg 4x/j Magnesiocard. Contrôle chez son médecin. Magnesium IV Magnésium iv OU Suivi biologique Magnésium le 04.04.19 Dilzem du 04.04.19 au 09.04.19, repris le 12.04.19 Pantoprazol ECG (04.04.19): rythme sinusal à 150 bpm OGD (Dr. X)(04.04.19): hernie hiatale à 35-40 cm, ulcère œsophagien à 20 cm de l'arcade dentaire d'origine peu claire, paroi très friable. Pas de saignement actif. Pas de biopsie effectuée au vu des troubles de la crase. Gastrite dans l'estomac, pas de saignement actif ou ancien. Duodénum sans particularité. Rectoscopie sans préparation (04.04.19): Méléna visualisé. OGD (12.04.19): présence d'une sévère candidose œsophagienne Magnésium le 27.04.2019, aérosols de Ventolin et Atrovent Solumédrol le 27.04.2019 Sérétide dès le 28.04.2019 Magnesium per os 2x/J Suivi des valeurs en ambulatoire Magnésium 2g intraveineux aux urgences le 12.03.2019 Magnésium 5g iv Magnesium. Suite de prise en charge par le médecin traitant en cas de persistance. Consulte les urgences en cas d'apparition de nouveaux symptômes. Mail envoyé à Dr. X (chirurgienne pédiatre) pour prévoir consultation de contrôle en ambulatoire. Main D : doigt à ressaut au niveau du pouce et du majeur (poulie A1). Main D Dig V : Fracture oblique de la phalange proximale. Status post traitement conservateur. Main D (dominante) : • Maladie de Dupuytren stade I selon Tubiana Dig IV. • Status post cure du canal carpien en 2015 et fasciotomie (Dr. X). Main G : • Status post cure du canal carpien. • Fasciectomie à deux reprises. Main D f/o/p de ce jour : pas de déplacement secondaire. Main D f/p/o de ce jour : absence de déplacement secondaire. Fracture en voie de guérison. Main droite : status post cure doigt à ressaut Dig II (incision poulie A1). Main droite doigt II : fracture P1 métaphysaire et intra-articulaire non déplacée le 09.03.2018. Main droite : • status post-réinsertion du ligament collatéral radial MCP II le 16.08.2018 • tendinopathie des fléchisseurs en post-opératoire • probable CRPS débutant • doigts à ressaut Dig II, dig III, green 2 à 3. • status post infiltration de la gaine des fléchisseurs en regard de la poulie A1 des Dig II et Dig III, le 21.12.2018. Main G : • Fracture diaphysaire de P1 Dig IV • Fracture type Mallet Finger osseux, ouverte, Gustilo I de P3 Dig II • Plaie face palmaire de la MCP III Main G : • Réduction et OS de P1 Dig IV • Lavage, débridement de P3 puis réduction fermée, OS du Mallet Finger osseux de l'IPD de Dig II selon Ishiguro • Révision plaie face palmaire MCP III (OP le 22.03.2019) Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 22 au 25.03.2019 Main G : Status post fasciectomie Dig IV-V du 12.02.2019. Main G f/p de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture par rapport aux clichés précédents. Main G 5ème doigt : Status post ORIF par 2 vis Synthèse 1.0 d'une fracture intra-articulaire de la tête P1 le 08.01.2018. Main gauche : 3ème récidive de maladie de Dupuytren stade II selon Tubiana 5ème rayon avec : • status post-cure de Dupuytren bilatérale en 1999 Dig V et cure de récidive à gauche en 2006 combinée avec transposition du nerf cubital par le Dr. X Main droite : status post-fasciectomie complète et plastie de Malingue et en V-Y le 10.09.2019 (Dr. X) avec status post-cure maladie de Dupuytren en 1999. Maintien à domicile impossible. Maintien à domicile impossible sur probable syndrome de glissement. Maintien à domicile impossible sur probable syndrome de glissement le 07/04/19. Maintien du pansement pour 7 jours, avec ablation le 24.04.2019 au Secteur Ambulatoire des Urgences (car changement du médecin traitant). Maintien du traitement conservateur avec l'attelle qui est à porter pour une durée de 4 semaines au total. Arrêt du sport durant 6 semaines. Prochain contrôle clinique dans 3 semaines avec ablation de l'attelle et fin de traitement. Maintien impossible à domicile dans le contexte de démence à corps de Lewy probable. Situation se dégradant à domicile malgré intensification de la présence d'autrui. Pas d'aggravation aiguë depuis le 17.04. Maintien impossible à domicile Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 25 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, spécialiste en soins palliatifs. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Maintient à domicile impossible dans un contexte d'anxiété matinale le 02.04.19. Maintient au foyer impossible. Nous ne retenons pas d'argument clinique, ni biologique pour une cause organique à son hétéro-agressivité en péjoration. Demande d'hospitalisation en psychiatrie gériatrique. Départ en ambulance pour le RFSM de Marsens. Maintient du port de la semelle rigide avec marche en charge complète pour encore 3 semaines. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 3 semaines. Majoration de douleurs chroniques à composantes anxiogènes dans un contexte de dysfonction mécanique sacro-iliaque avec : • Status post fracture du bassin lors d'un accident de travail en décembre 2017, diagnostiquée tardivement. • Contractures musculaires associées importantes. • Irradiation des douleurs à caractère non-organique. Majoration de l'antalgie : Dafalgan 4x/jour, Tramal en réserve, poursuite du Celebrex. Exercices à domicile. Physiothérapie. Réévaluation dans 1 semaine par le médecin traitant, discuter d'une IRM si évolution non favorable (+/- infiltration). Majoration de Metformine à 500 mg 1-0-1-0. Majoration de Pantozol à 40 mg 1x/j. Alucol en réserve. Majoration des laxatifs. Majoration d'ictère avec : • Bilirubine totale 72.9µmol/l et bilirubine directe 56µmol/l le 21.03.2019. Majoration du lactulose depuis le 15.04.2019. Test anexate le 16.04.2019 : pas d'effet. Majoration du Pantozol 40 mg 1-0-1 jusqu'à gastroscopie. Alimentation lisse, stop coca cola, café et boissons gazeuses. Majoration du syndrome inflammatoire dès le 01.04.2019 sous méropénem. Aspirats bronchiques du 27.03.2019 positifs à C. albicans. Frottis anal et plis inguinaux du 01.04.2019 positifs à C. albicans. Majoration du syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 28.03.2019. Majoration du Torem à 10 mg/j le 20.03.2019. Suivi clinique et du poids. Torem 5 mg à la sortie, puis à réévaluer par le médecin traitant. Majoration du traitement symptomatique. Certificat médical. Patient informé de reconsulter en cas d'aggravation des symptômes ou de sang dans les crachats. Prendre contact avec un médecin de famille à l'avenir. Majoration du traitement anti-hypertenseur. Introduction diurétique. Majoration du traitement diurétique. Majoration du traitement diurétique. Introduction Esidrex 12.5 mg et Aldactone 25 mg. • viser perte pondérale de 500 mg-1 kg/j jusqu'à obtention poids-cible 71 kg. Mise en suspens de l'Adalat. Drainage lymphatique, surveillance plaie MIG. Majoration du traitement chez le médecin traitant. Majoration ictère avec : • Bilirubine totale 72.9µmol/l et bilirubine directe 56µmol/l le 21.03.2019. Majoration Lévétiracétam le 29.03.2019. Phénobarbital 200 mg 2x/j en iv dès le 12.04.2019 (prise des traitements po impossible). Majoration Neo-Mercazole 10 mg tid du 11.04.2019 au 13.04.2019, reprise à dose habituelle 0.5 cpr 5 mg dès le 14.04.2019. Avis endocrinologique (Dr. X). Contrôle des tests thyroïdiens le 15.04.2019 (seront pistés par Dr. X). Majoration progressive des diurétiques avec furosémide iv du 24.04.19 au 26.04.19. Majoration substitution vitamine D et calcium. Revoir avec médecin traitant la poursuite des biphosphonates. Densitométrie de contrôle à agender en automne 2019. Majoration temporaire du Torasemide, Lasix. Bandage compressif des jambes lorsque nécessaire (AOMI supplémentaire). Poursuite du suivi cardiologique ambulatoire. Majoration Torem 2x/j le 24.04.19. Suivi chez le médecin traitant. Mal à la gorge. Mal de gorge. Mal de gorge. Mal de gorge. Mal de gorge. Mal de gorge. Mal de gorge. Mal de gorge. Mal de gorge. Mal de gorge. Mal de gorge. Mal de gorge et fièvre. Mal de gorge et otalgie. Mal perforant chronique plantaire de la pulpe du 3ème orteil pied G. • Germe en cause (biopsies proximales) : Staph. aureus. Mal perforant plantaire pied gauche : • abcès pied G sur surinfection avec Staph. aureus d'un mal perforant plantaire sur ostéite chronique depuis juillet 2012.• débridement plaie plantaire G le 20.05.2014 • débridement avant-pied G, biopsie osseuse, résection partielle du 1er métatarsien le 12.07.2013 • débridement pied G et complément d'amputation tête métatarsienne III, plastie par greffe 3ème orteil pied G, le 23.10.2012. • débridement, lavage, résection tête métatarsienne II pied G, le 28.09.2012 • plusieurs débridements pied G en 2012 et 2014, 05/2016 Maladie anévrismale avec : • anévrisme de l'aorte abdominale mesuré à 38 mm de diamètre • anévrisme de l'artère iliaque commune droite mesuré à 40 mm de diamètre • anévrisme de l'artère iliaque commune gauche mesuré à 25 mm de diamètre • ectasie des artères poplitées à 15 mm Maladie aortique avec insuffisance aortique modérée et sténose aortique valvulaire congénitale modérée : • Opération de Ross le 16.07.2018 (Dr. X) avec mise en place d'une homogreffe entre le ventricule droit et la bifurcation pulmonaire • Syndrome de Dressler post-péricardotomie traité par stéroïdes fin juillet 2018 et septembre 2018 (ce dernier avec légère atteinte myocardique) Maladie artériosclérotique avec : • sténose à 90% de la carotide interne gauche • athérosclérose diffuse touchant la carotide interne droite ainsi que l'aorte abdominale infra-rénale de manière asymptomatique Maladie asthmatique avec syndrome d'hyperventilation alvéolaire symptomatique • Asthme contrôlé sous un traitement de Relvar 92 mcg • Spirométrie normale • Alcalose respiratoire à la gazométrie artérielle Rhinosinusite chronique non allergique dans le cadre d'un syndrome hyper-eosinophile avec septoplastie, réduction de cornets inférieurs, unciformectomie bilatérale Syndrome d'hyper-eosinophilie sans argument pour une pneumopathie associée Personnalité anxieuse (évitante) - F60.6 • Difficultés dans les rapports avec le conjoint (et le fils) - Z63.0 Rhizarthrose bilatérale Hypothyroïdie substituée HTA Dyslipidémie Hypersensibilité au pollen Syndrome des jambes sans repos Lombalgies chroniques Maladie bipolaire sous traitement. Maladie bitronculaire avec 1 DES IVA proximale de la 1ère diagonale et 1 DES IVA moyenne le 11.02.2019 : • Angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale (implantation d'un stent actif) • Angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure moyenne (implantation d'un stent actif) • Mise en évidence de la maladie coronarienne au cours du bilan d'un accident vasculaire cérébral • Coronarographie le 14.02.2019 (Dr. X) Maladie cérébrovasculaire athéromateuse et sténo-occlusive, avec : • sténose de l'artère carotide interne gauche de 90% symptomatique traitée par stenting le 12.04.2019 (Inselspital) • sténose de 70%-80% de l'artère carotide interne droite • sténose de 50% distale de l'artère vertébrale gauche (V4) Maladie cérébro-vasculaire avec : • AVC sylvien gauche en 2007 • Bilan artériel pré-cérébral du 15.02.2019 (pour chirurgie orthopédique) : • Sténose modérée d'environ 70 à 80% au départ de l'artère carotide interne droite sur une volumineuse plaque calcifiée • Subocclusion de départ de l'artère carotide interne gauche par une volumineuse plaque calcifiée • Bonne perméabilité des artères vertébrales droite et gauche Artériopathie des membres inférieurs de stade IIB à gauche avec : • recanalisation d'une subocclusion courte de l'artère poplitée gauche par angioplasties au ballon actif le 11.08.2015 • athéromatose fémorale superficielle et fémorale commune à gauche Maladie cérébrovasculaire avec multiples AVC : • AVC ischémique aigu cérébelleux droit (territoire de la PICA) sur occlusion de l'artère vertébrale droite d'origine athéromateuse le 06.12.2011 • AVC ischémique subaigu du pont gauche en 02/2012 • AVC ischémique sylvien bilatéral à prédominance droite le 22.08.2015 avec sténose supérieure à 50% dans la partie moyenne du tronc basilaire avec occlusion de l'artère vertébrale droite sur toute sa longueur • AVC ischémique cérébelleux droit sans transformation hémorragique 05.06.2017 • AVC ischémiques aigus multiples de la circulation postérieure (bi-occipitales, pontique gauche) d'origine probablement athéromateuse (DD cardio-embolique) en janvier 2018 avec sténose > 80% du tronc basilaire, occlusion chronique de l'artère vertébrale droite et sténose > 50% de l'artère vertébrale en V4 à gauche Maladie coeliaque Migraine sans aura. Maladie coronaire, avec : • mise en place d'un stent (2007, Berne) Maladie coronarienne avec : • sténose significative de la bifurcation de l'artère interventriculaire antérieure proximale avec la branche diagonale : PTCA/T Stenting TAPS • lésion intermédiaire de l'ostium du tronc commun • lésion intermédiaire de l'ostium de la coronaire droite Fonction systolique du VG normale Sténose sévère de la valve aortique (gradient moyen systolique 57 mm Hg) Absence de sténose au niveau des vaisseaux iliaques Maladie coronarienne tritronculaire connue • Absence de resténose de l'IVA moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif, englobant l'origine de la seconde diagonale (lésion de bifurcation) • Absence de resténose de l'ostium de la seconde marginale au niveau du site d'implantation du stent actif. • Occlusion de l'artère circonflexe distale • Sténose significative de l'ACD droite proximale/moyenne : PTCA/2x stent actif • Sténose significative de l'artère interventriculaire postérieure : 1x stent actif • FEVG 45%, hypokinésie antéro-apicale Maladie coronarienne avec : • bon résultat après stenting de l'artère circonflexe proximale-moyenne au niveau de sa bifurcation avec la branche marginale et fénestration de la branche marginale 2.12.2014 • bon résultat à long terme après stenting de l'IVA proximale-moyenne avec PTCA/Stent de l'ostium de la branche diagonale 2012 (NSTEMI le 08.12.2012). • bon résultat à long terme après stenting de la coronaire droite 2012. • légère dysfonction ventriculaire gauche avec hypokinésie antérolatérale, EF 55%. Hématome inguinal droit per-coronarographie le 09.10.2012. Compression par femostop. Etat anxieux. Hernie hiatale avec reflux gastro-oesophagien. Hypertension artérielle. Maladie coronarienne avec : • triple pontage au CHUV le 29.11.2018 • réadaptation cardio-vasculaire ambulatoire à l'HFR Billens. Maladie coronarienne avec des lésions bitronculaires : • sténose significative de l'IVA moyenne • sténose subtotale, thrombotique de l'artère bissectrice • fraction d'éjection ventriculaire gauche normale Maladie coronarienne avec des lésions bitronculaires : • sténose significative de l'IVA moyenne • sténose subtotale, thrombotique de l'artère bissectrice • fraction d'éjection ventriculaire gauche normale Maladie coronarienne avec lésions bitronculaires. avec : • sténose significative de l'ostium de la seconde marginale. Sténose significative de la seconde marginale. Sténose significative de l'artère coronaire droite proximale. • succès d'angioplastie de la seconde marginale. Implantation de 1 stent actif. Succès d'angioplastie de l'ostium de la seconde marginale. Implantation de 1 stent actif. • fraction d'éjection VG 70%. Maladie coronarienne avec lésions tritronculaires. avec : • sténose 70% de l'IVA : PCI (1 DES) : bon • sténose 50-70% de l'artère circonflexe moyenne et de l'ostium de la première marginale : PCI (1 DES) : bon • excellent résultat après PCI de l'ACD le 22.03.19 • fraction d'éjection préservée, 55%, hypokinésie inféro-basale Maladie coronarienne avec PTCA et pose de deux stents actifs à l'IVA proximale et moyenne, le 02.05.2014, FEVG à 65%. Syndrome métabolique avec : • obésité BMI 31.2 kg/m2 • diabète de type 2 non insulino-requérant depuis 2005 • hypertension artérielle traitée, bien contrôlée (Remler du 16.09.2009). Insuffisance rénale chronique de stade 3 MDRD 50 ml/min d'étiologie sur néphro-angiosclérose et néphropathie diabétique. Syndrome des apnées du sommeil non appareillé. Oesophagite distale. Diverticulose. Douleurs chroniques thoraco-basales droites de type neuropathique, versus trouble somatoforme. Tunnel carpien gauche depuis 2009. Etat anxio-dépressif. Syndrome lombo-vertébral depuis 1980. Dyspnée stade 2 intermittente d'étiologie indéterminée. Hypersialorrhée. Oedèmes des membres inférieurs bilatéraux sur insuffisance veineuse chronique. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • obésité • dorsalgies chroniques • status post-thrombose veineuse profonde • troubles cognitifs débutants • goutte pied droit. Maladie coronarienne avec : • sténoses calcifiées à 70-90% de l'IVA proximale à moyenne englobant l'origine de la première DA (lésion de bifurcation) : PTCA (cutting-balloon)/ 2x DES/fenestration DA (bon) • ectasie du TC, de l'IVA et CX proximale et de l'ACD • fraction d'éjection VG 60%. Maladie coronarienne bitronculaire. Maladie coronarienne bitronculaire. Maladie coronarienne bi-tronculaire : • plaques non significatives de l'IVA ostiale et moyenne, sténose de 50% de la 2ème marginale (artère de petit calibre) • ventriculographie : fraction d'éjection ventriculaire gauche à 45% avec hypokinésie antéro-latérale et diaphragmatique Maladie coronarienne bitronculaire avec : • lésion intermédiaire sur l'artère circonflexe moyenne, stenting de l'artère coronaire droite moyenne le 21.08.2014 (indication angor typique) • fraction d'éjection ventriculaire gauche normale le 18.08.2014 • sclérose aortique hypertension artérielle obésité dyslipidémie diabète de type 2 insulino-requérant hypothyroïdisme syndrome des apnées du sommeil appareillé diverticulose sigmoïdienne angiodysplasie colique avec anémie spoliative en 2015 dyspnée stade III probablement d'origine mixte Maladie coronarienne bitronculaire avec : • lésion intermédiaire sur l'artère circonflexe moyenne, stenting de l'artère coronaire droite moyenne le 21.08.2014 (indication angor typique) • fraction d'éjection ventriculaire gauche normale le 18.08.2014 • sclérose aortique hypertension artérielle obésité dyslipidémie diabète de type 2 insulino-requérant hypothyroïdisme syndrome des apnées du sommeil appareillé diverticulose sigmoïdienne angiodysplasie colique avec anémie spoliative en 2015 dyspnée stade III probablement d'origine mixte Maladie coronarienne bitronculaire avec : • coronarographie 08/2009 (Dr. X) : mise en place de 3 stents actifs au niveau de l'artère interventriculaire antérieure et de la coronaire droite (deux sur ce vaisseau). • coronarographie 06/2015 : absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif. Sténose significative de la première diagonale. Lésion non significative de l'artère circonflexe moyenne. Lésion non significative de la première marginale. Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. Absence de resténose de l'artère coronaire droite proximale au niveau du stent actif. Absence de resténose de l'artère coronaire droite moyenne au niveau du stent actif. Lésion non significative de l'artère coronaire droite moyenne. EF 78%. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • dissection spontanée (SCAD) de l'artère circonflexe et de la 2ème marginale le 8.2.2019 • 08.12.2018 : STEMI inféro-latéral sur sténose serrée (90%) Cx proximale. Coronarographie : PCI et 2 stents DES Cx proximale. • sténose 90% de l'artère circonflexe proximale • sténose 50-70% de l'IVA distale • FEVG 65%, akinésie inféro-latérale diabète de type II non insulino-requérant hypertension artérielle migraines traitées par Imigran troubles du sommeil, sous Dalmadorm Maladie coronarienne bitronculaire avec : • STEMI inféro-postérieur sur sub-occlusion de l'artère circonflexe proximale (90%) le 09.08.2013 • sub-occlusion de l'artère coronaire droite (50-70%) coronarographie le 09.08.2013 (Dr. X) : pose d'un stent actif de l'artère circonflexe dans la portion proximale. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • sténose intermédiaire de la circonflexe moyenne • sténose 70% de l'ostium de la première marginale • sténose intermédiaire de la coronaire droite proximale et moyenne Maladie coronarienne bitronculaire avec : • 07.01.2019 : NSTEMI sur SCA (Trop. +), lésion non significative de l'IVA proximale, sténose significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale (1 DES), sténose significative de l'ACD proximale (1 DES) • 07.01.2019 : coronarographie (Dr. X) : pose de 1 stent sur l'artère circonflexe proximale et 1 stent sur l'ACD proximale • 07.01.2019 : ETT (Dr. X) : FEVG 60%, pas de valvulopathie • 08.04.2019 : coronarographie (Dr. X) : bon résultat, pas de lésion nouvelle BPCO sur tabagisme actif Paresthésie de tout le corps avec dorso-lombalgies chroniques • suivi par Dr. X à la Providence (NE) • discopathie L2-L3, L3-L4 et L4-L5 • s/p spondylodèse L2-L4 • bilan neurologique en avril 2018 (Dr. X) : polyneuropathie sensitivomotrice marquée, IRM cervico-dorsale dans la norme sans syringomyélie Etat dépressif sévère migraines avec aura Maladie coronarienne bitronculaire avec : • 07.01.2019 : NSTEMI sur SCA (Trop. +), lésion non significative de l'IVA proximale, sténose significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale (1 DES), sténose significative de l'ACD proximale (1 DES) • 07.01.2019 : coronarographie (Dr. X) : pose de 1 stent sur l'artère circonflexe proximale et 1 stent sur l'ACD proximale• 07.01.2019 : ETT (Dr. X) : FEVG 60%, pas de valvulopathie • 08.04.2019 : coronarographie (Prof. X) : bon résultat, pas de lésion nouvelle Diabète insulino-requérant secondaire à une pancréatectomie céphalique partielle selon Berger et pancréatectomie corporéale en 2004 avec : • HbA1c du 07.01.2019 : 10.3% • complications macro-vasculaires : cardiopathie ischémique, AVC • complications micro-vasculaires : rétinopathie modérée bilatérale, néphropathie, polyneuropathie • rétinopathie diabétique modérée ddc sans œdème maculaire BPCO sur tabagisme actif Paresthésie de tout le corps avec dorso-lombalgies chroniques • suivi par le Dr. X à la Providence (NE) • discopathie L2-L3, L3-L4 et L4-L5 • s/p spondylodèse L2-L4 • bilan neurologique en avril 2018 (Dr. X) : polyneuropathie sensitivomotrice marquée, IRM cervico-dorsale dans la norme sans syringomyélie État dépressif sévère Migraines avec aura Maladie coronarienne bitronculaire avec : • bon résultat après PCI de l'IVA proximale/moyenne/distale et branche diagonale 16.10.2018 • sténose significative de l'ostium de la marginale : PTCA/1xDES (Bon) • Fraction d’éjection VG 60% Maladie coronarienne bitronculaire avec dernière coronarographie en 1995 Emphysème pulmonaire Multiples hémangiomes et kystes hépatiques Canal lombaire étroit avec s/p infiltrations multiples par le Dr. X, avec opération envisagée (Dr. X) Maladie coronarienne bitronculaire avec : • infarctus sous-endocardique latéral le 11.03.2007 • stent actif sur la 1ère marginale le 15.03.2007 (CHUV) • stent actif sur l'IVA moyenne le 03.04.2007 (CHUV) avec infarctus subocclusion de la 1ère diagonale per-cathétérisme • sténose subtotale de la bifurcation circonflexe proximale-moyenne avec la grande branche marginale (in stent resténose ostium branche marginale) : PTCA/-T stenting (2 DES) • coronarographie le 03.06.2014 (Prof. X) : stenting de RCX • coronarographie le 25.04.2019 (Prof. X) : sténose de novo l'IVA proximale et IVA moyenne (PTCA/2 DES) • FEVG à 70% Maladie coronarienne bitronculaire avec : • STEMI inférieure le 01.12.09 sur occlusion thrombotique de la coronaire droite moyenne : PTCA, mise en place de 4 stents actifs (coronaire droite proximale et moyenne). Pic CK 800 U/I • sténose 50-70 % de la Cx proximale • Fraction d'éjection du ventricule gauche estimée à 45 % Insuffisance mitrale II/IV Ancien tabagisme chronique à 40 UPA, stoppé en 2013 Emphysème pulmonaire Dyslipidémie Hernie discale traitée conservativement Adénome tubuleux du gros intestin avec dysplasie de haut grade (PROMED P2019.468) à la jonction du sigmoïde et du descendant (colonoscopie du 14.01.2019) Ectasie modérée de l’aorte descendante à 46 mm dans sa portion sinusale et 41 mm dans sa partie ascendante Artériopathie des membres inférieurs avec maladie poly-anévrismale • Status post-pontage aorto-iliaque en 2011 • Ectasie de l’aorte fémorale commune droite et poplitée gauche Maladie coronarienne bitronculaire avec : • sténose intermédiaire de la circonflexe moyenne • sténose 70% de l'ostium de la première marginale • sténose intermédiaire de la coronaire droite proximale et moyenne Maladie coronarienne bitronculaire avec : • sténose 90% de l'artère circonflexe distale : PTCA/1xDES (Bon) • sténoses intermédiaires de l’ACD proximale, moyenne et distale • Fraction d’éjection VG 65%. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • sténoses 70-90% de la Cx proximale et moyenne : PTCA/3xDES : Bon • occlusion chronique de l'ACD • Fraction d’éjection VG 55%, hypokinésie inféro-latérale. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • sténose significative de l’IVA moyenne : 2xstent actif : bon • lésion non significative de l'artère circonflexe moyenne • lésion non significative de l'ostium de la première marginale. • sténose significative de l'ostium de l'artère coronaire droite distale, englobant l'origine de l'artère interventriculaire postérieure (lésion de bifurcation) : implantation de 1 stent actif. • Fraction d’éjection VG normale Maladie coronarienne bitronculaire avec : • sténose significative intra-stent de l’IVA proximale et sténose significative de la circonflexe proximale. • pontage de l'AMIG sur IVA le 27.12.2011 et pose d'un stent actif sur la circonflexe proximale le 31.12.2011. • infarctus antérieur en 1999 avec une pose de stent sur l'IVA Maladie coronarienne bitronculaire connue avec : • infarctus myocardique inférieur en 11/2006 • PTCA et mise en place de 3 stents actifs sur la coronaire droite proximale et moyenne ; PTCA et stent sur la circonflexe et la 1ère marginale de la circonflexe (dissection et sténose résiduelle de 50 %) en 11/2006 • PTCA et 2 stents sur la branche intermédiaire en 01/2007 • infarctus myocardique de type NSTEMI sur maladie bitronculaire (coronaire droite et circonflexe) le 29.07.2014 • coronarographie (29.07.2014, Dr. X) : pose d'un stent actif au niveau de l'artère circonflexe proximale et moyenne. Ventriculographie : FE 66 % • coronarographie élective 20.03.19 : nette progression de la maladie coronarienne avec des occlusions chroniques intrastents de l’artère coronaire droite proximale et de l’artère circonflexe proximale, ainsi qu’une sténose subtotale proximale d’une grosse branche bissectrice. La ventriculographie montre une hypokinésie postéro-basale, avec une fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE : 65%). L’indication est donc donnée à une revascularisation coronarienne chirurgicale • Athérosclérose diffuse des artères à destinée cérébrale avec plaques exophytiques au niveau des deux bulbes, sans répercussion hémodynamique • Athérosclérose diffuse des artères sous-clavières et épaississement pariétal sans répercussion hémodynamique • suspicion d'ischémie mésentérique sur probable thrombose de la sténose longue de l'artère mésentérique supérieure. • angine abdominale et sténose des 3 artères viscérales et importantes anomalies vasculaires intestinales. Cure de sténose mésentérique au CHUV en septembre 2011 Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Tabagisme actif à 25 UPA Troubles dépressifs récurrents avec syndrome somatique Emphysème sous-pleural et centro-lobulaire du lobe supérieur bilatéral secondaire au tabagisme (CT 29.07.2014) Nodule pulmonaire dans le lobe supérieur droit, avec un aspect bilobé mesuré à 6 mm de diamètre (CT 29.07.2014) Maladie coronarienne bitronculaire, dernière coronarographie en 11/2017 (Dr. X) avec : • subocclusion calcifiée DA : PTCA • sténose 80% IVA moyenne : PCI (1DES). • infiltration diffuse IVA distale • Fraction d’éjection VG 55%. Maladie coronarienne bitronculaire (IVA et CX) le 28/04/2017 avec : • sténose 70-90% de l’IVA proximale/moyenne et de la 1° diagonale : Kissing ballon et PCI/stent DES x2 sur IVA moyenne et PCI/DES sur 1° diagonale. • sténose 50-70% de la CX proximale, sténose 50-70% de la 2° marginale • irrégularités sur la CD • échocardiographie du 24.04.2017 : FEVG 60%, pas d'hypertrophie ventriculaire gauche ; pas de valvulopathie ; dysfonction diastolique grade I ; oreillettes non dilatées, cavités droites non dilatées ; PAPs 17 mmHg Hyperplasie bénigne de la prostate • traitement par Tamsulosine • suivi par Dr. X Maladie coronarienne bitronculaire • lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale. • lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. • sténose significative (70-90%) de l'artère coronaire droite proximale : • succès d'angioplastie et implantation de 2 stents actifs. • Fraction d’éjection VG normale Maladie coronarienne bitronculaire • occlusion thrombotique de l'interventriculaire antérieure moyenne• longue sténose de l'interventriculaire antérieure distale • sténose significative de la coronaire droite distale • akinésie antéro-apicale avec dyskinésie sévère: FEVG 25% (le 22.04.2019) • Maladie coronarienne bitronculaire • occlusion de l'artère circonflexe moyenne : PTCA/DES/OCT • lésion intermédiaire de l'IVA moyenne • lésion intermédiaire de la branche diagonale • dysfonction ventriculaire gauche avec akinésie diaphragmale, FEVG 60% • Maladie coronarienne bitronculaires avec: • Sténose intermédiaire du tronc commun (MLA à l'OCT 5.2 cm2) • Sténose 70% de l'IVA (MLA à l'OCT 1.8 cm2) proximale au niveau de la première diagonale (lésion de bifurcation) : PTCA/1xDES • Sténose 70% de l'ostium de la première diagonale: PTCA (fenestration) • Sténose 50% de la Cx proximale et 60% de la première marginale • Fraction d'éjection VG 65%. • Maladie coronarienne : • bon résultat à long terme après stenting de l'artère interventriculaire antérieure proximale/moyenne • de novo sténose IVA moyenne : PTCA/DES • de novo sténose bissectrice : PTCA/DES • sténoses intermédiaires • fonction systolique du VG normale, fraction d'éjection VG 60%. • Maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et coronaire droite). • PCI/1 DES 1ère diagonale et PCI/2 DES IVA moyenne : bon résultat. • Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE : 71%) • Maladie coronarienne de 2 vaisseaux • sténose IVA moyenne avec pose de 3 stents le 19.02.18, sténose intermédiaire de la première grosse diagonale, subocclusion de la RCX distale (PTCA le 19.03.2018). • FEVG 65% • Hypertension artérielle • Syndrome de Vidak • Maladie coronarienne de 3 vaisseaux : • PCI/1 DES artère circonflexe moyenne et stenting direct (1 DES) IVA moyenne et coronaire D en 2013 • pose stent artère circonflexe distale en avril 2019 • FEVG 68% en avril 2019 • Bloc de branche gauche complet • HTA traitée • Névralgie du trijumeau traitée par Tégrétol • Hyperplasie bénigne de la prostate • Maladie coronarienne de 3 vaisseaux : • PCI/1 DES artère circonflexe moyenne et stenting direct (1 DES) IVA moyenne et coronaire D en 2013 • pose stent artère circonflexe distale en avril 2019 • FEVG 68% en avril 2019 • Bloc de branche gauche complet • HTA traitée • Névralgie du trijumeau traitée par Tégrétol • Hyperplasie bénigne de la prostate • Constipation chronique • Dernière colonoscopie • Movicol et Laxoberon • Proposition effectuer nouvelle colonoscopie • Maladie coronarienne de 3 vaisseaux : • PCI/1 DES artère circonflexe moyenne et stenting direct (1 DES) IVA moyenne et coronaire D en 2013 • pose stent artère circonflexe distale en avril 2019 • FEVG 68% en avril 2019 • Névralgie du trijumeau traitée par Tégrétol • Maladie coronarienne de 3 vaisseaux, avec : • Occlusion chronique collatéralisée de l'artère coronaire droite, PAC-marginale CX- • 1ère diagonale, PAC-CD et mammaire gauche-IVA oclus. • PCI/1 DES artère circonflexe proximale-1ère marginale : bon résultat immédiat, sans compromission de l'artère circonflexe moyenne (lésion de bifurcation). • Maladie coronarienne de 3 vaisseaux, avec : • Occlusion chronique collatéralisée de l'artère coronaire droite, PAC-marginale CX- • 1ère diagonale, PAC-CD et mammaire gauche-IVA oclus. • PCI/1 DES artère circonflexe proximale-1ère marginale : bon résultat immédiat, sans compromission de l'artère circonflexe moyenne (lésion de bifurcation). • Maladie coronarienne de 3 vaisseaux • 27.06.09 : infarctus myocardique droit sub-aigu • 28.06.09 : cathétérisme cardiaque : occlusion CD proximale, sténose subtotale IVA proximale et CD, FEVG 50% sur hypokinésie inférieure • 01.07.09 : triple revascularisation myocardique (AMIg sur IVA, pont veineux sur IVP et marginale) et fermeture foramen ovale • complications : FA post-op, pauses sinusale sous Cordarone • 02.07.09 : ETT FEVG 60% • Athéromatose avec sténose 50% carotide interne gauche • FRCV • hypercholestérolémie • HTA • tabagisme 25 UPA stoppé en 2009 • stress psychosocial • Reflux gastro-oesophagien • Maladie coronarienne de 3 vaisseaux. • PCI/1 DES IVA proximale, PCI/1 DES IVA moyenne, PCI/2 DES CX moyenne : bon résultat immédiat. • Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE : 69%). • Maladie coronarienne mono tronculaire avec s/p angioplastie a. coronaire D en 2008 • HTA traitée • Hypercholestérolémie traitée • Maladie coronarienne mono tronculaire avec s/p angioplastie a. coronaire D en 2008. • HTA traitée. • Hypercholestérolémie traitée. • Maladie coronarienne monotronculaire : • Sténose excentrique de 50-70% avec rupture de plaque de l'artère interventriculaire antérieure proximale confirmée par OCT. Succès d'angioplastie de l'IVA proximale avec mise en place d'un stent actif Orsiro 3.5 x 22 mm. • Maladie coronarienne monotronculaire : • sténose 70% ACD moyenne : PCI (1DES) : bon • FEVG 25%. • Maladie coronarienne monotronculaire avec : • S/p NSTEMI sur occlusion de l'artère ventriculaire D proximale et moyenne, 06.08.2018 : coronarographie : PTCA avec pose de 2 stents DES • Lésion monotronculaire. • Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale. • Lésion non significative de l'artère circonflexe proximale. • Resténose significative de l'ostium de l'artère coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. • Absence de resténose de l'artère coronaire droite moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif. • FEVG 65% • Ventriculographie gauche : hypokinésie modérée diaphragmatique. • Maladie coronarienne monotronculaire avec : • status post infarctus non Q inféro-latéral en novembre 2002 • status post dilatation et stent sur l'artère coronaire droite • status post tachycardie ventriculaire et fibrillation auriculaire post infarctus • FEVG 65% avec légère insuffisance mitrale en novembre 2002. • Dyslipidémie traitée. • Tabagisme actif à 15 UPA. • État anxieux. • Maladie coronarienne monotronculaire avec : • STEMI antérieur sur resténose intrastent avec occlusion de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, traitée par stent in stent avec 2 DES le 21.02.2018 • Infarctus du myocarde antérieur en 2007 traité avec un DES au niveau de l'IVA moyenne (CHUV) • Dyslipidémie • Atorvastatin 40 mg 1x/j • Patient inclus dans l'étude EVOPACS • Diabète de type 2 insulino-requérant • Suspicion de gynécomastie le 14.03.2018 • Aldactone remplacé par Inspra • Maladie coronarienne monotronculaire avec : • STEMI antérieur sur resténose intrastent avec occlusion de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, traitée par stent in stent avec 2 DES le 21.02.2018 • Status post infarctus du myocarde antérieur en 2007 traité avec un DES au niveau de l'IVA moyenne (CHUV) • Dysfonction systolique modérée avec une FEVG à 35-40% • Dyslipidémie • Atorvastatin 40 mg 1x/j • Patient inclus dans l'étude EVOPACS • Diabète de type 2 insulino-requérant mal contrôlé • Hb glyquée 10.8% • Suspicion de gynécomastie le 14.03.2018 • Aldactone remplacé par Inspra • Maladie coronarienne monotronculaire avec : • STEMI antérieur sur resténose intrastent avec occlusion de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, traitée par stent in stent avec 2 DES le 21.02.2018 • Status post infarctus du myocarde antérieur en 2007 traité avec un DES au niveau de l'IVA moyenne (CHUV) • Dysfonction systolique modérée avec une FEVG à 35-40% • Dyslipidémie • Atorvastatin 40 mg 1x/j • Patient inclus dans l'étude EVOPACS • Diabète de type 2 insulino-requérant mal contrôlé • Hb glyquée 10.8% • Suspicion de gynécomastie le 14.03.2018 • Aldactone remplacé par Inspra • Maladie coronarienne monotronculaire avec NSTEMI en juillet 2016 pour occlusion de la CD proximale • Ethylisme chronique avec pancréatites aiguës en 2008 et 2011 • Troubles bipolaires • Kyste hépatique • Maladie coronarienne monotronculaire avec NSTEMI en juillet 2016 pour occlusion de la CD proximale Ethylisme chronique avec pancréatites aiguës en 2008 et 2011 Troubles bipolaires Kyste hépatique Maladie coronarienne monotronculaire, avec NSTEMI sur sténose IVA stentée le 16.02.2019 • s/p épanchement péricardique sur perforation coronarienne per coronarographie le 16.02.2019 (perforation Ellis III) • US de suivi (03.04.2019) : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction systolique légèrement diminuée. FEVG à 51 %, Aspect échographique d'un minime épanchement organisé en avant du ventricule droit Maladie coronarienne monotronculaire avec : • Occlusion chronique ACD proximale (J-score 1) : PCI (2DES) : Bon (2017) • Subocclusion ACD distale : PCI (1DES) : Bon • Fraction d’éjection VG 45 %, akinésie inférobasale Polypose familiale : • colectomie en 1983 et 1992 avec confection de J-Pouch • laparotomie exploratrice et adhésiolyse en 2000 • iléus grêle le 30.06.2016 post plusieurs laparotomies Ancienne polytoxicomanie à l'héroïne et à la cocaïne substituée par Méthadone Ethylisme chronique ancien Hépatite B et Hépatite C Probable BPCO Diabète de type 2 sans traitement (suivi à l'association du diabète par Dr. X, valeurs habituelles 10-12) Diminution de l'acuité visuelle d'origine indéterminée Maladie coronarienne monotronculaire avec status post NSTEMI sur occlusion de la coronaire D moyenne le 18.08.2018, sous Aspirine Cardio Status post-pose d'un Stent 2S au niveau RCA moyenne Lésion de moins de 50 % sur la RCA proximale FEVG initiale à 40 %, remontée au contrôle à 56 % Hyperlipidémie Status post-tabagisme à 25 UPA, maintenant stoppé Maladie coronarienne monotronculaire avec : • STEMI antérieur sur resténose intrastent avec occlusion de l'artère interventriculaire antérieure moyenne le 21.02.2018 • Infarctus du myocarde antérieur en 2007 au niveau de l'IVA moyenne (CHUV) • FEVG 55 %, hypokinésie antéro-latérale Maladie coronarienne monotronculaire avec sténose en série à 50 à 70 % de l'IVA proximale, moyenne et distale avec : • Fraction d’éjection VG 60 %. Maladie coronarienne monotronculaire avec : • Sténose significative de l'ostium de l'ACD : PTCA/1xDES • LVEDP 20 mmHg • EF 35-40 % • Coronarographie le 22.01.2019 (Dr. X) Sténose aortique sévère • Gradient VG-AO moyen 38 mmHg • Surface aortique 0.86 cm² • Finalisation bilan pré-TAVI par un angio-CT pré-TAVI, duplex-précérébrale et orthopantomogramme Hypertension artérielle traitée Insuffisance mitrale moyenne Hypertrophie ventricule gauche Dyslipidémie Carcinome de la vessie T3 N1 M0 depuis 2012 avec status post-confection d'une néo-vessie RTUV le 08.03.2019 (Dr. X) Maladie coronarienne monotronculaire avec : • Sténose 90 % de l'IVA proximale et 50 % de la première diagonale (lésion bifurcation) : PTCA/1xDES/kissing-balloon (Bon) • Fraction d’éjection VG 65 %. Maladie coronarienne monotronculaire : • Coronarographie 12/1999 (Dr. X) : discrète sclérose débutante, pas de sténose, EF 84 %. • Echographie 5/2011 (Dr. X) : pas d'hypertrophie, pas de valvulopathie relevante, EF 75 %. • Ergométrie 11/2011 (Dr. X) : doublement négatif (125W). • Ergométrie 11/2012 (Dr. X) : doublement négatif (7.1 METS). • Coronarographie élective 13.12.2018 : FEVG 70 %, sténose significative de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Sténose fonctionnellement significative. FFR = 0,63 (1,00 au repos). Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Lésion intermédiaire de la première diagonale. Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. Lésion non significative de l'ostium de l'artère marginale du bord droit. Succès d'angioplastie de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Implantation de 1 stent actif. • Coronarographie élective 17.01.2019 : Absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. Lésion intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Sténose fonctionnellement non significative. FFR = 0,86 (1,00 au repos). Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Lésion intermédiaire de la première diagonale. FEVG 78 %. • FRCV : ancien tabagisme (stop 1989), dyslipoprotéinémie, HTA, HTA, AF positive (mère, deux soeurs, un frère) Hypotonie de la vessie sur probable dénervation incomplète : • Colposuspension par TVT, cystoscopie pour incontinence type stress grade II 2/2000, révision pour difficultés mictionnelles postopératoires 6/2000 (Dr. X) • Consilium urologie 8/2000 (Dr. X) • Infections urinaires basses à répétition • Infection urinaire basse par K. pneumoniae le 19.01.2016 Migraines simples récidivantes : • IRM cérébrale mai 2013 (Dr. X) : sans particularité • CT cérébral et orbites 5/2013 (Dr. X) : sans particularité Dysthymie anxio-dépressive : • Tentamen au Sotalex 10/2009 Nodule pulmonaire de 6 mm lobe inférieur droit visualisé au scanner du 22.01.2016Décompensation migraineuse sur abus médicamenteux le 01.02.2016 Dysthymie anxio-dépressive : • Tentamen au Sotalex 10/2009 Nodule pulmonaire de 6 mm lobe inférieur droit visualisé au scanner du 22.01.2016. Maladie coronarienne monotronculaire : • coronarographie 12/1999 : discrète sclérose débutante, pas de sténose, EF 84%. • échographie 5/2011 : pas d'hypertrophie, pas de valvulopathie relevante, EF 75%. • ergométrie 11/2011 : doublement négatif (125W). • ergométrie 11/2012 : doublement négatif (7.1 METS). • coronarographie élective 13.12.2018 : FEVG 70%, sténose significative de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Sténose fonctionnellement significative. FFR = 0,63 (1,00 au repos). Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Lésion intermédiaire de la première diagonale. Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. Lésion non significative de l'ostium de l'artère marginale du bord droit. Succès d'angioplastie de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Implantation de 1 stent actif. • coronarographie élective 17.01.2019 : Absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. Lésion intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Sténose fonctionnellement non significative. FFR = 0,86 (1,00 au repos). Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Lésion intermédiaire de la première diagonale. FEVG 78%. • FRCV : ancien tabagisme (stop 1989), dyslipoprotéinémie, HTA, AF positive (mère, deux soeurs, un frère). Hypotonie de la vessie sur probable dénervation incomplète : • Colpo-suspension par TVT, cystoscopie pour incontinence de type stress grade II 2/2000, révision pour difficultés mictionnelles postopératoires 6/2000 (Dr. X). • Consilium urologie 8/2000 (Dr. X). • Infections urinaires basses à répétition. • Infection urinaire basse par K. pneumoniae le 19.01.2016. Migraines simples récidivantes : • IRM cérébrale mai 2013 : sans particularité. • CT cérébral et orbites 5/2013 : sans particularité. • Décompensation migraineuse sur abus médicamenteux le 01.02.2016. Dysthymie anxio-dépressive : • Tentamen au Sotalex 10/2009. Nodule pulmonaire de 6 mm lobe inférieur droit visualisé au scanner du 22.01.2016. Maladie coronarienne mono-tronculaire (Cx) : • Maladie coronarienne monotronculaire : • FEVG 60 %. Maladie coronarienne monotronculaire le 11.04.2019 : • Infarctus subaigu sur sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Maladie coronarienne monotronculaire : • lésion non significative du tronc commun. • longue sténose de l'artère interventriculaire antérieure moyenne et distale : PTCA/DES x3. • longue sténose de la branche diagonale : PTCA/DES. • légère hypokinésie apicale, fraction d'éjection VG 60%. Maladie coronarienne monotronculaire non significative de 1 vaisseau sous forme d'une sténose de 30% de la partie moyenne de l'artère circonflexe (coronarographie en 2009). Hypothyroïdie substituée. Probable BPCO chez ancienne tabagique à 30 UPA. Dyslipidémie traitée. Sténose de 50% de l'artère cérébrale moyenne droite avec AIT en 2017. Douleurs lombaires sur fracture pathologique D10 sur métastase osseuse. Maladie coronarienne monotronculaire non significative de 1 vaisseau sous forme d'une sténose de 30% de la partie moyenne de l'artère circonflexe (coronarographie en 2009). Probable BPCO chez ancienne tabagique à 30 UPA. Dyslipidémie traitée. Sténose de 50% de l'artère cérébrale moyenne droite avec AIT en 2017. Maladie coronarienne monotronculaire : • NSTEMI le 11.03.2018 : occlusion de la bifurcation distale RCx/MA3 : PCI (1DES). • Echocardiographie transthoracique le 12.03.2018 : FEVG conservé, légère dysfonction diastolique, pas de valvulopathie. • Facteurs de risque cardiovasculaires : ancien tabagisme, hyperlipidémie, Dm 2 NIR. • Bêtabloquant, statine, aspirine cardio. Possible hémochromatose. Asthme. Omarthrose droite. Tunnel carpien du poignet gauche. Maladie coronarienne monotronculaire : • sténose subtotale de la première marginale : PTCA/1x stent actif le 21.01.2019. • sténose significative de l'artère circonflexe distale : stent actif direct le 21.01.2019. • fraction d'éjection du ventricule gauche normale. Maladie coronarienne mono-tronculaire sur l'IVA avec : • Status post-infarctus latéral haut thrombolysé le 01.09.2005. • Status post-PTCA et stent IVA en 2005 et 2006. • Echocardiographie du 26.04.2018 : EF à 60%, insuffisance mitrale légère. • Ergométrie sur vélo du 26.04.2018 : électriquement et cliniquement négative, 110 watts (77% du seuil), 6 METS (87% du seuil). ESV monomorphes, probablement de forte incidence. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie. Pré-diabète. Diverticulose. Hyperplasie bénigne de la prostate. Lombosciatalgies récidivantes à droite. Hernie hiatale. Maladie coronarienne montronculaire avec : • Sténoses en série à 50-70% de l'IVA proximale, moyenne et distale : PTCA/4xDES (Bon). • Fraction d'éjection VG 60%. Maladie coronarienne probable : • troubles de la cinétique segmentaire latérale. Maladie coronarienne sous aspirine cardio. Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle. Incontinence urinaire depuis 2 ans, suivie chez son gynécologue. Hyperparathyroïdie primaire avec : • adénome parathyroïdien. Maladie coronarienne s/p PAC 2007 : • AMIG-IVA distale : perméable. • PV-CX (marginale) : perméable. • Occlusion chronique du tronc commun. • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite distale. • EF du VG : 50% (hypokinésie inf.). Sténose aortique sévère (AVA 0.95cm2). Maladie coronarienne très calcifiée avec : • Lésion non significative du tronc commun. • Sténose significative de la première diagonale (70-90%), petite artère. • Sténose significative de l'ACD moyenne (70-90%) : PTCA/2x stent actif : bon. • Fraction d'éjection VG normale. Anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale avec thrombus hémi-circonférentiel gauche : • mesurant 39 mm (antéro-postérieur), 40 mm (transverse), lumière résiduelle minimale de 20 x 28 mm. • débutant 26 mm sous le plan des artères rénales et s'étendant jusqu'à la bifurcation iliaque. Maladie coronarienne très calcifiée avec : • lésion non significative du tronc commun. • sténose significative de la première diagonale (70-90%), petite artère. • sténose significative de l'artère coronaire droite moyenne (70-90%) : PTCA/2x stent actif : bon. • Fraction d'éjection ventricule gauche normale. Anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale avec thrombus hémi-circonférentiel gauche : • mesurant 39 mm (antéro-postérieur), 40 mm (transverse), lumière résiduelle minimale de 20 x 28 mm. • débutant 26 mm sous le plan des artères rénales et s'étendant jusqu'à la bifurcation iliaque. Maladie coronarienne tri tronculaire avec s/p angioplastie en 1988 et s/p pontage au CHUV en 2012. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Maladie coronarienne tritronculaire. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Sténose 75% de l'ostium de l'IVA : PCI (1DES) : Bon. • Sténose 90% de l'IVA proximale : PCI (1DES) : Bon. • Occlusion chronique de la seconde diagonale : PCI (1DES) : Bon. • Occlusion fonctionnelle de la 1ère marginale : PCI (1DES) : Bon. • Fraction d'éjection VG 45%, hypokinésie sévère diaphragmatique et antéro-latérale. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Sténose 75% de l'ostium de l'IVA : PCI (1DES) : Bon. • Sténose 90% de l'IVA proximale : PCI (1DES) : Bon. • Occlusion chronique de la seconde diagonale : PCI (1DES) : Bon. • Occlusion fonctionnelle de la 1ère marginale : PCI (1DES) : Bon. • Fraction d'éjection VG 45%, hypokinésie sévère diaphragmatique et antéro-latérale.Maladie coronarienne tritronculaire : • status post angioplastie suivi de pontage aorto-coronarien en 2008. • status post angioplastie en 09/2009, FEVG 54%. Premier épisode de fibrillation auriculaire, déclenché par administration de Dobutamine. Maladie coronarienne tritronculaire : • 08.03.2019 : coronarographie : maladie tritronculaire sévère avec sténose significative du tronc commun G, sténose critique de l'IVA ainsi qu'une atteinte de l'artère coronaire D. Procédure : 20.03.2019 : triple pontage aorto-coronarien (AMIG-IVA, Vx-RVG) sous CEC de 60 min et clampage aortique de 44 min (Dr. X - CHUV). 01.04.2019 : échocardiographie : bonne fonction ventriculaire, FEVG 62 %, bonne fonction valvulaire, léger épanchement péricardique. Maladie coronarienne tritronculaire : • arrêt cardio-respiratoire sur STEMI inféro-latéral (fibrillation ventriculaire, ROSC après 35 min) le 05.09.2013. • coronarographie : occlusion aiguë de l'ostium de la 1ère marginale, traitée par PTCA avec mise en place de 2 stents actifs. Sténose subtotale de la CD moyenne : PTCA avec 1 stent actif le 24.09.2013. • TV monomorphe avec NSTEMI secondaire le 25.03.2019. • cardioversion sous sédation avec bradycardie sinusale post-cardioversion. • coronarographie : lésion intermédiaire de l'IVA proximale, absence de resténose de l'ostium de la première marginale au niveau du site d'implantation du stent actif, resténose intermédiaire de la CD droite moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif. • ETT le 26.03.2019 : fraction d'éjection VG 55 %. • pose d'un boîtier de pacemaker-défibrillateur AAI-DDD (compatible IRM 1.5T) le 28.03.2019 (Dr. X). Facteurs de risque cardiovasculaire : hypertension artérielle, dyslipidémie, tabagisme chronique. Polyarthrose (épaule, genou). Consommation d'OH à risque sur probable état dépressif réactionnel. Notion d'asthme allergique professionnel. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • coronarographie du 05.05.2015 (Dr. X) : primary stenting de l'artère mammaire interne droite (AMID) sur la coronaire droite avec un excellent résultat. • coronarographie du 03.11.14 : stent actif sur la coronaire droite distale. • coronarographie du 29.04.2014 : absence de nouvelle lésion, pontages perméables, stent de l'artère circonflexe (CX) perméable, persistance d'une sténose de la coronaire droite distale à 70-90 %. • resténose intrastent du rameau circonflexe à 70 % traitée par dilatation par ballonnets et stenting (PTCA) en septembre 2013. • status post-2 PAC (AMIG/IVA, AMID/CD) en 2006. Troubles dépressifs avec syndrome de dépendance à l'alcool et aux benzodiazépines. Diabète type 2 NIR. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • STEMI inférieur : thrombolyse et stent CD en 2002. • Coronarographie en avril 2013 : occlusion CD proximale et sténose IVA proximale. Sténose du tronc coeliaque, AMS et sténose des artères rénales ddc. Obésité. Dyslipidémie traitée. Diabète de type 2 non-insulinodépendant. Tabagisme actif. SAOS non appareillé. Occlusion de la carotide interne D, asymptomatique. Sténose serrée de l'artère sous-clavière G, asymptomatique. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Excellent résultat après PCI IVA en 02.2012. • Sténose 75 % RCx proximale : PCI (1DES) : Bon. • Bon résultat intra stent RCx. • Subocclusion RCx moyenne : PCI (1DES) : Bon. • Sténoses intermédiaires ACD proximale à moyenne. • Fraction d'éjection VG 55 %. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • excellent résultat après PCI IVA moyenne. • sténose 50-70 % RCx ostiale : PCI (1DES) : bon. • sténose de la bifurcation RCx distale/MA2 : PCI (1DES) : bon. • excellent résultat après ACD proximale et moyenne/distale. • bonne fonction VG systolique. • coronarographie et pose de stent IVA le 07.09.2018 (Dr. X). • coronarographie le 19.10.2018 (Dr. X). • coronarographie désobstruction complexe de la CTO et pose de stents ACD le 24.01.2019 (Dr. X). • coronarographie et pose de stents RCX le 12.04.2019 (Dr. X). Maladie coronarienne tritronculaire avec : • FEVG sévèrement diminuée. • s/p décomp. cardiaque sur FA rapide, insuff. mitrale sévère. • occlusion chron. ACD proximale et CX moyenne. • longue sténose sévère de l'IVA prox./moyenne : PTCA/3x stent actif. • implantation Impella 2.5 durant la procédure. • IRM cardiaque le 04.04.2019. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • STEMI inférieur subaigu sur occlusion de la coronaire droite moyenne le 15.02.2018. • Coronarographie le 15.02.2018 : occlusion de l'artère coronaire droite moyenne : thrombo-aspiration/PTCA/DES ; sténoses significatives de la coronaire droite proximale : PTCA/DES x 2. • Echocardiographie le 15.02.2018 : akinésie de la paroi inférieure moyenne et inféro-basale, hypokinésie sévère de la paroi postérieure, hypokinésie modérée du septum. FEVG à 40-45 %. • Echocardiographie le 19.02.2018 : akinésie de la paroi inférieure basale, hypokinésie inférieure, inféro-septale, inféro-latérale et septale moyenne. FEVG à 50 % (méthode de Simpson). Géométrie normale du ventricule gauche. • Coronarographie pour angioplastie de l'IVA antérieure avec PTCA/DES et de l'IVA moyenne le 13.03.2018, avec PTCA/DES. • Sténose intermédiaire de la circonflexe proximale moyenne. Hypertension artérielle traitée. Obésité stade I (BMI 30). Syndrome des apnées du sommeil appareillé. Syndrome dépressif sévère sous Brintellix. Anévrisme sacciforme de 6 mm de la portion M2 de l'artère cérébrale moyenne droite et un second anévrisme sacciforme de 5 mm du segment A3 de l'artère cérébrale antérieure gauche sans signe de rupture. Carcinome séreux papillaire de l'ovaire, stade FIGO IV, ypT3b, ypN0 (0/11), yL1, yMx : • Date du diagnostic : 28.10.2015. • Exclusion d'une mutation des gènes brca 1 et brca 2 en décembre 2016. Pose de Port-à-Cath à gauche par dénudation de la veine céphalique le 05.04.2019. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Sténose critique de l'artère interventriculaire antérieure ostiale. • Sténose significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la bissectrice (lésion de bifurcation). • Lésion significative de l'artère coronaire droite moyenne. • Succès d'angioplastie de la trifurcation (tronc commun distale, IVA ostiale, LCX ostiale, bissectrice ostiale) avec 3 stents actifs avec un bon résultat. • Fraction d'éjection VG : 50 %. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • sténose de 80 % de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. • occlusion thrombotique de la circonflexe ostiale. • sténose de la CD non dominante et aberrante (cusp gauche). • fraction d'éjection ventriculaire gauche 40 %. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • sténose de 80 % de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. • occlusion thrombotique de la circonflexe ostiale. • sténose de la CD non dominante et aberrante (cusp gauche). • fraction d'éjection ventriculaire gauche 40 %. Maladie coronarienne tritronculaire, avec : • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation). • Sténose significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale et de l'artère circonflexe proximale. • Lésion intermédiaire de l'artère coronaire droite proximale. Sténose significative de l'artère coronaire droite proximale. • Fraction d'éjection VG 65 %. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • sténose 50 % intrastent après PCI de l'IVA proximale. • sténoses sérielles 50-60 % intrastent de l'IVA moyenne. • occlusion intrastent de l'IVA distale. • subocclusion de la bissectrice. • bon résultat après PCI de la Cx proximale. • occlusion intrastent de la 1ère marginale. • EF 35-40 %, akinésie antéro-latérale. Sténose aortique modérée.gradient moyen VG-Ao à 27 mmHg, surface 1,17 cm² (0,64 cm²/m²) (ETT) Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Sténose 80% de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • Occlusion thrombotique de la circonflexe ostiale • Sténose CD non dominante et aberrante (cusp gauche) • Fraction d'éjection VG 40%. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • EF du VG sévèrement diminuée • s/p décompensation cardiaque sur FA rapide, insuffisance mitrale sévère • Occlusion chronique ACD proximale et CX moyenne • Longue sténose sévère de l'IVA prox./moyenne : PTCA/3x stent actif • Implantation Impella 2.5 durant la procédure • IRM cardiaque le 04.04.2019 Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Excellent résultat après PCI IVA moyenne et MA en 05.2018 • Excellent résultat après PCI de l'ACD ostiale en 10.2018 • Occlusion chronique (CTO) de l'ACD proximale à distale : PCI (1DES) : Bon • Resténose intrastent de l'ACD proximale à moyenne : PCI (DEB) : Bon • Fraction d'éjection VG 65%. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Excellent résultat après PCI IVA moyenne • Sténose 50-70% RCx ostiale : PCI (1DES) : Bon • Sténose de la bifurcation RCx distale/MA2 : PCI (1DES) : Bon • Excellent résultat après ACD proximale et moyenne/distale • Bonne fonction VG systolique • Coronarographie et pose de stent IVA le 07.09.2018 • Coronarographie le 19.10.2018 • Coronarographie désobstruction complexe de la CTO et pose de stents ACD le 24.01.2019 • Coronarographie et pose de stents RCX le 12.04.2019 Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Lésion 40-50% IVA • Occlusion fonctionnelle RCx de petit calibre • Sténose serrée du plaque ulcérée ACD proximale : PCI (1DES) : Bon • Bonne fonction VG systolique Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Occlusion de l'artère interventriculaire antérieure ostiale : PCI (1DES) : Bon • Longue sténose 80% IVA distale avec bridging : PTCA : Bon • Sténoses significatives RCx et ACD proximale et distale • Fraction d'éjection VG 38%, LVEDP 33 mm Hg Maladie coronarienne tritronculaire avec : • status post angioplastie suivi de pontage aorto-coronarien en 2008 • status post angioplastie en 09/2009, FEVG 54%. Premier épisode de FA, déclenché par administration de Dobutamine. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • STEMI inférieur subaigu sur occlusion de la coronaire droite moyenne le 15.02.2018 • Coronarographie le 15.02.2018 : occlusion de l'artère coronaire droite moyenne : thrombo-aspiration/PTCA/DES ; sténoses significatives de la coronaire droite proximale : PTCA/DES x 2 • Echocardiographie le 15.02.2018 : akinésie de la paroi inférieure moyenne et inféro-basale, hypokinésie sévère de la paroi postérieure, hypokinésie modérée du septum. FEVG à 40-45% • Echocardiographie le 19.02.2018 : akinésie de la paroi inférieure basale, hypokinésie inférieure, inféro-septale, inféro-latérale et septale moyenne. FEVG à 50% (méthode de Simpson). Géométrie normale du ventricule gauche. • Coronarographie pour angioplastie de l'IVA antérieure avec PTCA/DES et de l'IVA moyenne le 13.03.2018 avec PTCA/DES • Sténose intermédiaire de la circonflexe proximale moyenne Hypertension artérielle traitée Obésité stade I (BMI 30) SAOS appareillé Syndrome dépressif sévère sous Brintellix Anévrisme sacciforme de 6 mm de la portion M2 de l'artère cérébrale moyenne droite et un second anévrisme sacciforme de 5mm du segment A3 de l'artère cérébrale antérieure gauche sans signe de rupture Carcinome séreux papillaire de l'ovaire, stade FIGO IV, ypT3b, ypN0 (0/11), yL1, yMx : • Date du diagnostic : 28.10.2015 • Exclusion d'une mutation des gènes brca 1 et brca 2 en décembre 2016 Pose de Port-à-Cath à gauche par dénudation de la veine céphalique le 05.04.2019 Implantation, Portsystem links (OP am 05.04.2019) Maladie coronarienne tritronculaire avec : • STEMI inférieur subaigu sur occlusion de la coronaire droite moyenne le 15.02.2018 • Coronarographie le 15.02.2018 : occlusion de l'artère coronaire droite moyenne : thrombo-aspiration/PTCA/DES ; sténoses significatives de la coronaire droite proximale : PTCA/DES x 2 • Echocardiographie le 15.02.2018 : akinésie de la paroi inférieure moyenne et inféro-basale, hypokinésie sévère de la paroi postérieure, hypokinésie modérée du septum. FEVG à 40-45% • Echocardiographie le 19.02.2018 : akinésie de la paroi inférieure basale, hypokinésie inférieure, inféro-septale, inféro-latérale et septale moyenne. FEVG à 50% (méthode de Simpson). Géométrie normale du ventricule gauche. • Coronarographie pour angioplastie de l'IVA antérieure avec PTCA/DES et de l'IVA moyenne le 13.03.2018 avec PTCA/DES • Sténose intermédiaire de la circonflexe proximale moyenne Hypertension artérielle traitée Obésité stade I (BMI 30) SAOS appareillé Syndrome dépressif sévère sous Brintellix Anévrisme sacciforme de 6 mm de la portion M2 de l'artère cérébrale moyenne droite et un second anévrisme sacciforme de 5mm du segment A3 de l'artère cérébrale antérieure gauche sans signe de rupture Carcinome séreux papillaire de l'ovaire, stade FIGO IV, ypT3b, ypN0 (0/11), yL1, yMx : • Date du diagnostic : 28.10.2015 • Exclusion d'une mutation des gènes brca 1 et brca 2 en décembre 2016 Pose de Port-à-Cath à gauche par dénudation de la veine céphalique le 05.04.2019 Implantation, Portsystem links (OP am 05.04.2019) Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Sténose intermédiaire IVA proximale. • Subocclusion d'une artère bissectrice (ISR, mal expansion intrastent) : PCI (1DES). • Sténoses 70% artère coronaire droite proximale (ISR) et moyenne (calcifiée). • Fraction d'éjection ventricule gauche 70%. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Sténose intermédiaire IVA proximale. • Subocclusion d'une artère bissectrice (ISR, mal expansion intrastent) : PCI (1DES). • Sténoses 70% artère coronaire droite proximale (ISR) et moyenne (calcifiée). • Fraction d'éjection ventricule gauche 70%. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Sténose intermédiaire IVA proximale. • Subocclusion d'une artère bissectrice (ISR, mal expansion intrastent) : PCI (1DES). • Sténoses 70% artère coronaire droite proximale (ISR) et moyenne (calcifiée). • Fraction d'éjection ventricule gauche 70%. Maladie coronarienne tritronculaire • PCI/1 DES CX moyenne et PCI/1 DES 1ère marginale CX : Résultat satisfaisant à long terme • PCI/1 DES d'une sténose subtotale de l'IVA proximale : bon résultat. Maladie coronarienne tritronculaire • PCI/1 DES CX moyenne et PCI/1 DES 1ère marginale CX : Résultat satisfaisant à long terme • PCI/1 DES d'une sténose subtotale de l'IVA proximale : bon résultat. Maladie coronarienne tritronculaire • quadruple pontage aorto-coronarien le 05.01.2012 • fonction systolique globale et régionale du ventricule gauche conservée (FE : 65%) en 2013 Maladie coronarienne tritronculaire sévère • Sténose 90% de l'IVA proximale • Cx : lésions non-significatives (30-50%) • Occlusion chronique de la coronaire droite • s/p STEMI inférieur le 2002 • FEVG 45%, dysfonction diastolique sévère • ETT le 07.02.2019 : Diminution de la FEVG par rapport à l'ETT de stress pré-opératoire du 08.01.2019 avec troubles de la cinétique segmentaire nouveaux dans le territoire de l'IVA • Pontage aorto-coronarien avec revascularisation veineuse de la RIVP et une LIMA libre comme T-graft de la veine proximale de la RIVA le 25.02.19 (Inselspital) (Dr. X). • Holter 13.03.19 : pas de fibrillation auriculaire. Maladie coronarienne tritronculaire s/p multiples PTCA et stenting avec : • FEVG 55% le 09.12.2017 • Hypokinésie inféro-basale • Coronarographie le 01.06.2017 : NSTEMI sur subocclusion de la circonflexe moyenne avec PTCA et implantation d'un stent actif de la circonflexe moyenne Coronarographie le 01.09.2017: NSTEMI sur resténose précoce à 80% de la circonflexe proximale avec PTCA et ballon à élution Coronarographie le 09.12.2017: NSTEMI sur resténose à 90-99% intrastent de la circonflexe proximale avec dilatation et mise en place de 2 stents actifs Coronarographie le 29.10.2018 (Dr. X) : STEMI antéro-latéral sur resténose thrombotique de la Cx avec: resténose subtotale, thrombotique du segment stenté de l'artère circonflexe et une progression de la maladie coronarienne dans la partie distale de la CX. PTCA et stenting niveau du la CX. Sténose de la diagonale et interventriculaire antérieure distale. Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale (collât. Rentrop III) Maladie coronarienne tritronculaire s/p multiples PTCA et stenting avec: • FEVG 55% le 09.12.2017 • Hypokinésie inféro-basale • FRCV: diabète non insulino-requérant, dyslipidémie, obésité sévère de stade II (BMI à 36.98 kg/m2) • Coronarographie le 01.06.2017: NSTEMI sur subocclusion de la circonflexe moyenne avec PTCA et implantation d'un stent actif de la circonflexe moyenne Maladie coronarienne tritronculaire, s/p NSTEMI inférieur 17.02.2019 avec: • Bon résultat après PCI de la coronaire droite moyenne • Bon résultat après PCI de la bifurcation IVA/DA1 et de l'IVA moyenne • Sténose 70% de l'artère circonflexe proximale et 30% de l'ostium de l'IVA (lésion Bifurcation du TC): PTCA/kissing-balloon/2xDES (bon résultat) • FEVG 55-60%, hypokinésie postéorbasale. Maladie coronarienne tritronculaire, s/p NSTEMI 2008: • de novo sténoses IVA proximale et moyenne • de novo sténoses RCX moyenne et distale : PTCA/DES • de novo sténose CD proximale : PTCA/DES • bon résultat à long terme après stenting de la CD moyenne 2008 • fonction systolique du VG normale Maladie coronarienne tritronculaire • s/p quadruple pontage en 2012 • Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE: 65%) (2013) Maladie coronarienne tritronculaire, s/p STEMI antérieur aigu le 27.08.2018: • Bon résultat après PCI (1xDES) de l'IVA proximale • Sténose 70% RCx proximale : direct stenting (1xDES) : Bon • Occlusion ACD proximale à distale (J-score 3 avec occlusion de 6.7cm) • EF 50% Maladie coronarienne tritronculaire • sp TV monomorphe avec NSTEMI secondaire le 25.03.2019 • cardioversion sous sédation avec bradycardie sinusale post-cardioversion • coro: lésion intermédiaire de l'IVA proximale, absence de resténose de l'ostium de la première marginale au niveau du site d'implantation du stent actif, resténose intermédiaire de la CD droite moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif • ETT le 26.03.2019 : fraction d'éjection VG 55% • pose d'un boîtier de pacemaker-défibrillateur AAI-DDD (compatible IRM 1.5T) le 28.03.2019 (Dr. X) Maladie coronarienne tritronculaire, status post-triple PAC 2001 • Occlusion de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale • Absence de resténose de l'ostium de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif (2016) • Occlusion chronique de l'ostium de la seconde marginale • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale • AMIG-IVA, AMID-LCX : perméable • Pontage saphène-ACD 90% : implantation de 1 stent actif 27.08.2018 • Fraction d'éjection VG normale Ancien tabagisme chronique à environ 40 UPA, stoppé en 2016 Bigéminisme ventriculaire (type retard droit) Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Lichen plan diagnostiqué en octobre 2017, en amélioration sous traitement topique Polyneuropathie sensitivomotrice longueur dépendante à prédominance myélinique d'origine indéterminée • Diagnostic différentiel : toxique, post-chimiothérapie sur ajouté, diabétique Maladie coronarienne tritronculaire • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) • Sténose significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale et de l'artère circonflexe proximale • Lésion intermédiaire de l'artère coronaire droite proximale. Sténose significative de l'artère coronaire droite proximale • Fraction d'éjection VG 65%. Maladie coronarienne tritronculaire • Sténose subocclusive de l'artère circonflexe proximale à moyenne • Sténose significative de l'artère coronaire droite distal • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieur et de la première diagonale • Hypokinésie postéro-basale et latérale. • Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservée (FEVG à 68%). Maladie coronarienne tritronculaire • Sténose subocclusive de l'artère circonflexe proximale à moyenne • Sténose significative de l'artère coronaire droite distal • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieur et de la première diagonale • Hypokinésie postéro-basale et latérale • Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservée (FEVG à 68%) Maladie coronarienne tritronculaire • sténose subtotale de la coronaire droite • sténose 90% de la circonflexe proximale, PTCA le 15.06.2014 • sténose 50-70% de l'IVA proximale, moyenne et D1 • FEVG : 62 % Diabète mellitus inaugural • HbA1c 7,9 % le 15.06.2014 Mise en place d'un traitement en ambulatoire État dépressif Maladie coronarienne tritronculaire • Sténose subtotale de la coronaire droite • Sténose 90% de la circonflexe proximale, PTCA le 15.06.2014 • Sténose 50-70% de l'IVA proximale, moyenne et D1 • FEVG : 62 % Diabète mellitus non insulino-requérant depuis 2014 État dépressif chronique Maladie coronarienne tritronculaire • sténose subtotale de la coronaire droite • sténose 90% de la circonflexe proximale, PTCA le 15.06.2014 • sténose 50-70% de l'IVA proximale, moyenne et D1 • FEVG : 62 % Diabète sucré depuis 2014 État dépressif Maladie coronarienne tritronculaire traitée par quadruple pontage aorto-coronarien (AMIG/diagonale et IVA en séquentiel, AMID/2e marginale et IVP) le 31.10.2017 par le Dr. X. • Coronarographie du 14.09.2017 : maladie coronarienne tritronculaire avec une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, de la première diagonale, de l'artère circonflexe moyenne, de la première marginale, de l'ostium de la seconde marginale, de l'artère coronaire droite proximale, de l'artère coronaire droite moyenne et de l'artère rétro ventriculaire postérieure. FEVG à 65%.• Echocardiographie du 09.11.2017 : VG non dilaté, non hypertrophié, de fonction systolique normale, FEVG calculée à 63 %, sans anomalie de la cinétique segmentaire détectable, sauf un mouvement paradoxal du septum en post-opératoire. Relaxation retardée. Dysfonction diastolique de grade I. OG de volume normal. Valve aortique tricuspide, discrètement sclérosée, sans sténose significative, avec une légère insuffisance. • Valve mitrale sclérosée, avec une légère insuffisance. VD non dilaté, de fonction globale conservée. Valve tricuspide d'aspect normal, avec minime insuffisance. VCI non dilatée avec bonne fluctuation respiratoire. HP peu probable mesurée à ~ 25 mmHg. Absence d'épanchement péricardique ou d'hématome localisé. Racine de l'aorte de taille normale. Probable anévrisme du septum interauriculaire sans foramen ovale perméable détectable par Doppler couleur. Valve pulmonaire d'aspect normal, avec légère insuffisance. • AOMI avec : • status post stenting de l'artère fémorale superficielle gauche en avril 2012. • status post stenting de l'artère fémorale superficielle droite en juillet 2012. • Lymphoedème important bilatéral à droite plus qu'à gauche, status post cure de varices bilatérales prédominant à gauche en 1999. • Hernie hiatale (oeso-gastroscopie en juillet 2008). • Syndromes lombo-vertébraux récidivants. • Maladie coronarienne tritronculaire : • Triple OPAC 2015 et remplacement valvulaire aortique. • Excellent résultat à long terme après PCI /DES IVA proximale pour rétention et après PCI/DES 2. diagonale Juin 2018. • Occlusion chronique IVA distale. • AMIG-IVA perméable. • PV-2. Marginale : perméable. • PV- ACD : occlus. • Sténose significative CD moyenne, distale et RIVP : PTCA/DES x3. • Légère dysfonction ventriculaire gauche avec hypokinésie apicale, Fraction d’éjection 50 %. • Bon fonctionnement de la valve bioprothétique Magna Ease 25 mm. • Hypertension artérielle. • Dyslipidémie. • Diabète de type 2 insulino-dépendant. • Bradycardie sinusale depuis 2015. • Lésion du nerf ulnaire droit au poignet. • Atrophie cérébrale diffuse marquée et leucoencéphalopathie vasculaire, aphakie de l'œil gauche (IRM 19.12.2017). • Hyperplasie de la prostate avec SV à demeure depuis octobre 2017 (suivi Dr. X). • Atteinte sensitivomotrice et douleurs dans les jambes (D > G) avec : • Sténose du canal rachidien (DD s.p. post recalibrage). • Décompression d'un canal lombaire étroit L3-L4, L4-L5, ablation de kyste ligamenteux à droite au niveau L4-L5, herniectomie L3-L4 à droite, insertion d'un système inter-spinal PAD L4-L5 en 2016. • Actuellement sous Pregabaline et MST. • Cholécystite lithiasique aiguë le 10.03.2019 avec : • Antibiothérapie par Rocéphine et Metronidazole en intraveineux du 10 au 15.03.2019, avec un relais par Ciproxin et Flagyl par voie orale le 16.03.2019 jusqu'au 24.03.2019. • Drainage de la vésicule biliaire sous contrôle CT le 12.03.2019, cholangiographie prévue le drain le 03.04.2019. • Opération prévue le 20.05.2019. • Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Subocclusion IVA ostiale à moyenne : PCI (2 DES) : Bon. • Sténose 80 % IVA distale : PCI (1 DES) : Bon. • Sténose 80 % RCx distale : PCI (1 DES). Bon. • Sténose 70 % bifurcation distale de l'ACD. • Fraction d’éjection VG 48 %. • Ostéoporose avec fracture L2 le 30.12.2016 : • Calcium, Vit D, Biphosphonate. • Coxarthrose droite avec dysplasie Lynch et possible nécrose aseptique séquellaire. • Gonarthrose bilatérale. • Cataracte bilatérale. • Troubles dépressifs récurrents sous SSRI. • Patiente porteuse d'une sonde urinaire à demeure et sonde double J. • AVC pariéto-occipital droit subaigu à chronique le 04.02.2019 d'origine cardio-embolique suspectée (FEVG 20-25 % avec akinésie du septum moyen, du septum basal, de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale).Pas d'anticoagulation en l'état actuel des choses (HDH), à rediscuter à distance Diabète de type 2 insulino-requérant • HbA1c le 13.01.2019 : 8,1 % • Glycémies 4x/jour • Traité par Insulatard et schéma préprandial de Novorapide • Glycémies toujours trop hautes Ostéoporose avec fracture L2 le 30.12.2016 • Calcium, Vit D, Biphosphonate Anémie normocytaire hypochrome chronique avec : • bilan réalisé pendant dernière hospitalisation le 13.01.2019 • Ferinject les 16 et 17.01.2019 • contexte d'hémorragie digestive haute le 07.02.2019 • actuellement Hb 110 g/L Coxarthrose droite avec dysplasie Lynch et possible nécrose aseptique séquellaire Gonarthrose bilatérale Cataracte bilatérale Troubles dépressifs récurrents sous SSRI Maladie coronarienne tritronculaire avec : • 4xPAC 14.7.2011 • AMIG-IVA : perméable ; PV-LCX/1.DA et PV-IVP : perméable • ACD prox. : 70-90 % : stent actif • ACD distal (PLA) : 70-90 % : stent actif • Occlusion chronique de l'IVA proximale. Occlusion chronique de l'artère circonflexe proximale. • Coronarographie le 22.03.2018 : pose de 2 stents au niveau de l'artère coronaire D • ETT 19.03.2018 : Dilatation modérée à sévère du ventricule gauche, sans hypertrophie avec un asynchronisme lié au BBG, une akinésie de la paroi antéro-septale et une hypokinésie des autres segments. FEVG à 32 % (méthode de Simpson). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Augmentation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. • ETT le 07.02.2019 : FEVG à 20-25 % Mr. Y est porteuse d'une sonde urinaire à demeure et sonde double J AVC pariéto-occipital droit subaigu à chronique le 04.02.2019 d'origine cardio-embolique suspectée (FEVG 20-25 % avec akinésie du septum moyen, du septum basal, de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale) Pas d'anticoagulation en l'état actuel des choses (HDH), à rediscuter à distance Diabète de type 2 insulino-requérant • HbA1c le 13.01.2019 : 8,1 % • Glycémies 4x/jour • Traité par Insulatard et schéma préprandial de Novorapide • Glycémies toujours trop hautes Ostéoporose avec fracture L2 le 30.12.2016 • Calcium, Vit D, Biphosphonate Anémie normocytaire hypochrome chronique avec : • bilan réalisé pendant dernière hospitalisation le 13.01.2019 • Ferinject les 16 et 17.01.2019 • contexte d'hémorragie digestive haute le 07.02.2019 • actuellement Hb 110 g/L Coxarthrose droite avec dysplasie Lynch et possible nécrose aseptique séquellaire Gonarthrose bilatérale Cataracte bilatérale Troubles dépressifs récurrents sous SSRI Maladie coronarienne tritronculaire, status post-triple PAC 2001 • Occlusion de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale • Absence de resténose de l'ostium de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif (2016) • Occlusion chronique de l'ostium de la seconde marginale • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale • AMIG-IVA, AMID-LCX : perméable • Pontage saphène-ACD 90 % : Implantation de 1 stent actif 27.08.2018 • Fraction d'éjection VG normale Agranulocytose fébrile d'origine indéterminée le 28.12.2018 Agranulocytose fébrile à point de départ pulmonaire le 08.08.2018 Ancien tabagisme chronique à environ 40 UPA, stoppé en 2016 Bigéminisme ventriculaire (type retard droit) Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Lichen plan diagnostiqué en octobre 2017, en amélioration sous traitement topique Polyneuropathie sensitivomotrice longueur dépendante à prédominance myélinique d'origine indéterminée • Diagnostic différentiel : toxique, post-chimiothérapie surajouté, diabétique Maladie coronarienne tritronculaire, status post-triple PAC 2001 • Occlusion de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale • Absence de resténose de l'ostium de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif (2016) • Occlusion chronique de l'ostium de la seconde marginale • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale • AMIG-IVA, AMID-LCX : perméable • Pontage saphène-ACD 90 % : Implantation de 1 stent actif 27.08.2018 • Fraction d'éjection VG normale Agranulocytose fébrile d'origine indéterminée le 28.12.2018 Agranulocytose fébrile à point de départ pulmonaire le 08.08.2018 Ancien tabagisme chronique à environ 40 UPA, stoppé en 2016 Bigéminisme ventriculaire (type retard droit) Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Lichen plan diagnostiqué en octobre 2017, en amélioration sous traitement topique Polyneuropathie sensitivomotrice longueur dépendante à prédominance myélinique d'origine indéterminée • Diagnostic différentiel : toxique, post-chimiothérapie surajouté, diabétique Maladie d'Alzheimer. Maladie d'Alzheimer (MMS à 20/30 le 11.06.2013). État anxieux chronique. Ostéoporose. Polymyalgie rhumatica sous corticothérapie et Méthotrexate depuis 2005. Hypertension artérielle. Lombalgies chroniques non déficitaires acutisées sur canal lombaire étroit. Infections urinaires basses à répétition. Maladie d'Alzheimer. Dépression. Syndrome de Diogène. Maladie de Barlow (prolapsus mitral) avec épisodes d'extrasystolies, traité un temps par Indéral qu'elle a mal supporté. Dyslipidémie sous Ezetrol. Colon irritable. Maladie de Basedow, traitée par Néomercazole et Indéral. Pas d'autre médication régulière Maladie de Basedow traitée par Neo-Mercazole Gastrite antrale sous Pantozol Maladie de Basedow traitée par Neo-Mercazole. Gastrite antrale sous Pantozol. Maladie de Bechterew. Maladie de Berger connue avec suivi néphrologique chez Dr. X. Maladie de Charcot prédominant au MID Maladie de Charcot prédominant au MID Maladie de Crohn. Maladie de Crohn avec : • premier diagnostic en 1994 avec une poussée de la maladie le 17.07.2017 • status post-résection iléo-caecale avec anastomose iléo-colique manuelle, ligature des fistules iléo-sigmoïdiennes le 07.12.2017 par Dr. X. Maladie de Crohn avec : • premier diagnostic en 1994 avec une poussée de la maladie le 17.07.2017 • status post-résection iléo-caecale avec anastomose iléo-colique manuelle, ligature des fistules iléo-sigmoïdiennes le 07.12.2017 par Dr. X. Maladie de Crohn avec : • Status post-hémicolectomie gauche le 18.10.2011 à l'Hôpital Daler pour diverticulite chronique. • Status post-lâchage d'anastomose avec péritonite et colostomie terminale selon Hartmann le 22.10.2011 (Hôpital Daler). • Status post-abcès en fosse iliaque gauche avec péritonite stercorale sur lâchage d'anastomose avec révision de la colostomie et re-fixation de la peau le 11.11.2011. • Status post-fistule colo-cutanée du moignon du côlon descendant le 09.01.2012. • Status post-colectomie totale et iléostomie terminale le 23.05.2012. Embolies pulmonaires bi-basales en 2011 : • Status post-thrombose veineuse profonde en 1995. • Sous Xarelto 10 mg/j, stoppé par son propre chef. Coronaropathie monotronculaire avec lésion intermédiaire de l'artère intraventriculaire antérieure moyenne (50-705) le 12.04.2018. • Sous Aspirine 100 mg/j Maladie de Crohn avec fistule anale ouverte (depuis 2004) • stomie abdominale post-op (Tiffeneau, 2012). Obésité Hypertension artérielle. Maladie de Crohn avec : • Status post-colectomie totale et iléostomie terminale le 23.05.2012 Embolies pulmonaires bi-basales en 2011 : • Status post-thrombose veineuse profonde en 1995 • Sous Xarelto 10 mg/j Coronaropathie monotronculaire avec lésion intermédiaire de l'artère intraventriculaire antérieure moyenne (50-705) le 12.04.2018 • Sous Aspirine 100 mg/j Maladie de Crohn diagnostiquée en 1988 (Dr. X) • résection iléo-caecale pour sténose inflammatoire en 1997 (Dr. X) • sigmoïdectomie élargie, résection segmentaire colique transverse pour sténose, agrafage du moignon rectal, anastomose transverso-transverse, colostomie trans-rectale gauche terminale pour perforation colique de l'angle splénique lors d'une colonoscopie en 2002 (Dr. X, HFR) • rétablissement de la continuité intestinale, anastomose descendo-rectale termino-terminale le 17.06.2003 (Dr. X, HFR) • abcès péri-anaux en 2005 et 2009 • fistule anale en 2006 • complément de procto-colectomie en totalité avec confection d'une iléostomie terminale en fosse iliaque droite le 08.02.2007 (Dr. X, HUG) • résection grêle et stricturo-plastie pour iléus chronique et fistule iléo-anale le 14.02.2011, avec maintien d'environ 1.4 m d'intestin grêle (Dr. X, Daler) • reprise de laparotomie et réfection de la stricturo-plastie pour saignement post-opératoire le 16.02.2011 • iléus en 2013 et 2014 • traitement par Azathioprine de 1996 à 2007, Infliximab de 2005-2007, stéroïdes oraux, Cimzia 2008, Humira puis Modulène IBD en 2014 • poussée le 10.09.2016 avec hospitalisation au CHUV du 10.09 au 20.09.2016 puis au HFR du 20.09 au 03.10.2016 : • mise en évidence d'une collection intra-abdominale de 16 mm, accolée à la paroi abdominale antérieure gauche associée à une infiltration de la musculature avec suspicion de fistule et de sténose inflammatoire • consilium de chirurgie le 27.09.2016, Dr. X : agrandissement de l'orifice de la fistule par une incision. Soins locaux avec rinçage à l'aiguille boutonnée • Pipéracilline-tazobactam du 10.09 au 24.09.2016 • traitement par méthotrexate 1 x/semaine et Vedolizumab depuis le 29.09.2016, Prednisone en schéma dégressif. Prophylaxie par Bactrim 3 x/semaine • test au Quantiféron-TB le 22.09.2016 : <0.4 IU/ml (N<0.4 IU/ml) • actuellement (mai 2017) : Prednisone 5 mg/jour. • suivi gastro-entérologique : Dr. X, Dr. X, Dr. X. Complications : • anémie chronique • ostéoporose • dénutrition sévère avec Nadir à 41 kg en 2009. • Maladie de Crohn • sous Humira 40 mg/0,4 ml 1x/2semaine depuis env 2016 • suivi à Berne • Maladie de Crohn suivi. • Maladie de Dupuytren de la main droite Status post cure de cataracte de l'oeil gauche en juillet 2017 Status post cure d'hernie ombilicale en 2016, actuellement avec récidive supra-ombilicale Status post chirurgie d'un décollement de la rétine de l'oeil gauche en 2014 Status post arthroscopie du genou droit en 2009 Status post chirurgie du genou gauche en 2016 pour ostéotomie de valgisation avec ablation du matériel opératoire en 2007 Ancien tabagisme stoppé vers les années 2000 estimé à 30 UPA • Maladie de Dupuytren dig. IV, main G, stade I selon la classification de Tubiana. Status post refixation de la plaque palmaire par ancre Mitek le 10.09.2018 sur luxation de l'IP D1 main G. Status post arthrite septique de l'IPP D4 main G avec phlegmon fléchisseur et lésion traumatique de la bandelette centrale sur accident du 06.09.2016. • Arthrotomie de l'IPP D4 main G par voie d'abord dorsal para-tendineux radial, prélèvement de biopsie pour microbiologie, révision gaine des fléchisseurs et dissection poulie A1 le 10.09.2016. • 2nd look, réinsertion bandelette centrale le 12.09.2016. • Maladie de Freiberg du 3ème rayon pied D. • Maladie de Hashimoto : Euthyrox 100/75 mcg en alternance • Maladie de Hashimoto : Euthyrox 100/75 mcg en alternance • Maladie de Hodgkin classique, médiastinale bulky stade IIB • date du diagnostic : 20.10.2006 • histologie (Promed P4935.06) : lymphome de Hodgkin classique (soit sous-type scléro-nodulaire de grade 1 avec peu de fibrose, soit sous-type riche en lymphocytes) • CT cérébro-thoraco-abdomino-pelvien du 27.09.2006 : épanchement péricardique. Conglomérats ganglionnaires médiastinaux moyens contigus s'étendant dans tout le médiastin moyen. Hépatomégalie • status post thoracotomie droite avec biopsies ganglionnaires hilaire droite et médiastinale postérieure le 17.10.2006 • absence d'infiltration à la ponction-biopsie de moelle osseuse (cytogénétique médullaire : caryotype normal, 45, XY) du 20.11.2006 • PET-CT du 14.11.2006 : multiples hypercaptations basi-cervicales bilatérales et médiastinales • status post 6 cures de chimiothérapie type ABVD (12x) du 20.11.2006 au 24.04.2007 • rémission complète au PET-CT du 15.05.2007 • status post radiothérapie du médiastin et de la région sus-claviculaire bilatérale 30Gy du 11.06 au 12.07.2007 • récidive avec apparition d'adénopathies sus-claviculaires gauches, dorsales droites, 11.2018 • pathologie (Promed P2018.12951) : exérèse ganglionnaire sus-claviculaire gauche et dorsale droite du 12.11.2018 : lymphome de Hodgkin classique, variante riche en lymphocytes, compatible avec une récidive du lymphome de Hodgkin connu, diagnostiqué en 2006. Infection par EBV. Pas de sclérose. Relecture de pathologie Hôpital Universitaire de Bâle (K2018.1835) : lymphome de Hodgkin classique riche en lymphocytes associé à EBV (Dr. X) • ponction-biopsie de moelle osseuse du 27.11.2018 : médullogramme avec moelle hypocellulaire, trilinéaire, sans signes de dysplasie significatifs dans les trois lignées ni infiltration lymphocytaire. Pathologie (Promed P2018.13671) : tissu hématopoïétique légèrement hyper-cellulaire avec modification réactive non spécifique. Moelle osseuse réactionnelle, sans évidence d'une infiltration par un lymphome • PET-CT du 21.11.2018 : status après exérèse d'un ganglion sus-claviculaire gauche et dorsal droite. Deux petites captations ganglionnaires axillaires suspectes de traduire une récidive du lymphome. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de malignité • laboratoire du 21.11.2018 : VS 2 mm/1h, ß-2-microglobuline 1,7 mg/l, CMV IgG <5 U/ml, IgM 14 U/ml, EBV VCA IgG 276 U/ml, IgM 10,2 U/ml, EBNA-1 IgG <3 U/ml, sérologie hépatite A avec infection guérie ou status post-vaccination, hépatite B, C et HIV négatives • fonctions pulmonaires complètes du 26.11.2018 : absence de troubles ventilatoires obstructifs et restrictifs. Absence d'air-trapping statique et dynamique. La capacité de diffusion du CO est dans la norme • échocardiographie transthoracique du 27.11.2018 : examen dans les limites de la norme hormis des insuffisances mitrales et aortiques minimes. Contrôle par échocardiographie dans 2-3 ans recommandé • avis Dr. X (Hôpital de Cologne) : proposition d'une chimiothérapie de rattrapage/rechute 2 cycles puis transplantation de cellules souches autologues • status post-2 cycles de chimiothérapie de rattrapage de type ESAP du 17.12.2018 au 18.01.2019 avec réponse complète au PET-CT du 28.01.2019 (score Deauville I) • traitement de mobilisation des cellules souches depuis le 06.02.2019 • aphérèse le 13.02.2019 • chimiothérapie à haute dose avec le schéma brentuximab-BeEAM du 20.02 au 27.02.2019 • transplantation de cellules souches autologues le 28.02.2019• status post thoracotomie droite avec biopsies ganglionnaires hilaire droite et médiastinale postérieure le 17.10.2006 • absence d'infiltration à la ponction-biopsie de moelle osseuse (cytogénétique médullaire : caryotype normal, 45, XY) du 20.11.2006 • PET-CT du 14.11.2006 : multiples hypercaptations basi-cervicales bilatérales et médiastinales • status post 6 cures de chimiothérapie type ABVD (12x) du 20.11.2006 au 24.04.2007 • rémission complète au PET-CT du 15.05.2007 • status post radiothérapie du médiastin et de la région sus-claviculaire bilatérale 30Gy du 11.06 au 12.07.2007 • récidive avec apparition d'adénopathies sus-claviculaires gauches, dorsales droites, 11.2018 • pathologie (Promed P2018.12951) : exérèse ganglionnaire sus-claviculaire gauche et dorsale droite du 12.11.2018 : lymphome de Hodgkin classique, variante riche en lymphocytes, compatible avec une récidive du lymphome de Hodgkin connu, diagnostiqué en 2006. Infection par EBV. Pas de sclérose. Relecture de pathologie Hôpital Universitaire de Bâle (K2018.1835) : lymphome de Hodgkin classique riche en lymphocytes associé à EBV (Professeur Dirnhofer) • ponction-biopsie de moelle osseuse du 27.11.2018 : médullogramme avec moelle hypocellulaire, trilinéaire, sans signes de dysplasie significatifs dans les trois lignées ni infiltration lymphocytaire. Pathologie (Promed P2018.13671) : tissu hématopoïétique légèrement hyper-cellulaire avec modification réactive non spécifique. Moelle osseuse réactionnelle, sans évidence d'une infiltration par un lymphome • PET-CT du 21.11.2018 : status après exérèse d'un ganglion susclaviculaire gauche et dorsal droite. Deux petites captations ganglionnaires axillaires suspectes de traduire une récidive du lymphome. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de malignité • laboratoire du 21.11.2018 : VS 2 mm/1h, ß-2-microglobuline 1,7 mg/l, CMV IgG <5 U/ml, IgM 14 U/ml, EBV VCA IgG 276 U/ml, IgM 10,2 U/ml, EBNA-1 IgG <3 U/ml, sérologie hépatite A avec infection guérie ou status post-vaccination, hépatite B, C et HIV négatives • fonctions pulmonaires complètes du 26.11.2018 : absence de troubles ventilatoires obstructifs et restrictifs. Absence d'air-trapping statique et dynamique. La capacité de diffusion du CO est dans la norme. • échocardiographie transthoracique du 27.11.2018 : examen dans les limites de la norme hormis des insuffisances mitrales et aortiques minimes. Contrôle par échocardiographie dans 2-3 ans recommandé • avis Professeur Borchmann (Hôpital de Cologne) : proposition d'une chimiothérapie de rattrapage/rechute 2 cycles puis transplantation de cellules souches autologiques • actuellement : chimiothérapie de type ESAP 2 cycles puis nouveau PET-CT puis transplantation de cellules souches autologues (prévue le 20.02.2019) avec chimiothérapie à haute dose à l'Inselspital à Berne. • PET-CT post-2ème cycle le 28.01.2019 à 10h10 RDV chez oncologue traitant le 30.01.2019 à 15h30 Transplantation de cellules souches autologues, Inselspital, suite aux 2 cycles de chimiothérapie. • Stimulation de la moelle osseuse le 06.02.2019 • Prélèvement des cellules souches du sang le 13.02.2019 • Transplantation de cellules souches autologues prévue le 20.02.2019 Hernie hiatale. Hémorroïdes internes stade I. Migraines. Tachycardie supra-ventriculaire sous bilol. Antécédent de cupulolithiase. • maladie de Hodgkin classique, médiastinale bulky stade IIB • date du diagnostic : 20.10.2006 • histologie (Promed P4935.06) : lymphome de Hodgkin classique (soit sous-type scléro-nodulaire de grade 1 avec peu de fibrose, soit sous-type riche en lymphocytes) • CT cérébro-thoraco-abdomino-pelvien du 27.09.2006 : épanchement péricardique. Conglomérats ganglionnaires médiastinaux moyens contigus s'étendant dans tout le médiastin moyen. Hépatomégalie • status post thoracotomie droite avec biopsies ganglionnaires hilaire droite et médiastinale postérieure le 17.10.2006 • absence d'infiltration à la ponction-biopsie de moelle osseuse (cytogénétique médullaire : caryotype normal, 45, XY) du 20.11.2006• PET-CT du 14.11.2006 : multiples hypercaptations basi-cervicales bilatérales et médiastinales • status post 6 cures de chimiothérapie type ABVD (12x) du 20.11.2006 au 24.04.2007 • rémission complète au PET-CT du 15.05.2007 • status post radiothérapie du médiastin et de la région sus-claviculaire bilatérale 30Gy du 11.06 au 12.07.2007 • récidive avec apparition d'adénopathies sus-claviculaires gauches, dorsales droites, 11.2018 • pathologie (Promed P2018.12951) : exérèse ganglionnaire sus-claviculaire gauche et dorsale droite du 12.11.2018 : lymphome de Hodgkin classique, variante riche en lymphocytes, compatible avec une récidive du lymphome de Hodgkin connu, diagnostiqué en 2006. Infection par EBV. Pas de sclérose. Relecture de pathologie Hôpital Universitaire de Bâle (K2018.1835) : lymphome de Hodgkin classique riche en lymphocytes associé à EBV (Professeur Dirnhofer) • ponction-biopsie de moelle osseuse du 27.11.2018 : médullogramme avec moelle hypocellulaire, trilinéaire, sans signes de dysplasie significatifs dans les trois lignées ni infiltration lymphocytaire. Pathologie (Promed P2018.13671) : tissu hématopoïétique légèrement hyper-cellulaire avec modification réactive non spécifique. Moelle osseuse réactionnelle, sans évidence d'une infiltration par un lymphome • PET-CT du 21.11.2018 : status après exérèse d'un ganglion susclaviculaire gauche et dorsal droite. Deux petites captations ganglionnaires axillaires suspectes de traduire une récidive du lymphome. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de malignité • laboratoire du 21.11.2018 : VS 2 mm/1h, ß-2-microglobuline 1,7 mg/l, CMV IgG <5 U/ml, IgM 14 U/ml, EBV VCA IgG 276 U/ml, IgM 10,2 U/ml, EBNA-1 IgG <3 U/ml, sérologie hépatite A avec infection guérie ou status post-vaccination, hépatite B, C et HIV négatives • fonctions pulmonaires complètes du 26.11.2018 : absence de troubles ventilatoires obstructifs et restrictifs. Absence d'air-trapping statique et dynamique. La capacité de diffusion du CO est dans la norme. • échocardiographie transthoracique du 27.11.2018 : examen dans les limites de la norme hormis des insuffisances mitrales et aortiques minimes. Contrôle par échocardiographie dans 2-3 ans recommandé • avis Professeur Borchmann (Hôpital de Cologne) : proposition d'une chimiothérapie de rattrapage/rechute 2 cycles puis transplantation de cellules souches autologues • actuellement : chimiothérapie de type ESAP 2 cycles puis nouveau PET-CT puis transplantation de cellules souches autologues (prévue le 20.02.2019) avec chimiothérapie à haute dose à l'Inselspital à Berne. • PET-CT post-2ème cycle le 28.01.2019 à 10h10 RDV chez oncologue traitant le 30.01.2019 à 15h30 Transplantation de cellules souches autologues, Inselspital, suite aux 2 cycles de chimiothérapie. • Stimulation de la moelle osseuse le 06.02.2019 • Prélèvement des cellules souches du sang le 13.02.2019 • Transplantation de cellules souches autologues prévue le 20.02.2019 Maladie de Horton diagnostiquée en 2015 • Angio-CT ne montrant pas de vasculite ni d'aortite mais un petit anévrisme non compliqué de l'AMS • Fin de traitement de Prednisone en avril 2018 Ostéopénie sur tous les sites mesurés en mars 2015 EP basale bilatérale à prédominance gauche en juin 2015 Ligature des trompes à l'âge de 42 ans Maladie de Lyme de stade I Maladie de Ménière. Maladie de Ménière depuis 2008. Maladie de Ménière traitée par Betaserc. Maladie de Scheuermann. Migraines. Fibromyalgie diagnostiquée en 2005. État anxio-dépressif. Troubles du comportement alimentaire de longue date (suivi psychiatrique : Dr. X). Troubles de l'adaptation avec prédominance de la perturbation d'autres émotions avec suivi psychiatrique (Dr. X). Hypotension orthostatique, sous Gutron. Ostéoporose. Légère scoliose dextro-convexe depuis 2008. Dyspepsie/reflux. Ancien tabagisme à 40 UPA stoppé il y a 15 ans avec nouveau début de tabagisme en août 2016. Suspicion de spondylarthrite ankylosante (IRM du 04.08.2015), avec suivi en rhumatologie (Dr. X). Canal lombaire étroit en L4-L5 (suivi en neurochirurgie, HFR Fribourg). Maladie de Parkinson. Maladie de Parkinson akinéto-rigide avec tremor connue depuis 2000 avec : • troubles neuropsychologiques • troubles de la déglutition • épisodes de blocages avec démarrages difficiles Maladie de Parkinson avec : • dysphagie aux liquides • angoisse et cauchemar nocturne • perte d'autonomie et dépendance pour la totalité des AVQ • Pose de PEJ le 21.01.19 Maladie de Parkinson avec syndrome akinéto-rigide, à prédominance gauche : diagnostic en 2000 • traité par Pramipexol et Stalevo • suivi par Dr. X • troubles du sommeil REM • Réveil pathologique aux soins intensifs le 15.02.2019 • Avis neurologique le 16.02.2019 (Dr. X) et adaptation traitement anti-parkinsonien : majoration Stalevo le 16.02.2019 • Madopar liquide 125 mg /12h dès le 20.02.2019 Maladie de Parkinson sous traitement HTA traitée Maladie de Parkinson stade III selon Hoehn et Yahr diagnostiquée en 2004 et traitée par stimulation cérébrale profonde au niveau des noyaux sous-thalamiques ddc à Bern en 2017. Dysarthrie sévère. Troubles mictionnels irritatifs. Troubles du sommeil. Constipation chronique. BPCO degré moyen. Maladie de Parkinson stade III selon Hoehn et Yahr diagnostiquée en 2004 et traitée par stimulation cérébrale profonde au niveau des noyaux sous-thalamiques ddc à Bern en 2017. Dysarthrie sévère. Troubles mictionnels irritatifs. Troubles du sommeil. Constipation chronique. BPCO degré moyen. Ancien tabagisme à 90 UPA arrêté en 2000. Déplacement d'un cerclage-haubanage du coude gauche sur status post-ostéosynthèse d'une fracture de l'olécrane gauche le 25.10.2017. Maladie de reflux. Maladie de reflux chronique. Maladie de reflux sous IPP. Gastrite chronique. Diverticulose sigmoïdienne légère (coloscopie 2016). Ostéoporose diffuse marquée avec perte de -1-2% en 2016 par rapport à 2011 au niveau vertébral. Infections urinaires basses répétitives. Remaniements dégénératifs intersomatiques postérieurs C6-C7 (selon le médecin traitant). Légère inclinaison scoliotique vertébrale sans plus de précision (selon le médecin traitant). Maladie de reflux gastro-oesophagien, avec: • oesophagite de stade C selon Los-Angeles • Hernie hiatale axiale avec béance du cardia en rétroversion • gastrite antrale et duodénite Maladie de Scheuermann, scoliose. Asthme. Urticaire d'origine indéterminée, traité par Bilaxten. Maladie de Sever calcanéum gauche. Maladie de Sever du talon gauche. Maladie de sinus avec arrêt sinusal, pose de pacemaker/défibrillateur bicaméral en 2013. Fibrillation auriculaire intermittente chronique sous Xarelto. HTA traitée. Angioedème bucco-lingual récidivant (stop Prinzide, introduction Rasilez en 2008). Discopathie lombaire étagée avec lombosciatalgies G récidivantes. Ostéoporose traitée pendant 4 ans par biphosphonate. Micro-polypes bénins du colon (colonoscopie 2000). Cystites récidivantes. Troubles sensitifs du MID chroniques séquellaires post hernie discale lombaire. Vasculite nodulaire cutanée avec status post nombreux ulcères aux membres inférieurs, stabilisés sous Azarek et Prednisone. Maladie de sinus avec hypersensibilité du sinus carotidien • Avec pacemaker mis en place le 04.03.19. Maladie de Südeck après réduction ouverte et ostéosynthèse d'une fracture métaphysaire du radius distal G comminutive par plaque Aptus palmaire le 19.8.2018. Maladie de Südeck main droite sur status post ostéosynthèse radius distal droit le 7.5.2018. Epaule gelée droite avec lésion partielle transfixiante du sus-épineux droit de date inconnue avec légère atrophie de la masse musculaire du sus-épineux. Status post infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule droite le 23.11.2018. Maladie de Verneuil. Maladie de von Willebrand de type I. SAOS appareillé par CPAP. Maladie des agglutinines froides, diagnostiquée le 22.01.2013 avec: • acrocyanose, livedo des doigts II à D et III à G avec très légers troubles trophiques • anémie hémolytique auto-immune à auto-anticorps froids d'isotype IgM de spécificité anti-I, à un titre de 1/128 à 22°C (titre négatif à 37°C), partiellement compensée • absence d'arguments pour une néoplasie ou une hémopathie maligne sous-jacente (CT thoraco-abdominal du 22.01.2013 et ponction biopsie de moelle osseuse du 04.02.2013) • gammapathie monoclonale de signification indéterminée (MGUS) à IgM Kappa • traitement: mesures d'éviction du froid, immunothérapie par Mabthera (375 mg/m2) les 22.02.2013, 01.03.2013, 11.03.2013 et 18.03.2013, et traitement par acide folique 5 mg par jour 10 jours par mois dès le 03.04.2017 • situation actuelle (03.04.2017) : maladie stable, avec hémolyse modérée (LDH = 781 U/l), partiellement compensée (Hb = 135 g/l) (suivi par Dr. X). Fibrillation auriculaire sous Xarelto. Diverticulose sigmoïdienne. Maladie des segments adjacents L4-L5, L5-S1 et sacro-iliaques avec surcharge facettaire et discopathie avancée sur: • status post-spondylodèse D2-L4 effectué dans l'enfance dans le cadre d'une scoliose (Prof. X) à l'âge de 14 ans. Maladie d'Horton avec suivi rhumatologique à l'HFR Fribourg avec: • traitement immunosupresseur par Cortisone et Actemra (Tocilizumab, anti IL-6). Facteur de risque cardio-vasculaire: • HTA traitée. • Tabagisme actif (1 pipe 3x/j durant 44 ans). • dyslipidémie? Maladie diverticulaire status post résection iléo-caecale en 2003 hypoglycémie post colonoscopie en 2003 épilepsie sur hypokaliémie (probablement sur prise de laxatifs) avant une colonoscopie le 28.11.2017. Constipation chronique. Crise convulsive tonico-clonique inaugurale le 28.11.2017 sur hypokaliémie. Dissection aortique type B le 14.02.2019 hématome intramural disséquant intéressant l'aorte descendante. Anévrisme/pseudo-anévrisme d'une artère intercostale postérieure droite. Surveillance clinique et radiologique. Maladie d'Osgood Schlatter droite traumatisée. Maladie d'Osgood-Schlatter du genou gauche. Maladie du sinus avec: • FA paroxystique sous Sintrom • Insuffisance chronotrope • Dyspnée NYHA III Maladie du sinus carotidien/ sténose carotidienne droite (70%) avec 3 épisodes de syncope dont le dernier épileptique. Dorsalgies chroniques. Gonarthrose gauche. Hypercholestérolémie. Lipome pré-pectoral à droite. Maladie épileptique depuis l'enfance (première crise à 8 ans), traitée par Lamotrigine, Briviact et Topiramate. Maladie goutteuse. Maladie hypertensive et coronarienne monotronculaire avec: • lésion 70% de l'artère interventriculaire antérieure moyenne traitée par angioplastie de l'artère coronaire interventriculaire antérieure moyenne et 1ère diagonale avec implantation de trois stents actifs le 21 octobre 2011. • fraction d'éjection du ventricule gauche jugée à 70% (ventriculographie). Reflux gastro-oesophagien sur hernie hiatale. Crises d'angoisse à répétition. Découverte fortuite d'un anévrisme de l'artère splénique. Maladie hypertensive et coronarienne tritronculaire avec: • Sténose 50-70% de l'artère interventriculaire antérieure proximale • Sténose 80-90% de l'ostium de l'artère circonflexe proximale: PCI (1DES): Bon • Sténose 80% MA1 distale: PTCA: Bon • Sténose 80% MA1 ostiale: PCI (1DES): Bon • Subocclusion de l'artère coronaire droite proximale (petite, dominance G). Maladie hypertensive et coronarienne tritronculaire le 28.12.2018 avec: • sténoses intermédiaires IVA proximale/moyenne et DA • sténose intermédiaire de la bifurcation RCX/MA • subocclusion de l'ACD de petit calibre • dysfonction VG systolique sévère, EF 22%. Pacemaker depuis 2011 pour bloc AV 2e degré Wenckebach et bloc de branche gauche connu avec upgrade en CRT-D le 28.01.2019 pour une FEVG à 22%. Maladie variqueuse chronique avec incontinence des grandes saphènes des 2 côtés. Diabète de type 2 diagnostiqué en 1985, insulino-requérant depuis 2000. Hypertension artérielle. Obésité. SAOS appareillé. Artériopathie des 2 membres inférieurs avec: • recanalisation d'une longue occlusion de l'artère fémorale superficielle gauche par angioplastie et pose de stent en partie sous-endothéliale le 13.03.2012 • recanalisation d'une longue occlusion fémorale superficielle droite par angioplastie et pose de stent le 18.04.2012 • recanalisation d'une longue réocclusion de l'artère fémorale superficielle gauche par thrombectomie et angioplastie au ballon actif le 06.02.2013.• angioplastie de resténose intra-stent fémoral superficiel droit par ballon actif le 14.01.2014 • recanalisation d'une réocclusion intra-stent fémoral superficiel gauche par thrombectomie endovasculaire et angioplastie au ballon actif, doublée, le 11.10.2016 • status post-recanalisation avec thrombectomie endovasculaire (Rotarex 6 French) d'une longue occlusion de l'artère fémorale superficielle intrastent chronique, angioplastie au ballon médicamenteux et prolongement du stenting en proximal et en distal pour une ischémie critique du membre inférieur gauche le 06.09.2017 (Dr. X) • mai 2018 : absence d'ischémie critique des 2 côtés avec filtration athéromateuse diffuse de l'artère fémorale commune et fémorale superficielle proximale avec bonne perméabilité des segments stentés des 2 côtés Maladie inflammatoire intestinale de type maladie de Crohn • diagnostiqué le 25.11.2015 • colonoscopie 25.11.2015 : macroscopiquement très évocateur d'une maladie de Crohn avec colite segmentaire touchant le rectum, le colon sigmoïde, le début du colon transverse et le bas-fond caecal. • biopsie colon 25.11.2015 : compatible avec une maladie inflammatoire chronique de l'intestin, plutôt de type maladie de Crohn. • Prednisone 60 mg 1x/jour jusqu'à régression des symptômes puis diminution en schéma régressif 10 mg/semaine et mésalazine Poussée de maladie de Crohn le 10.01.2016 sur diminution rapide de la corticothérapie avec possible manifestation extra-intestinale de type spondyloarthropathie : • syndrome inflammatoire persistant • lombalgies de type inflammatoire avec irradiation aux cuisses • IRM articulations sacro-iliaques 21.01.2016 : œdème osseux sur le versant sacré des articulations sacro-iliaques à hauteur de S2, S3 et S4 ainsi que dans la partie centrale du sacrum à hauteur de S3. Absence d'argument en faveur d'une sacro-iléite • Arrêt Mésalazine le 22.01.2016 • Majoration du traitement par Prednisone de 10 à 30 mg/jour le 22.01.2016 avec nette amélioration clinico-biologique • Stop corticothérapie depuis Juillet 2017 Nodule pulmonaire de 6 mm en surprojection de l'arc postérieur de la 6ème côte D le 14.01.2016 DD : image construite, nodule pulmonaire Maladie ischémique coronarienne tritronculaire et dysrythmique • Coro 27.08.2018 (Dr. X) : Sténose significative de l'IVA proximale avec 1ère diagonale (lésion de bifurcation) et lésion significative de l'IVA moyenne : PTCA/3xDES. Sténose significative de la CX ostiale (70 à 90%) : PTCA/2xDES. Occlusion chronique de l'IVP • ETT 14.03.19 : Hypokinésie sévère de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale et hypokinésie modérée des segments restants. FEVG à 30-35 %. Oreillette gauche très dilatée. Dilatation importante du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit très altérée. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Maladie monotronculaire, s/p mono-pontage 04/2015 avec : • Sténose 50 % de l'IVA proximale hémodynamiquement non significative (FFR= 0,97) • AMIG-IVA pas perméable Anévrisme de l'aorte ascendante, s/p remplacement supra-coronarien de l'aorte ascendante par prothèse Vascutek Gelweave de 30 mm 04/2015 • Élongation et tortuosité de l'aorte thoracique et abdominale Maladie oncologique avec : • Reprise évolutive de la maladie oncologique avec carcinose péritonéale en octobre 2015 • Status après carcinome séreux peu différencié de l'ovaire gauche T3b G3 N0 M0 FIGO IIIc en 2011 opéré le 11.03.2011 par hystérectomie totale, annexectomie bilatérale, omentectomie, curage ganglionnaire iliaque et para-aortique. • status après pose d'un PAC pré-pectoral droit le 27.04.2011, compliqué d'un pneumothorax drainé. • status après 6 cures de chimiothérapie de type Carbo-taxol du 27.04.2011 au 10.08.2011. • découverte fortuite d'une sténose grêle adhérente à la paroi antérieure, avec le 07.10.2014, (Dr. X) : laparotomie exploratrice, cytologie abdominale. Adhésiolyses. Splénectomie pour métastases spléniques. Résection d'une sténose grêle avec anastomose latéro-latérale aniso-péristaltique à la GIA 75. • cytologie de lavage péritonéal avec modifications per-opératoires des cellules mésothéliales et sans cellules tumorales. • métastases (diamètre maximal 3,5 cm) d'un adénocarcinome séreux de haut grade dans le tissu splénique avec angiomatose carcinomateuse proéminente dans le tissu adipeux hilaire adjacent. Histiocytose sinusale sur 2/2 ganglions lymphatiques dans le tissu adipeux péri-splénique sans tissu carcinomateux mis en évidence (résection rate). • sténose focale (diamètre minimal de la lumière 0,9 cm versus 1,5 cm à la tranche de section chirurgicale) et quelques cordons tissulaires d'adhésion à la séreuse de l'intestin grêle. État anxio-dépressif. Maladie pieds-mains-bouche Maladie rhumatismale traitée Méthotrexat. Hypertension artérielle. Maladie thrombo-embolique anticoagulée par Sintrom. • Status post thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche à plusieurs reprises. • Status post embolie pulmonaire, en 1995. • Tachycardie supraventriculaire connue. • Status post hémorragie interne (abdominale) il y a 24 ans. • Status post ostéomyélite. • Status post opération du ménisque gauche, le 28.08.2007. • Hernie hiatale. Tachycardie supraventriculaire à 200/min., d'origine indéterminée • DD : réentrée intra-nodule ; faisceau accessoire Maladie thrombo-embolique anticoagulée par Sintrom. • TVP du MIG à plusieurs reprises • Embolie pulmonaire en 1995 • Tachycardie supraventriculaire connue • Hémorragie abdominale il y a 24 ans Hernie hiatale. Maladie thrombo-embolique avec : • thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit, au niveau de la veine fémorale commune, avec extension au niveau de la veine iliaque externe dans sa partie distale • thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit en 2014 non provoquée, subaiguë, distale, non anticoagulée Maladie thromboembolique avec : • TVP fémoro-poplité-jambier du MID, secondaire dans contexte post-interventionnel et par compression sur pseudoanévrisme artériel le 11.04.2019 • Embolie pulmonaire lobaire et segmentaire bilatérale le 11.04.2019 Maladie thromboembolique avec : • TVP fémoro-poplité-jambier du MID, secondaire dans contexte post-interventionnel et par compression sur pseudoanévrisme artériel le 11.04.2019 • Embolie pulmonaire lobaire et segmentaire bilatérale le 11.04.2019 avec : Maladie thrombo-embolique chronique • Embolie pulmonaire (1994) • Thrombose veineuse profonde proximale de la veine fémorale commune droite secondaire et thromboses veineuses musculaires gastrocnémiennes des deux côtés avec probable embolie pulmonaire basale gauche 04/2012 Maladie thrombo-embolique probable (TVP en 2012 et 2015) sous Marcoumar. Maladie thrombo-embolique sous Xarelto 20 mg Maladie thrombo-embolique veineuse avec : • thrombose veineuse profonde en 2001. • suspicion de thrombose veineuse profonde au niveau du membre inférieur gauche le 02.08.2013, anticoagulée pendant 3 mois. • suspicion de thrombose veineuse profonde, membre inférieur droit le 16.08.2017 • Anticoagulation thérapeutique par Xarelto 15 mg per os aux Urgences, puis 2x/jour du 17 au 18.08.2017. • Insuffisance veineuse chronique de stade C6 avec incontinence des veines saphènes internes bilatérales prédominant à gauche distalement, dermite de stase, incontinence des veines perforantes de Boyd, ulcère de stase à gauche. Ostéotomie de varisation et transposition de la tubérosité tibiale antérieure du genou gauche le 13.01.2010. Cure d'hallux valgus gauche en 2008. Exostosectomie de la tête du premier métatarsien droit en 2006. Amygdalectomie. Appendicectomie. Réactivation d'une gonarthrose droite avancée le 03.02.2019 avec mobilisation impossible. Maladie thrombo-embolique veineuse avec : DD : syndrome des anticorps antiphospholipides • Thrombose veineuse cérébrale du sinus sagittal supérieur et transverse droite le 19.11.2018 Prise en charge neurologique complexe en lit Stroke non monitoré du 19.11 jusqu'au 22.11.2018, date de son retour à domicile Angio-CT cérébral le 19.11.2018 IRM cérébrale le 20.11.2018 Bilan thrombophylique le 26.10.2016 à l'Inselspital : Anticardiolipines IgG 88.9 CU (cible <20). Anticardiolipines IgM, AntiB2Glycoprotéine IgG et IgM dans la norme Avis hématologique (Dr. X) : proposition de nouveau dosage des anticorps antiphospholipides. Pas de contre-indication actuelle d'une anticoagulation par Xarelto • Embolie pulmonaire centrale bilatérale massive idiopathique le 21.04.2016 Plusieurs foyers pneumonie bilatéraux sur infarctus du poumon EKOS le 21.04.2016 à l'Inselspital Maladie tri-tronculaire avec status post-pontage en 2001. Fracture sous-capitale de l'humérus droit traitée conservativement. Fracture de coude. Suspicion de diverticulite sigmoïdienne le 29.01.2019. Maladie valvulaire et coronarienne monotronculaire avec : • Excellent résultat après PCI de l'IVA 03.2016 et 11.2015 et 2018 • Sclérose aortique d'origine dégénérative Maladie variqueuse chronique avec incontinence des grandes saphènes des 2 côtés Diabète de type 2 diagnostiqué en 1985, insulino-requérant depuis 2000 Hypertension artérielle Obésité SAOS appareillé Artériopathie des 2 membres inférieurs avec : • recanalisation d'une longue occlusion de l'artère fémorale superficielle gauche par angioplastie et pose de stent en partie sous-endothéliale le 13.03.2012 • recanalisation d'une longue occlusion fémorale superficielle droite par angioplastie et pose de stent le 18.04.2012 • recanalisation d'une longue réocclusion de l'artère fémorale superficielle gauche par thrombectomie et angioplastie au ballon actif le 06.02.2013 • angioplastie de resténose intra-stent fémoral superficiel droit par ballon actif le 14.01.2014 • recanalisation d'une réocclusion intra-stent fémoral superficiel gauche par thrombectomie endovasculaire et angioplastie au ballon actif, doublée, le 11.10.2016 • status post-recanalisation avec thrombectomie endovasculaire (Rotarex 6 French) d'une longue occlusion de l'artère fémorale superficielle intrastent chronique, angioplastie au ballon médicamenteux et prolongement du stenting en proximal et en distal pour une ischémie critique du membre inférieur gauche le 06.09.2017 (Dr. X) • mai 2018 : absence d'ischémie critique des 2 côtés avec filtration athéromateuse diffuse de l'artère fémorale commune et fémorale superficielle proximale avec bonne perméabilité des segments stentés des 2 côtés Maladie variqueuse de stade C5 avec ulcère guéri à droite Hypertension artérielle Insuffisance rénale chronique modérée Polyarthrose Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. malaise malaise malaise Malaise à domicile Malaise anamnestique d'origine multifactorielle le 03.11.2017. Prothèse totale des deux genoux. Appendicectomie laparoscopique en 2015. Status post-phakectomie droite. Chute avec traumatisme crânien sans perte de connaissance en mars 2018 avec plaie profonde de 4 cm frontale gauche. Cholangite le 26.01.19 traitée par antibiothérapie. État confusionnel aigu le 26.01.2019 dans un contexte de cholangite. Malaise avec hyperventilation le 17.02.2016. Somnolence transitoire. DD : psychosomatique, médicamenteuse le 17.02.2018. Crise de panique le 09.03.2018. Malaise avec hyperventilation le 17.02.2016. Somnolence transitoire, diagnostic différentiel : psychosomatique, médicamenteuse le 17.02.2018. Crise de panique le 09.03.2018. Malaise avec perte de connaissance. Malaise avec perte de connaissance. Malaise avec perte de connaissance. Malaise avec perte de connaissance à deux reprises d'origine indéterminée le 03.04.2019. • DD : vaso-vagal, orthostatique, arythmie non exclue. Malaise avec perte de connaissance et traumatisme crânien. Malaise avec perte de connaissance et traumatisme crânien dans un contexte d'épigastralgie le 04.04.2019. • avec plaie sous-labiale gauche de 3 mm. Malaise avec perte de connaissance le 15.06.2016 DD : Crise d'épilepsie généralisée, trouble somatoforme avec syndrome dissociatif sur crise d'angoisse Éthylisation aiguë le 31.07.2016 Perturbation du TP à 55 % le 31.07.2016 Agression par strangulation le 06.03.2019 Contusion main droite du 06.03.2019 Trouble anxio-dépressif le 06.03.2019 • avec idéations suicidaires Malaise, avec perte de connaissance le 29.04.19, d'origine orthostatique probable • DD : vaso-vagal • Score EGSYS à 0 p Malaise avec traumatisme crânien. Malaise avec traumatisme crânien. Malaise avec traumatisme crânien et perte de connaissance, le 14.04.2019 • contexte d'éthylisation aiguë. Malaise dans un contexte d'éthylisation aiguë à 2.74 (diagnostic différentiel : sur réaction allergique). Malaise de type orthostatique. Malaise d'origine indéterminée. Malaise d'origine indéterminée le 13.04.2019. Malaise d'origine indéterminée : • DD : intoxication alcoolique, malaise vagal. Malaise d'origine indéterminée du 25.04.2019. • DD : vaso-vagale. Malaise d'origine indéterminée le 14.04.2019, avec : • thrombolyse intraveineuse par rtPA le 14.04.2019 vu suspicion d'AVC • symptomatologie initiale : diplopie monoculaire G, vertiges rotatoires • NIHSS : d'entrée 1 point, à 24 heures 0 point, de sortie 0 point • DD : troubles du rythme, orthostatisme, trouble anxieux Malaise d'origine indéterminée le 17.07.2017. Infection urinaire basse à E. Coli le 13.08.2015. Chute d'origine indéterminée le 11.08.2015 dans un contexte de pré-syncopes à répétition. Prothèse totale du genou droit en 2010. Prothèse céphalique de la hanche droite en 2009, révision et totalisation par voie minimalement invasive (Dr. X). Tuberculose péritonéale en 1963. Coliques néphrétiques en 1995 et 2009. Hémorragie digestive sur ulcère gastrique (Forrest III) avec : • Méléna le 15.07.2018. • Anémie hypochrome microcytaire avec hémoglobine à 68 g/l. • Transfusion de deux concentrés érythrocytaires aux urgences le 16.07.2018. Métastase osseuse vertébrale sur tumeur primitive d'origine indéterminée. • Date du diagnostic : 21.01.2018. • Pathologie (CHUV H1808897) : vertèbre L4, biopsies site fracturaire avec présence de rares cellules. carcinomateuses de profil immunohistochimique évoquant en premier lieu une métastase d'un carcinome mammaire, d'immuno-phénotypique ER, PR et HER2 négatifs (sous réserve d'un matériel très exigu). Avis Mme. Y : IRM mammaire, PET-CT, si possible nouvelle biopsie selon résultats imagerie pour évaluation récepteurs aux hormones. Hyponatrémie. Malaise d'origine indéterminée le 18.04.19 • DD : d'origine vagale (chaleur, déshydratation) vs d'origine fonctionnelle dissociative (terrain psychologique). Malaise d'origine indéterminée le 29.04.2019. Malaise d'origine indéterminée le 30.04.2019. Malaise d'origine peu claire. Malaise d'origine probablement mixte, vagal et orthostatique. Malaise d'origine probablement vagale le 19.04.2019. Malaise d'origine probablement vaso-vagale sur douleurs de crampe. Malaise d'origine vagale probable. Malaise d'origine vaso-vagale probable le 02.09.2018 • DD : orthostatique, surdosage médicamenteux Colique néphrétique gauche le 23.05.2011 Status après appendicectomie Status après lithotripsie le 19.05.2011 Malaise et douleurs thoraciques. Malaise hypoglycémique en 2018. AVC ischémique en ? Malaise hypotensif. Malaise lipothymique sans étiologie orthostatique le 31.03.2019. Malaise non systématisé avec paresthésies des deux mains d'origine indéterminée le 01.03.2019 • NIHSS 0 à l'entrée • CT-cérébral injecté avec vaisseaux pré-cérébraux du 01.03.2019 (Dr. X, rapport téléphonique) : pas d'ischémie visualisée, mastoïdite gauche d'allure chronique. Paresthésies persistantes au niveau des deux mains le 01.03.2019 • CT-cérébral injecté avec vaisseaux pré-cérébraux du 01.03.2019 (Dr. X, rapport téléphonique) : pas d'ischémie visualisée, mastoïdite gauche d'allure chronique. Malaise orthostatique avec perte de connaissance et traumatisme crânien. Malaise orthostatique avec perte de connaissance et traumatisme crânien simple le 09.04.2019. Malaise orthostatique avec traumatisme crânien et perte de connaissance dans un contexte de consommation de cannabis le 20.04.19. Malaise probablement d'origine orthostatique, le 24.04.2019. Malaise probablement d'origine réflexe sur constipation, sans TC le 18.04.2019 • DD : cardiogène, hyponatrémie Malaise probablement vagal. Malaise probablement vaso-vagal le 14.04.2019. Malaise sans PC avec faiblesse généralisée. Malaise sans PC avec troubles du rythme cardiaque les 02 et 04.06.2016 et le 04.06.2016 en postopératoire • ECG du 04.06.2016 : Extrasystole ventriculaire nouvelle sous forme de bigéminisme • Scanner protocole embolie pulmonaire 07.06.2016 : pas de signe d'embolie pulmonaire. Pas de signes de HTA. Présence de plusieurs micronodules pulmonaires ddc (les plus grands mesurent 5 à 6 mm) PTG D sur gonarthrose, le 30.05.2016. Malaise sans PC et DRS droites DD sur possible obstruction transitoire du drain thoracique, péjoration de la fuite d'air • s/p pneumothorax droit spontané le 02.03.2019 • Status post-pneumothorax droit en 1979 et le 24.08.2018 • Sur probable poumon emphysémateux • s/p pose de drain thoracique à droite le 02.03.2019 aux urgences, gardée à domicile avec valve de Heimlich en raison d'une fuite • en cours d'investigation à l'Inselspital pour prévoir une résection pulmonaire avec scintigraphie, fonctions pulmonaires et ETT le 29.03.2019 Malaise sans perte de connaissance d'étiologie vagale le 20.04.19. Malaise sans perte de connaissance (mal-être) d'environ 5 minutes d'origine indéterminée le 16.03.2017 : • DD : angoisse, lipothymie sur progression cardiopathie terminale sous-jacente Perte de connaissance tachycardique ventriculaire avec choc approprié par le défibrillateur implanté le 01.02.2017 • malaise avec perte de connaissance sans traumatisme crânien • amnésie complète post-évènement (1 min) Malaise sans perte de connaissance sur probable tachycardie ventriculaire soutenue les 10.07 et 12.07.2016 Adénocarcinome du côlon droit moyennement différencié invasif, stade pT3 N0 M0 • colectomie droite avec splitostomie en fosse iliaque droite, le 07.11.2008. Malaise sur effort de toux. Traumatisme crânien avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle. Malaise sur prise de Morphine gtte le 28.04.2019. Malaise sur probable déshydratation le 26.06.2018. Diverticulite sigmoïdienne non compliquée le 27.06.2018. Sténose symptomatique sigmoïdienne avec un abcès para-sigmoïdien de 3 cm de diamètre séquellaire dans un contexte de status post-diverticulite sigmoïdienne non compliquée en 06.2018. Troubles électrolytiques le 26.06.2018 avec : • hyponatrémie modérée à 127 mmol/l • hypokaliémie légère à 3.4 mmol • hypomagnésémie à 0.86 mmol/l. Hernie hiatale. Cholécystectomie. Hystérectomie totale. Malaise sur quinte de toux et sécrétions. Malaise syncopal d'étiologie non déterminée le 27.04.19. Malaise vagal. Malaise vagal. Malaise vagal dans le contexte de l'hématome unguéal le 22.04.2019. Malaise vagal sur hypotension orthostatique. Malaise vagale DD crise tonico-clonique d'origine indéterminée. Malaise vaso-vagal. Malaise vaso-vagal dans un contexte d'état anxieux aigu le 27.04.2019. Malaise vaso-vagal dans un contexte d'état anxiogène aigu le 27.04.2019. Malaise vaso-vagal sans perte de connaissance le 08.02.2019 d'origine indéterminée. Malaise vaso-vagal. Lombalgie basse non-déficitaire. Panaris en 03.2015. Pyélonéphrite. Malaises. Malaises à répétition. Malaises à répétition avec perte de connaissance le 22.01.2018 : • sur hypotension orthostatique dans le contexte de déshydratation. • sans traumatisme crânien. Multiples embolies pulmonaires en mars 2011. Crise d'épilepsie inaugurale le 11.11.2008. Fracture-tassement split A2.3 de L3 le 11.10.2008 : • cyphoplastie L3 le 14.10.2008 (Dr. X) avec fuite musculaire paravertébrale de ciment. Fracture-tassement vertébral D7-D11 sur chute pendant une crise d'épilepsie : • cyphoplastie D7 des 2 côtés, D8 D, D9 G, D10 D et D11 G le 14.01.2009 (Dr. X).Accident de la voie publique piéton/voiture à faible cinétique le 20.02.2017 avec : • fracture crête iliaque G plurifragmentaire, traitée conservativement. • fracture épineuse de C5 et S1, traitée conservativement. • fracture col mandibulaire G. • fractures du nez. • fracture des côtes 2 à 6 G. Dilatation endoscopique au ballonnet pour sténose peptique sur oesophagite de reflux (2009). Hémorragie digestive haute sur érosions oesophagiennes (2012 et 2009). Status post OS par plaque Philos 3 trous le 22.05.2018 d'une fracture sous-capitale et de la grande tubérosité humérus proximal G le 19.05.2018. Changement de vis et complément de vissage de la plaque Philos humérus G (OP le 03.09.2018). Ethylisation aiguë sur dépendance à l'alcool le 14.01.2019 : 2.71. • syndrome de dépendance à l'alcool avec multiples hospitalisations pour éthylisation aiguë. • troubles de la marche avec vertiges rotatoires persistants. Institutionnalisation en EMS volontaire. Troubles électrolytiques multiples avec hypocalcémie à 1.03 mmol/l, légère hypokaliémie à 3.5 mmol/l, hypomagnésémie à 0.59 mmol/l. Malaises à répétition d'origine indéterminée. Malaises à répétition d'origine psychogène (DD : hypotension orthostatique). Dorsalgies. Retard mental depuis l'enfance. Douleurs chroniques membre inférieur gauche suite à un accident à l'âge de 1 an. Malaises à répétition investigués au CHUV et à l'Inselspital, sans diagnostic. Status post-ablation d'un polype colique au CHUV en septembre 2012 lors d'une colonoscopie pour hématochésie. Fissure anale à 6H00, fraîche, le 23.11.2012. Malaise orthostatique le 14.09.2015. Malaises avec perte de connaissance à répétition, d'origine indéterminée, DD : hypotension orthostatique, épilepsie, sclérose en plaques (investigations en cours), composante psychologique non exclue. Deux accouchements par voie basse. Entorse du Chopart pied droit le 01.11.2017. Syndrome grippal. Malaises lipothymiques d'origine x : syncopes réflexes. Difficultés à la marche sur douleurs pieds chroniques : • status post-fascéïte plantaire pied droit sur status après arthrodèse de la MTP 1, traitée par ondes de choc (maladie de Ledderhose). • métatarsalgie sur troubles statiques. Hypertension artérielle traitée avec probable effet blouse blanche. Obésité stade 1. Insuffisance veineuse des membres inférieurs (bas de contention). Troubles du sommeil sur anxiété. Hoquet intermittent sur obésité. Colon irritable. Hémochromatose à gène C282Y muté homozygote (saignées régulières, bon contrôle). Lombalgies récurrentes sur spondylolisthésis L5-S1 sur lyse isthmique et arthrose inter-apophysaire postérieure. Hernie hiatale. Arthrose des mains. Arthrose sacro-iliaque des deux côtés. Ostéoporose lombaire. Adénome tubuleux de la muqueuse colique avec une dysplasie de bas degré (coloscopie 12.04.2017). Malaises répétés d'origine indéterminée avec : • aphasie complète auto-résolutive le 11.04.2019 et 12.04.2019. • chute avec trauma crânien le 11.04.2019. • DD crise d'épilepsie, arythmie cardiaque, AIT récidivants. Malaises répétés d'origine indéterminée. DD : • hypotension orthostatique, vasovagal, stress, arythmie. Malaria à Plasmodium Falciparum sans critères de gravité le 30.03.2019. Malaria test rapide positif et présence de P. Falciparum en 2014. Douleurs thoraciques basses/épigastriques. Malaria test rapide positif et présence de P. Falciparum en 2014. Douleurs thoraciques basses/épigastriques. Malaria test rapide positif et présence de P.Falciparum en 2014. • Parasitémie à 6/mille, à refaire à 24 h à la consultation ambulatoire des urgences. Hypokaliémie à 2,9 mEq. Douleurs thoraciques basses/épigastriques avec : • DD passage de calcul biliaire (US neg), paludisme (pas de syndrome inflammatoire, pas d'EF, test rapide neg), hépatite (pas de syndrome inflammatoire). Malformation congénitale du membre supérieur gauche : hypoplasie radiale de l'avant-bras et hypoplasie de la main. Malformation du dorsum nasal. Malformation X urologique. Malgré la clinique typique de côlon irritable, Mme. Y, âgée de 57 ans, selon elle, n'a jamais fait de dépistage de CCR. Nous laissons le soin à son médecin d'organiser une coloscopie en ambulatoire. Malgré la lente consolidation de la branche ilio-pubienne et de la colonne postérieure, on voit cliniquement une évolution favorable. La patiente peut charger selon douleurs. Prescription de physiothérapie. Contrôle radio-clinique dans 8 semaines. Malgré l'absence de fracture à la radiographie et le traitement antalgique, la patiente ne charge pas en raison des douleurs au niveau du 1er métatarse où elle a une contusion. Nous mettons en place un Splintpod et du Cléxane, la patiente sera vue à la policlinique d'orthopédie le 30.04.2019. Malgré l'âge, devant les symptômes de fièvre et la clinique de ganglions et l'exsudat et le contact avec des enfants grands chez la maman de jour, nous frottons pour tester le streptocoque afin d'éviter à la famille de revenir en cas d'anamnèse positive. Malgré le fait que la patiente est née par siège, elle a les 2 hanches bien configurées. La hanche G est encore immature, raison pour laquelle on va refaire un US de la hanche dans 6 semaines. Malgré l'exposition des risques encourus, discussion et négociation avec la patiente et sa fille, ces dernières refusent catégoriquement l'hospitalisation ce soir contre avis médical. Elles disent que la patiente se rendra demain à la permanence pour hospitalisation. Malgré un résultat radiologique sous-optimal, bonne évolution, avec un bon résultat fonctionnel. Vu l'absence d'une gêne majeure, pas d'indication pour une révision de la prothèse sur une prothèse inversée. Fin du traitement. Je me tiens toutefois à disposition. Malgré une cinétique importante, la patiente présente uniquement une chute avec traumatisme crânien simple et l'examen clinique est très rassurant. Les explications pour la surveillance post-TC et les indications pour reconsulter ont été transmises à la patiente et à son père. Une nouvelle consultation a également été proposée en cas de péjoration importante de la discrète nucalgie actuelle. Malgré une clinique qui est plutôt évocatrice d'une tendinite patellaire, et la compressibilité des veines à l'ultrason, nous demandons un consilium angiologique pour suivre l'évolution de la problématique et pour exclure la thrombose veineuse avec certitude, en raison d'une douleur également présente à la palpation au niveau inguinal droit. Malheureusement, le traitement conservateur de la rupture du ligament croisé antérieur ne semble pas fonctionner. Le patient signale encore de fortes douleurs et une instabilité de son genou G. Le testing clinique ce jour révèle une instabilité élevée avec Lachmann test fortement positif, raison pour laquelle l'indication à une plastie du ligament croisé antérieur par greffe du tendon quadriceps est posée. Lors de cette intervention, on effectuera une résection partielle du ménisque interne, voire suture en fonction de la lésion. Le patient est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est prévue le 02.05.2019. Le patient sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Malheureusement, on est face à une récidive d'ongle incarné sur les rebords médial et latéral des deux hallux des deux côtés. Il se peut qu'on n'ait pas assez enlevé le lit de l'ongle, raison de cette récidive. L'indication pour une reprise chirurgicale est donnée. L'intervention est prévue en ambulatoire le 25.04.2019. Mallet Finger de D4 de la main G le 31.01.2019. Mallet Finger Dig III main gauche chronique suite à une plaie en 2005. Mallet Finger dig V main droite le 21.07.2018 Probable neuropathie du nerf cubital coude droit Contusion VS entorse du genou droit sur chute à vélo le 21.07.2018 Mallet Finger Dig V main G du 26.12.2018. Entorse MCP 1 main D du 31.01.2019. Mallet Finger du Dig V main D. Mallet Finger du quatrième doigt de la main droite par section traumatique du tendon extenseur avec capsulotomie et ouverture de l'articulation IPD le 16.07.2012 avec : • suture du tendon extenseur. • arthrodèse temporaire de l'IPD du 4ème doigt de la main droite. Méningite virale à germe inconnu le 05.10.2013. Ceftriaxone du 05.10 au 09.10.2013. Zovirax du 05.10 au 06.10.2013. Multiplex. PCR pour l'Herpès simplex type 1 et 2, Varicelle-zoster et Entérovirus. Sérologie et LCR Syphilis : TPPA ; VDRL. Sérologie et LCR Borréliose de Lyme : IgG et IgM, C6 peptide. Si troubles neurologiques, envisager évaluation neurologique en ambulatoire. Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 05.10.2013. Substitution. Suivi. Mallet Finger et fracture longue, oblique diaphysaire de P1 du 5ème doigt de la main gauche, le 01.03.2019. Mallet Finger osseux chronique Dig III à G (27.09.2018) Mallet Finger tendineux du 5ème doigt à gauche du 24.02.2019. Mallet Finger traumatique du 5ème doigt à gauche. Malnutrition avec score NRS à 2/7, en lien avec une inappétence et des prothèses dentaires non adaptées, démontrée par des ingestas couvrant 67% de ses besoins énergétiques théoriques Malnutrition dans le cadre de nausées persistantes Malnutrition modérée et perte pondérale importante dans un cadre d'inappétence et nausée persistante d'origine indéterminée DD acutisation d'une dépression chronique Malnutrition protéino-calorique Malnutrition protéino-calorique grave avec hypoalbuminémie Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique avec : • Hypoalbuminémie • Hypokaliémie, hypocalcémie, hypomagnésiémie Malnutrition protéino-énergétique avec troubles électrolytiques : • hypophosphatémie à 0.64 mmol/l • hypomagnésémie à 0.51 mmol/l Malnutrition protéino-énergétique avec troubles électrolytiques multiples le 27.02.2019 : • Hyponatrémie, hypocalcémie, hypokaliémie, hypophosphatémie, hypochlorémie • Troubles de la déglutition sur extubation • Avis ORL : mauvaise gestion des expectorations dans contexte de bronchopneumopathie chronique obstructive ; régurgitations et toux post-prandiales, diagnostic différentiel : sur diverticule de Zenker ; ad physiothérapie respiratoire et pour déglutition ; si persistance, ad TOGD pour voir si fausses routes et si Zenker • Renutrition progressive initiale avec sonde nasogastrique aux soins, et retrait de la sonde le 14.03.2019 Malnutrition protéino-énergétique chronique, sous Ressource 2x/j Malnutrition protéino-énergétique depuis le 30.11.2018 : • Albumine le 01.03.2019 : 30.9 g/l Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave • Alimentation parentérale du 26.03 au 27.03.2019 Malnutrition protéino-énergétique grave avec : • perte pondérale de 10 kg en 6 mois d'origine indéterminée Malnutrition protéino-énergétique grave avec cachexie et anorexie • macrocytose • allongement spontané du temps de prothrombine sur probable carence en vitamine K Malnutrition protéino-énergétique grave avec dysphagie Malnutrition protéino-énergétique grave avec perte pondérale d'environ 10 kg en 3 mois Malnutrition protéino-énergétique grave avec perte pondérale non quantifiable Malnutrition protéino-énergétique grave avec troubles de déglutition connus Malnutrition protéino-énergétique grave, en lien avec une inappétence • perte de 15 kg (14%) en 2 mois • NRS à 5/7. Malnutrition protéino-énergétique grave • inappétence avec perte pondérale de 10 kg en 5 mois Malnutrition protéino-énergétique grave, le 01.01.2018. Alcalose métabolique de contraction et sur compensation métabolique de l'hypercapnie, le 03.01.2018. Candidose buccale le 05.01.2018. Douleurs au membre inférieur droit d'origine musculo-squelettique, le 11.01.2018, avec : • kyste de Baker non rupturé • ancienne thrombose calcifiée de branches variqueuses au mollet droit • thrombose de la veine saphène externe droite en 2003. Fracture diaphysaire périprothétique de l'humérus proximal gauche traitée conservativement le 13.01.2017. État confusionnel aigu le 31.12.2017 dans le contexte de troubles cognitifs, infectieux et hypoxémiques. Hypertension artérielle réfractaire le 31.12.2017 dans le contexte de broncho-spasmes et d'agitation. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine prérénale le 29.12.2017. Pneumonie des deux lobes supérieurs acquise en communauté, possiblement à Haemophilus influenzae le 29.12.2017 : • dans contexte de syndrome restrictif sévère avec composante obstructive • avec insuffisance respiratoire hypoxémique et hypercapnique. Accident ischémique transitoire anamnestiquement en 2005. Ostéosynthèse de la cheville droite en 2005. Accident de la voie publique avec fractures multiples de l'épaule gauche en 1985 avec arthroplastie du col huméral gauche. Accident vasculaire cérébelleux droit non daté. Ancienne fracture D12 Appendicectomie dans l'enfance. Malnutrition protéino-énergétique grave le 23.03.19 • post-hospitalisation prolongée aux soins intensifs et choc septique • avec dysphagie modérée aux solides et aux liquides d'origine multifactorielle (déconditionnement, intubation, troubles de l'état de conscience) Malnutrition protéino-énergétique grave le 26.03.2019 Malnutrition protéino-énergétique grave • risque de syndrome de renutrition inappropriée Malnutrition protéino-énergétique grave • troubles électrolytiques multiples avec hypokaliémie à 2.5 mmol/l le 05.04.2019. Malnutrition protéino-énergétique grave. Syndrome de dépendance à l'alcool (en sevrage depuis novembre 2015). Tabagisme actif. Troubles mentaux et du comportement de type anxio-dépressif traités en ambulatoire, liés à la prise continue d'alcool. Hémorroïdes. Pancréatite chronique le 19.10.2015. Malnutrition protéino-énergétique légère. Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère • hypoprotéinémie • légère inappétence et besoins augmentés, ingesta à 50% des besoins théoriques • NRS 3/7 Malnutrition protéino-énergétique légère • inappétence sur démence et probable trouble dépressif démontré par un NRS à 3 Selon la famille, perte de poids progressive depuis quelques années • BMI: 19 le 09.04.2019 • Préalbumine: 0.16 g/l le 09.04.2019 Malnutrition protéino-énergétique légère avec alimentation entérale totale par jéjunostomie • demande de poursuite de la nutrition artificielle, malgré la situation terminale, en lien avec probable angoisse de mort Malnutrition protéino-énergétique légère avec amyotrophie généralisée le 07.03.2019 Malnutrition protéino-énergétique légère • avec inappétence dans un contexte oncologique et inflammatoire Malnutrition protéino-énergétique légère avec NRS 3/7 Malnutrition protéino-énergétique légère, en lien avec une inappétence, démontrée par des ingestas couvrant 65% de ses besoins énergétiques théoriques et un NRS à 3/7 Malnutrition protéino-énergétique légère • NRS 3 • une perte de poids > 5% ces 3 derniers mois Malnutrition protéino-énergétique légère, NRS 3/7 Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Malnutrition protéino-énergétique modérée • hypoprotéinémie et hypoalbuminémie • NRS 3/7 • apports protéino-énergétiques insuffisants, en lien avec un appétit diminué • besoins couverts à 68% en énergie et 50% en protéine Malnutrition protéino-énergétique modérée avec • carence en vitamine K et allongement spontané du temps de prothrombine • hypokaliémie, hypocalcémie, hypophosphatémie, hypomagnésiémie • syndrome de renutrition Malnutrition protéino-énergétique modérée avec • hypoalbuminémie Malnutrition protéino-énergétique modérée avec : • hypoalbuminémie • carence en vitamine K et allongement spontané du temps de prothrombine • carence en vitamine D • hypokaliémie, hypocalcémie, hypophosphatémie, hypomagnésiémie • syndrome de renutrition Malnutrition protéino-énergétique modérée avec : • perte de 12 kg en 8-9 mois (21.4%) • NRS à 4 • douleurs épigastriques intermittentes Malnutrition protéino-énergétique modérée avec: • hypoalbuminémie à 26.4 g/l Malnutrition protéino-énergétique modérée: cô clinique et labo post-hospitalisation vu absence de sa pédiatre Malnutrition protéino-énergétique modérée et anorexie, perte de l'appétit (exclure : anorexie mentale, perte d'appétit d'origine non organique) Malnutrition protéino-énergétique modérée • hypoalbuminémie et hypoprotéinémie • NRS 6/7 • apport oral insuffisant (25-50% de besoin) • Abound poudre 11.02 - 05.04.2019 Malnutrition protéino-énergétique modérée le 22.02.2019 Malnutrition protéino-énergétique modérée (NRS 4/7, perte de 3 kg en 2 semaines) le 01.04.2019 • hypovitaminose D 14 nmol/L le 01.04.2019 Malnutrition protéino-énergétique modérée, (73% du poids idéal) PYMS 4 (Perte de poids 10 kg (21%), BMI 14.2 = P1) Malnutrition protéino-énergétique • Préalbumine à 0.10 g/l le 16.04.2019 Malnutrition protéino-énergétique secondaire à la maladie aiguë • hypoalbuminémie Malnutrition protéino-énergétique secondaire à la maladie aiguë • hypoalbuminémie Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère avec : • Sarcopénie • Inappétence • Hypoalbuminémie • Ascite Malnutrition protéino-énergétique sévère dans un contexte oncologique avec : • sarcopénie • inappétence • hypoalbuminémie • ascite. Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée avec perte de poids de 6 kg (96.3, 8.04 90.3) Maltofer 100 mg cpr 2x/j Ferinject en ambulatoire dans 1 semaine. Maltofer 100 mg cpr 2x/j Ferinject en ambulatoire dans 1 semaine. Maltofer 100 mg 1x/j. Maltofer 100 mg 1x/j dès le 09.04.2019 pour 3 mois. Maltofer 100 mg 1xj pendant 3 mois Maltofer 3 mois Contrôle Hb et ferritine à 3 mois post-partum Maltofer 3 mois Ferritine et Hb dans 3 mois Malunion d'une fracture de l'avant-bras G; accident de ski datant du 19.03.2019, traitée conservativement avec : • Fracture du radius distal type Salter II avec bascule postérieure de 25° • Fracture de l'ulna distal en motte de beurre Maman hospitalisée à Marsens Mammographie en ambulatoire prévue à l'HFR Fribourg pour le 29.04.2019 à 13h30 Mammographie 11.03.2019 : Microcalcifications irrégulières du QII G d'aspect suspect, BIRADS 4. Biopsie QII G 25.03.19 : Multiples foyers de DCIS grade G3. 1 foyer de 0.15 cm d'infiltration tumorale de type NST, grade G1 (1+3+1). Pas d'invasion lymphovasculaire ni périnerveuse. Expressions des récepteurs : ER 100%, PR 70%, Ki67 10-15%, HER2 en cours Manoeuvre de Dix-Hallpike. Manoeuvre de Epley et Semont: persistance des symptômes. Aux urgences: Motilium lingual, Tangenil 500 mg i.v. Avis ORL (Dr. X). Betaserc 16 mg 3x/jour pendant 1 mois. Anti-émétiques. Rendez-vous en ORL dans 10 jours pour vidéo-nystagmographie et VHIT (video head impulse test). Manoeuvre de Semont. Attitude : • Conseils d'usage. Manoeuvre libératoire d'Epley. Consultation ORL en cas de récidive. Manoeuvres libératrices. Betaserc. Manque de Vitamine D Mr. Y se présente le 25.04.2019 aux urgences amené par les ambulanciers en raison de douleurs du testicule gauche d'apparition brutale et soudaine durant la nuit. Le bilan effectué aux urgences retrouve une torsion testiculaire à gauche avec une hypoperfusion à la sonographie. Nous posons donc l'indication à la détorsion gauche et orchidopexie bilatérale. L'opération se déroule sans complication. Les suites sont simples permettant au patient un retour à domicile le 25.04.2019. Marche en charge complète selon douleurs, physiothérapie. Contrôle au Team Genou post-IRM. Marche en charge. Bandage antalgique par Voltaren gel. Antalgie. Marche en charge. Surélévation de la jambe au repos et Glaçage. Ultrason organisé pour le 05.04.2019 à 14H30, suivi par un contrôle à la filière des urgences ambulatoires à 15H00. Marche et charge complètes selon douleurs. Contrôle chez le médecin traitant à 10 jours. Marche sur la pointe des pieds bilatéral. Marche sur la pointe des pieds sur raccourcissement des tendons d'Achille, plus marqué à gauche qu'à droite. Marsupialisation, biopsie et méchage le 04.04.19 sous rachianesthésie Frottis bactériologique Analyse anatomopathologique Masse abdomino-pelvienne mixte d'origine indéterminée avec • épanchement liquidien intra-abdominal et épanchement pleural liquidien droit • ADP inguinale • OMI du MID DD tumeur ovarienne Masse annexielle à droite chez une patiente périmenopausique de 53 ans. Masse annexielle droite symptomatique chez une patiente ménopausée, 1G1P de 59 ans. Masse au niveau du foramen magnum de 17 x 15 mm le 25.04.2019 DD : méningiome, anévrisme du segment V4 de l'artère vertébrale à droite Masse de la paupière gauche d'origine indéterminée le 09.04.2019 avec : • ptose palpébrale gauche Masse de la queue du pancréas avec infiltration de la rate le 28.04.19 DD cancer du pancréas néoplasique. Masse mammaire gauche le 22.04.2019. Masse ombilicale. Masse ovarienne. Masse spiculée lésion primaire apicale lobe inf G pulmonaire. Masse suspecte de l'annexe gauche. Masse testiculaire G indolore en cours d'investigation. Massive Streptokokken-Angina rechts DD beginnender Abszess DD Phlegmone am 23.10.2016. Co-Amoxi intravenöse und später per os. St.n. Spontangeburt eines gesunden Mädchens 05/2016. St.n. 3 Spontangeburten. Anamnestique St.n. nach vermutlich NSAR-induzierter Colitis vor Jahren. Anamnestisch Colitis ulcerosa seit ca 20 Jahren. Mastectomie et reconstruction 1977. Accident ischémique transitoire 2002. S/p hystérectomie. S/p thyroïdectomie partielle en 1964 pour goitre. Troubles électrolytiques multiples le 09.07.2018. Hypokaliémie 3.6 mmol/l le 10.07.2018. Hypomagnésémie 0.42 mmol/l le 09.07.2018. Hypophosphatémie 0.61 g/l le 11.07.2018. Gastro-entérite sans germe déterminé le 06.07.2018. Hypocalcémie sévère avec Ca corrigé à 1.67 mmol/l le 27.07.2018. Probablement sur traitement de Denosumab reçu dans le contexte d'une hypercalcémie sévère (Inselspital) sur probable hyperparathyroïdisme primaire décompensé dans le contexte d'une déshydratation sévère le 06.07.2018. Mise en suspens du Mimpara le 26.07.2018. Calcium 500 mg 2x/jour du 27.07 au 29.07.2018. Rocaltrol 0.25 mcg 1x/jour du 27.07 au 29.07.2018. Vit D 800 Ul dès le 28.07.2018. Mise en suspens du Torasemid le 27.07.2018 et reprise 10 mg dès le 30.07.2018. Mastectomie gauche avec prélèvement de ganglions axillaires à gauche le 16.04.2019. Matériel envoyé en anatomo-pathologie. Échec du ganglion sentinelle par méthode isotopique et colorimétrique. Mastectomie gauche en 2010 (hôpital Daler). Mastite débutante QSE sein G post-reconstruction mammaire le 28.02.2019 au CHUV. Status post-cancer mammaire en 2016 traité par chimiothérapie et radiothérapie et tumorectomie. Sous traitement Lezetrol, lucra, cazimagon et prolia. Mastite puerpérale abcédante à Staphylococcus aureus chez une patiente de 29 ans, 1G1P. Mastite puerpérale du sein droit. Mastoïdite et otite moyenne à gauche à S. pneumoniae avec dissémination hématogène secondaire en 01/2017. Arthrite septique périprothétique du genou gauche, traitée par lavage et changement du polyéthylène. Bursite septique olécrânienne du coude droit, traitée par bursectomie. Arthrite septique de l'épaule droite, traitée par lavage. Suspicion clinique d'arthrite septique de la cheville droite (non confirmée microbiologiquement), traitée par lavage. Arthrite septique de la prothèse totale de hanche droite, traitée par lavage. Multiples antibiothérapies pour une durée totale de 3 mois. Omalgies droites, DD rupture spontanée de la coiffe des rotateurs (suivi par Dr. X). Prothèse totale du genou gauche en 2015. Prothèse totale de hanche droite en 2014. Mastopathie fibro-kystique. Status post-hystérectomie avec salpingectomie bilatérale en juin 2018. Tumorectomie au sein D le 07.02.2019. Matériel d'ostéosynthèse déplacé avec des vis intra-articulaires au niveau du radius distal à G. Suspicion de Morbus Sudeck débutant. Status post ostéosynthèse radius distal avec une plaque palmaire Aptus radius et ostéosuture de la styloïde radiale, ostéosynthèse cubitus distal avec une plaque Aptus et ostéosuture avec Fiber wire le 06.01.2019 pour une fracture multifragmentaire intra-articulaire déplacée du radius distal avec bascule dorsale et fracture du cubitus distal. Matériel d'ostéosynthèse gênant sur déplacement secondaire d'une vis de la tige proximale au niveau de l'arthrodèse pied G. Status post arthrodèse MTP1 et ostéotomie de correction en mini-invasif avec ostéotomie sous-capitale du 5ème métatarsien et fixation par broche au niveau du pied G le 16.10.2018 pour hallux rigidus MTP1 à G et digitus quintus varus de la 5ème tête métatarsienne. Status post ablation de l'ongle et de la matrice hallux ddc le 10.07.2018 pour des ongles incarnés et dystrophiés. Status post correction de la position du 5ème orteil il y a plus de 20 ans à gauche en Espagne. Matériel d'ostéosynthèse gênant. Status post embrochage du 5ème métacarpien main droite le 9.10.2018 pour fracture sous-capitale déplacée. Mr. Y peut reprendre le sport sans limitation. Pas de nouveau contrôle prévu mais nous restons à disposition en cas de besoin. Mr. Y est hospitalisé pour surveillance suite à une brûlure chimique du 1er degré du visage. Sur le plan cutané, Mr. Y est rapidement asymptomatique. L'évolution est rapidement favorable, avec une xérose cutanée en regard des commissures labiales sur laquelle nous proposons un traitement topique. Sur le plan muqueux, nous ne retrouvons aucune lésion orale et Mr. Y ne décrit pas de douleurs. Sur le plan ophtalmique, il n'y a pas de lésions ni de troubles visuels. En raison d'une évolution rapidement favorable, Mr. Y rentre à domicile le 25.04.2019. Mr. Y est hospitalisé pour suite de prise en charge d'une gastro-entérite à Rotavirus avec une déshydratation de 10%. Sur le plan digestif, il continue de présenter quelques diarrhées sans vomissements, avec une hydratation initialement insuffisante, raison pour laquelle il est alimenté par sonde naso-gastrique du 23.04 au 24.04. Dès le 25.04, l'hydratation étant bonne, avec un état d'hydratation normalisé, il rentre à domicile. Mr. Y est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite. Sur le plan respiratoire, il bénéficie de l'oxygènothérapie max à 1L jusqu'au 4.04. Par la suite, il garde une bonne saturation à l'air ambiant. Sur le plan hydrique, il est allaité et prend environ 120 ml/kg/jour avec des mictions régulières et pas de signe de déshydratation. Mme. Y est hospitalisée pour suite de prise en charge d'un état fébrile sans foyer. Sur le plan infectieux, le bilan sanguin met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 191 mg/L, sans leucocytose, mais avec déviation gauche. Le bilan urinaire est négatif et la radiographie du thorax ne montre pas d'anomalie. Les hémocultures sont stériles le 28.04 (à confirmer à 5 jours). En raison du bilan biologique, avec une enfant irritable qui s'hydrate mal et l'absence de foyer, nous débutons une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 50 mg/kg le 26.04.2019. Le status neurologique n'étant pas inquiétant, nous n'effectuons pas de ponction lombaire. En raison d'une bonne évolution clinique, avec une disparition de la fièvre depuis le 26.04 (soir) et une diminution du syndrome inflammatoire le 28.04, Mme. Y peut rentrer à domicile le 28.04.2019. Maturation pulmonaire le 25.03.2019 (1 dose). Antibiothérapie pour rupture prématurée des membranes dès le 25.03.2019. Césarienne en urgence le 25.03.19 après échec de Tocolyse par Adalat puis Tractocile. Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie le 26.03.2019. Utérotomie isthmique transverse basse. Surjet intradermique. Prophylaxie antithrombotique. Suites de couches. Anatomopathologie des placentas. Mauvaise prise hydrique. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge, céphalées, toux. Maux de tête. Maux de tête depuis 6 jours. maximal 647 G/l (06.04.2019) Mr. Y/Sarkoidose Migräne Thrombophlébite avec thrombose superficielle de la v. petite saphène droite (04.2019) Mr. Y/Sarkoidose Migräne Varices McBurney positif avec défense et détente. Spotting le 04.04.2019. Laboratoire : cf. annexes. Syndrome inflammatoire, B-Hcg négatifs. Ultrason : décrit ci-dessous. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 20.04.2019. Prise de contact avec le gynécologue pour bilan. Arrêt de travail. Méat du canal lacrymal bouché. Méat urinaire, uriflac : pas d'hématurie, pas de saignement visible. US Bed side : pas de globe urinaire, pas de caillot vésical. Changement de sonde à prévoir en ambulatoire. RDV à prévoir chez le Dr. X, Urologue. Méatotomomie moyenne bilatérale, septoplastie + adénoïdectomie. Médecin de garde : • Laboratoire. • Radio thorax. • ECG. HFR : Avis cardiologique (Dr. X) : souffle diastolique pathologique nouveau. ETT à organiser en ambulatoire. Arrêt de travail. ETT en ambulatoire (le patient sera convoqué, les résultats seront envoyés au médecin traitant). CT thoraco-abdominal en ambulatoire (le patient sera convoqué, les résultats seront envoyés au médecin). Consultation le 29.04.19 : • CT thoraco-abdominal du jour : cardiomégalie globale avec dilatation prépondérante des cavités cardiaques gauches sans signe actuellement de décompensation cardiaque (cardiomyopathie dilatée ?), à confronter à un bilan spécialisé. Absence d'embolie pulmonaire. Micronodule de 5 mm dans le segment latéro-basal du lobe inférieur droit (image 163) ; pour lequel nous ne recommandons pas nécessairement de contrôle au vu de sa taille <6mm (Cf. Fleischner guidelines society). Malrotation intestinale avec mésentère commun complet sans iléus ni volvulus visibles. Absence de manifestation tumorale visible. Explication des résultats au patient et à sa soeur. Poursuites des investigations en ambulatoire (ETT prévue le 02.05.19) et prolongation arrêt de travail jusqu'au 05.05.19. Médicaments néphrotoxiques en pause. Hydratation 4500 ml et noradrénaline (cf supra). Albumine iv 1g/kg à J0 puis entretien 40 g/j. Sondage urinaire. Médicaux : • malformation congénitale du membre supérieur gauche : hypoplasie radiale de l'avant-bras et hypoplasie de la main. Chirurgicaux non-gynécologiques : • amputation post-traumatique au Liban, vers l'âge de 3 ans : au-dessus du genou à droite et sous le genou à gauche. Césarienne élective à 38 4/7 SA. Lésion de conflit avec la prothèse au niveau de moignon du membre inférieur droit. Médicaux : Pyélonéphrite gauche sans particularité. Gynécologiques non-opératoires : St. post-condylomatose traité par laser en 2008. Obstétricaux : Accouchement par voie basse, Année : 2012, 37 4/7 semaines d'aménorrhée, Sexe : Masculin, Poids : 2580g. Accouchement par voie basse spontané à 39 6/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 2 gestes devenue 2 pares le 15.09.2016. Médicaux : • Alpha-thalassémie mineure, conjoint non-porteur. • Migraine avec aura visuelle. • Épilepsie de type absence, actuellement non traitée. Obstétricaux : 2013 césarienne pour métrorragie, rupture prématurée des membranes et suspicion de choriamnionite à 24 6/7 semaines d'aménorrhée, lieu : Inselspital, sexe : M, poids 500gr, particularités : hydrop foetal sur probable anémie avec transfusion intra-utérine à 24 5/7 semaines d'aménorrhée. Médicaux : • Angine à Streptocoque le 14.04.2013. Gynécologiques/Obstétricaux : 2011 : Accouchement par voie basse d'un garçon de 3755 g. 2012 : Accouchement par voie basse d'un garçon de 3640 g. Médicaux : asthme sous Ventolin. Accouchement par voie basse instrumenté par forceps pour NPP à épines +1 à 39 5/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 30 ans 1G devenue 1P le 19.07.2018. Suspicion de chorio-amniotite. Médicaux : asthme. Familiaux : maladie épileptique chez soeur. Status post appendicectomie non datée. Status post cure d'hernie ombilicale non datée. Obstétricaux : 2015 : Césarienne à 40 3/7 SA pour stagnation à 9cm, HFR Fribourg, poids (g) : 3080, particularités : Provocation pour P.E. Médicaux : double système pyélo-urétéral gauche avec deux orifices urétéraux et hypoplasie rénale droite avec fonction à 30 % avec micro-hématurie intermittente. Thyroidite du post-partum en 2009 et 2014. AVB par forceps 2006. AVB en 2009. AVB en 2014. Accouchement par voie basse chez une patiente 4G devenue 4P de 29 ans à 39 6/7 SA. Lombalgie non déficitaire. Médicaux : • Hernie discale lombaire. Chirurgicaux : 1978 Amygdalectomie. 2015 Ablation lipome thorax. Familiaux : cancer du sein tante maternelle, cancer pulmonaire grand-père paternel, HTA père. Médicaments : Ranimed b. Bed. Médicaments : Ranimed b. Bed. Mefenacide. Dafalgan. Amoxicilline 25 mg/kg 2x/j pendant 5 jours. Mégaloblastie dans un contexte de traitement par méthotrexate le 23.04.2019. • DD : autre affection hématologique. Mélanome avec métastases amélanotiques (diagnostic le 28.03.2019) le 21.02.2019 avec : • multiples implants péritonéaux. • adénopathies hile hépatique. • métastases hépatiques, thyroïde et osseuses. • PD-L1 positif, mutation BRAF V600E. Mélanome choroïdien de l'oeil gauche, traité par irradiation par faisceau de protons en 2009. Status post cupulolithiasis. Fracture radiale gauche en 2002. Mélanome dorsal opéré. Mélanome malin de type nodulaire focalement ulcéré, modérément pigmenté, Breslow 2.5 mm, Clark IV, du bras droit. Métastase pulmonaire unique au niveau du lobe supérieur gauche avec exérèse en totalité le 16.12.2010. Juillet 2011 : nouvelle récidive au niveau pulmonaire avec un nodule du lobe inférieur droit en progression. Fracture-tassement de L3 type A1 en 2018. • Cyphoplastie L3 par système SpineJack M et cimentage par Cohésion 6.4 cc + biopsie osseuse (pas de métastase). Mélanome métastatique (diagnostic le 28.03.2019) le 21.02.2019 avec : • multiples implants péritonéaux. • adénopathies hile hépatique. • métastases hépatiques, thyroïde et osseuses. Melanome nodulaire, actuellement malin lésions métastatiques ganglionnaires, pleurales, hépatiques, adénopathies rétropéritonéales, hile hépatique, espace pararectal D, frontal G. • Breslow 1,52 mm, Clark 4 scapulaire D, pT2pN1aMo, Stade 3A, B-RAF, N-RAS et C-KIT wild type, mutation MAP2K1/MEK1. • Février 2003 excision lésion primaire. • Avril 2003 ré-excision avec marge de sécurité 2 cm et recherche ganglion sentinelle, curage ganglionnaire radical axillaire D sans atteinte tumorale (0/13). • Décembre 2009 résection ganglions sous claviculaires D, sans lésion tumorale. • Juillet 2014 récidive tumorale sous forme de nodule pulmonaire du lobe supérieur D et G. • Novembre 2014 résection Wedge lobe supérieur D par thoracoscopie D : Métastase du mélanome malin 1,1 cm. • Janvier 2015 segmentectomie du culmen du lobe supérieur G par thoracoscopie G : 2 Métastases pulmonaires péri-bronchiques et 3 Métastases ganglionnaires péri-bronchiques. • Avril 2015 Métastases hépatiques segment 6 et os iliaque D. • Juin 2015 cryoablation lésion de la métastase aile iliaque D et radiofréquence de la métastase hépatique segment 6. • Octobre 2015 biopsie lésion sous-capsulaire hépatique segment 2 sous US : Métastase.Décembre 2015 radiofréquence de lésions des segments 3 et 4 • Mars 2016 radiofréquence d'une récidive de métastase au niveau de la cicatrice du segment 2 • Juillet 2016 progression ganglionnaire avec atteinte mésentérique, nouvelle lésion hépatique segment 6, épanchement pleural gauche hypermétabolique, ponction pleurale positive pour cellule du mélanome • Aout 2016 radiofréquence hépatique pour 6 lésions • Octobre 2016 progression de la maladie aux niveaux pleural et hépatique • Septembre 2016 radiothérapie ganglionnaire mésentérique (2 cycles) • Octobre et Décembre 2016 Ipilimumab 3 mg/kg aux 3 semaines pour 4 cures, compliqué par une néphrite auto-immune • Janvier 2017 stabilité de la maladie avec diminution épanchement pleural • Avril 2017 progression des adénopathies sous diaphragmatique, atteinte osseuse, atteinte pleurale • Juin 2017 augmentation de l'activité métabolique des lésions pleurales et ganglionnaires sous diaphragmatique, fracture de l'aile iliaque D • Juin et Octobre 2017 rechallenge Ipilimumab 4 cycles et radiothérapie de la métastase de l'os iliaque D • Octobre 2017 progression hépatique et faiblement pleurale, progression des adénopathies para-aortiques • Novembre 2017 pas de traitement, patient asymptomatique et refuse un traitement anti-PD1 car obligerait un retrait du greffon rénal et dialyse à vie • Proposition du traitement de Mekinist en 1e option en raison de la mutation MAP2K1/MEK1, 2 mg du 02.02.2018 au 09.03.2018, arrêt sur toxicité dermatologique, reprise 0,5 mg du 06.04 au 17.04.2018 puis 1 mg dès le 18.04 augmenté à 1,5 mg/j depuis juillet 2018 • Septembre 2018 apparition des 4 lésions cérébrales traitées par radiothérapie stéréotaxique le 16.10.2018 • Novembre 2018 progression des lésions métastatiques ganglionnaires, pleurales, hépatiques, 2 adénopathies rétropéritonéales, hile hépatique, espace pararectal D • Novembre 2018 lésion cérébrale frontale G traitée par Cyberknife 24 Gy et majoration légère de 2 des 4 lésions déjà connues • Rechallenge Ipilimumab 3 mg/kg 06.12.2018 au 07.02.2019, arrêté depuis 14.02.2019 en raison d'une progression de la maladie • Actuel, consultation 28 mars 2019 suivi oncologique au CHUV, contexte d'asthénie, épuisement et cachexie induits par la maladie oncologique : Proposition Dexamethasone 8 mg 1x/matin et 20 mg Primperan 3x/j 1h avant les repas Mélanome nodulaire malin inter-scapulaire pT4b, Clark level V, Breslow 4.8 mm, pN0 (0/3) • date du diagnostic : 08.06.2016 • histologie : mélanome malin nodulaire avec infiltration sous-cutanée, ulcération • facteur pronostic : Clark level V, Breslow 4.8 mm, ulcération sans réaction inflammatoire, LDH dans la norme • status post-résection en tissu sain (marge 1 mm), 06.06.2016 • bilan d'extension : PET-scan du 23.06.2016 : sans évidence de métastase à distance • anamnèse familiale : père avec carcinome pulmonaire • facteurs de risque : agriculteur, exposition au soleil, exanthème solaire fréquent • status post-excision de la cicatrice inter-scapulaire avec marge de sécurité et recherche de ganglion sentinelle axillaire droit, le 05.08.2016, pas d'atteinte ganglionnaire • actuellement : pas d'évidence de rechute tumorale, PET-CT dans la norme Melena Méléna anamnestique depuis plusieurs semaines • pas de sang ou de méléna au toucher rectal. Méléna d'origine basse sur angiodysplasie • Colonoscopie (Dr. X) le 14.02.2018 : mise en évidence d'une angiodysplasie sans signe de saignement, pas de traitement effectué Fibrillation auriculaire paroxystique de découverte fortuite en février 2018 Surdité de perception bilatérale appareillée Ataxie proprioceptive aux MI sur probable polyneuropathie (Dr. X) Membre inférieur gauche : cicatrice allodynique, DD Scar Tethering, nervus cutaneus femoralis lateralis Membre supérieur droit : syndrome de tunnel carpien et compression du nerf cubital au niveau du coude Membre supérieur gauche : syndrome de tunnel carpien et compression du nerf cubital au niveau du coude Menace d'accouchement prématuré à 25 4/7 semaines d'aménorrhée avec col à 3 mm sur pyélonéphrite gauche chez une patiente 1G0P de 28 ans Menace d'accouchement prématuré avec col court à 11 mm, sans contractions utérines, chez une patiente de 40 ans, 3 gestes 2 pares. Menace d'accouchement prématuré avec col quasi effacé à 33 1/7 semaines d'aménorrhée le 12.04.2019 Menace suicidaire le 06.03.2019. Méningiome orbitaire droit, opéré en 2008 et 2012 à Genève : • rhésus tumoral connu au niveau du sinus caverneux droit. Arthralgies. Troubles anxieux dépressifs. Méningiome para-sagittal frontal gauche le 03.04.19 dd : épendymome Méningiome pariétale gauche symptomatique le 22.02.19 • Avec crise d'épilepsie focale (mouvement involontaire MSG et aphasie) • CT-Scan Cérébral le 22.02.2019 : masse extra-axiale de 38 x 27 x 28 mm qui prend le contraste de manière homogène, sans effet de masse mais avec œdème péri-lésionnel. • IRM en ambulatoire • Suivi neurochirurgical (Dr. X/Dr. X) • EEG le 26.02.2019 : légères ondes thêta bilatérales plus marquées à gauche Méningite à l'âge de 3, 9 et 16 ans ayant nécessité une hospitalisation au Portugal. Tachycardie connue depuis l'enfance, non traitée. Lithiase urétérale à droite traitée conservativement en 2013. Calcul rénal pré-vésical droit de 5 mm avec dilatation pyélocalicielle de 10 mm en 2014. -> urétéroscopie, extraction de calcul et double-J à droite le 02.05.2014 Colique néphrétique résolue spontanément en 2017. Colique néphrétique droite avec dilatation pyélo-calicielle le 5.12.2018.Tachycardie connue depuis l'enfance, non traitée. Status post-lithiase urétérale à droite traitée conservativement en 2013. Calcul rénal prévésical droit de 5 mm avec dilatation pyélocalicielle de 10 mm en 2014 • urétéroscopie, extraction de calcul et double-J à droite le 02.05.2014. Colique néphrétique résolue spontanément en 2017. Colique néphrétique droite avec dilatation pyélo-calicielle le 5.12.2018. Méningite carcinomateuse connue depuis le 17.08.2018 : avis infectiologique (Dr. X) : pas de traitement antibiotique. Infections urinaires à répétition sur stents urétéraux (sondes double J ?). AVC ischémiques multiples subaigus probablement d'origine cardio-embolique. Méningite dans l'enfance. Allergie à la protéine bovine dans l'enfance. Méningite virale il y a plusieurs années. Urolithiase avec calcul de 4 cm de diamètre à la jonction urétéro-vésicale le 01.02.2015. Méningo-encéphalite infectieuse avec état confusionnel hypoactif le 30.03.2019. DD : bactérien (listéria), viral (herpès), syndrome paranéoplasique, médicamenteux, méningite carcinomateuse. Méniscectomie interne/externe du genou D en 2013. Status post-hystérectomie. Méniscectomie partielle du ménisque interne avec suture du moignon. Plastie de l'LCA avec le tendon du quadriceps (OP le 03.04.2019). Rx genou G le 04.04.2019. Méniscectomie partielle du genou gauche en 2011. Entorse MCP I à G en mai 2015 ; probable instabilité MCP I à D, chronique. Entorse du ligament collatéral interne gauche. Méniscopathie dégénérative de la corne antérieure du ménisque externe et de la corne postérieure du ménisque interne du genou droit. Méno-metrorragie. Ménopause en 2003 et status post-ligature des trompes. Interventions abdominales gynécologiques X en 2011 et 2012. Crise d'angoisse le 01.09.2013. Décompensation psychotique avec délire de persécution et hospitalisation à Marsens le 21.04.2016. Epistaxis 07.2014. Vertiges sur hypotension orthostatique le 20.07.2016. Polypes endométriaux en post-ménopausiques • HSC opératoire et résection de 2 polypes glandulo-kystiques et de 2 polypes sessiles envoyés pour analyse. Douleurs abdominales sus-pubiennes avec sang frais sur les selles le 28.10.2016 • sur douleurs abdominales chroniques d'origine indéterminée. Ménopause précoce. Hypercholestérolémie traitée. Ménorragie. 19.10.2012 : hystéroscopie avec polypectomie et curetage pour des ménométrorragies invalidantes et conisation à l'anse électrique pour un CIN III. Douleurs abdominales d'origine X. DD : kyste ovarien. Ménorragies. Le 19.10.2012 : hystéroscopie avec polypectomie et curetage pour des ménométrorragies invalidantes et conisation à l'anse électrique pour un CIN III. Douleurs abdominales d'origine X. DD : kyste ovarien. Meopa. Rinçage 40 ml, hibidil, Mepore. Recontrôle si persistance de la douleur dans 48 h. Mepilex border, désinfection. Merci d'adapter son traitement diurétique dans l'intervalle. Merci de suivre l'hypokaliémie. Merci de pister les hémocultures du 09.04.2019. Merci de contrôler les valeurs d'acide folique, vitamine B12 et vitamine D à distance ainsi que d'effectuer un suivi diététique par la suite si nécessaire. Merci de contrôler les valeurs de la vitamine D3 d'ici 3 mois. Merci de proposer un schéma de rattrapage vaccinal. Merci de suivre la fonction rénale et la protéinurie. Merci d'évaluer la poursuite du traitement par Plavix selon l'évolution de la thrombopénie. Merci de suivre l'INR en ambulatoire. Merci d'organiser un rendez-vous de suivi à la consultation du Prof. X pour le suivi oncologique. Merci d'organiser une OGD de contrôle, afin d'exclure une malignité à 4-6 semaines sous pantoprazol haute dose. Mère de 31 ans, G2 P1. Grossesse s.p. Sérologies complètes et normales. Stepto B nég. Rupture spontanée des membranes le 2.11. dans la nuit (RPM > 24 h), 2x Augmentin IV. Accouchement par ventouse. Apgar 9/10/10, pH 7.34/ 7.36. NN né à 40 1/7, PN 3550 g (P50-75), TN 51 cm (25-50), PCN 35,5 cm (50-75). Mère hypertendue. Mère : O Rhésus négatif. Nouveau-né : Rhésus négatif. Mère : Rhésus négatif. Nouveau-né J1 : A Rhésus positif. Nouveau-né J2 : A Rhésus positif. Rhophylac 300 mcg IM le 16.04.2019. Mère : Rhésus négatif. Nouveau-né : négatif. Mère : Rhésus négatif. Nouveau-né : positif. Hb foetale le 20.04.2019 : 0. Rhophylac 300 mcg le 20.04.2019. Mère : Rhésus négatif. Nouveau-né : Rhésus négatif (pas de Rhophylac au post-partum). Mère : Rhésus négatif. Nouveau-né : Rhésus positif (confirmé le 26.12.2018 par cytogénétique). Rhophylac 300 mcg IM le 26.03.2019. Mère : Rhésus négatif. Nouveau-né : Rhésus positif. Rhophylac 300 mcg IM le 16.04.2019. Meropenem à partir du 07.04.2019. Remplissage vasculaire. Meropenem du 07.04.19 au 09.04.19. Ertapenem du 10.04.19 au 17.04.19. Culture urinaire le 07.04.2019 : K. Pneumoniae ESBL. Mesure de la pression artérielle non invasive au membre supérieur droit uniquement. Mesure de la pression intra-articulaire des 4 loges de la jambe : (Antérieure 20 mmHg, latérale 15 mmHg, post sup 7 mmHg, post profonde 7 mmHg). RX jambe D F et P du 21.04.2019 post-immobilisation : pas de déplacement secondaire notable. Mesures de changement de style de vie et hygiène. Evaluer l'indication à la prise en charge ambulatoire par le service de psychiatrie. Mesures hygiéno-diététiques. Métastase intra-cérébrale temporale droite d'un carcinome mammaire • status post-craniotomie occipitale gauche et exérèse d'une métastase occipitale le 29.03.2019. Métastase pancréatique d'un carcinome rénal à cellules claires avec • status post-néphrectomie droite et surrénalectomie droite en 2005 pour un carcinome rénal à cellules claires. • PET CT du 21.02.2019 : Volumineuse masse hypervascularisée sur le temps artériel, centrée sur la queue du pancréas, avec un centre nécrotique mesuré à 43 x 29 mm, passant en contact proche de la veine splénique, sans invasion de celle-ci suspect d'une tumeur neuro-endocrine. • Echo-endoscopie avec cytologie (Promed C2019.121) : matériel hémorragique et inflammatoire. • Octréoscan du 28.03.2019 : Mise en évidence d'une hypercaptation abdominale correspondant à la masse tumorale située dans la queue du pancréas, compatible avec une tumeur neuro-endocrine avec des récepteurs à la somatostatine. Absence de foyer hyperactif pathologique net en faveur d'éventuelles métastases. Métastase surrénalienne gauche unique d'un NSCLC type carcinome épidermoïde du lobe supérieur droit classé pT1b pN0 (0/19) L0 V0 Pn0 G2 R0 avec : • status post-lobectomie supérieure droite avec bronchoplastie et lymphadénectomie médiastinale radicale et patch Azygos par abord uniportal. Métastases cérébrales dans le cadre d'un mélanome cutané au niveau latéro-cervical gauche, Breslow 3.5 mm, ulcéré, classé pT3b, pN1b, (1/32) cMo stade IIIb :• 13.11.2017 : échographie cervicale (ganglion sous-cutané hyper-vascularisé) • 22.11.2017 : biopsie et exérèse de la lésion • 08.12.2017 : nouvelle série de biopsies effectuées à l'Inselspital • 14.12.2017 : PET-CT; hypermétabolisme au niveau du pôle inférieur de la parotide gauche sans autre lésion ailleurs) • 15.12.2017 : tumor Board de dermatologie à l'Inselspital (proposition d'une nouvelle exérèse chirurgicale) • 12.01.2018 : reprise chirurgicale du lit tumoral et curage ganglionnaire (Universität Bern) • 26.01.2018 : nouveau Tumor board de dermatologie de l'Inselspital : radiothérapie adjuvante proposée • 26.02.2018- 27.03.2018 : radiothérapie externe adjuvante au niveau du lit tumoral et des aires ganglionnaires cervicales G (48 Gy en 20 fractions de 2.4 Gy) • 30.04.2018 : biopsie en regard de la cicatrice cervicale • 21.03.2019 : état confusionnel aigu avec perte de connaissance et traumatisme crânien. • Métastases intra-cérébrales temporale droite et occipitale gauche d'un carcinome mammaire • Métatarsalgie d'origine indéterminée avec : • diagnostic différentiel : tendinite des tendons extenseurs du pied. • Métatarsalgie du pied gauche, le 26.04.2019. • Métatarsalgie du 5ème métatarse à gauche. • Métatarsalgie MT III et IV sur hyperappui en regard hypoplasie MT I et II Status post cure d'hallux valgus et release MTP du 2ème rayon du pied D le 25.01.2019. • Métatarsalgies pied droit du 1er et du 5ème orteils. Fascéite plantaire pied droit. Réactivation d'une arthrose tibio-talaire de la cheville droite. • Métatarsalgies sur hyper-appui MTP II à G. • Metfin en suspens (dans contexte d'insuffisance rénale) • Metformine en suspens, reprise dès le 08.04.2019 Stimulation à l'hydratation per os Laboratoire Sédiment urinaire Spot urinaire Suivi biologique • Metformine en suspens. Reprise du traitement à la sortie. Contrôle fonction rénale et traitement antidiabétique chez le médecin traitant. • Methorexate mis en suspend Introduction de Leflunomide à distance (p.ex lorsque la patiente sera sous 20 mg de Prednison) • Metoprolol dès le 02.04.19 • Metoprolol dès le 04.04.2019 • Métoprolol intraveineux le 01.02.2019 Beloc ZOK 75 mg dès le 08.03.2019, à poursuivre Introduction de Xarelto le 25.02.2019, à poursuivre • Metoprolol le 13.03.19 Atenolol dès le 19.03.19 Réintroduction Procoralan dès le 19.03.19 Hydratation, substitution magnésium et potassium Cardioversion spontanée avec rythme sinusal persistant Echocardiographie transthoracique (13.03.19) : FEVG à 60 %; hypokinésie minime de la paroi latéroapicale • Metoprolol 10 mg IV aux urgences Diltiazem 25 mg IV aux urgences ETT le 11.04.2019 Apixaban 5 mg 2x/j dès le 08.04.2019 Cordarone 1200 mg en continu le 09.04 Cordarone per os 200 mg 3x/jour du 10.04.2019 au 20.04.2019 • Métoprolol Magnésium Mise en suspens de l'Eliquis au vu des chutes à répétition et d'une anémie • Meto-Zerok 5 mg iv aux urgences. Beloc 25 mg per os à 1h00. Dilzem 25 mg iv à 4h15. Xarelto 20 mg dès le 12.03.2019 (d'entente avec Dr. X, oncologue). Discuter cardioversion après 3 semaines d'anticoagulation. • Metronidazole IV du 30.03.2019 au 03.04.2019 avec un relais PO prévu jusqu'au 09.03.2019 • Metronidazole jusqu'au 21.03.2019 Suivi du transit • Métrorragie postménopausique chez Mme. Y de 55 ans • Métrorragie postménopausique sur atrophie chez Mme. Y de 51 ans. • Métrorragie sur trophoblaste recouvrant à 12 4/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y primigeste de 46 ans. • Métrorragies et douleurs abdominales d'origine X. • Métrorragies et rupture prématurée des membranes • Métrorragies importantes depuis début février 2019, selon la patiente ; en amélioration actuellement • Suivi chez son gynécologue Rétinite pigmentaire Tabagisme actif Obésité avec BMI à 37 kg/m2 • Métrorragies post-ménopausique • Métrorragies post-ménopausique chez Mme. Y de 75 ans • Métrorragies post-ménopausique et myome intracavitaire chez Mme. Y de 58 ans • Métrorragies sur placenta postérieur marginal chez Mme. Y de 30 ans 6G1P à 27 2/7 semaines d'aménorrhée • MGF de type 2 • MGF Type 1 Anémie ferriprive avec perfusion de Ferinject 1000 mg le 21.03.2019 • MGUS • MGUS à IgG kappa • Microbiologie avec PCR négatif • Microbiologie selles le 29.03.2019 (MCL) : négatif pour C. difficile, Cambylobacter jejuni, EHEC et EIEC Recherche C. difficile dans les selles le 02.04.2019 : présence C. difficile, absence toxine A/B protéine et toxine gène ADN • Microcéphalie, épilepsie. Probable état grippal en cours de résolution le 23.02.2019. • Microcéphalie (PC de naissance D. Le déficit se poursuit progressivement jusqu'au 13.02.2019 où elle n'arrive plus à marcher. Elle contacte alors son oncologue, Dr. X, qui la fait hospitaliser en urgence. A l'anamnèse systématique, la patiente se plaint essentiellement de céphalées occasionnelles vives soulagées par du dafalgan, de fatigue et de symptômes dépressifs depuis la perte de la motricité de ses jambes. Elle n'a pas d'autre plainte. A l'examen physique, nous retrouvons une patiente en bon état général, normohydratée, normocolorée, collaborante, calme, eupnéique à l'AA. Au status neurologique, la patiente est orientée dans les 3 modes, il existe une anisocorie D > G connue, NC sp, sensibilité conservée et symétrique aux 4 membres, force M3 au niveau des quadriceps, ROT hypo-vifs mais symétriques rotuliens, pas de signe cérébelleux, mobilisation possible avec rollator, Barré tenu, pas de méningisme, pas de trouble sphinctérien. Le reste du status est sans particularités. Le traitement par Alpelisib entamé le 25.02.2019 a comme complication un diabète de type II induit. Nous mettons en place une thérapie fixe par Insulatard et suivons les glycémies de manière pluri-quotidienne, avec un schéma de correction adapté. Nous optons pour ce traitement diabétique pour simplifier au maximum en raison d'un retour à domicile avec des insulines qui seront administrées par les soins à domicile qui viendront matin et soir. La patiente développe à partir du 28.02.2019 des malaises sur hypotension (déjà connue de longue date) avec vertiges et faiblesse. Nous réduisons puis donnons finalement le Beloc Zok seulement si TA systolique > 100 mmHg avec bon effet sur sa symptomatique. Concernant sa faiblesse des membres inférieurs avec des thérapies régulières de physiothérapie et d'ergothérapie ainsi que par l'optimisation des moyens auxiliaires, elle améliore sa mobilité et retrouve une certaine assurance. Le statut neurologique de sortie présente des pupilles réactives, une sensibilité légèrement diminuée connue et symétrique du visage, le reste des nerfs crâniens est dans la norme. Au niveau de la force, elle est conservée au niveau des membres supérieurs. Elle présente une faiblesse connue et en amélioration des membres inférieurs avec une force globale à M4. Les tests cérébelleux sont dans la norme. Les scores de mobilité sont en amélioration par rapport à l'entrée avec pour les transferts MIF 4 avec aide de contact, la mobilité MIF 5 avec rollator et supervision. Pendant son hospitalisation, la patiente présente une pyélonéphrite droite sur obstruction de son stent pyélo-calicien, raison pour laquelle nous organisons un changement de stent et initions une antibiothérapie pour une durée de deux semaines avec une évolution favorable. Elle présente des vomissements d'origine indéterminée depuis le 14.03.19 probablement multifactoriels sur effet secondaire de la Ciproxine ou d'origine tumorale. Nous réalisons une rotation d'antibiotiques avec une rapide amélioration des symptômes. Le 25.03.2019, Mme. Y présente un début de candidose orale que nous traitons par traitement local de mycostatine pendant une semaine et systémique par fluconazol en prise unique. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 29.03.2019 avec les soins à domicile pour la gestion des insulines, les soins corporels et les médicaments ainsi que de la physiothérapie et de l'ergothérapie ambulatoire. Mme. Y, 30 ans, est admise aux soins intensifs pour surveillance neurologique après crise d'épilepsie tonico-clonique dans un contexte de stress et privation de sommeil chez une patiente enceinte. La patiente est actuellement enceinte de 27 semaines 5/7 et avait consulté pour un contrôle après choc abdominal léger ce jour avec pertes brunâtres. Le contrôle s'était révélé en ordre et la patiente avait été déchargée après avoir reçu un comprimé d'Adalat. Après son départ, elle a présenté un épisode d'absence avec perte de connaissance brève, raison pour laquelle elle a été ramenée aux urgences où elle a présenté une crise tonico-clonique généralisée de très courte durée (quelques secondes). Un nouveau contrôle obstétrical complet a été refait après les crises convulsives. La dose de Lamictal a été augmentée de 100 à 125 mg et la patiente a été hospitalisée aux soins intensifs. Un électroencéphalogramme effectué le 29.04.2019 n'a pas montré de foyer épileptique. La crise d'épilepsie présentée aux urgences est possiblement expliquée par le contexte de privation de sommeil chez cette patiente ayant fait un long voyage en voiture (environ 48 heures) et s'occupant en même temps de son enfant de 2,5 ans. L'autre explication serait des taux de Lamotrigine infra-thérapeutiques dans le contexte de la grossesse. La dose de Lamotrigine est augmentée à 125 mg/jour et les résultats des taux sanguins de médicament lui seront envoyés. Le suivi sera assuré par le neurologue traitant, en Roumanie. En cas de problème durant son séjour en Suisse, la patiente se présentera aux urgences.L'évolution étant favorable, la patiente rentre à domicile le 29.04.2019. L'examen neurologique à la sortie est normal. Mme. Y, patiente de 72 ans admise aux soins intensifs pour une occlusion de l'artère supéro-temporale de la rétine de l'œil droit le 08.04.2019 dans un contexte d'AVC ischémique cérébelleux d'origine cardio-embolique suspectée. Pour rappel, il s'agit d'une patiente de 72 ans vivant seule à domicile, connue pour un glaucome à angle fermé (iridotomie œil droit), un diabète NIR, une HTA traitée et des migraines ophtalmiques, qui est conduite en ambulance le 3.4.19 à l'hôpital de Riaz pour une symptomatologie oculaire avec sensations de vertiges à la station debout. Le diagnostic d'AVC ischémique cérébelleux bifocal est confirmé par une IRM du 05.04.2019. Une origine cardio-embolique est suspectée en raison d'une lésion valvulaire mitrale décrite comme une nécrose caséeuse mitrale, lésion connue depuis une ETO de juillet 2018. La patiente est transférée le 08.04.2019 pour investigations cardiologiques de sa lésion sur la valve mitrale et de son potentiel emboligène à l'HFR de Fribourg avec nouvelle ETO et coronarographie. À 11h30, peu après l'ETO, elle remarque un scotome dans le champ visuel D nouveau, motivant une consultation ophtalmologique en urgence, qui montre une occlusion de l'artère supéro-temporale de la rétine D. Dans le contexte de récidive proche d'un événement cérébro-vasculaire, nos collègues neurologues proposent une hospitalisation en Stroke Unit. Au CT cérébral natif du 08.04.2019, il n'y a pas de transformation hémorragique des lésions cérébelleuses et donc une anticoagulation thérapeutique est débutée. La coronarographie est alors reportée pour le 10.04.2019. À son arrivée aux soins intensifs, la patiente présente un NIHSS à 0 points et ne présente plus de scotome, mais elle décrit toujours un flou ou un nuage à la partie supérieure du champ visuel droit. La surveillance aux soins intensifs est sans particularité avec une stabilisation de la symptomatologie neurologique permettant son transfert en service de médecine pour suite de soins. Mme. Y, une patiente de 67 ans connue pour un adénocarcinome pulmonaire multimétastatique (SNC, adénopathies, os, poumons, surrénales) cT1 pN2 cM1, ED 04/2017, nous est transférée depuis l'Inselspital où elle a été hospitalisée 3 semaines pour suite de prise en charge. À l'anamnèse systématique, la patiente se plaint de fatigue évoluant depuis quelques mois, de nausées et vomissements quotidiens depuis au moins 3 semaines, et d'inappétence avec perte de poids. Elle n'a pas de douleurs (sous Targin et Novalgine), pas de constipation sous Movicol, pas de dyspnée et pas de troubles de l'humeur sous Cipralex. Il existe une anxiété, notamment face aux dernières formalités administratives qu'il lui reste à accomplir (notamment concernant ses animaux, la succession de sa maison...). À l'examen physique, nous retrouvons une patiente à l'état général diminué, normohydratée, normocolorée, collaborante, calme, eupnéique à l'AA. Au status cardio-vasculaire, elle présente des bruits B1 et B2 bien frappés, réguliers, sans souffle. Il n'y a pas de signes de surcharge vasculaire, pas d'OMI et les pouls périphériques sont bien perçus. L'examen abdominal montre un abdomen souple, dépressible, indolore, avec des bruits diminués en fréquence mais de tonalité normale. Les loges rénales sont indolores. Le reste du status, y compris neurologique, est sans particularité. Au niveau social, la patiente vit seule dans une maison de plain-pied avec beaucoup d'animaux, a une femme de ménage une fois par semaine mais elle n'a pas de Spitex ni Voltigo. Elle marche avec une canne en extérieur. Elle a un frère dont elle est très proche, des nièces, et beaucoup d'amis qu'elle aime voir. Elle était secrétaire au département de neurologie de l'Inselspital. Les nausées et vomissements de la patiente sont pris en charge dès l'entrée avec des anti-émétiques par jour, avec un résultat favorable sur les nausées mais limité sur les vomissements qui se poursuivent et que nous imputons à une probable hypertension intracrânienne. Nous initions une corticothérapie par Prednisone puis Dexaméthasone à doses croissantes avec un résultat plutôt favorable. Les douleurs au niveau du pli de l'aine droite le 04.03.19 réagissent bien au fentanyl patch. Mme. Y présente une omalgie droite le 15.03.2019 avec une composante neurogène, des paresthésies et une position dépendante avec une péjoration lors de la position assise et une amélioration rapide lors de la position couchée. Nous introduisons une antalgie avec Brufen ainsi que Lyrica en plus des soins locaux de massage, coussin chaud, physiothérapie et positionnement lors de la position assise, amenant à une évolution favorable. Au cours de son hospitalisation, l'état général de Mme. Y se péjore lentement avec une faiblesse musculaire croissante et une fatigue importante. Le 07.04.2019, une sonde vésicale est posée en raison d'un globe urinaire qui soulage rapidement la patiente. En raison de saignements nasaux fréquents, après discussion des risques et bénéfices du Xarelto, Mme. Y souhaite arrêter la prise du Xarelto depuis le 02.04.2019. Depuis le 19.04.2019, en raison de la péjoration de la dysphagie, les médicaments sont mis par voie sous-cutanée puis intraveineux, avec le 21.04.2019 la mise en place d'un perfuseur de morphine pour les douleurs en raison de l'état pré-terminal. Mme. Y règle au cours de son séjour beaucoup de ses inquiétudes et de ses souhaits grâce à l'aide de son entourage. Nous réalisons deux entretiens familiaux pour clarifier la situation et pour clarifier le rôle de son frère et de son amie Angélique et pour aider quant aux malentendus et manque de communication entre Mme. Y et ses proches. Mme. Y décède entourée de ses proches le 21.04.2019 à 17h15. Mme. Y est une patiente de 76 ans connue pour une maladie coronarienne avec replacement de valve aortique biologique en juin 2017 et mise en place de 2 stents coronaires droits en mars 2019 et une cholédocholithiase, qui avait bénéficié d'une ERCP le 01.04.2019. Suite à cette intervention, elle se présente aux Urgences en raison de l'apparition brutale de douleurs abdominales au niveau de l'hypochondre droit irradiant en ceinture jusque dans le dos. Le bilan biologique et radiologique met en évidence une pancréatite post-ERCP Balthazar E. On débute une hydratation par la veine. L'évolution de suite est prolongée par un syndrome inflammatoire à la hausse, raison pour laquelle nous introduisons une antibiothérapie par Imipenem le 04.04.2019. Par la suite, la patiente récupère bien. Mme. Y, 86 ans, est admise pour une surveillance neurologique dans le cadre d'un hématome épidural. La patiente présente un hématome épidural droit asymptomatique de 5 mm qui est contrôlé par imagerie 6h plus tard. Ce dernier est stable avec une petite amélioration de 1 mm. Le status neurologique d'entrée est sans particularité. L'étiologie de la chute n'est pas claire en raison d'une amnésie. Le fait que cela se soit passé dans les escaliers évoque une cause accidentelle, mais la syncope cardiogène n'est pas exclue, raison pour laquelle nous réalisons une échographie cardiaque. Celle-ci montre une FEVG à 55 % et une insuffisance tricuspide modérée. Les cardiologues proposent l'implantation d'un boîtier reveal sous-cutané afin de surveiller un éventuel trouble du rythme cardiaque à l'origine de la chute. Cette indication est à réévaluer au vu de l'âge de la patiente. Devant l'absence de signe neurologique, la patiente est transférée en médecine pour la suite de la prise en charge le 05.04.2019.Mme. Dos Santos, patiente de 82 ans, admise aux soins intensifs pour une surveillance dans les suites opératoires d'une colectomie le 08.04.2019. Elle est hospitalisée depuis le 26.03.2019 en raison d'une anémie sévère dans le contexte d'un adénocarcinome colique du caecum cT3cN+cM0. La tumeur est réséquée par hémicolectomie avec CME. À son arrivée du bloc opératoire, l'antalgie est bien contrôlée. Le pansement post-opératoire est propre. Elle reçoit comme prévu par les collègues hématologues du fibrinogène et du Cyklokapron pour son hypofibrinogénémie congénitale familiale. Ce dernier est à poursuivre 10 jours et le fibrinogène à substituer selon les taux journaliers. À noter qu'il est impossible d'effectuer un dosage des thrombocytes chez cette patiente en raison d'agrégats même avec le tube spécial. Cependant, selon le labo, les thrombocytes sont probablement suffisants car le numérateur automatique donne un chiffre dans la norme malgré les agrégats. La patiente reste stable hémodynamiquement avec une hémoglobine stable. Elle peut quitter les soins intensifs et être transférée en chirurgie le 09.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mme. Dupré poursuit la physiothérapie et doit tester la stabilité du genou droit avec des mouvements de pivot ces prochaines semaines et nous la reverrons à fin mai pour discuter de la suite et éventuellement de l'opération. Une intervention est réservée pour le mois de juillet. Mme. Fehr nous est adressée le 02.04.2019 par son médecin traitant Dr. X en raison d'une baisse de l'état général, des troubles cognitifs et de l'hypothymie objectivés à sa résidence de Beaulieu. À l'entrée, nous trouvons une patiente avec un état général diminué et une hypothymie importante. L'anamnèse est très subjective en raison de troubles cognitifs marqués. À noter que la famille rapporte également l'apparition d'oedèmes des membres inférieurs depuis plusieurs semaines, avec une orthopnée. Au status clinique, nous trouvons un rythme irrégulier et un souffle d'allure aortique, actuellement non investigué. Des bas de contention sont présents. Pas de signes de décompensation cardiaque. Une incontinence urinaire nouvelle est rapportée par la famille. Ad diag. principale Sur le plan psychique, la famille de Mme. Fehr rapporte une confusion d'installation progressive sur plusieurs semaines, une incontinence de type stress, une thymie diminuée avec des idées de mort et une perte de poids progressive depuis plusieurs années. La patiente décrit vouloir mourir mais ne souhaite pas se suicider vue sa croyance religieuse. Elle évoque plusieurs fois son mari décédé il y a 4 ans, dont l'anniversaire de la mort est arrivé peu avant son entrée. Selon notre psychiatre Dr. X, Mme. Fehr présente une évolution démentielle débutée récemment avec une progression assez rapide qui s'accompagne de symptomatologie dépressive. Au vu de l'âge de la patiente, une investigation par IRM cérébrale n'a pas été poursuivie. D'ailleurs, une radiographie du thorax, un status urinaire et un bilan biologique reviennent dans la norme sauf une hypovitaminose D qui a été substituée. Avec l'accord de la famille, nous commençons un traitement par escitalopram avec une évolution défavorable à 3 semaines. Nous proposons une évaluation dans une semaine de ce médicament. La patiente bénéficie d'une rééducation précoce gériatrique intensive. À l'entrée, la patiente est capable d'effectuer ses transferts sous supervision (FIM 5). Elle se déplace avec Rollator sous supervision (FIM 5) et a un périmètre de marche de 50 m. Elle est capable de monter 9 marches avec une aide par contact (FIM 4). Le score de Tinetti est à 14/28 avec un Rollator, ce qui correspond à un risque de chute augmenté. À sa sortie, la patiente n'a pas montré une amélioration du fait de la péjoration aiguë de son état psychique et par manque de motivation. Ad diag. 1) À l'examen clinique d'entrée, nous notons un important souffle systolique, plutôt aortique, avec une irradiation dans tous les foyers. Après discussion avec le Dr. X, des investigations cardiologiques n'ont pas été poursuivies vu l'âge de la patiente et son contexte global. Au cours de l'hospitalisation, nous effectuons une digoxinémie et nous adaptons par la suite la dose de Digoxine. Nous proposons un contrôle dans une semaine en raison d'un taux infrathérapeutique de 23.04.2019 à 0.5 nmol/l. Ad diag. 2) Une hypokaliémie à 3.1 mmol/L est notée. Rapidement substituée avec normalisation des valeurs. Ad diag. 3) L'examen biologique montre une hypovitaminose D qui a été substituée. Ad diag. 4) La patiente bénéficie également d'une prise en charge par nos collègues diététiciens en raison d'une malnutrition protéino-énergétique légère. Ce suivi reste à suivre dans votre service. Ad compl. 1) La patiente a présenté le 16.04.2019 des douleurs, une rougeur et une tuméfaction au niveau de l'articulation métacarpophalangienne V. Les paramètres inflammatoires étaient légèrement augmentés avec un CRP à 26 mg/l. La radiographie montre une petite quantité de dépôts de CPPD, ce qui a renforcé notre suspicion d'une crise de pseudogoutte. Les symptômes sont bien contrôlés par la Prednisone 10 mg/j avec une bonne évolution. Suite au colloque de famille du 11.04.2019, Mme. Fehr est transférée le 24.04.2019 en Home à Murten. Mme. Fetahu, en bonne santé habituelle, G1P0 à 18 SA non problématique, est hospitalisée dans le cadre de douleurs en loge rénale droite. Les investigations paracliniques montrent une dilatation pyélocalicielle droite associée à un syndrome inflammatoire. Aucune lithiase n'est visualisée sur l'ultrason et l'IRM effectués. Nous retenons une pyélonéphrite droite dans le cadre d'une probable compression extrinsèque physiologique de l'uretère droit. Un traitement antibiotique est débuté et la patiente montre une évolution favorable et afébrile. Nous laissons la patiente rentrer à domicile le 11.04.2019. Un contrôle ultrasonographique sera effectué la semaine prochaine et la patiente sera revue à la consultation du Dr. X. Mme. Frade est une patiente de 29 ans qui se plaint de douleurs abdominales aiguës depuis 3 jours pour lesquelles elle a déjà consulté les urgences de Bienne et aucune étiologie n'avait été retenue. Elle se représente pour des douleurs abdominales intenses sans fièvre ni syndrome inflammatoire biologique mais une histoire de ballonnement abdominal avec des dernières selles remontant à 2 jours, et un terrain pouvant évoquer une thalassémie mineure devant l'origine géographique de la patiente, une histoire d'anémie à la naissance et les douleurs abdominales. C'est pourquoi nous conseillons vivement une électrophorèse de l'hémoglobine. Mme. Goppinger, 91 ans, est admise aux soins intensifs pour un oedème aigu du poumon sur pic hypertensif et passage en fibrillation auriculaire rapide. Pour rappel, la patiente est hospitalisée depuis le 24.04.19 suite à un 1er épisode d'oedème aigu du poumon survenu dans des circonstances similaires. Après un bref passage aux soins intensifs, la patiente est transférée à l'étage de médecine. Elle présente dans la nuit du 28.04.19 une dyspnée aiguë se péjorant rapidement associée à une hypertension artérielle et une tachycardie. Un traitement diurétique IV ainsi que des dérivés nitrés lui sont administrés à l'étage de médecine. L'oedème aigu du poumon est accompagné d'une insuffisance respiratoire hypercapnique. L'évolution est rapidement favorable sous traitement diurétique, VNI et contrôle de la fréquence cardiaque par Métoprolol IV. La patiente reste tout de même légèrement oxygéno-dépendante. Le traitement antihypertenseur est majoré par l'introduction d'un inhibiteur calcique et la majoration du traitement bêta-bloquant. Nous vous laissons le soin de poursuivre l'adaptation du traitement antihypertenseur et antiarythmique.Concernant le reste de la médication, l'anticoagulation (Eliquis) est reprise mais nous ne réintroduisons pas l'Aspirine car nous n'en retrouvons pas l'indication. La patiente est transférée le 23.04.2019 dans le service de médecine interne pour suite de prise en charge. Mme. Y nous dit avoir bénéficié de 2 infiltrations ces 2 dernières semaines à Payerne (L5 puis S1 G) avec une amélioration de la symptomatologie. Nous ne pouvons toutefois pas déterminer le niveau qui a permis ce soulagement. Au vu du cadre général avec impossibilité ce jour d'établir un diagnostic, nous proposons un nouveau contrôle dans 1 mois. Nous expliquons qu'il ne faut pas réaliser d'infiltration durant cette période et qu'il faudra bien référencer l'évolution des douleurs en notant également l'éventuelle dominance de douleurs L5 ou S1. Mme. Y est une patiente de 29 ans, enceinte de 4 semaines, qui se présente aux urgences pour une douleur thoracique punctiforme, réspiro-dépendante au niveau de l'omoplate depuis la veille. La patiente mentionne être également nauséeuse et ressentir une douleur épigastrique depuis le 06.04.2019, associée à des épisodes fébriles. La patiente est apyrétique aux urgences. L'examen clinique met en évidence une douleur légèrement reproductible à la palpation de la musculature thoracique, sans atteinte neurologique associée. L'abdomen est souple et indolore mais présente un signe de Murphy positif. Nous décidons d'effectuer un laboratoire qui revient rassurant avec une absence de syndrome inflammatoire et des tests hépatiques dans la norme par rapport au tableau clinique. Un diagnostic de douleur musculo-squelettique est posé pour lequel nous préconisons un traitement antalgique. Nous conseillons également de consulter un gynécologue si la patiente souffre encore de nausées afin d'adapter un traitement approprié. Mme. Y, 55 ans, en bonne santé habituelle, est hospitalisée pour un sepsis d'origine urinaire sur pyélonéphrite bilatérale. Elle a consulté les urgences le 17.04.2019 et le 19.04.2019 pour des douleurs abdominales crampiformes dans le bas-ventre, associées à des vomissements et à un état fébrile. Le bilan biologique et l'imagerie confirment une pyélonéphrite bilatérale. En raison d'une bactériémie à E. Coli, la patiente est hospitalisée pour une antibiothérapie intraveineuse. L'évolution est favorable sous Rocéphine, permettant un relais per os par Ciproxine après 5 jours de traitement intraveineux. L'antibiothérapie est à poursuivre pour une durée totale de 2 semaines. Le bilan biologique d'entrée montre une perturbation des tests hépatiques. Le CT abdominal ne montre pas de lésion hépatique ni de dilatation des voies biliaires. L'origine est probablement contextuelle au sepsis, nous vous laissons toutefois le soin de recontrôler les tests hépatiques 1 semaine après sa sortie de l'hôpital. Au vu de l'évolution favorable, elle quitte notre service le 24.04.2019 pour un retour à domicile. Mme. Y, 88 ans, connue pour une insuffisance rénale chronique sévère et un diabète de type 2, est transférée dès l'HFR Fribourg en raison d'une décompensation cardiaque avec une dyspnée à NYHA 3 et des œdèmes des membres inférieurs importants. À l'entrée, la patiente se plaint d'une sensation de fatigue générale et de dyspnée à la mobilisation. Elle se présente dans un état général légèrement diminué. À l'auscultation cardiaque, on note un rythme bradycarde à 55 bpm, avec des extrasystoles, pas de souffle. Reflux hépato-jugulaire négatif, légère œdème au niveau des membres inférieurs (pré-tibiale) et au niveau des chevilles des deux côtés. L'auscultation pulmonaire montre des crépitants au niveau basal gauche. Sur le plan dermique on note deux ulcères au niveau des deux pieds (base du gros orteil à droite, 4e orteil et talon gauche). Sur le plan biologique, nous observons des troubles électrolytiques, raison pour laquelle nous commençons avec des thérapies substitutives. Au niveau cardiaque, la patiente présente une bradycardie continue (mesurée centralement à l'aide de l'auscultation) de 44 bpm jusqu'à 24 bpm, asymptomatique. La thérapie avec Beloc Zock 12.5 mg est posée à partir du 16.04.2019. Un ECG fait le 16.04.2019 montre un rythme sinusal bradycarde à 73/min, avec un bigeminisme et des extrasystoles ventriculaires (fréquence cardiaque à l'ECG donc plus haute que selon l'auscultation cardiaque). Un avis cardiologue est demandé le 18.04.2019 : vu l'asymptomatologie et les comorbidités de la patiente, un placement de pacemaker n'est pas indiqué. Le bilan biologique montre une anémie normocytaire normochrome d'origine multifactorielle, avec une hémoglobine à 95 g/l le 18.04.2019. Une transfusion est faite en ambulatoire avec administration de Ferinject 500 mg en raison d'une sidérémie à 43.6 ng/ml (correspondant donc à une carence légère) le 09.04.2019. La recherche de sang occulte dans les selles a pu être faite une seule fois, revenant négative. En raison d'une carence d'acide folique nous commençons une thérapie substitutive avec un dosage de 5 mg une fois par jour pour une durée d'un mois, à réduire à 2 fois par semaine à partir du 19.05.2019. Nous proposons un suivi biologique régulier et, en raison d'une étiologie rénale importante, de réévaluer le début d'une thérapie avec Érythropoïétine. Au vu de l'amélioration clinique, la patiente quitte notre service le vendredi 19.04.2019. Mme. Y est satisfaite du résultat. Elle ne souhaite plus faire de la physiothérapie. Fin de traitement. Mme. Y est une patiente de 23 ans qui se présente aux urgences pour des vomissements biliaires incoercibles depuis hier soir après ingestion d'ail des ours. La patiente est apyrétique et l'examen clinique est sans particularité. Nous effectuons un appel au ToxCentrum qui est rassuré de la situation et qui ne propose pas de surveillance particulière. Un laboratoire est également envoyé montrant un léger syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 14.3 G/l et une CRP à 11. L'analyse par bandelette des urines revient négative, et le test de grossesse urinaire est négatif également. Dans ce contexte, nous concluons sur une intoxication alimentaire pour laquelle nous prescrivons un traitement symptomatique. Mme. Y montre une bonne évolution. A recommencé le travail comme aide-infirmière. Elle a encore des séances de physiothérapie qu'elle finira. Fin de traitement. Nous restons à disposition. Mme. Y, patiente de 25 ans connue pour une polytoxicomanie, est hospitalisée aux soins intensifs pour un coma sur surdosage au GBL le 29.04.2019. Au vu d'un GCS fluctuant avec d'abord un état d'agitation, puis un coma profond, elle est intubée et ventilée avec une évolution favorable permettant une extubation le lendemain. Une évaluation psychiatrique ne retient pas d'indication à une hospitalisation en environnement psychiatrique malgré plusieurs récidives récentes. Un suivi en ambulatoire lui est proposé. On retrouve également une fracture métatarsienne 3/4/5 à droite nécessitant une immobilisation à plâtre pendant 4 semaines avec un contrôle en ambulatoire dans le même délai. Une anticoagulation prophylactique est débutée. Elle quitte les soins intensifs pour un retour à domicile le 30.04.2019 en compagnie d'un ami. Mme. Y est hospitalisée de manière élective pour le changement du boîtier de son pacemaker/défibillateur ainsi qu'un rajout de sonde dans le ventricule gauche. La patiente souffre d'une dyspnée d'effort et d'une oppression thoracique (NYHA II, CCS II) ainsi que d'une forte fatigue depuis 3 mois. Elle avait déjà présenté des symptômes similaires avant un arrêt cardio-respiratoire en 2008 dans le cadre d'une cardiomyopathie dilatée.L'intervention se déroule sans complication et la radiographie du thorax est sans particularité. Mme. Y peut rentrer à domicile le 05.04.2019. Elle sera revue à distance en cardiologie. Nous vous invitons à contrôler la plaie opératoire dans les dix jours suivant l'intervention. Mme. Y présente donc un état subfébrile depuis la cholecystectomie en début de février 2019, qui s'est aggravé avec des pics franchement fébriles jusqu'à >40°C ces 2 dernières semaines. A l'entrée, mise à part une toux sèche et des crépitants bibasaux, il n'y a pas de point d'appel infectieux. La prise de sang révèle un syndrome inflammatoire important mais est sans argument pour un syndrome d'activation macrophagique. Une ETT ne montre pas d'argument en faveur d'endocardite. Nous complétons l'imagerie avec un CT thoracique montrant des infiltrats en verre dépoli avec des micronodules. Sur avis de nos collègues pneumologues, le bilan est complété par des fonctions pulmonaires complètes ne montrant pas de syndrome restrictif ni obstructif, mais une DLCO corrigée modérément abaissée à 47% du prédit. De plus, on retrouve une légère hypoxémie à la gazométrie. Le diagnostic différentiel reste large, comprenant notamment une pneumopathie au méthotrexate ou une pneumonie des germes atypiques (PCP). Une bronchoscopie est effectuée le 09.04.2019. De plus, sur avis de nos collègues infectiologues, nous réalisons une sérologie CMV montrant une infection ancienne ainsi qu'une recherche de fièvre Q qui s'avère négative. Nous instaurons donc, après la bronchoscopie, un traitement de Prednison 60 mg et de Bactrim forte 2 cp 3 fois par jour afin de couvrir une origine médicamenteuse mais aussi le P. Jirovecii. L'évolution est par la suite favorable. La patiente reste afébrile et l'auscultation pulmonaire s'améliore. Les résultats de la LBA sont en faveur d'une pneumopathie médicamenteuse sur méthotrexate avec notamment de nombreux macrophages et des éosinophiles. À noter que les résultats des biopsies montrent une lymphocytose et légère éosinophilie, sans cellules tumorales ni micro-organismes. Nous poursuivons la Prednison à 60 mg pour 3 semaines, avec ensuite 40 mg pour 2 semaines et 30 mg pour 2 semaines supplémentaires, puis 20 mg. La patiente sera à ce moment-là réévaluée par nos collègues pneumologues en ambulatoire. Nous prévoyons avant cette consultation un CT thoracique. Au vu d'une positivité pour le Pneumocystis jirovecii dans le LBA, le traitement avec Bactrim forte est à continuer pour 3 semaines (jusqu'à 29.04. inclus). Par la suite, une prophylaxie sera instaurée pour un minimum de 3 mois après l'arrêt de la corticothérapie, voire plus si réintroduction d'un nouveau traitement immunosuppresseur. La patiente sera revue à 1 mois à la consultation du Dr. X pour le suivi de la dermatomyosite. Le traitement de méthotrexate étant contre-indiqué à l'avenir, un traitement de Leflunomide pourrait être introduit à distance (p.ex lorsque la patiente sera sous 20 mg de Prednison). Mme. Y, 78 ans, est admise aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique en postopératoire d'une endartérectomie du carrefour fémoral avec patch d'élargissement D et G et pontage fémoro-fémoral croisé G à D avec fasciotomie des 4 loges au membre inférieur droit. Elle est hospitalisée en chirurgie en raison d'une ischémie aiguë Rutherford I au membre inférieur droit. Un angio-CT scan est réalisé le 01.04.2019 et montre une occlusion de l'axe iliaque droit, ainsi que de l'artère fémorale commune et superficielle. La patiente bénéficie le 01.04.2019 d'une tentative de recanalisation par voie endovasculaire qui se solde par un échec. Par conséquent, elle est reprise le 05.04.2019 pour une endartérectomie du carrefour fémoral avec patch d'élargissement D et G et pontage fémoro-fémoral croisé G à D avec fasciotomie des 4 loges au membre inférieur droit. L'intervention se déroule sans complication. La patiente est transfusée d'un culot érythrocytaire en post-opératoire. Elle bénéficie d'un soutien par noradrénaline qui peut être sevré rapidement. Les pouls périphériques sont présents à la surveillance par Doppler. L'antalgie est bien gérée par Temgesic et un patch de Transtec. La patiente est transférée en chirurgie pour la suite de la prise en charge le 06.04.2019. Mme. Y, 60 ans, a été admise aux soins intensifs pour une syncope convulsivante secondaire à une probable hypotension artérielle orthostatique, compliquée d'une hémorragie sous-arachnoïdienne mésencéphalique postérieure post-traumatique. La patiente est connue pour une maladie coronarienne tritronculaire avec pontage aorto-coronarien le 28.12.2018, qui s'est compliquée par une ostéite sternale de l'articulation sterno-claviculaire gauche à E. coli et E. faecalis le 11.03.2019. Le 28.03.2019, la patiente a fait une chute et a présenté des mouvements convulsifs courts. L'équipe répondante n'a pas trouvé de pouls et a débuté une réanimation cardiopulmonaire interrompue par la reprise de conscience après 30 secondes. Le diagnostic différentiel inclut un ACR sur trouble du rythme, une hypotension orthostatique ou une crise convulsive. En raison de la morsure de langue nouvelle, une origine épileptique a été évoquée, mais l'équipe de neurologie ne retient pas cette piste au vu du précédent EEG. Un taux d'Ertapenem est dans les normes, la piste médicamenteuse est écartée. Une étiologie cardiaque à cette perte de connaissance est évoquée. L'échocardiographie faite initialement retrouvait une fonction ventriculaire gauche normale. L'ECG est stable et les enzymes présentes après la réanimation se normalisent. Une indication à une coronarographie est posée afin de vérifier l'intégrité des pontages, mais celle-ci est repoussée en raison de l'hémorragie sous-arachnoïdienne et la patiente ne présente ni trouble du rythme, ni douleur thoracique. L'ETT de contrôle du 01.04.2019 montre une FEVG conservée sans trouble de la cinétique segmentaire. Un test de Schellong est positif avec une chute de la pression systolique de plus de 30 mmHg en moins de 5 min. Donc, l'étiologie probable est une syncope orthostatique. Des bas de contention sont introduits. Le premier CT cérébral effectué directement après la chute est normal. Il est répété à 12h et identifie une lame d'HSA mésencéphalique postérieure gauche avec une possible composante intraparenchymateuse. La surveillance neurologique est normale et le CT de contrôle 6h plus tard montre une stabilité des lésions. Le Plavix est arrêté. L'évolution neurologique est favorable et nous vous proposons la réalisation d'un CT cérébral à 4-6 semaines afin d'exclure un hématome sous-dural chronique. La chute est compliquée d'un saignement important au niveau du cuir chevelu dans un contexte de double thérapie antithrombotique. Ce dernier est suturé et les fils sont à enlever à 10 jours. Concernant la double anti-agrégation, l'indication n'est pas retrouvée. Le Plavix a été introduit durant le séjour de réhabilitation à l'HFR Billens. La double thérapie par Brilique et Aspirine n'était prévue que pour 6 mois après les stents d'Avril 2018 et le pontage aorto-coronarien n'indique pas à une double thérapie. Pour cette raison et face à la complication hémorragique cérébrale et le risque majeur de chute, le Plavix est stoppé. Selon avis de Dr. X, le Levetiracetam est baissé à une posologie de 250 mg aux 12 h. La suite du traitement doit être rediscutée avec Dr. X le 02.04.2019. Mme. Y, 60 ans, est transférée aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique le 08.04.2019. Elle est hospitalisée en médecine interne dans les suites d'une ostéite sternale de l'articulation sterno-claviculaire gauche post-pontage aorto-coronarien. Elle a transité du 28.03.2019 au 01.04.2019 pour une syncope convulsivante secondaire à une probable hypotension artérielle orthostatique, compliquée d'une hémorragie sous-arachnoïdienne mésencéphalique postérieure post-traumatique. Le 08.04., elle présente une insuffisance respiratoire hypoxémique avec état fébrile motivant son admission aux soins intensifs.Durant son séjour aux soins, l'insuffisance respiratoire est mise sur le compte d'une pneumopathie à éosinophiles secondaire au traitement par Cubicine. Nous arrêtons donc la Cubicine le 08.04.2019 et après discussions avec les pneumologues, nous introduisons une corticothérapie. La fibroscopie bronchique ainsi que la biopsie confirment le diagnostic de pneumonie à éosinophiles. A la mise de la corticothérapie, l'évolution est rapidement favorable avec un sevrage rapide de l'oxygène à haut débit et une diminution progressive du nombre de séances de VNI. Nous vous proposons de les poursuivre encore 2 fois par jour de manière prophylactique. Pour la corticothérapie, il faudra en rediscuter avec les pneumologues le 12.04.2019 de la suite du schéma thérapeutique. Il est nécessaire de considérer la patiente comme allergique également à la Cubicine. Dans ce contexte, une déclaration à la pharmacologie est réalisée. Des Prick-test cutanés pour la Cubicine seront à réaliser à distance. Mme. Y, 75 ans, est admise en Stroke Unit Monitorisé pour une suspicion d'AVC dans le cadre d'un flou visuel transitoire durant moins de 30 minutes. La patiente avait déjà présenté une symptomatologie similaire et une lésion lacunaire occipitale avait été retrouvée au début du mois de mars 2019. Une IRM réalisée le 03.04.2019 infirmera le diagnostic d'AVC aigu et le diagnostic d'hypertension artérielle symptomatique est retenu. Nous proposons de réaliser un Holter tensionnel dans les jours à venir à l'hôpital de Riaz, pour lequel la patiente recevra une convocation à domicile et dont les résultats seront communiqués à son médecin de famille. Dans l'attente, le traitement par bêta-bloquant de la patiente sera doublé à Metoprolol 25 mg par jour. Une fibrillation auriculaire intermittente est traitée par Xarelto depuis 2013. A noter qu'un rythme sinusal était présent tout au long de la surveillance rythmique. Mme. Y, 93 ans, est admise aux soins intensifs pour une suspicion d'AVC le 10.04.2019. La patiente présente une clinique d'aphasie nouvelle avec ataxie du membre supérieur droit. L'angio-CT ne montre pas d'AVC consolidé et les axes pré-cérébraux sont perméables. Un IRM cérébral et l'échocardiographie transthoracique sont demandés. Un traitement par Aspirine est débuté et un traitement par Statine est interrompu vu l'âge de la patiente. La surveillance hémodynamique et neurologique aux soins intensifs est sans particularité hormis une fibrillation auriculaire non anticoagulée. Une éventuelle anticoagulation est à discuter avec le médecin traitant. Mme. Y est une patiente de 80 ans, adressée à l'HFR le 02.04.2019 par son diabétologue pour bilan d'une insuffisance rénale aiguë en péjoration par rapport à un précédent contrôle 3 mois auparavant. Le bilan néphrologique et la biopsie rénale révèlent une glomérulonéphrite extra-capillaire pauci-immune avec anticorps ANCA anti-MPO positifs dans le cadre d'une probable vasculite microPAN. La patiente présente par ailleurs un syndrome néphrotique avec une importante surcharge volémique. Après un status clinique stable sur quelques jours, la patiente est admise aux soins intensifs pour une détresse respiratoire aiguë le 10.04.2019 attribuée à une surcharge volémique secondaire à sa glomérulonéphrite extra-capillaire avec insuffisance rénale aiguë oligo-anurique avec une clairance estimée à 6 ml/min. La patiente est alors dialysée quotidiennement du 11.04.2019 au 13.04.2019. L'insuffisance respiratoire est traitée par des séances de ventilation non invasive ainsi qu'un traitement diurétique haute dose afin de diminuer la surcharge volémique. La patiente évoluant adéquatement, elle est retransférée dans le service de médecine interne le 13.04.2019. Sur le plan volémique, la patiente évolue adéquatement sous un traitement de torasémide haute dose et les dialyses, avec régression des œdèmes et une normalisation de l'auscultation pulmonaire. Par la suite, sur le plan rénal, la patiente bénéficie de séances de dialyse à raison de 3 fois par semaine avec évolution clinique favorable. Sur avis néphrologique, au vu des résultats de la biopsie, un traitement de prednisone est instauré dès le 12.04.2019 puis un traitement de cyclophosphamide est initié le 16.04.2019. Une prophylaxie par Bactrim 3 fois par semaine est également instaurée au vu de l'immunosuppression médicamenteuse. Selon les néphrologues, le pronostic de récupération de la fonction rénale est sombre à l'heure actuelle. Sur le plan infectieux, la patiente présente à son entrée une infection des voies respiratoires, avec apparition par la suite d'une pneumonie nosocomiale trilobaire, traitée par antibiothérapie du 04 au 16.04.19, sans identification de germes avec une évolution favorable. Sur le plan social, la patiente est demandeuse d'être auprès de son mari, ce pourquoi, une fois l'évolution clinique favorable, la patiente est transférée à l'EMS de Brig le 29.03.19, où elle poursuivra ses séances d'hémodialyse 3 fois par semaine à Visp dès le 30.03.19. Mme. Y, 80 ans, a été admise aux soins intensifs pour une détresse respiratoire aiguë attribuée à une surcharge volémique secondaire à une glomérulonéphrite extra-capillaire avec insuffisance rénale aiguë oligo-anurique. La patiente a été adressée par son médecin traitant pour une insuffisance rénale aiguë. Le bilan a permis de mettre en exergue une glomérulonéphrite extra-capillaire à ANCA positive, confirmée par biopsie rénale. Un traitement par corticostéroïdes à haute dose a été débuté. La fonction rénale s'est toutefois aggravée avec l'apparition d'une oligo-anurie et une surcharge volémique ne répondant pas aux diurétiques. L'apparition d'une détresse respiratoire secondaire à un œdème pulmonaire a motivé le transfert aux soins intensifs le 10.04.2019. L'insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë a nécessité des séances de ventilation non invasive. Le traitement diurétique a été intensifié à haute dose en continu, permettant le maintien d'une diurèse résiduelle d'environ 600 ml/j. La biopsie rénale ayant démontré une glomérulonéphrite extra-capillaire avec une inflammation chronique modérée et d'importantes zones de fibrose, le potentiel de récupération semble toutefois limité. Une hémodialyse quotidienne discontinue a donc été débutée le 11.04.2019. La déplétion hydrique a permis une rapide amélioration respiratoire, avec un sevrage de l'oxygénothérapie diurne le 13.04.2019. La clairance de la créatinine est mesurée à 5 ml/min à la récolte urinaire. Les corticostéroïdes sont poursuivis et un traitement par cyclophosphamide sera discuté dans un second temps avec les néphrologues. La question de la dialyse intermittente à vie a déjà été abordée avec la patiente. Le bilan pré-dialyse a permis d'écarter une tuberculose (TB spot négatif), une hépatite virale B ou C et le VIH. Un infiltrat pulmonaire prédominant à droite a été attribué à une pneumonie nosocomiale, qui a été traitée par Ertapenem. Une décompensation hyperglycémique cortico-induite du diabète insulino-requérant a nécessité l'adaptation de l'insulinothérapie en continu puis sous-cutanée. Une anémie d'origine rénale est traitée par érythropoïétine et une carence en vitamine D a été substituée.De multiples adénopathies médiastinales sont secondaires au processus soit auto-immun, soit para-infectieux. Mme. Y, patiente de 84 ans, connue pour une BPCO et un adénocarcinome pulmonaire, sous traitement immunologique par Keytruda, est hospitalisée en médecine pour une décompensation respiratoire partielle dans un contexte d'exacerbation de sa BPCO. Pour rappel, dans la nuit du 07. au 08.04, elle présente une péjoration de sa dyspnée connue, sans signe infectieux. Au status d'entrée, on relève une tachycardie et une saturation d'oxygène à 65%, avec des sibilances à l'auscultation. Sur le plan respiratoire, un CT thoracique permet d'exclure une embolie pulmonaire mais montre une discrète majoration de l'infiltrat pulmonaire connu de la partie postérieure du segment apical du lobe supérieur droit et de la lésion sous-pleurale du segment antérieur du lobe supérieur droit. Un bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Le diagnostic d'une décompensation respiratoire partielle dans le contexte d'une exacerbation de BPCO est donc retenu. L'évolution sous traitement par bronchodilatateur inhalatif et par corticostéroïdes oraux est favorable. Elle récupère sur le plan respiratoire à son steady-state habituel, déjà très limité avec une dyspnée au moindre effort. Nous n'arrivons pas à sevrer la patiente de l'oxygène et mettons en place une oxygenothérapie à domicile de courte durée à but palliatif. Pour une possible cause médicamenteuse à la décompensation respiratoire dans le contexte de l'immunothérapie, ce traitement est mis en suspens et sera réévalué lors de la prochaine consultation oncologique prévue pour le 01.05 à 9h auprès de Dr. X. Pendant l'hospitalisation, Mme. Y présente une acutisation de son insuffisance rénale chronique d'allure rénale. Son traitement potentiellement néphrotoxique est arrêté ou diminué et une hydratation intraveineuse est débutée. L'évolution dans la suite est bonne avec une amélioration biologique. Mme. Y regagne son domicile le 18.04. Mme. Y, patiente de 91 ans, est admise aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique dans le contexte d'un sepsis d'origine indéterminée avec NSTEMI secondaire et fibrillation auriculaire rapide. Elle est connue pour une cardiopathie hypertensive et rythmique et une polyarthrose. Elle présente une baisse de l'état général avec une sensation de chaud-froid depuis 4 jours et une dyspnée avec gêne thoracique. Aux urgences de Tavel, une FA rapide avec un syndrome inflammatoire et une hypotension artérielle sont mises en évidence. Les troponines sont positives comme corrélat d'un NSTEMI secondaire dans le contexte septique et de la FA rapide. La patiente est couverte par Ceftriaxone dans le doute d'un état septique au point de départ urinaire ou pulmonaire et adressée aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique. À son arrivée aux soins intensifs, on note un état général légèrement diminué, fébrile avec une FA rapide et hypotendue. Elle bénéficie d'un remplissage vasculaire et de la Digoxine avec une bonne réponse. Le traitement par Ceftriaxone est initialement poursuivi. Concernant la problématique infectieuse, l'évaluation clinique oriente vers un diagnostic de pneumonie communautaire gauche. Les cultures sanguines itératives restent négatives. L'antibiothérapie par Ceftriaxone est adaptée pour de la Co-amoxicilline. Concernant la problématique cardiaque, une échocardiographie transthoracique montre une fonction systolique globale modérément diminuée avec une hypokinésie modérée de la paroi antéro-basale, une normokinésie de segments postérieur basal, latéral basal et inférieur basal et une akinésie des segments restants. Sur avis cardiologique, il y a formellement une indication à une coronarographie à distance de l'épisode septique. L'insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale évolue favorablement par hydratation et adaptation du traitement diurétique habituel. Au laboratoire, on découvre une cholestase biologique asymptomatique dont l'étiologie est indéterminée. Le suivi biologique montre une normalisation des paramètres hépatiques. La situation clinique se péjore de façon aiguë avec l'apparition d'un tableau de choc septique. Vu les limitations thérapeutiques exprimées par la patiente, il est décidé d'un passage aux soins de confort. La patiente décède le 10.04 à 7h55, entourée de sa famille. Une autopsie n'a pas été demandée. Mme. Y est une patiente de 53 ans connue pour des troubles anxieux sévères avec TOC et des TCA. Elle est hospitalisée en accord avec les neurologues pour des investigations de lésions démyélinisantes visualisées sur une IRM cérébrale du 23.03.19. La patiente avait décrit l'apparition d'une diplopie d'une durée de 3 jours au milieu du mois de mars 2019 sans autre symptôme neurologique, ce qui avait motivé la réalisation d'une imagerie. À l'admission, la patiente se plaint d'une chaleur au niveau du membre inférieur gauche sans perte de force et de quelques fourmillements intermittents au niveau des deux mains. Le status neurologique révèle un tremblement lent de l'annulaire gauche au repos ainsi qu'une dysesthésie fluctuante au niveau des jambes. Un bilan ophtalmologique permet d'exclure une névrite rétrobulbaire et une vasculite. Un examen du champ visuel sera répété dans 2 mois. Sur avis neurologique, le bilan est complété par une ponction lombaire et une IRM de la colonne totale. Les résultats de la ponction montrent 4 éléments de type mononucléés sans protéinorachie. Les bandes oligoclonales sont actuellement en cours d'interprétation. Une IRM médullaire montre une lésion active postéro-latérale gauche active, à hauteur du disque T8-T9. Le diagnostic de sclérose en plaques est retenu et une cure de corticostéroïdes intraveineux est prescrite pour un total de 3 jours, sans complication notable objectivée notamment au niveau psychiatrique. La patiente rentre à domicile le 29.04 après dosage du virus JC et sera revue en consultation ambulatoire à la consultation de Dr. X le vendredi 24.05. Mme. Y est une patiente de 55 ans connue pour une psychose non spécifiée depuis 3-4 ans, actuellement sous olanzapine en ambulatoire depuis plusieurs années. Elle est transférée le 23.04 en urgence de l'Hôpital psychiatrique de Marsens pour une leucocytose découverte de manière fortuite lors d'un laboratoire de contrôle. À son arrivée, la patiente est asymptomatique et l'examen clinique se révèle sans particularité hormis des adénopathies infra-centimétriques et souples indolores au niveau cervical, axillaire et inguinal. Au bilan biologique, on observe une leucocytose à prédominance lymphocytaire. Il n'y a par ailleurs pas de cytopénie. Devant ces éléments rassurants, une cytométrie de flux est réalisée, mettant en évidence une leucémie lymphoïde chronique à cellules B. Au vu de la quantité uniquement modérée de leucocytes, d'une patiente asymptomatique et d'une maladie oncologique connue pour être lentement évolutive et relativement bénigne, un suivi ambulatoire uniquement est conseillé par les médecins hématologues en premier lieu. La patiente bénéficiera donc d'un rendez-vous agendé en août 2019. Il n'est pas exclu que la patiente doive être traitée par chimiothérapie dans un deuxième temps si la leucocytose se péjore rapidement ou si la patiente devient symptomatique. Celui-ci lui est expliqué mais la prise en charge actuellement recommandée reste un suivi ambulatoire biologique et clinique. Sur le plan psychiatrique, la patiente bénéficie d'un suivi intra-hospitalier durant son séjour dans le Service de Médecine Interne. Elle décrit toujours des hallucinations auditives lui disant de se faire du mal mais il n'y a pas d'exacerbation psychotique. Sur avis pharmacoclinique, nous proposons de remplacer si possible l'olanzapine par un autre antipsychotique n'appartenant pas au groupe des dibenzodiazépines tricycliques (clozapine, quétiapine, asénapine). En effet, l'olanzapine a des effets connus sur les leucocytes (principalement une agranulocytose, mais également une leucocytose, bien que les leucocytes soient rarement touchés), et un lien a été suspecté entre la clozapine (une molécule reliée) et des lymphomes non-hodgkiniens chez les patients traités durant 6 ans par cet antipsychotique. De plus, l'olanzapine peut causer une leucémie myéloïde chronique. Par prudence, nous recommandons donc un switch thérapeutique à Marsens dans la mesure du possible.La patiente est re-transférée à Marsens le 27.04.2019 pour suite de prise en charge psychiatrique. • MMS à 23/30 points (11.04.19) Investigations à poursuivre en ambulatoire selon évolution • MMS à 24/10, test de la montre à 2/7 et échelle gériatrique de dépression à 4/15 le 08.04.2019 Bilan neuropsychologique en ambulatoire • MMS à 25/30, test de la montre à 2/7, GDS à 3/15 le 03.04.2019 • MMS test à 24/30 le 18.03.2019 Bilan neuropsychologique du 20.03.2019 CT cérébral le 25.03.2019 IRM cérébrale non réalisée car patient porteur d'un pacemaker non IRM compatible Patient inapte à la conduite • MMS, test de la montre et GDS à effectuer à distance de l'épisode aigu • MMS: 12/30, GDS 1/15 le 20.03.2019 Apport d'une traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 21 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur AVC ischémique aigu sylvien profond gauche avec petite zone de transformation hémorragique le 10.03.2019 et par réduction/perte des capacités fonctionnelles au niveau locomoteur, autonomie, nutritionnel et l'état général. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 30 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 3/28 avec Böckli Aide à soi-même MIF (mot./cogn) 19/18 MMS 12/30 GDS 1/15 Evaluation sociale (5 domaines) 19.03.2019 Colloque interdisciplinaire 1 26.03.2019 Colloque interdisciplinaire 2 02.04.2019 Colloque interdisciplinaire 3 09.04.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 8/25 avec Böckli Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 36/19 • MMS: 17/30, Clock-Test: 0/7, GDS: 2/15 (14.03.2019) • MMS 18/30, test de la montre 2/7, GDS 1/15 Exelon 5mg/24h dès le 04.04.2019 • MMS 20/30, Clock 3/6 et GDS 3/15 le 20.03.2019 Suivi clinique • MMS 20/30 et Clock 4/7 le 18.03.2019 Bilan laboratoire • MMS: 21/30, MMS-clock-test: 2/9, GDS 2/15 le 19.03.2019 Surveillance clinique • MMS 22/30; horloge 2/6; GDS 2/15 (27.03.2019) MOCA test 15/30 (28.03.2019) Bilan neurocognitif à effectuer en ambulatoire • MMS 26/30, test de la montre 2/7, GDS 2/15 le 27.03.19 IRM cérébral organisé pour le 28.03.19 16h45 au CIMF à Saint-Anne : en attente Bilan neuropsychologique : en attente • MMS 30 points, Clock-Test 6/6 le 07.03.2019 • MMSE à 23/30, test de la montre 6/7. • MMSE 29/30. Suivi et bilan en ambulatoire par le médecin traitant si nécessaire. Mobilisation avec cannes, charge progressive dans le courant des prochaines semaines. La Clexane peut être arrêtée car elle met plus de la moitié du poids corporel. Physiothérapie avec mobilisation. Travaillant à Berne pour un travail administratif, dépendante de la voiture ou des transports publics pour les trajets, elle est encore en incapacité de travail jusqu'au 15.05.2019. Mobilisation avec charge partielle de 15kg, sans flexion hanche supérieure à 70°, sans adduction ni abduction contre résistance, mouvements rotatoires à éviter Charge selon douleurs dès le 26.03.2019 (avis ortho Dr. X) Anticoagulation thérapeutique par Xarelto 15mg 1x/24h dans le contexte de la fibrillation auriculaire chronique Pas d'ablation de fils nécessaire car fils résorbables Contrôle radio-clinique à 6 semaines à la consultation des Dr. X et Dr. X Mobilisation genou G sous narcose (OP le 19.03.2019) Mobilisation hors du lit, changement d'habits Mobilisation selon douleur. Ablation du pansement à 24h. Contrôle à ma consultation le 02.05.2019. Mobilisation selon douleur. Ablation du pansement à 24h. Contrôle à ma consultation le 02.05.2019. Mobilisation selon douleur. Ablation du pansement à 24h. Contrôle à ma consultation le 13.05.2019. Mobilisation selon douleur. Ablation du pansement à 24h. Contrôle à ma consultation le 29.04.2019. Mobilisation selon douleur. Contrôle à ma consultation le 29.4.19. Mobilisation selon douleur. Une intervention est prévue le 20.5.19 (cure STC G + éventuellement cure de De Quervain). Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 22.5.2019. Mobilisation selon douleurs. Ablation du pansement à 24 heures. Contrôle à ma consultation le 23.5.2019. Mobilisation selon douleurs. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 08.05.2019. Prochain contrôle à ma consultation le 09.05.2019. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 22.5.2019. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 23.5.2019. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 23.5.2019. MOCA à 11/30 le 10.04.2019 Introduction Quétiapine 12.5 mg/j Placement en EMS Metzingen (Soeurs de Ste-Croix) MOCA 13 + 1/30 le 10.04.2019 Modification de l'ECG sur digoxine le 09.04.19 Modification de l'ECG sur Digoxine le 09.04.2019 Modification ECG Apparition d'onde Q en III avec sus décalage non significatif en antérieur Modifications ECG aspécifiques sous forme de sous-décalage du segment ST V4-V6, le 20.01.2019 • avec tachycardie sinusale à 120/min asymptomatique dans un contexte de déshydratation Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'allure pré-rénale sur rétention urinaire aiguë sur infection urinaire basse à E. Coli multisensible (2019) État confusionnel aigu sur infection urinaire le 20.01.2019 • dans un contexte de trouble bipolaire type 1 3 hospitalisations à Marsens (octobre 2009, 2010, 2011) Monitoring cardiopulmonaire du 15.4.2019 - 30.4.2019 Monitoring cardio-respiratoire Monitoring cardio-respiratoire du 08.04 au 19.04 Monitoring cardio-respiratoire du 15.03 au 01.04.2019 Caféine du 12.2 au 27.2.19 puis du 18.03 au 25.03 Monitoring cardio-respiratoire du 17.04 au 28.04 Monitoring cardio-respiratoire du 19.03 au 08.04.19 Monitoring cardio-respiratoire du 19.03 au 28.03 Monitoring cardio-respiratoire du 28.03 au 01.04 Monitoring cardio-respiratoire du 30.03 au 15.04 Dose de charge unique de caféine 20 mg/kg per os le 10.04 FSC avec thrombocytose légère CRP normale US cérébral normal Hypercapnie légère corrigée Pas de prise médicamenteuse maternelle Monitoring cardio-respiratoire du 30.03 au 15.04 Pas de prise médicamenteuse maternelle Monitoring cardio-respiratoire, surveillance neurologique Examen neurologique (à compléter avec ROTs) US abdominal Bilan biologique Score de BATIC à 5 Monitoring cardio-respiratoire, surveillance neurologique Examen neurologique US abdominal Bilan biologique Score de BATIC à 5 Stix urinaire Monitoring cardio-respiratoire 29.03-05.04 Bilan sanguin du 29.03 CPAP PEEP 5 max FiO2 21% 29.03-31.03 Radiographie de thorax Gazométrie J2 et J3 US cérébral Monitoring cardio-respiratoire Bilan infectieux Ultrason cérébral Pas de prise médicamenteuse maternelle Monitoring respiratoire Ventolin 4 push à la demande Axotide 2 push traitement de base Monitoring respiratoire Radiographie de thorax Traitement symptomatique Contrôle chez pédiatre à 24 heures Reconsultation aux urgences si péjoration de l'état général Monitoring Retrait du patch au service des urgences car normalisation des tensions • suivi tensionnel Monitoring Retrait du patch aux urgences car normalisation des tensions Att: • suivi des paramètres Monoarthrite Mono-arthrite de l'articulation 1er métatarse-cunéiforme à G le 11.08.2016 Monoarthrite de l'hallux G le 12.04.19, 1er épisode • probable 1er épisode de goutte suite à l'introduction de thiazidique Monoarthrite de l'hallux gauche le 19.04.2019. • Récidive après amélioration transitoire sous AINS. • Probable 1er épisode de goutte suite à introduction de thiazidique. Monoarthrite talo-naviculaire droite d'origine indéterminée, DD : para-infectieuse, micro-cristalline, décompensation arthrosique. Mononucléose Mononucléose Mononucléose Mononucléose. Mononucléose • Sérologie positive • Splénomégalie à l'US abdominal du 11.04.2019 (minimum 14 cm) Mononucléose avec hépatite Mononucléose en août 2018 Mononucléose infectieuse Mononucléose infectieuse avec : • Aphagie. • Polyadénopathie volumineuse. • Hépatite. Mononucléose infectieuse avec asymétrie amygdalienne droite>gauche et aphagie Mononucléose infectieuse avec, le 25.09.2016 : hospitalisation et instauration d'un traitement iv par Dalacin, Paracétamol et AINS. Monsieur Y, connu pour un OH chronique et une BPCO, est transféré du CHUV pour suite d'investigations de masses suspectes au niveau cérébral et pulmonaire. La lésion pulmonaire est connue depuis l'été 2019, et les lésions cérébrales depuis début mars à l'HFR Riaz. Le patient se plaignait à son arrivée et avait présenté deux crises d'épilepsie le 06.03.2019 à l'HFR Riaz (une de type absence, l'autre généralisée) raison pour laquelle le patient a été mis sous Keppra. Après de nombreuses investigations au CHUV au niveau biologique, radiologique et un consilium d'infectiologie et neurochirurgie (cf. détails dans les diagnostics ci-dessus), Monsieur Y est transféré en médecine à l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge. Nous effectuons une IRM cérébrale qui montre plusieurs lésions cérébrales pouvant être évocatrices d'une tuberculose. Le patient est donc placé en isolement de type aérosols qui peut être levé par la suite en raison de plusieurs analyses négatives dans différents prélèvements. Après plusieurs investigations invasives dont une bronchoscopie effectuée par l'équipe de pneumologie et une thoracoscopie par celle de chirurgie thoracique, avec prélèvements de plusieurs biopsies, les résultats sont non conclusifs. Nous n'avons pour l'instant pas d'étiologie claire pour les lésions pulmonaires et cérébrales. Le diagnostic différentiel évoqué est d'une part néoplasique et d'autre part infectieux. Au niveau clinique, Monsieur Y reste très peu symptomatique durant tout le séjour, avec l'absence de symptomatologie pulmonaire ou neurologique franche hormis de légers troubles mnésiques n'interférant pas avec l'autonomie du patient. Sur avis spécialisé, Monsieur Y rentre finalement à domicile le 02.04.2019 avec un rendez-vous agendé le 12.04.2019 en chirurgie thoracique pour discuter d'une suite de prise en charge possiblement chirurgicale. Dans l'intervalle, le patient est avisé de consulter son médecin traitant le 09.04.2019 afin d'enlever les fils de la thoracoscopie et de refaire son pansement. Au niveau neurologique, nos collègues de neurologie préconisent la poursuite du traitement anti-épileptique en cours et reverront le patient en consultation pour réévaluer la situation. Dans l'intervalle, Monsieur Y est averti de ne pas conduire ce qu'il ne faisait de toute façon pas jusqu'ici. Monsieur Y nous est adressé le 02.03.2019 pour une réadaptation cardiovasculaire suite à cardiomyopathie ischémique avec dilatation apicale évoquant un syndrome tako-tsubo. Son traitement à l'entrée est composé de : Anoro Ellipta pdr 55/22, Arnuity Ellipta pdr 90 mcg, Aspirine Cardio 100 mg, Plavix 75 mg, Atorvastatine 40 mg, Beloc Zok 12.5 mg, Lisinopril 10 mg, Néo-Mercazole 5 mg, Ventolin et Atrovent. Le 17.02.2019, le patient refait une décompensation de sa BPCO, traitée par Co-Amoxicilline du 17 au 24.03.2019, aérosols de Ventolin/Atrovent, Prednisone 50 mg du 17 au 20.03.2019 puis Prednisone 20 mg dès le 21.03.2019, toujours en cours. Relevons que ces derniers mois, Monsieur Y a présenté plusieurs décompensations de sa BPCO; c'est pourquoi, nous lui conseillons de prendre contact avec son pneumologue afin de faire un nouveau bilan de sa BPCO. Le 03.04.2019, nos confrères cardiologues ont procédé à une nouvelle coronarographie, montrant un excellent résultat à court terme de la PCI de la 1ère diagonale de l'IVA. La sténose de l'artère coronaire D proximale n'étant pas significative chez un patient sans symptomatologie angineuse, il est décidé de ne pas la traiter. L'examen invasif a mis en évidence une normalisation complète de la fonction systolique globale et régionale du ventricule G. Nous proposons au patient de revoir son cardiologue traitant dans 3 mois. Sur le plan de la thérapie anti-hypertensive, nous avons remplacé le Lisinopril par du Valsartan 80 mg 1x/jour (toux irritative). Sur le plan nutritionnel, introduction d'une substitution protéinique, vu la perte de poids de ces derniers mois. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser tout au long du séjour. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 130 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.9 mmol/L, HDL à 1.59 mmol/L, LDL à 2.23 mmol/L, triglycérides à 1.46 mmol/L • La pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour • En raison de décompensations à répétition de sa BPCO ces derniers mois, nous conseillons à Mr. Y de prendre un rendez-vous avec son pneumologue traitant Sur le plan biologique : • Hb 129 g/l. • Fonction rénale dans la norme avec créatinine à 95 micromol/l • Electrolytes dans la norme. • CRP <5 mg/l L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un statut de normo-compensation. Auscultation pulmonaire libre (hypoventilation bilatérale). Mr. Y est un patient de 63 ans, connu pour un carcinome épidermoïde du lobe supérieur droit avec statut post lobectomie supérieure droite, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'une métastase surrénalienne gauche unique. Il bénéficie d'une surrénalectomie gauche par voie laparoscopique le 04.04.2019, qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples et l'évolution clinico-biologique favorable, permettant un retour à domicile le 05.04.2019. Il sera revu pour contrôle à la consultation du Dr. X le 14.05.2019. Mr. Y, 61 ans, est admis aux soins intensifs pour un état confusionnel après un STEMI antérieur le 13.04. Le patient a bénéficié à Berne d'une coronarographie en urgence pour un STEMI, avec stenting IVA proximale (FEVG 30%). Après l'intervention, il a fait un état confusionnel avec hospitalisation aux soins intensifs et intubation jusqu'au 17.4. Le patient est connu pour une dépendance aux benzodiazépines. Sous traitement avec Seroquel et poursuite du Temesta, l'évolution neurologique a été favorable. Dans ce contexte, on a aussi mis en évidence une pneumonie de broncho-aspiration, traitée par Co-Amoxicilline. Au niveau cardiologique, le patient est sous aspirine et brilique. Une nouvelle coronarographie pour traitement de la première marginale est prévue dans 4 à 6 semaines. Le patient est transféré à Tavel pour la suite de prise en charge. Mr. Y est connu pour une sclérose en plaques et présente une hernie inguinale droite symptomatique. Au bilan, il n'y avait pas de signe d'incarcération. Le patient est donc hospitalisé en vue d'une cure d'hernie inguinale droite selon Lichtenstein. L'intervention susmentionnée est réalisée le 05.04.2019 et se déroule sans complication. L'évolution est favorable avec un traitement antalgique permettant une bonne gestion des douleurs et une mobilisation correcte durant le séjour. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 07.04.2019. Mr. Y, patient de 72 ans, est admis aux soins intensifs de Fribourg en raison d'une insuffisance respiratoire globale sur une exacerbation BPCO Gold IV D. Le patient est amené au service des urgences de l'HFR Tavel en raison d'une détresse respiratoire évolutive depuis quelques jours. Le patient présenterait un état subfébrile, ainsi qu'une augmentation de sa toux, sans changement des expectorations. Le bilan biologique met en évidence une insuffisance respiratoire globale d'origine possiblement infectieuse devant un état fébrile et un syndrome inflammatoire. Le CT-scan thoracique effectué à l'HFR Tavel montre des comblements bronchiques multi-segmentaires à droite parlant pour une origine infectieuse et un emphysème extrêmement sévère. Une corticothérapie est introduite pour 5 jours. Un traitement antibiotique est débuté par Céfépime puis Ciprofloxacine pour un total de 14 jours vu la colonisation par Pseudomonas aeruginosa, ainsi qu'un soutien ventilatoire non-invasif. Le patient est transféré à l'étage de médecine interne. Nous poursuivons le traitement mis en place. Nous introduisons de la physiothérapie respiratoire quotidienne. Durant les 10 premiers jours, Mr. Y nécessite une BPAP 23h/24h et montre peu d'amélioration au niveau respiratoire. À savoir qu'à domicile, le patient est sous oxygénothérapie et nécessite une BPAP environ 15 heures par jour à domicile. Les pneumologues règlent la BPAP et adaptent le masque. Le patient montre une certaine angoisse à enlever la ventilation, pour laquelle nous introduisons de la morphine à petites doses. Le patient développe une rougeur péri-buccale sur irritation du masque, pour laquelle nous appliquons du Bepanthen avec un bon résultat. Par la suite, Mr. Y arrive progressivement à diminuer l'utilisation de la BPAP jusqu'à 13 heures par jour. Le patient progresse également au niveau de la mobilisation et des AVQ. Les pneumologues proposent de changer l'Ultibro par du Spiolto au vu d'une inhalation facilitée. Les pneumologues organisent deux appareils BPAP pour le retour à domicile. Nous encourageons la poursuite de la physiothérapie en ambulatoire. Une réadaptation pulmonaire à Heiligenschwendi est organisée pour le 30.04.2019. Au niveau cardiaque, nous observons des épisodes de tachycardie irrégulières. Un bilan biologique ne montre pas d'élévation du NT-proBNP, ce pourquoi nous ne réalisons pas d'échocardiographie. Un Holter montre plusieurs extrasystoles supraventriculaires ainsi que quelques extrasystoles infraventriculaires. Les cardiologues ne recommandent pas l'introduction d'un bêtabloquant au vu de la maladie pulmonaire avancée. Mr. Y rentre à domicile le 12.04.2019. Mr. Y est un patient de 55 ans qui se présente aux urgences pour des céphalées occipitales avec une cervicalgie importante. Ces céphalées sont décrites comme de caractère habituel, avec l'apparition nouvelle de bouffées de chaleur irradiant dans le visage. Le patient est connu habituellement pour des vertiges de type tangage et des acouphènes. Il n'y a pas d'autre trouble neurologique associé à cet épisode aigu. Le patient est apyrétique et l'examen neurologique revient sans particularité. Une contracture au niveau des muscles trapèzes avec une douleur à la palpation de C7 est mise en évidence. Au vu de ces éléments, nous concluons sur des céphalées chroniques soit d'origine musculo-squelettique soit d'origine médicamenteuse au vu de la prise importante d'AINS par le patient pour les cervicalgies chroniques. Nous conseillons au patient de continuer le suivi chez son médecin traitant, avec proposition d'initier une physiothérapie et des investigations supplémentaires chez un neurologue. Nous expliquons également au patient que la posologie des AINS ne doit pas dépasser plus de 8 jours/mois pour éviter l'apparition de céphalées d'origine médicamenteuse. Mr. Y, un patient en bonne santé habituelle de 20 ans, se présente pour des douleurs au flanc droit depuis 2 mois, péjorées depuis 3 jours. Le bilan aux urgences met en évidence une lithiase urétérale proximale de 3x6x9mm nécessitant une prise en charge urologique par le Dr. X. Mr. Y, 40 ans, nous est adressé par MedHome en raison de douleurs abdominales en fosse iliaque droite depuis 12 heures avec un état fébrile. Le bilan effectué aux urgences retrouve une appendicite débutante. Nous posons l'indication à une appendicectomie en urgence. L'intervention se passe sans particularité. Pendant l'intervention, le patient bénéficie d'une cure d'hernie ombilicale retrouvée lors de l'intervention par suture simple. Les suites hospitalières sont simples, permettant un retour à domicile le 17.04.2019. Mr. Y est un patient de 60 ans, connu pour un diabète de type II sous Janumet, qui consulte aux urgences en raison de douleurs péri-anales en augmentation depuis une semaine. L'examen clinique met en évidence un abcès péri-anal à 5h en PG. Le patient bénéficie d'un drainage de l'abcès au bloc opératoire le 17.04.2019. L'intervention se déroule sans complication et l'évolution est par la suite favorable. Mr. Y rentre à domicile le 18.04.2019.Mr. Y nous est adressé par son EMS de résidence pour une hématurie consécutive à de multiples tentatives de pose de sonde vésicale, associée à des douleurs péniennes importantes. Aux urgences, Mr. Y présente un sepsis sévère, avec une instabilité hémodynamique, ce qui motive un transfert aux soins intensifs. Une antibiothérapie par carbapénèmes est débutée en raison d'un K. Pneumoniae ESBL objectivé dans les urines. Nous retenons comme étiologie une translocation bactérienne sur manipulation de la sonde vésicale. Sur le plan urologique, nous procédons à des rinçages de la sonde vésicale, que nous changeons. L'hématurie s'amende rapidement. Mr. Y retourne à son EMS en date du 17 avril. Mr. Y, 87 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un NSTEMI sur occlusion fonctionnelle de l'IVA le 04.04.2019. Pour rappel, Mr. Y a présenté un épisode auto-limité d'oppression épigastrique en février avec la mise en évidence d'une hypokinésie apicale à Berne (DD Taku-Tsubo, NSTEMI sub-aigu). Son traitement médicamenteux a alors été optimisé. Depuis 2 jours, il présente des oppressions épigastriques avec dyspnée discrète à l'effort et orthopnée. Les troponines sont augmentées et l'ECG montre des ondes T négatives dans les dérivations antérieures. La coronarographie du 05.04.2019 démontre une occlusion fonctionnelle de l'IVA au niveau de la bifurcation avec une grosse branche diagonale. Une angioplastie de l'IVA est effectuée avec l'implantation de 2 stents actifs. Au vu de l'anticoagulation orale, le choix du stent s'est porté sur une 4ème génération qui permet de diminuer la durée de la double antiagrégation plaquettaire à 1 mois. Un traitement par aspirine devra être maintenu uniquement en intrahospitalier (étude WOEST), avec clopidogrel pour 1 à 3 mois (selon réévaluation cardiologique). Une anticoagulation thérapeutique par Xarelto 15 mg/j est débutée. Mr. Y sera revu par son médecin traitant dans 1 semaine avec une surveillance de la fonction rénale. Une échocardiographie de contrôle sera réalisée dans 1 mois chez le Dr. X à l'HFR Tafers. Mr. Y est transféré en médecine interne le 06.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 45 ans, en bonne santé habituelle, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 29.03.2019 en raison d'une douleur thoracique. Le patient a été adressé aux urgences par son médecin traitant le 29.03.2019 en raison de douleurs basithoraciques droites respiro-dépendantes depuis la veille et en péjoration le matin même avec une légère dyspnée. Une hausse des D-dimères a été mise en évidence par le médecin traitant, laissant suspecter une embolie pulmonaire, laquelle est confirmée par le CT thoracique, qui révèle une atteinte segmentaire bilatérale sans répercussion sur la fonction cardiaque droite. Une oxygénothérapie et une anticoagulation sont immédiatement débutées et le patient bénéficie d'une antalgie. L'évolution est rapidement favorable et l'oxygénothérapie peut être sevrée rapidement. Mr. Y ne présentant aucun facteur de risque thrombo-embolique et au vu de son jeune âge, il est convenu d'organiser une consultation en angiologie afin de préciser la durée de l'anticoagulation et l'indication à de plus amples investigations étiologiques. Le patient rentre à domicile le 01.04.2019 avec un traitement de Xarelto à poursuivre pour au moins 6 mois. Mr. Y, âgé de 56 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées, nous est adressé par la Clinique Générale pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une PTG D sur gonarthrose le 12.03.2019. Sur le plan social, le patient vit seul dans un appartement, a une amie. Il travaille chez Elsa à 50%. À l'admission, le patient est orienté et hémodynamiquement stable. Les douleurs sont cotées à 6/10 sur l'EVA douleur. Le status est sans particularité mise à part un MID oedématié. Les amplitudes articulaires du genou D sont à 80-30-0 en actif et en passif à 90-0-0. La cicatrice est calme. Durant son séjour, il présente une bonne évolution clinico-biologique, ce qui nous a permis d'adapter l'antalgie. Nous reprenons aussi le traitement d'Eliquis 2.5 mg/j dans le contexte de sa thrombophilie. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie, à sec et en bassin thérapeutique, et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Il peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes. Les amplitudes articulaires montrent une flexion active à 90° avec un flexum de 5° réductible en passif. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 07.04.2019, en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y est un jeune patient de 17 ans qui se présente aux urgences pour des douleurs en fosse iliaque droite. L'examen clinique est compatible avec une appendicite aiguë. Un ultrason abdominal ne permet pas de visualiser l'appendice. Nous réalisons alors un CT scan abdominal qui, après relecture, confirme le diagnostic d'appendicite aiguë. Le patient bénéficie alors d'une appendicectomie laparoscopique le 23.04.2019. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables permettant un retour à domicile le 24.04.2019. Mr. Y, 60 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance rythmique dans le contexte d'un NSTEMI. Le patient, déjà connu pour un NSTEMI en 2007, présente une dyspnée progressive depuis une semaine, actuellement stade IV, avec des douleurs thoraciques typiques ayant duré 30 minutes, diminuées au repos avec récidive et persistance par la suite. L'électrocardiogramme ne montre pas de signe d'infarctus aigu mais la cinétique des troponines fait évoquer un NSTEMI. Le patient bénéficie d'une charge en Efient et est mis sous anticoagulation thérapeutique. Par la suite, les troponines diminuent spontanément de 53 ng/l le 18.01 à 27 ng/l le 19.01.2019. La coronarographie effectuée le 19.01.2019 retrouve une maladie tri-tronculaire motivant, après discussion avec le Dr. X, un bilan pré-pontage (voir ci-dessus), et un transfert à la Clinique Cécil de Lausanne le 21.01.2019 pour réalisation d'un pontage. Après un séjour aux soins intensifs du 17.01 au 19.01.2019, le patient reste dans notre service de médecine interne pour surveillance jusqu'au 21.01.2019, qui se déroule sans complications. Pas de douleurs thoraciques. Pas de signes de surcharge hydrique. Un ECG réalisé avant le transfert est sans particularités. Le 21.01.2019, Mr. Y est transféré à la Clinique Cécil de Lausanne comme prévu. Mr. Y, 89 ans, est hospitalisé initialement en Stroke Unit suite à un AVC ischémique aigu sylvien D le 16.03.2019 avec hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crurale G et une héminégligence G. Le patient bénéficie d'une thrombolyse intraveineuse par rtPA avec bonne évolution clinique. Un CT cérébral de contrôle à 24h ne montre pas de complication hémorragique. L'IRM cérébrale confirme la présence d'un AVC ischémique aigu de localisation cortico-sous-corticale dans le territoire de l'ACM droite.Concernant l'étiologie de l'AVC, nous évoquons une origine artério-embolique, suite à la découverte d'une sténose estimée à 60 % au départ de l'artère carotide interne droite associée à une plaque mixte potentiellement emboligène. Au vu de l'âge du patient, nous optons en faveur d'une prise en charge conservatrice par traitement médicamenteux maximal. Ainsi, un traitement par double antiagrégation par aspirine cardio 100 mg et Plavix 75 mg est débuté en association à une protection gastrique par IPP. Nous recommandons de poursuivre la double antiagrégation pendant 1 mois puis de poursuivre le traitement par Plavix au long cours. Nous débutons également un traitement par Atorvastatine 40 mg 1x/j en prévention secondaire avec une cible LDL-cholestérol < 1,8 mmol/L. Nous proposons un contrôle biologique à 1 mois et l'adaptation du traitement en fonction. L'échocardiographie transthoracique ne retrouve pas d'évidence pour une source cardio-embolique structurelle. Cependant, l'étiologie cardio-embolique ne peut être exclue, c'est pourquoi nous demandons un Holter sur 72 heures, les résultats ne nous sont toujours pas parvenus au moment de la sortie. L'hospitalisation se complique par des douleurs dans le membre supérieur gauche avec mise en évidence d'une arthrite d'origine microcristalline du poignet gauche répondant favorablement à un traitement par AINS de courte durée. Le patient est transféré le 20.03.2019 en Frailty Care pour suite de prise en charge internistique et également afin de poursuivre le traitement physiothérapeutique et ergothérapeutique entamé en Stroke Unit. Au vu d'un hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crural et d'une héminégligence gauche persistante et de troubles de la marche majeurs, un retour à domicile est non envisageable. Mr. Y est admis pour une coronarographie élective en raison d'un angor stable chez un patient connu pour tabagisme actif, une HTA traitée, un SAOS avec non-complience à l'appareillage et une surcharge pondérale. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne avec des lésions bitronculaires. Nous mettons en évidence une sténose significative de l'ostium de la seconde marginale, une sténose significative de la seconde marginale ainsi qu'une sténose significative de l'artère coronaire droite proximale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 70 %. Après discussion avec Mr. Y, nous procédons avec succès à une angioplastie de la seconde marginale avec implantation de 1 stent actif. Angioplastie et implantation d'un stent actif également au niveau de l'ostium de la seconde marginale avec bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 04.04.2019. Mr. Y, âgé de 74 ans, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique suite à l'implantation d'une prothèse totale anatomique de l'épaule et à la résection du centimètre externe de la clavicule à gauche le 01.04.2019 pour une omarthrose primaire. Sur le plan social, le patient vit seul dans un appartement au 4ème étage dans un immeuble avec ascenseur. Habituellement, il marche avec une canne à l'intérieur et un rollator à l'extérieur en raison de la polyneuropathie périphérique des MI connue depuis plusieurs années. Il bénéficie du passage des soins à domicile 3x/semaine et les repas sont livrés à domicile. À l'admission, le patient se plaint de douleurs à l'épaule G, mais qui sont en amélioration. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. À l'anamnèse par systèmes, le patient signale une constipation habituelle. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La flexion de l'épaule G en actif assisté est à 30°, abduction 50°, rotation interne et externe à 10° et la flexion/extension en actif du coude est à 120-15-0. La mobilisation du poignet G est normale. La sensibilité du MSG est conservée. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec une canne. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne. Les amplitudes articulaires de l'épaule G montrent une flexion/abduction en actif assisté à 90° et rotation externe à 10°. Flexion/extension en actif à 140-0-0 pour le coude G. Nous conseillons au patient de porter le gilet orthopédique jour et nuit pendant 4 semaines au total, puis uniquement la nuit les 2 semaines suivantes. Après 12 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 17.04.2019, en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Les soins à domicile sont réactivés. Mr. Y nous est adressé des HUG le 25.03.2019 pour suite de prise en charge d'une greffe hépatique effectuée le 27.02.2019. L'intervention s'est déroulée sans complication. Le patient a pu se mobiliser rapidement et a été extubé à J1. Pas de complication post-opératoire. Un traitement par antiviraux et immunosuppresseurs a été mis en place efficacement. Les ultrasons de suivi du greffon retrouvent par ailleurs un parenchyme hépatique homogène sans dilatation des voies biliaires et une bonne vascularisation du greffon avec des index de résistance dans la norme. À noter la persistance d'une petite lame de liquide organisée dans le ligament falciforme ainsi qu'un épanchement pleural droit. En post-opératoire, Mr. Y se plaint essentiellement d'une exacerbation de sa douleur neuropathique des membres inférieurs, qui n'a pas bien répondu aux hautes doses de Pregabaline. Un avis du pain-team est demandé et un traitement par Rivotril et Cymbalta est introduit. À noter que le Cymbalta a déjà été prescrit dans le cadre d'un état dépressif post-opératoire. À son admission dans notre service, le patient se plaint d'une baisse de l'appétit depuis 4 jours environ et de douleurs crampiformes modérées de l'hémi-abdomen droit, intermittentes, présentes depuis l'opération. Il rapporte, de plus, des selles liquides et des nausées depuis environ 5 jours. Pas d'autre plainte ni douleur. Au niveau du status, les constantes sont bonnes. Mr. Y est anictérique, acyanotique, sarcopénique et pâle. Au niveau cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, sans souffle audible. Les pouls périphériques sont perçus, sans signe de surcharge. À l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique, sans bruit surajouté. Au status digestif, l'abdomen est souple, dépressible, sensible en hypochondre et au flanc droits, sans défense ni détente. Cicatrice de greffe calme, avec une masse téso-élastique sous-cutanée médiane méso-gastrique légèrement douloureuse à la palpation. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence. Murphy et Bloomberg négatifs. Loges rénales souples et indolores. Status ostéoarticulaire, ORL et neurologique sans particularité. Au laboratoire d'entrée, les tests hépato-pancréatiques sont dans la norme, l'hémogramme montre une anémie normochrome normocytaire stable par rapport aux comparatifs des HUG et la fonction rénale est également stable. Pas de nouvelle altération à l'ECG. Concernant les douleurs abdominales, nos collègues des HUG nous rapportent effectivement leur présence quelques jours avant le transfert, mais aucune cause clinique ou échocardiographique n'a été mise en évidence. L'inappétence n'a pas été objectivée.Nous effectuons une échocardiographie abdominale qui montre la présence de 2 hématomes sous-cicatriciels, ce qui confirme notre suspicion étiologique de la douleur, qui par ailleurs disparaît rapidement. Dans le contexte d'un état dépressif post-opératoire avec instauration d'un traitement par Cymbalta par les collègues psychiatres de Genève, nous augmentons sa posologie à 60 mg/j selon l'avis du Dr. X, psychiatre de liaison. Un suivi ambulatoire est organisé. Concernant l'inappétence, un bilan diététique est effectué et montre des apports nettement diminués. La pose d'une sonde nasogastrique est refusée catégoriquement par le patient. Nous instaurons des suppléments nutritifs et un suivi ambulatoire. Concernant le Tacrolimus, en accord avec le centre de transplantation de Genève, nous augmentons la dose à 2 x 2 mg/j jusqu'à l'atteinte d'un dosage cible (entre 7 et 10 ug/l) qui est atteint le 01.04.2019. Un nouveau contrôle à 48 h confirme une stabilisation et nous pouvons réduire les contrôles à 1x/semaine, que nous vous laissons le soin de poursuivre. Mr. Y peut regagner son domicile le 04.04.2019 avec des soins à domicile. Il bénéficiera de contrôles au centre de transplantation des HUG et un suivi psychiatrique en ambulatoire est prévu. Mr. Y, âgé de 82 ans, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, nous est adressé pour une neuro-réadaptation dans un contexte de myélose funiculaire diagnostiquée en 2012. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite (ancien scieur). Il bénéficie de SAD 2x/semaine et le reste est géré par l'épouse, Mr. Y n'étant plus autonome. La situation semble devenir très difficile et l'épouse est épuisée. À l'admission, le patient se plaint d'une diminution de la sensibilité de tout le MIG et MSG. Il rapporte de plus des paresthésies en distalité des MS et MI. Il n'a, par contre, pas de douleur ni sensation de diminution de la force. La marche est tout de même difficile, notamment au passage assis-debout. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cognition semble légèrement perturbée mais est difficilement évaluable aussi au vu de la surdité du patient. La force est symétrique et cotée à M3 au niveau des quadriceps, M4 au niveau des psoas, M5 au niveau des releveurs des pieds et des MS. La sensibilité tacto-algique est diminuée au niveau du MIG et dans une moindre mesure au niveau du MSG, conservée à droite. La sensibilité profonde est perturbée au niveau des MI gauche > droit. Les ROT ne sont pas déclenchés aux MI, diminués au MSG et normaux au MSD. Le Babinski est présent à gauche. Le Hoffmann est absent ddc. La coordination semble globalement préservée. La marche est difficile malgré le rollator avec un polygone élargi. Le contrôle sphinctérien est préservé. Concernant les troubles cognitifs, le patient a été évalué en neuropsychologie et des difficultés exécutives (incitation, programmation, récupération en mémoire à long terme) ont été mises en évidence. S'y ajoutent des difficultés praxiques gestuelles et une possible atteinte sémantique. L'orientation, le langage oral et écrit, les praxies constructives, les gnosies visuelles, la mémoire à court terme et antérograde visuelle sont globalement préservés. En regard du bilan réalisé en avril 2017, les résultats du présent examen sont globalement superposables. Le bilan biologique met en évidence une carence en vitamine D, qui est substituée. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie, ergothérapie et neuropsychologie, avec une évolution globalement favorable. À l'entrée, le patient marchait environ 80 m avec un rollator et pouvait monter/descendre 10 marches d'escaliers avec la rampe, mais est très craintif, et il faisait les transferts avec une potence et plusieurs points d'appui. À la sortie, nous notons une amélioration de la force des MI (psoas à M4, quadriceps à M3 et releveurs des pieds à M5) et MS (globalement à M5), ainsi qu'une amélioration de l'autonomie : il fait les transferts seul, en prenant des points d'appui, marche avec le rollator sur un périmètre de 130 m et peut monter/descendre 20 escaliers avec une canne. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 09.04.2019, en état général conservé. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Les soins à domicile sont réactivés. Mr. Y consulte les urgences le 08.04.2019 en raison d'une dyspnée d'apparition brutale, pendant la nuit, qui se péjore en décubitus dorsal. Le patient rapporte une toux avec des expectorations jaunâtres depuis la veille. Pas d'état fébrile. À l'admission aux urgences, Mr. Y présente un balancement thoraco-abdominal, une détresse respiratoire avec impossibilité de prononcer les mots et une faiblesse généralisée. Le rythme cardiaque est initialement sinusal, mais par la suite, apparition d'extrasystoles ventriculaires en bi-trigéminisme. La saturation à l'air ambiant est à 89 % à l'arrivée, s'améliorant ensuite à 93 % sous 2 l/min d'oxygène. La tension artérielle est à 113/86 mmHg. À l'auscultation pulmonaire, diminution du murmure vésiculaire sur tous les champs, prédominant à droite, sans bruit supplémentaire. Au status cardiaque, les pouls périphériques sont palpables, bien frappés mais réguliers. Pas de signe du godet au niveau des chevilles. Au status neurologique, séquelles de l'accident vasculaire cérébral connues avec parésie et ataxie du membre supérieur droit. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale avec une créatinine à 124 umol/l et une urée à 9.6 mmol/l. Le sodium et le potassium sont dans la norme, il n'y a pas de syndrome inflammatoire. La gazométrie artérielle sous 2 l/min d'oxygène montre un pH à 7,44, pas d'hypercapnie avec une PCO2 à 3.4 KPa, pas d'hypoxie avec un PO2 à 11.2 kPa. La radiographie du thorax montre des signes de décompensation cardiaque avec une baisse de la radiotransparence bilatérale. Nous initions un traitement par Lasix avec une bonne réponse du patient. De la cordarone est également instaurée au vu des nombreuses extrasystoles du patient. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Au status cardiaque à l'étage, B1B2 sont bien frappés, irréguliers. Pas de souffle audible. Pas d'œdème des membres inférieurs. Au niveau respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique, réduit aux bases bilatéralement, sans crépitant ni autre bruit supplémentaire. Sur le plan cardiaque, l'évolution est favorable tout au long du séjour, notamment sur le plan de la dyspnée avec un sevrage de l'oxygénothérapie possible le 09.04.2019. De plus, nous effectuons un relais du Lasix IV par le Torem 20 mg per os dès le 10.04.2019, diminué à 10 mg dès le 11.04.2019. La coronarographie prévue le 11.04.2019 est annulée, chez un patient n'ayant jamais présenté d'angor et un risque important de complication per-coronarographie. Durant le séjour, le patient développe une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale sur traitement diurétique intensif. Le traitement est diminué avec une stimulation hydrique. Nous vous laissons le soin de contrôler l'évolution de la fonction rénale dans une semaine en ambulatoire. Un traitement d'IEC est indiqué chez le patient, nous vous laissons l'introduire selon l'évolution de la fonction rénale lors du contrôle à votre consultation.Mr. Y peut regagner son domicile le 12.04.2019 avec mise en place de soins à domicile 2x/semaine pour un contrôle de santé et suivi du poids. Mr. Y, patient institutionnalisé à l'UATO pour des troubles cognitifs et des troubles de la marche, est transféré le 27.03.2019 au HFR en vue d'une ponction lombaire à visée symptomatique pour une suspicion d'hydrocéphalie à pression normale. La ponction lombaire a lieu le 29.03.2019 avec retrait de 20 ml de liquide céphalo-rachidien et se déroule sans complication. Une évaluation de la marche par notre équipe de physiothérapie avant et après la ponction lombaire met en évidence une légère amélioration de la marche. Dans le cadre des angoisses et des troubles de la marche, nous introduisons un traitement de clozapine. Le patient sera réévalué lors de son séjour à l'IUATO. Il rentre à domicile le 01.04.2019. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte de malaise. En effet, alors qu'il était aux toilettes, il a eu un malaise avec perte de connaissance de 3-4 minutes, sans prodrome. Il est amené aux urgences en ambulance. Le patient relate uniquement une fatigue ces derniers temps. Au vu d'une constipation chronique, nous mettons le malaise sur le compte d'une syncope réflexe sur constipation. Nous introduisons un traitement laxatif et proposons une colonoscopie à distance. Au vu d'une coronarographie récente ainsi que de l'absence de cinétique des troponines, une cause ischémique est écartée. Lors du bilan, il est mis en évidence une hyponatrémie modérée hypo-osmolaire. Nous introduisons une restriction hydrique ainsi qu'une hydratation. En concomitance, nous mettons en suspens son traitement thiazidique et changeons son traitement de Tégrétol par du Trileptal pour sa névralgie du trijumeau, au vu du risque de SIADH sous traitement. Les valeurs se corrigent progressivement, sans récidive des symptômes. La natrémie sera à suivre auprès du médecin traitant. Nous constatons la survenue de pic hypertensif symptomatique à 2 reprises répondant favorablement au traitement médicamenteux. Nous introduisons un traitement de Bêta-bloquant et de l'Aldactone. Un suivi tensionnel sera à poursuivre en ambulatoire. Mr. Y rentre à domicile le 24.04.2019. Mr. Y est un patient de 20 ans qui nous est transféré de l'Inselspital pour une surveillance neurologique suite à un traumatisme crânien avec hémorragie sous-arachnoïdienne et contusion pariétale avec lésions axonales diffuses sur accident de moto. Le bilan radiologique initial avait mis en évidence une hémorragie sous-arachnoïdienne frontale gauche et une contusion pariétale gauche traitées de manière conservatrice selon l'avis des neurochirurgiens de l'Inselspital, ainsi qu'une fracture de l'iléon à droite et une contusion pulmonaire gauche. L'IRM de contrôle effectuée à 24 heures a montré des lésions axonales diffuses au niveau pariétal. À son arrivée aux soins intensifs de Fribourg, le patient a un GCS à 15 et l'examen neurologique est normal. Le patient est surveillé aux soins intensifs pour une nuit et peut être transféré à l'étage de chirurgie le lendemain. L'évolution reste par la suite favorable, permettant un transfert en neuro-réadaptation au Anna-Seiler Haus à Berne le 01.04.2019. En ce qui concerne la fracture de l'iléon à droite, le traitement est conservateur avec une charge partielle de 15 kg pendant 6 semaines. Mr. Y est un patient de 90 ans connu notamment pour une cardiopathie ischémique. Il se présente aux urgences le 19.04.2019 en raison de douleurs thoraciques et dorsales oppressives. Un CT thoracique permet d'exclure une embolie pulmonaire ou dissection aortique et ne permet pas d'expliquer les douleurs, lesquelles cèdent par ailleurs après administration de 5 mg de morphine en intra-veineux. Le patient est tout de même hospitalisé dans le service de Médecin Interne en raison d'un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée. Il présente le 20.04 des douleurs intermittentes de l'hypochondre droit ainsi qu'une élévation de la bilirubine et des enzymes hépatiques, motivant un ultrason de l'abdomen ainsi qu'une cholangio-IRM, lesquels permettent de diagnostiquer une cholécystite aiguë, probablement sur une cholécystite chronique. Une antibiothérapie est administrée du 20.04.2019 au 25.04.2019 avec du Flagyl et de la Rocéphine. C'est un passage de petits calculs dans les voies biliaires qui explique vraisemblablement l'évolution clinique et biologique. L'indication à une cholecystectomie est posée, mais elle est facultative et nous vous proposons d'en rediscuter avec le patient en fonction de l'évolution, le cas échéant de prendre contact avec le Service de Chirurgie dans un mois si l'indication est retenue. Mr. Y présente par ailleurs à l'admission une exacerbation AKIN II d'une insuffisance rénale chronique. Son origine est pré-rénale et une hydratation intraveineuse permet une évolution favorable. Des signes cliniques de décompensation cardiaque sont constatés après hydratation. Dans le contexte de la cardiopathie ischémique connue, une échographie transthoracique est effectuée, révélant une fonction systolique conservée avec une dysfonction diastolique légère sans valvulopathie significative (sclérose aortique). Une atteinte coronarienne reste probable au vu de l'âge et des antécédents de PTCA en 1994. Dans ce contexte, une coronarographie pourrait être rediscutée, mais son indication n'est pas retenue actuellement. Toutefois, au vu des antécédents de chutes et des résultats du Holter du mois de février, l'insuffisance cardiaque est possiblement liée à une insuffisance chronotrope et nous proposons de répéter un examen Holter en ambulatoire, respectivement de considérer un pacemaker selon le résultat. Un trouble de la crase avec une augmentation de l'INR et du PTT est constaté lors de l'admission avec une correction partielle après administration de vitamine K. Au vu du contexte global et de l'âge du patient, il est toutefois convenu de ne pas poursuivre les investigations étiologiques. Sur le plan social, l'introduction d'aides à domicile est discutée avec Mr. Y et sa femme, qui préfèrent se tourner vers le médecin traitant pour l'organisation de ce soutien. Après une évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 26.04.2019. Mr. Y se présente le 27.03.2019 aux urgences en raison de douleurs abdominales persistantes en fosse iliaque droite depuis deux jours. Le bilan effectué aux urgences retrouve une appendicite aiguë perforée avec probable péritonite généralisée. Une appendicectomie en urgences est réalisée. La prise en charge post-opératoire se complique par une inhalation gastrique au moment de l'extubation en raison d'échecs de vidage gastrique par sonde naso-gastrique avec insuffisance respiratoire hypoxémique nécessitant une surveillance en soins intensifs. Mr. Y est transféré à l'étage le 29.03.2019. La suite de la prise en charge est sans particularité. La physio-respiratoire est continuée, l'alimentation se passe sans problème et le syndrome inflammatoire se montre à la baisse, permettant un relais de l'antibiothérapie par Ciproxine et Flagyl par voie orale le 02.04.2019. À noter que le patient présente un épisode de douleurs thoraciques tôt le matin du 02.04.2019 non-respiro-dépendantes avec une cessation spontanée. Le bilan effectué dans ce contexte nous permet d'exclure un syndrome coronarien aigu. Le patient ne présente plus de gênes lors du reste de l'hospitalisation. En raison des antécédents du patient, il sera convoqué en ambulatoire pour une écho du cœur pour évaluer de nouveau des troubles de la cinétique segmentaire. Mr. Y peut donc regagner son domicile le 03.04.2019. Mr. Y, patient de 75 ans connu pour une hypertension artérielle traitée, un éthylisme chronique avec syndrome de Korsakoff probable et une bronchopneumopathie chronique obstructive non stadifiée sur tabagisme actif à plus de 40 unités paquet par an, est adressé en ambulance aux urgences de l'HFR Riaz en raison d'une dyspnée persistante dans un contexte de pneumonie au décours et d'œdèmes des membres inférieurs, en péjoration.Aux urgences, Mr. Y est tachypnéique 25 respirations par minute, normotendu, tachycarde à 115 battements par minute et apyrétique. A l'auscultation cardiaque, nous obtenons des bruits bien frappés sans souffle audible et des oedèmes prenant le godet jusqu'à mi-cuisse. A l'auscultation pulmonaire, notons des sibilances diffuses aux deux plages pulmonaires avec des râles bibasaux. Le bilan biologique objective des leucocytes à 5.9 G/l, une CRP à 19 mg/l et une hyperkaliémie à 5.1 mmol/l. L'ECG d'entrée signale un rythme en fibrillation auriculaire rapide à 140 battements par minute, motivant un traitement par Dilzem intraveineux, avec ralentissement du rythme et relais par la suite. Une gazométrie est réalisée sous oxygène, indiquant un pH à 7.45, une pCO2 à 16 kPa, une pO2 à 16 kPa et des bicarbonates à 19 mmol/l. La radiographie du thorax visualise une silhouette cardiomédiastinale à la limite supérieure de la norme avec un important syndrome interstitiel et réticulo-nodulaire bilatéral prédominant aux deux bases pulmonaires. Aucun dosage de NT-proBNP n'est réalisé. Un traitement diurétique par Lasix en bolus et Lasix intraveineux 3x/j est débuté, avec suivi de la diurèse. Sur suspicion initiale d'un foyer basal droit, il est décidé de couvrir le patient par une antibiothérapie par Co-Amoxicilline adaptée à la fonction rénale. Le jour même de son arrivée aux urgences, Mr. Y est hospitalisé en gériatrie aiguë pour suite de sa prise en charge. Concernant les oedèmes périphériques, un suivi rapproché du poids 1x/j et un bandage des membres inférieurs sont effectués. Nous adaptons le traitement en augmentant le traitement diurétique par Lasix intraveineux 40 mg 3x/j et Métolazone. Le poids de sortie est de 90.6 kg. L'ECG de contrôle du 02.04.2018 met en évidence un rythme en fibrillation auriculaire inaugurale. Selon un score de CHAD2DS2-VASc2 à 3 points et HAS-BLED à 2, il est décidé d'instaurer une anticoagulation. Un traitement par Eliquis 5 mg 2x/j est mis en place en raison de son meilleur profil sur le tractus gastro-intestinal chez ce patient présentant une consommation d'alcool chronique et une insuffisance rénale. Un bilan vitaminique indique un déficit en vitamine D à 26 nmol/l, substitué par une dose de charge de 24000 UI et substitution par voie orale en dose d'entretien. Un bilan d'anémie avec dosage d'acide folique et vitamine B12 revient dans la norme. Le patient bénéficie pendant son séjour d'une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, Mr. Y est capable de marcher sur un périmètre de marche supérieur à 130 m, de manière sécuritaire, autonome et sans moyen auxiliaire, et de gravir 18 marches d'escaliers. Le TUG est de 16.39 sec. Le MIF à la sortie est de 80/126, par rapport à 71/126 à l'entrée. Mr. Y peut ainsi regagner le Foyer St-Joseph de Morlon où il réside le 03.04.2019. Mr. Y présente les lésions susmentionnées. Je propose dans un premier temps un traitement de physiothérapie (pour diminuer la tuméfaction). Je le revois le 30.04.2019 pour réévaluation clinique et discuter de la suite de la prise en charge. Etant donné son jeune âge, qu'il est sportif et qu'il s'agit d'une lésion combinée, l'indication à une résection partielle du ménisque externe +/- suture et plastie du LCA est donnée. Un arrêt de travail est attesté dès ce jour, à 100 %, et ce jusqu'au prochain rendez-vous le 30.04.19. Mr. Y présente les lésions susmentionnées. Nous prévoyons une arthroscopie diagnostique le 13.05.2019. Lors de cette intervention, je pratiquerai probablement une résection partielle du ménisque externe +/- suture. Ce geste me permettra d'inspecter le ligament croisé antérieur. En cas de déchirure de celui-ci, j'effectuerai une plastie du ligament croisé antérieur par greffe de tendon de quadriceps. Le patient est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que les risques et bénéfices liés à celle-ci. Il me donne son accord et le consentement est signé. Le patient sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. L'arrêt de travail est prolongé provisoirement jusqu'au 13.05.2019, date de l'intervention. Mr. Y, patient de 38 ans connu pour une maladie de Crohn diagnostiquée en 1998, avec un syndrome de l'intestin court, nous est adressé par Dr. X, pour un bilan entrées/sorties des liquides. Le patient gère lui-même sa poche de stomie à domicile et il se fait des perfusions de NaCl lorsqu'il perd trop de liquides. Il décrit une gastro-entérite il y a 10 jours avec augmentation des diarrhées. A l'entrée, le patient est en état général conservé. Le statut est sans particularité. La stomie est calme. Le patient bénéficie d'une hydratation par NaCl 1500 ml iv/24h, et les entrées/sorties sont notées. Le bilan revient négatif avec un déficit de 630 ml d'eau. Nous conseillons donc au patient d'augmenter ses apports hydriques pour le retour à domicile, avec la suite de la prise en charge ambulatoire auprès de Dr. X. Mr. Y regagne son domicile le 11.04.2019. Mr. Y est hospitalisé pour une décompensation cardiaque avec une détresse respiratoire d'apparition subite. Au service des urgences, le patient nécessite la mise en place de VNI, avec bon effet. Le statut met en évidence des signes de décompensation cardiaque, confirmée par la radiographie de thorax et le laboratoire. A noter la présence d'un épanchement pleural droit connu, ponctionné à deux reprises sans éthologie retrouvée et dont l'analyse avait montré un transsudat. Un traitement diurétique est instauré, avec une évolution lentement favorable et une perte de poids de 11 kilogrammes. Une échocardiographie révèle une FEVG à 50 %, stable par rapport au comparatif, avec une insuffisance valvulaire tricuspidienne et mitrale connue. Une interrogation du pacemaker ne montre pas d'arythmie responsable de la décompensation. A noter qu'il n'y a pas d'argument pour une origine ischémique à la décompensation et celle-ci est mise en lien avec le contexte d'infection respiratoire des voies aériennes supérieures. Le poids reste stable sans diurétique lors de la sortie, mais ceux-ci seront à reprendre en fonction de l'évolution. La pile du pacemaker sera à changer en ambulatoire selon Dr. X. Sur le plan infectieux, Mr. Y présente une péjoration d'une toux connue durant l'hospitalisation, associée à une augmentation du syndrome inflammatoire et un possible foyer radiologique basale gauche. Dans ce contexte, une antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobactam pour une pneumonie nosocomiale est débutée avec une bonne évolution clinico-biologique. Une crise de goutte est également mise en évidence avec une bonne évolution sous traitement de Prednisone. Du point de vue moteur, le patient présente une chute durant son hospitalisation avec traumatisme crânien. Le bilan par CT ne met pas en évidence de lésion traumatique au niveau cérébral, mais une possible angulation du sacrum pouvant expliquer les douleurs persistantes. Une antalgie et un traitement de physiothérapie de mobilisation sont effectués avec une bonne évolution clinique. Sur le plan infectieux, le patient présente une probable infection urinaire basse nosocomiale. Un urotube est effectué dont les résultats sont à pister. Un traitement antibiotique par Rocéphine adapté à la fonction rénale est mis en place.En raison d'un déconditionnement persistant et de légers troubles de l'équilibre, Mr. Y part en réhabilitation à l'HFR Meyriez le 18.04.2019. À noter la présence de 12 marches d'escalier à domicile. Les enfants du patient signalent également une certaine inquiétude quant au retour à domicile. Nous vous laissons le soin d'organiser des soins à domicile ou d'organiser un réseau avec la famille. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire stationnaire suite à un choc hémorragique après rupture d'anévrisme de l'artère iliaque commune G le 23.02.2019. Son traitement à l'entrée est composé de : Eliquis 10 mg, Lisitril 10 mg, Atorvastatin 20 mg, Amlodipin 10 mg, Nexium 40 mg, Ceftazidim 2g iv 2x/jour jusqu'au 14.02.2019, Tamsulosin 0.4 mg, Lacrycon Augengel en réserve. Le bilan sanguin a mis en évidence une anémie avec un MCV à la limite supérieure de la norme pour laquelle nous avons introduit une substitution avec acide folique et vitamine B12. Nous avons complété le bilan avec la TSH qui s'avère dans la norme. À recontrôler donc à distance. Sur le plan infectieux, Mr. Y a continué le traitement par Ceftazidim 2g iv 2x/jour jusqu'au 14.04.2019. Les contrôles hebdomadaires de la CRP ont confirmé une diminution continue ; pas d'impact sur la formule hémo-leucocytaire. L'OMI sous diurétique et spironolactone et apport approprié en protéine ont bien régressé. Concernant l'HTA, nous avons dû stopper le Lisinopril en raison de l'insuffisance rénale (plus importante à l'entrée dans notre établissement) remplacé par du Valsartan. Le patient étant connu pour une dysphagie conséquente à son AVC en 2017, nous avons recontrôlé le test de déglutition qui n'a pas montré de fausses routes importantes. Nous avons rendu attentif le patient ainsi que sa famille quant à l'importance de la consistance des repas. Porteur d'une sonde urinaire mise en place à l'Inselspital pour globe urinaire, nous l'avons retirée sans succès malgré le clampage et décolmpe. Sur ces résultats décevants, nous avons redemandé un consilium urologique ; nos collègues urologues proposent de laisser la sonde à demeure, de poursuivre le traitement de Tamsulosin et de reprendre rendez-vous à distance pour réévaluation. Mr. Y présente un déclin thymique net : peu enclin à poursuivre la réadaptation cardiovasculaire adéquate, il manifeste fortement le désir de retourner à domicile rapidement. Lors de notre colloque, nous avons opté pour un retour plus rapide au domicile et poursuite d'une physiothérapie à la maison pour s'assurer du bon résultat à terme. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a été suivi en individuel pour la physiothérapie. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 15 minutes à une puissance de 16 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une diminution de la distance parcourue (- 80 m), mais le test a dû être interrompu en raison d'une fatigue musculaire importante. À la fin de son séjour, Mr. Y s'est entraîné à faire les escaliers et une ordonnance de physiothérapie lui a été remise pour poursuivre les séances à domicile. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse dans une maison. Les soins à domicile sont entrés en demeure pour la prise des médicaments et ceux de la sonde vésicale. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.6 mmol/L, un HDL à 0.79 mmol/L, un LDL à 2.64 mmol/L et des triglycérides à 1.02 mmol/L. • La pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour. Nous avons veillé à ce que la TA systolique de repos ne dépasse pas 120 mmHg et à l'effort < 160 mmHg. Sur le plan biologique : • L'Hb est remontée à 127 g/l ; • La fonction rénale montre une créatinine à 147 µmol/l avec une urée à 13.9 mmol/l, en légère péjoration -> À recontrôler SVP ! • Les électrolytes sont dans la norme. • La CRP est à 10 mg/l. L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un abdomen souple, tympanique, quasi indolore à la palpation et bons bruits de transit. Status de normo-compensation avec une pression artérielle à 115/61 mmHg et une FC à 56 bpm. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte de traumatisme crânien avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle. Un scanner cérébral est effectué au vu du TC ne montrant pas d'anomalies, hormis un adénome hypophysaire connu. Au vu de plusieurs épisodes d'absence de quelques secondes relatés à l'hétéro-anamnèse, nous effectuons un EEG ne montrant pas d'argument pour une épilepsie. Concernant une potentielle cause cardiaque à la syncope, nous effectuons plusieurs examens. Un Schellong revient sans particularité. Un ultrason cardiaque est effectué ne montrant pas de franches anomalies. Un holter est organisé en ambulatoire 01.05.2019 afin d'évaluer une potentielle cause arythmique. Nous avertissons le patient qu'il ne peut plus conduire jusqu'au résultat du Holter et l'aval de son médecin-traitant. Nous retenons pour le moment, une origine réflexe sur effort de toux. Nous organisons une consultation pneumologique avec fonctions pulmonaires afin d'évaluer la nécessité d'une adaptation de traitement le 06.06.2019 à 10h00. Mr. Y peut rentrer à domicile le 27.04.2019. Des soins à domicile sont instaurés. Une consultation chez son médecin-traitant sera à agender par le patient. Mr. Y, 70 ans connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'Inselspital le 02.04.2019 pour investigations diagnostiques d'un épanchement pleural droit associé à des plaques pleurales calcifiées. Pour rappel, Mr. Y chute à son domicile. À l'anamnèse, il rapporte une chute accidentelle dans sa baignoire sur faiblesse du membre inférieur gauche. Son épouse appelle l'ambulance pour une suspicion d'évènement ischémique, car le patient ne lui répond pas aux questions. À l'arrivée des ambulanciers le patient est asymptomatique sur le plan neurologique. Il est amené à l'Inselspital où une IRM cérébrale ne retrouve pas d'arguments en faveur d'une nouvelle ischémie. Un CT scan thoracique est également réalisé à l'Inselspital devant une suspicion d'embolie pulmonaire avec une tachycardie. Le CT scan ne montre pas d'embolie pulmonaire mais retrouve un épanchement pleural droit, le patient nous est donc adressé pour l'investigation de celui-ci. À l'admission dans notre service, au status cardiovasculaire, les bruits du cœur sont irréguliers, absence de souffle audible, œdèmes des membres inférieurs bilatéraux, pas de signes de thrombose. Au niveau respiratoire, murmure vésiculaire bilatéral avec légère hypoventilation en base droite, pas de bruit surajouté, patient eupnéique. Le status digestif et neurologique est sans particularité. Le patient est non fumeur et ancien ouvrier en bâtiment travaillant dans les isolations. À l'anamnèse, Mr. Y ne décrit pas de dyspnée. Le patient est connu de longue date pour cet épanchement pleural droit, ponctionné en novembre 2016. Un exsudat à prédominance mono macrophagique sans cellules suspectes a été mis en évidence en 2016 sans investigations supplémentaires. Nous comparons le CT thoracique effectué à l'Inselspital avec celui de 2016, qui retrouve une stabilité de l'épanchement pleural droit associé à une image compatible avec une atélectasie (ne permettant pas d'exclure une masse sous-jacente) et des plaques pleurales calcifiées. Un avis pneumologique est demandé qui évoque une exposition à l'amiante et préconise la réalisation d'un PET-scan ainsi qu'une exploration respiratoire fonctionnelle complète. Ces deux examens sont agendés en ambulatoire à l'HFR Fribourg pour le 08 et le 18.04.2019 respectivement.Mr. Y peut regagner son domicile le 04.04.2019. Mr. Y, 70 ans, est admis aux soins intensifs en raison d'une détresse respiratoire aiguë. Le patient consulte en raison d'une dyspnée au repos en péjoration depuis 3 jours dans un contexte de virose depuis 15 jours avec changement de la qualité et quantité des expectorations, avec 3 critères d'Anthonisen sur 3. Le bilan aux urgences révèle un possible foyer en base pulmonaire gauche avec une insuffisance respiratoire globale. L'exacerbation de BPCO avec foyer pulmonaire est traitée par corticoïdes et antibiotiques adaptés à la fonction rénale. Le traitement par aérosols est intensifié et des séances de ventilation non invasives sont introduites. L'évolution est rapidement favorable, le patient reste toutefois oxygéno-dépendant avec une majoration des besoins à l'effort. Nous poursuivons la CPAP personnelle de la patiente la nuit et 2 séances par 24h. L'insuffisance rénale aiguë évolue favorablement après hydratation. L'hyperkaliémie sévère est traitée par insuline et glucose et se corrige après normalisation de la fonction rénale, sans récidive depuis. L'hyponatrémie légère se corrige également. L'attitude générale est discutée avec le patient compte tenu du pronostic réservé de l'atteinte pulmonaire. Une future prise en charge intensive en cas de récidive avec une intubation oro-trachéale ne sera plus envisagée. Mr. Y, connu pour une épilepsie non lésionnelle traitée depuis plusieurs années, suivie par le Dr. X, est hospitalisé le 09.04.2019 suite à deux crises épileptiques généralisées tonico-cloniques. Le patient était en Valais avec des amis lorsqu'il a présenté une crise typique avec perte de contact de durée indéterminée et amnésie circonstancielle, sans lésion traumatique secondaire. Il est adressé aux urgences de Monthey où il reçoit du Rivotril et du Keppra en raison d'une seconde crise. La prise en charge se poursuit aux soins intensifs de l'HFR-Fribourg, où les taux sériques initiaux de Keppra sont indétectables et le CT-scan cérébral sans particularité. La surveillance aux soins intensifs est tout à fait rassurante sans nouvelle crise. Le traitement anti-épileptique est progressivement adapté selon le suivi électroencéphalographique et biologique. La reprise de l'anamnèse révèle une prise pondérale de 40 kilogrammes sur les trois dernières années en raison d'un contexte de stress professionnel et d'une mauvaise hygiène de vie, mais avec une compliance assidue subjective au traitement anti-épileptique. Par ailleurs, le patient rapporte une somnolence diurne avec des apnées de plus de 10 secondes objectivées par des tiers. La résurgence de crises épileptiques s'inscrit dans un contexte d'une dégradation de l'hygiène de vie avec un manque de sommeil chronique sur un syndrome d'apnée du sommeil, ainsi qu'une compliance thérapeutique non objectivable. En accord avec le Dr. X, nous poursuivons les adaptations thérapeutiques avec sevrage de Rivotril, majoration des doses de Keppra et initiation de Vimpat. Le dernier électroencéphalogramme de contrôle du 15.04.2019 montre une persistance d'un tracé pathologique avec des décharges paroxystiques bifrontales moins marquées par rapport aux examens précédents. Le dernier taux de Keppra du 12.04.2019 est infra-thérapeutique. Nous vous suggérons le suivi du taux de Keppra et du Vimpat la semaine prochaine, ainsi que la surveillance des enzymes hépatiques. Un rendez-vous de consultation et de contrôle clinico-biologique est prévu à votre cabinet le 25.04.2019 à 8h30. Le suivi neurologique de contrôle est prévu le 01.05.2019 chez le Dr. X. Il a été spécifié au patient l'interdiction de conduite pour les trois prochains mois. Un arrêt de travail lui a été remis. La reprise peut théoriquement être envisagée après la période de Pâques. Cependant, au vu de l'interdiction de conduite, la reprise du travail devra être évaluée. D'un point de vue métabolique, le suivi se poursuivra en ambulatoire avec un rendez-vous prévu le 21.05.2019 à 09h00 au Centre métabolique de l'HFR-Fribourg. Une polysomnographie objective un syndrome d'apnée obstructif du sommeil qui nécessite un appareillage par CPAP pour lequel le patient sera convoqué en ambulatoire par le service de pneumologie de l'HFR Fribourg. Le rapport définitif de la polysomnographie vous parviendra dès que possible. Mr. Y rentre à domicile le 16.04.2019 sans aide, avec suivi par vos soins, le service de pneumologie et par le neurologue traitant. Mr. Y, 22 ans, est admis aux soins intensifs pour la surveillance neurologique après deux crises épileptiques tonico-cloniques le 09.04.2019. Le patient présente une crise d'épilepsie tonico-clonique classique d'une durée indéterminée sous traitement anti-épileptique. A l'arrivée de l'ambulance, il reçoit 1 mg de Clonazépam. Il est ensuite transféré à l'hôpital de Monthey, où il refait un ictus épileptique généralisé similaire au premier, qui nécessite une nouvelle dose de Clonazépam. La crise est jugulée après administration de Lévétiracétam à dose de charge. L'imagerie cérébrale n'a révélé aucune anomalie. Le patient est transféré aux soins intensifs de Fribourg avec Air Zermatt. Durant son séjour aux soins, Mr. Y reste stable au niveau neurologique avec un score de Glasgow à 15, sans nouvel épisode épileptique. Un électroencéphalogramme permet d'objectiver des foyers irritatifs au niveau frontal bilatéral nécessitant une majoration du traitement antiépileptique habituel et l'ajout de benzodiazépines. Un contrôle à 24h permet d'observer une discrète amélioration à l'EEG. Du Lacosamide est débuté sur conseil du Dr. X. Nous retenons comme facteur déclenchant un sommeil non réparateur dans le cadre d'un SAOS non appareillé ainsi qu'un traitement potentiellement infra-thérapeutique dans le contexte d'une prise pondérale. Un dosage du Lévétiracétam a été fait à Monthey, nous vous laissons le soin de le récupérer auprès du laboratoire de l'hôpital de Sion. Des apnées du sommeil sont observées au cours du séjour avec une anamnèse positive pour une asthénie et somnolence diurne, motivant un suivi en pneumologie avec une polysomnographie. L'examen pourra être planifié à l'étage de médecine ou en ambulatoire. Un contrôle du poids pouvant être bénéfique tant pour l'adaptation du traitement anti-épileptique que sur le plan respiratoire, nous organisons un suivi au centre métabolique en ambulatoire. Mr. Y, 59 ans, est admis aux soins intensifs pour un polytraumatisme suite à une tentative suicidaire le 11.04.2019. Le patient est retrouvé sous un train à la gare de Fribourg avec un GCS à 8/15. Il est intubé sur place et, à son arrivée aux urgences, il bénéficie d'un total body scan qui montre une fracture du col du fémur avec fracture du mur postérieur de l'acétabulum, ainsi qu'une fracture du processus transversal L2/L3 à droite et des fractures des côtes à droite. Le patient est rapidement extubé et confirme qu'il s'agit d'une tentative de suicide. Des évaluations psychiatriques ont été effectuées durant son séjour aux soins intensifs, peu concluantes en raison d'un manque de collaboration de la part du patient. Le patient nie toute idée suicidaire, se projette dans le futur voulant travailler sur sa récupération et s'engage à demander de l'aide en cas de besoin. Un suivi psychiatrique sera à reprendre déjà durant le séjour hospitalier et à poursuivre par la suite.Une insuffisance respiratoire globale dans un contexte de broncho-aspiration probable et aggravée par l'alitement et par la surcharge nécessite un traitement antibiotique par Co-amoxiciline et un soutien ventilatoire non invasif transitoire. Le 16.04.2019, le patient bénéficie d'une ostéosynthèse du cotyle. En post-opératoire, des atélectasies motivent une ventilation prolongée. Comme autre complication, nous mentionnons une rhabdomyolyse qui s'est corrigée progressivement. Un œdème persistant et douloureux du membre inférieur gauche a nécessité l'exclusion d'un syndrome des loges par des mesures itératives de pression intramusculaire. Aucune thrombose veineuse profonde n'est mise en évidence. L'antalgie s'est avérée difficile, le patient nécessitant une association de plusieurs substances avec un effet finalement favorable. Nous vous laissons le soin de diminuer progressivement les doses et le nombre des molécules en fonction de l'évolution. À noter, entre autres, l'emploi de la Clonidine dans le but de potentialiser l'effet des opiacés et, en même temps, à but sédatif que nous vous laissons le soin de sevrer et, en fonction du profil tensionnel, d'introduire par la suite un inhibiteur de l'enzyme de conversion chez ce patient connu pour une cardiopathie ischémique. Une statine sera également à introduire à distance de la rhabdomyolyse. Le 21.04.2019, le patient est transféré à l'étage d'orthopédie pour la suite de la prise en charge. Une attention particulière est à apporter sur le plan psychique. Mr. Y est un patient de 36 ans, en bonne santé habituelle, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'une hernie inguinale bilatérale symptomatique. Il bénéficie le 26.04.2019 d'une cure de hernie bilatérale laparoscopique qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples et l'évolution est favorable, permettant un retour à domicile le 27.04.2019. Mr. Y, 72 ans, a été admis aux soins intensifs pour une surveillance post-opératoire d'une thrombo-endartériectomie élective de l'artère fémorale gauche avec mise en place d'un stent dans l'artère iliaque externe gauche. Le patient, connu pour une artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade IIb, est hospitalisé le 11.04.2019 en vue de l'intervention précitée qui s'est déroulée sans complication immédiate. En post-opératoire, le patient a été admis aux soins intensifs. La surveillance clinique est sans particularité avec une antalgie simple. Un soutien hémodynamique transitoire par noradrénaline et remplissage vasculaire a été nécessaire. Un contrôle par CT-scan à 24h de l'intervention montre une bonne perméabilité du stent implanté dans l'artère iliaque externe gauche. En post-opératoire, une baisse transitoire de l'hémoglobine jusqu'à 78 g/l, puis stabilisation spontanée > 80 g/l, a été attribuée à une probable composante d'hémodilution, nécessitant néanmoins un contrôle hématologique quotidien. Le seuil de transfusion a été fixé à une hémoglobine de 80 g/l en raison de la cardiopathie ischémique. Le patient a été transféré le 12.04.2019 dans le service de chirurgie. Mr. Y, patient de 72 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance post-opératoire d'une thrombo-endartériectomie élective de l'artère fémorale gauche avec plastie d'élargissement avec patch en xénopéricardi et mise en place d'un stent Graft dans l'artère iliaque externe gauche. Le patient, connu pour une artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade IIb, est hospitalisé le 11.04.2019 en vue de l'intervention susmentionnée qui se déroule sans complication immédiate. En post-opératoire, le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance qui se déroule sans particularité avec une antalgie simple. Un contrôle par CT-scan à 24h de l'intervention montre une bonne perméabilité du trépied fémoral et du stent implanté dans l'artère iliaque externe gauche. Un contrôle Doppler réalisé le 15.04 montre une bonne perméabilité également au niveau fémorale. Au vu de la bonne évolution du patient, il rentre à domicile le 16.04.2019 et sera revu à notre consultation de chirurgie vasculaire le 23.04.2019. Mr. Y est un patient de 74 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées et un contexte d'artériopathie généralisée. Il est amené par sa fille au service des urgences pour un TC avec PC le 03.04.2019 avec amnésie circonstancielle sur chute de sa hauteur avec éthylisation dans un contexte peu clair au vu de l'absence de témoin. Il se présente avec un hématome du crâne postérieur accompagné de céphalées. Il n'a pas présenté de symptômes neurologiques focaux ni de nausées ou de vomissements. Il se plaint depuis 2 ans de lipothymies à répétition apparemment sans prodromes déclenchées lors de l'hyperextension de la nuque. À noter un épisode similaire en 2016 qui avait motivé des investigations à savoir un examen neurosonologique des vaisseaux précérébraux du 11.05.2016 (Dr. X) et une IRM du neurocrâne et des carotides du 09.05.2016 ayant montré respectivement une athéromatose modérée à importante des vaisseaux précérébraux avec sténose >50% de l'artère vertébrale droite et, à l'IRM, une discrète sténose du siphon carotidien gauche. Le CT-scan injecté du 04.04.2019 montre un hématome sous-galéal sans fracture ni lésion post-traumatique intracérébrale. Il révèle également une sténose significative de l'origine de l'artère vertébrale droite et une occlusion de l'ensemble du segment V2 de l'artère vertébrale gauche. À l'entrée, le statut neurologique est sans particularité. Un consilium neurologique recommande un nouvel ultrason des vaisseaux précérébraux pour suspicion d'insuffisance vertébro-basilaire. Celui-ci, effectué le 05.04.2019 (Dr. X), montre un flux ralenti de l'artère vertébrale gauche et une bonne vascularisation de l'artère vertébrale droite. Après relecture des images scanner du 04.04.2019 par Dr. X, nous concluons à un thrombus frais de l'artère vertébrale gauche versus possible dissection de celle-ci. De plus, les artères communicantes postérieures ne sont pas visualisables suggérant que la vascularisation cérébrale postérieure dépend presque exclusivement de l'artère vertébrale droite. Dans ce contexte, nous introduisons une anticoagulation par Xarelto et une anti-agrégation simple durant un mois suivi par arrêt de l'anticoagulation et double anti-agrégation à vie. Mr. Y est informé des risques de saignements encourus, et nous lui recommandons vivement de réduire sa consommation d'alcool afin de limiter les risques de chute. Il est resté hypertendu autour de 190/85 lors de son hospitalisation en position allongée mais normotendu en position debout à 117/55. En conséquence, nous n'apportons pas d'autre modification à son traitement antihypertenseur. Lors de son séjour, nous nous permettons de retirer son traitement d'Indéral au vu d'une indication relative et d'une polymédication déjà importante. Une consultation pré-opératoire par l'équipe d'anesthésie est effectuée le 05.04.2019 pour une phakectomie prévue la semaine prochaine. Les examens urinaires montrent une hématurie microscopique sans critère de gravité, asymptomatique. Nous recommandons un suivi chez son médecin traitant. Concernant son éthylisme chronique, le patient est en phase pré contemplative et ne souhaite pas se sevrer actuellement. Il en va de même pour son tabagisme actif. Mr. Y souhaite rentrer à domicile. N'ayant pas d'indication stricte à le garder hospitalisé, nous le laissons rentrer à domicile le 05.04.2019 avec des soins à domicile pour contrôle de santé et du pilulier 2x/semaine sous réserve d'un suivi rapproché chez son médecin traitant pour contrôle de son anémie et de son anticoagulation.Mr. Y s'est présenté en ambulance le 13.04.2019 pour une baisse d'état général. Il décrivait une asthénie importante depuis 1 semaine, une dyspnée en progression depuis 15 jours ainsi qu'un épisode de méléna la veille. À son arrivée, la concentration en hémoglobine de Mr. Y était effondrée à 45 g/l et il a reçu 2 concentrés érythrocytaires aux urgences. L'oeso-gastro-duodénoscopie montre un saignement non actif avec très forte suspicion de varices sous-cardiales responsables de l'hémorragie. Nous avons augmenté la dose de Pantozol, arrêté le xarelto et suspendu transitoirement les traitements antihypertenseurs. Nous avons ajouté de l'Inderal et nous vous invitons à réévaluer cette médication. Un US hépatique a été effectué qui n'a démontré aucune hypertension portale mais une stéatose hépatique accompagnée d'une ectasie de l'aorte abdominale, raison pour laquelle un CT abdominal injecté après amélioration de la fonction rénale est proposé par nos collègues. Les épisodes de méléna ont persisté jusqu'au 17.04.2019 et Mr. Y a bénéficié d'au total 6 concentrés érythrocytaires. Le 19.04.2019, des anticorps anti-Kidd ont été constatés, alors que Mr. Y avait déjà reçu 4 concentrés érythrocytaires. Les contrôles rapprochés ont permis d'exclure une hémolyse et les concentrés suivants étaient compatibles. Une réaction d'hémolyse retardée demeurant toutefois possible, nous vous proposons d'effectuer un contrôle sanguin à 1 semaine. Le 19.04.2019, Mr. Y a présenté un état fébrile sur une probable infection en regard d'une voie veineuse périphérique du membre supérieur droit. L'évolution est favorable après retrait du cathéter et 4 jours de vancomycine i.v. Pour évaluer la thrombose de son artère vertébrale gauche, une IRM a été effectuée qui n'a mis en évidence ni d'ischémie ni de thrombus, mais des irrégularités sur toute la hauteur de l'artère vertébrale gauche sans signe de dissection. Au regard de cette évolution positive, il a été décidé de ne pas reprendre le Xarelto et de poursuivre avec une anti-agrégation simple. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 19.04.2019. Mr. Y, 87 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance post-opératoire d'une mise à plat de pseudo-anévrisme fémoral gauche. Il est connu notamment pour une artériopathie des membres inférieurs de stade II avec multiples interventions, dont la dernière remonte au 21.02.2019, envoyée par l'angiologie en raison d'une lésion compatible avec un faux anévrisme au niveau du carrefour fémoral gauche. Le 17.04.2019, il bénéficie d'une mise à plat de cet anévrisme et pose de prothèse avec un VAC. La plaie est révisée le 19.04.2019. Un contrôle tensionnel avec des TAM < 130 mmHg est respecté. Le traitement par Co-Amoxicilline en place pour une dermohypodermite est continué pour une couverture de la prothèse, mais selon l'antibiogramme du staphylococcus lugdenensis, on propose en accord avec les infectiologues un relais par Zinacef. Dans le contexte per-opératoire, il a récidivé son flutter auriculaire à une conduction 2.1, ralenti par B-bloquants. Le 19.04.2019, il peut être transféré en division après la révision de la plaie au bloc opératoire. Mr. Y, patient de 44 ans, admis aux soins intensifs pour une décompensation acido-cétosique inaugurale, sans facteur déclenchant retrouvé. Le patient se présente avec une asthénie depuis 3-4 jours avec polyurie et polydipsie. Il présente une gêne abdominale avec abdomen ballonné, ainsi qu'une constipation depuis 3 jours et une dyspnée en péjoration. Le bilan initial met en évidence une décompensation diabétique de type acido-cétosique. Un traitement d'insuline en intraveineuse et une hydratation sont mis en place et le patient est transféré aux soins intensifs. À son arrivée, il présente un état général diminué, déshydraté, avec un abdomen sensible mais souple. Il bénéficie d'une hydratation conséquente et d'insuline intraveineuse jusqu'au 07.04.2019 avec un relais en sous-cutané. Les troubles électrolytiques sont substitués. Nous constatons une hémoglobine glyquée à 11.2%. Le bilan étiologique, notamment le dosage des anticorps, est à organiser et un entretien thérapeutique avec les endocrinologues est demandé. Le patient présente également une pancytopénie légère. Un test VIH est demandé le 06.04.2019 à visée étiologique, dont le résultat est à pister. Mr. Y, patient de 44 ans en bonne santé habituelle, est hospitalisé pour une décompensation acido-cétosique d'un diabète inaugural. Le patient se présente avec une asthénie depuis 3-4 jours avec polyurie et polydipsie. Il présente une gêne abdominale avec abdomen ballonné ainsi qu'une constipation depuis 3 jours et une dyspnée en péjoration, ce qui l'amène aux urgences. Le bilan initial met en évidence une décompensation diabétique de type acido-cétosique. Un traitement d'insuline en intraveineuse et une hydratation sont mis en place, et le patient est transféré aux soins intensifs. À son arrivée, il présente un état général diminué, une importante déshydratation et un abdomen sensible mais souple. Il bénéficie d'une gestion de la glycémie par hydratation conséquente et insuline intraveineuse avec un relais en sous-cutané. Les troubles électrolytiques sont substitués. Un hémoglobine glyquée est mesurée à 11.2%. Le patient bénéficie d'un enseignement et d'un suivi diabétologiques rapprochés durant l'hospitalisation. De multiples adaptations de son traitement d'insuline sont réalisées durant le séjour, et nous introduisons un traitement par Insuline Lantus (56 unités le soir), associée à des corrections fixes et selon schéma d'Insuline rapide, comme traitement pour le domicile. Une recherche d'auto-anticorps pancréatiques pour la caractérisation du type de diabète est en cours et sera pistée par nos collègues de la diabétologie. Le patient présente également une pancytopénie légère transitoire durant l'hospitalisation. Un test VIH retrouve des sérologies négatives. Un avis hématologique est demandé et une origine très probablement réactionnelle est retenue, raison pour laquelle une attitude conservatrice et un simple suivi biologique de la formule sanguine sont indiqués. De plus, une probable composante ethnique pourrait expliquer la leucocytopénie. À noter que le suivi biologique durant l'hospitalisation retrouve une perturbation nouvelle des tests hépatiques le 12.04.2019, raison pour laquelle un US hépatobiliaire est réalisé et montre une légère stéatose hépatique, mais pas de dilatation des voies biliaires. La légère perturbation des tests hépatiques est en voie de correction le 15.04.2019 et nous vous proposons un suivi biologique à distance et d'analyser les sérologies des hépatites virales. Mr. Y peut rentrer à domicile le 15.04.2019 en bon état de santé général. Il sera suivi dans un premier temps par nos collègues de la diabétologie, en attendant qu'il décide où il envisage de poursuivre le suivi à long terme de son diabète. Mr. Y, patient de 84 ans connu pour une fibrillation auriculaire traitée, une artériopathie des membres inférieurs et une hyperplasie bénigne de la prostate, nous est adressé par son médecin traitant à la suite de diarrhées récidivantes et de baisse d'état général. Pour rappel, il a été hospitalisé dans notre service du 04.03 au 07.03.19 pour des diarrhées récidivantes depuis le 23.01.19 d'origine peu claire, suite à 10 jours d'antibiothérapie. Un scanner a été effectué qui met en évidence une diverticulose sans signe de diverticulite. Une recherche de C. difficile revient négative et les diarrhées s'améliorent durant le séjour.Depuis sa sortie, Mr. Y se plaint de récidive de diarrhées ainsi qu'une baisse d'état général avec perte d'environ 2 kilos en 2 mois. Il signale une péjoration depuis le 04.04.19 avec des vertiges à la station debout et des frissons nouveaux sans fièvre, raison pour laquelle il consulte son médecin traitant. À l'entrée, Mr. Y n'a pas de douleurs thoraciques, pas de dyspnée, pas de douleur abdominale. À l'examen physique, on note un patient avec un état général et un état nutritionnel diminués. L'auscultation pulmonaire révèle des crépitants discrets en base droite. On note une lésion cutanée importante au niveau de la partie distale du membre inférieur droit, avec des œdèmes des membres inférieurs des deux côtés. Selon l'évolution de la lésion, nous suspectons une fasciite nécrosante. Un bilan biologique montre une augmentation de la CRP à 194 mg/l. Une radiographie du thorax du 08.04.2019 montre un infiltrat interstitiel aux deux bases, prédominant à droite. Nous proposons à Mr. Y un traitement avec antibiothérapie contre la pneumonie, mais il nous exprime sa volonté de ne pas vouloir recevoir la thérapie ni des investigations supplémentaires. Il souhaite recevoir des soins de confort avec traitement analgésique au besoin. Pour cette raison, nous avons arrêté les thérapies (à l'exception de l'anticoagulant) le 08.04.2019. Au niveau social, Mr. Y vit avec sa femme, dans une maison, sans soins à domicile jusqu'à maintenant. Pas de moyen auxiliaire pour la marche, environ 32 marches à domicile. Mr. Y ne se mobilise plus en dehors du domicile depuis les mois de janvier. Ils ont un fils, qui habite dans la région. Selon le souhait de Mr. Y, il est transféré au service de soins palliatifs de notre hôpital le 12.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, un patient de 84 ans, connu pour une fibrillation auriculaire traitée, une artériopathie des membres inférieurs, une hyperplasie bénigne de la prostate, des diarrhées récidivantes ainsi qu'une diverticulose. Il nous est transféré de la médecine interne le 12.04.2019 en raison de son souhait de mourir et de soins de confort sans investigations. Il a une pneumonie bibasale sous traitement symptomatique selon son souhait et une lésion nécrotique au niveau du membre inférieur droit d'origine probablement mixte (insuffisance veineuse et artériopathie). Mr. Y souhaite des soins de confort et désire mourir le plus rapidement possible. Il est peu collaborant, ne souhaite aucune investigation ni statut clinique et répond aux questions seulement grâce à l'aide de son épouse lors de son entrée. Il a des propos suicidaires, disant que s'il était à la maison, il se tirerait une balle dans le cœur ou sauterait sous une voiture. Actuellement, à l'hôpital, il n'a pas de plan prévu ni de date. Vu ses quelques réponses, il semble désorienté et présente des troubles cognitifs. Sa seule plainte concerne la douleur liée à sa jambe et accepte des antalgies fixes. Ses douleurs s'empirent lors de l'élévation du membre inférieur. Au statut d'entrée, Mr. Y présente un état général et nutritionnel diminué. On note une lésion type ulcère étendu au niveau du membre inférieur droit distal avec des membres œdématiés des deux côtés. Au niveau social, Mr. Y vit avec sa femme, dans une maison avec des escaliers, sans soins à domicile. Il se mobilise avec un rollator. Actuellement, plus de mobilisation en raison d'une faiblesse générale. Ils ont un fils, qui habite dans la région. Nous introduisons dès son entrée une antalgie fixe pour ses douleurs et en réserve, en particulier avant les soins de plaies. De plus, au cours de son hospitalisation, nous notons que Mr. Y a un discours allant dans le sens d'un délire de persécution en plus de troubles cognitifs sous-jacents. Il réagit bien aux réserves de quétiapine. Mr. Y décède le 16.04.2019 aux alentours de 21h. Mr. Y est un patient de 80 ans, connu pour un pneumothorax à droite en cours de bilan exhaustif en chirurgie thoracique à Berne pour une résection du lobe supérieur à droite, qui se présente aux urgences en raison de douleurs thoraciques droites associées à une pré-syncope. La radiographie met en évidence une augmentation du pneumothorax par rapport au comparatif du 07.03.2019. Le drain thoracique est mis en aspiration. La suite est favorable avec une diminution de la taille du pneumothorax. Après discussion avec le Dr. X, il est convenu d'un transfert à Berne pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est donc transféré le 01.04.2019. Mr. Y, 67 ans, connu entre autres pour une cardiopathie rythmique, hypertensive et coronarienne tritronculaire avec s/p triple pontage aorto-coronarien, est hospitalisé pour une décompensation cardiaque gauche. Il a présenté le 24.04.2019 une douleur thoracique oppressive ne cédant pas sous nitrés ainsi qu'une dyspnée nouvelle au repos, dans un contexte de dyspnée en augmentation depuis 3 semaines. Il note également un épisode de frissons, sans état fébrile objectivé. Le bilan initial met en évidence une décompensation cardiaque gauche, raison pour laquelle un traitement diurétique intraveineux est débuté. Il bénéficie d'une coronarographie le 26.04.2019, qui montre une resténose de 80% du pontage saphène-ACD, traitée par une angioplastie au ballon à élution. L'évolution clinique est par la suite favorable, permettant un arrêt des diurétiques intraveineux et une reprise de son traitement habituel de Torasémide 40 mg par jour. Le traitement de Xarelto est remplacé par l'Eliquis 5 mg 2x/j au vu de l'insuffisance rénale, et un traitement par anti-vitamine K nous semblant difficilement réalisable sur le plan pratique chez ce patient. Ce traitement sera à adapter en fonction de l'évolution de celle-ci au cours des prochains mois. Une consultation par les infirmières spécialisées en cardiologie (CINACARD) est refusée par le patient. Mr. Y est informé qu'un suivi de son poids est nécessaire à domicile et de consulter en cas de prise pondérale rapide. Un suivi à la consultation du Prof. X est prévu dans 3 mois. Sur le plan biologique, il présente un syndrome inflammatoire sans état fébrile associé ni foyer infectieux retrouvé. Mr. Y ne décrit pas de symptôme B. L'évolution est spontanément favorable sans traitement. L'origine est possiblement rhumatologique dans le contexte de la polyarthrite rhumatoïde. Il présente également une acutisation de son insuffisance rénale chronique d'origine pré-rénale sur syndrome cardio-rénal et sur produit de contraste. Le suivi régulier de la fonction rénale montre une cinétique à la baisse en fin de séjour. La diurèse est conservée. Nous vous laissons le soin de recontrôler la fonction rénale 1 semaine après sa sortie de l'hôpital. Mr. Y est informé de consulter en cas de diminution de sa diurèse. Concernant le diabète, le traitement de Diamicron est stoppé dans le contexte de l'insuffisance rénale. Nous avons également diminué la posologie de Tresiba de 84 à 50 UI par jour dans le contexte de la mise à jeun en vue de la coronarographie. Par la suite, le profil glycémique s'est avéré correct sous cette posologie et nous l'avons continué tel quel. Mr. Y poursuivra les auto-contrôles glycémiques à domicile et le traitement sera adapté lors du prochain contrôle en diabétologie le 09.05.2019. Mr. Y insiste pour rentrer à domicile, bien que nous l'ayons informé qu'une hospitalisation de 24 à 48h supplémentaires soit indiquée dans le contexte de la décompensation cardiaque avec insuffisance rénale surajoutée. Il est conscient des risques et maintient sa volonté de quitter l'HFR Fribourg. Il quitte donc notre service pour un retour à domicile le 30.04.2019.Mr. Y est un patient de 73 ans connu pour un status post cure d'éventration à deux reprises selon Rives avec, en post-opératoire, le développement d'un sérome surinfecté de la paroi abdominale traité par pansements VAC jusqu'en septembre 2018 avec, par la suite, la persistance d'une déhiscence au niveau de la plaie de laparotomie en sus-ombilical. Actuellement le patient se présente aux urgences pour des douleurs abdominales avec apparition d'une tuméfaction péri-ombilicale gauche. Un CT-scan montre un abcès au sein des muscles abdominaux droits à gauche. Le patient bénéficie alors le 12.04 d'une incision avec drainage au bloc opératoire. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables permettant un retour à domicile le 16.04.2019 avec un rinçage journalier de la plaie par les soins à domicile. Le patient sera revu en consultation de chirurgie le 18.04.2019. Mr. Y est un patient de 40 ans en bonne santé habituelle. Il est transféré le 21.04.2019 dans le service de Médecine Interne depuis les Soins Intensifs pour suite de prise en charge d'un STEMI inférolatéral. Le patient, connu pour un tabagisme actif, est initialement adressé par Estavayer le 19.04.2019 pour un STEMI dans le contexte de douleurs typiques survenues vers 14h. Le laboratoire montre une élévation des enzymes cardiaques. Il profite d'une charge en Aspirine, Efient et Heparin et bénéficie d'une coronarographie en urgence qui montre une occlusion de l'artère circonflexe moyenne, qui est traitée avec mise en place d'un stent actif. Le FEVG est diminuée modérément à 48%. Un traitement par B-bloquant, IEC et statine est débuté. Une double antiagrégation par Aspirine et Efient est à poursuivre durant 12 mois, suivi par une antiagrégation par Aspirine à vie. Une échographie transthoracique de contrôle à 48h montre une akinésie de la paroi latéro-basale et de la paroi inféro-basale avec une FEVG à 50-55 %. Le patient sera revu dans un mois à la consultation du Dr. X. Un bilan des facteurs de risque cardio-vasculaire met en évidence une dyslipidémie avec une hémoglobine glyquée dans la norme. Lors de son séjour, nous encourageons le patient à améliorer son hygiène de vie avec notamment un sevrage tabagique et une adaptation de son régime alimentaire. Concernant le tabac, il n'est pas preneur des différentes aides thérapeutiques proposées. Le patient décrit également un important stress au travail et souhaite entreprendre des modifications quant à cet aspect. Au vu de la bonne évolution clinique, il rentre à domicile le 25.04.2019. Une réhabilitation cardio-vasculaire à Billens en ambulatoire est organisée. Nous laissons le soin au patient de contacter son médecin traitant pour un rendez-vous de contrôle dans les 2 semaines. Mr. Y, 40 ans, est admis aux soins intensifs pour un STEMI inférolatéral. Le patient, connu pour un tabagisme actif, est transféré d'Estavayer pour un STEMI dans le contexte de douleurs typiques survenues vers 14h. Il est chargé en Aspirine 500mg, Efient 60mg et Heparin 5000IE et bénéficie d'une coronarographie en urgence qui montre une occlusion de la circonflexe moyenne, qui est traitée avec mise en place d'un stent actif. Le FEVG est diminuée modérément à 48%. Un traitement par B-bloquant, IEC et statine est débuté et après 24 heures de surveillance le patient est transféré. Une double antiagrégation par Aspirine et Efient est à poursuivre durant 12 mois, suivi par une antiagrégation par Aspirine à vie. Le patient sera revu dans un mois à la consultation du Dr. X. Mr. Y, connu pour de multiples décompensations cardiaques dans un contexte de cardiopathie tri-tronculaire et insuffisance rénale chronique d'origine indéterminée, est hospitalisé suite à une dyspnée d'apparition progressive. Les investigations cliniques, radiologiques et biologiques laissent suspecter une décompensation cardiaque d'origine hypertensive. Un traitement diurétique est mis en place avec réponse favorable. Un ultrason cardiaque est réalisé et montre une insuffisance cardiaque à fonction du ventricule gauche systolique conservée dans le cadre d'une insuffisance diastolique et d'une péjoration de la fonction rénale. Concernant le problème rénal, un ultrason des voies urinaires a été effectué en ambulatoire qui montre une taille normale des reins et ne montre pas de sténose de l'artère rénale ou d'obstacle sur les voies urinaires. Une scintigraphie rénale est effectuée et montre une fonction rénale globale abaissée, plus particulièrement au rein gauche, laissant soupçonner une composante post-rénale. Une consultation urologique sera à convenir à la sortie. Nous suspectons également une composante de néphroangiosclérose sur hypertension chronique. Nous vous laissons le soin d'adapter le traitement antihypertenseur, notamment l'introduction d'un IEC selon la suite des investigations. En effet lors du scanner thoracique d'entrée, nous découvrons fortuitement une masse surrénalienne gauche compatible avec un adénome. Au vu de l'hypertension, nous évoquons un diagnostic différentiel d'hyperaldostéronisme primaire. Ce diagnostic avait déjà été évoqué par le passé avec résultats négatifs. Ces analyses seront à réeffectuer en ambulatoire après discussion avec son néphrologue. Mr. Y rentre à domicile le 27.04.2019. Il consultera la semaine prochaine le Dr. X. Mr. Y, patient de 20 ans, connu pour une maladie de Crohn diagnostiquée en décembre 2018 avec atteinte iléale et atteinte extra-digestive (sacro-iliite) sous traitement d'Infliximab à 10 jours de la dernière injection, qui présente depuis le 19.04 des douleurs abdominales accompagnées de diarrhées profuses. Mr. Y est initialement hospitalisé à Payerne et transféré le 25.04 dans notre établissement au vu de la non-amélioration de la symptomatologie. Un CT-abdominal montre un épaississement circonférentiel de la paroi de l'iléon distal s'étendant sur environ 20 cm avec distension de l'iléon proximal mesurant à 3,2 cm, images compatibles avec une poussée de maladie de Crohn. Un traitement antibiotique par Ciprofloxacine et Metronidazole est introduit pour 10 jours en concomitance à un traitement par Prednisone IV 120 mg/j pendant 5 jours. Mr. Y présente une excellente réponse à ce traitement. Un traitement de Prednisone en dosage dégressif sur 6 semaines est prescrit. Mr. Y peut rejoindre son domicile le 29.04.2019. Un suivi à la consultation de gastro-entérologie et de chirurgie est organisé. Nous recommandons un suivi de la calprotectine et des anticorps anti-Infliximab. Mr. Y, connu pour une hypertension artérielle traitée, est adressé aux urgences par son médecin traitant le 11.04.2019, en raison d'une confusion nouvelle avec ataxie et état fébrile dans les suites de la découverte récente d'une cirrhose alcoolique. Le patient aurait consulté le médecin traitant sur les conseils de sa coiffeuse pour un contrôle ferrique. Le bilan biologique effectué montrant une perturbation des paramètres hépato-pancréatiques, une IRM hépatique est réalisée le 10.04.2019 et met en évidence un remaniement cirrhotique sans calcul ni obstruction des voies biliaires. Anamnestiquement, le patient rapporte une fatigue depuis plusieurs semaines avec inappétence et diarrhées claires. La consommation d'alcool se monte à plus de 10 bières/j (33 cl) depuis 30 ans. Pas de symptôme urinaire. Toux stable, sans péjoration de dyspnée ni douleurs rétrosternales. A noter qu'une anamnèse systématique complète est difficilement réalisable en raison d'un ralentissement cognitif marqué. Au niveau social, un divorce est en cours.A l'admission aux urgences, tension artérielle 84/40 mmHg, température 38,9°C et saturation à 96% à l'air ambiant. Au status digestif, ictère cutané et des sclères avec asterixis. Pas d'hématome cutané visible. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. L'abdomen est tendu, indolore à la palpation, sans défense ni détente. Le foie est palpable à 10 cm du rebord costal. La rate n'est pas palpée. Signe du flow négatif avec absence d'ascite. Le toucher rectal est refusé, les loges rénales sont souples et indolores. Au status neurologique, le patient est orienté aux 3 modes, Glasgow à 15/15. Notons une encéphalopathie hépatique stade 2 et un ralentissement cognitif. Le discours est ralenti mais globalement cohérent. Les pupilles sont isocores et isoréactives, les paires crâniennes sont sans particularité, la force est conservée aux 4 membres. Au niveau respiratoire, le patient est eupnéique. Le murmure vésiculaire est symétrique, sans bruit surajouté. Au status cardiovasculaire, notons une hypotension à 80/40 mmHg, avec réponse partielle au remplissage. B1B2 sont bien frappés, pas de souffle audible, pas d'oedème des membres inférieurs, les extrémités sont bien perfusées. Au vu des examens cliniques et paracliniques, nous retenons le diagnostic d'hépatite alcoolique sévère sur cirrhose Child C avec possible syndrome hépato-rénal et encéphalopathie hépatique. Une substitution par Konakion et albumine ainsi que traitement vitaminique est administrée. Un traitement par Pantozol 40 mg 2x/j iv est prescrit en prophylaxie. Une biopsie hépatique transjugulaire est organisée avec le Dr. X à l'HFR Fribourg le 12.04.2019 afin de confirmer le diagnostic et débuter le traitement de stéroïdes. Mr. Y est transféré aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le 12.04.2019. Un traitement de Noradrénaline est préféré pour l'hypotension et le syndrome hépato-rénal en adjonction d'un traitement d'albumine iv. A noter que dans l'hypothèse d'une composante infectieuse et au vu d'un syndrome inflammatoire, une antibiothérapie par Rocéphine/Flagyl est initiée. Des hémocultures sont en cours. La fille du patient et le patient sont informés de la gravité du diagnostic et de la nécessité d'une abstinence totale définitive d'alcool en cas de survie. Le patient n'est pas considéré comme ayant sa capacité de discernement en raison de l'encéphalopathie hépatique. Le séjour devra donc être suivi d'une hospitalisation en milieu psychiatrique. Mr. Y, 49 ans, est admis aux soins intensifs pour un choc hypovolémique dans le contexte d'une défaillance hépatique aiguë. Le patient est adressé aux urgences de Riaz par son médecin traitant pour une encéphalopathie dans le contexte d'une cirrhose Child C nouvellement diagnostiquée. Il présente une baisse de l'état général avec une inappétence et des diarrhées depuis plusieurs semaines. Un état fébrile est mis en évidence aux urgences. Le bilan confirme une atteinte de la fonction hépato-cellulaire avec une insuffisance rénale aiguë et d'importants troubles électrolytiques. Une IRM planifiée en ambulatoire a permis d'exclure une thrombose porte, des signes d'hypertension portale ainsi qu'une ascite. Le patient, restant hypotendu malgré remplissage, est transféré aux soins intensifs de Fribourg. Il bénéficie d'un soutien aminergique, d'albumine et de remplissage. Une antibiothérapie est initiée afin de couvrir un éventuel foyer respiratoire ou digestif. Une biopsie hépatique est rapidement planifiée afin de bilanter cette hépatite alcoolique nouvellement découverte. Les sérologies à la recherche d'une hépatite virale (HBV, HCV, HIV) reviennent négatives, de même que le bilan auto-immun. Le score de Maddrey étant supérieur à 32, une thérapie par Prednisolone est administrée passagèrement. Compte tenu de la thrombopénie sévère, il bénéficie d'un culot plaquettaire pendant la biopsie. De la vitamine K et de la thiamine sont administrées. L'encéphalopathie est traitée avec du lactulose qui permet des selles régulières. Le patient se péjore toutefois avec l'apparition d'un astérixis et d'une hyperréflexie puis d'une somnolence. Un traitement avec Propofol et Dexdor a été nécessaire transitoirement en raison d'une agitation. L'état confusionnel s'améliore à partir du 19.04.2019. Le patient a pu ensuite être mobilisé à des fins de physiothérapie. Le patient reste très vasoplégique malgré le remplissage et nécessite plusieurs jours d'amines évoquant le diagnostic différentiel de choc septique. Le spectre antibiotique est donc élargi avec Vancomycine et Meropenem au vu d'un Staphylocoque hominis dans un prélèvement des hémocultures (1 bouteille). La défaillance hépatique et l'insuffisance hépatique sont induites par l'alcool selon l'histologie provisoire. Les valeurs hépatiques sont restées stables mais élevées. La pancytopénie a été évaluée dans ce contexte, de même que les valeurs de l'hémolyse. Un ultrason pour l'exclusion d'une cholestase est prévu. L'insuffisance rénale pré-rénale évolue favorablement après remplissage. Il présente une surcharge majeure dans le 3ème secteur suite à la réanimation volémique. Le patient est transféré en médecine pour la suite de prise en charge. Mr. Y présente désaturation à 79% post-opératoire. Nous instaurons une oxygénothérapie, un traitement par Ventolin, Atrovent, Fortecortin et physiothérapie respiratoire. L'évolution clinique est favorable sans complication. Il retourne à domicile le 26.04.2019. Mr. Y, 53 ans, en bonne santé habituelle, se présente aux urgences en raison de dyspnée et douleurs thoraciques antérieures droites respiro-dépendantes suite à un traumatisme thoracique. L'examen clinique est dans la norme. Un CT thoracique met en évidence une contusion pulmonaire avec fine lame de pneumothorax à droite, raison pour laquelle le patient est hospitalisé en chirurgie pour surveillance. Une radiographie du thorax de contrôle le lendemain ne montre pas de pneumothorax. L'évolution étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 20.04.2019. Mr. Y, 73 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance post-opératoire d'une thromboendartériectomie carotidienne interne gauche avec plastie d'élargissement. L'intervention se déroule sans complication. La surveillance post-opératoire est simple, nous introduisons un traitement antihypertenseur par Lisinopril et Métoprolol afin de bien contrôler les profils tensionnels. Une héparinothérapie prophylactique est relayée par de la Clexane. La plaie est sans particularité et l'antalgie est bien contrôlée. Le patient est transféré en chirurgie pour la suite de prise en charge. Mr. Y, connu pour un syndrome des agglutinines froides, a été hospitalisé à l'HFR Fribourg du 19 au 22.03.2019 pour une anémie hémolytique dans le cadre de sa maladie ainsi que pour une pneumonie qui est traitée par co-amoxicilline à poursuivre jusqu'au 24.03.2019. Le patient reconsulté les urgences de l'HFR Riaz le 23.03.2019 en raison d'une dyspnée en position couchée qui l'empêche de dormir. Pas de notion d'état fébrile ni de frisson. Le patient rapporte des crâchats épais, jaune-gris. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système. Le status d'entrée aux urgences est sans particularité. L'ECG montre un rythme irrégulier connu. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire en régression par rapport au 19.03.2019 avec une CRP à 54 mg/l et des leucocytes à 10,3 G/l ainsi qu'une hémoglobine également en amélioration à 88 g/l. La gazométrie montre une PO2 à 10.7 kPa sans rétention de CO2 ou acidose et la radiographie du thorax montre un foyer infectieux dans le lobe médian à droite avec des signes d'atélectasie du lobe médian droit.A noter qu'en raison d'un patient passablement agité et angoissé, nous administrons un Temesta 1 mg. Nous effectuons une radiographie du thorax qui met en évidence une atélectasie au niveau du lobe moyen. Mr. Y est hospitalisé et dans le contexte de l'atélectasie, nous majorons le traitement d'amoxicilline à 1 g 3x/j avec une évolution favorable et le patient bénéficie également de physiothérapie respiratoire. Au vu de la clinique et de la symptomatologie rapportée par le patient, nous dosons des NT-proBNP à 2'397 ng/l. Le patient ne présente pas d'oedème des membres inférieurs ni de râles crépitants. Nous ne retenons pas de décompensation cardiaque compte tenu que le patient présente une importante amélioration de sa dyspnée suite à la physiothérapie respiratoire, cela sans introduction de diurétique (DD : possible décompensation cardiaque transitoire dans le contexte de la pneumonie). Mr. Y peut regagner son domicile le 26.03.2019. Nous recommandons de poursuivre la physiothérapie respiratoire et nous proposons également une radiographie de thorax de contrôle afin de s'assurer de la bonne évolution de l'atélectasie. En cas de persistance, une imagerie sera à discuter afin d'en rechercher l'étiologie. Mr. Y nous adresse le 06.04.19 pour une décompensation cardiaque. En effet, le patient présente une dyspnée progressive depuis environ 1 mois, associée à des oedèmes des membres inférieurs ainsi que des épanchements pleuraux, prédominant à gauche sur la radiographie du thorax. Un traitement de Furosemide intra-veineux est débuté avec bon effet, permettant un relais au Torasémide per os dès le 15.04.2019. La surcharge volémique se normalise avec des oedèmes aux membres inférieurs qui régressent et des râles crépitants minimes aux bases pulmonaires. De plus, l'épanchement pleural régresse cliniquement. Sur le plan rénal, le patient présente une acutisation de son insuffisance rénale lors de son séjour, d'origine non pré-rénale selon le spot urinaire, probablement secondaire à un globe vésical nécessitant une pose de sonde urinaire le 08.04.2019. Un échec de sevrage de la sonde a lieu le 16.04.2019. Dès lors, un essai par clampage est réalisé. Le patient étant sous Tamsulosine depuis le 09.04.2019, l'indication de la sonde vésicale est à réévaluer. Un contrôle par un urologue en ambulatoire sera nécessaire si le sevrage de la sonde n'est pas réalisable. Sur le plan hépatique, nous mettons en évidence de manière fortuite un foie hyperéchogène. Une hémochromatose est exclue. Une origine médicamenteuse est suspectée, motivant l'arrêt de l'Amiodarone. Les paramètres hépatiques seront à recontrôler à distance en ambulatoire. Sur le plan digestif, le patient décrit une inappétence, associée à une perte pondérale de 10 kg sur 4 mois. L'évaluation par les physiothérapeutes de la déglutition est normale et le transit baryté ne montre pas de dysmotilité, ni de compression extrinsèque, hormis un silhouettage au niveau oesophagien de la crosse aortique calcifiée, pouvant expliquer la stagnation des aliments solides. Nous proposons de continuer avec l'alimentation hachée, les suppléments oraux liquides et les boissons riches en calories. Ceci est à réévaluer par les nutritionnistes de la réadaptation gériatrique à Riaz. La situation se complique lorsque le patient chute le 15.04.2019 au lever, probablement sur une hypotension orthostatique, subissant un léger traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie rétrograde. Un CT cérébral exclut un saignement intra-crânien mais révèle une fracture des murs antérieur et latéral du sinus maxillaire droit, associée à une fracture du plancher de l'orbite. Un épisode d'épistaxis s'ensuit, se résolvant avec un traitement local (rinçages et Triofan) sur avis ORL. Le patient ne doit dès lors pas se moucher durant 1 mois. Par ailleurs, un tassement vertébral L1 d'allure nouvelle est à traiter de manière conservatrice. Le patient se déplace à l'aide d'un rolateur et un peu d'aide à la sortie. Sur le plan social, le patient ne peut plus vivre à domicile, ce pourquoi nous parlons avec la famille au sujet d'un placement en EMS versus un retour à domicile de courte durée puis placement en EMS (Cottens). Le patient est transféré en réadaptation gériatrique le 18.04.2019. Le sujet du placement en EMS sera à rediscuter avec l'équipe de Riaz et la famille. Mr. Y, 53 ans, est admis aux soins intensifs pour un choc septique dans le cadre d'un phlegmon de la main droite. Le patient s'est blessé en travaillant avec une machine agricole au niveau de sa main droite. Il est adressé par le Dr. X quelques jours plus tard aux urgences de Riaz dans un état septique avec un syndrome inflammatoire important. Il présente un phlegmon de la main droite s'étendant au niveau du majeur. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est immédiatement introduite. Initialement, le patient arrive aux soins pour un état de choc septique sur fascéïte nécrosante de la main droite. L'état de choc septique s'améliore rapidement après remplissage vasculaire adéquat et un soutien aminergique transitoire jusqu'au 10.04.2019. Devant des signes de surcharge, notamment respiratoire, nous initions un traitement diurétique ponctuel dès le 11.04.2019, nous vous laissons le soin d'adapter le traitement diurétique selon la volémie du patient. Mr. Y est pris en urgence pour une chirurgie de débridement le 08.04.2019, avec une reprise au bloc opératoire le 09.04.2019 pour amputation du 3ème doigt en raison de troubles de la perfusion. Un débridement large avec révision de la face ventrale de l'avant-bras droit est effectué. La plaie sera reprise au bloc opératoire le 13.04.2019 pour un nouveau nettoyage et débridement. La mise en évidence d'un Staphylocoque Aureus dans les hémocultures et dans les prélèvements préopératoires permet de poursuivre l'antibiothérapie initiale par Co-amoxicilline. Mr. Y, 65 ans, a été admis en électif pour une prothèse totale de la hanche gauche, avec une surveillance post-opératoire aux soins intensifs en raison d'un syndrome d'apnées obstructives du sommeil. Le patient est connu pour une coxarthrose bilatérale avec nécrose de la tête fémorale gauche mise sur le compte d'une corticothérapie au long cours dans un contexte d'immunosuppression suite à une greffe rénale. L'intervention susmentionnée a été réalisée en électif le 17.04.2019. Il n'y a pas eu de complications peropératoires immédiates et le patient a été admis aux soins intensifs en raison d'un syndrome d'apnées obstructives du sommeil de degré léger non appareillé. L'antalgie a été assurée par Paracétamol et Buprénorphine en réserve. La mobilisation sera effectuée dès le 18.04.2019 pour 6 semaines avec cannes anglaises, charge partielle de 15 kg, sans flexion de la hanche >70°, ni adduction ou abduction contre résistance, ni mouvements rotatoires. Le SAOS non appareillé n'a pas nécessité de mesure particulière durant la période de surveillance aux soins intensifs. La poursuite d'une physiothérapie respiratoire et mobilisation durant la suite de l'hospitalisation est proposée. Une anémie normocytaire hypochrome a été attribuée à la néphropathie chronique, à des pertes peropératoires de 700 ml, ainsi qu'à une hémodilution post-opératoire. La transfusion d'un concentré érythrocytaire a été effectuée le 18.04.2019 afin de maintenir l'hémoglobine supérieure ou égale à 80 g/l du fait du greffon rénal et des comorbidités. Un suivi de l'hémoglobine et un bilan vitamino-métabolique complémentaire sont recommandés.L'insuffisance rénale chronique dans le contexte de la greffe rénale était stable à l'admission, avec une créatinine plasmatique à 212 micromol/l, correspondant aux valeurs habituelles de la fonction rénale. Une légère hyperkaliémie a été traitée par l'administration de bicarbonate et Résonium. • Le patient a été transféré le 18.04.2019 dans le service d'orthopédie. • Mr. Y, connu pour une démence vasculaire mixte, une suspicion d'hydrocéphalie à pression normale et des troubles du comportement liés à l'utilisation d'alcool, est récemment sorti d'une hospitalisation en médecine interne du 24.02 au 01.03.2019 pour troubles de la marche et de l'équilibre sur une suspicion d'acutisation d'une hydrocéphalie à pression normale. Il est amené aux urgences en ambulance le 23.03.2019 sur appel de son épouse, pour soins impossibles à domicile. L'épouse relate depuis une semaine des troubles de la marche en péjoration avec chutes à répétition et se dit épuisée. Mr. Y est suivi par les soins à domicile et un infirmier en psychiatrie, avec refus, lors de la dernière hospitalisation, d'un placement définitif ni en court séjour. • À l'admission aux urgences, Mr. Y n'a aucune plainte et n'arrive pas à expliquer le motif de la consultation. • Au status neurologique, le patient est orienté sur la personne, désorienté dans l'espace, le temps et la situation. Glasgow à 15/15. Au niveau ostéo-articulaire, douleurs à la palpation de C6, le reste de la colonne est indolore. Le reste du status d'entrée est sans particularité. • En raison des chutes multiples anamnestiques ainsi que des douleurs à la palpation de C6, nous effectuons une radiographie de la colonne cervico-dorsale qui ne montre pas de fracture, un CT scan cervical revient également dans la norme. Les troubles de la marche sont mis sur le compte du syndrome de dépendance à l'alcool avec une probable polyneuropathie périphérique associée et des troubles cognitifs avancés. Nous ne retenons pas le diagnostic d'hydrocéphalie à pression normale au vu de l'absence d'amélioration malgré une ponction lombaire soustractive le 27.02.2019. Nous poursuivons une physiothérapie. Le risque de chute demeure important avec un patient, qui compte tenu des troubles cognitifs, n'intègre pas les informations notamment l'importance d'utiliser le tintébin. Le potentiel d'amélioration est jugé trop faible pour justifier une réadaptation. Dans ce contexte, nous nous montrons inquiets pour un retour à domicile. Un colloque familial est organisé en présence du patient et de son épouse et une décision d'institutionnalisation est prise d'un commun accord. • Le bilan biologique met en évidence une hyponatrémie à 126 mmol/l hypo-osmolaire à 274 mmol/l, sur probable SIADH. Une restriction hydrique est débutée avec bonne réponse et normalisation de la natrémie. • Dès le 02.04.2019, et dans l'attente d'une place en foyer, Mr. Y reste hospitalisé dans notre service bien que la prise en charge spécifique soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Mr. Y se présente aux urgences pour une asthénie marquée, avec anorexie, pyrosis et éructations, en évolution depuis trois jours. Il présente par ailleurs des selles liquides depuis cette même période. Mr. Y se plaint également d'un épisode de malaise survenu à la sortie de son bain, que nous attribuons à un orthostatisme dans le contexte d'une déshydratation. • Nous procédons à une oesogastroduodénoscopie, qui démontre une maladie de reflux avec oesophagite et hernie hiatale. Nous débutons alors un traitement par inhibiteur de la pompe à protons, avec un schéma de 40 mg bid sur 6 semaines, puis à 40 mg id. Mr. Y sera revu le 4 juillet pour une OGD de contrôle. Sur le plan du transit, Mr. Y présente des selles liquides, que nous attribuons à sa dernière prise de chimiothérapie. Nous procédons dès lors à un traitement symptomatique. • L'évolution étant favorable, Mr. Y retourne à domicile sans aide à la date du 27 avril. • Mr. Y est un patient de 78 ans qui est hospitalisé pour surinfection de la nécrose du troisième orteil au membre inférieur droit. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline IV est prescrite dès le 02.04.2019 avec relais par voie orale le 05.04.2019. • Un bilan angiologique est réalisé en cours d'hospitalisation qui montre des pressions artérielles O2 transcutanées à la base des orteils à droite à 48 et 44 mmHg ainsi qu'une bonne perméabilité de l'artère fémorale superficielle et poplitée. • Au vu d'un anti-Xa perturbé en raison de la prise de l'Eliquis avant l'hospitalisation, nous annulons l'intervention. Mr. Y sera reconvoqué pour le 10.04.2019. L'Eliquis est mis en suspens avec un relais par Clexane jusqu'au 09.04.2019. • La poursuite de l'antiagrégant plaquettaire par l'Aspirine et de son Eliquis au long cours est vivement recommandée, de même qu'un bon contrôle de tous ses facteurs de risque cardiovasculaires. • Mr. Y, patient de 58 ans, connu pour un rhumatisme articulaire non traité, est transféré par un HFR pour suite de prise en charge, à la suite d'une décompensation cardiaque sur fibrillation auriculaire rapide non datée. • Pour rappel, le patient se présente aux urgences de Fribourg en raison d'une dyspnée importante au repos et des œdèmes aux membres inférieurs de nouvelle apparition. Un ETO montre une cardiomyopathie dilatée avec fonction contractile effondrée. Le patient n'a pas de plainte spontanée. À l'anamnèse systématique, il rapporte une dyspnée de stade 2, en régression sur les derniers jours. Le reste de l'anamnèse systématique est non-contributive. • Le patient évolue favorablement chez un patient qui devient rapidement asymptomatique après l'adaptation des diurétiques, avec une perte de poids de 3.2 kg en 6 jours. Un ECG de contrôle le 18.04.2018 est sans particularité. Nous conseillons vivement à Mr. Y d'arrêter sa consommation d'alcool étant donné que l'alcool est la raison la plus importante pour sa cardiopathie dilatée. • Dans le cadre de sa consommation d'alcool chronique, nous effectuons un bilan ultrasonographique du foie qui met en évidence une cirrhose hépatique sans lésion focale mais une Alpha-fétoproteine légèrement augmentée à 12.5 mg/ml. Dans ce contexte, nous conseillons vivement à Mr. Y d'arrêter sa consommation d'alcool. Un ultrason hépatique est prévu en 10/2019. Nous vous demandons d'organiser un contrôle de l'Alpha-fétoproteine en 10/2019 ainsi qu'une oesophago-gastroscopie à la recherche des varices oesophagiennes. • En raison d'un manque de Vitamine D3 et de magnésium, nous introduisons une thérapie substitutive. • Une électrophorèse faite le 12.04.2019 montre une gammapathie monoclonale de signification indéterminée. Nous vous demandons d'effectuer une nouvelle électrophorèse des protéines en 10/2019 et de discuter avec les hématologues de l'indication éventuelle pour une ponction de la moelle osseuse. • Mr. Y, patient de 58 ans, connu pour un rhumatisme articulaire non traité, nous est adressé par Dr. X en vue d'une cardioversion chez un patient présentant une décompensation cardiaque sur FA rapide non datée. • Pour rappel, le patient se présente une première fois aux urgences de Meyriez le 08.03 en raison d'épigastralgies. Une FA rapide avait été mise en évidence fortuitement. Un traitement par Metoprolol et IPP est débuté avec un ETT de contrôle ambulatoire. L'examen est avancé en raison d'une dyspnée au repos et de l'apparition d'ascite. L'échocardiographie montre une cardiomyopathie dilatée avec fonction contractile effondrée.Le patient évolue favorablement après la diurèse forcée et la cardioversion électrique. Nous proposons de potentialiser le maintien sinusal par un traitement par Amiodarone durant 10 jours à 600 mg/j puis réduite à 200 mg/j avec contrôle ECG à 1 semaine. Nous optimisons le traitement de l'insuffisance cardiaque en introduisant l'aldactone. Au niveau de la cardiomyopathie dilatée, le bilan biologique est en cours. Nous proposons de compléter le bilan par une IRM cardiaque. La piste la plus probable reste la consommation éthylique chronique (env. 5 bières par jour). Sur le plan digestif, l'ascite abdominale, la perturbation des tests hépatiques, l'anamnèse de consommation OH à risque motive l'US abdominal qui met en évidence un foie d'allure cirrhotique. Nous proposons un bilan complet biologique diagnostique. Le patient est transféré pour la suite de la prise en charge à Meyriez le 12.04.2019. Mr. Y est un patient de 36 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs péri-anales à gauche, en augmentation depuis 2 jours. À l'examen clinique, nous objectivons une tuméfaction de 5 x 2 cm en regard de la région péri-anale à 4h en position gynécologique avec forte douleur à la palpation. Le patient bénéficie le 05.02.2019 d'une incision et drainage de l'abcès périanal, qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples et l'évolution clinico-biologique est favorable, permettant un retour à domicile le 06.04.2019. Il sera revu pour contrôle à la consultation de proctologie le 08.04.2019. Mr. Y est hospitalisé sur baisse de l'état général dans un contexte d'intervention dentaire. En effet, suite à une odynodysphagie, il a consulté un dentiste qui a effectué une extraction dentaire ainsi qu'un traitement antibiothérapeutique. Par la suite, il a dû être réopéré suite à une nécrose. Au vu de la persistance de la douleur, il consulte son médecin-traitant qui suspecte une atteinte fongique post-antibiothérapie. Il constate également une balanite associée. Un traitement de Fluconazole est débuté mais, au vu de l'absence d'amélioration, le patient est transféré au service des urgences. Une pancytopénie nouvelle est également constatée. Le bilan vitaminique revient dans la norme mais le patient a pris durant plusieurs jours de la Novalgine (associée au traitement de fond Methotrexate), pouvant être la cause de celle-ci. Nous introduisons un traitement de Leucovorin et constatons une amélioration des valeurs et de la clinique, motivant un arrêt du Fluconazole le 15.04.2019. Nous demandons un avis au dentiste, montrant une bonne évolution du status local avec ablation des fils. Un suivi chez le Dr. X est à organiser en ambulatoire pour la suite de la prise en charge. Le patient est connu pour des troubles cognitifs post-AVC. Nous effectuons pour ceci une IRM cérébrale montrant des séquelles des AVC connues ainsi qu'une atrophie évoquant une maladie d'Alzheimer. Mr. Y sera convoqué pour une consultation neuropsychologique à distance. Au vu du contexte de la pancytopénie, son traitement de Methotrexate pour la polyarthrite rhumatoïde a été mis en suspens. Après discussion avec sa rhumatologue, celui-ci est à reprendre une fois la normalisation des leucocytes après suivi de la formule sanguine par le médecin-traitant. Mr. Y peut rentrer à domicile le 15.04.2019. Mr. Y, patient de 72 ans, est transféré depuis l'Inselspital de Berne pour un état confusionnel aigu dans le contexte de chute. Pour rappel, le patient présente le 29.03.2019 une chute à domicile de sa hauteur en montant les escaliers. Le bilan radiologique à Berne montre des fractures de côtes avec une hémato-pneumothorax à droite, sans indication opératoire. Dans les suites du séjour aux urgences à l'Inselspital à Berne, le patient développe un état confusionnel aigu hyperactif, avec une absence de capacité de discernement selon les psychiatres, raison pour laquelle il est transféré aux Soins Intensifs de Fribourg puis en médecine pour suite de prise en charge. Du point de vue neurologique, l'évolution de l'état confusionnel est rapidement favorable sous traitement de benzodiazépine en réserve. Concernant les chutes, l'origine est probablement multifactorielle dans le contexte d'hémianopsie, de maladie de Parkinson avec hypotension orthostatique. Un test de Schellong est effectué revenant fortement positif. Dans ce contexte, des bas de contention sont instaurés, ainsi que des conseils d'hygiène de vie afin de diminuer le risque d'hypotension orthostatique. Au vu d'une persistance des symptômes malgré les mesures non pharmacologiques, un traitement de Florinef est introduit, dont la dose est à adapter en fonction de la clinique. Au vu des chutes à répétition, nous laissons le traitement de Lixiana en suspens, ce que nous vous laissons reprendre par la suite. À noter que lors d'un AVC ischémique avec transformation hémorragique en 2018, des sténoses des carotides internes avaient été décrites, n'étant actuellement plus présentes sur l'angio CT d'après nos collègues d'angiologie. Un suivi n'est donc pas nécessaire. Concernant l'hémato-pneumothorax, l'évolution clinico-radiologique est favorable. Il n'y a pas de contrôle nécessaire en cas de bonne évolution clinique. En attente d'une réadaptation gériatrique à l'HFR Meyriez, le patient est reclassé le 05.04.2019. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 63 ans, est admis aux soins intensifs pour une méningo-encéphalite. Le patient est actuellement sous chimiothérapie (5-FU et Avastin depuis janvier 2019) pour un adénocarcinome du colon ascendant. Il présente depuis 24h des céphalées et un ralentissement psychomoteur associé à un état confusionnel hypoactif observé par ses enfants. Il est amené aux urgences où un état fébrile est mis en évidence. Le CT permet d'écarter une métastase, des signes d'une hypertension intra-crânienne ou une hémorragie. La ponction lombaire révèle une protéinorachie légère avec présence de 16 éléments. Une méningo-encéphalite est suspectée. En attendant les résultats des cultures, PCR et de la cytologie du LCR, le traitement empirique d'une méningite infectieuse est débuté. L'état neurologique s'améliore lors du séjour aux soins intensifs. Pour compléter le bilan, nous vous demandons d'organiser une IRM neurocrâne à distance de la ponction lombaire et de doser les marqueurs tumoraux CEA et CA 19-9. Un dernier CT thoraco-abdominal le 27.03.2019 montre une progression métastatique au niveau hépatique et une attitude palliative est raisonnable après discussion avec son oncologue Dr. X. Ni le patient ni la famille ne sont au courant des résultats ni du changement de l'attitude générale. Probablement dans le contexte d'une dernière chimiothérapie du 25.03.2019, le patient développe une pancytopénie durant le séjour aux soins intensifs. Nous vous demandons de continuer un suivi biologique. Mr. Y, 20 ans, se présente le 04.04.2019 aux urgences, envoyé par son médecin traitant en raison de douleurs abdominales. Le bilan effectué aux urgences montre une appendicite perforée. Nous posons donc l'indication à une appendicectomie en urgence. L'opération est effectuée sur la nuit et se passe sans complication. La suite de la prise en charge est marquée par un épisode de globe urinaire à J1 nécessitant une mise en place d'une sonde urinaire avec début de traitement par Tamsulosine. L'alimentation est bien tolérée par le patient. Un sevrage de la sonde urinaire le 08.04.2019 est bien supporté par le patient, permettant une ablation ce jour avec une reprise d'urines spontanées. Par la suite, le symptôme inflammatoire se montre à la baisse sous le traitement antibiotique. Mr. Y retourne à domicile le 10.04.2019. Il continuera son traitement antibiotique jusqu'au 19.04.2019.Mr. Celotti présente un poignet douloureux à 6 mois post ostéosynthèse d'une fracture du radius distal droit. Cette douleur est probablement à mettre dans le contexte d'une lésion du TFCC. Je propose au patient de prendre un 2ème avis auprès du Dr. X pour savoir s'il faut réviser le TFCC en même temps qu'une ablation du matériel d'ostéosynthèse. Je prie le secrétariat du Dr. X d'organiser un rendez-vous auprès du Dr. X le plus rapidement possible. Pas de contrôle prévu d'emblée chez moi, mais le reste à disposition pour tout renseignement complémentaire. Mr. Chammartin est un patient de 62 ans, connu pour des épisodes d'iléus à répétition et un status post 5 laparotomies pour iléus, qui se présente aux urgences le 21.04.2019 en raison de douleurs abdominales en région para-ombilicale gauche depuis 24h accompagnées de nausées et vomissements, ainsi que des épisodes de diarrhée. Un CT abdominal met en évidence un iléus grêle mécanique. Une sonde naso-gastrique est mise en place. L'évolution est par la suite favorable, avec une reprise du transit le 21.04.2019, permettant l'ablation de la sonde naso-gastrique le 22.04.2019. La réalimentation se déroule sans complication. Mr. Chammartin rentre à domicile le 23.04.2019. Mr. Charrière, âgé de 94 ans, connu pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, nous est adressé par le service de médecine le 20.03.2019 pour réadaptation gériatrique suite à une décompensation cardiaque globale et une insuffisance rénale aiguë le 16.03.2019. Au niveau social, le patient est veuf depuis 8 ans et vit seul à domicile au rez-de-chaussée d'une maison sans seuil. Il a deux enfants, sa fille habite au-dessus de chez lui, au premier étage. Elle vient le matin l'aider au démarrage et lui amène le dîner et le souper, il s'occupe lui-même de son déjeuner. Il est actif et marche tous les jours sauf cet hiver en raison du mauvais temps. Il marche habituellement avec une canne. A noter un épuisement familial et dans ce contexte le patient est déjà pré-inscrit dans un EMS. A l'admission dans notre service, Mr. Fragnière est normotendu à 110/63 mmHg, normocarde à 55 battements par minute et sature à 94% à l'air ambiant. Il est apyrétique à 36.2°C. Au status cardiovasculaire, les bruits sont assourdis, réguliers, sans souffle ausculté. Présence d'oedèmes des membres inférieurs prenant le godet et remontant jusqu'aux chevilles bilatéralement. Au niveau respiratoire, patient eupnéique, ne présentant pas de signe de détresse respiratoire. Le murmure vésiculaire est symétrique sans bruit surajouté, notamment sans râles crépitants. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore à la palpation. Les loges rénales sont souples et indolores bilatéralement. L'examen neurologique est dans la norme. Le laboratoire met en évidence une anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 130 g/l, un syndrome inflammatoire avec une CRP à 25 mg/l sans leucocytose, une insuffisance rénale avec créatinine à 158 umol/l et un Cockroft calculé à 26.4 ml/min ainsi qu'une hypokaliémie à 3.3 mmol/l. Le bilan vitaminique met en évidence une hypovitaminose D à 43 nmol/l et un déficit en acide folique à 3.9 ng/ml. La TSH est aux limites supérieures de la norme à 5.130 mU/I. Durant son séjour, Mr. Fragnière effectue une physiothérapie de mobilisation. A la sortie, le périmètre de marche accompagné, avec sa canne personnelle et le bras d'une personne (car il ne veut pas d'autre moyen auxiliaire), est de 70 mètres avec deux pauses assises. L'escalier n'est pas encore testé car le patient ne semble pas prêt. Il est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 90/126 (MIF physio : transferts à 5/7, marche à 4/7, escaliers à 1/7). Le TUG est à 45.4 secondes avec une canne. Au niveau nutritionnel, le patient ne présente pas de malnutrition protéino-énergétique, démontré par un NRS à 2/7. Nous mettons toutefois en place une adaptation des repas et un enrichissement du potage afin de couvrir les besoins. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Notons un échec à la gestion des médicaments car le patient ne voit pas le petit récipient avec la médication. Nous décidons de la mise en place d'un tapis antidérapant bleu pour avoir une meilleure orientation visuelle de l'endroit où se trouvent les médicaments sur la table. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMSE à 22/27 et un test de la montre non évaluable en raison d'une DMLA avec des troubles visuels importants. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 7/15. L'évolution clinique étant favorable, Mr. Fragnière peut regagner son domicile le 28.03.2018 avec activation des soins à domicile. Mr. Chassot présente donc un syndrome du tunnel carpien de la main D avancé. J'explique au patient que très probablement la force en regard de la musculature du thénar qui est complètement atrophiée ne va pas s'améliorer. Par contre, je peux améliorer les dis-sensibilités dans les doigts en ouvrant le tunnel carpien. Le patient est d'accord avec cette attitude. Il signe le consentement éclairé. L'intervention est prévue en ambulatoire le 25.04.2019. Le patient stoppera le Sintrom dès le 18.04.2019 qui sera remplacé par Héparine à poids moléculaire durant 10 jours. Le Sintrom pourra être réintroduit trois jours après l'intervention chirurgicale. Je laisse organiser l'arrêt du Sintrom et le remplacement du Sintrom par Héparine par son médecin traitant. Le patient sera encore vu à la consultation pré-anesthésique chez nos collègues du service d'anesthésie. Mr. Chatagny est un patient de 85 ans, connu pour un antécédent d'AVC cérébelleux sous Aspirine, qui se présente aux urgences en raison d'un globe urinaire sur macro-hématurie. Une sonde vésicale à 3 voies avec rinçages est mise en place le 19.04.2019. L'évolution est favorable par la suite permettant l'ablation de la sonde vésicale le 24.04.2019. Mr. Chatagny peut regagner son domicile en bon état général le 24.04.2019. Il sera revu pour contrôle à la consultation du Dr. X dans 10 jours. Mr. Chenaux, 64 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une décompensation cardiaque globale avec un oedème aigu des poumons sur NSTEMI le 09.04.2019. Le patient se présente aux urgences en raison d'une dyspnée stade III en péjoration depuis le 04.04.2019 accompagnée de douleurs thoraciques de type angor depuis le 06.04.2019. Le patient signale une orthopnée et une dyspnée paroxystique nocturne depuis une semaine avec des oedèmes des membres inférieurs bilatéraux. Le bilan biologique montre une augmentation des enzymes cardiaques. L'échocardiographie transthoracique montre une fraction d'éjection effondrée à 20% associée à une hypokinésie globale sévère et une dysfonction diastolique modérée. La coronarographie montre une maladie coronarienne tri-tronculaire avec une occlusion chronique de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure avec une reprise de cette dernière au segment moyen par des collatérales issues de la coronaire droite et du réseau de la circonflèxe. Une recanalisation de l'IVA calcifiée par voie percutanée échoue. Une IRM cardiaque est indiquée à but d'évaluer la viabilité dans le territoire de l'IVA. L'évaluation de l'ischémie n'est pas demandée après discussion avec Dr. X, vu l'antécédent de l'asthme et la fraction d'éjection effondrée. En cas de viabilité dans le territoire de l'IVA, une intervention chirurgicale est à discuter en première intention. Si le pontage est refusé, une deuxième tentative par voie antérograde ou rétrograde pourrait être planifiée. Le bilan biologique pour une cardiopathie dilatée est dans la norme, hormis l'électrophorèse des protéines qui est encore en cours. Concernant la décompensation cardiaque nous débutons un traitement par diurétique avec une amélioration franche de la dyspnée et avec un bilan négatif. Mr. Y, 64 ans, se présente aux urgences le 09.04.2019 pour une péjoration de dyspnée stade NYHA III accompagné d'un événement de DRS il y a 2 jours irradiant à la mâchoire et au membre supérieur gauche sans autre signe associé. Le patient est alors hospitalisé aux soins intensifs pour une décompensation cardiaque globale avec un œdème aigu des poumons sur probable NSTEMI le 09.04.2019. Après une évolution favorable, il remonte à l'étage de médecine dès le 11.04.2019. Sur le plan cardiaque, le patient a subi une échocardiographie ainsi qu'une coronarographie sans stenting durant son séjour aux soins intensifs, son statut volémique s'est amélioré à l'aide de 10 mg de torasémide. Nous poursuivons à l'étage cette thérapie de diurétiques, le patient évolue adéquatement durant son hospitalisation avec régression des signes cliniques de surcharge hydrique. Par ailleurs, le patient effectue son IRM cardiaque à Berne le 15.04.2019 pour évaluation de la viabilité du myocarde dans le territoire de l'IVA. Celle-ci révèle une cicatrice ischémique importante au niveau apical avec une FEVG estimée à 16%, contre-indiquant une intervention chirurgicale type pontage qui n'aurait que peu de bénéfices. Après discussions avec l'équipe de cardiologie, nous optons pour un traitement conservateur avec mise en place d'une thérapie médicamenteuse complète par Entresto, Aldactone, Plavix et majoration du Metoprolol, en plus de l'aspirine existante. Dans un second temps, le patient bénéficiera en ambulatoire de la pose d'un pacemaker-défibrillateur, il sera convoqué directement par le service de cardiologie. Une analyse à distance des troponines nous indique que le myocarde a souffert durant une courte période, nous confirmant alors bel et bien le diagnostic de NSTEMI. Par ailleurs, le bilan biologique pour une origine non-ischémique de la cardiopathie dilatée est dans la norme. Sur le plan biologique, un bilan lipidique revient dans la norme. En revanche, le LDL à 3.2 mM impose l'initiation d'un traitement par statines en prévention secondaire. Nous observons également une élévation des tests hépatiques isolée. Ceux-ci se normalisent spontanément. Sur le plan social, une demande de réhabilitation cardio-vasculaire à Billens est faite, ceux-ci contacteront le patient en temps voulu. Dans l'intervalle, le patient étant stable cliniquement peut rentrer à domicile dès le 20.04.2019 dans la matinée, tout en modérant ses efforts quotidiens. Mr. Y est amené aux urgences en ambulance le 21.04.2019 suite à un malaise à domicile. Le patient a été retrouvé au sol dans les toilettes par son amie et son père après 20 minutes d'absence. Selon son amie, Mr. Y n'était pas réveillable au début, mais le contexte est peu clair avec un doute sur une perte de connaissance. Pas de perte d'urine ni de morsure de langue, ni de réel argument pour une phase post-critique. Selon l'ambulancier le patient est dysarthrique à la prise en charge mais état non objectivé aux urgences. Selon le patient et son amie, il aurait bu 5 verres de vin cependant alcoolémie sanguine à 2.04. À l'admission aux urgences le patient est asymptomatique et n'a pas de plainte. Mr. Y est orienté et cohérent. Le statut neurologique est dans la norme avec un Glasgow à 15/15, NIHSS à 0. Le reste du statut d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence une alcoolémie à 2,04, sans autre anomalie. Le test de Schellong est négatif et l'ECG est normal. Devant l'anamnèse peu claire avec perte de connaissance possible, le patient est gardé en lit d'observation aux urgences pour la nuit. Le 22.04.2019 au matin, en reprenant l'anamnèse, Mr. Y rapporte prendre du Xanax retard tous les matins. Il se rappelle que la veille, il a chuté sur le côté dans les toilettes, sans traumatisme crânien. Pas de souvenir jusqu'à l'arrivée des ambulanciers. Le statut est sans particularité, le patient se sent bien et ne rapporte pas de douleurs, pas de céphalées ni de vomissements. N'ayant pas d'argument pour une crise d'épilepsie, pour une atteinte cardiaque ou cérébrale, la consommation d'alcool peut être la cause du malaise. Mr. Y peut regagner son domicile le 22.04.2019 avec conseils de diminuer sa consommation d'alcool. Nous lui recommandons également de reconsulter les urgences en cas de récidive d'épisode similaire. Mr. Y est amené aux urgences en ambulance le 29.03.2019 en raison de lombalgies invalidantes non déficitaires localisées au niveau para-lombaire droit, suite à un faux mouvement en ramassant des feuilles. À l'admission aux urgences, le patient est hémodynamiquement stable. Le statut neurologique est dans la norme, sans déficit sensitivomoteur. Le Lasègue est négatif des deux côtés. Au statut ostéo-articulaire, la percussion de la colonne est indolore. Vive douleur à la palpation de la musculature lombaire droite. Le reste de l'examen clinique est sans particularités. Une radiographie de la colonne lombaire ne montre pas d'anomalie. Aux urgences, nous introduisons un traitement antalgique par Voltaren, Prégabaline, Sirdalud et Tramadol. Cependant, au vu de la persistance des douleurs et de l'incapacité du patient à se mobiliser, il est hospitalisé pour gestion de l'antalgie et physiothérapie. La symptomatologie s'améliore nettement sous antalgie, avec une mobilisation aisée et une disparition des douleurs le 30.03.2019. Au vu de cette évolution favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 31.03.2019 avec prescription de physiothérapie de mobilisation, d'une antalgie et d'un traitement anti-inflammatoire et myorelaxant. En cas de persistance de la symptomatologie, nous vous laissons le soin d'évaluer l'indication à une imagerie. Mr. Y nous est adressé pour une réhabilitation cardiovasculaire en stationnaire. Notons qu'un contrôle neurologique est agendé pour le 11.06.2019 au CHUV. Son traitement à l'entrée est composé de : Sintrom selon schéma, Amlodipine 5 mg, Atorvastatine 40 mg, Beloc Zok 50 mg, Lisinopril 5 mg, Nexium 40 mg, Dafalgan 1 g en réserve, Distraneurin 192 mg en réserve, Fresubin energy drink 200 ml 1x/jour, Ondansétron en réserve. Au vu d'une fatigue accentuée en journée, nous avons réalisé une oxymétrie nocturne qui a mis en évidence la présence d'apnées avec désaturations. Temps avec SpO2 entre 80-90% est de 6%. Nous conseillons un suivi ambulatoire pour mieux investiguer une éventuelle SAOS et la nécessité d'une ventilation non invasive pendant la nuit. Sur le plan neurologique, un examen neuropsychologique a été réalisé, mettant en évidence un léger manque du mot, de discrètes difficultés de mémoire antérograde verbale, des difficultés attentionnelles associées à un ralentissement idéomoteur.En regard de l'évaluation neuropsychologique effectuée au CHUV le 11.03.2019, une nette amélioration du fonctionnement cognitif est observée, avec notamment rémission totale de l'héminégligence G. D'un point de vue strictement neuropsychologique, au vu des troubles attentionnels et du ralentissement idéoteur, la conduite automobile est contre-indiquée. Une nouvelle évaluation de cette aptitude est recommandée 3 mois post-AVC. Le 04.04.2019, un Doppler des vaisseaux du cou de contrôle montre une artère carotide commune D avec des parois régulières, perméables, sans image endoluminale. Les artères carotides interne et externe D ne sont pas visualisées en raison d'une bifurcation relativement haute située. Le médecin radiologue a proposé d'effectuer un angio-CT à distance afin de contrôler l'image endoluminale de l'artère carotide interne D et demande au médecin traitant de bien vouloir organiser cet examen. Mr. Y est inclus dans le module remplacement/dissection aortique pour faire des exercices avec la TA sous contrôle, afin d'éviter de dépasser une valeur de 150 mmHg à l'effort. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, Mr. Y est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à une puissance de 35 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+158 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan de la prévention secondaire des facteurs de risque, nous retiendrons : • Le bilan lipidique montre une HDL-émie à 0.88 mmol/L; un cholestérol total à 2.9 mmol/L (valeur cible < 5 mmol/L); un LDL 1.88 mmol/L (< 1.8 mmol/L) et des triglycérides à 0.85 mol/L. A recontrôler dans un délai de +/- 3 mois avec un objectif de LDL-émie < 1.8 mmol/L. • La FC à l'état basal est restée < 90 bpm. Aucune arythmie pathologique n'est mise en évidence. • La pression artérielle est restée < 110-120 mmHg sous la thérapie prescrite. Au vu du contexte anévrismal aortique opéré, la pression artérielle systolique basale cible est de 110 mmHg. Pendant les exercices, nous évitons de dépasser des valeurs TAs > 150 mmHg. Lors de l'épreuve d'effort au tapis/cycloergomètre, la TAs autorisée est de 170 mmHg. Sur le plan biologique, • Hb à 109 g/l • fonction rénale normale avec une créatinine à 67 µmol/l. • INR à 2.8 L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un statut de normo-compensation. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. Mr. Y, patient de 77 ans, connu pour une cardiopathie hypertensive, ischémique (maladie tritronculaire) et valvulaire (insuffisance mitrale grade IV) et une insuffisance rénale terminale dialysée, est hospitalisé le 15.04.2019 pour une décompensation cardiaque sur infection urinaire. Un traitement diurétique est instauré au vu d'une diurèse résiduelle avec effet favorable rapide, en plus de sa dialyse. Nous profitons de l'hospitalisation pour introduire également un traitement d'Entresto après discussion avec les cardiologues et néphrologues. Concernant l'infection urinaire, un traitement empirique par Ceftriaxone en dialyse est introduit. Dans l'intervalle les prélèvements microbiologiques retrouvent uniquement un Candida Albicans non considéré comme pathogène. La poursuite de l'antibiothérapie s'effectuera en dialyse, ainsi que le suivi de l'INR. Mr. Y rentre à domicile le 18.04.2019. Mr. Y, 88 ans, institutionnalisé à la villa Beausite, est hospitalisé en médecine interne pour une décompensation cardiaque globale d'origine mixte. Il est amené en ambulance aux urgences en raison d'une détresse respiratoire aiguë. Le bilan radiologique révèle des signes de surcharge avec un épanchement pleural. Devant le tableau clinique et radiologique de décompensation cardiaque globale, il bénéficie d'un traitement par diurétiques et d'une oxygénothérapie. Le patient est connu pour une fibrillation auriculaire paroxystique et un dysfonctionnement de prothèse aortique dans le contexte d'une dissection aortique de type A en 30.11.2018. Un traitement conservateur a été décidé, en accord avec la famille. Pendant l'hospitalisation, le patient a chuté (non témoigné) sans trauma objectivé à l'examen clinique. Compte tenu des circonstances peu claires de la chute, un CT cérébral est demandé et ne montre pas de saignement intracrânien. Lors de cette chute, il s'est arraché la sonde urinaire, à l'origine d'une légère hématurie macroscopique. Des rinçages urinaires sont effectués et l'évolution dans la suite est favorable. Devant la bonne évolution clinique, le patient retourne à la Villa Beausite le 29.04.2019. Mr. Y, 80 ans, est hospitalisé en Stroke Unit suite à un AVC pontique et cérébelleux droit le 27.03.2019. Le patient qui a bénéficié d'un cathéterisme gauche-droit le 22.03.2019 pour bilan d'une dyspnée, ayant montré une sténose aortique légère et une hypertension artérielle pulmonaire, a présenté le matin du 27.03.2019 très peu de temps après le réveil des troubles de la parole sous forme d'une dysarthrie ainsi qu'une diplopie transitoire, des nausées et des vomissements. L'épouse a remarqué la présence d'une ptose labiale droite de résolution spontanée. L'examen clinique initial retrouve uniquement une dysarthrie sans autres signes cliniques associés. L'angio-CT cérébral n'a pas montré de signe en faveur d'un AVC ischémique ni hémorragique. Une IRM cérébrale cependant confirme la présence d'une lésion ischémique aiguë pontique et cérébelleuse paramédiane droite. En raison de deux épisodes d'absence brève avec perte de contact et mouvements involontaires de la bouche, un électroencéphalogramme est effectué le 27.03 qui met en évidence des microanomalies suspectes dans le territoire temporal. Cependant, n'ayant jamais représenté une telle symptomatologie par la suite, un traitement n'a pas été instauré. Le monitoring de 24 heures fait suspecter un bloc atrio-ventriculaire de type Mobitz II, confirmé lors d'un Holter sur 72 heures. Au vu de l'absence de syncope ces 10 dernières années et des épisodes uniquement nocturnes et de courte durée, il n'y a pas d'indication à la pose d'un Pacemaker en urgence. Cependant, suite à l'avis de la Dresse X, cardiologue, un Reveal est posé le 08.04.2019 à la recherche active d'un BAV de haut degré symptomatique et également à la recherche active d'une fibrillation auriculaire. Dans le contexte du bloc AV, le traitement de beta-bloquant est stoppé et un traitement antihypertenseur par co-Lisinopril débuté. Nous recommandons un suivi régulier de la tension artérielle à votre consultation avec une cible de TA < 130/80 mmHg. Un traitement par Atorvastatine est débuté avec un cible de LDL < 1.8 mmol/L. Concernant l'hypertension artérielle pulmonaire mise en évidence lors du cathéterisme droite-gauche, chez ce patient présentant une dyspnée chronique depuis plusieurs années de mauvaise évolution, nous organisons un suivi à la consultation de la Dresse X, pneumologue. Le 04.04.2019, au réveil, le patient présente nouvellement une ataxie de l'hémicorps gauche et des vertiges de type tangage. Nous répétons une IRM qui confirme la présence d'une nouvelle lésion ischémique aiguë dans le territoire vertébro-basilaire. C'est pourquoi l'étiologie artério-artérielle, devant une athéromatose du tronc basilaire, nous semble plus probable que l'étiologie cardio-embolique. Nous débutons une double antiagrégation par Aspirine cardio 100 mg 1x/j pour 1 mois et du Plavix 75 mg/j qui sera à poursuivre à long terme. En cas de découverte de FA au Reveal, une anticoagulation doit être introduite à la place du traitement antiplaquettaire.Le bilan neuropsychologique se révèle dans les limites de la norme. La conduite est contre-indiquée pendant 2 semaines suivant le second AVC. L'examen neurologique de sortie révèle une persistance d'une discrète dysarthrie. Un contrôle à notre consultation neurovasculaire est prévu à 3 mois. Mr. Y, patient de 62 ans, est admis aux soins intensifs pour l'administration d'une chimiothérapie par 5' Fluorouracil dans un contexte d'adénocarcinome du bas rectum. Pour rappel, le patient est connu pour un adénocarcinome du bas rectum non métastatique diagnostiqué en février 2019 et avec un projet chirurgical curatif. Depuis fin mars 2019, il est traité par radio-chimiothérapie néo-adjuvante avec Xeloda (Capécitabine). Le 30.03.2019, il présente des douleurs thoraciques typiques. Dans le bilan, une coronarographie montre des artères coronaires athéromateuses sans lésion significative avec une fraction d'éjection du ventricule à 60 %. Dans ce contexte, un possible vasospasme coronarien sur Xeloda est retenu. La chimiothérapie est adaptée avec arrêt du Xeloda et début d'une pompe de 5' Fluorouracil le 04.04.2019. À 24 h de l'initiation de la chimiothérapie par 5' FU, le patient présente une récidive de douleurs thoraciques avec réponse favorable à l'administration de dérivés nitrés. En accord avec l'équipe d'oncologie (Dr. X), la chimiothérapie est momentanément stoppée à l'étage de médecine interne et le patient est transféré le 08.04.2019 aux soins intensifs pour poursuite de la pompe de 5' Fluorouracil sous surveillance rythmique et hémodynamique. Durant le séjour aux soins intensifs, l'administration du 5' Fluorouracil est marquée par la survenue d'épisodes itératifs de douleurs thoraciques angineuses avec modification électrocardiographique. Les enzymes cardiaques restent dans la norme. L'origine retenue est un possible vasospasme coronarien sur la chimiothérapie. L'évolution est favorable par l'administration transitoire de dérivés nitrés en iv continu. La surveillance clinique et biologique est marquée par la suite par la survenue d'une neutropénie. Le patient est retransféré à l'étage de médecine interne le 11.04.2019 pour suite de prise en charge. Mr. Y, patient de 84 ans, connu pour de nombreux antécédents et comorbidités dont deux AVC hémorragiques, frontal bilatéral en 1995 et frontal droit en 2000 d'origine hypertensive, une cardiopathie hypertensive à FeVG diminuée à 30 %, porteur d'un pacemaker/défibrillateur bicaméral depuis 2014 pour une hypersensibilité du sinus carotidien, pour une hypertension artérielle, un diabète de type 2 insulino-requérant, une fibrillation auriculaire anticoagulé à l'entrée par de l'Eliquis 2,5 2x/j, pour une maladie thrombo-embolique avec plusieurs antécédents de TVP, pour une insuffisance rénale chronique de stade IV d'origine diabétique et hypertensive probable suivie par son médecin traitant et pour une polymyalgia rhumatica traitée par corticothérapie en 2011. Il est transféré en médecine interne dans le contexte de suite de prise en charge d'un AVC ischémique droit. À son entrée, le patient est asymptomatique et le statut neurologique reste inchangé avec sa sortie de Fribourg, à savoir une parésie et hypoesthésie du MSG associés à des troubles proprioceptifs avec une agraphesthésie, astéréognosie, apallesthésie. Une IRM le 26.03.2019 avec collaboration du département de cardiologie pour désactivation du pacemaker est effectuée et montre la présence de lésions ischémiques récentes intéressant le pôle occipital droit ainsi que la partie supérieure de l'hémisphère cérébelleux droit. Lors de son séjour à Meyriez, le patient ne se plaint pas de douleur à la palpation de la tempe, ni de claudiation de la mâchoire. Nous remarquons une diminution du syndrome inflammatoire. Une VS le 28.03.2019 est normale. La cortisone est diminuée de 90 mg/j à 60 mg/j. Les différents bilans sériques reviennent négatifs. Une immunisation de VZV et rougeole est notée. Nous continuons donc avec le traitement immunosuppresseur. Un traitement d'épargne des corticostéroïdes par méthotrexate 10 mg 1x/semaine est débuté le 11.03.2019. Il est stoppé en raison d'une anémie et thrombocytopénie. La fonction rénale s'améliore avec une GFR qui passe de 25 ml/min à 34 ml/min durant son séjour à Meyriez. Des œdèmes des membres supérieurs et des zones déclives ainsi que des crépitants aux bases pulmonaires nous motivent à reprendre un traitement par Torem, stoppé en raison de la fonction rénale. Le poids est surveillé quotidiennement et nous notons une amélioration de la symptomatologie de l'insuffisance cardiaque. Le suivi des glycémies commencé par les diabétologues est stoppé. Un essai de traitement par Depakin est proposé par Dr. X dans le cadre du foyer épileptique, actuellement asymptomatique. Un EEG de contrôle est prévu lors de son hospitalisation en neuroréhabilitation. Le patient peut être transféré en neuroréhabilitation le 29.03.2019. Mr. Y est un patient de 39 ans connu pour une polytoxicomanie sous méthadone qui est amené aux urgences de Fribourg le 01.04.2019 pour un polytraumatisme suite à un accident de la voie publique avec grande vélocité (voiture retournée sur le toit). Le patient est sous OH et présente un GCS 14/15 à l'arrivée aux urgences. Le scanner total body initial montre un hématome sous-dural aigu de 7 mm prenant l'hémiconvexité gauche. Au niveau de la colonne cervicale, il montre une fracture du processus transverse C2 gauche stable. Le patient est intubé aux urgences en raison d'une agitation et transféré à Berne pour la suite de la prise en charge. Le CT cérébral de contrôle montre une régression des lésions. L'état neurologique s'améliore le lendemain permettant une extubation. Le patient est retransféré aux soins intensifs de Fribourg pour la suite de la prise en charge. Pendant le séjour aux soins intensifs, l'état neurologique s'améliore progressivement permettant un transfert à l'étage de chirurgie le 04.04.2019. Une IRM de contrôle effectuée le 08.04.2019 montre des lésions axonales diffuses et confirme les fractures tassement des plateaux supérieurs T3 et T4. Le patient bénéficie d'une évaluation neuropsychologique ainsi que d'un consilium psychiatrique en raison des symptômes de sevrage. En attente d'une neuro-réadaptation à Meyriez, le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. À noter que pendant le séjour aux soins intensifs, le patient présente plusieurs épisodes de bradycardie sévère, un traitement par isoprénaline est débuté et ensuite arrêté en raison d'effets secondaires importants avec céphalées et vomissements. Une échocardiographie est sans particularités et sur avis de nos collègues de cardiologie, nous préconisons de réaliser un holter ECG à 3 semaines de l'épisode aigu. Le patient sera convoqué pour le rendez-vous. Mr. Y est un patient de 75 ans connu pour une tumeur de la tête du pancréas, qui a été hospitalisé dans le service de médecine interne pour une cholangite obstructive sous traitement par Meronem, Metronidazole et Cancidas.Il a été transféré le 19.03.2019 dans notre service de chirurgie en prévision de l'opération prévue le 22.03.2019. La duodéno-pancréatectomie selon Whipple ne pouvant pas être exécutée en raison d'un envahissement de l'artère mésentérique supérieure. À la place, une double dérivation bilio-digestive est confectionnée. L'intervention se déroule sans complication. Le cas est discuté au tumorboard le 27.03.2019 ou nous décidons de compléter le bilan par une endosonographie avec ponction trans-duodénale de la masse. La cytologie ne montre pas de cellules malignes, ni une augmentation de IgG4. Nous convenons avec le Dr. X et le patient d'attendre le résultat du IgG4. Si le IgG4 est augmenté il faudra initier une thérapie par Prednison 60 mg/j et le patient devra être suivi par le Dr. X. Un IgG4 normal dans le sérum est plutôt suggestif pour une maladie tumorale et dans ce contexte nous devons refaire une cytologie par ponction à l'aiguille fine ou une biopsie par laparoscopie. Le patient rentre à domicile le 05.04.2018. Mr. Y, 39 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un hématome sous-dural aigu dans les suites d'un traumatisme crânien suite à un accident de la voie publique. Il est connu pour une polytoxicomanie sous méthadone et amené aux urgences de Fribourg pour un polytraumatisme suite à un accident de la voie publique avec grande vélocité (voiture retournée sur le toit). Le patient était alcoolisé et présente un GCS 14/15 à l'arrivée aux urgences. Le body scan initial montre un hématome sous-dural aigu de 7 mm prenant l'hemiconvexité gauche. Au niveau de la colonne cervicale, il montre une fracture du processus transverse C2 gauche stable. Le patient est intubé aux urgences en raison d'une agitation et transféré à Berne pour la suite de la prise en charge. Le CT cérébral de contrôle montre une régression des lésions. L'état neurologique s'améliore le lendemain permettant une extubation et le retour à Fribourg. À son arrivée, le patient est conscient, orienté dans l'espace mais désorienté dans le temps, il est somnolent, réveillable facilement. Il présente un glasgow à 13 et est agité par moment. Un nouveau CT cérébral est réalisé le 02.04.2019 en raison de céphalées et d'un épisode de vomissement en jet. Il montre une régression de l'hématome sous-dural et l'apparition d'une zone d'hypodensité frontale gauche probablement d'origine post-traumatique. Son examen neurologique s'améliore progressivement avec un discours plus cohérent et une amélioration du glasgow à 15. Concernant les fractures cervicales de C2 à C5, un avis orthopédique est demandé. Un IRM cérébrale-haute thoracique de contrôle est prévu le 04.04.2019. Le patient présente à son arrivée dans le service plusieurs épisodes de bradycardie avec une pause sinusale de 3 à 5 secondes, nécessitant de l'atropine et une perfusion d'isoprénaline pendant 24 heures. Le patient reste bradycarde par la suite, surtout la nuit, asymptomatique. Les anticorps de Lyme sont négatifs. Un holter ECG sera à réaliser dans 3 semaines à distance de cet épisode. Nous interprétons la bradycardie de façon centrale ou comme dysfonction sinusale. Un traitement avec Lisinopril et Adalat est instauré pour un contrôle de TAS, l'Adalat peut être arrêté plus tard. Mr. Y est un patient de 63 ans, connu pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, qui est hospitalisé pour une ischémie aiguë du membre inférieur droit. Mr. Y présente en pré-opératoire un trouble sensitivo-moteur au niveau du pied droit. Il bénéficie le 21.04.2019 d'une thromboembolectomie par Fogarty du jambage et patch d'élargissement du carrefour fémoral droit. Sur le plan chirurgical, les suites opératoires sont simples, avec un membre cliniquement bien perfusé, des signaux doppler présents en distalité, une mobilisation conservée et une motricité récupérée. Les douleurs sont couvertes par une antalgie de pallier III que nous diminuons en cours d'hospitalisation. Sur le plan hématologique, le patient est connu pour une thrombopénie induite par l'héparine, raison pour laquelle de l'Orgaran est commencé en pré-opératoire et ceci jusqu'à ce que le Sintrom soit correctement réglé. Pour rappel, Mr. Y est connu pour une cardiopathie rythmique et valvulaire avec pose de valve aortique mécanique en 2012, raison pour laquelle il est anticoagulé par Sintrom. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 26.04.2019. Mr. Y, en bonne santé habituelle, consulte les urgences le 05.04.2019 en raison de l'apparition, le matin, d'une importante douleur au niveau du flanc droit, type point de côté. Par la suite, il présente une pollakiurie, puis, vers 15h00, il ressent une vive douleur en urinant, avec des vertiges et un épisode de vomissement alimentaire. Pas de dysurie, pas de rapports sexuels à risque. Pas d'antécédent de colique néphrétique. À l'admission aux urgences, le patient est en mauvais état général. Il est marbré, fébrile à 39,8°C et présente des frissons. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au status digestif et urogénital, l'abdomen est souple et indolore. La loge rénale droite est tendue et douloureuse. Au toucher rectal, le patient n'a pas de douleur à la palpation de la prostate qui est de taille normale et de consistance souple. Deux paires d'hémocultures et un urotube sont prélevés. En raison du mauvais état général du patient, des extrémités campées, des marbrures et des frissons, Mr. Y est hospitalisé et nous introduisons une antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobactam 4,5 g 3x/j. Une perfusion par NaCl 2000 ml/24h est également débutée. Nous effectuons un uro-CT scan qui retrouve une discrète dilatation du bassinet avec densification de la graisse péri-urétérale et péri-pyélique, sans calcul décelable, une composante de surinfection surajoutée reste probable. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 145 mg/l et une leucocytose à 15,6 G/l. La fonction rénale est dans la norme. Le 07.04.2019, les hémocultures et l'urotube reviennent positifs pour un E. coli permettant un relais par Rocéphine 2 g iv du 07 au 08.04.2019, puis Ciproxine dès le 08.04.2019 au vu de l'évolution clinique et biologique favorable. Mr. Y peut regagner son domicile le 09.04.2019. Mr. Y est un patient de 75 ans, connu pour une diverticulose sigmoïdienne compliquée d'épisodes de diverticulites à répétition. Il bénéficie d'une sigmoïdectomie laparoscopique avec confection d'une iléostomie de protection le 18.03.2019. En per- et post-opératoire, le patient présente des pics hypertensifs de son HTA. Le traitement est adapté sur conseil du Dr. X, qui déconseille notamment de prescrire des antihypertenseurs type Sartan à cause de l'association connue avec des colites lymphocytaires comme trouvé histologiquement dans le cas de Mr. Y. Par la suite, la fonction rénale se péjore nécessitant une hydratation en intraveineux et une nouvelle adaptation de la médication. Les suites sont favorables avec une amélioration de la fonction rénale, un transit correct par l'iléostomie et une plaie calme permettant un retour à domicile le 29.03.2019. Mr. Y, patient de 53 ans, connu pour une cardiomyopathie dilatée d'origine indéterminée et porteur d'un pacemaker-défibrillateur en prévention primaire est hospitalisé en raison de 7 chocs délivrés par celui-ci, sans aucune symptomatologie préalable. L'interrogation du défibrillateur permet l'identification de 7 chocs délivrés de manière inappropriée, ainsi qu'une fibrillation auriculaire nouvelle. L'appareil est désactivé et le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique en attente du changement de la sonde de défibrillation qui se fait, sans complication, le 15.04.2019.Pour ce qui concerne la fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide, un traitement par Amiodarone est débuté ainsi qu'une anticoagulation thérapeutique par héparine. Durant la surveillance aux soins intensifs, dans l'attente du changement du pacemaker, la fibrillation auriculaire se cardioverse avec retour en rythme sinusal. Sur avis cardiologique, l'amiodarone est poursuivie et l'anticoagulation est relayée par Clexane puis Eliquis. Ces traitements seront réévalués lors du prochain contrôle, prévu dans un mois. Une insuffisance rénale aiguë est mise en évidence et attribuée au bas débit lié à la fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide. Après réhydratation intraveineuse, la fonction rénale se normalise. Les traitements d'Entresto et Aldactones sont mis en suspens en raison de l'insuffisance rénale. Le traitement d'Entresto a pu être repris et nous vous laissons le soin de réintroduire le traitement d'aldactone. Sur le plan abdominal, le patient signale des épigastralgies nouvelles, et l'examen clinique retrouve une douleur à la palpation profonde en épigastre et dans l'hypochondre droit. Le traitement de pantoprazole est majoré à 40mg 2x/j. Un ultrason abdominal met en évidence une hépatomégalie sans dilatation des voies biliaires et des sérologies virales pour HBV et HCV reviennent négatives. Le patient affirme avoir pris conscience d'avoir une consommation excessive d'alcool, notamment en lien avec son état de santé. Le patient aimerait diminuer cette consommation, mais ne désire pas de suivi ambulatoire spécifique, déclarant vouloir essayer lui-même dans un premier temps, puis de voir avec vous en cas d'échec. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 19.04.2019. Mr. Y, patient de 53 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance rythmique dans le contexte de chocs inappropriés sur sonde ventriculaire du défibrillateur abîmé avec fibrillation auriculaire inaugurale secondaire. Le patient, connu pour une cardiomyopathie dilatée d'origine indéterminée et porteur d'un pacemaker-défibrillateur en prévention primaire a ressenti 4 chocs délivrés par celui-ci, sans aucune symptomatologie préalable. L'interrogation du défibrillateur permet l'identification de 7 chocs délivrés de manière inappropriée, ainsi qu'une fibrillation auriculaire nouvelle. L'appareil est désactivé et le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique en attente du changement de la sonde de défibrillation qui se fait, sans complication, le 15.04.2019. Pour ce qui concerne la fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide, qui semble avoir débuté après la série de chocs, un traitement par Amiodarone est débuté ainsi qu'une anticoagulation thérapeutique par héparine. Durant la surveillance aux soins intensifs, dans l'attente du changement du pacemaker, la fibrillation auriculaire se cardioverse avec retour en rythme sinusal. Nous vous proposons de poursuivre le traitement par Amiodarone, ainsi que l'anticoagulation thérapeutique qui sera à switcher par un nouvel anticoagulant oral. La durée de l'anticoagulation est à rediscuter avec les collègues cardiologues. Une insuffisance rénale aiguë avec hyperkaliémie ainsi qu'une cytolyse hépatique sont mises en évidence. Ces perturbations sont attribuées au bas débit lié à la fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide et à l'accumulation des médicaments. Dans ce contexte et également au vu d'un profil tensionnel bas, le traitement par Entresto et Aldactone est mis en suspens. Le traitement beta-bloquant a été également interrompu de manière temporaire et repris ultérieurement à moitié de la dose habituelle. Nous vous laissons le soin de reprendre les traitements cardioprotecteurs de manière prudente, en fonction du profil tensionnel et de l'évolution de la fonction rénale. Le 15.04.2019, le patient est transféré à l'étage de médecine interne pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 23 ans qui bénéficie d'une exérèse d'un myofibrome cervical droit le 12.04.2019. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont favorables, permettant un retour à domicile le 13.04.2019. Mr. Y, patient de 67 ans, connu pour un carcinome hépato-cellulaire diagnostiqué en février 2019, est hospitalisé électivement par Dr. X, oncologue traitant, pour une 2ème tentative de chimio-embolisation. Pour rappel, une première tentative le 01.04.2019 s'est montrée infructueuse, se compliquant par une dissection de l'artère segmentaire irriguant la tumeur hépatique. Un CT abdominal de contrôle en ambulatoire le 05.04.2019, afin d'évaluer la reperméabilisation de l'artère impliquée, revient rassurant. Une nouvelle chimio-embolisation a été planifiée pour le 08.04.2019. Concernant la chimio-embolisation, l'intervention se déroule sans complications immédiates. Un état fébrile à plusieurs reprises jusqu'à 38.8°C est mis en évidence 24h après l'embolisation. Le patient restant complètement asymptomatique, avec aucun foyer à l'examen clinique, une absence d'un syndrome inflammatoire biologique franc, avec une légère augmentation de la CRP sans leucocytose, et des hémocultures négatives à 48h, nous attribuons l'état fébrile à la chimio-embolisation. Après discussion avec Dr. X, on renonce à une antibiothérapie. A l'admission, Mr. Y rapporte une dyspnée d'effort et des œdèmes des membres inférieurs depuis une hospitalisation en février 2019. Devant l'instauration récente d'un traitement diurétique par Torasémide, nous poursuivons le traitement inchangé et nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication, de compléter les investigations d'une insuffisance cardiaque et d'adapter le traitement diurétique dans l'intervalle. Pendant l'hospitalisation, une hypokaliémie est mise en évidence, qui est substituée par voie veineuse et par la suite oralement. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Mr. Y rentre à domicile le 11.04.2019. Mr. Y, patient de 67 ans, connu pour un carcinome hépato-cellulaire diagnostiqué en février 2019, est hospitalisé électivement par Dr. X, oncologue traitant, pour une chimio-embolisation. La tentative de chimio-embolisation planifiée se montre infructueuse, se compliquant par une dissection de l'artère segmentaire irriguant la tumeur hépatique. Le suivi clinique et biologique est stable. Un CT abdominal de contrôle est prévu en ambulatoire le 05.04.2019, afin d'évaluer la reperméabilisation de l'artère impliquée. En cas d'évolution favorable, une nouvelle chimio-embolisation est planifiée le 08.04.2019. A l'admission, le patient rapporte une dyspnée d'effort et des œdèmes des membres inférieurs depuis sa dernière hospitalisation en février 2019. La radiographie thoracique montre une silhouette cardiaque légèrement agrandie, sans signe franc de décompensation cardiaque. Nous introduisons un traitement diurétique par Torasémide, et nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication, de compléter les investigations d'une insuffisance cardiaque et d'adapter le traitement diurétique. Mr. Y rentre à domicile le 02.04.2019. Mr. Y, 79 ans, est hospitalisé aux soins intensifs sur lit monitorisé de Stroke Unit pour prise en charge d'un AVC pontique droit. Il est connu pour une HTA sévère et il présente un trouble de l'équilibre nouveau apparu plusieurs jours avant sa consultation associé à des céphalées légères. Le bilan d'imagerie aux urgences révèle une suspicion d'atteinte de l'artère vertébrale droite sur toute sa longueur avec occlusion du tronc basilaire et PICA non perméable, constituant un AVC pontique droit.Le NIHSS à l'entrée du patient est à 3 et évoluera favorablement à 1 lors de sa sortie. Le bilan réalisé par IRM le 04.04.2019 confirme l'AVC pontique droit avec thrombi au niveau de l'artère cérébrale postérieure droite. Un bilan des facteurs de risques est réalisé avec bilan cholestérol et HbA1C. Un Holter ECG est prévu par la suite. Le traitement par double anti-agrégation est poursuivi par Clopidogrel 75 mg 1x/jour et Aspirine cardio 100 mg 1x/jour. Une échographie thoracique est réalisée le 05.04.2019 et retrouve des troubles de la cinétique segmentaire pour lesquels une coronarographie sera réalisée dans 6 semaines. Mr. Y, 79 ans, est hospitalisé en Stroke Unit pour prise en charge d'un AVC pontique droit. Il présente des troubles de l'équilibre nouveaux apparus plusieurs jours avant sa consultation, associés à des céphalées. L'angio-CT cérébral révèle une occlusion de l'artère vertébrale D et du tronc basilaire avec une lésion hypodense pontique paramédian D. L'IRM cérébral confirme la lésion ischémique aiguë. Au niveau étiologique, l'origine est à priori artério-artérielle. C'est pourquoi une double antiagrégation par Aspirine cardio 100 mg 1x/j et Plavix 75 mg pour 3 mois est débutée, associée à un traitement par Atorvastatine à haut dosage 80 mg 1x/j (cible LDL-chol < 1.8 mmol/L). Une échocardiographie transthoracique révèle une FeVG diminuée à 45% et des troubles de la cinétique segmentaire faisant suspecter une cardiopathie ischémique. Une coronarographie est organisée en ambulatoire à 6 semaines de l'évènement aigu. Un Holter à la recherche active d'un trouble du rythme est en cours d'interprétation. Nous débutons un traitement par Co-Lisinopril pour une hypertension artérielle, non diagnostiquée jusqu'à ce jour (cible TAS < 150 mmHg). Mr. Y présente également à l'entrée une dyspnée depuis environ 2 semaines avant son hospitalisation, sans état fébrile, et un traitement par Co-amoxicilline a été introduit 1 jour avant l'AVC et stoppé à son entrée. Le status respiratoire révèle des sibilances expiratoires et une radiographie thoracique ne révèle pas de foyer. Un traitement par Atrovent et Ventolin et de la physiothérapie respiratoire permet une amélioration de la symptomatologie et du status. Le 10.04.2019, pendant la nuit, Mr. Y présente un pic fébrile à 39°. À savoir que le patient n'avait pas de plainte hormis 2 épisodes de diarrhées liquides et 2 épisodes de vomissements dans la soirée ayant précédé le pic fébrile. Hormis des crépitants bibasaux pulmonaires, le reste du status est sans particularité. L'abdomen est souple et indolore. 2 paires d'hémocultures sont prélevées, une radiographie thoracique se révèle dans la norme, superposable à celle du 08.04.19 et le sédiment urinaire est propre. Le bilan biologique révèle un syndrome inflammatoire avec leucocytose et CRP à 41. Au vu de l'absence de récidive de pic fébrile par la suite et l'absence de signe d'appel pour un foyer infectieux, nous ne débutons pas d' antibiothérapie. Mr. Y est transféré en Frailty Care le 10.04.2019 pour suite de prise en charge et poursuite de la physiothérapie afin qu'il puisse reprendre confiance à la marche avant son retour à domicile. L'examen neurologique de sortie révèle la persistance d'une hémiataxie G. Proposition contrôle • Pister les résultats du Holter de 72 heures • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8) • Suivi de la tension artérielle, cible TAS < 150 • Fonction pulmonaire à organiser en ambulatoire • Pas de conduite pendant 2 semaines • Coronagraphie prévue en ambulatoire à 6 semaines, le patient sera convoqué • Consultation neurovasculaire et neurosonologique de contrôle le 26.07.2019 à 16h00 Mr. Y est un patient de 71 ans, qui est hospitalisé dans un contexte de baisse d'état général associé à un état fébrile et des douleurs abdominales. Il a bénéficié d'une cystectomie partielle le 25.03.2019 par Dr. X pour un cancer vésical. Le patient rapporte depuis un inconfort et une fatigue en progression. Après consultation chez son médecin-traitant où un syndrome inflammatoire est objectivé, il est redirigé aux urgences. Une imagerie abdominale est effectuée mais ne montre pas d'étiologie claire infectieuse. Le patient est mis empiriquement sous Ceftriaxone au vu de la suspicion d'infection urinaire, mais ceci est changé par du Pipéracilline-Tazobactam au vu d'absence d'amélioration clinique et biologique. Par la suite, le patient présente une évolution favorable avec diminution des paramètres inflammatoires et amélioration clinique. Nous retenons une probable origine urinaire post-opératoire. Plusieurs troubles électrolytiques, particulièrement une hyponatrémie, sont présents à l'entrée, associés à une insuffisance rénale. Ceux-ci se corrigent après substitution et hydratation. Une surcharge volémique symptomatique avec des œdèmes des membres inférieurs et légère dyspnée dans le contexte infectieux sont prises en charge par un traitement diurétique. Nous instaurons le traitement diurétique, la poursuite de celui-ci sera rediscutée au prochain contrôle clinique et laboratoire chez le médecin traitant. Une insuffisance rénale est mise en évidence, d'origine probablement mixte. Sous traitement conservateur, avec une hydratation, le patient montre une légère amélioration. L'interprétation des valeurs de la créatinine sera à corréler avec ses valeurs habituelles. Le patient peut rentrer à domicile le 13.04.2019 en bon état général et afébrile. Il consultera son médecin traitant en début de semaine prochaine. Mr. Y présente un status post entorse du genou gauche avec lésion stade II du ligament collatéral interne et une distorsion du ligament croisé antérieur. Il présente également une gonarthrose du compartiment fémoro-tibial interne sur status post méniscectomie interne partielle il y a 10 ans. Je propose un traitement conservateur. Le patient continuera la physiothérapie. Je le reverrai dans 6 semaines pour une réévaluation clinique. En cas de persistance des douleurs, le patient pourrait profiter d'une infiltration par cortisone. Arrêt de travail attesté à 100% pour encore 3 semaines. Prochain rendez-vous le 12.06.2019. Mr. Y présente en premier lieu une lésion du ménisque interne. Pour cette raison, une IRM va être effectuée afin de bilaniser la situation. Je revois Mr. Y le 26.04.19 afin de discuter de la suite du traitement. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Mr. Y est hospitalisé pour le diagnostic susmentionné. Nous effectuons des prélèvements dont les cultures sont en cours. Nous instaurons un traitement par Co-Amoxicilline et de Solumedrol. L'évolution clinique est favorable avec une diminution de la tuméfaction des amygdales et du voile du palais, ainsi qu'un syndrome biologique à la baisse. L'alimentation par voie orale est reprise sans douleur. Au vu de l'évolution clinique favorable, il peut retourner à domicile. Mr. Y consulte les urgences de l'HFR Fribourg le 31.03.2019 en raison d'un état fébrile à 39°C depuis 4 jours, accompagné de vomissements alimentaires et un seul épisode de selles liquides. Notion de douleurs abdominales diffuses, non irradiantes, de type colique par moments, sans plainte urinaire. Le patient rapporte également une notion de broncho-aspiration avec, depuis lors, une légère toux et des expectorations jaunâtres. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 159 mg/l sans leucocytose. Les tests hépato-pancréatiques sont dans la norme. Afin d'exclure un abdomen chirurgical, un CT scan abdominal est effectué et permet d'écarter une appendicite ou une cholécystite. Cependant, 2 foyers de broncho-aspiration sont visualisés aux 2 bases pulmonaires. La radiographie de thorax confirme un foyer basal gauche. Des hémocultures et des antigènes urinaires pour pneumocoques et légionelles sont effectués et le patient mis sous Co-Amoxicilline 2.2 g iv 3x/j et Klacid 500 mg per os. En raison d'un manque de place, il est transféré dans notre service pour la suite de la prise en charge.L'évolution est rapidement favorable. Le Klacid est arrêté le 01.04.2019 au vu d'antigènes urinaires négatifs et l'antibiothérapie est passée per os dès le 04.04.2019, à poursuivre jusqu'au 07.04.2019. Les hémocultures reviennent négatives. Mr. Y peut regagner son domicile le 05.04.2019. Mr. Y, connu pour un HIV sous trithérapie par Genvoya, suivi à l'Inselspital, un asthme chronique et une suspicion de BPCO non stadée, nous est transféré de l'HFR Fribourg, service de médecine, le 28.03.2019, pour suite de la prise en charge et réhabilitation gériatrique suite à une décompensation asthmatique vs exacerbation de BPCO. À noter que des fonctions pulmonaires n'ont pas pu être effectuées durant le séjour, le patient n'arrivant pas à effectuer les tests correctement. Durant le séjour à l'HFR Fribourg, Mr. Y bénéficie d'un traitement par bronchodilatateurs, antibiotiques et Prednisone per os avec une évolution rapidement favorable permettant un sevrage de l'oxygénothérapie. À l'admission dans notre service, le patient est orienté et collaborant et ne rapporte pas de plainte particulière, notamment pas de dyspnée au repos, de toux ni d'expectorations. Les paramètres vitaux sont dans la norme, avec une saturation à 95% à l'air ambiant. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, sans souffle audible. Les pouls périphériques sont bien palpés, pas d'oédème des membres inférieurs. À l'auscultation respiratoire, présence de râles fins bibasaux. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore avec des bruits normaux, les loges rénales sont souples et indolores à la percussion. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de troubles électrolytiques. Le bilan vitaminique met en évidence une anémie normochrome normocytaire avec une hémoglobine à 115 g/l. La vitamine B12 est dans la norme à 777 pg/ml. L'acide folique, à la limite inférieure de la norme 3.9 ng/ml, est substitué. Sur le plan ostéoarticulaire, le patient se plaint de douleurs post-traumatiques de longue date en péjoration ces derniers temps en regard de l'épaule gauche. Sur suspicion clinique d'une rupture de la coiffe des rotateurs, nous effectuons une radiographie de l'épaule gauche qui confirme des signes indirects de rupture de la coiffe des rotateurs, rupture du cintre gléno-huméral, importante réduction de l'espace sous-acromial et remaniement sclérotique de la face inférieure de l'acromion avec réaction ostéophytaire. Sur avis orthopédique, un traitement conservateur par physiothérapie de mobilisation et à but antalgique est débuté. Sur le plan respiratoire, Mr. Y reste stable permettant la reprise de son traitement habituel et Ventolin en réserve. Durant le séjour, il bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. À la sortie, le périmètre de marche est supérieur à 120 m sans moyens auxiliaires, de manière sécuritaire et autonome. Il est capable de gravir 27 marches d'escalier en se tenant par la rampe. La mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 103/126. Le TUG est de 16.20 sec. Des séances de physiothérapie respiratoire sont recommandées en ambulatoire. Le patient bénéficie également d'une évaluation nutritionnelle qui ne met pas en évidence de malnutrition protéino-énergétique. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission en réadaptation gériatrique montrent un MMSE à 23/30 et un test de la montre à 6/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 8/15. Sur le plan social, le patient vit seul à domicile sans aide et dans des conditions précaires. Dans ce contexte, il est d'accord de prendre contact avec une entreprise afin de nettoyer son appartement. Pour rappel également, une demande de curatelle volontaire est en cours. Mr. Y peut regagner son domicile le 05.04.2019 avec passage des soins à domicile 1x/semaine. Mr. Y consulte les urgences le 02.04.2019 en raison d'une toux grasse avec expectorations jaunâtres depuis 1 semaine, en péjoration ce jour avec apparition d'un état fébrile à plus de 39°C. Le patient se plaint également, depuis la veille, d'une douleur latéro-thoracique droite respiro-dépendante maximale aux efforts de toux, soulagée par les AINS, aggravée par le décubitus latéral droit ainsi que d'une sensation de souffle court en péjoration sans nette dyspnée. Notion de contage avec des collègues malades. Pas de voyage récent. Pas de tabac, pas de palpitation. Pas de douleur au niveau des mollets, pas d'opérations récentes, pas de long trajet récent. Pas de perte de poids involontaire récente. À l'admission aux urgences, Mr. Y est en état général conservé. Il est hémodynamiquement stable, afébrile et sature à 90% à l'air ambiant. À l'auscultation pulmonaire, pas de signes de détresse respiratoire. Le murmure vésiculaire est diminué en base droite avec présence de râles crépitants fins ainsi qu'une matité à la percussion. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP à 481 mg/l et leucocytose à 15.5 G/l avec neutrophilie et la radiographie du thorax est compatible avec une pneumonie basale droite. Nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 1.2 g iv et le patient est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Il bénéficie d'une oxygénothérapie du 02 au 03.04.2019. La recherche d'antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque revient négative et l'antibiothérapie est passée per os dès le 04.04.2019, à poursuivre jusqu'au 12.04.2019. L'évolution est favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 05.04.2019. Mr. Y est un patient de 46 ans, connu pour une pancréatite chronique, qui se présente aux urgences en raison de douleurs épigastriques en barre accompagnées de vomissements. À l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité en hypochondre droit avec détente. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire ainsi qu'une augmentation de la Lipase à 158 U/l et le CT abdominal montre une image compatible avec un diagnostic de pancréatite aiguë sur chronique. Le patient est hospitalisé pour antalgie et hydratation. L'évolution se complique par l'apparition d'un ictère avec augmentation du syndrome inflammatoire. Une ERCP effectuée le 26.03.2019 met en évidence une sténose du cholédoque sur une tuméfaction pancréatique, raison pour laquelle un stent est mis en place. Par la suite, l'évolution clinico-biologique est favorable, permettant un retour à domicile le 29.03.2019. Mr. Y sera revu à la consultation des Chefs de clinique pour un contrôle le 25.04.2019. L'ablation du stent cholédocien est à prévoir d'ici 2 à 3 mois. Mr. Y est un patient de 39 ans, connu pour une consommation chronique d'alcool et trois épisodes de pancréatite aiguë sur consommation éthylique, nous est adressé depuis l'hôpital de Riaz pour suite de prise en charge chirurgicale d'une appendicite rétrocaecale mise en évidence au CT réalisé dans le cadre des douleurs abdominales en FID depuis 24h. Le patient bénéficie d'une laparoscopie exploratrice avec appendicectomie laparoscopique le 23.04.2019. Une antibiothérapie est poursuivie pour 48h post-opératoires. L'évolution est par la suite favorable, avec une bonne évolution clinique et biologique. Mr. Y rentre à domicile le 26.04.2019. Un contrôle clinique et biologique est à prévoir la semaine prochaine chez le médecin-traitant.Mr. Y, tabagique actif, connu pour une BPCO stade IV avec exacerbations à répétition sous oxygénothérapie à domicile, est amené aux urgences en ambulance le 08.04.2019 en raison d'une dyspnée et d'une toux en augmentation depuis le matin. Les expectorations sont de couleur habituelle (blanchâtre) mais le patient a de la peine à expectorer. Il rapporte une dyspnée, non améliorée après 4 pushs de Ventolin. A noter le suivi en cours concernant une suspicion de néoplasie pulmonaire de stade cT4 cN2 cM0 stade IIIB TNM. A l'admission aux urgences, Mr. Y est acyanotique, tachypnéique à 30/min, légèrement tachycarde à 103/min, normotendu à 127/67 mmHg et afébrile à 36.5°C. Au status pulmonaire, notons une hypoventilation sur l'ensemble des deux plages avec sibilances légers. Le reste du status est dans la norme. Le bilan biologique met en évidence une créatinine à 150 mcmol/l avec une CRP discrètement augmentée à 15 mg/l, pas de leucocytose. La gazométrie montre une acidose respiratoire avec pH à 7.35, avec une PO2 à 8.6 kPa et une PCO2 à 8.5 kPa sous 4 litres d'oxygène. La culture d'expectorations revient négative. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer franche hormis la néoplasie du lobe inférieur droit. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Au vu de 2/3 critères d'Anthonisen, nous débutons une antibiothérapie par Co-Amoxi 1,2 g iv 3x/24h du 08 au 09.04.2019 avec relais par Co-Amoxi 1 g 2x/j du 09 au 12.04.2019. Une corticothérapie par Prednisone 50 mg 1x/24h est débutée. Le patient bénéficie également d'un traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. L'évolution du point de vue respiratoire est rapidement favorable. La Prednisone est arrêtée après 2 jours et le Symbicort 200/6 est augmenté à 2 inhalations 2x/j. Sur le plan social, le patient vit à domicile avec son épouse et bénéficie des soins à domicile 2x/semaine. Il est sous oxygénothérapie et marche avec un rollator. Nous discutons avec son épouse qui nous rapporte que la situation est très difficile en raison d'angoisses sur l'augmentation de la dyspnée et le contexte oncologique. Au vu de cette situation très lourde, nous proposons l'activation de l'équipe de Voltigo, que le patient et son épouse acceptent. Mr. Y peut regagner son domicile le 13.04.2019. Une infirmière de l'équipe Voltigo contactera le patient pour une première évaluation ainsi que pour l'organisation de la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 77 ans, qui est hospitalisé en électif en vue d'une RTU-V dans le contexte d'une récidive d'un cancer urothélial. Au vu des multiples comorbidités et des risques d'une anesthésie générale, il bénéficie d'une rachianesthésie permettant d'effectuer la cystoscopie sans complication le 01.04.2019. Une tumeur d'aspect papillaire superficielle est réséquée et envoyée pour analyse en pathologie. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. Nous reprenons l'anticoagulation thérapeutique avec de la Clexane et du Sintrom dès le 02.04.2019. Le contrôle INR du 04.04.2019 montre une valeur de 1.8. Le prochain contrôle s'effectuera chez le médecin traitant le 05.04.2019. Mr. Y consulte les urgences le 25.03.2019 en raison de vomissements, diarrhées et douleurs abdominales, accompagnés d'un état fébrile isolé à 38.5 °C le 23.03.2019. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 7.5 G/l et une CRP à 166 mg/l. Le diagnostic de gastroentérite est retenu avec un traitement symptomatique ambulatoire. Le patient reconsult le 27.03.2019 en raison de la persistance de douleurs et nausées avec une récidive d'état fébrile à 38,2°C la veille. A noter une résolution des diarrhées. Pas de notion de méléna ni d'hématochésie. Dernière colonoscopie il y a une année sans particularité. A l'admission aux urgences, Mr. Y est hémodynamiquement stable. Tension artérielle 128/92 mmHg, fréquence cardiaque 102/min, température 38.2°C (avec pic à 39°C), saturation à 97%. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, pas de souffle audible, pas d'oedème des membres inférieurs. Les pouls périphériques sont palpés. Au niveau digestif, l'abdomen est dépressible, diffusément sensible au niveau du bas-ventre, en particulier en fosse iliaque droite. Pas de défense ni de détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Le Murphy est négatif. Les loges rénales sont souples et indolores. Le laboratoire met en évidence la persistance d'un syndrome inflammatoire avec leucocytes à 12,6 G/l, CRP à 90 mg/l ainsi qu'une perturbation des tests hépatiques avec cytolyse et cholestase. Nous effectuons un CT scan abdominal qui montre une iléite terminale avec ganglions réactionnels dont le plus grand mesuré à 10 mm ainsi qu'un calcul dans la vésicule. Pas de perforation, pas de dilatation des voies biliaires. Nous retenons le diagnostic d'iléite terminale non compliquée probablement infectieuse. Une antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl est instaurée. Un relais par Ciprofloxacine est effectué dès le 28.03.2019 pour une durée totale de 6 jours après discussion avec le Dr. X, infectiologue. L'évolution clinique est rapidement favorable. Mr. Y peut regagner son domicile le 02.04.2019. Mr. Y, connu pour un adénocarcinome du caecum, cT3 cN+ cM1 (pulmonaire, hépatique), stade IV en situation de soins de confort depuis le 08.04.2019, suivi par le Dr. X. Il consulte les urgences le 14.04.2019 en raison d'une sensation de ballonnement abdominal avec douleurs au niveau de l'hémithorax et du flanc droit à la respiration profonde ainsi qu'une dyspnée en péjoration depuis la veille. L'infirmière de Voltigo a augmenté la Morphine à 15 gouttes avec amélioration de la douleur. Pour rappel, le patient a été hospitalisé dans notre service de médecine du 04 au 10.04.2019 en raison d'une candidose oro-pharyngo-oesophagienne sur traitement de stéroïdes. Pendant l'hospitalisation, un CT scan abdominal effectué a montré une ascite en augmentation mais alors asymptomatique selon le patient. A noter une prise pondérale de 1,2 kg depuis la sortie. Au status cardiovasculaire aux urgences, présence d'oedèmes des membres inférieurs jusqu'aux chevilles des deux côtés, stables. A l'auscultation pulmonaire, diminution des bruits respiratoires au niveau basal droit avec présence de râles. Au status digestif, l'abdomen est tendu, dur et indolore à la palpation. Les bruits abdominaux sont lointains. Pas de mycose au niveau ORL. Le laboratoire met en évidence une CRP stable à 76 mg/l, sans leucocytose. Le reste du laboratoire est sans particularité. La radiographie du thorax montre un épanchement pleural droit. Nous retenons le diagnostic de décompensation ascitique. Une ponction est effectuée et ramène 3 litres de liquide. Le traitement par Aldactone est majoré à 100 mg 1x/j. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution de l'ascite et majorer le traitement en conséquence. Au vu du contexte général, le traitement de Dexaméthasone est arrêté permettant le sevrage complet de la metformine et de l'insulinothérapie. Nous ne constatons pas de péjoration de la toux pour laquelle le traitement de Dexaméthasone a été instauré. Un traitement symptomatique de la toux est introduit.Mr. Y est transféré à la Villa St-François le 18.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 62 ans, connu pour les antécédents sus-mentionnés, hospitalisé pour une ischémie aiguë du membre inférieur droit. Il bénéficie de l'intervention susmentionnée le 20.04.2019. Les suites opératoires sont simples et sans complication. Sur le plan chirurgical, la plaie est calme, sans écoulement. Sur le plan vasculaire, les pouls périphériques sont audibles en distalité. Vu la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 24.04.2019 avec des soins à domicile. Mr. Y, 27 ans, se présente le 08.04.2019 aux urgences en raison d'un abcès péri-anal qui grandit depuis deux semaines et qui fait de plus en plus de douleurs. Le bilan effectué aux urgences retrouve un abcès de 12 h à 3 h en position gynécologique. Nous posons l'indication à l'incision au bloc opératoire. L'intervention se déroule sans particularité. La suite de la prise en charge reste simple. Le Penrose est retiré le lendemain de l'intervention. L'antibiothérapie par Augmentin, installée en intraveineuse aux urgences, est relayée en per os le lendemain, permettant un retour à domicile le jour même. Le patient continuera le traitement antibiotique durant 6 jours. Un contrôle en proctologie est planifié la semaine prochaine. Mr. Y est enfin soulagé de ses pubalgies D. Par contre, il développe une décompensation d'un syndrome fémoro-patellaire D suite à une contusion survenue le 13.03.2019. À cet effet, je lui prescris à nouveau une nouvelle série de 9 séances de physiothérapie axée sur le renforcement musculaire du quadriceps notamment le vaste médial, le travail d'élargissement de la surface de glissement de la rotule et le travail de la proprioception. Je ne prévois pas de revoir Mr. Y si l'évolution est favorable mais reste à disposition au besoin. Mr. Y, 49 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un NSTEMI. Le patient nous est adressé par son médecin traitant pour des douleurs thoraciques de type angor irradiantes dans le bras gauche ayant débuté à l'effort le 05.04.2019. La veille de l'admission, il a présenté de nouvelles douleurs d'intensité en région rétrosternale avec irradiation dans les deux bras d'une durée de 2 h et résolues après repos. Le patient a consulté le 09.04.2019 son médecin qui met en évidence une augmentation des enzymes cardiaques. La coronarographie du 10.04.2019 montre une maladie coronarienne tritronculaire avec une hypokinésie postérieure. Initialement, une prise en charge chirurgicale est organisée. Après discussion du cas entre les cardiologues, un changement de la prise en charge est décidé avec une intervention endovasculaire. Le patient bénéficie alors d'une nouvelle coronarographie avec la mise en place de deux stents actifs au niveau de la coronaire droite distale et de la circonflexe proximale avec un bon résultat final. L'interventriculaire antérieure et les premières diagonales sont à traiter dans un deuxième temps après 3 semaines. Le traitement vasodilatateur est adapté. Une double anti-agrégation est indiquée pour 12 mois. Un traitement par un inhibiteur d'enzyme de conversion et un bêtabloquant est débuté. Le patient présente une réaction anxieuse réactionnelle importante (peur de perdre son travail, implication sur la qualité de vie et santé) suite à l'annonce du diagnostic cardiaque. Nous organisons un suivi psychiatrique. Mr. Y, 49 ans, est hospitalisé pour un NSTEMI, diagnostiqué suite à des douleurs thoraciques de type angor irradiantes dans le bras gauche ayant débuté à l'effort le 05.04.2019. La coronarographie du 10.04.2019 montre une maladie coronarienne tritronculaire avec une hypokinésie postérieure. Initialement, une prise en charge chirurgicale est organisée mais après discussion, un changement de la prise en charge est décidé avec une intervention endovasculaire. Le patient bénéficie alors d'une nouvelle coronarographie avec la mise en place de deux stents actifs au niveau de la coronaire droite distale et de la circonflexe proximale avec un bon résultat final. L'interventriculaire antérieure et les premières diagonales sont à traiter dans un deuxième temps. Le traitement vasodilatateur est adapté. Une double anti-agrégation est indiquée pour 12 mois. Un traitement par un inhibiteur d'enzyme de conversion et un bêtabloquant est débuté. Vu d'une dyslipidémie, un traitement par statine est introduit. Le patient présente une réaction anxieuse réactionnelle importante (peur de perdre son travail, implication sur la qualité de vie et santé) suite à l'annonce du diagnostic cardiaque. Les psychiatres retiennent un trouble de l'adaptation avec réaction anxieuse. Nous introduisons du Lorazépam pour l'insomnie avec un bon effet. Mr. Y rentre à domicile le 15.04.2019. Il sera convoqué pour une nouvelle coronarographie dans 3 semaines. Mr. Y est admis pour l'intervention susmentionnée. Il reste hospitalisé pour gestion de l'antalgie qui est bien contrôlée par une antalgie de palier II. Nous procédons à l'ablation des Merocel à J1. Vu l'évolution clinique favorable, il peut retourner à domicile le 16.04.2019. Mr. Y est un patient de 93 ans, polymorbide, qui nous est envoyé par son médecin traitant pour une baisse de l'état général. Rappelons que le patient séjournait à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal du 04.03.2019 au 15.03.2019 suite à une chute à domicile. Le bilan mettait en évidence une hémoglobine à 69 g/l nécessitant une transfusion, puis il bénéficia d'une hospitalisation en réhabilitation gériatrique pour gestion de l'antalgie et remobilisation jusqu'au 28.03.2018, avec retour à domicile en accord avec ses souhaits et malgré une situation devenant complexe à domicile. Le patient évoque une évolution initialement favorable, mais l'installation d'une fatigue de plus en plus importante. À l'hétéroanamnèse, le fils évoque que son père ne se mobilisait plus et ne s'alimentait plus sans stimulation externe. Actuellement, Mr. Y se plaint d'une fatigue importante ainsi que de douleurs diffuses de l'épaule droite, de la nuque et des membres inférieurs suite à la chute, motivant son retour dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz dès le 04.04.2019. À l'examen clinique, Mr. Y est hémodynamiquement stable et afébrile. L'examen clinique met en évidence des douleurs suspubiennes associées à des envies mictionnelles. Un bladder-scan visualise 400 ml d'urine dans la vessie. Le laboratoire objective notamment une hémoglobine à 89 g/l ainsi qu'une créatinine à 273 µmol/l dans le contexte d'une insuffisance rénale chronique. Le sédiment urinaire indique une leucocyturie à 21-40/champ alors que le patient est asymptomatique. Sur le plan urinaire, Mr. Y bénéficie de la pose d'une sonde urinaire que nous laissons en place au moment de son transfert en séjour de reclassement, le 10.04.2019. L'ablation sera tentée lors du séjour en reclassement. En raison d'une anémie symptomatique à 89 g/l, une transfusion d'un culot érythrocytaire le 05.04.2019 est effectuée. Les contrôles cliniques et biologiques sont par la suite favorables. Mr. Y présente depuis sa dernière hospitalisation pour chute des plaies multiples aux membres que nous surveillons au cours du séjour. Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À la sortie, son périmètre de marche accompagné et à l'aide d'un rollator est de 100 mètres. Les escaliers ne sont pas testés. Mr. Y a besoin d'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 44/126, soit en péjoration par rapport à l'entrée (53/126). (MIF physio : transferts à 5/7, marches à 5/7, escaliers à 1/7). Le TUG est à 42.26 secondes avec un rollator. Le risque de chute est élevé.Le bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition en lien avec une inappétence et des prothèses dentaires non adaptées, démontrée par des ingestas couvrant 67% de ses besoins énergétiques théoriques. Mr. Y refuse actuellement toute adaptation de son régime ainsi que les suppléments nutritifs oraux. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Au vu d'une situation se péjorant à domicile malgré nos interventions, il est convenu avec Mr. Y et sa famille d'un placement en EMS. Dans l'attente de cette place, et dès le 10.04.2019, Mr. Y reste donc hospitalisé dans notre service bien que sa prise en charge soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire qui contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, Mr. Y sera réadmis dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz à partir du 16.04.2019 (voir lettre du séjour du 16.04.2019 au 18.04.2019). Mr. Y, patient de 93 ans polymorbide, nous est adressé par nos collègues de l'HFR Fribourg pour antalgie et réadaptation à la suite d'un polytraumatisme avec hémorragies musculaires multiples sur chute avec traumatisme crânien sans perte de connaissance, survenue le 04.03.2019 en trébuchant de la première marche d'un escalier en allant raccompagner son infirmière à domicile. A son arrivée à l'HFR Riaz, Mr. Y est en bon état général. A l'anamnèse, il ne décrit aucune douleur. Sur le plan général, le patient rapporte une perte de force progressive de ses 4 membres avec une fatigue chronique depuis la chute. L'appétit et le transit sont respectivement conservé et régulier. Le patient ne décrit aucune plainte sur le plan cardio-respiratoire, digestif ni urinaire. Il est continent sur le plan urinaire et fécal. Pour rappel, sur le plan social, Mr. Y vit seul dans un appartement, et les repas lui sont livrés une fois par semaine. Il se déplace avec un tintébin. Le statut cardiovasculaire est sans particularité. Sur le plan pulmonaire, remarquons un murmure vésiculaire symétrique, sans râle de stase ni sibilance. Au niveau ostéoarticulaire, notons la présence d'un hématome de l'hémiface et du bras gauche ainsi que quelques douleurs légères à la palpation du bras et de la cuisse gauches. Au niveau de l'insuffisance rénale chronique stade IV, nous demandons un avis au Dr. X qui propose un bilan afin de déterminer la présence d'une hyperparathyroïdie secondaire et d'une anémie rénale. Au vu de la protéinémie, nous reprenons le traitement d'IEC néphro-protecteurs par Atacand. Nous introduisons également le Rocaltrol 0.25mg 3x/semaine. Le jour de la sortie, nous effectuons un bilan d'anémie. Les réticulocytes reviennent à 41G/l, l'hémoglobine est à 111g/l, la transferrine à 1.7g/l, une ferritine à 415µg/l et la TSH à 0.186mU/l. Nous vous prions de contrôler l'hémoglobine et réévaluer l'indication à un traitement de substitution de l'EPO à l'avenir en visant une hémoglobine entre 100-110g/l. Le traitement de Sintrom n'est pas réinitié durant le séjour. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués en novembre 2018 en réadaptation gériatrique révélaient un MMSE à 15/30 et un test de la montre à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élevait à 3/15. Durant le séjour, le patient bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. A la sortie, son périmètre de marche à l'aide de son rollator est de 150 mètres. Le patient peut gravir 18 marches avec l'aide des rampes et sous supervision. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 82/126, par rapport à 76/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 53.6 secondes avec le rollator. Le risque de chute est important. Mr. Y bénéficie également d'un bilan nutritionnel qui ne met pas en évidence de déficit nutritionnel. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Au vu de l'évolution favorable sur le plan clinique, bien que très fragile, après discussion avec le patient et sa famille, Mr. Y rentre à domicile le 28.03.2019. Mr. Y est un patient de 57 ans, connu pour un statut post-cholécystite aiguë sur cholécystolithiase en février 2019 traitée par antibiothérapie et drainage des voies biliaires, qui est hospitalisé en électif pour une cholécystectomie laparoscopique avec ablation de drain. Le patient bénéficie de l'intervention susmentionnée le 17.04.2019. L'intervention se déroule sans complication, l'évolution est, par la suite, favorable. Mr. Y rentre à domicile le 20.04.2019. Mr. Y présente une bonne évolution clinique suite à l'excision du tophus en regard du genou D. Il est actuellement gêné par l'apparition de nouveaux tophi en regard du talon G. Je l'adresse pour US du pied G afin de déterminer la nature de cette lésion (cicatrice hypertrophique, tophus). Le patient sera revu le 10.04.2019 afin de discuter de la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 17 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleur en fosse iliaque droite. Le bilan met en évidence une appendicite aiguë, raison pour laquelle le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique en urgence le 19.04.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples. Au vu de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 22.04.2019. Mr. Y est un patient de 72 ans, hospitalisé en médecine interne jusqu'au 29.03.2019 pour investigation d'une sténose pylorique d'origine indéterminée. Pour rappel, le patient avait bénéficié de 4 gastroscopies, dont les biopsies ont montré une métaplasie sans cellules suspectes ainsi qu'une gastrite. Après une tentative de traitement par IPP et anti-inflammatoires ainsi qu'une électro-fulguration sans amélioration sur le plan clinique et radiologique, le patient est transféré dans notre service afin d'évaluer une prise en charge chirurgicale. Une IRM effectuée le 01.04.2019 montre cet épaississement circonférenciel jusqu'à D2 avec prise de contraste et restriction de la diffusion avec, après discussion, plutôt une origine inflammatoire retenue. Une fistule duodéno-vésicale depuis D1 est également mise en évidence et probablement due au traitement local par électro-fulguration du 18.03.2019. Sur le plan nutritionnel, la situation est inchangée avec une prise alimentaire per os impossible et une alimentation entérale par sonde naso-gastrique limitée. Dans ce cadre, une alimentation parentérale est poursuivie. Sur le plan chirurgical, il est décidé d'effectuer une intervention de dérivation gastro-entérale afin de contourner le problème après quelques semaines afin d'obtenir un statut moins inflammatoire. Une IRM est donc organisée le 23.04.2019 suivie par un rendez-vous à la consultation des chefs de clinique de chirurgie afin de planifier cette intervention. Dans ce laps de temps, nous mettons en place une alimentation parentérale à domicile à l'aide d'une PICC-Line. Un suivi ambulatoire sera assuré par les soins à domicile. Concernant la fibrillation auriculaire, une cardioversion est prévue le 08.04.2019. L'anticoagulation devra ensuite être poursuivie pendant 4 semaines jusqu'au Holter de contrôle puis à réévaluer. Mr. Y peut regagner son domicile le 10.04.2019.Mr. Y n'a présenté aucune infection pulmonaire ou exacerbation de BPCO cette année, hormis il y a un mois des symptômes de bronchite sans état fébrile, l'ayant motivé à consulter son médecin traitant qui lui donne un traitement symptomatologique, en nette amélioration actuellement. En temps normal, il ne tousse pas, n'a pas d'expectoration et présente une dyspnée mMRC 1, qu'il juge stable. Le traitement par Seretide et Spiriva est pris de manière régulière. Il ne se plaint d'aucune fatigue ni somnolence diurne. Pas de céphalée, pas de trouble de la mémoire ni de concentration. Pas de douleur thoracique. Mr. Y est un patient de 78 ans, connu pour une hypoventilation alvéolaire sur une BPCO et un syndrome d'obésité/hypoventilation, ainsi qu'un syndrome d'apnée/hypopnée du sommeil, traité par BiPAP depuis septembre 2011. Il est hospitalisé de façon élective pour le contrôle annuel de sa ventilation. En ce qui concerne l'appareillage, l'observance thérapeutique reste sous-optimale depuis des années avec une utilisation moyenne quotidienne à 4 h et 60 % des jours utilisés à > 4 heures. À savoir que Mr. Y a l'habitude de se coucher tard et de se lever tôt (minuit à 4-5h environ, sans réveil nocturne, s'endort en 5 minutes). Il n'a aucune plainte en ce qui concerne l'interface. Les fonctions pulmonaires complètes montrent comme en 2018 un abaissement harmonieux stable des volumes dynamiques sans montrer formellement de trouble ventilatoire obstructif (VEMS à 62 % du prédit) et une légère diminution de la capacité de diffusion à 65 % du prédit. Nous ne retrouvons plus de trouble ventilatoire obstructif depuis 2016, date où le patient a souffert d'une exacerbation de sa BPCO. C'est pourquoi un CT thoracique avait été organisé en 06.2018, qui a montré une petite atélectasie au niveau de la lingula. La polygraphie respiratoire nocturne sous les paramètres ventilatoires décrits plus haut met en évidence un index d'apnées/hypopnées résiduel à 10/h. La capnographie montre une SpO2 moyenne à 94 % et une tcpCO2 moyenne à 5.3 kPa. La gazométrie matinale montre une alcalose respiratoire sur hyperventilation liée à la douleur durant le geste. Propositions: • Introduire un LABA/LAMA (Ultibro 110/50 ug 1-0-0) à la place de Spiriva et Seretide. • Poursuite du traitement par BiPAP selon les paramètres ci-dessus. • Un contrôle annuel est prévu dans 1 an. Mr. Y, 53 ans, est admis aux soins intensifs pour une suspicion d'un NSTEMI. Il est connu pour un emphysème pulmonaire, un nodule pulmonaire à surveiller et une maladie tritronculaire avec un pontage sur la coronaire droite et la première diagonale en 2005. Il a bénéficié de la pose d'un stent sur ce pontage en mars 2019 en raison d'un STEMI. Durant la nuit, il a présenté des douleurs typiques avec irradiation dans les 2 bras et la mâchoire. L'ECG montre un sous-décalage dans les dérivations DI, AVL, V4-V6 avec une augmentation des troponines. L'examen invasif du jour démontre une sténose critique du TC comme corrélat angiographique à l'infarctus NSTEMI et une sténose significative de la première marginale qui sont directement stentées (2xDES), avec bon résultat final. Le pontage AMIG sur la première diagonale est perméable. Par contre, la veine saphène sur la CD est chroniquement occluse. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 50 % avec une dyskinésie postéro-basale. Une double antiagrégation par aspirine et efient est requise, avec un contrôle cardiologique chez le Dr. X dans 1 mois et une ergométrie dans une année. Le traitement antihypertenseur est adapté avec diminution de la posologie de lisinopril et de torem ainsi que l'arrêt de l'aldactone en raison d'une hypotension artérielle et d'une insuffisance rénale. Le patient ne présente plus de douleur et la surveillance rythmique est sans particularité. Devant l'évolution favorable, le patient sort à domicile le 06.04.2019. Mr. Y consulte les urgences le 08.04.2019 au soir en raison d'une anurie accompagnée de douleurs suspubiennes. Le patient vous consulte le matin du 08.04.2019 en raison d'une dysurie. Vous retenez le diagnostic d'infection urinaire et vous introduisez une antibiothérapie par Ciprofloxacine. Dès l'après-midi, apparition d'un état fébrile à 38 °C, de céphalées et d'une anurie, raison pour laquelle il consulte les urgences. Il s'agit du premier épisode de globe vésical et d'infection urinaire. À l'admission aux urgences, le patient est subfébrile à 37,8 °C, sans frisson. L'auscultation cardio-pulmonaire est dans la norme. Au statut digestif, l'abdomen est souple et indolore. Importantes douleurs en région suspubienne, soulagées par la mise en place d'une sonde vésicale. Au toucher rectal, la prostate est agrandie (mais connue selon le patient). Les loges rénales sont souples et indolores. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 235 mg/l et une leucocytose à 17,5 G/l. Le sédiment urinaire montre la présence de 6-10 leucocytes. La radiographie du thorax est sans particularité. En raison du syndrome inflammatoire, nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv et Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. À l'étage, le patient ne présente plus de douleurs hormis au niveau de la sonde vésicale lors des mouvements. En raison de l'absence d'état fébrile et d'un syndrome inflammatoire en amélioration, l'antibiothérapie est passée per os par Ciproxine 500 mg 2x/j dès le 10.04.2019, à poursuivre jusqu'au 22.04.2019. Nous débutons également un traitement par Tamsulosine le 09.04.2019. Le 10.04.2019, une tentative de sevrage de la sonde vésicale se solde par un échec. Dans ce contexte, une sonde vésicale à demeure est mise en place. Un rendez-vous chez le Dr. X, urologue, est agendé pour le 24.04.2019 pour réévaluation. Mr. Y peut regagner son domicile le 13.04.2019 avec la sonde vésicale en place. Mr. Y, connu pour un syndrome de dépendance à l'alcool, hospitalisé depuis le 09.04.2019 au RFSM CSH Marsens pour sevrage, est amené aux urgences en ambulance le 22.04.2019 en raison d'une crise convulsive tonico-clonique. Le patient était en permission à domicile durant la journée. À son retour à l'hôpital de Marsens, il a dit se sentir angoissé, raison pour laquelle il reçoit à 2 reprises 15 mg de Seresta. Peu de temps après, il présente une première crise tonico-clonique de 3 minutes, cédant spontanément, suivie d'une seconde de 2 minutes environ. Le patient reçoit sur place à nouveau du Seresta (50 mg) et les ambulanciers sont appelés. Il y a ensuite une phase post-critique selon les témoins sur place, présence d'une perte d'urine sans morsure de langue. Le patient nous dit qu'il n'a pas perdu connaissance. À l'admission aux urgences, Mr. Y est hémodynamiquement stable. Au statut neurologique, il est orienté et cohérent. Glasgow à 15/15, pupilles isocores et isoréactives, paires crâniennes normales, pas de déficit sensitivomoteur, pas de syndrome pyramidal, réflexes ostéotendineux présents aux 4 membres, réflexes cutanés plantaires indifférents, pas de syndrome cérébelleux; Romberg stable. Les statuts cardio-pulmonaire et digestif sont sans particularité. Le laboratoire montre une légère hypokaliémie que nous substituons. Nous effectuons un CT scan cérébral qui met en évidence une petite hémorragie sous-arachnoïdienne fronto-basale droite avec un hématome sous-galéal pariéto-occipital gauche. Le patient ne rapporte pourtant pas de chute. Mr. Y est gardé en lit d'observation aux urgences pour la nuit. Le 23.04.2019 au matin, le statut neurologique est dans la norme hormis une légère ataxie à la marche connue. Il n'y a pas de tremblements aux membres supérieurs. Le patient était en sevrage dégressif du Seresta et il a augmenté son activité lors d'un congé.Dans ce contexte, nous retenons en premier lieu vu l'imagerie, des convulsions sur l'hémorragie sous-arachnoïdienne ou des convulsions sur sevrage. En absence de perte de contact durant la crise, nous ne retenons pas le diagnostic de crise tonico-clonique généralisée. Vu la lésion cérébrale, un avis neurochirurgical et neurologique est pris. Nos collègues recommandent d'être prudent dans le sevrage des benzodiazépines et de faire un CT cérébral natif avec avis neurochirurgical téléphonique dans 4 semaines à la recherche d'une éventuelle collection. Ils ne recommandent pas d'effectuer un EEG. Mr. Y est réadmis au RFSM CSH Marsens le 23.04.2019. Le traitement de benzodiazépine est repris et doit être repris très progressivement. Mr. Y souffre d'un syndrome du tunnel carpien de la main gauche. L'indication pour une neurolyse du nerf médian est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il me donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire pour le 09.05.2019. Le patient sera vu par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mr. Y nous est transféré le 01.04.2019 depuis le service d'orthopédie de l'HFR Fribourg pour une réhabilitation post décompression foraminale L4-L5 droite pour une claudication de type neurogène réalisée le 22.03.2019. A son entrée, le patient déclare avoir une diminution de la douleur depuis l'intervention avec des douleurs évaluées à 2/10 au repos et à 5-6/10 à la marche. Il n'y a pas d'irradiation dans les membres inférieurs actuellement. A l'anamnèse systématique, le patient n'a plus de douleurs rétrosternales, la dyspnée est stable (NYHA II) avec orthopnée et nycturie. Le transit intestinal est ralenti associé à des ballonnements. Au status, nous retrouvons un patient orienté dans le temps et l'espace en condition physique diminuée. On note la présence d'un reflux hépato-jugulaire et d'oedèmes des membres inférieurs jusqu'aux cuisses. Les bruits abdominaux sont normaux avec une sensibilité diffuse à la palpation sans détente ni défense. Mr. Y vit avec sa femme dans un appartement au 3ème étage sans ascenseur, avec 50 marches d'escalier. Avant l'hospitalisation, il était indépendant du point de vue des AVQ et AVQ instrumentales. Concernant son traitement cardiaque, nous arrêtons le Lasix iv que nous remplaçons par du Torem. Cependant, le patient présente le 06.04.2019 un épisode de douleurs rétrosternales associées à une décompensation cardiaque. Le laboratoire ne met pas en évidence de cinétique des troponines et l'ECG est superposable. Après adaptation du traitement, le patient s'améliore cliniquement et ne présente plus de douleurs rétrosternales. A noter que le Holter du 29.03.2019, dont le résultat nous est parvenu après la sortie du patient, ne met pas en évidence de fibrillation auriculaire ni d'autre trouble du rythme cardiaque significatif. Nous vous proposons donc de discuter avec Mr. Y de l'arrêt du traitement de Cordarone en ambulatoire. La fonction rénale du patient se péjorait dans le contexte du traitement diurétique puis s'améliore après adaptation de celui-ci. Le patient est substitué pour sa carence en vitamine D. L'hémoglobine s'améliore en cours de séjour. Le bilan ne met pas en évidence de carence vitaminique. Mr. Y bénéficie durant son séjour de physio- et ergothérapie intensives. A l'entrée, les transferts sont réalisés de manière indépendante, la marche sous supervision et la montée de 9 marches avec une aide légère à la rampe et une canne. Le périmètre de marche est de > 50 avec une canne. Le risque de chute est légèrement augmenté. A la sortie, le patient réalise les transferts, la marche sans moyen auxiliaire et la montée des escaliers avec rampe (4 x 18 marches) de manière indépendante. Le Tinetti s'améliore de 22 à 23/28. Mr. Y rentre à la maison le 15.04.2019 avec organisation des soins à domicile pour les bas de contention. Mr. Y, patient de 83 ans connu pour insuffisance cardiaque chronique, nous est directement adressé par son médecin traitant en raison d'une anémie réfractaire et d'une décompensation cardiaque avec prise de poids et augmentation des oedèmes aux membres inférieurs. A son arrivée, Mr. Y se trouve en bon état général. A l'anamnèse, ce dernier décrit une sensation de constipation constante, lui donnant, selon lui, une sensation d'oppression thoracique et une péjoration du souffle. Malgré cette sensation, le patient va à selles tous les jours. Ce dernier mentionne également une augmentation de ses oedèmes aux membres inférieurs depuis quelque temps, motivant son hospitalisation pour un suivi. Sinon, Mr. Y n'a aucune plainte, avec un appétit et un transit respectivement conservés et réguliers, chez ce patient continent sur le plan urinaire et fécal. A l'examen physique, l'auscultation cardiaque signale des B1 et B2 lointains, sans souffle audible et des oedèmes jusqu'à mi-cuisses au niveau des membres inférieurs, des deux côtés. L'auscultation pulmonaire signale un murmure vésiculaire bilatéral, avec de fins crépitants en base droite. L'abdomen est souple, sans défense ni détente et aux bruits hydro-aériques dans la norme. Le reste du status n'est pas contributif. Rappelons que Mr. Y vit dans un appartement avec son épouse. Le bilan biologique met en évidence une insuffisance rénale avec clairance de la créatinine à 22ml/min, associée à une hyponatrémie à 123mmol/L, raison pour laquelle nous arrêtons l'Esidrex. Relevons aussi un déficit en vitamine D3 que nous supplémentons par voie orale. Par rapport à l'anémie réfractaire, nous constatons une nouvelle baisse des valeurs de l'hémoglobine. Dans ce contexte, nous effectuons trois hémofécatests, et l'un des trois revient positif. Nous discutons l'organisation d'une colonoscopie, mais vu la difficulté à effectuer une anesthésie globale chez ce patient en raison de sa cardiopathie et après discussion avec ce dernier, il est décidé d'annuler ces investigations. En ce qui concerne le traitement anticoagulant, et après tentative de réintroduction du Sintrom, au vu de valeurs d'hémoglobine basses, nous optons pour l'arrêt et le remplacement du Sintrom par l'Eliquis étant donné son moindre risque de saignement. En outre, vu la présence d'une hypotension orthostatique constatée durant le séjour, nous réalisons un test de Schellong qui revient négatif. Nous transfusons alors le patient par un culot érythrocytaire le 01.04.2019 en raison de l'anémie. Durant le séjour, Mr. Y bénéficie d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 20.03.2019 au 02.04.2019. Des tests de la cognition effectués le 21.03.2019 relèvent un score de 22/30 pour le MMSE et de 2/7 pour le test de la montre. Durant le séjour, le patient bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'une canne est de 130 mètres. Mr. Y monte et descend 18 marches à l'aide d'une canne, de la rampe et de supervision. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 96/126, par rapport à 89/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 5/7, escaliers à 5/7). Mr. Y bénéficie également d'un bilan nutritionnel qui ne montre pas d'anomalie. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Le 02.04.2019 et au vu d'une bonne amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile avec reprise du passage des soins à domicile 1x/semaine pour préparation du semainier et 1x/semaine pour contrôle de santé.Mr. Y, patient de 43 ans, connu pour une hypertension artérielle et une appendicectomie laparoscopique pour appendicite perforée le 26.02.2019 à l'hôpital de Montreux, est adressé par son médecin traitant pour un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée. Le patient rapporte il y a 6 jours (30.03.2019) une rhinite obstructive avec douleurs lancinantes depuis l'oreille droite jusque dans la gorge, avec douleurs dans les sinus maxillaires principalement et frontaux, péjorées lors de position penchée en avant et céphalées frontales bilatérales, constantes et constrictives. Le lendemain il rapporte aussi des frissons solennels avec sensation de froid, soulagés par la prise de dafalgan. Il consulte son médecin traitant il y a 3 jours (02.04.2019) qui le traite symptomatiquement pour une sinusite avec Ibuprofène. Suite à de nouveaux frissons et une prise de température rectale à 39.4°, une formule sanguine chez son médecin traitant montre des paramètres infectieux élevés qui motivent son transfert au service des urgences. Il rapporte également des gênes abdominales persistantes depuis l'intervention, intermittentes, sans réveil nocturne, ainsi qu'une perte urinaire nouvelle, occasionnelle et parfois à l'effort, sans autre symptôme urinaire. Le laboratoire d'entrée montre un syndrome inflammatoire important, un sédiment urinaire ne retrouve pas de leucocyturie mais quelques érythrocytes. L'Urotube ne met pas en évidence de germe. Au vu de l'intervention récente, un CT abdominal est réalisé montrant une possible petite collection ou remaniement cicatriciel (17 x 7 x 11 mm) dans le mésentère, à distance relative du site opératoire n'expliquant pas l'inflammation selon les collègues chirurgiens. Les hémocultures sont négatives lors de la sortie du patient. Au vu du status ORL et la symptomatologie, Mr. Y bénéficie d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline avec rapide amélioration clinico-biologique. Le patient ne présentant plus de pic fébrile et au vu du syndrome inflammatoire à la baisse, l'antibiothérapie est poursuivie pour un total de 10 jours. Mr. Y rapportant de nombreuses otites perforées dans l'enfance et une récidive de sinusites compliquées ces dernières années, avec douleurs de l'hémiface droite et larmoiement oculaire occasionnel, un complément de bilan ORL ou neurologique (DD : Cluster headache, névralgie) ainsi qu'un CT cérébral pourraient être rediscutés en ambulatoire. Sur le plan urinaire, aucune anomalie rénale n'est mise en évidence sur le CT abdominal et le patient consultera le Dr. X en ambulatoire le 09.04.2019. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 06.04.2019. Mr. Y, connu pour un status post-lobectomie inférieure gauche pour un carcinome pulmonaire et traité par chimiothérapie, avec dernière cure le 20.03.2019, consulte les urgences le 02.04.2019 en raison de frissons. A l'anamnèse, le patient rapporte une dyspnée d'effort stable, sans toux ni rhinorrhée, sans odynodysphagie ou otalgie. Douleurs abdominales connues, post-prandiales, en acutisation après la chimiothérapie, sans nausée/vomissement ou diarrhée. Pas de plainte urinaire. Pas de manifestation cutanée. Fatigue importante depuis la dernière chimiothérapie, avec alitement ces derniers 5 jours. Prochain contrôle oncologique prévu ce jour pour bilan hépatique dans le contexte d'une toxicité sur chimiothérapie selon les dires des patients. A l'admission aux urgences, tension artérielle 150/95 mmHg, fréquence cardiaque 130/min, fréquence respiratoire 24/min, température 39,8°C et saturation à 92% à l'air ambiant. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers. Les pouls périphériques sont palpés, pas d'oedème des membres inférieurs. Les mollets sont souples et indolores. A l'auscultation pulmonaire, présence d'un souffle tubulaire au niveau du lobe inférieur gauche ainsi que de légers crépitants expiratoires en base inférieure gauche. Au status digestif, l'abdomen est ballonné. Les bruits intestinaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Douleurs à la palpation de l'hémi-abdomen inférieur et au niveau de l'hypochondre droit, sans défense ni détente. Les loges rénales sont souples et indolores. La marge anale est calme, le toucher rectal n'est pas effectué. Le port-à-cath sous-cutané est calme. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 90 mg/l, sans leucocytose, neutrophiles à 3.83 G/l. On note également une cytolyse avec cholestase anictérique (ASAT 41 U/l, ALAT 108 U/l, Gamma-GT 137 U/l) déjà connue dans le contexte de la chimiothérapie. Le sédiment urinaire est propre et la radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer. Au vu de l'anamnèse et de l'examen clinique, nous suspectons un début de pneumonie du lobe inférieur droit pour laquelle une antibiothérapie par co-amoxicilline 2.2 g i.v. 3x/j est débutée avec une première dose donnée aux urgences. Mr. Y est hospitalisé pour antibiothérapie iv et suivi clinico-biologique. Devant l'absence de foyer pulmonaire à l'auscultation ainsi qu'à la radiographie du thorax et au vu du contexte oncologique avec alitement depuis quelques jours, nous réalisons un CT scan thoracique qui permet d'exclure une embolie pulmonaire et montre une bronchiolite infectieuse. Sous antibiothérapie, l'évolution est rapidement favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 05.04.2019. L'antibiothérapie est à poursuivre jusqu'au 09.04.2019. Mr. Y, patient de 70 ans, est admis aux soins intensifs pour un état de choc cardiogénique d'origine chronotrope avec bradycardie sinusale sur accumulation de bêta-bloquants dans un contexte d'insuffisance rénale aigüe. Le patient est connu pour une cardiopathie rythmique avec fibrillation auriculaire sous bêta-bloquants et anticoagulation par Rivaroxaban ainsi qu'une dysthyroïdie sur Amiodarone, un diabète mellitus non insulino-requérant et une insuffisance rénale chronique. Il consulte son médecin traitant début avril pour une dyspnée motivant une antibiothérapie en ambulatoire qui est adaptée à 3 reprises (Amoxicilline, Co-amoxicilline et Lévofloxacine) avec réalisation aussi d'un CT-scan thoracique. En raison de la persistance de la dyspnée avec asthénie nouvelle au moindre effort, il consulte son médecin traitant qui l'adresse aux urgences au vu d'une bradycardie sinusale sévère à 30 battements par minute. Un état de choc cardiogénique d'origine chronotrope avec bradycardie sinusale sur accumulation de bêta-bloquants est mis en évidence aux urgences. Une échocardiographie transthoracique effectuée aux urgences retrouve initialement une insuffisance mitrale sévère. Après stabilisation de la fréquence cardiaque, l'examen est répété à 24h avec une deuxième échocardiographie transthoracique qui ne retrouve pas de valvulopathie significative. L'insuffisance mitrale sévère visualisée à l'échocardiographie transthoracique effectuée aux urgences est probablement fonctionnelle et expliquée par les paramètres hémodynamiques (bradycardie, élévation des pressions de remplissage VG) à l'entrée aux urgences. Concernant la bradycardie sinusale, celle-ci est mise sur le compte d'une accumulation de bêta-bloquants dans le contexte de la péjoration de la fonction rénale et maladie du sinus. Un soutien hémodynamique transitoire par Isoprénaline est nécessaire durant la surveillance aux soins intensifs. Malgré la récupération de la fonction rénale, le patient oscille entre FA rapide et bradycardie sur les médicaments traitant cette dernière. Pour cette raison, un avis cardiologique concernant la pose d'un pacemaker est pris. Le pacemaker est mis en place le 23.04.2019 sans complication locale. Le contrôle de pacemaker est réalisé le 25.04.2019.Concernant la péjoration de la fonction rénale, plusieurs hypothèses sont avancées: • néphropathie au produit de contraste • néphrite interstitielle sur antibiothérapie en ambulatoire • bas débit cardiaque. Le contrôle de la fonction cardiaque permet une rapide normalisation de la fonction rénale. Une analyse des urines parle en faveur d'une atteinte pré-rénale sans argument pour une néphrite interstitielle. Une acidose métabolique mixte d'origine rénale et lactique sur traitement de Metformine est aussi mise en évidence au laboratoire d'entrée. Le metformine est reprise dès le 24.04.19 avec une posologie adaptée à la fonction rénale. Une pancytopénie est également présente à son arrivée, l'ultrason abdominal à la recherche d'une splénomégalie revient dans la norme. Une origine médicamenteuse est probable sur Cordarone. Nous laissons le soin au médecin traitant d'effectuer des contrôles réguliers de la formule. Un retour à domicile est organisé le 25.04.19. Mr. Y, 70 ans, a été admis aux soins intensifs pour un choc cardiogénique d'origine chronotrope avec bradycardie sinusale sur accumulation de bêta-bloquants dans un contexte d'insuffisance rénale aiguë. Une maladie de l'oreillette était probablement la cause de cette décompensation. Le patient est connu pour une cardiopathie rythmique avec fibrillation auriculaire sous bêta-bloquants et anticoagulation par Rivaroxaban ainsi qu'une dysthyroïdie sur Amiodarone, un diabète sucré non insulino-requérant et une insuffisance rénale chronique. Il a consulté son médecin traitant début avril pour un infiltrat pulmonaire motivant une antibiothérapie en ambulatoire, adaptée à 3 reprises (Amoxicilline, Co-amoxicilline et Lévofloxacine) avec réalisation aussi d'un CT-scan thoracique. En raison de la persistance de la dyspnée avec asthénie nouvelle au moindre effort, le patient a consulté son médecin traitant qui l'adresse aux urgences au vu d'une bradycardie sinusale à 30 battements par minute. Un choc cardiogénique d'origine chronotrope avec bradycardie sinusale a été initialement attribué à l'accumulation du bêta-bloquant dans le contexte d'une insuffisance rénale aiguë. Cependant, une maladie de l'oreillette était probablement la cause primaire de cette décompensation. La fréquence cardiaque a été accélérée par une perfusion continue d'isoprénaline. Malgré la récupération de la fonction rénale, la bradycardie sinusale a récidivé suite à un épisode de fibrillation auriculaire paroxystique rapide traitée par amiodarone, faisant suspecter la maladie de l'oreillette. Après avis cardiologique, l'implantation d'un pacemaker a été réalisée le 23.04.2019 sans complication locale. Le contrôle de pacemaker est prévu pour le 25.04.2019. L'échocardiographie transthoracique effectuée à l'admission avait mis en évidence une insuffisance mitrale sévère qui était probablement fonctionnelle et expliquée par la bradycardie et l'élévation des pressions de remplissage du ventricule gauche. Après stabilisation de la fréquence cardiaque, l'insuffisance mitrale était à nouveau minime. L'insuffisance rénale aiguë a probablement été précipitée par le bas débit cardiaque et favorisée par l'exposition au produit de contraste. Il n'y avait pas d'argument pour une néphrite interstitielle qui aurait pu être induite par l'antibiothérapie prise en ambulatoire. La fonction rénale s'est améliorée suite au soutien hémodynamique. Une acidose métabolique mixte d'origine rénale et lactique a été attribuée à l'accumulation de metformine, qui devra être reprise dès que la fonction rénale le permettra. Une accumulation de rivaroxaban a aussi nécessité son interruption transitoire. L'anticoagulation thérapeutique devra être reprise dès que possible. Une pancytopénie modérée d'origine indéterminée devra être contrôlée au cours des prochains jours. L'échographie abdominale n'a pas identifié d'hépato-splénomégalie. Un bilan complémentaire devra être envisagé selon l'évolution. Le patient a été transféré le 23.04.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y est adressé aux urgences de l'HFR le 20.04 par MedHome pour une suspicion d'infection urinaire basse. En effet, il présente depuis 3 jours une dysurie et pollakiurie ainsi qu'un état subfébrile à 38°C accompagné de myalgies. Un bilan biologique d'entrée met en évidence une infection urinaire basse traitée initialement par antibiothérapie IV. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable permettant un relais antibiotique per os, adapté au germe mis en évidence, et un retour à domicile. Mr. Y est un patient de 75 ans, en bonne santé habituelle, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'un adénome tubulo-villeux caecal non réséquable par voie endoscopique. Il bénéficie le 04.04.2019 d'une résection iléo-caecale par laparoscopie convertie en laparotomie en raison d'une lésion iatrogène de l'intestin grêle. Les suites post-opératoires sont favorables et le patient peut retourner à domicile le 09.04.2019. Mr. Y, cher confrère, J'ai vu en consultation d'orthopédie en date du 09.04.2019 la patiente susnommée. Il s'agit d'une patiente femme au foyer, s'occupant de son fils handicapé. Elle est aussi active dans le parascolaire à raison de 40% d'activité. Elle est porteuse d'une arthroplastie totale de la hanche droite depuis 2008. Douleurs du creux inguinal pouvant irradier dans la fesse et jusqu'au genou du côté controlatéral, soit à gauche. Cette symptomatologie algique est inflammatoire avec des réveils nocturnes toutes les nuits. Elle a des difficultés à la montée et à la descente des escaliers. Elle a également des difficultés d'habillage. Elle a néanmoins un périmètre de marche d'au moins une heure sans les cannes. Elle est demandeuse pour une prise en charge chirurgicale. Cette patiente est en bonne santé habituelle. Elle n'a pas de prise médicamenteuse régulière. Elle ne se connaît pas d'allergie. Elle est non fumeuse. A l'examen clinique, Mme. Y a un Trendelenburg positif à gauche. On ne retrouve pas d'inégalité majeure de longueur au niveau de ses membres inférieurs. Il existe un centimètre en défaveur de la droite. La cicatrice de la hanche droite est calme. A gauche, on a une mobilité estimée à environ 115-0-0 pour les rotations externes sur internes d'environ 40-0-20. Les deux genoux sont calmes. Les téguments sont tout à fait adéquats avec une artère pédieuse et une artère tibiale postérieure bien obtenues. Lors de la consultation, j'ai effectué un bilan radiologique qui montre un implant à droite en place sans signe de déscellement. A gauche, une coxarthrose déjà bien constituée. Il existe une réaction ostéophytaire assez importante avec une disparition de l'interligne au niveau polaire inférieur. Lors de la consultation, j'ai bien discuté avec la patiente. Mme. Y a bien compris qu'on aimerait repousser cette intervention autant que possible. Néanmoins, au vu de ses douleurs, elle est demandeuse pour que cette prise en charge se fasse cet été. Après avoir discuté des risques, essentiellement infection, luxation et troubles neurovasculaires, nous avons réservé la date opératoire du 10.07.2019. Il s'agit d'une patiente candidate à une prise en charge par une chirurgie par voie antérieure mini-invasive. Elle se rendra à votre consultation afin de faire le bilan pré-opératoire avant sa consultation en anesthésiologie. En vous remerciant pour votre confiance, je vous prie d'agréer, Mr. Y, cher confrère, mes salutations les meilleures.Mr. Y est un patient de 76 ans, qui est hospitalisé en électif le 09.04.2019 afin de bénéficier d'une thoracoscopie droite avec résection extra-anatomique du lobe supérieur droit et biopsies ganglionnaires médiastinales pour une suspicion de NSCLC. Les suites post-opératoires sont sans particularité permettant un retour à domicile le 12.04.2019. Les résultats pathologiques seront discutés lors du colloque interdisciplinaire du 17.04.2019. Mr. Y sera revu à la consultation thoracique le 31.05.2019. Mr. Y nous est adressé pour une réhabilitation cardiovasculaire suite à un remplacement valvulaire aortique par TAVI le 27.03.2019. Ayant séjourné à la clinique Beau-Site à Berne, Mr. Y est placé en isolement de contact en attendant les résultats du prélèvement rectal d'entrée (VRE); celui-ci revient négatif le 12.04.2019 et l'isolement est levé. Tout au long de la réhabilitation, le patient est resté asymptomatique sur le plan cardiovasculaire. Aucun signe de décompensation cardiaque n'est relevé, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Le Holter ECG de contrôle du 15.04.2019 est dans la norme, ne montrant pas de pause ou d'arythmie avec une FC dans les limites de la norme. L'IRC s'étant acutisée en post-opératoire, la metformine et l'Aldactone sont stoppés pendant le séjour afin de ne pas péjorer celle-ci, avec un suivi rapproché de la créatinine et un suivi diététique. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, Mr. Y est capable de faire du vélo pendant 20 minutes à une puissance de 20 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 2.3 km/h sur une pente de 3% pendant 30 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 53 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Il a été suivi individuellement par notre diététicienne ainsi que notre ergothérapeute. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Le bilan lipidique du 15.02.2019 montre un cholestérol total à 5.5 mmol/L, un HDL à 1.21 mmol/L, un LDL à 4.04 mmol/L et des triglycérides à 0.97 mmol/L. • La pression artérielle à l'état basal et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour; notons cependant une légère augmentation de la pression artérielle à la fin du séjour suite à l'adaptation de son traitement. Nous vous laissons le soin de contrôler celle-ci en ambulatoire. Sur le plan biologique : • Hb est 99 g/l; • fonction rénale altérée avec une créatinine à 194 µmol/l et une clairance de la créatinine à 28 ml/min selon Cockcroft; • électrolytes dans la norme. L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un statut de normo-compensation; points de ponction inguinaux (calmes et sains). Mr. Y, patient de 85 ans, connu pour une hypertension artérielle traitée et une fibrillation auriculaire sous Sintrom depuis 2010, est hospitalisé en raison d'un choc septique sur prostatite. Le patient avait consulté le service des urgences de l'HFR Riaz en raison d'une algurie puis anurie associée à un état fébrile. Au vu des signes de choc, il est transféré aux soins intensifs de l'HFR Fribourg pour soutien hémodynamique aminergique. Les cultures urinaires reviennent positives pour un E. Coli multisensible et l'antibiothérapie est poursuivie par Ceftriaxone puis relais per os par Ciprofloxacine pour une totalité de 21 jours. Une différence de pression artérielle a été notée entre les 2 membres supérieurs en raison d'une sténose sous-clavière qui avait déjà été décrite auparavant. Pour cette raison, la gravité du choc était moins sévère qu'initialement pensé. Un iléus paralytique est mis en évidence, probablement sur le sepsis et une SNG de décharge est posée transitoirement. Nous reprenons une réalimentation progressive, bien supportée par le patient. Une malnutrition protéino-énergétique modérée était associée à un allongement spontané du temps de prothrombine secondaire à une carence en vitamine K qui a été substituée, ainsi que des troubles électrolytiques qui ont été compensés au cours de la renutrition. Une insuffisance rénale aiguë prérénale s'est rapidement améliorée après correction volémique. Une anticoagulation était prescrite pour une notion de FA et de TVP datant de plusieurs années. Celle-ci est poursuivie durant le séjour et nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à celle-ci. Un Holter est réalisé, dont nous vous laissons le soin de pister le résultat. En raison d'une hypertension artérielle mal contrôlée, nous avons majoré l'Amlodipine et introduit le Torasémide. Mr. Y a présenté une probable crise de goutte du poignet droit, ayant répondu favorablement à un traitement de Prednisone puis Colchicine. Le patient nous dit être connu pour une goutte. Nous vous laissons le soin d'introduire l'Allopurinol si nécessaire. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 26.04.2019, avec des infirmières à domicile 3 fois par semaine. Mr. Y, 85 ans, a été admis aux soins intensifs pour un choc septique d'origine urinaire sur probable prostatite aiguë. La prostatite a été diagnostiquée dès son admission aux urgences de l'HFR Riaz. Le patient a toutefois développé un état de choc septique nécessitant un soutien aminergique puis transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge. Les cultures urinaires reviennent positives pour un Escherichia coli multisensible et l'antibiothérapie a été poursuivie par Ceftriaxone pour une totalité de 14 jours. Une différence de pression artérielle a été notée entre les 2 membres supérieurs en raison d'une sténose sous-clavière qui avait déjà été décrite auparavant. Pour cette raison, la gravité du choc était moins sévère qu'initialement pensé. Un iléus paralytique est mis en évidence, probablement sur le sepsis et une SNG de décharge est posée transitoirement. Une réalimentation orale progressive a été débutée. Dès que le transit aura repris, la SNG pourra être retirée ainsi que le VVC servant à la nutrition parentérale. Une malnutrition protéino-énergétique modérée était associée à un allongement spontané du temps de prothrombine secondaire à une carence en vitamine K qui a été substituée, ainsi que des troubles électrolytiques qui ont été compensés au cours de la renutrition. Une insuffisance rénale aiguë prérénale s'est rapidement améliorée après correction volémique. Une anticoagulation était prescrite pour une notion de FA et de TVP datant de plusieurs années. Nous ne la reprenons pas d'office et vous proposons la réalisation d'un enregistrement Holter de longue durée. Nous notons aussi un état d'hygiène limité et proposons une prise en charge multidisciplinaire avec notamment les infirmières de liaison avant un retour à domicile. Le patient a été transféré le 17.04.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y est un patient de 57 ans en bonne santé habituelle qui est envoyé par son médecin traitant pour des céphalées en casque avec nucalgies apparues de manière brutale le 29.03.2019 associées à une somnolence et des états fébriles et des frissons. De plus, il décrit un rash cutané maculo-papuleux apparu le vendredi après-midi. Il rapporte également une toux non productive. Mr. Y est cuisinier, n'a pas voyagé récemment, n'a pas mangé de produits à base de lait cru. Il rapporte des relations extra-conjugales MSM toujours protégées.Aux urgences, un bilan biologique met en évidence une leucocytose à 20.1 et une CRP à 77, ainsi qu'un possible foyer pulmonaire droit. Une leucocytose au sédiment urinaire sans nitrite ni flore bactérienne avec un urotube négatif. Les résultats de la ponction lombaire mettent en évidence 2 éléments nucléés avec le reste des analyses dans la norme, y compris des cultures qui reviennent négatives. Les PCR chlamydia et gonorrhée, le HIV, HCV, HBV et la syphilis sont également négatives. En cours d'hospitalisation, le patient présente une bonne réponse au traitement par Rocéphine et Klacid avec disparition de la fièvre à >72 heures de traitement et diminution du syndrome inflammatoire. Nous maintenons ce traitement pendant 7 jours. Nous concluons donc à une pneumonie du lobe inférieur droit. Malgré la réponse au traitement antibiotique, les céphalées persistent. Mr. Y mentionne avoir déjà eu des céphalées de ce type dans le passé. Nous vous proposons de réévaluer ces céphalées en ambulatoire en cas de persistance au vu de l'absence de red flags. Mr. Y, âgé de 57 ans, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation respiratoire suite à un déconditionnement global suite à un choc septique avec défaillance multi-organique le 13.02.2019. Sur le plan social, le patient vit avec son ami. Il travaille à 100 % en tant que professeur de l'art. A l'admission, le patient se plaint d'une faiblesse des muscles proximaux des membres inférieurs. Au status général, nous notons une force diminuée aux 4 membres à 4/5. La spirométrie d'entrée est malheureusement non interprétable, car le patient ne réalise pas correctement la manœuvre. La spirométrie de sortie est également d'une mauvaise qualité et montre une courbe normale avec des valeurs dans la norme et permet à priori d'exclure une BPCO. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une saturation à 97 % avec une hypoxémie légère à pO2 10.6 kPa, sans hypercapnie. Le test de marche atteste d'excellentes valeurs et sans désaturation et permet de confirmer l'évolution favorable de l'ARDS sans argument pour des séquelles. La radiographie du thorax montre une évolution favorable. Le patient n'a pas repris le tabac suite à l'ARDS. Nous mettons en place des patchs de Nicotinell. Le bilan biologique montre une amélioration des tests hépato-pancréatiques, pas de troubles électrolytiques et une fonction rénale normale. Nous vous laissons le soin d'introduire l'Atorvastatine au vu de la maladie artérielle, en ambulatoire, quand une correction complète des tests hépatiques sera atteinte. Sur le plan nutritionnel, Mr. Y présente une dénutrition légère (NRS à 3) et des apports protéino-énergétiques insuffisants. La couverture de ses besoins s'est progressivement améliorée durant son séjour à l'aide d'adaptations alimentaires. Le patient a participé à la conférence sur la nutrition et les maladies respiratoires et a jugé les informations reçues suffisantes pour son retour à domicile, raison pour laquelle il n'a pas bénéficié de conseils de sortie. Le poids à la sortie est à 83 kg. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 410 m à 450 m et le patient augmente la distance parcourue sur le vélo pendant 20 minutes de 4.81 km (25W) à 7.83 km (35W). A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 30.03.2019, en état général conservé. Mr. Y, en bonne santé habituelle, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique subaigu mineur au niveau occipital bilatéral dont l'origine reste indéterminée le 09.04.2019. Pour rappel, l'anamnèse révèle la présence de céphalées inhabituelles rapidement progressives dès le 04.04.2019, raison pour laquelle le patient consulte à l'HIB Payerne. Une IRM est organisée en ambulatoire à Lausanne et révèle une ischémie occipitale punctiforme bilatérale. Il est alors adressé au CHUV où le bilan est complété par un angio-CT qui montre une hypoplasie vertébrale droite avec une perméabilité vasculaire préservée. Le patient reçoit un traitement de charge d'Aspirine de 250 mg IV au CHUV, puis est transféré à l'HFR Fribourg en Stroke Unit. L'origine claire de l'AVC reste inconnue ce jour. L'échocardiographie transthoracique réalisée ne montre pas d'anomalie structurelle significative. Cependant, nous posons un Holter pour une durée de 72h afin de rechercher une arythmie atriale en raison de l'allure embolique des lésions à l'IRM. Nous vous laissons le soin de pister les résultats définitifs. Sur le plan médicamenteux, un traitement antiagrégant par Plavix 75 mg/j est introduit et sera à poursuivre au long cours, ainsi qu'un hypolipémiant par Atorvastatine 40 mg/j en raison d'une valeur de LDL à 4.14 mmol/l. Nous vous proposons la réalisation d'un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l, ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Mr. Y rentre à domicile le 12.04.2019. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée jusqu'à l'évaluation ophtalmologique prévue en ambulatoire le 01.05.2019, celle-ci sera réévaluée à ce moment-là. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois soit le 18.07.2019. Mr. Y, 58 ans, est admis aux soins intensifs sur lit monitorisé de Stroke Unit pour une surveillance neurologique d'un AVC subaigu. Le patient présente depuis le 04.04.2019 des céphalées intenses pour lesquelles il consulte à plusieurs reprises. L'examen neurologique est à chaque fois normal. En l'absence d'amélioration des symptômes avec l'apparition de vertiges et d'une faiblesse du membre supérieur gauche le 09.04.2019, une IRM est organisée en ambulatoire. Elle révèle une ischémie occipitale punctiforme bilatérale. Il est alors adressé au CHUV où le bilan est complété par un angio-CT qui montre une hypoplasie vertébrale droite et un traitement par dose de charge d'aspirine est administré. L'hypothèse cardio-embolique semble la plus probable compte tenu des lésions bilatérales. Le bilan de cet AVC est réalisé avec une ETT, un US des vaisseaux cérébraux et pré-cérébraux est prévu par la suite. Les céphalées persistent pendant le séjour aux soins intensifs. Le patient bénéficie d'une antalgie simple par paracétamol et oxycodone. Mr. Y doit continuer à faire des exercices pour l'extension de l'hallux. Il n'est pas gêné dans sa vie quotidienne. On explique au patient qu'une intervention pour améliorer l'extension pourrait également avoir des complications comme, par exemple, une position fixe en extension du MTP, ce qui gênerait plus que la situation actuelle. Pour le moment, pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition. Mr. Y est un patient de 71 ans, connu pour un syndrome myélodysplasique de type LMMC-1, qui est hospitalisé dans notre service pour prise en charge chirurgicale d'un adénome parathyroïdien inférieur droit. Il bénéficie d'une parathyroïdectomie à droite le 24.04.2019, qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples et l'évolution clinico-biologique favorable, permettant un retour à domicile le 26.04.2019.Mr. Y nous est transféré depuis Tavel pour un sepsis probablement d'origine digestive. Il présente des douleurs abdominales et des diarrhées importantes depuis la veille. Pas d'autre foyer anamnestique ou clinique. Un CT abdominal montre une jéjunite d'origine probablement infectieuse dans un contexte d'agranulocytose. En accord avec les collègues de l'oncologie, nous débutons un traitement de Neupogen, Cefepime et Flagyl. Aux urgences, une discussion avec la famille oriente vers une prise en charge maximale à l'étage sans soins intensifs en cas de péjoration. Dès 08.04.19, le patient présente une hypotension persistante malgré le remplissage. Au vu de la situation globale et après discussion avec la famille, nous passons à des soins de confort. Le patient décède le 9.4.19 à 11.50, entouré par sa femme et sa fille. Mr. Y est un patient de 69 ans connu pour un carcinome pulmonaire à petite cellule actuellement sous traitement de chimiothérapie palliative. Il se présente aux urgences le 25.03.19 dans le cadre d'une dyspnée NYHA III en péjoration depuis quelques jours, associée à une sensation d'état fébrile, toutefois non mesurée par le patient. Il se plaint par ailleurs d'une toux chronique, stable, sans expectoration. L'examen clinique et la radiographie du thorax révèlent un épanchement pleural gauche conséquent. Au vu du contexte oncologique, il est convenu de la pose d'un drain Pleurix et d'introduire un traitement antibiotique par Co-Amoxicilline. L'analyse du liquide pleural révèle la présence d'un E.Coli et un diagnostic d'empyème est donc retenu. Selon avis infectiologique, un traitement par Ceftriaxone avec relais par Ciprofloxacine est préconisé pour une durée de 4 semaines. L'évolution est favorable, avec toutefois une récidive de l'épanchement progressive sur 2-3 jours, raison pour laquelle il est convenu de laisser le drain en place. À noter que 2 recherches de cellules tumorales dans le liquide pleural se sont révélées négatives. Des soins à domicile sont organisés à raison de 3x/semaine afin de poursuivre une bonne gestion du Pleurix; une oxygénothérapie à domicile est également organisée. Mr. Y peut rentrer à domicile le 03.04.19. La poursuite du suivi oncologique est préconisée, avec réévaluation de la possibilité de l'ablation du drain. Mr. Y, âgé de 62 ans, connu pour une BPCO stade IV selon GOLD sur tabagisme actif, nous est adressé pour une réadaptation pulmonaire. Sur le plan social, le patient vit seul à domicile. Il est charpentier. Au status, nous retrouvons une diminution du murmure respiratoire bilatérale. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec une BPCO stade IV D selon Gold. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une insuffisance respiratoire partielle sévère sans hypercapnie. Le tabagisme actif constitue actuellement une contre-indication à l'introduction de l'oxygénothérapie continue. La radiographie du thorax met en évidence des signes indirects en faveur d'une BPCO. Nous réalisons une polygraphie nocturne qui montre un IAH 29.2/heure et le diagnostic de SAOS sévère est donc retenu. Nous introduisons une CPAP (5/15 cmH2O). L'oxymétrie sous CPAP montre des résultats satisfaisants avec une SpO2 moyenne de 93%. Le patient est très satisfait de son appareillage et note une amélioration de la qualité de son sommeil et une réduction de la somnolence diurne. Mr. Y est au bénéfice d'un traitement inhalateur par Ultibro et Spiriva. Nous interrompons le Seretide car nous n'avons pas d'argument pour une composante asthmatique et introduisons de l'Ultibro. La spirométrie à la sortie montre des valeurs superposables à la spirométrie d'entrée. Durant son séjour, le patient reprend le tabac malgré l'introduction de Nicorette. Nous constatons également des épisodes d'alcoolisation chez ce patient. Dans ce contexte, nous ne prescrivons pas de Seresta à domicile car le patient dit avoir des réserves de ce médicament chez lui. Mr. Y présente des troubles du sommeil, raison pour laquelle nous introduisons un traitement de Trittico 25 mg le soir le 10.04.2019 et nous proposons un sevrage progressif du Seresta et de l'Imovane. Nous vous laissons suivre l'efficacité de ce médicament et majorer le dosage. Sur le plan hépatique, nous réalisons un US de l'abdomen, chez ce patient connu pour un éthylo-tabagisme, qui montre un foie de taille à la limite supérieure de la norme, stéatosique, mais pas de signe de cirrhose actuellement, ni d'ascite ou de splénomégalie. D'ailleurs, les tests hépatiques sont dans la norme. Sur le plan nutritionnel, Mr. Y présente un apport protéino-énergétique insuffisant. La couverture spontanée de ses besoins était d'environ 50%. Suite à l'introduction d'adaptations alimentaires et de 2 SNO/j, il a couvert ses besoins et retrouvé son poids de forme. Il a participé à la conférence sur la nutrition et les maladies respiratoires et a reçu des conseils alimentaires pour son retour à domicile. En cas de péjoration de son état nutritionnel, il est invité à vous contacter afin d'instaurer d'éventuels SNO à domicile. Cependant, l'accent doit être mis sur le sevrage de l'alcool, point primordial dans l'amélioration de son état nutritionnel. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 75 m à 430 m et le patient augmente la distance parcourue sur le vélo pendant 20 minutes de 1.670 km (20 W) à 5.820 km (30 W). À la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 11.04.2019, dans un état général conservé. Mr. Y est un patient de 66 ans, connu pour un antécédent de sigmoïdectomie selon Hartmann avec rétablissement de la continuité en 2015, qui se présente en raison de douleur abdominale accompagnée de vomissements fécaloïdes. À l'examen clinique, nous objectivons un abdomen diffusément sensible ainsi que des bruits intestinaux métalliques. Le CT abdominal confirme le diagnostic d'iléus mécanique, raison pour laquelle une sonde naso-gastrique de décharge est posée le 19.04.2019. L'évolution est par la suite favorable, permettant l'ablation de la sonde naso-gastrique le 20.04.2019. La réalimentation progressive est bien tolérée et Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 22.04.2019. Mr. Y, 56 ans, a été admis pour un STEMI antérieur sur maladie coronarienne tritronculaire avec subocclusion de l'IVA. Depuis le 29.03.2019, il a présenté trois épisodes de douleurs rétrosternales irradiant dans les deux bras d'une durée d'environ 20 minutes cédant après prise d'Algifor. Il a consulté le Dr. X, médecin traitant, le 01.04.2019 qui a constaté un STEMI antérieur. Après administration d'aspirine 600 mg, nifédipine 40 mg et un AINS, la douleur a diminué. Le patient a été transféré en ambulance directement en salle de cathétérisme cardiaque. La coronarographie en urgence a montré une maladie coronarienne tritronculaire avec subocclusion de l'IVA et sténoses significatives de l'artère circonflexe et bissectrice, qui ont été toutes traitées par un stent actif. La fonction ventriculaire gauche est conservée avec une FE à 50% et une hypokinésie apicale. Le pic de CK s'est élevé à 1134 U/l. Des épisodes de rythme idioventriculaire accéléré ont été observés en fin de procédure et une fois à l'arrivée aux soins intensifs. Le reste de la surveillance aux soins intensifs est sans particularité, pas de récidive de douleurs thoraciques, pas de trouble du rythme. L'échocardiographie transthoracique de contrôle sera faite à 48 heures post-infarctus. Une réhabilitation cardiologique en ambulatoire devrait être envisagée. Une coronarographie devrait être planifiée dans 3 à 4 mois pour l'angioplastie de la coronaire droite, avec une néphro-protection.Une dyslipidémie mixte est traitée par statine à haute dose. L'insuffisance rénale chronique avec protéinurie significative (4.67 g/l) sur probable néphroangiosclérose est acutisée par l'hypovolémie et l'injection de produit de contraste. Le bilan néphrologique reste à compléter. L'hyperkaliémie dans le contexte de l'insuffisance rénale a été traitée par du bicarbonate avec le relais par Resonium. Nous vous laissons le soin d'adapter ce traitement. Mr. Y souffre d'une coxarthrose bilatérale, actuellement symptomatique à gauche. L'indication opératoire est donnée. Nous planifions une implantation de prothèse totale de hanche gauche par voie antérieure mini-invasive. L'intervention est programmée pour le 06.05.2019. Le patient entrera à l'hôpital la veille de l'intervention. Il est informé du déroulement de l'intervention, ainsi que des risques et bénéfices liés à celle-ci. Il me donne son accord, le consentement est signé. Il sera vu par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mr. Y, âgé de 43 ans, nous est adressé par le Dr. X pour une réhabilitation musculo-squelettique et adaptation de l'antalgie dans un contexte de lombosciatalgies S1 G chroniques non déficitaires évoluant depuis juin 2016 avec hernie discale L5/S1 G. Sur le plan socio-professionnel, le patient d'origine portugaise, en Suisse depuis début 2011, est au bénéfice d'un permis de travail de type C. Il est célibataire. Il vit seul dans un studio. Après l'école obligatoire, il a travaillé à l'aéroport de Lisbonne (conducteur de machines) jusqu'en 2009 où il est devenu chômeur. À son arrivée en Suisse, il a été engagé comme ferrailleur à 100% travaillant 6j/7 avec des horaires prolongés et une activité professionnelle fortement exigeante avec port de charges lourdes (> 25 kg) et des positions très contraignantes pour le dos. Il est actuellement au social après la fin de la perte de gain et une demande AI est en cours. Mr. Y a déjà bénéficié d'une réhabilitation dans notre service en mars 2018. À l'admission, le patient se plaint de lombalgies à 4/10 à l'EVA douleurs. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au status, le patient est orienté et collaborant. La marche se fait à petits pas avec une légère boiterie à gauche. La marche sur la pointe des pieds et les talons est possible, mais douloureuse au bas du dos. La palpation des épineuses postérieures est douloureuse de D4 à S1. Contracture de la musculature para-vertébrale plus accentuée à gauche. L'inclinaison latérale D/G est non douloureuse et mesurée à 18/14 cm. Le signe de Lasègue à droite est négatif, et à gauche positif dès 45°. À noter que le passage de la position couchée à assise sans l'aide des mains est impossible. Au status neurologique, ROT présents et symétriques notamment les 2 achilléens, RCP en flexion ddc. La sensibilité est conservée aux MI, aussi bien profonde que superficielle, tactile et thermo-algique. Force musculaire globalement à M4+ aux MI. Durant son séjour, nous avons effectué de nombreux essais sur le plan antalgique (Oxycodone, Fentanyl et Transtec) avec de bons effets mais malheureusement mal tolérés par le patient car il a présenté une réaction cutanée allergique. Nous avons opté pour le Palexia avec des effets sur l'antalgie plus modérés mais sans effet indésirable. Nous avons aussi effectué un bilan neurologique et radiologique qui objective une situation médicale plutôt stable par rapport aux examens antérieurs. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire mais avec boiterie et légère inclinaison du tronc à droite. Il peut monter et descendre les escaliers. Mr. Y rapporte une limitation dans le mouvement par la douleur dans la région lombaire G qui se prolonge jusqu'à la fesse du même côté. Nous objectivons néanmoins une amélioration dans les différents exercices avec de meilleures performances au fil du séjour. Sous Palexia, le patient peut dormir mieux la nuit au vu du soulagement partiel de ses douleurs. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 29.03.2019, en bon état général. L'arrêt de travail à 100% est prolongé jusqu'au 06.05.2019. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire afin de continuer la prise en charge et consolider les acquis. Il sera revu lors d'une consultation interdisciplinaire le 06.05.2019 avec le Dr. X à l'HFR Billens. Mr. Y, âgé de 61 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Riaz pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une chute le 25.03.2019 suite à un malaise d'origine indéterminée sans prodromes avec TC sans PC ni AC, réception sur le coude droit et les côtes droites. Découverte d'une fracture supra-condylienne non déplacée du coude D opérée le 30.03.2019. Sur le plan social, le patient, divorcé, vit seul à domicile; a une amie qui ne vit pas avec lui. Le patient est à l'AI à 100% depuis plus de 10 ans; a travaillé comme charpentier puis securitas chez Nestlé. À l'admission, le patient n'a pas de plainte. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. On remarque un flexum du coude D. À la mobilisation passive, arrêt dur avec douleurs à la face postérieure vers la plaque. Importants signes de polyneuropathie des MI. Le patient présente une anémie normochrome macrocytaire à 88 g/l. Au dernier contrôle, l'Hb est à 101 g/l. À noter, un hémofecatest, réalisé à l'HFR Riaz, revenu positif. Nous vous laissons le soin de suivre ce paramètre à distance et de poursuivre les investigations si vous suspectez une anémie spoliative. Sur le plan endocrinologique, le patient a présenté une hypothyroïdie subclinique le 28.03.2019 avec des valeurs de TSH à 11.19 mU/l. Au contrôle à 3 semaines, la TSH est à 5.61 mU/l. Nous vous laissons le soin de faire le suivi à votre consultation. Sur le plan nutritionnel, le patient présente une malnutrition protéino-énergétique légère, en lien avec une augmentation des besoins, démontrée par une perte de 6 kg en 2 mois (11%), un BMI à 15.5 kg/m2 et un NRS à 3/7. Les besoins sont couverts et le patient a reçu des conseils. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. Le patient est autonome pour les AVQ, pour la marche, les escaliers et les transferts. À la sortie, le coude D fléchit à 125° mais montre un flexum résiduel de 20° avec un arrêt dur. Après 1 semaine d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 16.04.2019, en état général conservé. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire pour poursuite de la mobilisation du coude (lutte anti-flexum). Mr. Y est adressé par MedHome de son domicile aux urgences de l'HFR Fribourg pour des troubles de l'équilibre, une sensation de malaise et des tremblements en péjoration depuis 2 jours. Il n'a pas présenté de chute, pas de céphalées, diminution de la vision à gauche connue, pas de diminution de l'ouïe, pas de perte de sensibilité, pas de perte de force. Il ne présente pas de confusion, pas de trouble de l'état de conscience.Le patient rapporte un arrêt de sa consommation d'alcool depuis 10 jours, mais un membre de sa famille nous rapporte une consommation importante ces 3 derniers jours, sans facteur déclencheur clair. Aux urgences, le status cardio-pulmonaire-abdominal est sans particularités. Au niveau neurologique nous mettons en évidence une ataxie avec à l'épreuve doigt nez et talon genou sans coordination; le reste est sans particularités. Aux urgences, l'ECG objective un rythme sinusal régulier, sans bloc ni signe d'ischémie aiguë, présence d'extra-systole. Le bilan biologique montre une perturbation des tests hépatiques, des troubles électrolytiques et une thrombocytopénie. L'alcoolémie est négative. Le patient nous est transféré de l'HFR Fribourg pour un sevrage éthylique. Le patient est mis sous Benerva et Seresta. Nous supplémentons le phosphate et le magnésium. À son arrivée, le patient est calme et collaborant, n'a pas de plaintes particulières. Dans le cadre de la consommation éthylique avec perturbation des tests hépatiques nous réalisons un US abdominal, qui montre un foie d'hépatopathie chronique compatible avec une cirrhose débutante sans ascite ni hypersplénisme. La thrombopénie est mise sur le compte de la toxicité de l'alcool. Le sevrage se déroule sans complications selon le score CIWA permettant une diminution progressive du Seresta. Nous vous laissons le soin de poursuivre le sevrage du Seresta en ambulatoire. Concernant le syndrome de dépendance éthylique, le patient bénéficie d'une évaluation psychiatrique avec une proposition de sevrage en milieu hospitalier à Marsens. En effet, le patient présente de multiples hospitalisations en lien avec sa consommation éthylique, avec une situation à domicile devenue précaire. Le patient refuse catégoriquement une hospitalisation à Marsens, mais exprime être conscient de la problématique de l'alcool et de la nécessité d'une prise en charge. Un suivi ambulatoire est donc organisé avec une consultation au CCSM de Bulle le 10.04.2019 à 10h30 avec le Dr. X. Un suivi par l'infirmière en psychiatrie Mme. Y est également mis en place avec un contrôle le 25.04.2019. Des soins infirmiers sont mis en place 2x/semaine pour un contrôle de santé. Le patient rentre au domicile le 10.04.2019 avec la mise en place d'un réseau ambulatoire. En cas d'échec du réseau ambulatoire avec une réhospitalisation dans un contexte de consommation éthylique, le patient est informé d'une hospitalisation à Marsens. Mr. Y est un patient de 75 ans, connu pour des antécédents de diverticulites, qui se présente aux urgences en raison de douleurs en fosse iliaque gauche, accompagnées d'un état fébrile. À l'examen clinique, nous objectivons une détente en fosse iliaque gauche et le laboratoire montre un syndrome inflammatoire. Un CT abdominal met en évidence une diverticulite stade IIA selon Hansen-Stock, raison pour laquelle nous instaurons une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Métronidazole i.v. le 07.04.2019. L'évolution clinico-biologique est, par la suite, favorable permettant un relais de l'antibiothérapie par Ciproxine et Flagyl per os avec retour à domicile le 10.04.2019. L'antibiothérapie sera poursuivie pour une durée totale de 10 jours, soit jusqu'au 17.04.2019. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à une cardiopathie coronarienne tritronculaire avec atteinte du tronc commun. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine cardio 100 mg, Duofer, Atorvastatin 40 mg, Concor 5 mg, Coversum 5 mg, Torasemide 2.5 mg, Dafalgan, Stilnox 10 mg, Trittico 50 mg 1x/j, Supradyn, Symbicort 200/6 poudre. Un frottis est réalisé au niveau de la cuisse D qui est revenu négatif et la cicatrice a bien évolué les jours suivants. La RX du thorax d'entrée a mis en évidence un épanchement pleural gauche (DD : probable syndrome de Dressler), traité par Prednisone et Colchicine du 27.03.2019 au 09.04.2019 avec une bonne évolution clinique et radiologique sur la radiographie de contrôle. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à une puissance de 60 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 40 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.6 mmol/L, HDL à 1.13 mmol/L, LDL à 2.23 mmol/L et des triglycérides à 1.14 mmol/L. • La pression artérielle à l'état basal et la FC sont restées globalement dans la norme pendant le séjour, la FC de repos est à 90 bpm. Sur le plan biologique : • Hb à 116 g/l • fonction rénale normale avec une créatinine à 64 µmol/l • électrolytes dans la norme • CRP à 15 mg/l Le séjour fut émaillé d'une toux et dyspnée secondaire à l'épanchement pleural. Alors que la situation s'amende sous traitement, réapparition de la toux irritative dont l'étiologie reste imprécise : régression sensible de l'ép. pleural, meilleure auscultation clinique sans râles... Devant ce tableau, nous demandons un CT-Thorax. L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un status de normo-compensation. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme sans signe d'inflammation. Mr. Y présente un syndrome du tunnel carpien D avancé avec déjà une atrophie musculaire du muscle thénar. L'indication pour une décompression du nerf médian est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord, le consentement est signé. Étant donné que le patient est sous traitement thérapeutique par Xarelto, il faudrait stopper celui-ci 3 jours avant l'intervention. On pourrait le remplacer par de l'Aspirine Cardio durant ces 3 jours. Le Xarelto pourra être repris à 24 heures de l'intervention chirurgicale. Je prie le Dr. X de bien vouloir organiser le changement de médication avec Mr. Y. L'intervention est prévue pour le 25.04.2019 en ambulatoire. Le patient sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mr. Y est un patient de 25 ans qui bénéficie d'un by-pass gastrique proximal le 04.04.2019. L'intervention se déroule sans complication, le patient est surveillé aux soins intensifs pour une nuit en raison d'un syndrome des apnées du sommeil non appareillé. Les suites post-opératoires sont favorables et après reprise du transit, le patient peut retourner à domicile le 07.04.2019. Mr. Y, 25 ans est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance respiratoire post-opératoire. Il est connu pour une obésité sévère pour laquelle il bénéficie d'un by-pass gastrique par laparoscopie le 04.04.2019. Les suites opératoires sont simples et le protocole de réalimentation est débuté le 05.04.2019. Le patient bénéficie d'un traitement par Pantozol et Clexane selon les indications post-opératoires.Mr. Y est un patient de 21 ans en bonne santé habituelle qui est adressé aux urgences par le médecin militaire pour une appendicite aiguë confirmée à Affidea, à l'ultrason. Le bilan biologique montre une légère augmentation du syndrome inflammatoire. Nous retenons alors l'indication pour une appendicectomie laparoscopique. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples avec une réalimentation bien supportée et des plaies calmes permettant un retour à domicile le 27.04.2019. Mr. Y est limité dans son activité professionnelle puisqu'il travaillait sur des chantiers, ce qui demande des efforts physiques intenses. Dès le 01.05.2019, date à laquelle nous avions autorisé une reprise à 100%, il ira discuter avec le chômage pour convenir d'un remplacement professionnel dans une activité lui permettant de changer de position. De notre point de vue, l'indication pour l'intervention décrite ci-dessus reste posée. Nous restons à disposition du patient pour discuter de la planification de cette intervention s'il devait changer d'avis. Nous soulignons que dès ce jour, si le patient attend plus de trois mois pour planifier cette intervention, un nouveau bilan radiologique sera nécessaire. Mr. Y est un patient de 60 ans connu pour un adénocarcinome prostatique métastatique avec une métastase cérébrale récemment opérée à Berne et des métastases osseuses également connu pour un antécédent de néphrolithiase droite avec pose de sonde double J. Il consulte les urgences de Fribourg le 05.04.19 pour des douleurs du flanc gauche, punctiformes, intermittentes, non reproductibles à la palpation, non dépendantes des mouvements, lui évoquant les douleurs de sa néphrolithiase à droite. Un scanner et ultrason réalisés ce jour-là ne mettent pas en évidence de signes de néphrolithiase ou d'atteinte rénale. Le bilan biologique ne met pas en évidence d'insuffisance rénale, ni de syndrome inflammatoire. Cependant, une infection urinaire est mise en évidence. Le patient rentre à domicile avec une antalgie de palier 2 et un traitement de ciprofloxacine. Il reconsulte les urgences le surlendemain avec un bilan biologique sans particularité. Il rentre à domicile après majoration de l'antalgie. Enfin, il se représente le 12.04.19 aux urgences à nouveau pour la même plainte. Le bilan biologique ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire et les urines sont sans particularité. Nous hospitalisons le patient pour gestion d'antalgie. Un traitement d'oxycontin et d'oxynorm permet d'obtenir une antalgie suffisante. À noter que dans le contexte de son hospitalisation et de son récent scanner thoraco-abdominal, nous informons le Dr. X des récents résultats d'imagerie. Ceux-ci seront rediscutés à la prochaine consultation oncologique le 16.04.19. Le 15.04.19, le patient rentre à domicile. Mr. Y, patient de 68 ans, connu pour un éthylisme chronique en sevrage depuis 7 jours, une cirrhose toxique Child A ainsi qu'une BPCO stade IIID selon GOLD avec multiples exacerbations (la dernière en janvier 2019), est amené en ambulance au service des urgences le 26.03.2019 pour une baisse de l'état général d'origine multifactorielle avec un état dépressif chronique, une dyspnée importante en péjoration depuis sa dernière hospitalisation, un sevrage alcoolique effectué seul à la maison il y a sept jours et une inappétence avec perte de poids de 6 kg en 15 jours. Il est hospitalisé avec mise en place d'un traitement d'exacerbation de BPCO non infectieux : majoration de ses aérosols, Prednisone et physiothérapie respiratoire. Au service des urgences, le laboratoire ne montre pas de symptôme inflammatoire et des d-dimères augmentés. Un scanner injecté permet d'exclure une embolie pulmonaire. À noter également l'absence de foyer et de masse suspecte. Un frottis de grippe revient négatif le 27.03.2019. Devant une suspicion de décompensation cardiaque surajoutée (pro-BNP à 634 ng/l), une ETT est réalisée le 26.03.2019 et montre une fonction systolique globale conservée avec FEVG à 60%. Devant la découverte fortuite d'une tachycardie à 139/minutes et un ECG qui montre un BBD avec extrasystolies de haute incidence, un Holter est effectué le 28.03.2019. En fonction des résultats du Holter, nous vous proposons de réévaluer l'indication à une anticoagulation orale. L'épisode de tachycardie reste isolé et nous poursuivons le bêta-bloquant. Après discussion avec l'épouse, il semble que Mr. Y a surtout été hospitalisé en raison d'un épisode dépressif majeur depuis une quinzaine de jours. Il ne sortait plus de chez lui et passait beaucoup de temps au lit. Les difficultés respiratoires sont chroniques et nous n'avions pas beaucoup d'arguments pour une décompensation grave. Dans ce contexte, il est vu par nos psychiatres qui objectivent un épisode dépressif moyen. Ceci motive l'introduction d'un antidépresseur dont le suivi sera fait par le médecin traitant car Mr. Y refuse un suivi psychiatrique. Concernant sa perte de poids, une évaluation diététique est demandée. Il impute sa perte de poids à sa maladie pulmonaire ainsi qu'à son état dépressif. Dans ce contexte et au vu des réticences du patient, aucune autre mesure n'est effectuée. Concernant son sevrage éthylique, il n'a présenté aucun symptôme de sevrage lors de l'hospitalisation. Il est suivi par notre infirmière spécialisée en addictologie, Mme. Y. Mr. Y se dit résolu à persévérer dans son abstinence et ne souhaite pas d'aide. Nous lui proposons un séjour en réhabilitation pulmonaire. Il refuse en raison d'une mauvaise expérience en réhabilitation par le passé. Il refuse également toute aide à domicile. Dans ce contexte, nous le laissons rentrer à domicile le 03.04.2019 sous réserve d'un rendez-vous chez son médecin traitant dans les 10 prochains jours pour évaluation du traitement antidépresseur et discussion des résultats du Holter. Mr. Y, patient de 49 ans connu pour diabète type I, est admis aux soins intensifs le 05.04.2019 pour un coma hypoglycémique secondaire à une injection d'insuline, dans un contexte peu clair (surdosage accidentel ou volontaire). Il est amené intubé par le SMUR pour un coma, avec un Glasgow à 3. Selon l'hétéroanamnèse faite auprès de son colocataire, Mr. Y présente, vers 14h00 le 05.04.2019, une hypoglycémie et refuse de prendre du sucre (Coca). Devant la persistance des troubles de l'état de conscience, son colocataire appelle les secours vers 20h. À l'arrivée des ambulanciers, la glycémie est indétectable. Il reçoit du glucose IV et, étant toujours non réveillable, il est intubé sur place. Un CT cérébral natif ne montre pas de saignement, mais une diminution de l'atténuation de la densité de la substance grise, en faveur d'un œdème cérébral débutant. Le CT thoracique met en évidence un foyer basale gauche. À son arrivée aux soins intensifs, Mr. Y présente un état de choc avec vasoplégie et cardioplégie, nécessitant un soutien aminergique transitoire par Noradrénaline et Dobutamine. Il est mis sous Co-Amoxicilline pour un foyer pulmonaire, probablement d'aspiration. En raison de mouvements myocloniques à son arrivée aux soins, nous initions un traitement par Lorazépam, puis Propofol et Levetiracetam. L'examen neurologique sans sédation reste inchangé avec un coma GSC entre 3 et 4 (mouvements de décérébration), avec des signes d'atteinte du tronc cérébral. Le premier électroencéphalogramme du 06.04.2019 (réalisé sans sédation) montre une faible activité cérébrale, mais une absence d'argument pour un état mal épileptique. Nous réalisons un nouvel EEG le 07.04.2019, à 24h de l'arrêt de toute sédation, et l'on retrouve un tracé toujours aréactif. Le CT cérébral du 07.04.2019 est grossièrement superposable.Nous retenons donc la présence de lésions cérébrales majeures dans le contexte de l'hypoglycémie sévère et prolongée, dont le pronostic est compatible avec un état végétatif. Dans ce contexte, nous décidons de ne pas poursuivre le traitement de réanimation et nous informons la famille de cette décision. Nous évoquons avec eux la possibilité d'un don d'organe, mais après plusieurs entretiens, il apparaît que la volonté présumée du patient aurait été en défaveur du don. On observera par ailleurs le maintien d'une respiration cérébrale spontanée. Après acceptation de la famille, nous procédons à un retrait thérapeutique. Mr. Y décède le 07.04.2019 à 19h13, entouré de sa famille. Au vu de la situation de mort non naturelle, la justice est informée. Une enquête judiciaire est débutée le 06.04.2019. Mme. Y, la procureure, ne retient pas l'indication à effectuer une autopsie médico-légale. Mr. Y est un patient de 22 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleur en fosse iliaque droite. Le bilan radiologique effectué met en évidence une appendicite aiguë, raison pour laquelle le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique en urgence le 20.04.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 21.04.2019. Mr. Y est un patient de 73 ans, connu pour les comorbidités sus-mentionnées, qui est hospitalisé pour une cure d'anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale avec pose de tube droit. Il séjourne aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique. Après sevrage des amines, Mr. Y est transféré en division de chirurgie vasculaire. Les suites opératoires sont favorables. Sur le plan vasculaire, les pouls périphériques sont palpables et les pieds sont chauds. Sur le plan chirurgical, Mr. Y reprend un transit en cours d'hospitalisation, l'abdomen est souple. Sur le plan antalgique, Mr. Y bénéficie d'une péridurale, puis d'une antalgie de palier III que nous diminuons de manière progressive. Sur le plan de la mobilisation et de la respiration, le patient bénéficie de physiothérapie. L'évolution sur ces deux plans est également favorable avec un sevrage de l'oxygène en fin d'hospitalisation et une mobilisation largement conservée. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 05.04.2019. Mr. Y, connu pour les comorbidités susmentionnées, bénéficie le 08.04.2019 d'une endartérectomie de l'artère carotide interne gauche. Les suites opératoires sont simples et sans complication. Sur le plan chirurgical, la plaie est propre. Sur le plan neurologique, Mr. Y ne présente pas de complication post-opératoire. Un angio-CT est réalisé le 08.04 en post-opératoire, montrant une bifurcation carotidienne perméable sans sténose résiduelle. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 11.04.2019. Mr. Y, connu pour une maladie poly-anévrismale décrite ci-dessus, est hospitalisé pour la réalisation d'un pontage aorto-bi-iliaque avec ligature per-opératoire de l'artère iliaque interne droite. En post-opératoire, Mr. Y séjourne aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique. Après sevrage des amines, Mr. Y est transféré en division de chirurgie. Sur le plan chirurgical, la laparotomie est calme, sans écoulement, laissée à l'air dès le 08.04. Mr. Y reprend un transit en cours d'hospitalisation et une alimentation normale qu'il tolère bien. Sur le plan vasculaire, les pouls périphériques sont identifiés au Doppler. Un angio-CT aortique et des membres inférieurs est réalisé le 04.04.2019 pour contrôle post-opératoire. L'angio-CT confirme l'occlusion de l'artère iliaque interne droite, ne montre pas de complication post-opératoire, pas de souffrance de l'intestin grêle. Sur le plan de l'antalgie, Mr. Y présente des douleurs fessières droites en rapport avec l'occlusion de l'artère iliaque interne. Les douleurs sont en amélioration en cours d'hospitalisation, mais Mr. Y présente toujours une claudication fessière importante que nous réévaluerons à la consultation. Entre-temps, Mr. Y bénéficiera de physiothérapie à domicile. Sur le plan néphrologique, Mr. Y présente une insuffisance rénale aiguë AKIN I-II d'origine pré-rénale sur probable déshydratation. L'évolution est par la suite favorable. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 11.04.2019. Mr. Y, 45 ans, est admis aux soins intensifs pour une nouvelle exacerbation de douleurs abdominales chroniques. Le patient est suivi par le Dr. X à la Clinique X à Lausanne. Il a bénéficié de la mise en place d'une pompe intrathécale de Clonidine et de Fentanyl en décembre 2018 et a été hospitalisé en janvier 2019 pendant deux semaines. Par la suite, les douleurs étaient bien contrôlées avec la pompe. Il se présente aux urgences en raison d'une crise aiguë de douleur abdominale haute, identique aux précédents épisodes, accompagnée d'une acidose lactique modérée compensée. Le bilan radiologique réitéré révèle une simple coprostase, sans autre particularité. Nous optons initialement pour un traitement par Kétamine et Fentanyl en IV continu afin de réduire l'intensité des pics douloureux. Ce traitement peut être stoppé rapidement avec un relais per os par paracétamol, tranxilium et Catapresan. Un traitement laxatif et un lavement sont également réintroduits avec une reprise du transit dès le 02.04.2019. L'acidose lactique s'est rapidement améliorée après correction de la volémie et traitement des douleurs. Dans le contexte de l'antalgie par Fentanyl et Kétamine IV, le patient a présenté au cours de la première nuit plusieurs brèves pauses respiratoires avec désaturations majeures s'étant rapidement corrigées après ventilation manuelle au masque, sans récidive par la suite. Devant l'évolution favorable des douleurs, le patient peut être transféré le 02.04.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y, 69 ans, est hospitalisé en post-opératoire d'une thrombendartériectomie de la carotide interne gauche avec plastie de bifurcation le 08.04.2019. Il est connu pour une BPCO stade 2, un tabagisme actif et une artériopathie des membres inférieurs. Il bénéficie d'une thrombendartériectomie de la carotide interne gauche avec plastie de bifurcation le 08.04.2019 sous anesthésie locorégionale en raison d'une sténose carotidienne symptomatique. Le patient présente en post-opératoire une labilité tensionnelle nécessitant un soutien aminergique transitoire par noradrénaline. Il peut être sevré rapidement en post-opératoire après remplissage vasculaire. Un angio-CT est réalisé en post-opératoire afin de vérifier la perméabilité de la carotide et l'absence de sténose. La surveillance neurologique est sans particularité. Le patient est ensuite transféré en chirurgie pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est hospitalisé le 22.04.2019 pour une dyspnée d'origine indéterminée. Le patient présente depuis environ deux semaines une dyspnée progressive à l'effort, actuellement également au repos et péjorée la nuit en raison d'une orthopnée et de dyspnée paroxystique nocturne. Il rapporte également une toux avec l'apparition d'expectorations blanchâtres, alors que la toux chronique connue du patient est plutôt non productive habituellement. Le patient aurait consulté son médecin traitant au début des symptômes et s'est vu prescrire du Torasemide, sans réelle amélioration de la symptomatique.A l'entrée, on retrouve un patient présentant une clinique compatible avec une décompensation cardiaque. Le bilan biologique retrouve une élévation importante des peptides natriurétiques (NT-proBNP à 6'955 ng/l) et un ultrason ciblé retrouve également des signes compatibles avec une surcharge cardiaque. Un CT thoracique est donc réalisé et retrouve des épaississements bronchiques bilatéraux et des infiltrats d'allure infectieuse dans le lobe inférieur gauche. Une augmentation du syndrome inflammatoire et l'apparition d'un état fébrile confirment notre suspicion de pneumonie. Nous démarrons donc une antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline le 23.04.2019, après prélèvement de 2 paires d'hémocultures et d'une culture d'expectorations. Les hémocultures ne relèvent aucun germe et la culture d'expectorations revient positive pour des Pasteurella multocida, germe colonisateur buccal ne nécessitant pas d'antibiothérapie spécifique. L'antibiothérapie est poursuivie pour une durée totale de 10 jours depuis l'introduction du Céfépime. D'un point de vue cardiaque, la décompensation est traitée par diurétiques. Le diagnostic différentiel quant à l'étiologie de la décompensation cardiaque retient une origine infectieuse, mais également un trouble du rythme cardiaque, au vu d'un ECG retrouvant une tachycardie auriculaire multifocale. Un ECG Holter est réalisé du 23.04.2019 au 24.04.2019, dont les résultats vous seront transmis par courrier séparé. Une échocardiographie transthoracique est réalisée lors du bilan et pose le diagnostic de cardiomyopathie dilatative avec dysfonction systolique sévère (FEVG à 25%). Un traitement adéquat d'insuffisance cardiaque est introduit dès le 24.04.2019. Un bilan étiologique de la cardiopathie ne retrouve pas de dysthyroïdie ni d'élévation de la ferritine, ainsi qu'une électrophorèse des protéines sériques avec immunofixation dans les limites de la norme. Une origine ischémique est exclue par une coronarographie le 29.04.2019. Un contrôle en cardiologie est planifié le 21.05.2019. Mr. Y peut rentrer à domicile le 01.05.2019. Mr. Y nous est adressé le 27.03.2019 par le service de médecine interne de l'HFR Fribourg pour une réhabilitation au décours d'une endocardite possible dans un contexte de bactériémie à germe typique. A son entrée, le patient décrit une asthénie avec une inappétence et une perte de 5 kg depuis la fin de l'année passée. Au status, Mr. Y est orienté dans le temps et l'espace avec un état général diminué. Nous retrouvons les clics de valves mécaniques. L'auscultation pulmonaire met en évidence des râles de stase bibasaux. Le patient vit avec sa femme dans une maison ayant 5 marches devant la porte d'entrée. Avant l'hospitalisation, il était autonome pour les AVQ et AVQ instrumentales. Lors de l'évaluation d'entrée, le patient effectue les transferts de façon autonome. La marche est réalisée avec le rolateur sous supervision avec un périmètre de marche de 60 m. Le risque de chute est augmenté. Mr. Y bénéficie d'ergo- et physiothérapie intensives. A sa sortie, les transferts sont réalisés de façon autonome. La marche avec rolateur (>200 m) et la montée d'escaliers (2x 9 marches avec rampe et 1 canne) sont réalisées sous supervision. Le risque de chute s'améliore, mais reste tout de même élevé (Tinetti 17/30). Nous lui prescrivons de la physiothérapie en ambulatoire. Le traitement de Rocéphine est poursuivi sans complication et est à maintenir encore après la sortie jusqu'au 15.04.2019. Sur le plan cardiaque, le patient reste compensé tout au long du séjour. Nous adaptons la dose de Sintrom avec un INR de sortie à 2.4, ce qui reste tout de même suboptimal. Nous vous laissons le soin de régler le Sintrom après sa sortie. L'hémoglobine reste stable, il n'y a pas d'argument pour une anémie carentielle. Le changement de sonde vésical se passe sans complication. Un rendez-vous avec le Dr. X est déjà agendé pour le 2 mai prochain. Nous mettons en évidence une malnutrition modérée avec hypovitaminose D, pour laquelle nous introduisons un supplément nutritif oral - également prescrit en ambulatoire - et nous substituons la vitamine D. Nous vous proposons de redoser la vitamine D dans 6 semaines. Mr. Y sort le 02.04.2019 en bon état général avec les soins à domicile organisés pour le traitement antibiotique en ambulatoire. Mr. Y est amené aux urgences en ambulance le 15.04.2019 en raison de douleurs au niveau de la colonne lombaire, apparues soudainement alors qu'il était assis sur une chaise. Pas de notion de faux-mouvement, de traumatisme, ni de chute. Ces douleurs sont d'intensité 10/10, au niveau de L2-L3, essentiellement à la mobilisation. Le patient fait appel à MedHome qui le visite à domicile et prescrit de l'Irfen 800 mg, du Tramal gouttes et du Sirdalud 2 mg, posant le diagnostic de lombalgies non déficitaires. En raison de la persistance de douleurs, le patient appelle l'ambulance. Pas de perte de selles ni d'urine, pas de trouble sensitivomoteur. A l'admission aux urgences, Mr. Y est hémodynamiquement stable. Le statut neurologique est dans la norme avec un Lasègue négatif des deux côtés. Au niveau ostéo-articulaire, la percussion de la colonne est indolore, mais il y a des douleurs à la palpation de L2-L3. Le toucher rectal n'est pas effectué en raison des douleurs à la mobilisation, mais le sphincter est intact et le patient arrive à serrer les fesses. Nous retenons initialement le diagnostic de lombalgies aiguës non déficitaires et au vu des douleurs invalidantes, Mr. Y est hospitalisé pour gestion de l'antalgie. En raison d'un syndrome inflammatoire et d'une anurie le 16.04.2019, nous effectuons un CT scan de la colonne lombaire qui montre un processus dégénératif des nodules de Schmorl étagés essentiellement en L2-L3-L4 et les hémocultures réalisées le 16.04.2019 montrent une bactériémie à staphylocoque doré. Dans ce contexte, une IRM lombaire est réalisée et montre une spondylodiscite L1-L2. Sur avis de la Dr. X, infectiologue, nous débutons une antibiothérapie par Cubicine 700 mg 1x/j dès le 17.04.2019. Les hémocultures de contrôle effectuées quotidiennement restent positives. Afin de trouver la cause de la spondylodiscite, nous demandons une échocardiographie transthoracique pour exclure une endocardite. L'examen effectué le 18.04.2019 est de qualité médiocre, limité par l'obésité et une endocardite ne peut pas être exclue sur la base de cet examen. En raison de la persistance de la fièvre avec des pics fébriles à 30°C les 19 et 20.04.2019, nous recontactons la Dr. X qui conseille la réalisation d'un CT scan thoraco-abdominal injecté à la recherche d'un abcès pouvant expliquer la bactériémie et les pics fébriles. L'examen effectué le 20.04.2019 montre la présence de deux abcès au niveau des muscles psoas : à gauche un abcès de 130 mm au niveau L2-L5 et à droite un abcès de 19 mm au niveau de L2. Notons également la présence d'un calcul dans l'uretère proximale à droite de 5-6 mm. L'aorte n'est pas touchée par l'inflammation. Nous contactons nos collègues radiologues de garde à l'HFR Fribourg afin de discuter d'un drainage. L'IRM, d'une qualité sub-optimale, ne permet pas de délimiter exactement les abcès et dans ce contexte, le drainage paraît difficile. De plus, la difficulté est augmentée en raison d'un patient n'arrivant pas à rester couché sur le ventre. Nous contactons l'anesthésiste pour une possible sédation et ce dernier nous conseille un transfert à l'HFR Fribourg. Mr. Y est donc transféré à l'HFR Fribourg le 20.04.2019 pour un drainage des abcès dès que possible. Un prélèvement quotidien d'hémocultures est à effectuer (1 paire) même à froid, jusqu'à 48 h de négativisation. L'antibiothérapie par Floxapen 12 g/24 h en iv continu et Rifampicine doit être poursuivie. Nous conseillons également de contrôler les interactions médicamenteuses avec une surveillance des CK.A noter que durant le séjour, Mr. Y présente une anurie avec un globe vésical justifiant la mise en place d'une sonde vésicale le 16.04.2019. Le sédiment urinaire objective une leucocyturie et une micro-hématurie. L'urotube revient négatif. Le patient présente également une insuffisance rénale AKIN 1 d'origine pré-rénale, d'évolution favorable sous hydratation iv. Mr. Y est un patient de 63 ans connu pour un status post migration lithiasique le 13.04.2019 qui bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique le 18.04.2019. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables permettant un retour à domicile le 19.04.2019. Mr. Y est un patient de 63 ans qui se présente aux urgences pour des douleurs épigastriques et de l'hypochondre droit. Un bilan initialement cardiaque et pulmonaire ne met pas en évidence de syndrome coronarien aigu ou d'embolie pulmonaire. Le laboratoire montre une perturbation globale des tests hépatiques avec cholestase faisant suspecter une cholédocholithiase. L'ultrason abdominal permet de visualiser des calculs vésiculaires. Le patient bénéficie d'une ERCP le 16.04.2019 qui permet l'extraction de sludge et une papillotomie est effectuée. Les images per-opératoires sont compatibles avec une migration lithiasique spontanée. L'évolution est, par la suite, favorable tant sur le plan clinique que biologique permettant un retour à domicile le 16.04.2019. Une cholécystectomie est agendée pour le 18.04.2019. Mr. Y, patient de 84 ans, connu pour une fibrillation auriculaire paroxystique depuis février 2018 non anticoagulée à cause d'une angiodysplasie du caecum et du duodénum avec méléna en février 2018, se présente aux urgences le 28.03.2019 avec une symptomatologie compatible avec un AVC sylvien droit complet présent au réveil. L'imagerie révèle une occlusion M1 de l'ACM D et une large pénombre du territoire touché. Le patient est immédiatement transféré en Stroke Center, à l'Inselspital à Berne où il bénéficie d'une thrombectomie avec recanalisation complète. L'évolution clinique est favorable avec régression de la symptomatologie. Il persiste cependant un discret hémisyndrome sensitivo-moteur gauche et possiblement une héminégligence gauche qui est à corréler à un bilan neuropsychologique à effectuer sur le site de Riaz. Sur le plan étiologique, au vu de la récidive de la fibrillation auriculaire paroxystique pendant l'hospitalisation, l'origine cardio-embolique est retenue. L'indication à l'anticoagulation est posée. Nous prenons un avis auprès du Dr. X, gastro-entérologue, concernant l'angiodysplasie du caecum et du duodénum connu; au vu de l'absence de récidive de méléna ou hématochézie depuis 1 an, cette pathologie ne contre-indique pas une anticoagulation. Ainsi une anticoagulation thérapeutique par Eliquis 5 mg 2x/j est débutée. Nous informons le patient qu'il doit consulter rapidement en cas de récidive de méléna ou hématochézie/hématémèse. Mr. Y nous dit présenter des troubles de la marche de plus en plus handicapants depuis 3-4 ans nécessitant un rollator à domicile pour se déplacer. L'examen neurologique révèle en effet des troubles proprioceptifs aux membres inférieurs ainsi qu'une ataxie bilatérale. De plus, nous suspectons une malnutrition chez ce patient chétif, un bilan calorique est à prévoir pendant l'hospitalisation en gériatrie. Le risque de chute étant élevé, nous retenons l'indication à une réadaptation gériatrique. La prise en charge en milieu aigu n'étant pas entièrement terminée, Mr. Y est transféré en gériatrie aiguë le 05.04.2019. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte de baisse de l'acuité visuelle progressive mise sur le compte d'une neuropathie optique rétro-bulbaire bilatérale. Le diagnostic de SEP avait été retenu en 2001 mais le patient n'a pas bénéficié de suivi médical dans ce contexte. Mr. Y a consulté en raison de troubles visuels progressifs un ophtalmologue le 27.03.2019, lequel a mis en évidence la NORB; une hospitalisation élective a ainsi été organisée afin d'effectuer un bilan. Un nouveau contrôle ophtalmologique durant l'hospitalisation confirme la suspicion de NORB bilatérale. Un prochain contrôle est prévu dans 2-3 semaines. Une IRM cérébrale montre de multiples lésions suspectes d'une SEP active. Un traitement de Solumedrol à haute dose est ainsi instauré sur avis neurologique pour une durée de 5 jours. Une IRM médullaire est prévue en ambulatoire le 15.04.2019 afin de compléter le bilan. Des anticorps anti-aquaporine 4 et anti-MOG sont également demandés afin d'exclure une cause neuro-inflammatoire alternative à la sclérose en plaques et sont actuellement en cours. La suite de prise en charge se fera à la consultation du Dr. X. Nous préconisons l'instauration d'un traitement de fond par Ocrevus. Pour cela, une consultation au CHUV doit être organisée. L'état vaccinal ainsi que des sérologies seront nécessaires selon le traitement de fond décidé. Mr. Y rentre à domicile le 05.04.2019. Mr. Y, patient de 78 ans, connu pour une annuloplastie mitrale en 2015 pour insuffisance mitrale sévère, est hospitalisé en raison de douleurs thoraciques. Le patient présente depuis le 30.03.2019 au soir une douleur thoracique punctiforme au niveau de la paroi thoracique antérieure gauche, constante, d'apparition rapide, jusqu'à 10/10, sans traumatisme ni faux mouvement, sans irradiation, non respiro-dépendante et reproductible à la palpation. Il rapporte également des palpitations la veille, sans autre symptôme cardiaque ni respiratoire. Il aurait déjà ressenti ce genre de douleur depuis son intervention de 2015 mais jamais à une telle intensité. Le patient rapporte aussi des diarrhées aqueuses le 29.03.2019 avec traitement symptomatique instauré par son médecin traitant. L'ECG d'entrée ne montre pas de signe d'ischémie, le laboratoire retrouve un NT-proBNP et des D-dimères élevés et les enzymes cardiaques ne présentent pas de cinétique positive. Le bilan est complété avec un CT thoracique ne retrouvant pas d'embolie pulmonaire. Au vu des douleurs importantes, le patient est hospitalisé pour antalgie. Une échocardiographie transthoracique est stable par rapport à janvier 2018 mais les cardiologues suspectent une pseudarthrose du massif sternal après sternotomie. Mr. Y ayant présenté un épisode de frisson sans fièvre au service des urgences, des hémocultures sont prélevées et reviennent négatives. Le patient ne présentant pas de syndrome inflammatoire, les cardiologues nous proposent de l'adresser au Dr. X (Clinique Bois-Cerf) pour reconstruction du massif sternal par cimentoplastie. Les images sont envoyées et nous sommes encore en attente de la réponse du Dr. X lors de la sortie du patient. A son arrivée au service des urgences, au vu des douleurs intenses présentées, le patient reçoit de la morphine en intraveineux et présente une réaction histamino-libératrice avec rougeur de l'avant-bras et du visage, sans symptôme respiratoire. Durant le séjour, Mr. Y présente des douleurs au niveau de l'interphalangienne de l'hallux gauche. La présentation étant typique pour une crise de goutte, le patient bénéficie d'un traitement par AINS avec bonne évolution des douleurs et de la tuméfaction. Un traitement par Allopurinol est également introduit sur conseil des rhumatologues. Un rendez-vous est à prendre à 1 mois pour suivi de la goutte.Une hyperkaliémie à 5.6 mmol/l est mise en évidence le 05.04.2019 sans explication. Un contrôle le lendemain retrouve une valeur dans la norme à 4.6 mmol/l et un contrôle sera à effectuer chez le médecin traitant à distance. Au vu de l'amélioration clinique après adaptation de l'antalgie, Mr. Y peut rentrer à domicile le 06.04.2019. Mr. Y, 61 ans, connu pour un NSCLC du lobe supérieur droit avec un premier diagnostic en décembre 2018 est hospitalisé en électif le 09.04.2019 afin de bénéficier d'une lobectomie du lobe supérieur à droite. L'intervention est effectuée le jour même de l'entrée et reste sans particularité. La prise en charge post-opératoire est marquée par des douleurs importantes au site de la thoracotomie seulement difficilement gérables qui permettent un sevrage du cathéter péridural à J6 de l'intervention. Par la suite, l'évolution est favorable avec un patient toujours plus mobile et des douleurs contrôlées par antalgie simple en per oral permettant un retour à domicile le 20.04.2019. Mr. Y est un patient connu pour un statut post-TURP dans le cadre d'une hyperplasie bénigne de la prostate et sous traitement de Plavix, qui présente l'apparition spontanée d'une hématurie macroscopique le 07.04.2019. Nous mettons en place des rinçages vésicaux et le patient bénéficie de la transfusion de 2 culots érythrocytaires. Le staphylocoque epidermitis retrouvé dans les cultures bactériennes est suggestif d'une probable contamination lors du prélèvement et ne nécessite pas de traitement antibiotique (discuté avec les infectiologues). Il présente une évolution favorable avec retour à des urines claires et peut rentrer à domicile le 12.04.2019. Après discussion avec la garde de cardiologie, nous proposons un arrêt du Plavix et mise en place d'un traitement avec de l'aspirine. Le patient prendra contact avec le Dr. X pour un contrôle avec une cystoscopie. Sur le CT abdominal, une lésion hépatique est découverte fortuitement. Le patient sera convoqué pour une IRM et le résultat sera envoyé au médecin traitant. Mr. Y est hospitalisé pour surveillance neurologique suite à un traumatisme craniocérébral léger avec perte de connaissance brève, confusion et amnésie de moins de 24h. Il montre une évolution favorable lors de son hospitalisation avec un retour à des fonctions neurologiques normales. Mr. Y rentre à domicile le 06.04.2019 au soir. Mr. Y, 80 ans, est admis aux soins intensifs pour un état confusionnel aigu le 08.04.2019. Le patient consulte les urgences de Payerne le 06.04.2019 en raison d'un angor associé à une dyspnée. Le bilan met en évidence des enzymes cardiaques positives avec des modifications à l'ECG (aplatissement des ondes T dans les dérivations précordiales) évoquant un NSTEMI. Le patient est transféré aux soins intensifs à Fribourg pour une surveillance hémodynamique en raison d'un manque de place à Payerne. Il reçoit une charge en aspirine, Brilique et Arixtra à Payerne. À son arrivée aux soins intensifs, il présente une hypertension artérielle traitée par trinitrine et par inhibiteur calcique. Il ne présente pas de récidive de douleur thoracique ni de dyspnée et la surveillance rythmique est sans particularité. Il ressent une anxiété importante qui est traitée par réassurance et un traitement anxiolytique. La surveillance étant rassurante, le patient est transféré à l'étage de médecine interne. La coronarographie est effectuée le 08.04.2019. Deux stents actifs sont mis en place, dont un sur la deuxième diagonale et un sur la circonflexe. Un quart d'heure après l'examen, il développe une vive douleur thoracique et bénéficie immédiatement d'un contrôle des stents qui est sans particularité. Il développe un état confusionnel aigu, raison pour laquelle il est réadmis aux soins intensifs. Dans le contexte d'état confusionnel aigu, un CT cérébral permet d'exclure un saignement intracrânien. Un bas débit cérébral semble peu probable au vu du profil tensionnel correct. Un traitement par halopéridol et distraneurine est initié. L'évolution neurologique est favorable avec toutefois une importante anxiété persistante, associée à des sensations d'oppression thoracique cédant aux benzodiazépines. Le patient est connu pour un trouble anxieux généralisé pour lequel il est suivi depuis peu par un psychiatre en ambulatoire. Un traitement d'Agomélatine a été récemment introduit. Nous organisons un consilium psychiatrique et nous adaptons le traitement antidépresseur avec de l'Escitalopram. La dose sera à majorer selon la tolérance du patient d'ici 5 jours. Malgré le traitement en place, le patient présente un état de confusion et d'agitation fluctuant avec une inversion du cycle circadien. Nous proposons de faire un bilan neuropsychologique à distance, compte tenu d'un possible trouble cognitif sous-jacent. Un hématome inguinal droit en augmentation en regard du point de ponction est observé et stabilisé avec un Femostop. L'hémoglobine reste stable et sur le CT inguinal, un saignement profond peut être exclu. Le bilan angiologique du 10.04.2019 révèle toutefois un pseudo-anévrisme nécessitant un traitement endovasculaire par injection de thrombine avec un contrôle échographique à 2h, tout à fait satisfaisant. Le 09.04.2019, un bloc de branche gauche nouveau est observé avec des enzymes cardiaques à la hausse dans un contexte de douleurs thoraciques et d'agitation. L'échocardiographie du 10.04.2019 ne révèle pas de trouble de la cinétique nouveau, ni de cardiomyopathie de Takotsubo. Une nouvelle coronarographie n'est donc pas indiquée après avis cardiologique, l'augmentation des enzymes cardiaques pouvant s'expliquer par un épisode de tachycardie dans un contexte d'anxiété et d'agitation. Mr. Y, 66 ans, se présente le 12.04.2019 aux urgences, adressé par son médecin traitant, en raison de douleurs abdominales depuis deux jours en péjoration. Le bilan effectué aux urgences retrouve une cholécystolithiase ainsi qu'une pancréatite aiguë classée Balthazar D, probablement d'origine biliaire. L'évolution clinico-biologique est par la suite favorable, permettant un retour à domicile le 19.04.2019. Sur demande du patient, il sera vu à la consultation du Dr. X à Riaz en date du 15.05.2019, afin de planifier une cholécystectomie à distance de l'épisode aiguë. Mr. Y, 55 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour un choc septique avec bactériémie à Serratia marcescens d'origine indéterminée. Le patient est connu pour un carcinome épidermoïde pulmonaire hilaire droit, traité par radio-chimiothérapie et chirurgie (sleeve bi-lobectomie droite), ayant eu des multiples complications infectieuses post-opératoires. Il est actuellement sous immunothérapie par Pembrolizumab. Le 15.04.2019, il a été adressé par les urgences de l'HFR Riaz pour un choc septique d'origine peu claire. Une bactériémie soutenue à Serratia marcescens a été identifiée (4 bouteilles d'hémocultures positives). Une colonisation endotrachéale par ce même micro-organisme avait été observée en octobre 2018 et est encore présente actuellement. L'origine de la bactériémie reste incertaine. En présence d'une plaie située en regard de la cicatrice de thoracotomie droite qui s'est spontanément ouverte il y a quelques semaines avec un léger écoulement purulent, le diagnostic différentiel suspecté est une ostéomyélite costale droite ou une infection profonde du site opératoire avec une fistule à la peau, malgré l'absence de collection à l'imagerie tomodensitométrique. Une bronchopneumonie avec colonisation du stent trachéal est cliniquement et radiologiquement moins probable. Une infection de port-a-cath est aussi possible. Au vu des antécédents infectieux, une antibiothérapie à large spectre par Meropenem et Vancomycine a initialement été mise en place.L'évolution clinique est favorable sous antibiothérapie et un soutien aminergique transitoire. Une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale a rapidement évolué de manière favorable. Après discussion avec le Dr. X, chirurgien thoracique, nous convenons de transférer le patient en chirurgie thoracique au CHUV pour une révision de la plaie et pour une bronchoscopie diagnostique. Le transfert est organisé pour le 23.04.2019 à 13h00. En attendant, le traitement par Meropenem est poursuivi et le patient est transféré dans le service de médecine interne. Nous remercions les collègues de la chirurgie thoracique du CHUV de contacter le Dr. X, oncologue traitant, pour organiser la prochaine séance d'immunothérapie. Mr. Y, 55 ans, est connu pour un carcinome épidermoïde pulmonaire hilaire droit traité par radio-chimiothérapie et chirurgie (Sleeve bi-lobectomie droite). Il a présenté de multiples complications chirurgicales et infectieuses (suivi par le Dr. X en chirurgie thoracique au CHUV). Actuellement, il est sous immunothérapie par Pembrolizumab (suivi par le Dr. X, oncologue Fribourg). Le 15.04.2019, il a été transféré depuis l'hôpital de Riaz aux soins intensifs pour un choc septique d'origine incertaine. Une bactériémie soutenue à Serratia marcescens a été identifiée à l'admission (4 bouteilles d'hémocultures positives). Une colonisation endotrachéale par ce même micro-organisme avait été observée en octobre 2018 et est encore présente actuellement. L'origine de la bactériémie reste incertaine. En présence d'une plaie située en regard de la cicatrice de thoracotomie droite et qui s'est spontanément ouverte il y a quelques semaines avec un léger écoulement purulent, le diagnostic différentiel suspecté est une ostéomyélite costale droite ou une infection profonde du site opératoire avec une fistule à la peau, malgré l'absence de collection à l'imagerie tomodensitométrique. Une bronchopneumonie avec colonisation du stent trachéal est cliniquement et radiologiquement moins probable. Une infection de port-a-cath est aussi possible. Au vu des antécédents infectieux, une antibiothérapie à large spectre par Meropenem et Vancomycine a initialement été mise en place. L'évolution clinique est favorable sous antibiothérapie et un soutien aminergique transitoire. Une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale a rapidement évolué de manière favorable. Après discussion avec le Dr. X, chirurgien thoracique, nous convenons de transférer le patient en chirurgie thoracique au CHUV pour une révision de la plaie et pour une bronchoscopie diagnostique. Le transfert est organisé pour le 23.04.2019 à 13h00. En attendant, le traitement par Meropenem est poursuivi et le patient est transféré dans le service de médecine interne. À son arrivée à l'étage, le patient rapporte des frissons encore présents 1x/j avec des glaires jaunes-blancs connus depuis l'intervention chirurgicale et un encombrement des voies respiratoires en péjoration. La dyspnée est encore présente dès le moindre effort. Il rapporte aussi des douleurs des côtes et de l'épaule droite connues aussi depuis son opération, ainsi qu'un écoulement purulent au niveau de la plaie en dessous du mamelon depuis plusieurs semaines, traitée une fois par antibiothérapie par sa médecin traitant. Après avis infectiologique, un relais par Céfépime est réalisé le 17.04.2019. Le patient présente encore des épisodes de frissons solennels et des hémocultures reviennent positives pour Serratia marcescens (2/4). Un relais par HBPM est réalisé le 18.04.2019 en vue de la bronchoscopie et de la possible prise en charge chirurgicale ou bronchoscopie au CHUV. Le patient présente des épisodes de diarrhées à plusieurs reprises, sans symptôme urinaire. Une recherche de Clostridium difficile revient négative et le patient bénéficie d'une réhydratation intraveineuse. Au vu de douleurs en péjoration, un traitement par morphine i.v. continu comme à domicile est réintroduit avec bonne amélioration. Concernant le moral, Mr. Y rapporte un raz-le-bol de la situation avec une baisse de moral en rapport avec ces complications et une nouvelle hospitalisation. Un soutien psychiatrique est proposé à Mr. Y durant le séjour. Mr. Y est transféré au CHUV le 23.04.2019 pour suite de prise en charge. Nous proposons aux collègues de la chirurgie thoracique de contacter le Dr. X, oncologue traitant, pour organiser la prochaine séance d'immunothérapie. Mr. Y, 73 ans, a été hospitalisé pour un œdème pulmonaire aigu probablement dans le contexte d'une hypertension artérielle mal contrôlée. Le patient, connu pour une cardiopathie ischémique avec une FEVG à 35%, a présenté une dyspnée progressive depuis 48 heures, ainsi que des œdèmes des membres inférieurs, sans toux et sans douleur thoracique. Il est arrivé aux urgences en ambulance, en détresse respiratoire avec une acidose respiratoire ce qui a nécessité un soutien ventilatoire non-invasif. L'évolution sous ventilation non-invasive et traitement diurétique a rapidement été favorable. La tension artérielle a été contrôlée dans la phase aiguë initiale par de la nitroglycérine. En raison d'une insuffisance rénale aiguë, la thérapie habituelle par IEC a été poursuivie à dose réduite. Le bêta-bloqueur a été repris à la dose habituelle et un anticalcique a été rajouté pour un meilleur contrôle du profil tensionnel. Une échocardiographie transthoracique met en évidence une hypokinésie sévère du ventricule gauche avec une fraction d'éjection à 30%. L'image échographique est superposable à celle de 2016. Une coronarographie élective est proposée par nos collègues cardiologues afin d'exclure une composante ischémique qui aurait participé à la décompensation cardiaque actuelle. Le patient est connu pour un SAOS appareillé. Nous constatons des désaturations nocturnes malgré l'appareillage. Après discussion avec les collègues pneumologues, aucune intervention n'est actuellement nécessaire. En cas de persistance de ce problème à distance de l'épisode aigu actuel, un nouvel avis pneumologique serait indiqué.Le 18.04.2019, le patient a été transféré dans le service de médecine interne. Mr. Y, 77 ans, en bonne santé habituelle, est admis aux soins intensifs puis à l'étage de médecine interne pour un STEMI. Le patient est pris en fast-track STEMI par les ambulanciers pour des douleurs depuis environ 24h. La coronarographie montre une lésion culprit sur l'IVA proximale qui est stentée. Une angioplastie est effectuée sur l'IVA distale. Du ReoPro est injecté en dose unique durant la coronarographie en raison de la contre-indication à l'Aspirine (anamnèse d'Angio-oedème). La CD reste à traiter dans 1 mois. Un traitement d'Efient est débuté pour 12 mois et l'Aspirine est ajoutée (traitement à vie). Une statine est introduite. Le pic de CK est atteint et la fraction d'éjection ventriculaire gauche est à 38%. Une insuffisance cardiaque aiguë est mise en évidence durant le STEMI avec une pression télédiastolique du ventricule gauche élevée motivant des diurétiques en dose unique. Un traitement d'IEC est débuté ainsi qu'un bétabloqueur. Mr. Y décrit une clinique d'angio-oedème suite à la prise d'Aspirine en dose antalgique il y a 40 ans. Une désensibilisation est effectuée sans effet secondaire et donc nous proposons de traiter ce patient avec de l'Aspirine de manière classique. Peu avant son transfert en unité, le patient tente d'enlever sa sonde urinaire tout seul sans dégonfler le ballonnet. Il présente de ce fait une hématurie macroscopique dans le contexte de la double anti-agrégation. La sonde est rincée et aucun caillot n'est retrouvé. La situation est bien expliquée au patient. La sonde est enlevée le 23.04.2019 avec une bonne reprise de la miction spontanée. Le séjour à l'étage de médecine interne se déroule sans complication ni récidive de douleur. L'échocardiographie montre une FEVG à 35% et une hypokinésie sévère du septum moyen et une hypokinésie modérée de la paroi septale antérieure et de la paroi postérieure moyenne, sans thrombus mis en évidence. Un Holter de 24h est réalisé, dont le rapport est à pister. Une réadaptation cardiovasculaire ambulatoire à l'HFR Billens est demandée, à laquelle le patient sera convoqué. Il sera également convoqué pour une échocardiographie de contrôle dans 2 semaines et pour une nouvelle coronarographie dans 1 mois. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y quitte notre service le 25.04.2019 pour un retour à domicile. Mr. Y est hospitalisé de façon élective en vue d'une colonoscopie agendée au 02.04.19 en raison d'un épisode d'hématochésie survenu le 18 janvier 2019. La préparation colique est effectuée sans problème et la colonoscopie permet d'objectiver deux angiodysplasies ainsi que des polypes, qui sont traités durant le geste. Le rapport complet de l'examen vous sera adressé dans les meilleurs délais. Les suites du geste sont sans particularité et Mr. Y peut rentrer à domicile le 03.04.19. Mr. Y est un patient de 46 ans, connu pour une tétraparésie suite à un accident de travail en 2017, qui a bénéficié d'une ostéosynthèse pour fracture du radius distal gauche en juillet 2017, avec une consolidation osseuse acquise lors des contrôles radiologiques. L'indication à une ablation du matériel d'ostéosynthèse est retenue, intervention qui se déroule sous anesthésie par bloc nerveux périphérique au niveau du coude le 23.04.2019, sans complication particulière. Mr. Y est hospitalisé dans le service d'orthopédie pour la nuit, étant donné qu'il n'est pas capable de prendre appui pour se mettre dans son fauteuil du fait de l'anesthésie par bloc nerveux périphérique. Le 24.04.2019, les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie simple et, l'anesthésie par bloc nerveux s'étant résorbée, le patient est capable de se mettre de manière autonome dans son fauteuil. Dès lors, il peut retourner à domicile ce 24.04.2019. Au status, il n'y a pas de déficit sensitivomoteur nouveau du membre supérieur gauche, le pansement Comfeel est étanche. Mr. Y est un patient de 73 ans, multimorbide, hémodialysé pour une insuffisance rénale terminale hypertensive, connu pour une artériopathie des membres inférieurs stade IV. Il est hospitalisé en électif pour bilan angiologique. Il présente de multiples plaies des membres inférieurs dont une ostéomyélite chronique en mauvaise évolution après 8 semaines d'antibiothérapie et de multiples gestes de recanalisation dans le passé. A l'artériographie du membre inférieur droit réalisée durant l'hospitalisation, une occlusion significative de l'a. tibial postérieur et antérieur est mise en évidence. Un bon résultat de recanalisation est obtenu après angioplastie au ballonnet de ces deux artères, sans complication. Le point de ponction inguinal droit est sans particularité. Mr. Y rentre à domicile le 06.04.2019. Mr. Y est un patient de 82 ans, qui est hospitalisé dans notre service de chirurgie pour prise en charge d'une plaie chronique au niveau de la malléole interne gauche d'origine mixte. Il bénéficie d'une TEA de l'a. fémorale avec pontage fémoro-poplité en VSI crossectomie et ligature des veines perforantes le 31.01.2019. L'intervention se déroule sans complication. La deuxième plaie proximale montre un écoulement séreux traité par pose d'un pansement PICCO le 05.02.2019 qui est à conserver pendant 5 jours. Sur le plan cardiovasculaire, le patient présente des hypotensions ainsi que des douleurs rétrosternales connues répondant à l'Isoket. Sur avis de nos collègues internistes, le traitement par Xatral est mis en suspens et la dose de Torem est réduite. Sur le plan respiratoire, le patient décrit des hémoptysies suite à une chute sur la poitrine il y a 3 semaines motivant un scanner thoracique. Celui-ci ne met pas en évidence de fracture quelconque, de lésion bronchique ou d'infiltration pulmonaire. Les hémoptysies ne sont par ailleurs pas objectivées lors du séjour dans notre service. Mr. Y est transféré en gériatrie aiguë le 08.02.2019 pour suite de la prise en charge. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 20.03.2019 à 14h00 pour un contrôle post-opératoire. Mr. Y est un patient de 79 ans adressé par nos confrères d'oncologie pour surveillance et prise en charge d'un état fébrile d'origine indéterminée apparu dans un contexte de néoplasie pulmonaire nouvellement diagnostiquée. Sur le plan oncologique, un PET-CT du 02.04.19 met en évidence une néoplasie bronchique du lobe supérieur droit avec présence de plusieurs métastases médiastinales, y compris contro-latérales. Aucun foyer infectieux n'est toutefois retrouvé sur ce bilan radiologique et les surveillances durant l'hospitalisation ne permettent pas d'objectiver de nouvel état fébrile. Dans ce contexte, l'état fébrile est mis sur le compte d'une étiologie néoplasique et aucun traitement antibiotique n'est notamment introduit. Mr. Y peut rentrer à domicile le 05.04.19. La suite de prise en charge sera établie par le Professeur X en ambulatoire. Mr. Y, patient de 79 ans, connu pour un adénocarcinome pulmonaire stade T4 N3 M1 (diagnostiqué le 20.03.2019) suivi par Prof. X, amené par sa femme au service des urgences le 06.04.2019, inquiets en raison d'un état fébrile à 39°C. A noter que le patient présente un état fébrile fluctuant (entre 36.8 et 39 de température) depuis 2 semaines, pour lequel il avait été hospitalisé du 02.04 au 05.04.2019 et une origine paranéoplasique avait été retenue.Après évaluation clinique et paraclinique, nous retenons également le syndrome paranéoplasique comme étiologie à son état fébrile. Sur le plan oncologique, au vu de la réception des résultats de l'immunohistochimie, une immunothérapie par Tagrisso est débutée dès le 09.04.2019 selon les recommandations du Dr. X. Sur le plan urologique, rappelons la mise en évidence sur le PET-CT du 02 avril, d'une hypercaptation prostatique, suspecte de malignité avec la présence d'une adénopathie hyperactive rétropéritonéale. Nous laissons le soin à l'équipe d'oncologie de procéder à d'éventuelles investigations supplémentaires. Sur le plan cardiaque, nous objectivons le 09.04.2019 au soir une fibrillation auriculaire rapide à 120 bpm avec bonne tolérance hémodynamique, associée à une déshydratation. Une anticoagulation thérapeutique par Clexane puis Xarelto est débutée. Malgré l'hydratation, la tachycardie persiste, motivant l'introduction d'un bêta-bloquant. Selon l'étiologie retenue à l'AVC il y a 10 ans, nous vous laissons le soin d'évaluer la nécessité de poursuivre l'anti-agrégation d'aspirine cardio en plus de l'anticoagulation. Sur le plan digestif, en raison de troubles de la déglutition anamnestiques, nous effectuons un transit baryté le 10.04.2019 qui est normal et permet d'exclure la présence de fausses routes ainsi qu'une compression tumorale extrinsèque. Mr. Y rentre à domicile le 11.04.2019 avec un suivi ambulatoire. Mr. Y sera revu à votre consultation le 07.05.2019 pour contrôle clinico-biologique (gamma GT) et ablation des fils. Mr. Y, patient de 66 ans, en bonne santé habituelle, sans traitement médicamenteux, est hospitalisé en raison d'un syndrome coronarien aigu de type NSTEMI. Le patient rapporte des douleurs rétrosternales intenses évaluées à 10/10 de type brûlure, débutées soudainement dans un contexte de tension familiale. Le bilan biologique et l'électrocardiogramme faisant suspecter un NSTEMI, une coronarographie est effectuée le jour même, montrant une subocclusion d'une petite artère bissectrice et une sténose significative de l'artère interventriculaire moyenne. Les lésions sont traitées par implantation de deux stents actifs. Une échocardiographie transthoracique effectuée avant la coronarographie a montré une fraction d'éjection du ventricule gauche à 65% sans valvulopathie. Une double anti-agrégation plaquettaire est introduite avec Aspirine à vie et Clopidogrel pour 12 mois. La surveillance hémodynamique et rythmique aux soins intensifs permet l'introduction d'un IEC et d'un traitement bêta-bloquant et une statine. L'hémoglobine glyquée est à 5.2%. Le patient, fumeur actif, est désireux de tenter un sevrage tabagique. Nous proposons un patch de nicotine et vous laissons le soin de poursuivre le sevrage. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 16.04.2019 avec une ergométrie de contrôle dans 6 mois. Une réhabilitation cardiovasculaire ambulatoire à l'HFR Billens est proposée au patient, qui n'en ressent pas le besoin. Mr. Y, 66 ans, a été admis pour un infarctus du myocarde de type NSTEMI sur une subocclusion d'une petite artère bissectrice et une sténose significative de l'IVA moyenne. Le patient est en bonne santé habituelle et ne présente pas de facteurs de risques cardiovasculaires autres qu'un tabagisme actif. En raison de douleurs thoraciques typiques apparues subitement le 13.04.2019, il a consulté les urgences. Le bilan biologique et électrocardiographique faisant suspecter un NSTEMI, une coronarographie a été effectuée le jour même. L'examen a démontré une subocclusion d'une petite artère bissectrice et une sténose significative de l'artère interventriculaire moyenne comme corrélat pour le syndrome coronarien aigu. Les lésions ont été traitées par implantation de deux stents actifs. À noter qu'une échocardiographie transthoracique a été effectuée aux urgences avant la coronarographie et a montré une fraction d'éjection du ventricule gauche à 65% sans valvulopathie. Le pic de CK s'est élevé à 923 U/l. Le bilan lipidique retrouve un LDL-cholestérol légèrement augmenté et l'hémoglobine glyquée est à 5.2%. Une double anti-agrégation plaquettaire est prévue par Aspirine à vie et Clopidogrel pour 12 mois. La surveillance hémodynamique et rythmique aux soins intensifs permet l'introduction d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion et d'un traitement bêta-bloquant. Un traitement de statine est aussi introduit. Le patient est transféré le 14.04.2019 dans le service de médecine. Un contrôle est préconisé dans 1 semaine chez le médecin traitant et une ergométrie de contrôle dans 12 mois. Mr. Y est connu pour entre autres des troubles psychiatriques, antécédents cérébro-vasculaires et une incontinence fécale. Le 27.03.2019, il bénéficie d'une cure d'hydrocèle droite à l'hôpital Daler qui se déroule sans complication. Par la suite, il présente une surinfection locale de la plaie opératoire avec abcès nécessitant son hospitalisation à l'HFR Fribourg ainsi qu'un débridement et une orchidectomie le 31.03.2019. Par la suite, un traitement antibiotique par Ceftriaxone ainsi que des débridements fréquents et rinçages de la plaie sont effectués. Le patient montre une évolution favorable. Après discussion avec le médecin traitant, la famille et PsyDom, nous organisons un séjour de convalescence dans une unité d'accueil temporaire UATO. Mr. Y souffre d'un syndrome du tunnel carpien avancé de la main gauche. L'indication pour une neurolyse du nerf médian est donc donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est programmée pour le 25.04.2019 en ambulatoire. Mr. Y est un patient de 73 ans, connu pour un diabète de type II et une nécrose au niveau du deuxième orteil, qui bénéficie d'une amputation de cet orteil le 02.04.2019. Les suites opératoires sont simples et sans complication. Au niveau de la plaie, un petit hématome stable est objectivé, qui s'évacue par la plaie, sans signe d'infection. Nous laissons le soin au Home de faire les pansements aux 48h avec Adaptic et compresses jusqu'à la cicatrisation. En l'absence de complication, nous ne reverrons pas le patient. Les douleurs sont soulagées par l'antalgie et le patient est confortable le jour de sa sortie. La mobilisation est conservée. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 05.04.2019. Mr. Y, 74 ans, est admis aux soins intensifs pour un choc septique avec insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur une pneumonie lobaire supérieure droite à Legionella. Le patient, connu pour un syndrome métabolique avec un diabète insulino-requérant et anticoagulé par Sintrom pour une FA chronique. Malgré une couverture antibiotique adéquate par Clarithromycine puis Lévofloxacine, le patient présente une péjoration sur le plan respiratoire avec augmentation progressive des besoins en oxygène. Il est admis aux soins intensifs en état de détresse respiratoire avec une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique nécessitant une intubation oro-trachéale de 4 jours. Il développe également un tableau de choc septique et nécessite un soutien aminergique qui peut être sevré après 3 jours. L'antibiothérapie par Lévofloxacine est poursuivie avec majoration de la posologie. Un traitement par Cefepime est transitoirement instauré du 21.03.2019 au 23.03.2019 devant une suspicion de VAP, infirmée. L'évolution est par la suite favorable permettant un sevrage de l'oxygène le 23.03.19. Dans le contexte aigu, son diabète décompensé motive une insulinothérapie en IV continu. Son traitement habituel est par la suite repris progressivement sous contrôle diabétologique.Le séjour aux soins intensifs se complique d'un déconditionnement général sur le plan musculo-squelettique et nutritionnel. Il profite de physiothérapie intensive et d'un suivi nutritionnel rapproché permettant une bonne évolution. À la sortie Mr. Y peut monter et descendre 2 étages sans problème et se mobilise sans moyen auxiliaire. Un retour à domicile est organisé le 13.04.19. Mr. Y est hospitalisé de manière élective dans notre service pour un dépistage d'apnées et d'hypoventilation nocturne dans le contexte de la SLA. Le patient décrit une fatigue générale quotidienne, ainsi que des nuits peu réparatrices avec nycturie jusqu'à 3x/nuit. Son épouse est très présente pour le soutenir dans les tâches du quotidien. Lors de ce séjour, nous mettons en évidence un syndrome d'apnées/hypopnées de type principalement obstructif, de degré sévère, ainsi qu'une hypoventilation alvéolaire nocturne avec une capnie moyenne à 9 kPa. Nous effectuons durant la seconde nuit une mise sous VNI que le patient tolère parfaitement bien. Les résultats polygraphiques et capnographiques sont très satisfaisants avec un IAH passant de 31/h à 5.7/h et une capnie moyenne passant de 9 kPa à 6.7 kPa. Le patient décrit une amélioration de sa dyspnée et de sa qualité de sommeil sous VNI. Mr. Y sera convoqué dans 3 mois pour un contrôle polygraphique et capnographique en hospitalisation élective dans notre service. Si les valeurs sont toujours satisfaisantes, les prochains contrôles se feront annuellement. En restant à votre disposition pour tout renseignement complémentaire, nous vous adressons, Monsieur et cher Confrère, nos meilleures salutations. Mr. Y, 55 ans, a été admis pour un STEMI latéral secondaire à une subocclusion de l'ostium de la seconde diagonale. Le patient est diabétique et connu pour une maladie monotronculaire de l'IVA. Il s'est présenté pour un angor aux urgences. L'ECG initial a mis en évidence un STEMI latéral. La coronarographie en urgence a identifié une subocclusion de la seconde diagonale au niveau des stents de l'IVA (lésion bifurcation). Le vaisseau a été revascularisé par un stent actif en plus d'un kissing-balloon de l'IVA moyenne à la bifurcation. La FEVG est conservée. Une double anti-agrégation est prévue pour 24 mois. Le pic de CK s'est élevé à 176 U/l et la surveillance rythmique a été sans particularité. Une échocardiographie transthoracique est à effectuer avant la fin du séjour hospitalier. Un contrôle chez le médecin traitant devra se faire dans un mois. Une ergométrie est à planifier à une année. L'hémoglobine glyquée est à 7.3%. L'insulinothérapie a été poursuivie, ainsi que la statine pour la dyslipidémie. Le patient a été transféré le 17.04.2019 dans le service de médecine interne afin de terminer la remobilisation et adapter le traitement médicamenteux selon le profil de pression artérielle. Mr. Y, 55 ans, connu pour une maladie coronarienne stentée et un diabète insulino-requérant, hospitalisé le 16.04.2019 pour prise en charge d'un STEMI latéral. Le patient se présente aux urgences avec des douleurs thoraciques typiques survenues au repos. L'ECG initial ne montre pas de signe d'infarctus mais les douleurs répondent bien à la nitroglycérine. Un deuxième ECG à 8h montre de nouveaux sus-décalages dans les dérivations I et AVL, accompagnés d'une cinétique des CK. Le patient reçoit de l'effient 60mg et de l'héparine 5000 UI. La coronarographie effectuée en urgence montre une subocclusion de la seconde diagonale, qui est directement dilatée et stentée. Le résultat final est bon. La surveillance rythmique aux soins intensifs se déroule sans complications et le patient est transféré en médecine interne pour la suite de la prise en charge. Le traitement cardioprotecteur du patient est adapté, avec diminution du beta-bloquant et du lisinopril à 1x par jour en raison de tensions artérielles basses. L'aspirine est à poursuivre à vie et l'Efient pendant 2 ans. Sur le séjour, le schéma de mobilisation physiothérapeutique se déroule sans complications. L'hospitalisation est coupée court en raison d'un patient extrêmement désireux de rentrer à domicile et de reprendre le travail, malgré nos conseils. Il refuse également la réadaptation cardiovasculaire. De la physiothérapie en ambulatoire et un arrêt de travail sont malgré tout prescrits au patient. Il rentre à domicile le 18.04.2019 et bénéficiera d'un suivi ambulatoire par vos soins dans un mois et dans 6 mois. Mr. Y est un patient âgé de 73 ans, connu pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, qui présente dans la nuit du 7 mars 2019 une douleur en fosse lombaire droite associée à une dysurie. En raison de la persistance de la symptomatologie, le patient consulte son médecin traitant qui réalise un laboratoire sanguin, montrant un syndrome inflammatoire associé à une leucocytose. Dans ce contexte, le patient est orienté aux urgences de Fribourg. Nous complétons le laboratoire avec un bilan hépatique revenant sans particularité. Au vu d'un souffle valvulaire pulmonaire perçu à l'examen clinique, nos collègues anesthésistes posent la nécessité de réaliser un bilan cardiaque préopératoire, raison pour laquelle nous traitons la cholécystite aiguë par antibiothérapie avec Ceftriaxone et Métronidazole pour une durée totale de 10 jours. L'évolution clinico-biologique est favorable permettant un retour à domicile le 13.04.2019. Une opération est prévue à 6 semaines post-hospitalisation. Le patient sera revu en consultation des Chefs de clinique à 4 semaines post-hospitalisation. À noter la réalisation d'une échographie cardiaque montrant une légère hypokinésie de la paroi postérieure moyenne avec FEVG normale le 11.04.2019, raison pour laquelle le patient sera convoqué le 15.04.2019 pour une coronarographie ambulatoire et Holter test. Mr. Y nous est adressé du service de médecine interne de l'HFR Meyriez pour la suite de la prise en charge d'une luxation de l'épaule gauche suite à une chute mécanique le 21.03.19, traitée conservativement et de trouble de l'équilibre avec des chutes à répétition. À l'anamnèse, le patient se plaint des épisodes de nycturie, des œdèmes aux membres inférieurs et d'une dyspnée à l'effort présente depuis quelques années. Sur le plan locomoteur, il se plaint de douleurs mécaniques au genou gauche (présentes depuis un accident à moto à l'âge de 18 ans). À l'examen, nous constatons des œdèmes aux membres inférieurs. La suite de l'anamnèse et le statut clinique sont dans la norme. Mr. Y vit seul dans un studio au premier étage avec un ascenseur, et 10 marches d'escaliers à faire. Il n'est pas marié et il n'a pas d'enfants. Il a une sœur et un frère qui habitent à Fribourg. Il est autonome pour les AVQ. Il a une aide ménagère 2x/semaine et sa sœur l'aide aussi pour les lessives. Le but global est un retour à domicile. À l'entrée, le patient présente une mobilité légèrement diminuée avec un risque de chute augmenté. Les transferts et la marche sont faits avec l'aide de deux cannes de façon autonome. La montée de 18 marches d'escaliers est possible sous supervision. Le patient profite d'une physiothérapie intensive avec entraînement d'équilibre, renforcement musculaire des extrémités supérieures et inférieures et entraînement de la condition de la marche. L'ergothérapie a évalué le besoin d'aide du patient et son autonomie pour les tâches quotidiennes. À l'entrée, le patient se plaint de douleurs légères à l'épaule gauche que nous traitons par une antalgie adaptée.A la sortie, nous notons une diminution du risque de chute. Les transferts, la marche et la montée des 18 marches d'escaliers sont faits de façon autonome. Ad diagnostic supplémentaire 1 Le test de pallesthésie met en évidence une polyneuropathie périphérique des membres inférieurs. Un bilan vitaminique est effectué qui montre des valeurs normales des vitamines B12 et B9. Le suivi biologique met en évidence une hypovitaminose D que nous substituons. Nous proposons un contrôle biologique de la vitamine D dans 3 mois et réévaluation du traitement de substitution. Ad diagnostic supplémentaire 2 En raison d'une tension systolique à 90-110 mmHg, nous diminuons le traitement par Lisinopril à 2.5 mg par jour et nous arrêtons le traitement par Coversum. Par la suite, nous reprenons le traitement par Lisinopril à 5 mg/j avec des valeurs tensionnelles dans la norme. Ad diagnostic supplémentaire 3 En raison d'oedèmes des membres inférieurs importants avec une dermite ocre sans signe d'une décompensation cardiaque, nous posons le diagnostic d'une insuffisance veineuse chronique que nous traitons avec des bandes compressives. Par la suite, nous notons une régression de ces oedèmes aux membres inférieurs, raison pour laquelle nous arrêtons la mise en place des bandes de contention. Nous proposons la réévaluation de la nécessité de la mise en place d'un traitement pour ces oedèmes des membres inférieurs en ambulatoire. Ad diagnostic supplémentaire 4 Le MMS effectué à l'entrée met en évidence des troubles cognitifs débutants. Ad diagnostic supplémentaire 5 Le suivi biologique met en évidence une hypothyroïdie substituée. Nous proposons un contrôle et une réévaluation du traitement en ambulatoire. Ad diagnostic supplémentaire 6 Le suivi clinique met en évidence une anémie normochrome normocytaire. Un bilan vitaminique effectué montre des valeurs normales des vitamines B12 et B9. Nous conseillons un suivi ambulatoire à distance. Mr. Y peut rentrer à domicile dans un état général amélioré le 18.04.2019 avec un passage des soins à domicile 2x/j et une physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y, 84 ans, a été admis aux soins intensifs pour un sepsis secondaire à une entérite avec diarrhées infectieuses. Le patient est connu pour une leucémie lymphatique chronique avec gammapathie monoclonale, un diabète insulino-requérant, compliqué d'une néphropathie chronique. Au cours des 3 jours précédant l'admission, il a présenté des selles liquides avec une notion de comptage. Le 11.04.2019, il a été amené en ambulance aux urgences en raison de troubles de l'état de conscience. A son arrivée, il était fébrile à 40°C avec une hypotension artérielle qui a bien répondu au remplissage vasculaire. Le CT thoraco-abdominal n'a pas montré de foyer, mais des adénopathies ubiquitaires probablement dans le contexte de la pathologie hémato-oncologique connue. Par la suite, le patient a présenté des diarrhées profuses. Un sepsis sur entéro-colite infectieuse a été retenu. Une antibiothérapie empirique de Ceftriaxone et Clarithromycine a été débutée. Les PCR à la recherche de bactéries entéropathogènes sont négatives. Les hémocultures, PCR de selles, norovirus sont négatives. La Clarithromycine a été stoppée suite à l'absence de Campylobacter. La Ceftriaxone a été poursuivie pour une durée de 5 jours. A la sortie, le patient rapporte quelques épisodes de selles liquides à raison de 2 à 3 jours. Nous proposons un suivi clinique en ambulatoire. En cas de persistance, une recherche de clostridium peut être envisagée. Une insuffisance rénale aiguë AKIN 2 pré-rénale a été attribuée aux diarrhées profuses et s'est améliorée après la correction volémique. Elle survient dans le contexte de la néphropathie diabétique connue avec une protéinurie et une acidose métabolique qui s'est aussi améliorée après la substitution des bicarbonates. L'insuffisance rénale se corrige en fin d'hospitalisation. Les débuts d'une insuffisance cardiaque sur excès de remplissage que nous traitons à petite dose de diurétiques en raison de l'insuffisance rénale. Nous vous proposons de poursuivre la prise en charge en ambulatoire. Une rhabdomyolyse modérée avec un pic de CK à 3605 U/l est d'étiologie incertaine. Elle pourrait avoir été précipitée par des troubles électrolytiques ou l'acidose. Elle s'est corrigée après remplissage vasculaire. Le traitement habituel de l'hypertension artérielle a été mis transitoirement en suspens dans le contexte de l'insuffisance rénale aiguë. Une crise hypertensive a nécessité du labétalol iv, puis la reprise progressive du traitement per os. L'insulinothérapie sous-cutanée a été diminuée en raison d'une tendance hypoglycémique. Merci de contrôler la gestion de la glycémie lors de votre prochain rendez-vous la semaine prochaine. Mr. Y est un patient de 59 ans en bonne santé habituelle. Il est admis aux soins intensifs dans le cadre d'un ARDS dans un contexte d'une probable surinfection bactérienne d'une pneumonie Influenza A. Le patient présente depuis le 23.02.2019 un état grippal et un traitement antibiotique par Co-amoxicilline est débuté le 28.02.2019 par son médecin traitant pour suspicion de pneumonie communautaire. Au vu d'un état fébrile et d'une dyspnée persistante, il consulte aux urgences de Meyriez le 02.03.2019. Une détresse respiratoire est mise en évidence avec une insuffisance respiratoire hypoxémique motivant un transfert aux urgences de Fribourg, puis une admission aux soins intensifs pour un soutien ventilatoire.L'insuffisance respiratoire hypoxémique est réfractaire aux traitements par VNI et le patient doit être intubé le 03.03.2019. Dans le contexte d'une possible surinfection bactérienne, le spectre antibiotique est élargi avec Clarithromycine et Pipéracilline-Tazobactam et l'Oseltamivir est également introduit au vu d'un résultat positif pour la grippe A. L'antibiothérapie est poursuivie jusqu'au 09.03.2019 et le traitement antiviral jusqu'au 07.03.2019. Seul un Enterobacter Aerogenes est retrouvé dans les expectorations du 14.03.2019 et du 19.03.2019, probable contaminant. Malgré l'intubation oro-trachéale et la ventilation mécanique, l'hypoxémie est persistante et le diagnostic d'ARDS est retenu. Une sédation plus profonde avec curarisation est nécessaire, tout comme une position en décubitus ventrale et un traitement par monoxyde d'Azote jusqu'au 10.03.2019. L'évolution est ensuite lentement favorable avec un sevrage progressif des traitements et de la ventilation mécanique dès le 12.03.2019 ainsi qu'une extubation le 16.03.2019. Durant son séjour, une polyneuromyopathie de la maladie critique est mise en évidence. Dans ce contexte, un traitement de physiothérapie intensive est débuté le 17.03.2019. Un possible délirium des soins est observé dès le 16.03.2019 avec surtout une confusion avec des propos incohérents et une agitation nocturne pour laquelle le patient bénéficie d'un traitement par distraneurine avec bonne évolution. Le 17.03.2019, le CT abdominal retrouve un iléus paralytique, avec une distension du caecum importante pour laquelle le patient reçoit des procinétiques et une nouvelle sonde nasogastrique est posée. L'évolution est rapidement favorable avec une reprise de l'alimentation dès le 19.03.2019, avec une reprise du transit sous laxatif dès le 18.03.2019. Lors de son transfert dans le service de médecine interne, le patient présente un état fébrile mis sur le compte d'une probable broncho-aspiration basale gauche qui répond favorablement à un traitement antibiotique par Rocéphine. Le patient décrit une douleur sur le dos du pied gauche ne répondant pas favorablement aux traitements d'antalgie de base. Celle-ci est mise sur le compte de la polyneuropathie des soins intensifs. Une consultation à la clinique de la douleur à Sainte-Anne est organisée et le patient devrait être convoqué en ambulatoire. Un suivi ergothérapeutique est instauré à Meyrier. Au vu de l'amélioration globale rapide, une réhabilitation hospitalière n'est plus nécessaire. Une rééducation en ambulatoire est préconisée. Celle-ci se fera à l'hôpital de Meyrier. Le patient est averti qu'il ne peut pas conduire après prise de Tramal. Mr. Y consulte pour une dyspnée en péjoration. Le patient décrit depuis quelques semaines une dyspnée en augmentation actuellement de stade NYHA 4, une orthopnée et des oedèmes des membres inférieurs. Le status montre des râles crépitants à la base pulmonaire droite et des oedèmes des membres inférieurs. La radio du thorax montre un épanchement en base pulmonaire droite. Le bilan biologique montre une NTproBNP à 10979 ng/l, sans syndrome inflammatoire. Le contrôle du pacemaker resynchronisation montre un flutter auriculaire rapide (2:1). Le pacemaker est reprogrammé en VVIR à 70/min. Nous retenons une décompensation cardiaque globale sur tachycardie atriale rapide. L'épanchement pleural est drainé et rend 200 ml de liquide pleural de type transsudat. Nous majorons le traitement de beta-bloqueur avec une diminution de la fréquence cardiaque. Une anticoagulation par Eliquis est introduite. Nous adaptons le traitement de l'insuffisance cardiaque. Mr. Y montre une légère amélioration clinique mais présente toujours des oedèmes des membres inférieurs jusqu'à mi-mollet. Nous proposons au patient un suivi quotidien du poids avec un poids cible autour des 87 kilogrammes. Le patient sera convoqué pour un contrôle chez sa cardiologue, la Dr. X, dans une semaine. Au niveau hématologique, le patient est connu pour une anémie sur insuffisance rénale chronique. Un bilan montre une carence en fer, sans autre carence vitaminique. Nous administrons 1000 mg de Ferinject. Les néphrologues proposent de corriger la carence en fer et d'attendre la résolution de la décompensation cardiaque avant de réévaluer l'indication à un traitement par EPO. Nous proposons au médecin traitant de réaliser un contrôle bio-clinique dans 2 semaines. Au niveau endocrinien, le patient est connu pour un diabète insulino-requérant. Au vu d'hypoglycémies matinales, l'insuline lente est diminuée de deux unités avec une amélioration du profil glycémique. Mr. Y rentre à domicile le 24.04.2019. Mr. Y, patient de 63 ans, consulte en raison de troubles visuels d'apparition subite vers 9h30 alors qu'il regardait la TV, assis. Le patient rapporte un tremblement de la vision, associé à des vertiges de type tangage, sans nausées ni vomissement, durant environ 1 minute. Il rapporte également des céphalées pariéto-occipitales gauches, uniquement déclenchées à la palpation et effleurement du scalp, de type piqûre, évaluées à 3/10 et d'apparition progressive depuis le matin. Le patient rapporte aussi une diminution de force et une hyposensibilité de la main gauche en regard de D4 et D5 durant 2h environ, symptômes connus du patient depuis plusieurs mois, surtout nocturnes et nécessitant de secouer la main pour disparition rapide et complète des symptômes. Le status neurologique montre une hypoesthésie de l'hémiface gauche ainsi que de l'hémicorps gauche s'arrêtant à l'épaule gauche et la base de la cuisse gauche. Le Score NIHSS est mesuré à 1. Le laboratoire d'entrée ne montre pas de syndrome inflammatoire ni trouble électrolytique. Un CT cérébral injecté ne retrouve pas d'argument radiologique pour un AVC ischémique constitué ou hémorragique mais une suspicion d'occlusion de l'AICA gauche. Après avis neurologique, le patient bénéficie d'une dose de charge d'Aspirine pour suspicion d'AVC et est hospitalisé en attente d'une IRM. Celle-ci ne retrouve pas d'argument pour un AVC ni de lésion vasculaire significative. Parallèlement, un bilan plus large montre une hypercholestérolémie, une HbA1c dans la norme et une statine est introduite. L'échocardiographie transthoracique retrouve un foramen ovale perméable de grade II avec une fraction d'éjection du ventricule gauche à 60% sans anomalie. Un test de déglutition revient dans la norme. Après réévaluation neurologique, seule une hypoesthésie légère de la face gauche demeure et au vu des résultats, aucune origine ischémique n'est retenue. Le bilan sera complété avec une IRM panmédullaire et nous concluons à des troubles neurologiques sensitifs d'origine indéterminée. Nous vous laissons le soin d'évaluer l'indication à l'Aspirine cardio par la suite. L'hyposensibilité fluctuante de la main gauche en regard de D4-D5 semble plus ancienne et le territoire correspond à une neuropathie périphérique du nerf ulnaire, à investiguer par ENMG si persistance ou augmentation de la plainte. Sur le plan urinaire, le patient rapporte une peine à initier les mictions, sans autre symptôme urinaire. Le sédiment urinaire est propre et un toucher rectal retrouve une prostate lisse, légèrement augmentée en taille. Un traitement d'épreuve par Tamsulosine est initié et sera à réévaluer selon l'évolution des symptômes. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 05.04.2019. Mr. Y est un patient de 83 ans connu pour une cardiopathie ischémique, un diabète de type 2 insulinoréquant avec status post multiples amputations d'orteils, ainsi qu'une fibrillation auriculaire non anticoagulée. Il est hospitalisé le 18.03.19 à l'HFR Fribourg en raison d'une décompensation cardiaque globale. Le patient se présente aux urgences en décrivant une faiblesse des membres inférieurs avec des chutes à répétition, une dyspnée au moindre effort et, à l'hétéro-anamnèse, une péjoration depuis 2-3 semaines de troubles cognitifs connus. L'examen clinique ainsi qu'une radiographie de thorax et un bilan biologique révélant une élévation des BNP confirment la suspicion initiale de décompensation cardiaque, justifiant l'introduction de diurétiques intraveineux. L'évolution n'est favorable qu'après prescription supplémentaire de Métolazone et passage des diurétiques en IV continu. Une échographie transthoracique montre une FEVG à 35% ainsi qu'un épanchement péricardique d'installation plutôt chronique au vu de l'hémodynamique stable. Des contrôles réguliers par ETT montrent un épanchement stable. Un CT thoraco-abdomino-pelvien est effectué après discussion avec l'équipe de cardiologie afin de rechercher une étiologie néoplasique, laquelle n'est pas retrouvée, sous réserve d'un examen qui ne peut pas être injecté au vu de l'insuffisance rénale. L'origine de cet épanchement péricardique reste peu claire mais les confrères de cardiologie ne recommandent pas d'autre prise en charge en l'absence de retentissement hémodynamique. À noter qu'une étiologie urémique semble peu probable selon les néphrologues. En raison d'une fibrillation auriculaire avec un score de CHADS-VASC à 6 points, le parti est pris de débuter une anticoagulation par Lixiana malgré le risque de chute (score HAS-BLED à 4 points). Sur le plan endocrinologique, la présentation initiale s'accompagne d'une décompensation diabétique hyperosmolaire et le traitement par insuline lente est adapté et un schéma d'insuline rapide est ajouté, avec évolution favorable. Le traitement de Januvia est stoppé et le Trajenta est introduit compte tenu de l'insuffisance rénale. Sur le plan neurologique et selon l'hétéro-anamnèse, le patient était autonome dans la gestion de son diabète et bénéficiait d'une aide pour les repas (repas à domicile), ainsi que pour la gestion administrative et les courses (par la famille). Son état cognitif se serait péjoré les deux semaines précédant l'hospitalisation avec une gestion difficile des médicaments et de l'insuline, ainsi que des redondances dans le discours avec un déficit de mémoire à court terme. Sur avis neurologique, une IRM est réalisée et montre une atrophie corticale avec lésions dégénératives, mais sans signe d'événement ischémique récent. Un test MOCA met en évidence des troubles cognitifs légers. Une péjoration de troubles cognitifs connus d'installation subaiguë sur perturbation métabolique (hyperuricémie) est retenue et l'évolution semble lentement favorable au fil de l'hospitalisation. Suite à l'évolution clinico-biologique favorable, une demande de réhabilitation gériatrique à Riaz est faite. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le/la patient/e a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, patient de 83 ans connu pour une cardiopathie ischémique, un diabète de type 2 insulinoréquant avec status post multiples amputations d'orteils, une insuffisance rénale chronique, ainsi qu'une fibrillation auriculaire non anticoagulée, nous est transféré depuis l'HFR Fribourg pour réhabilitation gériatrique suite à une décompensation cardiaque le 18.03.2019. Sur le plan cardiaque, le traitement diurétique a été adapté avec une bonne évolution clinique. Au niveau endocrinologique, le traitement par insuline lente a été adapté et un schéma d'insuline rapide ajouté, avec évolution favorable. Du Trajenta a également été introduit. Sur le plan néphrologique, les antidiabétiques oraux ont été mis en suspens. La fonction rénale s'était initialement péjorée, pour ensuite se stabiliser aux alentours des 220mmol/l de créatinine. La diurèse était conservée. Neurologiquement, une aggravation des troubles cognitifs connus s'est instaurée de manière subaiguë et mise sur le compte des perturbations métaboliques (hyperuricémie). À l'arrivée dans notre service, Mr. Y se trouve en état général conservé. Au status cardiaque, nous notons des œdèmes des membres inférieurs des deux côtés, jusqu'aux cuisses. Au status neurologique, signalons une hypoesthésie en gant et chaussette. Le reste du status est sans particularité. Le matin du 11.04.2019 vers 7h, Mr. Y glisse dans sa chambre et est retrouvé à côté de l'armoire avec réception en choc direct contre le genou gauche. Le bilan radiologique met en évidence une fracture périprothétique du fémur distal gauche déplacée, le patient est mis sous antalgie par Temgesic et attelle mousse en lit strict. La prise en charge péri-opératoire ne pouvant être assurée sur le site de Riaz chez ce patient polymorbide, Mr. Y est donc adressé à l'HFR Fribourg pour prise en charge chirurgicale. Rappelons que le patient se trouve sous traitement anticoagulant par Lixiana, qui est mis en suspens le 11.04.2019. Remarquons encore un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée au laboratoire du 12.04.2019 sans piste clinique pour un foyer infectieux : le laboratoire du 13.04.2019 sera à pister depuis l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Mr. Y est un patient de 75 ans, aux antécédents sus-mentionnés, qui nous est adressé post-biopsie d'une masse pulmonaire à droite, qui s'est compliquée par un pneumothorax. Le patient bénéficie d'une pose de drain thoracique aux urgences le 16.04.2019, qui se déroule sans complication notable. Par la suite, l'évolution est favorable, permettant l'ablation du drain thoracique le 18.04.2019, puis un retour à domicile le jour même. Mr. Y est hospitalisé de manière élective pour un contrôle annuel de sa VNI avec oxygénothérapie. Sur l'année écoulée, le patient ne rapporte pas de plainte particulière sur le plan respiratoire, notamment pas d'infection pulmonaire, d'antibiothérapie ou d'hospitalisation. Il rapporte une très bonne tolérance à l'appareillage sans fuite, point de pression du masque ou sécheresse des muqueuses de la sphère ORL. Les pressions sont bien supportées et la compliance est bonne selon son épouse. Les résultats de polygraphie nocturne avec capnographie transcutanée sont globalement satisfaisants sous réserve d'une nuit agitée avec multiples réveils et déconnexion des appareils. Le patient semble en effet être confus durant la nuit à chaque contrôle de VNI en hospitalier. Nous observons une bonne ventilation alvéolaire avec valeurs de capnie moyenne à 6.05 kPa avec une oxygénation nocturne moyenne à 86% probablement en lien avec la déconnexion répétée de l'oxygène observée par l'équipe infirmière. La prise en charge des apnées du sommeil est bonne avec un IAH résiduel à 3.5/h. À noter que nous n'avons pas réalisé de fonctions pulmonaires, le patient ne s'étant pas présenté à son rendez-vous. Nous n'effectuons pas de changement des paramètres de ventilation et en accord avec le patient et son épouse, nous prévoyons des contrôles cliniques biannuels en ambulatoire avec réalisation d'une analyse statistique et gazométrie. Mr. Y nous est adressé par son médecin traitant pour l'embolisation d'un anévrisme de l'artère splénique gauche, la prise en charge d'un épanchement pleural et l'investigation d'une masse pulmonaire.Pour rappel, le patient présente une perte de poids, une altération du transit et une dyspnée d'effort depuis le début de l'année. Un épanchement pleural d'origine indéterminée est diagnostiqué et drainé le 14.03.2019 à l'HFR Riaz. Un CT thoraco-abdominal le 20.03.2019 montre des embolies pulmonaires, un anévrisme de l'artère splénique, une masse au niveau de la tête du pancréas et un kyste au niveau de la queue du pancréas. A l'arrivée, le patient se plaint de douleurs au niveau de l'hypochondre gauche, liées au repas, de dyspnée à l'effort et de diarrhées. Au statut, nous observons un abdomen sensible au niveau de l'hypochondre gauche et une hypoventilation généralisée au niveau du poumon gauche. Le bilan biologique montre une lipase et un LDH plasmatique augmentés. Au niveau angiologique, l'anévrisme de l'artère splénique est embolisé avec succès. L'anticoagulation par Xarelto est reprise pour les embolies pulmonaires. Au niveau pulmonaire, un drain thoracique est mis en place pour drainer l'épanchement pleural. Tout comme les premières analyses réalisées à l'HFR Riaz le 14.03.2019, le liquide pleural est un exsudat et ne montre pas de cellule maligne. Les radiologues suspectent que le pseudo-kyste draine dans la cavité pleurale. Le liquide pleural montre une amylase à 230 U/l et une lipase à 491 U/l. Pour les chirurgiens, cela n'est pas compatible avec une probable fistule qui drainerait depuis le pseudo-kyste. Le drain est laissé en place pendant 10 jours et permet de drainer la totalité de l'épanchement. Nous retenons un épanchement d'origine indéterminée. Possiblement paranéoplasique. Il est décidé de retirer le drain et de réaliser un suivi clinique. Si l'épanchement récidive, les chirurgiens proposent de réaliser un talcage avec des biopsies à la recherche d'une origine néoplasique. Au niveau abdominal, une masse est détectée au niveau de la tête du pancréas et un kyste au niveau de la queue du pancréas. Concernant le kyste, étant donné la faible probabilité qu'il draine dans la cavité pleurale, il est décidé de faire un suivi. Si le kyste dépasse les 5 cm ou que Mr. Y devenait symptomatique, il serait possible de poser un drain par voie gastrique par les gastroentérologues pour drainer le kyste. Pour la masse de la tête du pancréas, une endosonographie est réalisée pour la biopsier. La pathologie montre un adénocarcinome muco-sécrétant. Un PET-CT ne montre pas de signe de métastase. Le patient est présenté au tumorboard. Un traitement chirurgical est indiqué. Mais au vu des embolies pulmonaires, il faut réaliser 3 mois d'anticoagulation avant l'intervention. Dans l'intervalle, une chimiothérapie serait bénéfique. Nous communiquons au patient et à la famille le traitement de premier choix (chimiothérapie puis opération de Whipple) et les alternatives (chimiothérapie, radiothérapie, traitement symptomatique). Le patient est convoqué chez le Dr. X pour la prise en charge oncologique. Une IRM est également organisée en ambulatoire pour mieux caractériser la lésion de la tête du pancréas. Mr. Y rentre à domicile le 12.04.2019. Mr. Y, votre patient de 41 ans, est hospitalisé pour prise en charge d'une agranulocytose fébrile sans foyer évident dans un contexte post-troisième cycle chimiothérapeutique de type VIDE, terminé le 20.03.2019 pour un chondrosarcome du mésenchyme ORL diagnostiqué en décembre 2018 suivi au CHUV par le Dr. X et le Dr. X. Le patient se présente au service des urgences le 29.03.2019 pour un état fébrile à 38°C avec un syndrome grippal sous forme de myalgie et de légères céphalées. Il se plaint également d'une petite lésion cutanée post-traumatique (après s'être râpé la main contre un mur dans un contexte de jeu avec ses enfants). À noter également une plainte de douleur buccale à la mastication et à la déglutition. À l'examen clinique initial, nous retrouvons, sur le plan cutané, une lésion papulaire rougeâtre au niveau du troisième métacarpe distal droit. Le bilan initial montre un léger syndrome inflammatoire, une agranulocytose, sans foyer pulmonaire à la radiographie du thorax. Mr. Y est mis au bénéfice d'une antibiothérapie à large spectre par Céfépime, relayée par la suite par une bi-thérapie au vu des résultats des hémocultures, qui sont négatives après cinq jours. Sur le plan oncologique, les résultats de l'IRM cervico-faciale de contrôle récente post-troisième cycle de chimiothérapie effectuée à la Clinique Générale ont été envoyés à nos collègues oncologues du CHUV qui suivent le patient. Ces résultats montrent un aspect de rémission totale avec une absence de masse résiduelle, avec remaniements cicatriciels de la région para-pharyngée droite simples. Nous complétons le bilan par un CT-Scan thoraco-abdominal qui ne montre aucune lésion tumorale. Les résultats et les images du scanner sont envoyés aux oncologues traitants du CHUV pour la suite de la prise en charge, avec un rendez-vous de consultation prévu le 04.04.2019 et le prochain cycle chimiothérapeutique prévu le 10.04.2019. Sur le plan biologique, Mr. Y montre une anémie normochrome normocytaire asymptomatique, ayant néanmoins nécessité une transfusion d'un concentré érythrocytaire. Sur le plan électrolytique, une hypokaliémie est initialement mise en évidence et se corrige après substitution. Mr. Y sort le 02.04.2019 pour un retour à domicile dans un excellent état général, et poursuivra la suite de la prise en charge au CHUV et par vos soins. Mr. Y, âgé de 59 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche avant une chirurgie thoracique pour suspicion de carcinome bronchique au niveau hilaire droit prévue le 29.03.2019. Pour rappel, il s'agit d'un patient qui se présente aux urgences le 19.02.2019 pour une douleur de la hanche droite suite à une chute mécanique de sa hauteur le 17.02.2019 avec découverte d'une fracture du grand trochanter à droite, une fracture de la 10ème côte à gauche et une probable fracture non déplacée de la tête du radius, toutes prises en charge de manière conservatrice. Également découverte fortuite d'une hyponatrémie hypoosmolaire sévère, nécessitant un séjour aux soins intensifs (remplissage, restriction hydrique). Devant une perte de poids importante, un CT thoracique est réalisé et montre une image suspecte de carcinome bronchique au niveau hilaire droit, probablement classé T1c N1 M0, le 21.02.2019. Le bilan d'extension (IRM cérébrale, PET-CT) ne trouve pas de lésions à distance. Le résultat des biopsies est non concluant. Sur le plan social, le patient, divorcé, vit seul à domicile. Il est à l'AI depuis 2016 (ancien mécanicien-électricien). A l'admission, le patient se plaint de troubles de l'équilibre connus, stables. Le patient n'a pas de douleur. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Actuellement, le patient se dit être abstinent. Au statut, le patient est orienté et collaborant. Mr. Y présente une démarche ataxique et utilise une canne. Le Romberg et l'Unterberger sont instables. L'auscultation pulmonaire est sans particularité, pas de souffle cardiaque ausculté. Nous réalisons une gazométrie à l'entrée à l'air ambiant qui montre une légère hypoxémie. Le 19.03.2019, Mr. Y présente un furoncle à la joue gauche qui se draine spontanément. Nous mettons en place le traitement antibiotique par Co-Amoxicilline pour une durée de 5 jours en bonne évolution.Sur le plan nutritionnel, le patient ne souffre pas de dénutrition aiguë. Ses besoins nutritionnels ont été couverts per os sans adaptation alimentaire. Nous avons fait une prévention de la malnutrition auprès de Mr. Y, en insistant sur l'apport en protéines et le suivi du poids. Le poids à la sortie est de 55.7 kg. D'ailleurs, la natrémie reste dans la norme, avec restriction hydrique de 1500 ml par jour. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire sur un périmètre illimité, sans douleur. Il peut monter/descendre 40 marches d'escaliers avec la rampe. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 26.03.2019, en état général conservé. Mr. Y, votre patient de 64 ans, connu pour une cardiopathie multifactorielle et une BPCO, est hospitalisé électivement pour la mise en place d'un défibrillateur implantable double chambre le 15.04.2019. L'intervention se déroule sans complication. Le contrôle radiologique post mise en place de pacemaker est sans particularité. Le contrôle cardiologique du pacemaker indique une fonctionnalité satisfaisante. Le prochain contrôle est prévu dans un mois. Le patient sera convoqué. L'anticoagulation thérapeutique par Xarelto est reprise le 16.04.2019 sur avis cardiologique par le Dr. X. Le patient a été informé des mesures hygiéno-diététiques initiales post-mise en place de pacemaker avec la contre-indication au port des charges de plus de 10 kg. Nous vous suggérons un contrôle de la plaie opératoire dans les dix prochains jours. Le patient prendra rendez-vous. Mr. Y rentre à domicile ce 15.04.2019 sans aide à domicile avec un suivi clinique par vos soins et son cardiologue traitant. Mr. Y est transféré chez nous du service de médecine de l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge d'un déconditionnement aigu dans le contexte d'une cholécystite suite à une cholangite obstructive le 02.03.2019. Le patient se présente chez nous dans un état général diminué. Il se plaint d'une faiblesse des membres inférieurs. Le reste de l'anamnèse est sans particularité. Au niveau abdominal, nous notons des douleurs diffuses à la palpation. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Mr. Y vit dans une maison avec sa femme. Il a 2 enfants et 2 petits-enfants. Dans sa maison, il y a 3 étages avec 26 marches d'escalier. Avant l'hospitalisation, le patient est autonome dans les tâches quotidiennes et il se mobilise sans moyen auxiliaire. À l'entrée, la mobilisation du patient est légèrement diminuée avec un risque de chute augmenté. Il est autonome au niveau des transferts et à la marche, le patient peut faire une distance de 120 m avec des cannes ainsi que 18 marches d'escaliers de manière autonome. Le patient a profité d'une physiothérapie intensive avec entraînement de l'équilibre, renforcement musculaire des extrémités supérieures et inférieures et entraînement de la condition, de la marche et de la montée d'escaliers. L'ergothérapie a évalué le besoin d'aide et son autonomie pour les tâches quotidiennes. À la sortie, nous notons une amélioration de la force des membres inférieurs et de l'équilibre. Le patient peut faire les transferts, marcher 250 m avec des bâtons et 54 marches d'escaliers de manière autonome. Le patient présente une bonne évolution avec amélioration des paramètres biologiques. Nous effectuons une sonographie de l'abdomen le 25.03.2019 qui montre un concret dans la vésicule biliaire mais ne met pas en évidence une nouvelle obstruction de la voie biliaire. Pendant l'hospitalisation, nous constatons une amélioration de la blépharite allergique sous traitement par Occulac et Excipial. Nous introduisons un traitement par Vitamine A jusqu'au 22.03.2019. Un contrôle ophtalmologique a été effectué le 29.03.2019 et un traitement par Tobradex et Larycon a été introduit. En raison d'un état grippal avec un syndrome inflammatoire le 28.03.2019, nous effectuons une radiographie thoracique qui ne montre pas de foyer infectieux et un frottis d'Influenza A qui revient négatif. Par la suite, nous notons une régression spontanée des symptômes. Le patient peut rentrer à domicile dans un état général amélioré le 02.04.2019 avec physiothérapie ambulatoire. Mr. Y nous est réadressé pour la réhabilitation cardiovasculaire suite à une coronarographie élective. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine Cardio 100 mg, insuline Humalog selon schéma, Insulatard 20-0-12-0, Atorvastatine 10 mg, Beloc Zok 25 mg, Efient 10 mg, Losartan 100 mg, Dafalgan 1 g en réserve si douleurs, Ulcar en réserve si pyrosis. Au niveau de la thérapie anti-hypertensive, nous avons remplacé le Lisinopril par du Valsartan 100 mg. Sur le plan diabétologique, nous avons remplacé l'insuline par du Jardiance Met. La glycémie est restée dans des valeurs normales. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 30 minutes à une puissance de 60 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objecte une augmentation de la distance parcourue (+ 190 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final est négatif sur le plan clinique, ischémique et rythmique. Nous avons noté une tendance à l'HTA pour un effort intense que nous conseillons de suivre. L'ETT de contrôle à la sortie montre une HVG relative avec ischémie limitée (discrète dyskinésie inféro-septale inféro-médiane) et une FEVG à 60%. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.6 mmol/L, HDL à 0.91 mmol/L, LDL à 2.51 mmol/L, triglycérides à 1.25 mmol/L. • La pression artérielle basale et la fréquence cardiaque sont restées dans la norme pendant le séjour. • Nous avons monitoré les glycémies sur la journée pendant plusieurs jours et elles sont toujours restées dans la norme. Sur le plan biologique : • Hb 136 g/l • Fonction rénale dans la norme avec créatinine à 69 µmol/ • Électrolytes dans la norme • CRP <5 mg/l. L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un statut de normo-compensation. Mr. Y, 58 ans, a été admis pour une septoplastie élective et transféré aux soins intensifs en surveillance post-opératoire en raison d'un syndrome d'apnées obstructives du sommeil. Le patient est connu pour une obstruction nasale chronique sur déviation septale et hypertrophie des cornets inférieurs. Il bénéficie en électif de l'intervention susmentionnée. Les suites opératoires sont afébriles et l'antalgie est bien contrôlée avec du Paracétamol en réserve. Le patient est surveillé 24h aux soins intensifs en raison d'un SAOS appareillé et d'une impossibilité d'utiliser la CPAP initialement. Le lendemain de l'intervention, les collègues ORL retirent les mèches nasales et proposent la reprise de la CPAP personnelle. Sur avis ORL, le patient rentre à domicile le 18.04.2019 avec un traitement antibiotique prophylactique par Co-amoxicilline pour 5 jours et un contrôle en ambulatoire à la clinique d'ORL. Mr. Y, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, consulte les urgences le 21.03.2019 en raison d'une dyspnée importante depuis une semaine, avec diminution du périmètre de marche. Le patient décrit également une tension artérielle basse depuis décembre 2018.A l'anamnèse, l'appétit est conservé. Le transit est régulier. Pas de sang ni méléna dans les selles. Le patient rapporte une nycturie 2x/nuit stable ainsi que des oedèmes des membres inférieurs, résolus suite à la prise de diurétiques. Pas de douleur rétrosternale, pas d'orthopnée ni de dyspnée paroxystique nocturne. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers. Pas de souffle cardiaque, pas d'oedème des membres inférieurs. Au status respiratoire, présence de discrets crépitants bibasaux. Au niveau digestif, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en intensité. Pas de douleur à la palpation abdominale. Le laboratoire met en évidence une anémie arégénérative avec une hémoglobine à 75 g/l, avec une carence martiale et une carence en acide folique que nous substituons. Nous effectuons une recherche de sang occulte qui revient positive et nous débutons un traitement par Nexium 40 mg 2x/j iv. Le patient bénéficie de la transfusion de 2 culots érythrocytaires le 21.03.2019 avec une hémoglobine qui remonte à 83 g/l, puis à 95 g/l après la transfusion d'un troisième culot. Mr. Y reçoit également 1000 mg de Ferinject et nous débutons une substitution par acide folique. Une OGD effectuée le 29.03.2019 ne retrouve pas de source de saignement. Nous proposons d'organiser une colonoscopie en ambulatoire. Le laboratoire met également en évidence une insuffisance rénale aiguë avec une clearance à 24 ml/min le 22.02.2019 d'origine intra-rénale d'après le spot urinaire et nous stimulons le patient à s'hydrater. A noter qu'en raison de la fonction rénale, le Xarelto est remplacé par l'Eliquis 2,5 mg 2x/j. Mr. Y se plaint de douleurs au niveau du 2ème orteil du pied gauche suite à une chute il y a environ 2 mois. Au status, le 2ème orteil du pied gauche est rouge et tuméfié. La mobilité est conservée. Nous effectuons une radiographie du pied gauche qui montre une fracture de P2 du 2ème orteil à gauche. Ce dernier est immobilisé et le patient bénéficie de physiothérapie durant le séjour. L'évolution est favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 30.03.2019. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire ambulatoire suite à un STEMI inféro-apico-septal aigu-subaigu sur une sténose subocclusive de la coronaire D distale. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine cardio 100 mg, Beloc Zok 50 mg, Efient 10 mg, Lisinopril 10 mg, Atorvastatin 40 mg. Sur le plan du traitement anti-hypertenseur, nous avons au début du séjour ajouté le Catapresan pour aussi aider le patient au sevrage tabagique. Le patient nous a relaté des sensations de vertige avec une TA qui est diminuée. A la fin du séjour, en raison d'une tendance à l'hypotension, nous avons stoppé le Catapresan et le Lisinopril et avons diminué la posologie du Beloc Zok. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 30 minutes à une puissance de 80 watts, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 65 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final est mené jusqu'à la puissance maximale physique de 200 W, permettant d'obtenir une exploration de la réserve coronarienne de +/- 90%. Le test montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 4.9 mmol/L, un HDL à 0.62 mmol/L, un LDL à 3.86 mmol/L et des triglycérides à 2.34 mmol/L. A recontrôler et adapter la thérapie pour obtenir une LDL-émie < 1.8 mmol/l. • Patient tabagique, il a montré beaucoup d'intérêt aux entretiens avec notre tabacologue Dr. X. Les situations à risque ont été rediscutées. Un suivi en ambulatoire sera assuré. • La pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme après adaptation du traitement. • Mr. Y a manifesté la volonté d'avoir un suivi pour son stress et lui avons remis les coordonnées de Mme. Y, notre cardio-psychologue pour en assurer le suivi. Sur le plan biologique : • Hb à 156 g/l • fonction rénale normale avec créatinine à 79 µmol/l • électrolytes dans la norme. L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un status de normo-compensation. Le sternum est stable, la cicatrice saine et calme. Mr. Y est un patient de 17 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison d'hématochésies depuis 3 jours avec des douleurs abdominales diffuses. Une colonoscopie est effectuée le 18.04.2019 et retrouve une inflammation colique du sigmoïde jusqu'à la courbure gauche, possiblement infectieuse, raison pour laquelle nous instaurons une antibiothérapie empirique par Ciproxine. L'évolution est, par la suite, favorable avec une hémoglobine qui reste tout à fait stable et une absence de récidive d'hématochésie. Mr. Y peut regagner son domicile le 19.04.2019. L'antibiothérapie sera poursuivie pour une durée totale de 7 jours, soit jusqu'au 25.04.2019. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour surveillance neurologique après hémorragie cérébelleuse, s'étant manifestée par des céphalées, des vertiges et une ataxie. Il n'a pas présenté de troubles de l'état de conscience et le CT-scan de contrôle quelques heures plus tard était superposable. Cette hémorragie s'inscrit probablement dans le contexte d'une HTA mal contrôlée (anti-HTA stoppés récemment par le patient). Un traitement transitoire de labetalol iv a été nécessaire, suivi d'amlodipine po. La reprise d'un B-bloquant est aussi à prévoir, en fonction de la fréquence cardiaque (tendance bradycarde). Mr. Y est un patient de 59 ans suivi par Dr. X en raison d'une hyperplasie prostatique. L'indication à une résection transurétrale de la prostate est retenue et l'intervention a lieu sans complication le 27.03.2019. Les suites post-opératoires sont simples, la sonde vésicale peut être retirée le 30.03.2019, avec bonne reprise des mictions. Mr. Y bénéficie d'une antibiothérapie orale par Cefuroxime 500 mg/jour du 27 au 30.03.2019. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient peut retourner à domicile le 30.03.2019. Mr. Y se présente aux urgences suite à l'apparition d'une tuméfaction et de douleurs au niveau du tibia distal droit, sans notion de traumatisme, à l'endroit d'une ancienne greffe de Thiersch et fracture du tibia et du péroné il y a 50 ans. Le bilan radio-clinique est fort suspect d'une ostéomyélite à ce niveau, avec un abcès et fistulisation à la peau, ainsi qu'une composante de dermohypodermite. Le patient est hospitalisé, il est mis sous antibiothérapie intraveineuse. Mr. Y étant porteur d'un pacemaker, une IRM ne peut être effectuée, raison pour laquelle le bilan est complété par une scintigraphie osseuse, ne révélant pas d'ostéomyélite. Le 05.04.2019, le patient est pris au bloc opératoire pour débridement et excision de fistule, décortication avec prélèvements et pose de VAC. A ce moment, mise en évidence claire d'une ostéomyélite.Les prélèvements intra-opératoires reviennent positifs pour un Enterobacter aerogenes et Staphylococcus aureus, l'Enterobacter résistant à la Pénicilline. Suite au débridement, l'antibiothérapie est stoppée, puis Mr. Y est repris au bloc opératoire le 10.04.2019 pour un changement du pansement VAC. Le status local étant calme, nous demandons un avis au Dr. X à l'HFR Fribourg qui préconise une prise en charge du patient à Fribourg, en association avec le Dr. X, chirurgien plasticien, pour une décortication plus étendue et éventuellement la pose d'un lambeau sur le déficit cutané. Un Pico est installé le 12.04.2019, avec lequel le patient retourne à domicile où il bénéficiera de changements réguliers par les infirmières des soins à domicile. Mr. Y est hospitalisé pour une chute de sa hauteur avec traumatisme crânien, perte de connaissance et amnésie circonstancielle. Le patient est connu pour un éthylisme chronique avec de multiples chutes et présente à l'entrée un foetor alcoolique important. Le status montre une désorientation, une marche titubante en rétropulsion, une ataxie des membres supérieurs et des troubles oculomoteurs. Le bilan biologique montre une alcoolémie à 1,7 pour mille. Un CT cérébral fait suspecter une hydrocéphalie à pression normale. Sur avis neurologique, nous introduisons un traitement par Benerva iv avec une amélioration clinique. Une ponction lombaire évacuatrice montre une amélioration au niveau de la marche objectivée par la physiothérapie, mais pas d'amélioration au niveau cognitif. Le bilan neuropsychologique montre en effet des troubles exécutifs et mnésiques persistants déjà connus chez ce patient dans le contexte d'OH chronique. Nous retenons des troubles neurologiques d'origine mixte. Premièrement sur un Gayet Wernicke pour lequel nous proposons de poursuivre le traitement de Benerva po pendant 6 semaines. Deuxièmement, sur une probable hydrocéphalie à pression normale pour laquelle nous proposons au médecin traitant d'organiser un suivi par un neurologue de son choix. Un shunt ventriculo-péritonéal n'est pas indiqué pour le moment par les neurologues, surtout dans un contexte d'alcoolisme. Au niveau de la consommation d'alcool à risque, Mr. Y est complètement anosognosique et n'est pas prêt à recevoir de l'aide pour diminuer sa consommation. Au niveau social, le patient est sous curatelle et se trouve dans une situation d'isolement. Il présente de plus une mauvaise compliance thérapeutique et ne s'est plus présenté chez son médecin traitant depuis deux ans. Nous avons averti le service de curatelle de son hospitalisation et avons organisé un contrôle chez son médecin traitant dans une semaine pour organiser le suivi neurologique. Mr. Y rentre à domicile le 05.04.2019 avec des soins à domicile une fois par semaine. Mr. Y, patient de 58 ans, est admis aux soins intensifs après une duodéno-pancréatectomie céphalique selon Whipple pour la surveillance post-opératoire. L'opération se déroule sans complication le 03.04.2019, l'intervention est prolongée du fait d'une variante anatomique de l'origine de l'artère mésentérique supérieure. L'évolution aux soins intensifs est marquée initialement par une curarisation prolongée nécessitant une nouvelle dose de Sugammadex. Par la suite, la vasoplégie nécessitant de la noradrénaline s'améliore rapidement. L'antalgie est bien contrôlée avec un cathéter de péridurale, dont nous adaptons les débits progressivement. À sa sortie, le patient a un débit de 8 ml/h. La réalimentation est débutée dès le 04.04.2019 sans complication. Mr. Y, suivi par le Dr. X pour un adénocarcinome des angles coliques avec de nombreuses métastases hépatiques, carcinose péritonéale, sans traitement depuis janvier 2019 dans un contexte palliatif, est hospitalisé le 20.03.2019 en raison d'une baisse de l'état général dans le contexte oncologique. Le patient avait rendez-vous ce jour en oncologie ambulatoire à l'HFR Fribourg pour évaluation palliative et ponction d'ascite. Cette dernière n'est pas effectuée en raison d'un INR spontané à 2,3 et Mr. Y nous est adressé pour la suite de la prise en charge. Le patient présente depuis plusieurs jours des œdèmes des membres inférieurs bilatéraux ainsi qu'une augmentation du périmètre abdominal. Il rapporte également une constipation, avec reprise d'un transit normal depuis 3 jours sous traitements laxatifs multiples. Pas de nausée ni vomissement, ictère connu de plus en plus marqué. Mr. Y ne s'alimente plus et boit environ 500 ml/jour. Pas d'état fébrile. À l'admission dans notre service, tension artérielle à 125/80 mmHg, fréquence cardiaque 80/min, fréquence respiratoire 20/min et température 36,5°C. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers. Pas de souffle audible, pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Présence d'œdèmes des membres inférieurs bilatéraux jusqu'à l'aine, prenant le godet. À l'auscultation pulmonaire, pas de tirage, murmure vésiculaire symétrique sans bruit surajouté. Au status digestif, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. L'abdomen est ballonné avec sensibilité diffuse, sans défense ni détente. Les loges rénales sont souples et indolores. Au status neurologique, Glasgow à 15/15, patient ralenti. Dans notre service, nous discutons avec Mr. Y qui ne souhaite pas d'intervention et qui est très au clair sur sa situation. Il souhaite des soins de confort ainsi qu'un transfert à la Villa-St-François. Sa famille est en accord avec le projet. Nous arrêtons donc l'ensemble des traitements qui ne sont pas à visée symptomatique. Nous décidons de ne pas effectuer de ponction d'ascite compte tenu que le patient ne décrit pas de gène à ce niveau et pas de dyspnée. Le patient nous a été transféré avec des troubles électrolytiques ainsi qu'une insuffisance rénale aiguë. Nous ne reprenons pas la perfusion de KCl et ne poursuivons pas les contrôles biologiques ou la prise de constantes face au projet clair de soins de confort. Durant l'hospitalisation, nous surveillons surtout les douleurs, les nausées et l'inappétence. Nous introduisons un traitement de Dexaméthasone pour la fatigue. Mr. Y décède le 07.04.2019. Mr. Y, 17 ans, a été hospitalisé pour un choc hémorragique sur rupture spontanée d'un anévrisme de l'artère splénique. Il a présenté, une heure après son réveil, des douleurs thoraciques et abdominales d'apparition brutale avec sensation de malaise sans perte de connaissance. Le scanner abdominal a mis en évidence un volumineux hématome postérieurement aux épiploons et un hémopéritoine secondaire à une rupture d'un anévrisme de l'artère splénique. L'hémorragie a été contrôlée par la mise en place d'un stent graft couvert par artériographie. Le patient a été intubé en raison de l'instabilité hémodynamique, mais s'est rapidement stabilisé suite à l'intervention et a été extubé peu après son admission aux soins intensifs. Une occlusion précoce du stent artériel a été constatée lors du contrôle scannographique, nécessitant l'introduction d'une anticoagulation thérapeutique par héparine. Malgré de multiples infarctus spléniques, la rate reste perfusée à environ 80% par des collatérales et l'hémopéritoine est en nette régression. L'étiologie de cet anévrisme est indéterminée. Les toxiques sont négatifs (hormis ceux reçus durant l'anesthésie) et le patient ne rapporte aucun traumatisme abdominal et n'a pas pris d'anabolisant stéroïdien. La réalimentation se passe sans problèmes et le patient reprend un transit.Une hyperkaliémie secondaire à l'état de choc a été rapidement corrigée. Une pneumonie bibasale diagnostiquée le 13.04.2019 a été traitée par Co-Amoxicilline. Les cultures sont en cours. Le patient a été transféré le 14.04.2019 dans le service de chirurgie. Mr. Y, 17 ans, se présente le 11.04.2019 aux urgences en raison de douleurs thoraco-abdominales d'apparition brutale avec sensation de voile noir devant les yeux. Le scanner effectué aux urgences a mis en évidence un volumineux hématome et un hémopéritoine secondaire à une rupture d'un anévrisme de l'artère splénique. L'hémorragie a été contrôlée par la mise en place d'un stent-graft couvert par artériographie. Le patient a été intubé en raison de l'instabilité hémodynamique, mais s'est rapidement stabilisé suite à l'intervention et a été extubé peu après son admission aux soins intensifs. Une occlusion précoce du stent artériel a été constatée lors du contrôle scannographique, nécessitant l'introduction d'une anticoagulation thérapeutique par héparine. Malgré de multiples infarctus spléniques, la rate reste perfusée à environ 80% par des collatérales et l'hémopéritoine est en nette régression. Le scanner de contrôle met également en évidence une pneumonie bi-basale sur probable broncho-aspiration, raison pour laquelle une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est instaurée le 13.04.2019. Par la suite, l'état hémodynamique du patient se stabilise, permettant un retour à l'étage le 14.04.2019. La suite de l'hospitalisation est favorable. La réalimentation est bien tolérée et l'abdomen est souple et indolore. Le patient peut donc retourner à domicile le 19.04.2019. L'étiologie de cet anévrisme reste indéterminée. Le bilan effectué lors de l'hospitalisation nous permet d'exclure une étiologie toxique. Au vu du jeune âge du patient, une origine génétique nous semble possible. Le patient sera revu lors de notre consultation. Entretemps, le bilan sera complété par une échocardiographie à la recherche d'une pathologie de l'aorte. Le traitement antibiotique sera continué pour une durée totale de 14 jours. Mr. Y est transféré dans le service de Médecine Interne de Fribourg depuis la clinique de Cardiologie de l'Inselspital pour suite de prise en charge d'une insuffisance respiratoire mixte sur exacerbation de BPCO et décompensation cardiaque. Sur le plan respiratoire, le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline ainsi qu'une thérapie par bronchodilatateurs. L'évolution est favorable, avec une rémission de la dyspnée et des expectorations purulentes. Le patient présente par ailleurs des signes cliniques de décompensation cardiaque globale, raison pour laquelle le traitement diurétique est majoré. Son dosage reste à réadapter prochainement en ambulatoire. Dans le cadre d'une insuffisance rénale aiguë, le traitement anti-hypertenseur est mis en suspens. Il est repris à faible dose après quelques jours et nous vous laissons le soin d'évaluer la pertinence d'une nouvelle majoration de dose. Mr. Y présente par ailleurs une occlusion de l'artère centrale de la rétine diagnostiquée avant l'hospitalisation. Un contrôle ophtalmologique est organisé durant l'hospitalisation, et ses conclusions vous seront remises séparément dans un courrier adressé par nos confrères d'ophtalmologie. Le patient bénéficiera par ailleurs d'un US Doppler des vaisseaux pré-cérébraux en ambulatoire dans le cadre du bilan. Le patient est transféré de l'Inselspital avec une sonde urinaire. Alors qu'un épisode fébrile est objectivé conjointement à une élévation des paramètres inflammatoires, une culture d'urine est effectuée et le patient est mis sous antibiothérapie par Rocéphine. Les résultats microbiologiques mettent en évidence un Candida Albicans ne nécessitant pas d'autre intervention, la sonde urinaire ayant été retirée dans l'intervalle. Après avis infectiologique et au vu de la situation clinique rassurante, il est convenu de ne pas poursuivre l'antibiothérapie. L'état inflammatoire reste d'origine peu claire mais pourrait être expliqué par une crise de goutte au niveau du pied droit qui évolue favorablement avec une antalgie. Nous vous proposons d'introduire un traitement préventif au vu de la notion anamnestique de crises similaires par le passé. Compte tenu des délais d'attente pour une réadaptation gériatrique à Tafers, il est convenu que Mr. Y rentre à domicile le 02.04.19. Mr. Y, 63 ans, a été admis aux soins intensifs pour une détresse respiratoire aiguë dans le cadre d'une pneumonie à Streptococcus pneumoniae. Le patient a présenté la veille de l'admission une toux productive, des expectorations muqueuses et des vomissements sans bronchoaspiration. Il a été amené par ambulance aux urgences de l'HFR Tafers, avant son transfert aux soins intensifs à Fribourg. Le bilan biologique montre un foyer basal droit, des infiltrats diffus et une condensation pulmonaire lobaire inférieure droite déjà décrite sur un cliché de 2017, associé à un syndrome inflammatoire. Un CT thoracique injecté confirme des condensations pluri-focales et infiltrats en verre dépoli diffus dans les deux poumons, avec condensations prédominant dans le segment apical du lobe supérieur droit et dans la pyramide basale droite d'allure infectieuse, sans arguments pour une néoplasie. Les antigènes urinaires sont positifs pour le pneumocoque et négatifs pour la légionelle. Nous retenons une pneumonie communautaire à pneumocoque. Une ventilation non invasive est réalisée durant 24h puis le patient est transféré à l'étage de médecine interne. Une antibiothérapie par ceftriaxone et clarithromycine puis par Co-Amoxicilline est introduite pour une durée de sept jours avec une bonne évolution clinique. Nous proposons un contrôle clinique chez le médecin traitant dans la semaine. Les pneumologues proposent un contrôle radioclinique (Rx) dans deux mois. Si l'infiltrat diffus n'est pas résolu, ils proposent de compléter par un CT thoracique. Un allongement spontané du temps de prothrombine et une thrombopénie légère sont probablement secondaires au sepsis ou à une malnutrition. Une substitution en vitamine K est introduite avec une correction biologique. Mr. Y a été transféré le 17.04.2019 dans le service de médecine interne.Une hyperlactatémie de type B a été attribuée à la metformine dans le contexte septique et d'une alcalose respiratoire. Elle s'est rapidement corrigée après traitement de l'infection. Des urines rougeâtres apparues le 17.04.2019 sont attribuées à la présence d'urobilinogène dans le cadre d'une hyperbilirubinémie déjà décrite auparavant. En cas de récidive, une hémolyse devrait être recherchée et une hématurie devrait ouvrir le diagnostic différentiel vers une maladie systémique (syndrome de Goodpasture, granulomatose de Wegener) ou une atteinte des voies urinaires. Le patient a été transféré le 17.04.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y, âgé de 60 ans, connu pour un diabète et une hypertension, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation respiratoire dans un contexte d'infiltrat alvéolaire périphérique sous-pleural bilatéral ayant entraîné une insuffisance respiratoire. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il travaille à 100% à la Confédération. A l'admission, le patient se plaint d'une dyspnée NYHA II avec une toux sans expectoration. Le statut général est sans particularité hormis un souffle cardiaque systolique à 2/6 au foyer d'Erb. La spirométrie d'entrée est non interprétable à cause d'une mauvaise qualité. Par contre, la spirométrie à la sortie montre des valeurs normales, et en l'absence d'une composante obstructive et d'argument pour un asthme, nous arrêtons le traitement de Seretide. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant ne montre pas d'hypoxie (pO2 10.01 kPa). La radiographie du thorax montre une disparition partielle des altérations alvéolaires bibasales qui étaient plus marquées à la base gauche. Cardiomégalie inchangée. Nous réalisons une polygraphie, en raison d'une hétéroanamnèse suggérant des apnées du sommeil, qui montre un SAOS sévère avec IAH à 44.6/heure. Dans ce contexte, nous mettons en place une CPAP avec une bonne tolérance et une évolution satisfaisante, subjective et objective, (IAH 0.5/h). L'oxymétrie nocturne sous CPAP montre une SpO2 moyenne à 93% et index des événements de désaturation à 6.4/heure. Sur le plan diabétique, le patient est au bénéfice d'un traitement de Janumet et Jardiance récemment introduits. Le profil glycémique revient satisfaisant autour de 5.5 mmol/l lors des contrôles quotidiens. Sur le plan nutritionnel, Mr. Y a amélioré ses connaissances sur l'alimentation en participant à 4 conférences : diabète, alimentation équilibrée, matières grasses et maladies respiratoires. Il s'est montré très intéressé et est motivé à modifier son style de vie et ses habitudes alimentaires. Nous avons redirigé Mr. Y vers un suivi ambulatoire afin de l'accompagner dans sa gestion du diabète et son souhait de perdre du poids. L'évolution clinique est très satisfaisante avec un excellent périmètre de marche sans désaturation. Les valeurs fonctionnelles de la spirométrie et de la diffusion du CO sont normales. L'ensemble de ces éléments parle en faveur de la résolution de la pneumopathie, dont l'origine est le plus probablement infectieuse. Avec l'accord de nos collègues pneumologues de l'HFR Fribourg, nous annulons le CT scan thoracique de contrôle. Mr. Y sera suivi par leurs soins. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 485 m à 605 m et le patient augmente la distance parcourue sur le tapis roulant pendant 20 minutes de 1.350 km à 1.760 km. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 10 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 12.04.2019, en bon état général. Mr. Y, connu pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, est amené aux urgences en ambulance le 23.03.2019 après avoir été retrouvé par sa mère, inconscient, allongé par terre sur le balcon. Pas de vomissement, pas de perte d'urine ni de selle. La dernière chose dont il se rappelle est d'être sorti boire un café sur le balcon. A noter qu'il fume régulièrement du cannabis, dernière fois la veille. Le patient ne rapporte pas de trouble du sommeil. Dernière consommation d'alcool le 20.04.2019, possible prise de ses médicaments de manière irrégulière. A l'arrivée des ambulanciers, le patient est conscient. Glasgow à 15/15, tension artérielle 105/58 mmHg, fréquence cardiaque 64/min, glycémie 7,8 mmol/l, température 35,8°C. A l'admission aux urgences, au statut neurologique, Glasgow à 15/15, pupilles isocores et isoréactives, poursuite oculaire lisse, champ visuel conservé, nerfs crâniens dans la norme sans latéralisation nette, force M5 aux 4 membres, sensibilité conservée et symétrique, réflexes ostéotendineux dans la norme, épreuves cérébelleuses dans la norme. Au statut cutané, dermabrasion temporale droite et multiples dermabrasions d'allure ancienne au niveau des genoux des deux côtés et du dos. Le reste du statut est sans particularité. L'ECG est dans la norme. Le laboratoire met en évidence une hypokaliémie sévère à 2.3 mmol/l, une hyponatrémie à 126 mmol/l, un chlore à 64 mmol/l, et une insuffisance rénale aiguë AKIN 2 avec créatinine à 177 mmol/l. La gazométrie montre une alcalose métabolique hyperchlorémique avec un pH à 7.57, des bicarbonates à 49 mmol/l et une compensation respiratoire avec hypercapnie à 7,1 kPa. Le patient est hydraté par 1500 ml de NaCl avec 60 mEq de KCl iv et une ampoule de MgSO4 50% sur 24h. Le laboratoire de contrôle montre une augmentation du potassium à 2,8 mmol/l quelques heures après, un sodium à 130 mmol/l et un magnésium à 1,20 mmol/l. Nous administrons encore du KCl retard per os et 20 mEq en 250 ml NaCl sur 1 heure. Mr. Y est gardé en lit d'observation aux urgences pour la nuit. En raison des troubles psychiatriques connus (anorexie sévère entraînant une dénutrition sévère), nous contactons le Dr. X, psychiatre de liaison, pour solliciter son avis. Le matin du 24.04.2019, au vu du désir du patient de quitter notre service, le traitement iv est arrêté et remplacé par du KCl retard 3x 2 cp/j, du Mg 10 mmol 1x/j et du phosphate cap 3x 2 cp/j avec un contrôle laboratoire pendant la journée qui montre un potassium à 3.2 mmol/l et le phosphate à 0,47 mmol/l. Les troubles électrolytiques sévères sont en bonne évolution après substitution parentérale puis orale. Mr. Y a été collaborant pour la prise en charge aux urgences et nous informons le Dr. X, sa psychiatrique, que le patient peut rentrer à domicile avec traitement substitutif des électrolytes per os, suivant son souhait. Dr. X nous transmet qu'elle organise une rencontre avec le patient, sa mère, la Justice de Paix et Dr. X le 25.04.2019 à 13h30 à l'HFR Fribourg. Le patient a accepté une ordonnance avec prescription des substitutions électrolytiques et vitaminiques à continuer per os. Mr. Y quitte notre service le 24.04.2019 pour se rendre quelques jours chez sa mère à Charmey. Un contrôle clinique et biologique (sodium, potassium, créatinine, phosphate) chez le médecin traitant est nécessaire dans les 3 jours, avec adaptation au besoin du traitement. Mr. Y, 49 ans, est admis en stroke unit monitorée pour une suspicion d'AVC thalamique gauche. Le patient consulte pour un hémisyndrome droit sensitif survenu après des céphalées nocturnes en coup de tonnerre. Le scanner cérébral est sans particularité et une charge d'Aspirine est administrée. En raison des céphalées, une ponction lombaire permet d'exclure une hémorragie sous-arachnoïdienne. Une IRM cérébrale permet d'observer une lésion constituée au niveau thalamique gauche. Un traitement antiagrégant par Clopidogrel est introduit dès le 23.04.19.L'évolution neurologique est favorable avec toutefois la persistance d'une dysesthésie du côté droit (NIHSS 2). Nous débutons le bilan étiologique avec réalisation d'une échographie cardiaque qui montre une fonction contractile segmentaire et globale normale avec absence de thrombus. Nous laissons le soin au médecin traitant de compléter le bilan en ambulatoire avec réalisation d'un Holter de 72h. Une hypertension artérielle est constatée et un traitement par IEC est introduit. L'hypothèse principale serait un AVC dans un contexte de crise hypertensive. Nous recommandons vivement un contrôle étroit des facteurs de risque cardiovasculaires ainsi que du profil tensionnel. Un bilan à la recherche d'une hypertension secondaire doit être discuté. Une dyslipidémie est mise en évidence et l'hémoglobine glyquée est dans la norme. Au vu d'une suspicion de syndrome d'apnée du sommeil, nous proposons également la réalisation d'une polysomnographie. Un retour à domicile est organisé le 24.04.19, à la sortie le NIHSS est à zéro, il persiste tout de même une légère dysesthésie de la main droite et du pied droit remontant jusqu'au mollet. Mr. Y, 49 ans, est admis en unité stroke monitorée pour un AVC ischémique thalamique gauche. Le patient a consulté pour un hémisyndrome droit sensitif survenu après des céphalées nocturnes en coup de tonnerre. Le scanner cérébral était sans particularité. Une ponction lombaire a permis d'exclure une hémorragie sous-arachnoïdienne. L'IRM cérébrale a identifié une lésion ischémique constituée au niveau thalamique gauche. Un traitement anti-aggrégant initialement par aspirine, puis par Clopidogrel, a été introduit. L'évolution neurologique a été favorable avec toutefois la persistance d'une dysesthésie du côté droit. Le bilan étiologique est en cours avec notamment une échocardiographie. Une dyslipidémie est mise en évidence et l'hémoglobine glyquée est dans la norme. Une hypertension artérielle a été constatée et un traitement par inhibiteur de l'enzyme de conversion a été introduit. L'hypothèse principale est un AVC dans un contexte d'une microangiopathie hypertensive. Nous recommandons vivement un contrôle étroit des facteurs de risque cardiovasculaires. Des céphalées orthostatiques survenues après la ponction lombaire ont été attribuées à une hypoliquorrhée, traitée par hydratation et antalgie simple. Le patient a été transféré le 23.04.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y, patient de 68 ans, connu pour une hypertension artérielle, est hospitalisé en raison d'un NSTEMI. Le patient consulte pour des épigastralgies associées à une faiblesse généralisée survenue pendant une balade en forêt. La cinétique des troponines est positive avec un ECG normal et une radiographie du thorax sans particularité. Le patient est transféré aux soins intensifs pour une surveillance rythmique. Une coronarographie met en évidence une maladie coronarienne des 2 vaisseaux (IVA et coronaire droite) avec une sténose focale subtotale de l'artère coronaire droite moyenne. Il bénéficie d'une pose de stent avec un bon résultat final. La fonction cardiaque est conservée avec une FEVG estimée à 72%. La surveillance rythmique aux soins intensifs se déroule sans particularité et le point de ponction est calme. Une double anti-agrégation plaquettaire est introduite et le traitement est adapté avec l'introduction d'un B-bloquant et d'une statine. Les collègues de cardiologie proposent de réaliser une ergométrie à 3 mois. Si elle devait être positive ou si le patient présentait un angor résiduel dans l'intervalle, une re-coronarographie devrait être envisagée dans l'idée de traiter les sténoses limites de l'IVA. L'hémoglobine glyquée est à 5.2% et le bilan lipidique est normal. Une insuffisance rénale d'origine prérénale est mise en évidence et évolue favorablement après réhydratation. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 29.04.2019. Mr. Y, 68 ans, est admis aux soins intensifs pour un NSTEMI le 27.04.2019. Le patient consulte pour des épigastralgies associées à une faiblesse généralisée, survenue pendant une balade en forêt. La cinétique des troponines est positive avec un ECG normal et une radiographie du thorax sans particularité. Il est transféré aux soins intensifs pour une coronarographie et surveillance rythmique. L'examen invasif met en évidence une maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et coronaire droite) avec comme lésion causale une sténose focale subtotale de l'artère coronaire droite moyenne, traitée par PCI avec un bon résultat final. La fonction cardiaque est conservée avec une FEVG estimée à 72%. La surveillance rythmique aux soins intensifs se déroule sans particularité et le point de ponction fémoral droit est calme. Une double anti-agrégation plaquettaire est recommandée pour une année. Le cardiologue propose de réaliser une ergométrie à 3 mois : si elle est positive, ou si le patient présente un angor résiduel dans l'intervalle, il conviendra de discuter d'une nouvelle coronarographie afin de traiter les sténoses limites de l'IVA. Une hypertension artérielle et un tabagisme ancien à 35 UPA sont retrouvés dans les facteurs de risque cardiovasculaires. L'hémoglobine glyquée est à 5.2% et le bilan lipidique est normal. Un traitement par statine est introduit. Le Candesartan est maintenu. Les bêta-bloquants ne sont pas introduits en raison d'une fréquence cardiaque spontanément à 60 par minute. Une insuffisance rénale d'origine prérénale est mise en évidence et évolue favorablement après réhydratation. Le patient est transféré en médecine interne le 28.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 92 ans connu pour les comorbidités susmentionnées qui se présente aux urgences car il est retrouvé par la police errant dans la rue dans un état de confusion. À son arrivée, une plaie de la main gauche est mise en évidence. Le patient se plaint également de douleurs au niveau de l'épaule droite. Il n'a pas d'autres plaintes spontanées. Le bilan clinico-biologique met en évidence d'importants signes de décompensation cardiaque globale. Un traitement diurétique par lasix n'étant pas suffisant, nous introduisons successivement de l'aldactone et de la métolazone. Dans le contexte des douleurs de l'épaule, nous réalisons une radiographie qui met en évidence une arthrose avancée sans signe de fracture. Le patient présente également une hyponatrémie hypo-osmolaire que nous décidons de ne pas investiguer plus loin en raison de l'absence de répercussions. Dans le contexte de la décompensation cardiaque et de l'ostéomyélite chronique ainsi que d'une légère augmentation de la CRP, nous réalisons une vitesse de sédimentation ainsi qu'une électrophorèse des protéines et une mesure des immunoglobulines en valeur absolue qui permettent d'exclure une amyloïdose. Au vu d'une situation dépassée à domicile chez un patient avec des troubles cognitifs importants, oppositionnel aux soins à domicile, nous décidons avec les enfants d'un placement en EMS. Le patient est reclassé en attente de placement. Mr. Y, âgé de 78 ans, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, nous est adressé pour une neuro-réadaptation dans le cadre d'une tétraparésie à prédominance D sur myélopathie C3-C4 et sur canal lombaire étroit opéré en 2016 avec une dysesthésie aux 2 mains et une hypoesthésie importante en distal.Sur le plan social, le patient vit avec son épouse. Il est suivi par les soins à domicile tous les jours. Il se déplace avec 2 cannes à l'extérieur et un rollator dans le domicile. A l'examen clinique, on retrouve une tétraparésie qui prédomine au MSD avec une force à M2. Aux MI, la force proximale est à M4 et à M2 au niveau distal. Nous remarquons également un souffle systolique maximal au foyer mitral à 3/6. Une dysesthésie est aussi présente aux mains. Durant son séjour, il a présenté une crise de goutte aiguë au pied droit le 25.03.2019 traitée par Colchicine 1 mg/j puis par Allopurinol 300 mg comme traitement de fond. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Il peut monter et descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 05.04.2019, en bon état général. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile pour poursuivre le travail de l'équilibre et des transferts. Les soins à domicile sont réactivés. Mr. Y consulte les urgences le 02.04.2019 en raison d'un érysipèle au niveau du membre inférieur distal gauche depuis 3 jours, associé à un état fébrile. A noter que le patient a vécu au Kenya pendant 2 ans, avec retour il y a deux mois. Durant son séjour, il s'est automédiqué par antibiothérapie pour des érysipèles à répétition. A l'admission aux urgences, Mr. Y est en état général conservé. Il est normocarde, normotendu et afébrile. A l'auscultation cardiaque, B1B2 sont lointains, réguliers, sans souffle audible. Au status digestif, l'abdomen est souple, dépressible, indolore à la palpation, sans défense ni détente. Au status respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique, sans bruit surajouté. Au status cutané, le membre inférieur gauche est érythémateux, œdématié et douloureux à la palpation. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 72 mg/l, sans leucocytose et une insuffisance rénale avec une créatinine à 124 umol/l et une urée à 11.4 mmol/l. Nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 1.2 g i.v. 3x/j. L'évolution clinique et biologique est favorable avec régression progressive de la rougeur et de l'œdème du membre inférieur gauche ainsi qu'une résolution du syndrome inflammatoire. L'antibiothérapie est relayée per os dès le 08.04.2019, à poursuivre jusqu'au 12.04.2019. Sur le plan médicamenteux, nous réduisons le Voltaren que le patient utilise chroniquement depuis longtemps. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution clinique et d'adapter le traitement antalgique. Mr. Y peut regagner son domicile le 10.04.2019. Mr. Y consulte les urgences en raison d'une hématurie macroscopique depuis le 31.03.2019. Pas de dysurie ou algiurie. Pas de symptôme digestif. Pas d'autre plainte. A noter que le patient a été traité pour une bronchite asthmatiforme par co-amoxicilline jusqu'au 24.03.2019. A l'admission aux urgences, Mr. Y est fébrile à 40°C avec frissons et tachycarde à 123/min. La tension est stable à 117/98 mmHg. Au status digestif, l'abdomen est légèrement distendu, sans défense ni détente. Les loges rénales sont indolores à la percussion. Le toucher rectal est indolore, avec un doigtier sans selles ni sang. La prostate est souple, indolore et de taille normale. Le reste du status est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 129 ng/ml et une leucocytose à 13 G/l, l'hémoglobine est stable, la créatinine est à 124 umol/l chez un patient connu pour une insuffisance rénale chronique. Le sédiment urinaire montre une purée d'érythrocytes, les leucocytes sont incomptables. Nous prélevons des hémocultures, effectuons un urotube et débutons un traitement antibiotique par Ceftriaxone 2 g iv. Le patient est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. L'échographie des voies urinaires revient sans particularité. Les hémocultures (4/4) et l'urotube reviennent positifs pour un E.coli sensible à la Ceftriaxone et la Ciproxine. Nous procédons à un relais per os par Ciproxine après 48 heures sans état fébrile pour un total de 14 jours. Durant le séjour, le patient se plaint d'une toux non productive depuis 1 mois. L'auscultation pulmonaire est dans la norme. Les symptômes sont accentués en position couchée et en fin de nuit. Le patient rapporte avoir souffert d'un reflux gastro-oesophagien il y a quelques années, actuellement sans traitement. Dans ce contexte, nous instaurons un traitement d'épreuve par IPP 40 mg dès le 03.04.2019. Nous vous laissons le soin de pister l'effet de ce traitement. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, avec un syndrome inflammatoire en diminution, Mr. Y peut regagner son domicile le 04.04.2019 en bon état général. Mr. Y, J'ai donc revu en date du 1.4.2019 la patiente susnommée. Il est certain que chez cette patiente diabétique avec cette déformation caricaturale de son avant-pied avec une ulcération chronique de l'inter-phalangienne proximale de son 2ème orteil, l'indication chirurgicale est importante et nécessite plutôt d'être pro-active. Vous avez effectué le dernier bilan angiologique en date du 22.3.2019. Je vous confirme dès lors suite à notre entretien téléphonique de ce jour la date opératoire du 3.5.2019 et j'aurais aimé, comme mentionné dans votre courrier, que vous puissiez effectuer en pré-opératoire, une angiographie diagnostique et un traitement de la sténose résiduelle de sa tibiale antérieure si cela est possible. J'hospitaliserai donc cette patiente le 2.5.2019 de façon à améliorer son traitement diurétique dans un contexte d'œdème des MI en fonction de son bilan pré-opératoire. En ce qui concerne la procédure orthopédique, on effectuera une cure selon Keller Brandes de son premier orteil avec un Girdelstone arthrodèse de 2ème orteil droit. Des suites, elle aura la mise en place de broches qui devront être maintenues pour une période minimale de 3 semaines. La marche en charge pourra être effectuée dans les 48 heures qui suivent la prise en charge chirurgicale protégée par une chaussure Barouk. Nous avons bien évidemment rediscuté de l'antibiothérapie. Au vu de l'ulcération chronique de son 2ème orteil, si les prélèvements en zone de coupe reviennent positifs, dès lors une antibiothérapie de 6 semaines lui sera proposée. Il serait souhaitable que le Dr. X, son médecin traitant qui nous lit en copie, puisse organiser un bilan pré-opératoire en vue de la consultation pré-anesthésique. En vous remerciant de votre collaboration et en restant à disposition, je vous prie d'agréer, Mr. Y, mes meilleures salutations. Mr. Y a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 09.02.2019 au 22.04.2019. La reprise de travail à 100% se fait dès le 23.04.2019. NB. il y a eu une erreur sur la feuille accident LAA qui a été corrigée ce jour le 23.04.2019. Une copie a été envoyée au patient avec une lettre d'excuses. Mr. Y, connu pour une cirrhose avancée sur éthylisme chronique et hospitalisé depuis le 19.03.2019 au RFSM CSH Marsens, est amené aux urgences en ambulance le 24.04.2019 en raison de deux épisodes de vomissements biliaires et alimentaires, une inappétence ainsi qu'un ralentissement psychomoteur important. A l'admission aux urgences, tension artérielle 103/58 mmHg, fréquence cardiaque 87/min, température 37,9°C.Au status cutané, le patient est ictérique. Au niveau cardio-vasculaire, B1B2 sont bien frappés avec souffle systolique 4/6. Pas d'oedème des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique avec présence de légers râles bibasaux, à gauche plus qu'à droite. Au status digestif, l'abdomen est souple et dépressible, sans défense ni détente, avec hépatomégalie. Au niveau urogénital, les loges rénales sont souples et indolores. Le laboratoire met en évidence une perturbation des tests hépatiques avec ASAT à 56 U/l, ALAT à 28 U/l, Gamma GT à 22 U/l, LDH à 808 U/l, bilirubine totale à 445 umol/l et une bilirubine directe à 265 umol/l, la phosphatase alcaline est dans la norme. Pas d'insuffisance rénale, alcoolémie à 0,05. Le patient est gardé en lit d'observation aux urgences pour la nuit. Nous prescrivons du Konakion 10 mg en présence de troubles de la crase avec INR à 2.5 et PTT allongé, nous reprenons le Duphalac, majoré à 30 ml 3x/j et mettons en place du Benerva. Un supplément nutritif oral est mis en place en raison de l'hypoalbuminémie. Sur le plan hématologique, le patient présente une anémie macrocytaire avec hémoglobine à 80 g/l d'origine multifactorielle raison pour laquelle il bénéficie de la transfusion d'un culot érythrocytaire avec une hémoglobine qui remonte à 92 g/l le 25.04.2019 à midi. Nous effectuons également un CT scan cérébral natif qui permet d'exclure un saignement intra-cérébral. En raison d'une tension artérielle systolique à 85 mmHg et en l'absence clinique et ultrasonographique d'ascite (US 13.03.2019 HFR Fribourg) nous mettons l'Aldactone en suspens. Nous prenons contact avec les médecins de l'unité Thalassa au RFSM CSH Marsens et les informons de la situation. Avec leur accord, Mr. Y est réadmis au RFSM CSH Marsens le 25.04.2019. Sur le plan somatique, un retour à domicile pour vivre seul dans un appartement nous paraît dangereux et à risque de souffrances. Mr. Y est un patient de 66 ans hospitalisé jusqu'au 12 mars pour une insuffisance cardiaque avec pose de gastrostomie percutanée radiologique (GPR) le 08.03.2019 en raison d'une malnutrition dans un contexte de trouble de la déglutition sévère, se présente le 17.03.2019 aux urgences en raison d'écoulement purulent au niveau de la GPR survenu suite au retrait des fils deux jours auparavant. Le bilan effectué aux urgences montre un syndrome inflammatoire important avec un patient qui présente des douleurs abdominales diffuses. Le scanner effectué dans ce contexte montre un pneumopéritoine de petite quantité raison pour laquelle le patient est hospitalisé dans notre service pour une surveillance clinique et biologique. Un scanner de contrôle le lendemain ne montre pas de nouvelles particularités justifiant notre prise en charge conservatrice. Un essai de changement de la GPR en radiologie le 19.03.2019 se termine en échec et par la suite, le patient n'a plus de sonde en place. Pour couvrir une fuite gastrique par l'ancien trajet de la GPR suspecté, un traitement antibiotique est débuté le 19.03.2019. En même temps, une VVC est posée pour couvrir les besoins caloriques du patient qui est connu pour des troubles de déglutition importants dans son contexte oncologique. L'hospitalisation se complique par la suite par des épisodes de tachycardies asymptomatiques suite à la mise en suspens de l'Atenolol lors de l'entrée. Un traitement par Digoxin est installé par la suite qui est discontinué le 22.03.2019 en raison d'hypokaliémies persistantes. Par la suite, le patient présente des OMI en légère augmentation pendant l'hospitalisation. Le traitement diurétique, interrompu à l'entrée, est repris le 27.03.2019 afin de garder le poids du patient stable aux alentours de 55 kg. À noter que, par la suite, la situation entière devient difficile pour le patient, le motivant à s'arracher sa VVC le 27.03.2019 dans un état de mécontentement important. Une alimentation orale est donc réinstallée ce jour sur avis de notre collègue, la Dresse Y du service de nutrition. Au vu de l'intolérance à une SNG et de l'aversion envers une sonde Pichard, une nouvelle mise en place d'une GPR est proposée au patient. Le traitement antibiotique est poursuivi jusqu'au 28.03.2019 puis discontinué sur l'avis de nos collègues du service d'infectiologie. La GPR est remise en place le 29.03.2019 après correction de la crase qui est perturbée dans un contexte d'insuffisance hépato-cellulaire sur cirrhose. Le 30.03.2019, Mr. Y développe une insuffisance cardiaque aiguë avec épanchements pleuraux bilatéraux. Nous procédons à un drainage de l'épanchement pleural gauche, sans amélioration du tableau clinique. Par la suite, Mr. Y se péjore sur le plan respiratoire avec désaturations importantes et hypotensions artérielles. En vue de l'évolution clinique défavorable, nous décidons avec le patient et sa famille d'une prise en charge palliative avec introduction d'une pompe à morphine le 31.03.2019. Mr. Y décède paisiblement le 31.03.2019 en présence de son fils et de sa femme. Mr. Y, patient de 61 ans, nous est adressé par son médecin traitant pour l'investigation de douleurs musculaires crampiformes avec des paramètres inflammatoires élevés et une nouvelle insuffisance rénale progressive d'origine indéterminée. Le patient rapporte avoir souffert de douleurs lombaires dans le passé, d'allure plutôt mécanique, soulagées par le repos, sans réveil nocturne. Depuis l'été dernier, il rapporte des douleurs musculaires de type crampiforme dans les membres. Le médecin traitant avait introduit un traitement de corticostéroïdes avec schéma dégressif. Le 31.03.2019, au vu de la péjoration de la fonction rénale, il nous adresse le patient après avoir réalisé un CT thoraco-abdominal à la recherche d'une masse tumorale ou d'un processus infectieux, non retrouvés. Sur le plan rénal, une insuffisance rénale aiguë est mise en évidence avec clairance à la créatinine diminuée à 36 ml/min. Une protéinurie est également retrouvée (range néphritique) au sédiment et une culture des urines de 24h est réalisée avec protéinurie et albuminurie conséquentes. Un bilan étiologique large est réalisé avec plusieurs sérologies revenant négatives, et un Test Quantiféron qui ne retrouve pas d'infection tuberculeuse. Le facteur rhumatoïde est légèrement augmenté et les facteurs anti-nucléaires sont à la limite supérieure. Une recherche de vasculites retrouve des anticorps anti-PR3 positifs (qualitatif + quantitatif, 578 IU/ml). Une biopsie rénale est réalisée le 05.04.2019 et montre des glomérules avec une nécrose, sans dépôt à l'immunofluorescence, et avec 10% de fibrose dans l'interstice. Nous posons donc le diagnostic de glomérulonéphrite extra-capillaire pauci-immune ANCA-positive et Mr. Y bénéficie d'un traitement par Solu-Medrol intraveineux pour 3 jours, puis de Prednison à 70 mg par jour (1 mg/kg/j), ainsi que de Cyclophosphamide dès le 06.04.2019. Des bilans ophtalmologique et ORL sont réalisés, qui reviennent dans la norme. Mr. Y reçoit une vaccination anti-pneumococcique par Prevenar 13 le 04.04.2019. Nos collègues infectiologues sont également consultés, qui ne retiennent à priori pas d'origine infectieuse pouvant expliquer l'ensemble du tableau clinique. Ils conseillent cependant une prophylaxie par Bactrim que nous débutons le 09.04.2019. Sur le plan hématologique, une anémie normochrome normocytaire légère est mise en évidence. Les valeurs restent stables durant l'hospitalisation. Nous introduisons une substitution en acide folique pour 6 semaines et proposons un suivi chez le médecin traitant. La suite de la prise en charge sera assurée par nos collègues de la néphrologie (Dr. X) et le patient sera revu dès le 15.04.2019 pour d'éventuelles adaptations du traitement immunosuppresseur et une surveillance de la fonction rénale. Mr. Y peut retourner à domicile en bon état de santé général le 10.04.2019.Mr. Y se présente aux urgences pour une chute survenue dans la nuit, avec réception au niveau sacro-iliaque. Il se plaint par ailleurs de selles liquides, apparues suite à son traitement de chimiothérapie par folfixi le premier avril. Mr. Y décrit une chute mécanique, sans prodrome ni aucun autre symptôme par la suite. L'ECG des urgences nous permet d'écarter un évènement coronarien aigu. Le test de Schellong revient négatif. Nous retenons alors un diagnostic de chute mécanique, dans un contexte d'asthénie marquée. Sur le plan cardiovasculaire, l'ECG met en exergue une tachycardie supraventriculaire. Nous décidons alors d'initier un traitement par bétabloqueurs, que nous vous invitons à adapter selon la tolérance du patient. Sur le plan digestif, nous retenons des diarrhées consécutives au traitement de chimiothérapie, et introduisons dès lors un traitement symptomatique. L'évolution est favorable, avec une rémission des diarrhées. Mr. Y ne souhaite pas entamer de réhabilitation gériatrique, et retourne à son domicile le 16 avril, sans aide. Il est revu le 16 avril à sa sortie par notre confrère oncologue, le Dr. X. Mr. Y présente un status post-entorse bénigne du LLE qui est en rémission quasi complète. Je n'ai donc pas de traitement à proposer. De ma part, fin du traitement. Le patient a déjà repris le travail à 100%. Un contrôle n'est pas prévu. Il me recontactera en cas de besoin. Mr. Y est amené aux urgences en ambulance le 10.04.2019 en raison de lombalgies droites non déficitaires, en péjoration depuis plus de 2 mois, après avoir commencé le fitness. Le patient décrit des douleurs au niveau de la fesse droite, avec irradiation derrière la cuisse et jusqu'à la face postérieure du mollet droit (mi-mollet). Les douleurs sont de type déchirure, occasionnellement de type décharge. Pas de notion de traumatisme, pas de trouble sphinctérien. Le patient s'automédique depuis une semaine avec du Sirdalud et de la Novalgine, sans amélioration et impossibilité à se mobiliser ce jour. Dans l'ambulance, il reçoit 200 mcg de Fentanyl lui permettant de s'asseoir. Pour rappel, Mr. Y a présenté des douleurs lombaires en juin 2018 et une IRM effectuée au mois de septembre a mis en évidence un assèchement du disque au niveau de L5/S1. Le patient a bénéficié de physiothérapie et se rend régulièrement au fitness pour du gainage. Au status neurologique à l'admission, la force et la sensibilité sont conservées. Le Lasègue est positif à 10° à droite et à gauche et majoré lors de la dorsiflexion des deux côtés avec des douleurs à droite. Au toucher rectal, le tonus sphinctérien est dans la norme, pas de trouble sensitif. Au status ostéo-articulaire, légères douleurs para-lombaires droites et douleurs à la palpation de la fesse droite. Le status cardio-pulmonaire est dans la norme. Aux urgences, le patient reçoit 75 mg d'Ecofenac et 4 mg de Sirdalud mais n'arrive pas à se mobiliser. Nous commençons à titrer la morphine jusqu'à 4 mg iv et Mr. Y est hospitalisé pour gestion de l'antalgie. Suite à une adaptation de l'antalgie et des séances de physiothérapie, les douleurs diminuent progressivement et le patient peut se mobiliser. Cependant, les douleurs sont toujours présentes et l'Oxycontin ne peut pas être sevré durant le séjour. Compte tenu de la difficulté à soulager le patient et de douleurs persistantes depuis presque 3 mois, nous organisons une IRM lombaire pour le 17.04.2019. Mr. Y peut regagner son domicile le 15.04.2019 avec poursuite de la physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y est connu pour des lombalgies depuis 2.5 mois avec une hospitalisation du 10 au 15.04.2019 à l'HFR Riaz pour apparition de nouvelles douleurs lombaires non déficitaires au niveau du dermatome S1 droit. L'IRM effectuée en ambulatoire le 17.04.2019 confirme une majoration de l'hernie discale L5-S1 avec un conflit au niveau de la racine S1 droite à son émergence. Après la sortie de l'hôpital, le patient a présenté une majoration des douleurs, qu'il met notamment en lien avec le fait qu'il a un lit placé plus bas qu'à l'hôpital. Le 18.04.2019, il consulte son médecin traitant qui arrête l'Oxycontin au profit du Tramal. Le lendemain, le patient présente de très importantes douleurs avec incapacité à se lever. Il reprend donc l'Oxycontin. En raison de douleurs non gérables à domicile, il consulte les urgences le 20.04.2019. Pas de notion d'état fébrile, de frissons ni de traumatisme. A l'admission aux urgences, le status neurologique est dans la norme, sans déficit. Les douleurs irradient dans le dermatome S1 droit jusqu'à mi-mollet. Boiterie antalgique. Lasègue positif à droite et gauche à 10°. Mr. Y est hospitalisé et nous majorons l'antalgie dans l'attente de l'infiltration rachidienne déjà programmée pour le 23.04.2019. Deux essais d'infiltration sont effectués avec mise en place d'une antalgie par Morphine iv et un traitement par Tranxilium avant la procédure. Malgré ces mesures, les douleurs restent trop importantes pour pouvoir mettre le patient en décubitus ventral. Dans ce contexte, nous prenons contact avec le service de neurochirurgie de l'HFR Fribourg qui propose de débuter un traitement par Dexaméthasone ainsi qu'un transfert en vue d'une intervention chirurgicale. Mr. Y est donc transféré à l'HFR Fribourg le 29.04.2019. Mr. Y est un patient de 48 ans, connu pour un status post-résection jéjunale proximale depuis le Treitz jusqu'à 40 cm, anastomose duodéno-jéjunale latéro-latérale manuelle à double couche en position anatomique et appendicectomie le 20.02.2019 dans le cadre d'un GIST du jéjunum proximal, qui se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales diffuses associées à des épisodes de vomissements alimentaires. Un CT abdominal met en évidence une importante distension gastrique. Une sonde naso-gastrique est posée le 03.03.2019 et une alimentation parentérale est débutée le 10.03.2019. L'évolution montre une reprise du transit, mais toujours un retour important par la sonde naso-gastrique. Une OGD le 13.03.2019 met en évidence un œdème inflammatoire au niveau de l'anastomose. A multiples reprises, le patient bénéficie d'une pose de sonde naso-gastrique afin de permettre une nutrition entérale. Celle-ci se coude dans le jéjunum ou se disloque spontanément jusqu'en amont de l'anastomose, raison pour laquelle elle est finalement retirée définitivement le 28.03.2019 en faveur d'une sonde nasogastrique de décharge uniquement permettant de vidanger l'estomac en cas de reflux trop important. La suite est favorable avec une alimentation augmentée lentement et bien tolérée par le patient. La sonde naso-gastrique de décharge est enlevée le 05.04.2019. Le patient reprend un transit régulier. L'alimentation orale couvre ses besoins à 100% dès le 07.04.2019. Le patient rejoint son domicile le 10.04.2019, sans nutrition parentérale. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 02.05.2019 afin de rediscuter de la suite de la prise en charge avec éventuellement un possible deuxième geste consistant en une révision de l'anastomose ou une anastomose gastro-jéjunale. A noter également un carcinome urothélial papillaire non invasif de bas grade mis en évidence le 18.02.2019 nécessitant des cystoscopies de contrôle tous les 3 mois (suivi par le Dr. X). Mr. Y est un patient de 75 ans, connu pour un syndrome métabolique, une insuffisance rénale chronique de stade IV, une hydrocéphalie communicante non obstructive, une artériopathie des membres inférieurs sur tabagisme actif ainsi que des troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition, qui est amené par les ambulanciers aux urgences de l'HFR Riaz le 24.03.2019 pour une baisse d'état général avec inappétence, asthénie depuis quelques jours et état fébrile. Le médecin de MedHome l'adresse pour une suspicion de bronchopneumonie.A l'arrivée, le patient est stable hémodynamiquement mais fébrile à 38.2°C. Nous constatons un souffle systolique à 3/6 maximal au foyer tricuspidien accompagné par des oedèmes jusqu'à mi-mollets. Le murmure vésiculaire est diminué aux deux bases. Le bilan biologique met en évidence une insuffisance rénale aiguë sur l'insuffisance rénale chronique, avec des troubles électrolytiques associés (hyperkaliémie et hyponatrémie). Nous introduisons une hydratation intra-veineuse par NaCl 0.9% 2000ml NaCl en 24h ainsi que du Résonium 15g 3x/j, avec un suivi biologique. Relevons également un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 17mg/l et une leucocytose à 17.5G/l. En l'absence de piste clinique claire, nous n'introduisons pas d'antibiothérapie. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux ni d'épanchement pleural. Au vu de la baisse d'état général avec inappétence, déshydratation et asthénie, nous hospitalisons le patient en gériatrie. Sur le plan néphrologique, une hydratation intraveineuse permet d'améliorer légèrement la fonction rénale ainsi que l'état confusionnel aigu. Le patient bénéficie aussi d'une réévaluation de sa situation, étant donné le stade MRC pré-terminal, avec un avis du néphrologue Dr. X qui propose, au vu de la créatinine, de procéder à une remise en place du traitement d'IEC néphro-protecteur. Le traitement diurétique est par ailleurs repris pendant l'hospitalisation. Dans le contexte de troubles électrolytiques en lien avec l'insuffisance rénale, des traitements de substitution sont proposés. Une gazométrie précédant la sortie met en évidence une hyperkaliémie à 5mmol/l et des bicarbonates diminués à 19mmol/l, raison pour laquelle un traitement de Résonium est de nouveau introduit avec majoration du Néphrotrans du patient. Sur demande de Mr. Y, le suivi néphrologique sera poursuivi à l'HFR Riaz par le Dr. X. Sur le plan neuropsychologique, au vu d'un patient présentant des troubles cognitifs importants, nous déclarons Mr. Y inapte à la conduite en attendant une évaluation neuropsychologique approfondie. Le patient sera convoqué à la consultation ambulatoire de neuropsychologie le 15.04.2019 à 13h à l'HFR Billens (le rapport vous est annexé). Sur le plan nutritionnel, l'évaluation met en évidence un apport énergétique insuffisant, en lien avec des besoins augmentés, démontré par des ingestas couvrant 67% de ses besoins énergétiques théoriques. Dans ce contexte, des conseils sont prodigués au patient. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A la sortie, le périmètre de marche à l'aide d'une canne est de 150 mètres. Mr. Y peut gravir 18 marches sans accompagnement. Il refuse l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 82/126, par rapport à 65/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 6/7, escaliers à 6/7). Le TUG est à 33.51 secondes avec une canne. Le risque de chute est bas. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y est autorisé à sortir le 04.04.2019 avec des soins à domicile et de la physiothérapie à poursuivre en ambulatoire. Mr. Y est hospitalisé pour la pose d'un CRT-P en prévention primaire de troubles de la conduction pré-TAVI. L'intervention se déroule sans complication. La radiographie post-opératoire confirme la bonne tenue de l'intervention. Nous proposons un contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant. Le patient sera convoqué dans 4-6 semaines pour un contrôle du CRT-P. Nous ne modifions pas le traitement médicamenteux en place. Mr. Y peut rentrer à domicile le 09.04.2019. Mr. Y est un patient de 45 ans, qui se présente le 09.04.2019 aux urgences envoyé par son médecin traitant pour une pancréatite de la queue du pancréas retrouvée au scanner ce jour. Nous hospitalisons le patient pour le traitement de la pancréatite. Les suites sont favorables. Les contrôles des électrolytes restent stables. L'ultrason fait à l'entrée a retrouvé un calcul dans l'infundibulum. L'origine de la pancréatite est donc interprétée dans un contexte biliaire. Mr. Y peut rejoindre son domicile le 13.04.2019. Il sera revue à notre consultation des Chefs de clinique afin de discuter d'une cholécystectomie. Mr. Y est un patient de 59 ans qui bénéficie, le 27.03.2019, d'une résection antérieure basse par laparotomie dans le cadre du diagnostic sus-mentionné. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont initialement favorables. A noter qu'à J 2 post-opératoire, le patient développe une réaction cutanée de type urticaire associée à une hypotension. Le diagnostic d'un choc anaphylactique d'origine indéterminée est retenu et le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance de 24h, un soutien aminergique et l'administration d'antihistaminiques. L'évolution est rapidement favorable, permettant un transfert à l'étage le 30.03 et un retour à domicile le 07.04.2019. Concernant la réaction allergique, nous proposons d'organiser un bilan allergologique/immunologique à distance de l'épisode aigu. L'anticoagulation thérapeutique par Clexane est reprise le 05.04.2019 avec l'introduction de Marcoumar à la sortie le 07.04.2019. Nous proposons un contrôle de l'INR par le médecin traitant à J 3 de la sortie. Mr. Y est un patient de 65 ans, qui se présente le 12.04.2019 aux urgences envoyé par son médecin traitant pour un hématome sous-dural chronique à droite et aigu à gauche, retrouvés sur une IRM probablement suite à une chute en janvier 2019. Nous posons l'indication à la trépanation qui se déroule sans particularité. Les suites post-opératoires sont simples, permettant au patient un retour à domicile le 17.04.2019. Mr. Y présente une gonarthrose bilatérale, plus sévère à gauche, pour laquelle le Dr. X retient l'indication à une arthroplastie totale, intervention qui se déroule sans complication le 05.04.2019. Les suites post-opératoires sont marquées par des douleurs abdominales accompagnées de nausées et de vomissements. Un ultrason abdominal révèle alors la présence de multiples calculs biliaires avec probable passage d'un calcul et, sur le plan biologique, une pancréatite lithiasique. L'évolution est spontanément favorable, avec diminution des valeurs biologiques et un patient apyrétique. Le Dr. X préconise une cholécystectomie à distance vu que le patient est actuellement sous anticoagulation prophylactique par Xarelto. Sur le plan orthopédique, l'évolution est favorable, le contrôle radiologique est en ordre et la plaie calme. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge selon douleurs, sous protection de cannes anglaises. Une prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg/jour est instaurée pour une durée de 6 semaines post-opératoires. Le 11.04.2019, Mr. Y est transféré à l'HFR Billens pour suite de la réhabilitation musculo-squelettique. Mr. Y, 75 ans, est admis aux soins intensifs puis à l'étage de médecine pour un NSTEMI dans le contexte d'une fibrillation auriculaire à conduction rapide et d'une maladie coronarienne tritronculaire connue de longue date.Pour rappel, le patient présente des palpitations depuis 2 jours associées à une oppression dans les deux bras et une dyspnée, raison pour laquelle il consulte au service des urgences de l'HIB Payerne. Au service des urgences, le patient est hémodynamiquement stable, ne présente pas de signe de surcharge. Une fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide inaugurale est mise en évidence à l'ECG. Le bilan de laboratoire met en évidence une augmentation des troponines. Un traitement d'Adénosine, de Metoprolol et de Diltiazem est tenté au service des urgences, sans réponse et Mr. Y est transféré pour une suite de prise en charge. En ce qui concerne le NSTEMI, une coronarographie est effectuée, ne montrant pas de nouvelles lésions traitables, mais une diminution de la FeVG à la ventriculographie à 30-35% par rapport au comparatif. Le traitement complet de la cardiopathie ischémique est poursuivi. Un bilan angiologique pré-pontage est effectué, de même qu'un orthopantomogramme ne montrant pas de foyer dentaire au vu du remplacement valvulaire. L'opération est prévue pour la semaine suivante par le Dr. X. Concernant la fibrillation auriculaire rapide, un rate control est effectué par bétabloqueurs iv et majoration de son traitement per os. En ce qui concerne le traitement anti-agrégants, sur avis cardiologique, les traitements d'Aspirine et de Prasugrel sont arrêtés en faveur d'une anticoagulation par Clexane thérapeutique en vue de l'opération prévue la semaine d'après et en raison de la pose du dernier stent en juin 2018. Nous vous laissons le soin de réévaluer la nécessité de reprendre une anti-agrégation après le geste. Au vu de la bonne évolution clinique et de la stabilisation de la fréquence cardiaque, Mr. Y rentre à domicile le 30.03.2019. Mr. Y est un patient de 65 ans, multimorbide, connu pour un diabète de type 2 insulino-requérant avec néphropathie stade V et artériopathie des membres inférieurs. Il est hospitalisé pour un AVC ischémique aigu mineur pontique paramédian droit le 26.03.2019. Il présente des vertiges dès le réveil avec chute à domicile, associés à des vomissements et une diplopie. À son arrivée aux soins intensifs, le NIHSS est à 0 points. Une IRM montre une lésion ischémique aiguë punctiforme du tegmentum pontique à droite. Selon avis neurologique, une origine cardio-embolique vs microangiopathique est probable. Le bilan cardiologique initial est sans particularité. Une occlusion athéromateuse de l'artère carotide interne gauche dès son départ est retrouvée et stable depuis 2015 sans autre sténose significative. Il est décidé de débuter une anticoagulation thérapeutique par Sintrom en raison de l'insuffisance rénale chronique dans l'attente des résultats du holter. De plus, son traitement antihypertenseur est adapté. Suite à sa chute, une fracture du tubercule majeur gauche est mise en évidence. Celle-ci est traitée conservativement par gilet orthopédique. Il sera revu à distance pour le suivi radioclinique. Concernant son insuffisance rénale chronique, une nouvelle récolte en steady-state montre une clearance moyenne à 10.5 ml/min avec syndrome néphrotique. Le patient ne présentant pas de signes d'urémie, il n'y a actuellement pas d'indication à débuter l'hémodialyse. Son traitement médicamenteux est adapté. En raison d'une acidose métabolique non gérable avec l'apport de Nephrotrans, un bilan de recherche de SAOS est demandé pour lequel il sera convoqué en ambulatoire. Cependant, il ne relate pas de somnolence diurne, ni de symptomatologie suspecte. Concernant son diabète, son insulinothérapie est adaptée durant l'hospitalisation. Après de multiples entretiens motivationnels, nous objectivons que le patient est peu compliant et met en échec une prise en charge optimale du contrôle glycémique. Son geste technique est fragile et sa compréhension de la maladie est peu claire malgré nos interventions répétées. Il refuse que son entourage soit formé au contrôle glycémique et à l'injection d'insuline, et refuse une intervention du Spitex. Il nous assure vouloir se piquer 3 fois par jour pour l'insulinothérapie et 4 fois par jour pour les glycémies. De plus, il maintient qu'il tiendra un carnet à jour. Son mal perforant plantaire est stable et la prise en charge agendée précédemment est maintenue. Pendant l'hospitalisation, son comportement met en échec d'autres mesures pour une thérapie optimale (refus de restituer l'appareil Holter après la sortie de l'hospitalisation, refus des pesées pour évaluer l'efficacité du traitement par diurétiques). Vu la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 05.04.2019. Mr. Y, 61 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance rythmique après un infarctus aigu du myocarde. Le patient présente une douleur rétrosternale intermittente depuis plusieurs jours. Il se réveille avec une douleur intense oppressive irradiant dans les deux bras. Il est amené en ambulance aux urgences de Payerne où un STEMI est mis en évidence. Le patient est transféré en fast-track STEMI. L'IVA est traitée avec pose d'un stent actif. Une maladie tritronculaire est mise en évidence et nécessite une prise en charge ultérieure. Une double anti-agrégation est débutée, de même qu'un IEC et un bêta-bloquant qui seront à adapter. Une statine est introduite. Une échocardiographie met en évidence une FEVG à 40-45%. Une deuxième coronarographie avec angioplastie de la PLA avec pose de 2 stents actifs est réalisée le 5.4.19. Nous discutons une réhabilitation cardio-vasculaire avec le patient. Cependant, au vu de son emploi, il est difficile de réaliser une réhabilitation pendant 3 semaines. Une physiothérapie sera réalisée en ambulatoire. Le patient rentre à domicile avec une double anti-agrégation (aspirine à vie, Efient 6 mois) et une prescription de physiothérapie. Concernant la suspicion d'apnée du sommeil, le patient a rendez-vous le 28.5.19 pour une polysomnographie. Mr. Y est admis pour une coronarographie élective dans le cadre d'une sténose aortique sévère, une maladie coronarienne tritronculaire avec s/p PCI IVA proximale le 13.03 dernier et PCI RCX 2004. Le patient présente également une hématurie macroscopique importante sous Plavix /Aspirine (FA). Comme convenu avec le patient, nous procédons à une fermeture percutanée de l'auricule gauche. Le contrôle radioscopique, ainsi que le contrôle échocardiographique de l'après-midi démontrent une position stable du device. Comme expliqué à Mr. Y, nous proposons un traitement avec l'aspirine 100 mg/d et il va poursuivre le traitement avec le Plavix 75 mg/d pour 2 semaines. Une prophylaxie de l'endocardite bactérienne selon la carte orange doit être effectuée jusqu'à confirmation de l'occlusion du LAA, soit jusqu'au contrôle échocardiographique trans-oesophagien de 6 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont marquées par des douleurs abdominales aiguës avec globe urinaire mécanique. La mise en place de la sonde vésicale montre d'importants caillots de coagulats. Le patient est transféré en chirurgie pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est transféré de la cardiologie dans notre service d'urologie dans le contexte d'une apparition d'une hématurie macroscopique atraumatique suite à l'introduction d'une double anti-agrégation plaquettaire après fermeture d'un LAA. En accord avec les collègues de la cardiologie, nous arrêtons le traitement de Plavix. Sous traitement conservateur avec sonde urinaire et rinçage, le patient montre une bonne évolution avec un retour d'urines claires permettant un retour à domicile le 05.04.2019. Concernant la lymphocytose chronique en majoration, après discussion avec nos collègues de l'hématologie, nous préconisons la poursuite d'une surveillance avec contrôles cliniques et de laboratoires fréquents chez le médecin traitant. Le patient sera convoqué pour un angio-CT dans le cadre de la suite de la prise en charge cardiologique.Mr. Y est un patient de 68 ans connu pour un retard mental et une épilepsie depuis 2011. Il est adressé aux urgences le 28.03.2019 par son institution en raison d'une asthénie marquée avec faiblesse généralisée. L'hétéroanamnèse révèle des chutes à l'emporte-pièce depuis le début du mois de novembre 2018, sans perte de connaissance ni traumatisme crânien, qui se seraient intensifiées en fréquence à raison de 2 par semaine environ. Lorsqu'il est debout, le patient tombe en arrière subitement, atterrissant sur les fesses. Il ne lâche toutefois pas les objets qu'il a dans la main. Le dernier bilan neurologique aurait eu lieu en décembre 2018 et n'aurait révélé aucune pathologie nouvelle. L'examen clinique initial est sans particularité, retrouvant un patient en bon état général. Le laboratoire initial se révèle dans les normes hormis une CRP isolément augmentée. Le scanner effectué en raison de l'asthénie, de la constipation et de l'anamnèse peu contributive met en évidence les deux syndromes abdominaux connus et stables ainsi qu'une fracture récente du plateau de L2 possiblement due aux chutes à répétition et indiquant un traitement conservateur. Une antalgie simple est débutée, avec évolution favorable. Après discussion avec les neurologues, les chutes à répétition avaient été mises par le Dr. X sur le compte d'une démence vasculaire et dégénérative avec déshydratation. Pour permettre l'exclusion d'une cause cardiaque également, un ETT est effectué, revenant dans les normes. Les résultats d'un Holter de 48 heures ne sont à ce jour pas encore disponibles et restent à pister. Une origine cardiaque reste peu vraisemblable en raison de l'absence de perte de connaissance ou de symptômes cardiaques typiques. Une origine épileptique est peu probable également en raison d'un récent EEG normal et d'une reprise immédiate post-chute de la vigilance. L'étiologie est probablement mixte, sur démence, déshydratation et orthostatisme. À noter l'absence de récidive de chute durant le séjour. Le neurologue traitant ira évaluer le patient dans son institution. La persistance d'un syndrome inflammatoire avec élévation isolée de la CRP n'est pas traitée au vu de l'absence de foyer clinique chez un patient par ailleurs afébrile et asymptomatique. Un suivi du syndrome inflammatoire est proposé en ambulatoire. Mr. Y rentre à la Villa Linde d'Ependes le 03.04.2019. Mr. Y, 80 ans, a été admis aux soins intensifs pour une insuffisance rénale aiguë grave dans un contexte d'iléus sur bride, qui s'est compliqué d'une pneumonie d'aspiration à Enterobacter cloacae ayant nécessité une ventilation mécanique. Le patient a consulté les urgences de l'HFR Tavel pour une dyspnée fébrile avec toux. Une décompensation de BPCO a été diagnostiquée et traitée par Co-Amoxicilline et corticoïdes. Cependant, le patient a présenté un abdomen tendu avec des vomissements et diarrhées le 06.04.2019. Un iléus mécanique sur une bride a été mis en évidence et la situation se complique d'une insuffisance rénale aiguë avec augmentation de la créatinine à 888 mcmol/L le 09.04.2019. Le patient a donc été transféré aux soins intensifs de Fribourg. L'exacerbation de BPCO sous co-amoxicilline s'est compliquée d'une broncho-aspiration dans le contexte de vomissements provoqués par l'iléus. Malgré une ventilation non invasive et de la physiothérapie respiratoire, l'hypoxémie s'est aggravée et le patient a finalement été intubé et mis en ventilation mécanique le 11.04.2019. Une curarisation a été nécessaire initialement. La bronchoscopie a mis en évidence un comblement de tout l'arbre bronchique gauche et un toilettage bronchique a été effectué à deux reprises. Un Enterobacter complexe cloacae a été identifié dans le lavage broncho-alvéolaire et l'antibiothérapie a été adaptée avec du Meropenem. Le patient a pu être extubé avec succès le 14.04.2019. Des séances de ventilation non invasives ont été poursuivies ainsi que de la physiothérapie respiratoire. L'iléus mécanique a été traité de manière conservatrice, en accord avec les chirurgiens. L'administration de Gastrografin a été effectuée à deux reprises en raison d'une absence de transit, avec à chaque fois une exonération de selles, démontrant que l'occlusion est sub-totale. Une composante paralytique dans le contexte du traitement opiacé a également été envisagée et du métoclopramide a été administré ponctuellement. Le transit digestif a repris et le patient a pu être réalimenté. Une fois qu'il s'alimentera à la cible, la voie veineuse centrale pourra être retirée. L'insuffisance rénale aiguë était d'origine principalement pré-rénale secondaire au 3ème secteur important provoqué par l'iléus et s'est progressivement améliorée après la correction volémique. La diurèse a par la suite été stimulée avec des diurétiques à haute dose, le patient étant oligurique. Malgré une insuffisance rénale initialement sévère, le patient n'a pas présenté de critères de dialyse. L'évolution a été favorable avec une correction progressive de la fonction glomérulaire. Son traitement d'IEC est à réintroduire dès stabilisation de la fonction rénale. Le patient a été transféré le 17.04.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y, patient de 77 ans, connu pour une épilepsie sur méningiome pariétal G sous Levetiracetam, est hospitalisé en Stroke Unit pour une surveillance neurologique suite à un AVC fronto-temporal gauche. Il est adressé en ambulance le 18.03.2019 en raison de récidive de troubles phasiques. En effet, l'épouse du patient explique qu'il est allé faire la sieste à 13h avec réveil à 14h en raison d'une crampe du mollet G, à ce moment il est capable de parler à son épouse et dit se sentir bizarre sans autre précision avant d'aller lire dans son bureau. Dernière preuve de bonne santé à 14h20 avant que son épouse ne l'appelle, sans réponse. Il apparaît vers 14h30, en marchant, très droit et rigide, le regard dans le vide, mutique. À l'évaluation initiale aux urgences, Mr. Y présente une aphasie non fluente nouvelle avec un NIHSS initial à 9 points. Un angio-CT cérébral des vaisseaux pré-cérébraux montre un AVC ischémique frontal G avec occlusion de la branche M3 de l'ACM gauche avec zone de pénombre. Il bénéficie d'une thrombolyse intraveineuse par rtPA. En parallèle, le traitement par Lévétiracétam est majoré vu ses antécédents de l'épilepsie sur méningiome. Le CT cérébral post-lyse montre une hémorragie sous-durale millimétrique pariétale gauche ne nécessitant pas de geste neurochirurgical. Au niveau étiologique, Mr. Y était connu pour une FA paroxystique non anticoagulée qui a récidivé pendant l'hospitalisation. Nous avons débuté un traitement freinateur par bêta-bloquant avec bonne évolution. L'origine cardio-embolique est retenue (DD athéromateuse), cependant, suite à l'avis de nos collègues neurochirurgiens, une anticoagulation ne peut être introduite tant que l'hémorragie sous-durale est encore visible. Ainsi, ils proposent d'effectuer un CT cérébral natif de contrôle à 1 mois de l'événement aigu et de débuter une anticoagulation thérapeutique par DACO en cas de régression complète de l'hématome sous-dural. Dans l'attente de cet examen, un traitement d'Aspirine cardio est introduit. Un traitement par Atorvastatine est également introduit au vu de plusieurs sténoses des artères cérébrales, notamment dans le segment M1 à droite, le segment M3 à gauche, ainsi que les segments P2 des deux côtés. Concernant les facteurs de risque cardiovasculaire, nous recommandons un suivi tensionnel avec une cible TA < 130/80 mmHg et un LDL-cholestérol < 1,8 mmol/L. Nous augmentons la posologie de la Metformine permettant ainsi un meilleur profil glycémique. En fin d'hospitalisation, Mr. Y présente une baisse de la thymie en lien avec l'anniversaire du décès de son fils. Nous vous serions gré de suivre la thymie du patient pendant le séjour en neuroréhabilitation puis en ambulatoire et proposons un relais de son traitement anti-épileptique, actuellement le Levetiracetam, par du Lamictal ou Briviact si un état dépressif devait s'installer. Le status neurologique de sortie révèle une aphasie globale toujours présente, avec néanmoins quelques progrès effectués pendant son hospitalisation en Stroke Unit. Mr. Y est transféré à l'hôpital de Meyriez en neuroréhabilitation intensive pour suite de prise en charge multidisciplinaire. Nous avons prévu de revoir Mr. Y à notre consultation de contrôle à 3 mois. Mr. Y, 54 ans, a été admis en unité stroke monitorée pour un accident vasculaire cérébral ischémique subaigu fronto-pariéto-temporal droit non datable avec une occlusion de l'artère carotide interne droite. Le patient a été retrouvé par des passants en sous-vêtements alors qu'il essayait de trouver de l'aide. Il mentionne depuis plusieurs jours des myoclonies de la main gauche et il présente depuis plusieurs heures une hémiparésie gauche. A l'examen clinique, on retrouve une héminégligence gauche ainsi qu'une hémianopsie gauche. Il est également un peu confus, sans trouble de l'état de conscience. L'imagerie révèle une occlusion totale de la carotide interne droite avec une suspicion de dissection et un thrombus de la branche M2 M3 et une atteinte ischémique étendue fronto-pariéto-temporale droite. Une angio-IRM cérébrale sera réalisée le 02.04.2019. La surveillance neurologique se déroule sans complications avec une régression modérée des déficits neurologiques (NIHSS à 6 le 02.04.2019). La présence de multiples zones séquellaires corticales dans le territoire sylvien superficiel droit et sylvien profond à gauche ainsi qu'une lacune centro-pontique gauche, fait aussi suspecter une origine cardio-embolique. L'échocardiographie trans-thoracique ne retrouve pas d'anomalie ni de FOP évident au test de micro-bulles (qu'il faudra toutefois répéter avec manœuvres de Valsalva). Les myoclonies ont été attribuées à une épilepsie partielle confirmée par l'électroencéphalogramme qui montre plusieurs foyers épileptogènes bilatéraux. Nous débutons un traitement par acide valproïque au vu des comorbidités psychiatriques. Un dosage de ce traitement sera à réaliser par la suite. Les facteurs de risque cardiovasculaire sont un tabagisme, une hyperlipidémie traitée et une hypertension artérielle traitée. L'hémoglobine glyquée est dans la norme. Mr. Y, 54 ans, est admis en stroke unit monitorée pour une surveillance neurologique après un accident vasculaire cérébral. Le patient a été retrouvé par des passants en sous-vêtements alors qu'il essayait de trouver de l'aide. Il rapporte depuis plusieurs jours des myoclonies de la main gauche et il présente depuis plusieurs heures une hémiparésie gauche. A l'examen clinique, on retrouve une héminégligence gauche ainsi qu'une hémianopsie gauche. Il semble également confus, sans trouble de l'état de conscience. L'imagerie révèle une occlusion totale de la carotide interne droite avec une atteinte ischémique diffuse de l'hémisphère droit. La surveillance neurologique se déroule sans particularité. Le bilan est complété par une angio-IRM qui confirme la lésion venant probablement d'une dissection carotidienne. Au vu des myoclonies, nous organisons un électroencéphalogramme qui montre plusieurs foyers épileptogènes bilatéraux. Nous débutons un traitement par acide valproïque au vu des comorbidités psychiatriques. Concernant les facteurs de risque cardiovasculaire, le patient est tabagique, l'hémoglobine glyquée est dans la norme et le bilan lipidique est aligné sous statine, la tension traitée. Le 10.04.2019, presque 2 semaines après son entrée à l'hôpital, une ptose labiale gauche fluctuante est objectivée. Pour exclure une transformation hémorragique, un scanner cérébral est effectué, mettant en évidence une péjoration de l'œdème péri-lésionnel avec une déviation nouvelle de la ligne médiane de 4 millimètres. Face à cette découverte, un ultrason Duplex des vaisseaux pré-cérébraux est effectué, pour évaluer si une éventuelle réouverture des vaisseaux aurait pu contribuer à l'œdème. Celui-ci montre une persistance de l'occlusion. Une IRM cérébrale effectuée le 15.04.2019 pour caractériser l'œdème met en évidence quelques zones de transformation hémorragique au sein de l'œdème péri-lésionnel, sans signe d'engagement. Le patient reste cliniquement rassurant, sans autres symptômes ni plaintes. Sur le plan psychiatrique, le patient devient verbalement agressif et irrité le week-end du 06.04.2019, nécessitant un avis psychiatrique en urgence chez ce patient connu pour une hospitalisation de 3 semaines à Marsens pour idéations suicidaires. L'évaluation d'urgence révèle un patient peu collaborant, méfiant du corps médical mais sans idées suicidaires ni critères de gravité pour un PLAFA. Un traitement symptomatique par Quetiapine est introduit, avec évolution favorable, le patient restant calme et non-agressif. Sur le plan social, Mr. Y est requérant d'asile originaire du Congo. Il serait divorcé de son ex-femme, connue pour des troubles psychiatriques invalidants, et il n'aurait pas obtenu la garde de ses enfants. Il se serait sevré de son alcoolisme quelques temps avant l'hospitalisation. Le patient est transféré en neuroréadaptation à Meyriez le 23.04.19. Mr. Y est hospitalisé le 26.03.19 dans le contexte de l'apparition d'un hémisyndrome sensitivo-moteur, une héminégligence et une hémianopsie latérale gauches associée à une asthénie. Il est suivi en oncologie et radio-oncologie dans le cadre d'un glioblastome de stade IV. La pathologie oncologique est actuellement en progression sous traitement de radiothérapie et de Dexaméthasone. Après discussion avec l'équipe de radio-oncologie et la famille, il est convenu de stopper le traitement de radiothérapie au vu de l'absence de réponse à celle-ci. Le bilan initial par CT cérébral ne montre aucun signe de pathologie vasculaire mais révèle une progression de la maladie néoplasique avec œdème péri-lésionnel motivant une augmentation de sa posologie de Dexaméthasone avec bonne réponse. Une crise épileptique dans ce contexte est également suspectée, ce pourquoi un traitement de Keppra est introduit sur avis neurologique. Après discussion avec la famille du patient et au vu de l'absence de potentiel de récupération, un placement en EMS est préconisé. Des démarches en ce sens seront effectuées par la famille. Dans l'intervalle, Mr. Y est reclassé. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suivi et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y nous est adressé par nos confrères de Marsens, où il était hospitalisé pour la gestion d'une démence avec agitation, afin d'investiguer plus avant un épisode de méléna nouvellement apparu. A son entrée, une gastroscopie met en exergue un volumineux ulcère, que nous traitons conservativement par inhibiteurs de la pompe à protons. Une rectoscopie effectuée dans la foulée témoigne de la présence de méléna.L'évolution est favorable, avec une rémission du méléna. Nous vous proposons de poursuivre le traitement de pantoprazole, puis de l'adapter à votre convenance à distance. Au cours de l'hospitalisation, Mr. Y développe un choc septique sur pneumonie, avec instabilité hémodynamique. Après discussion avec la famille, il est décidé de ne pas investir des soins intensifs, mais de procéder à des soins à l'étage de Médecine. L'administration d'antibiotique et un remplissage vasculaire permettent d'amender la symptomatologie et de recouvrer un profil tensionnel satisfaisant. Sur le plan respiratoire, l'évolution est favorable, avec rémission de la toux, des expectorations et de la dyspnée. A l'admission du patient, Mr. Y développe une tachycardie supraventriculaire, que nous traitons par la majoration de son traitement de diltiazem. Nous vous invitons à revoir à distance la posologie de cette médication. Nos multiples ECG n'ont pas mis en exergue de fibrillation atriale. En raison d'un épisode transitoire de trouble de l'état de conscience, sans étiologie claire, et en raison de la démence de Mr. Y, nous le soumettons à une électroencéphalographie, qui témoigne d'une irritation aspécifique fronto-temporale gauche, activité compatible avec une épilepsie, qui ne motive pas de traitement selon nos neurologues, au vu de l'absence de déficit neurologique et de symptomatologie. Un bilan de démence est effectué et comprend une IRM cérébrale. Nous renforçons ainsi la probabilité de maladie d'Alzheimer. Au vu d'un état d'agitation important, avec hétéro-agressivité, nous adressons à nouveau Mr. Y à nos confrères psychiatres de Marsens, avec un projet de placement en EMS psycho-gériatrique à terme. Mr. Y, 40 ans, est hospitalisé aux soins intensifs dans les suites d'un débridement d'un ulcère veineux du membre inférieur gauche le 05.04.2019 pour une optimisation de l'antalgie. Il est connu pour une obésité morbide et une insuffisance rénale terminale dialysée 3 fois par semaine suite à une polykystose hépato-rénale familiale. Il bénéficie le 05.04.2019 sous rachianesthésie et bloc poplité d'un débridement d'un ulcère veineux du membre inférieur gauche dans un contexte d'insuffisance veineuse. Un cathéter poplité est posé en post-opératoire afin de pouvoir gérer l'antalgie. Le patient est partiellement soulagé par l'anesthésie locorégionale, la cicatrice étant également en partie sur le territoire du nerf fémoral. Une antalgie per os par Temgesic et prégabaline est également instaurée avec une bonne efficacité. Le patient est confortable. Il ne présente pas de signe neurologique ou cardiaque d'accumulation d'anesthésiques locaux. Le pansement est refait le 06.04.2019 et un VAC en aspiration est posé le 07.04.2019. Le patient bénéficie d'une dialyse le 05.04.2019 et le 08.04.2019. Son traitement habituel est maintenu. La Ropivacaïne étant une molécule dialysée, le risque d'accumulation est faible. Par conséquent, le patient est transféré en chirurgie en accord avec l'équipe de l'antalgie le 08.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est amené aux urgences en ambulance, à votre demande, le 18.03.2019 en raison d'une baisse de l'état général. Le patient décrit une toux depuis 3 jours devenant grasse. Couleur des expectorations inconnue. Pas de douleur thoracique ce jour mais un inconfort sternal la veille. Pas de dyspnée. Les ambulanciers objectivent un état fébrile à 40.2 °C et une saturation à 89% à l'air ambiant. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par systèmes. A l'admission, à l'auscultation pulmonaire, présence de crépitants grossiers en plage pulmonaire droite, le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un discret syndrome inflammatoire avec une CRP à 24 mg/l et des leucocytes à 10,2 G/l et la radiographie du thorax montre une hyperdensité pulmonaire droite. Nous retenons le diagnostic de pneumonie communautaire droite. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid et Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. La recherche d'antigènes légionelle et pneumocoques ainsi que le frottis grippe reviennent négatifs et le Klacid est arrêté. Sous antibiothérapie l'évolution clinique et biologique est favorable permettant le relais de l'antibiothérapie par co-amoxicilline per os dès le 24.03.2019, pour une durée d'antibiothérapie de 7 jours. Durant les premiers jours d'hospitalisation, Mr. Y présente des diarrhées sans douleur abdominale qui se résolvent suite à l'introduction de Perenterol. Nous mettons ces diarrhées dans le contexte du changement d'alimentation chez ce patient qui se dit sensible à toute modification de régime ainsi que probablement sur antibiothérapie. Nous n'investiguons pas davantage compte tenu de la résolution de la symptomatologie. Le patient présente de plus un profil tensionnel à tendance haute, asymptomatique. Nous ne débutons pas de traitement hospitalier et proposons un contrôle à votre consultation. Mr. Y peut regagner son domicile le 26.03.2019 avec poursuite de la physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y, 49 ans, a été admis aux soins intensifs pour un choc anaphylactique survenu dans un contexte pré-opératoire. Une chirurgie par sialendoscopie était prévue le 16.04.2019 par nos collègues ORL en raison d'une sialolithiase sous-maxillaire gauche symptomatique. Après l'intubation, le patient développe des difficultés ventilatoires associées à une hypotension sévère nécessitant d'interrompre la procédure. Il a présenté un choc anaphylactique avec une insuffisance respiratoire globale aiguë et acidose respiratoire, qui ont nécessité l'administration d'adrénaline avec une réponse rapidement favorable. Un traitement anti-histaminique et des corticostéroïdes ont aussi été administrés. Il est ensuite transféré pour une surveillance aux soins intensifs. Le patient a rapidement été extubé et n'a pas présenté d'instabilité hémodynamique récidivante. Un dosage de la tryptase est en cours. L'étiologie médicamenteuse semble être la plus probable. Cependant, plusieurs médicaments ont été administrés peu avant la survenue du choc anaphylactique. Un bilan allergologique est vivement recommandé avant la prochaine intervention, afin d'identifier le médicament incriminé. L'opération est reportée et un rendez-vous chez nos collègues du service d'ORL sera organisé en ambulatoire. Le patient est rentré à domicile le 17.04.2019. Mr. Y, 72 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour un STEMI aigu à subaigu sur occlusion de l'artère interventriculaire antérieure le 22.04.2019. Le patient a présenté depuis plusieurs semaines une gêne épigastrique avec une asthénie en augmentation. La nuit du 22.04.2019, il a été réveillé par des douleurs thoraciques typiques au repos et a été amené en ambulance. Compte tenu des troubles de la repolarisation avec une ébauche de sus-décalage dans le territoire antérieur et de la cinétique positive des enzymes cardiaques, une coronarographie a été effectuée en urgence. Une maladie coronarienne bitronculaire a été constatée avec une occlusion thrombotique de l'IVA moyenne, une longue sténose de l'IVA distale et une sténose significative de la coronaire droite. L'IVA a été traitée par aspiration et angioplastie avec pose de 2 stents actifs. La fonction ventriculaire gauche était sévèrement abaissée avec une akinésie septo-apicale et une fraction d'éjection à 25% à la ventriculographie. Le pic de CK s'est élevé à 2485 U/l.Aucun trouble du rythme significatif n'a été observé, ni de signe clinique de décompensation cardiaque. Une double antiagrégation est préconisée avec de l'aspirine à vie et prasugrel pendant 12 mois. Un traitement cardio-protecteur par lisinopril, spironolactone, carvédilol ainsi qu'une statine ont été introduits et devront être adaptés selon la tolérance. Une anticoagulation thérapeutique a été maintenue dans l'attente du contrôle échocardiographique qui sera effectuée le 24.04.2019. La mobilisation est débutée de manière progressive. Par la suite, une réadaptation cardio-vasculaire est indiquée. La coronaire droite devra être traitée dans 1 mois. En raison d'un urticaire décrit il y a 25-30 ans, une désensibilisation à l'aspirine a été effectuée sans complication. Une polyarthrite rhumatoïde est traitée par méthotrexate une fois par semaine. Nous proposons d'interrompre ce traitement durant une semaine après l'infarctus myocardique. La macrocytose est secondaire au méthotrexate. Un bilan pourrait être complété en ambulatoire selon l'évolution et les valeurs antérieures. Le patient a été transféré le 23.04.2019 dans le service de médecine de l'HFR Tafers. Mr. Y, connu pour une BPCO suivie par Dr. X et un syndrome des apnées obstructives du sommeil, consulte les urgences le 14.04.2019 en raison d'une dyspnée associée à une toux avec expectorations blanchâtres depuis le 12.04.2019. Pas d'état fébrile ni de frisson, pas de douleur thoracique, pas d'autre plainte. Il prend habituellement du Ventolin en réserve, dont il a augmenté la fréquence à 4x/24h depuis plusieurs jours, soulageant partiellement la symptomatologie. Pas d'antécédent de thrombose veineuse profonde, pas de douleur dans les membres inférieurs, pas de voyage récent ni d'intervention chirurgicale récemment. Mr. Y décrit une prise pondérale progressive avec un poids habituellement à 122-123 kg. Pas d'orthopnée, de dyspnée paroxystique nocturne ni d'oedème des membres inférieurs. A noter qu'il n'a pas pris son traitement diurétique depuis 2 jours, car il ne se sentait pas bien. Au niveau social, le patient vit avec son épouse. Il bénéficie de la visite de la Ligue Pulmonaire 1x/6 mois et d'un contrôle chez Dr. X 1x/an. A l'admission, le status cardiovasculaire ne montre pas de signe de décompensation cardiaque droite ou gauche. Les mollets sont souples et indolores. L'auscultation pulmonaire montre des sibilants diffus avec une hypoventilation et des ronchis au niveau de la base pulmonaire gauche. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 84 mg/l et une leucocytose à 16,6 G/l. La gazométrie montre une hypoxémie connue à 7,5 kPa. Les critères d'Anthonisen sont à 2/3. La radiographie du thorax montre un foyer à la base gauche. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv 1x/j et un traitement bronchodilatateur. Nous prescrivons également de la physiothérapie respiratoire et Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. A l'étage, le patient est hémodynamiquement stable, afébrile et décrit une amélioration nette de la symptomatologie. L'auscultation pulmonaire objective de légères sibilances, avec des râles en hémi-pulmonaire gauche avec une hypoventilation en base gauche dans un contexte de paralysie diaphragmatique gauche. Sur le plan respiratoire, le patient est traité par Rocéphine 2g iv dès le 14.04.2019 avec passage per os par co-amoxicilline 1 g 2x/j dès le 17.04.2019 pour un total de 7 jours. L'oxygénothérapie peut être sevrée dès le 15.04.2019 et les aérosols d'office sont diminués progressivement dès le 16.04.2019. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 18.04.2019. A noter qu'il refuse actuellement une réadaptation respiratoire stationnaire à l'HFR Billens. Mr. Y est un patient de 73 ans qui se présente aux urgences avec des douleurs péri-ombilicales associées à des vomissements. Le scan montre un iléus sans saut de calibre avec suspicion d'une adhérence de la graisse mésentérique. On vise un traitement conservateur avec la mise en place d'une sonde nasogastrique. Au laboratoire on trouve une insuffisance rénale aiguë AKIN 3 probablement prérénale. Le patient est transféré aux soins pour une hydratation et surveillance biologique. L'évolution est favorable et le patient peut sortir des soins intensifs le 30.03.2019. La reprise du transit permet l'ablation de la sonde nasogastrique et une réalimentation qui est bien supportée. Par la suite, le patient présente toujours une fonction rénale diminuée nécessitant une hydratation intraveineuse jusqu'au 05.04.2019 et l'arrêt du lisinopril pour sa néphrotoxicité. La fonction rénale se stabilise par la suite avec une créatinine autour de 130 mol/l. Mr. Y peut regagner son domicile le 05.04.2019. Mr. Y, âgé de 76 ans, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une neuro-réadaptation suite à un choc septique à E. Coli multisensible sur cholangite sur sténose du bas cholédoque d'origine indéterminée, compliqué d'une polyneuropathie des soins intensifs sévère, d'un état confusionnel persistant, d'une thrombose porte d'origine septique, d'un traumatisme crânien et d'une fracture du scaphoïde sur chute. Dès son admission dans notre service, le patient présente un état fébrile (CRP à 159 mg/l avec leucocytose) mais sans point d'appel clinique. La nuit du 23.04 au 24.04.2019, Mr. Y présente à nouveau un état fébrile avec des vomissements importants. Au laboratoire, on relève une élévation de la CRP avec une nouvelle cholestase. Nous transférons Mr. Y à l'HFR Fribourg le 24.04.2019 pour investigations et prise en charge spécialisée. Mr. Y a présenté des pics fébriles à 39,7°C avec frissons, toux sèche et sensation d'encombrement bronchique, ainsi que des douleurs scapulaires respiro-dépendantes, avec une radiographie du thorax montrant une opacité du lobe supérieur droit et évoquant un foyer de pneumonie. L'hémoculture a mis en évidence la présence de Streptococcus pneumoniae. Son traitement antibiotique en intraveineuse avec le relais per os, l'évolution a été favorable, permettant un retour à domicile. Mr. Y présente un status post-entorse bénigne du genou gauche et de la cheville gauche. Ce jour, il est asymptomatique. Je note donc une rémission complète. Il n'y a pas de thérapie à proposer. Fin du traitement. Reprise du travail à 100% dès le 24.04.2019. Pas de contrôle prévu d'emblée. Le patient me recontactera en cas de recrudescence des douleurs. Mr. Y, votre patient de 29 ans, connu pour une maladie thrombo-embolique veineuse traitée par Xarelto et un syndrome dépressif avec éthylisme chronique, est hospitalisé le 15.04.2019 en raison d'une gastrite. Le patient se plaint de troubles du transit avec des vomissements sanguinolents, de fortes épigastralgies depuis trois jours associées à une odynophagie, une inappétence et une constipation. Rappelons un éthylisme chronique évoluant depuis une décennie dans un contexte de deuil pathologique secondaire au suicide de sa mère. Nous retenons le diagnostic d'une gastrite éthylique avec un probable syndrome de Mallory-Weiss associé. Un traitement par inhibiteur de la pompe à protons est mis en place bi-quotidiennement avec en réserve de l'Alucol en cas de persistance de pyrosis. Nous vous laissons le soin d'évaluer la poursuite du traitement en fonction de votre évaluation clinique. D'un point de vue néphrologique, Mr. Y montre dans le bilan initial une insuffisance rénale pré-rénale probablement sur déshydratation dans le cadre du diagnostic de la problématique gastro-intestinale. La fonction rénale se normalise après réhydratation intraveineuse puis per os.D'un point de vue addictologique et psychiatrique, le patient présente une thymie diminuée avec des épisodes de pleurs lorsqu'il parle du décès de sa mère. Il ne présente aucune idée suicidaire mais admet y avoir pensé avant l'hospitalisation sans scénario précis. Il présente également des troubles du sommeil avec des difficultés à l'endormissement. Il admet s'alcooliser pour pouvoir s'endormir. Selon le souhait du patient, nous initions un suivi psychiatrique et addictologique, qui propose dans un premier temps une hospitalisation en milieu psychiatrique à Marsens puis la prise en charge de la maladie dépressive suivie d'une prise en charge au centre de consultation ambulatoire (Matrix) pour la pathologie addictologique. Suite à un refus d'hospitalisation à Marsens dans l'immédiat, et au vu des délais relativement longs au centre Matrix (premier rendez-vous le 07.06.2019), nous organisons un suivi ambulatoire avec un premier rendez-vous le 23.04.2019 au centre cantonal d'addictologie. Mr. Y sort le 18.04.2019 pour un retour à domicile entouré de sa famille. Mr. Y, âgé de 51 ans, connu pour une pneumopathie interstitielle non spécifique (NSIP) idiopathique, nous est adressé par le Dr. X pour une réadaptation pulmonaire. Il est vacciné contre la grippe saisonnière. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile, il a 4 enfants. Le patient a travaillé en tant que maçon sur les chantiers. Il est en arrêt de travail depuis 18 mois. Une demande AI est en cours. A l'admission, le patient se plaint d'une dyspnée de stade II à III selon NYHA. Il mentionne une toux chronique matinale peu productive, exacerbée lors de l'effort. Il décrit une péjoration de l'asthénie au fil des mois, sans symptôme B. Le poids est en augmentation de 6 kg depuis juin 2018. La compliance médicamenteuse est anamnestiquement bonne. A l'anamnèse systématique, il n'a pas de symptôme articulaire hormis des douleurs des pouces de longue date sans signe inflammatoire local. Il n'a aucune activité physique et il est très sédentaire. A l'examen clinique, B1-B2 bien frappés pas de souffle, râles velcro et crépitants fins aux 2 bases. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome restrictif d'entité sévère. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une saturation à 95% avec une hypoxémie légère (pO2 9.6 kPa) sans hypercapnie. La radiographie du thorax retrouve un remaniement de l'interstice qui a nettement augmenté avec un aspect micronodulaire devant rentrer dans le cadre d'une pneumopathie interstitielle connue. Le patient sera, par la suite, convoqué au CHUV pour un bilan pré-greffe. Nous poursuivons le traitement immunosuppresseur habituel de Prednisone 10 mg/j et Imurek 150 mg/j. Mr. Y présente une toux sèche dans le cadre de sa pathologie pulmonaire, nous réalisons un essai thérapeutique par Nexium 2x40mg/jour mais malheureusement sans effet sur la toux qui l'handicape à l'effort. Sur le plan nutritionnel, notre évaluation a mis en avant un gain de poids involontaire de 13 kg en 4 ans (arrêt du tabac, baisse de l'activité physique) et un risque d'apport non conforme en protéines et énergies, dans le cadre d'une mobilité réduite dans un contexte de maladie pulmonaire et d'une corticothérapie au long cours. Une BIA a montré une masse musculaire conservée et dans les normes, ainsi qu'une masse grasse supérieure aux normes. Mr. Y a participé à la conférence sur la nutrition et les maladies respiratoires. Nous l'avons revu de manière individuelle et insisté sur le maintien de la masse maigre et du poids et donné des conseils allant dans ce sens. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire sous oxygénothérapie, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 390 m à 505 m et le patient augmente la distance parcourue sur le tapis roulant pendant 20 minutes de 0.660 km à 1.0 km. Une désaturation jusqu'à 79% est observée à l'effort. Une oxygénothérapie à 2.5 lt/min est nécessaire pour maintenir une SpO2 > 90%. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis sous O2 2.5 lt/min. Après 2 semaines et demie d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 18.04.2019, en bon état général. Une ordonnance d'oxygénothérapie liquide est établie. Mr. Y, 77 ans, est hospitalisé aux soins intensifs en post-opératoire d'une pose de prothèse fémorale en raison d'une fracture du fémur gauche suite à une chute. Il est amené aux urgences de Riaz suite à une chute mécanique. Le bilan met en évidence une fracture du fémur Garden IV à gauche et une infection pulmonaire traitée par Co-Amoxicilline pour une durée de sept jours. Le patient est transféré à Fribourg pour l'ostéosynthèse de la hanche qui se déroule sans complication, sous anesthésie générale. A son admission aux soins intensifs, il présente une somnolence associée à une hypercapnie. Son état de vigilance s'améliore après titration de flumazénil en raison d'accumulation de benzodiazépines à la faveur d'une insuffisance rénale aiguë et de la cirrhose. Le CT cérébral permet d'exclure un événement intracrânien. Par la suite, persiste un état confusionnel avec un discours digressif et des moments d'agressivité, qui restent cependant gérables. L'insuffisance respiratoire dans un contexte de probable BPCO aggravée par la pneumonie, une décompensation cardiaque et des atélectases se corrigent sous ventilation non invasive et déplétion hydrique. Un décompensation ascitique est traitée par ponction évacuatrice sans indice de surinfection. Le drain abdominal actuellement en place est à retirer dès tarissement. Une échographie abdominale reste encore à effectuer pour exclure une thrombose porte. Une nutrition parentérale a été transitoirement introduite pour couverture de la cible calorique avant une reprise de l'alimentation exclusivement per os. L'indication à une anticoagulation pour le flutter est à réévaluer en considérant le risque de chute et de possibles troubles cognitifs sous-jacents à investiguer à distance. Mr. Y, connu pour les antécédents chirurgicaux susmentionnés, présente une endofuite de type II sur les derniers contrôles, raison pour laquelle il bénéficie d'une extension de jambage bilatéral. En post-opératoire, les suites sont simples et sans complication. Les plis inguinaux sont calmes, les flux doppler présents en distalité, la mobilisation est conservée. Un angio-CT est réalisé le 25.04.2019 qui montre une bonne perméabilité de la prothèse et de la distalité, mais une dissection au départ des artères fémorales communes bilatéralement. En absence de toute symptomatologie de celles-ci, nous ne proposons pas de geste actuellement, mais un contrôle radiologique à un mois post-opératoire. Le patient rentre à domicile, le 27.04.2019 et sera convoqué pour un angio-CT suivi d'une consultation à la consultation du Dr. X. Mr. Y est hospitalisé sur demande de son médecin traitant pour suite de prise en charge de décompensation cardiaque. Sur le plan cardiologique, les investigations cliniques, biologiques et radiologiques retrouvent une décompensation cardiaque très modérée. Le traitement est adapté et l'anticoagulation est introduite. Au vu de l'amélioration rapide du patient et de son souhait, Mr. Y retourne à domicile le 09.04.2019. Nous n'avons pas eu le temps d'investiguer des probables troubles cognitifs sous-jacents, ce que vous pouvez faire en ambulatoire. Nous conseillons au patient de contrôler son poids tous les jours pendant au moins une semaine avec contrôle chez son médecin traitant par la suite.Mr. Y, patient de 66 ans, institutionnalisé depuis le 09.04.2019, est hospitalisé pour une chute avec traumatisme crânien sans perte de connaissance. Au service des urgences est objectivée une tachycardie ventriculaire. Une première analyse du pacemaker-défibrillateur montre de très nombreuses arythmies de type tachycardie ventriculaire traitées par overdrive. Le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique et neurologique du 10.04 au 12.04.2019 puis transmis à l'étage de médecine interne. Nous n'avons pas objectivé de récidive d'arythmies ni de changement de l'état neurologique. Un traitement par Amiodarone est débuté avec une dose de charge pour une dose totale de 10 g puis à poursuivre en traitement d'entretien à 200 mg une fois par jour. Une coronarographie afin d'exclure un facteur favorisant est repoussée en raison de l'hémorragie cérébrale sous anticoagulation. Nous vous proposons de mesurer la TSH dans un mois (16.05.2019) au vu de l'introduction de la cordarone et d'organiser une coronarographie en ambulatoire après le rendez-vous en neurochirurgie si l'hémorragie cérébrale est résolue. Au niveau neurologique, Mr. Y a présenté une chute avec traumatisme crânien. Le CT cérébral natif rapidement effectué montre une hémorragie intraventriculaire occipitale latérale gauche. Une surveillance neurologique est sans particularité et le CT de contrôle à 24 h montre une hémorragie stable. L'anticoagulation thérapeutique par Rivaroxaban est mise en suspens et nous introduisons une anticoagulation prophylactique par Clexane. Nous proposons de poursuivre cette anticoagulation prophylactique en ambulatoire jusqu'au contrôle radioclinique en neurochirurgie organisé dans un mois. En cas de changement de l'état neurologique, nous vous proposons de refaire une imagerie cérébrale. Nous vous proposons de réévaluer la pertinence de reprendre une anticoagulation thérapeutique, introduite en 2010 à la suite d'un AVC d'origine cardio-embolique, après le contrôle en neurochirurgie au vu du risque de chute élevé. Si l'anticoagulation n'est pas reprise, nous proposons de reprendre le traitement par aspirine au vu de la cardiopathie ischémique. Le Périndopril est mis en suspens au vu d'un profil tensionnel bas et du risque élevé de chute. Nous vous proposons d'évaluer la nécessité de reprendre le Périndopril selon le profil tensionnel. Au niveau ostéo-articulaire, une fracture de la phalange moyenne du 3ème doigt de la main droite, probablement survenue dans le contexte de la chute, est traitée conservativement par immobilisation dans une gouttière. Des radiographies de contrôle ne montrent pas de déplacement. Les orthopédistes proposent une immobilisation pendant 4 semaines dans la gouttière puis une syndactylie pendant 2 semaines. Un contrôle radioclinique est organisé dans 4 semaines en orthopédie. Le patient est connu pour des troubles de la marche d'origine mixte (vasculaire, toxique et dégénératif) avec des chutes à répétition. Durant l'hospitalisation, il présente une marche peu sécuritaire avec le rollator (précipitation, oubli des freins, prise de risque) et deux chutes. Une évaluation physiothérapeutique montre un Tinetti à 12/28 avec le rollator. Nous proposons de poursuivre la physiothérapie en ambulatoire et dans un premier temps d'accompagner le patient lors de la mobilisation. Mr. Y rentre à l'EMS le 17.04.2019. Mr. Y, 68 ans, a été admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique et neurologique suite à une tempête rythmique. Le patient est connu pour une cardiomyopathie dilatée avec fraction d'éjection abaissée et a présenté des tachycardies ventriculaires récidivantes. Une première analyse du pacemaker-défibrillateur a montré de très nombreuses arythmies traitées par overdrive. Un traitement par Amiodarone a été débuté avec une absence de récidive d'arythmie maligne. La charge en Amiodarone sera à compléter pour une dose totale de 10 g avec poursuite d'un traitement d'entretien une fois la charge totale administrée. Une coronarographie sera encore à discuter avec les collègues de la cardiologie afin d'exclure un facteur favorisant, mais cette dernière est repoussée en raison de l'hémorragie cérébrale sous anticoagulation. Le patient a aussi présenté une chute avec plaie crânienne qui a été suturée. Le CT cérébral natif a mis en évidence une hémorragie intraventriculaire occipitale latérale gauche modérée. La surveillance neurologique a été sans particularité et le CT de contrôle a montré une hémorragie stable. Sur avis neurologique, l'anticoagulation thérapeutique par Rivaroxaban a été mise en suspens. Une éventuelle nouvelle imagerie de contrôle ainsi que la reprise d'une anticoagulation (prophylactique ou thérapeutique) sera à rediscuter avec les collègues de neurochirurgie. Une fracture de la phalange moyenne du 3ème doigt de la main droite est dans un premier temps traitée conservativement par immobilisation dans une gouttière. Des radiographies de contrôle sont à prévoir avec nouvel avis orthopédique pour évaluer l'indication ou non à une intervention chirurgicale. Le patient a été transféré le 12.04.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y est un patient de 80 ans qui nous est transféré le 01.04.2019 de notre service de réhabilitation pour la suite de prise en charge d'une probable pneumonie avec une bactériémie. À l'entrée, il est asymptomatique, sans plainte particulière. À l'examen clinique, le patient est fébrile à 38.5°C, présente des râles crêpitants bibasaux et des légers œdèmes des membres inférieurs. Le reste du statut est dans les limites de la norme. D'un point de vue social, M. Y habite seul dans un appartement protégé au foyer Gruyérien (au 3e étage avec ascenseur). Il est veuf et a deux filles. Ad diagnostic principal) Une antibiothérapie par Co-Amoxi est initialement instaurée. Après la mise en évidence de bacilles gram négatifs, ce traitement est remplacé par du Cefepime. Les hémocultures reviennent positives (4/4) pour E. coli ESBL multirésistant, raison pour laquelle la thérapie antibiotique est finalement changée pour l'Ertapenem et poursuivie pendant 10 jours. L'évolution clinique et biologique est favorable de suite. La radiographie thoracique montre un infiltrat pulmonaire postérobasal pouvant être compatible avec une pneumonie. Par contre, ce foyer n'est pas forcément compatible avec le germe trouvé dans les hémocultures. Un status urinaire est positif chez un patient asymptomatique. L'origine de la bactériémie reste donc incertaine. Ad diagnostic suppl. 1) Pendant l'hospitalisation, nous notons une acutisation de l'insuffisance rénale chronique. Suite à une hydratation adéquate et la mise en suspens des médicaments néphrotoxiques, la fonction rénale se normalise. Ad diagnostic suppl. 2) L'anticoagulation par Sintrom est poursuivie. Ad diagnostic suppl. 3) Un MMS met en évidence des troubles de la mémoire à court terme, et un GDS est à 9/15. En raison de nouvelles pensées suicidaires mentionnées par le patient fin mars, un consilium psychiatrique est effectué par Dr. X qui ne trouve pas d'idées suicidaires aiguës. Aucun changement thérapeutique n'est alors proposé. Ad diagnostic suppl. 4) Parallèlement, M. Y bénéficie d'une réhabilitation précoce avec physio- et ergothérapie. En raison de l'infection, il est de nouveau déconditionné et affaibli en début de l'hospitalisation. Il est autonome dans les transferts, mais se mobilise uniquement sous supervision avec le rollator. Le Tinetti est à 10/28. À la sortie, le patient peut marcher seul avec un rollator sur une distance de 300 m. Le Tinetti est à 16/28.Au vu de l'évolution globalement favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 16.04.2019. Mr. Y est un patient de 80 ans, adressé du service d'orthopédie de l'HFR Riaz pour une réadaptation musculo-squelettique. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé depuis le 19.11.2018, initialement à Marsens pour un tentamen suicidaire, puis il a été transféré à plusieurs reprises, notamment en orthopédie, pour une fracture péri-prothétique de la hanche droite en décembre. Sorti d'hospitalisation le 28.02.2019, il fait deux chutes la nuit de sa sortie et est transporté par ambulance aux urgences. Le diagnostic de contusion de la hanche droite a motivé son hospitalisation en orthopédie et, au vu du déconditionnement général, il est transféré chez nous pour la suite de la prise en charge. D'un point de vue social, le patient habite seul dans un appartement protégé au foyer Gruyérien (au 3e étage avec ascenseur). Il est veuf et a deux filles. À l'entrée, il se plaint de vives douleurs aux orteils, douleurs connues depuis longtemps dues à sa polyneuropathie. La douleur est constante avec une EVA à 6/10. Sinon, il ne présente pas d'autres symptômes. L'examen clinique est dans la norme. À son arrivée, le patient présente encore des légères douleurs au niveau de la hanche droite. Nous adaptons le traitement antalgique et majorons le traitement par Prégabaline en raison des douleurs neuropathiques aux pieds. Parallèlement, Mr. Y bénéficie de séances de physio- et d'ergothérapie intensives. À l'entrée, il effectue les transferts déjà de manière autonome, mais se mobilise uniquement sous supervision avec le rollator. À la sortie, le patient peut marcher seul avec un rollator sur une distance de 100 m. De plus, l'équilibre s'améliore considérablement avec un Tinetti passant de 10 à 19/28 durant l'hospitalisation. À l'entrée, une insuffisance rénale chronique stade 3b déjà connue est présente, la clairance au début d'hospitalisation étant à 356 ml/min. Le 31.03.2019, dans le cadre d'une pneumonie, la fonction rénale se dégrade avec une clairance diminuant jusqu'à 21 ml/min, raison pour laquelle une hydratation est mise en place et les médicaments néphrotoxiques sont mis en suspens ou réduits. Le labo d'entrée révèle une anémie normochrome normocytaire à 102 g/l, d'origine probablement rénale. L'hémoglobine reste stable. Une évaluation diététique démontre une malnutrition protéino-énergétique modérée. La suspicion d'une dysphagie est infirmée après une évaluation logopédique. Le patient est connu pour une cardiopathie valvulaire, dysrythmique et ischémique. Le traitement par Sintrom selon INR est poursuivi. Le 31.03.2019, Mr. Y présente une fièvre jusqu'à 39 °C sans foyer infectieux évident initialement. Le laboratoire montre une augmentation des paramètres inflammatoires avec une CRP à 140 mg/l et une leucocytose. La radiographie thoracique met en évidence un infiltrat pulmonaire postérobasal. Une antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxi puis par Céfépime est donc instaurée, et le patient est transféré dans le service de gériatrie aiguë le 01.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 53 ans, opéré d'une sigmoïdectomie avec rétablissement immédiat de la continuité pour diverticulite abcédée perforée. Le 04.04.2019, le patient revient aux urgences suite à l'apparition progressive, depuis la veille, de douleurs abdominales, sans élément déclenchant, localisées en fosse iliaque gauche et en région sus-pubienne. Celles-ci s'accompagnent d'un état fébrile à 38,5 °C, objectivé à domicile. Pas de trouble du transit, ni nausée, ni vomissement. Les douleurs sont soulagées par la défécation. Mr. Y évoque également une impression de pollakiurie, sans autre trouble urinaire fonctionnel. À l'examen clinique, les bruits abdominaux sont augmentés en fréquence et en tonalité. Il y a une défense et une détente diffuses dans le bas-ventre. Signes de Murphy, de McBurney et du Psoas négatifs. Pas d'adénopathie inguinale. Organes génitaux externes sans particularité. Le toucher rectal est indolore, selles d'aspect normal au doigtier. Loges rénales indolores. Un CT abdominal révèle des signes de diverticulite, sans complication. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie où il bénéficie d'une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 g/jour et Metronidazole 3 x 500 mg/jour, ainsi que d'une antalgie intraveineuse. Nous observons une bonne évolution, tant clinique que biologique, le patient est peu algique et, au laboratoire, nous relevons une baisse du syndrome inflammatoire. La reprise de l'alimentation et du transit se passe sans problème et, face à la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 08.04.2019. Il poursuivra l'antibiothérapie par voie orale à raison de 2 x 1 g/jour de Co-Amoxicilline jusqu'au 15.04.2019 inclus. En outre, il continuera une alimentation pauvre en fibres durant 6 semaines. Mr. Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle à 1 semaine de l'hospitalisation. Mr. Y nous est transféré depuis Tavel pour une tachycardie avec suspicion d'EP et une hypotension dans un contexte probablement infectieux. Mr. Y a des douleurs abdominales et des diarrhées importantes depuis la veille. Pas d'autre foyer anamnestique ou clinique. Nous retenons aux urgences le diagnostic d'une jéjunite d'origine probablement infectieuse dans un contexte d'agranulocytose. En accord avec les collègues de l'oncologie, nous installons un traitement de Neupogen, Cefepime et Flagyl. Sous hydratation i.v., les tensions artérielles se normalisent. Aux urgences, une tachycardie entre 130-150/min persiste même après remplissage. Nous retenons une tachycardie supraventriculaire. En accord avec la famille et le patient, nous faisons 2 essais thérapeutiques à l'Adénosine avec un effet transitoire qui met en évidence un rythme de base sinusal. Un essai de Diltiazem i.v. est inefficace en raison d'une extravasation. L'attitude et la situation générale sont discutées avec la famille et le patient : nous poursuivons l'antibiothérapie et un essai thérapeutique avec du Diltiazem p.o. Pas de cardioversion (tt uniquement pharmacologique avec essai de Diltiazem). La famille et le patient sont bien conscients de l'état et de l'infection possiblement létale. Il est convenu d'évaluer l'évolution tous les jours. En cas de péjoration, pas d'acharnement thérapeutique et décision claire de se focaliser uniquement sur un traitement symptomatique. Le patient, sa fille et l'épouse sont d'accord avec la prise en charge. La fille souhaite être tenue au courant en cas de péjoration 24/24. Mr. Y nous est transféré depuis Tavel pour une tachycardie et une hypotension dans un contexte probablement infectieux. Mr. Y a des douleurs abdominales et des diarrhées importantes depuis la veille. Pas d'autre foyer anamnestique ou clinique. Nous retenons aux urgences le diagnostic d'une jéjunite d'origine probablement infectieuse dans un contexte d'agranulocytose. En accord avec les collègues de l'oncologie, nous installons un traitement de Neupogen, Cefepime et Flagyl. Sous hydratation i.v. les tensions artérielles se normalisent transitoirement. Le 08.04.19, le patient présente une péjoration de son état avec des signes de sepsis de choc septique. Nous passons à du meropenem et mettons en place un support volémique sans succès.Au vu du contexte général, de la longue hospitalisation et après discussion avec la famille, nous passons à des soins de confort le soir du 8.4.19 avec une pompe de fentanyl. Le patient décède le 9.4.19 à 11.50, entouré par sa femme et sa fille. Mr. Y, patient de 69 ans, connu pour un lymphome à grandes cellules B primitif du médiastin, hospitalisé de manière élective pour le 6ème cycle de chimiothérapie dès le 18.03.2019. La chimiothérapie est bien supportée sur les plans clinique et biologique. Le patient présente un état fébrile dès le 28.03.2019, pour lequel nous ne retrouvons pas de franc foyer clinique, mais le PET-CT révèle un infiltrat bronchio-alvéolaire. Il présente une agranulocytose dès le 29.03.2019, et une antibiothérapie par Céfépime est introduite pour 7 jours. L'évolution est rapidement favorable. Le PET-CT ne montre plus aucune lésion hypermétabolique, il n'est donc pas nécessaire de poursuivre la chimiothérapie. À noter une hyperplasie de la prostate asymptomatique pour laquelle nous vous laissons le soin d'organiser une consultation urologique en ambulatoire. Un risque de tassement vertébral est augmenté dans la région ayant été traitée par radiothérapie, nous vous rendons donc attentif au fait qu'en cas d'apparition de douleur, il faudra organiser une imagerie. Mr. Y est retransféré à l'HFR Billens pour poursuivre la réadaptation musculo-squelettique le 05.04.2019. Mr. Y, connu pour un adénocarcinome du moyen rectum cT3 cN0 M0, diagnostiqué le 19.11.2018, est adressé aux urgences de l'HFR Fribourg par Dr. X, oncologue traitante, le 11.04.2019 pour suite de prise en charge d'une embolie pulmonaire. Lors d'un contrôle oncologique ce jour, le patient décrit des douleurs basithoraciques gauches transfixiantes, en coup de couteau, associées à une dyspnée avec un premier épisode le 06.04.2019 au soir, d'intensité à 7/10, puis nouvelle exacerbation des douleurs le soir du 10.04.2019. Dr. X demande un CT scan thoracique qui montre une embolie pulmonaire motivant le transfert aux urgences. Pour rappel, le patient a bénéficié d'une résection antérieure basse par laparoscopie avec iléostomie de protection le 13.03.2019 - Dr. X - et la stomie doit être réopérée au début mai. À l'admission aux urgences, tension artérielle 113/81 mmHg, fréquence cardiaque 81/min, fréquence respiratoire 22/min et saturation à 96% à l'air ambiant. Au status cardiovasculaire, pas d'oedème des membres inférieurs. La poche de stomie est en place avec présence de selles molles à l'intérieur. Le reste du status d'entrée sans particularité. Un traitement par Clexane thérapeutique 80 mg 2x/j sous-cutané est débuté et Mr. Y nous est transféré pour la suite de la prise en charge. En raison des douleurs thoraciques, une antalgie par Tramal 100 mg retard 2x/j et Dafalgan est introduite avec bon effet. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'antalgie selon l'évolution. Mr. Y peut regagner son domicile le 15.04.2019. Un rendez-vous en angiologie est agendé pour le 08.07.2019 afin de discuter de la poursuite de l'anticoagulation. Mr. Y, connu pour une cardiopathie rythmique et ischémique, un syndrome pulmonaire mixte, une insuffisance rénale chronique et une démence, consulte les urgences le 14.03.2019 en raison d'une dyspnée stade IV, accompagnée d'une dysurie, pollakiurie, brûlures mictionnelles et oedèmes des membres inférieurs. Son amie rapporte également une baisse de l'état général avec perte d'appétit. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par systèmes. Pour rappel, le patient consulte Dr. X le 31.01.2019 qui recommande une oxygénothérapie à 1 l/min à domicile, que Mr. Y oublie d'utiliser quand il est seul, en raison de ses pertes de mémoire. Entre 10h00 et 20h00, il est chez son amie qui lui met l'oxygénothérapie. Mr. Y bénéficie du passage des soins à domicile le matin pour le semainier et la douche. À l'admission aux urgences, le patient est légèrement hypertendu, normocarde et afébrile. Au status cardiovasculaire, notons des oedèmes des membres inférieurs jusqu'aux genoux, prenant le godet, ainsi que des crépitants bibasaux. Au toucher rectal, la prostate est douloureuse. Le status digestif et uro-génital est sans particularité. Au vu des examens cliniques et paracliniques, nous retenons le diagnostic de prostatite aiguë pour laquelle nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine, et Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. L'urotube revient positif pour E. coli multisensible, et sur avis de Dr. X, infectiologue, l'antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv 1x/j est poursuivie pour un total de 14 jours. Mr. Y présente également une décompensation cardiaque globale avec dyspnée et oedèmes des membres inférieurs. Nous débutons un traitement par Lasix 20 mg 3x/j avec un suivi du poids. Ce traitement est majoré progressivement avec switch pour du Torasemid per os que nous titrons en fonction du poids. À ce traitement, nous ajoutons de la Metolazone 5 mg dès le 24.03.2019 avec une diminution progressive du poids par la suite et une amélioration de l'état général du patient avec diminution de la dyspnée. Une échocardiographie transthoracique effectuée le 18.04.2018 par Dr. X montre une probable HTAP significative mais sans autre étiologie pour une décompensation cardiaque. Le patient bénéficie de physiothérapie. Nous notons une péjoration de la fonction rénale d'origine rénale que nous retenons comme mixte (FeUrée 37.6 %) : sur décompensation cardiaque et sur prostatite. Le bladder scan fait aux urgences exclut un globe urinaire. Le patient a les muqueuses sèches. Il bénéficie d'une hydratation iv aux urgences, que nous mettons en pause à l'étage en raison de la décompensation cardiaque. Les traitements néphrotoxiques sont mis en pause mise à part le Lasix qui est poursuivi en raison de la situation cardiaque. Le bilan de suivi montre une amélioration progressive de la fonction rénale suite à l'augmentation des diurétiques, parlant pour une probable composante cardio-rénale de cette insuffisance rénale aiguë qui se corrige durant le séjour. L'hyperkaliémie à 6.1 mmol/l mise en évidence aux urgences dans le contexte de l'insuffisance rénale aiguë, de l'acidose respiratoire et de l'IEC, se corrige sous Résonium. Le patient présente de plus des troubles cognitifs en péjoration rapide sur ces dernières semaines d'après son amie. Le bilan biologique du 18.03.2019 ne montre pas de trouble électrolytique et la TSH est dans la norme. Il présente une discrète amélioration du point de vue cognitif durant le séjour avec retour à un état habituel selon son amie. Mr. Y peut regagner son domicile le 28.03.2019. Nous recommandons la poursuite de la physiothérapie à domicile. Nous rendons attentif l'amie du patient de contrôler le poids quotidiennement et de maintenir une bonne hydratation per os compte tenu du traitement diurétique. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation durant la semaine suivant la sortie. Mr. Y est un patient de 50 ans connu pour une pseudarthrose symptomatique des côtes 6-9 à droite sur un traumatisme en août 2018. Il bénéficie d'une ostéosynthèse de côtes 6-9 à droite avec un système matrix rib le 25.04.2019. L'intervention se déroule sans complication. Les suites sont favorables permettant un retour à domicile le 28.04.2019. Mr. Y est un patient de 66 ans, aux antécédents susmentionnés, qui est hospitalisé pour les investigations d'une tumeur iléo-caecale avec lésions hépatiques, diagnostiquée par un CT effectué le 03.04.2019. Le cas de Mr. Y a été discuté au colloque interdisciplinaire du 10.04.2019, où il avait été décidé de compléter le bilan de cette lésion avec un PET-CT et une colonoscopie. Le patient bénéficie des investigations susmentionnées pendant l'hospitalisation. Le PET-CT met en évidence une intense hypercaptation iléo-caecale, correspondant très probablement à la tumeur primitive, avec des métastases hépatiques et ganglionnaires, abdominales, ainsi que 3 petites hypercaptations hilaires pulmonaires gauches, costales postérieures gauches et iliaques droites, suspectes. La colonoscopie effectuée le 17.04.2019 confirme la suspicion de tumeur du côlon ascendant. Le cas de Mr. Y est rediscuté au colloque interdisciplinaire du 17.04.2019. Au vu de l'atteinte tumorale et des plusieurs lésions secondaires, il est décidé d'effectuer une pose de port-à-cath et d'effectuer une chimiothérapie palliative.Mr. Y rentre à son home le 18.04.2019. Le patient sera convoqué par notre service pour une pose de port-à-cath ainsi que par les collègues de l'oncologie pour la suite de la prise en charge. À noter qu'au vu d'un prurit important associé à des lésions cutanées, un consilium dermatologique est effectué. Le diagnostic d'une dermatose perforante réactionnelle dans le contexte d'un prurit d'origine multifactorielle (diabète, médicamenteux, paranéoplasique) est retenu. Une biopsie est faite et un traitement par Dermovate, Flammazine et Optiderm est instauré. Mr. Y est un patient de 80 ans, polymorbide, dialysé pour une insuffisance rénale terminale sur néphropathie diabétique qui est hospitalisé pour syndrome inflammatoire d'origine indéterminée. Il présente des douleurs abdominales crampiformes du flanc droit avec frissons solennels sans état fébrile objectivé depuis le 31.03.2019. Pas de modification du transit, sans sang dans les selles. Absence de nausées et vomissement. L'anémie est substituée par 2 CE durant l'hospitalisation au vu de la fonction cardiaque résiduelle dans le cadre d'une cardiopathie tritronculaire. Le bilan radiologique montre une lithiase intravésiculaire sans signe de cholécystite, ni dilatation des voies biliaires. De plus, un épaississement de la paroi caecale sans signe de diverticulite est mis en évidence. Une antibiothérapie par Rocephin et Flagyl est débutée pour couverture d'un foyer intra-abdominal. En raison de l'apparition d'un état confusionnel aigu hypoactif d'origine septique, il est décidé d'élargir l'antibiothérapie pour couverture des ESBL. Aucun germe n'est mis en évidence aux hémocultures. Une translocation bactérienne sur angor mésentérique non occlusif est suspectée. Un bilan dédié est réalisé et confirme l'angor de l'artère mésentérique supérieure sans occlusion complète avec signes de nécrose caecale. Le patient se péjore cliniquement avec hypersomnolence sans hyperlactatémie. Après discussion avec la famille, une opération avec laparotomie, résection caecale et colostomie est déraisonnable au vu des comorbidités du patient et du haut risque peropératoire. Il est décidé de passer à des soins de confort. Mr. Y décède le 09.04.2019. Mr. Y souffre d'un ongle incarné des côtés interne et externe du gros orteil du pied gauche. L'indication opératoire est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il me donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention prévue est une cure d'ongle incarné selon Kocher des rebords médial et latéral du gros orteil du pied gauche. La date opératoire du 09.05.2019 est retenue, en ambulatoire. Jusque-là le patient continue les soins locaux. L'antibiothérapie peut être arrêtée. Mr. Y, 46 ans, est hospitalisé pour des douleurs abdominales. Le patient présente depuis 48 heures des douleurs abdominales crampiformes associées à des nausées, des vomissements alimentaires puis biliaires et un état fébrile. Le status abdominal montre des bruits diminués et un abdomen tendu sans défense ni détente. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire, des signes de cholestases et des transaminases augmentées. Un CT montre l'apparition d'une infiltration du hile hépatique, du rétropéritoine, une lame de liquide libre péri-hépatique, un œdème péri-portal, des troubles de perfusion hépatique associés à une prise de contraste des voies biliaires, sans signe d'obstruction. Nous retenons une cholangite sans signes d'obstructions. Une antibiothérapie par ceftriaxone et metronidazole intraveineuse est réalisée durant 48 heures avec une amélioration bioclinique. Nous proposons de poursuivre cette antibiothérapie par voie per os pour une durée totale de 10 jours. Nous proposons un contrôle bioclinique chez le médecin traitant à la fin de l'antibiothérapie. Au niveau oncologique, le patient est connu pour une néoplasie endocrinienne multiple de type 1 (MEN-1) pour laquelle il est suivi par le Dr. X. Le CT montre une majoration de taille d'un nodule péritonéal suspect connu de 13 à 24 mm (DD: récidive de gastrinome, rate accessoire). Les images ont été envoyées au Prof. X au CHUV et le patient a un rendez-vous de prévu chez le Dr. X le 28.05.2019 à 15h30. Au niveau des cancers pulmonaires, le CT ne montre pas de signes de récidive. Le patient sera convoqué par le Dr. X pour la suite du suivi. Au niveau électrolytique, nous constatons une hypercalcémie qui se corrige spontanément. Une hypophosphatémie et hypomagnésémie sont substituées per os. La substitution est à poursuivre pendant 5 jours avec un contrôle biologique chez le médecin traitant par la suite. Mr. Y rentre à domicile le 26.04.2019. Mr. Y, patient de 47 ans, est admis aux soins intensifs dans le contexte d'un état confusionnel aigu suite à une sédation pour une cardioversion électrique le 12.04.2019. Le patient est hospitalisé depuis le 10.04.2019 en médecine interne pour une décompensation cardiaque globale dans le contexte d'une cardiomyopathie hypertrophique homogène avec une fibrillation auriculaire paroxystique. Le bilan par échocardiographie transthoracique montre une fonction du ventricule gauche sévèrement diminuée et une insuffisance mitrale sévère. Une indication pour une cardioversion électrique est posée après avoir exclu un thrombus intra-ventriculaire par une échocardiographie transoesophagienne. Un rythme sinusal est atteint après le 3ème choc électrique. Un traitement anti-arythmique par Amiodarone est introduit avec une dose de charge. Une anticoagulation thérapeutique par Rivaroxaban est poursuivie. En raison d'un tableau de décompensation cardiaque floride, le traitement diurétique par Furosemide est majoré et une ventilation non invasive intermittente est débutée. Après discussion avec les collègues de cardiologie et de la chirurgie cardiaque du CHUV, l'indication opératoire concernant l'insuffisance mitrale sévère est retenue. Dans le cadre du bilan pré-opératoire, une coronarographie est effectuée et montre des coronaires sans lésions significatives. Le suivi biologique montre initialement une importante cytolyse hépatique. Un US hépatique permet d'exclure un thrombus porte et la mesure des indices de résistance artérielle et du tronc porte est dans la norme sous réserve d'un examen de qualité sous-optimale. L'origine de la cytolyse est peu claire (foie de stase sur la décompensation cardiaque, emboles cardiaques au moment de la cardioversion électrique, cause infectieuse...). Dans ce contexte, des paires d'hémocultures itératives sont réalisées et une antibiothérapie empirique par Ceftriaxone et Métronidazole est débutée. Au moment de la sortie, les cultures restent négatives et le bilan hépatique est en amélioration.A mentionner que le patient a initialement consulté les urgences de Fribourg pour des douleurs abdominales évoluant depuis 2 semaines. Un CT-scan abdominal retrouve du liquide libre ainsi qu'une inflammation du caecum et du colon ascendant. Un ultrason abdominal permet d'exclure une cholécystite. Un avis chirurgical préconise d'effectuer une colonoscopie à distance de l'épisode de décompensation cardiaque. Le patient est transféré le 15.04.2019 dans le service de chirurgie cardiaque du CHUV (étage 16) pour la suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 65 ans, connu pour des abcès péri-anales récidivants, qui se présente aux urgences en raison de douleurs péri-anales avec état fébrile. À l'examen clinique, nous objectivons une rougeur avec induration péri-anale à 7H en position gynécologique, raison pour laquelle nous procédons à une incision avec drainage le 29.03.2019. Lors de l'intervention, nous ne retrouvons pas de collection, mais une fistule borne ainsi que du tissu cicatriciel. En vue de l'évolution favorable, le patient peut regagner son domicile en bon état général le 30.03.2019. Il sera revu pour contrôle à la consultation de proctologie le 01.04.2019. Mr. Y, connu pour un adénocarcinome de la prostate métastatique au niveau vertébral à l'étage cervical (C3 et C5) et à l'étage thoracique (D5, D6, D8, D9 et D10), est amené aux urgences en ambulance le 23.04.2019 en raison d'une perte de force au niveau des deux membres inférieurs depuis le 18.04.2019. À noter une faiblesse progressive des membres inférieurs depuis quelque temps. Il consulte le Dr. X, médecin traitant, le 19.04.2019, qui retient un déconditionnement global et introduit un traitement par Normolytoral. Depuis, le patient se sent de plus en plus faible, avec moins de force dans les jambes et une légère réduction de la sensibilité sur la face antérieure des deux cuisses. Depuis le 18.04.2019, la parésie ne lui permet plus de marcher et provoque une chute sans traumatisme crânien. Mr. Y rapporte également une douleur paravertébrale D4 connue, irradiant dans la côte, jusqu'en antérieur. Pas d'état fébrile, de lombalgie ni de symptômes urinaires. À noter la dernière chimiothérapie il y a 3 semaines. La prochaine séance ainsi que l'injection de Xgeva prévues le 25.04.2019 sont reportées. Pour rappel, le patient a été hospitalisé dans notre service de chirurgie du 20 au 21.04.2019 pour une hématurie macroscopique actuellement résolue. À l'admission aux urgences, Mr. Y est hémodynamiquement stable et afébrile. Au status neurologique, on note une diminution de force à M4 en flexion des orteils et des pieds des deux côtés, M3 en extension des pieds et des orteils, M2 au niveau quadriceps à droite, M3 quadriceps gauche, psoas à M4 des deux côtés, M5 aux membres supérieurs. La marche est impossible. La station assise est difficile. Pas de spasticité. La sensibilité superficielle est diminuée dans les territoires D11 à L3, sinon dans la norme. Les réflexes ostéotendineux sont normovifs aux membres inférieurs, aréflexie aux membres supérieurs, Babinski positif des deux côtés, pas d'anesthésie en selle. Toucher rectal avec sphincters compétents. Au niveau ostéo-articulaire, la palpation est douloureuse au niveau paravertébral T4 irradiant en antérieur, le reste est sans particularité. Les statuts cardio-pulmonaire et abdominals sont dans la norme. Le laboratoire revient sans particularité. Nous effectuons un CT-scan de la colonne dorso-lombaire qui ne montre pas de compression de la moelle d'origine osseuse, pas de tassement vertébral, mais une infiltration métastatique nerveuse ne peut pas être exclue. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de prise en charge et investigations. Nous débutons un traitement par Dexaméthasone, 20 mg aux urgences puis 12 mg/jour. Nous complétons le bilan par une IRM du rachis qui montre une très probable infiltration tumorale péri-médullaire antérieure postérieure à l'origine d'un engainement du cordon médullaire en regard de D4-D5-D6. La Dr. X et la Dr. X, oncologues, préconisent la réalisation de radiothérapie en urgences. Le Dr. X, neurochirurgien, ne retient pas d'indication chirurgicale et conseille également une radiothérapie, qui est agendée pour le mardi 30.04.2019 (pas de place avant malgré l'urgence selon les radio-oncologues). Dans l'intervalle, le traitement par Dexaméthasone est poursuivi à raison de 12 mg/j. Le 26.04.2019, Mr. Y est transféré dans le service de médecine de l'HFR Fribourg pour radiothérapie en urgences en cas de libération d'un créneau avant le 30.04.2019. Mr. Y est un patient de 72 ans, polymorbide, connu pour un ancien tabagisme 80 UPA stoppé en 2015, un adénocarcinome pulmonaire lobaire inférieur droit classé cT2a cN0-2 suivi par Dr. X avec suivi PET car non opérable en ce moment, une cardiopathie ischémique, une AOMI suivie par Dr. X avec péjoration des douleurs actuellement sans proposition thérapeutique angiologique. Il est hospitalisé le 14.03.2019 pour une baisse de l'état général dans le cadre d'une infection respiratoire. En effet, il présente une toux avec expectorations blanchâtres et dyspnée à l'effort associée à une baisse de l'état général depuis 10 jours. Il a été mis sous Amoxicilline par son médecin traitant puis Co-Amoxi par le médecin de garde sans amélioration. Un frottis de grippe fait lors de son séjour (contage chez sa conjointe) revient positif le 18.03.2019 pour Influenza A. Au vu de la temporalité de la symptomatologie, le patient n'est isolé qu'un jour et ne bénéficie pas de Tamiflu. Sa dyspnée et sa toux chronique restent stables tout au long de son hospitalisation, avec un sevrage d'O2 dès le 18.03.2019 et un syndrome inflammatoire à la baisse. Sa plainte principale est la douleur sur lombalgies chroniques non déficitaires connues, coxalgie droite chronique connue sur s/p PTH compliquée ainsi que sa claudication intermittente stade Lerich 2b. Tout ceci limite considérablement son périmètre de marche. Dans ce contexte, nous instaurons une antalgie la plus optimale possible avec de l'Oxycontin, sans effet satisfaisant, puis du Fentanyl. Mr. Y développe alors un prurit généralisé le 25.03.2019. Nous effectuons une rotation pour l'hydromorphone. Une IRM de la colonne lombaire est réalisée le 25.03.2019 afin de déterminer l'origine des douleurs. Celle-ci montre un discret débord discal dans le foramen transverse gauche en L4-L5 avec contact étroit avec la racine L4, des troubles dégénératifs pluri-étagés du rachis lombaire, une sténose modérée du canal spinal en L4-L5, superposable avec l'IRM de 2010. Le Dr. X suspecte un syndrome facettaire et propose une infiltration. Celle-ci nécessitant un arrêt de l'anticoagulation pendant 48h, le patient, informé et éclairé des risques encourus, l'accepte. Le geste ne pourra cependant pas être effectué en raison d'une récidive d'AIT après l'arrêt de l'anticoagulation. Au vu de la temporalité de la survenue de l'AIT et après discussion avec Dr. X et Dr. X, l'arrêt de l'anticoagulation n'est plus envisageable et une infiltration ne pourra donc pas être réalisée. Le 20.03.2019, il présente une diplopie binoculaire verticale avec instabilité à la marche nouvelle, résolutive en quelques heures. Le CT-cérébral injecté ne montre pas de signe d'AVC ischémique ou hémorragique. Un AIT étant suspecté, une anticoagulation thérapeutique est reprise. L'IRM cérébrale du 01.04.2019 ne montre pas de signe d'AVC ischémique ou hémorragique avec un status vasculaire idem au CT du 30.03.2019. Le diagnostic d'AIT est alors retenu, dont une étiologie artério-artérielle semble la plus probable. Il est suivi lors de son hospitalisation par son angiologue Dr. X qui maintient la poursuite d'un traitement conservateur pour son artériopathie des membres inférieurs au vu des comorbidités.Devant l'amélioration de ses symptômes pulmonaires et un contrôle satisfaisant de ses douleurs chroniques, nous laissons Mr. Y rentrer à domicile le 02.04.2019 avec un contrôle de santé 1x/semaine et une aide au ménage 1x/semaine également. Mr. Y sera revu à votre consultation pour contrôle et ablation des agrafes à 14 jours post-opératoires. Un rendez-vous est prévu à la consultation du Dr. X le 13.04.2019 pour contrôle à 6 semaines. Mr. Y, 70 ans, a été admis aux soins intensifs pour une hyponatrémie sévère chronique symptomatique, compliquée d'une épilepsie partielle récidivante. Le patient est anticoagulé par Sintrom pour une valve mitrale prothétique. Il a présenté une chute mécanique de sa hauteur le 30.03.2019 avec un traumatisme crânien sans perte de connaissance. Le traumatisme crânien a été investigué en ambulatoire par un CT-scan cérébral sans particularité. Une sinusite maxillaire a été mise en évidence avec instauration d'un traitement antibiotique en ambulatoire (Co-amoxicilline pour 6 jours). Suite à l'instauration de l'antibiothérapie, le patient mentionne des épisodes de diarrhées spontanément résolutives, puis le développement de troubles de l'élocution et de vertiges rotatoires motivant une consultation aux urgences. Une hyponatrémie sévère a été identifiée comme une possible étiologie des troubles de la parole et des vertiges. Cette hyponatrémie a été attribuée à un probable SIADH médicamenteux (hydrochlorothiazide, pantoprazole), aggravé par les épisodes de diarrhées. Une simple restriction hydrique et l'administration de soluté iso-tonique permettent une lente normalisation de la natrémie. Les troubles de l'élocution avec une aphasie de production complète et transitoire ont récidivé malgré une natrémie en cours de normalisation. Un CT-scan cérébral n'a pas mis en évidence d'événement vasculaire aigu ni d'œdème cérébral. L'électroencéphalogramme a mis en évidence quelques épisodes de crises épileptiques sub-cliniques à prédominance temporale droite. Cette crise comitiale partielle a été attribuée à une cause métabolique. Sur avis neurologique, un traitement de courte durée par Levetiracetam a été débuté dans l'attente d'un nouvel EEG et d'une IRM cérébrale, organisés dès le 15.04.2019. L'anticoagulation par Sintrom pour la valve mitrale mécanique a été poursuivie selon la posologie habituelle du patient. L'INR est resté dans l'intervalle thérapeutique. La cirrhose hépatique est d'origine éthylique avec une abstinence de la consommation depuis 2011. Le médecin traitant n'étant pas joignable et au vu de la stabilité des tests hépatiques, nous n'effectuons pas de bilan extensif. Le médecin traitant sera à contacter afin d'évaluer la nécessité ou non de mener des investigations supplémentaires. Mr. Y, en bonne santé habituelle, a été hospitalisé en raison d'une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur droit, oligo-métastatique, diagnostiqué le 01.04.2019, avec probable surinfection pulmonaire. Mr. Y est initialement hospitalisé à l'HFR Meyriez en raison d'une dyspnée associée à un état fébrile et des sudations profuses, avec expectorations jaunâtres. À noter que préalablement, le patient a bénéficié d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline et d'une corticothérapie par Prédnisone, prescrit par vous-même, en raison d'une suspicion d'exacerbation de BPCO d'origine infectieuse. À l'admission, le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire, et le bilan radiologique montre une masse pulmonaire du lobe supérieur droit, des adénopathies hilaires et un épanchement pleural bilatéral. Dans ce contexte, nous suspectons une surinfection pulmonaire et débutons une antibiothérapie par Ceftriaxone et Klacid pour une durée de 7 jours. Ce dernier est arrêté après que l'antigénurie revient négative pour Légionelle. Les hémocultures restent négatives à 5 jours. Le 26.03.2019, le patient présente une nette aggravation de la dyspnée, associée à une fibrillation auriculaire à conduction rapide, hémodynamiquement instable, nécessitant un séjour aux soins intensifs. Une cardioversion médicamenteuse par Digoxine et Cordarone est effectuée avec succès. L'échocardiographie transthoracique montre une bonne fonction globale avec une fraction d'éjection à 55%. Concernant la masse pulmonaire mise en évidence à la radiographie d'entrée, nous complétons les investigations par un CT thoracique qui confirme la présence d'une tumeur du lobe supérieur droit, ainsi que des adénopathies hilaires et médiastinales bilatérales, et un épanchement pleural bilatéral, prédominant à gauche. Ce dernier est ponctionné, et les analyses montrent un exsudat, sans cellules malignes. Une bronchoscopie avec EBUS est également effectuée, qui se complique par un œdème aigu du poumon post-intervention, d'évolution rapidement favorable avec TNT, Lasix et VNI. Au vu de la sténose bronchique par la masse tumorale, une corticothérapie systémique est débutée, avec schéma dégressif à poursuivre selon vos soins. Les résultats des différentes biopsies pulmonaires sont compatibles avec un carcinome non à petites cellules de type adénocarcinome broncho-pulmonaire. Nous effectuons un PET-CT qui confirme la tumeur primitive au niveau du lobe supérieur droit avec envahissement du hile et du médiastin, et met en évidence des métastases ganglionnaires supra-claviculaires bilatérales, ainsi que surrénaliennes gauches. La situation est présentée au Tumorboard du 03.04.2019, retenant l'indication à un traitement systémique en fonction des résultats de pathologie encore en cours (NGS). Dans le contexte de la dépendance à l'alcool, nous introduisons une vitaminothérapie par Thiamine, ainsi que de l'Oxazépam en prévention du syndrome de sevrage, qui se déroule sans complications. Durant le séjour, nous mettons également en évidence une hypokaliémie qui se corrige par une substitution orale. Mr. Y rentre à domicile le 10.04.2019. Il sera convoqué en oncologie pour l'annonce des derniers résultats de pathologie (NGS) et la suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 21 ans, connu pour des migraines sans aura et des céphalées en grappe, qui est hospitalisé pour la seconde fois en raison de crises répétées de céphalées en grappe. Pour rappel, il est connu depuis 1.5 année pour des céphalées en grappe se présentant sous la forme de céphalées exquises rétro-orbitaires droites avec irradiation électrique postérieure. Il note habituellement un larmoiement minime, une photophobie, et parfois une ptose palpébrale ipsilatérale sans irritation conjonctivale. Les crises répondent habituellement bien à un traitement d'oxygène à haut débit avec masque ainsi qu'à du Zomig intranasal. Pourtant, il rapporte des crises intensifiées en fréquence et en intensité ces derniers jours avec une réponse moindre à son traitement habituel. Aux urgences, le statut neurologique met en évidence uniquement une sensibilité du scalp au niveau de l'hémicrâne droit, sans point trigger. Le reste du statut est dans les normes. Le bilan biologique est également sans particularité. Le patient bénéficie d'une infiltration de corticoïdes au niveau occipital par le Dr. X, puis est hospitalisé en médecine interne pour surveillance et antalgie. Sur avis du Dr. X, un traitement de Topiramate bijournalier ainsi que du Vérapamil sont introduits, avec effet favorable hormis une fatigue rapportée par le patient. L'intensité et la fréquence des crises diminuent durant le séjour. Le Topiramate doit être majoré progressivement. Un traitement par prednisone ou par lithium reste à considérer en ambulatoire et sera rediscuté le cas échéant par le Dr. X.Le patient peut rentrer à domicile le 06.04.2019. Mr. Y est un patient de 21 ans, connu pour des migraines sans aura et des céphalées en grappe, qui est réhospitalisé le 08.04.2019 suite à un maintien à domicile impossible en raison d'une péjoration de ses céphalées habituelles. Pour rappel, il est hospitalisé une première fois du 02-06.04.2019 pour des crises majorées en fréquence et en intensité de céphalées en grappe, répondant moins que d'habitude au traitement habituel de Zomig et d'oxygène à haut débit, avec dès lors introduction d'un traitement de Topamax et de Vérapamil, bien toléré. Il se représente aux urgences 48 heures après sa sortie d'hôpital pour des récidives violentes. Il rapporte les mêmes douleurs typiques, rétro-orbitaires droites avec irradiation électrique postérieure dans la nuque, accompagnées d'un larmoiement minime, une photophobie, et parfois une ptose ipsilatérale partielle sans irritation conjonctivale. Le statut neurologique est entièrement dans les normes. Il est hospitalisé en médecine pour surveillance clinique et adaptation du traitement des céphalées en grappe. Une cure de solumedrol intraveineuse est débutée sur 4 jours, sur avis du Dr. X, avec schéma dégressif de Prednisone par la suite. L'effet est favorable, avec une diminution de la fréquence et de l'intensité des crises. Le patient remarque pourtant de nouvelles céphalées, holocrâniennes et pulsatiles avec des bouffées de chaleur, améliorées par le Dafalgan. Un contrôle chez le Dr. X est prévu début mai 2019 et le patient sera convoqué pour un suivi ambulatoire au centre des céphalées du CHUV. L'évolution de Mr. Y est favorable, ce pourquoi il rentre à domicile le 16.04.19. Mr. Y est un patient de 62 ans connu pour un antécédent d'adénocarcinome colorectal moyennement différencié avec résection antérieure basse et colostomie terminale définitive et fistule grêlo-urétérale opérée, qui était hospitalisé jusqu'au 30.03.2019 pour une pancréatite de type Balthazar E avec multiples collections péri-pancréatiques et qui avait bénéficié d'une ponction trans-gastrique de pseudo-kystes le 29.03.2019. Le patient se présente aux urgences avec des douleurs en épigastre associées à des frissons. Le bilan biologique et radiologique met en évidence la pancréatite oedémato-interstitielle avec une nette augmentation de taille des collections au contact de la grande courbure de l'estomac compatible avec des pseudo-kystes probablement surinfectés, une nette augmentation des coulées de nécroses et une augmentation de l'épanchement péri-hépatique et péri-splénique. Un traitement antibiotique par Tienam est introduit pour une durée de 14 jours au total. Nous réalisons un CT scanner abdominal de contrôle avec une image superposable au comparatif du 30.03.2019. L'évolution clinico-biologique est favorable. À noter l'apparition d'oedème des membres inférieurs, que nous traitons par diurétiques avec bon effet thérapeutique. Le 12.04.2019, nous effectuons un bilan biologique qui montre une augmentation du syndrome inflammatoire avec une CRP à 114 mg/l et une hypokaliémie à 3.2 mmol/l. Malgré une péjoration biologique, le patient quitte prématurément le service de chirurgie générale contre avis médical. Nous recontactons le patient téléphoniquement afin d'organiser un rendez-vous avec un contrôle clinico-biologique à la consultation des Chefs de clinique le 15.04.2019 à 15h30. Un contrôle à la consultation des Chefs de clinique est organisé en date du 16 mai 2019 à 9h30 ainsi qu'un rendez-vous à la consultation du Dr. X pour organiser un drainage kystique trans-gastrique. Mr. Y, patient de 51 ans en bonne santé habituelle jusqu'ici, est hospitalisé aux soins intensifs puis en médecine dans les suites d'un NSTEMI. Pour rappel, Mr. Y consulte les urgences de Payerne le 27.04.2019 pour des douleurs thoraciques oppressives apparues 24h auparavant. Au niveau des facteurs de risque cardio-vasculaire, il est connu pour un tabagisme actif à 20 UPA ainsi qu'une probable hypertension non traitée jusqu'ici. Le bilan biologique et électrocardiographique montre un possible NSTEMI avec troponines à 600 ng/l, CK à 810 U/l et CK-Mb 10 U/l. L'ECG retrouve un sous-décalage ST de V2 à V4. Le patient est transféré à Fribourg pour une coronarographie. L'examen invasif montre une maladie coronarienne avec des lésions tritronculaires. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Les lésions coupables (sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale englobant l'origine de la première diagonale) sont traitées par angioplastie avec implantation de 2 stents. Au niveau médicamenteux, une double antiagrégation plaquettaire par Aspirine à vie et Prasugrel pour 6 mois est introduite dès le 27.04.2019. Un traitement anti-hypertenseur et cardioprotecteur par Lisinopril et Métoprolol est introduit. En raison d'une hypercholestérolémie avec LDL-cholestérol à 5.3 mM, un traitement par statine est également introduit. L'évolution clinique est rapidement favorable avec la disparition des douleurs et de toute autre plainte après la coronarographie. Le patient rentre finalement à domicile le 29.04.2019. Le suivi général sera effectué chez le médecin traitant avec notamment adaptation médicamenteuse et contrôle strict des facteurs de risque cardiovasculaire. Un bilan lipidique ainsi que des transaminases est notamment à effectuer à 1 mois. Le patient sera convoqué pour une nouvelle coronarographie dans un mois afin de traiter la lésion de l'artère circonflexe. Mr. Y se montre intéressé à un soutien pour un sevrage tabagique, une brochure de l'association "Cipret Fribourg" lui a été remise. Mr. Y, patient de 51 ans, est admis aux soins intensifs en post-coronarographie pour un NSTEMI le 27.04.2019. Le patient, en bonne santé habituelle avec comme facteurs de risque cardio-vasculaire une hypertension non traitée et un tabagisme actif à 20 UPA, consulte les urgences de Payerne le 27.04.2019 pour des douleurs thoraciques apparues 24h auparavant. Le bilan biologique et électrocardiographique montre un NSTEMI avec troponines à 600 ng/l, des CK à 810 U/l et CK-Mb 10 U/l. L'ECG retrouve un sous-décalage ST de V2 à V4. Le patient est transféré à Fribourg pour une coronarographie. L'examen invasif montre une maladie coronarienne avec lésions tritronculaires. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Les lésions coupables (sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale englobant l'origine de la première diagonale) sont traitées par angioplastie avec implantation de 2 stents. Au niveau médicamenteux, une double antiagrégation plaquettaire par Aspirine à vie et Prasugrel pour 6 mois est introduite dès le 27.04.2019. La surveillance clinique aux soins intensifs est sans particularité. Un traitement anti-hypertenseur et cardioprotecteur par Lisinopril et Métoprolol est introduit. Le bilan biologique montre un pic de CK à 1049 UI/L. Le dosage de l'hémoglobine glyquée est à 5.1 % et un profil lipidique montre une hypercholestérolémie avec LDL-cholestérol à 5.3 mmol/l. Un dosage de la LPa est en cours. Un traitement de statine est introduit. Le patient est transféré en médecine interne le 28.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Une nouvelle coronarographie pour le traitement de la lésion de l'artère circonflexe sera à organiser à distance. Mr. Y souffre d'une coxarthrose à gauche qui a son origine sur une déformation type CAM de la tête du fémur avec un conflit fémoro-acétabulaire.Je propose au patient de faire tout d'abord un essai avec de la physiothérapie et d'éviter des mouvements extrêmes où la hanche entre en conflit mécanique. Sur le long terme, le patient aura peut-être besoin d'une implantation de prothèse totale mais ceci est seulement indiqué en fonction des douleurs. En ce qui concerne le genou, pour le moment l'indication pour une infiltration n'est pas donnée vu l'amélioration clinique avec la physiothérapie. Je lui prescris encore une fois 9 séances de physiothérapie. Le patient me recontactera en cas de besoin. Un contrôle d'emblée n'est pas prévu. Mr. Y, 58 ans, connu pour un diabète de type 2 non insulino-requérant et une hypertension artérielle traitée, est hospitalisé en Stroke Unit pour prise en charge d'un AVC ischémique pontique paramédian droit. Mr. Y consulte aux urgences de Riaz le 02.04.2019 pour des céphalées, une baisse de la sensibilité et de force au niveau de l'hémicorps gauche, une dysarthrie et une instabilité à la marche depuis le 01.04.2019 à 18 heures. Le bilan radiologique réalisé aux urgences de Riaz met en évidence une hypodensité au niveau pontique droit motivant un transfert en Stroke Unit. Une IRM cérébrale confirme la lésion pontique paramédian droit. Les vaisseaux pré-cérébraux sont perméables et au niveau intracrânien, il existe une sténose de bas degré du tronc basilaire. Un traitement est chargé en Plavix 300 mg et en Aspirine 250 mg IV à son entrée et nous proposons la poursuite du traitement antiplaquettaire par du Plavix 75 mg 1x/j à long terme. Au niveau étiologique, l'origine microangiopathique semble la plus probable au vu d'une hypertension mal compensée pendant l'hospitalisation et de l'imagerie compatible avec cette origine. De plus, à l'examen ophtalmologique, il existe une rétinopathie hypertensive de grade 1-2 et le sédiment urinaire montre une microalbuminurie sans insuffisance rénale suggérant une néphropathie hypertensive débutante, 2 éléments qui nous confortent dans l'hypothèse d'une origine microangiopathique. Nous ajoutons à son traitement anti-hypertenseur habituel de l'Amlodipine 5 mg 1x/j. Nous recommandons un contrôle régulier de la tension artérielle à votre consultation et adaptation du traitement afin d'atteindre une cible < 130/80 mmHg. Un Holter sur 3 jours est actuellement en cours d'interprétation à la recherche active d'une arythmie atriale. Nous évoquons également l'origine artério-artérielle au vu de la sténose de bas degré du tronc basilaire; nous entamons un traitement par Atorvastatine 40 mg 1x/j avec une cible de LDL-cholestérol < 1.8 mmol/L. À l'angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux à l'entrée, nous découvrons de manière fortuite sur les coupes thoraciques de multiples adénopathies médiastinales et hilaires aspécifiques mais clairement pathologiques avec un large diagnostic différentiel de métastases, lymphome, adénopathies réactives dans un contexte infectieux ou inflammatoire, sarcoïdose. Un CT thoraco-abdominal retrouve de multiples adénopathies sus-claviculaires droites, médiastinales et hilaires bilatérales de rehaussement homogène, non nécrotiques et non calcifiées sans lésion focale suspecte d'atteinte tumorale primaire. Les images sont revues par nos collègues pneumologues qui suspectent une sarcoïdose. Ainsi, ils proposent d'effectuer des fonctions pulmonaires complètes et selon les résultats de ces tests, une biopsie transbronchique pourrait être envisagée. Le patient sera convoqué pour un bilan en ambulatoire. Afin de compléter le bilan, nous demandons un dépistage pour HIV et syphilis qui se révèle négatif. La sérologie pour EBV révèle une ancienne infection et CMV est négatif pour les IgG et les IgM. La formule sanguine complète ne révèle pas d'anomalie significative. Au niveau neurologique, le bilan neuropsychologique se révèle normal et l'examen neurologique de sortie ne révèle pas de séquelles de son AVC. La conduite automobile est compromise pendant 2 semaines. Mr. Y rentre à domicile le 09.04.2019. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y, 58 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance monitorisée pour un AVC pontique droit. Il est connu pour un diabète de type 2 non insulino dépendant et une hypertension artérielle traitée et consulte aux urgences le 02.04.2019 pour des céphalées, une baisse de la sensibilité et de force au niveau des membres supérieurs et inférieurs gauche et une dysarthrie la veille à 18h. Il décrit une apparition des symptômes progressive avec de la peine à articuler avec une sensation de manque de force et de sensibilité dans le bras. Le bilan radiologique réalisé aux urgences de Riaz met en évidence une hypodensité au niveau pontique droit. La surveillance neurologique est par la suite favorable avec un NIHSS de sortie à 2. La surveillance rythmique est sans particularité. Le patient bénéficie d'un traitement par anti-agrégation par Plavix dès le 02.04.2019. Une ETT est réalisée le matin du 03.04.2019 dans le cadre du bilan d'AVC. Le traitement anti-diabétique oral est mis en suspens ainsi que le traitement anti-hypertenseur. Mr. Y, 58 ans, est admis en Stroke Unit suite à un AVC aigu temporo-pariétal gauche le 05.04.2019. Le patient en bonne santé habituelle présente dès le réveil à 5 heures du matin des troubles phasiques objectivés par sa femme qui appelle l'ambulance. La dernière preuve de bonne santé était à 00h15 le même jour. L'examen initial révèle une aphasie fluente associée à des troubles de la compréhension et une confusion. L'angio-CT cérébral avec cartes de perfusions réalisé au service des urgences montre un AVC ischémique en majorité constitué temporo-pariétal gauche sur occlusion M3 de l'ACM gauche. Une thrombolyse intraveineuse est débutée hors protocole. Un CT cérébral de contrôle 8h après la lyse montre une transformation hémorragique de l'AVC de la région fronto-pariétale gauche sous la forme d'hémorragies sous-arachnoïdiennes et intra-parenchymateuses. Un avis neurochirurgical est demandé et préconise une surveillance neurologique rapprochée et la réalisation d'une nouvelle imagerie en cas d'aggravation neurologique. Un avis hématologique est demandé et recommande l'administration d'acide Tranéxamique et de fibrinogène. La symptomatologie se révèle stable sans symptômes supplémentaires, en particulier par une atteinte sensitivo-motrice de l'hémicorps droit. Un nouveau CT cérébral natif à 36 heures et à J7 de son entrée révèle une stabilité des lésions pré-citées. Mr. Y présente dès le 07.04.2019 un fibrillo-flutter rapide entre 90 et 95 bpm irrégulier présent sur le Holter de 72 heures et persistant sans passage en rythme sinusal. L'étiologie cardio-embolique ne fait donc aucun doute. Cependant, au vu du saignement, une anticoagulation ne peut être introduite immédiatement. Selon avis neurochirurgical, l'anticoagulation pourrait être envisagée dès 1 mois de l'événement suite à une IRM cérébrale de contrôle. Selon avis cardiologique, 3 semaines après le début de l'anticoagulation, une cardioversion électrique pourrait être discutée. Nous débutons un traitement par Atenolol dès le 12.04.2019. Le bilan neuropsychologique révèle un langage spontané fluent correspondant à une aphasie de type Wernicke, discours informatif de manière fluctuante. Le patient étant jeune et travaillant encore, une neuro-réhabilitation intensive est indiquée. L'hospitalisation est compliquée par une baisse de la thymie. En effet, Mr. Y est émotionnellement très labile et pleure facilement. La femme du patient, sa sœur et son beau-frère sont inquiets quant au risque suicidaire chez ce patient avec un antécédent de dépression majeure à l'âge de 25 ans. Nous demandons un avis psychiatrique qui ne retrouve pas de risque suicidaire ni d'indication à un traitement médicamenteux. Cependant, nous recommandons un suivi psychologique pendant l'hospitalisation à l'HFR Meyriez et également après sa sortie.Le status neurologique de sortie révèle une amélioration du status neuro-cognitif avec certes une persistance d'une aphasie de type Wernicke mais des réponses correctes quant à l'orientation dans le temps et l'espace. Le patient s'améliore de jour en jour dans la communication et arrive à former des phrases plus complexes dès le 12.04.2019. Le patient est transféré à l'HFR Meyriez le 15.04.2019 pour suite de prise en charge. Nous avons prévu de revoir Mr. Y à notre consultation neurovasculaire à 3 mois pour un bilan de suivi. Mr. Y est adressé aux urgences le 05.04.2019 par le Dr. X, ORL, en raison d'une angine à streptocoque (streptotest positif avec une aphagie, depuis le 01.04.2019. Vous avez introduit une antibiothérapie par Azithromycine le 01.04.2019). Ce jour, en raison de l'absence d'évolution favorable, le patient est vu par le Dr. X qui nous l'adresse pour une antibiothérapie parentérale. Mr. Y ne s'alimente plus depuis 1 semaine et a des difficultés à s'hydrater. Il est fébrile, présente des frissons depuis le 04.04.2019 ainsi que des otalgies, sans trouble de l'audition. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système. Au status ORL, une otoscopie n'est pas réalisée (dans la norme chez le Dr. X). Les amygdales sont enflées avec exsudat. Pas de trismus. Pas de signe d'abcès. Notons des adénopathies des deux côtés, sensibles, à gauche plus qu'à droite. Au status respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique sans bruit surajouté. A l'auscultation cardiaque, B1B2 sont bien frappés, sans souffle audible. Le status digestif est sans particularité. Le patient est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Il bénéficie d'une hydratation iv et reçoit, sur avis du Dr. X, une antibiothérapie par Klacid 500 mg 2x/j iv dès le 05.04.2019. Il reçoit de plus du Solumédrol 125 mg le 05.04.2019 et le 06.04.2019 ainsi qu'une antalgie. Le 06.04.2019, Mr. Y arrive à s'alimenter et à s'hydrater per os et signale une nette amélioration de la symptomatologie et une réduction des douleurs. A l'examen physique, les amygdales sont toujours enflées et rouges avec un dépôt blanc au niveau de l'amygdale gauche. Nous effectuons un laboratoire le 06.04.2019 qui montre un CRP à 322 mg/l et une leucocytose à 19 G/l et au contrôle du 07.04.2019, nous notons une diminution du syndrome inflammatoire. Mr. Y peut regagner son domicile le 07.04.2019 avec poursuite de l'antibiothérapie per os par Klacid jusqu'au 12.04.2019. Mr. Y, patient de 89 ans, est transféré chez nous du service de médecine HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge d'un déconditionnement aigu suite à un arrêt cardio-respiratoire le 14.03.2019. La dernière échocardiographie a été effectuée le 27.03.2019 et montre une fonction cardiaque normale sans trouble cinétique segmentaire. Le patient habite dans un appartement avec sa femme. La chambre et les toilettes sont au rez-de-chaussée. Il monte au 1er étage 2-3 fois par semaine (10 marches d'escaliers). Il était indépendant pour la marche avant son hospitalisation. À l'entrée, le patient n'a pas de plainte. En état général légèrement diminué avec un rythme cardiaque régulier bradycarde sans bruit surajouté. Le reste de l'examen clinique se révèle sans particularités. Ad Diag. principal, Diag. 1: A son arrivée, le patient était en déconditionnement suite à l'arrêt cardio-respiratoire du 14.03.2019. Nous avons adapté le traitement antalgique et poursuivi une anticoagulation prophylactique par Heparin jusqu'au 08.04.2019. Le traitement antiplaquettaire par Aspirine cardio et Brilique est poursuivi. L'atorvastatine a été remplacée par la pravastatine, vue l'interaction avec la cordarone. Mr. Y a présenté une fibrillation auriculaire rapide le 16.03.2019 traitée par cordarone et un bêta-bloquant. Nous effectuons un ECG de contrôle le 29.03.19 et le 04.04.19 qui montre un rythme sinusal normocarde. Un RDV de contrôle (ECG, Holter) chez le Dr. X (cardiologie, HFR Meyriez) est organisé le 16.05.2019. Parallèlement aux problèmes médicaux aigus, nous débutons une réhabilitation gériatrique précoce avec une physiothérapie et une ergothérapie. A l'entrée, le patient pouvait faire les transferts de manière autonome (FIM 6), il pouvait marcher avec un rollator sur 120 m (FIM 6). A la sortie, le patient peut faire les transferts de manière autonome (FIM 6), il marche avec un rollator sur 300 m (FIM 6) et monte 18 marches d'escaliers à l'aide de la rampe (FIM 5). Le score de mobilité Tinetti est passé de 17 à 25/28. Ad Diag. 2: Concernant l'insuffisance rénale chronique, la clairance reste stable à 13 ml/min/1.73 m² pendant l'hospitalisation. Ad diag. 3: Nous notons une chute d'hémoglobine à 77 g/l le 30.03.2019, augmentée à 96 g/l suite à la transfusion d'un culot érythrocytaire. Ad diag. 4: Le 31.03.2019, le patient a présenté une crise de goutte au pied gauche, traitée par une corticothérapie pendant environ 10 jours avec une bonne évolution. Ad diag. 5: Le laboratoire montre une carence en Vitamine D, qui a été substituée. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y peut rentrer à la maison en bon état clinique le 13.04.2019. Mr. Y, âgé de 69 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées, nous est adressé par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à un changement de PTG D pour suspicion d'infection à bas bruit le 21.03.2019. Le patient est sous antibiothérapie par Rocéphine. Sur le plan social, le patient vit seul dans un appartement. Il est à la retraite. A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable. Au status, la plaie est calme. La flexion/extension du genou D en passif est à 60-10-0°. Durant son séjour, il a présenté une baisse de la thymie et des troubles du sommeil, traités auparavant par Saroten 25 mg/j. Nous demandons un consilium psychiatrique au vu de l'inefficacité de ce traitement. La Dr. X, psychiatre de liaison, préconise un traitement antidépresseur par Escitalopram, bien toléré par le patient, et Imovane comme somnifère en attendant l'entrée en action de l'Escitalopram. Nous vous recommandons de sevrer le patient en ambulatoire de ce somnifère. Sur le plan bactériologique, nous stoppons le 08.04.2019 la Rocéphine sur avis du Dr. X suite à 3 prélèvements stériles. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises en respectant difficilement la décharge, raison pour laquelle un moniteur a été introduit dans sa chaussure. Il peut monter et descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension active du genou D à 90° et une flexion de 10° réductible en passif, mais présente quand le patient est debout. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 16.04.2019, en bon état général. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Les SAD et l'aide au ménage ont été également activés dès le 23.04.2019. Mr. Y est un patient de 83 ans, qui nous est adressé en raison d'une majoration des hématomes sous-duraux connus au scanner de contrôle du 25.03.2019. Il bénéficie d'une trépanation bifrontale le 26.03.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites sont simples, permettant un retour avec soins et physiothérapie à domicile le 01.04.2019.Mr. Y est patient de 77 ans, connu pour une insuffisance rénale chronique terminale dialysée sur néphropathie à IgA sous Prednisone, fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom et syndrome métabolique avec diabète de type 2. Il nous est transféré ce jour depuis le service de médecine HFR Riaz pour réadaptation gériatrique après prise en charge d'une thrombo-embolectomie de fistule artério-veineuse du membre supérieur gauche et transposition de la prothèse sur la veine basilique le 05.04.2019, ainsi que dans un contexte de status après cimentoplastie le 08.03.2019 pour tassement récent du plateau supérieur L4 suite à chute de sa hauteur le 04.02.2019. Sur le plan antalgique, la gestion des douleurs est difficile avec une incapacité du patient de se mobiliser, limitant, par conséquent sa possibilité de réadaptation. Au vu des douleurs persistantes au niveau lombaire L3-L4, un avis est pris auprès du Dr. X, neurochirurgien, qui préconise de réaliser une IRM lombaire le 17.04.2019. Cet examen met en lumière une péjoration du tassement vertébral de L4 avec d'importants signes inflammatoires du reste du corps vertébral de L4 et L3 avec extension des signes inflammatoires au niveau des tissus mous péri-vertébraux ainsi qu'au niveau des éléments des arcs postérieurs. Le bilan radiologique est complété par un CT lombaire objectivant une ostéolyse d'une grande partie du corps vertébral et de sa partie supérieure et antérieure avec lyse de la corticale. Dans ce contexte, une nécrose chimique L4 est confirmée. A nouveau, nous prenons contact avec la Team Spine qui préconise un lit strict, sauf déplacements aux toilettes. L'indication quant à une prise en charge chirurgicale est retenue. Le Dr. X préconise la réalisation d'un CT abdominal injecté le 23.04.2019 (suivi par séance de dialyse prévue en accord avec son néphrologue, le Dr. X) avec intérêt sur la visualisation des vaisseaux abdominaux quant à la part du ciment vertébral (abord chirurgical dorsal versus latéral). L'anticoagulation par Sintrom est mise en suspens le 23.04.2019 et une prophylaxie par héparine 5000Ul 2x/j est instaurée, avec contrôle de la crase prévue. Sur le plan néphrologique, le patient est suivi par le Dr. X et bénéficie de séances de dialyses 3x/semaine, les mardis, jeudis et samedis, que nous proposons à nos collègues de l'HFR Fribourg d'organiser. Sur le plan cutané, nous notons un hématome résiduel au niveau du membre supérieur gauche, sans signe infectieux. Pour rappel anamnestique, lors de la précédente hospitalisation en médecine, celle-ci s'est compliquée d'un état confusionnel aigu sur surdosage d'opiacés, infection urinaire basse à staph haemolyticus et enterococcus durans traitée par Rocéphine du 12.04.2019 au 19.04.2019 et fécalome. Sur le plan infectieux, l'évolution clinique et biologique est favorable avec baisse du syndrome inflammatoire. L'antalgie en place actuellement consiste en un patch de Fentanyl 100µg et de l'Effentora en réserve. Le 24.04.2019, Mr. Y est donc transféré à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal, service d'orthopédie, pour suite de prise en charge. Mr. Y, connu pour un asthme intrinsèque éosinophilique, est hospitalisé à l'HFR Fribourg pour une crise d'asthme sévère. A son arrivée au service des urgences, le patient présente une nouvelle péjoration de la dyspnée depuis 1 mois, avec intensification de la toux productive les derniers jours. Pour rappel, un traitement de Prednisone avait été introduit 3 jours avant l'admission pour une nouvelle exacerbation d'asthme. A l'étage, un traitement par aérosols, majoration du Symbicort et poursuite de la Prednisone permet une amélioration rapide, mais sans toutefois permettre un rétablissement complet du status pulmonaire, le patient demeurant oxygéno-dépendant et dyspnéique à l'effort. Au vu d'un léger état fébrile pendant le séjour avec légère élévation de la CRP, un CT thoracique est réalisé afin d'exclure une autre pathologie pulmonaire sous-jacente ou une récidive d'embolie pulmonaire. Cet examen n'a pas relevé d'anomalies vasculaire ou parenchymateuse, ni de foyer de pneumonie, et démontre des épaississements bronchiques avec adénopathies médiastinales probablement réactives, images compatibles dans l'ensemble avec le tableau d'exacerbation d'asthme actuel. Au vu du nombre de récidives sur la dernière année et des facteurs de risque du patient, un bilan d'exclusion pour une vasculite est répété ainsi que pour une éventuelle aspergillose bronchopulmonaire allergique. Les anticorps anti S-aspergillus fumigatus nous sont revenus négatifs. Au fil du séjour, le patient se sèche de l'oxygène et devient à nouveau capable d'effectuer un effort sans dyspnée. Mr. Y rentre à domicile le 02.04.2019 et sera vu à la consultation du Dr. X le 06.04.2019. Nous vous laissons le soin d'évaluer une éventuelle majoration du traitement de fond. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à une cardiopathie ischémique avec STEMI antérieur sur maladie coronarienne monotronculaire le 11.03.2019. Son traitement à l'entrée est composé de : Aprovel 150 mg, Aspirine Cardio 100 mg, Atorvastatine 40 mg, Beloc Zok 50 mg, Plavix 75 mg, Xarelto 15 mg, Pantozol 20 mg, Dafalgan et Seresta en réserve. Sur le plan du traitement antihypertenseur, nous avons introduit le Catapresan le 27.03.2019, de l'Aldactone le 29.03.2019; le Torasemide a permis une bonne régression des œdèmes. Tout au long de la réhabilitation, le patient est resté asymptomatique du point de vue cardiovasculaire, sans arythmie aux différents contrôles cliniques et ECG réalisés. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, Mr. Y est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à une puissance de 25 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 3.5 km/h sur une pente de 4% pendant 28 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+55 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération malgré les limitations de l'examen du point de vue articulaire. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Il a été suivi en individuel par notre diététicienne ainsi que par notre ergothérapeute. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.2 mmol/L, un HDL à 1.44 mmol/L, un LDL à 1.7 mmol/L et des triglycérides à 1.23 mmol/L. • Patient tabagique, avec une dépendance très importante à la nicotine, ayant montré beaucoup d'intérêt lors des entretiens avec notre tabacologue, la Dr. X. Les situations à risque et les stratégies de prévention de la rechute ont été rediscutées et une date d'arrêt a été fixée durant son séjour avec mise en place de substituts nicotiniques. • La pression artérielle basale, après adaptation du traitement, est restée à la limite supérieure de la norme pendant son séjour avec des valeurs tensionnelles systoliques fréquemment à 150 mmHg. Nous lui avons conseillé de s'autocontrôler au domicile et de transmettre les résultats à son médecin de famille.Sur le plan biologique : • Hb 154 g/l • fonction rénale normale avec créatinine à 55 µmol/l • électrolytes dans la norme • CRP <5 L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un statut de normo-compensation. Mr. Y est un patient de 52 ans, connu pour un statut post multiples épisodes de diverticulites avec statut post drainage et sigmoïdectomie en 1995, qui se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales au niveau du bas ventre depuis 48 heures accompagnées de fièvre (38° C), sans trouble de transit associé. Un bilan biologique met en évidence une CRP à 123 mg/L. Un CT-abdominal effectué le 20.04.2019 montre une diverticulite du côlon descendant IIa selon Hansen-Stock. Une antibiothérapie par Rocéphine et Metronidazole est instaurée. L'évolution est par la suite favorable, avec une bonne réalimentation et une diminution du syndrome inflammatoire. Mr. Y rentre à domicile le 23.04.2019. Mr. Y, 71 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour une ischémie aiguë du membre inférieur gauche accompagnée d'une insuffisance respiratoire aiguë plurifactorielle. Il est connu pour une cardiopathie ischémique tritronculaire et une fibrillation auriculaire anticoagulée par Eliquis. Le matin du 19.04.2019, il a noté l'apparition soudaine de douleurs avec une pâleur de la jambe gauche. Il a été transféré depuis l'HFR Tavel pour une occlusion artérielle aiguë. Une anticoagulation thérapeutique a été débutée et une angioplastie a été réalisée avec pose d'un stent dans l'artère poplitée et revascularisation du trépied jambier par thrombo-aspiration le 20.04.2019 (Dr. X). Les pouls pédieux étaient présents au doppler par la suite. Une rhabdomyolyse avec une élévation de la CK totale à 24986 U/l est survenue suite à l'ischémie aiguë du membre inférieur gauche et a contribué à une insuffisance rénale aiguë qui s'est corrigée progressivement après remplissage vasculaire. Un œdème des membres inférieurs important, prédominant à la jambe gauche, a persisté suite à la reperméabilisation artérielle. Un syndrome inflammatoire a régressé spontanément. L'insuffisance respiratoire globale aiguë a été attribuée à une décompensation de la broncho-pneumopathie chronique obstructive ainsi qu'à une insuffisance cardiaque gauche (NT-ProBNP à 6248 ng/l). L'échocardiographie du 20.04.2019 a montré une hypokinésie sévère de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale, avec une fonction ventriculaire gauche à 30 %, stable par rapport à l'examen comparatif. Il n'y a pas de thrombus ventriculaire. La dyspnée s'est améliorée sous ventilation non invasive intermittente, bronchodilatateurs et diurétiques. Une salve de tachycardie ventriculaire non soutenue et asymptomatique a été observée le 23.04.2019. Le traitement par nebivolol a été repris. Toutefois, une pause sinusale nocturne de 2.5 secondes a été mise en évidence sous bêta-bloqueur. En l'absence d'autre symptôme, l'indication à un pacemaker n'a pas été retenue par les cardiologues et le bêta-bloquant est maintenu. Nous proposons d'effectuer un enregistrement Holter de 24 heures au moment de la remobilisation. Le traitement de l'insuffisance cardiaque par Entresto a été repris dès le 24.04.2019. Une hyper-éosinophilie est apparue entre le 22.04 et 24.04.2019, suite à l'introduction d'atorvastatine, qui a été interrompue le 24.04.2019. Le patient a été transféré le 23.04.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y, patient de 71 ans, sous radiothérapie depuis 3 semaines pour un lymphome à cellules B mature de type folliculaire, est hospitalisé en médecine interne pour un état fébrile dans le contexte d'une neutropénie. Pour rappel, il présente le 17.04.2019 un état fébrile avec frissons et toux sans expectoration. Après un bilan radiographique et biologique, le patient rentre à domicile avec une consultation prévue le 18.04.2019 au C4 pour un contrôle biologique. Le 18.04.2019, au vu d'un syndrome inflammatoire en péjoration sans signe d'agranulocytose, le patient est mis sous Co-Amoxicilline pour une pneumonie acquise en communauté. Le patient reconsulte le 19.04.2019 en raison d'un état fébrile avec frissons et baisse de l'état général sans nouvelle symptomatologie. Le statut cardio-respiratoire, abdominal et cutané est dans la norme. Au bilan biologique d'entrée, une neutropénie et une CRP élevée sont mises en évidence. Une antibiothérapie empirique par Cefepime est débutée. Hormis une hémoculture, qui revient positive pour un Staphylococcus hominis et qui est considérée comme un contaminant, les hémocultures reviennent négatives. Un sédiment urinaire et un Urotube ne donnent pas d'argument en faveur d'une infection urinaire. Devant ce tableau et un patient asymptomatique et afébrile pendant toute l'hospitalisation, l'antibiothérapie est arrêtée. Nous retenons soit une origine médicamenteuse soit oncologique. Pour une pancytopénie, probablement dans le contexte de la radiothérapie pour son lymphome, Mr. Y bénéficie d'une transfusion d'un culot érythrocytaire et d'un traitement par Neupogen après un avis hématologique. Le traitement par Plavix est temporairement mis en suspens devant la thrombopénie et nous vous laissons le soin de décider d'arrêter ou de poursuivre ce traitement selon l'évolution de la thrombopénie. Une insuffisance rénale d'origine rénale est mise en évidence à l'entrée. Un sédiment urinaire montre uniquement une protéinurie. Devant une bonne évolution biologique sous hydratation intraveineuse, nous renonçons à d'autres investigations pour l'instant. Nous vous laissons le soin de contrôler la fonction rénale et de suivre la protéinurie et d'organiser un suivi néphrologique en cas de persistance de celle-ci. Les séquences de radiothérapie sont mises en suspens devant l'état fébrile et la thrombopénie. Le service de radio-oncologie prendra contact avec Mr. Y pour organiser la suite. À la fin de l'hospitalisation, Mr. Y présente des diarrhées sans douleur abdominale associée. Un dépistage d'une infection à C. difficile revient négatif et un traitement symptomatique est débuté. Nous vous laissons le soin d'organiser de plus amples investigations en cas de persistance de diarrhées plus de 3 à 5 jours. Mr. Y est admis pour un abcès péri-amygdalien gauche. Nous effectuons un drainage sous anesthésie locale et introduisons un traitement par Co-Amoxicilline et Solumedrol le 25.04.2019. L'évolution clinique est par la suite favorable avec reprise de l'alimentation sans douleur. Il retourne à domicile le 27.04.2019. Mr. Y est un patient de 26 ans qui se présente aux urgences pour des douleurs épigastriques en barre depuis 3 jours, associées à un ballonnement abdominal. L'examen clinique et biologique fait suspecter une pancréatite aiguë. Un ultrason abdominal montre du sludge dans la vésicule biliaire sans lithiase ou dilatation des voies biliaires et un CT-scan abdominal confirme le diagnostic d'une pancréatite de la queue du pancréas sans montrer l'origine de la pancréatite. Devant une évolution clinique et biologique favorable, le patient peut regagner son domicile le 19.04.2019. Une cholangio IRM est prévue en ambulatoire le 29.04.2019 à 12h15 avec par la suite une consultation en chirurgie le 02.05.2019 à 10h30. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un triple pontage (Prof. X - CHUV le 25.02.2019). Le traitement à l'entrée est composé de : Aspirine Cardio 100 mg, Atorvastatine 40 mg, Beloc Zok 25 mg, Nexium 40 mg, Dafalgan 1 g en réserve si douleurs, Distraneurin 192 mg caps en réserve si insomnies, Tramal 50 mg en réserve si douleurs.Sur le plan de l'antalgie, à cause de la sternotomie, nous avons introduit un patch de 12 mcg de Fentanyl puis augmenté à 25 mcg avec une bonne réponse de l'antalgie. Nous avons aussi introduit un gilet pour soulager le patient. Après l'introduction du gilet, nous avons graduellement diminué l'antalgie et l'avons arrêtée le 15.03.2019. Nous avons conseillé au patient de réduire graduellement l'utilisation du gilet. A l'entrée, Mr. Y s'est plaint d'une toux sèche probablement liée à l'opération et à l'épanchement pleural que nous avons objectivé sur la RX du thorax d'entrée. Un traitement avec Prednisone du 11 au 18.03.2019 et Colchicine du 11 au 27.03.2019 a été mis en place, avec disparition de la symptomatologie. Concernant le problème cérébral et les acouphènes que le patient a présentés au CHUV, nous avons introduit du Plavix 75 mg 1x/jour dès le 06.03.2019 avec disparition des acouphènes. Nous laissons au médecin traitant le soin d'organiser une IRM de contrôle et aussi de réévaluer la nécessité du traitement. Le 20.03.2019, Mr. Y a développé une dyspnée progressive à l'effort avec toux et expectorations. Une gazométrie a montré une hypoxémie isolée avec PaO2 à 74 mmHg et prescription d'O2 compensatoire. Au laboratoire, nous n'avons pas trouvé de signe d'inflammation (CRP maximale 10 mg/l, pas de leucocytose ni de neutrophilie). Nous avons aussi fait une ETT, permettant d'exclure un septum paradoxal; la RX du thorax n'a pas montré de signe d'embolie pulmonaire. Notons que Mr. Y a bénéficié d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline du 21 au 25.03.2019 avec évolution favorable. La culture des crachats est revenue négative et nous optons pour une symptomatologie liée très probablement à un processus viral. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 30 minutes à une puissance de 45 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 145 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Le test est négatif sur les plans clinique, électrique et rythmique. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.9 mmol/L, HDL à 0.78 mmol/L, LDL à 1.91 mmol/L, triglycérides à 1.39 mmol/L. • La pression artérielle basale et la fréquence cardiaque sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : • L'Hb est à 110 g/l. • La fonction rénale est normale avec créatinine à 71 µmol/l. • Les électrolytes sont aussi dans la norme. • La CRP est à 6 mg/l. L'examen clinique de sortie est dans la norme, statut de normo-compensation. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. L'auscultation pulmonaire ne révèle aucun bruit anormal. Mr. Y, patient de 32 ans connu pour une polytoxycomanie (Cocaine IV, OH), est transféré depuis l'hôpital universitaire de Bâle le 07.04.2019 pour une suite de prise en charge d'un érysipèle du membre inférieur droit. Pour rappel, le patient était hospitalisé du 12.03 au 27.03.2019 à Tafers en raison d'une thrombose septique de la veine fémorale commune et iliaque externe à droite. Il avait développé cette thrombose septique au décours d'un abcès inguinal (site d'injection intraveineuse). Un US et un CT avaient montré une atteinte étendue, sans abcès profond. Des hémocultures montraient une bactériémie à Bacteroides fragilis et à Drevosia Lucknowensis et un traitement antibiotique initialement de Co-Amoxi IV, avec relais par Ciprofloxacine et Metronidazol per os, alors prévu jusqu'au 09.04.2019. Un traitement par Rivaroxaban est également mis en place pour la thrombose. L'évolution locale et biologique était en nette régression à sa sortie il y a une dizaine de jours. Depuis plusieurs jours cependant, il rapporte une péjoration de l'œdème du MID. Puis, après s'être blessé au niveau du mollet (griffure/dermabrasion) contre son lit, il rapporte une péjoration des douleurs et l'apparition rapide d'une rougeur au niveau du mollet. Les douleurs sont cependant stables au niveau fémoral depuis Tafers, à savoir très discrètes. Il consulte donc les urgences de Bâle le 06.04.2019 (lieu de son domicile actuel), où un érysipèle est mis en évidence. Un traitement antibiotique par Pipéracilline-Tazobactam est débuté et il nous est envoyé pour suite de prise en charge. A noter que le patient et sa responsable rapportent avoir bien respecté la prise des traitements anticoagulants et antibiotiques. Le bilan biologique ne retrouve pas de syndrome inflammatoire. Sur avis infectiologique, nous arrêtons donc le traitement antibiotique au soir du 08.04.2019 (durée prévue initialement atteinte) en raison de l'absence d'état fébrile et de syndrome inflammatoire. Nous ne retenons pas le diagnostic d'érysipèle et interprétons plutôt la clinique du patient comme liée à sa thrombose et au manque de contention et repos. Sur le plan angiologique, nous demandons avis à nos collègues angiologues et une nouvelle échographie des membres inférieurs est réalisée le 09.04.2019. L'étendue de la thrombose est superposable, l'indication à un traitement par Rivaroxaban demeure. Nous expliquons au patient l'importance d'un bandage et du port de bas de contention sur l'ensemble du membre inférieur droit. De plus, nous le mettons en garde quant à l'injection intraveineuse au niveau fémoral droit. Un nouveau contrôle en angiologie est prévu pour début mai. A noter qu'une recanalisation n'est pas envisageable chez ce patient toxicomane continuant de s'injecter dans les veines et s'avérerait également très difficile au vu d'un mauvais inflow (occlusion en continu). D'un point de vue intestinal, le patient rapporte des diarrhées depuis plus d'une semaine, de couleur brune foncée et sans sang visualisé, qu'il met sur le compte de l'antibiothérapie. Nous recherchons donc un Clostridium difficile dans les selles qui revient négatif. Mr. Y peut retourner à domicile en bon état de santé général le 10.04.2019. Il sera revu en angiologie dans environ 4 semaines pour un nouveau contrôle. Mr. Y, patient de 55 ans, est connu pour une insuffisance rénale terminale dialysée 3x par semaine sur une fistule artério-veineuse radio-céphalique du membre supérieur gauche et un retard mental, hospitalisé pour révision de la fistule artério-veineuse. Le 15.04, Mr. Y bénéficie de l'opération susmentionnée. Les suites opératoires sont simples et sans complication avec un thrill bien palpable et une plaie calme. Mr. Y rentre à domicile, en compagnie de sa sœur, avec une prochaine dialyse le 17.04.2019. Mr. Y, patient de 62 ans, connu pour un diabète de type 2 insulino-requérant, une hypercholestérolémie et une maladie coronarienne bi-tronculaire pontée et stentée en 2011, est transféré de Münich où il était hospitalisé depuis le 12.04.2019 en raison d'un AVC sylvien gauche de type wake-up stroke avec thrombectomie le même jour. L'IRM cérébrale de Munich révèle une lésion ischémique aiguë dans le territoire sylvien gauche. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une akinésie anévrismale de l'apex avec une fraction d'éjection diminuée à 35% justifiant une anticoagulation et faisant suspecter une cause cardio-embolique. Un Holter de 72 heures est posé, dont l'interprétation est encore en cours et les résultats restent à pister.Sur le plan médicamenteux, nous introduisons une anticoagulation par Eliquis 2x 5 mg/j. Le traitement hypolipémiant par Atorvastatine est à poursuivre au long cours. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Le patient est transféré à Meyrier le 26.04.2019 avec un status neurologique stable par rapport à son entrée afin d'effectuer une thérapie logopédique intensive. La capacité à conduire devra être réévaluée par la suite à Meyrier. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Un suivi cardiologique rapproché sera à envisager par le Dr. X. Mr. Y présente un petit abcès à la base de la cicatrice opératoire suite à une cure d'ongle incarné selon Kocher des bords médial et latéral de l'hallux G. On a pu évaluer le pus aujourd'hui et le patient va faire 2x/jour des bains de Betadine diluée (1/2) et commence un traitement antibiotique par Céfuroxime 150 mg 2 cp./jour pour une durée totale de 1 semaine. Prochain contrôle de plaie le 8.4.19 en policlinique d'orthopédie à l'HFR Riaz. Un contrôle est prévu le 23.4.19 à ma consultation pour une réévaluation clinique. D'ici-là, poursuite de l'arrêt de travail à 100%. Mr. Y, patient de 93 ans, nous est transféré le 19.03.2019 depuis le service d'ORL de l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge d'un traumatisme crânien le 07.03.2019 avec des fractures multiples du massif facial et de la mandibule droite, traitées par ostéosynthèse le 12.03.2019. Le patient habite dans une maison avec sa femme, avec un escalier à 13 marches pour accéder au 1er étage. Il était indépendant dans les AVQs et pour la marche avant son hospitalisation. À l'entrée, il n'a pas de plaintes. Au niveau de l'examen clinique, il est dans un état général diminué, il a un rythme cardiaque parfois irrégulier, compatible avec des extrasystoles isolées, sans bruits surajoutés. Le reste du status est dans la norme. Après adaptation de l'antalgie, les douleurs sont contrôlées de manière satisfaisante. Les fractures restent stables, les plaies calmes sans signes inflammatoires. La prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg/j est poursuivie jusqu'au 20.03.2019. Sur le plan laboratoire, l'anémie postopératoire et traumatique reste stable. Un contrôle chez le Dr. X le 01.04.2019 est satisfaisant, l'adaptation d'une nouvelle prothèse dentaire est prévue pour le 08.04.2019. Puisque Mr. Y a eu une radiothérapie en 2016 pour son cancer ORL et qu'il souffre actuellement de difficultés à la parole, une consultation avec des orthophonistes est organisée. En raison d'une dysphagie d'origine probablement mixte sur douleurs post-traumatiques de la fracture mandibulaire et post-radique, un suivi logopédique a lieu durant l'hospitalisation. Il est recommandé de poursuivre un régime alimentaire adapté. D'ailleurs, le patient bénéficie d'une évaluation diététique qui met en évidence une malnutrition grave. Une carence en vitamine D est substituée. Pendant l'hospitalisation, Mr. Y rapporte une incapacité à écrire les chiffres. Nous suspectons un AVC ischémique non diagnostiqué après son intervention chirurgicale ou son traumatisme crânien à l'origine des plaintes. Au vu de la clinique non aiguë et sur souhait du patient explicite d'une abstention diagnostique et thérapeutique, nous n'effectuons pas d'imagerie cérébrale. Après discussion, un traitement par Aspegic 100 mg par jour est introduit. Parallèlement, Mr. Y bénéficie de séances de physio- et d'ergothérapie intensives. À l'entrée, il effectue les transferts sous supervision et peut marcher avec un rollator sur 65 m sous supervision. À la sortie, le patient est autonome dans les transferts, marche de manière autonome avec un rollateur sur une distance de 150 m et peut monter 18 marches d'escalier sous supervision. Le Tinetti passe de 13 à 16/28. Mr. Y peut être transféré dans le service de réadaptation le 04.04.2019 pour la suite du reconditionnement. Mr. Y, un patient de 93 ans, nous est transféré le 04.04.2019 de notre service de gériatrie aiguë pour reconditionnement après un traumatisme crânien sur chute mécanique le 07.03.2019 avec des fractures multiples du massif facial et de la mandibule à droite traitées par ostéosynthèse le 12.03.2019. À l'entrée, le patient n'a pas de plaintes. L'examen clinique montre un état général encore légèrement diminué, le reste du status est dans la norme. Mr. Y habite dans une maison avec sa femme. Il y a un escalier à 13 marches pour accéder au 1er étage. Il était indépendant dans les AVQs et pour la marche avant son hospitalisation. La déglutition s'améliore durant le séjour hospitalier. Des nouvelles prothèses dentaires sont adaptées le 08.04.2019, permettant le passage d'un régime liquide à mixé-lisse. Le suivi logopédique et diététique est poursuivi. Sur le plan biologique, l'anémie reste stable durant l'hospitalisation, et les paramètres de rétention montrent une légère déshydratation, raison pour laquelle une stimulation hydrique est mise en place. L'agraphie dans le cadre d'un probable AVC ischémique non diagnostiqué par imagerie sur souhait du patient s'améliore durant l'hospitalisation. Actuellement il est capable d'écrire des chiffres selon un exemple, ce qu'il pratique indépendamment. Mr. Y bénéficie de séances de physio- et d'ergothérapie. À l'entrée, il est autonome dans les transferts, peut marcher seul avec un rollator sur une distance de 150 m et monter 18 marches d'escalier sous supervision. Le Tinetti est à 16/28. À la sortie, il se déplace seul avec un rollator sur de longues distances et une canne simple sur 60 m, et peut monter 36 marches d'escalier de manière autonome. Le Tinetti est à 17/28. Au vu de l'évolution globalement favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 17.04.2019. Mr. Y, institutionnalisé en raison d'une démence vasculaire, est amené aux urgences le 27.03.2019 en raison de vomissements non fécaloïdes depuis 3 jours, avec absence de selles. L'anamnèse n'est pas contributive en raison des troubles cognitifs du patient. À noter un traitement par patch de Fentanyl en chronique. À l'admission aux urgences le patient est subfébrile à 37,9°C. À l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est diminué sur les deux plages pulmonaires avec des râles crépitants aux deux bases. Au status digestif, l'abdomen est distendu, percussion tympanique, bruits absents aux quadrants supérieurs et légèrement métalliques aux inférieurs, palpation superficielle douloureuse, TR sans masse, indolore, pas de sang ou selles au doigtier. Neuro-stimulateur en place en fosse iliaque gauche. Présence de 3 cicatrices de 1 cm en épigastre, linéaires, espacées de 1 cm. Cicatrice post-appendicectomie. Le status urologique est sans particularité, le status neurologique est grossièrement dans la norme sous réserve d'un patient non compliant. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 70 mg/l sans leucocytose. La radiographie du thorax objective une suspicion de foyer à droite et en base gauche. Nous prélevons des hémocultures, débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g iv et Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. En raison des douleurs abdominales, des vomissements et de l'absence de selles, nous effectuons un ASP qui montre des distensions du grêle et la présence d'une coprostase au niveau du colon ascendant. Sur avis du Dr. X, nous posons une sonde nasogastrique et nous complétons le bilan par un CT scan abdominal. Dans ce contexte, le patient reçoit 500 mg de flagyl aux urgences le 27.03.2019. Avant de réaliser le CT-scan, le patient devient agité, justifiant l'indication à administrer de l'Haldol et du valium à faible dose. Le CT-scan injecté montre une coprostase du colon ascendant et transverse principalement mais n'objective pas d'iléus. Dans ce contexte, nous discutons avec le Dr. X qui ne voit donc pas d'argument pour hospitaliser le patient sur le plan chirurgical et propose d'effectuer un lavement et avec laxatifs d'office. Nous retirons la sonde naso-gastrique et arrêtons le flagyl. Le lavement n'est pas efficace en raison d'une mauvaise compliance du patient qui ne retient pas la préparation. Nous prescrivons donc des laxatifs per os. L'amélioration clinique est rapide, le patient peut se réalimenter et un transit reprend normalement. Il peut donc regagner son foyer avec un traitement laxatif majoré.Sur le plan de la coagulation, le patient présente un INR supra-thérapeutique à 3.8; nous adaptons la posologie de Sintrom avec un contrôle de l'INR prévu le 02.04.2019. Concernant la pneumonie, les hémocultures reviennent négatives et l'antibiothérapie est passée per os par co-amoxicilline 1 g 2x/j dès le 29.03.2019, à poursuivre jusqu'au 31.03.2019. Mr. Y peut regagner le foyer St-Germain le 30.03.2019. Mr. Y, patient de 72 ans en bonne santé habituelle, connu pour une hypertension artérielle sans traitement habituel, nous est adressé en ambulance par son médecin traitant le 11.04.2019 pour une suspicion d'infarctus du myocarde. Le patient rapporte une dyspnée à l'effort et paroxystique nocturne depuis une dizaine de jours. Chez son médecin traitant, un ECG réalisé met en évidence des modifications compatibles avec un syndrome coronarien et le laboratoire retrouve des enzymes cardiaques élevées. Le patient est chargé en Plavix et en Aspégic au cabinet. À son arrivée aux urgences, le patient est complètement asymptomatique. Le bilan biologique retrouve également une élévation modérée des troponines (à 65 ng/l, sans cinétique par rapport à celle chez le médecin traitant) et un ECG pathologique, parlant en faveur d'un évènement cardiaque ischémique subaigu. Un traitement par diurétiques intraveineux est débuté et, sur avis cardiologique, une coronarographie est réalisée. Une maladie coronarienne monotronculaire avec une sténose significative de l'IVA moyenne englobant l'origine de la 2ème diagonale est retrouvée et est traitée avec succès par 2 stents actifs. Une double antiagrégation plaquettaire est donc mise en place pour 6 mois et l'aspirine sera à poursuivre à vie. Un traitement hypolipémiant par statines est également débuté. À noter qu'une insuffisance cardiaque avec une importante dysfonction systolique est mise en évidence à la ventriculographie et confirmée lors d'une échocardiographie transthoracique post-coronarographie (FEVG estimée à 20%). De plus, une dilatation importante du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère est visualisée et ne peut pas être expliquée par la lésion coronaire de l'IVA. Un bilan étiologique de cette cardiopathie dilatative est réalisé et retrouve une ferritine et une TSH dans la norme, des tests hépatiques dans la norme, des sérologies VIH reviennent négatives et une électrophorèse des protéines dont les résultats sont en cours et que nous vous invitons à pister. À noter qu'une composante familiale est probable étant donné l'anamnèse positive du côté de la mère du patient. Un contrôle par échocardiographie est prévu à 1 mois et sera suivi d'une consultation chez le Dr. X, afin de discuter de la suite de prise en charge (éventuellement implantation de device). Un traitement d'insuffisance cardiaque est démarré le 12.04.2019 (IECA, B-Bloquant, Diurétique) et est titré durant l'hospitalisation. Nous vous proposons de poursuivre la majoration progressive de ce traitement. Mr. Y rentre en bon état général à domicile le 16.04.2019. La suite de la prise en charge sera faite par le médecin traitant et la cardiologie de l'HFR. Mr. Y est un patient âgé de 68 ans, connu pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, chez qui nous réalisons une résection sigmoïdienne avec anastomose descendo-rectale et iléostomie de protection le 04.03.2019. L'opération se déroule sans complication. Le 06.03.2019, suite à des vomissements répétés sur probable iléus paralytique, nous posons une sonde nasogastrique. En raison d'une péjoration clinique, un CT-scan abdominal est effectué le 11.03.2019, qui met en évidence un iléus mécanique avec saut de calibre en hypochondre droit. Le patient bénéficie le 13.03.2019 d'une re-laparotomie avec adhésiolyse et lavage péritonéal et pose de VAC sous-cutané. L'évolution est par la suite favorable avec une reprise du transit et une réalimentation progressive, permettant l'arrêt de la nutrition parentérale le 28.03.2019. En raison d'une nécrose du fascia lors du premier changement de VAC sous-cutané, des changements itératifs sont effectués au bloc opératoire et continués après la sortie en ambulatoire. Le patient peut regagner son domicile le 30.03.2019. Les changements de VAC sous-cutané seront effectués à Tavel en ambulatoire. Provisoirement, la date du 07.05.2019 est prévue pour la fermeture de l'iléostomie, le patient sera hospitalisé à Tavel le 05.05.2019 pour une préparation colique et bénéficiera d'une colonoscopie par la stomie le 06.05.2019. Mr. Y, connu pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, notamment des pneumonies à répétition, est amené aux urgences le 21.03.2019 en raison d'un état fébrile à 39°C depuis le matin, associé à une toux grasse et une baisse de l'état général. Le patient rapporte une légère tachypnée. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système. Le patient est vacciné contre la grippe. À l'admission aux urgences, Mr. Y est fébrile à 38°C, normocarde, normotendu et sature à 87% à l'air ambiant. À l'auscultation pulmonaire, on note des râles crépitants bibasaux, ainsi que quelques sibilances diffuses en fin d'expirium. Le reste du statut est sans particularité. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 18.4 G/l, neutrophiles à 15.77 G/l et une CRP à 65 mg/l ainsi qu'une hémoglobine à 107 g/l. La gazométrie montre un PH à 7.3, PCO2 à 5 kPa, PO2 à 9.5 KPa et lactate à 0.9 mmol/l. La radiographie du thorax parle en faveur d'un foyer à droite. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv et Klacid 500 mg 2x/j et Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge avec oxygénothérapie et physiothérapie respiratoire. Les hémocultures reviennent négatives et les expectorations ne montrent pas de germe, notamment pas de Pseudomonas. Les antigènes urinaires sont négatifs pour Pneumocoques et Legionelle, raison pour laquelle nous arrêtons le Klacid le 22.03.2019. Dans le contexte des pneumonies récidivantes, nous décidons de couvrir le patient par Céfépime 2 g iv du 23 au 28.03.2019. Lors de l'hospitalisation, nous complétons l'anamnèse et contactons le pneumologue traitant, nous permettant de mettre en évidence des troubles de la déglutition que le patient rapporte depuis la trachéotomie de 2008, associés à une hypersalivation. Il note de plus une voix rauque en péjoration ces derniers temps. Nous prenons l'avis de la Dr. X, infectiologue, qui recommande une sérologie HIV et une recherche de TB qui sont négatifs. Le patient ayant déjà bénéficié d'une recherche de CIVD, elle ne conseille pas de la répéter. Elle préconise un relais de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g per os 2x/j dès le 29.03.2019 à poursuivre jusqu'au 04.04.2019. Ensuite, elle conseille une couverture prophylactique par Zithromax 3x/semaine dès le 08.04.2019. Puisque les symptômes ORL décrits par le patient sont probablement en partie responsables des récidives pneumoniques, un rendez-vous à la consultation ORL de l'HFR Fribourg est agendé pour le 15.04.2019 à 11h15.Sous antibiothérapie et physiothérapie respiratoire, l'évolution clinique est favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 29.03.2019. Mr. Y, connu pour un carcinome hépato-cellulaire métastatique en situation palliative, est hospitalisé pour des soins impossibles à domicile. Pour rappel, Mr. Y a été hospitalisé du 12.03 au 03.04.2019 à l'HFR Fribourg pour une baisse de l'état général. Un carcinome hépato-cellulaire métastatique est alors découvert et il est décidé de passer à des soins palliatifs à domicile avec Voltigo. Mr. Y présente depuis son retour à domicile des douleurs généralisées en augmentation, des nausées et une faiblesse rendant la marche impossible. A l'entrée, nous constatons un patient ictérique avec un abdomen ballonné et diffusément douloureux. Le bilan biologique montre une insuffisance hépatique sévère. Au vu de la péjoration clinique rapide, nous passons à des soins de confort. Mr. Y décède le 09.04.2019 à 14h50 de mort naturelle. Mr. Y, patient de 72 ans, connu pour un carcinome recto-sigmoïdien en rémission depuis 2008, une polyarthrite rhumatoïde actuellement sous Prednisone, se présente au service des urgences le 12.03.2019 pour une baisse de l'état général depuis un trimestre et en péjoration depuis une semaine avec inappétence, diarrhée et vomissements. En effet, la baisse de l'état général se serait insidieusement installée depuis 3 mois et se péjore depuis début mars 2019. Le patient décrit une inappétence, des vomissements et des diarrhées depuis une semaine, associés à une asthénie et une faiblesse généralisée. Il se plaint également d'hypo-sialorrhée et aurait noté une perte pondérale de 3 kg en 3 mois. Par ailleurs, il se plaint d'une légère douleur intermittente de l'hypochondre droit et d'une lombalgie basse. L'examen clinique révèle un patient diminué et affaibli, avec des angiomes stellaires au niveau thoracique et abdominal, présentant une discrète gêne à la palpation de l'hypochondre droit et un souffle aortique systolique abdominal. Le bilan initial retrouve une perturbation des tests hépatiques avec un léger syndrome inflammatoire. L'échographie abdominale réalisée dans ce contexte met en évidence des multiples lésions d'allure métastatique. Nous complétons le bilan par un CT-Scan thoraco-abdominal qui retrouve une infiltration diffuse du parenchyme hépatique avec mise en évidence de multiples lésions et d'un saignement actif sous-capsulaire en périphérie du segment VIII. Le patient est transféré aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique où il se stabilise. Il bénéficie d'une biopsie transjugulaire à visée diagnostique, sans complication majeure. Les résultats de la biopsie montrent une importante fibrose sans lésions malignes. Au vu de la haute suspicion tumorale, nous poursuivons les investigations. Une deuxième biopsie, avec un abord transcutané, serait cependant à risque de complications importantes de saignement selon le Dr. X. Une biopsie d'une lésion suspecte au niveau de la colonne lombaire est donc réalisée, montrant un tissu de type carcinome hépato-cellulaire. Nous retenons un carcinome hépato-cellulaire multimétastatique. Le patient développe des douleurs au niveau de l'hypochondre droit. Un CT abdominal montre une augmentation des lésions hépatiques et une persistance du saignement hépatique. Un suivi biologique montre une péjoration de la fonction hépatique et de la cholestase mais une stabilité au niveau de l'hémoglobine. Une antalgie est mise en place avec un bon effet sur la douleur. Au vu de l'insuffisance hépatique progressive, les oncologues ne proposent pas de thérapie systémique mais une approche palliative "best supportive care", acceptée par le patient et sa femme. Nous organisons un suivi en ambulatoire par Voltigo et le Dr. X. Au niveau gastro-entérologique, le patient présente le 26.03.2019 deux épisodes de méléna et hématochésie. Au vu du CT abdominal du 22.03.2019 qui ne montrait pas de signe de saignement gastro-intestinal, nous réalisons un suivi bio-clinique. Au niveau angiologique, le CT abdominal montre une thrombose veineuse partielle de la branche portale gauche. Selon les angiologues, il n'y a pas d'indications pour une anticoagulation. Ils proposent un CT abdominal de contrôle dans 4-6 semaines et de réévaluer l'indication à une anticoagulation selon l'évolution. Au vu du passage à des soins palliatifs, nous ne proposons pas de suivi pour cette thrombose. Des troubles électrolytiques sont mis en évidence et sont substitués, dans un contexte de syndrome de renutrition et de consommation éthylique à risque. Au niveau hématologique, nous observons des troubles de la coagulation probablement en lien avec les multiples masses hépatiques pour lesquels nous introduisons du Konakion. Mr. Y rentre à domicile le 02.04.2019 avec des soins à domicile et le passage de Voltigo. Mr. Y est amené aux urgences en ambulance, à la demande de MedHome, pour suspicion d'iléus. Le patient se plaint de douleurs abdominales et n'est pas allé à selles depuis 4 à 5 jours. Il décrit 3 épisodes de vomissements depuis la veille. Il rapporte également une perte d'appétit sur baisse de la thymie depuis le décès de son épouse il y a 2 ans. Mr. Y vit seul. Il bénéficie du passage des soins à domicile 1x/j et sa fille l'aide pour les repas. A l'admission aux urgences, le patient est en état général diminué. Il est normocarde, normotendu et afébrile. Au statut digestif, les bruits abdominaux sont normaux. A la palpation, l'abdomen est légèrement induré, dépressible et douloureux en fosse iliaque gauche, sans défense ni détente. Le toucher rectal est indolore avec présence de selles molles au doigtier. Pas de sang. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 19 mg/l et une leucocytose à 29.0 G/l (à mettre dans le contexte de la leucémie lymphoïde chronique), ainsi qu'une hyponatrémie à 129 mmol/l. Au vu des douleurs abdominales et sur avis du Dr. X, chirurgien de garde, nous effectuons un ASP qui montre la présence de selles au niveau du colon gauche, sans signe clair de coprostase, ainsi qu'une dilatation du colon qui est homogène. À noter qu'aux urgences, le patient va à selle (selles molles, brunes, sans trace de sang). Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Nous effectuons une recherche bactériologique standard dans les selles qui revient négative. Nous retenons iléus sur coprostase améliorée, suite au traitement laxatif. Le patient présente une diminution des douleurs mais la persistance de diarrhées, et dans ce contexte, nous débutons un traitement par Perenterol 3x/j avec reprise d'un transit régulier. Au niveau de l'hyponatrémie, nous instaurons une hydratation IV par NaCl et une restriction hydrique per os à 1000 ml/jour jusqu'au 08.04.2019 avec bonne réponse et correction de la natrémie. Concernant la BPCO, nous ne retrouvons pas de critère nécessitant une oxygénothérapie. Cette dernière est donc arrêtée et n'est pas réintroduite à la sortie. La gazométrie de sortie montre une PaO2 à 7.6 kPa. Nous vous laissons le soin d'effectuer un suivi en ambulatoire.Durant le séjour, le patient ne présente pas de signe de sevrage alcoolique. Nous le rendons toutefois attentif au fait que la consommation d'alcool peut, entre autres conséquences, favoriser des troubles digestifs. Mr. Y banalise sa consommation et ne souhaite pas de prise en charge à ce niveau. La situation reste donc précaire quant au retour à domicile. Les soins à domicile sont réactivés de manière quotidienne. Le patient refuse une institutionnalisation. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 10.04.2019. Mr. Y présente un kyste de Baker peu symptomatique dans le creux poplité du genou D, de découverte fortuite par un US. Etant donné que le patient n'est pas symptomatique, je n'ai pas de proposition thérapeutique. Je reste bien évidemment en cas d'évolution défavorable. Fin du traitement. Mr. Y souffre donc d'une onycodystrophie post-traumatique de l'ongle de l'hallux droit associée à une incarcération du rebord médial et latéral. L'indication pour une révision chirurgicale est donnée. Je prévois une mise à plat de l'ongle et cure de l'ongle incarné selon Kocher du rebord médial et latéral de l'hallux droit. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que les risques et les bénéfices liés à celle-ci. Il me donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire pour le 25.04.2019. Le patient sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour une consultation préopératoire. L'intervention pourrait être pratiquée en anesthésie locale, accompagnée d'un Stand-by. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire en stationnaire suite à une cardiopathie dilatée d'origine indéterminée avec une dysfonction systolique sévère (FE 25%) sur hypokinésie diffuse et HTAP modérée post-capillaire. Son traitement à l'entrée est composé de : Lisinopril 10 mg, Beloc Zok 50 mg, Aldactone 25 mg, Atrovent aérosol et Ventolin en réserve si dyspnée. Sur le plan clinique, le patient a pu réaliser sa réadaptation cardiovasculaire dans de bonnes conditions. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. Notons que nous avons dû le limiter car il avait tendance à trop forcer. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 20 minutes à une puissance de 55 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Nous avons réalisé une ergospirométrie, négative sur les plans clinique, rythmique et ischémique mais montrant une tachycardie à l'effort, raison pour laquelle nous avons augmenté la posologie de Beloc Zok à 50 mg 2x/jour. L'examen a également mis en évidence une VO2 de classe Weber B que nous conseillons de réexplorer à distance. Notons que nous avons diminué l'Aldactone à 12.5 mg/jour. Afin de compléter le bilan de la cardiomyopathie dilatée, une IRM cardiaque a été faite, permettant ainsi d'écarter la présence d'une fibrose myocardique. L'étiologie de cette cardiopathie dilatée reste peu claire, avec supposition qu'elle soit liée à un toxique (C2H5OH?). Nous avons insisté auprès du patient à renoncer à la consommation d'alcool, même minime ! Le patient a pu bénéficier d'entretiens dans sa langue maternelle pour être assuré que toutes les notions données ont été bien comprises. Il reste obnubilé par le travail et sa reprise. Ce point devra être rediscuté à distance et selon l'amélioration ou non de sa capacité cardiaque. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 4.00, un HDL à 1.33 mmol/L, un LDL à 2.51 mmol/L et des triglycérides à 1.4 mmol/L. • La pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : • l'Hb est à 147 g/l ; • la fonction rénale est normale avec une créatinine à 79 µmol/l ; • les électrolytes sont dans la norme. Mr. Y recevra une convocation pour l'intervention le 10.04.2019 en fin de journée. Clexane à visée thérapeutique durant l'hospitalisation et à continuer jusqu'au 09.04.2019 16h. L'antibiothérapie par voie orale est à continuer. Mr. Y est admis le 08.04.2019 dans notre établissement pour réadaptation cardiovasculaire en stationnaire. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine cardio 100 mg, Crestor 10 mg, Bisoprolol 5 mg, Torasémide 5 mg, Nexium 40 mg, Dafalgan 1 g en réserve 4x/j, Movicol 1 sachet en réserve si constipation. Mr. Y présente au bilan biologique une anémie probablement d'origine post-opératoire avec une hémoglobine à 85 g/l (11.04.2019) pour laquelle il reçoit un traitement par Ferinject 500 mg le 12.04.2019 avec bonne réponse : Hb à la sortie de 101 g/l. Sur le plan cutanéomuqueux, Mr. Y présente à l'entrée un début d'escarre sacré stade 1 au niveau supérieur du sillon interfessier, avec léger dépôt fibrineux sans signe de surinfection locale, traité localement tout au long de son séjour, avec une excellente évolution. Notons que le patient est resté asymptomatique sur le plan cardiovasculaire durant tout le séjour. Aucun signe de décompensation cardiaque n'est relevé, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, Mr. Y est capable de faire du vélo pendant 30 minutes à une puissance de 55 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. A la fin de la prise en charge, il est capable de marcher aisément pendant une durée de 1 h à une allure de 2 km/h sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 4 km/h sur une pente de 4% pendant 30 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 95 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 4.04 mmol/L, un HDL à 0.94 mmol/L, un LDL à 3.39 mmol/L et des triglycérides à 0.1.47 mmol/L. • La pression artérielle à l'état basal est restée dans la norme pendant le séjour. Par contre, une tachycardie avec une fréquence de base à 100 bpm a persisté tout au long de sa réadaptation. Sur le plan biologique à la sortie : • Hb 101 g/l • Fonction rénale normale avec une créatinine à 100 µmol/l • Electrolytes dans la norme L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un statut de normo-compensation. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. Mr. Y est hospitalisé pour une ischémie aiguë Rutherford I au membre inférieur droit. Un angio-CT réalisé aux urgences montre une occlusion courte de l'artère poplité du membre inférieur droit. Le patient bénéficie d'une recanalisation de l'artère poplité le 04.04.2019. En post-opératoire, Mr. Y se plaint de douleurs au gros orteil droit persistantes avec une bonne évolution sous antalgie de pallier III.Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 05.04.2019 et sera convoqué par le service d'angiologie. Mr. Y présente depuis fin février une dyspnée en péjoration avec baisse de l'état général, fatigue et inappétence. Pas de notion d'état fébrile. Vous débutez une antibiothérapie par co-amoxicilline le 27.03.2019, que vous relayez par un traitement antifongique dès le 01.04.2019 en raison d'une culture d'expectorations positive pour un Candida Albicans. Au vu de l'absence d'amélioration malgré le traitement, avec une dyspnée stade IV selon NYHA, vous adressez votre patient aux urgences de l'HFR Fribourg le 08.03.2019. A l'anamnèse, le patient ne rapporte pas d'orthopnée, pas de dyspnée paroxystique nocturne, pas de douleur rétrosternale ni d'oedème des membres inférieurs. Pas de voyage récent ni de notion de contage. A noter une maladie de Churg-Strauss traitée par Prednisone stoppée il y a 1-2 ans, puis par injections également arrêtées. Le patient est suivi tous les 6 mois par le Dr. X à l'hôpital de St-Loup avec prochain contrôle au mois de mai. Au status pulmonaire aux urgences, notons de discrètes sibilances expiratoires ainsi qu'un expirium prolongé. Le reste du status d'entrée est dans la norme. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 98 mg/l sans leucocytose. Le sédiment urinaire ne montre pas d'infection urinaire et la radiographie du thorax montre un flou péri-bronchique hilaire sans foyer franc. Une antibiothérapie par co-amoxicilline 1.2 g iv 3x/j est débutée ainsi qu'un traitement par Prednisone 50 mg pendant 5 jours et par aérosols d'Atrovent et Ventolin pour un diagnostic de décompensation de son syndrome obstructif modéré (BPCO vs asthme dans le cadre du Churg-Strauss). En absence de résultats post-bronchodilatation des dernières fonctions pulmonaires, nous ne pouvons nous prononcer sur une BPCO versus asthme. A l'admission dans notre service, le patient est stable avec des saturations à 92% sous 2 litres d'oxygène. Sous le traitement introduit associé à de la physiothérapie respiratoire, l'évolution au niveau respiratoire est favorable, permettant un sevrage de l'oxygénothérapie dès le 08.04.2019 et un relais de l'antibiothérapie par co-amoxicilline per os dès le 11.04.2019. La Prednisone est arrêtée après 4 jours. Compte tenu de deux exacerbations en l'espace de 4 mois, nous suspectons une progression de sa maladie de Churg-Strauss et prenons contact avec le Dr. X qui propose un contrôle à sa consultation durant le mois de mai. La reprise d'une thérapie, possiblement anti-IL5, sera alors discutée. Mr. Y peut regagner son domicile le 14.04.2019 avec une physiothérapie respiratoire ambulatoire. Nous vous laissons le soin d'effectuer des démarches de réadaptation pulmonaire ambulatoire à Billens pour le mois de juin 2019, celle-ci n'étant pas disponible actuellement. Mr. Y, patient de 53 ans, connu pour un antécédent d'endocardite en février 2018 avec pose de valve mitrale mécanique à Sion suite à cet épisode, anticoagulé par Marcoumar depuis, est envoyé par son médecin traitant pour suspicion d'AIT suite à un épisode d'aphasie et une parésie de la main D. Pour rappel, l'anamnèse révèle un épisode de trouble de langage de type aphasie avec manque de mot et discours incompréhensible résolutif après 15 minutes ainsi qu'un épisode de parésie de la main D en lente amélioration depuis le 14.04.2019. Mr. Y consulte initialement au service des urgences de l'HIB Payerne le 14.04.2019 au soir. Le CT cérébral ne met pas en évidence de lésions ischémiques mais uniquement des calcifications des vaisseaux cérébraux. Le patient est renvoyé à domicile et consulte son médecin le 15.04.2019 suite à des difficultés d'écriture constatées au travail. Celui-ci nous l'adresse et nous hospitalisons le patient en lit non monitoré de Stroke Unit. L'IRM cérébrale effectuée montre deux lésions ischémiques aigües au niveau fronto-pariétal à gauche dans le territoire de l'artère sylvienne. L'échocardiographie transoesophagienne ne met pas en évidence d'anomalies cardiaques structurelles significatives et montre un bon fonctionnement de la valve mécanique. L'ultrason des vaisseaux pré-cérébraux ne met pas en évidence de sténoses significatives mais montre une athéromatose diffuse. Nous posons donc un diagnostic d'AVC dont l'origine cardio-embolique est probable au vu de la valve mécanique du patient malgré l'anticoagulation thérapeutique et l'échographie rassurante. A noter qu'une composante artério-artérielle ne peut être exclue vu l'athéromatose diffuse visualisée et les valeurs lipidiques élevées du patient. Sur le plan médicamenteux, nous débutons un traitement par Atorvastatine 40 mg/j qui sera à poursuivre au long cours. L'anticoagulation thérapeutique par Marcoumar est à poursuivre avec un contrôle strict et régulier de l'INR afin de minimiser le risque de récidive. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte). La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 1 semaine. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y se montre intéressé à participer à l'étude Return to work et sera donc revu en contrôle par le Dr. X. Le patient rentre à domicile le 18.04.2019. Un contrôle chez le médecin serait indiqué dans 1 semaine afin de contrôler l'INR. Un examen Holter de 72 heures à but diagnostique nous paraîtrait indiqué même s'il n'aurait pas de sanction thérapeutique étant donné l'anticoagulation déjà en cours. Mr. Y rentre à domicile le 18.04.2019 après une bonne évolution clinique avec persistance d'une légère parésie au niveau de la main droite, raison pour laquelle un suivi ergothérapeutique est organisé. Les troubles phasiques sont presque entièrement résolutifs et ne nécessitent pas de prise en charge ultérieure. Mr. Y est assez clair que pour lui, il se sent plus sûr en chaise roulante, il réalise qu'il a un risque de chute s'il se déplace sur ses pieds, il a un périmètre de liberté plus grand avec une chaise roulante et ne souhaite pas obligatoirement reprendre la marche. Je propose la physiothérapie pour gagner en sécurité pour les transferts et en autonomie, éventuellement marche avec le rollator. La charge est possible sur le membre inférieur G. Contrôle d'ici 2 à 3 mois. Mr. Y est un patient de 73 ans connu pour un status post-cholécystectomie en 2010 et un status post-résection sigmoïdienne pour maladie diverticulaire en janvier 2016, qui se présente aux urgences le 19.04.2019 en raison de douleurs abdominales en ceinture depuis 48h accompagnées d'un état fébrile. Un bilan biologique montre une CRP à 177 mg/L et une leucocytose à 10.8 G/L. Un CT abdominal réalisé le 19.04.2019 met en évidence une discrète dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques avec un réhaussement au niveau de l'ampoule de Vater. Devant la suspicion d'une cholangite, une antibiothérapie par Rocéphine et Metronidazole est instaurée le 19.04.2019. Une cholangio-IRM est réalisée le 24.04.2019 qui ne met pas en évidence de compression des voies biliaires, de lithiase ou d'ampullome. Devant une évolution clinique et biologique favorable, le patient peut regagner son domicile le 25.04.2019. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à une cardiopathie ischémique avec STEMI antérieur aigu sur maladie coronarienne bitronculaire le 17.03.2019. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine Cardio 100 mg, Plavix 75 mg, Xarelto 15 mg, Pantozol 20 mg, Atorvastatine 40 mg, Inderal 40 mg, Lisinopril 2.5 mg et Dafalgan.Nous avons réalisé un Holter de 24h qui nous a confirmé une insuffisance chronotrope asymptomatique pour laquelle nous vous laissons le soin d'évaluer la nécessité d'un pacemaker dans le futur. Il n'y a ni pause ni bloc de haut degré. Sur le plan du traitement anti-hypertenseur, nous avons remplacé le Lisinopril par un sartan (Valsartan à la sortie), le patient ayant présenté une toux sèche avec irritation laryngée, avec disparition des symptômes au changement du traitement. Tout au long de la réadaptation, le patient est resté asymptomatique du point de vue cardiovasculaire, sans présence de signe de décompensation cardiaque, ni d'arythmie aux différents contrôles cliniques et ECG réalisés. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté la réadaptation dans un groupe d'entraînement modéré et a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à une puissance de 35 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+105 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Il a été suivi en individuel par notre diététicienne ainsi que par notre ergothérapeute. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 4.8 mmol/L, un HDL à 1.55 mmol/L, un LDL à 3.47 mmol/L et des triglycérides à 0.94 mmol/L. • La pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : • Hb normale à 132 g/l • fonction rénale normale avec créatinine à 72 µmol/l • électrolytes dans la norme • CRP à <5 L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un statut de normo-compensation. Mr. Y, 53 ans, est hospitalisé le 13.04.2019 pour un traumatisme crânien suite à une chute à vélo, avec hémorragie sous-arachnoïdienne et perte de connaissance. L'observation neurologique reste sans particularité et Mr. Y ne présente à aucun moment des symptômes neurologiques. L'avis de nos collègues du service de psychiatrie est demandé pour l'organisation d'un suivi auprès du service de permanence. Mr. Y peut rejoindre son domicile le 16.04.2019. Mr. Y, votre patient de 68 ans, est hospitalisé pour un AVC gauche lysé le 16.04.19. Pour rappel, le patient, connu pour un diabète de type 2 non insulino-requérant et une HTA, est amené en ambulance qu'il a appelée lui-même pour une hypoesthésie au membre supérieur droit et péri-buccale auto-résolutive. Aux urgences, il présente 2h plus tard une dysarthrie avec parésie faciale droite avec un NHISS à 6 motivant une lyse intravasculaire après la réalisation d'un CT avec des cartes de perfusion suspect d'un AVC postérieur gauche. La symptomatologie se résout durant la lyse avec un NIHSS à 0. L'IRM ne retrouve pas de lésion ischémique ni de complication de la lyse à 24h. Le diagnostic reste suspect d'un AIT versus une épilepsie sans étiologie visible à l'imagerie. Un traitement d'Aspirine est débuté et celui de statines renforcé. Un bilan complet est réalisé avec une échocardiographie ne montrant pas de particularité. Un Holter de 72h sera réalisé en ambulatoire. Au niveau des autres facteurs de risque, une hémoglobine glyquée à 7.5% est observée et après contact téléphonique avec vous, nous n'introduisons pas la Metformine ayant causé des diarrhées chez Mr. Y. Nous vous laissons le soin d'adapter le traitement diabétique. Mr. Y rentre à domicile en bon état général le 19.04.19 Mr. Y, 68 ans, est admis en unité stroke monitorisée pour un AVC ischémique gauche lysé. Le patient, connu pour un diabète de type 2 non insulino-requérant et une HTA, est amené en ambulance pour une hypoesthésie au membre supérieur droit et péri-buccale auto-résolutive. Aux urgences, il présente 2h plus tard une dysarthrie avec parésie faciale droite avec un NIHSS à 6 motivant une lyse intraveineuse après la réalisation d'un CT avec des cartes de perfusion suspecte d'un AVC postérieur gauche. La symptomatologie se résout durant la lyse avec un NIHSS à 0. L'IRM ne retrouve pas de lésion ischémique ni de complication de la lyse. Le diagnostic reste suspect d'un AIT versus une épilepsie sans étiologie visible à l'imagerie. Un traitement d'Aspirine est débuté et celui de statines renforcé. Il reste à pister le bilan complet avec l'échocardiographie et le Holter. Le patient est transféré le 17.04.2019 dans le service de médecine interne avec une prise en charge en collaboration avec l'équipe de neurologie. Mr. Y, connu pour un statut post-deux accidents vasculaires cérébraux en 2013 et 2014 ainsi qu'un diabète de type 2 insulino-requérant traité, résidant au foyer Ste-Marguerite à Vuisternens-dt-Romont, est amené aux urgences en ambulance le 24.03.2019 en raison d'une dysarthrie, aphasie, parésie des 4 membres et troubles de l'état de conscience constatés le matin à 09h00 par le personnel du home. Ces signes sont associés à un pouls irrégulier et une glycémie capillaire à 5,1. La dernière preuve de bonne santé se situe à 08:30 lors de la tournée des médicaments avec administration d'insulinothérapie. Le personnel décrit un épisode similaire la veille à la même heure, avec dysarthrie et troubles de la marche, spontanément résolutifs. Pas de notion de chute récente. Le personnel soignant souligne également une alimentation déficitaire depuis quelques jours, sur manque d'appétit ainsi qu'un état grippal fin février 2019, traité par co-amoxicilline. Pas de changement récent de médication ni de la posologie de l'insuline. Dans l'ambulance, les constantes sont bonnes et la glycémie capillaire est à 2,5. Après administration de 20 g de glucose, une récupération complète de l'état neurologique est observée avec retour à un Glasgow à 15/15. À l'admission aux urgences, Mr. Y est calme et collaborant. Au statut neurologique, Glasgow à 15/15. Le patient est orienté sur la personne et partiellement désorienté dans le temps. Les pupilles sont isocores et isoréactives avec champs visuels conservés. La poursuite oculaire est saccadée dans les 4 directions. La sensibilité du visage est symétrique avec asymétrie de la commissure labiale connue (force front-joues symétrique). La motricité de la langue est symétrique des deux côtés. La luette n'est pas testée. La force visage-épaule est symétrique. Force M4 au membre supérieur droit, M4 membre supérieur gauche, M3 membre inférieur droit et M5 à gauche. Les réflexes ostéotendineux sont symétriques avec un réflexe cutané plantaire en flexion bilatérale. Hypoesthésie (connue) de l'hémicorps droit. Troubles de la motricité fine du membre supérieur droit (connus). Épreuve talon-genou pathologique à gauche, normale à droite. Très faible dysarthrie, sans aphasie. Pas de trouble de la compréhension de la parole. Au statut cardiovasculaire, B1B2 sont lointains, irréguliers, pouls périphériques perçus, pas d'oedème des membres inférieurs ni autre signe de surcharge. Au niveau pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique avec des râles crépitants en base droite. Le reste du statut d'entrée est normal. Un bilan biologique montre une hypokaliémie à 2.8 mmol/l que nous substituons par perfusion de 40 mEq de KCl iv aux urgences, suivi d'une substitution per os avec normalisation. L'ECG montre un rythme sinusal régulier et la radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer infectieux ni d'épanchement pleural. Sur le plan neurologique, au vu de l'absence de symptômes déficitaires nouveaux avec un status compatible avec les séquelles d'accident vasculaire cérébral connues, ainsi que la résolution complète des symptômes après administration de glucose, une imagerie cérébrale n'est pas effectuée. Les troubles de l'état de conscience transitoires sont donc attribués à un surdosage d'insulinothérapie. Après administration de 2 ampoules G40% et G5%/4h aux urgences, les glycémies restent stables. Mr. Y est hospitalisé en médecine interne pour suivi glycémique et adaptation à la baisse de l'insulinothérapie. Au vu de glycémies qui restent dans la norme, Mr. Y peut regagner le foyer le 27.03.2019. Nous vous laissons le soin d'adapter le traitement insulinique en ambulatoire, les régimes alimentaires étant différents à l'hôpital qu'au home. Mr. Y présente cliniquement un syndrome du tunnel carpien ainsi qu'un syndrome du tunnel cubital du MSD. Le syndrome du tunnel carpien peut être vu dans le contexte post-traumatique. Mr. Y se sent également légèrement gêné par la plaque d'ostéosynthèse. Avant de planifier l'AMO, j'adresse Mr. Y au Dr. X, neurologue, pour un EMG du MSD. Si l'EMG se montre positif pour un syndrome du tunnel carpien et cubital, on pourrait en même temps que l'AMO effectuer une décompression de ces 2 nerfs par une antéposition du nerf cubital. Mr. Y est d'accord avec cette attitude. Je le reverrai le 8.5.2019 après son passage chez le neurologue le 30.4.2019. Vu qu'il n'est pas gêné par le déficit du tendon extenseur long du pouce, on ne prévoit pas d'intervention chirurgicale pour son pouce. Mr. Y, 15 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une intoxication alcoolique aiguë. Il est en bonne santé habituelle et consomme avec son frère dans un contexte festif une bouteille de vodka. Il est retrouvé par son père au sol inconscient. Il présente un glasgow à 8 et est transporté aux urgences où l'alcoolémie est mesurée à 3.26 pour mille. Il ne présente pas de signe de traumatisme crânien. Le glasgow s'améliore progressivement lors de la surveillance neurologique aux soins intensifs. Mr. Y présente un examen neurologique normal le lendemain et regrette sa prise d'alcool. Mr. Y est vu en consultation par les pédopsychiatres qui prévoient un suivi ambulatoire. Il rentre à domicile le 08.04.2019. Mr. Y est un patient connu pour une infection chronique de PTG gauche avec dernière hospitalisation en 19.02.19. Il se présente aux urgences en raison de douleurs invalidantes de la hanche, de la cuisse et du genou gauche présentes au passage de la position assise à la position debout associées à une sensation de lâchage du genou. Il est connu pour des douleurs chroniques du genou gauche qui se sont fortement accentuées suite à une chute début mars. Il ne présente pas d'état fébrile. Le bilan réalisé aux urgences ne met pas en évidence de signes d'infection. Mr. Y est hospitalisé pour suite d'investigations et gestion d'antalgie. L'origine des douleurs est probablement multifactorielle : post-traumatique consécutif à une chute sur la hanche gauche début mars avec présence d'un volumineux hématome de la cuisse, infection chronique de la PTG et probable déscellement de la prothèse. Les séances de physiothérapie et l'adaptation de l'antalgie permettent une disparition des douleurs de la hanche et de la cuisse, mais il persiste des douleurs importantes du genou gauche lors de la mobilisation. Au vu des gonalgies persistantes et de la limitation fonctionnelle associée, nous discutons avec Mr. Y et son fils d'un éventuel placement. Mr. Y est transféré à l'UATO le 10.04.19 pour réévaluation du projet social. Mr. Y est un patient de 59 ans connu pour une maladie de Crohn. Il se présente aux urgences le 15.04.19 en raison de diarrhées sanglantes associées à des douleurs abdominales avec épreintes en évolution depuis une semaine. Une recto-sigmoïdoscopie est effectuée avec prélèvement de biopsies qui permettent de confirmer la suspicion de nouvelle poussée de la maladie de Crohn. Une corticothérapie est par conséquent initiée. Au vu d'une mauvaise évolution avec une persistance des symptômes, une perfusion d'Infliximab est administrée. La réponse clinique est bonne, avec une rémission des diarrhées. Selon discussion avec le Dr. X, une seconde perfusion d'Infliximab est recommandée dans la semaine du 6 mai, puis à 6 semaines, et enfin toutes les huit semaines. Nous vous invitons à procéder par la suite à un sevrage progressif de la prednisone, en fonction de la réponse clinique. A noter que le résultat des biopsies reste en attente et vous sera communiqué dans les meilleurs délais. En 2016, un cliché du thorax avait mis en exergue une image nodulaire au niveau du poumon droit. Une nouvelle radiographie du thorax est donc effectuée, ne retrouvant pas cette image qui peut donc être interprétée comme une image construite. Mr. Y peut rentrer à domicile le 30.04.19. Mr. Y est un patient de 71 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées, qui est hospitalisé pour bénéficier le 15.04.2019 d'une cure d'anévrisme de l'aorte sous-rénale mesuré à 60 mm par voie endovasculaire. Les suites opératoires sont simples et sans complication. Les pouls périphériques sont palpés en périphérie, les plaies inguinales sont calmes et les douleurs sont contrôlées par une antalgie de pallier II que nous diminuons progressivement. Un angio-CT de contrôle est effectué montrant une endofuite de type II au niveau d'une artère lombaire et une dissection au point de ponction fémoral droit asymptomatique pour laquelle nous prévoyons un nouveau CT à un mois. A noter un schéma dégressif de prednisone instauré en post-opératoire qui est bien supporté. Le Sintrom est repris le 16.04.2019 avec un INR infra-thérapeutique à 1.1 le 18.04.2019 et un contrôle sera fait en filière 34, le 20.04.2019 pour réglage. Au vu de la bonne évolution du patient, il rentre à domicile le 18.04.2019. Mr. Y, 75 ans, a été admis pour un infarctus myocardique avec coronaropathie non-obstructive. Mr. Y a présenté des douleurs rétrosternales de type angor en barre le 10.04.2019 durant environ 3 heures avec une résolution spontanée. La troponine T hs était élevée à 346 ng/l (CK dans la norme). La coronarographie a montré des coronaires calcifiées sans lésion significative, mais une hypokinésie inférieure avec fraction d'éjection à 60% à la ventriculographie. Le lendemain, l'échocardiographie transthoracique a toutefois montré une fonction du ventricule gauche modérément diminuée avec une hypokinésie globale minime et fraction d'éjection à 45%. Les cardiologues retiennent un infarctus myocardique avec coronaropathie non-obstructive comme probable origine, le diagnostic différentiel serait une myocardite. Mr. Y n'a pas présenté de trouble rythmique. L'antiagrégation plaquettaire par aspirine ainsi que l'inhibiteur de l'enzyme de conversion et le bêta-bloquant ont été poursuivis. Le profil tensionnel étant plutôt bas (TA 95/65 mmHg), le traitement devra être adapté selon la tolérance en ambulatoire. Une IRM myocardique pour évaluation de la viabilité du territoire de l'hypokinésie inférieure et recherche de signes de myocardite est organisée en ambulatoire à Affidea Cimed à Fribourg pour le 16.05.2019. Un contrôle à la consultation de cardiologie chez le Dr. X devra être organisé pour discuter de ces résultats. Mr. Y rentre le 12.04.2019 à domicile. Mr. Y, patient de 56 ans, connu pour un glioblastome pariétal gauche, traité par exérèse en 2017, et un hémisyndrome sensitivo-moteur droit, est hospitalisé en urgences le soir du 07.04.2019 pour un état de mal épileptique.L'hétéroanamnèse de son épouse rapporte que le patient présente le soir du 07.04.2019 une dysphasie avec une ptose labiale à droite, suivie de 4 épisodes de crises tonico-cloniques à 21h, 21h15, 21h20 et 21h25. Lors de son arrivée au service des urgences, il présente un trouble de l'état de conscience avec un GCS à 9. Les jours précédents, Mr. Y se rapporte bien se porter, sans plaintes ou notion de maladie récente. Sur avis neurologique, le traitement habituel par Keppra est majoré à 2x750 mg par jour et un CT scan cérébral en urgence permet d'exclure une hémorragie intracrânienne. De plus, nous remplaçons le traitement anti-dépresseur de Cymbalta par de l'Escitalopram qui sera à débuter dès le 13.04.2019, en raison d'un risque épileptogène plus faible. L'origine de l'état de mal épileptique reste peu claire, un possible taux infra-thérapeutique de Keppra pourrait être impliqué, sachant que le patient rapporte parfois d'oublier de prendre la dose du soir de Keppra (500mg) à fréquence d'environ 4-5 fois par mois. Malheureusement, le taux de Keppra n'a pas été mesuré à l'arrivée et s'avère être inutile après la majoration du traitement au service des urgences. D'un point de vue radiologique, le CT cérébral en urgence retrouve une suspicion d'œdème cérébral chez ce patient sous Dexaméthasone. Après discussion avec son oncologue le Dr. X et sur avis de nos collègues neurologues, nous complétons le bilan radiologique par une IRM qui confirme l'augmentation de l'œdème/gliose péri-lésionnels par rapport à un comparatif de janvier 2019 et qui retrouve un nodule connu dans la cavité de résection. Le tableau radiologique fait suspecter une possible récidive. Nous majorons le traitement de Dexaméthasone avec schéma dégressif et la suite de prise en charge se fera chez le Dr. X. Le bilan biologique initial retrouve des troubles électrolytiques, corrigés après substitution de potassium, magnésium et phosphate. Au vu du diagnostic oncologique, des soins de support en médecine palliative sont mis en place, avec l'intensification de l'encadrement par Voltigo et la possibilité d'introduire des soins à domicile par la suite. De plus, sur avis de spécialiste en soins palliatifs, un traitement en protocole d'urgence par Dormicum 2.5 mg intra-nasal (max. 2 doses à intervalle de 5 minutes) est prescrit pour le domicile en cas de nouvelle crise épileptique. Mr. Y peut rentrer à domicile en bon état de santé général le 11.04.2019. Mr. Y est un patient de 20 ans connu pour un diabète de type I mal contrôlé dans le contexte de problèmes de compliance. Il est réhospitalisé le 23.04.2019 suite à une décompensation acido-cétosique sévère secondaire à une mauvaise adhérence médicamenteuse. Pour rappel, le patient a déjà été hospitalisé à de nombreuses reprises aux soins intensifs pour des décompensations diabétiques. Le 23.04.2019, il est amené par sa mère en raison de nausées et vomissements dans le contexte d'un arrêt de son insulinothérapie. La glycémie à l'admission est à 22 mmol/l et le bilan biologique montre une décompensation acido-cétosique sévère (pH 7.01, PaCO2 0.9 kPa, bicarbonate 2 mmol/l, BE - 28.1 mmol/l). L'acidose se corrige rapidement après remplissage vasculaire et insulinothérapie intra-veineuse. La correction du profil glycémique est progressive et les troubles électrolytiques sont substitués. L'insulinothérapie habituelle par Tresiba 70 UI/jour et d'Humalog pré-prandial est reprise dès le 24.04.2018. Comme facteur déclencheur de la décompensation actuelle, la mauvaise adhérence thérapeutique est à nouveau retenue avec l'arrêt de l'insuline rapide trois jours avant son hospitalisation. L'HbA1c est supérieure à 15%. Suite à une évolution biologique favorable, le patient est transféré dans le service de Médecine Interne le 24.04.2019. Des avis psychiatrique ainsi que diabétologique sont sollicités. La curatrice également est contactée, confirmant que la curatelle actuelle se limite à la gestion des affaires administratives. Comme lors des précédentes hospitalisations, le patient est peu collaborant et ne comprend pas la gravité de la situation. Il refuse une adaptation du schéma d'insuline et toute autre proposition médicale, rendant la marge thérapeutique limitée. L'avis psychiatrique confirme à nouveau l'incapacité de discernement quant à sa maladie. Une nouvelle lettre est écrite à la Justice de Paix pour annoncer les mises en danger répétitives. Après plusieurs discussions avec Mr. Y, il s'engage toutefois à un suivi psychiatrique en ambulatoire. Mr. Y rentre à domicile après réactivation des soins à domicile et des rendez-vous de suivi planifiés en ambulatoire en diabétologie. Mr. Y nous est adressé le 22.03.2019 à l'HFR Billens pour une réadaptation cardiovasculaire. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine cardio 100 mg, Plavix 75 mg, Pantozol 40 mg, Calcimagon D3, Benerva 300 mg, Metoprolol 25 mg, Atorvastatin 40 mg, Praxilene 200 mg. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, Mr. Y est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à une puissance de 40 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. À la fin de la prise en charge, il est capable de marcher pendant une durée de 30 min à une allure de 2 km/h sans symptôme. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 135 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Au vu de la désinhibition présente chez ce patient dans le contact, ainsi que d'oublis fréquents avec troubles de la mémoire, nous réalisons un bilan neuropsychologique qui met en évidence un dysfonctionnement exécutif, de très légères difficultés gnosiques ainsi qu'un léger ralentissement idéomoteur. Un MMSE est réalisé avec un score de 23/30. L'étiologie vasculaire, au vu des FDRCV du patient, est probablement responsable du tableau cognitif. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.6 mmol/L, un HDL à 0.57 mmol/L, un LDL à 1.38 mmol/L et des triglycérides à 2.60 mmol/L. • Patient tabagique à 47 UPA avec une très forte dépendance nicotinique, en abstinence depuis le 07.03.2019, a montré beaucoup d'intérêt lors des entretiens avec notre tabacologue le Dr. X ; les situations à risque et les stratégies de prévention de la rechute ont été rediscutées. À la fin du séjour, le patient est motivé à poursuivre son abstinence tabagique avec l'usage de substituts nicotiniques à diminuer progressivement. Le 07.05.2019, un rendez-vous chez le Dr. X est agendé à son cabinet à Riaz. • La pression artérielle à l'état basal et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : - Hb à 148 g/l - fonction rénale normale avec créatinine à 99 µmol/l - électrolytes dans la norme - CRP < à 5 mg/l L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un statut de normo-compensation. La cicatrice du défibrillateur est calme et sans signe d'infection. Mr. Y, âgé de 57 ans, connu pour une BPCO stade III D selon Gold, nous est adressé par son pneumologue traitant pour une réadaptation respiratoire suite à une exacerbation infectieuse en février avec péjoration de sa dyspnée et de ses valeurs fonctionnelles.Sur le plan social, Mr. Y, divorcé, vit seul à domicile. Il est indépendant (fabrication d'appareils pour désamianter). Il est rentier AI à 70 % suite à un accident du travail depuis 1995. A l'admission, Mr. Y se plaint d'une dyspnée stade III selon l'échelle mMRC avec atteinte de sa qualité de vie. Le statut général est sans particularité hormis une diminution du murmure respiratoire sur les 2 plages pulmonaires. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré très sévère et confirme, à l'entrée, le diagnostic de BPCO stade IV selon Gold. Le score de CAT atteste d'un stade B. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une saturation à 94 % avec une hypoxémie légère à pO2 8.7 kPa, sans hypercapnie. L'oxymétrie nocturne montre une désaturation nocturne (SpO2 moyenne à 88.5 %). Il n'y a, à l'heure actuelle, pas de critères pour une oxygénothérapie continue. A la radiographie du thorax, on retrouve la désorganisation de la trame bronchovasculaire avec radio-transparence à l'apex D et la base du même côté évoquant de volumineuses bulles d'emphysème, le tout d'aspect superposable, sans foyer, infiltrat ni épanchement pleural surajouté. Nous modifions le traitement inhalateur de Spiolto pour du Spiriva Respimat à 2x/j et poursuivons le Vannair 2-0-2 dès le 27.03.2019. Nous observons une amélioration du VEMS passant de 29 % à 34 % de la valeur prédite. Les valeurs de la gazométrie ne montrent pas d'amélioration significative au niveau de l'oxygénation. Sur le plan nutritionnel, Mr. Y ne présente pas de perte de poids et un appétit conservé. Toutefois, il a certainement perdu une partie de sa masse musculaire, remplacée par de la masse grasse. Il a assisté à la conférence préventive sur l'alimentation et les maladies respiratoires et nous avons aussi donné des conseils individuels, adaptés à son mode de vie. Comme Mr. Y ne sait pas cuisiner, l'objectif est d'avoir des repas simples, ne nécessitant que très peu de préparation et le plus équilibré possible. Durant son séjour, Mr. Y a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance sous oxygénothérapie, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 420 m à 535 m et Mr. Y augmente la distance parcourue sur le tapis roulant pendant 20 minutes de 0.980 km à 1.500 km. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire sous oxygénothérapie afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 13.04.2019, en état général conservé. Il se rendra prochainement à la consultation de son pneumologue pour discuter d'un projet de bullectomie LSD. Mr. Y présente une rupture complète du LCA associée à une lésion type anse de seau du ménisque externe de son genou droit. L'indication opératoire est donnée. Il est prévu une arthroscopie du genou droit avec +/- résection partielle, +/- suture du ménisque externe ainsi qu'une plastie du LCA par greffe de tendon quadriceps. Mr. Y est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention est prévue pour le 26.04.2019. Mr. Y sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mr. Y reste en arrêt de travail à 100 % pour le moment. Mr. Y se présente aux urgences le 26.04.2019 en raison de douleurs basi-thoraciques accompagnées d'une toux avec expectorations jaunâtres, sans état fébrile ni frissons. L'examen clinique initial met en évidence des sibilances et le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 58 mg/l et des leucocytes à 11,9 G/l, une créatinine à 497 umol/l, une urée à 32.4 mmo/l (déjà à ces valeurs chez le médecin traitant) ainsi qu'une anémie microchrome normocytaire avec une hémoglobine à 79 g/l. Le sédiment urinaire revient dans la norme. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer pulmonaire clair. Une exacerbation d'un syndrome obstructif est retenue et Mr. Y est mis au bénéfice d'un traitement de Prednisone, Co-Amoxi et bronchodilatateurs. L'évolution est néanmoins défavorable avec une dyspnée en augmentation jusqu'à l'avènement d'un œdème pulmonaire aigu dans la nuit du 28 au 29 avril 2019. Mr. Y bénéficie alors d'une ventilation non invasive et d'un traitement diurétique de Lasix adapté à la fonction rénale avec négativisation du bilan (-2000 ml sur les premières 24 h). L'évolution est par la suite stagnante sans amélioration de l'insuffisance respiratoire. Une échocardiographie transthoracique de qualité médiocre montre une FEVG de 40 % avec une hypokinésie inférieure associée à une insuffisance mitrale. Mr. Y se plaint de douleurs thoraciques évocatrices d'angor durant le séjour. Une cause ischémique à l'insuffisance cardiaque est donc présumée nécessitant un transfert en milieu de soins intensifs pour monitoring hémodynamique et poursuite des investigations. D'un point de vue rénal, Mr. Y est suivi par Dr. X, néphrologue, avec dernier contrôle en janvier 2019. Par la suite, le médecin traitant relate une augmentation progressive de la créatinine et l'apparition progressive d'une asthénie et d'une anorexie à mettre en relation avec l'insuffisance rénale. Malgré la stabilité de la fonction rénale actuellement et la diurèse sous diurétique, il est probable que Mr. Y doive débuter une dialyse pour améliorer sa volémie. Mr. Y présente dès le 28.04.2019 des crachats hémoptoïques mis sur le compte de l'œdème pulmonaire. En raison de l'atteinte rénale existante, un bilan à la recherche d'un syndrome pneumo-rénal est réalisé et est à pister. Aucun traitement antiagrégant et anticoagulant n'est introduit dans ce contexte. Mr. Y est transféré aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le 30.04.2019. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un TAVI avec implantation d'une prothèse valvulaire aortique pour une sténose aortique serrée le 11.03.2019. Son traitement est composé de : Aspirine cardio 100 mg, Plavix 75 mg, Pantozol 40 mg, Calcimagon D3, Benerva 300 mg, Metoprolol 25 mg, Atorvastatine 40 mg, Praxilene 200 mg. Pendant le séjour, Mr. Y n'a pas eu de complication cardiaque, mais la physiothérapie a été limitée par la fragilité d'un patient pluri-morbide. Sur le plan du traitement anti-hypertenseur, nous avons introduit du Valsartan 80 mg et de la Torasemide 2.5 mg 3x/semaine avec un bon contrôle de la TA. Sur le plan de la polyneuropathie sur éthylisme chronique, Mr. Y s'est plaint d'une augmentation des pallesthésies aux MI pour lesquelles nous avons introduit le Pregabaline 25 mg 2x/jour le 22.03.2019 avec une bonne efficacité. Au niveau cérébral, Mr. Y a alterné des phases de lucidité - confusion - désorientation. Son épouse nous a confirmé une perte de mémoire augmentée ces derniers mois. Dans ces conditions, un bilan neuropsychologique a été organisé pour le 15.04.2019. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, Mr. Y a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser tout au long du séjour. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objecte une augmentation de la distance parcourue (+ 30 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. A la fin du séjour, nous avons réalisé une ETT de contrôle qui a montré une cardiopathie hypertrophique avec FEVG conservée (>60%) et un TAVI en place sans fuite para-annulaire ni centro-valvulaire. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.3 mmol/L, HDL à 1.17 mmol/L, LDL à 1.80 mmol/L, triglycérides à 1.39 mmol/L. • Patient tabagique : dit avoir diminué la consommation mais n'est pas prêt à arrêter. Nous l'avons encouragé à ne plus fumer. • La pression artérielle basale sous traitement remanié et la fréquence cardiaque sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : • Hb à 117 g/l • fonction rénale normale avec créatinine à 81 µmol/l. • électrolytes dans la norme. • CRP <5 mg/l. L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un status de normo-compensation. Mr. Y, patient de 71 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique suite à une thrombectomie et un pontage fémoro-tibial pour une ischémie critique du membre inférieur droit le 18.12.2018. Le patient a présenté une paresthésie associée à des douleurs dans le membre inférieur droit d'apparition brusque ainsi qu'un gradient thermique jusqu'au niveau sous-géniculaire vers 09 h le 17.12.2018. Le bilan radiologique montre une occlusion de l'artère fémorale superficielle avec thrombus descendant jusqu'à l'anévrisme de la fosse poplité. Il bénéficie d'une thrombectomie avec un pontage fémoro-poplite du membre inférieur droit avec également une fasciotomie des quatre loges du mollet. Le patient présente en post-opératoire une rhabdomyolyse avec l'apparition d'une oligurie et une augmentation des CK. Une réhydratation agressive est débutée et une alcalinisation des urines est effectuée. La fonction rénale reste normale durant l'hospitalisation et les CK diminuent à partir du 19.12.2018. Une réfection du pansement de fasciotomie est réalisée au bloc opératoire le 19.12.2018 en raison d'un écoulement sérosanglant de la plaie. Les tissus musculaires sont sains et aucun hématome n'est retrouvé. Il faudra maintenir surélevée la jambe droite à 30 degrés pour diminuer l'oedème musculaire. Une couverture antibiotique par Co-amoxicilline est réalisée à la demande du chirurgien vasculaire. Le patient présente des phases d'agitation nocturnes en raison de cauchemars entièrement résolutifs au cours de la journée. Le traitement habituel du Parkinson est poursuivi. Un avis neurologique est demandé auprès du Dr. X et un traitement par Quétiapine est introduit. Mr. Y, connu pour une cardiopathie ischémique, nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à une récidive d'un STEMI inférieur sur thrombose intrastent le 03.03.2019. Il présente un statut ICS. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine cardio 100 mg, Brilique 90 mg 2x/jour jusqu'au 03.03.2020, Lisinopril 10 mg, Beloc Zok 50 mg, Crestor 20 mg, Nexium 40 mg. Mr. Y présente une excellente évolution clinique tout au long de son séjour dans notre établissement. Il est resté asymptomatique du point de vue cardiovasculaire, sans présence de signe de décompensation cardiaque ni d'arythmies aux différents contrôles cliniques et ECG réalisés. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée en entraînement par intervalles et a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, le patient est capable de faire du vélo pendant 30 minutes à une puissance de 45/85 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 85 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Il a été suivi individuellement par notre diététicienne ainsi que par notre ergothérapeute. Il bénéficiera encore de l'enseignement thérapeutique adapté au statut ICS. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.4 mmol/L, un HDL à 0.64 mmol/L, un LDL à 1.33 mmol/L et des triglycérides à 1.75 mmol/L. La pression artérielle à l'état basal et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : • Hb 142 g/l • Fonction rénale normale avec créatinine à 92 µmol/l • Électrolytes sont dans la norme • CRP <5 mg/l L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un status de normo-compensation. Mr. Y est connu pour un adénocarcinome du côlon ascendant métastatique en progression au niveau des adénopathies rétro-péritonéales, une leucémie lymphoïde chronique connue depuis 2010, actuellement sous Mabthera et Zydelig et un antécédent de cholangite sur occlusion d'un stent cholédocien le 29.03.2019, est hospitalisé en mode directe depuis les ambulatoires oncologiques pour une suspicion de cholangite. Pour rappel, le patient présentait la veille de son hospitalisation un état fébrile à 38°C avec frissons et un épisode de vomissements, avec un ictère sclérique cutané et des urines très foncées sans diarrhée. Un bilan biologique montre une hyperbilirubinémie avec uniquement une légère perturbation des transaminases ainsi qu'un syndrome inflammatoire. Un CT abdominal montre une perméabilité du stent biliaire, sans signe clair pour une cholangite ni cholécystite. Mais devant la clinique typique pour une cholangite, et sans autre foyer, une antibiothérapie par Ceftriaxone et Metronidazole, et par la suite par Pipéracilline/Tazobactam (au vu de l'antécédent d'infection à E. faecalis) est débutée. L'ERCP montre pourtant un stent partiellement occlus et permet le changement de stent. L'intervention s'effectue sans complication. L'évolution est entièrement favorable sur le séjour, avec une régression de l'ictère et une baisse de la bilirubine. Une antalgie simple permet un bon contrôle des douleurs. Sur le plan infectiologique, des hémocultures effectuées à froid le 18.04.2019 reviennent légèrement positives pour un entérocoque. Un avis infectiologique conseille le maintien du Tazobactam. L'antibiothérapie est ensuite ciblée, avec évolution également favorable. Sur le plan hématologique, 4 culots érythrocytaires sont nécessaires durant le séjour. Mr. Y rentre à domicile le 24.04.2019. Il bénéficiera d'un suivi oncologique en ambulatoire. Mr. Y est un patient de 73 ans, qui est hospitalisé dans notre service de chirurgie pour prise en charge d'un iléus grêle mécanique. En vue de la mauvaise évolution sous traitement conservateur, il bénéficie le 29.03.2019 d'une laparotomie exploratrice avec section d'une bride et adhésiolyse. L'évolution post-opératoire est favorable, avec une reprise du transit à J4 post-opératoire. Par ailleurs, le 29.03.2019 il présente également un ictère avec élévation des paramètres de cholestase et un état fébrile sur probable occlusion des voies biliaires. En effet, il avait été hospitalisé en février 2019 pour une cholestase sur obstruction des voies biliaires par une lésion tissulaire au niveau de la tête du pancréas et avait bénéficié de la mise en place d'un stent cholédocien. En vue d'un état fébrile surajouté, il bénéficie d'une ERCP en urgence le 30.03.2019 avec changement du stent ainsi que d'une antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl jusqu'au 31.03 puis Co-Amoxicilline du 31.03 au 05.05.2019 en intraveineux avec un relais par voie orale le 06.04.2019. Par la suite, l'évolution est favorable avec un bilan sanguin qui montre une baisse des tests de cholestase.Sur le plan oncologique, le patient est connu pour un adénocarcinome du colon ascendant métastatique ayant bénéficié d'une hémicolectomie droite avec CME en 2017, actuellement sous immunothérapie en 2ème ligne palliative. Il est également connu pour une leucémie lymphoïde chronique diagnostiquée en 2010, avec actuellement une forte suspicion de récidive et bicytopénie nécessitant la transfusion itérative de CE et CP le 29.03, le 30.03 et le 06.04.2019. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 06.04.2019. Un rendez-vous de contrôle à la consultation des Chefs de clinique est prévu dans 4 semaines. À noter que l'immunothérapie, Bactrim et Prednisone sont mis en suspens lors de l'hospitalisation. Le patient sera convoqué par nos collègues en oncologie pour la suite du traitement. Son oncologue traitant, le Dr. X, est également averti de sa sortie et prendra contact avec le patient afin d'organiser une consultation et planifier la suite de la prise en charge oncologique. Mr. Y, 77 ans, a été admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique dans le contexte d'un bloc de branche gauche non documenté précédemment, alors qu'il consultait pour des douleurs de l'hypochondre droit, mises sur le compte d'une cholécystolithiase symptomatique. Le patient a présenté des douleurs en hypochondre droit associées à des diarrhées post-prandiales. Le bilan a identifié une cholécystolithiase sans signe de cholécystite et sans perturbation biologique des tests hépato-pancréatiques, ni de syndrome inflammatoire. Les douleurs se sont résolues spontanément. Ces douleurs abdominales ont été mises sur le compte d'une cholécystolithiase symptomatique, dont la prise en charge en cas de récidive des symptômes repose sur une éventuelle chirurgie élective. Le patient a présenté un état sub-fébrile (T° 38°C) lors de son hospitalisation, sans point d'appel clinique, en particulier vésiculaire. Un ECG effectué aux urgences a mis en évidence un bloc de branche gauche et un bloc atrio-ventriculaire du premier degré. N'ayant pas de comparatif récent et compte tenu de la cardiopathie ischémique ayant nécessité un quadruple pontage en 2012, le patient a été admis aux soins intensifs pour une surveillance. La cinétique de la troponine T hs n'était toutefois pas significative. L'échographie cardiaque réalisée le 02.04.2019 n'a pas mis en évidence de troubles de la cinétique segmentaire, rendant l'hypothèse d'un syndrome coronarien aigu peu probable. Le patient visitera son cardiologue traitant le Dr. X dans 15 jours pour un contrôle. Le patient est rentré le 02.04.2019 à domicile. Nous lui avons donné les consignes de re-consultation en urgence en cas d'aggravation et lui avons proposé de se rendre à votre consultation le 05.04.2019. Mr. Y, 71 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance post-coronarographie dans le cadre d'un NSTEMI. En effet, ce patient connu pour une BPCO, une HTA et un tabagisme actif, présente depuis 15 jours une dyspnée en majoration chez son médecin de famille avec des modifications ECG. Le bilan au service des urgences retrouve une élévation de la troponine, motivant la réalisation d'une coronarographie. Cet examen retrouve une sténose étendue de l'IVA proximale, qui bénéficie de la mise en place d'un stent actif. La ventriculographie montre une fonction abaissée à 35%, le contrôle ETT du lendemain révèle une FEVG à 45%. L'ETT de suivi montre une amélioration de la dyskinésie ainsi qu'une fraction d'éjection superposable. Le traitement par IEC et bêta-bloquant est introduit ainsi qu'une médication par Aldactone. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y est reclassé le 09.04.2019 en attendant son séjour de réhabilitation cardio-vasculaire à l'HFR Billens. Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR Fribourg, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement, et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 71 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance post-coronarographie dans le cadre d'un NSTEMI. En effet, le patient, connu pour une BPCO, une HTA et un tabagisme actif, présente depuis 15 jours une dyspnée en majoration chez son médecin de famille, avec des modifications ECG. Le bilan aux urgences retrouve une élévation de la troponine, motivant la réalisation d'une coronarographie. La coronarographie retrouve une sténose étendue de l'IVA proximale, qui bénéficie de la mise en place d'un stent actif. La ventriculographie retrouvera une fonction abaissée à 35%, dont un contrôle par ETT sera réalisé lors de l'hospitalisation. Le traitement par IEC et bêta-bloquant est introduit ainsi qu'une médication par Aldactone. Le patient présente également des troubles du sommeil depuis plusieurs années avec sensation de prurit, traité par une dose d'Atarax à poursuite par la suite. Mr. Y, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, consulte les urgences le 11.04.2019 en raison d'un traumatisme costal droit avec douleurs respiro- et mouvement-dépendantes, suite à une syncope le 10.04.2019, avec réception sur le côté droit. Pas de traumatisme crânien, pas d'autre plainte ni douleur. À l'auscultation pulmonaire, notons une hypoventilation basale droite. Le reste du statut est dans la norme. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale chronique à une créatinine à 117 mcmol/l, une hyponatrémie légère à 131 mmol/l, un syndrome inflammatoire à une CRP 239 mg/l, une leucocytose à 11.3 g/l et une anémie chronique connue avec une hémoglobine à 122 g/l. La radiographie du thorax montre une surélévation de la coupole diaphragmatique droite, sans foyer pulmonaire franc, ni fracture costale. L'ECG effectué à l'admission montre une fréquence cardiaque à 73/min avec un flutter de conduction 1/3 déjà sous traitement anticoagulant et bêta-bloquant. Le patient ayant eu une biopsie hépatique avec embolisation de cette lésion du segment IV la veille de la syncope et décrivant une douleur au site de biopsie ayant précédé la syncope avec des prodromes, nous concluons à une syncope vaso-vagale. En cas de récidive, un bilan cardiologique avec notamment un Holter et une échocardiographie serait indiqué. Mr. Y est hospitalisé pour gestion de l'antalgie. Nous prescrivons de l'Oxycontin d'office et de l'Oxynorm en réserve, avec bonne réponse sur les douleurs. Nous vous laissons le soin de poursuivre le sevrage du traitement antalgique en ambulatoire. Du point de vue oncologique, les résultats de la biopsie hépatique transcutanée effectuée le 08.04.2019 seront suivis par le Dr. X, oncologue. L'évolution sur les douleurs étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 14.04.2019. Nous vous laissons le soin d'adapter l'antalgie selon l'évolution. Mr. Y est hospitalisé de manière élective le 04.04.19 en vue d'une biopsie et embolisation par radiologie interventionnelle de masse hépatique découverte en août 2018, dans un contexte d'adénocarcinome de la jonction recto-sigmoïdienne. Au vu d'un traitement de Xarelto stoppé la veille, un contrôle de l'anti-Xa est effectué à son arrivée, révélant une valeur encore trop élevée pour permettre l'intervention dans des conditions sécuritaires. Celle-ci est reportée au 07.04.2019.Dans l'intervalle, le patient est anticoagulé par HBPM jusqu'au 07.04.2019. Mr. Y peut rentrer à domicile le 04.04.2019. Mr. Y, âgé de 68 ans, connu pour une HTA traitée, un diabète de type II non insulino-requérant, un status post AVC en 2007 et un status post infarctus du myocarde stenté en 2007, nous est adressé par l'HFR Riaz pour une réadaptation musculo-squelettique et une rééducation à la marche suite à l'implantation d'une prothèse céphalique bipolaire de la hanche droite, le 25.03.2019, sur fracture du col fémoral Garden III. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite (ancien hôtelier). À l'admission, le patient se plaint d'une légère douleur à la hanche droite. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La flexion active de la hanche droite est de 70°, l'abduction active assistée est à 20°. La force du membre inférieur droit est à M3 pour le psoas et le quadriceps. Avant l'hospitalisation, le patient prenait du Clopidogrel qui, pendant l'hospitalisation à l'HFR Riaz, a été remplacé par de l'Aspirine Cardio en accord avec le Dr. X, cardiologue traitant. Suspectant une ostéoporose fracturaire, nous réalisons un bilan phospho-calcique et mettons en évidence une carence en vitamine D, qui est substituée. Nous vous laissons le soin d'organiser une ostéodensitométrie en ambulatoire et d'introduire, le cas échéant, un traitement de biphosphonates. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À l'entrée, le patient était craintif, il se déplaçait avec le rollator en chambre et utilisait la chaise roulante pour les longs trajets. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises en respectant la décharge. Il peut monter/descendre 20 escaliers avec 1 canne. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension de la hanche droite à 70° en actif. La force du membre inférieur droit est cotée à M3 pour le psoas et M4 pour le quadriceps. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 11.04.2019, en bon état général. Mr. Y, connu pour une myélite possiblement dans le contexte d'une sarcoïdose, traitée par Méthotrexate et Remicade, est hospitalisé en raison d'une pneumonie basale droite d'acquisition communautaire. À l'admission, le patient rapporte une dyspnée en péjoration, accompagnée d'une toux avec expectorations jaunes. La radiographie thoracique montre un foyer basal droit. Une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid est débutée. Ce dernier est arrêté après que l'antigénurie pour Légionnelle revient négative. La culture d'expectoration est non contributive, et les hémocultures restent négatives à 5 jours. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, l'antibiothérapie intraveineuse peut être relayée par du Tavanic per os pour une durée totale de 7 jours. Concernant la myélite connue, et selon l'avis neurologique auprès de Dr. X, le traitement de Remicade est repoussé d'une semaine au vu du contexte infectieux, soit au 17.04.2019. Mr. Y rentre à domicile le 10.04.2019. Un contrôle clinique est prévu à votre cabinet à 1 semaine. Mr. Y est un patient de 61 ans, aux antécédents sus-mentionnés, qui se présente aux urgences en raison de douleurs en fosse iliaque gauche accompagnées d'un état fébrile. Au laboratoire, nous retrouvons un syndrome inflammatoire et le bilan radiologique met en évidence une diverticulite stade IIA selon Hansen & Stock. Une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Métronidazole i.v. est instaurée le 24.04.2019. Un relais de l'antibiothérapie per os est mal toléré par le patient, raison pour laquelle nous décidons de poursuivre l'antibiothérapie intraveineuse pour une durée totale de 5 jours. L'évolution clinico-biologique est par la suite favorable, permettant un retour à domicile le 29.04.2019. Un contrôle clinico-biologique est prévu le 07.05.2019 à la consultation du Dr. X. Le patient sera convoqué par nos collègues gastro-entérologues afin de réaliser une colonoscopie d'ici 4 à 6 semaines. Mr. Y, patient de 75 ans, connu pour une cardiopathie mixte et un AVC il y a 12 ans avec hémiplégie gauche résiduelle, est hospitalisé dans un contexte de pneumonie. Il consulte la Permanence de Meyriez le 22.03.19 accompagné par son épouse en raison d'un état fébrile de plus de 39°C depuis 24h ainsi qu'une toux nouvelle et une dysurie. À l'examen clinique, on retrouve un patient en état général diminué avec un statut pulmonaire pathologique. Un laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire et une radiographie du thorax permet de diagnostiquer une pneumonie du lobe supérieur gauche. Un traitement par Co-Amoxicilline 1,2 g 2 x/j et Klacid 175 mg 2 x/j est débuté ainsi qu'une hydratation IV par Ringer Lactate. En présence d'une mauvaise réponse biologique et clinique, nous élargissons le spectre antibiotique par Rocéphine, avec évolution clinique et biologique favorable permettant un relais per os. Durant son hospitalisation, nous mettons en évidence un globe urinaire. Un stix urinaire revient négatif et un sondage urinaire est effectué. La cause étant probablement une hyperplasie de la prostate, un traitement par Tamsulosine est débuté, et la sonde est retirée de manière fructueuse. Nous proposons à Mr. Y de prendre rendez-vous chez un urologue. Un contrôle de laboratoire met en évidence un Sintrom supra-thérapeutique le 27.03.2019 (INR : 6,5) avec une chute de l'hémoglobine. Nous inversons la crase avec du Konakion et suivons l'évolution. Il n'y a pas d'extériorisation de sang et l'INR ainsi que l'hémoglobine se normalisent. À noter, selon l'épouse de Mr. Y, la présence depuis environ 2 mois d'un exanthème maculeux qui a suivi l'introduction d'Aldactone et Bilol par le Dr. X, qui a par la suite mis en suspens l'Aldactone avec amélioration partielle. Nous surveillons cet exanthème et traitons avec une crème hydratante locale avec évolution favorable. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 02.04.19. Mr. Y présente une gonarthrose tricompartimentale à prédominance fémoro-patellaire. Je propose au patient une infiltration par cortisone à but antalgique. Le patient est d'accord avec cette attitude. L'infiltration est prévue pour le 24.04.2019. L'indication pour une intervention chirurgicale n'est pas donnée pour le moment. Mr. Y, connu pour un glioblastome stade IV, consulte les urgences le 08.04.2019 en raison d'une baisse de l'état général depuis quelques jours avec nausées et vomissements le 07.04.2019 ainsi qu'un état fébrile à 39,2°C et des diarrhées ce jour. Le patient nous signale que la symptomatologie a débuté après qu'il ait préparé et mangé du gâteau aux poires et à la crème. Pas de notion de contage. Pour rappel, au niveau oncologique, le patient a bénéficié d'un traitement par Temodal pendant 5 jours, arrêté comme prévu il y a une semaine. Durant ce traitement, il n'a présenté que peu de constipation et de nausées. Le prochain contrôle oncologique avec Dr. X est agendé pour le 11.04.2019. À l'admission aux urgences, Mr. Y est légèrement hypotendu à 109/60 mmHg et sature à 90% à l'air ambiant. Le status respiratoire met en évidence de discrets râles crépitants bibasaux. Au status digestif, l'abdomen est souple et diffusément douloureux à la palpation, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité.Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 8 mg/l et des leucocytes à 12 G/l. Les tests hépato-pancréatiques sont dans la norme. L'ECG est sans particularité et la radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Nous retenons le diagnostic de probable gastroentérite et Mr. Y est hospitalisé pour surveillance et hydratation. À l'étage, le patient ne présente pas de récidive de vomissement ou de diarrhée. Il reprend un transit régulier et nous ne notons pas de récidive d'état fébrile. Les hémocultures prélevées à l'admission reviennent négatives. Une hypokaliémie à 3.5 mmol/l est substituée per os. Nous vous laissons le soin de contrôler cette valeur. Le 11.04.2019, avant son retour à domicile, Mr. Y est vu par le Dr. X. Le traitement par Temodal est repris comme prévu. Mr. Y est un patient de 88 ans connu pour une cardiopathie ischémique bitronculaire et rythmique sur FA lente anticoagulée ainsi qu'une bicytopénie (anémie et leucopénie) chronique. Il est hospitalisé le 18.03.2019 sur demande de son médecin traitant en raison d'une tuméfaction du membre supérieur gauche en augmentation. Lors de la prise en charge initiale aux urgences, les rhumatologues sont impliqués et les bilans clinique, biologique et radiologique extensif permettent d'exclure une chondrocalcinose mais révèlent une importante collection organisée dans la musculature des extenseurs s'étendant sur 19 cm. Le patient bénéficie d'une prise en charge chirurgicale le 21.03.2019, où un débridement est effectué, mettant par ailleurs en évidence une large quantité de liquide purulent et une large atteinte des tissus sous-cutanés. Un traitement antibiotique est débuté et les analyses microbiologiques révèlent un Staphylococcus aureus. Un second débridement est effectué le 24.03.2019. L'évolution est par la suite lentement favorable sur le plan clinique et biologique jusqu'au 01.04.19, où une nouvelle collection sous-cutanée péri-cicatricielle est mise en évidence (hématome vs sérome vs infection). Il est convenu d'un nouveau traitement chirurgical le 06.04.19, suite à quoi il est décidé d'un transfert dans le service d'orthopédie pour suite de prise en charge. Sur le plan hématologique, le patient présente une bicytopénie d'allure chronique avec anémie hyperchrome macrocytaire et leucopénie. Un bilan d'anémie vitaminique révèle un taux de folate à la limite inférieure de la norme et une substitution est débutée. Dans le contexte péri-opératoire et infectieux, trois transfusions sanguines sont également nécessaires. Compte tenu de l'état infectieux, du déficit vitaminique pré-cité et d'une probable composante de syndrome myélodysplasique au vu de l'âge, il est convenu de ne pas poursuivre les investigations pour l'instant. Sur le plan cardiologique, le patient est suivi par le Dr. X pour une cardiopathie rythmique et ischémique avec une mise en place de pacemaker-défibrillateur en 2013. Des contrôles réguliers sont effectués, le dernier ayant eu lieu le 13.03.2019 et ayant révélé une relative stabilité de la situation. Mr. Y se présente aux urgences le 20.04.19 dans le contexte de diarrhées profuses apparues depuis deux jours dans un contexte de prise excessive de laxatifs. Il se plaint par ailleurs d'une asthénie importante. L'examen clinique révèle un état de déshydratation avancée, raison pour laquelle le patient est hospitalisé. Au vu de la prise récente d'antibiotiques, une recherche de Clostridium Difficile est effectuée mais se révèle négative. Le jour suivant son hospitalisation, après mise en suspens des laxatifs, la symptomatologie s'amende rapidement. En raison d'une situation précaire à domicile avec un épuisement important de son épouse, il est convenu d'un court séjour à l'UATO, avec évaluation du domicile et de la faisabilité d'un retour à domicile. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y est un patient de 65 ans connu pour une maladie coronarienne bitronculaire avec infarctus latéral en 2007 qui consulte le Dr. X pour une fatigue importante depuis un mois. Un holter effectué le 25.04.2019 retrouve une bradycardie avec FC moyenne à 43/minute. La symptomatologie est fruste mais déjà atypique lors du dernier infarctus, motivant une coronarographie le 25.04.2019. La coronarographie retrouve une sténose de novo l'IVA proximale et IVA moyenne avec angioplastie et pose de deux DES avec bon résultat final. Le patient développe un hématome de l'épaule droite suite à l'intervention, évoquant une lésion de l'artère sous-clavière droite per-coronarographie, traité par compression et application de glace. Une surveillance clinique et rythmique revient sans particularités et le patient peut rentrer à domicile le 26.04.2019. Mr. Y est un patient de 57 ans, en bonne santé habituelle, qui nous est adressé pour l'apparition d'une voussure inguinale droite symptomatique. Le bilan effectué montre une hernie inguinale droite à contenu graisseux non compliquée. C'est pourquoi nous posons l'indication à une cure de hernie selon Lichtenstein qui est effectuée le 12.04.2019. L'intervention se déroule sans complication et le patient rentre à domicile le 13.04.2019 en raison des effets de la rachi-anesthésie l'empêchant de rentrer le soir même. Mr. Y est un patient de 70 ans, aux antécédents sus-mentionnés, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'une hernie inguino-scrotale droite. Il bénéficie d'une cure de hernie à droite selon Lichtenstein le 08.04.2019, qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples et l'évolution favorable, permettant un retour à domicile le 09.04.2019. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 21.05.2019 à 09h00. Mr. Y est un patient de 64 ans, connu pour un antécédent de résection ultra-basse dans le cadre d'un carcinome rectal, puis fermeture du moignon rectal et colostomie terminale secondaire à un lâchage d'anastomose colo-anale en février 2018. Le patient se présente aux urgences en raison d'un écoulement rectal associé à un état fébrile. Au laboratoire, nous trouvons un syndrome inflammatoire et le CT abdominal met en évidence une collection couverte en continuité du moignon rectal. Nous mettons en place un drainage trans-rectal type Easyflow ainsi qu'une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Métronidazole. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 31.03.2019. Il sera revu pour un contrôle à la consultation des Chefs de clinique le 04.04.2019 ainsi que le 08.04.2019 à la consultation du Dr. X. Mr. Y, 69 ans, est admis aux soins intensifs le 13.04.2019 en raison d'un choc hémorragique sur hémorragie digestive haute secondaire à la rupture de varices oesophagiennes. Le patient est connu pour une cirrhose hépatique Child A d'origine éthylique depuis 2016 avec varices oesophagiennes de grade 3 et une notion de sevrage alcoolique depuis 01.2019. En raison de l'instabilité hémodynamique, un soutien aminergique transitoire a été nécessaire ainsi qu'une transfusion sanguine. Un traitement par Sandostatine et Pantoprazole en IV continu est aussi débuté. La première gastroscopie retrouve de nombreuses varices oesophagiennes qui sont traitées par ligature (5 au total). En raison de la récidive de l'hémorragie digestive avec déglobulisation et nécessité d'administration de produits sanguins, deux nouvelles gastroscopies ainsi qu'une colonoscopie sont effectuées. Un saignement actif n'a jamais été objectivé, par ailleurs, il persiste deux varices de gros calibre près de la cardia qui ne peuvent techniquement pas être ligaturées et qui sont très probablement à l'origine du saignement. Dans ce contexte, l'indication à un TIPS est retenue. L'angio-scanner abdominal objective une thrombose partielle de la branche portale gauche et une majoration de la thrombose partielle de la veine porte et de la veine mésentérique supérieure. A noter que le patient est intubé initialement pour les gastroscopies avec chaque fois un examen neurologique dans la norme. La tentative de réveil le 16.04.2019 se solde par un échec avec une agitation sans signes de localisation limitant le sevrage respiratoire. Le patient est transféré le 16.04.2019 aux soins intensifs du CHUV. Un TIPS est organisé avec les collègues du CHUV. Mr. Y sera convoqué pour une consultation dermatologique en ambulatoire. Mr. Y sera revu à la consultation de Dr. X le 15.05.2019 à 15h00. Ablation des fils à J15 par le médecin traitant. Nous laissons le soin à Mr. Y de prendre rendez-vous. Mr. Y est un patient de 36 ans connu pour une polytoxicomanie pour laquelle il est suivi au Centre Cantonal des Addictions. Il a été hospitalisé du 16 au 22.03.19 pour prise en charge d'une dermohypodermite du membre inférieur gauche avec paronychie comme probable porte d'entrée. Il se présente à nouveau aux urgences le 23.03, soit 24 heures après sa sortie, pour impossibilité de poursuite de traitement à domicile dans un contexte de persistance de douleur du membre inférieur gauche et apparition de douleur du membre inférieur droit. Par ailleurs, le patient décrit également des selles liquides et des brûlures mictionnelles. L'examen clinique initial montre une amélioration par rapport à l'hospitalisation précédente et retrouve la tuméfaction du membre inférieur gauche avec une légère rougeur localisée à la malléole interne et en regard du tendon d'Achille, ainsi qu'une douleur à la palpation en regard de la zone décrite. La mobilité articulaire reste légèrement limitée. Un bilan biologique réalisé aux urgences se révèle rassurant et une radiographie des pieds (cheville et talons droit et gauche) est tout à fait dans la norme. Sur le plan infectieux, l'antibiothérapie est poursuivie comme prévu lors de l'hospitalisation précédente. Dans le cadre des douleurs inguinales décrites et dans le contexte d'une toxicomanie intraveineuse, une échographie est effectuée, ne montrant que des ganglions infracentimétriques dans la région inguinale des deux côtés. Pour ce qui est de l'hépatite C chronique, le patient est vu en consultation infectiologique par Dr. X le jour de sa sortie et une nouvelle consultation est prévue le 28 mars 2019. Sur le plan social, la situation précaire est connue et il est convenu que le service d'addictologie et le centre des addictions poursuivent la prise en charge actuelle avec un rendez-vous de consultation prévu le 26.03.2019. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, patient de 36 ans connu pour une polytoxicomanie, une hépatite C non traitée (suivie par Dr. X), des dermohypodermites récidivantes du MIG, ainsi qu'un antécédent d'endocardite à E. faecalis en 2016 avec insuffisance mitrale associée, consulte en raison de douleurs au niveau de la jambe gauche. Le patient rapporte comme plainte principale une douleur du pied et de la cheville gauche depuis aujourd'hui, et décrit également une baisse d'état général avec asthénie et frissons depuis 2-3 jours, sans état fébrile mesuré. Il relate également des douleurs abdominales diffuses et lombaires, ainsi que des céphalées. A noter qu'il ne prend plus son traitement substitutif de Méthadone depuis 2 jours, s'étant fait voler son stock et qu'il est actuellement sans domicile fixe, ayant été renvoyé du foyer où il passait ses nuits il y a 6 jours. La dernière injection intraveineuse (de cocaïne, diluée à l'eau) remonte à un mois et s'est faite au niveau inguinal droit. Une échocardiographie transthoracique effectuée aux urgences retrouve une image de possible végétation (masse flottante) sur le feuillet antérieur de la valve mitrale, non présente en 2016. Au vu de la suspicion d'endocardite, 3 paires d'hémocultures sont prélevées selon le protocole et une antibiothérapie par Co-Amoxicilline et Gentamicine est démarrée et le patient est hospitalisé. Le 16.04.2019, il est décidé en accord avec nos collègues de la cardiologie de ne pas réaliser d'échocardiographie transoesophagienne en raison de la très faible probabilité clinique d'endocardite (3 paires d'hémocultures légitimement non-positivées, absence constante d'état fébrile, CRP à 7 mg/l) et des potentiels risques liés à un examen invasif. Nous décidons également d'arrêter l'antibiothérapie le jour même et d'observer l'évolution clinique et biologique. Le patient reste afébrile, les diverses hémocultures restent négatives et le léger syndrome inflammatoire disparaît au laboratoire. Nous prévoyons une échocardiographie transthoracique de contrôle à 1 semaine pour le suivi de la lésion valvulaire, pour lequel le patient est convoqué (le 23.04.2019) et mettons en garde le patient quant aux éventuels symptômes d'une endocardite. Une suspicion initiale de dermohypodermite du membre inférieur gauche existe chez ce patient, chez qui plusieurs antécédents de dermohypodermites de même localisation sont retrouvés à l'anamnèse. Cependant, hormis les douleurs localisées au niveau malléolaire gauche, nous n'avons pas d'argument clinique ni biologique pour retenir ce diagnostic. De plus, l'évolution clinique locale est favorable au cours de l'hospitalisation. Le patient a également présenté une hyperalgésie diffuse à son arrivée, notamment au niveau lombaire et abdominal, avec un statut clinique cependant rassurant. Nous interprétons donc ces douleurs comme dues à un sevrage, sachant que le patient n'avait plus pris son traitement substitutif et qu'une fois le traitement administré lors de l'hospitalisation, l'évolution clinique fut favorable. A posteriori, nous estimons que les plaintes essentielles du patient sont à interpréter dans ce contexte de sevrage de son traitement substitutif de Méthadone et de situation sociale difficile (sans domicile fixe depuis son éviction temporaire de "La Tuile"). Mr. Y peut quitter l'hôpital en bon état de santé général le 17.04.2019. Mr. Y, âgé de 48 ans, connu pour une spondylarthropathie axiale et périphérique, syndrome lombo-radiculaire non déficitaire avec discopathie L5-S1, polyneuropathie axono-myélique des MI d'origine indéterminée, tremblements du MSD d'origine fonctionnelle, fascéïte plantaire bilatérale et état dépressif, nous est adressé par l'HFR Riaz pour réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la péjoration des douleurs chroniques des MI. A l'admission, nous observons à l'examen clinique que le MIG est froid avec un gradient thermique à mi-mollet par rapport au côté controlatéral. Les pouls au niveau de l'artère fémorale sont bien perçus, symétriques; au niveau poplité, ils ne sont pas perçus; au niveau de l'artère pédieuse, les pouls ne sont pas perçus du côté G et bien perçus du côté D. On note aussi des nécroses sur les 2ème et 3ème orteils G qui sont présentes depuis 2 semaines selon le patient. Le 5ème orteil est cyanosé. Un érythème pré-tibial d'environ 4x10 cm est également observé, sans chaleur ni autre signe d'infection. Selon nos collègues de l'HFR Riaz, l'érythème est apparu il y a 2 jours et depuis est stationnaire. Pendant le séjour à l'HFR Riaz, un gradient thermique entre les deux jambes n'a pas été observé.La jambe D est très douloureuse à la palpation avec un déficit sensitif bilatéral (polyneuropathie axono-myélique diagnostiquée en 2013) et un déficit moteur à M3 de l'ensemble du MIG et à M4 du MID déjà observé à l'entrée à l'HFR Riaz. Suspectant une ischémie aiguë du MIG, nous transférons Mr. Y aux urgences de l'HFR Fribourg, le 24.04.2019, pour investigations et prise en charge spécialisée. Mr. Y, 48 ans, a été hospitalisé en électif pour le traitement de lombosciatalgies déficitaires par une arthrodèse lombaire par voie antérieure. Le patient a été hospitalisé à l'HFR Riaz pour une exacerbation des douleurs chroniques dans un contexte de lombosciatalgies déficitaires bilatérales prédominant à gauche sur lyse isthmique et spondylolisthésis L5/S1 et sténose foraminale bilatérale L5-S1. Il a été envoyé à l'HFR Billens pour réadaptation musculo-squelettique. Le jour du transfert, il a été transféré directement à Fribourg pour une suspicion d'ischémie aiguë du membre inférieur gauche. Une ischémie aiguë a été exclue. Une arthrodèse lombaire antérieure (ALIF) L5-S1 a été réalisée en électif sans complication le 29.04.2019. En raison d'une antalgie difficile, nécessitant une PCA (Morphine + Kétamine), le patient a été admis aux soins intensifs pour la surveillance respiratoire, qui s'est déroulée sans particularité. Le traitement antalgique habituel a été poursuivi. La physiothérapie de mobilisation et respiratoire devra être continuée durant le séjour. Une radiographie lombaire de contrôle a été effectuée le 30.04.2019. Une antibioprophylaxie de cefuroxime a été administrée pendant 24 heures. L'érythème prétibial et la tuméfaction de la cheville gauche sont d'origine indéterminée. Un avis rhumatologique a été demandé afin d'exclure une arthrite microcristaline, et nous vous proposons d'effectuer des hémocultures à froid. Le patient a été transféré le 30.04.2019 dans le service d'orthopédie. Mr. Y, patient de 84 ans, est admis en Stroke Unit suite à une récidive d'AVC ischémique aigu cérébelleux le 26.03.2019. Le patient, connu pour une quadranopsie supérieure droite séquellaire d'un AVC en 2008 et une dysarthrie suite à un AVC en janvier 2019, a présenté le 26.03.2019 vers 11h brusquement une parésie faciale et du membre supérieur gauche ainsi qu'une aggravation de la dysarthrie. La symptomatologie est transitoire et a duré environ 30 minutes. L'angio-CT cérébral retrouve de manière inchangée en comparaison au dernier scanner effectué en janvier une occlusion de l'artère vertébrale droite en V1 et V2. L'IRM confirme la présence de trois petites lésions ischémiques aiguës cérébelleuses bilatérales. L'examen neurosonologique confirme l'occlusion de l'artère vertébrale droite en V1 avec une reprise du flux en V2 et une sténose de l'artère vertébrale gauche dans sa portion intracrânienne en V4 (25%). Au niveau médicamenteux, le patient était déjà sous double antiagrégation depuis son dernier évènement. Nous poursuivons ce traitement suite à une charge en Plavix. Le traitement d'Atorvastatine est majoré à 80 mg 1x/j. Nous recommandons d'effectuer un bilan hépatique à 1 mois afin de s'assurer de l'absence de toxicité de ce traitement. Au niveau étiologique, un bilan cardiologique avait déjà été effectué en janvier 2019 ne mettant pas en évidence de cause structurelle à l'AVC. Un Reveal a été mis en place et sa lecture n'a pas montré de trouble du rythme ayant précédé ce nouvel évènement. Ainsi, l'étiologie artério-artérielle est la plus probablement devant une maladie sténo-occlusive de la circulation vertébro-basilaire. Un test de résistance au Plavix est demandé. Les résultats vous seront communiqués dès leur réception. Si le test devait revenir positif pour une résistance, nous proposons alors un changement du traitement en faveur du Ticagrelor, toujours en association à l'Aspirine cardio et de la statine à haute dose. Nous mettons également en évidence une hyperhomocystéinémie associée à un déficit en acide folique. Nous débutons un traitement de substitution et proposons un suivi biologique à 1 mois. Un bilan physiothérapeutique révèle une marche stable, sans risque accru de chute. Suite à la discussion avec Mr. Y et son épouse, il est décidé de mettre en place des soins à domicile 2x par semaine. Le statut neurologique de sortie révèle la persistance d'une discrète dysarthrie et de la quadranopsie supérieure droite de l'œil D séquellaire. Une consultation neurovasculaire de contrôle avec examen neurosonologique est prévue à 6 semaines. Mr. Y est un patient de 85 ans connu pour des hémorragies digestives basses sur diverticulose et varices rectales qui se présente aux urgences le 30.03.2019 pour un nouvel épisode d'hémorragie digestive. Une colonoscopie effectuée le 01.04.2019 ne met pas en évidence de saignement actif et montre une diverticulose et des varices rectales. L'évolution clinico-biologique est favorable permettant un retour à domicile le 03.04.2019. L'aspirine cardio est reprise à la sortie. Mr. Y, patient de 82 ans porteur d'un pacemaker-défibrillateur en raison d'une cardiomyopathie dilatée, est hospitalisé pour une syncope avec traumatisme crânien le 14.04.2019. Le patient a présenté dans l'après-midi un malaise avec une brève perte de connaissance durant 1 à 2 minutes, associée à un traumatisme crânien et une amnésie péri-circonstancielle. Aucun prodrome, mouvement anormal ou phase post-critique ne sont décrits. Le reste de l'anamnèse retrouve uniquement une nycturie (environ 3x/nuit) et des œdèmes des membres inférieurs, tous deux stables selon le patient. Au vu d'une suspicion de syncope cardiogène, un ECG est réalisé et retrouve un rythme électro-entrainé normocarde avec de nombreuses extrasystoles ventriculaires. L'interrogation du pacemaker-défibrillateur démontre la présence d'une salve de tachycardie ventriculaire (8 bursts), raison pour laquelle un traitement de Cordarone est débuté en intraveineux puis per os. Le diagnostic différentiel quant à l'étiologie de cette salve arythmique est un évènement cardiaque ischémique raison pour laquelle, après réversion de la crase, une coronarographie ne démontre pas de progression de la maladie coronarienne connue et permet d'exclure une ischémie comme cause à l'arythmie. Des ECG itératifs durant l'hospitalisation retrouvent un rythme électro-entrainé avec la présence d'extrasystoles ventriculaires que nous interprétons finalement comme monomorphe mais accompagnées de quelques complexes QRS non électro-entrainés (au vu de comparatifs anciens). Nous proposons donc de poursuivre le traitement par Cordarone et Aldactone, de majorer de manière prudente (au vu de la dysfonction systolique sévère) le traitement de l'insuffisance cardiaque (bêtabloquant et IECA) et éventuellement d'envisager à passer à un traitement par Entresto par la suite. Mr. Y peut rentrer à domicile en bon état de santé général le 17.04.2019. Nous laissons la suite de la prise en charge à son médecin traitant, chez qui nous recommandons un contrôle clinique et biologique dans la semaine. De plus, une consultation chez son cardiologue est prévue le 29.04.2019.Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire ambulatoire suite à la reconstruction de la valve mitrale (Ring 43 mm) par Dr. X à l'Inselspital le 26.02.2019. Son traitement à l'entrée est composé de : • Marcoumar • Metoprolol 75 mg 2x/jour • Dafalgan 1 g 4x/jour. Sur le plan rythmique, le patient était tachycarde autour de 110 bpm avec un rythme sinusal pendant tout le séjour, nous avons diminué le Metoprolol à 50 mg deux fois par jour avec une fréquence cardiaque qui est légèrement diminuée à 110 bpm faisant penser en premier lieu à une tachycardie consécutive à l'opération chirurgicale. Aucune arythmie ne sera mise en évidence durant le séjour. Nous avons réalisé une ETT qui a montré une valve sans fuite, avec une FEVG à 48 % et un minime épanchement péricardique. Le test d’effort final, largement sus-maximal, a montré un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l’effort et à la récupération; négatif aussi sur le plan rythmique. Pendant l'hospitalisation, Mr. Y s'est plaint d'une perte de poids progressive (7 kg depuis l'opération); nous avons contrôlé la TSH qui est revenue dans la norme (1.320 mU/l). Nous avons expliqué au patient qu'une perte de poids est normale après une opération mais conseillons au médecin traitant un contrôle de la TSH à distance. Au sujet du réentraînement à l’effort, le patient a débuté dans un groupe d’intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 4.5 km/h sur une pente de 2 % pendant 25 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 250 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d’éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu’aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 4.6 mmol/L, HDL à 1.18 mmol/L, LDL à 3.53 mmol/L, triglycérides à 1.14 mmol/L. 2. La pression artérielle basale et la fréquence cardiaque sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : • l’Hb est à 119 g/l; • la fonction rénale est normale avec créatinine à 56 micromol/l; • les électrolytes et les tests hépatiques dans la norme. L’examen clinique de sortie est dans la norme, status normo-compensé avec une pression artérielle dans la norme. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. Mr. Y, patient âgé de 84 ans, hospitalisé à l'HFR Tavel depuis le 19.03.2019 dans les suites de vomissements post-prandiaux évoluant depuis plusieurs mois, empêchant une prise alimentaire adéquate depuis plusieurs jours. Lors de son séjour, un de ses épisodes de vomissements post-prandiaux se complique d'une broncho-aspiration. Le patient développe alors une insuffisance respiratoire partielle avec une augmentation importante de ses besoins en oxygène, motivant le transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le 21.03.2019. En parallèle, le patient développe un état fébrile. Le diagnostic de pneumonie de broncho-aspiration est retenu, pour lequel le patient bénéficie d'une antibiothérapie par co-amoxicilline pendant 7 jours avec bonne évolution. Sur le plan respiratoire, l'évolution est favorable, permettant un transfert à l'étage de médecine le 26.03.2019. Sur le plan digestif, nous poursuivons les investigations étiologiques. Mr. Y bénéficie d'une première gastroscopie avec mise en évidence d'une impaction alimentaire au niveau œsophagien sur une sténose de l'œsophage distale. Lors de la deuxième gastroscopie, après arrêt du Xarelto, ce rétrécissement est biopsié. A noter un méga-œsophage en amont contenant encore des résidus alimentaires. Les biopsies du bas œsophage mettent en évidence un adénocarcinome intestinal de bas grade. Nous décidons, en accord avec la famille, de ne pas effectuer de bilan d'extension complémentaire en raison des troubles cognitifs du patient à risque d'interférer significativement avec une prise en charge oncologique. Le cas du patient est présenté au Tumorboard du 03.04.2019 et il est décidé que le patient bénéficiera de la mise en place d'un stent œsophagien en ambulatoire à visée de confort. En parallèle, Mr. Y bénéficie également d'un bilan par la physiothérapie qui montre des troubles de la déglutition au niveau pharyngé, ceux-ci s'améliorent spontanément lors du séjour, permettant une reprise d'alimentation par régime mixte lisse. Un transit au Télébrix est effectué le 02.04.2019 qui confirme une mauvaise élévation du larynx et abaissement de l'épiglotte avec des fausses routes, ainsi qu'un œsophage atone (pseudo-achalasie) en amont d'une stricture œsophagienne lisse distale. Ceci est bien toléré, avec une absence de fausse route objectivée, ainsi qu'une non-récidive de vomissements post-prandiaux. Nous renonçons au vu de la situation à viser une couverture complète des besoins nutritionnels et renonçons à la nutrition entérale (il a d'ailleurs arraché plusieurs fois la sonde naso-gastrique). Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y rentrera à domicile le 08.04.2019 après instauration de soins à domicile 2x/j et de la livraison de repas de consistance adéquate. Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y est un patient de 66 ans, qui est hospitalisé dans notre service de chirurgie pour investigation d'une lésion pulmonaire au niveau du lobe inférieur gauche. Il bénéficie le 28.03.2019 de l'intervention susmentionnée. L'opération se déroule sans complication. L'évolution post-opératoire est favorable, permettant un retour à domicile le 30.03.2019. Il sera revu à la consultation de chirurgie thoracique le vendredi 10.05.2019 à 11h00. Mr. Y est un patient de 80 ans qui nous est adressé par son psychiatre traitant en raison d'un épisode dépressif récidivant dans le cadre d'une perte d'autonomie depuis un traumatisme crânien sur une chute de six mètres de hauteur en 1999 avec des troubles exécutifs en péjoration, nécessitant une hospitalisation suite à une aggravation de l'état général et un épuisement du réseau ambulatoire. Mr. Y est marié et vit avec son épouse dans un appartement au troisième étage avec ascenseur. Il a quatre enfants et plusieurs petits-enfants. Il est complètement dépendant dans les iADL qui sont prises en charge par sa femme. Elle le soutient également dans certaines bADL comme dans les soins de la partie inférieure du corps. Le patient se déplace avec une canne simple ou le rollator. Il reste souvent à la maison et a besoin de beaucoup de stimulation pour des activités. A son entrée, Mr. Y se plaint de douleurs costales à droite à la mobilisation persistantes depuis sa chute en 1999, sans autres symptômes systémiques mis à part une nycturie trois fois avec un jet diminué dans le cadre d'une hypertrophie prostatique connue. Cliniquement, nous retenons une induration périombilicale non douloureuse, possiblement suite à un abcès drainé en 2016, ainsi que des légers œdèmes des membres inférieurs sans signes de surcharge cardiaque associés. Le status mental relève un ralentissement psychique important, une légère désorientation temporelle (ne connaît pas l'année), des troubles mnésiques et de concentration ainsi qu'une humeur plutôt dépressive et triste.Des tests cognitifs et de la thymie confirment les résultats du status d'entrée avec un GDS à 6/15 et un MMS à 20/30. Une adaptation de la médication psychiatrique est effectuée avec notamment une majoration de la Quetiapine selon avis du psychiatre traitant. De plus, un accompagnement du patient avec des entretiens réguliers a lieu, et une structure journalière est mise en place. Les oedèmes des membres inférieurs d'origine incertaine, possiblement dans le cadre d'une hypoprotéinémie légère, sont traités par des bandages compressifs et l'introduction de Torem 5 mg par jour. Après une perte pondérale de 5 kg dans les premiers jours, le poids se stabilise autour de 90 kg durant l'hospitalisation. Un bilan biologique permet d'exclure une insuffisance cardiaque, et une évaluation diététique ne démontre pas de malnutrition. Parallèlement, Mr. Y bénéficie d'une réadaptation précoce individuellement adaptée avec un renforcement musculaire surtout des membres inférieurs, de l'hydrothérapie, un entraînement de l'équilibre et de la marche, une amélioration de l'endurance et des séances de relaxation musculaire. A la sortie, le patient est autonome dans les transferts, se déplace seul à l'aide d'une canne sur une distance de 300 m et peut monter 18 marches d'escalier de manière autonome. Le Tinetti est à 16/28. Lors d'un entretien familial le 27.03.2019, auquel Mr. Y, sa femme et un fils ainsi que l'équipe interdisciplinaire participent, l'épouse fait part d'un épuisement en lien avec la situation globale de son mari. Toutefois, elle souhaite reprendre le patient à la maison sous condition que le setting ambulatoire soit élargi. En accord avec Mr. Y, une sortie est donc organisée avec l'équipe psychiatrique des soins à domicile deux fois par semaine pour des entretiens réguliers et une supervision à la douche, une physiothérapie ambulatoire pour une amélioration de la force et de l'équilibre, de l'ergothérapie ambulatoire pour une stimulation cognitive et l'établissement d'un planning de la journée et de la semaine, des séjours au foyer de jour à Charmey deux fois par semaine ainsi qu'un suivi régulier par le psychiatre traitant, ceci dans le but d'établir une structure dans le quotidien du patient et de soulager son épouse. Mr. Y peut alors regagner son domicile le 05.04.2019. Mr. Y, 29 ans, est admis aux soins intensifs pour un sevrage alcoolique volontaire. Le patient consomme de l'alcool fort depuis une année suite au décès de sa fille avec une augmentation récente de sa consommation. Actuellement à 1-2 litres de vodka par jour, le patient continue de travailler en tant que chauffeur de poids lourd. Il est toutefois conscient que sa situation est critique et demande de l'aide. Il n'y a pas d'argument pour une atteinte hépatique ou autre problème somatique au bilan biologique. La surveillance aux soins intensifs s'avère sans particularités sous traitement par benzodiazépines (Valium) en per os. Après une consultation psychiatrique, le patient est transféré en médecine interne à Tavel pour suite de prise en charge. En effet, le patient explique avoir déjà organisé par ses propres moyens un séjour dans un centre de psychiatrie en Pologne. Comme le patient est censé partir en Pologne le vendredi 19.04.2019 (voyage déjà organisé par ses propres moyens), il est décidé en accord avec le psychiatre (Dr. X) de faire une courte hospitalisation en médecine interne dans l'attente du départ en Pologne. En raison d'un manque de place à l'HFR-Fribourg, le patient est transféré à Tavel en médecine interne. Mr. Y est un patient de 30 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs en fosse iliaque droite. A l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité à la palpation en fosse iliaque droite ainsi qu'un McBurney positif et le laboratoire montre un syndrome inflammatoire. L'ultrason abdominal ne permet pas de visualiser l'appendice, raison pour laquelle nous réalisons un CT scanner abdominal, qui montre une appendicite non perforée. Le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 29.03.2019 en urgence, qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples et l'évolution favorable, permettant à Mr. Y de retourner à domicile le 29.03.2019. Mr. Y, patient de 82 ans, est admis aux soins intensifs en post-opératoire d'une discectomie C4-C5 avec fixation par plaque pour une décompensation d'une sténose médullaire chronique au niveau C5. Le patient est hospitalisé en orthopédie depuis le 11.04.2019 suite à une chute à domicile dans un contexte de tétraparésie en progression. Le bilan radiologique aux urgences conclut à une décompensation d'une sténose médullaire chronique au niveau C5 avec calcifications du ligament postérieur au niveau C4-C5. Le patient bénéficie en semi-électif le 15.04.2019 d'une intervention de discectomie et fixation de plaque à hauteur C4-C5. L'intervention se déroule sans complications et le patient est admis aux soins intensifs en surveillance post-opératoire. L'antalgie est simple. La surveillance clinique et biologique est sans particularités hormis un état confusionnel hyperactif rapidement régressif. En post-opératoire, il présente une persistance de la tétraparésie qui semble être toutefois en diminution, avec une force M3 au niveau du membre supérieur et inférieur droit et M4 au niveau du membre supérieur et inférieur gauche. Le patient est retransféré à l'étage d'orthopédie le 15.04.2019 pour suite de prise en charge. Mr. Y, 39 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une ischémie du rein gauche avec dissection et thrombus de l'artère rénale gauche. Il présente depuis 5 jours des douleurs de type colique en flanc gauche avec irradiation dans le testicule gauche suite à un effort important pour lever une charge lourde. Il reconsult en raison d'une recrudescence des symptômes malgré l'antalgie prescrite. Le CT abdominal injecté met en évidence une ischémie du rein gauche avec dissection et thrombus de l'artère rénale gauche. Le patient bénéficie d'une artériographie avec mise en place d'un stent dans l'artère rénale. Néanmoins, la pose du stent ne permet pas de reprise du flux dans l'artère rénale. L'intervention se déroule sans complication sous anesthésie générale. Une anticoagulation thérapeutique est débutée dans la phase aiguë après le geste, sa durée est à discuter avec les chirurgiens vasculaires. L'antalgie post-opératoire est gérée par une PCA de morphine en IV continue à 1 mg/h avec des bolus de 1 mg en réserve. Un relais per os par oxycontin est débuté dès le 30.04.2019. La PCA est maintenue à la sortie sous forme de bolus uniquement. Le patient présente un syndrome inflammatoire important avec une augmentation de la CRP à 455 g/L sans hyperleucocytose et sans fièvre, dans le contexte d'ischémie du rein gauche (augmentation des LDH 1393 UI/L). Une insuffisance rénale avec augmentation de la créatinine à 136 mcmol/L apparaît initialement et se corrige après réhydratation. Le patient est transféré en médecine interne le 30.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, connu pour les comorbidités susmentionnées, bénéficie le 03.04 d'une mise à plat de l'anévrisme de l'artère fémorale commune droite et d'un pontage prothétique entre l'artère fémorale commune et l'artère fémorale superficielle avec réimplantation de l'artère fémorale profonde. Sur le plan chirurgical, les pouls périphériques sont bien frappés en distalité, la plaie est calme, sans écoulement avec la présence d'une petite tuméfaction stable sur sa partie distale. Un angio-CT aortique et des membres inférieurs est réalisé le 08.04 qui montre un pontage perméable et une perméabilité des stents conservée. Sur le plan général, au CT-scan réalisé le 01.04 aux Urgences est visualisée une lésion polypoïde au niveau du rectum ainsi qu'un nodule spiculé du lobe inférieur gauche. Dans ce contexte, une colonoscopie est réalisée le 10.04 qui montre dans le rectum, à 5 cm environ de la marge anale un petit polype polylobulé d'environ 20 mm de diamètre qui est réséqué. Après discussion avec les pneumologues et le Dr. X, un PET-scan est organisé pour le 18.04 à 07h15. Concernant la médication, le Clopidogrel est repris le 12.04. Il avait été arrêté en raison de l'intervention et de la colonoscopie. Mr. Y, 48 ans, en bonne santé habituelle, consulte aux urgences le 02.04.2019 accompagné par son épouse en raison de céphalées nouvelles oppressives frontales de forte intensité ne cédant pas depuis 1 semaine. Le 02.04, Mr. Y présente une confusion nouvelle avec trouble de la concentration, marqués par l'oubli du nom de son cousin et par un manque du mot, motivant la consultation aux urgences. À noter que le patient ne présente pas de facteurs de risques thrombo-emboliques et ne présente aucun antécédent cérébro-vasculaire ni personnel ni dans la famille. L'angio-CT cérébral effectué en urgence révèle une thrombose étendue du sinus transverse à gauche avec extension vers la veine jugulaire et sinus sagittal supérieur à gauche compliqué par une hémorragie intraparenchymateuse pariétale de 54 mm sur 20 mm. Le patient est initialement transféré en Stroke Center à l'Inselspital afin de débuter une anticoagulation thérapeutique sous surveillance en milieu universitaire. Heureusement, l'anticoagulation par Clexane et bridging par Sintrom se passe sans complication et le patient nous est retransféré en Stroke Unit non monitoré le 06.02.2019. À son arrivée, hormis de légères céphalées frontales résiduelles répondant au paracétamol, Mr. Y ne présente pas de plainte spontanée. L'examen neurologique se révèle dans la norme, cependant l'examen neuropsychologique révèle une certaine fatigabilité, des déficits en mémoire épisodique verbale et un léger manque du mot, indiquant un arrêt de travail d'un mois minimum et un suivi à un mois à la consultation de neuropsychologie. Au niveau thérapeutique, comme mentionné ci-dessus, un traitement par Sintrom est débuté avec une cible d'INR entre 2 et 3. Un rendez-vous à votre consultation est organisé le 12.11.2019 pour le contrôle du TP et de l'INR et l'adaptation du traitement en fonction. La durée de l'anticoagulation est d'au minimum 6 mois, la poursuite du traitement sera à réévaluer suite au bilan complet et à l'IRM de contrôle prévue à 6 mois. Au niveau étiologique, nous complétons le bilan par un CT thoraco-abdominal qui se révèle dans la norme sans lésion suspecte de néoplasie visible. Suite à un avis hématologique, nous complétons le bilan sanguin par les ANCA, ANA, FAN, et des anticorps anti-phospholipides (hormis l'anticoagulant lupique qui ne peut être interprété chez un patient anticoagulé) dont les résultats seront à pister. Nous proposons également de compléter le bilan par un dépistage HIV, HCV et HBV à votre consultation. Au vu de la bonne évolution sous traitement avec disparition des céphalées et l'absence de symptomatologie neurologique nouvelle, Mr. Y rentre à domicile le 09.04.2019. Un contrôle neurologique à 3 et 6 mois sont organisés. Mr. Y, patient de 83 ans, connu pour cardiopathie ischémique, valvulaire et hypertensive, est emmené par son voisin au service des urgences le 16.03.2019 pour des chutes à répétition avec situation précaire à domicile. Devant la suspicion d'un syndrome parkinsonien débutant, chez un patient présentant un tremblement de repos du membre supérieur gauche, associé à une rigidité type roue dentée, un avis neurologique est demandé. L'évolution est partiellement favorable après un test d'épreuve au madopar avec amélioration de la marche et diminution du tremblement de repos. Nous poursuivons donc le traitement à raison de 125 mg 3x/j. Le bilan neuropsychologique montre un trouble neurocognitif majeur d'intensité modérée d'origine indéterminée. À noter que le patient est inapte à conduire. Le CT cérébral montre une leucoaraïose. Sur le plan cardiaque, Mr. Y a présenté des salves de tachycardie ventriculaire monomorphe symptomatiques au service des urgences le 16.03.2019, probablement favorisées par une hypokaliémie. L'évolution est favorable après un bolus de cordarone. Un contrôle du pacemaker le 19.03.2019 montre des tests de détections, de stimulations et d'impédances dans les normes. Lors du séjour à l'étage, le patient reste normocarde et la kaliémie est corrigée. Dans ce contexte, nous ne modifions pas son traitement cardiaque et n'effectuons pas d'investigations supplémentaires. Sur le plan articulaire, le patient décrit des douleurs de l'épaule droite de longue date associées à une impotence fonctionnelle. L'ultrason de l'épaule réalisé par le Dr. X montre un état arthrosique important avec rupture complète du long chef du biceps ainsi qu'une tendinopathie chronique du sus-épineux et une bursite sous-acromio-deltoïdienne. Mr. Y bénéficie d'une infiltration de Triamcort 40 mg avec amélioration des douleurs sur le séjour. Un retour à domicile n'est pas envisageable au vu des troubles neurocognitifs et de la marche, restant invalidants malgré le traitement anti-parkinsonien, chez ce patient vivant seul à domicile depuis peu (épouse vit chez sa fille suite à un événement cérébro-vasculaire) dans une maison à étage et chauffée au poêle. Il est convenu en accord avec le patient, sa famille et son proche aidant (le voisin, faisant également partie de la famille éloignée du patient) un séjour à l'UATO pour un projet double selon l'évolution. En attendant son transfert à l'UATO, le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR Fribourg bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que Mr. Y a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y est amené aux urgences de l'HFR Fribourg en ambulance le 17.03.2019 en raison de la péjoration de lombalgies apparues il y a 6 semaines. En effet, le patient présente depuis 6 semaines, après avoir pelé la neige, des lombalgies bilatérales non irradiantes, d'intensité supportable. Il vous consulte et vous prescrivez un traitement d'Ibuprofen. Le 16.03.2019, Mr. Y présente une péjoration des douleurs mais peut dormir. Ce matin, alors qu'il essaie d'aller à selles, il présente une crise douloureuse d'intensité 10/10. Les lombalgies sont bilatérales, irradiant jusqu'aux fesses, augmentées par les mouvements et soulagées en position couchée. Paresthésies dans les mollets et à la plante des pieds bilatéralement. Pas de trouble sensitivomoteur, pas de perte de selle ou d'urine, pas d'anesthésie en selle. Pas d'autre plainte à l'anamnèse par système. Au status aux urgences, le patient est algique, anictérique, acyanotique, bien hydraté et bien perfusé. Le status cardiopulmonaire, abdominal et respiratoire est dans la norme. Au status neurologique, force M5 aux membres inférieurs. Toucher-piquer discriminé bilatéralement. Pas d'hyposensibilité. Réflexes ostéotendineux rotuliens et achiléens normovifs et symétriques. Réflexes cutanés plantaires en flexion des deux côtés. Au toucher rectal, pas d'anesthésie en selle, tonus sphinctérien conservé. Marche non évaluée en raison de la douleur. Au niveau ostéo-articulaire, légère douleur à la palpation L5 et S1. Douleur exquise à la palpation para-lombaire bilatéralement.Au vu des fortes douleurs, ainsi qu'une impossibilité à se mobiliser, le patient nous est transféré pour la suite de la prise en charge. À l'arrivée dans notre service, Mr. Y ne peut pas se mobiliser en raison des douleurs. Le statut neurologique est superposable. Le Lasègue est positif à 40° bilatéralement. Nous mettons en place une antalgie par Oxycodone et Sirdalud, qui n'est pas efficace en raison des nausées, raison pour laquelle une rotation d'opiacés est effectuée par de la Morphine. Le patient bénéficie également de séances de physiothérapie. Nous effectuons une IRM lombaire qui ne montre pas d'hernie discale, mais un aspect modérément dégénératif du disque intervertébral L2-L3, ce qui n'explique pas les douleurs. Nous retenons donc une étiologie musculaire à cette lombalgie aiguë et la symptomatologie s'améliore progressivement avec la physiothérapie. Mr. Y peut regagner son domicile le 22.03.2019. Nous lui recommandons de vous consulter d'ici une semaine pour l'adaptation de l'antalgie. Mr. Y, âgé de 75 ans, connu pour une BPCO de stade IV D selon GOLD 2017, nous est adressé par son pneumologue traitant pour une réadaptation respiratoire suite à une exacerbation de BPCO dans un contexte de bronchite bactérienne avec hospitalisation du 17.12 au 21.12.2018 à l'Hôpital du Samaritain avec une prise en charge par VNI et antibiothérapie avec une évolution clinique lentement favorable. Depuis lors, le patient décrit une accentuation de sa dyspnée au moindre effort associée à un état anxieux. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il a travaillé en tant que dessinateur. À l'admission, le patient se plaint d'une dyspnée stade III-IV selon NYHA sans toux. Au statut, B1-B2 lointains. Diminution du murmure respiratoire sur les deux plages pulmonaires. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré très sévère et confirme le diagnostic de BPCO stade IV D selon Gold. La gazométrie d'entrée sous O2 2 lt/min montre une saturation à 95% avec une hypoxémie légère à pO2 9.2 kPa, sans hypercapnie, raison pour laquelle nous poursuivons une oxygénothérapie au débit de 2 lt/min. La radiographie du thorax met en évidence une petite dystélectasie linéaire para-hilaire D dans la partie moyenne d'aspect séquellaire et suivie par le pneumologue. Le traitement de LABA + CSI est majoré à la dose maximale. Durant l'hospitalisation, le patient manifeste à plusieurs reprises une anxiété handicapante entravant par la suite son état respiratoire. Nous lui proposons d'introduire un traitement de Seroquel à faible dose (à augmenter progressivement si nécessaire) pour limiter ses accès et vous proposons de suivre l'efficacité de cette mesure de suivre l'intervalle QT. Durant son séjour, le patient présente des douleurs abdominales type crampiformes sans irradiation localisées à l'hypochondre droit. Le patient est afébrile. Au statut, nous retrouvons des bruits abdominaux dans la norme, avec signe de Murphy douteux. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, les tests hépatiques sont dans la norme. Nous réalisons un US de l'abdomen qui ne montre pas de cholécystite aiguë. Pas de liquide libre dans l'abdomen. Vessie de lutte avec parois épaissies et de multiples diverticules. Une lésion focale du segment VI hépatique compatible avec un hémangiome de 14 mm de diamètre. Le patient a présenté un épisode de vertiges durant son séjour. Nous avons réalisé un statut neurologique qui est sans particularité et le test de dix Hallpike revient négatif. Nous suspectons une origine médicamenteuse (Tramal). Sur le plan nutritionnel, nous avons diagnostiqué une dénutrition légère (NRS à 3/7, besoins théoriques couverts à 70%, BMI 25.7). Des adaptations alimentaires ainsi que la prise de 1 SNO/j ont permis de couvrir ses besoins à 100%. Nous avons donné au patient et son épouse des conseils de sortie pour une alimentation enrichie. Nous conseillons également à Mr. Y de poursuivre la prise de 1 SNO/j. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 375 m à 390 m et le patient augmente la distance parcourue sur vélo pendant 20 minutes de 5.600 km (30 W) à 6.020 km (60W). À l'effort, le patient bénéficie d'une oxygénothérapie à 2lt/min au repos et 3lt/min pulsé. À la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 10.04.2019, en état général conservé. Mr. Y est un patient de 40 ans qui bénéficie d'une thyroïdectomie gauche de totalisation le 09.04.2019 dans le cadre du diagnostic susmentionné. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont favorables, permettant un retour à domicile le 11.04.2019. Mr. Y est un patient de 64 ans connu pour un diabète de type II non insulino-dépendant qui se présente aux urgences le 26.03.2019 pour une clinique de cholécystite aiguë. Le CT scan abdominal met en évidence une cholécystite gangréneuse, le patient bénéficie alors d'un drainage transhépatique de la vésicule biliaire et une antibiothérapie intraveineuse par Ceftriaxone et Metronidazole est débutée. L'évolution clinico-biologique est par la suite favorable permettant un retour à domicile le 31.03.2019. Mr. Y, patient connu pour une cardiopathie ischémique et de multiples risques cardiovasculaires, est hospitalisé dans un contexte d'ischémie rétinienne aiguë de l'œil gauche. Pour rappel, l'anamnèse révèle une amaurose de l'œil gauche d'apparition subite persistant depuis le 21.04.2019. L'examen neurologique initial ne met pas en évidence d'autres déficits. L'IRM cérébrale montre plusieurs lésions au niveau du centre sémi-ovale à droite, du lobe pariétal gauche, et en regard du bras antérieur de la capsule interne et de la tête du noyau caudé à droite évoquant des AVC subaigus. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique met en évidence une cardiopathie dilatée avec une dysfonction systolique sévère avec une fraction d'éjection de 25%. Un ultrason des vaisseaux pré-cérébraux met en évidence une sténose à 70% au niveau de l'artère carotide interne gauche. Selon nos collègues chirurgiens, la localisation de celle-ci ne permet pas une prise en charge chirurgicale. Nous prenons alors avis auprès de nos collègues de neurologie à Berne qui ne voient pas d'indication à une intervention à ce stade vu le caractère possiblement asymptomatique de la sténose carotidienne interne gauche. Une consultation ophtalmologique est effectuée durant le séjour où une occlusion de l'artère centrale de la rétine est mise en évidence et le caractère définitif de l'amaurose de l'œil gauche est confirmé. L'origine de cette ischémie rétinienne et des AVC subaigus est considérée comme indéterminée avec un diagnostic différentiel d'une origine cardio-embolique (FEVG à 25%) et artério-artérielle. Sur le plan médicamenteux, une double antiagrégation par Aspirine et Plavix est initialement mise en place. Par la suite, une anticoagulation par Eliquis 2x 5mg/j est débutée en raison du risque embolique en présence de l'atteinte cardiaque. Le traitement hypolipémiant est majoré à 80 mg/j en raison de l'atteinte athéromateuse avancée.En raison d'une lymphocytose absolue de découverte fortuite au niveau biologique, une cytométrie de flux est effectuée et les résultats s'avèrent compatibles avec une leucémie lymphocytaire chronique. Selon nos collègues hématologues, cette maladie est indolente et nécessite uniquement un suivi biologique à ce stade. Une consultation chez eux sera prévue dans 2 mois afin d'expliquer plus en détail ce diagnostic au patient qui est par ailleurs déjà au courant de cette découverte. Mr. Y rentre à domicile le 26.04.2019 informé sur le caractère définitif de sa perte de vision de l'œil gauche. Un suivi à une semaine par le médecin serait indiqué pour un contrôle du profil tensionnel et de la fonction rénale après l'introduction de l'Eliquis. Nous vous proposons également un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Au niveau cardiologique, le patient sera vu à la consultation du Dr. X le 2.05.2019 pour optimiser son traitement cardiologique, évaluer l'indication à la pose d'un pace-maker. Il déterminera également la nécessité d'effectuer un examen Holter. Au niveau ophtalmologique, un rendez-vous de suivi est prévu le 6.6.2019. Une convocation suivra pour un bilan neuro-psychologique complet. Au niveau neurologique, une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue le 26.07.2019 par le Dr. X avec réalisation d'un ultrason des vaisseaux pré-cérébraux. Mr. Y, connu pour une anémie ferriprive de longue date investiguée en ambulatoire, consulte les urgences le 24.03.2019 en raison d'une dyspnée NHYA 4 depuis 10 jours associée à des selles méléniques. Il rapporte également avoir eu une gastroentérite ces derniers jours sans vomissement ni hématémèse. Pas de douleur abdominale ou thoracique. À l'admission aux urgences, le patient est normocarde, normotendu, afébrile et pâle. Présence de selles méléniques au toucher rectal, sans sang frais. Le reste du statut d'entrée est dans la norme. Le laboratoire met en évidence une anémie hypochrome microcytaire ferriprive avec hémoglobine à 59 g/l. Nous administrons 80 mg de Nexium en iv puis 8 mg/h en iv continu et transfusons le patient avec un total de 3 culots érythrocytaires, permettant une amélioration de l'hémoglobine à 85 g/l ainsi que de la symptomatologie. Mr. Y est gardé en lit d'observation aux urgences, puis transféré à l'étage de médecine le 25.03.2019. Mr. Y ne présente plus d'extériorisation dès le 26.03.2019. Nous reprenons l'Aspirine le 26.03.2019 sans nouveau signe d'hémorragies digestives par la suite. Nous passons au Nexium per os 40 mg 2x/j dès le 26.03.2019, à poursuivre jusqu'au 31.05.2019 avec une diminution de la posologie par la suite. Les laboratoires de contrôle montrent une hausse de l'hémoglobine à 93 g/l le 01.04.2019. Une OGD effectuée par le Dr. X le 01.04.2019 met en évidence un ulcère pylorique en guérison, associé à une hernie para-oesophagienne. Des biopsies à la recherche d'Helicobacter Pylori reviennent négatives. Le patient peut rentrer à domicile le 02.04.2019 en bon état général. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire hospitalière suite à un STEMI sur occlusion aiguë de l'IVA proximale, compliquée secondairement d'un arrêt cardio-respiratoire bref sur BAV complet et une IRA. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine Cardio 100 mg, Aldactone 25 mg, Torasémide 10 mg, Lisinopril 20 mg, Nifédipine 20 mg, Atorvastatine 40 mg, Beloc Zok 50 mg, Efient 5 mg, Insulatard 18-0-18-0 UI, Humalog selon schéma, Janumet 50/850 1 cp/j, Pantozol 20 mg, Quétiapine 12.5 mg. Pendant l'hospitalisation, le patient a eu des épisodes de diarrhée, la recherche de pathogènes dans les selles est revenue négative avec résolution après thérapie symptomatique. Sur le plan diabétologique, au vu des valeurs de glycémie normales, nous avons arrêté l'insuline et avons ajouté le Jardiance 5 mg avec un bon contrôle glycémique. Concernant l'HTA, réintroduction du Bisoprolol 10 mg et Exforge 10/160/25 mg. Nous avons stoppé l'Aldactone et diminué le Torasémide et conseillons au médecin traitant un contrôle à distance afin d'évaluer la nécessité des diurétiques. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. Le test d'effort final montre une alternance d'un rythme propre et un rythme électro-entrainé avec tendance à une tachycardisation un peu rapide par rapport à l'effort demandé. Le test est négatif sur les plans rythmique et clinique. L'ETT de contrôle à la sortie montre la persistance d'une dyskinésie septo-latéro-apicale et une FEVG (Simpson) à 35-40%. Les sondes du pacemaker sont en place; notons aussi des calcifications au niveau mitral avec une micro-fuite mitrale postérieure. Le contrôle du pacemaker est dans les normes. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.1 mmol/L, HDL à 0.65 mmol/L, LDL à 1.09 mmol/L, triglycérides à 1.69 mmol/L. • La pression artérielle basale et la fréquence cardiaque sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : • Hb est à 119 g/l • fonction rénale dans la norme avec créatinine à 100 µmol/l • électrolytes dans la norme • CRP <5 mg/l L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un statut de normo-compensation. Respectant la volonté du patient et au vu des conditions cliniques stables, nous avons anticipé sa sortie. Mr. Y nous est transféré le 05.04.2019 du service de chirurgie orthopédique de l'HFR Fribourg suite à une prothèse inversée de l'épaule gauche le 28.03.2019 pour omarthrose sévère et rupture partielle de la coiffe des rotateurs. À l'entrée, le patient se plaint de douleurs au niveau de l'épaule gauche. L'anamnèse par systèmes est sans particularité. Nous trouvons un patient de 81 ans, partiellement orienté et en état général conservé. Nous notons des troubles cognitifs déjà connus. Mr. Y est marié, a 3 enfants et 2 petits-enfants et habite avec son épouse dans une maison avec environ 20 marches d'escalier à gravir. Avant l'hospitalisation, son épouse l'aidait pour les AVQ et AIVQ. Il se mobilisait sans moyens auxiliaires. Le patient ne conduisait plus de voiture. Au vu d'une évolution favorable des douleurs, l'antalgie peut être progressivement arrêtée. Nous profitons également du séjour pour arrêter par étapes le traitement de Fentanyl patch sans que le patient ne rapporte de recrudescence de ses lombalgies chroniques. Le patient bénéficie durant son séjour de physiothérapie et d'ergothérapie intensives. À l'entrée, on note une légère restriction de la mobilité avec un risque de chute élevé. Mr. Y réalise les transferts de manière autonome. Il marche 60 m sous supervision avec une canne et monte 9 marches d'escaliers avec la rampe et une aide de type contact. À la sortie, il marche plus de 200 m avec une canne de manière indépendante et monte et descend 9 marches d'escalier avec parfois une aide de type contact. Le risque de chute demeure élevé. À noter que le patient refuse souvent les thérapies.En outre, il ne respecte pas les instructions orthopédiques concernant son épaule. Il retire régulièrement son gilet orthopédique spontanément et ne respecte pas toujours les limitations de mobilité malgré une explication des risques à plusieurs reprises. Nous proposons l'instauration de soins à domicile pour l'aide à la toilette, ce qui est refusé par Mr. Y et son épouse malgré une explication claire des risques liés à un non-respect des limitations de mobilité de l'épaule. Dans ce contexte, l'épouse vient observer la toilette assistée par nos soignants à l'hôpital le 17.04.2019 afin d'apprendre les mouvements adéquats à effectuer. Ad diagnostic secondaire 1) Le patient reste hémodynamiquement stable et ne présente pas de plainte cardiaque durant le séjour. Ad diagnostic secondaire 2) Nous observons une polyneuropathie des membres inférieurs d'origine probablement diabétique chez Mr. Y. Le contrôle de la vitamine B12 est dans la norme. L'insulinothérapie est poursuivie et le suivi glycémique est dans la norme. Ad diagnostic secondaire 3) Au vu d'une tendance à la hausse régulière de la créatinine depuis le début de l'hospitalisation en orthopédie, nous réduisons légèrement la dose de torasémide sans observer de surcharge hydrique. En outre, nous effectuons un bilan biologique d'insuffisance rénale chronique qui ne montre actuellement pas de complication métabolique. Ad diagnostic secondaire 4) L'hémoglobine reste stable durant le séjour. Le bilan vitaminique est dans la norme. Le traitement de Recormon est poursuivi. Ad diagnostic secondaire 5) La phlyctène au niveau de l'avant-bras droit cicatrise rapidement. La phlyctène au niveau de l'avant-bras gauche est traitée par pansement régulier (désinfection, Prontosan gel sur la fibrine, Mepilex border) et nous constatons une évolution favorable. Le patient ne souhaitant pas de soins à domicile, nous vous proposons d'effectuer les changements de pansement à votre cabinet. Au vu d'un état général stable, nous laissons le patient regagner son domicile le 18.04.2019 avec prescription de physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à une plastie mitrale associant une résection quadrangulaire de P2, associée à un monopontage de l'AMIG pédiculée/IVA, sous circulation extracorporelle le 13.03.2019. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine Cardio 100 mg, Atorvastatine 40 mg, Metoprolol 50 mg, Losartan 50 mg, Pantozol 20 mg et Temesta 1 mg 1 cp/j en réserve. Tout au long de la réadaptation, le patient est resté asymptomatique du point de vue cardiovasculaire, sans présence de signe de décompensation cardiaque, ni d'arythmie aux différents contrôles cliniques et ECG réalisés. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, Mr. Y est capable de faire du vélo pendant 26 minutes à une puissance de 35 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 3 km/h sur une pente de 2% pendant 25 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+155 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. La pression artérielle basale et la fréquence cardiaque sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : • Hb est 11 g g/L • fonction rénale est normale avec une créatinine à 76 mmoll/l • électrolytes dans la norme • CRP < 5 • INR thérapeutique à 3.0 à la sortie L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un statut de normo-compensation. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à une cardiopathie ischémique avec maladie coronarienne tritronculaire le 12.03.2019. Mr. Y est connu pour une cardiopathie ischémique avec stent sur IVA en 2004, le patient a présenté le 12.03.2019 un NSTEMI - pic troponines à 112 ng/l le 12.03.2019 (CK à 103 U/I). Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine Cardio 100 mg, Plavix 75 mg jusqu'au 14.06.2019, Torasémie 30 mg, Amlodipine 10 mg, Aprovel 300 mg, Dancor 20 mg, Dospir 1 dose/soir, Incruse Ellipta 55 mcg/matin, Proscar 5 mg, Zyloric 100 mg, Pantoprazole 20 mg, Vit B12 1 mg/ml 1x/semaine, Magnesiocard 1x/j, Acide folique 5 mg, Atorvastatine 20 mg. À l'ETT du 05.04.2019, nous notons une hypertrophie ventriculaire G avec une FEVG qui est conservée (52%). À cause d'un hyper-dynamisme et hyper-cinétisme de l'oreillette G, et court épisode de FA objectivé cliniquement, nous avons ajouté du bisoprolol 1.25 mg 2x/j le 05.04.2019, celui-ci est stoppé le 10.04.2019 suite au Holter révélant une bradycardie sinusale importante avec présence de troubles du rythme. Concernant l'IRC du patient, nous stabilisons avant tout la kaliémie avec un régime adéquat et un suivi rapproché par l'équipe de nutrition de l'HFR Billens. Un contrôle régulier de la fonction rénale est réalisé au cours de son hospitalisation et nous recommandons un contrôle biologique 1x/15 jours à sa sortie afin de suivre l'évolution de celle-ci. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, Mr. Y est capable de faire du vélo pendant 28 minutes à une puissance de 25 watts, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. À la fin de la prise en charge, au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+102 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.4 mmol/L, un HDL à 0.78 mmol/L, un LDL à 1.41 mmol/L et des triglycérides à 0.91 mmol/L. • le patient est resté bradycarde (moyenne 55 bpm) tout au long de son séjour hospitalier, la pression artérielle est restée dans les valeurs de la norme. Sur le plan biologique : • Anémie chronique d'origine rénale avec Hb à 101 g/l à sa sortie • Insuffisance rénale stade 4 selon KDIGO, avec créatinine à 266 µmol/l et une clairance selon Cockroft et Gault à 23 ml/min • les électrolytes sont dans la norme. • La CRP est normale. L'examen clinique de sortie est dans la norme, avec un statut de normo-compensation. Mr. Y est un patient de 32 ans, qui se présente le 22.04.2019 aux urgences en raison de douleurs abdominales dans l'hypochondre droit qui le réveillent en pleine nuit. Le patient aurait eu des épisodes semblables dans le passé mais jamais aussi intenses. Le bilan effectué aux urgences retrouve une cholécystite débutante avec un hydrops et un calcul dans l'infundibulum. Nous posons donc l'indication à la cholécystectomie laparoscopique. L'intervention est effectuée le jour même de l'hospitalisation et se déroule sans particularité. L'antibiothérapie est poursuivie pendant 24 h. Les suites de l'hospitalisation sont favorables avec un patient bien mobilisé et alimenté permettant un retour à domicile le 25.04.2019. Mr. Y est un patient de 63 ans qui bénéficie d'une résection antérieure basse par laparoscopie avec iléostomie de protection le 08.04.2019 dans le cadre du diagnostic sus-mentionné. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont favorables tant sur le plan clinique que biologique, permettant un retour à domicile le 18.04.2019. Les résultats histologiques seront discutés au colloque oncologique multidisciplinaire le 17.04.2019 et le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 07.05.2019 à 10h40. Mr. Y est un patient de 83 ans, aux antécédents et co-morbidités suscités, sous Sintrom, qui est amené aux urgences le 10.04.2019 suite à un traumatisme de la cuisse gauche. Mr. Y relate être resté accroché à sa voiture alors que le frein à main n'était pas serré, ce qui a provoqué un mécanisme de traction sur la cuisse gauche. Pas de traumatisme crânien, ni perte de connaissance. A l'arrivée aux urgences, le bilan biologique montre un INR supra-thérapeutique à 3.5, ainsi qu'une insuffisance rénale, à priori chronique. Le patient reçoit 10 mg de Konakion et, au vu de l'insuffisance rénale, la thromboprophylaxie est changée pour de l'héparine non fractionnée. Mr. Y est hospitalisé à l'unité de lits monitorés pour surveillance d'un éventuel syndrome des loges, puis il est admis à l'étage de chirurgie orthopédique pour suite de la prise en charge. Au vu de l'étendue de l'hématome et d'un risque de menace cutanée, l'indication chirurgicale à une mise à plat est retenue, intervention agendée au 15.04.2019. Ce même jour, Mr. Y présente un état confusionnel aigu, ouvrant le diagnostic différentiel de sepsis ou de delirium tremens. Le Dr. X, médecin anesthésiste à l'HFR Riaz, récuse le patient en raison d'une nécessité de contention pour auto-protection. Le 15.04.2019, le patient est transféré en ambulance à l'HFR Fribourg pour suite de la prise en charge, en accord avec le Dr. X, chef de clinique. Mr. Y, 27 ans, est connu pour un épisode de diverticulite sigmoïdienne en janvier 2019. Il se présente le 12.04.2019 aux urgences envoyé par son médecin traitant en raison de douleurs abdominales depuis la veille. Le bilan effectué aux urgences retrouve un nouvel épisode de diverticulite sigmoïdienne perforée couverte, avec une petite collection. Le patient est hospitalisé dans notre service afin de bénéficier d'un traitement antibiotique de Tazobac i.v. La suite est favorable avec le bilan clinique et biologique en rapide amélioration. L'antibiothérapie par Piperacilline-Tazobactam est laissée en intraveineux pour une totalité de 5 jours. Le patient retourne à domicile le 17.04.2019 avec un relais du traitement par Ciproxine et Flagyl per os jusqu'au 30.04.2019 inclus. Le patient sera revu en consultation le 02.05.2019. Mr. Y consulte les urgences de l'HFR Fribourg le 10.04.2019 en raison de l'apparition d'une rougeur et d'une chaleur au niveau de la face dorsale du pied gauche. Le diagnostic de surinfection de plaie est posé et une antibiothérapie per os par co-amoxicilline est prescrite. Il reconsulte les urgences le 11.04.2019 en raison de la péjoration de la tuméfaction et de la rougeur, s'étendant à toute la face dorsale du pied, avec péjoration des douleurs, l'empêchant de poser le pied par terre. Pas d'état fébrile, pas de frissons. Pas de facteur de risque thrombo-embolique. Pas d'autre plainte à l'anamnèse par système. A l'admission, Mr. Y est en bon état général. Au status cutané, présence d'une tuméfaction et d'une rougeur de toute la face dorsale du pied gauche dépassant nettement la délimitation de la veille. On objective une petite plaie cutanée à la base du doigt V et un trajet lymphangitique remontant jusqu'au genou. Les pouls pédieux sont palpables. La sensibilité est conservée, la mobilité également mais algique. L'auscultation cardiaque est dans la norme, avec des pouls périphériques palpés, un Homans négatif et des mollets souples avec un ballant conservé. Le status cardio-respiratoire est dans la norme. Le laboratoire met en évidence une CRP à 28 mg/l et des leucocytes à 11 G/l. Un US ne montre pas de collection. Le patient reçoit une première dose de Co-Amoxi 2,2 g et il nous est adressé pour la suite de la prise en charge. A l'admission dans notre service, le patient est stable et l'infection se situe toujours dans la délimitation cutanée. Sous antibiothérapie iv, l'évolution clinico-biologique est favorable, permettant un relais per os dès le 14.04.2019 par Co-Amoxi 1 g 2x/jour pour une durée de 10 jours. Mr. Y peut regagner son domicile le 15.04.2019. Mr. Y, 70 ans, est admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale avant de poursuivre sa prise en charge en médecine interne. Le patient a été hospitalisé au mois de mars pour une exacerbation BPCO ayant nécessité une intubation courte. Il a pu rentrer à domicile le 13.03.2019. Il se présente aux urgences le 24.04.2019 en raison d'une dyspnée et d'une toux en péjoration avec une difficulté à expectorer sans changement de la qualité des expectorations. La radiographie permet d'écarter un foyer pulmonaire. De la ventilation non invasive est immédiatement débutée, avec ses paramètres habituels. Il reçoit du Solumédrol et une antibiothérapie empirique par Céfépime. L'évolution est rapidement favorable malgré la situation critique au niveau respiratoire. L'antibiothérapie par Céfépime est poursuivie pendant 5 jours et la corticothérapie pendant 3 jours. Afin de diminuer la fréquence des exacerbations, de l'Azithromycine est introduite à raison de 3 fois par semaine, en accord avec les pneumologues. Nous ne retenons pas d'indication à poursuivre la Théophylline. De la physiothérapie respiratoire est réalisée avec une bonne évolution clinique. Mr. Y rentre à domicile le 30.04.2019 en bon état général. Un rendez-vous est prévu le 13.05.2019 à 9h chez le Dr. X. Mr. Y, patient de 77 ans, transféré de la réhabilitation cardio-vasculaire à l'HFR Billens pour investigation d'une bactériémie à Streptocoque bovis objectivée le 13.03.2019. Pour rappel, le patient est hospitalisé depuis le mois de décembre, initialement pour des lombalgies à l'HIB Payerne avec mise en évidence d'une spondylodiscite à E. faecalis traitée par 6 semaines d'amoxicilline. Il bénéficie ensuite d'une réhabilitation à l'HIB Estavayer, puis est réhospitalisé à l'HIB Payerne pour une décompensation cardiaque secondaire à une infection respiratoire à RSV. Il est ensuite transféré pour réhabilitation cardiaque à l'HFR Billens, où il présente des états fébriles itératifs les 13.03 et 14.03.2019, associés à des frissons. Une bactériémie à Streptocoque bovis est mise en évidence. Une antibiothérapie par ceftriaxone est débutée et Mr. Y est transféré à l'HFR Fribourg le 15.03.2019. Devant deux épisodes répétés d'infections à germes digestifs et d'un patient avec une perte pondérale et une alternance diarrhées/constipation, nous effectuons une colonoscopie le 19.03.2019 à la recherche d'une source digestive. 11 polypes sont réséqués. L'analyse en histopathologie montre des adénomes tubuleux dysplasiques de bas grade. En post-interventionnel immédiat, le patient présente d'intenses douleurs abdominales. Un CT abdominal est réalisé qui permet d'exclure une perforation digestive. L'évolution est ensuite favorable tant sur le plan abdominal qu'infectieux. Nous poursuivons alors l'antibiothérapie pour 14 jours au total vu la bactériémie sans récidive d'état fébrile. Devant l'évolution favorable, Mr. Y sera transféré à l'HFR Billens pour poursuivre sa réhabilitation cardio-vasculaire.Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR Fribourg bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenantTerminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que Mr. Y a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 67 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance post-opératoire d'une péritonite diffuse appendiculaire. Il est connu pour une BPCO, une fibrillation auriculaire paroxystique et une hypothyroïdie substituée. Il est adressé par Medhome le 03.04.2019 pour une suspicion d'appendicite. En effet, il se plaint de douleurs abdominales depuis 36 heures, ayant commencé la nuit précédente, avec sensation de ballonnement et douleur dans le bas du ventre, suivi de 5-6 épisodes de vomissements. Le bilan aux urgences confirme la suspicion clinique et le patient bénéficie le 03.04.2019 d'une laparoscopie exploratrice et d'une appendicectomie avec lavage de la cavité abdominale. L'évolution post-opératoire est favorable tant sur le plan clinique que paraclinique, le patient débute une réalimentation le matin du 03.04.2019. Les deux drains sont laissés en place et l'antibiothérapie poursuivie. Le soir du 03.04.2019, le patient développe une rétention aiguë d'urine pour laquelle il est sondé. Un sevrage de la sonde pourra être entrepris dès le 05.04.2019. Mr. Y, 67 ans, se présente le 08.04.2019 aux urgences en raison de douleurs abdominales importantes en péjoration depuis quelques jours. Le bilan effectué aux urgences retrouve une appendicite aiguë perforée, raison pour laquelle nous posons l'indication à l'appendicectomie en urgence. L'opération est effectuée le jour même par voie laparoscopique avec lavage péritonéal. Le patient, connu pour un syndrome d'apnées du sommeil, bénéficie d'une surveillance post-opératoire aux soins intensifs qui reste sans particularité. Les prélèvements pris en intra-opératoire reviennent positifs le 06.04.2019 pour E. coli ESBL, nous motivant, sur avis de nos collègues du service d'infectiologie, de changer le traitement antibiotique et d'introduire l'Ertapenem pour 10 jours en IV. La suite de la prise en charge reste sans particularité, permettant un retour à domicile le 10.04.2019. Le patient sera suivi par son médecin traitant pour continuer l'antibiothérapie. Deux rendez-vous sur le week-end sont organisés en ambulatoire aux urgences. Mr. Y est un patient de 47 ans qui se présente aux urgences pour des douleurs abdominales en fosse iliaque gauche depuis 3 jours, en péjoration. Un CT scan abdominal met en évidence une appendagite avec sigmoïdite par contiguïté. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl, qui est stoppée après 2 jours en raison d'une évolution clinico-biologique favorable. Le patient peut regagner son domicile le 30.03.2019. Mr. Y présente une gonarthrose tri-compartimentale à prédominance fémoro-tibiale interne qui est en premier lieu la cause de la douleur. Il existe également un état inflammatoire du ligament collatéral interne, mais sans signe de déchirure. Le patient présente également des dégénérescences mucoïdes des 2 ménisques, mais cliniquement, les ménisques sont asymptomatiques. Je propose au patient, dans un premier temps, une infiltration par cortisone de son genou le 24.04.2019. Je le reverrai 3 semaines après l'infiltration, le 17.05.2019, pour discuter des résultats et du traitement. Mr. Y, connu pour une BPCO stade IV sous oxygénothérapie au long cours (1 litre) et un syndrome des apnées obstructives du sommeil appareillé, suivi par le Dr. X, est amené aux urgences le 26.03.2019 en raison d'une dyspnée depuis 4 à 5 jours, avec augmentation des expectorations de couleur verdâtre. Il s'agit du 4ème épisode depuis le début de l'hiver. Lors des 3 précédents épisodes, le patient a bénéficié d'une antibiothérapie et d'une corticothérapie pendant 3 jours. À noter également que depuis cet hiver, il nécessite l'oxygénothérapie 24h/24 (uniquement nocturne auparavant). Mr. Y est vacciné contre la grippe. À l'admission aux urgences, le patient désature à l'air ambiant. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, sans souffle surajouté. À l'auscultation pulmonaire, sibilances sur l'ensemble des deux plages pulmonaires. Le reste du status d'entrée est non contributif. Devant cette exacerbation de BPCO (3/3 critères d'Anthonisen) avec détresse respiratoire hypercapnique et syndrome inflammatoire biologique, Mr. Y est gardé en surveillance en lit d'observation aux urgences où il bénéficie de plusieurs séances de VNI. Nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g IV 4x/j, une corticothérapie par Prednisone, ainsi qu'un traitement bronchodilatateur et Mr. Y est transféré à l'étage de médecine le 28.03.2019 pour la suite de la prise en charge. Sous le traitement introduit ainsi que de la physiothérapie respiratoire, l'évolution est favorable. Dès le 04.04.2019 et dans l'attente d'une réadaptation respiratoire à l'HFR Billens, Mr. Y reste hospitalisé dans notre service, bien que la prise en charge spécifique soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, patient de 71 ans, connu pour une maladie coronarienne tritronculaire pluripontée et stentée, une maladie de Parkinson et une valve aortique mécanique anticoagulée par Sintrom, est hospitalisé en raison d'une baisse d'état général avec fatigue et état fébrile à 40°C, objectivé sur place par les ambulanciers. Au service des urgences, un sepsis avec une potentielle origine pulmonaire est évoqué, avec instauration d'un traitement antibiotique intraveineux par Rocéphine. Les hémocultures retrouvent un Streptococcus gallolyticus (groupe Bovis) et, au vu de l'antécédent de valve mécanique chez ce patient, une endocardite est suspectée. Sur avis infectiologique, l'antibiothérapie est brièvement substituée par Clamoxyl du 05.04 au 07.04.2019, puis à nouveau par Rocéphine le 08.04.2019 pour une durée totale de 4 semaines. Une échocardiographie ne montre pas d'élément en faveur d'une endocardite, mais au vu de la bactériémie et de la valve prothétique, l'antibiothérapie est poursuivie avec échocardiographie trans-oesophagienne d'évolution prévue à un mois. Le 09.04.2019, Mr. Y signale une dyspnée d'effort en péjoration. L'examen clinique retrouve des œdèmes périmalléolaires ainsi que de discrets râles crépitants. Devant ces signes de surcharge, un traitement diurétique est introduit avec bonne évolution. De plus, un traitement par IEC et bêtabloquant à petites doses est introduit et sera à réévaluer par la suite. Au vu du germe retrouvé à l'hémoculture, une possible porte d'entrée intestinale est suspectée et une colonoscopie est réalisée, retrouvant deux polypes, respectivement un de 7 mm dans le côlon transverse et un de 5 mm dans le rectum. Le Dr. X propose une prochaine colonoscopie à 6 mois. Lors d'une prochaine colonoscopie, une hospitalisation sera à prévoir afin de pouvoir relayer le traitement anticoagulant. Dans l'optique d'une poursuite de l'antibiothérapie intraveineuse à domicile, une PICC-line est posée. Mr. Y retourne à domicile le 12.03.2019, avec passage des soins à domicile 1x/jour pour antibiothérapie. Mr. Y, 65 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour un choc septique sur cholangite avec une atteinte multi-organique (cardiaque, rénal, hépatique et vasoplégie).Le patient, connu pour une cardiopathie ischémique tritronculaire en attente d'une greffe cardiaque à l'Inselspital Bern, actuellement en suspens pour cause de tabagisme actif, porteur d'un défibrillateur, est amené en ambulance en raison d'un état confusionnel aigu hypoactif dans un contexte de douleurs abdominales et un épisode de vomissements. Le patient décrit également des douleurs thoraciques oppressives parasternales gauches sur les dernières 48h, spontanément résolutives. Au service des urgences, le bilan biologique met en évidence une perturbation des tests hépatiques, ainsi qu'une altération de la fonction rénale. L'US abdominal montre une dilatation des voies biliaires, sans obstruction visualisée. L'échocardiographie transthoracique montre une FEVG à 20% (connue), sans présence de végétations. Mr. Y, connu pour des antécédents de cholangite sur cholédocholithiase avec stent en 2016, est couvert par Co-Amoxicilline/Flagyl pour une probable cholangite. Il bénéficie d'un remplissage vasculaire prudent au vu de la FEVG abaissée et d'un soutien aminergique transitoirement. Il est décidé d'élargir l'antibiothérapie avec du Pipéracilline/Tazobactam lorsque des coques positifs sont décelés dans les hémocultures, qui reviennent finalement positives pour un E. Coli multi-sensible. L'antibiothérapie est donc poursuivie par Rocéphine/Flagyl. Le CT thoraco-abdominal du 25.03.2019 montre une légère majoration de la dilatation des voies biliaires intra- et extrahépatiques par rapport au comparatif de juin 2016, associée à du matériel dans le bas cholédoque. Une ERCP n'est pas effectuée en urgence, au vu de la situation globale. Après stabilisation clinique, le patient est transféré en médecine interne pour suite de prise en charge le 27.03.2019. Mr. Y bénéficie d'une ERCP le 01.04.2019, qui permet de retirer 2 calculs au niveau du cholédoque. Un traitement au long cours par De-ursil est préconisé par Dr. X. Nous effectuons un relai per os de l'antibiothérapie le 02.04.2019. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 06.04.2019. Mr. Y, patient de 55 ans, est hospitalisé le 08.04.2019 aux soins intensifs pour prise en charge d'un AIT/AVC sur lit monitorisé de Stroke Unit. Il est hospitalisé en chirurgie depuis plusieurs semaines pour prise en charge d'une néoplasie vésicale pluri-métastatique avec soins de plaies abdominales. Il présente le 08.04.2019 une ptose labiale, une dysarthrie avec faiblesse du membre supérieur et inférieur gauche. Le bilan par CT-scan ne retrouve pas de lésions ischémiques constituées. Une IRM cérébrale ne retrouve pas d'AVC ischémique ou hémorragique. L'examen retrouve un épaississement pachy-méningé diffus plus marqué au regard de l'hémiconvexité droite pouvant rentrer dans le contexte d'une origine métastatique au vu des antécédents du patient. On retrouve aussi un petit hématome sous-dural de la région temporale droite ainsi qu'un hygrome sous-dural gauche. La surveillance neurologique est sans particularité d'un point de vue clinique avec régression des symptômes avec uniquement persistance d'une légère dysarthrie. Au vu du contexte global du patient (maladie oncologique métastatique), les collègues neurologues ne proposent pas de mesures diagnostiques ou thérapeutiques supplémentaires. Après une charge en Aspirine, le traitement anti-agrégant plaquettaire est poursuivi par une monothérapie de Clopidogrel avec poursuite d'une anticoagulation prophylactique par Arixtra. Concernant l'attitude thérapeutique et la situation globale du patient, celui-ci exprime clairement la volonté de ne pas être réanimé en cas d'arrêt cardio-respiratoire ni d'être intubé. Une réadmission aux soins intensifs serait à rediscuter au cas par cas. Le patient est transféré à l'étage de médecine interne le 09.04.2019 avec proposition d'envisager d'inclure les collègues des soins palliatifs dans la suite de prise en charge au vu de la situation oncologique métastatique avec une IRM cérébrale montrant une probable méningite carcinomateuse qui n'a cependant pas été formellement diagnostiquée. Mr. Y, patient de 65 ans, connu pour une dyslipidémie traitée, est transféré de Tavel dans le cadre d'une suspicion d'AVC. Le patient présente dans la matinée une amnésie rétrograde et antérograde avec désorientation spatio-temporelle sans déficit neurologique focal, objectivées par sa femme qui le conduit aux urgences de Tavel. Au vu de la symptomatologie, le patient est transféré à l'HFR Fribourg pour suspicion d'AVC. Un CT Time is brain ne montre pas de lésion cérébrale ni de trouble de la perfusion. Après avis neurologique, le bilan est complété avec un EEG qui revient également normal. Un bilan biologique ne montre pas de trouble électrolytique ni de syndrome inflammatoire et un sédiment urinaire est sans particularité. Le patient est hospitalisé pour suspicion d'amnésie globale transitoire et les symptômes sont spontanément résolutifs à l'arrivée à l'étage. Une IRM cérébrale complète le bilan ne montrant pas de lésion ischémique aiguë. À l'hétéro-anamnèse avec la femme, le patient posait sans cesse les mêmes questions durant la période d'amnésie (environ 5h) oubliant à mesure les réponses. Après discussion avec le patient, il dit être de nature anxieuse et avoir vécu un événement stressant le 30.03.2019 chez sa mère qui a chuté lors de sa visite. Il se fait du souci pour la suite et la nécessité ou non de placement pour sa mère. Après avis neurologique, au vu des différents résultats, une amnésie globale transitoire est retenue et le traitement du patient n'est pas modifié. La conduite automobile n'est pas contre-indiquée et le patient ne nécessite pas de suivi particulier du point de vue neurologique. Au vu de la résolution des symptômes et l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 02.04.2019. Montée testiculaire Monitoring cardio-respiratoire du 18.03 - Dernières bradycardies la nuit du .... ECG du 20.03.2019: Fréquence cardiaque 49/min, arythmie respiratoire, sinusal, axe 60-90°, PR 160 msec, QRS fins, ST avec sus décalage de 1mm, QTc 361 msec, pas de signe d'hypertrophie avec Rv1, Sv6, Rv6, Sv1 dans la norme, onde T négative en v1 et v2 Monuril en dose unique Monuril 3 g prise unique. AINS et Dafalgan. Morbide Adipositas (BMI 44kg/m2), Artérielle Hypertension Morbus Crohn • Sous Prednison 2.5mg, Humira 40mg (tous les 2 semaines) et Methotrexate 20mg (1x / W) Chronisch-venöse Insuffizienz: • Varizenstripping bds. 1970er Substituée Hypothyroïdie : TSH 2.88o mU/l (13.03.2018) AV-Block Grad I Morbus de Parkinson. Morbus Osgood-Schlatter genou G. Morbus Parkinson, traitement par Dr. X. Morbus Scheurmann Pas d'autre maladie connue, pas de médication régulière. Morceaux de plastique dans l'œil droit. Extraction aux urgences, pas de perforation du globe. Morphine d'office + réserve Triofan + rinçage du nez avec sérum physiologique Dexaméthasone : • 4 mg/j dès le 03.04.2019, puis sevrage progressif à 3 mg/j dès le 05.04.2019 - 2 mg/j dès le 09.04.2019 (avec recrudescence de la toux) • reprise à 3 mg/j dès le 15.04.2019 Morphine du 15.03-22.03 Finnegan Morphine en réserve Diurétiques et suivi pondéral Approche multidisciplinaire, physiothérapie Morphine 10 mg iv Sirdalud 4 mg per os Surveillance clinique aux urgences Att: • Hospitalisation à Riaz pour antalgie • Physiothérapie d'antalgie et mobilisation Morsure Morsure. Morsure. Morsure.Morsure de chat Morsure de chat au niveau thénar droit le 04.04.2019. Morsure de chat au pied D le 28.04.2019. Morsure de chat le 28.04.2019 : • plaie en regard de MTP I à D • lacérations multiples premier rayon pied D Morsure de chien au membre supérieur gauche le 18.04.2019. Morsure de chien au niveau de la face dorsale de la main gauche. Morsure de chien au niveau de la malléole externe du membre inférieur droit le 13.04.19. Morsure de chien avec plaie ouverte du poignet droit, avec : • sans déficit moteur ou sensitif • sans signes d'infection • a eu le vaccin du tétanos il y a 1 an. Rx 1er doigt D - pas de fracture visible, pas de signes d'ostéomyélite. Avis ortho (Dr. X) : Immobilisation pendant 48h Prophylaxie par antibiotique (co-Amoxicilline 1 g 2x/j 5 jours) Désinfection de la plaie avec bétadine 2x/j CS de contrôle demain en filière 34. Morsure de chien en janvier au Portugal. Morsure de tique. Morsure de tique, face antéro-interne du tiers proximal de la cuisse droite le 11.04.2019. Morsure de tique le 13.04.2019. Morsure de tique le 16.04.2019. Morsure superficielle de 2x2 cm au niveau du pli du coude. Morsures de chat sur la main gauche et la main droite (deux morsures de chat en zones V et VI de la main gauche, une morsure de chat en zone VI sur la main droite). Morsures de chien. Motilium, Algifor, Toplexil Motilium, Dafalgan. Traitement symptomatique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Patient informé de reconsulter si péjoration des symptômes. Motilium en réserve. Consulte en cas d'apparition de fièvre, hématochézie, hématémèse, persistance des symptômes > 5 jours, déshydratation. Conseils donnés pour l'hydratation. Motilium 10 mg 1-1-1 Dafalgan 1 g 1-1-1 Conseils diététiques Arrêt de travail de trois jours (24.04. - 26.04.2019) Movicol Freka Clyss Movicol d'office 1x/j depuis le 28.03 Laxoberon le 02.04 Selles le 03.04.2019 Movicol et Laxoberon Proposition effectuer nouvelle colonoscopie Movicol 1 sachet 2x/j Retour à domicile avec consignes de surveillance Movicol 2 sachets par jour 3 jours, puis 1 sachet par jour Dafalgan, Algifor au besoin Si persistance ou migration en fosse iliaque droite consultation aux urgences. La famille préfère consulter en cas de persistance que de venir en contrôle fixée. Mr. Y est admis aux soins intensifs en post-opératoire d'une TEA de la carotide interne droite. Un AVC subaigu probablement d'origine artério-artérielle est diagnostiqué sur une IRM cérébrale du 12.04.2019. Le patient présente comme séquelle une parésie du membre supérieur droit. Le bilan vasculaire révèle une occlusion de la carotide interne gauche et une sténose serrée de la carotide interne droite. L'indication opératoire est retenue par le Dr. X. Une TEA de la carotide droite est réalisée le 20.04.2019 sous bloc cervical. En post-opératoire, le patient présente un hématome du cou sans signes de compression. Une anticoagulation prophylactique ainsi qu'un traitement anti-agrégant par Aspirine est débuté. A noter que suite à un effort de mastication, le patient présente un saignement au niveau du site opératoire justifiant l'arrêt de l'héparine. De point de vue neurologique, on note une parésie séquellaire du membre supérieur droit qui reste stable. Le patient est transféré en chirurgie pour suite de prise en charge. Mr. Y se présente pour un saignement veineux abondant au niveau ombilical. Nous suturons la veine et effectuons un contrôle biologique, qui ne montre pas d'anémie. Nous lui proposons dès lors de revenir le lendemain pour un contrôle biologique. Nous décidons de considérer les troponines non significatives dans le contexte de cardiopathie et d'insuffisance rénale sévère. Le patient est asymptomatique et nous ne proposons pas de contrôle de cette valeur sauf nouvelle symptomatique. Mr. Y est admis aux soins intensifs suite à une réduction ouverte d'une fracture périprothétique du fémur distal G. Le patient est opéré pour une fracture périprothétique du fémur distal gauche déplacée survenue dans un contexte de chute. En per opératoire, le patient présente une instabilité hémodynamique nécessitant un soutien par amines vasoactives et en post-opératoire il développe un syndrome confusionnel aigu. La surveillance se déroule sans particularités. Les catécholamines sont rapidement sevrées. L'état confusionnel est rapidement régressif. En raison de la présence d'une insuffisance rénale aiguë ou chronique et d'un diabète mal contrôlé, un suivi par les médecins internistes est demandé. Une échocardiographie de contrôle est demandée afin d'évaluer l'évolution de l'épanchement péricardique. Le patient est transféré en orthopédie. Mr. Y nous est adressé par le Dr. X le 08.04.2019 en raison d'une péjoration progressive de sa dyspnée depuis 2 semaines avec une dyspnée à l'effort, une légère orthopnée, la présence d'œdèmes des membres inférieurs G>D nouveaux depuis 1 semaine, traité par torasemid 5 mg par le médecin traitant. Il présente une augmentation des expectorations matinales liées à sa BPCO mais sans changement de la qualité de celles-ci, qui restent blanchâtres. Il n'a pas de fièvre ni de frisson. Autrement, il se plaint de constipation accentuée chez un patient buvant entre 500-1000 ml par jour avec un traitement diurétique depuis 1 semaine. Il présente aussi une anxiété liée à sa dyspnée, déjà sous morphine goutte à domicile en réserve. Il habite dans une maison avec jardin avec sa femme, sans aide à domicile sauf la ligue pulmonaire pour les inhalations. Son fils habite avec eux. Il se mobilise sans aide mais doit actuellement faire des pauses en raison de la dyspnée et arrive difficilement à monter les étages. Sa femme et lui connaissent sa situation actuelle avec une tumeur non opérable stable depuis 2 ans sous immunothérapie mais qui pourrait se péjorer dans un futur proche. Son testament est déjà fait. Il n'a pas de directives anticipées.Au statut à l'entrée, il présente un état général diminué avec une cachexie. Il a une dyspnée objective lorsqu'il se mobilise. Il présente des sibilances expiratoires sur toutes les plages respiratoires. Le statut cardiaque montre un rythme cardiaque irrégulier avec B1B2 bien frappé. Il présente des oedèmes des membres inférieurs prenant le godet à G>D. L'abdomen est sans particularité. Pour sa dyspnée, nous réalisons un CT qui ne montre pas de péjoration de sa tumeur, ni d'embolie pulmonaire ni de décompensation cardiaque. Il y a la présence d'un épaississement péri-bronchique associé à des impactions mucoïdes et des sécrétions endobronchiques prédominant en base droite. Il ne montre pas non plus une pneumopathie secondaire à l'opdivo. Au vu de sa clinique avec une péjoration de la quantité des expectorations, une toux augmentée ainsi qu'une dyspnée en péjoration, nous suspectons une exacerbation de sa BPCO et pour cette raison, en plus d'un traitement fixe d'inhalation et en réserves, en plus des petites doses de morphine, il reçoit du co-amoxicilline pendant 5 jours et de la prednisone 40 mg sur une semaine. Le 11.04.2019, il présente une crise broncho-obstructive aigüe réagissant bien aux inhalations. Suite à cette crise, nous repoussons la sortie au lundi 15.04 au lieu du vendredi 12.04. Il aura rendez-vous de contrôle chez Dr. X le 25.04.2019 à 14h30 et chez Dr. X le 06.05.2019 à 10h à Meyriez pour la suite de la prise en charge et le suivi. Concernant sa constipation, nous introduisons un traitement laxatif qui a bon effet. Mr. Y peut rentrer à domicile avec poursuite de la ligue pulmonaire le 15.04.2019. Mr. Y, un patient de 56 ans, connu actuellement pour un mélanome malin multi-métastatique dont cérébrale, pulmonaire, cutanée et hépatique, est hospitalisé dans un contexte de cachexie et d'asthénie importante. Pour rappel, il est connu pour une greffe rénale en 2010 sous Tacrolimus. Mr. Y habite seul dans un lieu de vie accessible par escalier sans aide à domicile. Il est entouré de ses deux frères et de sa maman dans un home dans la région de Fribourg et d'une sœur dans la région de St-Gall. Il souhaite, dans la mesure du possible, réaliser une réadaptation palliative avec pour objectif d'améliorer sa qualité de vie en retrouvant de l'appétit, une prise de poids et de force pour permettre un retour à domicile. Il ne souhaite pas de réanimation ni de soins intensifs, pas d'antibiotiques mais des traitements symptomatiques. Il a perdu 14 kg depuis novembre 2018 et pèse actuellement 38 kg pour une taille de 160 cm. Il passe >50% couché devant la télévision. Il n'a plus d'appétit et il n'a pas la force de faire des courses ni de cuisiner. Il se nourrit seulement avec des petites collations. Il a des douleurs principalement au niveau du dos et du flanc G, qui sont actuellement bien gérées sous morphine MST. Il se plaint de nausées sans vomissement. Sa fatigue est importante et l'empêche d'avoir des activités quotidiennes. Il présente une dyspnée à la mobilisation dans le contexte de déconditionnement et sur métastase pulmonaire. Au statut d'entrée, Mr. Y est collaborant, orienté dans les 4 modes mais cachectique, pâle avec un BMI à 14. Il présente un statut cardiovasculaire, abdominal dans la norme et des murmures vésiculaires normaux avec une légère hypoventilation basale G sans bruits surajoutés. Le statut neurologique est globalement conservé mis à part un déconditionnement avec une marche un peu déséquilibrée lors de plus longues distances. Il présente une tâche brunâtre sur le flanc G et des nodules cutanés probablement métastatiques (sur le crâne, sur l'abdomen, le cou). Mr. Y risque un syndrome de refeeding et de ce fait, nous suivons par des laboratoires réguliers les électrolytiques. Nous substituons les carences avec du phosphate, du magnésium, de la becozym et du benerva. Nous demandons conseil à la diététicienne dans le cadre de ce risque de refeeding. Dans le courant de la 3e semaine, nous stoppons petit à petit les substitutions en raison d'une alimentation actuellement régulière et d'une amélioration des résultats en laboratoire. Il retrouve rapidement un appétit avec des demi-portions mangées à chaque repas. Il reprend du poids et de la force gentiment. Il présente dans le contexte d'une hypoalbuminémie, en lien avec sa carence alimentaire sévère, des oedèmes des membres inférieurs réagissant bien au torasémide et au bas de contention. Mr. Y ne remarque pas d'amélioration liée au changement de la prednisone à la dexaméthasone, mais remarque plutôt une apparition de tremblements des mains et une perte de cheveux accentuée. Selon son souhait de reprendre sa dose initiale de prednisone 20 mg, nous diminuons donc progressivement la dexaméthasone par paliers jusqu'à arriver à cette dose. Après discussion le 15.04.2019, Mr. Y accepte un suivi par Voltigo en raison du fait qu'il n'a pas de médecin traitant et souhaite, s'il y a la nécessité d'une nouvelle hospitalisation, être hospitalisé à Meyriez. Mr. Y va poursuivre son suivi avec l'oncologie et le centre de transplantation du CHUV et va se renseigner pour être suivi par la néphrologie du HFR Riaz. Mr. Y peut rentrer à domicile le 19.04.2019 avec les soins à domicile, Voltigo, la livraison de repas à domicile et la poursuite des aides au ménage. Mr. Y a consulté aux urgences le 06.04.19 pour une dyspnée évoluant depuis une semaine. Une insuffisance respiratoire partielle d'origine mixte a été objectivée, avec la présence d'une pneumonie apicale droite ainsi qu'une surcharge cardiaque associée. Une antibiothérapie par ceftriaxone pendant sept jours et un traitement diurétique ont permis une évolution favorable avec une diminution de la dyspnée. Le torasémide a été majoré en raison de la surcharge cardiaque et nous vous invitons à adapter ce traitement si besoin. Le patient a présenté une insuffisance rénale aiguë AKIN I compliquée d'une hyperkaliémie et d'une acidose métabolique, nécessitant transitoirement un protocole insuline-glucose, du nephrotrans ainsi que du resonium. La fonction rénale s'est corrigée avec la résolution du sepsis et le retour à un état euvolémique. Sur le plan général, la situation à domicile est précaire selon le retour des soins à domicile et des enfants du patient. Avec l'accord des différents intervenants, Mr. Y rentre provisoirement à domicile le 17.04.19 en attendant sa place en EMS. Mr. Y est un patient de 71 ans connu pour une IRC sous dialyse 3 fois par semaine qui présentait une sténose au niveau de son accès veineux qui a bénéficié le 19.09.2018 d'une angioplastie compliquée par un saignement au point de ponction nécessitant une hémostase par un point de suture et compression. Le patient est hospitalisé pour observation pendant 24 heures. En raison d'un thrill diminué, un contrôle angiologique est effectué montrant une sténose résiduelle qui ne peut être dilatée par ballonet, mais avec un flux suffisant pour les dialyses. L'évolution est favorable et le patient part en dialyse le lendemain. Mr. Y, un patient de 75 ans, connu pour un carcinome épithélial du lobe supérieur G, une maladie coronarienne monotronculaire, une BPCO sévère avec emphysème apical diffus, est transféré en médecine palliative le 18.03.2019 en raison d'une incapacité de rentrer à domicile à cause d'une baisse importante de son état général, d'une asthénie importante avec une mobilité réduite et d'une antalgie difficilement gérable. Pour rappel, il a consulté le 25.02.2019 son médecin traitant en raison de plaies/vésicules traitées initialement par des soins locaux et antidouleurs et du 1 mars au 09 mars par valaciclovir 1000 mg 3x/j. À son arrivée en médecine interne à l'HFR Fribourg, du Palexia et Lyrica ont été introduits.A son entrée en soins palliatifs à l'HFR Meyriez, Mr. Y se sent très fatigué. Il a des douleurs de type en coup de couteau à 6/10 du côté thoracique D. Il a depuis 3 semaines une perte d'appétit avec une perte de 6 kg, une baisse de mobilité importante avec un alitement toute la journée. Il se plaint d'une dyspnée en augmentation ainsi que d'une orthopnée. Il n'y a pas d'autres plaintes systémiques. Ses objectifs étaient de se mobiliser et un retour à domicile. Pour rappel, à son arrivée par l'ambulance le 14.03.2019 en médecine interne, il a présenté une fibrillation auriculaire nouvelle avec un pouls à 171/min chez un patient déjà sous Lixiana en raison d'embolie pulmonaire. Avec un traitement de Beloc Zok, sa fréquence s'est ralentie à 60/min et son rythme s'est spontanément cardioversé en rythme sinusal le 15.03.2019. Le statut d'entrée en soins palliatifs montre la présence d'une hypoventilation G avec des crépitants légers et du côté D un murmure vésiculaire normal. Le statut cardiovasculaire montre un rythme régulier avec B1B2 bien frappé. Le reste du statut est sans particularité. En raison de la persistance de ces douleurs liées au zona, nous augmentons les dosages du Lyrica et du Palexia. Au cours de son hospitalisation, l'état de Mr. Y se détériore avec une fatigue importante ainsi qu'une faiblesse musculaire limitant fortement toute mobilité. En raison de la péjoration de sa dyspnée et de son asthénie, nous adaptons son traitement anti-douleur et anti-dyspnéique par l'introduction de morphine iv continue par son port-à-cath ainsi que des inhalations régulières, tout en continuant les traitements oraux avec adaptation des dosages de Lyrica et de Beloc Zok et Lixiana. Au vu de la situation actuelle, un retour à domicile n'est plus envisageable, pour cette raison nous organisons une discussion familiale le 27.03.2019 avec ses fils et sa femme pour réaliser les inscriptions dans des homes. Par la suite, l'état général de Mr. Y se dégrade rapidement. Une adaptation répétée du traitement symptomatique permet un bon contrôle de la dyspnée, des douleurs et de l'anxiété. Mr. Y décède le 03.04.2019 à 8h48 du matin des suites de sa maladie, ses proches sont contactés et arrivent rapidement sur place. MTCD avec symptômes sclérodermiformes et arthrite érosive. Sinusite chronique. Déficience G6PD. Photosensibilité sous Oméprazole. Mucite oesophagienne grade II sur radiochimiothérapie le 09.04.2019 • Mucite oropharyngée grade I • Candidose oropharyngée diffuse • Malnutrition protéino-énergétique modérée Mucite post-chimiothérapie pour adénocarcinome sigmoïdien d'emblée métastatique avec état fébrile isolé le 11.03.2019 • radiographie de thorax : pas de signes infectieux • hémocultures (2 paires) : en cours • pas d'antibiothérapie car bonne évolution et absence de récidive de pic fébrile Gastrite chronique Douleurs inguino-scrotales sur coprostase probable US du 12.03.2019 Douleurs anales chroniques depuis remise en continuité iléo-rectale sur fissures anales suivies par Dr. X • Traitements topiques par Crème Emla et Rectogesic Mucite radique débutante le 07.11.2018 traitée par Fluconazole. Iléus post-opératoire en octobre 2018 avec : • sonde nasogastrique jusqu'au 21.10.2018 • alimentation parentérale jusqu'au 22.10.2018. Sérome au niveau de la plaie de laparotomie médiane le 25.10.2018 : • évacuation et rinçage le 25.10.2018 • pansement VAC avec changements itératifs du 26.10. au 01.11.2018, fermeture cutanée le 01.11.2018. Métastase ostéolytique d'adénocarcinome colique de la vertèbre C5 avec : • engainement vasculaire et envahissement du canal rachidien • décompression neurochirurgicale à l'Inselspital de Berne le 02.10.2017 • radiothérapie néo-adjuvante du 26.10.17 au 13.11.2017 (30 Gy en 12 séances de 2.5 Gy) Radiculopathie C5-C6 à gauche post-opératoire : • cicatrice post-opératoire et collection sur trajet chirurgical • matériel prothétique en contact millimétrique avec foramens vertébraux ddc et racine C5 gauche le 20.10.17 • ENMG le 31.10.2017 (Dr. X) : lésion radiculaire C5-C6 à gauche • avis neurochirurgical à l'Inselspital (Dr. X) le 20.10.17 : les images du jour sont comparables aux images post-op, il n'y a pas de mouvement des vis en place, la collection liquidienne est acceptable dans le cadre d'un remaniement post-opératoire. Iléus mécanique sur sténose néoplasique colique droite le 21.09.2017 traité conservativement. Anémie hypochrome normocytaire le 26.09.2017 DD : carentielle, inflammatoire • substitution orale en acide folique dès le 26.09.2017. Fracture de la cheville X dans la jeunesse. Mucoviscidose (CF 508/ins 3905) diagnostiquée sur iléus méconial, avec : • atteinte pulmonaire, avec syndrome respiratoire obstructif actuellement sous traitement bronchodilatateur par Seretide, Atrovent et Ventolin, Pulmozyme et physiothérapie 1x/semaine ; dernière exacerbation pulmonaire le 24.04.2018 avec expectoration positive pour S. Aureus résistant à la pénicilline ; jamais eu de portage de Pseudomonas. • atteinte hépatique, sous substitution par AquadeK et Ursofalk. • atteinte pancréatique exocrine, sous substitution par Créon et Aquadek, avec malnutrition secondaire, nécessitant la mise en place d'une PEG en février 2016 et la substitution par Isosource 500 ml/24h. Pas d'atteinte endocrine avec hémoglobine glyquée dans la norme mais hyperglycémie présente MÉDICAMENTS HABITUELS : • Pulmozyme 1x/jour avant la physio • Seretide 3x/jour • Ventolin 3x/jour, si nécessaire • Mucoclear • Aquadek • Creon : 3 * 25'000 UI pendant les repas, pour les collations 10'000 UI - 25'000 UI • Movicol 1-2 sachets par jour• multiples hospitalisations pour exacerbation en 2011 (compliquée d'une pneumonie bibasale à Achromobacter xylosoxidans (R à ciprofloxacine, I à Tazobac et Imipénème) et S. aureus. T 06.201) et 2012 • greffe bipulmonaire (lobe supérieur) le 30.01.2013, à Zurich, pour syndrome obstructif sévère • insuffisance pancréatique exocrine substituée, compliquée d'un retard staturo-pondéral, avec actuellement BMI à 16kg/m2 Colonisation à Pseudomonas aeruginosa (2013) Foie de taille limite supérieure d'échostructure normale, sans lésion focale suspecte et un ARFI dans la norme (US du 31.01.2018) Sinusite chronique avec papillomatose de grade II-III ddc avec : • septoplastie, méatotomie, ethmoïdectomie, fronto-méatotomie et sphénoidotomie le 30.09.2015 Ostéoporose densitométrique au niveau de la colonne en 06.2017 M. Y est hospitalisé pour surveillance suite à un premier épisode de convulsions fébriles ayant inquiété la mère. Le bilan biologique est dans les normes. L'évolution est favorable, permettant un retour à domicile le 27.04.2019, avec poursuite du traitement instauré par sa pédiatre. • Multiparité • Multiple fractures-tassement notamment D8 (d'allure subaiguë), D11 et vertebra plana L1 (d'allure ancienne) sur chutes à répétition dans le contexte d'une maladie de Parkinson • Consultation orthopédique et CT prévu le jour d'hospitalisation • Chroniques douleurs psychologiques accompagnées de troubles d'anxiété • Connues récurrentes épisodes dépressifs depuis l'enfance • Crises d'angoisse, troubles du sommeil, vertiges, maux de tête • Phobies spécifiques (claustrophobie, acrophobie) • Troubles anxieux généralisés • Prise en charge psychiatrique par Dr. X en Freiburg (irrégu lière) • Statut après hospitalisation à Lory-Haus Inselspital Bern 2001 • Statut après hospitalisation à Marsens 2010 • Abus d'alcool, abus de nicotine, dépendance aux benzodiazépines Chroniques douleurs dorsales • Actuellement surtout douleurs cervicales avec irradiation dans la tête et les épaules • IRM 08/2000 : hernie discale L5/S1 sous-ligamentaire luxée vers le bas avec compression de la racine S1 droite, anomalie de transition avec hémilumbalisation du SWK 1 • Statut après infiltration stéroïdienne épidurale par Dr. X en Murten pour syndrome de radiculopathie • Radiographie HWS ap/lat le 30.04.2013 : changements dégénératifs Chronicité et récurrence sinusites et troubles asthmatiformes • Abus de nicotine, sensibilisation aux acariens et épithéliums canins • Dr. X, Murten 09/2002 : rhinite chronique et ethmoidite • Évaluation allergologique Island 2003 : rhinoconjonctivite saisonnière avec asthme associé • Fonction pulmonaire 01.05.2013 : aucune obstruction, aucune restriction pertinente Symbicort, lavage nasal NaCl • Maladie coronarienne • Statut après NSTEMI avec sténose de l'artère coronaire droite avec angioplastie et mise en place de stent 09/2011 (HFR Freiburg) • EF 53% 09/2011 • Syndrome de WPW avec tachycardies récurrentes, pour la dernière fois en 1993 Aspirine cardio Actuellement, aucune autre évaluation nécessaire • Multiples abcès, deux d'environ 2 cm face interne cuisse droite et un infracentimétrique sous le sein gauche. Dans un contexte de maladie de Verneuil. • Multiples adénopathies médiastinales le 04.04.2019 DD : auto-immun, para-infectieux • Multiples adénopathies sus-claviculaires droites, médiastinales et hilaires bilatérales de rehaussement homogène, non nécrotiques et non calcifiées de découverte fortuite le 03.04.2019 DD tumeur, lymphome, adénopathies réactives dans un contexte infectieux ou inflammatoire, sarcoïdose • Multiples arthroscopies du genou droit avec résection méniscale partielle (10.2017). Exostose de la mâchoire : • Exérèse d'une exostose de la mâchoire en 2011. • Statut post-multiples interventions dentaires avec édentations et obturations. • Statut post-fracture des dents 18 et 25. • OPG le 06.10.2015 absence de lésion ostéolytique, pas de signe indirect pour un abcès ou pour un granulome. • Consilium Centre de la douleur à l'HFR Fribourg demandé le 28.10.2015 (rendez-vous manqué). • Consilium dentaire le 10.2015 : douleurs dentaires très peu définies. Présence de dents fracturées indolores. Traitement symptomatique. Appendicectomie. Résection de kyste ovarien. Hémorroïde thrombosée (2014). Fracture spiroïde de la phalange proximale D1. Entorse sévère de la cheville droite (2016). Fasciite plantaire droite probable. Luxation de l'interphalangienne proximale du doigt 4 à gauche. Phénomène d'Uhtoff sur état fébrile avec grippe A 08.03.2019 avec : • Troubles de la marche, paraparésie à prédominance droite, ataxie tétra-cinétique à prédominance gauche, nystagmus isolé OG en abduction. • Diagnostic différentiel : poussée de sclérose en plaques. Hypotension orthostatique d'origine indéterminée : • Test de Schellong positif le 24.11.2017. • Multiples AVC ischémiques sylvains bilatéraux d'origine embolique suspectée (contexte de CEC et intervention sur l'aorte ascendante) DD : sur hypotension prolongée. • symptomatologie : dysarthrie, état confusionnel • Multiples bronchites spastiques depuis 8-10 mois • Multiples chirurgies intra-abdominales par laparotomie avec iléus (anamnestique) Appendicectomie PTH gauche Chirurgie de la cataracte de l'œil gauche • Multiples dermabrasions au niveau du visage, du tronc, des membres inférieurs et supérieurs. • Multiples dermabrasions superficielles au niveau du visage le 04.04.2019. • Multiples entorses des 2 chevilles. • Multiples escarres, le 07.03.2019 • Escarre sacrée stade IV : nécrose • Escarre stade II niveau talon • Consilium stomathérapie : 07.03.2019 : Protocole : 3x/semaine, escarres catégorie 1 au niveau des talons DDC -> mettre Mepilex Border, escarre catégorie inclassable au niveau du sacrum -> Bétadine tulle 3-4 couches + Mepilex Border • Pas de prise en charge chirurgicale vue le contexte palliatif • Multiples fractures cervicales sur AVP le 31.03.2019 : • Fracture de la facette articulaire inférieure D de C1, passant par le foramen transversaire. • Fracture passant par le foramen transversaire de C2 G. • Fracture-luxation de la facette articulaire supérieure G de C7 avec antélisthésis de C6 sur C7 et crochetage facettaire avec herniation discale foraminale post-traumatique • Multiples fractures de l'avant-pied D : • fracture de l'os naviculaire • fracture de l'os calcanéus • fractures des phalanges • Multiples ganglions et adénopathies en regard du hile hépatique et en position rétro-péritonéale (para-aortique des deux côtés), • dans un contexte de lymphome • DD : récidive de cancer du sein • DD : origine inflammatoire. • Multiples hématomes du MSG • au niveau ulnaire distal et coude • Multiples interventions orthopédiques de la main droite. Statut post-appendicectomie. Statut post-cure de hernie inguinale droite. Statut post-opératoire sur testicules dans l'enfance. Malaise avec perte de connaissance d'origine vaso-vagale sur cervicalgies.Traumatisme crânio-cervical. Entorse de la cheville droite. Sinus pilonidal surinfecté le 21.09.16. Suspicion de lésion du ligament collatéral latéral du carpe sur le tubercule scaphoïde gauche le 18.01.2017. Radiographies : probable arrachement au niveau du tubercule du scaphoïde. Bronchite virale 12/2018 Multiples interventions prothétiques du genou droit avec arthrodèse en 2012. Prothèse totale de la hanche droite prévue par Dr. X en 2017. Hémicolectomie droite laparoscopique le 25.01.2017. Anémie spoliative sévère sur ulcère colique en 01/2017. STEMI subaigu antérieur sur occlusion de l'IVA proximale le 14.01.2019. • Pic de CK à 1150 U/I. Coronarographie le 14.01.2019 : • Occlusion de l'IVA proximale : recanalisation/PTCA/3xDES. • LCX proximale, ACD proximale : 30%. • FEVG 30% à la ventriculographie. ETT le 16.01.2019. Prasugrel pendant 1 année, Aspirine à vie. Introduction IEC et Bêta-bloquant le 14.01.2019. Réhabilitation cardiaque ambulatoire à l'HFR-Billens dès le 19.01.2019. ETT de contrôle le 28.01.2019 à 11h30 et le 12.02.2019 à 15h15. Multiples lésions hépatiques dans les deux lobes • mises en évidence au CT-Scan abdominal du 24.04.2019 • pas de mise en évidence de tumeur primaire au niveau abdominal compatible avec les lésions visualisées • DD : kyste, néoplasie Multiples lésions kystiques du rein G visualisées • DD kystes hémorragiques/protéiniques Multiples masses cérébrales probablement métastatiques diagnostiquées le 02.04.2019 Multiples masses cérébrales probablement métastatiques diagnostiquées le 02.04.2019 • Contexte de diagnostic 1 Multiples métastases osseuses avec tassement L2 et tassement pathologique de D3 avec bombement postérieur tumoral Multiples morsures de chat (ou chien) thénard, hypothénard G, MCP palmaire et dorsal Dig II D et P3 palmaire Dig II D le 13.8.2012 Cure du tunnel carpien main droite Fracture multifragmentaire phalange proximale du 5ème orteil pied D Fracture du col du fémur Cure d'hémorroïdes Multiples opérations des membres inférieurs : • 27.06.2018 : ostéomyélite deuxième orteil pied droit, avec désarticulation de l'articulation interphalangienne du 2ème orteil pied droit • 22.04.2016 : amputation épibasale du 3ème orteil pied gauche • 19.02.2014 : descellement aseptique de la prothèse totale de genou gauche (ponction : cristaux d'acide urique) • Février 2013 : ostéomyélite et dermohypodermite phalange distale 3ème orteil pied gauche à Staph. aureus • Février 2013 : amputation premier rayon pied gauche pour nécrose • 2003 : implantation de prothèse totale de genou gauche en 2003 • Cure hallux valgus bilatéral • Prothèse partielle du genou droit Mal perforant plantaire diabétique Infection urinaire à E. Coli multisensible compliquée (diabète, homme) le 03.03.2014 Laminectomie L4-L5 en 2008, avec évacuation d'un hématome et rinçage : • Bactériémie à Staph. aureus Troubles psychiques avec agitation (une hospitalisation à Marsens et un épisode psychotique en décembre 2004 sous association de Lexotanil et de Stilnox) Résection transurétrale de la prostate en 2001 Hyperkaliémie à 5.4mmol/l le 25.03.19 Epanchement péricardique de 20mm en regard du VG en postérieur d'origine indéterminée le 20.03.2019 : • Diagnostics différentiels : urémique sur insuffisance rénale chronique, virale • Sans signe de tamponnade • Echocardiographie transthoracique de contrôle dans 3 à 4 semaines post-hospitalisation à prévoir • Réévaluer autres investigations (rhumatologique selon évolution) Décompensation diabétique hyperosmolaire le 18.03.2019 : • Diagnostic différentiel : sur mauvaise compliance médicamenteuse • Plaies chroniques orteils bilatéraux dans un contexte de pied diabétique Péjoration d'une insuffisance rénale chronique sur probable néphropathie diabétique : • Diagnostic différentiel : syndrome cardio-rénal type 5, le 18.03.2019 • Fraction d'excrétion de l'urée à 32% ; clairance selon Cockroft à 31ml/min • Hyperuricémie à 33.5mmol/l Chutes à répétition d'origine multifactorielle avec : • Probable polyneuropathie des pieds d'origine diabétique Aggravation de troubles cognitifs légers connus : • Diagnostic différentiel : métabolique sur hyperuricémie Bicytopénie d'allure chronique d'origine indéterminée : • Anémie normocytaire normochrome à 104g/l le 18.03.2019 • Thrombocytopénie à 104G/l Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 20.03.2019 Pseudo-hyponatrémie hyperosmolaire à 127mmol/l le 18.03.2019 dans le contexte d'hyperglycémie Multiples opérations des membres inférieurs : • 27.06.2018 : ostéomyélite deuxième orteil pied droit, avec désarticulation de l'articulation interphalangienne du 2ème orteil pied droit • 22.04.2016 : amputation épibasale du 3ème orteil pied gauche • 19.02.2014 : descellement aseptique de la prothèse totale de genou gauche (ponction : cristaux d'acide urique) • 02/2013 : ostéomyélite et dermohypodermite phalange distale 3ème orteil pied gauche à Staph. aureus • 02/2013 : amputation premier rayon pied gauche pour nécrose • Implantation de prothèse totale de genou gauche en 2003 • Status post cure hallux valgus bilatéral • Status post prothèse partielle du genou droit Status post mal perforant plantaire diabétique Infection urinaire à E. Coli multisensible compliquée (diabète, homme) le 03.03.2014 Status post laminectomie L4-L5 en 2008, avec évacuation d'un hématome et rinçage : • Bactériémie à Staph. aureus Résection transurétrale de la prostate en 2001 Multiples opérations intra-abdominales avec : • nombreuses opérations abdominales pour malformation digestive dans l'enfance • hystérectomie vaginale totale pour hyperménorrhée en janvier 2005 • adhésiolyse pour iléus en 2009 • laparoscopie exploratrice, adhésiolyse intestinale et annexectomie bilatérale en août 2013 • résection anastomose d'une sténose de l'uretère gauche en octobre 2013 • cystectomie avec dérivation selon Bricker pour vessie atone le 14.11.2014 (Dr. X, Dr. X) • cure de hernie cicatricielle par laparotomie le 04.05.2015 • cure de hernie hiatale par fundoplicature selon Nissen Neutropénie fébrile le 22.03.2019 sans foyer clinique Pancytopénie post-chimiothérapie, Neulasta le 14.03.2019 Macrohématurie récidivante dans contexte de Bricker le 29.05.2018 Macrohématurie chez patiente sous Xarelto, avec colonisation à Enterococcus faecalis et E. Coli le 19.02.2018 Pyélonéphrite gauche le 22.09.2017 et le 27.06.2018 • contexte de Bricker depuis 2014 • translocation bactérienne à E. Coli Ulcères gastriques le 20.06.2018 (2 ulcères bulbaires sans vaisseau visible ni signe de saignement, 1 érosion du fundus gastrique du côté de la grande courbure) Brûlures aux 1er et 2e degrés, superficie de 10% du corps (cuisses ddc non circonférentiel, abdomen G) le 26.06.2018 Fracture extra-articulaire du radius distal le 04.09.2018 Thrombose veine mésentérique inférieur le 06.10.2017 Tentamen médicamenteux avec hospitalisation à Marsens le 28.09.2016 • syndrome sérotoninergique incomplet (absence d'hyperthermie) sur intoxication au SSRI Opérations pour épicondylite aux membres supérieurs en 1995 et 2003 Accouchement par voie basse en 1993 Exérèse CV pour œdème de Reinke en 2001 et 2009, avec dysphonie séquellaire Multiples opérations nasales et cérébrales d'une infection qui serait remontée par le nez jusqu'au cerveau suivi à Bern en 2011. Crise d'épilepsie résiduelle. DVP en place. Multiples papules en partie confluantes au niveau du dos, thorax et cuisse droite. Multiples plaies. Multiples plaies de morsures de chat sur les faces dorsales des mains droite et gauche. Multiples plaies superficielles dorsales à droite le 21.04.2019. • dans un contexte de vitre brisée. Multiples tentatives. Multiples tentatives médicamenteuses. Alcoolisation aiguë le 30.04.2016.Hystérectomie inter-annexielle par laparotomie pour utérus myomateux symptomatique le 26.11.2014. Hématome sous-cutané surinfecté à J6 post-opératoire d'une hystérectomie totale par Pfannenstiel le 26.11.2014, drainage et rinçage sous anesthésie générale le 03.12.2014. Abus de substance le 13.03.2019 avec fugue du foyer Horizons Sud. Multiples tentamens. • Tentamen par 1200 mg de Tramal et 2.5 L de bière avec hospitalisation volontaire à Marsens. Douleurs décompensées dans un contexte de spondylarthrite ankylosante. Examen clinique. Oxycontin 10 mg aux urgences. Traitement à domicile avec Oxycontin 10 mg d'office et Oxynorm en réserve comme prescrit par le service de rhumatologie. Suivi en rhumatologie à Fribourg. Mutation de facteur V Leiden avec maladie thrombo-embolique (status post-embolie pulmonaire 2000) sous Xarelto. Syndrome métabolique avec : • diabète de type 2 traité NIR • hypertension artérielle traitée avec cardiopathie hypertensive (FEVG : 65 % écho. 10/2014) • Adipositas BMI 45 kg/m2 • dyslipidémie Hypothyroïdie substituée. Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs. Syndrome lombo-vertébral chronique. État anxio-dépressif. Incontinence urinaire de stress. Tremblement essentiel. Gonalgie gauche chronique sur arthrose. Cataracte. Insuffisance rénale chronique. Reflux gastro-oesophagien. Mutation hétérozygote du facteur V. Hypercholestérolémie traitée. HTA traitée. Mutilation génitale féminine de type 2. Myalgie articulation gléno-humérale droite. Myalgie du péroné court et long à droite. Myalgie paracervicale droite. Myalgies avec suspicion de grippe (notion de contact avec personne infectée par le virus) le 26.03.2019. Myasthénie. Myasthénie grave séropositive (anticorps anti-RAch et anticorps anti-titine) décompensée avec atteinte motrice et respiratoire le 28.01.2019 avec : • Diagnostic en février 2018 (selon patient juin 2018) • Actuellement sous bi-thérapie (corticostéroïdes et Imurek) et traitement symptomatique (pyridostigmine) • Bilan respiratoire janvier 2019 : léger syndrome obstructif avec VEMS 70 % (86 % en décembre 2018), insuffisance respiratoire partielle hypoxémique • Échanges plasmatiques (à 5 reprises) avec amélioration de la symptomatologie • Troubles de la déglutition sévères avec : • Dysphagie sévère aux liquides avec aspiration silencieuse (mise en évidence lors de la vidéofluoroscopie du 27.2.2019) et dysphagie sévère aux solides (difficultés pour la mastication et déglutition +++ d'origine multiple - glossectomie partielle + prothèse inadaptée + cause neurologique) • Après prise en charge logopédique : dysphagie sévère aux liquides avec aspiration silencieuse et dysphagie modérée aux solides • Régime recommandé : 3c (haché fin) • Clinique à l'entrée en neuro-réhabilitation : tête tombante ("drop head"), tétraparésie légère prédominante à gauche, dysphagie sévère aux liquides et aux solides. Test de Simpson le 12.03.2019 : positif après 35 sec, insuffisance respiratoire partielle. Mycose buccale. Mycose buccale le 08.04.2019 • post-antibiothérapie • s/p débridement maxillo-facial le 04.04.2019 Mycose buccale le 13.03.2019. Mycose buccale sur corticothérapie orale le 04.04.2019. Mycose des ongles pieds ddc - sous traitement par Terbinafine depuis Février 2019. Fracture malléole D avec ORIF. Mycose du gland le 08.04.2019. Mycose du siège. Mycose ombilicale, le 10.01.2019. Mycose orale. Mycose orale. Mycose orale • Fluconazole du 18.03 au 25.03.2019. Mycose orale le 21.03.2019. Mycose pied gauche. Mycose pli inguinal droit le 06.03.2019. Mycose submammaire gauche le 15.04.19. Mycose vaginale. Mycose vaginale le 25.04.2019. Mycose vaginale le 28.03.2019. Mycoses vaginales traitées par Gyno-Canesten. Infections urinaires récidivantes. Mycosis Fungoïdes stade initial III • date du diagnostic : 21.01.2009 • histologie de la peau : lymphome cutané à cellules T de type mycosis fungoides variante folliculotrope (biopsie du bras droit, laboratoire de dermatologie Hôpital de l'Île, no 816-09, 817-09) • recherche de monoclonalité : réarrangement clonal pour le gène des chaînes Gamma des récepteurs des cellules T, compatible avec une monoclonalité des cellules T • scanner thoraco-abdominal du 07.05.2009 : lymphadénopathie thoraco-abdominal bi-axillaire, médiastinale, iliaque ainsi qu'inguinale • refus de thérapie cutanée locale à l'Hôpital de l'Île • status post-6 cures de chimiothérapie par Leukeran associées à de la Prednison (20 mg/jour) du 03.11.2009 au 24.03.2010, rémission partielle • status post-thérapie à la Prednisone en monothérapie de mars 2010 à mai 2011 • status post-thérapie à la Prednisone en monothérapie d'avril 2012 (20 mg/jour initialement) puis en dosage régressif, actuellement Prednisone 2.5 mg/jour • status sous thérapie par Roferon d'avril 2014 combinée à une thérapie selon PUVA de juin à juillet 2014 puis octobre à décembre 2014, à partir de mai 2015 Intron 3 x 10 mio./semaine, stabilisation tumorale • status post-radiothérapie à visée curative du mollet gauche, cuisse gauche et dos, de la cuisse droite, hanche gauche et plis du coude gauche, du biceps droit et de la paupière droite du 02.11 au 01.12.2015, 30 Gy • cytométrie de flux et biologie moléculaire (BCR) : pas d'évidence de maladie monoclonale (TCR) • status post-radiothérapie de la tumeur de la lèvre inférieure du 15.02 au 26.02.2016 • status post-thérapie par Caelyx, très mal tolérée, réaction allergique à deux reprises, suspendue début mai 2016 • status post-chimiothérapie par Gemzar du 01.06 au 04.01.2017, très bonne tolérance, excellente rémission • CT-thoraco-abdominal du 08.03.2017 ainsi qu'examen clinique cutané : stabilité tumorale, le 13.03.2017 • progression très rapide au niveau du cuir chevelu avec masse tumorale d'une taille de 15 cm, mi-avril 2017 • biopsie de la masse du cuir chevelu : mucosis fungoïdes de type folliculaire (Pathologie Bern, dermatologie 17-6725) • status post-radiothérapie du vertex 04.05 au 17.05.2017, 30 Gy • status post-radiothérapie du mollet gauche, du genou gauche, cheville gauche, cuisse antérieure gauche, cuisse interne gauche, dos côté gauche, plante du pied droit, pectoral droit, fesse droite interne, fesse droite latérale et fesse gauche, ainsi que mollet gauche de juin à août 2017 • progression du lymphome au niveau du cuir chevelu, au niveau des plantes des pieds, septembre 2017 • status post-radiothérapie du cuir chevelu ainsi que sur les lésions cutanées au niveau de la fesse, de la tempe, du mollet, 30 Gy, août à novembre 2017 • chimiothérapie par Gemzar à partir de novembre 2017, stoppée en automne 2018 • actuellement : surveillance, suivi par Dr. X. Mycosis Fungoïdes stade initial III • date du diagnostic : 21.01.2009 • histologie de la peau : lymphome cutané à cellules T de type mycosis fungoides variante folliculotrope (biopsie du bras droit, laboratoire de dermatologie Hôpital de l'Île, no 816-09, 817-09) • recherche de monoclonalité : réarrangement clonal pour le gène des chaînes Gamma des récepteurs des cellules T, compatible avec une monoclonalité des cellules T • scanner thoraco-abdominal du 07.05.2009 : lymphadénopathie thoraco-abdominal bi-axillaire, médiastinale, iliaque ainsi qu'inguinale • refus de thérapie cutanée locale à l'Hôpital de l'Île • 6 cures de chimiothérapie par Leukeran associées à de la Prednisone (20 mg/jour) du 03.11.2009 au 24.03.2010, rémission partielle • thérapie à la Prednisone en monothérapie de mars 2010 à mai 2011 • thérapie à la Prednisone en monothérapie d'avril 2012 (20 mg/jour initialement) puis en dosage régressif, actuellement Prednisone 2.5 mg/jour • thérapie par Roferon d'avril 2014 combinée à une thérapie selon PUVA de juin à juillet 2014 puis octobre à décembre 2014, à partir de mai 2015 Intron 3 x 10 mio/semaine, stabilisation tumorale • radiothérapie à visée curative du mollet gauche, cuisse gauche et dos, de la cuisse droite, hanche gauche et plis du coude gauche, du biceps droit et de la paupière droite du 02.11 au 01.12.2015, 30 Gy • cytométrie de flux et biologie moléculaire (BCR) : pas d'évidence de maladie monoclonale (TCR) • radiothérapie de la tumeur de la lèvre inférieure du 15.02 au 26.02.2016 • thérapie par Caelyx, très mal tolérée, réaction allergique à deux reprises, suspendue début mai 2016 • chimiothérapie par Gemzar du 01.06 au 04.01.2017, très bonne tolérance, excellente rémission • CT-thoraco-abdominal du 08.03.2017 ainsi qu'examen clinique cutané : stabilité tumorale, le 13.03.2017 • progression très rapide au niveau du cuir chevelu avec masse tumorale d'une taille de 15 cm, mi-avril 2017 • biopsie de la masse du cuir chevelu : mucosis fungoïdes de type folliculaire (Pathologie Bern, dermatologie 17-6725) • radiothérapie du vertex 04.05 au 17.05.2017, 30 Gy • radiothérapie du mollet gauche, du genou gauche, cheville gauche, cuisse antérieure gauche, cuisse interne gauche, dos côté gauche, plante du pied droit, pectoral droit, fesse droite interne, fesse droite latérale et fesse gauche, ainsi que mollet gauche de juin à août 2017 • progression du lymphome au niveau du cuir chevelu, au niveau des plantes des pieds, septembre 2017 • radiothérapie du cuir chevelu ainsi que sur les lésions cutanées au niveau de la fesse, de la tempe, du mollet, 30 Gy, août à novembre 2017 • chimiothérapie par Gemzar à partir de novembre 2017, stoppée en automne 2018 • suivi par Dr. X Mycostatin max 7j 4x/j. Mycostatin 1 ml 4x/j Mycostatin 1 ml 4x/j Mycostatin 1 ml 4x/j jusqu'au 09.04.2019 Fluconazole 400 mg ordre unique Mycostatine Mycostatine, Bepanthen Accélération sevrage VNI Mycostatine du 25.03 au 02.04.2019 Mycostatine 1 ml 4x/j pour une semaine et Fluconazol po 400 mg ordre unique Mycostatine 1 ml 4x/j Mycostatin 10 mL 3X/j. Mycostatine 4x/j pendant 7 jours Chambre d'inhalation, rinçages de bouche post-inhalation Mycostatine 4x/j 1 ml, jusqu'à 48 heures après MYDOCALM cpr pell 150 mg BRUFEN cpr pell 600 mg Mydocalm 150 mg, Brufen 600 mg, pantozol 40 mg, Dafalgan 1 g, ecofenac gel Physiotherapie Arrêt de travail du 15.04.2019 - 16.04.2019 Myélite de type longitudinal extensive transverse myelitis au niveau cervico-dorsal, DD dans le contexte d'une sarcoïdose; • Diagnostic inaugural début janvier 2013 • Auto-anticorps anti-NMO et anti-MOG négatifs, absence de bandes oligoclonales au LCR, IRM cérébrale et potentiels évoqués visuels normaux • Status post multiples récidives sous sevrage progressif de Prednisone malgré un traitement d'azathioprine de février 2013 à octobre 2013 • Réfractaire à un traitement de Rituximab (3 cycles de perfusion entre décembre 2013 et février 2015) ainsi qu'à un traitement d'Endoxan (6 cycles entre mars et août 2015) ; • Evolution clinique stable, voire lentement favorable, depuis l'introduction d'un traitement d'infliximab et de méthotrexate début septembre 2015 • Para-parésie des jambes avec troubles de la marche • Rétention urinaire avec sonde à demeure • Méthotrexate tous les samedis et alendronate les dimanches Sténose dynamique du canal spinal C5-C6 avec : • Discectomie et spondylodèse en 10.2014 (Dr. X) Suspicion d'une sarcoïdose pulmonaire (granulomes non caséeux du médiastin) Syndrome du tunnel cubital et dans une moindre mesure, du tunnel carpien à droite Myélite de type longitudinal extensive transverse myelitis au niveau cervico-dorsal, DD dans le contexte d'une sarcoïdose • diagnostic inaugural début janvier 2013 • auto-anticorps anti-NMO et anti-MOG négatifs, absence de bandes oligoclonales au LCR, IRM cérébrale et potentiels évoqués visuels normaux • status post-multiples récidives sous sevrage progressif de Prednisone malgré un traitement d'Azathioprine de février 2013 à octobre 2013 • réfractaire à un traitement de Rituximab (3 cycles de perfusion entre décembre 2013 et février 2015) ainsi qu'à un traitement d'Endoxan (6 cycles entre mars 2015 et août 2015) • évolution clinique stable, voire lentement favorable, depuis l'introduction d'un traitement d'Infliximab et de Méthotrexate début septembre 2015 • para-parésie des jambes avec troubles de la marche • rétention urinaire avec sonde à demeure • actuellement : Infliximab chaque 5 semaines, Méthotrexate 1x/semaine (samedi), Alendronate 1x/semaine (dimanche) Myélite pluriétagée à prédominance postérieure d'origine indéterminée le 10.04.2019 DD: Paranéoplasique, carcinomateux, toxique. • Symptomatologie: Paraparésie avec atteinte des fléchisseurs, niveau moteur au minimum L2, troubles sphinctériens. Myélofibromatose depuis 2013 en phase fibrotique sous traitement de Jakavi 50 mg/j Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée DD: spondylodiscite, endocardite ECG Labo: CRP 97 mg/l, Lc 45.4 G/l, pas de blaste, neutrophiles 37 G/l Urine propres 3 paires d'hémoculture: négatives Rx thorax: pas de foyer, épanchement basal droit Freka Clyss Avis hémato-oncologique (Dr. X): pas d'origine de la myélofibrose IRM lombaire en ambulatoire le 25.04 Rdv de suivi le 23.04 chez son médecin traitant Consulte les urgences en cas de fièvre, baisse de l'état général. Myélographie fonctionnelle le 07.05.2019 (CIMF) Prochain contrôle le 16.05.2019 Myélome IgG kappa nouvellement diagnostiqué, le 27.03.2019 avec : • multiples lésions focales au niveau de L5 et aile iliaque G Myélome multiple à chaînes légères lambda stade ISS IIIB, avec infiltration diffuse (supérieure à 90%) du tissu hématopoïétique : • Date du diagnostic : 10.10.2018 • Laboratoire initial : créatinine 117µmol/l, calcium corrigé 2.65mmol/l, LDH 409U/l, kappa libre 1'330mg/l, rapport kappa/lambda libre 0.02, hémoglobine 96g/l, bêta-2-microglobuline 10.8mg/l, immuno-fixation positive avec présence de chaînes légères lambda non associées à des chaînes lourdes • CT-Scanner thoraco-abdomino-pelvien du 02.10.2018 : multiples lésions ostéolytiques touchant notamment l'humérus proximal droit, le corps vertébral de L5 et le bassin (principalement au niveau de l'aile iliaque droite) • Echocardiographie transthoracique du 11.10.2018 : fraction d'éjection ventriculaire gauche normale sans argument clair pour une amyloïdose cardiaque • Ponction-biopsie de la moelle osseuse le 11.10.2018 avec biopsie, frottis, cytogénétique et cytométrie de flux : en cours • Actuellement : Dexaméthasone 20 mg 1x/jour le 11, 12 et 13.10.2018 puis introduction d'un traitement de première intention par Revlimid, Velcade et Dexaméthasone ; introduction de Zometa de façon mensuelle dès amélioration de la fonction rénale Toxidermie médicamenteuse avec DRESS le 12.11.2018 (étiologie inconnue) Insuffisance rénale chronique sur probable néphropathie diabétique et hypertensive Cardiopathie hypertensive et rythmique sur : • Fibrillation auriculaire • Hypertension artérielle pulmonaire sévère • Fraction d'éjection ventriculaire gauche conservée en 12.2017 Diabète de type 2 insulino-requérant : • Hémoglobine glyquée à 10.3% en octobre 2016 • Rétinopathie diabétique Obésité Myélome multiple à IgA, stade III selon ISS diagnostiqué le 25.02.2019 avec multiples fractures pathologiques dont status post-fracture de l'humérus diaphysaire droit le 24.07.2018 traitée conservativement Myélome multiple à plasmocytes matures, immunophénotype IgG Lambda, ISS stade I, Durie-Salmon stade IA • date du diagnostic : 19.05.2014 • histologie (Promed P4558.14) : tissu hématopoïétique hypercellulaire avec infiltration interstitielle par des plasmocytes monotypiques, environ 15-20%, positif pour IgG Lambda • cytogénétique : réarrangement IgH avec délétion 3 à 91,5%. Monosomie 13q14.3 à 43,5%, trisomie p21.1 à 2,5% • RX du crâne et du squelette du 08.05.2014 : pas de lésion lytique suspecte • en surveillance depuis 2014 (absence de critères absolus de traitement) Myélome multiple de type IgG Kappa de stade IB selon Durie-Salmon, de stade III selon ISS • date du diagnostic : 06.03.2014 • histologie (Promed P2117.14) : myélome multiple à IgG Kappa • médullogramme du 03.03.2014 : infiltration plasmocytaire dépassant par endroit 50% • cytométrie de flux du 03.03.2014 : matériel inadéquat • cytogénétique et FISH du 03.03.2014 : trisomie 4, 6, 11, réarrangement IgH • IRM du corps entier du 27.02.2014 : absence de lésion ostéolytique sur le squelette axial exploré • anémie de grade I en partie carentielle sur manque d'acide folique ; insuffisance rénale de stade III en partie sur néphropathie hypertensive • traitement de 1ère ligne de type lénalidomide (Revlimid) et dexaméthasone low dose refusé par le médecin-conseil de la caisse-maladie • traitement de 1ère ligne de type bortezomib (Velcade) et dexaméthasone du 27.03.2014 au 21.11.2014, avec très bonne réponse partielle • actuellement : sous traitement par Dexaméthasone 20 mg par semaine depuis décembre 2018 au vu d'une progression tumorale, réponse à la thérapie et poursuite du traitement par Dexaméthasone hebdomadaire Myélome Multiple IgG Kappa en stade initial ISS I, Durie-Salmon IIIA • diagnostic initial : décembre 2013 • présentation initiale avec anémie (Hb 129 g/L), protéines totales à 98 g/L, IgG 47 g/L, chaînes Kappa à 21 mg/L, créatinine et calcium dans la norme. Electrophorèse des protéines sériques avec immunofixation montrant une gammapathie monoclonale IgG Kappa • ponction-biopsie de moelle le 30.12.2013 : infiltration plasmocytaire 20-30% • multiples ostéolyses • IRM colonne lombaire le 10.01.2014 : lésions ostéolytiques multiples avec lésion en D12 (processus transverse) et L1 (pédicule droit) • traitement par Zometa et Dexamétasone en janvier 2014 • status post 4 cycles de thérapie par Velcade, Cyclophosphamide et Dexaméthasone du 12.02 au 30.04.2014 (rémission partielle) • sous traitement par Zometa depuis janvier 2014 • status post traitement par Gemzar et Neupogen le 14.05.2014 suivi d'une aphérèse de cellules souches le 21.05.2014 • 03.06.2014 : très bonne rémission partielle • status post chimiothérapie haute dose par Alkeran le 03.06.2014 suivie d'une transplantation autologue de cellules souches le 04.06.2014 • 30.06.2014 : très bonne rémission partielle • traitement d'entretien par Revlimid depuis 10.09.2014 • depuis septembre 2014 : pas d'indice pour progression tumorale, poursuite traitement par Revlimid • Revlimid stoppé depuis mi-janvier 2016 • Electrophorèse des protéines sériques en février 2016 : protéines totales 77,2 g/L avec IgG à 21,76 g/L et chaînes Kappa libres à 42,8 mg/L Immunofixation sérique : bande monoclonale IgG Kappa : • mars 2016 : progression tumorale, introduction traitement de 2ème ligne (Kyprolis (carfilzomib), Revlimid, Dexaméthasone) • acidose tubulaire rénale type 2 (trou anionique urinaire à 55 mmol/L --> type IV) • Octobre 2017 : progression tumorale avec augmentation des IgG, stop Kyprolis, thérapie palliative par Imnovid et Dexaméthasone Actuellement : • progression tumorale, traitement palliatif par Darzalex, actuellement toutes les 2 semaines • traitement palliatifs par Darzalex toutes les 2 semaines • suivi par Dr. X Myélome Multiple IgG Kappa en stade initial ISS I, Durie-Salmon IIIA en progression • diagnostic initial : décembre 2013 • présentation initiale avec anémie (Hb 129 g/L), protéines totales à 98 g/L, IgG 47 g/L, chaînes Kappa à 21 mg/L, créatinine et calcium dans la norme. Electrophorèse des protéines sériques avec immunofixation montrant une gammapathie monoclonale IgG Kappa • ponction-biopsie de moelle le 30.12.2013 : infiltration plasmocytaire 20-30% • multiples ostéolyses • IRM colonne lombaire le 10.01.2014 : lésions ostéolytiques multiples avec lésion en D12 (processus transverse) et L1 (pédicule droit) • traitement par Zometa et Dexaméthasone en janvier 2014 • 4 cycles de thérapie par Velcade, Cyclophosphamide et Dexaméthasone du 12.02 au 30.04.2014 (rémission partielle) • sous traitement par Zometa depuis janvier 2014 • traitement par Gemzar et Neupogen le 14.05.2014 suivi d'une aphérèse de cellules souches le 21.05.2014 • 03.06.2014 : très bonne rémission partielle • chimiothérapie haute dose par Alkeran le 03.06.2014 suivie d'une transplantation autologue de cellules souches le 04.06.2014 • 30.06.2014 : très bonne rémission partielle • traitement d'entretien par Revlimid depuis 10.09.2014 • depuis septembre 2014 : pas d'indice pour progression tumorale, poursuite traitement par Revlimid • Revlimid stoppé depuis mi-janvier 2016 • Electrophorèse des protéines sériques en février 2016 : protéines totales 77,2 g/L avec IgG à 21,76 g/L et chaînes Kappa libres à 42,8 mg/L Immunofixation sérique : bande monoclonale IgG Kappa : • mars 2016 : progression tumorale, introduction traitement de 2ème ligne (Kyprolis (carfilzomib), Revlimid, Dexaméthasone) • acidose tubulaire rénale type 2 (trou anionique urinaire à 55 mmol/L --> type IV) • Octobre 2017 : progression tumorale avec augmentation des IgG, stop Kyprolis, thérapie palliative par Imnovid et Dexaméthasone Actuellement : • progression tumorale sous traitement par Darzalex • sous Kyprolis, Revlimid et dexaméthasone Myélome multiple IgG Kappa, ISS stade II • Date du diagnostic : février 2019 • Clinique : douleurs dorsales, sudations nocturnes, fatigue • Suivi : Dr. X • Laboratoire (04.02.2019) : gammapathie monoclonale IgG-Kappa (IgG 65/L, Kappa: 324 mg/L ; calcémie, hémoglobine et créatinine normales) • IRM thoracique (31.01.2019) : pas de lyse, adénopathie paravertébrale gauche proéminente • CT thoracique (04.02.2019) : pas de lymphadénopathie, ni ostéolyse • Ponction de moelle (21.02.2019) : myélome IgG kappa plasmocytaire avec infiltration de la moelle de 40% • PET-CT (21.02.2019) : lésions osseuses diffuses axiales, compatibles avec un myélome multiple • Début d'une chimiothérapie d'induction avec : 1er cycle de Velcade, Revlimid 25 mg et Dexaméthasone du 5.03 au 18.03.2019 2ème cycle de Velcade, Revlimid 25 mg et Dexaméthasone du 26.03 au 08.04.2019 Myélome multiple : reprise chimiothérapie par Kyprolis : • + Dexaméthasone 10 mg la veille de la CTH et les jours de la CTH • Premier cycle 28.01-29.01 / 13.02-14.02 / 20.02-21.02 • Deuxième cycle 06.03-07.03 / 13.03-14.03 / 20.03-21.03 Dernière dose de Zometa 3.3mg le 14.10.2018 Myélome multiple IgA Kappa en stade Durie-Salmon II, ISS stade 2 • date du diagnostic : 13.02.2018 • pathologie Promed P2018.1602 : ponction de moelle osseuse : tissu hématopoïétique légèrement hypercellulaire avec infiltration interstitielle et rarement focale et paratrabéculaire 10-30% pas des plasmocytes monotypiques pour IgA Kappa compatible avec infiltration dans le cadre d'un myélome plasmocytaire, positif pour Cycline D1 • IRM lombaire du 30.01.2018 : apparition d'une volumineuse lésion ostéolytique de l'aileron sacré à droite • CT total body du 13.02.2018 : lésion ostéolytique de la 1ère sacrée à droite, densité ovalaire au sein de diaphyse proximale de l'humérus droit • sous traitement hebdomadaire par Dexaméthasone dès février 2018 • actuellement : traitement par Velcade, en association avec la Dexaméthasone, chez une patiente ayant déjà reçu un traitement antérieur, avec réponse insuffisante • Dernières chimiothérapies par Velcade administrées le 23.03 et 29.03.2018 • 27.02 au 13.03.2019 (Revlimid + Dexaméthasone) • Actuellement 1x 20 mg de Dexaméthasone/semaine • Suivi Dr. X Myélopathie cervicale avec signes d'atteinte médullaire au niveau C4-C5 sur : • status post-herniectomie C4-C5 médiane et para-médiane droite avec myélopathie cervicale le 06.12.2017 (Dr. X) Pseudarthrose du niveau C4-C5 Discopathie dégénérative C5-C6 avec protrusion discale médiane et para-médiane à droite Discopathie dégénérative C6-C7 avec protrusion et sténose médiane et para-médiane à droite Myélopathie médullaire dorsale sur sténose D11-D12 et D12-L1 • Scoliose dégénérative lombaire avec rétrécissements foraminaux pluri-étagés et compression radiculaire L4-L5 et L5-S1 G Myélose funiculaire diagnostiquée en 2012 avec : • Anémie de Biermer • Polyneuropathie périphérique sévère aux MI et MS G>D • Troubles sévères de la marche et de l'équilibre Myoclonies sur accumulation de morphine dans un contexte d'insuffisance rénale terminale. Myofibrome en partie sclérosé du scalène chef intermédiaire à droite • Status post-biopsie ouverte le 25.01.2019 Myome sous-séreux de 3cm sur la paroi postérieure Myome utérin calcifié Myopathie de Becker • suivi pulmonaire chez Dr. X à Payerne • suivi cardiologique et neurologique au CHUV • Bloc de branche droit, hémibloc antérieur gauche Myopéricardite le 03.04.2019. • 2/4 critères : ECG et symptomatologie. • Pas d'épanchement péricardique. DD : syndrome coronarien aigu. Myopéricardite virale le 04.04.2018 Myopie. Hypercholestérolémie non traitée HTA traitée Acouphènes bilatéraux depuis 2012 Syndrome lombo-vertébral chronique Myorelaxant et antalgie. Patiente informée des signes qui devraient la pousser à reconsulter. Myosite focale d'origine indéterminée des muscles gastrocnémiens médiaux en 07.2013, possiblement sur Humira. Angor probablement sur pic hypertensif le 02.01.2014. Péricardite aiguë bénigne, le 01.04.2015. Augmentation des CK sous statines (Sortis changé par Crestor) - non daté. Zona ophtalmique en 2003. Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale, le 28.02.2016. Infection urinaire simple le 28.02.2016. Baisse de l'état général d'origine multifactorielle en 02.2016 : • céphalées fronto-temporo-occipitales, le 29.02.2016, dans le contexte d'une artérite giganto-cellulaire (maladie de Horton) confirmée en 07.2015 sur la base d'une biopsie temporale et d'un syndrome cervico-spondylogène modéré. • cervicarthrose C1-C2 sévérissime et suspicion de chondrocalcinose atlantico-axoïdienne (syndrome de la dent couronnée), C4-C5 modérée et C5-C6 sévère. • arthrite psoriasique. • dyspnée d'origine indéterminée. • insuffisance rénale AKIN I d'origine pré-rénale et infection urinaire simple. • déprivation de sommeil et alimentation insuffisante à domicile. Probable exacerbation d'une BPCO sans surinfection bactérienne le 18.04.2016. Urosepsis à E. coli multisensible. Coxarthrose G. IRA AKIN I d'origine pré-rénale le 28.01.2019. Spot urinaire. Mise en suspens des traitements néphrotoxiques. Myosite virale Myringite bulleuse NaBic dans perfusion d'entretien dès le 08.04 NaCl NaCl sous-cutané 08 - 09.02.2019 Restriction hydrique Suivi biologique NaCl 0.9% 1000 ml sur 4h NaCl 250 ml/2h le 16.04.2019 NaCl 500ml flushé NaCl 1000ml/24h Naissance à terme. Naissance à terme par césarienne, PN 3220g S/p IVRS virale avec probable épisode de fausse route de glaires Naissance à terme, pas de complications périnatales Naissance à 36+0 au Dahler, légère hypothermie pas d'autres problèmes périnataux. Naissance à 38 4/7 SG. Status post-coupure du frein de la langue et excision d'un kyste sous-lingual. Naissance à 39 SG, Apgar 9/9/10, pH 7,23/7,33. PN 3145 g (P 10-50), TN 48 cm (P10), PCN 33 cm (P10) BSH. Naissance à 39 6/7e SG, PN 3040 g, bonne adaptation néonatale. Naissance au Daler par césarienne à 38 4/7 SA pour placenta praevia et utérus cicatriciel (1er AVB et 2ème césarienne). Bonne adaptation avec Apgar 8/10/10, pH 7.32/7.35. S/p Pyélonéphrite à e. coli (premier épisode) sur reflux vésico urétéral gauche I° 18.06.2015. S/p Mycose orale 18.06.2015. Naissance par césarienne à 38 semaines d'aménorrhée. Pas d'antécédents. Bonne santé habituelle. Naissance par voie basse à 38 5/7ème, poids de naissance 3270 g (P25-50), taille de naissance 47 cm ( 3 semaines sans amélioration sous Duphalac p.o. et Bulboid rectal, la fille est mise selon avis de Dr. X sous traitement laxatif avec Clean-prep par SNG et une alimentation avec Pregomin Pepti (suspicion d'une intolérance aux protéines bovines). Par la suite l'évolution de la situation durant la nuit reste inchangée malgré l'élimination des selles et nous constatons que l'inconfort abdominal a commencé avec l'introduction initiale de laxatifs. Après réévaluation de l'histoire, l'état actuel et la radiographie, qui n'est actuellement pas en faveur d'une constipation ou d'autres pathologies, tous les traitements sont arrêtés et l'allaitement complet est remis en route. Sous ce régime, Mr. Y reste pendant 24 heures actif et confortable, avec une prise au sein normale en quantité habituelle. En face de cette nouvelle stabilité, elle rentre à la maison avant que nous ayons pu trouver une explication définitive pour son histoire avec > 3 semaines sans transit (DD : maladie de Hirschsprung, APLV, Pseudo-obstruction). Nous restons bien évidemment à disposition pour la réévaluer de manière rapprochée en cas de nouveaux troubles digestifs. Nasal Kontusion den 8.4.2019 nach Sturz. Nasenspray, Nasenspülung, Algifor. Nasenspülung, Nasenspray, antalgie, Bepanthen ong nasal, Pantozol. nasonex spray. Nässende Wunde Unterschenkel links. Mr. Y est hospitalisé pour des investigations et surveillance dans le contexte de la baisse de son état général, altération de la conscience et mauvaise prise alimentaire. Sur le plan digestif, il montre une amélioration de son état avec reprise alimentaire depuis le 3.04, mais souvent encore doit être réveillé pour les repas, mais finit toutes ses quantités. Par la suite, il montre l'évolution très favorable de son état avec le comportement habituel pour lui. Anamnestiquement, la mère décrit une tendance aux régurgitations chez Mr. Y, mais sans inconfort associé. Avec le bilan sanguin, nous pouvons infirmer une cause infectieuse bactérienne et métabolique. Par contre, selon la formule sanguine, il présente une neutropénie et thrombocytose, qui nous dirige par exclusion vers une cause probablement virale de son état. La neutropénie est en amélioration lors de la sortie, et sera à recontrôler par vos soins. Nous n'avons pas d'élément pour une cause tumorale. Le 8.04, nous effectuons un IRM cérébrale afin de clarifier la présence d'un hématome sous-dural, vu lors d'un ultrason trans-fontanellaire, qui revient dans la norme, infirmant l'hématome. Afin de compléter le bilan, nous effectuons le jour même un fond d'œil, qui est également dans la norme. Nausée. Nausée d'origine mixte le 24.4.2019 sur hypertension non traitée, intolérance au fructose, Sirdalud. Nausée sans vomissements d'origine indéterminée. • probablement sur insuffisance pancréatique. DD médicamenteux (Tamsulosin). Nausées. Nausées. Nausées. Nausées aux changements de position. Nausées, céphalées et vomissements. Nausées, céphalées temporales côtés droit, trouble de la vision. Nausées chez une patiente sous chimiothérapie pour : • Carcinome invasif du QSE du sein droit de type NST triple négatif, cT3, G3 cN,cM0 stade IIIA, ER 0%, PGR 5%, Mlb-1 70%, HER-2 non amplifié, traité par chimiothérapie néo-adjuvante, radiothérapie et mastectomie, curage axillaire droit en 2018 avec métastase hépatique en décembre 2018. Nausées dès le 06.03.2019. DD sur oxycontin, constipation. Nausées d'origine indéterminée (DD dans le cadre de sa tumeur) depuis le 16.03.2019. Nausées d'origine indéterminée le 1.4.2019. Nausées et vomissements le 15.04.2019. Nausées et vomissements le 17.04.2019. • dans un contexte de déshydratation. • probable stimulation vagale durant le geste ophtalmologique. Nausées et vomissements le 28.03.2019. Nausées, fatigue et vertige de type tangage. Nausées persistantes dans le cadre de la prise de Flagyl. Nausées : Rediscuter gastroscopie à distance si persistance ou péjoration de la symptomatologie. Constipation : Metamucil, conseil hygiène de vie pour améliorer le transit. Nausées, vomissements. Nausées, vomissements. Nausées, vomissements, maux de tête. Nausée/vomissement. Nausée/vomissements. Mme. Y est un nouveau-né né à terme 37 5/7 SA avec des paramètres à la naissance au-dessous du P3 harmonieusement. Cliniquement, elle ne présente pas de dysmorphie. Dans ce contexte, une alimentation précoce et des contrôles de glycémie sont mis en place. Un CMV urinaire revient négatif. NC. NC. NC. NC. NC. NC. NC. NC. NC. NC. NC. NC. NC - Consultation personnelle du Dr. X. NC - Consultation personnelle du Dr. X. NC - Consultation personnelle du Dr. X. NC - 2ème avis. Né à terme au Daler, césarienne pour échec de provocation. Né à terme avec PN 2.6-2.7. Né à terme avec une bonne adaptation. Épisode de GEA en octobre, avec perte de poids. BSH. Neuro-développement en norme. 01/2018 : Hypoglycémie cétosique idiopathique. ne supporte pas l'amoxicilline : vomissements. Né à terme, césarienne en urgence pour des anomalies du rythme. Hospitalisation en maternité pour suspicion d'infection-maternofœtale. Hospitalisation en Malaisie pour un 1er épisode de bronchiolite à l'âge de 10 mois. Un frère de 7 ans et une sœur de 6 ans. Père, frère et sœur asthmatiques. Né à terme, césarienne en urgence pour des anomalies du rythme. Hospitalisation en maternité pour suspicion d'infection-maternofœtale. Hospitalisation en Malaisie pour un 1er épisode de bronchiolite à l'âge de 10 mois. Un frère de 7 ans et une sœur de 6 ans. Père, frère et sœur asthmatiques. Connue pour le retard de croissance. Né à terme, césarienne en urgence pour des anomalies du rythme. Hospitalisation en maternité pour suspicion d'infection-maternofé tale. Hospitalisation en Malaisie pour un 1e épisode de bronchiolite à l'âge de 10 mois. Un frère de 7 ans et une soeur de 6 ans. Père, frère et soeur asthmatiques. Connue pour le retard de croissance. Né à terme de 39 2/7 opéré à 8 jours de vie pour une transposition des gros vaisseaux (fecit Dr. X). 3 communications inter-ventriculaires résiduelles avec une HTA pulmonaire. Extra-systoles post-opératives. Insuffisance respiratoire aiguë sur bronchiolite à RSV 21.04.16. Réaction cutanée sur enveloppements de lavande. 31.12.18: Fracture supra-condylaire de l'humérus gauche, Gartland 4. Né à terme par AVB avec PN de 3.5 kg. Né à terme par césarienne. Né à terme par voie basse, prise de 3 jours d'antibiotiques par la maman avant la naissance (pour un probable strepto B), pas de fièvre à l'accouchement, pas de prise en charge néonatale. Né à terme, pas de problèmes péri-nataux. Connu pour 2 autres épisodes de bronchiolite, traités ambulatoirement. Né à terme, pas de problèmes périnataux. Né à terme 37 6/7 SA, PN 3700 g (P 75), TN 54 cm (P 90), PC 35.5 cm (P 75), Apgar 2/4/5, aspiration de liquide méconial. Asphyxie péri-natale sévère, pH 6.82 à 2.5 h de vie, traitement par hypothermie 31.01.2019-03.02.2019 à Berne. Encéphalopathie hypoxique-ischémique, Sarnat 2. Né à 34 5/7 SA (Bern) - grossesse gémellaire - avec PDN 1.7 kg, suspicion de syndrome transfuseur - transfusé. Né à 36 3/7 semaines d'aménorrhée par césarienne pour désir maternel, avec une bonne adaptation néonatale 9/10/10. Poids de naissance à 2830 g (P 25-50), périmètre crânien à 34 cm (P 90) et une taille à la naissance à 45 cm (P 25). Hospitalisation pour pyélonéphrite en 10.2018. Hospitalisation pour insuffisance respiratoire sur bronchiolite à RSV, oxygénodépendante en 02.2019. Né à 38 semaines aménorrhée, césarienne élective pour antécédent de césarienne, bonne adaptation néonatale. S/p bronchiolite traitée ambulatoirement le 27.02. S/p hospitalisation du 03.03 au 05.03.2019 pour choc hypovolémique compensé dans un contexte de déshydratation sévère (13%) sur gastro-entérite à Rotavirus. Né à 39 2/7 SG, TN 47 cm, PN 2.840 kg. S/p gastro-entérite à Rotavirus avec déshydratation légère estimée à 3-5%. Né à 39 5/7 par AVB, PN 3930 g (p 75-90), Taille 52 cm (p 50), PC 35 cm (p 25-50). APGAR 9/10/10. Né à 39+6 au Daler par voie basse, strepto B négatif, reste des sérologies négatives. Pas de fièvre chez la mère autour de l'accouchement. PN 4290 g (P 90-95) Taille 52 cm, PC 36.5 cm. Ictère avec Coombs positif sans photothérapie nécessaire. Né à 41 SA, voie basse, bonne adaptation. Né à 41 0/7 SA par césarienne pour utérus cicatriciel, PN 3370 g (P 10-25), TN 50 cm (P 10), PCN 33 cm (< P 3). Né d'une grossesse gémellaire à 34 5/7 SA (Bern), suspicion de syndrome transfuseur - transfusé, poids de naissance 2.3 kg. Ne pas moucher fortement. Se représenter aux urgences en cas de récidive. Ne pouvant pas exclure formellement une atteinte de la cornée, un déplacement du cristallin ou un décollement de la rétine, nous prenons contact avec l'ophtalmologue de garde et transférons le patient aux urgences ophtalmologiques à l'Hôpital Cantonal de Fribourg. Né 3 jours avant terme suite à une césarienne d'urgence sur un cardiotocogramme pathologique avec syndrome de détresse respiratoire à la naissance, motivant un transfert à l'Inselspital pour suite de prise en charge (pas de carnet de santé). S/p surdosage de Gentamycine à la naissance (3 doses journalières au lieu de 1 dose) suivi par l'Inselspital. Dernier contrôle en août 2018 en raison du risque d'ototoxicité revenant normal anamnestiquement. Contrôle rénal dans la norme. Nécessité de soins à domicile 3x/j pour la sonde vésicale, aide au ménage 1x/semaine, curatelle administrative, soins palliatifs Voltigo. Nécrose aseptique spontanée condyle fémoral interne genou G. Gonalgies D d'origine indéterminée (DD : dégénérescence ménisque externe). Nécrose au niveau du fascia. Nécrose avasculaire du condyle fémoral interne genou G stade Ficat II. Nécrose chimique du corps vertébral de L4 : • Status après cimentoplastie le 08.03.2019 pour tassement récent du plateau supérieur de L4 post traumatique. Nécrose de la tête humérale tardive après ostéosynthèse d'une fracture 4 parts de l'humérus proximal gauche le 22.12.2014. Nécrose du moignon des doigts 3-4 main D sur : • status post révision, lavage et ostéosynthèse par 2 vis corticales 1.0 mm le 28.02.2019 sur fracture articulaire ouverte de P3 de D3 et de D4 de la main D le 28.02.2019 avec subamputation pulpaire et du lit unguéal. Nécrose d'un orteil. Nécrose épiploïque sur torsion le 26.08.2017. Nécrose osseuse du corps vertébral de L4. • s/p Cimentoplastie le 08.03.2019 pour tassement récent du plateau supérieur de L4 post-traumatique. Nécrose sèche des 1er, 2ème et 3ème orteils pied D. • Status post stenting de reperfusion pied D le 31.01.2019. Nécrose sèche MTP 5 16.04.2019. • DD ostéomyélite débutante. • sur plaie de plâtre fendu (Fracture Weber B droite 03.02.2019). Nécrose surinfectée du troisième orteil du membre inférieur droit. Née à terme, AVB, bonne adaptation néonatale. PN 3000 g. Difficulté alimentaire dans le contexte d'une IVRS avec une perte de poids estimée à 3%. Otite moyenne aiguë G diagnostiquée le 02.12.2016. s/p RGO traité par Oméprazole. Née à terme, BSH. Née à 37 SA (environ) par césarienne (siège). S/p pyélonéphrite à l'âge de 6 mois : US réalisé, pas de malformations décelées. Née à 39 1/7 par voie basse avec PN à 3230 g. Née à 40 SG, AVB sp. Asthme. Née à 40 4/7 avec PN 3.8 kg. Née par césarienne à terme. Née par césarienne à terme pour siège. Née par césarienne d'urgence pour CTG pathologique, grossesse harmonieuse, pas de problèmes périnataux. Pyélonéphrite à 4 mois, traitée en ambulatoire avec US normal. Née par voie basse à terme, 2ème enfant de la fratrie, soeur de presque 3 ans en BSH. Nég. Nég. Nég. Nég. Nég. Néoplasie endocrine bien différenciée de la tête du pancréas DD carcinome mixte endocrine et acineux dans la ponction ultrasonographique du 01.03.2019. • Ultrason du 01.03.2019 : lésions bien délimitées de la tête du pancréas. Néoplasie endocrinienne multiple de type 1 (MEN-1) diagnostiquée à l'âge de 17 ans (1990). Status post-résection transphénoïdale d'un prolactinome (décembre 1990 - Berne) avec : • insuffisance gonadotrope substituée. • hyperprolactinémie fonctionnelle traitée par cabergoline. • bilan hypophysaire 03.07.2017 : PRL dans la norme, déficit en GH non substitué. Status post-résection d'un insulinome par pancréatectomie caudale avec préservation de la rate (février 1992).Status post-parathyroïdectomie sub-totale : 3 glandes avec implantation 1/3 dans l'avant-bras gauche Status post-syndrome de Zollinger Ellison sur gastrinome duodéno-pancréatique malin (2000) Status post-duodénopancréatectomie totale pour gastrinome métastatique (2007) avec : • diabète pancréatique insulinotraité • status post-iléus mécanique jéjunal sur adhésion (2014) • métastases ganglionnaires mésentériques et rétro-péritonéales (CT abdominal de septembre 2014) • status post-3 cures d'un traitement par DOTOTOC à Bâle en 2015 au vu des adénopathies métastatiques abdominales • actuellement : 2 lésions hypercaptantes au PET Ga-DOTATATE (27.11.2018), évaluation endocrinologie chez le Dr. X et une éventuelle reprise d'un traitement par métabolique par DOTATATE Néoplasie endocrinienne multiple de type 1 (MEN-1) diagnostiquée à l'âge de 17 ans (1990) Status post-résection transphénoïdale d'un prolactinome (décembre 1990 - Berne) avec : • insuffisance gonadotrope substituée • hyperprolactinémie fonctionnelle traitée par cabergoline • bilan hypophysaire 03.07.2017 : PRL dans la norme, déficit en GH non substitué Status post-résection d'un insulinome par pancréatectomie caudale avec préservation de la rate (février 1992) Status post-parathyroïdectomie sub-totale : 3 glandes avec implantation 1/3 dans l'avant-bras gauche Status post-syndrome de Zollinger Ellison sur gastrinome duodéno-pancréatique malin (2000) Status post-duodénopancréatectomie totale pour gastrinome métastatique (2007) avec : • diabète pancréatique insulinotraité • status post-iléus mécanique jéjunal sur adhésion (2014) • métastases ganglionnaires mésentériques et rétro-péritonéales (CT abdominal de septembre 2014) • status post-3 cures d'un traitement par DOTOTOC à Bâle en 2015 au vu des adénopathies métastatiques abdominales • actuellement : 2 lésions hypercaptantes au PET Ga-DOTATATE, évaluation endocrinologie chez le Dr. X et une éventuelle reprise d'un traitement par métabolique par DOTATATE Hyperplasie nodulaire des surrénales (non hypercaptante au DOTATATE ni au FDG) Tabagisme intermittent (+/- 25 UPA) Status post-cholangite et pneumonite en mai 2018 Néoplasie rectale de l'anus et jusqu'à la charnière recto-sigmoïdienne avec métastases ganglionnaires locorégionales et infiltration péri-rectale. Doute sur l'existence de métastases hépatiques (CT thoraco-abdo du 19.12.2018) Fibrillation auriculaire HTA traitée DMLA bilatérale avec cécité avancée (ombre/lumière) Incontinence anale Néphrectomie. Néphrolithiase avec : • calcul caliciel inférieur gauche de 1 cm de grand axe. • calcul du fond caliciel moyen à droite de 7 mm. Augmentation isolée des GGT. Kystes biliaires multiples avec probable hémangiome du foie gauche. Diverticulose colique. Asthme. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Hernie discale lombaire. Néphrolithiase droite avec un calcul de 6 mm datant du 06.04.2019. • pas de dilatation pyélocalicielle. • pas d'argument pour une pyélonéphrite. Néphrolithiase droite avec un calcul de 6 mm depuis le 06.04.2019 avec : • hématurie • cystite. Néphrolithiase gauche en 2015. Lombosciatalgie non déficitaire droite. Césarienne. Néphropathie à IgA. Néphropathie chronique stade 4 avec protéinurie significative et composante d'insuffisance rénale aiguë AKIN 2 pré-rénale et sur produit de contraste le 01.04.2019 probable néphroangiosclérose : • FE urée 27% Nettoyage de la plaie. Nettoyage de la plaie. Anesthésie locale Suture avec Prolen 5.0 Rappel tétanos. Examens effectués aux urgences expliqués à Mr. Y par le médecin. Attitude : ablation des fils à 10 jours chez le médecin traitant. Nettoyage et désinfection de la plaie. Ablation des fils à J10 le 12.04. Reconsulter si signes inflammatoires/infectieux. Nettoyage et désinfection des plaies. Suture par 2 points de la plaie de 2 cm. Contrôle dans 48h au secteur ambulatoire des urgences. Nettoyage NaCl. Pansement pour empêcher friction. Pas de reméchage. Nettoyage plaie eau + savonnée et pansement. Réassurance et conseils d'usage. Arrêt de travail pour 48h pour repos. Neulasta 6 mg sous-cutané à J4 du 1er cycle, le 10.03.2019 Surveillance clinique et biologique Neupogen 30 mio UI du 26.03 au 28.03.2019 Clexane en suspend dès le 28.03.2019 Dexaméthasone 4 mg/j dès le 01.04.2019 Dexaméthasone 3 mg/j dès le 12.04.2019 Dexaméthasone 2 mg/j dès le 15.04.2019 Dexaméthasone 1 mg/j dès le 24.04.2019 : à prévoir Physiothérapie, ergothérapie Approches corporelles Neuro-réhabilitation avec ergothérapie et physiothérapie Évaluation neuropsychologique Neurocentre 09.04.2019 : radiculopathie L4 droite chronique. Neurocytome para-sagittal frontal gauche le 03.04.2019 DD : Subépendymome, Épendymome Neurodermite Pas d'autre maladie connue, pas de médication régulière hormis une homéopathie Neurodol Gel, stoppé par Mr. Y car peu d'effet Morphine MST et réserve anti-douleur Physiothérapie Neurofibromatose. Douleurs intercostales droites d'origine probable musculaire. Radiographie : pas de foyer, pas d'épanchement, pas de pneumothorax. Antalgie. Neuroleptiques en fixe et en réserve Neurolyse pour compression du nerf radial à l'arcade de Frohse du coude droit le 12.09.2016 Cure d'hallux valgus ddc le 29.10.2007 Neuromyopathie de la maladie critique post-séjour aux soins intensifs dès le 11.02.2019 Neuronite vestibulaire de l'oreille droite le 20.04.2019. Neuronite vestibulaire droite le 12.04.2019. Neuronite vestibulaire droite subaiguë le 18.04.2019. Neuronite vestibulaire gauche le 08.04.2019 : • Head impulse test + à gauche. Neuronite vestibulaire gauche le 8.4.2019. Neuropathie démyélinisante avec signe de compression du nerf cubital au niveau du coude gauche avec récidive de syndrome du tunnel carpien à gauche. Status post cure de tunnel carpien gauche le 13.10.2014. Syndrome de tunnel carpien droit résiduel en amélioration. Conflit sous-acromial droit avec tendinopathie du sus-épineux. Cervicarthrose débutante C4-C7. Neuropathie d'origine indéterminée. Extrasystoles. Neuropathie du nerf radial post-opératoire et post-syndrome des loges sur : • Status post réduction ouverte et OS du radius proximal G le 05.04.2018 (Dr. X). • Status post fasciotomie de la loge des extenseurs et du mobile wad le 06.04.2018 avec fermeture secondaire le 11.04.2018 pour un syndrome des loges de l'avant-bras G (Dr. X). Neuropathie optique rétro-bulbaire bilatérale probablement dans le contexte de SEP diagnostiqué en 2001 avec : • ponction lombaire (2001) : liquide inflammatoire avec pléiocytose mononucléée (17) cellules et production intrathécale d'immunoglobuline • potentiels évoqués (2001) : anomalies des PE auditifs et somesthésiques des MS et asymétrie de latence de PE visuels • angio-IRM (2001) : plus d'une vingtaine de lésions hyperintenses en T2, aucune rehaussée par le gadolinium, dans la substance blanche péri-ventriculaire et sous-corticale • examen ophtalmologique du 27.03.2019 : NORB bilatérale Neuropathie périphérique aux membres inférieurs (G10j de vie. • Noradrénaline du 15.04.2019 au 16.04.2019. Meropenem dès le 15.04.2019. Vancomycine du 15.04.2019 au 16.04.2019. CT thoraco-abdominal injecté le 15.04.2019. Cathéter artériel radial gauche du 15.04.2019 au 17.04.2019. Avis Prof. X (chirurgie thoracique) : transfert au CHUV le 23.04.2019 pour révision plaie opératoire et bronchoscopie. Noradrénaline du 15.04.2019 au 16.04.2019. Meropenem du 15.04.2019 au 17.04.2019.Vancomycine du 15.04.2019 au 16.04.2019 Céfépime 2 g 2x/j dès le 17.04.2019 Physiothérapie respiratoire Xarelto 20 mg relayé par HBPM le 18.04.2019, dernière dose le 22.04 à 20h CT thoraco-abdominal injecté le 15.04.2019 Cathéter artériel radial gauche du 15.04.2019 au 17.04.2019 Avis Prof. X (chirurgie thoracique): transfert au CHUV le 23.04.2019 pour révision plaie opératoire et bronchoscopie Transfert au CHUV le 23.04.2019 à 12h (à jeûn, au 15ème étage) Noradrénaline du 18.04 au 19.04.2019 Réanimation volémique ciblée Imodium Noradrénaline en continu à 0.11 mcg/kg/h Normalisée par réhydratation. Normolytoral en réserve Cible hydrique Consignes alimentaires/réhydratation Normolytoral en réserve Itinérol B6 Consignes de réhydratation Normolytoral en réserve Zofran 0,15 mg/kg Normolytoral et Itinérol B6 en R Consignes de gravité rappelées Normolytoral pour compensation des pertes Poursuite traitement symptomatique (Bioflorin, Itinérol) Besoins d'entretien, compensation des pertes et signes de gravité expliqués Normolytoral 100 ml sans vomissement Hydratation fractionnée Consultation si déshydratation Normolytoral 200 ml Itinérol B6 Retour à domicile avec consignes de surveillance et d'hydratation Normolytoral 200 ml Itinérol B6 Retour à domicile avec consignes de surveillance et d'hydratation Normolytoral 200 ml sans vomissement Normolytoral Itinérol B6 Retour à domicile avec consignes de surveillance Normolytoral Itinérol B6 Retour à domicile avec consignes de surveillance Normolytoral Pérentérol Consignes de surveillance données Normolytoral Stimuler hydratation +++ Normoosmolaire hyponatrémie euvolemique à 129 mmol/l le 06.04.2019 • Labo le 10.04.2019: Na 134 mmol/l, osmolalité 283 mosmol/kg • Spot urinaire le 10.04.2019: Na 69 mmol/l, osmolalité 342 mosmol/kg Normozytäre, hypochrome Anémie Notion anamnestique de cirrhose hépatique (stade inconnu) Notion anamnestique de scoliose. Notion d'allergie à l'Aspirine Notion d'angor à l'effort Notion d'arthrite rhumatoïde avec status-post traitement par MTX stoppé. Notion d'asthme dans l'enfance. OP: APP il y a environ 10 ans, OP pour torsion testiculaire dans l'enfance. Notion de bronchite depuis décembre 2018 • expectorations jaunâtres • s/p multiples rx chez le MT selon Mr. Y • Tabac actif 40 UPA Notion de contracture musculaire au niveau dorsale gauche. Notion de corps étranger dans la narine gauche. Notion de crachat hémoptoïque le 07.04.2019 au matin. Notion de diarrhées d'origine indéterminée. DD: bactériennes. Notion de dysphagie aux solides avec vomissements péri-prandiaux sur vidange gastrique ralentie. Notion de fibrillation auriculaire paroxystique, sous Sintrom depuis 2010 Notion de kyste ovarien avec status post occlusion intestinale sur ce kyste, traitée par antibiotiques en 2008 Pyélonéphrite en mai 2010 Hétéro-agression le 20.07.2014 avec: • douleurs musculo-squelettiques cervico-thoraciques • fracture d'ongle dig III gauche • plaies superficielles thoraciques et avant-bras droit Notion de sténose artère carotide interne droite à 50% et gauche à 50% en 2018 • infirmées sur CT cérébral actuel Notion de tentamen à 13 ans. Rétention placentaire post-expulsion fœtale sur interruption volontaire de grossesse tardive à 16 2/7 SA chez une patiente I-geste 0-pare de 18 ans. Dysesthésies sans red flags probablement dans un contexte de prise de myorelaxant à long terme le 24.10.2015. La Mme. Y pourrait amener aux médecins quelques recommandations quant à ses problèmes de santé. La Mme. Y a réussi à obtenir un suivi des consultations par Dr. X. La Mme. Y devrait obtenir de l'aide afin de gérer ses douleurs.Diverticulite du caecum le 30.07.2017. Contusion du genou gauche et de la main droite sur traumatisme le 22.03.2019. Notion d'épisode dépressif traité et suivi par le CPS. Notion d'ingestion volontaire de 2 aimants vers 17H00 et 1 vers 20H00 le 19.04.2019, status post-ingestion de 2 lames de rasoirs le 18.04.2019. Notion d'ingestion volontaire de 3 lames de rasoir le 18.04.2019 vers 17:15 heures avec • douleurs rétrosternales • patient borderline connu • Rx thorax + Abdo et Laboratoire à Riaz Nourrisson à terme 38+3/7 SA. Nous administrons aux urgences de l'Ibuprofen, du Tramadol et du Sirdalud avec une amélioration de la symptomatologie. Nous établissons un arrêt de travail ainsi qu'une ordonnance de physiothérapie avec traitement conservateur. Nous informons la patiente qu'elle ne peut pas conduire après la prise du Sirdalud durant 12 heures. Nous indiquons un contrôle chez le médecin traitant si non amélioration. Nous administrons de l'Arixtra 2.5 mg, Isoket 1 push, Paracétamol 1 g IV, Morphine 2 mg IV et Aspégic 500 mg IV. Nous prenons l'avis du cardiologue de garde de l'HFR Fribourg qui propose un bolus d'Héparine 5000 puis de l'Héparine continue en dose thérapeutique et une dose de charge d'Efient 60 mg. Ce traitement est également administré. Le patient est transféré en ambulance aux soins intensifs de l'HFR Fribourg en vue d'une coronarographie. Nous administrons du Dafalgan, Voltaren et Primperan avec nette amélioration des douleurs et disparition des nausées. Aux urgences, nous effectuons une prise de sang qui montre une hypokaliémie à 3.2 mmol/l, que nous avons substituée. La patiente va prendre encore 2 cp de potassium effervette à domicile, avec un suivi chez le médecin traitant en fin de semaine. L'ECG montre une bradycardie connue, sinon le reste est sans particularité. La patiente rentre à domicile avec de l'antalgie en réserve. Elle va reconsulter les urgences si réapparition de nouveaux symptômes. Nous administrons un grand lavement qui soulage complètement le patient, qui décrit l'évacuation d'une grande masse fécale (estimée à 3 kg selon le patient). Le patient relate d'avoir fréquemment recours à des petits lavements par FrekaClyss vu que les traitements oraux (Movicol, sirop de figue) n'auraient pas suffisamment d'effet. Comme les lavements administrés fréquemment peuvent tout de même irriter la région anale, nous lui prescrivons du Metamucil 1 cuillère à café le matin et à midi à mélanger avec du yaourt ou du muesli. Le patient ne souhaite pas bénéficier d'investigations supplémentaires aux urgences, il relate qu'un bilan par oesophago-gastro-duodénoscopie et colonoscopie serait déjà organisé. Nous administrons un traitement antalgique à base de paracétamol et de myorelaxant par Sirdalud avec information que la conduite est contre-indiquée suite à la prise durant 12 heures. Nous indiquons un contrôle chez le médecin traitant si non amélioration. Nous administrons un traitement par Nexium 80 mg IV puis 8 mg/h d'hydratation IV par NaCl et hospitalisons la patiente au lit d'observation. Nous mettons en place une SNG qui ramène des quantités continues de sang noirâtre. Concernant les douleurs sus-pubiennes et les brûlures mictionnelles avec un syndrome inflammatoire, nous initions un traitement par Rocephin 2 g IV pour une suspicion pyélonéphrite. La radiographie thoracique montre une ascension importante de la coupole diaphragmatique droite et sans air sous les coupoles. Nous avons des difficultés à stabiliser les tensions qui oscillent autour de 100/60 mmHg, avec une FR à 31/min, une tachycardie à 95 bpm et une saturation à 92% sous 6 litres. Nous souhaitions hospitaliser la patiente et envisager une gastroscopie durant la journée du 18.03, mais au vu de la baisse constante de l'hémoglobine, nous prenons l'avis du chef de clinique des soins continus de l'HFR Fribourg et y transférons la patiente aux urgences en ambulance. Attitude REA non discutée avec la famille. Nous administrons 1 mg de Temesta avec amélioration de la symptomatologie. Nous effectuons un ECG qui ne montre pas de signe d'ischémie. Le laboratoire montre des troponines négatives et une hypokaliémie à 3.2 mmol/l. Nous mettons en place une hydratation et le patient reçoit un potassium effervette. Le patient reste stable avec une bonne saturation. Nous retenons une crise d'angoisse et le patient rentre à la maison accompagné par ses parents. Nous proposons un suivi ambulatoire de psychiatrie. Nous adressons la patiente au Team Spine. Fin de traitement. Nous allons réaliser une infiltration diagnostique de la hanche droite. Si cette infiltration est positive, on planifiera l'implantation d'une PTH droite. Nous allons traiter cette coxarthrose conservativement avec des anti-inflammatoires qui devraient être coordonnés par le Dr. X à Meyriez. Au niveau orthopédique, il s'agit d'une patiente à risques pour une prothèse de la hanche. En raison de l'obésité, nous avons un risque maximal élevé pour une infection, dislocation, thrombose et embolie. Pour le moment, ce n'est pas une candidate pour l'implantation d'une PTH. Je recommande une évaluation pour une opération bariatrique et une optimisation de la nutrition. Je suis à disposition pour une réévaluation de l'implantation d'une PTH lorsqu'elle aura perdu du poids. Nous attendons le résultat de l'électrophorèse Hb, recherche de thalassémie, électrophorèse des protéines totales par l'Hôpital Cantonal d'Aarau, qui seront transmis au médecin traitant. Nous donnons à la patiente du Voltaren gel pour une application localement. Nous attestons un arrêt de travail à 100% jusqu'au 15.05.2019. Prochain contrôle au début juillet 2019 afin de réévaluer la situation après la reprise du travail. En cas d'altération clinique dues au stress professionnel, un bilan neuropsychologique pourra être envisagé. Nous autorisons le patient à reprendre le vélo tout terrain ainsi que toutes les activités de la vie quotidienne sans limitation. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Nous avons constaté une amélioration des douleurs dans le coude G grâce à l'adaptation du travail et la physiothérapie. Nous avons décidé de poursuivre la physiothérapie. Le patient doit continuer également l'adaptation du travail pour les deux prochains mois, c'est-à-dire jusqu'au prochain contrôle clinique. Nous avons décidé de poursuivre le traitement conservateur pour le diagnostic susmentionné. Le patient n'a pas de vraie douleur au niveau de la syndesmose qui est stable au contrôle clinique. Nous allons débuter une marche en charge progressive avec VACOped. Amélioration progressive de la fonction articulaire de la cheville et amélioration de la proprioception. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 17.03.2019, reprise à 100% à partir du 18.03.2019. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Nous avons décidé d'effectuer un ENMG pour l'étude du nerf cubital chez le Dr. X. Par la suite, elle reviendra chez nous pour discuter des résultats. Prescription d'un nouveau bon de physiothérapie. Nous avons diagnostiqué un pouce de skieur. Traitement par gantelet pour trois semaines, ensuite traitement ergothérapeutique intensif. Cette patiente, comptable, a bénéficié d'un arrêt de travail de 100% dès le 26.01.2019 jusqu'au 04.02.2019, date de reprise de travail à 100%. Nous avons contrôlé la patiente le 26.01, les 06.02, 21.02, 06.03, 27.03 et le 17.04.2019 pour clôturer notre traitement. Nous avons discuté avec la patiente de la possibilité d'une intervention pour éliminer toutes les adhérences au niveau du tendon extenseur. La patiente préfère réfléchir à cette possibilité. On va réserver une date provisoire pour l'intervention le 03.06.2019. Prochain contrôle clinique pour confirmation de l'intervention dans 1 mois. Nous avons discuté avec Mr. Y, le meilleur traitement serait une intervention chirurgicale avec réinsertion au niveau du radius proximal du tendon distal du biceps. Mr. Y est d'accord avec cette procédure et signe le consentement pour l'intervention après avoir reçu toutes les explications des éventuels risques et complications possibles. Programmation de l'intervention pour la fin de cette semaine en ambulatoire. Nous avons discuté avec Mr. Y pour continuer avec la pommade anti-inflammatoire. On arrête le plâtre et on garde la syndactylie encore 3 semaines surtout quand il est en dehors de la maison. Il pourra reprendre les activités physiques d'ici un mois. Nous avons donc une suspicion d'une fascéite plantaire du côté D, liée probablement à l'immobilisation et au début de la charge, avec surcharge de l'avant-pied et donc montrant une certaine raideur. Pour ces raisons, il faut travailler en physiothérapie avec stretching, extension dorsale du pied. Prise d'antalgie au besoin. Elle sera également vue par les rhumatologues afin d'exclure la présence d'un Sudeck. Nous la reverrons pour un contrôle radio-clinique dans 4 semaines. Nous avons envisagé des infiltrations de la bourse pré-achilléenne chez Mme. Y, ce qu'elle ne souhaite plus pour le moment en regard de la bonne évolution. Poursuite de la physiothérapie, onde de choc. Nous prescrivons encore un bandage de type achillotrain pour le soutien et pour essayer de remettre des chaussures normales grâce à ça. Mme. Y doit se faire opérer pour une hernie abdominale. Elle nous recontactera suite à l'opération pour un prochain contrôle clinique. Nous avons expliqué à Mme. Y que le problème est au niveau de l'articulation scapho-lunaire pour ce déplacement de l'os dorsal, de l'os scaphoïde et palmaire de l'os lunatum. La solution est d'effectuer une reconstruction de ce ligament afin de repositionner correctement le scaphoïde et le lunatum. Nous avons proposé une intervention par arthroscopie diagnostique du poignet D et reconstruction du ligament scapho-lunaire. L'intervention a été fixée au 29.04.2019. Mme. Y, après discussion avec l'opérateur, a signé le consentement. Nous avons expliqué à Mr. Y que s'il n'y a pas de douleur ou limitation dans ses activités habituelles et sportives, il n'a pas besoin de faire une ablation du matériel d'ostéosynthèse. Mr. Y est d'accord avec nous donc on termine ce jour le traitement. S'il change d'avis, il pourra nous contacter pour fixer un rendez-vous. Nous avons posé l'indication opératoire. Mise en place d'une attelle Stack en attendant l'opération qui est prévue mardi 23.04.2019. Mr. Y a donné son consentement écrit et oral. Nous avons pris l'avis du Dr. X, nous organisons une IRM lombaire. La suite de la prise en charge sera faite chez le médecin traitant. Nous avons remis en place de la crème Bepanthène Plus. Nous n'avons pas mis de pansement, nous avons laissé à l'air. Elle verra son médecin traitant demain le 08.04.2019 à Paris. Elle doit continuer à utiliser la crème Bepanthène Plus pour quelques jours et elle ne doit pas se maquiller. Un certificat pour un arrêt de travail de 3 jours a été fait. Nous avons revu tout le dossier de Mr. Y ce jour. D'un côté, il a des troubles et des douleurs mécaniques qui sont liés à l'articulation tibio-talaire médiale. D'autre part, il présente des douleurs au niveau du LFTA. L'IRM de 2017 n'a pas montré de lésion tendineuse ni ligamentaire ou cartilagineuse. Le corps du muscle péronier est très bas ce qui peut provoquer un conflit du côté latéral mais cela n'expliquerait pas les douleurs en médial. Celles-ci peuvent être liées à l'arrière-pied en varus. Nous discutons de la situation avec Mr. Y, à noter qu'il n'a pas apporté son dossier de la clinique SUVA. Dans un premier temps, nous prescrivons des semelles avec un coin en pronation afin de le soulager. Nous allons faire des radiographies type Salzmann pour évaluer l'axe de l'arrière-pied. Nous le reverrons 6 semaines après la mise en place de semelles et il apportera son dossier de la SUVA. Si nécessaire, nous le compléterons par un arthro-CT. Nous avons rincé abondamment la plaie avec de la Bétadine diluée puis avons tenté de fixer le lambeau via 3 points simples. La plaie sera contrôlée par le médecin traitant à 48 heures et les points seront enlevés à 14 jours. Nous avons tout de même fait un laboratoire pour évaluer les tests hépatiques vu que Mr. Y ne se rappelle pas s'il a tapé contre le volant ou pas. Les tests sont revenus dans la norme. Nous avons fait une radiographie de la colonne cervicale vu les douleurs à la palpation douloureuse au niveau des muscles sterno-cléido-mastoïdiens et de la colonne dorsale qui n'ont pas montré de fracture ni de tassement. Nous retenons donc une contusion sur un mouvement d'hyperextension cervicale. Nous donnons de l'antalgie avec Dafalgan et Brufen avec une protection gastrique. Nous conseillons à Mr. Y de consulter son médecin traitant si les douleurs continuent. Nous avons une suspicion de douleurs liées à la croissance dans le cadre d'un Morbus Osgood Schlatter. Nous allons commencer un traitement par étirement et renforcement musculaire par physiothérapie. En ce qui concerne la lésion fémorale, nous positionnons l'indication pour une étude approfondie par IRM. Nous la reverrons à la consultation de Dr. X après avoir les résultats. Nous changeons aujourd'hui le plâtre BAB par un BAB fendu. Il doit commencer la physiothérapie avec mobilisation du coude hors plâtre avec strict flexion/extension 90-0-0° sans supination et pronation. Nous commençons d'abord par un traitement conservateur avec de la physiothérapie selon le schéma de Stanish pour augmenter la force et la souplesse des tendons. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. En cas d'échec, nous discuterons d'une infiltration ou d'un traitement chirurgical. Nous commençons l'ergothérapie et la physiothérapie avec une mobilisation du poignet libre selon douleurs et une charge progressive. Nous la reverrons dans 4 semaines pour un contrôle clinique avant un long voyage à l'étranger. Nous complétons le bilan de ces pertes d'équilibre par un examen neurologique. Sur le plan thérapeutique, nous proposons une nouvelle infiltration loco-dolenti L5-S1. Prochain contrôle après ces examens. S'il s'avère que le bilan neurologique est négatif, nous pourrons encore envisager un bilan ORL. Nous complétons le bilan par un CT-scanner abdominal qui montre une appendicite avec un abcès phlegmoneux de 7 mm sur 2 cm (perforée?), sans air libre ou liquide libre. Nous demandons l'avis du Dr. X, chirurgien. Nous transférons Mme. Y à l'HFR Fribourg pour une prise en charge au bloc opératoire. Nous concluons à des lombalgies et cervicalgies non déficitaires. Nous ne retenons pas d'argument pour des hernies cervicales ni lombaires. Nous proposons à Mme. Y de rentrer à domicile avec traitement symptomatique. Nous concluons à des pseudo-vertiges d'origine probablement vaso-vagale ou psycho-somatique. Nous ne retenons pas d'arguments pour une origine centrale. En cas de persistance de la symptomatologie, nous invitons Mme. Y à prendre contact avec son médecin traitant. Nous concluons à une entorse simple du ligament collatéral latéral du genou droit pour laquelle nous proposons un traitement anti-inflammatoire et une contention par bande élastique. En cas de persistance des symptômes, Mme. Y consultera son médecin traitant. Nous concluons à une épididymite, pour laquelle nous proposons une antibiothérapie. Nous couvrons également les chlamydia au vu du jeune âge de Mr. Y, et l'absence de dépistage récent. Lors du contrôle clinico-biologique du 02.05.2019, l'antibiothérapie sera modifiée ou prolongée en fonction des germes retrouvés.Nous concluons à une probable décompensation aiguë d'une BPCO et nous instaurons un traitement avec aérosols itératifs avec une bonne réponse clinique de la part du patient. Suite à l'examen biologique rassurant, nous recommandons lors de son retour au RFSM de Marsens l'instauration d'aérosols 4x/jour, dont 2 avec Pulmicort. Nous recommandons aussi l'instauration d'une corticothérapie de courte durée par Cortisone 50mg 1x/jour pendant 5 jours puis arrêt. Concernant la tachycardie supraventriculaire à 140bpm, le patient reçoit du Dilzem 12.5mg en 5 minutes avec bonne réponse clinique et un traitement de Dilzem 90 retard 1x/jour est instauré. La nécessité du traitement sera à réévaluer à 1 semaine. Suite à une période de surveillance satisfaisante aux urgences ainsi qu'un état clinique en nette amélioration et une saturation en oxygène à 94% à l'AA, le patient est transféré au RFSM de Marsens en ambulance. Nous concluons donc à une angine bactérienne et prescrivons à Mme. Y une antibiothérapie de 5 jours. Par ailleurs, la patiente présente une tension artérielle élevée; nous vous suggérons donc de prévoir un suivi en ambulatoire. Nous concluons donc à une angine bactérienne et prescrivons à Mr. Y une antibiothérapie de 5 jours. Nous concluons pour une angine virale au vu de myalgies au début de la présentation, de la présence de toux, de l'absence d'adénopathie cervicale et de l'absence de notion de contage. La présence de dépôts amygdaliens pouvant être liée également à une angine virale. Un traitement symptomatique est mis en place. Nous confirmons la présence d'une rupture complète du ligament croisé antérieur avec une blessure du ménisque externe avec possible lésion type anse de seau. Chez ce patient très actif, nous proposons la reconstruction du ligament croisé antérieur. Nous effectuerons dans le même temps une arthroscopie avec évaluation du ménisque et éventuellement une refixation ou débridement et ensuite reconstruction du ligament croisé avec une greffe du tendon quadriceps. Nous expliquons l'opération et les risques au patient qui nous donne son consentement écrit. L'opération est prévue le 24.04.2019 après consultation avec l'anesthésie. Nous confirmons l'intervention prévue le 30.04.2019. Nous conseillons à la maman de garder encore la semelle rigide pour 2 semaines. Nous la reverrons pour un contrôle radioclinique dans 4 semaines. Nous conseillons à Mr. Y d'enlever le gilet orthopédique et de faire lui-même la mobilisation du coude en flexion-extension. Nous lui prescrivons de la physiothérapie de mobilisation active assistée de l'épaule. Nous le reverrons pour un contrôle radioclinique dans 6 semaines (à 3 mois de l'accident) soit le 04.06.2019. Nous conseillons à Mme. Y de bien contrôler cette croûte et de nous contacter en cas de rougeur, tuméfaction ou d'écoulement. Pour le reste, poursuite des ondes de choc et contrôle comme prévu le 06.05.2019. Nous conseillons à Mme. Y de garder l'attelle lors des transports jusqu'à l'école pour encore 3 semaines puis on stoppe tout. Le traitement prend fin ce jour le 28.03.2019. Nous conseillons à Mme. Y de retourner chez son dermatologue habituel afin qu'il contrôle la prise de prélèvement. À noter également de multiples plaintes psychosociales, raison pour laquelle nous encourageons son médecin traitant à organiser une consultation psychiatrique ou psychologique. Pas de nouveau contrôle prévu, nous restons à disposition au besoin. Nous conseillons à Mme. Y des exercices quotidiens de stabilité posturale avec allongement de la chaîne antérieure et raccourcissement de la chaîne postérieure; nous majorons les séances de physiothérapie. Prochain contrôle dans 4 à 6 semaines pour refaire le point. Nous conseillons à Mme. Y qui a déjà commencé des séances de physiothérapie pour dégonfler la cheville de continuer avec celles-ci, ainsi que l'Aircast pour les 5 prochaines semaines. Poursuite de la Clexane vu qu'elle n'arrive pas à poser le pied par terre à 100%. La patiente souhaite reprendre le travail à partir de cette semaine; elle aura la possibilité de se faire amener par quelqu'un, ainsi que de surélever la jambe le temps nécessaire. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 5 semaines soit le 03.06.2019. Nous conseillons à Mr. Y de continuer à marcher en charge avec l'attelle Aircast pour les 5 prochaines semaines et de gentiment abandonner les cannes anglaises. Il pourra commencer de la physiothérapie de mobilisation de la cheville à partir de la 4ème semaine post-accident. Il va reprendre le travail (employé de commerce) à partir du 28.04.2019. Nous le reverrons pour un contrôle clinique à 6 semaines de l'accident soit le 28.05.2019. Nous conseillons à Mr. Y de gentiment abandonner la canne et l'attelle Aircast. Prolongation de la physiothérapie de renforcement musculaire de la cheville, ainsi qu'un traitement de stretching de la fascia plantaire. Vu le type de travail du patient, nous prolongeons l'arrêt de travail jusqu'à la fin du mois de mai et nous le reverrons à ce moment pour un contrôle clinique. Nous conseillons à Mr. Y de porter encore l'attelle thermoformée pendant 4 semaines la nuit et de cesser progressivement, sur les 2 prochaines semaines, l'attelle thermoformée le jour. Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines pour évaluer la possibilité d'une reprise du travail. Nous conseillons à Mr. Y d'utiliser un coussin lombaire de support lorsqu'il conduit (ordonnance remise ce jour). Nous ne prévoyons par contre pas de nouveau contrôle au vu de l'évolution favorable. Nous conseillons de l'antalgie, donnons un arrêt de travail. Suite de prise en charge chez le Dr. X, orthopédiste. Nous conseillons l'application d'une crème cicatrisante et antiseptique. Mme. Y sera revue par son médecin traitant la semaine du 15.04.2019. Nous conseillons un contrôle chez pédiatre pour une organisation de prise en charge chez un dermatologue ou un autre spécialiste. Nous conseillons un traitement local avec application d'huile de genévrier afin de soulager ces contractures musculaires et au vu de l'évolution globalement favorable, nous agendons un prochain contrôle pour le mois de juillet 2019. Nous expliquons au patient que suite à cette intervention, une année pour une récupération totale peut être nécessaire et qu'il est possible que des douleurs aux MI et aux MS soient persistantes. Nous considérons cette dyspnée d'origine multifactorielle avec une composante probablement cardiaque et une composante pulmonaire. Concernant la composante cardiaque, nous introduisons des doses initiales de Torasémide. Concernant la composante asthmatiforme, nous augmentons l'administration de Flutiform à 2x/j et introduisons du Ventolin en R. Nous lui conseillons de réconsulter auprès de son médecin traitant afin d'évaluer l'efficacité de ces traitements. Si péjoration des symptômes, réconsulter rapidement. Nous constatons aujourd'hui deux problèmes: il y a une importante raideur articulaire qu'il faut traiter avec de la physiothérapie de manière intensive avec une mobilisation libre dès aujourd'hui avec des charges progressives selon les douleurs. De plus, nous constatons une faiblesse du muscle deltoïdien sans activité dans le testing. Pour cette raison, nous organisons un ENMG avec le patient et nous le reverrons par la suite pour discuter des résultats. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 21.04.2019. Nous constatons, ce jour, une bonne amélioration de la condition douloureuse et de la force du patient. Poursuite de la physiothérapie et de l'ergothérapie afin de regagner 100% de la condition de force et enlever complètement les douleurs au niveau du coude. Prescription de nouveaux bons pour physiothérapie et ergothérapie. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 05.05.2019. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines.Nous constatons ce jour une minime asymétrie dans le test du tiroir antérieur mais un tilt latéral symétrique. Nous proposons un traitement conservateur avec renforcement musculaire et stabilisation. Elle peut arrêter de porter l'Aircast et abandonner les cannes. Prochain contrôle clinique dans 8 semaines. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 05.05.2019 puis reprise à 100%. Nous constatons une évolution favorable durant le séjour aux urgences après la prise d'une antalgie par Ecofenac, Sirdalud et Morphine (8mg). Il peut rentrer à domicile avec une antalgie per os. Nous continuons avec la même procédure, c'est-à-dire les massages. Je le reverrai lorsqu'il marchera. On décidera à ce moment-là s'il faudra mettre une semelle à 3 points. La maman va se réannoncer chez nous. Nous continuons avec le traitement conservateur avec physiothérapie pour renforcement musculaire, stabilisation, pas de pivot pour l'instant. Pour le sport et la gymnastique ou au travail, la patiente doit porter une genouillère élastique avec des charnières rigides. Prochain contrôle clinique fin mai. Nous contrôlons le plâtre et nous faisons l'adaptation de la berge antérieure. Nous désinfectons par Bétadine, nous faisons pansement par Aquacel Extra et Mepilex Border. Le rendez-vous de contrôle à la policlinique d'orthopédie sera à anticiper dès que possible (maintenant prévu pour le 02.05.2019, à anticiper). Nous convenons d'un traitement conservateur, en prévenant la patiente qu'elle doit éviter tout choc direct dans cette région en raison de l'ostéopénie et du risque de fracture. Par contre, elle peut se mobiliser librement selon douleur. Nous encourageons fortement l'instauration d'un traitement par biphosphonate. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois avec un nouveau CT du bassin. Nous restons à disposition dans l'intervalle. Nous décidons alors d'une fin de suivi en policlinique d'orthopédie et le patient se rendra chez son médecin traitant à la fin de la semaine pour un dernier contrôle clinique. Le patient travaille comme ingénieur, il a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 10.04.2019 au 26.04.2019, il est autorisé à reprendre son activité à 100% dès le 27.04.2019. Nous décidons de continuer le 2ème bon d'ergothérapie jusqu'à la fin. Arrêt de travail à 100% du 11.12.2018 au 10.02.2019. 50% du 11.02.2019 au 27.02.2019. 25% du 28.02.2019 au 13.02.2019. 0% dès le 14.03.2019. Fin de traitement le 27.03.2019. Nous décidons donc de refaire des plâtres redressant ddc. Nous le reverrons dans 1 semaine pour refaire des plâtres afin d'assurer la bonne position. Dès que celle-ci sera atteinte, nous ferons des radiographies de contrôle. Nous décidons d'un commun accord avec la maman de ne pas trépaner l'ongle pour ne pas faire de fracture ouverte et éviter ainsi l'antibiothérapie. Waris prendra des anti-douleurs et si les douleurs sont trop importantes malgré tout, elle reconsultera pour une éventuelle trépanation bien que l'hématome risque plus tard d'être totalement constitué. Nous demandons l'avis du chirurgien de garde, le Dr X. Au vu d'une hernie qui s'est réduite spontanément et d'un examen clinique rassurant, nous laissons le patient rentrer à domicile. Le Dr X transmet ses coordonnées et le patient prendra rendez-vous le lendemain à sa consultation où il sera discuté d'une prise en charge opératoire. Si les symptômes réapparaissent avec des douleurs importantes et une hernie qui ne se réduit pas, nous lui conseillons de reconsulter aux urgences. Nous demandons l'avis du Dr X, chirurgien. Nous expliquons au patient le traitement et organisons la suite de la prise en charge à la policlinique de chirurgie avec un contrôle dans 10 jours. Nous demandons l'avis du Dr X, chirurgien. Nous faisons un CT-scanner des tissus mous du cou. Nous retenons le diagnostic d'abcès sous périosté sur infection dentaire 35. Nous instaurons un traitement par Co-Amoxicilline 2,2g IV 1 dose à 13h. Nous demandons l'avis de l'ORL de garde, qui nous conseille de prendre un rendez-vous chez un dentiste en urgences. Le patient a donc rendez-vous à 17h45 pour un contrôle chez le Dr X, dentiste de garde. Nous demandons l'avis du Dr X, chef de clinique, et du Dr X, chirurgien, qui suggèrent un ultrason abdominal. Sur la base du laboratoire et de l'ultrason abdominal rassurant, nous concluons à une gastrite. Le patient rentre à domicile avec un traitement IPP 10 jours. Contrôle chez le médecin traitant à 5 jours pour réévaluer l'indication d'une oeso-gastro-duodénoscopie. Nous demandons un avis au psychiatre de garde et une indication à une hospitalisation en volontaire au RFSM Marsens est indiquée. La patiente quitte l'hôpital accompagnée de sa cousine. Nous demandons un avis au psychiatre de garde qui vient évaluer le patient et qui ne met pas en évidence de risque suicidaire, mais un état de crise dû à ce conflit familial. Le patient quitte les urgences avec 2 comprimés de Temesta pour la nuit et prendra rendez-vous le matin du 09.04 en urgences pour un suivi psychiatrique ambulatoire. Nous demandons une radiographie de la jambe qui ne montre pas de fracture. L'ultrason du tendon d'Achille montre une rupture partielle à la jonction myotendineuse avec un hématome du tiers distal du mollet droit. Nous immobilisons la jambe droite dans un Vacoped avec le protocole de rupture de tendon d'Achille. Nous mettons en place de la Clexane prophylactique 40 mg SC 1x/24h avec des cannes anglaises. Il prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans une semaine. Nous expliquons au patient qu'en cas de syndrome des loges (forte douleur au mollet), il devra reconsulter les urgences. Nous désinfectons la plaie avec une solution bétadinée et nous anesthésions localement par Rapidocaïne 1%. Nous réalisons 2 points de suture avec du Prolène 5-0, nous posons un pansement stérile. Le vaccin anti-tétanique a été réalisé. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant dans 12 jours pour l'ablation des fils. Nous désinfectons la plaie avec une solution bétadinée et nous anesthésions localement par Rapidocaïne 1%. Nous réalisons 3 points de suture avec du Prolène 5-0, nous posons un pansement stérile. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant dans 12 jours pour l'ablation des fils. Nous désinfectons avec de l'Hibidil et appliquons un pansement stérile. Vu l'examen clinique rassurant, la patiente rentre à domicile accompagnée par ses parents. Le suivi se fera chez le pédiatre. Nous désinfectons la plaie à la Bétadine, posons un champ stérile et anesthésions avec Rapidocaïne et Bicarbonate. À l'exploration, nous visualisons l'appareil extenseur sans lésion et il n'y a pas d'arthrotomie de la 1ère métacarpophalangienne. Nous suturons par Ethilon 4-0 et appliquons un pansement Adaptic. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle de plaie à 48h et l'ablation des fils à J10. Nous désinfectons la plaie avec de la Bétadine, rinçons abondamment avec du NaCl et suturons par 2 points simples à l'Ethilon 5.0 sous anesthésie locale. Le tétanos est à jour. Le patient peut regagner son domicile le jour même avec une antalgie simple en réserve. Il sera suivi régulièrement pour la réfection du pansement tous les deux jours et l'ablation des fils à J14 par son médecin traitant. Nous discutons à nouveau avec le patient de la mise en place d'une prothèse totale de la cheville G par une ostéotomie du péroné distale. L'intervention est prévue le 26.04.2019 avec le professeur X de l'hôpital de l'Ile à Berne. Ce jour, il signe à nouveau le consentement.Nous discutons avec la patiente de la nécessité de faire un traitement topique avec application d'huile de genévrier. Nous jugerons par la suite de l'évolution. La composante musculaire est actuellement prédominante. Il n'y a pas de franche indication pour la suspicion d'un syndrome facettaire qui pourrait être responsable des douleurs en raison de la fixation antérieure sur plusieurs niveaux. Si dans trois mois il ne devait pas y avoir d'amélioration avec le traitement instauré, une nouvelle IRM cervicale pourrait éventuellement être organisée. Nous discutons avec la patiente des différentes composantes de la symptomatologie. Concernant l'incontinence urinaire, son médecin traitant a déjà organisé un contrôle auprès d'un urologue (contrôle qui n'a pas encore été effectué) dans le contexte d'une suspicion de cystocèle. Radiologiquement, nous ne trouvons pas de justification à ces troubles. L'altération subjective de la sensibilité et de la faiblesse bilatérale des MI n'est pas non plus justifiée par l'imagerie. Nous proposons donc un bilan neurologique afin de mettre en évidence une éventuelle dénervation aiguë ou une altération périphérique spécifique. Enfin, les douleurs ressenties dans les fesses et irradiant dans les MI sont plutôt liées à un syndrome sacro-iliaque G. Pour l'instant, la patiente refuse toutefois l'infiltration que nous lui proposons à ce niveau. Elle préfère bénéficier du bilan neurologique et faire le point par la suite. Nous discutons avec la patiente et la rassurons quant à la très bonne évolution. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition car sur une longue période, puisque la symptomatologie est liée à un kyste articulaire, la patiente pourrait développer des symptômes sur une compression chronique. Dès lors, nous informons la patiente de nous recontacter pour une nouvelle évaluation clinique. Nous discutons avec la patiente et son époux de la symptomatologie liée à la lésion et lui montrons les images. Nous discutons également du pourcentage annuel de risque de récidive des symptômes et des risques de saignement du cavernome. Une réévaluation neurologique est prévue pour le 27.06.2019. Nous organisons également une nouvelle IRM au début juillet ainsi qu'un contrôle à notre consultation après cet examen. Selon la persistance ou non de troubles épileptiques, d'une éventuelle récidive de symptomatologie ou d'un élargissement de la lésion qui pourrait faire penser à un nouveau saignement, une éventuelle intervention chirurgicale pourra être discutée, en considérant que la région anatomique pré-centrale (Hand Notch) nécessitera probablement un neuromonitoring en intra-opératoire. Nous rediscuterons de ceci selon l'évolution clinique et selon l'imagerie. Si tout devait être dans la norme, une poursuite du traitement conservateur avec contrôle périodique chaque année sera organisé. Nous discutons avec le patient concernant l'augmentation de son pourcentage de travail mais actuellement le taux de 50% s'avère être le taux maximal possible en raison de la fatigabilité que présente le patient. L'intervention a été effectuée au mois de septembre et l'évolution telle que décrite au-dessus est dans la norme, il est donc raisonnable de poursuivre l'arrêt de travail à 50% pour les 6 prochains mois, jusqu'à une année post-opératoire. Nous nous attendons encore à une certaine amélioration concernant la symptomatologie dorso-lombaire. Le patient nous informe avoir fait la demande pour pouvoir prendre une retraite anticipée, qui serait prévue dans 14 mois. Prochain contrôle au mois de septembre. Nous discutons avec le patient de l'éventualité de l'implantation d'une prothèse mais le patient n'est actuellement pas motivé pour une prise en charge chirurgicale. Il souhaite continuer avec un traitement conservateur. Nous prescrivons de la physiothérapie et de la balnéo-thérapie et prévoyons un contrôle d'ici 2 ans. Nous discutons avec le patient des différentes alternatives thérapeutiques. Au vu de l'absence de déficit neurologique récent et d'un traitement encore incomplet, nous lui proposons donc dans un premier temps une infiltration péri-radiculaire L3 G sous CT puis le reverrons ensuite 3 semaines après ce geste pour refaire le point. En cas d'échec de cette prise en charge, nous pourrons envisager une éventuelle chirurgie de séquestrectomie. Nous discutons avec le patient des différentes options thérapeutiques avec la possibilité d'effectuer une 2ème infiltration ou de prolonger le traitement physiothérapeutique. Nous soulignons encore une fois qu'une intervention de décompression undercutting L4-L5 par la gauche avec herniectomie L5-S1 serait l'option optimale. Le patient et son épouse acceptent cette indication, une date opératoire est agendée pour le 13.05.2019 et le consentement éclairé est expliqué puis remis au patient pour réflexion et signature. Nous discutons avec le patient des différentes possibilités de traitement de son genou. Il est clair qu'il y a un certain degré d'usure articulaire qui ne va pas disparaître avec des traitements médicamenteux. Je propose au patient d'adapter ses activités en fonction de la douleur. Pour le moment, je ne prévois pas de nouveau geste invasif. A la limite, on pourrait rediscuter à distance d'une nouvelle infiltration par Cortisone. Pour le moment, ceci ne me semble par contre pas indiqué. Il me semble également que le patient n'est pas beaucoup gêné par le fait que son genou montre un léger épanchement. J'ai proposé à Mr. Y de le revoir pour un contrôle clinique le 20.11.2019 ou plus tôt en cas de besoin. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Nous discutons avec le patient des différentes possibilités de traitement. Vu la gêne importante, nous optons avec lui pour une ré-intervention consistant en une réduction de cette récidive de luxation, une fixation Endobutton et Fibertape et un renforcement par greffe du palmaris longus. Nous expliquons au patient l'intervention, ses risques et bénéfices. Il signe le consentement éclairé, va discuter de ceci avec son avocat et peut-être également demandé un 2ème avis, probablement auprès du Dr. X. Il organisera aussi les suites post-opératoires sur son lieu de travail et nous recontactera pour fixer une date opératoire. Nous discutons avec le patient et l'informons que des douleurs comme il en présente peuvent persister jusqu'à 8 semaines après une telle fracture. Le traitement conservateur par physiothérapie est prolongé pour encore 9 séances. Reprise du travail à 100% dès le 15.05.2019. Nous reverrons le patient une dernière fois à la mi-juin. Nous discutons avec le patient de la fin du traitement. Il va encore poursuivre les bains régulièrement. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition. Nous discutons avec le patient qui ne veut toujours pas d'intervention chirurgicale et signale une amélioration progressive de la symptomatologie. Nous maintenons donc les séances de physiothérapie qu'il doit poursuivre ainsi que l'antalgie avec Dafalgan et Novalgine. Prochain contrôle dans 6 mois. Nous discutons avec notre patient de ses douleurs plutôt d'allure facettaire sur épanchement facettaire bilatéral L4-L5 à prédominance droite et lui proposons des infiltrations facettaires L4-L5 sous scanner. Nous mettons en dernier plan l'éventuel rétrécissement foraminal L4 gauche au vu de l'absence de radiculopathie et essayons de mieux comprendre cette claudication par le biais d'un bilan électrophysiologique qui est déjà organisé pour le 15.04.2019 au Neurocentre. Nous reverrons le patient à la suite de ces deux gestes et en cas de nette conclusion par rapport aux symptômes des cuisses, nous pourrions proposer encore un bilan angiologique afin de comprendre s'il n'y avait pas une origine vasculaire pour cette claudication.Nous discutons ce jour de l'intervention. Reconstruction du ligament croisé antérieur avec le tendon du quadriceps. On explique les risques et les bénéfices. Elle signe le consentement ce jour. Nous discutons de ce cas avec le Dr. X et les collègues du Team MS et nous décidons d'opter pour un geste chirurgical avec réduction de l'ulna et mise en place d'une broche. On explique tout ceci à la maman qui nous donne son accord écrit. L'opération sera réalisée aujourd'hui ou demain. Nous discutons de la situation avec Mr. Y. Le bilan angiologique est favorable et ne montre pas un manque de perfusion. Nous pouvons donc poursuivre le traitement conservateur avec réfection régulière du pansement. Par contre, l'IRM n'exclut pas une ostéomyélite chronique au niveau de la diaphyse du 4ème métatarsien qui provoque cette inflammation. Actuellement, la situation est stable sous Clindamycine. Comme option chirurgicale, nous proposons une amputation transmétatarsienne étant donné qu'il a déjà été opéré à plusieurs reprises. Mr. Y souhaite cette opération pour améliorer la situation et pouvoir reprendre la marche. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Arrêt de l'antibiothérapie dès le 10.04.2019 en vue de l'intervention. Nous discutons des différentes options avec Mme. Y à savoir une AMO pour éviter que les vis frottent au niveau du cartilage et de voir l'évolution spontanée. Si nécessaire, durant l'opération, nous pourrions envisager une ré-ostéosynthèse du radius. La 2ème option est une ré-ostéosynthèse par ostéotomie et greffe osseuse pour augmenter la surface articulaire et corriger le défect. Mme. Y se décide dans un premier temps à faire une AMO. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Nous discutons des options thérapeutiques avec Mme. Y et lui conseillons un début de traitement en physiothérapie avec école du dos, étirements, traitement d'extension et également de la physiothérapie en piscine. Nous lui conseillons également la natation. Elle va essayer ce traitement conservateur. Nous envoyons Mme. Y au Team Spine pour le prochain contrôle dans 4 mois. Nous discutons d'une AMO en expliquant bien qu'au vu du peu de gêne qu'elle présente, le bénéfice attendu reste modéré avec des risques opératoires faibles mais présents. Elle souhaite encore réfléchir et demander un 2ème avis auprès du Dr. X. Si elle souhaite l'AMO, celle-ci se fera en août. Elle nous recontactera si nécessaire. Nous discutons d'une façon détaillée de la situation avec Mr. Y. Actuellement, nous ne retrouvons pas de raison mécanique dynamique qui pourrait justifier la symptomatologie gênant Mr. Y. Nous pourrions envisager une infiltration sacro-iliaque puisqu'il y a une symptomatologie, une clinique positive et une imagerie qui parleraient en faveur d'une inflammation locale. Puisque la symptomatologie qui gêne Mr. Y actuellement est plutôt la douleur médiane à la colonne, la possibilité d'avoir un effet favorable est faible mais Mr. Y serait motivé à essayer ce geste. En ce qui concerne les paresthésies/fourmillements aux MS, nous ne voyons pas de nécessité à effectuer une IRM au vu de l'absence de signes cliniques spécifiques et de douleur radiculaire. Nous souhaiterions que Mr. Y soit évalué au Neurocentre avec une ENMG des MS (ENMG du mois d'août 2018 négatif pour une dénervation et tunnel carpien mais positif pour une épicondylite). Nous reverrons Mr. Y pour discuter des résultats de cet examen. Si la symptomatologie ne devait pas s'améliorer suite à l'infiltration et que le résultat de l'ENMG devait être négatif, une éventuelle prise en charge en rhumatologie pour traitement de la douleur chronique pourra être envisagée. Nous discutons le cas avec le Prof. X et la Dr. X. Mr. Y présente une ostéomyélite chronique, probablement sur Prevotella bivia qui est connu pour faire des infections plutôt à bas bruit. Ce germe a été mis en évidence dans l'abcès de la jambe mais était plus présent au niveau des bactériologies osseuses, probablement suite au traitement par Co-Amoxicillin, pour lequel il est très sensible. Une ostéomyélite avec Enterobacter aerogenes et Staph dorée devrait être symptomatique probablement beaucoup plus tôt dans l'évolution comme elles sont déjà plus agressives. Nous proposons en première ligne une cure chirurgicale avec fenestration osseuse et débridement. Par la suite, une couverture plastique doit être envisagée, raison pour laquelle nous organisons une angiographie des MI et nous allons contacter le Prof. X pour un avis. Selon l'avis des infectiologues (Dr. X, tant que la plaie reste ouverte, une antibiothérapie protectrice n'est pas nécessaire. Une opération dans une fenêtre de moins de 10 jours serait nécessaire. En intra-opératoire, la mise en place de pellet de Gentamicine serait indiquée et en postopératoire un traitement antibiotique iv par Flagyl 4x 500 mg et Cefepime 2x 2 gr. Nous changeons le PICO ce jour qui sera ensuite changé par les soins à domicile (dans l'intervalle de 4 jours). Nous reverrons Mr. Y la semaine prochaine pour un contrôle clinique de la plaie, +/- un consentement pour l'opération si nous avons déjà le résultat de l'angiographie et l'avis du Prof. X. Nous discutons longuement avec Mme. Y et lui montrons les images de la situation globale. Comme déjà souligné lors de la dernière consultation, sa discopathie présente sur 3 niveaux avec signe de Modic I est clairement mise dans le cadre d'une dégénérescence chronique qui a été la cause principale de la hernie discale qui gêne Mme. Y actuellement. Un abord chirurgical n'est pas indiqué en raison de l'amélioration spontanée des symptômes et au vu du fait que Mme. Y n'est pas fortement gênée dans ses activités de la vie quotidienne. Pour l'instant, Mme. Y ne présente pas de douleurs lombaires gênantes et nous concentrons notre traitement sur la symptomatologie lombo-sciatique sans préconiser d'abord antérieur de discectomie sur deux niveaux et fixation par ALIF pour le moment. Si la symptomatologie devait changer dans le futur, une nouvelle discussion détaillée concernant les possibilités thérapeutiques devra être faite. Prochain contrôle dans 3 mois pour juger de l'évolution. Si Mme. Y devait présenter des nouvelles douleurs au niveau lombo-sciatique, elle est informée de nous recontacter. Nous discutons longuement d'une façon détaillée avec Mme. Y de la situation. Nous suspectons actuellement une pseudarthrose au niveau L4-L5 associée à une discopathie débutante L5-S1 dans le cadre d'une maladie des segments adjacents avec positionnement d'un système barricade intra-discale au même niveau et ce dernier peut provoquer des dégénérescences discales. Associée à ceci, nous mettons également en évidence une discopathie débutante L3-L4. Une reprise globale chirurgicale par abord antérieur ALIF avec ablation de la cage L4-L5 et discectomie L5-S1 avec mise en place de 2 cages avec fixation antérieure pourrait être envisagée. En revanche, pour réaliser une telle intervention, un bilan diagnostique très détaillé serait nécessaire avec une scintigraphie osseuse qui pourrait confirmer la présence d'une pseudarthrose L4-L5, un scanner de contrôle pour visualiser l'éventuelle présence d'un chambrage autour des vis qui pourrait justifier la non-fusion en L4-L5, et éventuellement une densitométrie osseuse afin de dépister un syndrome d'ostéoporose à traiter avant une éventuelle ré-opération. Afin d'organiser le bilan complet pré-cité, Mme. Y souhaite un temps de réflexion et pouvoir discuter avec son patron concernant son éventuelle absence à 100% pour au moins 3 mois. Dès que Mme. Y aura pris sa décision, nous organiserons tous les examens nécessaires. En ce qui concerne la symptomatologie douloureuse cervicale, les séances de physiothérapie prescrites ont soulagé Mme. Y qui actuellement ne se plaint plus de douleur cervicale. Poursuite de l'arrêt de travail à 50%.Nous effectuons des radiographies du poignet gauche, du poignet droit et du 1er métacarpe de la main droite qui ne montrent pas de fracture nouvelle ni de déplacement. Présence d'ossifications hétérotopiques aspécifiques à côté de la plaque au niveau du premier métacarpe de la main droite. De l'antalgie a été mise en place et le suivi sera à faire comme prévu le 26.04.2019 en orthopédie à Fribourg. Le patient rentre au RFSM de Marsens pour continuer la prise en charge au niveau psychiatrique. Départ à Marsens avec transporteur. Nous effectuons la vaccination antitétanique, et Co-Amoxicilline 2.2 iv single shot. Nous prenons l'avis orthopédique du Dr. X à l'HFR Fribourg : pas de place dans le bloc opératoire, transfert au CHUV. Nous prenons l'avis de chirurgie de la main du CHUV le Dr. X : pas de critères d'urgence, proposition de faire une suture cutanée en utilisant le garrot du bras, pansement compressif, rendez-vous à la policlinique orthopédique du CHUV demain matin. Nous faisons un examen clinique avant l'exploration de plaie, qui ne montre pas de trouble neurovasculaire. Nous faisons une exploration chirurgicale avec garrot (total 25 min, 20 min à 250, 5 minutes à 300 mmHg) et sans garrot, qui montre une plaie profonde avec blessure du volar palmar ligament sur la partie plus distale de la plaie, le saignement artériel vient d'une artériole superficielle dans la graisse palmaire et est arrêté par compression. Le test Allen montre la compétence des branches de l'artère ulnaire. Nous effectuons un rinçage au NaCl 50 ml et fermons par fil d'Ethilon 4/0 et pansement par Adaptic, compresse, bandage et attelle poignet. Concernant le coude droit, le patient présente une bursite olécranienne sans plaie ni dermoabrasion. Nous faisons une radiographie qui montre l'épine osseuse olécranienne et des signes de probable précédente fracture du coronoïde et calcification autour des épicondyles, bonne olécranienne (pas de radio précédente pour comparaison). Le patient ne présente pas de douleur au coude. Nous mettons un pansement écossais. Le patient a été renseigné sur le risque d'un hématome sur la compression du nerf médian. Suite de contrôle à la policlinique d'orthopédie. Nous effectuons l'ordonnance de l'insuline Lantus avec la posologie habituelle : 6 UI le soir et 4 UI ou 6 UI le matin selon glycémie. La patiente reçoit aux urgences la dose du soir. Nous effectuons un bilan biologique qui montre des leucocytes à Lc 7.2, CRP <5, Hb 149, Thrombocytes 164, INR 1.6, Na 130, K 3.6, Cr 74, Urée 4.7. Les troponines reviennent à 14 (H0), 18 (H1), 25 (H3). La RX thorax face ne montre pas de surcharge cardiaque, pas de foyer, déroulement de l'aorte (comparable à 2014). ECG : RSR à 70/min. PR régulier à 160 msec, régulier, isoélectrique. QRS à 80 msec, axe à -20°, transition de l'onde R en V4. Pas d'onde Q pathologique. Pas de sus-sous ST. Pas d'onde T pathologique. Qtc à 382 msec. Au vu d'une cinétique positive des troponines, le diagnostic de NSTEMI est retenu, motivant l'avis cardiologique du Dr. X. Le patient est chargé en Aspegic 500 en bolus, Brilique 180 mg po et Héparine full dose avec suivi du PTT à 6 heures. Un traitement par Atorvastatine 80 mg est administré et le traitement par Sintrom est mis en suspens. Une coronarographie serait prévue ce jour, ils prendront contact avec le service des Urgences. Les douleurs persistent en cours de séjour avec EVA à 1-2. Au vu de valeurs tensionnelles élevées durant la surveillance à 192/93 mmHg le 21.03.2019, une dose unique en Beloc 25 mg et Push d'Isoket est donnée. Un transfert aux soins intensifs cardiaques est organisé pour le 21.03.19 pour coronarographie. Transfert en ambulance. Nous effectuons un bilan radiologique ciblé sur ses plaintes. Une radiographie du thorax revient sans particularité. Une radiographie de l'épaule droite montre la présence de calcification au niveau supéro-distal de la clavicule droite. Une radiographie du genou montre un statut post-probable refixation du tendon rotulien. Nous prescrivons à la patiente une bretelle antalgique pour son épaule avec une antalgie fixe par anti-inflammatoires non stéroïdiens et Dafalgan et nous ne modifions pas le traitement actuel du genou gauche au vu de l'absence d'information supplémentaire. La patiente sera revue à une semaine en polyclinique d'orthopédie pour la suite de la prise en charge. La patiente est libre de rentrer au RFSM de Marsens. Elle quitte l'hôpital avec un ami par ses propres moyens. Nous effectuons un bilan sanguin montrant par rapport à ce matin une leucocytose à 15.6 G/l sans CRP, bonne fonction rénale, pas de trouble ionique. Le sédiment urinaire montre une bactériurie sans leucocyturie, sans microhématurie. Nous donnons une antalgie aux urgences avec une bonne évolution clinique. Sur avis du chef de clinique le Dr. X, nous demandons un CT-scan abdominal afin d'écarter une éventuelle perforation gastrique sur ulcère. Le CT-scan ne montre pas d'air libre, ni de signe d'iléus, pas de cholécystolithiase, présence d'un petit calcul caliciel gauche avec un nodule derrière la vessie faisant suspecter une phlébolithe selon le radiologue de garde de l'HFR. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente peut regagner son domicile. Nous proposons un contrôle clinique en fin de semaine chez son médecin traitant avec résultat de l'H. Pylori demandé par son médecin traitant. En fonction de la symptomatologie, il reste à organiser une OGD par son médecin traitant. Nous effectuons un bladder scan qui montre 350 ml d'urine. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de leucocytose, mais une créatinine à 84 umol/l. Le patient n'arrive pas à uriner spontanément. Nous mettons donc en place une sonde vésicale 20 (avec 20 cc dans le ballonnet car écoulement d'urine) qui ramène 500 ml. Le sédiment urinaire montre une leucocyturie. Au vu de l'absence de symptomatologie et du statut post-pose de sonde, nous ne mettons pas en place d'antibiothérapie et effectuons un urotube qui sera envoyé en copie à son médecin traitant. Nous mettons en place un traitement par Tamsulosine 0.4 mg et le patient devra consulter son urologue, le Dr. X à Berne. Nous effectuons un CT cérébral qui montre deux fractures de l'orbite droite non déplacées au niveau de la face maxillaire et nasale et une fracture du nez. Pas de signe pour une fracture de la base du crâne ou de saignement intracranien visualisé. Après avis chirurgical Dr. X, Inselspital, pas de sanction chirurgicale nécessaire, antibiothérapie prophylactique par Co-AMX pendant 5 jours, pas de mouchage et contrôle ambulatoire en policlinique de chirurgie maxillo-faciale dans 7-10 à organiser. Par manque de place, nous transférons le patient à Berne en ambulance pour surveillance et antalgie. Avant le transfert, nous administrons une dose de Co-AMX 700 mg IV et une dose de Nalbuphine 2 mg IV.Nous effectuons un ECG qui montre un RS avec un FC à 82 bpm, pas de signes d'ischémie active. Nous effectuons un laboratoire qui montre des troponines H0 à 98; les troponines à H1 sont en cours. Nous administrons 50 mg de Beloc et 1 push d'Isoket. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer ni de signes de décompensation cardiaque. Mme. Y reçoit 180 mg de Brilique à 13h45, 2.5 mg d'Arixtra sc. Nous demandons un avis cardiologique au Dr. X et la patiente est transférée aux Soins Intensifs pour coronarographie dans l'après-midi. A la sortie, la patiente présente encore une douleur oppressive, en diminution. Transfert en ambulance à l'HFR Fribourg. Nous effectuons un ECG qui montre une mauvaise progression de l'onde R avec des ondes T de la même hauteur du QRS en V4. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. Au vu des facteurs de risque et de l'histoire clinique de la patiente, nous effectuons des D-Dimères qui reviennent à 534 ng/mL, donc négatives pour l'âge de la patiente. Au vu de la modification ECG nous effectuons des troponines qui reviennent négatives. Nous proposons un ECG de contrôle et en cas de persistance un ETT et un test d'effort. Nous administrons un Dafalgan avec de légères améliorations des douleurs. La patiente quitte les Urgences avec une antalgie. Un contrôle chez le médecin traitant sera à faire dans 7 jours. Nous effectuons un ECG qui montre une tachycardie supraventriculaire sur réentrée jonctionnelle à 194/min avec signe d'une hypoxémie myocardique relative au besoin. Après 10 minutes, le rythme se ralentit spontanément et le 2ème ECG montre un rythme sinusal à 104 bpm. Le 3ème ECG montre un rythme sinusal régulier avec une réduction des sous-décalages qui disparaissent au 4ème ECG fait 3h20 après l'arrivée de la patiente. A son arrivée, la patiente reçoit 2 mg de Morphine et un push d'Isoket. Depuis l'administration et pendant l'observation, la patiente ne présente plus de douleur. Nous lui administrons 500 mg d'Aspegic en intraveineuse. Nous effectuons un laboratoire qui montre des troponines à H0 à 19 ng/L, H1 à 34 ng/l et H3 à 85 ng/l. La radiographie du thorax ne montre pas de signe de décompensation cardiaque. Au vu de la cinétique positive des troponines, nous demandons un avis au Dr. X qui retient l'origine des troponines sur la tachycardie de rentrée et propose un ultrason cardiaque et de discuter avec le Dr. X de l'indication à une ablation. Nous demandons l'avis du Dr. X et introduisons du Beloc 25 mg 1x/jour ainsi que de l'Aspirine cardio. La patiente sera convoquée par le secrétariat du Dr. X, cardiologue, pour organiser un rendez-vous. Au vu de la sensation de chaleur avec des sudations nocturnes, nous effectuons un bilan thyroïdien qui revient dans la norme. Nous effectuons un examen clinique rassurant de l'enfant. Nous prenons l'avis du Dr. X qui, au vu du bas âge du patient, nous propose de prendre également un avis pédiatrique. Nous prenons l'avis du Dr. X, pédiatre cadre de garde à l'HFR Fribourg, qui nous propose d'adresser le patient à l'HFR Fribourg pour une surveillance neurologique au vu du possible développement tardif de symptômes et de l'anamnèse d'épistaxis. Le patient se rend à l'HFR Fribourg avec ses parents en voiture en bon état général. Nous effectuons un laboratoire et sédiment urinaire qui reviennent sans particularité. Nous prenons l'avis du Dr. X et nous réalisons un ultrason abdominal qui ne permet pas de visualiser l'appendice mais quelques ganglions au niveau de l'iléon terminal. Nous suspectons une appendicectomie débutante DD : adénite mésentérique. La patiente se présentera pour un contrôle clinique le 20.04.2018 à la filière des urgences ambulatoires pour un laboratoire et +/- nouvel ultrason de la vessie pleine (appeler le Dr. X). Nous effectuons un laboratoire qui est dans la norme. La patiente reçoit 10 mg de Primpéran et 75 mg d'Ecofenac avec amélioration des douleurs, réduction de la photophobie et de la vision trouble. Pendant l'observation aux urgences, la patiente présente une crise hypertensive à 160/100 mmHg, probablement sur réaction à la douleur. Au vu de l'absence de signe neurologique et de gravité, nous retenons des céphalées de tension et la patiente rentre avec antalgie. Elle reconsultera en cas d'apparition de symptomatologie neurologique. Par rapport au profil tensionnel nous recommandons un suivi tensionnel en ambulatoire. Nous effectuons un laboratoire qui montre des troponines à H0 11 ng/L, à H1 à 11 ng/L, CRP à 22 mg/l. Le calcium corrigé revient à 2.16 mmol/l. L'ECG à l'entrée et à H1 ne montre pas de signe d'ischémie aiguë. Les D-dimères reviennent à 525 ng/mL, négatives pour l'âge. En ce qui concerne les douleurs, il reçoit du Nexium 40 mg et du Paracétamol 1000 mg avec une amélioration des douleurs. Nous retenons des douleurs d'origine musculosquelettique et le patient quitte les urgences avec une antalgie simple. Il effectuera un contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours pour contrôle clinique et prise de sang pour contrôle du calcium. Nous proposons un test d'effort en ambulatoire. Nous effectuons un laboratoire qui montre une Hb à 140 g/l, INR 2.1. Malgré la poche à glace, le saignement n'a pas pu être arrêté. Nous prenons contact avec le dentiste de garde et le patient part en consultation chez le Dr. X, dentiste. Nous effectuons un laboratoire qui montre une hémoglobine à 152 g/l, une CRP à 8 mg/l, des leucocytes à 6.7 G/l, un TP 67 et PTT 26. Le sédiment urinaire montre des leucocytes à 3-5, et des érythrocytes incomptables. Au vu des résultats des examens complémentaires, une origine infectieuse est exclue. Le patient étant stable, nous organisons un ultrason des voies urinaires pour le 10.04.2019 à 8h30 avec contrôle à la filière des urgences ambulatoires pour suite de prise en charge. Le patient rentre et reconsultera pendant la nuit en cas d'anurie ou de péjoration. Nous effectuons un laboratoire qui montre une leucocytose à 10.5 G/l et une CRP à 6 mg/l. Le sédiment urinaire montre une pyurie et une hématurie (la patiente a ses règles). Pour l'antalgie, la patiente reçoit de l'Ecofenac 75 mg avec une amélioration des douleurs. En plus, au vu d'un potassium à 3.4 mmol/l, elle reçoit un Potassium effervette en dose unique aux urgences. Nous retenons une pyélonéphrite gauche débutante et nous effectuons un urotube qui est en cours. Nous administrons 2 g de Rocéphine et la patiente rentre avec une prescription de Ciproxine 500 mg 2x/jour et est convoquée en filière des urgences ambulatoires le 27.04 pour un contrôle clinique et la communication des résultats de l'urotube. Nous effectuons un laboratoire qui montre une leucocytose à 15.6 G/l, CRP à 22 mg/l. La formule complète montre un polymorphisme lymphocytaire. Nous proposons à la patiente un contrôle chez le médecin traitant dans 10 jours. Nous administrons 2 g de Tavegyl avec un bon effet. Nous observons une disparition quasi complète des lésions. La patiente reste stable pendant l'observation. Nous retenons une réaction urticarienne probablement au champignons. Elle rentre à domicile avec du Xyzal Aerius et elle devra reconsulter en cas de symptomatologie grave, notamment de dyspnée, de changement de la voix ou d'œdème de la langue. La patiente a été informée que les lésions cutanées pourraient se manifester de nouveau.Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de leucocytose, CRP <5 mg/l. Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de signe d'ostéomyélite. Le patient est vu par le Dr. X, orthopédiste, et le patient sera pris au bloc opératoire le 26.04.2019 par le Dr. X. Entre temps, nous recommandons des bains bétadinés 4x/jour. La feuille de consentement est donnée à l'accompagnateur du patient qui la fera signer par le représentant thérapeutique du patient. Une chaussure Barouk est proposée et donnée au patient qui refuse de la mettre. Le patient est attendu pour prise en charge au bloc le 26.04.2019 à 7h à jeun. Retour au RFSM de Marsens, avec l'accompagnateur. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Le sédiment est dans la norme. Au vu de la persistance des douleurs, il reçoit 1 g de Novalgine et 20 mg de Buscopan iv et 50 mg de Tramal avec amélioration des douleurs. L'abdomen après antalgie est moins douloureux, sensible à la palpation sous-pubienne et dans les fosses iliaques droites et gauche mais sans défense ni détente. Au vu des résultats, une colique néphrétique est a priori exclue. Au vu de l'absence de critères de gravité et d'une bonne réponse à l'antalgie, le patient quitte les urgences avec un contrôle à la filière des urgences ambulatoires prévu le 09.04.2019 à 14 heures pour contrôle clinique et biologique. Une imagerie sera à évaluer selon le contrôle clinique. Le patient quitte les urgences avec antalgie et arrêt de travail. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire, les CK sont à 296 U/l. Le patient est vu par le Dr. X qui contacte la chirurgie de l'HFR Fribourg qui ne peut pas prendre en charge le cas. Nous contactons donc la garde de chirurgie plastique du CHUV qui nous dit qu'il n'y a pas de risque de péjoration pendant la nuit au vu de l'absence de brûlure au niveau du pli du coude. En plus, il s'agit d'une brûlure de ce matin et normalement le maximum d'oedème survient dans les 8-10 heures suivant la brûlure. Syndrome de loge peu probable. Sur avis de la garde de chirurgie plastique, nous effectuons un lavage avec du NaCl et ablation de la peau morte. Nous mettons en place du Ialugen Plus et du Jelonet et un pansement. Le patient devra dormir avec le bras en surélévation. Nous prescrivons une antalgie et le patient aura un rendez-vous demain matin en chirurgie plastique au CHUV à 09H00. Le patient devra consulter le CHUV pendant la nuit en cas de péjoration des douleurs. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de leucocytose, pas de perturbation des tests hépatiques. Bilirubine totale à 29.3 µmol/l (à la baisse par rapport au dernier contrôle). Le sédiment urinaire montre une hématurie mais nous mettons cela en lien avec les règles. Pour les douleurs et les nausées, elle reçoit 10 mg de Primpéran et 50 mg de Tramal gouttes. Nous ne pouvons pas attendre si les médicaments sont efficaces, car, malgré les explications, la patiente insiste pour rentrer à la maison car elle a trop attendu. Nous lui expliquons que vu les investigations multiples de l'origine de ces douleurs, nous proposons de dépister l'Helicobacter pylori. La patiente a déjà un rendez-vous chez son gynécologue le 18.05.2019. Nous effectuons un laboratoire qui revient dans la norme. Après l'avis du Dr. X, nous proposons un suivi ambulatoire avec rendez-vous à la consultation du Dr. X. Le patient ne souhaite pas d'arrêt de travail. Il a été informé de ne pas faire de gros effort. Il rentre avec antalgie en réserve et reconsultera en cas d'apparition de signes de gravité, notamment rougeur, douleur persistante. Nous effectuons un laboratoire qui revient dans la norme hormis une CRP à 19 mg/L. Nous administrons un Dafalgan 1 g et hydratons le patient. L'ECG est sans particularité. NIHSS 0 à son arrivée. Le patient présente une amélioration spontanée de ses symptômes, l'antécédent de cette symptomatologie sur prise de Mydocalm et le caractère bilatéral et non systématisé des symptômes, ainsi qu'un status neurologique normal nous conduisent au diagnostic d'intolérance au Mydocalm. Nous remettons le patient sous Sirdalud qu'il tolère bien et le laissons rentrer à domicile. Nous effectuons un laboratoire qui revient dans la norme. Le sédiment urinaire montre 6-10 T/l d'érythrocytes. Après l'avis du Dr. X, chirurgien, nous effectuons un Uro-CT-Scanner qui montre un calcul de la jonction vésico-urétérale droite de 6x3x3 mm avec dilatation pyélocalicielle de 12 mm et nous mettons en place un traitement conservateur avec Pradif, Voltarène et Buscopan et filtrage des urines. La patiente consultera son médecin traitant le 23.04.2019 pour un contrôle si d'ici là elle n'a pas expulsé son calcul. Nous effectuons un renforcement du plâtre au niveau du pouce avec une petite bandellette de résine et au vu de l'examen clinique rassurant, nous le laissons ensuite rentrer à domicile. Un prochain contrôle clinique est prévu à la consultation de policlinique d'orthopédie le vendredi 12.04.2019. Nous effectuons une anesthésie générale avec intubation pour réduction fermée de la fracture. La patiente présente un hématome sous axillaire rapidement grandissant après la réduction et développe une instabilité hémodynamique, avec nécessité d'administrer des amines et du remplissage. Un angio CT met en évidence une dissection de l'artère axillaire droite probablement par déchirure. Une embolisation par radiologie interventionnelle s'avère non faisable et une reprise au bloc opératoire par nos collègues de chirurgie vasculaire et d'orthopédie est effectuée par la suite. Nous effectuons une anesthésie locale puis 3 points de suture au fil 4.0. La fillette est non vaccinée, refus des parents d'administrer le vaccin antitétanique malgré nos explications. Pas de notion de traumatisme crânien, mais consignes de surveillances données aux parents. Retrait des points dans 7 jours chez le médecin traitant. Nous effectuons une désinfection et pansement par Mepilex. La patiente n'ayant pas de médecin traitant, nous lui proposons un contrôle à la filière des urgences ambulatoires dans 48 heures. La patiente pense avoir le vaccin anti-tétanos à jour, elle va vérifier et elle nous recontactera dans le cas contraire. Nous effectuons une prise de sang qui montre une CRP à 25, sans leucocytose. Le tableau clinique est très indicatif pour une thrombophlébite ascendante du membre inférieur droit donc, suite à l'avis du Dr. X, nous décidons de mettre en place une anticoagulation thérapeutique avec Eliquis 10 mg 2x/jour pour 1 semaine puis 5 mg 2x/jour pour 12 semaines. De plus, le patient va prendre un rendez-vous en angiologie à Riaz pour une US doppler par les angiologues mercredi 24.04.2019. En cas de mauvaise évolution marquée par l'apparition de frissons et de fièvre, le patient est censé consulter les urgences rapidement pour débuter une antibiothérapie. Nous effectuons une radiographie de la cheville qui est sans particularité. Nous retenons un diagnostic de rupture complète du tendon d'Achille droit. Après discussion avec le patient, un traitement conservateur avec VacoPed pour 7 semaines a été mis en place, dont 3 semaines avec VacoPed à 30°. Les cannes anglaises et l'ordonnance pour la Clexane ont été données. Il peut marcher en charge selon douleurs. Le patient doit garder le VacoPed à 30° pour 3 semaines. Le patient aimerait discuter des différentes possibilités thérapeutiques avec un orthopédiste, donc il va prendre un rendez-vous avec le Dr. X pour mardi 16.04.2019. Nous effectuons une radiographie de la jambe droite qui permet d'écarter une fracture. Les douleurs sont soulagées suite à la prise d'Algifor et de Dafalgan. Le patient arrive à marcher sans boiter et il peut rentrer à domicile avec de l'antalgie en réserve et un suivi se fera chez le pédiatre.Nous effectuons une radiographie de l'abdomen et du thorax qui montre la présence de corps étrangers au niveau digestif sans obstruction oesophagienne. Devant l'absence de trouble somatique, Mme. Y est réadressée au RFSM de Marsens. Transfert en ambulance. Consultation aux urgences si douleurs abdominales importantes. Nous effectuons une radiographie de l'épaule droite qui ne montre pas de lésion osseuse. Mr. Y est vu par le Dr. X et une contusion de l'épaule droite est retenue. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X mercredi 10.04.2019 et sort avec antalgie, arrêt de travail et gilet orthopédique à but antalgique. En ce qui concerne le traumatisme crânien, au vu de l'absence de signe de gravité, Mr. Y reçoit la feuille de surveillance neurologique. Nous effectuons une radiographie de l'épaule qui ne montre pas de fracture. Nous retenons une origine musculaire et Mr. Y sort avec antalgie. Il fera un contrôle chez le médecin traitant dans 5 jours. Nous effectuons une radiographie du bassin et de la hanche gauche et une radiographie du genou gauche qui permettent d'exclure des fractures ou une déhiscence de la prothèse totale de hanche. Nous effectuons une prise de sang qui montre des leucocytes à 15.8G/l et une CRP <5mg/l. Nous mettons la leucocytose dans un contexte de stress vu que la dernière fois que Mr. Y avait consulté les urgences en janvier 2019 pour un traumatisme, il présentait toujours une leucocytose sans syndrome inflammatoire. Etant donné les résultats des radiographies et de la prise de sang, nous ne trouvons pas d'explication de ces douleurs et nous suspectons une probable origine artérielle. Mr. Y doit prendre un rendez-vous pour un suivi en ambulatoire chez le Dr. X, qui le suit déjà. Pendant l'observation aux urgences, Mr. Y présente une hypertension asymptomatique entre 170/70mmHg et 185/85mmHg. Mr. Y est connu pour une hypertension pour laquelle il prend du Lisinopril en réserve le matin si TAS>150. Nous prenons l'avis du Dr. X, de médecine interne, et vu que Mr. Y est asymptomatique, nous lui proposons de contrôler sa tension à son arrivée à domicile et de prendre son Lisinopril s'il est toujours hypertendu. En cas de persistance d'une hypertension durant la journée de demain aussi, nous conseillons à Mr. Y de revoir son médecin traitant pour évaluer l'introduction d'un traitement antihypertenseur d'office. Nous effectuons une radiographie du doigt qui ne montre pas de fracture. Mme. Y ne veut pas d'antalgie aux urgences. Elle rentre avec une ordonnance avec des AINS et Dafalgan. Contrôle chez le médecin traitant à 7 jours. Nous effectuons une radiographie du genou droit qui ne montre pas de fracture ni d'oedème. Nous retenons une entorse du ligament latéral interne droit et mettons en place une attelle jeans à 20°, des cannes et une prophylaxie par Clexane. Une antalgie par Dafalgan et Voltaren est mise en place. Mr. Y ne souhaite pas d'arrêt de travail. Il prendra un rendez-vous chez le Dr. X à 7 jours. Nous effectuons une radiographie du poignet et du bras droit, qui montre une fracture déplacée au niveau de l'extrémité distale des diaphyses du radius et ulna droit. Nous prenons l'avis du Dr. X, orthopédiste, et nous décidons de transférer Mme. Y. Nous prenons d'abord contact avec la pédiatrie de Fribourg, mais vu le manque de place nous prenons contact avec l'HIB de Payerne. Mme. Y a été acceptée à Payerne pour suite de la prise en charge. Une attelle palmaire a été mise en place. Après avis du Dr. X, de médecine interne, vu que Mme. Y est asymptomatique, nous n'effectuons pas de sédiment urinaire ni de test hépatique. Elle quitte les urgences de Riaz accompagnée par ses parents. Elle est à jeun depuis midi. Nous effectuons une radiographie du thorax qui ne met pas en évidence de corps étranger. L'ASP montre une pièce de 50 centimes et 2 lames de rasoir visualisées au niveau duodénal. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. Pendant l'hospitalisation, Mme. Y reste asymptomatique. Nous demandons un avis au Dr. X, chirurgien, et Mme. Y est reconvoquée pour contrôle clinique biologique le 22.04.2019. Nous mettons en place un traitement par Pantozol 40 mg 1x/jour. Nous effectuons une radiographie et demandons l'avis orthopédique du Dr. X, qui préconise une intervention chirurgicale, organisation d'une IRM. Attelle Jeans 20° + Clexane 40mg. Antalgie + AINS. IRM prévue pour le 04.04.2019 puis consultation en policlinique orthopédique pour modalité opératoire. Nous effectuons une radiographie qui montre un arrachement de la plaque palmaire de l'interphalangienne proximale du 3ème doigt de la main droite. Une attelle Edimbourg a été mise en place et Mr. Y doit appeler demain matin la policlinique d'orthopédie pour prendre un rendez-vous à la consultation du Dr. X le 17.04.2019 au matin. Le constat de coup a été fait et donné à Mr. Y. Les photos sont sur Synedra. Vu que le fils de Mr. Y, de 12 ans, était présent lors de l'agression, une signalisation au pédiatre sera faite demain par la secrétaire. Mr. Y a signé le consentement. Mr. Y est déjà en arrêt de travail jusqu'au 18.04.2019 pour un problème à l'épaule. Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous mettons en place une bande élastique et de l'antalgie. Un certificat d'arrêt du sport a été fait. Le suivi se fera chez le pédiatre. Nous effectuons une radiographie qui permet d'exclure des fractures. De l'antalgie a été mise en place. Nous effectuons une rhinoscopie qui ne met pas en évidence le corps étranger. Légère érythème de la muqueuse de la narine gauche. Pas de saignement actif. Un rinçage avec du NaCl est effectué par le Dr. X, de médecine interne. Mr. Y respire bien, pas de stridor ni de dyspnée. Nous mettons de la Bépanthène crème et nous proposons un contrôle chez le pédiatre. Mr. Y sort accompagné par son père. Nous effectuons 2 jeux d'aérosols et la symptomatologie de Mme. Y s'améliore nettement. Nous proposons à Mme. Y de reprendre rendez-vous chez son médecin traitant durant la semaine prochaine, ainsi que de prendre rendez-vous chez un allergologue traitant. Nous encourageons cette Mme. Y à effectuer davantage de rééducation. Pour l'instant, pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition. Nous encourageons Mme. Y à poursuivre des activités sportives telles que l'athlétisme et elle reprendra contact au besoin. Nous enlevons la tique complètement et donnons des conseils relatifs aux pathologies transmises par les tiques à la mère. Suivi suscité. Nous évoquons un éventuel syndrome d'apnée du sommeil à l'origine de la fatigue et vous proposons d'investiguer cette piste avec des examens du sommeil. La patiente nous décrit également ressentir de l'anxiété par rapport à sa fatigue, ainsi que l'état de santé de ses proches. Bien que sa thymie ne soit pas sur le versant triste, on ne peut pas exclure une éventuelle dépression. Nous excluons un infarctus et une embolie pulmonaire. Nous supposons une origine sur pic hypertensif, nous proposons l'introduction de 5mg d'Amlodipine le soir. Le traitement sera à réévaluer par le médecin traitant en début de semaine prochaine. Nous expliquons à Mme. Y ainsi qu'à son mari la multitude de fractures d'origine probablement ostéoporotique qui engendre une aggravation progressive de la cyphotisation entre le mois d'août 2018 et le mois de mars 2019. Celle-ci restant toutefois presque asymptomatique, nous proposons la poursuite du traitement conservateur avec aide d'un rolateur pour la marche afin de redresser la posture ainsi que physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 semaines. Une éventuelle chirurgie pour correction de la difformité étant trop lourde au vu de l'état général de Mme. Y et ses comorbidités telles qu'une dystonie avec risque d'arrachement du matériel et autres complications très importantes, il faudrait plutôt envisager une intervention de cimentage préventif pour antalgie et arrêt de la progression de la cyphotisation en cas de mauvaise évolution. A noter que dans tous les cas, une IRM n'est pas réalisable en raison des multiples implants métalliques qu'elle porte.Nous expliquons à la patiente la possibilité de pratiquer une opération par voie postérieure dans son cas où le glissement vertébral est quand même important ne garantissant pas un succès sur une éventuelle voie antérieure. Nous conseillerions donc une chirurgie de TLIF par la gauche sur 2 niveaux en raison des pédicules hypoplasiques de L5 afin d'aller chercher plus de stabilité mécanique en prenant les pédicules L4. Nous allons ouvrir les espaces discaux et les foramens avec des cages à mettre sous neuromonitoring et avec éventuellement la neuro-navigation. Les risques et bénéfices de l'intervention lui sont expliqués, le formulaire de consentement lui est remis pour réflexion et signature. Aucune prise de médicament pouvant contre-indiquer l'intervention. Nous expliquons à la patiente l'attitude à avoir en cas de récidive des douleurs lors de son voyage en Thaïlande (départ le 12.04.2019) et la rassurons quant à la situation actuelle. L'examen clinique se montre sans particularité et la patiente ne rapporte plus de douleur. Retour à domicile avec antalgie simple à la demande et Tramal et Pradif en réserve. Nous expliquons à la patiente le caractère plutôt atypique de cette claudication neurogène, sans fatigue claire ni véritable radiculalgie mais plutôt avec des épisodes intermittents de chute avec possible lâchage du MI D. Malgré l'absence de radiculopathie, nous proposons dans un premier temps un geste de ponction du kyste avec infiltration épidurale L4-L5 sous CT. En fonction de l'évolution, une éventuelle chirurgie de stabilisation avec décompression du niveau et ablation du kyste sera à envisager. Nous expliquons à la patiente les sténoses persistantes aux niveaux L2-L3 et L3-L4. Elle se montre réticente pour une éventuelle opération d'emblée raison pour laquelle nous proposons une infiltration épidurale à but thérapeutique et la reverrons par la suite. A souligner l'anomalie de transition avec lombalisation de S1 chez cette patiente. Nous expliquons à la patiente notre forte suspicion de nouvelle fracture au niveau D11. Nous organisons donc une IRM avec séquences STIR puis la reverrons la semaine prochaine pour discuter des résultats. Prescription de Miacalcic spray pour 2 mois. Vu la cyphotisation segmentaire, nous pré-réservons d'ores et déjà une date opératoire pour le 29.04.2019, à confirmer en fonction des résultats. Nous expliquons à la patiente notre suspicion de syndrome facettaire comme étant au premier plan d'autant plus qu'elle nous dit que ses douleurs lombaires prédominent sur les douleurs de la cuisse et de la jambe. Nous lui expliquons la possibilité de pratiquer un geste soit de simple décompression avec undercutting sur le niveau sténosé soit L3-L4 et L4-L5 ce qui pourrait soulager les douleurs radiculaires et éventuellement une partie des douleurs lombaires mais ne garantissant toutefois pas une nette amélioration pour les douleurs facettaires. L'autre option serait de pratiquer une chirurgie de stabilisation avec fusion intersomatique, laquelle pourrait potentiellement mieux cibler la douleur lombaire basse mais se présente aussi comme étant plus lourde en termes de déroulement et de récupération. Afin de mieux comprendre l'origine des douleurs, nous allons tester les facettes L4-L5 par le biais d'une infiltration sous scanner et compléterons le bilan radiculaire par le biais d'une ENGM. Nous reverrons la patiente par la suite. Elle se montre maintenant plus motivée que lors des derniers rdv pour une prise en charge chirurgicale. Nous expliquons à la patiente qu'avec l'utilisation des cannes et la position per opératoire, elle a probablement décompensé une arthrose sterno-claviculaire préexistante ce qui explique la voussure qu'elle sent sur son sternum. Nous proposons de poursuivre la physiothérapie et les séances chez l'ostéopathe. La patiente ne désire pas que nous lui prescrivions des anti-inflammatoires topiques et ne souhaite pas entrer en matière quant à une éventuelle infiltration. Concernant la hanche, l'évolution est favorable. Dans ce contexte, nous prévoyons un contrôle radioclinique dans 1 an pour la hanche. Nous expliquons à la patiente que l'imagerie et l'absence de syndrome irritatif à l'examen clinique ne nous font pas suspecter de nouvelle compression de la racine L5 G. De plus, les caractéristiques de la douleur décrites par la patiente nous font plutôt penser à des douleurs neuropathiques que nous proposons de traiter par Lyrica à augmenter progressivement et par ergothérapie auprès de M. Y à la clinique générale. Mme Y souhaite toutefois plutôt se faire suivre par le Dr X, raison pour laquelle nous le prions de bien vouloir la convoquer pour une prise en charge antalgique. Prochain contrôle dans 3 mois. Dans l'intervalle prescription de physiothérapie avec TENS dans l'espoir de pouvoir améliorer la situation. Nous complétons également le bilan neurologique et prions donc nos collègues du Neurocentre de bien vouloir convoquer la patiente à cet effet. Nous lui expliquons qu'une éventuelle intervention ne fait plus de sens à l'heure actuelle au vu de l'absence de compression des nerfs. Nous expliquons à la patiente qu'il faut prendre des médicaments pour la douleur. Nous prescrivons des Dafalgan, Irfen et Novalgine afin qu'elle puisse reprendre la mobilisation du poignet. Prescription d'ergothérapie pour mobilisation et pour les adhérences. Prochain contrôle dans 4 semaines. Nous expliquons à la patiente qu'une infiltration peut également entraîner une amélioration plus tardive, raison pour laquelle il est important de garder le rendez-vous prévu début mai. Toutefois, au vu des douleurs très handicapantes, nous majorons le traitement antalgique et prescrivons des séances de physiothérapie. En cas d'échec de cette prise en charge, un ACDF C6-C7 pourra être envisagé. Nous convenons avec elle d'attendre l'évolution des 2 prochaines semaines avant de discuter de cette opération. En cas de trouble neurologique plus important, elle nous recontactera dans l'intervalle. Nous expliquons à notre jeune patiente et à sa maman qu'au vu de cette progression scoliotique radiologique, nous pensons qu'il serait nécessaire de bénéficier d'une évaluation en vue d'une correction par corset ou même discussion d'une opération en cas d'échec du traitement par corset, raison pour laquelle nous adressons la patiente au Dr X à Lausanne. Nous expliquons à notre patient la compression foraminale L4 droite dont il souffre et qui pourrait mériter une prise en charge chirurgicale si les douleurs ne devaient pas s'améliorer et s'il reste très inconfortable malgré tous les traitements conservateurs entrepris jusqu'à présent. Il souhaite poursuivre comme ceci en envisageant une reprise du travail à 100% dès le 01.06.2019. Il est informé de nous recontacter en cas de récidive majeure des douleurs afin d'agender une foraminotomie L4 droite. Nous expliquons à notre patient l'absence de lien entre l'opération et cette parésie apparue tardivement, peut-être sur déconditionnement dû aux douleurs de longue date. Pour ce qui concerne notre intervention au niveau du dos, il présente une absence complète de radiculopathie à l'heure actuelle et le patient est très satisfait de cette situation. Concernant la neuropathie périphérique, nous proposons une thérapie avec électrostimulation par Compex ainsi qu'une attelle réalisée en ergothérapie afin d'éviter des chutes sur le pied qui traîne. Nous demandons également à nos collègues du team genou d'évaluer une potentielle origine compressive de cette neuropathie ainsi que de mettre en place une thérapie adaptée. Nous restons à disposition mais ne prévoyons pas de prochain contrôle à notre consultation. Nous expliquons à notre patient l'importance de pratiquer une IRM cervicale afin d'exclure une maladie des segments adjacents. Nous profitons également de réaliser une IRM angio-cérébrale pour bilanter ses migraines, le symptôme d'asthénie et la marche ébrieuse, cet examen nous permettra de visualiser les vaisseaux cérébraux également. Prochain contrôle par la suite. Nous expliquons à notre patient malgré la barrière linguistique encore une fois l'indication relative à une décompression des niveaux L2-L3 et L4-L5 en raison de sténose mais restons pour l'instant réticents par rapport à celle-ci au vu de l'amélioration suite à l'infiltration et de la clinique prédominante au niveau du genou sur la gonarthrose connue mais non investiguée jusqu'à présent. Nous demandons donc à nos collègues du team genou de bien vouloir convoquer le patient pour une consultation et de nous faire une proposition thérapeutique, laquelle nous coordonnerons avec une éventuelle opération du canal lombaire étroit. Une fois cet avis clair, nous aimerions revoir le patient cette fois-ci en présence de son fils à la consultation afin de mieux lui expliquer la situation et de lui faire comprendre le pourquoi et le déroulement d'une telle intervention ainsi que pour mieux comprendre ses symptômes. Nous expliquons à notre patient que cette discopathie L4-L5, L5-S1 avec compression récessale des deux racines L5 plus importante à droite explique clairement les symptômes sur un canal déjà constitutionnellement étroit. Vu la thérapie assez conséquente par des comprimés, nous lui proposons l'étape suivante, une infiltration de la racine la plus symptomatique L5 droite foraminale sous scanner. Nous reverrons le patient par la suite pour discuter de la suite de la prise en charge. Nous lui expliquons déjà qu'une éventuelle chirurgie d'ALIF sur deux niveaux serait à considérer selon l'évolution. Nous expliquons à notre patient que nous pouvons toujours réintervenir soit par le biais d'une thérapie par TENS ainsi qu'avec du Lyrica ou Neurontin soit carrément par une nouvelle séquestrectomie dépendant du type de douleur, c'est-à-dire neuropathique ou alors irritative. Pour l'instant, le patient souhaite poursuivre comme ceci et nous recontactera en cas de changement clinique. Nous expliquons à notre patiente l'absence de compression sur une arthrose ou discopathie avec plutôt des kystes d'allure arachnoïdienne intra-foraminaux étant possiblement à l'origine de ces douleurs d'allure cervico-brachiale. D'autre part, nous apprenons par nos collègues du Neurocentre la présence d'un tunnel carpien du même côté pouvant aussi contribuer à ses symptômes, elle a été mise au bénéfice d'une attelle à porter durant la nuit. Nous proposons à notre patiente d'éventuelles infiltrations diagnostiques mais décidons finalement dans un premier temps d'une thérapie avec séances d'étirements et de piscine à raison de 2x/semaine. Elle nous recontactera en cas d'absence d'amélioration ou voire progression des symptômes. Nous expliquons à notre patiente que ces troubles congénitaux anatomiques sont bien visibles sur la base de l'IRM sans que nous retrouvions une pathologie dégénérative ou aggravation de la pathologie connue sur les images récentes. Il n'y a donc pas de nouvelle hydrocéphalie ni de signe d'encombre pour les différents tracés de la queue de cheval ni pour le cône médulaire, pas d'adhérence sous tension. Pas de poursuite du suivi clinique ni radiologique. Nous lui rappelons qu'elle doit nous contacter en cas de signe d'aggravation de son hydrocéphalie, c'est-à-dire céphalées, nausées et vomissements, troubles visuels nouveaux. Nous prendrons contact cette semaine avec nos collègues réhabilitateurs de la Suva afin de voir si des thérapeutes et neurologues spécialisés pour les fonctions sphinctériennes seraient disponibles dans le canton et nous recontacterons la patiente par la suite. Nous expliquons à notre patiente que la présence de cette discopathie sévère à ces deux niveaux avec en plus cette hernie molle provoque ces symptômes. Il lui est donc proposé de réaliser une discectomie sur les deux niveaux avec fusion par cage et plaque afin d'éviter une récidive précoce des problèmes dégénératifs sur le niveau sus-jacent. La patiente est d'accord avec notre proposition après avoir été informée des risques et bénéfices d'une telle intervention. Nous agendons cette dernière pour le 29.04.2019. Elle bénéficiera de la consultation pré-anesthésique ce jour et nous retournerons le formulaire de consentement dûment signé. Nous expliquons au patient ainsi qu'à son épouse que s'il devait y avoir une récidive des douleurs, une nouvelle infiltration pourra être envisagée avant de discuter d'une éventuelle intervention chirurgicale. Reprise du travail à 100% dès le 01.05.2019. Prochain contrôle le 18.06.2019. Nous expliquons au patient de faire des bains de Bétadine et des pansements bétadinés. Le patient sera vu par le Dr. X, orthopédiste, pour organiser une prise en charge chirurgicale, le 07.05.2019. Nous expliquons au patient encore une fois les détails de l'opération ainsi que les risques et les bénéfices liés à celle-ci. Nous lui remettons le formulaire de consentement éclairé pour réflexion et signature. Il bénéficiera d'une consultation pré-opératoire avec nos collègues de l'anesthésie. Nous expliquons au patient et à sa maman que ce type de lésion peut être traité par traitement conservateur avec le port de la minerve durant 2-3 mois. Dans le contexte psychique du patient et suite à l'aggravation en cyphose, nous posons l'indication pour un traitement chirurgical. Comme Mr. Y ne tolère pas le port de la minerve, nous discutons donc avec lui d'un traitement chirurgical par discectomie antérieure C4-C5 et C5-C6 et mise en place de cages MT Ortho + fixation par plaque Tryptik C-Plate C4-C6 agendée pour demain, le 26.04.2019 et qui est acceptée par le patient. Nous expliquons au patient la décompensation de ces douleurs lombaires sur une petite anomalie anatomique L5-S1 avec un plateau supérieur de L5 plus court entraînant une protrusion discale avec pathologie de ces deux derniers disques suite à la contusion du mois de janvier. Nous prescrivons de la physiothérapie avec étirements et élongations afin de pouvoir soulager ces facettes qui sont très douloureuses en ce moment. Nous ne prévoyons pas d'emblée de prochain contrôle mais restons à disposition en cas d'absence d'amélioration pour une éventuelle infiltration facettaire voire par la suite en cas d'échec d'une intervention de stabilisation. Nous expliquons au patient la dégénérescence multi-étagée avec sténose canalaire prédominante en L3-L4 et étant responsable des symptômes actuels. Vu la sténose en L2-L3 et surtout les sténoses foraminales sur les étages du dessous, une intervention de double TLIF L3-L4 et L4-L5 avec spondylodèse de L2 à L5 serait à envisager. Cette proposition est expliquée au patient avec les risques et bénéfices, il souhaite prendre le temps de discuter avec son médecin traitant et sa famille. Il nous fera part de sa décision par la suite. S'il devait se décider pour l'intervention, un nouveau contrôle sera nécessaire pour la planification de celle-ci. D'autre part, une infiltration épidurale peut être répétée à tout moment.Nous expliquons au patient la nécessité d'effectuer un examen complémentaire par CT-scan et les risques encourus en cas de retard de l'examen complémentaire. Le patient refuse d'effectuer le scanner car il n'a pas d'assurance en Suisse et ne peut pas payer l'examen. Nous lui proposons alors une immobilisation de la jambe par plâtre et une anticoagulation prophylactique par Clexane jusqu'à la suite de prise en charge, c'est-à-dire dans 7 jours max. au Brésil. Nous expliquons au patient la persistance de cette problématique dégénérative avec listhésis grade I et épanchement facettaire avec arthrose majeure au niveau L5-S1, pouvant être à l'origine de la symptomatologie, ainsi que le canal lombaire étroit maximal au niveau L5-S1, semblant asymptomatique sans Lasègue ni symptôme radiculaire irritatif. Nous répétons l'infiltration facettaire L5-S1 bilatérale, cette fois-ci sous CT afin d'être plus précis dans le contexte de l'arthrose majeure et des épanchements conséquents. Prochain contrôle 3 semaines après ce geste. Nous expliquons au patient la possible origine de cette nouvelle composante irritative des douleurs sur cette compression facettaire au niveau du récessus de la racine S1 gauche, raison pour laquelle nous organisons une infiltration sous scanner et reverrons le patient par la suite. S'il s'avère que l'infiltration ne soit pas suffisante, une éventuelle chirurgie de décompression par undercutting facettaire serait conseillée. Nous expliquons au patient le caractère dégénératif constitutionnel de son canal lombaire étroit qui est pour l'instant asymptomatique ainsi que la minime hernie discale L5-S1 gauche au contact de la racine S1 gauche asymptomatique actuellement. Dans l'ensemble, nous avons un patient avec une musculature dorsale très bien développée mais lui prescrivons des séances pour hygiène posturale avec étirements et allongement de la musculature ventrale. Nous lui conseillons d'adapter ses efforts au quotidien dans son activité sportive et professionnelle en évitant les torsions. Dans l'ensemble, les trouvailles sont bénignes et nous lui donnons des conseils sur l'hygiène du dos. Le patient nous fait part avoir déjà fait une physiothérapie adaptée pour le dos en début d'année avec la possibilité de mettre en place un plan adapté au niveau de la salle de sport. Il nous recontactera en cas de péjoration de ses symptômes et nous pourrons organiser une éventuelle infiltration facettaire diagnostique et thérapeutique ou également en cas de nouveaux symptômes radiculaires qui pourraient être justifiés en raison du canal lombaire étroit ou de la petite hernie connue. Nous expliquons au patient les différents problèmes dégénératifs de sa colonne lombaire et la solution qui consisterait en une décompression L2-L4 et une éventuelle stabilisation L2-S1 par abord postérieur ou par double ALIF L4-L5 et L5-S1. Ceci ne sera à envisager qu'en cas d'une aggravation nette et durable de la symptomatologie. Pour l'instant, le patient semble plutôt dans une optique conservatrice, raison pour laquelle nous le reverrons pour un nouveau contrôle clinique dans 6 mois. Nous restons à disposition dans l'intervalle. Nous expliquons au patient qu'au vu de la discopathie pluri-étagée et du débordement discal L4-L5 à base large avec complète déchirure de l'anneau fibreux postérieur, une intervention de microdiscectomie, séquestrectomie et mise en place d'un implant inter-épineux type Sténofix serait indiquée afin de soulager le disque et tenter de diminuer le risque de récidive herniaire. Dr. X est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention ainsi que de l'alternative de microdiscectomie simple, sans implant mais avec un risque plus élevé de récidive de hernie discale. Il nous donne son accord pour la première option. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Une date opératoire est fixée au 24.05.2019. Nous expliquons au patient que la radiographie ne met pas en évidence d'anomalie. Nous lui proposons une hospitalisation à but antalgique ainsi que pour complément de bilan par IRM cervicale en urgence afin d'exclure une nouvelle hernie ou sténose. Un hématome nous semble, à notre avis, peu probable au vu de l'absence de signe cutané ou de dysphagie. Nous expliquons au patient que le genou est déjà très usé à son âge et qu'il doit adapter ses activités de la vie quotidienne afin de le préserver et d'éviter les pics de douleur. Pas d'indication chirurgicale pour le moment. Pas de nouveau contrôle nécessaire mais nous restons à disposition au besoin. Ablation de l'attelle dès ce jour. Marche selon douleurs. Nous expliquons au patient que son SINS score d'instabilité vertébrale est calculé à 11 sur 18, étant donc indéterminé ou intermédiaire, avec une possible instabilité à discuter selon le cas. Nous lui présentons l'option de pratiquer une corpectomie C7 avec cage expandible et plaque antérieure afin de sécuriser ce niveau. Dr. X est encore réticent quant à une prise en charge chirurgicale, étant donné l'absence de symptomatologie actuellement. L'autre option est l'instauration d'une radiothérapie ciblée en urgence avec un nouveau contrôle dans 2 à 3 semaines avec des radiographies cervicales et lombaires afin d'exclure une éventuelle cyphotisation progressive. Nous restons à disposition dans l'intervalle en cas de changement de la symptomatologie ou de nouvelle aggravation du tableau clinique. Nos collègues impliqués sont informés par téléphone. En cas de fatigue cervicale, nous conseillons le port d'une minerve mousse afin de soulager la musculature. Le patient doit également éviter de trop solliciter sa colonne cervicale, notamment dans le cadre de mouvements de rotation voire flexion/extension extrêmes. Nous expliquons au patient que tout est en ordre et que la natation peut améliorer sa posture. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition. Nous expliquons au patient qu'il a été immobilisé dans une attelle pendant 4 semaines et que c'est la raison pour laquelle les doigts sont légèrement ankylosés. Nous lui expliquons que la mobilité va progressivement revenir dans les prochaines semaines et qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter particulièrement à son âge. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous expliquons au patient qu'il est important de poursuivre l'immobilisation avec une minerve rigide pour 2 à 3 mois au vu de la lésion ligamentaire. Nous lui prescrivons une nouvelle minerve type Miami qu'il ira chercher ce jour chez Orthoconcept. Il pourra l'enlever uniquement pour l'hygiène. Afin de mieux tolérer cette minerve et éviter des lésions cutanées sous-jacentes, nous lui conseillons de se raser. Nous le reverrons dans 3 semaines pour un contrôle radio-clinique précoce et restons à disposition au besoin. Nous expliquons au patient qu'il ne souffre que d'une lésion facettaire de C1 à G, avec œdème facettaire supérieur, inférieur et articulaire. Nous proposons donc la poursuite de l'immobilisation par minerve Miami pour 2 à 3 mois. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Dans l'intervalle, il peut enlever la minerve pour les soins d'hygiène. Pas de sport ni de conduite d'un véhicule. Nous expliquons au patient qu'il s'agit soit d'une contusion de son coracoïde soit d'une élongation de son tendon conjoint. Dans un cas comme dans l'autre, le traitement est conservateur avec antalgique simple et mobilisation selon douleurs. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin.Nous expliquons clairement aux parents les risques et bénéfices du geste qu'ils acceptent. Le geste se déroule sans complications. La bascule est acceptable post-réduction. La patiente sera revue à 1, 2 et 4 semaines à la policlinique d'orthopédie. Nous expliquons la situation au patient, à savoir qu'après cette fracture du calcanéum, il présente une raideur et des douleurs au niveau de l'articulation sous-talienne qui peuvent être en lien avec une arthrose. Si nous voulons traiter ces douleurs à long terme, cela passera probablement par une arthrodèse sous-talienne. D'autre part, les douleurs au niveau du tendon d'Achille et du talon sont en lien avec un raccourcissement du tendon d'Achille qu'il faut traiter en physiothérapie par du stretching qu'il doit également faire quotidiennement. Nous mettons également en place des semelles orthopédiques avec une barre d'appui rétro-capital, soutien de la voûte et cuvette amortissante pour les douleurs du talon. Concernant les douleurs latérales en regard de la contre-incision postérieure, celles-ci paraissent peu gênantes. Nous le reverrons dans 2-3 mois pour voir les effets du stretching et des semelles. Nous l'informons que ces mesures ne seront pas forcément décisives sur les douleurs de l'articulation sous-talienne. Si celles-ci persistent, nous envisagerons une infiltration et un CT afin de voir s'il y a une importante arthrose. Nous expliquons longuement à notre patient le caractère ambigu de sa clinique à ce jour avec une amélioration des douleurs et un Lasègue presque inexistant mais paradoxalement, la persistance d'une parésie le gênant fortement dans sa vie quotidienne et des douleurs qui sont persistantes même si améliorées. Dans l'ensemble, cette situation le fatigue beaucoup. Une intervention chirurgicale de décompression n'est pas indiquée en urgence étant donné la parésie déjà existante depuis une dizaine de jours. Nous lui expliquons aussi la possibilité de réaliser une infiltration afin de diminuer l'inflammation des racines L4 et L5 du côté D et d'instaurer un traitement par Compex et physiothérapie pour le déficit moteur. Nous lui rappelons qu'il lui est interdit de conduire. Après discussion, nous organisons une infiltration épidurale L4-L5 D sous CT pour le 01.04.2019 puis le reverrons le 04.04.2019 afin de refaire le point. Une date opératoire est d'ores et déjà réservée pour le 05.04.2019 pour décompression L3-L4 D et herniectomie ainsi que décompression L4-L5 par la G au vu d'un début de claudication neurogène suivant plutôt un dermatome L5 G même si moins importante à l'heure actuelle. Mr. Y est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord pour cette prise en charge. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Au vu d'une fraction d'éjection de plus de 50% et de l'événement cardiaque datant de plus de 6 mois, nous ne pensons a priori pas avoir besoin d'autre examen. Nous discuterons tout de même le 01.04.2019 avec son cardiologue traitant (Dr. X) afin d'obtenir son consentement pour un arrêt de l'Aspirine 5 jours avant l'intervention puis durant 3 à 5 jours après le geste. Mr. Y arrêtera l'Aspirine de lui-même dimanche, son cardiologue n'étant pas joignable ce jour. Une consultation en anesthésie est programmée pour le 04.04.2019. Nous extrayons le reste de la tique à l'aide d'une pince et effectuons une désinfection de plaie par Hibidil. Nous expliquons au patient qu'il doit surveiller l'apparition d'un érythème migrant avec photo à l'appui. Nous lui conseillons une désinfection de plaie régulière à domicile et un suivi des signes infectieux et une vaccination. Le patient est libre de rentrer à domicile. Surveillance et suivi chez le médecin traitant au besoin. Nous faisons la suture, le patient sera suivi par son pédiatre. Nous avons expliqué la surveillance pendant 24 heures (somnolence, vomissement, pleurs sans consolation...) à la maman. Retour à domicile. Nous faisons une radiographie de la main droite (le patient arrive sans radiographie et il préfère la refaire). Nous organisons ensuite la prise en charge chirurgicale pour l'après-midi même. Nous hospitalisons le patient à l'Hôpital de jour de l'HFR Riaz, avec une immobilisation en attelle Edimbourg et une bretelle. Nous fixons un nouveau RDV après l'IRM du 03.04.2019. Nous réévaluerons l'état clinique du patient à ce moment-là. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle. Nous hospitalisons Mr. Y pour surveillance neurologique dans le cadre de vomissements itératifs suite à un traumatisme crânien mineur, sans autres signes de gravité et avec un status neurologique à l'admission sans particularités. La surveillance neurologique se déroule sans particularités. Au cours de l'hospitalisation, les vomissements s'estompent et Mr. Y présente plusieurs selles molles. L'hydratation est conservée, le bilan entrées-sorties demeure positif. L'analyse des selles reviendra positive pour un Rotavirus. Les besoins d'entretien et la compensation des pertes (pesée des pampers) sont expliqués. Un contrôle chez le pédiatre dans 24-48 heures est à prévoir. Il est possible que les vomissements présentés suite à la chute soient en lien avec la gastro-entérite débutante. Nous immobilisons la cheville par une attelle Aircast. Vu l'examen clinique et radiologique rassurants, la patiente rentre à domicile avec une antalgie simple. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle dans 1 semaine. Nous incisons ce granulome et procédons à l'extraction d'un micro-fragment de fil après désinfection à la Bétadine. Mise en place d'un pansement que le patient pourra enlever dans 3 jours. Au niveau de la guérison de sa fracture, l'évolution est tout à fait favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous informons la patiente de notre très forte suspicion de nouvelle fracture au niveau sus-jacent, raison pour laquelle nous organisons dans un premier temps une nouvelle IRM dorso-lombaire avec séquences STIR afin de mieux caractériser les fractures et la stratégie opératoire. Nous l'informons d'ores et déjà qu'une éventuelle radio-fréquence et cyphoplastie seront probablement nécessaires au niveau D12 également, ce qu'elle accepte. Elle insiste toutefois sur le fait qu'elle souhaite cette opération comme prévu cette semaine au vu du temps d'attente important, des douleurs et du fait que nous avions déjà dû repousser la prise en charge en raison de l'infection. Le formulaire de consentement éclairé est modifié et signé. La date opératoire du 26.04.2019 est confirmée. Nous informons le patient que ce type de lésion peut provoquer des symptômes durant plusieurs mois, jusqu'à 6 à 12 mois. Nous n'avons aucune indication à le mettre à l'arrêt de travail à 100% néanmoins. Nous encourageons le patient à gérer au mieux ses douleurs et lui prescrivons une ceinture abdominale de soutien et des anti-inflammatoires topiques. Nous proposons néanmoins au vu de sa gêne, une reprise progressive à 50% durant 2 mois puis reprise à 100% par la suite. Pas de prochain contrôle prévu mais restons à disposition si besoin. Nous interprétons le malaise du patient comme étant principalement d'origine vagale. Par ailleurs, au vu des chiffres tensionnels élevés, le tabagisme, et les antécédents familiaux d'hypertension artérielle, nous recommandons au patient une auto-mesure de la pression artérielle au domicile et de reconsulter son médecin traitant. Nous interprétons les douleurs de la patiente comme étant des douleurs pseudo-radiculaires d'origine cervicale, chez une patiente soucieuse avec une possible surcharge de travail au bureau. Nous rassurons la patiente quant à la bénignité de ses plaintes et lui suggérons de reconsulter en cas de besoin.Nous interprétons les douleurs de Mme. Y comme étant des lombocruralgies L4 gauches non-déficitaires. Nous prescrivons pour cela des antalgiques ainsi qu'une physiothérapie ambulatoire et recommandons à la patiente de reconsulter en cas de persistance ou d'aggravation des douleurs ou en cas d'apparition de signes neurologiques. Nous interprétons les douleurs de Mr. Y comme étant des douleurs suite à la station debout prolongée au travail. Nous lui prescrivons pour cela des anti-inflammatoires et lui suggérons de reconsulter la permanence dans une semaine si les douleurs persistent, dans ce cas-là on pourrait faire un CT-scan de la cheville. Nous interprétons les plaintes de Mme. Y comme étant une angine bactérienne devant les signes cliniques francs (fièvre élevée, l'aspect des amygdales évocateur) malgré un test de strepto négatif. Nous prescrivons une antibiothérapie orale par amoxicilline et suggérons à la patiente de reconsulter en cas de non-amélioration. Nous interprétons les plaintes de Mme. Y comme étant une distorsion traumatique du genou gauche. Nous proposons à la patiente une physiothérapie ambulatoire avec augmentation de l'analgésie, et de reconsulter son médecin traitant après les congés de Pâques. Nous interprétons les plaintes de Mme. Y comme étant une infection virale des voies aériennes hautes et prescrivons un traitement symptomatique. Nous proposons à la patiente de reconsulter en cas de fièvre, frissons ou aggravation et persistance des symptômes. Nous interprétons les plaintes de Mr. Y comme étant d'allure virale. Nous prescrivons pour cela un traitement symptomatique et recommandons au patient de reconsulter en cas de fièvre ou de persistance des symptômes. Nous interprétons les plaintes de Mr. Y comme étant une angine virale, nous poursuivons donc le traitement par alfigor. Nous interprétons les plaintes de Mr. Y comme étant une gastro-entérite d'allure virale, que nous traitons par traitement symptomatique. Nous recommandons au patient de reconsulter en cas de fièvre, ou de persistance des symptômes. Nous interprétons les plaintes de Mr. Y comme étant une infection virale des voies respiratoires pour laquelle nous prescrivons un traitement symptomatique. Nous interprétons les plaintes de Mr. Y comme étant une infection virale des voies respiratoires pour laquelle nous prescrivons un traitement symptomatique. En revanche, face à une glycémie aussi élevée, nous augmentons son traitement habituel et recommandons vivement au patient de consulter son médecin habituel pour une meilleure adaptation de son traitement anti-diabétique. Nous la reverrons à un an post-opératoire pour un contrôle radioclinique. Poursuite des dernières séances de la physiothérapie et d'ergothérapie. Nous laissons repartir au domicile Mme. Y avec une lotion de Tanno Hermal. Nous lui conseillons de bien surveiller la plaie, et vu qu'elle ne souhaite pas un nouveau rendez-vous de contrôle chez nous, nous lui proposons d'aller chez le médecin traitant dans deux semaines pour contrôle de la plaie. En cas de péjoration clinique locale, nous restons à disposition en cas de besoin. Nous conseillons d'arrêter la Clexane dans quelques jours vu qu'elle arrive déjà à marcher en charge complète sans soucis particulier. Nous lui expliquons que cet os trigone peut être responsable des douleurs résiduelles. Nous proposons de poursuivre la physiothérapie avec proprioception et renforcement musculaire des éverseurs. Elle rapporte encore une certaine insécurité de sa cheville. Concernant l'os trigone, elle souhaite attendre et voir l'évolution. Si celle-ci est défavorable, nous envisagerons une résection de cet os par arthroscopie. Nous lui expliquons que lors du premier traumatisme, il a probablement également eu une lésion du ligament collatéral interne qui est maintenant cicatrisé. On lui prescrit une genouillère avec renforts latéraux à porter lors des exercices de combat pour stabiliser le genou. Il n'y a pas d'indication opératoire. Prochain contrôle en mai. Nous lui expliquons qu'il faut poursuivre la physiothérapie. Il faut remplacer la canne par un bâton de nordic. Prochain contrôle dans trois mois. Nous lui prescrivons de l'ergothérapie pour travailler la cicatrice et pour la mobilisation du doigt. Prochain contrôle chez Dr. X. Nous lui prescrivons des semelles avec un soutien rétro-capital et un amortissement local du pied droit. Nous organisons également une infiltration locale et le reverrons deux semaines après ce geste. Nous lui prescrivons de l'ergothérapie afin d'effectuer des exercices de flexion et d'extension du quatrième doigt. Prochain contrôle clinique en septembre. Nous lui avons expliqué qu'il n'y a actuellement pas d'autre chose à faire. Nous maintenons le traitement conservateur que nous majorons avec de l'antalgie, du Sirdalud le soir, ainsi que des séances de physiothérapie avec allongement des chaînes antérieures, renforcement postérieur et stabilité posturale. Poursuite de l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au 05.05.2019 puis à 50 % du 06.05.2019 au 31.05.2019. Prochain contrôle la dernière semaine de mai pour refaire le point. D'ici là, il est prévenu qu'en cas de péjoration des symptômes, il faudra nous reconsulter dans les plus brefs délais. Nous mettons en évidence chez Mme. Y un bouchon de cérumen dans l'oreille droite. Nous l'extrayons manuellement. Par la suite, le tympan est calme, mais le conduit auditif légèrement érythémateux, raison pour laquelle nous prescrivons des gouttes Otalgan. La patiente doit consulter à nouveau si péjoration de la situation. Nous mettons en évidence un syndrome inflammatoire systémique, d'origine potentiellement abdominale. Au vu de la clinique, nous suspectons une éventuelle appendicite débutante. La patiente étant stable d'un point de vue antalgique, nous lui proposons un traitement antalgique, ainsi qu'un contrôle clinico-biologique samedi 20.04.2019 à la filière des urgences ambulatoires. Nous mettons en place un plâtre brachio-antébrachial fendu et bretelle, la patiente sera suivie à la policlinique d'orthopédie. Nous mettons en place un point de suture, Mr. Y sera contrôlé par son médecin traitant vendredi le 26.04.2019. Il n'a pas besoin d'ordonnance pour de l'antalgie, parce qu'il a déjà des AINS chez lui. Nous mettons en place un traitement conservateur par Schlupfgips pendant quatre semaines avec une charge de 10 kg max pendant six semaines. Arrêt de sport pour trois mois et pour les sports de contact trois mois. Nous le reverrons pour un contrôle radioclinique hors plâtre dans quatre semaines. Nous mettons en place un traitement physiothérapeutique avec mobilisation du coude, étirements musculaires, trigger point et TENS, nous prescrivons également une IRM du coude droit et adressons la patiente à la consultation spécialisée de Dr. X. D'ici là, elle bénéficie également d'une antalgie standard ainsi que de patchs à appliquer au niveau du coude pour une durée de six semaines. Nous mettons l'épisode de cyanose péribuccale avec extrémités froides et tremblements dans le cadre d'une montée de fièvre, à l'arrivée, Mme. Y a la température qui est montée de 38.5 °C à 39 °C. Il n'y a pas d'infection urinaire. L'état fébrile s'inscrit probablement dans le cadre d'une virose respiratoire. Nous mettons les douleurs au dos sur le compte de probables douleurs abdominales (mauvaise localisation, patiente <3 ans), il n'y a pas de signes cliniques laissant suspecter une pyélonéphrite (pas de fièvre, LRSI), ni des douleurs de la colonne (percussion sp, pas de douleurs au changement de langes). Reconsultent si persistance des plaintes en dehors de la gastro-entérite.Nous montrons les images à la patiente et discutons concernant la possibilité de réaliser une éventuelle intervention d'ACDF sur les deux niveaux concernés C4-C5 et C5-C6 pour prévenir le risque de développer une myélopathie cervicale clinique (actuellement absente). La patiente est surtout gênée actuellement par les douleurs cervicales pour lesquelles nous pouvons organiser une infiltration facettaire C4-C5 droite comme premier traitement. Mme Y devrait également subir d'autres examens en vue d'une éventuelle intervention cardiaque (pas de documentation à disposition). Nous reverrons la patiente après cette infiltration cervicale. Une intervention au niveau cervical n'est pas urgente et pourra être planifiée de manière élective une fois que nous aurons plus d'informations concernant sa pathologie cardiaque et l'éventuelle indication opératoire à ce niveau. Nous ne mettons pas en évidence des signes d'otite. Nous recommandons de poursuivre les gouttes et d'effectuer des rinçages nasaux. Un contrôle sera fait chez le pédiatre et la consultation sera à avancer en cas de péjoration de la symptomatologie/symptômes nouveaux. Nous ne notons pas de critère de gravité et après une excellente gestion antalgique (Ibuprofen 600 mg et Paracetamol 1g) la patiente peut rentrer à domicile après une surveillance aux urgences et l'avis du Dr X, chef de clinique. Nous ne notons pas de critère de gravité et posons le diagnostic et le suivi suscités. Consultation chez son médecin traitant si récurrence des épisodes ou persistance à 2 jours des douleurs. Consultation avant si péjoration clinique. Nous ne notons pas de critère de gravité ni à la clinique ni aux examens complémentaires et nous posons le diagnostic de douleurs rétro-sternales d'origine indéterminée, DD : musculo-squelettique. Nous ne notons pas de critère de gravité sur le plan somatique. Sur le plan psychiatrique, l'anamnèse et le status nécessitent une consultation psychiatrique. Le patient ayant des craintes sur l'acceptation de ses parents concernant cette consultation, nous lui proposons de faire venir le psychiatre ce jour chez nous aux urgences. Le psychiatre propose un suivi ambulatoire avec un rendez-vous déjà fixé pour les prochains jours. Le patient sort accompagné par sa mère. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Nous ne retenons pas d'argument en faveur d'une thrombose veineuse profonde, ni d'une embolie pulmonaire. Au vu du discret syndrome inflammatoire et la discrète rougeur pré-tibiale gauche, nous préconisons un contrôle clinico-biologique chez le médecin traitant pour s'assurer qu'il ne s'agisse pas d'un érysipèle débutant. Nous ne retenons pas d'argument pour un événement infectieux (patiente déjà sous antibiothérapie, pas de syndrome inflammatoire). Nous retenons une probable thrombose veineuse superficielle pour laquelle un traitement par Xarelto 10 mg est instauré. Un consilium par les angiologues est demandé pour le 15.04 avec la réalisation d'un ultrason. Nous leur laissons le soin d'évaluer la pertinence de la poursuite du traitement par Xarelto. Nous ne retenons pas d'argument pour une arthrite infectieuse, ni pour une crise de goutte. Nous proposons au patient un traitement anti-inflammatoire avec protection gastrique pour 5 jours. Nous préconisons un contrôle chez le médecin traitant à 48h pour s'assurer de la bonne évolution de la lésion. Nous ne retenons pas d'argument pour une atteinte centrale et ne préconisons pas d'examen complémentaire. Au vu de l'absence de réponse au traitement antalgique classique, nous proposons l'introduction d'un traitement par Lyrica pour au minimum 2 semaines. Nous proposons à la patiente de prendre contact avec son médecin traitant pour organiser un contrôle clinique en début de semaine prochaine, afin de réévaluer la nécessité de poursuivre le traitement de Lyrica, ainsi que pour un bilan biologique dans le contexte de fatigue de longue durée. La patiente est invitée à reconsulter un service d'urgences en cas d'apparition de nouveaux symptômes. Concernant les brûlures mictionnelles, nous ne retenons pas d'argument pour une infection urinaire. Nous ne retenons pas de fracture. Nous expliquons au patient l'importance de la compliance au traitement anti-inflammatoire afin de réduire les douleurs. Contrôle clinique chez le médecin traitant à 1 semaine. Nous ne retenons pas d'étiologie infectieuse ni rhumatismale au niveau de la lésion du 2ème orteil. Il s'agit probablement d'une inflammation d'un cor pour laquelle nous proposons des bains de Dakin ainsi qu'un contrôle chez le médecin traitant si pas d'amélioration. Concernant l'érythème de la verge, sur la base de l'anamnèse, nous retenons une balanoposthite irritative sur excès d'hygiène et utilisation de produits cosmétiques inappropriés. Nous lui proposons de faire sa toilette intime 1x/jour juste avec de l'eau tiède, sans savon. Il peut également appliquer de l'onguent de type Kamillosan. Nous ne retenons pas d'origine angineuse aux douleurs du patient. Au CT-scan, nous ne retrouvons pas d'embolie pulmonaire et l'abcès est en régression. Nous suspectons une origine pariétale aux douleurs. Cependant, nous notons au cours de la surveillance un passage en fibrillation auriculaire avec tachycardie jusqu'à 200 bpm, spontanément résolutif. Nous proposons au médecin traitant d'organiser dans ce contexte une échocardiographie afin de compléter le bilan. Nous ne retenons pas d'origine cardiaque aux douleurs du patient au vu de l'absence de dyspnée et du caractère atypique des symptômes. Nous retenons donc le diagnostic de douleurs thoraciques d'origine indéterminée pour lesquelles nous proposons un traitement antalgique simple. Le patient est invité à reconsulter en cas d'apparition de nouveaux symptômes. Nous ne retenons pas d'origine cardiaque aux douleurs que le patient a ressenties. Au vu du contexte d'ingestion rapide, nous suspectons le diagnostic sus-cité. Le patient est invité à se représenter aux urgences en cas d'apparition de nouveaux symptômes. Nous ne retenons pas d'origine cardiaque ni d'embolique aux douleurs. Nous proposons au médecin traitant de compléter le bilan par des investigations gastro-entérologiques en cas de persistance de la symptomatologie. Si rien à signaler, nous proposons d'effectuer un bilan cardiaque. Nous ne retrouvons aucune lésion hormis une dermabrasion du coude droit lors d'un status tête-pieds complets. Nous ne retenons pas d'indication à effectuer un bilan radiologique. Un sédiment urinaire de routine est effectué, ne montrant aucune hématurie. Un contrôle clinique et un sédiment urinaire sont prévus à la filière des urgences ambulatoires le 20.04.2019. Nous ne retrouvons pas de signe neurologique de traumatisme crânien. Sous anesthésie locale, nous suturons par 3 points au Vicryl 5-0. Il reconsultera les urgences en cas d'apparition de symptômes neurologiques. L'ablation des fils se fera dans 8 jours chez le pédiatre traitant. Nous ne retrouvons pas d'étiologie expliquant la perturbation initiale des tests pancréatiques. Nous émettons la possibilité d'une infection virale. Au vu de l'amélioration clinique et la normalisation des tests pancréatiques, nous autorisons le patient à regagner son domicile. Nous préconisons la réalisation d'un dosage de la fonction hépato-pancréatique à 3 semaines par le médecin traitant. Si dans l'intervalle, le patient présente une réapparition de la symptomatologie, il est invité à se représenter aux urgences. Nous notons des signes d'otite externe droite et posons le suivi susmentionné. Nous notons l'absence de critère de gravité. De plus, nous n'avons pas d'indication pour un CT-scan en urgence au vu de l'âge de la patiente. La patiente sera donc revue demain pour un suivi clinico-biologique. En cas de persistance des douleurs, demander un avis au Dr X, chirurgien. Rendez-vous chez son médecin traitant le 24.04.2019. Rendez-vous à la consultation du Dr X le 15.05.2019 à 09h15.Nous notons un net affaissement de la voûte plantaire dont l'origine reste indéterminée. Nous prions le médecin traitant de nous transmettre un courrier avec le diagnostic posé afin de mieux comprendre cette origine. Au vu des douleurs au niveau de la TMT 1, nous organisons une infiltration pour soulager les douleurs. Nous organisons également un CT. Nous la reverrons suite à ceci. Nous notons une bonne évolution. Mme. Y va poursuivre son traitement physiothérapeutique. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Nous notons une excellente évolution à 10 mois de l'accident susmentionné. Mr. Y travaille à 100% et n'a plus de gêne. Fin de traitement. Nous restons à disposition. Nous observons que l'érythème diminue légèrement mais persiste un prurit. Nous rajoutons 15 gouttes de feniallerg. Amélioration des symptômes prurigineux et érythémateux. Nous optimisons le traitement antalgique et lui prescrivons une ceinture abdominale. Prochain contrôle dans 2 semaines avec une IRM lombaire avec séquences STIR afin d'exclure une lésion ligamentaire ou tassement non visible au CT. Nous organisons un arthro-CT afin de mesurer l'étendue de la lésion. Nous le reverrons suite à cet examen pour refaire le point. Dans l'intervalle, nous lui prescrivons de la physiothérapie. Nous organisons un bilan par scanner à 3 mois de l'intervention pour évaluer les signes de fusion. Poursuite de la physiothérapie en augmentant les exercices pour le renforcement musculaire et la récupération de la parésie du MSG. De plus, Mr. Y nous informe à nouveau de ses douleurs persistantes au niveau dorso-lombaires, liées probablement à la discopathie L4-L5 sans hernie discale ni irradiation de la douleur dans les MI. Nous prescrivons également de la physiothérapie pour ce problème avec antalgie et Mydocalm durant 15 jours. En cas de persistance des symptômes, un bilan plus spécifique pour la colonne lombaire pourra être envisagé lors de la prochaine consultation. Mr. Y ne travaille pas. Nous organisons un CT pour voir la position des vis et la consolidation de la fracture. Nous demanderons un avis au Dr. X pour la suite de la prise en charge. Nous organisons un US à la recherche d'une boursite trochantérienne ou d'une anomalie des abducteurs. Nous reverrons Mme. Y à la suite de cet examen pour discuter des résultats. Dans l'intervalle, nous lui prescrivons des anti-inflammatoires topiques en patch. Nous organisons une ablation de ce kyste. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Nous organisons une IRM de la colonne lombaire avec séquences STIR ainsi qu'une IRM de la colonne dorsale pour évaluer cette hernie calcifiée D9-D10. Nous organisons également une infiltration facettaire au niveau L2-L3 sous scopie en salle des plâtres et réaliserons ce jour également un corset plâtré. Nous reverrons Mme. Y dans 4 semaines après le geste ainsi que pour discuter de l'IRM et jugerons de la nécessité d'organiser un bilan neurologique avec les potentiels évoqués avant un éventuel geste chirurgical. Nous organisons une IRM de l'épaule D ainsi qu'un CT de la colonne vertébrale. Nous reverrons Mr. Y après ces examens. Entretemps, début de physiothérapie avec schéma San Antonio. Arrêt de travail à 100% jusqu'à fin avril. Nous organisons une IRM et un bilan radiologique. Au vu de la durée des symptômes, nous nous orientons probablement vers une prise en charge chirurgicale avec ligamentoplastie selon Blanchet. Nous la reverrons suite à ces examens. Nous organisons une IRM pour mieux bilanter la lésion. Il peut marcher selon douleurs et nous discuterons de suite de la prise en charge après l'examen. Nous organisons une scintigraphie à la recherche d'une pathologie de la sous-astragalienne ou du Chopart. Nous la reverrons suite à cet examen avec des radiographies de la cheville et du pied en charge. Nous demandons également à Mme. Y de nous fournir les résultats de l'expertise ainsi que des examens qui ont été faits. Nous pensons que ces douleurs sont plutôt dues à une laxité ligamentaire des pieds creux. Nous lui prescrivons donc des semelles de correction et de la physiothérapie pour renforcer la musculature des péroniers. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Nous pensons qu'il s'agit encore d'une symptomatologie parlant pour la commotion cérébrale pouvant résulter du traumatisme subi il y a presque 3 semaines mais ne pouvons pas poser ce diagnostic sans avoir une imagerie cérébrale nous permettant d'exclure des micro-saignements ou des lésions axonales diffuses. Nous organisons une IRM cérébrale avec séquences SWI ainsi que pour mieux étudier les artères vertébrales. Nous reverrons Mr. Y par la suite. Nous planifions un ENMG pour bilanter le nerf à 2 mois postopératoires. Prescription également de physiothérapie et d'une attelle Heidelberg pour le pied tombant. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Nous ponctionnons ce jour la voussure et en évacuons environ 40 cc de liquide séro-sanguinolant que nous envoyons pour analyse microbiologique. Réfection des pansements. Prochain contrôle clinique dans 1 semaine pour ablation des agrafes et discussion des résultats microbiologiques. Mr. Y est prévenu qu'en cas de fièvre, il devra reconsulter dans les plus brefs délais. Nous posons le diagnostic de fracture burst complète de T12 et recul de 3 mm du mur postérieur. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire et le CT-scanner lombaire montre la fracture de T12. Le Dr. X, de la Spine team, pose l'indication à une hospitalisation à visée antalgique avec +/- une intervention chirurgicale. Mme. Y est transférée en ambulance à l'HFR Fribourg. Nous poursuivons le traitement par physiothérapie et nous rajoutons des tens déjà effectués en physiothérapie à faire à la maison. Poursuite également de la médication anti-douleurs avec Dafalgan et Novalgin ainsi qu'un anti-inflammatoire (Tilur). Mr. Y va poursuivre le travail à un taux de 50% jusqu'à fin avril et commencera à 80% au mois de mai. Nous reverrons Mr. Y le 22 mai pour un contrôle clinique et avant ce contrôle, nous effectuerons une IRM du poignet pour évaluer la situation cartilagineuse et ligamentaire du SL. Nous pouvons faire la comparaison de la radiographie présente avec les radiographies précédentes de la main droite, pas de signe de fracture. Mr. Y consultera chez son médecin traitant la semaine prochaine pour un contrôle clinique. Nous prenons avis auprès du Dr. X, de médecine interne, qui propose de garder Mme. Y en surveillance aux urgences et de la réévaluer le 12.04.2019. Elle reçoit du Bétaserc, qui permet de bien soulager ses symptômes. Elle est capable de se lever seule pour aller aux WC. Devant l'évolution clinique favorable, Mme. Y rentre à domicile accompagnée de son mari. Nous lui expliquons comment réaliser les manœuvres de Brandt-Daroff. Consultation aux urgences en cas d'apparition de nouveaux symptômes. Nous prenons avis auprès du psychiatre de garde, le Dr. X, qui vient voir Mme. Y et propose une hospitalisation au RFSM de Marsens, ce que Mme. Y accepte. Elle quitte les urgences pour le RFSM de Marsens, accompagnée par son père. Nous prenons contact avec la psychiatre de garde (Dr. X, qui vient voir Mme. Y) et qui met en place un traitement avec Quétiapine 12.5 mg le soir et elle est d'accord pour un retour à domicile.Les informations pour un suivi en ambulatoire à l'HFR Fribourg ont été données et la patiente va prendre contact avec les psychiatres à Fribourg déjà demain matin. Nous prenons contact avec l'ophtalmologue de garde pour obtenir son avis. Au vu de l'examen clinique rassurant, avec un patient normotendu, et de l'absence de tout nouveau symptôme, de douleur, ou de nouveau trouble visuel, cette dernière nous conseille de laisser le patient rentrer à domicile avec une prescription pour un collyre hydro-salé. Le patient a déjà un rendez-vous prévu chez l'ophtalmologue, le Dr X à Bulle-Vision pour un suivi clinique dans le contexte de sa diplopie liée à un œdème orbitaire. Nous prenons en charge la plaie avec un rapprochement des berges par 4 points simples sous anesthésie locale après avoir bien désinfecté et exploré la plaie pour exclure une lésion des structures nobles. Au vu de l'examen clinique rassurant nous le laissons ensuite rentrer à domicile avec un arrêt de travail de 3 jours. Il se rendra chez son médecin traitant pour l'ablation des fils à 7 jours. Nous prenons en charge la plaie par désinfection et rapprochement cutané des berges sous anesthésie gel let par 2 points simples avec fil Ethilon 4-0. L'ablation des fils se fera chez le pédiatre à J14. Au niveau du traumatisme crânien, il n'y a pas de déficit neurologique et le patient présente un excellent état général. Nous le laissons donc rentrer à domicile après avoir donné et expliqué la feuille de surveillance post-traumatisme crânien à la mère qui consultera en cas d'apparition de symptômes mentionnés. Nous prenons en charge la plaie par désinfection et rapprochement cutané des berges sous anesthésie gel let par 3 points simples avec fil Ethilon 5-0. L'ablation des fils se fera chez le pédiatre à J5. Au niveau du traumatisme crânien, il n'y a pas de déficit neurologique et la patiente présente un excellent état général. Nous la laissons donc rentrer à domicile après avoir donné et expliqué la feuille de surveillance post-traumatisme crânien à la mère qui consultera en cas d'apparition de symptômes mentionnés. Nous prenons en charge la plaie par désinfection, exploration à l'aiguille boutonnée (pas de corps étrangers, pas de structure noble exposée) puis rapprochement des berges par 2 points simples sous anesthésie locale. Nous donnons un rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires pour contrôle de la plaie à 48h. Ablation des fils chez le médecin traitant à J14. Nous prenons en charge la plaie par une désinfection, un rinçage abondant et une exploration ainsi qu'un rapprochement des berges cutanées par 6 points simples à l'Ethilon 4-0 sous anesthésie locale. Nous appliquons un pansement Spray par Opsite. L'ablation des fils sera effectuée chez le médecin traitant à 14 jours. Il prendra contact avec son médecin le jour même pour effectuer un vaccin anti-tétanique dans les 72h si celui-ci n'est plus à jour. L'examen clinique neurologique ne met en évidence aucun déficit. Nous concluons à un traumatisme crânien simple et donnons la feuille de surveillance post-traumatisme crânien au patient en la lui expliquant. Si un des symptômes apparaît les 24h suivant le traumatisme, nous lui conseillons de consulter immédiatement aux urgences. En ce qui concerne la crise hypertensive, nous le mettons dans le contexte d'un stress émotionnel ressenti par le patient (contexte familial difficile actuellement). Nous administrons aux urgences 20 mg de Nifédipine et 25 mg de Beloc avec une bonne évolution. Nous proposons au patient de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique avec un suivi du profil tensionnel et un traitement médicamenteux si cela est nécessaire. Nous prenons l'avis auprès du Tox Zentrum qui propose un traitement identique aux brûlures thermiques. Nous réalisons alors un pansement par Ialugen Plus et Jelonet, la patiente sera revue à 24h à la filière des urgences ambulatoires pour première réfection de pansement. Antalgiques et anti-inflammatoires en réserve. Nous prenons l'avis du Dr X qui propose d'hospitaliser le patient avec Rocéphine 2g iv et Flagyl 500 mg 3x/jour. Départ au HFR Tafers en ambulance, en raison du manque de place à l'HFR Riaz, après discussion avec le Dr X. Nous prenons l'avis du Dr X, orthopédiste, et organisons une intervention pour le 25.04.2019. Nous mettons en place une attelle Edimbourg et convoquons le patient pour l'intervention. Nous prenons l'avis du Dr X, ORL. Nous donnons au patient une antibiothérapie. Il prendra rendez-vous chez le Dr X pour une consultation le 26.04. Nous prenons l'avis du psychiatre de garde au vu de cette menace suicidaire qui recommande une hospitalisation du patient en mode volontaire. Concernant la crise d'asthme, nous n'avons rien eu à faire aux urgences, le patient ayant géré lui-même sa symptomatologie. Départ au RFSM de Marsens, accompagné par les policiers. Nous prenons l'avis du psychiatre de garde et la patiente part en ambulance sous PAFA au RFSM Marsens pour une décompensation psychotique aigue avec mise en danger de sa propre personne et défaut. La patiente est transférée à Marsens dans l'unité ATLAS. Nous prenons l'avis psychiatrique du Dr X qui, suite à l'entretien, conclut à des troubles de l'adaptation avec prédominance d'une perturbation des conduites (insultes vulgaires et menace suicidaire) - F43.24. Impressions diagnostiques de : • Utilisation d'alcool nocive pour la santé. • Intelligence limite. • Trouble de la personnalité (traits sensitifs de la personnalité). Le patient est transféré au RFSM de Marsens sous PAFA pour suite de la prise en charge, départ en ambulance. Nous prescrivons au patient des nouvelles séances de physiothérapie pour amélioration de la posture. Nous expliquons bien au patient que les douleurs chroniques nécessitent du temps et de la patience. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition si besoin. Nous prescrivons au patient un décongestionnant nasal en spray et lui recommandons de poursuivre l'Irfen et le solmucol. Nous prescrivons de la physiothérapie pour mobilisation du genou, renforcement musculaire, travail proprioceptif et notamment renforcement des abducteurs des deux hanches pour améliorer la marche. Pas de contrôle prévu mais nous restons à disposition. Nous prescrivons encore des séances de physiothérapie pour détendre le muscle au niveau du membre inférieur droit. Nous organisons également un scanner du genou gauche pour évaluation du tendon quadricipital et de cette calcification pour pouvoir poser une éventuelle indication opératoire. Nous prévoyons un prochain contrôle durant cette année afin de discuter de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse puisqu'il y avait une lésion ligamentaire associée à la fracture. Le patient est informé de cela. Prescription de physiothérapie pour adapter la musculature et pour pouvoir reprendre ses activités sportives intensives. Prochain contrôle en juillet. Nous prions à nouveau le team hanche de bien vouloir reconvoquer le patient et prions également le Neurocentre de bien vouloir convoquer le patient pour un bilan électrophysiologique à la recherche d'une lésion radiculaire récente pouvant nous confirmer ou infirmer l'origine de ces douleurs sur canal lombaire étroit. Si cet examen devait confirmer une douleur d'origine radiculaire centrale, nous pourrions penser pratiquer une infiltration épidurale voire une décompression en raison de la sténose sévère en L2 à L5. Ces deux gestes impliquent tout de même l'arrêt du Sintrom, raison pour laquelle nous restons réticents et prudents avant de les organiser. Nous prions nos collègues de rappeler le Dr X le 02.05.2019 afin d'organiser la suite de la prise en charge neurologique. De plus, selon les résultats du R-test, nous leur prions de revoir l'indication à l'anticoagulation. Selon l'évolution clinique, un placement en EMS sera à réévaluer (aucune démarche n'est actuellement en cours).Bilan pneumologique à réévaluer à distance. Nous procédons à la désinfection, à l'anesthésie et à l'incision de l'abcès avec évacuation de pus. Nous rinçons la cavité et mettons en place un drain. Contrôle clinique le 16.04.2019 à la permanence. Nous procédons à l'ablation avec une pincette de l'épine millimétrique sous-cutanée dans le talon gauche. Nous procédons à une anesthésie, nettoyage et suture avec 4 points 4-0 et 2 points 6-0. Nous prescrivons un arrêt de travail pour 7 jours et Mr. Y ira enlever les fils chez son médecin traitant le 08.04.2019. Interdiction d'effort avec la main gauche. Il ne souhaite pas d'antalgie. Nous procédons à une désinfection, anesthésie et drainage de l'abcès cutané. Nous mettons en place un drain et, n'ayant pas pu drainer toutes les collections liquidiennes (certaines probablement encore en voie de formation), nous prévoyons un contrôle clinique avec éventuelle incision des autres collections le 12.04.2019. Nous prescrivons une antalgie simple et un arrêt de travail dans l'attente. Nous profitons de la consultation post-IRM pour refaire le point avec la patiente. Au vu de l'absence de l'apparition d'une nouvelle symptomatologie, nous redirigeons la patiente vers le Dr. X qui la verra lors de sa consultation le 16 avril. Nous prolongeons l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle qui est prévu au team membre supérieur le 22.05.2019. Le patient travaille comme ingénieur, mais il est gaucher. Nous proposons au patient de mobiliser le coude et le poignet pendant la journée pour éviter de l'enraidir. La suite de la prise en charge se fera au team membre supérieur. Nous proposons à la maman de refaire un contrôle clinique dans 1 mois pour voir l'évolution clinique. Nous restons à disposition entre temps en cas de besoin. Nous proposons à la patiente de commencer de la physiothérapie de renforcement musculaire de l'épaule à gauche, vu que le côté opposé est aussi limité à la mobilisation. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 6 semaines pour voir l'évolution de la mobilisation de l'épaule. Nous conseillons aussi à la patiente d'enlever le gilet. Nous proposons à la patiente de consulter les urgences ophtalmologiques de Fribourg lundi et d'entamer l'antibiothérapie par co-amoxicilline en cas d'aggravation des lésions. Nous proposons à la patiente de continuer avec le gilet orthopédique et de mobiliser le coude ainsi que le poignet régulièrement. Prochain contrôle radioclinique dans 3 semaines pour voir l'évolution de la fracture et éventuellement prescrire des séances de physiothérapie de mobilisation en passif. Nous proposons à la patiente de faire des séances d'ergothérapie pour mobilisation de l'IPP et regagner la flexion et l'extension complètes. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Nous proposons à la patiente de faire un contrôle chez le médecin traitant et de consulter les urgences si elle présente une douleur en péjoration ou un symptôme nouveau inquiétant. Nous proposons à la patiente de faire un contrôle de la fonction de la thyroïde chez son médecin traitant au vu de l'exophtalmie. Elle sera convoquée pour un IRM en ambulatoire. Nous proposons à la patiente de faire un contrôle pour l'éradication de H. pylori. Nous mettons en place un traitement de Pantozol 1x/j pendant 1 mois avec conseil de contrôle et organisation d'une gastroscopie si persistance des douleurs. Nous proposons à la patiente de poursuivre la physiothérapie, de reprendre les activités sportives dans l'axe comme le vélo, la course à pied, selon douleurs. Nous lui donnons encore un bon physio pour continuer le renforcement musculaire. Nous ne fixons pas de nouveau RDV mais restons à disposition au besoin. Nous proposons à la patiente de reprendre les massages cervicaux à l'huile de genièvre, comme expliqué, et de faire régulièrement des exercices de stretching et renforcement de la musculature dorsale et abdominale. Prochain contrôle dans 6 mois pour refaire le point. Concernant les douleurs au niveau du 4ème doigt de la main droite, nous adressons la patiente au team membre supérieur pour évaluation. Nous proposons à la patiente de reprendre son ancien traitement d'Oxynorm ainsi que de majorer sa prise habituelle de Novalgin qui, selon elle, la soulage habituellement bien. Nous proposons à la patiente d'enlever l'attelle Vaco Ankle au vu de l'absence de symptomatologie au niveau de la cheville. Nous lui proposons une thérapie de renforcement musculaire de la cheville, ainsi qu'un stretching de la fasciite plantaire. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 6 semaines soit le 05.06.2019. Prolongation de l'arrêt de sport jusqu'au prochain contrôle. Nous proposons à la patiente des séances de physiothérapie pour renforcement de la musculature lombaire et des membres inférieurs. Étant donné qu'elle est dans l'impossibilité de bénéficier de séances de physiothérapie hors de chez elle (nécessité d'un interprète pour interagir avec le physiothérapeute), nous lui prescrivons des séances de physiothérapie à domicile pour hygiène posturale, stretching et renforcement musculaire. Prochain contrôle radioclinique dans 6 mois. Nous proposons à la patiente une immobilisation par attelle thermoformée, mais la patiente souhaite absolument un plâtre car elle dit que sinon elle va l'enlever. Confection d'un plâtre AB circulaire et prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines. Arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Nous proposons à notre patiente une thérapie d'essai avec du Neurontin en schéma progressif durant les prochaines semaines afin de soulager ces douleurs d'allure neuropathique sur le dermatome L5 du côté gauche et d'intensifier le physio-fitness avec de la natation et du vélo afin de surmonter ces douleurs musculaires du rééquilibrage de la colonne suite à cette chirurgie. Elle nous décrit également de temps en temps des cervicobrachialgies du côté gauche d'allure plus spécifique qui sont pour l'instant en stand by mais qui seraient à réévaluer en cas d'aggravation avec une nouvelle IRM de la colonne cervicale. Prochain contrôle dans 3 mois. Nous proposons au patient, accompagné de sa grand-maman, de prolonger l'arrêt de sport pour encore 1 mois. Nous le reverrons pour un contrôle clinique le 28.05.2019 pour voir l'évolution. En cas de disparition complète des douleurs, la maman reprendra contact avec nous pour annuler le rendez-vous. Nous proposons au patient de continuer la physiothérapie et de travailler le renforcement musculaire ainsi que les étirements et massages pour bien diminuer la tuméfaction au niveau du genou. Nous conseillons de poursuivre la marche à l'aide des cannes pour les 2 prochaines semaines, car il se sent passablement instable à la marche. Nous prolongeons l'arrêt de travail de 6 semaines et nous le reverrons dans 6 semaines, soit à 3 mois postopératoires, pour évaluer la suite. Pour rappel, le patient travaille comme aide de salle à l'HFR de Riaz. Nous proposons au patient de continuer la physiothérapie, les ondes de choc, d'arrêter le tabac et de commencer à charger progressivement pour stimuler la guérison de la fracture. On le rassure sur le fait que la guérison prend entre 9 et 12 mois post-fracture. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'à ce moment-là (boulanger), du fait qu'il n'est pas possible d'adapter son travail. Nous proposons au patient de garder l'attelle encore 2 semaines et de refaire un contrôle radioclinique dans 2 semaines pour voir l'évolution de la fracture. Si la fracture est consolidée à ce moment, nous pourrons prescrire de l'ergotherapie de mobilisation.Nous proposons au patient de poursuivre la physiothérapie à but de mobilisation de l'épaule et de renforcement de l'infra-épineux. Prolongation de l'arrêt de travail à 50% pour encore 2 mois, à savoir jusqu'au 12.06.2019. Nous proposons de revoir le patient un mercredi afin qu'il puisse être examiné par le Dr. X afin de discuter d'un possible geste (réparation du supra épineux, versus infiltration). Nous proposons au patient de poursuivre le traitement conservateur pour les 3 prochaines semaines avec le plâtre AB. Nous le reverrons dans 3 semaines pour un contrôle radioclinique et ablation du plâtre. Nous prescrirons à ce moment-là, de la physiothérapie de mobilisation du poignet. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle (patient paysagiste). Nous proposons au patient d'enlever l'attelle et de continuer avec l'ergothérapie avec une mobilisation de l'IPD. Nous le reverrons pour un dernier contrôle radioclinique dans 6 semaines soit le 04.06.2019. Nous proposons au patient le sevrage progressif de cette attelle poignet. Ad voltarène crème. J'ai donné au patient un arrêt de travail à 100% d'une semaine. Le patient reprendra contact dans notre service en cas de besoin. Nous proposons au patient un complément de bilan neurologique afin de mieux évaluer la polyneuropathie diabétique, ainsi qu'une infiltration épidurale L3-L4 pour soulager les symptômes actuels. Il refuse notre proposition, préférant poursuivre le traitement conservateur sans infiltration ni nouvel examen. Nous prévoyons donc 2 mois de physiothérapie, avec un nouveau contrôle à cette échéance pour refaire le point. Nous proposons au patient une infiltration péri-durale afin de voir s'il réagit favorablement à cette dernière. Ce geste est à but diagnostic et thérapeutique. Nous reverrons le patient suite à ce geste. Nous proposons un contrôle biologique tests hépatique et LDL à 1 mois et l'adaptation du traitement en fonction. Nous proposons un traitement d'épreuve de Pantozol 40 mg pendant 1 mois. La toux du patient pourrait être due à une maladie de reflux avec irritation pharyngée. Nous proposons un traitement par Floxal 3x/jour avec contrôle cet après-midi à la policlinique d'ophtalmologie pour une réévaluation de l'acuité visuelle et suivi. Nous proposons une attelle alu en légère flexion à porter 7 à 10 jours, jusqu'au contrôle pédiatrique. Puis le port d'une syndactylie à visée antalgique. Nous proposons une série de 3 infiltrations sacro-iliaque D par CURAVISC à but thérapeutique. Ces infiltrations sont organisées sous CT en raison de l'hyperlordose lombaire et de l'hyper-adiposité glutéale. En cas d'échec de cette procédure, une éventuelle IRM lombosacrée devra être envisagée, vu l'ancienneté des dernières images. Nous rappelons à Mr. Y que les douleurs musculo-squelettales peuvent persister entre 6 mois à 1 an encore et considérons comme normale cette persistance des douleurs lors de la reprise des activités et comprenons que ceci peut le limiter fortement pour une reprise de son activité professionnelle surtout au vu de la nature de son travail. Nous pensons qu'une reprise du travail à 50% pourrait être possible dès la mi-juin, raison pour laquelle nous lui proposons pour ces 6 prochaines semaines une reprise de ses activités quotidiennes à la maison et d'effectuer un reconditionnement musculaire. Reprise à 100% dès la fin août, le tout restant quand même dépendant de l'évolution de ses douleurs et pouvant mériter un changement si une évolution défavorable devait être mise en évidence. Nous rassurons la mère du patient et le patient lui-même et nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée, les radiographies du jour étant satisfaisantes pour un contrôle à 1 an. La maman du patient reprendra contact avec notre consultation en cas de besoin. Nous rassurons la patiente en lui expliquant qu'il n'y a pas de fissure au niveau de sa hanche, ni de son fémur proximal. Nous lui proposons des séances de physiothérapie à but de rééducation à la marche et de rééquilibrage de la musculature. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée, mais restons bien évidemment à disposition en cas de nécessité. Nous rassurons la patiente quant à la très bonne fusion L3-L4, sans évidence de chambrage. Nous suspectons par contre un syndrome facettaire, majoré en L4-L5. Nous lui proposons donc une infiltration facettaire L4-L5 sous CT, ce qu'elle refuse en raison de mauvaises expériences avec la dernière infiltration pré-opératoire, ayant motivé une hospitalisation de presque 2 semaines en raison d'une suspicion d'infection post-ponction. Elle va réfléchir et nous recontactera pour nous faire part de sa décision. Cette infiltration pourrait être organisée auprès du Dr. X voire sous hypnose au besoin. Nous rassurons la patiente quant à l'absence de lésion traumatique sur la base des examens radiologiques et retenons un diagnostic de contusion cervicale musculo-ligamentaire pouvant expliquer les douleurs encore persistantes. Renforcement du traitement conservateur déjà instauré avec myorelaxants et minerve ainsi que physiothérapie pour étirements. Prochain contrôle dans 2 mois. Nous restons à disposition dans l'intervalle en cas de symptôme de compression médullaire. Nous rassurons la patiente quant à l'absence de nouvelle fracture ou de changement et gardons le RDV de contrôle prévu à 6 semaines post-opératoires. Nous rassurons la patiente sur son état de santé. Objectivement une patiente dans une phase compliquée sur le plan émotionnel, nous lui conseillons de prendre un rendez-vous rapidement chez son médecin traitant. La patiente est libre de rentrer à domicile. Nous rassurons notre jeune patient de 14 ans par rapport à cette minime scoliose pour laquelle nous le mettons au bénéfice d'une thérapie fonctionnelle et thérapeutique et chiropraxie au centre spécialisé de Courtepin. Prochain contrôle dans 6 mois. Nous rassurons notre patient quant à la normalité de l'examen électrophysiologique et ne voyons donc pas d'urgence à pratiquer un geste plus invasif en raison de cette normalité ainsi qu'au vu de l'état clinique rassurant avec des douleurs en nette amélioration. Pour notre part, nous ne disposons pas des images radiologiques ce jour, raison pour laquelle nous demandons à nos collègues de nous les transmettre ce jour. Nous expliquons au patient que la prochaine étape serait de réaliser des infiltrations foraminales sous scanner commençant éventuellement par C8 étant donné la clinique du patient et dans un 2ème temps éventuellement C7 vu la compression radiologique plus évidente de cette racine par rapport à C8, gestes que nous garderons pour le futur en cas de péjoration de la symptomatologie. Nous réalisons alors une réfection du pansement occlusif et le patient se rendra chez son médecin traitant en début de semaine prochaine pour une nouvelle réfection du pansement occlusif. Le patient a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 15.04.2019 au 21.04.2019. La reprise ultérieure du travail sera évaluée par le médecin traitant la semaine prochaine. Nous réalisons des radiographies du tibia droit montrant une fracture transverse courte 1/3 moyen diaphyse tibiale droite déplacée. Nous réalisons une attelle plâtrée cruro-pédieuse sur avis du Dr. X et transférons le patient au HFR Fribourg pour suite de la prise en charge. Nous réalisons des radiographies ne montrant pas de fracture avec suspicion de signe du Fat Pad au niveau de la radiographie du coude. Un contrôle à la polyclinique d'orthopédie est prévu dans 2 jours avec mise en place d'un gilet orthopédique jusqu'à réévaluation. En cas de persistance des symptômes douloureux, une IRM du coude pourrait être envisagée à la recherche d'une fracture.Nous réalisons des radiographies ne montrant pas de fracture. Nous mettons en place une attelle, donnons des cannes anglaises et prescrivons de la Clexane prophylactique. Nous indiquons un contrôle à J7 à la consultation du Dr. X, orthopédiste. Nous réalisons un bilan biologique aligné avec un examen clinique ne montrant pas de signe de gravité. Nous administrons une séance d'aérosol (Atrovent et Ventolin) avec une bonne réponse clinique se manifestant par l'absence de stridor et de dyspnée. Nous indiquons à la patiente un contrôle chez son médecin traitant et prescrivons du Ventolin et du Symbicort durant 5 jours. Nous réalisons un bilan biologique et urinaire qui sont rassurants. Nous prescrivons un traitement de Spasmo canulase et indiquons au patient de poursuivre les investigations planifiées par son médecin traitant. Nous réalisons un bilan biologique mettant en évidence une anémie normochrome macrocytaire avec une hémoglobine à 59 g/l et des thrombocytes à 73 G/l. Nous administrons 2 culots érythrocytaires et le patient rentre à domicile avec la poursuite des investigations déjà planifiée à l'HFR Fribourg le 15.04.2019. Nous réalisons un bilan biologique montrant un discret syndrome inflammatoire avec une CRP à 16 mg/l, sans leucocytose. Nous demandons un avis orthopédique et retenons une bursite inflammatoire versus infectieuse avec contrôle le 17.04.2019 à la consultation de la Dr. X, orthopédiste. Nous réalisons un bilan biologique montrant une leucocytose à 13.7 G/l, une CRP < 5 mg/L et une hémoglobine dans la norme. Le sédiment urinaire montre la présence d'une purée d'érythrocytes et de leucocytes avec des nitrites. Nous réalisons un ultrason des voies urinaires montrant un kyste d'allure fonctionnelle de 3.5 cm au niveau du rein droit, pas de dilatation pyélocalicielle, pas de signe échographique de pyélonéphrite, pas de saignement intra-kystique visualisé. Au vu de l'anamnèse et de la clinique, nous retenons une probable pyélonéphrite débutante à droite et instaurons après prélèvement d'un urotube (qui sera à pister) un traitement antibiotique. La patiente reçoit 2 g iv de Rocéphine et poursuivra per os avec de la Ciproxine durant 7 jours. Nous indiquons à la patiente un contrôle clinique avec résultat de l'urotube à la filière des urgences ambulatoires le 12.04.2019 à 10h30. Nous réalisons un bilan biologique ne montrant pas de syndrome inflammatoire. Le sédiment urinaire met en évidence des érythrocytes 21-40/champs. Nous effectuons un uro-CT-Scanner mettant en évidence une dilatation pyélocalicielle droite de 1.5-2 cm avec calcul de 4.5 x 3 cm pré-hiatale. Nous demandons un avis chirurgical au Dr. X avec indication d'un traitement conservateur et contrôle clinique à 48 heures à la filière des urgences ambulatoires. Nous indiquons également un contrôle chez son urologue concernant la dilatation pyélocalicielle avec suspicion d'une maladie de la jonction. À noter que la patiente va se renseigner auprès de son assurance pour annuler un voyage prévu vendredi en vue d'une demande d'attestation. Nous réalisons un bilan biologique qui revient aligné avec un sédiment urinaire montrant une leucocyturie. Nous indiquons à la patiente de poursuivre son traitement et de consulter son médecin traitant en cas de non-amélioration. Nous réalisons un bilan biologique qui revient dans la norme. L'ECG montre un rythme sinusal régulier à 62/min, axe normal, pas de signes d'ischémie active, pas d'onde Q pathologique, pas de signe d'HVG. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer pulmonaire, pas de signe de pathologie médiastinale. Le CT-scanner cérébral et cervical ne met pas en évidence de lésion post-traumatique. Dans un contexte de recherche de la cause du malaise, nous effectuons un test de Shellong qui revient négatif. Vu les examens clinique, biologique et radiologique rassurants, la patiente rentre à domicile avec une antalgie en réserve. Nous réalisons un bladder scan mettant en évidence 800 ml de volume dans la vessie. Nous procédons à une désobstruction de la sonde et le patient élimine un peu plus de 700 ml d'urine. Sur avis du Dr. X, chirurgien, nous changeons le système d'évacuation en mettant en place une poche de récolte et indiquons au patient de prendre rendez-vous chez son urologue traitant pour un contrôle. Nous réalisons un contrôle clinique rassurant avec un patient sans plainte permettant un retour à domicile. Nous indiquons un contrôle chez son médecin traitant si péjoration. Nous réalisons un CT-scan mettant en évidence une fracture zygomatique droite multifragmentaire déplacée sans atteinte orbitaire droite. Nous demandons un avis maxillofacial indiquant un contrôle auprès du Dr. X le 16.04.2019. La patiente rentre à domicile avec antalgie et aura rendez-vous le 17.04.2019 à 08h00. Nous réalisons un CT-scanner abdominal montrant des calculs biliaires sans signe de cholécystite. Après la mise en place d'une antalgie aux urgences (titrage en Morphine), le patient décrit une nette amélioration permettant un retour à domicile. Le patient reviendra le 18.04 en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinico-biologique et donnons les coordonnées du secrétariat du Dr. X pour organiser un rendez-vous dans une semaine. Nous réalisons un ECG mettant en évidence un BAV de type III avec un rythme d'échappement supra hissien avec un bloc de branche droit avec une FC à 34/min à l'admission. Nous administrons 0.5 mg d'atropine avec un effet transitoire sur la fréquence cardiaque. Nous réalisons un thorax de face montrant des signes de surcharge. Le bilan biologique montre des électrolytes dans la norme avec un SI sans leucocytose. Vers 17 heures la patiente présente une pause de la conduction symptomatique avec une syncope nécessitant un pacing externe sans bon effet. Nous administrons par la suite de l'Isoprénaline en iv continu avec une stabilisation du rythme et une bonne réponse clinique. Après contact avec les soins intensifs de Fribourg, nous transférons la patiente pour suite de la prise en charge. Nous réalisons un ECG qui est superposable à celui de 2017 sans signe d'ischémie aiguë. Les troponines à H0 sont à 14, à H1 14 et H3 à 14. Nous excluons un infarctus du myocarde sans élévation du segment ST au vu des résultats. Nous retenons une probable origine pariétale. Nous relevons un profil tensionnel élevé avec des tensions artérielles entre 160 mmHg et 200 mmHg de systolique pour lesquelles nous recommandons de réévaluer le traitement. Nous réalisons un ECG rassurant ainsi que des troponines revenant à 5 ng/ml. Nous effectuons également une RX du thorax qui est sans particularité. Le bilan biologique relève un TP à 68% avec des tests hépatiques dans la norme, cependant le patient n'a pas d'antécédent pour un trouble de la coagulation. Nous recommandons un suivi biologique de cette valeur. Au vu de l'anamnèse, nous instaurons un traitement d'épreuve par Pantozol durant deux semaines et indiquons un contrôle chez le médecin traitant si non-amélioration. Nous réalisons un examen clinique et laboratoire rassurant. Nous demandons un avis psychiatrique qui indique le maintien de la consultation auprès de son psychiatre traitant le 24.04.2019 à 16h. Retour à domicile seul, en bus. Nous réalisons un examen clinique rassurant. L'ECG et la radiographie du thorax ne sont pas contributifs. Nous administrons 1 g de paracétamol avec un bon effet sur les douleurs. Le patient a rendez-vous (déjà planifié) mercredi 17.04.2019 pour un contrôle chez son médecin traitant.Nous réalisons un examen clinique rassurant. Nous administrons 1 g de paracétamol à l'admission avec nette diminution des douleurs avec EVA passant de 7/10 à 2/10. Nous prescrivons un traitement à base d'AINS et de myorelaxants et indiquons un contrôle chez le médecin traitant si non amélioration. Mr. Y est avisé de ne pas conduire après la prise de Sirdalud. Nous réalisons un examen clinique rassurant. Nous mettons en place un masque d'hyperventilation avec un bon effet clinique. Nous conseillons à Mme. Y un contrôle chez son médecin traitant si récidive. Nous réalisons un examen clinique rassurant. Nous prescrivons un traitement antalgique avec myorelaxant et indiquons un contrôle chez le médecin traitant si non amélioration. Mr. Y est informé de ne pas conduire après la prise du Sirdalud. Nous réalisons un laboratoire et un examen clinique qui sont rassurants. Nous prélevons une partie du probable corps étranger pour analyse anatomo-pathologique qui sera à pister. Nous indiquons à Mme. Y un contrôle gynécologique également. Nous réalisons un laboratoire montrant un syndrome inflammatoire avec une CRP à 18 mg/l et des leucocytes à 12.6 G/l. Au vu du bilan biologique et de l'examen clinique, nous mettons en place une antibiothérapie durant 1 semaine avec un contrôle chez le médecin traitant en cas de non amélioration. Nous réalisons un laboratoire montrant une augmentation de la CRP passant de 22 à 46 avec une diminution des leucocytes à 5.4. Mme. Y décrivant une légère amélioration, nous décidons sur avis chirurgical et au vu de l'augmentation de la CRP de réaliser un contrôle clinico-biologique le 21.04.2019. Nous réalisons un laboratoire qui est aligné. L'ECG montre un RSR avec une FC à 56/min normoaxée avec PR à 148 ms QRS fins à 98 ms pas de sus ou sous-décalage ST avec un QTc à 445 ms. Sur avis psychiatrique, nous transférons Mme. Y pour suite de la prise en charge au CSH Marsens. Départ en ambulance. Nous réalisons un laboratoire qui est aligné. Les radiographies du tibia et de l'orteil ne montrent pas de fracture. Suite à l'avis chirurgical, nous réalisons un CT-scan cérébral qui revient sans particularité. Nous posons ainsi le diagnostic susmentionné. Ce dernier peut rentrer à domicile avec antalgie à la demande et limitation des stimulis sonores et acoustiques dans un premier temps. Nous réalisons un laboratoire qui est aligné. Suite à un avis orthopédique après exploration et coagulation d'une artériole au niveau de la plaie de la base du thénar, nous prenons en charge Mr. Y en orthopédie avec planification d'une intervention chirurgicale. Nous mettons en place une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 4x/jour dès le 26.04.2019. Nous réalisons un laboratoire qui revient aligné et CT-scan cérébral natif et injecté qui est sans particularité. Nous effectuons les manœuvres de Hallpike avec déclenchement des symptômes à gauche et puis les manœuvres d'Epley avec amélioration de la symptomatologie. Concernant les céphalées, nous retenons des migraines sans aura pour lesquelles nous mettons en place un traitement de Zomig en réserve et consultation chez le médecin traitant si non amélioration. Nous réalisons un laboratoire rassurant et un sédiment urinaire propre. Sur avis chirurgical, nous effectuons un CT abdominal non contributif. Nous mettons en place une antalgie et indiquons une augmentation du Pantozol durant 2 semaines. Mme. Y est convoquée pour un contrôle clinico-biologique le 21.04.2019. Nous réalisons un lavement par Practomil qui permet l'expulsion d'une grande quantité de selles. Mr. Y n'ayant aucune autre plainte, nous le laissons rentrer à domicile avec du Metamucil. Nous réalisons un sédiment montrant 3-5 leucocytes avec hématurie microscopique 21-40/champs et flore bactérienne (2+). Nous effectuons un urotube avec contrôle à 48 h à la filière des urgences ambulatoires. Nous prescrivons de la Furadantin durant 5 jours. Nous réalisons un sédiment urinaire témoignant d'une infection avec des nitrites et une purée de leucocytes sans hématurie. Le bilan sanguin montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 119 mg/l avec une leucocytose à 18 G/l. Nous prélevons un urotube et instaurons une antibiothérapie avec une première dose de Ceftriaxon 2 g IV en ordre unique puis poursuite par Ciproxine durant 7 jours. Mme. Y est convoquée à 48 h en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique et la remise des résultats de l'urotube. Nous réalisons un stix urinaire qui revient négatif. Nous demandons un avis au Dr. X, chirurgien, puis au chef de pédiatrie de garde de l'HFR Fribourg qui indique une évaluation pédiatrique au HFR Fribourg. Mr. Y y est amené par ses parents. Nous réalisons un ultrason abdominal qui ne retrouve pas de calcul dans la vésicule, appendicectomie non visualisée, pas de liquide libre intra-abdominal, pas de calcul dans la vessie. En l'absence d'arguments pour un problème intra-abdominal autre, nous proposons à Mr. Y de prolonger son traitement antibiotique d'une semaine supplémentaire. Nous complétons également le bilan en recherchant les germes chlamydia et gonocoque. Nous reverrons Mr. Y le mardi 9 avril pour bilan clinico-biologique et réception des résultats pour chlamydia et gonorrhée. Nous réalisons une exploration montrant une section totale du tendon extenseur du 4ème doigt. Nous demandons un avis orthopédique au Dr. X qui indique une prise en charge opératoire à déterminer le 04.04.2019 avec exploration des autres plaies. Nous administrons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline IV 2.2 g aux urgences le 03.04.2019 et prescrivons une ordonnance par précaution si la prise en charge chirurgicale n'est pas faite le 04.04.2019. Mme. Y a rempli et signé le formulaire d'information et consentement et sera à jeun. Nous réalisons une radiographie de la cheville mettant en évidence un arrachement de la malléole interne (2 mm). Sur avis orthopédique, nous prescrivons une attelle vacotalus avec contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Nous réalisons une radiographie montrant une fracture sous-capitale du 5ème métacarpien droit. Nous immobilisons par une attelle plâtrée ulnaire et Mr. Y prendra rendez-vous pour contrôle à J7 en policlinique d'orthopédie. Nous réalisons une radiographie ne mettant pas en évidence de fracture. Nous mettons en place une attelle jambière postérieure avec un contrôle à la policlinique d'orthopédie à J7 avec prescription de cannes anglaises, de Clexane et d'une antalgie. Nous réalisons une radiographie ne montrant pas de fracture. Nous administrons un traitement à base d'AINS avec mise en place d'une attelle à but antalgique. Nous indiquons à Mr. Y d'organiser un contrôle chez son médecin traitant à 5 jours. Après le colloque du 14.04, un CT-scan est demandé par le Dr. X, orthopédiste, pour une suspicion de fracture du trapèze. Mr. Y ne peut pas venir pendant la journée. Nous organisons donc un CT pour le 15.04 à 11h30 suivi par un contrôle en filière des urgences ambulatoires pour la suite du traitement. Mr. Y viendra à 11h. Nous réalisons une radiographie ne montrant pas de fracture. Sur avis orthopédique, nous mettons en place une attelle Jeans et indiquons un contrôle à 1 semaine à la consultation du Dr. X, orthopédiste. Nous rediscutons de l'imagerie avec Mme. Y et lui expliquons qu'au vu de la sténose canalaire pluri-étagée, surtout marquée au niveau récessal L4-L5 G, une intervention de décompression par abord G et undercutting L3-L4 et L4-L5 serait nécessaire pour soulager la symptomatologie et prévenir une claudication neurogène voire syndrome de la queue de cheval. Mme. Y est clairement informée des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention ainsi que des risques de refuser cette prise en charge. Au vu du fait qu'elle est bien soulagée par la marche à l'aide du rolateur et qu'elle a récemment pu stopper le port de son attelle pour la parésie du pied G qui est bien gérée par le port de chaussures adaptées, elle renonce à cette intervention. Elle souhaite un nouveau contrôle dans 3 mois afin de refaire le point. Dans l'intervalle, elle est informée qu'en cas d'aggravation aiguë des douleurs et éventuels troubles neurologiques associés, elle devra nous recontacter en urgence.Nous réexpliquons encore une fois l'opération et ses implications ainsi que les risques et bénéfices de celle-ci. Nous remettons au patient le même formulaire de consentement déjà rempli lors de la dernière consultation qu'il devra encore lire, signer et nous le retourner par le biais de l'enveloppe annexe. Nous reprogrammons une nouvelle consultation anesthésique et agendons l'intervention pour le 26.04.2019. Nous demandons un CD des images réalisées au HIB qui sont pacsées ce jour. Nous refaisons le plâtre et indiquons à la patiente comme convenu de se rendre au contrôle en orthopédie d'urgence au HFR Fribourg. Retour à Marsens pour suite de la prise en charge. Nous refaisons le plâtre et la radiographie de contrôle. La patiente sera vue comme prévu à la policlinique d'orthopédie le 30.04. Nous réitérons notre proposition d'effectuer une infiltration; la patiente désire prendre un 3ème avis. Prochain contrôle au Team Pied en mai 2019. Nous reprendrons contact avec le patient. Nous reprenons la discussion de la dernière consultation afin d'expliquer à notre patiente les différentes possibilités thérapeutiques. Lors des consultations précédentes dans le courant 2017, une possible chirurgie de TLIF mini-invasif sur les deux niveaux dégénérés avait été évoquée. Au vu de la sténose très nette sur une hernie discale bien définie ainsi qu'une lipomatose au niveau L4-L5 avec une douleur prédominante au niveau sciatique claire du côté droit, nous pensons qu'une simple chirurgie de séquestrectomie et microdiscectomie au niveau L4-L5 par le côté droit serait suffisante pour les symptômes actuels de la patiente et lui expliquons que cette option est encore moins lourde que l'opération de fixation. Nous expliquons à Mme Y que le risque d'une potentielle progression des discopathies bien connues avec persistance de douleurs lombaires axiales est possible mais qu'une chirurgie de spondylodèse pourrait être réalisée en cas de besoin. Nous restons à disposition en cas de complication (signe d'infection, écoulement,...). Nous restons à disposition en cas de péjoration de la situation locale. Nous avons longuement discuté avec le patient. Nous avons expliqué qu'en cas de péjoration il faudrait certainement procéder à une bursectomie pré-tibiale D pour corriger la situation. Le patient est d'accord avec cette attitude. Actuellement traitement terminé. Nous retenons la suspicion de fracture du scaphoïde droit (pas de fracture visible à la radio) suite à une chute de sa hauteur avec réception sur la main en flexion. Nous mettons en place un plâtre AB fendu prenant le pouce. Le patient prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle le 23.04.2019. Nous retenons le diagnostic d'adénite mésentérique. Nous demandons l'avis du Dr. X, chirurgien. Nous réalisons un ultrason de l'abdomen qui montre de multiples ganglions mésentériques agrandis avec un appendice non visualisé. Le patient peut rentrer à domicile. Nous retenons le diagnostic d'angine à streptocoques pour laquelle nous instaurons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 10 jours et une antalgie. Nous retenons le diagnostic d'angine et le streptotest revient négatif. Nous recommandons au patient de consulter un dentiste et le mettons sous traitement symptomatique. Nous lui conseillons de reconsulter les urgences en cas de non-amélioration des symptômes dans les 72h. Nous retenons le diagnostic d'arrachement du ligament collatéral radial de la métacarpophalangienne du pouce droit. Nous mettons en place un gantelet fendu. La patiente peut regagner son domicile le jour même avec une antalgie standard. Elle prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans une semaine. Nous retenons le diagnostic de Cellulite de la face dorsale de la main gauche avec le diagnostic différentiel de Maladie des griffes de chat. Pour cela nous prescrivons un traitement antibiotique dont elle reçoit la première dose à la Permanence. Mme Y a déjà des anti-inflammatoires à la maison. Nous prévoyons un contrôle clinique le 16.04.2019 à 09h00. En cas de progression de l'infection le long du bras au cours des prochaines 24h, nous lui conseillons de réconsulter rapidement. Nous retenons le diagnostic de Cervicalgies sur contractures musculaires bilatérales, nous prescrivons une thérapie anti-inflammatoire et myorelaxante. Interdiction de conduite tant qu'elle prend du mydocalm. Réconsulter en cas de fièvre ou aggravation des symptômes. Nous retenons le diagnostic de Contusion de la main droite. Nous prescrivons une antalgie simple, anti-inflammatoire local et donnons une attelle pour le poignet. En cas de persistance des symptômes, nous lui conseillons de réconsulter chez son médecin traitant après 1 semaine. Nous retenons le diagnostic de contusion de la main gauche pour laquelle nous prescrivons une thérapie anti-inflammatoire topique et antalgie simple. Nous mettons en place une attelle et, en raison de la clinique, nous prévoyons un contrôle clinique à 1 semaine. Si les douleurs à la palpation du carpe latéral et de la base du Vème métatarse persistent, nous conseillons d'évaluer la réalisation d'un CT-scan. Nous retenons le diagnostic de contusion de l'épaule gauche. Nous prescrivons une thérapie symptomatique et lui conseillons de réconsulter dans 1 semaine en cas de mauvaise évolution des symptômes. Porte de charge et mobilisation selon douleurs. Nous retenons le diagnostic de Contusion dorsale simple au décours. Nous prescrivons une thérapie anti-inflammatoire locale et conseillons à la patiente, en cas d'aggravation des symptômes, de réconsulter chez son médecin traitant. Nous lui conseillons de consulter chez un ostéopathe/chiropracticien pour des manipulations qui pourraient être bénéfiques dans son cas. Nous retenons le diagnostic de contusion sur le versant externe du genou gauche. La radiographie du genou gauche ne montre pas de fracture. La mobilisation active est complète, le testing ligamentaire est indolore et sans laxité, la marche est possible, raison pour laquelle nous lui prescrivons une antalgie et AINS pour 5 jours. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle en cas de persistance des symptômes. Nous retenons le diagnostic de coprostase. Aux urgences, nous faisons un lavement par Practomyl avec une amélioration clinique. La patiente rentre à domicile avec une prescription de Movicol et Pursana sirop de figue. Nous lui avons donné des conseils diététiques et de comportement. Nous retenons le diagnostic de douleurs abdominales d'origine indéterminée. Étant le diagnostic différentiel large avec des possibles causes bénignes abdominales ou gynécologiques, nous prescrivons pour le moment une thérapie symptomatique et conseillons à la patiente de prendre un rendez-vous de contrôle chez le gynécologue; dans ce contexte nous conseillons un bilan des maladies sexuellement transmissibles. En cas de péjoration des symptômes ou apparition de fièvre, nous lui conseillons de réconsulter rapidement. Nous retenons le diagnostic de douleurs abdominales d'origine indéterminée, probablement sur irritation de la vessie d'origine multifactorielle (stress, infection virale,...). Nous prescrivons une thérapie par spasmo-urgenine et, en cas de persistance des symptômes au-delà du traitement, nous lui conseillons de réconsulter et envisageons des investigations supplémentaires avec une imagerie.Nous retenons le diagnostic de douleurs abdominales sur constipation. Nous prescrivons un traitement laxatif par Laxoberon et expliquons à Mr. Y et sa maman de réconsulter rapidement en cas de péjoration des symptômes. Nous retenons le diagnostic de douleurs musculaires diffuses au membre inférieur gauche suite à une élongation du membre inférieur droit et une surcharge sur le membre inférieur gauche. L'examen ne montre pas de déficit neurologique. Nous lui conseillons de prendre une antalgie et de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle selon besoin. Nous retenons le diagnostic de douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique. Nous prescrivons une thérapie anti-inflammatoire et expliquons à Mme. Y de réconsulter rapidement en cas d'apparition de nouveaux symptômes ou aggravation de la symptomatologie actuelle. Nous retenons le diagnostic d'eczéma de contact avec dans le diagnostic différentiel une possible allergie au soleil. Pour cela, nous prescrivons une crème corticoïde topique et un antihistaminique systémique. En cas de persistance des symptômes, nous lui conseillons d'effectuer un bilan allergologique et de consulter chez un dermatologue. Nous retenons le diagnostic de fracture non déplacée de la plaque palmaire de la phalange moyenne du 3ème rayon. Nous mettons en place une attelle avec immobilisation du III et IV doigt. Nous prévoyons un contrôle clinique et radiologique à 1 semaine et envisageons la mise en place de l'attelle pendant un total de 4 semaines. Nous prescrivons un arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle. Nous retenons le diagnostic de fracture non déplacée du radius distal. Nous mettons en place un plâtre AB qui sera à porter pendant 4 semaines. Contrôle clinique et radiologique à 1 semaine à la Permanence. Nous retenons le diagnostic de fracture tête radiale type Mason III. Nous contactons le chef de clinique de garde en Orthopédie qui conseille la mise en place d'un plâtre BAB et la patiente sera réconvocquée par le secrétariat de l'équipe genou pour un contrôle clinique et radiologique le 25.04.2019. Antalgie par AINS et paracétamol en raison des antécédents de consommation de la patiente. Nous retenons le diagnostic de fractures non déplacées des processus transverses droits de L2 et L3 d'origine traumatique. Mr. Y reçoit Novalgin, Paracétamol et Tramadol comme antalgiques à la Permanence. Nous contactons l'orthopédiste de garde de l'équipe rachis qui envisage une thérapie conservatrice et prévoient de revoir Mr. Y pour un contrôle radio-clinique à 2 semaines. Nous organisons un rendez-vous le 23.04.2019 à 15h30 en Orthopédie à l'HFR-Fribourg. En cas de péjoration des symptômes, apparition de perte de fièvre, force/sensibilité ou troubles sphinctériens, nous expliquons à Mr. Y de réconsulter rapidement. Nous prescrivons un arrêt de travail et expliquons à Mr. Y de ne pas pratiquer de sport et des efforts physiques pendant 6 semaines; mobilisation selon douleurs. Nous retenons le diagnostic de gastro-entérite d'origine probablement virale. Nous retenons le diagnostic de gastro-entérite virale. Nous hydratons Mr. Y aux urgences. Nous lui prescrivons Imodium, Dafalgan et Irfen. Il peut rentrer à domicile. Nous retenons le diagnostic de gastro-entérite virale pour lequel nous proposons à Mr. Y un traitement symptomatique. Nous retenons le diagnostic de gonalgie inflammatoire d'origine indéterminée sans critères de gravité. Après avoir écarté un possible arthrose marquée ou une atteinte osseuse, nous prescrivons une thérapie anti-inflammatoire topique et systémique. En cas de persistance des symptômes, nous lui conseillons de réconsulter rapidement chez son médecin généraliste pour des investigations supplémentaires. Nous retenons le diagnostic d'infection virale des voies aériennes inférieures et supérieures. Nous prescrivons une thérapie symptomatique et expliquons à Mme. Y de réconsulter en cas de péjoration des symptômes. Nous retenons le diagnostic d'infection virale des voies aériennes supérieures et inférieures. Nous prescrivons une thérapie symptomatique et conseillons à Mr. Y de réconsulter en cas d'aggravation des symptômes. Nous retenons le diagnostic d'infection virale des voies aériennes supérieures et inférieures. Nous prescrivons une thérapie symptomatique et un arrêt de travail. Nous lui conseillons de réconsulter chez son médecin traitant en cas de péjoration des symptômes. Nous retenons le diagnostic d'irritation locale de contact du petit orteil du pied gauche probablement sur changement de chaussures. Nous prescrivons une thérapie avec crème cortisone topique. Réconsulter chez son médecin de famille en cas de persistance malgré traitement. Nous retenons le diagnostic d'irritation thoracale musculo-squelettique suite à effort répété. Pour cela, nous prescrivons une thérapie antalgique et anti-inflammatoire topique et systémique. En cas de persistance des symptômes, nous lui conseillons de réconsulter chez son médecin traitant pour de possibles investigations supplémentaires. Nous retenons le diagnostic de lombalgie aiguë sans critères de gravité. Pour cela, nous prescrivons une thérapie anti-inflammatoire topique et antalgique systémique. Nous conseillons à Mme. Y de réconsulter en cas de non-amélioration des symptômes. Nous retenons le diagnostic de lombalgie droite aiguë sur contractures musculaires paravertébrales non déficientes sans signes de gravité. Mme. Y rentre à son domicile avec un traitement antalgique et myorelaxant (indication de ne pas conduire quand elle prend du Mydocalm). Nous lui conseillons de réconsulter si persistance des symptômes dans 1 semaine. Nous retenons le diagnostic de morsure de chien avec plaie ouverte du poignet droit. Nous procédons à la désinfection de la plaie et à la mise en place d'un pansement. Nous prescrivons une thérapie antibiotique prophylactique et prévoyons un contrôle clinique le 21.04.2019 à la Permanence. Réconsulter rapidement si péjoration des symptômes, apparition de fièvre. Nous retenons le diagnostic d'omalgies sur une probable dégénération arthrosique sur effort répété. Nous prescrivons une thérapie symptomatique et un arrêt de travail pendant 1 semaine. Nous conseillons à Mr. Y de consulter chez son médecin de famille afin d'évaluer la déclaration d'une maladie professionnelle ou la prise en charge de la SUVA en tant qu'accident. En cas d'aggravation des symptômes, nous lui conseillons de réconsulter rapidement. Nous retenons le diagnostic d'otite externe aiguë. Même avec le drain tympanique en place, Mr. Y nous avoue avoir reçu à plusieurs reprises un traitement par ciproxine en gouttes par son ORL. Nous prescrivons donc un traitement antibiotique avec Ciproxin HC en gouttes et conseillons à Mr. Y de réconsulter la semaine prochaine en cas de non-amélioration des symptômes. Nous retenons le diagnostic d'otite moyenne aiguë. Nous conseillons à la maman de Mr. Y de lui administrer la thérapie antibiotique prescrite par la pédiatre et de continuer l'algifor. Contrôle clinique chez pédiatre en fin de semaine, réconsulter rapidement si péjoration des symptômes. Nous retenons le diagnostic d'otite moyenne aiguë. Nous prescrivons un traitement antibiotique et symptomatique et conseillons à Mme. Y de réconsulter en cas de persistance des symptômes. Elle est interdite d'aller dans l'eau pendant 7 jours. Nous retenons le diagnostic d'otite moyenne aiguë persistante malgré la thérapie antibiotique. Avec le diagnostic différentiel de sinusite bactérienne/angine bactérienne, nous prescrivons une antibiothérapie à spectre élargi. Elle rentre à la maison accompagnée de son père avec un contrôle clinique et biologique prévu le 13.04.2019. Ils contacteront d'abord le pédiatre pour vérifier la possibilité d'effectuer un contrôle directement au cabinet le 12.04.2019.Nous retenons le diagnostic de pharyngite aiguë d'origine probablement virale. Nous prescrivons une thérapie symptômatique et conseillons à la patiente de réconsulter en cas de persistance ou aggravation des symptômes malgré la thérapie. Nous retenons le diagnostic de pharyngite d'origine probablement virale. Nous prescrivons une thérapie symptomatique et conseillons à la patiente et sa maman de réconsulter en cas d'aggravation des symptômes et d'apparition de fièvre > 38.5°C. Nous retenons le diagnostic de réactivation de gonalgies gauches chroniques d'origine arthrosique. Le laboratoire ne montre pas de signes d'une possible atteinte arthritique. Nous prescrivons donc une thérapie antalgique et anti-inflammatoire et conseillons à la patiente de réconsulter rapidement chez son rhumatologue ou orthopédiste. Réconsulter rapidement si péjoration des symptômes ou apparition de fièvre. Nous retenons le diagnostic de récidive de pharyngite aiguë à streptocoque malgré le traitement par co-amoxicilline. Pour cela, nous prescrivons un traitement antibiotique par clindamycine pendant 10 jours et expliquons à la patiente et son père de réconsulter en fin de semaine pour un contrôle clinique chez le pédiatre. Nous retenons le diagnostic de rhino-conjonctivite d'origine probablement virale. Nous prescrivons un traitement symptomatique en expliquant de poursuivre avec les compresses de thé. Nous conseillons à la maman de réconsulter en cas d'aggravation des symptômes ou d'apparition de sécrétions purulentes. Nous retenons le diagnostic de rhinosinusite d'origine probablement virale au décours. Sans arguments pour une surinfection bactérienne, nous poursuivons une thérapie symptômatique. Nous lui conseillons de réconsulter en cas de persistance ou péjoration des symptômes dans 1 semaine. Nous retenons le diagnostic de sensation d'étourdissement d'origine bénigne. Le diagnostic reste large mais rien n'est imminent dans la prise en charge. Nous conseillons au patient d'augmenter la dose de perindopril à 4 mg x/j et de contacter son médecin traitant afin de réévaluer le traitement anti-hypertenseur et contrôler la clinique du patient. Nous retenons le diagnostic de thoracalgie sur contusion costale. Nous prescrivons un traitement anti-inflammatoire local et une antalgie simple. Il peut se mobiliser et pratiquer du sport selon douleurs. Nous retenons le diagnostic de thrombophlébite avec thrombose superficielle de la veine petite saphène droite. Nous prescrivons une thérapie anticoagulante prophylactique par Xarelto 10 mg 1x/j, une thérapie pour le traitement local de la thrombophlébite (Lioton) et une thérapie anti-inflammatoire et antalgique systémique. Nous prévoyons un contrôle en angiologie à l'HFR-Fribourg le 16.05.2019 à 09h45. Réconsulter en cas de péjoration des symptômes. Nous retenons le diagnostic de traumatisme crânien simple avec commotion cérébrale. Nous fournissons à la patiente et sa maman la feuille avec la liste des symptômes à surveiller et à consulter en cas de péjoration. Nous prescrivons une thérapie antalgique simple. Nous retenons le diagnostic de 3ème récidive de pharyngite d'origine probablement virale. En raison du streptest négatif et d'un score de McIsaac à 3 points, nous effectuons une culture du frottis de fond de gorge. Mr. Y part en vacances le 13.04.2019 avec sa famille et ils rappeleront la permanence pour la transmission des résultats le 16.04.2019. Nous leur conseillons de réconsulter si péjoration des symptômes. Nous retenons le diagnostic d'entorse de la cheville droite stade 1. Le patient a déjà une attelle McDavid et des cannes à la maison. Nous lui expliquons de porter l'attelle avec charge selon douleurs et d'effectuer un contrôle chez son médecin traitant dans 1 semaine. Arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle. Nous retenons le diagnostic d'entorse de la cheville stade 1-2. Nous prescrivons une thérapie anti-inflammatoire et mettons en place une immobilisation de la cheville avec attelle MacDavid pendant 3 semaines avec charge selon douleurs. Contrôle clinique chez le médecin traitant à 1 semaine. Arrêt de travail pendant 1 semaine. Nous retenons le diagnostic d'entorse du poignet gauche. Nous prescrivons une thérapie antalgique et anti-inflammatoire, mettons en place une attelle du poignet et prescrivons un arrêt de travail pendant 1 semaine. Mr. Y sera revu pour un contrôle clinique le 15.04.2019. Nous retenons le diagnostic d'entorse du pouce main droite. Pour cela, nous mettons en place une attelle rigide du pouce et prévoyons un contrôle clinique chez le pédiatre à 1 semaine de distance. Antalgie simple par Algifor. Nous retenons le diagnostic d'entorse sévère et expliquons à la patiente que même s'il s'agissait d'une fracture, les radios en charge de ce jour montrent une stabilité et le traitement serait également fonctionnel. Nous mettons en place une attelle de cheville type Aircast et autorisons la patiente à charger selon douleur à l'aide de cannes anglaises et lui recommandons de poursuivre la prophylaxie anti-thrombotique jusqu'à abandon total des cannes. Nous lui recommandons également de débuter des séances de physiothérapie à but de mobilisation et de drainage avec renforcement de la musculature stabilisatrice de la cheville progressif et proprioception. Nous la reverrons dans 5 semaines pour un contrôle clinique. Nous retenons le diagnostic d'érythème au niveau du tibia gauche d'origine indéterminée. Nous traitons par traitement d'épreuve par corticoïdes locaux pendant 5 jours et Excipial. Il reconsultera les urgences en cas de non-amélioration des symptômes. Nous retenons le diagnostic d'étirement musculaire des fléchisseurs du genou et du pied. Pour cela, nous prescrivons une thérapie anti-inflammatoire topique et systémique et, en cas de mauvaise évolution à 1 semaine, nous lui conseillons de réconsulter. Charge selon douleurs. Nous retenons le diagnostic d'étirement musculaire du mollet droit. Pour cela, nous expliquons à la patiente de se mobiliser selon douleurs et de ne pas faire d'efforts avec le mollet jusqu'à résolution des symptômes. Anti-inflammatoire topique. En cas de persistance des symptômes au-delà d'une semaine, nous lui conseillons de réconsulter chez son médecin traitant afin de discuter des possibles investigations supplémentaires. Nous retenons le diagnostic d'hypotension orthostatique symptomatique sur déshydratation chez une patiente sortant d'hospitalisation pour une neuronite vestibulaire. Nous faisons une réhydratation IV par NaCl et la patiente peut rentrer à domicile. Nous retenons le diagnostic d'infection urinaire basse non compliquée. Nous prescrivons un traitement antibiotique avec Bactrim Forte 2x/j pendant 3 jours. Réconsulter en cas de péjoration des symptômes ou fièvre. Nous retenons le diagnostic d'infection urinaire basse non compliquée. Nous prescrivons une thérapie antibiotique par Bactrim Forte pendant 3 jours et expliquons à la patiente de réconsulter en cas de péjoration des symptômes ou d'apparition de fièvre.Nous retenons le diagnostic d'infection virale des voies aériennes inférieures et supérieures. Mme. Y nous dit avoir déjà à la maison ce qu'il faut pour le traitement donc nous prescrivons simplement une thérapie contre les nausées. Nous retenons le diagnostic d'infection virale des voies aériennes supérieures et inférieures. Nous prescrivons une thérapie symptomatique et expliquons à la maman de garder l'enfant à la maison pendant une semaine (elle ne nécessite pas de certificat pour la crèche). Nous lui conseillons de consulter directement chez le pédiatre en cas de non-amélioration des symptômes à la fin de la semaine. Nous retenons le diagnostic d'otite moyenne aiguë avec effusion. Pour cela nous prescrivons une thérapie antibiotique avec amoxicilline 2x/j adaptée au poids de l'enfant et une thérapie symptomatique. Nous lui expliquons de prendre rendez-vous avec le pédiatre pour un contrôle clinique le 23.04.2019. En cas de péjoration des symptômes dans l'intervalle, nous conseillons au papa de se rendre rapidement aux urgences de l'Hôpital Cantonal. Nous retenons le diagnostic d'une tendinite de la ceinture scapulaire et nous avons introduit un traitement antalgique par Irfen et Sirdalud (le patient a été informé qu'il ne devait pas conduire) et par une décharge en réserve par une bretelle, en parallèle de la prescription de séances de physiothérapie. Le patient ne s'étant pas rendu au travail hier et aujourd'hui en raison des douleurs, nous lui avons fourni un arrêt de travail. Le patient a reçu instruction de reconsulter en cas d'évolution défavorable, notamment de fièvre, de dyspnée, de douleurs en augmentation malgré le traitement introduit ce jour. Nous retenons le diagnostic d'urticaire. Nous prescrivons une thérapie antihistaminique et conseillons un contrôle clinique chez le pédiatre. Nous retenons le diagnostic mentionné ci-dessous avec un enfoncement important de cette dépression du plateau tibial externe, raison pour laquelle nous proposons l'indication à une réduction. La patiente est donc hospitalisée dans notre service d'orthopédie. Nous retenons le diagnostic probable d'infection virale avec, dans le diagnostic différentiel, une dengue en raison du voyage au Togo et la négativité du test à la malaria. Dans ce contexte, nous prévoyons un contrôle clinique et biologique le 18.04.2019 avec communication des résultats du test pour la dengue. Nous expliquons au patient de reconsulter rapidement en cas d'aggravation des symptômes. Nous retenons le diagnostic clinique de contusion de l'os coxal postérieur. Il n'y a pas d'argument à effectuer une extension du bilan radiologique au vu d'un examen clinique sans suspicion de lésion osseuse ou d'instabilité articulaire. Nous retenons le diagnostic de contusion du Ier et IIème orteil du pied gauche. Pour cela nous prescrivons une thérapie symptomatique et anti-inflammatoire locale. Nous conseillons à la patiente de reconsulter en cas de persistance des douleurs à 1 semaine de distance. Nous retenons le diagnostic d'infection des voies aériennes supérieures et inférieures d'origine probablement virale. Nous prescrivons un traitement symptomatique et expliquons à la patiente de reconsulter en cas de péjoration ou non-amélioration des symptômes après 1 semaine. Nous retenons l'indication à une arthroplastie totale de la hanche droite et nous proposons à la patiente l'implantation d'une prothèse par voie antérieure. Nous précisons à la patiente qu'étant donné ses antécédents et ses comorbidités, elle présente un risque accru d'infection et de luxation. Nous expliquons aussi clairement à la patiente que la part des douleurs soulagées par la mise en place de la prothèse sera la même que celle soulagée par l'infiltration. La patiente comprend nos explications et nous signe le formulaire de consentement éclairé. Nous nous chargeons de planifier l'intervention dans les meilleurs délais et faisons réaliser une radiographie du bassin orthopédique mesurée ce jour en vue de la planification opératoire. Nous retenons une pneumonie basale gauche pour laquelle nous réalisons 2 paires d'hémocultures et débutons un traitement par Rocéphine et hospitalisons le patient. Pour l'insuffisance rénale prérénale, nous hydratons le patient et organisons un contrôle biologique pour le lendemain. Transfert à l'HFR Tafers, en raison d'un manque de place à l'HFR Riaz. Départ en ambulance. Nous retenons une bronchite virale avec mise en place d'un traitement conservateur et contrôle chez le médecin traitant si la patiente ne ressent aucune amélioration. Nous retenons une contracture cervicale et nous mettons en place un traitement par Sirdalud, Voltarène et Dafalgan. La patiente ira chez son médecin traitant pour un contrôle le 23.04.2019 et pour investigation ambulatoire (US, IRM...) de la proéminence de l'articulation stérno-claviculaire gauche. Pas de critère d'urgence pour effectuer des examens complémentaires au vu de l'absence de traumatisme. Nous retenons une contusion basi-thoracique gauche, sans lésion associée. Nous mettons en évidence une hyponatrémie sévère en lien avec son SIADH, pour lequel nous proposons l'arrêt de la Mirizin vendredi 19.04.2019 et 21.04.2019 avec 1 seul push le 20.04.2019. Contrôle biologique au foyer lundi matin : natrémie et osmolalité sérique. Nous retenons une étiologie mécanique aux douleurs du patient. Au cours du bilan de routine, nous mettons en évidence un léger syndrome inflammatoire dont l'origine est peu claire. Nous suspectons une lésion prétibiale droite d'être à son origine. Dans ce contexte, nous proposons au patient de revenir effectuer un contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires jeudi. Si apparition d'un état fébrile, nous lui recommandons de se présenter aux urgences rapidement. Patient ayant consulté le 16.04 pour des douleurs de hanches étiquetées comme mécaniques et ayant bien évolué sous traitement symptomatique. Le patient est reconvoqué pour contrôle clinico-biologique d'un érysipèle débutant sur la face externe du tibia droit. Le marquage a été effacé, ne permettant pas de suivre l'évolution, mais l'œdème serait en diminution selon le patient. Œdème rouge prenant le godet, non douloureux. Majoration de la CRP de 44 à 129 mg/l avec baisse des leucocytes de 12.4 à 8.8 G/l. Le patient est resté apyrétique. Devant la bonne évolution clinique, nous laissons rentrer le patient à domicile avec néanmoins un contrôle à la filière des urgences ambulatoires ce samedi 20.04.2019 devant la majoration de la CRP par rapport à lundi 15.04.2019 (mais pas d'élément cinétique par rapport aux 2 derniers jours). Nous retenons une étiologie mécanique aux douleurs du patient. Au cours du bilan de routine, nous mettons en évidence un léger syndrome inflammatoire dont l'origine est peu claire. Nous suspectons une lésion prétibiale droite d'être à son origine. Dans ce contexte, nous proposons au patient de revenir effectuer un contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 18.04.2019. Si apparition d'un état fébrile, nous lui recommandons de se présenter aux urgences rapidement. Nous retenons une otite moyenne gauche aiguë et nous mettons en place un traitement par Co-Amoxicilline 1g 2x/jour pendant 6 jours et une antalgie par Algifor et Dafalgan. En plus du Triofan spray (que la patiente est déjà en train d'utiliser). La patiente est mise au courant que l'avion est déconseillé dans ce cas. Nous retenons une plaie par écharde surinfectée au niveau de la face palmaire de l'interphalangienne distale de l'index droit, avec suspicion d'arthrite septique et phlegmon de la gaine des tendons fléchisseurs chez un patient immunosupprimé et envoyons le patient aux urgences de l'HFR Fribourg avec l'accord du médecin orthopédiste de garde à Fribourg, pour suite de la prise en charge (transfert par ses propres moyens).Nous retenons une probable lithiase rénale droite au vu de la symptomatologie, du syndrome inflammatoire et du sédiment urinaire bien que les érythrocytes pourraient être liés à ses menstruations. Nous indiquons donc une échographie des voies urinaires le 24.02.2019 avec contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires. Nous prescrivons un traitement conservateur et remettons à la patiente le matériel de filtrage des urines. Nous retrouvons une situation stable après ablation du plâtre. Mobilisation avec charge selon douleurs. Nous prescrivons de la physiothérapie. Il prend encore de la Clexane jusqu'à charge complète. Prochain contrôle dans 1 mois. Arrêt de travail jusqu'au 15.05.2019 à 100%. Nous retrouvons une sténose foraminale des racines L3 et L4 et récessale de la racine L5 du côté D. À notre avis, la plus grosse hernie L4-L5 luxée vers le bas avec compression récessale de la racine L5 est à l'origine des symptômes actuels. Nous proposons donc une infiltration foraminale L5 D sous CT puis le reverrons par la suite. Il est informé de nous recontacter en urgence en cas de nouveau déficit. Pas d'anticoagulation ni d'antiagrégation en cours. Nous reverrons le patient dans 6 semaines (à 3 mois de la fracture) pour voir l'évolution. Étant donné que le patient ne porte plus la semelle rigide, nous lui conseillons de continuer avec les chaussures normales. Nous reverrons le patient en septembre pour planifier l'AMO. Nous revoyons ce jour la patiente de 20 ans qui avait consulté le 10.04.2019 pour une infection urinaire simple pour laquelle il lui a été prescrit de la Furadantine et une antalgie simple à la demande. Ce jour, l'examen clinique et le laboratoire sont rassurants, avec une diminution de la CRP. La patiente ne rapporte pas de nouvelle plainte ce jour. Nous invitons la patiente à se présenter à la pharmacie et à initier son traitement par Furadantine 100 mg 2x/jour ce soir. La patiente sera revue à la consultation de son médecin traitant au Tessin la semaine prochaine et reprendra le travail le 12.04.2019. Nous sommes d'avis que le patient doit poursuivre la physiothérapie pour la décoaptation de la rotule sur le fémur avec traitement du stretching surtout sur les tendons du quadriceps. Nous reverrons le patient pour un dernier contrôle clinique dans 3 mois. S'il y a persistance des symptômes, il faudra éventuellement envisager une nouvelle IRM pour bilanter la situation chondrale rétro-rotulienne. Nous sommes à 10 jours de l'arrêt des antibiotiques, l'évolution est favorable. Le seul paramètre altéré retrouvé est une valeur d'acide urique à 426 mg/l, il pourrait s'agir également d'une crise de goutte. Nous mettons fin ce jour, 24.04.2019, au suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient sera revu à votre consultation et nous proposons un contrôle de l'acide urique à distance, avec prise en charge en rhumatologie au besoin. Nous sommes à 2 mois de l'intervention et il y a toujours un déficit de mobilisation surtout en flexion. Nous sommes toujours dans une fenêtre pouvant encore profiter d'une mobilisation sous narcose, raison pour laquelle nous lui expliquons le déroulement ainsi que les risques et bénéfices d'une telle intervention, et il nous donne son accord écrit en signant le formulaire de consentement éclairé. L'intervention aura lieu le 01.05.2019. Il restera hospitalisé 5 jours afin de bénéficier d'une physiothérapie intensive tout de suite après la mobilisation sous narcose. Nous sommes à 2 semaines d'une ligamento-plastie qui jusqu'à ce jour a évolué favorablement, le laboratoire montre une discrète élévation des paramètres infectieux et inflammatoires, l'examen clinique est en défaveur d'une arthrite septique franche. Au vu d'une récente chirurgie, nous proposons au patient de le revoir à 48 heures afin d'effectuer un nouveau bilan biologique et clinique. En cas d'élévation de ces paramètres ou de franc épanchement, ou de clinique en faveur d'une arthrite septique, il s'agira d'effectuer une ponction au niveau de cette articulation. Ablation des points ce jour. Anti-inflammatoires. Mise au repos du genou. Nous sommes à 3 semaines de la fracture qui est stable. Nous proposons donc d'enlever le Schlupfgips et de mettre en place une attelle Vacotalus avec une charge selon douleur. Prochain contrôle radioclinique en charge et sans plâtre dans 3 semaines. Nous sommes à 5 jours d'une fracture isolée de la fibula type Maisonneuve. Nous avons pu attester ce jour d'une instabilité de la mortaise de la syndesmose sous scopie sous stress. Le patient est fortement symptomatique également. Dans ce contexte, nous posons l'indication à une ostéo-synthèse par stabilisation de la syndesmose. Le patient rentre à domicile et sera recontacté pour la suite de la prise en charge chirurgicale selon les disponibilités du bloc opératoire. Nous signons ce jour le consentement chirurgical après avoir reçu les informations consécutives à ce geste. Poursuite de l'incapacité de travail et poursuite de la prophylaxie anti-thrombotique. Nous refaisons une botte de marche fendue et le patient déambule en décharge avec 2 cannes anglaises. Nous sommes convaincus du diagnostic d'une fasciite plantaire bilatérale pour laquelle nous proposons, comme lors de la dernière consultation, qu'elle fasse un traitement par onde de choc. Elle doit également faire des exercices de stretching chaque jour à la maison. Elle doit en parler à son physiothérapeute et nous la reverrons dans 2 mois. Nous sommes devant un patient de 59 ans, droitier, polysseur de montres de métier. Actuellement, malgré son jeune âge, au vu de nos constatations cliniques et radiologiques, un traitement chirurgical est indiqué. Au vu de la rupture massive de sa coiffe, la seule option lui permettant de retrouver une fonction de son épaule gauche est la prothèse totale d'épaule inversée. L'intervention prévue sera une implantation de prothèse inversée à l'épaule gauche avec transfert du grand dorsal. Nous expliquons au patient les risques et bénéfices de l'intervention qu'il accepte en signant le formulaire d'information et de consentement. Dans l'intervalle, prescription de séances de physiothérapie pour renforcement notamment du deltoïde. Nous sommes en face d'une minime scoliose juvénile de moins de 20° d'angle de Cobb chez une patiente asymptomatique par rapport à la scoliose mais présentant de manière intermittente des douleurs en bas du dos d'allure musculaire. La patiente a presque atteint l'âge adulte d'un point de vue de sa croissance osseuse et lui prescrivons donc des séances de physiothérapie avec école du dos et rebalancement avec travail postural au centre spécialisé de Courtepin. Prochain contrôle dans 6 mois. Prescription également d'une semelle compensatrice du côté droit d'environ 7-8 mm afin d'essayer de compenser ce déséquilibre sur le plan coronal. Nous sommes en présence de douleurs cervico-brachiales mal systématisées mais pouvant quand même correspondre à cette hernie C5-C6 du côté gauche, raison pour laquelle nous organisons une infiltration foraminale sous scanner au niveau de la racine C6 gauche et compléterons le bilan par une IRM de la colonne lombaire afin de chercher de nouveaux troubles dégénératifs pouvant expliquer les douleurs aux MI. Nous optimisons la thérapie avec du Sirdalud et du Co-Dafalgan. Nous sommes en présence de nouvelles douleurs possiblement post-traumatiques. Les radiographies du jour sont rassurantes, mais nous aimerions réaliser un CT afin d'exclure une fracture non déplacée qui ne serait pas visible sur une radiographie standard. Nous reverrons la patiente suite à cet examen. Nous sommes en présence d'un scanner parfaitement normal pour l'âge de la patiente avec une totale résorption de cette minime HSA post-traumatique, raison pour laquelle nous mettons un terme au suivi. Nous restons à disposition en cas de nouveau symptôme et confirmons encore une fois l'importance du rendez-vous chez l'équipe de l'épileptologie avec un contrôle au mois de juillet pour poursuivre le suivi avec les médicaments adaptés.Nous sommes en présence d'une suspicion clinique de syndrome facettaire L4-L5 bilatéral. N'ayant pas d'examen récent, notamment une IRM lombaire, nous en organisons une pour mieux juger l'origine de cette symptomatologie. Nous reverrons la patiente par la suite. Nous sommes face à un patient qui présente un cadre très algique encore 6 mois après double TLIF avec spondylodèse L3-S1, notamment au niveau lombaire bas L4-L5 et surtout L5-S1, sans aucun symptôme irritatif nouveau. Afin de mieux comprendre une éventuelle présence d'inflammation sur arthrose au niveau des dernières facettes, ainsi que pour voir l'état du disque qui n'a pas été touché lors de la dernière opération (L5-S1), nous organisons une IRM avec suppression du signal métallique et séquences STIR et débutons une thérapie par des infiltrations thérapeutiques et diagnostiques facettaires sous scanner afin d'avoir une meilleure précision au niveau L5-S1. Nous reverrons le patient après ces deux gestes et, pour l'instant, attestons encore une perte de rendement d'au moins 40% dans son activité habituelle et gardons encore l'arrêt de travail à 50% jusqu'au 1er juin 2019. Nous le reverrons dans tous les cas avant cette date et jugerons de l'évolution de la thérapie antalgique. En cas de négativité de l'imagerie IRM, une éventuelle prise en charge par nos collègues de la douleur serait à conseiller. Nous sommes face à une fracture relativement stable périphérique sur la vertèbre C2 avec minime torsion ligamentaire. Nous souhaiterions donc éviter des gros mouvements de torsion ou de flexion/extension majeurs. Au vu de ce compromis, et comme le patient commence à développer des signes cutanés sous la minerve, nous proposons une suite de traitement avec une minerve mousse pour les 6 prochaines semaines et le reverrons à notre consultation. D'autre part, nous le rassurons par rapport à cette évolution et prescrivons une antalgie avec myorelaxants et anti-inflammatoires. Nous sommes rassurés par cette bonne évolution radioclinique et prévoyons un contrôle radioclinique à 6 mois de l'accident, c'est-à-dire dans 3 mois. Concernant sa statique au niveau dysbalance sagittal, nous conseillons des séances de physiothérapie avec étirement et élongation de la colonne, ainsi que de la musculature ventrale. Nous restons à disposition en cas de changement. Nous sommes rassurés par cette très bonne évolution avec consolidation spontanée de la fracture sous traitement conservateur. Nous proposons un prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. Concernant ses douleurs lombaires basses qui ont bien répondu à l'infiltration facettaire L2-L3 diagnostique, nous souhaiterions que la patiente soit convoquée chez le Dr. X pour une dénervation. En ce qui concerne le problème des genoux, nous prions le team genou de bien vouloir convoquer la patiente pour un avis spécialisé. Nous sommes rassurés par l'absence de bactérie lors du dernier prélèvement, ainsi que par la bonne évolution clinique. On fait ce jour un pansement compressif, à refaire à domicile dans 2 jours. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines dans l'attente d'une résorption spontanée du sérome. Nous sommes rassurés par l'absence de symptôme radiculaire et restons positifs par rapport à l'évolution des douleurs axiales L5-S1, voire sacro-iliaque, qui est favorable, même si lente. Elle ne souhaite pas d'infiltration pour le moment et préfère poursuivre son traitement actuel. Afin de pouvoir terminer ce suivi et dans le contexte des bruits entendus par la patiente, nous demandons un dernier CT lombaire afin d'exclure une pseudarthrose. En cas d'absence de complication, nous pourrons alors clore le dossier. Nous sommes rassurés par rapport à cette bonne évolution clinique concernant les cervicobrachialgies avec des symptômes en C8 gauches qui sont en nette amélioration. Nous poursuivons le traitement conservateur pour cette hernie discale, mais au vu de la grande taille de celle-ci en C7-D1, nous réorganisons une IRM cervicale de contrôle dans 6 mois. Concernant la fracture Tear Drop qui avait l'air plutôt déjà subaiguë, voire chronique, lors de la dernière IRM du mois de février, nous nous permettons d'enlever la minerve mousse ce jour et conseillons une reprise du travail et du sport à 3 mois de l'accident, c'est-à-dire à mi-mai 2019. Nous restons à disposition en cas de nouveau symptôme. Nous sommes très rassurés par cette bonne évolution et expliquons à notre patiente que les différents troubles dégénératifs avec scoliose majeure et sténose canalaire prédominante en L4-L5 du côté gauche nous semblent pour l'instant asymptomatiques. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de nouveau symptôme ou nouveau déficit. Nous sommes un peu partagés quant à une éventuelle mini compression foraminale par ostéophytose antérieure et postérieure L5 D. Malgré l'absence de clair Lasègue ou syndrome irritatif et l'absence de réponse à l'infiltration foraminale déjà réalisée auparavant, nous proposons de répéter une IRM de la colonne lombaire avec séquences T2, coupes fines et coronales afin de nous permettre de mieux visualiser la racine L5 D et de réaliser une nouvelle infiltration foraminale L5 D sous CT afin de tester à nouveau cette racine. Prochain contrôle à la suite de ces 2 gestes pour refaire le point sur la prise en charge, avec éventuelle intervention chirurgicale pour foraminotomie. Nous soulignons l'importance de poursuivre ces activités et il serait bien d'y ajouter de la natation durant l'été, mais la patiente nous informe ne pas être capable de nager. Nous lui proposons donc la possibilité de participer à un cours de natation spécifique afin de bien apprendre les mouvements, ce qui lui permettrait également de renforcer et d'étirer la musculature dorso-lombaire. Prochain contrôle en décembre 2019. Nous suggérons à la patiente, devant la présence de sécrétions sanguinolentes, de prendre rendez-vous demain chez un gynécologue. Nous suivons le schéma d'ablation des vis trans-syndesmotiques. Nous faisons, pour 8 semaines, une mobilisation en touch down et reverrons le patient ensuite en consultation pour discuter de l'AMO à 12 semaines de l'intervention. Poursuite de la mobilisation douce dans la charge, mobilisation en touch down de 20 kg pour 8 semaines. Nous le reverrons pour un contrôle radio-clinique avec RX cheville G f/p en charge. L'arrêt de travail est prolongé jusqu'à fin mai 2019. Nous suspectons au vu de la clinique une colique néphrétique, bien que l'uro-CT-scan n'ait pas retrouvé de calcul. Nous proposons un traitement conservateur. Il reconsulte aux urgences si réapparition de la symptomatologie. Nous suspectons chez la patiente un urticaire aigu probablement atopique, nous ne pouvons pas mettre en évidence une origine quelconque. Nous proposons un traitement symptomatique si récidive avec du Zyrtec et du fenistil en gel et d'essayer d'évaluer l'aliment ou la matière pouvant être mises en cause. Doit se représenter si apparition d'un angio-oedème ou péjoration de la situation. Nous suspectons des douleurs à composante crurale sur sténose pluri-étagée, mais aussi sur la coxarthrose D. Nous proposons dans un premier temps de tester plusieurs racines crurales pouvant être impliquées (de L2 à L4) et organisons donc une infiltration foraminale L4 sous CT, celle-ci semblant la plus atteinte. Prochain contrôle à la suite de ce geste. En cas de non-amélioration des douleurs, nous pourrons encore infiltrer les racines L3, voire L2. Dans le cas contraire, en cas de diminution de la symptomatologie de façon transitoire, nous pourrons envisager une décompression de la racine L4.Nous suspectons initialement une colique néphrétique au vu de l'apparition brutale des douleurs chez Mr. Y et des antécédents. Lors de l'Uro-CT, des signes de cholécystite sont mis en évidence. Après discussion avec Mr. Y, ce dernier privilégie l'option ambulatoire, raison pour laquelle nous mettons en place le suivi susmentionné. Nous suspectons plutôt une périostite à l'origine des douleurs actuelles de Mme. Y. Nous organisons donc une IRM du MI G et réadressons Mme. Y au team genou pour suite de prise en charge. Dans l'intervalle, introduction d'un traitement anti-inflammatoire par Brufen sous protection gastrique. Prescription également de physiothérapie avec stretching de la loge antérieure et antéro-latérale de la jambe, massages antalgiques et tonification globale. Nous suspectons que l'origine de ces hyper-appuis, fasciite plantaire et symptomatologie soit une rétraction des chaînes postérieures ddc. Nous prescrivons encore de la physiothérapie pour stretching des chaînes postérieures ainsi qu'une semelle orthopédique avec appui rétro-capital pour le pied G. Au vu des douleurs en regard de l'insertion latérale du tendon d'Achille G au niveau calcanéen, nous organisons une IRM à la recherche de signe de souffrance. Si les douleurs persistent à G, une plastie d'allongement du gastrocnémien serait à proposer. Nous la reverrons suite à l'examen. Nous suspectons une éventuelle cholécystite débutante au vu du léger syndrome inflammatoire et de la maladie lithiasique vésiculaire connue, raison pour laquelle nous convoquons Mme. Y à un contrôle clinico-biologique le 19.04 à la filière des urgences ambulatoires. Nous suspectons une inflammation du Hoffa vs tendinopathie rotulienne, raison pour laquelle nous prescrivons une IRM du genou G et reverrons Mr. Y à la suite de cet examen. Nous suspectons une inflammation en regard de l'insertion distale du tractus ilio-tibial en raison d'une varisation excessive du genou suite à l'arthrose du compartiment interne. Pour cela, prescription d'antalgique anti-inflammatoire, traitement en physiothérapie pour relâchement des chaînes postérieures et du fascia lata puis travail de la posture. Prescription également de support plantaire avec coin valgisant à D. Mme. Y sera revue dans 3 mois pour faire le point sur la situation. Nous suspectons une lésion de la coiffe des rotateurs à droite, nous proposons à Mr. Y une aide à la mobilisation par physiothérapeutes avec un traitement antalgique important. Mr. Y sera revu par Dr. X à distance pour réévaluer la mobilité de son épaule. Nous suspectons une lésion du sus-épineux de l'épaule droite, raison pour laquelle nous allons organiser une IRM. Prochain contrôle pour discuter du résultat de l'IRM et du procédé ultérieur le 29.05.2019. Dans l'intervalle, poursuite de la physiothérapie. Nous suspectons une pathologie intra-abdominale débutante, au vu de la clinique rassurante et des bonnes constantes de Mme. Y, nous la laissons rentrer à domicile et la convoquons le lendemain matin afin de réaliser un scanner de contrôle. Nous suspectons une tendinopathie de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite et nous mettons en place un traitement anti-inflammatoire avec Voltaren. De plus, un certificat d'arrêt de travail a été fait. Nous conseillons à Mr. Y un suivi chez Dr. X, orthopédiste. Nous suturons la plaie avec deux points de fil 4.0 et indiquons un contrôle chez le pédiatre traitant à 48 heures pour contrôle de plaie et J7 pour ablation des fils. Nous suturons la plaie avec deux points simples de fil 4.0 et indiquons un contrôle chez le pédiatre traitant à 48 h puis J10 pour ablation des fils. Nous suturons via 3 points sous-cutanés et 3 points cutanés après désinfection et exploration et sous anesthésie locale. La plaie sera contrôlée à la policlinique d'orthopédie lundi matin sur demande de Mr. Y, et les fils seront enlevés à J14 par le médecin traitant. Par ailleurs, nous proposons au médecin traitant d'organiser un rappel du vaccin anti-tétanique en vue de la fin prochaine de la couverture de Mr. Y. Mr. Y a reçu des consignes pour éviter de mettre la cicatrice sous tension, pour ne pas la mouiller et quant aux signes infectieux devant l'amener à consulter aux urgences. Nous transférons Mr. Y aux Urgences de l'Hôpital Cantonal pour une prise en charge pédiatrique. Nous visualisons un dépôt central cornéen gauche à la fluorescéine. Le dépôt persiste malgré des efforts de grattage au coton. Il est difficile de préciser à l'œil nu si une partie de la lentille persiste ou si le dépôt résulte d'une érosion post-lentille. Au vu d'une symptomatologie modérée aux urgences, nous posons le suivi susmentionné. Nous vous laissons le soin de contrôler les valeurs en Fer d'ici un mois, d'organiser un bilan ostéodensitométrique et de débuter un traitement antirésorptif en ambulatoire. Nous vous laissons le soin de poursuivre les investigations en cas de récidive de l'épisode avec comme proposition un ultrason testiculaire. Nous vous laissons le soin de procéder à des investigations si vous le jugez nécessaire. Nous vous laissons le soin de recontrôler les tensions artérielles et l'état de conscience, et d'adapter le traitement. Nous vous prions de bien vouloir organiser une IRM abdominale à distance. Contrôle de l'INR, arrêt de la Clexane après 2 valeurs d'INR thérapeutiques et adaptation du Marcoumar le 26.04.2019. RDV le 27.05.2019 chez Dr. X (Urologie) pour changement de sonde sus-pubienne. Nous vous proposons d'organiser une coloscopie en cas de majoration de l'anémie, ou de présence de sang non occulte dans les selles. Nous voyons Mme. Y pour la dernière fois le 10 avril 2019, nous sommes à 7 semaines du traumatisme initial. Elle n'a pas de plainte hormis la persistance de quelques douleurs en fin de journée lorsqu'elle se déplace beaucoup. La botte de marche a été retirée la semaine précédente. L'évolution clinique et radiographique est favorable. Sur le plan du travail, Mme. Y a bénéficié d'un arrêt de travail à 100 % de la date du traumatisme, c'est-à-dire du 21.02.2019 au 19.04.2019 étant donné qu'elle travaille comme serveuse. Elle est autorisée à reprendre le travail dès le 20.04.2019. Nous voyons Mr. Y pour la dernière fois le 10.4.2019, nous sommes à 14 jours du traumatisme initial. Mr. Y n'a pas de plainte algique, il rapporte uniquement une hypoesthésie de la face radiale de D2. Nous réalisons l'ablation des fils de suture et prescrivons à Mr. Y des séances d'ergothérapie pour mobilisation libre selon les douleurs du 2ème doigt en flexion-extension. Concernant le travail, Mr. Y étant ouvrier dans le bâtiment, il a bénéficié d'un arrêt à 100 % du 26.03.2019 au 14.04.2019. Il est autorisé à reprendre le travail à 100 % dès le 15.04.2019. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau drainage aux urgences Retour à domicile, Mr. Y a reçu le matériel et les explications nécessaires pour drainer le panaris; bains de Dakin x4/jour. Contrôle au secteur ambulatoire le 23.04.2019. Explications à Mr. Y des red flags pour reconsulter avant en urgence. Nouveau né à terme 41 1/7 avec poids de naissance de 3300g (P10-25), taille de naissance 52cm (P25-50) et périmètre crânien 34cm (P5-10), naissance par AVB et ventouse Kiwi pour non progression. Sepsis néonatale précoce: hospitalisé dans notre néonatologie de J1 à J5 de vie. Gastroentérite aigue à Rotavirus avec risque de déshydratation. Nouveau né de 57 jours, né à 36 1/7, PDN 2.2 kg. Nouveau-né, le 20.06.15 à 02h28 par voie basse à 37 3/7, poids 2340 g (P <10), T 44 cm (P <10), PC 34.5 cm (P 50). RCIU dysharmonieux d'origine placentaire probable (HTA et oedèmes maternels). Nouveau-né prématuré à 34 2/7 SA, poids de naissance 1645 g (P5), taille 37 cm (P <3), PC 28 cm (P <3). Entrée J 46 (40 5/7 SA), poids 2525 g (P), taille 45.5 cm (P), PC 32.5 cm (P). S/p laparoschisis, correction chirurgicale le 07.08.2018. Nouveau né prématuré à 36 et 4/7 SA, poids de naissance 3500g (P90-95). Accouchement par césarienne en urgence à cause de la stagnation de la dilatation à 9cm. Bonne adaptation primaire, Apgar 7/8/9, pH 7.33. Nouveau né à terme à 38 6/7 semaines d'aménorrhée, césarienne pour CTG suspect et suspicion de décollement placentaire, bonne adaptation avec Apgar 9/10/10, poids de naissance 3580g, pas de risque infectieux. Nouveau-né à terme à 40 2/7, accouchement par voie basse spontané sans complication, bonne adaptation avec Apgar 9/10/10, poids de naissance 3280 g (P10-25). s/p hospitalisation pour gastroentérite aiguë à Rotavirus avec déshydratation à 6% du 06.03.-07.03. Nouveau-né à terme, accouchement par voie basse sans complication, bonne adaptation. Bronchiolite non oxygénodépendante sans difficultés alimentaires (25.12.18). Nouveau-né à terme 37 2/7 SG, poids de naissance 2855 (P10 - P50), TN 48 cm (P10-P50), PC 32 cm (50 kg/m2. Tabagisme chronique 20 UPA. Syndrome d'apnée du sommeil, CPAP. Schizophrénie. Insuffisance pancréatique OI. Gastrite aiguë débutante le 13.08.2016. • Obésité morbide de grade III avec BMI initial à 40,3 kg/m2 (107 kg, 163 cm) • Obésité morbide de stade III selon l'OMS avec un BMI de 41,3 kg/m2. • Obésité morbide de type III avec impotence fonctionnelle (en chaise électrique), lipoedème symptomatique et trouble du comportement alimentaire compulsif. Anticoagulation par Xarelto pour les antécédents thrombo-emboliques décrits ci-dessous.Psychiatrique : • trouble de la personnalité type borderline. • retard mental léger avec troubles du comportement. • ancien syndrome de dépendance à l'alcool. • tentative de suicide il y a environ 10 ans avec lacération du membre supérieur droit. Surdité de 50% bilatérale. Myopie appareillée. Gonarthrose bilatérale. Obésité morbide de type III (taille 163 cm, poids 158 kg) avec impotence fonctionnelle (en chaise électrique), lipoedème symptomatique et trouble du comportement alimentaire compulsif. Anticoagulation par Xarelto pour les antécédents thrombo-emboliques décrits ci-dessous. Obésité morbide grade III selon OMS avec BMI à 52 kg/m2. HTA traitée. Bradycardie sinusale asymptomatique. Diverticulose colique avec coloscopie normale en janvier 2017. Pyrosis. Gonarthrose droite. Syndrome d'apnées obstructives du sommeil sous CPAP nocturne. Obésité grade III. Obésité morbide, poids 150 kg. Obésité morbide. Bypass gastrique en 2013. Obésité morbide. Hypertension artérielle traitée. Obésité P97 + 6 déviations standards. Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 35,3 kg/m2 (87 kg ; 157 cm) poids actuel : 86 kg. Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initial à 37,5 kg/m2 (102 kg ; 165 cm) - poids actuel : 99 kg. Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initial à 38 kg/m2 (138 kg ; 190 cm) - trouble non spécifié du comportement alimentaire - poids préopératoire : 130 kg. Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initial à 38 kg/m2 (138 kg ; 190 cm) - trouble non spécifié du comportement alimentaire - poids préopératoire : 130 kg. Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initiale à 35,2 kg/m2 (103 kg ; 171 cm) - poids maximal : 114 kg (août 2015) - poids actuel : 92 kg. Obésité sévère grade III selon l'OMS (BMI initial à 40,2 kg/m2, 94 kg ; 153 cm). Obésité sévère grade III selon l'OMS (BMI initial à 40,2 kg/m2, 94 kg ; 153 cm). Obésité sévère stade II selon OMS avec BMI initiale à 38,8 kg/m2 (98 kg, 159 cm) - Status post bypass gastrique proximal et cholécystectomie laparoscopique le 29.05.2017. - BMI à 1 mois post-opératoire : 33,6 - BMI 1 an post-opératoire 24,1/m2 (61 kg) - BMI 22 mois post-opératoires : 23,3 kg/m2 (59 kg). Status post-2 césariennes. Status post curetage utérin en 2011. Status post résection hémangiome/kyste avant-bras droit 12.05.2017. Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 38,8 kg/m2 (98 kg ; 159 cm). Bypass gastrique + cholécystectomie par laparoscopie le 29.05.2017. Obésité sévère. HTA (non traitée actuellement, Co-Candesartan avant la grossesse). Obésité stade I avec un BMI à 31 kg/m2. Obésité stade I avec un BMI à 31 kg/m2. Obésité stade I avec un BMI à 31 kg/m2. Obésité stade II. Obésité stade III selon l'OMS péjorée dans le cadre du sevrage tabagique. Obésité (105 kg, 162 cm) BMI 40 kg/m2. Dépression. Obésité (105 kg, 162 cm) BMI 40 kg/m2. Dépression. Obésité (105 kg, 162 cm) BMI 40 kg/m2. Dépression traitée par Xanax, fluoxétine. Douleurs pied D chroniques depuis traumatisme du pied avec arrachements ligamentaires en juillet 2019, traité par Zaldiar. Obésité. Consommation d'alcool à risque (1 litre de bière/jour + 0,5 l vin/jour). Douleurs chroniques sur coxarthrose et gonarthrose à gauche. Obésité. Diabète type II non insulino-requérant depuis 2010. CPAP depuis 2006. HTA traitée depuis 2003. Hypospadias sous glandulaire diagnostiqué en 2001 (risque élevé d'urétrite). Prostatite chronique. Obésité. Hyperlipidémie mixte familiale. Intolérance au lactose. Obésité. Hyperlipidémie mixte familiale. Intolérance au lactose. Obésité. Hypertension artérielle. DM Type II sous insuline. Dyslipidémie. État dépressif. Obésité. Lithiase de la vésicule. Obésité. Notion de trouble de l'apprentissage (suivi logopédique et scolarité spécialisée). Obésité. Psoriasis, suivi à l'Inselspital en dermatologie avec injections x aux 3 mois. Obésité. Sténose du canal rachidien L3-L4. Sténose relative du canal rachidien L4-L5. Obésité. Surdité sévère malgré appareillage. Porteur d'un pacemaker (KORA 250 DR, mode AAI-DDD), posé le 17.09.2015, pour une bradycardie sur probable maladie de sinus. Notion de BPCO sans HTAP. Obésité. Syndrome d'apnées/hypopnée de degré sévère (IAH 52/h) +/- hypoventilation-obésité. HTA traitée. Goutte. Paralysie diaphragmatique (coupole D) connue depuis 2015. Observation clinique. Observation et reconsulte si persistance des douleurs. Observation sur 1 semaine et consulte son médecin en cas de persistance de la symptomatologie. Obstétricaux : trois accouchements par voie basse en 1994, 1997 et 2006 et 2011. Amygdales et végétation au genou droit et au nerf pli de l'aine. Obstétricaux : S/p fausse couche spontanée précoce. Le 15.09.2018 accouchement par voie basse, garçon de 4850 gr, fracture de la clavicule, au Petit Prince. Le 25.03.2015 accouchement par voie basse, fille. Généraux : Le 26.06.2018 thrombose veineuse superficielle de la grande saphène gauche. Obstétricaux : Accouchement par voie basse à terme d'un garçon de 3050 g, déchirure I, en 2013. Obstétricaux : S/p 3x accouchement voie basse. Opératoire : Status post multiples traumas genou droit avec ostéosynthèse. Status post fracture ilio-ischiopubienne droite, septembre 2001. Status post fracture pertrochantérienne proximale de la hanche gauche avec ostéosynthèse DHS, septembre 2001. Médicaux : Status post érysipèle du membre inférieur gauche en juillet, traité par Co-Amoxicilline. Obstétricaux : S/p 3x Accouchements par voie basse. Obstétricaux : St.p. césarienne. Gynécologiques : St.p. curettage. Utérus polymyomateux. Opératoires : St.p. APP 1983. St.p. hernie ing. D 1989. St.p. 2x hernie ombilicale 1992. St.p. kyste poignet D. 2011 Arthroscopie méniscectomie partielle (genou), rinçage, shaving. Familiaux : 2 cousins et une soeur avec la maladie de Steinert. Obstétricaux : voie d'accouchement : Accouchement par voie basse, instrumentation : non, lésion génitale : EMLD, délivrance : Nle complète, Date : 2013, lieu : Érythrée, sexe : M, Prénom : Yossef, SA : Terme, poids (g) : 3500, allaitement (mois) : 24, particularités : p.p. e.o., Enfant BSH à priori. Obstétricaux : 1994 accouchement par voie basse, fille de 2750 g. 1995 accouchement par voie basse, garçon de 3130 g. Gynécologique : 2011 laparoscopie avec ligature des trompes et cure d'incontinence. Chirurgicaux : S/p appendicectomie. Obstétricaux : 1998 césarienne en urgence à 2 cm, à terme, fille de 2740 g. 1999 césarienne élective itérative avec stérilisation tubaire, garçon de 3290 g. Gynécologiques : Ménopause depuis juin 2017. 1996 fausse couche précoce curetage évacuateur. Obstétricaux : 2010 Accouchement par voie basse, fille 2000 g, prééclampsie sévère. 2005 Accouchement par voie basse, fille 2700 g, prééclampsie. Gynécologiques : 2011 fausse couche, traitement médicamenteux. 2004 fausse couche, traitement médicamenteux. Chirurgicaux : S/p appendicectomie dans l'enfance. S/p cure de hernie inguinale dans l'enfance. S/p luxation de la rotule et arthroscopie. Obstétricaux : 2015 : Accouchement par voie basse à 37 semaines d'aménorrhée après provocation, fille 2950 g, EMLD avec reprise dans les suites. 2018 : Accouchement par voie basse à 38 1/7 semaines d'aménorrhée après provocation, fille de 3230 g, déchirures des lèvres.Obstétricaux: • 3 accouchements par voie basse. Fils décédé en 2008 à l'âge de 25 ans suite à une hydrocéphalie. Opératoires: • Le 23.01.2019 Bypass gastrique • 2017 Plastie ligamentaire de la cheville gauche • 2008 Hallux valgus bilatéral • 1997 Cholécystectomie Obstétrique: • 2009 : Accouchement par voie basse en Somalie, garçon • 2010 : Accouchement par voie basse en Somalie, fille • 2011 : Accouchement par voie basse en Somalie, garçon • 2013 : Accouchement par voie basse en Somalie, fille • 2015 : Accouchement par voie basse à Payerne, garçon • 2017 : Accouchement par voie basse en Allemagne, fille Gynécologie • 2011 Fausse couche spontanée • 2012 : 2 fausses couches spontanées • 2014 : Grossesse extra-utérine gauche (tomie mais ne sait si salpingotomie ou salpingectomie) Obstipation Obstruction de la sonde vésicale le 01.04.2019. Obstruction de stent intra-cholédocien le 17.04.2019 chez un patient avec : • adénocarcinome colique métastatique au niveau hépatique, ganglionnaire, surrénalien • s/p changement de stent par ERCP pour cholangite le 30.03.2019 DD : cholangite Obstruction des oreilles depuis 1 jour Obstruction des voies biliaires distales sur probable infiltration tumorale avec : • cholestase et cytolyse • adénocarcinome du colon ascendant métastatique au niveau osseux et hépatique. Obstruction des voies biliaires le 05.04.2019 • avec probable cholangite le 05.04.2019 • sur probable envahissement des voies biliaires par un adénocarcinome gastrique • status post drainage percutané et mise en place d'un stent sur les voies biliaires à droite le 01.02.2019 Obstruction nasale chronique sur déviation septale et hypertrophie des cornets inférieurs Obstruction transitoire du drain thoracique avec augmentation de pneumothorax à droite avec/sur : • BPCO suivi par Dr. X, sur tabagisme actif • status post-pneumothorax droit spontané le 02.03.2019 • status post-pose de drain thoracique à droite le 02.03.2019 aux urgences, gardé à domicile avec valve de Heimlich en raison de fuite • status post-pneumothorax droit en 1979 et le 24.08.2018 • probable poumon emphysémateux • en cours d'investigation à l'Inselspital pour prévoir une résection pulmonaire avec scintigraphie, fonctions pulmonaires et ETT le 29.03.2019 Occlusion artère iliaque commune gauche asymptomatique le 17.01.2019. • CT-abdominal le 17.01.2019 : occlusion artère iliaque commune G à quelques centimètres de la bifurcation aortique sur athérome. • Doppler aux urgences : pouls pédieux et tibial présents des deux côtés, droite > gauche. • Avis chirurgie vasculaire. Occlusion de la boucle prothétique Omniflow huméro-humérale au membre supérieur gauche le 04.04.2019 dans un contexte d'insuffisance rénale chronique terminale dialysée sur glomérulonéphrite à IgA avec : • status post-confection d'une fistule artério-veineuse radio-céphalique latéro-terminale selon Brescia-Cimino à 9cm au-dessus du poignet gauche le 10.03.2017 (Dr. X) • status post-échec d'angioplastie le 16.05.2017 pour mauvaise maturation de la fistule sur veine trop fine en post-anastomotique • status post-confection d'une boucle prothétique (Omniflow) huméro-humérale au membre supérieur gauche le 29.09.2017 (Dr. X) • occlusion thrombotique de la boucle prothétique huméro-humérale au membre supérieur gauche le 03.03.2018 • status post-thrombectomie au Fogarty de la boucle le 04.03.2018 • status post-occlusion thrombotique de la boucle traitée par thrombectomie au Fogarty et plastie d'élargissement de l'anastomose veineuse le 25.07.2018 (Dr. X) • status post-angioplastie au ballon médicamenteux de l'anastomose artérielle, dilatation de la zone anastomotique veineuse avec cutting balloon et ballon médicamenteux par double accès de la fistule artério-veineuse le 23.01.2019 • bilan angiologique le 04.04.2019 et thrombo-embolectomie de la FAV du membre supérieur gauche et transposition de la prothèse sur la veine basilique le 05.04.2019. Cyphoplastie avec Spine Jack L4 le 08.03.2019 pour tassement récent du plateau supérieur de L4. Pancréatite aiguë biologique d'origine indéterminée le 12.09.2016. Arthroscopie de l'épaule gauche avec débridement sous-acromial le 08.05.2012 pour rupture massive de la coiffe des rotateurs. Prothèse totale du genou gauche. Hémicolectomie droite pour adénocarcinome du côlon, T4 N0 M0 en 2006, suivi d'un traitement adjuvant par Xeloda. Infection urinaire à staph haemolyticus et enteroccocus durans traitée du 12.04-19.04.2019 Etat confusionnel aigu sur surdosage d'opiacés le 12.04.2019. Status après cyphoplastie avec spine jack L4 le 08.03.2019 pour tassement récent du plateau supérieur de L4. Status après arthroscopie de l'épaule gauche avec débridement sous-acromial le 08.05.2012 pour rupture massive de la coiffe des rotateurs. Status après prothèse totale du genou gauche. Status après pancréatite aiguë biologique d'origine indéterminée le 12.09.2016. Status après hémicolectomie droite pour adénocarcinome du côlon, T4 N0 M0 en 2006, suivi d'un traitement adjuvant par Xeloda. Occlusion de la boucle prothétique Omniflow huméro-humérale au MSG le 04.04.2019 dans un contexte d'insuffisance rénale chronique terminale dialysée sur glomérulonéphrite à IgA avec : • s/p confection d'une fistule artério-veineuse radio-céphalique latéro-terminale selon Brescia-Cimino à 9cm au-dessus du poignet gauche le 10.03.2017 (Dr. X) • s/p échec d'angioplastie le 16.05.2017 pour mauvaise maturation de la fistule sur veine trop fine en post-anastomotique • s/p confection d'une boucle prothétique (Omniflow) huméro-humérale au membre supérieur gauche le 29.09.2017 (Dr. X) • occlusion thrombotique de la boucle prothétique huméro-humérale au membre supérieur gauche le 03.03.2018 • s/p thrombectomie au Fogarty de la boucle le 04.03.2018 • s/p occlusion thrombotique de la boucle traitée par thrombectomie au Fogarty et plastie d'élargissement de l'anastomose veineuse le 25.07.2018 (Dr. X) • s/p angioplastie au ballon médicamenteux de l'anastomose artérielle, dilatation de la zone anastomotique veineuse avec cutting balloon et ballon médicamenteux par double accès de la fistule artério-veineuse le 23.01.2019 • bilan angiologique le 04.04.2019 et thrombo-embolectomie de la FAV du MSG et transposition de la prothèse sur la veine basilique le 05.04.2019.S/p cyphoplastie avec spine jack L4 le 08.03.2019 pour tassement récent du plateau supérieur de L4 S/p arthroscopie de l'épaule gauche avec débridement sous-acromial le 08.05.2012 pour rupture massive de la coiffe des rotateurs S/p prothèse totale du genou gauche S/p pancréatite aiguë biologique d'origine indéterminée le 12.09.2016 S/p hémicolectomie droite pour adénocarcinome du côlon, T4 N0 M0 en 2006, suivi d'un traitement adjuvant par Xeloda • Infection urinaire à staph haemolyticus et enterococcus durans traitée du 12.04-19.04.2019 • ECA sur surdosage d'opiacés le 12.04.2019 Possible ostéoporose fracturaire avec : • S/p cyphoplastie avec spine jack L4 le 08.03.2019 pour tassement récent du plateau supérieur de L4 DD : Ostéodystrophie en lien avec l'IR terminale Bilan phosphocalcique : limite supérieure de la norme (contexte d'IR terminale) Avis Dr. X pour discuter de l'introduction d'un traitement : pas de traitement pour le moment vu l'alitement de Mr. Y et le risque de créer un os adynamique avec fracture par la suite. Dans un second temps : possibilité de discuter de l'introduction du Bonviva en dialyse • Occlusion de l'artère centrale de la rétine droite - diagnostiquée le 13.03.2019 - Avec perception visuelle résiduelle • Occlusion de l'artère supéro-temporale de la rétine de l'œil D le 08.04.2019 dans un contexte d'AVC ischémique cérébelleux d'origine cardio-embolique suspecté - NIHSS à l'entrée aux soins intensifs 0 points • Occlusion du pontage aorto-fémorale du MID le 20.04.2019 • Occlusion partielle de l'artère vertébrale gauche (+/- dissection), par un thrombus découvert le 04.04.2019 chez un patient avec une absence d'artères communicantes postérieures • octobre 18 : Pyélonéphrite aiguë, 1er épisode traité par antibiothérapie IV et intramusculaire et orale de 10 jours. Ultrason des voies urinaires dans la norme • Octreoscan le 03.04.2019 Poursuite IPP Gastroscopie en ambulatoire • Oculac gouttes. • Odontalgie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie dans contexte d'antalgie insuffisante post-opération ORL le 24.04.2019. • Odynodysphagie d'origine indéterminée, le 24.04.2019. • Odynodysphagie d'origine indéterminée, le 24.04.2019. DD : reflux. • Odynodysphagie et rush. • Odynodysphagie, probablement sur reflux gastro-oesophagien, le 14.04.2019. • Odynophagie • Odynophagie • Odynophagie • Odynophagie. • Odynophagie. • Odynophagie. • Odynophagie. • Odynophagie. • Odynophagie. • Odynophagie depuis 1 jour • Odynophagie depuis 2 jours • Odynophagie depuis 3 jours • Odynophagie et céphalées. • Odynophagie et douleurs sous-mandibulaires à gauche. DD • Pharyngite. • Parotidite. • Odynophagie et état fébrile • Odynophagie fébrile. • Oedème aigu du poumon dans un contexte de surcharge volémique le 05.04.2019 et 10.04.2019 • Oedème aigu du poumon le 09.04.2019 dans le contexte du NSTEMI • Oedème aigu du poumon le 20.04.2019 - chez patient connu pour cardiopathie hypertensive • Oedème aigu du poumon post intervention sur pic hypertensif le 28.03.2019 • Oedème aigu du poumon sur fibrillation auriculaire rapide et pic hypertensif le 28.04.2019 : - avec insuffisance respiratoire globale • Oedème aigu du poumon sur fibrillation auriculaire rapide non datée et pic hypertensif le 22.04.2019 - avec insuffisance respiratoire hypercapnique aiguë • Oedème aigu du poumon sur pic hypertensif le 08.04.2019 DD dans contexte diagnostic supplémentaire 1 • Oedème aigu du poumon sur transfusion de deux culots érythrocytaires le 26.04.2019. • Oedème aigu pulmonaire sur insuffisance cardiaque chronique, le 16.04.2019 dans un contexte de cardiopathie ischémique - s/p Oedème aigu du poumon sur pic hypertensif le 02.05.2016 - s/p Décompensation cardiaque gauche d'étiologie peu claire le 08.06.2016 • Oedème de la langue • Oedème de la luette d'origine allergique probable, sans facteur déclenchant Status post-douleurs thoraciques atypiques le 31.10.2015 Urolithiase droite de 3.5mmx2.5mmx3mm, 10.05.2017 Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë post-opératoire dans un contexte de syndrome d'apnées obstructives du sommeil et administration d'opiacés le 04.03.2019 • Oedème de la luette d'origine allergique probable, sans facteur déclenchant. Status post-douleurs thoraciques atypiques le 31.10.2015. Urolithiase droite de 3.5x2.5x3 mm, 10.05.2017. • Oedème de Reinke et leucoplasie corde vocale D. Kératose séborrhéique bras D. Dermatofibrome cuisse G. Hypercholestérolémie. Consommation OH à risque. • Oedème des membres inférieurs. • Oedème des membres inférieurs d'origine sur possible décompensation cardiaque globale discrète • Oedème des membres inférieurs sur remplissage vasculaire • Oedème du coude droit. • Oedème du MIG le 20.01.2019 • Oedème et hématome autour du port-à-cath. • Oedème genou. • Oedème inflammatoire post-résection jéjunale proximale pour un GIST du jéjunum le 20.02.2019. Diagnostic différentiel : kinking de l'anastomose • Oedème jambe droite. • Oedème jugal en regard d'une dent en état précaire le 22.04.2019 DD : abcès dentaire débutant. • Oedème laryngé post-intubation le 03.04.2019 DD : réaction allergique (Augmentin ?), réanimation liquidienne • Oedème membre inf droit • Oedème membre inférieur • Oedème membre inférieur droit • Oedème mollet droit. • Oedème palpébral • Oedème papillaire. • Oedème papillaire bilatéral d'origine indéterminée le 08.04.2019. DD : hypertension intracrânienne, Lyme, HIV. • Oedème papillaire bilatéral d'origine indéterminée le 08.04.2019. Diagnostic différentiel : papillite bilatérale, Lyme, HIV. • Oedème péri-lésionnel important avec déviation de la ligne médiane de 4 mm le 10.04.2019 DD découverte radiologique fortuite, décours habituel d'un AVC étendu - clinique de ptose labiale gauche fluctuante • Oedème périorbitaire G • Oedème post-opératoire membre inférieur gauche le 05.04.2019 DD : thrombose veineuse profonde. Oedème pulmonaire aigu avec acidose respiratoire sur pic hypertensif le 16.04.2019 • cardiopathie ischémique avec FEVG à 35% en 2016 Oedème pulmonaire aigu avec acidose respiratoire sur pic hypertensif le 16.04.2019 DD : progression de maladie coronarienne chez un patient avec maladie coronarienne tri-tronculaire dilatée : • anciens pontages aorto-coronariens (mammaire interne gauche sur IVA, veine saphène sur IVP, dernier en 2001) • fraction d'éjection ventriculaire gauche à 33% le 01.05.2016 • NSTEMI sur sub-occlusion distale du pontage veineux sur l'artère interventriculaire postérieure le 01.05.2016 (Dr. X) traitée par angioplastie avec 1 stent actif • Coronarographie le 03.05.2016 (Prof. X) : Dilatation de l'IVA distale à travers le pontage mammaire gauche avec mise en place d'un stent actif Oedème pulmonaire aigu le 25.04.2019 • DD : Fibrillation auriculaire (FA) rapide, décharge septique avec poussée hypertonique transitoire Oedème pulmonaire aigu sur crise hypertensive le 18.03.2019 : • Fraction d'éjection ventriculaire gauche à 55% en 2018 Oedème pulmonaire aigu sur fibrillation auriculaire rapide le 27.03.2019 Oedème pulmonaire aigu sur fibrillation auriculaire rapide le 27.03.2019 • Torasemide dès le 28.03.2019 Infection urinaire basse le 28.03.2019 à germe indéterminé Anémie microchrome normocytaire hyporégénérative à 110 g/L le 01.04.2019 Oedème pulmonaire aigu sur pic hypertensif, le 15.04.2019 avec • insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique Oedèmes asymétriques MI (à prédominance D) le plus probablement dans le cadre d'une insuffisance veineuse chronique IRC de stade III : • clearance de la créatinine à 39 ml/min selon Cockcroft-Gault le 08.04.2015 Troubles dégénératifs lombaires sévères avec scoliose, arthrose et discopathies pluri-étagées (Rx colonne lombaire de février 2002 - CIMED) Déformation en valgus du tibia D d'origine indéterminée (post-accident ?) Omarthrose D sévère secondaire à une ancienne fracture claviculaire (Rx épaule D du 22.03.2015) Troubles cognitifs modérés : • MoCa 20/30 (01.04.2015) • MMSE 29/30, test de l'horloge 5/6 (25.03.2015) Oedèmes aux membres inférieurs avec prise de 5 kg Oedèmes des membres inférieurs (DD rétention hydrosodée sous Prednisone) Oedèmes des membres inférieurs d'origine mixte : décompensation cardiaque, obésité abdominale et sédentarité, insuffisance lymphatique secondaire Oedèmes des membres inférieurs d'origine multifactorielle Oedèmes des membres inférieurs le 20.04.2019 DD : décompensation cardiaque Oedèmes des membres inférieurs sur probable surcharge volémique iatrogène Oedèmes probablement dans le contexte tumoral D > G avec composante mécanique OEIL DROIT CATARACTE SENILE OEIL GAUCHE GLAUCOME NEOVASCULAIRE NON CONTROLE SOUS TRAITEMENT MEDICAMENTEUX MAXILAM Oeil rouge depuis 5 jours Oesogastroduodénoscopie le 20.03.2019, Dr. X. Pose de sonde naso-gastrique le 21.03.2019, avec nutrition entérale. PET-CT le 26.03.2019. Evaluation ORL par Dr. X en vue d'une endoscopie ORL le 01.04.2019. Suite de la prise en charge ambulatoire par Prof. X et Dr. X. Oesophagite de reflux grade B Oesophagite de reflux sévère le 29.04.2019 Oesophagite par reflux stade C selon Los Angeles, gastrite antrale Oesophagogastroduodénoscopie le 18.03.2019 (Dr. X) : pas de lésion objectivée Ferinject 200 mg 3x/semaine x 3 semaines dès le 29.03.2019 Transfusion 1 CE le 04.04.2019 Hémofec (05.04.2019) : négatif OGD + colonoscopie en ambulatoire à Fribourg (sera convoquée) OGD + colonoscopie en ambulatoire Contrôle de l'évolution de l'anémie à votre consultation OGD à 1 mois de distance le 29.04.2019 au HFR Riaz. Contrôle par IRM injectée de l'abdomen, à programmer à distance. OGD de contrôle le 04.07.19 à 11h30 OGD du 14.04.2019 Saignement digestif haut sur varices œsophagiennes avec : • actuellement, pas de saignement actif • présence de red spots signs sur 2 cordons variqueux dans l'œsophage distal • pose de 5 ligatures sur les varices sans complication. OGD nr 2 du 14.04.2019 : Pas d'argument pour un nouveau saignement sur varices ni dans l'œsophage ni au niveau de la jonction gastro-œsophagienne, ligatures en place. OGD du 15.04.2019 Ligatures élastiques sur des varices œsophagiennes de stade II. 2 varices sous-cardiales de grande taille. Actuellement, pas de sang visible ni de stigmate d'un saignement récent. On a l'impression que le saignement date de quelques heures à voir le sang rouge sombre dans l'iléon terminal et le côlon et qu'il n'y a actuellement plus de saignement actif. Pratiquement, je proposerai d'attendre et de n'envisager un angio-CT qu'en cas de poursuite évidente du saignement sur le plan clinique. Par la suite, il faut envisager un traitement radical de l'hypertension porte à cause des varices sous-cardiales : pose d'un Tips ? Coloscopie du 15.04.2019 Trace d'un saignement récent datant probablement de quelques heures et de provenance digestive haute ou de l'intestin grêle. US hépatique du 16.04.2019 Thrombose partielle du confluent spléno-mésaraïque et de la veine mésentérique supérieure. Perméabilité du tronc porte proximalement et de ses bronches portales avec inversion du flux dans la bronche portale droite. La vitesse au niveau du tronc porte reste normale à 18 cm par seconde. Les veines sus-hépatiques sont perméables avec un flux bien modulé. Liquide libre intra-péritonéal. Sludge dans la vésicule biliaire. CT abdominal du 16.04.2019 Thrombose partielle de la branche portale gauche, majoration de la thrombose partielle de la veine porte et de la veine mésentérique supérieure. Apparition d'une hypodensité focale mal délimitée dans le segment II hépatique (DD : nodule de régénération ?). Signes d'hypertension portale avec splénomégalie et ascite diffuse. Atélectase partielle de la pyramide basale droite et quasi complète de la pyramide basale gauche. ETT du 16.04.2019 : L'examen du jour montre un hyperkinétisme du VG avec une FEVG à 70% chez un patient probablement hypovolémique. Pas de trouble de la cinétique segmentaire. OGD du 20.04.2019 IPP 40 mg 2x/j pour 6-8 semaines OGD de contrôle dans 4 semaines OGD du 28.03.19 (Dr. X) : Présence d'une lésion polypoïde d'allure sous-muqueuse centimétrique à distance de 2 cm de la papille de Vater. Aspect normal de la muqueuse duodénale par ailleurs. -> DAP : Muqueuse gastrique et duodénale normale OGD en ambulatoire à rediscuter OGD en urgence sous anesthésie générale : ablation d'un aimant OGD et colonoscopie dans les meilleurs délais, le patient sera convoqué au cabinet des Dr. X et X. • merci de pister les résultats de PCR et calprotectine prélevés ce matin avant le départ du patient. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans l'intervalle, si l'examen n'est pas effectué d'ici une semaine au plus tard. OGD et colonoscopie le 02.04.2019 : Volumineuse tumeur d'allure maligne dans le côlon ascendant proximal. • lésion bourgeonnante semi-circonférentielle et substénosante • actuellement prise de biopsies et marquage à l'encre Le médecin-assistant référent de la patiente a été informé d'organiser un bilan oncologique avec CT-thoraco-abdominal et présentation au Tumor Board viscéral le 03.04.2019 pour discuter de la suite de la prise en charge. À noter que nous avons également informé l'hématologue référent, Dr. X pour la suite de la prise en charge, étant donné les nombreuses biopsies. À noter qu'une prochaine colonoscopie de surveillance sera nécessaire dans 1 an selon les recommandations de la société suisse de gastro-entérologie étant donné que nous avons effectué une colonoscopie complète et que les autres lésions ont été réséquées.CT thoraco-abdo 02.04.2019 : Imagerie évoquant un carcinome colique du caecum cT3cN+cM0 Biopsies : Diagnostic anatomopathologique : • Adénocarcinome moyennement différencié de type colorectal ulcéré, couvert d'exsudat fibrino-leucocytaire et infiltrant par endroits des petits filets de musculature lisse (neuf biopsies et un débris ascendant). • Adénome tubuleux de la muqueuse colique avec une dysplasie de bas degré (trois biopsies transverse). ETT le 05.04.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. OGD et coloscopie en ambulatoire. OGD prévue le 02.04.2019 reportée. Mr. Y sera reconvoqué ultérieurement pour le geste. OGD réalisée le 21.03.2019 : oesophagite par reflux, pas de varice. OH chronique. OH chronique. OH chronique. OH chronique, abstinent depuis 17 ans. Lymphome amygdalien de Waldeyer traité par chimiothérapie en 1993. Epididymite droite en 2011. Infection pulmonaire probablement de type pneumonie bactérienne communautaire à germe indéterminé le 30.06.2017. Fibrillation auriculaire paroxystique. Fuites persistantes de la gastrostomie. • Mise en place le 11.12.18 suite à des fausses routes et dysphagies. • Alimentation parentérale du 23.12.2018 au 21.01.19. • Suivi par les diététiciennes. • Suivi stomatothérapeute. • CT thoraco-abdominal 23.12.2018. • Drainage sous guidage CT : Reposition de la PEG. • CT abdomen 25.12.18. • CT abdominal supérieur 26.12.2018. • CT abdominal 28.12.2018. • Ultrason abdominal 13.1.2019. • CT abdominal 16.01.19. OH chronique. Tabagisme actif (100 UPA au moins). OH 1-2 verres quotidiens. Oligoarthrite genou ddc le 22.04.2019 DD : effet secondaire pembrolizumab, décompensation de fibromyalgie. Oligoarthrite inflammatoire aiguë périphérique, symétrique d'origine indéterminée : • DD : polyarthrite rhumatoïde, arthrite micro-cristalline, connectivite, arthrite de Reiter. Mr. Y présente un panaris pour lequel nous proposons un traitement topique par des bains de Dakin. En cas de péjoration, avec augmentation de l'érythème, apparition de fièvre ou d'un trajet lymphangitique, il reconsultera. OMA bilatérale. OMA bilatérale à J4 de traitement antibiotique. OMA bilatérale avec collection purulente à gauche. OMA bilatérale chronique réacutisée. OMA bilatérale dans un contexte d'otites à répétition. OMA bilatérale débutante. OMA bilatérale réfractaire. OMA gauche perforée. OMA gauche perforée en 2012. OMA gauche réfractaire à 3j de traitement d'Algifor. OMA gauche réfractaire à 48h d'Algifor. OMA perforée à gauche. Omalgie. Omalgie droite avec tendinopathie long chef du biceps. Omalgie droite chez un patient connu pour un statut post mise en place d'une prothèse totale inversée de l'épaule droite en mars 2018. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Omalgie et gonalgie bilatérales d'origine indéterminée. Céphalées d'origine indéterminées. Omalgie gauche d'étiologie indéterminée le 27.04.2019. DD : syndrome de la manchette des rotateurs. Omalgies D post-traumatiques avec forte suspicion de tendinopathie du long chef du biceps et conflit sous-coracoïde : • DD : lésion SLAP symptomatique. Omalgies droite le 15.03.19. Omalgies droites post-traumatiques d'origine X avec : IRM du 22.02.2019 : pas de pathologie majeure visible. Omalgies épaule D (DD tendinite de la coiffe des rotateurs). Omalgies épaule D d'origine dégénérative. Omalgies épaule gauche avec une tendinite calcifiante et suspicion de lésion du sus-épineux. Omarthrose sévère et rupture partielle de la coiffe des rotateurs épaule G. Omarthrose avec tendinopathie sévère du sus-épineux épaule D sur statut post : • arthroscopie diagnostique, synovectomie, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps et résection AC le 30.8.2016. Status post infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule droite le 7.12.2018. Omarthrose débutante de l'épaule droite sur rupture chronique du sus-épineux avec rétraction du 3ème degré. Status post infiltration du sillon bicipital droit le 14.12.2018. Status post Infiltration sous-acromiale épaule droite le 29.3.2019. Omarthrose D. FA paroxystique intermittente sans cardiopathie sous-jacente. Hypothyroïdie substituée. Obésité. État anxio-dépressif chronique. Abus d'OH chronique. Oesophagite de reflux chronique avec syndrome de Barrett. Ancien tabagisme, possible BPCO + SAS (appareillé par orthèse dentaire). Omarthrose droite avec suspicion de rupture de la coiffe des rotateurs le 27.03.19. • douleurs chroniques avec un épisode de chute dans les mois précédents, Palm Up test pathologique. • radiographie 02.11.18 : Omarthrose avec rétrécissement du plateau articulaire avec ostéophytes. Signes de tendinopathie chronique avec surélévation de la tête humérale. Arthrose acromio-claviculaire. Omarthrose droite sévère diagnostiquée le 22.02.2019 : • Radiographie épaule droite le 06.03.2019 : arthrose importante et sur avis neurologique, de la prégabaline est aussi introduite en raison d'une composante neurologique de ces douleurs.Omarthrose droite symptomatique avec probable lésion du sus-épineux et os acromial asymptomatique. BPCO sévère. Status post intervention cérébrale pour Parkinson. Obésité. Gonarthrose droite. Status post infiltration intra-articulaire épaule D le 29.03.2019. Omarthrose droite Fibrillation auriculaire paroxystique intermittente sans cardiopathie sous-jacente Hypothyroïdie substituée Obésité Etat anxio-dépressif chronique Abus alcool chronique Oesophagite de reflux chronique avec syndrome de Barrett Ancien tabagisme BPCO + SAS (appareillé par orthèse dentaire) Omarthrose droite. Fibrillation auriculaire paroxystique intermittente sans cardiopathie sous-jacente. Hypothyroïdie substituée. Obésité. Etat anxio-dépressif chronique. Abus d'alcool chronique. Oesophagite de reflux chronique avec syndrome de Barrett. Ancien tabagisme. Broncho-pneumopathie obstructive + syndrome d'apnées du sommeil (appareillé par orthèse dentaire). Omarthrose et arthropathie de coiffe épaule gauche probablement également à droite. Gonalgie gauche. Spondylarthrose et discarthrose. Sacralisation de L5 cervical pluri-étagée. Ostéoporose clinique vertébrale avec une formation D4 D6 + fracture D12 en 2012. Insuffisance rénale stade II. HTA traitée. Status post cure de tunnel carpien bilatéral. Episode dépressif et trouble de l'adaptation. BPCO avec plusieurs décompensations. Omarthrose excentrée bilatérale sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs. Omarthrose excentrée sur rupture chronique du sus-épineux de l'épaule gauche. Omarthrose excentrée sur rupture chronique du sus-épineux de l'épaule gauche, avec pseudo-paralysie sur status post-ostéosynthèse d'une fracture diaphysaire de l'humérus gauche par plaque Philos le 28.04.2017. Omarthrose primaire à gauche. Omarthrose primaire G traitée par implantation d'une prothèse totale anatomique de l'épaule et résection du centimètre externe de la clavicule G le 01.04.2019. Omarthrose sévère bilatérale, plus marquée à G qu'à D. Omarthrose traumatisée sur rupture chronique des tendons du sus-épineux et sous-épineux épaule droite avec rupture chronique spontanée du LCB. Status post infiltration intra-articulaire le 16.08.2018. Status post infiltration intra-articulaire épaule droite le 9.11.2018. OMI droit sur compression au niveau de la veine iliaque externe par la masse ovarienne droite 04.04.2019. OMI droit sur probable compression des veines sur masse abdomino-pelvienne. On a parlé longtemps avec le papa en lui expliquant que l'on peut traiter cela à l'aide d'une intervention pour correction et ablation de la proéminence osseuse qui s'est développée à la base du P2 du 5ème rayon dorsal. Les risques et bénéfices sont expliqués tels que des lésions augmentées sur la ligne de croissance ou lésion du tendon extenseur. Il n'y a aucune urgence de pratiquer cette opération raison pour laquelle la date opératoire est fixée pour le 22 juillet 2019. Une semaine avant l'intervention, je souhaite revoir le patient pour rediscuter avec les parents des risques et bénéfices. On a pas à disposition toutes les radiographies mais nous avons un CT-Scan et une scintigraphie. Le CT-Scan montre une bonne intégration de la cupule. Au niveau de la tige, une bonne partie proximale n'est pas intégrée ou montre une ostéolyse circonférentielle. Au milieu de la tige, la tige est intégrée et distalement il y a aussi une lacune antérieure. Sur la scintigraphie on a une activité. Au niveau de la colonne, on est face à une spondylarthrose des 2 derniers segments de la colonne D3 et des derniers segments lombaire bilatérale puis une plus importante antérolisthésis L4 sur L5. On assiste à une évolution très favorable à 6 semaines postopératoires. On prescrit des séances de physiothérapie pour récupérer encore la mobilité du genou ainsi que travailler sur le renforcement musculaire. Au vu de l'évolution favorable, on la reverra à une année postopératoire pour le prochain contrôle radio-clinique. On confirme la nécessité d'un geste chirurgical au vu de la forte instabilité lors de la vie quotidienne. On organise l'intervention pour le 01.05.2019 pour une reconstruction du LCA par TQ ainsi qu'une reconstruction de l'appareil ligamentaire externe avec tendon demi-tendineux. Il est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et bénéfices liés à celle-ci et il nous donne son consentement. On confirme l'intervention. Elle va être effectuée par AMIC rétro-patellaire avec reconstruction du MPFL et transposition de TTA. On explique les risques et les bénéfices à la patiente et à sa maman. Elles signent le consentement éclairé. On constate des progrès au niveau de la mobilisation en flexion mais il existe toujours une amyotrophie importante du quadriceps raison pour laquelle nous encourageons la patiente à poursuivre ses efforts en physiothérapie pour gagner encore la mobilité du genou et renforcer le quadriceps. Prochain contrôle clinique dans 4 semaines. Dispense de sport jusqu'à la fin de l'année scolaire. On constate une légère asymétrie de la stabilité à 30° de flexion mais nous jugeons cette évolution encore dans la norme. On espère encore une guérison spontanée. Poursuite du traitement conservateur. Prochain contrôle dans 6 semaines avec poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle. On discute avec la patiente de reprendre la charge progressive sous protection d'une bottine plâtrée fendue sous guidance physiothérapie. Nous la reverrons dans 2 semaines avec une RX f/p en charge, hors plâtre. On fait une prescription de physiothérapie pour des exercices de mobilisation. On discute avec la patiente et on pose l'indication opératoire. On propose de faire l'intervention en deux temps mais la patiente souhaite faire une intervention unique avec une cure d'hallux bilatérale dans le même temps. Nous expliquons les risques et elle est d'accord. Elle signe le consentement. Nous enlèverons également l'exostose au niveau du dos du pied G. On reste à disposition. On discute avec la patiente qu'on pourrait faire une intervention avec une arthrodèse de la PIP des orteils intéressés. La patiente n'était pas d'accord. On propose donc des tubes en silicone à mettre au 2ème et 3ème orteils pour voir si cela va réduire les symptômes. Nous la reverrons dans 6-8 semaines. En cas d'échec, il faudra rediscuter pour un geste chirurgical. On discute avec le patient qui souffre d'une limitation de l'extension dorsale de mettre un soulier Geisha amovible avec un cal qui pousse l'hallux en hyperextension. Dans 3 semaines, le patient va faire une semaine de stage chez un menuisier. Après ce stage, nous reverrons le patient. On discute des possibilités avec nos collègues du team Spine. L'IRM du 13.03.2018 montre une cyphosité dans la colonne lombaire, des arthroses facettaires L4-L5, L5-S1 des deux côtés, puis des discopathies multi-étagées. La proposition actuellement serait une infiltration sous CT-scanner L5-S1. Nous voyons ce jour en consultation conjointement avec le Professeur X le patient susmentionné, patient souffrant de douleurs majorées en extension de la colonne au niveau L5-S1 du côté gauche sans véritable claudication neurogène pour l'instant. Nous évaluons les images et mettons en évidence des troubles dégénératifs pluri-étagés avec sténose canalaire asymptomatique pour l'instant et surtout un syndrome facettaire que nous jugeons évident en L5-S1 ayant déjà bénéficié d'un traitement ciblé par le Dr X il y a 2 ans avec également des séances de dénervation avec un effet complet mais étant limité.Au vu de la claire récidive du syndrome facettaire L5-S1, nous proposons une infiltration sous scanner L5-S1 bilatérale et reverrons le patient par la suite à notre consultation. S'il s'avère que la réponse est positive, nous pourrons proposer des infiltrations avec du Curavisc sur 3 séances. On enlève le dernier bout du fil. On fait un pansement que la patiente devra garder 48 heures. Pas de prochain contrôle prévu mais on reste à disposition. On envoie Mr. Y chez Ortho concept pour une vidéo analyse de la marche. On le revoit après cette analyse pour discuter du résultat. S'il y a une franche différence, il faudra effectuer un CT-Scan avec schéma lyonnais qui sera fait à l'hôpital de l'Ile Berne en EOS avec moins de radiations. On est à risque d'être en face d'une faillite de l'ostéosynthèse avec une mal guérison du foyer fracturaire. Pour cette raison, je prolonge l'arrêt de travail pour le patient. On va refaire le point le 2.5.2019. On est en face d'une bonne évolution. Pas de mesure particulière de ma part. Je n'ai pas prévu de rendez-vous chez moi. Le patient me recontactera en cas de mauvaise évolution d'ici 6 semaines. On explique à Mme. Y que le traitement de cet hallux valgus passe par une prise en charge chirurgicale. Pour le moment, il s'agit d'un hallux valgus simple, sans métatarsalgie de transfert ou de déformation en griffe d'orteil. La patiente souhaiterait se faire opérer fin juin 2019. On remplit donc le formulaire de consentement éclairé avec elle en commençant par le côté G pour une cure d'hallux valgus selon Scarf et Akin. On fait le consentement, ce jour, pour ablation de la vis syndesmotique qui est prévue pour le 16.04.2019 en ambulatoire. Poursuite de la physiothérapie. Le consentement est signé. On interprète les céphalées du patient comme étant une crise de migraine. Nous lui prescrivons 1g de Novalgin aux urgences. On ne peut pas parler d'une pseudarthrose car il y a une évolution radiologique dans le courant des derniers mois. La stabilité mécanique est toujours présente en l'absence de descellement et l'évolution clinique est favorable. Je propose de poursuivre avec une attitude expectative. Je discute assez longuement avec Mme. Y de la situation. Elle est consciente qu'on ne peut pas garantir que la fracture guérisse mais qu'il y a des signes clairs en cette faveur. Aussi, elle se présentera à son prochain contrôle chez le Dr. X pour discuter de la prise en charge chirurgicale au niveau du pied. On note une aggravation de la symptomatologie en dépit de l'éviction des activités à risques. Compte tenu de l'étiologie, on évoque avec la patiente les possibilités de traitement chirurgical qui s'offrent à nous, à savoir réorientation du cotyle par PAO versus luxation chirurgicale. On explique à la patiente et à sa maman que les résultats à long terme sont meilleurs au-delà de 7 ans avec la PAO qu'avec la luxation chirurgicale. On explique déjà la procédure, de même que les suites et la rééducation. Dans un premier temps, il s'agit de compléter le bilan par CT-scanner afin de mesurer précisément la rétroversion cotyloïdienne des deux côtés, ainsi que l'antétorsion fémorale. De plus, on organise une arthro-IRM pour juger de la progression des lésions par rapport à l'imagerie effectuée au mois de février. Nous reverrons la patiente après ces examens pour, le cas échéant, organiser l'intervention d'abord du côté gauche si la patiente est demandeuse. On note une bonne évolution à 6 semaines. Ablation de l'attelle ces jours. Mobilisation libre hors attelle à partir de maintenant. Reprise d'une charge graduellement à partir de 1 à 2 semaines. Reprise du travail à 50% à partir du 06.05.2019 et contrôle radioclinique à 6 semaines chez nous. On note une bonne évolution avec la physiothérapie qu'elle reçoit chez nous. Je suis tout à fait d'accord avec la patiente, et aussi suite à la discussion avec son physiothérapeute, de continuer la physiothérapie pour améliorer la mobilité et la force. En ce qui concerne la douleur, j'ai proposé à Mme. Y de changer le Co-Dafalgan pour du Dafalgan simple. La patiente par contre dit que ceci n'est pas efficace et aimerait garder le Co-Dafalgan pour le moment comme traitement antalgique. Je propose au médecin traitant, le Dr. X, de bien vouloir adapter le traitement pour pouvoir éviter les effets de la composante opiacée. Prochain rendez-vous à ma consultation dans 2 mois pour une réévaluation clinique le 12.6.2019. On note une bonne évolution du patient à 3 mois de l'intervention. Concernant les douleurs au niveau du poignet, le patient indique qu'elles régressent et que pour l'instant il ne veut pas d'autre traitement pour ces douleurs. Il nous recontactera si besoin. On note une bonne évolution du traitement conservateur sans déplacement secondaire. Poursuite de l'immobilisation dans le brace pendant les deux prochaines semaines. Prochain contrôle radioclinique dans 2 semaines avec probable ablation de l'attelle et début de mobilisation en ergothérapie. On note une bonne évolution. La patiente est satisfaite du traitement. Fin de traitement. Elle nous rappellera en cas de besoin. On note une évolution favorable sous traitement conservateur. À nouveau, on insiste auprès du patient sur la nécessité de maintenir le protocole d'immobilisation pour au moins 8 semaines, 24/24 en tout. Nous reverrons le patient après 8 semaines d'immobilisation pour un contrôle clinique. À ce moment-là, on pourra retirer définitivement l'attelle en huit au niveau de l'interphalangienne proximale et on rediscutera avec le patient, selon l'évolution clinique, de l'indication de maintenir l'attelle de Stack pour l'interphalangienne distale durant encore 8 semaines mais seulement pour la nuit. On note une évolution très favorable avec une bonne amélioration de l'amplitude articulaire et une marche sans boiterie. En revanche, il persiste une amyotrophie du quadriceps pour laquelle nous encourageons la patiente à poursuivre ses efforts en physiothérapie et à domicile. Prochain contrôle clinique mi-juillet. On note une excellente évolution à une année de l'intervention. On décide avec le patient de faire encore 9 séances de physiothérapie qui l'ont encore bien aidé jusqu'à présent et après l'arrêt du traitement. Fin de traitement chez nous mais on reste à disposition. On note une excellente évolution à 2 mois et demi de l'intervention. La patiente a repris le travail déjà à 100%. Elle va poursuivre les exercices de mouvements pour elle-même et commencer un renforcement de la main. Pour des mouvements forcés surtout lors de son loisir la grimpe, nous lui conseillons d'attendre que 6 mois s'écoulent depuis l'intervention. Fin de traitement à notre consultation. Nous restons à disposition en cas de besoin. On note une excellente évolution à 6 semaines de l'intervention. Le patient va poursuivre la physiothérapie avec une mobilisation sans limite. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique et pour commencer un renforcement musculaire. Arrêt de travail encore jusqu'à dimanche. Reprise du travail le 08.04.2019 à 100%. On note une légère amélioration de la situation de Mme. Y. Elle va poursuivre l'ergothérapie et rajouter une physiothérapie pour mobilisation du poignet. De plus, concernant les douleurs dans la région du nerf cubital avec irradiation dans les 4ème et 5ème doigts, on aimerait une consultation chez le médecin des douleurs pour traiter localement ces douleurs avec des infiltrations. Ces douleurs pourraient être dues à une gêne après mise en place du garrot pendant l'intervention. Une diminution de ces douleurs pourrait contribuer à une amélioration de la situation des douleurs complexes de la patiente. Prochain contrôle clinique dans 2 mois.On note une progression de la coxarthrose précédemment connue, ce qui est corrélé avec la progression des symptômes. On discute avec la patiente de l'indication relative à une arthroplastie totale de la hanche droite. La patiente est déjà avertie des risques plus importants chez elle (infection, thromboembolie, luxation). Dans un premier temps, on propose d'optimiser la situation sur le plan du syndrome métabolique, surtout afin d'optimiser la survie d'une éventuelle prothèse. La patiente va voir son endocrinologue Dr. X cet après-midi. De plus, elle souhaite une prise en charge spécialisée en ce qui concerne la médication pour la douleur, raison pour laquelle nous demandons à nos collègues du service d'anesthésiologie spécialisé dans la prise en charge de la douleur de convoquer la patiente à cet effet. En ce qui concerne sa hanche droite, la patiente va nous recontacter pour un nouveau contrôle. On note une pseudarthrose de l'os hamatum du poignet G chez ce jeune patient travailleur manuel. Une indication opératoire a été posée. On lui explique l'intervention qui consiste en une cure de pseudarthrose, mise en place d'une greffe de la crête iliaque ipsilatérale et refixation avec une plaque et des vis. Le patient est d'accord avec le procédé et a été informé des risques et bénéfices. Il signe le consentement. L'intervention est agendée pour le 04.04.2019. On note une très bonne évolution chez ce patient qui a subi une entorse de cheville bénigne. Le patient est autorisé à reprendre le travail à partir de lundi 8 avril 2019. Nous l'encourageons toutefois à porter l'attelle Vaco Ankle pour les 2 prochaines semaines. Pas de contrôle nécessaire, mais nous restons à disposition si besoin. On note une très bonne évolution. Poursuite de la physiothérapie et prochain contrôle clinique dans 6 semaines. La patiente reprendra son travail à 100% à partir du 29.04.19. On observe clairement un progrès d'amplitude comparé au statut précédent. Poursuite de la physiothérapie de mobilisation. Une nouvelle infiltration est programmée pour le 26.4.2019. Un contrôle est d'ores et déjà prévu pour le 27.5.19 afin d'en évaluer les résultats. On organise du Biodex et des séances de physiothérapie. On discutera des résultats du Biodex et on le reverra en août 2019. On organise une intervention pour une PTH à droite. Elle pourrait être effectuée par une voie d'abord antérieure avec un implant de Depuy Synthes Corail Pinacle. Nous expliquons au patient le déroulement de l'intervention ainsi que les risques et bénéfices, ce qu'il accepte en signant le consentement éclairé. On va faire une radiographie de long axe pour avoir une appréciation d'une différence éventuelle de la longueur des jambes. Mr. Y souhaite l'opération le plus vite possible. On organise un US pour mieux visualiser le granulome. Nous pré-réservons le 16.04.2019 pour faire une excision de ce granulome. On pose SU en continu avec uroflac et on laisse rentrer le patient. On donne rendez-vous pour US à 9h le 07.04 et contrôle à la FUA. On poursuit avec la physiothérapie pour renforcer le reste des abducteurs. Prochain contrôle à 1 année postopératoire, soit en décembre 2019. On poursuit le traitement conservateur avec physiothérapie. Le patient doit essayer d'améliorer la mobilisation. Nous le reverrons dans 1 mois pour décider d'un éventuel traitement opératoire. Au vu de l'âge et du taux d'activité du patient, à notre avis il devrait profiter d'une intervention chirurgicale. On pratique ce jour une ponction de la plaie avec évacuation d'un liquide cristallin, sans sang, caillot ni signe suspect d'un sérome sous-cutané ou infection. Nous envoyons ce prélèvement pour bactériologie malgré l'aspect macroscopique parlant pour du LCR et les images de l'IRM semblant confirmer cette hypothèse. Nous décidons donc d'hospitaliser la patiente à l'HFR Fribourg pour reprise chirurgicale avec inspection de la plaie, identification et suture de la brèche durale. On prescrit de la physiothérapie. On prescrit des semelles orthopédiques avec soutien de la voûte et coin supinateur. Le contrôle radio-clinique avec RX en charge des 2 pieds se fera dans 1 an. Nous expliquons au patient qu'il doit impérativement porter le plus possible les semelles. On prévoit donc de commencer par le côté droit. Nous procéderons donc à une correction de l'offset fémoral par luxation chirurgicale, l'asphéricité de la tête s'étendant vers postérieur et étant en contact avec les vaisseaux rétinaculaires. Selon les souhaits du patient, nous programmons l'opération pour l'automne prochain. Le formulaire de consentement éclairé a été rempli et signé. On prévoit une reprise du travail à 50% au 1er mai. Prochain contrôle dans 1 mois pour évaluer la possibilité d'augmenter encore la capacité de travail. On procède au débridement des rebords de la nécrose après application de Prontosan avec une pincette et une curette. On refait les pansements après application de Prontosan gel. Le patient va continuer avec ce régime tous les 2 jours à domicile et il reçoit une ordonnance pour le matériel à cet effet. L'arrêt de travail à 100% est prolongé d'une durée de 1 mois jusqu'au prochain contrôle qui est prévu à la fin du mois de mai. On procède ce jour à une infiltration sous-acromiale avec Depo Medrol et Ropivacaïne sous condition stérile et contrôle scopique. Bon effet immédiat sur les douleurs, peu sur la fonction. Physiothérapie, anti-inflammatoires et contrôle dans 6-8 semaines. On propose à la patiente de continuer avec la physiothérapie de renforcement musculaire ddc et on refixe un nouveau contrôle radio-clinique dans 6 mois. Nous pourrons rediscuter d'une possible AMO à ce moment-là. On refait la botte plâtrée fermée qu'elle doit porter encore 4 semaines pour une immobilisation totale de 5 semaines. Prochain contrôle radioclinique hors plâtre dans 4 semaines. On retient à l'indication d'un débridement, rinçage, prélèvement au niveau de la gaine des fléchisseurs du 5ème rayon de la main droite. Formulaire d'informations de consentement chirurgical signé, après avoir reçu les informations concernant ce geste. Hospitalisation pour suite de prise en charge. On retient une indication à une intervention chirurgicale avec ostéosynthèse et stabilisation provisoire par broches au niveau de P3 avec une reconstruction du lit unguéal et un repositionnement de la tablette unguéale. Les risques et bénéfices de l'intervention sont expliqués et le consentement éclairé est signé. L'intervention se fera en ambulatoire ainsi que le suivi orthopédique. On retrouve une patiente afébrile et stable hémodynamiquement sans plaintes nouvelles. Au bilan biologique, nous notons une CRP dans la norme à 5mg/L sans leucocytose. Le bilan biologique est aligné. La rougeur est en régression subjectivement et anamnestiquement. Nous proposons à la patiente une surveillance clinique. Elle est informée des signes infectieux à surveiller. Un suivi est déjà prévu chez son médecin traitant. La patiente est libre de rentrer à domicile. On stoppe la physiothérapie. L'évolution est favorable. À voir l'évolution dans le port des souliers orthopédiques. Nous ne prévoyons pas de le revoir systématiquement mais nous restons à disposition au besoin. On traite les fractures mentionnées ci-dessus par plâtre brachio-antébrachial. Au niveau du coude, la radiographie ne montre pas de signe de fracture du condyle latéral. Nous mettons un bandage Mayo en place. Le patient sera suivi à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine.On trouve qu'il y a toujours un potentiel de récupération par traitement conservateur. En effet, elle n'a pas encore effectué de manière intensive les exercices qui peuvent aider. On lui montre, ce jour, des exercices à faire à la maison. On prescrit des séances de physiothérapie. On prévoit la prochaine consultation en juillet. On va organiser une arthro-IRM et un CT-scanner impingement 3D pour évaluation des lésions du cartilage et du labrum, et de la torsion fémorale. Avec cette dysplasie, je recommande une ostéotomie péri-acétabulaire pour ralentir le processus de dégénérescence de la hanche. Si la torsion fémorale est excessive, une dérotation simultanée doit être envisagée. Nous reverrons la patiente après les examens. On voit une bonne amélioration de la situation de la hanche D, qui montre à présent des angles normaux et une bonne forme osseuse mais avec un acétabulaire assez court en comparaison au côté opposé. Poursuite du traitement conservateur avec l'attelle Lorach. Prochain contrôle avec US est prévu dans 6 semaines, à savoir le 5 juin. Ondansetron 1 mg per os avec stop vomissements Traitement symptomatique Signes de gravité rappelés. Ondansetron i.v. Avis médecine interne Pose d'une sonde nasogastrique avec Isosource 500 mg 1x/12h A prévoir gastroscopie si pas d'amélioration Substitution Mg et phosphate per os. Ondansetron 0,15 mg/kg Ondansetron 0,15 mg/kg x 1 PO Normolytoral en réserve Antalgiques en réserve. Ondansetron 0.15 mg/kg en ordre unique. Ongle incarné de l'hallux D débutant le 17.04. Ongle incarné du gros orteil gauche. Ongle incarné du pouce gauche. Status post arrachement de l'ongle en novembre 2018. Ongle incarné du 1er orteil du pied gauche, côtés interne et externe. Ongle incarné, face latérale O1 pied D. Ongle incarné hallux G bord médial. Ongle incarné hallux pied D. Ongle incarné hallux pied G. Ongles incarnés des hallux des deux côtés. Ongles incarnés des 2 hallux, droit et gauche de stade 3 sans panaris. Ongles incarnés orteil I bilatérales avec panaris. Ongles incarnés sans signe de surinfection. Onycodystrophie post-traumatique associée à l'ongle incarné du rebord médial et latéral de l'hallux droit. OP à l'HFR Tavel le 23.04.2019. OP ca mammaire en 2013. OP cataracte avancée ddc. Uvéite. Fracture ouverte P3 D5 main D; le 31.08.2016. Exploration, suture du lit d'ongle, plastie de l'ongle et embrochage par 1 broche de Kirschner 1.0 D 5 main droite. OP le 31.08.2016. OP cataracte droite en 2016. OP cataracte droite en 2018. OP de l'épaule gauche le 05.02.2019, avec : • réinsertion du sus-épineux • acromioplastie • ténotomie et ténodèse du biceps. Status post cholécystectomie pour cholecystolithiase en 2008 • avec lésion iatrogène du cholédoque • suivi à l'Inselspital Bern • chez une patiente connue pour une lésion iatrogène du cholédoque avec des antécédents de cholangites récidivantes. • Gastroscopie avec EBUS supérieur en octobre 2018 (Inselspital Bern) : pas de cholestase intra hépatique significative, pas d'indication à une intervention. Fracture distale P3 D2 droite non déplacée le 21.08.2014. S/p cure de carcinome épidermoïde de la langue traité en 2007 par chirurgie et évidement ganglionnaire, actuellement calme. OP des ligaments pied G et D en 1997 Plaie par écrasement face radiale de Dig II G. Plaie par écrasement face radiale de Dig III G avec rupture de la bandelette radiale du ligament collatéral en regard de l'IPD (accident du 16.09.2018). Dig II G : révision de la plaie, lambeau cutané face radiale de P2. Dig III G : révision plaie, suture bandelette radiale du ligament collatéral en regard de l'IPD. OP le 16.09.2018. Antibiothérapie par Augmentin 1 g 2x/j jusqu'au 22.09.2018. OP hallux valgus ddc. TC le 10.03.2017. OS fracture clavicule G tiers moyen déplacée, plurifragmentaire le 10.03.2017. Sinusite aigüe le 27.06.2018. OP le 01.05.2019. OP le 03.04.2019 : • Ostéotomie fémorale de varisation type fermeture interne, correction 11°. • Fixation par plaque Tomofix fémorale distale interne. • Transposition de la TTA (5 mm) et fixation par 2 vis LCP en compression. • AMIC trochlée 4x4 cm. • Microfracture pôle distal de la rotule. • Excision ostéophytaire trochlée. • Libération externe. • Plastie de rétention rétinaculum interne. OP le 03.06.2019. OP le 04.04.2019. OP le 07.05.2019. OP le 08.04.2019. OP le 10.05.2019. OP le 11.04.2019. OP le 12.02.19. OP le 13.06.2019. OP le 15.04.2019. OP le 15.05.2019. OP le 16.04.2019. OP le 16.07.2019. OP le 17.05.2019. OP le 21.05.2019. OP le 23.04.2019. OP le 24.04.2019. OP le 25.03.2019. OP le 25.04.2019. OP le 25.06.2019. OP le 25.07.2019. OP le 26.04.2019. OP le 28.05.2019. OP le 29.04.2019. OP le 30.04.2019. OP ligaments croisés à D. OP testiculaire gauche suite à un trauma. Bronchite virale • dans un contexte de maladie de Crohn avec prise d'immunosuppression par Remicade (infliximab). • Investigations - Rx thoracique. • Laboratoire du 26.12.18. Attitude - Co-amoxicilline 1g 2x/j p.o pendant 7 jours. Conseils d'usage. Ad consult et contrôle chez MT si péjoration. OP testiculaire gauche suite à un traumatisme. Bronchite virale • dans un contexte de maladie de Crohn avec prise d'immunosuppression par Remicade (infliximab). Investigations : Rx thoracique, laboratoire du 26.12.18. Attitude : Co-amoxicilline 1g 2x/j p.o pendant 7 jours. Conseils d'usage. Ad consultation et contrôle chez médecin traitant si péjoration. OP végétations/amygdales. OP strabisme. Opacité en base pulmonaire droite d'origine indéterminée : • Diagnostic différentiel : insuffisance diaphragmatique avec une herniation partielle du foie et de l'estomac (visualisé au CT thoraco-abdominal 2017). Opacité radiologique basale droite le 08.04.2019 • radiographie thoracique du 08.04.2019 : opacité basale à droite, pouvant être compatible avec un foyer infectieux. Opération abdominale X à l'âge de 6 ans (APP ?). Opération avec réduction ouverte à l'Ile à Berne. Opération cataracte bilatérale en 2011. Angioplastie de l'artère iliaque droite. Cancer du sein il y a 20 ans. Erysipèle du membre inférieur gauche sur eczéma chronique en 2012. Décompensation cardiaque légère d'une cardiopathie ischémique avec angor stable en 2012.Opération cataracte bilatérale Ulcère malléole médiale droite d'origine mixte veineuse et artérielle Operation cheville droite en 2005 pour rupture LLE. Contusion malléole interne droite. Opération clavicule droite Opération doigt droit Polytraumatisme suite à une chute de 5 mètres sur le côté gauche le 15.07.2014 avec : • pneumothorax gauche • contusion pulmonaire gauche • emphysème sous-cutané gauche • minime pneumothorax droit apical Fracture clavicule gauche disloquée le 15.07.2014 Réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque LCP 8 trous (opération le 22.07.2014) Multiples fractures costales en série le 15.07.2014 Fracture costale 1 à 10 gauches (1,2,3,5,6,7 : double fracture) Fracture costale 1ère côte droite Fracture du manubrium sternal droite non déplacée le 15.07.2014 Rhabdomyolyse avec CK 5644 U/l le 16.07.2014 Décompensation respiratoire le 03.08.2018 chez Mr. Y connu pour probable ACOS (Asthma-COPD Overlap Syndrome) Embolie pulmonaire segmentaire ddc le 27.03.2018 Insuffisance respiratoire hypoxémique sur probable asthme décompensé le 11.04.2018 avec : • Peak-flow à 25% du prédit (120 ml/min) • chez Mr. Y récemment hospitalisé pour des embolies pulmonaires segmentaires bilatérales le 27.03.2018, sous Xarelto DD : Aspergillose bronchopulmonaire allergique Opération de hanches en 2007/2008 Prothèse totale de genou droit pour gonarthrose et Genu valgum le 18.10.2010 Broncho-pneumonie droite (2010) Insuffisance respiratoire aiguë sur pneumonie bibasale à pneumocoque le 19.12.2018 Troubles électrolytiques (hyponatrémie, hypochlorémie) 2010 Hyponatrémie vraie à 113 mmol/l sur SIADH dans le contexte de pneumonie le 19.12.2018 Hyperkaliémie à 5.1 mmol/L le 26.12.2018 Protéinurie (1.32 g/l) et glycosurie le 19.12.2018 • DD : néphropathie diabétique méconnue, néphroangiosclérose Opération de kystes des cordes vocales. Drainage d'un abcès dentaire de la dent 22 et phlegmon facial gauche en 2014. Ancienne consommation d'alcool à risque, stoppée en septembre 2015. Tentamen le 01.05.2016 avec : • coups de couteau auto-administrés dans l'abdomen le 01.05.2016. • deux plaies profondes d'environ 1cm de long sur 2cm de profondeur au niveau para-ombilical gauche. Opération de la cataracte. Opération de la cataracte en 2011 Diplopie opérée en 1994 Décompensation hyperglycémique du diabète de type II en 1997 • Polyneuropathie et néphropathie diabétiques Insuffisance rénale, DD chronique sur diabète de type II, aigu sur décompensation diabétique • US urogénital : atrophie bilatérale du parenchyme rénal. Reste de l'US du bas ventre sans particularité. AIT anamnestique : • Amnésie globale transitoire, selon le dossier Opération de la cataracte oeil droit le 06.11.2018 et oeil gauche le 11.12.2018 NSTEMI sur maladie tritronculaire avec la pose de 3 stents actifs le 04.04.2018 Nécrose surinfectée du 4ème orteil droit Arthrite avec fistulisation à la peau de l'inter-phalangienne proximale du 4ème orteil gauche Ostéite sternale de l'articulation sterno-claviculaire gauche à E. coli et E. faecalis le 11.03.2019 • ostéite post-pontage aorto-coronarien avec probable infection du matériel de cerclage Hépatite à prédominance cholestatique d'origine toxico-médicamenteuse (Céfuroxime) le 08.02.2019 • antibioprophylaxie peropératoire de céfuroxime lors du PAC à Berne Anémie normocytaire hypochrome avec Hb à 84 g/L le 14.03.2019 Hémorragie du cuir chevelu post-traumatique le 29.03.2019 ECA d'origine indéterminée dès le 01.04.2019, avec : • Hallucinations visuelles, agitation, désinhibition DD : Toxicité sur Ertapenem, Keppra, désafférentation Insuffisance respiratoire hypoxémique le 08.04.2019 : • sur pneumonie à éosinophiles sous Cubicine (fin de traitement le 08.04.2019) Syncope orthostatique convulsivante d'environ 30 secondes le 28.03.2019 DD : trouble du rythme, épilepsie Crise convulsive d'allure tonico-clonique généralisée, provoquée (Contexte infectieux, Invanz, Atarax, probable leucoencéphalopathie vasculaire sous-jacente) le 21.03.2019, avec : • Morsure de langue, phase post-critique IRA sur IRC dans contexte de néphropathie diabétique avec GFR CKD-EPI à 49ml/min le 14.03.2019 (Cockcroft 56ml/min) Hypertension artérielle décompensée le 13.03.2019 • Sous Lisinopril 10 mg/j et Torasemide 5 mg/j Opération de la cataracte oeil droit le 06.11.2018 et oeil gauche le 11.12.2018. Triple pontage aortocoronarien le 21.12.2018, à Berne. NSTEMI sur maladie tritronculaire avec la pose de 3 stents actifs le 04.04.2018. Nécrose surinfectée du 4ème orteil droit Arthrite avec fistulisation à la peau de l'inter-phalangienne proximale du 4ème orteil gauche. Opération de la cataracte oeil droit le 06.11.2018 et oeil gauche le 11.12.2018. Triple pontage aortocoronarien le 26.12.2018. NSTEMI sur maladie tritronculaire avec la pose de 3 stents actifs le 04.04.2018. Nécrose surinfectée du 4ème orteil droit Arthrite avec fistulisation à la peau de l'inter-phalangienne proximale du 4ème orteil gauche. Opération de la cataracte Appendicetomie Opération de l'épaule droite suite à un accident de la voie publique. Subocclusion de l'artère iliaque commune droite sur probable thrombus avec embolé périphérique dans l'artère tibiale antérieure droite. Thrombectomie de l'artère iliaque commune à droite et lyse intra-artérielle en périphérie (250 000 U de Urokinase) sur abord inguinal droit (opération le 22.04.2013). Angioplastie et mise en place d'un stent au départ de l'artère iliaque commune droite. Opération de l'hallux valgus du pied droit. Opération de Ross en 2006. Remplacement percutané de la valve pulmonaire en 2012. Opération d'endométriose à l'âge de 30 ans. Opération du genou gauche pour rupture du ligament inconnu dans l'enfance. Opération du ménisque gauche en 2015. Opération du poignet droit pour fracture dans l'enfance Amygdalectomie dans l'enfance Probable crise de goutte de l'articulation MTP1 droite le 02.08.2017 Etat confusionnel aigu le 03.08.2017 : DD : syndrome de sevrage débutant, désafférentation et status post-opératoire • MMS 28/30 en juin 2017 Anémie normocytaire normochrome post-opératoire le 03.08.2017 Opération du poignet gauche suite à accident de voiture en 2008 Opération des deux hanches (1999/2001/2003) Tonsillectomie dans l'enfance Opération du poignet gauche. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 23.03.2016. DD : d'origine pariétale, angor stable.Douleur latéro-thoracique droite pariétale. Opération du 09.04.2019 par le Dr. X Oeil droit: extraction extra-capsulaire de la cataracte par phako-émulsification et mise en place d'une lentille pliable de chambre postérieure de type NIDEK SZ-1 de 19.5 dioptries (myopie espérée de -0.48) Oeil gauche: cyclocryocoagulation Opération d'un pied pour un os surnuméraire en 2011. Contusion de l'épaule droite le 28.07.2016. Traumatisme dorso-scapulaire. Opération d'une hernie discale L5-S1 droit en 1987. Lésion partielle du sus-épineux avec subluxation du long-chef du biceps et contusion épaule droite en avril 2017 avec aggravation du conflit sous-acromial et infiltration de l'épaule droit le 25.09.2017. Fracture talon ddc à l'âge de 6 ans. Opération élective Opération élective déjà prévue pour le 15.04.2019 chez le Dr. X, chirurgien. Opération fracture de la clavicule gauche NSTEMI antérieur subaigu sur thrombus de l'IVA proximale le 27.09.2014 avec : • probable érosion endothéliale liée à l'effort • hypokinésie minime de la paroi latéro-apicale, de la paroi latérale moyenne, de la paroi antéro-apicale, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne. FEVG à 55 % (évaluation visuelle) Echocardiographie transoesophagienne avec test aux microbulles Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine prérénale sur déshydratation Opération genou gauche 3x; dernière en 2005 Opération épaule droite en 2010 Césarienne en 2004 et 2002 Hystérectomie 2012 Opération hallux valgus des deux côtés. Traumatisme crânien le 10.03.2017. Ostéosynthèse, fracture clavicule gauche tiers moyen, déplacée, plurifragmentaire le 10.03.2017. Sinusite aigüe le 27.06.2018. Opération hernie inguinale. Pneumonie traitée par antibiotiques il y a 1 mois. Maladie coronarienne avec lésions tri-tronculaires, avec: • Sténose 70% de l'IVA : PCI (1DES) : Bon. • Sténose 50-70% de l'artère circonflexe moyenne et de l'ostium de la première marginale : PCI (1DES) : Bon. • Fraction d'éjection préservée, 55%, hypokinésie inféro basale. Opération le jour même, le 24.04.2019. Opération le 01.05.2019 Opération le 06.06.2019 Opération le 07.03.2019 Opération le 08.05.2019 Opération le 10 juillet 2019. Opération le 14.05.2019 Opération le 19.02.2019. Opération le 23.04.2019. Opération le 25.04.2019 Opération le 25.06.2019 Opération le 26.06.2019 Opération le 27.06.2019 Opération ligaments croisés à droite Opération pour cataracte bilatérale Cure de hernie ombilicale incarcérée selon Rives le 27.06.2018 Cure de hernie ombilicale en 2003 en Irak Fracture plateau tibial du genou gauche Schatzker III (le 18.01.2019) avec réduction ouverte et ostéosynthèse du plateau tibial externe à gauche avec comblement du defect sous-chondral par ciment Palacos (OP le 03.02.2019) Hépatite A le 28.04.2016 Opération pour strabisme dans l'enfance Amygdalectomie Nodules pulmonaires suspects au scanner thoraco-abdominal en 2012, sans autres lésions Traumatisme de l'épaule droite Cure d'hernie hiatale par laparotomie avec filet Ultrapro le 21.05.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN I Opération prévue le 04.06.2019. Opération prévue le 07.05.2019. Opération prévue le 09.04.2019. Opération prévue le 16.04.2019. Opération prévue le 17.05.2019 Opération prévue le 18.06.2019. Opération prévue le 26.04.2019. Opération prévue le 30.04.2019. Opération strabisme Opération pour oreilles décollées Maladie de Lyme Hypoesthésie face antérieure de la cuisse gauche depuis le 22/01/2016 après une chute sur les fesses Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 11.08.2018 Douleur thoracique d'origine musculo-squelettique Opérations de hernies discales lombaires Ostéosynthèse du genou D Appendicectomie Extrasystole nodale à l'ECG le 05.11.2018 lors du test d'effort Opérations des genoux des deux côtés suite à un accident de ski en 1981. Dermo-hypodermite du membre inférieur gauche sur mycose interdigitale en 2011. Traumatisme crânien le 10.09.2014 avec plaie superficielle temporale gauche. Probable candidose cutanée. Opératoires: Appendicectomie à l'âge de 10 ans. Obstétricaux: 2011 Accouchement par voie basse à terme d'un bébé de 3110gr. Opératoires: Status post-appendicectomie en 2011 Status post-pose de prothèses mammaires et liposuccion le 05.12.2018 Obstétricaux: Status post-accouchement par voie basse 2010 et 2013 Gynécologiques: 2006 2x fausse couche spontanée 2007 interruption volontaire de grossesse curetage 2018 fausse couche spontanée Médicaux: Lombalgie gauche sans déficit moteur avec hyperesthésie L4-S1 Hémisyndrome à gauche sensitivo-moteur d'origine fonctionnel vs psychogène OPG: pas de fracture de dents ou de la mâchoire visualisée Antalgie Evaluer consultation dentaire/ORL car détachement d'un fil dentaire métallique Oppression thoracique : • Diagnostic différentiel : sur angoisse Etat anxio-dépressif Oppression thoracique depuis 10 jours Oppression thoracique d'origine indéterminée le 09.04.2019 • sans argument pour syndrome coronarien aigu, dissection ou embolie pulmonaire. Oppression thoracique non spécifique. Optiderm, Atarax en réserve Optiflow le 18.04.2019 ETT 15.04.2019 Bilan négatif Optimisation volémie et arrêt des néphrotoxiques Optimisation volémique Diurétiques Orchido-épididymite le 20.04.2019 Orchiépididymite symptomatique avec prostatite et cystite associées. Orchite gauche le 13.04.2019. Ordonnance. Ordonnance pour insuline Lantus. Administrations des 6 Ui du soir. Oreille gauche bouchée. Oreilles bouchées. Organisation d'une consultation cardiologique en ambulatoire (organisée par le médecin traitant). Suite de prise en charge par le médecin traitant. Organisation pour placement en Home Organiser oxygénothérapie à domicile Organiser un bilan Organiser un bilan neuropsychologique à distance Orgelet oeil droit. Orgelet/Chalazion ORIF par DHS le 24.01.2019 sur fracture pertrochantérienne à D. ORL pour nasofibroscopie le 05.04.19 Orteil en griffe symptomatique 2ème, 3ème et début d'orteil en griffe au 4ème orteil du pied D. Orthopantomogramme : pas de fracture mandibulaire. Rendez-vous aux ambulatoires des urgences le 06.04.2019 pour un constat de coup. Orthoradiogramme colonne totale face/profil avec bending latéral du jour (PACS): Scoliose sinistro-convexe lombaire avec contre-courbe thoracale d'environ 5°. Déséquilibre sagittal manifesté par une SVA négative avec lordose lombaire préservée à 63°. Minime asymétrie du bassin d'environ 4mm en défaveur de la G. Mobilité préservée avec plus d'ouverture des segments lombaires lors de la flexion vers la D. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Léger balancement antérieur sur les clichés de profil. Scoliose dextro-convexe avec angle de Cobb à 20° au niveau lombaire. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): légère augmentation de l'hypercyphose dorsale et hyperlordose lombaire. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Pas de péjoration de l'angle de Cobb. Patiente balancée sur le plan antéro-postérieur.Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS) : Perte de la cyphose thoracique, avec compensation cervicale en hyperlordose. Lordose lombaire dans la norme. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS) : Scoliose juvénile dorso-lombaire avec angle de Cobb de 27° et compensation de contre-courbure lombaire. Tête bien alignée par rapport au bassin. Asymétrie du bassin d'environ 7 mm en défaveur de la G. Stade Risser 4. Sur les clichés de profil, perte de courbure dorsale et lombaire avec un dos plat. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du 06.03.2019 (Givision, Givisiez) : Scoliose thoraco-lombaire sinistro-convexe avec angle de Cobb de 10°. Stade de Risser pas encore débuté. Orthostatisme sur spoliation gynécologique, • sans anémie franche • avec hypoferritinémie à 17 µg/l en cours de substitution • gazométrie et ionogramme du jour sp • ECG normal OS humérus proximal G par plaque Philos et stabilisation du hinge antéro-médial avec une plaque Aptus 2.0, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps le 21.07.2017. Fracture tibia-péroné proximal G avec syndrome des loges le 22.01.2016. Fracture comminutive transverse rotule, genou G le 05.09.2015, traitée conservativement. TC simple avec plaie de 5 cm au niveau pariétal D le 04.03.2012. Choc hypovolémique sur déshydratation et hémorragie digestive haute le 29.04.2018. • Oesophagite toxique dans le contexte d'abus d'alcool. Os naviculaire accessoire pied G. Ossicule au détriment de la malléole interne cheville G. Entorse cheville D. Ossification hétérotopique Brooker 3 de la hanche droite le 17.04.2019. Ossification hétérotopique de la capsule antérieure du coude D • OP au CHUV en 2018 par arthroscopie et ablation d'un fragment osseux. Fracture clavicule D tiers moyen traitée conservativement en 2012. OST de flexion et déviation ulnaire, fixation radius distal G par plaque LCP 3,5 le 07.11.2005 sur consolidation vicieuse d'une fracture radius distal traitée conservativement à l'âge de 14 ans, avec arthrose radio-carpienne et instabilité. • cure tunnel carpien G le 07.11.2005. PTG D sur gonarthrose sévère en 2007 (Dr. X). PTG G le 25.04.2017 sur gonarthrose tri-compartimentale • OST de valgisation du tibia G en 1997. Cure de cataracte à l'œil D en 2016. Syndrome sacro-iliaque G. Ostéite de l'articulation sterno-claviculaire gauche à E. coli et E. faecalis le 11.03.2019 • Ostéite post-pontage aorto-coronarien avec probable infection du matériel de cerclage. Ostéite? du calcanéum gauche en 2013. Adénoïdectomie. S/p Drain tympanique. Ostéite sternale. Ostéite sternale de l'articulation sterno-claviculaire gauche à E. coli et E. faecalis le 11.3.2019 • Ostéite post-pontage aorto-coronarien avec probable infection du matériel de cerclage. Ostéitis pubica G. Ostéochondrite disséquante au niveau des articulations talo-naviculaires bilatérales et au niveau du condyle fémoral médial bilatéral (opération du 02.2017 et le 06.2018 par Dr. X). Status post ostéosynthèse par cou tibia expert à D pour fracture spiroïde du tibia et fracture proximale de la fibula à D le 18.02.2018. Ostéochondrite disséquante capitellum coude droit oligo-symptomatique et traumatisée. Ostéochondrome antéro-médial à la jonction tiers moyen/tiers distal du fémur D • Ablation ostéochondrome fémur D (OP le 09.01.2019). • Diagnostic anatomopathologique (ostéochondrome sessile). Ostéomyélite. Ostéomyélite. Ostéomyélite avec gangrène humide de l'hallux gauche le 02.04.2019 • IRM le 01.04 : Ostéomyélite Hallux. • Sous clindamycine 300 mg 3x/j depuis 3 semaines. Ostéomyélite chronique fémur gauche. Fracture pathologique fémur gauche (2 niveaux). Remaniement sclérotique et zone nécrotique fémur gauche. Status post-multiples ostéosynthèse par voie endo-médullaire et extra-médullaire fémur gauche. Ostéomyélite chronique tiers distal tibia D post ostéosynthèse et AMO complète dans les années 70, tiers distal du tibia. Status post mise à plat abcès jambe D (germe en cause Prevotella bivia, Staph dorée et Enterobacter aerogenes le 26.03.2019 (HFR de Riaz). Status post corticotomie et biopsie osseuse le 05.04.2019 (Enterobacter aerogenes). Status post mise en place pansement VAC le 10.04.2019 (HFR Riaz). Ostéomyélite débutante du pied droit sur plaie de décubitus, avec : Ostéomyélite des 1er et 2ème orteils pied G à Proteus mirabilis • Ulcère de décubitus au talon G. Ostéomyélite du tiers distal du tibia droit Cierny II avec une composante de dermohypodermite, à Enterobacter aerogenes et Staphylococcus aureus. Ostéomyélite en regard de P1 et P2 gros orteil G à Staph. aureus sur plaie nécrosante • sous co-amoxicilline 1 g 2x/jour p.o. depuis le 28.03.2019. • Germe en cause (08.04.2019) : Staph. aureus. Ostéonécrose condyle fémoral interne genou droit stade III selon Alback. Ostéonécrose en regard de la partie antéro-supérieure de la tête fémorale G. Ostéonécrose en regard de la partie antéro-supérieure de la tête fémorale G. • Hypermobilité syndrome (Beighton score élevé). Ostéonécrose tête fémorale G. Ostéopenie avec suspicion radiologique et clinique d'ostéoporose (PD le 08.04.2019). • CT Scan du bassin et colonne lombaire : aspect ostéopénique de la trame osseuse. Ostéoporose. Ostéoporose • densitométrie le 07.08.2017 : DXA T-score LWS L1-L4 : - 3.1, Schenkhals re - 2.0, Hüfte Total re : - 2.7 • 1 injection d'Aclasta 5 mg en août 2017. Ostéoporose avec fracture-tassement de D11 type A1 le 23.11.2015 avec : • substitution vitamino-calcique • sous Prolia. Cardiopathie valvulaire avec : • échocardiographie transthoracique en novembre 2017 (Dr. X) : • sténose aortique dégénérative modérée • insuffisance tricuspidienne légère à modérée • dimensions et fonction systolique longitudinale du ventricule droit normales. • échocardiographie du 17.09.2018 par Dr. X. Hémorroïdes. Anémie avec composante ferriprive. Dénutrition protéino-énergétique. Ostéoporose diagnostiquée depuis Juin 2009 traitée par Bonviva®. Hypertension artérielle. Ostéoporose • DXA T-score 08/2017 : -3.1 LWS, -2.0 Schenkelhals rechts, -2.7 Hüfte rechts • moderater Vitamin D-Mangel 44 nmol/l (15.03.2019) • sous Calcium et Vitamin D substitution. Résidivierende depressive Störung und Zwangsstörung, Zwangsgedanken und -handlungen gemischt • sous Escitalopram 10 mg/j depuis 10.07.2017. Résidivierende psychosomatisch-bedingte Beschwerden comme douleurs de la cuisse gauche, douleurs thoraciques à droite, tinnitus, hyperventilation. B edema ethiologie mixte, sous Torasemid. Ostéoporose • DXA T-score 08/2017 : -3.1 LWS, -2.0 Schenkelhals rechts, -2.7 Hüfte rechts • moderater Vitamin D-Mangel 44 nmol/l (15.03.2019) • sous Calcium et Vitamin D substitution. Résidivierende depressive Störung und Zwangsstörung, Zwangsgedanken und -handlungen gemischt • sous Escitalopram 10 mg/j depuis 10.07.2017. Résidivierende psychosomatisch-bedingte Beschwerden comme douleurs de la cuisse gauche, douleurs thoraciques à droite, tinnitus, hyperventilation.Diskushernie L5/S1 Beinödeme gemischter Ätiologie, unter Torasemid Ostéoporose fracturaire Ostéoporose fracturaire : • Fracture du sacrum • Status après fracture L4 Ostéoporose fracturaire avec : • Anciens tassements vertébraux multiples : D6, D12, L3, L4 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, avec des chutes à répétition : • Facteurs de risque de chute : • Anémie • Hypotension orthostatique connue Anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 76g/l le 07.12.2018 Etat dépressif • Trittico 25mg dès le 20.12.2018 Ostéoporose fracturaire avec : • Anciens tassements vertébraux multiples D6, D12, L3, L4 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec des chutes à répétition Etat dépressif (Trittico dès le 20.12.2018) Ostéoporose fracturaire avec • Densitométrie : T-score colonne lombaire à -3,6 DS (avril 2016) • Antécédent de fractures : L2 (traumatique, à l'âge de 20 ans), D9 (atraumatique) • Traitement par Aclasta 5 mg iv. 1ère perfusion en décembre 2016, 2ème perfusion le 07.12.2017, Calcimagon D3 Forte 1 cp/j Syringomyélie thoracique Ostéoporose fracturaire avec : • Status post-cyphoplastie avec Spine Jack L4 le 08.03.2019 pour tassement récent du plateau supérieur de L4. Ostéoporose fracturaire avec carence sévère en vitamine D Ostéoporose fracturaire avec traitement par Bonviva iv le 21.09.2018 Possible polyneuropathie sensitive des membres inférieurs (investigué en 2016, Dr. X - neurologue): • ENMG montrant une polyneuropathie sensitive • Hypovitaminose B12 et le reste du bilan étiologique dans la norme. HTA traitée Ostéoporose fracturaire connue depuis l'âge de 50 ans en traitement par Bonviva IV Maladie de Crohn sous traitement par vedolizumab IV aux 8 semaines (Dr. X) : • CT du 27.01.2019 : épaississement segmentaire du côlon sigmoïde compatible avec la pathologie de base • Atteinte colique sténosante sigmoïdienne connue • RDV chez le gastroentérologue traitant le 20.02.2019 pour infusion Entyvio Ostéoporose manifeste • S/p fracture du fémur pertrochantérienne à droite (02.07.2014) Ostéoporose manifeste • Tassement D12 (05/2012) • Fracture radius distal gauche (2011) • Sous substitution calcique et vitamine D Ostéoporose (non traitée, pas d'informations supplémentaires trouvées). AVC ischémique de la corona radiata et de la partie supérieure de la capsule interne gauche le 07.01.2019. Hypertension artérielle traitée. Traumatisme crânien avec amnésie circonstancielle le 23.07.2018. Ostéoporose radicale, Ostéopénie lombaire et fémorale • 03/2011 Landronate i.v. • Depuis 07/2015 sous Denosumab, dernière dose le 01.06.2017 Spinalkanalstenose L3-L5 Lumbale Ischialgie gauche S1-S2 Unklares zystische Raumforderung im kleinen Becken • Zufallsbefund im CT Abdomen vom 17.05.2018 (Inselspital) Temporale Épilepsie • Jusqu'à 09/2016 sous Carbamazépine, depuis 09/2016 sous Keppra • 07.09.2016 possible crise épileptique : état de confusion transient avec fièvre d'étiologie indéterminée (DD nouvelle épisode d'une encéphalite sous immunosuppression, confusion i.R. de l'hyposmolaire Hyponatrémie (DD médicament), confusion en cas d'intolérance à Targin) Insomnie FDRCV : Hypercholestérolémie, Hypertension artérielle Asymptomatique pénétrant Aortenulkus directement proximal de l'AMI • Zufallsbefund im CT Abdomen vom 17.05.2018 Chronique- veineuse Insuffisance avec bds. Phlebectomie • Torasemid à 7,5 mg/jour augmenté le 15.06.2017 Thérapie de compression continue avec augmentation des œdèmes avec bandage des mollets Ostéoporose sous Calcimagon Etat dépressif Sclérose coronarienne diagnostiquée le 15.09.2015 : • Lésion non significative de l'ostium de la seconde marginale • Lésion non significative de l'artère circonflexe distale. • EF 55 % discrète hypokinésie diaphragmatique Ostéoporose traitée par Prolia et Calcimagon D3 Ostéoporose traitée Impingement syndrome épaule droite avec bursite sous-acromio-deltoïdienne et tendinite du sus- et sous-épineux, avec : • Ttt conservateur par physiothérapie • S/p infiltration Impingement syndrome de surcharge discret épaule gauche Tendomyose cervico-scapulaire Ostéoporose. Etat dépressif. Ostéoporose. Hyperlipidémie. Adipositas mit BMI entre 30 und 35 (Grad 1). Peripher-arterielle Verschlusskrankheit (PAVK) membres inférieurs • St.n. frustraner PTA-Versuch bei Verschluss A tibialis post gauche (04.11.14). Seborrhoische Dermatitis cuir chevelu et visage. Postherpetische Neuralgie Dermatom C2 depuis 05/2013 • Sous Gabapentin. Dyslipidémie • Sous Pravastatine. Dysrhythmique et hypertensive Cardiopathie • Fibrillation atriale (Holter 06/12), CHADS-Vasc 3 • Sous Marcoumar. Chronique gastro-œsophagée reflux maladie (GERD) • Statut après reflux œsophagite Grade IV avec ulcère 01/02 • Gastro-intestinale hémorragie 09.01.2018. Diabète de type 2, insuline-requérant (premier diagnostic 1980) • Néphropathie diabétique, rétinopathie proliférative avec plusieurs saignements du corps vitré à droite (Laser 1999), rétinopathie non-proliférative à gauche, polyneuropathie distale • Sous insuline Novorapid et Tresiba. Ostéoporose Prolaps vaginal Consommation d'alcool à risque HTA traitée Notion de fibrillation auriculaire intermittente : Chads vasc 4 et Hasbled 3 Bronchopneumopathie chronique obstructive non soignée, sur tabagisme actif Ostéoporose Prostatectomie en 2011 et radiothérapie en 2017 Ostéoporose Sténose aortique, traitée par Plavix jusqu'en janvier 2019 (?) Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Maladie de l'œsophage X Hernie hiatale Arrêt cardio-respiratoire réanimé à l'âge de 48 ans (?) Ostéoporose Sténose aortique, traitée par Plavix jusqu'en janvier 2019 (?) Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Maladie de l'œsophage X Hernie hiatale Arrêt cardio-respiratoire réanimé à l'âge de 48 ans (?) Ostéoporose. Sténose aortique, traitée par Plavix jusqu'en janvier 2019 (?). Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie traitée. Maladie de l'œsophage X. Hernie hiatale. Arrêt cardio-respiratoire réanimé à l'âge de 48 ans (?). Ostéosynthèse de côtes 6-9 à droite, système matrix rib le 25.04.2019 Ostéosynthèse par fixateur externe du poignet G 2012. Amygdalectomie dans l'enfance. Fracture tête radiale D Mason 3 04/2018. Fracture-Avulsion du Triquetrum droit. • Prise en charge au bloc opératoire le 29.04.2018 Fracture distale P3 D4 main gauche. Ostéosynthèse par plaque et vis malléole externe et cerclage malléole interne cheville D (OP le 12.04.2019) Ostéosynthèse pour fracture bimalléolaire cheville G, puis AMO en 1976. Opération ligamentaire externe cheville D 1988. Cure de syndrome de Morton pieds DDC 1988, 1989. Appendicectomie 1982. Hystérectomie totale et cystopexie 08.09.2017. Entorse de stade 1 cheville G. Douleurs abdominales hautes le 06.04.2019 avec : • Gastrite, hernie hiatale, colique biliaire. Ostéosynthèse pour fracture bimalléolaire cheville gauche, puis ablation du matériel d'ostéosynthèse en 1976. Opération ligamentaire externe cheville droite 1988. Cure de syndrome de Morton pieds des deux côtés 1988, 1989. Appendicectomie 1982. Hystérectomie totale et cystopexie 08.09.2017. Entorse de stade 1 cheville gauche. Ostéosynthèse pour fracture du poignet droit. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée : • DD : épigastralgies. Ostéotomie de valgisation avec séquelles de matériel d'ostéosynthèse retiré au niveau du compartiment interne du tibia proximal. St/p mise en place d'une prothèse unicompartimentale interne fémoro-tibiale genou gauche. (Dr. X à la clinique Générale.) Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie D après infection grippale avec cerumen obturans ddc, la semaine du 25.02.2019 Otalgie dans un contexte d'IVRS Otalgie droite. Otalgie, fièvre et écoulement oreille G Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche le 19.04.2019. Otalgie gauche le 20.04.2019. Otalgie sans otite visualisée DD douleurs référées d'une angine ? Otalgies. Otalgies bilatérales. Othématome à droite non compressif le 02.04.2019 Otite. Otite à répétition depuis 6 mois. otite bilatérale. Otite bilatérale au décours d'une IVRS Otite bilatérale avec perforation à gauche Otite bilatérale débutante. Otite bilatérale non compliquée Otite congestive droite. Otite dans contexte d'infection des voies respiratoires supérieures le 31.03.2019 Otite débutante gauche. Otite droite. Otite droite débutante. Otite externe à gauche. Otite externe à gauche le 28.04.2019. Otite externe aiguë chez patient porteur de drain tympanique, avec: • infection des voies respiratoires supérieures. Otite externe gauche et probablement moyenne le 19.04.2019. Otite externe non compliquée Otite gauche débutante. Otite média à droite. Otite média purulente perforée à droite. Otite média-congestive à droite. Otite moyenne. Otite moyenne à répétition. Otite moyenne à répétition avant l'opération Bronchite asthmatique, traitée par Ventolin. Otite moyenne aiguë. Otite moyenne aigüe. Otite moyenne aiguë avec effusion, avec: Otite moyenne aigue bilatérale. Otite moyenne aiguë bilatérale compliquée à droite. Otite moyenne aiguë bilatérale non compliquée. Otite moyenne aiguë bilatérale perforée dans le cadre d'une infection des voies respiratoires hautes. Otite moyenne aigue débutante à droite. Otite moyenne aiguë droite. Otite moyenne aiguë droite compliquée. Otite moyenne aigue droite dans contexte d'infection des voies aériennes supérieures. Otite moyenne aigue droite le 15.04.2019. Otite moyenne aiguë droite non compliquée. Otite moyenne aigue droite perforée. Otite moyenne aiguë gauche. Otite moyenne aiguë gauche. otite moyenne aigue gauche débutante. Otite moyenne aiguë gauche non compliquée. Otite moyenne aigüe le 28.02.2017. Antalgie simple. Contrôle chez le médecin traitant le 02.03.2017. Suspicion de bactériémie sur corps étranger intra-abdominal avec probable abcès hépatique réactionnel en régression. CT-Scan en externe le 11.03 : mise en évidence d'un stérilet dans le compartiment abdominal localisé en FIG tangentiellement à la paroi du sigmoïde, mis en place en novembre 2017. examen clinique : douleur en région épigastrique et en FIG, état fébrile à 39°C objectivé par la patiente la veille. laboratoire sanguin : CRP 25, leucos 6. hémocultures 2 paires : en cours. Antibiothérapie per os par ciproxine 500 mg 2x/j et flagyl 500 mg 3x/j pendant 7 jours. contrôle chez le gynécologue Dr. X dans le courant de la semaine pour discuter de la suite de la prise en charge. Otite moyenne aiguë non compliquée à gauche. Otite moyenne aigue perforée à gauche. Otite moyenne aiguë perforée droite. DD : otite externe. Otite moyenne aigue perforée gauche le 02.04.2019. Otite moyenne aiguë perforée. DD : atteinte du CAE. Otite moyenne aiguë persistance malgré traitement par Amoxicilline DD angine bactérienne, sinusite aiguë. Otite moyenne aigue séromuqueuse droite. Otite moyenne bilatérale. Otite moyenne bilatérale en guérison. évolution favorable. Otite moyenne débutant gauche le 04.04.2019. Otite moyenne débutante droite. Otite moyenne débutante gauche le 10.04.2019. Otite moyenne droite. Otite moyenne droite aigue le 04.04.2019. Otite moyenne droite aiguë non compliquée. Otite moyenne droite débutante. Otite moyenne droite non compliquée. Otite moyenne droite persistante sous traitement antibiotique DD bronchopneumonie débutante avec: • fièvre persistante à J4 d'Amoxicilline per os 1 gr 2x/j. • syndrome inflammatoire avec CRP à 80 mg/l. Otite moyenne externe à gauche. Otite moyenne gauche et droite avec perforation tympanique droite le 16.04.2019. Otite moyenne gauche le 08.04.2019. Otite moyenne oreille droite probablement perforée le 04.04.2019. Otite moyenne perforée à droite, non perforée à gauche. Otite moyenne perforée à gauche Otite moyennes à répétition Otite perforée droite Otite perforée gauche Otite séreuse droite au décours. Otite virale de l'oreille droite avec écoulement sanguin. Otites à répétition. Otites à répétition dans la petite enfance, dernière juillet 2018. Amygdalectomie partielle et s/p pose de drains à l'âge de 4 ans à l'anamnèse (parents). Otites à répétition, 3 drains posés Fente palatine : traité par chirurgie dans l'enfance Otites dans l'enfance. Otites et GEA Otites moyennes à répétition depuis septembre 2012 Otites moyennes récidivantes Sinon, BSH, pas de médication régulière, pas de traitement régulier. Otoplastie (non datée) Syncope avec prodrome le 24.04.2017 d'origine vaso-vagale, diagnostic différentiel : orthostatique > Electrocardiogramme 25.04.2017 : RSR, FC 80/min, QRS 120ms, PR 200ms, pas de sus ou sous décalage ST, bonne progression onde QRS (iso en V3), QTc 415ms Syndrome du canal carpien G Cure du canal carpien à G (OP le 01.03.2018) Otorragie. Otorragie dans le contexte d'une otite moyenne perforée. DD : rupture d'un hématome causé par l'utilisation des coton-tiges. Otoscopie. Antalgie. Consultation dans 48h si péjoration des symptômes. Otoscopie. Avis du Dr. X, ORL de garde : otite virale, antibiothérapie pour 5 jours car risque de surinfection. Amoxicilline 500 3x/jour pour 5 jours + AINS. Contrôle chez le Dr. X, ORL, à 15 jours pour nettoyage des caillots sanguins. Arrêt de travail. Otoscopie. Co-amoxicilline 1 g per os 2x/j jusqu'à la consultation en ORL. Consilium ORL demandé. Otoscopie. Consilium ORL demandé. Otospongiose chronique bilatérale Diabète de type 2 Maladie coronarienne bitronculaire avec : • occlusion aiguë de l'artère coronaire droite proximale et occlusion ancienne collatéralisée interventriculaire antérieure proximale • STEMI inféro-latéral sur occlusion de l'artère coronaire droite proximale le 21.08.2013, traité par désoblitération de l'artère coronaire droite proximale et mise en place d'un stent nu • hypokinésie inférieure et antéro-latérale • dysfonction systolique ventriculaire gauche modérée (fraction d'éjection du ventricule gauche à 42%) • ETT du 23.06.2014 : cardiopathie hypertensive avec hypokinésie minime de la paroi inférieure, FEVG à 50-55%, oreillette gauche légèrement dilatée. Trouble de la déglutition post-accident vasculaire cérébral État dépressif chronique Goître multinodulaire compressif Trachéotomie à demeure pour goître compressif dès le 26.06.2013 Otospongiose droite Otrivin natural lavage nasal, Triofan à continuer 2 jours Arrêt de travail du 03.04.2019-05.04.2019 OTRIVIN Natural Lavage nasal, TRIOFAN Rhume spray doseur adult/enf, BRUFEN cpr pell 600 mg, PANTOZOL cpr pell 20 mg Consulter chez ORL si persistance des symptômes Ouverture traumatique de la bourse olécrânienne du coude D en octobre 2011. Accident de travail avec symptomatologie au dos (physio, antalgie) en 2012. Entorse de la cheville G le 11.02.2013. Cervicalgies sur torticolis en 05.2014. Contracture musculaire paravertébrale, suite à un traumatisme par hyper-élongation le 05.10.2016, avec : • douleur à la palpation de l'insertion des muscles petit rhomboïde et supra-épineux sur l'omoplate G • douleur thoracique paravertébrale D10-12 D avec irradiation dans la fesse et le MID Douleur testiculaire d'origine traumatique 01/2019 Ovariectomie bilatérale en 2016. Hystérectomie en 1998. Traumatisme crânien mineur avec perte de connaissance brève. DD : vagal, orthostatique, trouble du rythme. Perte de connaissance avec tremblement atypique des 4 membres et révulsion des yeux d'origine indéterminée le 03.12.2018. DD : épilepsie. Oxazépam d'office et en réserve Oxybuprocaïne, vitamine A et pansement oculaire au tri. Oxybuprocaïne, vitamine A, pansement occlusif. Contrôle ophtalmologique le 27.04.2019 à 10h30. Oxycontin, oxynorm en R Opdivo 240mg le 01.04.2019 et le 16.04.2019, puis tous les 2 semaines CT abdominal le 20.02.2019 : masses hépatiques compatibles avec métastases, carcinose péritonéale Discussion de famille avec le mari 22.02.2019 Avis oncologie : ad CT thoracique IRM abdominale le 26.02.2019 CT thoracique le 26.02.2019 Biopsie d'un implant péritonéal sous US le 28.02.2019 (Dr. X) Sérologie échinococcose du 22.02.2019 : négative b2-microglobuline 2.7mg/l le 06.03.2019 Biopsie d'un implant péritonéal sous CT le 08.03.2019 (Dre. X/Dr. X) Avis oncologie le 08.03.2019 (Dre. X) : ad OGD et évaluation gynécologique, pas de scintigraphie ni écho-endo pour le moment Avis oncologie le 14.03.2019 (Dr. X) : ad PET-CT pour le moment pas d'autres examens, reporter OGD Consilium gynécologique le 14.03.2019 : examen gynécologique non fait vaginisme +++. Bilans à compléter par un PET scan, une IRM pelvienne, une mammographie et un US mammaire, compléter les marqueurs tumoraux de la femme CA15.3, Béta HCG et alpha foeto protéine. PET-CT le 14.03.2019 Consilium anesthésie le 18.03.2019 Avis oncologie le 18.03.2019 (Dre. X) : annulation OGD, ad biopsie hépatique pendant laparoscopie Laparoscopie pour résection implant péritonéal et biopsie hépatique le 20.03.2019 (Dr. X) : résection d'un nodule sous-hépatique, pas de biopsie hépatique, ablation des fils à J12, le 01.04.2019 Mise en place d'un filtre cave le 04.04.2019 Pose de PAC le 15.04.2019 Prévoir contrôle de pansement PAC le 24.04.2019 Prochaine cure Opdivo initialement prévue pour le 30.04.2019 Oxygène aux lunettes Physiothérapie respiratoire Oxygène en high-flow le 14.03.19 Ventilation non-invasive du 14.03 au 21.03.19 Voie veineuse centrale jugulaire interne droite du 14.03 au 22.03.19 Cathéter artériel radial droit du 14.03 au 21.03.19 Remplissage vasculaire Phénylephrine le 14.03.19 Noradrénaline du 14.03 au 16.03.19 Hydrocortisone du 15.03 au 17.03.19 Furosémide du 17.03 au 19.03.19 Ceftriaxone le 14.03.19 Méropénème du 14.03 au 19.03.19 Gentamycine le 15.03.19 Amphotéricine B du 13.03 au 18.03.19 Caspofungine du 15.03 au 17.03.19 Anidulafungin du 18.03 au 01.04.19 Flucytosine du 17.03 au 01.04.19 Urotube (13.03.19) : Candida krusei Hémocultures (14.03.19) : Candida krusei Urotube (29.03.19) : absence de Candida Krusei Echocardiographie transthoracique (13.03.19) : FeVG 60%; hypokinésie minime latéro-apicale Echocardiographie transthoracique (15.03.19) : FeVG 40%; hypokinésie globale minime Echocardiographie transthoracique (27.03.19) : FeVG 40%, stable Oxygène si saturation <90% Ventolin 4 push aux 4 heures Betnesol du 20-22.04 Laboratoire : pH 7.5, PCo2 3.9KPa, CRP 6, leuco 9, déviation gauche Radiographie du thorax : épaississement des hiles, petits épaississements pulmonaires G pouvant correspondre avec une image de pneumonie virale. Oxygénodépendance dans un contexte d'une bronchiolite à RSV + Oxygénothérapie à haut débit et VNI du 15.04.2019 au 16.04.2019 IOT et ventilation mécanique le 16.04.2019 Curarisation le 16.04.2019 Oxygénothérapie à 100% avec résolution de la symptomatologie. Sumatriptan 6 mg sc aux urgences. Ad Vérapamil 40 mg 3x/j et Sumatriptan nasal 10 mg en réserve. Consultation ambulatoire chez le neurologue pour discuter de l'adaptation du traitement. Oxygénothérapie aux lunettes 11.04.-21.04.2019 Highflow, avec un flux maximal à 12 litres et une FiO2 maximale à 40%, 21.04.-29.04.2019 Ventolin 3x/j dès le 21.04.2019, puis sevré progressivement Physiothérapie respiratoire 2x/j du 21.04 au 29.04.2019 Co-Amoxicilline per os 12.04.- 20.04.2019 Médecine anthroposophique • Oxygénothérapie aux lunettes • VNI dès le 12.04.2019 au 16.04.2019 • VNI nocturne au long cours dès le 15.04.2019 • Co-amoxicilline du 11.04 au 17.04.2019 • N-Acétyl-cystéine du 13.04 au 14.04.2019 • Oxygénothérapie du 01.04 au 04.04. • Suivi hydrique, rinçages nasales • Oxygénothérapie du 09.04 au 12.04 • Médecine anthroposophique • Radiographie thorax : épaississement bronchique et foyer débutant en base gauche • Labo chez la pédiatre : CRP négative et pas de leucocytose • Frottis RSV • Oxygénothérapie sevrée en hospitalier -> refaire un contrôle à distance auprès du pneumologue traitant. • Réévaluer la situation à domicile (majoration des soins, inscriptions préventives EMS). • Oxygénothérapie 15 L/min masque à haute concentration = amélioration des douleurs Laboratoire • Avis Neurologue = Indication à une hospitalisation avec introduction d'une corticothérapie 125 mg IV /24h à réévaluer CAT : • Hospitalisation médecine • Consilium psychiatre demandé • Consilium dentaire à envisager (trigger?) • Oxygénothérapie 15 L/min. • Paracétamol po. • Brufen po. • Sumatriptan intra-nasal = bonne réponse thérapeutique post antalgie. • Retour à domicile. • Traitement symptomatique. • Conseil de réévaluer en ambulatoire avec le médecin de famille et IRM cérébrale en ambulatoire et consultation chez le neurologue en ambulatoire. • Oxygénothérapie • Adaptation de l'antalgie • Physiothérapie respiratoire et de la mobilisation • Suivi nutritionnel • Oxygénothérapie • Physiothérapie respiratoire • Avis pneumologique • CT scan thoracique le 05 et 13.03.2019 • RX thorax • Gazométries • Avis infectiologique • Traitement par • Rocéphine du 26.02.2019 au 04.03.2019 • Levofloxacine du 13.03.2019 au 18.03.2019 • Co-amoxicilline 2200 mg 4x/j du 18.03.2019 au 01.04.2019 • Test de la cognition le 01.03.2019 (lettre n°1) : MMS à 23/30, test de la montre à 3/7 ; GDS à 2/15 • Oxygénothérapie de courte durée à domicile • Oxygénothérapie • Rinçage de nez • Médecine anthroposophique • Traitement par Ceftriaxone 100 mg/kg/jour (doses méningées) du 23-26.04 • Bilan infectieux (FSC, CRP, PCT, gazométrie) • Stix/sédiment urinaire au sachet: négatif • Hémocultures négatives à 5 jours • PL hémorragique avec culture négative à 3 jours • Oxygénothérapie • Surveillance respiratoire et alimentaire • Oxygénothérapie • Traitement symptomatique par morphine seule, puis associée au Midazolam IV continu dès le 11.04.2019 • Oxymétrie nocturne à 3 mois, le patient sera convoqué. • Oxynorm 5 mg. • Oxyplastine 2x/j • Oxyplastine • Contrôle si s'étend • Oxyures • O1 à droite : résolution panaris débutant péri-unguéal • status post-contusion P2-O1 droit, le 20.03.2019. • Pacemaker • Bradycardie sinusale avec décompensation cardiaque gauche modérée chez un patient connu pour une fibrillation auriculaire intermittente sur probable maladie du sinus • Coronarographie du 16.03.2015 : sclérose coronarienne sans sténose significative (sténoses IVA moyenne 50%, Cx moyenne < 30%, Cx distale 50%, CD moyenne < 30%, CD distale < 30%), fonction systolique du VG normale • Décompensation cardiaque gauche modérée NYHA III sur la bradycardie • Crise d'asthme • Examen clinique • RDV chez le MT dans 1 semaine • Ventolin au besoin • Pacing externe le 25.03.2019 • Implantation d'un pace provisoire endovasculaire du 25.03 au 26.03.2019 • Pose d'un boîtier de pacemaker-défibrillateur AAI-DDD (compatible IRM 1.5T) le 28.03.2019 • Contrôle pacemaker le 28.03.2019 • Radiographie de contrôle le 28.03.2019 ATT : • Nous proposons un contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant et un contrôle chez un autre médecin dans 4 à 6 semaines. Il est contre-indiqué de conduire pendant 1 mois. • PAFA pour idées suicidaires, incurie dans un contexte de troubles bipolaires. • Plaie de 1 cm au niveau de l'hallux gauche, le 23.04.19. • Plaie de 1 cm avec écoulement séreux de moyenne abondance depuis 1 mois à 1 cm en médial du tiers distal de la cicatrice d'une PTG droite • PTG droite, le 11.02.2011 • Explantation de la PTG pour une arthrite à Staphylocoque dysgalactiae, en mai 2013 • Réimplantation de prothèse, le 14.08.2013 • Évacuation d'un hématome post-opératoire, le 30.08.2013 • Révision de PTG droite en raison d'une fracture-enfoncement de l'implant fémoral, le 27.10.2015 • Révision de PTG droite avec changement de la vis de connexion centrale pour un délogement de cette vis, le 04.07.2018. • Palexia 150 mg, Lyrica 75 mg depuis le 14.03.2019 • Augmentation du Lyrica à 100 mg 2x/j depuis le 18.03.2019 • Passage sous morphine continue à la place du Palexia par le port-à-cath le 25.03.2019 • Augmentation du Lyrica à 200 mg depuis le 01.04.2019 • Pallesthésie diminuée bilatéralement mais symétrique • Introduction Lyrica et patch Neurodol sans effet • Tramadol en réserve • Physiothérapie, ergothérapie • Avis orthopédique : mise en Vadoplex, sans effet bénéfique • Ergothérapie en ambulatoire à Meyrier • Demande de suivi à la consultation antalgie de la clinique générale • Palliative Basic Assessment : d'entrée • ESAS : Douleurs 10/10 à toute mobilisation, 2/10 si bien positionné ; Fatigue 3/10 stable et peu invalidante. Somnolence 3/10 idem. Anxiété 5/10 en lien avec maladie incurable et fin de vie proche, uniquement diurne. Dépression 3/10 ne voit pas grand-chose de positif dans sa situation. • Barthel Index : 40 points • Palliative Performance Scale : 50% • Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : marié, 3 enfants, 4 petits-enfants, 2 arrières petits-enfants. Vit à Posieux dans une maison à 3 niveaux avec escaliers entre chaque niveau. Mr. Y était ingénieur-mécanicien. Intérêt actuel : aucun. Ressources à domicile: SAD 2x/jour, Voltigo et médecin traitant. Déplacement en chaise roulante ou tintébin. Projet du patient / des proches : améliorer douleurs et marche. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : épouse Mr. Y est un patient de 88 ans déjà connu de notre service que nous accueillons directement du domicile pour des chutes à répétition et un épuisement du réseau, notamment de son épouse qui est la principale proche aidante. Pour rappel, Mr. Y est connu pour un adénocarcinome prostatique depuis 2005 avec apparition de métastases osseuses depuis 2014. Au vu d'un état général se péjorant progressivement, son oncologue a décidé lors de sa consultation du 18 février 2019 de ne pas effectuer d'investigations supplémentaires, ni d'instaurer un traitement anti-hormonal de deuxième ligne. A son arrivée, le patient se plaint essentiellement de douleurs dorso-lombaires nociceptives, d'une asthénie en péjoration et d'une constipation déjà connue. Nous observons un ralentissement psychomoteur marqué nous motivant à réaliser un bilan biologique simple qui revient dans les normes. Les thérapies antalgiques et laxatives sont adaptées. Parallèlement, nous mettons en place une prise en charge multidisciplinaire afin de soutenir Mr. Y dans l'acceptation de sa situation oncologique dépassée et l'aider à maintenir au mieux son autonomie dans les activités de la vie quotidienne par une prise en charge physiothérapeutique et ergothérapeutique. Au cours de son hospitalisation, il va présenter une bronchopneumonie occasionnant une dyspnée marquée. Après 5 jours d'antibiothérapie par Co-Amoxicilline, Mr. Y a pu retrouver une fonction pulmonaire satisfaisante et une résolution de sa dyspnée. Mr. Y présente également une incontinence urinaire déjà connue avant son hospitalisation pour laquelle nous tentons la mise en place d'une sonde vésicale qui sera mal supportée. Nous la retirons deux jours après et poursuivons l'application d'un condom pour les nuits qui a déjà été entreprise à domicile.A partir du 25.03.2019, nous mettons en évidence un état confusionnel hypoactif fluctuant probablement d'origine multifactorielle que nous prenons en charge par une surveillance clinique rapprochée. Concernant le projet de vie, nous rencontrons régulièrement l'épouse de Mr. Y et au fil des discussions, Mme. Y décide de tenter un retour à domicile avec réactivation des soins à domicile et Voltigo. Nous les encourageons dans cette décision et nous tenons à disposition pour accueillir Mr. Y en cas d'échec et d'épuisement de Mme. Y. A ce moment-là, nous reprendrons la discussion d'une entrée en home, discussion déjà entamée au cours de l'hospitalisation. Concernant les traitements, au vu d'une situation clinique stable, nous avons entrepris un sevrage progressif de la Prednisone avec dernière diminution le 02.04.2019 de 10 mg à 7.5 mg. Nous vous laissons le soin de le poursuivre en ambulatoire. Et étant donné la situation palliative actuelle, le suivi chez le Dr. X est interrompu d'entente avec lui-même. Mr. Y rentre à domicile le 04.04.2019. Palliative Basic Assessment : d'entrée. ESAS : Douleurs 4/10 lombalgie chronique sans irradiation, amélioration par le repos. Dyspnée 0/10 souffle stable à l'entrée selon la patiente. Nausée 0/10. Fatigue 8/10 importante et progressant depuis quelques jours. Somnolence 0/10. Inappétence 8/10 nouvelle et progressant depuis quelques jours. Anxiété 0/10. Dépression 0/10. Sensation de mal-être 0/10. Barthel Index : 65% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mariée, mère d'une fille, 2 fois grand-mère et 2 fois arrière-grand-mère vit dans une maison sur deux étages, jusqu'il y a une semaine faisait les escaliers sans problème (12 marches) suivi par Spitex 1x/semaine et Voltigo. Projet du patient / des proches : RAD si possible, pas d'acharnement thérapeutique, se dit prête à mourir dès aujourd'hui. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : son mari. Mme. Y est une patiente de 76 ans connue pour un carcinome pulmonaire depuis 2018 pour lequel la patiente n'a pas souhaité de traitement oncologique. Elle est adressée aux urgences de l'HFR Fribourg depuis son domicile par les infirmières à domicile pour une baisse de l'état général. Aux urgences, le bilan biologique retrouve un important syndrome inflammatoire et la radiographie de thorax montre une nette progression de la maladie oncologique pulmonaire droite, sans pouvoir exclure un foyer infectieux surajouté. La patiente nous est directement adressée depuis les urgences après le bilan initial. Nous accueillons une patiente avec une dyspnée stable qui se plaint essentiellement d'une asthénie et inappétence plus marquées depuis une semaine. Au vu de la situation palliative claire chez une patiente souhaitant uniquement des soins de confort, nous instaurons une antibiothérapie intra-veineuse pour une durée totale de 5 jours, associée à de la morphine à petite dose à but symptomatique pour la dyspnée. Après une évolution initialement favorable, nous observons une aggravation sur le plan respiratoire dès le 22.04.2019, avec une recrudescence de la dyspnée et un encombrement majeur, que nous attribuons cette fois à la progression de la maladie oncologique. Selon le désir de Mme. Y, nous soulageons au mieux les symptômes avec de la Morphine et Buscopan et l'accompagnons dans ses dernières heures. Mme. Y décède le 23.04.2019. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleur: céphalées intermittentes ; Dyspnée 0/10 ; Nausée: Nausées moyennes ; Fatigue: fatigue importante ; Somnolence 0/10 ; Inappétence: inappétence importante ; Anxiété 0/10 ; Dépression : moral légèrement bas ces derniers jours, habitude d'avoir un fort moral autrement. Mr. Y ne rapporte pas d'angoisse ni de peur. Barthel Index : 95 points Palliative Performance Scale : 70% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : veuf depuis 1984 (épouse décédée d'un cancer du sein). S'est remarié, avec sa 2e épouse depuis 20 ans. Ensemble, ils ont 7 enfants (famille recomposée), et 17 petits-enfants. Mr. Y a fait 2 pèlerinages à Lourdes, et souhaite pouvoir y retourner au mois de mai prochain ; Projet du patient / des proches : souhaite regagner des forces, pour rentrer à domicile. Son souhait : aller à Lourdes, si possible. Mr. Y, connu pour une récidive du lymphome diffus à grandes cellules avec pancytopénie sur infiltration massive de la moelle osseuse en 11/2018, actuellement en interruption de traitement en raison d'une baisse de l'état général, nous est transféré de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour une réadaptation palliative en vue d'un retour à domicile. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé à l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal en raison d'une neutropénie subfébrile, avec baisse de l'état général et une notion d'épuisement de son épouse, proche aidante, malgré les soins à domicile quotidiens. Une agranulocytose le 26.03.2019, sans état fébrile ni foyer clinique, est traitée par stimulation médullaire par Neupogen, sur avis du Dr. X, avec une sortie d'agranulocytose 3 jours après. A son admission, Mr. Y rapporte une grande fatigue avec un déconditionnement important en lien avec sa maladie oncologique. Dans ce contexte, il exprime une certaine tristesse en lien avec la maladie elle-même, les multiples hospitalisations, et surtout avec une inappétence et une dysgueusie apparues suite à la chimiothérapie. Le statut clinique retrouve essentiellement un patient avec un état général diminué, et une thymie fragile, au bord des larmes par moments. Une discussion avec Mr. Y permet de comprendre sa tristesse de ne plus pouvoir manger avec appétit et de devoir se forcer pour garder de l'énergie. La nourriture est pour lui un plaisir et la symbolique de la vie. Nous l'encourageons de privilégier l'alimentation plaisir ce qui le rassure et le soulage. En parallèle, l'introduction de Dexaméthasone s'avère particulièrement efficace, aussi bien sur l'appétit que l'état général et l'asthénie. Nous instaurons rapidement un schéma dégressif à poursuivre en ambulatoire, afin d'éviter les effets secondaires à long terme. Dans le cadre de l'inappétence, nous simplifions également les traitements médicamenteux sur le séjour, avec une bonne tolérance, notamment sur le plan glycémique et tensionnel. Mr. Y bénéficie de la physiothérapie de mobilisation et de thérapies corporelles (Reiki et séances de relaxation) qu'il apprécie particulièrement. Il évolue favorablement, tant sur le plan physique que psychique et retrouve progressivement de l'appétit et le goût. Sur le plan oncologique, un contrôle biologique montre une stabilité de sa formule sanguine. Un rendez-vous de suivi est prévu pour sa sortie avec Dr. X pour le mardi 23.04.2019 à 09h30. Suite à notre entretien socio-familial avec Mr. Y, son épouse et leurs deux filles, nous organisons le retour à domicile avec renforcement du réseau, d'entente avec eux, après un congé à domicile sur le weekend qui s'est bien déroulé. En date du 15.04.2019, Mr. Y rentre à domicile accompagné de son épouse. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleur: non ; Dyspnée: importante, au repos avec orthopnée, oxygène 24h ; Nausée: non ; Fatigue: non ; Somnolence: non ; Inappétence: bon, mange demi-portion ; Anxiété: crises d'angoisse lors de dyspnée pendant la nuit ; Dépression: non Barthel Index : 50 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Né en Algérie, Lycée en France, depuis 1970 en Suisse, Ingénieur électrique, marié, un fils, 2 petits-enfants ; Vit avec son épouse dans un appartement avec ascenseur à Fribourg (depuis 2016, avant Tessin) pour être plus proche de son fils et ses petits-enfants (ils habitent à Estavayer) ; passionné par le bricolage électrique, mais devant une rétinopathie diabétique cela devient de plus en plus difficile ; pas de soins à domicile ; Projet du patient / des proches : Amélioration du souffle, pour être capable de jouer avec ses petits-enfants ; retour à domicile si faisable ; mais si situation clinique ne s'améliore pas, il faut en rediscuter (surtout avec son épouse, qui gère le ménage).Mr. Y, un patient de 73 ans, connu pour un adénocarcinome pulmonaire avec épanchement pleural malin chronique à droite et possible lymphangite carcinomateuse, actuellement en arrêt de traitement oncologique, nous est transféré par l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour des soins de support exclusifs et clarification de la suite d'hospitalisation. A son admission, Mr. Y rapporte un déconditionnement important avec déclin fonctionnel, associé à une dyspnée au repos et des crises d'angoisse surtout la nuit. Le status montre un patient avec un état général diminué, oxygéno-dépendant, avec une hypoventilation basale droite, des râles grossiers diffus et une toux grasse, en amélioration selon Mr. Y. Sur le plan respiratoire, un traitement par fentanyl spray nasal est relayé par de la morphine per os, et progressivement augmenté, jusqu'à soulagement de la dyspnée et par conséquent des angoisses également. Par contre, Mr. Y nous fait part de la persistance de sa toux grasse, sans changement qualitatif ni quantitatif durant le séjour. Un traitement d'épreuve par Dexaméthasone est débuté, avec une évolution rapidement favorable, aussi bien sur la toux que sur l'état général, ce qui tend à confirmer la suspicion clinique de lymphangite carcinomateuse. La dose de Dexaméthasone est titrée à la baisse, à la recherche de la dose minimale efficace. A 2 mg, nous observons une recrudescence de la toux, nécessitant une réaugmentation de la dose à 3 mg/jour. En cas de stabilité clinique, nous vous proposons d'effectuer un nouvel essai de sevrage dans 1-2 semaines. Sur le plan du diabète, les glycémies sont très labiles, nécessitant initialement un arrêt transitoire de l'insulino-thérapie, puis une reprise de celle-ci suite à l'introduction de la cortico-thérapie pré-citée. Nous vous laissons le soin de suivre les glycémies et d'adapter le traitement d'insuline avec Mr. Y si besoin. Sur le plan tensionnel, le schéma de traitement à sa sortie a été décidé avec Mr. Y, qui reste en effet très attaché à ses traitements. A noter encore qu'il souhaite être intégré pour toutes les discussions, décisions thérapeutiques et changements médicamenteux, ce que nous respectons pour garder le lien thérapeutique. Si Mr. Y évoque initialement son désir de reprendre des forces pour rentrer à domicile, son état clinique reste fragile et malgré la physiothérapie respiratoire et de mobilisation sur le séjour, il réalise peu à peu la difficulté d'un tel projet, notamment pour son épouse. Suite à plusieurs entretiens avec le couple, il est décidé d'un commun accord d'un placement dans un nouveau lieu de vie. En date du 17.04.2019, Mr. Y est transféré au Home de la Sarine, accompagné de son épouse. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleur 0/10 ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 0/10 ; Somnolence 8/10 : principalement le matin ; Inappétence 0/10 : très bon appétit, absence de fausse route ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 0/10 ; Autre : anamnèse recueillie auprès du mari, peu d'échange avec Mme. Y qui est somnolente. dernières selles la veille de son arrivée. Barthel Index : 5 points Palliative Performance Scale : 40 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : mariée, 3 enfants, 1 petit-enfant. Vivent dans une maison avec adaptation lieu de vie déjà en place. Passage soins à domicile 1x/jour. Ancienne pharmacienne. Un frère décédé. Mari qui travaille à 100 % en tant que directeur scientifique à Vifor ; Projet des proches : maintenir la situation stable, voire amélioration clinique. Mme. Y est une patiente de 64 ans connue pour un glioblastome de stade IV depuis 2013 qui a bénéficié jusqu'ici de plusieurs exérèses chirurgicales ainsi que de radio-chimiothérapie jusqu'en novembre 2018. Puis depuis janvier 2019, il est mis en évidence une radionécrose et oedème cérébral séquellaires avec sur le plan clinique une hémiparésie gauche progressive. La patiente nous est adressée par son oncologue le Dr. X et le Dr. X pour une prise en charge palliative afin d'évaluer la situation et son évolution, mais aussi pour reposer la famille de Mme. Y. A son arrivée, nous accueillons une patiente dans un état de conscience fluctuant passant de la somnolence profonde à des moments d'éveil permettant une communication verbale. Mme. Y n'a pas de plainte particulière ou spontanée. Nous mettons en place des soins de confort complexes chez cette patiente présentant une incontinence urinaire et fécale ainsi qu'une hémiparésie gauche complète. Sur le plan oncologique, au vu de la stabilité clinique après une semaine d'hospitalisation, il est décidé de poursuivre l'immunothérapie débutée en janvier. Les proches sont avertis qu'une telle thérapie est maintenue dans un but de soins de confort et non de prolongement de vie. En effet, nous observons dès l'entrée une ambivalence de la famille dans leur accompagnement avec une difficulté à respecter le rythme de Mme. Y, l'espoir d'une vie encore prolongée et une incapacité de Mme. Y à mettre des limites. Plusieurs entretiens de famille ont été nécessaires afin d'accompagner la famille dans leur processus d'acceptation de la situation médicale de leur épouse et mère respectivement. Par la suite, nous observons progressivement une diminution de l'état général de Mme. Y avec des moments d'éveils de moins en moins fréquents et l'apparition de troubles de la déglutition fluctuants, nous motivant à poursuivre l'administration des thérapies en intra-rectal et sous-cutané. L'évolution étant défavorable, Mme. Y tombe petit à petit dans un coma dont elle ne se réveille pas. Mme. Y décède le 15.04.2019 entourée de son époux et de son fils. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée : dyspnée au moindre effort ; Nausée 0/10 ; Fatigue : asthénie en lien avec dyspnée ; Somnolence 0/10 ; Inappétence : alimentation par la jéjunostomie ; Anxiété : anxiété liée à la prise per os ; Dépression : moral stable, bien au clair avec sa situation ; Sensation de mal-être 0/10 Barthel Index : 40 pts Palliative Performance Scale : 50 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : est bien entouré par sa famille, son noyau = 1 fille et 1 garçon et 1 petite-fille. Vit seul à domicile, est séparé ; Projet du patient / des proches : Mr. Y désire être soulagé de ses symptômes susmentionnés. Est bien au clair avec sa situation, en parle ouvertement avec sa famille. Désir d'être propre et présentable tous les jours. Patient de 72 ans, connu pour une récidive d'adénocarcinome oesophagien métastatique (ganglionnaires au niveau cervical, atteinte pleurale, pulmonaire et de la paroi thoracique ainsi qu'innombrables implants tumoraux péritonéaux), qui nous est transféré de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour une suite de prise en charge. Au premier plan, Mr. Y rapporte une dyspnée et une asthénie, stables depuis quelques semaines, mais qui le limitent dans la vie quotidienne, alors qu'il était auparavant autonome. Des diarrhées profuses sur une colite à C. difficile, traitée depuis le 11.03.2019, le dérangent encore. Il ne relate aucune douleur, ni aucune autre plainte.Nous retrouvons un patient avec un état général diminué, oxygénodépendant et dyspnéique au repos. L'examen clinique montre essentiellement une hypoventilation bibasale, avec un abdomen souple sans péritonisme et une sonde jéjunale en place. Nous adaptons le traitement de Morphine déjà en place afin de soulager au mieux la dyspnée. Mr. Y, qui en parle ouvertement avec sa famille, est bien au clair avec sa maladie oncologique évolutive et non réversible, néanmoins la perte d'autonomie reste difficile à accepter pour lui. Au cours du séjour, il s'affaiblit progressivement et la dyspnée devient de plus en plus importante. Selon son souhait, nous nous focalisons pour soulager ses symptômes et entreprenons régulièrement des entretiens de famille afin d'accompagner Mr. Y et ses proches au mieux dans cette étape difficile. L'état clinique de Mr. Y se dégrade encore le 11.04.2019, nécessitant une anxiolyse et sédation légère par Midazolam iv continu afin de soulager la dyspnée. Il décède le lendemain entouré de ses enfants. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 5/10 : dyspnée de repos comme à l'effort ; Nausée 0/10 ; Fatigue : fatigue généralisée importante, dort mal, trop de sollicitations à l'hôpital ; Somnolence : insomnie ; Inappétence : pas d'appétit en raison de l'asthénie. Arrive à manger des soupes ; Anxiété : Anxiété liée à la maladie oncologique (ne souhaitait pas préciser) ; Dépression : Dépression liée à la maladie (ne souhaite pas parler de sa maladie) ; Sensation de mal-être oui. Barthel Index : 75 points Palliative Performance Scale : 50 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : mariée depuis 40 ans, 2 fils, 38 et 37 ans, avec 3 petits-enfants. Famille soudée. Ce qui compte pour elle : sa famille ; Projet du patient / des proches : Projet : souhait de revenir comme avant, retrouver de la force, d'être mieux. Dans la mesure du possible, retour à domicile, si pas possible, ce n'est pas grave ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Discuter avec les enfants pour les prises de décisions thérapeutiques > mari. Mme. Y, patiente de 60 ans, connue pour une progression métastatique d'un adénocarcinome du rectum de stade IV, nous est transférée de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour une suite de prise en charge palliative. Pour rappel, la patiente est hospitalisée pour un état fébrile et une asthénie importante, pour lesquels un traitement antibiotique est initié en raison d'une suspicion de cholangite. À son admission, Mme. Y se présente en état général diminué, avec un ictère généralisé. Elle rapporte une dyspnée liée à une angoisse et une tristesse importantes, dans le cadre de sa maladie oncologique dépassée. Elle se plaint également de troubles du sommeil et d'une inappétence marquée. Le statut clinique est peu contributif. Si Mme. Y évoque initialement son désir de reprendre des forces pour rentrer à domicile, son état clinique se détériore progressivement, sans cause réversible évidente, nous faisant évoquer une fin de vie proche. Elle exprime une grande lassitude et son désir de mourir. Dans ce contexte, nous organisons un entretien socio-familial afin de clarifier la situation et d'accompagner Mme. Y et ses proches au mieux dans cette étape difficile. À noter la visite régulière de Dr. X durant son hospitalisation, et son soutien auprès de Mme. Y et sa famille. Des états fébriles récidivants sont traités symptomatiquement, suite à la discussion avec Mme. Y et sa famille. L'évolution étant progressivement défavorable, Mme. Y tombe petit à petit dans un coma dont elle ne se réveille pas. Elle décède le 13.04.2019, entourée de son époux, qui a été très présent durant tout son séjour. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 8/10 : au moindre effort, absente au repos ; Nausée 0/10 ; Fatigue 8/10 : importante ; Somnolence 5/10 : s'endort facilement, ne la dérange pas, au contraire apprécie ; Inappétence 5/10 : modérée ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 0/10 Barthel Index : 40 pts Palliative Performance Scale : 30 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mariée depuis 37 ans, 1 fille (Jessica) et 3 petits-enfants, très bonne entente entre eux, ancienne sommelière, à la retraite a fait du tricot/crochet, aime la lecture. 2 frères dont 1 BPCO. ancienne tabagique, absence de fumée depuis 1 mois, est très contente ; Projet du patient / des proches : éviter recrudescence des surcharges hydriques qui lui provoquent OMI et dyspnée ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : son mari. Mme. Y est une patiente de 60 ans qui a présenté une décompensation inaugurale d'une cirrhose hépatique jusqu'ici non diagnostiquée probablement d'origine éthylique. Après une hospitalisation de trois semaines en soins aigus, notamment un passage aux soins intensifs, la patiente nous est adressée pour une réadaptation palliative au vu d'un état général encore insuffisant pour un retour à domicile. À son arrivée dans notre service, Mme. Y se plaint essentiellement d'une fatigue et d'une faiblesse généralisée. Elle exprime clairement son souhait de passer encore du temps avec ses petits-enfants et espère également retourner à domicile. Nous accueillons une patiente cachectique et ictérique avec des moments de confusion passagers, mis sur le compte d'une encéphalopathie hépatique de stade I. Au fil des jours d'hospitalisation et d'une prise en charge multidisciplinaire, nous observons une amélioration lentement progressive de son état général. Mme. Y se montre très volontaire, notamment lors des séances de physiothérapie. Le poids se stabilise sous traitement diurétique et nous reprenons le traitement beta-bloquant prophylactique dans le cadre des varices œsophagiennes. Le traitement d'IPP introduit suite à une hémorragie digestive haute est poursuivi pour une durée totale de 8 semaines. Vu la stabilité clinique, nous renonçons à effectuer une OGD de contrôle durant le séjour et vous laissons le soin d'en réévaluer l'indication à distance. Nous profitons d'un colloque familial le 15.04.2019 pour rappeler à Mme. Y et à ses proches, la fragilité de la situation et l'importance d'un suivi médical régulier et d'une abstinence complète concernant l'alcool. Nous organisons un passage quotidien par les soins à domicile, ainsi qu'un suivi par l'équipe de soins palliatifs mobile de Voltigo. Mme. Y rentre à domicile le 17.04.2019 avec un rendez-vous de contrôle à votre consultation à une semaine (changement de médecin traitant selon le souhait de Mme). Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 10/10 : douleur aiguë de courte durée (seconde à minute) au niveau hypochondre gauche et para-lombaire gauche, douleur type coup de couteau, ne les traite pas et attend que ça passe, arrive autant au repos qu'à la mobilisation, Aucune irradiation ; Fatigue 5/10 : modérée ; Anxiété 8/10 : concernant sa situation sociale et son diagnostic médical. Barthel Index : 100 % Palliative Performance Scale : 90 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : patiente non mariée, sans enfant, un frère qui vit à Zurich et ses 2 parents vivent à Lucerne. Essaie de finir son Masters en psychologie depuis des années, travaille dans deux associations (Solidarité femme et Point rencontre). Ce qui lui fait du bien : yoga, méditation, pleine conscience.Mme. Y est une patiente de 53 ans chez qui un diagnostic radiologique de carcinome ovarien gauche métastatique a été récemment posé. Elle nous est adressée depuis son domicile par le Dr. X pour des troubles psycho-sociaux sévères freinant l'élaboration d'un projet oncologique. En effet, Mme. Y est connue pour divers troubles psychiatriques avec notamment un possible syndrome de Diogène de longue date et un isolement social secondaire important. A son arrivée dans notre unité, nous accueillons une patiente en état général conservé qui se plaint essentiellement d'une gêne abdominale sous forme de ballonnement, trouble du transit et douleurs nociceptives mixtes en lien avec la masse ovarienne, la carcinose péritonéale et l'ascite secondaire connue. Concernant sa situation psycho-sociale, la patiente décrit actuellement un cadre de vie non compatible avec sa situation médicale, en particulier en lien avec un appartement en état d'insalubrité. Concernant les plaintes somatiques, Mme. Y a mis en place une auto-médication à base de phytothérapie, homéopathie et aromathérapie sans nécessité des médications allopathiques. Pour les plaintes psycho-émotionnelles, une approche multidisciplinaire est mise en place avec notamment des méthodes manuelles et des entretiens répétés avec les divers membres de notre équipe. La patiente a également bénéficié de l'aide de notre infirmier de liaison pour des démarches administratives concernant son appartement. Sur le plan oncologique, le suivi est assuré par le Dr. X. Il nous confirme le diagnostic suite à la réception des résultats de la biopsie ganglionnaire effectuée le 20.03.2019, qui met en évidence un carcinome ovarien séreux métastatique. Ensemble, la patiente et le Dr. X se mettent d'accord pour débuter dès que possible une chimiothérapie palliative en monothérapie par Taxol pour limiter les effets secondaires. Pour des raisons personnelles, Mme. Y demande à suivre ce traitement à la clinique d'Arlesheim afin de bénéficier d'une prise en charge anthroposophique. Le Dr. X s'est personnellement occupé à transmettre le dossier de Mme. Y à la Clinique qui nous a confirmé sa bonne réception et qui s'engage à contacter directement la patiente. Mme. Y rentre à domicile le 12.04.2019, toujours dans l'attente d'une confirmation de prise en charge à la clinique d'Arlesheim. Nous organisons un suivi à domicile par l'équipe de soins palliatifs mobile de Voltigo. • Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 2/10 ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue : Fatigue progressive importante ; Somnolence : Somnolence progressive importante, le limitant sur le plan fonctionnel ; Inappétence ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 Barthel Index : 45 points Palliative Performance Scale : 50% • Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit avec son amie, a 2 fils. ; Projet du patient / des proches : souhaite reprendre des forces pour rentrer à domicile. Mr. Y, connu pour un hépatocarcinome de stade C, avec des traitements de support uniquement depuis décembre 2018, nous est adressé par la Dr. X en raison d'un maintien à domicile impossible. Par manque de place dans notre unité initialement et devant l'urgence de la situation, il est hospitalisé une nuit au HIB-site de Payerne d'où il nous est transféré. Il rapporte une asthénie progressive avec une somnolence importante depuis un certain temps (non défini), ainsi que des douleurs abdominales en péjoration associées à une prise pondérale. Une ponction d'ascite de 9L est réalisée en ambulatoire par vous-même le 22.03.2019, qui n'apporte que peu d'amélioration. A son admission, nous retrouvons un patient dans un état général diminué, ictérique, apathique, cachectique, ralenti sur le plan psychomoteur et confus. Le status abdominal retrouve essentiellement une hépatomégalie. Si Mr. Y évoque initialement son désir de reprendre des forces pour rentrer à domicile, son état clinique se détériore rapidement, sans cause réversible évidente, nous faisant évoquer une fin de vie proche. Il exprime alors une grande lassitude et son désir de mourir. A la demande de sa sœur qui s'inquiète de possibles non-dits ou malentendus familiaux, nous organisons rapidement un entretien de famille, afin de clarifier la situation et d'accompagner Mr. Y et ses proches au mieux dans cette étape difficile. Dans la nuit du 31.03.2019, son état s'aggrave brutalement avec apparition d'un état confusionnel et d'une agitation importante, qui est traitée avec bon effet par de l'halopéridol. Mr. Y décède le 01.04.2019 au petit matin. • Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 3/10 : au niveau des talons et du siège ; Dyspnée 9/10 : à la moindre mobilisation + à la parole ; Inappétence 5/10 : sur des douleurs buccales + dysgueusie ; Anxiété 9/10 : liée à la dyspnée ; Autre constipation fluctuante Barthel Index : 50 pts Palliative Performance Scale : 40% • Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : marié puis divorcé, deux enfants, 1 petit-fils (de 19 ans). Il vit avec une amie depuis 22 ans à Fribourg. Vit en appartement au 5ème étage, escaliers à monter pour sortir dans la rue sinon ascenseur. Hobby : aime les voitures, actuellement conduit toujours et y tient beaucoup, notamment pour aller retrouver ses amis. Autre hobby : marche en montagne, jouer aux cartes. Se décrit comme quelqu'un de social et épicurien. Activité professionnelle : a monté une entreprise de radio-télévision qui a fermé en 1993, puis a été représentant d'une marque de télévision. Travaille dans plusieurs associations. A fondé la société des contemporains de 1944. Aide à domicile : oxygène à domicile, pas de soin à domicile ou Voltigo ; Projet du patient / des proches à l'entrée : retrouver une autonomie dans les actes de la vie quotidienne pour un retour à domicile. Mr. Y est un patient de 74 ans connu pour une BPCO stade IV. Il est hospitalisé pour une nouvelle exacerbation respiratoire à l'HFR Fribourg-hôpital Cantonal. Au vu d'un état clinique non compatible pour une réadaptation pulmonaire, il nous est adressé pour une réadaptation palliative. A son arrivée dans notre service, Mr. Y se plaint essentiellement d'une dyspnée marquée associée à une angoisse d'étouffer. Effectivement, nous observons un patient tachypnéique à la parole, l'obligeant à reprendre son souffle entre ses phrases. Parallèlement, il présente des douleurs nociceptives au niveau des talons. Il est connu pour une artériopathie périphérique étendue qui a motivé un contrôle radiologique en angiologie le 25.03.2019 permettant d'exclure une ischémie critique. Nous commençons par intensifier son traitement de morphine tant pour la dyspnée que pour les douleurs des talons, avec un très bon effet. Quelques jours avant son départ, nous passons de la morphine solution à la forme retard en comprimé, traitement que nous vous invitons à intensifier selon l'évolution clinique de Mr. Y. Il bénéficie également d'une prise en charge multidisciplinaire, notamment avec les physiothérapeutes et notre psychologue pour lutter contre ses angoisses. Nous profitons de son hospitalisation pour simplifier ses traitements d'aérosols et les adapter à sa capacité d'inhalation. La technique d'inhalation est aussi vérifiée avec nos physiothérapeutes. A son entrée, nous mettons en évidence une candidose orale occasionnant des douleurs et une inappétence secondaire. Un traitement antifongique est mis en place avec résolution de l'épisode. Concernant le projet, initialement Mr. Y désirait retourner à domicile. Au vu de l'absence de nette récupération sur le plan respiratoire, le patient a changé spontanément d'avis et préfère plutôt faire son entrée en home. Ce choix est motivé d'une part pour pallier aux angoisses liées à ses crises récurrentes de dyspnée qui pourraient survenir à domicile et également pour soulager son amie et profiter un maximum des moments passés ensemble.Mr. Y quitte notre service le 18.04.2019 pour le home médicalisé de la Sarine. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 3/10 : au niveau des talons et du siège ; Dyspnée 9/10 : à la moindre mobilisation + à la parole ; Inappétence 5/10 : sur des douleurs buccales + dysgueusie ; Anxiété 9/10 : liée à la dyspnée ; Autre constipation fluctuante Barthel Index : 50 pts Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : marié puis divorcé, deux enfants, 1 petit-fils (de 19 ans). Il vit avec une amie depuis 22 ans à Fribourg. Vit en appartement au 5ème étage, escaliers à monter pour sortir dans la rue sinon ascenseur. Hobby : aime les voitures, actuellement conduit toujours et y tient beaucoup, notamment pour aller retrouver ses amis. Autre hobby : marche en montagne, jouer aux cartes. Se décrit comme quelqu'un de social et épicurien. Activité professionnelle : a monté une entreprise de radio télévision qui a fermé en 1993, puis a été représentant d'une marque de télévision. Travaille dans plusieurs associations. A fondé la société des contemporains de 1944. Aide à domicile : oxygène à domicile, pas de soin à domicile ou Voltigo ; Projet du patient / des proches à l'entrée : retrouver une autonomie dans les actes de la vie quotidienne pour un retour à domicile. Mr. Y est un patient de 74 ans connu pour une BPCO stade IV. Il est hospitalisé pour une nouvelle exacerbation respiratoire à l'HFR Fribourg-hôpital Cantonal. Au vu d'un état clinique non compatible pour une réadaptation pulmonaire, il nous est adressé pour une réadaptation palliative. A son arrivée dans notre service, Mr. Y se plaint essentiellement d'une dyspnée marquée associée à une angoisse d'étouffer. Effectivement, nous observons un patient tachypnéique à la parole, l'obligeant à reprendre son souffle entre ses phrases. Parallèlement, il présente des douleurs nociceptives au niveau des talons. Il est connu pour une artériopathie périphérique étendue qui a motivé un contrôle radiologique en angiologie le 25.03.2019 permettant d'exclure une ischémie critique. Nous commençons par intensifier son traitement de morphine tant pour la dyspnée que pour les douleurs des talons, avec un très bon effet. Quelques jours avant son départ, nous passons de la morphine solution à la forme retard en comprimé, traitement que nous vous invitons à intensifier selon l'évolution clinique de Mr. Y. Il bénéficie également d'une prise en charge multidisciplinaire, notamment avec les physiothérapeutes et notre psychologue pour lutter contre ses angoisses. Nous profitons de son hospitalisation pour simplifier ses traitements d'aérosols et les adapter à sa capacité d'inhalation. La technique d'inhalation est aussi vérifiée avec nos physiothérapeutes. A son entrée, nous mettons en évidence une candidose orale occasionnant des douleurs et une inappétence secondaire. Un traitement antifongique est mis en place avec résolution de l'épisode. Concernant le projet, initialement Mr. Y désirait retourner à domicile. Au vu de l'absence de nette récupération sur le plan respiratoire, le patient a changé spontanément d'avis et préfère plutôt faire son entrée en home. Ce choix est motivé d'une part pour pallier aux angoisses liées à ses crises récurrentes de dyspnée qui pourraient survenir à domicile et également pour soulager son amie et profiter un maximum des moments passés ensemble. Mr. Y quitte notre service le 18.04.2019 pour le home médicalisé de la Sarine. Palliative Basic Assessment ESAS : Douleurs 7/10 ; Dyspnée 2/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 8/10 ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 8/10 ; Anxiété 3/10 ; Dépression 6/10 ; Sensation de mal-être 6/10 ; Autre Au statut, il y a une baisse de l'état général avec un érythème facial à prédominance D connu et stable selon le patient. Il présente des pétéchies au niveau du palais et la présence de points blancs à la base de la langue et au niveau de la partie interne des joues (sans brûlures, perte de goût déjà présente). Il a des œdèmes des membres inférieurs, des sibilances diffuses. Le statut cardiologique est normal. L'abdomen est souple, sans défense ni détente, de bons bruits et une légère douleur au niveau de la partie épigastrique. Le statut neuro global est conservé avec une force légèrement diminuée à M4. Barthel Index : Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Décès récent il y a deux mois de sa femme 3 filles, 1 fille de cœur de sa compagne des amis ; Projet du patient / des proches : Il est conscient qu'il va bientôt mourir. Il sait qu'il ne peut plus rentrer à domicile. Il se rend compte qu'un home sera nécessaire. ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : ses filles peuvent être informées 1e référente Tamara son amie Monique 2e référente Palpation et percussion indolores Proposition de revoir les images par les radiologues Antalgie Palpitation Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations avec salves d'extrasystoles visualisées au scope, non analysables, le 16.03.18. Palpitations cardiaques et douleurs à l'hypochondre gauche. Palpitations cardiaques et douleurs dans l'hypochondre gauche. Palpitations cardiaques (sans plus de précision), traité par bétabloqueur Restless legs syndrome, traité par Rivotril Déficit en vitamine D substitué Palpitations d'origine indéterminée. Palpitations d'origine indéterminée le 20.04.2019. • DD : extrasystoles, holiday heart. Palpitations d'origine indéterminée sans drapeau rouge • DD : trouble du rythme bénin, angoisse. Palpitations d'origine indéterminée. Diagnostic différentiel : • sur anxiété • extrasystoles • fibrillation auriculaire paroxystique. Palpitations et douleurs thoraciques. Palpitations intermittentes de très courte durée d'origine indéterminée en 2009 avec diagnostic différentiel : crise d'angoisse, arythmie bénigne. Tachycardie sinusale symptomatique. Lombosciatalgie aiguë non déficitaire dans le contexte de lombalgie chronique depuis le 04.11.2017 Palpitations paroxystiques d'origine indéterminée. Palpitations/hypertension. Paludisme. Paludisme. Paludisme. Panari hallux droit Panaris. Panaris de DIV du MSG Panaris de D2 de la main droite le 19.04.2019 avec : • Excision en rhumatologie par le Dr. X le 17.04.2019. Panaris de D5 à gauche le 07.04.2019 avec : • bilan biologique et radiologique effectué à Tafers. Panaris de D5 à gauche le 07.04.2019 avec : • bilan biologique et radiologique effectué à Tafers. Panaris de l'index droit le 19.04.2019 avec : • Excision en rhumatologie par le Dr. X le 17.04.2019. Panaris débutant péri-unguéal du 1er orteil droit. • status post-contusion de la 2ème phalange du 1er orteil droit le 20.03.2019. Panaris du bord ulnaire du doigt IV gauche Panaris du deuxième doigt de la main droite le 19.04.2019 avec : • drainage en rhumatologie par le Dr. X le 17.04.2019 • drainage au secteur ambulatoire le 19.04.2019. Panaris du doigt III de la main droite. Traumatisme crânien simple avec plaie frontale gauche de 1.2 cm de longueur. 26.02.19: Traumatisme crânien simple Antalgie au besoin Panaris du 2ème doigt de la main gauche. Panaris face externe PD-D4 main droite incisé le 06.04.2019. Panaris face interne de la phalange du 4ème doigt droit. Panaris hallux droit Panaris majeur droit. Panaris pouce gauche Panaris pouce gauche drainé spontanément Panaris 3ème doigt de la main gauche Pancératite chronique (suivi au CHUV et à Payerne) Pancolite à prédominance gauche (côlon descendant, sigmoïde) subaiguë depuis le soir du 20.04.2019 avec • diarrhées sanglantes depuis le 22.04.2019, persistantes • inaptitude et perte de poids aiguë de 4 kg • état de déshydratation sur diarrhées • CT abdominal injecté (phase veineuse) du 24.04.2019, avis Dr. X: pas d'argument pour une ischémie mésentérique, vaisseaux ouverts (visible même en phase veineuse) • DD colite inflammatoire sur prise de Lodine et Clopidogrel DD colite inflammatoire d'autre origine, DD origine infectieuse Pancréas annulaire avec sténose duodénale • TOGD le 22.09.2016 au CHUV: rétrécissement sans passage du liquide de contraste au-delà du bulbe duodénal • S/p duodéno-duodénostomie, opérée le 24.09.2016, CHUV Déshydratation modérée dans le cadre de gastro-entérite (02.02.18) OMA perforée bilatérale (02.18) s/p Déshydratation modérée s/p Vomissements et diarrhées sur probable gastro-entérite infectieuse (virale, bactérienne, parasites) DD origine anatomique, invagination, maladies métaboliques, troubles électrolytiques s/p Hypoglycémies (min. 2.4 mmol/l) sur 1er diagnostic s/p Hyponatrémie (min 131 mmol/l) s/p Purulation bactérienne associée au traitement à long terme de Nexium s/p Pancréatite post-opératoire s/p Cellulite au niveau de la cuisse gauche au point d'injection du Pneumovax (vaccin effectué le 11.06.18) s/p adénoïdectomie et paracentèse avec mise en place de drains transtympaniques le 25.07 s/p État fébrile sans foyer DD : VRS prolongée, infections virales à répétition, maladie auto-inflammatoire, neutropénie cyclique Pancréas annulaire avec sténose duodénale • TOGD le 22.09.2016 au CHUV: rétrécissement sans passage du liquide de contraste au-delà du bulbe duodénal • S/p duodéno-duodénostomie, opérée le 24.09.2016, CHUV Déshydratation modérée dans le cadre de gastro-entérite (02.02.18) OMA perforée bilatérale (02.18) s/p Déshydratation modérée s/p Vomissements et diarrhées sur probable gastro-entérite infectieuse (virale, bactérienne, parasites) DD origine anatomique, invagination, maladies métaboliques, troubles électrolytiques s/p Hypoglycémies (min. 2.4 mmol/l) sur 1er diagnostic s/p Hyponatrémie (min 131 mmol/l) s/p Purulation bactérienne associée au traitement à long terme de Nexium s/p Pancréatite post-opératoire s/p Cellulite au niveau de la cuisse gauche au point d'injection du Pneumovax (vaccin effectué le 11.06.18) s/p adénoïdectomie et paracentèse avec mise en place de drains transtympaniques le 25.07 s/p État fébrile sans foyer DD : VRS prolongée, infections virales à répétition, maladie auto-inflammatoire, neutropénie cyclique Pancréatite aiguë Balthazar C DD biliaire DD auto-immune Pancréatite aiguë Balthazar C, d'origine alcoolique, le 01.09.2016 Status post zona avec douleurs post-zostériennes en 2016 Status post fracture comminutive aile iliaque droite en mai 2016 Status post hépatite aiguë d'origine probablement médicamenteuse le 01.06.2014 (DD sur Cipralex, Remeron, Losartan, moins probable sur du Propycil) Status post hypovitaminose D sévère à < 10 mmol/l le 03.06.2014 Pancréatite aiguë Balthazar D sur cicatrice de sphinctérotomie d'origine obstructive le 14.04.2019 Pancréatite aiguë Balthazar C le 30.01.2019 • DD : origine médicamenteuse • Mise en suspens Xultophy, Ezetrol, Atorvastatine et Diamicron dès le 31.01.2019 • Substitution de Xultophy par Tresiba le 31.01.2019 Cure du tunnel carpien droit en octobre 2012 Prothèse totale de genou gauche le 06.03.2012 Cholécystectomie par laparoscopie le 14.02.2008 Pancréatite aiguë d'origine éthylique sur pancréatite chronique avec: • Status post probable wirsungo-jéjunostomie pour pancréatite chronique au Portugal en 2017 Pancréatite aiguë d'origine indéterminée. Pancréatite aiguë d'origine indéterminée, DD : OH. Pancréatite aiguë d'origine indéterminée, le 02.04.2019. Pancréatite aiguë d'origine indéterminée: DDx: lithiase Wirsung Toxique Auto-immune Pancréatite aiguë d'origine possiblement biliaire le 14.04.2019 • actuellement score de Balthasar D Pancréatite aiguë en novembre 2018. Pancréatite aiguë le 25.06.2018 d'origine probablement éthylique • Hydratation • Suivi clinique et biologique Pancréatite aiguë le 30.01.2019, au décours actuellement Pancréatite aiguë probablement d'origine alcoolique Pancréatite aiguë 2 épisodes - étiologie X. Status post-opération d'une hernie hiatale par laparotomie en 1984. Pancréatite aiguë 2 épisodes - étiologie X Status post-opération d'une hernie hiatale par laparotomie en 1984 Status post-amygdalectomie Douleur abdominale d'étiologie X Pancréatite aiguë, 2 épisodes de genèse inconnue en octobre 2010. Cholangite non compliquée en novembre 2013. • Status post cholécystite aiguë alithiasique. • Status post pancréatite à deux reprises en 2010 avec thrombose de la veine splénique. Cholécystectomie par laparoscopie le 12.02.2014. Poignet droit : status post-arthrodèse poignet (Synthes Wrist Fusion, prise de greffe autologue) le 10.04.2017 pour morbus Kienböck stade IV selon Lichtmann. Ablation du matériel d'ostéosynthèse poignet droit. Pancréatite avec traitement conservateur en 2016 Status post OP x de la colonne vertébrale, date:___ Sigmoidectomie Diverticulite aiguë en 04.2008 Fracture sous-capitale de l'humérus CholéCystectomie Cystopexie en 2008 Pancréatite Balthazar D d'origine biliaire. Pancréatite Balthazar D d'origine indéterminée Pancréatite biologique Pancréatite biologique le 30.04.2019 Pancréatite biologique rapidement résolutive le 28.03.2019 avec: • perturbation des tests hépatiques • nausées et vomissements • contexte d'antécédents de pathologie bilio-pancréatique DD : passage de calcul, pancréatite médicamenteuse Pancréatite biologique sans corrélation clinique • DD: pancréatite alcoolique chronique Pancréatite de la queue du pancréas d'origine probablement biliaire avec: • Lithiase de 12 x 6 x 8 mm dans l'infundibulum Pancréatite de type Balthazar E d'origine éthylique probable le 30.03.2019 avec: • multiples collections et pseudo-kystes péri-pancréatiques Pancréatite le 24.04.2019 Pancréatite oedémateuse Balthazar B avec coulées liquidiennes au niveau des fascias para-rénaux (facteur précipitant: éthylisme, hypertriglycéridémie), le 01.10.2010. Pancréatite post-ERCP Balthazar E Pancréatite post-ERCP le 04.04.2019 (liapsémie à 2300 et syndrome inflammatoire). Pancréatite probablement d'origine biliaire. Pancytopénie asymptomatique. Pancytopénie chronique asymptomatique avec: • leucopénie à 2.9 G/l • anémie avec hémoglobine à 108 mg/l • thrombopénie à 43 g/l. Pancytopénie dans contexte de chimiothérapie Pancytopénie discrète le 06.04.2019 Pancytopénie discrète le 06.04.2019 DD: composante hémolytique à l'anémie Pancytopénie d'origine indéterminée le 21.04.2019 DD : étiologie médicamenteuse possible (levofloxacine, co-amoxicilline, amiodarone) Pancytopénie d'origine indéterminée DD : origine médicamenteuse (Cordarone, levofloxacine, co-amoxicilline) Pancytopénie d'origine médicamenteuse (Methotrexate) en 2017 S/p saignement hémorroïdaire en 2016 S/p prothèse totale de hanche droite en 2006 Zona thoracique droit sur dermatome T3-T4 en décembre 2017 • Traité par 7 jours de Valaciclovir Pancytopénie d'origine probablement virale le 21.01.2018 Pancytopénie en progression le 20.04.2019 • Hb à 64 g/l • leucocytes à 3.3 g/l • thrombocytes à 25 G/l DD : sur progression carcinome urothéliale avec infiltration moelle Pancytopénie le 04.13.2019 avec : • Thrombopénie à 50 G/L • Anémie à 69 g/l • Leucopénie à 2.2 dans un contexte de transplantation de cellules souches hématopoïétiques pour une leucémie lymphoblastique aiguë B CD20 négative et Philadelphia négative. Dernière sortie des HUG le 11.04.19 Pancytopénie le 08.04.2019 probablement d'origine médicamenteuse • sur prise de Novalgine et de Methotrexate Pancytopénie le 08.04.2019 DD : syndrome myélodysplasique Pancytopénie le 13.04.2019 avec : • Thrombopénie à 50 G/L • Anémie à 69 g/l d'origine probablement mixte • Leucopénie à 2.2 dans un contexte de transplantation de cellules souches hématopoïétiques pour une leucémie lymphoblastique aiguë B CD20 négative et Philadelphia négative. Dernière sortie des HUG le 11.04.19 Pancytopénie le 18.03.2019, à J11 post-chimiothérapie (5-FU, Platinol et Erbitux le 07.03.2019) : • Anémie à 87 g/l • Leucocytopénie à 2.9 G/l • Thrombocytopénie à 72 G/l Pancytopénie le 20.04.2019 dans un contexte d'un lymphome à cellules B sous radiothérapie avec : • anémie normocytaire normochrome à 87 g/l le 20.04.2019 • thrombocytopénie à 71 G/l • neutropénie • seuil de transfusion : Hb à 80 g/l DD inflammatoire Pancytopénie modérée le 12.04.2019 dans le contexte d'un hypersplénisme Pancytopénie post-chimiothérapie le 28.03.2019 • CHOP le 20.03.19 à l'Inselspital • anémie, thrombopénie et agranulocytose à 0.32 G/l le 28.03.2019 • résolue le 02.04.2019 Pancytopénie probablement dans le contexte de la chimiothérapie Pancytopénie probablement dans le contexte de la cirrhose Pandiverticulose prédominant le long du sigmoïde à la colonoscopie du 18.07.2018 Oesophagite distale érosive type I selon Savary avec petite hernie hiatale axiale sous-jacente sur 2 cm à l'OGD du 18.07.2018, sous Esoméprazole Hypertension artérielle Hyperuricémie Panendoscopie de contrôle Panhypopituitarisme et diabète insipide suite à un macro-adénome non sécrétant réséqué en 2008 (CHUV) avec : • substitution par hydrocortisone et Minirin • lésion du chiasma optique avec perte visuelle D et hémianopsie G • suivi Dr. X Atonie vésicale avec sonde vésicale à demeure depuis 2017 • suivi Dr. X • multiples infections urinaires (cf antécédents) Démence vasculaire avec probable composante neurodégénérative Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Insuffisance rénale chronique stade 2 (avec clairance à la créatinine selon Cockroft et Gault à 73ml/h) : • Clairance créatinine selon eGFR CKD-EPI 59.9 ml/min le 13.06.2018 Panotile 3 gouttes 4x/j pour 5 jours Algifor 10mg/kg/dose 3x/j si nécessaire Dafalgan 15mg/kg/dose 4x/j si nécessaire Panotile 5 gouttes 3x/jour pendant 7 jours. Ibuprofen 600 mg, cp en réserve. Consultation chez son médecin traitant si persistance des douleurs à 5 jours. Consultation avant si péjoration clinique. Arrêt de travail. Pansement adaptic et ialugen contrôle dans 48h pour réfection de pansement Pansement Adaptic et ialugen Contrôle dans 48h pour réfection de pansement aux urgences pédiatriques de Payerne : après demande des parents (absence du médecin généraliste) RDV pris avec les urgences pédiatriques de Payerne le 18.04 à 15:30 (parents avertis) Pansement adaptic et ialugen contrôle dans 48h pour réfection de pansement Vaccin Revarix 1 dose Pansement Adaptic et ialugen 3e contrôle dans 48h pour réfection de pansement à Payerne après demande des parents (absence du MT) Vaccin Revarix 1 dose Pansement avec Betadine. Radiographie pied gauche. Avis orthopédique (Dr. X). Attitude : • Charge selon douleurs. • Prophylaxie thrombotique par Clexane. • Vaccination anti-tétanos. • Antalgie. • Antibiothérapie par Clindamycine. • Contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48h. Pansement et Attelle Dispense de sport jusqu'au 30.04.2019 Pansement Ialugen et Mepilex. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 12.04.2019. Pansement occlusif avec désinfection et pansement Opsite. Rappel tétanos. Contrôle clinique à 5 jours au secteur ambulatoire des urgences. Pansement occlusif mis en place. Changement de pansement prévu le 29.04.2019 au secteur ambulatoire des urgences. Critères de reconsultation expliqués au patient. Pansement par Ialugen et Adaptic Contrôle dans 48h aux urgences et réfection du pansement Pansement pour guérison par 2ème intention Td-Pur 1x Pansement régulier Pansement simple Pansement Ne souhaite pas de vaccin contre le tétanos Pansinusite aiguë Pansinusite unilatérale gauche le 27.10.2018 (Scedosporium apiospermum complexe) • cellulite péri-orbitaire, abcédation débutante péri-orbitaire, hypoesthésie V2 + atteinte III • sinusotomie maxillaire moyenne gauche, ethmoïdectomie partielle gauche le 31.10.2018 (HUG, Dr. X) Polypectomie par voie endoscopique colique en 2013 Fracture diaphysaire non-pathologique du fémur G le 21.09.2015 • réduction ouverte, OS diaphyse fémur G par plaque LCP 4,5 large courbée, 18 trous (OP le 22.09.2015) Ostéosynthèse fracture fémur G en 2005 (Dr. X) Hernie inguinale droite opérée en 1989 Multiples OST d'allongement fémur G pour asymétrie congénitale des MI, dans l'enfance Pansinusite. DD : céphalées en grappe. Pantoprazol dès le 06.04.2019 Pantoprazol 40 mg 2x/j depuis le 08.02.2019. Pantoprazol 40 mg/j pendant 7 jours pantoprazol 40mg 1x/jour pendant 2 semaines contrôle dans deux semaines à la permanence laboratoire à pister Pantozol et Motilium. Rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires le 26.04.2019 à 10h pour contrôle clinique et restitution des résultats d'imagerie et d'analyse. Pantozol 40 mg aux urgences, puis reprise du traitement avec Pantozol 40 mg 2x/jour. Pantozol 40 mg durant 15 jours. Pantozol 40 mg Gargarisme pour gorge Pantozol 40 mg iv Pantozol 40 mg po Pantozol 40 mg 1 comprimé le matin à jeûn pendant 2 semaines. Contrôle chez le médecin traitant le 16.04.2019. Patient instruite des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Pantozol 40mg avec évolution favorable. 1 cp de Pantozol 40mg à prendre demain matin. Pantozol 40mg 2x/j jusqu'au 23.04.2019 Panzotol 20 mg, Dafalgan 1 g EKG : regelmässiges normokardes Sinusalrythmus, Axis links, Onde P im Normbereich, PR im Normbereich, QRS normal, keine Conductionstörung, T onde negaiv in v1-v3 Konkordant mir dem QRS, onde U, keine ST Hebunge, QTc : 397 ms Labor : CRP 14 mg/l, Leuko 9,8 G/l, lipase 22 U/l, Alk Phophatase 80 U/l, ALAT 109 U/l, ASAT 118 U/l, GGT 94 U/l, Bili direkt 7,6 umol/L US : organisé aujourd'hui en Freiburgspital PAP de contrôle dans 6 mois. PAP du 19.02.2018 : LSIL, HPV-HR (16) positif, CINtec plus positif PAP du 17.10.2018 : LSIL, ASC-H Biopsies du col à 12h et 6h et CEC du 17.12.2018 : focalement HSIL, CIN 2 suspectée mais qui ne peut être formellement affirmée.Sérologies 02/2018: sans particularité, Hépatite B guérie. • Papule à la pommette gauche inflammée. • Papule au niveau frontal droit d'environ 3 mm, sans rougeur autour, pas de pus. • Papules avec œdème de la lèvre supérieure sur piqûre d'insecte, sans signe de gravité le 18.04.2019. • Par ailleurs les anciens bilans biologiques montrent un facteur rhumatoïde légèrement augmenté 16 UI/ml (normal < 14) et un Anticorps anti-nucléaire également légèrement élevé 1:320 (normal < 80), nous vous suggérons donc d'évaluer la nécessité d'une consultation de rhumatologie. • Par rapport à la fracture de l'humérus proximal, on pose maintenant l'indication à l'ablation de 2 clous de Prévôt. Il est informé des risques et sa maman a signé un consentement éclairé. Pour le dos, on décide de faire un traitement symptomatique. On refera le point sur la situation lors du prochain contrôle clinique postopératoire. • PAR sous Methotrexate et Cymthia. • PAR sous traitement de Prednison 5 mg, Methotrexat 15 mg 1x/sem. • Paracétamol, Ecofenac gel, Mydocalm. • Paracétamol en R. Si persistance dans 48 h reconsulte, si péjoration malgré antalgie reconsulte. • Paracétamol et Ibuprofen en R. • Paracétamol iv + Tramadol gouttes 50 mg per os. ECG : rythme sinusal régulier, absence d'anomalie ST et de trouble de la repolarisation. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Radiographie du thorax : absence de foyer pulmonaire. Attitude : • Antalgie. • Retour à domicile. • Signes de reconsultation expliqués à la patiente. • Paracétamol 1 g, Voltarène 50 mg. • Paracétamol 1 g et Brufen 600 mg au tri. Dafalgan et Brufen en réserve. • Paracétamol 1 g, Ibuprofène 600 mg, Mydocalm 150 mg. Physiothérapie. • Paracétamol 1 g pos, Voltarène 50 mg pos. Patiente partie sans consultation médicale. • Paracétamol. • Feniallerg. • Soins de la peau. Retour à domicile avec consignes de surveillance. PET-CT (02.04.19): pas de foyer infectieux retrouvé. Hémocultures (03.04.19): négatif. Stix et sédiment urinaire (03.04.19): pas d'argument pour un foyer infectieux urinaire. • Parage de la plaie : Dr. X, désinfection locale, champage, ALR par Lidocaïne 1%, pose de 2 fils 4/0 résorbables, pas de complication post geste. Attitude : • Antibiothérapie préventive par Co-Amoxicilline 1 gr X 2/24h pendant 5 jours. • Conseil d'usage expliqué à la patiente par le médecin. • Parage de la plaie, désinfection locale, champage, 2 points de suture au Prolène 4.0, pansement. Retour à domicile. Réassurance. Feuille de surveillance pour traumatisme crânien donnée au patient avec explications. Conseils d'usage. Ablation des fils à 8 jours. • Parage de la plaie (Dr. X) : pose de 8 agrafes. Attitude : • Retour à domicile. • Antalgie. • Ablation des agrafes le 17.04.2019 au secteur ambulatoire des urgences. • Parage de la plaie (Dr. X): désinfection locale, champage, anesthésie locale par Lidocaïne 1%, 2 points de suture au Vicryl 4.0 (avec explications données par le médecin au préalable), pas de complication post-geste. Retour à domicile avec conseils d'usage. Traitement symptomatique. Conseil de se représenter au secteur ambulatoire des urgences le 27.04.2019 pour la réalisation d'un constat de coup. • Paralysie cérébrale congénitale (IMC) avec : • Tétraspasticité prédominant MI. • Apraxie oculomotrice modérée avec bonne coordination visuo-manuelle (ralentie), légère dysarthrie. • Troubles neuro-cognitifs. • Aplasie de l'articulation huméro-radiale proximale avec subluxation et flexum du coude, hypoplasie rotulienne bilatérale. • Intervention neuro-orthopédique: ténotomie psoas droit antérieur, abaissement rotulien D et G, ténotomie D interne basse du côté G, arthrodèse de Chopart et allongement des tendons d'Achille par ténotomie bilatérale. • Moyens auxiliaires : kay walker, fauteuil roulant avec possibilité de verticalisation. • Paralysie de la corde vocale G en position semi-ouverte sur atteinte du nerf laryngé-récurrent le 27.03.2019. • Paralysie du IV pair droit. • Paralysie du nerf radial G post-traumatique/postopératoire du 15.03.2019. • Paralysie faciale. • Paralysie faciale D en 2015. Status post appendicectomie et amygdalectomie dans l'enfance. Infarctus du rein D avec traitement anticoagulant en 2000 au Portugal (circonstances peu claires). • Paralysie faciale droite isolée en 2014. Tumeur bénigne sein gauche en 1990. Kyste sébacé en 2013. Entorse LLE genou gauche. • Paralysie faciale gauche en 1996. • Paralysie faciale idiopathique en 2012. Pneumonie acquise en communauté en 2008. • Paralysie faciale périphérique. • Paralysie faciale périphérique, avec atteinte du nerf facial VII et nerf vestibulaire VIII. Suspicion de syndrome de Ramsay-Hunt. • Paralysie faciale périphérique (DD: borréliose, idiopathique). • Paralysie faciale périphérique (DD: paralysie de Bell). • Paralysie faciale périphérique de l'hémiface gauche, stade IV selon échelle de House-Brackmann. • Paralysie faciale périphérique droite d'origine probablement idiopathique le 18.08.2013 avec Kératite sèche œil droit. Fracture de la jonction tiers moyen - tiers distal de la clavicule gauche, peu déplacée. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 05.08.2014. Laboratoire, ECG. Rx du thorax le 05.08.2014. • Paralysie faciale périphérique droite d'origine probablement idiopathique le 18.08.2013 avec Kératite sèche œil droit. Status post-fracture de la jonction tiers moyen - tiers distal de la clavicule gauche, peu déplacée. Status post-borréliose 08/2013. • Paralysie faciale périphérique (légère selon House-Brackmann) : • virale. • Lyme (1ère sérologie douteuse, confirmation par WB : positif pour B. garinii IgM). • post-traumatique (rare). • Paralysie idiopathique (charles Bell). • Paralysies faciales récidivantes du côté gauche. Fracture sus-capitale humérus G, traitement conservateur. • Paraplégie complète au niveau sensitif L2 et moteur L1 à droite, niveau sensitivo-moteur D11 à gauche avec zone de préservation partielle motrice de L2 des deux côtés, sensitive au niveau L3 à droite et D12 à gauche après lésion destructrice suite à un tir de fusil de chasse dans la zone lombaire en novembre 2009 (suivie par Dr. X). • Pas d'anticoagulation prophylactique à domicile, utilisation de bottes anti-thrombotiques. Intestin neurogène avec évacuation manuelle des selles. Vessie neurogène, avec sonde sus-pubienne à demeure. Cystocèle et hystérocèle stade 2-3. Dolicho-côlon à prédominance sigmoïdienne. Gastrite chronique avec hernie hiatale (OGD septembre 2014). Obésité stade 2. Troubles neuro-cognitifs modérés, d'origine indéterminée. Cardiopathie valvulaire mitrale avec : • valve mitrale normale. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/3), d'origine dégénérative. SOR de l'IM à 0,18 cm². • FEVG à 68 %. Multiples infections pulmonaires en 2017 et 2018. Gastrite chronique avec hernie hiatale (OGD septembre 2014) Obésité stade 2 Troubles neurocognitifs modérés, d'origine indéterminée Cardiopathie valvulaire mitrale avec • Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/3), d'origine dégénérative. SOR de l'IM à 0,18 cm². • FEVG à 68 % Multiples infections pulmonaires en 2017 et 2018 Paraplégie de naissance (Spina Bifida). Hypertension artérielle traitée. Infections urinaires à répétition chez une patiente avec cystofix à demeure. Paraplégie flasque progressive sur neuropathie sensitivomotrice amyotrophiante à prédominance distale de probable origine héréditaire avec : • Forte suspicion de maladie de Charcot-Marie-Tooth de type I initialement bilantée à l'Inselspital en 2011 • Cypho-scoliose modérée paralytique • Chutes à répétition sur lâchages des genoux • Steppage bilatéral important et boiterie de Trendelenburg prédominant à D Paraplégie incomplète après une ischémie de la moelle épinière en novembre 2014 • cystofix depuis 2014 Parésie à M1 au membre inférieur gauche (articulation hanche et genou) le 01.04.2019 DD : infiltration tumorale Parésie avec hypoesthésie L5 D le 21.03.2019. Parésie congénitale droite. Parésie des membres inférieurs d'origine indéterminée avec atrophie de la musculature fessière, paravertébrale et du psoas DD : suspicion de myopathie (myosite à corps inclus, myopathie aux corticoïdes), trouble neurodégénératif. Investigations réalisées • Sérologies HBV, HCV négatives, électrophorèse des protéines : absence de bande oligoclonale • Labo : CK sp, bilan phosphocalcique, vit D sp, tests hépatiques sp, TSH sp (2018), VS 13 mm/h, CRP < 5 mg/l, cortisolémie basale sp, DOT vasculite, connectivite, myosite et protéine cytoplasmique négatives • IRM lombaire du 27.02.2018 : discopathies et arthrose postérieure étagées sans conflit radiculaire, rétrécissement du canal lombaire en un seul niveau (L4-L5) • IRM cérébrale et cervicale du 03.05.2018 : Atrophie cortico-sous-corticale modérée et discrètes lésions dégénératives d'origine vasculaire, ostéochondrose multi-étagée cervicale. • IRM des cuisses 05.03.2019 : pas d'argument pour une myosite, atrophie, dégénérescence adipeuse en particulier de la musculature fessière, épanchement bilatéral des genoux G>D • ENMG des MI du 12.10.2018 : atteinte myogène et de façon moins nette neurogène de la musculature proximale Parésie des membres inférieurs. Parésie des MS Parésie faciale. Parésie faciale droite périphérique, 3ème récidive. Parésie faciale gauche de Bell avec ptoses labiale et palpébrale d'origine indéterminée le 25.06.2018 Parésie faciale induite par varicelle DD idiopathique, parésie faciale DD idiopathique, parésie DD Bell-Facialis, 21.12.2017, status post Zona en 2007 Trouble de la marche et de l'équilibre, 26.12.2017 Kératoconjonctivite œil droit, 25.12.2017 Parésie faciale. Maladie épileptique structurelle. Chutes à répétitions sur strabisme convergent sur parésie oculomotrice et cécité droite (depuis l'accident de 1980). Parésie MSG Parésie transitoire du membre supérieur droit le 19.04.2019 probablement dans le contexte de l'hyponatrémie DD : AIT artério-artériel Paresthésie Paresthésie articulaires d'origine indéterminée. DD : rhumatologique, fonctionnel. Paresthésie dans le MSD Paresthésie de MI et MS le 14.04.2019 DD : Guillain-Barré, médicamenteux Paresthésie des extrémités probablement post-chimiothérapie Perturbation des tests hépatiques avec douleurs hypochondre droit DD : Revlimid, Cholelithiase, infiltration médullaire Anémie à 78 g/l macrocytaire normochrome Thrombopénie à 20 G/l Paresthésie des mains d'origine peu claire DD : sur diagnostic principal Paresthésie du membre supérieur gauche d'étiologie indéterminée. DD : épilepsie partielle. DD : AIT. Paresthésie du pied droit. Paresthésie du pied droit et point douloureux sous scapulaire gauche d'origine indéterminée sans critère de gravité. DD • poplité externe. • atteinte neurologique centrale. • polyneuropathie périphérique : peu d'argument car asymétrique. • origine discale : peu d'argument. Paresthésie du territoire de L5 membre inférieur droit non déficitaire. DD : syndrome radiculaire, psychogène. Paresthésie hémicorps droit. Paresthésie hémicorps droit avec : • hypoacousie droite • baisse de l'acuité visuelle à droite • céphalée pariétale-occipitale Diagnostic différentiel : sclérose en plaques, trouble fonctionnel. Paresthésie possiblement d'origine médicamenteuse. DD : hernie cervicale C7 gauche. Paresthésie transitoire de la jambe droite et D5 pied gauche d'origine indéterminée le 15.04.2019. Paresthésies Paresthésies. Paresthésies de la main droite. Paresthésies de la tête et des doigts le 09.04.2019 d'origine indéterminée. Paresthésies de probable origine médicamenteuse avec composante anxieuse le 05.04.2019. Paresthésies du membre inférieur gauche d'origine indéterminée. Paresthésies du membre supérieur gauche et membre inférieur gauche. Examen neurologique : pupilles isocores/isoréactives, nerfs crâniens sans particularité, force et sensibilité sans particularité, réflexes ostéo-tendineux symétriques, pas de méningisme, épreuves cérébelleuses sans particularité, Barré et Mingazzini tenus. Ad CT : pas de lésion corticale ou sous-corticale, pas d'anomalie des vaisseaux pré-cérébraux. ECG : rythme sinusal régulier, pas de trouble du rythme ou de la repolarisation. Ad avis neurologique Dr. X. Paresthésies et fourmillements dans le dermatome C7 gauche depuis 2 mois sur : • status post spondylodèse C4-C5 avec plaque CSLP et cage Tryptik le 22.07.2010 pour fracture C4-C5 type B avec lésion disco-ligamentaire. Paresthésies et fourmillements en aggravation au niveau des deux MS sur : • hémangiome agressif D1, stable sans compression médullaire (IRM du 11.04.2019) • uncarthrose cervicale pluri-étagée, sans atteinte radiculaire • syndrome du tunnel carpien DD Paresthésies fonctionnelles. Paresthésies interdigitales II-III du pied DD DD : névrome de Morton Paresthésies intermittentes de l'avant-bras gauche et de la jambe gauche le 24.04.2019. Paresthésies symétriques des MS en péjoration dans le contexte de la polyneuropathie sensitivomotrice marquée connue dans le contexte de son diabète • consultation neurologique Dr. X en 2018 DD : diabète, manque vitaminique Parotidite à gauche le 06.07.2017. Suspicion fracture costale C9 gauche suite à traumatisme direct le 23.09.2017.Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 22.10.2018 : • patient asymptomatique aux urgences. Gastro-entérite sans Red Flags le 05.12.2018. Parotidite bactérienne droite à Streptococcus parasanguinis, Staphylococcus epidermidis, Streptococcus mitis, traitée Co-Amox 6 jours, bains de bouche et hydratation en mars 2019. Infection urinaire basse sur prostatite chronique le 03.04.2015 avec : • TURP par Dr. X le 05.03.2015 pour hypertrophie bénigne prostatique obstructive, confirmée à l'histologie, favorisant des récidives infectieuses sur stagnation d'urine. Insuffisance respiratoire partielle le 21.02.2015 : • sur probable pneumonie basale droite • avec décompensation asthmatique stade III. Mycose orale en 2013. Opération épaule droite en 2006 (HFR Fribourg) avec surinfection à Staphylococcus et résection de la tête humérale (douleurs chroniques à l'épaule droite). Brûlure œil gauche. Parotidite gauche en août 2018. Parotidose gauche sur probable sialolithiase. Douleur thoracique gauche d'origine probablement musculaire le 26.02.2018 DD : pleurite. Paroxétine 20 mg x1/jour Consilium psychiatrique du 17.04.2019 : séjour long avec suivi après sage-femme à domicile et psychologue au RFSM Rendez-vous chez le psychologue le 29.04.2019 à 11h00 (Mme. Y) au RFSM Pas connue. Pas d'élément pour une cause chirurgicale de maux de ventre actuellement. Pas d'ablation de fils (résorbables). Contrôle régulier du pansement chez MT Contrôle radio clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-op. Pas d'antécédents chirurgicaux. Pas d'antécédents médicaux (pas d'asthme ou de terrain allergique). Status post coelioscopie exploratrice pour recherche d'endométriose (négatif). Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antibiothérapie. Pas d'antibiothérapie d'emblée selon avis orthopédique. Pas d'antibiotiques pour le moment. Réévaluer avec Dr. X pour la suite de la prise en charge. Pas d'argument clinique pour pneumothorax, infection pulmonaire ou origine cardiaque. Reconsultation au besoin. Pas d'argument pour un érysipèle ou une cellulite, traitement antalgique et anti-inflammatoire. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Explications données à Mr. Y par le médecin sur les situations où il faudra reconsulter avant les urgences. Pas d'argument pour un phlegmon ni d'abcès. Mr. Y sera revu à 24h pour un ultrason à la recherche d'un reste du corps étranger. Pas d'argument pour une incision ce jour. Retour à domicile. Réévaluation en ambulatoire par chirurgien de la clinique Daler (vu avec Mr. Y). Conseils de se représenter aux urgences si péjoration des symptômes et/ou fièvre. Pas d'argument pour une origine cardiaque des douleurs ni pour une embolie pulmonaire. Reconvocation à la filière des urgences ambulatoires demain pour un US doppler pour suspicion de thrombose veineuse profonde bilatérale, prédominant à gauche (à écarter). Mme. Y rentre à domicile sous Xarelto 15 mg qui sera réévalué après l'US. Pas d'argument pour une origine cardiaque. Régression des douleurs sous AINS. Retour à domicile avec antalgie + AINS. Mme. Y est invitée à reconsulter si apparition de nouveaux symptômes ou aggravation de la symptomatologie actuelle. Pas d'argument pour une réalisation d'une incision au vu du caractère inflammatoire de l'hémorroïde sans présence de thrombose. • Retour à domicile. • Conseil de réévaluer en ambulatoire avec le proctologue (coordonnée donnée à Mr. Y). • Poursuite du traitement symptomatique. Pas d'arguments cliniques pour EP avec des douleurs reproductibles à la palpation. Au vu de l'ECG et Rx thorax rassurant et de l'amélioration des symptômes après antalgie, Mr. Y rentre à domicile. Nous donnons aux parents les consignes de consulter en cas de péjoration. Au vu de l'inquiétude parentale concernant la mutation du facteur V de Leyden, nous proposons de rediscuter avec les parents la suite de la prise en charge. Pas d'arguments pour fracture, infection ou inflammation. Amendement des douleurs après Irfen. Reconsultation si récidive et absence d'amélioration avec traitement conservateur. Pas d'arguments pour sténose du pylore vu l'âge et la clinique. Traitement symptomatique. Suivi de l'hydratation. Reconsultation si péjoration de l'état général. Pas d'ATCD au niveau du genou D. Pas d'ATCD au niveau du genou G. Pas d'ATCD médico-chirurgicaux relevants. Pas d'attitude active de ma part. Je me tiens à disposition. Mr. Y me recontactera en cas de rechute de douleurs. Pas d'attitude active de ma part. Prescription d'un traitement anti-inflammatoire local et par Flector et Traumaplant Crème. Contrôle chez moi au besoin. Pas d'Avis hématologique au vu des résultats de la prise de sang rassurants. Contrôle du 12.04.2019 (Dr. X) : Elle se rappelle être tombée à la rythmique sur le genou. Bonne évolution de l'hématome, pas de douleurs ni au repos ni aux mouvements. Status : hématome sous-patellaire de 2x4 cm en voie de décoloration, pas de douleurs à la palpation, mobilité du genou libre. Bilan : tous les tests de la coagulation réalisés reviendront en ordre. Pas de changement des dates de contrôle prévues. Réfection des pansements plusieurs fois par jour en cas d'écoulement. Rinçage 2x/j sous la douche pour nettoyage mécanique avec le pommeau de douche. Pas de changement du traitement. Pas de changement du traitement. Rendez-vous de contrôle le 18.05.2019 à 9h chez Dr. X, neurologue traitant. Pas de CMV urinaire car PC au P10-25. Pas de collection suffisante pour justifier une incision-drainage, dans ce contexte nous convoquons Mr. Y pour un contrôle clinique à la policlinique de chirurgie jeudi prochain le 18.04.2019. Pas de conduite durant 1 mois. Traitement antihypertenseur à adapter. Holter de 72h à organiser. Discuter réalisation d'un bilan à la recherche d'hypertension secondaire. Polysomnographie nocturne à prévoir. Pas de conduite pendant 3 mois. Bilan neuropsychologique : prévu en ambulatoire. Duplex des vaisseaux précérébraux : prévu le 09.05.19 à 17h20. Consultation neurovasculaire de contrôle le 30.07.19 à 17h00. Pas de contrôle biologique ce jour car pas de nouveau foyer infectieux à l'anamnèse et au status. Rediscuter bilan biologique à distance de l'événement. Pas de contrôle biologique en raison d'une nette amélioration des symptômes, avec disparition totale des vomissements/diarrhée, et quasi disparition des douleurs abdominales. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter. Pas de contrôle prévu. Reconsulter si mauvais état général. Pas de critère de radiographie. Pas d'immobilisation. Ne souhaite pas d'antalgie. Pas de critère d'Ottawa. Attitude : retour à domicile avec traitement symptomatique. Protocole Rice. Prescription de physiothérapie et bande élastique. Contrôle chez le médecin traitant à 7 jours. Explications données à Mr. Y par le médecin sur les situations où il devra reconsulter avant les urgences. Pas de critère OTAWA pour cheville, ni pour pieds : pas de radiographie. Marche possible. RICE Bande élastique. Contrôle chez le médecin traitant si pas d'amélioration. Arrêt de travail. Pas de déshydratation. Stimuler l'hydratation. Si persistance des diarrhées, ou augmentation, essayer de couper le lait avec de l'eau. Poursuite perenterol sachet. Pas de feniallerg car probablement éruption virale et ne semble pas inconfortable. Pas de fonctions pulmonaires (effectuées 21.03.2019 chez Dr. X). Traitement actuel : • Mode d'application de pression : BiPAP • Machine : Lumis 150 VPAP ST-A • Masque : mirage quattro M Statistiques ResScan du 11.02. au 07.04.2019: 15 jours de non-utilisation, utilisation moyenne quotidienne 5h30, 74% des jours employés >4h, fuites médianes 1.2 l/min, fuites au 95ème centile 16.8 l/min, volume courant médian 580 ml, volume courant au 95ème centile 1190 ml, ventilation minute médiane 10.6 l/min, ventilation minutes au 95ème centile 16.6 l/min, fréquence respiratoire médiane 16/min, fréquence respiratoire au 95ème centile 20/min. Polygraphie nocturne sous VNI et 3.5 l/min d'O2 du 08.04. au 09.04.2019: IAH 10.8/h avec 85 événements (78 hypopnées, 3 apnées obstructives, 4 apnées centrales), IDO 9.2/h, ronflements 49%, SpO2 moy 86.4%, durée SpO2 < 90% = 97%, pouls moyen 66 bpm. Statistiques ResScan du 08.04. au 09.04.2019: fuites médianes 19.2 l/min, fuites au 95ème centile 50.4 l/min, volume courant médian 800 ml, volume courant au 95ème centile 1380 ml, ventilation minute médiane 12.6 l/min, ventilation minutes au 95ème centile 19.5 l/min, fréquence respiratoire médiane 14/min, fréquence respiratoire au 95ème centile 18/min. Capnographie sous VNI et 3.5 l/min d'O2 du 08.04. au 09.04.2019: SaO2 moy 89.6%, pCO2 moyenne 6.2 kPa. Gazométrie artérielle au repos à l'AA au réveil le 09.04.2019: pH 7.47, PaCO2 4.3 kPa, PaO2 8.7 kPa, HCO3- 23 mmol/l. Poursuite avec réglages actuels: Lumis 150 VPAP ST-A, EPAP 4 cm H2O, IPAP 20 cm H2O, FR 14/min, Ti min 0.4s, Ti max 1.5s et majoration de l'O2 nocturne à 3.5 l/min. Pas de laxatif en même temps que les antibiotiques mais contrôle chez le médecin traitant après la fin du traitement. Pas de lésions liées aux faits. Fugue de l'hôpital pour rejoindre le domicile, police avertie. Mise en sécurité organisée par la police cette nuit, audition prévue demain. Pas de lésions suspectes visibles. Pas de manoeuvre de réanimation, Apgar 9/9/10. pH à 1h de vie à 7.26, lactates 8.3. FSC : Lc 20.5 G/l, Hb 182 g/l, Tc 209 G/l. CRP < 5. Gazométrie : coagulée. Pas de médication régulière, pas de maladie connue. Tabac environ 6 cigarettes/jour. Suspicion de BPCO (toux chronique). Pas de mesure particulière. Attitude expectative. Le patient me recontactera si les problèmes ne sont pas réglés d'ici 3 mois. Pas de notion de vaccin pour bactéries encapsulées (pneumocoques, méningocoques) : à vérifier auprès du médecin traitant. Pas de nouveau bilan biologique effectué aux urgences. Retour à domicile (pour détail, cf. synthèse). Pas de nouveau contrôle prévu mais nous restons à disposition en cas de besoin. Pas de photothérapie. Pas de problème depuis la naissance, coupure du frein de langue le 06.03. Pas de prophylaxie thromboembolique. Suivi biologique. Pas de radiographie ce jour. Pas de récidive. Pas de signe de gravité ni de péjoration des symptômes. Poursuite du traitement symptomatique. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Pas de signe de surinfection au niveau du pouce, ni de fracture. Poursuite des changements de pansements par le patient. Prochain contrôle clinique chez le médecin traitant. Pas de soin nécessaires. Pas d'indication à un geste chirurgical en urgence au vu de l'absence de thrombose. Retour à domicile. Traitement symptomatique. Réévaluation en ambulatoire chez le Dr. X pour la suite de prise en charge. Pas d'infection urinaire. Traitement symptomatique (Normolytoral et Itinerol). Consignes habituelles de surveillance gastro-entérite. Pas d'investigations complémentaires. Pas d'oedème. TA normale. Contrôle chez le pédiatre en fin de l'épisode infectieux. Pas d'opération, ni d'hospitalisation. Probable abcès dentaire (dent n°84). Amoxicilline 800 mg 2x/j durant 7 jours. Dafalgan et Algifor en R si douleurs. Contrôle chez le dentiste à 48h. Pas de suture. Colle biologique. Pansement simple. Rappel tétanos. Pas fais aujourd'hui. Pas possible de la transférer à Marsens car OH. Avis pédopsy: cf consilium. Initialement perfusée, la patiente demande un arrêt de la perfusion. Tox urinaires négatifs (sauf BDZ, traitement habituel). Passage à Aptamil AR 136 ml/kg/j soit 75 ml 8x/j. Re consulte si pas d'amélioration après quelques repas. Passage au pregomin en alternance avec le lait de chèvre (par exemple 3 biberons de lait de chèvre aujourd'hui, 2 demain, 1 après-demain puis pregomin uniquement).contrôle clinique au besoin • Passage de Spitex 2x/j • Physiothérapie en ambulatoire • Contrôle à 6 semaines au Team membres supérieurs (24.04.19 à 11h 20, Dr. X) • Passage de 75 mcg/j à 100 mcg/j le 26.03.2018 1j/2 en alternance • Suivi biologique : TSH à 2.01 mU/I le 15.04.2019 • Contrôle en ambulatoire à 3 mois • Passage en BAV de haut grade avec pause de 6 secondes post-coronarographie le 28.03.2019 • Passage oeso-gastro-duodénal : après recueil du consentement éclairé du patient, nous injectons environ 50 ml de Iopamiro 300 à travers la sonde de gastrostomie. Celle-ci est bien en place dans l'estomac. Il n'y a pas de fuite dans la cavité péritonéale. Après mobilisation du patient en décubitus latéral D, on ne visualise pas de fuite de produit de contraste dans la cavité péritonéale ou le long du trajet de la sonde. À noter que le ballonnet n'est pas plaqué contre la paroi de l'estomac. En fin d'examen, le produit de contraste a circulé dans le duodénum. CONCLUSION : la sonde mise en place par le trou de gastrostomie se situe dans l'estomac. Pas de fuite intrapéritonéale. Ballonnet à plaquer contre la paroi de l'estomac. (Dr. X). • Passage post-intubation en dissociation électromécanique Reanimation cardiopulmonaire = 800 mcg d'ADRENALINE, RCP de 1 min reprise d'un rythme sinusal. Discussion confraternelle Dr. X, Dr. X, Dr. X = si arrêt cardiaque, pas de reanimation invasive Dissociation électromécanique n° = reprise d'un rythme sinusal post-administration de 800 mcg d'ADRENALINE sans RCP • Passages transitoires en tachycardie supraventriculaire jusqu'à 205/min le 29.04.2019, avec probable fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide intermittente. • Patch nicotine 21 mcg/24h • Suivi avec Dr. X • Patch Nicotinell Force 2 • Patch Nicotinell léger 1x/24h. • Pathologie avec NGS (Promed P2019.3654) • Pathologie dépressive traitée par Efexor et Temesta. • Pathologie plasmocytaire monoclonale à IgA lambda avec suspicion non confirmée d'amyloïdose (2015) • Polyneuropathie longueur dépendante sensitivo-motrice à prédominance axonale (Dr. X, neurologue et Dr. X, centre des douleurs) IRC stade G3b/A2 selon KDIGO 2009 (connu) • 29.3 mL/min/1.73 m² selon CKD-EPI (05.03.2019) • Atrophie rénale corticale bilatérale et cicatrices corticales bilatérales d'origine incertaine (DD : amyloïdose) • Suivi par Dr. X, néphrologue Cardiopathie hypertensive et rythmique • Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom Syndrome métabolique avec • Obésité de stade 1 • Hypertension artérielle traitée Maladie thromboembolique anticoagulée par Sintrom • Embolies pulmonaires en 2007 et 2011 Hyperplasie bénigne de la prostate Diverticulose sigmoïdienne Sténose lombaire à convexité gauche avec remaniement dégénératif étagé et sténose canalaire sévère en L4-L5 en janvier 2019 • Pathologie psychiatrique x • sp intoxication à drogues (hosp à Marsens en mars 2019) Mr. Y a déjà consulté pour maux de tête, maux de gorge. Symptômes ont augmenté ce jour. Quintes de toux par moment. Otalgies. Ne dort pas la nuit, sudation nocturne. A pris 1 g Dafalgan vers 18h45. Devant l'attente aux urgences HFR Fribourg, le patient préfère aller à Tavel pour consulter. Dr. X averti. Mr. Y admis de l'hôpital de Payerne pour la prise en charge d'un NSTEMI chez un patient présentant des douleurs thoraciques au repos avec des troponines positives au bilan. L'examen invasif en urgence démontre comme corrélat du NSTEMI une progression de la maladie coronarienne avec des lésions subocclusives de la coronaire droite (de novo et in stent de 2002) et des sténoses de la circonflexe et de l'IVA. Je procède à une dilatation avec mise en place de deux stents actifs CD proximale, moyenne et distale. Nous proposons une re-coronarographie dans 4 semaines pour traitement de la circonflexe et éventuellement l'IVA : Aspirine à vie et Efient 10 mg/d pour minimum 9 mois. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y est retransféré à Payerne le 17.04.2019. Mr. Y admis en électif pour la fermeture du LAA en raison d'une FA anticoagulée compliquée d'une hématurie macroscopique récidivante. Comme convenu avec Mr. X, nous avons procédé à une fermeture percutanée de l'auricule gauche. Le contrôle radioscopique, ainsi que le contrôle échocardiographique de l'après-midi démontrent une position stable du device. Comme expliqué à Mr. X, nous proposons la thérapie avec l'aspirine 100 mg/d à vie et le traitement avec le Plavix 75 mg/d pour 1 mois. Une prophylaxie de l'endocardite bactérienne selon la carte orange doit être effectuée jusqu'à confirmation de l'occlusion du LAA, soit jusqu'au contrôle échocardiographique transoesophagien de 6 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre à domicile le 16.04.2019. Mr. Y admis pour une coronarographie élective chez un patient connu pour maladie coronarienne bitronculaire ainsi qu'une sténose aortique modérée à serrée asymptomatique, un syndrome myélodysplasique avec thrombopénie et anémie réfractaire. L'examen invasif du jour confirme un gradient transvalvulaire de 45 mm Hg (identique à l'échocardiographie de Dr. X) au niveau de la valve aortique. Comme démontré par les collègues du CHUV, nous retrouvons la plaque ulcérée et sténosante de l'ACD que nous traitons comme convenu avec un stent actif et un bon résultat immédiat. Selon discussion avec Mr. X et Dr. X, nous effectuerons une TAVI par voie (probablement) transcarotidienne seulement en cas d'apparition de symptômes cardinaux (angor, vertiges/syncope d'effort ou dyspnée). Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour une durée de 3 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Après Mr. Y rentre à domicile le 06.05.2019. Mr. Y admis pour une coronarographie élective chez un patient connu pour une maladie coronarienne avec antécédent de stenting au niveau de l'IVA (1899). L'examen invasif du jour démontre d'une part des bons résultats à long terme après stenting de l'artère interventriculaire antérieure proximale et moyenne, par contre une de novo sténose de l'IVA moyenne et de la bissectrice. La coronaire droite montre des lésions intermédiaires. Je procède à une dilatation avec mise en place d'un stent actif IVA moyenne et PTCA/DES de la bissectrice. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre à domicile le 03.04.2019. Mr. Y admis pour une coronarographie élective dans le cadre d'une décompensation cardiaque chez un patient connu pour un fibrilloflutter chronique et possible tachycardiomyopathie, St.p. pacemaker DDDR. Recherche d'une composante ischémique (cf. rapport du Dr. X). Connue pour une IRC avec clairance estimée à 26 mL/min. L'examen invasif du jour démontre d'une part une sténose serrée de l'IVA moyenne dans le cadre d'une athéromatose ectasiante et d'autre part une discrète amélioration de la fonction VG systolique par rapport à l'échocardiographie dans le cadre de la potentialisation du traitement bêta-bloqueur. Selon discussion avec Mr. X, nous avons effectué une angioplastie de l'IVA avec un stent actif de 4ème génération (étude LEADERS-Free permettant une durée réduite de DAPT à 1 mois). Un traitement de double antiagrégation par Aspirine pour 3 mois et Plavix pour 1 mois est introduit. Reprise anticoagulation orale demain. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 27.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison chez un patient connu pour une FA et maladie sinusale avec mise en place d'un PM, une maladie coronarienne intermédiaire à la coronarographie 2015, présentant actuellement des douleurs thoraciques typiques à l'effort. Comme facteurs de risque cardiovasculaire, nous avons un ancien tabagisme et HTA. L’examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne bitronculaire avec une sténose significative de la Cx distale. De plus, il y a des sténoses intermédiaires de l'ACD proximale, moyenne et distale. La fraction d’éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Après discussion avec Dr. X, nous avons procédé à une angioplastie de la Cx distale avec implantation de 1 stent actif et bon résultat final. Le reste du traitement reste inchangé. Si le patient a encore des douleurs typiques, nous proposons une PCI de l'ACD. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Au vu de l'âge du patient, nous diminuons l'Eliquis à 2,5 mg 2x/j. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 03.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison de malaises et perte de force à l'effort chez un patient connu pour une cardiopathie ischémique avec un IDM inférieur en 2008. ATCD ATC, CD, Première ATC (03/06/2008), Dernière ATC (23/04/2019), Cx + CD, ATCD IDM, IDM sans onde Q, IDM inférieur. L’examen invasif du jour confirme une progression de la maladie coronarienne avec atteinte de tous les trois vaisseaux. Le stent de 2008, par contre, démontre un excellent résultat à long terme. La fonction systolique du VG est normale. Je procède après discussion avec Dr. X à une dilatation de la coronaire droite proximale et de la circonflexe moyenne et distale avec mise en place de trois stents actifs. Le patient sera revu dans trois semaines pour effectuer une PCI de l'IVA. Un traitement de double antiagrégation par Plavix à vie et Aspirine pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 24.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison de DRS hier, troponines positives, sténose aortique sévère (ETT Dresse Stolt). L’examen invasif du jour en urgence exclut une progression de la maladie coronarienne. Les pontages sont toujours bien perméables, la fonction systolique est un peu diminuée (50%). La sténose aortique est actuellement sévère (calculée à 0,95 cm2) et est probablement responsable des symptômes. Nous proposons un bilan TAVI avec un angio-CT le 03.04.2019. Le patient sera convoqué par la suite pour une intervention. Le traitement médicamenteux reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 02.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'un angor d'effort. L'examen du jour montre une lésion monotronculaire avec une resténose significative de l'ostium de l'artère coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. Absence de resténose de l'artère coronaire droite moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif. La fraction d'éjection du ventricule gauche est normale (65%). La ventriculographie gauche montre une hypokinésie modérée diaphragmatique. Nous procédons avec succès à l'angioplastie de l'ostium de l'artère coronaire droite proximale. Implantation de 1 stent actif. Poursuite double anti-agrégation pour 6 mois supplémentaires. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 05.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'un angor instable au moindre effort (CCS III). L’examen invasif du jour démontre une progression de la maladie coronarienne avec subocclusion de la RCx moyenne en aval du stent de 2012, une sténose de 75% en amont du stent de la RCx et une atteinte diffuse de l'ACD, d'ordre intermédiaire (50%). Le résultat dans le stent de l'IVA est excellent. Fonction VG systolique quasi-normale. Comme discuté avec Dr. X, angioplastie de la RCx avec 2 stents actifs et un excellent résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 27.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'un angor instable avec ergométrie doublement positive. L’examen invasif du jour démontre des artères coronaires athéromateuses avec une lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale. La fraction d’éjection ventriculaire gauche est estimée à EF 60%. En raison des troubles anxieux marqués, d'idées suicidaires avec un plan précis du passage à l'acte, il présente également des troubles psychotiques avec un discours incohérent. Nous gardons le patient en observation et demandons un avis psychiatrique. Sous PAFA, le patient est transféré le même jour à l'hôpital psychiatrique de Marsens. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'un angor stable stade II depuis 2-3 mois chez un patient connu pour les commodités et antécédents ci-dessus. Cet examen montre une occlusion de tous les pontages, une occlusion chronique collatéralisée de l'artère coronaire droite, des sténoses de l'artère circonflexe proximale, ainsi que de l'IVA proximale et moyenne moins sévères que celles de l'artère circonflexe. Nous procédons à une PCI/1 DES de l'artère circonflexe proximale se prolongeant dans la 1ère marginale avec un bon résultat final et ajoutons à son traitement du Nitroderm TTS 5 mg. Si l'angor persistait, on pourrait discuter dans un 2ème temps de traiter les sténoses restantes sur l'IVA. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 17.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'un angor typique chez une patiente connue pour une maladie coronarienne tritronculaire, une HTA et un diabète de type 2. L’examen invasif du jour démontre occlusion chronique (CTO) de l'ACD moyenne. La fraction d’éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Après discussion avec Mme. Y, nous avons procédé à une recanalisation et une angioplastie de l'artère coronaire droite distale, moyenne et proximale avec utilisation d'un stent actif et un ballon à élution de paclitaxel. Bon résultat immédiat. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 06.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'un épisode de DRS, une ergométrie sous-maximale chez un patient connu pour un ancien tabagisme, un syndrome métabolique et une anamnèse familiale positive.L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne avec sténoses significatives et très calcifiées de l'artère interventriculaire antérieure proximale à moyenne. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 60%. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale à moyenne avec implantation de 2 stents actifs et fenestration de la première diagonale. Bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 17.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une douleur thoracique apparue le 05.04.2019 chez un patient connu pour une maladie coronarienne tritronculaire s/p pontage en 2005 et un anévrisme de l'aorte ascendante, s/p remplacement supra-coronarien de l'aorte ascendante par prothèse Vascutek Gelweave de 30 mm en 2015. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne monotronculaire avec sténose 50% de l'artère interventriculaire antérieure proximale et un pontage AMIG-IVA qui n'est pas perméable. La sténose de l'artère interventriculaire antérieure proximale n'est donc pas hémodynamiquement significative (FFR=0.97). Les suites post-interventionnelles sont sans complications. Une ETT de contrôle est prévue le 10.04.2019. Le patient rentre à domicile le 10.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une dyspnée en péjoration avec une hypokinésie inféro-latérale à l'échocardiographie. L'examen invasif du jour démontre un bon résultat après PCI de l'IVA proximale/moyenne/distale et branche diagonale. Il y a donc une sténose significative de la marginale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 60%. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie de l'ostium de la marginale avec implantation de 1 stent actif (avec anticorps CD34) avec bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 10.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une dyspnée en péjoration avec une hypokinésie inféro-latérale à l'échocardiographie. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne monotronculaire sévère au niveau de l'ACD (longue lésion 70-90%). L'IVA moyenne montre une lésion intermédiaire. Après discussion avec Dr. X, j'ai procédé à une angioplastie de l'artère coronaire droite proximale avec implantation de 2 stents actifs avec un bon résultat final. Aspirine 100mg 1-0-0 à vie, Plavix 10 mg 1-0-0 pour 6 mois (au minimum 1 mois), reste du traitement inchangé. L'opération pour la carotide si possible sous DAPT. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 09.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une dyspnée et infection pulmonaire sans amélioration par ATB. Hospitalisé à Payerne pour une décompensation cardiaque avec FEVG diminuée et troubles contractiles visualisés le 17.04.2019. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne avec monotronculaire de l'IVA proximale avec sténose excentrique et rupture de plaque mise en évidence à l'OCT. Après discussion avec Mr. Y, j'ai procédé à l'angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale avec implantation de 1 stent actif avec bon résultat final sans thrombose ni dissection. Après transfert sur le lit, courte perte de connaissance après accès de toux, très probablement vagale avec ETT ne mettant pas en évidence de tamponnade et FEVG mesurée à 45% avec trouble connu de la cinétique segmentaire antérieur et septal. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Nous introduisons également une statine et poursuivons le traitement par IEC et anticalcique. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont marquées d'une syncope post-interventionnelle sur probable origine vaso-vagale. L'échocardiographie est superposable à celle réalisée à Payerne (FEVG 45%, hypokinésie segmentaire septale et inférieure. Le reste de la surveillance se déroule sans complications. Le patient rentre à domicile le 19.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une dyspnée NYHA stade II, une suspicion d'une maladie coronarienne avec un test d'effort positif. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne bitronculaire comme corrélat pour les DRS/ la dyspnée. L'IVA moyenne et l'ACD distale montrent des lésions significatives qui ont été traitées aujourd'hui avec 3 stents actifs au total. La fonction systolique du VG est normale. Il reste une lésion intermédiaire au niveau de la CX et une de l'ostium de la première marginale pour laquelle je propose un traitement médical. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 02.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une oppression thoracique, des palpitations et une ergométrie montrant des extrasystoles ventriculaires de haute incidence (probablement de la chambre de chasse D) chez une patiente connue pour une hypercholestérolémie et une HTA. L'examen invasif du jour démontre une sténose significative de l'IVA proximale au niveau de la première diagonale (lésion bifurcation), confirmée par un run d'imagerie (MLA à l'OCT 1.8 cm2). Par contre, la sténose du tronc commun n'est pas significative (MLA à l'OCT 5.2cm2). La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Après discussion avec Mme. Y, nous procédons à une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale avec implantation de 1 stent actif et fenestration de la première diagonale avec bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Nous proposons également l'introduction de Candesartan 8mg 1-0-0 et Bilol 2.5 mg 1-0-0. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 06.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une dyspnée en effort, IRM cardiaque avec ischémie inféro-septale basal chez un patient connu pour syndrome métabolique (diabète type 2, HTA, obésité (BMI 33.3 kg/m2). L'examen invasif du jour démontre un bon résultat après PCI de l'IVA proximale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche s'est améliorée avec une EF à 50%. Comme discuté préalablement avec Mr. Y, angioplastie de la RCx. Nous avons aussi rapidement tenté une désobstruction de la longue occlusion de l'ACD sans succès avec la technique frugale. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé.Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 13.04.2019. Patient admis pour une coronarographie en raison d'un angor instable chez un patient connu pour une maladie monotronculaire avec un ATCD stent actif sur l'IVA en 2015. L'examen invasif du jour démontre des excellents résultats au niveau de l'artère interventriculaire antérieure post-stenting 2015/6/8. Nous réalisons une ETT le 03.04.2019 qui montre une sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Le traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 03.04.2019. Patient admis pour une coronarographie en raison d'un angor instable chez un patient connu pour une maladie monotronculaire avec un ATCD stent actif sur l'IVA en 2015. L'examen invasif du jour démontre des excellents résultats au niveau de l'artère interventriculaire antérieure post-stenting 2015/6/8. Nous réalisons une ETT le 03.04.2019 qui montre une sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Le traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 03.04.2019. Patient admis pour une re-coronarographie élective dans un contexte d'une maladie coronarienne monotronculaire (ACT 2016). Actuellement, le patient se plaint d'une fatigue. L'examen invasif du jour démontre une évolution de la maladie coronarienne avec des lésions bitronculaires avec sténoses significatives de la Cx proximale et moyenne. De plus, il y a une occlusion chronique déjà connue de l'ACD proximale qui est collatéralisée (auto-collatérales). La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 55%. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie de l'artère circonflexe proximale et moyenne avec implantation de 3 stents actifs et bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 24.04.2019. Patient admis pour une re-coronarographie élective. L'examen invasif du jour démontre un excellent résultat après PCI de l'ACD. Comme convenu,angioplastie des deux branches gauches avec deux stents actifs et un bon résultat immédiat. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 13.04.2019. Patient admis pour une re-coronarographie élective S/p NSTEMI inférieur avec PCI de la CD (17/02/2019) avec lésion significative sur l'artère circonflexe chez un patient connu pour une amnèse familiale positive. L'examen invasif du jour démontre un bon résultat après PCI de l'ACD, de l'IVA moyenne et de la bifurcation IVA/1ère diagonale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 55-60%. Comme prévu, nous avons procédé à une angioplastie de la circonflexe proximale et de la bifurcation du TC (IVA/circonflexe) avec implantation de 2 stents actifs, kissing-ballon et bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 10.04.2019. Patient admis, transféré de Payerne pour une coronarographie dans le cadre d'un NSTEMI. L'examen invasif du jour démontre des sténoses significatives de l'ostium de l'IVA, de l'IVA moyenne et de la seconde marginale. De plus, il y a une occlusion chronique de la seconde diagonale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 45%. Après discussion avec Mr. Y, nous procèdons à une angioplastie de la seconde diagonale, une angioplastie de l'IVA ostiale et moyenne et une angioplastie de la seconde marginale avec 4 stents actifs de 4ème génération et bon résultat final. Le choix de ce type de stent permet de diminuer la durée de la double antiagrégation à 1 mois au besoin. Comme expliqué à Mr. Y, nous le convoquerons dans une dizaine de jours pour occlusion percutanée du LAA. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient est retransféré à l'HIB de Payerne le 06.04.2019. Patient adressé au CPS. Patient adressé par Dr. X pour un épisode d'hémoptysie suite à l'introduction du xarelto pour une thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche. Pour rappel, Mr. Y présente depuis plusieurs jours une gêne au niveau du membre inférieur gauche. Une thrombose veineuse profonde est diagnostiquée. Un traitement par Xarelto est introduit. La nuit suivante, le patient présente un épisode d'hémoptysie. A l'entrée, les paramètres sont dans la norme. Au status, nous observons un mollet gauche algique et œdématié. Un CT thoraco-abdo-pelvien montre des embolies pulmonaires segmentaires et sous-segmentaires avec un petit infarctus pulmonaire. Nous introduisons une anticoagulation par Eliquis à poursuivre minimum pendant 6 mois. Nous laissons au médecin traitant le choix de poursuivre l'anticoagulation à vie ou de l'arrêter après ce délai. Si vous deviez arrêter l'anticoagulation après 6 mois, nous vous recommandons de reprendre le traitement par Aspirine au vu de la cardiopathie ischémique multi-stentée. Nous proposons également d'organiser une colonoscopie en ambulatoire au vu de l'alternance du transit et de l'embolie pulmonaire d'origine peu claire. Au niveau néphrologique, Mr. Y est connu pour une insuffisance rénale chronique d'origine rénale avec une clairance à 40 mL/min. Nous hydratons le patient, proposons un suivi biologique et des investigations néphrologiques si les valeurs devaient rester pathologiques. Au niveau hématologique, nous constatons une anémie sur une carence en vitamine B12. Nous introduisons une substitution par voie sous-cutanée quotidienne et proposons au médecin traitant de poursuivre ces injections une fois par semaine. Mr. Y rentre à domicile le 14.04.2019. Patient adressé par les urgences de l'HFR Riaz suite à un écrasement de Dig II G dans une presse industrielle de fromagerie le 25.03.2019. Les investigations mettent en évidence le diagnostic susmentionné. L'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 25.03.2019, sans incident. Antibiothérapie par co-amoxicilline i.v. jusqu'au 27.03. puis p.o. à poursuivre à la sortie. Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Les plaies opératoires présentent un minime écoulement séreux, présence d'une fine croûte noirâtre avec aspect nécrotique côté dorsal, bonne vascularisation côté ventral. Retour à domicile le 30.03.2019. Patient adressé par son médecin traitant pour une lithiase urinaire avec douleur abdominale évoluant favorablement après évacuation du calcul. Au laboratoire, on note un léger syndrome inflammatoire avec leuco au sédiment urinaire. Dans ce contexte de lithiase, malgré la disparition des symptômes, un traitement par Ciprofloxacine 500 mg x2 pour 7 jours est introduit. Le patient peut rentrer à domicile.Patient avec antécédent de neutropénie dans le contexte d'une virose, qui se présente pour éliminer une récidive pour cause de fatigue depuis 2-3 jours. Laboratoire et statut : normaux. Patient connu pour de multiples fractures (aurait déjà eu 12 fractures dans le passé, des fractures pas seulement de fatigue, mais aussi au cours de traumatismes minimes). Il a déjà été hospitalisé au CHUV en 2015 pour exploration de ces fractures, mais pas d'étiologies retenues. Migraine traitée par Novalgine en R, pas de traitement de fond. Patient connu pour des douleurs chroniques suivies par le centre de la douleur à Lausanne avec composante psychogène majeure se présentant aux urgences pour persistance de douleurs thoraciques quotidiennes habituellement transitoires (cédant sous Temesta) et explorées en cardiologie. Pas d'argument pour un évènement cardiaque. Retour à domicile après réassurance du patient. Patient connu pour des vertiges chroniques sous betahistine qui chute la nuit alors qu'elle se levait pour aller aux toilettes dans des circonstances encore peu claires. Elle s'est réveillée à terre avec des douleurs importantes au niveau de l'aine. Elle réussit à ramper jusqu'à son lit et y passe le reste de la nuit. Le matin du 28.3., elle parvient à se lever et à marcher mais présente des douleurs importantes à la charge toujours au niveau de l'aine, raison de sa consultation aux urgences. Aux urgences, une radiographie du bassin et des hanches et un scanner du bassin ne mettent pas de fracture en évidence. Un avis orthopédique est demandé (Dr. X) qui ne préconise pas de traitement particulier. Le bilan radiographique est complété par une radiographie de la colonne lombaire qui met en évidence un tassement L1 mais pas de fracture en regard des vertèbres douloureuses. Dans le cadre de la chute dans des circonstances peu claires, nous réalisons un laboratoire qui permet d'exclure un trouble électrolytique ou des signes d'inflammation. Un sédiment urinaire revient négatif. De plus, nous réalisons un Schellong qui revient négatif. Nous instaurons un traitement de co-dafalgan et elle peut rentrer à domicile après 3 jours d'hospitalisation. Dans le cadre des troubles de la marche, nous proposons à Mme. Y un déambulateur. Les démarches pour en obtenir un à domicile ont été mises en place par ses consoeurs. Patient contacté suite au colloque orthopédique pour nouveau contrôle. Il revient pour contrôle clinique, douleurs au niveau radio-cubital ? Mise en place d'un plâtre antébrachial. Radiographie post-plâtre : décrite ci-dessous. Contrôle à la policlinique d'orthopédie à 1 semaine. Patient convoqué à 48 h pour retrait des points au vu de la plaie légèrement ouverte. Désinfection et pansement simple. Patient de 16 ans et demi, connu pour un goitre non traité actuellement, qui consulte les urgences de Riaz le 29.04.2019 en raison de douleurs de l'hallux gauche samedi 27.04.2019. Il montait des marches d'escaliers samedi avec développement de douleurs immédiates principalement au niveau de la 2ème phalange de l'hallux et perception d'un craquement. Il consulte ce jour car les douleurs persistent. Les douleurs sont légères au repos, péjorées par la marche. Patient de 21 ans connu pour une spina bifida, une colostomie terminale, une vessie neurogène avec conduit vésical de l'appendice selon Mitrofanoff et un statut post-lithotripsie le 19.04.2019 en raison d'un calcul de 1 cm dans la vessie, qui consulte les urgences de Riaz le 30.04.2019 pour administration d'Invanz iv en raison des résultats de l'antibiogramme. Pour rappel, il présente une infection urinaire compliquée depuis le 28.04.2019, avec statut post-lithotripsie, avec état fébrile et stix pathologique. Il n'a pas présenté d'état fébrile depuis. Jusqu'à ce jour, il a reçu 2 doses de Rocéphine 2 g iv le 28.04.2019 et le 29.04.2019. Aux urgences, nous pistons l'urotube et l'antibiogramme du patient qui montre un germe E. Coli sensible à l'Ertapenem, raison pour laquelle nous lui administrons 1 dose iv d'Invanz 1 g à poursuivre pour une durée de 7 jours au total d'antibiothérapie. Il est vu par le Dr. X, de médecine interne, qui propose de poursuivre l'antibiothérapie iv à domicile avec organisation de soins à domicile, un contrôle le mardi 07.05.2019 à la filière des urgences ambulatoires et ne propose pas d'effectuer de relais per os en prophylaxie pour la sonde. Pour la sonde vésicale, la suite de la prise en charge sera revue par lui et le Dr. X, urologue. Dans ce contexte, il rentre à domicile avec pour la suite de l'antibiothérapie iv pour 6 doses encore à domicile avec des soins à domicile organisés, un contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 07.05.2019 pour suivi du syndrome inflammatoire et une ordonnance pour Invanz et Pérentérol. Nous leur expliquons la nécessité de surveiller le cathéter à domicile pour les signes de phlébite. Patient de 21 ans en bonne santé habituelle qui consulte les urgences de Riaz le 06.04.2019 pour des diarrhées aqueuses sanguinolentes associées à des vomissements avec traces de sang, statut post-voyage au Vietnam. Nous effectuons un laboratoire qui montre des thrombocytes à 452 G/l, leucocytes à 12.2 G/l, CRP <5 mg/L, des paramètres hépatiques normaux excepté la LDH à 546/U/l, la bilirubine totale à 27.5 µmol/l et la bilirubine directe à 9.7 µmol/l. Hb 148 g/l. Une culture de selles est réalisée et est à pister le lundi 08.04.2019. Aux urgences, le patient reçoit une hydratation iv. Nous discutons du cas avec le Dr. X, de médecine interne, et retenons un diagnostic différentiel de gastro-entérite virale versus intoxication alimentaire. Dans ce contexte et au vu d'un patient rassurant, il rentre à domicile avec conseils de bien s'hydrater et de consulter son médecin traitant le 09.04.2019. Nous rappellerons le patient le 08.04.2019 en cas de résultats pathologiques de la culture de selles. Patient de 21 ans en bonne santé habituelle qui consulte pour des douleurs thoraco-lombaires, des douleurs sternales et des douleurs de la clavicule gauche, suite à un statut post-accident de la voie publique à 65 km/h la veille. Aux urgences, nous réalisons un ECG qui revient sans particularité. Le bilan biologique montre des paramètres hépatiques normaux, une bonne fonction rénale et une absence de traumatisme rénal. Nous réalisons une radiographie de la clavicule gauche, du thorax et de la colonne thoraco-lombaire qui ne montrent pas de fracture de la clavicule, pas d'épanchement pleural, pas de pneumothorax, pas de fracture de la colonne dorsale et lombaire. Le sédiment urinaire est propre. Nous demandons un avis au Dr. X, chirurgien, afin d'avoir son avis sur la nécessité de réaliser un ultrason abdominal, qui dans ce contexte, ne voit pas d'indication à réaliser d'ultrason abdominal. Dans ce contexte, après discussion du cas avec le chef de clinique des urgences et au vu d'un bilan rassurant, il rentre à domicile avec une ordonnance pour une antalgie simple et du Sirdalud et un contrôle chez le médecin traitant pour suivi de l'évolution clinique et réévaluer si les troubles du sommeil présents la nuit du 05.04.2019 au 06.04.2019 devaient persister. Patient de 23 ans se présentant par ses propres moyens pour symptomatologie de lombosciatique L5 typique non déficitaire (antécédent connu à la même localisation il y a 1 an). Douleurs soulagées par traitement antalgique symptomatique. Retour à domicile sous traitement symptomatique. Le patient est informé de ne pas conduire après la prise du Sirdalud. Patient de 24 ans en bonne santé habituelle, qui consulte les urgences pour des douleurs du coude droit traumatiques le 30.04.2019.Aux urgences, nous réalisons une radiographie du coude droit qui montre, avec avis du Dr. X, une fracture de la tête du radius intra-articulaire avec présence d'un Fat Pad. Elle préconise un plâtre brachio-antébrachial postérieur en flexion du coude à 90°, et un contrôle à 1 semaine à la policlinique d'orthopédie. La radiographie post-plâtre est sans particularité et le patient se sent bien dans son plâtre. Dans ce contexte, il rentre à domicile. Nous lui conseillons de reconsulter si apparition de douleurs intenses malgré l'antalgie. Patient de 27 ans connu pour une schizophrénie paranoïde qui consulte les urgences de Riaz le 29.04.2019 en raison de douleurs des deux membres inférieurs. Aux urgences, au vu de la difficulté anamnestique, nous réalisons une radiographie du genou à la recherche d'une fracture ou d'un épanchement. La radiographie ne montre pas de fracture. Nous effectuons une bande élastique à but antalgique et le patient rentre à domicile avec suite du contrôle chez le médecin traitant. Sur le plan du malaise, nous réalisons un test de Schellong qui revient négatif. L'ECG est sans particularité avec un RSR à 77 bpm, espace PR de 168 ms, QRS de 112 ms normo-axé, QTc de 393 ms, pas de sus ou sous décalage significatifs du segment ST. Dans ce contexte, nous retenons un malaise d'origine indéterminée et proposons un contrôle chez le médecin traitant si besoin. Dans ce contexte, et au vu d'un patient cliniquement rassurant, il rentre à domicile avec une bande élastique et une ordonnance. Patient de 28 ans, admis aux soins intensifs le 26.04.2019 pour une surveillance neurologique après stabilisation cervicale élective. Le patient est hospitalisé depuis le 04.04.2019 suite à un tentamen par défenestration (chute de 7m) avec pour conséquence une fracture de C5. Il est initialement transféré à Marsens et suivi par le service de neurochirurgie qui a planifié l'intervention élective sus-mentionnée. L'opération avec discectomie complète et stabilisation se déroule sans complication. Il nous est alors adressé pour suite de prise en charge. L'évolution post-opératoire est simple sans déficit neurologique objectivé. Les douleurs sont bien contrôlées avec une antalgie a minima. Le Monovac est retiré à 24h. Une évaluation par la psychiatrie de liaison nous confirme un risque de passage à l'acte faible compatible avec un transfert en orthopédie. Il présente une anxiété légère avec une thymie neutre. Il est attendu à Marsens une fois le traitement en milieu somatique est terminé. Patient de 29 ans connu pour un kyste rétro-auriculaire droit depuis deux ans et qui présente des symptômes qui pourraient être évocateurs d'une surinfection. L'examen clinique ne retrouve cependant pas d'infection et selon l'avis du Dr. X, chirurgien, le patient prend rendez-vous à sa consultation pour excision du kyste. Patient de 29 ans qui a notion de l'asthme anamnastique présente depuis 5 jours des maux de gorge, accompagnés de toux sèche. Ce jour, péjoration de la clinique avec une otalgie gauche. A pris cette semaine du paracétamol, des pastilles et un bain de bouche sans amélioration favorable. Nous réalisons un Strepto-test qui revient négatif. Le patient rentre à domicile avec le traitement symptomatique. Le patient a été informé que si péjoration de la situation ou apparition de nouveaux symptômes : retour aux urgences. Patient de 30 ans connu pour une sclérose en plaques qui prend du Teriflunomide 14 mg, qui consulte les urgences de Riaz le 29.04.2019 pour des douleurs de la main droite. Aux urgences, nous réalisons une radiographie de la main droite qui montre une fracture de l'hamatum. Nous demandons un avis orthopédique qui préconise de réaliser un scanner. Le scanner montre une fracture de l'hamatum et du capitatum par arrachement. Nous réalisons un plâtre antébrachial avec une radiographie de contrôle post-plâtre qui revient sans particularité. Le patient sera revu en policlinique d'orthopédie à 1 semaine pour circulariser le plâtre. Dans ce contexte, le patient rentre avec un arrêt de travail pour 1 semaine, le numéro de la policlinique d'orthopédie pour la prise du rendez-vous et une ordonnance pour une antalgie simple. Nous lui expliquons la nécessité de revenir aux urgences en cas de péjoration importante des douleurs malgré antalgie. Patient de 32 ans en bonne santé habituelle qui consulte les urgences de Riaz pour des douleurs du poignet gauche. Aux urgences, nous réalisons une radiographie du poignet gauche qui ne montre pas de fracture. Le patient est vu par l'orthopédiste de garde, le Dr. X, qui retient un diagnostic de contusion styloïde ulnaire versus lésion du TFCC. Dans ce contexte, nous réalisons un plâtre antébrachial fendu avec bretelle, surélévation, contrôle en policlinique d'orthopédie à 1 semaine, antalgie et arrêt de travail. La radiographie post-plâtre est sans particularité et le patient se sent confortable. Nous expliquons au patient l'interdiction de conduire avec un plâtre. Patient de 32 ans qui consulte les urgences de Riaz le 03.04.2019 en raison d'une oppression thoracique et de la sensation de gorge enflée présente depuis hier soir. Aux urgences, le patient reçoit 2 mg iv de Tavegyl sans évolution favorable de l'oppression thoracique. Dans ce contexte, nous réalisons un score de Kline qui revient à 0 et nous réalisons des troponines qui reviennent à H0 à 6ng/L et H1 à 6ng/L. Le reste du bilan biologique est aligné, excepté une hémoglobine à 124 g/L. L'ECG est sans particularité. Aux urgences, il reçoit 1g de paracétamol iv. L'évolution est favorable avec persistance d'une légère gêne au niveau rétro-sternal. Le patient ne désire pas d'autre médication aux urgences. Dans ce contexte et au vu d'un patient cliniquement rassurant, il rentre à domicile avec un contrôle chez le médecin traitant à prévoir notamment en raison de l'anémie découverte ce jour. Patient de 33 ans présentant une plaie du dos du 2ème doigt de la main gauche sans atteinte des structures nobles, que nous explorons et suturons aux urgences. Il doit se rendre en vacances (Italie) le 19.04.2019, raison pour laquelle nous convenons d'une réfection du pansement à 48h par sa femme qui est infirmière. Il est invité à se présenter chez un médecin en cas d'apparition de symptômes infectieux. Ablation des fils dès J12 chez son médecin traitant. Patient de 33 ans, admis électivement pour une biopsie thoracique sous CT dans le cadre d'une suspicion de tuberculose. En per-geste, le patient présente un pneumothorax qui est exsufflé. La radiographie de contrôle à 2h du geste est rassurante. Les suites étant par ailleurs simples, le patient rentre à domicile le jour même. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X pour discuter des résultats et du traitement subséquent. Le patient est informé de reconsulter si douleurs thoraciques en aggravation ou apparition d'une dyspnée. Patient de 37 ans connu pour une schizophrénie et un diabète de type 2 et vivant au foyer Horizon Sud qui consulte les urgences de Riaz en raison d'une décompensation psychotique le 06.04.2019. Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique simple qui revient aligné. Nous demandons un avis à la psychiatre de garde qui propose de l'hospitaliser au RFSM de Marsens en volontaire en raison de la péjoration progressive sur le plan psychologique du patient. Dans ce contexte, nous transférons le patient au RFSM de Marsens en ambulance le 06.04.2019. Patient de 37 ans qui consulte pour des douleurs du pied gauche sur traumatisme le matin même. Aux urgences, nous réalisons une radiographie du pied gauche qui ne montre pas de fracture. Nous proposons au patient un traitement symptomatique avec une bande élastique à but antalgique avec possibilité de charger après avec réassurance, une antalgie simple, du Voltaren gel, de la glace et du repos.Dans ce contexte, il rentre à domicile avec un arrêt de travail et une ordonnance. Nous lui expliquons la nécessité de reconsulter en cas de persistance des douleurs à 5 jours. • Patient de 39 ans, qui présente des céphalées frontales évoluant depuis 36h, qui consulte le service des urgences de l'HFR Riaz le soir du 03.04.2019 devant l'apparition nouvelle d'un éblouissement visuel, de paresthésie des membres inférieurs et des mains et d'une dysarthrie. Mr. Y est chargé en aspirine et est transféré à Fribourg sur avis neurologique pour un CT cérébral selon le protocole time is brain, qui ne montre pas de saignement ni de signes d'ischémie. Les symptômes neurologiques se résolvent alors progressivement. Le patient est hospitalisé pour surveillance neurologique en attente d'une IRM cérébrale. À la relecture des images du CT le lendemain, un petit anévrisme sur la branche terminale inférieure de M2 à gauche est suspecté. Une ponction lombaire est réalisée qui permet d'exclure une xantochromie et donc un saignement de cet anévrisme. L'IRM est sans particularité. Le diagnostic de migraine, avec aura, atypique est retenu et Mr. Y rentre à domicile le 05.04.2019. • Patient de 40 ans, transféré de Riaz pour un choc septique débutant avec état fébrile et frissons sur une collection probablement infectée au niveau de la jambe droite. Patient qui a eu un AVP en août 2018 avec une tuméfaction chronique au niveau de la jambe droite qui a été incisée par le médecin traitant le 21.03.2019. Le bilan radiologique a exclu une fracture et un CT-scanner a montré une collection pré-tibiale sans signe de fascéïte. Les paramètres inflammatoires ont augmenté. Le patient est mis sous antibiotique IV à partir du 26.03.2019. On pose l'indication pour un drainage, lavage de cette collection. En post-op immédiat, le patient est transféré aux soins intensifs pour une surveillance avec soutien par noradrénaline et le lendemain déjà le patient a pu être rapidement sevré. L'extubation postopératoire a été retardée en raison d'une insuffisance respiratoire hypoxémique dans un contexte de syndrome hypoventilation-obésité probable et des atélectases, sans foyer pulmonaire. Les prélèvements intra-op montrent la croissance du Staph aureus multisensible et sur consilium de l'infectiologie l'antibiothérapie est adaptée. Un 2ème et un 3ème look au bloc opératoire étaient nécessaires pour contrôler l'infection localement et lors de la dernière chirurgie la fermeture de la peau a été possible. Les suites postopératoires sont marquées par une bonne évolution clinique et biologique avec une nette diminution de la CRP qui, au moment de la sortie, est à < 5 mg/L avec leucocytes dans la norme. Une IRM de la jambe droite a exclu des signes d'ostéomyélite. Après discussion avec les infectiologues, la thérapie antibiotique est passée per os et sera à poursuivre pendant 14 jours au total. Pendant l'hospitalisation, le patient a bénéficié d'une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane et la mobilisation se déroule sans complication. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche à la sortie. En parallèle, le patient a déclaré que depuis 2 mois, il présente des douleurs au bas du dos avec des fourmillements sur le territoire de L3 à gauche, avec péjoration dernièrement, associés à une légère perte de sensibilité et sans perte de force. Après discussion avec les collègues du team Spine, une IRM de la colonne lombaire est demandée en ambulatoire et le patient sera convoqué pour un suivi clinique. Au vu de l'évolution clinique favorable, le patient peut regagner son domicile le 04.04.2019. • Patient de 41 ans, d'origine irakienne, est hospitalisé en médecine interne pour un diabète inaugural. Pour rappel, le patient est amené par la police pour des épigastralgies depuis 3 jours. Le patient décrit des brûlures épigastriques d'apparition progressive, fluctuante au cours de la journée, sans franc facteur déclencheur, mais il relate une amélioration après la prise alimentaire. En plus, il présente des nausées, sans vomissement, ainsi que des céphalées frontales inconstantes. Absence de polyurie ou polydipsie. Le bilan biologique d'entrée met en évidence un diabète inaugural avec cétonurie, mais sans cétoacidose. Un consilium diabétologique est demandé et un traitement par Insuline et Metformin est débuté. La gestion de mesurer la glycémie et de l'application de l'insuline est enseignée au patient. Les anticorps anti-GAD, anticorps anti-IA2 et anticorps anti-ICA sont demandés à la recherche d'une étiologie auto-immune, dont les résultats sont toujours en attente au moment de la sortie du patient. Le service de diabétologie de l'HFR reste à disposition pour adapter les glycémies à distance en cas de besoin (adresse mail diabeto@h-fr.ch). Pour des douleurs épigastriques, améliorées par la prise alimentaire, nous retenons une dyspepsie et débutons un traitement par Pantoprazole pour une semaine. À l'ECG, on note des troubles de la repolarisation. Le patient ne présentant aucune clinique typique pour une maladie coronarienne, notamment absence de douleurs thoraciques ou dyspnée à l'effort, nous retenons une repolarisation précoce et renonçons à d'autres investigations. Mr. Y sort de l'hôpital le 18.04.2019. • Patient de 43 ans qui consulte les urgences de Riaz le 29.04.2019 pour un contrôle ultrasonographique en angiologie au vue de suspicion de thrombose veineuse profonde le 28.04.2019. L'ultrason angiologique ne montre pas de thrombose veineuse profonde, mais une bursite pré-patellaire. Ils nous l'envoient pour un avis orthopédique. Le patient est vu par l'orthopédiste de garde, Dr. X, qui retient un diagnostic de bursite prépatellaire et qui préconise un traitement anti-inflammatoire par ibuprofène 400 mg 3x/jour, une attelle jeans 20° et de la Clexane 40 mg 1x/jour. Au vu des troubles cognitifs du patient, nous instaurons des soins à domicile pour les injections de Clexane, 1x/jour. Dans ce contexte, le patient rentre à domicile avec un rendez-vous de contrôle le 08.05.2019 à la consultation de Dr. X en policlinique d'orthopédie. • Patient de 45 ans connu pour des douleurs épigastriques chroniques de longue date, au bénéfice d'une pompe intrathécale de Fentanyl et Catapressan depuis décembre 2018, qui consulte aux urgences le 31.03.19 pour une exacerbation de ses douleurs. Le CT abdominal à l'entrée se révèle superposable au dernier scanner, hormis une coprostase habituelle, et permet d'exclure une étiologie chirurgicale à ses douleurs. Le patient bénéficie initialement d'une prise en charge aux soins intensifs, où les douleurs sont finalement soulagées avec la mise en place de kétamine et fentanyl en IV continu. Ce traitement peut être sevré et le patient est transféré à l'étage le 02.04.19. Les douleurs restent cependant difficilement contrôlées et nécessitent des réserves de fentanyl sous-cutané jusqu'à 10 fois par jour initialement. Nous sevrons le patient des réserves de fentanyl sous-cutané le 16.04.2019 et le mettons sous Palladon retard avec réserve de Palladon suite à l'avis de Dr. X. Le 09.04.19, le patient est transféré au Swiss Pain Institute pour le rendez-vous de suivi de sa pompe intrathécale. La pompe est remplie et les doses de fond et de bolus sont augmentées. Sur le plan digestif, après un lavement aux soins intensifs et poursuite d'un traitement de fond de laxatif, le patient présente un transit régulier quotidien. Le 16.04.2019, il profite d'une séance avec hypnothérapeute. Le patient n'est pas preneur de la thérapie dans le contexte hospitalier. Au vu de l'évolution favorable après majoration de la médication par la pompe intrathécale et l'introduction d'un traitement par Palladon, le patient rentre à domicile le 23.04.2019 avec un suivi chez son antalgiste, Dr. X, dans les 10 jours.Patient de 46 ans qui consulte les urgences de Riaz le 29.04.2019 car il s'est planté une agrafe dans le doigts vers 13h30. Aux urgences, nous réalisons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous réalisons le vaccin anti-tétanique. Nous désinfectons la plaie par Bétadine et effectuons un pansement simple. Dans ce contexte et au vu d'un patient rassurant, il rentre à domicile. Patient de 47 ans en bonne santé habituelle qui consulte en raison d'une mauvaise consolidation osseuse le 30.04.2019 d'une fracture de la malléole externe gauche du 04.03.2019 sur traumatisme du 02.03.2019. Les radiographies réalisées auparavant à l'extérieur montrent un déplacement de la fracture de la malléole externe. Aux urgences, nous réalisons, sur demande de la Dresse X, orthopédiste de garde, une radiographie de la cheville gauche en charge de face qui ne montre pas d'atteinte de la syndesmose. Le patient est vu par le Dr. X, qui mentionne que nous ne pouvons pas encore reconnaître le diagnostic de pseudo-arthrose en raison du temps écoulé depuis la fracture. Il propose de poursuivre avec l'attelle Aircast sportive, marche en charge selon douleurs, contrôle à 1 mois en policlinique d'orthopédie, un arrêt de travail pour 2 semaines avec négociations d'ici là par le patient et son employeur pour une adaptation du travail et ne préconise pas de physiothérapie. Dans ce contexte, le patient rentre à domicile avec le numéro de la policlinique. Patient de 49 ans connu pour une cirrhose CHILD C d'origine alcoolique non sevré qui est hospitalisé dans un contexte de décompensation ascitique. Pour rappel, il était hospitalisé du 05.01.19 au 18.01.19 en Médecine interne à Meyriez dans un contexte similaire avec ponction de 5.5L d'ascite. Il présente depuis 2 semaines une prise pondérale avec augmentation du périmètre abdominal ainsi qu'une dyspnée en augmentation depuis lors, actuellement au moindre effort avec orthopnée. Il décrit également des douleurs habituelles des membres inférieurs associés à des œdèmes des membres inférieurs habituels. Il a consulté son médecin traitant il y a une semaine avec augmentation des diurétiques sans effet notable. Pas d'autre plainte à l'anamnèse systématique. Au status, nous retrouvons un patient ictérique avec un abdomen globuleux et tendu sans péritonisme. Il est tachycarde et tachypnéique avec désaturation à 88% à l'air ambiant. Un laboratoire d'entrée met en évidence une évolution de sa cirrhose avec un score de CHILD à 11 points avec notamment des plaquettes à 55 G/L et un INR spontané à 2 qui diminue à 1.6 après l'administration de Konakion. Nous organisons une ponction d'ascite et retirons 13.5L d'un liquide hématique. Nous n'effectuons pas d'analyse de ce liquide en vue de la prise en charge palliative souhaitée par le patient et le refus d'antibiothérapie en cas de PBS. Nous poursuivons le suivi du poids suite à la ponction et intensifions le traitement diurétique avec un passage intraveineux qui permet une bonne évolution de la surcharge hydrique. Avant sa sortie, nous passons à une posologie orale avec une évolution positive. Le patient se plaint de vertiges orthostatiques nouveaux depuis quelques semaines sans perte de connaissance et soulagés parfois par la prise d'alcool. Un test de Schellong est négatif et les plaintes diminuent avec l'introduction de bas de contention. Le patient peut rentrer à domicile le 03.04.19 avec un poids de 65.6 kilos. Il se représentera chez son médecin traitant dans le cas d'une prise de poids significative. Nous restons à disposition dans l'éventualité d'une nouvelle ponction d'ascite. Patient de 50 ans, connu pour un adénocarcinome pancréatique multimétastatique, en progression après la troisième ligne de chimiothérapie palliative, qui est hospitalisé électivement par Dr. X, oncologue traitant, en raison de l'apparition d'ascite sur carcinose péritonéale avec douleurs abdominales. À l'admission, Mr. Y rapporte des douleurs abdominales et une progression de son périmètre abdominal depuis 2-3 semaines, ainsi qu'une asthénie. Au vu de l'ascite sur carcinose péritonéale, le patient bénéficie d'une ponction d'ascite ainsi que de la pose d'un PleurX le 12.04.2019, qui s'effectue sans complications. Nous adaptons également l'antalgie en introduisant de l'Oxycodone, avec une évolution favorable. Sur le plan oncologique, le patient est conscient de la progression de la maladie, et selon son souhait, nous mettons en place un suivi par Voltigo et par la Ligue contre le cancer afin d'optimiser le retour à domicile. Mr. Y rentre à domicile le 16.04.2019. Il sera convoqué en ambulatoire pour l'ablation des fils du PleurX à 10 et à 30 jours respectivement, ainsi que pour une consultation chez le Dr. X. Patient de 50 ans présentant une douleur musculo-squelettique depuis 48h. Retour à domicile sous traitement antalgique par Voltaren et Dafalgan. Patient de 51 ans, à l'AI pour trouble de la personnalité, qui présente, cinq jours après son retour d'un voyage au Cameroun, une dyspnée d'effort nouvelle associée à une fatigue, une sensation d'état fébrile et des céphalées frontales en péjoration. Aux urgences, des embolies pulmonaires segmentaires sont mises en évidence. Il est décidé d'hospitaliser le patient malgré un score de PESI à faible risque au vu du contexte social ainsi que de la thrombopénie objectivée contre-indiquant une anticoagulation par anticoagulant direct. Un traitement d'héparine IV continue est introduit avec bonne amélioration clinique et disparition de la dyspnée. Un relais par Rivaroxaban est effectué après la disparition de la thrombopénie avant sa sortie. Traitement qui sera poursuivi pour une durée totale de 6 mois. Au vu de l'état fébrile, de la thrombopénie et du contexte de retour de voyage, un test rapide et un frottis pour une malaria à Plasmodium falciparum sont également effectués et reviennent positifs, associés à une thrombopénie sans anémie. Après discussion avec les infectiologues, un traitement par Riamet est introduit pour une durée de 3 jours avec bonne évolution clinique et biologique. Le CT effectué à son arrivée met en évidence de manière fortuite une lésion de la surrénale D évoquant un adénome mais nécessitant un contrôle par CT ou IRM à distance. Le patient est informé de cette découverte et de l'importance d'organiser un contrôle radiologique. Mr. Y est actuellement dans une situation sociale complexe, sans domicile fixe en Suisse, ni assurance. Il est actuellement en cours d'installation au Cameroun et était en voyage en Suisse uniquement pour organiser cette transition. Un retour au Cameroun est prévu dans les prochaines semaines. En l'absence de complication ou d'autre plainte, le patient peut sortir de l'hôpital. Les consignes concernant l'interdiction de prendre l'avion durant un mois suite à une embolie pulmonaire ainsi que l'importance de suivre le traitement anticoagulant pour une durée de six mois ont été transmises et comprises par le patient. Patient de 52 ans sous Marcoumar pour une valve aortique mécanique s'étant fait une plaie centimétrique profonde au niveau médial de la face antérieure de l'avant-bras (environ 3-4cm sous les os du carpe). Vaccin anti-tétanique non à jour: Boostrix fait aux urgences. Téguments bien colorés, pouls radial perçus, pas de déficit moteur au niveau des fléchisseurs (mais douleur à la flexion de D2 et D3), pas de déficit sensitif. Saignement actif sur plaie veineuse: Essai de suture aux urgences, puis prise en charge au bloc opératoire pour exploration et suture.Patient de 53 ans connu pour des abcès péri-anaux récidivants avec fistule anale, qui se présente aux urgences le 19.04. pour un abcès péri-anal. Un CT-scan met en évidence un abcès en fer à cheval avec suspicion de fistule, le patient bénéficie d'un drainage avec pose de fil de Seton le 19.04.2019. Après retrait accidentel du fil de Seton avec persistance d'écoulement purulent le 22.04, nous effectuons un nouveau drainage avec pose de fil de Seton au bloc opératoire le 22.04.2019. Par la suite, le patient évolue favorablement, permettant un retour à domicile le 23.04.2019. Des douches journalières devront être effectuées 4-6 fois par jour et le patient sera revu en consultation de proctologie le 24.04.2019. Patient de 53 ans, qui nous est transféré depuis Inselspital en raison d'un état confusionnel aigu sévère survenant dans un contexte de TCC sévère et de delirium tremens. Pour rappel, Mr. Y fait une chute le 22.04.2019 dans un contexte d'éthylisation aiguë avec pour conséquence un traumatisme crânien sévère. Le CT cérébral réalisé aux urgences de Neuchâtel retrouve des HSA fronto-pariétales bilatérales, des HSD frontaux bilatéraux, et une contusion frontale droite. En cours d'investigation, le patient devient comateux, motivant une intubation et un transfert aux soins intensifs d'Inselspital à Berne pour un monitoring neurologique. Durant son séjour à Berne, le patient bénéficie d'une dérivation ventriculo-externe (DVE). Devant une évolution relativement favorable (CT cérébral de contrôle du 24.04.2019 stable), le patient est extubé et la DVE retirée le 24.04.2019. Après l'extubation, Mr. Y présente un état d'agitation sévère avec un délire. L'EEG réalisé à Insel ne retrouve pas d'état de mal épileptique pouvant expliquer l'état d'agitation. Sur avis neurologique, une prophylaxie par Keppra est cependant débutée, avec relais par Topamax dès le 26.04.2019. Mr. Y est transféré aux soins intensifs à Fribourg pour surveillance neurologique d'un état confusionnel avec une composante d'agitation importante. Ce tableau clinique est attribué en premier lieu à un délirium tremens et au TCC sévère. La composante de sevrage alcoolique est traitée par Benzodiazépines et Catapresan. L'état neurologique à la sortie des soins intensifs à Fribourg est marqué par un état de vigilance fluctuant avec des phases d'agitation, sans déficit focal ni latéralisation objectivés (GSC 12-13, Y4 V2-3 M6, compréhension des ordres simples, désorientation spatio-temporelle). La déglutition n'a pas été testée durant son passage aux soins intensifs de Fribourg. Mr. Y est sous Co-amoxicilline depuis le 26.04.2019 pour une suspicion de pneumonie d'inhalation (traitement débuté à Berne). Après discussion avec l'épouse de Mme. Y le 27.04.2019, il apparaît que pour des raisons de rapprochement familial, un transfert aux soins intensifs de Neuchâtel est souhaité. D'entente avec nos collègues de Neuchâtel, le patient est transféré le jour même aux soins intensifs de Neuchâtel pour suite de prise en charge. Patient de 54 ans connu pour une sténose aortique bicuspide avec anévrisme de l'aorte ascendante de 48 mm qui se présente aux urgences pour des douleurs thoraciques apparues le matin du 19.04.2019 au réveil. Douleurs de type oppressives et transfixiantes entre les deux omoplates à 6/10. Au cours de la journée, les douleurs migrent dans la nuque ainsi que l'épaule gauche, accompagnées d'un engourdissement du bras proximal gauche. Présence de lancées concomitantes dans l'ensemble du bras gauche jusqu'aux doigts. Douleurs insomniantes qui le motivent à consulter les urgences. À noter que le patient a bénéficié d'une coronarographie le 16.04.2019 dans le bilan pré-opératoire de la sténose aortique qui a mis en évidence une maladie coronarienne monotronculaire avec sténose de 50-70% de la coronaire droite moyenne sans dilatation ni pose de stent. Pour cette coronarographie, voie d'accès fémoral droite. Après avis angiologique, la dissection sous-clavière gauche permet d'expliquer les symptômes. Un traitement d'aspirine et de statine est introduit au vu de la maladie coronarienne, et sur avis des chirurgiens cardiaques du CHUV, un traitement b-bloquant à faible dose est également débuté. Au vu de la bonne tolérance de ce traitement et de l'absence de recrudescence de douleur, le patient rentre à domicile le 21.04.2019. Un rendez-vous de bilan pré-opératoire est prévu au CHUV à la consultation du Dr. X le 23.04.2019. Patient de 54 ans qui consulte les urgences de Riaz en raison de lombo-cruralgies du membre inférieur droit connues depuis 5 semaines (fin février) et suivies par son médecin traitant. Aux urgences, le patient reçoit 10 mg de Morphine en goutte avec évolution favorable. Nous expliquons au patient la possibilité de prendre le traitement antalgique en alternance sur toute la journée. Dans ce contexte et au vu de l'évolution favorable, il rentre à domicile avec un traitement antalgique d'office, du Sirdalud d'office et du Tramal en réserve. Nous lui faisons un arrêt de travail du 03.04.2019 au 05.04.2019. Finalement, nous proposons au médecin traitant de réaliser une IRM en raison de la persistance de la symptomatologie malgré les mesures de physiothérapie en ambulatoire. Patient de 55 ans, connu pour un asthme, tabagique à 20 UPA, qui consulte en raison d'une toux avec majoration des expectorations, de la dyspnée et des frissons depuis le 15.03.2019. À l'admission, il présente des douleurs de l'hémithorax gauche apparues brusquement, respiro-dépendantes et péjorées lors des mouvements. À noter une antibiothérapie il y a un mois pour une probable pneumonie, sans état fébrile, sans imagerie effectuée à ce moment-là. Depuis lors, persistance d'une toux. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable, fébrile à 38.9°C, tachycarde, sans souffle à l'auscultation cardiaque. Pas d'œdème aux membres inférieurs, mollets souples et indolores. Présence d'une hypoventilation basale gauche avec souffle tubaire et crépitants jusqu'aux 2/3 du champ pulmonaire avec une douleur reproductible à la palpation et à la pression latérale des côtes 6-7, exacerbée à la palpation intercostale. Le reste du statut est non contributif. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 191 mg/l et une leucocytose à 11.1 G/l. La radiographie du thorax montre une pneumonie basale gauche pour laquelle nous instaurons un traitement de Rocéphine 2 g et Klacid 500 mg. Malgré un CURB-65 score à 1, nous hospitalisons le patient en médecine au vu d'une insuffisance rénale aiguë AKIN III surajoutée, avec une créatinine à 191 umol/l, et des fortes douleurs thoraciques. Un traitement antalgique permet un bon soulagement des douleurs. Les antigènes urinaires Légionelle et Pneumocoques reviennent négatifs, de même que les hémocultures et le dépistage de la grippe, motivant l'arrêt du Klacid. L'insuffisance rénale se corrige après hydratation. L'évolution de la pneumonie est défavorable avec la persistance d'un état fébrile à J5 d'antibiothérapie, motivant la réalisation d'imageries de contrôle montrant un épanchement pleural gauche nouveau. Au vu de l'évolution clinique, un CT thoracique est effectué montrant des épanchements pleuraux bilatéraux et une nécrose d'une partie du lobe inférieur gauche, sans abcès, ni signe d'empyème mais avec la présence de lésions excavées. Sur avis infectiologique auprès de Dr. X, nous procédons à un relais de l'antibiothérapie par Linezolid 600 mg et Tazobac 4.5 g et à un drainage de l'épanchement pleural gauche. Celui-ci permet le retrait de 800 ml d'exsudat à prédominance lymphocytaire, dont l'analyse bactériologique revient négative, tout comme l'antigène pneumocoque et la PCR eubactérienne. L'évolution clinique est par la suite favorable, permettant le retrait du drain thoracique et un relais per os pour de la Levofloxacine 750 mg/jour dès le 29.03.2019. Le CT thoracique du 01.04.2019 montre une régression de l'épanchement pleural, l'absence d'abcès mais des nécroses séquellaires.Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut regagner son domicile le 02.04.2019, avec poursuite de l'antibiothérapie per os jusqu'au 18.04.2019, date du contrôle à la consultation du Dr. X. Patient de 56 ans, connu pour un adénocarcinome gastrique diagnostiqué en 2016, récidivant en 2018, avec masse obstructive au niveau biliaire, est hospitalisé électivement le 05.04.2019 pour un nouveau drainage percutané des voies biliaires. A l'admission, le patient rapporte des douleurs épigastriques irradiant en hypochondre droit, ayant débuté le 31.03.2019 et accompagnées d'un épisode de vomissement et d'un pic fébrile à 39°C, sans récidive de fièvre par la suite. Le 04.04.2019, suite à la persistance des douleurs, il consulte le Dr. X, qui met en évidence une perturbation des tests hépatiques. Ce dernier débute une antibiothérapie par Co-Amoxicilline, une antalgie par Tramadol, et organise un nouveau drainage des voies biliaires. Le patient bénéficie d'une cholangiographie transhépatique percutanée, mettant en évidence une obstruction des stents ayant été placés en février de cette année. Un drainage des voies biliaires est effectué avec la mise en place de deux drains percutanés. Au vu de la probable cholangite associée, une antibiothérapie par Rocéphine est débutée. Vu la péjoration du syndrome inflammatoire, nous adaptons l'antibiothérapie en ajoutant du Flagyl, avec une évolution entièrement favorable. La cholangiographie de contrôle montre un bon résultat. Ainsi, le retrait des drains percutanés est effectué le 12.04.2019, avec la mise en place d'un nouveau stent biliaire. L'évolution clinique est favorable, les douleurs étant gérées par oxycontin et les tests hépatiques se normalisant progressivement. Sur le plan oncologique, et selon avis auprès de Dr. X, l'immunothérapie par Cyramza initialement prévue le 09.04.2019 est repoussée au vu du contexte actuel. Le patient reprendra rendez-vous auprès de son oncologue traitant pour discuter la suite oncologique. Mr. Y rentre à domicile le 17.04.2019. Il reçoit les conseils de vigilance appropriés. Patient de 57 ans, connu pour un myélome multiple, qui consulte en oncologie le 09.04.2019 pour une dyspnée et des douleurs thoraciques basithoraciques respiro-dépendantes évoluant depuis 4 jours et d'aggravation progressive. Le CT thoracique met en évidence de multiples embolies pulmonaires bilatérales. Une anticoagulation par Xarelto est débutée et le patient est hospitalisé pour oxygénothérapie. Sur le plan respiratoire, l'évolution est favorable permettant un sevrage de l'oxygénothérapie le 12.04.2019. Sur le plan infectieux, devant la persistance d'un état fébrile et de la présence d'un infarcissement pulmonaire au CT, à risque de surinfection, chez un patient immunosupprimé, nous introduisons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline le 10.04.2019 pour une durée totale de 7 jours. Devant l'évolution favorable, tant sur le plan respiratoire qu'infectieux, Mr. Y rentre à domicile le 13.04.2019. Patient de 57 ans, hospitalisé en raison d'une tachycardie ventriculaire soutenue dans le contexte d'une cardiomyopathie hypertrophique nouvellement diagnostiquée. Mr. Y aurait présenté des douleurs rétrosternales depuis le 20.03.2019, accompagnées de dyspnée. Une tachycardie ventriculaire à 250 battements/minute avec instabilité hémodynamique est objectivée par les ambulanciers et choquée sur place avec bonne réponse. Une récidive de tachycardie ventriculaire nécessitant un deuxième choc a eu lieu aux urgences. La coronarographie diagnostique effectuée le 21.03.2019 ne met pas en évidence de coronaropathie significative. La ventriculographie montre une fonction cardiaque normale et une hyperkinésie globale faisant suspecter une cardiopathie hypertensive ou une cardiomyopathie obstructive. Le patient est mis sous traitement antiarythmique par Cordarone, et une surveillance rythmique est initialement effectuée aux soins intensifs. Le traitement cardioprotecteur et diurétique est également adapté en raison de la décompensation cardiaque secondaire aux troubles du rythme. Durant l'hospitalisation, le patient ne présente pas de récidive de trouble du rythme. Le bilan cardiaque est complété par une IRM afin d'établir l'origine des troubles rythmiques. Cette dernière met en évidence une hypertrophie ventriculaire gauche marquée, ainsi qu'une fibrose intra-myocardique diffuse. Dans ce contexte, nos collègues cardiologues proposent la mise en place d'un défibrillateur implantable en prévention secondaire, qui se déroule le 01.04.2019, sans complications. Un contrôle cardiologique est prévu à 1 mois. Le 22.03.2019, le patient présente une dysarthrie aiguë et un hémisyndrome moteur gauche. Le CT protocole Time is brain montre une occlusion de la M2 à droite. Une thrombolyse est débutée à 18 heures et le patient est transféré à Berne pour évaluation d'un traitement endovasculaire. L'IRM cérébrale retrouve une artère sylvienne droite recanalisée, n'ayant pas nécessité de thrombectomie. Une anticoagulation par Eliquis est débutée, et Mr. Y est retransféré à Fribourg. Le patient présente une récupération complète de la symptomatologie. Le bilan neuropsychologique met en évidence des difficultés cognitives susceptibles d'interférer avec la reprise de la conduite automobile, ainsi qu'avec la reprise professionnelle, raison pour laquelle un bilan d'évolution est prévu à distance de l'épisode aigu. D'ici là, le patient est informé de l'interdiction à reprendre ces activités. Mr. Y rentre à domicile le 02.04.2019. Patient de 57 ans qui se présente pour une douleur localisée à la 12ème côte droite, respiro et position-dépendante. En raison de la localisation, nous excluons une étiologie hépato-biliaire par échographie et bilan laboratoire qui revient avec des tests hépatiques légèrement perturbés. Nous concluons sur une origine musculaire avec prescription d'antalgie à domicile et recontrôle chez le médecin traitant des valeurs hépatiques la semaine prochaine. Patient de 59 ans, admis aux soins intensifs le 22.04.2019 pour une insuffisance respiratoire globale aiguë d'origine multifactorielle. Le patient consulte initialement les urgences en raison d'une asthénie et d'une dyspnée à prédominance nocturne et progressive depuis une semaine, accompagnées d'oedèmes des membres inférieurs. Initialement hospitalisé en médecine, il nous est transféré en raison d'une hypercapnie associée à des troubles de l'état de conscience, ainsi qu'un état fébrile. Le CT-scan thoracique retrouve la condensation dorso-basale droite déjà connue depuis 2015, sans d'infiltrat suspect. L'insuffisance respiratoire est attribuée en premier lieu à un syndrome d'hypoventilation-obésité sévère avec atélectases surajoutées. Une possible infection à CMV surajoutée est suspectée. Une nouvelle sérologie CMV est à refaire dans 2-3 semaines pour confirmer la primo-infection en raison d'un possible faux positif. Durant son séjour aux soins intensifs, nous débutons des séances de VNI diurnes et nocturnes progressivement espacées sur la journée. Après une évaluation par les pneumologues, nous initions un appareillage nocturne compatible avec l'étage et en vue de le poursuivre au domicile. Le patient sera à adresser par la suite à son pneumologue traitant (Dr. X).Les oedèmes des membres inférieurs (habituellement traités par Torasémide), nous incitent à rechercher une cause cardiaque à l'insuffisance respiratoire. L'échocardiographie transthoracique du 24.04.2019 montre une fonction cardiaque dans la norme. L'évolution est favorable sous diurétiques et reventilation. Un état fébrile le 25.04.2019 motive la réalisation d'hémocultures qui reviennent positives pour un S.epidermidis (une seule bouteille d'hémoculture sur 4). Nous vous proposons de poursuivre le traitement de Vancomycine pour une durée totale de 3 jours. Le patient est transféré en médecine interne pour la suite de la prise en charge. • Patient de 60 ans adressé par les urgences de l'HFR Riaz en raison de douleurs hanche D suite à un mouvement de torsion quelques jours auparavant. Patient connu pour un status post implantation PTH D métal/métal en 2009 à l'HFR Riaz. Les investigations mettent en évidence le diagnostic susmentionné. L'indication à une ponction de la hanche D est posée et réalisée le 19.03.2019. Mise en évidence d'un liquide de type métallose. La microbiologie est négative. L'indication à un changement de PTH est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 21.03.2019, sans incidents. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie à 68 h/l nécessitant la transfusion de 2 CE le 23.03.2019 avec bonne réponse. La microbiologie du 21.03.2019 se révèle négative. Rx postop satisfaisantes. Les plaies opératoires évoluent favorablement et l'hémoglobine reste stable. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane. Mobilisation sous conduite de la physiothérapie. Absence de déficit neurologique des MI. Antalgie standard. Retour à domicile le 27.03.2019. • Patient de 61 ans, qui nous est réadressé depuis Tavel le 25.04.2019 en raison d'une hypotension artérielle. Connu pour une dépendance aux benzodiazépines, il présente le 13.04.2019 un STEMI sur occlusion de l'IVA proximale, revascularisé à Inselspital. L'évolution est marquée par une pneumonie d'inhalation et un état confusionnel aigu sur sevrage des benzodiazépines motivant son transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le 18.04.2019. L'évolution est progressivement favorable et le patient est transféré le 20.04.2019 à l'hôpital de Tavel pour suite de prise en charge. Il nous est réadressé le 25.04.2019 pour investigations et prise en charge d'une hypotension artérielle persistante asymptomatique. Dès l'arrivée dans notre service, il est désormais stabilisé après réanimation volémique à minima. L'origine de l'hypotension artérielle est incertaine, avec possiblement au premier plan une discrète composante d'hypovolémie. Un CT thoracique met en évidence des infiltrats résiduels de la bronchopneumonie déjà traitée par Co-amoxicilline et des atélectasies pouvant expliquer l'hypoxémie. Une embolie pulmonaire est exclue. En raison d'une dilatation du tronc pulmonaire, une ETT est demandée à la recherche d'une HTAP. Après réhydratation, le patient reste hémodynamiquement stable, sans récidive d'état fébrile. Dans ce contexte, nous procédons à une fenêtre antibiotique. Un suivi clinique et biologique rapproché est préconisé. • Patient de 63 ans hospitalisé, suite à l'intervention chirurgicale qui avait été agendée en ambulatoire, en raison d'une brèche durale en peropératoire le 05.04.2019 nécessitant une surveillance et lit strict en décubitus dorsal à 0° pendant 24 h. L'évolution est favorable. Mobilisation du patient sous conduite de la physiothérapie dès le 06.04.2019. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cutanée durant l'hospitalisation. La plaie opératoire évolue favorablement. Au status neurologique, mise en évidence d'un léger déficit de force à M4- de la flexion-extension du gros orteil G probablement en lien avec une inflammation arachnoïdienne séquellaire de la brèche durale avec également hypoesthésie de L5 et S1 G ; néanmoins, le léger déficit de force devrait s'améliorer et n'empêche aucunement le patient de se mobiliser de manière autonome. Si persistance à 6 semaines, de la physiothérapie serait à discuter. Patient hémodynamiquement stable et afébrile. Retour à domicile le 09.04.2019. • Patient de 65 ans, admis aux Soins intensifs le 03.04.2019 en post-opératoire d'un débridement avec nettoyage et lavage d'une PTH gauche (OP le 03.04.2019, Dr. X) en raison d'un choc septique associé à une possible composante allergique. d'un choc septique sur arthrite septique de la hanche gauche. Pour rappel, il s'agit d'un patient connu pour un intertrigo avec fissures cutanées très importantes et une maladie de Crohn sous traitement immunosuppresseur, qui est opéré en urgence pour un débridement chirurgical en raison d'une infection de sa prothèse de hanche gauche. En fin d'intervention, il présente une vasoplégie marquée associée à un oedème de la langue motivant une réanimation volémique et la mise sous amines vasopressives. Il nous est alors adressé intubé, pour suite de prise en charge. Nous retenons comme origine à l'instabilité hémodynamique initiale une composante septique, dans un contexte d'infection de PTH gauche avec bactériémie à Cocci Gram positif associée. Une possible composante anaphylactique surajoutée (Augmentin) n'est pas formellement exclue. Un dosage de la Tryptase est effectué le 03.04.2019 et reste à suivre. Un avis allergologique ambulatoire est recommandé à distance de l'hospitalisation actuelle. L'évolution est rapidement favorable après réanimation volémique ciblée, permettant un sevrage des amines peu de temps après son admission. Compte tenu de la sévérité de l'infection survenant chez un patient immunosupprimé et de la suspicion de réaction anaphylactique, l'antibiothérapie empirique par Augmentin initialement introduite au bloc après les prélèvements est changée pour de la Céfépime et de la Vancomycine. Des hémocultures sériées de même qu'une échocardiographie à la recherche d'un éventuel ensemencement endocardique sont demandées. Un avis infectiologique est en cours. Un second look est prévu pour le 04.04.2019. Le patient présente un intertrigo majeur des plis inguinaux, possiblement à l'origine des complications infectieuses actuelles. Un suivi stomatologique est demandé. • Patient de 65 ans, connu pour des épisodes récidivants de confusion depuis le mois de mai 2018, hospitalisé en raison d'une épilepsie. Le patient présente plusieurs épisodes de crise le 22.03.2019, caractérisés par une gêne abdominale, une sensation de déréalisation, puis une diminution de la vigilance avec des automatismes du pouce gauche et de mâchonnement, avec récupération complète et spontanée en moins de 2 minutes. De plus, le patient présente un affaiblissement cognitif depuis le début des épisodes. Pour rappel, le patient a bénéficié d'investigations pour la même symptomatologie en novembre 2018, dont l'étiologie restait indéterminée. La clinique est fortement suggestive de crises d'épilepsies partielles complexes. Une crise est également objectivée par nos collègues neurologues, et l'EEG montre un foyer frontal droit. Un traitement anti-épileptique par Keppra est introduit avec une bonne réponse clinique, le patient ne présentant pas de nouvelle crise d'épilepsie durant le séjour. Selon avis neurologique, nous poursuivons les investigations par une ponction lombaire à la recherche d'éléments en faveur d'une encéphalite limbique ou d'une démence neurodégénérative. Les analyses en lien avec le diagnostic différentiel d'encéphalite limbique reviennent négatives, et les marqueurs de maladie neurodégénérative restent en cours. L'IRM cérébrale, selon nos collègues neurologues et neuroradiologues, laisse suspecter une sclérose hippocampique dans le contexte épileptique. L'IRM médullaire revient dans la norme, et le CT thoraco-abdominal effectué à la recherche d'une néoplasie ne montre pas de lésion focale suspecte. Au vu de nodules pulmonaires aspécifiques mis en évidence, nous vous proposons un CT de contrôle à 6 mois. Au vu de la stabilisation clinique, sans récidive de crise d'épilepsie, Mr. Y rentre à domicile le 29.03.2019. Un contrôle neurologique est prévu à 3 mois. Le patient est informé de l'interdiction de conduite pour une durée minimale de 6 mois, jusqu'à réévaluation neurologique. • Patient de 65 ans, connu pour un adénocarcinome pulmonaire du lobe inférieur droit métastatique au niveau pleural, traité actuellement de manière conservatrice, et un syndrome myéloprolifératif, est hospitalisé de manière élective en médecine par son oncologue le Dr. X pour une baisse d'état général. • Au niveau de son syndrome myélo-prolifératif, le patient présente pour rappel une myélofibrose primaire avec anémie transfuso-dépendante, est traité par Aranesp depuis août 2018 et présente une hépatosplénomégalie avec un ascite en péjoration dans un contexte d'hypertension portale au CT du 13.3.2019. • À l'arrivée, le patient se plaint principalement d'une asthénie importante avec faiblesse des membres inférieurs invalidante. Il présente cliniquement un abdomen ascitique avec surcharge volémique principalement sous forme d'oedèmes des membres inférieurs. • Au niveau biologique, l'anémie connue est retrouvée avec une hémoglobine à 93. Au niveau hépatique, nous notons une élévation légère des tests hépatiques. • Nous retrouvons également une hypothyroïdie nouvelle avec TSH élevée et des hormones thyroïdiennes abaissées. Sur le plan radiologique, un ultrason abdominal montre l'hépatosplénomégalie et la cirrhose connue, avec une vascularisation conservée ainsi qu'un volume important d'ascite. • Sur le plan médicamenteux, nous introduisons un traitement diurétique par Torasemide et Aldactone, majorons provisoirement la dose de Prednisone, et introduisons un traitement de Lyrica en raison de douleurs neuropathiques des membres inférieurs. • L'hypothyroïdie est substituée dès le milieu du séjour. Le patient prenant de longue date un traitement d'immodium en raison de symptômes d'incontinence fécale partielle, nous lui expliquons les risques d'obstruction intestinale de ce genre de traitement au long cours. • Une transfusion de deux culots érythrocytaires est effectuée en début de séjour avec bon effet sur l'asthénie. Nous réalisons une ponction d'ascite évacuatrice le 29.3.2019 avec retrait de 5 l et bon effet symptomatique. Les analyses de ce liquide ne montrent pas d'argument pour une péritonite bactérienne spontanée. • Au niveau des soins de support, le patient bénéficie de la prise en charge multidisciplinaire dans le cadre du programme de soins palliatifs complexes supervisé par le Dr. X. • Après une évolution clinique rapidement favorable, le patient rentre à domicile le 2.4.2019 avec des soins à domicile et le passage de l'équipe Voltigo. Le suivi se fera à la consultation du Dr. X avec des rendez-vous fixés pour la semaine suivant la sortie. • Patient de 67 ans, admis aux soins intensifs le 03.04.2019 en raison d'un choc septique survenant dans le cadre d'un iléus post-opératoire avec broncho-aspiration secondaire. • Le patient, connu pour un cancer de la prostate avec prostatectomie radicale en 2013, bénéficie le 28.03.2019 d'une lymphadénectomie à l'hôpital Daler. En post-opératoire, il présente un iléus paralytique avec des vomissements depuis le 31.03.2019, suivis de diarrhées importantes sous Neostigmine dès le 01.04.2019. • L'évolution est marquée par une vasoplégie croissante motivant une réanimation liquidienne de près de 3 litres dans la nuit du 02 au 03.04.2019. Dans l'intervalle, une antibiothérapie par Metronidazole est débutée en raison d'une suspicion clinique de colite à C. difficile. • Le 03.04.2019 au matin, il présente une détresse respiratoire aiguë associée à une instabilité hémodynamique survenant dans un contexte d'iléus avec vomissements biliaires. Il est alors transféré de Daler aux soins intensifs de l'HFR-Fribourg pour suite de prise en charge. • À l'arrivée dans notre service, la sévérité du tableau respiratoire motive une intubation orotrachéale avec séquence rapide et mise sous ventilation invasive. Une sonde naso-gastrique est posée de suite, qui ramène près de 2 litres de liquide biliaire, également retrouvé au niveau des aspirats bronchiques profonds. • Le patient présente par ailleurs d'emblée une instabilité hémodynamique majeure, attribuée d'une part à une composante de déshydratation initiale (iléus) et d'autre part à une composante septique. • L'origine du sepsis demeure incertaine. Nous suspectons d'une part une composante de pneumonie d'inhalation au premier plan et d'autre part une possible composante de translocation digestive transitoire. Deux CT-scan thoraco-abdominaux sériés sont en effet compatibles avec une pneumonie d'inhalation. • L'évolution clinique pour une pneumonie est cependant atypique, avec des besoins en oxygène normalisés en 48 heures. Une laparotomie exploratrice avec lavage péritonéal est réalisée le 04.04.2019 et n'a pas mis en évidence de lésions macroscopiques à ce niveau. En date du 06.04.2019, seules les cultures d'expectorations profondes s'avèrent positives pour une flore multi-bactérienne d'origine digestive (Citrobacter koseri et Proteus mirabilis multisensibles). • Une antibiothérapie par Meronem est débutée dès l'admission, en association avec le Métronidazole initié à Daler. L'évolution est rapidement marquée par un choc septique profond et réfractaire, associé à un syndrome de défaillance multi-organique avec atteinte hémodynamique, hématologique et rénale. • Dans ce contexte, nous débutons une épuration extra-rénale continue dès le 04.04.2019. On note par surplus une défaillance cardiaque aiguë, d'emblée sévère, attribuée au sepsis au vu des troubles diffus de la cinétique segmentaire et en l'absence de modification ECG dynamique objectivée. • En l'absence d'amélioration clinique significative après 4 jours de réanimation intensive sous amines à très hautes doses, et compte tenu des directives anticipées rapportées par les proches chez un patient présentant une néoplasie prostatique non contrôlée, nous décidons de soins de confort exclusifs dès le 06.04.2019. Le patient décède le 06.04.2019. Nous n'avons pas demandé d'autopsie. • Patient de 67 ans, connu pour un anévrisme de l'aorte ascendante depuis 2006, un diabète type II insulino-requérant, une HTA et hypercholestérolémie. S/p prothèse anévrisme en 2006, récidive avec pose d'un implant endovasculaire en 2012, puis nouvelle récidive de faux-anévrisme avec fuite au niveau de l'anastomose proximale et compression de l'artère pulmonaire. • Il est hospitalisé au CHUV le 13.03.2019 pour un remplacement de l'aorte ascendante et transféré dans notre service le 29.03.2019 pour suite de prise en charge dans le contexte d'un ECA et de troubles de l'équilibre survenus en post-opératoire. • À l'entrée, nous n'objectivons pas de clairs symptômes confusionnels, le patient est orienté, répond à côté par moments et les troubles de l'équilibre sont mineurs. Nous organisons une IRM cérébrale le 02.04.2019 qui confirme les lésions ischémiques subaiguës bilatérales. • Sur avis des neurologues, une statine est introduite, il n'y a pas d'indication à débuter une anticoagulation. Une évaluation neuropsychologique est effectuée, mais nous n'avons pas obtenu le rapport final au moment du transfert du patient. • Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y est transféré à l'HFR Billens pour une réadaptation cardio-vasculaire le 09.04.2019.Patient de 67 ans transféré de l'hôpital d'Yverdon pour des lombalgies ne répondant pas au traitement antalgique. Il est connu pour des lombalgies chroniques à gauche, va régulièrement chez le chiropraticien et aux bains thermaux. Ce jeudi, il a ressenti une douleur 10/10 en effectuant une flexion pour attacher ses chaussures. Il a été amené à l'hôpital d'Yverdon. Les douleurs persistent lors des mouvements dans toutes les directions par coup de poignard, non irradiantes. Pas de paresthésie, pas de diminution de la mobilité des membres inférieurs. Il ne présente pas d'incontinence urinaire ni fécale, pas d'anesthésie en selles. Les douleurs diminuent à la position couchée. Il est traité depuis le 14.3 pour une prostatite. Il s'agit d'un patient de 67 ans, connu pour des lombalgies chroniques, qui est hospitalisé dans le contexte d'une acutisation de ses lombalgies habituelles. Le patient était aux bains thermaux d'Yverdon lorsqu'est apparue une douleur lancinante au moment de lacer ses chaussures. Il a été amené à l'hôpital d'Yverdon. Il est transféré de cet hôpital pour prise en charge des douleurs. À son entrée, le patient présente des douleurs aux mouvements dans toutes les directions de type coup de poignard, non irradiantes. Pas de paresthésie, pas de diminution de la mobilité des membres inférieurs. Il ne présente pas d'incontinence urinaire ni fécale, pas d'anesthésie en selles. À l'examen clinique, il n'y a pas de déficit de sensibilité ou de force des membres inférieurs, le Lasègue est négatif, le toucher rectal est normal. Une antalgie est initiée avec évolution rapidement favorable. Durant son séjour, le patient insiste pour aller chez son chiropraticien, il est informé que celui-ci ne sera pas pris en charge par l'hôpital. Il reçoit pendant son séjour un traitement physiothérapeutique. À noter que Mr. Y est traité depuis le 14.03.19 pour une prostatite. Nous poursuivons le traitement antibiotique pendant son séjour. Mr. Y peut rentrer à domicile le 03.04.19. Patient de 68 ans, admis aux soins intensifs pour la suite de la prise en charge en post-opératoire d'un pontage aorto-bi-iliaque le 01.04.2019. Il est connu pour un syndrome métabolique et pour un syndrome d'apnée du sommeil appareillé. Il bénéficie le 01.04.2019 d'un pontage aorto-bi-iliaque en raison d'une maladie anévrismale des deux artères iliaques communes. L'intervention se déroule sous anesthésie générale après la pose d'une péridurale thoracique. Les pertes sanguines ne sont pas quantifiées. Il reçoit en per-opératoire 4 L de cristalloïde et une transfusion de 800 ml de sang via le cell-saver. L'hémoglobine post-opératoire est mesurée à 130 g/L. Les lactates en fin d'intervention sont à 2.9 mmol/L. Un soutien hémodynamique par noradrénaline est initialement nécessaire pour maintenir une tension artérielle systolique cible entre 110 et 140 mmHg. Celui-ci peut être sevré dès le 02.04.2019. L'hémoglobine reste stable, la diurèse est conservée et les lactates diminuent après remplissage vasculaire. L'antalgie est assurée par la péridurale, qui est efficace. Le patient ne présente pas de douleur au niveau de la cicatrice mais une douleur de la fesse droite apparaît 24h après l'intervention. Elle est traitée en majorant le débit de la péridurale à 7 ml/h et en ajoutant du paracétamol et de l'oxynorm en réserve. Les pouls aux membres inférieurs sont bien présents et les membres sont chauds et bien perfusés. Une anticoagulation par héparine prophylactique est débutée dès 2h post-opératoire. Une antibioprophylaxie par zinacef est effectuée pendant 24h. Le patient reste à jeun initialement avec la pose d'une sonde nasogastrique et des boissons de confort. Une alimentation liquide est reprise le 03.04.2019 et est bien tolérée. Le patient présente des bruits hydroaériques. Devant l'évolution favorable, le patient est transféré en chirurgie le 03.04.2019 pour la suite de la prise en charge. Patient de 68 ans, hospitalisé le 09.03.19 en Stroke Unit pour un AVC bilatéral des centres semi-ovales. L'évolution après thrombolyse est favorable, avec disparition du déficit (dysarthrie, confusion nouvelle, hémianopsie homonyme latérale droite et héminégligence droite). Lors du séjour, le patient développe un globe urinaire nécessitant un sondage transitoire, compliquée d'une macrohématurie persistante pendant 3 jours. Un CT abdominal est alors réalisé pour bilanter les voies urinaires, qui met en évidence une lésion suspecte de la prostate et du cæcum. Afin de compléter le bilan d'extension d'une possible lésion néoplasique, un CT thoracique est réalisé. Il n'y a pas de lésions à distance mais mise en évidence fortuite d'une embolie pulmonaire segmentaire avec extension sous-segmentaire du segment postéro-basal du lobe inférieur droit asymptomatique. Une anticoagulation thérapeutique est alors débutée et l'anti-agrégation arrêtée. Sur le plan digestif, la colonoscopie du 18.03.19 retrouve la lésion suspecte caecale : il s'agit d'un polype de 2 cm fixé et induré, qui n'a pu être réséqué qu'à 80 % puis électrocoagulé. L'analyse en pathologie met en évidence uniquement une dysplasie de bas grade. Un polype sigmoidien est également réséqué. Le geste se complique d'hématochézies puis d'un choc hémorragique la nuit du 19 au 20.03.19 nécessitant un séjour transitoire aux soins intensifs. Le patient présente des hématochézies importantes dès le 26.03.19. Devant l'impossibilité de poursuivre une anticoagulation thérapeutique au vu des saignements répétés, un filtre cave est posé le 27.12.19 avec poursuite d'une anticoagulation prophylactique uniquement. L'évolution est alors finalement favorable avec tarissement des saignements. Une colonoscopie de contrôle aura lieu dans 3 mois au vu de la lésion macroscopiquement et radiologiquement suspecte, pour contrôler l'état de résection. Sur le plan urologique, la lésion vue sur le CT et le PSA à 21 ng/L ne sont pas interprétables en raison de la modalité d'imagerie et du sondage vésical récent. Le patient sera revu en ambulatoire pour un nouveau dosage du PSA et possiblement une IRM prostatique. En fonction des résultats des biopsies prostatiques, celles-ci seront éventuellement réalisées. Sur le plan neurologique, un bilan neuropsychologique montre un ralentissement psychomoteur, un dysfonctionnement exécutif, des troubles mnésiques et une anosognosie contre-indiquant la conduite automobile jusqu'à nouvel ordre. Nos collègues neuropsychologues vous proposent de réadresser le patient pour un bilan neuropsychologique de suivi. Une consultation neurovasculaire de suivi est prévue dans 3 mois. Sur le plan étiologique, au vu d'un AVC, d'une embolie pulmonaire et de 2 lésions suspectes de néoplasie, un syndrome de Trousseau est initialement suspecté. Cependant, tant l'urologue que le gastro-entérologue pensent que chacune de ces lésions ne peut expliquer un syndrome de Trousseau au vu de l'absence de signes témoignant de lésions avancées. Une hypothèse alternative serait que l'embolie pulmonaire soit secondaire à l'alitement suite à l'AVC. L'étiologie de l'AVC demeure cependant peu claire avec une absence de passage en FA au Holter. Le patient bénéficiera de la suite des investigations en ambulatoire (biopsies prostatiques éventuelles selon imagerie et PSA à distance et colonoscopie à 3 mois), tant qu'il sera porteur du filtre cave, pour limiter les complications hémorragiques secondaires à une anticoagulation thérapeutique. La durée de l'anticoagulation sera à définir en fonction de l'étiologie finale retenue de l'embolie pulmonaire (alitement vs néoplasique) et de l'AVC. À noter que les neurologues préconisent, quand la situation le permettra, une anticoagulation thérapeutique par Lixiana 60 mg. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 01.04.19.Patient de 69 ans, connu pour un carcinome pulmonaire à petites cellules suivi par Dr. X, diagnostiqué en février 2019, d'emblée métastatique au niveaux cérébelleux, osseux et hépatique, est hospitalisé en électif pour une baisse d'état général avec dyspnée d'effort progressive. Le scanner réalisé montre une progression de la maladie tumorale, avec notamment un comblement de la bronche souche gauche avec atélectasie touchant le lobe inférieur gauche et supérieur gauche. Un avis est pris auprès de nos collègues pneumologues. Vu la mauvaise vascularisation pulmonaire en raison de la compression vasculaire de la tumeur et la progression globale de la maladie, pas d'indication à une désobstruction endoscopique de la bronche souche gauche selon eux. D'entente avec Dr. X, un avis est également pris auprès de nos collègues de radio-oncologie qui retiennent une indication à réaliser une radio-thérapie à visée palliative. Le patient sera reconvoqué par la suite afin de planifier ce traitement. Le patient rentre à domicile le 30.04.2019 avec le suivi oncologique prévu auprès de Dr. X. Patient de 70 ans, admis aux soins intensifs le 24.04.2019 en raison d'une récidive d'insuffisance respiratoire globale. Le patient a été hospitalisé au mois de mars pour une exacerbation BPCO ayant nécessité une intubation courte. Il a pu rentrer à domicile le 13.03.2019. Il se présente aux urgences le 24.04.2019 en raison d'une dyspnée et d'une toux en péjoration avec difficulté à expectorer et changement de la qualité des expectorations. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer pulmonaire franc. Il nous est alors adressé pour VNI intensive. Devant le tableau clinique associé à un syndrome inflammatoire biologique nouveau, un traitement empirique par Céfépime est introduit afin de couvrir une probable infection bronchique. L'évolution est progressivement favorable sous ce traitement associé à de la VNI diurne et nocturne intensive. Afin de diminuer la fréquence des exacerbations, de l'Azithromycine est introduite à raison de 3 fois par semaine, en accord avec les pneumologues. Nous ne retenons pas d'indication à poursuivre la Théophylline. Le patient est transféré en médecine interne le 26.04.2019 pour suite de prise en charge. Patient de 70 ans, connu pour une hypertension artérielle, est transféré des soins intensifs de Fribourg dans notre service de médecine interne des suites d'un AVC sylvien gauche le 27.02.2019. Pour rappel, le patient présente le 27.02.2019 un hémisyndrome sensitivo-moteur droit avec aphasie et NIHSS à 20 aux Urgences de Fribourg. Un CT "Time is Brain" retrouve une occlusion de l'artère cérébrale moyenne gauche et le patient est transféré à Bern où il bénéficie d'une thrombectomie à deux reprises pour cause d'une ré-occlusion. Une IRM cérébrale effectuée le 29.01.2019 montre une transformation hémorragique avec persistance d'une sténose distale du segment M1. Une antiagrégation plaquettaire par Aspirine est introduite. Dans le reste du bilan, une échocardiographie transthoracique effectuée le 28.02.2019 est sans particularité. Durant le séjour à Berne, le patient présente une pneumonie de broncho-aspiration sur des troubles de la déglutition sévères entraînant une insuffisance respiratoire globale avec nécessité d'une intubation oro-trachéale puis trachéotomie avec antibiothérapie. Le patient est sevré de la ventilation mécanique et une fermeture de trachéotomie est effectuée le 22.03.2019 avec reprise de l'alimentation orale dès le 23.03.2019 avec couverture des besoins par une alimentation entérale par PEG (Isosource 500 ml dès 10.04.2019). D'un point de vue neurologique, le patient présente à son arrivée dans notre service un hémisyndrome facio-brachio-crural sensitivo-moteur droit avec une aphasie mixte sévère. L'utilisation de l'hémicorps droit est quasi inexistante, hormis un appui sur le membre inférieur droit pour la station debout. Le bilan étiologique de l'AVC est complété avec une hémoglobine glyquée normale et des tests lipidiques également normaux. Le résultat d'un Holter est encore en attente. L'étiologie de l'AVC reste encore pas claire. À la sortie, le patient montre une évolution positive de son hémiplégie, avec une récupération de la force musculaire à M3+ dans l'hémicorps droit. L'aphasie de production reste encore importante mais on note une amélioration de la compréhension. D'un point de vue nutritionnel, le patient présente un probable syndrome de renutrition inappropriée qui est suivi de manière rapprochée et substitué. Nous adaptons la nutrition entérale sur la nuit avec une reprise de l'alimentation orale avec un régime 3C (haché-fin) dès le 23.03.2019. Une évaluation de la dysphagie est prévue pendant le séjour en neuro-réhabilitation. Sur le plan médical, le patient présente une lésion du méat de décubitus sur sonde vésicale avec macrohématurie le 03.04.2019. Le sédiment urinaire montre une bactériurie et un traitement avec Bactrim Forte est introduit pour une durée de 4 jours. Selon l'avis urologique, le patient présente une incontinence mixte et probable vessie hyperactive d'origine neurogène, raison pour laquelle nous avons introduit un protocole de clampage de la sonde urinaire afin de réentraîner la vessie et un traitement avec Betmiga 25 mg 1x jour. Les bilans biologiques se montrent en normalisation à la fin du séjour en médecine. Le patient est transféré au service de neuro-réhabilitation de notre hôpital pour la poursuite de la prise en charge le 11.04.2019. Patient de 71 ans, connu pour une cardiopathie ischémique, une artériopathie des membres inférieurs et un syndrome métabolique, hospitalisé de manière élective pour une pose de pacemaker. Il n'a présenté aucun symptôme depuis sa récente sortie de l'hôpital. L'intervention se passe sans difficulté, et la surveillance durant 24h se déroule sans complication. La radiographie du thorax montre des sondes correctement placées, sans pneumothorax. On note la présence d'un léger hématome au niveau de l'incision, qui reste stable durant l'hospitalisation. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 02.04.2019. Patient de 72 ans, admis intubé aux soins intensifs le 25.03.2019 pour suite de prise en charge en post-opératoire d'une EVAR (endovascular anevrysm repair) élective. Dès l'arrivée aux soins intensifs, il présente une ischémie aiguë du membre inférieur droit secondaire à une embolisation au niveau de l'artère poplitée distale droite. Il est repris en urgence en angiographie puis au bloc où un traitement par Fogarty et lyse locale sont effectués. Une fasciotomie antérieure est effectuée dans le même temps. Dans les heures qui suivent, il présente une hémorragie de la loge de fasciotomie post-anticoagulation curative et lyse, motivant une réversion de la crase par de la protamine, du fibrinogène et 2 CE. D'emblée, il présente une insuffisance rénale aiguë anurique avec acidose métabolique sévère et persistante associée à une hyperkaliémie nécessitant la mise en place d'une dialyse (CVV-HDF). L'étiologie de cette insuffisance rénale est multifactorielle (emboles des artères rénales per opératoire, origine pré-rénale sur le bas débit, rhabdomyolyse secondaire à l'ischémie du membre inférieur droit, à une néphropathie au produit de contraste). Nous n'observons pas de reprise significative de la diurèse tout au long du séjour. L'évolution est marquée dès le 27.03.2019 par un état de choc septique avec une défaillance multiviscérale associée. Deux pistes étiologiques principales sont évoquées : digestive (micro-emboles multiples) et pulmonaire (pneumonie précoce). Nous élargissons le spectre antibiotique par du méropénem. À ce stade, on note une augmentation des besoins en amines malgré une réanimation volémique ciblée. La défaillance hépatique ainsi que la thrombopénie tendent à se normaliser après correction de l'état de choc. La défaillance respiratoire nécessite une sédation profonde avec curarisation continue jusqu'au 23.03.2019.Malgré une amélioration de l'état hémodynamique avec sevrage de la Noradrénaline le 31.03.2019, il persiste par la suite une hypoxémie importante sous ventilation mécanique invasive. Mr. Y présente dans ce contexte un retard de réveil associé à un sevrage ventilatoire prolongé en relation avec une poly-neuro-myopathie de la maladie critique. Dans le contexte d'ischémie post-opératoire, des lésions cutanées s'étendent d'emblée de la face postérieure du membre inférieur droit au bas du dos, une avec évolution vers des zones de nécrose étendues. En l'absence d'amélioration clinique significative après plus de douze jours de réanimation intensive et compte tenu des directives anticipées telles que rapportées par les proches (pas de dialyse au long cours) chez un patient présentant par surplus une néoplasie pulmonaire non contrôlée, nous décidons de soins de confort exclusifs dès le 05.04.2019. D'entente avec la famille et les chirurgiens vasculaires, nous procédons à une extubation terminale le 05.04.2019. Le patient décède entouré par les siens le soir même à 23h30. Nous n'avons pas demandé d'autopsie médicale. Mr. Y, 72 ans, admis pour une coronarographie élective en raison d'une dyspnée en péjoration chez un patient connu pour une maladie coronarienne tritronculaire avec une hypokinésie nouvelle du septum basal, moyen et inféro-basal. La coronarographie du 30.01.2019 montre une nouvelle hypokinésie apicale avec une FEVG à 50%, ce qui pourrait expliquer la nouvelle dyspnée. Les stents au niveau de l'IVA et la diagonale montrent un bon résultat à long terme après intervention de juin 2018, ainsi que l'AMIG sur l'IVA distale et le pont veineux sur la marginale. Par contre, il existe une progression de la maladie coronarienne au niveau de la coronaire droite avec des sténoses dans le segment moyen et distal et de l'IVP, raison pour laquelle nous procédons à une dilatation avec mise en place de trois stents actifs avec un bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 1.05.2019. Mr. Y, 72 ans, connu pour un carcinome épidermoïde de la lingula gauche avec métastases hilaires ipsilatérales et médiastinales depuis mars 2017, chez qui un traitement de deuxième ligne d'immunothérapie par Opdivo a été introduit en février 2019, présente depuis une semaine une dyspnée progressive actuellement NYHA III avec une dysphagie au liquide et solide, ainsi qu'une dysphonie et une asthénie importantes. Il décrit une toux avec des expectorations grises surtout le matin depuis 3-4 jours. À l'entrée, Mr. Y sature à 85% à l'air ambiant, et le laboratoire met en évidence des troubles électrolytiques. Nous effectuons un CT cervico-thoracique qui montre une discrète majoration de l'épanchement pleural gauche par rapport au comparatif du 22.03.2019 qui montrait déjà une majoration des adénopathies médiastinales et rétropéritonéales ainsi que des infiltrats tissulaires hilaires bilatéraux et une lymphangite carcinomateuse. À noter également l'apparition de 2 lésions hypodenses mal délimitées suspectes dans le segment VI hépatique. Nos confrères ORL mettent en évidence une paralysie de la corde vocale gauche en position semi-ouverte, qui explique le stridor inspiratoire et les troubles de la déglutition. Nous renonçons à effectuer une TOGD, le patient exprimant clairement le souhait de continuer à boire et manger par voie orale, malgré le risque de fausse route et d'infection pulmonaire. Concernant la dyspnée, nous n'effectuons pas de ponction pleurale, car nous n'objectivons pas d'épanchement significatif à l'US dans une zone ponctionnable. Un traitement d'épreuve par diurétiques ne permet pas d'amélioration significative. Une corticothérapie est introduite, après discussion avec le Dr. X et la Dr. X, afin de traiter une éventuelle composante de pneumonite sur Opdivo. Au vu de l'absence de bénéfice après 6 jours de traitement, nous vous proposons d'établir un schéma dégressif. Nous observons une stabilité clinique pendant le séjour du patient, qui ne décrit pas de dyspnée et ressent une gêne avec les lunettes à oxygène. Nous décidons donc de garder l'oxygénothérapie en réserve, selon la clinique. À noter que l'Amlodipine n'a pas été reprise, au vu du profil tensionnel du patient. Après discussion avec Mr. Y et sa famille, il est finalement décidé que le retour à domicile n'est pas possible actuellement, et une réhabilitation palliative est organisée à l'HFR Meyriez dès le 03.04.2019. Mr. Y, 73 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, hospitalisé pour une sténose de l'artère carotide interne gauche de 90%. Mr. Y séjourne aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique. Les suites opératoires sont simples. Sur le plan chirurgical, après ablation du pansement, la plaie est calme. Sur le plan neurologique, l'examen clinique est normal. Au vu de la bonne évolution, le patient rentre à domicile le 14.04.2019. Mr. Y, 74 ans, admis aux soins intensifs le 24.04.2019 en raison d'un choc distributif d'origine mixte survenant dans un contexte de myélome multiple en progression avec un syndrome d'activation macrophagique compliqué d'un sepsis d'origine respiratoire. Le patient est connu pour un myélome multiple actuellement en progression. Il consulte les urgences le 23.04.2019 pour un état fébrile présent depuis 3 jours, associé à une toux grasse avec des expectorations verdâtres et une dyspnée nouvelle. Il est hospitalisé initialement en médecine interne où une antibiothérapie par Ceftriaxone et Clarithromycine est débutée. Il est transféré aux soins intensifs quelques heures plus tard en raison d'un état de choc avec apparition d'un état confusionnel aigu hypoactif. Le spectre antibiotique est élargi avec de la Céfépime et le patient est intubé en raison de troubles de l'état de conscience peu de temps après son admission dans le service. Il bénéficie d'un soutien aminergique. L'évolution est transitoirement favorable, permettant une extubation de courte durée, avec une réintubation au vu d'un état confusionnel dans le contexte d'une encéphalopathie mixte (métabolique et septique). Il développe dans l'intervalle une défaillance multi-organique avec notamment une insuffisance rénale aiguë, un foie de choc et une acidose lactique. Une défaillance cardiaque transitoire avec une cardioplégie sévère mise en évidence à l'échocardiographie le 24.04.2019 motive un soutien transitoire par Dobutamine associée à de la Noradrénaline. Une coagulation intravasculaire disséminée est mise en évidence, qui survient dans un tableau clinique et biologique compatible avec un syndrome d'activation macrophagique (ferritine à 129000ug/l le 25.04.2019), compliquant le tableau clinique. Après discussion avec la famille en présence de l'oncologue traitant (Dr. X) et au vu de la situation clinique et biologique désormais dépassée, nous convenons de soins de confort exclusifs dès le 26.04.2019. Le patient décède le 26.04.2019 entouré par ses proches. Nous n'avons pas demandé d'autopsie médicale. Mr. Y, 74 ans, connu pour une BPCO stade IV, hospitalisé en raison d'une exacerbation de BPCO. Le patient présente depuis 3 jours une péjoration de la dyspnée et de la toux avec des expectorations jaunâtres, ainsi qu'un état fébrile. Une insuffisance respiratoire globale avec détresse respiratoire est mise en évidence, nécessitant un séjour aux soins intensifs. L'évolution clinique est rapidement favorable à l'aide de la ventilation non invasive, ce qui permet un transfert en médecine. En parallèle, une corticothérapie de courte durée est instaurée, ainsi qu'une antibiothérapie par Ceftriaxone et Clarithromycine. L'antigénurie pour Légionelle revenant négative, cette dernière est arrêtée, et la Ceftriaxone est poursuivie pour une durée de 7 jours.Les troubles électrolytiques mis en évidence à l'entrée se corrigent après substitution intraveineuse, puis orale. L'anémie est attribuée à un déficit en acide folique, et nous débutons une substitution dont la durée est à réévaluer. Concernant la dépendance à l'alcool, Mr. Y bénéficie d'une vitaminothérapie, ainsi que d'une prévention du syndrome de sevrage par Oxazépam. Le sevrage à l'alcool se déroule sans complications et les benzodiazépines peuvent être progressivement arrêtées. Concernant la dysurie rapportée par Mr. Y, nous débutons initialement un traitement de Tamsulosine en suspectant une hypertrophie prostatique. Au vu de la persistance de la symptomatologie, avec un syndrome inflammatoire à la hausse, nous retenons le diagnostic d'infection urinaire et débutons une antibiothérapie par Ciprofloxacine pour une durée de 7 jours. L'urotube prélevé ne montre pas une quantité significative de germes. Durant le séjour, nous suspectons une crise de goutte du genou droit, chez Mr. Y avec un antécédent de goutte. Un traitement par Colchicine, corticoïdes et antalgique est initié, avec bonne réponse. Par la suite, Mr. Y se plaint également de douleurs bilatérales des talons, et au vu de l'artériopathie des membres inférieurs connue, nous effectuons un bilan angiologique qui montre une maladie stable, et attribue les douleurs à des escarres débutants. Un nouveau contrôle est prévu à 6 mois. Dans le contexte de la BPCO connue, une réhabilitation respiratoire à Billens était envisagée en amont de la décompensation actuelle, et nous maintenons initialement le projet. Par la suite, Mr. Y présente une nouvelle péjoration de sa dyspnée, pour laquelle nous débutons un traitement symptomatique par Morphine en accord avec Mr. Y, avec réponse favorable. Le projet est alors rediscuté, et une réhabilitation palliative à la Villa Saint-François est débutée le 25.03.2019. Mr. Y de 74 ans qui est connu pour une hypertension artérielle, présente des douleurs rétro-sternales transversales depuis 11h du matin. À l'entrée, Mr. Y est stable hémodynamiquement. Nous réalisons un ECG qui ne montre pas de signe significatif d'ischémie active. En 30 minutes, Mr. Y refait l'épisode de douleurs très intenses à 10/10. L'ECG au moment des douleurs met en évidence un sous-décalage à I, aVL, V2. Mr. Y a reçu 7 mg de Morphine dans un but antalgique, du Belok Zok 25 mg. Nous chargeons Mr. Y avec Aspirine Cardio 500 mg, Brilique 180 mg, Héparine 5000 UI. Avec l'accord du Dr. X, aux soins intensifs de l'HFR Fribourg, et de la Dr. X, cardiologue à l'HFR Fribourg, nous transférons Mr. Y en salle de coronarographie à l'HFR Fribourg. Départ en ambulance. Mr. Y de 74 ans, admis électivement le 08.04.19 pour une biopsie et embolisation d'une possible métastase hépatique, d'un adénocarcinome de la jonction recto-sigmoidienne réséqué en 2017. L'intervention se déroule sans complications immédiates. À noter cependant l'objectivation per-geste d'une fibrillation auriculaire à conduction variable avec une bradycardie à 30-35 bpm. Le carvédilol est alors suspendu avec normalisation de la fréquence cardiaque sur le reste du séjour. Les suites interventionnelles sont simples, permettant un retour à domicile à J1 avec reprise du Xarelto dès J2. Mr. Y de 75 ans, admis aux soins intensifs le 26.04.2019 post-coronarographie en raison d'un STEMI antérieur. Il est connu pour une cardiopathie ischémique tritronculaire et présente le 26.04.2019 un angor typique associé à une poussée hypertensive. Le Fast-Track STEMI est enclenché et Mr. Y est admis de suite en salle de coronarographie. L'examen montre une diminution du flux coronarien dans l'IVA et principalement la branche diagonale, avec toutefois un état coronarien stable sans sténose significative nouvelle. Une imagerie endocoronaire par imagerie OCT retrouve une résorption quasi-complète des stents bio-résorbables de l'IVA, mais un pont résiduel en regard de la branche diagonale. Dès lors, le diagnostic le plus probable est une embolisation du matériel de dégradation dans la branche diagonale. Il n'y a pas contre pas d'occlusion qui justifierait un geste thérapeutique. Au niveau biologique, les enzymes cardiaques sont négatives. Sur avis cardiologique, seul le traitement antiagrégant plaquettaire par Aspirine est poursuivi avec arrêt du Prasugrel (une dose de charge avait été administrée en pré-hospitalier). L'évolution post-coronarographie est simple, sans troubles du rythme significatifs ni récidive d'angor. Les profils tensionnels sont désormais contrôlés à distance des douleurs. Un traitement par bêta-bloquant est introduit avec adaptation du traitement antihypertenseur (arrêt du Co-diovan et de l'Amlodipine et introduction du Lisinopril). Un suivi de la créatininémie en ambulatoire d'ici à une semaine est préconisé. Au vu d'une évolution clinique et biologique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 27.04.2019. Mr. Y de 75 ans, connue pour une épilepsie sous Keppra depuis janvier 2019, une cardiopathie rythmique (FA, Xarelto) et hypertensive et un déficit cognitif peu clair, est hospitalisée pour une chute avec traumatisme crânien et une aphasie. Mme. Y a chuté dans la nuit du 23.01.2019 avec un traumatisme crânien, sans perte de connaissance. Le lendemain, Spitex relève un manque du mot et une aphasie qui motive l'hospitalisation. Au service des urgences, la patiente présente un manque de l'attention, sans désorientation ni aphasie. Le status neurologique montre un déficit cognitif connu et une marche instable, sans autre déficit. Un bilan biologique montre une hyponatrémie, un NT-ProBNP augmenté et un taux de Keppra à la norme inférieure. Un bilan radiologique ne montre pas de lésion ischémique ni hémorragique cérébrale et une perméabilité des vaisseaux pré-cérébraux. Un EEG montre un discret foyer intermittent lent au niveau fronto-temporal, sans caractère irritatif. Les neurologues retiennent un état confusionnel aigu hypoactif avec trouble d'élocution d'origine mixte sur la décompensation cardiaque et l'hyponatrémie. Un AIT reste ouvert dans le diagnostic différentiel. Les neurologues proposent de garder la même posologie du Keppra. Nous introduisons de la physiothérapie et traitons l'hyponatrémie et la décompensation cardiaque. La patiente montre une amélioration au niveau de l'orientation et de l'attention, mais conserve des troubles cognitifs légers déjà connus d'origine probablement multifactorielle (dépression, abus d'alcool, encéphalopathie vasculaire). Un bilan neuropsychologique montre des troubles de la fonction exécutive, de la mémoire épisodique, de la praxie et un MMS à 24/30. Ce déficit cognitif léger est stable par rapport au dernier bilan réalisé le 19.12.2017. Au niveau cardiaque, la patiente rapporte une douleur rétrosternale peu claire il y a quelques jours avec une augmentation de la dyspnée à l'effort. Au status, nous observons des râles crépitants fins aux deux bases pulmonaires. Un bilan biologique montre un NT-ProBNP augmenté et des troponines sans cinétiques. Un bilan radiologique montre des signes de décompensation cardiaque. Un ECG montre une inversion des ondes T en V2-V3. Une échocardiographie montre une dysfonction systolique nouvelle avec une FEVG sévèrement diminuée à 30% avec une hypokinésie globale et une hypertension pulmonaire. Un holter montre une FA constante normocarde, déjà connu chez la patiente. Sur avis cardiologique, nous adaptons le traitement de l'insuffisance cardiaque. La patiente montre une bonne évolution clinique. Si la patiente reste symptomatique, nous proposons d'introduire à distance l'aldactone. Comme discuté avec nos confrères de cardiologie et par téléphone avec le médecin traitant, nous proposons une coronarographie à distance à la recherche d'une maladie coronarienne.Au niveau ostéo-articulaire, la patiente a chuté sur l'épaule droite. Elle présente des douleurs et une diminution de la mobilité. Une radiographie ne montre pas de fracture. Les orthopédistes retiennent une probable aggravation de lésion de la coiffe de rotateurs connues et proposent une antalgie et de la physiothérapie de mobilisation. Un contrôle est prévu le 05.06.2019 à 13h40 chez le Dr. X en orthopédie à l'HFR Fribourg. Une pseudo-hyponatrémie se corrige rapidement. Mme. Y rentre à domicile avec des soins à domicile deux fois par jour et de la physiothérapie. La patiente se trouve sur la liste d'attente de l'EMS de Morat. Mr. Y, 75 ans, hospitalisé suite à l'intervention chirurgicale, agendée en ambulatoire le 01.04.2019, pour surveillance neurologique d'une brèche superficielle de la dure-mère en peropératoire. Les suites postopératoires sont favorables avec lit strict et surveillance neurologique pendant 24 h. La plaie opératoire évolue favorablement. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Antalgie suffisante, patient afébrile et hémodynamiquement stable. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. À la sortie, le status neurologique présente un déficit à M2-M3 des releveurs du pied et du gros orteil G (territoire L4-L5), sans déficit de la sensibilité, superposable au status préopératoire. Retour à domicile le 02.04.2019. Mr. Y, 76 ans, admis en Stroke unit monitorée le 24.04.2019 en raison d'un AVC hémorragique occipital gauche. Le patient est amené en ambulance aux urgences en raison d'un état confusionnel persistant depuis la veille. Il présente des troubles exécutifs ainsi qu'une désorientation temporo-spatiale. À l'examen clinique, on retrouve une hémianopsie homonyme ipsilatérale droite sans signe de latéralisation. L'imagerie révèle un hématome intra-parenchymateux sans signe d'engagement. En cours d'investigation, il présente une brève crise tonico-clonique motivant l'introduction de Keppra sur avis neurologique. Nos collègues neurochirurgiens et neurologues retiennent l'indication à un traitement conservateur associé à un suivi neurologique rapproché motivant son transfert dans notre service. Au cours de la surveillance neurologique, il présente une péjoration de son état confusionnel avec des troubles phasiques plus marqués et une agitation psychomotrice le 25.04.2019 au matin. Un scanner cérébral de contrôle permet d'écarter une progression hémorragique. L'état neurologique s'améliore rapidement. Ces fluctuations neurologiques initiales sont attribuées en premier lieu à une labilité tensionnelle, rapidement contrôlée par Labétalol en IVC puis reprise du traitement habituel. Sous traitement de Keppra depuis l'admission, nous n'objectivons par ailleurs pas signe de récidive de comitialité. Concernant l'étiologie de l'AVC hémorragique, une origine hypertensive est suspectée. Une éventuelle angiopathie amyloïde est à investiguer par IRM cérébrale à distance de l'événement aigu. Un bilan neuro-psychologique est à prévoir. Un bloc auriculo-ventriculaire du premier degré est mis en évidence avec apparition par la suite de plusieurs épisodes de bradycardie asymptomatique transitoire. Pour cette raison, les bétabloqueurs ne sont pas reconduits à ce stade. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y est transféré en Stroke unit non-monitorée le 26.04.2019. Mr. Y, 76 ans, connu pour une fibrillation auriculaire anticoagulée par Xarelto depuis mars 2018, hospitalisé en raison d'une fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide mal tolérée. Le patient présente des douleurs rétrosternales oppressives suite à l'arrêt de son traitement bêta-bloquant de Sotalol le 02.04.2019, en prévision d'un test d'effort prévu le 04.04.2019. À noter que ce test d'effort avait été organisé suite à l'apparition d'une symptomatologie similaire en mars 2019. Le bilan initial met en évidence une fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide, qui se cardioverse rapidement après l'administration de Brevibloc et d'Adénosine. Par la suite, le patient reste asymptomatique. Selon avis cardiologique, le test d'effort est annulé et le traitement habituel de Sotalol est repris. Un nouveau contrôle cardiologique est prévu à 6 mois. Mr. Y rentre à domicile le 04.04.2019. Mr. Y, 76 ans, coronarien, hypertendu, se présente à la permanence de Meyriez pour une lombosciatalgie L5 gauche non déficitaire depuis 2 jours, résistante à l'oxynorme. Nous jugeons clairement de la nécessité d'une imagerie au vu de l'hyperalgie, nous organisons donc un RDV pour IRM le 16.04.2019 à 16h30 à l'HFR Fribourg. Nous proposons de revoir le patient après son IRM le 17.04.2019 et l'avertissons pour recontrôler en cas de fièvre, frissons, déficit neurologique ou symptômes nouveaux. En ce qui concerne les chiffres tensionnels élevés, nous proposons au patient de faire une auto-mesure à domicile, les chiffres pouvant être élevés au vu des douleurs. Mais nous suggérons l'instauration d'une bithérapie en cas de persistance des tensions hautes. En ce qui concerne l'insuffisance rénale aiguë probablement due à l'injection de produit de contraste de la coronarographie faite récemment, nous faisons une hyperhydratation orale prudente le patient étant insuffisant cardiaque et organisons un bilan biologique de contrôle dans 48h. En ce qui concerne la constipation récente, une coloscopie serait peut-être à évoquer selon l'évolution. Le patient aurait juste eu un Hémocult il y a douze ans. Mr. Y, 77 ans, admis aux soins intensifs le 23.04.2019 en raison d'une décompensation cardiaque globale avec foie de stase et syndrome cardio-rénal associés, secondaire à une fibrillation auriculaire rapide. Il consulte les urgences le 20.04.2019 pour une orthopnée nouvelle en progression depuis 2 mois, avec dyspnée d'effort en péjoration sur 1 semaine. À noter que le 18.04.2019, le patient avait consulté auprès du remplaçant de son médecin traitant qui, au vu d'une péjoration de la fonction rénale, avait arrêté l'Aldactone et la Digoxine et introduit de la Cordarone. Le patient est initialement hospitalisé en médecine interne pour une décompensation cardiaque. Il nous est adressé en raison d'une dégradation biologique marquée de la fonction rénale et hépatique. Le patient est stable tant sur le plan respiratoire qu'hémodynamique à son arrivée aux soins intensifs. Les diurétiques sont stoppés et un remplissage ciblé est effectué. La fonction rénale et hépatique s'améliorent progressivement. Après administration de Digoxine, un traitement par bêta-bloquants est débuté sur avis cardiologique, qui permet un contrôle satisfaisant de la fréquence cardiaque. Les inhibiteurs de l'enzyme de conversion sont à reprendre dès que la fonction rénale le permettra. Le Xarelto est mis en suspens, avec un relais par Liquémine à visée thérapeutique. À noter que l'introduction d'aspirine sous anticoagulation thérapeutique et à distance de tout événement coronarien récent n'est pas indiquée d'après nos collègues cardiologues.La décompensation cardiaque est attribuée en premier lieu à un épisode de fibrillation auriculaire rapide. Après contrôle de la fréquence cardiaque, on note une amélioration du tableau clinique et biologique avec normalisation progressive des fonctions hépatique et rénale. À noter qu'à l'arrivée aux soins intensifs, une échographie cardiaque montre une aggravation de la fonction cardiaque avec une FEVG à 25 % et une dysfonction droite sévère. Une échographie cardiaque de contrôle est à discuter avant la sortie des soins aigus. • Patient de 77 ans, admis aux soins intensifs le 26.04.2019 pour suivi rapproché de l'antalgie en post-opératoire d'une fixation percutanée postérieure L3-5 élective. Pour rappel, il a bénéficié d'une cimentoplastie en mars 2019 en raison d'un tassement vertébral, qui s'est compliqué d'une nécrose osseuse du corps vertébral de L4, nécessitant une stabilisation percutanée du mur postérieur de L3-5. L'opération s'est déroulée sans complication. L'évolution post-opératoire est simple. Nous n'objectivons pas de déficit neurologique focal nouveau et l'antalgie est bien contrôlée avec son traitement habituel. L'anticoagulation est reprise à doses thérapeutiques 24h après l'intervention. Le traitement par héparine devra être adapté en fonction de l'anti-Xa. Le patient présente des signes de surcharge confirmé/infirmé par la radiographie du thorax. Il ne reprend pas de diurèse au cours de son séjour aux soins. Le traitement diurétique est toutefois maintenu. La dialyse intermittente habituelle planifiée le 27.04.2019 est marquée par une hypotension pauci-symptomatique (marbrures aux membres inférieurs et nausées) en fin de procédure, en relation avec une hypovolémie relative (soustraction volémique de 3000 ml). L'évolution est simple après réanimation volémique a minima. Un suivi quotidien du poids est recommandé. • Patient de 78 ans connu pour une hypertension artérielle, un diabète non insulino-requérant, est hospitalisé de manière élective par le Dr. X pour investigation d'une possible néoplasie pulmonaire. Mr. Y présente des douleurs cervicales depuis décembre 2018 résistantes au traitement médicamenteux et à l'infiltration locale proposée par son médecin traitant. Celui-ci effectue alors un bilan radiologique avec notamment un CT cervical puis un CT thoraco-abdominal qui mettent en évidence une masse suspecte au niveau pulmonaire, une masse infiltrative au niveau de C2 évocatrice d'une métastase tout comme au niveau hépatique et péritonéal. La biopsie pulmonaire met en évidence un carcinome à petites cellules. Après discussion au tumorboard thoracique du 06.03.2019, il est décidé de débuter un premier cycle de chimiothérapie par Carboplatine et Etopophos dès le 07.03.2019 ainsi que 12 séances de radiothérapie dès le 13.03.2019. Le 01.03.2019, le patient présente une ataxie à la marche nouvelle pour laquelle nous suspectons initialement un AVC de la fosse postérieure, qui est infirmé à l'IRM. Nous mettons en lien cette symptomatologie avec les métastases cérébrales. Mr. Y récupère progressivement et se mobilise avec un rollator. Il présente des troubles de la marche persistants, et bénéficie de physiothérapie, cependant il chute à 2 reprises durant son séjour. Nous observons également des troubles de la déglutition avec des fausses routes aux liquides que nous attribuons à l'atteinte centrale, la situation s'améliore avec les liquides épaissis. Nous préconisons un suivi en nutrition clinique au vu de la perte pondérale et des prochains cycles de chimiothérapie prévus, la première évaluation aura lieu le 01.04.2019. Au vu de l'évolution favorable, le patient est transféré à Tavel pour une réadaptation gériatrique le 29.03.2019. 2ème cycle de chimiothérapie, avec immunothérapie prévu dès lundi 01.04.2019. • Patient de 79 ans, connu pour une maladie coronarienne tritronculaire pluri-pontée et stentée, un diabète non insulino-requérant et un syndrome métabolique, qui est admis en électif pour une pose de Pacemaker dans le contexte d'une maladie du sinus. Le geste est effectué le 04.04.2019, une radiographie de contrôle ne montre pas de complications. Après une bonne évolution et l'absence de plainte sur la nuit, Mr. Y peut rentrer le 05.04.2019. Le suivi sera effectué en cardiologie par le Dr. X. • Patient de 81 ans admis pour une suspicion d'AIT avec découverte d'une thrombopénie et de blastes circulants à l'admission. Il aurait présenté un malaise à l'église sans perte de connaissance avec une ptose labiale gauche et parésie du membre supérieur gauche objectivée par un témoin. Le CT cérébral montre une sténose de l'artère carotide interne gauche mesurée à 66 % sans lésion parenchymateuse, est considérée comme asymptomatique nécessitant un traitement conservateur. Une IRM cérébrale, un Holter et une ETT sont à organiser. Au bilan biologique, une thrombopénie avec blastes évoque un syndrome myélo-dysplasique selon le Dr. X qui organisera la poursuite des investigations dès le 23.04.2019. Dans l'intervalle, en accord avec le neurologue Dr. X, l'antiagrégation plaquettaire et l'anticoagulation prophylactique sont mis en suspens au vu de la thrombopénie stable. Les symptômes neurologiques initiaux transitoires n'ont pas récidivé et aucun trouble du rythme n'est à relever durant la surveillance. Par ailleurs, on note un état fébrile sans porte d'entrée infectieuse claire. Mr. Y est transféré en médecine pour suite de prise en charge. • Patient de 81 ans qui bénéficie d'une coronarographie élective le 12.04.2019 mettant en évidence une lésion critique de l'artère circonflexe proximale englobant l'origine de la première marginale. Une angioplastie avec pose de deux stents actifs est réalisée et montre un bon résultat. Mr. Y reste sous surveillance avec pic hypertensif à plus de 200 mmHg. Le profil tensionnel se normalise après pose de patch de Nitroderm et le patient peut rentrer à domicile dans l'après-midi. Vers 15 heures, il est trouvé au secteur du tri du service des urgences, désorienté tant dans le temps que dans l'espace. Présence d'une amnésie circonstancielle et antérograde d'une heure environ. Mr. Y récupère spontanément ses capacités mnésiques au service des urgences. Un scanner cérébral natif (impossibilité d'injecter le produit de contraste au vu d'une insuffisance rénale chronique de stade IV) permet d'exclure une hémorragie ou tout signe d'AVC constitué. Le patient est hospitalisé en unité de médecine interne pour surveillance et reste stable, sans présenter de nouveaux symptômes. Après avis auprès de nos collègues neurologues, nous retenons une amnésie globale transitoire d'origine peu claire, mais possiblement liée au pic hypertensif post-coronarographie. Nous proposons que Mr. Y soit revu en consultation générale cette semaine et qu'une IRM cérébrale soit réalisée en cas de persistance d'un ralentissement psychique. À noter que le patient est connu pour une insuffisance rénale chronique de stade IV. Mr. Y a bénéficié d'une hyperhydratation orale post-coronarographie, avec un suivi biologique stable. La fonction rénale sera à contrôler en ambulatoire. • Patient de 81 ans, ré-admis aux soins intensifs en raison d'un bronchospasme aigu dans un contexte de syndrome de lyse tumorale avec réaction anaphylactoïde sur Rituximab. Pour rappel, il s'agit du 3ème séjour aux soins intensifs. Le patient est initialement hospitalisé le 21.04.2019 pour un AIT sur une sténose carotidienne interne gauche. Il est réadmis du 23 au 25.04.2019 en raison d'une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë plurifactorielle (hypervolémie, épanchements pleuraux bilatéraux et atélectasies de contact). Dans ce contexte, une antibiothérapie par Céfépime est débutée afin de couvrir un éventuel foyer pulmonaire concomitant.Dans l'intervalle et en raison d'un état fébrile d'origine peu claire, des investigations hématologiques mettent en évidence un lymphome diffus à grandes cellules B intra-vasculaire posant l'indication d'un traitement par R-mini-CHOP. Le 26.04.2019, en raison d'un bronchospasme aigu lors du 2ème pallier d'administration du Rituximab, le patient est réadmis aux soins intensifs pour fin du traitement sous surveillance rapprochée. L'évolution respiratoire est rapidement favorable après push de Solumédrol iv à hautes doses (500 mg au total le 26.04.2019), administration transitoire d'aérosols d'adrénaline et séances intermittentes de ventilation non-invasive. Le traitement de Rituximab est complété le jour même à bas débit (50 mg/h), sans récidive de complication respiratoire. D'un point de vue biologique, on note un syndrome de lyse tumorale modéré et une CIVD. Une hydratation ciblée est instaurée avec majoration du traitement par rasburicase. Selon le protocole de chimiothérapie, nous maintenons une chasse hydrique avec une administration itérative de furosémide. Le patient est retransféré le 27.04.2019 en médecine interne pour suite de prise en charge. • Patient de 82 ans, admis le 25.04.2019 en raison d'un accident vasculaire cérébral ischémique sylvien droit lysé. Il consulte initialement aux urgences en raison d'une hémi-parésie gauche nouvelle associée à une dysarthrie. Le NIHSS initial est à 5 avec chute et ataxie du membre inférieur gauche, une dysarthrie et une héminégligence visuelle. Le CT-scan Time is Brain met en évidence un AVC dans le territoire de l'artère cérébrale moyenne droite. Une thrombolyse par rTPA est initiée et le patient nous est adressé pour suite de prise en charge. L'évolution post thrombolyse est simple, sans complication hémorragique objectivée au CT cérébral de contrôle du 26.04.2019. Le NIHSS à la sortie est à 1 (discrète ataxie de membre supérieur gauche). L'origine de l'AVC ischémique est attribuée en premier lieu à une composante embolique chez un patient ayant présenté une FA paroxystique à son arrivée aux urgences (scop), sans récidive par la suite. Une éventuelle composante artério-artérielle est également évoquée au vu de plaques carotidiennes non sténosantes objectivées au CT-scan d'admission. Nous vous laissons le soin de compléter le bilan étiologique par un Holter et une ETT. De l'aspirine et une anticoagulation prophylactique par Liquémine sont introduites dès le 27.04.2019 au vu de l'évolution clinique et radiologique favorable. Dès l'admission, on note une insuffisance rénale aiguë AKIN 2, possiblement secondaire aux IECA. La diurèse est conservée tout au long du séjour. Nous vous proposons de suivre la fonction rénale et de prendre contact avec le médecin traitant dès le 29.04.2019 afin d'obtenir les valeurs basales de créatininémie. Le patient est transféré le 27.04.2019 en Stroke unit non-monitorée pour suite de prise en charge. • Patient de 82 ans connu pour un carcinome thymique, compliqué d'une myasthénie gravis avec status post résection thymique partielle en 2013 qui consulte pour une aggravation de la douleur aux articulations métacarpo-phalangiennes doigts 1, 2 et 3 monoarticulaires de la main droite depuis ce week-end. Pour rappel, le patient est également connu pour une insuffisance rénale chronique, une FA paroxystique non anticoagulée. Son opération de 2012 se complique d'une insuffisance respiratoire globale sur paralysie des cordes vocales, nécessitant l'introduction d'une trachéotomie. Il était hospitalisé dans le mois d'octobre pour une arthropathie microcristalline au poignet droit. Le patient se plaint de douleurs spontanées et à la mobilisation. Il se plaint de douleurs au niveau de l'épaule droite. La zone de la main intéressée ne présente pas de signes d'inflammation (pas de rougeur, chaleur, tuméfaction ni d'œdème) mais on note des déformations indiquant une arthrose. Absence d'autres douleurs articulaires ainsi que des tuméfactions articulaires. À l'entrée, le patient montre une incapacité à utiliser ses béquilles pour se mouvoir dû aux douleurs. Il décrit que les douleurs sont résistantes aux Oxynorme qu'il a dans la réserve depuis plusieurs mois. Pas de maladie rhumatismale autre. Pas de plaintes systémiques. Nous adaptons l'analgésie avec une augmentation de l'Oxynorme en réserve dès 7.5 mg jusqu'à 12 mg max. 6/24h. La thérapie habituelle avec Prednisone est augmentée à 30 mg/j pour une durée de 5 jours au total. Après 3 jours de début de l'adaptation des médicaments, le patient se plaint toujours de douleurs mais la clinique ne montre toujours rien de particulier et Mr. Y a regagné la fonction de la main. Après discussion avec le patient, Mr. Y rentre à domicile le 19.04.2019. • Patient de 83 ans connu pour une maladie coronarienne bitronculaire, une FA sous Sintrom, une artériopathie des MI, admis ce jour aux urgences car est resté accroché à sa voiture dont le frein à main n'était pas serré avec une traction sur sa cuisse gauche sur quelques mètres. Pas de TC selon le patient et hétéro-anamnèse. À son admission, le patient n'a pas de plaintes. Souhaite rentrer à domicile. OA : inspection comparative avec cuisse gauche antérieure, antéro-médiale et antéro-latérale œdématiée avec présence de dermabrasions multiples, déformation para-rotulienne médiale gauche avec hématome. Mobilité sp CV : B1B2 bf sss, absence OMI, pouls pédieux D et G palpés. Pulm : MVS. Dig : abdomen souple et dépressible sans défense ni détente. BNFT. Uro : LRSI. Neuro : SCG 15 pupilles iso iso, NC sp, pas de latéralisation. Nous faisons un premier bilan biologique montrant une hb à 145, un TP à 16 %, un INR à 3.5, un PTT à 51. Le sédiment urinaire met en évidence une infection urinaire pour laquelle nous initions un traitement antibiotique par co-amoxicilline afin de couvrir les germes de la plaie. Ordre stoppé : hématome clairement pas "encore" infecté. Switch pour Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pendant 14 jours pour couvrir IU. Au vu de l'INR légèrement supra-thérapeutique, nous mettons en place du Konakion. Relais par Clexane puis par HNF au vu d'une insuffisance rénale. Cible thérapeutique (FA + 2 stents). Par la suite, nous faisons une écho de la cuisse gauche mettant en évidence un hématome sous cutané. Au retour de cet examen, le patient présente une PC brève de 1 minute environ avec une hypotension et une pâleur avec une perte de 20 points d'Hb (120). Nous instaurons un CE et recontrôlons l'Hb à la hausse à 134. Nous gardons le patient en surveillance en médecine d'urgence puis transfert à l'étage d'orthopédie pour suite de prise en charge. Indication à une mise à plat chirurgicale est retenue, opération agendée le 15.04. Au matin, on retrouve un patient avec troubles délirants. Diagnostic d'état confusionnel aigu sur sepsis DD délirium tremens. Dr. X, anesthésiste, récuse le patient et conseille un transfert au HFR pour suite de prise en charge. Contact entre Dr. X de Riaz et Dr. X de Fribourg : transfert accepté, patient attendu aux urgences, transfert ambulance.Mobilité sp CV : B1B2 bf sss, absence OMI, pouls pédieux D et G palpés Pulm : MVS Dig : abdomen souple et dépressible sans défense ni détente. BNFT Uro : LRSI Neuro : SCG 15 pupilles iso iso, NC sp, pas de latéralisation Nous faisons un premier bilan biologique montrant une Hb à 145, un TP à 16%, un INR à 3.5, un PTT à 51. Le sédiment urinaire met en évidence une infection urinaire pour laquelle nous initions un ttt antibiotique par co-amoxi afin de couvrir les germes de la plaie. • ordre stoppé : hématome clairement pas encore infecté. Switch pour Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pendant 14 jours pour couvrir IU. Au vu de l'INR légèrement supra-thérapeutique, nous mettons en place du Konakion. Relais par Clexane puis par HNF au vu d'une insuffisance rénale. Cible thérapeutique (FA + 2 stents) Par la suite, nous faisons une écho de la cuisse G mettant en évidence un hématome sous-cutané. Au retour de cet examen, le patient présente une PC brève d'environ 1 minute avec une hypotension et une pâleur avec une perte de 20 points d'Hb (120). Nous instaurons un CE et recontrôlons l'Hb à la hausse à 134. Nous gardons le patient en surveillance en Med U puis transfert à l'étage d'orthopédie pour suite de prise en charge. Indication à une mise à plat chirurgicale retenue, opération agendée le 15.04. Au matin, on retrouve un patient avec troubles délirants. Dx d'état confusionnel aigu sur sepsis DD délirium tremens. Dr. X, anesthésiste, récuse le patient et conseille un transfert au HFR pour suite de prise en charge. Contact entre Dr. X de Riaz et Dr. X de Fribourg : transfert accepté, patient attendu aux urgences, transfert ambulance. Patient de 83 ans qui est adressé aux urgences de l'HFR Riaz ce 08.04.2019 par son médecin traitant en raison de douleurs en épigastre et hypochondre droit d'apparition progressive, en augmentation et péjorées la nuit, avec vomissements. Le patient relate également une baisse d'appétit. Sur le plan social, Mr. Y est institutionnalisé au Foyer Ste-Marguerite de Vuisternens-devant-Romont et marche avec un rollator. Au status abdominal, relevons une douleur à la palpation de l'hypochondre droit avec signe de Murphy positif. Au status cardiaque, notons des bruits du cœur lointains et irréguliers. Le reste du status est sans particularité. Le laboratoire objective une CRP à 8 mg/l, des leucocytes à 11.6 G/l et une hypokaliémie à 2.4 mmol. Les tests hépato-pancréatiques sont dans la norme. L'hypokaliémie est substituée. Nous prenons l'avis du Dr. X, chirurgien, qui propose un CT abdominal. Cet examen revient sans particularité, hormis deux diverticules du segment D2 et D3 du duodénum avec importante athéromatose de l'aorte abdominale sans sténose significative. Signalons également la mise en évidence d'une fracture de tassement au niveau de L2, nouvelle en comparaison de l'examen de mai 2011. Nous mettons donc le patient sous un traitement d'inhibiteur de la pompe à protons par Nexium avec bon effet, et vous laissons le soin de discuter d'une oeso-gastro-duodénoscopie si les symptômes persistent. Nous ne mettons pas en évidence d'anémie. Vu le déconditionnement global avec troubles de la marche en aggravation, ainsi qu'un contexte d'hypokaliémie sévère nécessitant une substitution intraveineuse, le patient est hospitalisé en gériatrie aiguë pour suite de sa prise en charge. Nous stoppons l'Esidrex au vu de l'hypokaliémie sévère. Nous adaptons son traitement en mettant en suspens le Maltofer étant donné l'absence d'anémie et en diminuant les doses de Lantus en raison de glycémies basses le soir. Nous mettons également en évidence des carences importantes en vitamines B9 et B12 ainsi qu'en vitamine D et débutons une substitution. Nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs à distance. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale à la sortie s'élève à 60/126, par rapport à 61/126 à l'entrée. Au vu d'une évolution favorable, Mr. Y retourne au Foyer Ste-Marguerite de Vuisternens-devant-Romont le 12.04.2019. Patient de 84 ans, connu pour hypertension artérielle, artériopathie des membres inférieurs et des troubles cognitifs sévères, status après accident vasculaire cérébral pariéto-occipital gauche en 2016 et status après hémorragie intraparenchymateuse frontale gauche en février 2018 sur chute, qui avait séjourné en gériatrie aiguë HFR Riaz du 01.03.2019 au 15.03.2019 en raison de trouble de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Ce jour, Mr. Y débute un séjour en réhabilitation gériatrique HFR Riaz avec suite de prise en charge. Pour rappel, sur le plan social, Mr. Y vit dans une maison qui possède 32 marches pour accéder à l'étage, avec son épouse qui gère tout au quotidien. Pas de soins à domicile. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués durant le séjour en gériatrie aiguë (le 04.03.2019) indiquent un MMSE à 7/30 et un test de la montre à 0/7. Ces tests restent cependant peu contributifs au vu d'une aphasie de Wernicke. Durant ce séjour, le patient poursuit sa physiothérapie de mobilisation : le patient se déplace en utilisant une chaise roulante, et fait les transferts sans barre latérale à la sortie. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 47/126, par rapport à 45/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 4/7, marche 3/7, escaliers 1/7). Le bilan nutritionnel mettait en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence et des troubles cognitifs. Le patient présentait en effet une perte de poids de 5% en début d'hospitalisation et couvrait 55% de ses besoins nutritionnels. Des adaptations nutritionnelles et l'ajout d'un supplément nutritif oral par jour lui ont permis d'augmenter légèrement la couverture de ses besoins nutritionnels à 58%. Un enseignement de sortie est transmis au patient et à l'épouse afin de prévenir une perte de poids à domicile. La prise journalière de suppléments nutritifs oraux, que le patient apprécie, sera également poursuivie à domicile afin d'augmenter la couverture des besoins nutritionnels. Pour la suite du suivi, une surveillance régulière du poids du patient est indiquée. En cas de perte pondérale ou de diminution des prises par voie orale, un suivi nutritionnel est à envisager. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. A la fin de l'hospitalisation, Mr. Y présente des douleurs et une tuméfaction au niveau pubien et du pli inguinal gauche, non réductible à la palpation. Nous suspectons une hernie inguinale gauche et demandons une ultrasonographie, qui confirme le diagnostic. Nous prenons donc l'avis du Dr. X, chirurgien HFR Riaz, et y organisons un contrôle à sa consultation le 27.03.2019. Le 22.03.2019, Mr. Y quitte notre service pour rejoindre son domicile. Les soins à domicile sont réactivés pour mise en route et aide à la douche 2 fois par semaine, ainsi que l'accueil de jour au home de Jeuss 2 fois par semaine. Patient de 86 ans connu pour un antécédent de tumeur papillaire de la vessie (cystographie normale chez l'urologue il y a 3 semaines). L'examen clinique et l'anamnèse ne mettent en évidence aucun déficit et la radiographie permet d'exclure une fracture vertébrale, raison pour laquelle nous optons pour un traitement symptomatique par une antalgie simple et de la physiothérapie à distance de l'épisode actuel. Patient de 87 ans, connu pour une cardiopathie hypertensive et un retard mental sur hypoxie à la naissance, qui nous est adressé par son médecin traitant en raison d'une décompensation cardiaque. Plus précisément, Mr. Y présentait une dyspnée depuis plusieurs jours, raison pour laquelle son médecin traitant avait augmenté la posologie de la Torasémide, provoquant malheureusement des hypotensions. Sinon, le patient est asymptomatique.A son arrivée aux urgences de l'HFR Riaz, l'anamnèse est impossible. Au niveau clinique, notons une diminution de l'état général, ainsi que des muqueuses sèches avec pli cutané. Au niveau cardiovasculaire, les B1 et B2 sont lointains et réguliers, sans souffle surajouté. Il n'y a pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Présence d'oedèmes aux membres inférieurs ne prenant pas le godet aux chevilles. Les mollets sont souples et le ballant conservé. Signalons des varices aux membres inférieurs. Il n'y a pas d'autre souffle vasculaire. Au niveau pulmonaire, mentionnons un murmure vésiculaire avec des râles diffus. L'abdomen est distendu et sensible diffusément, sans défense ni détente, aux bruits normaux en fréquence et en tonalité. Le reste du status est normal. Le laboratoire indique une insuffisance rénale aiguë, une hyperkaliémie légère et une anémie normocytaire normochrome légère. La gazométrie objective une acidose métabolique compensée. Le Bladder scan indique un globe vésical à 600ml. Le sédiment urinaire est normal. La radiographie du thorax visualise une cardiomégalie et une augmentation de la trame bronchovasculaire diffuse aux bases. Le jour même de son entrée aux urgences de l'HFR Riaz, le patient reste hospitalisé dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz. Concernant l'insuffisance rénale aiguë, la cause est imputable au globe vésical et à une déshydratation sur diurétiques. Le patient bénéficie de la pose d'une sonde vésicale ainsi que d'une hydratation avec mise en suspens du traitement néphrotoxique et des diurétiques. Les valeurs de GFR s'améliorent rapidement par la suite. Concernant le ballonnement abdominal, une échographie abdominale constate une stéatose hépatique sans présence d'ascite ni d'autres anomalies. Quant à la dyspnée, nous en retenons une bronchite asthmatiforme, que nous traitons efficacement par bronchodilatateurs en aérosols. Nous traitons l'hyperkaliémie par Resonium, qui se corrige de concert avec l'insuffisance rénale aiguë. Au vu de l'âge et de l'absence de symptôme, nous n'investiguons pas cette anémie très légère. Sur le plan social, Mr. Y est institutionnalisé et présente une autonomie extrêmement réduite en raison de ses troubles cognitifs congénitaux. Dans ce contexte, des tests de la cognition ne s'avèrent pas nécessaires ni adaptés. Durant son séjour, le patient effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, la mesure d'indépendance fonctionnelle est à 44/126, par rapport à 32/126 à l'entrée. Le TUG et les autres tests sont impossibles à réaliser. Une prise en charge ergothérapeutique et nutritionnelle s'avère également irréalisable en raison de l'absence totale de coopération de la part du patient. La fonction rénale s'améliore néanmoins grâce à une hydratation intraveineuse puis par une stimulation à l'hydratation par voie orale. Le 03.04.2019, Mr. Y rejoint le Foyer Ste-Marguerite de Vuisternens-devant-Romont, où il réside. Patient de 88 ans réadressé ce jour en réadaptation gériatrique suite à la prise en charge en gériatrie aiguë d'une décompensation cardiaque. Pour une synthèse plus détaillée, nous vous prions de vous référer aux 3 séjours de gériatrie précédents. Sur le plan rénal, nous constatons au laboratoire une péjoration de la fonction rénale probablement dans le contexte d'une déshydratation importante, raison pour laquelle une hydratation intraveineuse est débutée. Au niveau cardiaque, le patient bénéficie du suivi des signes de décompensation cardiaque avec adaptation du traitement diurétique au cours du séjour. De plus, une amélioration de sa fonction rénale nous permet la reprise prudente de l'IEC, et l'instauration d'un traitement par Eliquis à dose adaptée à la fonction rénale. Concernant la crise de goutte du genou droit, nous instaurons de l'Allopurinol 100mg par jour, qui sera augmenté à 300mg par jour (dose maximale pesée par la fonction rénale) à 4 semaines de traitement. Une prophylaxie par Colchicine est à poursuivre pendant 3 mois, si bien tolérée. Durant ce séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À la sortie, son périmètre de marche à l'aide d'une canne est de 150 mètres. Le patient peut gravir 18 marches d'escaliers sans accompagnement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 99/126, par rapport à 83/126. Le TUG est à 18 secondes. Le dépistage des troubles cognitifs indique un MMSE à 25/30, un test de la montre à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression est à 0/15. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Finalement, Mr. Y peut rentrer à domicile avec mise en place d'un réseau d'aides le 18.04.2019. Patient de 88 ans, transféré de la réadaptation gériatrique HFR Riaz (séjour du 15.03.2019 au 27.03.2019) en raison de l'évolution défavorable d'une décompensation cardiaque résistante au traitement. Pour rappel, Mr. Y a bénéficié d'un traitement diurétique intraveineux par Lasix en pompe jusqu'à 7mg/h sans nette amélioration de sa symptomatologie. Pour une synthèse plus détaillée, nous vous prions de vous référer à la lettre de cette hospitalisation. Sur le plan cardiaque, le patient est évalué par Dr. X qui met en évidence une insuffisance mitrale (3-4/4) secondairement à un prolapsus du feuillet postérieur avec une probable rupture du cordage. Une fibrillation auriculaire non connue est objectivée. Le patient est mis sous Xarelto 15mg adapté à la fonction rénale. Nous poursuivons le traitement diurétique intraveineux par pompe adapté à la clinique ainsi que le Métolazone ; de la digoxine est adjointe transitoirement au traitement. Une amélioration clinique est rapidement observée qui nous permet un relais de traitement diurétique par voie orale. Dans le contexte d'épistaxis récidivants et d'une clairance de la créatinine en péjoration, le traitement par Xarelto est stoppé. Une réintroduction de Xarelto à distance reste à discuter selon fonction rénale, le traitement par Sintrom demeurant une option thérapeutique à envisager en cas d'insuffisance rénale persistante. Sur le plan métabolique et rénal, nous poursuivons les traitements de substitution mis en place lors du séjour de réadaptation gériatrique. La fonction rénale est également monitorée de façon régulière et reste stable au cours du séjour. Par ailleurs, les substitutions vitaminiques sont poursuivies suite à leur mise en évidence lors de l'hospitalisation précédente. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage sont effectués lors de l'hospitalisation précédente du 15.03.2019 au 27.03.2019. Durant ce séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche accompagné à l'aide d'un rollator est de 120 mètres. Le patient peut gravir 18 marches avec accompagnement. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 81/126, par rapport à 75/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 5/7, escaliers à 4/7). Le TUG se réalise en 19.04 secondes avec un rollator. Le risque de chute est intermédiaire. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Au vu de l'évolution favorable et du déconditionnement global du patient, ce dernier est repris en charge le 11.04.2019 en réadaptation gériatrique HFR Riaz (lettre n°4).Patient de 91 ans, connu pour une cardiopathie ischémique avec status post double pontage aorto-coronarien et une fibrillation auriculaire, anticoagulé par Eliquis, hospitalisé en raison d'une décompensation cardiaque globale sur insuffisance de traitement et passage en fibrillation auriculaire à conduction rapide. A noter que le patient a bénéficié de l'implantation d'un pacemaker le 07.03.2019 en raison d'une insuffisance chronotrope et de syncopes sur fibrillation auriculaire, moment où son traitement diurétique a été diminué de moitié. A l'admission, le patient rapporte une dyspnée en péjoration depuis quelques jours, accompagnée d'oppressions thoraciques et de palpitations, ainsi qu'une orthopnée. La radiographie thoracique montre des signes de décompensation cardiaque, ainsi qu'un épanchement pleural droit. Dans ce contexte, nous débutons un traitement diurétique intraveineux, relayé ensuite par voie orale, avec une évolution favorable. Le contrôle du pacemaker met en évidence un passage en fibrillation auriculaire tachycarde depuis environ 8 jours, pour laquelle nous tentons une cardioversion médicamenteuse par Cordarone, qui s'avère concluante. Le contrôle cardiologique mentionne un fonctionnement normal du pacemaker. Au niveau biologique, nous mettons en évidence une insuffisance rénale aiguë, d'évolution spontanément favorable, ainsi qu'une anémie normocytaire normochrome à 133 g/l, pour laquelle le bilan vitaminique est dans la norme. Nous vous laissons le soin de recontrôler à distance l'anémie. Concernant le diabète de type 2 insulino-requérant connu, nous demandons un avis diabétologique afin d'optimiser l'insulinothérapie avec un profil davantage physiologique, et dans le but d'éviter les hypoglycémies vespérales que présente régulièrement le patient. Ainsi, nous introduisons une insuline mixte, permettant un contrôle des glycémies satisfaisant. Un enseignement diabétologique conclut que le patient gère de manière satisfaisante ses injections quotidiennes. Sur le plan social, Mr. Y vit seul à domicile, de manière autonome, et est bien entouré par ses quatre enfants. Afin d'optimiser le retour à domicile, nous mettons en place les soins à domicile avec initialement une visite hebdomadaire. Mr. Y rentre à domicile le 16.04.2019. Patient de 93 ans admis en urgence à l'HFR Riaz le 02.03.2019 à la suite d'une chute sur glissade dans la salle de bain avec réception sur la hanche D. Douleurs, impotence fonctionnelle du MID. Les investigations mettent en évidence la fracture périprothétique du col fémur D. L'indication opératoire est posée et, au vu des comorbidités et d'une insuffisance respiratoire, le patient est récusé par les anesthésistes. Dès lors, il est transféré à Fribourg pour la suite de la prise en charge le 05.03.2019. L'anticoagulation par Eliquis pour une FA est mise en suspens le 02.03.2019. Anticoagulation prophylactique par Liquémine. Poursuite du traitement antibiotique par co-amoxicilline pour la pneumonie diagnostiquée le 26.02.2019. Une hypokaliémie à 5,6 mmol/l le 07.03.2019 nécessite du Resonium 15 mg 3x/24 h. L'intervention chirurgicale se déroule le 08.03.2019, sans incident. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. A noter une anémie hémorragique fracturaire le 06.03.2019 puis postopératoire le 09.03.2019 nécessitant la transfusion de 2 CE le 06.03. et 1 CE le 09.03.2019 avec bonne réponse. Des troubles électrolytiques avec hypokaliémie à 2,8 mmol/l, hypophosphatémie à 0,76 mmol/l et hypomagnésémie à 0,7 mmol/l le 11.03.2019 sont substitués en p.o. Reprise de l'anticoagulation thérapeutique par Eliquis 2,5 mg 2x/24 h le 12.03.2019 puis relais par Sintrom le 18.03.2019 au vu de l'insuffisance rénale. Pendant l'hospitalisation, le patient présente des épisodes de thymie triste, accompagnés parfois d'idées noires. Un consilium de psychiatrie est demandé le 19.03.2019 avec adaptation du traitement antidépresseur. A la sortie, la plaie opératoire est calme et sèche avec toutefois persistance des phlyctènes péri-cicatricielles en bonne voie de guérison. Ablation des agrafes le 29.03.2019. Le 29.03.2019, Mr. Y retourne dans son home. Patient en bonne santé habituelle qui consulte les urgences de Riaz le 03.04.2019 en raison du fait qu'il a glissé dans une mélangeuse ce soir vers 18h30 avec plaie du pouce D, du genou G et de la face postérieure G. Aux urgences, nous réalisons une radiographie du pouce D qui montre une fracture de P2 proximal intra-articulaire. Dans le contexte de la fracture ouverte, nous lui administrons 2,2 g de co-amoxi iv. Nous demandons un avis au Dr. X qui voit la plaie et propose de réaliser une fermeture cutanée avec bon rinçage et désinfection. Nous réalisons une suture de la plaie (5 points) avec mise en place d'une attelle alu dorsale. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à une prise en charge chirurgicale de cette fracture ouverte avec suspicion d'arthrotomie également. Sur le plan de la plaie du genou, nous demandons un avis au Dr. X qui propose de compléter par une radiographie du genou en raison d'une plaie profonde. La radiographie du genou n'objective pas de fracture. Nous réalisons une exploration sous AL par le Dr. X aux urgences avec suspicion d'arthrotomie, nous fermons la plaie avec des points larges au niveau cutané, et immobilisons le patient avec une attelle jeans 0°. Nous suspectons une plaie avec possible arthrotomie et dans ce contexte, nous transférons le patient à Fribourg pour suite de prise en charge sur avis du Dr. X. Le patient est mis à jeun. Sur le plan de la plaie au niveau de la cuisse gauche face postérieure, il n'y a pas d'indication à la suturer. Nous mettons en place des stéristrips, une désinfection et un pansement simple. Dans ce contexte, le patient est transféré en ambulance à l'HFR Fribourg. Patient en bonne santé habituelle qui consulte les urgences en raison d'une sensation de corps étranger dans l'œil droit depuis ce matin à 9h. Aux urgences, nous réalisons un examen clinique. Au vu d'une suspicion de corps étranger, nous demandons un avis au Dr. X qui voit le patient et ne visualise pas de corps étranger à l'examen clinique sans fluorescéine, mais qui observe une conjonctivite. Dans ce contexte, il propose de prendre un avis ophtalmologique avec proposition d'appliquer un antibiotique topique et de la pommade vitamine A. Le patient refuse cette prise en charge et refuse également que nous appelions l'ophtalmologue et part contre avis médical en nous communiquant qu'il téléphonera demain à un ophtalmologue. Patient en bonne santé habituelle qui est hospitalisé pour une syncope. Mr. Y a présenté le 03.04.2019 en soupant, assis, sans prodromes une syncope avec perte de connaissance durant une minute avec perte de tonus, les yeux fermés, sans mouvement. Suite à cet épisode, le patient est incohérent et pose des questions en boucle pendant 3 heures. Il présente également une amnésie antérograde de 3 heures. Le status neurologique au service des urgences est dans la norme sauf une parésie de la branche inférieure du nerf facial gauche. Un bilan biologique d'entrée montre des CK augmentés. Un EEG est dans la norme. Un CT cérébral montre une masse supra-centimétrique à cheval entre les cornes frontales des ventricules latéraux. Nous retenons une probable crise d'épilepsie d'origine structurelle. Les neurologues ne proposent pas d'introduire un traitement anti-épileptique pour deux raisons. Premièrement, car l'événement est d'aspect peu typique pour une crise épileptique. Deuxièmement, car la masse intra-cérébrale se situe dans une région peu épileptogène. Les neurologues proposent donc une attitude observationnelle. Ils suggèrent néanmoins une interdiction de conduire pendant 3 mois. Si le patient présente à nouveau ce même type de syncope, nous proposons au médecin traitant de reprendre contact avec le Dr. X. Un Holter est réalisé pour exclure une cause cardiaque, les résultats seront communiqués au médecin traitant. Une IRM permet de mieux caractériser cette masse qui parle pour un neurocytome. Un subépendymome ou un épendymome reste dans le diagnostic différentiel. Les neurochirurgiens de l'HFR Fribourg proposent une prise en charge chirurgicale à Berne. Les neurochirurgiens de Berne proposent de voir le patient au service des urgences de l'Inselspital Bern. Le patient n'a pas présenté de troubles neurologiques durant toute son hospitalisation.Mr. Y est transféré au service des urgences de l'Inselspital Bern le 09.04.2019 où il sera évalué par les neurochirurgiens. • Patient en globe vésical sur sonde urinaire bouchée. Rinçage impossible. Changement de la sonde par une sonde numéro 20, évacuation de 250 mL d'urine soulageant complètement les douleurs du patient. Retour à domicile. • Patient envoyé par Dr. X. • Patient envoyé par le médecin traitant pour faire une radiographie de la main gauche. • Patient envoyé par les infirmières du foyer pour soins impossibles. • Patient envoyé par le médecin traitant pour avis orthopédique. • Patient est reparti sans consultation médicale. • Patient ira demain chez l'ophtalmologue de garde à Kerzers. Pansement occlusif + vitamine A. • Patient ne répondant pas au vaccin pour la rage standard (Merieux, 6x au total), suivi par Dr. X. Contact téléphonique avec Dr. X : rappel vaccin le 05.04 et 08.04 avec Rabipur 1x. Contrôle sérologique organisé par la suite avec Dr. X au laboratoire directement. • Patient parti sans consultation médicale. • Patient pas très algique, pas d'indication à une immobilisation. Il reconsultera si persistance des douleurs à 1 semaine. • Patient pluri-vasculaire avec 11 stents (aux niveaux coronarien et fémoral). Incontinence urinaire (porteur de condom urinaire). • Patient pluri-vasculaire avec 11 stents (aux niveaux coronarien et fémoral). Incontinence urinaire (porteur de condom urinaire). Incontinence anale multifactorielle. Le 29.03.2019, Dr. X : confection d'une colostomie gauche. Drain type Jackson du 29.03 au 02.04.2019. Soins à domicile et suivi en stomatothérapie avec rendez-vous le 18.04.2019. Contrôle à la consultation du Dr. X le 23.05.2019 à 09h00. • Patient présentant une clinique compatible avec des fractures de côtes non déplacées. Bonne gestion de l'antalgie aux urgences, nous excluons une lésion concomitante de la rate et laissons Mr. Y rentrer à domicile avec ordonnance antalgique. Il sera revu samedi matin à la filière des urgences ambulatoires dans le cadre d'un contrôle clinique. Il est invité à reconsulter si exacerbation des symptômes, ou incapacité à gérer les douleurs. Concernant le malaise présenté au tri des urgences, nous concluons à une origine vaso-vagale. • Patient présentant une clinique compatible avec syndrome temporo-mandibulaire gauche, sans argument pour une luxation de l'articulation temporo-mandibulaire. Au vu des crachats sanguins, ainsi qu'une notion d'insuffisance rénale, nous proposons un traitement de Novalgin à la place d'AINS. Concernant les crachats hémoptoïques, ceux-ci sont actuellement suivis par le médecin traitant pour investigation. Au vu de l'absence de dyspnée nouvelle, de douleurs rétrosternales et d'augmentation de la fréquence de ces crachats, nous n'effectuons pas d'investigations supplémentaires. • Patient présentant une contusion de sa hanche droite, déformée par une pathologie existant depuis son enfance. Bonne gestion de l'antalgie, même sans anti-douleurs. Nous préconisons un retour au foyer avec antalgie à la demande. • Patient qui consulte en raison de douleurs des sinus présentes depuis 2-3 jours. Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique qui est aligné. Au vu de l'absence de critère de gravité, nous retenons un diagnostic de rhino-sinusite virale et donnons une ordonnance à la patiente pour un traitement symptomatique. Nous proposons à la patiente d'effectuer un contrôle à 1 semaine chez son médecin traitant en l'absence d'amélioration. Dans ce contexte et au vu d'une patiente cliniquement rassurante, elle peut rentrer à domicile. • Patient qui consulte par rapport à des lombalgies en péjoration. Vu l'examen clinique rassurant, le patient rentre à domicile avec le traitement par Dafalgan, Brufen, Sirdalud et Tramal pendant 5 jours. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 5 jours. Si absence d'amélioration des douleurs, nous proposons une imagerie complémentaire. • Patient qui présente une évolution favorable à 6 semaines de la dernière consultation. Il poursuivra la rééducation en physiothérapie axée sur l'étirement des chaînes postérieures, le renforcement musculaire, la proprioception et le gainage. Poursuite de l'arrêt de sport à l'école jusqu'aux vacances de Pâques, puis il pourra reprendre librement ses activités. Prochain contrôle clinique dans le courant du mois de juin. • Patient qui revient en contrôle pour douleurs abdominales dans un contexte de prostatite, et pour réception des résultats bactériologiques (gonorrhée, chlamydia). • Patient qui revient pour contrôle d'une hématurie macroscopique le 09.04.2019. • Patient qui se présente en consultation à 6 semaines d'une déchirure du ligament croisé antérieur. Nous proposons au patient, dans un premier temps, de débuter un traitement en physiothérapie axé sur l'étirement des chaînes postérieures, renforcement musculaire dans l'axe, proprioception et gainage. Il est au courant que pour l'instant, il n'est pas autorisé à faire des sports de pivot. Nous reverrons le patient pour un contrôle clinique dans 6 semaines. • Patient qui se présente en consultation à 6 semaines d'une déchirure partielle du ligament croisé antérieur à D pour laquelle nous lui proposons, au vu du résultat de l'examen radio-clinique du jour, de débuter un traitement en physiothérapie axé sur le renforcement de la musculature dans l'axe, étirement des chaînes postérieures, proprioception et gainage. Nous le reverrons dans 3 mois. • Patient reconvoqué pour suivi d'érysipèle débutant, non traité initialement par antibiotique. La CRP est en diminution nette depuis jeudi, cependant face à une majoration de l'oedème et l'apparition de douleurs, une antibiothérapie par Coamox est introduite. Nous contrôlons également l'INR de ce patient sous Sintron qui revient dans la norme (2.3, traité pour FA). Suivi chez le médecin traitant. • Patient repart après avoir reçu Floxal + Vitamine A. Patient ira chez l'ophtalmologue de garde. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient se présente asymptomatique à son arrivée aux urgences. Nous avons la suspicion d'un AIT. À 12h20, le patient présente soudainement une dysarthrie nouvelle. Nous lançons le Time is Brain. Le second NIHSS montre un score de 6 (exécution des tâches 1pt, quadranopsie D 1pt, parésie faciale D 1pt, ptose MSD 1pt, dysarthrie 1pt, aphasie 1pt). Un angio-CT cérébral avec carte de perfusion montre un AVC postérieur gauche, sans asymétrie au niveau des cartes de perfusion. Nous commençons la lyse iv à 13h12 et transférons le patient aux soins continus. Le score NIHSS après avoir commencé la lyse est 0.Patient semble être connu pour un IC avec FEVG à 30% en 2016, nous proposons une réévaluation de sa médication, notamment l'indication d'un BB et d'un diurétique. Pas d'élément en faveur d'une infection actuellement, pas de signes cliniques et radiologiques d'une décompensation cardiaque franche. La dyspnée serait probablement d'origine cardio-pulmonaire (progression de l'IC ou composante de bronchite chronique). Après une inhalation par Ventolin/Atrovent, le patient s'est senti mieux. Nous instaurons un traitement par Symbicort 200/6 que nous vous suggérons par ailleurs d'évaluer. Patient sera contacté par le service de la radio-oncologie pour la suite de la prise en charge. Prochain contrôle en oncologie prévu pour le 30.04.2019. Patient sera convoqué pour une sigmoïdoscopie de contrôle dans 6 mois auprès du cabinet Balsiger Seibold. Patient stable hémodynamiquement. Laboratoire : cf. annexes. Hb 119 g/l, tests hépatiques spéciaux. Sédiment urinaire : pas d'hématurie. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Patient vu également par le chirurgien de garde. Stéristrip. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Patient vu hier et recontacté suite au colloque orthopédique. Mise en place d'un plâtre antébrachial avec ensuite contrôle à la policlinique d'orthopédie à 1 semaine. Patient vu rapidement par orthopédistes, Dr. X : Reçu Co-Amoxicilline iv 50 mg/kg/dose = 1.5 g iv. Antalgie Fentanyl in 30 mcg (1 mcg/kg/dose) 2x puis Morphine iv 0.1 mg/kg/dose (3 mg) puis titrage 0.05 mg/kg/dose tous les 5 min. Patiente admise en électif pour la fermeture du foramen ovale perméable chez une patiente connue pour un antécédent d'AVC. Comme convenu avec Mme. Y, j'ai procédé à une fermeture percutanée du foramen ovale. Le contrôle radioscopique, ainsi que le contrôle échocardiographique de l'après-midi, montrent une position stable du parapluie. Comme expliqué à Mme. Y, le shunt gauche-droite ne sera totalement fermé qu'après thrombose de la partie médiane du parapluie et cicatrisation des bords. Une thérapie par aspirine 100 mg 1-0-0 pour 6 mois et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 3 mois est recommandée. Une prophylaxie de l'endocardite bactérienne selon la carte orange doit être effectuée jusqu'à confirmation de l'occlusion du FOP, soit jusqu'au contrôle échocardiographique transoesophagien de 6 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance à distance aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 17.04.2019. Patiente admise pour une coronarographie élective en raison d'un angor stable avec ergométrie cliniquement positive, électriquement équivoque chez une patiente connue pour une dyslipidémie, HTA, hérédité, ancien tabagisme. L'examen invasif du jour démontre des sténoses significatives en série de l'artère interventriculaire antérieure proximale, moyenne et distale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 60%. Après discussion avec Mme. Y, nous avons procédé à une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale, moyenne et distale avec implantation de 4 stents actifs et bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont compliquées par un hématome du bras droit nécessitant une compression locale importante. La patiente développe le 10.04.2019 des douleurs rétrosternales avec modification ECG (négativisation onde T en V2-V5) associées à un pic hypertensif. Les biomarqueurs cardiaques sont en cours. La tension se normalise après administration d'anti-calciques et nitroglycérine. Les douleurs persistant, nous adressons la patiente aux soins continus pour surveillance hémodynamique, bio-clinique et suivi ECG le 10.04.2019. Patiente admise pour une coronarographie élective en raison d'une dyspnée et une échocardiographie de stress avec ischémie modérée du septum apical et de la paroi latéro-apicale. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne monotronculaire avec sténoses significatives de l'IVA et de la première diagonale (lésion bifurcation). La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Après discussion avec Mme. Y, nous avons procédé à une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale/première diagonale avec implantation de 1 stent actif et kissing-balloon. Bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 13.04.2019. Patiente admise pour une coronarographie élective en raison d'une. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne avec lésions bitronculaires. Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure distale. Occlusion de l'artère circonflexe distale au niveau du site d'implantation du stent actif. Sténose significative de l'artère coronaire droite proximale. Resténose significative de l'artère coronaire droite moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif. Sténose significative de l'artère interventriculaire postérieure. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à indéterminée. Après discussion avec Mme. Y, nous procédons à un succès d'angioplastie de l'artère coronaire droite moyenne. Implantation de 1 stent actif. Succès d'angioplastie de l'artère coronaire droite proximale. Implantation de 1 stent actif. Succès d'angioplastie de l'artère interventriculaire postérieure. Implantation de 1 stent actif avec bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 16.04.2019. Patiente adressée par MedHome pour vertiges et nausées. Patiente adressée pour aphagie aux solides et état subfébrile. Patiente afébrile. Nous effectuons un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 38 mg/L sans leucocytose. Ce jour-là, la patiente note une amélioration des œdèmes des mains, mais nous constatons l'augmentation des bords de la rougeur. La patiente rentre à domicile avec de la Co-Amoxicilline 1000 mg 2x/jour pendant 10 jours. Contrôle clinique et biologique si nécessaire prévu le 23.04.2019 à la policlinique d'orthopédie. Patiente connue pour un AVC occipital droit datant du 10.03.2019 avec HTA, dyslipidémie traitée et FA sous Xarelto, qui consulte les urgences de Riaz pour une vision floue bilatéralement depuis 45 minutes avec TA systolique >200 mmHg. Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique qui montre des CK dans la norme, une bonne fonction rénale, des troponines à 9. Le score NIHSS est de 0. L'ECG montre un rythme sinusal à 63 bpm, sans signe pour une ischémie aiguë, QRS fins normo-axé. Nous demandons un avis au Dr. X, neurologue de garde, qui propose de transférer la patiente en Stroke Unit au lit monitoré avec lit strict et réalisation d'une IRM le 03.04.2019.La patiente ne connaît pas ces traitements habituels, elle nous donne une liste papier non officielle. Dans ce contexte, la patiente est transférée en ambulance à Fribourg aux soins intensifs. • Patiente connue pour des urolithiase avec un statut post-intervention du rein gauche à 7 ans de nature inconnue avec une pathologie qui serait présente bilatéralement, qui consulte les urgences de Riaz le 29.04.2019 pour un contrôle clinico-biologique d'une colique néphrétique gauche diagnostiquée le 28.04.2019. Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique qui montre une CRP à 56 mg/l, des leucocytes à 10.2 G/l et une créatinine à 113 µmol/l. Nous demandons un avis au Dr. X, chirurgien, qui propose d'effectuer un contrôle chez le médecin traitant en fin de semaine avec contrôle clinico-biologique en cas de non-expulsion du calcul d'ici là, pour réévaluer l'indication à effectuer un ultrason éventuellement. Nous expliquons à la patiente la nécessité de reconsulter en cas de fièvre ou d'anurie. Dans ce contexte et au vu d'une patiente cliniquement rassurante, elle rentre à domicile. • Patiente connue pour ovaires polykystiques. Obésité morbide avec BMI à 43 kg/m2. • Patiente connue pour un statut post-thyroïdectomie totale qui consulte pour une sensation de corps étranger après avoir mangé du poisson. Aux urgences, nous réalisons un examen clinique qui est rassurant. Nous discutons du cas avec le Dr. X, de médecine interne, qui dans le contexte d'une suspicion de corps étranger au niveau ORL non objectivé et dans l'absence de critères d'alarme, propose de libérer la patiente avec proposition de réaliser des gargarismes, de manger du froid, et de prendre un rendez-vous avec un ORL le 05.04.2019 en cas de persistance de la symptomatologie de gêne. Dans ce contexte et au vu d'une patiente rassurante cliniquement, elle rentre à domicile. • Patiente connue pour une BPCO stade 2 et qui fait des infections pulmonaires à répétitions. • Patiente connue pour une fibromyalgie et un diabète de type 2 s'étant présentée hier pour des douleurs thoraciques et des douleurs aux mollets avec fourmillements. Pas d'argument pour un syndrome coronarien ou une embolie pulmonaire hier. Elle revient ce jour pour un ultrason Doppler des membres inférieurs qui ne retrouve pas de thrombose. Douleurs dans le cadre d'une fibromyalgie à prendre en charge par le médecin traitant. Nous lui laissons le soin d'évaluer la nécessité des séances de physiothérapie. • Patiente convoquée pour un CT-scanner du poignet gauche. • Patiente couchée. Désinfection et champage. On entre dans l'articulation avec une aiguille spinale. Confirmation de la situation intra-articulaire avec Iopamiron. Instillation de Ropivacaïne et Dépo-Medrol 40 mg. Pansement stérile. La patiente signale avoir déjà eu un problème avec un cancer mammaire il y a 25 ans. Elle est inquiète que les douleurs de la hanche puissent être en relation avec une métastase, qui selon moi est peu probable. On va tout de même organiser un CT-scanner dans 3 semaines (après la résorption du contraste). Contrôle dans environ 8 semaines. • Patiente de 11 ans en bonne santé habituelle qui consulte les urgences de Riaz le 29.04.2019 en raison d'un traumatisme du pied D le matin même. Aux urgences, nous réalisons une radiographie du pied droit qui montre une fracture non déplacée des 1er et 2ème métatarses. Nous demandons un avis orthopédique à Dr. X qui préconise une botte plâtrée fendue avec cannes anglaises à but de décharge pour 3 semaines puis 3 semaines de marche. La radiographie de contrôle est sans particularité. Dans ce contexte, la patiente rentre à domicile avec un plâtre circulaire fendu, des cannes anglaises, un arrêt de sport, une antalgie et un contrôle en policlinique à 1 semaine. Nous reconvoquons la patiente en policlinique d'orthopédie le 30.04.2019 à 14h15 pour réfection du plâtre en raison de la mise en évidence au colloque d'orthopédie d'une fracture Salter 2 de la première phalange du gros orteil diagnostiquée par Dr. X avec un plâtre trop court et une suspicion de compression du plâtre par Dr. X. • Patiente de 16 ans qui consulte les urgences de Riaz pour des douleurs de la main gauche sur une chute en vélomoteur à 25 km/h. Aux urgences, nous réalisons une radiographie incidence scaphoïde, mais ne voyons pas de fracture. Au vu de la haute suspicion clinique de fracture du scaphoïde, nous réalisons un plâtre antébrachial prenant le pouce et fendu sur le bord ulnaire avec une radiographie de contrôle post-plâtre sans particularité et la patiente est confortable sans sentiment de compression. Nous organisons un CT-scan de contrôle de la main pour le 08.05.2019, seule date possible pour la patiente, et communiquons le numéro de la policlinique pour qu'il prenne un rendez-vous de contrôle le 07.05.2019 également en policlinique. Dans ce contexte, elle rentre à domicile avec une ordonnance pour une antalgie simple, un arrêt de travail pour 1 semaine, un arrêt de sport pour la semaine d'après et un contrôle à 1 semaine. Nous lui expliquons la nécessité de reconsulter en cas de douleurs intenses non soulagées par antalgie simple. • Patiente de 18 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 27.03.2019 pour une rupture prématurée des membranes à 10h30 d'un liquide amniotique clair. Elle se met en travail spontanément. La dilatation est rapide. Elle donne naissance à une fille pesant 3510 g, de bonne adaptation néonatale. En raison d'un saignement post-partum immédiat et d'une délivrance semblant incomplète, nous posons l'indication à une révision utérine. Cette dernière met en évidence des caillots intra-utérins et une déchirure du col, suturée. Les pertes totales sont estimées à 1000 cc. L'hémoglobine post-opératoire est à 66 g/l. Elle bénéficie d'une transfusion de 2 culots érythrocytaires avec amélioration immédiate de ses symptômes d'anémie spoliative. Les suites post-partum sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative dès 21 jours post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 01.04.2019 en bon état général. • Patiente de 20 ans, s/p greffe bi-pulmonaire en 2013 pour une mucoviscidose qui se présente aux services des urgences le 25.03.2019 pour un état fébrile associé à une toux grasse évoluant depuis 48h, au décours d'un syndrome grippal 2 semaines au préalable. Patiente présente un souffle tubaire base gauche et une hypoventilation base droite. Le laboratoire montre un important syndrome inflammatoire biologique associé à une insuffisance rénale sans critères AKIN. La radiographie du thorax confirme le foyer pulmonaire basal gauche et un émoussement de la coupole droite. Le diagnostic de pneumonie est posé et une antibiothérapie par Céfépime est débutée. Sur le plan infectieux, le frottis de grippe revient positif pour une grippe A et les cultures d'expectorations mettent en évidence un S. Aureus et un S. Pneumoniae. L'antibiothérapie est alors adaptée pour de la co-amoxicilline dès le 26.03.2019 avec relais per os le 30.03.2019 pour une durée totale de 14 jours. Au vu du syndrome grippal remontant à 2 semaines auparavant, le Tamiflu n'est pas introduit. Sur le plan immunologique, le cellcept est suspendu pendant 48h selon les recommandations de l'équipe de transplantation pulmonaire du CHUV et la Prednisone est transitoirement majorée. Le taux résiduel du Tacrolimus est dans les cibles, motivant la poursuite de l'Advagraf à 5 mg/j. Le 01.04.2019, la patiente refuse catégoriquement la prise de sang de contrôle du syndrome inflammatoire (contrôle après le relais per os, au vu des troubles de l'absorption secondaire à la mucoviscidose). Devant l'évolution clinique rassurante, nous laissons la patiente rentrer à domicile le jour même, à condition qu'elle prenne rendez-vous chez son médecin traitant fin de semaine pour un suivi clinique.Patiente de 20 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 16.04.19 pour rupture prématurée des membranes depuis plus de 12 heures. Après mise en travail spontanée, la dilatation est rapide et elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2910 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une douleur de la hanche gauche et du bassin après l'accouchement, qui motive des radiographies ainsi qu'un avis orthopédique qui est sans particularité. L'évolution est favorable et les douleurs se calment spontanément sous antalgie simple. La patiente reste afébrile pendant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par dispositif intra-utérin à programmer lors du contrôle du post-partum à 6 semaines. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 18.04.2019, en bon état général. Patiente de 21 ans qui s'est coupée le doigt avec un débris de verre. En raison d'une suspicion d'atteinte tendineuse, on pose l'indication à une révision de plaie au bloc opératoire. L'intervention susmentionnée se déroule sans complication le 22.03.2019. Les suites opératoires sont simples. Le contrôle clinique post-opératoire est satisfaisant. Le statut neurologique de sortie ne présente pas de déficit. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Au vu d'une bonne évolution, la patiente peut regagner son domicile le 22.03.2019. Patiente de 21 ans, 2G0P, admise en salle d'accouchement le 06.04.2019 pour une rupture prématurée des membranes à 39.2/7 semaines d'aménorrhée. Nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole et provoquons par Syntocinon au vu du portage du streptocoque du groupe B. La dilatation est dystocique et en raison d'une non-progression de la dilatation avec un CTG suspect, l'indication à une césarienne en urgence est posée. L'intervention est marquée par une atonie utérine modérée résolue sous une ampoule de Nalador et 20 UI de Syntocinon. Elle donne naissance à un garçon pesant 3260 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique po. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception sera rediscutée à son contrôle post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente regagne son domicile avec son enfant le 11.04.2019. Patiente de 22 ans qui consulte les urgences pour une lombalgie, en péjoration depuis hier matin, dans un contexte de lombalgies chroniques non investiguées depuis 3 mois. Les douleurs sont situées au niveau L4-L5 et irradient au niveau des flancs bilatéralement, accompagnées de frissons/tremblements et de vomissements. L'examen clinique met en évidence des douleurs reproductibles à la palpation au niveau du dos, avec une loge rénale gauche sensible. L'abdomen est souple et douloureux au niveau des fosses iliaques, sans défense, sans détente. L'examen neurologique est normal. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec 20G/l et une CRP à 80. L'examen urinaire revient propre. Dans ce contexte, nous décidons d'effectuer un scanner abdominal pour exclure une appendicite atypique. Le scanner revient sans particularité. Une consultation gynécologique est demandée et revient également négative pour une cause gynécologique. Par conséquent, nous concluons sur des douleurs abdominales indéterminées avec recontrôle clinique et biologique à 24h à la filière des urgences pour observer la cinétique du syndrome inflammatoire. Patiente de 23 ans nulligeste connue pour un kyste de l'ovaire D de 10cm diagnostiqué en mars avec introduction d'une pilule oestroprogestative qui se présente le 13.04.2019 aux urgences pour une acutisation des douleurs depuis la veille. Elle décrit des douleurs persistantes en fosse iliaque droite, acutisées selon les gestes physiques. Actuellement, lors de l'examen clinique, Mme Y est absolument indolore au niveau abdominal. L'examen gynécologique objective un OVD agrandi en taille indolore. L'ultrason montre un kyste de l'OVD de 91 mm x 72 mm anéchogène, uniloculaire. Au vu de la clinique et de la persistance du kyste, nous décidons d'une prise en charge chirurgicale et effectuons une kystectomie par laparoscopie sans complications per opératoires. Elle présente par la suite une bonne évolution et rentre à domicile à J1 en bon état général. Patiente de 23 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 03.04.2019 en vue d'une provocation pour retard de croissance intra-utérin. Elle bénéficie d'une provocation par Propess. Elle se met en travail et dilate harmonieusement. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2020 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la mise en place d'un Implanon au post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 07.04.2019, en bon état général. Patiente de 23 ans, 1G0P, à 27 2/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse harmonieuse, consulte en urgence ce matin pour une sensation de perte de liquide hier soir (12.04) à 22h. Pas de dysurie ou pollakiurie. Pas de perte de sang. Pas de contractions. Pas d'EF. Pas de symptômes de PE. A l'examen clinique, la patiente est normotendue, normocarde et afébrile. Au spéculum, on met en évidence un col d'aspect visuellement long, avec du liquide clair dans le cul-de-sac vaginal. Les frottis bactériologiques ainsi que le SB sont en cours. L'Actim Prom et l'Actim Partus reviennent tous deux positifs. À l'USTV, col de 3cm, stable au Valsalva, placenta à distance de l'orifice interne, pas de vasa praevia. À l'US abdominale, excellente vitalité fœtale, Manning 8/8, AFI en ordre avec grande citerne à 3.3cm, doppler ombilical et cérébral en ordre. PFE 994g, placenta antérieur normo-inséré avec suspicion d'insertion du cordon marginale/vélamentaire sur le rebord inférieur.Au laboratoire, léger syndrome inflammatoire avec CRP à 28 mg/l et lc 16 G/l. Le CTG est réactif et non pathologique et ne montre pas de contractions utérines. Dans ce contexte, on débute une maturation pulmonaire par Celestone, une antibiothérapie par Clamoxyl et une Tocolyse par Tractocile. En accord avec le service de néonatologie et d'obstétrique de l'Inselspital, on convient d'un transfert en milieu universitaire. • Mr. Y, 24 ans, présentant une plaie crânienne pour laquelle nous avons fait des soins locaux avec sutures, et devant la profondeur et la brèche crânienne, avons instauré une antibiothérapie par co-amoxicilline. Nous revoyons Mr. Y dans 4 jours pour contrôle. • Mme. Y, 24 ans, 2 gestes devenue 2 pares à terme + 11. Elle a été admise en salle d'accouchement le 15.04.2019 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Finalement, elle se met spontanément en travail et dilate harmonieusement jusqu'à 6 cm, mais devant une bradycardie fœtale, nous posons l'indication à une césarienne en urgence 0. L'intervention est effectuée le 16.04.2019 et se déroule sans complication. Elle donne naissance à une fille pesant 3310 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est sevré par Dostinex au post-partum. La contraception future se fera par Azalia dès 21 jours post-accouchement. Au vu de la bonne évolution, elle rentre à domicile avec son bébé le 20.01.2019 en bon état général. Elle sera revue à notre consultation pour le contrôle du post-partum dans 6 à 8 semaines. • Mme. Y, 25 ans, admise pour un coma sur intoxication au GHB. Connue pour toxicomanie substituée par méthadone, elle est amenée par une de ses amies qui l'a retrouvée dans la rue inconsciente après consommation de GHB. Elle est intubée à son arrivée aux urgences en raison d'un coma. Selon hétéro-anamnèse, elle continuerait à consommer différents types de drogue y compris l'héroïne en intra-veineux en concomitance avec sa substitution de méthadone. • Mme. Y, 25 ans, primigeste devenue primipare à 39 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 01.04.2019. Elle dilate harmonieusement avec un travail soutenu par Syntocinon. En raison d'une non-progression de la présentation lors des poussées actives, l'indication à une instrumentation par ventouse Kiwi est posée. Elle donne naissance à un enfant de sexe masculin pesant 2930 g, de bonne adaptation néonatale. Nous prélevons le sang funiculaire pour les cellules souches, selon le souhait du couple. Les suites post-partales sont simples et elle reste afébrile. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative dès 21 jours post-partum, dans l'attente, elle utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, elle rentre à domicile le 04.04.2019 en bon état général. • Mme. Y, 25 ans, 11G5P, admise en salle d'accouchement le 11.04.2019 pour son contrôle prénatal à 41 semaines d'aménorrhée. Lors de la consultation, elle signale présenter des contractions. Elle se met en travail spontanément et dilate rapidement et harmonieusement. Elle donne naissance à une fille pesant 3540 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et elle reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Stérilet, dans l'attente, elle utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, elle rentre à domicile avec son bébé le 13.04.2019, en bon état général. • Mme. Y, 25 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 11.04.2019 pour mise en travail spontanée à terme. En raison d'un portage du streptocoque du groupe B, nous introduisons une antibiothérapie par Clamoxyl IV selon protocole. Elle dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3570 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et elle reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente, elle utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, elle rentre à domicile avec son bébé le 13.04.2019, en bon état général. • Mme. Y, 25 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 26.03.2018 pour une métrorragie brunâtre après un toucher vaginal en consultation le jour même. Les contractions commencent et elle présente une rupture prématurée des membranes avec liquide amniotique clair. La dilatation stagne à 2 cm après 2 heures, le liquide amniotique revient teinté, et le fœtus présente une bradycardie raison pour laquelle nous posons l'indication à une césarienne en urgence zéro. L'intervention se déroule sans complications, elle donne naissance à une fille pesant 3560 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et elle reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia jusqu'à nouvelle discussion au contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, elle rentre à domicile avec son bébé le 30.03.2019, en bon état général. Elle bénéficie d'un entretien avec l'interprète et le psychologue juste avant son départ pour le débriefing de son hospitalisation et les recommandations pour la suite. • Mme. Y, 25 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 29.03.2019 en vue d'une césarienne élective. L'intervention se déroule sans complications. Elle donne naissance à un garçon pesant 4260 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif si besoin dans l'attente d'en rediscuter au contrôle post-partum. Au vu de la bonne évolution, elle rentre à domicile avec son bébé le 01.04.2019 en bon état général. • Mme. Y, 26 ans, admise en salle d'accouchement le 09.04.2019 en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant. Elle bénéficie de la mise en place d'un Misodel le 09.04.2019 compliqué d'une hypercinésie, résolue après retrait du Misodel et perfusion de Gynipral. Par la suite, nous poursuivons la provocation par ballonnet dès le 10.04 puis Propess le 11.04.2019. Nous débutons le sulfate de magnésium dès le 12.04.2019 en raison d'une pré-éclampsie symptomatique sur un terrain d'hypertension chronique connue. Elle se met en travail qui est ensuite soutenu par Syntocinon pour une insuffisance secondaire des contractions. En raison d'une non-progression de la présentation à épines +1 et l'épuisement maternel, l'indication à l'instrumentation est posée. Elle donne naissance à un garçon pesant 3360 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites sont favorables, elle reste asymptomatique de sa pré-éclampsie et le laboratoire ne montre pas d'anomalie. Ses tensions sont bien contrôlées sous Trandate 100 mg x3/jour, qu'elle poursuivra pour au moins 10 jours. Le traitement sera ensuite adapté par son médecin traitant. A noter également un hématome de 2 x 2 cm, légèrement douloureux à la palpation, au niveau de la petite lèvre droite. Elle reçoit des recommandations pour un traitement conservateur et une surveillance clinique, et sera vue en contrôle clinique à notre consultation à 1 semaine. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Azalia dès 21 jours post-accouchement. Au vu de la bonne évolution, elle rentre à domicile avec son bébé le 17.04.2019, en bon état général et sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines.Mme. Y, 26 ans, adressée par Marsens pour malaise avec perte de connaissance et convulsions tonico-cloniques chez une patiente ayant des antécédents de crise psychogène. Par arguments pour une crise tonico-clonique (pas de morsure de langue, pas de phase post-critique, lactate et CK normaux). La patiente décrit également des douleurs en fosse iliaque droite dans un contexte de douleurs abdominales chroniques d'étiologie indéterminée. L'absence d'abdomen chirurgical et l'absence de syndrome inflammatoire ainsi que le contexte chronique ne motivent pas la poursuite d'investigations complémentaires en urgence. La patiente se plaint de douleurs au coude droit suite à une chute dans les escaliers. À l'examen, pas de limitation des amplitudes articulaires, une radiographie du coude ne montre pas de fracture. Dans ce contexte, la patiente peut rentrer à domicile. Départ en taxi. Mme. Y, 26 ans, pas connue pour des antécédents personnels, présente depuis 24 h une sensation de brûlure dans la gorge. Pas de fièvre, de vomissements, ni de diarrhée rapportée. À l'examen clinique, pas de signes d'inflammation visible à l'examen de la cavité buccale. Nous prescrivons une thérapie avec Angina comprimés pour 5 jours et Dafalgan au besoin. La patiente est informée de réévaluer une consultation chez l'ORL si la symptomatologie persiste. Mme. Y, 26 ans, primigeste à 14 semaines d'aménorrhée d'une grossesse gémellaire sur ICSI avec transfert de 2 embryons le 30.01.2019, consulte pour une hyperémèse gravidique accompagnée d'hypersialorrhée en péjoration depuis 3 jours malgré un traitement médicamenteux par Itinérol et primpéran. Elle décrit une impossibilité de s'alimenter et une perte de poids. Elle note également un spotting brunâtre depuis 2 semaines sans facteur déclenchant. Le reste de l'anamnèse gynécologique se révèle normal. À l'examen clinique, la patiente est apyrétique et hémodynamiquement stable. L'abdomen gravide est souple et indolore sans défense ni détente et les loges rénales sont souples et indolores. Au spéculum, on retrouve un col postérieur avec ectropion de la lèvre antérieure et postérieure ainsi que du spotting brunâtre en quantité modérée. Le laboratoire est aligné hormis une natrémie à la limite inférieure de la norme. La fonction hépatique est normale. Le stix montre la présence de cétones (+++). L'échographie montre une grossesse bichoriale biamniotique évolutive. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour une réhydratation, un traitement anti-émétique et une mise à jeun pendant 24 h. L'évolution est favorable avec une réalimentation progressive bien tolérée. La patiente rentre à domicile en bon état général le 20.04.2019. Mme. Y, 26 ans, primigeste devenue primipare à 39 semaines d'aménorrhée, est admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes le 01.04.2019 à 01h00. En l'absence de mise en travail spontanée après 12 h de rupture, nous indiquons une provocation par Syntocinon et débutons l'antibiothérapie par Clamoxyl, selon le protocole. Elle se met en travail, dilate harmonieusement. Devant un défaut d'expulsion à épines + 1, nous instrumentons par ventouse Kiwi puis forceps, ce qui s'avère être un échec. Nous posons alors l'indication à une césarienne en urgence 30 min, pour échec d'instrumentation. L'intervention est effectuée le 01.04.2019 et est marquée par une extraction difficile (3 min) sur présentation défléchie et peu mobile, une transection des muscles grands droits et un refoulement par une main vaginale sont réalisés et la patiente donne naissance à un enfant de sexe masculin pesant 3460 g, avec bonne adaptation néonatale. À noter une atonie utérine en per opératoire nécessitant 1 g de Cyklokapron et 20 unités de Syntocinon rapide puis 20 unités sur 6 h en post-opératoire. Une épreuve au bleu est également effectuée et ne décèle pas de perforation vésicale. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 06.04.2019 en bon état général et sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines. Mme. Y, 26 ans, 3G1P, est admise en salle d'accouchement le 13.04.2019 pour un saignement vaginal de faible intensité en association avec des contractions. Le bilan d'entrée étant rassurant et le col s'étant modifié, il est décidé de continuer l'observation et de poursuivre avec une tentative d'accouchement voie basse. Suite à une tachycardie fœtale à 200 bpm avec des décélérations variables compliquées et un saignement léger persistant, nous posons l'indication à une extraction en urgence par césarienne. Les suites post-partum sont simples. Un sevrage primaire de l'allaitement est assuré par 2 comprimés de Dostinex après l'accouchement. La contraception future se fera par Azalia dès 21 jours post-accouchement. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente désire un retour à domicile précoce. Les contrôles étant en ordre, elle regagne son domicile avec son enfant, en bon état général le 15.04.2019, et sera vue à notre consultation pour le contrôle du post-partum dans 6 semaines. Elle reçoit les recommandations habituelles pour les suites. Mme. Y, 27 ans, 2 gestes, devenue 2 pares à 37 5/7 semaines d'aménorrhée. Elle est admise en salle d'accouchement pour une mise en travail spontanée. Elle dilate très rapidement et donne naissance à un enfant de sexe féminin, pesant 3090 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partum sont simples et afébriles. Un sevrage de l'allaitement est effectué et se déroule sans complications. La contraception future sera à discuter à votre consultation, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 20.04.2019 et sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines. Mme. Y, 27 ans, 2G 1P, admise en salle d'accouchement le 01.04.19 en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant. Elle bénéficie de la mise en place d'un Misodel le 01.04.2019 dans la nuit. Après quoi, elle se met en travail. La dilatation est harmonieuse sous Syntocinon. La patiente donne naissance par voie basse à une fille pesant 2910 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partum sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la pose d'un stérilet Mirena dès 6 semaines post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 05.06.2019 en bon état général. Mme. Y, 27 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 20.04.2019 pour mise en travail spontané. La dilatation est rapide et elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2920 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partum sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 22.04.2019, en bon état général. Mme. Y, 28 ans, en bonne santé habituelle, consulte les urgences de Riaz le 30.04.2019 pour des lombalgies aiguës atraumatiques non déficitaires. Sur le plan des lombalgies, nous retenons des lombalgies non déficitaires et proposons un traitement antalgique simple et de la physiothérapie. Nous proposons un contrôle chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Nous effectuons un arrêt de travail pour 3 jours.Sur le plan uro-génital, nous réalisons un sédiment urinaire qui montre quelques érythrocytes et 3-5 leucocytes. La patiente ne désire pas être examinée sur le plan gynécologique au vu de l'absence de tout le matériel nécessaire pour un examen complet. Au vu de l'anamnèse, nous suspectons une mycose vaginale et nous prescrivons un traitement de Gyno-Canesten combi-pack et précisons à la patiente le non-remboursement de ce médicament. Nous lui préconisons tout de même de consulter un gynécologue au vu d'une dernière consultation il y a 6 ans. • Patiente de 28 ans 1G0P admise en salle d'accouchement le 25.03.2019 pour une rupture prématurée des membranes. Elle bénéficie d'une provocation par Propess puis Misodel puis Syntocinon. Durant la provocation, la surveillance biologique objective une leucocytose à 23 G/l et une CRP à 44 mg/l motivant l'ajout de Garamycine au Clamoxyl devant la suspicion de choriamniotite. Devant un échec de provocation, nous posons l'indication, en accord avec la patiente, à une césarienne en urgence. Elle donne naissance à un garçon pesant 2750 g, de bonne adaptation néonatale. Dans les suites post-partales directes (j0), la patiente présente un état fébrile à 38.3 °C raison pour laquelle l'antibiothérapie est poursuivie pendant 48 heures. La patiente reste afébrile le reste de son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative dès 21 jours après l'accouchement, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente regagne son domicile avec son enfant le 01.04.2019. • Patiente de 28 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 29.03.2019 après une rupture spontanée des membranes. Elle se met en travail spontanément et dilate harmonieusement. En raison d'un CTG pathologique à l'expulsion, l'indication à une extraction par ventouse kiwi est posée. Elle donne naissance à un garçon pesant 2830 g, de bonne adaptation néonatale. L'accouchement est compliqué par une déchirure périnéale de degré 3a suturée selon la technique end-to-end. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée au contrôle post-partum à 6 semaines. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 01.04.2019 en bon état général. • Patiente de 28 ans, 2 gestes devenue primipare à 37 5/7 semaines d'aménorrhée. La patiente a été admise en salle d'accouchement pour diminution des mouvements actifs fœtaux, dans un contexte de cholestase gravidique avec péjoration clinique du prurit depuis quelques jours. Au vu du contexte, nous indiquons une provocation le 17.04.2019 à 37 5/7 semaines d'aménorrhée, que la patiente accepte en signant le consentement. Nous débutons la provocation par Propess le 17.04.2019. La patiente se met en travail, dilate harmonieusement et donne naissance à un enfant de sexe féminin, pesant 2950 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Le prurit est spontanément résolutif. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Azalia dès 3 semaines post-partales. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 21.04.2019 et sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines. • Patiente de 28 ans, 2 gestes devenue primipare à 39 6/7 semaines d'aménorrhée. La patiente a été admise en salle d'accouchement le 14.04.2019 pour une rupture prématurée des membranes. Au vu d'une non-mise en travail après 12h d'expectative, nous débutons une provocation par Propess le 14.04.2019 et le 15.09.2019. La dilatation est harmonieuse. Instrumentation par ventouse kiwi pour non-progression de la présentation à épines + 1. Elle donne naissance à une fille de 3050 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par dispositif intra-utérin, à programmer lors du contrôle du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.04.2019, en bon état général. Elle sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines. • Patiente de 28 ans, 2G 1P admise en salle d'accouchement le 04.04.2019 pour une rupture prématurée des membranes. La patiente souhaite un AVAC. Elle bénéficie d'une provocation par Propess. Suite à une absence de mise en travail après 24h, elle désire ne plus poursuivre la tentative de provocation et demande une césarienne. Celle-ci se déroule sans complications. Elle donne naissance à une fille pesant 3310 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente regagne son domicile avec son enfant le 08.04.2019, en bon état général. • Patiente de 28 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 12.04.2019, en vue d'une césarienne élective itérative. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-partales sont simples. Un sevrage primaire de l'allaitement est assuré par Dostinex après l'accouchement. La contraception future se fera par Azalia dès 21 jours post-accouchement. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 15.04.2019, en bon état général. • Patiente de 29 ans, primipare qui se présente en raison d'une péjoration d'une douleur au niveau du sein gauche après ponction et début d'une antibiothérapie le 17.04.2019. La patiente allaite activement depuis l'accouchement il y a 6 semaines. À l'examen clinique, nous retrouvons une patiente apyrétique avec un sein gauche tendu et une induration érythémateuse, chaude et douloureuse au niveau du quadrant inféro-externe. Nous réalisons alors une échographie qui met en évidence une collection de 33x24 mm à contenu inflammatoire et liquidien pour laquelle nous réalisons une nouvelle ponction, soulageant la patiente. La patiente est hospitalisée pour poursuite de l'antalgie et de l'antibiothérapie. Elle bénéficie d'une antibiothérapie par Flagyl et Augmentin à continuer respectivement pour 5 jours. L'évolution étant favorable, la patiente peut regagner son domicile le 21.04.2019 en bon état général. • Patiente de 29 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 05.04.2019 suite à un transfert du Petit-Prince pour une stagnation de la dilatation à 9 cm. À son arrivée, la patiente demande la pose d'une péridurale. Elle atteint ensuite la dilatation complète puis donne naissance à une fille pesant 4070 g, de bonne adaptation néonatale. Une perfusion additionnelle de Syntocinon est administrée, en raison d'un travail dystocique de longue durée. La patiente souhaitant être à nouveau transférée au Petit-Prince, elle quitte notre établissement après la surveillance post-partale en salle d'accouchement. L'allaitement maternel complet est initié. La contraception future est à rediscuter, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre au Petit-Prince avec son bébé le 06.04.2019 en bon état général. • Patiente de 29 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 28.03.2019 en vue d'une provocation à terme pour un petit poids pour l'âge gestationnel au p8. Elle bénéficie d'une provocation par Propess le 28.03.2019 et le 29.03.2019, ainsi que de la pose d'un ballonnet le 31.03.2019. Elle se met alors en travail de manière spontanée. La dilatation est harmonieuse et le travail est soutenu par Syntocinon.Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3010 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative dès 21 jours après l'accouchement, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 04.04.2019 en bon état général. Patiente de 29 ans 1G0P admise en salle d'accouchement le 15.04.2019 pour mise en travail spontané. La dilatation est rapide. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3700 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente regagne son domicile en bon état général avec son enfant le 17.04.2019, et sera vue à votre consultation pour le contrôle du post-partum dans 6 à 8 semaines. Patiente de 29 ans 2G 1P admise en salle d'accouchement le 05.04.2019 à 39 5/7 semaines d'aménorrhée en vue d'une césarienne élective de convenance. La césarienne se passe sans complication per-opératoire. Elle donne naissance à une fille pesant 3640 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 09.04.2019, en bon état général. Patiente de 29 ans 4G2P, admise en salle d'accouchement le 28.03.2019 pour mise en travail spontané. Elle dilate rapidement et donne naissance par voie basse à une fille pesant 2580 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 31.03.2019, en bon état général. Patiente de 30 ans, admise aux soins intensifs le 24.04.2019 pour une surveillance après une hémorragie du post-partum. La patiente est admise en salle d'accouchement suite à des contractions avec mise en travail spontanée puis césarienne en urgence en raison d'une absence de progression et d'un CTG pathologique. L'accouchement se complique d'une déchirure de l'angle droit de l'utérotomie à droite. Elle bénéficie d'une hémostase par ligature artérielle sélective puis perfusion d'ocytocine et de Nalador. Un redon intrapéritonéal mis en place en per-opératoire ramène environ 600 ml avec un tarissement spontané à 24h. L'abdomen est suturé. Elle nous est alors adressée pour surveillance rapprochée. Des contrôles gynécologiques sont effectués régulièrement et il n'y a plus d'extériorisation de sang. Elle ne nécessite pas de fibrinogène ni de culot érythrocytaire. La surveillance hémodynamique est sans particularité, avec une hémoglobine stable tout au long du séjour. Les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie simple. Patiente de 30 ans, primigeste devenue primipare à 38 6/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Y a été admise en salle d'accouchement le 10.04.2019 en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant. Elle bénéficie de la mise en place de deux Propess du 10 et 12.04.2019. Par la suite, la provocation est poursuivie par du Syntocinon. En raison de l'absence de mise en travail, l'indication à une césarienne pour échec de provocation est posée. La césarienne se passe sans complication per-opératoire. Les suites post-partales sont marquées par des céphalées importantes liées à la brèche de la dure-mère, traitée initialement de manière conservative, puis par des infiltrations bilatérales des ganglions sphénopalatins à la lidocaïne 4 %. L'évolution est favorable. La patiente sera vue en contrôle au centre de la douleur de l'HFR à 3 semaines. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications, à l'aide d'un tire-lait. La contraception future se fera par Azalia dès 21 jours post-accouchement. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 17.04.2019, en bon état général et sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines. Patiente de 30 ans 1G0P, admise en salle d'accouchement le 27.03.2019 pour mise en travail spontané après rupture prématurée des membranes le 27.03.2019 à 1h15. La dilatation est rapide, et elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3780 g, qui est hospitalisée en néonatologie pour une acidose modérée à la naissance associée à un syndrome de détresse respiratoire. L'adaptation est favorable par la suite et elle quitte le service de néonatologie le 29.03.2019 pour rejoindre sa mère en chambre de maternité. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.03.2019, en bon état général. Patiente de 30 ans 1G0P, admise en salle d'accouchement le 29.03.2019 pour une mise en travail spontané. La dilatation est complète d'emblée à son arrivée. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3080 g. Cette dernière nécessite transitoirement une hospitalisation dans notre service de néonatologie pour une acidose néonatale avec tachypnée et détresse respiratoire. L'adaptation est favorable par la suite et le nouveau-né rejoint sa mère en chambre de maternité. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente regagne son domicile avec son enfant le 30.03.19 et sera revue pour le contrôle du post-partum dans 6 à 8 semaines. Patiente de 30 ans 6G1P admise en salle d'accouchement le 27.04.2019 pour une provocation pour désir maternel. Elle bénéficie d'une provocation par Ballonnet. Par la suite, la patiente se met en travail. La dilatation est harmonieuse, stimulée par Syntocinon. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3500 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la pose d'un stérilet en cuivre au post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 29.04.2019. Patiente de 31 ans, nulligeste en BSH, nous est adressée par son gynécologue traitant en raison d'une récidive d'un abcès du sein droit non puerpéral après ponction écho-guidée le 18.04.2019 revenue positive pour prevotella bivia. A son entrée, la patiente présente des douleurs et une rougeur au niveau du sein droit. L'examen clinique retrouve une patiente subfébrile à 37.7 °C avec un placard érythémateux, chaud et douloureux rétro-mamelonnaire externe à droite. La palpation objective une collection d'environ 3 cm indurée et une petite adénopathie axillaire droite. L'US mammaire met en évidence une collection au contenu hétérogène de 31 x 27 x 35 mm en partie abcédée se situant à cheval des quadrants externes droits.Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour mise à plat et drainage de l'abcès sous anesthésie générale. La patiente accepte l'intervention et signe le consentement. L'intervention est effectuée le 26.04.2019 et se déroule sans complications. Nous introduisons une antibiothérapie par Co-amoxicilline per os pour une durée totale de 7 jours. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le jour de l'intervention et sera revue en consultation à J1 pour retrait de la lame multi tubulée et à J10 à la consultation du Dr. X. • Patiente de 31 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 01.04.2019 en vue d'une provocation pour fenêtre thérapeutique d'une anticoagulation thérapeutique par clexane. Elle bénéficie de la mise en place d'un Misodel le 02.04.2019 dans la nuit. La dilatation est harmonieuse. Après 50 minutes de poussées actives, nous posons l'indication à une extraction par ventouse pour non-progression de la présentation et fatigue maternelle. La patiente donne naissance à un garçon pesant 2970 g, de bonne adaptation néonatale. La liquemine est reprise dès 4h post partum avec relais par Sintrom le lendemain. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la pose d'un stérilet hormonal dès 6 semaines post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 08.04.2019, en bon état général. Le contrôle INR avant son départ est à 2, donc nous poursuivons le dosage à 4 mg de Sintrom par jour jusqu'au prochain contrôle à la consultation de son médecin traitant dans 48 heures. • Patiente de 31 ans, 2 gestes devenue 2 pares à 40 1/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Y a été admise en salle d'accouchement pour une mise en travail spontané. La dilatation est harmonieuse et elle donne naissance à une fille de 3600 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par préservatifs. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile en bon état général, avec son enfant, le 18.04.2019. Elle sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines. • Patiente de 31 ans, 2G 1P, admise en salle d'accouchement le 13.04.2019 en vue d'une césarienne élective pour présentation podalique. L'intervention se déroule le 12.04.2019 sans complications, en dehors d'un complément de l'utérotomie sur 1.5 cm en T lors de l'extraction, non contre-indicatif pour une voie basse pour une prochaine grossesse. Elle donne naissance à un garçon pesant 3340 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia dès 21 jours post-accouchement. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 15.04.2019, en bon état général. • Patiente de 31 ans, 3G 1P, admise en salle d'accouchement le 28.03.2019 en vue d'une césarienne élective itérative. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un garçon pesant 3500 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par DIU au cuivre, dans l'attente la patiente prendra l'Azalia dès 21 jours post-accouchement. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 31.03.2019, en bon état général. • Patiente de 32 ans, 2G 1P, admise en salle d'accouchement le 30.03.19 en vue d'une provocation pour retard de croissance intra-utérin. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 30.03.19 qui est retiré 2 heures plus tard pour une décélération. Un ballonnet est alors posé le 30.03.2019 et expulsé spontanément 2 heures après. Nous indiquons alors la pose de Syntocinon, mais, devant un CTG suspect, nous posons l'indication à une césarienne en urgence 30 minutes. L'intervention est effectuée le 31.03.2019 et se déroule sans complication. La patiente donne naissance, par voie basse, à un garçon pesant 2340 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Le risque thrombo-embolique est couvert par clexane sous-cutané durant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la mise en place d'un stérilet Mirena dès 6 semaines post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 04.04.2019, en bon état général. • Patiente de 32 ans se présentant pour douleurs latéro-thoraciques droites subaiguës. Pas d'argument pour une origine cardiaque ou pour une embolie pulmonaire. Douleurs musculo-squelettiques. • Patiente de 32 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 10.04.2019 en vue d'une 2ème version manuelle externe. L'intervention se déroule sans complication et elle est réussie. Dans un contexte de présentation instable, nous proposons à la patiente une provocation qu'elle accepte en signant le consentement éclairé. Elle bénéficie de la mise en place d'un Misodel le 10.04.2019 qui est retiré le jour même en raison d'une hypercinésie. Elle bénéficie par la suite d'une pose de ballonnet le 10.04.2019, puis de deux Propess les 11 et 12.04.2019 et enfin d'oxytocine le 13.04.2019. À noter une rupture spontanée des membranes le 11.04.2019, pour laquelle un schéma de Clamoxyl est débuté. Le 13.04.2019, décision de césarienne pour échec de provocation et suspicion de chorio-amniotite. En per-opératoire, extraction fœtale nécessitant une pose de ventouse Kiwi. Elle donne naissance à un garçon de 3290 g, de bonne adaptation néonatale, qui est transféré dès J3 en néonatologie pour une jaunisse avec suspicion de communication intra-ventriculaire. Les suites post-partales sont marquées par un état fébrile à J4 du post-partum. En raison d'un refus d'antibiothérapie IV, la patiente est initialement mise sous augmentin per os mais avec une mauvaise évolution. Sur avis infectiologique, nous retiendrons finalement une probable infection urinaire haute que nous traitons par Céfépime IV avec une bonne évolution clinico-biologique. Un relais per os par ciprofloxacine est effectué le 22.04 pour une durée totale de 10 jours. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par préservatifs, jusqu'à nouvelle discussion lors du contrôle du post-partum. La patiente reçoit les recommandations habituelles. Au vu de la bonne évolution, la patiente quitte notre service en bon état général le 22.04.2019. Elle sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines à notre consultation ambulatoire. • Patiente de 32 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 25.03.2019 pour contractions utérines et RPM-LAC le 25.03.2019 à 4h. Elle se met en travail de manière spontanée. La dilatation est rapide. Elle donne naissance à une fille pesant 2850 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Le sevrage de l'allaitement se fait par Dostinex. La contraception future se fera par Estinette dès 21 jours post-accouchement. La patiente reçoit les informations nécessaires. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 29.03.2019, en bon état général. Patiente de 32 ans, 3G 1P, admise en salle d'accouchement le 07.04.2019 pour rupture prématurée des membranes. Elle se met en travail spontanément et dilate harmonieusement. En raison d'une non-progression de la présentation, l'indication à une extraction par ventouse métallique est posée. Mme. Y donne naissance à une fille de 3410 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 09.04.2019, en bon état général. Patiente de 32 ans, 3G1P, admise en salle d'accouchement le 27.04.2019 pour une mise en travail spontanée. Elle dilate rapidement et accouche le même jour. Les suites post-partales sont marquées par une légère atonie utérine résolue après 20 UI de Syntocinon et des pertes estimées au total à 400 ml. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative dès 21 jours post-partum; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.04.2019 en bon état général. Patiente de 32 ans, 3G1P, admise en salle d'accouchement le 12.04.2019 pour une mise en travail spontanée. Elle donne naissance par voie basse par ventouse KIWI pour CTG pathologique à une fille pesant 3320 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Son nouveau-né présente un frein-langue court qui est pris en charge chirurgicalement en ORL le 15.04.2019. La contraception future se fera par Azalia dès 21 jours post-accouchement. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente regagne son domicile avec son enfant le 15.04.2019 et sera vue à votre consultation pour le contrôle du post-partum dans 6 semaines. Patiente de 33 ans, primigeste devenue primipare à 38 4/7 SA, admise en salle d'accouchement le 07.04.2019 pour une mise en travail spontanée. Elle dilate harmonieusement et donne naissance à une fille pesant 2670 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future sera discutée lors du contrôle du post-partum. Elle reçoit les recommandations habituelles. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 10.04.2019, en bon état général et sera revue en contrôle post-partum dans 6-8 semaines. Patiente de 33 ans s'étant luxé l'épaule (2ème épisode) suite à une chute de cheval. Luxation antérieure, réduction sous antalgie MEOPA + Fentanyl. Traumatisme crânien sans perte de connaissance avec examen neurologique normal, feuille de surveillance post-traumatisme crânien donnée à la patiente. Consultation avec Dr. X, orthopédiste, dans 2 semaines. Reconsultation aux urgences en cas de signes post-traumatisme crânien. Patiente de 33 ans, 3G 1P, admise en salle d'accouchement le 04.04.2019 pour une mise en travail après rupture spontanée des membranes. Elle se met en travail. La dilatation est dystocique et stagne à 6 cm. Refusant initialement le Syntocinon, la patiente accepte une tentative de stimulation par Syntocinon après 3h de stagnation. Celle-ci reste sans effet et est interrompue. Dans ce contexte, nous posons l'indication à une césarienne en urgence, en raison de la stagnation de la dilatation à 6 cm pendant 4 h, sur utérus cicatriciel. Dans un premier temps, la patiente refuse catégoriquement la césarienne que nous proposons. Les risques consécutifs à ce refus sont expliqués et la patiente signe un formulaire de décharge médicale. Après 7 heures de stagnation, la patiente accepte l'intervention. En raison d'une présentation très basse, une main vaginale est nécessaire pour l'extraction. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. À noter que la patiente a reçu pendant son séjour 48 h d'antibiothérapie en raison de la main vaginale effectuée pendant l'intervention. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée avec le gynécologue traitant, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente est transférée à la Maison de Naissance du Petit Prince le 07.04.2019, en bon état général et sera revue en contrôle post-partum dans 6-8 semaines. Patiente de 33 ans, 3G0P, admise en salle d'accouchement le 12.04.2019 pour une rupture prématurée des membranes. Le travail est soutenu par Syntocinon. En raison de plusieurs décélérations variables compliquées profondes répétées malgré une tocolyse par Gynipral, on décide d'une césarienne en urgence, que la patiente accepte. Elle donne naissance à un garçon de 2300 g, témoignant d'un retard de croissance intra-utérin, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Le séjour est long, notamment en raison de l'état psychologique fragile de la patiente, à risque d'une dépression du post-partum sur un terrain dépressif connu et traité. Elle bénéficie de plusieurs consultations avec notre sage-femme de conseil, ainsi qu'avec le psychiatre de liaison. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia dès 21 jours post-accouchement. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente regagne son domicile avec son enfant le 19.04.2019 et sera vue à notre consultation pour le contrôle du post-partum dans 6 semaines. Patiente de 33 ans, 3G1P, à 33 1/7 semaines d'aménorrhée, hospitalisée le 12.04.2019 pour une menace d'accouchement prématuré avec un col effacé. Pour rappel, Mme. Y nous a été adressée le 12.04.2019 par son gynécologue traitant pour des contractions utérines et col court avec suspicion de rupture prématurée des membranes. À son entrée, nous mettons en évidence un col quasi effacé, avec un Actim prom positif et un fœtus en présentation podalique. Le CTG objective 3 contractions utérines par 10 minutes, raison pour laquelle nous débutons une tocolyse par Adalat 10 mg selon schéma, à laquelle elle répond bien. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour une menace d'accouchement prématuré et poursuivons la tocolyse par Adalat 20 mg et effectuons la cure de maturation pulmonaire et l'antibiothérapie par Clamoxyl pour la rupture prématurée des membranes. Le 14.04.2019, la patiente échappe à la tocolyse par Adalat et nous instaurons le Tractocile, auquel elle répond très bien. Le Tractocile est stoppé le 16.04.2019 après 48 h, et nous effectuons un relais par Adalat avec décision d'effectuer une césarienne à 34 semaines d'aménorrhée que la patiente accepte en signant le consentement. Malheureusement, la patiente se met en travail dans la nuit du 16.04 au 17.04.2019 et devant une dilatation à 8 cm avec poche bombante et contractions régulières et douloureuses, nous indiquons une césarienne en urgence. L'intervention est effectuée le 17.04.2019 et se déroule sans complications. Mme. Y donne naissance à un garçon pesant 2440 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Un sevrage primaire de l'allaitement est assuré par 2 comprimés de Dostinex dans les 24 heures post-partales. La contraception future se fera par Azalia dès 21 jours post-accouchement. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 21.04.2019 et sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines. Patiente de 34 ans, admise aux soins intensifs le 27.04.2019 depuis les urgences de Tavel en raison d'une insuffisance respiratoire partielle aiguë survenant dans un contexte de pneumonie communautaire avec bronchospasme associé.La composante de bronchospasme est rapidement levée sous bronchodilatateurs topiques et ventilation non invasive. L'évolution est favorable sous ce traitement. Un traitement de stéroïdes inhalés est introduit. Le trigger est probablement une pneumonie bibasale visualisée au CT thoracique qui est traitée par antibiotiques. L'adaptation du spectre sera à faire selon les résultats des prélèvements (hémocultures, antigènes urinaires, culture d'expectorations). La patiente est transférée en division le 28.04.2019 pour suite de prise en charge. • Patiente de 34 ans en bonne santé habituelle admise pour une suspicion d'AIT. Elle consulte aux urgences pour un épisode rapidement régressif d'un hémisyndrome sensitivo-moteur gauche avec paralysie faciale homolatérale le 19.04.2019 à 8h30, d'apparition brutale sans prodrome après s'être levée de sa chaise et de résolution spontanée après 20 sec. Elle consulte par la suite aux urgences où elle représente les mêmes symptômes après s'être verticalisée. Un Babinski positif est objectivé à droite avec signe de Hoffmann homolatéral. Le neurologue Dr. X suspecte une atteinte des voies pyramidales. Une IRM cérébro-cervicale et une ETT sont à demander. Elle n'a pas présenté de trouble rythmique durant la surveillance. Une statine est introduite en raison d'un LDL élevé. L'Aspirine est poursuivie. • Patiente de 34 ans, 2 gestes devenue 2 pares à 39 6/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Y a été admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontané. Elle dilate très rapidement et donne naissance à un enfant de sexe féminin pesant 3650 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 03.04.2019 en bon état général. • Patiente de 34 ans, 2G 1P, admise en salle d'accouchement le 06.04.2019 pour rupture prématurée des membranes. La mise en travail est soutenue par Syntocinon. Elle dilate harmonieusement et donne naissance à une fille pesant 2990 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Elle bénéficie d'une perfusion de fer en raison d'une anémie post-partale symptomatique, à 100 g/L. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 09.04.2019, en bon état général. • Patiente de 34 ans, 4G 1P, à 34 5/7 semaines d'aménorrhée est admise dans notre service le 11.04.2019 pour une suspicion de pyélonéphrite droite. La patiente s'est présentée aux urgences pour un état fébrile. Elle relate des douleurs dorsales bilatérales en augmentation progressive depuis la veille. Elle n'a pas de plainte au niveau urinaire. Puis ce jour, elle note l'apparition d'un état fébrile mesuré à 40°C, des nausées et plusieurs épisodes de vomissements. À noter que Mme. Y est connue avec un antécédent de lithiase urinaire droite avec pose de pigtail durant son ancienne grossesse. A l'examen clinique, la patiente est tachycarde, normotendue et afébrile. L'abdomen gravide est souple et indolore sans défense ni détente et les loges rénales sont douloureuses des deux côtés. Le stix urinaire est pathologique avec des nitrites et des érythrocytes. Le speculum objective des leucorrhées physiologiques et un col postérieur, long et fermé. L'Actim Partus et Prom sont négatifs. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire important, leucocytes à 33.2 G/l et la CRP à 84 mg/l. L'échographie démontre un fœtus en présentation céphalique, estimé à 2881 g avec un ILA estimé à 6 cm. Le CTG objective un utérus contractile avec 2-3 contractions utérines aux 10 minutes non ressenties. Le col mesuré initialement à 36 mm se retrouve à 23 mm stable à la contraction 2 heures plus tard. Dans ce contexte, nous décidons d'hospitaliser la patiente pour une antibiothérapie iv par Rocéphine. Nous demandons un consilium de chirurgie qui ne retient pas d'argument pour une appendicite. Nous effectuons une échographie des voies urinaires qui revient normale. L'évolution est favorable. Les frottis bactériologiques vaginales et streptocoques du groupe B reviennent négatifs. L'uriculte est positif à E. coli. La symptomatologie s'améliore, le syndrome inflammatoire est à la baisse, la patiente reste afébrile, normocarde et normotendue pendant son séjour. À noter par contre une anémie normochrome, normocytaire à 83 g/L, avec une ferritine à 124, qui pourrait être attribuée au syndrome inflammatoire. Nous proposons un contrôle dans 7 à 10 jours de cette valeur. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente regagne son domicile en bon état général le 15.04.2019, avec un relais antibiotique per os et un contrôle à prévoir dans 7 à 10 jours à la consultation du Dr. X. • Patiente de 34 ans, 6G 2P, à 14 6/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse gémellaire bi-bi, adressée par son gynécologue traitant pour rupture prématurée des membranes de J1. La patiente avait déjà consulté son médecin une semaine auparavant pour des métrorragies associées à des douleurs du bas ventre. L'examen s'était avéré sans particularité. Elle a continué à présenter des saignements depuis ce moment. De plus, la patiente rapporte des pertes de liquide depuis 2-3 jours. Pas de douleurs abdominales ce jour. Pas de symptômes urinaires. Nausées sans vomissements. Transit régulier. Pas d'état fébrile/frissons. À l'entrée, la patiente est afébrile et les constantes sont dans la norme. L'abdomen est souple et indolore. Au speculum, nous retrouvons des traces de sang, sans saignement actif du col qui est postérieur et fermé. À l'ultrason, nous mettons en évidence un anamnios de J1 avec des battements cardiaques présents ainsi qu'un placenta latéral sans particularités, J2 présente un liquide amniotique paraissant en quantité normale avec une bonne vitalité fœtale et un placenta latéral gauche sans particularités. La patiente est hospitalisée pour surveillance et une antibioprophylaxie par Clamoxyl i.v. est débutée. Le lendemain, la situation étant stable, l'antibioprophylaxie est administrée per os et la patiente peut regagner son domicile avec les conseils d'usage. • Patiente de 34 ans, 6G 2P qui est suivie à notre consultation en raison d'une grossesse bichoriale biamniotique marquée par l'expulsion de J1 sur une rupture prématurée des membranes le 08.04.2019. Le 18.04.2019, nous constatons la mort fœtale in utero du J2. Le 21.04.2019, la patiente est revue en consultation pour débuter une interruption thérapeutique de la grossesse. La patiente relate alors l'expulsion spontanée à domicile le 19.04.2019 de J2 sans saignement par la suite. La patiente est alors afébrile et le laboratoire est aligné. L'échographie montre la persistance du placenta, raison pour laquelle nous posons l'indication à un curetage évacuateur du placenta. L'opération se déroule sans complication per-opératoire. Les suites post-opératoires sont simples et favorables. Les douleurs sont soulagées par une antalgie simple. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile le 22.04.2019 en bon état général. • Patiente de 35 ans adressée par son médecin traitant pour anémie à 75 g/L contrôlée à 81 g/l aux urgences. Patiente asymptomatique sans signe d'extériorisation. Le laboratoire montre une anémie microcytaire hypochrome avec carence en fer.Nous effectuons une injection de 1g de Ferinject puis laissons rentrer la patiente à domicile sous substitution orale 300mg/jour. • Patiente de 35 ans qui présente un œdème des membres inférieurs en péjoration depuis 4 jours associés à une douleur diffuse dans la jambe. La patiente ne présente pas d'arguments cliniques pour une thrombose veineuse profonde, ni une dermohypodermite. Une écho-doppler est effectuée au lit du patient montrant un flux sanguin avec une veine compressible en fémoral et poplité. En raison d'un épisode similaire avec étiologie gynécologique, un avis gynécologique est demandé et revient sans particularité. Un dosage de D-dimère revient inférieur à 500. Un diagnostic de probable insuffisance veineuse est mentionné. La patiente est sollicitée à prendre rendez-vous chez un angiologue pour la suite de la prise en charge. • Patiente de 35 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 27.03.2019, adressée par la maison de naissance le Petit Prince pour absence de mise en travail à terme dépassé de 12 jours. Nous débutons la provocation par une pose de ballonnet le 27.03 à 13h10 suite à quoi la patiente rentre à domicile. Le 28.03.2019, à 24 heures de la pose du ballonnet, en raison d'un col inchangé, la provocation est poursuivie par Misodel. Le 29.03.2019 a lieu la rupture spontanée des membranes. Le travail est ensuite soutenu par syntocinon. Cependant au vu d'un CTG pathologique, nous décidons d'une césarienne en urgence 30 minutes. Elle donne naissance à un garçon pesant 3750g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 01.04.19 en bon état général. • Patiente de 35 ans, 3G1P, admise en salle d'accouchement le 07.04.2019 pour une mise en travail spontanée. Devant des métrorragies actives avec suspicion de décollement placentaire, nous posons l'indication à une césarienne en urgence 30 minutes. L'intervention se déroule sans complications et nous confirmons un décollement placentaire en per-opératoire. La patiente donne naissance à une fille pesant 2890g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par des céphalées sur une brèche de la dure-mère lors de la pose de péridurale. La patiente bénéficie d'abord d'un traitement conservateur et ensuite d'un blood patch le 10.04.2019 améliorant la symptomatologie. Sevrage primaire de l'allaitement par Dostinex. En raison d'une anémie spoliative asymptomatique, nous introduisons une substitution ferrique per os pour 3 mois. La contraception future se fera par Desonur dès 3 semaines post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 11.04.2019, en bon état général et sera revue en contrôle post-partum dans 6-8 semaines. • Patiente de 35 ans, 4 gestes devenue 2 pares à 39 1/7 semaines d'aménorrhée. Mme Y a été admise en salle d'accouchement le 19.04.2019 pour une rupture prématurée des membranes le 19.04.2019 à 01h30. La patiente se met en travail, dilate harmonieusement. On débute les poussées actives après 3 heures de dilatation complète et après 40 minutes de poussées actives le fœtus ne s'engage pas avec une présentation OS. On décide pour une césarienne urgence 30 minutes pour défaut d'engagement et CTG intermédiaire. Elle donne naissance par ventouse per césarienne à un garçon, pesant 2800g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 22.04.2019 en bon état général et sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines. • Patiente de 35 ans, 6G 4P admise en salle d'accouchement le 04.04.2019 en vue d'une provocation dans un contexte de MFIU à 38 Sa sur pré-éclampsie sévère. Lors du contrôle obstétrical, mise en évidence d'une présentation instable avec version spontanée fœtale lors de la consultation. Devant un col favorable et une présentation céphalique, la provocation est débutée par du Syntocinon. Nous devons interrompre la provocation en raison d'une présentation podalique et posons l'indication à une césarienne. La césarienne se passe sans complication per-opératoire. Elle donne naissance à un garçon pesant 4110g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par dispositif intra-utérin à rediscuter lors du contrôle du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente regagne son domicile avec son enfant le 08.04.2019, en bon état général. • Patiente de 36 ans, 1G 0P, à 36 1/7 semaines d'aménorrhée, adressée par l'hôpital du Daler, le 29.03.2019 pour suspicion de pré-éclampsie débutante. À l'hôpital du Daler, la patiente est asymptomatique mais présente un profil tensionnel élevé et une protéinurie positive avec un CTG marqué par une décélération compliquée prolongée de J1 avec bonne récupération par la suite. À son entrée, la patiente présente une barre épigastrique intermittente sans autres symptômes de pré-éclampsie. La tension artérielle est à la limite de la norme mais inférieure à 160/100. Les réflexes ostéo-tendineux sont hypervifs sans extension de la zone réflexogène. Le CTG est R-NP avec quelques contractions utérines irrégulières non ressenties. L'ultrason d'entrée montre deux fœtus en présentation céphalique avec bon Manning et bons dopplers. Les poids ont été évalués le 29.03.2019 par Dr. X à 2091g pour J1, connu pour un SGA avec cassure de la courbe ce jour, et 2108g pour J2, RCIU connu avec PA 1700. Nous initions un traitement diurétique ainsi que des bas de contention avec une évolution favorable de la surcharge hydrique. Une échocardiographie est effectuée par notre cardiologue Dr. X le 29.03.19 qui met en évidence une hypertension pulmonaire importante. Notre cardiologue propose une prise en charge dans un milieu universitaire. La patiente refuse une prise en charge hospitalière mais souhaite reprendre un suivi ambulatoire. Après contact avec son cardiologue traitant, elle sera convoquée au CHUV par la suite. À son entrée, la patiente se plaint de douleurs au membre inférieur gauche sans fièvre avec un statut local variqueux ainsi qu'un érythème. Malgré un laboratoire écartant un syndrome inflammatoire, nos collègues urgentistes initient un traitement antibiotique qui est stoppé à son entrée dans notre service. Un avis angiologique est demandé et un ultrason est effectué qui écarte une artériopathie ou un thrombus, mais retient une indication opératoire à pondérer avec les comorbidités de Mme. Y. Les douleurs régressent avec l'amélioration de la surcharge hydrique. La patiente présente depuis 2010 une fibrillation auriculaire précédemment prise en charge par anticoagulation mais stoppée par la patiente dans un contexte de saignement veineux. Dans le contexte actuel et après discussion avec son cardiologue traitant, nous reprenons une anticoagulation par Sintrom avec relais sous Clexane. La fonction rénale reste stable avec une GFR à 60 ml/min. Une hyponatrémie chronique est notée. Une hypovitaminose D est détectée au laboratoire et substituée par Vitamine D3. Une radiographie de contrôle à 6 semaines post-fracture de la branche ilio-pubienne droite est effectuée. En l'absence de plaintes cliniques et de nouvelle lésion à la radiographie, et après avis de son orthopédiste traitant, Dr. X, nous ne recommandons pas de nouveau suivi. La patiente peut rentrer à domicile le 05.04.19. Patiente de 45 ans, 4G3P consulte ce soir pour un érythème du sein droit douloureux, évoluant depuis 48 h. Pas de notion de fièvre ou de frissons, pas de traumatisme au niveau du sein, pas d'écoulement mammelonnaire, pas de prurit mammaire. Patiente sans contraception hormonale, a utilisé la pilule oestro-progestative pendant 2 ans, il y a plus de 10 ans. Dernière mammographie en février pour douleur mammaire, RAS. À l'examen, patiente normocarde, normotendue, apyrétique: 124/77, 75 bpm, 36.4°C. Sein gauche: Pas d'érythème, pas de chaleur, pas de masse ou nodule palpés, pas de rétractions cutanées, pas d'aspect peau d'orange, pas d'ADP palpées. Sein droit: Érythème douloureux à la palpation, mesurant 4 cm à cheval des QSE et QIE, chaleur, pas de masse ou nodule palpés, pas de rétraction cutanée, pas d'aspect peau d'orange, pas d'ADP palpées. L'US mammaire est sans particularité et le bilan biologique retrouve des GB à 8.7 et une CRP à 8. Dans ce contexte, nous suspectons une mastite non puerpérale débutante et mettons la patiente sous Augmentin 1 g 2 fois par jour pendant 7 jours et lui proposons un RDV dans la semaine avec Dr. X pour contrôle clinique. Patiente de 45 ans, 6G 4P, qui se présente en urgence le 03.04.19 pour une tuméfaction et douleur de la grande lèvre gauche sans écoulement ni état fébrile. À l'examen clinique, nous confirmons une bartholinite gauche collectée et nous proposons une marsupialisation ainsi qu'une biopsie à la patiente qu'elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications et une mèche est mise en place en per-opératoire. Au vu de la bonne évolution, la patiente peut regagner son domicile avec un contrôle à 24h pour ablation de la mèche. • Patiente de 46 ans, qui consulte par rapport à des céphalées intenses inhabituelles. Vu l'examen clinique rassurant et disparition des douleurs et des nausées avec le traitement de Primperan, Zomig aux urgences. La patiente rentre à domicile avec le traitement en réserve par Brufen, Primperan et Zomig. • Patiente de 48 ans connue pour dorsalgies chroniques, qui travaille comme femme de ménage et présente des douleurs dorsales depuis 1 semaine en péjoration ce jour. Etant donné l'examen clinique rassurant, la patiente rentre à domicile avec le traitement par Nexium, Dafalgan, Brufen, Sirdalud et Tramal pendant 5 jours. Arrêt du travail pendant 5 jours. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 5 jours, si les douleurs persistent nous proposons d'organiser une imagerie complémentaire en ambulatoire. • Patiente de 48 ans, connue pour un ATCD de carcinome mammaire D en 2010 et actuellement un carcinome mammaire G depuis avril 2017, adressée par Dr. X pour le bilan d'une progression tumorale, ainsi que la pose d'un port-à-cath afin de débuter une chimiothérapie par Navelbine. Elle présente en effet des sudations nocturnes, un état fébrile vespéral, une asthénie, une perte d'appétit et sensation de faiblesse depuis 3 semaines, associés à une perte pondérale de 5 kg depuis janvier 2019. Le laboratoire à l'entrée met en évidence une anémie en péjoration, ainsi qu'une perturbation des tests hépatiques avec un TP abaissé. Le bilan par imagerie révèle une progression tumorale au niveau local et systémique avec apparition de métastases hépatiques et d'implants péritonéaux. Mme. Y présente un état fébrile à plusieurs reprises, sans foyer clinique associé, nous effectuons des hémocultures qui se révèlent négatives. Une pose de port-à-cath est initialement prévue le 05.04.2019, mais finalement refusée par la patiente. L'intervention a tout de même lieu le 09.04.2019. Une chimiothérapie par Navelbine est débutée le 10.04.2019. La prochaine cure de chimiothérapie par Navelbine est agendée pour le 02.05.2019 et un rendez-vous chez Dr. X est pris pour le 07.05.2019 pour discuter la suite de la prise en charge. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Y rentre à domicile le 25.04.2019. • Patiente de 50 ans, connue pour une leucémie myéloïde aiguë en deuxième récidive post-allogreffe, sous traitement de Venetoclax, hospitalisée en raison d'une agranulocytose fébrile sur bactériémie à E. coli d'origine urinaire. A noter que la patiente a été hospitalisée en février en raison d'un abcès/phlegmon périnéal à E. coli ESBL avec dermohypodermite au niveau du périnée. Mme. Y est adressée par Dr. X, hémato-oncologue traitant, sur avis infectiologique de Dr. X, en raison d'un état fébrile dans un contexte d'agranulocytose évoluant depuis janvier 2018, afin de débuter une antibiothérapie intraveineuse par Meropenem. Les hémocultures effectuées à l'admission reviennent positives pour un E. coli ESBL, tout comme l'urotube. Ainsi, nous retenons le diagnostic de bactériémie à E. coli ESBL d'origine urinaire, et l'antibiothérapie par Meropenem est poursuivie pour une durée de 14 jours. Les hémocultures de contrôle restent négatives. Durant le séjour, la patiente présente un état fébrile persistant, malgré une antibiothérapie efficace. Nous complétons alors les investigations par un CT des sinus et thoraco-abdomino-pelvien afin d'exclure un autre foyer, notamment fongique. Ce dernier montre uniquement la persistance de la dermo-hypodermite connue au niveau du périnée, ainsi qu'une persistance de la pansinusite connue. Durant le séjour, la patiente présente des diarrhées, dont la recherche de Clostridium difficile revient négative à deux reprises, et dont l'étiologie la plus probable est l'antibiothérapie. Concernant la leucémie, l'agranulocytose et la présence de blastes au frottis sanguin persistent malgré le traitement de Dacogen et Venetoclax mené depuis janvier 2019. En l'absence de piste infectieuse non contrôlée, l'état fébrile persistant est également attribué au contexte oncologique. Ainsi, la patiente est informée par nos collègues hématologues de la réponse restreinte au traitement de Venetoclax. Dans ce contexte, d'un commun accord entre la patiente, les hématologues et les infectiologues, et vu les états fébriles paucisymptomatiques, la poursuite du traitement en ambulatoire est décidée. Sur le plan hématologique, en lien avec la pancytopénie chimio-induite, la patiente bénéficie d'un soutien transfusionnel et reçoit 3 concentrés érythrocytaires et 3 concentrés plaquettaires. Mme. Y rentre à domicile le 03.04.2019. Le service d'Hémato-oncologie assurera l'administration de l'antibiothérapie intraveineuse, et la patiente sera revue par Dr. X le 05.04.2019. • Patiente de 50 ans, 2G0P, admise en urgence dans notre service pour un abcès de la grande lèvre gauche de mauvaise évolution après 48h de traitement conservateur par Ichtholan et antibiothérapie par Co-amoxicilline. A son entrée, la patiente présente des douleurs en regard de l'abcès et une augmentation en taille de la lésion. La patiente est hémodynamiquement stable et afébrile. L'examen clinique objective une masse fluctuante de 4x2 cm de la grande lèvre gauche avec érythème au pourtour sans signe de lymphangite et sans adénopathie palpée. On retrouve également une condylomatose disséminée importante et des lésions psoriasiques en regard du mons pubis. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour mise à plat et drainage de l'abcès ainsi que résection des condylomes bourgeonnant dans la mesure du possible sous anesthésie générale. La patiente accepte l'intervention et signe le consentement. L'intervention est effectuée le 26.04.2019 et se déroule sans complications avec mise en place d'une mèche. Nous poursuivons l'antibiothérapie par Co-amoxicilline pour une durée totale de 5 jours et débutons une thérapie par ovules de Flagyl pour une semaine. En regard de la condylomatose vulvaire, une anuscopie dans le service de proctologie sera à prévoir après cicatrisation de l'épisode actuel. De plus, nous conseillons un suivi du psoriasis chez le médecin traitant Dr. X. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le jour de l'intervention. • Patiente de 51 ans, admise aux soins intensifs le 24.04.2019 pour surveillance post-opératoire en raison d'un SAOS non appareillé. Connue pour une obésité sévère grade III selon l'OMS (BMI initial à 40.2kg/m2), elle bénéficie d'un bypass gastrique sous anesthésie générale sans opioïde. L'intervention se déroule sans complication immédiate. La surveillance aux soins intensifs est simple, sans désaturation nocturne significative sous antalgie simple avec Paracétamol en fixe et Tramadol en réserve. La surveillance biologique est sans particularité et une anticoagulation prophylactique par héparine de bas poids moléculaire est reprise en post-opératoire. Sur avis chirurgical, une ré-alimentation selon protocole bypass gastrique est reprise à 24h de l'intervention. L'ablation des fils sera à prévoir à J12 auprès du médecin traitant et un contrôle à 1 mois post-opératoire est à organiser à la consultation de Dr. X. A noter que lors de la surveillance aux soins intensifs, on met en évidence une bradycardie sinusale asymptomatique avec un QTc à la limite supérieure de la norme. L'examen clinique est sans particularité. La patiente rapporte que son père et son frère ont été investigués pour le même problème, sans autres précisions connues. Il n'y a par ailleurs pas d'anamnèse de mort subite. Les médicaments allongeant le QT sont à éviter. Un avis cardiologique est en cours avant de discuter d'un éventuel complément d'investigations.La patiente est transférée à l'étage de chirurgie le 25.04.2019 pour suite de prise en charge. • Patiente de 53 ans, pas connue pour d'autres antécédents personnels, qui présente une éruption vésiculaire nouvelle depuis samedi avec augmentation cette nuit au niveau du dos, de la zone sous-axillaire, et au niveau du sein. Elle se plaint d'une brûlure au niveau de cette éruption. Pas de fièvre, vomissements ou diarrhée. En raison d'une suspicion de zona au niveau des dermatomes T4-T5, nous prescrivons une thérapie orale avec Valtrex 500 mg pour un dosage de 2 comprimés 3 fois par jour, pour 7 jours, avec une thérapie locale de Anesderm crème 2 fois par jour pour 5 jours. • Patiente de 54 ans, adressée aux urgences en ambulance pour malaise atypique sans déficit neurologique avec céphalées dans un second temps d'évolution favorable après traitement par Temesta, Primperan, Dafalgan et Voltaren. Pas d'anomalie au CT-scan cérébral. Retour à domicile sous traitement symptomatique. • Patiente de 56 ans connue pour un trouble dépressif sous Trittico 200 mg depuis 1 an des suites d'un licenciement, qui consulte les urgences de Riaz amenée par ses enfants en raison d'une anxiété face à un nouvel épisode dépressif avec arrêt de son traitement depuis 3 semaines. Nous réalisons un bilan biologique qui montre uniquement une légère leucocytose compatible avec l'état grippal décrit par la patiente mais sans symptomatologie aiguë. Nous demandons un avis à la psychiatre de garde de Marsens, qui propose une hospitalisation volontaire. Suite à une discussion avec sa fille et la patiente, la patiente accepte cette hospitalisation volontaire. Dans ce contexte, nous vous transférons la patiente pour suite de prise en charge d'un état dépressif aigu sans auto- ni hétéro-agressivité sur arrêt médicamenteux depuis 3 semaines. La fille de la patiente accepte de l'accompagner en voiture. • Patiente de 56 ans en bonne santé habituelle qui consulte pour des douleurs sous-costales à droite le 04.04.2019. Aux urgences, nous réalisons un ECG qui montre un RSR à 75 bpm, sans signe d'ischémie aiguë, superposable à l'ECG du 02.04.2019. Le bilan biologique avec notamment les paramètres hépato-pancréatiques est normal. Aux urgences, la symptomatologie se résout spontanément. Nous réalisons un ASP debout pour s'assurer de l'absence de complication de type perforation, qui revient négatif. Dans ce contexte, et au vu d'une patiente rassurante cliniquement, elle rentre à domicile avec poursuite du traitement de Nexium 40 mg 2x/jour pour 7 jours proposé le 02.04.2019 et contrôle chez le médecin traitant à 7 jours afin de rediscuter de la suite de la prise en charge. • Patiente de 57 ans, qui se présente donc pour des symptômes urinaires avec un sédiment urinaire négatif. Mais face à une hématurie microscopique apparemment persistante d'après les anciennes biologies, nous avons fait un uro-CT qui n'a pas montré de lésion tumorale. On a donc prescrit de la Betmiga, mais nous vous conseillons de suivre la symptomatologie. • Patiente de 61 ans admise pour une IRA oligo-anurique sur bas débit. La patiente est hospitalisée pour une tachycardie atriale dans le cadre d'une insuffisance cardiaque terminale avec CMD d'étiologie indéterminée avec pacemaker-défibrillateur dont la fonction de resynchronisation est désactivée. Dans ce cadre, elle développe une décompensation cardiaque associée à une insuffisance rénale sur bas-débit oligurique motivant un remplissage prudent, l'arrêt des traitements néphrotoxiques et la réactivation de la resynchronisation. Elle récupère une diurèse adéquate autorisant une déplétion par Lasix. Elle bénéficie aussi de séances de VNI. Un traitement inotropique dans une insuffisance cardiaque terminale n'est pas retenu. La soeur, infirmière et représentante thérapeutique, récuse une dialyse qui serait excessive au vu de la fragilité générale et du retard mental et ne souhaite pas d'escalade thérapeutique excessive. Il est convenu des soins maximalistes à l'étage. Le projet pour la famille serait, à la sortie d'hôpital si possible, une institutionnalisation, car la patiente vit avec son père de 90 ans qui est dépassé par les soins qu'il prodigue à la patiente. • Patiente de 64 ans hospitalisée suite à l'intervention chirurgicale, initialement agendée en ambulatoire, pour adaptation de l'antalgie en raison d'importantes douleurs postopératoires. La patiente est confortable par la suite et hémodynamiquement stable. Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cutanée pendant l'hospitalisation. À la sortie, absence de troubles neurologiques. Retour à domicile le 09.04.2019. • Patiente de 64 ans connue pour un cancer de l'ovaire avec métastases, présentant une sinusite virale (douleurs bilatérales, rhinorrhées claires). Pas de leucopénie au laboratoire. CRP à 10 mg. Nous préconisons un traitement symptomatique par Volatren et Triofan. • Patiente de 66 ans connue pour une arthrite psoriasique sous Lodine et un AVC en 2012 avec traitement de clopidogrel qui nous est adressée par Dr. X chez qui elle a consulté hier pour des diarrhées sanguinolentes et qui l'a envoyée faire un CT abdomen ici qui a révélé une pancolite prédominant à gauche. La patiente présente des diarrhées aqueuses et sanguinolentes rouge vif et des caillots 15 fois/jour en grande quantité avec urgences depuis samedi soir en augmentation, ainsi qu'une inapétence et une perte de 4 kg. Douleurs abdominales diffuses 8/10 de type crampiforme juste avant les selles et soulagées par les selles. Nausées mais pas de vomissements. Pas de symptômes urinaires. Pas de voyage récent, pas de prise d'antibiotiques récemment, pas de notion de contage, n'a pas mangé au restaurant ou de viande crue. Pas d'antécédents de maladie inflammatoire dans la famille. Sa médecin lui a dit d'arrêter le clopidogrel et la Lodine hier. La patiente a pris 3 cpr d'un autre anticoagulant de jeudi à dimanche (ne se souvient plus du nom) sous conseil de sa médecin pour une suspicion d'insuffisance artérielle, avec un rendez-vous chez l'angiologue prochainement. Elle prend régulièrement du pantozol 40 1x/j en raison de l'Alodine, ce qui a été majoré à 2x/j depuis hier. Tabac : 40 UPA alcool : occasionnel. EG : Pas de signes de déshydratation, pas de cyanose, pas pâle. Abdo : Bruits augmentés en fréquence mais tonalité normale. Pas d'hépatosplénomégalie. Pas de défense mais détente marquée à gauche et légère détente à droite. Forte douleur à la palpation de la fosse iliaque gauche et du flanc gauche, légère douleur à la palpation du flanc droit. Pas de masse palpable. Murphy négatif. Cardio : B1 B2 bien frappés, réguliers, sans souffle audible, pouls palpable aux 4 membres. Resp : murmures vésiculaires symétriques sans bruits ajoutés. Au vu du CT scan et de la clinique, nous concluons à une pancolite prédominant à gauche et hospitalisons la patiente en vue de l'antibiothérapie et de l'hydratation. • Patiente de 67 ans, connue pour un lymphome folliculaire diagnostiqué en 2012, en rémission, hospitalisée jusqu'au 21.03.2019 pour une bactériémie à E. coli probablement d'origine urinaire, qui consulte aux urgences le soir du 26.03.2019 en raison d'un état fébrile à 39° accompagné de frissons apparus le jour même, sans symptôme urinaire. Mme. Y décrit aussi des diarrhées, à raison de 3-4 épisodes/jour. Pas d'autre plainte, hormis une asthénie.A l'examen clinique d'entrée, la patiente est subfébrile à 37.9°C (sous paracétamol). Les différents systèmes sont dans la norme. Aucune piste infectieuse n'est mise en évidence au status. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire, avec une CRP à 16 mg/l et une leucocytose à 20.7 G/l. Au sédiment urinaire, présence d'une légère leucocyturie et d'une bactériurie, avec des nitrites négatifs et une minime hématurie microscopique. Les hémocultures reviennent négatives. Vu la persistance des diarrhées depuis le 13.03.2019 et l'absence d'autre foyer clair, nous optons pour une couverture antibiotique par Rocephin et Flagyl et effectuons une analyse bactériologique des selles qui revient négative pour PCR mais positive pour un Clostridium difficile. Dès lors, la patiente est placée en isolement et un traitement par Vancomycine per os est instauré dès le 28.03.2019, pour une durée de 10 jours. Au vu d'une amélioration clinique rapidement favorable, Mme. Y regagne son domicile le 30.03.2019. Patiente de 67 ans, connue pour une leucémie myéloïde aiguë avec un statut post-allogreffe effectuée aux HUG entre le 05.03-11.04.2019, compliquée par une TVP septique au niveau jugulaire interne droit, ainsi qu'une leucémie lymphoïde chronique et un syndrome métabolique, hospitalisée le 14.04.2019 à l'HFR en raison d'une douleur à l'épaule droite. Elle se présente aux urgences avec une douleur du membre supérieur droit depuis la veille au soir, sans notion de traumatisme ou de chute. La mobilisation articulaire est restreinte mais il n'existe aucun signe ou symptôme indiquant une atteinte inflammatoire. Un bilan radiologique met en évidence une collection liquidienne pouvant évoquer un hématome, probablement sur l'anticoagulation introduite pour la thrombose jugulaire ainsi que sur la thrombocytopénie liée à la maladie oncologique. Une atteinte du tendon du biceps est également possible. Les avis orthopédique et infectiologique ne recommandent pas de ponction articulaire. La patiente est hospitalisée en médecine pour la suite de prise en charge. L'anticoagulation est mise en suspens, au profit d'une Clexane prophylactique. Une antalgie menée par Oxycontin et de la physiothérapie permettent une évolution favorable. Il n'y a pas de complications hématologiques ou orthopédiques pendant le séjour. Sur avis du Dr. X, l'anticoagulation est reprise dès le 19.04.2019, par Arixtra. L'époux de la patiente effectuera les injections. La patiente rentre à domicile le 18.04.2019 avec de la physiothérapie ambulatoire et les conseils de vigilance quant à l'anticoagulation. Elle bénéficiera d'un suivi onco-hématologique ambulatoire rapproché. Patiente de 67 ans, connue pour une lombo-radiculopathie chronique et un BPCO, opérée en 2013 pour une hernie discale L4-L5 G et en 2018 pour une spondylodèse percutanée L4-L5, est envoyée par les urgences de l'HFR Fribourg pour des douleurs en péjoration avec SAD impossibles. A l'entrée, elle décrit que depuis plusieurs semaines elle présente une péjoration des douleurs lombaires (L4-L5) malgré le traitement antalgique important. Les douleurs sont décrites comme en coup de couteau et irradient aux deux jambes sans déficit sensitivo-moteur. Elle est suivie par le Dr. X pour la gestion des douleurs avec deux infiltrations récentes et un cryogénie prévue le 23.04.2019. L'examen physique montre une patiente afébrile, avec un état général réduit. L'auscultation pulmonaire révèle des râles basaux avec une hypoventilation. L'examen neurologique ne montre pas de troubles de la sensibilité superficielle ni profonde des membres inférieurs des deux côtés. Le Lasègue est négatif des deux côtés et la mobilité de l'articulation sacro-iliaque est bien conservée des deux côtés. Nous conservons son traitement analgésique d'entrée, selon le souhait explicite de la patiente et tentons de limiter les augmentations des dosages. Pendant le séjour, Mme. Y juge ses douleurs toujours insupportables avec peu ou pas de réponse au traitement médicamenteux ou physiothérapeutique et elle montre un comportement souvent assez démonstratif. Une prise en charge des douleurs non médicamenteuse est pour le moment refusée catégoriquement par Mme. En raison de son état infectieux, la cryothérapie du 23.04.2019 est repoussée ultérieurement. Elle sera re-convoquée pour une date ultérieure par l'anesthésie HFR Fribourg. Le 16.04.2019, Mme. Y présente un état fébrile avec un syndrome inflammatoire ainsi qu'une radiographie pulmonaire suggestive d'une pneumonie. Nous introduisons un traitement de Rocephin IV du 16 au 22.04.2019. Elle présente une amélioration clinique sous antibiothérapie mais présente le 23.04.2019 un épisode fébrile isolé asymptomatique en régression rapide sous Dafalgan. Pour cette raison, de nouvelles investigations sont lancées, montrant une amélioration radiographique de la pneumonie, des hémocultures négatives et une culture urinaire parlant pour une contamination. Mme. Y ne présente pas de nouvel épisode fébrile et présente une bonne évolution clinique sous attitude conservatrice sans nouveau traitement antibiotique. Mme. Y peut, le 25.04.2019, être transférée en réhabilitation à Estavayer-le-Lac pour la suite de la prise en charge multidisciplinaire des douleurs chroniques. Patiente de 67 ans, immunosupprimée, admise aux soins intensifs le 21.03.2019 en raison d'une insuffisance respiratoire partielle aiguë survenant dans un contexte de pneumonie trilobaire droite. Elle est initialement adressée aux urgences le 19.03.2019 pour investigations et prise en charge d'un état fébrile à 39°C avec désaturation à l'air ambiant, associée à une dyspnée, une odynophagie et une toux grasse. La radiographie du thorax effectuée à ce stade est compatible avec un foyer basal gauche. Une antibiothérapie par Rocephin est débutée et la patiente est transférée en division de médecine pour la suite de prise en charge. Elle est transférée aux soins intensifs le 21.03.2019 en raison d'une évolution défavorable, avec détresse respiratoire. A noter que la patiente est immunosupprimée au long cours suite à une transplantation rénale pelvienne gauche en 2014 suivie d'un rejet humoral aigu en mars 2018 traité par immunoglobulines jusqu'en octobre 2018. Suite à ce rejet et à une majoration du traitement immunosuppresseur, elle a présenté une réactivation de CMV en octobre 2018, traitée par Valganciclovir et actuellement en rémission. Dans ce contexte, une prophylaxie par Bactrim a été transitoirement introduite, stoppée trois semaines avant l'hospitalisation actuelle après avis immunologique. L'insuffisance respiratoire en aggravation compliquée d'un ARDS motive une intubation oro-trachéale le 21.03.2019 après échec de VNI. Une bronchoscopie avec LBA met en évidence un Rhinovirus. Une antibiothérapie par Tazobac est initiée d'emblée pour une possible co-infection bactérienne. L'évolution respiratoire est lentement favorable, permettant une extubation après 6 jours de ventilation mécanique. Elle bénéficie par la suite de ventilation non invasive en alternance avec de l'oxygène à haut débit. Les cultures bactériennes reviennent toutes négatives et le spectre antibiotique est réduit dès le 25.03.2019 pour de la Rocephin. Ce dernier traitement est définitivement interrompu le 27.03.2019. L'évolution clinique post-extubation est marquée par un état confusionnel et une neuromyopathie importante motivant une physiothérapie respiratoire intensive et un traitement psychotrope transitoire avec un bon effet. Dans ce contexte, une demande de neuro-réadaptation est soumise à Meyrier le 28.03.2019.Un CT thoracique natif est effectué dans le cadre du suivi radiologique. Il montre des multiples infiltrats alvéolo-interstitiels mixtes diffus dans les deux plages pulmonaires, d'origine probablement post-infectieuse. Un suivi pneumologique est proposé. Notons également des épanchements bilatéraux, non ponctionnables au moment du transfert, qui sont à surveiller. En cours de séjour, elle présente une insuffisance rénale aiguë AKIN I. Dans ce contexte, un duplex rénal est effectué et montre une bonne perfusion rénale. Dans le contexte de rejet humoral au décours, le taux de Ciclosporine est à refaire le 04.04.2019 et à communiquer au néphrologue (Dr. X) avant éventuelle adaptation de la posologie. Un taux sérique supérieur à 100 mcg/l est souhaité. En raison de CD4 inférieur à 200 mg/en cours de séjour, la prophylaxie par Bactrim est réintroduite. Un réveil pathologique avec un état confusionnel est géré par Catapresan puis neuroleptiques, avec une bonne évolution. À noter des troubles modérés de la déglutition, actuellement en résolution lente, motivant une nutrition entérale. Concernant le diabète, un suivi rapproché des glycémies est préconisé. Mme. Y, 69 ans, est connue pour un carcinome mammaire actuellement sous traitement chimiothérapeutique. Dernière chimiothérapie le 03.04.2019. Mme. Y consulte pour un état fébrile récidivant reportant son opération de la colonne vertébrale prévue le 15.04.2019. Aux urgences, Mme. Y est afébrile durant son séjour. Nous effectuons un bilan complet. Une prise de sang montre une CRP à 33 mg/l en régression sans leucocytose. Un sédiment urinaire ne montre pas d'infection. Une radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux. En raison d'une absence de piste clinique et biologique pour une possible infection, nous retenons une probable fièvre d'origine tumorale. Nous proposons à Mme. Y une poursuite du traitement chez le médecin traitant. Mme. Y, 69 ans, est hospitalisée en raison d'une récidive de leucémie myéloïde aiguë post allogreffe. Pour rappel, Mme. Y a présenté une mauvaise réponse au traitement fin 2018, avec une allogreffe maintenue au mois de février 2019. La ponction-biopsie de moelle effectuée ensuite a montré une maladie réfractaire, et un contrôle biologique a mis en évidence une hyperleucocytose à 113 G/L. La chimiothérapie de rattrapage par Dacogen et Venetoclax est initiée le 13.03.2019. Mme. Y présente un état fébrile sans foyer clinique le 13.03.2019. Un traitement de Céfépime et Cubicin est débuté afin de couvrir une potentielle infection de cathéter. L'évolution se complique par un important syndrome de lyse et une coagulation intravasculaire disséminée, motivant un séjour aux soins intensifs. Mme. Y passe en agranulocytose le 14.03.2019. Un isolement protecteur est alors mis en place, et les prophylaxies sont poursuivies. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable, permettant une suite de prise en charge à l'étage de Médecine. Le 20.03.2019, Mme. Y présente une agranulocytose fébrile, probablement d'origine digestive, pour laquelle nous débutons une antibiothérapie empirique par Céfépime pour une durée de 7 jours, avec une évolution favorable. Les analyses bactériologiques reviennent négatives. Dès le 26.03.2019, Mme. Y présente des états fébriles récidivants, ainsi qu'une éruption cutanée, des douleurs abdominales et des diarrhées. Nous stoppons alors l'Allopurinol et l'antibiothérapie par Céfépime avec comme hypothèse initiale une toxidermie. Nous débutons également une antibiothérapie par Meropenem. Toutes les analyses microbiologiques reviennent négatives. L'évolution n'étant pas favorable, nous suspectons une GvHD, confirmée par les biopsies cutanée et rectale. Mme. Y est mise à jeun. Une corticothérapie et un traitement par Ciclosporine sont débutés par voie intraveineuse. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable, permettant une réalimentation progressive qui est bien tolérée, et le relais de la corticothérapie, puis de la Ciclosporine par voie orale. L'antibiothérapie par Meropenem est également relayée par Tavanic en prophylaxie. En parallèle, nous mettons également en évidence une réactivation du CMV, pour laquelle nous débutons un traitement de Foscarnet pour une durée de 4 jours, permettant de contrôler le virus. Par la suite, nous poursuivons le suivi de la virémie deux fois par semaine. Au vu de l'agranulocytose prolongée, une stimulation par Neupogen est débutée le 11.04.2019. Il est convenu que Mme. Y rentre à domicile en agranulocytose, tout en poursuivant le traitement de Neupogen. Au niveau hématologique, Mme. Y bénéficie d'un soutien transfusionnel et reçoit 18 concentrés érythrocytaires, 25 concentrés plaquettaires et 32 plasmas frais congelés dans le cadre de la pancytopénie chimio-induite et de la complication par une CIVD. Sur le plan nutritionnel, nous instaurons une alimentation parentérale dès le 29.03.2019, et jusqu'à la sortie de Mme. Y. Mme. Y rentre à domicile le 12.04.2019. Elle sera revue à la consultation de Dr. X le 15.04.2019 pour un contrôle clinique et biologique. Mme. Y, 70 ans, est connue pour un adénocarcinome pancréatique métastatique sous chimiothérapie palliative. Elle est hospitalisée pour des douleurs abdominales. Mme. Y présente depuis trois jours une progression de douleurs épigastriques irradiant en ceinture et dans le dos, associée à des nausées et une constipation. Au status, nous observons une sensibilité au niveau épigastrique et à la percussion hépatique. Le bilan biologique d'entrée montre un syndrome inflammatoire connu et pas de signe de cholestase. Nous mettons ces douleurs sur le compte de la progression tumorale. Nous mettons en place une prise en charge en soins palliatifs avec un soutien nutritionnel et de la physiothérapie. Nous adaptons l'antalgie. Dr. X propose de stopper la chimiothérapie et d'introduire de la dexaméthasone. Mme. Y montre une diminution des douleurs abdominales et une reprise du transit. Mme. Y sature à 99 % à l'air ambiant et ne nécessite pas d'oxygénothérapie. Le souhait de Mme. Y et de toute la famille est de retourner au Brésil, son pays d'origine, le 12.04.2019. Dr. X prépare tous les documents nécessaires pour l'importation des médicaments (opiacés, corticoïdes) au Brésil. Dr. X prend également contact avec le médecin conseil de la compagnie d'aviation et remplit un formulaire pour annoncer la situation de Mme. Y à la compagnie. Nous estimons que Mme. Y est totalement capable de réaliser un vol de longue distance sans assistance médicale. En cas de complication durant le vol, nous suggérons fortement de ne pas dévier le vol vu la situation palliative. Nous donnons à Mme. Y une ordonnance valable pour 30 jours pour le traitement d'opiacés et pour 3 mois pour le reste du traitement. Au niveau neurologique, Mme. Y développe un pied tombant. Nous mettons cela sur une cause périphérique, soit sur la progression tumorale soit sur la cachexie. Au vu de la situation palliative, nous ne réalisons pas plus d'investigation. Une attelle est confectionnée que Mme. Y peut porter avec des chaussures fermées. Mme. Y rentre à domicile le 11.04.2019. Son vol pour le Brésil est prévu le lendemain. Mme. Y, 70 ans, sous anticoagulation orale depuis plusieurs années en raison d'antécédents d'embolies pulmonaires, est hospitalisée de manière élective par son médecin traitant pour investigation de masses hépatiques suspectes. Mme. Y présentait des douleurs abdominales au flanc droit depuis 2 semaines, non améliorées par une antibiothérapie introduite par le médecin traitant pour une suspicion de diverticulite. Le scanner met en évidence des masses hépatiques et des implants de carcinose péritonéale. Une biopsie d'un implant péritonéal est effectuée le 01.03.2019, mais le matériel est insuffisant. Une seconde biopsie est donc organisée le 08.03.2019. Elle ne permet pas de poser un diagnostic définitif. Après discussion avec les oncologues, un PET-CT est réalisé le 14.03.2019, puis une laparoscopie le 20.03.2019 afin d'extraire une adénopathie. Le matériel est finalement envoyé en pathologie universitaire à Bâle et le diagnostic de mélanome métastatique est posé.Une immunothérapie par Opdivo est débutée le 01.04.2019, et sera poursuivie chaque 2 semaines et un Port-à-cath est posé le 15.04.2019. Au vu de la perte pondérale malgré les adaptations mises en place par une diététicienne, une sonde naso-gastrique est mise en place le 26.03.2019, et une nutrition entérale est débutée. Avec les apports per os, elle couvre 100% de ses besoins. Le 29.03.2019, elle présente des douleurs abdominales, associées à un état fébrile. L'imagerie effectuée met en évidence un saignement actif au sein de la métastase hépatique, ainsi qu'une collection sous-hépatique, qui est ponctionnée sous guidage radiologique. Mme. Y est ensuite transférée aux soins intensifs pour surveillance. Au vu de la stabilité hémodynamique et de l'hémoglobine (aux environs de 80 g/l), la patiente est retransférée en médecine interne le 01.04.2019. L'anticoagulation qui avait été mise en suspens, est reprise de manière prophylactique dès le 02.04.2019. Le 02.04, nous constatons une chute de l'hémoglobine, motivant la réalisation d'un CT de contrôle qui ne montre pas de saignement. Après transfusion d'un concentré érythrocytaire, l'hémoglobine reste stable. Nous renonçons cependant à reprendre une anticoagulation thérapeutique, et au vu des antécédents d'embolie pulmonaire, nous organisons la pause d'un filtre dans la veine cave inférieure pour longue durée le 04.04.2019. Par la suite, l'évolution clinique et biologique est favorable, le drain hépatique est retiré le 08.04.2019 et un ultrason abdominal de contrôle le 16.04.2019 revient rassurant. Après un avis angiologique auprès du Dr. X, l'anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg/j s.c. est poursuivie pour la durée de l'hospitalisation aiguë et de son séjour de réadaptation, avec un arrêt à son retour à domicile. Le filtre cave est à laisser au long cours. Au vu de l'évolution favorable, mais devant un déconditionnement général, la patiente est transférée à Riaz pour une réadaptation gériatrique le 18.04.2019. Patiente de 71 ans, connue pour un adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur gauche actuellement sans évidence de récidive tumorale ainsi qu'un adénocarcinome pulmonaire du lobe inférieur droit récidivant, transférée de l'Inselspital le 17.04.2019 pour suite de prise en charge d'une lobectomie inférieure droite. Pour rappel, la patiente avait été hospitalisée à l'HFR Fribourg du 27-29.03.2019 pour hémoptysies récidivantes dans un contexte de récidive locale d'adénocarcinome pulmonaire du LID. Un traitement conservateur par cautérisation par bronchoscopie avait échoué, raison pour laquelle la patiente avait été transférée à Berne pour prise en charge chirurgicale. Une lobectomie inférieure droite étendue avait été réalisée par le Dr. X le 03.04.2019, avec pose de drain thoracique, compliquée par une pneumonie post-opératoire traitée par Tazobactam. Les suites opératoires étaient simples et la patiente nous était retransférée le 17.04.2019 pour suite de prise en charge. À son arrivée, elle se plaint de légères douleurs pariétales au niveau des cicatrices opératoires et de toux liée à la pneumonie. L'évolution est favorable sous antalgie par Oxycontin et antibiothérapie. Celle-ci est arrêtée après 14 jours de traitements, alors que l'évolution clinique et biologique est favorable. Nous vous laissons le soin d'adapter l'antalgie simple au fil des jours. La patiente bénéficie également de physiothérapie respiratoire. À sa sortie, elle se mobilise avec un rollator sous 2 litres d'oxygène. Des tensions artérielles élevées aux alentours de 160/90, asymptomatiques, sont remarquées durant le séjour. Nous vous laissons le soin d'introduire un traitement ciblé si vous le jugez nécessaire, avec plus de recul sur le séjour. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement, et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est transférée en réadaptation pulmonaire à Billens le 24.04.2019. Les résultats du Tumorboard du 24.04.2019 vous seront communiqués. Elle bénéficiera d'un suivi en chirurgie thoracique à l'HFR Fribourg. Patiente de 72 ans connue pour diabète de type 2, nous est transférée de la clinique générale de Fribourg où elle a été opérée le 14.03.2019 pour prothèse totale du genou gauche suite à une gonarthrose invalidante. Mme. Y habite seule, dans une maison où elle vit au rez-de-chaussée et où un étage est en cours de construction pour son fils. Elle est totalement indépendante pour les AVQ et marchait sans moyens auxiliaires. À l'anamnèse d'entrée, pas de plaintes, pas de douleurs au moment de l'examen. Au statut d'entrée, la patiente est en bon état général, les paramètres vitaux sont dans la norme hormis une pression artérielle systolique élevée à 146 mmHg. L'auscultation cardio-pulmonaire est dans la norme. On note des œdèmes des membres inférieurs anciens chez la patiente probablement d'origine lymphatique et veineuse (varices et dermite ocre des jambes). D'un point de vue ostéo-articulaire, le bras droit est amputé de naissance. La cicatrice de genou est calme. Ad. diag. principal: Au cours de l'hospitalisation, nous adaptons l'antalgie et assurons une anticoagulation prophylactique par Clexane. Parallèlement à cela, nous débutons une réhabilitation avec physiothérapie et ergothérapie intensives et individualisées. Au début du séjour, elle peut faire les transferts avec une autonomie réduite (FIM 5), elle peut aussi marcher avec ses cannes axillaires sur 50 m à autonomie réduite (FIM 5), la montée des escaliers n'est pas testée (FIM 1). À sa sortie, la patiente peut faire ses transferts seule avec moyens auxiliaires. Elle marche de manière autonome avec une des cannes anglaises. Le périmètre de marche est de 120 m. Elle est capable de gravir 9 marches d'escalier avec une discrète aide physique. Un rendez-vous de contrôle radio-clinique est prévu par à la Clinique Générale le 29.04.2019. Une anticoagulation prophylactique par Clexane puis par Xarelto est prévue jusqu'au 11.04.2019. Ad. diag. 1: Par ailleurs, le bilan d'entrée a révélé une carence en vitamine D dont nous avons commencé la substitution. La patiente rentre à domicile en bon état général le 02.04.2019. Elle fera de la physiothérapie à domicile en ambulatoire. Patiente de 72 ans, connue pour un diabète NIR, une HTA traitée et des migraines ophtalmiques, qui est conduite en ambulance aux urgences de Riaz le 03.04.2019 pour des troubles visuels. La patiente présente une vision floue accompagnée de vertiges non rotatoires et une faiblesse des jambes. Aux urgences, elle est hypertendue à 210 mmHg de systole, les autres paramètres sont dans la norme. Le statut neurologique est dans la norme. Le statut ophtalmologique montre une iridotomie et une diplopie mono-oculaire de l'œil droit à la fixation. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 40 mg/l sans leucocytose, le reste du bilan est sans particularité. Après traitement du pic hypertensif et normalisation de la tension artérielle, la patiente montre une amélioration de la symptomatologie ophtalmique.Sur le plan neurologique, un bilan (CT et IRM cérébrale) montre 2 lésions cérébelleuses gauches subaiguës, d'allure thrombo-embolique. Nous retenons un AVC ischémique cérébelleux bifocal. L'origine embolique provient le plus probablement d'une végétation de la valve mitrale. En effet, la patiente est connue pour un épaississement de la valve mitrale depuis 2016. Une ETO de contrôle de juillet 2018 et une IRM montraient une lésion valvulaire mitrale décrite comme une nécrose caséeuse mitrale pour laquelle aucune anticoagulation n'avait été introduite. Dans ce contexte de lésions neurologiques nouvelles, une ETO est effectuée le 08.04.2019 suite à laquelle elle développe un scotome dans le champ visuel D. Un bilan ophtalmologique met en évidence une occlusion de l'artère supéro-temporale de la rétine D. Au CT cérébral natif du 08.04.2019, il n'y a pas de transformation hémorragique des lésions cérébelleuses et donc une anticoagulation thérapeutique est débutée par héparine. Au vu de la haute suspicion d'embolisation de la masse mitrale, les cardiologues proposent une intervention chirurgicale. Une coronarographie est réalisée en bilan pré-opératoire qui montre une resténose intrastent active (70 %) de l'artère coronaire droite proximale et une sténose nouvelle (70 %) de l'artère coronaire droite moyenne juste avant le segment stenté. Pour cela, les cardiologues proposent un bypass de l'artère coronaire droite en plus de l'intervention sur la valve. Un bilan angiologique pré-bypass est réalisé. La patiente est transférée en chirurgie cardiaque à Berne pour un bypass de la coronaire droite et une intervention sur la valve mitrale le 11.04.2019. Au niveau inflammatoire, le bilan biologique d'entrée montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 40 mg/l sans leucocytose. Au niveau clinique, nous ne suspectons pas de foyer infectieux. Un suivi biologique montre une diminution spontanée de la CRP à 12 mg/l. Nous proposons un suivi biologique. Au niveau endocrinologique, nous découvrons de manière fortuite au CT un nodule hypodense dans le lobe thyroïdien droit. Nous proposons des investigations dans un deuxième temps, après la problématique cardiaque. La patiente est transférée en ambulance à Berne le 11.04.2019. Mr. Y, âgé de 73 ans, qui nous est adressé de l'hôpital cantonal de Fribourg pour une réadaptation gériatrique suite à un AVC frontal droit et un AVC subaigu pontique droit le 16.03.2019 avec des troubles aphasiques. Le patient a eu un épisode de NSTEMI sur sténose IVA stentée le 16.02.2019. À l'entrée, le patient se plaint de troubles de l'équilibre et d'une inappétence avec perte de 1,5 kg depuis l'hospitalisation après l'AVC. À l'anamnèse cardiopulmonaire, il décrit une nycturie depuis 10 ans mais pas d'autres douleurs thoraciques ou épisodes d'angor avant l'épisode de NSTEMI le 16.02.2019. Sur le plan musculo-squelettique, il se plaint d'une lombosciatalgie et de crampes musculaires. Sur le plan urinaire, il a des fuites urinaires depuis 10 ans. La suite de l'anamnèse et le statut sont sans particularité. Mme. Y est mariée. Elle habite avec son mari dans un appartement au 7ème étage avec ascenseur, sans marche d'escalier à monter. Avant l'hospitalisation, la patiente était autonome pour les AVQ et elle se mobilisait sans moyen auxiliaire. Le but global est un retour à domicile. À l'entrée, les transferts et la marche sont faits avec autonomie, la patiente peut marcher avec un rollateur et faire la montée de 18 marches d'escaliers de façon autonome. La patiente a profité d'une physiothérapie intensive avec entraînement de l'équilibre, renforcement musculaire des extrémités supérieures et inférieures et entraînement de la condition et de la marche. L'ergothérapie a évalué le besoin d'aide et l'autonomie pour les tâches quotidiennes. À la sortie, la patiente peut faire les transferts, la marche et la montée des escaliers avec autonomie. Un test de Schellong effectué est dans la norme. Au vu d'un test Holter négatif, nous poursuivons la double antiagrégation par Aspirine et Clopidogrel et nous recommandons l'organisation d'un R-test et éventuellement discuter l'introduction d'une anticoagulation en fonction des résultats. En raison d'une polyneuropathie périphérique aux membres inférieurs en prédominance à gauche, nous effectuons un contrôle vitaminique qui met en évidence des valeurs de vitamine B12 et B9 dans la norme et un contrôle de Hba1c qui ne met pas en évidence un diabète. L'origine éthylotoxique reste donc le plus probable. En raison des valeurs de tension systolique à 140-180, nous introduisons un traitement par Amlodipine 5 mg/j du 02.04.2019 au 04.04.2019 que nous augmentons à 10 mg/j dès le 05.04.2019. Par la suite, nous notons une amélioration du profil tensionnel. En raison de troubles du sommeil pendant l'hospitalisation et de non-compliance pour le Distraneurin, nous commençons un traitement par Xanax d'office et Quetiapine en réserve avec lesquels nous notons une amélioration. Pendant le séjour, la patiente ne présente pas de signes de sevrage. Nous mettons en place un traitement par Seresta en réserve. Nous proposons un contrôle des tests hépatiques dans 2-3 mois. Mme. Y peut rentrer à domicile le 06.04.2019 dans un état général amélioré. Mr. Y, âgé de 74 ans, connu pour un S/p hystérectomie à 36 ans, S/p néphrectomie du rein gauche il y a 10 ans et une HTA traitée, consulte les urgences de Riaz le 27.04.2019 pour des douleurs abdominales apparues ce matin. Les douleurs ont débuté progressivement en FID depuis 10h, présentes de façon continue depuis, et sont évaluées à 10/10. Il est allé à selles ce matin et cet après-midi, avec une tendance à la constipation. Il n'a pas de nausées ni vomissements. Il a eu une colonoscopie il y a moins de 10 ans pour des douleurs abdominales dans un contexte de constipation chronique. Les urines sont sans particularités. Il n'a pas eu d'état fébrile. Sur le plan gynécologique, dernier contrôle il y a 1 an sans notion de kyste ovarien. La patiente décrit des pertes blanchâtres au niveau vaginal, sans odeur, ni prurit. Traitement habituel : Concor 5 mg 1-0-0, Demetrin 10 mg 1-0-0, Stugeron 25 mg 1/2 0-1-0, Ectrocine 0.05 mg 1/2 cp 0-0-1, Artéoptic LA 2% UD 1-0-0. PV : Hypertension à 195/90, normocarde, afébrile. Abdo : BHNTF, percussion tympanique, ventre induré, douloureux de façon diffuse mais +++ en FID, McBurney positif, psoas négatif, Roosvelt positif. TR : présence de selles, bon tonus sphinctérien. Uro-gén : LRSI. Aux urgences, la patiente reçoit 75 mg de Voltaren, 50 mg de Tramal, 20 mg de Buscopan. Au bilan biologique, nous n'avons pas de syndrome inflammatoire, une créatinine à 102 mmol/L avec une GFR à 25 ml/min. Nous demandons un avis au Dr. X qui voit la patiente et suite à une discussion avec le radiologue et le chirurgien de garde de Fribourg, propose de la transférer pour suite de prise en charge avec éventuellement lavement radiologique, versus coloscopie versus prise en charge chirurgicale. Mr. Y, âgé de 75 ans, admis pour une coronarographie élective suite à une échocardiographie de stress montrant une hypokinésie sévère du septum apical, du septum moyen et de la paroi septale antérieure moyenne au repos. La coronarographie du 30.04.2019 confirme le résultat de l'écho de stress avec une maladie monotronculaire avec atteinte diffuse de l'IVA moyenne/distale et de la branche diagonale. La fonction systolique démontre une légère hypokinésie apicale avec une FEVG à 60 %. Nous procédons après discussion avec Mme. Y à une reconstruction de l'IVA moyenne/distale et de la branche diagonale avec mise en place de 4 stents.Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. La patiente rentre à domicile le 1.05.2019. Patiente de 76 ans, admise aux soins intensifs pour surveillance neurologique dans le contexte d'une suspicion initiale d'AVC récidivant. La patiente est sous double antiagrégation plaquettaire suite à un AVC thalamo-occipital gauche survenu le 26.02.2019, qui s'était manifesté par un hémisyndrome sensitivo-moteur ataxique droit à prédominance sensitive et qui avait été lysé. L'évolution avait été favorable avec toutefois la persistance d'une dysesthésie droite. Plusieurs récidives des mêmes symptômes (le 01.03 et le 22.03) avaient motivé des imageries supplémentaires, sans mise en évidence de lésions nouvelles. Le 24.04.2019, la patiente consulte pour une nouvelle récidive des symptômes sous forme d'hypoesthésie de l'hémicorps droit, plus marquée au niveau du membre inférieur. Un CT-scan cérébral natif met en évidence une lésion punctiforme des noyaux gris à gauche initialement interprétée comme pouvant être compatible avec une micro-hémorragie. Le traitement antiagrégant est mis en suspens et la patiente nous est adressée pour surveillance neurologique rapprochée. Après son admission aux soins intensifs, la situation est réévaluée avec les collègues neurologues et radiologues. La relecture des images du CT-scan cérébral natif ne retrouve qu'une hypodensité thalamique gauche, correspondant à la séquelle de l'AVC du 26.02.2019, sans argument en faveur d'un saignement cérébral. Dans ce contexte, sur avis neurologique, une nouvelle imagerie cérébrale (par CT-scan ou IRM) n'est pas préconisée. Nous retenons un diagnostic de dysesthésie séquellaire post AVC thalamo-occipitale gauche. Le traitement antiagrégant plaquettaire est repris avec uniquement poursuite du Clopidogrel. Un trouble fonctionnel ou un trouble anxio-dépressif sous-jacent sont évoqués comme possible étiologie aux symptômes présentés par la patiente. Un avis psychiatrique ne retrouve pas de clairs éléments en faveur de la lignée dépressive ni anxieuse mais propose toutefois un essai de traitement anxiolytique par benzodiazépines. À noter que la patiente est sous traitement opiacé au long cours par Morphine pour des lombalgies chroniques post-cure de hernie discale. Nous vous proposons de discuter d'un sevrage de ce traitement opioïde avec adaptation de l'antalgie au cours de l'hospitalisation. La patiente est transférée à l'étage de médecine interne pour suite de prise en charge le 25.04.2019. Patiente de 77 ans, connue pour lupus érythémateux et démence de type Alzheimer avancée, résidente de l'EMS d'Humilimont, qui est amenée par une soignante du home le 31.03.2019 aux urgences de l'HFR Riaz en raison d'une baisse d'état général avec toux productive, asthénie et dyspnée depuis la veille. À son arrivée aux urgences, la patiente se trouve en état général diminué, fébrile à 38.6°C et saturant à 92% sous 3l/min d'oxygène. Au status neurologique, nous trouvons une patiente somnolente, non collaborante, qui ne répond pas aux questions. Les pupilles sont myosiques des deux côtés, et il n'y a pas de perte de force objectivée. À l'auscultation cardiaque, les B1 et B2 sont bien frappés sans souffle audible, avec absence d'œdème périphérique. Au status pulmonaire, mentionnons des râles crépitants diffus aux deux bases pulmonaires, à prédominance droite. Nous effectuons donc un bilan biologique ne montrant pas de leucocytose, une CRP à 60mg/l, sans perturbation électrolytique. Nous réalisons une radiographie du thorax qui objective des troubles ventilatoires en bande dans les deux bases pulmonaires ainsi qu'un probable foyer de condensation de l'hémichamp pulmonaire supérieur droit. Deux paires d'hémocultures sont réalisées qui reviennent négatives par la suite. Un traitement par Co-Amoxicilline 2.2g intraveineux 3x/j est donc débuté, avec relais par voie orale dès le 04.04.2019, pour une durée totale de 7 jours. Par la suite, l'évolution clinique et biologique est favorable, avec baisse du syndrome inflammatoire. Pendant la nuit du 03.04.2019, Mme. Y chute sans témoin, avec pour conséquence un traumatisme crânien. L'anamnèse quant à une amnésie circonstancielle est très limitée auprès de la patiente qui se trouve en état de somnolence (à mettre en lien également avec son traitement médicamenteux), mais qui répond aux questions et ouvre les yeux à la demande. Nous notons des pupilles en myosis des deux côtés, qu'il n'y a pas de plainte de la part de la patiente et que la palpation de la colonne vertébrale est indolore. Dans ce contexte, nous réalisons un CT cérébral natif qui écarte une hémorragie intracrânienne, et instaurons une surveillance neurologique aux 4 heures, sans altération du status. Durant le séjour, un bilan d'anémie est effectué, avec dosage des vitamines B12 et B9 revenant dans la norme, respectivement à 486pg/ml et 4.3ng/ml. Soulignons également une hypovitaminose D à 43nmol/l, que nous substituons. Au vu d'un profil tensionnel à tendance basse, l'Enalapril est mis en suspens. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie respiratoire et de mobilisation. À sa sortie, la patiente est capable de marcher sur une distance de 70m, accompagnée et avec guidance. Les escaliers ne sont pas testés. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale à la sortie s'élève à 62/126, par rapport à 54/126 à l'entrée. La MIF physiothérapeutique s'élève à 5/7 pour les transferts, et à 4/7 pour les déplacements. Sur le plan nutritionnel, la patiente bénéficie d'une évaluation diététique qui ne met pas en évidence de malnutrition protéino-énergétique. Le test de la déglutition n'est pas réalisable en raison d'une mauvaise compliance. Un régime normal est poursuivi, avec bonne tolérance. Le 08.04.2019, Mme. Y regagne l'EMS d'Humilimont où elle réside. Patiente de 77 ans, connue pour un lymphome cutané type mycosis fongoïde depuis 2006 avec récidive en mars de cette année, qui est transférée de l'Inselspital le 28.03.2019 après une chimiothérapie. Pour rappel, la patiente est initialement hospitalisée à l'HFR le 15.03.2019 pour un maintien à domicile impossible en raison de douleurs de type brûlures au niveau des lésions cutanées maculo-papulaires diffuses avec centre nécrotique, localisées surtout au niveau des plis inguinaux et des parties génitales, avec impossibilité de se mobiliser en raison des douleurs. Elle bénéficie d'une chimiothérapie par CHOP à l'Inselspital, avec effets secondaires de vomissements, compliquée d'une pancytopénie post-chimiothérapie et d'une colonisation par des staphylocoques coagulase-négative, puis nous est retransférée pour suite de la prise en charge. Les soins complexes de peau avec crèmes et bains instaurés par les dermatologues de l'HFR et de l'Inselspital sont poursuivis à l'HFR. Les douleurs sont gérées par de l'Oxycontin et des réserves d'Oxynorme, nécessaires surtout lors de la mobilisation. L'évolution est favorable, avec diminution des lésions nécrosantes et lente fermeture cutanée. La patiente bénéficie d'une seconde chimiothérapie par CHOP le 12.04.2019 par une picc-line, bien supportée. Un PET-CT est à rediscuter en consultation oncologique, la patiente sera convoquée à Fribourg pour la suite de prise en charge selon son souhait avant une prochaine chimiothérapie prévue le 03.05.19.La pancytopénie évolue favorablement après la chimiothérapie, se résolvant sans complications le 02.04.2019. Une dose de Neulasta est administrée après la 3e cure de chimiothérapie avec leucocytose en réponse. Sur le plan infectieux, l'antibiothérapie par co-amoxicilline est initialement poursuivie en raison des lésions cutanées diffuses. Un relais per os est effectué en raison d'un capital veineux diminué, des lésions cutanées rendant la voie veineuse périphérique impossible, et d'un état afébrile. L'évolution est favorable également à l'arrêt de l'antibiothérapie, Mme. Y restant afébrile et sans récidive de syndrome inflammatoire. Sur le plan néphrologique, des kystes rénaux avaient été visualisés au CT scan de l'Inselspital. Un ultrason rénal serait à prévoir à distance. La fonction rénale reste dans la norme durant le séjour. Sur le plan hépatique, une perturbation des paramètres est mise dans un contexte médicamenteux probablement sur chimiothérapie et est à surveiller à distance. Mme. Y bénéficie d'une réadaptation gériatrique et est transférée le 16.04.19 à Estavayer-le-Lac afin d'améliorer sa mobilité avant un retour à la maison. Mme. Y, 78 ans, connue pour diabète type II, HTA, s/p sigmoïdectomie 11.2017 et s/p réduction d'hernie stomiale avec sortie le 30.03.2019 se présente pour une asthénie depuis 2 jours avec état fébrile à 39° le 07.04.2019. À l'arrivée aux urgences, Mme. Y tachypnéique avec désaturation nécessitant un soutien par oxygénothérapie. Pas de céphalées, pas de nausées, pas de vomissements. Pas de douleurs thoraciques, pas de palpitations, orthopnée depuis mars selon Mme. Y stable, pas de douleurs abdominales, 1 épisode de diarrhée importante le 07.04 au matin, pas de vomissements, stomie calme, pas d'écoulement. Pas de dysurie, pas d'hématurie, urine trouble selon Mme. Y. État fébrile et frissons, asthénie. Pour rappel, Mme. Y opérée en 12.2017 pour masse tumorale sténosante du côlon sigmoïde avec diverticulite abcédante s/p stomie de décharge. Selon souhait de Mme. Y, pas de continuité organisée. État général diminué, normocarde, normotendue, initialement tachypnéique avec désaturation à 86 puis saturation à 98% sous 3L. C : B1B2 bien frappé sans souffle audible, pouls périphériques palpés, œdèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'à mi-mollet. P : MVS avec râles crépitants à l'expiration. A : BFTN, abdomen souple et indolore, pas de défense, pas de détente, stomie calme, pas d'écoulement, pas de rougeur, pas d'érythème. U-G : loges rénales souples et indolores. Aux Urgences à l'HFR, un laboratoire est effectué et montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 69, leucocytes à 7.3, Hb à 112, créatinine à 117. Des D-dimères sont effectués et reviennent à 3720 ng/l. Un CT scan thoraco-abdominal est effectué et ne montre pas d'embolie pulmonaire. Stix/Sédiment du 08.04.2019 : propre. Uriculture du 08.04.2019 : à pister. Hémocultures du 08.04.2019 : à pister. Hospitalisation à Riaz pour suite de prise en charge. Pistage d'hémocultures et uriculture. +/- Avis chir selon évolution symptomatologie. À l'arrivée aux Urgences à Riaz, Mme. Y est stable, saturation à 96% avec 1 litre, eupnéique. Pas de plaintes. L'abdomen est souple indolore sans défense ni détente. Un laboratoire est organisé pour le 09.04.2019. Mme. Y, 78 ans, connue pour un carcinome du sein gauche sous chimiothérapie adjuvante par Taxol depuis le 26.03.2019. Dans ce contexte, Mme. Y a bénéficié de la pose d'un port-à-cath le 26.03.2019. Elle consulte les urgences car depuis le 02.04.2019, elle présente une rougeur au niveau du port-à-cath. Elle décrit l'apparition d'un hématome, puis un œdème et une rougeur avec une douleur localisée. Pas d'état fébrile, ni de frissons, mais une asthénie. Aux urgences, Mme. Y stable, normocarde, normotendue. Au niveau cutané, rougeur et tuméfaction avec chaleur au niveau du site d'implantation du port-à-cath. Pas d'écoulement, pas de plaie. Le reste du statut est sans particularité. Le laboratoire montre une leucocytose à 13.4 G/l, une CRP <5 mg/l et une créatinine à 96.2 umol/l. Deux paires d'hémocultures prélevées en périphérie reviennent négatives. En raison d'une suspicion d'infection du PAC et après avis du Dr. X, un traitement de Co-Amoxi IV est instauré. L'US des parties molles ne révèle pas de collection. Le chirurgien ne retient pas le diagnostic d'infection du PAC et suspecte une réaction inflammatoire locale. L'antibiothérapie est rapidement stoppée en l'absence de syndrome inflammatoire. L'évolution clinique est rapidement favorable, permettant l'administration du C1J15 de Taxol le 09.04.2019, qui se déroule sans complications. Un contrôle est prévu à la consultation de Dr. X le 16.04.2019. L'insuffisance rénale aiguë évolue favorablement après hydratation. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y regagne son domicile le 11.04.2019. Mme. Y, 78 ans, ré-admise pour la seconde fois aux soins intensifs le 25.04.2019 en post-opératoire immédiat après un pontage axillo-fémoral profond droit. Elle est initialement hospitalisée en raison d'une ischémie aiguë Rutherford I au membre inférieur droit. Pour cette raison, elle bénéficie le 01.04.2019 d'une tentative de recanalisation par voie endovasculaire qui se solde par un échec. Elle est reprise le 05.04.2019 pour une endartérectomie du carrefour fémoral avec patch d'élargissement D et G et pontage fémoro-fémoral croisé G-D avec fasciotomie des 4 loges au membre inférieur droit. Elle séjourne une première fois aux soins intensifs du 05 au 06.04.2019 pour suite de prise en charge post-opératoire. L'évolution étant initialement satisfaisante, elle est transférée en chirurgie le 06.04.2019 pour suite de prise en charge. L'évolution est marquée par une infection précoce de la prothèse susmentionnée. Dans ce contexte, elle bénéficie d'un pontage axillo-fémoral profond par prothèse Gore-Tex 6mm avec pose de NPWT inguinales bilatérales, après ablation de la prothèse fémoro-fémorale droite. L'intervention se déroule sans complication immédiate, sous couverture de Cubicin. Elle nous est alors adressée pour suivi clinique rapproché et adaptation de l'antalgie. L'évolution est simple, avec un contrôle satisfaisant des douleurs sous antalgie simple. Un CT scan thoraco-abdominal de contrôle est effectué le 26.04.2019, qui montre une bonne perméabilité des pontages. Sur avis chirurgical, l'anticoagulation est majorée à visée thérapeutique dès le 26.04.2019. Un suivi rapproché de l'anti-Xa et des pouls périphériques est préconisé. Au vu des cultures en cours et sur avis infectiologique, la Cubicine est substituée par du Floxapen dès le 26.04.2019, qui est à poursuivre pour 2 semaines au moins. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Y est retransférée en chirurgie le 26.04.2019 pour suite de prise en charge. Mme. Y, 79 ans, admise pour une coronarographie élective pour le traitement de la bifurcation de la Cx/MA mise en évidence à la coronarographie de janvier 2019. La coronarographie du 15.02.2019 montre la maladie coronarienne tritronculaire. Comme prévu, nous procédons à l'angioplastie du réseau RCX/MA avec 2 stents actifs et un bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est à poursuivre. Le reste du traitement reste inchangé. Un contrôle de la fonction rénale et de l'anémie est à prévoir dans une semaine auprès de Dr. X. Une Ergométrie est à effectuer dans une année.Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre à domicile le 16.02.2019. Mme. Y, 79 ans, connue pour un carcinome épidermoïde de l'oesophage cervical sous traitement de radio- et chimiothérapie (dernier cycle de 5-FU le 6 mars, radio-thérapie 8 séances sur 30 effectuées), consulte le 15.03.2019 en oncologie, chez le Dr. X, à Payerne, pour recevoir un culot érythrocytaire en ambulatoire. Elle présente une baisse de l'état général en raison d'aphtes buccaux qui l'ont empêchée de manger et boire depuis 2 jours, avec des douleurs importantes quand elle avale au niveau du pharynx, associées à une dysgeusie. Les frottis HSV et VZV reviennent négatifs. Une nasofibroscopie réalisée le 12.04.2019 permet d'exclure une candidose au niveau du pharynx. Étant donné la dysphagie persistante, nous réalisons tout de même un traitement d'épreuve par Diflucan du 12.04 au 16.04.2019 qui n'apporte aucun soulagement à la patiente. Nous concluons donc à une mucite radique. Nous majorons l'antalgie, introduisons des gargarismes de Morphine, des aérosols de Bepanthen et des aérosols de NaCl qui mènent à un soulagement partiel des douleurs. À noter que Mme. Y présente des expectorations abondantes, pour lesquelles nous introduisons un patch de scopolamine dès le 24.04.2019 et qui permet une légère amélioration des symptômes. Concernant le carcinome épidermoïde, nous effectuons une dernière séance de chimiothérapie par Folfox le 08.04.2019, il n'y a pas de nouvelle chimiothérapie prévue. Les séances de radiothérapie sont temporairement interrompues du 15.04 au 18.04.2019 en raison de douleurs et de dyspnée. Selon avis du radio-oncologue, malgré la pause, les 3 séances restantes doivent être effectuées et ont lieu du 23.04 au 25.04.2019. Dans le cadre de la maladie oncologique, Mme. Y présente une dénutrition sévère compliquée par un syndrome de renutrition. Dans ce contexte, une substitution électrolytique ainsi que vitaminique (Supradyn, Benerva, Acide folique) est mise en place. Les dysphagies liées aux traitements oncologiques motivent la mise en place d'une sonde naso-gastrique. Mme. Y est transférée en réadaptation gériatrique à l'HFR Meyriez dès le 26.04.2019 pour suite de prise en charge avant le retour à domicile. Mme. Y, 79 ans, consulte les urgences pour une douleur thoracique gauche respiro-dépendante présente depuis 2 jours, associée à une toux depuis 3 semaines, une dyspnée et des vertiges. Mme. Y décrit cette douleur de type coups de couteau avec une tension artérielle à 210/100 mmHg au domicile. Pas de voyage récent, pas de tabagisme. À l'examen clinique d'entrée, B1-B2 bien frappés, irréguliers, sans souffle. Pas d'oedème aux membres inférieurs, signe de Homans négatif des deux côtés. Mollets souples, ballant conservé. Au niveau pulmonaire, murmure vésiculaire symétrique avec râles bi-basaux majorés en base gauche. L'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Loges rénales souples et indolores. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 13 mg/l et des leucocytes à 13 G/l. La créatinine est à 115 umol/l. La radiographie du thorax ne montre pas d'épanchement pleural ni de foyer. Malgré une probabilité basse au score de Genève modifié, au vu de la symptomatologie et des antécédents de la patiente, nous demandons des D-Dimères qui reviennent à 2972 ng/ml. Dans le contexte d'une patiente greffée rénale avec insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique, nous prenons avis auprès du Dr. X, néphrologue, qui contre-indique la réalisation d'un CT thoracique injecté. Nous instaurons donc une anticoagulation thérapeutique et organisons un doppler des membres inférieurs qui ne montre pas de thrombose. La scintigraphie pulmonaire effectuée le 10.04.2019 ne montre pas d'embolie pulmonaire, permettant l'arrêt de l'anticoagulation. Au vu d'une amélioration de la symptomatologie sous antalgie et d'une anamnèse d'infection virale des voies respiratoires, nous concluons à une pleurésie. Mme. Y regagne son domicile le 10.04.2019. Mme. Y, 80 ans, connue pour hypertension artérielle, nous est transférée de la Clinique Générale de Fribourg le 18.02.2019 pour la physio- et ergothérapie après la pose d'une prothèse totale du genou droit le 11.03.2019. L'opération sur le genou droit a été faite à cause de la gonarthrose dont elle souffrait depuis des années. Mme. Y habite avec son fils dans un appartement au 2ème étage, dans une maison avec ascenseur. Elle est veuve depuis 6 ans. Avant l'hospitalisation, elle pouvait marcher avec des cannes. Au moment d'entrer, elle marche avec un tintebin. À l'anamnèse d'entrée, la patiente n'a pas de plainte. Au niveau de l'examen clinique à l'entrée, la patiente ne présente pas d'anomalies des systèmes cardiovasculaire et respiratoire. Diminution de la force de la jambe gauche. La patiente est rééduquée à la marche en charge selon douleur à l'aide de cannes anglaises dès le 1er jour postopératoire. Elle est capable de déambuler librement dans les couloirs. Ad Diag. principal : À son arrivée, la patiente n'a pas de plainte, elle avait parfois des douleurs dans le genou. Nous avons adapté le traitement antalgique et poursuivi une prophylaxie anti-thrombotique par Clexane pendant 3 semaines. Parallèlement aux problèmes médicaux aigus, nous débutons une réhabilitation gériatrique précoce avec physiothérapie et ergothérapie. À l'entrée, la patiente pouvait faire les transferts avec aide de type contact (FIM 4), elle pouvait marcher 40 mètres avec le tintebin (FIM 2) et ne pouvait pas monter les escaliers (FIM 1). À la sortie, la patiente a besoin parfois d'aide pendant le transfert (FIM 5), elle peut marcher avec le rollator (FIM 4) et peut monter les escaliers à l'aide de la rampe et des cannes (FIM 5). Le score de mobilité Tinetti est passé de 7 à 9/28. Ad Diag. 1. Une hypokaliémie a été diagnostiquée dans le laboratoire. Une substitution a été effectuée. Ad Diag. 2. Le laboratoire d'entrée a révélé une anémie hypochrome normocytaire à 95 g/l, probablement d'origine postopératoire. L'hémoglobine est restée stable et nous vous proposons de la contrôler. Ad Diag. 3. La patiente est connue pour de l'hypertension artérielle, elle a pris Cosaar 50 / 12.5 mg pendant une longue période. Au cours de l'hospitalisation, aucun signe de décompensation, aucun changement dans le traitement préexistant. Au vu de l'évolution globalement favorable, nous laissons Mme. Y regagner son domicile le 08.04.2019. Mme. Y, 81 ans, en bonne santé habituelle, est amenée en ambulance en raison d'une diplopie binoculaire apparue la veille, avec trouble de l'élocution remarqué au matin, associés à une sensation de perte d'équilibre menant à une chute sans trauma crânien ni perte de connaissance. Le CT cérébral montre une occlusion focale de l'artère vertébrale droite sans lésion parenchymateuse. Un AVC ischémique dans le territoire ponto-mésencéphalique est évoqué. Hors délai pour une lyse, elle bénéficie d'une charge d'Aspirine relayée par une double anti-agrégation. À son transfert en médecine, les troubles neurologiques initiaux persistent avec un NIHSS à 3. Le bilan par IRM cérébrale et ETT est à organiser. Mme. Y, 83 ans, connue pour cardiopathie ischémique, hypertensive et valvulaire avec sténose aortique modérée et diabète de type 2, a été adressée en coronarographie à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal le 18.03.2019 après une prise en charge initiale aux urgences de l'HFR Riaz, avec mise en évidence d'un NSTEMI. La coronarographie du 18.03.2019 objectivait une sténose critique de l'ostium de la première marginale et une sténose significative de l'artère circonflexe moyenne. Dans ce contexte, une dilatation et une implantation d'un stent actif au niveau des lésions nouvelles sont effectuées, avec bon résultat final.Le 18.03.2019, la patiente est transférée dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz pour suite de prise en charge. A l'admission dans notre service, la patiente ne présente pas de plainte particulière, pas de douleur thoracique ni de dyspnée. Au status, Mme. Y est orientée et collaborante. Ses paramètres vitaux sont dans la norme. A l'auscultation cardio-vasculaire, les B1 et B2 sont bien frappés, le rythme régulier, et il n'y a pas de souffle ausculté. A l'auscultation pulmonaire, nous retrouvons des murmures vésiculaires sur l'ensemble des plages pulmonaires. Au status digestif, les bruits sont normaux en fréquence et en intensité, et il n'y a pas de douleur à la palpation diffuse, ni de signe de détente ou de défense ; les loges rénales ne sont pas douloureuses. Nous effectuons un ECG de contrôle signalant un rythme sinusal régulier, sans troubles de la repolarisation. Nous introduisons une petite dose de Bisoprolol, diminuons la dose d'Amlodipine et maintenons le Sartan. Durant le séjour, le profil tensionnel indique des valeurs dans la norme. Nous vous laissons le soin de recontrôler ces valeurs et de majorer la dose du bêta-bloquant s'il est bien toléré. Le bilan lipidique est dans la norme, et nous instaurons une prophylaxie secondaire par statine. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche seule est illimité et se réalise sans moyen auxiliaire. La patiente est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 113/126 à la sortie, par rapport à 58/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 10.08 secondes, sans moyen auxiliaire. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Y quitte notre service le 22.03.2019. Un contrôle clinique et biologique est prévu à votre consultation d'ici 2 à 3 semaines. Une consultation cardiologique doit être organisée auprès de Dr. X à l'HFR Billens, avec évaluation d'une réadaptation cardiovasculaire en ambulatoire pour mi-avril. Il convient de poursuivre la double antiagrégation pendant 12 mois. Patiente de 84 ans, admise aux soins intensifs le 25.04.2019 post-coronarographie en raison d'un STEMI subaigu inférieur sur thrombose de stent. Elle présente depuis sept jours un angor en aggravation motivant une consultation aux urgences. Le bilan électrocardiographique et biologique est compatible avec un STEMI inférieur. Une coronarographie retrouve comme corrélat pour le STEMI une occlusion thrombotique intrastent de la coronaire droite qui est revascularisée par un long stent actif. La ventriculographie montre une légère dysfonction ventriculaire gauche 50 % avec dyskinésie apicale. L'angor s'est par la suite amendé sans récidive. Le point de ponction est calme. Une échocardiographie transthoracique de contrôle montre une stabilité de la FEVG, sans thrombus intracavitaire visualisé. Une double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine et Efient est à poursuivre pour une durée de 12 mois. Le traitement de statine et Irbesartan est poursuivi. L'introduction de bêta-bloquants est différée en raison d'épisodes de bradycardie sinusale asymptomatique. Patiente de 85 ans présentant une perte de force du membre inférieur droit surtout depuis deux jours. L'examen neurologique montre une paraparésie, raison pour laquelle nous demandons des avis orthopédiques puis neurochirurgicaux au Dr. X et au Dr. X. Après l'obtention d'un CT-scan dorso-lombaire ne montrant pas de pathologie expliquant l'évolution neurologique des symptômes, nous envoyons la patiente à l'Inselspital pour IRM et si nécessaire la suite de la prise en charge chirurgicale. Il est convenu avec Dr. X qu'en cas d'IRM négative, la patiente pourrait être hospitalisée en médecine à l'HFR Riaz pour la suite des investigations. Dr. X a demandé un avis neurologique ce soir avec la proposition d'effectuer un CT-scan cérébral et une ponction lombaire en cas d'absence de pathologie chirurgicale afin d'exclure un Guillain-Barré. Patiente de 87 ans, connue pour une cardiopathie hypertensive, dysrythmique et hypertensive, avec maladie du sinus et insuffisance chronotrope, hospitalisée en électif pour une pose de pacemaker. L'intervention se déroule sans complication. La radiographie du thorax montre des sondes correctement placées, sans pneumothorax. La plaie est calme, sans hématome. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Y rentre à domicile le 05.04.2019. Patiente de 88 ans, admise aux soins intensifs le 25.04.2019 en raison d'une détresse respiratoire aiguë d'origine multi-factorielle (sepsis pulmonaire, FA rapide et OAP). Elle est initialement amenée aux urgences en ambulance suite à une chute la veille. Elle est retrouvée par les soins à domicile au sol dans la salle de bain le lendemain matin. Elle décrit une dyspnée en péjoration depuis plusieurs jours et des douleurs du rachis. Le CT cérébral et du rachis ne met pas en évidence de lésion traumatique. Elle présente initialement un tableau clinique de décompensation cardiaque gauche avec un œdème pulmonaire aigu, répondant favorablement à de la ventilation non invasive et à un traitement diurétiques. Des foyers de broncho-inhalation sont observés aux deux bases pulmonaires. De plus, une hypertension à > 200 mmHg de systole est mise en évidence dans un contexte de décharge septique. Elle développe par la suite une instabilité hémodynamique dans le contexte du sepsis pulmonaire. Elle répond rapidement à du remplissage et nécessite des amines transitoirement. L'évolution respiratoire est rapidement favorable sous antibiothérapie par Augmentin et ventilation non invasive. Une échocardiographie réalisée le 26.04.2019 montre une fonction cardiaque conservée. Dès le 27.04.2019, elle présente des profils tensionnels élevés à plus de 24 heures du sevrage de la Noradrénaline. Du Lisinopril ainsi que de l'Amlodipine sont introduits. Le traitement est à adapter selon l'évolution. La patiente reste en fibrillation auriculaire au cours du séjour et un bêta-bloquant est également ajouté. L'indication à une anticoagulation orale dans le contexte de chute est à rediscuter. Un globe vésical est sondé. Un fécalome radiologique est spontanément exonéré avec l'aide d'un traitement laxatif. Une masse au niveau du foramen magnum est mise en exergue de manière fortuite au CT. En l'absence de répercussion clinique, nous n'effectuons pas de complément d'investigation en urgence. Une hématurie microscopique est également observée. La situation à domicile est décrite comme précaire malgré des soins à domicile 2x/j, une réévaluation du maintien à domicile est à discuter. La patiente présente des troubles cognitifs légers et une marche instable, qui seront à évaluer. Patiente de 88 ans, connue pour fibrillation auriculaire sous Sintrom depuis mars 2019, consultant les urgences de l'HFR Riaz ce jour pour un épistaxis. Rappelons que Mme. Y était récemment hospitalisée dans notre service de réhabilitation gériatrique HFR Riaz (du 28.03.2019 au 05.04.2019). Depuis sa dernière sortie, cette dernière rapporte plusieurs épisodes d'épistaxis (1 épisode quotidien en moyenne). A l'examen clinique, la patiente est hémodynamiquement stable et afébrile. L'auscultation cardiaque met en évidence un rythme régulier, sans bruits surajoutés. Au niveau oto-rhino-laryngologique, un saignement actif est visualisé depuis la narine droite sans saignement au fond de gorge. Le bilan biologique met en évidence un INR supra-thérapeutique supérieur à 5.5 et une hémoglobine légèrement diminuée à 109 g/l. Par ailleurs, une insuffisance rénale AKIN 1 est constatée. Un Rhino-Rapid est mis en place aux urgences et la patiente est hospitalisée pour surveillance en gériatrie aiguë HFR Riaz.Sur le plan hématologique et oto-rhino-laryngologique, les contrôles de l'hémoglobine sont stables. Nous effectuons une ablation du Rhino-rapid le 11.04.2019 avec succès. Par la suite, la patiente ne présente plus de récidive d'épistaxis. Par ailleurs, nous effectuons un changement de l'anticoagulation pour de l'Eliquis. Sur le plan rénal, nous constatons une normalisation de la créatinine après hydratation. Au niveau social, rappelons que cette patiente vit avec son mari et son fils dans une grande ferme à Romanens, et se mobilise avec 2 cannes. Les tests de la cognition réalisés lors du précédent séjour en réadaptation gériatrique HFR Riaz se montraient légèrement altérés, avec un MMSE à 29/30, un test de la montre à 2/7, et une échelle gériatrique de dépression à 1/5. Durant ce séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche à l'aide de deux cannes est de 240 mètres. La patiente peut gravir 18 marches d'escaliers sans accompagnement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 99/126, par rapport à 105/126 à l'entrée. (MIF physiothérapeutique : transferts à 6/7, marche à 6/7 et escaliers à 6/7). Au niveau nutritionnel, notons un apport oral insuffisant en lien avec une nécessité de fractionner l'alimentation pour couvrir ses besoins et un accès limité aux aliments, démontré par une couverture de 69% des besoins énergétiques et 45% des besoins protéiques. Nous augmentons donc les couvertures pour le retour à domicile, avec des conseils ciblés. La patiente bénéficie d'un bilan modulaire d'ergothérapie afin d'évaluer son autonomie dans les activités de la vie quotidienne et de les entraîner. Finalement, Mme. Y peut regagner son domicile le 18.04.2019. Les soins à domicile passeront 1x/semaine pour contrôle santé et aide à la douche. Une aide familiale est prévue pour le ménage. Patiente de 88 ans transférée le 21.03.2019 du département de réadaptation musculo-squelettique de l'HFR Meyriez pour exploration d'une lésion tumorale du côlon de découverte fortuite lors d'un CT de contrôle de fracture du bassin. Mme. Y vit seule dans un appartement dans un immeuble avec ascenseur. Sa fille passe quotidiennement la voir. Elle était totalement indépendante pour les AVQ. Elle a un rollateur pour sortir et une canne pour se déplacer à la maison. Mme. Y est hospitalisée depuis le 11 février pour des fractures multiples de bassin suite à une chute. A son arrivée en gériatrie, elle n'a pas de plaintes spontanées et ne présente pas de douleur. Au status, la patiente est en bon état général. Les paramètres vitaux sont dans la norme. Les status cardio-pulmonaire et abdominal sont sans particularité. Ad Diag. principal Au cours du CT bassin de contrôle de fracture le 21.03.2019, une lésion d'allure tumorale du côlon ascendant a été évoquée. Nous avons donc fait un CT thoraco-abdominal qui a révélé une lésion tumorale du côlon ascendant s'étendant sur 12 cm jusqu'à l'angle colique droit. Nous avons donc complété par une coloscopie avec biopsie le 26.03.2019 révélant un adénocarcinome. Nous avons faxé les résultats au service d'oncologie de l'HFR Fribourg qui convoqueront la patiente. Ad Diag 1. L'anémie est restée stable, mais l'origine digestive serait la cause maintenant la plus évidente malgré les hémofec négatifs. Mme. Y est transférée à l'EMS de Bonnefontaine à Fribourg le 27.03.2019. Patiente de 91 ans, connue pour des chutes à répétition sur troubles de la marche et de l'équilibre, compliquées par une fracture périprothétique de colonne antérieure avec fracture du cotyle et de la branche ilio-pubienne gauche en décembre 2017, et des fractures-tassement vertébrales multiples, hospitalisée en raison de nouvelles fractures-tassement vertébrales. Mme. Y fait une chute mécanique de sa hauteur le 25.03.2019. Par la suite, elle est amenée aux urgences en raison de douleurs lombaires et au niveau de la hanche gauche devenant invalidantes. Le bilan radiologique met en évidence les fractures-tassement L4 et L2 anciennes, ainsi que des fractures-tassement L1 et D12 nouvelles, toutes stables. Selon avis orthopédique, aucune sanction chirurgicale n'est retenue, mais un complément d'imagerie est demandé. La patiente ne souhaitant pas de prise en charge chirurgicale refuse d'effectuer l'IRM lombaire préconisée par nos collègues pour le suivi des lésions. D'un commun accord, nous effectuons une prise en charge symptomatique en adaptant l'antalgie par Oxycodone. Selon le souhait de la patiente, et après discussion avec ses proches, nous organisons une réadaptation gériatrique afin de retrouver une certaine autonomie en vue d'un retour à domicile. Le séjour se complique par un état confusionnel aigu hypoactif, probablement d'origine mixte sur déshydratation et d'origine médicamenteuse, d'évolution favorable par une hydratation intraveineuse transitoire. Mme. Y est transférée en réadaptation gériatrique à Riaz le 04.04.2019. Patiente de 91 ans, connue pour un carcinome épidermoïde du canal anal en traitement palliatif, avec colostomie à visée symptomatique depuis 2017, qui est adressée aux urgences de l'HFR Riaz par son médecin traitant en raison de soins impossibles à domicile et pour une adaptation de l'antalgie. La patiente relate des douleurs dans la région anale mais n'a pas d'autre plainte. L'hétéro-anamnèse auprès des soins à domicile et de l'équipe de Voltigo qui suivent la patiente nous apprend que la situation oncologique est terminale, et que la patiente avait été admise récemment dans le service de soins palliatifs, mais y était sortie quelques heures après en raison d'un inconfort à l'idée d'être dans une situation de soins de confort. Sur le plan social, Mme. Y est veuve, a 3 filles, dont l'une d'elles vit dans la même maison. Une voisine proche lui fait ses commissions. Elle marche avec une canne et reçoit les soins à domicile 3x/jour. Au status cardiovasculaire, nous notons des bruits cardiaques irréguliers. Au niveau abdominal, la stomie est en place et l'abdomen est souple et dépressible. Il n'y a pas de saignement au niveau anal, mais des douleurs importantes à la palpation locale. Le reste du status est dans la norme. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 20.9G/l, une CRP à 97mg/l, une insuffisance rénale chronique de stade 4 avec une créatinine à 106µmol/l et une clairance à 28.3ml/min, de légers troubles électrolytiques avec hyponatrémie à 130mmol/l et hyperkaliémie à 5.3mmol/l, et une anémie normochrome normocytaire à 85g/l. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A la sortie, son périmètre de marche accompagné est de 2 mètres. La patiente ne peut pas gravir d'escalier. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 30/126, par rapport à 37/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 4/7, marche 1/7, escaliers 1/7). Le risque de chute est élevé. Au niveau nutritionnel, signalons une malnutrition protéino-énergétique sévère en lien avec une inappétence sévère, démontrée par un NRS à 5/7, une perte de 25% de son poids sur les 2 dernières années, un indice de masse corporelle à 20kg/m2 avec baisse d'état général et des ingesta à 25% depuis 1 semaine. Durant ce séjour, nous procédons à une alimentation plaisir au vu de la situation des soins de confort.Afin de répondre au souhait de la patiente de pouvoir rentrer à domicile, Mme. Y quitte notre service le 11.04.2019 en compagnie de sa fille, après adaptation de son antalgie. Dès sa sortie, la patiente bénéficiera de soins à domicile. Patiente de 91 ans, qui consulte au service des urgences le 07.04.2019 en raison de l'apparition d'une parésie du membre supérieur gauche. Devant un CT cérébral superposable aux comparatifs, la patiente rentre à domicile avec une surveillance neurologique par ses proches. En raison de troubles de l'équilibre importants, la patiente est ramenée au service des urgences le lendemain. Sur le plan neurologique, Mme. Y présente un hémi-syndrome brachio-crural gauche avec des troubles de la marche secondaire. Une anti-agrégation par Aspirine est débutée et la patiente est hospitalisée pour un bilan d'un probable AVC. Cliniquement, la patiente évolue favorablement avec une régression des parésies. L'IRM cérébrale du 08.04.2019 confirme la présence d'un AVC ischémique dans la région péri-rolandique et au niveau de la corona radiata à droite. Une échographie cardiaque permet d'exclure la présence d'un thrombus. Un Holter à la recherche d'une fibrillation auriculaire est réalisé, dont la lecture est en cours. En fonction des résultats, la balance bénéfice/risque de l'introduction d'une anticoagulation devra être évaluée. Sur le plan social, la patiente ne peut pas rentrer à domicile au vu de ses troubles moteurs et des troubles cognitifs sous-jacents. Mme. Y bénéficiera donc d'un court séjour à l'EMS de Courtepin dès le 16.04.2019. À noter que notre équipe de neuropsychologie se tient à disposition pour une évaluation à distance de l'évènement aigu, si cela s'avère nécessaire pour orienter le projet après le court séjour. Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR Fribourg, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patiente de 92 ans, connue pour un diabète insulino-dépendant, une insuffisance rénale chronique et des troubles cognitifs, adressée par son médecin traitant pour des soins impossibles à domicile en raison d'une douleur au niveau du poignet droit côté cubital depuis plusieurs jours d'intensité 9/10. La patiente ne peut effectivement plus mobiliser son poignet, n'a pas de fièvre et se dit déshydratée, car boit peu. À l'anamnèse par système, la patiente n'a pas d'autre plainte et ne rapporte pas de chute récente. Au niveau social, Mme. Y vit seule dans un appartement au 5ème étage avec ascenseur et a une fille avec qui elle n'a plus de contact ; les repas lui sont livrés tous les jours et une infirmière passe tous les matins. La patiente marche avec un rollator à l'intérieur et ne sort presque pas à l'extérieur. Au status pulmonaire, signalons la présence de râles crépitants fins en base droite. Au niveau ostéo-articulaire, nous notons une rougeur au niveau de la face antérieure du poignet droit, avec gradient de température. Relevons des douleurs à la palpation des structures osseuses du carpe, de la styloïde ulnaire et radiale, et une douleur à la palpation de l'articulation radio-ulno-carpienne. La mobilisation active et passive est impossible en raison d'une douleur trop importante. Le bilan biologique confirme une insuffisance rénale chronique de stade 3b et montre un syndrome inflammatoire. Un sédiment urinaire revient pathologique, et nous envoyons un urotube qui montre une flore non pathologique. La patiente reçoit une dose de Ceftriaxone relayée par Bactrim pour traitement de l'infection urinaire. Nous poursuivons ce traitement antibiotique pendant une durée totale de 3 jours avec bonne réponse clinique et biologique. Une radiographie du thorax écarte l'existence d'un foyer. Les antigènes urinaires sont négatifs. Sur le plan orthopédique, une radiographie du poignet signale la présence d'une chondrocalcinose sur terrain arthrosique au niveau du poignet et d'une rhizarthrose très importantes, ce qui explique la douleur. Au vu de l'absence d'évidence pour une efficacité de la Colchicine et la contre-indication aux AINS, nous traitons par Ecofenac gel et pour l'antalgie par paracétamol et morphine en réserve. De l'ergothérapie et de la physiothérapie sont également réalisées. Durant le séjour, l'évolution clinique est favorable. Concernant l'insuffisance rénale chronique, nous adaptons les posologies médicamenteuses. Sur le plan cognitif, rappelons les tests de dépistage réalisés le 27.11.2018, objectivant des performances altérées avec un MMSE à 24/30 et un test de la montre à 0/7. Concernant la physiothérapie de mobilisation effectuée durant le séjour, signalons à la sortie un périmètre de marche à l'aide d'un rollator de 250 mètres. La patiente ne peut pas gravir d'escalier. À la sortie, sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 83/126, par rapport à 70/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 4/7, marche 5/7, escaliers 4/7). Le TUG est à 32 secondes avec rollator. Au niveau nutritionnel, aucune intervention n'est nécessaire, car la patiente n'a pas de malnutrition protéino-énergétique. Finalement, étant donné une évolution favorable, Mme. Y rentre à domicile le 10.04.2019. Dès sa sortie, elle bénéficiera du passage des soins à domicile 2x/jour. Patiente de 92 ans, connue pour une maladie coronarienne stentée en 2009 et des plaies abdominales chroniques depuis une cure d'éventration avec filet en 2011, hospitalisée le 05.04.2019 suite à une chute. Elle est amenée en ambulance aux urgences. Elle décrit une chute alors qu'elle était en route pour aller aux toilettes, accompagnée d'une perte de connaissance d'une durée indéterminée et d'un traumatisme crânien. Il n'y a pas eu de prodrome. Elle relate également une baisse de l'état général avec notamment une fatigue et des diarrhées chroniques connues. Au status, un souffle systolique nouveau est objectivé. Un scanner cérébral effectué en raison de l'anti-aggrégation de Mme. Y met en évidence un hématome sous-galéal postérieur, sans saignement intra-crânien. La patiente est hospitalisée en médecine pour suite de prise en charge et bilan de chutes. Un ultrason cardiaque met en évidence une sténose aortique sévère. Nous concluons donc à des syncopes d'origine cardiaque. La patiente, ayant entièrement sa capacité de discernement, décide d'un traitement conservateur au vu des risques liés à l'intervention. Le traitement par béta-bloquant est donc majoré, avec tolérance hémodynamique favorable. Au vu de carences vitaminiques et électrolytiques, une substitution par voie orale est également introduite pour pallier aux chutes. En raison d'un entourage familial et par les soins à domicile extrêmement adéquats et une patiente relativement autonome, celle-ci bénéficiera d'une réadaptation gériatrique à Meyriez en vue d'un prochain retour à domicile. Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement le 16.04.19 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patiente de 92 ans, qui est adressée aux urgences de l'HFR Riaz par son médecin traitant en raison d'une baisse d'état général. Mme. Y aurait bénéficié d'une extraction d'une molaire le 31.03.2019, présentant, depuis, un suintement sanguin continu, sans douleur. À savoir que Mme. Y est sous anticoagulation thérapeutique par Lixiana en raison d'une fibrillation auriculaire, qui a été arrêtée la veille des soins dentaires. De plus, la patiente dit ne plus s'alimenter depuis trois jours avec une perte pondérale de 3kg.A l'examen clinique, la patiente est hémodynamiquement stable et afébrile. Elle présente une cachexie et une sécheresse des muqueuses. Le pouls est irrégulier avec des bruits cardiaques audibles, sans souffle surajouté. Le toucher rectal met en évidence des selles méléniques, sans douleurs associées à la palpation abdominale. Au niveau dentaire, une petite quantité de sang est visualisée au site de l'extraction dentaire. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Sur le plan gériatrique, la patiente ne présente pas d'incontinence urinaire ni fécale. Sur le plan oto-rhino-laryngologique, le saignement se tarit au cours de l'hospitalisation. Les contrôles de l'hémoglobine mettent en évidence une discrète anémie que nous bilantons dans notre service. Les bilans ferrique, thyroïdien et vitaminique (B12 et B9) sont dans la norme. Des hémofecatests reviennent positifs. Sur le plan électrolytique et vitaminique, nous débutons un traitement de substitution en magnésium, potassium par voie orale et substitution vitaminique en vitamine D. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 03.04.2019 au 10.04.2019. La patiente effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seule sous surveillance et à l'aide d'un rollator est illimité. Mme. Y peut gravir 18 marches sans aide mais sous surveillance. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 98/126, par rapport à 68/126 à l'entrée. (Mesure d'indépendance fonctionnelle physiothérapeutique : transferts à 6/7, marche à 6/7, escaliers à 5/7). Le test Time Up and Go se réalise en 16.58 secondes avec un rollator. Sur le plan nutritionnel, le bilan met en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec des apports oraux insuffisants (47%). Un enrichissement de l'alimentation, l'ajout de collations et une adaptation de la texture (haché fin) sont mis en place, permettant à la patiente de couvrir la totalité de ses besoins énergétiques en milieu hospitalier. A sa sortie, un enseignement lui est délivré pour l'enrichissement de ses besoins en protéines. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan social, la patiente est demandeuse initialement d'un placement en établissement médico-social. Cependant, après reconsidération avec la patiente, il est convenu d'un retour à domicile. Actuellement, Mme. Y refuse les soins à domicile. Au vu de l'évolution favorable, la patiente quitte notre service le 10.04.2019. Patiente de 93 ans, connue pour une sténose aortique serrée, qui est amenée par son fils aux urgences en raison d'un état confusionnel aigu ce jour et d'un épisode de chute à domicile. L'examen neurologique aux urgences n'objective aucun déficit focal clair et un scanner cérébral non injecté est effectué dans le contexte de la chute ne visualisant pas de signes hémorragiques. Le laboratoire signale une anémie normochrome normocytaire à 110g/l. Le sédiment urinaire et la radiographie du thorax ne parlent pas en faveur d'un foyer infectieux. Finalement, un bilan radiologique de la main droite écarte la présence d'une fracture. Un état infectieux, un globe urinaire et un fécalome sont exclus. Dans notre service, nous constatons une aphasie accompagnée d'une discrète hémiparésie du membre supérieur droit et gauche à M4. Nous effectuons donc une IRM cérébrale qui met en évidence un AVC ischémique dans le territoire de l'artère choroïdienne antérieure gauche. Dans ce contexte, nous demandons un avis neurologique au Dr. X, qui propose un changement d'anti-agrégation pour du Plavix. Nous mettons également en place un traitement par statines. Un bilan ergothérapeutique valide l'aphasie et nous orientons la prise en charge vers une neuroréhabilitation à l'HFR Meyriez. A noter que sur le plan vitaminique et électrolytique, nous débutons des traitements de substitution par voie orale. La patiente présentant également une coprostase au cours du séjour, nous introduisons un traitement laxatif en réserve. Durant l'hospitalisation, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seule sous surveillance et à l'aide d'un rollator est de 100 mètres. La patiente peut gravir 9 marches avec léger soutien. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 67/126, par rapport à 58/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 5/7, marche à 5/7, escaliers à 4/7). Le TUG est à 27 secondes avec un rollator. Au niveau nutritionnel, la patiente présente une malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une inappétence chronique, démontrée par un NRS à 6/7, un indice de masse corporelle à 17kg/m2, et une couverture de 65% de ses besoins nutritionnels. Nous adaptons l'alimentation au vu de cette évaluation. Par ailleurs, la patiente bénéficie d'une évaluation de la dyspraxie, ne mettant pas en évidence de fausse route. Au vu de difficultés à la mastication, un régime mixé-lisse est proposé. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Notre ergothérapeute propose un suivi logopédique étant donné l'aphasie marquée. Sur le plan social, la patiente vit dans un appartement au centre de Fribourg, avec 10 marches d'accès. Des aménagements de la salle de bain ont déjà été réalisés. La patiente possède une télé-alarme, les repas de midi sont livrés, mais cette dernière prépare ceux du soir. A noter que la patiente mange deux fois par semaine avec son fils. Le 05.04.2019, Mme. Y est transférée au service de gériatrie aiguë HFR Meyriez pour suite d'investigations puis neuro-réadaptation. Patiente de 94 ans, vivant au Home du Châtelet d'Attalens, connue pour de multiples facteurs de risques cardiovasculaires, qui est adressée ce jour aux urgences de l'HFR Riaz en raison d'une baisse d'état général avec apathie et diminution de l'appétit. Anamnestiquement, la patiente n'a pas de plainte mais serait probablement connue pour des troubles cognitifs. A noter que Mme. Y bénéficie d'un traitement d'Irfen 600mg 3x/j depuis un mois pour des arthralgies. A l'examen clinique, Mme. Y est normocarde, normotendue et afébrile. A l'examen abdominal, nous constatons des douleurs à la palpation épigastrique et de l'hypochondre droit sans défense ni détente. Le toucher rectal est sans particularité. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 10.6G/l et une CRP à 76mg/l, une insuffisance rénale aiguë d'origine mixte pré-rénale et rénale avec une créatinine à 187µmol/l et une fraction d'excrétion d'urée à 23%. L'ECG indique un rythme électro-entraîné. Un sédiment urinaire met en évidence une leucocyturie incomptable. Une radiographie du thorax ne parle pas en faveur d'un foyer infectieux. Sur le plan infectieux, la patiente bénéficie de la mise en place de Rocéphine intraveineuse du 07.04.2019 au 09.04.2019 suite à une culture d'urine revenue positive pour du Klebsiella Pneumoniae. L'évolution clinico-biologique est favorable. Sur le plan rénal, nous constatons une normalisation de la créatinine avec mise en suspens du traitement anti-inflammatoire et hydratation intraveineuse.Au niveau antalgique, les douleurs sont maîtrisées par une antalgie simple de Dafalgan en réserve. En l'absence d'indication d'une antalgie forte actuellement, nous stoppons le traitement d'Oxynorm. Sur le plan hématologique, Mme. Y bénéficie de la transfusion d'un culot érythrocytaire pour une hémoglobine à 83g/l le 04.04.2019. Les contrôles clinico-biologiques sont favorables par la suite. L'anticoagulation devient suprathérapeutique le 08.04.2019 raison pour laquelle du Konakion est administré. Nous vous prions de continuer la double anticoagulation par Clexane et Sintrom jusqu'à l'obtention de deux INR thérapeutiques. Sur le plan abdominal, nous mettons en place un traitement par Pantozol pendant 14 jours pour une suspicion de gastrite aiguë. Un hémofécatest revient positif. Nous vous prions de réévaluer l'indication à une OGD/coloscopie en cas de douleurs persistantes ou d'une anémie persistante. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMSE à 13/30 et un test de la montre à 2/7. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche, accompagnée et à l'aide d'un rollator, est de 40 mètres. Les escaliers ne sont pas testés. La patiente nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 39/126, par rapport à 41/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 5/7, marche à 4/7, escaliers non testés). Le TUG n'est pas testé. Le risque de chute est élevé. Au niveau nutritionnel, la patiente présente une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec inappétence, une thymie abaissée et une baisse de l'état général, démontrée par un NRS à 4/7, des apports oraux de 25-50% des habitudes et une perte pondérale involontaire de plus de 5% en 2 mois. Dans ce contexte, nous mettons en place des collations supplémentaires. Au vu de l'évolution favorable, la patiente peut regagner le Home du Châtelet d'Attalens le 11.04.2019. Patiente de 95 ans, admise aux soins intensifs le 24.04.2019 en raison d'un choc hémorragique sur lacération de l'artère axillaire survenant dans le contexte d'une réduction de fracture de l'épaule droite. La patiente est adressée aux urgences pour une fracture déplacée de l'épaule après chute. La réduction sous anesthésie générale se complique d'un choc hémorragique sur une dissection de l'artère axillaire droite. Une intervention endovasculaire étant infructueuse, la patiente est traitée par un pontage axillo-radial en urgence avec ostéosynthèse de la fracture sous-capitale de l'humérus. Une réanimation volémique majeure, des produits sanguins et un soutien aminergique sont nécessaires. Elle est ensuite transférée intubée aux soins intensifs pour suite de prise en charge. Les transfusions sont poursuivies jusqu'à stabilisation hémodynamique. La noradrénaline est rapidement sevrée après cardioversion électrique d'une FA tachycarde et perfusion de Cordarone. La patiente est par la suite extubée le 25.04.2019 avec évolution respiratoire favorable. Une lésion nerveuse sous forme d'un déficit sensitivo-moteur complet du bras droit est objectivée et persistante à la sortie des soins intensifs. L'antalgie est contrôlée de manière satisfaisante par Métamizole, Dafalgan et Oxynorm en réserve. En cas de nouvelle complication majeure ou de thrombose du pontage, des soins de confort en division sont à privilégier au vu de l'âge avancé de la patiente et de l'état général diminué. Patiente de 97 ans connue pour une insuffisance rénale chronique et récemment hospitalisée pour une pneumonie basale droite communautaire avec bactériémie à Veillonella parvula en janvier 2019, amenée aux urgences de l'HFR Riaz ce jour en raison de comportements inhabituels constatés depuis la veille par les enfants avec hallucinations visuelles et troubles de l'équilibre en majoration. La patiente aurait trébuché ce jour, sans chute, avec lésion cutanée au tibia droit. Il n'y a pas de plainte anamnestique selon l'hétéroanamnèse faite avec l'entourage et la patiente n'a pas bénéficié d'un changement récent de traitement. Sur le plan social, Mme. Y vit à domicile avec passage des soins à domicile 2x/semaine. Au status cardiovasculaire, signalons des œdèmes bilatéraux, jusqu'au tiers inférieur des tibias, prenant le godet. Au niveau pulmonaire, Mme. Y est eupnéique, avec murmure vésiculaire symétrique et présence de fins râles crépitants aux deux bases. Au niveau cutané, relevons une dermoabrasion du tiers distal du tibia droit, et une plaie cutanée avec dépôt de fibrine au bord interne du mollet droit, sans signe de surinfection. Le reste de status est dans la norme. Le bilan biologique indique une insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 169µmol/l, mais pas de syndrome inflammatoire. Le sédiment urinaire met en évidence une leucocyturie et bactériurie. Le bladder scan nous permet d'exclure un globe vésical. La radiographie thoracique met en lumière une surcharge, dans les limites d'un examen réalisé couché. Nous retenons donc une infection urinaire basse non compliquée à l'origine des troubles du comportement, spontanément résolutifs lors du séjour aux urgences. Un traitement par Bactrim 800/160 2x/j par voie orale est débuté. La culture urinaire met en lumière une Klebsiella pneumoniae multisensible que nous traitons efficacement du 02.04.2019 au 05.04.2019. Sur le plan rénal, une insuffisance rénale aiguë de stade AKIN 1 d'origine pré-rénale sur probable syndrome cardio-rénal est retenue. Au vu des résultats du spot urinaire, les traitements néphrotoxiques sont suspendus et le traitement diurétique majoré. Une origine post-rénale est écartée au bladder scan. Sur le plan cardiaque, étant donné la présence de signes de surcharge à la radiographie de thorax avec majoration anamnestique d'œdèmes des membres inférieurs, le traitement diurétique est majoré de dose avec l'introduction d'un bandage des membres inférieurs. Sur le plan digestif, Mme. Y présente des diarrhées dans le cadre d'une probable gastro-entérite virale, raison pour laquelle nous la mettons sous Pérentérol avec résolution des symptômes. Dans ce contexte, nous notons une nouvelle péjoration de la fonction rénale ainsi qu'une hyperkaliémie passagère. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 18/27. Le test de la montre s'avère impossible en raison d'une malvoyance et de l'arthrose des mains ; l'échelle gériatrique de dépression s'élève à 3/15. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'une canne est de 120 mètres. La patiente peut gravir 18 marches avec accompagnement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 92/126, par rapport à 91/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 5/7, escaliers 4/7). Le TUG est à 22.7 secondes. Par ailleurs, nous n'effectuons pas de suivi nutritionnel ou ergothérapeutique car la patiente a déjà bénéficié d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce lors d'un séjour en gériatrie aiguë HFR Riaz du 11.01.2019 au 29.01.2019. Au vu d'une évolution favorable, Mme. Y rentre à domicile le 12.04.2019. Dès sa sortie, elle bénéficiera du passage des soins à domicile 2x/j. Patiente en bon état général qui bénéficie d'un examen clinique ciblé ne permettant pas d'exclure une fracture. Un bilan radiologique permet d'exclure une atteinte du genou mais confirme une fracture non déplacée de la styloïde radiale. Nous traitons le genou par bande élastique. La patiente bénéficie d'un plâtre antébrachial fendu pour sa styloïde radiale avec une radiographie post-plâtre qui montre une fracture non déplacée, pas de point de pression, plâtre en place. Elle reçoit un traitement antalgique par AINS, Dafalgan et un arrêt de travail pour une semaine. La patiente consultera en policlinique d'orthopédie dans une semaine. Elle est libre de rentrer à domicile.Patiente hospitalisée pour antalgie et surveillance clinique suite à l'intervention chirurgicale qui avait été agendée en ambulatoire le 16.04.2019. En postopératoire immédiat, la patiente bénéficie d'une titration de morphine puis antalgie standard. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 17.04.2019. Patiente n'a pas présenté de symptômes lors de son hospitalisation pendant 48 heures et est restée stable au niveau hémodynamique et neurologique. Sur le plan digestif, nous objectivons de fréquentes régurgitations, sans inconfort associé. Sur le plan cardiovasculaire, la patiente reste hémodynamiquement stable, il n'y a pas de souffle ausculté à l'examen clinique ni d'anomalie de tension et l'électrocardiogramme effectué est dans la norme, raison pour laquelle nous ne retenons pas d'argument pour une origine cardiaque au malaise. Sur le plan neurologique, l'examen neurologique est tout à fait dans la norme rendant peu probable une origine neurologique au malaise. Sur le plan métabolique, la gazométrie, notamment la glycémie, effectuée à l'arrivée aux urgences est dans la norme. Après 48 heures de surveillance sans récidive de malaise, la patiente rentre à domicile le 02.04.2019. Nous mettons les symptômes de la patiente sur un probable malaise du nourrisson ou un reflux gastro-oesophagien. Patiente ne présente pas d'altération de l'état de conscience avec un examen neurologique et ORL rassurant. J'informe les patients de contrôler leur petite fille et si apparition de trouble du comportement, nausée, vomissements reconsulter les urgences. Patiente nulligeste de 23 ans qui consulte en urgences le 04.04.19 en raison de la mauvaise évolution d'une dermohypodermite de la grande lèvre gauche. Elle avait présenté un abcès de la grande lèvre gauche qui a été incisé le 01.04.19 par le médecin traitant. En raison de l'évolution en dermohypodermite, un traitement par co-amoxicilline avait été introduit le 02.04.19 par le gynécologue traitant. Elle se présente 2 jours plus tard chez nous aux urgences avec une augmentation de la tuméfaction et extension de la rougeur. À son arrivée, elle est stable sur le plan hémodynamique et subfébrile à 37.5°C. L'examen clinique retrouve une rougeur importante de la grande lèvre gauche avec extension dans le pli de l'aine ainsi qu'une induration de toute la grande lèvre gauche sans collection à l'échographie. Le laboratoire objective un syndrome inflammatoire avec leucocytose à 11.4 G/l et CRP à 41 mg/ml. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour une antibiothérapie IV et antalgie. Après avis infectiologique auprès du Dr X, nous débutons un traitement de co-amoxicilline IV durant 48h. La patiente se plaignant d'une douleur plus prononcée à J2, un relais par Tazobac IV est réalisé. Après 24h les paramètres infectieux s'étant normalisés, nous pouvons passer au relais p.o pour 10 jours au total (jusqu'au 12.04.2019). L'évolution est par la suite favorable et elle peut regagner son domicile le 09.04.2019 en bon état général. Patiente partie sans attendre. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. A rdv chez son cardiologue à 15h30 et ne veut plus attendre aux urgences. Patiente prendra rendez-vous à la consultation du Dr X. Patiente présentant un traumatisme crânien simple, sous anticoagulation, raison pour laquelle nous effectuons un CT-scan cérébral qui ne retrouvera pas d'hémorragie intra-crânienne. Nous ne préconisons pas de mesure supplémentaire. Concernant la plaie digitale de l'index de la main droite, nous ne retrouvons aucun déficit fonctionnel, ni neuro-vasculaire. L'exploration de plaie ne montrera pas de lésion des structures nobles, bien que les tendons fléchisseurs aient été exposés, raison pour laquelle nous introduisons une antibiothérapie prophylactique. Nous fermons la plaie par des points simples d'Ethylon 4.0, réalisation d'un pansement épais avec attelle digitale en aluminium. Ablation des fils dès J12. Patiente présentant une clinique de douleurs neuropathiques pseudo-radiculaires, surtout en position assise et ne parlant pas pour une vraie claudication neurogène vu leur amélioration à la marche. Nous sommes tout de même en présence d'un canal lombaire étroit, surtout en L4-L5 mais aussi L3-L4, raison pour laquelle nous décidons de compléter le bilan par un examen neurologique dans l'espoir de pouvoir corréler la clinique peu précise avec les images. Prochain contrôle à la suite de ce bilan pour refaire le point sur la stratégie thérapeutique. Patiente nous fait savoir ne pas vouloir pour l'instant envisager une chirurgie au vu de l'ensemble des opérations déjà subies aux MS. Nous n'organisons donc pas tout de suite de radiographies fonctionnelles. Celles-ci s'avéreront toutefois nécessaires en cas de changement d'attitude. À noter qu'un traitement par Lyrica n'a pas été toléré. Nous proposons donc à son médecin traitant de tenter l'instauration de Neurontin. Patiente présentant une douleur au genou droit lors de la marche après une chute il y a 2 semaines sur les genoux. Cliniquement, pas d'atteintes ligamentaires ou méniscales ne sont objectivées. Nous calculons 2 points au score d'Ottawa, ainsi nous faisons une radiographie qui ne montre ni fracture, ni épanchement. Nous suspectons donc un syndrome fémoro-patellaire, que nous traitons symptomatiquement avec Brufen 400 mg, écofenac et Pantozol et ajoutons des séances de physiothérapie. La patiente doit consulter si aggravation des douleurs dans les semaines à venir. Patiente présentant une pyélonéphrite aiguë, nous prélevons des hémocultures au vu de l'état fébrile. Des cultures urinaires sont également prélevées. La patiente bénéficiera d'une antibiothérapie par Rocéphine 2g IV en ordre unique aux urgences, puis relais par Ciprofloxacine 500mg 2x/jour pour une durée totale de 7 jours. Nous préconisons un contrôle clinico-biologique en début de semaine prochaine chez son médecin traitant. Elle doit se représenter aux urgences en cas de péjoration clinique. Elle a présenté une réaction allergique de stade III lors de l'administration de la Rocéphine en IV : dyspnée, pas d'érythème, pas de trouble digestif, sans état de choc. Dans ce contexte, sur avis du Dr X nous administrons du Tavegyl + Solumedrol + aérosol de Ventolin. Bonne réponse au traitement, la patiente restera stable hémodynamiquement, ne nécessitant pas l'administration d'Adrénaline. Nous la gardons en surveillance pour 6h supplémentaires. En l'absence de récidive de la symptomatologie, nous autorisons la patiente à regagner son domicile avec le traitement susmentionné et un Epipen en réserve. Nous l'invitons à prendre contact avec un allergologue afin d'effectuer des investigations. Patiente primigeste de 25 ans admise en salle d'accouchement le 09.04.2019 après perte du ballonnet mis la veille en vue d'une provocation pour terme dépassé. Nous poursuivons la provocation par Syntocinon permettant une mise en travail. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3360 g, de bonne adaptation néonatale. Accouchement compliqué par un saignement actif sur rétention de membranes nécessitant une révision des 3 étages sous péridurale avec bonne évolution et des pertes finalement estimées à 300 cc.Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si nécessaire. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 12.04.2019, en bon état général et sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines. Patiente primigeste de 26 ans admise en salle d'accouchement le 08.04.2019 à 34 semaines d'aménorrhée pour des contractions utérines évoluant depuis 24h. Lors de son contrôle, il est mis en évidence une hypertension artérielle avec un rapport prot/créat positif à 0.32 et l'échographie met en évidence un décollement rétro-placentaire sur 7 cm avec un fœtus en siège décomplété. L'indication à une césarienne en urgence est posée. L'intervention se déroule sans complications et nous confirmons le décollement placentaire avec des zones d'infarctus sur le placenta. Elle donne naissance à un enfant de sexe masculin pesant 2150 g, admis alors en néonatologie pour prématurité. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. Les tensions sont rapidement normalisées, et les bilans de contrôle restent sans particularités. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile sans son bébé le 12.04.2019, en bon état général et sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines. Patiente primigeste de 27 ans à 35 semaines d'aménorrhée, qui consulte le 09.04.2019 pour un contrôle à 48h d'une antibiothérapie par Monuril dans le cadre d'une cystite. A l'anamnèse, la patiente décrit une péjoration clinique avec altération de l'état général, augmentation des douleurs et apparition de frissons depuis 24h. Elle signale également des contractions utérines plus fréquentes mais irrégulières. L'examen clinique retrouve une patiente hémodynamiquement stable, sub fébrile à 37.9°C avec des frissons sans signes cliniques de sepsis. L'abdomen est souple et douloureux en fosse iliaque gauche et sus-pubien, sans détente ni défense et la loge rénale gauche est sensible. Le bilan inflammatoire retrouve un syndrome inflammatoire avec une CRP à 104 mg/ml et leucocytose à 10.4 G/l. Le stix retrouve toujours des nitrites avec des leucocytes. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour une pyélonéphrite aiguë gauche et débutons une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2g. L'urotube revient positif pour des streptocoques agalactia et les hémocultures sont toujours en cours. Le frottis vaginal revient positif pour Streptocoques agalactiae et Candida albicans motivant l'introduction d'un traitement par Fluomizin puis Vagi C. Lors de son hospitalisation, la patiente décrit des contractions utérines irrégulières avec une légère modification du col sans mise en travail. L'évolution est favorable, et la patiente regagne son domicile le 11.04.2019 après 48 heures d'antibiothérapie intraveineuse, avec un relais per os par Zinat pour un total de 14 jours. Elle sera vue pour un contrôle dans notre service à 1 semaine. Le col à sa sortie est long de 1.5 cm, perméable à un doigt, stable sur 12h. Patiente primigeste de 29 ans, admise en salle d'accouchement le 07.04.2019 à 37 3/7 semaines d'aménorrhée pour une rupture prématurée des membranes avec contractions utérines dans un contexte de streptocoque B inconnu. Devant des contractions utérines avec modification du col, nous optons pour une méthode expectative, mais devant une stagnation en phase latente à 4 cm, nous instaurons du Syntocinon. Elle dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse instrumentée par forceps pour défaut d'expulsion à un garçon pesant 2910 g, de bonne adaptation néonatale. Accouchement compliqué par une rétention placentaire complète secondairement hémorragique sur atonie utérine nécessitant une délivrance manuelle et révision des 3 étages sous anesthésie générale avec une bonne évolution sous perfusion de 20 UI de Syntocinon, avec des pertes finalement estimées à 800 cc. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique per os. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La patiente ne désire pas de contraception. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 11.04.2019 en bon état général et sera revue en contrôle post-partum dans 6-8 semaines. Patiente primigeste de 29 ans, présentant une grossesse gémellaire bichoriale biamniotique avec 2 fœtus en présentation podalique, admise en salle d'accouchement le 25.03.2019 pour rupture prématurée des membranes à 4h00 du matin confirmée par Fern et Actim PROM revenus positifs. A son entrée, elle ne présente pas de contractions utérines. L'abdomen gravide est souple et indolore. L'ultrason confirme des jumeaux avec excellente vitalité fœtale avec JA estimé à 2130 g, en présentation transverse et placenta antérieur, JB estimé à 2118 g en présentation podalique et placenta antérieur. Les frottis vaginaux (bactériologie et streptocoque B) et urotube reviennent par la suite négatifs. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour maturation pulmonaire sous antibiothérapie et tocolyse en l'attente d'une césarienne. Le 26.03.19, la patiente se met en travail et échappe à la tocolyse par Adalat puis Tractocyl. Nous décidons alors d'effectuer une césarienne en urgence. Elle donne naissance à deux filles pesant 1970 g et 2110 g, de bonne adaptation néonatale et hospitalisées en néonatologie. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 01.04.2019 en bon état général. Patiente primigeste de 30 ans admise en salle d'accouchement le 11.04.2019 pour une mise en travail spontanée à 40 3/7 semaines d'aménorrhée. La dilatation est harmonieuse et elle donne naissance à un garçon pesant 2920 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par dispositif intra-utérin au cuivre, qui sera programmé lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 14.04.2019, en bon état général. Patiente primigeste de 39 ans avec grossesse sur FIV, chez qui on découvre au dernier contrôle du 27.03.19 une grossesse arrêtée à 9 1/7 SA. Nous lui proposons un curetage évacuteur qu'elle accepte après la signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications permettant un retour à domicile le jour même avec une patiente en bon état général. Patiente qui consulte les urgences de Riaz le 02.04.2019 pour un constat de coup en raison de cervicalgies depuis le 31.03.2019. Aux urgences, nous réalisons un constat de coups. La patiente reçoit une antalgie simple aux urgences car elle conduit. Nous lui donnons un comprimé de Temesta 1 mg pour le domicile en raison des troubles du sommeil et 1 comprimé de Sirdalud 2 mg pour les cervicalgies. Nous lui expliquons de prendre d'abord le comprimé de Sirdalud et de garder le comprimé de Temesta en réserve en cas de troubles du sommeil persistants après la prise du Sirdalud.Dans ce contexte, elle rentre avec un arrêt de travail et un contrôle chez le médecin traitant le 03.04.2019. • Patiente qui consulte par rapport à une cervicalgie. Vu l'examen clinique rassurant, la patiente rentre à domicile avec le traitement par Dafalgan, Brufen, Sirdalud et Tramal pendant 5 jours. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 5 jours. En cas d'absence d'amélioration des douleurs, nous proposons une imagerie complémentaire. • Patiente qui présente des douleurs au niveau des tendons tibialis antérieurs et des tendons des péroniers. Il y a également des douleurs au niveau du pes anserinus et du tendon quadriceps et tendon rotulien. Une IRM du pied, effectuée en novembre 2018, n'a pas montré de signe d'inflammation au niveau des tendons. Nous aimerions un avis du Dr X que nous prions de convoquer la patiente pour une évaluation. De notre part, nous mettons en place une attelle Talo-ankle ce jour. Nous la reverrons dans 8 semaines pour un contrôle clinique. • Patiente qui rapporte une anémie depuis la naissance mais d'origine peu claire. • Patiente qui se présente aux urgences amenée en ambulance. Elle est capable de marcher et est orientée dans les 3 modes. Nous prescrivons à la patiente un traitement symptomatique de Dafalgan et une hydratation de 500 ml de NaCl 0.9%. Elle présente deux épisodes de vomissements durant son séjour aux urgences. Elle bénéficie de Primpéran 10 mg iv avec amélioration de sa clinique. Nous surveillons la patiente quelques heures aux urgences. Au vu d'une clinique favorable, la patiente est transportée en taxi au foyer d'Horizon Sud avec arrivée à domicile objectivée. Le suivi sera fait par le médecin traitant. • Patiente qui se présente pour un contrôle clinique et biologique le 21.04.2019 suite à sa consultation du 20.04.2019. Au bilan biologique, on ne trouve pas de syndrome inflammatoire ou de leucocytose, les tests hépatiques sont superposables à la veille non augmentés, en dehors d'une bilirubine totale à 22.1 µmol/L et d'une directe à 8.4 µmol/L. À noter un scanner abdominal injecté dans la norme effectué le 20.04.2019. Nous prenons un avis du Dr X, chirurgien, qui propose de poursuivre l'attitude avec Pantozol 40 mg 2x/jour et contrôle rapproché chez le médecin traitant. Nous prescrivons, au vu des nausées, du Motilium en réserve. La patiente prend rendez-vous chez son médecin traitant. Elle est libre de rentrer à domicile. Colloque chirurgical du 22.04.2019 : patiente reconvoquée le 23.04.2019 à 11h à la filière des urgences ambulatoires. • Patiente repartie sans consultation médicale. • Patiente se présentant pour cervicalgie suite à coup du lapin sur freinage en voiture. Pas de lésion neurologique au statut, pas de fractures à la radiographie. Retour à domicile sous traitement antalgique. • Patiente se présentant pour fièvre avec toux et brûlures rétrosternales. Examen clinique et paraclinique en faveur d'une bronchite virale. Elle peut rentrer à domicile et reçoit du Makatussin Sirop. Suite chez le médecin traitant. • Patiente sera convoquée à la consultation oncologique au HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge avant la prochaine chimiothérapie prévue le 03.05.2019. PET-CT à réévaluer également. Pose de PAC à prévoir à distance après amélioration des lésions cutanées. Poursuite du protocole de soins jusqu'à amélioration totale des lésions cutanées. Réduction progressive des opiacés. • Patiente sera convoquée en consultation neurologique dans 3 mois. • Patiente s'est coupée au niveau de l'index avec une mandoline. Perte de substance. La patiente, vu l'attente dans la salle des urgences, rentre chez elle et reviendra plus tard. • Patiente va être contactée par les oncologues de l'HFR Fribourg. • Patiente vue par Dr X en oncologie. Suite de la prise en charge. • Patiente vue par Dr X, orthopédiste. Désinfection avec Prontosan gel, pansement Adaptic. Immobilisation du 3ème doigt dans une attelle alu en extension. Antibiothérapie par Co-amoxicilline 1g 2x/24 heures jusqu'au 23.04.2019. Réfection du pansement et contrôle de la cicatrice le 23.04.2019 en policlinique d'orthopédie (rendez-vous déjà agendé). Antalgiques et anti-inflammatoires de réserve. Consultation aux urgences en cas d'apparition de signes inflammatoires locaux ou de fièvre. • Patiente vue par Dr X, orthopédiste, discussion avec la patiente de la suite de la prise en charge. Nous lui proposons un traitement chirurgical et conservateur et la patiente choisit le traitement conservateur. La patiente rentre avec une attelle UL et contrôle en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine avec radiographie de contrôle. • Patiente 1G0P enceinte à 13 semaines d'aménorrhée d'une grossesse spontanée marquée par plusieurs épisodes de métrorragie dès 9 semaines d'aménorrhée, dont le dernier ayant nécessité une hospitalisation du 24 au 25.04.19. L'étiologie retenue étant un hématome rétro-placentaire. Ce jour, la patiente est amenée aux urgences pour un saignement depuis environ une heure, plus abondant que des règles, sans caillots suivi de douleurs abdominales crampiformes. La patiente est hémodynamiquement stable. Au speculum, on objective un saignement vaginal d'abondance moyenne, sans saignement actif du col. L'ultrason montre une grossesse évolutive avec une présentation céphalique, un placenta antérieur recouvrant le siège d'un décollement sur 3 cm. Le col est long de 28 mm. L'hémoglobine d'entrée est à 93 g/l (99 g/l le 24.04). Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour surveillance clinique. Par la suite, les saignements se tarissent spontanément. En raison d'une anémie ferriprive, nous planifions une supplémentation par Ferinject iv dans une semaine et continuons le traitement martial par Maltofer. La prophylaxie anti-D a été administrée lors de la dernière hospitalisation le 24.04.2019. Au contrôle échographique avant la sortie de la patiente, nous retrouvons une bonne vitalité fœtale. La patiente regagne son domicile en date du 29.04.2019 en bon état général. • Patiente 2G 1P de 38 ans, suivie dans notre service pour une grossesse arrêtée à 7 1/7 semaines d'aménorrhée selon l'échographie. Nous lui proposons un curetage évacuateur que la patiente accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications permettant un retour à domicile le jour même. • Patiente 2G0P de 37 ans, avec s/p curetage évacuateur le 13.03.19 pour grossesse arrêtée à 11 semaines d'aménorrhée, qui se présente ce jour pour un état fébrile à 39.1°C et frissons. Elle décrit des pertes sanguines fluctuantes ainsi que des légères douleurs abdominales basses depuis 3 jours sans autres symptômes. À son arrivée aux urgences, elle est fébrile à 39.1 °C et stable sur le plan hémodynamique. L'abdomen est souple mais sensible en sus-pubien sans défense ni détente, avec des loges rénales indolores à la percussion. La mobilisation du col est très douloureuse et l'examen au speculum objective un col postérieur d'aspect sain et des pertes sanguines dans le vagin en petite quantité sans saignement actif. Le test au KOH revient négatif et l'examen direct montre des cellules épithéliales en grande quantité sans leucocytes. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 145 mg/ml sans leucocytose, et l'échographie trans-vaginale montre une probable rétention de matériel. Dans ce contexte d'endométrite sur probable rétention de matériel, nous hospitalisons la patiente pour antibiothérapie iv par Rocéphine, doxycycline et flagyl. Elle reçoit également 48h de Cytotec.En raison de douleurs épigastriques, nous faisons un ECG qui revient normal. Les symptômes s'améliorent après la prise de Pantozol et Alucol gel. Dans un contexte de prise d'AINS 600 mg à domicile, nous concluons à une probable gastrite réactionnelle. Les hémocultures reviennent positives pour un E. coli. L'urotube est négatif. Nous prenons avis des infectiologues et poursuivons l'antibiothérapie jusqu'à 48 h d'apyréxie. Les frottis bactériologiques sont en cours (négatif au moment du curetage le 13.03.2019). L'évolution est par la suite favorable avec un syndrome inflammatoire en diminution. Nous pouvons passer au relais p.o de l'antibiothérapie et la patiente peut regagner son domicile le 12.04.2019 en bon état général. Mme. Y, 2G1P à 38 5/7 semaines d'aménorrhée se présentant en urgences pour suspicion de rupture prématurée des membranes. Pas d'autres plaintes obstétricales ni urinaires. Au statut d'entrée : La patiente est normocarde, normotendue, apyrétique. Le CTG est RNP sans CU. Au stix urinaire, présence de protéines motivant la réalisation d'un bilan de gestose : le laboratoire est aligné. Le spot montre une protéinurie à 900 mg/24 h. Au speculum, le col est long, post, perméable 1 doigt. Le PROM test est négatif. L'US montre un fœtus en PC, AFI en ordre, IR DO en ordre. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour protéinurie de 24 h et surveillance TA. Durant le séjour, les profils TA sont tous dans la norme, la protéinurie de 24 h s'élève à 410 mg. Le rapport sFLT-1/PlGF est à 4, ce qui infirme une pré-éclampsie. Au vu de l'exclusion d'une pré-éclampsie, nous autorisons la patiente à rentrer à domicile. Un contrôle est programmé à terme. Mme. Y, 3G0P, de 31 ans, à 11 6/7 semaines d'aménorrhée le 10.04.2019, d'une grossesse non désirée sous pilule contraceptive que nous suivons dans notre service pour un désir d'interruption. Elle a vu Dr. X, psychologue, et ne présente pas d'ambivalence. Dans ce contexte et au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons un curetage interrupteur que la patiente accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications permettant un retour à domicile le jour même. La patiente désire continuer sa contraception par Elyfem 20. Au PAP, un ASCUS est mis en évidence. La typisation du HPV est en cours. Mme. Y, 60 ans, avec antécédent de STEMI en janvier 2019 (3 stents de l'IVA) qui présente ce jour des douleurs rétrosternales de type oppressive, typique de résolution spontanée après 5 minutes. L'ECG est superposable au dernier, le cycle des troponines exclut un événement aigu. Devant l'exclusion d'un nouvel événement coronarien et l'absence de symptôme aux urgences, un retour à domicile est possible sous le traitement habituel de la patiente. Pause diurétique. Hydratation i.v. 2000 ml NaCl 0.9 % en 24 h. Suivi biologique. Pauses respiratoires brèves itératives secondaires à l'administration de fentanyl et kétamine iv le 01.04.2019. PBM du 9.4.19 (Dr. X) : • cytométrie de flux sans argument pour maladie hémato-oncologique • histologie : à pister PC à J2 de vie au P10-25. CMV urinaire à pister. Contrôle PC à 1 mois de vie +/- US cérébral si < P3. PC brève (environ 1 minute) avec hypotension et pâleur. PC dans 24 h puis 48 h pour rinçage. Traitement : • Augmentin 1 g 3x/j 10 jours • Dafalgan et Irfen, Tramal en réserve • collunosol en réserve Arrêt de travail 10 jours. PC et mouvements tonico-cloniques. PCR de selles, le 25.04.2019 : ____ PISTER. Isolement ? PCR multiplex : Négatif. Recherche de Clostridium : négative. Traitement symptomatique. Peak flow à 350 avant aérosol : VEMS 70 %, 90 % après aérosols. 2 aérosols Atrovent/Ventolin. Introduction de Symbicort 200/6 Turbuhaler. Proposition de suivi chez médecin traitant avec consultation en allergologie. La patiente est instruite des symptômes nécessitant une reconsultation en urgence. Peak Flow avant aérosol : 240 L/min. Peak Flow après aérosol : 260 L/min. Atrovent 205 mcg + Ventolin 5 mg Aérosol. Ventolin Aérodoseur 3x/j + 3x/j en R. Symbicort 100/6 1x/j le soir. Peak-Flow à 300 L/min, correspondant à 70 % du prédit. Amélioration clinique au cours de la surveillance aux urgences, avec saturation à 92 %, asymptomatique. Prescription de Prednisone 50 mg 1x/jour durant 3 jours, ainsi que Ventolin en réserve. Réassurance du patient. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Péjoration aiguë AKIN 2 d'une insuffisance rénale chronique 07.04.2019. • probablement prérénale sur infection. • FeUrée à pister. Péjoration de douleurs lombaires chroniques sur tassement vertébral L1 le 15.04.2019. • Chez une patiente connue pour des troubles de l'équilibre et de la marche d'origine multifactorielle. Péjoration de la fonction rénale sans critère AKIN d'origine pré-rénale 26.04.2019. • FeUrée : 25 %. • Sur pyélonéphrite. Péjoration de troubles de la marche et de l'équilibre dans le cadre d'une neurofibromatose de type II. Péjoration depuis une année de troubles cognitifs non investigués avec soins impossibles à domicile. Péjoration du status neurologique. Péjoration d'un érysipèle. Péjoration d'une infection cutanée du pied. Péjoration d'une insuffisance rénale chronique sur probable néphropathie diabétique le 18.03.2019, DD syndrome cardio-rénal type 5. • FE urée 32 % ; clairance selon Cockroft à 31 ml/min. • hyperuricémie à 33.5 mmol/l. Pelvic inflammatory disease le 21.07.2018. Céphalée d'origine indéterminée le 21.07.2018 IRM dans la norme. Pembrolizumab iv le 4.04.2019. Poursuite du suivi par Dr. X, prochain cycle dans 3 semaines. Pemphigoïde bulleuse (DD : toxidermie). • Histologie 22.01.2019 : dermatite superficielle riche en éosinophile et plasmocytes. • IFD 22.01.2019 : négative. • IFD 07.02.2019 : en cours. • IFI 07.02.2019 et ELISA-BP180 et 230, 07.02.2019 : en cours. • suivi Dr. X. Pendant l'observation aux urgences, nous notons une évolution favorable avec la prise de Motilium. Nous lui conseillons donc de poursuivre le traitement pour 2 jours et de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle si besoin. Pendant son séjour aux urgences, nous notons une régression complète des vertiges avec de discrètes céphalées persistantes. Au vu du CT rassurant et une patiente peu symptomatique sans aucune insécurité à la marche et sans aucun vertige (non plus à la mobilisation), la décision de la laisser rentrer est prise. En accord avec la patiente, des examens en ambulatoire étaient envisagés (ORL). Après le retour à domicile, les collègues de la radiologie nous rappellent après avoir vu une déhiscence du canal semi-circulaire supérieur gauche. Selon les collègues de l'ORL, ceci n'explique pas des vertiges aigus mais est souvent une découverte fortuite. La clinique des déhiscences est plutôt celle des vertiges chroniques.En accord avec les ORL et la patiente qui a été contactée par téléphone, une consultation ORL en ambulatoire est prévue. Au vu de l'absence d'une fibrillation auriculaire et des vaisseaux sans sténose, nous estimons la probabilité d'une cause ischémique comme très basse et nous décidons de ne pas introduire un antiagrégant. • Pénétration traumatique d'un corps étranger dans la face latérale de la phalange proximale du 4ème doigt à gauche. • Pénicilline V 1mio 2x/j pendant 10 jours • Antalgie • Mesure hygiéno-diététique • Strepto test positif • Pénicilline V 500'000 2x/j pendant 10 jours • Antalgie • Mesure hygiéno-diététique • Strepto test positif • Pénicilline V 500'000 2x/j pendant 10 jours • Feniallerg 20 gouttes max 3x/j • Antalgie • Mesure hygiéno-diététique • Strepto test positif • Perenterol Sachet • Retour à domicile avec consignes de surveillance • Perenterol 2x/j dès le 21.03.2019. • Suivi clinique. • Perenterol 4x/j en sachet • Retour à domicile avec consignes de surveillance et d'hydratation • Contrôle le 03.04 aux urgences • Perenterol • Reconsultation en cas de péjoration des diarrhées, douleurs abdominales. • Perforation aortique iatrogène • Perforation aortique iatrogène le 11.04.19 • Lors de la pose d'un pacemaker pour un BAV II • Associée à une perforation pulmonaire gauche et à un pneumothorax gauche • Drainage thoracique du 11.04.19 au 14.04.19 • Thoracotomie gauche, suture de l'aorte et suture pulmonaire par le Dr. X le 11.04.19 • Hospitalisation à l'InselSpital du 11.04.19 au 16.04.19 • Perforation aortique traumatique le 11.04.2019 • Perforation de la vessie le 11/04/2019 • Status post tumeur papillaire de la vessie diagnostiquée en 2003, traitée par instillation et multiples TURV • Dernière intervention en 2015 • Suivi par Dr. X • Perforation du tympan D • DD iatrogène, sur otite ? • Perforation gastrique avec OP en urgence il y a 20 ans. • Obstruction intestinale il y a 20 ans (au Mexique). • Perforation plantaire du avant-pied gauche par un objet pointu le 20.04.2019. • Perfusion de GS 2:1 du 29.03 au 03.04.2019 • Perfusion de G10% du 13.04 au 17.04 • Pose de SNG du 13.04 au 19.04 • Alimentation par MD pour 2 repas puis Hipp • Perfusion de G5% • Perfusion de G5% • Perfusion de 20 UI de Syntocinon • Perfusion de 20UI de Syntocinon • Perfusion de 20UI de Syntocinon • Perfusion de 20UI de Syntocinon • Perfusion de 20UI de Syntocinon • Perfusion de 20UI de Syntocinon. • Pertes sanguines estimées à 600ml. • Perfusion GS 2:1 1300 ml/24h 4.04. au 5.04. • Péri-anite érosive avec suspicion de surinfection mycotique vs bactérienne. • Péri-arthrite calcifiante de l'épaule gauche. • Péricardite aiguë le 01.04.2019. • Péricardite aigüe le 01.04.2019. • Péricardite constrictive • Péricardite le 11.04.2019 • Critères: caractère de douleurs, sous-décalage PR, frottement péricardique. • Péritonite localisée sur appendicite perforée et abcédée : OP en urgences en 07.2019 • Laparoscopie exploratrice, appendicectomie (endo GIA), lavage abdominal 20 L et drainage en urgence le 06.07.2018 • Bactériologie: E. Coli, S. Anginosus • Rocéphine et Flagyl du 05.07.2018 au 10.07.2018 puis Bactrim et Flagyl jusqu'au 15.07.2018 • Avis infectiologique: switch par voie orale avec Bactrim et Flagyl pour un total de 10 jours • Péritonite purulente de quatre quadrants sur appendicite aigue perforée le 03.04.2019 • Péritonite purulente des deux quadrants sur appendicite aiguë perforée le 03.04.2019 • Péritonite purulente sur appendicite aiguë perforée le 27.03.2019 avec: • Iléus paralytique • Bactériémie à S. anginosus • Péritonite purulente sur appendicite perforée • Péritonite stercorale sur probable lâchage de l'anastomose avec pneumopéritoine • Péritonite stercorale sur probable lâchage de l'anastomose avec pneumopéritoine. • Permanence Meyriez : inhalation avec Betnesol et Ventolin • Patiente adressée aux urgences de Fribourg pour suite de prise en charge • Permanence Meyriez : inhalation avec Pulmicort, consultation du site internet Tox Zentrum • Patiente adressée aux urgences de Fribourg pour surveillance clinique • Persistance de diarrhées. • Persistance de la sinusite • Persistance de lombalgies. • Persistance d'écoulement de la plaie sur status post AMO vis syndesmotique cheville D le 05.04.2019 sur status post réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole externe/interne cheville D par plaque et vis le 08.01.2019 pour une fracture/luxation trimalléolaire cheville D type AO 43-C1 le 02.01.2019 et mise en place d'un fixateur externe le 02.01.2019. • Persistance des symptômes • Persistance d'une bronchite asthmatiforme dans le cadre d'un syndrome grippal, le 18.04.2019. • Persistance d'une odynophagie malgré antibiothérapie • Persistance rhinorrhée et céphalées • Personnels • Légionellose (anamnestique, en juin 2018, source: canalisation sur un lieu de travail, traitée et guérie) • Antécédents familiaux • Le fils de sa tante maternelle souffre d'épilepsie depuis l'âge d'environ 40 ans, • La sœur est décédée à 58 ans d'un AVC. • Perte de connaissance • Perte de connaissance. • Perte de connaissance d'origine indéterminée le 04.04.2019 • DD amnésie sur chute accidentelle, syncope, épilepsie • Perte de connaissance d'origine indéterminée • DD épisode tachycardique sur FA paroxysmale connue, épilepsie de type absence, Vaso-vagal • Perte de connaissance d'origine indéterminée le 04.04.2019 • Diagnostic différentiel: amnésie sur chute accidentelle, syncope, épilepsie • Perte de connaissance d'origine peu claire avec amnésie circonstancielle (>6h) le 27.03.2019 avec : • Chute avec traumatisme crânien simple, hématomes péri-orbitaux bilatéraux, hématomes géniculaires bilatéraux et de la main droite (DD sur orthostatisme ; vagal ; hypoglycémie, trouble du rythme) avec probable commotion cérébrale • Perte de connaissance probablement dans un contexte d'hyperventilation en octobre 2018 • Opérations aux niveaux C2, C3, C4 vers 2006 et 2008 • Prothèse au niveau du coude gauche, non datée • Fracture de la cheville droite opérée, non datée • Fracture du bassin sur AVP en 1990 • Status post ablation d'une prothèse en silastic de la tête radiale gauche avec arthrolyse du coude gauche avec synovectomie partielle, AMO d'une vis humérale gauche, reprise de transposition du nerf ulnaire gauche • Cellulite de la main droite sur piqûre d'insecte/d'araignée en 2012 • Lésion de la coiffe des rotateurs de l'épaule gauche, opérée sur accident de moto en 2004 • Proctite et anite hémorroïdaire mise en évidence lors d'une colonoscopie en 2003 • Très ancienne toxicomanie stoppée à l'âge de 19 ans • Perte de force. • Perte de force hémicorps gauche et dysarthrie • Perte de force lente et progressive des membres, en cours d'investigation : • Diagnostics différentiels : sur Létrozole, polymyalgia rheumatica atypique, autre maladie rhumatologique • Perte de liquide amniotique • Perte de poids • Perte de poids avec cachexie • Sarcopénie • Perte de poids d'origine multifactorielle avec : • Poids de 120 kg avant le bypass effectué en 2009, poids actuel de 48 kg • Trouble de l'adaptation avec réaction mixte anxieuse et dépressive. • Syndrome de dépendance aux opiacés • Syndrome de fibromyalgie • Perte de poids d'origine peu claire avec symptôme B • Gastroscopie (Dr. X) le 29.11.2018 sp • Colonoscopie (Dr. X) le 26.04.2017 sp • Perte de poids probablement dans un contexte de stress, de 7 kilos en 2 mois. • Perte de poids 10 kg en 3 mois d'origine indéterminée le 09.04.2019 • Perte de substance cornéenne le 12.12.2011. Perte de substance de la pulpe de D3 type Allen I le 28.03.2019. Perte de substance de la pulpe du pouce de la main droite sans exposition osseuse. Perte de substance d'environ 1.5 cm de diamètre à la pointe du nez sur traumatisme du 29.08.2018. Perte de substance des doigts 1, 3 et 4 de la main droite le 12.07.2016. Tendinite du tendon quadriceps gauche le 07.06.2016. Fracture du radius distal à droite non déplacée le 09.05.2014. Entorse externe de la cheville droite, de stade 1. Plaie de la pulpe du 5ème doigt de la main gauche le 15.11.2017. Perte de substance pulpaire du pouce de la main droite, pas d'exposition osseuse. Traitement par pansement occlusif. Perte de 6% tolérable et absence d'autre signe clinique. La prise alimentaire de 160ml/kg/j est satisfaisante. Suivi du poids environ tous les deux jours en tolérant des fluctuations. Consulter pédiatre si cassure marquée de la courbe, refus alimentaire, diminution des mictions, décoloration des selles. Possible composante de thermorégulation vu le poids de naissance de 10%, ajout d'huile aux soins quotidiens. Perte de 8kg en 8 ans, BMI à 14.7 le 25.03.2019. Supplémentation par Abound et SNO. Suivi nutritionnel. Perte des urines sur infiltration épidurale L5-S1 le 24.04.2018. Status post-implantation d'une prothèse totale inversée de l'épaule G sur omarthrose avec atrophie du sus-épineux après traitement d'une instabilité. Status post CRPS après cure du tunnel carpien D en 2014. Status post resurfaçage rotule, OST de la TTA par 1 vis 3,5, genou G le 11.02.2015 après. • PTG et OST de la TTA le 06.02.2013. • Status post OST valgisante tibia proximal G en octobre 2010; AMO en juin 2012. • Status post évacuation surinfection hématome jambe G avec débridement, biopsie, rinçage en novembre 2011. Perte pondérale de 10 kg en 6 mois d'origine indéterminée. Perte pondérale de 12kg en 6 mois dont 2kg les deux dernières semaines, dans le contexte oncologique. Perte pondérale de 6%. Perte pondérale de 6 kg en 2 mois d'origine indéterminée. Perte totale de réduction. Le cas a été discuté avec le Dr. X et on a réfléchi avec la patiente. On s'attend très probablement à une perte importante de flexion du poignet. Malgré cela, en raison de l'âge du patient, du taux d'activité quotidienne et des risques associés à l'intervention, il est préférable de poursuivre un traitement conservateur. Nous allons circulariser le plâtre aujourd'hui. Prochain et dernier contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Perte urinaire sans dysurie ni pollakiurie. Pertes d'urines par sonde vésicale. Pertes sanguines estimées à 1500ml. Cyklokapron, Syntocinon et Nalador. Redon de drainage intrapéritonéale. Séjour aux soins continus pendant 24h. Pertes 500cc. Thromboprophylaxie par Clexane selon schéma durant l'hospitalisation. Suite de couche. Perturbation chronique des yGT. • Stable par rapport à 2018. Perturbation des tests hépatiques d'étiologie indéterminée avec : • Gamma GT 485 U/l, LDH à 469 U/l, bilirubine directe à 5.5 umol/l. Perturbation des tests hépato-pancréatiques dans un contexte de cirrhose HBV et alcoolique Child B (US abdominal du 02.03.2019). Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée. • CT le 18.02.2019 : petite ectasie des voies biliaires. Perturbation des tests hépatiques. Perturbation des tests hépatiques avec : • Thrombopénie à 60 mg/l. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée le 12.04.2019. Perturbation des tests hépatiques d'origine médicamenteuse probable (sur AINS). DD : sarcoïdose hépatique. Perturbation des tests hépatiques en augmentation d'origine indéterminée paucisymptomatique le 21.04.2019 avec : • Gêne péri-ombilicale constante et crampes intermittentes discrètes en hypochondre droit. • S/p cholélithiase avec concréments cholédociens le 16.03.2019, ERCP avec extraction de sludge et papillotomie le 18.03.2019 et cholécystectomie laparoscopique avec cholangiographie peropératoire le 19.03.2019. Perturbation des tests hépatiques et de la crase (TP 60%) le 01.04.2019. Perturbation des tests hépatiques le 09.04.2019, DD : insuffisance cardiaque, lithiase des voies biliaires. Perturbation des tests hépatiques le 11.03.2019. • DD : d'origine médicamenteuse. Perturbation des tests hépatiques le 12.04.2019. • Avec épigastralgies. Perturbation des tests hépatiques le 19.04.2019. DD contexte septique. Perturbation des tests hépatiques le 21.02.2019. DD médicamenteux sur Paracétamol, chimiothérapie. • 21.02.19 : US abdominal avec hépatomégalie et parenchyme hyperéchogène compatible avec hépatopathie. Pas de signes de cholestase, pas de néphropathie. • Asymptomatique. Perturbation des tests hépatiques le 25.03.2019. DD cholangite, DD sur choc septique. Perturbation des tests hépatiques probablement dans le contexte infectieux le 18.04.2019. • CT abdominal 08.04.2019 : pas de dilatation des voies intra- ou extra-hépatiques. Épaississement pariétal du fond de la vésicule biliaire. • Patient asymptomatique. Perturbation des tests hépatiques probablement sur bas débit. Perturbation des tests hépatiques sous Imurek en 2001. Cystoscopie normale en 2001 (hématurie microscopique). Traumatisme crânien simple en 2012 en décembre 2015. PTG D en 2001. Cure de varices bilatérales en 1991. Cure de hernie discale L5-S1 en 1984. Hystéropexie et opération pour kystes ovariens et des seins en 1978. Status post phakectomie bilatérale. Status post appendicectomie dans l'enfance. Fracture sous-capitale 3 parts de l'humérus D avec réduction ouverte et ostéosynthèse en 2014. Algodystrophie pied gauche traitée par Calcitonine en 1991-1993. Perturbation des tests hépatiques sur infiltration tumorale le 25.02.2019. Perturbation test hépatique. DD alcoolique. Perturbation test hépatique. DD foie de stase. DD alcoolique. Perturbations de la crase le 01.04.2019. • Contexte de traitement de Sintrom pour FA paroxystique. • INR labile. • Absence d'insuffisance hépatique. Perturbations des tests hépatiques à prédominance de cytolyse le 13.04.2019. • DD : foie de stase, embole d'origine cardiaque, emboles septiques (à point de départ digestif ?). Perturbations des tests hépatiques d'origine indéterminée. DD : virale, médicamenteuse. Perturbations des tests hépatiques d'origine indéterminée le 12.04.2019. DD : stéatose hépatique. Perturbations des tests hépatiques probablement sur foie de stase. Pes adductus à D, réductible. Pes adductus bilatéraux modérés, plus prononcé à G. Pes plano valgus bilatéral associé à une faiblesse de l'extenseur digitorum communis du pied gauche. Pes plano valgus bilatéral avec élargissement de l'avant-pied, hyper appui au 5ème et au 1er rayons. Status post plastie en Z d'allongement du tendon du long extenseur et release capsulaire du 2ème orteil du pied G le 29.01.2019. Status post hyperextension de l'articulation métatarsophalangienne sur : • Status post cure d'orteil 2 en marteau par arthrodèse Pip tree pied G le 07.08.2018. Pesée des tétées par sage-femme +/- complément lait artificiel. PET CT le 11.04.2019 : Absence de lésion suspecte. Absence d'image d'hypercaptation pathologique nette en faveur d'une éventuelle lésion tumorale maligne primitive. Absence d'hypercaptation suspecte, pariétale vasculaire, en faveur d'une éventuelle atteinte inflammatoire de type vasculitique. Mise en évidence d'une légère hypercaptation musculaire para-vertébrale, thoracique, symétrique, évoquant plutôt des contractures.PET-CT et rectoscopie • Présentation au tumor Board PET-CT le 01.04.2019 : Aspect irrégulier avec épaississement nodulaire / papillaire de la paroi latérale droite de la vessie. Présence de ganglions augmentés en taille et en nombre dans le médiastin, et dans le creux axillaire droit, aspécifiques. Mise en évidence d'une hypercaptation hétérogène et diffuse du squelette correspondant à des métastases du carcinome urothélial connu. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de malignité aux niveaux ganglionnaire, pulmonaire, hépatique et splénique. CT-scan cérébral le 08.04.2019 : Absence d'argument en faveur d'une lésion ischémique. Hématome sous-dural d'aspect aigu à subaigu fronto-pariétal droit mesurant 2 mm d'épaisseur maximale. Élargissement des espaces extra-axiaux en région fronto-pariétale gauche à contenu hypodense (DD : hématome sous-dural chronique ? Hygrome ?). IRM cérébrale le 09.04.2019 : Pas d'AVC ischémique ou hémorragique. Épaississement pachyméningé diffus plus marqué au regard de l'hémiconvexité droite pouvant rentrer dans le contexte d'une origine métastatique au vu des antécédents du patient (DD : s/p ponction lombaire ?). Petit hématome sous-dural de la région temporale droite. Hygrome sous-dural gauche PET-CT le 15.04.2019 Colonoscopie le 17.04.2019 Discussion du cas au colloque interdisciplinaire le 17.04.2019 PET-CT le 23.04.19 Compléments d'analyse sur biopsies (envoyées à Bâle pour examens NGS) en cours Avis oncologique (Dr. X / Dr. X) : Ad PET-CT, ad anti-coagulation thérapeutique 3 mois avec chimio néo-adjuvante (down-staging) puis opération. Pas d'IRM actuellement, mais à 3 mois avant la résection. Tumorboard du 17.04.19 Rendez-vous le 29.04.2019 en oncologie chez Dr. X pour la suite de prise en charge Régulation transit avec laxatifs PET-CT le 28.03.2019 Suivi par Dr. X Traitement à prévoir à la suite du traitement pour la leucémie PET-CT prévu le 01.07.2019 suivi de consultation chez Dr. X Pétéchies sur effort de toux Petit lavement aux urgences. Consilium chirurgical (Dr. X). • Poursuite laxatif et crème anesthésique. • Consultation à distance en proctologie. Petit lavement FRECA avec reprise immédiate du transit. Retour à domicile avec traitement par Movicol en réserve et consignes de bien s'hydrater. Petit nodule de 6 mm du segment postéro-basal du lobe inférieur droit connu depuis 2011 Petite déhiscence de 2 mm au niveau du tiers moyen de la cicatrice de la malléole externe. Retard de consolidation sur status post réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole externe cheville D par plaque Tiers tube LCP 3,5, 5 trous, le 08.02.2019 pour fracture/luxation trimalléolaire de la cheville D le 05.02.2019 avec fracture type Weber B malléole externe, fracture du Volkmann non déplacé, lésion du ligament deltoïde. Petite hernie cicatricielle épigastrique de laparotomie médiane asymptomatique Hypertension artérielle Diabète type II non insulino-requérant Gonarthrose bilatérale Petite lésion transfixiante des parties antérieures du sus-épineux de l'épaule gauche. Petits boutons secs sur les avants-bras et l'intérieur des cuisses depuis 10 jours. PET-scan le 08.04.2019 à 09h30 - HFR Fribourg Consultation en pneumologie avec EFR complètes le 18.04.2019 à 10h00 - HFR Fribourg Peu d'arguments pour allergie à l'amoxicilline car non urticarien Contrôle à 24 heures aux Fast-Track Peu d'arguments cliniques ou à l'anamnèse pour cause cardiaque, pulmonaire ou pariétale ECG Examen clinique Algifor aux urgences avec amendement des douleurs Reconsultation au besoin Pevaryl. Pévaryl crème Pevaryl crème du 15.04. au Pevaryl poudre du 06.03 au 12.03.2019 Pévaryl poudre puis Multilind pâte curative Pharyngite Pharyngite. Pharyngite à streptocoque le 01.04.2019. Pharyngite aiguë d'origine probablement virale, avec : Pharyngite bactérienne le plus probable le 16.04.2019. • Antécédents d'angine à streptocoques en janvier 2019. Pharyngite dans le cadre d'une infection des voies aériennes supérieures Pharyngite de probable origine virale. Pharyngite d'origine probablement virale le 17.06.2015. Pharyngite d'origine virale probable, le 02.06.2012. Intoxication OH le 31.08.2014, avec • 2.05 %0 d'alcoolémie Pharyngite virale le 30.03.2018. Pharyngite, le 30.05.2017. Douleurs musculo-squelettique sus-scapulaire le 28.05.2018. Pharyngite probablement bactérienne 19.04.2019. Pharyngite probablement virale le 30.04.2019. Pharyngite virale. Pharyngite virale le 15.04.2019. Pharyngite virale le 28.04.2019. Pharyngo-amygdalite Pharyngo-amygdalite probablement d'origine virale. Pharyngo-amygdalites récidivantes (3-4 épisodes par année selon Mme. Y). Présence d'un possible condylome acuminé au niveau de l'arc palato-pharyngé droit entre l'uvula et l'amygdale droite. Contrôle ORL : confirmation diagnostique, exclusion d'une papillomatose pharyngo-laryngée sur infection HPV. Pharyngo-Laryngite sub-aiguë. Phimosis important, insondable et indécalotable, le 13.03.2019 Phlébite au bras droit après pose de KCL IV le 20.03.2019 Phlébite du membre supérieur droit le 26.04.2019 Phlébite MI gauche le 25.04.2019 • Sur pose de VVP Phlébite superficielle des membres inférieurs. Suspicion de gastro-entérite le 31.10.2016. Phlébites sur voie veineuse périphérique les 13 et 14.04.2019 • Phlegmon amygdalien droit à streptocoques le 04.11.2018. • Gastro-entérite aiguë le 02.03.2019. • Phlegmon de la gaine des fléchisseurs du 5ème doigt droit sur morsure de chat, face palmaire en regard de P2 du 5ème rayon le 07.04.2019. • Phlegmon de la gaine des fléchisseurs sur morsure de chat, face palmaire P2 Dig V main D le 07.04.2019. • Phlegmon de la main droite subaiguë avec choc septique débutant sur porte d'entrée cutanée le 08.04.19. • Phlegmon de 2x2x2 cm scrotum à gauche, le 27.03.2019. • Phlegmon de 2x2x2 cm sur la fesse gauche le 27.03.2019. • Phlegmon para-amygdalien gauche le 28.04.2019. • Phlegmon péri-amygdalien gauche le 20.04.19. • Phlegmon rétrocaecal contenu probablement sur appendicite rétrocaecale perforée. DD : iléo-colite surinfectée. • Phlyctène avant-bras gauche le 29.03.2019. • Phlyctène face antéro-latérale cheville G. • Phlyctène hémorragique cuisse droite, le 03.04.2019. • Phlyctène infectée sur le moignon distal de l'index de la main D sur statut post-amputation partielle de la phalange distale sur ostéomyélite sévère avec un abcès au niveau de la phalange à staph. aureus le 27.11.2018. • Phlyctène jambe distal G face interne. • Phlyctène région plantaire du pied gauche. • Phlyctènes post-opératoires bilatérales des avant-bras le 28.03.2019. • Phobie des aiguilles (DD : PTSD) empêchant des prises de sang veineuses, sans MEOPA ou sédation. • Phosphate sandoz 500 mg 2 cpr p.o. aux urgences. • Photos n. 104-3863, 104-3853, 104-3852, 104-3847, 104-3848, 104-3846. • Photothérapie du 18.04 - 21.04. • Photothérapie durant 16 heures (25.01-26.01). Dernier taux de bilirubine à 207 umol/l le 27.01. Prochain contrôle demain par la sage-femme. • Photothérapie durant 24 heures (23.01 au 24.01). • Photothérapie 20.04 au 21.04. • Photothérapie 21.03 - 22.03. Bilirubine sanguine. Coombs et Groupe sanguin. • Physio- et ergothérapie intensive. - pas de port de charges lourdes pendant 4 semaines postopératoires. Adaptation de l'antalgie. - Dafalgan, Novalgine, Oxycontin et Oxynorm. - introduction de Pregabalin 50 mg 2x/j dès le 01.04.2019, majoré à 100 mg 2x/j le 12.04.2019, rediminuer à 50 mg 2x/j à la sortie sur souhait de la patiente. - Oxycontin arrêté à la sortie selon souhait de la patiente. Prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg 1x/j jusqu'au 15.04.2019. Ablation des fils le 29.03.2019. • Physio- et ergothérapie. Adaptation de l'antalgie. - majoration du Prégabalin. • Physio- et ergothérapie. Adaptation de l'antalgie. Prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg/j jusqu'au 20.03.2019. Contrôle ORL chez le Dr. X le 01.04.2019 : évolution satisfaisante, adaptation d'une nouvelle prothèse dentaire prévue le 08.04.2019. Evaluation gériatrique multimodale. • Physio- et ergothérapie. Antalgie et surveillance clinique. Substitution en Vitamine D. • Physio- et ergothérapie. Charge partielle 15 kg et thromboprophylaxie pour 6 semaines postopératoires, pas de flexion hanche >70°, pas d'adduction ou abduction contre résistance, mouvements rotatoires à éviter jusqu'au 23.04.19. RDV de contrôle post-opératoire à 23.04 à 10h (orthopédie, HFR Fribourg). • Physio- et ergothérapie. Laboratoire. Test Schellong : négatif. • Physio- et ergothérapies avec charge selon douleur. Adaptation de l'analgésie. Anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg/j puis Xarelto 10 mg/j jusqu'au 11.04.2019. Rendez-vous de contrôle le 29.04.2019 à la Clinique Générale de Fribourg. • Physio- et ergothérapies. Test de Schellong en 04/2019 : négatif. Adaptation de l'antalgie. Contrôle ORL chez Dr. X le 08.04.2019 : adaptation d'une prothèse dentaire, Mr. Y peut alors tout manger sauf les aliments durs. • Physio- et ergothérapie. Suivi diététique. • Physio- et ergothérapie. Suivi diététique. Bilan laboratoire. Substitution vitaminique. • Physio et ergothérapie. Test de Schellong le 25.03.2019 : négatif. Vitamine B12, B9 : valeurs normales. Pallesthésie : 4/8 aux genoux bilatéral, 2/8 aux chevilles et hallux bilatéral. Substitution orale de Vitamine D. • Physio/massage. Suivi chez médecin traitant selon évolution. • Physiothérapie. • Physiothérapie à domicile en ambulatoire. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Suivi de la tension artérielle cible < 130/80 mmHg. Pister les résultats du Holter de 72h. Contrôle en team "Spine" avec CT cérébral natif prévu le 09.05.2019 à 11h00. Contrôle en ORL pour suivi des vertiges et US parotidien D post-sialadénite prévu le 16.05.2019 à 08h. Pas de conduite jusqu'à la consultation de contrôle le 07.08.2019. Consultation neurovasculaire de contrôle le 07.08.2019. • Physiothérapie à domicile. Suivi du poids 1x/j. Veiller à une bonne hydratation per os. Contrôle à votre consultation la semaine suivant la sortie. • Physiothérapie à poursuivre en ambulatoire. Réévaluation en neuropédiatrie. Code AI 395. • Physiothérapie ambulatoire domicile. Spitex 1x/j pour bandage de la jambe droite. Contrôle radioclinique chez Dr. X le 13.05.2019. • Physiothérapie ambulatoire. Contrôle orthopédique chez Dr. X le 18.04.2019 à 09h00 (HFR Fribourg). • Physiothérapie ambulatoire. Contrôle radioclinique chez Dr. X le 22.05.2019 (neurochirurgie Inselspital). • Physiothérapie ambulatoire. Contrôle radioclinique 6 semaines postopératoires chez Prof. X le 29.04.2019 à 09h00. • Physiothérapie ambulatoire. Contrôle radiologique à la clinique Beau-Site le 28.05.2019. Contrôle d'hémoglobine et des tests thyroïdiens à distance. • Physiothérapie ambulatoire. Prévoir DEXA et traitement par Biphosphonates par le médecin traitant en ambulatoire. Contrôle radiologique et consultation orthopédique à l'HFR Fribourg le 25.04.2019 à 08h45. • Physiothérapie. Antalgie. • Physiothérapie. Augmentation des amplitudes articulaires. Traitement anti-inflammatoire pour 2 à 3 semaines. La variante ulna plus marquée pourrait créer des problèmes par la suite mais il s'agit d'une déformation préexistante. Je revois Mr. Y dans 6 semaines. • Physiothérapie avec mobilisation libre sans charge. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Reprise du travail à 100% dès le 29.04.2019. • Physiothérapie avec programme San-Antonio ultrason. Anti-inflammatoire. Il faut principalement adapter les entraînements et l'activité. L'entraîneur sur place est peu conciliant et a plutôt tendance à pousser au maximum mais Mme. Y connaît ses limites. Elle doit les respecter. Je remets une dispense pour la surcharge au niveau du membre supérieur droit pour 4 semaines. Elle aura dans le courant du mois de mai une manche des championnats Suisses pendant une journée et la prochaine étant au mois de juin. Elle est tranquille du point de vue des championnats du monde pour cette année. • Physiothérapie de mobilisation. • Physiothérapie de mobilisation. • Physiothérapie de mobilisation. • Physiothérapie de mobilisation. • Physiothérapie de mobilisation en charge selon douleurs. Antalgie. • Physiothérapie de mobilisation. Tapis-sonnette la nuit vu le risque de chute élevé. • Physiothérapie de mobilisation. Test de Schellong le 12.04.2019 : arrêt prématurément car symptomatique au lever.Bas de contention dès le 13.04.2019 Physiothérapie de renforcement des abducteurs. Prochain contrôle le 09.07.2019. • Physiothérapie, école du dos • Diminution au fil des jours du Brufen, selon douleurs • Rendez-vous en rhumatologie prévu • Sérologie de Lyme à 1 mois Physiothérapie en ambulatoire Physiothérapie en ambulatoire pour renforcer la marche Contrôle clinique à votre consultation le 26.04.2019 Poursuite du suivi pédopsychologique avec Mme. Y Physiothérapie en ambulatoire. Rendez-vous de contrôle à votre consultation. Contrôle radiologique pour s'assurer de la bonne évolution de l'atélectasie. +/- CT thoracique pour trouver l'étiologie de l'atélectasie si persistance. Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Bilan cognitif : MMSE à 29/30, test de la montre à 2/7 ; échelle gériatrique de dépression à 1/5 Physiothérapie Ergothérapie Nutrition clinique Marche en charge selon douleurs, à l'aide de deux cannes anglaises pendant 6 semaines Pas de flexion de la hanche au-delà de 70°, pas de mouvements rotatoires de la hanche Contrôles réguliers de la plaie à travers le pansement Comfeel et ablation des fils de suture le 04.04.2019 Prophylaxie thromboembolique par Clexane selon schéma orthopédique, suivie par Xarelto à la sortie de l'hôpital, pour une durée de 6 semaines. Contrôle à la consultation ambulatoire de Dr. X le 03.05.2019 à 10h30 Physiothérapie et ergothérapie Adaptation de l'antalgie Physiothérapie et ergothérapie Suivi diététique Adaptation de l'antalgie Physiothérapie et ergothérapie. Traitement anti-inflammatoire. Contrôle radioclinique à 6 semaines. Physiothérapie et ergothérapie Adaptation de l'antalgie Contrôle radiologique prévu le 28.05.2019 Physiothérapie et ergothérapie Atorvastatin est remplacé par Pravastatin le 03.04.2019 Aspirine 100 mg (à vie Brilique) 90 mg 2x/j pendant 12 mois, reste du traitement inchangé MMS 30/30, Clocktest 5/6, GDS 2/15 Physiothérapie et ergothérapie Laxatifs et suivi transit Physiothérapie et ergothérapie Soins cutanés Pose d'une sonde urinaire le 29.03.2019 Physiothérapie et suivi clinique Physiothérapie intense VNI x 2/j Physiothérapie intensive de mobilisation Physiothérapie intensive de mobilisation et respiratoire Demande de réadaptation en neurologie intensive soumise à Dr. X le 28.03.2019 Physiothérapie intensive de mobilisation Demande de réadaptation en neurologie intensive soumise à Dr. X le 28.03.2019 Physiothérapie intensive par physiothérapeute du sport jusqu'à mi-mars 2019 avec évolution favorable. Physiothérapie intensive Vitamine B1 et B6 dans la norme Bonne évolution clinique avec physiothérapie et ergothérapie Suite de prise en charge ambulatoire à Dr. X Physiothérapie. Laboratoire. Physiothérapie. Nous la reverrons pour un contrôle clinique à 6 semaines de la lésion soit le 13.05.2019. Physiothérapie ORL Ergothérapie Physiothérapie pour évaluation risque de chute : marche avec sa canne lentement avec un léger risque de chute, sécuritaire avec un rolator à roulettes comme à domicile Physiothérapie pour réduire la condition inflammatoire au niveau du muscle de la cuisse. Marche en charge complète. Contrôle dans une semaine chez le médecin traitant. Physiothérapie respiratoire Physiothérapie respiratoire. Physiothérapie respiratoire à poursuivre Biopsie de moelle osseuse en cours d'analyse Echocardiographie transoesophagienne à discuter selon évolution du syndrome inflammatoire et résultat des hémocultures Adaptation de l'antibiothérapie : stop en principe le 29.04.2019 Physiothérapie respiratoire du 25 au 26.04.2019 Physiothérapie respiratoire en ambulatoire (+/- physiothérapie ambulatoire à l'HFR Billens dès ouverture du programme ambulatoire en 06.2019) Suivi chez Dr. X et discuter de la reprise d'un traitement pour le Churg-Strauss prévue en 05.2019. Physiothérapie respiratoire Suivi clinique Physiothérapie sous forme de renforcement des abducteurs et prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. Physiothérapie 2x/j Réadaptation à Billens dès le 23.04.19 Physiothérapie Adaptation de l'antalgie Physiothérapie Adaptation traitement Suivi du poids Physiothérapie Antalgie Physiothérapie Avis neurologique le 11.04.2019 par le Dr. X (rapport oral) : ENMG comparable à celui de 2018 avec atteinte myogène et neurogène de la musculature proximale du MIG (MID non testé car s/p biopsie). Attente des résultats de la biopsie, pas d'autre investigation pour le moment Biopsie musculaire le 10.04.2019 par Dr. X Physiothérapie Avis orthopédique Radiographie du genou du 15.04.2019 Attitude : • Rendez-vous de contrôle à la consultation Dr. X le mardi 30.04.2019 à 15h45 (radiographies envoyées par CD) Physiothérapie. Bandage des membres inférieurs Diminution des traitements hypotenseurs Physiothérapie Consilium neurologique le 25.04.2019 Merci d'organiser un bilan neuropsychologique à distance Physiothérapie Consultation angiologique le 15.04.2019 : rapport en cours Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Rendez-vous à la consultation des chefs de clinique de chirurgie prévue le 11.04.2019 à 8h30 (HFR Fribourg - Hôpital cantonal) Test de la cognition du 14.03.2019 : MMS à 27/30, test de la montre à 3/7 ; GDS à 3/15 Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Scores de Cushman avec Séresta en réserve Supplémentation : Bécozyme et Bénerva Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Test de la cognition du 04.03.2019 (lettre n°1, séjour gériatrie aiguë) : MMSE 23/30, Test de la montre à 5/7 ; GDS 5/13 Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Tests de la cognition du 25.02.2019 : MMSE à 28/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 5/15 Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Mobilisation en charge partielle de 15kg, pas de flexion hanche supérieure à 70°, pas d'adduction ou abduction contre résistance, mouvements rotatoires à éviter, ceci pour 6 semaines ; après nouvel avis Dr. X, charge selon douleurs acceptée au vu de la situation globale Contrôles de plaie Contrôle radio-clinique à la consultation ambulatoire de Dr. X le 02.05.2019 à 13h Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Tests cognitifs du 13.03.2019 : MMSE à 25/30, test de la montre à 5/7 ; GDS à 0/15 Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Tests de la cognition du 04.02.2019 (séjour précédent en gériatrie aiguë HFR Riaz) : MMSE à 17/30, test de la montre à 3/7 ; GDS à 2/15 Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Tests de la cognition du 13.03.2019 (lettre n°1) : MMSE à 25/30, test de la montre à 5/7 ; GDS à 0/15 Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Tests de la cognition du 16.03.2019 : MMSE à 30/30, test de la montre à 4/7 ; GDS à 0/15 Physiothérapie Ergothérapie Suivi nutritionnel Test de Schellong Substitution vitaminique Physiothérapie Ergothérapie Suivi nutritionnel Tests de la cognition du 13.03.2019 : MMSE à 16/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 3/15 Bilan neuropsychologique le 21.03.2019 IRM cérébrale le 25.03.2019 Physiothérapie Evaluation durant hospitalisation Physiothérapie. Flector-patch Arrêt de travail. Physiothérapie Logopédie Bilan neuropsychologique CT cérébral de contrôle à 6 semaines avec Dr. X - CT cérébral réalisé le 25.03.2019 à l'HFR, images paxées au CHUV, RDV le 29.03.2019, transport organisé Physiothérapie. Marche en charge selon tolérance avec abandon progressif des cannes. Prochain contrôle dans 3 mois à la consultation de Dr. X. Physiothérapie Substitution vitaminique Physiothérapie Substitutions électrolytiques et vitaminiquesAdaptation insulinothérapie • Physiothérapie • Supplémentation en vitamine D • Physiothérapie • Supplémentation en vitamine D • Moyen auxiliaire • Physiothérapie. • Traitement de la coiffe avec renforcement du deltoïde. • Physiothérapie. • Transfert en réadaptation gériatrique. Pic de CK à 20 000 le 19.12.2018 Hydratation agressive Bicarbonate de Sodium 8% 100 ml le 18.12.2018 et 19.12.2018 Pic fébrile d'origine inconnue le 04.04.2019 dd paranéoplasique Pic fébrile isolé le 10.04.2019 d'origine indéterminée DD: gastro-entérite Pic fébrile le 17 et le 18.04.19 • avec syndrome inflammatoire • sans foyer clinique retrouvé DD: origine digestive Pic hypertensif. Pic hypertensif. Pic hypertensif. Pic hypertensif. Pic hypertensif. Pic hypertensif. Pic hypertensif. Pic hypertensif le 23.04.2019 • avec mouvement enzymatique secondaire • avec crise de panique associée Pic hypertensif à 150/104 mmHg avec palpitations le 04.04.2019. Pic hypertensif à 200 mmHg de systole le 20.04.2019 et le 22.04.2019 • sensations d'oppression thoracique Pic hypertensif à 206/105 Pic hypertensif à 208/74 mmHg le 01.04.2019 sur: • HTA traitée Pic hypertensif après AVP Pic hypertensif asymptomatique avec TAs > 200 mmHg Pic hypertensif asymptomatique le 08.04.2019 Pic hypertensif avec sentiment de mal-être 07.04.2019. • sur hypertension artérielle mal contrôlée. Pic hypertensif avec TA systolique à 200 mmHg asymptomatique le 01.12.2018 Pneumonie basale G le 17.02.2017 Chute d'origine peu claire avec traumatisme crânien et hématome en monocle D le 18.03.2015 Thrombo-endartériectomie de la bifurcation carotidienne G en avril 2010 (Dr. X) Excision d'un mélanome au niveau de la joue G en août 2005, avec ré-excision en janvier 2006 (Dr. X) Thrombo-endartériectomie de la bifurcation carotidienne G en février 1998 (CHUV) Rash cutané érythémateux prurigineux non papulaire dans le dos sur tout le flanc G, suite à l'application de Sportusal Cure de varices non datée Cholécystectomie en 1964 Opération des végétations en 1946 Appendicectomie en 1938 Pic hypertensif dans le cadre d'hypertension artérielle connue le 13.04.2019 Pic hypertensif dans le cadre d'une hypertension artérielle traitée le 20.04.2019. Pic hypertensif le 02.04.2019: • avec hypertension artérielle traitée Pic hypertensif le 07.04.2019 avec: • douleurs thoraciques. Pic hypertensif le 09.10.2017 dans un contexte d'HTA sous quadrithérapie avec sténose de l'artère rénale Douleurs angineuses sur pic hypertensif le 28.12.2018 dans un contexte d'anxiété importante et arrêt des traitements anti-anxieux. Probable bronchite asthmatiforme le 28.12.2018 Maladie bitronculaire avec NSTEMI sur pic hypertensif en 2017 Pic hypertensif le 12.04.2109 : • S/p mesurée à 216 mmHg de systole en cardiologie • pose de Patch Nitroderm en cardiologie Pic hypertensif le 12.04.2109 : • TA systolique mesurée à 216 mmHg en cardiologie • pose de Patch Nitroderm en cardiologie Pic hypertensif le 23.09.2015 Pic hypertensif le 23.09.2015 Laboratoire Rx thorax le 24.09.2015 Introduction amlodipine Hyponatrémie normoosmolaire le 23.09.2015 • DD: sur prise de diurétique Stop Coversum combi Introduction Coversum Pic hypertensif sur prise de Neocitran. Pic hypertensif sur stress psychique Pic hypertensif symptomatique, le 11.04.2019. Pic hypertensif symptomatique, le 18.04.2019 • hypertension connue depuis 20 ans, traitée par Diovan 80. Pic hypertensif symptomatique le 20.10.2016 Status post carcinome mammaire gauche en 2003 traité par tumorectomie et radiothérapie et curage ganglionnaire (2003). Tachy-arythmie supraventriculaire en rapport avec une hyperthyroïdie. Vertiges paroxystiques positionnels bénins (cupulolithiase à droite). Pseudohyponatrémie le 30.06.2018: • dans contexte de hyperprotéinémie Status post-opération de hallux valgus bilatéral Status post-opération de varices au membre inférieur droit Status post-opération de la mâchoire. FA rapide stable le 30.06.18: • DD: sur hyperthyroïdie • CHADS-VASc : 5 points potentiellement 6 (vasculopathie +/-) Pic hypertensif symptomatique le 20.10.2016. Status post carcinome mammaire gauche en 2003 traité par tumorectomie et radiothérapie et curage ganglionnaire (2003). Tachy-arythmie supraventriculaire en rapport avec une hyperthyroïdie. Vertiges paroxystiques positionnels bénins (cupulolithiase à droite). Pseudohyponatrémie le 30.06.2018: • dans contexte de hyperprotéinémie. Status post-opération de hallux valgus bilatéral. Status post-opération de varices au membre inférieur droit. Status post-opération de la mâchoire. FA rapide stable le 30.06.18: • DD: sur hyperthyroïdie. • CHADS-VASc : 5 points potentiellement 6 (vasculopathie +/-). Pic hypertensif symptomatique le 20.10.2016. Status post carcinome mammaire gauche en 2003 traité par tumorectomie et radiothérapie et curage ganglionnaire (2003). Tachy-arythmie supraventriculaire en rapport avec une hyperthyroïdie. Vertiges paroxystiques positionnels bénins (cupulolithiase à droite). Pseudo-hyponatrémie dans un contexte d'hyperprotéinémie le 30.06.2018. Status post-opération de hallux valgus bilatéral. Status post-opération de varices au membre inférieur droit. Status post-opération de la mâchoire. Fibrillation auriculaire rapide stable le 30.06.2018 avec: • Diagnostic différentiel: sur hyperthyroïdie. • CHADS-VASc: 5 points potentiellement 6 (vasculopathie +/-). Pic hypertensif symptomatique le 21.04.2019. Pic hypertensif symptomatique. Douleur rétrosternale d'origine pariétale le 18.04.19. Pic hypertensif symptomatique Douleur rétrosternales d'origine pariétale le 18.04.19 Pic hypertensif symptomatique Douleur rétrosternales d'origine pariétale le 18.04.19 Laboratoire: troponine H0, H1 ECG Radiographie du thorax Pick Flow: 68% du prédit. 80% du prédit post bronchodilatation par Atrovent/Ventolin. Retour à domicile avec Paracétamol et Ventolin en réserve. Stop Ibuprofen au vu de l'état infectieux. Critère de reconsultation expliqué. Pics fébriles à 39.4°C d'origine indéterminée avec: • CRP 303 mg/l, Lc 11.2 G/l DD sinusite Pics fébriles et dégradation de l'état général Pics fébriles et dégradation de l'état général sur pneumopathie • Possiblement à méthotrexate • Probable surinfection à Pneumocystis Jirovecii PID à chlamydia • test de grossesse urinaire négatif. PID avec douleurs en fosse iliaque droite. Pied adductus redressable. Pied bot à droite avec actuellement une tendance aux pieds plats bilatéraux. Pied bot à G, type 3 actuellement avec une tendance aux pieds plats. Status post ténotomie du tendon d'Achille le 20.12.2011. Pied D en équin sur status post rétraction tendineuse dans l'enfance avec injection de Botox Pied D et G f/p/o en charge : cf diagnostic. Pied de Charcot à G, niveau zone 2 et 3. Status post dermohypodermite sévère du membre inférieur G avec bactériémie à strept. pyogenes le 4.8.2016, porte d'entrée sur plaie malléolaire interne G. Pied de Charcot droit avec destruction osseuse articulaire essentiellement métatarso-métatarsienne du 1er rayon, • déformation présente depuis 2 mois selon le patient. Pied D: • entorse de Chopart cheville D le 27.11.2018 avec arrachement du ligament calcanéo-cuboïdien. • entorse stade II de la cheville droite le 11.9.2018. Pied G: • Tendinopathie post-traumatique des péroniers G. • entorse de Chopart et de Lisfranc pied gauche avec arrachement du calcanéum et du cuboïde le 11.9.2018. Pied plano valgus à G, réductible avec syndrome du sinus du tarse. Pied plano valgus ddc, avec prédominance à G, complètement réductible. Pied plano valgus ddc, plus important à D, asymptomatique chez une patiente avec maladie de Parkinson. Pied plat des deux côtés (G>D). Polyarthrose dégénérative lombaire. Pied plat valgus fixé à G sur coalition talo-calcanéenne. Pied tombant à D sur status post • Section traumatique de la veine fémorale superficielle, du nerf sciatique poplité externe et du muscle vaste médial en avril 1994. Pied tombant droit avec hypoesthésie du membre inférieur droit le 09.04.2019. Pied-main-bouche. Pieds creux bilatéraux avec rétraction des gastrocnémiens. Récidive de mal-perforant plantaire au niveau de la tête du premier métatarsien du pied G sus status post greffe de Tiersch pied G le 17.07.2018. Status post débridement de plaie au Versajet et mise en place d'un VAC le 15.06.2018 sur ulcère chronique du pied G en regard de l'articulation MTP 1er rayon G. Status post greffe de Tiersch sur plaie chronique pied G le 03.07.2018. Pieds creux. Métatarsalgies II à IV pied G. Fascéite plantaire du pied gauche. Douleurs neuropathiques nerf tibial et peroneus communis du pied G. Récidive d'un syndrome de tunnel tarsien G. Syndrome du piriforme de la hanche droite. Syndrome fémoro-patellaire du genou droit. Status post cure de récidive d'un syndrome du tunnel tarsien à gauche le 7.2.2017. Pieds en équino varus partiellement réductibles ddc, plus marqué à G qu'à D, probablement positionnels. Pieds plano valgus ddc, un peu plus prononcé à D. Pieds plats bilatéraux réductibles, plus marqué à gauche qu'à droite. Pieds plats flexibles ddc. Hallux valgus sévères ddc et symptomatiques. Pincement au niveau D2 main droite par chien inconnu le 15.04.2019. Piperacilline-Tazobactam IV du 08.04.2019 au 20.04.2019. Physiothérapie respiratoire. Piperacillin/Tazobac du 04. au 07.03.2019. Meronem du 07. au 08.03.2019. Rocéphine du 08. au 15.03.2019. Meronem du 15. au 25.03.2019. Flagyl du 08. au 25.03.2019. Cancidas du 07. au 25.03.2019. Vancomycin du 25. au 29.03.2019. Piqûre. Piqûre de guêpe surinfectée le 22.04.2019. Piqure de tique. Piqûre de tique à la jambe gauche. Piqûre de tique au niveau de la fesse. Piqûre de tique au niveau de la fesse, Mme. Y n'a pas réussi à tout enlever. inspection: légère rougeur locale autour du point de piqûre, pas de morceau de tique visible. Ok pour le MRT pour le retour à domicile de Mr. Y avec feuille d'Info tique. Piqûre de tique de >36h le 30.04.2019 avec • ablation d'une tique de 2mm au tri. • myalgies diffuses depuis 2 jours. Piqûre de tique le 17.04.2019. Piqûre de tique le 19.04.2019. Piqûre d'hyménoptère (taon) avec réaction allergique locale (2013). Entorse cheville G. Accouchement par voie basse G 3040g. Fausse couche spontanée. Hépatite B guérie. Piqûre d'insecte. Piqûres d'insectes avec: • érythème, œdème et impotence fonctionnelle, • syndrome inflammatoire, • DD: cellulite, érysipèle. pister bilan ETT. pister fct pulm? début ttt? Pister Hb glycquée. Pister les cultures de la BAL et de l'Aspiration (HFR Fribourg). Pister les cultures mycobactériennes (CHUV) dans 8 semaines. Pister les résultats d'analyse de la biopsie tissu trans muqueux (ProMed). Pister les résultats du Holter de 72 heures (026 306 20 50). Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Suivi de la tension artérielle cible < 130/80 mmHg. Suivi régulier de la fonction rénale. Mr. Y sera convoqué pour des fonctions pulmonaires complètes. Une biopsie par bronchoscopie à distance sera à réévaluer par l'équipe de pneumologie. Pas de conduite pendant 2 semaines. Consultation neurovasculaire de contrôle le 17.07 à 14h30. Pister les résultats du Holter de 72 heures. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8). Suivi de la tension artérielle cible TAS < 150. Fonction pulmonaire à organiser en ambulatoire. Pas de conduite pendant 2 semaines. Coronarographie prévue en ambulatoire à 6 semaines, Mr. Y sera convoqué. Consultation neurovasculaire et neurosonologique de contrôle le 26.07.2019 à 16h00. Pister les résultats du Holter de 72h (026 306 20 82). Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Suivi de la tension artérielle cible < 130/80 mmHg. Consultation ophtalmologique prévue le 01.05.2019 à 10h15. Pas de conduite jusqu'à réévaluation par ophtalmologue en ambulatoire. Convocation suivra pour nouvelle évaluation neuropsychologique. Consultation neurovasculaire de contrôle le 18.07.2019 à 14h30. Pister les résultats du Holter de 72h. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Suivi de la tension artérielle cible < 130/80 mmHg. Pas de conduite de véhicule jusqu'à nouvelle évaluation. Consultation neurovasculaire de contrôle à prévoir à distance. En fonction de l'évolution des troubles de la déglutition, l'indication à une PEG reste à discuter. Pister les résultats du Holter de 72h. Merci de vérifier avec Dr. X si plus d'investigations sont nécessaires au niveau cardiologique et si le suivi peut se faire par Dr. Y. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Suivi de la tension artérielle cible < 130/80 mmHg. Capacité à conduire à réévaluer. Convocation suivra pour consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois. Pister les résultats du Holter de 72h. Suivi de la tension artérielle cible < 130/80 mmHg. Pas de conduite jusqu'à évaluation ophtalmologique. Bilan ophtalmologique prévu le 07.05.2019 avec évaluation de l'aptitude à conduire. Holter de 72 heures à pister. Consultation neurovasculaire de contrôle le 07.08.2019. Pister l'IRM cérébrale, le doppler des artères pré-cérébrales et l'échocardiographie. Discussion avec l'équipe de chirurgie pour une éventuelle thrombendartériectomie. Pister résultats de Holter. Visite Dr. X à l'institution, rediscussion d'une augmentation du dosage de Valproate. Suivi syndrome inflammatoire, effectuer bilan carentiel. pister syndrome inflammatoire au laboratoire. évaluer la clinique et nécessité d'investigation. PLA refusée. PCR CMV sur urine néonatale. Placenta envoyé en anatomo-pathologie. Placard inflammatoire du bras gauche. Placenta envoyé en anatomopathologie. Plaie. Plaie. Plaie à l'arcade sourcilière droite. Plaie à l'index droit. Plaie annulaire gauche regard de P3, atteinte pulpe digitale Plaie arcade G Plaie arcade sourcilière droite. Plaie arcade sourcilière droite 2cm, bords nets superficielle Plaie arcade sourcilière gauche. Plaie arcade sourcilière gauche de 3 cm en V le 21.04.2019. Plaie arcade sourcilière gauche 5 cm le 27.04.2019. Plaie atteignant la musculature thénarienne d'environ 5 cm de long sur versant palmo-radial de la base du 1er métacarpien sans déficit neuro-vasculaire ni fonctionnel de la main gauche. Plaie au genou gauche. Plaie au genou gauche le 16.04.2019. Plaie au menton d'environ 2 cm de long. Plaie au niveau de la face médiale de l'avant-bras droit de 1 cm de long superficielle le 22.04.2019. - contrôle en filière 34 le 24.04.2019. Plaie au niveau de la face palmaire de l'interphalangienne proximale de l'index gauche le 05.04.2019. Plaie au niveau de la face plantaire du pied gauche (plaie par clou d'environ 3 cm) le 17.04.2019. Plaie au niveau de la face plantaire du pied gauche (plaie par clou d'environ 3cm) le 17.04.2019. Plaie au niveau de la lèvre supérieure externe et interne, non transfixiante Plaie au niveau de l'auriculaire de la main gauche. Plaie au niveau de l'espace inter-digital du 1er et 2ème doigts de la main gauche avec un tournevis le 17.04.2019. Plaie au niveau de l'hypothénar à gauche avec hypoesthésie Dig. 5 côté palmaire/ulnaire - Rx main ap/lat : pas de corps étranger Plaie au niveau de l'IPP dorsale le 27.04.2019. Plaie au niveau du cuir chevelu sur la zone pariétale de 5 cm de longueur le 05.04.2019. Plaie au niveau du MCP à l'index D avec section du tendon extenseur le 24.04.2019 Plaie au niveau du pouce de la main gauche. Plaie au niveau occipital. Plaie au pied gauche. Plaie aux bords irréguliers d'environ 2 cm de long, 0.3 cm de profondeur, sur la face palmaire de l'interphalangienne proximale avec perte de substance cutanée superficielle sur le bord latéral ulnaire de la plaie le 05.04.2019. Plaie avant bras droit Plaie avec atteinte de l'extenseur du 4ème doigt droit. Plaie avec corps étranger au niveau de la main gauche le 19.04.2019. Plaie avec déchirement d'ongle de l'index gauche le 21.04.2019 sans atteinte du lit capillaire unguéal. Plaie avec déchirement d'ongle DII main gauche le 21.04.2019. - sans atteinte du lit capillaire ungéal. Plaie avec déchirement d'ongle DII, main gauche, le 21.04.2019: - sans atteinte du lit capillaire unguéal. Plaie avec infection cutanée. Plaie avec perte de substance de la pulpe P2 D1 main D sur traumatisme du 15.04.2019. Plaie avec perte de substance sur le bord radial de P3 D2 gauche par écrasement avec avulsion partielle de l'ongle sur traumatisme du 23.04.2019. Plaie avec perte de substance 2x1cm au niveau de la pulpe P2 D1, main gauche le 19.04.2019. Plaie avec une perceuse au niveau d'abducteur de D2. Plaie base du 3ème doigt main gauche face palmaire de 5x1x1.5cm le 11.04.2019. Plaie buccale sur contact d'appareil dentaire Plaie calme, désinfection, ablation des fils. Plaie calme sans signe de surinfection. plaie de 15cm avec 20 points de suture et 3 points donati Inspection, nettoyage des croûtes, palpation Controle après 5 jours pour enlever les fils Plaie cheville gauche saine, bords nets Plaie chronique face plantaire de l'hallux D sur hyper-appui. Plaie superficielle face plantaire de l'hallux G sur contusion, DD hyper-appui. Plaie chronique genou G Plaie complexe face palmaire D2 main D avec arthrotomie palmaire et section complète du tendon fléchisseur profond dans la zone 1 le 24.08.2015 Dyspepsie sur gastrite à H. Pylori 09.12.2016 Crise d'angoisse 09.12.2016 Gastrite à H. Pylori le 02.09.2017 Gastro-entérite non compliquée le 05.12.2018 Plaie contuse palmaire de l'index de la main droite, en regard de la première phalange et interphalangienne proximale, atteignant le sous-cutané, sans atteinte des structures nobles. Plaie craniale supérieur superficielle bords crénelés non surinfectée Plaie croûteuse au niveau de la face intérieure de la jambe gauche, suite à un traumatisme le 28.03.2019 Plaie cuir chevelu en occipital. Polytraumatisme le 06.05.2016. Douleurs thoraciques d'origine probablement musculo-squelettique le 14.06.2016. Alcoolisation aigue le 19.06.2016. Plaie curvilinéaire de 3 cm de diamètre en dessous du genou droit. Plaie cutanée D2 main G Plaie de D main G Plaie de déchirure sur adhérence entre la collerette du gland et la base du prépuce Plaie de décubitus sur la partie latérale du talon droit Plaie de D2 de la main D avec fracture comminutive de P3, lésion de l'ongle et du lit de l'ongle. Plaie de frottement au niveau de l'hallux G. Mal perforant au niveau du talon D avec une déformation en varus et en équin neurologique sur statut post syndrome de la queue de cheval résiduel avec spondylodèse L5-S1. Status post mise à plat du kyste para-patellaire du genou gauche. Status post transfert tendineux et ostéotomie calcanéenne à droite en 2014 au HUG. Plaie de la base de la première phalange du 5ème orteil droit. Plaie de la face dorsale de Dig 1 main G en zone T2 avec section à 95% du tendon extenseur pollicis longus, le 19.03.2019 Plaie de la face dorsale de la 3ème phalange du 5ème doigt gauche avec avulsion de la moitié distale de l'ongle et de la plaie transverse du lit de l'ongle. Plaie de la face dorsale de l'index gauche en regard de l'articulation interphalangienne proximale : - sans lésions tendineuses Plaie de la face dorso-radiale de l'interphalangienne proximale du 3ème doigt de la main droite de 1cm de long, sans atteinte des structures nobles. Plaie de la face interne de la lèvre inférieure sur accident de la voie publique du 14.04.2019. Plaie de la face interne de l'avant-bras droit avec lésion vasculaire Plaie de la face palmaire de la main gauche le 15.04.2019 Plaie de la face palmaire de l'interphalangienne proximale de l'index gauche le 05.04.2019, suturée par 3 points simples d'Ethilon 4.0 le 05.04.2019. Plaie de la face palmaire de P2 D2. Plaie de la face palmaire du poignet droit. Plaie de la face palmaire du 5ème doigt, avec suture par 3 points faite le 05.04.2019. Plaie de la face plantaire du pied droit. Plaie de la face postérieure de la lèvre supérieure le 15.04.2019 Plaie de la langue de 0.5cm non transfixiante sur morsure probable Plaie de la lèvre supérieure.Plaie de la main droite. Plaie de la main droite au niveau de la projection de la base de M5. Plaie de la main gauche. Plaie de la mandibule. Plaie de la première phalange du 5ème doigt droit face latérale. Plaie de la pulpe de la 3ème phalange du 3ème doigt de la main droite avec perte de substance le 08.04.2019. Plaie de la pulpe du majeur de la main droite, le 02.04.2019. Plaie de la pulpe du 4ème doigt de la main gauche. Plaie de la pulpe majeur de la main droite, le 02.04.2019. Plaie de la pulpe majeur de la main droite le 02.04.2019. Plaie de la 2ème phalange de l'index gauche. Plaie de la 2ème phalange de l'index gauche avec petite perte de substance. Plaie de l'arcade sourcilière. Plaie de l'arcade sourcilière de 1 cm. Plaie de l'arcade sourcilière droite. Plaie de l'arcade sourcilière droite de 9 cm et plaie de 1 cm de la joue droite. Plaie de l'arcade sourcilière droite longitudinale de 2 cm. Plaie de l'arcade sourcilière gauche. Plaie de l'arcade sourcilière gauche le 24.04.2019. Plaie de l'avant-bras gauche. Plaie de l'avant-bras gauche de 4 cm x 1 cm. Dermabrasion de 4 cm x 1 cm sur l'avant-bras gauche. Plaie de l'éminence thénarde de la main gauche le 06.04.2012. Fracture Weber B de la malléole externe, cheville gauche le 27.01.2018. Réduction ouverte et ostéosynthèse par 1 vis libre corticale 3.5 mm et 1 plaque tiers tube 6 trous fixée par 5 vis corticales. Plaie de la lèvre supérieure partie cutanée D d'environ 5 mm. Plaie de l'hypothénar main gauche avec lésion du nerf digital propre de Dig V, le 06.04.2019. Plaie de l'ilion gauche. Plaie de l'index de la main gauche. Plaie de l'index droit. Plaie de l'index gauche. Plaie de l'index gauche. Plaie de l'index gauche. Plaie de l'interphalangienne proximale du 3ème doigt droit. Plaie de l'oreille droite. Plaie de pression de stade 2 de botte plâtrée fendue en résine au niveau du talon avec plaie de 3 mm de diamètre traitée par Mepilex et douleurs au niveau de la surface latérale et médiale du talon malgré le Mepilex sur statut post-fracture spiroïde tibiale droite en traitement orthopédique depuis 6 semaines. Plaie de 0.5 cm au niveau supra-auriculaire gauche. Plaie de 1 cm à la base du 4ème doigt gauche le 09.04.2019. Plaie de 1 cm de long à la face dorsale superficielle, côté dorsal et radial de la 3ème phalange du 3ème doigt à gauche. Perte de substance partielle et superficielle tangentielle de la berge radiale de l'ongle et petites griffures superficielles de la peau à la berge radiale dorsale de la 3ème phalange du 3ème doigt à gauche. Perte de substance du bout de la 3ème phalange du 4ème doigt à gauche, superficielle. Plaie de 1 cm de long x 1 mm de profondeur au niveau fronto-temporal du scalp le 16.04.2019. Plaie de 1 cm en regard de la base du 5ème métacarpien main droite sur traumatisme le 02.04.2019. Plaie de 1 cm rectiligne sous-mentonnière. Plaie de 1 cm sur la face dorso-radiale de la 1ère phalange de l'index droit le 14.04.2019. Plaie de 1 cm sur le cuir chevelu. Plaie de 1 cm sous l'arcade sourcilière droite. Plaie de 10 cm au niveau du tiers inférieur du mollet face postérieur le 13.04.2019. Plaie de 1.5 cm au niveau du menton sur chute à vélo le 19.04.2019. Plaie de 1,5 cm face palmaire 5ème rayon main droite le 30.03.2019. Plaie de 15 cm pré-tibiale droite sur chute. Plaie de 2 cm au bord inférieur gauche du menton. Plaie de 2 cm au niveau du menton. Plaie de 2 cm au niveau du menton, sur traumatisme crânien le 06.04.2019. Plaie de 2 cm au niveau pariéto-occipital par contusion crânienne le 03.04.2019. Plaie de 2 cm de long, face latéro-distale de la cuisse droite, le 17.04.2019. Plaie de 2 cm x 5 mm sur la face latérale du tibia proximal gauche. Plaie de 2 x 0,5 cm D2 main droite, le 26.04.2019. Plaie de 2-3 cm au niveau de l'arcade sourcilière gauche le 10.10.2016. Infection urinaire basse non compliquée. Plaie de 3 cm à la base du 4ème doigt main gauche le 09.04.19. Plaie de 3 cm au niveau de la pulpe de la 3ème phalange de l'index de la main gauche le 05.04.2019. Plaie de 3 cm au regard de la MCP 4 dorsale main gauche le 09.04.2019. Plaie de 3 cm base D2 main droite face palmaire le 12.04.2019. Plaie de 3 cm de long avec arrachement de l'ongle de P3 D2 main gauche par écrasement le 16.04.2019. Plaie de 3 mm de longueur au pavillon d'oreille. Plaie de 4 cm sur la face interne du tiers médial de la cuisse gauche. Plaie de 4 cm sur le nez le 22.04.2019. Plaie de 4 cm verticale, face palmaire nv 5ème métacarpien, main droite. Plaie de 2 cm verticale, face palmaire 2ème phalange D2, main droite. Plaie de 4 cm verticale, face palmaire nv 3ème métacarpo-phalangienne, main droite. Plaie de 5 cm de long x 3 mm de profondeur le 10.04.2019. Plaie de 6 cm, linéaire, sur la face dorsale de la main gauche en regard de la 3ème métacarpe. Plaie de 6 cm au niveau occipital gauche le 08.04.2019. Plaie de 7 cm de long, inter-thénarienne sur la face palmaire de la main droite de > 12h. Fracture diaphysaire spiroïde longue, déplacée, du 3ème métacarpien de la main droite. Plaie d'environ 1 cm au niveau de la phalange distale de D2 à gauche. Plaie d'environ 10 cm de longueur au niveau pariétal droit. Plaie d'environ 2 cm au niveau de la face dorsale de la main gauche. Plaie d'environ 3 mm, avec perte de substance de la pulpe du pouce gauche, le 29.03.2019. Plaie d'environ 3 mm avec perte de substance de la pulpe du pouce gauche le 29.03.2019. Plaie d'environ 5 mm de diamètre au niveau de la pulpe de la 3ème phalange du majeur droit avec mécanisme d'écrasement. Plaie dermique très superficielle de 0.1 mm de profondeur sur la face postérieure du 1/3 proximal de la cuisse gauche le 03.04.2019. Plaie des membres inférieurs. Plaie : désinfection à la Bétadine, débridement à l'aide d'une curette de la fibrine, rinçage avec du NaCl 0.9%. Attitude : • Poursuite des antibiotiques pendant 7 jours au total. • Poursuivre les douches 4 x/jour en expliquant à Mr. Y de bien rincer dans la plaie. • Prochain contrôle à 48h chez le médecin traitant. Plaie doigt III main droite. Plaie doigt IV de la main gauche. Plaie d'origine mixte artério-veineuse en regard de la malléole interne gauche. • Status post tentative d’angioplastie de la fémorale superficielle et poplitée le 28.02.2018. • Status post angioplastie de l’artère fémorale superficielle droite le 05.12.2016 et 28.09.2017 avec pose d’un stentgraft Viabahn dans l'a fémorale commune à droite. • Insuffisance veineuse chronique avec incontinence des grandes saphènes internes. • Anticoagulation par Xarelto. Plaie dorsale en aval de l'IPP au doigt V à gauche. Plaie dorsale longitudinale de l'index gauche au niveau IPP de 2 cm de longueur. Débridement, rinçage et suture par 3 points de Prolène 5.0 en anesthésie Oberst. Rappel tétanos. Otite moyenne aiguë droite. Plaie dorsale 3 cm main gauche, le 26.04.2019. Plaie du coude gauche le 24.03.2019. Plaie du crâne. Plaie du cuir chevelu. Plaie du cuir chevelu de 0.5 cm. Plaie du cuir chevelu de 2 mm. Plaie du doigt. Plaie du doigt 2 main gauche. Plaie du front. Plaie du front. Plaie du front suturable d'environ 2 cm. Plaie du genou droit. Plaie du IIème doigt main gauche. Plaie du lit de l'ongle distal de l'index droit le 27.04.2019. Plaie du menton. Plaie du menton de 5 mm de long. Suture sous anesthésie locale, sédation par Meopa, désinfection, 3 Steristrips. Plaie du menton d'environ 1.5 cm.Plaie du nez. Plaie du pavillon de l'oreille. Plaie du pied gauche. Plaie du pouce à droite. Plaie du pouce à droite avec atteinte de l'ongle le 29.04.2019. Plaie du scalp. Plaie du scalp de 2 cm. Plaie du scalp de 2 cm occipito-pariétal gauche à bords nets. Plaie du scalp de 3 cm. Plaie du sourcil gauche. Plaie du talon infectée. Plaie du tiers distal de la face médiale de la cuisse gauche sans atteinte des tissus nobles. Plaie du 3ème doigt de la main droite. Plaie d'un cm sur la pulpe latérale de la 3ème phalange du pouce droit. Plaie d'1 cm sur la face palmaire ulnaire de la 1ère phalange de l'index droit le 21.04.2019. Plaie D1 gauche. Plaie D4 main gauche. Plaie en base du pouce G sur griffure de chat le 16.04.2019. Plaie en FLAP, pointe vers distal de la pulpe du 4ème doigt de la main gauche. Plaie en U de 3 cm face dorsale main, en regard tête MC 5 D. Désinfection. AL. Exploration, rinçage. Suture 3 points cutanés Ethylon 5.0 de rapprochement. Suite prise en charge MT. Plaie en Y à la jonction des palais dur et mou, d'environ 1 x 1 x 1.5 cm. Plaie est désinfectée avec Hibidil et collée avec Dermabond. Plaie face dorsale P3 D5 G avec avulsion de la moitié distale de l'ongle et plaie transverse du lit de l'ongle. Plaie face dorso-médiale MTP 1 pied D sur: • Bulle ou cloque hémorragique sur la face dorsale de la MTP I côté médial DD granulome de fils sur status post plaie chronique bord médial hallux D. • Status post révision d'une plaie et drainage d'abcès le 05.07.2018 et 13.07.2018 pour une arthrite prothétique et ostéomyélite chronique MTP hallux droit. • Status post implantation d'une prothèse de la MTP I à droite il y a plus de 10 ans. Plaie face interne genou gauche. Plaie face médiale de la cuisse gauche. Plaie face palmaire 2ème doigt non suturable. Plaie face postérieure 1/3 proximal cuisse G, le 03.04.2019. Plaie fermée et calme de 2 cm en regard de la phalange proximale dorsale D1 droit. Plaie frontale de 2 cm de longueur. Plaie frontale de 2 cm longueur. Anesthésie locale par Emla crème. Mise en place 3 points de suture par Ethilon 5.0. Pansement Opsite spray. Contrôle chez le MT et ablations fils à J5. Plaie frontale de 5 cm. Plaie frontale droite. Plaie frontale droite de 3 cm. Plaie frontale post-traumatique. Plaie frontale rectiligne 4 cm avec légère perte de substance. Plaie fronto-pariétale gauche rectiligne de 2 cm de long superficielle. Plaie fronto-temporale droite le 27.03.2019. Plaie index. Plaie index G. Plaie infracentimétrique suturable de l'arcade sourcilière droite. Plaie interdigitale des doigts 1 et 2 à droite, face dorsale. Plaie interdigitale D2-D3 de la main gauche, de 1 cm de longueur, au milieu entre D2-D3 et vers la paume de la main. Plaie interdigitale D1-D2 face dorsale main droite suturée après lavage abondant par sérum physiologique et désinfection. Vaccination antitétanique faite et antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline pour 5 jours. Plaie interne de 8 mm lèvre inférieure sur chute à vélo le 20.04.2019. Plaie jambe gauche. Constipation. Douleurs non traumatiques du genou droit. Status post-prothèse genou gauche. Plaie labiale inférieure transfixiante non compliquée. Plaie lacéro-contuse lèvre inférieure. Plaie linéaire de la paupière gauche de 3 cm de longueur. Plaie longiligne de 1.5 cm sous-mentonnière. Plaie longitudinale de la face palmaire de la 3ème phalange de l'index gauche d'environ 4 cm de long, profonde d'environ 0.2 cm le 04.04.2019. Plaie longitudinale de 1 cm non transfixiante de la muqueuse interne de la lèvre inférieure à droite. Plaie longitudinale de 1 cm, 0.5 mm en-dessous de la lèvre inférieure à droite. Plaie longitudinale de 1 cm à la face palmaire de la main en regard du 4ème métacarpien au niveau du pli palmaire distal, main droite le 20.04.2019. Plaie longitudinale de 3 cm au niveau du menton le 20.04.2019. Plaie longitudinale de 4 cm de la face palmaire de l'avant-bras distal droit. Entorse de la cheville gauche. Plaie longitudinale en regard de la gouttière radiale, 5 cm de long en contact avec le pli de flexion palmaire du poignet gauche. Plaie longitudinale de 4 cm fronto-pariétale le 08.04.2019. Plaie longitudinale face radiale P3 Dig 5 touchant l'ongle avec atteinte de la pulpe de la main D. Plaie longitudinale 1 cm face palmaire main droite le 20.04.2019. Plaie longitudinale 2 cm au niveau du menton le 20.04.2019. Plaie longitudinale 3.5 cm au niveau de la paupière G. Plaie main. Plaie main droite. Plaie main gauche. Plaie membre inférieur gauche. Plaie menton d'environ 2 cm de long le 17.04.2019. Plaie métacarpo-phalangienne de D1 du membre supérieur gauche. Plaie millimétrique de la face latérale du doigt IV de la main gauche, le 11.04.2019. Plaie millimétrique de l'avant-bras palmaire droit. Plaie nette à la face dorso-radiale de P1 D2 de la main droite avec section partielle du tendon de l'extenseur (10%). Plaie non profonde éminence thénar face palmaire de la main D. Plaie non transfixiante de la lèvre intérieure inférieure droite de 1 cm de diamètre le 29.01.2018. Contusion de l'épaule droite et de la jambe droite suite à un accident de luge le 29.01.2018. Plaie occipitale. Plaie occipitale centrale de 0.4 cm de diamètre aspect dermabrasé. Plaie occipitale gauche contuse. Plaie occipitale gauche de 2 cm. Plaie occipitale gauche, le 19.04.2019. Plaie occipitale gauche sur chute avec traumatisme crânien sans perte de connaissance le 19.04.19 dans un contexte d'hyponatrémie et possible AIT. Plaie occipitale le 20.04.2019. Plaie occipitale milimétrique. Plaie occipitale profonde de 1 cm. Plaie occipitale suite à un traumatisme. Plaie occipitale superficielle de 2 x 1 cm le 30.03.2019. Plaie oeil droit (colle rapide, Cyanoacrylate, sur l'oeil droit). Plaie superficielle face latérale, 1/3 moyen de la jambe gauche le 18.06.2018. Plaie oncologique sur site du sein droit post-mastectomie de 2015 avec : • Divers nodules et petites plaies. • Tissu de granulation avec croûtes par endroits. Avis infirmières des plaies : Protocole tous les 2-3 jours. • Nettoyer au NaCl (tamponner). • Flammazine crème sur les lésions. • Adaptic Touch. • Compresses. • Opsite. Plaie orbitaire droite supérieure en Y de 3 cm, profonde, jusqu'à l'os. Plaie palmaire de la main gauche en zone III. Le 13.10.2016, Dr. X, Dr. X : exploration de la plaie et fermeture. Abcès sous-cutané collecté au niveau du pli inguinal gauche. Plaie palmaire de l'avant-bras distal droit chez un patient sous Marcoumar. Plaie palmaire main gauche, le 28.04.2019. Plaie par arrachement doigt II à gauche. Plaie par cisaillement de la malléole externe droite en mars 2019. Plaie par déchirure du mollet gauche côté médial le 07.05.2013, avec suture par 3 points avec Prolène 5.0 le 07.05.2013. Plaie par écharde surinfectée au niveau de la face palmaire de l'interphalangienne distale de l'index droit, avec suspicion d'arthrite septique et phlegmon de la gaine des tendons fléchisseurs chez un patient immunosupprimé (leucémie + diabète). Plaie par écrasement au niveau de la pulpe de T2 à gauche sur traumatisme le 13.04.2019. Plaie par écrasement rectiligne de 1.5 cm de la 3ème phalange du 3ème doigt gauche. Plaie par écrasement rectiligne de 2.5 cm dorso-radiale de la première phalange du 2ème doigt gauche sans atteinte des structures nobles. Plaie pariétale droite oblique, d'environ 4 cm de longueur. Plaie pariétale droite sur chute le 07.04.2019. Plaie paupière gauche. Plaie pénétrante en regard de la scapula D dorsale 3 cm de longueur. Plaie pénétrante face dorsale main D en regard de la base du 3ème métacarpe et plaie du bord latéral du 5ème métacarpe, sur morsure de chat le 20.04.2019. Plaie pénétrante face dorsale main droite, le 20.04.2019 • sur morsure de chat. Plaie perforante avec clou rouillé face plantaire 2ème orteil à droite. Plaie pied gauche. Plaie poignet gauche. Plaie poignet gauche le 01.04.2019. Plaie post opératoire de laparoscopie d'une appendicectomie avec cure d'hernie ombilicale le 14.04.2019. Plaie post traumatique temporale droite. Plaie postérieure de la lèvre supérieure le 27.04.2019. Plaie post-traumatique du menton. Plaie post-traumatique plateau tibial gauche. Plaie pouce droit. Plaie prépuce sur 0.5 cm, sur le côté droit. Plaie pré-tibiale droite de 2 cm de longueur. Plaie prétibiale droite le 01.04.2019 • status post traumatisme local 23.03.2019. Plaie pré-tibiale G, sans signes de surinfection. Plaie profonde. Plaie profonde au niveau du sourcil gauche de 2.5 cm de longueur sur traumatisme crânien, sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Plaie profonde auriculaire droite post-traumatique. Plaie profonde avec atteinte du muscle droit fémoral. Plaie profonde avec atteinte muscle fémoral gauche le 23.04.2019. Plaie profonde avec suspicion d'arthrotomie de la face latérale de la rotule de 2 cm de longueur avec bord net le 03.04.2019. Plaie profonde base 5ème doigt main gauche avec révision de plaie main gauche, rinçage et suture. OP le 27.07.2016 Cure d'un tunnel carpien bilatéral en 2016 Carcinome épidermoïde bien différencié rétro-molaire droit, opéré en 2001. Plaie profonde de la face antéro-latérale de la cuisse distale avec arthrotomie et lésion partielle (20%) du tendon quadriceps à G, le 03.04.2019. Plaie profonde de la face latérale de la jambe G avec section du tendon long fibulaire et section du muscle court fibulaire révisé et suturé au bloc en juin 2015 compliqué d'une nécrose cutanée et sous-cutanée nécessitant une réintervention avec pose de VAC en juillet 2015. Greffe de Tiersch en juillet 2015 Névrome du nerf fibulaire superficiel sur status post lambeau et couverture jambe en juillet 2015. Plaie profonde de la main droite le 08.04.2019. Plaie profonde de 0.5 cm au regard MCP II au regard radial de 3 cm de long le 22.04.2019 avec • paresthésie du D2, pas de déficit moteur. Plaie profonde de 2.5 cm de long, longitudinale, au niveau de la surface palmaire de la main gauche, en regard du 4ème rayon, 1 cm distalement du pli palmaire du poignet. Plaie profonde de 3 cm au niveau dorsal de la main gauche le 26.04.2019. Plaie profonde de 8 cm sur la face dorsale moyenne de l'avant-bras gauche sur auto-mutilation le 08.04.2019. Plaie profonde du biceps gauche le 15.04.2019. Plaie profonde du bord cubital du poignet gauche avec effraction du rétinaculam du 6ème compartiment et section à 100% de l'extenseur ulnaire du carpe (pas d'arthrotomie, pas d'atteinte du TFCC, pas d'atteinte de la branche cutanée dorsale du nerf cubital). Révision et exploration de la plaie au bloc opératoire. Le 21.07.2017, Dr. X : suture de l'extenseur ulnaire du carpe, poignet gauche. Plaie profonde du majeur gauche avec section partielle (inférieure à 1/3) du tendon fléchisseur le 13.04.2019 avec: • Retraits des fils le 26.04.2019. Plaie profonde du majeur gauche avec section partielle (inférieure à 1/3) du tendon fléchisseur le 13.04.2019. Plaie profonde éminence thénar G sur coup de couteau le 27.07.2015. Suspicion de colique néphrétique le 27.08.2014. Amygdalectomie dans l'enfance. Plaie profonde en U de 6 cm de longueur face palmaire de l'IP du pouce gauche. Plaie profonde en U d'environ 6 cm de longueur avec lambeau cutané bien vascularisé sur la face palmaire de P1D1 de la main gauche le 31.03.2019. Plaie profonde métacarpo-phalangienne de D1 du membre supérieur gauche. Plaie profonde pré-tibiale droite. Plaie profonde sur la cuisse gauche le 23.04.2019. Plaie profonde thénar gauche le 27.03.2019. Plaie profonde 5ème doigt main droite avec arrachement du lit de l'ongle, avec: Plaie pulpaire avec perte de substance au niveau de P2 D1 main G sur traumatisme du 19.04.2019. Plaie pulpaire P3D3 main droite avec perte de substance sur traumatisme du 08.04.2019. Plaie pulpe D3 main gauche le 26.04.2019. Plaie punctiforme sur le bord latéral de la cheville à 4 cm de la malléole externe de 0.5 x 0.3 cm sur traumatisme le 18.03.2019. Plaie punctiforme du coin de l'œil gauche et possiblement profonde de 1 cm, plaie punctiforme de l'oreille gauche non transfixiante. Plaie rectiligne de la cuisse droite, face postérieure, de 2 cm avec petite perte de substance. Plaie rectiligne de 1 cm au bord externe de l'œil droit. Plaie sans atteinte des structures nerveuses, pas de déficit fonctionnel. Premier contrôle à 48 h en policlinique d'orthopédie. Plaie simple de 3 cm, face latérale de l'index de la main gauche. Plaie simple du 1er espace inter-digital à gauche le 13.04.2019. Plaie simple du 4ème espace interdigitale MIG le 12.04.2019. Plaie simple pouce gauche. Plaie simple sourcil droit. Désinfection rinçage, anesthésie rapidocaïne, suture 5 points simples prolène 5.0, désinfection, opsite spray. Dernier rappel antitétanique en juillet 2009. Ablation des fils dans 5 jours. Plaie simple superficielle au niveau de la phalange proximale du pouce à gauche. Plaie simple trans-unguéale index droit. Plaie sourcil droit. Plaie sous-rotulienne gauche le 08.04.2019. Plaie sous-rotulienne gauche. Plaie sp, pas de signe infectieux. Plaie superficielle.Plaie superficielle. Plaie superficielle à la cuisse gauche (3 cm) et au scalp derrière l'oreille gauche (1 cm). Fracture déplacée du 5ème métacarpien de la main droite le 03.09.2016. Matériel d'ostéosynthèse dérangeant sur status post-ORIF MC V droite le 08.09.2016. Status post suture de plaie au niveau de P1 MC III à droite le 22.03.2017. AMO totale MC V droit avec ténolyse et capsulotomie (opération le 29.05.2017). Polytraumatisme dans un contexte d'éthylisation aiguë le 19.08.2017 avec: • Traumatisme facial avec plaie de l'arcade sourcilière à gauche de 1.5 cm. • Pneumothorax de 15 mm à gauche. • Contusion pulmonaire à gauche. • Suspicion d'une fracture processus costiforme L2. Fracture du scaphoïde de la main gauche le 05.11.2017. Fracture du tubercule de Lister droit le 05.11.2017. Plaie superficielle à la jambe gauche. Plaie superficielle à l'index droit le 27.04.2019. Plaie superficielle à l'index gauche, le 14.04.2019. Plaie superficielle au bras droit de 3 cm. Plaie superficielle au niveau de la face dorsale du tiers distal de l'avant-bras droit le 01.04.2019. Plaie superficielle au niveau de la pulpe du pouce G, le 02.04.2019. Plaie superficielle au niveau de l'arcade supraciliaire. Plaie superficielle au niveau de l'avant-bras, face ventrale, de 5 cm. Plaie superficielle au niveau du front. Désinfection - Stéri-Strip. Plaie superficielle au niveau du poignet droit. Plaie superficielle au niveau du poignet droit face palmaire le 20.04.2019. Plaie superficielle au niveau du tibia antérieur gauche le 02.04.2019. Plaie superficielle au tibia gauche. Plaie superficielle avec perte de substance du pouce gauche le 13.04.2019. Plaie superficielle base du pouce gauche, de 3 cm, le 06.04.2019 • incision accidentelle avec du verre propre. Plaie superficielle cuisse G suite à une agression avec une aiguille au début 2015 (essai de rattraper un voleur toxicomane). Probable crise convulsive le 12.10.2015. Plaie abdominale para-médiane D sur bris de porcelaine le 04.03.2018 avec • perforation péritonéale avec hémopéritoine estimé à environ 1 L. • section partielle du muscle droit abdominal à D, partie médiane, sans lésion des organes pleins ou creux intra-abdominaux. • laparotomie médiane sus-ombilicale, révision abdominale et lavage avec 5 L de sérum physiologique le 04.03.2018, Dr. X. Plaie superficielle de DIII du membre supérieur droit, sans atteinte des structures nobles le 27.03.2019. Plaie superficielle de la face antérieure du poignet gauche de 2 cm de long, sans atteinte de structure sous-cutanée. Plaie superficielle de la face palmaire de la 2ème phalange de l'index droit le 02.04.2019. Plaie superficielle de la face palmaire phalange proximale du 5ème doigt à gauche. Plaie superficielle de la fesse gauche, le 02.04.2019. Plaie superficielle de la partie supérieure de l'hélix de l'oreille droite, avec perte de substance d'environ 0.3 x 0.3 cm². Plaie superficielle de la paume de la main gauche le 24.04.2019. Plaie superficielle de la pulpe distale au majeur gauche le 16.04.2019. Plaie superficielle de la pulpe du 5ème doigt de la main gauche. Plaie superficielle de la surface palmaire de la 2ème phalange du 2ème doigt gauche en forme de V avec saignement actif. Plaie superficielle de l'arcade sourcilière droite le 17.04.2019. Plaie superficielle de l'arcade sourcilière gauche, le 23.04.2019. Plaie superficielle de l'avant-bras gauche de 6 cm le 01.06.2016. Plaie superficielle de l'index droit. Plaie superficielle de l'index droit. Plaie superficielle de l'index droit. Lavage et désinfection sous anesthésie en bague. 4 points de suture simple au Vicryl 5.0. Plaie superficielle de l'index gauche avec perte de substance le 13.04.2019 • contrôle du 24.04.2019. Plaie superficielle de 0.5 cm au bord gauche de la mandibule. Plaie superficielle de 0.5 cm au mollet gauche. Plaie superficielle de 0.7 cm au niveau du bord supéro-externe droit de la lèvre supérieure le 31.03.2019. Plaie superficielle de 1 cm du 1er et 2ème pli interdigital de la main gauche le 21.03.2016. Plaie superficielle de 1 cm de la phalange distale du 5ème doigt à droite le 12.09.2017. Contusion en regard du 5ème métacarpe droit, en été 2018. Granulome sur corps étranger face dorsale de la main gauche, le 19.11.2018. Plaie superficielle de 1.5 cm au niveau de la face palmaire du poignet droit. Plaie superficielle de 1.5 cm en regard de l'interphalangienne proximale du 3ème doigt à droite. Plaie superficielle de 1.5 cm sur le bord cubital de l'ongle du majeur. Plaie superficielle de 1.5-2 cm au menton côté droit. Plaie superficielle de 2 cm au niveau du pulpe du majeur gauche le 26.04.2019. Plaie superficielle de 2 cm de long, superficielle, au niveau de P2-D2 main droite, le 17.04.2019. Plaie superficielle de 2 cm de longueur sur la surface palmaire de la main gauche. Plaie superficielle de 2 cm semi-lunaire au niveau de D2 main gauche le 12.04.2019. Plaie superficielle de 3 cm par coupure au regard de la phalange distale de l'index gauche. Plaie superficielle de 4 cm au niveau de la phalange proximale face palmaire du D4 à droite. Plaie superficielle de 7 mm au milieu de la lèvre supérieure. Plaie superficielle de 8 à 10 mm de long au niveau du lobule de l'oreille droite ttt par désinfection et suture par 3 points simples 5.0 sous AL, pansement. Plaie superficielle d'environ 1 cm de longueur au niveau de la lèvre supérieure gauche. Plaie superficielle du bras gauche, de 2 cm de long en regard du tiers médial du biceps face antéro-latérale à bord réguliers sans atteinte des structures nobles, ce jour. Plaie superficielle du coude droit. Plaie superficielle du cuir chevelu. Plaie superficielle du front de 2.5 cm. Plaie superficielle du majeur droit. Plaie superficielle du majeur droit, face radiale de la phalange distale. Fasciite plantaire gauche le 21.01.2019. Plaie superficielle du pouce droit au niveau de la 1ère phalange du côté radial de 2 cm. Douleurs inguino-scrotales d'origine indéterminée le 14.03.2018. Plaie superficielle du visage tempe gauche. Plaie superficielle du 2e doigt gauche suite à une blessure par couteau suisse.Plaie superficielle D2 main gauche. Plaie superficielle en MCP à l'index D. Plaie superficielle en regard de la phalange proximale dorsale D5 main droite du 12/03/2019. Plaie superficielle en V de 2 cm de longueur au niveau de la face plantaire du 4ème et 5ème métatarse du pied droit. Plaie superficielle en 1/2 lune face cubitale P2 D1 main gauche. Plaie superficielle env 4 cm fesse G, 10.02.2015. Douleurs abdominales en hypochondre D et épigastrique depuis le 02.12.2018, d'origine indéterminée avec élévation des paramètres hépatiques. DD : Passage de calcule biliaire. Plaie superficielle face antérieure de l'avant-bras gauche. Plaie superficielle face dorsale de l'interphalangienne proximale du 2ème doigt de la main droite, le 24.04.2019. Plaie superficielle face dorsale tiers distal avant-bras D le 01.04.2019. Plaie superficielle face dorso-radiale de l'interphalangienne proximale du 3ème doigt de la main droite 0,5cm de long, ne traversant pas le derme. Plaie superficielle face interne de la lèvre supérieure droite le 19.01. Plaie superficielle face interne de poignet G. Plaie superficielle face médiale du poignet droit, le 15.04.2019. Plaie superficielle face palmaire poignet gauche 01.04.2019. Plaie superficielle face P2 3ème doigt. Plaie superficielle base P3 2ème doigt côté volaire. Plaie superficielle frontale de 2 cm. Désinfection - Exploration - Fermeture avec 2 pts de Prolène 5.0. Plaie superficielle horizontale à l'extrémité distale de la phalange distale, 8 mm de longueur, 2ème doigt de la main droite. Plaie superficielle il y a 3 jours. Plaie superficielle index droit. Plaie superficielle infracentimétrique sur la face plantaire du 3e orteil à D. Plaie superficielle linéaire en face palmaire de la 2ème phalange du pouce gauche. Plaie superficielle en lambeau en face palmaire de la 3ème phalange de l'index gauche le 04.04.2018. Plaie superficielle lombaire. Plaie superficielle longitudinale de 3cm de longueur sur la face dorsale de l'extrémité distale de l'avant-bras gauche sur épisode d'auto-mutilation. Plaie superficielle longitudinale de 5 cm de longueur au niveau du vertex. Plaie superficielle longitudinale infra-centimétrique de l'hémifront gauche à 2cm du rebord supérieur de l'arcade sourcilière gauche. Plaie superficielle main gauche. Plaie superficielle main gauche le 30.04.2019. Plaie superficielle non compliquée chez une patiente avec vaccination antitétanique non à jour. 3 points de suture + vaccination par Boostrix. Consultation de suivi chez le médecin traitant avec retrait des fils à 8 jours et prévoir ergothérapie pour rééducation sensitive si persistance de l'hypoesthésie. Plaie superficielle partie supéro-distale humérus gauche, sans signe de gravité, le 22.04.2019. Plaie superficielle paume main gauche. Plaie superficielle paume main gauche, avec mauvaise évolution avec incision et suture le 27.04.2019. Plaie superficielle pied droit le 04.04.2019. Plaie superficielle postérieure du genou gauche. Plaie superficielle pré-tibiale droite le 30.04.2019. Plaie superficielle P3 dig 2 à droite, avec perte de substance. Plaie superficielle sans atteinte des structures nobles IPD 3e rayon main droite. Contusions multiples dans le cadre d'une chute dans les escaliers avec: • contusion genou gauche. • contusion para-vertébrale droite. • contusion IPP 4e rayon main droite. Plaie superficielle simple en Z face externe pouce gauche. Plaie superficielle sous mentonnier le 23.04.2019. Plaie superficielle sur corps étranger du majeur gauche le 13.04.2019. • probable morceau de verre dans le lit de l'ongle. Plaie superficielle sur la face dorsale de la main droite le 24.04.2019. Plaie superficielle sur la surface palmaire de l'index droit au niveau de pli intra-phalangien des 1ère et 2ème phalanges. Plaie superficielle sur la tête avec traumatisme crânien sans perte de connaissance le 09.04.2019. Plaie superficielle sur morsure de chien, avec. Plaie superficielle transverse de 2 cm de longueur sur la face antérieure du poignet droit, à 1 cm en proximal du pli de flexion du poignet sans atteinte des structures nobles. Plaie superficielle transverse du tiers proximal de la face antérieure de l'avant-bras gauche sans atteinte des structures nobles. Plaie superficielle ulcérée du Vème doigt main droite avec: Plaie superficielle Vème doigt main gauche. Plaie superficielle verticale à l'extrémité distale de la phalange distale, 8 mm de longueur, du 4ème doigt de la main droite. Plaie superficielle. Plaie supra-labiale gauche. Plaie sur face postérieur main gauche, le 15.03.2019. Plaie sur le front. Plaie surinfectée. Plaie surinfectée en regard du 2ème métatarsien gauche le 31.07.2016. Multiples plaies cutanées superficielles à l'avant-bras gauche ainsi qu'à l'avant-bras droit le 11.08.2016. Décompensation d'une schizophrénie avec intoxication médicamenteuse et éthylique aiguë le 31.05.2017. Décompensation psychiatrique sévère. Plaies superficielles au niveau du front à gauche (3 cm) et au niveau de la cuisse droite (10 cm). Plaie suturable du vertex le 09.04.2019. Plaie suturée suite à une ablation de kyste graisseux au Tessin le 23.04.2019. Plaie talon gauche. Plaie temporale droite. Plaie thénar droit le 02.04.2019 avec suspicion de corps étranger. • Exploration de plaie avec rinçage abondant, 4 points simples au Prolène 4.0, le 03.04.2019. Plaie transfixiante en regard du lobe auriculaire à droite de 2 cm de long et plaie au regard rétro-auriculaire superficielle droite de 2 cm de long le 30.03.2019. Plaie transfixiante lèvre inférieure le 20.05.18. Contusion genou D 20.05.18. TVP dans les années '80 selon patiente. Dermohypodermite MID le 26.05.18: • avec porte d'entrée au genou D. Pneumonie basale gauche à pneumocoque le 21.10.2018 avec: • hospitalisation du 11.10 au 17.10.2018 en médecine pour une insuffisance respiratoire partielle avec traitement de Tavanic du 11.10 au 15.10. • Antigènes urinaires le 21.10.2018: Ag pneumocoque positif. • Antibiothérapie par Céfépime 2g IV du 21.10.2018 au 28.10.2018 et Klacid 500mg x2/j du 22.10.2018 au 25.10.2018. Décompensation asthmatique le 21.10.2018 avec: • silent chest à l'arrivée aux urgences avec insuffisance respiratoire globale. • chez une patiente avec une notion d'asthme/bronchite asthmatiforme. Infection urinaire basse le 24.10.2018. Hypokaliémie à 3.4 le 24.10.2018 sur probable manque d'apport. Diabète sucré cortico-induit 23.10.2018. Plaie transverse de 6cm de long sur la face antérieure du genou droit le 04.04.2019.Plaie transverse d'environ 1 cm de longueur, superficielle au niveau de la base de la phalange proximale du 3ème doigt de la main droite. Plaie transverse en regard du pôle supérieur de la rotule du genou gauche d'environ 8 cm de longueur, irrégulière et traumatique. Plaie transverse sur le dos de la main en regard de la 1ère métacarpophalangienne de la main droite. Plaie traumatique poignet D avec section complète des tendons flexor carpi radialis et palmaris longus. Plaie triangulaire profonde de la tubérosité tibiale gauche. Plaie ulcéreuse post-traumatique de la malléole externe D. Plaie Vème doigt main droite. Plaie Vème doigt main gauche. Plaie 3 cm de longueur, oblique en regard de l'interphalangienne proximale, sur la face dorsale du 3ème doigt droit. Plaies abdominales chroniques sur cure d'éventration avec filet en 2011 et multiples complications. Plaies abdominales chroniques sur cure d'éventration avec filet et multiples complications. Plaies au niveau du dos des mains sur griffures de chat. Plaies cutanées le 27.03.2019 : • escarre talon gauche de stade 1 • dermabrasion de la fesse droite. Plaies des 2ème et 4ème doigts de la main droite. Plaies multiples de la 3ème phalange du 1er doigt avec une plaie de 1.5 cm prenant le sous-cutané sur le tiers distal face palmaire de la 3ème phalange du 1er doigt sur son bord médio-radial. Plaie de 1 cm prenant le derme sur le tiers distal du bord ulnaire de la 3ème phalange du 1er doigt, en continuité avec une coupure partielle du tiers proximo-ulnaire de l'ongle de 1 cm. Plaies multiples de l'avant-bras droit et du petit doigt droit sur cassure de vitre le 19.04.2019. Plaies multiples des doigts avec fracture sous-jacente de P3 de D2,D3 et D4 main gauche le 14.03.2018 • Rx : fracture P3 de D2-3-4, pas de CE. Plaies multiples superficielles de la face antérieure des deux membres inférieurs et de la face postérieure de l'avant-bras gauche. Plaies par compression au niveau de la pulpe des 3ème doigt, 4ème doigt gauche en distalité de l'ongle. Plaies profondes confluentes du tibia antérieur gauche. Plaies profondes de l'arcade sourcilière gauche sur traumatisme. Plaies superficielles. Plaies superficielles au bras droit. Plaies superficielles au bras droit le 03.04.19. Plaies superficielles au niveau du pouce et 4ème doigt gauche le 03.04.2019. Plaies superficielles de 2 cm au front et 1,5 cm à la paupière supérieure droite. Plaies superficielles face dorsale de la main droite sur griffure de chat le 04.02.2016. Plaies superficielles multiples de l'avant-bras gauche. Plaies sur agrafe d'1 mm de diamètre. Plaintes multiformes DD tension artérielle labile, malaise orthostatique ou vaso-vagal, maladie de systèmes, fibromyalgie, trouble fonctionnel. Plaintes suspectes le 17.04.2019 avec : • selles diarrhéiques chroniques • perte pondérale de 10 kg en une année • inappétence • sudations nocturnes occasionnelles. Plaire de la main droite. Plaque palmaire avec fracture Salter-Harris type III de P2 proximal à droite. Plaque palmaire D3 à droite. Plaque palmaire D4 gauche le 23.07.2017. Appendicite aiguë rétro-caecale • appendicectomie laparoscopique le 14.04.2018. Plaques athéromateuses mixtes à la bifurcation carotidienne D > G le 25.03.2019. Plaques érythémateuses aux membres inférieurs sur probable effet secondaire du Cellcept • Cellcept en suspens • Biopsie cutanée le 27.02.2019 au CHUV. Plaques rouges. Plaques rouges prurigineuses depuis 2 jours. Plastie abdominale. Amygdalectomie. Appendicectomie. Agranulocytose fébrile sur bactériémie à Staph. Epidermidis sur infection de la voie veineuse centrale à J3 d'agranulocytose et J12 de la 1ère cure de chimiothérapie le 05.02.2014. Agranulocytose fébrile dans le contexte d'une mucite intestinale grade II à J9 d'agranulocytose et J18 de la 1ère cure de chimiothérapie le 11.02.2013. Agranulocytose fébrile sur bactériémie à Klebsiella (4/4) dans le contexte d'une mucite intestinale grade II à III à 5J d'agranulocytose et J13 de la 2ème cure de chimiothérapie le 24.03.2014. Agranulocytose fébrile sur infection de la poche du port-à-cath (posée le 11.03.2014) le 26.03.2014. Restless leg syndrome sur Paroxétine avril 2014. Plastie de suspension et cure de tunnel carpien gauche en 2004. PTG G en 2006. Ostéosynthèse fracture malléoles interne et externe cheville droite en 2008 ; AMO en mai 2012. Status post TVP post intervention chirurgicale. Hystérectomie en 1982, APP en 1963, cholécystose en 2008. Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine pré-rénale sur insuffisance rénale chronique le 22.08.2018. • GFR selon CDK-EPI : 19 ml/min/1.73 m² • FE Urée : 22%. Plastie du ligament croisé antérieur du genou gauche par tendon quadricipital, le 21.08.2018. Plastie LCA avec greffe de tendon quadricipital (OP le 02.04.2019). Plastie ligamentaire latérale selon Gould (OP le 05.04.2019) cheville D. Platre à conserver 3 semaines. Plâtre AB court type gantelet en prenant l'articulation métacarpophalangienne 1 et laissant la phalange distale 1 en dehors du plâtre. Contrôle team membre supérieur dans une semaine sans contrôle radiologique. Consignes habituelles pour plâtre. Arrêt de sport. Plâtre AB fendu. Plâtre AB fendu 3-4 semaines. Contrôle ortho-urgences dans une semaine, contrôle clinique et radiologique. Conseils de surveillance de plâtre. Antalgie, surélévation au repos, arrêt sport. Plâtre AB Retour à domicile avec consignes de surveillance. Contrôle dans 1 semaine en ortho-urgences pour circularisation et maintien du plâtre 3 semaines. Plâtre antébrachial avec pouce fendu sur le bord ulnaire, bretelle. Arrêt de travail pour 1 semaine (stage). Arrêt de sport pour la semaine d'après. Antalgie simple. CT-scan organisé le 08.05.2019, seule date possible pour la patiente, à 13h00 et contrôle en policlinique le 08.05.2019 l'après-midi. Plâtre B-AB fendu. Contrôle ortho-urg dans une semaine. Antalgie si douleur. Plâtre cruro-pédieux fendu. Antalgie de premier palier. Retour à domicile avec consignes de surveillance. Contrôle dans 1 semaine en ortho-urgences. Plâtre non fendu à J1 post-fracture. Plâtre ouvert, bandage. Contrôle comme prévu à la consultation orthopédique des urgences dans 5 semaines. Pleurésie gauche sur infection virale des voies respiratoires le 06.04.2019. Pleurésie sur bronchiolite infectieuse probablement d'origine virale. Pleurésie tuberculeuse en 2006, traitée pendant 6 mois.Pleurite dans un contexte de pneumonie basale gauche le 22.04.2019. Diagnostic différentiel : gastrite/reflux, douleurs pariétales. Pleurodèse G pour pneumothorax spontané en 1980. Status post-ablation de kystes mammaires G. Hémorragie sous-arachnoïdienne non-anévrismale supra-sellaire, pré-pontique et le long de la scissure sylvienne G. Hémorragie sous-durale le long de la tente du cervelet G. Pleurs d'origine indéterminée DD : Virose débutante ? Pleurs excessifs du nourrisson Plica symptomatique fémoro-patellaire interne genou gauche. Entorse de la cheville gauche stade II. Pluragell jusqu'au 08.04.2019 sans amélioration Sonde urinaire et début de traitement avec Pevaryl crème le 08.04.2019 Suivi multimédia (Photos) Consilium stomatothérapie Plus de fièvre, peut réintégrer la crèche Réassurance Plus de torticolis, plus d'adénopathies cervicales, autres aires ganglionnaires libres Signes inflammatoires (hyperféritinémie et thrombocytose) en diminution au bilan du jour, pas de CRP, leucocytose à 16 G/l sans DG, sans état fébrile ni point d'appel infectieux Plusieurs ATCD de TVP depuis accouchement en 1986 Embolies pulmonaires en 1986 et années 90 Anémie ferriprive le 28.04.2015 sur spoliation digestive (oesophagite de reflux) • contexte d'anticoagulation thérapeutique à long terme pour maladie thrombo-embolique Gonarthrose bilatérale, prédominance médiale Plusieurs dermoabrasions suite à une agression : • dermabrasion de 5 mm dans la partie médiale de la paupière inférieure œil gauche. • dermabrasion de 15 mm au milieu du sternum entre les 2 mamelons. • 2 dermabrasions d'environ 20 mm au coude droit. Plusieurs discussions autour du diabète et son traitement Diminution progressive et arrêt transitoire de l'insulinothérapie Plusieurs entorses de la cheville droite dans le passé Plusieurs épisodes sévères de décompensation psychotique en 1998 DD : schizophrénie paranoïde • sous Clozapine Plusieurs rencontres avec la famille Soutien interdisciplinaire Cadre soutenant Plusieurs sinusites. Plusieurs sténoses des artères cérébrales, notamment dans le segment M1 à droite, le segment M3 à gauche, ainsi que les segments P2 des deux côtés. Mme. Y est adressée par son médecin traitant suite à la découverte fortuite d'une masse abdomino-pelvienne associée à un œdème du membre inférieur droit évoluant depuis 3 mois, ainsi qu'une perte pondérale d'environ 10 kg depuis juillet 2018. Bilan biologique met en évidence une anémie connue. Le bilan radiologique révèle une masse mixte kystique et nécrosée à probable départ ovarien droit, avec de nombreuses adénopathies infra- et supra-diaphragmatiques, ainsi qu'une atteinte péricardique, des implants de carcinose péritonéale et des épanchements pleuraux bilatéraux. Une biopsie d'un ganglion inguinal droit est effectuée sous US le 08.04.2019 et une ponction pleurale droite le 10.04.2019. Les résultats montrent un adénocarcinome séreux de haut grade d'origine ovarienne. Après discussion avec les oncologues, une prise en charge oncologique par chimiothérapie est envisagée. Un PAC est posé le 15.04.2019 et la patiente sera convoquée pour un rendez-vous en oncologie en ambulatoire pour la suite de la prise en charge. Concernant l'hydronéphrose bilatérale sur obstruction tumorale, la patiente bénéficie d'une pose d'une sonde double J des deux côtés le 15.04.2019. En raison d'un saignement urinaire post-interventionnel, une sonde urinaire est temporairement posée avec des rinçages. Une consultation urologique auprès du Dr. X pour l'évaluation de changement des sondes double J est prévue dans 3 mois. En raison de l'œdème du membre inférieur droit, nous demandons un bilan angiologique qui exclut une thrombose veineuse. On note toutefois un effet compressif au niveau de la v. iliaque ext. par la masse ovarienne droite. Un traitement par bandage de la jambe jusqu'à la cuisse est débuté et l'indication à une anticoagulation prophylactique est posée. Devant l'hématurie post-interventionnelle de pose de sonde double J, nous poursuivons un traitement par Clexane 40 mg/j. Nous vous laissons le soin d'introduire un traitement par Rivaroxaban 10 mg/j après résolution de l'hématurie. D'une manière fortuite, lors du CT thoracique, un nodule thyroïdien et un nodule au niveau du sein gauche sont mis en évidence. Un bilan biologique montre une euthyroïdie et une mammographie en ambulatoire pour un premier examen dépistage du nodule mammaire est demandé. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution et d'organiser des examens supplémentaires si nécessaire. Mme. Y rentre à domicile le 18.09.2019. Pneumomédiastin en 2005 (Dr. X) Vertiges probablement dans un contexte de maladie de Ménière le 01.10.2009 Contusions rachis lombaire et cervicale le 08.01.2015 Possible migraine avec aura le 22.03.2017 : • Symptomatologie : dysarthrie intermittente difficilement caractérisable (non objectivée, résolue), vertiges (en amélioration), céphalées diffuses d'apparition progressive (résolues) et acouphènes persistant à haute fréquence Ménière DD : aura migraineuse Avis Dr. X (neurologue) : pas d'argument pour origine centrale. Avis ORL en ambulatoire. Si avis ORL sp, avis neurologique en ambulatoire. Contrôle ORL demandé (Mme. Y sera convoquée en ambulatoire) Pneumonie à germe indéterminé diagnostiquée le 26.02.2019 Pneumonie à Pneumocystis Jiroveci le 09.04.2019 • dans un contexte de corticothérapie depuis début janvier 2019 Pneumonie à Pneumocystis Jirovecii en janvier 2019 • Antibiothérapie jusqu'au 15.02.2019 • Prednisone jusqu'au 15.02.2019 • Prophylaxie par Pentamidine 300 mg aérosols 1x/mois pour 3 mois dès le 14.02.2019 Pneumonie à Pneumocystis jirovecii sur corticothérapie prolongée à hautes doses Erythrodermie sur triméthoprime Sulfaméthoxazole 29.01.2019 Pneumonie à varicelle avec insuffisance respiratoire Pneumonie à 6 mois de vie. Pneumonie acquise à domicile. Pneumonie apicale gauche d'acquisition communautaire à germe indéterminé le 06.04.2019 Pneumonie atypique. Pneumonie au décours sous Co-Amoxicilline à l'entrée Pneumonie avec choc septique le 09.04.19 avec • Instabilité hémodynamique Pneumonie basale droite le 08.04.2019 Pneumonie basale droite le 08.04.2019 • Radiologie thorax le 08.04.2019 : Infiltrat interstitiel aux deux bases prédominant à droite, absence de pneumothorax • Labo le 08.04.2019 : 194 mg/l • Antibiothérapie refusée par le patient le 08.04.2019 Pneumonie basale D communautaire Pneumonie basale droite Pneumonie basale droite. Pneumonie basale droite à germe indéterminé, avec: • antibiothérapie de Tienam 500 mg 4x/j du 17.12.2010 au 23.12.2010, puis Tavanic 500 mg 2x/j po jusqu'au 27.12.2010 Infection urinaire basse à E. Coli multisensible. Pneumonie basale droite à pneumocoque le 01.03.2016. Probable décompensation cardiaque gauche le 01.03.2016. Légère décompensation cardiaque globale sur cardiomyopathie dilatée 07.2016. Anémie hypochrome normocytaire ferriprive et sur carence vitaminique. Fracture de l'humérus sous-capitale droite, plurifragmentaire métaphysaire, déplacée, avec fracture de la petite tubérosité non déplacée, le 23.07.2016. Traumatisme crânien avec perte de connaissance et plaie au front en 2007. Fracture intra-articulaire multifragmentaire radius distal et fracture processus styloïde ulnaire gauche en 2007. Fracture non déplacée de la tête P1 D5 main gauche et fracture arrachement condyle ulnaire base P2 D5 main gauche le 22.09.2014. Appendicectomie. Deux césariennes. Zona thoracique droit, sous Lyrica. Pneumonie basale droite compliquée par un sepsis sévère. Pneumonie basale droite d'acquisition communautaire le 04.04.2019 • chez patient sous traitement immunosuppresseur (Méthotrexate, Remicade) pour myélite dans le contexte d'une sarcoïdose. Pneumonie basale droite le 02.04.2019. Pneumonie basale droite le 05.01.2018 - score CURB-65 à 2. Escarre du talon droit de stade II le 05.01.2018. Décompensation cardiaque globale sur sepsis le 05.01.2018 - DD : sur fibrillation auriculaire. État confusionnel aigu d'origine multifactorielle en octobre 2017 suite à l'amputation du premier rayon du pied gauche. Amputation du premier rayon du pied gauche suite à une artériopathie oblitérante du membre inférieur chronique de stade IV avec nécrose du 1er orteil pied gauche le 31.10.2017 : • ischémie critique du membre inférieur gauche sur atteinte multi-étagée des artères fémorales superficielle et jambière • occlusion de l'artère fémorale superficielle du membre inférieur droit, bon flux sans sténose au départ de l'artère fémorale profonde. Polytraumatisme dans le cadre d'un accident de la voie publique, le 17.12.2014 • fracture du corps du sternum non déplacée avec hématome infra-centimétrique des parties molles sous-jacentes • hématome intra-dural avec compression médullaire dorsale évacuée partiellement par laminectomie le 18.12.2014 (Inselspital) • hématome sub-arachnoïdien vraisemblablement dans le contexte de l'hématome spinal le 19.12.2014 • hématome compressif résiduel Th12-L1 le 27.12.2014, avec aggravation de la paraparésie (D>G) • fenestration intra-laminaire droite et évacuation de l'hématome le 30.12.2014 (Inselspital). Accident vasculaire cérébral sylvien droit et frontal droit le 26.12.2014, d'origine cardio-embolique, avec hémisyndrome moteur facio-brachio-crural gauche. Opération de la cataracte en 2010. Opération de la cheville droite en 2006. Hystérectomie en 1999. Opération d'une hernie discale L5-S1 en 1970. Amygdalectomie en 1966. Cholécystectomie. Ancien tabagisme (5 cigarettes/jour) stoppé il y a 30 ans. Pneumonie basale droite le 07.03.2019. Pneumonie basale droite le 07.04.2019 DD : broncho-aspiration. Pneumonie basale droite le 15.03.2019. Pneumonie basale droite le 16.04.2019 à germes indéterminés. Pneumonie basale droite le 19.03.2019. Pneumonie basale droite le 25.04.2019. Pneumonie basale droite le 26.09.2016. Ptose labiale droite probablement dans le contexte d'une paralyse VII périphérique le 11.09.2014. Monoarthrite goutteuse au niveau de l'avant-pied G le 11.04.2017. Opacité lobaire supérieure gauche au contact de la plèvre à la Rx thorax du 18.04.2017 • Radiographie de contrôle le 02.05.2017 : diminution de l'opacité. NSTEMI secondaire sur tachycardie à QRS fins (DD : flutter auriculaire) en 2015, NSTEMI en 2017. Hypomagnésémie sévère le 21.09.2017. Pneumonie basale droite le 30.03.2019. Pneumonie basale droite le 30.04.2019. Pneumonie basale droite sur bronchoaspiration le 17.03.2019 au décours. Pneumonie basale droite. Status post-fracture du coude droit. Pneumonie basale gauche • syndrome inflammatoire au labo avec leucocytes à 23,2 G/l et CRP à 166 mg/l. Pneumonie basale gauche à germe indéterminé. Pneumonie basale gauche à H. Influenza le 29.03.2019 avec: • hospitalisation pour pneumonie basale gauche du 06.03.2019 au 12.03.2019 • toux chronique évoluant depuis novembre • symptômes B (perte de poids de 3 kg en 1 mois, sudations nocturnes, asthénie). Pneumonie basale gauche à Legionella pneumophila, acquise en communauté le 18.06.2015. Pneumonie basale gauche à pneumocoques le 21.01.2019. Bicytopénie avec : • anémie normocytaire normochrome avec une hémoglobine à 89 g/l • thrombocytopénie à 103 G/l le 23.01.2019. Cure de hernie cicatricielle médiane sous et sus-ombilicale avec filet rétro-musculaire le 09.02.2016. Iléus grêle le 13.03.2017 avec status post-iléus sur bride en 2013 et 2015. Iléus grêle sans signe de souffrance sur status adhérentiel dans la région infra-ombilicale en regard de la paroi antérieure en novembre 2015. Laparotomie médiane avec adhésiolyse extensive du grêle le 22.06.2013 pour iléus sur adhérences/bride. Appendicectomie. Candidose orale le 12.07.2012. Infection urinaire basse à E. Coli ESBL résistant à la ciproxine. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec clairance de la créatinine à 30 ml/min d'origine prérénale. Pneumonie basale gauche à S. Pneumoniae le 27.04.2019. Pneumonie basale gauche communautaire avec épanchement pleural gauche, probablement parapneumonique le 27.02.2019. Pneumonie bibasale le 17.04.2015. PTH droite le 18.01.2012. APP env à l'âge de 30 ans. Status post-AVP à l'âge de 30 ans. Status post-opération de l'épaule droite. Pneumonie basale gauche en 2016. Hypothyroïdie subclinique le 02.11.2016. Anémie normocytaire normochrome le 28.10.2016. Décompensation asthmatique en 2007. Cure par laparoscopie et la mise en place d'un filet intra-abdominal selon la technique (IPOM) le 29.04.2015. Éventration d'environ 16 mm sur la ligne médiane, environ 4 cm au-dessus de l'ombilic dans un contexte post-cholécystectomie par laparotomie en 1985. Sepsis d'origine urinaire sur bactériémie à E. coli le 24.10.2018. Pneumonie basale gauche en 2017. Iridocyclite de l'œil gauche en 2009. Pneumonie bibasale en 2001. Embolie pulmonaire en 2000. Status post déficit en vitamine B12. Pyélonéphrite gauche en 2014.