• pas d'argument en faveur d'une lésion ischémique au niveau du cerveau à l'IRM cérébrale le 15.03.2016, • hypokinésie sévère apicale et septale antérieure moyenne, • FEVG 50 % à l'ETO du 19.02.2016, • FEVG 62 % à la ventriculographie du 06.04.2016. Dépression traitée. Thermo-ablation d'une tachycardie nodale au CHUV le 08.07.2013: • Palpitations et malaise d'origine indéterminée le 14.04.2016, • Pose de Reveal par le Dr. X. STEMI inféro-latéral le 15.02.2016: • occlusions thrombotiques aiguës de l'IVA proximale, IVA moyenne et première diagonale, traitées par thrombectomies avec implantation d'un stent actif (Dr. X, HFR Fribourg - Hôpital cantonal). Douleur thoracique atypique février 2017, septembre et octobre 2017, Douleur thoracique le 22.02.2018, Douleurs thoraciques d'origine pariétale le 01.03.2018 (suivi Dr. X). Migraine sans aura le 14.10.2018. Maladie thrombo-embolique (TVP + EP) sous Sintrom. Status post implantation PTH gauche en 2005. Maladie thrombo-embolique veineuse avec: • Thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche • Embolie pulmonaire en 2015 Hypertension artérielle Asthme Hypercholestérolémie Maladie thrombo-embolique veineuse • embolie pulmonaire centrale bilatérale avec cœur pulmonaire aigu et septum paradoxal (2012) • thrombophlébite membre inférieur gauche (01/2011) • thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche avec intervention chirurgicale (2008) • anticoagulée par Sintrom Maladie tritronculaire avec: • Status post triple pontage en 2005: AMIg-IVA et PAC saphène-DA • Resténose 70 % RCx proximale: PTCA (1DESB) en 2005 • PAC-IVP: Bon résultat à long terme, sténose 70-90 % d'amont (IVP) • Pont veineux-1ère diagonale, pont veineux-IVP et mammaire gauche - IVA perméables octobre 2016 • Bon résultat au long terme re-PCI/ 1 DES (stent in stent) de l'artère circonflexe proximale, octobre 2016 Fibrillation auriculaire anticoagulée par Eliquis Bloc de branche gauche complet intermittent Hypertension artérielle traitée Diabète de type 2, non-insulino-dépendant Tabagisme ancien Obésité Hyperplasie bénigne de la prostate Maladie tritronculaire, s/p NSTEMI inférieur le 16.04.2019: • Sténose significative de la bifurcation Cx/marginale: PTCA/2xDES/POT (Bon) • Sténoses significatives de la RCX proximale et distale: PTCA/2xDES (Bon) • Bon résultat après PCI de l'ACD proximale à distale • Sténose intermédiaire de l'IVA moyenne et distale • EF 60 %, hypokinésie postéro-basale Maladie tritronculaire, s/p opération de pontage AMIG sur IVA à cœur battant le 17.04.2019 avec: • AMIG sur IVA perméable; multiples sténoses significatives de l'IVA ostiale et proximale englobant l'origine de la seconde diagonale (lésion de bifurcation) et occlusion chronique de l'IVA moyenne • Sténose significative de la première marginale (grande branche, dominance gauche): PTCA/DES x2 • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale (petite) • EF normale, 60 % Maladie valvulaire et coronarienne tritronculaires avec: • St.p. RVA biologique (Trifecta, 2017, clinique Cecil, Dr. X) • Bon résultat après AMIG-IVA et PAc-ACD • Sténose serrée bifurcation TC distal: PCI (1DES, KB, OCT): Bon • Sténose 70 % avec dissection RCx moyenne: PCI (1DES): Bon Maladie variqueuse chronique des deux membres inférieurs avec: • à droite, un reflux veineux profond fémoro-poplité jambier probablement post-thrombotique, absence de maladie variqueuse superficielle • à gauche, insuffisance de la grande veine saphène stade C2 avec perforante à la face médiane de la jambe S/p crossectomie et stripping de la grande veine saphène gauche avec phlébectomies étagées et traitement de deux perforantes à la jambe gauche 12/2015 (Dr. X) S/p intervention pour des varices, probablement par sclérothérapie il y a une vingtaine d'années Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. malaise Malaise. Malaise. Malaise au réveil avec prodromes sans chute Malaise avec chute sans perte de connaissance ou traumatisme crânien sur orthostatisme. Malaise avec chute sans traumatisme crânien. Malaise avec hyperventilation le 17.02.2016 Somnolence transitoire DD psychosomatique, médicamenteuse le 17.02.2018 Crise de panique le 09.03.2018 Douleurs abdominales en FID d'origine indéterminée depuis 1 semaine • DD: adénite mésentérique, infection urinaire au décours • 3ème consultation en 1 semaine pour les mêmes symptômes Laboratoire Rx thorax F/P Attitude: • CT abdominal en ambulatoire avec contrôle en FR 34 après l'examen Malaise avec palpitations sans perte de connaissance d'origine indéterminée avec: • Bloc atrio-ventriculaire 1er degré à 300 ms et hémibloc antérieur gauche nouveau Malaise avec paresthésies et troubles visuels le 28.05.2019. • DD: crise d'hyperventilation, crise de panique, AVC. Malaise avec PC Malaise avec perte de connaissance Malaise avec perte de connaissance. malaise avec perte de connaissance Malaise avec perte de connaissance du 03.05.2019 DD: dans un contexte septique, rythmique Malaise avec perte de connaissance et traumatisme crânien (DD: probable épilepsie, trouble du rythme). Malaise avec perte de connaissance le 03.05.2019 d'origine multifactorielle (déshydratation, infection urinaire) Malaise avec perte de connaissance probablement sur orthostatisme le 14.04.2019 Malaise avec perte de connaissance sans traumatisme crânien. Malaise avec prodrome d'allure lipothymique. Malaise avec traumatisme crânien. Malaise avec traumatisme crânien sans perte de connaissance avec chute. Malaise avec traumatisme crânien simple au niveau frontal gauche avec plaie épidermique de 0.3 mm de diamètre le 27.04.2019: DD: d'origine orthostatique, sur consommation d'alcool, épilepsie sur sevrage alcoolique. Malaise avec traumatisme crânien sur FA nouvelle le 18.05.2019. DD: • malaise vaso-vagal malaise avec trouble de la vision œil D Malaise avec troubles du rythme cardiaque nouvellement survenus les 02.06.2016, 04.06.2016 et le 04.06.2016 en postopératoire Prothèse totale du genou droit sur gonarthrose, le 30.05.2016 Malaise avec vertiges et céphalées depuis 1 mois d'origine indéterminées (DD: tumeur cérébrale). Malaise avec • vertiges 1 minute • fatigue • douleurs rétrosternales DD: troubles du rythme, fatigue sur insomnie avec toux. Malaise d'allure vagale. Malaise dans un contexte d'aura migraineuse. Malaise dans un contexte d'hypotension orthostatique le 13.04.2019: • Diagnostic différentiel: sténose aortique sur valve biologique posée le 15.02.2010 Malaise de type orthostatique, le 30.05.2019, dans un contexte d'angine à streptocoques. Malaise d'origine indéterminée. Malaise d'origine indéterminée le 13.04.2019 : • Diagnostics différentiels : vagale, infection urinaire débutante Malaise d'origine indéterminée • probablement d'origine vaso-vagale • Test de Schellong négatif Malaise d'origine indéterminée. DD : psychosomatique le 23.05.2019. Malaise d'origine indéterminée. • DD : arythmie/hypotension/hyperthyroïdie. Malaise d'origine indéterminée (DD : éthylisation, malaise vagal, fatigue). Malaise d'origine indéterminée (DD : malaise sur crises hypertensives). Malaise d'origine indéterminée du 24.05.2019. • sur probable trouble somatoforme. Malaise d'origine indéterminée sans traumatisme crânien ni perte de connaissance ni amnésie circonstantielle le 11.05.2019. Malaise d'origine indéterminée, spontanément résolutif, le 04.05.19 avec : • sudation, bourdonnement d'oreille, impression de dysarthrie, vertige • DD : angoisse, post prandial, Ménière (peu typique). Malaise d'origine mixte le 05.05.2019 • sur double prise de bêta-bloquant et anxiété. Malaise d'origine multifactorielle sur orthostatisme et crise d'hyperventilation sur anxiété. IRM le 25.05. : pas de thrombose veineuse (sous réserve d'absence d'injection du produit en raison de grossesse). Anomalie de signal du nerf optique à D (DD : SEP) ; image de calcification dans la glande pinéale (DD : cavernome ; évaluation difficile en raison d'absence d'injection). Avis neurologique (Dr. X) : anomalie de signal dans le nerf optique pas retrouvé ; l'image dans la glande pinéale pourrait aussi correspondre à une hémorragie (DD sur tumeur) ; ad avis neurochir. selon avis neurochir : ad IRM médullaire + PL avec recherche de cellules tumorales et xanthochrome. Thrombophlébite superficielle de la jambe droite le 24.09.2018 • important réseau variqueux • patiente enceinte à 34 semaines d'aménorrhée • Clexane prophylactique depuis août 2018 suite à une thrombophlébite superficielle. Malaise d'origine orthostatique Malaise d'origine plurifactorielle le 27.05.2019 : • hyponatrémie à 128 mmol/l. • hyperglycémie 14.5 mmol/l avec suspicion de pré-diabète DD : • gastroentérite débutante. Malaise d'origine probablement vaso-vagal le 10.05.2019. Malaise du nourrisson DD convulsions fébriles Malaise et traumatisme crânien. Malaise fonctionnel. • DD : syndrome grippal. Malaise, hypotension. Malaise non systématisé avec paresthésies des deux mains d'origine indéterminée le 01.03.2019 • NIHSS 0 à l'entrée • CT cérébral injecté avec vaisseaux pré-cérébraux du 01.03.2019 (Dr. X, rapport téléphonique) : pas d'ischémie visualisée, mastoïdite gauche d'allure chronique. Malaise orthostatique. Malaise orthostatique. DD : vaso-vagal. Malaise orthostatique d'origine mixte le 19.09.2015 Status post fundoplicature selon Nissen par laparoscopie le 01.05.1995 pour maladie de reflux récidivante avec oesophagite peptique stade III Status post cholécystectomie et montage anti-reflux en 1968 Oesophagite de reflux stade I • status post fundoplicature selon Nissen par laparoscopie en 1995 Vomissement sur iléus paralytique • Retrait des opiacés • Ablation de la SNG (mise en place du 11.11-12.11.218) Malaise orthostatique. Status post malaise orthostatique sur gastroentérite probablement virale 12/2011. Status post hystérectomie. Probable syncope convulsive. DD crise d'épilepsie le 08.06.2016. Notion de vomissement chronique sans symptôme abdominal, actuellement avec notion d'hépatite dans l'enfance, le 08.06.2016. Plusieurs épisodes d'infections urinaires basses. Douleurs du flanc G d'origine indéterminée le 01.10.2018. • DD : passage de calcul urétéral. Malaise post-prandial. Malaise probablement d'origine orthostatique dans le cadre d'une déshydratation Malaise probablement d'origine vaso-vagale. • Contexte de maladie de Takotsubo. Malaise probablement sur quinte de toux dans le contexte de toux chronique le 02.05.2019 (DD : coqueluche, post-bronchite virale, sur reflux gastro-oesophagien). Malaise probablement vasovagal vs spasme du sanglot Malaise sans perte de connaissance Malaise sans perte de connaissance. Malaise sans perte de connaissance. Malaise sans perte de connaissance. Malaise sans perte de connaissance. Malaise sans perte de connaissance d'origine probablement orthostatique le 12.05.2019. Malaise, sans perte de connaissance, le 25.05.2019. Malaise sans perte de connaissance probablement sur crise d'angoisse le 25.04.2019 Malaise sans perte de connaissance probablement sur crise d'angoisse le 25.04.2019 Malaise sans perte de connaissance sur hypotension artérielle Malaise sur hypoglycémie à 2.5 mmol/l le 14.05.2019 (cf synthèse). Malaise sur hypoglycémie à 2.5 mmol/l le 14.05.2019 • hypoglycémies récidivantes dans le cadre de troubles du comportement alimentaire (DD Anorexie atypique DD sport intensif), déjà investigué à plusieurs reprises Malaise sur hypotension orthostatique. Malaise sur probable crise d'angoisse. Malaise sur probable déshydratation. Malaise sur probable hypoglycémie le 18.05.2019 • survenu dans un magasin. • prise en charge aux urgences de l'hôpital, duquel elle est partie contre avis en raison de l'attente, motivant une recherche policière. Malaise vagal Malaise vagal Malaise vagal avec : • Test de Schellong négatif Malaise vagal avec perte de connaissance : • Dans le contexte du jeûne du Ramadan. • Avec accident de la voie publique à basse cinétique. Malaise vagal avec perte de connaissance le 26.10.2018. Malaise vagal le 22.05.2019, avec symptômes syncopaux persistants. Malaise vagal post-vomissement Malaise vagal probable dans le contexte d'effort physique intense Malaise vagal probable DD orthostatique Malaise vagal sur Oxycontin. Malaise vagal sur vomissements / douleurs abdominales avec désaturation transitoire DD : • intoxication alimentaire • invagination désinvagination Malaise vagale Malaise vagale Malaise vagale • ECG dans l'ambulance : rythme sinusal • Laboratoire : leucocytose, sans CRP, pas d'autres anomalies du laboratoire Malaise vagale le 25.04.2018 Malaise vagale probable sur vomissement Malaise vagale suivi de chute Malaise vagaux DD : psychogène Malaise vaso-vagal, probablement sur crise d'angoisse. Malaise vaso-vagal dans un contexte de régurgitations avec : • acidose mixte (acidose respiratoire avec lactates élevés) à l'arrivée ECG Bilan biologique Recherche Rota et adénovirus dans les selles Monitoring cardiorespiratoire sur 48h Nouveau-né né à 39 3/7 SA, PN 2735 g (P 5-10), TN 48 cm (P 5-10), PCN 33.5 cm (P 10-25) A l'entrée J19 : poids 3170 g (P 10-25) Vitamine D Malaise vaso-vagal (DD orthostatique) 2013. Contusion genou droit le 18.02.2015. Epigastralgies simples le 18.02.2015. Epistaxis antérieure et postérieure au décours. Etat anxio-dépressif le 21.11.2016. Etat de dépendance au Cannabis. Etat d'idées suicidaires latentes. Avis psychiatrique de garde le 21.11.2016 : proposition d'une hospitalisation/suivi ambulatoire, mais le patient a tout refusé et est rentré au domicile contre avis médical. Malaise vaso-vagal post-prandial. Malaise vaso-vagal post-mictionnel avec traumatisme crânien et amnésie circonstancielle. Malaise vaso-vagal post-mictionnel avec traumatisme crânien et amnésie circonstancielle le 10.03.2012 • CT scanner cérébral (10.03.2012) : pas d'hémorragies, pas de fractures Mammographie de dépistage le 01.10.2019 Colonoscopie de dépistage en 2016 Malaises à répétition avec certaines faiblesses végétatives. Tachycardie d'origine indéterminée (investigations cardiaques, Dr. X). 2013 traumatisme cervical avec réception de la nuque sur un banc sans précision supplémentaire.Malaises récidivants: syncope vaso-vagale versus crise épileptique Malaises vaso-vagaux à répétition depuis l'âge de 20 ans (suivi par le Dr. X à Genève): • Dx d'exclusion : étiologie cardiaque avec port d'un Reveal pendant 2 ans, • Dx d'épilepsie exclu. Etat anxio-dépressif traité dans un contexte familial complexe : épouse avec SEP. Malaria dans l'enfance. Coelioscopie avec ablation d'un kyste à droite en 2010. Coelioscopie pour douleur sur corps jaune hémorragique droit en 2010. Coelioscopie pour bilan d'infertilité en 2011. Deux interruptions volontaires de grossesse en 2010. Grossesse extra-utérine, salpingectomie gauche sous coelioscopie, en 2011. Fausse couche spontanée en 2011. Grossesse extra-utérine, salpingectomie gauche sous coelioscopie, en 2013. Fausse couche spontanée, après transfert embryonnaire en 2017. Fausse couche spontanée en 2018. Fausse couche à 6 semaines d'aménorrhée avec curetage hémostatique le 08.06.2018 avec choc hémorragique. Infection à chlamydia traitée en avril 2018. Mal-être, angoisse. Mal-être, nausées, douleurs et angoisses dans le cadre d'une situation oncologique dépassée et une fin de vie proche le 07.05.2019. Malformation congénitale avec: • Atrophie de l'hémicorps gauche • Malposition cardiaque sans situs inversus, le coeur est centré au milieu du thorax • Cardiopathie ischémique et valvulaire • Rein unique • Scoliose Cardiopathie valvulaire et ischémique • Remplacement valvulaire aortique biologique le 25.09.18 à l'Inselspital pour une valve aortique bicuspide sténosée, et un pontage veineux sur la circonflexe (pour une coronaropathie monotronculaire à la coronarographie pré-opératoire) • STEMI post-opératoire sur occlusion pontage circonflexe le 26.09.18 traité par la pose de 2 stents le 27.09.2018 • Fibrillo-flutter pré-opératoire • Avis cardiologique par Dr. X : arrêt du Marcoumar et du Clopidogrel, poursuite de l'Aspirine Cardio à vie (07.01.2019) Carence en vitamine D. Insuffisance rénale chronique avec rein unique avec eGFR (Cockroft - Gault) : 27 ml/min le 16.02.2019. Anémie normocytaire hypochrome à 117 g/l le 25.02.19. Malformation de type Arnold Chiari I. Malgré l'absence de visualisation de fracture, la mère souhaite une antibioprophylaxie pour sa fille d'après les recommandations du pédiatre. Nous expliquons à la mère les avantages et les risques possibles d'une antibiothérapie IV. Nous administrons donc de l'Augmentin 625 mg IVD. La patiente marchera avec des chaussures à semelles rigides. La mère prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle à 48 heures puis à 7 jours. Nous lui donnons un arrêt de sport pour 3 semaines. Malgré le fait qu'il n'a pas de douleurs, Mr. Y ne veut pas charger sur son pied G. Je parle avec la maman que s'il veut charger dans le plâtre, on peut tout à fait le laisser faire. S'il arrive à charger et à marcher avec fluidité avec le plâtre, il peut essayer d'enlever ce plâtre fendu. La maman va rappeler dans 2 jours pour dire comment les choses ont évolué. Malgré le streptotest négatif, au vu d'un tableau clinique important et le peu d'effet sur les symptômes, après 4 jours de traitement symptomatique par AINS, nous introduisons une antibiothérapie, après discussion avec la mère du patient. Malgré les séances d'ergothérapie, la patiente présente une stagnation de la symptomatologie. Après discussion avec le Dr. X, nous organisons un ENMG à la recherche de troubles de la conduction sensitive en regard de cette branche infra-patellaire du nerf saphène. Nous envoyons donc la patiente au Neuro-centre pour faire cet examen. Prochain contrôle chez nous 2-3 semaines après l'examen réalisé. Malheureusement à trois semaines de l'infiltration du genou G, on ne note pas d'amélioration significative. La patiente a toujours des douleurs. Actuellement, une reprise du travail à 100% est impossible, elle demande un arrêt de travail à 50%. Je suis d'accord avec Mme. Y. L'arrêt de travail est de 50% dès le 07.05.2019 jusqu'au 14.06.2019. Je la reverrai dans deux mois pour une réévaluation clinique à ma consultation. Nous décidons alors de la suite du traitement. Pour le moment, nous suspendons la physiothérapie. La patiente s'automobilisera en fonction de la douleur. Malheureusement la physiothérapie seule n'a pas montré d'amélioration suffisante, raison pour laquelle je propose au patient une infiltration par cortisone de son genou D. L'infiltration est prévue pour le 05.06.2019. Un contrôle est d'ores et déjà programmé pour le 05.07.2019. Pas d'arrêt de travail nécessaire. Malheureusement la situation clinique suite à l'infiltration est stagnante. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente un redressement de la colonne à l'aide d'un rollator et applications de patchs chauffants ainsi qu'une antalgie adaptée. Nous reverrons la patiente dans 4 mois pour discuter des résultats suite à ces mesures instaurées. Malheureusement l'infiltration n'a pas montré d'amélioration, au contraire la patiente se sent fortement gênée par une douleur à la face antéro-interne et para-patellaire interne de son genou. Pour cette raison, je demande un nouveau bilan par IRM à trois mois post-opératoires pour réévaluer la situation. L'IRM est fixée au 5.6.2019. Je revois la patiente après l'IRM pour discuter des résultats et des différentes options thérapeutiques le 7.6.2019. La patiente est remise en arrêt de travail à 50% car elle ne tient pas toute la journée debout. Malheureusement l'infiltration par acide hyaluronique n'a pas montré l'effet désiré. Nous allons à nouveau bilanter le genou par IRM pour voir l'état après les micro-fractures et afin d'exclure des corps libres qui amènent des problèmes mécaniques. Je reverrai le patient suite à cette IRM afin de discuter des résultats et du traitement. Pas d'arrêt de travail. Malheureusement on est face à une flexion limitée en regard de l'articulation IP en raison d'adhérences cicatricielles. Je propose donc à la patiente une ablation précoce du matériel d'ostéosynthèse et ténolyse du tendon extenseur du pouce. La patiente est d'accord, elle est clairement informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire le 23.05.2019. La patiente sera encore vue en anesthésie pour la consultation pré-anesthésique.Mallet Finger chronique D3G opéré le 08.04.19 (suture de l'extenseur en zone 1 et arthrodèse IPD) 07.05.19 : avis orthopédique : Labo : CRP <5 mg/l, leuco 7.5 G/l Rx doigt : broche en place US doigt à la recherche de collection : en attente Hosp en ortho pour incision, drainage Mallet Finger de D4 de la main G le 31.01.2019. Mallet Finger Dig III main D dominante du 13.03.2019 sans lésion osseuse visible. Mallet finger D4 main droite. Mallet Finger osseux de l'auriculaire droit suite à un écrasement le 21.05.2019. Mallet finger 4ème doigt de la main droite. Mallet Finger 4ème doigt droit. Mallet-Finger Dig IV droit le 14.11.2018. Malnutrition avec hypoprotéinémie Malnutrition protéino énergétique avec inappétence • suite à hospitalisation prolongée Malnutrition protéino énergétique sévère en lien avec une inappétence • perte de 4 kilos dans 1 mois • NRS à 5/7 , BMI à 17.2 kg/m2 Malnutrition protéino énergétique sévère PYMS 4 Perte pondérale de 7% en 12 jours avec BMI 15.4 dans le contexte d'une anorexie mentale Malnutrition protéino énergétique • troubles électrolytiques Malnutrition protéino-calorique modérée Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique. Malnutrition protéino-énergétique dans contexte de consommation OH et trouble cognitif • hypomagnésémie sévère le 15.05.19 Malnutrition protéino-énergétique • troubles électrolytiques Malnutrition protéino-énergétique : • Albumine 60,4 g/l, pré-albumine 0,29 g/l le 17.04.2019 Malnutrition protéino-énergétique avec cachexie Malnutrition protéino-énergétique avec : • Dysphagie modérée à sévère aux solides et légère aux liquides (phase orale et pharyngée) Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave • PEG depuis Avril 2019 Malnutrition protéino-énergétique grave avec : • NRS à 5/7, perte de poids de 10% ces 3 derniers mois et indice de masse corporelle de 21 kg/m2 Malnutrition protéino-énergétique grave avec dysphagie sévère dans le contexte d'AVC Malnutrition protéino-énergétique grave avec perte pondérale d'environ 10 kg en 3 mois Malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec des apports quasi nuls et démontrée par NRS à 6/7 Malnutrition protéino-énergétique grave • hypoalbuminémie et hypoprotéinémie • NRS 6/7 • apport oral insuffisant (25-50% de besoin) Malnutrition protéino-énergétique grave inappétence avec perte pondérale de 10 kg en 5 mois Malnutrition protéino-énergétique grave le 25.04.2019 avec : • suivi par Dr. X Malnutrition protéino-énergétique grave : • probablement sur péjoration sur troubles de la déglutition Malnutrition protéino-énergétique grave sur troubles de la déglutition • PEG depuis avril 2019 Malnutrition protéino-énergétique le 18.05.2018 NRS > 5 Malnutrition protéino-énergétique le 18.05.2018 NRS > 5 Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère. Malnutrition protéino-énergétique légère chronique • sous Resource Support 2x/j Malnutrition protéino-énergétique légère le 13.03.2019 Malnutrition protéino-énergétique légère le 25.04.2019 en péjoration pendant l'hospitalisation Malnutrition protéino-énergétique légère (NRS 3) en lien avec une inappétence sur hospitalisation Malnutrition protéino-énergétique légère, NRS 3/7 Malnutrition protéino-énergétique légère, NRS 3/7 Malnutrition protéino-énergétique légère • perte de 20 kg en 9 mois Malnutrition protéino-énergétique mécanique Malnutrition protéino-énergétique modéré : • BMI à 16.4 kg/m². Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée. Malnutrition protéino-énergétique modérée : • en lien avec une dysphagie démontrée par des ingesta à environ 50% de d'habitude, une perte de 8 kg en 2 semaines (11%) • NRS à 4 • pré-albumine 0.08 g/l Malnutrition protéino-énergétique modérée avec : • hypoalbuminémie • hypophosphatémie, hypomagnésiémie, hypokaliémie Malnutrition protéino-énergétique modérée avec hypoalbuminémie le 10.05.2019, RNS à 3 le 14.05.2019 Malnutrition protéino-énergétique modérée • BMI : 21.9 le 06.05.2019 Malnutrition protéino-énergétique modérée dans le contexte de TCA Malnutrition protéino-énergétique modérée dans le contexte d'une obésité sarcopénique Malnutrition protéino-énergétique modérée en juillet 2018 : Malnutrition protéino-énergétique modérée en lien à une inappétence et stress émotionnel : • démontrée par un NRS à 4/7 et une perte de 14% de son poids en 3 mois Malnutrition protéino-énergétique modérée • hypoalbuminémie et hypoprotéinémie • NRS 6/7 • apport oral insuffisant (couvre 25-50% des besoins) Malnutrition protéino-énergétique modérée NRS 4 • Sur troubles de l'alimentation dans le contexte du diagnostic principal Malnutrition protéino-énergétique modérée, NRS 4/7 Malnutrition protéino-énergétique modérée Problématique médico-sociale chronique • Troubles mentaux et du comportement, dépendance OH avec troubles cognitifs • Suivi chez Dr. X depuis le 24.01.2019 Probable dysfonction tubaire dans un contexte de rhinite allergique Malnutrition protéino-énergétique modérée, 26.05.2019 Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère avec : • Hypo-albuminémie • Troubles électrolytiques Malnutrition protéino-énergétique sévère avec BMI 16.4 Malnutrition protéino-énergétique sévère avec NRS à 5/7 Malnutrition protéino-énergétique sévère • hypoalbuminémie et hypoprotéinémie • BMI 18.6 • NRS 4/7 • Inappétence Malnutrition protéino-énergétique sévère • hypoalbuminémie et hypoprotéinémie, inappétence • BMI 18.6 kg/m2, NRS 4/7 • troubles électrolytiques (hypomagnésiémie, hypophosphatémie) dans ce contexte le 15.04.2019 • carence en vitamine D sévère substituée : 24 nmol/l (le 18.04.2019) Malnutrition protéino-énergétique sévère • hypoalbuminémie et hypoprotéinémie • NRS 5/7 • poids insuffisant (BMI 15.8, poids à 38 kg, perte de 20 kg en 1.5 ans) Malnutrition protéino-énergétique sévère (perte 28% du poids). PYMS 4, BMI 18.2 Malnutrition protéino-énergétique sévère, 09.05.2019 • Consommation d'alcool à risque, 09.05.2019 Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition sévère Malposition partielle des veines pulmonaires à droite (veines pulmonaires supérieures et moyennes droites dans la veine cave supérieure) compliquée d'un shunt gauche-droit et dilatation du ventricule droit, traitée chirurgicalement à l'Inselspital le 28.06.2016 avec: • Fibrillation auriculaire post-opératoire (anticoagulée jusqu'en février 2017). • Bradycardie sinusale symptomatique nécessitant la pose d'un pacemaker DDDR en juillet 2016 (changement des sondes le 25.03.2019). Glaucome bilatéral. Malposition radial avec tilt dorsal et raccourcissement suite à une fracture extra-articulaire du radius distal gauche du 08.09.2018 traité conservativement Maltofer per os Maltofer per os pour 3-6 mois Maltofer 100mg 2x/j Maltofer 3 mois Contrôle hémoglobine et ferritine dans 3 mois Malvoyance depuis l'âge de deux ans. Maman se demande s'il n'a pas la varicelle. Rheumafaktor negative rheumatoide Arthritis, initial polymyalgischer Beginn, ED 01/2004 • Rheuma-Faktoren, ANA, anti-CCP négatif, erosive Veränderung der MCP Gelenke, Sicca Syndrom enroal und Augen, • sous Prednison, Lyrica et Methotrexate Dekonditionierung und mässige Mangelernährung bei St.n. mehrerer abdominalen OP Gangstörung und Gleichgewichtsstörung bei/mint: • St.n. mehrerer orthopédique OP • Lumboradikuläres Reizsyndrom L2 und L3 links Hypertensive und valvuläre Kardiopathie: • Echokardiographie (26.03.2013): LV-Hypertrophie, Flussbeschleunigung im LVOT mit Gradienten von 53/20 mmHg, Hochnormale LV-EF von 77%, minime Mitralklappeninsuffizienz, leicht sklerosierte Aortenklappe Mammographie de dépistage suspecte le 29.04.2019 Mandat de la préfecture. Mange et boit (200 ml Normolytoral) dans la salle d'attente sans vomir. Manipulations sous MEOPA. Ablation et réfection du plâtre en même position, conseils demandés à Handchirurgie à Zurich. Plâtre faite avec Dresse Raabe. Manoeuvre de Dix et Hallpike Aspirine Primperan Manoeuvre de Menticoglou Manoeuvre de repositionnement Manoeuvre de repositionnement à réaliser à domicile Si persistance, Dr. X ORL Muntelier Manoeuvre de Valsalva et massage carotidien. Adénosine - 2 x 6 mg iv, Adénosine 12 mg iv. Dilzem 20 mg iv, relayé per os. Introduction du Beloc Zok. Xarelto 20 mg/jour. Consultation auprès du Dr. X, cardiologue, à 3 semaines. Discuter d'une thermoablation. Manoeuvre par Mc Roberts Manque de fer Manque de fer en 2018. MAPA le 23.04.2019 Marche avec une torsion du pied interne avec antétorsion de la hanche haute à D. Marche en charge selon douleurs sous protection d'un Ankle cast avec prophylaxie antithrombotique tant qu'elle utilise les cannes. Physiothérapie pour mobilisation, drainages puis de tonification et de proprioception. Prochain contrôle radioclinique dans 5 semaines. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 05.06.2019 (la patiente a des omalgies bilatérales l'empêchant de marcher avec des cannes, rendant les déplacements au travail difficiles tant que les douleurs de la cheville l'empêchent de charger totalement). Marche en décharge avec des cannes Contrôle Rx pied en charge dans 7 jours et cô team pied Marcoumar suspendu le 01.05.2019 Une dose de vitamine K le 01.05.2019 Mardi 28.05.2019 à 15:30 chez Mme. Y, psychologue. Dans 2 semaines au planning familial pour discussion contraception. Dans 4 semaines, à notre consultation ambulatoire, pour contrôle échographique. Mr. Y présente encore des symptômes de sa GEA sans péjoration ni signes de déshydratation majeure. Nous proposons une hospitalisation pour surveillance sur la nuit mais les parents préfèrent rentrer à domicile avec un contrôle à 24 heures. Mme. Y est une patiente de 1.5 ans hospitalisée en raison d'un échec de prise médicamenteuse per os associée à des vomissements et diarrhées. Sur le plan infectieux, Mme. Y présente une dermo-hypodermite au niveau de la région para-lombaire droite avec impossibilité de prise antibiotique per os. Elle ne présente pas d'état fébrile durant son séjour à l'hôpital. Le prélèvement du pus montre un staphylocoques aureus sensible à la co-amoxicilline, qu'elle reçoit initialement par la sonde naso-gastrique à 60 mg/kg/j. Les hémocultures reviennent négatives. Un relais par la bouche est effectué dès le 03.05 avec une bonne prise, sans vomissement. L'évolution de la dermo-hypodermite est favorable localement. Sur le plan digestif, une sonde naso-gastrique est posée dès son arrivée dans le service au vu de l'incapacité à prendre l'antibiotique par la bouche, de la présence de vomissement et diarrhées et d'une diminution de la prise hydrique. Les pertes par diarrhées sont initialement compensées 1:1 par du Normolytoral. L'évolution est favorable par la suite avec amendement des vomissements et diarrhées et une reprise alimentaire per os. Les symptômes digestifs sont mis sur le compte du dosage élevé de co-amoxicilline qui a été adapté à son entrée. Au vu d'une évolution favorable, Mme. Y peut rentrer à domicile le 04.05 avec une poursuite du traitement antibiotique jusqu'au 05.05 inclus ainsi qu'un contrôle chez le pédiatre dans la semaine suivant la sortie. Mme. Y est hospitalisée pour antalgie de douleurs abdominales d'origine indéterminée. Les analyses effectuées avant son hospitalisation, dont une échographie abdominale et un CT, sont revenues dans la norme. Durant son hospitalisation dans notre unité, elle est soulagée par la prise de Buscopan, permettant le sevrage d'antalgie intraveineuse. Le 19.05.2019, elle a ses règles, pouvant expliquer sa symptomatologie. Au niveau du transit, on note une coprostase au CT. Un lavement permet d'évacuer des selles mais n'améliore pas sa symptomatologie. Elle garde bon appétit au cours de son séjour. Nous abordons l'importance de briser le cercle vicieux de douleur avec maintien d'une activité régulière et de mobilisation en douceur ainsi que d'un bon sommeil. L'évolution favorable permet un retour à domicile le 19.05.2019 avec une prise de Buscopan en fonction de l'évolution. Mars 2019: Insuffisance respiratoire dans un contexte de bronchiolite spastique à RSV, oxygénodépendante Frottis respiratoire positif pour RSV Ventolin au besoin Betnesol 0.25mg/kg/j 2 jours Oxygénothérapie le 19.03.2019 Contrôle pédiatre dans 2 jours Marsupialisation de la glande de Bartholin gauche le 27.05.2019 Antalgie simple Frottis microbiologique per-opératoire Marsupialisation de la glande de Bartholin gauche le 27.05.2019 Antalgie simple Frottis microbiologique peropératoire Biopsie peropératoire Martin, 3 ans et 8 mois, est hospitalisé pour prise en charge d'une détresse respiratoire dans le cadre d'une bronchite spastique. Sur le plan respiratoire, Martin présente à son arrivée une tachypnée et des tirages. Il bénéficie d'un traitement par Ventolin, Atrovent et Betnesol. En raison de désaturation à 88%, il nécessite une oxygénothérapie du 21.05 au 22.05.19. Le Ventolin a pu être espacé progressivement. Sur le plan alimentaire, il prend ses apports per os sans nécessité de sonde nasogastrique.Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y peut rentrer à domicile le 23.05.2019 avec un contrôle chez le pédiatre dans 48h. • Massages avec Bépanthène • Masse au niveau de l'hémi-face gauche et dégradation de l'état général • Masse de la queue du pancréas avec infiltration de la rate le 28.04.19 d'origine oncologique probable • Masse de probable origine tumorale au niveau de l'hémi-face gauche • Masse hypodense aspécifique à hauteur du récessus pharyngien gauche > Découverte fortuite au CT cérébral du 17.05.2019 • Masse inguinale G d'origine indéterminée > Mis en évidence au CT abdo 02.05.19 (transmission orale): masse polylobulée avec centre liquidien, non communiquant avec la cavité abdominale (hématome? Néoplasie?) • Masse inguinale polyglobulée découverte fortuitement le 02.05.19 > Douleurs testiculaires gauches chroniques et intermittentes selon Mr. Y > Testicule non inflammatoire et non douloureux à la palpation • Masse nodulaire hépatique droite des segments VII et VIII en faveur d'un carcinome hépatocellulaire dans un contexte de cirrhose Child B8 en cours d'investigation > date du diagnostic : 23.04.2019 par échographie abdominale : cirrhose hépatique connue avec au moins un nodule volumineux des segments VI et VII, légère majoration du flux maximal de la veine porte à 25 cm par sec. > IRM hépatique du 29.04.2019 : foie de cirrhose avec hypertension portale (splénomégalie, ascite), masse nodulaire hépatique droite des segments VII et VIII de 7,4 x 7,3 x 7,2 cm en faveur d'un carcinome hépatocellulaire. Lithiase biliaire non compliquée > alpha-foetoprotéine du 16.05.2019 : 3,4 ng/ml > CT thoraco-abdominal du 17.05.19: Cirrhose hépatique, avec hypertension portale, associée à la présence d'une masse du foie droit, faisant suspecter en premier lieu un carcinome hépatocellulaire. Splénomégalie, avec hypodensité mal délimitée du pôle inférieur. Importante quantité de liquide libre intra-abdominal, avec rehaussement nodulaire, fortement suspect de carcinomatose péritonéale • Masse/nodule à l'aigle du nez le 17.09.2012, DD : bouton infecté/abcès • Masse pancréatique avec infiltration de l'angle colique gauche, hile splénique et surrénale gauche le 01.05.2019 > s/p transversostomie de décharge le 1.05.2019 • Masse pancréatique d'origine probablement tumorale avec lésion intra-hépatique et pulmonaire le 01.05.2019 > Prise en charge conservatrice • Masse pelvienne gauche chez Mme. Y, ménopausée, 3G3P de 74 ans. • Masse pulmonaire de 3 cm au niveau du lobe inférieur droit le 24.05.19 • Masse sacrale S2, S3, S4 dans le contexte du diagnostic principal avec : > sacralgies invalidantes irradiantes dans la jambe droite > troubles vésico-sphinctériens (globe vésical et iléus mécanique) > porteuse de Cystofix depuis le 26.03.19 Dr. X > IRM du 20.03.2019 • Masse sigmoïdienne d'origine indéterminée avec : > état fébrile d'origine indéterminée > diarrhées paradoxales. • Masse sous-cutanée supra-patellaire genou droit. > Biopsie-excision in toto de la structure sous-cutanée genou droit. • Masse sous-mandibulaire droite d'origine indéterminée, évoluant depuis 2 mois, avec péjoration brutale le 13.05.2019. • Masse tissulaire flanc gauche d'environ 3 cm de diamètre d'origine indéterminée. • Masse tumorale supra-glottique droite avec déviation de la trachée, nécrose ganglionnaire et métastases pulmonaires. > Status post-dépendance à l'alcool > Pseudarthrose aseptique tibia gauche sur status post : > fracture tibia-péroné jambe gauche le 27.06.2014 avec réduction fermée, fixateur externe, fasciotomie le 30.06.2014 puis ostéosynthèse définitive par clou tibia Expert le 08.07.2014 > greffe de Thiersch plaie médiale et fermeture plaie latérale jambe gauche le 15.07.2014 > infection à Enterobacter le 15.07.2014 suivie de multiples interventions de rinçage, débridement de la jambe gauche > antibiothérapie par Ciproxine 750 mg 1x/j depuis août 2014 > ablation clou tibia Expert, débridement pseudarthrose, décortication, ostéosynthèse du péroné, ré-ostéosynthèse du tibia par plaque LCP 4,5 12 trous, mise en place de BonAlive et d'un Allograft à la jambe gauche (OP le 04.08.2015) Hypoprotéinémie à 63,2 g/l et hypoalbuminémie à 35,1 g/l le 12.08.2015 Troubles électrolytiques multiples le 22.02.2019 : • hypokaliémie à 3.0 • hypophosphatémie à 0.87 • hypomagnésémie à 0.3 Substitution per os et intraveineuse Parésie transitoire de l'avant-bras gauche d'origine indéterminée le 03.03.2019 DD AIT, tumoral Laboratoire CT-scan cérébral injecté : superposable au comparatif du 08.02.2019 Avis neurologique (Dr. X) : • prise en charge ambulatoire avec IRM • changement de l'Aspirine cardio par Plavix 75 mg 1x/j Attitude : • RAD avec changement de l'anti-agrégant par Plavix 75 mg 1x/j. • IRM cérébral en ambulatoire • contrôle clinique chez son médecin traitant/oncologue la semaine à venir • retour aux Urgences en cas d'apparition de symptômes neurologiques Anémie normochrome normocytaire avec Hb à 79 le 25.02.2019 • sans extériorisation sanguine • dernière colonoscopie non-datable 1 culot érythrocytaire le 25.02.2019 Suivi biologique le 26.02.2019 puis en oncologie Evaluer l'indication à colonoscopie en ambulatoire. • Masses ovariennes bilatérales chez Mme. Y, 4G 4P de 57 ans. • Masses ovariennes bilatérales suspectes le 07.05.2019 • Mastectomie droite le 01.05.2019 sous anesthésie générale. Du 13.01.2019 au 04.04.2019 chimiothérapie par Taxotere, Perjeta et Herceptine. Le 24.10.2018 Résection du ganglion sentinelle et pose de port-à-cath. • Mastectomie droite pour carcinome du sein. Erysipèle du coude sans signe de bursite le 13.05.2012. • Mastectomie et reconstruction 1977 Accident ischémique transitoire 2002 Status post hystérectomie Status post thyroïdectomie partielle en 1964 pour goitre Troubles électrolytiques multiples le 09.07.2018 • Hypokaliémie 3.6 mmol/l le 10.07.2018 • Hypomagnésémie 0.42 mmol/l le 09.07.2018 • Hypophosphatémie 0.61 g/l le 11.07.2018 Gastroentérite sans germe déterminé le 06.07.2018 Hypocalcémie sévère avec Ca corrigé à 1.67 mmol/l le 27.07.2018 • probablement sur traitement de Denosumab reçu dans le contexte d'une hypercalcémie sévère sur probable hyperparathyroïdisme primaire décompensé dans le contexte d'une déshydratation sévère le 06.07.2018 Hypomagnésémie modérée le 25.04.2019 avec substitution PO • Mastectomie gauche en 2010 (hôpital Daler). • Mastectomie bilatérale pour carcinome du sein avec lymphadénectomie il y a 28 ans, sans radio- ou chimiothérapie, contrôle interrompu chez Mme. Y depuis 10 ans. Mastite gauche le 21.04.2019 • Mammographie en mars 2019 sans particularité • Mastite puerpérale tardive pendant le huitième mois d'allaitement chez Mme. Y de 31 ans, 1G1P. • Mastocytose systémique • diagnostiquée 2008 • suivie par Dr. X • sous Calcimagon D3, Prednison, Ranitidine, Tavegyl • Mastocytose systémique et cutanée non traitée • Mastodynie gauche et état fébrile • Mastoïdite et otite moyenne à gauche à S. pneumoniae avec dissémination hématogène secondaire en 01/2017 > arthrite septique périprothétique du genou gauche, traitée par lavage et changement du polyéthylène • bursite septique olécrânienne du coude droit, traitée par bursectomie • arthrite septique de l'épaule droite, traitée par lavage • suspicion clinique d'arthrite septique de la cheville droite (non confirmée microbiologiquement), traitée par lavage • arthrite septique de la prothèse totale de hanche droite, traitée par lavage • multiples antibiothérapies pour une durée totale de 3 mois Omalgies droites, DD rupture spontanée de la coiffe des rotateurs (suivi par Dr. X) Prothèse totale du genou gauche en 2015 Prothèse totale de hanche droite en 2014 Pose de prothèse totale de hanche gauche, bursectomie trochantérienne et ostéophytectomie antéro-supérieure et postéro-inférieure le 07.03.2019 (Dr. X / Dr. X, HFR Fribourg) pour coxarthrose sévère Matelas Nimbus Soins locaux Adaptation de l'antalgie Matériel d'ostéosynthèse dérangeant métatarse V à droite Status post ORIF par plaque Pedus 2.7 du 5ème métatarse à D le 15.08.2018 pour une fracture pluri-fragmentaire diaphysaire du 5ème métatarse le 04.08.2018. Matériel d'ostéosynthèse dérangeant sur status post ORIF par plaque VariAx en août 2017 Mr. Y, 8 ans, présente un status post-TCC, avec au premier plan un syndrome dysexécutif. Mr. Y est pris en charge de façon adaptée à Flos-Carmeli. Je prévois de le revoir en consultation dans 2 ans pour laquelle il sera convoqué par notre secrétariat. D'ici là, je reste à ta disposition et à celle de la famille si besoin. Mauvaise prise pondérale à J11 de vie d'origine peu claire : • DD augmentation des pertes digestives sur gastroentérite débutante ? infection urinaire ? absence d'éléments pour une sténose du pylore (régurgitations, 1 seul vomissement), absence d'éléments pour un ictère, apports alimentaires satisfaisants 140 ml/kg/j environ Mauvaise prise pondérale à J12 de vie d'origine peu claire : • DD augmentation des pertes digestives sur gastroentérite débutante ? infection urinaire ? absence d'éléments pour une sténose du pylore (régurgitations, 1 seul vomissement), absence d'éléments pour un ictère, apports alimentaires satisfaisants 140 ml/kg/j environ Mauvaise prise pondérale depuis la naissance (12-13 g/jour en moyenne) Mauvaise prise pondérale sur reflux gastro-oesophagien (diagnostic clinique) Maux de gorge Maux de gorge Maux de gorge Maux de gorge Maux de gorge Maux de gorge Maux de gorge Maux de gorge Maux de gorge Maux de gorge Maux de gorge Maux de gorge Maux de gorge Maux de gorge Maux de gorge Maux de gorge depuis hier n'arrive pas à boire/manger Maux de gorge depuis 5 jours Maux de gorge et fièvre depuis deux jours Maux de gorge et otalgie. Maux de gorge et otite. MCP II, III face dorsale à gauche. Coude droit (en regard de l'olécrane). Visage. Méchage. Méchage avec vaseline narine droite permettant de tarir le saignement. Avis ORL (Dr. X). Méchage imbibé de Naphazoline narine droite. Demande de contrôle le 13.05.2019 en consultation d'ORL. Méchage par Hemostop puis tamponnement avec sonde à double ballonnet. Laboratoire. Previscan en suspens le 21.04.2019. Vitamine K 1 mg per os. Mèche auriculaire de Diprogenta crème (oreille gauche) Irfen 400 mg max 4/j Adressée pour RDV ORL Dr. X Mèche retirée. Rinçage de l'abcès. Pansement. Douche 6 fois par jour. Contrôle à la consultation chirurgicale du Dr. X mercredi 22.05.2019 à 15 h. Médecine complémentaire + fébrifuge Médecine complémentaire pour maux de ventre Dafalgan suppo 80 mg en R Médecine complémentaire Antalgie Médecine du personnel : exposition au sang. Médecine du personnel, infection au sang Médecine du sport Médicament : complément vitaminique pour la grossesse Médicament : pilule Médicaments actuels : Aspirine cardio, Co-Aprovel Médicaments actuels : Atorvastatin 20 mg, Ultibro, Pantozol 20 mg, Symbicort, Prostagutt, VitD3, Inderal 10 mg Médicaments actuels : cipralex 1 x/j Médicaments actuels : Feminac Médicaments : cretastatin, citalopram, betahistin, euthyrox Médicaments sous-dosés Médicaments : Vitamine (omega 3, 6, 9 Lotan), pour le sommeil 1/2 clonazepam et l'hypothyroïdie Médicaments actuels : Pantoprazol 40 mg 1 x/j, Redormin cpr pell 500 mg 1 x/j Médicaments actuels : Pantoprazol 40 mg 1 x/j, Redormin cpr pell 500 mg 1 x/j Médication et situation sociale pas claire. Médication maternelle pendant la grossesse Médicaux : allergie piqûre de guêpe. Obstétricaux : 2006 AVB à 40 5/7 SA après provocation, M de 3600 g. Hospitalisation pour une protéinurie des 24 h dans un contexte d'hypertension artérielle gravidique à 30 4/7 semaines d'aménorrhée. Suspicion de pré-éclampsie à 31 0/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 31 ans, G2 P1, connue pour une HTA gravidique sévère. Médicaux : Reflux vésico-urétéral traité par injection de collagène, dernier contrôle par US rénale 2018 en ordre Médicaux : Status post 3 x TVP mollet gauche en 2002 (sous pilule)/2004 (pilule)/2008 Lésions substance blanche à l'IRM en janvier 2015 : séquellaires de thrombose (données anamnestiques) Lombosciatalgies S1 G sur rétrécissement foraminal L5-S1 et probable impingement de la racine S1 au niveau récessal G ainsi que rétrécissement congénital du canal L4-L5 Cervico-brachialgie à droite sur canal cervical étroit 12/2018 Déficit moteur main droite à prédominance dermatome C8 Chirurgicaux : S/P acromioplastie en 2013 Obstétricaux : 2015 Accouchements par voie basse à 39 3/7 SA, fille. 2018 Accouchement par voie basse spontanée après une provocation pour rupture prolongée des membranes à 35 4/7 SA Médicaux : 1. Status post-gastrite symptomatique : • Gastroscopie le 13.12.2008 : gastrite chronique folliculaire, absence d'Helicobacter pylori. 2. Hépatite auto-immune traitée par Azarek en 2008 • Contrôle échographique en 2010 : signes d'hypertension portale • Biopsie hépatique en 2010 : fibrose idiopathique importante • Gastroscopie le 19.07.2010 : absence de varices oesophagiennes 3. Choriorétinite D et astigmatisme G au contrôle du fond d'œil de 2014 chez Dr. X Obstétricaux : S/P césarienne élective pour présentation podalique à 37 6/7 SA, en 2012, à HFR Fribourg, Fille S/P césarienne itérative pour rupture prématurée des membranes et non mise en travail à 35 1/7 SA, en 2014, à HFR Fribourg, Garçon Gynécologiques : S/P interruption volontaire de grossesse à 14 semaines d'aménorrhée en 2010 Médicament : coversum combi 5/1,25 Médicament • Micardis Amlo und Meto Zerok 50 mg für Hypertonie Médicaments : Bilol 2 mg 1-0-0, Amlodipine 0-0-1/2 Médicaments : • amiodaron 200 mg und xarelto 20 mg für VHF, concor 5 mg, isoket retard 40 mg • atorvastatin 40 mg • calcimagon 2 x/semaine für Osteopenie • pantozol 20 mg für Sodbrennen • spiricort 20 mg 1/4 tabl für Polymyalgia Rheumatica • Tebokan 120 mg für Demenz ? Médicaments : • Amlodipine 5 mg morgens • Janumet 50/1000 morgens und abends • Jardiance 10 mg morgens • Perindropril 10 mg le morgens Médicaments : Pantozol 40 mg, Demisartan, Magnesium, Irfen 800 mg für die Schmerzen, Xanax für Angstörung/Schlafstöurng Medikamentenanamnese arterielle Hypertension • unter Nebilet 5 mg Medikament Marcoumar, Ezetimibe 10 mg, Pantozol 40 mg, Ribaxflorin? Medikamentsliste • Bilol 5 mg 1-0-0 • Haldol 1 mg 1-1-1 • Movicol 1 Beutel 1-0-0 • Novalgin 0,5 mg/ml 20 tpf-0-0 • Quetiapin 25 mg 0-0-1 • Vit D3 6 ml 1-0-0 • Xarelto 15 mg 1-0-0 Reserve Baldrian, Dafalgan 1 g, Distraneurin bei Aufregung 1 bis 2 Kaps, Haldol tropfen 2 mg/ml 2 mg bis 2x/Tag, Movicol, Novalgin Tropfen, Primofenac Gel, Procto Synalar Salbe Melaena. Mme. Y, 7 ans, est hospitalisée pour préparation colique pour gastroscopie et colonoscopie le 13.05.2019 dans le cadre d'investigations pour une suspicion de maladie inflammatoire chronique de l'intestin. Les examens endoscopiques sont macroscopiquement normaux. Des biopsies ont été prélevées, leur analyse est actuellement en cours. Mme. Y rentre à domicile le 13.05.2019. Elle sera vue à la consultation du Dr. X. Mélanome du cuir chevelu, non ulcéré, Breslow 11 mm pT4a pN0 (0/2) cM0, stade IIB, PDL-1 à 15 %, mutation BRAF V600K • 25.04.2017 : excision en totalité • 06.06.2017 : reprise de la cicatrice et recherche de ganglion sentinelle • 18.07.2018 : radiothérapie stéréotaxique des 4 lésions cérébrales (24 Gy en dose unique) • dès le 16.08.2018 : immunothérapie avec Ipilimumab et Nivolumab aux 3 semaines • 06.09.2018 : IRM : volumineuse lésion partiellement hémorragique frontale droite, 2 lésions nodulaires cortico-sous-corticale droite • 07.09.2018 : craniotomie et exérèse de métastase frontale droite (Dr. X, Dr. X, Dr. X, CHUV) car augmentation de volume avec hématome et ralentissement psychomoteur avec propos incohérents • Encéphalite et polyradiculonévrite sur immunothérapie le 21.09.2018 • Progression au niveau cérébral avec apparition de 2 nouvelles lésions à l'IRM cérébrale du 03.12.2018 • Radiothérapie stéréotaxique le 28.12.2018 • À discuter : traitement de Dabrafenib et Trametinib Mélanome en juin 2018 Mélanome malin de l'avant-bras gauche, Breslow 2,5 mm, Clark IV, non ulcéré, index mitotique élevé, stade pT3a cN0 cM0, stade IIa avec : • Status post-excision primaire avec marge de sécurité de 1 cm le 29.01.2015 chez le Dr. X à Fribourg. • Opération le 01.09.2015 : excision de ganglion sentinelle axillaire gauche, excision de ganglion sentinelle cubital gauche, excision de la cicatrice avec confection d'un lambeau bilobé. Mélanome malin multi-métastatique de type Nodulaire, Breslow 7,5 mm, Clark Level V, pT4b N2b (2/2, ECE+), M0 L0 V0 Pn0 Dig V du pied D avec : • 16.01.2019 : biopsie pieds D • 16.01.2019 : biopsie adénopathie inguinale D • 25.01.2019 PET CT - Hypercaptation noeud lymphatiques niveau inguinal D • 13.02.2019 : US inguinal mettant en évidence multiples adénopathies d'allure métastatique sans atteinte vasculaire • s/p résection 5ème métatarse pied D le 27.02.2019 • 08.03.2019 Tumorboard Insel spital : discussion thérapie systémique vs immunothérapie Mélanome multimétastatique le 28.05.2019 Mélanome multi-métastatique, avec métastases cérébrales (lobe frontal droit), adénopathie cervicale, médiastinale, axillaire et parties molles. Adénopathie métastatique dans les parties molles abdominales et en intra-abdominal Mélanome nodulaire, actuellement malin lésions métastatiques ganglionnaire, pleural, hépatique, adénopathies rétropéritonéales, hile hépatique, espace pararectal D, frontal G • Breslow 1,52 mm, Clark 4 scapulaire D, pT2pN1aMo, stade 3A, B-RAF, N-RAS et C-KIT wild type, mutation MAP2K1/MEK1 • Février 2003 excision lésion primaire • Avril 2003 ré-excision avec marge de sécurité 2 cm et recherche ganglion sentinelle, curage ganglionnaire radicai axillaire D sans atteinte tumorale (0/13) • Décembre 2009 résection ganglions sous-claviculaires D, sans lésion tumorale • Juillet 2014 récidive tumorale sous forme de nodule pulmonaire du lobe supérieur D et G • Novembre 2014 résection Wedge lobe supérieur D par thoracoscopie D : Métastase du mélanome malin 1,1 cm • Janvier 2015 segmentectomie du culmen du lobe supérieur G par thoracoscopie G : 2 Métastases pulmonaires péri-bronchiques et 3 Métastases ganglionnaires péri-bronchiques • Avril 2015 Métastases hépatiques segment 6 et os iliaque D • Juin 2015 cryoablation lésion de la métastase aile iliaque D et radiofréquence de la métastase hépatique segment 6 • Octobre 2015 biopsie lésion sous-capsulaire hépatique segment 2 sous US : Métastase • Décembre 2015 radiofréquence de lésions des segments 3 et 4 • Mars 2016 radiofréquence d'une récidive de métastase au niveau de la cicatrice du segment 2 • Juillet 2016 progression ganglionnaire avec atteinte mésentérique, nouvelle lésion hépatique segment 6, épanchement pleural gauche hypermétabolique, ponction pleurale positive pour cellule du mélanome • Août 2016 radiofréquence hépatique pour 6 lésions • Octobre 2016 progression de la maladie aux niveaux pleural et hépatique • Septembre 2016 radiothérapie ganglionnaire mésentérique (2 cycles) • Octobre et Décembre 2016 Ipilimumab 3 mg/kg aux 3 semaines pour 4 cures complicées par une néphrite auto-immune • Janvier 2017 stabilité de la maladie avec diminution épanchement pleural • Avril 2017 progression des adénopathies sous-diaphragmatiques, atteinte osseuse, atteinte pleurale • Juin 2017 augmentation de l'activité métabolique des lésions pleurales et ganglionnaires sous-diaphragmatique, fracture de l'aile iliaque D • Juin et Octobre 2017 rechallenge Ipilimumab 4 cycles et radiothérapie de la métastase de l'os iliaque D • Octobre 2017 progression hépatique et faiblement pleurale, progression des adénopathies para-aortiques • Novembre 2017 pas de traitement, Mr. Y asymptomatique et refuse un traitement anti-PD1 car obligerait un retrait du greffon rénal et dialyse à vie • Proposition du traitement de Mekinist en 1e option en raison de la mutation MAP2K1/MEK1, 2 mg du 02.02.2018 au 09.03.2018, arrêt sur toxicité dermatologique, reprise 0,5 mg du 06.04 au 17.04.2018 puis 1 mg dès le 18.04 augmenté à 1,5 mg/j depuis juillet 2018 • Septembre 2018 apparition des 4 lésions cérébrales traitées par radiothérapie stéréotaxique le 16.10.2018 • Novembre 2018 progression des lésions métastatiques ganglionnaires, pleurales, hépatiques, 2 adénopathies rétropéritonéales, hile hépatique, espace pararectal D • Novembre 2018 lésion cérébrale frontale G traitée par Cyberknife 24 Gy et majoration légère des 2 des 4 lésions déjà connues • Rechallenge Ipilimumab 3 mg/kg 06.12.2018 au 07.02.2019, arrêté depuis 14.02.2019 en raison d'une progression de la maladie • Dernière consultation 28 mars 2019 suivi oncologique au CHUV : contexte d'asthénie, épuisement et cachexie induit par la maladie oncologique : Proposition Dexamethasone 8 mg 1x/matin et 20 mg Primperan 3x/j 1h avant les repas Mélanonychie suspecte au majeur de la main gauche Mélanonychie suspecte au majeur de la main gauche Melena Méléna Méléna Méléna depuis 2 mois, hématémèse il y a 2 jours et ascite en augmentation. Méléna d'origine basse sur angiodysplasie avec : • Colonoscopie (Dr. X) le 14.02.2018 : mise en évidence d'une angiodysplasie sans signe de saignement • Pas de traitement effectué Fibrillation auriculaire paroxystique de découverte fortuite en février 2018, non anticoagulée Méléna. • Post résection antérieure basse avec iléostomie de protection le 08.05.2019. Méléna. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 18 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté.Mélissa a bénéficié de Burn free après évaluation clinique et suite à une discussion avec le Dr. X, chirurgien pédiatrique de Bern. Nous décidons d'un transfert afin d'effectuer la suite de la prise en charge. Le transfert s'effectuera en ambulance non médicalisée en raison d'impossibilité des parents de faire le trajet en voiture. Même s'il reste radiologiquement une rhizarthrose débutante, le problème de la patiente semble être principalement le pouce à ressaut débutant à droite. Je ne retiens pas d'indication opératoire. Par contre, pour calmer les douleurs de la patiente, une infiltration autour de la gaine des fléchisseurs me semble indiquée. Celle-ci est programmée pour le 14.6.2019. Menace d'accouchement prématuré avec col à 23 mm chez une patiente de 29 ans, 1G0P à 27 6/7 semaines d'aménorrhée. Menace d'accouchement prématuré avec col raccourci à 23 mm au Valsalva chez une patiente de 41 ans, 6G5P à 31 5/7 semaines d'aménorrhée le 28.05.2019. Menace d'accouchement prématuré chez une patiente de 29 ans, 1G 0P à 28 4/7 semaines d'aménorrhée. Ménarches : 14-15 ans, ménopausée, 0G 0P. Status post hystérectomie subtotale et annexectomie droite en 1977. Status post appendicectomie. Status post prothèse de hanche droite. Status post hématome du psoas sous Xarelto. Gène respiro-dépendante, sur atélectasie en bande du segment lingulaire inférieur. Pseudo-kyste pelvien chez une patiente nullipare de 72 ans, avec plusieurs antécédents familiaux de cancer. Méningiome extra-axial à la hauteur du lobe frontal mesurant 2,2 et 1,2 cm, non réséqué. Méningiome orbitaire droit, opéré en 2008 et 2012 à Genève : • rhésus tumoral connu au niveau du sinus caverneux droit Arthralgies Troubles anxieux dépressifs. Méningiome parasellaire droit avec probable compression du sinus caverneux droit (connu depuis 2009). Cure d'éventration avec filet (de date inconnue), avec : • s/p intervention en raison d'une infection du filet en 2011 • s/p laparotomie avec adhésiolyse et résection segmentaire de 20 cm de l'iléon pour iléus postopératoire en 2012 • s/p perforation intestinale en 2015 • plaies abdominales chroniques (suivies par Dr. X, réfection des pansements 3x/sem.) • diarrhées chroniques multi-investiguées dans le contexte de multiples interventions abdominales avec probable composante inflammatoire chronique (calprotectine 111 mcg/l en 2017) Ulcère de l'œil droit depuis janvier 2019. Décollement de la rétine de l'œil gauche multi-opéré avec cécité presque complète. • s/p vitrectomie par la pars plana, cryocoagulation et échange eau-gaz SF6 en 2012. Méningite à méningocoque dans les années 200X. Traitement psychiatrique pour une maladie psychiatrique non classifiée. Pneumonie à Légionnelles du lobe supérieur D acquise en communauté : • Antigène urinaire Légionnelle positif et pneumocoque négatif • Anémie normochrome normocytaire d'origine inflammatoire Phlegmon de la gaine des fléchisseurs main D post morsure de chat le 19.02.2017. • germe en cause : Pasteurella multocida et Staph. aureus Incision, débridement, rinçage, drainage main D (OP le 20.02.2017) Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g i.v. 3x/j du 20 au 25.02.2017 • Co-amoxicilline 1 g p.o. 3x/j du 25.02. au 01.03.2017 Fracture intra-articulaire de la base du 5ème métacarpien droit le 29.03.2018. Méningite nosocomiale le 29.07.2018 avec les cultures du LCR par DVE positif pour S. epidermis traitée avec Meropenem et Vancomycin pour 10 jours. Gingivorragie. Status post hémorragie spontanée thalamique droite avec effraction tétra-ventriculaire sur pic hypertensif le 20.07.2018 : • Dérivation ventriculaire externe bilatéralement du 21.07. au 27.07.2018 au CHUV. Méningite probablement bactérienne (bactérie inconnue). Status post réduction ouverte et ostéosynthèse par embrochage des métatarsiens 2-3-4 pied D et embrochage du Lisfranc D le 31.07.2018 pour : AVP du 20.07.2018 avec : • lésion Lisfranc D avec fracture intra-articulaire de la base du 3ème métatarse • fracture sous-capitale extra-articulaire des métatarsiens 3-4 pied D • fracture extra-articulaire du tiers distal du corps du 2ème métatarsien pied D AMO broche de Kirschner rayon Lisfranc pied à D (OP le 23.11.2018). Méningo-encéphalite virale à VZV en 2015. Traumatisme crânio-cérébral avec amnésie circonstancielle suite à une chute dans les escaliers sur probable récidive de malaise vaso-vagal en 2013 avec plusieurs épisodes de convulsions tonico-cloniques post-traumatisme crânien. Excision d'un mélanome érosif au niveau de l'hémiface droite en 2002. Arthroscopie du genou gauche. AVP à vélo avec fracture du massif facial et 4 jours de coma en 1981. Amygdalectomie dans l'enfance. Electrocution à 380 volts le 12.10.2016. Syncope vaso-vagal convulsive le 12.10.2016 post-électrocution avec : • perte de connaissance pendant 5 - 7 min, • plusieurs épisodes de mouvements tonico-cloniques de quelques secondes. Electrocution à 220 volts avec perte de connaissance. Méniscectomie droite. Boursite traumatique olécrane droit. Méniscopathie, avec déchirure longitudinale du ménisque externe et verticale de la corne postérieure du ménisque interne, le 27.05.2019. • patient suivi par le Dr. X. Ménométrorragies anémiantes sur utérus adénomyosique chez une patiente 9G9P de 50 ans. Méno-métrorragies depuis 6 mois. Méno-métrorragies péri-ménopausiques chez une patiente 2G 2P de 45 ans. Ménométrorragies péri-ménopausiques chez patiente 3G3P de 49 ans. Ménométrorragies sous Dépo-Provera avec suspicion de polype intra-cavitaire chez une patiente 1G1P de 41 ans. Ménométrorragies sur fibrome accouché par le col chez une patiente de 52 ans, 5G4P. Ménopause en 2003 et status post-ligature des trompes. Interventions abdominales gynécologiques X en 2011 et 2012. Crise d'angoisse le 01.09.2013. Décompensation psychotique avec délire de persécution et hospitalisation à Marsens le 21.04.2016. Epistaxis 07.2014. Vertiges sur hypotension orthostatique le 20.07.2016. Polypes endométriaux en post-ménopausique : • HSC opératoire et résection de 2 polypes glandulo-kystiques et de 2 polypes sessiles envoyés pour analyse. Douleurs abdominales sus-pubiennes avec sang frais sur les selles le 28.10.2016 : • sur douleurs abdominales chroniques d'origine indéterminée. Ménopause substituée sous Livial. Lombo-sacralgies chroniques sur troubles statiques et dégénératifs. • discopathies L4/L5 et L5/S1, scoliose thoraco-lombaire. Troubles anxieux (Lexotanil en réserve). Gonarthrose gauche. Irrégularité des selles connue de longue date. Ménopause symptomatique depuis 2 ans sans substitution hormonale. Meopa. Désinfection, anesthésie locale par Rapidocaïne 5 ml, champage, 3 points de suture par Prolène 4-0. Mepilex border. Vaccin anti-tétanique à jour (il y a 2 ans). Conseils de soins de plaie. Ablation des fils dans 8-10 jours. Mepilex Changements des points d'appui. Attitude : • Suivi régulier. Merci au médecin traitant d'assurer le suivi d'anémie, de contrôler le profil lipidique et de revoir à la baisse le Torasémide. Coronarographie le 04.06.2019. Merci d'aborder la thématique avec la mère et de souligner les enjeux. Merci de rappeler aux parents l'importance du respect du schéma vaccinal. Merci de réévaluer les valeurs du potassium à distance. Merci d'organiser une consultation ambulatoire chez un urologue de votre choix pour un bilan urodynamique complet (consultation acceptée par la patiente).Suivi des tests hépatiques à votre consultation. Mise en place d'un traitement par statines dès que la fonction rénale est normalisée. (prévention primaire AVC au vu de l'occlusion de l'artère vertébrale gauche) Bilan neuropsychologique de suivi demandé, Mme sera convoquée en ambulatoire pour un bilan + prise en charge logopédique. Prochain IRM au chuv prévu en août 2019 (08.08.2019) et contrôle neurologique le 05.09.2019 Lettre envoyée à l'intention de Dr. X, neurologue de la patiente, pour demander une consultation plus tôt que prévu. Mère : négatif Bébé : positif Rhophylac 300 mcg iv le 1.05.2019 Mère : O Rhésus négatif. Nouveau-né : Rhésus négatif. Mère retient un mauvais souvenir du dernier sondage urinaire et refuse le geste. Pose de sachet et attente d'urines mais mère ne souhaite pas attendre davantage. Retour à domicile avec conseils de reconsulter en cas de signe d'alarme. Contrôle demain Mère rhésus négatif Nouveau-né : rhésus négatif Mère : Rhésus négatif Nouveau-né : positif Rhophylac 300 mcg im le 27.05.2019 Mère : rhésus négatif Nouveau-né : positif Rhophylac 300 mcg iv le 30.04.2019 Mère : Rhésus négatif Nouveau-né : Rhésus positif Rhophylac 300 mcg iv le 30.04.2019 Mère : Rhésus négatif Nouveau-né : Rhésus positif Rhophylac 300 mcg le 21.05.2019 Mésothéliome malin épithéloïde en fosse iliaque gauche le 01.04.2019 • IRM pelvis 04.04.2014 : ascite, pas de masse au niveau uro-génital • CT thoraco-abdominal du 31.08.2014 : infiltrats dans le mésentère • PET CT du 03.09.2014 : hypercaptation péritonéale gauche • Cytologie 09.2014 : hyperplasie réactive du méso-péritoine avec suspicion mésothéliome • Cytologie liquide ascite le 15.03.2019 (PROMED) : hyperplasie mésothéliale atypique • CT scan abdominal non injecté le 12.03.2019 • US abdominale le 15.03.2019 • Avis oncologique (Dr. X) le 22.03.2019 Mésothéliome malin inopérable, diagnostiqué le 04.09.2018 Mesures de la pression des 4 loges jambe D : loge antérieure 20 mmHg, loge latérale 15 mmHg, postérieure superficielle 7 mmHg, postérieur profonde 7 mmHg. Surveillance des loges. Traitement conservateur : immobilisation par plâtre cruro-pédieux fendu. Mesures de réafférentation Antalgie Distraneurin en R Mesures de réanimation cardiaque avancée avec massage cardiaque et Lucas avec un total de 8 mg d'adrénaline et 300 mg de Cordarone et 1 choc électrique pour une durée de 50 minutes. US cardiologique aux urgences (Dr. X) : pas d'argument pour une embolie pulmonaire massive, pas de tamponnade cardiaque Avis Inselspital Berne : hors critères ECMO en raison de l'AESP persistante, donc pas de coronarographie possible. Décision d'arrêt des manœuvres de réanimation interdisciplinaire (urgences Dr. X, soins intensifs Dr. X et Dr. X ainsi que cardiologie Dr. X) Mort d'origine indéterminée avec demande d'autopsie médico-légale. Mesures diététiques expliquées à la patiente. Métallose de la PTH G avec importante ostéolyse cotyloïdienne et pseudo-tumeurs de la loge du psoas et du muscle vaste latéral. • Implantation PTH G métal-métal par Dr. X le 28.09.2005 Métaplasie épidermoïde dans un tissu cicatriciel après pneumonie nécrosante du lobe moyen droit Lobectomie moyenne droite par thoracotomie avec curage ganglionnaire (stations 7-8) le 09.02.2017 Drains thoraciques droit postérieur du 09.02.2017 au 15.02.2017 Drain thoraciques antéro-supérieur du 09.02 au 12.02.2017 Cathéter péridural du 09.02.2017 au 11.02.2017 Emphysème sous-cutané massif le 12.02.2017 Hernie cicatricielle du 4ème espace intercostal antérieur à droite asymptomatique Cure d'hernie cicatricielle le 09.02.2017 Métastase parotidienne gauche d'un carcinome épidermoïde basaloïde peu différencié avec : • amygdalectomie bilatérale et évidement ganglionnaire cervical fonctionnel gauche le 23.03.2016 • parotidectomie superficielle gauche, panendoscopie, biopsies multiples le 02.03.2016 sans mise en évidence de tumeur primaire Résection de la prostate le 08.04.2010 Polypes suspects de l'estomac : • oesogastroduodénoscopie du 09.06.10 (Dr. X) : résection endoscopique de 3 polypes de l'estomac • oesogastroduodénoscopie du 28.05.2010 (Dr. X) : hernie hiatale non compliquée. 2 polypes gastriques • colonoscopie du 21.05.2010 : diverticules. Dolichocôlon • oesogastroduodénoscopie du 18.01.2019 : sans particularités • colonoscopie du 18.01.2019 : diverticules, plusieurs polypes millimétriques laissés en place Métastase parotidienne gauche d'un carcinome épidermoïde basaloïde peu différencié avec : • amygdalectomie bilatérale et évidement ganglionnaire cervical fonctionnel gauche le 23.03.2016 • parotidectomie superficielle gauche, panendoscopie, biopsies multiples le 02.03.2016 sans mise en évidence de tumeur primaire Status post-résection de la prostate le 08.04.2010 Polypes suspects de l'estomac : • oesogastroduodénoscopie du 09.06.10 (Dr. X) : résection endoscopique de 3 polypes de l'estomac : 1 polype sessile de 1 cm de la partie distale du corps gastrique le long de la grande courbure (flacon 4), 1 polype pédiculé de 1 cm le long de la partie médiane de la petite courbure entre l'angulus et le pylore (flacon 2) et 1 polype de 5 à 7 mm au niveau de la paroi postérieure de la petite courbure entre l'angulus et le pylore (flacon 1) • oesogastroduodénoscopie du 28.05.2010 (Dr. X) : hernie hiatale non compliquée. 2 polypes gastriques • colonoscopie du 21.05.2010 : diverticules. Dolichocôlon Baisse de l'état général sur le plan psychique avec : • trouble de l'adaptation avec réaction mixte anxieuse et dépressive • relation conjugale conflictuelle • troubles cognitifs Consilium de psychiatrie : • Introduction distraneurine 2x/j d'office (+ 2x en réserve) MMS à 17/30 et test de l'horloge à 0/7 le 01.01.2019 2 colloques de familles (28.12.2018 et 03.01.2019) avec décision commune d'un retour à domicile le 07.01.2019 avec soins à domicile. Pré-inscription à l'EMS de Courtepin faite. Bilan neuro-psychologique demandé en ambulatoire Métastase pulmonaire métachrone du lobe inférieur gauche d'un adénocarcinome colo-rectal Métastases ganglionnaires et osseuses d'un carcinome épidermoïde peu différencié de type basaloïde à haute fraction de prolifération (DD : progression d'un carcinome amygdalien gauche connu) • date du diagnostic : 08.06.2017 • histologie (Promed P6348.17) : biopsie nodule région tronc cœliaque : compatible avec une manifestation/métastase d'un carcinome épidermoïde peu différencié de type basaloïde à haute fraction de prolifération (Mib environ 80%) • pathologie (Promed P4224.17) : biopsie tubérosité sciatique gauche : métastase osseuse d'un carcinome épidermoïde peu différencié en partie basaloïde à haute fraction de prolifération • PET du 06.02.2017 : intense hypercaptation d'une masse le long de la petite courbure gastrique, deux hypercaptations osseuses sacrées et aile iliaque gauche • chimiothérapie palliative refusée en juillet 2017 • status post-radiothérapie palliative à visée antalgique et cytoréductrice de la région coeliaque, de la région ischio-pubienne et de la vertèbre S1 (30 Gy) du 16.08 au 31.08.2017 • avril 2018 : nouvelle progression tumorale surtout au niveau osseux, traitement par XGEVA, refus de traitement par chimiothérapie • actuellement : progression clinique avec douleurs péjorées, asthénie, cachexie • oncologue traitant : Dr. X • Status nach Biospie bei Verdacht auf Lokalrezidiv am 07.02.2017: Anteile eines gut differenzierten Plattenepithelkarzinoms • Status nach hinterer radikaler Vulvektomie und Sentinell-Lymphadenektomie inguino-femoral beidseits • Histologie (Patho Uni Bern B2017.20344): Hintere radikale Vulvektomie, ulzeriertes, gering differenziertes, verhornendes Plattenepithelkarzinom der Vulva, maximaler Durchmesser 4.2 cm mit Infiltration ins Fettgewebe, Tumordicke 0.9 cm, Infiltrationstiefe 0.9 cm, pT1b pN0 (0/4 sn) G3 R0 • Angio-CT Becken und proximaler Oberschenkel links vom 29.12.2017; grössere tumorale Massenläsion in der Inguina links sowie zusätzlich zentralnekrotische Lymphknoten. Thrombose der Vena femoralis communis und der Venafemoralis profunda links. • PET-CT vom 15.01.2018: Kleiner Nodulus ohne pathologische Anreicherung subpleural linker Oberlappen, stabil im Vergleich zur Untersuchung vom 04.09.2014. Voluminöser rechter Schilddrüsenlappen, ohne klare Anreicherung. Massenläsion in der Inguina links, hyperaktiv, im engen Kontakt mit der linken Arteria femoralis communis, 45x32x40 mm, sehr wahrscheinlich einer Metastase entsprechend. Adenopathie unguinal links, ohne pathologische Mehranreicherung, Thrombose der linken Vena femoralis. • Status nach Biopsie der inguinalen Massenläsion links am 02.02.2018 • Histologie (Promed D2018.1382): Mittelmässig differenziertes, verhornendes Plattenepithelkarzinom. Trotz fehlenden intakten Lymphknotengewebestrukturen könnte es sich um eine Lymphknotenmetastase handeln. • Kurativ intendierte Radiotherapie im Bereich der lokoregionalen Lymphknoten sowie Boost der inguinalen Massenläsionen links mit konkomitanter Chemotherapie mittels Platinol 40 mg/m2/Woche vom 05.03.2018 bis zum 20.04.2018 • Aktuell: Rezidiv der inguinalen Massenläsion links, palliativ intendierte Chemotherapie mit Paraplatin/Taxol mit Zyklusintervall alle 3 Wochen (Start 24.01.2019) • Métatarsalgie des 3ème, 4ème et 5ème rayons pied G en raison d'une sous-longueur du 1er et 2ème rayons avec orteils en griffe 3-4 et 5. • Métatarsalgies bilatérales prédominantes à D avec pes plano valgus bilatéral et raideur au niveau de la chaîne postérieure. Status post cure de névrome de Morton en février 2019 par le Dr. X à D. • Métatarsalgies droites. DD : fracture de fatigue. • Métatarsalgies droites en regard de la base des 4ème et 5ème métatarses, sans notion de traumatisme clair chez une patiente de 14 ans en bonne santé habituelle. CAT. Immobilisation dans une Ankle fix car la patiente ne voulait pas d'attelle jambière postérieure. Marche en décharge avec cannes. Thromboprophylaxie par Clexane 40 mg/jour en sc (car patiente déjà réglée). Poursuite de l'antalgie. • Métatarsalgies du pied D au niveau de la base de M4 M5. • Métatarsalgies du pied droit. • Métatarsalgies MTP II. • Hyposensibilité de la partie médiale de l'hallux D. • Status post cure hallux valgus D en mini-invasif le 09.10.2018. • Métatarsalgies M2 pied G sur M1 court et raccourcissement des gastrocnémiens. • Métatarsalgies 1er et 2ème rayons ddc. • Hallux valgus interphalangien ddc. • Instabilité des chevilles ddc, prédominante à G. • Métatarsalgies 2ème rayon G secondaire à une rétraction des gastrocnémiens. • Tendinopathie corporéale du tendon d'Achille à D avec rétraction des gastrocnémiens. • Métatarsalgies 2-3 pied D avec: • pied creux D • suspicion de névrome de Morton • Métatarsalgies 29.05.2019. • Metformine suspendue dès le 30.04.2019 • Schéma d'Insuline du 30.04 au 03.05.2019 (soins de confort) • Méthodes de relaxation en cas d'hyperventilation/sensation d'oppression • Suivi par médecin traitant avec tests allergologiques • Methylprednisolone 40 mg IV. • Métoprolol, Atorvastatine, torem • IECA à réintroduire • Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. • Echocardiographie dans 2 mois chez Dr. X. • Metoprolol depuis le 24.05.2019 • Metoprolol dès le 11.05.2019 • Lisinopril dès le 11.05.2019 • Atorvastatine • Sevrage tabagique • Echocardiographie: à prévoir le 13.05.2019 • Contrôle chez Dr. X: à prévoir dans 1 mois • Metoprolol iv • Charge en Magnésium iv • Metoprolol, Magnésium iv • Cordarone iv 1 dose • Labétalol iv continu le 13.05.2019 ETT le 14.05.2019: demandée Holter au décours: à organiser • Metoprolol, Magnésium intraveineux • Cordarone intraveineux 1 dose • Labétalol intraveineux continu le 13.05.2019 • Anticoagulation thérapeutique dès 15.05.2019 • ETT le 15.05.2019 • Holter au décours: à organiser • Metoprolol po dès le 23.05.2019 • Anticoagulation orale à prévoir • Metronidazole 17.05 au 20.05.2019 puis relais par Vancomycine du 21.05 au 30.05.2019. • Metronidazole 500 mg 3 x par jour pour 10 jours. • Contrôle au secteur ambulatoire dans 10 jours. • Métrorragie • Métrorragie d'origine indéterminée • Métrorragie d'origine indéterminée à 38 1/7 semaines d'aménorrhée le 07.05.2019 chez une patiente 3G2P de 32 ans • Métrorragie du troisième trimestre chez patiente de 33 ans 2G0P à 26 3/7 semaines d'aménorrhée • Métrorragie et douleur abdominale • Metrorragie (score Higham= 234 avec caillot) avec carence martiale sans anémie et épistaxis associé, Pediatric Bleeding Score = 4 • Fibrinolyse altérée (plasminogène à 60% < 75% mais > 50%, dosage fait sous cyklokapron) : discussion spécialisée en cours (Dr. X) • PTT allongé sans maladie de Willebrand et facteur XI 72%, XII 96% normaux • Groupe Rh O positif • Metrorragies • Métrorragies • Métrorragies. • Métrorragies à 20 6/7 semaines d'aménorrhée sur hématome rétro-placentaire chez une patiente 3G1P de 30 ans • Métrorragies d'origine indéterminée • Métrorragies du 2ème trimestre • Métrorragies péri-ménopausiques chez patiente 4G4P de 53 ans sous Dépo-Provera • MgSO4 pendant 24 heures dès le 12.05.2019 à 1h20 • Spot urinaire négatif • Bilan de gestose sanguin aligné • Microbiologie : • 07.05.2019 liquide de ponction articulation hallux gauche : négatif Antibiothérapie : • Amoxicilline-Clavulanate du 16.04 au 18.04.2019 • Daptomycine du 18.04 au 20.04.2019 • Amoxicilline-Clavulanate du 20.04 au 15.04.2019 • Pénicilline du 25.04 au 02.05.2019 • Amoxicilline (1g per os qid) du 02.05 au 02.06.2019 (6 semaines au total) Réfection de pansement par les infirmières des plaies de l'Inselspital Bern le 08.05.2019 Contrôle en chirurgie de la main le 08.05.2019 à l'Inselspital Bern Adaptation de l'antalgie Physiothérapie Procédure : • immobilisation du pouce droit pour une durée de 2 mois • IRM rachis cervical organisée le 27.05.2019 à l'HFR à 10h15 • rendez-vous en infectiologie (Inselspital Bern) le 29.05.2019 à 11h • rendez-vous en chirurgie de la main (Inselspital Bern) le 14.06.2019 à 13h15 pour clichés radiographiques, puis en consultation à 13h45 • Microbiologie frottis de plaie jambe D du 02.04.2019 : Staph. aureus +++ Consilium infectiologie 03.04.2019 (en annexe) Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2.2 g 4x/j i.v. du 04.04. au 08.04.2019 • Floxapen 2 g 4x/j i.v. du 08.04. au 13.04.2019 • Bactrim forte 3x/j p.o. dès le 13.04.2019 pour 6 semaines puis à réévaluer • Micro-brèche ventrale durale colmatée avec deux mini-patchs de TachoSil le 10.05.2019 • Micro-cancer de la prostate, diagnostiqué en 2010, surveillance active avec PSA (PSA le 30.05.2013: 3.53 mcg/l) • Biopsie du 11.05.2010 : 4 glandes tumorales compatibles avec un adénocarcinome prostatique • Intolérance au glucose • Maladie de Dupuytren main D • Recherche de sang occulte dans les selles positive • ETT le 25.02.2019 : VG de taille normale, non hypertrophié et fonction systolique globale normale, malgré un aplatissement du septum en systole (surcharge de pression D). VD dilaté et de fonction systolique conservée. OG discrètement dilaté. Absence de valvulopathie significative. Hypertension artérielle pulmonaire modérée à sévère (55 mmHg).Micro-carcinomes papillaires multifocaux • S.p. thyroïdectomie totale bilatérale pour goitre nodulaire le 25.01.2019 • Mutation positive du gène BRAF • Hyperplasie multinodulaire à prédominance macrofolliculaire Microcytose et hypochromie sans anémie Microdiscectomie C5-C6 et C4-C5 avec arthrodèse intersomatique par cage Tryptik small, 5mm convexe, pré-remplie au DBX Putty, par voie antérieure (Dr. X) 11.02.2017. Spondylodèse C4-C6 par plaque CSLP 37mm (vis 4.0/16 en C4 et C5 et vis 4.0/18 en C6) (Dr. X) 11.02.2017. Opération d'un disque intervertébral C6, C7 par voie antérieure avec mise en place d'une prothèse Baguera en 2007 (Dr. X) (Dr. X) 11.02.2017. Infiltration de la hanche droite en 2013 pour périarthrite des deux hanches. Cure hernie inguinale et ombilicale en 2012. Hémorroïdectomie en 2010. Enthésopathies des abducteurs de la hanche droite. Cholécystectomie. Hystérectomie et annexectomie pour CA col utérin. Cure de tunnel carpien. AVP avec fracture de la jambe gauche et lésion du visage en 1975. APP à l'âge de 14 ans. Parésie et hypoesthésie fluctuants du membre supérieur droit le 20.02.2017 avec résolution spontanée. Douleurs thoraciques le 24.02.2017. Contexte psychiatrique très stressant le 20.02.2017: • douleurs thoraciques et hyperventilation dans le contexte de stress. • violence verbale et psychologique à domicile (par beau-frère). Microdiscectomie L5-S1 en 2006 (Dr. X) Dermo-hypodermite à S. aureus multisensible du membre inférieur gauche le 02.03.2016, avec : • abcès sous-cutané (6 x 3 x 1 cm) visualisé le 07.03.2016 Insuffisance rénale aiguë AKIN I prérénale le 03.03.16, avec : • créatinine : 128 mcmol/l • eGFR (MDRD): 81 ml/min Hypokaliémie sévère à 2.9 mmol/l le 04.03.2016 Microdiscectomie sur hernie discale L4-L5 G en 2003 Ulcère peptique OP hanche D Cure de hernie inguinale D Gastro-entérite d'origine virale le 16.03.2018 Microhématurie dans un contexte d'accident de la voie publique le 19.05.2019 sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. Microhématurie de découverte fortuite le 22.05.19 Microhématurie le 16.04.2019 : • Diagnostics différentiels : traumatique sur sondage vésical, sur lithiase découverte fortuitement au CT du 20.04.2019 Microhématurie le 16.04.2019 DD traumatique sur sondage vésical, DD sur lithiase découverte fortuitement au CT du 20.04.2019 Microhématurie le 22.05.2019 Microhématurie, 03.05.2019 Microlaryngoscopie pour exérèse aryténoïdienne gauche Suite de prise en charge par service d'oncologie et de radiothérapie Micronodules pulmonaires. Connus, suivi annuel par la Dre X. Midazolam couplé à la morphine en IV continu Mifegyne le 11.05.2019 en ambulatoire Hospitalisation ambulatoire pour prise de Cytotec selon schéma le 13.05.2019 Antalgie simple. Mifegyne le 18.05.2019 en ambulatoire Hospitalisation ambulatoire pour prise de Cytotec selon schéma le 20.05.2019 Antalgie simple Mifegyne le 25.05.2019 en ambulatoire Hospitalisation ambulatoire pour prise de Cytotec selon schéma le 27.05.2019 Antalgie simple. Migraine Migraine. Migraine associée. DD : • épilepsie. Migraine atypique. Migraine atypique avec scotome scintillant de l'œil droit le 20.05.2015. Fermeture FOP degré III en 2013. Suspicion AIT en 2000 et 2013 (DD : Amnésie globale transitoire en 2013 et migraine avec aura en 2000). Douleurs thoraciques d'origine pariétales le 29.03.2015. Migraine avec aura. Migraine avec aura (hypoesthésie faciale et de l'hémicorps à gauche) le 03.01.2016 Lombosciatalgie non-déficitaire le 13.03.2017 Suspicion des névralgies bras droit le 13.03.2017 DD : fibromyalgie, syndrome de tunnel carpien Douleur thoracique d'origine indéterminée le 16.02.2016 DD : crises d'angoisse, douleurs pariétales Migraine avec aura le 11.05.2017. Migraine avec aura le 18.05.2019 DD : • effet indésirable ciprofloxacine Migraine avec aura ophtalmologique Migraine avec aura ophtalmologique FRCV : pas de tabac, pas de diabète, pas d'hypertension artérielle, pas de cholestérol, antécédents d'AVC chez la mère et le père Migraine avec aura. Prostatisme. Fermeture d'un FOP le 28.12.16 avec embolie pulmonaire post-chirurgie. Migraine débutante probable Migraine en casque avec aura. Migraine en grappe. Asthme connu depuis 1989 (anamnestiquement d'origine professionnelle). Notion de hernie hiatale. Dyslipidémie. Hypercholestérolémie. Migraine gauche sans aura le 08/09/18. Migraine le 06.05.19. Migraine le 24.05.2019 • avec nausées, photo-phonophobie. Migraine le 25.11.2018 : • CT cérébral 25.11.2018 (Dr. X) : pas de thrombose du sinus. Pas de métastase ou masse. Cancer du sein à droite avec : • Traitement chirurgical en 2017 • Traitement par radiothérapie jusqu'en février 2018 • Traitement par Tamoxifène (actuellement) Probable reflux gastro-oesophagien Migraine ophtalmique le 30.04.2019. Migraine ophtalmologique. Migraine sans aura. Migraine sans aura et vertige paroxystique positionnel bénin probable. Migraine sans aura le 03.05.2019. DD : céphalées d'origine indéterminée. Migraine traitée par Indéral. Arthrose traitée par Chondrosulf. Migraine. Gastrite érosive diagnostiquée en 2012, traitée par Pantozol. Migraine. Hernie lombaire +/- cervicale. Migraines Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Ablation de 30 cm d'intestin pour des polypes en 2005. Césarienne élective pour siège chez IIG IIP de 31 ans. Status après colectomie gauche en 2005 pour gros polype. Migraines épisodiques sans aura. Hypertension artérielle. Migraines occasionnelles sans aura Migraines. Notion de douleurs musculaires diffuses d'origine rhumatismale. Migraines Restless legs syndrome Migration lithiasique avec pancréatite légère. Mini pneumothorax de 1 mm LSD Minime plaie frontale haute Mis à jeun. Antalgie par ibuprofène, paracétamol, 2 doses de Fentanyl (1 ug/kg et 0.5 ug/kg) Avis orthopédique (Dr. X) : Mis à jeûn. Pose de VVP. Bilan trauma abdominal avec score de Batic supérieur à 7 motivant un CT-scan abdominal injecté montrant une lacération hépatique de grade II dans segment 4A avec lame de liquide libre pelvienne compatible avec sang, pas de lésion pancréatique/reins/surrénales en ordre ; ganglions mésentériques dans flanc droit compatibles avec adénite mésentérique ou ganglions réactionnels. Vu par CDC chirurgien : indication à hospitalisation pour surveillance, à jeun aliments mais ok boissons claires. US abdominal + bilan sanguin demain matin. Mis en suspend de l'Arcoxia. Début d'un traitement par IPP pour une durée de 2 semaines. +/- OGD si récidive suite à l'arrêt de l'IPP. Mis en suspens de la Clexane.Traitement par Arixtra 7.5 mg 1x/j sc jusqu'au 30.04.2019. Reprise du Sintrom en post-opératoire selon les recommandations du chirurgien. Revoir l'indication au Sintrom avec les cardiologues. • Mis en suspens du Lisinopril Réintroduction à évaluer • Mis en suspens du Metformin le 24.05.2019 Réduction du Xarelto à 15 mg le 24.05.2019 • Mis en suspens du Metformine du 24.05 - 29.05.2019 Réduction du Xarelto à 15 mg du 24.05 - 27.05.2019 Réduction des doses de torasémide le 31.05.2019 Controle de la créatinine à refaire la semaine du 04.06.2019 • Mise à jeûn, pose de VVP. Au vu du bilan inflammatoire et de l'ultrason rassurant, ablation VVP et retour à domicile avec antalgiques • Mise à l'abri dans un contexte de situation psycho-sociale complexe et d'idées noires • Mise à plat, drainage le 24.05.2019 sous anesthésie générale. Antalgie simple • Mise à plat d'un anévrisme de l'aorte abdominale et pontage aorto-bi-iliaque par laparotomie avec mise en place d'une prothèse le 04.03.2019 • Mise à plat d'un anévrisme de l'aorte sous-rénale par tube droit le 09.05.2019 • Mise à plat par tube droit le 09.05.2019 IOT (Cormack 1) et ventilation mécanique du 09.05.2019 au 10.05.2019 Cathéter artériel radial du 09. au 11.05.2019 Voie veineuse centrale jugulaire droite dès le 09.05.2019 Péridurale dès le 09.05.2019 Sonde nasogastrique dès le 09.05.2019 CT Angio abdominale et membres inférieurs ddc le 10.05.2019 • Mise en évidence de décollement placentaire lors de l'utérotomie • Mise en évidence d'un nodule de 7mm au sein du segment postéro-basal droit à corréler avec un CT-scan de contrôle dans 6 à 12 mois selon les critères. Sevrage du Fentanyl patch en ambulatoire. • Mise en évidence d'une section quasi totale de l'extenseur du 5ème doigt droit. Lavage abondant au sérum bétadiné + sérum physiologique. Fermeture à l'éthilon 4.0. Pansement. Le patient viendra le 10.05.2019 à 9h00 à jeun à l'hôpital de jour pour faire une suture de son extenseur au bloc opératoire. Consentement opératoire fait. • Mise en pause du médicament néphrotoxique (Aprovel en P) • Mise en pause du sintrom • Mise en pause du Torasemide US des voies rénales, 13.05.2019 : globe vésical avec dilatation pyélocalicielle Sondage vésical depuis le 13.05.2019 Avis urologique, 14.05.2019 : training vésical 48h puis essai de retrait de SV Échec de reprise de diurèse, 17.05.2019 • Mise en pause Xarelto du 23.04 au 28.04.2019 Hydratation par NaCl 0.9% jusqu'au 25.04.2019 Mise en suspend du traitement diurétique jusqu'au 27.04.2019 • Mise en place condum pour les nuits Surveillance cutanée • Mise en place de vitamine A avec pansement occlusif de l'œil droit pendant 24 heures, contrôle ophtalmologique si non amélioration à 24H. Si amélioration poursuite de la Vitamine A + Spersapolymyxin pendant 3 à 5 jours. • Mise en place de vitamine A et pansement occlusif de l'œil gauche pendant 24 h. Contrôle ophtalmologique si non amélioration à 24h. Si amélioration : poursuite Vitamine A + Spersapolymyxin pendant 3 à 5 jours. • Mise en place d'un AB circulaire. Contrôle en ortho-urgences avec radiographie de contrôle à 6 semaines de la fracture pour l'ablation du plâtre, débuté la physiothérapie de mobilisation. • Mise en place d'un défibrillateur double chambre à gauche le 20.05.2019 RX thorax 20.05.2019 : pas de pneumothorax, électrocathétères normo positionnés Attitude : • reprise de l'Eliquis le 21.05.2019 (stoppé le 18.05.2019 en raison de l'intervention) • contrôle du défibrillateur dans 4 semaines • Mise en place d'un drain Transfert à l'hôpital de l'Ile en conditions hémodynamiques stables pour éventuelle décompression chirurgicale • Mise en place d'un plâtre BAB circulaire. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 3 semaines pour l'ablation du plâtre. • Mise en place d'un plâtre type de Quervain. Nous le reverrons pour un contrôle clinique et ablation du plâtre dans 2 semaines soit le 17.05.2019. • Mise en place d'un schéma light d'insuline rapide par Humalog Suivi des glycémies et réévaluation du schéma • Mise en place d'un traitement de Tegretol • Mise en place d'une bandelette urétrale en 2014. Cure de hernie inguinale droite avec filet en 2004. Hystérectomie et cystopexie en 1995. Amygdalectomie en 1962. Appendicectomie en 1955. Le 24.11.2014, Dr. X : cholécystectomie laparoscopique. Fracture épiphysaire distale du radius droit le 24.01.2016 Traumatisme crânien simple le 24.01.2016 avec cervicalgies C4-C5. • Mise en place d'une sonde urinaire • Mise en place d'une sonde urinaire basse status post-arrachement récidivant de sonde sus-pubienne le 02.05.2019. • Mise en place d'une sonde vésicale CH14 pour maintien du trajet de gastrostomie. • Mise en place d'une stimulation médullaire non définitive en T9-T10 le 27.08.2018 Phacoémulsification et aspiration de cataracte œil droit le 23.05.2018 (Dr. X) Infection sous-unguéale 1er orteil pied gauche 12/2016 Abcès inguinal droit le 27.11.2015 dans le contexte d'une angioplastie percutanée sur AOMI stade IV MID Ischémie aiguë des membres inférieurs le 24.11.2016 : • Recanalisation de sténose de l'artère poplitée et angioplastie par ballon de l'artère tibiale postérieure pour une sténose subocclusive le 24.11.2016 • Recanalisation de l'origine tibio-péronière et de l'artère péronière proximale à D 11/2016 • Dilatation de 2 sténoses de l'artère fémorale superficielle D 10/2015 • Dilatation de l'artère tibiale antérieure D 10/2015 Adénocarcinome de la prostate 2010, stade UICC : T1aPn0 G2 • TURP 08/2011 Cure de hernie inguinale droite 2000 Cure d'hémorroïdes 1999 • Mise en suspens Imnovid Attitude : • Suivi oncologique organisé le 06.05.2019 à 16:15 à la consultation du Pr. X • Mise en suspens du Lisinopril Optimisation fonction cardiaque • Mise en suspens de l'immunothérapie par Atezolizumab Prochain rendez-vous chez le Dr. X le 28.05.2019 à 10:30 heures • Mise en suspens de l'Indapamide Restriction hydrique (1000ml/24h) • Mise en suspens de Lisinopril Optimisation fonction cardiaque. • Mise en suspens du Bisoprolol • Mise en suspens du Lisitril Bas de contention 3 points de sutures à retirer le 04.06.2019 Test de Schellong : positif • Mise en suspens du Marcoumar • Mise en suspens du Marcoumar le 21.04.2019. Inversion de la crase avec Konakion 10 mg 1x/j i.v. le 22.04. et le 23.04.2019. Héparine i.v. en continu adapté aux valeurs de l'anti-Xa à partir 22.04. et jusqu'au 30.04.2019. Clexane thérapeutique 80 mg 2x/j sous-cutané à partir du 30.04.2019. Reprise Marcoumar 3 mg 1x/j p.o. selon schéma le 29.04.2019. • Mise en suspens du Methotrexate le 05.05.2019 • Mise en suspens du Simtron le 26.05.2019 Attitude : • Contrôle de la crase demandé pour le 27.05.2019 • Reprendre une anticoagulation thérapeutique selon INR / insuffisance rénale • Mise en suspens du Torasemide le 01.05.2019 Hydratation PO • Mise en suspens du Torasemide le 01.05.2019 Hydratation PO Suivi biologique Spot urinaire le 02.05.2019 : demandé, à pister • Mise en suspens du traitement d'hydrochlorothiazide Suivi biologique • Mise en suspens du traitement Metformin, diurétique et sartan du 21 au 23.04.2019. Suivi biologique. • Mise en suspens du traitement thiazidique, avec augmentation en parallèle de la composante anti-calcique du traitement de Sevikar pour compensation. Remplacement de Sevikar 40/5/12.5 par du Sevikar 40/10 (sartan, anti-calcique, pas de diurétique) • Mise en suspens du Xarelto, remplacé par une clexane thérapeutique le temps du drainage • Mise en suspens Eliquis du 20.05 au 23.05.2019 pour ponction lombaire • Mise en travail • Mise en travail • Mise en travail • Mise en travail spontané • Mise en travail spontané • Mise en travail spontané Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée, RAM, liquide amniotique méconial à la naissance, épisiotomie médio-latérale droite, délivrance dirigée, naissance en OIDA d'un garçon de 3610 gr, APGAR 5/6/8, pHa 7.17, pHv 7.35, transféré à J1 pour suspicion d'infection néonatale. Suites de couches. Mise en travail spontanée après rupture spontanée des membranes. Mise sous Floxal directement car contage probable avec son frère. Misodel le 17.05.2019. Mitralclip le 27.05.2019, Dr. X Echocardiographie transthoracique le 20.05.2019. Zinacef le 27.05.2019. Eliquis dès le 28.05.2019. Echocardiographie dans 1 mois (PD Dr. X). Mixing test à pister. Pas de Clexane pour le moment. Mme. Y présente une clinique de sinusite maxillaire persistante depuis 3 semaines malgré un traitement symptomatique, pour cette raison nous commençons un traitement par doxycycline en raison d'une allergie à la pénicilline. Mme. Y présente une douleur au niveau du pied G suite à une chute. Nous suspectons une entorse du pied avec une douleur liée à l'hématome dorsal. Pour cette raison, nous lui prescrivons une attelle McDavid, car nous n'avons pas d'attelle à sa taille. Pour le moment, nous réalisons un bandage. Elle ne souhaite pas d'arrêt de travail pour le 17.05.2019. Nous prescrivons des antidouleurs et elle peut rentrer à domicile. Mme. Y, 90 ans, est admise pour surveillance d'un STEMI. Elle a présenté des douleurs thoraciques typiques au repos le 20.05.2019 après-midi, raison pour laquelle elle consulte les urgences du HIB. Un STEMI est mis en évidence sans compromission hémodynamique. Une coronarographie retrouve une occlusion aiguë de l'a. interventriculaire antérieure avec recanalisation par angioplastie et pose de 2 stents actifs. Durant la surveillance aux soins intensifs, la patiente ne présente plus de douleurs thoraciques et il n'y a pas de troubles du rythme cardiaque. Le point de ponction fémoral droit est calme. Il existe une surcharge pulmonaire modérée nécessitant une FIO2 à 32% aux lunettes pour laquelle un traitement diurétique est introduit. Un traitement d'insuffisance cardiaque est débuté par Métoprolol et devra être complété selon tolérance hémodynamique. L'atorvastatine reste à discuter en fonction de l'espérance de vie de la patiente avec le médecin traitant. Il en est de même pour le traitement (invasif vs conservateur) des autres lésions coronariennes. Une double antiagrégation est à poursuivre pour 12 mois puis aspirine seule. Sur le plan rénal, la patiente présente une insuffisance rénale décrite comme chronique anamnestiquement. Il convient de vérifier les valeurs de base auprès du médecin traitant. La patiente est transférée aux soins intensifs de Payerne pour suite de prise en charge en accord avec le Dr. X. Mme. Y présente donc un conflit fémoro-acétabulaire symptomatique du côté droit sur une rétroversion acétabulaire et probablement également sur une torsion fémorale diminuée. Nous allons donc compléter le bilan par un CT-scanner des membres inférieurs protocole impingement afin de documenter les torsions. Nous organisons également une arthro-IRM de la hanche droite, puis nous reverrons la patiente pour discuter des résultats et faire une proposition thérapeutique. Mme. Y, une patiente de 90 ans, connue pour la cardiopathie valvulaire et rythmique avec pacemaker bicaméral, est hospitalisée dans le service d'orthopédie dès le 11.04.2019 pour une fracture péri-prothétique du fémur distal D qui est ostéosynthésée le 14.04.2019. L'intervention se déroule sans complication immédiate mais la patiente développe une décompensation cardiaque sur hyper-hydratation post-opératoire et est transférée dans le service de médecine interne pour suite de prise en charge. Un traitement par Lasix IV en continu est mis en place avec lente amélioration favorable. Un US thoracique est réalisé à la recherche d'épanchement mais montrant des lames de liquides non ponctionnables. La thérapie par diurétique est adaptée plusieurs fois pour contrôler les œdèmes massifs aux MI et la dyspnée. L'évolution des symptômes est favorable avec stabilisation du poids à 71 kg. Sur le plan orthopédique, la plaie montre également une évolution favorable. La reprise de l'anticoagulation est effectuée en accord avec les opérateurs. Un contrôle radio-clinique est organisé à la consultation du Dr. X pour la suite. En raison d'une dépendance encore marquée dans les activités de la vie quotidienne, un séjour à l'UATO est organisé. Mme. Y est reclassée dans l'attente de son transfert prévu le 15.05.2019. Mme. Y est une patiente de 65 ans connue pour une maladie de Ménière qui nous est adressée par les urgences de Fribourg dans le contexte d'une baisse d'état général suite à une douleur abdominale d'origine indéterminée, une exacerbation de sa maladie de Ménière et un syndrome radiculaire (dans le contexte des hernies discales L2/L3 et L4/L5) depuis un an. À l'entrée, la patiente se présente orientée et vigilante en bon état général. À l'anamnèse, la patiente décrit une douleur abdominale de type brûlure au fosse iliaque gauche depuis deux semaines, traitée par Metronidazole pendant 4 jours (traitement interrompu en raison de la crise de maladie Ménière). Sur le plan locomoteur, nous observons un syndrome radiculaire avec lombosciatalgie chronique et perte de la sensibilité et dysesthésie aux membres inférieurs. À l'examen clinique abdominal, nous notons un abdomen souple et indolore avec une douleur à la palpation en fosse iliaque droite. Sur le plan neurologique, nous retrouvons une diminution de la sensibilité superficielle aux MI avec prédominance à droite et sensibilité profonde conservée. Mme. Y habite seule dans un appartement. Elle est autonome pour les AVQ et se mobilise sans moyens auxiliaires. Dans le contexte d'exacerbation de la maladie de Ménière, nous reprenons le traitement par Betaserc, mis précédemment en pause en raison de brûlures d'estomac, et nous augmentons le traitement par Pantozol. Par la suite, nous observons une amélioration des vertiges. Nous instaurons un traitement antalgique par Novalgin et Dafalgan que la patiente tolère bien. Par la suite, nous notons une régression des douleurs de type radiculaire. La patiente a profité d'un traitement de physiothérapie avec entraînement de l'équilibre, renforcement musculaire des extrémités supérieures et inférieures et entraînement de la condition, de la marche et des escaliers. Nous recommandons à la patiente de reprendre contact avec les orthopédistes de Berne afin d'organiser une nouvelle opération de ses hernies discales dès que son état général le lui permet. En raison d'une malnutrition avec perte de 4 kilos depuis un mois, nous mettons en place un suivi nutritionnel qui sera poursuivi en ambulatoire. La patiente décrit un épuisement psychique avec une baisse de l'humeur dans le contexte de son syndrome radiculaire avec des troubles du sommeil. Nous mettons en place un traitement par Remeron et proposons un suivi psychiatrique à long terme en ambulatoire. Après discussion avec la patiente, un séjour de convalescence à St-Marthe, au Bouveret, est organisé pour une réhabilitation psycho-somatique. La patiente quitte notre service le 28.05.2019 dans un état général amélioré.Mme. Y, 31 ans, est hospitalisée aux soins intensifs suite à l'ingestion de 2 briques de verre et de 2 cuillères. La patiente est transférée de l'hôpital de Marsens suite à l'ingestion de 2 briques de verre d'une bouteille brisée et de 2 cuillères, dans un contexte de troubles de la personnalité borderline avec multiples épisodes d'auto-mutilation et ingestion de corps étrangers. Une laryngoscopie rigide effectuée le 25.05.2019 révèle une lésion du sinus piriforme gauche superficielle, ainsi que deux lésions superficielles au niveau de la face ventrale de l'épiglotte. Mme. Y doit rester en régime RPO durant une semaine, avec une couverture antibiotique pour 2 semaines. Un abdomen sans préparation et CT abdominal montrent la présence de 2 cuillères au niveau abdominal, sans signe de perforation ni de souffrance intestinale. Il est décidé selon avis chirurgical d'adopter une attitude conservatrice. Une intubation orotrachéale est poursuivie de la phase per-opératoire jusqu'aux soins intensifs avec une bonne évolution permettant une extubation rapide suite à l'admission. Après discussion avec le psychiatre de garde le 26.05.2019, du fait de la sonde nasogastrique et de l'alimentation entérale, un transfert sur le weekend à Marsens est impossible, la patiente est donc transférée au sein du service ORL. Les suites sont simples et apyrétiques. Une radiographie du cou de profil et des tissus mous exclut la présence d'air au niveau rétropharyngé. L'odynophagie est en amélioration. Du point de vue nutritionnel, l'alimentation est démarrée avec 750 ml d'Isosource Energy fibre sur 24h. Du point de vue psychiatrique, le traitement de Lithium retard est mis en suspens en raison de l'impossibilité de l'administrer par la sonde nasogastrique. La patiente peut être transférée à Marsens en bon état général. Mme. Y, 31 ans, est hospitalisée aux soins intensifs suite à l'ingestion de 2 morceaux de verre et de 2 cuillères. La patiente est transférée de l'hôpital de Marsens suite à l'ingestion de 2 morceaux de verre d'une bouteille brisée et de 2 cuillères, dans un contexte de trouble de la personnalité borderline avec multiples épisodes d'auto-mutilation et ingestion de corps étrangers. Une laryngoscopie rigide effectuée le 25.05.2019 par les ORL révèle une lésion du sinus piriforme gauche superficielle et retrait des morceaux de verre. Une intubation orotrachéale est poursuivie de la phase per-opératoire jusqu'aux soins intensifs avec une bonne évolution permettant une extubation rapide suite à l'admission. Le contrôle ORL du 26.05.2019 montre une stabilité de la lésion. Une mise à jeun stricte est prévue pour une semaine au minimum, avec une couverture antibiotique par Co-Amoxicilline pour 2 semaines. Une sonde nasogastrique avec nutrition entérale est débutée dès le 26.05.2019. Un ASP et CT abdominal montrent la présence de 2 cuillères au niveau abdominal, sans signe de perforation ni de souffrance intestinale. Il est décidé selon avis chirurgical d'adopter une attitude conservatrice. Selon évaluation psychiatrique du 26.05.2019, un transfert à l'étage est faisable au vu d'un risque suicidaire considéré comme faible. Un transfert à Marsens n'est pas réalisable dans l'immédiat en raison de la sonde nasogastrique et de l'alimentation entérale et pour la surveillance clinique vu le risque de perforation lors du passage des cuillères. Un suivi psychiatrique rapproché sera effectué à l'étage par la psychiatrie de liaison. Un taux de Leponex du 27.05.2019 est en cours. Mme. Y garde donc une cheville quelque peu enraidie sur son ostéosynthèse tri-malléolaire à une année postopératoire. On envisage donc une ablation complète du matériel d'ostéosynthèse, plus ou moins associée à un Strayer en fonction du statut per-opératoire. Après information des risques et bénéfices de l'intervention, la patiente signe le consentement éclairé. Mme. Y, 59 ans, est hospitalisée aux soins intensifs en raison d'une insuffisance respiratoire globale. Traitée pour un BPCO mais plus suivie depuis quelques années, elle présente une péjoration de sa dyspnée et discrètement de ses expectorations depuis environ deux semaines, motivant l'introduction d'un traitement de Clarithromycine/prednisone par son médecin traitant. La patiente présente malgré le traitement une péjoration importante de sa dyspnée le 30.05.2019 avec bronchospasme sévère. L'angio-CT thoracique réalisé écarte une embolie pulmonaire et ne montre pas de foyer pulmonaire. Un traitement de bronchodilatateurs par aérosols et des corticoïdes est introduit, permettant une bonne évolution en 24 heures. L'origine de cette décompensation reste indéterminée, possiblement sur virose ou réaction allergique. Une candidose de l'oropharynx, acquise dans le contexte du traitement corticoïde, est traitée par Fluconazole, à maintenir pour 7 jours. Mme. Y est une patiente de 43 ans connue pour un ATCD épileptique avec traitement de Depakine. Elle est adressée par le médecin traitant pour suspicion d'AVC vs état épileptique. La patiente décrit l'apparition brutale d'une perte de force du membre supérieur gauche avec des paresthésies et une vision floue. L'examen clinique initial met en évidence une réduction de force à M4 du membre supérieur gauche ainsi que des troubles peu spécifiques de la sensibilité de l'hémicorps et du visage à gauche. Le NIHSS initial est estimé à 3. Un CT-scan cérébral permet d'exclure un processus hémorragique à l'étage cérébral. Cet examen est complété par une IRM cérébrale, laquelle ne met pas en évidence de pathologie cérébrale. En raison de l'anamnèse et des antécédents d'épilepsie, un EEG est effectué ; le tracé ne démontre pas la présence d'un foyer épileptique franc. Le diagnostic de crise d'épilepsie partielle est retenu, induit par une privation de sommeil et une consommation importante d'alcool. Le traitement habituel d'acide valproïque est ainsi majoré. Mme. Y sera revue à la consultation ambulatoire de son neurologue traitant, Dr. X, dans le courant du mois de juillet 2019. La patiente est par ailleurs informée que la conduite automobile est proscrite, et ce pour une durée minimale de trois mois. L'évolution étant favorable, la patiente rentre à domicile à la date du 2 mai. Mme. Y présente des lombalgies irradiant dans les deux jambes d'une intensité progressive. Après avoir évalué l'imagerie réalisée en post-opératoire, nous suspectons la progression d'un rétrolisthésis au niveau L2-L3, raison pour laquelle nous effectuons une radiographie de la colonne totale ainsi que de la colonne lombaire en f/e ce jour, sur lesquelles nous objectivons un rétrolisthésis au niveau L2-L3. Il s'agit par conséquent d'une maladie du segment adjacent. Cette dernière n'explique en revanche pas les douleurs présentées par la patiente au niveau des deux jambes, raison pour laquelle nous adressons la patiente au Neurocentre de Fribourg pour une ENMG. Pour ses douleurs invalidantes, nous organisons ce jour une consultation en antalgie pour ajuster le traitement de la patiente. Nous reverrons la patiente après l'ENMG pour discuter de la suite de la prise en charge. Après avoir discuté avec les spécialistes de l'antalgie, nous proposons de débuter un traitement par Lyrica 25 mg le matin et 50 mg le soir et prions le médecin traitant de recevoir la patiente susmentionnée à sa consultation la semaine prochaine afin d'augmenter, selon les douleurs, la posologie du Palexia ainsi que du Lyrica. Mme. Y présente une entorse de la cheville D. Nous traitons par une attelle et des antidouleurs. Nous ne réalisons pas de radiographie, car elle ne présente pas de drapeau rouge. En raison de son travail dans le service/la restauration, nous donnons un arrêt de travail jusqu'au dimanche 19.05.2019.Mme. Y, patiente de 60 ans, nous est transférée des soins intensifs suite à un état de mal épileptique. La patiente, connue pour une sclérose en plaques de longue date avec handicap fonctionnel important, a présenté dans la nuit du 28.04.2019 un état de mal tonico-clonique sans signe annonceur durant la nuit. Malgré un traitement par benzodiazépine, Keppra et Phénytoïne, la crise ne cède pas. Il est donc décidé de recourir à une intubation et une sédation par Propofol afin de faire céder l'état de mal et protéger les ACSOS. Un EEG ne retrouve pas de foyer épileptique mais un ralentissement diffus. L'origine de la crise est mise sur le compte d'un taux infra-thérapeutique de Phénytoïne (traitement habituel de la patiente). Sur avis neurologique, les benzodiazépines sont sevrées et le traitement de Keppra et Phénytoïne est maintenu. L'évolution clinique est lentement favorable sans récidive de crises convulsives. Les collègues neurologues ne proposent pas d'emblée un EEG ou une imagerie cérébrale de contrôle. La suite du traitement médicamenteux sera à réévaluer selon l'évolution clinique de la patiente. L'intubation est compliquée d'une insuffisance respiratoire hypoxémique sur atélectase pulmonaire gauche dans le cadre d'une intubation sélective. Une bronchoscopie et un repositionnement du tube permettent une résolution. En raison d'une probable broncho-aspiration, un traitement de Co-Amoxicilline est débuté et maintenu pour 5 jours avec une évolution favorable. Suite au mal épileptique et l'intubation, une dysphagie de grade sévère a été observée. Une sonde nasogastrique a été mise en place et arrachée par la patiente 3 jours après, c'est pourquoi une nutrition parentérale a dû être instaurée temporairement. Après discussion avec le Dr. X, nous avons proposé de poser une sonde PEG non seulement dans le cadre de la dysphagie mais aussi de la sclérose en plaques primaire progressive. Selon nos neurologues, pour la dysphagie, une cause iatrogène suite à l'intubation aux soins intensifs reste la plus probable. Finalement, au vu de l'amélioration des troubles de la déglutition, l'indication à la pose d'une PEG n'est actuellement pas retenue mais une consultation d'anesthésie et une discussion avec les gastroentérologues a déjà eu lieu pour faciliter la procédure en cas de péjoration. La patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire pour remise en forme et renutrition avant le retour à domicile. Nous conseillons une nouvelle évaluation par des nutritionnistes dans deux mois. Sur le plan médicamenteux, une rotation d'antiépileptique comme proposé auparavant par le Dr. X a été effectuée. Il s'agira de remplacer la phénytoïne par le Lamictal. Le Lamictal doit être débuté à 25 mg/j avec une augmentation de 25 mg toutes les 2 semaines. En parallèle, il s'agira de diminuer la phénytoïne de 100 mg par semaine jusqu'à l'arrêt du médicament. Le Keppra sera maintenu à 2x 75 mg par jour. Une fois le Lamictal et le Keppra à dose efficace, nous vous proposons d'organiser un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X afin d'arrêter le Keppra dans un second temps. Une hyperparathyroïdie, probablement dans le cadre de la thérapie avec la phénytoïne, est connue chez la patiente. Nous confirmons lors de cette hospitalisation une hyperparathyroïdie sans perturbation de la calcémie. Nous conseillons de recontrôler les valeurs de la parathormone et du calcium à distance de l'arrêt du traitement avec la phénytoïne. Nous observons une toux sèche d'origine indéterminée. Nous remettons la thérapie donnée début avril avec le Flutiform et remarquons une amélioration de cette toux. Nous suspectons un zona au niveau axillaire gauche, le frottis des lésions qui sont malheureusement déjà sèches est actuellement en cours. Un soin de peau avec une crème de zinc et des désinfections quotidiennes ont été conseillés. La patiente a pu rentrer à la maison le 18.05.2019 en meilleur état général. Mme. Y se présente aux urgences en raison d'une baisse de l'état général évoluant depuis 3 semaines avec toux grasse, asthénie et plusieurs épisodes de chute à domicile sur faiblesse des membres inférieurs. Au status, Mme. Y est hypoxémique à l'arrivée, elle présente des râles crépitants aux bases et une marche à petit pas, sans décollement du sol. Nous suspectons une broncho-pneumonie communautaire qui évolue favorablement sous antibiothérapie, permettant un sevrage rapide de l'oxygène. La patiente se plaint, suite à la fin de la prise en charge de la broncho-pneumonie, de douleurs dorso-lombaires péjorées à la mobilisation. Un bilan radiologique met en évidence des fractures/tassements L2 / L3 possiblement récents et un tassement L4 ancien. Une antalgie par 1er palier et une prise en charge physiothérapie suffisent à améliorer la situation. Mme. Y présente en fin d'hospitalisation des œdèmes des membres inférieurs mis sur le compte du traitement d'Amlodipine, lequel est stoppé. Un traitement de Torasemide et Aldactone est débuté. Un bandage quotidien à domicile est organisé. Mme. Y rentre à domicile le 07.05.2019. Mme. Y, 50 ans, est admise aux soins intensifs pour surveillance respiratoire post-opératoire en raison d'un SAOS sévère, appareillée depuis avril 2019. Elle est hospitalisée en électif pour une hystérectomie et annexectomie bilatérale laparoscopique avec cure d'hernie ombilicale par abord ouvert direct sans filet. L'intervention et les suites anesthésiques se déroulent sans complications ainsi que la surveillance respiratoire et hémodynamique aux soins intensifs. Une antibioprophylaxie est mise en place pour 24h, l'anticoagulation est débutée à 12h post-opératoire. La sonde vésicale est retirée le 15.05.2019 et les mictions spontanées sont reprises. Mme. Y continue les rinçages et connaît les motifs de reconsultation. Mme. Y, patiente de 96 ans, connue pour un cancer du sein D en 2000, consulte les urgences pour une sciatalgie D persistante depuis 1-2 semaines en péjoration ces derniers jours avec sensation d'instabilité dans les jambes le jour de la consultation. Un CT de la colonne lombaire met en évidence une fracture du sacrum s'étendant au foramen L5/S1 à D ainsi qu'une fracture associée des deux ailerons sacrés. Un syndrome inflammatoire est également objectivé à son entrée sans piste clinique infectieuse. Le bilan est complété par une IRM ne montrant pas d'argument pour une cause infectieuse ou néoplasique à la fracture. À noter que le suivi biologique montre une diminution spontanée du syndrome inflammatoire. L'anamnèse étant vierge de traumatisme récent, un diagnostic de fracture de fatigue ou d'insuffisance est retenu. Après discussion avec l'équipe de chirurgie SPINE, un traitement conservateur est initié avec une mobilisation selon douleur autorisée. La patiente bénéficie d'une adaptation de l'antalgie ainsi que de physiothérapie. L'évolution clinique est favorable avec une bonne diminution des douleurs. Au vu de ces éléments, une demande de réhabilitation gériatrique à Riaz est réalisée. Un suivi à la consultation du Team Spine est organisé pour le 18.07.2019 à 13h30. À noter que la patiente est suivie tous les 6 mois par le Dr. X pour une dégénérescence maculaire sèche. Un RDV était prévu alors que Mme. Y est hospitalisée. Un nouveau RDV sera à fixer à sa sortie de réhabilitation. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suivi et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Mme Devaud-Tercier est actuellement dans une période favorable et arrive à contrôler sa symptomatologie par adaptation de ses activités. Elle débutera un traitement de physiothérapie axé sur l'étirement des chaînes postérieures, la mobilisation et le renforcement musculaire. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Mme Dos Santos, 57 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour surveillance d'une suspicion d'AVC ischémique. Les symptômes ont débuté le 17.05.2019 avec des paresthésies de l'hémicorps gauche et ont progressé le 18.05.2019 avec une perte de force, une ptose labiale et une dysarthrie. La patiente a présenté une perte de connaissance et une chute de son lit témoignée par son époux. A son arrivée aux urgences, le NIHSS est à 8. Le CT injecté, sans cartes de perfusion au vu du délai du début des symptômes, ne montre pas d'atteinte ischémique ni hémorragique. Au vu d'absence d'amélioration du status neurologique, une surveillance pour suspicion d'AVC dans l'attente d'une IRM est effectuée. La durée de persistance des symptômes est peu compatible avec une migraine avec aura. Certains signes cliniques positifs évoquent plutôt une origine fonctionnelle. A son arrivée aux urgences, le NIHSS est à 7. Le CT injecté, sans cartes de perfusion au vu du délai du début des symptômes (<24h), ne montre pas d'atteinte ischémique ni hémorragique. Les vaisseaux précérébraux sont perméables. Au vu d'absence d'amélioration du status neurologique, une surveillance pour suspicion d'AVC dans l'attente d'une IRM est effectuée et un traitement par clopidogrel (300 mg dose de charge puis 75 mg/j) est initié. La patiente bénéficie le 21.05 d'une IRM cérébrale qui ne montre pas de lésions ischémiques. Le status neurologique s'améliore avec NIHSS à 3 le 20.05 (chute sans toucher le lit aux MI et MS G (chute sans pronation) (2pts) et paresthésie brachio-crurale D avec discrimination tacto-aglique préservée au MI mais pathologique au MS (1pt)) et la présence de phénomènes positifs parlant pour une origine fonctionnelle aux symptômes/signes susmentionnés. Le traitement par clopidogrel est stoppé et Mme Dos Santos peut quitter notre service le même jour, sans changement dans sa médication. Un contrôle chez vous est prévu dans une semaine. Mme Dupraz a probablement présenté un malaise vagal dans un contexte d'une gastro-entérite ainsi qu'un manque de sommeil et une période de stress. Les paramètres vitaux ainsi que la clinique étaient dans la norme. Elle présente un laboratoire aligné mis à part une leucocytose isolée possible dans un contexte de stress important (DD dans le contexte viral). Au vu de la clinique rassurante, nous préconisons à Mme Dupraz de bien s'hydrater, de se reposer et d'améliorer son hygiène du sommeil. Nous la rassurons concernant son épisode vagal et nous lui prescrivons des traitements symptomatiques pour sa probable gastro-entérite. Mme Dupraz est informée que si la situation devait s'empirer ou ne pas s'améliorer malgré les traitements, elle doit reconsulter. Mme Egger est une patiente en bonne santé habituelle qui se présente pour des douleurs dans le flanc gauche depuis le 11.05.2019. Elle est traitée par son médecin pour une suspicion de pyélonéphrite par Ciprofloxacine puis par Ceftriaxone. Le 14.05.2019, elle se présente dans notre service d'urgences pour majoration des douleurs. Une pyélonéphrite obstructive avec une lithiase gauche de 8x9 mm est mise en évidence. La patiente bénéficie d'une pose de sonde double J à gauche le 14.05.2019 qui se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. La patiente normalise sa fonction rénale initialement augmentée. Nous laissons rentrer Mme Egger à domicile le 17.05.2019. Un rendez-vous de contrôle est à prévoir chez le Dr. X dans 2 semaines. Mme Gagg, patiente de 57 ans connue pour un s/p bypass gastrique, est hospitalisée aux soins intensifs suite à des douleurs thoraciques typiques associées à une dyspnée. Il s'agit d'un premier épisode. A l'ECG, de très légères modifications ont été notées ainsi qu'une cinétique des troponines. La coronarographie ne montre pas d'atteinte ischémique. L'échocardiographie montre un trouble de la cinétique diffus avec une FEVG abaissée à 48% ainsi qu'une dilatation du ventricule gauche sans épanchement. En vue des troubles de la cinétique au niveau apical et d'importantes surcharges cognitives récentes, le diagnostic principal retenu est celui d'une cardiomyopathie de stress (Tako Tsubo). Le diagnostic différentiel reste ouvert avec myocardite et vasospasme. La patiente est transférée à l'étage le 19.05.2019 pour adaptation du traitement. Sur le plan cardiologique, la patiente ne présente plus de symptômes. Un traitement par Belok 25 mg 1x/j et Lisinopril 10 mg 1x/jour est introduit et bien toléré. En accord avec les collègues de cardiologie, nous organisons une nouvelle échocardiographie le 23.05.2019. En raison des multiples extrasystoles supra-ventriculaires et ventriculaires, un Holter est posé le 23.05.2019 sur 24h, les résultats vous seront transmis. Une IRM cardiaque est prévue le 27.06.2019 à la recherche de cicatrice de myocardite ou de fibrose. Nous expliquons à la patiente la restriction d'activité physique jusqu'à la réalisation de l'IRM cardiaque. La patiente a pris la décision d'arrêter le tabac. Nous avons introduit des patchs Nicotinell, bien tolérés, que nous prescrivons à la sortie. Nous proposons un suivi de l'arrêt chez le médecin traitant. Après évolution clinique favorable, la patiente quitte l'HFR le 23.05.2019 avec retour à domicile sans aide. Mme Gagg, 57 ans, est hospitalisée aux soins intensifs suite à des douleurs thoraciques typiques. Cette patiente connue pour un bypass gastrique présente des douleurs thoraciques typiques associées à une dyspnée. Il s'agit d'un premier épisode. On note une cinétique des troponines avec de très légères modifications ECG en inférieur. Une coronarographie ne montre pas d'atteinte ischémique. Une échocardiographie montre un trouble de la cinétique diffus, avec une FEVG abaissée à 40-45% et une dilatation du ventricule gauche. Le diagnostic différentiel est pour l'instant large avec une possible péri-myocardite, la patiente étant à 15 jours d'un état grippal, une cardiomyopathie, voire un syndrome de Tako-tsubo bien que l'imagerie ne soit pas typique. Le bilan d'investigation comporte une IRM cardiaque et une nouvelle échocardiographie à une semaine. Un traitement de l'insuffisance cardiaque par IEC et Metoprolol est débuté. Mme Gomes Da Silva présente des herpes linguales récidivants avec l'apparition depuis le 24.05.2019 de 4-5 boutons de fièvre. Nous la traitons avec le Valtrex et l'huile de thé ainsi que de l'antalgie et nous lui conseillons de retourner chez son médecin traitant pour la suite de la prise en charge et selon la prise en charge par un dermatologue. Mme Grossglauser est une patiente de 89 ans qui nous est adressée du service d'urgences de Fribourg le 11.05.2019 dans le contexte des douleurs thoraciques d'origine angor instable (Troponine et ECG effectués excluent une origine ischémique). A l'entrée, la patiente se présente orientée et vigilante en bon état général. L'examen clinique révèle un souffle diastolique d'intensité moyenne. Sur le plan pulmonaire, nous notons des crépitants grossiers bibasales (prédominants à droite). La suite du status d'entrée est sans particularité. L'anamnèse révèle une baisse d'état général depuis quelques semaines et des troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition. Mme vit dans un appartement protégé, elle n'est pas autonome, elle bénéficie d'un passage Spitex 1x/jour.Dans le contexte d'une dyspnée et D-Dimères élevés, nous effectuons un CT le 13.05.19, qui exclut une embolie pulmonaire. La suspicion clinique et ultrasonographique d'une pneumonie et épanchement pleural est confirmée par le CT du 13.05.19. On commence un traitement antibiotique par Ceftriaxon 2g IV et Clarithromycine 500 per os, qui est ensuite changé en PO par Co-Amoxi. Par la suite, nous mettons en évidence une régression biologique du syndrome inflammatoire. La thérapie antibiotique est maintenue jusqu'au 19.05.2019. Bioflorin est mis en place pour des épisodes de diarrhée. En suspicion d'un angor instable typique, un traitement par Aspirine et Liquemine est introduit le 11.05.2019. Par la suite, nous ne notons pas un autre épisode d'angor instable ni d'autres plaintes sur le plan cardiologique. Le 12.05, nous mettons en évidence un globe urinaire. Nous effectuons une mise de sonde vésicale et un sédiment urinaire qui ne montre pas une infection urinaire. La sonde est enlevée le 13.05 sans retour d'un globe urinaire. En raison d'une anémie macrocytaire, normochrome (Hb 73 g/l) chez une patiente connue pour un syndrome myélodysplasique, nous effectuons une transfusion de deux culots d'érythrocytes le 15.05 avec bonne tolérance et augmentation du Hb à 99 g/l. Pendant l'hospitalisation, Mme. Y se présente hémodynamiquement stable et peut rentrer à domicile en bon état général le 17.05.2019. Mme. Y, patiente de 68 ans, actuellement en bilan pour une tumeur pulmonaire du lobe supérieur G métastatique, pour laquelle l'histologie et l'analyse de biologie moléculaire sont encore en cours, consulte les urgences pour des lombalgies en augmentation ces dernières semaines avec intensification ces deux derniers jours, surtout à la mobilisation, sans événement déclencheur. Les douleurs ne sont plus gérables à domicile. La patiente décrit également une fatigue en augmentation avec l'introduction des médicaments antalgiques. La patiente est hospitalisée en médecine interne pour adaptation antalgique. Après discussion avec son oncologue traitant, Dr. X, une radiothérapie à visée antalgique est organisée. Elle bénéficie d'un premier contact avec l'équipe de radio-oncologie le 10.05 et bénéficiera de sa thérapie la semaine suivante. La patiente restera hospitalisée, en séjour reclassé, pour la durée de la thérapie en raison de son état général et de son domicile à distance de l'hôpital. L'immuno-phénotypage de la tumeur restant en cours, la thérapie systémique adjuvante à la radiothérapie n'est pas encore définie. La patiente sera suivie par les oncologues en ambulatoire pour la suite de la prise en charge. Un suivi psycho-oncologique par la psychologue spécialisée, Mme. Y, est également débuté durant son séjour. À son arrivée, Mme. Y décrit également une dysurie en fin de miction sans autre symptôme urinaire. Le bilan montre une infection urinaire basse qui est traitée par Nitrofurantoïne avec bons résultats cliniques. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, 73 ans, est hospitalisée aux soins intensifs en raison d'une acidose métabolique sur insuffisance rénale aiguë dans le contexte de perte digestive depuis plusieurs jours. La patiente a consulté son médecin traitant pour vomissements et diarrhées avec douleurs abdominales crampiformes diffuses depuis 5 jours. Il n'y a pas d'état fébrile, de notion de comptage ou de voyage récent. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale AKIN 3 anurique avec acidose métabolique nécessitant un remplissage de 5 litres les premières 24 heures. L'origine pré-rénale avec probable composante de nécrose tubulaire aiguë répond au remplissage avec une bonne diurèse horaire par la suite. Une substitution en bicarbonate et en potassium est à poursuivre. L'origine exacte des pertes digestives reste incertaine. Une pancréatite biologique et une légère perturbation des tests hépatiques sont mises en évidence chez cette patiente opérée de la vésicule biliaire à l'âge de 20 ans pour lithiases. La clinique est atypique pour un passage de calcul au décours qui reste néanmoins un diagnostic différentiel. L'US abdominal ne retrouve pas de calcul enclavé et la lipase est à la baisse. Un CT n'est pas réalisé au vu de la problématique rénale. Le transit est en amélioration le 19.05.2019. La patiente est transférée à l'étage de médecine le 19.05.2019 pour suite de prise en charge. Mme. Y, une patiente de 88 ans connue pour une FA anticoagulée par Xarelto ainsi qu'un diabète de type 2, est transférée le 23.04.2019 par l'EMS à Kerzers suite à des chutes récidivantes avec trauma crânien et une lésion du MID. La patiente ne sait pas comment elle a chuté. Il n'y a pas eu de perte de connaissance. Un souffle systolique est ausculté au niveau de l'aorte. L'examen neurologique ne relève pas de trouble sensitiv ou moteur, ni de trouble de la vision. Pas de céphalées ou de vomissements. Un ECG montre une FA normocarde connue. Des investigations complémentaires concernant la chute ne seront pas réalisées par manque de conséquence thérapeutique. Mme. Y présente des ulcères infectés à pourtour légèrement rouge avec un centre purulent à allure nécrosante, associés à un syndrome inflammatoire ainsi que des hémocultures positives à streptocoque pyogène. Un CT de la jambe effectué le 24.04.2019 montre des signes de dermo-hypodermique de la jambe droite sans signes de bulle d'air ou collections intramusculaires visibles, mais ne peut néanmoins pas exclure une fasciite. Suite à une première discussion avec sa fille, la représentante thérapeutique, et en connaissance des risques potentiels de décès, une poursuite de l'antibiothérapie (Co-Amoxicilline adaptée à la fonction rénale) est souhaitée, sans transferts ni de traitement chirurgical. Au vu de l'évolution stable depuis une semaine, une fasciite devient plutôt improbable et cela parle plutôt pour une dermo-hypodermite. Un débridement est rediscuté avec la famille et nous organisons un consilium avec les stomathérapeutes/soins de plaies. La continuation du traitement local avec Bétadine et une prise en charge de confort sera décidée conjointement avec la famille et la patiente. Une antibiothérapie ne doit plus être réinitiée dans le cas d'une réinfection systémique. En raison de son insuffisance rénale aiguë avec une GFR EPI à 22 ml/min le 23.04.2019, nous procédons à une réhydration parentérale et à une adaptation de la médication avec mise en pause du Metfin, Esidrex et Xarelto, ceux-ci seront repris à leurs doses habituelles après normalisation de la fonction rénale. Au vu des valeurs glycémiques élevées à une moyenne de 15 mmol/l (HbA1c 6.7 %), nous introduisons l'Insuline Lantus 10 IE avec nette amélioration de la glycémie entre 8 et 9 mmol/l au décours. Le Diamicron est stoppé en raison d'un épisode d'hypoglycémie. Une sonde urinaire est posée pour 3 jours au vu d'une rétention urinaire aiguë spontanément résolue avec 350 ml mesurés au bladder-scan. Une hypokaliémie est substituée per os.Nous pouvons laisser rentrer Mme. Y dans son EMS à Kerzers le 13.05.2019 en état général nettement amélioré. Un protocole pour le traitement local de la plaie est transmis à l'EMS. Mme. Y a eu une forte contusion aggravée par une entorse le 22.04. Elle remarque une claire amélioration générale mais elle reste encore limitée à cause des douleurs. On va soutenir le traitement par physiothérapie et antalgie au besoin. Nous allons aussi bilanter la situation méniscale et cartilagineuse avec une IRM et on reverra la patiente en fin de semaine prochaine. Elle reste en arrêt de travail à 100% jusqu'à la fin de semaine prochaine. Mme. Y, connue pour une insuffisance cardiaque terminale sur cardiomyopathie dilatée sévère d'étiologie indéterminée avec QT long congénital et équipée d'un pacemaker-défibrillateur avec resynchronisation, est adressée par son médecin traitant pour des douleurs thoraciques et dyspnée en augmentation. Aux urgences, une tachycardie atriale à l'interrogation du pacemaker avec entraînement ventriculaire rapide est mise en évidence, sans instabilité hémodynamique. Nous retenons une décompensation cardiaque sur ce trouble du rythme. La patiente est admise aux soins intensifs pour une surveillance rythmique. Un traitement par Amiodarone, dose de charge puis d'entretien, est administré. Le pacemaker est converti du mode resynchronisation à VVI, ce qui permet le contrôle de fréquence. La patiente est ensuite transférée en médecine interne. Une insuffisance rénale aiguë se développe en raison du bas débit cardiaque, ce qui motive la mise en suspens du Lisinopril, de la spironolactone et du Torem. Un ultrasons des voies urinaires permet d'exclure une cause post-rénale. Malgré un remplissage prudent, la patiente devient anurique et développe une acidose métabolique. Il est décidé avec les cardiologues de remodifier le pacemaker en mode resynchronisation. La patiente est retransférée aux soins intensifs pour un remplissage et la stimulation de la diurèse par des diurétiques. En accord avec la patiente et la famille, il est décidé de ne pas réaliser de dialyse ni de proposer un traitement cardiaque d'assistance ventriculaire. Au vu de la reprise des diurèse et de la stabilisation clinique, la patiente est retransférée en médecine interne. Nous poursuivons un traitement par diurétiques avec une amélioration de la fonction rénale. Nous reprenons progressivement les traitements de l'insuffisance cardiaque avec une évolution clinique. Un traitement par Entresto est initié avec excellente tolérance. Au niveau gastro-entérologique, nous constatons une perturbation des tests hépatiques. Un ultrasons abdominal ne montre pas de signes d'obstruction des voies biliaires. Nous retenons un foie de stase sur l'insuffisance cardiaque. Nous réalisons un suivi biologique avec une bonne évolution. Un reflux gastro-oesophagien est efficacement traité par la majoration du traitement de Pantozol. Des hémorroïdes répondent bien à un traitement par proctosynalar. Au niveau urinaire, une infection simple est traitée par une antibiothérapie (nitrofurantoïne) pendant une semaine avec une bonne évolution clinique. Au niveau social, la patiente qui souffre d'un léger retard mental congénital vit avec son père. Un projet de placement est initialement décidé mais l'évolution clinique étant tellement favorable. Un retour à domicile est finalement organisé avec l'aide des soins à domicile, en accord avec son entourage. À la fin de séjour, Mme. Y peut marcher 80 m avec supervision et se déplace dans la chambre de manière autonome. La patiente est reclassée le 07.05.2019 en attente d'organiser des soins à domicile. Mme. Y est hospitalisée dans notre service de médecine pour une première chimiothérapie de consolidation dans le contexte de sa leucémie myéloïde aiguë. Sa dernière hospitalisation pour la chimiothérapie d'induction s'était compliquée notamment par un ARDS sur broncho-aspiration ayant nécessité une intubation, une agranulocytose fébrile sur mucite digestive sévère avec iléus secondaire, ainsi que l'apparition d'épanchements pleuro-péricardiques. Lors de son évaluation d'entrée, la patiente ne note pas de symptôme particulier, excepté la persistance d'une toux productive au décours. L'examen clinique et le bilan biologique pré-chimiothérapie sont par ailleurs sans particularité. La 1ère chimiothérapie de consolidation par Cytosar est débutée le 04.05.2019. Le traitement est bien supporté par la patiente. Le suivi biologique montre un passage en agranulocytose le 13.05.2019. Mme. Y est alors isolée et mise sous prophylaxie de Posaconazole. L'agranulocytose se complique d'un épisode fébrile le 18.05.2019 sans foyer clair que nous traitons par Céfépime du 18.05 au 24.05.2019. Les hémocultures (1/4) retrouvent une Klebsiella pneumoniae sensible au Céfépime. L'évolution est favorable avec disparition de la fièvre. Sur le plan gynécologique, nos collègues procèdent à un prélèvement de tissu ovarien le 03.05.2019. L'intervention se déroule bien et les suites opératoires sont simples. Les douleurs sont gérées de manière efficace par une antalgie simple. Les fils sont enlevés à J10. Elle devra recevoir une injection de Lucrin tous les 3 mois et sera revue à la consultation gynécologique pour un contrôle post-opératoire début juin. Sur le plan cardiovasculaire, la patiente avait présenté un épanchement péricardique lors de la dernière hospitalisation. Le contrôle échographique montre la persistance d'une fine lame d'épanchement, sans répercussion hémodynamique. Par ailleurs, la patiente montre une rétention hydro-sodée avec prise pondérale de 3 kg secondaire à l'hyperhydratation lors de la chimiothérapie. Le traitement diurétique permet de normaliser rapidement le poids. Sur le plan ophtalmologique, un contrôle est effectué par nos collègues suite à l'hyposphagma apparu lors de la chimiothérapie. L'évolution est favorable avec persistance toutefois d'une xérophtalmie post-chimiothérapie que nous traitons par vitamine A et Oculac. Au vu de son évolution favorable, Mme. Y peut quitter notre service en date du 24.05.2019. Une hospitalisation pour la 2ème consolidation est prévue le 03.06.2019. Mme. Y, 86 ans, est admise aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique post-révision d'une PTH droite élective. L'intervention chirurgicale se complique d'une instabilité hémodynamique nécessitant un soutien de noradrénaline en peropératoire. La surveillance hémodynamique aux soins intensifs se déroule par la suite sans particularité. La plaie et le pansement du site opératoire restent propres. L'anticoagulation prophylactique est débutée dès 6h post-op. Une antalgie efficace par Oxycontin et Oxynorm est mise en place. L'anticoagulation prophylactique est débutée dès 6h post-op. En raison d'une anémie post-opératoire, elle bénéficie d'un CE le 21.05.2019. Au vu de la présence d'une anémie en pré-opératoire, nous proposons d'effectuer un bilan d'anémie à l'étage. En raison d'une oligurie, le traitement anti-hypertenseur est mis en suspens afin de favoriser une bonne perfusion rénale. Nous laissons le soin au collègue de l'étage de suivre les diurèses, stimuler l'hydratation et de réintroduire les traitements séquentiellement dès amélioration. La patiente est transférée à l'étage d'orthopédie pour la suite de sa prise en charge. Mme. Y présente une contusion musculaire ainsi que des lésions cutanées superficielles suite à un accident de tracteur. Au vu de la clinique rassurante, nous prescrivons de l'analgésie pour les douleurs et nous l'informons qu'elle ne doit pas dormir seule ce soir. Elle dort en présence de sa mère. De plus, en cas de péjoration de la clinique, elle est informée qu'elle doit consulter rapidement.Mme. Y se présente aux Urgences le 12.05.2019 avec des saignements urogénitaux apparus spontanément le jour même. Elle est d'abord évaluée par le service de Gynécologie qui ne met en évidence aucune origine gynécologique à la symptomatologie. L'examen génital met en évidence plusieurs tuméfactions érythémateuses au niveau du méat urétral probablement à l'origine de l'hématurie. Rapidement après la mise en place d'une sonde vésicale, la patiente retrouve des urines claires. Une infection urinaire basse est également diagnostiquée pour laquelle nous débutons un traitement de Nitrofurantoïne. Par la suite, la patiente montre une évolution favorable avec une persistance de la tuméfaction urétrale mais diminution du saignement. En accord avec le Dr. X et vu la diminution de la symptomatologie, nous préconisons un traitement conservateur afin de limiter les risques d'incontinence provoqués par un traitement chirurgical en phase aiguë. La patiente prendra rendez-vous chez le Dr. X pour planifier la suite de la prise en charge chirurgicale en ambulatoire. Mme. Y, 66 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour gestion de l'antalgie et surveillance respiratoire post-fixation percutanée D11-L1 avec cimentation des vis en D11 et L1 et vertébroplastie unipédiculaire L5 droite le 15.05.2019. Elle présente des lombalgies invalidantes sur fracture instable B2 de D12 et A3 de L5 avec tassements anciens de D11 et L1 suite à une chute de sa hauteur survenue le 24.04.2019. L'intervention et les suites anesthésiques se déroulent sans complication. Les douleurs sont contrôlées par oxycontin, paracétamol, Novalgine et Oxynorm en réserve, avec persistance d'une douleur résiduelle à la mobilisation. D'un point de vue neurologique, la patiente est désorientée dans le temps et dans l'espace dans un contexte de démence probablement toxique. Le CAM ne montre pas d'état confusionnel aigu. Des troubles électrolytiques sur probable malnutrition protéino-énergétique dans le contexte de la consommation d'alcool et de la démence sont mis en évidence. Nous laissons le soin aux collègues d'orthopédie d'organiser un bilan vitaminique complet et un suivi nutritionnel. Du point de vue urinaire, elle ne présente pas de diurèse au retour de bloc avec une douleur abdominale sus-pubienne. La patiente présente ensuite des épisodes d'incontinences urinaires. Un US abdominal est effectué montrant un volume résiduel important post-incontinence. La diurèse est à suivre vu le risque de rétention urinaire. Mme. Y présente une douleur de l'hypochondre D actuellement d'origine indéterminée (DD Cholelithiase). Le laboratoire montre des tests hépatiques et pancréatiques dans la norme, pas de syndrome inflammatoire. Le statut urinaire est négatif. L'échographie abdominale ne montre aucun résultat en raison d'une vésicule biliaire contractée chez une patiente ayant bu un café et fumé une cigarette. Le radiologue peut juste attester un Murphy échographique et un syndrome obstructif complet de la vésicule biliaire semble improbable. Dans ce contexte, laboratoire rassurant, nous organisons une échographie abdominale à jeun (hydratation, alimentation) depuis minuit et sans tabac pour le lundi 20.05.2019 ainsi qu'un contrôle à la consultation. D'ici là, au vu de ses nombreuses allergies, nous traitons par du buscopan et dafalgan en attendant cette nouvelle échographie. La patiente est informée qu'en cas de péjoration de la situation clinique, elle doit reconsulter. Mme. Y, 14 ans, est admise aux soins intensifs pour surveillance respiratoire et mise à l'abri post-tentamen médicamenteux le 20.05.2019. Le matin du 20.05.2019, elle prend du Temesta 28 mg ainsi que du Risperdal 40 mg à but suicidaire. A son arrivée, elle présente un GCS à 15 avec stabilité hémodynamique et respiratoire lors de sa présentation aux urgences. L'avis est sollicité au ToxZentrum qui ne propose pas de charbon activé en vue du délai dépassé. La surveillance aux urgences pédiatriques révèle une somnolence en augmentation avec bradypnée motivant un transfert aux soins intensifs. La surveillance hémodynamique et respiratoire se déroule par la suite sans complication. L'intervalle QT reste dans les normes. L'entretien pédopsychologique du 20.05.2019 souligne le risque de fugue et de mise en danger. Un suivi rapproché est préconisé pour la suite. Au vu d'une notion de rapports sexuels à risque lors d'une alcoolisation aiguë il y a 48h, un traitement de Norlevo est administré aux urgences pédiatriques. Une consultation gynécologique est à prévoir à 2 semaines ainsi qu'un bilan à la recherche de MST. La patiente est transférée en pédiatrie le 21.05.2019. Mme. Y, une patiente de 78 ans, est hospitalisée suite à une fracture humérale proximale D sur chute accidentelle à domicile. Pour rappel, elle est connue pour un Sjögren, un lymphome de type MALT ainsi que pour une polyneuropathie sensitivo-motrice périphérique suivie par le Dr. X. Elle est connue pour des chutes récidivantes multifactoriels en lien avec sa polyneuropathie, un déconditionnement, des lombosciatalgies chroniques non déficitaires, des œdèmes des membres inférieurs chroniques sur insuffisance veineuse et d'une prise de benzodiazépines. Elle est amenée par l'ambulance sur traumatisme de l'épaule D. La patiente explique s'être encolbée avec son rollator ce matin et être tombée en avant en se cognant l'épaule contre la porte de la chambre puis le sol. Elle ne signale pas de PC et pas de TC. Elle ne présente pas de syndrome systémique. Pour rappel, la patiente avait été hospitalisée au mois de mars pour une chute similaire avec contusion au genou sans fractures. Depuis la chute, Mme. Y ressent de fortes douleurs à l'épaule, sans paresthésies ni perte de force en distalité. La patiente est droitière. À l'anamnèse, mise à part des œdèmes des membres inférieurs, elle ne présente pas d'autres plaintes. Elle et son mari ont déjà des soins à domicile (2x/semaine pour elle, tous les jours pour lui), une aide au ménage 1x/semaine, livraison des repas à domicile tous les jours. Elle se mobilise à rollator, mais actuellement, en raison de l'immobilisation du bras, ceci s'avère compliqué. Ses voisins sont aussi présents pour aider pour les courses si besoin et passent 2x/semaine. Au statut d'entrée, Mme. Y est en bon état général, hémodynamiquement stable, afébrile, bien perfusée, bien hydratée et algique. Le membre supérieur D est en position algique plaquée contre le corps, sans déformation visible à l'œil nu. La sensibilité est conservée et symétrique sur les faces médiale et latérales des bras/avant-bras et main. Les pouls radiaux sont palpables. La force est conservée, sans mobilisation active du coude et de l'épaule en raison des douleurs. La mobilisation passive du coude est possible mais douloureuse. Le reste du statut est sans particularité mis à part un hématome prétibial gauche de 5 cm x 3 cm et une dermabrasion en ligne de 3 cm sur la face latérale de la jambe droite. Au vu de la fracture et de l'avis des orthopédistes, Mme. Y est traitée conservativement avec une immobilisation par gilet orthopédique pendant au moins 4 semaines avec des radiographies de contrôle. Nous introduisons une antalgie pour la gestion des douleurs. Nous réalisons une radiographie le 26.04.2019, qui montre un léger déplacement. Selon l'avis orthopédique, nous pouvons, selon le choix de la patiente, soit continuer conservativement soit organiser une consultation pour une possible opération. Mme. Y souhaite un traitement opératoire en raison de ses fortes douleurs qui sont encore insuffisamment traitées par Dafalgan, Novalgine et Oxynorm.Concernant son syndrome de Sjögren et lymphome de type Malt, Mme. Y reçoit sa dose de 1000 mg de Mabthera le 01.05.2019. La prochaine cure sera à prévoir avec le Dr. X. Le 25.04.2019, Mme. Y est transférée en réadaptation gériatrique pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, 34 ans, a été hospitalisée en unité stroke monitorée en raison d'une suspicion d'accident ischémique transitoire vertébro-basilaire. La patiente est connue pour un épisode d'AIT vertébro-basilaire en 2017 sur dissection post-traumatique de l'artère vertébrale gauche. Elle a été amenée en ambulance le 03.05.2019 en raison d'un épisode de nucalgies droites, suivies d'une perte de connaissance d'environ 15 minutes et d'un hémisyndrome sensitivo-moteur brachio-crural droit, alterné avec un hémisyndrome sensitif gauche, à prédominance faciale, spontanément résolutifs aux urgences. Le NIHSS est à 2 points à son arrivée, correspondant à une hypoesthésie faciale droite et une ataxie du membre supérieur droit. Par la suite, l'examen neurologique s'est complètement normalisé. Le CT-scan cérébral avec cartes de perfusion n'a pas identifié de lésion ischémique ou hémorragique aiguë, mais il a mis en évidence un anévrysme mesurant 4 x 3 mm à la bifurcation de la première branche de M1 à droite. En comparaison aux imageries précédentes, cet anévrysme était déjà présent, de taille actuellement inchangée. Une charge d'aspirine a été administrée à l'admission. Nous proposons à la patiente une surveillance de minimum 24 heures et une IRM cérébrale ultérieure. Elle ne souhaite toutefois pas prolonger son hospitalisation et, ayant toute sa capacité de discernement, décide de rentrer après 12 heures de surveillance et s'engage à revenir aux urgences en cas de problème. Sa mère, qui était présente, l'a soutenue dans sa décision et s'est engagée à la surveiller étroitement à la maison. Nous lui proposons de poursuivre le traitement par aspirine jusqu'à l'IRM cérébrale qui est demandée pour la semaine prochaine et ensuite de reprendre contact avec le Dr. X, neurologue traitant, pour la suite de la prise en charge. Une nouvelle imagerie sera à effectuer dans 6 mois pour évaluer l'évolution de l'anévrysme. Au moment de son départ, la patiente est asymptomatique et l'examen neurologique est entièrement normal. Mme. Y ne désire pas rester à l'hôpital, elle rentre à domicile avec les recommandations de reconsultation immédiate si péjoration des symptômes, fièvre. Elle prendra contact directement avec son chirurgien. Mme. Y, 47 ans, est admise aux soins intensifs pour surveillance d'une hémorragie du post-partum post-césarienne sous rachianesthésie. La patiente, 2G devenue 2P, bénéficie d'une césarienne élective pour placenta praevia marginal et pour myopie sévère (contre-indication aux efforts expulsifs). L'hémorragie du post-partum est estimée à 1500 ml avec initialement instabilité hémodynamique nécessitant des bolus de noradrénaline et phényléphrine administrés en salle d'opération. Le traitement ci-dessus de l'hémorragie du post-partum permet de contrôler le saignement et l'instabilité hémodynamique. Le nadir de l'hémoglobine est à 81 g/l sans nécessité de transfusion. Le ballon de Bakri est vidé de moitié à 23h le 10.05.2019 et sera retiré à l'étage d'obstétrique à 11h le 11.05.2019. L'antalgie post-opératoire est contrôlée par paracétamol, ibuprofène et doses itératives d'opiacés. Mme. Y, 57 ans, a été admise pour des masses ovariennes suspectes posant l'indication à une laparoscopie diagnostique en électif avec annexectomie bilatérale et hystérectomie, ainsi que prélèvements ganglionnaires et de deux masses épiploïques. En post-opératoire, elle a été admise aux soins intensifs pour la surveillance respiratoire dans le contexte d'un syndrome d'apnées du sommeil. La patiente est connue pour un SAOS appareillé, une obésité morbide et une hypertension artérielle traitée par sartan. La chirurgie a été effectuée principalement en position de Trendelenburg marquée, provoquant un œdème facial avec un test de fuite pathologique en fin d'intervention. Au vu de la persistance d'une voix rauque en salle de réveil et la nécessité d'une antalgie par opiacés, la patiente a été admise aux soins intensifs pour une surveillance des voies aériennes, qui sont restées stables. La CPAP nocturne habituelle a été reprise et la physiothérapie respiratoire sera poursuivie jusqu'à mobilisation complète. Une bradycardie sinusale per-opératoire probablement d'origine vagale a été attribuée au pneumopéritoine induit et s'est rapidement résolue après diminution de la pression intra-abdominale. L'antalgie a été assurée par du paracétamol, métamizole et oxycodone en réserve. Un drainage du Douglas par Jackson-Pratt non aspiratif a été laissé en place et devra être retiré avec l'accord de l'opérateur. Le traitement antihypertenseur habituel pourra être repris selon le profil de pression artérielle lors de la mobilisation. L'anticoagulation prophylactique par enoxaparine sous-cutanée a été augmentée à 60 mg/jour dès le 08.05.2019. La patiente a été transférée le 08.05.2019 dans le service de gynécologie. Mme. Y est une patiente de 74 ans, suivie en oncologie pour une récidive ganglionnaire d'un adénocarcinome du côlon, qui est hospitalisée dans notre service de médecine en vue d'une chimiothérapie par FOLFIRI. Pour rappel, la patiente a présenté des douleurs thoraciques lors du dernier traitement effectué en ambulatoire, pour lesquelles elle n'a pas consulté. La chimiothérapie de 5-Fluoro-uracil pouvant provoquer des spasmes coronariens chez une patiente connue pour une cardiopathie ischémique, il est décidé d'hospitaliser la patiente durant le traitement pour une surveillance rapprochée. Lors de son évaluation d'entrée, la patiente décrit une dyspnée stable de stade II à III, sans toux, ni symptômes de décompensation cardiaque. Elle est hémodynamiquement compensée et afébrile. L'examen clinique et le bilan biologique d'entrée sont par ailleurs dans la norme. La chimiothérapie débute le 07.05.2019. Le traitement se complique toutefois d'un épisode de douleurs thoraciques atypiques le 08.05.2019. L'ECG ne montre pas de modification significative et les douleurs cessent spontanément. Nous lui proposons toutefois un traitement d'Amlodipine en prévention d'éventuels spasmes coronariens pour la fin de la chimiothérapie, qui se déroule sans nouvelle symptomatologie. Un spasme coronarien n'est pas formellement exclu, mais l'impression clinique oriente plutôt vers une étiologie pariétale dans le contexte d'une polyarthrite rhumatoïde avec arthralgies diffuses et du contexte psychiatrique. Sur le plan psychiatrique, la patiente montre un important état anxio-dépressif. Les séances de chimiothérapie et la peur de la maladie sont des éléments qui ressortent fréquemment dans son discours. Nous lui proposons des séances d'hypnothérapie qui ont un bon effet sur la patiente. Par ailleurs, nous lui prescrivons un traitement de Temesta en cas de crise d'angoisse. Au vu de sa bonne évolution, la patiente peut rentrer à domicile le 10.05.2019. La suite de prise en charge s'effectuera à la consultation du Dr. X. Mme. Y, une patiente de 62 ans connue pour un diabète insulino-requérant et hospitalisée dès le 01.05.2019 aux HFR de Fribourg pour un AVC ischémique aigu pontique paramédian droit d'origine microangiopathique, nous est transférée dans notre service de médecine interne de Meyriez le 20.05.2019 pour surveillance neurologique dans l'atteinte d'une place en neuroréhabilitation. Pour rappel, la patiente a présenté un hémisyndrome sensitivo-moteur nouveau ressenti depuis le 01.05.19. Le dernier AVC date de 2018 avec pour séquelles une hémiparésie gauche. À noter que la patiente est d'origine portugaise et se trouve en vacances chez sa fille.A son entrée à Meyriez, nous évaluons un NIHSS à 5 points avec une parésie faciale discrète ainsi qu'un trouble sensitivomoteur à gauche inchangé lors du départ de la patiente en neuroréhabilitation le 22.05.2019. Au vu de fluctuations de la glycémie lors de son hospitalisation à Meyriez avec une hémoglobine glyquée à 13.3%, nous procédons à une adaptation de l'insulinothérapie. Mme. Y est transférée en neuroréhabilitation le 22.05.19 pour suite de prise en charge. Nous prions nos collègues de neuroréhabilitation de pister les résultats de l'ECG Holter effectué à Fribourg. Mme. Y, 62 ans, hospitalisée pour AVC pontique droit. La patiente, connue pour un diabète insulino-requérant et des AVC récidivants avec une hémiparésie gauche séquellaire, présente un hémisyndrome sensitivo-moteur nouveau le 01.05.19 à 1h30, objectivé par sa fille le matin. À noter que la patiente est d'origine portugaise et se trouve en vacances chez sa fille. Elle n'a pas pris son traitement antiagrégant dont elle ne connaît pas le nom depuis 2 semaines. À l'admission, le NIHSS est à 7. Un traitement par Clopidogrel et une statine sont introduits. Durant la surveillance, la patiente reste stable sur le plan neurologique. Le CT-scan cérébral est sans particularités. L'IRM cérébrale révèle une lésion ischémique aigüe au niveau pontique droit. Le bilan étiologique met en évidence une dyslipidémie et un diabète mal contrôlé. Une échocardiographie est demandée. Concernant le diabète, le traitement habituel consiste en une insulinothérapie dont le dosage et le type d'insuline ne sont pas connus par la patiente. Un schéma correctif par Humalog est instauré. On vous laisse le soin d'adapter le traitement en fonction des valeurs glycémiques. Mme. Y est transférée en Stroke Unit le 02.05.19 pour suite de prise en charge. Mme. Y a fait une entorse avec simplement contusion mais sans arrachement ligamentaire. Elle peut reprendre toutes les activités selon douleurs. Nous ne prévoyons pas de contrôle mais restons à disposition. Mme. Y, 83 ans, est admise aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique en raison d'une hémorragie digestive basse. La patiente a présenté plusieurs épisodes d'hématochézie, initialement dans son home, puis objectivés aux urgences avec présence de sang frais et caillots, sans instabilité hémodynamique associée. À l'angio-CT, on retrouve un dolicho-côlon diverticulaire avec un saignement artériel actif au niveau du côlon ascendant. Elle bénéficie d'une transfusion de deux culots érythrocytaires le 29.05.2019. Selon l'avis du gastroentérologue (Dr. X), il n'y a pas d'indication à effectuer une colonoscopie en urgences en raison de la présence d'un dolichocôlon qui rendrait l'examen compliqué en l'absence de préparation adéquate. La surveillance hémodynamique se déroule sans particularité. Elle présente une extériorisation avec sang frais et caillot durant son séjour aux soins intensifs le 29.05.2019 en fin d'après-midi. Les dernières selles du 30.05.2019 sont moulées avec absence de sang frais. Le Clopidogrel est repris le 30.05.2019. En cas de ré-extériorisation importante ou instabilité hémodynamique, nous proposons d'effectuer une embolisation par radiologie interventionnelle. Une colonoscopie est à organiser à distance. Mme. Y est une patiente de 74 ans hospitalisée par son oncologue, Dr. X, en raison d'une asthénie et d'une perte pondérale importante dans le cadre d'une progression de son adénocarcinome pulmonaire. À son arrivée, elle présente un état général légèrement diminué avec un statut pulmonaire conservé. Sur le plan oncologique, elle bénéficie d'une bronchoscopie à la recherche de la mutation T790M qui se déroule sans particularité et dont le résultat reste à pister. Elle reçoit ensuite une dose de chimiothérapie par alimta et carboplatine le 27.05 en attendant les résultats de la bronchoscopie pour un éventuel traitement par tagrisso. Sur le plan nutritif, elle présente une dénutrition protéino-énergétique sévère pour laquelle elle bénéficie d'un suivi diététique et de la poursuite de son SNO. La patiente dit s'alimenter mieux depuis son entrée à l'hôpital et se sentir moins faible. En raison de cette évolution favorable, la patiente rentre à domicile le 28.05.19. Mme. Y est hospitalisée pour une administration en milieu stationnaire d'un traitement d'Aclasta dans le cadre de son ostéoporose. En effet, la patiente s'est plainte par le passé de douleurs intenses après l'administration de bisphosphonates et souhaitait une prise en charge en milieu hospitalier pour gérer les effets secondaires du médicament. La patiente a de nouveau présenté des arthralgies et myalgies importantes suite à la perfusion d'Aclasta. Ces douleurs ont été gérées par Brufen et Tramal en réserve à fortes doses. Trente-six heures après l'administration du médicament, elle a également fait un pic subfébrile, qui s'est résolu après une dose de Brufen. Globalement, l'état général de la patiente était conservé. Elle retourne à domicile le 24.05.2019. Mme. Y, patiente de 67 ans connue pour un AVC ischémique de la fosse postérieure à gauche sur occlusion aiguë de l'artère basilaire sur dissection de l'artère vertébrale gauche le 02.05.2019, est hospitalisée dans un contexte d'extension de la dissection. L'anamnèse révèle des céphalées décrites comme lancinantes, d'apparition progressive avec des vertiges d'instabilité depuis le 17.05.2019. L'évaluation neurologique met en évidence un syndrome de Claude-Bernard-Horner avec ataxie du membre supérieur gauche. Nous retenons une récidive d'AVC ischémique de la fosse postérieure à gauche sur extension de la dissection de l'artère vertébrale gauche. Le traitement antiagrégant d'Aspirine cardio est remplacé par du Plavix, à poursuivre à long terme. Le suivi neurologique aux soins intensifs confirme une résolution de la symptomatologie avec NIHSS à 0 point à 24h permettant un transfert à l'étage de médecine interne avec comme projet la mobilisation progressive avec retour à domicile. Aucune nouvelle imagerie cérébrale n'est prévue à l'heure actuelle. Une consultation neurologique de suivi ainsi qu'une IRM sont déjà prévues à trois mois. L'évolution à l'étage est favorable sans nouvel élément notable. Mme. Y a pu rentrer à domicile en bon état général le 21.05.2019.Mme. Y, 67 ans, est admise aux soins intensifs le 12.05.2019 pour polytraumatisme avec un traumatisme crânien, une fracture multiparts de la tête humérale droite et des fractures de côtes suite à une chute de sa hauteur. La patiente rapporte avoir chuté après avoir oublié de mettre les freins sur son rollator. Chute en avant avec trauma facial et réception sur l'épaule droite avec présence d'une amnésie circonstancielle. En raison d'une impossibilité à se relever, elle passe la nuit au sol. Le bilan lésionnel montre un hématome sous-dural associé à une hémorragie sous-arachnoïdienne touchant la région fronto-temporale droite et un hématome sous-dural chronique fronto-pariétal gauche. Par ailleurs, il y a une fracture multiparts de la tête humérale droite et des fractures de l'arc latéral des 4ème et 5ème côtes à gauche. La surveillance neurologique se déroule sans complications. Le CT cérébral de contrôle réalisé à 6h00 montre une stabilité de l'hémorragie. On ne note pas de signes de sevrage alcoolique durant ce séjour. D'entente avec le médecin traitant et en absence d'indication formelle à l'aspirine, ce traitement est arrêté vu le contexte des chutes à répétition. Une fracture multiparts de la tête humérale droite est traitée par la mise en place d'un gilet orthopédique, une intervention chirurgicale serait à prévoir par la suite. Selon avis neurochirurgical au plus tôt à 72 h post-traumatisme crânien. L'antalgie est bien contrôlée par les opiacés et le paracétamol. Dans le cadre de l'hépatopathie, on note une anémie et une thrombopénie. Un dosage de la ferritine, Vit. B12 et acide folique est demandé pour le 15.05. L'ECG montre des ondes T négatives dans le territoire antéro-septal sans douleurs thoraciques associées et sans mouvement enzymatique. Dans ce contexte, une échographie transthoracique est demandée. Le QTc prolongé à l'entrée se corrige après mise en suspens de l'escitalopram et substitution des troubles électrolytiques. La patiente est transférée en chirurgie pour suite de prise en charge. Mme. Y présente des douleurs neurogènes avec une faiblesse sur les territoires C6-C7 du membre supérieur gauche, probablement en lien avec un processus compressif tumoral du plexus brachial à gauche. Au vu de sténoses foraminales pluriétagées à l'IRM cervicale, nous évoquons en premier lieu un phénomène compressif radiculaire, toutefois, l'ENMG est plutôt compatible avec une atteinte du plexus brachial. De plus, les sténoses les plus marquées semblent toucher C3-C4, et ne présentent donc pas de corrélat radio-clinique. Des signes de rupture de la coiffe des rotateurs avec synovite et liquide intra-articulaire bilatéraux sont également décrits à l'IRM 30.04.2019, toutefois la mobilisation active de l'épaule provoque uniquement les douleurs neurogènes et aucune douleur de l'épaule à proprement parler. Une tendinopathie calcifiante du sus-épineux et sous-scapulaire gauche est mise en évidence à l'ultrason, sans liquide articulaire ni bursite actuellement, n'expliquant donc pas la symptomatologie de la patiente. Concernant l'antalgie per os, l'oxycontin est remplacé par du Palexia ret 2x25 mg/j avec des réserves de 50 mg, bien toléré. En outre, nous introduisons du Lyrica à raison de 25 mg/j, majoré jusqu'à 75 mg/jour, également sans effet secondaire. La patiente bénéficie d'une perfusion de lidocaïne, avec une amélioration transitoire des douleurs de quelques heures, confirmant leur nature neuropathique. Sur avis du service d'antalgie (Dr. X), elle bénéficie d'un bloc interscalénique gauche le 28.05.2019 avec dexaméthasone et ropivacaïne, entraînant une disparition complète des douleurs au repos. L'anticoagulation par Xarelto est relayée par de la Clexane thérapeutique du 24-26.05.2019, puis le Xarelto est repris le 29.05.2019. Comme il pouvait être attendu lors d'un processus compressif, la parésie des muscles de la main gauche et quelques paresthésies persistent cependant à la sortie. L'effet antalgique d'une telle infiltration peut durer typiquement 4-6 semaines, après quoi il est souvent requis de répéter le geste infiltratif. La patiente sera suivie au centre de la douleur par le Dr. X, avec qui le prochain rendez-vous est fixé le 05.06.2019. Nous proposons d'évaluer alors la poursuite de la titration du traitement de Lyrica. Nous organisons une nouvelle IRM ciblée sur le plexus brachial en ambulatoire, afin de préciser s'il s'agit effectivement d'un effet compressif par la tumeur connue. En effet, l'IRM cervicale du 30.04.2019 ne permet pas de visualiser le plexus brachial avec suffisamment de précision pour se prononcer à ce sujet. Nous demandons d'emblée un consilium dans le service de radio-oncologie après cette imagerie, en vue d'une éventuelle radio-thérapie locale. Quelques heures après l'infiltration du 28.05.2019, la patiente fait une chute sur un malaise probablement vagal, avec traumatisme de la face, sans perte de connaissance. Elle bénéficie d'un point de suture au niveau de la lèvre supérieure avec du fil résorbable. L'anticoagulation thérapeutique étant en suspens depuis la veille et les surveillances neurologiques post-chute s'avérant sans anomalie pendant 24 heures, hormis la parésie du membre supérieur gauche connue, nous ne retenons pas d'indication à une imagerie cérébrale. Mme. Y, 60 ans, est admise pour un état de mal épileptique. La patiente connue pour une sclérose en plaques de longue date avec handicap fonctionnel important présente un état de mal tonico-clonique sans signe annonceur durant la nuit. Malgré un traitement par benzodiazépine, Keppra et Phénytoïne, la crise ne cède pas. Il est donc décidé de recourir à une intubation et une sédation par Propofol afin de faire céder l'état de mal et protéger les ACSOS. Un EEG ne retrouve pas de foyer épileptique mais un ralentissement diffus. L'origine de la crise est mise sur le compte d'un taux infra-thérapeutique de Phénytoïne (traitement habituel de la patiente). Sur avis neurologique, les benzodiazépines sont sevrées et le traitement de Keppra et Phénytoïne est maintenu. L'évolution clinique est lentement favorable sans récidive de crises convulsives. La patiente présente par la suite une dysarthrie et des troubles de la déglutition qui semblent nouveaux. Les collègues neurologues ne proposent pas d'emblée un EEG ou une imagerie cérébrale de contrôle. La suite du traitement médicamenteux sera à réévaluer selon l'évolution clinique de la patiente. L'intubation est compliquée d'une insuffisance respiratoire hypoxémique sur atélectasie pulmonaire gauche dans le cadre d'une intubation sélective. Une bronchoscopie et un repositionnement du tube permettent une résolution. En raison d'une probable bronchoaspiration, un traitement de Co-Amoxicilline est débuté et maintenu pour 5 jours avec une évolution favorable. La patiente est transférée à l'étage de médecine interne le 01.05.2019 pour suite de prise en charge. Mme. Y est une patiente de 54 ans, connue pour un diabète de type II et une sciatalgie gauche, hospitalisée pour un mauvais contrôle de son diabète avec nausées, vomissements et sensation de malaise. Elle aurait arrêté son traitement de Metformine depuis 3 semaines suite à une confiscation à la douane turque. Après résolution de ses symptômes aux urgences, la patiente rentre à domicile. Elle est rappelée le lendemain pour une hospitalisation en raison d'une glycémie à 21.2 mmol/L et une HbA1c 12.8%. Un bilan biologique montre une décompensation diabétique sans acido-cétose ni décompensation hyperosmolaire. Son traitement de Metformine est repris à 500 mg 3x/j. Après avis diabétologique, un traitement de Xultophy 1x/j est introduit et les infirmières de diabétologie voient la patiente pour un enseignement. La pallesthésie est mesurée dans les normes. Un contrôle ophtalmologique est organisé à distance. Au vu de l'aversion de la patiente pour les aiguilles, une aide à domicile quotidienne pour l'injection d'insuline est organisée. Un suivi en diabétologie et en nutrition est organisé.La patiente est connue pour des lombosciatalgies non déficitaires réapparues il y a 4 mois et en aggravation depuis une semaine, soulagées partiellement par la prise d'Irfen 400 mg. A l'entrée, elle présente une hypoesthésie sur le trajet S1 du MIG sans franche perte de force. Elle bénéficie de séances de physiothérapie avec amélioration des symptômes. Mme. Y décrit des épisodes d'anxiété avec sensation de dyspnée et palpitations en raison d'une angoisse de l'hôpital. Nous lui réintroduisons du Temesta en réserve ainsi que des patchs de nicotine Nicotinell léger. Elle est suivie depuis 5 ans par le Dr. X pour des troubles anxio-dépressifs dans un contexte psycho-social compliqué. Un bilan lipidique montre une dyslipidémie avec hypercholestérolémie et hypertriglycéridémie. Nous introduisons un traitement d'Atorvastatine 10 mg et proposons un suivi biologique à 4 semaines afin d'adapter le traitement si nécessaire. La patiente rentre à domicile le 10.05.2019 avec des soins à domicile 2x/j, à réévaluer. Mme. Y est une patiente de 60 ans connue pour un tabagisme actif sans autre comorbidité. Elle consulte aux urgences le 28.04.2019 en raison de douleurs abdominales basses, fluctuantes, d'intensité à 5/10 pouvant irradier dans les flancs et dorsalement. Les douleurs sont apparues il y a 10 jours, répondant initialement bien au Buscopan et aux AINS. Elle évoque par ailleurs une perte pondérale de 3-4 kg en l'espace de 2 semaines. Un CT thoraco-abdominal est effectué aux urgences, révélant une masse centrée sur la queue du pancréas ainsi qu'une infiltration au niveau de la rate. Plusieurs lésions suspectes de métastases sont notamment visualisées au niveau hépatique. Une ponction échoguidée d'un implant péritonéal est effectuée le 30.04.2019, dont les résultats histologiques ne sont pas disponibles au moment de la sortie de la patiente. Mme. Y sera revue en consultation oncologique une fois réception des résultats anatomo-pathologiques afin de définir la suite de la prise en charge. Mme. Y, 92 ans, a été admise en unité stroke monitorée pour une suspicion d'AVC ischémique aigu sylvien gauche. La patiente a été amenée aux urgences par sa famille en raison d'un trouble du comportement d'apparition subite associé à une difficulté à parler. A l'admission, elle présentait une héminégligence droite et une aphasie globale. Le CT cérébral n'a pas montré de lésion ischémique aiguë. En raison d'une présentation tardive, hors délai pour une lyse, un traitement par Aspirine a été débuté avec dose de charge le 04.05.2019. L'évolution neurologique a été favorable avec persistance à 24h d'une très légère ataxie du membre supérieur droit. Le bilan étiologique est en cours avec échocardiographie et Holter de 72 h. Le bilan lipidique montre une hypercholestérolémie, l'hémoglobine glyquée est dans la norme. Un traitement par Aspirine et Atorvastatine a été introduit. Une IRM est prévue pour le 06.05.2019. Une légère hypocalcémie et hypokaliémie ont été substituées. Une rétention urinaire aiguë a nécessité la mise en place d'une sonde vésicale, dont le retrait pourrait être tenté dès le 06.05.2019. La patiente a été transférée le 05.05.2019 en division de l'unité stroke. Mme. Y, connue pour cardiopathie rythmique (fibrillation auriculaire), un carcinome ovarien de stade FIGO IV avec atteinte pleurale et péritonéale, récemment hospitalisée (du 03.04.2019 - 08.05.2019) pour une pyélonéphrite droite et insuffisance rénale aiguë, nous est actuellement adressée par l'équipe d'oncologie pour une décompensation cardiaque. En effet, la patiente présente une dyspnée en péjoration depuis environ 2 jours ainsi que des œdèmes des membres inférieurs, sans douleurs thoraciques. Un CT-scan thoraco-abdomino-pelvien fait dans le contexte oncologique montre des épanchements pleuraux bilatéraux. Une échocardiographie transthoracique met en évidence une insuffisance mitrale grade 2/3, ainsi qu'une péjoration de la fonction cardiaque avec une FEVG qui passe de 70, en septembre 2018, à 45 % actuellement. Ceci pourrait s'expliquer par une cardiotoxicité de la chimiothérapie ou par une composante ischémique pour laquelle la patiente n'a toutefois pas de symptomatologie suggestive. Un contrôle échocardiographique sera à effectuer dans 6 mois et en fonction du résultat et du pronostic oncologique, une coronarographie sera à discuter. L'évolution clinique est rapidement favorable sous traitement diurétique et la patiente peut regagner son domicile le 17.05.2019. Elle sera revue à la consultation du Dr. X dans 4 jours. Mme. Y, 61 ans, est admise aux soins intensifs en raison d'un STEMI subaigu avec thrombus apical gauche. Elle n'a jamais présenté de symptomatologie d'angor ou équivalent mais uniquement des palpitations survenant de manière paroxystique depuis le 29.04.2019 raison pour laquelle elle se présente chez son médecin traitant qui met en évidence des surélévations ST nouvelles en V3-V5 associé à une élévation des troponines. Au bilan étiologique on retrouve uniquement un tabagisme actif et un stress récent rapporté par la patiente. Pas d'autre facteur de risque cardiovasculaire. Le bilan lipidique et l'hémoglobine glyquée sont dans la norme. A l'échocardiographie, on retrouve une FEVG abaissée à 30 % avec une akinésie de la paroi apicale, du septum moyen et de la paroi septale antérieure moyenne avec un thrombus intracavitaire gauche. A la coronarographie, on retrouve une occlusion chronique de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale traité par recanalisation et mise de 2 stents actifs. La surveillance hémodynamique et rythmique se déroule sans complication. Le point de ponction est fermé par un point de suture qui est à enlever à 5 jours. Le point de ponction ne présente pas de souffle ni saignement. A noter que la patiente rapporte une hypoesthésie dans le territoire du nerf fémoral cutané de la jambe droite apparue en per-intervention que l'on met sur une anesthésie du nerf fémoral sur l'anesthésie locale faite pour l'intervention. L'évolution montre une amélioration dès les premières heures mais reste à surveiller. Nous débutons un traitement par Aspirine à poursuivre à vie, de Plavix pour 12 mois ainsi qu'une anticoagulation thérapeutique. Une échocardiographie de contrôle est à organiser dans un mois. Le traitement est complété par un IEC, un bêta-bloquant et de l'aldactone qui seront à majorer selon la tolérance de la patiente. Une statine est aussi introduite. Un schéma de mobilisation post-STEMI est débuté et une réadaptation à Billens est à organiser pour la sortie. Mme. Y, patiente de 79 ans connue pour une valve mécanique mitrale posée en 1984 à l'Inselspital, arrivée du domicile pour une altération de l'état général avec vertiges et perte d'appétit, ainsi que macrohématurie. A l'entrée, la patiente rapporte se sentir mal depuis une semaine avec des vertiges et une perte d'appétit. Elle explique avoir eu une infection urinaire traitée par Flucloxacilline puis Bactrim, et qu'elle a ensuite perdu du sang dans les urines. De plus, elle se plaint de dyspnée à l'effort léger et mentionne un ictère apparu il y a une semaine. Depuis 3 semaines, enfin, elle évoque un état grippal avec toux. A l'examen clinique, nous retrouvons une patiente à l'état général diminué, les paramètres sont dans la norme hormis une tension artérielle un peu élevée à 165/76. L'auscultation cardiaque montre un souffle systolique au niveau du 3e espace intercostal droit. Il existe de légers OMI (D > G).Nous réalisons un test de Coombs qui se révèle négatif, excluant l'hypothèse d'anémie hémolytique auto-immune. L'haptoglobine est basse, et nous retrouvons des schizocytes au frottis sanguin ce qui va fortement dans le sens d'une anémie hémolytique mécanique. A l'échocardiographie nous avons une forte suspicion de thrombose de la valve mitrale mécanique (voir documents joints) Le 4.01.2018 nous pouvons transférer la patiente à l'Inselspital pour un contrôle et décision sur la prise en charge ultérieure. Mme Y, patiente de 59 ans, est admise aux soins intensifs pour un choc hémorragique sur saignement de plaie abdominale. La patiente est connue pour une maladie de Steinert, une FA sous Sintrom et une polyarthrite rhumatoïde qui avait bénéficié d'une annexectomie bilatérale et washing péritonéal par laparotomie Pfannenstiel le 03.04.2019 en raison d'une masse annexielle droite symptomatique. Le 28.05.2019 elle présente à Riaz pour une infection de la plaie abdominale, où un débridement est effectué sous anesthésie locale. Cette intervention se complique après avoir quitté l'hôpital d'un choc hémorragique. L'hémostase est effectuée en urgence au bloc opératoire avec un débridement complémentaire de la plaie avec mise en place d'un pansement VAC. Elle est transfusée de 2 CE avec une augmentation adéquate de l'hémoglobine. La suite hémodynamique est tout à fait stable permettant un transfert en service de gynécologie pour suite de prise en charge le 29.05.2019. L'anticoagulation est à reprendre progressivement. Mme Y est hospitalisée aux soins intensifs de Fribourg le 08.05.2019 pour un choc hémorragique sur hémorragie digestive avec un tableau de méléna et hématémèse évoluant depuis 48h. A l'origine, le bilan endoscopique montre une oesophagite de reflux sévère avec ulcération. Les varices oesophagiennes de stade II sont calmes aux deux endoscopies, sans signe de saignement actif. Une récidive de saignement le 10.05. motive un nouveau bilan (OGD, colonoscopie sans préparation et Angio-CT), sans mise en évidence d'une autre source hémorragique. Le bilan est à compléter par une coloscopie après préparation, prévue le 13.05.2019. Une source grêle est à exclure selon évolution ultérieure. Les deux épisodes d'hémorragie nécessitent un soutien transfusionnel majeur, avec finalement une stabilisation de la situation, sans récidive depuis le 10.05.2019. La thérapie par inhibiteurs de la pompe à proton à double dose est à poursuivre jusqu'à l'OGD de contrôle à 4 semaines. Le bilan clinique, biologique et radiologique est compatible avec une cirrhose d'origine éthylique, actuellement de CHILD C. La patiente a un passé d'ethylisme chronique, elle aurait diminué sa consommation d'alcool actuellement sans l'arrêter totalement. L'encéphalopathie hépatique est contrôlée par lactulose et rifaximine et il convient d'éviter toute substance psychotrope (benzodiazépines). La prévention des saignements de varices oesophagiennes par Propranolol reste à ajuster pour une fréquence cardiaque cible de 55-60 bpm. Il n'y a pas d'évidence actuellement de carcinome hépatocellulaire à l'imagerie et AFP (contrôle bi-annuel indiqué). Une vaccination contre l'HBV/HAV ainsi que la grippe annuellement est indiquée. L'ascite présente en quantité faible à modérée devra être contrôlée par aldactone +/- Torasémide. Le CT-scan abdomino-pelvien retrouve fortuitement une masse suspecte de tératome. Un avis gynécologique est à prévoir par la suite. Mme Y, 72 ans, est réadmise aux soins intensifs le 27.05.2019 en raison d'une récidive d'hémorragie digestive basse sur des varices rectales. Elle est hospitalisée depuis le 07.05.2019 pour des hémorragies digestives hautes et basses à répétition et une découverte d'une cirrhose CHILD C d'origine éthylique. Les saignements hautes sont attribués à une oesophagite de reflux avec un ulcère duodénal. Des saignements actifs n'ont jamais pu être objectivés. Deux colonoscopies n'ont pas pu révéler de source de saignement, mais ont fait suspecter une colite pseudomembraneuse qui est confirmée biologiquement. Une nouvelle coloscopie le 29.05.2019 met en évidence des varices rectales survenues dans le contexte d'une cirrhose hépatique. Les saignements sont favorisés par des troubles de la crase majeurs qui sont partiellement corrigés. Les varices sont clipées et sclérosées. En cas de nouveau saignement, un TIPS serait une solution, mais vu l'état global de la patiente et sa volonté, on renonce à une telle thérapie. Elle développe également un syndrome hépato-rénal avec apparition d'une oligurie. L'évolution est favorable après une ponction d'ascite, qui ne montre d'ailleurs pas de signes de surinfection. Pour la colite à clostridium, le traitement par Vancomycine est continué et terminé le 30.05.2019 et l'isolement levé ce jour. La colonoscopie du 29.05.2019 montre une nette amélioration de l'inflammation. Une infection urinaire à Klebsiella pneumoniae est initialement traitée par Rocéphine, puis Ciprofloxacine. A noter que la patiente exprime à plusieurs reprises sa volonté qu'on ne s'acharne pas. Au vu de l'absence de projet ultime pour la cirrhose du foie et la volonté de la patiente, un TIPS ne lui est pas proposé. Elle est transférée à l'étage de médecine pour la suite de prise en charge. En cas de dégradation, un retour aux soins intensifs n'est pas indiqué et faudra-t-il passer aux soins de confort. Cette attitude est communiquée à ses proches. Mme Y est une patiente de 70 ans connue notamment pour une hémiparésie droite séquellaire d'un AVC ischémique en 2015, actuellement institutionnalisée. Elle est hospitalisée dans le service de Médecine Interne le 07.05.19 en raison d'une péjoration de sa dyspnée chronique. Aux urgences, la patiente présente une toux dans un contexte d'hypersialorrhée connu de longue date et de troubles chroniques de la déglutition. Cependant, la patiente est afébrile et la radiographie de thorax ne montre pas d'infiltrat. L'ECG ainsi que les D-dimères se révèlent négatifs et la gazométrie artérielle montre une très légère hypoxémie. Au vu de la persistance de la dyspnée et des troubles de la déglutition importants avec multiples antécédents de bronchoaspirations, Mme Y est hospitalisée pour surveillance. En cours de séjour, la patiente décrit une amélioration spontanée significative de sa dyspnée. Toutefois, un syndrome extra-pyramidal est mis en évidence. Le psychiatre consultant de l'EMS est consulté mais propose de ne pas stopper le traitement d'halopéridol et acide valproïque incriminés au vu d'un état d'agitation difficilement contrôlable auparavant avec d'autres molécules. Le dosage d'halopéridol est toutefois réduit et le traitement de Distraneurine majoré. Malgré une persistance du syndrome extra-pyramidal, une amélioration significative est observée après ces adaptations. Mme Y présente une hypersialorrhée importante chronique d'origine probablement neurologique (et médicamenteuse dans le contexte du syndrome extra-pyramidal) qu'elle décrit depuis l'AVC de 2015. Un patch de Scopoderm est proposé et démontre une certaine efficacité au cours de l'hospitalisation. Connue pour une malnutrition protéino-énergétique grave, Mme Y bénéficie d'un suivi par le service de nutrition clinique ainsi que d'une évaluation de la déglutition par les physiothérapeutes. Son poids de 45.9 kg est en augmentation par rapport à janvier et le régime mixé lisse doit être poursuivi à son EMS. A noter que la patiente refuse tout épaississant dans ses boissons. Selon l'avis des physiothérapeutes, des mesures positionnelles sont recommandées pour les repas et les boissons et pourraient aider à prévenir de futures fausses routes. Cependant, tout autre potentiel d'amélioration en termes de déglutition semble limité.Au vu d'une évolution favorable, la patiente peut rentrer au home le 10.05.2019. Mme Y présente des douleurs lombaires et des membres inférieurs mixtes mécaniques et neurogènes dans un contexte plurifactoriel. L'anamnèse, l'examen clinique, ainsi que le résultat du questionnaire DN4 laissent supposer une grande partie de douleurs neuropathiques. Or, les résultats de l'ENMG montrent une légère péjoration de la polyneuropathie sensitivomotrice myélinique et axonale par rapport à l'examen précédent. Nos collègues antalgistes organisent une perfusion de lidocaïne, avec effet immédiat ressenti par la patiente. Nous majorons dès lors la prégabaline quotidiennement par paliers de 50 mg, jusqu'à 400 mg/j, avec une légère amélioration des douleurs neuropathiques. Nous proposons de poursuivre son titrage par paliers de 50 mg à intervalles hebdomadaires en ambulatoire sous surveillance de l'équipe d'antalgie. Le reste du traitement est maintenu inchangé, toutefois, en cas de réponse favorable, nous proposons d'envisager une diminution du traitement de Targin, ou le cas échéant, une rotation d'opiacés. La patiente présente des pseudo-radiculalgies du membre inférieur gauche sans signe de radiculopathie à l'ENMG ni de signe irritatif à l'examen clinique, mais un canal lombaire étroit en L3-L4, L4-L5, un conflit radiculaire L4-L5 et d'importants troubles dégénératifs facettaires postérieurs à l'IRM contribuant probablement à la symptomatologie. Au vu de l'augmentation progressive du traitement de prégabaline, nous renonçons à une infiltration ou à une péridurale pendant le séjour. Toutefois, cette option sera à considérer dans un deuxième temps, en fonction de l'efficacité de la perfusion de lidocaïne et d'augmentation de la prégabaline. Une consultation en antalgie aura lieu le 21.06.2019 chez le Dr X. De plus, un contrôle rhumatologique est prévu le 21.06.2019 chez la Dr X. Mme Y souffre par ailleurs d'un déconditionnement physique important. Nous insistons sur des modalités de physiothérapie ACTIVE en ambulatoire, visant le gainage et la proprioception. Une perte de poids serait probablement bénéfique pour la gonarthrose et le syndrome métabolique. Un rendez-vous au Centre métabolique aura lieu le 18.06.2019 en vue de discuter d'un plan d'alimentation et de viser une diminution du poids corporel. À noter qu'une composante de myopathie cortisonique peut être suspectée, toutefois, nous renonçons à effectuer une biopsie à but diagnostique, en l'absence de modification thérapeutique. En effet, la prednisone est maintenue à 5 mg/j au long cours en raison d'une suspicion de neuropathie optique sur maladie de Horton bilatérale en 2012. Selon les ophthalmologues, il serait délicat de prendre la décision d'arrêter la corticothérapie au vu du risque de complément d'infarctus du nerf optique, dans le cadre d'une acuité visuelle déjà très réduite. L'incontinence urinaire a été évaluée par nos collègues gynécologues et semble d'origine mixte chez une patiente avec multiples facteurs de risque. Un traitement de Betmiga a été débuté. Nous prions la patiente de reprendre rendez-vous dans 1 mois chez son gynécologue traitant afin de juger de l'efficacité du traitement. L'urotube a mis en évidence des bactéries de type Proteus mirabilis. Selon l'avis des infectiologues, ceci ne requiert pas de traitement particulier chez une patiente qui ne se plaint pas de symptômes urinaires particuliers, en présence d'une incontinence urinaire de longue date. Enfin, nous avons mis en évidence une carence en vitamine D modérée, motivant une substitution pendant les mois à suivre. La patiente ne présentant pas de baisse de son autonomie, la fréquence de passage des soins à domicile n'est pas augmentée. Nous vous laissons le soin de discuter de l'indication au passage d'une infirmière spécialisée en psychiatrie pour le trouble dépressif récurrent. Mme Y présente donc une morphologie en cam avec une symptomatologie qui n'est pas tout à fait typique pour cette lésion. On suspecte également un trouble de la torsion fémorale, raison pour laquelle on demande un CT-scanner du bassin et des membres inférieurs selon protocole impingement. On reverra la patiente suite à cet examen et on refera à ce moment-là un bassin de face centré sur la symphyse. Mme Y présente une contusion du 1er orteil du pied G avec une plaie superficielle. Nous réalisons un rappel anti-tétanique, ainsi qu'une radiographie revenue négative concernant une fracture. Nous prescrivons de l'analgésie ainsi que du Bepanthene crème pour le soin de plaie. Mme Y est informée que si la situation se péjore ou si la plaie évolue mal, elle peut se représenter à la Permanence. Mme Y, 83 ans, est admise en unité stroke monitorée pour un AVC ischémique du gyrus pré- et post-central à gauche sur une origine cardio-embolique vs microangiopathie le 15.05.19. Elle est connue pour une fibrillation auriculaire anticoagulée et est hospitalisée depuis le 09.04.2019 en orthopédie pour une angiodermite nécrosante du membre inférieur gauche pour laquelle un débridement a lieu le 15.05.2019. Elle présente en postopératoire une dysarthrie importante avec hémisyndrome droit. Le CT et l'IRM confirment un AVC ischémique aigu constitué de gyrus pré- et post-central à gauche avec quelques lésions ischémiques aiguës constituées ponctiformes pariétales supérieures gauches ainsi que gyrus frontal inférieur gauche sans transformation hémorragique. Une thrombolyse n'a pas été effectuée en raison de l'administration d'une anticoagulation thérapeutique (Énoxaparine) 30 minutes avant le début de la symptomatologie. Une anticoagulation thérapeutique est poursuivie le 16.05. Un traitement par statine est débuté car une origine microangiopathique n'est pas totalement exclue au vu des facteurs de risque (HTA, diabète mellitus). L'évolution est favorable (NIHSS à 2 à 24h) et la patiente est transférée. Mme Y nous est adressée depuis le service de gériatrie aiguë pour suite de prise en charge des troubles de la marche et de l'équilibre. Pour rappel, la patiente avait été opérée le 28.03.2019 pour une prothèse totale de la hanche droite sur coxarthrose. À l'entrée, elle se plaint toujours de légères douleurs à la charge de la jambe droite. Mme Y mentionne également ne voir que de l'œil droit suite à une thrombose de la veine centrale à l'œil gauche en 2009. Le reste de l'anamnèse systémique n'est pas contributif. Cliniquement, la cicatrice est propre au niveau de la hanche droite. Le reste du statut est sans particularité. Elle vit seule dans un appartement au deuxième étage avec ascenseur. À l'entrée de l'immeuble, il y a 7 marches d'escalier. Elle est indépendante dans les AVQ hormis une aide ménagère. La famille est très présente. Concernant le risque de chute, la patiente améliore son équilibre et sa force grâce à la physio- et l'ergothérapie. Un rendez-vous chez Orthoconcept à Fribourg est prévu le 17.05.2019 afin d'adapter les semelles en raison de la différence de longueur des jambes. Nous vous prions d'organiser un bilan d'ostéoporose avec densitométrie et d'adapter le traitement si nécessaire. La patiente a bénéficié d'une évaluation neuropsychologique lors de son hospitalisation en gériatrie aiguë en raison d'une suspicion de mild cognitive impairment, mettant en évidence un déficit moyen à sévère de la mémoire verbale antérograde. De plus, une légère restriction dans les exercices visuo-constructifs ainsi qu'une légère baisse de la performance dans les fonctions exécutives, surtout au niveau de la flexibilité, sont constatées. Une tentative de remplacement de la Distraneurine (à utiliser avec prudence lors de l'une démence) avec de la Quétiapine doit être interrompue en raison des troubles de sommeil. Nous vous laissons le soin de reprendre la discussion avec Mme Y.La patiente participe à l'atelier cuisine et bénéficie d'un suivi diététique pendant son séjour avec des conseils notamment sur le sujet de l'alimentation enrichie et fractionnée ainsi que les sources de protéines, afin de continuer à se nourrir de manière équilibrée à domicile. A son entrée, Mme. Y se déplace seule sur 50 m avec 2 cannes anglaises (FIM 6/7) et fait les transferts de manière autonome (FIM 6/7). Elle est aussi capable de monter 9 marches d'escalier sous supervision (FIM 5/7). Le Tinetti est à 17/28. A la sortie, grâce à un programme individualisé de physiothérapie et d'ergothérapie, la patiente parvient à améliorer la distance de marche à 200 mètres avec une canne (FIM 6/7). Elle parvient également à faire 54 marches d'escalier seule avec la rampe (FIM 6/7). Le Tinetti à la sortie est à 22/28. Mme. Y quitte notre service à destination de son domicile le 10.05.2019 en bon état général. Mme. Y, 78 ans, est hospitalisée aux soins intensifs en raison d'un probable choc anaphylactique dans le contexte du changement de pile de son pacemaker. La patiente est hospitalisée depuis le 24.05.2019 en médecine pour une décompensation cardiaque sur insuffisance chronotrope (battery low du pacemaker) avec composante de bronchoconstriction. Le 27.05.2019, la patiente bénéficie d'un changement de boitier de son pacemaker par le Dr. X sous anesthésie locale. Per procédure, elle présente subitement une dyspnée avec perte de contact motivant une intubation oro-trachéale se compliquant d'une hypotension majeure avec activité électrique sans pouls. Un massage cardiaque est débuté durant 3 minutes avec 1 mg d'adrénaline et retour d'une pression artérielle. A noter une tentative d'exsufflation à gauche avec un venflon. Un CT exclut une embolie pulmonaire et objective un pneumothorax à droit. A son arrivée aux soins intensifs, la patiente nécessite des doses importantes d'adrénalines pour le contexte d'anaphylaxie avec hypovolémie sur diurétiques. Un pneumothorax droit sous tension (rupture de bulle d'emphysème sur haute pression de ventilation ou massage cardiaque) est drainé (Dr. X) avec amélioration de l'hémodynamique. Un remplissage liquidien permet de sevrer la noradrénaline en 24h. La patiente est extubée sans complication le 28.05.2019. Un dosage des tryptases est en cours. Les médicaments pouvant être incriminés sont la lidocaïne et la céfuroxime et une consultation allergologique est recommandée à distance. Le retrait du drainage thoracique devra être évalué par les chirurgiens au fur et à mesure que le bullage se tarit. La patiente est transférée en médecine interne le 28.05.2019 pour suite de prise en charge. Mme. Y est admise aux soins intensifs en raison d'un STEMI. La patiente présente des douleurs typiques intermittentes depuis 2-3 jours avec forte accentuation ce jour avec image de STEMI antérieur. La coronarographie montre une sténose subtotale de l'IVA moyenne comme lésion coupable qui est traitée par angioplastie et mise en place de 2 stents actifs avec bon résultat final. L'Aspirine est à maintenir à vie et le Plavix pour une année. La coronarographie est compliquée d'une pause sinusale nécessitant de l'adrénaline et de l'atropine. Ce phénomène est observé à plusieurs reprises (jusqu'à 10 secondes de pauses sinusales) durant la surveillance chez cette patiente ayant réalisé un holter en 10.2018 à la recherche d'une maladie du sinus démontrant des pauses <3 secondes sous B-bloqueurs. Après discussion avec la patiente, la pose d'un pacemaker est réalisée le 30.05.2019 (Dr. X) sans complication. La cardiopathie ischémique est bi-tronculaire avec atteinte modérée de la coronaire droite pouvant expliquer les pauses sinusales. Un bon contrôle des facteurs de risques cardiovasculaires est préconisé (LDL<1.8 mmol/l, TAs<140 mmHg, TAd<90 mmHg) ainsi qu'une activité physique régulière. Il n'y a pas d'indication à traiter la lésion de la coronaire droite de manière interventionnelle. La patiente est transférée dans le service de médecine à Tavel pour suite de prise en charge le 31.05.2019. Mme. Y, 40 ans, est hospitalisée aux soins intensifs suite à une intoxication médicamenteuse (Cipralex et Lexotanil), alcoolisation et automutilation par veinosection du poignet gauche le 04.05.2019. Mme. Y a un suivi psychologique et thérapeutique au centre Matrix depuis 6 semaines où elle a débuté un traitement de RTSMN (stimulation trans-crânienne), comme alternative à l'introduction d'un traitement médicamenteux pour l'épisode dépressif. Elle a été amenée aux urgences en ambulance après avoir été retrouvée par son époux, dans sa baignoire, hypotherme à 34.4°C, inconsciente, avec plusieurs tablettes vides de Cipralex et Lexotanil à côté d'elle. La patiente ne peut pas préciser la quantité de médicaments consommés et avoue avoir ingéré une bouteille de Vodka. La prise de médicaments et scarifications sont faites dans un but de soulager une tension interne et non de se suicider. Cet acte survient dans le contexte de difficultés conjugales et de la charge émotionnelle liée à une incompréhension au sein du couple. L'état de conscience s'est amélioré rapidement et n'a nécessité qu'une surveillance neurologique. Le bilan biologique et ECG sont normaux. Les lésions de veinosection du poignet gauche ont été explorées aux urgences; aucune atteinte des structures profondes n'a été mise en évidence. Les lésions ont été traitées par rinçage et suture. Le pansement est à refaire le 06.05.2019. Les points de suture sont à retirer après 7 à 10 jours (dès le 10.05.2019). A l'évaluation psychiatrique du 05.05.2019, un diagnostic d'épisode dépressif moyen a été retenu, avec des traits de personnalité dépendante et impulsive. Selon cette évaluation, un retour à domicile a été considéré comme possible dans la mesure où un suivi plus rapproché en intervention de crise auprès du centre Matrix est organisé dès le 06.05.2019. Une hospitalisation programmée en milieu psychiatrique pourrait être aussi envisagée selon l'évolution. Mme. Y quitte notre établissement le 05.05.2019, accompagnée par son mari. MMS : 19/30, test de l'horloge : 3/7 MMS à faire durant l'hospitalisation MMS à 19/30 test de montre à 0/9 GDS 2/15 le 13.05.2019 MMS à 22/30, clock test à 3/7, GDS 5/15 (11.04.2019) MMS du 16.05.2019 : 15/30 MMS le 01.05.2019: 29/30 Clock-Test le 01.05.2019: 7/9 MMS le 02.05.2019 : 28/30 pts. Test de l'horloge : 9/10 pts. CT thoraco-abdominal du 30.04.2019 : examen superposable au précédent, sans manifestation tumorale visible. Echocardiographie du 02.05.2019 : dilatation importante du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 28 % (méthode de Simpson). Hypertrophie excentrique. Aorte non dilatée. Absence de rétrécissement aortique. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Insuffisance aortique minime. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale légère. Elévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche discrètement dilatée. Dilatation modérée du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit modérément diminuée. Discrète dilatation de l'oreillette droite. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Scintigraphie myocardique le 06.05.2019 : par rapport à la scintigraphie myocardique du 19.06.2017, nous retrouvons la lacune inféro-apicale étendue, correspondant à la cicatrice post-infarctus, mais il n'y a pas d'image scintigraphique nette en faveur d'une ischémie de stress. La fraction d'éjection reste inférieure à la norme (24 %), mais stable. Epreuve de stress pharmacologique au Rapiscan doublement négative.MMS le 06.05.2019 : 22/30, fonctions cognitives atteintes Bilan vitaminique Attitude : • Substitution acide folique et vitamine D • Réévaluation poursuite des investigations en ambulatoire MMS stable MMS 12/30, test de la montre 0/7 et GDS 14/15 le 08.04.2019 Evaluation neuropsychologique non réalisable en raison de l'aphasie importante Bilan laboratoire Réhydratation parentérale du 05. au 11.04.2019 Introduction d'Escitalopram MMS 19/30, test de la montre 2/7, GDS 2/15 le 02.04.2019 Evaluation neuropsychologique le 16.04.2019 : non réalisable, malcompliance chez une patiente de caractère suspicieux s'énervant facilement et ne souhaitant pas d'investigations concernant ses capacités cognitives, anosognosie Evaluation multidisciplinaire de la déglutition le 04.04.2019 : pas de dysphagie Bilan laboratoire le 02.04.2019 : sérologies négatives pour borréliose et syphilis, reste aligné Contrôle des facteurs de risque cardiovasculaire Introduction d'Escitalopram 10 mg/j le 04.04.2019 Introduction d'Exelon patch 5 1x/j le 10.04.2019 Majoration de Quetiapine Substitutions vitaminiques MMS 20/30 le 26.04.2019 (seuil pour âge et scolarité : 23-26) Attitude : • Bilan à distance de l'épisode en fonction de l'évolution MMS 21/30, Clock 1/7 et GDS 14/15 Introduction progressive de Remeron à la place d'Imovane, de Temesta et de Seresta Poursuite de Donepezil MMS 23/30, Clock 3/6 et GDS 1/15 le 14.03.2019 Evaluation neuropsychologique le 18. et 20.03.2019 : • troubles mnésiques sévères, ralentissement psychomoteur moyen, troubles des fonctions exécutives, manque de mot, désorientation temporo-spatiale partielle, anosognosie • démence moyenne à sévère d'origine probablement mixte (neurodégénérative et vasculaire) • aptitude à conduire plus donnée • retour à domicile pas réaliste, institutionnalisation indiquée en raison des troubles cognitifs sévères progressifs Bilan laboratoire dans la norme hormis une hypofolatémie à 3.5 ng/ml le 14.03.2019 Screening borréliose, syphilis et HIV (en accord avec la patiente) négatif le 15.04.2019 IRM cérébrale le 19.03.2019 : • atrophie hippocampique asymétrique, extrêmement prononcée (Scheltens 4/4) à droite et sévère (Scheltens 3/4) à gauche, telle que présente dans des processus neuro-dégénératifs de type Alzheimer • maladie de Binswanger, atteignant un grade de 3/3 sur l'échelle de Fazekas • infarctus lacunaires stratégiques notamment au niveau fronto-operculaire et dans les régions angulaire et supra-marginale Entretien avec la Justice de Paix le 19.03.2019 Réorientation, structure journalière Poursuite Aspirine Cardio 100 mg/j Contrôle des facteurs de risque cardiovasculaires Quetiapine 25 mg le soir Thérapie antidémentive non souhaitée par la patiente pour l'instant (anosognosique) MMS 26/30, Clock -Test 0/7, GDS 6/15 MMS 7/30, test de la montre 0/6, GDS 3/15 le 02.05.2019 (la patiente n'est jamais allée à l'école) Suivi clinique MMSE à 16/30, test de la montre à 1/7 MMSE à 17/30 et test de l'horloge à 0/7 le 01.01.2019 Réseau avec famille à organiser pour projet de sortie/encadrement en ambulatoire MMSE à 21/27 (malvoyance), test de la montre impossible GDS à 3/15 Consilium neuropsychologique du 25.04.2019 MMSE à 24 Nous vous laissons réévaluer la nécessité d'un bilan neuropsychologique ou d'une imagerie par IRM cérébrale MMSE du 10.05.2019 : 25/30 Test horloge : 5/9 Bilan neuropsychologique recommandé MMSE 21/30, test de la montre 2/6, GDS 6/15 (15.04.2019) MMSE 21/30, test de la montre 2/6, GDS 8/15 le 01.04.2019 Mobilisation avec physiothérapie Mobilisation avec retour à domicile Consultation neurologique à 3 mois post AVC Mobilisation avec Vacopedes ddc pour 6 semaines avec charge selon douleurs. Protection des broches. Pansements à changer tous les 2 jours chez le médecin traitant. Prochain contrôle radioclinique à 6 semaines post-opératoires avec ablation des broches. Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Mobilisation complète avec charge progressive. Il doit travailler la proprioception sous physiothérapie. Il reste à l'arrêt de travail à 100 % pour 6 semaines. Nous le reverrons dans 6 semaines. Mobilisation dans l'axe sans charge sous physiothérapie. Immobilisation par écharpe, puis après 4 semaines, mobilisation progressive et charge progressive. Prochain contrôle le 15.05.2019. Mobilisation du genou D sous narcose (OP le 01.05.2019) Mobilisation du genou G sous narcose (OP le 24.04.2019) PCA du 24.04. au 26.04.2019 Mobilisation en charge partielle de 15 kg pendant 6 semaines, pas de 70° de flexion de la hanche, pas d'extension de la hanche, pas d'abduction ni adduction de la hanche contre résistance Mousse Hohmann • Suite à la physiothérapie : le patient n'arrivait pas à respecter la décharge • Risque de faux mouvement : le patient a croisé les jambes Mobilisation passive à poursuivre avec la physiothérapie. L'attelle ouverte est à garder pour encore 6 semaines. Nous allons faire un contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Mobilisation progressive en physiothérapie et ergothérapie. Contrôle dans 6 semaines. Mobilisation progressive et charge progressive, écharpe le jour et la nuit. Traitement fonctionnel sous l'horizontal. La patiente a une activité administrative au home des Epinettes. Prochain contrôle dans 6 semaines. Mobilisation selon douleur, contrôle à ma consultation le 03.07.2019. Mobilisation selon douleurs. Ablation du pansement à 24 heures. Contrôle à ma consultation dans 3 semaines le 22.5.2019. Mobilisation selon douleurs. Ablation du pansement à 24 heures. Contrôle à ma consultation le 24.6.2019. Mobilisation selon douleurs. Ablation du pansement à 24 heures. Je vais suivre le patient lors de la cure de doigt à ressaut qui se fera le 2.7.2019. Mobilisation selon douleurs. Ablation du pansement à 24 heures. Contrôle à ma consultation le 27.5.2019. Mobilisation selon douleurs. Ablation du pansement à 48 heures. Contrôle à ma consultation le 24.6.2019. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation dans un mois. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 14.6.2019. Mobilisation selon douleurs, physiothérapie. Ablation du pansement à 24 heures. Contrôle à ma consultation le 24.06.2019. Mobilisation selon douleurs. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle le 24.06.2019. Mobilisation selon douleurs. Ablation du pansement à 24 heures. Contrôle à ma consultation le 24.6.2019. Mobilisation selon douleurs. Ablation du pansement à 24 heures. Contrôle à ma consultation le 29.5.2019. Mobilisation selon douleurs. Ablation du pansement à 24 heures. Contrôle à ma consultation le 29.5.2019. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 27.5.2019. Poursuite de la physiothérapie pour récupérer les amplitudes articulaires. Mobilisation selon douleurs. Poursuite de la physiothérapie. Contrôle chez moi dans un mois pour juger de l'évolution le 26.6.2019. Mobilisation selon douleurs. Poursuite de la physiothérapie pour faire un stretching capsulaire pour récupérer la mobilité de l'épaule. Arrêt de travail jusqu'au 19.5.2019. Contrôle à ma consultation le 19.6.2019. Moca test : 27/30 points : considéré comme normal Modification de l'ECG sur Digoxine le 09.04.2019 Modification du traitement de Perindopril 4 mg par du Coversum 7.5 mg puis reprise du traitement de Perindopril en raison d'un profil tensionnel bas Suivi tensionnel et adaptation du traitement par le médecin traitant Modification ECG le 27.05.19. Modification voix post-intubation Molluscum contagiosum en mars 2019 cuisse gauche Mr. Y est un patient de 77 ans, qui est transféré des soins intensifs dans le service de médecine interne le 02.05.2019. Pour rappel, il a été hospitalisé le 26.04 initialement pour une infection de bronchiectasie avec douleurs basi-thoraciques, toux et expectorations. L'évolution est marquée par une péjoration de la dyspnée sur décompensation cardiaque nécessitant de la VNI et des diurétiques i.v. aux soins intensifs. Dans le contexte de surcharge cardiaque et d'hypoxémie, il présente un NSTEMI. Au niveau cardiaque, un ETT présente une FEVG à 40%. En raison du NSTEMI, une coronarographie, initialement impossible en raison de l'insuffisance rénale, est finalement réalisée le 06.05.2019 et démontre une obstruction de 2/3 coronaires avec FEVG 45%. La faisabilité d'un pontage coronarien est étudiée après avoir effectué une échocardiographie transoesophagienne démontrant une insuffisance mitrale légère, ainsi qu'une échocardiographie de stress sous dobutamine low-dose, remplaçant l'IRM cardiaque, non réalisable en fonction de la fonction rénale, qui démontre une viabilité améliorée du myocarde sur presque toutes les parois du ventricule. Un rendez-vous chez le Dr. X a lieu le 14.05.2019, qui propose un pontage coronarien le 14.06.2019 au CHUV. Sur le plan infectieux, il reçoit un traitement antibiotique par Co-Amoxicilline adaptée à la fonction rénale du 26.04 au 30.04 pour une surinfection de bronchiectasie ainsi que du 07.05 au 11.05 pour une reinfection des bronchiectasies. Du point de vue rénal, Mr. Y présente une clearance à l'entrée de 12 ml/min. Ce pourquoi un avis angiologique est demandé afin d'anticiper une fistulisation artério-veineuse si une dialyse devenait nécessaire. Le membre supérieur droit est préféré pour une éventuelle fistulisation en raison d'une thrombose de la veine céphalique à gauche. Le 10.05.2019, Mr. Y présente un épisode de méléna, probablement sur double anti-aggrégation, avec chute de l'hémoglobine, nécessitant la mise en pause de l'aspirine et du Plavix, la transfusion de 2 CE le 11.05 ainsi qu'une oesogastro-duodénoscopie le 13.05 qui est rassurante. Sur avis cardiologique, seule l'aspirine doit être reprise pour la suite. Mr. Y sort de l'hôpital pour son domicile le 16.05.2019 Monarthrite de l'interphalangienne du pouce droit d'origine probable rhumatologique. Monitoring aux urgences avec visualisation d'une FA rapide à 133/min à l'entrée sur le scope ECG: rythme sinusal régulier Laboratoire: absence de dysthyroïdie, troponines H0 à 36 ng/L et à 38 ng/L à H1, proBNP à 603 ng/L RX thorax Métoprolol 25 mg administré aux urgences Avis cardiologie (Dr. X): • Majoration métoprolol à 2 x 50 mg. Pas de cordarone d'emblée vu que FA non documenté sur ECG • Prévoir Holter 72 h dans le courant de l'hospitalisation et également à 3 mois • Si objectivation d'une FA ad cordarone (200 mg 3x/j pendant 7 j puis 200 mg/j) Monitoring cardio pulmonaire continu Résolues dès le 29.04 Monitoring cardio-pulmonaire dès l'entrée jusqu'au 03.05.2017 Caféine Citrate du 22.02. jusqu'au 03.04.2017 Monitoring cardio-respiratoire du 15.03 au 10.04 Caféine du 18.03 au 01.04 Monitoring cardio-respiratoire du 17.05-18.05 Monitoring cardio-respiratoire du 26.03 au 13.04 Monitoring cardiorespiratoire Ventolin 3x 6 pushs aux 20 minutes aux urgences Oxygénothérapie du 24.01.2019 au 04.02 Ventolin du 24.01 au 05.02.2019 Atrovent 24.01 au 01.02.2019 Betnesol 0.25 mg/kg/j, soit 3.5 mg pour 3 jours depuis le 24.01.2019 Axotide repris le 30.01 Médecine anthroposophique Physiothérapie respiratoire Monitoring cardio-vasculaire du 26.03 au 13.04 Monoarthrite de l'hallux G le 19.04.2019 Cure de hernies inguinales bilatérales Appendicectomie Fracture du bras gauche Prothèse totale du genou droit le 24.07.2009 Résection carcinome basocellulaire joue gauche en 09/2009 AVC ischémique aigu pontique paramédian D d'origine artério-artérielle sur occlusion de l'artère vertébrale D et du tronc basilaire le 04.04.2019 • Symptomatologie: Trouble de l'équilibre, nystagmus vertical, dysarthrie, ataxie du MSG • NIHSS initial à 4 points, NIHSS à 24 heures à 3 points, NIHSS de sortie: 2 points • MIF motrice à 32 points Pic fébrile isolé le 10.04.2019 d'origine indéterminée DD: gastro-entérite Monoarthrite du genou gauche, probable récidive de crise de goutte le 01.05.2019. Mononucléose dans les années 2000 Mr. Y est un patient de 70 ans qui se présente aux urgences le 23.04.2019 pour des douleurs épigastriques en barre depuis 2 semaines. L'examen clinique et biologique fait suspecter une pancréatite, un CT abdominal confirme le diagnostic d'une pancréatite légère et ne met pas en évidence de cholélithiase ou de dilatation des voies biliaires. Le bilan est alors complété par un ultrason abdominal qui montre une cholélithiase sans signe d'obstruction des voies biliaires. Devant l'augmentation globale des tests hépatiques avec augmentation de la cholestase, nous suspectons un calcul enclavé dans les voies biliaires. En attendant d'effectuer une cholangio-IRM, les tests montrent une cinétique de passage de calcul et le patient bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique avec cholangiographie peropératoire le 28.04.2019. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables permettant un retour à domicile le 29.04.2019. En per-opératoire, une image kystique est retrouvée dans le lit vésiculaire, raison pour laquelle nous organisons une IRM de contrôle à 3 mois puis un suivi à notre consultation. À noter que le scanner initial montre une lithiase urétérale gauche avec une dilatation pyélo-calicielle et une atrophie du parenchyme rénal parlant pour une obstruction chronique sans corrélation clinique. Nous proposons la réalisation d'une scintigraphie rénale DMSA pour l'évaluation de la fonction rénale avec, par la suite, une consultation par l'urologue traitant. Mr. Y, patient de 77 ans hospitalisé dans le service de médecine interne dans un contexte d'anémie ferriprive d'origine indéterminée probablement multifactorielle depuis le 03.05.19, est transféré aux SI en raison d'une décompensation BPCO d'origine infectieuse. Il présente une insuffisance respiratoire aiguë globale motivant un transfert aux soins intensifs pour ventilation non invasive. L'antibiothérapie et la corticothérapie sont poursuivies sans modification. L'évolution est rapidement favorable, permettant un transfert à l'étage de médecine interne le 17.05.2019. Mr. Y est admis le 30.04.2019 aux soins intensifs pour un syndrome coronarien aigu type NSTEMI. Il se présente aux urgences en raison de douleurs rétrosternales irradiant dans la mâchoire associées à une cinétique enzymatique, sans modifications électriques à l'ECG. La coronarographie confirme une maladie coronarienne bitronculaire avec comme lésion coupable une sténose de l'artère circonflexe proximale et moyenne qui est traitée par angioplastie et pose de deux stents actifs. La fonction ventriculaire gauche est conservée à la ventriculographie. La surveillance s'avère sans particularités hormis une hypertension artérielle nécessitant l'adjonction d'un inhibiteur calcique et d'un bêta-bloquant avec une bonne tolérance. L'antiagrégation par Aspirine est à poursuivre à vie et le Prasugrel pour une durée totale de 6 mois. Nous sensibilisons le patient par rapport au contrôle des facteurs de risque cardiovasculaire. Un contrôle en ambulatoire est prévu chez son médecin traitant à 2 semaines. Une ergométrie ainsi qu'une échocardiographie sont prévues à 6 mois chez le Dr. X.Mr. Y rentre à domicile le 02.05.2019 accompagné de son épouse. Mr. Y est un ancien laitier et chauffeur poids lourd de 79 ans, connu pour un syndrome métabolique, qui est amené en ambulance le 22.05.2019 en raison de frissons solennels le 22.05.2019 avec sensation de froid, sans dyspnée. Sur le plan pulmonaire, on retrouve une désaturation et à la radio un foyer pulmonaire basal gauche, pour lequel un traitement antibiotique est débuté. Son état s'améliore rapidement et il sort de l'HFR Fribourg le 25.05.2019. Sur le plan cardiaque, Mr. Y a présenté des douleurs rétrosternales irradiant dans les 2 coudes 3 semaines avant son hospitalisation, avec modifications nouvelles à l'ECG. Un contrôle ambulatoire chez le Dr. X est organisé le 03.06.2019. Mr. Y est un patient de 68 ans, connu pour une maladie de Crohn avec antécédents d'iléus récidivants, qui nous est adressé par son médecin traitant en raison d'une suspicion d'iléus. À l'examen clinique, nous retrouvons un abdomen distendu avec sensibilité diffuse en hémi-abdomen droit. Le bilan radiologique met en évidence un iléus grêle mécanique avec sauts de calibre dans le pelvis ainsi qu'en région infra-ombilicale. Le patient est hospitalisé dans notre service pour surveillance et réalimentation progressive. À savoir que le patient refuse la pose d'une sonde naso-gastrique. Les suites sont simples, avec une reprise du transit le 30.04.2019 et la réalimentation est bien tolérée. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 02.05.2019. Mr. Y est un patient de 75 ans, connu entre autres pour une artériopathie oblitérante bilatérale des membres inférieurs prédominante au membre inférieur droit de stade IV avec de multiples dilatations et stentings par le passé. Le patient présente une nécrose des 2 premiers orteils avec de fortes douleurs. Le cas du patient est discuté au colloque vasculaire du 03.12.18 où une revascularisation est actuellement jugée impossible. C'est pourquoi, nous posons l'indication à une amputation infragéniculée qui est effectuée le 07.01.2019. Les suites opératoires sont favorables avec une première réfection de pansement à J-4 et un moignon montrant une bonne cicatrisation. Sur le plan antalgique, Mr. Y présente de fortes douleurs au niveau du moignon accompagnées également de douleurs fantômes traitées par une antalgie de palier III et du Lyrica après discussion avec nos collègues anesthésistes et néphrologues. Sur le plan de la mobilisation, nos collègues physiothérapeutes sont contactés pour stimuler le patient à se mobiliser et prévenir un flexum. L'évolution est favorable en cours d'hospitalisation. Sur le plan cardiaque, le patient présente un fibrillo-flutter à conduction lente, hémodynamiquement stable, asymptomatique le 24.01.2019. Un tel épisode est déjà documenté en 2016. Nous contactons nos collègues internistes qui proposent de mettre en suspens le Bisoprolol. Au vu du CHADVASC - HASBLED, il y aurait une indication à anticoaguler le patient sans urgence. Nous vous laissons le soin de commencer une anticoagulation au Sintrom si vous en voyez également l'indication. À noter que les néphrologues sont au courant de la situation et qu'il sera suivi trois fois par semaine en dialyse aiguë au HFR Fribourg. Nous vous laissons le soin de reprendre également le Bisoprolol. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y est transféré à l'HFR-Tavel le 25.01.2019. Mr. Y nous est adressé par son néphrologue de dialyse pour un arrêt temporaire du Marcoumar et le contrôle de la crase en vue d'une intervention chirurgicale d'un abcès sous-scrotal gauche. Après deux doses de Konakion à 10 mg, l'incision de l'abcès a été effectuée avec succès. Mr. Y a pu rentrer dans son foyer le 22.05.19. Mr. Y nous informe qu'il y a 4 semaines, lors d'un contrôle chez son médecin de famille, il avait une glycémie à 28 et suite à cela, il a été hospitalisé en urgence à l'HFR Tavel. Le diagnostic de diabète est tout nouveau pour le patient, un traitement a donc été débuté. Le patient présente donc un diagnostic différentiel concernant une hypoesthésie résiduelle après l'intervention avec une composante polyneuropathique qui pourrait justifier la localisation plutôt sous-génitale avec une insensibilité plutôt au niveau des doigts et en dessous des pieds. Raison pour laquelle nous prions le médecin traitant d'évaluer durant les prochains 3 à 6 mois l'indication pour une ENMG afin de dépister les deux hypothèses. De notre point de vue, nous prévoyons un prochain contrôle dans 12 mois pour suivre le patient sur une longue période. Nous restons à disposition en cas de variation de la symptomatologie. Mr. Y, patient de 80 ans, connu pour une insuffisance rénale chronique de stade 4 sur possible néphroangiosclérose hypertensive avec hyalinose segmentaire et focale secondaire sur reins de taille réduite avec de multiples kystes dégénératifs, une hyperparathyroïdie secondaire avec hypovitaminose D et une légère anémie, sous Sintrom pour une embolie pulmonaire en juillet 2018 et TVP en 2014. Vous nous adressez votre patient aux urgences pour une toux sèche, sans expectorations depuis environ 1-2 semaines associée à une dyspnée à l'effort, une dyspnée paroxystique nocturne et une orthopnée. Mr. Y présente à son arrivée un tableau de décompensation cardiaque globale. Une échocardiographie révèle une FeVG à 30% avec une hypokinésie globale à prédominance inférieure. Ainsi une coronarographie est effectuée, montrant une maladie monotronculaire avec pose de 2 stents. Un traitement d'aspirine cardio 100 mg 1x/j sera à poursuivre à vie et un traitement de Plavix 75 mg 1x/j est à poursuivre pendant 6 mois. Comme complication à J5 après la coronarographie, Mr. Y a présenté une tachycardie supra-ventriculaire cardioversée avec une dose d'adénosine IV, sans récidive par la suite. En post-coronarographie, l'insuffisance rénale connue du patient s'est initialement péjorée, probablement liée à l'injection du liquide de contraste. Au vu de l'anémie d'origine rénale et également ferriprive, le patient a bénéficié de 2 transfusions d'érythrocytes, qui ont permis une évolution favorable de la créatinine. Un traitement par 5 mg de Torem est repris le 20.05. Un traitement par Ferinject 500 mg est prescrit pour le 21.05.2019. Un traitement par EPO sera à initié selon les directives du Dr. X, néphrologue du patient. Le patient présente 2 crises de gouttes pendant l'hospitalisation avec bonne réponse à un traitement de Prednisone pendant 3 jours, lequel est encore en cours. L'évolution est gentiment favorable, cependant une réhabilitation gériatrique est indiquée suite à cette longue hospitalisation avant un retour à domicile. Nécessitant encore une prise en charge aiguë jusqu'à stabilisation de la situation, un transfert en gériatrie aiguë est organisé le 21.05.2019 et une demande de réhabilitation gériatrique est anticipée. Mr. Y, âgé de 83 ans, connu pour une fracture Garden I du col fémoral droit traitée par triple vissage du fémur D en 2018, nous est adressé par son médecin traitant pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à des troubles d'équilibre et de la marche d'origine multifactorielle. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse. Il est à la retraite. Il marche habituellement sans moyen auxiliaire. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. À l'anamnèse par systèmes, le patient signale une constipation habituelle avec des selles tous les 3 jours. Il accuse des douleurs abdominales à la mobilisation.Au status, le patient est collaborant et orienté dans l'espace mais désorienté dans le temps. L'auscultation cardio-pulmonaire est normale. L'abdomen est souple, dépressible, avec une sensibilité diffuse à la palpation et des bruits hydroaériques normaux. Les mollets sont souples et indolores à la palpation. La force du quadriceps et du psoas est à M5 ddc et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, il a présenté un syndrome inflammatoire en constante péjoration. Vu les douleurs abdominales atypiques à la mobilisation, nous réalisons une échographie abdominale mettant en évidence une simple lithiase vésiculaire non compliquée. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Il peut monter/descendre les escaliers avec une canne et la rampe sur 2 étages. La physiothérapie a toutefois été limitée pendant le séjour à cause des douleurs abdominales et des troubles cognitifs. Après 2 semaines et demi d'hospitalisation, l'évolution est relativement modeste et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 17.05.2019, en état général conservé. À la sortie, le patient n'a pas souhaité bénéficier de séances de physiothérapie/ergothérapie à domicile et refuse le passage d'une aide à domicile. Nous lui conseillons de revoir son médecin traitant afin d'organiser une exploration complémentaire par CT abdominal. Mr. Y, âgé de 52 ans, connu pour une cardiopathie hypertensive et rythmique, obésité, tabagisme actif, SAOS appareillé, thrombose de la veine porte et éthylisme chronique, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une PTH primaire à droite le 17.04.2019 pour une coxarthrose bilatérale prédominante à droite. Sur le plan social, le patient vit seul à domicile. Il a travaillé comme boulanger et n'exerce plus depuis janvier 2018. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. L'auscultation cardiaque est normale. L'abdomen est pléthorique, mais indolore à la palpation avec des bruits hydroaériques normaux. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La force du MID est à M3 pour le psoas et le quadriceps. Il présente une dermite ocre sur le MID jusqu'à mi-jambe, oedèmes prenant le godet ddc que le patient dit avoir depuis le stripping des varices. La flexion de la hanche D est de 60° en actif et 70° en passif. L'élévation jambe tendue n'est pas faisable à droite. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et marche avec un tintébin avec les physiothérapeutes en respectant difficilement la décharge. Pour le reste des déplacements, il utilise un fauteuil roulant. Il peut monter/descendre 10 escaliers avec 2 cannes. Après 2 semaines et demi d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, à sa demande, le 13.05.2019, en état général conservé. À la sortie, l'ergothérapeute des soins à domicile passera prendre les mesures pour les moyens auxiliaires et se chargera de les commander et les installer pour ce patient qui n'a pas d'entourage et aux moyens financiers très limités. Mr. Y, patient de 42 ans, nous est adressé par le Dr. X pour des investigations neurologiques, notamment une ponction lombaire, dans le cadre d'un syndrome tétra-pyramidal. Le patient a déjà eu une IRM en ambulatoire le 17.05.2019. Celle-ci montrait une sténose serrée cervicale haute C2-C3 d'origine probablement arthrosique avec une myélopathie claire. Le patient présente depuis 6-8 semaines des paresthésies des mains et des pieds, ainsi que des troubles de l'équilibre avec une marche ébrieuse et une asthénie importante. Il décrit également des douleurs à type de serrement survenant surtout aux membres inférieurs en fin de journée ou après une activité physique importante. Absence de trouble visuel ou cognitif. Il y a environ 4 semaines, il a été diagnostiqué et traité pour une angine à streptocoque, depuis il n'a plus présenté de fièvre et il n'a pas de céphalée. Des vertiges de type tangage sont aussi mentionnés par le patient. Pas de trouble du transit. Il signale qu'il doit uriner moins souvent et que les mictions durent beaucoup plus longtemps, apparemment sans effort. Il signale un frère de 45 ans souffrant de sclérose en plaques traitée. Le patient ne se souvient pas avoir eu de piqûre de tique, toutefois, il passe beaucoup de son temps dans la nature. La ponction lombaire montre une légère protéinorachie, qui elle aussi pourrait être expliquée par la compression médullaire. Nous avons exclu les causes infectieuses et/ou inflammatoires, ainsi qu'un syndrome de Guillain-Barré à l'aide des examens biologiques et d'un ENMG normal. Les anticorps antineuronaux sont également négatifs. Une FSME n'a pas été recherchée car la symptomatologie est explicable par le canal cervical étroit et il n'y a pas de notion de piqûre de tique. Après discussion avec nos neurologues et orthopédistes de l'équipe Spine, nous supposons que la symptomatique du patient peut être expliquée par le canal cervical étroit. Une indication chirurgicale est posée par nos collègues neurochirurgiens qui devrait avoir lieu rapidement, à savoir dans les jours qui suivent, après avoir effectué des potentiels évoqués pour un comparatif pré-opératoire. Une intervention chirurgicale est donc prévue pour le 27.05.2019 pour laquelle le patient doit encore donner son consentement éclairé. Le patient bénéficie pendant l'hospitalisation d'une physio- et d'une ergothérapie avec de bons résultats subjectifs, qu'il continuera en ambulatoire. Mr. Y a pu rentrer à domicile en bon état général le 24.05.2019 et reviendra le 27.05.2019 pour l'intervention chirurgicale prévue. À sa sortie, le patient présente une atteinte sensitive superficielle et profonde (pallesthésie 6.5/8 aux MS et 5/8 aux MI) des 4 membres, à localisation distale (en gants et en chaussettes), une minime ptose palpébrale gauche, qui est certainement constitutionnelle, des réflexes ostéo-tendineux préservés et symétriques et un Babinski positif à gauche. Mr. Y, patient de 51 ans, est hospitalisé en filière stroke pour surveillance d'un AVC ischémique pontique paramédian droit. Le patient présente des symptômes de dysarthrie, diplopie et ataxie aux deux membres gauches avec un hémisyndrome facio-brachio-crural gauche. Un CT-scan et une IRM montrent une lésion pontique droite constituée. Le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique et hémodynamique avec introduction d'un traitement de Plavix sur avis neurologique. Le patient est normocarde et hypertendu, stable du point de vue de ses déficits et ne présente pas de complications. Dans le bilan étiologique, un enregistrement ECG-Holter et une échocardiographie transthoracique sont organisés. Le Holter sera à pister. Toutefois, l'ETT montre une dysfonction systolique du VG d'origine peu claire. Un bilan d'insuffisance cardiaque par TSH, ferritine est en cours et une coronarographie en électif sera à rediscuter avec les collègues de la cardiologie. Si absence de maladie coronarienne, une éventuelle IRM cardiaque à la recherche de cardiomyopathie de non-compaction pourrait être envisagée. Dans l'intervalle, un traitement d'insuffisance cardiaque par bêta-bloquant et IEC est introduit.A noter qu'au laboratoire nous mettons en évidence une hémoglobine glyquée à 9% chez un patient connu pour un diabète sucré de type 2 mais qui a stoppé de son propre chef 2 mois auparavant son traitement de Metformine. Ce traitement est repris et une éventuelle éducation thérapeutique sera à discuter au cours du reste de l'hospitalisation. Le patient est transféré en stroke unit non monitorée pour la suite de sa prise en charge. Mr. Y, 46 ans, a été admis aux soins intensifs en postopératoire d'une laparotomie dans le cadre d'un tentamen à l'arme blanche (couteau de 5 cm) avec lacération du foie qui a été traitée par électrocoagulation. Le patient, connu pour des antécédents psychiatriques, a été amené par ambulance aux urgences suite à un tentamen à l'arme blanche. Le CT-scan thoraco-abdominal n'a pas montré de lésion à l'étage thoracique mais un hémopéritoine en lien avec une lacération de la pointe du segment hépatique IVb avec un saignement actif. Une laparotomie exploratrice en urgence a permis d'effectuer une électrocoagulation de la lacération hépatique. Le patient a été extubé le jour-même de l'intervention et les drains abdominaux ont été retirés le 02.05.2019 et le 03.05.2019. L'antalgie a été gérée par du paracétamol, ibuprofen et opiacés. Un CT-scan abdominal est à prévoir dans 3 mois afin d'exclure la formation d'un shunt artério-veineux. Un iléus paralytique post-opératoire a été favorisé par l'antalgie par opiacés. Le transit intestinal a repris sous laxatifs, avec des bruits abdominaux normaux et la présence de gaz le jour de la sortie. Une évaluation psychiatrique formelle a conclu à un épisode dépressif sévère et le patient a été transféré à l'hôpital psychiatrique de Marsens avec une décision de placement à fins d'assistance le 04.05.2019. Le patient a obtenu des informations concernant les motifs de ce placement à fins d'assistance et sur son droit d'en appeler à la Justice de paix. Sa fille, Mme. Y, a également été informée. Mr. Y, âgé de 64 ans, connu pour une BPCO stade III selon Gold, nous est adressé par son pneumologue traitant pour une réadaptation respiratoire suite à une décompensation de BPCO le 05.03.2019. Les vaccins sont à jour. Sur le plan social, le patient, divorcé, vit avec son fils. Il est à l'AI (ancien agriculteur). A l'admission, le patient se plaint d'une dyspnée de stade II selon mMRC, en amélioration actuellement. Il est fumeur actif (ne veut pas arrêter). Actuellement, pas de toux ni d'expectorations. Le status général est sans particularité hormis une diminution de murmure respiratoire ddc. Pas d'OMI. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré modéré et confirme le diagnostic de BPCO stade II selon Gold. La gazométrie d'entrée, sous O2 2 lt/min, montre une saturation à 94% avec une hypoxémie légère (pO2 9.1 kPa) sans hypercapnie, raison pour laquelle nous poursuivons une oxygénothérapie au débit de 2 lt/min. Nous réalisons une oxymétrie nocturne avec CPAP et O2 2 lt/min qui montre une saturation à 90.9% et index des événements de désaturation 1.9/heure; à la capnographie nocturne sous CPAP et O2 2 lt/min, on relève une tcpCO2 à 6.9 kPa et une SpO2 à 96.5%. Les données de la CPAP révèlent une excellente tolérance et un index d'apnées/hypopnées abaissé. Une gazométrie, réalisée à l'air ambiant, démontre une hypoxémie légère, sans rétention de CO2. Il n'y a actuellement plus d'indication à poursuivre l'oxygénothérapie continue et nous maintenons 2 lt/min la nuit. A la radiographie du thorax, on retrouve une accentuation du volume thoracique associée à l'aplatissement des coupoles diaphragmatiques et l'horizontalisation des arcs costaux. Désorganisation de la trame liée à la pathologie de base sans foyer surajouté visible. Artères pulmonaires de calibre augmenté. St/p spondylodèse lombaire haute avec remplacement discal. Durant son séjour, une tentative de diminution du traitement diurétique a échoué en raison de la récidive des OMI, raison pour laquelle à la sortie le patient prend toujours 20 mg de Torem. Mr. Y a été pris en charge pour une obésité de stade 1 (BMI 31.9) et un apport protéino-énergétique insuffisant (64% énergie, 50% protéines). Mr. Y a déjà fait plusieurs tentatives de régime et se nourrit actuellement de manière dissociée. Nous l'avons encouragé à consommer la totalité des demies-portions, enrichi les potages et adapté les repas afin d'améliorer la couverture des besoins en protéines, surtout. Son poids sec semble être resté stable. Il a aussi assisté à la conférence sur l'alimentation et les maladies respiratoires et sait que s'il souhaite continuer à perdre du poids, un suivi ambulatoire serait indiqué. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 210 m à 345 m et le patient augmente la distance parcourue sur le tapis roulant de 0.570 km en 12 minutes à 1.50 km en 20 minutes. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 07.05.2019, en état général conservé. Mr. Y présente une lésion cartilagineuse focale en regard du condyle fémoral interne et suite à cela, il a fait un épanchement articulaire volumineux qui a empêché la mobilité correcte du genou. Ponction de 40 cc de liquide citrin et infiltration du genou avec 80 mg de Depo Medrol. Je reverrai le patient dans 3 semaines pour une réévaluation clinique. Arrêt de travail attesté pour aujourd'hui à 100%. Reprise du travail prévue à 100% dès le 16.05.2019. Prochain rendez-vous : 05.06.2019. Mr. Y, patient de 64 ans, connu pour une cirrhose CHILD B avec varices oesophagiennes stade II-III, est hospitalisé pour réalisation d'une gastroscopie le 27.05.2019. Pour rappel, ce patient avait été transféré du Cambodge à l'HFR par la REGA pour un sepsis sur pneumonie bilatérale avec évolution favorable. Durant l'hospitalisation, ce patient avait présenté une anémie à 100 G/L ainsi qu'une dysphagie sur hypo-motilité des muscles constricteurs du pharynx. Le patient n'ayant pas suivi les instructions concernant la restriction alimentaire pour la gastroscopie, celle-ci a dû être annulée. Au vu du problème chronique de la dysphagie, et du bon état général du patient, il peut rentrer à domicile le 28.05.19. Mr. Y, patient de 36 ans, nous est transféré des soins intensifs le 29.04.2019 pour suite de prise en charge d'une décompensation respiratoire aiguë d'origine multifactorielle avec pneumonie d'aspiration et décompensation cardiaque sur flutter auriculaire, pour lesquels il bénéficie d'un traitement par Co-Amoxicilline et nécessite une ventilation non invasive. La maladie de base nécessitant une ventilation au long cours, le patient est appareillé (VNI) par les pneumologues de l'HFR (Dr. X) avec contrôles de polygraphie et capnographie selon indications. Durant son hospitalisation à l'étage de médecine interne, le patient bénéficie de séances journalières (2 fois par jour) et d'une ventilation en continue sur la nuit, à poursuivre en ambulatoire, avec suivi par la Ligue pulmonaire vaudoise.Lors de son séjour aux soins intensifs, le patient présente plusieurs passages en flutter, avec résolution sous traitement initial de cordarone, puis de bêtabloquants. Sur le plan digestif, le patient décrit des douleurs abdominales diffuses connues (crampes et sensation de ballonnement) accompagnées de diarrhées. Après exclusion d'une cause bactérienne, il bénéficie d'un traitement par Bioflorin dans le but de rééquilibrer la flore intestinale post-antibiotique et par lopéramide. Une composante d'aérophagie sur VNI ne peut pas être exclue. Nous vous laissons le soin d'entreprendre de plus amples investigations en cas de persistance de la symptomatologie. Concernant les plaies cutanées, des soins locaux sont prodigués avec bonne évolution. Des soins à domicile pour le suivi de plaie sont organisés et nous prions le patient de reconsulter en cas de péjoration ou d'état fébrile. Initialement, un séjour à l'HFR Billens est discuté pour l'apprentissage familiale de l'appareillage, que nous réalisons finalement à l'hôpital. Après discussion avec les médecins de l'HFR Billens et les pneumologues, le patient rentre directement à domicile. Mr. Y rentre donc à domicile le 06.05.2019. Pour la suite de prise en charge pneumologique, le patient prendra contact avec son pneumologue traitant le Dr. X. Les pneumologues du HFR restent toutefois à disposition, bien qu'un suivi au CHUV semble plus pratique, le patient vivant dans le canton de Vaud avec des suivis neurologique et cardiologique au CHUV. Un rendez-vous de contrôle en stomatologie pour le suivi de plaies est prévu dans 15 jours à l'HFR Fribourg. Mr. Y est un patient de 25 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales accompagnées de vomissements ainsi que d'un état fébrile. Le bilan met en évidence une appendicite aiguë avec péritonite. Nous instaurons une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Métronidazole en intraveineux et le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique en urgence le 05.05.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples. Face à des cultures de liquide péritonéal qui reviennent positives pour un E. coli ESBL, nous relayons l'antibiothérapie par Ertapénème en intraveineux le 09.05.2019. L'évolution clinico-biologique étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 10.05.2019. Mr. Y, 80 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour insuffisance respiratoire aiguë globale dans un contexte d'exacerbation de BPCO stade IV. Le patient présente une toux avec crachats jaunâtres et dyspnée au repos en péjoration depuis début mai. Dans ce contexte, un traitement par Augmentin (7J) et Prednisone (5J) a été conduit en ambulatoire dès le 08.05.2019 avec amélioration transitoire. Il se présente aux urgences avec une insuffisance respiratoire aiguë globale sur BPCO décompensée le 20.05.2019, raison de son admission aux soins intensifs. L'origine de la décompensation respiratoire semble être une surinfection bronchique en l'absence d'un véritable foyer pulmonaire clinique ou radiologique. À noter à la radiographie pulmonaire des opacités en bande para-cardiaque droite devant correspondre à une atélectasie. Un traitement par Cefepime est introduit ainsi que des stéroïdes associés à des séances de ventilation non invasive. L'évolution est progressivement favorable. Après discussion avec nos collègues pneumologues, un appareillage nocturne à long terme par BIPAP est indiqué. La mise en place définitive de cet appareillage sera effectuée au cours de son séjour en médecine. Compte tenu d'une hypertension artérielle, un traitement avec Nitroglycérine, IEC et Amlodipine est débuté. Une échocardiographie transthoracique montre une fonction à 65% sans dysfonction diastolique. Dans le cadre d'ESV et d'une salve de TSV asymptomatique, un traitement par bêtabloquant est ajouté. Le patient est anticoagulé pour une maladie thrombo-embolique par Marcoumar. Suite à une anticoagulation supra-thérapeutique sans signes de saignements, le traitement est stoppé puis repris à partir du 26.05.2019. Mr. Y est transféré à l'étage de médecine interne le 26.05.2019. Une demande pour de la réhabilitation respiratoire à Billens est en cours. Mr. Y, connu pour un carcinome de la jonction recto-sigmoïdienne en péjoration avec de multiples métastases notamment hépatiques, est hospitalisé pour des douleurs de l'hypochondre droit, connues en péjoration depuis quelques jours. Un dernier scanner thoraco-abdominal réalisé le 03.03.2019 avait mis en évidence une progression de la maladie oncologique. Un ultrason de l'abdomen supérieur est réalisé et met en évidence d'innombrables métastases hépatiques, dont une repousse la capsule hépatique à l'endroit précis des douleurs. Au vu de la persistance des douleurs malgré la majoration du Targin, un relais par Morphine IV continu est effectué. Une intoxication à la Morphine avec une fréquence respiratoire à 7/min motive un relais par Fentanyl IV puis par patch de Fentanyl, permettant une gestion efficace des douleurs. Le 21.04.2019, Mr. Y présente une hématurie persistante, pour laquelle une sonde vésicale à 3 voies est posée le 23.04.2019 pour des rinçages, et retirée le 25.04.2019, les urines restant claires. Le bilan est à organiser en ambulatoire. Une pyélonéphrite est respectée le 24.06.2019, un traitement par Rocéphine, puis par Ciproxine est effectué, avec diminution du syndrome inflammatoire. Le patient présente un état confusionnel le 27.04.2019 dans un contexte d'état septique avec un syndrome inflammatoire important et une probable accumulation d'opiacés avec une insuffisance rénale nettement péjorée. Une rotation d'opiacés est effectuée. Une fois la fonction rénale normalisée, le Fentanyl en patch est repris avec un contrôle antalgique satisfaisant. Il bénéficie de la transfusion de 3 concentrés érythrocytaires dans la perspective d'un retour à domicile. Le patient est passablement angoissé à l'idée d'un retour à domicile, un encadrement maximal entre Voltigo et les soins à domicile est organisé. Nous constatons durant l'hospitalisation un œdème au niveau de la poche de colostomie. Après un avis stomathérapeutique, un traitement par sucre glace et compresse froide est initié avec une relative stabilité. Mr. Y peut regagner son domicile le 08.05.2019. Mr. Y est admis le 11.04.2019 à l'HFR Billens en vue d'une réhabilitation cardiovasculaire en stationnaire. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine cardio 100 mg, Clopidogrel 75 mg, Perindopril 4 mg, Aldactone 25 mg, Rosuvastatine 40 mg, Concor 2.5 mg et Pantozol 40 mg. Notons la persistance d'une toux irritante chez ce patient, raison pour laquelle nous remplaçons le périndopril par du Losartan sans évolution significative et exacerbation de celle-ci à l'effort. Nous réalisons alors une ETT de contrôle qui exclut toute dégradation systolique avec amélioration sensible de la FECG, calculée à 45% selon Simpson. Tout au long de la réhabilitation, le patient est resté asymptomatique sur le plan cardiovasculaire. Aucun signe de décompensation cardiaque n'est relevé, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée avec progression de ses performances tout au long de son séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 30 minutes à une puissance de 110 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle et de marcher durant 1 h à une allure de 2 kg/h sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 5.7 km/h sur une pente de 6.6% pendant 30 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+25 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme.Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Il a été suivi individuellement par notre diététicienne ainsi que par notre ergothérapeute. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.5 mmol/L, un HDL à 0.87 mmol/L, un LDL à 2.31 mmol/L et des triglycérides à 1.42 mmol/L. • La pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : • Hb est 140 g/l • fonction rénale normale avec une créatinine à 92 µmol/l • Electrolytes dans la norme L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un status de normo-compensation. Mr. Y, âgé de 87 ans, connu pour une bradycardie, nous est adressé par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'un PTH D pour une coxarthrose invalidante le 07.05.2019. Sur le plan social, le patient vit seul à domicile, dans la même maison que son frère. Avant l'intervention, il marchait sans moyens auxiliaires. Il gère seul son quotidien et n'a pas de SAD. Il est à la retraite. A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. A l'anamnèse par systèmes, le patient signale une toux avec des crachats gris depuis quelques jours avant l'intervention. Il dit qu'actuellement il n'est pas gêné par la respiration et que la toux s'est améliorée ainsi que les expectorations. Au status, le patient est orienté et collaborant. L'auscultation cardio-pulmonaire est normale. La cicatrice est calme. Au niveau du MID, la force du quadriceps et du psoas est à M4 et la flexion active de la hanche D est à 90°. La sensibilité est conservée. A noter que le patient est traité depuis le 08.05.2019 par de la Co-Amoxicilline pour une pneumonie basale D. L'évolution est favorable après 10 jours d'antibiothérapie. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises en alterné sur un périmètre > 200m. Il peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes. Les amplitudes articulaires montrent une flexion active de la hanche D à 90° et la force du MID est à M4. Après 10 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 24.05.2019, en bon état général. Les soins à domicile sont activés. Mr. Y, 85 ans, connu pour une maladie coronarienne tri-tronculaire sous Aspirine cardio et Plavix et une insuffisance rénale chronique, sorti d'une hospitalisation en médecine interne le 12.04.2019, consulte les urgences le 13.04.2019 en raison d'une toux sèche depuis la veille au soir et d'une fatigue généralisée. Le patient décrit également une notion de malaise ce matin. Pas d'état fébrile ni de frisson, pas de douleur thoracique. Mr. Y rapporte, de plus, plusieurs épisodes de vomissements noirâtres durant la nuit du 12 au 13.04.2019 avec dernier épisode à l'admission aux urgences. Pas de trouble du transit, dernières selles la veille au soir, de consistance et de couleur normales, sans sang frais ni méléna. Pas de douleur abdominale. A l'admission aux urgences le patient est pâle. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, irréguliers. Pas de tachycardie, pas de souffle audible, pas d'oedème des membres inférieurs. L'auscultation pulmonaire et l'examen abdominal sont dans la norme. Les loges rénales sont souples et indolores. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer pulmonaire, de pneumothorax ni d'hémothorax. Le laboratoire montre une anémie normochrome normocytaire avec une hémoglobine à 111 g/l. La créatinine est à 167 mmol/l. Pas de trouble électrolytique, pas de syndrome inflammatoire, pas de perturbation des tests hépatiques, pas de perturbation de la crase. Nous débutons un traitement par Nexium 80 mg en bolus puis 8 mg par heure par iv continu et mettons en suspens le Plavix. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. A l'étage, il est hémodynamiquement stable et moins pâle. Il n'a pas de plainte. Sur le plan hématologique, l'anémie normocytaire normochrome se péjore durant l'hospitalisation avec une hémoglobine à 84 g/l le 15.04.2019 justifiant l'administration de 2 culots érythrocytaires. Une OGD effectuée le 15.04.2019 montre une oesophagite avec 2 érosions profondes de 2 et 3 cm de profondeur localisées légèrement au-dessus de la jonction oesophago-gastrique sans saignement actif et n'expliquant pas forcément l'anémie. L'hémoglobine continuant à diminuer, nous réalisons une colonoscopie le 18.04.2019 qui montre la présence de diverticules mais pas d'angiodysplasie ou de sources de saignement actif. Nous procédons à un contrôle de l'hémoglobine avec des valeurs s'améliorant progressivement (120 g/l le 23.04.2019), sans nouvelle extériorisation. Dès le 16.04.2019, le Nexium est passé per os, 40 mg 2x/j et le Plavix est réintroduit le 23.04.2019. Nous contactons le Dr. X, cardiologue traitant, qui propose un nouveau schéma de traitement antiagrégant avec Plavix et Aspirine pour 3 mois, puis arrêt du Plavix et poursuite de l'Aspirine pour un total de 12 mois. Il propose un R-test d'une durée d'une semaine en ambulatoire à la recherche d'une fibrillation auriculaire qui indiquera la nécessité de remplacer ou non le Plavix par l'Eliquis. Nous avons conseillé au patient un contrôle laboratoire à votre consultation la semaine suivant la sortie. Sur le plan néphrologique, le patient présente une acutisation de son insuffisance rénale chronique avec une créatinine à 167 mmol/l à l'entrée. L'évolution est favorable avec une valeur de créatinine à la sortie de 118 mmol/l. De façon plus générale, Mr. Y présente des signes de dénutrition et de déconditionnement dans le contexte de ses hospitalisations répétées, raison pour laquelle il bénéficie d'une évaluation nutritionnelle et physiothérapeutique justifiant l'introduction de suppléments nutritifs oraux. Le laboratoire de contrôle du 19.04.2019 met en évidence une hypokaliémie à 3.3 mmol/l que nous substituons per os avec bonne évolution. Mr. Y peut regagner son domicile le 24.04.2019. Mr. Y est un patient de 89 ans, qui consulte le service des urgences le 05.05.2019 pour une péjoration d'une dyspnée avec baisse d'état général. Il présente depuis le 05.05.2019 au matin une douleur dans l'hémi-thorax gauche respiro-dépendante, provoquée par la toux. Les examens complémentaires et la clinique concluent à une pneumonie bilatérale, motivant l'introduction d'une antibiothérapie iv. Des diurétiques iv sont également introduits en raison de signes cliniques d'insuffisance cardiaque surajoutée. L'évolution initiale est mauvaise, avec persistance d'une insuffisance respiratoire globale sévère, motivant de la VNI à l'étage et un CT scan le 14.05.2019, qui mène à un épanchement pleural cloisonné, nécessitant la pose de 2 drains, et ramenant un exsudat stérile mais avec un pH proche de l'empyème. L'évolution est dès lors lentement favorable. Le patient est traité pour un asthme mais souffre certainement d'une BPCO sous-jacente.Sur le plan social, le projet pour la suite, discuté avec les enfants le 22.05.2019 est un retour à domicile après réhabilitation avec soins à domicile, repas au restaurant du village (repas à table là-bas) + repas à l'emporter pour le soir. 2 jours par semaine à organiser au Home à Farvagny. S'il devait y avoir péjoration, pas d'acharnement thérapeutique. Avant son hospitalisation, Mr. Y vivait seul à la maison sans aide à domicile hormis une femme de ménage, se déplaçait avec une canne et gérait seul ses médicaments. Au niveau global, Mr. Y retrouve un peu plus d'appétit et reprend des forces lors de son hospitalisation. Il part pour l'HFR Riaz le 24.05.2019. Mr. Y est hospitalisé dans le service de médecine interne pour des douleurs exacerbées sur névralgies du trijumeau connues. Pour rappel, le patient a été hospitalisé du 18.04 au 24.04.2019 pour une hyponatrémie qui a été mise sur le compte des thiazidiques et/ou du Tegretol qui a été ensuite remplacé par le Trileptal. Depuis ce changement de médication, le patient présente des douleurs en péjoration. Il consulte le service des urgences pour des douleurs exacerbées à 10/10 au niveau de l'hémiface gauche connues, irradiant dans tout le crâne et l'empêchant d'ouvrir la bouche. Le status neurologique montre une hyperalgie au niveau du 2e nerf Trijumeau gauche, le reste du status est dans la norme. Nous retenons une décompensation des douleurs sur la névralgie du Trijumeau suite au changement de médication. Les neurologues proposent de reprendre progressivement le traitement de Tegretol avec un suivi de la natrémie. La dernière IRM cérébrale ayant été faite en 2018, une nouvelle imagerie est effectuée (IRM cérébrale), qui montre un contact de l'émergence du nerf trijumeau avec l'artère cérébelleuse sans anomalies structurelles. Nous majorons progressivement le Tegretol avec une bonne évolution à la fin du séjour. La natrémie reste dans les normes durant le séjour, mais nous proposons un suivi rapproché dès sa sortie. Une anémie macrocytaire normochrome à 125 g/l est mise sur le compte d'une réhydratation. Nous proposons un contrôle biologique à distance. Le 05.05.2019, Mr. Y a développé une crise d'hypertension artérielle nécessitant une adaptation du traitement diurétique (Torem est majoré à 10 mg/J). Nous conseillons un suivi tensionnel à distance. Le 06.05.2019, Mr. Y peut regagner son domicile avec un état général amélioré et sera revu à la consultation du Dr. X en ambulatoire. Mr. Y présente une lésion de la coiffe des rotateurs (sus-épineux) avec des ruptures partielles et dégénérescence tendineuse dont le traitement en premier lieu est un traitement conservateur pour lequel nous prévoyons une infiltration par cortisone. Nous prévoyons également une infiltration pour l'arthrose acromio-claviculaire. En ce qui concerne le lipome en regard de la nuque, le patient est d'accord pour une excision mais il souhaite l'intervention en octobre 2019. Je le revois donc pour l'infiltration de son épaule D. Le patient va commencer un traitement de physiothérapie pour recentrage de la tête de l'humérus et tonification de la coiffe des rotateurs. Mr. Y, 57 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs dans un contexte d'angor instable. Le patient, connu pour une maladie coronarienne bitronculaire et une fibrillation auriculaire anticoagulée, présente des douleurs rétrosternales oppressives respiro-dépendantes post-physiothérapie de mobilisation le 02.05.2019 vers 19h00, accompagnées de dyspnée. Les douleurs irradient dans le membre supérieur gauche et perdurent pendant 8 heures. Un effet bénéfique du traitement antalgique d'opiacés a été constaté. L'échocardiographie exclut une valvulopathie ou un épanchement péricardique. La coronarographie ne montre pas de nouvelle lésion coronarienne mais une progression de la sténose de l'artère coronaire droite proximale à 60%. En raison d'une hypotension per-coronarographie, aucun stent n'a pu être posé. La poursuite de la triple thérapie par Aspirine cardio, Efient et Eliquis est proposée jusqu'à une nouvelle coronarographie à prévoir dans 1 mois. Nous retenons un possible angor instable sur vasospasme avec comme diagnostic différentiel des douleurs pariétales musculo-squelettiques. Les douleurs sont partiellement reproductibles à la palpation de l'épaule gauche. Il n'y a pas de récidive au cours de l'hospitalisation. L'anticoagulation thérapeutique est reprise le 04.05.2019, ainsi que le traitement bêta-bloquant. Le reste du traitement habituel est inchangé. Une légère anémie normocytaire normochrome est apparue après l'admission, avec une baisse de l'hémoglobine de 141 à 122 g/l, mais sans aucune extériorisation, ni douleur abdominale. Une composante d'hémodilution est possible. Nous vous proposons toutefois d'effectuer un contrôle hématologique en ambulatoire dans la semaine qui suit le séjour hospitalier. Le patient retourne le 04.05.2019 à domicile. Mr. Y, patient de 92 ans connu pour une cardiopathie ischémique, rythmique et valvulaire, nous est transféré du service de médecine de l'HFR Fribourg pour une réadaptation gériatrique suite à une décompensation cardiaque NYHA IV le 06.04.2019 dans un contexte de compliance médicamenteuse douteuse. Sous majoration des diurétiques, une perte pondérale de 12 kg a été observée de suite. Le patient habite avec sa femme dans une maison à deux étages avec des escaliers. Il était indépendant dans les BADL et IADL. A l'admission, Mr. Y se plaint d'une dysurie et d'une nycturie. L'examen clinique montre un souffle mitral 2/6, et à l'auscultation pulmonaire une hypoventilation basale droite connue est notée (épanchement pleural droit chronique). Il n'y a pas d'autres signes de décompensation cardiaque. Durant l'hospitalisation, une nouvelle prise pondérale est observée nécessitant une majoration des diurétiques. Le poids se stabilise autour de 60 kg avant la sortie, par contre, il s'avère difficile de trouver la dose médicamenteuse optimale chez ce patient. Nous vous laissons donc le soin de suivre cette évolution. En raison d'une hypotension symptomatique, le Carvedilol est diminué. L'INR reste stable durant l'hospitalisation. Nous procédons également à une substitution ferrique intraveineuse dans le cadre de l'insuffisance cardiaque avec une fraction d'éjection réduite chez Mr. Y. Au vu d'une uriculture négative et en l'absence d'un syndrome inflammatoire, l'antibiothérapie intraveineuse par Ceftriaxone instaurée à l'HFR Fribourg avant le transfert est arrêtée. Un déficit en vitamine D est substitué. Sur le plan de sa mobilité, Mr. Y évolue bien durant le séjour. A l'entrée, il est très insécurisé dans les transferts, et se déplace à l'aide d'un rollateur sous supervision sur une distance de 80 m. Le Tinetti est à 15/28. Il bénéficie des séances de physio- et d'ergothérapie intensives durant l'hospitalisation. A la sortie, il est autonome dans les transferts, se déplace avec des bâtons de Nordic Walking de manière autonome sur une distance de plus de 300 m et peut monter et descendre 36 marches d'escalier de manière sûre. Le Tinetti est à 20/28. Mr. Y peut regagner son domicile le 03.05.2019, en état général amélioré. Mr. Y, âgé de 57 ans, connu pour une infection chronique sur status post mise en place PTH D pour nécrose aseptique de la tête fémorale D en janvier 2010, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à l'ablation de la PTH D et mise en place d'un spacer le 10.04.2019. A l'admission, le patient est apathique. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme.Au status, le patient est orienté et collaborant. La flexion active de hanche D est de 50°. Le reste du status est sans particularité. L'antibiothérapie a été poursuivie par Floxapen 2g 4x/24h jusqu'au 22.05.2019 avec ablation du PICC-line le 23.05.2019. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec un tintébin en respectant difficilement la décharge; il utilise le fauteuil roulant pour les longs trajets. Il peut monter/descendre 5 marches d'escaliers avec 2 cannes. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension de la hanche D de 60° en actif-assisté et 70° en passif, selon ordre médical. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 23.05.2019, en bon état général. A la sortie, le patient se rendra à la consultation du Dr. X le 28.05.2019, et la réimplantation de la PTH est prévue pour le 19.06.2019. Les soins à domicile sont activés. Mr. Y, âgé de 70 ans, connu pour une BPCO stade IV selon Gold, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation respiratoire suite à une insuffisance respiratoire aiguë globale sur exacerbation de BPCO le 07.04.2019 sur une pneumonie basale gauche. Les vaccins sont à jour. Sur le plan social, le patient, veuf depuis 2013, vit seul à domicile. Il est à la retraite (ancien chauffeur). A l'admission, le patient se plaint d'une dyspnée stade IV selon NYHA et d'une fatigabilité de faible intensité. Il n'avait pas de O2 à domicile mais bénéficie actuellement d'une oxygénothérapie continue à l'effort. Le status général est sans particularité hormis la diminution de murmure respiratoire aux 2 bases pulmonaires et des OMI bilatéraux prenant le godet. La gazométrie artérielle sous O2 1.5lt/min démontre une hypoxémie légère sans hypercapnie, nous poursuivons par la suite ce débit. L'oxymétrie nocturne sous 1.5 lt/min d'O2 montre une SpO2 moyenne à 87.7 % avec un index de désaturation à 5.3/heure. La capnographie montre une légère hypercapnie à 6.2 kPa et une désaturation nocturne. La P minimale de la CPAP est majorée à 5 cmH2O. Le patient tolère parfaitement son appareillage et l'adhérence thérapeutique est excellente. L'index de désaturation sous ces réglages se révèle < 5/heure. Le traitement par CSI est poursuivi car le patient est connu pour de l'asthme depuis l'enfance. La radiographie du thorax met en évidence une discrète cardiomégalie globale sans signe de décompensation. St/p mise en place de 3 clips en projection de la valve mitrale. Artères pulmonaires de fort calibre dans le contexte de l'hypertension pulmonaire connue. Actuellement persistance d'une accentuation de la trame péribronchique aux 2 bases et surtout en base gauche, en nette amélioration par rapport au comparatif à disposition. Ostéopénie sans fracture/tassement des corps vertébraux dorsaux. Sur le plan cardiaque, le patient présente des OMI ddc. Le proBNP est à 1'700 ng/l (en nette amélioration par rapport à la phase aiguë - 6'600 ng/l). Nous poursuivons le Torem à 15 mg et nous reprenons l'Aldactone le 17.04.2019, qui avait été stoppée en raison de l'hyperkaliémie. Nous objectivons une régression des OMI avec perte pondérale de 4 kg en milieu hospitalier. Le contrôle biologique suite à l'introduction de l'Aldactone montre une kaliémie à la limite supérieure de la norme. Nous vous laissons le soin de faire un contrôle biologique dans une semaine et d'adapter le traitement si nécessaire. Mr. Y est un patient déjà connu du service de nutrition car il a fait une réadaptation cardiovasculaire en novembre 2018. Il a été pris en charge pour une obésité de stade 2 et un apport protéino-énergétique insuffisant. Nous avons convenu que la priorité était le maintien de la masse musculaire avec si possible une diminution de la masse grasse, principalement à l'aide de l'activité physique. Au niveau de l'alimentation, nous avons revu l'alimentation équilibrée et sensibilisé le patient au fait de ne pas exagérer avec la consommation d'aliments riches en sel. Il ne souhaite pas de suivi ambulatoire. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 50 m à 195 m et à l'entraînement sur le vélo assis la distance augmente de 0.583 km (10W) à 2.130 km (25W). A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 03.05.2019, en état général conservé. Les soins au domicile sont activés. Il bénéficiera d'une oxygénothérapie continue au débit de 1.5 lt/min au repos et la nuit sous CPAP et 3lt/min à l'effort. Mr. Y, patient de 49 ans, connu pour une HTA, un asthme sous Montélukast et Symbicort, avec status post lithiase urinaire et infection virale à Influenza A en février 2019, est adressé ce jour par son médecin traitant suite à la mise en évidence d'une pleuro-péricardite lors d'un CT thoraco-cervical effectué le 01.05.2019, sans amélioration sous Lévofloxacine 250 mg 1x/j depuis 48h. Depuis 3 semaines, il présente une orthopnée et des DRS constantes, de type constrictive/brûlure d'intensité à 4/10, sans facteur déclenchant. Ces douleurs sont associées à une dyspnée au moindre effort, ainsi qu'une toux sèche, des sensations de chaud-froid et des sudations nocturnes importantes. La semaine passée, au cours d'un séjour à Nice, il aurait consulté un médecin en raison de l'apparition d'un état fébrile, qui l'aurait mis sous Fongizome sur 1 mois pour des mycoses oesophagiennes et du Pantoprazole. Sans amélioration de sa symptomatologie le mardi 30.04.2019, il consulte son médecin traitant qui met en évidence un syndrome inflammatoire ainsi qu'un EF à > 39°. Le patient est mis sous Levofloxacine et bénéficie d'un CT cervico-thoracique le 01.05.2019 qui montre la présence d'une pleuro-péricardite. Sans amélioration clinique sous antibiothérapie, Mr. Y est adressé au service des urgences pour suite de prise en charge. Au service des urgences, le patient est fébrile, hémodynamiquement stable. Il est dyspnéique. A l'auscultation cardiaque, les bruits sont lointains, cependant réguliers et sans souffle audible. Il n'y a pas de turgescence jugulaire ni d'autre signe de surcharge cardiaque. L'auscultation pulmonaire montre une hypoventilation basale bilatérale à prédominance gauche, avec de discrets râles crépitants. Le reste du status par système est sans particularités. Mr. Y bénéficie d'une échocardiographie transthoracique mettant en évidence un épanchement péricardique modéré, constitué, d'aspect liquidien, non ponctionnable et ne provoquant pas de répercussion hémodynamique, motivant ainsi l'introduction d'un traitement par AINS simple et Colchicine pour 3 mois. Nous prenons également un avis auprès de nos collègues infectiologues, qui, au vu du syndrome inflammatoire important et de la notion d'état fébrile, retiennent une possible infection concomitante à la pleuro-péricardite et proposent une observation clinique au vu de l'absence de site infectieux évident et l'absence d'état fébrile depuis le début de son hospitalisation. Le bilan met encore en évidence une hyperferritinémie à 1394 mcg/l ainsi qu'une thrombocytose à 1109 G/l le 6.5.2019. Les sérologies CMV reviennent négatives.Une échocardiographie effectuée le 06.05.2019 montre un épanchement stable sans répercussion hémodynamique. Un contrôle chez le cardiologue (Dr. X) est prévu le 06.06.2019. Mr. Y reste hémodynamiquement stable pendant son séjour. L'évolution clinique étant rapidement favorable avec une diminution lente et régulière du syndrome inflammatoire en l'absence de traitement antibiotique, le patient regagne son domicile le 08.05.2019 avec la poursuite du traitement introduit. Nous vous laissons le soin de contrôler le syndrome inflammatoire, les plaquettes et l'évolution de l'épanchement lors de votre prochaine consultation le 13.05.2019 ainsi que la ferritine à distance de l'épisode actuel. Mr. Y consulte au service des urgences pour des lombalgies invalidantes non déficitaires. Le patient décrit des douleurs constantes malgré le traitement antalgique, et se plaint par ailleurs d'une asthénie avec perte de poids et anorexie sur les derniers mois. Les images d'IRM du 25.04.2019 sont revues et complétées par un examen de CT thoraco-abdominal le 29.04.2019, qui met en évidence une masse pulmonaire suspecte de tumeur maligne primaire, avec présence de multiples métastases au niveau hépatique, osseux, hilaires bilatérales et cérébral. Un volumineux épanchement pleural droit est par ailleurs présent ainsi qu'une embolie pulmonaire gauche pour laquelle une anticoagulation thérapeutique est initiée. Au cours de l'hospitalisation, Mr. Y présente un état confusionnel d'origine multifactorielle (globe vésical, troubles électrolytiques, métastase cérébrale). Nous procédons à une pose de sonde urinaire ainsi qu'à la correction des troubles électrolytiques sans amélioration sur le plan neurologique. En accord avec la famille du patient, il est décidé de ne pas procéder à de plus amples investigations et de passer à des soins de confort. Mr. Y décède le samedi 04.05.2019 sans souffrance, en compagnie de la fille de sa compagne. Mr. Y consulte aux urgences pour des lombalgies invalidantes non déficitaires. Mr. Y décrit des douleurs constantes malgré le traitement antalgique, et se plaint par ailleurs d'une asthénie avec perte de poids et anorexie sur les derniers mois. Les images d'IRM sont revues, et complétées par un examen de CT thoraco-abdominal, qui met en évidence une néoplasie pulmonaire, avec présence de multiples métastases au niveau hépatique, osseux, hilaire bilatéralement et cérébral. Un volumineux épanchement pleural droit est par ailleurs présent ainsi qu'une embolie pulmonaire gauche pour laquelle une anticoagulation thérapeutique est initiée. Au cours de l'hospitalisation, Mr. Y présente un état confusionnel, que nous attribuons à un globe vésical, à des désordres ioniques ainsi qu'à la métastase cérébrale. Nous procédons à une pose de sonde urinaire ainsi qu'à la correction des troubles électrolytiques sans amélioration sur le plan neurologique. En accord avec la famille du patient, il est décidé de ne pas procéder à des investigations plus avant, et de procéder à des soins de confort. Mr. Y décède le samedi 4 mai 2019 sans souffrance, en compagnie de la fille de sa compagne. Mr. Y, 61 ans, est hospitalisé suite à une chute avec traumatisme crânien, perte de connaissance et état confusionnel aigu, dans le cadre d'une probable crise d'épilepsie chez un patient ayant une angiopathie amyloïde et un AVC ischémique sub-aigu d'origine indéterminée. Pour rappel, le patient avait été hospitalisé en janvier 2019 pour un état confusionnel aigu qui avait été largement investigué et finalement mis sur le compte d'une pathologie plutôt psychiatrique. D'après l'hétéroanamnèse, le patient aurait chuté avec un traumatisme crânien, perte de connaissance, perte d'urines et des myoclonies généralisées pendant 10 minutes suivies d'un état confusionnel avec des réponses stéréotypées. Aux urgences, le patient est confus et présente une amnésie circonstancielle. Un CT cérébral ne montre pas de signes de saignement ni de fracture. Un EEG est suggestif d'une épilepsie et un traitement par Dépakine est introduit. Devant un état confusionnel persistant, le bilan est ultérieurement complété par un CT-scan cérébral injecté qui montre une lésion hypodense cérébelleuse droite nouvelle suggestive d'un AVC, ce qui est confirmé ensuite par l'IRM cérébrale qui met en évidence, en plus de cette lésion ischémique, des signes d'angiopathie vasculaire d'origine hypertensive probable. L'origine de l'AVC n'est pas claire. Un bilan extensif à la recherche d'une cause infectieuse, inflammatoire, autoimmune ou néoplasique revient négatif. Le patient est toutefois mis sous Aspirine en attendant le résultat des anticorps antiphospholipides qui sont entre temps revenus négatifs. Dans ce contexte, l'indication à la poursuite de l'Aspirine sera à rediscuter avec les collègues neurologues lors de la prochaine consultation chez eux. Nous précisons que dans le cadre du bilan étiologique de l'AVC, nous aurions voulu faire un monitoring Holter qui n'a malheureusement pas pu être effectué au vu d'un état confusionnel avec agitation psychomotrice persistante. Nous vous proposons d'effectuer cet examen ultérieurement et si une fibrillation auriculaire est détectée, de discuter la possibilité d'une fermeture de l'oreillette. Pour ce qui concerne un éventuel FOP, l'échocardiographie transthoracique effectuée en janvier 2019 ne l'avait pas mise en évidence. Toutefois, cet examen avait été limité par la compliance du patient et pour cette raison, un complément du bilan avec une ETO serait à discuter une fois que le patient est stabilisé sur le plan psychique. Parallèlement, le patient a présenté un syndrome inflammatoire d'origine probablement urinaire, qui n'a malheureusement pas été confirmé avec une uroculture et qui a été traité par de la Ceftriaxone avec une évolution favorable. Au niveau psychiatrique, le patient est connu pour un état dépressif avec des délires de persécution. Il présente depuis la dernière hospitalisation une thymie très abaissée. De plus, le patient ne prend plus son traitement de Remeron et Seroquel depuis 15 jours. En raison d'une labilité de l'humeur et d'un état confusionnel persistant avec agitation psychomotrice et hétéro-agressivité, le traitement psychotrope est adapté en accord avec les collègues psychiatres et le patient est ensuite transféré en PAFA et accompagné par la police, à l'hôpital psychiatrique de Marsens pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 76 ans, connu pour une hyperplasie de la prostate et status post-TURP en 2017, qui se présente aux urgences suite à des douleurs sous-pubiennes dans le cadre d'une rétention urinaire aiguë avec sortie spontanée de caillot de sang au niveau du méat urétral, après avoir bénéficié d'une cystoscopie sans complication notable. Une sonde 3 voies béquillée est mise en place aux urgences et un rinçage en continu est débuté. Le 29.04.2019, le patient fait un épisode de fièvre et frissons avec décharge septique. Des hémocultures reviennent positives pour E. faecalis et Proteus et une antibiothérapie est débutée le 29.04.2019 avec adaptation selon les résultats. Une insuffisance rénale est mise en évidence au laboratoire, raison pour laquelle une hydratation intraveineuse est instaurée. L'évolution biologique est par la suite favorable, avec une amélioration du syndrome inflammatoire ainsi que de la fonction rénale. Le patient fait un épisode de fibrillation auriculaire le 03.05.2019, raison pour laquelle un avis auprès de nos collègues de la médecine et cardiologie est pris. Une thérapie par Meto Zerok et Torem est débutée. Le patient bénéficie d'une échographie cardiaque le 06.05.2019 et une anticoagulation par Eliquis 5 mg 2x/jour est débutée pendant l'hospitalisation. L'évolution est par la suite favorable avec une normalisation de la fréquence cardiaque. Une ergométrie est organisée en ambulatoire pour le 20.05.2019 avec un contrôle chez le Dr. X. Un Holter est prévu dans 3 mois (le patient sera convoqué). Nous vous prions d'effectuer un contrôle clinique et biologique avec éventuelle adaptation du traitement instauré si nécessaire.Mr. Y rentre à domicile le 10.05.2019 avec la sonde vésicale en place. Le patient poursuivra l'antibiothérapie et se présentera chez le Dr. X dans une semaine. Mr. Y est un patient de 80 ans, aux antécédents susmentionnés, hospitalisé en élective le 23.05.2019, qui bénéficie de deux ablations des drains thoraciques planifiées le 23.05.2019 et le 24.05.2019. Les interventions se déroulent sans complication notable et les suites sont simples avec une évolution favorable. Mr. Y rentre à domicile le 24.05.2019. Mr. Y est amené aux urgences en ambulance le 30.04.2019 après avoir été retrouvé par son épouse par terre, suite à une chute du canapé. A noter une perte d'urines. A l'anamnèse, le patient ne rapporte pas de plainte. Selon l'hétéro-anamnèse auprès de son épouse, pas de traumatisme crânien ni de perte de connaissance. Elle rapporte une faiblesse depuis quelques jours. A l'admission aux urgences, Mr. Y est fébrile à 38,6°C, hypertendu à 179/100 mmHg, eupnéique et sature à 88% à l'air ambiant. A l'auscultation pulmonaire, nous notons des râles grossiers en base droite. Au niveau urogénital, le toucher rectal est douloureux. Le reste du status d'entrée n'est pas contributif. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 27 mg/l et une leucocytose à 10,6 G/l ainsi qu'une hypokaliémie à 2,9 mmol/l que nous substituons. Le sédiment urinaire montre des signes d'infection urinaire. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Un urotube et des hémocultures sont prélevés. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Nous mettons en place une antibiothérapie par Ceftriaxone iv jusqu'à identification du germe. Les hémocultures reviennent négatives et l'urotube est positif pour Klebsiella pneumoniae. L'antibiothérapie est relayée dès le 04.05.2019 par Ciprofloxacine per os. Dans le contexte de cette infection urinaire, nous effectuons un ultrason des voies urinaires qui est sans particularité. Durant le séjour, le patient présente des valeurs de tension artérielle élevées que nous vous invitons à investiguer en cas de persistance en dehors de l'hôpital, afin d'adapter le traitement anti-hypertenseur au besoin. Mr. Y présente des diarrhées aqueuses durant le séjour raison pour laquelle nous effectuons une analyse des selles qui permet d'écarter un C. difficile. Ces diarrhées sont probablement d'origine virale et s'estompent après quelques jours avec un traitement symptomatique. En raison du status post-accident vasculaire cérébral, nous effectuons un test de déglutition qui recommande un régime adapté aux dysphagies, que nous mettons en place. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 06.05.2019. Un rendez-vous de contrôle est déjà agendé à votre consultation le 08.05.2019. L'antibiothérapie est à poursuivre jusqu'au 14.05.2019. Mr. Y est hospitalisé pour suite de prise en charge d'une arthrite septique du genou gauche sur PTG à S. aureus multi-sensible le 30.03.2019 avec ablation de la prothèse totale du genou gauche et implantation d'un spacer de ciment le 04.04.2019. A l'entrée, l'examen clinique montre un genou gauche enflé et chaud. La cicatrice est calme, sans écoulement purulent. Il n'y a pas de troubles neurovasculaires périphériques du membre inférieur gauche. Le reste de l'examen clinique est dans la norme. Le patient vit avec sa partenaire dans un appartement avec ascenseur, sans marches d'escaliers. Il était autonome dans les AVQ et se déplaçait avec deux cannes anglaises. Il conduisait encore sa voiture. L'antibiothérapie par Floxapen est poursuivie durant l'hospitalisation pour une durée totale de 6 semaines jusqu'au 16.05.2019. La CRP se maintient autour de 60-70 mg/l sauf le 09.05.2019 quand elle monte à 95 mg/l. Au niveau du genou, il n'y a pas d'aggravation clinique. Sous antalgie par Oxcontin à petite dose, les douleurs sont contrôlées de manière satisfaisante. Mr. Y bénéficie d'une réadaptation précoce avec physio- et ergothérapie. A l'entrée, il peut réaliser les transferts avec une aide moyenne. Au vu d'un non-respect de la décharge du membre inférieur gauche, la marche n'est plus effectuée en thérapie. Par contre, le patient bénéficie d'un renforcement musculaire des membres supérieurs et de la jambe droite. A la sortie, il effectue les transferts avec une aide de contact. Le Tinetti est à 8/28. Le laboratoire montre une anémie hypochrome normocytaire. Nous réalisons un suivi biologique, avec une amélioration progressive de l'hémoglobine. Une recherche de sang occulte dans les selles revient positive, possiblement dans le contexte des hémorroïdes internes stade I connues. Pour exclure une autre origine, une colonoscopie à distance de l'évènement aigu est proposée. Le patient présente une constipation en lien avec la thérapie par opiacés et sur l'immobilité prolongée. La thérapie par laxatifs est adaptée. Un bilan vitaminique est réalisé qui retrouve une carence sévère en vitamine D. N'ayant pas eu le temps d'instaurer une substitution orale, nous vous laissons le soin de prescrire ce traitement. Merci d'évaluer la reprise du Zyloric à distance. Pendant l'hospitalisation à Fribourg, un globe vésical a été retrouvé, c'est pourquoi une sonde urinaire a été installée. Un œdème pénien décrit en avril n'est plus présent durant l'hospitalisation actuelle. Vu l'immobilité de Mr. Y, nous décidons de garder la sonde jusqu'à l'amélioration de la mobilisation après discussion avec le patient. Une insuffisance rénale aiguë d'origine probablement prérénale (fraction d'extraction d'urée 26%) est constatée lors d'un suivi biologique le 08.05.2019. Nous instaurons une réhydratation intraveineuse. Depuis le 07.05.2019, nous constatons l'installation progressive d'une dyspnée au repos avec hyperpnée sans désaturation, initialement mise sur le compte d'une légère décompensation cardiaque avec prise pondérale, avec une non-amélioration sous diurétiques. Le 09.05.2019, on observe une aggravation rapide de l'état respiratoire accompagné d'un état confusionnel aigu, sans déficit neurologique ni désaturation. Les examens complémentaires réalisés ne permettent pas d'identifier une cause cardiaque, pulmonaire ou infectieuse. Une gazométrie montre finalement une acidose métabolique d'origine probablement rénale avec une compensation respiratoire. Après discussion du cas avec le médecin de garde des soins intensifs, Mr. Y est transféré le 09.05.2019 à l'HFR Fribourg pour suite de la prise en charge. Mr. Y est transféré depuis l'HFR Meyriez en raison d'une insuffisance respiratoire nouvelle avec acidose métabolique d'origine médicamenteuse et mise en évidence d'une insuffisance rénale nouvelle. Pour rappel, le patient a bénéficié d'une PTG gauche en janvier 2019 et d'une réinsertion du tendon quadricipital gauche le 18.03.2019 (Dr. X), compliquée le 30.03.2019 d'une infection de prothèse à S. aureus avec choc septique. La prothèse est retirée, un Spacer est mis en place et une antibiothérapie intraveineuse par Flucloxacilline pour 6 semaines est initiée avec une bonne évolution sur le plan infectieux. Le patient est transféré en gériatrie aiguë à l'HFR Meyriez pour suite de prise en charge. Une réimplantation de prothèse est prévue pour le mois de juin 2019.A son arrivée, une acidose métabolique est mise en évidence avec trou anionique élevé, une hypokaliémie et une hypernatrémie avec respiration de Kussmaul. L'origine suspectée est une accumulation d'acide pyroglutamique sur Flucloxacilline et déplétion de gluthation par malnutrition protéino-énergétique et administration de Paracétamol. Les acides organiques urinaires confirment ce diagnostic. Une composante de tubulopathie induite par la Flucloxacilline avec pertes urinaires de bicarbonates et potassium reste possible. En accord avec le Dr. X (infectiologie), l'antibiothérapie est changée pour de la Daptomycine à dose rénale. La substitution de l'antibiothérapie se déroule sans problème. La Daptomycine est arrêtée le 15.05.2019 selon le plan de traitement. Le 15.05.2019, Mr. Y présente un état fébrile d'origine indéterminée. Une piste fongique est incriminée et le patient est traité provisoirement par Fluconazole. Par la suite, il développe des douleurs intenses au niveau des poignets motivant un examen du liquide articulaire. Celui-ci met en évidence la présence de cristaux de pyruvate, sans signe infectieux. Nous retenons comme étiologie une crise de chondrocalcinose que nous traitons par Colchicine puis par Prednisone. La crise se résout le 20.05.2019. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à l'HFR Meyriez en gériatrie aiguë pour la suite de sa prise en charge. Mr. Y, 67 ans, est hospitalisé dans le contexte d'une dyspnée progressive mise sur le compte d'une origine mixte, à savoir une décompensation cardiaque et une décompensation BPCO. Le patient est connu pour une cardiopathie ischémique, ayant été hospitalisé récemment (avril 2019) pour une décompensation cardiaque d'origine ischémique pour laquelle il avait bénéficié d'une angioplastie avec ballon à élution en raison d'une resténose dans le PAC-saphène. La clinique actuelle suggère une nouvelle décompensation cardiaque devant l'aggravation de la dyspnée et la péjoration des œdèmes des membres inférieurs, et nous suspectons également une composante de décompensation BPCO. L'évolution sous traitement diurétique, bronchodilatateur et corticoïde est favorable avec une nette amélioration clinique. Durant le séjour, le patient présente un épisode de douleur thoracique typique survenu à l'effort et ayant cédé à la nitroglycérine qu'il a pris lui-même. Au moment où l'événement est signalé, le patient n'a plus aucune douleur et l'ECG ne montre pas de signe de syndrome coronarien aigu. Les troponines sont élevées dans le contexte d'une insuffisance rénale chronique, sans cinétique. Nous suspectons toutefois un angor instable, vu que le patient n'avait plus présenté de douleur thoracique depuis sa dernière coronarographie. Une nouvelle échocardiographie transthoracique montre une FEVG conservée, sans trouble de la cinétique segmentaire, sous réserve d'une mauvaise échogénéicité. Après discussion avec nos collègues cardiologues, une nouvelle coronarographie est programmée pour le 27.05.2019, et vu son excellent état clinique, Mr. Y rentre à domicile en attendant. À noter que le traitement IEC a été laissé en suspens vu l'hyperkaliémie, la mauvaise fonction rénale et l'injection de produit de contraste qui est prévue dans 2 jours. Celui-ci sera à reprendre ultérieurement. En ce qui concerne le diabète, une adaptation de l'insuline est nécessaire au cours de l'hospitalisation dans un contexte de décompensation de la glycémie suite au traitement par Prednisone. La glycémie est stabilisée à la fin de ce traitement, et le patient a repris son dosage habituel de l'insuline à la fin du séjour. Mr. Y rentre à domicile le 25.05.2019 dans un bon état général et en cas de dyspnée nouvelle ou douleurs thoraciques, il reviendra au service des urgences avant la coronarographie prévue dans 2 jours. Mr. Y est un patient de 68 ans connu pour les antécédents susmentionnés, dont un anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale à 55 mm, pour lequel il bénéficie d'une mise à plat par tube droit, le 09.05.2019. Durant l'intervention, le patient présente un état de choc hypovolémique sur une hémorragie avec des pertes sanguines estimées à 4L, accompagné d'une acidose métabolique. Un remplissage vasculaire par Ringer Lactate et une transfusion de 2 PFC ainsi qu'une autotransfusion par cellsaver sont effectués. Un soutien aminergique par noradrénaline est également nécessaire pendant son séjour aux soins intensifs du 09.05 au 11.05. Un CT de contrôle est effectué, qui montre une perfusion normale des membres inférieurs sans saignement actif. Une découverte fortuite d'embolie pulmonaire segmentaire droite motive l'instauration d'un traitement anticoagulant. Par la suite, le patient évolue favorablement, permettant un retour à domicile le 17.05.2019 avec traitement anticoagulant par Xarelto pour un total de 3 mois. Mr. Y, 68 ans, est hospitalisé aux soins intensifs en raison d'un choc hémorragique per-opératoire d'une mise à plat d'un anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale le 09.05.2019. Durant l'intervention, le patient présente un état de choc hypovolémique sur pertes sanguines estimées à 4L, accompagné d'une acidose métabolique lactique. Un remplissage vasculaire par 6L de Ringer Lactate est effectué ainsi qu'une transfusion de 2 PFC et d'une autotransfusion via Cellsaver. Un soutien aminergique court par noradrénaline est nécessaire. L'évolution est favorable par la suite, permettant l'extubation oro-trachéale. Sur le plan antalgique, la péridurale est efficace et le patient ne demande que peu de bolus avec mobilisation précoce. Durant le séjour, un CT des axes vasculaires des membres inférieurs est réalisé devant la découverte d'un gradient thermique en défaveur de la droite. Le montage chirurgical ainsi que les flux artériels sont conservés. Une embolie pulmonaire segmentaire droite est découverte fortuitement sur cette imagerie, motivant une anticoagulation thérapeutique par héparine non fractionnée dès le 11.05.2019. Une oxygénodépendance à 2l/min aux lunettes est le seul retentissement de cette pathologie. Des séances CPAP prophylactiques sont effectuées. À noter une hypophosphatémie nécessitant une substitution intraveineuse en fin de séjour qu'il convient de contrôler, surtout en cas de nutrition artificielle par la suite (syndrome de renutrition). Mr. Y est un patient de 80 ans, connu pour une fibrillo-flutter non anticoagulé, une BAV de 3ème degré porteur d'un Pacemaker et une maladie coronarienne tritronculaire stentée à plusieurs reprises. Mr. Y est hospitalisé pour la prise en charge d'une pneumonie de mauvaise évolution, voire insuffisamment traitée. En effet, Mr. Y avait déjà consulté les urgences le 04.05.2019 où un scanner thoracique avait mis en évidence un foyer lobaire inférieur gauche. Un traitement par Co-amoxicilline per os avait été introduit et stoppé le 10.05.2019. Depuis ce jour, Mr. Y a présenté une dyspnée se péjorant jour après jour et motivant une nouvelle consultation en urgence le 27.05.2019. La radiographie thoracique montre un discret épanchement pleural basal gauche. Au vu d'un syndrome inflammatoire important, nous débutons une antibiothérapie IV par Ceftriaxone et Klacid. Les antigènes urinaires se révélant négatifs, le Klacid est stoppé le lendemain. Afin de traiter la composante spastique, nous introduisons un traitement par Atrovent. L'évolution clinique et biologique est rapidement favorable. Suite à 7 jours d'antibiothérapie IV, nous entamons un relais per os par Co-amoxicilline 625 mg 3x/j pour un traitement de 14 jours au total.De manière concomitante à la pneumonie, nous suspectons une discrète décompensation cardiaque surajoutée. Un traitement de 3 jours par Torasemide 10 mg per os permet une amélioration de la situation. Le traitement habituel d'Esidrex du patient est augmenté de 12,5 mg à 25 mg 1x/j. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 03.06.2019. Mr. Y, patient récemment hospitalisé pour une décompensation d'une maladie neurodégénérative sur probable démence de la maladie d'Alzheimer, avec troubles anxio-dépressifs récurrents et pharmaco-résistants, est hospitalisé 7 jours après sa sortie pour une broncho-pneumonie du lobe moyen droit et inférieur G possiblement nosocomiale. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Ceftriaxone IV pendant 4 jours puis Co-amoxicilline per os pour un traitement de 10 jours au total et d'un traitement par aérosols. L'évolution clinique et biologique est rapidement favorable. Au niveau psychiatrique, le patient reste fortement plaintif. Nous demandons à nouveau l'avis de nos collègues psychiatres qui ne retiennent pas d'indication à une hospitalisation en milieu psychiatrique et ne retiennent pas non plus une contre-indication à un retour à domicile. Le traitement psychiatrique reste alors inchangé. À savoir que la situation a été annoncée au triage au RFSM et qu'une hospitalisation directe depuis le domicile pourrait être envisagée si la situation devait se dégrader. Mr. Y rentre à domicile le 25.05.2019. Mr. Y, connu pour de multiples décompensations cardiaques dans un contexte de cardiopathie ischémique tri-tronculaire et d'insuffisance rénale chronique, est réhospitalisé suite à une dyspnée rapidement progressive à domicile après être sorti de l'hôpital le 27.04.2019 où il était hospitalisé pour le même motif. L'évolution clinique est rapidement favorable sous traitement diurétique intraveineux. La cause suspectée à cette décompensation est un traitement diurétique insuffisant à sa sortie d'hôpital. À mentionner également la mise en évidence d'un adénome surrénalien lors de la dernière hospitalisation. Le profil tensionnel restant dans la norme durant l'hospitalisation et le bilan biologique effectué l'année précédente en ambulatoire parlait en faveur d'un adénome non fonctionnel. Nous n'entreprenons pas plus d'investigations pour le moment. Une coronarographie est effectuée le 03.05.2019 pour exclure une étiologie ischémique aux multiples décompensations cardiaques. L'examen montre l'absence de nouvelle sténose, mais montre une sténose significative de l'artère sous-clavière G. Une consultation angiologique est prévue le 14.06.2019. Concernant l'insuffisance rénale chronique, le patient est suivi par Dr. X. De plus, au vu d'une potentielle atteinte post-rénale mise en évidence lors de l'hospitalisation précédente (cf. lettre de sortie), le patient se rendra prochainement à la consultation de son urologue (Dr. X). Au vu de cette bonne évolution, le patient rentre à domicile le 06.05.2019 et se rendra le 07.05.2019 au cabinet commun de sa néphrologue et cardiologue pour un contrôle clinico-biologique. Mr. Y présente, malgré l'infiltration, toujours des gonalgies D. À l'examen clinique, la douleur est par contre située ponctuellement en regard de la corne antérieure du ménisque externe. Je propose au patient de poursuivre la physiothérapie dans le but de tonifier la musculature et entraîner la proprioception. On pourrait, à distance, discuter une éventuelle infiltration de la corne antérieure du ménisque interne et externe du genou D. Je propose donc une nouvelle réévaluation clinique le 12.6.19 à ma consultation et décider à ce moment-là si une infiltration serait encore indiquée. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Mr. Y présente, malgré le port des semelles orthopédiques, toujours des douleurs entre les 3ème et 4ème métatarsiens du pied G et en regard de l'articulation du Lisfranc du pied D. Je propose une infiltration loco dolenti par cortisone pour le pied G. Le patient est d'accord avec cette attitude. L'infiltration est agendée pour le 15.05.2019. Mr. Y ira faire un bilan radiologique pour son pied afin d'exclure une arthrose en regard de l'articulation du Lisfranc. En cas de présence d'arthrose à ce niveau-là, une infiltration du pied D loco dolenti pourrait être effectuée. Mr. Y, patient de 49 ans, est transféré depuis l'étage de médecine interne aux soins intensifs en raison d'un état de choc hypovolémique sur hémorragie digestive basse. Il s'agit du troisième séjour aux soins intensifs depuis le début de la prise en charge début avril 2019 pour une cirrhose alcoolique CHILD C nouvellement découverte. Il a présenté à plusieurs reprises des états de sepsis sans foyer mis en évidence, hormis un épisode de bactériémie sur une voie veineuse périphérique. Le remplissage avec transfusions de culots érythrocytaires et plasma frais congelés permet une stabilisation hémodynamique. Une oesogastroduodénoscopie et colonoscopie sont effectuées le 17.05.2019 et ne montrent pas de source de saignement. Une origine infectieuse aux épisodes itératifs d'hypotension artérielle semble peu probable. Des épisodes de translocation digestive avec bactériémie transitoire à la faveur d'un saignement digestif à bas bruit ne sont toutefois pas exclus. Dans cette hypothèse, le traitement anti-infectieux large spectre par Méropénème et Caspofungine est maintenu pour une durée de 7 jours, puis stoppé pour une fenêtre antibiotique au vu de l'absence de documentation de germes. L'hypothèse d'une insuffisance cortico-surrénalienne pouvant participer aux épisodes itératifs d'hypotension artérielle est aussi avancée. Trois frottis de malaria se révèlent être négatifs. L'évolution tensionnelle est favorable sous traitement de Glypressine, toutefois, Mr. Y reste oligurique dans un contexte de syndrome hépatorénal. Le 19.05.2019, le patient développe une péjoration de son bilan hépatique sans facteur déclenchant, avec un syndrome hépato-rénal en péjoration, nécessitant une dialyse. Les discussions avec le HUG pour une éventuelle transplantation hépatique en urgence ne sont pas retenues au vu du risque de rechute éthylique chez ce patient encore consommateur jusqu'à 3 semaines avant l'hospitalisation. Au vu de l'absence de projet ultérieur, il est décidé avec la famille de passer aux soins de confort seuls. De leur part vient la demande du don d'organe, après contact avec Swiss transplant, la procédure est entamée puis annulée. Il décède le 21.05.2019 en présence de sa famille. Une autopsie n'est pas demandée. Mr. Y, 49 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique d'une sepsis d'origine indéterminée depuis la médecine interne où il séjourne pour une cirrhose CHILD C alcoolique avec hépatite alcoolique aiguë résolue, compliquée d'une encéphalopathie hépatique et de deux épisodes de sepsis sans documentation microbiologique. Dès le 09.05.2019, le patient présente un état fébrile à 39°C avec hypotension artérielle (PAM 40 mmHg) et hyperlactatémie sans autre plainte spécifique. Syndrome inflammatoire avec CRP à 90 mg/l sans leucocytose. Une ponction d'ascite exclut une péritonite bactérienne spontanée (137 éléments/ml) et la culture est en cours de même que les hémocultures. Le patient est couvert par pipéracilline/tazobactam le 09.05.2019 relayé par méropénem dès le 10.05.2019 au vu du profil hémodynamique défavorable. Après optimisation de la volémie, l'état hémodynamique du patient s'améliore sans nécessité de soutien aminergique. Il reste cependant fébrile y compris le 12.05.2019 avec amélioration de la fonction rénale mais péjoration de la bilirubine totale (326 mcmol/l). Il s'agit donc d'un 3ème épisode de fièvre sans source documentée d'origine infectieuse, possiblement sur une infection présente dès le début et répondant partiellement aux précédentes antibiothérapies.Mr. Y retourne en médecine interne le 12.05.2019. Mr. Y, patient de 84 ans, récemment hospitalisé pour un AIT sylvien gauche sur sténose subocclusive de la carotide interne gauche, connu pour une insuffisance cardiaque sur cardiopathie tritronculaire avec une FeVG à 30%, est hospitalisé pour une dyspnée évoluant depuis environ 1 semaine avant son hospitalisation sans état fébrile, une légère toux sans expectoration. Il décrit une orthopnée et une prise pondérale de 3 kg en moins d'un mois. A l'entrée, Mr. Y présente une fibrillation auriculaire inaugurale. Une anticoagulation par Eliquis 2.5 mg 2x/j est débutée et remplace le traitement de Plavix en accord avec le Dr. X, neurologue suivant le patient. La radiographie thoracique à l'entrée révèle une redistribution vasculaire et une cardiomégalie. Le patient bénéficie d'un traitement par Lasix IV puis Torasemide à dose augmentée et également d'Aldactone. Comme traitement de sortie, nous laissons du Torasemide 10 mg 1x/j et de l'aldactone 25 mg 1x/j. Le traitement de Triatec est stoppé. De manière fortuite, nous retrouvons une bactériurie à Streptocoque agalactiae que nous décidons de ne pas traiter au vu de l'absence de symptômes. Mr. Y rentre à domicile le 28.05.2019 au vu de la bonne évolution. Mr. Y, patient de 72 ans, connu pour un syndrome métabolique et une cardiopathie ischémique avec un infarctus sur occlusion totale de la RIVA en 11.2018, est emmené ce matin en ambulance en raison d'oppression thoracique gauche avec sudations profuses apparues alors qu'il était assis dans un café. Il explique plus tôt dans la matinée avoir effectué du vélo d'appartement et s'être promené en ville sans aucun symptôme. Il exprime une fatigue depuis quelques jours. Les douleurs durent dix minutes, sans irradiation ni symptôme associés. Les douleurs récidivent à l'arrivée des secours. Le patient reçoit 500 mg d'Aspirine et un push de TNT avec résolution des symptômes. L'ECG montre un BBG connu. Les troponines sont à 27 sans cinétique significative. Le patient est hospitalisé en médecine pour surveillance. La coronarographie effectuée le 13.5.2019 montre une occlusion aigüe de l'artère interventriculaire antérieure proximale intrastent, englobant l'origine de la première diagonale au niveau du site d'implantation du stent actif. On observe également des sténoses de 50 à 70% au niveau de l'ostium de l'IVA proximale ainsi qu'à deux endroits le long de l'IVA moyenne, dont une englobant l'origine de la seconde diagonale. Le patient bénéficie d'une angioplastie et la pose de 4 stents actifs. La FEVG s'améliore à la fin de la procédure. Mr. Y montre une évolution favorable en post-opératoire, sans cinétique des marqueurs cardiaques ni récidive de douleurs thoraciques. Il reste hémodynamiquement stable, raison pour laquelle il rentre à domicile le 14.05.2019 avec une double anti-agrégation dont l'Efient est à poursuivre 12 mois et l'Aspirine à vie. L'aldactone est arrêtée en raison de l'amélioration de la FEVG, supérieure à 45%. Nous vous laissons le soin de suivre son poids après l'arrêt de ce traitement. Un contrôle cardiologique est prévu à six mois chez le Dr. X. Mr. Y se présente aux urgences pour une dyspnée NHYA IV d'apparition soudaine avec des douleurs rétrosternales et une tachycardie associée. Le statut cardio-pulmonaire met en évidence des râles crépitants aux deux bases pulmonaires. Après ralentissement de la fréquence cardiaque par adénosine, l'ECG révèle un flutter atrial rapide. Nous retenons donc le diagnostic de décompensation cardiaque gauche sur flutter atrial rapide et débutons un traitement avec bêta-bloqueur, diurétique et une anticoagulation par Xarelto. Une échographie cardiaque met en évidence une dilatation de l'oreillette D et une hypertension pulmonaire, ainsi qu'une péjoration de la fonction ventriculaire gauche (FEVG 25% en flutter) en comparaison avec la dernière ETT de décembre 2018. Une scintigraphie pulmonaire révèle une maladie thrombo-embolique chronique, raison pour laquelle l'anticoagulation par Xarelto est majorée à 15 mg 2x/j. Malgré la majoration du traitement cardiofrénateur avec des doses maximales quotidiennes de bêta-bloqueur et de digoxine, la fréquence cardiaque reste élevée. Une échographie trans-oesphagienne et une cardioversion sont donc effectuées le 16.05.2019 avec succès. L'étiologie de l'hypertension pulmonaire est probablement multifactorelle, dans le contexte d'une maladie thrombo-embolique chronique. Suite à la cardioversion, l'évolution clinique du patient est favorable et Mr. Y peut rentrer à domicile le 18.05.19. Mr. Y est un patient de 82 ans suivi par le Dr. X pour une hyperkératose sous l'ongle du 2e orteil à droite qui dévie et soulève l'ongle. A gauche, il présente le même tableau mais moins important. Dans ce contexte, l'opération susmentionnée est proposée en électif le 06.05.2019. Les suites opératoires sont bonnes et sans complication, permettant un retour à domicile le 08.05.2019. Mr. Y consulte les urgences le 25.04.2019 à 03h00 après s'être réveillé brutalement vers 02h00 avec une sensation d'engourdissement et paresthésies de tout l'hémicorps gauche. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système. A l'hétéro-anamnèse avec son fils, le patient serait introverti, parlant peu de ses problèmes et de nature à ruminer avec une possible baisse de moral ces derniers temps. Pour rappel, le patient a déjà consulté les urgences pour un épisode similaire le 09.04.2019. Le Dr. X, neurologue, consulté le 10.04.2019, n'a pas retenu de cause neurologique à la symptomatologie présentée par le patient et a proposé la réalisation d'un Holter ainsi qu'une consultation pneumologique. A noter également qu'une IRM neurocrâne effectuée en 2017 ainsi qu'une en mars 2019 ont montré une petite lésion frontale para-ventriculaire droite dont l'aspect est en faveur d'un hémangiome caverneux de type IV vs une télangiectasie capillaire superposable stable entre les 2 examens. A l'admission aux urgences, Mr. Y est hémodynamiquement stable mais passablement anxieux. Au statut neurologique, le patient est orienté dans les 3 modes. Pas d'hémiparésie, pas d'hémi-négligence, pas d'ataxie, pas de dysarthrie. Pupilles isocores et isoréactives, réaction convergente à la lumière, force légèrement diminuée au membre inférieur gauche en distal connu sur statut post-hernie discale opérée. Force M5 au niveau des autres membres. Pas de déficit sensible objectivé au toucher piquer. Test du cervelet dans la norme (doigt-nez, marionnette, talon-tibia). Patient arrivé en marchant. Le statut cardio-pulmonaire et abdominal est dans la norme. Le bilan biologique de filière accident vasculaire cérébral ne montre pas de leucocytose ou de syndrome inflammatoire. L'ECG montre un rythme sinusal régulier, une image de bloc de branche droit incomplet en V1-V2 et une bradycardie à 50 bpm. Au vu de l'absence de piste clinique et du contexte chronique de la symptomatologie, nous excluons un événement ischémique aigu et ne répétons pas d'imagerie cérébrale. Le patient est hospitalisé pour la suite de la prise en charge.Le 26.04.2019, la symptomatologie ayant complètement régressé et face à un status normal, nous préconisons, comme demandé par le Dr. X, une poursuite des investigations par Holter et consultation pneumologique (suspicion de SAOS) en ambulatoire. Mr. Y peut regagner son domicile le 26.04.2019. Mr. Y présente une gonarthrose tri-compartimentale avec une méniscopathie des 2 ménisques associés. Je propose au patient de faire un bilan par IRM le 4.6.2019. Je le reverrai pour discuter du résultat et du traitement le 5.6.2019. Mr. Y est un patient de 81 ans, aux comorbidités et antécédents suscités, qui est retrouvé par terre devant une brasserie dans un contexte d'une alcoolisation, avec un traumatisme crânio-frontal droit, tuméfaction et plaie du nez, ainsi qu'épistaxis. Il n'y a pas eu de témoin de la chute. Mr. Y ne se plaint pas de douleurs ou de céphalées. À l'admission, patient hémodynamiquement stable. Sur le plan neurologique, il est orienté et cohérent, sans trouble neurologique. Tuméfaction frontale droite, pas de douleurs à la palpation osseuse. Tuméfaction nasale, avec présence d'une plaie de 2 cm sur l'arête du nez. Epistaxis tari à l'entrée. À l'auscultation cardiaque, souffle maximal au foyer aortique à 3/0. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique montre une alcoolémie à 1,75 pour mille, un TP à 57%, un PTT à 39. Le deuxième bilan biologique revient dans la norme. Mr. Y est hospitalisé pour surveillance neurologique rapprochée à l'unité de lits d'observation. L'évolution est favorable, le status neurologique répété est dans la norme et la reprise de l'alimentation orale est bien tolérée. Dès lors, Mr. Y regagne son domicile le 13.05.2019 avec une antalgie en réserve. Mr. Y se présente au service des urgences pour une asthénie marquée, avec anorexie, pyrosis et éructations, en évolution depuis trois jours. Il présente par ailleurs des selles liquides depuis cette même période. Mr. Y se plaint d'un épisode de malaise survenu à la sortie de son bain, que nous attribuons à un orthostatisme dans le contexte d'une déshydratation. Nous procédons à une oesogastroduodénoscopie qui démontre une maladie de reflux avec oesophagite et hernie hiatale. Nous débutons alors un traitement par inhibiteur de la pompe à protons, avec un schéma de 40 mg bid sur 6 semaines, puis à 40 mg id. L'évolution est favorable, avec une rémission complète de la dysphagie, du pyrosis et des éructations. Une OGD de contrôle est prévue dans 7 semaines. Sur le plan du transit, Mr. Y présente des selles liquides, que nous attribuons à une mucite suite à sa dernière chimiothérapie (Xelox). Nous procédons dès lors à un traitement symptomatique en collaboration avec le service nutritionnel (Loperamide et Optifibre). Afin d'accélérer la rémission, le traitement a été complété par des injections sous-cutanées d'octéotide 100 mg 3x/jour menant rapidement à une évolution clinique favorable raison pour laquelle le traitement a été maintenu à la sortie du patient, après confirmation de couverture des coûts du traitement par l'assurance maladie (valable 3 mois). Nous vous prions de bien vouloir réévaluer l'indication au traitement anti-diarrhéique lors de vos prochains contrôles cliniques. Mr. Y retourne à domicile sans aide le 10.05.2019. Une consultation nutritionnelle est prévue le 16.05.2019 pour la suite de la prise en charge en ambulatoire. Mr. Y est un patient suivi par le Dr. X dans le cadre d'une hyperplasie bénigne de la prostate avec status post-TURP il y a 15 ans. Le patient présente le 23.05.2019 une apparition d'une hématurie macroscopique non douloureuse. Le patient est hospitalisé dans notre service le 24.05.2019 où une sonde vésicale est mise en place avec rinçages. Rapidement nous constatons un retour à des urines normales. La valeur d'hémoglobine ne montre pas de déglobulisation. Au vu de la bonne évolution clinique, nous laissons le patient rentrer à domicile le 25.05.2019 avec une reprise de son traitement d'Eliquis. Il prendra contact avec le Dr. X pour organiser une cystoscopie en ambulatoire. Mr. Y, patient de 87 ans, connu pour les comorbidités sus-mentioned, est hospitalisé pour prise en charge d'une dyspnée en péjoration depuis plusieurs mois et pour un syndrome des jambes sans repos ne répondant que peu au traitement mis en place. Concernant la dyspnée, elle est de stade NYHA III à IV à son entrée. Nous apprenons qu'une ETT a été effectuée à la consultation de la Dr. X, cardiologue en mars 2019, qui montrait une FeVG diminuée à 42%. L'examen clinique révèle des crépitants jusqu'à mi-plage pulmonaire ddc, une régurgitation jugulaire et des oedèmes aux membres inférieurs pendant le godet. Une radiographie thoracique met en évidence des signes de décompensation cardiaque. Nous initions un traitement par Lasix IV bolus pendant 48 heures et également une majoration du traitement d'aldactone pour quelques jours afin d'optimiser l'effet diurétique. Le traitement de Co-Lisinopril est stoppé. À sa sortie, le traitement d'aldactone est prescrit à 25 mg 1x/j et le Torasemide de 10 mg 1x/j. Suite à cette prise en charge, accompagnée d'un bandage quotidien des membres inférieurs, le patient perd 6 kg et nous notons une nette amélioration de la dyspnée. Afin de potentialiser le traitement contre l'insuffisance cardiaque, nous débutons un traitement de beta-bloquant à faible dose. À savoir qu'une fibrillation auriculaire a été mise en évidence sur un examen de Holter. Ainsi, au vu d'un score CHAD2DS2-VASc élevé et un risque de saignement acceptable, nous débutons une anticoagulation par Xarelto 20 mg 1x/j et stoppons le traitement par Aspirine cardio. Concernant le syndrome des jambes sans repos, il est le plus probablement d'origine secondaire aux oedèmes de membres inférieurs et également à une polyneuropathie des membres inférieurs sous-jacente. Nous diminuons le traitement de Pramipexole à 0.25 mg 2x/j et introduisons du Rivotril 0.5 mg le soir au coucher avec excellente évolution et amélioration de la qualité du sommeil selon le patient. Un US des membres inférieurs à la recherche d'une insuffisance veineuse sous-jacente est prévue le 10.05.2019 en ambulatoire. Comme dernier problème, Mr. Y présente des douleurs lombaires avec irradiation dans les fesses D>G. Une radiographie dorso-lombaire complétée par un CT-scanner met en évidence des altérations dégénératives avancées avec présence d'un tassement de D12 et de L1. Mr. Y ne présente pas de signe de gravité, en particulier, absence de troubles sphinctériens. L'évolution est favorable sous antalgie simple et physiothérapie. Mr. Y rentre à domicile le 03.05.2019. Des soins à domicile 1x/semaine sont organisés. Mr. Y, patient de 34 ans, présente le 08.05.2019 à 14h30 des céphalées brutales avec hémisyndrome droit et dysarthrie. Un CT cérébral et une IRM cérébrale ne montrent pas de lésions ischémiques aiguës ni de saignements. Il s'agit d'un premier épisode et le patient n'est pas connu pour des migraines. L'anamnèse familiale chez les parents et les grands-parents est négative. Un trouble de conversion est suspecté et le patient est hospitalisé pour suite de prise en charge en médecine interne. Le 09.05.2019, le patient présente toujours l'hémisyndrome droit avec de nombreux éléments suggestifs d'une atteinte fonctionnelle au status neurologique (par exemple, déficit moteur segmentaire MID mais arrive à charger entièrement sur sa jambe). À l'anamnèse, Mr. Y se dit stressé à cause du travail, il est très fatigué, dort 5 heures par nuit en étant souvent réveillé par des cauchemars où il se voit mourir. Il vit avec sa femme et ses 2 enfants (3 et 7 ans) mais a de moins en moins de plaisir à passer du temps avec eux. Il préfère rester seul. Il décrit une diminution de la capacité à se concentrer et se sent triste. Il dit avoir des idées suicidaires depuis environ 1 mois, de plus en plus fréquentes, avec des scénarios de corde qu'il a dans sa maison. Il dit voir les moyens techniques à domicile pour mettre fin à sa vie. Il demande de l'aide et serait d'accord pour une hospitalisation en milieu psychiatrique.En accord avec l'équipe de psychiatrie, Mr. Y est transféré le 10.05.2019 au centre psychiatrique du Nord Vaudois, à Yverdon les Bains. Mr. Y est hospitalisé pour un déficit vestibulaire harmonieux gauche confirmé au VHIT. Nous introduisons un traitement symptomatique de Tanganil, Solumedrol et des antiémétiques. En raison de la durée des symptômes, nous réalisons une IRM cérébrale permettant d'exclure une cause centrale. En raison d'une HTA persistante, nous introduisons un traitement de Lisinopril 5 mg 1x/j, à augmenter de 5 mg toutes les 2 semaines jusqu'à normotendu et poursuivons l'Amlodipine 5 mg; Nifédipine en réserve. On note une amélioration du profil tensionnel. Mr. Y bénéficie de physiothérapie vestibulaire et l'évolution clinique est par la suite favorable. Mr. Y est un patient connu pour les antécédents susmentionnés présentant une infection des 2ème et 3ème orteils à droite réfractaires au traitement conservateur. Il bénéficie le 11.04.2019 d'une amputation du deuxième et troisième orteil à droite partiellement ouverte. En post-opératoire, des douleurs en augmentation motivent la réalisation d'un ultrason à la recherche d'un abcès plantaire. Ce dernier examen infirme la suspicion d'abcès mais montre des tissus très infiltrés. Mr. Y est repris au bloc opératoire le 24.04.2019 pour un débridement de plaie, nécrosectomie et pose de pansement VAC. Le pansement VAC est appliqué sur la plaie jusqu'au 26.04.2019. Par la suite, Mr. Y est repris au bloc opératoire le 01.05.2019 et 06.05.2019 pour changement de pansement aspiratif. Sur le plan infectiologique, une antibiothérapie par co-amoxicilline est administrée du 10.04 au 14.04.2019. Des soins de plaies sont effectués avec une mauvaise évolution clinique, motivant un bilan angiologique mettant en évidence une sténose serrée du tronc tibio-péronier et du carrefour fémoral gauche. C'est pourquoi, le patient bénéficie d'une angiographie et dilatation fibulaire distale et stenting intrastent du TTP, le 15.05.2019. Nous effectuons une TEA fémorale, le 16.05.2019. Les suites sont simples et le patient rentre à domicile, le 24.05.2019 avec des soins infirmiers quotidiens. Il sera suivi à la consultation spécialisée des plaies dès le 28.05.2019. Mr. Y est un patient de 53 ans, connu pour un status post-vasectomie. Il est vu à la consultation du Dr. X qui met en évidence une hydrocèle droite pour laquelle il retient l'indication opératoire. L'intervention se déroule sans complication sous rachi-anesthésie. Mr. Y est mis au bénéfice d'une antibiothérapie per-os par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour du 16 au 17.05.2019 inclus. Les suites post-opératoires sont simples, les urines sont claires et la reprise de l'alimentation est bien tolérée. L'antalgie simple est efficace et, devant cette bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 17.05.2019. Il sera revu à la consultation du Dr. X à un an de son hospitalisation. Mr. Y est un mécanicien sur poids-lourd, hospitalisé le 16.05.2019 en médecine interne pour investigation d'une récidive d'hémoptysies. Il bénéficie d'une bronchoscopie le 17.05.2019 où l'on ne retrouve pas de source de saignement. Une origine ORL a également été exclue. Post-bronchoscopie, il présente un pneumothorax droit de 3.5 cm sur la radiographie de contrôle, qui est drainé du 17.05 au 20.05. Il sera revu par le Dr. X (pneumologue) pour suivi clinique et résultats du liquide broncho-alvéolaire ainsi que les résultats de biopsies. Mr. Y, 74 ans, est hospitalisé suite à la découverte ambulatoire d'un AVC subaigu. Le patient est connu pour un des antécédents d'AVC en 2008 et pour des troubles cognitifs lentement évolutifs depuis plusieurs années d'origine peu claire. Il a été investigué en ambulatoire par le Dr. X, neurologue, en raison de fluctuations nouvelles de son état de vigilance. Une IRM cérébrale avait mis en évidence 2 lésions ischémiques frontales nouvelles, chez un patient qui est sous traitement par Clopidogrel. À son arrivée au service des urgences, Mr. Y est très asthénique et dans un état général diminué et il présente une dysarthrie, ainsi qu'une héminégligence et une ataxie gauche. Un EEG est effectué et ne montre pas d'activité épileptique. Le bilan étiologique révèle la présence d'un foramen ovale ouvert qui était en effet déjà connu. Il n'y a pas de fibrillation auriculaire mais une dilatation de l'oreillette gauche découverte à l'échocardiographie le fait suspecter indirectement. Dans ce contexte et vu que le patient a fait un deuxième AVC, sous traitement antiagrégant, nous proposons, après discussion avec nos collègues neurologues et cardiologues, d'anticoaguler le patient en attendant le résultat de l'enregistrement Holter, ainsi qu'une discussion pluridisciplinaire concernant le type de prise en charge à proposer pour le FOP. Le cas a été annoncé au colloque trimestriel de neurologie-cardiologie par le Dr. X. En cas d'absence de fibrillation auriculaire détectée au Holter, la pose d'un Reveal est à discuter. L'évolution clinique est favorable avec une récupération partielle. L'état de vigilance du patient s'améliore, ainsi que la dysarthrie qui reste toutefois présente et une discrète héminégligence gauche. Le 28.05.2019, Mr. Y est transféré à l'HFR Meyriez pour une neuroréhabilitation intensive. Mr. Y, un patient de 72 ans, connu depuis 2004 pour un syndrome de Parkinson idiopathique, a été transféré du service de médecine de l'hôpital cantonal de Fribourg chez nous pour une réhabilitation gériatrique suite à une chute de sa propre hauteur le 23.03.2019. Pour rappel, le patient présente le 29.03.2019 une chute à domicile en montant les escaliers, d'allure mécanique. Il a été admis à l'Inselspital, où le bilan radiologique à Berne montre des fractures de côtes avec un hématopneumothorax à droite, sans indication opératoire. Dans les suites du séjour aux urgences à l'Inselspital à Berne, le patient développe un état confusionnel aigu hyperactif, avec une absence de capacité de discernement selon les psychiatres, raison pour laquelle il est transféré aux soins intensifs de Fribourg puis en médecine pour la suite de la prise en charge. Du point de vue neurologique, l'évolution de l'état confusionnel est rapidement favorable sous traitement de benzodiazépine en réserve. À l'anamnèse lors de l'entrée dans notre service, le patient n'a pas de plaintes. Au niveau de l'examen clinique à l'entrée, il a un rythme cardiaque irrégulier sans bruit surajouté. Le reste de l'anamnèse par système ne montre pas d'autres particularités. Mr. Y habite seul dans une maison sur un étage. Avant son hospitalisation, il n'avait pas besoin d'aide pour marcher. Diagnostic principal, diagnostic secondaire 1, 4: Le patient souffre d'une hypotension orthostatique depuis octobre 2018, partiellement liée à sa maladie de Parkinson et son traitement par Madopar. Le test de Schellong effectué chez nous se révèle positif. Nous réduisons le Madopar de 125 mg des doses du matin, midi et soir avec une bonne réponse au niveau tensionnel ainsi que dans la mobilisation. Par contre, le patient reste hypotonique à midi et dans l'après-midi, raison pour laquelle la réintroduction du Florinef a eu lieu dès le 05.04.19. Des bas de contention sont mis en place. Le prochain contrôle à la consultation du Dr. X, Neurozentrum de l'Inselspital, est prévu le 27.05.2019.Ad diagnostic secondaire 2 : Le patient présente des troubles cognitifs avec un score de MMS de 22/30, un test de la montre à 4/7 et un GDS de 3/15. Nous vous recommandons de surveiller cliniquement ses troubles cognitifs et d'effectuer une évaluation à distance de l'épisode aigu. Ad diagnostic secondaire 3 : Le bilan biologique d'entrée montre une anémie normochrome normocytaire avec une hémoglobine à 114 g/l. Nous vous proposons de le contrôler à distance. A son entrée, le patient est capable d'effectuer les transferts seul avec une aide auxiliaire (FIM 6). Il peut marcher sous supervision avec 2 cannes de Nordic Walking (FIM 5) et est capable de monter 1 rampe sous supervision (FIM 5). Le score de Tinnetti à son entrée est de 17/28, ce qui correspond à un risque de chute augmenté. Le patient bénéficie d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie intensives. A sa sortie, le patient est capable d'effectuer ses transferts seul avec une aide auxiliaire (FIM 6). Il peut marcher sur un périmètre de marche de 300 de manière autonome avec 2 cannes de Nordic Walking (FIM 6) et est capable de monter 2 marches d'escaliers de manière autonome avec l'aide de moyens auxiliaires (FIM 6). Le score de Tinetti à sa sortie est de 20/28. Le patient regagne son domicile le 29.04.2019 avec un bon état général. Mr. Y est un patient de 52 ans diagnostiqué d'un adénocarcinome du moyen rectum qui bénéficie le 01.05.2019 d'une résection antérieure avec iléostomie de protection. Les suites opératoires sont simples et le patient rentre à domicile le 07.05.2019. Le cas de Mr. Y sera discuté au TumorBoard de chirurgie viscérale le 08.05.2019. Il sera suivi à la consultation du Dr. X le 13.05.2019 pour discuter de l'ablation des fils. Mr. Y est un patient de 77 ans qui est admis dans notre service de Chirurgie post-AVC ischémique d'origine artério-artérielle dans le cadre d'une sténose subocclusive de l'artère carotide droite. Il bénéficie d'une TEA le 20.04.2019. La parésie séquellaire du membre supérieur droit persiste en postopératoire motivant de l'ergothérapie et de la physiothérapie. L'évolution postopératoire est par ailleurs favorable. Le patient est transféré en EMS selon ses souhaits avec ergothérapie et physiothérapie 3 fois par semaine. Un consilium neurologique avait mis en évidence des troubles cognitifs jusqu'alors non bilantés, raison pour laquelle un consilium neuropsychologique est demandé. Celui-ci montre un trouble neuro-cognitif majeur d'origine probablement vasculaire. Sur le plan cardiologique, l'échographie trans-thoracique a montré un foramen oval perméable uniquement après manœuvres de Valsalva, une FEVG à 65 % et un anévrisme du septum interauriculaire. Nos collègues cardiologues ne retiennent pas l'indication d'une fermeture de ce FOP. Lors de l'ultrason des vaisseaux précérébraux, il présente un rythme irrégulier. Un examen Holter est effectué. Selon le résultat, une anticoagulation thérapeutique devra être introduite. Mr. Y, 76 ans, est hospitalisé en raison d'une paralysie faciale droite. Le patient, qui a subi une coronarographie le 23.05.2019 pour une ergométrie pathologique et qui n'a pas retrouvé d'ischémie coronaire, revient le 26.05.2019 au service des urgences pour une paralysie faciale. Il décrit avoir remarqué le 25.05.2019 au soir des difficultés à boire puis le lendemain sa femme objective une asymétrie de son visage. Au service des urgences, une paralysie faciale droite est mise en évidence. Vu la coronarographie récente et malgré le fait que la clinique est compatible avec une paralysie faciale d'origine périphérique, une IRM cérébrale est effectuée, qui nous permet d'exclure un accident vasculaire cérébral et qui montre une inflammation du ganglion géniculé droit. Un traitement corticoïde à haute dose est mis en place avec un schéma dégressif ultérieur. Vu qu'il s'agit d'un stade House Brackmann III et qu'il n'y a pas de lésion cutanée mise en évidence, nous ne mettons pas en place de traitement antiviral. Un EMG à distance de 3-4 semaines a été organisé pour le 27.06.2019. Un bilan vitaminique est également effectué (vitamine B12, folate) chez ce patient qui est consommateur d'alcool à risque. L'acide folique est à la limite inférieure de la norme, et nous vous proposons de le substituer en ambulatoire. Nous vous proposons également de compléter le bilan par un test HIV et vous conseillons aussi un contrôle ophtalmologique. En raison d'une hypertension artérielle, nous ajoutons de l'Amlodipine à son traitement habituel et vous laissons le soin de réévaluer son profil tensionnel surtout après l'arrêt de la Prednisone. Mr. Y a pu rentrer à domicile en bon état général le 29.05.2019. Mr. Y, 77 ans, est admis aux soins intensifs pour un choc hémorragique peropératoire dans le cadre d'explantation de PTH à droite et implantation d'un spacer le 23.05.2019. Il est connu pour une cardiopathie rythmique avec un PM depuis 2017 et valvulaire et plusieurs antécédents orthopédiques. En raison d'une infection chronique tardive persistante sur la PTH à droite avec un Staphylococcus coagulase négative, il bénéficie de l'explantation de PTH à droite et de l'implantation d'un spacer et également d'une ponction articulaire de la hanche gauche le 23.05.2019. En peropératoire, le patient perd environ 2500 ml de sang, et un soutien par vasopresseur associé à un remplissage intraveineux est nécessaire. Le patient est par la suite transféré aux soins intensifs pour surveillance. L'évolution est favorable et l'hémodynamique se stabilise après remplissage, la Noradrénaline est sevrée le 23.05.2019. L'hémoglobine baisse à 77 g/l le 24.05.2019 sans signe de saignement actif, raison pour laquelle 1 CE est transfusé. La fonction du PM est contrôlée le 24.05.2019. Les douleurs sont contrôlées par Dafalgan et Oxycontin avec une réserve d'Oxynorm. Le patient peut être transféré en orthopédie le 24.05.2019. Mr. Y, patient de 78 ans, connu pour un carcinome épidermoïde de l'œsophage actuellement sans traitement actif, est admis aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique en vue d'une coronarographie en semi-électif pour une maladie coronarienne tritronculaire avec sténose sévère du tronc commun. Pour rappel, une coronarographie diagnostique est effectuée le 06.05.2019 en ambulatoire pour un angor stable qui révèle une maladie coronarienne tritronculaire avec sténose sévère du tronc commun. L'indication à un pontage aorto-coronarien est retenue et le patient est transféré le jour même à l'hôpital de Berne (Inselspital). En vue du contexte oncologique, l'indication est récusée. En accord avec les collègues cardiologues de Fribourg, le patient est re-transféré au HFR-Fribourg en vue d'une coronarographie sous assistance ventriculaire (Impella) ou possiblement ECMO. Sur avis cardiologique, le traitement médicamenteux du patient est adapté avec poursuite de l'antiagrégation plaquettaire par Aspirine et ajout de Clopidogrel dès le 07.05.2019 avec dose de charge. Un traitement cardio-protecteur par inhibiteur de l'enzyme de conversion ainsi qu'un traitement hypolipémiant sont introduits. La coronarographie effectuée le 09.05.2019 permet une angioplastie du tronc commun et de l'artère circonflexe avec pose d'un stent actif, ainsi que de l'artère interventriculaire antérieure avec pose de 2 stents actifs. L'intervention ne nécessite pas d'assistance ventriculaire mais est toutefois compliquée par une hypotension per-coronarographie avec visualisation en parallèle d'images compatibles avec des bulles d'air, motivant un contrôle échocardiographique ciblé en per-coronarographie permettant d'exclure une tamponnade. A noter que cet examen ne met pas en évidence de dysfonction systolique majeure (FEVG 50 %). L'évolution est rapidement favorable avec traitement vasopresseur. Le CT thoraco-abdominal de contrôle permet d'infirmer un événement indésirable en lien avec le geste.Une possible progression tumorale mise en évidence au CT thoraco-abdominal est discutée avec l'oncologue traitant qui propose une éventuelle nouvelle approche par chimiothérapie. Une consultation en oncologie est prévue le 24.05.2019 pour discuter de la suite de prise en charge avec le patient. Une lésion cutanée psoriasiforme sur la face antérieure du thorax gauche est mise en évidence. Etant donné que le patient est connu de longue date pour un psoriasis sans traitement actuellement, un avis dermatologique est demandé et sera à pister. Le patient est transféré en médecine interne le 10.05.2019 pour suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 74 ans, est admis le 17.05.2019 aux soins intensifs pour un choc septique sur péritonite biliaire sur cholécystite aiguë perforée. Il bénéficie d'une laparotomie exploratrice avec cholécystectomie, lavage péritonéal de 45 litres et drainage. Un remplissage liquidien associé à une antibiothérapie par ceftriaxone et metronidazole permet un sevrage des amines le 17.05.2019. Les paramètres ventilatoires permettent une extubation avec un relais par oxygénothérapie aux lunettes le jour de son admission. Concernant les suites opératoires, sur avis des collègues de la chirurgie, l'antibiothérapie sera à poursuivre pour une durée de 14 jours au total avec un minimum de 7 jours en iv. En raison d'un antécédent de thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche et d'une embolie pulmonaire, une anticoagulation par héparine à 15'000UI/24h est en cours. La surveillance hémodynamique révèle des extrasystoles ventriculaires polymorphes non soutenues et sans répercussions hémodynamiques. Vu une évolution clinique et biologique favorable, le patient est transféré à l'étage de chirurgie le 18.05.2019 pour suite de prise en charge. Mr. Y présente un retard de consolidation osseuse sur fracture Weber B de la malléole externe datant du 2.3.2019. En l'absence de signe de consolidation sur les radiographies et le scanner mais chez un patient absolument asymptomatique, je propose de continuer le traitement conservateur. Nous abandonnons aujourd'hui l'attelle Aircast. Le patient commence une rééducation en physiothérapie pour regagner la mobilité. Je le reverrai dans 6 semaines le 18.6.2019 pour une réévaluation clinique à ma consultation. Pas d'indication opératoire. L'arrêt de travail est mis à 80%, ceci permettra au patient de faire des contrôles sur les chantiers. Mr. Y, 72 ans, est admis aux soins intensifs dans le cadre d'un arrêt cardiorespiratoire sur une fibrillation ventriculaire. Le patient est connu pour une cardiopathie ischémique tritronculaire et est porteur d'un pacemaker pour une fibrillation auriculaire et maladie du sinus. Suite à un malaise avec perte de connaissance et vomissement, le patient est massé sur site par des témoins. À l'arrivée de l'ambulance, le patient est en fibrillation ventriculaire. Il est choqué une fois avec retour d'un rythme normal. En raison de l'altération de l'état de conscience et de la possible broncho-aspiration sur vomissements, le patient est intubé sur place. À l'arrivée aux soins intensifs, le patient nécessite un soutien aminergique par Noradrénaline et Dobutamine. La coronarographie montre une stabilité de l'arbre coronarien. L'étiologie de l'arrêt cardio-respiratoire est probablement la fibrillation ventriculaire déclenchée sur le tissu cicatriciel. En raison de l'instabilité hémodynamique, un ballon de contre-pulsion intra-aortique est mis en place en per-coronarographie. L'évolution est favorable et le ballon de contrepulsion aortique est retiré le 24.05.2019 et extubé le 25.05.2019. Une thrombopénie peut être liée à ce dispositif et reste à surveiller les prochains jours. Le 27.05.2019, un stimulateur et défibrillateur implantable est posé. Dans un deuxième temps, une ablation du foyer de tachycardie ventriculaire devra être évaluée. En raison du mécanisme traumatique (perte de connaissance avec chute de sa hauteur) chez un patient sous anticoagulation, un CT-scan cérébral a été effectué et ne retrouve pas de saignement ni de lésion osseuse. Une pneumonie de broncho-aspiration est traitée par Co-Amoxicilline durant 5 jours suite à un état fébrile le 25.05.2019. Les cultures sont encore en cours. Mr. Y est transféré en médecine pour suite de prise en charge le 27.05.2019. Mr. Y est connu pour une insuffisance rénale chronique dans un contexte de glomérulonéphrite membraneuse sous Prednisone depuis 10 ans et cardiopathie ischémique/valvulaire. Il nous est adressé par le Dr. X en raison d'une anémie à 80 g/l pour investigations et thérapie. Le patient se plaint d'une fatigue d'installation progressive. Il note des selles légèrement plus foncées qu'à l'habitude depuis 10-15 jours. Des épisodes de méléna ne sont pas exclus. L'anémie n'est pas symptomatique. Concernant l'anémie, les analyses confirment le diagnostic d'anémie ferriprive. Mr. Y reçoit un culot érythrocytaire ainsi qu'une substitution de fer intraveineuse. Les manques de folate et de B12 sont substitués. L'analyse de sang occulte dans les selles est positive. Une gastroscopie met en évidence une angiodysplasie au niveau du duodénum traitée par le laser Argon. Les contrôles biologiques montrent une valeur d'hémoglobine stable. Sur le plan néphrologique, aux analyses laboratoires, une insuffisance rénale aiguë est décelée, qui se normalise sous hydratation intraveineuse. Depuis 4 semaines, le patient présente des escarres au pied droit, probablement sur le frottement d'une chaussure mal adaptée. Un suivi de plaies est organisé durant l'hospitalisation par les infirmières en stomatologie. Mr. Y peut rentrer à domicile le 11.05.2019. Mr. Y est initialement hospitalisé le 21.04.2019 pour une suspicion d'AIT dans un contexte de malaise avec ptose labiale gauche et parésie du membre supérieur gauche objectivée par témoin. Une cause hémorragique ou ischémique est exclue après un CT cérébral mais l'examen met en évidence une sténose de l'artère carotide gauche. Le patient bénéficie d'une charge en Aspirine cardio et Plavix. Il est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance, où les symptômes régressent. Une IRM cérébrale exclut définitivement une cause ischémique. En parallèle, Mr. Y se plaint d'une baisse de l'état général avec une perte de poids de 5 kg en 1 mois. Le bilan effectué conduit à un diagnostic de lymphome diffus à grandes cellules B intra-vasculaire pour lequel un traitement par R-mini-CHOP est débuté le 26.04.2019. En raison d'un bronchospasme aigu dans un contexte de syndrome de lyse tumorale avec possible réaction anaphylactoïde sur Rituximab versus surcharge hydrique, le patient est réadmis aux soins intensifs pour surveillance. Nos collègues hématologues préconisent la poursuite du traitement de chimiothérapie en allongeant la durée de perfusion du Rituximab. Au niveau de l'état fébrile, un CT thoraco-abdominal ne montre aucun foyer visible, mais la présence d'un syndrome inflammatoire important motive l'introduction d'une antibiothérapie à large spectre par Cefepime. Une ETT met en évidence une structure hyperéchogène au niveau du versant ventriculaire et une calcification de l'anneau mitral postérieur corrélant à un souffle holosystolique ausculté. Une ETO n'est pas effectuée au vu de la résolution de l'état fébrile et des hémocultures négatives, un foyer cardiaque semblant effectivement peu probable.Le patient développe un tableau clinique d'anasarque sur une hydratation agressive dans le contexte de son syndrome de lyse tumorale, du capillary leak syndrome et d'une probable composante de rétention hydrosodée due au traitement par Prednisone. Une chasse hydrique par diurétiques iv est débutée. Une amélioration rapide permet un sevrage progressif avec un relais des diurétiques PO le 09.05.2019. Le patient retrouve un poids sec à 72 kg le 11.05.2019. Une lésion cutanée chronique de la face au niveau temporal droit est également biopsiée et revient positive pour un carcinome basocellulaire infiltratif le 08.05.2019. Compte tenu de la situation hématologique actuelle, le patient est mis au courant du diagnostic le 21.05.2019. Une consultation en ORL est organisée pour le 13.06.2019 à 10h00 en ORL en ambulatoire pour y définir la date de l'excision. Sur le plan nutritionnel, les apports journaliers sont initialement très abaissés, nécessitant l'adjonction de SNO. Le patient retrouve de l'appétit et sa prise alimentaire au point de pouvoir cesser les SNO le 15.05.2019. L'évolution clinique globale est favorable, permettant ainsi d'effectuer un deuxième cycle de R-mini-CHOP le 17.05.2019, avec l'administration de l'Endoxan le 20.05.2019. Mr. Y rentre à domicile le 24.05.2019. Il sera convoqué en consultation oncologique ambulatoire le 29.05.2019. Mr. Y, 77 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique dans le contexte de douleurs thoraciques suspectes d'un angor instable. Il consulte au service des urgences en raison de douleurs thoraciques gauches oppressives intermittentes, non irradiantes et associées à une sensation de dyspnée, chez un patient connu pour une cardiopathie tritronculaire. L'ECG ne montre pas de signe d'ischémie aiguë et les enzymes cardiaques sont dans la norme. Une charge en antiagrégant plaquettaire par Aspirine et Plavix est effectuée au service des urgences. Une échocardiographie transthoracique est effectuée et démontre une bonne fonction cardiaque avec FEVG à 59%, ainsi qu'une insuffisance mitrale modérée à sévère. La coronarographie, avec pré-médication pour une allergie au produit de contraste a lieu le 29.05.2019, qui est superposable à la dernière coronarographie de 2017. Le Plavix est donc stoppé et le traitement anti-angineux par Patch de nitré est instauré. Une hypoxémie modérée est mise en évidence au service des urgences, nécessitant une oxygénothérapie durant le séjour avec un léger syndrome inflammatoire biologique chez un patient qui reste apyrétique. Une attitude expectative sans antibiothérapie d'emblée est décidée. Mr. Y rentre à domicile le 30.05.2019. Mr. Y, 77 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique dans le contexte de douleurs thoraciques suspectes d'un angor instable. Il consulte aux urgences en raison de douleurs thoraciques gauches oppressives intermittentes, non irradiantes et associées à une sensation de dyspnée, chez un patient connu pour une cardiopathie tritronculaire. L'ECG ne montre pas de signe d'ischémie aiguë et les enzymes cardiaques sont dans la norme. Une charge en antiagrégant plaquettaire par Aspirine et Plavix est effectuée aux urgences puis une surveillance rythmique et hémodynamique pendant 12h aux soins intensifs est sans particularité. Après discussion avec les collègues de la cardiologie, une coronarographie est organisée pour le 29.05.2019. A noter une allergie au produit de contraste iodé qui nécessitera une préparation ad hoc en vue du geste. Une échocardiographie est demandée dans l'intervalle. Une hypoxémie modérée est mise en évidence aux urgences, nécessitant une oxygénothérapie durant le séjour avec un léger syndrome inflammatoire biologique chez un patient qui reste apyrétique. Une attitude expectative sans antibiothérapie d'emblée est décidée. Le patient est transféré en médecine le 28.05.2019 pour suite de prise en charge. Mr. Y, connu pour un adénocarcinome rectal T4 N+M1 ainsi qu'un adénocarcinome de la prostate métastatique, cT2c cNx cMx. Gleason score 4+3=7, high risk, diagnostiqué le 19.02.2019 est hospitalisé dans notre service de médecine le 18.04.2019 à la demande du service d'oncologie en raison d'une baisse de l'état général. Le patient a bénéficié ce jour de la pose d'un port-à-cath. Ses fils demandent une hospitalisation en raison de la baisse de l'état général de leur père qui vit seul à domicile. Le patient décrit une inappétence avec perte de 20 kg depuis 1.5 ans. L'hétéro-anamnèse avec sa belle-fille nous apprend que le patient reste principalement au lit ou au fauteuil. Il mange uniquement 1 yaourt par jour et boit surtout du Coca. Le patient décrit une amélioration de l'état général depuis l'introduction du traitement vitaminé. La famille confirme une discrète amélioration ces 2 derniers jours mais qui reste selon eux négligeable. A l'anamnèse par système, au niveau cardiovasculaire, pas de douleur rétrosternale, pas de palpitation, pas d'oedème des membres inférieurs. Au niveau respiratoire, pas de toux, pas de dyspnée paroxystique nocturne, pas d'orthopnée. Dyspnée de stade II en majoration progressive que le patient met sur le compte de la perte pondérale et du déconditionnement général. Au niveau digestif, tendance à la constipation, dernières selles normales il y a deux jours, pas de nausée ni vomissement. Pas de plainte urinaire. Au niveau ostéoarticulaire, le patient rapporte des douleurs lombaires basses depuis 10 ans, stables. A l'admission dans notre service, Mr. Y présente une importante sarcopénie avec xérose cutanée et muqueuses buccales sèches. L'auscultation pulmonaire et le reste du statut sont sans particularité. Discrètes douleurs à la palpation des vertèbres lombaires. Au status respiratoire, souffle systolique au foyer aortique avec irradiation dans le carotide à 3/6. Les loges rénales sont souples et indolores. Le laboratoire met en évidence une pseudo-hyponatrémie à 130 mmol/l avec osmolarité dans la norme. Le reste est dans la norme. Le patient décrit des douleurs lombaires basses nouvelles dès le 24.04.2019 qui sont soulagées par la mise en place d'un traitement par Oxycontin 5 mg le soir. Nous suspectons que cela soit en lien avec les métastases osseuses. Durant le séjour, Mr. Y bénéficie également de séances de physiothérapie. Au niveau nutritionnel, un suivi par nos diététiciens est mis en place. Le patient bénéficie de suppléments vitaminés et de suppléments en termes d'électrolytes les premiers jours (acide folique, Benerva, magnésium, phosphate, Supradyn energy). Une surveillance du syndrome de renutrition est effectuée. Le patient mange progressivement mieux qu'à domicile mais ne couvre toujours que 50 à 60 % de ses besoins. Une alimentation par sonde nasogastrique est indiquée et proposée, mais le patient la refuse. Un suivi diététique est donc prévu en ambulatoire. Du 24 au 26.04.2019, le patient bénéficie d'une chimiothérapie palliative par Erbitux et 5 FU avec infuseur, qui est bien tolérée, sans effet secondaire. Mr. Y peut regagner son domicile le 18.04.2019. Un suivi ambulatoire par Voltigo est mis en place. La prochaine chimiothérapie est agendée pour le 01.05.2019 avec contrôle à la consultation du Dr. X.Mr. Y est un patient de 37 ans, en bonne santé habituelle, qui présente le 06.05.2019 une crise tonico-clonique inaugurale, suivie par une chute avec traumatisme crânien. Le CT cérébral du 06.05.2019 montre une fracture pariétale gauche avec une fracture du rocher à gauche et un pneumencéphale. Des deux côtés, on trouve des hémorragies sous-durales. Le GCS est initialement à 13/15, qui remonte à 15 aux soins intensifs le 07.05.2019. Le patient présente également une sensation de surdité bilatérale, pas d'otalgie, pas d'écoulement et pas de vertige. La plaie pariétale est fermée par des agrafes. Une prophylaxie par Co-Amoxicilline est débutée et le patient bénéficie d'un rappel tétanique. Il est chargé par Keppra le 06.05.2019 et l'EEG organisé le 07.05.2019 ne montre pas de foyer épileptique. Un CT scan de contrôle effectué le 07.05.2019 est stable. Le 08.05.2019, Mr. Y est amené à l'étage de chirurgie. Durant son hospitalisation, le patient a bénéficié d'un consilium ORL, d'un consilium neurologique et d'un consilium neuro-psychologique. Au vu de l'anamnèse peu contributive du fait que le patient n'était pas accompagné d'un proche lorsqu'il a fait son malaise, l'étiologie du malaise reste indéterminée avec une suspicion de crise d'épilepsie tonico-clonique inaugurale ou de syncope cardiogène. Nous ne retenons pas d'indication à maintenir le traitement de Keppra (à diminuer progressivement avec 250 mg 2x/jour durant 7 jours, puis 125 1x/j durant 7 jours, puis stopper). Le traitement Levetiracetam 500 mg deux fois par jour est continué du 07.05.2019 au 10.05.2019 et sera diminué du 11.05.2019 au 17.05.2019 à 250 mg deux fois par jour et du 18.05.2019 au 24.05.2019 de 250 mg 1 fois par jour pour être finalement stoppé le 25.05.2019. Le patient bénéficie d'un consilium cardiologique le 08.05.2019. Le patient présente une bonne fonction ventriculaire gauche, une géométrie ventriculaire gauche normale et une absence de valvulopathie significative. Si l'origine de la syncope n'est pas claire, il faudrait organiser un bilan cardiaque par IRM à la recherche de fibrose ou d'autre cardiopathie structurelle. L'EEG de contrôle du 13.05.2019 ne montre pas de foyer épileptique et un prochain contrôle est organisé le 26.08.2019, d'ici là le patient a été informé qu'il ne doit pas conduire jusqu'à la réévaluation de sa capacité de conduite avec le Dr. X. L'évolution est favorable durant l'hospitalisation, le patient ne présente pas de nouvelles crises. Le GCS reste à 15 durant toute son hospitalisation à l'étage. Le patient peut rentrer à domicile le 14.05.2019 sans aide à domicile avec un arrêt de travail à 100 % pendant 4 semaines et ensuite une reprise professionnelle progressive à discuter avec son médecin traitant. A noter que le patient sera suivi à l'hôpital cantonal de Fribourg pour la suite des investigations de la crise inaugurale. Mr. Y, connu pour un carcinome de la prostate actuellement en chimiothérapie palliative avec dernière séance le 06.05.2019, une cardiopathie ischémique et une fibrillation auriculaire sous Xarelto, est amené aux urgences en ambulance à votre demande le 10.05.2019 en raison de vomissements et de douleurs abdominales depuis le matin de type crampiforme, d'apparition progressive, localisées initialement au niveau épigastrique puis de manière diffuse dans l'abdomen. Les douleurs évoluent par la suite en coliques et sont soulagées par des vomissements de type alimentaire, sans présence de sang. A votre consultation ce jour, le patient est hydraté et vous administrez du Primpéran et du Nexium avec initialement une bonne réponse puis réapparition des douleurs. Dernières selles la veille de l'admission, 3 épisodes de selles normales. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système, notamment pas d'état fébrile ni de frisson. A noter que les deux dernières séances de chimiothérapie se sont bien passées, sans effet indésirable. A l'admission aux urgences, Mr. Y se sent mieux. Il est hémodynamiquement stable et afébrile. Il décrit une diminution des douleurs épigastriques, la disparition des nausées et uniquement la persistance d'une sensation de dégoût. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés. Pas d'oedème des membres inférieurs, les pouls périphériques sont palpés. Au niveau pulmonaire, nous notons une légère hypoventilation en base droite et de légers râles crépitants fins bibasaux. Au status digestif, les bruits hydro-aériques sont normaux en fréquence et en tonalité. L'abdomen est souple, douloureux en fosse iliaque droite et gauche et au niveau suspubien, sans détente ni défense. Le Murphy est négatif, le psoas est négatif. Au toucher rectal, présence d'hémorroïdes qui saignent, de 6h à 12h, indolores. Pas de fécalome. Le status neurologique est non contributif. Nous suspectons des vomissements dans le contexte de gastrite, ou d'une intoxication alimentaire, ou sur la chimiothérapie. Pendant la surveillance aux urgences, Mr. Y décrit une résolution totale des symptômes avec une normalisation du status abdominal, raison pour laquelle nous ne réalisons pas d'imagerie d'emblée. Le patient est hospitalisé pour surveillance clinico-biologique et réhydratation. Le 11.05.2019, lors d'un contrôle de laboratoire nous objectivons une baisse importante de l'hémoglobine de 102 g/l le 10.05.2019 à 82 g/l le 11.05.2019 chez un patient hémodynamiquement stable. Le toucher rectal met en évidence des hémorroïdes internes et externes et nous constatons des traces de sang frais dans la protection. Nous mettons en pause l'anticoagulation par Xarelto et introduisons un IPP. Le patient bénéficie également de la transfusion d'un culot érythrocytaire le 11.05 et un deuxième le 12.05.2019. L'évolution est favorable avec une hémoglobine à 103 g/l le 13.05.2019. Nous contactons le Dr. X, oncologue traitante, qui confirme le diagnostic d'anémie secondaire à la chimiothérapie par Taxotere et n'envisage pas d'autres investigations. Le Xarelto est repris en fin d'hospitalisation. Mr. Y peut regagner son domicile le 14.05.2019. Nous recommandons un contrôle biologique à une semaine. Mr. Y est un électricien à la retraite de 85 ans qui présente depuis 1 mois une asthénie avec baisse de l'état général, accompagnée d'une perte de poids de 5 kg (de 80 à 75 kg en 3 mois), avec péjoration de douleurs 8/10 dorso-lombaires sans irradiations. De plus, il présente une orthopnée, dyspnée NYHA IV, avec nycturie (3x/nuit) et DPN nouvelle depuis 2 semaines, ainsi qu'une toux productive. Le patient consulte les urgences de Payerne le 12.05 qui effectue un CT thoracique afin d'exclure entre autres une embolie pulmonaire mais met en valeur des lésions ostéolytiques importantes au niveau vertébral avec risque de fracture élevé, un avis neurochirurgical est demandé à Fribourg, ce pourquoi le patient est transféré à l'HFR. L'antalgie est majorée avec Temgesic. Sur le plan des douleurs osseuses, le patient présente une compression de la moelle épinière radiologique, toutefois le status neurologique est sans particularité à l'hôpital, raison pour laquelle les neurochirurgiens n'interviennent pas. Le risque de fracture est présent, toutefois ils recommandent une mobilisation normale. En cas de symptômes neurologiques laissant suspecter une compression dorsale de la moelle, merci de réadresser ce patient à la Team Spine de l'HFR. Une IRM de la colonne lombaire est prévue le 27.05 afin de bilanter ces lésions et d'avoir un comparatif en cas de lésion future. Sur le plan oncologique, nous diagnostiquons un myélome multiple avec présence initiale d'un syndrome de CRAB (hypercalcémie, insuffisance rénale, anémie et lésions osseuses). Le diagnostic de myélome est confirmé par la présence de chaînes légères dans l'urine, dans l'aspirat de moelle ainsi que dans le sang. Les résultats de la biopsie de moelle sont encore en attente. Un traitement par dexaméthasone ainsi que de Revlimid est débuté le 21.05.2019 (première cure jusqu'au 10.06.2019) avec prophylaxie antibiotique et antivirale. Le suivi oncologique sera effectué à Payerne chez le Dr. X.Sur le plan diabétique, en raison de la corticothérapie, le traitement est adapté avec Tresiba ainsi qu'un schéma de Novorapid. Le patient sera revu par le Dr. X à Estavayer pour un suivi diabétique. Le patient rentre à domicile le 22.05.2019. Mr. Y présente plusieurs problèmes en même temps. Il est symptomatique d'un doigt à ressaut D4 main gauche pour lequel l'indication opératoire est donnée. Il présente également un potentiel syndrome du tunnel carpien bilatéral et syndrome du tunnel cubital bilatéral. Finalement, on a une forte suspicion d'une échine plantaire du pied gauche. En ce qui concerne le probable corps étranger du pied gauche, nous allons organiser un ultrason le 31.5.2019. Pour le syndrome du tunnel carpien bilatéral et cubital bilatéral, le patient ira faire un EMG chez le Dr. X, neurologue, le 14.6.2019. Je le reverrai suite à ces examens le 21.6.2019 pour discuter de la prise en charge thérapeutique. En ce qui concerne le doigt à ressaut, nous prévoyons une cure de doigt à ressaut chirurgicalement. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci et il nous donne son accord. Le consentement est signé. Le patient s'organisera avec son patron pour trouver une date opératoire qui conviendra le mieux. Pas d'arrêt de travail. Mr. Y, 67 ans, est admis aux soins intensifs pour choc septique sur bactériémie à E. Coli sans foyer primaire clair. Il est initialement hospitalisé en médecine interne en raison d'une insuffisance rénale aiguë pré-rénale, adressé par son oncologue traitant. Il est traité par hydratation et mise en suspens des traitements néphrotoxiques. L'évolution est marquée par l'apparition de frissons solennels et état fébrile à 39.3°C avec hypotension et tachycardie, réfractaires au remplissage. Le patient est traité par Piperacilline-Tazobactam relayé par Ceftriaxone. Il bénéficie d'une réanimation liquidienne et d'un soutien aminergique de 3 jours avec évolution favorable. Nous proposons de poursuivre l'antibiothérapie pour une durée de 10 jours au total. Une macro-hématurie probablement post-traumatique, sur pose de sonde urinaire, nécessite une sonde 3 voies posée par l'urologue de garde avant son transfert aux soins intensifs. Il persiste initialement de légers écoulements sanguinolents urétraux, suivi de l'apparition d'un hématome scrotal et pénien. L'évolution étant favorable, le patient est transféré en division de médecine le 15.05.2019. Mr. Y est un patient de 21 ans connu pour une Spina Bifida et une vessie neurogène avec statut post-conduit vésical de l'appendice selon Mitrofanoff réalisée en 2004 et révisée en 2007 nécessitant des auto-sondages 4x/jour, qui nous est transféré de Riaz pour suite de prise en charge en raison d'une anurie avec impossibilité d'auto-sondage et macrohématurie objectivée au niveau du méat urinaire. À noter que le patient est sous Invanz depuis le 28.04.2019 (jusqu'au 06.05.2019) en raison d'une infection urinaire compliquée. Un ultrason montre une tamponnade de la vessie. Le patient bénéficie d'une pose de SV 24CH dans le conduit avec rinçage en continu ainsi que d'une pose de SV 24CH transurétrale pour évacuation des urines. L'évolution est par la suite favorable. Les urines restent claires, permettant un retrait des sondes vésicales le 07.05.2019. Après mise en évidence d'une bonne diurèse post-ablation des sondes et d'un auto-sondage sans particularités, Mr. Y rentre à domicile le 07.05.2019. Mr. Y, 86 ans, est hospitalisé de manière élective pour une prise en charge endovasculaire d'une occlusion symptomatique du pontage fémoro-poplité à gauche. Le patient, connu pour une artériopathie des membres inférieurs sévère avec un ulcère nécrotique chronique de l'hallux gauche, ainsi qu'une maladie d'Alzheimer et des troubles de la marche et de l'équilibre est suivi régulièrement en angiologie dans le cadre de son artériopathie sévère. Lors de sa dernière consultation, fin mars, au vu d'une bonne évolution clinique, il a été décidé de poursuivre le traitement conservateur, sans intervention supplémentaire. Actuellement, en raison de douleurs invalidantes, le patient est hospitalisé pour une recanalisation d'une occlusion du pontage fémoro-poplité à gauche qui a lieu le 22.05.2019 avec un bon résultat final après une thrombectomie, des angioplasties au ballon à multiples reprises et, finalement, la mise en place de 2 stents au niveau des anastomoses. Le point de ponction de l'angiographie reste calme pendant l'hospitalisation. Mr. Y, qui est connu pour des troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, avait été institutionnalisé dans ce contexte et ensuite repris à la maison par son épouse. Durant le séjour hospitalier, le patient a refait une chute avec traumatisme crânien, sans autre conséquence. Nous avons conseillé à l'épouse une réévaluation du projet et/ou éventuellement un séjour de réadaptation qu'elle n'a pas souhaité. Une intensification de l'aide à domicile n'a pas non plus été estimée nécessaire par l'épouse. Par ailleurs, le patient, connu pour une suspicion de mésothéliome non investigué en raison de l'attitude limitée chez ce patient, a nécessité une adaptation de l'antalgie en raison de douleurs thoraciques pariétales insuffisamment contrôlées. Le 25.05.2019, Mr. Y rentre à domicile. Mr. Y, 68 ans, connu pour une cardiopathie dilatée d'origine ischémique à FEVG effondrée (25%), est hospitalisé pour une décompensation cardiaque gauche. Il présente en effet depuis 2 semaines une péjoration d'une dyspnée présente depuis 2 mois, accompagnée d'une orthopnée, d'épisodes de dyspnée paroxystique nocturne et d'un épisode de douleur rétro-sternale en barre irradiant dans le bras gauche et cédant à la prise de dérivés nitrés. Au status, il présente des râles crépitants aux 2 bases pulmonaires et des sibilances diffuses, sans œdèmes des membres inférieurs. Le bilan biologique d'entrée montre une élévation des NT-pro-BNP, sans élévations des enzymes cardiaques. Le CT thoraco-abdominal du 30.04.2019, réalisé pour le suivi oncologique, montre des signes de décompensation cardiaque gauche. L'échocardiographie transthoracique montre une FEVG à 28%, stable par rapport aux comparatifs, avec une hypokinésie globale sévère du ventricule gauche, également comparable à la dernière échocardiographie d'avril 2017. L'interrogation du défibrillateur implanté montre plusieurs passages de fibrillation auriculaire paroxystique normocarde, mais en nombre insuffisant pour expliquer la décompensation cardiaque. La scintigraphie myocardique ne montre pas de signe d'ischémie de stress et est superposable au comparatif de juin 2017. Il bénéficie transitoirement d'un traitement diurétique intraveineux de Furosemide, avec par la suite un relais per os par Torasémide, permettant un amendement des symptômes. Nous optimisons le traitement cardiaque en majorant le Bisoprolol et en introduisant l'Aldactone. Nous introduisons également une anticoagulation par Eliquis dans le contexte de la fibrillation auriculaire, en remplacement de l'aspirine cardio. L'origine de la décompensation cardiaque restant indéterminée, nous proposons un dépistage du syndrome d'apnées obstructives du sommeil par une polysomnographie, à laquelle le patient sera convoqué en ambulatoire. En cas de récurrence, nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à une coronarographie.Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y quitte notre service le 08.05.2019 pour un retour à domicile. Mr. Y, 70 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance respiratoire post-opératoire dans le cadre d'une thoracotomie avec lobectomie supérieure droite. Le patient, connu sur le plan respiratoire pour une BPCO stade III et un SAOS non appareillé ainsi qu'un carcinome neuroendocrine du lobe supérieur droit, traité par segmentectomie droite en 2016 et lobectomie du lobe moyen en 2017, est opéré électivement le 21.05.2019 dans le cadre d'une suspicion de récidive de son carcinome pulmonaire. Une thoracotomie est réalisée avec lobectomie du lobe supérieur droit. La perte sanguine opératoire est estimée à 700 ml sans nécessité de transfusion érythrocytaire. Un cathéter de péridural au niveau D7 est en place. L'antalgie est complétée per os par du Paracétamol, de la Novalgine, de l'Oxycontin et Oxynorm. Un double drain thoracique en Y est en place sous aspiration. L'évolution permet le retrait du drain postérieur le 29.05.2019 (à 9 jours de l'intervention). • Le drain thoracique antérieur reste à retirer. L'ablation de la péridurale peut se faire le 29.05.2019 (à 9 jours de l'intervention) avec un relais per os avec Oxycontin/Oxynorm. Un contrôle à 6 semaines sera à prévoir à la consultation de chirurgie thoracique. L'évolution est marquée par l'apparition d'hémoptysies de plus en plus abondantes avec péjoration du statut respiratoire motivant l'administration de Cyclokapron et la mise en suspens transitoire de l'anticoagulation prophylactique par Clexane. Sur avis chirurgical, une attitude expectative est décidée sans noter de récidive des hémoptysies et sans nécessité d'intervention par une bronchoscopie ou un autre examen. La surveillance aux soins intensifs est marquée par des épisodes récidivants de détresse respiratoire à prédominance nocturne et provoquant une labilité du profil tensionnel. L'hypertension artérielle est contrôlée par une majoration du traitement anti-hypertenseur habituel. Une échocardiographie transthoracique montre une fonction du ventricule gauche conservée et permet d'exclure une cause cardiaque aux épisodes de détresse respiratoire qui sont finalement mis sur le compte d'un possible état de stress post-traumatique dans le contexte du décès du père du patient. Un avis psychiatrique propose de stabiliser l'angoisse du patient avec l'introduction d'Atarax. L'évolution est favorable. L'analyse anatomo-pathologique de la biopsie du lobe supérieur droit confirme une récidive tumorale sous forme de carcinome non à petites cellules. Les collègues de l'oncologie sont avertis de la situation du patient et la suite de la prise en charge sera discutée au tumorboard du 29.05.2019. Le patient est transféré en chirurgie le 29.05.2019 pour suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 28 ans, collègue infirmier des soins intensifs, qui se présente le 05.03.2019 aux urgences en raison de gênes respiratoires avec des douleurs dans l'hémithorax droit respiro-dépendantes après avoir bénéficié d'une bronchoscopie le matin du jour même. Le bilan effectué aux urgences retrouve un pneumothorax iatrogène à droite et l'indication à une mise en place d'un drain thoracique est posée. La première nuit de l'hospitalisation est marquée par des douleurs difficilement contrôlables suite à la pose du drain qui nécessite un transfert en salle de réveil où les douleurs sont soulagées qu'après l'administration de Ketalar. La suite de la prise en charge pendant l'hospitalisation reste sans particularité. Les douleurs sont mieux gérables et le drain peut être retiré le 08.03.2019. La radiographie de contrôle ne montre pas de reste de pneumothorax. Mr. Y peut donc regagner son domicile le jour même. Mr. Y présente des gonalgies sur dégénérescences méniscales bilatérales du genou droit, ces dégénérescences méniscales sont associées à une gonarthrose débutante fémoro-tibiale interne. Je pose l'indication pour infiltration par cortisone. Le patient est d'accord avec cette attitude. J'ai ponctionné 4 ml de liquide clair avant l'infiltration. Celle-ci est faite sous anesthésie locale par Rapidocaïne, 80 mg de Dépo Médrol et sont mélangés par 5 ml de Bupivacaïne. Dès l'infiltration, le patient est soulagé. Je le revois dans trois semaines pour une réévaluation clinique à ma consultation. Il reste à l'arrêt de travail total jusqu'à cette date. Mr. Y est amené aux urgences en ambulance le 28.04.2019 en raison de douleurs thoraciques gauches depuis 10 jours, non soulagées par une antalgie simple. Le patient décrit des douleurs respiro-dépendantes et surtout péjorées lors de la toux jusqu'à une intensité de 10/10, de type coup de couteau. Dyspnée et toux stable avec expectorations blanchâtres habituelles. Pas de plainte urinaire, pas de trouble du transit. Pas de traumatisme récent, pas d'autre douleur. L'anamnèse est difficile en raison de l'aphasie connue. À domicile, le patient est en chaise roulante. Il arrive à faire les transferts. Aide de son épouse pour la toilette. À l'admission aux urgences, Mr. Y est normocarde, normotendu et sature à 95 % sous 2 litres d'oxygène. Au statut digestif, sensibilité à la palpation de la fosse iliaque droite, sans défense ni détente. Pas de douleur à la palpation de la prostate. Au statut pulmonaire, présence de ronchis diffus au niveau de la plage pulmonaire gauche. Le laboratoire met en évidence une CRP à 111 mg/l et des leucocytes à 11,6 G/l. La radiographie du thorax montre un épanchement pleural gauche de moyenne abondance pouvant expliquer la clinique. Un US effectué au lit du patient confirme la présence d'un épanchement pleural gauche. Mr. Y est hydraté et nous administrons une antalgie par Voltaren 75 mg avec une bonne efficacité. Le patient est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. En vue d'une ponction pleurale, le Xarelto est mis en suspens. Nous suspectons une pneumonie et le patient est traité par co-amoxicilline iv. Concernant l'épanchement pleural, le bilan est complété par un CT scan thoracique le 30.04.2019 qui retrouve un important épanchement pleural gauche cloisonné avec image abcédée. Une ponction pleurale est effectuée le 01.05.2019 avec retrait de 1,5 litres d'un liquide citrin. Nous posons un drain qui ramène un peu plus de 360 ml. L'analyse cytologique montre la présence d'un exsudat probablement para-pneumonique. La bactériologie est en cours et reste à pister, tout comme la cytologie. La radiographie de contrôle post-ponction ne montre pas d'amélioration, ce qui est confirmé par un CT scan. Le laboratoire de contrôle du 01.05.2019 montre une péjoration du syndrome inflammatoire avec une CRP qui monte jusqu'à 427 mg/l et une leucocytose à 24,9 G/l. Un urotube est prélevé et nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g iv 4x/j. En raison d'un état fébrile à 38,9°C le 29.04.2019 au soir, nous prélevons également des hémocultures. En l'absence d'évolution favorable, nous contactons le Dr. X de la chirurgie thoracique qui pose l'indication à une prise en charge opératoire avec transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg. Mr. Y est donc transféré le 02.05.2019 pour la suite de la prise en charge. À noter qu'au moment du transfert, le patient est fébrile à 39,4°C et oxygéno-dépendant à 4 litres/min. Mr. Y nous est transféré des soins intensifs le 08.05.2019 pour la suite de la prise en charge.Pour rappel, le patient était hospitalisé du 28.04 au 02.05.2019 en médecine à l'HFR Riaz pour une pneumonie communautaire G compliquée par un empyème parapneumonique gauche, raison pour laquelle il a été transféré aux soins intensifs pour effectuer une thoracotomie et une décortication pleurale par le Dr. X le 03.05.2019. La biopsie pulmonaire a mis en évidence un Streptococcus anginosus. À son arrivée dans notre service, le patient décrit une discrète dyspnée en amélioration. Le dernier drain est enlevé le 09.05.2019 sans complication. L'évolution est favorable. Sur avis infectiologue, l'antibiothérapie est poursuivie par Amoxicilline po pour une durée de 2 semaines après retrait du dernier drain thoracique. Sur le plan hépatique, nous avons effectué un US-abdominale suite à la perturbation du test hépatique, qui se révèle sans particularité. Nous interprétons cette perturbation hépatique dans un contexte médicamenteux. Nous proposons de répéter l'examen biologique à distance. Un escarre sacré de grade II est observé durant son hospitalisation pour lequel Mr. Y bénéficie d'un suivi par les stomatothérapeutes. Un suivi rapproché est à prévoir. Au cours de l'hospitalisation, Mr. Y a développé un état fébrile avec diarrhée aiguë sous antibiothérapie. La recherche de C. difficile revient négative. L'examen biologique montre une amélioration du syndrome inflammatoire. Nous retenons une diarrhée dans le cadre de la nutrition entérale, raison pour laquelle nous débutons un traitement par Optifibre et Imodium. Le patient bénéficie également d'une prise en charge par nos collègues diététiciens au vu d'une malnutrition protéino-énergétique modérée. Le patient est nourri partiellement par nutrition entérale sur une sonde nasogastrique. Mr. Y bénéficie de physiothérapie de rééducation à la déglutition. Ce suivi reste à suivre dans votre service. Mr. Y est transféré le 13.05.2019 à l'HFR Riaz après la stabilisation de son état général pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 59 ans, est admis aux soins intensifs le 02.05.19 pour un empyème parapneumonique gauche sur une pneumonie communautaire à S. anginosus. Pour rappel, le patient a été hospitalisé à l'HFR Riaz pour des douleurs basithoraciques gauches avec épanchement pleural. L'évolution a été marquée par une péjoration du syndrome inflammatoire et un état fébrile, motivant une antibiothérapie par Co-amoxicilline. L'évolution est défavorable, avec mise en évidence d'un épanchement cloisonné au CT thoracique. Un drain thoracique est posé le 01.05.19 sans amélioration clinique, biologique et radiologique. Il bénéficie d'une thoracotomie avec décortication pleurale gauche et mise en place de deux drains thoraciques le 03.05.2019. L'intervention et les suites opératoires se déroulent sans complication. La situation respiratoire s'améliore progressivement sous physiothérapie et séances de VNI. Les prélèvements per-opératoires retrouvent un Streptococcus anginosus. Sur avis infectiologique, l'antibiothérapie sera à adapter avec restriction du spectre par de l'Amoxicilline. Le traitement sera à poursuivre pour une durée a minima de 14 jours dès ablation de l'ensemble des drains thoraciques. Le premier drain thoracique a été retiré le 06.05.2019 soit à J3 de l'intervention et le second drain sera à retirer entre J7-J8 (soit entre le 10 et le 11.05.2019) sur avis chirurgical (Dr. X). Le patient est connu pour une fibrillation auriculaire paroxystique. Le Rivaroxaban a été suspendu à l'entrée de l'hospitalisation. Une anticoagulation thérapeutique par Liquémine est reprise le 07.05.2019, soit à J4 de la décortication. L'anticoagulation par Rivaroxaban sera à reprendre. Le suivi biologique retrouve une perturbation des tests hépatiques. Cette perturbation reste d'étiologie peu claire. Un bilan d'imagerie par ultrason est en cours et sera à pister. À noter aussi une hypophosphatémie répondant à une substitution intraveineuse et per os qu'il s'agira de contrôler lors de la suite de l'hospitalisation. Le patient est transféré en médecine interne le 08.05.2019 pour suite de la prise en charge. Mr. Y a été hospitalisé du 09.05 au 10.05.2019 dans notre service de médecine interne pour investigation d'un nystagmus multidirectionnel nouveau. Le patient s'était présenté le même jour en ophtalmologie en raison d'une rougeur et d'un flou visuel bilatéral, mis sur le compte d'une blépharite aiguë bilatérale et pour laquelle un traitement par antibiotique topique a été instauré. Après mise en évidence d'un nystagmus multidirectionnel, associé à des plaintes de vertiges, nos confrères ont référé le patient au service des urgences pour investigations neurologiques. Les examens neurologiques, du LCR et radiologiques réalisés durant son hospitalisation n'ont pas mis en évidence d'accident vasculaire ou d'effet de masse. À l'anamnèse, nous ne retenons pas d'exposition à des toxiques pouvant expliquer les symptômes (pas de drogue, pas de médicament). Une origine inflammatoire ou infectieuse semble peu probable (pas de bande oligoclonale à l'examen du LCR ; sérologie syphilis négative, HIV négatif). Le diagnostic retenu à l'heure actuelle est celui d'un nystagmus central idiopathique, DD cérébellite. Concernant les vertiges possiblement liés à une tension artérielle basse, nous encourageons le patient à s'hydrater et à se reposer suffisamment. Nous l'encourageons dans son arrêt de tabac. Dans l'impossibilité de réaliser un Quantiféron avant le départ du patient, nous vous prions de bien vouloir compléter le bilan par cet examen et de contacter les neurologues de l'HFR en cas de résultats positifs. Nous vous prions également de bien vouloir convoquer le patient 10-15 jours après sa sortie pour discuter des résultats sérologiques et de LCR que nous vous ferons parvenir dès que nous les aurons et de prévoir un contrôle en neurologie dans 2 mois afin de suivre l'évolution clinique du patient. Au vu des premiers résultats rassurants et du bon état général du patient avec diminution du flou visuel initial sous traitement ophtalmologique topique et amélioration des vertiges, Mr. Y a pu rejoindre son domicile en compagnie de son épouse le 10.05.2019. Mr. Y, 63 ans, connu pour un probable AVC ischémique mineur sylvien sous-cortical gauche, est hospitalisé dans un contexte de suspicion d'AIT sylvien gauche. Pour rappel, le patient présente des céphalées temporales à droite lors du sommeil la nuit du 01.05.2019 associées à une sensation d'engourdissement de l'hémicorps droit. Au service des urgences, Mr. Y présente des hypoesthésies de l'hémiface droite, une asymétrie faciale en défaveur de la gauche et un hémisyndrome sensitivo-moteur brachio-crural droit discret. Le CT cérébral est dans la norme, le résultat est confirmé par l'IRM de contrôle sans signe ischémique aigu ou ancien. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une fonction cardiologique conservée avec une oreillette gauche non dilatée. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation ; les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Sur le plan étiologique, après un bilan psychiatrique, une origine fonctionnelle semble peu probable. Une crise migraineuse n'est pas retenue non plus en absence des critères diagnostiques. Dans ce contexte, l'origine la plus probable est un accident ischémique transitoire sylvien gauche. Nous introduisons un traitement par Plavix 75 mg 1x/j. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est réintroduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l).L'évolution clinique est favorable avec un status neurologique de sortie dans la norme. Mr. Y peut regagner son domicile le 04.05.2019. Nous rappelons au patient que la conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y présente un ongle incarné des côtés médial et latéral de l'hallux gauche. La forme de l'ongle favorise une incarcération des côtés médial et latéral. L'indication pour une cure d'ongle incarné selon Kocher des 2 faces de l'hallux gauche est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire pour le 03.06.2019. Mr. Y, âgé de 50 ans, connu pour 2 opérations de l'étage lombaire (cf comorbidités), nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la pose de XLIF L4-L5 avec abord rétropéritonéal et trans-psoas du côté G avec pose de cage Timberline Zimmer et vis latéro-latérales le 21.01.2019. Sur le plan social, le patient vit avec son amie dans un appartement au rez-de-chaussée. À domicile, le patient marche sans moyen auxiliaire. Il ne travaille plus depuis 4 ans à cause des douleurs dorsales (ancien installateur sanitaire). À l'admission, le patient se plaint de douleurs lombaires avec irradiation au niveau des 2 jambes, mais plus importantes à droite. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. À l'anamnèse par systèmes, le patient signale une constipation chronique et des douleurs mictionnelles déjà connues et investiguées. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La force du quadriceps et du psoas au MID est cotée à M3 et au MIG à M4, mais l'interprétation est difficile en raison des lâchages antalgiques lors de l'examen clinique. La force distale des MI paraît conservée. La sensibilité est conservée. On ne met pas de signes cortico-spinaux en évidence aux MI. La mobilité du tronc est très diminuée avec un important syndrome lombovertébral ainsi qu'une limitation sévère des amplitudes dans les mouvements d'inclinaison latérales, de rotations et d'extension du rachis. Durant son séjour, le patient a été évalué par notre psychiatre de liaison qui met en évidence une dysthymie secondaire au syndrome algique, mais le patient ne souhaite pas de traitement médicamenteux spécifique pour le moment, ni de soutien avec un suivi ambulatoire. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie, à sec et en bassin thérapeutique, et ergothérapie. À la sortie, il marche sans moyen auxiliaire, peut monter/descendre 2 étages d'escaliers avec la main courante et faire de l'endurance sur vélo 3 séries de 5 minutes. Au test de 6 minutes réalisé le 07.05.2019, la distance parcourue est de 310 m. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire 2x/semaine afin de continuer le renforcement et la mobilisation. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est peu favorable dans le sens où il n'y a pas de réelle amélioration subjective et objective et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 14.05.2019, en état général conservé. Mr. Y est un patient de 67 ans, connu pour une maladie de Crohn avec un status post-plusieurs laparotomies avec résection des segments intestinaux (Clinique St-Anne), qui consulte aux urgences en raison de douleurs abdominales au niveau du flanc droit en péjoration depuis 24 heures associées à des épisodes de vomissement. Un bilan biologique montre une créatinine à 400 umol/L et une leucocytose à 14.9 G/L. Un CT abdominal natif met en évidence une rupture du fornix rénal à droite. Le patient bénéficie d'une pose de double J bilatérale en urgence le 05.05.2019. L'évolution est par la suite favorable, avec une normalisation des leucocytes et une amélioration de la fonction rénale. Mr. Y rentre à domicile le 08.05.2019. Un contrôle chez le Dr. X est à prévoir dans 2 semaines pour discuter de la suite de la prise en charge. Mr. Y, connu pour une BPCO stade IV avec exacerbations à répétition sous oxygénothérapie à domicile, est amené aux urgences en ambulance le 02.05.2019 en raison d'une dyspnée et d'une toux en augmentation depuis le matin. Les expectorations sont de couleur habituelle (blanchâtres) mais le patient a de la peine à expectorer. Il rapporte une dyspnée, non améliorée après 4 pushs de Ventolin la nuit précédente. À noter le suivi en cours concernant une suspicion de néoplasie pulmonaire de stade cT4 cN2 cM0 stade IIIB. À l'admission aux urgences, Mr. Y est acyanotique, tachypnéique à 26/min, légèrement tachycarde à 103/min, normotendu à 112/70 mmHg et afébrile à 36.6°C. Au status pulmonaire, nous notons une hypoventilation sur l'ensemble des deux plages avec sibilances légères. Le reste du status est dans la norme. Le bilan biologique met en évidence une créatinine à 139 mcmol/l avec une CRP discrètement augmentée à 15 mg/l, sans leucocytose. La gazométrie montre une acidose respiratoire avec pH à 7.29, PO2 à 9.2 kPa et PCO2 à 10 kPa sous 4 litres d'oxygène. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Au vu de 2/3 critères d'Anthonisen, nous débutons une antibiothérapie par Co-Amoxi 1,2 g iv 3x/24h du 02 au 03.05.2019 avec un relai par voie orale du 04 au 08.05.2019. Une corticothérapie par Prednisone 50 mg 1x/24h est débutée pour une durée de 5 jours (jusqu'au 06.05.2019). Le patient bénéficie également d'un traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin jusqu'au 06.05.2019, date à laquelle il reprend son traitement habituel, avec retour à des conditions cliniques habituelles. Nous diminuons également l'oxygénothérapie jusqu'à la valeur habituelle à domicile (1,5 l/min). Le 09.05.2019, nous effectuons une séance de VNI en raison de l'hypercapnie dans le cadre d'une augmentation de l'oxygénothérapie aux lunettes, avec une bonne réponse clinique. L'oxygène est réduit à la dose habituelle par la suite. Mr. Y étant angoissé, nous introduisons un traitement par Distraneurine avec une bonne réponse. Nous laissons le soin à nos collègues des soins palliatifs de réévaluer la nécessité du traitement. Nous effectuons un CT scan thoracique qui montre une progression tumorale avec augmentation en taille de la lésion tumorale lobaire inférieure droite. Le patient est évalué par la Dr. X, oncologue traitante, qui lui explique la situation. Une ponction transthoracique pour examiner la masse serait faisable, mais les risques d'une complication pendant la procédure et aussi d'un éventuel traitement oncologique seraient trop élevés chez un patient n'ayant plus de réserve pulmonaire en raison de sa BPCO. Elle suggère donc un séjour à la Villa Saint-François afin de traiter les symptômes (angoisse, dyspnée) et soulager le patient et sa famille. Mr. Y est donc transféré à la Villa St-François le 13.05.2019. Mr. Y présente 2 problèmes. Il a une dégénérescence de la corne postérieure du ménisque interne et il souffre d'une douleur en regard du tiers distal du tibia droit. Comme diagnostic différentiel, je retiens une périostite focale sur le tiers distal du tibia droit. Afin de clarifier la situation, avant de discuter de la suite du traitement, je préconise une IRM de la jambe droite. Je le reverrai suite à cet examen afin de discuter des résultats. Pas d'arrêt de travail.Prochain rendez-vous : 24.05.2019. Mr. Y, patient de 87 ans, est adressé aux soins intensifs pour la prise en charge d'un STEMI latéral. Mr. Y se présente aux urgences de Riaz avec des douleurs rétro-sternales évaluées depuis 2 jours au repos sans dyspnée nouvelle d'accompagnement. Un ECG montre une modification avec un sus-décalage ST en V5-V6-V7-D1. Le patient est transféré pour une coronarographie qui ne montrera pas de lésion compatible avec la clinique du patient. A son arrivée aux soins intensifs, le patient est normocarde et hypertendu avec un état général conservé. Le suivi de la troponine ne montre pas d'élévation et les CK sont normaux. Le diagnostic d'angor instable est probable sachant que le patient est arrivé hypertendu à Riaz. Il est à noter qu'un ECG de 2008 obtenu de son médecin traitant montre un léger sus-décalage en V5-V6. Le patient ne présente plus de douleurs depuis son transfert. Il est retransféré en médecine à Riaz pour la suite de sa prise en charge. Mr. Y, 55 ans, connu pour un adénocarcinome du hile hépatique métastatique et un adénocarcinome pulmonaire métastatique, actuellement traité par Atezolizumab (Tecentric), nous est adressé le 13.05.2019 par son oncologue traitant, le Dr. X en raison d'une suspicion de colite d'origine médicamenteuse. Le patient présente des diarrhées non hémorragiques et afébriles depuis le 08.05.2019, jusqu'à 4 fois par jour. Un traitement par Prednisone 1 mg/kg et Imodium déjà initiés en ambulatoire dès le 10.05.2019 a permis la résolution des symptômes. Le patient se décrit comme étant dépassé par la situation oncologique, ressent une baisse thymique dans un contexte de conflits familiaux secondaires à la maladie oncologique. L'examen clinique est sans particularité et le bilan biologique montre une cholestase connue mais en amélioration comparée au contrôle précédent. En raison de la suspicion d'une colite d'origine médicamenteuse, nous poursuivons la corticothérapie, tout en diminuant la dose au vu de la bonne évolution symptomatologique. Nous effectuons un CT-Scan thoraco-abdomino-pelvien qui montre une stabilité oncologique pulmonaire et hépatique. Le Dr. X recevra le patient en consultation oncologique dans une semaine pour discuter des résultats et de la suite de la prise en charge. Pour le reste, le patient et sa famille expriment une fatigue morale par rapport à la situation oncologique. Bien que bénéficiant d'une prise en charge psychiatrique en ville, nous organisons à leur demande une prise en charge onco-psychologique au HFR-Fribourg ainsi qu'une aide au ménage pour soulager le patient dans son quotidien. Nous reprenons également la prise en charge Voltigo. Le patient rentre à domicile dans un bon état général le 16.05.2019. Mr. Y est un patient de 56 ans en bonne santé habituelle. Il est hospitalisé dans le service de Médecine Interne pour une suspicion de lymphome le 24.04.2019. Le patient rapporte un état fébrile fluctuante associé à une asthénie, une perte pondérale et des sudations nocturnes évoluant depuis 2 mois environ conjointement au développement d'adénopathies axillaires gauches. Lors de son évaluation aux urgences, le patient est hémodynamiquement stable et afébrile. Les adénopathies axillaires gauches sont retrouvées, tout comme une splénomégalie massive. Le bilan biologique met en évidence une pancytopénie. Un CT thoraco-abdominal est effectué, confirmant la présence d'un magma d'adénopathies au niveau axillaire ainsi que l'hépatosplénomégalie, toutefois sans autre lésion suspecte. Devant la suspicion d'hémopathie maligne, une ponction-biopsie de moelle est effectuée, ne montrant pas d'atteinte médullaire. Les collègues de chirurgie procèdent parallèlement à une adénectomie axillaire qui confirme la présence d'un lymphome à grande cellule B, riche en cellules B matures et en histiocytes. Dans ce contexte, les oncologues sont impliqués et une chimiothérapie ambulatoire est proposée. Lors de son arrivée, le patient présente une pancytopénie. La PBM ne donne pas d'argument pour une cause centrale et celle-ci est interprétée dans le contexte de l'hypersplénisme. Le patient bénéficie d'une transfusion d'un culot érythrocytaire le 01.05 et il reçoit 2 doses de Neupogène en raison d'un passage en agranulocytose du 26.04 au 01.05.2019. Son hospitalisation se complique par un épisode d'agranulocytose fébrile le 26.04.2019. Un examen clinique extensif ne révèle pas de foyer. Un traitement de Cefepime est maintenu durant 5 jours puis stoppé en raison de la résolution de l'agranulocytose et de l'absence de germe retrouvé dans les différentes cultures. Le patient est averti de reconsulter aux urgences en cas d'épisode fébrile. Lors de son suivi biologique, une perturbation modérée des tests hépatiques sans cholestase est mise en évidence. Devant la suspicion d'une étiologie médicamenteuse sur la Cefepime, un seul suivi biologique à distance de l'arrêt de la molécule est recommandé chez le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, le patient rentre à domicile le 01.05.2019. Les suites oncologiques sont organisées en ambulatoire. Mr. Y est un patient de 72 ans qui est hospitalisé le 19.05.2019 en électif pour une cure de hernie inguinale. L'intervention est effectuée le jour même et se déroule sans particularité. Les suites opératoires sont simples avec des douleurs bien contrôlées par l'antalgie simple. Le Sintrom est repris dès le 21.05.2019 avec un bridging avec de la Clexane. Le redon peut être retiré le 22.05.2019 permettant au patient un retour à domicile le même jour. Mr. Y est amené en ambulance au service des urgences le 07.05.2019 à 8h du matin pour un hémi-syndrome moteur gauche, associé à des troubles de l'état de conscience et une probable morsure de langue. La dernière preuve de bonne santé date de 4h du matin, d'après sa femme. Au status clinique au service des urgences, le patient présente un GCS à 7/15 avec des pupilles isocores en myosis aréactives et un hémisyndrome moteur gauche. Un CT-scan cérébral démontre une hémorragie intraparenchymateuse et intraventriculaire massive de l'hémisphère droit avec signe d'engagement des amygdales cérébelleuses. En accord avec la famille, le patient est hospitalisé pour des soins de confort. Mr. Y décède le mercredi 09.05.2019, sans souffrance, en présence de son épouse. Mr. Y, 38 ans, est hospitalisé aux soins intensifs en post-opératoire d'une excision d'un abcès le long des extenseurs de l'avant-bras droit post-injection de cocaïne. Il est connu pour une obésité, un syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, une hépatite C, une polytoxicomanie active et un éthylisme chronique. Il présente une dermohypodermite de l'avant-bras droit avec thrombophlébite de la veine céphalique. Il bénéficie le 18.05.2019 d'une excision d'un abcès le long des extenseurs de l'avant-bras droit sous anesthésie générale. L'intervention se déroule sans complication. Le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance respiratoire et gestion de l'antalgie. Durant la surveillance, le patient refuse un soutien ventilatoire et possède des saturations aux environs de 80% à l'air ambiant. Cette situation est chronique au vu de la polyglobulie et toute prise en charge est soldée par un refus du patient. L'antalgie est assurée par des opiacés par voie orale. Sur avis des opérateurs, l'antibiothérapie par Co-amoxicilline est poursuivie et sera à adapter selon l'évolution clinique et les prélèvements per-opératoires. Le premier pansement sera à effectuer à 24 heures de l'intervention avec ablation du Redon. Une intervention de 2nd look est prévue pour le 21.05.2019 avec dans l'intervalle une simple immobilisation par attelle plâtrée.Le patient est connu pour un syndrome des apnées du sommeil avec aussi une obésité-hypoventilation. Un éventuel appareillage nocturne sera à discuter avec les collègues de pneumologie au cours de l'hospitalisation. A noter une thrombophlébite de la veine céphalique du membre supérieur droit mise en évidence au CT-scanner d'entrée provoquée par l'injection intraveineuse que nous traitons par enoxaparine à dose prophylactique. Une anticoagulation thérapeutique doit être discutée avec les angiologues selon le risque d'extension vers une thrombose veineuse profonde (contexte post-opératoire et infectieux). Vu l'évolution clinique et biologique favorable, le patient est transféré à l'étage d'orthopédie pour suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 47 ans, qui présente une clinique de cholécystolithiase symptomatique suivi à la consultation des chefs de clinique. Le patient bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique le 03.05.2019. Les suites opératoires sont simples permettant à Mr. Y de rejoindre son domicile le 04.05.2019. Mr. Y, 67 ans, est hospitalisé aux soins intensifs sur demande de son médecin traitant en raison d'une hyponatrémie à 106 mmol/l. Le patient a présenté une baisse de l'état général avec symptômes digestifs (nausées, vomissements, accélération du transit 4x/jour), toux productive d'expectorations claires sans état fébrile depuis 4 - 5 jours et hoquet depuis 1 mois. Une hyponatrémie hypo-osmolaire sévère a été constatée à l'admission, survenue dans le contexte d'une consommation de 1.5-2.5 L de bière par jour. L'évolution a été marquée par une agitation traitée par benzodiazépine puis baisse de l'état de conscience nécessitant une intubation oro-trachéale. Une épilepsie n'a pas été identifiée à l'EEG. L'état d'éveil du patient s'est amélioré rapidement après l'administration de NaCl hypertonique permettant l'extubation et sans nouvelle agitation par la suite. Une composante médicamenteuse (benzodiazépine) aux troubles de l'état de conscience était possible. La natrémie s'est stabilisée à 123 mmol/l après adaptation de la perfusion de NaCl et sous traitement itératif de glucose 5% avec une vitesse de correction de la natrémie de 0.5 mmol/l/h au maximum. Les autres troubles électrolytiques modérés ont aussi été substitués. Une rhabdomyolyse modérée s'est rapidement corrigée. Un syndrome inflammatoire avec nécessité transitoire de faibles doses de noradrénaline le 09.05.2019 sans sédation reste à surveiller. Malgré une colonisation des voies aériennes supérieures par de l'Haemophilus influenzae et Rothia mucilaginosa, la radiographie de thorax n'a pas mis en évidence d'infiltrat pulmonaire. Aucune autre piste infectieuse n'est clairement identifiée et l'évolution clinique et biologique est plutôt rassurante sans antibiothérapie. Le traitement devra être adapté en fonction de l'évolution. Le patient a été transféré le 10.05.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y, patient de 51 ans, marié et deux enfants, est admis le 07.05.2019 au service des urgences de l'HFR Fribourg en raison d'une dyspnée avec toux et expectoration évoluant depuis environ trois jours, accompagnés de douleurs respiro-dépendantes à prédominance sus-sternales. A son arrivée, le patient est dyspnéique au moindre effort et présente une toux productive avec crachats purulents. Devant sa présentation clinique et au vu des résultats paracliniques, nous retenons un diagnostic de pneumonie communautaire bactérienne, confirmée par une culture d'expectoration positive pour Haemophilus influenzae. Le patient bénéficie d'un traitement par Co-Amoxicilline 07.05 au 14.05.2019. La recherche d'antigènes urinaires pour S. Pneumoniae et Légionelle se révèle négative. Nous instaurons également un traitement de fond de Atrovent et Ventolin au vu de la probable maladie pulmonaire chronique sous-jacente dans un contexte de tabagisme chronique. Mr. Y accepte une physiothérapie respiratoire sans séance C-PAP (qui était mal tolérée au service des urgences). Au vu d'une perte de poids évoquée par le patient (-5 kg en moins de deux semaines) et du fait d'un tabagisme important rendant probable une broncho-pneumopathie chronique obstructive, nous recommandons une suite de prise en charge en clinique de pneumologie, dans l'optique d'un bilan de fonction pulmonaire et d'imagerie. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y rentre à domicile le 14.05.2019. Mr. Y, votre patient de 54 ans connu pour une cirrhose d'étiologie éthylique, récemment hospitalisé à l'HFR-Meyriez pour prise en charge palliative d'une encéphalopathie hépatique, nous est adressé via les urgences le 02.05.2019 par le centre Torry pour ralentissement psychomoteur en péjoration depuis une semaine. Aux urgences, le patient bénéficie d'une ponction d'ascite le 02.05.2019 avec repérage US rapportant 5.2 litres de liquide sans signe infectieux. Mr. Y présente un tableau d'encéphalopathie hépatique avec une évolution fluctuante sur le plan clinique, malgré une amélioration sur le plan biologique. Au vu de son incapacité à recevoir ses traitements par voie orale de manière transitoire, nous instaurons des lavements de lactulose avec nette amélioration de l'encéphalopathie et reprise du transit intestinal. Un US de l'abdomen réalisé le 03.05.2019 montre une veine porte perméable et pas d'obstruction sus-hépatique. Le patient bénéficie d'une nouvelle ponction d'ascite le 13.05.2019 par repérage US et rapportant de 9900 ml de liquide citrin. Nous ne retrouvons pas d'argument pour une péritonite bactérienne spontanée. L'activité du Facteur V est mesurée à 41% le 13.05.2019 alors qu'elle s'élevait à 29% le 03.05.2019. Lors de sa sortie, il est orienté dans tous les modes et autonome pour l'ensemble de ses activités de la vie quotidienne. Sur le plan addictologique, le patient nie toute récidive de consommation alcoolique. Il nie également toute autre prise de toxiques. Sur le plan social, le patient présente un tableau complexe du fait de sa situation conjugale notamment (en instance de divorce, ne désire pas que son ex-épouse lui rende visite). En raison de son état d'encéphalopathie fluctuante, le centre du Torry exprime l'incapacité à ré-accueillir le patient. Mr. Y est par ailleurs au chômage et relativement isolé, vivant initialement avec son fils, alors que sa fille habite avec sa future ex-épouse. Il entretient une bonne relation avec son fils et son beau-frère. Un retour à domicile semble fortement compromis dans un futur immédiat dans ce contexte. Au vu de sa bonne évolution sur le plan clinique et biologique, nous transférons Mr. Y à la Villa-St-François le 14.05.2019 pour suite de prise en charge. Le projet social sera à réévaluer après stabilisation de l'état clinique. Mr. Y est un patient de 78 ans connu pour une hyperplasie bénigne de la prostate et une prostatite chronique. Un globe urinaire le 18.03.2019 avait motivé la mise en place d'une sonde vésicale et le Dr. X pose l'indication à une résection transurétrale de la prostate, raison de l'hospitalisation actuelle. L'intervention se déroule sans complication sous rachi-anesthésie. Mr. Y bénéficie d'une antibiothérapie par Céfuroxime 500 mg/jour dès le 01.05.2019. Les suites opératoires sont simples, le patient reste afébrile et ne présente pas de douleur durant son séjour. Vu la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 04.05.2019, avec la sonde vésicale en place. L'antibiothérapie sera poursuivie jusqu'au 13.05.2019 et le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 08.05.2019 pour contrôle et retrait de la sonde.Mr. Y, un patient de 59 ans, connu pour des douleurs mixtes chroniques (nociceptives, neuropathiques) au niveau sacré gauche avec irradiation dans la jambe ipsilatérale dans le cadre d'un carcinome épidermoïde peu différencié de type basaloïde à haute fraction de prolifération métastatique au niveau osseux, qui nous est adressé par Voltigo pour une gestion antalgique et un maintien impossible à domicile. Au cours de l'hospitalisation, les douleurs fluctuent en intensité, nous obligeant à procéder à plusieurs rotations possiblement dues à des effets de tolérance pharmacologique. Après chaque rotation, l'antalgie était satisfaisante. Mr. Y reste avec un état général diminué, cachectique, avec un ralentissement psychomoteur important, une somnolence augmentée, associés à un miosis serré bilatéral, évoquant un surdosage en opioïde lorsque les douleurs ne sont que des douleurs incidentes. Si Mr. Y évoque initialement son désir de reprendre des forces pour rentrer à domicile, son état clinique reste fragile avec une gestion antalgique difficile. Par conséquent, la perte d'autonomie reste difficile à accepter pour lui. Au cours du séjour, Mr. Y présente une tristesse grandissante associée à une angoisse, en lien avec la perte de son domicile en raison de la fermeture de l'Hôtel Elite et de l'impossibilité d'un retour à domicile. Plusieurs entretiens avec le patient sont entrepris, afin de l'accompagner dans sa souffrance et son deuil, et de cheminer vers un processus à la recherche d'un nouveau lieu de vie en home médicalisé. Au niveau social, Mr. Y est seul et n'a eu aucune visite au cours de l'hospitalisation. En date du 13.05.2019, Mr. Y est transféré à l'UATO dans l'attente d'un EMS. Nous restons à votre disposition en cas de nécessité pour la gestion antalgique, ou pour un retour dans notre institution si péjoration clinique. Mr. Y, 71 ans, est admis aux soins intensifs le 21.05.2019 pour une décompensation diabétique inaugurale acidocétosique et hyperosmolaire. Il s'agit d'un patient connu pour une HTA, adressé aux urgences par son médecin traitant en raison d'une symptomatologie de bouche sèche et polydipsie depuis 5 jours sans infection récente. Le bilan à l'entrée met en évidence une hyperglycémie à 39 mmol/l avec une osmolalité à 347 mosmol/kg. La gazométrie à l'arrivée montre une acidose métabolique sévère avec pH 7,28, pCO2 à 1,8, Bic à 6 et BE à -19,8. Un traitement d'hydratation et insuline i.v. est débuté, de même qu'une substitution en potassium iv. L'évolution est rapidement favorable, permettant l'arrêt de l'insulinothérapie iv après 24h, avec relais par un traitement d'Insulatard avec un schéma d'Humalog en réserve. L'hypokaliémie va nécessiter une substitution iv et per os avec des doses relativement importantes (60 mEq iv et 3x 60 mEq per os). Le potassium est à 4,3 le 23.05. Nous diminuons les doses à 40 mEq iv et 3x 60 mEq per os, et vous laissons suivre l'évolution du taux de la kaliémie avec un contrôle biologique quotidien. À son arrivée, le patient présente une insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine pré-rénale (FE urée 21%). L'évolution est rapidement favorable en 48h avec une créatinine qui passe de 189 à 63. Durant son séjour, Mr. Y va présenter des épisodes de bradycardie avec des pauses sinusales, sur probable maladie du sinus. Le patient est vu en consultation par le Dr. X, qui retient l'indication à la mise en place d'un pacemaker, qui a lieu le 23.05.2019 sans complication. Au vu de l'évolution favorable, un transfert dans le service de médecine interne est possible le 23.05.2019. Mr. Y, 71 ans, est hospitalisé pour une décompensation diabétique inaugurale acidocétosique et hyperosmolaire, initialement pendant 48 heures aux soins intensifs puis en médecine interne. Il s'agit d'un patient connu pour une hypertension artérielle et un tabagisme actif, adressé aux urgences par son médecin traitant en raison d'une symptomatologie de bouche sèche et polydipsie évoluant depuis 5 jours avant son hospitalisation sans infection récente. Le bilan à l'entrée met en évidence une hyperglycémie à 39 mmol/l avec une osmolalité à 347 mosmol/kg. La gazométrie à l'arrivée montre une acidose métabolique sévère avec pH 7,28, pCO2 à 1,8, Bic à 6 et BE à -19,8. Un traitement d'hydratation et insuline i.v. est débuté, de même qu'une substitution en potassium iv. L'évolution est rapidement favorable, permettant l'arrêt de l'insulinothérapie iv après 24h, avec relais par un traitement d'Insulatard avec un schéma d'Humalog en réserve. L'hypokaliémie va nécessiter une substitution iv pendant encore 72 heures puis per os. À son arrivée, le patient présente une insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine pré-rénale (FE urée 21%). L'évolution est rapidement favorable en 48h avec une créatinine qui passe de 189 à 63. Durant son séjour, Mr. Y va présenter des épisodes de bradycardie avec des pauses sinusales, sur probable maladie du sinus. Le patient est vu en consultation par le Dr. X, qui retient l'indication à la mise en place d'un pacemaker, qui a lieu le 23.05.2019 sans complication. L'évolution à l'étage de médecine interne est favorable. Mr. Y bénéficie d'une prise en charge par les infirmières spécialisées en diabétologie pour l'enseignement concernant la prise des glycémies et les injections d'insuline. Les auto-anticorps sont dosés et encore en cours. Ils seront pistés lors de la prochaine consultation en diabétologie. Le patient bénéficie également d'une prise en charge diététique et sera suivi en ambulatoire. Nous recommandons un suivi rigoureux des facteurs de risque cardiovasculaire, chez ce patient déjà en prévention secondaire suite à la mise en place d'un stent au niveau de l'a.fémorale G en 2014. Nous vous proposons de considérer un traitement par statine en prévention secondaire dès que la situation actuelle est stabilisée, avec une cible de LDL-cholestérol < 1.8 mmol/L. Nous rediscutons avec Mr. Y de sa consommation de tabac et ne présente actuellement pas de motivation quant à l'arrêt. Cependant, merci de poursuivre la discussion à votre cabinet. Une consultation en angiologie est programmée en ambulatoire pour le suivi de l'artériopathie des membres inférieurs, car il mentionne à l'anamnèse une claudication et des crampes aux mollets à 500 mètres avec des douleurs aux jambes à la montée. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 29.05.2019. Mr. Y, résidant au foyer St-Germain à Gruyères, est amené aux urgences le 11.05.2019 en raison d'un épisode d'hématémèse avec hypotension. L'anamnèse et l'examen clinique sont difficilement réalisables en raison des troubles cognitifs connus. L'hétéro-anamnèse rapporte un épisode d'hémoptysie il y a une semaine et un épisode d'hématémèse le jour de l'admission. Les dernières selles datent de la veille, de consistance normale, sans sang. Mr. Y n'a pas de douleur ni de dyspnée. Pour rappel, le patient est sous antibiothérapie par co-amoxicilline à poursuivre jusqu'au 13.05.2019 pour une suspicion de pneumonie droite. À l'admission aux urgences, le patient est normotendu à 120/60 mmHg, afébrile et sature à 99% à l'air ambiant. Au statut neurologique, Mr. Y est désorienté dans le temps et l'espace. Au statut digestif, les bruits hydro-aériques sont normaux en tonalité mais diminués en fréquence. L'abdomen est induré, sans défense ni détente. Le toucher rectal est indolore, pas de selles méléniques au doigtier, pas de sang frais. Au niveau cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, avec un souffle systolique important maximal au foyer aortique. Pas d'œdème des membres inférieurs. À l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique, sans bruit surajouté.Aux urgences nous n'objectivons pas de nouvel épisode d'hématémèse. Le laboratoire met en évidence une anémie normocytaire hypochrome avec une hémoglobine à 88 g/l, une CRP à 50 mg/l, des leucocytes à 9 G/l et une créatinine à 76 umol/l. Les paramètres hépato-pancréatiques sont alignés excepté une Gamma GT à 170 U/l. Le patient reçoit 80 mg de Nexium iv puis 8 mg/h. Il bénéficie également de la transfusion de 3 culots érythrocytaires. Mr. Y est gardé en surveillance en lit d'observation aux urgences puis transféré à l'étage de médecine. A l'étage, le patient est confus et pâle. Au status digestif, l'abdomen est tendu et la palpation abdominale est diffusément douloureuse, avec détente et défense. Les bruits intestinaux sont diminués en fréquence et en intensité. Nous effectuons un CT scan abdominal qui met en évidence une ascite de faible abondance, prédominant au niveau de la gouttière pariéto-colique droite et au niveau du pelvis, mais ne montre pas d'argument formel pour une perforation digestive. Malgré les transfusions, l'hémoglobine continue à baisser avec une valeur à 80 g/l le 13.05.2019. Après discussion avec la famille, des limitations thérapeutiques sont décidées. Nous mettons en place de la Morphine en réserve à but antalgique. Le 15.05.2019, pour le confort du patient nous introduisons du Dormicum iv 0,5 mg/h en plus de la Morphine d'office. Mr. Y est calme et confortable et il décède entouré de ses proches. Mr. Y, votre patient de 68 ans, est hospitalisé de manière élective pour une mise en place de sonde PEG en vue d'une prise en charge radio-chimiothérapeutique pour un carcinome épidermoïde de l'oropharynx droit, récemment diagnostiqué. La mise en place de la sonde PEG se fait sans complication. Une surveillance tri-hebdomadaire de la plaie est prévue sans mobilisation de la sonde PEG. Cette dernière sera faite en ambulatoire dans une semaine. Un rendez-vous en oncologie est également prévu le 03.05.2019 chez le Dr. X, oncologue traitant. L'anamnèse d'entrée met en évidence une fréquence mictionnelle inhabituellement élevée chez ce patient qui est connu pour des infections urinaires à répétition dans un contexte d'adénocarcinome prostatique. L'examen clinique est sans particularité. Le bilan révèle un sédiment urinaire pathologique. En accord avec l'urologue traitant, nous initions une couverture antibiothérapeutique de principe avec un suivi ambulatoire chez le Dr. X prévu le 15.05.2019 à 15h15 à son cabinet. Mr. Y rentre à domicile avec des soins de plaies quotidiens tels que discutés, ainsi que la poursuite de la prise en charge oncologique. Mr. Y est un patient de 72 ans, connu pour une sténose du pylore d'origine probablement inflammatoire, qui se présente aux urgences en raison de vomissements en grande quantité accompagnés de douleurs épigastriques crampiformes. Une IRM effectuée le 23.04.2019 en ambulatoire montre une importante dilatation gastrique, raison pour laquelle une sonde nasogastrique est posée le 28.04.2019. En vue de la persistance de la sténose du pylore, nous posons l'indication à une prise en charge chirurgicale. Mr. Y bénéficie le 03.05.2019 d'une dérivation gastro-jéjunale en Roux-en-Y, qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples et l'évolution clinico-biologique favorable, permettant l'ablation de la sonde nasogastrique le 07.05.2019. La réalimentation est bien tolérée et Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 12.05.2019 avec un suivi diététique organisé en ambulatoire. Il sera revu pour contrôle à la consultation du Dr. X pour contrôle le 21.05.2019 ainsi que le 13.06.2019. Mr. Y est une patiente de 57 ans aux antécédents susmentionnés, qui bénéficie d'un bypass gastrique proximal par laparoscopie le 08.05.2019. L'intervention se déroule sans complication notable. Le patient est hospitalisé aux soins intensifs en post-opératoire pour une surveillance respiratoire et une équilibration du diabète du 08.05.2019 au 09.05.2019. Du 09.05.2019 au 10.05.2019, le patient est hospitalisé à l'étage de chirurgie. Les suites opératoires sont simples avec une évolution favorable. Mr. Y rentre à domicile le 10.05.2019. Un rendez-vous de suivi chez le Dr. X est prévu le 06.06.2019. Nous laissons le soin au patient de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance post-opératoire d'un syndrome d'apnées obstructives du sommeil après bypass gastrique laparoscopique le 08.05.2019. Sur le plan chirurgical, il n'y a pas de complication post-opératoire, le patient débute une alimentation selon protocole bypass 1 le 09.05.2019 et les douleurs sont contrôlées par antalgie simple. Les glycémies sont dans les normes et l'insulinothérapie habituelle est à reprendre progressivement en fonction des apports caloriques. Aucune apnée ou désaturation n'est observée sous CPAP personnelle bien tolérée. Un globe vésical de 1500 cc post-opératoire motive la pose d'une sonde vésicale et l'introduction d'une thérapie par alpha-bloquant. Cette symptomatologie est connue par le patient en période post-opératoire. Mr. Y, patient de 68 ans, connu pour antécédent d'AVC ischémique aigu d'origine indéterminée en mars 2019, est hospitalisé pour AVC ischémique aigu bihémisphérique des territoires sylviens sous corticaux. Pour rappel, le patient se présente aux urgences de Payerne en raison d'une sensation de faiblesse des membres inférieurs et d'une instabilité à la marche nouvelle. Les symptômes ont débuté à 8h du matin le 16.05. L'IRM cérébrale montre de nouvelles lésions ischémiques aiguës sylviennes sous corticales ddc. Le patient est transféré aux soins intensifs de Fribourg pour une surveillance neurologique selon le protocole AVC. A noter que lors de sa première hospitalisation le 09.03.2019 pour un premier AVC ischémique aigu dans le centre semi-ovale bilatéral, le patient avait présenté une hématurie persistante sur pose de sonde urinaire nécessitant un CT thoraco-abdominal à la recherche d'une néoplasie. Une embolie pulmonaire avait été diagnostiquée et une anticoagulation à dose thérapeutique avait été introduite. Une lésion suspecte du cæcum avait été également diagnostiquée. Pour la suite, une colonoscopie avec résection d'un polype du cæcum avait été réalisée mais cela s'était compliqué par un choc hémorragique nécessitant une prise en charge aux soins intensifs. La biopsie avait révélé une dysplasie de bas grade. Dans ce contexte, un syndrome de Trousseau avait été évoqué mais finalement pas confirmé en l'absence de lésions tumorales manifestes. L'origine cardio-embolique était la plus probable. En raison d'un risque hémorragique accru, une anticoagulation prophylactique par Clexane avait été introduite et un filtre de la veine cave a été posé. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre toujours une fonction cardiaque préservée sans dilatation de l'oreillette. L'ETO est normale sans arguments pour des plaques d'athéromes de la crosse aortique ni de FOP. Afin de rechercher plus activement une FA, une implantation d'un Reveal est organisée en ambulatoire. Une ponction lombaire ainsi qu'un bilan immunologique sont effectués dans le contexte d'une suspicion de vasculite. Les premiers résultats montrent une protéinorachie à 0,61 g/l, des bandes oligo-clonales dans le sérum et du LCR compatibles avec une réaction inflammatoire systémique aspécifique. Une hyperhomocystéinémie est également mise en évidence, sans augmentation de la lipoprotéine A. Le dosage de la vitamine B12 est normal, une possible autre cause pourrait être un déficit en acide folique que nous vous laissons compléter et substituer si nécessaire. Le reste du bilan est actuellement en cours.Après discussion avec les collègues hématologues, un dosage des anticorps anti-phospholipides est effectué vu les événements thromboemboliques veineux et artériels récidivants. Nous recevons le résultat après le transfert en réhabilitation, qui montre des ac-anticardiolipines positifs (IgG à 20,5), raison pour laquelle nous vous proposons d'introduire le Sintrom après sa colonoscopie de contrôle prévue prochainement. Sur le plan neuropsychologique, les troubles cognitifs dépassent le cadre de l'épisode aigu évoquant probablement un contexte mixte neurodégénératif avec une composante vasculaire. L'évolution clinique est lentement favorable avec au status neurologique de sortie une parésie faciale discrète à droite et une légère amélioration de l'instabilité à la marche. Mr. Y est donc transféré en réhabilitation à Estavayer-le-Lac pour la suite de la prise en charge. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue dans 3 mois. Le patient sera également convoqué pour un bilan ophtalmologique en ambulatoire à la recherche de signes de vasculite ou rétinopathie hypertensive. Mr. Y nous est transféré le 16.05.2019 par la clinique Daler (Dr. X) après une urétéroscopie droite pour calcul rénal et RTUP pour hyperplasie de la prostate le 02.05.2019 avec reprise au bloc le 04.05.2019 pour décaillotage vésical. À l'entrée, le patient n'a pas de plainte et l'anamnèse par systèmes est sans particularité. Nous trouvons un patient de 81 ans, partiellement désorienté mais calme, en état général diminué et hémodynamiquement stable. Le status est sans particularité hormis une rigidité symétrique des 4 membres, avec une marche toutefois relativement fluide. Le patient est marié, a 1 fils et habite avec son épouse dans une maison avec 5 marches d'escalier. Avant l'hospitalisation, il était complètement dépendant au niveau des AVQ et AIVQ. Les soins à domicile passaient 1 fois par jour pour la douche, le ménage, le semainier et les signes vitaux. De plus, son épouse était présente 24/24h. Ad diagnostic principal et diagnostic supplémentaire 3) L'évolution clinique est favorable. On note une légère hématurie intermittente sans autre symptôme associé. L'hémoglobine reste stable durant le séjour. Le patient sera revu en contrôle par Dr. X après la sortie. Ad diagnostic supplémentaire 1) Au vu de l'absence actuellement de douleurs neuropathiques, nous interrompons progressivement le Lyrica sans récidive de la symptomatologie. Ad diagnostic supplémentaire 2) Une légère hypokaliémie est substituée oralement durant le séjour. Ad diagnostic supplémentaire 4) On constate une probable démence débutante avec des troubles cognitifs stables par rapport au mois de mars dernier. Ad diagnostics supplémentaires 5 et 6) On constate une carence chronique persistante en vitamine D. Pour cette raison, nous majorons la substitution et vous proposons de l'adapter en fonction de l'évolution du taux de vitamine D dans 3 mois. Mr. Y bénéficie en outre des conseils de nos diététiciennes afin de pallier à ses carences nutritionnelles. À noter que le patient ne se dit pas intéressé à faire adapter des prothèses dentaires qui lui permettraient une plus grande variété alimentaire. Ad diagnostic supplémentaire 7) Après discussion avec l'épouse, les soins à domicile sont réactivés à la sortie. Le patient bénéficie de physiothérapie et d'ergothérapie intensives durant son séjour chez nous. À l'entrée, on note une légère réduction de la mobilité avec un risque de chute accru. Mr. Y effectue les transferts sans aide sous supervision et il se déplace sur une distance de 60 m avec un rolateur sous supervision. Les escaliers ne sont pas encore testés. À la sortie, il effectue les transferts sous supervision, marche 300 m avec un rolateur sous supervision et monte 2x9 marches d'escaliers sous supervision avec une canne et la rampe. Le risque de chute diminue légèrement avec une amélioration du Tinetti de 18 à 19/28. Au vu de la stabilisation de son état général et de ses bons progrès fonctionnels, nous laissons Mr. Y regagner son domicile le 27.05.2019 avec une prescription de physiothérapie ambulatoire. Mr. Y est un patient de 20 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs en fosse iliaque droite associées à un état fébrile. Le bilan met en évidence une appendicite aiguë, raison pour laquelle il bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique en urgence le 11.05.2019. Au vu du syndrome inflammatoire important, le patient a bénéficié d'un Jakson le 11.05.2019, qui est retiré le 12.05.2019, et d'une antibiothérapie par Rocephin 2 g intraveineux et Metronidazole 500 mg 3x/j du 10.05.2019 au 15.05.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites post-opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 15.05.2019. Le patient est dispensé de toute activité sportive jusqu'au 25.05.2019. Mr. Y est un patient de 34 ans, en bonne santé habituelle, qui nous est adressé par nos collègues de l'hôpital Daler en raison de douleur épigastrique accompagnée de vomissements post-fundoplicature selon Nissen le 29.04.2019. Un CT abdominal met en évidence une perforation gastrique, raison pour laquelle nous instaurons une antibiothérapie empirique et le patient bénéficie d'une laparoscopie avec lavage péritonéal et suture gastrique en urgence le 03.05.2019. L'intervention se déroule sans complication et les suites post-opératoires sont simples, permettant l'ablation de la sonde naso-gastrique le 07.05.2019. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 09.05.2019. L'antibiothérapie sera poursuivie pour une durée totale de 2 semaines, soit jusqu'au 16.05.2019 y compris. Mr. Y, patient de 87 ans, est admis aux soins intensifs pour un STEMI inférieur subaigu sur thrombose de stent. Le patient est connu pour une maladie coronarienne tritronculaire avec antécédent de pontage aorto-coronarien. Le 10 mai 2019, une coronarographie en électif permet la mise en place de 2 stents actifs sur l'artère coronaire droite. À une semaine de l'intervention, le patient se présente aux urgences pour des douleurs thoraciques. Le bilan biologique et électrocardiographique montre un STEMI inférieur. La coronarographie en urgence retrouve une thrombose de stent 1 semaine après l'angioplastie complexe de l'ACD, et qui est traitée par angioplastie primaire de l'ACD avec mise en place d'un nouveau stent actif. Le reste du status coronarien est inchangé avec persistance d'une dysfonction VG systolique sévère. D'un point de vue médicamenteux, sur avis cardiologique, le traitement anti-thrombotique est adapté avec poursuite de l'Aspirine à vie et Prasugrel à demi-dose (5 mg/j) pour une durée de 6 mois. Le traitement cardio-protecteur est maintenu avec un IEC (traitement habituel du patient) et ajout de bêta-bloquant et Spironolactone. L'évolution clinique et biologique est favorable et le patient est transféré en médecine à Riaz le 18.05.2019 pour suite de prise en charge. Une échocardiographie transthoracique de contrôle et un ECG-Holter de 24h sont planifiés pour le 20.05.2019.Mr. Y est un patient de 16 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales aiguës accompagnées de diarrhées. A l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité à la palpation de la fosse iliaque droite avec un syndrome inflammatoire retrouvé au laboratoire. Le bilan radiologique met en évidence une pancolite, raison pour laquelle nous instaurons une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Métronidazole intraveineux le 29.04.2019. Au vue de coprocultures qui reviennent positives pour un Campylobacter jejuni, nous relayons l'antibiothérapie par Ciproxine per os. L'évolution clinico-biologique est favorable, permettant un retour à domicile le 01.05.2019. L'antibiothérapie sera poursuivie pour une durée totale de 5 jours, soit jusqu'au 04.05.2019 y compris. Mr. Y présente les lésions susmentionnées. La fracture du plateau tibial avec l'arrachement osseux du LCP ne nécessite pas une prise en charge chirurgicale. Pour ceci, le patient est traité par une attelle PCL Jack pour un total de 2 mois. Pour la lésion de la racine postérieure du ménisque externe, l'indication opératoire est donnée. Il est prévu une arthroscopie du genou gauche et réinsertion de la racine de la corne postérieure du ménisque externe; en même temps, on ira inspecter le ménisque interne qui nécessitera éventuellement aussi une suture. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire pour le 31.05.2019. Le patient sera vu le jour même par mes collègues du service d'anesthésie. Arrêt de travail attesté à 100%. Mr. Y, 75 ans, connu pour un adénocarcinome pulmonaire du lobe inférieur gauche, actuellement sous Navelbine, connu également pour une embolie pulmonaire bilatérale segmentaire et sous-segmentaire sous Xarelto, est adressé le 16.05.2019 par l'oncologie ambulatoire en raison d'une douleur latéro-thoracique postérieure gauche. La douleur est présente depuis 1 semaine, respiro-dépendante et majorée à la toux sèche habituelle. Il n'y a aucune notion de traumatisme, d'éternuement, ni d'effort de toux. Le bilan initial exclut toute embolie pulmonaire mais retrouve des fractures costales au niveau des arcs postérieurs des cinquième, septième et huitième côtes à gauche. Une antalgie est mise en place avec une bonne gestion de la douleur. La prise en charge comprend également une physiothérapie respiratoire et une oxygénothérapie qui peut être sevrée avant la sortie. L'origine des fractures n'est pas claire. Le diagnostic différentiel reste ouvert entre une origine métastatique ou ostéoporotique. Une scintigraphie osseuse pourrait changer l'origine et un traitement par des bisphosphonates pourrait être mis en place. Le traitement oncologique par Navelbine prévu le 17.05.2019 n'est pas administré et repoussé d'une semaine ainsi qu'un rendez-vous de consultation chez le Dr. X, son oncologue traitant. À noter que le CT-scan thoracique montre une majoration en taille des multiples nodules pulmonaires pan-lobulaires bilatéralement. Mr. Y sort le 22.05.2019 pour un retour à domicile sans aide, avec poursuite de la prise en charge oncologique. Mr. Y, actuellement hospitalisé au RFSM CSH Marsens en raison d'un trouble bipolaire, est amené aux urgences le 27.04.2019 en raison d'un état fébrile avec syndrome inflammatoire depuis 2 jours. Il présente également une légère dyspnée à l'effort ainsi qu'une toux avec crâchats brunâtres qui seraient déjà présents depuis longtemps. Il décrit une sensation de chaud/froid et présente de plus une pollakiurie avec dysurie depuis quelques jours. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système. Suspectant une piste urinaire avec un sédiment sale, vous introduisez une antibiothérapie par Nitrofurantoïne dès le 25.04.2019, avec relais par ciprofloxacine en raison d'un syndrome inflammatoire en augmentation mais sans piste clinique claire. À l'admission aux urgences, le patient est en bon état général. Au status pulmonaire, on trouve une hypoventilation en base gauche avec râles crépitants grossiers. Le reste du status est sans particularité. Aux urgences, le patient reçoit 75 mg de Voltaren et une hydratation de 500 ml de NaCl. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 222 mg/l et une leucocytose à 17.2 G/l. La radiographie du thorax montre un foyer en base gauche. Le sédiment urinaire montre 6-10 leucocytes. Nous retenons le diagnostic de pneumonie basale gauche que nous traitons par Rocéphine 2 g iv, première dose reçue aux urgences et hydratons le patient par 1000 ml de NaCl dans le contexte de l'insuffisance rénale aiguë. Le patient est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Les hémocultures, l'urotube et la culture d'expectorations reviennent négatives. L'antibiothérapie est passée per os par Co-Amoxi 1 g 2x/j dès le 29.04.2019, à poursuivre jusqu'au 03.05.2019. Mr. Y est réadmis au RFSM CSH Marsens le 30.04.2019. Mr. Y est transféré le 10.05.2019 au centre psychiatrique du Nord Vaudois, à Yverdon-les-Bains. Mr. Y, J'ai vu en consultation de neuropédiatrie le patient susnommé le 04.04.2019, âgé de 6 ans et 5 mois, en raison de difficultés d'apprentissage scolaire. Mr. Y, Je vous remercie de nous avoir adressé Mr. Y, que j'ai vu à notre consultation de neuropédiatrie le 06.05.2019, pour une évaluation de ses céphalées récidivantes. Mr. Y, La patiente précitée a été vue à notre consultation de neuropédiatrie au centre physio/ergo des Buissonnets le 02.05.2019. Mr. Y, Le patient précité a été vu à notre consultation de neuropédiatrie au centre physio/ergo des Buissonnets le 02.05.2019, en présence de sa maman, et de sa physiothérapeute, Mme. Y. Mr. Y, J'ai reçu Mme. Y en consultation neurologique le 06.05.2019 après ses malaises à répétition en mars 2019. Mr. Y, L'enfant précité a été vu en consultation de neuropédiatrie à l'HFR Fribourg - hôpital cantonal le 14.05.2019, pour le suivi d'un trouble du spectre autistique et d'une épilepsie partielle complexe. Mr. Y, J'ai donc revu en consultation la patiente susnommée. Pour rappel, il s'agit d'une patiente pour laquelle on avait effectué une correction d'un deuxième orteil en griffe en août 2017. Elle est en partie satisfaite par l'évolution de ce deuxième orteil. Actuellement, elle présente une gêne et des difficultés aux chaussages en raison d'un hallux valgus et d'un troisième orteil en griffe. Il s'agit d'une patiente qui a un pied relativement large et pour lequel nous avions déjà pu discuter d'une correction au niveau de son avant-pied. On avait préféré, dans un premier temps, s'occuper que du deuxième orteil. Actuellement, elle a une symptomatologie algique centrée sur la MP de son premier rayon ainsi que sur l'interphalangienne dorsale de son troisième orteil. Elle a pris des chaussures plus larges, mais elle persiste dans cette symptomatologie. Depuis la dernière intervention, cette patiente a eu un AIT sylvien D ayant nécessité la poursuite d'une anticoagulation par Plavix. Sinon, elle est connue pour son adénocarcinome du sein G en 2013. À l'examen clinique, elle a une démarche relativement fluide. Elle a un avant-pied qui est très large avec un hallux valgus d'environ 25°. On retrouve une bursite avec exostose en regard de sa métatarso-phalangienne ainsi qu'une hyperkératose débutante en plantaire.Le troisième orteil est en griffe avec une déformation irréductible. Le deuxième orteil a plutôt une tendance à un léger erectus mais reste bien axé. La déformation en griffe est aussi présente au niveau des quatrième et cinquième orteils mais parfaitement réductible. Absence d'évidence de trouble neurovasculaire périphérique. Pour cette patiente, j'ai effectué un bilan radiologique ce jour qui confirme la déformation en hallux valgus avec exostose. Après discussion, nous avons donc convenu d'une correction par une ostéotomie en chevron et Akin de son premier rayon, ce qui nous donnera de la place pour les rayons intermédiaires. Nous avons aussi discuté d'effectuer dans le même temps opératoire un girdelstone arthrodèse de son troisième orteil. Nous avons bien évidemment discuté des risques essentiellement, infection et thrombose. J'ai demandé à cette patiente d'arrêter sa médication de Plavix au moins dans les 10 jours précédant l'intervention. Cette dernière pourrait dès lors être effectuée en rachianesthésie comme on avait pu le faire en 2017 au niveau de son troisième orteil. Elle sera hospitalisée entre 3 et 5 jours. Elle bénéficiera pour les suites post-opératoires d'une chaussure de type Barouk pour six semaines et une broche au niveau de son troisième orteil qui sera retirée entre la troisième et quatrième semaines. La consultation a eu lieu en présence de son mari et je pense qu'ils ont bien compris les tenants et aboutissants ainsi que les risques opératoires. Elle se rendra à votre consultation afin d'effectuer les examens pré-opératoires. En vous remerciant pour votre confiance, je vous prie d'agréer, Monsieur et cher Confrère, mes salutations les meilleures. Monsieur et cher Confrère, J'ai donc revu en date du 29.05.2019 le patient susnommé. Il s'agit d'un patient pour lequel l'indication à une prothèse totale de la hanche D avait été posée dans un contexte de coxarthrose en février de cette année. L'examen clinique la veille de son intervention avait mis en évidence une thrombose veineuse profonde ayant nécessité une anticoagulation par Xarelto. Il a bénéficié d'un nouveau contrôle angiologique chez le Dr. X le 28.05.2019 qui montre une disparition du status thrombotique. Dans ce contexte, ce patient est donc candidat à une arthroplastie et nous avons planifié la date du 17.07.2019. À l'examen clinique de ce jour, ce patient reste avec la même limitation que celle mentionnée dans mon courrier du 25.02.2019. En effet, il présente une importante limitation fonctionnelle au niveau de sa hanche D avec une inégalité de longueur d'un centimètre. Je mentionnerais encore aujourd'hui une amyotrophie asymétrique de son quadriceps à D estimée à environ trois centimètres. La cicatrice herniaire D est calme. En distalité, on ne retrouve pas d'insuffisance artérielle avec une bonne palpation des pédieuses et tibiales postérieures. Pour ce patient, nous avons bien évidemment rediscuté des risques essentiellement, infection, luxation et trouble neurovasculaire. Bien entendu, Mr. Y sera mis au bénéfice d'une prophylaxie antithrombotique par Xarelto pour les six semaines qui suivent l'intervention. L'essentiel du bilan avait été fait en février 2019 et je ne pense de ce fait pas qu'il soit nécessaire de compléter ce bilan avant la nouvelle consultation d'anesthésie. J'ai tout de même refait signer un consentement éclairé à ce patient et prévu un rendez-vous auprès de nos anesthésistes. En vous remerciant de votre confiance, je vous prie d'agréer, Monsieur et cher Confrère, mes meilleures salutations. Monsieur et cher Confrère, J'ai donc vu en consultation ce jeune patient en date du 29.05.2019. Il est actuellement scolarisé dans une école spécialisée à St-Charles, il est en troisième du CO. Les motifs de la consultation sont des douleurs plantaires bilatérales apparues probablement il y a quelques mois et de façon spontanée. Cette symptomatologie algique s'exacerbe à la station debout prolongée ainsi qu'à la marche après plus d'une heure. Il n'a pas d'activité sportive régulière. Il a bénéficié de 8 séances de physiothérapie qui ne l'ont que peu aidé. Il n'a pas constaté de tuméfaction inflammatoire et n'a actuellement pas de réveil nocturne. Il n'a pas de prise médicamenteuse régulière. Il n'a pas d'antécédents médico-chirurgicaux majeurs. À l'examen clinique, il a une taille de 183 cm pour un poids de 94 kg. Il a des épaules et un bassin équilibrés. Son rachis est bien axé. Au niveau de ses hanches, on a une mobilité libre et symétrique des deux côtés. Les deux genoux sont stables et secs. Les deux chevilles sont sans particularité. La station debout, l'appui au sol sont tout à fait satisfaisants. À la palpation plantaire, on ne retrouve pas de nodosité ou de signe inflammatoire particulier. La marche sur les pointes et les talons est possible. Ce jeune patient présente donc une fasciite plantaire bilatérale. Pour ma part, je n'ai pas proposé d'autres investigations. J'ai discuté avec lui en lui expliquant que cette symptomatologie devait défervescer progressivement. Qu'il peut effectuer des petits massages avec des antiphlogistiques locaux s'il le désire. Une pratique sportive régulière serait tout à fait adaptée. J'ai discuté en ce sens avec Mr. Y et son papa présent à la consultation. Je n'ai pas proposé de nouveau rendez-vous mais reste à disposition. En vous remerciant de votre confiance, je vous prie d'agréer, Monsieur et cher Confrère, mes meilleures salutations. Monsieur et cher Confrère, Nous vous adressons cette lettre sur votre demande et celle de la patiente. Vous allez opérer prochainement Mme. Y d'une prothèse uni-compartimentale du genou. Vous êtes en attente de guérison de la fracture du scaphoïde en vue de l'utilisation de cannes en post-opératoire. Nous avons revu Mme. Y à 12 semaines du traumatisme avec un contrôle radioclinique qui montrait une bonne évolution. À noter qu'un scanner a été effectué le 30.03.2019 qui montrait également une bonne évolution de la fracture. Lors de ce dernier contrôle, la patiente avait une force à M5 avec de légères douleurs résiduelles à la palpation autour du scaphoïde, surtout au niveau de la tabatière. Nous testons la force de la patiente en lui donnant des cannes et en lui apprenant et montrant comment marcher avec au cas où elle doit faire une décharge, ce qu'elle arrive à faire à notre consultation sans aucun problème. Au vu de cette bonne évolution, nous concluons à une fin de suivi à la policlinique d'orthopédie. Mme. Y est apte à utiliser des cannes anglaises dont elle aura besoin en vue de l'intervention au niveau de son genou. En restant à votre entière disposition, nous vous prions d'agréer, Monsieur et cher Confrère, nos salutations les meilleures. Monsieur Y est un patient de 71 ans, aux comorbidités sus-mentionnées, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'une récidive de hernie inguinale bilatérale. Il bénéficie le 09.05.2019 d'une cure de hernie droite selon Lichtenstein, qui se déroule sans complication notable. En vue d'une paraplégie sensitivo-motrice inférieure, nous mettons en place une physiothérapie intensive en post-opératoire, afin que le patient puisse regagner son autonomie. Les suites sont simples et l'évolution clinico-biologique favorable, permettant un retour à domicile en bon état général le 13.05.2019. Monsieur Y, âgé de 62 ans, connu pour une BPCO stade IV D selon Gold, nous est adressé par son pneumologue traitant pour une réadaptation respiratoire. Les vaccins sont à jour. Sur le plan social, le patient, divorcé, vit seul dans un appartement situé au rez-de-chaussée. Il est à l'AI (ancien écuyer).A l'admission, Mr. Y se plaint d'une péjoration de sa dyspnée à l'effort; il rapporte une dyspnée stade II-III selon NYHA avec toux et expectorations • sans changement de quantité, ni purulence. Le status général est sans particularité hormis diminution du murmure respiratoire sur toutes les plages pulmonaires. B1-B2 lointains, sans souffle audible. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré sévère et confirme le diagnostic de BPCO stade IV selon Gold. Le score de CAT atteste d'un stade D. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une saturation à 90% avec une hypoxémie légère sans hypercapnie, raison pour laquelle nous conseillons à Mr. Y de ne pas utiliser l'oxygénothérapie au repos. L'oxymétrie nocturne à l'air ambiant montre une SpO2 moyenne à 84.5% avec un index de désaturation à 10.5/heure, raison pour laquelle nous diminuons l'oxygénothérapie à un débit de 1lt/min O2. L'oxymétrie de contrôle sous 1lt/min O2 montre une saturation satisfaisante à 91.6%. La radiographie du thorax met en évidence une hypertransparence pulmonaire bilatérale prédominant au niveau bi-apical et au niveau des 2 bases pulmonaires, ainsi que l'aplatissement des coupoles diaphragmatiques et l'élargissement des espaces intercostaux. Mr. Y présente une désaturation à 88% sous 2lt/min continu lors de l'effort. Mr. Y possède actuellement un concentrateur portable qui génère du bruit selon Mr. Y et qui ne pourra pas permettre une majoration supplémentaire du débit d'oxygène à l'effort. De ce fait, nous convenons avec lui de passer à une oxygénothérapie liquide. La saturation est à 95% sous 2 lt/min O2 pendant l'effort physique et à 91.6% sous 1 lt/min O2 pendant la nuit, donc l'oxygénothérapie est poursuivie au même débit. Vu que Mr. Y est gêné dans son quotidien par le concentrateur, l'oxygène liquide est prescrit. Sur le plan nutritionnel, le poids de Mr. Y est stable par rapport à l'année dernière. Durant son séjour, Mr. Y a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes reste stable, mais la distance parcourue sur le tapis roulant pendant 20 minutes augmente de 0.46 km à 0.75 km. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 18.05.2019, en état général conservé. Mr. Y est amené au service des urgences par Mme. Y, en raison d'une confusion avec hétéro-agressivité, asthénie et douleurs abdominales. L'anamnèse auprès de Mr. Y est impossible au service des urgences, et repose sur le témoignage de Mme. Y, qui décrit une réduction de la miction ces derniers jours, probablement imputable à des apports liquidiens insuffisants. Notre status d'entrée met en exergue un globe urinaire, ce qui motive l'installation d'une sonde vésicale. La résolution du globe permet d'amender rapidement la symptomatologie. Un CT-scan effectué dans le contexte de l'état confusionnel au service des urgences a mis en exergue un volumineux anévrysme bilatéral des artères iliaques, avec présence d'endofuite. Au vu des images, les chirurgiens vasculaires et les radiologues retiennent une indication à une intervention endovasculaire et mettent en suspend temporairement le traitement anticoagulant, mais suite à une artériographie et un nouveau CT-scan qui documentent une situation plus complexe avec la mise en évidence d'une endofuite de type 2, le cas sera discuté lundi (13.05.2019) au colloque de chirurgie vasculaire afin de définir la meilleure option thérapeutique. Au vu de l'état confusionnel et d'un profil tensionnel bas, nous suspendons une partie de la thérapie médicamenteuse suivie d'une réintroduction progressive qui sera éventuellement à compléter par le médecin traitant. Au cours de l'hospitalisation, Mr. Y développe un urosepsis que nous traitons par Ciproxine avec bénéfice sur le plan clinique et hémato-chimique. Nous mettons en évidence une anémie normocitaire hypochrome avec un taux d'hémoglobine à 77 g/L, sans évidence d'extériorisation et pour laquelle Mr. Y est déjà suivi par Dr. X, nous décidons de ne pas le transfuser et d'organiser un contrôle ambulatoire. Au vu de la stabilité clinique, Mr. Y retourne à domicile le samedi 11.05.2019 en bonne condition générale, avec un contrôle prévu chez Dr. X mercredi 15.05.2019. Il sera ensuite recontacté pour discuter des options thérapeutiques abordées lors du colloque de chirurgie vasculaire le 13.05.2019. Mr. Y et sa famille expriment leur souhait de discuter des options thérapeutiques avec le médecin traitant de Mr. Y, Dr. X, mis au courant de la situation. Mr. Y est un patient de 55 ans, aux antécédents susmentionnés, qui se présente aux urgences en raison de douleur en hémi-abdomen inférieur depuis une semaine. A l'examen clinique, nous objectivons une défense en hémi-abdomen inférieur avec la présence d'un syndrome inflammatoire au laboratoire. Le CT abdominal met en évidence une diverticulite classée IIA selon Hansen&Stock, raison pour laquelle nous introduisons une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Métronidazole intraveineuse. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, l'antibiothérapie est relayée par Ciproxine et Flagyl per os le 13.05.2019, permettant un retour à domicile le jour même. Mr. Y prendra contact avec son médecin traitant qui a déjà planifié une colonoscopie cette année. Mr. Y est hospitalisé le 06.05.2019 aux soins intensifs pour une pneumonie à légionelle avec une décompensation diabétique hyperosmolaire. Mr. Y présente une dyspnée progressive depuis 4 jours, une toux productive avec des expectorations jaune-verdâtres le tout évoluant dans un contexte fébrile. La radiographie de thorax montre un foyer lobaire inférieur gauche et les antigènes urinaires reviennent positifs pour la Legionelle. L'état respiratoire s'améliore progressivement moyennant des séances itératives de VNI, la physiothérapie respiratoire et l'antibiothérapie par Levofloxacine. Les séances de CPAP sont à poursuivre à la sortie des soins intensifs. Une décompensation diabétique hyperosmolaire est constatée dans le contexte du sepsis. L'insulinothérapie est à adapter en fonction de l'évolution. Les anti-diabétiques oraux sont arrêtés à cause de l'insuffisance rénale. Concernant l'insuffisance rénale, une composante aigüe sur chronique est diagnostiquée. L'origine est mixte, d'une part sur la déshydratation et d'autre part sur le sepsis. La diurèse est conservée spontanément. On vous prie de suivre la fonction rénale et l'équilibre acido-basique. Mr. Y est transféré en médecine pour suite de prise en charge. La déclaration de la légionelle est faite. Mr. Y, 76 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour un sepsis d'origine pulmonaire dans le contexte d'une pneumonie à Legionnella pneumophila, compliquée par une décompensation diabétique hyperosmolaire. Mr. Y présente une dyspnée progressive depuis vendredi le 03.05.2019 avec une toux productive et des expectorations jaune-verdâtres. A l'arrivée, il présentait des nausées, vomissements et un état fébrile. Aucune notion de contage, aucun malade dans l'entourage, pas de voyage récent, pas de contact avec des sources d'eau mais aurait à la maison un système de chauffage/ventilation qui utilise des containers d'eau.La radiographie de thorax montre un foyer lobaire inférieur gauche et les antigènes urinaires reviennent positifs pour la Legionelle. Mr. Y est traité par la Lévofloxacine et bénéficie d'une physiothérapie respiratoire. L'évolution est favorable sur le plan respiratoire mais le séjour hospitalier se prolonge également en raison d'un déconditionnement global avec des troubles de la marche qui évoluent aussi de manière favorable avec l'aide d'une physiothérapie de mobilisation. Nous mettons en évidence une insuffisance rénale aiguë probablement liée au sepsis et à la déshydratation. Le patient est réhydraté et traité pour l'acidose métabolique. L'évolution est favorable avec un retour de la créatinine autour des valeurs habituelles. Le traitement antihypertenseur par Coversum a été mis en suspens et sera à reprendre en fonction des valeurs tensionnelles et dès que la créatinine se stabilise. Une décompensation du diabète est mise en évidence dans le contexte infectieux avec toutefois une persistance des valeurs glycémiques élevées même après avoir traité l'infection et une hémoglobine glyquée à 7.9 %. Étant donné l'insuffisance rénale associée, nous avons adapté le traitement du diabète avec l'aide de nos collègues endocrinologues. Nous objectivons une anémie hypochrome normocytaire qui est probablement d'origine principalement inflammatoire dans le contexte du sepsis. Nous mettons également en évidence un déficit vitaminique (B12, folates) que nous substituons. Mr. Y a été reclassé le 16.05.2019 en attendant une réadaptation gériatrique. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y est un patient de 68 ans reclassé depuis le 24.04.2019 dans notre service en attente de neuro-réhabilitation intensive à l'HFR Meyrier suite à un AVC ischémique aigu sylvien gauche le 07.04.2019 dont la lettre de sortie vous est déjà parvenue lors de son reclassement le 24.04.2019. Lors de son séjour de reclassement, le patient a présenté une péjoration du trouble de la déglutition ayant nécessité une mise à jeun strict puis une pose de gastrostomie percutanée radiologique avec augmentation progressive du débit de l'alimentation, bien supportée par le patient. Un rendez-vous pour le 1er changement de sonde est agendé le 13.08.2019 à 9h15. A noter une difficulté à expectorer, sans autres signes et symptômes cardio-respiratoires pour laquelle nous proposons un suivi clinique et de la physiothérapie respiratoire dès son arrivée à l'HFR Meyriez. Le reste du séjour de Mr. Y s'est déroulé sans particularité et il est transféré le 21.05.2019 à l'HFR Meyriez. Mr. Y sera revu à votre consultation pour un contrôle clinique et biologique le 27.05.2019. Mr. Y souffre d'un syndrome du tunnel carpien bilatéral, prédominant à droite. L'indication pour une neurolyse du nerf médian est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est programmée pour le 15.07.2019, en ambulatoire. Je prie le médecin traitant de bien vouloir stopper le Sintrom au minimum 5 jours avant l'intervention et de faire un contrôle de la crase. Le Sintrom peut être remplacé par de l'Héparine à bas poids moléculaire. En phase postopératoire, il faudrait discuter de la possibilité du remplacement du Sintrom par du Xarelto 10 mg 1 cp/j. Le patient sera vu en consultation pré-anesthésique par mes collègues du service d'anesthésie. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à une cardiopathie ischémique bitronculaire avec atteinte du tronc commun. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine Cardio 100 mg, Coversum 5 mg, Atorvastatine 40 mg, Pantozol 40 mg, Metfin 850 mg 3x/j, Elicazid 60 mg, Victoza 1.8 sc/matin et Tresiba 26-36 UI/matin selon glycémies. Tout au long de la réadaptation, le patient est resté asymptomatique sur le plan cardiovasculaire. Aucun signe de décompensation cardiaque n'est relevé, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour. Mr. Y peut faire du tapis roulant à une vitesse de 3 km/h sur une pente de 0.5% pendant 25 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objecte une augmentation de la distance parcourue (+90 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Il a été suivi individuellement par notre diététicienne ainsi que notre ergothérapeute. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.9 mmol/L, un HDL à 1.1 mmol/L, un LDL à 2.6 mmol/L et des triglycérides à 1.37 mmol/L. • Mr. Y est en abstinence tabagique depuis son opération (26.03.2019) et a été vu par notre tabacologue, Dr. X. Il est très motivé et ne ressent pas le besoin de prendre un traitement destiné au sevrage. Discussion des situations à risque et des stratégies de prévention de la rechute. Retour en Asie fin mai prochain, pas de suivi prévu, Dr. X reste à disposition si besoin. • La pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour. • Mr. Y a manifesté la volonté d'avoir un suivi pour son stress et lui avons remis les coordonnées de Mme. X - cardio-psychologue pour un suivi en ambulatoire. • Sur le plan glycémique, le traitement fut bien supporté avec bonne efficacité clinique comme le confirment les auto-contrôles glycémiques; valeur glycémique à jeun entre un minimum de 5.5 et un maximum de 8 mmol/L. Sur le plan biologique : - Hb 131 g/L - fonction rénale légèrement altérée à la sortie avec une créatinine à 111 µmol/L - électrolytes dans la norme L'examen clinique de sortie confirme un statut de normo-compensation. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. Pour rappel, à son arrivée dans notre établissement, la déhiscence cutanée au niveau sternal était déjà quasi guérie. Mr. Y, connu pour un carcinome pulmonaire hilaire gauche de stade IV, a été hospitalisé dans notre service de médecine interne après avoir été adressé par MedHome (appelé pour effectuer un lavement), ayant objectivé un état fébrile à 38.6°C et une péjoration de la dyspnée ainsi que de l'asthénie rapportée par la famille. Dans le contexte d'un précédent empyème pulmonaire gauche à E. coli et d'une probable récidive d'infection pulmonaire gauche, le patient a bénéficié d'un traitement antibiotique du 6 au 13 mai. Cependant, l'évolution de Mr. Y a été marquée par une péjoration significative de son état clinique et de son syndrome inflammatoire en dépit d'antibiothérapies à large spectre. Nous attribuons donc cette évolution à la progression tumorale du patient et interrompons donc l'antibiothérapie le 13.05. Une radiothérapie au niveau pulmonaire ne peut pas être débutée en raison de l'asthénie du patient et d'une thrombocytopénie inférieure à 20G/L.Au vu de la détérioration rapide de l'état clinique du patient, nous introduisons des soins de confort le 13.05. Mr. Y décède le 16.05 en compagnie de sa famille. Mr. Y, patient de 78 ans, est hospitalisé dans notre service pour prise en charge d'un pneumothorax sur fractures multiples costales droites, avec emphysème important des tissus mous et pneumomédiastin. Il est connu pour des troubles de l'équilibre avec chutes à répétition sur polyneuropathie périphérique toxique et un antécédent d'AVC ischémique sylvien profond droit d'origine microangiopathique en janvier 2018. Le patient s'est présenté initialement aux urgences de Riaz en raison d'une chute à domicile sans prodrome, avec réception sur le côté droit. Le scanner met en évidence un pneumothorax droit, de multiples fractures des côtes à droite, une fracture du processus transverse D7 droit et un pneumomédiastin. La présence d'un important emphysème des tissus mous et d'une dysphonie pouvant compromettre les voies aériennes supérieures motive le transfert du patient aux soins intensifs. Le pneumothorax est traité par la mise en place d'un drain thoracique du 11.05.2019 au 19.05.2019. Le patient bénéficie d'une antalgie adaptée. La surveillance respiratoire est sans particularité avec cliniquement une légère diminution de l'emphysème sous-cutané. La fracture du processus transverse de D7 droit est considérée comme stable et peut être traitée de manière conservatrice. En raison d'un état confusionnel aigu la nuit du 13.05.2019, une sonde vésicale est posée avec un retrait possible rapidement qui malheureusement impose un nouveau sondage urinaire pour rétention aiguë d'urine le 21.05.2019, associé à une antibiothérapie par Ciprofloxacine. Le patient est transféré en réhabilitation musculo-squelettique à Billens pour des troubles de l'équilibre, en effet, une demande ambulatoire avait été faite par le médecin traitant en ce sens par le passé. Mr. Y, 78 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance respiratoire dans le cadre d'un pneumothorax sur fractures multiples costales droites, accompagné d'un emphysème important des tissus mous et d'un pneumomédiastin. Le patient s'est présenté initialement aux urgences de Riaz en raison d'une chute à domicile sans prodrome, avec réception sur le côté droit. Le scanner met en évidence un pneumothorax droit, de multiples fractures des côtes à droite, une fracture du processus transverse D7 droit et un pneumomédiastin. La présence d'un important emphysème des tissus mous et d'une dysphonie pouvant compromettre les voies aériennes supérieures motive le transfert du patient aux soins intensifs. Le pneumothorax est traité par la mise en place d'un drain thoracique le 11.05.2019. Le poumon revient à la paroi, le drain ne bulle pas et n'oscille pas durant l'hospitalisation. Le patient bénéficie d'une antalgie adaptée par opioïdes per os. La surveillance respiratoire est sans particularité avec cliniquement une légère diminution de l'emphysème sous-cutané. La fracture du processus transverse de D7 droit est considérée comme stable et peut être traitée de manière conservatrice. En raison d'un état confusionnel aigu la nuit du 13.05.2019, une sonde vésicale est posée avec un retrait possible rapidement. Un urotube est en cours. Le patient est transféré en chirurgie le 14.05.2019. Une réhabilitation musculo-squelettique à Billens est à prévoir pour les troubles de l'équilibre, une demande ambulatoire avait été faite par le médecin traitant en ce sens. Mr. Y, 72 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique et neurologique en post-opératoire d'une TEA de l'artère carotidienne D avec plastie de la bifurcation sans patch. Le patient a présenté une hémianopsie du champ supérieur de l'œil D le 22.05.2019, confirmée au CT cérébral, qui a également montré une sténose carotidienne D pouvant être à l'origine de l'ischémie rétinienne. Un traitement par Crestor a été débuté ainsi qu'une anticoagulation par Pradaxa le 23.05.2019 au vu d'un contexte de fibrillation auriculaire associé. Le bilan d'AVC a été complété par une ETT qui montre une FEVG à 60% et une oreillette gauche dilatée ainsi qu'un duplex vaisseaux précérébraux qui confirme la présence d'une sténose significative sur l'artère carotide interne moyenne droite, calcifiée, estimée à 50-70% sur le plan hémodynamique. La surveillance post-opératoire aux soins intensifs est sans particularité tant sur les plans clinique et biologiques. Le profil tensionnel permet une reprise de son traitement anti-hypertenseur habituel. Une anticoagulation thérapeutique par Liquémine est reprise à 24h de l'intervention. Le relais par un NACO (Eliquis ou Pradaxa) sera à rediscuter avec les collègues neurologues. Mr. Y est admis pour une microlaryngoscopie en électif, néanmoins en raison d'un risque anesthésique trop important l'intervention est annulée. La suite de la prise en charge sera discutée avec le patient en oncologie auprès du Dr. X le 29.05.2019. Mr. Y est un patient de 74 ans transféré dans le service de Médecine Interne depuis les soins intensifs en raison d'une insuffisance cardiaque globale aiguë sur bloc atrio-ventriculaire complet. Pour rappel, Mr. Y est connu pour une cardiopathie valvulaire (valve aortique prothétique) et hypertensive ainsi qu'une fibrillation auriculaire et un BAV Mobitz 2 intermittent. Il est adressé par son médecin traitant pour une décompensation cardiaque globale sur un BAV de 3ème degré mis sur le compte de la progression d'un BAV de 2ème degré connu de longue date. Sur le plan clinique, un traitement diurétique et des séances de VNI permettent une évolution favorable. L'administration d'Isoprénaline est nécessaire afin de maintenir une fréquence cardiaque adéquate dans l'attente de la pose d'un pacemaker qui a lieu le 02.05.19. Les suites opératoires sont marquées par l'apparition d'un hématome et de douleurs en regard de la plaie opératoire. Une échocardiographie transthoracique effectuée avant la pose du pacemaker met en évidence une augmentation du gradient VG-aorte expliquée par un état hyperdynamique sur la bradycardie. Toutefois, afin d'exclure un thrombus ou une dysfonction associée de la valve mécanique, un suivi échocardiographique après implantation du pacemaker ainsi qu'une ciné-valve sont effectués; les examens se révèlent sans particularité. Au vu de la résolution progressive des œdèmes pulmonaires et des membres inférieurs suite à la mise en place du pacemaker et sous diurétique, le traitement de torasemide est réduit en cours d'hospitalisation. L'indication à sa poursuite reste à réévaluer en ambulatoire par le médecin traitant. Le poids de sortie est de 95,1 Kg. Après une évolution favorable, le patient peut rentrer à domicile le 07.05.19. Mr. Y, 74 ans, est admis aux soins intensifs pour une décompensation cardiaque globale sur un BAV du 3ème degré. Il est connu pour une cardiopathie valvulaire (valve aortique prothétique) et rythmique (FA et BAV Mobitz 2 intermittent). Il est adressé aux urgences par son médecin traitant pour une bradycardie sévère. Le bilan aux urgences retrouve une décompensation cardiaque globale sur un BAV du 3ème degré mis sur le compte de la progression d'un BAV de 2ème degré connu de longue date. D'un point de vue clinique, une diurèse forcée par Lasix et un soutien respiratoire par VNI permettent une rapide amélioration. L'administration d'Isoprénaline est nécessaire afin de maintenir une fréquence cardiaque adéquate dans l'attente de la pose d'un pacemaker qui a lieu le 02.05.2019. À noter qu'une échocardiographie transthoracique effectuée avant la pose du pacemaker met en évidence une augmentation du gradient VG-aorte expliquée par un état hyperdynamique sur la bradycardie. Toutefois, afin d'exclure une dysfonction associée de la valve mécanique, un suivi échocardiographique après implantation du pacemaker sera à prévoir.A noter que le patient nécessite une anticoagulation thérapeutique pour une valve aortique mécanique. Sur avis cardiologique, le traitement de Marcoumar est maintenu en per-opératoire de la pose du pacemaker. Le patient est transféré en médecine le 02.05.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y se présente au service des urgences pour un traumatisme crânien avec perte de connaissance, ni amnésie circonstancielle, suite à une chute mécanique de sa hauteur à cause de troubles de l'équilibre de type rétropulsion. Le status neurologique est sans particularité, hormis une diminution de la force à M4 aux niveaux des membres inférieurs, déjà connus par le patient. Un CT cérébral natif ne met pas en évidence d'hémorragie intra-crânienne, ni de fracture. Le patient est hospitalisé pour surveillance neurologique. Etant donné que les causes des troubles de la marche et de l'équilibre ont déjà été investiguées lors d'une hospitalisation en gériatrie à l'HFR Riaz en octobre 2010, nous renonçons à de plus amples investigations. Le patient bénéficie durant l'hospitalisation d'une physiothérapie individuelle, ainsi qu'en groupe. Mr. Y est transféré à la réhabilitation de l'HFR Meyriez le 16.05.2019. Mr. Y se présente aux urgences pour un traumatisme crânien sans perte de connaissance, ni amnésie circonstancielle, suite à une chute mécanique de sa hauteur à cause de troubles de l'équilibre de type rétropulsion. Le status neurologique est sans particularité, hormis une diminution de la force à M4 aux niveaux des membres inférieurs, déjà connue/décrite précédemment (hospitalisation en octobre 2018 pour le même motif). Un CT cérébral natif ne met pas en évidence d'hémorragie intra-crânienne, ni de fracture. Le patient est hospitalisé pour surveillance neurologique. Etant donné que les causes des troubles de la marche et de l'équilibre ont déjà été investiguées lors d'une hospitalisation en gériatrie à Riaz en octobre 2018, nous renonçons à de plus amples investigations. Le patient bénéficie durant l'hospitalisation d'une physiothérapie individuelle, ainsi qu'en groupe. Le patient peut être à la réhabilitation de Meyriez le 16.05.2019. Mr. Y présente donc un kyste en regard de l'extenseur commun des orteils du pied gauche. L'indication pour une résection de kyste est donnée, le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire pour le 13.05.2019. Le patient sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mr. Y présente un kyste arthro-synovial en regard du dos du pied gauche. L'indication pour une résection de kyste est donnée. Par contre, il faudrait d'abord bilanter le degré d'extension de ce kyste et savoir où est son origine. Je demande donc une IRM du pied gauche le 07.05.2019. Je le reverrai le 08.05.2019 pour discuter de l'intervention chirurgicale. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour une antalgie complexe dans un contexte de douleurs abdominales chroniques pour adaptation de l'antalgie IV. Il est connu pour un status post duodéno-pancréatectomie totale en 2001 pour une pancréatite chronique d'origine indéterminée, mais continue de présenter des douleurs abdominales chroniques invalidantes, nécessitant des hospitalisations répétées. Il est suivi par le Dr. X au Swiss Pain Institute à Lausanne, avec status post implantation d'une pompe intrathécale de Catapresan et Fentanyl, dont les doses ont été augmentées de 40% le 09.04.2019. Concernant l'exacerbation actuelle, une cause déclenchante n'est pas identifiée. Au vu de la réalisation de deux précédents CT dans les 6 derniers mois, cet examen n'est pas répété. Un traitement par Fentanyl IV en continu et en bolus est débuté au service des urgences avec des réserves de Kétamine, Catapresan et Lidocaïne. Il s'agit d'un contexte de douleurs chroniques somatoformes chez un patient devenu de manière iatrogène dépendant aux opiacés qui n'ont qu'un effet très temporaire et d'ailleurs identique à une perfusion de NaCl. Il présente des crises très démonstratives, mais la réponse par une escalade d'opiacés semble inadéquate et même médicalement dangereuse au vu des quantités déjà administrées par la pompe. Nous recommandons également de ne pas utiliser de Kétamine à très haut potentiel addictogène. Nous préconisons pour les mêmes raisons d'éviter les benzodiazépines et introduisons le Brintellix comme antidépresseur. Concernant la prise en charge globale de Mr. Y, nous proposons un séjour dans une clinique de réhabilitation psychosomatique au Noirmont ou au Lorihaus à Bern, que le patient décline en raison de la peur d'être en crise et de ne pas pouvoir en profiter, et du risque d'un rapport négatif sur sa compliance. Nous l'encourageons à reprendre en main son état clinique et à rechercher ce qui peut améliorer son état. L'évolution est spontanément favorable et permet une rentrée à domicile le 28.05.2019. Mr. Y est un patient de 25 ans, connu pour un antécédent de pneumothorax spontané en 2017, qui se présente aux urgences en raison de douleurs thoraciques à gauche avec dyspnée suite à un traumatisme thoracique antérieur. Le bilan radiologique met en évidence un pneumothorax apical à gauche de 3 cm, raison pour laquelle le patient bénéficie d'une pose de drain thoracique le 04.05.2019. Les suites post-opératoires sont simples, permettant l'ablation du drain le 06.05.2019. En vue de l'évolution favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 06.05.2019. Il sera revu à la consultation de chirurgie thoracique pour contrôle le 17.05.2019. Mr. Y, un patient de 26 ans en bonne santé habituelle, consulte le service des urgences pour une amputation du champ visuel et des troubles de l'élocution aigus. Un CT Time is Brain est effectué au service des urgences afin d'exclure une ischémie aiguë, qui revient normale. Il est hospitalisé en médecine interne pour surveillance, avis neurologique, IRM et introduction transitoire d'Aspirine. Le patient présente une bonne évolution clinique avec disparition des symptômes. Les résultats de l'IRM sont normaux. Nous retenons le diagnostic d'aura migraineuse acéphalgique pour lequel nous prescrivons du Brufen 400. L'aspirine est arrêtée le 27.05.2019. Mr. Y rentre à domicile le 27.05.2019. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs le 26.04.2019 pour un choc hémorragique sur une hémorragie digestive haute secondaire à un ulcère duodénal suite à une prise d'AINS au long cours. A l'admission, le patient présente une instabilité hémodynamique nécessitant une expansion volémique, une transfusion par des produits sanguins ainsi qu'un soutien aminergique. Un traitement par Pantoprazole est aussi débuté. La gastroscopie montre un ulcère duodénal sans saignement actif qui est traité par injection d'adrénaline. Le patient récidive son choc hémorragique à 2 reprises le 28.04.2019 et le 29.04.2019 avec chaque fois nécessité d'un soutien transfusionnel important. A la gastroscopie, on retrouve un ulcère bulbaire avec un grand caillot de sang et l'angio-CT ne révèle pas de saignement actif. L'évolution est marquée par une stabilisation hémodynamique permettant le sevrage des catécholamines et l'hémoglobine se stabilise. Une troisième OGD de contrôle retrouve l'ulcère avec un moignon d'un vaisseau qui peut être clipé.A noter que le patient a été intubé chaque fois pour les examens endoscopiques. Une extubation est effectuée depuis le 30.04.2019 avec bonne tolérance. Une réalimentation avec un régime lisse froid est débutée le 02.05.2019 ainsi qu'un relais du traitement par IPP en intraveineux continu par un traitement per os à double dose. L'anticoagulation prophylactique est à introduire le 03.05.2019. La sérologie pour Helicobacter pylori est en cours. De façon concomitante aux chocs hémorragiques, le patient présente à 2 reprises un STEMI. L'échocardiographie révèle une akinésie de la paroi postérieure et une hypokinésie sévère de la paroi inféro-basale, avec une FEVG estimée à 40-45%. Après discussion multidisciplinaire, il est décidé de procéder à un contrôle gastroscopique dans une semaine afin d'évaluer la possibilité de faire une coronarographie. Le traitement par Aspirine est réintroduit le 02.05.2019. Les bêta-bloquants sont débutés aussi le 02.05.2019. On vous laisse le soin d'optimiser le traitement cardiaque. Le seuil transfusionnel est fixé à 90-100 g/dl vu le contexte de la cardiopathie ischémique. Un bilan radiologique des artères du poignet révèle une thrombose étendue de l'artère radiale gauche ainsi qu'une occlusion de l'artère radiale droite et une artère cubitale droite aux parois épaissies. Le cathéter artériel radial gauche est retiré et les ponctions artérielles droites sont à proscrire. Au vu de la bonne évolution, le patient est transféré le 02.05 en médecine. Mr. Y est un patient de 66 ans, qui est transféré des soins intensifs à l'étage le 02.05.2019. Pour rappel, il a été hospitalisé aux soins intensifs pour 3 chocs hémorragiques consécutifs le 26.04, 28.04 et 29.04.2019, et a bénéficié de 15 culots érythrocytaires et 3 OGD qui ont montré un ulcère duodénal avec une artère à découvert, clippée le 29.04. Un CT-Angio a été effectué mais n'a pas retrouvé de saignement actif. Lors de ces chocs, il a présenté 2 NSTEMI les 27.04 et 29.04.2019 pour lesquels une anticoagulation n'a pas pu être reprise immédiatement en raison du risque hémorragique. L'hospitalisation aux soins intensifs se complique avec 2 thromboses des artères radiales gauche et droite sur cathéters veineux. Au niveau digestif, un traitement par Pantoprazole est introduit. Des OGD de contrôle ont lieu le 06.05 et le 15.05.2019 afin de contrôler l'évolution des 2 ulcères. L'aspirine peut être reprise le 01.05.2019 et la coronarographie a lieu le 16.05.2019 avec pose de stent sur l'IVA. Une occlusion de l'artère coronaire droite distale semble être chronique. Une IRM cardiaque est à prévoir en ambulatoire. On retrouve une microhématurie probablement sur sondage vésical, spontanément résolutif. Toutefois Mr. Y présente une rétention urinaire aiguë de 1500 ml avec insuffisance rénale aiguë le 13.05.2019, nécessitant un sondage urinaire le 13.05.2019. Un training de la vessie avec clampage, mais en raison d'un échec de reprise spontanée des mictions, une sonde à demeure est posée le 17.05.2019. Elle sera à retirer après 2 semaines chez le médecin traitant. Mr. Y rentre à domicile le 18.05.2019 avec réhabilitation cardio-vasculaire à l'HFR Billens en ambulatoire. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à une maladie coronarienne tritronculaire. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine Cardio 100 mg, Atorvastatine 40 mg, Beloc Zok 12.5 mg, Efient 10 mg, Insuline Lantus 12 UI/soir, Januvia 100 mg, Lisinopril 5 mg et Metformin 1700 mg. Mr. Y présente une bursite du coude G avec plaie ouverte ; le suivi est assuré par le Dr. X à l'HFR Riaz. Le patient dit avoir demandé un 2ème avis au CHUV où un rendez-vous en consultation d'anesthésie est agendé au 07.05.2019 en vue d'une opération. Lors de son séjour dans notre établissement, son pansement est changé toutes les 48h, sans complication. Durant la réadaptation, le patient est resté asymptomatique sur le plan cardiovasculaire. Aucun signe de décompensation cardiaque n'est relevé, pas d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Face à des glycémies parfaitement stables sous régime adapté et exercices physiques, l'insuline lente est remplacée, dès le 23.04.2019, par Jardiance 5/1000 mg, avec des contrôles réguliers sous ADO. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour pour terminer dans un groupe intensif à sa sortie. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à une puissance de 70 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. A la fin de la prise en charge, il est capable de marcher aisément pendant 1 heure à une allure de 2 km/h sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 6 km/h sur une pente de 2% pendant 30 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+115 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.3 mmol/L, un HDL à 0.8 mmol/L, un LDL à 3.4 mmol/L et des triglycérides à 1.12 mmol/L. • Encore tabagique, Mr. Y réduit significativement sa consommation à 10 cigarettes/j ; il a bénéficié d'une consultation avec notre tabacologue, le Dr. X. Le patient présente une dépendance nicotinique forte avec un test de Fagerström à 4/10. La motivation du patient est moyenne et nous lui recommandons un arrêt du tabac avant l'intervention chirurgicale au niveau de son coude. N'étant pas prêt pour l'instant, il fixe le 01.06.2019 pour stopper sa consommation de tabac avec comme substitut nicotinique : bithérapie patch et Nicorette cp sublingual 2 mg en réserve. Discussion des situations à risques et des stratégies de prévention de la rechute. Suivi du sevrage prévu dans 3 semaines. • La pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : • Hb est 148 g/l. • Fonction rénale normale avec une créatinine à 77 µmol/l. • Électrolytes dans la norme. L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un statut de normo-compensation. Mr. Y, âgé de 84 ans, connu pour une FA paroxystique et angiodysplasie caecale, nous est adressé par l'HFR Riaz pour neuro-réadaptation suite à un AVC ischémique aigu sylvien droit complet sur occlusion de l'artère carotide droite au niveau M1 le 28.03.2019 d'origine cardio-embolique sur FA paroxystique non anticoagulée. A noter une polyneuropathie des MI préexistante et déjà investiguée en neurologie. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse dans un appartement au deuxième étage dans un immeuble sans ascenseur. Il est à la retraite (ancien télégraphiste). A l'admission, le patient se plaint d'une voix rauque. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. A l'anamnèse par système, le patient signale une perte d'appétit depuis l'hospitalisation.Au status, le patient est orienté et collaborant avec un GCS 15/15. Les pupilles sont isocores, isoréactives, l'oculomotricité est non limitée et il n'y a pas d'amputation de champs visuel. Il n'y a pas de trouble des nerfs crâniens, pas de déficit moteur ni sensitif des 4 membres sauf une hypopallesthésie malléolaire sévère ddc. Légère dysmétrie des 4 membres, plus importante au niveau des MI. Au Barré, on note une légère pronation du MSG et le Mingazzini est normal. Romberg instable et importants troubles de l'équilibre à la marche. Une évaluation neuropsychologique a mis en évidence de discrets signes d'héminégligence gauche, un fléchissement de mémoire antérograde verbale, de discrètes difficultés exécutives, un ralentissement idéomoteur, une fatigabilité importante, une labilité émotionnelle et une dysarthrie légère. Une prise en charge axée sur la vitesse de traitement et les aspects attentionnels a été réalisée pendant le séjour. Suite à la prise en charge neuropsychologique, une légère évolution de l'attention divisée et sélective, ainsi que de la vitesse de traitement et de l'endurance est mise en évidence. En revanche, la qualité et le débit de la voix sont restés fluctuants. Au vu de cette faible progression, la reprise de la conduite automobile reste à ce jour contre-indiquée sur le plan neuropsychologique. En accord avec le patient, nous mettons un terme à la prise en charge lors du retour à domicile. Un bilan neuropsychologique d'évolution sera effectué dans le cadre d'une évaluation interdisciplinaire le 26.06.2019, lors de laquelle nous réévaluerons son aptitude à la conduite automobile. Il a également été recommandé au patient de prendre rendez-vous avec un ORL si la gêne vocale persiste. Sur le plan nutritionnel, on note une perte importante de poids par rapport à son poids habituel. Après adaptation du régime alimentaire, ajout de collations et de SNO, le poids semble se stabiliser. Mr. Y affirme que la nourriture de l'hôpital ne lui plaît pas et que son appétit sera meilleur, une fois rentré à domicile. Nous poursuivrons les SNO à domicile. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie, ergothérapie et logopédie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec un rollator sur un périmètre de 200m. Il peut monter/descendre les escaliers avec la main courante (40 marches). Mr. Y doit toujours être accompagné pour le passage des escaliers car il présente un risque de chute important. Après 5 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 21.05.2019, en état général conservé. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Les soins à domicile sont activés. La conduite automobile est contre-indiquée jusqu'à la prochaine évaluation interdisciplinaire qui aura lieu le 26.06.2019. Mr. Y, patient de 84 ans connu pour AVC aigu sylvien droit complet sur occlusion de l'artère cérébrale moyenne droite d'origine cardio-embolique sur fibrillation auriculaire paroxystique non anticoagulée, a bénéficié d'une thrombectomie avec recanalisation complète le 28.03.2019 à l'Inselspital à Berne, puis a été transféré à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal du 02.04.2019 au 05.04.2019, date de son transfert dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz pour suite de sa prise en charge. À noter un frottis anal de dépistage revenant VRE positif, raison pour laquelle le patient se trouve en isolement. Le patient est également connu pour une angiodysplasie du duodénum et du caecum avec épisodes de méléna, découverte par une colonoscopie le 14.02.2018. Au vu de l'absence d'épisode de méléna sur une année et de l'absence de cause expliquant l'événement, une indication quant à une anticoagulation a été posée par nos collègues de l'HFR Fribourg. Au status de l'entrée à Riaz, nous retrouvons un patient normotendu, normocarde à 57 battements par minute, apyrétique et saturant à 97% à l'air ambiant. À l'auscultation cardiaque, les B1 et B2 sont bien frappés sans souffle audible, et notons l'absence d'œdème périphérique ; les pouls périphériques sont palpés. À l'auscultation pulmonaire, mentionnons un murmure vésiculaire symétrique sans bruits surajoutés. Au status neurologique, nous observons un patient orienté aux 3 modes, alerte, aux nerfs crâniens de II à XII dans la norme hormis la présence d'une discrète dysarthrie, une force discrètement diminuée au membre supérieur gauche à 4/5, une sensibilité dans la norme, une hyporéflexie bilatérale et un Barré et Migazzini tenus. Dans notre service, un bilan d'anémie ne met pas en évidence de carences vitaminiques, avec une vitamine B12 à 281pg/ml et l'acide folique à 5.1ng/ml. Nous relevons cependant une hypovitaminose D que nous substituons avec une dose de charge et entretien à 2000UI/j. Merci d'effectuer un contrôle à distance. Pendant ce séjour, Mr. Y profite d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 02.04.2019 au 17.04.2019. Le patient effectue une physiothérapie de mobilisation et de rééducation à la marche. À sa sortie, ce dernier déambule sur plus de 250m à l'aide d'un rollator de manière sécuritaire et autonome, et gravit 36 marches d'escaliers en se tenant à la rampe. À sa sortie, sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 89/126, par rapport à 81/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 5/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 21.20 secondes. Une prise en charge par les ergothérapeutes afin de travailler la dextérité est également effectuée. Mr. Y profite aussi d'une évaluation et d'un suivi nutritionnels, mettant en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence et une dysphagie, et démontrée par un NRS à 4/7 et des apports à 25-50%. Signalons une hypoalbuminémie à 35g/l. Un test de la déglutition est réalisé le 06.04.2019 avec adaptation du régime : boissons libres non épaissies, et alimentation hachée fin. À sa sortie, le patient pèse 65.2kg pour un poids cible à 68kg. Les supplémentations nutritives orales seront à poursuivre à domicile. Un bilan neuropsychologique fut réalisé le 04.04.2019 à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal, avec évaluation à la capacité de conduire. Le rapport vous est mis en annexe. À noter encore la présence d'une dysarthrie et d'un changement du caractère de la voix. Dans ce contexte, la logothérapie s'avérerait une indication afin d'améliorer cette problématique, qui a par ailleurs également un impact sur la thymie du patient. Notre établissement n'offrant pas cette prestation, Mr. Y est transféré en neuroréhabilitation HFR Billens le 17.04.2019. Mr. Y, 82 ans, connu pour une hypertension artérielle non traitée, est hospitalisé pour AVC ischémique sylvien droit sur occlusion de la jonction M2-M3. Pour rappel, le patient consulte initialement au service des urgences en raison d'une hémi-parésie gauche nouvelle associée à une dysarthrie. Le NIHSS initial est à 5 avec hémiparésie à prédominance brachiale G, une légère parésie faciale D, une dysarthrie et une héminégligence visuelle gauche. Le CT-scan Time is Brain met en évidence une pénombre ischémique dans le territoire superficiel de l'artère cérébrale moyenne droite. Une thrombolyse par rtPA est administrée et le patient est ensuite hospitalisé en Stroke Unit en lit monitoré. L'évolution post-thrombolyse est favorable, sans complication hémorragique objectivée au CT cérébral de contrôle du 26.04.2019. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique met en évidence une oreillette gauche très dilatée avec une fonction cardiaque conservée. L'origine de l'AVC ischémique est attribuée en premier lieu à une FA paroxystique inaugurale à son arrivée au service des urgences. Un traitement anticoagulant par liquémine est débuté et ensuite relayé par Sintrom (cible entre 2-3). Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 10 mg/j est introduit et nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1,8 mmol/l). Mr. Y présente également une insuffisance rénale depuis l'admission. Le traitement par IEC est arrêté et relayé par un inhibiteur calcique. L'estimation de la clearance sur la récolte urinaire de 24h est 31 ml/min. Un bilan et un suivi néphrologique sont donc organisés. Pendant l'hospitalisation, le patient présente également un globe urinaire sur hypertrophie de la prostate, nécessitant une pose de sonde urinaire et le début d'un traitement alpha-bloquant. Une suite en ambulatoire d'urologie est organisée. L'évolution clinique est favorable avec un statut neurologique de sortie dans la norme. Mr. Y peut regagner son domicile le 02.05.2019. L'examen neuropsychologique montre des difficultés exécutives et mnésiques antérogrades. Nous rappelons au patient que la conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 3 mois, jusqu'au prochain contrôle neuropsychologique. Une consultation neurovasculaire de contrôle est également prévue à 3 mois. Mr. Y est un patient de 51 ans qui est hospitalisé pour prise en charge chirurgicale d'un adénocarcinome colorectal bien différencié (Kikuchi SM3) au niveau d'un polype. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples avec une reprise du transit et une bonne gestion de l'antalgie, permettant à Mr. Y de rejoindre son domicile le 03.05.2019. La suite de prise en charge et les résultats anatomo-pathologiques seront discutés lors du Tumorboard du 08.05.19. Mr. Y, connu pour un statut post-pénectomie pour un carcinome épidermoïde invasif du pénis avec métastases ganglionnaires et une cirrhose Child C de probable origine éthylique, consulte les urgences le 30.04.2019 en raison de douleurs et d'un important oedème au niveau des testicules depuis une semaine, suite au port d'une lourde charge selon le patient. Pas de notion d'état fébrile ni de frissons. Au statut digestif, l'abdomen est souple et indolore. Au niveau urologique, le scrotum est augmenté de volume et douloureux à la palpation. Au statut cutané, rougeur et oedème au niveau du scrotum et des plis inguinaux avec un bord bien limité et des auréoles de macération au niveau des plis inguinaux. Le laboratoire met en évidence une CRP à 155 mg/l sans leucocytose. Le sédiment urinaire est propre. Nous complétons le bilan par un ultrason des testicules qui montre un important épaississement de la peau du scrotum. Pas d'hernie mise en évidence et les testicules sont dans la norme. Nous retenons le diagnostic de dermohypodermite du scrotum avec intertrigo des plis inguinaux. Mr. Y est hospitalisé et nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g iv 4x/jour ainsi qu'un traitement par Fluconazole 100 mg iv 1x/jour et Pevaryl poudre 2x/jour, pendant 3 jours. À la visite du 01.05.2019, nous suspectons une gangrène de Fournier. Le laboratoire de contrôle met en évidence une CRP en augmentation à 172 mg/l, sans leucocytose. Nous effectuons un CT scan abdomino-pelvien qui exclut la présence d'air dans les testicules (gangrène), mais montre une infiltration des tissus mous ainsi que la présence de liquide dans les testicules. Le traitement antibiotique par co-amoxicilline est relayé par Tazobac et Clindamycine. Le patient est évalué par le Dr. X, chirurgien de garde, qui est en accord avec notre prise en charge. Sous antibiothérapie, l'évolution est favorable et la Clindamycine est arrêtée le 03.05.2019 et le Tazobac iv est remplacé par le Co-Amoxi iv dès le 04.05.2019, avec relais par co-amoxicilline per os 625 mg 3x/j dès le 07.05.2019, à poursuivre jusqu'au 14.05.2019. Au contrôle de laboratoire du 06.05.2019, nous mettons en évidence une leucopénie à 2,8 G/l, persistant à 2,9 G/l au laboratoire du 08.05.2019. La cause de cette leucopénie est probablement l'infection ou d'origine médicamenteuse. Nous vous laissons le soin de contrôler cette valeur à distance. Mr. Y peut regagner son domicile le 08.05.2019. Il prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X dans une semaine pour un contrôle. Mr. Y est un patient de 75 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées. Il est hospitalisé suite à l'occlusion de la fistule artério-veineuse huméro-veineux avec boucle prothétique objectivée en dialyse à Payerne. Il bénéficie de l'opération susmentionnée le 27.03.2019. Les suites opératoires sont simples, sans douleur, avec un thrill palpable, un pouls radial bien frappé et régulier. Après discussion avec le Dr. X, le patient bénéficiera d'une séance de dialyse le 29.03.2019. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 28.03.2019. Mr. Y, connu pour une hydrocèle importante (taille d'une mandarine) suivi par le Dr. X, présente des douleurs scrotales gauches depuis le 18.04.2019 avec une augmentation importante de la taille de la tuméfaction et de nouveaux signes inflammatoires. Le bilan des urgences met en évidence une hydrocèle surinfectée associée à une épididymite ainsi qu'une collection au niveau de la vésicule séminale droite compatible avec un abcès. Après discussion avec le Dr. X, un traitement conservateur avec une antibiothérapie à base de Ciprofloxacine est débuté. En raison d'une augmentation des valeurs inflammatoires et d'une péjoration clinique locale, l'antibiothérapie est changée pour de l'Imipenem et l'abcès est drainé sous guidage scannographique. Par la suite, le patient montre une évolution favorable avec une amélioration clinique et biologique, permettant un retrait du drain le 30.04.2019. Un switch de l'antibiothérapie par Ciproxine per os est effectué le 01.05.2019. Mr. Y rentre à domicile le 02.05.2019. Il poursuivra l'antibiothérapie pendant 6 semaines et un contrôle chez le Dr. X est à prévoir dans 1 semaine. Mr. Y, 75 ans, est envoyé au service des urgences par son pneumologue traitant (Dr. X) en raison d'une péjoration d'une dyspnée chronique depuis dimanche avec une toux grasse et une augmentation des expectorations devenues jaunâtres. Les analyses de laboratoire mettent en évidence un syndrome inflammatoire. Nous posons le diagnostic de pneumonie avec un examen clinique correspondant et malgré une radiographie thoracique ne mettant pas de franc foyer infectieux en évidence. Une antibiothérapie est débutée, ainsi qu'une thérapie de Prednisone et des inhalations d'Atrovent et Ventolin. Malgré un suivi biologique favorable, la dyspnée et la toux ne s'améliorent que lentement, raisons pour lesquelles une nouvelle radiographie du thorax est effectuée. Celle-ci ne montre pas de nouvelle pathologie. Le patient bénéficie d'une physiothérapie respiratoire durant son hospitalisation qui permet une amélioration de la symptomatologie. Mr. Y peut rentrer à domicile le 22.05.2019. Mr. Y, 61 ans, connu pour un statut après foramen ovale opéré en 2012, sous traitement par aspirine cardio, est hospitalisé dans un contexte d'accident ischémique transitoire. Pour rappel, le patient décrit un flou visuel de l'œil droit (champ visuel inférieur) d'une durée d'environ 15 minutes qui survient alors qu'il est en train de conduire sa voiture. Deux heures après, vers 12h, alors qu'il est au café avec son épouse, le patient décrit une aphasie qui dure environ 10 minutes. À l'arrivée aux urgences, le patient n'a plus aucun symptôme. Le statut clinique aux urgences à Riaz est décrit dans la norme. Le CT cérébral et les vaisseaux précérébraux injectés ne montrent pas de lésions ischémiques ni hémorragiques, ni occlusions ou de sténoses. Une charge d'Aspirine 250 mg iv est donnée. Pour la suite, son traitement par Aspirine sera relayé par Plavix 75 mg/j.Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une fonction cardiaque normale, sans dilatation de l'oreillette gauche ni thrombus. À noter un passage de quelques bulles au niveau de la prothèse. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. L'étiologie reste indéterminée. En effet, la symptomatologie sur deux territoires différents évoque une origine embolique, mais le bilan cardiaque ne donne pas d'arguments pour un point de départ clair. Le cas sera discuté au prochain colloque FOP en accord avec nos collègues cardiologues. Sur le plan métabolique, un traitement de Crestor 5 mg est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. À noter que le patient signale des myalgies importantes dans le passé dans le contexte de traitement par Atorvastatine. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. L'évolution clinique est favorable avec un statut neurologique de sortie normal. Mr. Y peut regagner son domicile. Une consultation neurovasculaire de contrôle sera prévue à 3 mois. Mr. Y présente une bursite olécrânienne droite actuellement asymptomatique. J'explique au patient les différentes possibilités de traitement. Une chirurgie n'est pas indiquée actuellement vu qu'il est asymptomatique. Je propose de continuer un traitement avec Voltarène gel à appliquer 2x/j. L'unique indication opératoire serait une souffrance de la part du patient, ce qui n'est visiblement pas le cas actuellement. Le patient me recontactera en cas de nouvelle apparition de douleurs ou d'une limitation fonctionnelle de son coude. Pas d'arrêt de travail. Mr. Y est un patient de 58 ans qui a bénéficié d'une arthroscopie du genou droit avec résection partielle du ménisque interne le 12.04.2019 par le Dr. X. Depuis une semaine, il note une augmentation du volume de son genou et ressent des douleurs dans le mollet droit. Il est vu à la consultation du Dr. X le 09.05.2019 et, au bilan biologique, la CRP est alors à 21 mg/l. Un ultrason ne montre pas de signe de thrombose veineuse profonde. Mr. Y se présente aux urgences dans la nuit du 12.05.2019 en raison d'une forte douleur du creux poplité droit. Le bilan biologique montre une CRP à 19 mg/l, des leucocytes dans la norme, des D-Dimères augmentés à 1386. À l'examen clinique, tuméfaction du genou et du mollet droits, avec des loges non sous tension cliniquement. Il n'y a ni rougeur, ni chaleur au niveau du genou, sensation de kyste mobilisable par rapport au plan superficiel tout autour de la rotule. Pas de chaleur, ni de rougeur au niveau du mollet et du creux poplité. Mobilisation en extension complète et flexion limitée à 30° en raison de la douleur. Pas de notion d'état fébrile. Mr. Y est hospitalisé dans le service d'orthopédie après avoir reçu une dose préventive de Clexane 80 mg sc, dans l'attente de l'ultrasonographie. Cette dernière est effectuée le 12.05.2019 et permet d'exclure une thrombose veineuse mais montre un kyste de Baker en arrière du muscle gastrocnémien du creux poplité et un hématome de 4x9x1,5 cm environ à la pointe du kyste. Présence d'un œdème des plans graisseux sous-cutanés. Les artères sont perméables. Vu le résultat de l'ultrason, la Clexane est abaissée à 40 mg sc/jour jusqu'au 16.05.2019, date du contrôle à la consultation du Dr. X qui réévaluera l'indication à la poursuite ou non de ce traitement. Des bas à varices sont mis en place et le patient reçoit une ordonnance pour des bas de contention. Nous proposons au patient une physiothérapie de mobilisation du genou, ainsi que des drainages lymphatiques. Le 12.05.2019, Mr. Y peut retourner à domicile. Mr. Y, patient de 85 ans, connu pour une hypertension artérielle et fibrillation auriculaire anticoagulée par Xarelto, consulte aux urgences le 13.04.2019 en raison d'un état confusionnel aigu avec désorientation et difficulté à la mobilisation, avec notion de faiblesse au niveau des membres inférieurs bilatéralement. À sa présence aux urgences, le patient est fébrile à 39.5°C, avec une tension artérielle à 106/65 mmHg et tachycarde à 122 battements par minute, saturant à 90% à l'air ambiant. Anamnestiquement, Mr. Y ne rapporte pas de toux ni d'expectoration, et il signale également l'absence de symptôme urinaire. À l'auscultation cardiaque, notons des B1 et B2 bien frappés sans souffle audible, l'absence d'œdème périphérique et des pouls périphériques palpés. À l'auscultation pulmonaire, sont obtenus des râles fins à prédominance droite et une légère hypoventilation basale gauche. Les loges rénales sont souples et indolores à la percussion. Au toucher rectal, la prostate est indolore. Le bilan biologique objective un syndrome inflammatoire avec leucocytose à 17.1 G/l et CRP à 99 mg/l sans déviation gauche, une hyperkaliémie à 5.6 mmol/l et une insuffisance rénale aiguë AKIN II avec clairance à la créatinine selon Cockroft à 28.7 ml/h. Le spot urinaire réalisé parle en faveur d'une origine pré-rénale. Un stix et un sédiment urinaires indiquent une leucocyturie et de la flore bactérienne. Dans ce contexte, une antibiothérapie est débutée par Rocéphine 2 g intraveineux. L'urotube envoyé montrera par la suite un Klebsiella pneumoniae multisensible, hormis une résistance à l'ampicilline. Deux paires d'hémocultures sont réalisées sur pic fébrile revenant par la suite positives à un staphylocoque epidermidis 1/4 bouteille, une contamination étant donc retenue dans ce contexte. La radiographie du thorax n'objective pas de signe de foyer ou d'épanchement pleural. Au vu de l'insuffisance rénale, le Xarelto est transitoirement mis en suspens, et peut être repris le 11.04.2019 sur une bonne évolution de la fonction rénale suite à l'hydratation. La créatinémie à la sortie est 124 µmol/l (valeurs de base à 116 µmol/l). Nous retenons ainsi une infection urinaire non bactérienne avec des manifestations systémiques, chez un patient en état confusionnel aigu et peu collaborant les premiers jours de l'hospitalisation. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable. À noter des troubles cognitifs débutants également signalés par l'entourage. Nous vous prions d'effectuer un dépistage à la sortie de la phase infectieuse. Nous réalisons également un bilan d'anémie qui indique un déficit en vitamine B12 à 175 pg/ml, l'acide folique dans la norme à 4.5 ng/ml, et une hypovitaminose D à 40 nmol/l que nous substituons. Nous vous prions de contrôler ces valeurs à distance. Rappelons que le patient est marié, vivant dans un chalet avec une vingtaine de marches d'escaliers, se mobilisant sans moyen auxiliaire. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. Il marche de manière assurée sur une distance de 200 m et gravit 36 marches d'escaliers en utilisant la rampe et de manière sécuritaire. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale à la sortie s'élève à 88/126, identique à celle d'entrée (MIF physio : transferts 7/7, marche à 7/7 et escaliers à 6/7). Le test TUG se fait en 11.9 secondes.Le patient regagne ainsi son domicile date du 13.04.2019. Mr. Y désire l'ablation du matériel d'ostéosynthèse en regard de la malléole externe à droite. Il est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci et il nous donne son accord. Le consentement est signé. Le patient sera encore vu à la consultation pré-anesthésique pour discuter du type d'anesthésie. Le patient nous recontactera afin de nous communiquer la date de l'intervention en accord avec son employeur. Mr. Y, patient de 73 ans, est admis aux soins intensifs pour un œdème aigu pulmonaire et acidose respiratoire sur pic hypertensif. Il est principalement connu pour une maladie coronarienne tri-tronculaire avec FEVG à 30%, stable depuis 2016. Il a été hospitalisé à l'HFR Fribourg pour le même motif en avril 2019. La dernière coronarographie du 29.04.2019 n'a pas montré d'argument pour une cause ischémique à la décompensation cardiaque. L'œdème aigu pulmonaire est réfractaire à la ventilation non invasive avec des besoins en oxygènes importants et une anurie malgré du Furosemide à haute dose. Mr. Y est intubé sous 80% de FiO2 nécessitant la mise en place d'une épuration extra-rénale pour gestion de l'hypervolémie. À 48 heures, la reprise de la diurèse et les paramètres ventilatoires permettent l'extubation avec ventilation non-invasive. L'évolution sur le plan cardio-pulmonaire est marquée par une fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide cardioversée après 3 jours de dose de charge d'Amiodarone. L'échocardiographie transoesophagienne confirme une FEVG à 30% avec hypokinésie globale sévère associée à un thrombus ventriculaire gauche motivant l'introduction d'une anticoagulation thérapeutique, tout d'abord avec de l'Héparine puis du Sintrom. Le traitement de l'insuffisance cardiaque est optimisé avec nécessité d'une thérapie anti-hypertensive importante et l'ajout de spironolactone. Un suivi cardiologique chez le Dr. X à 2 mois est conseillé. Le dosage de l'Amiodarone est augmenté à 200 mg, nous conseillons de faire un ECG de contrôle le 03.05.2019 pour mesurer l'intervalle QT, qui a légèrement augmenté par rapport au comparatif. L'insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale ne répond initialement pas au traitement diurétique, nécessitant une dialyse le 13.05.2019 avec reprise d'une diurèse spontanée par la suite. Une reprise des diurétiques en IV continu est rapidement stoppée en raison de diurèses dans les cibles. Une suspicion d'infection d'origine pulmonaire est traitée par 5 jours de Ceftriaxone en raison d'un syndrome inflammatoire biologique et d'aspirations bronchiques purulentes. L'évolution est rapidement favorable. Mr. Y a pu être reclassé en attente d'une réadaptation générale à l'HFR Billens le 29.05.2019. Mr. Y, 73 ans, est admis aux soins intensifs pour un œdème aigu pulmonaire. Il est principalement connu pour une maladie coronarienne tri-tronculaire avec FEVG à 30%, stable depuis 2016. Il a été hospitalisé à l'HFR Fribourg pour le même motif en avril 2019. La dernière coronarographie du 29.04.2019 n'a pas montré d'origine ischémique à la décompensation cardiaque. L'œdème aigu pulmonaire est réfractaire à la ventilation non invasive avec des besoins en oxygènes importants et une anurie malgré du furosémide à haute dose. Mr. Y est intubé sous 80% de FiO2 nécessitant la mise en place d'une épuration extra-rénale pour gestion de l'hypervolémie. À 48 heures, la reprise de la diurèse et les paramètres ventilatoires permettent l'extubation avec ventilation non-invasive. L'évolution sur le plan cardio-pulmonaire est marquée par une fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide cardioversée après 3 jours de dose de charge d'amiodarone. L'échocardiographie transoesophagienne confirme une FEVG à 30% avec hypokinésie globale sévère associée à un thrombus ventriculaire gauche motivant l'introduction d'une anticoagulation thérapeutique. Le traitement de l'insuffisance cardiaque est optimisé avec nécessité d'une thérapie anti-hypertensive importante et l'ajout de spironolactone. Une thérapie par digoxine peut être envisagée en cas de mauvaise évolution sur le plan cardiaque. Un avis cardiologique retient l'indication à la pose d'un pacemaker-défibrillateur, qui sera discuté à distance de l'événement aigu. Un sepsis d'origine pulmonaire est traité par 5 jours de ceftriaxone en raison d'un syndrome inflammatoire biologique et d'aspirations bronchiques purulentes. Mr. Y est transféré en médecine interne le 19.05.2019. Mr. Y est un patient connu pour une AOMI et une insuffisance veineuse ayant bénéficié d'une TEA fémorale, pontage fémoro-poplité et crossectomie et stripping le 31.01.2019. Pendant son séjour en réhabilitation, il développe une surinfection de plaie inguinale et de plaies d'abord de la face médiale de la cuisse avec présence de lymphocèles. Des débridements et traitement par pansements VACs itératifs sont effectués dès le 22.02.2019. Les résultats de bactériologie reviennent positifs pour S. aureus et E. faecalis. Une antibiothérapie est donc mise en place par Co-Amoxicilline pour une durée totale de 10 jours. Le 14.03.2019, une lésion iatrogène est effectuée au niveau de la veine du pontage qui est suturée par un surjet de Prolène, lors de la fermeture de plaie médiale proximale de la cuisse. Le 24.03.2019, il présente un lâchage de la suture nécessitant une réfection par patch xénopéricardique et la transfusion de 3 CE, 2 PFC et un remplissage volumique. Après une surveillance hémodynamique de 24 heures aux soins intensifs, le patient est retransféré à l'étage. Sur le plan infectiologique, le 16.03.2019, Mr. Y présente une récidive d'un état fébrile avec une hypotension. Les hémocultures sont positives pour un Pseudomonas aeruginosa dont la source est inconnue. Les frottis de la plaie du 19.03.19 mettent en évidence un S. Aureus. Un traitement par Céfépime est mis en place pendant 3 jours puis relayé par la Co-amoxicilline. Lors du lâchage de la suture du 24.03.2019, une infection est suspectée, raison pour laquelle la Céfépime est reprise du 24.03 au 27.03.2019. Suite à une persistance du S. aureus sans nouveau germe, nous reprenons la Co-Amoxicilline, du 28.03 au 05.04.2019. En fin d'hospitalisation, un angio-CT des membres inférieurs est réalisé en raison de la suspicion d'une collection au niveau de la cuisse gauche. L'examen ne montre pas de collection, mais une dissection focale du pontage. Le patient sera convoqué par la suite en angiologie. Concernant la plaie, le jour du transfert à Tavel, Mr. Y a un pansement avec du Plurogel au pli inguinal gauche qu'il faut changer tous les jours. Il a également deux VACs sous-cutanés au niveau de la cuisse qui seront changés deux fois par semaine à la consultation de stomathérapie au HFR. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y est transféré à l'Hôpital de Tavel le 05.04.2019. Mr. Y, admis pour une coronarographie élective chez un patient connu pour une cardiopathie ischémique avec antécédent de stenting en 2014. L'examen invasif du jour démontre une progression de la maladie coronarienne au niveau de l'IVA. Les autres coronaires sont inchangées depuis 2014. Je procède à une dilatation de la bifurcation de l'IVA proximale/diagonale avec T stenting. Nous proposons un traitement avec Aspirine pour 1 mois, Efient 10 mg/d pour 6 mois et Sintrom à vie (FA, valve mécanique). Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications.Le patient rentre à domicile le 23.05.2019. • Mr. Y, patient de 70 ans, est admis aux soins intensifs le 19.05 2019 pour un syndrome coronarien aigu avec bloc de branche gauche nouveau. Le patient est connu pour une cardiopathie ischémique sur maladie tritronculaire, également anticoagulé par Eliquis pour une embolie pulmonaire survenue en mars dernier. Il est hospitalisé en médecine interne depuis début mai pour une décompensation cardiaque. Dans le cadre du bilan de cette décompensation, une coronarographie trouve une resténose au niveau de la dominante ACD qui est traitée par un stent actif (13.05.2019). Une ETT montre une hypokinésie globale modérée avec une FEVG à 30%. À 6 jours de l'intervention, soit dans la nuit du 18.05 au 19.05.2019, le patient présente des douleurs thoraciques aiguës avec modification à l'ECG sous forme d'un bloc de branche gauche nouveau. Une coronarographie en urgence retrouve une maladie coronarienne tritronculaire avec thrombose subaiguë intrastent de la CD distale qui est traitée par dilatation au ballon seul puis kissing balloon au niveau de la bifurcation haute IVP et RVP. En raison du risque plus élevé de nouvelle thrombose suite à la thrombose intrastent, l'Aspirine est ajoutée pendant une durée de 12 mois au Plavix (pour 3 mois) et Eliquis. Pendant la durée de la trithérapie, l'Eliquis est à diminuer à 2.5 mg 2x/j puis à reprendre à 5 mg 2x/j. La surveillance clinique aux soins intensifs en post-coronarographie est sans particularité. Au niveau biologique, le suivi des enzymes cardiaques montre un pic de CK à 1634 UI/l le 19.05.2019. Le traitement de l'insuffisance cardiaque reste à adapter, le sartan et l'Aldactone étant toujours en suspens. Vu une évolution clinique et biologique favorable, le patient est re-transféré en médecine interne le 20.05.2019 pour suite de prise en charge. • Mr. Y, 70 ans, est hospitalisé pour une insuffisance cardiaque décompensée. Le patient, connu pour une maladie coronarienne tritronculaire et anticoagulé par Eliquis pour une embolie pulmonaire diagnostiquée en mars dernier, consulte pour une dyspnée NYHA 4 associée à une orthopnée, une dyspnée paroxystique nocturne et des œdèmes des membres inférieurs depuis 3 jours. Une coronarographie est effectuée et montre une resténose de l'artère coronaire droite, qui est dominante, et qui est traitée par un stent actif (13.05.2019) avec proposition d'associer une antiagrégation par Plavix à l'anticoagulation par Eliquis. À 6 jours de l'intervention, soit dans la nuit du 18.05 au 19.05.2019, le patient présente des douleurs thoraciques typiques avec développement d'un bloc de branche gauche nouveau. Une nouvelle coronarographie retrouve une thrombose subaiguë intrastent actif de la coronaire droite distale, qui est traitée par dilatation au ballon seul puis kissing balloon au niveau de la bifurcation haute IVP et RVP. En raison du risque plus élevé de nouvelle thrombose suite à la thrombose subaiguë intrastent, un traitement par double antiagrégation avec Aspirine pendant 12 mois, Plavix pendant 2-3 mois et poursuite d'Eliquis. Pendant la durée de la trithérapie, l'Eliquis sera diminué à 2.5 mg 2x/j puis à reprendre à 5 mg 2x/j. Au niveau rénal, le patient présente une insuffisance rénale aiguë de type pré-rénal sur déshydratation (traitement diurétique). Nous observons une correction de la fonction rénale suite à l'hydratation et à l'adaptation des traitements diurétiques. Après la première coronarographie, le patient développe un lumbago non déficitaire avec Lasègue positif et il décrit également des douleurs habituelles de type claudication intermittente. Un bilan angiologique ne montre pas de cause vasculaire distale (partie aorto-iliaque non examinable) et un CT-scan de la région lombaire ne montre pas de signe de fracture-tassement vertébral ou de canal lombaire étroit. Suite à l'adaptation de l'antalgie, nous notons une évolution favorable. Vu une évolution clinique et biologique favorable, Mr. Y est reclassé le 24.05.2019 en attente d'une place à Billens pour une réhabilitation cardiovasculaire. • Mr. Y est transféré ce jour en réadaptation gériatrique suite à un séjour en gériatrie aiguë en raison d'une décompensation cardiaque globale. Rappelons que sur le plan social, Mr. Y vit à domicile avec son épouse. Durant sa réadaptation, le patient est pris en charge principalement pour ses troubles de la marche et de l'équilibre et pour une réadaptation globale en vue d'un retour à domicile. Par rapport à un œdème scrotal apparu suite à l'arrachement de la sonde urinaire pour lequel un avis chirurgical nous avait été transmis par le Dr. X (conseillant une prise en charge symptomatique au vu de l'état général du patient), un contrôle par bladder scan est effectué 2 fois par jour pour le suivi de la diurèse ; la remise en place d'une sonde vésicale ne s'avère pas possible dans ce contexte. L'œdème scrotal s'amenuise progressivement, mais des douleurs importantes sont toujours rapportées par le patient que nous traitons par Temgesic au vu de sa fonction rénale. L'œdème diminue progressivement grâce au traitement diurétique. En raison de l'incontinence urinaire durant le séjour hospitalier, nous proposons de mettre une sonde vésicale pour faciliter le retour à domicile, mais le patient et son épouse la refusent, souhaitant que l'incontinence disparaisse à la maison. Le patient rentrera donc à domicile sans sonde vésicale le 24.05.2019. Concernant l'anticoagulation de Mr. Y par Sintrom, nous effectuons un suivi régulier au vu d'une certaine variation durant le séjour. Les dernières valeurs de la crase sont des INR à 2.9 et 2.8 lors des deux derniers contrôles respectivement et nous vous proposons d'effectuer un suivi dès le vendredi 31.05.2019 à votre consultation. Le patient rentre à domicile avec un carnet d'anticoagulation rempli jusqu'au 30.05.2019.Sur le plan cognitif, Mr. Y est initialement en état confusionnel aigu dans le contexte infectieux raison pour laquelle nous attendons la fin de cette phase aiguë pour effectuer les tests cognitifs de dépistage. Ces tests sont effectués le 22.05.2019 et montrent de bonnes performances avec un MMSE à 28/30 et un test de la montre à 7/7 ; l'échelle gériatrique de dépression s'élève à 5/15. Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A la sortie, son périmètre de marche accompagné sous surveillance et à l'aide d'un rollator est de 210 mètres. Mr. Y peut gravir 13 marches en montée et en descente avec accompagnement. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 89/105 par rapport à 63/105 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 4/7). Le TUG est à 18.21 secondes avec rollator. Le risque de chute est intermédiaire au vu des troubles visuels du patient. Mr. Y bénéficie d'un bilan nutritionnel, ne mettant pas en évidence de dénutrition, mais un risque élevé au score MNA à 9. Nous mettons en évidence un apport oral insuffisant en lien avec une légère baisse de l'appétit, comme le démontrent des besoins énergétiques couverts à 78% et des besoins protéiques à 74%. Les repas sont donc adaptés, enrichis et fractionnés, et un supplément nutritif oral journalier est prescrit. Pour la sortie, les conseils nutritifs de sortie sont donnés à Mr. Y le 23.05.2019. En ergothérapie, rappelons que le patient profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne au niveau de la toilette et de l'habillage, ainsi qu'une évaluation du domicile pour lequel le patient reçoit une ordonnance pour une adaptation à domicile. Au vu de l'évolution clinique, Mr. Y quitte notre service le 24.05.2019 avec organisation du passage des soins à domicile. Mr. Y est un patient de 27 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte aux urgences le 12.05.2019 en raison des douleurs abdominales péri-ombilicales depuis la veille avec migration en FID ce jour, sans état fébrile associé. Le laboratoire initial montre une leucocytose à 21.5 G/L et une CRP à 18 mg/L. Un ultrason abdominal met en évidence une appendicite aiguë. Le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 11.05.2019. L'intervention se déroule sans complication, l'évolution est par la suite favorable. Mr. Y rentre à domicile le 12.05.2019. • Ablation des fils à J12 chez le médecin-traitant. Mr. Y est un patient de 42 ans, qui se présente le 11.05.2019 aux urgences en raison de douleur abdomino-thoracique à gauche depuis une chute accidentelle de sa hauteur sur son lieu de travail avec réception latéro-thoracique sur une barre métallique le 09.05.2019. Le bilan effectué aux urgences met en évidence une lacération splénique de grade II avec un petit hématome sous-capsulaire du pôle inférieur de la rate ainsi qu'une fracture peu déplacée de l'arc postérieur de la 11ème côte gauche, motivant une hospitalisation et une surveillance aux soins intensifs pendant 24 heures. Le suivi de l'hémoglobine est stable et la situation hémodynamique reste sans particularité, permettant un transfert à l'étage. Les suites hospitalières sont simples avec des douleurs bien contrôlées par une antalgie simple et une hémoglobine toujours stable. Mr. Y retourne à domicile le 14.05.2019. Mr. Y, patient de 42 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance d'une lacération splénique d'origine traumatique et de grade II. Le patient, en bonne santé habituelle, mentionne une chute accidentelle de sa hauteur sur son lieu de travail le 09.05.2019 (réception latéro-thoracique sur une barre métallique). Au vu de la persistance de douleurs, le patient consulte les urgences le 11.05.2019. Un bilan d'imagerie met en évidence une lacération splénique de grade II avec un petit hématome sous-capsulaire du pôle inférieur de la rate ainsi qu'une fracture peu déplacée de l'arc postérieur de la 11ème côte gauche. Concernant la lacération splénique, les collègues chirurgiens préconisent un traitement conservateur sans nécessité d'une imagerie de contrôle. Le suivi de l'hémoglobine est stable et une thromboprophylaxie est introduite dès le 12.05.2019. Concernant la fracture de l'arc postérieur de la 11ème côte gauche, un traitement conservateur est entrepris. Une physiothérapie respiratoire sera à poursuivre afin d'éviter les atélectasies pulmonaires. L'antalgie étant simple avec une évolution clinique et biologique favorable, le patient est transféré le 12.05.2019 à l'étage de chirurgie pour suite de prise en charge. Mr. Y, patient de 91 ans, connu pour une fibrillation auriculaire non anticoagulée depuis décembre 2018 en raison d'hématochézies dans le contexte d'une néoplasie ano-rectale, est hospitalisé en raison d'une tuméfaction de tout le membre inférieur droit avec douleurs à la charge depuis plusieurs jours. Au service des urgences, un ultrason retrouve un thrombus de la veine fémorale droite. Un traitement d'héparine intraveineux est instauré, et au vu du risque hémorragique, le patient est hospitalisé pour surveillance de l'anticoagulation. À l'étage, le traitement d'héparine est relayé par Clexane avec une surveillance de l'hémoglobine. Un consilium angiologique et un angio CT retrouvent la thrombose veineuse profonde étendue jusque dans la veine iliaque commune, probablement secondaire dans le contexte néoplasique, et confirment l'indication au traitement anticoagulant à dose thérapeutique. Sur le plan oncologique, un angio CT montre une progression de la masse ano-rectale ainsi que des adénopathies. Mr. Y ne désire pas d'opération, conformément à son souhait suite au diagnostic en décembre. Au vu du risque hémorragique et de l'indication à un traitement anticoagulant, les collègues de la gastro-entérologie proposent une rectosigmoïdoscopie avec coagulation par Argon Plasma, que le patient accepte. Celle-ci est effectuée le 26.04.2019. Malgré ce traitement, le risque de saignement reste très important. Après discussion avec le patient et sa famille, si une hémorragie massive survenait, le patient ne désire pas être réanimé et des soins de confort sont conseillés. Dans le contexte d'anémie, un bilan retrouve un déficit en acide folique et en fer, que nous substituons durant le séjour. Après discussion avec la famille et le patient, il est décidé d'une réadaptation gériatrique à l'HFR Riaz en vue d'un retour à domicile. Mr. Y est transféré le 02.05.2019. Mr. Y est un patient de 19 ans, connu pour mucoviscidose, qui se présente le 14.05.2019 aux urgences envoyé par sa pneumologue en raison de douleurs abdominales et fièvre depuis 5 jours avec une hausse du syndrome inflammatoire. Le bilan effectué aux urgences par sonographie et par scanner met en évidence une pancolite. Le patient est donc hospitalisé dans notre service pour antalgie et une antibiothérapie intraveineuse. Les suites de l'hospitalisation sont favorables avec des douleurs bien contrôlées par antalgie simple, un transit repris et une alimentation bien tolérée permettant au patient un retour à domicile le 17.05.2019. Mr. Y continuera le traitement antibiotique pour une totalité de 14 jours. Il sera également convoqué pour une colonoscopie en ambulatoire.Mr. Y, 57 ans, traité pour une hypertension, est hospitalisé aux soins intensifs pour un arrêt cardio-respiratoire sur STEMI sur occlusion de l'IVA proximale. Le patient consulte son médecin en raison de douleurs thoraciques apparues à l'effort depuis 2h environ et présente un arrêt cardio-respiratoire durant la consultation. Le rythme cardiaque initial est une fibrillation ventriculaire et bénéficie d'une défibrillation et d'une réanimation cardiopulmonaire brève. La coronarographie montre une maladie monotronculaire avec occlusion de l'IVA proximale, avec pose de stent actif. L'Aspirine Cardio est à poursuivre à vie, l'Efient durant 12 mois. Un traitement par bêta-bloquant et inhibiteur de l'enzyme de conversion de l'angiotensine, ainsi qu'une statine sont introduits. Des douleurs thoraciques d'origine pariétales suite à la réanimation sont gérées par une antalgie simple. Dans les autres complications, on note une rétention urinaire aiguë soulagée par un sondage vésical transitoire ainsi qu'un hématome du point de ponction fémoral droit qui nécessite une compression mécanique transitoire par Femostop. L'évolution clinique et biologique est favorable et le patient est transféré en médecine le 18.05.2019 pour suite de prise en charge. Une échocardiographie transthoracique de contrôle est effectuée le 20.05.2019 montrant une amélioration de la FEVG. Un ECG-Holter de 48h est posé le 20.05.2019. Mr. Y peut sortir le 22.05.2019, une réhabilitation cardio-vasculaire intra-hospitalière est prévue à l'HFR Billens, de même qu'un rendez-vous de contrôle à un mois chez le Dr. X. Mr. Y présente des ongles incarnés des deux côtés sur les deux hallux sur le rebord médial et latéral. L'indication pour une cure d'ongle incarné selon Kocher rebord médial et latéral des deux hallux est donnée. Le patient est d'accord. Nous expliquons au patient les risques et les bénéfices liés à l'intervention. Le consentement est signé. L'intervention est prévue pour le 1er juillet 2019. Nous prévoyons une anesthésie locale. Mr. Y, connu pour une consommation d'alcool chronique, avec hospitalisation en 2006 à Estavayer-le-Lac pour sevrage, ainsi que pour un état anxio-dépressif, est amené aux urgences le 01.05.2019 par sa famille suite à une chute de sa hauteur avec réception sur le côté. Le patient serait resté plus d'une heure par terre avant d'être relevé. À l'hétéro-anamnèse, la famille nous informe que le patient est verbalement agressif et nous fait part de son épuisement. À l'anamnèse, Mr. Y ne nie pas sa consommation d'alcool et avoue avoir bu, le jour de l'admission, 12 bières afin de soulager ses douleurs chroniques au niveau de la colonne cervicale et des hanches ainsi que pour atténuer l'angoisse liée à l'état de santé de son épouse. À l'admission aux urgences, le patient est hémodynamiquement stable, normocarde, normotendu et afébrile. Il refuse initialement la prise en charge, mais après négociations, nous arrivons à le convaincre de rester hospitalisé. Le statut d'entrée est sans particularité et le laboratoire met en évidence une alcoolémie à 2,38. Le patient bénéficie d'une hydratation et nous prescrivons du Seresta en réserve en cas de symptôme de sevrage. Le 02.05.2019, il bénéficie d'une évaluation psychiatrique. La Dr. X, psychiatre de liaison, propose à Mr. Y de rester hospitalisé dans notre service afin de mettre en place un traitement approprié et de l'observer en cas de pré-deltrem éventuel, puis d'être transféré au RFSM CSH Marsens à l'Unité Jasmin. La surveillance se passe sans complication et Mr. Y est transféré au RFSM CSH Marsens le 03.05.2019, en mode volontaire. Mr. Y, âgé de 76 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées notamment un carcinome épidermoïde du lobe inférieur gauche diagnostiqué en décembre 2016, traité initialement par radio-/chimiothérapie à visée curative puis par immunothérapie (Pembrolizumab) de janvier 2018 à 2019, devant l'apparition d'une lésion controlatérale, avec évolution radiologique jusqu'à présent favorable, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique suite à un déconditionnement physique sévère. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite. À l'admission, le patient n'a pas de plainte. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au statut, le patient est orienté et collaborant. Nous remarquons un tremblement essentiel des membres supérieurs (habituellement sous Propranolol). La force et la sensibilité sont globalement conservées ainsi que le contrôle des sphincters. L'équilibre est précaire et la marche se fait avec aide. À noter que le patient présente des lésions zostériennes (territoires S1-S2 de la cuisse gauche). Sur le plan nutritionnel, Mr. Y est un patient connu du service de nutrition qui avait déjà été pris en charge pour une dénutrition sévère (NRS 5/7 avec inappétence, couverture des besoins à 20% et perte pondérale importante) lors de ses traitements oncologiques en ambulatoire. À son arrivée, les ingestas sont nettement améliorés et il a même tendance à grignoter beaucoup en raison de la cortisone. Nous avons adapté les repas, introduit des collations et remis en place un supplément nutritif oral/j (SNO) à fractionner pour éviter les hyperglycémies. Il a pu couvrir ses besoins à 100% en énergie et en protéines. En raison d'une péjoration de la fonction rénale avec une hyperkaliémie/hyperurémie, nous avons revu les adaptations à la baisse et mis en place des Renilon (SNO adapté à l'IR) durant l'hospitalisation. Pour le retour à domicile, l'apport en protéines étant plus faible, le traitement ayant été adapté et la fonction rénale améliorée, nous avons convenu que le patient pouvait continuer à prendre des SNO normaux. L'objectif est une reprise pondérale avec un SNO/j et des repas adaptés/enrichis. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec sa canne personnelle. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 19.05.2019, en état général amélioré. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Les soins à domicile sont réactivés et majorés (RS Glâne). Un suivi par Voltigo est activé. Mr. Y est un patient de 54 ans suivi à la consultation du Dr. X, qui présente une symptomatologie clinique de reflux gastro-œsophagien dans le contexte d'une hernie hiatale axiale. Une fundoplication avec hiatoplastie laparoscopique est effectuée le 30.04.2019. Les suites opératoires sont simples et le patient rentre à domicile le 03.05.2019. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 08.05.2019 à 9h00 et poursuivra son régime type Byass 2 jusqu'à cette date. Mr. Y est un patient de 28 ans, hospitalisé en électif pour une réduction du contenu herniaire avec exérèse du sac, hiatoplastie et réalisation d'une fundoplication par laparoscopie. En effet, le patient présentait toujours une pesanteur rétro-sternale et occasionnellement des douleurs irradiant dans le dos, sans symptôme de reflux franc. Il présentait par ailleurs une petite hernie ombilicale asymptomatique et une hernie de la ligne blanche à environ 3-4cm au-dessus de l'ombilic qui était symptomatique. Nous avons procédé le 10.05.2019 dans le même temps opératoire à une cure de ces deux hernies.L'intervention se déroule sans complication notable et les suites post-opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 15.05.2019. Mr. Y, patient de 84 ans connu pour un s/p AVC ischémiques en 2017 et 2019 et une FA anticoagulée sous Xarelto, nous est envoyé par les soins à domicile en raison d'un malaise sans chute ni traumatisme crânien avec perte de connaissance de 5 minutes avec amnésie circonstancielle. À l'entrée, une infection urinaire haute est mise en évidence et le CT réalisé en raison d'une asymétrie tensionnelle aux membres supérieurs montre une sténose de la sous-clavière gauche. Le bilan de syncope est élargi par un test de Schellong qui se révèle positif. Un duplex des vaisseaux cérébraux ne met pas en évidence d'inversion de flux mais une sténose <50% de l'a. sous-clavière pour laquelle une anticoagulation est indiquée. Les résultats de l'examen Holter n'expliquent pas la symptomatologie. Nous retenons un diagnostic de syncope d'origine multifactorielle avec une composante orthostatique importante dans le contexte de déshydratation et sepsis. Le patient est encouragé à s'hydrater suffisamment (1,5 litres/jour). Au niveau infectieux, nous traitons la pyélonéphrite par 7 jours de Rocéphine. Au niveau hématologique, une anémie normochrome et normocytaire est présente au laboratoire d'entrée. Nous vous prions de recontrôler les valeurs à distance de l'épisode infectieux. Au niveau de la thymie, le patient est connu pour des troubles dépressifs récurrents avec troubles de l'adaptation évoquant des idées noires allant jusqu'à des pensées suicidaires non concrètes. Une adaptation de son traitement antidépresseur est envisagée après consultation de son médecin traitant et de la psychiatrie de liaison mais le patient refuse une consultation de la psychiatrie de liaison. Un traitement de Quétiapine est mis en place provisoirement en raison d'une agitation nocturne, avec amélioration lors du séjour permettant l'arrêt du traitement. Au niveau social, Mr. Y vit actuellement à domicile avec le passage du CMS 3x/semaine et l'aide de sa compagne pour les repas. Au vu de l'épuisement de sa compagne et du souhait du patient d'un placement en EMS, un colloque de famille est prévu durant son séjour. Dans l'attente du colloque et au vu de l'évolution clinique favorable, le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 71 ans, est admis pour un tableau évocateur pour un NSTEMI. En l'absence de lésion coronarienne, et en raison d'une dyskinésie mid-ventriculaire, un syndrome de Tako Tsubo est évoqué. Une autre explication pourrait être une embolisation chez un patient présentant un FOP et un passage en fibrillation auriculaire. Le bilan sera à compléter par une ETO qui est prévue pour le lundi 13.05.2019. La surveillance rythmique met en évidence un passage unique en fibrillation auriculaire ainsi que de nombreuses extrasystoles supraventriculaires et ventriculaires nécessitant l'administration de magnésium IV et la supplémentation en potassium. Selon les résultats de l'ETO du 13.05.2019, la suite des investigations par ECG-Holter et éventuelle anticoagulation thérapeutique sera à rediscuter avec les collègues cardiologues. Un traitement transitoire par dérivés nitrés est nécessaire en raison d'une hypertension artérielle. Un relais est effectué par Métoprolol et Lisinopril avec normalisation du profil tensionnel. Mr. Y, 71 ans, est adressé par son médecin traitant pour douleurs avec apparition d'un sous-décalage ECG en inférieur. Une coronarographie ainsi qu'une ETO ont été effectuées, montrant une dyskinésie de la paroi inférieure moyenne, une hypokinésie sévère du septum moyen, une FEVG à 65% et un Foramen Ovale Perméable avec shunt gauche-droit minime sans atteinte coronarienne. Nous retenons le diagnostic de NSTEMI possiblement sur une embolie paradoxale et FA paroxystique pour lesquels nous introduisons un traitement de Beloc Zok et d'Eliquis. De plus, afin de favoriser le remodelage cardiaque, nous introduisons le Lisinopril. Pour l'anémie normocytaire normochrome, nous proposons un bilan et un suivi en ambulatoire. Une réadaptation cardiovasculaire en ambulatoire est prévue à l'HFR Billens. Une IRM cardiaque pour évaluer la viabilité du myocarde est proposée. Il sera revu en consultation ambulatoire de cardiologie le 29.05.2019. Mr. Y sort de l'HFR Fribourg pour son domicile sans aide particulière le 14.05.2019. Mr. Y, patient de 63 ans, admis aux soins intensifs le 01.05.2019 en raison d'un NSTEMI. Il consulte initialement le service des urgences en raison d'un angor nouveau en progression depuis et présente des douleurs thoraciques depuis 5 jours, associées à une dyspnée nouvelle. L'ECG met en évidence des modifications dynamiques sous forme d'inversion du ST en inféro-latéral, associées à une élévation significative des troponines. La coronarographie met en évidence une maladie coronarienne bitronculaire avec des lésions significatives sur la coronaire droite et la circonflexe. La circonflexe est traitée avec mise en place d'un stent actif. La coronaire droite étant de taille mineure, elle n'est pas dilatée ou stentée. Une double antiagrégation est prévue pour 6 mois, suivie par une antiagrégation simple par Aspirine à vie. L'évolution post-coronarographie est simple, sans récidive d'angor ni trouble du rythme significatif. Le point de ponction fémoral droit est calme. La surveillance aux soins intensifs se passe sans complication et le patient est transféré à l'étage. Un traitement par IECA et bétabloqueurs est introduit, qui reste à adapter en fonction de l'évolution des profils tensionnels, ainsi qu'une thérapie anti-lipidique avec statine. L'évolution est favorable sans symptôme d'insuffisance cardiaque. Mr. Y rentre à domicile le 02.05.2019. Mr. Y, âgé de 73 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une neuro-réadaptation suite à un AVC hémorragique cérébelleux gauche, le 20.04.2019. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite (ancien imprimeur). Il vit dans un appartement aménagé au rez-de-chaussée d'un immeuble. À l'admission, le patient se plaint de vertiges non rotatoires intermittents, exacerbés par le changement de position. Il est hémodynamiquement stable et ses paramètres vitaux sont dans la norme. Au status, le patient est orienté et collaborant sans trouble cognitif apparent. Il ne présente pas de déficit moteur ou sensitif, le testing des nerfs crâniens est normal, l'oculomotricité est bonne et il n'y a pas de nystagmus. L'épreuve talon-genou est pathologique bilatéralement et particulièrement à gauche. Nous observons des signes de polyneuropathie au niveau des membres inférieurs (pallesthésie à 2/8 à gauche, 4/8 à droite), un Romberg instable avec une aggravation à la fermeture des yeux ainsi qu'un tremor léger des extrémités (apparemment connu selon le patient). Une évaluation neuropsychologique a mis en évidence des difficultés d'accès lexical, des troubles du traitement des nombres, de possibles difficultés de mémoire antérograde verbale avec toutefois une mémoire en situation préservée, des troubles exécutifs et des difficultés attentionnelles. Troubles cognitifs dépassant le cadre de l'AVC cérébelleux G et vraisemblablement en lien avec l'atteinte vasculaire importante. Au vu des difficultés, une aide pour la gestion administrative et médicamenteuse est indiquée et l'aptitude à la conduite automobile est limitée. Nous avons d'ailleurs déconseillé au patient de conduire pendant les 6 prochaines semaines.Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts, les escaliers et la marche sans moyen auxiliaire et en sécurité. Il présente parfois encore des déséquilibres qu'il compense assez bien. Après 1 semaine d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 14.05.2019, en bon état général. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile à raison de 2x/semaine. Il sera réévalué en neuropsychologie et lors d'une consultation interdisciplinaire à l'HFR Billens début juillet. Mr. Y est un patient de 73 ans connu pour une hypertension artérielle sans traitement depuis son arrêt 3 semaines auparavant. Il est hospitalisé le 20.04.2019 suite à des céphalées intenses. Le patient est amené en ambulance aux urgences en raison de céphalées à 10/10 associées à des vertiges. Une dysmétrie gauche nouvelle à l'épreuve doigt-nez est mise en évidence. Un bilan radiologique montre une hémorragie cérébelleuse gauche. Le patient est admis aux soins intensifs pour surveillance neurologique avec du repos au lit strict pendant 24 heures. Il ne présente pas de troubles de l'état de conscience et le CT-scan de contrôle à 24h est superposable. En raison de tensions artérielles élevées aux alentours des 180/120 mmHg, un traitement transitoire de Labétalol intraveineux a été nécessaire aux soins intensifs. Le traitement d'hypertension artérielle est ensuite oralisé dans le service de Médecine Interne. Sur le plan neurologique, Mr. Y effectue un premier lever après 3 jours d'hospitalisation avec l'aide des physiothérapeutes. Il présente toujours des vertiges rotatoires mais de moindre intensité au fil des jours. Une IRM met en évidence de nombreuses micro-lésions corticales laissant suspecter une angiopathie amyloïde associée à une angiopathie hypertensive. Une anticoagulation ou antiagrégation reste donc contre-indiquée. Sur le plan tensionnel, l'Amlodipine et le Lisinopril sont progressivement majorés durant le séjour, les valeurs tensionnelles diastoliques restant élevées. Un diurétique est par ailleurs ajouté avec bon effet. Sur le plan clinique, le patient montre une évolution lentement favorable, avec persistance d'une dysmétrie à gauche, ainsi qu'une instabilité à la marche. Dans ce contexte, une réadaptation neurologique à Billens est organisée. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y est un patient de 81 ans connu pour les antécédents susmentionnés dont un pontage aorto-bifémoral et présentant une claudication intermittente du membre inférieur droit pour laquelle nous effectuons l'intervention susmentionnée, le 13.05.19. L'intervention se déroule sans complication. Le 14.05.2019, la présence d'une baisse de l'hémoglobine motive la réalisation d'un angio-CT abdominal et des membres inférieurs qui montre un petit hématome de 2.5 cm au niveau inguinal droit sans saignement veino-artériel et une perméabilité post-opératoire. Les suites sont compliquées par l'apparition d'une fibrillation auriculaire paroxystique avec réponse ventriculaire rapide. Un traitement par Metoprolol, Cordarone (dose unique) et Labétalol est débuté aux soins continus résultant en une cardioversion. Une ETT est effectuée le lendemain avec la présence d'une fibrillation auriculaire rapide pour laquelle un traitement bétabloquant est instauré ainsi qu'un traitement anticoagulant sur avis cardiologique (Dr. X et Dr. X). Une nouvelle ETT est également proposée en ambulatoire par nos collègues cardiologues. Par la suite, le patient évolue favorablement, permettant un retour à domicile, le 21.05.2019. Il sera revu à la consultation du Dr. X suite à un contrôle angiologique à 3 mois post-opératoire. A noter la présence d'une lésion kystique de la queue du pancréas suspecte d'IPMN connue pour laquelle nous effectuons un dosage des marqueurs tumoraux qui reviennent dans les limites de la norme et pour laquelle, nous adressons le patient au Prof. X, à distance de l'intervention. Mr. Y est un patient de 58 ans, en bonne santé habituelle, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'une néoplasie endocrine bien différenciée de la tête du pancréas. Il bénéficie d'une duodéno-pancréatectomie céphalique selon Whipple le 03.04.2019, qui se déroule sans complication notable. Une surveillance postopératoire aux soins intensifs reste sans complication permettant un retour à l'étage le 05.04.2019. La suite est marquée par un cathéter de péridural qui se bouche sur la nuit du 06.04.2019 au 07.04.2019 nécessitant une remise en place en raison des douleurs importantes. Le sevrage du cathéter péridural est prolongé en raison des douleurs persistantes. Nous introduisons également un traitement de Pregabaline pour une éventuelle origine neurogène. L'évolution est lentement favorable. Le patient rentre à domicile le 27.04.2019. Le cas est discuté au colloque interdisciplinaire du 10.04.2019 où il est convenu d'une surveillance par DOTA-scann par la suite. Mr. Y est un patient de 58 ans qui est connu de notre service pour prise en charge chirurgicale d'une tumeur neuroendocrine pancréatique opérée par duodéno-pancréatectomie céphalique selon Whipple le 03.04.2019. Il est hospitalisé dès le 28.04.2019 pour prise en charge d'un iléus probablement sur effets secondaires du traitement par opioïdes du patient. Nous obtenons rapidement une amélioration clinique qui nous permet de retirer la SNG le 01.05.2019. Au vu de la bonne évolution clinique, la gestion de l'antalgie efficace, ainsi qu'une bonne reprise du transit, Mr. Y est autorisé à regagner son domicile le 04.05.2019. Le traitement par Creon est mis en suspens et sera réévalué lors du prochain contrôle chez le Prof. X. Mr. Y nous est adressé par son médecin traitant en raison d'une douleur abdominale d'origine indéterminée le 13.05.2019. L'évaluation clinique du patient permet la mise en évidence d'une baisse de l'état général dans un contexte de bronchite chronique non traitée et d'une probable gastrite aiguë provoquant la douleur abdominale. Le patient refuse une hospitalisation ce soir, nous convenons donc d'une réévaluation le 14.05.2019 afin de compléter le bilan général. A noter que le patient rentre à domicile avec une voie veineuse en place. Mr. Y, 71 ans est hospitalisé aux soins intensifs pour des troubles de l'état de conscience post-crise d'épilepsie tonico-clonique. Le patient a présenté dans son home une crise d'épilepsie tonico-clonique avec perte de selles et d'urines pour laquelle il a bénéficié d'une dose de 10mg de dormicum im. Aux urgences, le patient présente un GCS à 3/15 répondant à de l'anexate. Un CT cérébral exclut toute source de saignement. L'évolution aux soins intensifs est favorable avec sevrage de l'anexate et absence de récidive des troubles de l'état de conscience. L'origine de ces troubles est mixte post-ictale et médicamenteuse (benzodiazépines). Il s'agit d'une crise d'épilepsie survenue dans un possible manque de sommeil (tabagisme nocturne) avec habituellement un bon contrôle par tégrétol (dernière crise en 2016 sur arrêt de prise de tégrétol). Il conviendrait de réévaluer le dosage à la baisse de ce traitement de Dormicum im, en cas de récidive de crise épileptique.Le patient rentre dans son home le 19.05.2019. Mr. Y, résidant en France, connu pour une fibrillation auriculaire sous Previscan (AVK), consulte les urgences le 21.04.2019 à 08h00, en raison d'une épistaxis évoluant depuis 03h00 du matin. A l'admission aux urgences, le patient est hémodynamiquement stable. Nous posons une mèche Hemostop, avec compression manuelle, ne permettant pas d'arrêter le saignement. Nous effectuons alors un tamponnement avec mèche à double ballonnet, permettant un contrôle de l'hémorragie. Le laboratoire d'entrée ne montre pas de déglobulisation mais un INR supra-thérapeutique pour lequel 1mg de vitamine K est administré et la dose du jour de Previscan est mise en suspens. Nous effectuons un test de Schellong durant lequel le patient présente un malaise sur hypotension orthostatique. Un saignement au niveau de la narine droite est observé et contrôlé après compression digitale et méchage. Mr. Y est hospitalisé pour surveillance clinique et biologique. La surveillance se passe sans complication et Mr. Y peut quitter notre service le 22.04.2019. L'hémoglobine est à 131 g/l à la sortie. A noter que le dispositif intra-nasal est laissé en place. Nous conseillons au patient de consulter son médecin ou les urgences de sa région dès son retour en France. Nous lui recommandons également un contrôle de l'INR avec adaptation du schéma de Previscan. Mr. Y, un patient de 89 ans connu pour une fibrillation auriculaire, une insuffisance cardiaque ainsi qu'une insuffisance rénale stade IIIb, est hospitalisé le 13.05.2019 au sein de notre clinique de médecine interne afin d'investiguer une suspicion de lithiase de la voie biliaire ainsi que pour l'introduction d'une antalgie efficace. Le patient se plaint d'une progression de ses épigastralgies intermittentes et crampiformes, avec apparition indépendamment des repas. Il ne mentionne pas de nausées, pas de vomissement, n'a pas observé de méléna ou de hématochézie. L'examen abdominal montre un abdomen dur, sans défense ni détente mais douloureux à la palpation en épigastre. Les bruits abdominaux sont diminués en fréquence mais de tonalité normale. Un ECG ne montre pas de signes d'infarctus inférieur. Les paramètres cholestatiques sont très légèrement élevés (gGT à 68 U/l, Bili directe 7.2 umol/l). Les tests hépatiques sont dans la norme, de même que le lactate. Le CT abdominal montre un aspect élargi du cholédoque au niveau du hile hépatique avec présence de structures calcifiées sur la paroi de la vésicule biliaire, raison pour laquelle une cholécystolithiase avec cholestase ne peut être exclue. Une sonographie abdominale confirme la présence de matériel hyperéchogène au sein de la vésicule biliaire, a priori compatible avec de nombreux calculs. Une adaptation antalgique est effectuée et le patient se montre asymptomatique pendant toute son hospitalisation. Son séjour se complique d'une rétention urinaire, probablement sur prostatisme, qui est traitée avec introduction d'un alpha-bloquant. Nous vous proposons de réévaluer ce traitement à distance de l'hospitalisation. Après explication des options thérapeutiques, le patient exprime son souhait d'effectuer une cholecystectomie élective et nous organisons une consultation pré-hospitalière le 13.06.19 au HFR Fribourg. Nous pouvons laisser rentrer le patient à la maison le 17.05.2019 en bon état général et sous bon contrôle analgésique. Mr. Y est un patient de 23 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs en fosse iliaque droite. Le bilan met en évidence une appendicite aiguë, raison pour laquelle le patient bénéficie le 03.05.2019 d'une appendicectomie laparoscopique. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites postopératoires sont simples. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 04.05.2019. Mr. Y nous est adressé des soins intensifs de l'HFR Fribourg le 03.05.2019 pour surveillance neurologique suite à deux crises d'épilepsie dans un contexte de consommation d'alcool. Pour rappel, le patient, connu pour une consommation d'alcool à risque avec un antécédent de crise d'épilepsie sur sevrage éthylique en 2011, est amené aux urgences de l'HFR Riaz en ambulance le 01.05.2019 suite à une possible crise d'épilepsie. Mr. Y a été retrouvé par ses collègues de travail, au sol, avec morsure de langue et perte de connaissance d'une durée indéterminée. A l'admission aux urgences, il présente une récidive de crise convulsive de type tonico-clonique d'une durée d'environ 1 minute et compliquée d'un traumatisme crânien sur chute de sa hauteur. Nous administrons du Rivotril, du Keppra et de la Thiamine, le patient est transféré aux soins intensifs de l'HFR Fribourg. Un CT scan cérébral ne montre pas d'hémorragie intracrânienne ou de fracture. Un EEG montre des foyers irritatifs persistants. Sur avis neurologique (Dr. X), le traitement de Lévétiracétam est poursuivi et en raison de la consommation d'alcool à risque, un traitement de benzodiazépines en schéma dégressif sur 4 jours est introduit. Suite à la chute de sa hauteur survenue aux urgences, le patient présente des hématomes multiples (bras gauche, orbite gauche, genou gauche). Un bilan radiologique exclut des fractures. Le suivi biologique des CK est sans particularité. L'évolution est favorable avec une antalgie simple. De retour à l'HFR Riaz, Mr. Y est asymptomatique et le statut neurologique est sans particularité. Le traitement mis en place par nos collègues de Fribourg a été poursuivi et nous arrêtons le Temesta le 06.05.2019. Le Lévétiracétam est à poursuivre et le patient sera revu en consultation neurologique dans 3 mois. Concernant la consommation d'alcool à risque, nous discutons avec le patient la possibilité de prendre rendez-vous au Centre Cantonal d'Addictologie. Il refuse cette proposition pour le moment et contactera lui-même le centre dès qu'il aura choisi un nouveau médecin traitant. Mr. Y peut regagner son domicile le 07.05.2019. Mr. Y, patient de 53 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique après deux crises d'épilepsie dont une objectivée aux urgences de Riaz d'où il nous est transféré. On retient comme facteur déclencheur une situation de stress professionnel depuis quelques semaines, une privation de sommeil et une consommation modérée d'alcool. Un traitement de Lévétiracétam est instauré ainsi qu'un traitement de benzodiazépines en schéma dégressif sur 4 jours au vu du contexte éthylique. L'évolution est favorable sous ce traitement et le patient sera revu dans 3 mois chez son neurologue traitant. Une interdiction de conduire est posée pour 6 mois et expliquée au patient. Le 03.05.2019, le patient est transféré à l'hôpital de Riaz pour suite de prise en charge. Mr. Y, connu pour un carcinome épidermoïde du tier moyen de l'œsophage stade cT3cN1cM1, a été hospitalisé dans notre service de médecine interne pour une récidive de douleurs d'origine post-radique.A son arrivée aux urgences, un ECG permet d'exclure une ischémie aiguë. En raison de l'évolution spontanément favorable, dans un contexte de récidive douloureuse, une perforation oesophagienne n'est pas suspectée. Mr. Y rentre à domicile le 24.05, avec un rappel des instructions pour optimiser son antalgie. Mr. Y, connu pour un carcinome épidermoïde du tiers moyen de l'oesophage, a été hospitalisé dans notre service de médecine interne le 10.05 pour des douleurs 10/10 en coup de poignard (spasmes) non irradiantes au niveau rétro-sternal / épigastrique. Après exclusion d'une cause cardiaque avec un ECG et d'une perforation oesophagienne à l'aide d'un CT-scan thoracique injecté réalisés aux urgences, l'hospitalisation du patient pour antalgie a été effectuée. Au cours de son séjour, les douleurs épigastriques / rétro-sternales ont évolué favorablement sous antalgie efficace d'oxycodone. De plus, le patient n'a présenté aucun épisode fébrile ou de frisson. Subsistent encore des douleurs et une sensation d'oppression au passage de nourriture (le patient ne désire pour le moment pas avoir de régime lisse). D'un point de vue oncologique, le CT-scan met en évidence une lésion pulmonaire en augmentation, des lésions hépatiques ainsi qu'une lésion osseuse lytique au niveau de la crête iliaque D, toutes compatibles avec des métastases. Après discussion avec son oncologue et son radio-oncologue, la poursuite de la radio-chimiothérapie sera effectuée, même dans le contexte de métastases à distance. L'irradiation au niveau de la tumeur devrait permettre une amélioration des douleurs et de la dysphagie. Mr. Y a également développé un abcès dentaire au niveau des dents 25-28 qui a été drainé et traité avec l'extraction d'une dent permettant rapidement l'amélioration de la symptomatologie. Une antibiothérapie de co-amoxicilline (1g 2x/j) a été introduite le 13.05, à poursuivre jusqu'au 20.05. Au vu de l'évolution favorable des douleurs, Mr. Y rentre à domicile le 14.05 et poursuivra son traitement oncologique et de radiothérapie en ambulatoire. Mr. Y nous est transféré de l'HFR Tafers pour une suspicion de méléna le 28.04.2019. Il est connu pour un carcinome gastrique inopérable sous chimiothérapie à l'HFR Tafers. Pour rappel, il s'était présenté le 25.04.2019 au service des urgences de l'HFR Tafers pour des diarrhées aqueuses (environ 6x par jour), un état général diminué, une anorexie et une perte de poids de 1,5 kg depuis 10 jours. Au status d'entrée, il présentait un état général fortement diminué. Des douleurs abdominales diffuses à la palpation sont présentes sans critère de gravité. Le 28.04.2019, le patient présente un état fébrile à 38,3°C sans critère de sepsis. Le bilan biologique montre une chute d'hémoglobine de 109 g/l à 62 g/l, une leucopénie à 1.4 G/l, CRP à 355, une hypokaliémie à 2.5 mmol/l et une suspicion de selles noires, malgré un status abdominal inchangé. Sur suspicion d'hémorragie gastro-intestinale aiguë avec infection abdominale concomitante, des hémocultures sont effectuées et le patient est transféré à l'HFR Fribourg. Après répétition des examens biologiques nous retrouvons une hémoglobine à 89 g/l. Un CT abdominal est effectué. Mr. Y est mis sous Pantozol iv continu. Un relais PO est effectué devant la bonne évolution clinique. Une OGD n'est pas entreprise. En effet, après reprise de l'anamnèse et devant une évolution clinique favorable, la suspicion d'hémorragie digestive est écartée. Nous retenons le diagnostic de Typhlite et maintenons une antibiothérapie. Durant l'hospitalisation, il présente un ralentissement psychomoteur le 01.05.2019 persistant malgré la correction d'une hypoglycémie à 2,1 mmol/l. Une IRM cérébrale est faite le 02.05.2019, on retrouve de multiples lésions ischémiques sans territoire vasculaire défini parlant plutôt pour une origine cardio-embolique. Une échocardiographie transthoracique et un test au microbulles ne retrouvent pas de foramen ovale perméable. Un Holter sur 48h est effectué, dont les résultats vous parviendront ultérieurement. Sur avis neurologique, la poursuite de l'anticoagulation par Lixiana dès le 10.05.2019 est indiquée. Le patient s'améliore rapidement spontanément. Mr. Y rentre à domicile avec aide 2x/semaine le samedi 11.05.2019. Sur le plan oncologique, la suite de la prise en charge s'effectuera en ambulatoire chez le Dr. X. Mr. Y, connu pour un cancer pulmonaire non à petites cellules de type adénocarcinome du lobe supérieur gauche suivi par Dr. X, actuellement sous Taxotere (dernière chimiothérapie le 30.04.2019), consulte les urgences le 06.05.2019 en raison d'une dyspnée NYHA IV en péjoration depuis 3 jours, associée à un manque d'appétit, une fatigue et une dysgueusie. Pas de fièvre ni de frisson. Le patient rapporte également des insomnies, une toux productive stable, ainsi que des douleurs à la respiration profonde au niveau de l'hémithorax gauche, de type décharge électrique, d'apparition subite durant la nuit précédente. Mr. Y est suivi par un psycho-oncologue. A l'admission aux urgences, le patient est orienté et collaborant. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, sans souffle audible. Pas d'oedème des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est présent au niveau du poumon droit. Notons des ronchis diffus au niveau de l'hémiplage gauche. Le status digestif est non contributif. La gazométrie à l'air ambiant montre une insuffisance respiratoire partielle avec une PO2 à 6.9 kPa et une PCO2 à 4 kPa. Le laboratoire met en évidence une CRP à 55 mg/l, des leucocytes à 6,6 G/l, dont 1,06 G/l de bâtonnets ainsi qu'une anémie normochrome microcytaire avec une hémoglobine à 90 g/l. La radiographie du thorax est compatible avec une surinfection pulmonaire probablement dans le contexte d'une progression tumorale. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Nous débutons une antibiothérapie par Co-Amoxi 1,2 g iv 4x/j et le patient bénéficie également d'une oxygénothérapie et de séances de physiothérapie respiratoire. En raison d'une hémoglobine à 90 g/l et après discussion avec Dr. X, le patient bénéficie de la transfusion d'un culot érythrocytaire le 09.05.2019. Sous le traitement introduit, l'évolution clinique et biologique est favorable. L'antibiothérapie est passée per os par Co-Amoxi 1 g 3x/j dès le 10.05.2019 et l'oxygénothérapie peut être progressivement sevrée. Au niveau de la mobilisation, le patient est autonome pour les AVQ. Le périmètre de marche sécuritaire sans moyen auxiliaire avec les pauses aux besoins est de plus de 250 mètres. Le patient peut monter/descendre 54 marches de l'escalier avec appui sur main courante, sécuritaire. Mr. Y peut regagner son domicile le 13.05.2019. La prochaine séance de chimiothérapie est prévue le 14.05.2019. Mr. Y est un patient de 74 ans, connu pour un syndrome métabolique avec de multiples comorbidités cardiovasculaires dont un diabète de type 2 non insulino-requérant et une hypertension artérielle traitée. Il est hospitalisé dans le cadre d'un premier épisode de syncope à l'emporte-pièce. Il a présenté une syncope juste avant une miction en position debout, sans prodrome, ni phase post-critique. Pas de témoin direct mais une perte de contact pendant 2 minutes objectivée par sa femme. Il présente une amnésie circonstancielle mais pas d'évidence pour un traumatisme crânien, ni plaintes cardiologiques. Nous effectuons un bilan de syncope avec un test de Schellong qui revient négatif, des marqueurs biologiques (D-dimères et marqueurs cardiaques) qui permettent d'écarter une ischémie myocardique ou une embolie pulmonaire. L'ECG montre un BAV de 1er degré non documenté jusqu'ici, sans signe d'ischémie aiguë. L'échographie cardiaque montre une fonction cardiaque normale avec une fraction d'éjection à 60%. Un Holter sur 24h a été posé et les résultats restent à pister. Nous n'avons donc pas permis d'identifier une étiologie claire à cette syncope, une origine cardiaque reste néanmoins probable. Un suivi cardiologique est donc prévu avec une ergométrie d'effort le 31.05.2019 à l'HFR Fribourg. L'évolution clinique étant favorable, Mr. Y, restant asymptomatique durant tout le séjour hospitalier, nous le laissons rentrer à domicile le 08.05.2019. Mr. Y est un patient de 74 ans aux antécédents susmentionnés qui nous est transféré de Meyriez suite à la mise en évidence d'un abcès au niveau du pôle inférieur du rein droit sur un CT abdominal réalisé dans le contexte d'une asthénie avec perte de poids depuis plusieurs semaines et douleurs du flanc droit. Une antibiothérapie par Gentamycine et Co-Amoxi est débutée le 27.04.2019. Le patient bénéficie d'un drainage de l'abcès sous guidage CT le 28.04.2019. L'antibiothérapie est adaptée suite aux résultats de la culture du liquide d'abcès et le patient présente une bonne évolution clinico-biologique, permettant un retrait du drain le 03.05.2019. Le patient poursuivra l'antibiothérapie pour une durée totale de 3 semaines et un rendez-vous de contrôle chez le Dr. X est à prévoir le 23-24.05.2019. Le patient présente pendant l'hospitalisation une inappétence importante, raison pour laquelle une alimentation par une sonde de Pichard est débutée le 03.05.2019. Des marqueurs tumoraux sont effectués, qui reviennent négatifs. Une OGD et colonoscopie sont organisées en ambulatoire pour le 22.05.2019 et le patient rentre à domicile avec la sonde de Pichard en place et un suivi nutritionnel le 09.05.2019. Un contrôle à notre consultation des Chefs de Clinique est organisé pour le 06.06.2019. Mr. Y est un patient de 34 ans qui est hospitalisé pour prise en charge chirurgicale d'une appendicite aiguë simple par laparoscopie. Les suites opératoires sont simples tant sur le plan clinique que biologique et le patient rentre à domicile le 05.05.2019. Mr. Y est un patient de 72 ans, aux antécédents susmentionnés, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'une masse au niveau du lobe inférieur droit. Il bénéficie le 02.05.2019 d'une segmentectomie du segment 6 à droite par voie thoracoscopique, qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont favorables, permettant un retour à domicile le 05.05.2019. Il sera revu à la consultation de chirurgie thoracique pour contrôle le 14.06.2019. Mr. Y nous est adressé par la Permanence de l'hôpital de Meyriez suite à la découverte fortuite d'une embolie pulmonaire bilatérale lors d'un scanner de contrôle pour le suivi d'un adénocarcinome du sigmoïde en rémission. Pour rappel, le patient est connu pour un adénocarcinome du sigmoïde en rémission, une thrombose veineuse superficielle gauche de la petite veine saphène 08.03.2019 traitée par Arixtra jusqu'au 08.04.2019, cardiopathie hypertensive, une HTA traitée, une dyslipidémie et une statose hépatique, de plus il est suivi pour une hypercaptation suspecte au niveau de la prostate sur un PET CT du 22.01.2018 sans corrélat morphologique. A l'entrée, le patient est asymptomatique mais mentionne avoir présenté un épisode de dyspnée au repos le 26.04.2019 jusqu'au 28.04.2019, amélioré le 29.04.2019, raison pour laquelle il avait hésité à consulter. Autrement, pas de douleurs thoraciques, ni de céphalée, ni d'autres symptômes à l'anamnèse système par système ne sont présents. Au statut, le patient est normocarde, présente une saturation à 96% sous 2 litres d'O2 et une tension artérielle à 158/102. Par la suite, l'oxygénothérapie est stoppée, après avoir mesuré une saturation à 90% lors de la marche. Concernant l'embolie pulmonaire découverte fortuitement au scanner de contrôle, nous faisons un ECG qui montre des signes en faveur de cette embolie pulmonaire avec atteinte probable du cœur droit, ainsi nous faisons une écho transthoracique à la recherche d'une hypertension artérielle pulmonaire, celle-ci nous montre plusieurs signes indirects en faveur d'une hypertension artérielle pulmonaire. Nous suggérons de répéter l'échographie transthoracique dans 2 mois. Le patient est anticoagulé avec Xarelto 2x15 mg par jour pour 3 semaines puis 1x20 mg par jour pendant 1 an. C'est après quoi une réévaluation sera nécessaire par le médecin traitant concernant la durée de l'anticoagulation. Afin de prévenir un syndrome post-thrombotique des membres inférieurs, nous faisons une échographie du membre inférieur droit mettant en évidence une thrombose veineuse profonde de la veine poplitée, ainsi nous recommandons le port de bas de contention de grade 2. Nous stoppons le traitement par aspirine par manque d'indication. Mr. Y rentre à domicile le 04.05.2019 en bon état général. Mr. Y est un patient de 37 ans, en bonne santé habituelle, transféré depuis l'HFR Riaz le 29.04.2019, pour suite de prise en charge d'une lombosciatalgie S1 non déficitaire à droite sur hernie discale L5-S1 para-médiane droite luxée (IRM du 17.04.2019). Après échec de la thérapie conservatrice (douleurs ingérables à domicile et exécution impossible des infiltrations le 23.04 et le 24.04.2019), l'indication opératoire est posée et l'intervention chirurgicale se déroule le 29.04.2019 sans complications. Dans les suites opératoires, le patient développe un hoquet persistant dès le 26.04.2019. Un bilan étiologique est réalisé sans trouver d'origine claire à cette symptomatologie. De plus, un avis anesthésique, neurologique et psychiatrique est demandé ainsi qu'une IRM cérébrale revenant sans particularité. Différents traitements médicamenteux sont instaurés sans effet dans un premier temps. Après arrêt de la corticothérapie et des opiacés, l'introduction d'un traitement d'épreuve de Baclofène permet la disparition du hoquet dès le 08.05.2019. L'origine de ce symptôme est probablement multifactorielle, possiblement en lien avec la corticothérapie mise en place. Mr. Y rentre à domicile le 09.05.2019. Le traitement par Baclofène est à poursuivre pendant une semaine. En cas de récidive de hoquet, ce traitement pourra être réintroduit et un scanner thoraco-abdominal pourra être envisagé afin d'exclure une irritation du nerf phrénique. Le suivi orthopédique est prévu le 13.06.2019 à 13h à la consultation du Prof. X. Mr. Y se présente pour une pose élective de pace-maker dans le contexte d'une bradycardie sur fibrillation auriculaire. L'intervention se déroule sans complications. La radiographie de thorax post-interventionnelle ne montre pas de pneumothorax ou de déplacements des sondes. Le traitement habituel reste inchangé. La surveillance à l'étage est simple et sans particularités. Mr. Y rentre à domicile le 02.05.2019 sans plainte particulière. Mr. Y est un patient de 48 ans, aux antécédents susmentionnés, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'un GIST du jéjunum proximal. Il bénéficie d'une résection jéjunale proximale depuis le Treitz jusqu'à 40 cm avec anastomose duodéno-jéjunale le 20.02.2019, qui se déroule sans complication notable. Les suites opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 28.02.2019. Mr. Y, connu pour un carcinome pulmonaire à petites cellules combiné avec un adénocarcinome du lobe moyen, hospitalisé dans notre service de médecine du 21 au 26.04.2019 pour une pneumonie lobaire inférieure droite, consulte les urgences le 04.05.2019 en raison d'une dyspnée au repos, nouvelle, accompagnée d'une douleur thoracique antérieure droite et la persistance d'une toux avec expectorations blanchâtres. Pas d'état fébrile ni de frisson.A l'admission aux urgences, Mr. Y est orienté et collaborant. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont lointains, sans souffle audible. Pas d'oedème des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est diminué au niveau de la partie inférieure de l'hémiplage pulmonaire supérieure droite. Nous notons également une matité à la percussion de cette zone. La radiographie du thorax met en évidence une augmentation du volumineux infiltrat alvéolaire à la base droite et la stabilité de l'épanchement pleural droit. Nous administrons 40 mg de Lasix en ordre unique permettant d'améliorer la symptomatologie du patient qui est gardé en lit d'observation aux urgences pendant 24 heures. A l'étage de médecine, Mr. Y reste hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Nous complétons le bilan par un CT scan thoracique injecté le 06.05.2019 qui met en évidence une progression de l'infiltration tumorale du poumon droit ainsi que des multiples infiltrats des deux côtés et surtout une augmentation de l'épanchement pleural droit. Au vu de l'augmentation de l'épanchement pleural droit, mesurant actuellement 6 cm à la base contre 2 cm précédemment, nous contactons l'équipe de chirurgie thoracique de l'HFR Fribourg et, après avoir évoqué la situation avec le Dr. X, oncologue traitant, le patient sera convoqué pour la pose d'un drain thoracique et d'un talcage. Mr. Y peut regagner son domicile le 09.05.2019. Il bénéficiera du passage de l'équipe de Voltigo à domicile. Mr. Y, connu pour un carcinome pulmonaire, consulte les urgences le 21.04.2019 en raison d'un état fébrile depuis le 20.04.2019, associé à une faiblesse et une inappétence. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système hormis une toux chronique avec expectorations blanchâtres, sans changement récent. Au niveau oncologique, le patient, suivi par le Dr. X à l'HFR Fribourg, a bénéficié d'une cure de chimiothérapie par Taxotere le 19.03.2019, la prochaine aura lieu dans 3 semaines. A l'admission aux urgences, Mr. Y est en état général diminué. Il est tachycarde, légèrement hypotendu et fébrile à 38,4°C. A l'auscultation pulmonaire, les bruits respiratoires sont diminués au niveau de la base pulmonaire droite. Le reste du status d'entrée est dans la norme hormis des dépôts blanchâtres au niveau du pilier amygdalien à gauche, dépôts blanchâtres non amovibles au niveau de la langue. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 267 mg/l et une leucocytose à 27,7 G/l (dont 23.85 G/L neutrophiles), une hyponatrémie normo-osmolaire à 129 mmol/l et une insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 111 umol/l. Deux paires d'hémocultures sont prélevées ainsi qu'une recherche d'antigène pneumocoque et Legionelle dans les urines. La radiographie du thorax montre un foyer pulmonaire basal à droite et l'ECG montre une tachycardie sinusale. Le patient reçoit aux urgences une hydratation par NaCl 1000 ml et paracétamol 1000 mg iv. Nous retenons le diagnostic de pneumonie lobaire inférieure droite. Nous débutons une antibiothérapie par Co-Amoxi 1,2 g iv 4x/j et Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Le traitement anti-hypertenseur est mis en suspens au vu du profil tensionnel et du risque d'hypotension dans un contexte d'infection. L'insuffisance rénale se corrige sous hydratation iv. Nous recommandons au patient de bien s'hydrater per os. La pseudo-hyponatémie se corrige également durant le séjour. Les hémocultures et la recherche d'antigènes urinaires Legionelle et pneumocoque reviennent négatives. L'antibiothérapie est passée per os dès le 25.04.2019 et l'oxygénothérapie est progressivement sevrée. Le traitement antihypertenseur est en partie repris avec majoration du bétabloquant en raison d'une fréquence cardiaque à tendance élevée (80-100 bpm). L'anticalcique ainsi que l'Hydrochlorothiazide ne sont pas repris au vu d'un profil tensionnel dans la norme. Nous vous laissons le soin de réévaluer la reprise de ces traitements. Mr. Y peut regagner son domicile le 26.04.2019. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 20.05.2019. Mr. Y, patient de 58 ans, connu pour un carcinome pulmonaire à petites cellules combiné avec un adénocarcinome du lobe moyen, diagnostiqué en janvier 01.2017, suivi par le Dr. X, oncologue du patient. Mr. Y est hospitalisé le 15.05.2019 pour une dyspnée et une péjoration de l'état général. A savoir que le Dr. X, radiologue interventionnel avait effectué 5 jours avant l'hospitalisation une ponction pleurale droite élective suite au CT thoracique de suivi prescrit par l'oncologue qui montrait nouvellement un épanchement pleural droit. La cytologie du liquide pleural est revenue positive pour des cellules malignes d'un adénocarcinome. Le 15.05, jour de son entrée, une radiographie du thorax complétée d'un CT thoracique permet d'exclure un pneumothorax et une embolie pulmonaire. L'épanchement pleural est stable ainsi que la taille de la masse tumorale et des métastases connues. Le patient évolue favorablement sous oxygénothérapie. Le 19.05, le patient présente au réveil une parésie du membre supérieur droit associée à une hyperréflexie sans autre signe focal à l'examen neurologique. Un IRM révèle la présence de plusieurs lésions très suspectes de métastases de localisation cortico-sous-cortical, supra et infra-tentoriel et également la présence d'un AVC ischémique aigu sylvien G. Au vu de cette nouvelle trouvaille, nous renonçons à la pose d'un drain thoracique au vu de l'absence de douleurs et de la nécessité d'oxygénothérapie uniquement de nuit et à très faible dose. Suite à une discussion avec le Dr. X, il est décidé d'entreprendre une radiothérapie de l'encéphale et également d'initier une nouvelle chimiothérapie de 4ème ligne. Nous organisons la mise en place d'une oxygénothérapie à domicile (1L la nuit aux lunettes) avec la ligue pulmonaire et un suivi par Voltigo. Mr. Y rentre à domicile le 28.05.2019 avec une suite de prise en charge prévue en ambulatoire. Mr. Y sera convoqué à domicile pour une consultation chez le Dr. X très prochainement. Mr. Y, votre patient de 22 ans, connu pour une drépanocytose hétérozygote (Hb S/S) sous Litalir, avec une dernière crise vaso-occlusive en mars 2018, se présente aux urgences en raison d'une nouvelle crise sous forme de lombalgies, et des douleurs tibiales et scapulaires non reproductibles à la palpation. À l'anamnèse, le patient rapporte une exposition au froid et une séance de sport, dans un contexte d'un syndrome grippal, ayant précipité la crise. Le patient bénéficie d'une hyper-hydratation intraveineuse et d'un traitement antalgique par Dafalgan, Irfen et par une pompe de morphine (Patient Controlled Analgesy (PCA)). Au vu d'une évolution rapidement favorable, la pompe à Morphine est arrêtée le 09.05.2019 et le traitement antalgique est progressivement diminué. Le patient rentre à domicile le 10.05.2019 avec poursuite de la prise en charge par vos soins et chez le Dr. X. Mr. Y présente effectivement un début d'arthrose dans le compartiment fémoro-tibial externe suite à plusieurs opérations pour des lésions de ménisque. Je pense effectivement que Mr. Y pourrait profiter d'une infiltration par Cortisone ou acide hyaluronique. Le patient préfère un essai avec l'acide hyaluronique sous forme de Synolis.Cette infiltration est prévue pour le 5.6.2019. Le patient est informé du déroulement ainsi que des risques liés à cette intervention. Il est d'accord. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Mr. Y nous est transféré du CHUV le 30.04.2019 pour suite de prise en charge. En effet, le patient a bénéficié de l'évacuation d'un hématome sous-dural bilatéral par trou de trépan le 28.04.2019. Pour rappel, Mr. Y est amené aux urgences en ambulance le 26.04.2019 en raison d'un état confusionnel, d'une baisse de l'état général, d'un ralentissement psychomoteur avec difficultés à la marche, d'apparition progressive depuis 2 à 3 semaines. Aux urgences, un CT scan cérébral met en évidence un hématome sous-dural chronique bilatéral et Mr. Y est transféré dans le service de neurochirurgie du CHUV pour trépanation et évacuation de l'hématome. Les suites post-opératoires se passent sans complication et l'évolution est favorable avec une amélioration de la motricité et une diminution de l'état confusionnel aigu. A l'admission dans notre service de médecine, Mr. Y est calme et collaborant mais désorienté aux 3 modes. Il n'a pas d'autre plainte ni douleur. Au status neurologique, les nerfs crâniens sont dans la norme. Nous notons une chute labiale gauche mais réductible lors du sourire. Le barré est tenu. La force segmentaire est à M5 symétrique. Pas de trouble de la sensibilité grossière. Pas de dysmétrie au niveau des membres supérieurs. Tremblement d'action du membre supérieur gauche. Au status cardiovasculaire, présence d'un souffle systolique 3/6 au foyer aortique. Pas d'oedème des membres inférieurs. L'auscultation pulmonaire est difficilement réalisable en raison de la non-compliance du patient. En comparaison avec l'état cognitif de Mr. Y lors de son admission aux urgences le 26.04.2019, nous notons une amélioration, bien que l'état confusionnel aigu persiste encore. Un laboratoire de contrôle permet d'exclure une cause électrolytique ou thyroïdienne pouvant contribuer à la persistance de l'état confusionnel. Le patient bénéficie d'une évaluation neuropsychologique qui conclut que le tableau cognitif n'est actuellement pas évocateur d'une atteinte aiguë et est à mettre vraisemblablement en lien avec un état confusionnel aigu au décours, mais une composante vasculaire associée ne peut être exclue. Il n'y a pas d'indication à une prise en charge neuropsychologique ou logopédique. Le patient a toutefois l'interdiction de conduire pendant 3 mois, à réévaluer selon l'évolution. Mr. Y bénéficie également d'une prise en charge physiothérapeutique. A la sortie, le patient est indépendant pour les transferts en utilisant une canne anglaise comme moyen auxiliaire. Le périmètre de marche à la sortie est de plus de 250 mètres avec une pause. Durant le séjour, nous effectuons un CT scan cérébral de contrôle qui met en évidence le status post-trépanation bilatérale. L'examen met également en évidence l'évacuation de l'hématome sous-dural bilatéral, une composante chronique et subaiguë, en diminution d'épaisseur, ainsi qu'une régression de l'effet de masse sur le système ventriculaire latéral droit. Il persiste une composante aérique des deux côtés. L'évolution étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 11.05.2019. Un contrôle à la consultation du Dr. X, neurochirurgien au CHUV, est prévu le 06.06.2019. Mr. Y, âgé de 84 ans, connu pour une cardiopathie hypertensive, AOMI et obésité, nous est adressé par l'HFR Riaz pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une arthroplastie totale du genou G le 05.04.2019 pour une gonarthrose tricompartimentale. A noter une pancréatite sur passage de calcul biliaire le 10.04.2019. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse dans un appartement au deuxième étage dans un immeuble sans ascenseur. Il est à la retraite. A l'admission, le patient se plaint de douleurs abdominales et nausées. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. A l'anamnèse par systèmes, le patient signale une constipation chronique. Au status, le patient est orienté et collaborant. A l'auscultation cardiaque, on relève un souffle holosystolique avec irradiation dans le foyer mitral et aortique. A la palpation abdominale, il n'y a pas de défense ni détente, mais l'étage abdominal supérieur est sensible. Les bruits hydroaériques sont normaux. La cicatrice du genou G est calme. La flexion/extension du genou G est à 45-10-0° en actif. La force du quadriceps est à M2 et le psoas à M3 à gauche et la sensibilité est conservée. Les douleurs abdominales se sont améliorées progressivement, grâce au traitement symptomatique et à un régime pauvre en graisse. Pour le retour à domicile, le patient suivra une diète normale. Une consultation avec le Dr. X, chirurgien à l'HFR Riaz, est prévue le 27.05.2019, afin de discuter d'une cholécystectomie. Pendant le séjour, le patient présente des oedèmes des MI jusqu'à mi-jambe. L'évolution est favorable après augmentation de la dose de diurétique. Un premier essai de l'ablation de la sonde urinaire échoue et la sonde est remise. Le sevrage de la sonde se fait avec succès pendant le séjour en réadaptation. Nous laissons le médecin traitant organiser un RDV avec l'urologue traitant en ambulatoire si nécessaire. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises sur un périmètre de 150 m. Il peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes et la rampe. La flexion active du genou G est à 90° et le flexum résiduel est amélioré. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 02.05.2019, en bon état général. Mr. Y est un patient de 72 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées, qui nous est adressé en raison de douleurs inguinales à droite, surtout à la mobilisation. Le bilan met en évidence une hernie inguinale droite symptomatique, raison pour laquelle le patient bénéficie d'une cure de hernie inguinale à droite selon Lichtenstein le 20.05.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 21.05.2019. Le patient prendra rendez-vous chez son médecin traitant ces prochains jours pour discuter de la reprise du traitement d'Eliquis. Mr. Y, âgé de 72 ans, connu pour une BPCO stade II D selon Gold, nous est adressé par le HIB Payerne pour une réadaptation respiratoire suite à une exacerbation de BPCO le 11.03.2019 traitée par Ceftriaxone. Les vaccins sont à jour. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite (ancien représentant chez Würth). Le patient se plaint d'une péjoration de dyspnée NYHA III passant à un stade IV depuis environ 6 mois. Le patient ne pratique plus d'activité physique et accepte difficilement cette situation handicapante. Le status général est sans particularité hormis de légers OMI. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré modéré et confirme le diagnostic de BPCO stade II selon Gold. La gazométrie d'entrée sous O2 2 lt/min montre une saturation à 89 % avec une hypoxémie avec pO2 7.7 kPa, sans hypercapnie, raison pour laquelle nous poursuivons une oxygénothérapie au débit de 2 lt/min.Nous réalisons une oxymétrie et une capnographie sous CPAP et O2 2 lt/min qui montrent des valeurs satisfaisantes (SpO2 89.7%, index des événements de désaturation 2.3), sans hypercapnie. Le patient présente un périmètre de marche fortement réduit et une désaturation significative à l'effort jusqu'à 66% sous 4 lt/min en corrélation avec sa pathologie pulmonaire. Nous lui proposons de passer à un dispositif d'oxygénothérapie liquide permettant d'assurer un débit O2 efficace jusqu'à 6 lt/min, contrairement au portable actuel. La proposition est finalement acceptée par le patient et il maintiendra son concentrateur portable pour ses déplacements en Espagne. Une demande de prise en charge est établie auprès de son assurance maladie. Dans le cadre de l'aggravation de sa dyspnée, nous programmons un cathétérisme cardiaque G-D à la recherche d'une coronaropathie et pour documenter la présence d'une HTP. Le traitement bronchopulmonaire habituel est poursuivi. Durant son séjour, le patient se plaint de paresthésies insomniantes probablement dans le contexte de la polyneuropathie connue. Nous débutons un traitement par Tegretol avec soulagement partiel du patient. Par rapport à la dernière prise en charge en réadaptation pulmonaire à Billens, Mr. Y a pris 3 kg et montre un apport insuffisant en protéines avec des besoins théoriques couverts à 62% (besoins élevés, oubli/réticence d'appliquer recommandations). Il signale dès le départ qu'il n'est pas preneur du suivi nutritionnel mais convient tout de même de faire quelques adaptations pour améliorer l'apport en protéines. Nous constatons que son poids est descendu à 87 kg (-2 kg). Il n'a pas souhaité participer à la conférence sur l'alimentation et les maladies respiratoires. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 80 m à 210 m et le patient augmente la distance parcourue sur le tapis roulant pendant 20 minutes de 0.330 km à 0.470 km. Le patient rentre à domicile avec de l'oxygène liquide ainsi qu'un concentrateur à mettre au débit de 2 lt/min au repos et 4 lt/min à l'effort. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 03.05.2019, en état général conservé. Mr. Y est admis le 23.04.2019 à l'HFR Billens pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un NSTEMI sur cardiopathie coronarienne tritronculaire, valvulaire et rythmique. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine Cardio 100 mg, Sintrom 1 mg selon INR, Simvastatine 40 mg, Pantozol 40 mg, Janumet 50/850 mg, Cordarone 600 mg, Beloc Zok 50 mg. La RX du thorax à l'entrée révèle un épanchement pleural G avec des troubles ventilatoires passifs; Mr. Y bénéficiera d'un traitement diurétique avec une bonne évolution clinique à l'auscultation. La RX de contrôle du 10.05.2019 montrera effectivement une diminution de l'épanchement ainsi que des troubles ventilatoires. L'échographie transthoracique d'entrée réalisée le 23.04.2019, met en évidence un bon fonctionnement de la prothèse valvulaire et une FEVG modérément diminuée à 39%. Contexte d'une FA paroxystique récidivante convertie à distance en sinusal, la Cordarone sera progressivement diminuée durant le séjour pour ne prendre plus que 200 mg 1 cp/j à la sortie; le traitement sera à réévaluer par la suite. Le patient reste toutefois anticoagulé sous Sintrom avec une cible d'INR entre 2-3. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à une puissance de 15 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. A la fin de la prise en charge, on objective une augmentation de la distance parcourue (+120 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Il a été suivi individuellement par notre diététicienne ainsi que notre ergothérapeute. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.6 mmol/L, un HDL à 0.92 mmol/L, un LDL à 1.39 mmol/L et des triglycérides à 0.94 mmol/L. • La pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour. • Contexte d'un diabète de type 2 NIR. Le traitement est bien supporté avec une bonne efficacité globale comme le confirment les contrôles ; valeur glycémique basale entre un minimum de 4.8 (1x), 5.2 et un maximum de 6 mmol/L. Sur le plan biologique : • Hb est 114 g/L • fonction rénale normale avec une créatinine à 100 µmol/L • électrolytes dans la norme L'examen clinique de sortie montre un status de normo-compensation avec amélioration de la ventilation pulmonaire. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. Mr. Y est un patient de 31 ans qui est hospitalisé pour prise en charge de douleurs épigastriques dont le bilan, en particulier d'imagerie, confirmera la présence d'une duodénite inflammatoire dont un traitement par IPP double dose pour une durée de 4 semaines a été initié. Lors du bilan d'imagerie, est mise en évidence une masse rétro-péritonéale de 28 x 26 x 32 mm suspecte dont la suite de la prise en charge ainsi que du bilan seront réalisés en ambulatoire au CHUV au centre des sarcomes. Mr. Y est un patient de 31 ans qui est hospitalisé pour la prise en charge chirurgicale d'une appendicite aiguë par laparoscopie. Les suites opératoires sont simples tant sur le plan clinique que paraclinique et le patient rentre à domicile le 28.05.2019. Mr. Y est un patient de 68 ans qui est hospitalisé pour prise en charge chirurgicale de hernies inguinales bilatérales ainsi qu'une hernie de Spiegel à gauche avec mise en place de filets. Les suites post-opératoires sont simples tant sur le plan clinique que paraclinique et Mr. Y retourne à domicile le 19.05.2019. Mr. Y est un patient de 72 ans, qui est hospitalisé dans notre service de chirurgie vasculaire pour prise en charge d'une angiodermite nécrosante du membre inférieur droit. Il bénéficie d'un débridement de plaie le 19.04.2019. L'évolution post-opératoire est favorable, permettant une greffe de Therisch le 27.04.2019. Le patient rejoint son domicile le 07.05.2019. Il sera suivi à notre consultation spécialisée des plaies le 10.05.2019. Mr. Y est un patient de 57 ans aux antécédents susmentionnés, notamment un adénocarcinome de la queue du pancréas diagnostiqué le 01.12.2016 pT3 pN1 M0 R0 suivi par Dr. X (actuellement avec une nouvelle progression tumorale avec cholestase, métastase hépatique et carcinome péritonéal), qui bénéficie d'une ERCP le 21.05.2019 avec mise en place d'un stent et biopsie au niveau du corps de l'estomac (lésion néoplasique probablement secondaire) en raison de frissons avec ictère en péjoration. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples avec une évolution favorable. Lors de l'hospitalisation, le laboratoire met en évidence une hémoglobine à 75 le 22.05.2019 sans symptômes cliniques associés à l'anémie. Nous laissons le soin au patient de prendre contact avec Dr. X dans une semaine pour un laboratoire de contrôle et la suite de prise en charge.Mr. Y rentre à domicile le 24.05.2019. Mr. Y est un patient de 74 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées, qui est hospitalisé en électif le 13.05.2019 pour fermeture d'iléostomie. L'intervention se déroule sans complication et les suites post-opératoires sont simples avec une reprise du transit le 15.05.2019. L'évolution reste favorable et Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 17.05.2019. Mr. Y, 77 ans, polyvasculaire et connu pour une maladie cérébrovasculaire avec sténoses carotidiennes bilatérales, est hospitalisé pour une suspicion d'AVC ischémique aigu gauche. Mr. Y nous est transféré du service des urgences de l'HFR Riaz où il a consulté en raison de l'apparition brutale des céphalées rétro-orbitaires gauche associées à des nausées, une dysarthrie en péjoration, une aphasie fluente ainsi qu'une parésie facio-brachiale droite faisant suspecter un AVC sylvien superficiel gauche. L'Angio-CT cérébral a mis en évidence une pénombre temporale gauche et une sténose bilatérale de l'artère carotide interne (60 % à gauche et 70 % à droite). Une thrombolyse intraveineuse par Alteplase à dose standard est administrée le 03.05.2019 à 14h30. L'évolution neurologique est favorable avec disparition des symptômes et normalisation du statut neurologique. Le CT cérébral de contrôle à 24h n'a pas montré de transformation hémorragique. Un traitement par Clopidogrel 75 mg est débuté le 05.05.2019. L'IRM de contrôle ne met pas en évidence des lésions ischémiques aiguës. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une fonction cardiaque normale avec une oreillette gauche non dilatée. Un Holter de 72h est posé après l'hospitalisation, nous vous laisserons pister les résultats à votre consultation. Un examen neurosonologique confirme une sténose de l'ordre de 60 à 70 % à droite et de 50 à 60 % du côté gauche. Un diagnostic d'attaque ischémique transitoire du territoire sylvien gauche est posé. L'origine est artério-artérielle dans le contexte de la sténose carotidienne interne gauche symptomatique. En occurrence, après discussion avec les collègues de la chirurgie vasculaire, une prise en charge chirurgicale pour la sténose carotidienne gauche est décidée. L'évolution clinique est favorable avec un statut neurologique de sortie dans la norme. Mr. Y est transféré en chirurgie vasculaire pour TEA de la carotide interne gauche. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 mois. Mr. Y, 78 ans, est hospitalisé auprès de notre service de médecine interne afin d'investiguer une nouvelle lésion cérébrale mise en évidence par un CT de contrôle le 13.05.2019. Depuis environ un mois, Mr. Y se plaint d'insécurité à la marche, de manque de mots et de tremblements de la main gauche. Pour rappel, Mr. Y est connu pour un lymphome B à grandes cellules diagnostiqué en 2017 en rémission (status post-radio/chimiothérapie en 2017), ainsi que pour un adénocarcinome prostatique, diagnostiqué en 2018, sous traitement par analogues LHRH. Durant l'hospitalisation, une IRM est réalisée afin de mieux caractériser la lésion. Une ponction lombaire nous permet d'exclure une méningite sous-jacente. Un EEG met en évidence des signes d'épilepsie motivant l'introduction d'un traitement par Lamotrigine. Après discussion avec nos collègues de la neurochirurgie, il est décidé de procéder à l'exérèse de la lésion par craniotomie, permettant ainsi d'analyser la lésion et de guider les prochaines étapes du traitement. Dr. X expose au patient ainsi qu'à sa famille les risques et les bénéfices liés à telle procédure et propose comme date opératoire le 31.05.2019. Le patient et la famille décident cependant de repousser la date au vu de l'absence des deux fils au moment de l'intervention tout en assumant les risques. Mr. Y retourne à domicile le 22.05.2019 en bon état général, il sera recontacté par Dr. X afin de définir une nouvelle date opératoire. Mr. Y est un patient de 84 ans connu pour les comorbidités ci-dessus, que nous hospitalisons pour prise en charge d'épisodes de dyspnées intermittentes apparaissant au repos et accompagnées d'une toux productive depuis 2 jours. Le patient a été hospitalisé à l'HFR Fribourg du 25.04.2019 au 02.05.2019 pour une pneumonie lobaire communautaire traitée par Co-Amoxicilline et mentionne ne pas avoir récupéré totalement. Il indique également que ces épisodes paroxystiques de dyspnée surviennent lors de ses quintes de toux. Pas de dyspnée d'effort, pas d'orthostase, pas de dyspnée paroxystique nocturne. Au statut, il n'y a pas de turgescence jugulaire, pas de reflux hépato-jugulaire. Nous retrouvons des légers œdèmes des membres inférieurs et fins crépitants basaux gauches à l'auscultation pulmonaire. Le laboratoire ne montre pas de leucocytose et une CRP légèrement élevée à 19 mg/l. La radiographie thoracique ne montre pas d'infiltrats pulmonaires ni de signes de surcharge. Nous retenons le diagnostic de résiduum post-infectieux sur bronchoaspirations récidivantes et procédons à la physiothérapie respiratoire et des inhalations ainsi qu'une introduction de Fluimucyl pour faciliter la sortie des glaires. Ad 1 Le statut neurologique montre une légère rigidité dans le membre supérieur droit, pas de tremblement au repos, pas de dysdiadocokinesie. La marche est ralentie avec des petits pas et une instabilité posturale. Nous organisons une consultation ambulatoire chez la neurologue Dr. X le 01.07.2019 pour discuter une éventuelle adaptation médicamenteuse. Ad 2 Au vu d'une polypharmacie excessive (>10 médicaments) avec notamment un risque de chute, de péjoration de l'état cognitif ainsi que de potentielles interactions médicamenteuses, nous réduisons la polymédication avec arrêt de l'Exelon, Pregabalin, de l'Atorvastatin, Amlodipine, du Spasmo-urginin ainsi que du Magnesiocard. Nous prions de réévaluer la nécessité de ces médicaments à distance. Au vu de l'état général amélioré, nous pouvons laisser rentrer Mr. Y dans son EMS le 16.05.2019. Mr. Y, patient de 84 ans, institutionnalisé, connu pour les antécédents susmentionnés, est hospitalisé pour prise en charge d'une pneumonie communautaire avec insuffisance respiratoire partielle et réponse inflammatoire systémique (SIRS). L'évolution est favorable sous antibiothérapie par Co-Amoxicilline pendant 7 jours. Mr. Y bénéficie initialement d'une oxygénothérapie qui peut être sevrée le 29.04.2019. Comme deuxième problème, nous notons la présence d'un syndrome parkinsonien avec des troubles de la déglutition sous traitement de Madopar. Les troubles de la déglutition sont probablement sous-jacents à une maladie de Parkinson et ces derniers ont été péjorés par l'épisode infectieux au décours. De la physiothérapie permet une amélioration de la situation et l'absence de fausse-route en fin d'hospitalisation. Si les troubles de la déglutition devaient se péjorer, ou si le patient devait à nouveau présenter une pneumonie dans les mois à venir, nous vous recommandons une adaptation du traitement actuel pour la maladie de Parkinson, voire une consultation auprès d'un neurologue afin d'adapter le traitement actuellement mis en place. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre dans son Home le 02.05.2019. Mr. Y nous est adressé pour une réhabilitation cardiovasculaire suite à un remplacement valvulaire par TAVI. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine Cardio 100 mg, Clopidogrel 75 mg, Beloc Zok 25 mg, Coversum 5 mg, Alfuzosine 10 mg, Seresta 15 mg en réserve, Calcipos D3 et Locacorten crème 30 g.Lors de son séjour à la Clinique Cecil, Mr. Y a présenté plusieurs globes urinaires, nécessitant la pose d'une sonde vésicale. A la consultation urologique du 10.04.2019, il est décidé de maintenir la sonde pour une semaine. Durant son séjour dans notre établissement, plusieurs tentatives de sevrage par clampage ont échoué. Malheureusement, nous ne parvenons pas à la retirer durant le séjour; le patient ne ressentant que le besoin d'uriner avec des quantités supérieures à 500 cc. Nous prévoyons donc un rendez-vous avec l'urologue du patient, le Dr. X qui le verra à sa consultation le 21.05.2019. Tout au long de la réadaptation, le patient est resté asymptomatique sur le plan cardiovasculaire. Aucun signe de décompensation cardiaque n'est relevé, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 2x10 minutes à une puissance de 16 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+27 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Il a été suivi individuellement par notre diététicienne ainsi que notre ergothérapeute. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 4.0 mmol/L, HDL à 0.94 mmol/L, LDL à 3.13 mmol/L et triglycérides à 0.87 mmol/L. • La pression artérielle basale et la fréquence cardiaque sont restées dans la norme pendant le séjour. Nous notons cependant une légère augmentation de la tension artérielle lors des derniers jours d'hospitalisation, raison pour laquelle nous instaurons un traitement par Amlodipine 5 mg/j. Sur le plan biologique : • L'Hb est 136 g/l. • La fonction rénale est normale avec une créatinine à 96 µmol/l. • Les électrolytes sont dans la norme. L'examen clinique de sortie est dans la norme, status normo-compensation avec une pression artérielle de 153/61 mmHg avec une FC à 64 bpm. Mr. Y, 50 ans, hospitalisé dans un contexte de choc hypovolémique et insuffisance rénale aiguë sur des diarrhées d'origine probablement virale avec déshydratation. Le patient décrit des diarrhées aqueuses en quantité importante survenues suite à un repas pris lors d'un évènement. Absence de fièvre ou d'hématochésie. Les diarrhées se sont rapidement taries sous Imodium pris par auto-médication mais le patient décrit la persistance d'une asthénie et inappétence avec peu d'alimentation et d'hydratation les jours suivantes. Lors d'une consultation prévue en stomatothérapie pour contrôle de ses ulcères, le patient présente un malaise avec frissons et hypotension artérielle. A noter que le matin même, il aurait présenté des vertiges de type orthostatique avec malaise et chute sur le siège. Il est transféré au service des urgences où il est bilané pour un choc qui s'avère être d'origine hypovolémique. Une origine cardiaque ou septique est rapidement exclue. L'origine du choc est attribuée à une probable gastro-entérite virale. Vu que le patient n'a plus de diarrhée, une coproculture n'a pas été effectuée. Une insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale est également mise en évidence dans le même contexte. L'évolution après hydratation et mise en suspens de traitements antihypertenseurs et néphrotoxiques est rapidement favorable. Durant l'hospitalisation, les plaies connues des pieds sont suivies par les orthopédistes et les stomatologues avec adaptation du protocole. L'amélioration clinique et biologique permet la reprise des traitements habituels du patient, et un retour à domicile le 28.05.2019. Le suivi orthopédique se poursuivra comme avant l'hospitalisation. Quant au suivi internistique, le patient et son médecin traitant ayant rompu leur relation, il se fera auprès du nouveau médecin trouvé par Mr. Y, aussi vite que possible. En attendant, nous remercions le Dr. X d'assurer, si possible, la prise en charge de ce patient polymorbide. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un remplacement de l'aorte ascendante avec prothèse Maquet de 32 mm et patch péricardique équin sur fistule entre prothèse et l'artère pulmonaire. Traitement à l'entrée : Aspirine Cardio 100 mg Allopurinol 100 mg Amlodipine 10 mg Atorvastatine 40 mg Carvedilol 12.5 mg Becozym 1 drag Benerva 300 mg Héparine 25000 U/5 ml Lisinopril 5 mg Metformine 1000 mg Physiotens 0.3 mg Seresta 15 mg Torasémide 5 mg Xultophy 3.6 mg/ml Dafalgan 1 g Movicol Laxobéron Quétiapine en réserve. Tout au long de la réadaptation cardiovasculaire, le patient est resté asymptomatique sur le plan cardiovasculaire. Aucun signe de décompensation cardiaque n'est relevé, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Au vu du contexte anévrismal aortique opéré, la pression artérielle basale cible est <120 mmHg. Pendant les exercices, nous évitons de dépasser des valeurs TA > 150 mmHg. Lors de l'épreuve d'effort au tapis/cycloergomètre, la TA autorisée est de 170 mmHg. Le holter tensionnel contrôle confirme la bonne stabilisation de la TA tant en diurne qu'en nocturne. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, Mr. Y est capable de faire du vélo pendant 30 minutes à une puissance de 25 watts, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 2 km/h sur une pente de 4% pendant 30 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+66 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Il a été suivi individuellement par notre diététicienne ainsi que notre ergothérapeute. Au vu des troubles cognitifs d'aggravation récente, nous instaurons des soins à domicile afin de s'assurer du bon suivi thérapeutique du patient, notamment vis-à-vis de l'insulinothérapie. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.4 mmol/L, HDL à 0.87 mmol/L, LDL à 1.29 mmol/L et triglycérides à 1.64 mmol/L. • Mr. Y a sevré son tabagisme depuis le début de son hospitalisation et n'a pas souhaité de rendez-vous avec notre tabacologue. • La pression artérielle basale et la fréquence cardiaque sont restées dans la norme pendant le séjour avec une PA cible < 130/80 mmHg. • Sur le plan glycémique, le traitement est bien supporté avec bonne efficacité clinique comme le confirment les auto-contrôles de glycémie ; valeur glycémique basale entre un minimum de 5.5 et un maximum de 7.5 mmol/l. Mais la gestion de la thérapie nécessite actuellement une tierce personne.Sur le plan biologique : • L'Hb est 102 g/l • la fonction rénale est normale avec une créatinine à 91 µmol/l. • les électrolytes sont dans la norme. L'examen clinique de sortie est dans la norme, status normo-compensation avec une pression artérielle de 126/71 mmHg et une FC à 80 bpm. Le sternum est stable et la cicatrice est saine et calme. Mr. Y, 68 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour un STEMI aigu sur occlusion de l'artère interventriculaire antérieure, compliqué d'un œdème aigu du poumon. Une coronarographie avec thrombectomie et implantation d'un stent actif est effectuée en urgence avant sa prise en charge aux SI. Le pic de CK s'est élevé à 3903 U/l. Un traitement par Lisinopril, Metoprolol et Atorvastatine est débuté. L'évolution est rapidement favorable. Nous poursuivons le traitement diurétique avec une dose légère. L'échocardiographie transthoracique du 06.05.2019 montre une fonction systolique/diastolique conservée EF à 50 %. Un prochain contrôle à la consultation du Prof. X est agendé. Une nouvelle coronarographie sera à rediscuter afin de traiter les autres vaisseaux. Une réadaptation cardiovasculaire sera à organiser dans les suites. Le 08.05.2019, Mr. Y peut regagner son domicile avec un état général amélioré. Mr. Y, 68 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour un STEMI aigu sur occlusion de l'artère interventriculaire antérieure, compliqué d'un œdème aigu du poumon. Le patient a présenté depuis une semaine une dyspnée de stade NYHA II et une douleur rétrosternale intense, de type serrement, sans irradiation, le 02.05.2019 à 20 heures. L'ECG était suspect pour une atteinte du tronc commun. La coronarographie en urgence a montré une maladie coronarienne tri-tronculaire avec occlusion aiguë de l'IVA proximale qui a été reperméabilisée par thrombectomie et implantation d'un stent actif. La fonction ventriculaire gauche était conservée avec une fraction d'éjection à 55 %. Le pic de CK s'est élevé à 3903 U/l. La double antiagrégation (Aspirine à vie et Ticagrelor) est à poursuivre pour une année. Un traitement par Lisinopril, Metoprolol et Atorvastatine a été débuté. Un œdème aigu du poumon secondaire au STEMI a nécessité une intubation oro-trachéale et ventilation mécanique avant la coronarographie avec une bonne évolution sous traitement diurétique et vasodilatateur. L'extubation a rapidement été possible, tout en poursuivant des séances de ventilation non invasive par intermittence jusqu'au 04.05.2019. Une échocardiographie transthoracique est prévue le 06.05.2019. L'indication au traitement ultérieur des sténoses des ostia de la première diagonale, première marginale et troisième marginale devra être discutée selon l'évolution. La coronaire droite est chroniquement occluse. Une réadaptation cardiovasculaire pourrait être envisagée. Deux salves non soutenues de tachycardie à complexes larges ont motivé une surveillance prolongée aux soins intensifs, sans récidive après augmentation du bêtabloquant. Toutefois, une brève bradycardie sinusale avec un échappement jonctionnel à 38 bpm asymptomatique durant la nuit du 05.05.2019 a incité à diminuer de moitié la dose quotidienne de Metoprolol (50 mg/jour). Un foie de stase secondaire au STEMI s'est rapidement amélioré. Le patient est traité pour une polyarthrite rhumatoïde par Methotrexate (le dimanche) et Prednisone de manière intermittente. On propose de ne pas administrer la dose de Methotrexate du 05.05.2019 dans la phase aiguë. Le patient a été transféré le 05.05.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y, 79 ans, connu pour un adénocarcinome du moyen rectum avec métastases pulmonaires pour lequel il est traité actuellement par chimiothérapie et un adénocarcinome de la prostate sous hormonothérapie, est hospitalisé pour des lombalgies aiguës et invalidantes. Au niveau du statut, nous ne retrouvons pas de douleurs à la percussion osseuse, ni de déficits neurologiques, notamment sphinctériens. Au niveau de l'antalgie, nous instaurons un traitement de palier 1 (Dafalgan et Ibuprofen) ainsi qu'un traitement myorelaxant (Sirdalud). L'évolution est favorable sous ce traitement. Il bénéficie également de physiothérapie pendant l'hospitalisation. Le PET-CT du 09.04.2019 ne montrant pas de maladie oncologique axiale, nous suspectons une étiologie musculaire ou/et arthrosique dégénérative à ses douleurs. Sur le plan cardiaque, nous mettons en évidence un bloc de branche droit qui s'avère déjà connu. Une échographie trans-thoracique du 10.05.2019 est néanmoins effectuée et rapporte une bonne fonction cardiaque avec une fraction d'éjection ventriculaire à 60 %, une dilatation importante de l'oreillette gauche et une pression artérielle pulmonaire systolique à 42 mmHg. Le profil tensionnel étant un peu élevé pendant l'hospitalisation, nous proposons d'adapter le traitement hypertenseur. Sur le plan social, Mr. Y ne souhaite pas de soins à domicile. Mr. Y rentre le 13.05.2019 à domicile avec antalgie par Dafalgan et poursuite de physiothérapie ambulatoire. Mr. Y nous est transféré des soins intensifs après stabilisation du patient suite à une bradycardie symptomatique à 30 bpm et une crise hypertensive le 14.05.2019. Pour rappel, Mr. Y se présentait aux urgences en raison d'une sensation de serrement cervical, d'une sensation de ralentissement du cœur et d'une hypertension (TA 220/115 mmHg) accompagnée de sudation. À l'ECG, on mettait en évidence une bradycardie sinusale à 30 bpm sans signe d'ischémie et aux examens de laboratoire aucun mouvement des enzymes cardiaques n'a été relevé. L'échocardiographie met en évidence une bonne fonction ventriculaire gauche avec hypertrophie concentrique et une oreillette gauche très dilatée avec dysfonction diastolique modérée. La tension est stabilisée par traitement nitré IV et la fréquence cardiaque se normalise suite à la suspension du traitement bêta-bloquant (sur avis cardiologique du Dr. X). En ce qui concerne l'hypertension artérielle réfractaire connue, un doppler des artères rénales est réalisé et ne montre pas d'arguments pour une sténose des artères rénales. Du côté pharmacologique, nous augmentons la posologie de Physiotens et nous mettons en suspens le traitement par Irbesartan en faveur de Sacubitril/Valsartan (Entresto), après discussion avec le Prof. X. Suite à la normalisation du profil tensionnel sous Entresto, Mr. Y peut rentrer à domicile le 18.05.2019. Mr. Y aura rendez-vous chez le Dr. X le 29.05.2019 à 8H avec indication d'effectuer un R-test. Mr. Y est un patient de 76, connu pour les antécédents sus-mentionnés, qui nous est adressé par la réadaptation de Billens pour des douleurs abdominales avec état fébrile depuis le jour même. Le bilan biologique montre une augmentation du syndrome inflammatoire, un CT scan met en évidence une collection le long du ligament falciforme, suspect d'un abcès, s'étendant jusqu'à la petite courbure gastrique. La collection est drainée le 25.04.2019 et nous instaurons une antibiothérapie par Imipenem et Cancidas le 25.04.2019, qui est relayée par une antibiothérapie par Ciprofloxacine et Métronidazole per os dès le 03.05.2019. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable et permet un transfert du patient en gériatrie aiguë le 08.05.2019. Nous laissons les soins à nos collègues de gériatrie d'organiser un CT scanner abdominal à la fin de l'antibiothérapie pour évaluer la collection drainée. À noter la fracture du scaphoïde avec dissociation scapho-lunaire traitée par une immobilisation de 9 semaines. Après contrôle radiologique et avis orthopédique, l'immobilisation peut être levée le 08.05.2019. Mr. Y est un patient de 50 ans qui est hospitalisé pour prise en charge d'un iléus mécanique dans le cadre d'un statut post-opératoire d'un adénocarcinome de type gastrique dans un diverticule de Meckel stade IV. Il présente depuis plusieurs semaines des troubles du transit avec lors de son arrivée aux Urgences le 13.05.2019 un arrêt du transit depuis 48h avec douleurs abdominales. Le bilan en urgence retrouve un iléus avec deux sauts de calibre dont le traitement conservateur permettra une résolution rapide des symptômes avec reprise de l'alimentation. Le patient sera suivi comme prévu en ambulatoire à la consultation d'Oncologie. Mr. Y est un patient de 50 ans, connu pour une pancréatite chronique d'origine éthylique, qui se présente aux Urgences en raison de douleurs en hypochondre gauche avec irradiation en ceinture, accompagnées de nausées et vomissements. À l'examen clinique, nous objectivons un abdomen difficilement dépressible avec défense épigastrique. Le bilan met en évidence une pancréatite aiguë sur chronique, classée Balthazar C, raison pour laquelle le patient est hospitalisé dans notre service pour hydratation et antalgie. L'évolution clinico-biologique est par la suite tout à fait favorable, permettant un retour à domicile le 02.05.2019. Mr. Y présente toujours un syndrome du tunnel carpien de la main G qui devient de plus en plus gênant. Le patient se fait réveiller régulièrement la nuit en raison des douleurs. L'indication pour une neurolyse du nerf médian est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord et le consentement est signé. Cette intervention est prévue pour le 03.06.2019. Mr. Y est un patient de 89 ans sans antécédents connus qui se présente à la permanence de Morat le 09.05.2019 pour une dyspnée en progression depuis 1 an accompagnée d'une orthopnée. Pas de douleurs thoraciques, pas de dyspnée nocturne paroxystique. À l'examen, il présente des œdèmes des MI remontant jusqu'au scrotum, ainsi qu'une turgescence jugulaire et un reflux hépato-jugulaire. Une cyanose des lèvres et une acrocyanose sont observées. Un ECG avec onde Q en antéro-latérale suggère un infarctus ancien. La radio thoracique montre une cardiomégalie avec stase veineuse pulmonaire avec hiles proéminents sans redistribution vasculaire nette. Nous hospitalisons donc ce patient pour une décompensation cardiaque et instaurons un traitement diurétique adapté à la mesure quotidienne du poids ainsi qu'avec un suivi biologique des électrolytes. L'échocardiographie montrant une FENA de 15 %, nous mettons en place également un traitement avec Aldactone, Carvedilol ainsi qu'un ACE. Au vu d'une rétention urinaire récidivante lors de l'hospitalisation sur probable hyperplasie de la prostate, nécessitant la pose d'un cystofix, nous instaurons un traitement au Tamsulosin et Finasteride. Après un essai de clampage le 15.05.2019, le patient dit avoir pu uriner de faibles quantités par voie naturelle. Un rendez-vous urologique est organisé pour le 22.05.2019 afin d'évaluer la suite du traitement de la BPH ainsi que pour l'ablation du cystofix. Nous pouvons laisser rentrer le patient en état général nettement amélioré. Nous suggérons un suivi clinique et biologique dans 2 à 3 semaines chez le MT. Mr. Y, 77 ans, est hospitalisé en médecine interne depuis les soins intensifs pour la suite de la prise en charge après une pose de prothèse fémorale en raison d'une fracture du fémur gauche suite à une chute. Le patient est amené au service des urgences de l'HFR Riaz suite à une chute mécanique. Le bilan met en évidence une fracture du fémur Garden IV à gauche. Le patient est transféré à l'HFR Fribourg, en raison des comorbidités et d'une décompensation respiratoire, pour l'ostéosynthèse de la hanche qui se déroule sans complication, sous anesthésie générale. À son admission aux soins intensifs, il présente une somnolence associée à une hypercapnie. Son état de vigilance s'améliore après titration de Flumazénil en raison d'accumulation de benzodiazépines à la faveur d'une insuffisance rénale aiguë et de la cirrhose. Le CT cérébral permet d'exclure un événement intracrânien. Par la suite, persiste un état confusionnel avec un discours digressif et des moments d'agressivité, qui restent cependant gérables. L'insuffisance respiratoire dans un contexte de probable BPCO aggravée par une pneumonie, une décompensation cardiaque et des atélectases se corrigent sous ventilation non invasive, déplétion hydrique et antibiothérapie. Une décompensation ascitique est traitée par ponction évacuatrice sans signe de surinfection. Le drain reste en place jusqu'au 26.04.2019, moment où le patient se l'arrache par accident. Une échographie abdominale permet d'exclure une thrombose porte. Une nutrition parentérale a été transitoirement introduite pour couverture de la cible calorique avant une reprise de l'alimentation exclusivement per os. La déplétion hydrique se poursuit pendant son séjour avec de petites doses d'Aldactone et de Torasémide. Le traitement diurétique est à adapter en fonction de l'état clinique et un suivi du poids est préconisé. Dans le contexte de la cirrhose, l'Aldactone reste le traitement de choix malgré une kaliémie à la limite supérieure de la norme. Celle-ci est à contrôler jusqu'à adaptation définitive du traitement. L'indication à une anticoagulation pour le flutter est à réévaluer en considérant le risque de chute et de possibles troubles cognitifs sous-jacents à investiguer à distance. L'évolution orthopédique est favorable, Mr. Y se déplaçant à l'aide d'un déambulateur lors des séances de physiothérapie. La charge recommandée sur le membre inférieur gauche est de 15 kg pour 6 semaines. Nous recommandons d'éviter les mouvements rotatoires, la flexion de la hanche >70°, l'adduction et l'abduction contre résistance. Mr. Y est transféré à la Clinique Valmont pour une réhabilitation musculo-squelettique le 02.05.2019. Mr. Y, 60 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance dans le contexte d'une hémorragie digestive haute symptomatique. En effet, il a présenté une perte de connaissance avec extériorisation de méléna le 22.03.2019. Le patient rapporte également une perte de 15 kg en une année dont 10 kg ces 3 derniers mois depuis l'arrêt de la prise de son traitement d'IPP et la reprise des douleurs épigastriques. La surveillance hémodynamique est favorable et le contrôle biologique de l'hémoglobine l'est lui aussi. Nous prenons contact avec nos collègues de gastro-entérologie qui proposent une gastroscopie à 48h avec poursuite du traitement par IPP en intraveineux continu avec contrôles biologiques rapprochés. La gastroscopie réalisée par le Dr. X montre un ulcère bulbaire stade Forrest Ib avec un petit saignement sur l'endoscope et un H. Pylori positif. On propose un traitement par IPP pendant 4 semaines associé à une antibiothérapie pour l'éradication de H. Pylori que nous mettons en place. Nous proposons au médecin traitant de réaliser un test d'antigène H. Pylori dans les selles un mois après la fin du traitement par IPP. Une gastroscopie de contrôle n'est pas nécessaire d'office. Mr. Y montre une bonne évolution clinique et ne représente pas de nouveaux épisodes de méléna. Le patient met la perte de poids sur le compte d'une gêne gastrique et une inappétence suite à l'arrêt de son traitement par IPP. Il ne souhaite en aucun cas un CT-Scan. Nous proposons au médecin traitant de réaliser un bilan oncologique si le patient ne reprend pas du poids dans les prochains mois.Au niveau hématologique, nous observons une anémie normochrome normocytaire que nous mettons sur le compte de l'hémorragie digestive haute, d'une carence en acide folique et en fer. Nous introduisons un traitement par Maltofer et acide folique pendant 3 mois. Nous proposons au médecin traitant de faire un bilan biologique après ce traitement. Mr. Y rentre à domicile le 27.03.2019. Mr. Y, patient de 61 ans, a consulté aux urgences de Meyriez le 20.05.2019 pour des douleurs rétrosternales avec irradiation dans le bras gauche. Il est connu pour une hypertension artérielle traitée et un ancien tabagisme. L'anamnèse familiale est positive pour des événements cardio-vasculaires. Un NSTEMI étant mis en évidence, il a été transféré à l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge. La coronarographie met en évidence une maladie coronarienne bitronculaire avec sténose significative de l'artère circonflexe proximale et une sténose significative de l'artère coronaire droite moyenne, traitées par angioplastie et pose de 3 stents actifs. Le pic des CK s'élève à 929 U/l. Un traitement par Aspirine est à poursuivre à vie et Efient pour 12 mois. Un IEC, un bêta-bloquant et une statine sont introduits. Il est admis aux soins intensifs où la surveillance est marquée pour un épisode de salve de tachycardie ventriculaire de courte durée, avec réponse favorable à du magnésium IV. Un contrôle à 1 mois est prévu à la consultation du Dr. X, ainsi qu'une ergonomie dans 4-6 mois. Des troubles électrolytiques multiples sont présents au laboratoire d'entrée et substitués. Un contrôle serait à effectuer la semaine suivant la sortie. Mr. Y a pu rentrer à domicile en bon état général le 24.05.2019. Mr. Y, 61 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique et rythmique après un NSTEMI. Il est connu pour une hypertension artérielle traitée et un ancien tabagisme. L'anamnèse familiale est positive pour des événements cardio-vasculaires. Il a consulté pour des douleurs rétrosternales avec irradiation dans le bras gauche aux urgences de l'HFR Meyriez le 20.05.2019, avec mise en évidence d'un NSTEMI, motivant son transfert à l'HFR Fribourg. La coronarographie met en évidence une maladie coronarienne bitronculaire avec sténose significative de l'artère circonflexe proximale et une sténose significative de l'artère coronaire droite moyenne, traitées par angioplastie et pose de 2 stents actifs. Le pic des CK s'élève à 929 U/l. Un traitement par Aspirine est à poursuivre à vie et Efient pour 12 mois. Un IEC, un bêta-bloquant et une statine sont introduits. La surveillance est marquée pour un épisode de salve de tachycardie ventriculaire de courte durée, avec réponse favorable à du Magnésium IV. Un contrôle à 1 mois est à prévoir à la consultation du Dr. X, ainsi qu'une ergonométrie dans 4-6 mois. Des troubles électrolytiques multiples sont présents au laboratoire d'entrée et substitués. Le patient est transféré en médecine le 21.05.2019 pour adaptation du traitement médicamenteux. Mr. Y, 67 ans, est admis aux soins intensifs pour la surveillance respiratoire post-extubation dans le cadre d'un œdème laryngé. Le patient, connu pour une cardiopathie valvulaire avec insuffisance mitrale modérée, a été prévu pour un ETO de contrôle ambulatoire le 21.05.2019. Le patient est également connu pour un ancien cancer ORL, traité par radio-chimiothérapie en 2012. En raison d'un accès difficile pour un ETO, le patient a été sédaté. Compliqué par une apnée, une intubation a été nécessaire en urgence avec des voies respiratoires difficiles (lame courbe, vidéolaryngoscope, mandrin). Après l'extubation avec cathéter de Cook, le patient était toujours stable sous aérosol avec adrénaline et un traitement avec des stéroïdes. En raison d'une fonction respiratoire stable, d'une déglutition et d'une mobilisation sans problème, nous avons renvoyé le patient chez lui après une surveillance sans problème. La corticothérapie est recommandée jusqu'au 23.05.2019 inclus. Mr. Y, patient de 84 ans, est admis aux soins intensifs pour une hémorragie digestive haute, ainsi qu'un sepsis sur pneumonie basale gauche et diverticulite sigmoïdienne. Le patient est amené en ambulance depuis son EMS en raison de deux épisodes d'hématémèse dans le contexte d'une anticoagulation par Sintrom avec INR supra-thérapeutique et une antiagrégation. À son arrivée aux urgences, est mise en évidence d'une hémoglobine à 58 g/l. Le patient bénéficie de transfusions de 4 culots érythrocytaires et d'un traitement d'IPP en continu. L'oesogastroduodénoscopie du 13.05.2019 montre 2 ulcères bulbaires sans signe de saignement actif et une oesophagite sévère. Les IPP sont poursuivis oralement selon un schéma dégressif. L'anticoagulation par Sintrom et l'antiagrégation par Aspirine sont mises en suspend et réintroduites progressivement dès le 16.05.2019. Après discussion avec nos chirurgiens vasculaires (Dr. X), une anticoagulation et antiagrégation pour l'artériopathie des membres inférieurs ne sont pas nécessaires, raison pour laquelle nous arrêtons l'Aspirine. Une image de pneumonie basale gauche et de diverticulite, ainsi qu'un syndrome inflammatoire important, motivent un traitement de Pipéracilline-Tazobactam dès le 12.05.2019, sans recherche microbiologique antérieure, avec une bonne évolution clinique. Un sérome inguinal gauche est mis en évidence et confirmé par un US-Doppler, dans les suites de la thrombo-embolectomie fémorale bilatérale, pour une artériopathie oblitérante des membres inférieurs. De plus, au niveau inguinal gauche un écoulement séreux sans signe d'inflammation est visible au lieu de ponction. Après discussion avec les chirurgiens vasculaires, nous proposons un suivi clinique de l'écoulement pour autant qu'il n'y ait pas de signe d'inflammation ou d'infection locale. Nos chirurgiens vasculaires sont à disposition pour tout changement de situation ou question. Une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale est traitée par hydratation avec une amélioration modérée, puis une redégradation de la fonction rénale. L'acidose métabolique a été traitée par du Nephrotrans, nous conseillons de continuer ce médicament et de refaire un contrôle avec une gazométrie la semaine prochaine. Un épanchement pleural droit chronique est drainé du 13.05.2019 au 14.05.2019 avec retrait de 800mL d'un transsudat, sans signe de cellules malignes. Concernant l'hypothyroïdie substituée, nous réduisons le dosage car une TSH limite est observée. Nous conseillons un contrôle biologique à 3 mois chez le médecin traitant. Mr. Y a pu rentrer au EMS en état général conservé le 22.05.2019. Après discussion avec le patient et sa fille, une prolongation de l'hospitalisation proposée en raison d'une péjoration de la fonction rénale et d'une surcharge hydrique persistante n'est pas souhaitée. Le patient et sa fille acceptent la possibilité d'une aggravation de son état même en cas de risque vital et précisent qu'une attitude générale limitée est souhaitée, à savoir pas de réanimation, pas de soins intensifs ou de traitement invasif. Une réflexion sera faite quant à une nouvelle hospitalisation en cas de besoin. Mr. Y, 84 ans, est admis aux soins intensifs pour une hémorragie digestive haute, ainsi qu'un sepsis sur pneumonie basale gauche et sur diverticulite sigmoïdienne. Le patient est amené en ambulance depuis son EMS en raison de deux épisodes d'hématémèse dans le contexte d'une anticoagulation par Sintrom avec INR supra-thérapeutique et une antiagrégation. À son arrivée aux urgences, une déglobulisation est mise en évidence avec une hémoglobine à 58 g/l. Le patient bénéficie de la transfusion de 4 culots érythrocytaires et d'un traitement d'IPP en IV continu. L'oesogastroduodénoscopie du 13.05.2019 montre 2 ulcères bulbaires sans signe de saignement actif et une oesophagite sévère. Les IPP sont poursuivis oralement selon un schéma dégressif. L'anticoagulation par Sintrom et l'antiagrégation par Aspirine sont mises en suspens et sont à réintroduire progressivement dès le 16.05.2019 en l'absence d'extériorisation.Une image de pneumonie basale droite et de diverticulite, accompagnée d'un syndrome inflammatoire important, motivent l'instauration d'une antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobactam dès le 12.05.2019 avec une bonne évolution clinique. Une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale est traitée par hydratation avec une amélioration modérée de la fonction rénale. Un épanchement pleural droit chronique est drainé du 13.05.2019 au 14.05.2019 avec retrait de 800 mL d'un liquide compatible avec un transsudat. La cytologie et la microbiologie sont en cours. Un probable sérome inguinal gauche, apparu dans les suites d'une thrombo-embolec tome fémorale bilatérale en avril 2019 au CHUV, est mis en évidence. Un US-Doppler est demandé afin d'exclure un pseudo-anévrisme et sera effectué prochainement. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient est transféré le 14.05.2019 en division de médecine. Mr. Y, 88 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance post-opératoire après réduction ouverte et ostéosynthèse du tiers distal de la diaphyse fémorale droite. Il est connu pour un cancer de la prostate avec métastases osseuses et amené par les ambulanciers depuis l'EMS pour une chute mécanique accidentelle de sa hauteur avec choc direct sur sa hanche droite. Le bilan retrouve une fracture pathologique du fémur droit sur os métastatique. Il bénéficie d'une réduction ouverte avec ostéosynthèse du tiers distal de la diaphyse fémorale droite par plaque le 07.05.2019. Le patient est transfusé de deux culots érythrocytaires. Il est admis aux soins intensifs en raison d'un état confusionnel post-opératoire. La surveillance aux soins intensifs est sans particularité sur le plan neurologique. Le patient reste calme durant la nuit, les douleurs étant bien contrôlées sous opioïdes sans nécessité de majorer ses doses habituelles. Le patient peut être mobilisé au fauteuil dès le lendemain de l'intervention. L'hémoglobine de contrôle reste stable à 80 g/L le 08.05.2019. Une antibioprophylaxie par zinacef est effectuée pour 24 heures. Le patient est transféré en chirurgie le 08.05.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est amené aux urgences en ambulance le 18.04.2019 en raison d'une chute dans la rue dans le contexte d'une alcoolisation aiguë. Selon les témoins, le patient marchait dans la rue quand il a présenté une hypersudation. Il est devenu pâle et s'est affaissé. Pas de notion de traumatisme crânien ni de perte de connaissance. Pas de perte d'urine. À l'anamnèse, Mr. Y n'a pas de plainte spontanée hormis des épigastralgies connues pour lesquelles une gastroscopie est agendée pour le 3 mai 2019. À noter plusieurs hospitalisations ces derniers mois en raison d'éthylisations aiguës. Le patient est conscient de son problème et un rendez-vous est agendé chez le Dr. X pour le 24.04.2019. Il ne désire pas aller au RFSM CSH Marsens avant les fêtes de Pâques. À l'admission aux urgences, Mr. Y est calme. Au status neurologique, Glasgow à 15/15. Foetor alcoolique. Le reste du status est non contributif. Le laboratoire met en évidence une hyperkaliémie à 5,1 mmol/L ainsi qu'une alcoolémie à 3,21. Nous contactons le Dr. X, psychiatre de liaison. À son avis, il n'y a pas d'indication à une hospitalisation en urgence au RFSM CSH Marsens au vu que le patient a déjà un projet clair (rendez-vous agendé chez le Dr. X). De plus, le risque d'une rechute sur le weekend n'est pas un critère pour un PAFA. Mr. Y est hospitalisé en lit d'observation aux urgences pour surveillance de 24 heures et hydratation. Au niveau social, le patient vit seul à domicile et sa sœur n'est pas d'accord de le prendre à son domicile. Dans ce contexte et au vu du risque élevé de rechute alcoolique, Mr. Y est transféré à l'étage de médecine le 19.04.2019. Au vu de l'amélioration clinique et de son souhait, Mr. Y quitte notre service le 20.04.2019. Nous lui expliquons les risques liés à la consommation d'alcool et lui recommandons de discuter avec le Dr. X d'un séjour au RFSM CSH Marsens pour sevrage alcoolique. Mr. Y est hospitalisé en mode électif pour une pose de pacemaker DDD dans le contexte d'une fibrillo-flutter à réponse ventriculaire lente avec des passages en rythme sinusal. Le patient présente une dyspnée d'effort progressive depuis plusieurs mois. La nycturie est stable avec 3x/nuit. L'auscultation cardio-pulmonaire est sans particularité. La pose du pacemaker et les suites opératoires n'ont présenté aucune complication. Une radiologie du thorax ne met pas en évidence de pneumothorax. Un contrôle du pacemaker met en évidence son bon fonctionnement. La cicatrice post-opératoire est calme, sans signe de saignement. Mr. Y peut donc rentrer à domicile le 07.05.2019. Mr. Y, résidant à la Maison Bourgeoisiale depuis le 04.04.2019, connu pour des troubles cognitifs et de la marche d'origine mixte (vasculaire, toxique et dégénérative) avec traumatisme crânien associé à une hémorragie dans la corne occipitale du ventricule latéral gauche et suspicion d'hémorragie dans la corne occipitale du ventricule latéral droit, stable au CT de contrôle le 11.04.2019 avec hospitalisation à l'HFR Fribourg du 10 au 17.04.2019, est amené aux urgences en ambulance le 18.04.2019 en raison de vertiges nouveaux. Pas de plainte à l'anamnèse systématique chez un patient connu pour une démence et qui ne connaît pas les raisons de la consultation de ce jour. Au status neurologique à l'admission, Mr. Y est partiellement orienté. Les pupilles sont sans particularités, la vision centrale-périphérique n'est pas testable, la sensibilité du visage est conservée et symétrique. Présence d'une parésie partielle droite faciale d'allure périphérique. Pas de déviation de la luette. Les autres nerfs crâniens sont sans particularités. Force et sensibilité conservées aux 4 membres avec réflexes ostéo-tendineux non déclenchés sur contracture musculaire. Présence du Babinski en retrait, au niveau des 2 membres inférieurs, à gauche plus qu'à droite. Notons également une dysmétrie à l'épreuve talon-genou à gauche, sans particularité à droite. Les marionnettes sont sans particularité. À noter toutefois un trouble de motilité fine. Au status pulmonaire, présence de râles fins crépitants bilatéraux, à gauche plus qu'à droite. Le reste du status est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 97 mg/L et leucocytose à 12,3 G/L. La créatinine est à 160 umol/L. La radiographie du thorax montre un bronchogramme aérique du lobe inférieur droit. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Sur le plan neurologique, devant des vertiges anamnestiques nouveaux dans un contexte de traumatisme crânien avec hémorragie cérébrale récente et un status neurologique pathologique chez un patient connu pour une démence, une imagerie native est réalisée, ne retrouvant pas d'hémorragie en cours. Sur le plan infectieux, une pneumonie basale droite est retenue avec image de bronchogramme aérique et syndrome inflammatoire nouveau au bilan biologique. La recherche d'antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque revient négative. Suspectant une pneumonie sur broncho-aspiration chez un patient récemment hospitalisé avec démence cognitive, une antibiothérapie IV par Co-Amoxicilline IV est initiée le 18.04.2019, avec relais per os du 22 au 24.04.2019. Le patient bénéficie également de physiothérapie respiratoire et d'un épaississement du régime alimentaire. Nous conseillons la réalisation d'un test de déglutition.Au niveau néphrologique, en raison d'une insuffisance rénale chronique en péjoration, nous mettons en suspens la Metformine avec des valeurs glycémiques qui restent dans la norme. Nous recommandons un contrôle biologique la semaine suivant la sortie avec une évaluation du profil glycémique afin de discuter de la réintroduction de la Metformine. Mr. Y peut regagner la Maison Bourgeoisiale le 23.04.2019. Mr. Y se présente aujourd'hui pour une infiltration Dig III à ressaut à G. Il est informé du déroulement. Sous condition stérile, l'infiltration sous-cutanée en regard du 3ème rayon avec Ropivacaïne®, bonne sensation à la perforation de la poulie et infiltration de la gaine des fléchisseurs avec Ropivacaïne® Depo-Medrol. Pansement stérile. Absence de douleur à la mobilisation. Mr. Y est un patient de 29 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente le 15.05.2019 aux urgences amené par l'ambulance en raison d'un saignement à la cuisse droite après que le patient s'est planté un couteau de cuisine dans la cuisse de manière accidentelle alors qu'il essayait d'ouvrir une noix de coco. Au vu du saignement pulsatile retrouvé lors de la consultation aux urgences, nous posons l'indication à l'exploration au bloc opératoire en urgence. L'opération reste sans particularité et l'artériole responsable est liée. Les suites hospitalières sont simples avec un patient pas algique, bien mobilisé qui reste à chaque moment hémodynamiquement stable avec des contrôles de l'hémoglobine qui sont sans particularités. Mr. Y regagne son domicile le 17.05.2019. Mr. Y nous est transféré le 29.03.2019 du service de neurochirurgie du CHUV pour suite de prise en charge oncologique et neurologique. Pour rappel, ce patient en bonne santé habituelle est victime d'un AVC ischémique sur occlusion de l'artère cérébrale moyenne le 19.02.2019, pris en charge au CHUV avec thrombolyse intraveineuse et thrombectomie. Le 23.02.2019, une craniectomie décompressive a eu lieu en urgence suite à une transformation hémorragique. La cranioplastie pour repose du volet a eu lieu avant son transfert dans notre service le 29.03.2019 pour suite de prise en charge. Le bilan d'AVC ne révèle pas d'étiologie cardioembolique (Holter, Duplex des vaisseaux précérébraux, ETT) mais un carcinome épidermoïde du poumon droit avec métastases ganglionnaires loco-régionales et possiblement métastases à distance (surrénale gauche) stade T3 N2 M1 est diagnostiqué le 25.03.2019. Le cas est présenté au Tumorboard thoracique le 03.04.2019. Une radio-chimiothérapie palliative après amélioration de l'état général, c'est-à-dire, à distance de la neuroréhabilitation intensive, est proposée et sera réévaluée au terme de sa neuro-réhabilitation. Après discussion avec sa femme et pour des raisons culturelles, il est décidé de ne pas parler de la maladie oncologique au patient pour l'instant, afin de préserver sa motivation et lui permettre de se concentrer sur sa neuroréhabilitation. L'évolution neurologique se montre lentement favorable. Il est partiellement incontinent pour les urines et les selles. Il présente une aphasie et émet quelques bruits inaudibles. La communication en vietnamien avec son épouse semble plus facile. Cognitivement, durant la journée, le patient ne montre pas de confusion. Cependant, pendant la nuit, il a parfois des épisodes d'agitation psychomotrice nécessitant une contention abdominale (vu le risque de chute élevé) et du membre gauche (afin d'éviter l'ablation de la SNG). Au niveau moteur, son membre supérieur droit reste parétique. La marche avec aide est possible malgré la diminution de la motricité du membre inférieur droit. Le patient est relativement somnolent avec une fatigabilité importante. Il présente des phases on-off avec une motivation fluctuante. Des troubles de la déglutition sont également objectivés nécessitant l'adaptation du régime (mixé lisse) avec malgré tout, une dénutrition qui s'installe. Il bénéficie d'une SNG mais que Mr. Y ne tolère pas et arrache à répétition. Son épouse nous fait part de son dégoût pour la nourriture de l'hôpital et se propose d'amener des repas adaptés pour son mari, permettant une amélioration des quantités ingérées. Le séjour est marqué par un syndrome dépressif nécessitant l'initiation d'un traitement antidépresseur, également initié dans le but de favoriser une neuroplasticité. Quelques congés à domicile ont été accordés mais se sont avérés trop confrontants pour Mr. Y et la famille, notamment au niveau des difficultés dues à une impotence fonctionnelle. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, âgé de 69 ans, connu pour les diagnostics susmentionnés, nous est réadressé par l'HFR Fribourg dans les suites de la dernière cure de chimiothérapie dans le cadre d'un lymphome à grandes cellules B primitif du médiastin, pour réadaptation à la marche et reconditionnement global. Nous ne revenons pas sur les détails de l'histoire de la maladie ainsi que sur la prise en charge du patient que vous connaissez déjà. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et n'a pas de plaintes hormis une fatigue et une faiblesse générale. Le statut neurologique est sans particularité par rapport au comparatif avec persistance d'un déconditionnement physique sévère. Durant son séjour, il n'a pas présenté de problématique aiguë et Mr. Y a pu passer les weekends à son domicile. Sur le plan nutritionnel, Mr. Y a été suivi durant son séjour à Billens en raison d'un risque d'apport oral insuffisant dans un contexte de possibles effets secondaires de chimiothérapie. Des repas enrichis et des collations ont permis de stabiliser son poids, qui reste néanmoins fluctuant d'un jour à l'autre. Les SNO, introduits lors de précédentes hospitalisations, n'ont pas été poursuivis. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises sur tout le périmètre de l'hôpital avec plusieurs pauses en raison de la fatigue. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Après 5 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 08.05.2019, en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y, en bonne santé habituelle, est amené aux urgences en ambulance le 23.04.2019 en raison d'importantes lombalgies aiguës, immobilisantes, maximales à la mobilisation et aux changements de position, atténuées au repos. Le patient explique que les douleurs ont débuté il y a 24 heures suite à une chute à ski sans choc direct sur le rachis mais avec notion de faux mouvement. Il a ressenti une douleur aiguë en barre en région lombaire bilatérale, une sensation de blocage le soir après le traumatisme. Ce matin au réveil, il ressent une forte douleur en barre avec blocage. Les douleurs sont évaluées à 10/10 à domicile et à 5/10 à l'arrivée aux urgences après administration de Fentanyl, paracétamol, Voltarène et Kétamine par les ambulanciers. Pas d'irradiation, pas de trouble sensitif ni moteur, pas de fièvre, pas d'incontinence de selle ou d'urine. Il s'agit du 1er épisode. Mr. Y signale avoir fait deux chutes à domicile en raison des douleurs, sans perte de connaissance ni traumatisme crânien.A l'admission aux urgences, le patient est hémodynamiquement stable et afébrile. Il est très algique. Au status ostéoarticulaire, la palpation/percussion des processus épineux de l'ensemble de la colonne vertébrale est indolore. La palpation de la musculature paravertébrale est sensible à hauteur de L5. L'articulation ilio-sacrale est indolore à la palpation. La mobilisation de la colonne est impossible en raison des douleurs. La sensibilité est conservée et symétrique dans les deux membres inférieurs, les réflexes ostéo-tendineux sont normovifs et symétriques rotuliens et achilléens, les réflexes cutanés plantaires en flexion des deux côtés. La force est à M5 des deux côtés. Le Lasègue est positif à 20° des deux côtés. Le toucher rectal ne montre pas d'anesthésie en selle et des sphincters compétents. Mr. Y est hospitalisé pour antalgie per os et physiothérapie. Une radiographie de la colonne lombaire permet d'exclure une fracture. Sous antalgie et physiothérapie, l'évolution est favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 26.04.2019 avec poursuite de l'antalgie et de la physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y est un patient de 16 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleur en fosse iliaque droite. Le bilan met en évidence une appendicite aiguë, raison pour laquelle il bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 25.05.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 27.05.2019. Mr. Y est un patient de 73 ans, qui présente une récidive de sa tumeur cérébrale mise en évidence à l'IRM du 06.05.2019. L'intervention susmentionnée se déroule sans complication immédiate et le patient est initialement hospitalisé aux soins intensifs. Le status neurologique post-opératoire montre une hémianopsie homonyme latérale gauche. Sur avis neurochirurgical, un traitement de Dexaméthasone est introduit avec schéma dégressif. L'insuffisance rénale chronique reste stable durant le séjour aux soins intensifs. Au vu de l'injection de produit de contraste lors du CT cérébral, la fonction rénale est à contrôler prochainement. L'évolution favorable permet le transfert en division de chirurgie le 21.05.2019. Un contrôle IRM le 22.05.2019 montre une résection satisfaisante de la tumeur, pour laquelle une nouvelle intervention chirurgicale n'est pas nécessaire. La suite de la prise en charge sera faite par l'équipe d'oncologie. Au cours de l'hospitalisation, le patient présentera des brûlures mictionnelles, ainsi qu'une pollakiurie associée à un sédiment avec traces de leucocytes pour lesquelles nous introduirons un traitement de Ciproxine du 23.05 au 30.05.2019. Une évaluation de la capacité à retourner à domicile est effectuée par les physiothérapeutes le 24.05.2019 qui montre une autonomie dans les déplacements. Au vu de la bonne évolution clinique, nous autorisons Mr. Y à regagner son domicile le 25.05.2019. Pour rappel, le patient présente une hémi-anopsie gauche qui représente une contre-indication absolue à la conduite automobile. Mr. Y, connu pour une opération de la hanche gauche par arthroscopie pour ostéophytose le 06.05.2019 par le Dr. X à Saxon, consulte les urgences le 09.05.2019 en raison de 20 épisodes de vomissements ce jour. Dernières selles la veille au soir, de consistance normale. Le patient se sent ballonné et présente des gaz. Il signale un épisode de frissons mais pas d'état fébrile. Pas de notion de voyage récent ni de rapport sexuel à risque. A l'admission aux urgences, le patient est en bon état général. Il est afébrile et anictérique. Pas de symptomatologie urinaire. Au status digestif, les bruits abdominaux sont augmentés en fréquence, normaux en tonalité. Douleurs diffuses à la palpation. Le Murphy et le Mc Burney sont négatifs, pas de défense ni de détente. Les loges rénales sont souples et indolores, le Giordano est négatif. Le status cardio-pulmonaire est non contributif. Le laboratoire met en évidence une élévation des valeurs hépatiques avec ASAT à 377 U/l, ALAT à 439 U/l, LDH à 749 U/l et bilirubine directe à 5 umol/l. Au vu de l'élévation des tests hépatiques dans le contexte d'une prise de médicaments suite à l'intervention chirurgicale du 06.05.2019, nous suspectons une origine médicamenteuse à l'hépatite présentée par le patient. Pour rappel, pendant le séjour hospitalier, Mr. Y a reçu du Toradol, Novalgine, Paracétamol, Ondansetron, Dormicum, Clexane, Pantoprazol, Irfen, Droper, Zolpidem, Oxynorm, avec des dosages dans les limites de la norme. A la sortie, le traitement comprenait du Dafalgan 1 g x 4/j en réserve, Irfen 400 mg x 3/j en réserve, Oméprazole 20 mg x 1/j, Fragmin 5000 UI 1 x /j et le patient a pris un Primperan 10 mg le 09.05.2019 dans la journée. Tout le traitement médicamenteux est arrêté et Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Il bénéficie d'une hydratation jusqu'au 10.05.2019 et nous effectuons un ultrason abdominal qui revient dans la norme. Les laboratoires de contrôle montrent une amélioration des valeurs hépatiques. Mr. Y peut regagner son domicile le 13.05.2019. Nous recommandons un contrôle biologique à votre consultation la semaine suivant la sortie. Le traitement anticoagulant est poursuivi comme prescrit par le Dr. X, orthopédiste à la Clinique CIC à Saxon. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour un STEMI antérieur sur occlusion de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Le patient s'est présenté aux urgences de Payerne en raison de douleurs rétrosternales non irradiantes depuis le 05.05.2019 avec mise en évidence d'un NSTEMI. L'évolution est marquée par la récidive des douleurs thoraciques avec à l'ECG un aspect d'un STEMI antérieur motivant le transfert à Fribourg. La lésion coupable est traitée par angioplastie et mise en place d'un stent actif. La ventriculographie montre une hypokinésie antéro-septale avec une fraction d'éjection du ventricule gauche estimée à 45%. La surveillance s'avère sans complications. Le pic de CK est à 496 U/L. Un traitement par IEC et bêta-bloquant est débuté avec une bonne tolérance. L'antiagrégation par Aspirine est à poursuivre à vie et le Brilique pour 12 mois. Une échocardiographie est demandée. Une réhabilitation cardiovasculaire est à prévoir. Le patient est transféré en médecine pour suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 42 ans en bonne santé habituelle, est admis aux soins intensifs en raison d'un STEMI antérieur pour surveillance hémodynamique et rythmique. Pour rappel, le patient s'est présenté au service des urgences de l'HIB Payerne en raison de douleurs rétrosternales non irradiantes depuis le 05.05.2019, avec mise en évidence d'un NSTEMI. Un deuxième ECG est effectué en raison d'une récidive des douleurs, résultant en une modification ECG avec présentation d'un STEMI antérieur, motivant son transfert à l'HFR Fribourg. La coronarographie met en évidence une occlusion de l'interventriculaire antérieure moyenne, avec mise en place d'un stent actif. La fraction d'éjection du ventricule gauche s'élève à 45% avec hypokinésie antéro-septale. Un traitement par Aspirine à vie et Brilique pour 12 mois est à poursuivre, avec contrôle des facteurs de risque cardio-vasculaires.Le laboratoire met en valeur une hypercholestérolémie et hypertriglycéridémie, ainsi qu'une légère anémie normochrome normocytaire. L'HbA1c revient dans la norme. L'évolution étant favorable, Mr. Y retourne à domicile avant la réhabilitation cardiovasculaire à l'HFR Billens. Mr. Y, 74 ans, connu pour un adénocarcinome prostatique métastatique au niveau osseux (colonne cervicale et dorsale), nous est transféré depuis l'HFR Riaz pour prise en charge radiothérapeutique en urgence d'une compression médullaire métastatique au niveau D4-D6 avec paraplégie des membres inférieurs. A l'admission, on retrouve une paraplégie des membres inférieurs avec une force à M0 au membre inférieur droit et M0-M1 au membre inférieur gauche, avec une hypoesthésie en territoire D11-D12 et L1-L2. Une prise en charge neurochirurgicale n'est pas possible en raison des délais et de la situation oncologique avancée. De la radiothérapie ciblée est débutée le 26.04.2019 pour 12 séances au total, soit jusqu'au 13.05.2019. Nous poursuivons la corticothérapie pendant 2 semaines avec un schéma dégressif. L'évolution est peu favorable avec persistance des déficits et apparition d'une incontinence des selles sur absence de contraction volontaire du sphincter anal. Un diabète cortico-induit est traité par insuline Insulatard. Un déficit en acide folique est substitué. Le patient bénéficie d'une prise en charge palliative complexe multidisciplinaire. Le 14.05.2019, Mr. Y quitte notre service pour suite de prise en charge de neuro-réadaptation à l'HFR Meyriez avec un projet de retour à domicile dans la mesure du possible en fonction de l'évolution. Des pré-inscriptions en home ont été effectuées. Mr. Y est admis aux soins intensifs en Stroke Unit monitorée pour suspicion d'un AVC ischémique mineur. Le patient de 47 ans, connu pour une hypertension artérielle non traitée, est hospitalisé en raison d'un déficit neurologique focal. L'anamnèse révèle la présence d'une ataxie de l'hémicorps droit au réveil du 10.05.2019 avec paresthésies de l'hémiface gauche. L'évaluation clinique aux urgences retrouve un score de NIHSS à 2 points. Un CT-scan Time is Brain ne montre pas d'argument pour un AVC ischémique ou hémorragique avec une perméabilité préservée des vaisseaux pré-cérébraux et intracrâniens. Une double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine et Clopidogrel est débutée. Concernant le bilan étiologique, au niveau biologique, la mesure de l'hémoglobine glyquée est à 5.5% et le bilan lipidique est sans particularité. Le bilan cardiologique avec ETT et ECG-Holter est en cours et sera à pister. Une IRM cérébrale est aussi prévue. Au niveau clinique, la surveillance neurologique aux soins intensifs est rapidement favorable avec un score de NIHSS passant de 2 points lors de l'entrée à 0 points à sortie de la Stroke Unit monitorée. Le patient est transféré le 11.05.2019 en unité non-monitorée pour suite de prise en charge. Mr. Y, 47 ans, connu pour une hypertension artérielle non traitée, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique du centre semi-ovale et de la partie postérieure de noyau lenticulaire gauche. Pour rappel, le patient présente une ataxie de l'hémicorps droit avec paresthésie de l'hémiface gauche le 10.05.2019 au réveil. Le CT cérébral ne montre pas d'argument pour un AVC ischémique ou hémorragique avec une perméabilité préservée des vaisseaux pré-cérébraux et intracrâniens. Présence d'une minime athéromatose du bulbe carotidien gauche. Une double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine et Clopidogrel est donc débutée, ce dernier sera à continuer pendant un mois, avec ensuite poursuite du Plavix 75 mg/j. L'IRM cérébrale de contrôle confirme une lésion ischémique ponctiforme aiguë du centre semi-ovale jusqu'à la partie postérieure de noyau lenticulaire, coté gauche. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une fonction cardiaque conservée avec une oreillette gauche non dilatée, sans thrombus ni FOP. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, le résultat est toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. L'étiologie reste donc indéterminée, cependant une origine microangiopathique vu la présentation clinique, la morphologie et la localisation de la lésion ischémique à l'IRM cérébrale nous paraît la plus probable. Un traitement antihypertenseur par Lisinopril est introduit avec une amélioration du profil tensionnel. Un suivi chez le médecin généraliste sera organisé par le patient par la suite. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). A noter une légère hypocalcémie pendant l'hospitalisation. Le bilan montre un déficit en vitamine D et une hypomagnésémie. Nous débutons donc une substitution orale qui sera à poursuivre pendant un mois. Pour la suite, un contrôle biologique sera à effectuer chez le médecin traitant. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. L'évolution clinique est favorable, avec un statut neurologique de sortie normal. Mr. Y peut regagner son domicile le 14.05.2019. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y, 64 ans, connu pour une BPCO stade 3A sur tabagisme récemment stoppé, présente depuis environ une année une perte de poids progressive de 10-15 kg et depuis 2 mois des douleurs épigastriques, une inappétence et une difficulté croissante à s'alimenter. Depuis 3 jours, il présente des crises de hoquets intermittentes et une augmentation des douleurs épigastriques accompagnées de vomissements. Il bénéficie en ambulatoire d'un CT abdominal qui montre une sténose du pylore avec distension gastrique importante. L'OGD réalisée pendant l'hospitalisation montre un oedème de la paroi gastrique, principalement au niveau antral, l'examen étant toutefois limité par le contenu gastrique (liquide et solide, de couleur noirâtre). Quelques biopsies sont réalisées qui ne montrent pas de cellules néoplasiques et qui sont compatibles avec une gastrite chronique. Un Helicobacter Pylori est retrouvé. Le diagnostic différentiel reste ouvert entre une gastrite chronique, une maladie de Ménétrier et un processus oncologique. Une sonde Trelumina gastrique de décharge avec extension jéjunale est mise en place, permettant un amendement des symptômes digestifs et l'initiation d'une alimentation entérale. Nous initions également un traitement d'IPP à haute dose, associé à une double antibiothérapie par Amoxicilline et Azithromycine pour éradiquer l'Helicobacter Pylori. L'évolution est progressivement favorable, avec nette diminution du résidu gastrique par la sonde de décharge, permettant une reprise progressive de la boisson per os. Sous supervision de l'équipe de diététique, la nutrition entérale est progressivement majorée selon tolérance, permettant une couverture complète des besoins protéino-énergétiques. Une nouvelle OGD associée à une endosonographie avec réalisation de nouvelles biopsies est agendée au 10.05.2019 (sous réserves d'une possible annulation de dernière minute selon les possibilités de l'équipe d'endoscopie, auquel cas l'examen serait repoussé au 17.05.2019). Dans l'intervalle, le patient est autorisé à rentrer à domicile, avec un suivi à domicile par une infirmière indépendante et par Fresenius pour la gestion de l'alimentation entérale. Il restera à jeun (sauf pour les boissons) au moins jusqu'à l'OGD. Un rendez-vous avec l'équipe de nutrition est agendé 1 semaine après la sortie pour discuter de la reprise de l'alimentation per os.Le patient quitte notre service le 07.05.2019 pour un retour à domicile. Mr. Y, âgé de 69 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une polyarthrite septique avec abcès musculaires multiples à Streptococcus Dysgalactiae prise en charge chirurgicalement, le 18.04.2019. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est retraité mais travaille encore à 20-30 % comme technicien en Télécom. A l'admission, le patient se plaint d'une douleur à la fesse droite présente déjà depuis 2 mois et irradiant vers la cuisse. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. A l'anamnèse par systèmes, le patient signale une perte de force globale mais surtout au niveau du membre supérieur gauche. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. Au niveau des membres supérieurs, il présente une limitation articulaire à la flexion active de l'épaule droite, qui s'améliore notablement à la mobilisation passive, un enraidissement du poignet gauche avec une mobilisation limitée ainsi qu'une perte de force prédominant sur le côté gauche (M3). Au niveau des membres inférieurs, il décrit une hypoesthésie sur la face latérale de la cuisse gauche et présente une force à M4 à droite - M3 à gauche au niveau du psoas/quadriceps et M5 pour les muscles distaux. Une douleur est présente à la palpation de la région fessière droite, probablement en rapport avec une atteinte du muscle pyramidal. Les muscles du tronc, quant à eux, ne semblent pas touchés. Sur le plan nutritionnel, le patient a été pris en charge pour une dénutrition sévère (NRS 5/7, perte de 10 kg-12 % en 1.5 mois). Au début de la prise en charge, Mr. Y signale un appétit revenu presque à la normale et couvre ses besoins théoriques à 85 % (pour reprise pondérale). Afin de compenser l'augmentation de l'activité physique et optimiser l'apport en protéines durant l'hospitalisation, nous avons proposé des suppléments nutritifs oraux, que le patient n'a malheureusement pas appréciés. Il n'a pas souhaité de conseils pour une alimentation suffisante en protéines. Nous l'avons donc juste encouragé à avoir une source de protéines à chaque repas et valorisé la reprise de l'activité physique pour reconstruire la masse musculaire. Sur le plan de l'ergothérapie, la motricité et la force du poignet gauche restent toujours assez limitées, malgré un gain de + 4 kg au Jamar. C'est pourquoi un suivi en ambulatoire a été organisé. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. Il peut monter/descendre les escaliers sans aide (40 marches). Il peut contrôler la descente des escaliers sans aucun risque et la force excentrique du quadriceps gauche a bien augmenté. La descente d'une marche avec l'appui unipodal sur le pied gauche est faisable sans lâchage. Sur le plan tensionnel, le Coveram Plus mis en suspens depuis la dernière hospitalisation, n'a pas dû être repris. Nous observons un bon profil tensionnel pendant le séjour sous Amlodipine seul. Nous vous laissons le soin de réévaluer à distance la situation. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 28.05.2019, en bon état général. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie et ergothérapie en ambulatoire, ainsi que des soins de plaie à domicile. Mr. Y est un patient de 76 ans, connu pour une hyperplasie bénigne de la prostate avec status post-plusieurs TURP ainsi qu'un status post-cystectomie partielle en décembre 2018 pour un polype bénin. Il se présente aux urgences dans le contexte d'une rétention urinaire aiguë associée à une discrète hématurie macroscopique. Il a présenté plusieurs épisodes similaires spontanément résolutifs au cours des dernières semaines. Une sonde vésicale 3-voies est mise en place aux urgences et Mr. Y montre une bonne évolution clinique avec une résolution rapide de l'hématurie macroscopique et une amélioration des valeurs de la créatinine au laboratoire. Le patient est mis sous traitement de Tamsulosine et nous le laissons rentrer à domicile dans un bon état général avec la sonde vésicale en place le 27.05.2019. Il se présentera en contrôle chez le Dr. X, selon le patient, prévu le 06.06.2019. Mr. Y nous est adressé par nos confrères de l'Inselspital Berne pour la suite de prise en charge d'une polymyosite. Sur le plan infectiologique, Mr. Y a présenté de multiples abcès, avec pyomyosite et abcès épidural en C2-C5 probablement sur VVP, dont l'évolution a été défavorable sous antibiothérapie seule. Quatre interventions chirurgicales ont été nécessaires à l'Inselspital Berne, avec incision, drainage et lavage des abcès localisés à la main gauche, au pouce droit, au pelvis, à la hanche gauche, ainsi qu'au genou gauche. Plusieurs échantillons intra-opératoires ont mis en évidence la présence d'un Streptococcus du groupe G. L'antibiothérapie a donc été adaptée, avec administration d'Amoxicilline per os, pour une durée de traitement de six semaines au total. Les plaies opératoires sont calmes et non inflammatoires. Durant l'hospitalisation, le patient a présenté des douleurs subaiguës à l'articulation MTP I du pied gauche avec une légère tuméfaction, une rougeur et chaleur. Une ponction articulaire est effectuée par le rhumatologue et envoyée pour analyses. Les cultures du liquide de ponction articulaire sont restées négatives, permettant d'exclure une arthrite septique. L'échographie de la MTP I du pied gauche met en évidence une synovite avec peu de liquide intra-articulaire et un signe de tophus intra-articulaire, faisant suspecter une crise de goutte, malgré l'absence de cristaux dans le liquide de ponction. Une crise de chondrocalcinose fait partie du diagnostic différentiel. Le traitement par AINS ne s'avère pas nécessaire et la résolution est spontanée. Sur le plan cardiologique, le patient a présenté une fibrillation auriculaire lors de son hospitalisation à l'Inselspital Bern. Une anticoagulation par Clexane thérapeutique a dès lors été initiée. Après résolution de l'épisode infectieux, le traitement par Eliquis a pu être repris. Un ECG à distance de l'épisode infectieux met en évidence un rythme sinusal normocarde. Biologiquement, une élévation des enzymes hépatiques est révélée lors de l'hospitalisation à l'Inselspital Bern. Un CT abdominal démontre aucune anomalie. Les enzymes hépatiques se sont normalisées après traitement de l'infection. L'évolution clinique étant favorable, Mr. Y est transféré à l'HFR Billens pour une réhabilitation neuro-musculaire. Mr. Y est hospitalisé pour des douleurs thoraciques et de la dyspnée. Pour rappel, le patient était hospitalisé du 30.03 au 12.04.2019 pour une pancréatite traitée par Tienam. Depuis cette hospitalisation, il présente des diarrhées aqueuses. Le 25.04.2019 au matin, le patient présente des douleurs rétrosternales, des palpitations et de la dyspnée. A son arrivée, le patient est tachycarde à 200 bpm, tachypnéique et hypotendu. Un ECG montre une tachycardie supraventriculaire. Nous retenons une tachycardie supraventriculaire instable sur déshydratation. Le diagnostic reste ouvert entre un AVNRT et un AVRT. L'administration de 6 mg d'Adénosine intraveineux permet le ralentissement du rythme.Mr. Y montre une bonne évolution clinique. Nous majorons les bêta-bloqueurs en place avec un bon contrôle de la fréquence cardiaque. Une échocardiographie montre une FEVG diminuée à 45% avec une hypokinésie plus marquée des segments moyens inférieurs et inféro-latéraux. Le bilan est alors complété par une coronarographie qui révèle des coronaires saines. Un rendez-vous est organisé en cardiologie pour revoir l'indication à une ablation dans le contexte de l'AVNRT/AVRT. En accord avec les spécialistes, nous stoppons le bêta-bloqueur et l'Aspegic. Au niveau gastroentérologique, le patient montre des diarrhées depuis une semaine suite à la prise d'antibiotiques. Au status, l'abdomen est souple mais diffusément sensible. Une recherche PCR dans les selles est négative pour le Clostridium mais positive pour la Salmonelle. Nous introduisons un traitement par Ciprofloxacine durant 5 jours avec une bonne évolution clinique. Au niveau rénal, le patient présente une insuffisance rénale aiguë de type pré-rénal sur déshydratation. Nous observons une correction de la fonction rénale suite à l'hydratation. Au niveau hématologique, nous observons des troubles de la crase sur probable dénutrition qui se corrigent après l'administration de Konakion. Le 02.05.2019, Mr. Y peut regagner son domicile avec un état général amélioré. Mr. Y est un patient de 82 ans qui est hospitalisé pour la prise en charge d'un iléus mécanique traité conservativement chez ce patient présentant un status intra-abdominal complexe. La reprise du transit a rapidement lieu et permet l'ablation de la sonde nasogastrique le 30.04.2019. Le patient rentre à domicile le 01.05.2019 avec la poursuite de son traitement régulateur de transit. Mr. Y est adressé à l'HFR Billens pour une réadaptation cardiovasculaire suite à une cardiopathie ischémique tritronculaire et valvulaire. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine Cardio 100 mg, Sintrom 1 mg selon INR, Atorvastatine 40 mg, Beloc Zok 25 mg, Coversum 2.5 mg, Torasémide 10 mg et Pradif 0.4 mg. L'ETT de contrôle du 16.04.2019 montre un aspect de cardiomyopathie hypertrophique dilatée avec signe de compaction : altération sévère de la FEVG (environ 35%), OG modérément dilatée. Annuloplastie mitrale en place avec gradient de pression 4/9 mmHg, sans fuite para-annulaire ou transvalvulaire. L'Holter-ECG est normal, avec un rythme de base légèrement tachycarde (status post opératoire) mais ne montre ni arythmie, ni pause. Suite à une légère prise de poids durant le séjour, nous décidons d'instaurer un traitement par Aldactone 12.5 mg 1x/jour avec une bonne réponse clinique. Tout au long de la réadaptation, le patient est resté asymptomatique sur le plan cardiovasculaire. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 30 minutes à une puissance de 37 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. À la fin de la prise en charge, il est capable de marcher aisément pendant une durée de 1 heure à une allure de 2 km/h, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 2 km/h sur une pente de 2% pendant 30 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+25 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Il a été suivi individuellement par notre diététicienne ainsi que notre ergothérapeute. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 7.8 mmol/L, un HDL à 0.67 mmol/L, un LDL à 6.37 mmol/L et des triglycérides à 2.4 mmol/L. • Mr. Y a cessé de fumer depuis le début de son hospitalisation, sans substitution nicotinique, ne ressentant pas l'envie de reprendre. Il a été vu par notre tabacologue, Dr. X, qui a discuté avec lui des situations à risque et des stratégies de prévention de rechute. Il sera revu en ambulatoire le 23.05.2019. • La pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : - Hb 119 g/l - fonction rénale normale avec une créatinine à 100 µmol/l - électrolytes dans la norme - INR à 2.3 (cible 2-3) L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un status de normo-compensation. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. Mr. Y, 86 ans, est hospitalisé en médecine en raison d'un iléus mécanique compliqué d'une pneumonie de broncho-inhalation. Résidant au Home les Chênes, il est transféré au service des urgences en raison d'une baisse de l'état général avec vomissements itératifs à la prise alimentaire. Le bilan radiologique met en évidence un iléus mécanique sur hernie inguinale non incarcérée. Un traitement conservateur est décidé, en accord avec la famille. Une sonde naso-gastrique est mise en place, le traitement habituel per os est mis en suspens et le patient reste à jeun jusqu'au 01.05.2019. L'évolution digestive est favorable, permettant l'ablation de la sonde naso-gastrique le 01.05.2019. Une pneumonie de broncho-inhalation mise en évidence au CT complique le tableau clinique. Une antibiothérapie est alors introduite avec une oxygénothérapie. L'évolution est rapidement favorable avec les séances de physiothérapie respiratoire. Lors de la reprise alimentaire le 01.05.2019, le patient présente un nouvel épisode de broncho-aspiration provoquant une nouvelle péjoration de la symptomatologie pulmonaire et nécessitant le prolongement de l'antibiothérapie jusqu'au 08.05.2019. Dans ce contexte, Mr. Y présente une péjoration de son état confusionnel, motivant la mise en place d'une contention physique du 02.05 au 07.05.2019 après accord obtenu auprès de ses enfants, la réintroduction de son traitement neuroleptique habituel et adjonction de Distraneurin du 03.05 au 06.05.2019. L'évolution clinique est lentement favorable, permettant l'arrêt de la contention le 06.05.2019, et la reprise alimentaire progressive avec des aliments mixés et des boissons épaissies. Un test de déglutition est fait avec le physiothérapeute le jour avant sa sortie. Il propose un régime mixé lisse sous surveillance d'un soignant avec une ergonomie et un positionnement lors du repas favorable pour le patient. Le patient refuse l'examen ORL pour évaluer sa dysphagie. Mr. Y, présentant une persistance de ses troubles de la déglutition, nous demandons une IRM qui est effectuée le 09.05.2019 montrant une atrophie globale, touchant notamment les hippocampes des deux côtés, parlant ainsi en faveur d'une possible maladie neurodégénérative de type Alzheimer. Le bilan est complété par une évaluation neuropsychologique qui montre des troubles neurocognitifs d'origine neurodégénérative, avec quelques éléments en faveur d'une démence à corps de Lewy, sans syndrome parkinsonien objectivé, sous réserve d'un examen difficile à réaliser. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y est transféré au Home des Chênes le 15.05.2019. Mr. Y est hospitalisé électivement le 23.05.2019 pour révision de la sonde auriculaire de son pacemaker en raison d'un défaut retrouvé au mois d'avril lors du contrôle chez Dr. X. Le suivi post-interventionnel est sans complication et le patient rentre à domicile le 24.05.2019.Mr. Y, 89 ans, connu pour une insuffisance rénale chronique et pour un ACC en mars 2019 sur occlusion de l'IVA, consulte aux urgences le 14.05.19 en raison d'une sensation vertigineuse associée à une tension artérielle mesurée à domicile de 220/100 mmHg. Au vu d'une modification électrocardiographique objectivée aux urgences, le patient est transféré aux soins intensifs dans la suspicion d'un NSTEMI. Le dosage des troponines résulte sans cinétiques et les modifications de l'ECG régressent, ne permettant pas de retenir un NSTEMI comme diagnostic et attribuant les sous-décalages du segment ST à l'ECG au pic hypertensif. La pression artérielle régresse suite à l'administration de nifédipine et de patch nitré. Mr. Y est transféré à l'étage où il se maintient hémodynamiquement stable sans présenter d'ultérieurs pics hypertensifs. Les examens de laboratoire montrent une légère péjoration de la fonction rénale chez un patient déjà connu pour une insuffisance rénale sévère. En accord avec le Dr. X (néphrologue traitant), nous n'introduisons pas de traitement antihypertenseur d'office, l'introduction du traitement sera évaluée mardi 21.05 chez le Dr. X selon la fonction rénale. Mr. Y, 89 ans, est admis aux soins intensifs pour la surveillance hémodynamique pour suspicion d'un NSTEMI. Le patient, connu pour un arrêt cardiorespiratoire en 03/2019 dans le cadre d'une occlusion de l'artère interventriculaire, se présente aux urgences en raison d'une sensation de malaise avec une hypertension artérielle systolique à 200 mmHg. Le bilan initial ne montre pas d'altération de l'ECG et une absence de modification des troponines. Suite à une récidive de sensation de malaise avec hypertension artérielle, l'ECG se modifie avec un sous-décalage inféro-latéral et un sus-décalage AVR non significatif, sans cinétique des enzymes. Un traitement par nitroglycérine et héparine thérapeutique est débuté pour suspicion d'un NSTEMI, puis stoppé au vu de l'amélioration spontanée de l'ECG sans récidive de symptômes. L'avis cardiologique propose une adaptation du traitement antihypertenseur mais pas d'examen invasif. Un suivi avec échocardiographie peut être effectué chez son cardiologue traitant. Mr. Y est transféré en médecine interne pour suivi tensionnel et adaptation du traitement. Mr. Y, 88 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique d'une hémorragie digestive haute survenue 3 jours après l'introduction de rivaroxaban thérapeutique pour une fibrillation auriculaire. La crase est réversée et le patient bénéficie de soutien transfusionnel. Le bilan endoscopique montre deux ulcères duodénaux, un premier étendu mais superficiel au niveau bulbaire et un second creusant à la face antérieure du genu superius, avec un moignon vasculaire visible (Forrest IIa), qui est traité par clip et injection d'adrénaline. Sous inhibiteurs de la pompe à proton, l'évolution est favorable avec une gastroscopie du 15.05.2019 qui ne retrouve pas de saignement actif. En l'absence de prise d'anti-inflammatoire et face à cette maladie de reflux, une sérologie H. pylori est en cours. L'événement digestif est responsable d'un NSTEMI secondaire sur coronaropathie tri-tronculaire pour laquelle le patient était traité conservativement par aspirine. Nous proposons une monothérapie par clopidogrel à partir du 17.05.2019 avec reprise d'une anticoagulation thérapeutique seule (p. ex. par acénocoumarol) une fois la contre-indication digestive levée (gastroscopie de contrôle à prévoir à 4-6 semaines). Une alternative serait une fermeture de l'auricule par voie interventionnelle afin de poursuivre une antiagrégation seule. À noter que le patient est resté en rythme sinusal durant son séjour et un Holter ou une surveillance sur une durée plus longue peut être discutée. Enfin, une coronarographie à distance devra être discutée avec le patient en fonction de l'évolution digestive et de sa limitation de capacité fonctionnelle (ETO objective une baisse de la FEVG par rapport au comparatif de 2013). Le patient est transféré en médecine interne le 15.05.2019. Mr. Y, 88 ans, est admis aux soins intensifs à l'étage de médecine interne le 15.05.2019. Le patient était admis aux soins intensifs pour hémorragie digestive haute sur deux ulcères duodénaux (Forrest IIb et III) et NSTEMI. Il est connu pour une maladie coronarienne tri-tronculaire et un diabète non insulinodépendant. Sur le plan gastroentérologique, Mr. Y bénéficie d'un traitement des ulcères par adrénaline et clip par OGD le 12.05.2019 et le 15.05.2019. Un traitement de pantozol IV pour 72 h avec un relais per os est introduit. La sérologie pour H. pylori est négative. Une OGD de contrôle est rapprochée au 24.05.2019. Cette dernière montre une amélioration significative des ulcérations duodénales et la présence d'une sévère œsophagite par reflux. Selon l'avis du gastroentérologue (Dr. X), une antiaggregante par aspirine est possible dès le 24.05.2019 et une éventuelle double antiagrégation après une coronographie est également possible dans une semaine. Le traitement de Pantozol 40 mg 2x/j est fortement recommandé pour 4 semaines (jusqu'au 25.06.2019) et 40 mg/j par la suite. Sur le plan cardiaque, nous introduisons l'héparine IV pour la maladie coronarienne tri-tronculaire. Suite à l'anémie, le patient est transfusé au total de 8 CE. Introduction d'aspirine selon avis gastroentérologique après OGD de contrôle dès le 24.05.2019. Une coronarographie en ambulatoire est prévue le 04.06.2019. Il sort de l'hôpital le 25.05.2019. Mr. Y, un patient de 24 ans connu pour une thrombopénie immune primaire réfractaire aux traitements, est adressé au service des urgences par le Dr. X (hématologue traitant) en raison de gingivorragies, céphalées frontales en barre évoluant depuis 2 jours avec nausées et 2 épisodes de vomissement avec traces de sang. La gingivorragie, présente depuis plusieurs mois, s'est péjorée sur les deux dernières semaines. Il est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance neurologique d'une hémorragie sous-arachnoïdienne millimétrique spontanée dans le contexte d'une thrombopénie à 1 G/l. Selon un avis neurochirurgical, une surveillance clinique est effectuée avec CT cérébral de contrôle à 6 heures qui montre une stabilité de la lésion. Au cours de l'hospitalisation, Mr. Y n'aura pas présenté de symptomatologie suggestive d'une récidive ou progression du saignement hormis de très légères céphalées diffuses, spontanément résolutives. Une imagerie de contrôle sera effectuée le 06.06.2019 avec un contrôle à votre consultation (rendez-vous pris le 11.06.2019). Concernant la thrombopénie et sur conseil du Dr. X, nous introduisons une thérapie d'immunoglobulines intraveineuses, de corticoïdes et d'infusions plaquettaires permettant de remonter le compte thrombocytaire à 45 G/l le 11.05.2019. Une ponction biopsie de moelle confirme la présence de mégacaryocytes prédisant une réponse favorable à une splénectomie. Cette dernière est acceptée par le patient et effectuée le 13.05.2019 après avoir effectué une embolisation splénique par radiologie interventionnelle. Une dose de vaccination anti-pneumococcique (Prevenar-13) ainsi qu'une antibioprophylaxie par Pénicilline sont prescrites. De plus, une vaccination anti-méningococcique (Menvo, sérogroupes A, C, W, Y) est administrée le 15.05.2019. Une antibiothérapie prophylactique par Ospen 1 mio U/j est également instaurée. Les suites opératoires sont simples, afébriles et marquées par l'élévation des thrombocytes jusqu'à 206 G/l le 16.05.2019 et 214 G/l le 17.05.2019. Le retrait des points de suture est à prévoir à J10 post-op (23-24 mai). À noter que la ponction biopsie de moelle permet d'identifier un déficit en fer, supplémenté le 11.05.2019 par 1000 mg de Ferinject.Au vu de la bonne évolution clinique et de la stabilité plaquettaire, Mr. Y retourne à domicile le 17.05.2019 avec un contrôle chez le Dr. X le 20.05.2019 à sa consultation. Mr. Y, patient de 86 ans, est hospitalisé le 18.05.2019 aux soins intensifs pour suspicion d'un NSTEMI. Le patient était hospitalisé depuis le 15.05.2019 à l'HFR Meyriez pour une décompensation cardiaque avec angor stable. Il est connu pour une maladie coronarienne tri-tronculaire avec antécédent de pontage aorto-coronarien ainsi qu'une fibrillation auriculaire anticoagulée par Xarelto. Il présente le 18.05.2019 des douleurs thoraciques oppressives avec dyspnée et modifications ECG nouvelles dans les dérivations inféro-latérales ainsi qu'une augmentation des troponines. Un diagnostic de NSTEMI est suspecté. Le patient reçoit une dose de charge d'Aspirine et Clopidogrel et est transféré aux soins intensifs de Fribourg pour surveillance. Une échocardiographie transthoracique montre une fraction d'éjection du ventricule gauche à 48% avec une hypokinésie globale du ventricule droit. Une coronarographie retrouve une stabilité du réseau coronarien natif avec un pontage mammaire qui est fonctionnel sans resténose. Les collègues cardiologues ne retiennent pas d'indication à l'Aspirine et Clopidogrel et proposent de poursuivre l'anticoagulation par Xarelto avec intensification du traitement de l'insuffisance cardiaque. La surveillance post-coronarographie aux soins intensifs est sans particularité et le patient est retransféré à l'HFR-Meyriez pour suite de prise en charge. Mr. Y, âgé de 81 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une neuro-réadaptation suite à des AVC ischémiques multiples, le 07.05.2019. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite (ancien charpentier-menuisier). Il conduit toujours mais n'en a plus guère envie. A l'admission, le patient n'a aucune plainte. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au status, le patient est orienté et collaborant. Il ne présente aucune difficulté d'élocution et il n'y a plus de signes d'aphasie. La motricité et la sensibilité sont conservées et symétriques. La main droite présente une légère pronation au Barré. Le Romberg est instable mais la marche semble sécurisée. Il existe un crochetage au talon-genou bilatéralement et des signes de polyneuropathie importante des membres inférieurs avec une pallesthésie sévère à 3/8 à gauche et 1/8 à droite. Légère dysdiadococinésie. Une évaluation neuropsychologique, réalisée chez ce patient présentant un contact à tendance familière et une hypoacousie non appareillée, a mis en évidence des difficultés modérées d'accès lexical (verbes et substantifs), un graphisme perturbé (possiblement pré-morbide un trouble praxique constructif), un déficit gnosique visuel discriminatif, de possibles signes discrets d'héminégligence gauche, et des difficultés exécutives (incitation, programmation, inhibition, flexibilité, mémoire de travail, récupération en mémoire) accompagnés d'un ralentissement idéomoteur. L'orientation, la compréhension orale, la lecture, la mémoire à court terme et la mémoire antérograde visuelle sont globalement préservées. Le profil cognitif est compatible avec le récent AVC multiple et l'étiologie vasculaire sous-jacente (leucoencéphalopathie). Toutefois, une composante médicamenteuse (Brintellix, Gabapentin) peut venir majorer les troubles. L'intensité des difficultés cognitives ne devrait toutefois pas impacter de manière importante les AIVQ lors du retour à domicile. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie, ergothérapie et neuropsychologie, avec une évolution favorable. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec une canne à l'extérieur. Il peut monter/descendre les escaliers sans aide. A noter, une hyponatrémie sévère lors du séjour à l'HFR Fribourg ayant motivé l'arrêt du diurétique. Avec une médication de Coversum 5mg (au lieu du Coversum Combi 10/2.5mg à domicile), nous observons une pression artérielle bien contrôlée, et sans prise de poids. Nous vous laissons donc le soin de réévaluer la réintroduction éventuelle du diurétique par la suite, selon l'évolution. Après 1 semaine d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 23.05.2019, en bon état général. Mr. Y est admis de manière élective pour un contrôle annuel de son traitement par VNI pour un syndrome d'apnées/hypopnées obstructives du sommeil et un probable syndrome obésité/hypoventilation. Depuis son dernier contrôle, le patient rapporte une excellente tolérance à l'appareillage avec nette amélioration des plaintes somnologiques initiales. Son sommeil est de meilleure qualité et la somnolence diurne a nettement diminué. Pas de symptôme évocateur d'une hypercapnie nocturne. Sur le reste du plan respiratoire, persistance d'une dyspnée d'effort connue ne le restreignant pas dans ses activités de la vie quotidienne. Pas de plainte cardiaque hormis des œdèmes des membres inférieurs connus et stables, pas de toux/crachat, symptôme B ou d'infection pulmonaire depuis l'année passée. Les examens réalisés révèlent une ventilation nocturne satisfaisante avec une pCO2 moyenne dans la norme et une gazométrie au réveil également normale. Toutefois, à la polygraphie, on note une recrudescence d'apnées obstructives avec un IAH à 21/h qui nous motive à augmenter les pressions min/max à 10/18 cmH20. La saturation moyenne en oxygène est à la limite inférieure de la norme à la capnographie mais cette valeur est probablement sous-estimée au vu d'une SpO2 moyenne à 92% mesurée à la polygraphie. Nous poursuivons l'oxygénothérapie nocturne à 0.5l/min. Nous reverrons Mr. Y à 1 mois pour une polygraphie respiratoire nocturne ambulatoire pour s'assurer de la bonne tolérance au changement de pression et d'une meilleure prise en charge des apnées du sommeil. Un prochain contrôle complet de sa VNI sera planifié dans une année. Finalement, concernant la dyspnée d'effort, les fonctions pulmonaires du jour sont superposables au comparatif, nous poursuivons sa bithérapie inhalatrice par Anoro Ellipta et proposons au médecin traitant la réalisation d'une échocardiographie à la recherche notamment d'une hypertension artérielle pulmonaire. Mr. Y, 81 ans, connu pour une fibrillation auriculaire anticoagulée par Xarelto, ainsi qu'une valve aortique biologique, est hospitalisé dans un contexte de troubles phasiques et troubles de l'équilibre avec chute, ceci dans un contexte d'hyponatrémie. Un état confusionnel aigu et des épisodes répétés d'aphasie objectivés durant le séjour, conduisent à une imagerie cérébrale par IRM qui montre des lésions ischémiques récentes multiples, suggestives d'une origine cardio-embolique. Malgré l'absence d'un syndrome inflammatoire ou d'une symptomatologie suggestive d'une infection, vu l'aspect des lésions chez ce patient porteur d'une valve cardiaque prothétique, nous effectuons des hémocultures qui reviennent négatives et une échographie trans-oesophagienne qui ne montre pas de signe d'endocardite. Une athéromatose importante est mise en évidence au niveau aortique, ce qui fait penser à une probable origine artério-artérielle. Le bilan lipidique montre une dyslipidémie légère avec LDL-cholestérol à 1.93 mol/l. Nous mettons en place un traitement par Atorvastatine pour cibler un LDL inférieur à 1.8 mmol/l. Une origine cardio-embolique liée à la fibrillation auriculaire connue rentrerait également dans le diagnostic différentiel. Le patient est toutefois anticoagulé par du Xarelto avec une bonne compliance, ce qui est confirmé par la famille. Dans le doute d'une efficacité insuffisante, nos cardiologues proposent un éventuel changement d'anticoagulant par un antivitaminique K, que nous n'avons pas effectué avant son départ. Nous vous laissons le soin de réévaluer ce changement éventuel, après un dosage de l'anti-X-A. L'Aspirine est à poursuivre en parallèle.L'évolution sur le plan neurologique est favorable avec persistance d'un ralentissement psychomoteur mais amélioration des troubles phasiques. L'hyponatrémie a pu être corrigée de manière progressive et en sécurité. Nous supposons que l'hyponatrémie est d'origine médicamenteuse, à savoir sur Indapamide, que nous mettons en suspens. En cas de récidive symptomatique, le traitement par Brintellix serait à réévaluer. Mr. Y a pu être transféré à Billens en neuroréhabilitation le 15.05.2019, nous remercions nos collègues pour leur rapidité et la suite de la prise en charge. Mr. Y, âgé de 65 ans, connu pour une BPCO stade IV selon Gold, nous est adressé par son pneumologue traitant pour une réadaptation respiratoire en électif. Les vaccins sont à jour. Sur le plan social, le patient vit seul à domicile. Il est à l'AI depuis 22 ans pour des problèmes psychiatriques. Le patient est sous curatelle et bénéficie du passage d'une infirmière en psychiatrie à domicile. A l'admission, le patient rapporte une dyspnée stade III selon NYHA, sans expectoration ni toux. Le status général est sans particularité hormis une diminution du murmure respiratoire sur les 2 champs pulmonaires. La spirométrie d'entrée, malgré une mauvaise qualité, montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré très sévère et confirme le diagnostic de BPCO stade IV selon Gold. Le score de CAT atteste d'une stade B. La gazométrie d'entrée sous O2 2 lt/min montre une saturation à 94% avec une hypoxémie légère, sans hypercapnie. La radiographie du thorax met en évidence une distension pulmonaire bilatérale avec aplatissement des coupoles diaphragmatiques. Pas d'épanchement pleural visible. Nous diminuons progressivement le débit de l'oxygène à 1 lt/min avec une bonne tolérance clinique et une oxymétrie nocturne sous 1 lt/min d'O2 qui montre une saturation satisfaisante SpO2 moyenne à 93% avec un index de désaturation à 1.3/heure. La gazométrie de sortie faite à l'air ambiant met en évidence une saturation à 93.2% avec une hypoxie légère sans hypercapnie. Vu ces résultats, nous laissons le soin au Dr. X de revoir la nécessité de la poursuite de l'oxygenothérapie au repos. Actuellement, il emploie l'oxygénothérapie 1 lt/min la nuit et 2 lt/min à l'effort. A l'entrée, le patient était traité par Ciprofloxacine 2x/semaine pour la prévention des exacerbations BPCO. Nous arrêtons la Ciprofloxacine et introduisons de l'Azithromycine dont l'efficacité anti-exacerbatrice est reconnue chez les non-fumeurs. L'ECG de contrôle montre un intervalle QTc dans la norme. Le patient est connu pour des douleurs thoraciques D chroniques, qu'il présente aussi pendant l'hospitalisation et qui sont soulagées par l'introduction du Lyrica. Sur le plan nutritionnel, le patient a un poids stable par rapport à 2016. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 110 m à 290 m et le patient augmente la distance parcourue sur le vélo pendant 20 minutes de 2.33 km à 3.55 km. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 11.05.2019, en état général conservé. Mr. Y, 65 ans, connu pour un adénocarcinome de la prostate, avec envahissement urétéral bilatéral ayant nécessité la mise en place d'une néphrostomie gauche, actuellement sous chimiothérapie palliative par Jevtana (dernière dose le 03.05.2019) se présente aux urgences le 14.05.2019 en raison d'une toux évoluant depuis une semaine et d'un état fébrile. À l'anamnèse, le patient présente depuis une semaine de toux sèche associée à un syndrome grippal. Lors de la consultation de routine du 10.05.2019 chez son oncologue traitant (Dr. X), il reçoit une prescription d'Azithromycine qu'il débute le dimanche 12.05.2019 au vu d'une péjoration clinique. Il se présente le 14.05.2019 à votre consultation durant laquelle vous diagnostiquez une pneumonie basale droite radiologique avec à la biologie un syndrome inflammatoire et une hyperleucocytose. Vous administrez 2 g de Rocéphine intraveineuse avec un contrôle le lendemain. Mais au vu d'une soudaine péjoration avec un état fébrile et frissons, le patient se présente aux urgences. L'examen clinique initial retrouve une auscultation pulmonaire des crépitants basaux droits. Le bilan initial confirme la pneumonie communautaire basale droite pour laquelle une antibiothérapie par Co-amoxiciline pour une durée totale de 7 jours est mise en place. Le patient bénéficie d'une oxygénothérapie transitoire et d'une prise en charge physiothérapeutique. Une prescription de physiothérapie ambulatoire est remise au patient. Un rendez-vous de consultation de contrôle clinique et biologique est prévu la semaine prochaine avec notamment un contrôle du syndrome inflammatoire et la kaliémie qui restent stables malgré le traitement. Sur le plan oncologique, le patient montre une inexorable progression de sa pathologie malgré une chimiothérapie palliative. Cette dernière est arrêtée. Il poursuit la corticothérapie par Prednisone 5 mg pendant trois semaines et l'arrêtera en vue de la participation à l'étude RACIN au CHUV. Il sera convoqué tout prochainement par la Dr. X dans ce contexte. Pour le reste, après une brève suspension du traitement hypotenseur, nous le reprenons à dose réduite, et vous laissez le soin de poursuivre l'adaptation du traitement. Une hypokaliémie transitoire se normalise et est substituée. Au niveau social, le patient vit à domicile avec son épouse et bénéficie d'un passage bi-hebdomadaire de soins à domicile pour pansements en regard de sa néphrostomie gauche. Le patient sort ce samedi 18.05.2019 pour un retour à domicile avec son aide habituelle. Mr. Y, 77 ans, est transféré en médecine interne après un séjour en soins intensifs en post-opératoire d'une intervention neurochirurgicale. Le patient a bénéficié d'une cimentoplastie en mars 2019 en raison d'un tassement vertébral, qui s'est compliqué d'une nécrose osseuse du corps vertébral de L4, nécessitant une stabilisation percutanée du mur postérieur de L3-5. L'opération s'est déroulée sans complication. Il ne présente pas de déficit neurologique et l'antalgie est bien contrôlée avec son traitement habituel. Le patient présente des signes de surcharge confirmés par la radiographie du thorax. Il ne reprend pas de diurèse au cours de son séjour aux soins. Le traitement diurétique est toutefois maintenu. La dialyse intermittente habituelle planifiée le 27.04.2019 est marquée par une hypotension pauci-symptomatique (marbrures aux membres inférieurs et nausées) en fin de procédure, en relation avec une hypovolémie relative (soustraction volémique de 3000 ml). L'évolution est simple après réanimation volémique a minima. Par la suite, Mr. Y est stabilisé d'un point de vue respiratoire. Les séances de dialyse intermittente se déroulent sans complication. Une ETT est organisée le 02.05.2019 qui montre une FEVG stable à 55%.Un état confusionnel dans le contexte post-opératoire avec une mobilisation précoce et une antalgie par Fentanyl importante évolue favorablement avec l'antalgie adaptée. Les douleurs sont bien contrôlées avec un traitement de buprénorphine patch que nous diminuons progressivement. La mobilisation se fait en fonction des douleurs. Le tassement vertébral initial est secondaire à une chute occasionnée par des gonalgies importantes. Une radiographie du genou droit est effectuée, sans grande péjoration et un traitement conservateur est introduit avec de la physiothérapie intensive sur avis orthopédique, qui sera à poursuivre lors de la réadaptation gériatrique. Un contrôle à 3 mois sera à organiser en fonction de la clinique. Le patient chute le 04.05.2019 avec péjoration des gonalgies à gauche. Une radiographie du genou gauche ne montre pas de lésion osseuse. Les gonalgies restent stables par la suite. L'anticoagulation est reprise à doses thérapeutiques 24h après l'intervention. Le Sintrom est réintroduit le 30.04.2019 avec un INR encore infra-thérapeutique à 1.2 le 05.05.2019. Nous stoppons l'Héparine IV le 06.05.2019 avant son transfert. Nous vous laissons le soin d'adapter le traitement anticoagulant en fonction de l'INR du 07.05.2019 prélevé pendant la dialyse. Mr. Y est transféré à l'HFR Riaz en réadaptation gériatrique pour la suite de prise en charge. Mr. Y, connu pour une pneumonie à S. pneumoniae en février 2019 traitée par co-amoxicilline pendant 10 jours et un carcinome pulmonaire neuroendocrine à petites cellules de stade IIIB traité par radio-chimiothérapie concomitante au niveau du lobe inférieur gauche, présente depuis le 07.05.2019 une dyspnée accompagnée d'une toux grasse avec expectorations verdâtres et un état fébrile à 38,4°C. Devant la persistance des symptômes, il consulte les urgences le 09.05.2019. A l'admission aux urgences, le patient est hémodynamiquement stable, eupnéique à l'air ambiant, tachycarde à 100 bpm avec une auscultation pulmonaire montrant un murmure vésiculaire bilatéral avec des ronchis mobilisables à la toux en prédominance au lobe supérieur gauche et des sibilants bilatéraux pour lesquels nous réalisons un aérosol de Salbutamol et de bromure d'Ipratropium améliorant la symptomatologie. Le reste de l'examen reste sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 182 mg/l sans leucocytose. La fonction rénale est conservée et on ne relève pas de trouble hydroélectrique. Une gazométrie artérielle montre une hypoxémie à 7.2 kPa et une hypocapnie à 4.0 kPa avec un pH à 7.46. Devant l'état subfébrile du patient à son arrivée, nous décidons de réaliser deux paires d'hémocultures ainsi qu'une radiographie thoracique qui ne montre pas de foyer infectieux franc ni d'épanchement pleural. Un ECG est également réalisé sans anomalie notable. A noter qu'un CT scan thoraco-abdominal effectué le 03.05.2019 dans le contexte du suivi oncologique met en évidence une stabilité de l'infiltrat du segment apical du lobe inférieur gauche connu, en continuité avec une infiltration du hile pulmonaire du même côté, sans signe de progression tumorale et avec un examen également stable pour le reste. Devant une infection des voies respiratoires inférieures, sans foyer visualisé, Mr. Y est hospitalisé pour une antibiothérapie par co-amoxicilline IV, une surveillance clinico-biologique et une physiothérapie respiratoire. A l'étage, le patient est en bon état général. Il décrit des douleurs au niveau costo-diaphragmatique bilatéralement dès qu'il tousse. A l'auscultation pulmonaire, nous notons quelques râles inspiratoires et expiratoires au niveau de la mi-plage gauche et la disparition des sibilants. Les antigènes Legionella et Pneumocoque reviennent négatifs, raison pour laquelle nous arrêtons le Klacid le 10.05.2019. Les hémocultures reviennent également négatives. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, l'antibiothérapie est relayée par voie orale par co-amoxicilline 1 g 2x/j dès le 13.05.2019, à poursuivre jusqu'au 18.05.2019. Mr. Y peut regagner son domicile le 14.05.2019. Mr. Y est un patient de 77 ans qui nous est transféré le 02.05.2019 du service de médecine interne de l'HFR Fribourg pour reconditionnement et suite de traitement après une décompensation cardiaque globale sur fibrillation auriculaire rapide le 23.04.2019 et une pyélonéphrite à K. pneumonia et E. coli le 26.04.2019. A son entrée, le patient se plaint d'une dyspnée d'effort NYHA II. Une orthopnée associée à des sensations d'oppression thoracique sporadiques le réveille la nuit. Ces douleurs ne surviennent pas à l'effort. De légers œdèmes des membres inférieurs sont également présents, sans crépitations au niveau des bases pulmonaires. Mr. Y habite avec sa femme dans un appartement au rez-de-chaussée avec 4 marches d'escalier ayant une rampe pour y accéder. Il est indépendant dans les BADL et IADL, se déplace sans moyens auxiliaires et conduit la voiture. Durant l'hospitalisation, nous décidons d'adapter le traitement d'insuffisance cardiaque en augmentant le Torasémide à 10 mg permettant ainsi une diminution des œdèmes des membres inférieurs, une perte de poids progressive ainsi qu'une amélioration des symptômes oppressifs. Actuellement, le patient reçoit 7.5 mg de Torasémide. Le traitement de Beloc Zok est également majoré à 150 mg par jour. En raison d'une hyperkaliémie détectée le 06.05.2019, un traitement de Resonium 15 mg 3x/j est introduit transitoirement permettant une amélioration de la kaliémie à 4.3 mmol/l. Au cours du séjour, le patient présente une hypotension asymptomatique, raison pour laquelle un test Schellong est effectué qui se révèle normal. Sur le plan nutritif, une malnutrition modérée est mise en évidence, raison pour laquelle il bénéficie d'un suivi diététique durant le séjour hospitalier. Mr. Y bénéficie de séances de physio- et d'ergothérapie intensives. A l'entrée, il fait les transferts de manière autonome et se déplace avec une canne simple sous supervision sur une distance de 150 m. Le Tinetti est à 21/28. A la fin de l'hospitalisation, le patient peut marcher seul avec une canne simple sur une distance de plus de 400 m sans pause, et monter 18 marches d'escalier de manière autonome. Le Tinetti est à 25/28. Il est autonome dans les AVQ. Mr. Y peut regagner son domicile le 14.05.2019. Mr. Y, patient de 77 ans, consulte au service des urgences le 20.04.2019 pour une orthopnée en progression depuis 2 mois, avec dyspnée d'effort en péjoration sur 1 semaine. A noter que le 18.04.2019, le patient avait consulté auprès du remplaçant de son médecin traitant qui, au vu d'une péjoration de la fonction rénale, avait arrêté l'Aldactone et la Digoxine et introduit de la Cordarone. Il est hospitalisé pour une décompensation cardiaque. Trois jours après, le patient développe une aggravation de sa fibrillation auriculaire rapide associée à une dégradation biologique marquée de la fonction rénale et hépatique, dans le cadre d'un foie de stase et un syndrome cardio-rénal, motivant un transfert aux soins intensifs du 23.04 au 26.04.2019. Les diurétiques sont alors stoppés et un remplissage ciblé est effectué. La fonction rénale et hépatique s'améliorent progressivement. Après administration de Digoxine, un traitement par bêta-bloquants est débuté sur avis cardiologique, qui permet un contrôle satisfaisant de la fréquence cardiaque. A noter que l'introduction d'Aspirine sous anticoagulation thérapeutique et à distance de tout événement coronarien récent n'est pas indiquée d'après nos collègues cardiologues. A noter qu'à l'arrivée aux soins intensifs, une échographie cardiaque montre une aggravation de la fonction cardiaque avec une FEVG à 25% et une dysfonction droite sévère.La décompensation cardiaque est attribuée en premier lieu à un épisode de fibrillation auriculaire rapide. Après contrôle de la fréquence cardiaque, on note une amélioration du tableau clinique et biologique avec normalisation progressive des fonctions hépatique et rénale. Sur le plan infectieux, le patient développe un état fébrile le 26.04.2019. Une origine urinaire dans les suites du sondage vésical transitoire est retenue. Une antibiothérapie par Ceftriaxone est instaurée puis relayée par Ciprofloxacine per os pour une durée totale de traitement de 7j. Mr. Y part à l'HFR Meyriez le 02.05.2019 pour réhabilitation. Mr. Y, 71 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour une ischémie aiguë du membre inférieur gauche accompagnée d'une insuffisance respiratoire aiguë plurifactorielle. Il est connu pour une cardiopathie ischémique tritronculaire et une fibrillation auriculaire anticoagulée par Eliquis. Le matin du 19.04.2019, il a noté l'apparition soudaine de douleurs avec une pâleur de la jambe gauche. Il a été transféré depuis l'HFR Tavel pour une occlusion artérielle aiguë. Une anticoagulation thérapeutique a été débutée et une angioplastie a été réalisée avec pose d'un stent dans l'artère poplitée et revascularisation du trépied jambier par thrombo-aspiration le 20.04.2019 (Dr. X). Les pouls pédieux étaient présents au doppler par la suite. Le 30.04.2019, un US Doppler confirme l'excellente perfusion du membre inférieur gauche, avec un hématome en résorption. Une rhabdomyolyse avec une élévation de la CK totale à 24986 U/l est survenue suite à l'ischémie aiguë du membre inférieur gauche et a contribué à une insuffisance rénale aiguë qui s'est corrigée progressivement après remplissage vasculaire. Un œdème des membres inférieurs important prédominant à la jambe gauche a persisté suite à la reperméabilisation artérielle. Un syndrome inflammatoire a régressé spontanément. L'insuffisance respiratoire globale aiguë a été attribuée à une décompensation de la broncho-pneumopathie chronique obstructive ainsi qu'à une insuffisance cardiaque gauche (NT-ProBNP à 6'248 ng/l). L'échocardiographie du 20.04.2019 a montré une hypokinésie sévère de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale, avec une fonction ventriculaire gauche à 30 %, stable par rapport à l'examen comparatif. Il n'y a pas de thrombus ventriculaire. La dyspnée s'est améliorée sous ventilation non invasive intermittente, bronchodilatateurs et diurétiques. Une salve de tachycardie ventriculaire non soutenue et asymptomatique a été observée le 23.04.2019. Le traitement par nebivolol a été repris. Toutefois, une pause sinusale nocturne de 2.5 secondes a été mise en évidence sous bétabloqueur. Sur avis du Dr. X (cardiologue), un pacemaker est posé le 06.05.2019 et le bêta-bloquant est maintenu. Le traitement de l'insuffisance cardiaque par Entresto a été repris dès le 24.04.2019. Une hyper-éosinophilie est apparue entre le 22.04 et 24.04.2019, suite à l'introduction d'atorvastatine, qui a été interrompue le 24.04.2019. Le patient a été transféré le 23.04.2019 dans le service de médecine interne où son état se stabilise. Le traitement diurétique est adapté avec élévation transitoire de la créatinine et le sintrom est repris. Il rentre le 10.05.2019 à domicile sans aide particulière. Il reverra le Dr. X le 13.05 pour réglage du sintrom et Clexane et suivi clinique et de la fonction rénale. Mr. Y est transféré des soins intensifs de l'HFR Fribourg le 08.05.2019 pour suite de prise en charge d'une bradycardie sur bloc atrio-ventriculaire du 3ème degré complet symptomatique, avec état de choc suivi par la mise en place d'un pacemaker. Pour rappel, le patient présente le 07.05.2019 une syncope avec perte de connaissance. À l'arrivée du SMUR, un pacing externe est nécessaire afin de maintenir une fréquence cardiaque suffisante. Un pacemaker endoveineux est posé aux soins intensifs afin de pallier les troubles de la conduction. De plus, à l'admission, Mr. Y présente une décompensation diabétique avec une hyperglycémie. Mr. Y est admis dans notre service le lendemain de la pose du pacemaker pour la suite de la prise en charge. À l'admission à l'étage, le patient est orienté et collaborant. Il sait qu'il a été transféré de l'HFR Fribourg en ambulance lors de son épisode de bradycardie mais il présente une amnésie circonstancielle par rapport à l'épisode syncopal. Il se plaint de douleurs liées à la pose du pacemaker ainsi que d'une douleur localisée à la hanche droite. Au niveau des paramètres vitaux, le patient est normocarde à 66/min, avec une tension artérielle à 140/60 mmHg, subfébrile à 38°C et dyspnéique avec une saturation à 91 % sous 4 litres d'oxygène. Au status cardio-vasculaire, B1B2 sont lointains, sans souffle audible. Pas d'œdème des membres inférieurs. À l'auscultation pulmonaire, présence de crépitants bibasaux, plus importants au niveau de la base pulmonaire droite.Dans le contexte d'un syndrome inflammatoire biologique et d'un état fébrile à 38,5°C le 08.05.2019 au soir, nous prélevons deux paires d'hémocultures. Le laboratoire de contrôle montre par la suite une résolution du syndrome inflammatoire que nous mettons dans le contexte du status post-opératoire. Les hémocultures reviennent négatives. Sur le plan médicamenteux, nous poursuivons le traitement mis en place aux soins intensifs et par la suite, nous réintroduisons le traitement habituel du patient. L'oxygénothérapie peut être sevrée le 10.05.2019. Mr. Y peut regagner son domicile le 14.05.2019 avec activation des soins à domicile. Mr. Y, 83 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une bradycardie sur un BAV3 complet symptomatique avec état de choc cardiogénique. Il est connu pour un diabète de type insulinorequérant, une insuffisance rénale chronique, une cardiopathie ischémique stentée en 2014. Il présente le 07.05.2019 une syncope avec perte de connaissance. À l'arrivée du SMUR, le patient est hypotendu et bradycarde avec une fréquence cardiaque à 20 par minute. Un pacing externe est alors nécessaire afin d'accélérer la fréquence cardiaque. Un pacing endoveineux est posé à son arrivée aux soins intensifs afin de pallier aux troubles de la conduction. Le patient bénéficie rapidement de la pose d'un pacemaker le 07.05.2019 par le Dr. X, qui se déroule sans complication. Le fonctionnement du pacemaker est contrôlé le 08.05.2019 avant sa sortie. Sur le plan respiratoire, le patient présente une dyspnée habituelle selon lui avec des besoins en oxygène autour de 2L/min. Il bénéficie d'un soutien respiratoire par VNI, le traitement diurétique et hypertenseur habituel est repris. Le patient devra reprendre sa ventilation nocturne habituelle par CPAP dès que possible. La décompensation diabétique observée à l'entrée se corrige rapidement après la reprise des doses habituelles d'insuline. Le patient est transféré en médecine interne à Riaz le 08.05.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y présente un status post entorse bénigne de la cheville gauche il y a 3 semaines. L'attelle Aircast peut être enlevée. Le patient continuera la physiothérapie déjà prescrite par son médecin de famille pour entraîner la force et la proprioception des MI. Il est important qu'il perde du poids. Le surpoids corporel, en combinaison d'un pes plano valgus bilatéral et des genu valgum, contribue, sur le long terme, à des problèmes articulaires des chevilles et des genoux. Je propose au patient de consulter une diététicienne pour l'aider à perdre du poids. Je lui prescris des semelles orthopédiques pour corriger les pes plano valgus qui vont également corriger les genu valgum. Je propose un contrôle clinique d'ici 2 mois à ma consultation le 18.06.2019. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Mr. Y, patient de 74 ans, connu pour syndrome métabolique, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique aigu sylvien gauche. Pour rappel, le patient présente lors du réveil le 21.05.2019 à 11h un état confusionnel nécessitant l'appel de l'ambulance. Au service des urgences, le patient présente une somnolence associée à une aphasie globale avec mutisme, une déviation du regard à gauche, une héminégligence et une hémiparésie facio-brachio-crurale droite. Le CT cérébral révèle un AVC ischémique déjà constitué de la région du gyrus pré et post-centrale gauche avec occlusion de M3 et des plaques mixtes à la bifurcation carotidienne touchant de façon plus importante à gauche. Au vu d'un AVC déjà constitué et de l'absence d'occlusion proximale artérielle, une thrombolyse intraveineuse n'est pas effectuée. Une dose de charge en Aspirine est donnée, puis le traitement est relayé par Aspirine 100 mg/j. L'IRM montre des multiples AVC ischémiques focaux aigus dans le territoire de l'artère cérébrale moyenne gauche de topographie cortico-souscorticale mais également profonde, du bras postérieur de la capsule interne gauche et du lobe occipital gauche. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une bonne fonction cardiaque avec hypertrophie du ventricule gauche mais sans dilatation de l'oreillette gauche ni thrombus apical. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation à la recherche active d'une FA que nous vous laissons pister. Le résultat est toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. L'étiologie reste indéterminée, une origine artério-artérielle nous semble la plus probable. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est introduit et nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1,8 mmol/l). L'évolution clinique est partiellement favorable avec au status neurologique de sortie la persistance d'une aphasie globale et une dysarthrie sévère, un hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crural droit et une héminégligence droite. Mr. Y est transféré à l'HFR Meyriez pour suite de prise en charge en attendant une neuroréhabilitation intensive. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y est un patient de 17 ans en bonne santé habituelle, qui nous est adressé par son médecin-traitant pour une suspicion de torsion testiculaire gauche. Le patient raconte avoir ressenti une vive douleur constante au niveau testiculaire gauche alors qu'il montait les escaliers. Le patient a déjà eu un épisode semblable, d'intensité moindre et spontanément résolutif, cependant, il y a environ une année. De plus, il rapporte une tuméfaction du testicule droit, en constante augmentation depuis 1-2 années, pour laquelle il n'a jamais consulté, vu qu'elle est complètement indolore. Un ultrason met en évidence une torsion testiculaire gauche ainsi qu'un volumineux hydrocèle du côté droit. Le patient bénéficie d'une réduction de torsion testiculaire gauche, orchidopexie bilatérale et cure d'hydrocèle droit le 29.04.2019 en urgence, qui se déroule sans complication. L'évolution est par la suite favorable, permettant un retour à domicile le 30.04.2019. Le patient prendra contact avec le Dr. X pour un contrôle clinique dans 2 semaines. Mr. Y, âgé de 69 ans, connu pour un AVC en 2010, consommation OH à risque, tabagisme actif (50 UPA), malnutrition et déficit en vitamine D, est adressé par l'HFR Riaz pour réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture fermée de l'aile iliaque gauche sur chute d'origine mécanique probable, traitée conservativement. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite. À l'admission, le patient se plaint d'une sensation de tension musculaire au niveau des quadriceps à la marche. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant mais présente des troubles de la mémoire et des troubles cognitifs connus. Il se déplace avec un rollator. Le patient est capable de surélever le membre inférieur gauche à 50°. La force du quadriceps et du iliopsoas est cotée à M4; la sensibilité est conservée. Nous mettons en évidence une ataxie bilatérale et une pallesthésie gauche à 4/8 et droite à 0/8. Sur le plan nutritionnel, Mr. Y souffre d'une malnutrition modérée avec un NRS à 4, un BMI à 13,3 et une perte de poids continue de 2014 (-19 kg). Durant son séjour, il a couvert ses besoins spontanément per os et nous avons ajouté un SNO afin d'assurer la reprise pondérale. En vue du retour à domicile, nous avons organisé une livraison de SNO et lui avons donné des conseils pour une alimentation riche en énergie et protéines.Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises sur un périmètre de 120 m. Il peut monter/descendre les escaliers avec la rampe. Après 1 semaine d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 15.05.2019, en état général conservé. Mr. Y est un patient de 49 ans, connu pour une maladie de Steinert, qui se présente le 20.05.2019 aux urgences en raison d'une chute avec traumatisme crânio-cérébral. Le bilan effectué aux urgences retrouve l'hémorragie susmentionnée, raison pour laquelle le patient est hospitalisé une nuit aux soins continus avec un scanner de contrôle le lendemain qui montre une situation stable permettant au patient la montée à l'étage. La suite de la prise en charge reste sans particularité avec un patient qui peut être mobilisé et ne montre à aucun moment des nouveaux symptômes neurologiques permettant un retour à domicile le 25.05.2019. Mr. Y, patient de 88 ans, connu pour une cardiopathie rythmique, une hypertension artérielle et des troubles de la marche et de l'équilibre avec suspicion de maladie de Parkinson, était adressé aux urgences de l'HFR Riaz le 22.03.2019 en raison d'une dyspnée à l'effort depuis 3 jours, mais sans autre plainte associée, notamment pas de toux ni expectoration, pas d'état fébrile ou frissons associés, puis avait séjourné en gériatrie aiguë HFR Riaz jusqu'au 04.04.2019. Dès cette date, Mr. Y bénéficie d'une prise en charge dans notre service de réadaptation gériatrique. Durant ce séjour, notons une insuffisance respiratoire partielle avec plusieurs tentatives de sevrage de l'oxygène avec échec, et persistance d'une hypoxémie en post-infectieux, également à mettre en lien avec l'épanchement cloisonné présent depuis 2015 (ponction par le passé, sans signe de cellules malignes). La ligue pulmonaire est contactée avec mise en place d'une oxygénothérapie à domicile. Nous effectuons un bilan vitaminique qui indique une hypovitaminose D à 72 nmol/l que nous substituons par une dose de charge. Nous réalisons aussi un bilan d'anémie avec dosage de la vitamine B12 à 792 pg/ml dans la norme et déficit en acide folique à 1.1 ng/ml, que nous substituons. Durant le séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation et respiratoire. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un tintébin est de 50 mètres. Les escaliers ne sont pas testés. Le patient nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 52/126, par rapport à 63/126 à l'entrée. La MIF physiothérapeutique est de 5/7 pour les transferts, 4/7 pour les déplacements et 1/7 pour les escaliers. Le TUG n'est pas testé. Sur le plan nutritionnel, le patient bénéficie d'une évaluation diététique, avec mise en évidence d'une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence et des mains déformées, démontrée par un NRS à 3/7 et des apports couvrant 64 % de ses besoins énergétiques et 51 % de ses besoins protéiques. Nous adaptons le régime alimentaire du patient et initions un supplément nutritif oral. Sur le plan social, Mr. Y habite dans une ferme avec son fils et sa belle-fille. Il y a déjà en place le passage des soins à domicile pour l'aide à la toilette, le semainier et contrôle de santé une fois par semaine. Nous rendons attentifs la famille ainsi que le patient sur une situation risquant d'être précaire à domicile, avec incapacité du patient de gérer l'oxygène et vidage de l'uriflac. Un placement est néanmoins refusé. A la sortie, des soins à domicile passeront 2x/j pour les soins de base, le vidage de l'uriflac, l'administration des médicaments, et 1x/semaine pour contrôle de santé et réalisation du semainier. A noter que le 03.05.2019, Mr. Y se rend en court séjour au Home de Billens avant retour à domicile. Mr. Y, 49 ans et institutionnalisé, est admis aux soins continus pour une surveillance neurologique dans le cadre d'une chute mécanique avec traumatisme crânio-cérébral, compliqué d'hémorragies sous-arachnoïdiennes et intra-parenchymateuses frontales bilatérales, probable hémorragie sous-arachnoïdienne temporo-polaire droite et fracture non déplacée de l'os pariétal droit sans extension au niveau des sinus veineux. Le patient est connu pour des troubles neuro-cognitifs majeurs d'origine probablement multifactorielle sur maladie de Steinert et séquelles d'un traumatisme crânio-cérébral. Le patient aurait chuté de manière peu claire dans son foyer, avec traumatisme crânien sans perte de connaissance. Le patient est amené aux urgences dans le contexte d'un changement de comportement avec céphalée et inappétence. Le bilan radiologique met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement conservateur est instauré. Le CT cérébral de contrôle montre une stabilité des hémorragies et de la fracture. La surveillance neurologique se déroule sans complications. Un traitement par Clexane peut être introduit dès le 21.05.2019. Durant son séjour aux soins continus, le patient présente une bradycardie à 38 battements par minute pour laquelle il bénéficie d'une dose d'atropine et de magnésium avec effet favorable. Des troubles électrolytiques sont décelés au laboratoire et substitués. Le patient est transféré en chirurgie le 21.05.2019 pour la poursuite de la surveillance neurologique. Mr. Y est un patient de 79 ans qui nous est adressé de l'orthopédie du CHUV pour suite de traitement après une prothèse totale de la hanche droite sur coxarthrose invalidante le 30.04.2019. Pour rappel, une première intervention le 21.06.2018 pour PTH a dû être interrompue en raison d'une lésion de l'artère fémorale profonde droite et du nerf fémoral droit. Depuis, le patient présente une diminution de la sensibilité dans le territoire du nerf saphène avec une induration du membre inférieur droit. A l'entrée, Mr. Y présente des douleurs à 5/10 uniquement lors des transferts et de la marche, située au niveau de la hanche droite, irradiant sur la face postérieure de la cuisse et répondant à l'antalgie. La cicatrice n'est pas visualisée en raison du pansement. Le patient présente également des œdèmes des membres inférieurs des deux côtés et une hypesthésie connue dans le territoire du nerf saphène. Le reste de l'anamnèse et de l'examen clinique est sans particularités. Mr. Y vit avec son épouse dans une maison avec environ 20 marches d'escalier. Il est autonome dans les AVQ. Son épouse gère les transports et la médication ainsi que les tâches ménagères. Le patient se déplace habituellement avec 2 cannes. Le patient a une fille très présente qui vit à Cheseaux. Après ablation des fils, la cicatrice postopératoire reste calme sans signes inflammatoires. La prophylaxie antithrombotique est poursuivie. Durant l'hospitalisation, les œdèmes des membres inférieurs s'aggravent. Après adaptation du traitement par Torasémide, un drainage lymphatique et des bandes de compression, les œdèmes s'améliorent et le poids se normalise. Malgré le Lisinopril suspendu, le profil tensionnel reste dans la norme, raison pour laquelle il n'est pas repris. En raison d'une hypothyroïdie substituée de manière insuffisante avec un TSH élevé, l'Euthyrox est légèrement majoré. Durant le séjour hospitalier, Mr. Y présente une tachycardie sinusale qui s'améliore sous traitement bétabloquant à petite dose pendant trois jours. En parallèle, l'Euthyrox est rediminué à la dose habituelle. Nous vous laissons le soin de suivre cette évolution.Un ECG montrant un QTc allongé, l'Escitalopram est arrêté après discussion avec le patient et l'indication inconnue pour cette thérapie. Parallèlement, Mr. Y bénéficie d'une réadaptation précoce avec physiothérapie et ergothérapie. A l'entrée, il fait les transferts sous supervision et marche 50 m à l'aide du tintebin et en étant accompagné par une personne. Le Tinetti est mesuré à 12/28 avec tintebin. A la sortie, le patient réalise les transferts de manière autonome, se mobilise seul avec deux cannes anglaises et peut monter 27 marches d'escalier de manière autonome. Le Tinetti est à 19/28. Mr. Y peut regagner son domicile le 21.05.2019. Mr. Y est un patient de 84 ans, aux antécédents sus-mentionnés, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'une cholécystite aiguë lithiasique traitée par drainage en mars 2019. Il bénéficie le 02.05.2019 d'une cholécystectomie laparoscopique, qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples et l'évolution clinico-biologique favorable, permettant un retour à domicile le 04.05.2019. Mr. Y, 70 ans, connu pour des multiples FRCV et un myélome multiple associé à une amyloïdose cardiaque, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique aigu sylvien droit sur occlusion M2 le 29.04.2019. Pour rappel, le patient présente l'apparition brutale de troubles de l'élocution avec faiblesse et troubles de la sensibilité de l'hémicorps gauche le 29.04.2019. Au service des urgences, il présente une hémisyndrome moteur brachio-facial gauche et une dysarthrie. Le CT cérébral révèle une lésion ischémique aiguë sans infarctus au niveau du lobe frontal droit, en rapport avec une occlusion d'une branche M3 de l'artère cérébrale moyenne droite. Une thrombolyse intraveineuse est débutée à 5h du début des symptômes. L'évolution neurologique a été favorable avec toutefois la persistance d'une légère dysarthrie. L'IRM de contrôle à 24h ne montre pas de transformation hémorragique. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une dilatation modérée de l'oreillette gauche dans un contexte de cardiomyopathie hypertrophique d'origine infiltrative sur amyloïdose. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Après discussion avec le Dr. X, hématologue à l'hôpital universitaire de Zurich, un syndrome d'hyperviscosité semble peu probable. L'origine la plus probable est cardioembolique sans qu'il ait été retenu une anticoagulation thérapeutique, en entente avec nos collègues cardiologues. Concernant la médication, un traitement par Clopidogrel 75 mg est débuté le 30.04.2019, et le traitement hypolipémiant est relayé par Atorvastatine 40 mg. A noter que pendant l'hospitalisation, nous mettons en place un épanchement pleural droit. Une ponction pleurale révèle un transudat probablement dans le contexte de son insuffisance cardiaque. Nous proposons un suivi à votre consultation, l'indication à la mise en place d'un traitement diurétique sera à rediscuter selon l'évolution. L'évolution clinique du point neurologique est favorable avec un statut neurologique de sortie dans la norme. Mr. Y peut regagner son domicile le 04.05.2019. Nous rappelons au patient que la conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y est un patient de 71 ans, suivi par le Dr. X dans le cadre d'une sténose symptomatique de la carotide gauche pour laquelle l'opération sus-mentionnée est agendée en électif pour le 06.05.2019. A noter que le patient a déjà bénéficié d'une TEA de l'artère carotidienne droite avec plastie d'élargissement en octobre 2017. Les suites post-opératoires immédiates sont bonnes, le patient séjourne 24 heures en soins intensifs, où il présente des valeurs de tension artérielle labiles motivant la mise en place d'un traitement par TNT en continu. Lors du séjour à l'étage de chirurgie, le traitement habituel du patient est progressivement repris. Le patient présente des tensions artérielles à nouveau labiles qui nous font suspecter un syndrome de reperfusion le 09.05.2019, raison pour laquelle nous réalisons un CT cérébral qui retrouvera un petit foyer d'hémorragie sous-arachnoïdienne au niveau du lobe frontal gauche. Nous sollicitons un avis des neurologues qui concluent à une hémorragie minime sans répercussion fonctionnelle. Ceux-ci préconisent une adaptation du traitement antihypertenseur de sorte à obtenir une tension artérielle cible <140 mmHg. Dans ce contexte, nous prenons contact avec l'équipe de médecine interne pour obtenir un avis sur l'adaptation du traitement. Lors des contrôles biologiques, nous objectivons une augmentation de la créatinine en fin de séjour (177 umol/L). Nous proposons au patient de prendre contact avec son médecin traitant afin de réaliser un contrôle clinico-biologique. Mr. Y rentre à domicile le 13.05.2019, après stabilisation de son profil tensionnel. Mr. Y, 40 ans, est admis en soins intensifs pour surveillance neurologique et respiratoire post intoxication aux benzodiazépines et Méthadone. Le patient avoue avoir consommé peu avant son admission 90 mg de méthadone et 4 mg de Rivotril, en plus de son traitement habituel (Sèvre-Long 90 mg). Il se présente spontanément aux urgences pour demande de sevrage médicamenteux. L'évolution est marquée par une baisse de l'état de conscience (GCS 10/15) répondant à du Flumazénil. Aucune dose de Naloxone n'est administrée afin d'éviter un sevrage en opiacés. L'évolution est favorable avec récupération d'un état neurologique normal. Dans la nuit du 11.05.2019, le patient présente une désaturation à 85% probablement suite à une apnée d'origine centrale. Une radiographie thoracique exclut un foyer pulmonaire de broncho-aspiration. Sur avis psychiatrique, un transfert à Marsens pour sevrage est organisé. Mr. Y, connu pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, consulte les urgences le 08.05.2019 en raison de la péjoration de la dyspnée, associée à une toux grasse avec expectorations jaunâtres, des frissons et une asthénie depuis quelques jours. Pas de symptôme digestif ni urinaire, pas d'autre plainte. Pour rappel, le patient est connu pour des pneumonies droites récidivantes dans un contexte de broncho-aspirations avec dernière hospitalisation du 21 au 29.03.2019. La pneumonie a été traitée par Rocéphine, Céfépime, Co-Amoxi et Zithromax prophylactique jusqu'à fin avril 2019. A l'admission, Mr. Y est fébrile à 38,2°C et tachypnéique à 38/min avec saturation à 87% à l'air ambiant. Tension artérielle 168/109 mmHg, fréquence cardiaque 109/min. A l'auscultation pulmonaire, nous notons des râles crépitants bibasaux. Le reste du statut d'entrée n'est pas contributif. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 21 mg/l et des leucocytes à 16,4 G/l et la gazométrie met en évidence une hypoxémie à 6,9 kPa avec un pH à 7,46 et une pCO2 à 4,7 kPa et des bicarbonates à 25 mmol/l. La radiographie du thorax montre un foyer pulmonaire basal droit, compatible avec la clinique. Aux urgences, le patient présente un pic fébrile à 38,7°C. Des hémocultures sont prélevées et nous débutons une antibiothérapie par Céfépime 2 g iv dès le 08.05.2019. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. A noter que le patient est suivi depuis sa dernière hospitalisation par le Dr. X, infectiologue. Nous la contactons et elle nous conseille d'arrêter la Céfépime le 09.05.2019 et d'introduire le Co-Amoxi 1 g 2x/jour pendant une semaine. Mr. Y sera revu à sa consultation le 16.05.2019 à 17h00 à l'HFR Riaz. Il sera également convoqué par le Dr. X pour la prise en charge du problème de déglutition à l'origine des pneumonies récidivantes.Durant le séjour, le patient est angoissé et présente des épisodes d'insomnie. Il nous rapporte avoir déménagé récemment, avoir perdu son permis de conduire et se sentir seul. Nous arrêtons son traitement de Lexotanil et Imovane et nous introduisons le Xanax, 25 mg/j. Nous contactons le RFSM de Bulle et un rendez-vous ambulatoire est agendé au 29.05.2019 à 13h00 afin d'évaluer l'état anxieux du patient et d'adapter la thérapie. Mr. Y rentre à domicile le 10.05.2019. En raison de son déménagement, nous lui conseillons de choisir un médecin traitant de la place afin d'avoir un suivi plus rapproché. Mr. Y, connu pour un diabète de type 2 insulino-requérant et une hypertension artérielle traitée, consulte les urgences le 30.04.2019 en raison d'une baisse de l'état général, caractérisée essentiellement par un manque de force dans les deux membres inférieurs et des douleurs dans les chevilles. Il n'y a pas de notion de traumatisme ou de chute. Il décrit également une dyspnée de stade III selon NYHA, progressive depuis plusieurs mois (environ 6 mois). Pas de notion d'état fébrile ni de frisson, pas de douleur thoracique ni abdominale, transit conservé, pas de plainte urinaire, pas de toux. Le statut d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë avec clearance calculée à 35 ml/min, un syndrome inflammatoire ainsi qu'une hypokaliémie sévère à 2,3 mmol. Mr. Y est hospitalisé. Nous mettons en place une hydratation IV par 2000 ml de NaCl 0,9% en 24 heures et nous mettons en pause le traitement diurétique par Torasémide. Concernant l'hypokaliémie sévère, nous prescrivons 40 mEq de potassium IV en 3h et 8 mmol de magnésium en 30 minutes avec une amélioration modérée (2.4 mmol/l après le traitement). Nous prescrivons à nouveau 20 mEq avec 500 ml de NaCl 0,9% en 1 heure. Par la suite, nous gardons un traitement substitutif par potassium Effervette 3x/j avec bonne réponse et une correction de la kaliémie. En ce qui concerne le syndrome inflammatoire avec une CRP à 50 mg/l sans leucocytose, Mr. Y est afébrile, le sédiment urinaire est propre, la radiographie du thorax est sans particularité et l'examen clinique est dans la norme. Dans ce contexte, nous retenons une probable crise de goutte, chez un patient connu pour des crises à répétition et présentant des douleurs au niveau des chevilles sans notion de traumatisme. Nous introduisons un traitement symptomatique par Colchicine avec amélioration sur le plan biologique. Sur le plan néphrologique, le patient présente une insuffisance rénale avec une hypokaliémie dont l'étiologie pourrait être un hyperaldostéronisme secondaire ou de petites nécroses tubulaires aiguës dans le contexte de déshydratation sur traitement diurétique, raison pour laquelle nous mettons en pause la médication néphrotoxique avec bonne réponse et une kaliémie qui se corrige, une créatinine à 139 mcmol/l à la sortie et une clairance à 62.1 ml/min. À noter qu'en raison de l'insuffisance rénale, nous arrêtons le traitement par Calcimagon D3 et Magnesiocard. Sur le plan cardiovasculaire, nous mettons en place du Périndopril 5 mg dès le 06.05.2019 afin d'améliorer le profil tensionnel et indirectement la fonction rénale. Nous vous laissons le soin de réévaluer ce traitement à distance. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 07.05.2019. Mr. Y est un patient de 75 ans, connu pour les comorbidités et antécédents suscités. Il est hospitalisé dans le service de chirurgie pour la prise en charge chirurgicale d'une récidive de carcinome urothélial papillaire non invasif stade pTa G2. Le 01.05.2019, le Dr. X procède à une résection transurétrale de la vessie, intervention qui se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie. Mr. Y est sous antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour. La sonde vésicale peut être retirée le 03.05.2019, avec bonne reprise des mictions. L'antibiothérapie est stoppée et, face à la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 03.05.2019. Mr. Y, âgé de 88 ans, connu pour cardiopathie hypertensive, rythmique et valvulaire, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture périprothétique non déplacée Vancouver A avec subluxation de PTH gauche le 20.04.2019, traitée conservativement. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite, ancien électricien. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au statut, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La flexion du genou en actif est à 60° et en passif à 90°. La force du quadriceps G est à M2 et l'iliopsoas à M3. La sensibilité est conservée. À l'auscultation cardiaque, on note un souffle holosystolique et pulmonaire et des fins crépitants bibasaux. Le patient présente des OMI prenant le godet. Le patient se plaint de douleurs à l'épaule G et à l'examen, il présente une flexion limitée à 50°, rotation externe à 20° et rotation interne à 45°. La radiographie de l'épaule G faite à Fribourg met en évidence une omarthrose sévère. Une évaluation neuropsychologique a mis en évidence des difficultés exécutives (incitation, abstraction ; grasping), des difficultés de mémoire antérograde verbale (mais la mémoire en situation est bonne : il peut donner des détails précis de ses parcours hospitaliers et rappeler certains des items du MMSE déjà effectué lors d'un contrôle pour la conduite, selon ses dires). L'orientation, les praxies constructives et les gnosies visuelles sont globalement préservées. Le MMSE est de 27/30. Le profil cognitif est vraisemblablement à mettre en lien avec un ECA au décours. Une étiologie vasculaire sous-jacente est probable. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est presque indépendant pour les transferts (besoin d'aide pour descendre les jambes du lit) mais la marche en décharge du MIG ne peut être respectée. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension de la hanche gauche à 80° en actif assisté et l'abduction passive à 30°. La force du MIG est quantifiée à M4 pour le quadriceps et à M2+ pour le psoas. Vu les limitations fonctionnelles en raison de la décharge du MIG, Mr. Y est transféré en court séjour à l'UATO, le 20.05.2019. Le patient pourra rejoindre notre service pour la rééducation à la marche une fois l'autorisation de charge donnée. La conduite automobile est contre-indiquée pour le moment et une réévaluation devra être faite à distance de l'épisode aigu. Mr. Y nous est adressé pour une réhabilitation cardiovasculaire suite à un STEMI antérieur sur cardiopathie ischémique et rythmique. Tout au long de la réhabilitation, le patient est resté asymptomatique sur le plan cardiovasculaire. Aucun signe de décompensation cardiaque n'est relevé, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. L'Holter de 72 h du 23.04.2019 montre une nette amélioration de l'ectopie ventriculaire avec 2081 ESV sur 72 h, soit environ 30 événements/heure (< 10/h). Il n'y a pas de caractère malin.Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 4.5 km/h sur une pente de 3.5% pendant 30 minutes. Un test de 6 minutes de sortie est prévu en ambulatoire. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Il a été suivi individuellement par notre diététicienne ainsi que notre ergothérapeute. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : la pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour. Sur le plan biologique : • Hb 126 g/l • fonction rénale normale avec une créatinine à 100 µmol/l • électrolytes dans la norme Le 08.05.2019, Mr. Y souhaite quitter l'HFR Billens avant la fin de sa réadaptation suite à des problèmes de sommeil récurrents et poursuivra la réadaptation en ambulatoire. L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un status de normo-compensation. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte de STEMI subaigu. En effet, il a consulté son médecin-traitant pour une hypoacousie et lors de la consultation, il mentionne une gêne épigastrique survenue durant le week-end, principalement à l'effort, cédant au repos et à l'aide de Lexotanil. Un ECG est effectué et montre des signes de STEMI. Il est transporté au service des urgences après une charge en anti-aggrégant et anticoagulant en pré-hospitalier. Lors du bilan, il est constaté une élévation des enzymes cardiaques. Après discussion avec les cardiologues, une coronarographie n'est pas effectuée en urgences au vu de l'âge du patient et du délai. Un ultrason est effectué et montre une fonction systolique abaissée à 25% ainsi que des troubles de la cinétique importants. Le traitement de Bêta-bloquant et d'IEC sont majorés et l'Aldactone est introduite. Mr. Y présente lors de l'hospitalisation un état fébrile sans foyer avec syndrome inflammatoire. Au vu de l'absence de source à cet état et de la bonne évolution clinique, nous n'administrons pas d'antibiothérapie. La résolution est spontanée. Le 30.04.2019, Mr. Y présente une récidive de douleurs thoraciques ainsi qu'un trouble de l'état de conscience probablement sur bas débit d'origine indéterminée (DD : ischémie, arythmie). Suite à cet événement, l'attitude générale est rediscutée et nous décidons d'une prise en charge plus palliative. Le patient désire rentrer à domicile rapidement et accepte les risques liés à une récidive. Nous mettons en place un suivi par Voltigo en plus des soins à domicile, limitons ses traitements médicamenteux (retrait de la statine et de l'Aldactone), et laissons rentrer le patient avec des traitements d'urgence (nitrés et Effentora). Nous décidons de ne pas organiser de contrôle ultrasonographique à 2 semaines, dans le but d'évaluer la nécessité d'une anticoagulation à long terme. Mr. Y rentre à domicile le 03.05.2019. Mr. Y est un patient de 75 ans suivi par Dr. X pour un myélome multiple depuis 2004, actuellement sous traitement d'Imnovid. Il est également connu pour une cardiopathie ischémique et une fibrillation auriculaire sous traitement de Sintrom. Le patient est hospitalisé en raison d'une suspicion de pneumonie. Pour rappel, le patient a été récemment hospitalisé à Tavel en raison d'une infection virale des voies respiratoires supérieures avec toux productive, rhinorée et céphalées. Le 29.04.19, lors d'un contrôle biologique au cabinet du médecin-traitant, un syndrome inflammatoire est mis en évidence. Les examens clinique et radiologique orientent vers le diagnostic de pneumonie et le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Co-amoxicilline, permettant une évolution favorable. Au niveau cardiovasculaire, le patient présente une prise pondérale légère durant son hospitalisation, probablement secondaire à la mise en suspens du traitement diurétique dans le contexte d'une péjoration de la fonction rénale dans le contexte septique. L'évolution est favorable après reprise du traitement de Torasémide. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, le patient peut rentrer à domicile le 02.05.2018. Mr. Y nous est transféré du service de médecine de l'hôpital de Meyriez pour des troubles de la marche et un déconditionnement suite à une pneumonie basale droite le 17.04.2019. À l'entrée dans notre service, le patient est en bon état général, il n'a pas de plainte. Le status ne révèle pas de particularité. Ad diagnostic principal. À la fin de sa dernière hospitalisation, le patient montre une aggravation de sa mobilité, avec la nécessité de beaucoup d'aide pour les transferts, c'est pourquoi il a été transféré dans notre service. Nous avons commencé la physiothérapie et l'ergothérapie afin d'améliorer les fonctions du système cardiopulmonaire ainsi que la capacité à la marche. À son entrée, le patient peut faire les transferts avec une aide de type contact, il peut marcher sur 80 mètres avec des cannes, le Tinetti est de 8/28. Ad Diag. 1 Les troubles électrolytiques sont substitués. Ad Diag. 2 Le laboratoire montre une anémie normochrome normocytaire, que nous vous proposons de contrôler à distance. Ad Diag. 3 Dans le contexte d'une fibrillation auriculaire intermittante, le patient est sous une anticoagulation thérapeutique par Xarelto. Vu le risque hémorragique avec des antécédents de rectorragie ainsi que le risque de chute assez élevé, et en accord avec le médecin traitant, nous conseillons de remplacer le Xarelto par l'Eliquis 5 mg 2x/j et d'évaluer l'indication à une anticoagulation thérapeutique à distance. Ad Diag. 4 Suite à la discussion avec le médecin-traitant, le patient est sous Tegretol pour une névralgie trigéminale en février 2019. Celui-ci pourrait être arrêté si le patient est asymptomatique. Ad complication 1. Le 01.05.2019, le patient est retrouvé au sol, assis, le genou gauche en rotation externe. À l'examen clinique, nous notons un hématome au niveau de la cuisse gauche. Le quadriceps gauche est très tendu et les mouvements de la hanche gauche sont sévèrement restreints. Le pouls au niveau poplitéal et tibial est palpable. La radiographie montre une fracture pertrochantérienne luxée, avec une fracture dans la diaphyse fémorale proximale gauche. Suite à l'avis orthopédique en orthopédie à l'HFR Fribourg, il a été décidé de transférer le patient en orthopédie pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 59 ans, connu pour une cardiopathie d'origine mixte (2011), antécédent de myocardite et un psoriasis, est hospitalisé dans le service de médecine interne du HFR Fribourg le 03.05.2019 d'un retour d'examen du CHUV. Pour rappel, le patient ressent le 01.05.2019 à 23h00 un épisode de DRS type crampes au niveau médioclaviculaire d'une durée de 15 minutes spontanément résolutives, 15 minutes après avoir ingéré une pizza. Il consulte le service des urgences 1h plus tard pour apparition d'une dyspnée. Au service des urgences, il présente une quinte de toux avec crachats orangés (hémoptysie ? pizza ?). On retrouve une tachycardie nouvelle, un CT montre une image en verre dépoli, parlant pour une vasculite, une insuffisance cardiaque, un OAP, etc. Suspectant initialement une infection à pneumocystis pneumoniae, un traitement par Bactrim est débuté. Au niveau pulmonaire, les D-dimères reviennent négatifs. Afin de clarifier l'éventuelle hémoptysie, le patient bénéficie d'un transfert au CHUV pour bronchoscopie qui revient normale sans source de saignement visualisée. Le lavage alvéolaire revient également exempt de cellules tumorales, pas de signe de champignon ou de levure. Le traitement antibiotique est modifié pour du Tavanic dès le 02.05.2019.Au niveau cardiaque, les troponines sont négatives. Une écho cœur est effectuée le 06.05.2019 avec FEVG stable à 40% depuis 2011. Pas d'hypokinésie nouvelle. Nous retenons tout de même une possible origine cardiaque à l'épisode de DRS et proposons une ergométrie en ambulatoire. Il sera revu en cardiologie. Dans l'intervalle, nous maintenons le Bêta-bloquant. En raison d'une évolution favorable du patient, nous retenons une probable cause infectieuse avec excellente réponse au traitement antibiotique. Mr. Y rentre à domicile le 06.05.2019 avec un contrôle chez le Dr. X. Mr. Y est un patient de 51 ans hospitalisé dans notre service pour prise en charge d'une péritonite sur perforation digestive. Il est connu pour une résection iléo-caecale à Paris en novembre 2018 dans le contexte d'une perforation caecale iatrogène sur une colonoscopie de dépistage. Il est hospitalisé le 30.04.2019 pour un choc septique sur une perforation du moignon grêle borgne de l'anastomose iléo-ascendante. Le patient bénéficie le jour même en urgence d'une hémicolectomie droite avec splitstomie et mise en place d'un VAC sous-cutané. En post-opératoire, le patient bénéficie d'une surveillance de 24h aux soins intensifs avant de pouvoir être retransféré à l'étage de chirurgie pour la suite de prise en charge. Les suites opératoires sont marquées par une collection pariétale qui amène à une prolongation du traitement par VAC jusqu'au 15.05.2019, date de la fermeture cutanée avec protection par pansement à pression négative type PICO et de l'antibiothérapie jusqu'au 15.05.2019. Le 18.05.2019, le patient peut regagner son domicile avec un suivi par la suite via son médecin de famille en France. Mr. Y est un patient de 27 ans, connu pour une maladie de Crohn traitée par Remicade, qui se présente le 12.05.2019 aux urgences en raison de douleurs abdominales diffuses de caractère crampiforme. Le bilan effectué aux urgences met en évidence une leucocytose importante motivant de compléter le bilan par un scanner abdomino-pelvien qui retrouve une iléite terminale interprétée comme nouvelle poussée de Crohn. Le patient est hospitalisé dans notre service pour antalgie et un début de traitement antibiotique en intraveineux, et il bénéficie également d'un traitement par Solu-Medrol en intraveineux pendant 72 heures. Les suites hospitalières restent simples avec des douleurs bien contrôlées par une antalgie simple et une réalimentation bien tolérée. Mr. Y peut retourner à domicile le 17.05.2019. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 20.05.2019. Mr. Y, connu pour une dyskinésie ciliaire primitive, est amené aux urgences le 02.05.2019 en raison d'une baisse de l'état général depuis environ 36 heures, avec état fébrile, vomissements, diarrhées et un épisode de perte de connaissance. Le 30.04.2019, le patient ressent une faiblesse généralisée avec perte de force et paresthésie aux quatre membres, et présente un état fébrile objectivé à 39,6°C. Après une nuit inconfortable avec sommeils par à-coups, il passe la journée du 01.05.2019 dans son lit en décrivant une persistance de l'état fébrile et l'apparition d'une toux grasse, de diarrhées et d'un épisode de vomissement biliaire. Le soir même, état fébrile objectivé à 40,3°C. Le jour de l'admission, le patient rapporte deux épisodes de vomissements brun foncé. Il signale également une toux grasse avec expectorations jaunâtres sans douleur rétrosternale ainsi que des céphalées holocrâniennes modérées avec discrets vertiges. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système. A l'admission aux urgences, le patient est inconfortable, tachypnéique et présente une altération de l'état général. Il est fébrile à 38,5°C avec des frissons. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle audible. A l'auscultation pulmonaire, nous notons des crépitants bibasaux. Le status neurologique et digestif est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 132 mg/l et une discrète leucopénie à 2,5 G/l. L'ECG est sans particularité et la radiographie du thorax met en évidence un discret émoussement du sinus costo-diaphragmatique gauche sans évidence d'un foyer infectieux. En raison de la baisse de l'état général, Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Il est hydraté et bénéficie d'une antalgie par paracétamol. Le matin du 03.05.2019, le patient présente une asthénie sévère avec une faiblesse symétrique au niveau des membres supérieurs et inférieurs, faisant évoquer une affection neurologique. Il est hémodynamiquement stable avec une TA à 100 mmHg. Nous introduisons une antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl, et Mr. Y, étant domicilié dans le canton de Vaud, est adressé aux urgences du CHUV, avec leur accord, pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 66 ans, suivi en chirurgie thoracique pour le diagnostic susmentionné, pour lequel il bénéficie le 02.05.2019 d'une segmentectomie uniportale S1+3 du lobe supérieur droit et curage ganglionnaire. Les suites opératoires sont simples tant sur le plan clinique que paraclinique et l'ablation du drain thoracique est effectuée le 07.05.2019 avec une radiographie de contrôle en ordre. Le patient rentre à domicile le 08.05.2019. Son cas sera discuté au Tumor Board du 08.05.2019 et il sera suivi à la consultation d'oncologie par la suite de la prise en charge ainsi qu'à la consultation de chirurgie thoracique. Mr. Y est connu pour une tumeur neuroendocrine de l'intestin grêle avec une spoliation digestive probable. Il consulte les urgences le 13.04.2019 pour une transfusion de 2 culots érythrocytaires en raison d'une anémie à 59 g/l. Une OGD ambulatoire est effectuée le 15.04.2019. Lors de l'intervention, les anesthésistes mettent en évidence une anémie à 69 g/l, motivant un transfert dans notre service. A l'anamnèse, Mr. Y décrit des selles noirâtres les 12 et 13.04.2019, sans présence de sang frais. Selles normales le 14.04.2019. Pas d'autre symptôme digestif. Il rapporte également une fatigue accentuée ces derniers jours ainsi que des douleurs costales droites à la palpation, non respiro-dépendantes et d'intensité à 3/10, depuis 2 à 3 jours. A l'admission, le patient est pâle. Le status d'entrée est dans la norme. Mr. Y bénéficie de la transfusion d'un culot érythrocytaire le 15.04.2019, avec une hémoglobine qui remonte à 88 g/l. Le laboratoire ne met pas en évidence de carence en vitamine B12 ou en acide folique. Nous mettons en suspens la Novalgine, sans majoration des douleurs par la suite. Compte tenu du bilan biologique rassurant et de l'absence de méléna depuis le 13.04.2019, Mr. Y peut regagner son domicile le 18.04.2019. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 24.04.2019. En cas de récidive de saignement, un CT abdominal est proposé en vue d'une embolisation. Mr. Y a été opéré le 16.05.2019 d'une appendicectomie par voie laparoscopique, sans complication. Le 19.05.2019, le patient se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales mal contrôlées par l'antalgie post-opératoire, accompagnées d'un ballonnement nouveau, d'une inappétence et d'un état fébrile à 38,3°, ainsi que frisson solennel. Les douleurs se localisent au niveau ombilical et abdominal bas.A l'entrée, les cicatrices de laparoscopie sont calmes, les points de suture sont en place. L'abdomen est diffusément douloureux, particulièrement en fosse iliaque gauche, en sus-pubien et en fosse iliaque droite, sans défense, ni détente. Le toucher rectal est dans la norme. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique révèle une leucocytose à 17,8 G/l, des neutrophiles à 15 G/l, ainsi qu'une CRP à 350 mg/l. Un CT abdominal est effectué, permettant de poser le diagnostic et l'indication opératoire. Le 20.05.2019, le Dr. X procède à une reprise au bloc opératoire et lavage des trois abcès, puis mise en place de deux drains Jackson-Pratt. Une antibiothérapie intraveineuse par Imipenem 4 x 500 mg/jour est instaurée. L'évolution est favorable, le séjour se déroule sans complication, avec bon contrôle de l'antalgie. Devant l'amélioration tant clinique que biologique, les drains sont retirés le 27.05.2019 et Mr. Y peut retourner à domicile. L'antibiothérapie est relayée per-os à raison de Ciproxine 2 x 500 mg/jour et Flagyl 3 x 500 mg du 28 au 30.05.2019. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à une cardiopathie ischémique valvulaire et tritronculaire avec atteinte du tronc commun. Son traitement à l'entrée est composé de : Aspirine Cardio 100 mg, Sintrom 1 mg selon schéma pour 3 mois, Atorvastatine 40 mg, Pantozol 40 mg, Cordarone 200 mg pour 3 mois, Supradyn 1 cp/j pour 1 mois, Allopurinol 300 mg, Euthyrox 75 microg, Prednisone 1 mg pour 2 semaines et Dafalgan en réserve si douleurs. Le 26.03.2019, nous proposons au patient un traitement bêtabloqueur par Carvedilol, qu'il refuse. L'échographie transthoracique du 04.04.2019 montre une hypertrophie ventriculaire G relative avec composante ischémique antérieure et A-S, et une akinésie apicale antérieure; FEVG à 48%. Tout au long de la réadaptation, le patient est resté asymptomatique sur le plan cardiovasculaire. Aucun signe de décompensation cardiaque n'est relevé, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 30 minutes à une puissance de 45 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+150 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les FRCV ainsi qu'aux ateliers diététiques. Il a été suivi individuellement par notre diététicienne ainsi que notre ergothérapeute. Sur le plan des corrections des FRCV, la pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme pendant le séjour, un bilan lipidique sera à prévoir à 3 mois de l'opération. Sur le plan biologique : • Hb 117 g/l • fonction rénale normale avec une créatinine à 104 µmol/l • électrolytes dans la norme. L'examen clinique de sortie est dans la norme avec un statut de normo-compensation. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. Mr. Y est un patient de 76 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, institutionnalisé en EMS et porteur d'une sonde vésicale à demeure (vessie neurogène diabétique), qui nous est adressé en raison d'une macro-hématurie suite à un changement de sonde vésicale effectué le jour même associé à un écoulement sanguin par le méat après ablation de la SV. Une sonde vésicale 3 voies est mise en place et un rinçage en continu est commencé, avec une rapide amélioration de la macro-hématurie, permettant un arrêt du rinçage en continu après 24h et une réintroduction de Lixiana le 18.05.2019. Au vu de l'infection urinaire une antibiothérapie par Rocéphine est débutée le 15.05.2019, avec une bonne évolution clinique et biologique. Les urines restent claires et l'urotube effectué le 14.05.2019 revient positif pour un citrobacter freundii et quelques Gram positifs. Selon l'antibiogramme nous poursuivons un traitement de ceftriaxone avec par la suite un relais de ciprofloxacine. Mr. Y rentre à l'EMS le 22.05.2019. Un changement de la sonde 3 voies pour une sonde vésicale 2 voies (CH 18) est à prévoir (à l'EMS) dans 10 jours. Mr. Y, patient de 83 ans, est admis aux soins intensifs en surveillance post-opératoire d'une révision de prothèse totale de hanche gauche. Pour rappel, le patient est connu pour une implantation d'une PTH gauche en 2005 pour une coxarthrose. Au vu d'une métallose avec suspicion d'infection tardive, il bénéficie d'un débridement et lavage de l'articulation avec ablation des pseudo-tumeurs. Une antibioprophylaxie par Céfuroxime est introduite en per-opératoire sur demande des collègues orthopédistes. L'antalgie est gérée par une péridurale L2-L3 qui est retirée par les collègues d'anesthésie le 11.05.2019. Les analyses microbiologiques de la prothèse reviennent négatives. En post-opératoire immédiat, le patient développe une insuffisance respiratoire aigue obstructive qui est mise sur le compte d'une aggravation d'un œdème supraglottique déjà existant (contexte de cancer ORL en rémission). Une dose de Fortecortin est administrée et le patient est réintubé en salle de réveil. Aux soins intensifs, l'évolution sur le plan respiratoire est défavorable motivant une thérapie par Solumedrol 125 mg/j iv et échec d'une tentative d'extubation avec réintubation immédiate. Extubé à J4 post-opératoire, un Bilan ORL montre toujours un œdème laryngé avec un résidu de salive et de trouble de déglutition sévère. L'alimentation est assurée par une sonde naso-gastrique. Après discussion multidisciplinaire (ORL : Dr. X et orthopédiste), il a été décidé de ne plus réopérer le patient car une trachéotomie s'imposerait et serait impossible à refermer avec nécessité d'une trachéotomie définitive qui empêcherait fort probablement un retour à domicile. Suite à cette discussion, il a été convenu aussi de limiter l'attitude thérapeutique. Au cours de son séjour, le patient a présenté un NSTEMI probablement sur atteinte au niveau de l'IVA au vu de l'ETT qui met en évidence une akinésie apicale et hypokinésie du septum inférieur moyen, du septum moyen et de la paroi antérieure moyenne avec une FEVG à 35-40%. Un traitement conservateur est décidé. Un état confusionnel aigu après l'extubation dans le cadre postopératoire, puis une désorientation avec agitation nocturne est traitée par Quétiapine et Benzodiazépine. Une pneumonie nosocomiale sur broncho-aspiration est suspectée nécessitant l'introduction d'une antibiothérapie par Tazobac. Nous découvrons une luxation de la prothèse de hanche gauche le 18.05.2019 survenue probablement sur les états confusionnels. Il bénéficie d'une réduction sous sédation au bloc opératoire. L'état neurologique est resté fluctuant avec des épisodes itératifs de désaturation nécessitant de la VNI. Le 21.05, le patient développe une insuffisance respiratoire aigue suivie de bradycardie et asystolie. Vu l'attitude discutée, aucune manœuvre de réanimation n'est entreprise. Le patient décède rapidement le 21.05.2019. Mr. Y est connu pour une obésité morbide et des lombalgies depuis 2 ans, sans notion de chute ni de traumatisme. Une IRM effectuée il y a 10 jours a mis en évidence une hernie discale. Le patient est amené aux urgences en ambulance le 18.05.2019 en raison d'une péjoration des lombalgies, toujours sans notion de chute. Le patient ne rapporte pas de perte d'urines ni de selles, pas de trouble de sensibilité.A l'admission aux urgences le patient est normocarde et normotendu. Au status ostéo-articulaire, nous notons une douleur au niveau des fesses à la mobilisation des membres inférieurs. Le Lasègue est positif à gauche à 40°, positif à droite à 30°. Mr. Y reçoit du Dafalgan 1g, Sirdalud 4 mg et Ecofenac retard 75 mg per os avec une bonne réponse sur les douleurs ainsi qu'une protection gastrique par Nexium. Nous effectuons une radiographie de la colonne lombaire et du bassin qui montre des tassements d'allure ancienne au niveau de T11, L1 et L2. Le laboratoire met en évidence une hyponatrémie à 125 mmol/l hyperosmolaire le 18.05.2019 pour laquelle le patient est hydraté. Mr. Y est hospitalisé pour gestion de l'antalgie. Nous introduisons de l'Oxycontin, majoré progressivement à raison de 2 x 15 mg/jour. Devant l'inefficacité du traitement, nous contactons nos collègues du Team Spine qui recommandent l'introduction de Dexaméthasone 12 mg/j durant 4 jours puis d'instaurer un schéma dégressif. Nous introduisons également le Saroten à but antalgique avec de très bons effets. Un rendez-vous au Team Spine est également agendé pour le 13.06.2019. Le 29.05.2019 le patient présente un déficit de la motricité des releveurs des deux côtés (tableau radiculaire), évalué à M2 sur releveur du pied. La force est à M5 au quadriceps des deux côtés. Pas de Babinski, pas de Lasègue, pas de syndrome de queue de cheval. Les réflexes ostéotendineux sont absents. Pas de douleur. Le laboratoire ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire. Devant ce tableau clinique pouvant évoquer un syndrome radiculaire sur compression de L5 sur canal lombaire étroit, nous prenons contact avec notre collègue de la Spine Team de garde, le Dr. X, qui préconise un transfert aux urgences de l'HFR Fribourg. A l'HFR Fribourg, le tableau clinique est difficilement compréhensible, nos collègues nous conseillent un avis neurologique. Nous contactons donc la Dr. X, neurologue de garde, et un transfert en milieu universitaire est indiqué pour une prise en charge neurochirurgicale (geste de décompression). Mr. Y est donc transféré au CHUV depuis les urgences de l'HFR Fribourg le 29.05.2019. Mr. Y est un patient de 71 ans au bénéfice d'un appareillage par VNI depuis mai 2016, pour une insuffisance respiratoire globale sur syndrome d'obésité/hypoventilation sévère et syndrome d'apnée/hypopnée complexe du sommeil avec respiration de type Cheyne-Stokes sur une insuffisance rénale terminale, hémodialysée depuis 07.01.2015. Ces derniers mois, le patient explique avoir bien toléré sa VNI de type ASV. Pas de fuite, ni de zone de pression. Il rapporte de manière intermittente des signes d'hypercapnie avec céphalées en barre frontales matinales et hypervascularisation des conjonctives. Il rapporte avoir un sommeil de bonne qualité avec un coucher vers minuit-1h00, sans réveils nocturnes fréquents, ni symptômes pour des jambes sans repos. Il se réveille à 5h30 les jours de dialyse, 8h00 sinon. Il dort avec sa femme, ne prend pas de somnifères. Durant la journée, il n'a pas de somnolence diurne significative (Epworth à 3/24), aime faire une sieste de 1h30 par habitude. Il n'a pas de dyspnée limitant ses activités mais la mobilisation est difficile, avec deux cannes, à cause de gonarthrose bilatérale. Le poids sec actuel est de 107.3 kg (prise pondérale de 2.5 kg en 1 an). Le patient n'a pas présenté d'infection pulmonaire ces derniers mois. Il continue à conduire et n'a pas eu d'accident, ni ressenti de somnolence au volant. La polygraphie nocturne du 06.05.2019 montre une bonne prise en charge de ses événements respiratoires nocturnes avec un IAH résiduel à 8/h. Par contre, Mr. Y a une saturation moyenne de 88.7% avec une hypercapnie à 6.8 kPa, et passe > 40% de la nuit à des saturations en oxygène à < 88%. Au vues de comorbidités cardiologiques sévères, nous majorons l'aide inspiratoire maximale et recommençons une oxygénothérapie nocturne à 1l/min (NB : selon le patient, il n'avait pas toléré dans le passé l'oxygénothérapie à cause d'une somnolence importante). Les résultats obtenus de la 2e nuit sont de mauvaise qualité à cause de déconnexions récurrentes entre le masque et la VNI rendant l'interprétation limitée. Cependant, nous observons une amélioration globale de la saturation nocturne moyenne passant à 89.5% avec une hypercapnie à 6.5 kPa, et < 16% de la nuit à des saturations en oxygène à < 88%, sans mauvaise tolérance ressentie par le patient. Nous décidons de poursuivre la VNI nocturne avec ces derniers réglages et oxygénothérapie nocturne à 1l/min. Nous prendrons contact avec le patient par téléphone dans 2 semaines pour évaluer sa tolérance. Nous reverrons le patient à un an pour une hospitalisation élective dans notre laboratoire du sommeil afin de réitérer la polygraphie nocturne avec capnographie transcutanée. Dans l'attente nous restons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire, nous vous adressons, Monsieur et cher Confrère, nos meilleures salutations. Mr. Y est un patient de 79 ans, connu pour un anévrisme de l'aorte abdominale d'un diamètre de 5,33 cm en progression rapide et une occlusion complète de l'artère iliaque commune gauche dans un contexte d'artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade IIb. Le patient bénéficie d'un pontage aorto-bi-iliaque le 04.03.2019 et séjourne aux soins intensifs en post-opératoire pour un suivi hémodynamique. Après sevrage des amines et stabilisation sur le plan respiratoire avec un arrêt de la ventilation non invasive, le patient est transféré dans le service de chirurgie. Les suites opératoires sont par la suite simples. Sur le plan chirurgical, Mr. Y présente des signaux doppler des deux côtés, une laparotomie calme sans écoulement, sans signe inflammatoire. Le patient reprend un transit avec une augmentation progressive de l'alimentation et un sevrage de l'alimentation parentérale. Sur le plan volémique, il présente une surcharge d'environ 10 kg en post-opératoire. Dans ce contexte, le Torasémide est instauré que nous vous proposons d'arrêter par la suite. Au niveau respiratoire, le patient est stable après diminution de la volémie et un sevrage de la ventilation non invasive. L'antalgie péridurale est progressivement sevrée et la mobilisation est stimulée par la physiothérapie de façon quotidienne. Mr. Y bénéficie d'un traitement de Xarelto pour une fibrillation auriculaire connue. Lors du transfert à l'HFR-Tavel le 15.03.2019, le patient est encore sous héparine de bas poids moléculaire. Nous vous laissons le soin de reprendre dès le 15.03.2019 au soir son traitement anticoagulant usuel. Mr. Y, patient de 75 ans, est admis aux soins intensifs pour un NSTEMI. Il présente à son arrivée aux urgences des douleurs thoraciques nouvelles et son examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique et électrocardiographique d'entrée conclut à un NSTEMI avec cinétique positive des enzymes cardiaques. En raison d'un traitement au long cours par Aspirine pour une artériopathie oblitérante des membres inférieurs, il est décidé de ne pas effectuer de charge en antiagrégant plaquettaire avant la coronarographie. Le patient est admis aux soins intensifs en attente de cet examen invasif qui montre une occlusion fonctionnelle de la bissectrice qui est stentée avec un stent actif. Le FEVG est à 48% avec un aspect d'une aorte porcelaine et sclérose valvulaire aortique. La surveillance post-coronarographie aux soins intensifs est sans particularité. Le traitement cardio-protecteur est majoré avec introduction de bêta-bloquant et augmentation du traitement habituel d'Irbesartan. De plus, il bénéficiera d'une double antiagrégation pendant 6 mois puis poursuivra l'aspirine à vie. Il est ensuite transféré en médecine pour la suite de prise en charge.Sur le plan abdominal, le patient présente des douleurs peu claires épigastriques avec irradiation dans la nuque ressemblant aux douleurs engendrées par le NSTEMI. Le dosage des enzymes cardiaques retrouve une cinétique constamment descendante excluant un événement cardiaque. À noter que le patient est connu pour des douleurs abdominales traitées par IPP sans grand succès malgré une pH-métrie réalisée l'année passée montrant une bonne réponse somatique au traitement. Nous concluons à une possible composante mixte des douleurs sur gastrite et fonctionnelles. Nous relayons son traitement d'ésoméprazole par du pantoprazole iv que nous changeons à la sortie pour du dexlansoprazole. Nous vous proposons de poursuivre le suivi de ces douleurs en ambulatoire. Sur le plan cardiovasculaire, il se plaint de douleurs intermittentes au point de ponction, en regard de l'hématome post-ponction. Celui-ci ne révèle pas de souffle et n'est pas pulsatile, cependant l'on note une induration douloureuse compatible avec des adénopathies que nous vous proposons de contrôler à distance une fois l'hématome résorbé. Sur le plan respiratoire, l'auscultation pulmonaire démontre une respiration sifflante chez un patient avec BPCO non stadée. Nous introduisons un traitement de fond par sérétide en sus des aérosols de réserve. En raison de l'amélioration clinique, le patient rentre à domicile le 31.05.19. Mr. Y, patient de 75 ans, est admis aux soins intensifs pour un NSTEMI. Le patient, porteur d'un trachéostome pour un antécédent de carcinome ORL traité dans les années 1990, est amené aux urgences pour des douleurs thoraciques. L'examen clinique est sans particularité à son arrivée. Le bilan biologique et électrocardiographique d'entrée conclut à un NSTEMI avec cinétique positive des enzymes cardiaques. Comme lésion coronarienne coupable, on découvre une sténose de la bissectrice qui a été stentée avec un stent actif. On note une atteinte coronarienne diffuse intermédiaire. Le FEVG est à 48%, sans signe de décompensation cardiaque. Nous proposons un contrôle d'échocardiographie dans un mois et une ergométrie dans une année. Le traitement cardio-protecteur est majoré avec introduction de bêta-bloquant et poursuite du traitement habituel d'Irbesartan. Ce traitement est encore à adapter lors d'une courte hospitalisation. La surveillance post-coronarographie aux soins intensifs est sans particularité. On note seulement un hématome fémoral droit avec une évolution clinique immédiate favorable après compression par Femostop. Mr. Y, un patient de 75 ans consulte pour une douleur cervicale antérieure gauche à caractère de serrement, qui l'ennuie depuis une année avec une augmentation de la douleur récemment. Il craint une récidive de fistule ou qu'elle ne se soit pas bien fermée après l'opération d'il y a 2 ans. Mr. Y est hospitalisé le 26.04.2019 en raison d'une baisse de l'état général progressive avec un maintien à domicile impossible dans les conditions actuelles. Il décrit une fatigue physique et morale de plus en plus présente, avec des difficultés au quotidien à s'assumer tout seul. À son entrée, le bilan biologique et radiologique sont dans la norme. Nous profitons du séjour pour réévaluer les besoins à domicile. Le patient n'est pas preneur d'un séjour en réhabilitation comme il a pu en bénéficier par le passé et aimerait rentrer au plus vite à la maison avec majoration des services à domicile. Dès la sortie, Mr. Y bénéficiera de Home instead 5j/7 pour ménage-lessive, courses et préparation du repas de midi et collation du soir de 11h à 13h, ainsi que de l'aide de Mme. Y de la CR idem 2j/7 (jeudi et vendredi ; 079 290 57 31). De plus, une aide pour la douche 2x/semaine a été instaurée. Sur le plan diététique, le patient présente un poids relativement stable. Il apprécie les compléments alimentaires (SNO) qu'il ne s'était plus procurés à domicile, c'est pourquoi nous répétons une commande de compléments alimentaires à raison de 3x/j pour le domicile. Nous notons une prise de poids de 1.0 kg en 7 jours durant son hospitalisation. Mr. Y rentre à domicile le 02.05.2019. Mr. Y se présentera soit aux urgences, soit à votre consultation en cas de nécessité. Mr. Y présente cliniquement une lésion du ligament croisé antérieur (probable rupture complète) associée à une éventuelle lésion du condyle fémoral externe. Je propose de bilanter son genou par IRM et je le revois le 29.5.19 pour discuter de la suite de la prise en charge. D'ici-là, poursuite du port de l'attelle Jeans, cannes anglaises et Clexane. Mr. Y présente une lésion isolée du ligament croisé antérieur du genou G associée d'une fracture d'impression du condyle fémoral externe sur une surface d'environ 1 cm2. Cette fracture d'impression n'est pas importante, l'os est impacté d'environ 2 mm seulement. Chez ce jeune patient qui présente une rupture complète du ligament croisé antérieur, une plastie ligamentaire est indiquée. Tout d'abord, le patient bénéficiera de physiothérapie pour dégonfler le genou afin de retrouver la mobilité. Je le revois dans un mois pour un contrôle clinique. La date opératoire est déjà programmée pour le 08.07.2019. Une plastie du ligament croisé antérieur par greffe de tendon quadriceps est prévue. Arrêt de travail attesté en accord avec le patient à 50% afin de pouvoir faire du home office. Mr. Y, connu pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, consulte les urgences le 28.04.2019 en raison d'un prurit généralisé apparu dès le 26.04.2019 accompagné de nausées sans vomissement et d'une fatigue. À l'anamnèse par système, le patient signale une pollakiurie, une algurie sans dysurie ainsi que des urines foncées. Il décrit également des douleurs des doigts au niveau des tophi goutteux. Pas d'état fébrile, pas de diarrhée avec plutôt une tendance à la constipation. Dernières selles ce matin. Pas d'autre plainte ni douleur. Pas de notion de contage, pas de voyage récent. Le patient n'a pas dormi dans un autre lit que le sien. Au niveau médicamenteux, introduction de la Clexane depuis le 23.04.2019 100 mg 1x/j sc à la place du Sintrom en vue de l'opération prévue le 29.04.2019 à HFR Riaz pour ablation des tophi goutteux du pied droit par Dr. X. Le patient a déjà eu de la Clexane par le passé sans réaction de la sorte. À l'admission aux urgences, Mr. Y est normotendu, afébrile et anictérique. Au status digestif, l'hémi-abdomen inférieur est discrètement douloureux à la palpation, sans défense ni détente. Murphy négatif. Toucher rectal sans particularité. Le reste du status d'entrée est dans la norme. Le laboratoire met en évidence une perturbation des tests hépatiques. Les paramètres pancréatiques sont dans la norme. Le sédiment urinaire est propre. Suspectant une cholécystite, nous demandons un avis au Dr. X, chirurgien de garde, qui propose de mettre le patient sous antibiothérapie par Rocéphine et flagyl dans l'attente de l'US abdominal. Ce dernier ne montre pas d'épaississement de la vésicule biliaire ni de dilatation des voies biliaires. Le doppler hépatique n'est pas réalisable en raison de la morphologie du patient. L'antibiothérapie n'est donc pas poursuivie. Nous retenons le diagnostic d'hépatite sur passage de calcul biliaire DD médicamenteuse sur Clexane et le patient est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Les traitements hépatotoxiques sont mis en pause (Clexane, Pantozol et Colchicine). La dose de Clexane du 28.04.2019 est déjà reçue. Le patient est hydraté par Ringer 1500 sur 24h en raison d'une insuffisance rénale aiguë.Durant le séjour, les paramètres de cytolyse et cholestase ainsi que l'insuffisance rénale aiguë s'améliorent. Nous reprenons un traitement anticoagulant par Arixtra 7.5 mg sc 1x/j. Les traitements par Pantozol et Colchicine sont repris le 01.05.2019. L'intervention chirurgicale du 29.04.2019 est annulée et repoussée au 02.05.2019 à 06:45. Le traitement par Arixtra sera poursuivi jusqu'au 30.04.2019. Le Sintrom sera à reprendre suite à l'opération en accord avec les recommandations des chirurgiens. Mr. Y peut regagner son domicile le 30.04.2019. Nous recommandons un suivi biologique à votre consultation à une semaine. Mr. Y, patient de 59 ans, aux antécédents susmentionnés, est admis en stroke unit monitorée pour une surveillance neurologique et hémodynamique post-lyse d'un AVC aigu ischémique sylvien droit (confirmé au CT-scan cérébral du 28.05.2019). Le patient présente le 28.05.2019, à 22 heures, un hémisyndrome sensitivo-moteur gauche. Sur indication du neurologue, une lyse intraveineuse est administrée aux urgences. A noter une chirurgie d'ablation de tophus au pied gauche il y a 2 semaines. Après le retour à domicile, le patient ne prend pas son traitement habituel de Sintrom. L'origine probable de l'AVC est donc cardio-embolique. L'échocardiographie transthoracique montre une FEVG à 33% et un anévrysme apical avec flux diminué, posant l'indication à une anticoagulation à vie et qu'il s'agira de reprendre à distance de la lyse. Le patient est aussi porteur d'un pacemaker dont l'interrogation ne montre pas d'épisodes d'arythmie. Toutefois, vu l'absence de sonde auriculaire, des passages en fibrillation auriculaire ne peuvent pas être exclus. Le bilan est ainsi complété par un Holter qu'il s'agira de pister. L'évolution neurologique est favorable sur le plan clinique avec un NIHSS initial à 10 points puis à 5 points en post-lyse à l'admission en stroke unit monitorée. A la sortie de la stroke unit monitorée, le NIHSS est à 4 points. Sur le plan radiologique, un CT-scan cérébral à 24h de la lyse montre des signes d'AVC constitué mais pas de transformation hémorragique. Suite à cette imagerie de contrôle, l'antiagrégation plaquettaire par Aspirine, indiquée pour sa maladie coronarienne, est reprise. Une anticoagulation thérapeutique sera à reprendre à distance de la lyse au vu de la cardiopathie associée. Concernant les tophi goutteux du membre inférieur gauche, nous introduisons une antalgie par opioïdes (Oxycontin/Oxynorm), en plus de la colchicine. L'évolution est favorable et le patient est transféré le 30.05.2019 en stroke unit non-monitorée pour suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 41 ans, aux comorbidités susmentionnées, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'une obésité sévère. Il bénéficie d'un bypass gastrique laparoscopique le 24.04.2019, qui se déroule sans complication notable. Les suites opératoires sont simples et l'évolution clinico-biologique est favorable, permettant un retour à domicile le 26.04.2019. Il sera revu à la consultation du Dr. X pour contrôle le 23.05.2019. Mr. Y est un patient de 59 ans sans antécédent cardio-vasculaire qui est adressé de Riaz pour un STEMI inférieur le 02.05.19. Il a présenté des douleurs rétro-sternales motivant sa consultation aux urgences de Riaz. La coronarographie réalisée en urgence met en évidence une maladie bitronculaire avec une occlusion thrombotique de l'artère coronaire droite, traitée par thrombectomie et implantation d'un stent actif, ainsi qu'une sténose à 60% de l'artère circonflexe. La fonction ventriculaire gauche est à 60%. Durant le séjour aux soins intensifs, le patient ne présente plus de douleur typique et reste stable sur le plan hémodynamique. On relève une salve de tachycardie ventriculaire durant la nuit du 02.05.19, hémodynamiquement bien supportée et non ressentie par le patient. Une dose unique d'amiodarone et de magnésium est administrée, sans récidive du trouble rythmique. Un traitement d'IEC, bêta-bloquant, aspirine et de brilique est débuté. A noter que le traitement de Brilique devra être pris durant un an. Le bilan biologique met en évidence une HbA1c à 5.7% et une hypercholestérolémie motivant l'introduction de statine. Mr. Y est ensuite transféré le 04.05.2019 en médecine interne pour le début de la physiothérapie cardio-respiratoire. Celle-ci se déroule avec une évolution favorable, permettant le retour à domicile du patient devenu complètement aplaintif le 06.05.19. Il poursuivra la réhabilitation cardio-vasculaire en ambulatoire à la consultation de Riaz. Une nouvelle coronarographie est planifiée le 23.05.19 pour prise en charge de l'artère circonflexe. Mr. Y, 59 ans, est hospitalisé pour un STEMI inférieur sur occlusion de l'artère coronaire droite. Le patient a présenté des douleurs typiques en crescendo depuis 1 jour. Le bilan a mis en évidence un STEMI. La coronarographie réalisée en urgence a mis en évidence une maladie bitronculaire avec une occlusion thrombotique de la coronaire droite, traitée par thrombectomie et implantation d'un stent actif, et une sténose à 60% de la circonflexe, traitée conservativement. La fonction ventriculaire gauche est à 60%. Le pic de CK s'est élevé à 1995 U/l. La surveillance rythmique relève une salve de tachycardie ventriculaire non soutenue de reperfusion durant la nuit du 02.05.2019. Une dose unique d'amiodarone et du magnésium sont administrés, sans récidive de trouble rythmique. Un traitement d'IEC, bêta-bloquant et statine a été débuté. Le bilan biologique a mis en évidence une hypercholestérolémie et une HbA1c à 5.7%. Mr. Y a été transféré le 04.05.2019 en médecine interne pour adaptation du traitement lors de la remobilisation. Une réhabilitation cardiaque pourra être entreprise en ambulatoire par la suite. Mr. Y, suivi en infectiologie pour un VIH avec virémie basse et connu également pour un diabète de type 2, est amené aux urgences en ambulance le 19.04.2019 en raison d'un état fébrile à 38.5°C. Le patient rapporte un essoufflement à l'effort en péjoration avec une toux chronique. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système. A l'admission aux urgences, le patient est en bon état général. Il est apyrétique (état fébrile à 38.5°C dans l'ambulance). A l'auscultation pulmonaire, présence de ronchis en base gauche. Pas de signe de détresse respiratoire. Le statut cardio-vasculaire et abdominal est dans la norme. Au statut cutané, on note une petite lésion du mollet gauche en supra-malléolaire médial, d'environ 2 cm carré type dermabrasion, avec exsudat sérum. Berges non inflammatoires, pas de chaleur, pas de pus, pas de trajet lymphangitique. La radiographie du thorax est compatible avec une pneumonie basale gauche. Des hémocultures et une culture d'expectorations sont prélevées et nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv. L'évolution est rapidement favorable. Les hémocultures reviennent négatives à 5 jours et les cultures d'expectorations ne montrent qu'une flore bucco-pharyngée. L'antibiothérapie est passée par voie orale par Levofloxacine dès le 23.04.2019. Mr. Y peut regagner son domicile le 24.04.2019. Mr. Y est un patient de 41 ans aux antécédents susmentionnés, qui bénéficie d'un bypass gastrique proximal par laparoscopie le 06.05.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples avec une évolution favorable. Mr. Y rentre à domicile le 08.05.2019.Un rendez-vous de suivi chez le Dr. X est prévu le 06.06.2019 à 9h20. Nous laissons au patient le soin de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils. Mr. Y nous est adressé le 29.04.2019 par le service de chirurgie de l'hôpital cantonal de Fribourg suite à une angioplastie avec dilatation de l'axe fémoro-poplité et tibial antérieur gauche le 12.04.2019 en raison d'une ischémie critique du membre inférieur gauche le 11.04.2019. A l'entrée, le patient se plaint d'une gêne urétrale liée à la sonde urinaire. La fille rapporte une dyspnée à l'effort et un œdème des jambes chez son père. Elle nous explique en outre que le patient est alité depuis 4-5 mois et qu'il ne marche plus depuis 1-2 mois, avec un syndrome de glissement associé. Le reste de l'anamnèse n'est pas contributif. Mr. Y est en état général diminué. Nous notons un ralentissement moteur et cognitif, avec une thymie réduite. Le patient est marié, a 4 enfants et habite avec son épouse dans une maison avec 5 marches d'escalier. Avant l'hospitalisation, le patient était complètement dépendant du niveau des AVQ et AiVQ. Il se mobilisait (quand il sortait du lit) avec une chaise percée. • Ad diagnostic principal Les nécroses des orteils s'améliorent lentement. Mr. Y ne présente pas de douleurs au niveau des membres inférieurs durant son séjour chez nous. Après discussion avec les angiologues, la double anti-aggrégation peut être relayée par Plavix seul après 1 mois. • Ad diagnostic supplémentaire 1 et complication 1 L'hématurie, attribuée à la double antiagrégation instaurée après revascularisation des membres inférieurs, cesse spontanément. Les douleurs au bas-ventre disparaissent après retrait de la sonde urinaire. Une analyse d'urine pathologique, associée à une leucocytose et une CRP élevée, nous motive à débuter une thérapie par Ceftriaxone, relayée par Ciprofloxacine avec une bonne évolution clinique et biologique. • Ad diagnostic supplémentaire 2 et complication 2 La péjoration de la fonction rénale, d'origine pré-rénale, est traitée par la mise en suspens des traitements par Métolazone et Torasémide, avec une très bonne amélioration. Le patient ne présente par ailleurs pas de décompensation cardiaque après mise en pause de ces traitements. En fin d'hospitalisation, nous notons une hyperkaliémie, raison pour laquelle nous arrêtons l'Aldactone et réinstaurons le Torasémide, avec une dose journalière de Resonium. Nous vous laissons le soin de réévaluer le traitement diurétique et de contrôler la concentration plasmatique de potassium dans les prochains jours. • Ad diagnostics supplémentaires 3 et 4 A noter que l'état physique et psychique du patient s'améliore suite au traitement des problèmes sus-mentionnés. • Ad diagnostic secondaire 5 L'hémoglobine reste stable. • Ad diagnostic secondaire 6 La vitamine D est substituée. Parallèlement à sa prise en charge médicale, Mr. Y bénéficie durant son séjour de physio- et ergothérapie intensives. A l'entrée, la mobilité du patient est modérément limitée avec un risque de chute prononcé, avec un Tinetti à 11/28. Le patient a besoin d'aide de contact pour faire les transferts et marcher 20 m avec un rolateur. Durant le séjour, le patient est motivé à entraîner son endurance au MotoMed, mais il refuse souvent l'entraînement à la marche. Pour cette raison, nous n'observons pas de progrès fonctionnels. En fin de séjour, le patient a besoin d'aide de contact pour les transferts et pour marcher 5 m avec un rolateur. Le risque de chute est très élevé avec un Tinetti à 7/28. Après discussion avec la famille et avec le patient, un retour à domicile avec réactivation des soins à domicile est décidé. Mr. Y peut regagner son domicile en état général amélioré le 16.05.2019. Mr. Y, requérant d'asile, connu pour des troubles psychiques avec plusieurs tentatives de suicide, est amené aux urgences en ambulance le 20.05.2019 suite à un tentamen médicamenteux, lors d'une fugue du RFSM CSH Marsens, où il est hospitalisé sous PAFA. A l'admission aux urgences, le patient est normocarde à 98 bpm, normotendu à 135/67 mmHg, eupnéique à 23 min, afébrile à 35,9°C et sature à 98% à l'air ambiant. Au status neurologique, Glasgow à 15/15, pupilles en légers myosis, nerfs crâniens dans la norme. Force, tonus et sensibilité conservés aux quatre membres. Sur le plan cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, sans souffle surajouté. Pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Pas d'œdème des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique, sans râle de stase ni sibilance. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore. Palpation d'une masse d'environ 3 cm de diamètre au niveau du flanc gauche. Au niveau urogénital, les loges rénales sont souples et indolores. Le laboratoire met en évidence une légère hypokaliémie à 2.9 mmol/l que nous substituons par voie intraveineuse et un TP spontané à 66%. Pas de perturbation des tests hépatiques et pas de syndrome inflammatoire. L'hémoglobine est dans la norme. L'ECG ne montre pas d'allongement du QTc avec présence d'ondes U en lien avec l'hypokaliémie. Au vu de la prise de médicaments à des dosages potentiellement toxiques, nous contactons le Tox Info Suisse qui recommande la prise de charbon actif jusqu'à 12 heures post-prise médicamenteuse ainsi que du Fluimicil avec arrêt si le taux de paracétamol est normal à 4 h post-prise. Un contrôle à 4 heures montrant un taux de paracétamolémie normal à 18.2 mg/l, le Fluimucil est arrêté. Un deuxième taux de paracétamolémie effectué 20 heures après la prise est également normal. Sur le plan abdominal, nous mettons en évidence une masse au niveau du flanc gauche, d'origine indéterminée, d'environ 3 cm de diamètre et douloureuse à la palpation. Sur avis du Dr. X, chirurgien, nous effectuons un ultrason qui montre une masse tissulaire sous-cutanée d'origine indéterminée. Après une nuit de surveillance en lit d'observation aux urgences, le patient n'a pas de plainte et le status somatique est dans la norme. Le laboratoire de contrôle montre une bonne fonction rénale, des tests hépatiques dans la norme, pas de trouble de la crasse, de trouble ionique ni de syndrome inflammatoire. Mr. Y est réadmis au RFSM CSH Marsens, unité Hermès, le 21.05.2019, pour la suite de la prise en charge psychiatrique. Mr. Y, patient de 54 ans, est admis aux soins intensifs en post-opératoire pour surveillance neurologique suite à une reconnection en semi-urgence d'un drain ventriculo-atrial. Le patient est connu pour une hydrocéphalie sur sténose de l'aqueduc de Sylvius et porteur d'une DVP depuis 2016, qui a dû être révisée à plusieurs reprises, et finalement changée pour un drain ventriculo-atrial en janvier 2019. Le patient présente depuis environ 3 semaines une clinique d'hydrocéphalie avec céphalées en augmentation. Il va consulter où une déconnection du drain est mise en évidence. Devant une attente trop importante pour être opéré, le patient quitte par ses propres moyens le 28.05.2019 pour se rendre à l'HFR. L'équipe de neurochirurgie prend en charge le patient en semi-urgence. En per-opératoire, le drain ventriculaire est trop profond. Il touche le mésencéphale et est déconnecté de la tubulure et de la valve. Après avoir récupéré le drain, celui-ci est reconnecté à la valve qui reste perméable. Le patient est ensuite admis aux soins intensifs en surveillance post-opératoire. La surveillance clinique et biologique est sans particularité. L'antalgie est simple, une anticoagulation prophylactique est reprise à 24h de l'intervention et un contrôle radiologique par CT-scan cérébral montre un bon positionnement du drain.L'évolution est favorable et le patient est transféré à l'étage de chirurgie pour suite de prise en charge. Mr. Y, connu pour un adénocarcinome pancréatique avec un status post-cholangite en octobre 2018, consulte les urgences de l'HFR Fribourg le 29.04.2019 en raison de douleurs oncologiques en péjoration depuis le 27.04.2019. A noter que suite à une consultation avec le Dr. X le 24.04.2019, le Tramal a été relayé par le Targin 20/10 2x/jour, traitement que le patient n'aurait pu obtenir que le 27.04.2019. Mr. Y rapporte des douleurs connues, partant de l'hypochondre droit et irradiant dans l'épaule et le bras droits, non insomniantes mais plus fréquentes et plus fortes qu'habituellement. Il se sent faible, fatigué et rapporte une perte pondérale de 3 kg en une semaine. Il signale également un état fébrile à 38,4°C, sans piste anamnestique ainsi qu'une toux sèche chronique. Pas de céphalée, pas de dyspnée, pas de diarrhée ni de dysurie. A l'admission aux urgences de l'HFR Fribourg, Mr. Y est en état général diminué. Il est eupnéique et anictérique. Au status digestif, la palpation abdominale est souple et indolore. Le Murphy est négatif. A l'auscultation pulmonaire, présence de quelques râles crépitants en base droite. Le reste du status d'entrée n'est pas contributif. En raison d'une clinique rassurante, de l'absence d'état fébrile et de syndrome inflammatoire franc ainsi que d'un bilan biologique mettant en évidence une amélioration des tests hépatiques, un CT scan abdominal n'est pas effectué. L'antalgie est majorée avec de la Morphine et le patient est transféré à l'HFR Riaz pour la suite de la prise en charge. A l'arrivée dans notre service, Mr. Y est stable et les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Il n'a pas de plainte et l'examen clinique est superposable à celui effectué aux urgences de l'HFR Fribourg. Le 01.05.2019, le patient présente des frissons solennels associés à un état fébrile à 38,5°C, sans symptôme associé et avec un status qui n'est pas contributif. Nous décidons de prélever deux paires d'hémocultures et de débuter une antibiothérapie par Tazobac 4,5 g iv 3x/jour. Le laboratoire de contrôle du 02.05.2019 met en évidence une CRP stable à 71 mg/l, sans leucocytose ainsi que des tests hépato-pancréatiques en amélioration. Les hémocultures reviennent positives pour E. coli multisensible. Nous poursuivons l'antibiothérapie par Tazobac iv avec une évolution favorable et un patient qui reste afébrile. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie mise en place. Le 04.05.2019, l'antibiothérapie est passée per os par Ciprofloxacine et Flagyl, à poursuivre jusqu'au 15.05.2019. Mr. Y peut regagner son domicile le 05.05.2019. Il sera revu en ambulatoire par le Dr. X et le Dr. X et bénéficiera du passage de l'équipe de Voltigo à domicile. Mr. Y souffre d'un épanchement articulaire du genou gauche qui est probablement dû à la gonarthrose du compartiment fémoro-tibial interne. Comme diagnostic différentiel, il faut retenir une crise de goutte chez un patient connu pour une hyperuricémie. Je propose dans un premier temps une ponction articulaire, +/- infiltration par Cortisone du genou gauche en fonction de l'aspect clinique du liquide lors de la ponction. Si ce liquide s'avère trouble, nous allons d'abord faire une culture bactérienne avant d'injecter de la Cortisone. Le patient est d'accord avec cette attitude. La ponction et l'infiltration sont prévues pour le 15.05.2019 à l'HFR Riaz. Mr. Y est un patient de 55 ans hospitalisé le 07.05.2019 pour la prise en charge chirurgicale d'un adénocarcinome moyennement différencié du rectum à 15 cm de la marge anale cT3 N+ par réalisation d'une résection antérieure basse avec iléostomie de protection, au terme d'un traitement néo-adjuvant par radiothérapie et chimiothérapie avec du Xeloda. Les suites opératoires sont simples tant sur le plan clinique que paraclinique avec une gestion quasi-autonome de l'iléostomie à la sortie du patient qui rentre à domicile le 14.05.2019. Il sera suivi à la consultation du Dr. X le 24.06.2019 à 10h30 et son cas sera présenté au TumorBoard du 22.05.2019. Mr. Y, patient de 77 ans, est ré-admis le 11.05.2019 aux soins intensifs pour une hémorragie digestive haute. Pour rappel, le patient, connu pour une insuffisance rénale chronique sur rein unique, est hospitalisé depuis le 26.04.2019 pour une décompensation cardiaque avec mise en évidence d'une cardiomyopathie valvulaire (insuffisance mitrale modérée) et ischémique (maladie bi-tronculaire avec sténose significative des artères coronaires droite et circonflexe). L'indication à un pontage aorto-coronarien est retenue et une double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine et Clopidogrel est débutée dans l'attente de la prise en charge chirurgicale. A environ 10 jours de l'introduction du traitement antiplaquettaire, le patient présente plusieurs épisodes de méléna. Le suivi biologique montre une chute importante de l'hémoglobine mais sans instabilité hémodynamique. Une hémorragie digestive haute est suspectée. Dans ce contexte le patient est admis aux soins intensifs pour un soutien transfusionnel dans l'attente des investigations gastro-entérologiques. Lors du séjour aux soins intensifs, nous n'objectivons pas de récidive de saignement digestif. D'un point de vue biologique, l'hémoglobine reste stable après la transfusion de 2 concentrés érythrocytaires. La double anti-agrégation plaquettaire est mise en suspens. Le traitement de Pantozol en ivc introduit à l'étage de médecine est poursuivi et sera à adapter selon les résultats de l'oesogastroduodénoscopie qui est prévue pour le 13.05.2019. Vu l'évolution clinique et biologique favorable, le patient est re-transféré le 12.05.2019 en attente de l'oesogastroduodénoscopie. L'examen est demandé pour le 13.05.2019 mais les modalités pratiques restent à organiser avec l'équipe de gastroentérologie. A noter qu'une consultation d'anesthésie en vue de l'intervention est en cours. Mr. Y, 77 ans, est hospitalisé dans notre service de Chirurgie pour prise en charge d'une sténose asymptomatique de 70% de l'artère carotide interne droite. Il bénéficie le 20.05.2019 de l'intervention susmentionnée. L'évolution post-opératoire est favorable, le doppler de contrôle des vaisseaux pré-cérébraux effectué le 22.05.2019 (Dr. X) montre une bonne perméabilité sans sténose post-opératoire. Le contrôle neurologique est également normal. Le patient rejoint son domicile le 23.05.2019. Il sera vu à la consultation de chirurgie vasculaire par l'opérateur (Dr. X) le mardi 20.08.2019 à 11h30. Mr. Y, patient de 65 ans, connu pour syndrome myéloprolifératif, un adénocarcinome pulmonaire métastatique et un adénocarcinome du sigmoïde est hospitalisé électivement par son oncologue traitant (Dr. X) pour des oedèmes des membres inférieurs et ascite. Le bilan biologique initial révèle des troubles de la crase, une insuffisance hépato-cellulaire et rénale. Au vu des oedèmes et de l'ascite, connues dans le cadre de la myélofibrose, un syndrome de la veine cave inférieur est suspecté. L'ultrasonographie montre des vaisseaux hépatiques (tronc porte et veines sus-hépatiques) ainsi que ceux des membres inférieurs perméables. Un CT injecté à la recherche d'une compression n'a pu être réalisé au vu de l'insuffisance rénale. Durant l'hospitalisation, ce patient bénéficie d'une ponction d'ascite qui permet d'évacuer 4.5L et d'exclure une péritonite bactérienne spontanée. Directement après la ponction le patient est soulagé et ses douleurs abdominales diminuent.Le 15.05.2019, le patient présente une diminution de son état général avec le développement d'un choc septique. Après discussion avec le patient et ses proches, au vu des comorbidités et de la qualité de vie du patient, nous décidons, en accord avec la famille, d'un retrait de soins thérapeutiques et de passage en soins de confort. Mr. Y décède paisiblement vers 14h le jeudi 16.05.2019 entouré par ses proches. Mr. Y présente une rupture du LCA associée à une lésion de la corne postérieure du ménisque externe. L'indication pour une arthroscopie du genou, +/- résection partielle du ménisque externe, +/- suture du ménisque externe combinée à une plastie du LCA par greffe de tendon quadriceps est donnée. Le patient est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci et il nous donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention est prévue pour le 27.5.2019. Jusque-là, le patient continue la physiothérapie. Il sera encore vu au service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mr. Y, 31 ans, est hospitalisé aux soins intensifs le 30.04.2019 dans le contexte d'une décompensation acido-cétosique d'un diabète inaugural. Pour rappel, le patient présente une polydipsie et polyurie depuis 3 semaines et une perte de poids involontaire de 15 kg en 1.5 mois. Le 29.04.2019, il débute un traitement par Zithromax par son médecin traitant pour une suspicion d'angine à Streptocoque. Lors de cette consultation, un bilan biologique retrouve une glycémie à 21 mmol/l. Au service des urgences, une hyperglycémie est confirmée ainsi qu'une acidose métabolique. Le patient est mis sous hydratation et insuline en iv continu avant un relais par Insulatard dès le 01.05.2019 puis Tresiba dès le 06.05.2019. Un bilan auto-immun montre des Ac Anti-GAD positifs, ce qui confirme la maladie de DM type I. Durant le séjour, Mr. Y reçoit un enseignement par l'équipe de diabétologie afin d'être autonome dans la gestion de son insulino-thérapie au moment de sa sortie. Le 08.05.2019, Mr. Y peut regagner son domicile avec un état général amélioré. Un suivi ambulatoire en diabétologie est déjà organisé. Mr. Y, 73 ans, est hospitalisé pour ERCP en raison d'un ictère fébrile et cholestatique. Le patient est connu pour un adénocarcinome du côlon ascendant métastatique au niveau hépatique et rétro-péritonéal et a présenté 2 épisodes de cholangite sur compression métastatique nécessitant la pose de stents, le dernier le 18.04.2019. L'intervention se déroule sans particularités avec mise en place d'un stent métallique. Au vu d'un tableau clinique typique de cholangite obstructive, le patient est mis sous traitement antibiotique par Ceftriaxone et Métronidazole, malheureusement sans hémoculture préalable. Tenant compte de la documentation microbiologique obtenue lors des épisodes de cholangite précédents, à savoir bactériémie à Enterococcus faecalis et Enterococcus gallinarum, les deux sensibles à l'Ampicilline, nous décidons de le traiter empiriquement par de la Co-Amoxicilline. L'évolution clinique et biologique est excellente. En cas de choléstase à ictère et/ou état fébrile, une nouvelle ERCP est à envisager (cf rapport ERCP). Sur le plan hématologique, le patient présente, dans le contexte infectieux, une aggravation de son anémie connue et bénéficie de l'administration de 2 culots érythrocytaires. Sur le plan oncologique, un CT thoraco-abdominal effectué durant le séjour montre une stabilité radiologique des multiples métastases connues. Mr. Y rentre à domicile le 20.05.2019. Il bénéficiera d'un suivi oncologique en ambulatoire. Mr. Y est un patient de 72 ans, qui est hospitalisé dans notre service pour une surveillance hémodynamique et biologique dans le cadre d'une hématochézie dans un contexte de double anti-agrégation post-NSTEMI et mise en place d'un stent actif le 02.04.2019. La rectosigmoïdoscopie ne montre pas de source claire pour le saignement, qui cesse spontanément par la suite. Nous recommandons une colonoscopie qui, après récidive des saignements sans incidence biologique, sera réalisée après préparation le 21.05.2019 et retrouvera une maladie diverticulaire sigmoïdienne sans saignement actif. Le patient est averti des conséquences de cette maladie et de la possibilité d'une récidive mineure des saignements dans le cadre de cette double anti-agrégation et il rentre à domicile le 21.05.2019. Mr. Y, patient de 80 ans, est transféré des soins intensifs en médecine le 13.05.2019 suite à une syncope sur fibrillation auriculaire bradycarde, pour laquelle il a bénéficié d'une pose de pacemaker avec une surveillance rythmique aux soins intensifs. Pour rappel, le patient est amené en ambulance le 12.05.2019 suite à une perte de connaissance avec chute et traumatisme crânien à son domicile. Une anticoagulation par Sintrom est débutée, le relais est effectué par Clexane. Au CT cervico-cérébral du 11.05.2019 dans le cadre du bilan de traumatisme crânien, on trouve de manière fortuite une sténose asymptomatique de l'artère carotide interne à 70% à droite. Une échographie Doppler des vaisseaux pré-cérébraux le 14.05.2019 montre une sténose à 60%, ne nécessitant pas d'intervention actuellement. Une surveillance du LDL cholestérol par le médecin traitant est recommandée ainsi qu'un contrôle par écho-Doppler des vaisseaux pré-cérébraux à 6 mois. Un anévrisme de 13 x 8 mm dans l'artère cérébrale moyenne droite à la jonction du territoire M1-M2 est également mis en évidence de manière fortuite au CT. Sur avis du Dr. X de neurochirurgie, la suite de la prise en charge et le bilan doivent être complétés dans les deux semaines à la consultation du Dr. X à l'Inselspital Bern. Le patient sera convoqué par le service de neurochirurgie de Berne, mis au courant de la situation par téléphone et mail. Mr. Y est averti de la convocation ainsi que des différents rendez-vous à prendre et rentre à domicile le 15.05.2019. Mr. Y, patient de 77 ans connu pour un myélome multiple IgG lambda, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique cérébelleux gauche d'origine cardio-embolique dans un contexte procoagulant le 16.05.2019, survenu sous Pradaxa. L'anamnèse révèle des vertiges rotatoires d'apparition brutale, accompagnés de troubles de la marche. Aux urgences, l'évaluation neurologique révèle une dysarthrie modérée et un syndrome ataxiant à gauche. Le CT cérébral révèle une hypodensité cérébelleuse gauche dans le territoire de l'AICA. Nous retenons une origine vraisemblablement cardio-embolique dans un contexte procoagulant. L'anticoagulation thérapeutique est reprise selon avis neurologique avec relais par le Pradaxa le 17.05.2019. L'IRM cérébrale est demandée, actuellement en attente. Sur le plan hémodynamique, le traitement bêta-bloquant est repris à demi-dose pour éviter un effet rebond. La posologie est à adapter selon l'évolution. Le suivi neurologique se révèle être sans particularité, permettant un transfert en stroke unit non monitoré le 17.05.2019. L'évaluation clinique confirme une parésie faciale gauche mineure, une dysarthrie compréhensible et un syndrome ataxiant à gauche lors du transfert (compatible avec un NIHSS à 4 points). Mr. Y, 77 ans, connu pour une FA anticoagulée par Pradaxa à 110 mg 2x/j et deux AVC ischémiques avec un dernier en 2018, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique subaigu cérébelleux gauche. Pour rappel, le patient consulte en raison des vertiges rotatoires d'apparition brutale, accompagnés de troubles de la marche. Au service des urgences, il présente une dysarthrie légère, une ataxie du MSG et du MIG. Le CT cérébral révèle une hypodensité cérébelleuse gauche avec une zone limitée de pénombre sur les cartes de perfusion. Pour la suite, l'IRM cérébrale montre un AVC ischémique subaigu cérébelleux gauche au niveau du territoire de la PICA à gauche.Après avoir dosé l'activité anti-IIa avec un résultat dans le cible thérapeutique, en accord avec le Dr. X (hématologue), nous adaptons son traitement par Pradaxa à 150 mg 2x/j, étant donné la récidive d'AVC sous la posologie inférieure 110 mg 2x/j. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique du 19.03.2019 montre une bonne fonction cardiaque sans dilatation de l'oreillette gauche ni de thrombus ou d'autre anomalie structurelle. Le contexte oncologique avec un état pro-coagulant ainsi que l'origine cardio-embolique avec une FA connue, malgré l'anti-coagulation déjà présente, sont les étiologies plus probables. Des rendez-vous de suivi en cardiologie et en hématologie sont organisés. Au bilan neuropsychologique révèle une mémoire verbale abaissée, ainsi que de très discrètes difficultés mnésiques et exécutives sans autres troubles cognitifs. Dans ce contexte, la conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. L'évolution clinique est favorable avec un status neurologique somatique de sortie dans la norme. Mr. Y peut regagner son domicile le 22.05.2019. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y, âgé de 27 ans, nous est adressé par l'HFR Riaz suite à un AVP survenu le 07.03.2019. Le patient était en train de traverser la route à pied et une voiture l'a percuté sur le côté gauche au niveau des membres inférieurs. En résulte une fracture du processus transverse de C2 D avec extension au niveau du foramen, fracture sous-chondrale du plateau tibial extérieur, entorse LLI stade 2 et contusion condyle fémoral interne, le tout au genou G. Sur le plan social, Mr. Y vit avec son épouse à domicile. Il est à l'AI et travaille comme menuisier à l'Estompille. A l'admission, le patient se plaint de douleurs cervicales et de gonalgies bien contrôlées par l'antalgie en place. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au status, le patient est orienté et collaborant. Il est porteur d'une minerve rigide et d'une attelle articulée au genou G dont la mobilité en passif est de 80-0-0. Sur le plan neurologique, nous relevons un hémisyndrome moteur D connu. Nous retenons une fragilité sur le plan psychique aggravé par les circonstances de l'accident qui a nécessité un suivi psychothérapeutique de soutien de la part de la Dr. X, psychiatre de liaison. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche sur surface instable avec 2 cannes anglaises et la marche sans moyen auxiliaire autour de l'hôpital (10-15 min). Il réagit bien aux changements de surface et à la marche sans CA sur sol plat. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension du genou G à 90-0-0 en actif et passif. Après 7 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 03.05.2019, en bon état général. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y, 88 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique et respiratoire dans le contexte d'une embolie pulmonaire centrale et bilatérale. Le patient s'est présenté aux urgences en raison d'une douleur rétro-sternale respiro-dépendante et non-irradiante ainsi qu'une dyspnée NYHA de stade 4. Un CT thoracique permet de diagnostiquer une embolie pulmonaire centrale bilatérale. Une ETT confirme une répercussion cardiaque droite. Le patient ne présente pas d'instabilité hémodynamique clinique. Le patient bénéficie d'une anticoagulation par Héparine IV continue dès le 29.05.2019 avec relais per os par Xarelto dès le 30.05.2019 soir. La surveillance hémodynamique et rythmique se déroule sans particularité. L'oxygénothérapie peut être progressivement diminuée et la mise au fauteuil n'entraîne pas d'hypotension. Aucune étiologie n'est retrouvée pour le moment, un dosage du PSA est en attente. Une lésion rénale droite est découverte fortuitement au CT thoracique selon transmission orale. Vu l'âge du patient, des investigations ne semblent pas forcément nécessaires. Mr. Y souffre de gonalgies gauches d'origine indéterminée. On peut le voir dans le contexte d'un épanchement articulaire dû à une lésion dégénérative de la corne antérieure du ménisque externe. De manière générale, on note une amélioration globale. Le patient est asymptomatique au niveau du ménisque externe. A l'examen clinique, il n'y a plus l'épanchement articulaire visible sur l'IRM du mois de mars. Pour le moment, je n'ai pas de proposition thérapeutique. En accord avec le patient, nous allons attendre de voir l'évolution spontanée. En cas de persistance de douleurs, je le reverrai dans 6 semaines pour une réévaluation clinique. Si les douleurs disparaissent, le patient annulera ce rendez-vous. Pas d'arrêt de travail. Prochain rendez-vous le 10.07.2019. Mr. Y, âgé de 74 ans, connu pour une BPCO stade III selon GOLD, une maladie de Parkinson et des chutes à répétition avec multiples tassements vertébraux, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une neuro-réadaptation suite à une chute à domicile avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle avec réception sur le vertex le 16.04.2019. Pour rappel, le patient aurait chuté à domicile avec un traumatisme crânien et une amnésie circonstancielle sans DRS ou prodromes associés. Absence d'élément en faveur d'une origine épileptique hormis 1 épisode de perte de selles. Absence de déficit neurologique focal à l'entrée, hormis dysarthrie connue. Signes d'obstruction pulmonaire à l'auscultation. Sur le plan social, le patient, divorcé, vit seul à domicile. Il est à la retraite (ancien directeur de vente). A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. A l'anamnèse par systèmes, le patient se plaint de douleurs au dos (lieu de la réception lors de la chute). Au status, le patient est désorienté (temps/espace) et collaborant; il présente un ralentissement psychomoteur. Nous relevons une démarche parkinsonienne à petits pas. Pas de roue dentée aux 4 extrémités. Pas de tremblements. La force et la sensibilité sont conservées. Nous ne notons pas de tremblements de repos. La percussion des épineuses dorsales est indolore. Durant son séjour, il a présenté une évolution favorable sur le plan des douleurs et une amélioration de l'autonomie. Une évaluation logopédique a mis en évidence une dysarthrie modérée, caractérisée par une péjoration par rapport à l'examen de juillet, avec un flou articulatoire important (imprécisions des consonnes et voyelles), avec dégradation sur la durée, altérant parfois l'intelligibilité, un nasonnement et une faible modulation de la hauteur. Sur le plan nutritionnel, le patient présente une malnutrition sévère avec un NRS à 5 et une perte de poids de 19% en 2 mois. Ses besoins étaient initialement couverts à 82% en énergie et 77% en protéines. Nous avons introduit un SNO pour combler le gap calorique et protéique. Mr. Y apprécie les SNO, nous en avons commandé pour le domicile et proposerons à la diététicienne de Nutradom de reprendre un suivi à domicile.Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie, ergothérapie et logopédie, avec une évolution favorable. À la sortie, il est indépendant pour les transferts sans moyen auxiliaire et pour la marche avec un rollator. Il peut monter/descendre les escaliers avec la rampe. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 15.05.2019, en état général conservé. À la sortie, les soins à domicile sont réactivés. Mr. Y sera revu pour une consultation interdisciplinaire avec le Dr. X le 26.06.2019 à l'HFR Billens. Mr. Y est un patient de 79 ans, connu pour une maladie coronarienne tritronculaire, porteur d'un pacemaker depuis 2007, également connu pour un adénocarcinome de la prostate en 2009 traité par radiothérapie, que vous nous adressez en raison de douleurs dorsales postéro-latérales droites survenues immédiatement suite à une chute mécanique le 06.05.2019. Il vous consulte en raison de la persistance des douleurs. Un CT effectué le 21.05.2019 met en évidence deux tassements d'allure ancienne au niveau de T 10 et T 12, ainsi qu'une fracture récente du tiers proximal de la 12 ème côte à droite. Mr. Y est hospitalisé pour antalgie. Pas d'argument pour fracture pathologique. Nous débutons initialement un traitement par Oxycontin et Oxynorm avec une rotation par MST continus 30 mg/jour le 26.05.2019 en raison de nausées importantes. Malgré vos propositions de poursuivre la physiothérapie et d'adaptation de l'antalgie, Mr. Y souhaite rapidement rentrer à domicile le 27.05.2019. Mr. Y, 76 ans, connu pour une hypertension artérielle traitée, est hospitalisé dans un contexte d'AVC hémorragique occipital gauche. Pour rappel, le patient est amené au service des urgences le 24.04.2019 en raison d'un état confusionnel persistant depuis la veille. À l'examen clinique, on retrouve un état confusionnel avec désorientation temporo-spatiale et une hémianopsie homonyme latérale droite. Le CT cérébral révèle un hématome occipital intra-parenchymateux sans signe d'engagement. Une indication chirurgicale n'est pas retenue et le patient est admis en observation en Stroke Unit monitoré. Au cours de la surveillance neurologique, il présente une péjoration de son état confusionnel avec des troubles phasiques plus marqués et une agitation psychomotrice. Un scanner cérébral de contrôle permet d'écarter une récidive de saignement ou un engagement. L'état neurologique reste fluctuant par la suite. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une oreillette gauche très dilatée et une masse calcifiée sur l'anneau postérieur avec sténose lâche de la valve mitrale. À l'EGC, un bloc auriculo-ventriculaire du premier degré est mis en évidence avec apparition par la suite de plusieurs épisodes de bradycardie asymptomatique transitoire. L'origine dernière reste indéterminée et une angiopathie amyloïde, vu la localisation postérieure, est à évoquer avec, en diagnostic différentiel, une microangiopathie cérébrale hypertensive. Sur le plan médicamenteux, le traitement antihypertenseur est repris et adapté progressivement. À noter qu'au service des urgences, le patient présente une crise tonique de 2 minutes, sans mouvements tonico-cloniques, un premier épisode, spontanément résolutif. Dans ce contexte, nous introduisons un traitement par Lévétiracétam. L'évolution clinique est favorable, Mr. Y est transféré en médecine interne à l'HFR Meyriez en attente de débuter la neuro-réhabilitation. À l'examen neurologique, il persiste une hémianopsie homonyme latérale droite associée à une marche très instable. Mr. Y, 76 ans, nous est transféré de l'hôpital cantonal de Fribourg le 30.04.2019 au service de médecine interne de Meyriez pour la suite de prise en charge d'un AVC hémorragique apparu le 24.04.2019. Pour rappel, le patient est connu pour une HTA traitée avec pic hypertensif en 2015 et une ostéoporose symptomatique. Le patient avait été amené en ambulance aux urgences à Fribourg en raison d'un état confusionnel persistant depuis la veille. Il présentait des troubles exécutifs ainsi qu'une désorientation temporo-spatiale. À l'examen clinique avait été retrouvée une hémianopsie homonyme ipsilatérale sans signe de latéralisation. À l'entrée dans notre service, le patient ne présente pas de plaintes particulières, mais est désorienté dans le temps et présente parfois des pertes de contact. Les troubles phasiques fluctuants répertoriés à l'HFR Fribourg n'ont pas pu être objectivés. À l'examen clinique, il a été retrouvé une hémianopsie homonyme ipsilatérale sans signe de latéralisation, une marche ébrieuse, un Romberg positif et une dysdiadochocynésie. Le NIHSS est à 3 (désorientation temporelle et hémianopsie ipsilatérale). Durant l'hospitalisation, le patient est stable hémodynamiquement. Cependant, l'amlodipine est majorée car il présente des valeurs tensionnelles au-delà des valeurs seuils. De plus, nous mettons en évidence une balanite que nous traitons avec du pévaryl. Un bloc auriculo-ventriculaire du premier degré est mis en évidence avec apparition par la suite de plusieurs épisodes de bradycardie asymptomatique transitoire dans le contexte du saignement intra-crânien. Une prise de contact avec le médecin traitant est prévue afin d'obtenir un éventuel comparatif d'ECG. Dans la nuit du 5 au 6 mai 2019, le patient présente une nouvelle aphasie globale objectivée par le médecin de garde, raison pour laquelle un nouveau CT cranien d'urgence a été demandé. Entre-temps, le patient est retrouvé faisant des convulsions depuis au moins 15 min dans tout l'hémicorps gauche avec perte de contact. Du Rivotril 2x 1g lui est administré en intraveineux ainsi que Phénytoïne 50 mg après 5 min. VP : 185/92 BD, 96 bpm, SO2 avec oxygène 96%, sans 85%. Au vu d'un état comateux post-ictal avec un GCS à 3, nous procédons à un transfert à Berne le même jour. Mr. Y est un patient de 53 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs en fosse iliaque droite associées à un état fébrile. Le bilan met en évidence une appendicite aiguë, raison pour laquelle il bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique en urgence le 07.05.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites post-opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 15.05.2019. Mr. Y, patient de 36 ans connu pour une hépatite C et une dépendance avec injections intraveineuses régulières, avec un antécédent d'endocardite, actuellement sous traitement de substitution par L-Polamidon et sans domicile fixe, avait consulté nos urgences le 11.05.2019 pour une dyspnée au repos ainsi que des céphalées frontales à type de serrement, inhabituelles, accompagnées d'une douleur de la cheville gauche ainsi qu'un œdème du MIG. Pour rappel, un bilan aux urgences avait été réalisé avec un CT cérébral et thoracique injecté, un laboratoire et le prélèvement de 2 paires d'hémocultures, ainsi qu'une échocardiographie transthoracique. Une embolie gazeuse de 3 mm avait été retrouvée au niveau du tronc pulmonaire, mais une embolie pulmonaire avait été exclue. De plus, le bilan ne retrouvait pas d'indice pour un état infectieux (endocardite notamment), raison pour laquelle nous laissons le patient quitter notre établissement après discussion pluri-disciplinaire. Nous interprétions alors les douleurs du patient comme un sevrage de son L-Polamidon, le patient n'en ayant pas eu depuis 2 jours, car il avait pris l'entier de ses doses le même jour. La situation avait également été notifiée au centre cantonal d'addictologie, où le patient est suivi en raison des consultations/hospitalisations récidivantes pour sevrage.Au matin du 12.05.2019, le laboratoire de microbiologie nous informe de la présence d'une hémoculture positive pour un Cocci Gram+, raison pour laquelle via son frère, nous re-convoquons Mr. Y en urgence. Nous prélevons de nouvelles hémocultures et un laboratoire qui est superposable puis nous l'hospitalisons en médecine pour suite de prise en charge, selon le résultat définitif des hémocultures et l'avis de nos collègues cardiologue et infectiologue dès le 13.05.2019. Mr. Y est hospitalisé pour un abcès péri-amygdalien gauche. Nous procédons à un drainage sous anesthésie locale et introduisons un traitement par Co-Amoxicilline 2.2 g et Solumedrol 125 mg. L'évolution clinico-biologique est favorable suite au traitement instauré. Il retourne à domicile le 15.05.2019. Mr. Y, 68 ans, connu pour une hypertension artérielle et un diabète insulino-requérant, est transféré dans notre service depuis l'Inselspital Bern pour suite de prise en charge d'un AVC ischémique du territoire de l'artère sylvienne droite sur occlusion du segment M2 avec transformation hémorragique au niveau de l'insula. Pour rappel, le patient avait présenté une somnolence, une dysarthrie et un hémi-syndrome sensitivo-moteur gauche le 15.04.2019 à 1 h du matin nécessitant une lyse intraveineuse (rtPA) dans notre service d'urgence et ensuite un transfert à l'Inselspital Bern pour une thrombectomie mécanique. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique à l'Inselspital Bern montre l'absence de dilatation de l'oreillette gauche ou d'autre anomalie cardiaque structurelle. Un R-Test est posé durant l'hospitalisation, le résultat est toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Un examen neurosonologique retrouve une discrète athéromatose carotido-vertébrale pré-cérébrale et non sténosante, avec présence de plaques au départ de la carotide interne bilatérale. Un traitement par Clopidogrel à 75 mg/j est donc introduit. L'origine de son AVC reste indéterminée, la première hypothèse est une étiologie artério-artérielle (DD cardio-embolique). Mr. Y présente lors de l'hospitalisation un état confusionnel avec alternance hyper et hypoactif d'une durée d'environ 15 minutes. L'EEG montre pour la suite un important foyer irritatif fronto-pariétal droit. Nous majorons donc son traitement antiépileptique en raison d'un taux de 5,4 mg/l de carbamazépine. Un suivi en ambulatoire de neurologie sera également prévu. Au bilan neuropsychologique, nous mettons en évidence des troubles cognitifs légers. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 3 mois, jusqu'au prochain bilan neuropsychologique et neurologique. Une insuffisance rénale terminale est diagnostiquée lors de la récolte d'urine sur 24h, l'origine est probablement une néphropathie diabétique et hypertensive. Dans ce contexte, un bilan néphrologique avec un suivi ambulatoire seront organisés pour la suite. Nous adaptons le traitement antihypertenseur et antidiabétique avec une amélioration du profil glycémique et tensionnel. À noter aussi un déficit en fer et hypovitaminose D nécessitant une substitution orale. L'évolution clinique est favorable avec un statut neurologique somatique de sortie normal. Mr. Y peut regagner son domicile avec un suivi ambulatoire en neurologie à 3 mois. Mr. Y, patient de 36 ans, nous est adressé par les ambulanciers en raison d'une agitation avec trouble de l'état de conscience d'origine indéterminée au décours d'une possible crise convulsive, dans un contexte d'état grippal et de fièvre depuis 4 jours. En raison de cette agitation, le patient est sédaté puis intubé au service des urgences et bénéficie d'une dose de Ceftriaxone. Le patient bénéficie d'une charge en Keppra au service des urgences le 20.05.2019. Un EEG le 21.05.2019 ne montre pas de signe d'état de mal épileptique. Il est ensuite hospitalisé aux soins intensifs pour la poursuite des investigations. Le CT cérébral et l'IRM cérébrale se révèlent dans la norme. La ponction lombaire ne montre pas de signe initiaux d'infection. Les cultures et PCR HSV 1 et 2 et VZV reviennent toutes deux négatives. Le traitement de Levetiracetam n'est pas poursuivi en raison d'un événement unique, inaugural et possiblement provoqué par un état fébrile avec un bilan neurologique rassurant. Mr. Y présente un réveil agité les 20.05 et 21.05.2019 motivant un traitement de Dexdor parallèlement au Propofol. Le 22.05.2019, le patient est extubé et le réveil est sans complications. Nous retrouvons un patient calme et orienté. Il est ainsi transféré à l'étage. La suite du séjour se déroule sans récidive d'altération de l'état de conscience. À noter une hypokaliémie à 3,3 mmol/l que nous substituons et vous laisserons éventuellement contrôler lors de votre prochaine consultation. Mr. Y est amené aux urgences le 27.04.2019 suite à un malaise. La date du malaise n'est pas claire. En effet, le patient n'a pas répondu à son voisin le 26.04.2019 dans l'après-midi et sa fille l'a retrouvé le jour de l'admission, allongé par terre et conscient. À noter une perte d'urines. Dernière preuve de bonne santé le 25.04.2019 vers 19 h 00. À l'anamnèse, Mr. Y se rappelle uniquement avoir chuté et s'être tapé la tête contre un mur. Il rapporte être possiblement tombé 2 fois. Il nie la consommation d'alcool. Au niveau des plaintes, il signale des douleurs au niveau de la hanche droite ainsi qu'au niveau dorsal. La marche est impossible en raison des douleurs. À l'admission, tension artérielle 119/77 mmHg et saturation à 95% à l'air ambiant. Au statut neurologique, Mr. Y est désorienté dans le temps. Les pupilles sont isocores et isoréactives. Pas de morsure de langue objectivée. Les réflexes ostéotendineux sont hypervifs. Au niveau des nerfs crâniens, bonne poursuite oculaire sans vision double ni diplopie, non compréhension du testing champs visuels, asymétrie du sourire, pas de trouble sensitivomoteur de la face, nerfs 9-12 dans la norme. Tremblements. Au statut ostéoarticulaire, douleurs au niveau de la hanche droite à la palpation du trochanter et de l'ischion. La mobilisation n'est pas testée. La palpation de la colonne vertébrale est douloureuse au niveau de T10, le reste est indolore. Au niveau cutané, notons une plaie frontale croûteuse de 0,3 mm, superficielle. Au statut digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. À l'auscultation cardiaque, B1B2 sont bien frappés, réguliers, tachycarde, sans souffle. Au statut pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique sans bruit surajouté. Le laboratoire met en évidence une CRP à 240 mg/l et des leucocytes à 12 G/l ainsi qu'une créatinine à 58 umol/l. Les CK sont à 506 U/l et les CK-MB à 45 U/l. En raison de la chute avec traumatisme crânien, nous effectuons un CT scan cérébral qui exclut un saignement. Sur le plan infectieux, le patient présente un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée. Le sédiment urinaire est propre. La radiographie du thorax n'objective pas de foyer pulmonaire. Dans ce contexte et au vu de la symptomatologie neurologique, nous réalisons une ponction lombaire aux urgences qui ne montre rien de particulier. Mr. Y se plaint de douleurs au niveau de la hanche droite et de la colonne dorsale. Nous effectuons une radiographie de la hanche qui met en évidence une fracture de la barre de renforcement de la prothèse probablement d'allure ancienne et la radiographie de la colonne dorsale montre une fracture du mur antérieur de D7 sans atteinte du mur postérieur. Dans ce contexte, nous immobilisons le patient dans un lit strict. Sur avis orthopédique, nous complétons le bilan par un CT scan qui confirme la fracture de la barre de renforcement de la prothèse ainsi que la fracture tassement de T6. Toutefois, une collection ou une infection ne peuvent pas être exclues en raison de nombreux artéfacts.Durant le séjour, le laboratoire de contrôle montre une diminution spontanée du syndrome inflammatoire et met en évidence une anémie normochrome macrocytaire avec une hémoglobine à 90 g/l sur déficit en acide folique que nous substituons. Nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs à distance. A noter qu'en raison d'un poids insuffisant avec un BMI à 19 kg/m², Mr. Y bénéficie d'une évaluation par nos collègues diététiciennes et des adaptations alimentaires lui sont proposées mais le patient ne semble pas vouloir changer ses habitudes alimentaires. Sous physiothérapie l'évolution est favorable, avec disparition des douleurs à la hanche et reprise de la marche à l'aide d'un tintébin. Mr. Y peut regagner son domicile le 06.05.2019 avec passage des soins à domicile 2x/semaine. Mr. Y est hospitalisé en mode électif le 12.05.2019 pour préparation à une colonoscopie et une OGD prévues le 13.05.2019. Pour rappel, selon l'infirmière à domicile, le patient a présenté des selles méléniques du 11 au 16.04.2019 mais étant hémodynamiquement stable avec un status rassurant, un traitement par IPP a été débuté avec une colonoscopie et une OGD agendées au 13.05.2019. A noter également une perte pondérale involontaire de 12 kg depuis août 2018. Le status d'entrée est dans la norme, hormis un syndrome facio-brachio-crural droit sur séquelle d'accident vasculaire cérébral, connu. La colonoscopie met en évidence un polype sessile de 12 mm au niveau du rectum et 2 polypes plats de 9 et 13 mm au niveau du sigmoïde, réséqués et l'OGD montre une rougeur dans l'estomac mais pas de signe de pathologie ni de source d'hémorragie. Le résultat histologique ne met pas en évidence de signe de malignité. A noter que durant le séjour, le patient bénéficie de l'excision d'une lésion cutanée au niveau du coude gauche. Le résultat histologique, reçu après la sortie du patient, est compatible avec un carcinome épidermoïde in situ dans un contexte d'hyperplasie verruqueuse de la peau. Le pansement est à refaire 2x/semaine, le mardi et le vendredi, jusqu'au retrait des fils le 31.05.2019. Mr. Y peut regagner son domicile le 15.02.2019. Mr. Y est hospitalisé le 17.05.2019 dans le contexte de douleurs coliques en loge rénale gauche. Une urétéro-lithiase de 5mm est mise en évidence à l'uro-CT et un traitement conservateur avec Tamsulosine et antalgie est débuté. Le patient présente une évolution clinique favorable et une lithiase est retrouvée dans ses urines le 21.05.2019 permettant à Mr. Y un retour à domicile. Mr. Y, 59 ans, nous est adressé depuis le service d'endoscopie (Dr. X) suite à une coloscopie élective le 03.05.2019 avec ablation de polype rectal chez un patient sous Xarelto. L'intervention se déroule sans complication. Le patient reste asymptomatique durant l'hospitalisation. Mr. Y peut regagner son domicile le 04.05.2019. Mr. Y est un patient de 65 ans connu pour une prostatite chronique depuis environ 4 ans, suivi par le Dr. X. Une échographie est effectuée, mettant en évidence un résidu post-mictionnel de 45 ml et une prostate de 73 ml avec gros lobe médian. L'indication à une résection transurétrale de la prostate est posée en électif. L'intervention se déroule sans complication le 01.05.2019 et les suites opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie. Mr. Y est sous antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour jusqu'au 05.05.2019 inclus. Vu la bonne évolution, le patient peut retourner à domicile le 04.05.2019 après ablation de la sonde vésicale et bonne reprise des mictions. Mr. Y est un patient de 68 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées, qui nous est adressé en raison de douleurs inguinales à droite, surtout à la mobilisation. Le bilan met en évidence des hernies inguinales bilatérales symptomatiques à droite et une hernie ombilicale, raison pour laquelle le patient bénéficie d'une cure inguinale des deux côtés avec filet selon TAPP et d'une cure ombilicale par suture directe le 24.05.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites post-opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 26.05.2019. Mr. Y est connu pour un cancer urothélial avancé actuellement sous traitement d'immunothérapie. Dans ce contexte, il est porteur d'une sonde néphrostomie à gauche depuis 10.2018. La néphrostomie est changée sous prophylaxie antibiotique pré- et post-geste le 14.05.2019, et depuis le patient présente des douleurs en loge rénale gauche puis le 19.05.2019 une hématurie macroscopique. Lors de son évaluation aux Urgences, un sédiment urinaire pathologique est mis en évidence motivant un traitement antibiotique avec de la Ceftriaxone intraveineux. Par la suite, le patient montre rapidement une évolution favorable avec amélioration du syndrome inflammatoire et disparition de la symptomatologie. L'uricult prélevé aux Urgences met en évidence un pseudomonas et un entérocoque faecium, germes déjà présents lors de sa dernière hospitalisation. Au vu de la bonne évolution clinique et après discussion avec nos collègues du service d'Infectiologie ainsi qu'avec le patient, nous décidons de ne pas traiter ces germes colonisateurs. Nous laissons Mr. Y rentrer à domicile le 23.05.2019. En cas d'apparition de symptômes inflammatoires tels que de la fièvre ou symptomatologie urinaire, nous informons le patient de consulter au plus vite les Urgences afin de débuter un traitement antibiotique efficace en accord avec les résultats de l'antibiogramme. Mr. Y, 79 ans, est admis aux soins continus pour surveillance neurologique suite à un AIT sylvien gauche en régression. Il est connu pour une cardiopathie ischémique, valvulaire et hypertensive, avec remplacement de la valve aortique (valve mécanique anticoagulée). Le patient a présenté à 16h une difficulté à comprendre ce qu'il était en train de lire et une dysarthrie. Il consulte aux urgences à Riaz à 17h. Un CT cérébral exclut une hémorragie et ne montre pas d'ischémie. Les symptômes sont spontanément régressifs. Il est adressé aux soins continus pour surveillance neurologique. Le NIHSS initial s'élève à 1 et est à zéro à l'arrivée du patient. Le bilan étiologique est complété par une ETT qui montre une FEVG à 65%, la valve mécanique qui est fonctionnelle et pas de signe de thrombus. Le bilan biologique sera effectué en ambulatoire. Un bloc de branche gauche et un BAV du premier degré sont présents à l'ECG d'entrée, sans mouvement enzymatique ni douleurs rétrosternales présentées par le patient. L'évolution est favorable avec une surveillance neurologique sans particularités. Sur demande du patient, il peut regagner son domicile le 25.05.2019 et compléter le bilan en ambulatoire. Mr. Y présente une lésion complexe de la corne postérieure du ménisque interne. L'indication pour une AS pour régularisation du ménisque et suture de celui-ci est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé. L'intervention est prévue en ambulatoire pour le 03.06.2019. Le patient sera vu par le médecin-anesthésiste pour la consultation pré-anesthésique.Mr. Y est suivi depuis le 09.05.2019, date à laquelle nous avons révisé une déhiscence de plaie qui montrait des difficultés de cicatrisation suite à l'implantation d'une PTG gauche primaire le 06.02.2019. Un contrôle de plaie est effectué le 15.05.2019 où l'on note un petit écoulement purulent en regard d'un fil. Nous avons alors retiré le fil, effectué un curetage local et le patient a été mis sous Co-Amoxicilline 3 x 1 g/jour per os pour une durée d'une semaine. Le 18.05.2019, le patient se présente aux urgences pour un contrôle clinique. A l'examen clinique aux urgences, on note une cicatrice érythémateuse avec écoulement de pus, pas de douleurs à la palpation ni à la mobilisation. Pas de signes pour une infection de prothèse. Pas de troubles neuro-vasculaires. Le bilan biologique met en évidence une CRP à 6 mg/l, des leucocytes à 6 G/l. Au vu de la clinique, l'indication à une révision de plaie est retenue. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, le patient est sous antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g/jour. Les douleurs sont gérées par une antalgie per os et le membre inférieur gauche est immobilisé dans une attelle Jeans en extension. Après un repos au lit strict durant 48 heures, Mr. Y peut se mobiliser en charge complète, sous protection de l'attelle Jeans en extension, dont le port est prévu jusqu'à une cicatrisation complète. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est prescrite jusqu'au 02.06.2019 inclus. Les contrôles biologiques montrent des valeurs de CRP et leucocytes dans la norme, la réfection régulière du pansement révèle une cicatrice calme et propre. Les prélèvements per-opératoires reviennent positifs pour un Staphylococcus aureus sensible à la Co-Amoxicilline. Devant la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 27.05.2019. L'antibiothérapie est relayée per os à raison de Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour jusqu'au 02.06.2019 inclus. Mr. Y, 39 ans, est transféré des soins intensifs en médecine pour une ischémie du rein gauche avec dissection et thrombus de l'artère rénale gauche. Il présente depuis 5 jours des douleurs de type colique en flanc gauche avec irradiation dans le testicule gauche suite à un effort important pour lever une charge lourde. Il reconsulte en raison d'une recrudescence des symptômes malgré l'antalgie prescrite. Le CT abdominal injecté met en évidence une ischémie du rein gauche avec dissection et thrombus de l'artère rénale gauche. Le patient bénéficie d'une artériographie avec mise en place d'un stent dans l'artère rénale. Néanmoins, la pose du stent ne permet pas de reprise du flux dans l'artère rénale. Une anticoagulation thérapeutique est débutée dans la phase aiguë après le geste par Héparine IV avec une cible thérapeutique à 0.35-0.5 qui est stoppée le 03.05.2019, puis relai per os avec Aspirine dès le 03.05.2019 pour 6 mois. Il sera revu par le service d'angiologie le 04.11.2019 pour nouveau contrôle et discussion si poursuite de l'anticoagulation ou non. Un bilan complémentaire angiologique est organisé avec un ultrason des vaisseaux extra-crâniens, des membres supérieurs et inférieurs, des vaisseaux abdominaux ne montrant aucune anomalie. L'artère rénale droite est normale. L'artère rénale gauche sans flux, avec une vascularisation intra-rénale faible mais présente aux 3 pôles. L'origine probable de cette sténose serait en relation avec une dysplasie fibro-musculaire de son artère rénale gauche. Les angiologues proposent une imagerie des artères intra-cérébrales avec un angio-CT ou angio-IRM que vous pouvez organiser en ambulatoire dans les prochaines semaines. L'antalgie post-opératoire est gérée par une PCA de morphine. Un relai per os par oxycontin est débuté dès le 30.04.2019. Le 08.05.2019, nous diminuons l'oxynorm à 2x/j 10 mg car il n'y a pas de prise de réserve depuis 2 jours. Le patient présente un syndrome inflammatoire important avec une augmentation de la CRP à 455 g/L sans hyperleucocytose et sans fièvre, dans le contexte d'ischémie du rein gauche (augmentation des LDH max 1393 UI/L). Le syndrome inflammatoire et les LDH diminuent progressivement pendant l'hospitalisation et le patient reste afébrile. Une insuffisance rénale avec augmentation de la créatinine à 136 mcmol/L apparaît initialement et se corrige après réhydratation. La créatinine se stabilise autour de 107 umol/l le jour avant sa sortie. Pendant l'hospitalisation, le patient se plaint de constipation et de douleurs abdominales intermittentes malgré le traitement laxatif par Movicol. Un toucher rectal permet d'exclure un fécalome. L'évolution est favorable sous traitement laxatif. Le patient est hypertendu, raison pour laquelle, nous introduisons un traitement antihypertenseur par Lisinopril. Nous vous laissons le soin de recontrôler à distance sa tension artérielle et d'évaluer un éventuel changement de dosage. Mr. Y est un patient de 71 ans connu pour une FA anticoagulée par Eliquis, qui se présente aux urgences en raison des douleurs au niveau du flanc droit d'apparition brutale vers 11h00, EVA 9/10, accompagnés de nausées et vomissements sans état fébrile associé. L'analyse urinaire montre une microhématurie. Le laboratoire montre une absence de syndrome inflammatoire. Un Uro-CT met en évidence un calcul de 7 mm au niveau de l'uretère distal et un calcul de 4 mm au niveau de la jonction urétéro-vésicale, ainsi qu'une dilatation pyélo-calicielle de 26 mm. Le patient est hospitalisé et transféré à l'hôpital Daler le lendemain pour suite de prise en charge chirurgicale (pose de double J à droite). Mr. Y est un patient de 69 ans, qui est hospitalisé en électif le 21.05.2019 pour une thoracoscopie avec repérage par harpon. Le repérage est compliqué d'un pneumothorax et d'une embolie gazeuse visualisée dans le ventricule gauche avec une dysarthrie nouvelle qui nécessite un transfert à l'hôpital de l'île après la mise en place d'un drain thoracique. En raison de la péjoration de la dysarthrie et d'une embolie cérébrale, le patient est transféré aux HUG pour une séance d'oxygénothérapie hyperbare permettant une résolution complète de la symptomatologie neurologique. Une résection Wedge est organisée le 22.05.2015 dans notre service qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples avec une antalgie bien gérée après l'ablation du drain. Mr. Y peut regagner son domicile le 24.05.2019. Il sera revu à notre consultation de chirurgie thoracique. Mr. Y, 69 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance neurologique d'une embolie gazeuse cardiaque et cérébrale dans le cadre d'un marquage avec harpon au vu d'une résection Wedge. Le patient est hospitalisé électivement en chirurgie pour thoracoscopie avec repérage préalable par pose de harpon pour des nodules du lobe inférieur gauche. La pose de harpon est compliquée d'un pneumothorax G (traité par drainage thoracique) et d'une embolie gazeuse visualisée dans le ventricule gauche. En salle de réveil, il présente une dysarthrie motivant un transfert initial à l'Inselspital. Au CT thoracique de contrôle réalisé à Berne, la bulle d'air n'est plus présente dans le ventricule gauche avec probable migration au niveau cérébral. Une oxygénothérapie hyperbare est réalisée aux HUG avec résolution de la symptomatologie. Il nous est retransféré pour suite de prise en charge. L'évolution neurologique est satisfaisante permettant la résection Wedge par thoracoscopie le 22.05.2015 avec intubation sélective afin d'éviter une pression positive sur le poumon gauche. Au status neurologique, il existe une dysmétrie au niveau des membres inférieurs qui avec une pallesthésie diminuée et des réflexes achilléens plus faibles que les patellaires parle plutôt en faveur d'une probable polyneuropathie. La dysarthrie n'est jamais objectivée durant son séjour et une IRM cérébrale à distance est recommandée pour compléter le bilan. A noter que le patient est connu pour une athéromatose pré-cérébrale suivie tous les 2 ans dont le prochain contrôle doit être réalisé prochainement. Nous vous laissons le soin d'organiser un doppler durant l'hospitalisation si possible.Le patient est transféré en chirurgie le 22.05.2019. Mr. Y, âgé de 71 ans, connu pour une BPCO stade IV B selon Gold, nous est adressé par son pneumologue traitant pour une réadaptation respiratoire. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite (ancien dessinateur). A l'admission, le patient se plaint d'une péjoration de la dyspnée les dernières semaines. En général, il rapporte une dyspnée stade III selon NYHA avec toux et expectorations. Le statut général est sans particularité hormis un murmure respiratoire diminué sur les 2 champs pulmonaires. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré sévère et confirme le diagnostic de BPCO stade IV selon Gold. Le score de CAT atteste d'un stade B. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une saturation à 93% avec une hypoxémie légère, sans hypercapnie et sans indication à une oxygénothérapie continue. La culture de sputa met en évidence une flore bucco-pharyngée. La radiographie du thorax trouve des signes compatibles avec une BPCO avec hypertransparence pulmonaire bilatérale et aplatissement des coupoles diaphragmatiques. Le test des 6 minutes démontre la présence symptomatique d'une désaturation sévère à l'effort ouvrant la possibilité au patient de recourir à une oxygénothérapie (3 lt/min) pour ses déplacements. Le patient décline actuellement cette proposition. Le patient souffre d'un SAOS moyen sous thérapie CPAP qu'il s'efforce de porter régulièrement, mais il n'en tire pas un bénéfice subjectif sur la qualité de son sommeil ou sur son état de forme diurne. La question de l'interruption est à rediscuter avec lui, selon l'évolution de son adhérence et tolérance au dispositif. L'oxymétrie nocturne sous CPAP à l'air ambiant montre une SpO2 moyenne à 91% avec un index de désaturation à 1.5/heure. Son traitement inhalateur habituel est poursuivi. Pendant le séjour, le patient se plaint de douleur thoracique, mais l'ECG et le dosage des enzymes cardiaques écartent un syndrome coronarien aigu. Sur le plan nutritionnel, le poids du patient est stable par rapport au séjour de réadaptation à Billens en 2018. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance sous oxygénothérapie, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 330 m à 420 m et le patient augmente la distance parcourue sur le tapis roulant pendant 20 minutes de 0.9 km à 1.2 km. Les performances sont en amélioration mais demeurent limitées par la sphère respiratoire. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 11.05.2019, en état général conservé. Il prendra contact avec le Dr. X pour rediscuter d'une réduction de volume à la lumière des résultats, subjectifs et objectifs, obtenus durant la réadaptation. Mr. Y, patient de 54 ans, connu pour une hémophilie A, est hospitalisé de manière élective pour une OGD de contrôle dans le contexte de son hémophilie A. Pour rappel, le patient avait bénéficié d'une OGD au mois de mars 2019 ayant mis en évidence une oesophagite de reflux grade B selon Los Angeles. Dans ce contexte, un contrôle par OGD à 8 semaines avait été suggéré au vu de la symptomatologie importante du patient à ce moment. Compte tenu de son hémophilie et de l'évolution rapidement favorable suite au traitement par IPP et Buscopan avec un patient asymptomatique ce jour, et après discussion du cas avec les gastroentérologues, nous ne retenons pas d'indication à réitérer le geste et Mr. Y quitte directement notre service le 02.05.2019. Nous vous laissons le soin de réadresser le patient pour un suivi auprès du Dr. X pour la suite de la prise en charge sur le plan gastro-entérologique. Mr. Y, patient de 74 ans, connu pour un AVC en 2008 avec hypoesthésie persistante au membre inférieur droit, consulte le service des urgences en raison de céphalées aiguës, nouvelles, avec sensation de mal-être général, hyposensibilité de l'hémicorps droit, péjoration de l'hyposensibilité du membre inférieur droit, difficulté à trouver ses mots et sensation de tangage. L'examen clinique neurologique retrouve une hypoesthésie de l'hémicorps droit (NIHSS 2). Le CT cérébral et des vaisseaux précérébraux du 23.05.2019 (en filière "time is brain") ne montrent pas de signe de lésions hémorragiques ou ischémiques. L'IRM réalisée le 29.05.2019 exclut un nouvel événement ischémique. Le patient est hospitalisé en médecine interne pour suspicion d'AIT versus AVC. Le bilan met en évidence une hypercholestérolémie pour laquelle une statine est introduite, avec un contrôle lipidique et des tests hépatiques à 4 semaines. Le reste des examens est sans particularité. Au vu de l'amélioration de la symptomatologie et de l'exclusion d'un nouvel AVC, nous concluons à un probable accident ischémique transitoire, sans séquelles. Mr. Y peut rentrer à domicile le 30.05.2019, accompagné de son épouse. Mr. Y consulte les urgences le 13.04.2019 en raison de la persistance d'un état fébrile à 39°C depuis la veille au soir, accompagné d'une dysurie, pollakiurie et douleurs au niveau de la loge rénale droite. Le patient signale également un épisode de macrohématurie ce matin, isolé. Pas de nausée/vomissement, pas de douleur abdominale, pas de douleur testiculaire, pas d'écoulement pénien. Pas de toux, de dyspnée ni de douleur rétrosternale. Le patient consulte le Dr. X, médecin de garde, ce matin, qui introduit une antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j (prise de 2 doses ce jour), avec indication de consulter les urgences en cas de persistance d'état fébrile. Il s'agit du 3ème épisode d'infection urinaire dont le dernier en 2016 avec hospitalisation à l'HFR Riaz. Pas d'antécédent de colique néphrétique. Mr. Y est suivi par le Dr. X, urologue, avec un rendez-vous de contrôle annuel, prévu dans quelques semaines. A l'admission aux urgences, le patient est en état général conservé. Il est normocarde, normotendu et fébrile à 39°C. Au statut digestif, notons une obésité abdominale. Les bruits hydroaériques sont normaux. L'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les loges rénales sont souples et indolores. Au toucher rectal, la prostate est indolore, traces de selles au doigtier. Les testicules sont calmes, la palpation est indolore. L'auscultation pulmonaire est symétrique avec présence de râles crépitants fins aux 2 bases. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP à 181 mg/l et leucocytes à 16 G/l ainsi qu'une insuffisance rénale aiguë avec urée à 6,2 mmol/l et créatinine à 111 umol/l. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer ni d'épanchement. Des hémocultures et un urotube sont réalisés, malgré la prise d'antibiotique sur la journée.Une infection urinaire compliquée est retenue, avec syndrome inflammatoire, état fébrile, leucocyturie et hématurie. Un traitement par Rocéphine 2g iv 1x/j est débuté et Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Sur le plan urologique, l'évolution est favorable. Un US des voies urinaires montre la prostate agrandie connue, mais pas d'anomalie rénale ni de calcul. L'urotube et les hémocultures effectués à l'admission reviennent négatifs. Dans ce contexte, nous pistons l'urotube du médecin de garde qui montre un E.Coli sensible à la ceftriaxone et à la ciprofloxacine. L'antibiothérapie par Rocéphine 2g iv est poursuivie du 13 au 17.04.2019 avec un relai per os par ciprofloxacine 500 mg 2x/jour du 18 au 19.04.2019 inclus. Au niveau néphrologique, l'insuffisance rénale se corrige sous hydratation avec une créatinine à 97 mmol/l à la sortie. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 18.04.2019. Mr. Y, patient de 71 ans, est admis aux soins intensifs dans les suites d'un arrêt cardio-respiratoire sur STEMI antérieur compliqué d'un ARDS sur broncho-aspiration et d'une encéphalopathie post-anoxique. Le patient, en bonne santé habituelle, a présenté un malaise avec perte de connaissance. Une réanimation cardio-pulmonaire en pré-hospitalier permet un ROSC après 1 choc et 1 mg d'Adrénaline. Les durées exactes de No-flow et Low-flow ne sont pas connues mais estimées respectivement à 0-5 minutes et 5-10 minutes. Le ROSC a lieu à 15 minutes. Une coronarographie en urgence montre une maladie coronarienne bi-tronculaire avec occlusion de la CX-marginale (lésion culpabilité) et sténose significative de la CD moyenne. L'occlusion de la CX a pu être re-canalisée et traitée avec mise en place d'un stent actif. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Le patient est par la suite admis intubé aux soins intensifs. Concernant la maladie coronarienne, le suivi des enzymes cardiaques montre un pic de CK à 2131 Ui. Une échocardiographie transthoracique de contrôle à 24 heures de la coronarographie confirme une fonction ventriculaire gauche conservée déjà visualisée à la ventriculographie. Une double anti-agrégation plaquettaire avec Aspirine et Prasugrel est débutée en per-coronarographie. Le bilan étiologique est poursuivi avec mesure de l'hémoglobine glyquée et un profil lipidique qui sont dans la norme. Un traitement de statine est débuté. L'intubation en pré-hospitalier s'étant compliquée d'une broncho-aspiration massive sur vomissement, une pneumonie d'inhalation est traitée par Co-amoxicilline. L'évolution respiratoire à l'arrivée aux soins intensifs est rapidement défavorable. Le patient développe un ARDS et nécessite une bronchoscopie de nettoyage en urgence par les collègues pneumologues. Un approfondissement de la sédation avec curarisation et position de décubitus ventral sont nécessaires afin d'améliorer les échanges gazeux. Une 2ème bronchoscopie à 24h du premier examen ne retrouve plus de débris alimentaires mais met en évidence une muqueuse bronchique décrite comme pelée. Suite à une levée de sédation, on objective une absence de réveil et des réflexes du tronc cérébral avec notamment une mydriase bilatérale aréactive. Un CT-scan cérébral confirme la suspicion clinique d'une encéphalopathie anoxique avec œdème cérébral diffus et engagement cérébral central, temporal et des amygdales cérébelleuses. Après explication de la situation avec la famille du patient (épouse et filles), nous décidons d'un retrait thérapeutique. Selon le respect des volontés présumées du patient, un don d'organes n'est pas envisagé. Le patient décède le 18.05.2019 entouré de sa famille et de ses proches. Mr. Y est un patient de 37 ans qui est hospitalisé pour une prise en charge d'une appendicite aiguë simple par laparoscopie. Les suites post-opératoires sont simples tant sur le plan clinique que paraclinique et le patient peut rentrer à domicile le 09.05.2019. Mr. Y est un patient de 76 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées, qui se présente aux urgences en raison de deux épisodes d'hématochézies abondantes le 07.05.2019. Le patient avait présenté un épisode similaire il y a un an et demi sur saignement diverticulaire avec perte de connaissance sur bradycardie (pose de pacemaker). Une colonoscopie et une gastroscopie avaient été effectuées à cette occasion. L'origine du saignement n'avait pas été trouvée. Aux urgences, le patient bénéficie d'une anuscopie qui ne met pas en évidence l'origine du saignement. Le patient est hospitalisé à l'étage de chirurgie pour une surveillance clinique et biologique. Durant son hospitalisation, le patient présente un épisode d'hématochézie le 08.05.2019, raison pour laquelle il bénéficie d'une recto-sigmoïdoscopie le 10.05.2019. L'origine du saignement ne reste pas claire. Les paramètres vitaux restent stables durant l'hospitalisation et le patient ne présente plus d'hématochézie depuis le 08.05.2019. L'hémoglobine reste stable. Le patient peut retourner à domicile le 11.05.2019. Nous lui laissons le soin de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour organiser une colonoscopie en ambulatoire. Mr. Y est un patient de 64 ans, qui est hospitalisé le 24.05.2019 en électif pour une cholécystectomie avec cholangiographie. L'intervention est effectuée le jour même et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires restent sans particularités avec une mobilisation et réalimentation bien tolérées le soir de l'opération. Le bilan biologique post-opératoire ne montre pas de perturbation des tests hépatiques permettant au patient un retour à domicile le 25.05.2019. Mr. Y, patient de 73 ans, connu pour un AVC ischémique d'origine cardio-embolique probable en avril 2019, une cardiopathie dilatative sévère, et de multiples facteurs de risques cardiovasculaires, est hospitalisé en électif par le Dr. X, afin de bénéficier d'une pose d'un défibrillateur double chambre dans le contexte d'une cardiopathie dilatée avec dysfonction systolique sévère. Le traitement anticoagulant par Eliquis est repris le 07.05.2019 et est à poursuivre jusqu'au prochain rendez-vous de contrôle du défibrillateur dans 4 semaines par le Dr. X. Une radiographie du thorax post-implantation a permis d'exclure un pneumothorax et de vérifier le bon positionnement des sondes. Le rapport radiologique mentionne une image compatible avec un épanchement pleural droit. Vu une image comparative similaire en 2016 et devant un patient asymptomatique, nous n'effectuons pas plus d'investigations. Un contrôle de plaie est agendé dans 10 jours en cardiologie ainsi qu'un contrôle du défibrillateur dans 4 semaines. Mr. Y ne présentant aucun symptôme ni de complication de l'intervention, il rentre à domicile le 07.05.2019. Mr. Y, aux antécédents de cardiopathie ischémique sur maladie coronarienne tri-tronculaire, consulte les urgences le 07.05.2019 en raison de l'apparition brutale, vers 14h00 ce jour, alors qu'il conduisait, d'une douleur abdominale per ombilicale hyperalgique migrant progressivement en lombaire, sans autre symptôme digestif ou urinaire associé, sans fièvre ni frisson. A l'admission aux urgences, le patient est hypertendu à 180 mmHg de pression systolique, normocarde avec des bruits du cœur réguliers et des pouls perçus et symétriques. Sur le plan abdominal, on note une douleur en per-ombilical irradiant en barre et transfixiante en lombaire avec nausées et un vomissement nécessitant l'administration conjointe d'antalgique de pallier 1, 2 et 3 soulageant le patient ainsi qu'un antiémétique. Le toucher rectal est indolore. Dans ce contexte, un US abdominal ciblé est réalisé aux urgences ne révélant pas d'anomalie majeure, notamment un diamètre et un flux aortique sous-rénal normaux.Sur le plan du laboratoire, on note la présence d'une hyperleucocytose à 18.5 G/l avec une CRP négative. La fonction rénale est préservée avec une créatinémie à 84 mcmol/l. Les LDH sont à 522 U/l. Le sédiment urinaire ne montre pas d'érythrocyte. Mr. Y est gardé en lit d'observation aux urgences pour la nuit. Durant la nuit, le patient ne présente pas de recrudescences des douleurs et le laboratoire de contrôle le 08.05.2019 retrouve une diminution de l'hyperleucocytose à 16.5 G/l avec apparition d'une CRP à 25 mg/l. Devant le status clinico-biologique rassurant, Mr. Y peut quitter notre service le 08.05.2019 avec un traitement symptomatique. Nous recommandons un contrôle à la consultation de son médecin traitant dans les 48 heures et de se présenter aux urgences si péjoration de ces douleurs à la recherche d'une pathologie abdominale par un CT (anévrisme aorte abdominale, diverticulite, lithiase). Mr. Y est hospitalisé dans le contexte d'un érythème du membre inférieur droit. Mr. Y présente une histoire particulière. En mars 2016, il subit une fasciotomie pour une possible fasciite nécrosante de la jambe gauche suivie d'une greffe de Thiersch. Des biopsies réalisées à cette occasion montrent une inflammation chronique ainsi que des infiltrats éosinophiliques et la culture d'une biopsie met en évidence quelques serratia marcenscens (Cf. biopsies du 22.03.2016 et 21.03.2016). C'est dans ce contexte que l'on conclut à une fasciite nécrosante. En février 2017, le patient présente un ulcère au niveau de la greffe de Thiersch sur la face interne de la jambe gauche qui est spontanément résolutif. En décembre 2018, le patient présente une rougeur, de la fièvre ainsi qu'une plaie pré-tibiale droite, suite à quoi il reçoit un traitement par co-amoxicilline intraveineux du 29.01 au 04.02.19. Ce traitement est ensuite successivement relayé par de la ciproxine puis de la co-amoxicilline per os. Malgré une réduction du syndrome inflammatoire, le patient présente une persistance de la rougeur associée à des douleurs à la charge du MID. C'est dans ce contexte-là que nous hospitalisons le patient pour investigations. Le bilan biologique à l'entrée ne met pas en évidence de CRP ni de leucocytose. Nous complétons le bilan par le complément avec un C4 au-dessus de la norme. Une électrophorèse des protéines ne met en évidence qu'un déficit en IgM aspécifique. L'érythème du membre inférieur régresse même après l'arrêt du traitement par co-amoxicilline. Les douleurs à la charge de la jambe droite persistent et nécessitent toujours des cannes. Au vu de l'amélioration clinique du patient, nous proposons un suivi en ambulatoire par Dr. X. À la relecture de l'histoire du patient ainsi que des biopsies effectuées en 2016, une maladie inflammatoire semble plus probable qu'une maladie infectieuse. Les biopsies de 2016 étant atypiques et l'érythème régressant, nous renonçons à faire une biopsie. Cependant, en cas de récidive, nous vous proposons de faire une biopsie cutanée avant toute intervention afin d'en clarifier l'étiologie. Mr. Y, 87 ans, connu pour une fibrillation auriculaire paroxystique non anticoagulé, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémiques multiples dans le territoire de l'artère sylvienne droite et l'artère cérébrale postérieure gauche. Pour rappel, le patient est tombé des escaliers suite à un malaise le 12.05.2019. Au service des urgences de l'HFR Riaz, il présente une dysarthrie associée à une parésie brachio-crurale gauche et une ataxie du MSG. Suite à une allergie aux produits de contraste, un CT cérébral natif exclut une hémorragie intracrânienne. Le patient est donc transféré au CHUV où il bénéficie d'une IRM cérébrale et des vaisseaux précérébraux qui révèle un contexte d'AVC ischémiques multiples dans le territoire des artères sylvienne droite et de l'artère cérébrale postérieure gauche. Une thrombolyse est donc administrée vu la présence d'un mismatch DWI–FLAIR. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une fonction cardiaque légèrement diminuée avec oreillette gauche non dilatée sans thrombus ni FOP. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, le résultat est toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. À noter que pendant l'hospitalisation, le patient présente toujours un rythme sinusal. L'étiologie plus probable reste la source cardioembolique vu la FA paroxystique documentée. Nous débutons donc un traitement par Eliquis 5 mg 2x/j. Sur le plan métabolique, nous augmentons le traitement d'Atorvastatine à 60 mg/j en raison des valeurs légèrement au-dessus de la cible recommandée (LDL < 1.8 mmol/l). À noter que le bilan biologique montre une anémie normocromique normocytaire associée à une carence en fer et à un déficit en acide folique, les substitutions ont donc débuté. Une suspicion d'hypothyroïdie subclinique est aussi posée. Nous proposons pour la suite des suivis biologiques à distance. L'examen neuropsychologique montre des légères difficultés cognitives multimodales. À noter que le patient ne conduit plus. L'évolution clinique est favorable, le status neurologique somatique ne montre pas de séquelle fonctionnellement handicapante. Mr. Y est transféré en gériatrie à l'HFR Riaz le 17.05.2019 où il bénéficiera d'une réadaptation pour la suite. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y, patient de 45 ans connu pour une polytoxicomanie, est hospitalisé pour suivi neurologique suite à un traumatisme cranio-cérébral sur probable crise d'épilepsie généralisée le 17.05.2019. Le traumatisme cranio-cérébral est accompagné d'une fracture non déplacée du nez (sans sanction thérapeutique) et d'une rhabdomyolyse motivant une alcalinisation des urines et hyperhydratation (qu'il convient de poursuivre). L'évolution est rapidement favorable sans récidive d'événement neurologique. La plaie superficielle de l'arcade sourcilière droite est suturée avec ablation des fils prévue à 5 jours. Le sevrage se déroule sans complication au décours de l'hospitalisation, le patient se révèle être calme et collaborant. Devant un refus de transfert en milieu psychiatrique, un PAFA avec transfert à Marsens est effectué selon avis psychiatrique le 19.05.2019. Mr. Y, âgé de 65 ans, connu pour une maladie de Verneuil, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à un choc septique sur arthrite septique de la PTH G mise en place en octobre 2018 à Streptococcus dysgalactiae le 03.04.2019. Un débridement, prélèvement et lavage est effectué le 03.04.2019. Un second look le 04.04.2019 avec changement des parties mobiles et ponction de la hanche controlatérale. Une antibiothérapie est à poursuivre pendant 3 mois postopératoires au total. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse dans un appartement au 2ème étage d'un immeuble sans ascenseur. Il est à la retraite, travaillait en tant que monteur chauffagiste. À l'admission, le patient n'a pas de douleurs. Au status, la cicatrice est calme, pas de rougeur, mais légère chaleur et œdème. La flexion de la jambe gauche est à 70° en actif assisté et l'abduction à 20° en passif. La force du quadriceps gauche est cotée à M4 et le psoas à M3. Stomie Fig. Sur le plan hématologique, nous constatons une anémie normochrome normocytaire suite à l'intervention à 77 g/l. Le patient reçoit une transfusion de 1 CE le 24.04.2019. Par la suite, les valeurs de l'Hb s'améliorent (Hb 100 g/l).Durant son séjour, Mr. Y a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie, avec une évolution favorable. A la sortie, il est autonome à la marche avec 2 cannes anglaises en respectant la décharge. A noter que le patient ne présente pas de signes cliniques ou biologiques d'une infection. Nous poursuivons l'antibiothérapie par Amoxicilline pour une durée totale de 3 mois, comme prévu. Concernant les fissures des plis inguinaux et du pli interfessier, nous poursuivons les soins locaux. Nous vous laissons le soin de reprendre le traitement de Mme. Y. Concernant la Maladie de Crohn, le patient reste asymptomatique et selon avis du Dr. X, nous reprenons le traitement de Azathioprine en raison de 75 mg 1x/j. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 30.04.2019, en bon état général. Mr. Y est un patient de 80 ans connu pour de multiples épisodes d'hématochézies, le dernier épisode en décembre 2018, qui est hospitalisé le 03.05.2019 pour une récidive de cette symptomatologie. L'hémoglobine ainsi que le statut hémodynamique du patient restent stables avec des pertes sanguines rapidement en diminution. Le patient bénéficie d'une colonoscopie le 06.05.2019 qui ne retrouve pas de saignement actif ni de lésion suspecte d'être l'étiologie de ces saignements hormis une importante diverticulose sigmoïdienne. Les saignements se tarissent, permettant un retour à domicile du patient le 08.05.2019. Au vu des comorbidités du patient et de l'origine non confirmée des saignements, nous ne retenons pas l'indication à une sigmoïdectomie, cette indication pourra être rediscutée en cas de saignement diverticulaire confirmé lors d'un prochain épisode. Mr. Y, patient de 48 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique et traitement d'une hypertension artérielle résistante chez un patient hospitalisé pour une embolie pulmonaire lobaire droite avec découverte fortuite d'un anévrysme de l'aorte thoracique ascendante. Le patient, connu pour une hypertension artérielle non traitée depuis 12 mois, présente depuis une dizaine de jours des douleurs basi-thoraciques droites, mouvement-dépendantes et respiro-dépendantes, ainsi qu'une dyspnée d'effort d'évolution progressive sur plusieurs jours avec nette péjoration depuis la veille. Les D-dimères dosés chez le médecin traitant sont à 1700 ng/mL. Le CT-scan thoracique met en évidence une embolie pulmonaire lobaire droite. Un anévrysme thoracique de 4.8 cm est également mis en évidence de manière fortuite chez un patient qui reste hypertendu malgré une thérapie par IEC et anticalcique administrée aux urgences. Dans ce contexte, le patient est transféré aux soins intensifs pour un contrôle du profil tensionnel. Le patient reste hémodynamiquement stable, raison pour laquelle il est transféré le 08.05.2019 en médecine interne pour la suite de la prise en charge. Concernant l'embolie pulmonaire, un traitement anticoagulant par Xarelto est débuté. Le bilan par échocardiographie transthoracique ne retrouve pas de répercussion cardiaque. L'anamnèse ne retrouve pas de facteurs déclenchants et un angio-CT abdominal ne retrouve pas de processus néoplasique pouvant expliquer l'embolie pulmonaire. L'indication à la recherche d'une thrombophilie sera à discuter après le contrôle angiologique prévu à 3 mois. L'anévrysme thoracique en présence d'une hypertension artérielle nécessite l'administration transitoire de dérivés nitrés pour atteindre les cibles tensionnelles préconisées par les collègues de chirurgie vasculaire. Ceux-ci proposent aussi un CT thoraco-abdominal en temps artériel ainsi qu'un bilan angiologique (à la recherche d'autres anévrismes). Ces deux examens reviennent tous deux normaux. Au vu de l'absence d'anomalie vasculaire lors du bilan angiologique effectué le 9.5.2019, nous ne retenons pas d'indications à la recherche d'une collagénose de type Marfan ou Ehler-Danlos. Nous vous laissons le soin de poursuivre l'adaptation du traitement antihypertenseur lors de votre prochaine consultation. A noter aussi la mise en évidence d'une insuffisance rénale au laboratoire d'entrée des urgences. Une composante chronique dans le contexte de l'hypertension artérielle est évoquée, mais les valeurs se normalisent lors du contrôle le 8.5.2019. Un bilan par un US Doppler des artères rénales revient dans les limites de la norme. Au vu d'une situation stable avec un patient asymptomatique, le patient quitte le service de médecine le 10.5.2019. Un contrôle angiologique et cardiologique sont respectivement prévus à trois et six mois. Nous vous laissons le soin d'organiser un CT thoracique à une année pour le contrôle de l'anévrysme thoracique ascendant. Mr. Y, patient de 48 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique et traitement d'une hypertension artérielle résistante chez un patient hospitalisé pour une embolie pulmonaire lobaire droite avec découverte fortuite d'un anévrysme de l'aorte thoracique. Le patient, connu pour une hypertension artérielle non traitée, présente depuis une dizaine de jours des douleurs basi-thoraciques droites, mouvement-dépendantes et respiro-dépendantes, ainsi qu'une dyspnée d'effort depuis la veille. Les D-dimères dosés chez le médecin traitant sont à 1700 ng/mL. Le CT-scan thoracique met en évidence une embolie pulmonaire lobaire droite. Un anévrysme thoracique de 4.6 cm est également mis en évidence de manière fortuite chez un patient qui reste hypertendu malgré une thérapie par IEC et anticalcique administrée aux urgences. Dans ce contexte, le patient est transféré aux soins intensifs pour un contrôle du profil tensionnel. Concernant l'embolie pulmonaire, un traitement anticoagulant par Xarelto est débuté. Le bilan par échocardiographie transthoracique ne montre pas de répercussion cardiaque. L'anamnèse ne retrouve pas de facteurs déclenchants pour l'embolie pulmonaire. Un bilan étiologique de thrombophilie sera à prévoir, de même qu'un bilan d'imagerie avec un CT-scan abdominal. L'hypertension artérielle nécessite l'administration transitoire de dérivés nitrés pour atteindre les cibles tensionnelles. Une reprise du Vascord est initiée le 08.05. Quant à l'anévrysme aortique thoracique, un bilan angiologique (à la recherche d'autres anévrismes) est à organiser, puis un CT de contrôle à 1 an. A noter aussi la mise en évidence d'une insuffisance rénale au laboratoire d'entrée des urgences. Une composante chronique dans le contexte de l'hypertension artérielle est évoquée. Un bilan par un US Doppler des artères rénales sera à discuter en cas de HTA résistante. Le patient est transféré le 08.05.2019 en médecine interne pour suite de prise en charge. Mr. Y, 83 ans, a été hospitalisé suite à une contusion traumatique avec hématome de la cuisse gauche ayant nécessité un débridement, compliqué en post-opératoire d'une ischémie aiguë du membre inférieur droit d'origine embolique. Le patient est connu pour une artériopathie avancée des membres inférieurs et une fibrillation auriculaire chronique anticoagulée. Le 10.04.2019, après avoir été traîné sur quelques mètres par sa voiture car il n’avait pas mis le frein à main, le patient a été amené en ambulance à l'hôpital de Riaz en raison d'un important hématome de la cuisse gauche. La lésion a été initialement traitée conservativement. En raison du risque anesthésique et d'un état confusionnel aigu, il a été adressé le 15.04.2019 à l'hôpital cantonal pour la mise à plat de l'hématome, une nécrosectomie superficielle et débridement de la cuisse gauche sous anesthésie générale. Les prélèvements microbiologiques reviennent positifs pour un Staphylococcus aureus et un Pseudomonas aeruginosa, motivant une antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobactam. Après deux débridements supplémentaires et un traitement par pansement aspiratif, une greffe cutanée de Thiersch, prélevée au niveau de la cuisse droite, a pu être effectuée le 26.04.2019.Une occlusion artérielle aiguë du réseau artériel du membre inférieur droit, allant jusqu'à l'artère iliaque externe droite, est survenue le 16.04.2019 en post-opératoire, dans le contexte de l'arrêt de l'anticoagulation thérapeutique et de la fibrillation auriculaire. Une thrombectomie avec patch d'élargissement a été effectuée, ainsi que des fasciotomies préventives de la jambe droite, dans le contexte d'une rhabdomyolyse. Après une révision et mise sous un système aspiratif VAC, les fasciotomies ont aussi été couvertes par une greffe de Thiersch. L'anticoagulation thérapeutique a été reprise dès le 17.04.2019 et devra être adaptée par la suite selon avis chirurgical. Les soins locaux se font selon protocole proposé par l'équipe de chirurgie vasculaire. Une embolie pulmonaire gauche a été découverte lors du CT-scan du 16.04.2019, ajoutant une indication à une anticoagulation thérapeutique. Une cholécystite lithiasique aiguë a été traitée conservativement par l'antibiothérapie administrée pour l'hématome infecté de la cuisse. L'indication à une cholécystectomie à distance devra être discutée selon l'évolution. Un état confusionnel hypoactif prolongé présent dès le 15.04.2019, puis hyperactif à partir du 22.04.2019, a nécessité un traitement par Quétiapine. Le patient se montre plus calme et coopérant par la suite. L'origine de cet état confusionnel est multifactorielle, dans un contexte de troubles cognitifs légers préexistants, les anesthésies générales répétées, les différents traitements antalgiques et sédatifs, les troubles électrolytiques, le contexte infectieux et de la maladie aiguë, ainsi qu'une désafférentation. Une hypercalcémie modérée probablement chronique, secondaire à un hyperparathyroïdisme primaire, est restée réfractaire malgré une hydratation, posant l'indication à un traitement de Cinacalcet et calcitonine. La posologie du cinacalcet a été augmentée le 03.05.2019. L'évolution de la calcémie et de la PTH pourra être contrôlée après 10 à 15 jours. Le patient a été transféré le 03.05.2019 dans le service de médecine interne avec suivi conjoint par l'équipe de chirurgie vasculaire (Dr. X). Mr. Y est un patient de 76 ans, connu pour une hyperplasie de la prostate avec un status post-résection trans-urétrale de la prostate en décembre 2017 en Australie, qui nous est adressé en raison d'une macrohématurie progressive avec légère dysurie, sans état fébrile associé ni douleurs abdominales ou au niveau des flancs. Le bilan aux urgences met en évidence une hémoglobine stable et une créatinine dans la norme. Un CT abdomino-pelvien montre une prostate très agrandie, avec la partie moyenne de la prostate prostrée dans la vessie, sans d'atteinte des reins ni des uretères. Une sonde urinaire 3 voies est mise en place et la macrohématurie est traitée conservativement avec un rinçage vésical. Le patient présente une évolution favorable avec une disparition de l'hématurie. Nous procédons à l'ablation de la sonde vésicale et Mr. Y rentre à domicile le 01.05.2019. Le patient souhaite rentrer en Australie pour poursuivre les investigations et la poursuite du traitement là-bas chez son urologue. Nous expliquons au patient la nécessité de se présenter dès que possible chez un urologue pour un contrôle et éventuellement une re-opération (TURP). Nous introduisons un traitement par Finastéride et le patient poursuivra un traitement par Ciproxine et Cyklokapron pendant 2 semaines. Mr. Y, 78 ans, connu pour un lymphome diffus à grande cellule B, est hospitalisé pour une péjoration de ses douleurs osseuses chroniques. Il présente en effet une augmentation des douleurs dans les membres inférieurs, les membres supérieurs et au niveau du bassin depuis plusieurs jours, non soulagées par son traitement morphinique habituel (MST continu et morphine gouttes). Une rotation d'opiacé par Oxycodone est réalisée pendant le séjour, permettant un bon contrôle antalgique. Il reçoit également une dose de Zometa, à répéter toutes les 4 à 6 semaines. Une pneumonie basale droite est traitée par Levofloxacine (allergie à la Pénicilline), initialement per os puis par voie intraveineuse en raison d'une dysgeusie possiblement attribuable à la forme orale, avec une évolution favorable du syndrome inflammatoire biologique. Il présente toutefois un état fébrile persistant, probablement d'origine tumorale. Les hémocultures sont négatives. Il présente une pancytopénie dans le contexte d'une probable infiltration médullaire du lymphome, avec une agranulocytose dès le 02.05.2019. Il bénéficie d'un traitement de Neupogen du 02.05 au 03.05.2019, avec une sortie d'agranulocytose le 04.05.2019. Mr. Y est transféré à la Villa St-François le 06.05.2019 pour suite de prise en charge. Mr. Y, patient de 75 ans, connu pour une polyarthrite rhumatoïde sous Méthotrexate ainsi qu'une BPCO de stade IV sous 4L d'oxygène nocturne, résidant en Afrique du Sud actuellement en visite chez sa fille, se présente aux urgences le 16.05.2019 en ambulance en raison d'une dyspnée d'apparition rapidement progressive, associée à un état fébrile, une pollakiurie et un épisode de vomissement. Devant une suspicion initiale de surinfection de BPCO, un traitement de Ceftriaxone et Prednisone est débuté avec de la ventilation non invasive aux soins intensifs du 16.05 au 17.05.2019. Après transfert à l'étage de médecine, le patient est réadmis aux soins intensifs pour 24 heures en raison d'une décompensation cardiaque avec bonne réponse au traitement diurétique. Sur le plan infectieux, nous ne mettons pas de foyer pulmonaire en évidence au CT thoracique et les hémocultures mettent en évidence une bactériémie à Enterobacter aerogenes que nous traitons initialement par Meropenem, puis Ciprofloxacine. Une origine urinaire est retenue. Sur le plan cardiaque, une échocardiographie met en évidence une sténose aortique modérée à sévère pour laquelle nous recommandons une poursuite d'investigations avec échocardiographie transœsophagienne et coronarographie en Afrique du Sud afin de définir la nécessité d'une intervention. L'évolution clinique est bonne. La paO2 à l'air ambiant et au repos est satisfaisante. Toutefois, le patient présente des désaturations jusqu'à 85% à l'air ambiant à l'effort, asymptomatique, raison pour laquelle une oxygénothérapie uniquement à l'effort en plus des 4L nocturne est à poursuivre à domicile. Mr. Y peut sortir de l'hôpital le 24.05.2019. Il se rendra chez un médecin 1 à 2 semaines pour contrôle clinique et adaptation des diurétiques. La suite de prise en charge cardiologique se fera en Afrique du Sud. Mr. Y est un patient de 28 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleur en fosse iliaque droite associée à un état fébrile. Le bilan met en évidence une appendicite aiguë, raison pour laquelle il bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique en urgence le 07.05.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples. Au vu de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 08.05.2019. Mr. Y, 75 ans, est admis aux soins intensifs pour une décompensation BPCO probablement dans un contexte infectieux.Le patient connu pour PR sous méthotrexate, BPCO O2 dépendant (4l) et diabète type II, résident en Afrique du Sud. En visite depuis mardi chez sa fille, il est emmené en ambulance en raison d'une dyspnée stade IV d'apparition rapidement progressive ce jour, associé à un état fébrile et frissons. Il est tachypnéique mais sans augmentation de la toux ni expectorations. La symptomatologie s'améliore rapidement aux urgences après une séance de VNI et aérosols. Un traitement avec aérosols, Prednison et Rocephin est commencé. L'évolution a été rapidement favorable. Au vu du contexte de voyage récent, un scanner est effectué et exclut une embolie pulmonaire. Il n'y révèle pas non plus de foyer infectieux. Des hémocultures révèlent dans une bouteille la présence d'enterobacter aeruginosa. Un diagnostic différentiel d'infection urinaire est ouvert chez un patient qui rapporte une pollakiurie, des douleurs abdominales et avec présence de leucocytes dans les urines. Un urotube est à prélever et pister à l'étage. Mr. Y, 75 ans, est réadmis aux soins intensifs pour un sepsis à Enterobacter aeruginosa, avec une décompensation respiratoire sur OAP. Le patient est connu pour une polyarthrite rhumatoïde sous méthotrexate, ainsi qu'une BPCO de stade IV oxygénodépendante (4L à domicile), résident en Afrique du Sud, actuellement en visite depuis 4 jours chez sa fille. Il se présente aux urgences le 16.05.2019 en ambulance en raison d'une dyspnée stade IV d'apparition rapidement progressive, associée à un état fébrile. Il se plaint aussi de douleur abdominale depuis 1-2 jours. Devant une suspicion initiale de surinfection de BPCO, un traitement de Rocéphine et Prédnisone est débuté avec de la VNI. Cependant, un sédiment urinaire révèle une présence de leucocytes, des hémocultures reviennent positives à Enterobacter aerogenes, l'antibiogramme montre une résistance à la Rocéphine et l'antibiothérapie est poursuivie par Méropénème. Un scanner thoracique permet d'exclure un foyer et nous retenons une origine digestive ou urinaire à cette bactériémie. Par la suite, il présente une dyspnée en augmentation avec orthopnée importante avec une bonne réponse au traitement de Lasix. L'échocardiographie ciblée montre une bonne fonction bi-ventriculaire mais une insuffisance diastolique de type trouble de la relaxation. Devant un profil tensionnel élevé et une tachycardie connue de longue date mais mal contrôlée, nous introduisons un traitement de Nébivolol, Lisinopril et Torasemide. Les éléments susmentionnés nous font retenir un OAP à l'origine de la décompensation respiratoire. Mr. Y, âgé de 75 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une PTH D pour coxarthrose, le 02.05.2019. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite (travaillait dans le génie civil) et a un fils. A l'admission, le patient se plaint d'une perte d'appétit depuis l'hospitalisation précédente. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La flexion/extension de la hanche D est à 70°, l'élévation de la jambe D tendue à 30°. La force du MID est cotée à M3 pour le quadriceps et le psoas, et la sensibilité est conservée. Sur le plan nutritionnel, le patient présente une malnutrition protéino-énergétique légère (NRS 3) en lien avec une inappétence sur hospitalisation avec perte pondérale récente de 7.1% et apport oral insuffisant. Nous réalisons une adaptation et un enrichissement des repas avec l'introduction d'un SNO par jour durant l'hospitalisation, ce qui a permis de freiner sa perte de poids. Nous poursuivrons la prescription de ce SNO à domicile. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises sur un périmètre de 100 m en respectant difficilement la décharge. Les escaliers n'ont pas été testés. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de la hanche droite à 80° et l'abduction à 20°. Après 1 semaine d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service, à sa demande, pour rejoindre son domicile, le 17.05.2019, en état général conservé. A la sortie, les soins à domicile sont activés. Mr. Y, un patient de 51 ans, connu pour un tabagisme important présentant une claudication du membre supérieur droit à l'effort, et dont le bilan radiologique met en évidence une courte sténose de l'artère sous-clavière proximale. Dans ce contexte, une transposition de l'artère sous-clavière sur l'artère carotide commune droite est effectuée le 25.04.2019. En post-opératoire, le patient présente un léger gradient thermique et une absence de pouls radial à la main droite. Un thrombus est visualisé au niveau de l'artère sous-clavière distale sur le bilan angiologique du 26.04.2019. Une thrombo-embolectomie est réalisée le 27.04.2019 sans résultat concluant. Une angio-CT est par la suite réalisée, qui montre une dissection sur l'artère sous-clavière distale. Un pontage carotido-huméral droit est réalisé le 27.04.2018. En post-opératoire, le patient développe un volumineux hématome cervical stable et sans déglobulisation. Sur le plan chirurgical, la plaie est par la suite calme hormis un volumineux hématome, sans signe infectieux ou inflammatoire, sans écoulement. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre le 01.05.2019 à domicile. Mr. Y, un patient de 81 ans connu pour des infections urinaires sur prostatite à répétition à E. coli multi-résistants, ainsi qu'un choc septique sur prostatite aiguë avec détresse respiratoire et décompensation cardiaque en 2014, nous est adressé par son MT, Dr. X, au vu d'une infection urinaire avec dysurie et état fébrile à 38.1°. Pour rappel, Mr. Y est également connu pour une cardiopathie ischémique, valvulaire, hypertensive et rythmique avec FA paroxystique. A son entrée à la permanence, le patient présentait des frissons, une fièvre à 38.1° et une dysurie, pollakiurie et macrohématurie. Le laboratoire montre une CRP à 8 mg/l avec une leucocytose à 12.5 G/l. Le statut urinaire effectué chez le MT montre une leucocyturie, hématurie avec nitrites positifs. L'uriculture est effectuée chez le MT et a été envoyée au laboratoire. Pas de douleur au toucher rectal ni à la percussion des loges rénales. Nous hospitalisons le patient et introduisons une antibiothérapie intraveineuse avec Rocephin 2g. Une dyspnée d'effort stable est également mentionnée par le patient. Des légers OMI sont observés sans râles pulmonaires, avec signes de redistribution de la vascularisation à la radiographie thoracique. Nous administrons une dose unique intraveineuse de Lasix 20 mg avec nette réduction des OMI le lendemain. En addition à la médication de base avec Coversum, nous rajoutons le Carvedilol 6.25 mg. Un rendez-vous cardiologique chez le Dr. X est prévu au mois de juin. Au vu de l'évolution clinique favorable avec disparition de la dysurie et retour à une température corporelle normale dans les 24h, nous procédons rapidement à un switch oral de l'antibiothérapie sur du Ciprofloxacin 2x500mg pour 7 jours. Dans la recherche d'une explication pour les infections urinaires récidivantes, nous effectuons une sonographie des voies urinaires avec recherche d'un éventuel calcul vésical et mesure du volume urinaire post-mictionnel. Un volume post-mictionnel important de 220 ml avec présence de plusieurs diverticules de la vessie, principalement à gauche, compatible avec une vessie de lutte sur prostate fortement agrandie. Une médication à la Tamsulosin 0.4 mg est débutée. Nous proposons au MT d'organiser un suivi urologique.Nous pouvons laisser rentrer le patient le 14.05.2019 en bon état général. Un suivi de l'uriculture et adaptation de l'antibiose si nécessaire est proposé à la MT. Mr. Y, âgé de 72 ans, connu pour une BPCO stade IV selon Gold, nous est adressé par l'HFR Riaz pour une réadaptation respiratoire suite à un foyer de pneumonie le 26.03.2019. Sur le plan social, le patient vit avec son frère dans une ferme. Il travaille toujours à 20% en tant qu'agriculteur. A l'admission, le patient se plaint d'une dyspnée stade III selon NYHA et d'une toux peu productive. Il relate également des gonalgies ddc. Le statut général est sans particularité hormis de légers râles en base droite, OMI bilatéraux. La gazométrie effectuée à l'entrée à l'air ambiant montre une saturation à 86% avec une hypoxémie sévère à pO2 7.6 kPa associée à une hypercapnie, raison pour laquelle nous poursuivons une oxygénothérapie au débit de 1 lt/min pendant la journée. Les spirométries sont non interprétables à cause d'une mauvaise qualité. La lecture de la carte de la VNI démontre une mauvaise adhérence thérapeutique, notamment 2 semaines avant son hospitalisation à l'HFR Riaz. Il n'y a pas d'événement respiratoire résiduel et le patient est bien synchronisé avec son ventilateur. Nous réalisons également une capnographie sous VNI sous 1.5 lt/min d'O2 qui montre une saturation moyenne à 85% et une discrète rétention de CO2. Nous augmentons le débit d'O2 à 2 lt/min par la suite, et la capnographie montre une amélioration des valeurs de SpO2 ainsi qu'une normalisation de la tcpCO2 au cours de la nuit. Nous insistons auprès du patient sur l'importance d'être régulier dans le port de sa VNI. Nous ne sommes pas certains qu'il comprenne les différents enjeux de ce traitement. Nous poursuivons le traitement habituel d'Ultibro. La radiographie du thorax met en évidence une aorte déroulée et calcifiée. Turgescences hilaires bilatérales. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. La limitation à l'effort est principalement ostéoarticulaire. Le patient présente des douleurs bilatérales aux genoux liées à une arthrose avancée. Nous mettons en place une antalgie par Brufen, avec le Tramal en réserve. La fonction rénale revient dans la norme par la suite. Nous mettons en place également un traitement gastro-protecteur de Nexium au vu de l'introduction d'AINS. Sur le plan nutritionnel, le patient a été pris en charge pour un apport insuffisant en protéines. Avec une légère perte de poids (4.4%) dont probablement une partie d'œdèmes et un appétit conservé, il ne présente pas de dénutrition. Afin d'améliorer la couverture des besoins, nous avons fait quelques adaptations de repas (potages enrichis et collations). Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 130 m à 180 m avec un rollator. Le patient augmente la distance parcourue sur le tapis roulant pendant 20 minutes de 6.270 km à 7.680 km. A noter que les séances de physiothérapie sont fortement limitées par les gonalgies. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 26.04.2019, en état général conservé. Un concentrateur SimplyGo est prescrit pour ces déplacements, mais le patient souhaite actuellement se déplacer sans ce dispositif. Mr. Y est hospitalisé pour une décompensation cardiaque le 01.05.2019. Il présente une péjoration des troubles de la marche et de l'équilibre multifactoriels déjà connus depuis 5-6 jours avec une baisse de l'état général. Il présente également des diarrhées 4-5 fois par jour sans facteur de gravité. Une recherche de toxine de C. Difficile ainsi qu'une culture dans les selles reviennent négatives. Les diarrhées s'amendent spontanément durant l'hospitalisation. Il mentionne une dyspnée nouvelle depuis 5-6 jours. Le bilan de base retrouve une décompensation cardiaque. Un traitement par diurétique est introduit avec une bonne évolution. Une échocardiographie transthoracique retrouve une hypokinésie de la paroi septale connue et stable avec une FEVG à 50%. Une décompensation cardiaque dans un contexte infectieux est retenue. Le patient et sa femme refusent des soins à domicile. Après évaluation par les physiothérapeutes, il n'est pas nécessaire de faire une réadaptation gériatrique, le déconditionnement est minime. Des séances de physiothérapie en ambulatoire ont été convenues avec le patient et sa femme. La femme du patient fait part des troubles cognitifs depuis quelques mois déjà, un MMSE retrouve un trouble cognitif léger, un examen neurologique hormis les troubles de l'équilibre connus est parfaitement normal. Devant le caractère non urgent de la situation, nous vous laissons le soin de réévaluer la nécessité d'organiser un bilan neuropsychologique et IRM dans le cadre de ses troubles cognitifs. Suite à la bonne évolution, Mr. Y peut regagner son domicile le 07.05.2019. Mr. Z, patient de 87 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique dans le cadre d'une suspicion AVC droit. Le patient, en bonne santé habituelle, a présenté le 25.05.2019 vers 21h00 une faiblesse de bras et jambe gauche. Au réveil à 8h30, il remarque une persistance des troubles de la marche avec hémisyndrome gauche rapporté par les ambulanciers sur place. A l'arrivée, le patient présente un NHISS à 8 points. Le CT Time is Brain ne montre pas de lésion ischémique ni hémorragique intracrânienne. Le patient bénéficie d'une charge en Aspirine. L'évolution clinique est favorable avec un NHISS Score à 4 points. L'IRM de crâne et cervicale est prévue le 28.05.2019. Le diagnostic différentiel d'accident vasculaire cérébral et une compression dans le canal rachidien est posé. En plus, pour la suspicion d'une lésion de la coiffe des rotateurs à gauche chronique après une rupture en 2015, un consilium en orthopédie est à demander. Le bilan cardiologique montre une fonction ventriculaire gauche globale normale avec une hypokinésie minime de la paroi latéro-apicale et postérieure moyenne, un test d'effort en ambulatoire dans 3 semaines est prévu. Le Holter est demandé. Le patient peut être transféré le 27.05.2019 à l'étage en Stroke Unit. Mr. Z, patient de 87 ans, sans antécédents cardiovasculaires, connu pour des problèmes rhumatismaux non investigués aux 4 membres, est hospitalisé initialement dans un contexte de suspicion d'AVC ischémique pontique droit. Pour rappel, le patient présente une faiblesse des membres inférieurs avec des troubles de la marche apparus brutalement vers 21h et persistants jusqu'au matin du 26.05.2019, raison pour laquelle l'épouse du patient appelle les ambulanciers. Au service des urgences, Mr. Z présente à l'examen une légère dysarthrie, un hémisyndrome sensitivo-moteur gauche. Une réévaluation clinique le lendemain montre toutefois un syndrome pyramidal bilatéral D>G avec signe de Babinski D et une faiblesse des membres supérieurs proximaux intéressant surtout les abducteurs et les rotateurs externes des épaules (G>D) que nous interprétons initialement comme lésions de la coiffe des rotateurs. Le CT cérébral ne révèle pas de lésion ischémique ni hémorragique, seulement une légère athéromatose partiellement calcifiée des vaisseaux précérébraux, sans sténose significative. Une dose de charge d'Aspirine est donnée, relayée par Aspirine 100 mg/j. L'IRM cérébrale ne montre pas de lésion ischémique ou hémorragique, mais une lésion médullaire cervicale C2 à C4 sans prise de contraste. Cette lésion médullaire pourrait expliquer le tableau clinique et nous proposons une investigation par PL qui est refusée par le patient. Un bilan sanguin large complémentaire et un scanner thoraco-abdominal seront organisés en ambulatoire.Le diagnostic différentiel comprend une myélopathie inflammatoire, paranéoplasique ou ischémique. Après le bilan complémentaire nous allons convoquer le patient en ambulatoire en contrôle pour rediscuter du bilan. En ce moment nous allons réévaluer la poursuite de l'Aspirine et de l'Atorvastatine que nous maintenions pour le moment devant le diagnostic différentiel d'ischémie médullaire. L'évolution clinique est favorable avec un status neurologique de sortie dans la norme, dehors une persistance de la faiblesse proximale du membre supérieur gauche. Mr. Y peut regagner son domicile le 05.06.2019. Mr. Y est un patient de 41 ans qui est hospitalisé pour la prise en charge d'un premier épisode de diverticulite du côlon descendant. Il se présente aux urgences le 09.05.2019 pour des douleurs abdominales suspubiennes. Un CT scanner abdominal retrouve une diverticulite Hansen-Stock IIa que nous traitons par antibiothérapie avec Ceftriaxone et Métronidazole intraveineux. Il avait bénéficié en octobre 2018 d'une colonoscopie qui avait retrouvé de nombreux polypes avec déjà la présence de diverticules. Après une amélioration clinique et biologique le patient rentre à domicile le 13.05.2019 avec un relais antibiotique par Ciprofloxacine et Métronidazole per os pour une durée totale de 10 jours. Mr. Y est un patient de 36 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs en fosse iliaque droite accompagnées d'un état subfébrile. Le bilan met en évidence une appendicite aiguë, raison pour laquelle il bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique en urgence le 10.05.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites post-opératoires sont simples. En vue de l'évolution favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 11.05.2019. Mr. Y, un patient de 81 ans connu pour insuffisance cardiaque, une fibrillation auriculaire paroxystique ainsi qu'une polyarthrite rhumatoïde, nous est adressé par son médecin traitant le Dr. X pour prise en charge d'une pyélonephrite. Pour rappel, le patient a eu déjà une première épisode de pyélonephrite à ESBL le 05.2018 traité par Piperacilline/Tazobactame et Imipenem. Le patient décrit une dysurie, pollakisurie et hématurie depuis 3 jours avec une épisode de fièvre >38° et frissons le 06.05.2018, sans nausées, vomissements ou douleurs abdominales. Il est afébril à ce jour. En raison d'un statut urinaire pathologique, d'un syndrome inflammatoire biologique avec une CRP à 200 mg/l et leucocytose, ainsi que son antécédent de pyélonephrite à ESBL en 2018, nous débutons une antibiothérapie empirique avec de l'Imipenem iv (3 x 1g), avec switch sur du Invanz (Ertapenem) 1 g 1 x jour en iv selon antibiogramme montrant une récidive de E.coli multirésistant à ESBL et selon consilium infectiologique. Nous notons une bonne réponse thérapeutique avec disparition rapide des symptômes dysuriques. Nous pouvons laisser rentrer Mr. Y en bon état général le 15.05.2019. L'antibiothérapie intraveineuse avec le Invanz 1 g/jour sera poursuivie en ambulatoire au sein de notre hôpital jusqu'au 24.05.2019. Mr. Y, 29 ans, se présente aux urgences le 06.05.2019 en raison d'un volumineux abcès axilaire gauche. La veille, le patient avait consulté à l'Hôpital de Payerne où il bénéficie d'un drainage. En raison de la persistance de la tuméfaction et des douleurs, il se présente aux urgences HFR. L'abcès est drainé le 06.05. De la Co-Amoxicilline est débutée le jour même et pour une durée de 7 jours. Mr. Y rejoint son domicile le 07.05.2019. Monuril dose unique Antalgie Hydratation. Explications données à la patiente par le médecin. Monuril en dose unique aux urgences de l'HFR Fribourg Monuril 3 g dose unique le 21.05.2019, avec évolution favorable US abdomen complet natif du 21.05.2019 Monuril 3 g dose unique Monuril 3 g 1 dose unique le 08.05.2019 Monuril Urotube en cours Moral bon. En colère. Pas d'idées suicidaires. Après discussion avec la patiente et ses éducateurs du centre Horizon Sud, il est convenu que la patiente rentre à domicile et à l'institution ce soir. La patiente ne souhaitant plus d'hospitalisation à Marsens. Morbus Bechterew. Morbus sévère talon G. Morphine Morphine du 06-08.05.2019 Hydromorphone du 08-11.05.2019 Morphine du 06-08.05.2019 Hydromorphone du 08-11.05.2019 Torasémide du 06-08.05.2019 Morphine et réserve anti-douleur Physiothérapie Morphine IV au service des urgences Rotation opiacés le 28.04.19 par Oxycontin Zometa le 30.04.2019 (à répéter 1 x/mois) Calcimagon D3 Morphine iv continu du 16.04 au 19.04.2019 Fentanyl iv continu du 19.04 au 21.04.2019, relais par patch 50 mcg/h Dexaméthasone 4 mg le 18.04.2019 Prednisone 50 mg dès le 19.04.2019 US abdominal : métastase localisée à l'endroit des douleurs, pas de saignement ni de nécrose Morphine IV continu Dormicum IV continu Morphine iv 4 mg 4 x/jours et réserve 4 mg 6 x par jour Primperan 10 mg iv 3 x/jours Morphine 10 mg au tri. Tramal 50 mg en réserve. Contrôle chez le dentiste le 27.05.2019. Morphotype en valgus membres inférieurs. Morphotype valgus MI. Morsure de chien. Morsure de chien. Morsure. Morsure. Morsure de chat Morsure de chat Morsure de chat Morsure de chat. Morsure de chat à la main droite. Morsure de chat au pied D le 28.04.2019 Morsure de chat au pouce droit Morsure de chat au pouce droit Morsure de chat avec plaie de 3 mm x 1 mm et œdème au niveau du troisième métatarse de la main droite. Morsure de chat profonde face latérale gros orteil pied D le 28.04.2019 Morsure de chien. Morsure de chien. Morsure de chien avec plaie de 2 cm sous-orbitale gauche et de 1 cm au niveau de la lèvre supérieure à droite Morsure de chien avec plaie de 2 cm sous-orbitale gauche et de 1 cm au niveau de la lèvre supérieure à droite Morsure de chien membre supérieur gauche le 18.04.2019. Morsure de chien pied droit face dorsale. Morsure de chien pied droit face dorsale. Morsure de cochon d'Inde. Morsure de cochon d'Inde à la main droite le 26.05.2019 avec : • plaie de 1.5 cm de diamètre entre les 1er et 2ème métacarpes et de 5 mm de profondeur, • tendon pas visualisé. Morsure de l'index de la main droite par un renard le 20.05.2019 avec : • plaie de 1 cm de longueur sur la face palmaire de la 1ère phalange, oblique, 3 mm proximale en regard du pli de flexion de l'interphalangienne proximale. Morsure de l'index droit par renard avec : • plaie de 1 cm de longueur de la face palmaire de la 1ère phalange, oblique, 3 mm proximale en regard du pli de flexion de l'index phalangienne proximale. Morsure de tique. Morsure de tique au niveau de la joue droite. Morsure de tique au niveau de l'avant-bras droit. Morsure de tique le 13.05.2019. Morsure de tique paupière inférieure droite Morsure humaine avec signes d'Impétiginisation Morsure humaine du pouce gauche. Morsure légère de chien au menton, type éraflure Morsures de chat. Mort du fœtus in utero, sur probable trisomie 21, à 15 4/7 SA (grossesse après FIV) chez Mme. Y 2G 0P de 37 ans 07.07.2014 S/p opération gynécologique pour fibrome en septembre 2014 Gastrite probable le 22.03.2019 Mort in utero de J1 Motte de beurre radio-ulnaire distale gauche Motte de beurre radius distale droite Mouvement involontaire membre supérieur gauche Movicol schéma dégressif. indication de reconsulter si évolution défavorable. Movicol 1 sachet 1x/j. Conseil alimentaire. Si pas amélioration, reconsulter. Movicol 1 sachet/jour Suivi pédiatre Movicol 2x/jour en réserve. Movicol 3 sachets par jour puis selon schéma de la pédiatre Moviprep le 20 et 21.05.2019 Mr. Y, un patient de 51 ans consulte à la Permanence le 06.05.2019 en raison de l'apparition de vertiges aigus depuis samedi sans signe neurologique d'appel. Au vu de l'anamnèse et de la clinique, nous suspectons des vertiges d'origine périphérique d'origine encore indéterminée. Au vu de vertiges permanents, avec nausée et vomissements, associés à certains mouvements, nous organisons un contrôle chez Dr. X (ORL) pour le lendemain pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 72 ans connu pour une AOMI de stade IV à droite, ainsi qu'un DMT2 IR, qui est hospitalisé dans le service de Médecine Interne en raison d'une dermohypodermite du membre inférieur droit. Pour rappel, une angioplastie du réseau jambier a été effectuée par le Dr. X le 03.05.2019 en raison d'une ischémie critique à droite. Le patient décrit initialement une bonne évolution avec un pied à nouveau chaud. Cependant, lors des jours suivants, il note des douleurs en péjoration, notamment lorsqu'il est couché, et l'apparition d'une tuméfaction de l'avant-pied associée à un érythème, raison de sa consultation aux urgences. L'examen clinique retrouve un patient en état général conservé, hémodynamiquement compensé et afébrile. L'examen cutané met en évidence de multiples plaies au niveau des orteils du pied droit, avec une nécrose humide connue du 3ème orteil, associée à un œdème et une rougeur de l'avant-pied, sans gradient thermique. Le bilan biologique met en évidence un discret syndrome inflammatoire, et une radiographie ne montre pas d'argument pour une ostéomyélite. Le bilan angiologique révèle une composante de syndrome de reperfusion pour l'érythème de l'avant-pied, avec persistance également d'ischémie pouvant expliquer les douleurs. Une composante infectieuse est par ailleurs vraisemblable. Un traitement de Co-Amoxicilline est débuté par voie IV, avec une évolution favorable au niveau de la rougeur et des douleurs. Le traitement est donc relayé par voie orale pour une durée totale de 10 jours. Mr. Y est suivi par les collègues d'angiologie qui ne proposent pas de geste de reperfusion d'emblée. Il sera toutefois revu d'ici un mois à leur consultation. Sur le plan diabétique, le patient montre une glycémie d'entrée à 20 mmol/l, probablement dans le contexte de sepsis. Les collègues de diabétologie proposent une majoration du traitement de Lantus à 36 UI, avec bon résultat glycémique. Par ailleurs, le patient est vu en podologie en raison de ses plaies chroniques, avec une bonne évolution par rapport à ses précédentes consultations. Au vu de son évolution favorable, le patient peut rentrer à domicile le 08.05.2019. Mr. Y, 37 ans, est hospitalisé aux soins intensifs le 06.05.2019 en raison d'un traumatisme crânien suite à une crise d'épilepsie inaugurale. Il est en bonne santé habituelle et présente le 06.05.2019 une crise épileptique tonico-clonique objectivée par ses proches, suivie par une chute avec traumatisme crânien. Le CT cérébral montre une fracture non déplacée de l'os pariétal gauche, un comblement de l'oreille moyenne gauche, ainsi que des collections sous-durales bilatérales mesurant jusqu'à 10 mm d'épaisseur à gauche et 5 mm à droite avec pneumo-encéphalie bilatérale. Le glasgow initial est à 13. La plaie pariétale est suturée par des agrafes. Une prophylaxie par co-amoxicilline est débutée et le patient bénéficie d'un rappel tétanique. Le CT cérébral de contrôle du 07.05.2019 montre une stabilité des lésions. Le patient ne présente aucun signe d'othorrée. Un consilium ORL est à prévoir au cours de l'hospitalisation. Le patient reçoit une dose de charge de Keppra initialement. L'EEG du 07.05.2019 est pathologique avec une activité de base fortement diminuée, compatible avec une encéphalopathie modérée d'origine mixte (médicamenteuse, post-traumatique, éventuellement lésionnelle), sans activité épileptique. L'examen neurologique se normalise entièrement le 08.05.2019. Le Keppra est poursuivi après avis neurologique. L'étiologie de cette crise d'épilepsie inaugurale n'est pas retrouvée, aucun facteur déclenchant n'étant retrouvé à l'interrogatoire. Une IRM à la recherche de lésions structurales est à prévoir dans la semaine. Une échocardiographie transthoracique est également effectuée afin d'exclure une cardiopathie à l'origine d'une syncope puis d'une épilepsie, celle-ci est normale. Le patient est transféré en chirurgie le 08.05.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y se présente en raison d'otalgie G chez un patient ayant des antécédents d'otalgies récidivantes durant l'enfance. La clinique montre un tympan bombé et opaque avec une douleur importante du patient. Nous traitons avec de l'amoxicilline 375 mg 3x/j pendant 5 jours ainsi que de l'antalgie. Mr. Y ne présente pas de signe en faveur d'une fracture au vu d'une mobilité conservée et un œdème léger. Au vu de son statut clinique rassurant, nous préconisons une antalgie, des béquilles de décharge pour la douleur, un bandage au niveau du genou et un arrêt de travail jusqu'à lundi compris. Mr. Y présente multiples fractures post-chute à vélo, dont des fractures costales G, une fracture claviculaire déplacée et une fracture de l'omoplate G. Suite à l'avis orthopédique de Fribourg, nous réalisons un scanner thoracique et de l'épaule G. Au vu d'une hospitalisation, nous réalisons un bilan laboratoire et un ECG de base. Nous donnons de l'antalgie par novalgine et oxynorme. Pour la fracture de la clavicule et de la scapula, après discussion avec l'orthopédie Fribourg, celle de la clavicule devra être opérée et celle de l'omoplate ne nécessite pas de traitement chirurgical. En raison d'un hématopneumothorax traumatique, Mr. Y est transféré en ambulance au HFR Fribourg après discussion avec la chirurgie pour la pose en urgence d'un drainage thoracique. Pendant la surveillance à la permanence, Mr. Y reste hémodynamiquement stable. Il peut donc être transféré en urgences à Fribourg. Mr. Y, un patient de 54 ans, est transféré du centre du Tory le 25.04.2019 en médecine palliative dans le contexte de sa cirrhose CHILD C sur alcoolisme avec péjoration de son encéphalopathie hépatique. À l'entrée, il présente une fatigue importante avec somnolence. Il ne se plaint pas de douleur, pas de dyspnée ni d'orthopnée. Il se plaint surtout de fatigue, d'une perte d'appétit, d'un prurit important, d'une faiblesse musculaire généralisée, de vertiges au changement de position, d'anxiété liée à sa maladie et au côté financier ainsi qu'une humeur basse en lien avec sa situation et la peur de mourir. Actuellement, il dit ne plus boire depuis quelques mois et qu'il ne souhaite pas recommencer.Au statut à l'entrée, Mr. Y est dans un état général diminué avec une fatigue importante et il est ralenti. Il est orienté sur sa personne, sa santé et au niveau du lieu, avec une hésitation au niveau de la temporalité. L'auscultation pulmonaire et cardiaque est dans la norme, mis à part des oedèmes des membres inférieurs avec une rougeur. L'abdomen est souple, sans défense ni détente, avec de bons bruits mais présente un ascite important avec une hernie ombilicale. Le statut neurologique global semble normal mis à part une faiblesse généralisée à M4, des tremblements (déjà au repos) surtout des membres supérieurs. Les nerfs crâniens sont globalement dans la norme. Concernant l'ictère, cela est difficile à dire en raison de sa couleur de peau. S'il présente de l'ictère, celui-ci est léger. Il a par contre une sécheresse cutanée. Au niveau social, il est assez isolé. Il habite avec son fils et sa fille habite avec sa femme. Ils sont en plein divorce. En raison de la péjoration aiguë de son encéphalopathie hépatique, nous réalisons une ponction le 25.04.2019 de 6,8 L d'ascite. Les résultats ne montrent pas de péritonite bactérienne spontanée et nous n'administrons pour cette raison pas d'antibiotique. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire, mais une insuffisance rénale aiguë avec une GFR à 38 ml/L, certainement dans le cadre d'un syndrome hépato-rénal et des troubles électrolytiques associés que nous traitons avec du resonium de manière temporaire. Nous réalisons une recherche du sang occulte dans les selles, qui revient positive. Ceci pourrait expliquer, en plus de son syndrome hépatorénale, la péjoration de son état de conscience. En raison d'une OGD récente en mars 2019 qui ne présentait pas de varice, nous ne réalisons pas d'autres investigations, car cela n'aurait aucun impact thérapeutique dans le contexte de sa cirrhose avancée. Nous augmentons son pantozol pendant 6 semaines à 2x/jour. En raison d'une amélioration de la clinique depuis le 30.04 avec un patient actuellement asymptomatique et qui souhaite fortement rentrer au centre du Torry, Mr. Y peut y retourner le 30.04.2019. Mr. Y présente une contusion musculaire de l'épaule D ainsi que des lésions cutanées superficielles suite à un accident de tracteur. Au vu de la clinique rassurante, nous prescrivons de l'analgésie pour les douleurs et nous l'informons qu'il ne doit pas dormir seul ce soir. Il dort en présence de sa mère. De plus, en cas de péjoration de la clinique, il est informé qu'il doit consulter rapidement. Mr. Y est un patient de 59 ans connu pour un diabète secondaire pancréatoprivé, une cardiopathie ischémique et un AVC ischémique. Le patient a été hospitalisé du 08 au 19.04.19 dans le contexte d'une insuffisance rénale aiguë sur chronique. Pour rappel, Mr. Y présente de longue date un diabète secondaire à une pancréatectomie, maladie relativement mal contrôlée, notamment en raison de problèmes de compliance, avec comme conséquence une atteinte micro- et macro-vasculaire. Depuis sa sortie de l'hôpital, le patient a toutefois repris rapidement du poids (5 kg) et se présente le 24.04 dans le cadre d'une décompensation cardiaque globale. L'examen clinique révèle des oedèmes des membres inférieurs majeurs chez un patient par ailleurs eupnéique. Un bilan radiologique met en évidence des signes de redistribution et le traitement diurétique est majoré, avec également l'introduction de 2,5 mg/j de Metolazone. L'évolution est favorable avec une perte de poids progressive (poids de sortie de 64,3 kg). Nous lui proposons de poursuivre le suivi de poids avec le même régime diurétique et d'entamer un suivi médical régulier, ce qui n'était pas le cas jusqu'à présent. Au niveau néphrologique, une péjoration de la fonction rénale AKIN I d'origine pré-rénale est mise sur le compte d'un syndrome cardio-rénal. Les valeurs de créatinémie se stabilisent en cours d'hospitalisation et le patient sera convoqué en ambulatoire par Dr. X en néphrologie. Sur le plan endocrinologique, le diabète est mal contrôlé et les glycémiques sont très labiles en raison de l'inconstance des apports. Le patient est suivi par Dr. X pour le suivi et les collègues de diabétologie sont impliqués. Les doses d'insuline sont réadaptées et le patient est instruit à une surveillance régulière. Le patient prendra contact avec Dr. X pour un nouveau contrôle de suivi en ambulatoire. Sur le plan social, le patient se montre réfractaire à la prise en charge hospitalière en raison de problèmes financiers. Alors qu'il menaçait de partir contre avis médical le premier jour de son arrivée, un congé lui est accordé après des explications extensives à lui et à sa fille quant aux conséquences d'une absence de traitement. Les risques sont acceptés par le patient et il revient le lendemain. Il est toutefois convenu d'une durée d'hospitalisation limitée dans le temps au vu de l'opposition de Mr. Y, pour qui un nouveau médecin traitant est organisé, le précédent étant notamment trop loin de son domicile. Au vu de l'évolution favorable sur le plan cardiologique, il rentre à domicile avec une réactivation des soins à domicile le 03.05.2019. Mr. Y, un patient de 58 ans, est hospitalisé de manière élective sur demande de nos confrères de la permanence en raison d'une lésion suspecte découverte au CT pulmonaire le 23.04.2019 dans un contexte de toux, dyspnée NYHA III-IV, des symptômes B avec une sudation nocturne, des frissons et de la fièvre. Mr. Y est connu pour un tabagisme actif, une consommation d'alcool à risque ainsi qu'une hyperplasie de la prostate. Un PET CT ainsi qu'un examen des fonctions pulmonaires sont organisés pour le 30.04.2019, ainsi que la suite de la prise en charge oncologique se fera par Dr. X. Mr. Y présente des tests hépatiques perturbés avec un ultrason abdominal présentant une stéatose hépatique. Les sérologies se montrent en diminution dans le contrôle labo suivant. Le bilan pour les hépatites A, B, C, E avec le VIH se montre négatif. Nous introduisons avec son accord un traitement de bernerva et de seresta dans la réserve pour l'aide au sevrage alcoolique. Malheureusement, pour le moment, Mr. Y ne montre aucune motivation pour une diminution de sa consommation d'alcool. Concernant son emphysème et sa bronchectasie compatibles avec une possible BPCO, un traitement d'ultibro breezhaler avec un apprentissage de la technique d'inhalation est introduit le 26.04.2019. En fonction du résultat des fonctions pulmonaires, le traitement sera à adapter. Pendant le séjour, nous observons une amélioration de la symptomatologie avec une disparition de la dyspnée. Le patient rentre à domicile le 29.04.2019. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour une antalgie complexe dans un contexte de douleurs abdominales chroniques. Il est connu pour un statut post duodéno-pancréatectomie totale en 2001 pour une pancréatite chronique d'origine indéterminée, mais continue de présenter des douleurs abdominales chroniques invalidantes, nécessitant des hospitalisations répétées. Il est suivi par Dr. X au Swiss Pain Institute à Lausanne, avec statut post implantation d'une pompe intrathécale de Catapressan et Fentanyl, dont les doses ont été augmentées de 40% le 9.4.2019. Concernant l'exacerbation actuelle, une cause déclenchante évidente n'est pas identifiée. Au vu de la réalisation de deux précédents CT dans les 6 derniers mois, cet examen n'est pas répété. Un traitement par Fentanyl IV en continu et en bolus est débuté aux urgences avec des réserves de Kétamine, Catapressan et Lidocaine. Les opioïdes ne semblent pas soulager les douleurs et sont rapidement sevrés. De plus, le patient présente un épisode de désaturation en raison de multiples apnées. Un relais par clonidine et lidocaine en IV continu est débuté en accord avec Dr. X (antalgie, en l'absence de Dr. X) afin de casser la crise avec effet initialement bénéfique mais très transitoire. Devant une symptomatologie très démonstrative, une thérapie par benzodiazépine est initiée avec un suivi actif par Dr. X. Un traitement antidépresseur adjuvant pourrait être une option (par ex. duloxétine).Le patient est transféré en médecine interne le 18.05.2019. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour une antalgie complexe dans un contexte de douleurs abdominales chroniques. Il est connu pour un status post duodéno-pancréatectomie totale en 2001 pour une pancréatite chronique d'origine indéterminée, mais continue de présenter des douleurs abdominales chroniques invalidantes, nécessitant des hospitalisations répétées. Il est suivi par le Dr. X au Swiss pain institute à Lausanne, avec status post implantation d'une pompe intrathécale de Catapressan et Fentanyl, dont les doses ont été augmentées de 40% le 9.4.2019. Concernant l'exacerbation actuelle, une cause déclenchante évidente n'est pas identifiée. Au vu de la réalisation de deux précédents CT dans les 6 derniers mois, cet examen n'est pas répété. Un traitement par Fentanyl IV en continu et en bolus est débuté aux urgences avec des réserves de Kétamine, Catapressan et Lidocaine. Les opioïdes ne semblent pas soulager les douleurs et sont rapidement sevrés. De plus, le patient présente un épisode de désaturation en raison de multiples apnées. Un relais par clonidine et lidocaine en IV continu est débuté en accord avec la Dr. X (antalgie, en l'absence du Dr. X) afin de casser la crise avec effet initialement bénéfique mais très transitoire. Devant une symptomatologie très démonstrative, une thérapie par benzodiazépine est initiée avec un suivi actif par la Dr. X. Un traitement antidépresseur adjuvant pourrait être une option (par ex. duloxétine). Le patient est transféré en médecine interne le 18.05.2019. Mr. Y présente probablement une bronchite allergique en lien avec un contact nouveau depuis 2 jours avec le chat de sa fille, qu'il doit garder pendant quelques jours. Au vu d'une image radiologique sans particularité et au vu de la clinique en amélioration suite aux inhalations de ventolin et d'atrovent, nous suspectons une composante allergique. Pour cette raison, nous prescrivons pour la durée du séjour du chat, du symbicort, du bilaxsten ainsi que du mométasone spray. Nous l'informons qu'il faut qu'il évite au maximum tout contact avec le chat, qu'il évite que le chat rentre dans les chambres et la salle de bain et qu'à son départ, que le domicile soit bien nettoyé pour enlever les poils de chat. En cas de péjoration de la situation, Mr. Y est informé qu'il peut venir consulter à la Permanence. Mr. Y a la sensation que son cathéter est bloqué. Nous réalisons un Bladderscan qui montre 20-50 ml d'urine. Le rinçage de la sonde se passe sans problème. Nous contactons Dr. X, qui nous informe qu'il a une consultation mi-juin. Mr. Y peut sans autre appeler à son cabinet lorsqu'il présente des problèmes urinaires. Mr. Y a testé lui-même son cathéter post-rinçage et cela fonctionne. Il peut donc rentrer à domicile. Mr. Y, connu pour un éthylisme chronique avec une suspicion de syndrome de Korsakoff, nous est adressé par le médecin de garde d'Horizon Sud en raison d'une baisse de l'état général depuis le début de l'année avec vomissements, perte d'appétit et perte de poids (3.2 kg en 3 mois). Un sevrage de l'alcool est demandé avec l'accord du patient. La surveillance à l'étage de médecine interne montre une stabilité des paramètres vitaux et de l'état clinique. Nous observons des signes de sevrage alcoolique légers avec des scores CIWA entre 7-9 et débutons le traitement par Seresta 30 mg 4x/j. Sur le plan digestif, nous n'observons pas de vomissements et le patient montre un appétit conservé. Un bilan hépatique est entrepris avec un US abdominal qui montre un foie stéatosique sans franche lésion suspecte de CHC sous réserve d'un examen sous-optimal. Le bilan initialement prévu ne peut être réalisé de manière complète durant son séjour en raison des multiples fugues que le patient fait. Nous vous proposons de compléter le bilan en ambulatoire par une OGD à la recherche d'une gastrite ou de varices oesophagiennes. Un dosage de l'alpha-foeto-protéine peut également être demandé lors d'un prochain contrôle laboratoire. À noter en effet que le patient, entré initialement dans un mode volontaire, fugue à multiples reprises nécessitant l'intervention de la police qui nous le ramène après éthylisations importantes à la gare. Avec l'accord avec son médecin traitant et son psychiatre, un transfert vers Marsens est décidé pour une suite de prise en charge. En raison des épisodes d'éthylisation aiguës en dehors de l'hôpital avec mise en danger de sa personne, un PAFA est posé le 13.05.2019 et sera à réévaluer lors de son hospitalisation à Marsens. Mr. Y est transféré le 14.05.2019 en état général conservé. Mr. Y est un patient de 68 ans connu pour un adénocarcinome du côlon. Il est hospitalisé dans le contexte d'une asthénie avec sensation vertigineuse dans les suites de sa dernière chimiothérapie. Pour rappel, le patient est suivi en oncologie pour un adénocarcinome du bas rectum, opéré d'une TME en 2017, actuellement sous chimiothérapie de FOLFIRI pour une récidive au niveau pulmonaire bilatérale. Le 2ème cycle du traitement a été administré le 24.04.2019. Depuis la veille, le patient décrit une sensation vertigineuse péjorée à l'horizontalisation, associée à une dyspnée en progression, ainsi que des tensions artérielles abaissées à 90 de TAS. Il ne décrit pas de toux, de diarrhée ou d'autre symptôme neurologique. À noter que le patient a été récemment hospitalisé pour des motifs similaires suite à son premier cycle de chimiothérapie, avec une relation chronologique similaire à l'administration du traitement. Lors de son évaluation aux urgences, le patient est tachycarde à 130/min et hypotendu à 100 mmHg de TAS. Il est asthénique, mais le reste de l'examen clinique se révèle sans particularité. L'ECG montre une tachycardie sinusale régressive avec l'administration de son traitement habituel de Beloc. Un CT thoracique permet d'exclure une embolie pulmonaire, ainsi qu'une péjoration des épanchements pleuro-péricardiques décrits précédemment. Un test de Schellong se révèle négatif (effectué toutefois après remplissage aux urgences). Le patient montre une évolution favorable, avec une disparition des symptômes initialement décrits. Le bilan biologique met par ailleurs en évidence des troubles électrolytiques modérés qui sont substitués par voie orale avec bonne évolution. Le patient peut rentrer avec la mise en place de soins à domicile et la suite est organisée en ambulatoire dans le service d'oncologie ambulatoire. Mr. Y, patient de 77 ans, est admis aux soins intensifs pour une bradycardie symptomatique à 30 bpm et une crise hypertensive le 14.05.2019. Il présente aux urgences en raison d'une sensation de serrement cervical, accompagnée de sudation et flushing facial. Depuis 2 jours, il présente des pics hypertensifs d'une durée d'environ 5 minutes parfois avec des palpitations et sudation. La bradycardie est causée par le traitement bêta-bloquant qui favorise l'arythmie ventriculaire. Pour ce motif et sur avis cardiologique (Dr. X), l'atenolol est stoppé. L'échographie cardiaque montre une fraction d'éjection normale, sans troubles de la cinétique et en l'absence de mouvement enzymatique nous n'avons pas d'arguments pour une maladie coronarienne. Un Holter sera à organiser en ambulatoire.Patient traité par une pentathérapie pour une hypertension artérielle résistante. Normalisation du profil de tension sous traitement de nitrés IV en continu. Son traitement par Physiotens est majoré. Devant la présence des crises d'hypertension accompagnées de sudation et palpitations, des métanéphrines urinaires sont en cours de dosage afin d'exclure un phéochromocytome. Des métanéphrines plasmatiques seront aussi à doser. Un doppler des artères rénales, réalisé en angiologie, ne montre pas d'arguments pour une sténose des artères rénales pouvant expliquer l'hypertension. La TSH est dans la norme. Mr. Y se présente à la permanence avec une baisse de l'état général dans un contexte de fibrillation auriculaire nouvellement diagnostiquée. De plus, il présente des douleurs abdominales hautes avec vomissements brunâtres d'origine encore indéterminée pour laquelle nous introduisons du pantozol 40 mg. Pour cette raison, nous n'introduisons pas d'office un traitement de xarelto. Au niveau laboratoire, il présente une hyperkaliémie à 5,5 mM ainsi qu'une perturbation des tests hépatiques. Nous proposons de réaliser une US abdominale pour investiguer ses douleurs abdominales. Mr. Y et sa famille sont d'accord avec une hospitalisation pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, un patient de 92 ans institutionnalisé à l'EMS de Courtepin, présente le 23.04.2019 à 4h une douleur rétrosternale d'une durée totale de 1h30. Le patient reçoit de l'isoket avec une résolution des symptômes 30 minutes après. Il rapporte des palpitations avec une dyspnée lors des symptômes. De plus, il rapporte avoir eu des angors stables à l'effort depuis plusieurs jours auparavant. Il n'a pas d'orthopnée, ni de dyspnée paroxystique nocturne, mais présente des œdèmes des membres inférieurs. Mise à part une dyspnée, il ne présente pas de plaintes respiratoires, ni abdominales ou urinaires. Pour rappel, il a été stenté de l'IVA en 2011 et a un pacemaker pour bloc AV 2e degré en 2010 et une FEVG à 50% en 2018. Au statut à l'entrée aux urgences à l'hôpital cantonal à Fribourg, il présente un B1B2 régulier, une tachycardie à 130/min, des œdèmes des membres inférieurs, pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Il présente des crépitants en base gauche avec une hypoventilation gauche légère par rapport à droite. L'abdomen est sans particularité. Il a présenté à l'ECG une salve de tachycardie ventriculaire monomorphe avec un contexte d'ischémie probable. Selon l'avis cardiologique, il reçoit de l'amiodarone IV en dose de charge puis relais per os et des diurétiques IV puis per os pour sa décompensation cardiaque légère sur trouble arythmique. Nous introduisons aussi du Dancor en plus du Deponit. Sous ce traitement, l'évolution est favorable. Au vu de l'amélioration clinique, il peut rentrer dans son home le 29.04.2019. Mr. Y, 51 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un choc septique sur une perforation du grêle le 30.04.2019. Le patient est connu pour une anastomose iléo-colique latéro-latérale suite à une perforation intestinale en novembre 2018 suite à une colonoscopie. Le patient présente le 30.04.2019 un choc septique dû à une perforation du moignon du grêle borgne. La laparotomie met en évidence une péritonite stercorale débutante. Une hémicolectomie droite est effectuée avec lavage abdominal et mise en place d'une split-stomie et d'un VAC sous-cutané. Une antibiothérapie par Tazobac est alors débutée en raison du choc septique. Un soutien hémodynamique par expansion volémique et noradrénaline est initialement nécessaire au vu d'une vasoplégie importante. L'évolution est favorable par la suite avec un sevrage rapide de la noradrénaline. Sur le plan respiratoire, le patient revient du bloc intubé et peut être extubé le jour même sans complication. L'antalgie est bien gérée grâce aux opioïdes en post-opératoire. Un relais per os par Oxynorm et Oxycontin peut être débuté dès le 01.05.2019. Les boissons sont également reprises avec une bonne tolérance et une reprise du transit dès le lendemain de l'intervention. Le patient est transféré en chirurgie le 01.05.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, un patient de 39 ans, est connu pour un lupus avec atteinte rénale. Il vient en raison d'une douleur à l'épaule D sur traumatisme par port de charge le 05.05.2019 (DD lésion de la coiffe des rotateurs). La radiographie ne montre pas de fracture, mais des tendinopathies chroniques. En raison de la douleur importante, un examen de la coiffe des rotateurs n'est pas réalisable et une lésion de la coiffe des rotateurs n'est pas évaluable. Si la douleur persiste, nous conseillons de réaliser une IRM de l'épaule. Nous préconisons une décharge de l'épaule avec le bras en écharpe pour la journée, en plus d'une antalgie et de la physiothérapie. Nous proposons un contrôle la semaine prochaine chez son médecin traitant. Mr. Y a présenté un premier épisode lundi de probable malaise vagal sur déshydratation légère et manque d'apport alimentaire ce jour-là. Nous l'informons qu'une bonne hydratation 1,5L à 2L est nécessaire ainsi qu'une bonne hygiène alimentaire et du sommeil. Lors de la chute en raison d'une perte de connaissance brève, il s'est blessé au niveau du menton. La plaie présente une bonne évolution, mais il présente des douleurs. Au vu de la clinique rassurante, nous prescrivons une analgésie et nous l'informons qu'en cas de péjoration de la douleur ou mauvaise évolution de la plaie, il peut reconsulter la permanence. Mr. Y, un garçon de 11 ans, présente une réaction urticarienne sur piqûre de tique. Nous proposons du dermacalm et Xyzal en réserve pour le prurit. Nous proposons le vaccin, qu'ils refusent. Ils sont informés que pour le moment, une sérologie pour la borréliose n'est pas réalisable, car elle serait négative en raison de la durée trop courte d'incubation. De plus, actuellement, cela ne nécessite pas d'antibiothérapie, car ce n'est pas la manifestation primaire d'une borréliose mais une réaction urticarienne. Si une nouvelle rougeur apparaît dès le 7e jour post-piqûre après disparition de la rougeur et du ganglion réactionnel actuel, ils sont informés qu'ils doivent revenir consulter. Mr. Y, 72 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un choc septique sur pyélonéphrite obstructive droite compliquée d'une insuffisance rénale. Le patient présente une nycturie avec incontinence depuis deux jours, après un épisode de douleurs intenses flanc droit. Le profil hémodynamique nécessite un soutien par amine motivant une antibiothérapie par large spectre de céfépime et amikacine. Le CT objective une lithiase obstrusive avec dilatation en amont. Une pose de sonde double JJ est effectuée le 30.05.2019 avec par la suite sevrage aminergique. L'antibiothérapie est relayée par céftriaxone avec des cultures en cours. L'insuffisance rénale d'origine post-rénale sur lithiase se corrige rapidement sans polyurie de levée d'obstruction. Le patient est transféré en service de médecine à Riaz le 31.05.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, un patient de 76 ans, s'est fait percuter sa main G et son mollet G contre une voiture. Il présente une lésion cutanée superficielle avec un hématome sous-jacent de la main G au niveau dorsal et le mollet ne présente pas d'anomalie. Nous ne réalisons pas de vaccin anti-tétanique en raison d'une plaie superficielle. Nous réalisons un soin de plaie avec une désinfection, une compresse type hyalugel et nous préconisons un contrôle dans 2 jours chez le médecin traitant.Analgesie Anpassung MSG (non dominant) : Delayed union d'une fracture spiroïde du tiers proximal de l'humérus traitée conservativement par Sarmiento (fracture du 11.09.2018). Coxalgie G : Status post mise en place d'une prothèse à la Clinique Générale en 2015. MT si persistance MTEV avec 2 embolies pulmonaires et 2 TVP, actuellement sous traitement anti-coagulant de Xarelto. Flutter auriculaire typique symptomatique avec : • thermo-ablation le 29.11.2012 (Inselspital). FEVG 55% non daté. Status post-décompensation cardiaque en juillet 2016 sur un flutter 2/1, ralenti sous bêta-bloquant. Trouble bipolaire depuis l'âge de 30 ans. Obésité morbide de classe II selon OMS. Insuffisance rénale légère à modérée, sans plus de précision. Insuffisance veineuse chronique des MI. Mucite et xérostomie Mucite gastro-intestinale sur traitement de chimiothérapie (dg 4) le 22.04.2019. Mucoviscidose connue depuis décembre 2008 • surinfection pulmonaire sur mucoviscidose en février 2011 • Colonisation des voies respiratoires par Pseudomonas 02.2014 • Moraxella catarrhalis et S. aureus positifs Mucoviscidose connue depuis décembre 2008 • s/p pseudomonas positif en 2014 • Moraxella catarrhalis et S. aureus positifs Végétations nasales Mucoviscidose delta F508 homozygote avec : • multiples hospitalisations pour exacerbation en 2011 (compliquée d'une pneumonie bibasale à Achromobacter xylosoxidans (R à ciprofloxacine, I à Tazobac et Imipénème) et S. aureus. T 06.201) et 2012. • greffe bipulmonaire (lobe supérieurs) le 30.01.2013, à Zurich, pour syndrome obstructif sévère. • insuffisance pancréatique exocrine substituée, compliquée d'un retard staturo-pondéral, avec actuellement BMI à 16 kg/m2. Colonisation à Pseudomonas aeruginosa (2013). Foie de taille limite supérieur d'échostructure normale, sans lésion focale suspecte et un ARFI dans la norme (US du 31.01.2018). Sinusite chronique avec papillomatose de grade II-III ddc avec : • septoplastie, méatotomie, ethmoïdectomie et fronto-méatotomie et sphénoidotomie le 30.09.2015. Ostéoporose densitométrique au niveau de la colonne en 06.2017. Phobie des aiguilles (DD : PTSD) empêchant des prises de sang veineuses, sans MEOPA ou sédation. Suivi psychiatrique intra-hospitalier refusé par la patiente. Échec de l'hypnose lors de son séjour. Prises de sang sous MEOPA avec la collaboration du service de pédiatrie possible. Mudigkeit, Husten Müdigkeit, Thoraxschmerzen Muguet buccal Muguet buccal Muguet buccal multifactorielle psycho-sociale Belastungssituation mit Burn-Out (beruflich, familiär, gesundheitlich), 02/2014 st.n. 3-maligem Höhrsturz (ca. 2000 und 2010) Rezidivierende Lumbago Multilind crème jusqu'à 2 jours après disparition des lésions. Multilind crème 10 jours. Multilind crème 4 x/jour jusqu'à 48h après disparition des lésions. Multiparité Multiparité Multiparité Multiparité Multiparité Multiparité Multiples accidents de la voie publique à moto, avec fractures membre inférieur droit (années 70). Dermite de stase aiguë, éventuellement surinfectée (2009). Fracture sous-capitale de l'humérus gauche. Episode unique de TV/TSV le 27.04.2019 • Dans un contexte de probable maladie coronarienne ischémique Multiples adaptations du traitement diurétique. Approches corporelles. Multiples agressions. Multiples arthroscopies des genoux. Opération de l'épaule gauche. Méningite lymphocytaire de type Lyme le 17.05.2013. Céphalées post-ponction lombaire du 17.05.2014. Diverticulose sigmoïdienne traitée par sigmoïdectomie laparoscopique le 07.09.2016, avec : • status post-diverticulite perforée Hansen-Stock IIc le 23.04.2016. • status post-diverticulite sigmoïdienne Hansen-Stock IIb le 13.10.2015. Multiples AVC ischémiques d'origine embolique probable. Ostéosynthèse rotule droite par embrochage et cerclage, greffe Tutoplast, le 17.07.2005 pour fracture plurisegmentaire de la rotule suite à une chute à vélo. Multiples AVC ischémiques sylviens bilatéraux suspects d'origine embolique (contexte de CEC et intervention sur l'aorte ascendante). DD : hypotension prolongée. • symptomatologie : dysarthrie, état confusionnel. multiples bronchites (plusieurs hospitalisations). Ancien prématuré de 31 0/7 (a une soeur jumelle). 02.19 : Insuffisance respiratoire sur bronchite obstructive chronique péri-infectieuse (RSV positif). (suspicion de pneumonie lobaire inférieure D infirmée) Oxygène du 17.01 au 22.01. 3 x Ventolin 1 ml + Atrovent 250 mcg (aux urgences). Ventolin 4 push aux 2h puis espacement progressif. Atrovent 250 mcg aux 6h. Betnesol 0.25 mg/kg/dose du 16 au 18.01. Médecine anthroposophique. Physiothérapie. Frottis RSV. Multiples chirurgies intra-abdominales par laparotomie avec iléus (anamnestique). Appendicectomie. PTH gauche. Chirurgie de la cataracte de l'oeil gauche. Ulcère tibial droit post-traumatique dans un contexte d'AOMI de stade IIb avec : • occlusion du tiers moyen de l'artère fémorale superficielle et persistance que d'un axe jambier perméable (a. fibulaire). • revascularisation par voie sous-endothéliale au ballonnet de l'AFS et de l'artère fibulaire et mise en place d'un stent (Dr. X le 17.12.2018). Multiples contusions dans le contexte de chute avec fracture du sternum et des côtes à D, le 08.03.2019. Multiples contusions pariétales thoraciques gauches. Multiples crises de gouttes de l'hallux des deux côtés, prévention par Allopurinol. Fracture du fémur droit en 1996. Fracture de la face dorsale du triquetrum de la main droite. Fracture probablement ancienne de la face palmaire de l'os lunatum. Contusion de la face latérale du genou droit. Multiples épisodes de bronchites spastiques. Multiples épisodes similaires. Multiples ESV Multiples événements vasculaires cérébraux d'origine cardio-embolique sous ACO thérapeutique : • AVC ischémique sylvien superficiel gauche sur occlusion de M1 le 07.08.2015 (INR 3.3). • AVC ischémique sylvien superficiel droit en janvier 2014. • AIT avec dysarthrie et hypoesthésie de la main droite régressif en 15 min en avril 2014 (INR 2,8). • AIT sylvien droite avec dysarthrie et faiblesse MSG le 09.10.2015 (INR supra-thérapeutique). • AIT basilaire le 26.10.2015 (INR 3.8). Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement prérénale sur déshydratation en 2014. Infection urinaire basse le 18.12.2015 traitée par Bactrim du 18-20.12.2015. Status post hyperthyroïdie sur Amiodarone. Status post excision de 3 polypes coliques en mai 2014 (colonoscopie Dr. X). Hystérectomie en 2000. Hospitalisation en milieu psychiatrique pour phobies en 2000. Remplacement valvulaire mitrale Redux avec mise en place d'une bioprothèse Magna Ease de 31 mm en péricarde sur armature type Carpentier Edwards Magna Ease 31 sous CEC, fecit Prof. X (CHUV) le 09.12.2015, pour thromboses à répétition de la valve mécanique avec multiples AVC d'origine cardio-embolique : • Status post remplacement de la valve mitrale par valve mécanique ATS 33 mm fecit Dr. X (Inselspital) en mars 2011. • Status post multiples AVC cardio-emboliques sur thromboses répétitives de la valve mitrale mécanique sous ACO thérapeutique. • Artères coronaires sans sténose significative (angio-CT du 07.12.2015). • Axes pré-cérébraux au Doppler carotido-vertébral du 08.12.2015 normaux. • FA intermittente sous ACO, status post ligature de l'auricule gauche en 2011. • FEVG à 48% le 14.12.2015 Algoneurodystrophie (CRPS type 1) du MSD prédominant à l'épaule D Hypomagnésémie légère à 0.78 mmol/l le 04.01.2016 Eczéma de contact au niveau bi-malléolaire externe sur bas de contention Gastrite avec probable gastroparésie • Patiente sous Pantozol 2X40mg pour gastrite => introduction Motilium 10mg Multiples fractures avec emphysème des parties molles • fracture multifragmentaire discrètement déplacée du tiers moyen de la clavicule gauche • fractures de l'arc postérieur des 2ème et 3ème côtes gauches et de l'arc latéral des 4ème et 6ème côtes gauches, avec chevauchement de la fracture de la 4ème côte • fracture multifragmentaire non déplacée du corps de la scapula gauche • fracture non déplacée du processus transverse gauche de D4 à D10, avec atteinte également de la lame du côté gauche de D5. Multiples fractures avec emphysème des parties molles • fracture multifragmentaire discrètement déplacée du tiers moyen de la clavicule gauche • fractures de l'arc postérieur des 2ème et 3ème côtes gauches et de l'arc latéral des 4ème et 6ème côtes gauches, avec chevauchement de la fracture de la 4ème côte • fracture multifragmentaire non déplacée du corps de la scapula gauche • fracture non déplacée du processus transverse gauche de D4 à D10, avec atteinte également de la lame du côté gauche de D5. Multiples fractures du pied gauche et fracture de la fibula proximale gauche. Multiples fractures/tassements notamment D8 (d'allure subaiguë), D11 et vertebra plana L1 (d'allure ancienne) sur chutes à répétition dans le contexte d'une maladie de Parkinson • CT lombaire le 16.04.2019 • Rx colonne dorsale et lombaire le 26.04.2019 Multiples hématomes du MSG le 18.04.2019 • au niveau ulnaire distal et coude Multiples hématomes et plaies superficielles sur chute dans les escaliers le 12.05.2019 : • chez patient lyse et sous antiagrégant/anticoagulant dans contexte AVC Multiples herpes linguals récidivants Multiples hyperkératoses difformes et symptomatiques au niveau des pieds, à prédominance G. Multiples iléus sur intestin grêle radique (résolutions spontanées) 2012 Insuffisance rénale chronique G2 selon KDIGO d'origine indéterminée Infection du site d'insertion de drain abdominal à Streptocoque gr. anginosus/milleri et Enterococcus faecium le 10.02.2019 Multiples iléus sur intestin grêle radique (résolutions spontanées) 2012 Insuffisance rénale chronique G2 selon KDIGO d'origine indéterminée Infection du site d'insertion de drain abdominal à Streptocoque gr. anginosus/milleri et Enterococcus faecium le 10.02.2019 Multiples interventions prothétiques du genou droit avec arthrodèse en 2012 Prothèse totale de la hanche droite prévue par Dr. X en 2017 Hémicolectomie droite laparoscopique le 25.01.2017 Anémie spoliative sévère sur ulcère colique en 01/2017 STEMI subaigu antérieur sur occlusion de l'IVA proximale le 14.01.2019 • Pic de CK à 1150 U/I Coronarographie le 14.01.2019 : • occlusion de l'IVA proximale : recanalisation/PTCA/3xDES • LCX proximale, ACD proximale : 30% • FEVG 30% à la ventriculographie ETT le 16.01.2019 Prasugrel pendant 1 année, Aspirine à vie Introduction IEC et Bêta-bloquant le 14.01.2019 Réhabilitation cardiaque ambulatoire à l'HFR Billens dès le 19.01.2019 ETT de contrôle le 28.01 à 11h30 et le 12.02.2019 à 15h15 Multiples interventions (21) des articulations temporo-mandibulaires et mise en place de prothèse. Résection 12e côte flottante G pour douleurs latéro-thoraciques. Chute avec TC sans PC ni AC Dermabrasion haut du crâne S/p OP cataracte ddc en 2016 Trouble visuel transitoire le 09.03.2019 DD: ophtalmologique, AIT Multiples lésions hépatiques dans les deux lobes d'origine indéterminée, probablement néoplasiques • CT scan abdominal du 24.04.2019. Multiples lésions nodulaires hypodenses sans partie calcifiée des deux lobes thyroïdiens (découverte radiologique le 28.11.2017), avec TSH dans la norme le 13.12.2018 Multiples lésions superficielles suite à une agression physique le 18.05.2019 avec : • hématome sous-orbital droit avec tuméfaction, • lésion de griffure rétro-auriculaire gauche, • dermabrasions superficielles de la face antérieure de l'épaule gauche, sur la face latérale externe du bras droit, • contusion du trapèze (pas de douleur osseuse). Multiples lithiases rénales avec intervention suivie par Dr. X. PTH à gauche en 2015. Changement PTH gauche sur mal-orientation de la cupule après PTH gauche en 2015 et impingement du tendon du psoas. Anémie spoliative postopératoire avec transfusion de 1 CE le 17.02 et le 18.02.2017. Révision de la PTH gauche le 04.04.2018. Multiples opérations des membres inférieurs : • 27.06.2018 : ostéomyélite deuxième orteil pied droit, avec désarticulation de l'articulation interphalangienne du 2ème orteil pied D • 22.04.2016 : amputation épibasale du 3ème orteil pied gauche • 19.02.2014 : descellement aseptique de la prothèse totale de genou gauche (ponction : cristaux d'acide urique) • 02/2013 : ostéomyélite et dermohypodermite phalange distale 3ème orteil pied gauche à Staph. aureus • 02/2013 : amputation premier rayon pied gauche pour nécrose • 2003 : implantation de prothèse totale de genou gauche en 2003 • cure hallux valgus bilatéral • prothèse partielle du genou droit Infection urinaire à E. Coli multisensible compliquée (diabète, homme) le 03.03.2014 Laminectomie L4-L5 en 2008, avec évacuation d'un hématome et rinçage, pour bactériémie à Staph. aureus Troubles psychiques avec agitation • s/p hospitalisation à Marsens pour épisode psychotique en décembre 2004 sous association de Lexotanil et de Stilnox Résection transurétrale de la prostate en 2001 Multiples perforations intestinales sur ischémie mésentérique, le 12.05.2019 • en raison d'une occlusion totale de l'artère mésentérique supérieure par invasion tumorale • dans un contexte lymphome actuellement sous chimiothérapie (R-CHOP le 08.05.2019) Multiples perforations intestinales sur ischémie mésentérique, le 12.05.2019 • occlusion totale de l'artère mésentérique supérieure par invasion tumorale • contexte lymphome actuellement sous chimiothérapie (R-CHOP) Multiples plaies superficielles du versant antérieur de la langue. Multiples plaintes Multiples tentatives. Douleurs décompensées dans un contexte de spondylarthrite ankylosante le 21.04.2019. Multiples thromboses veineuses, anticoagulées par Marcoumar • embolie pulmonaire 07/2016 • thrombose veineuse profonde 1990 Multiples thrombus artériels dans l'artère humérale, radiale et cubitale gauche le 30.04.2019 Muqueuse de Barrett sans signe de dysplasie et antrite chronique modérée réactive à l'œso-gastro-duodénoscopie le 31.05.2016 Status post-appendicectomie en 1954 Carcinome de la prostate traité par une prostatectomie radicale en 2002 (Hôpital Daler) Status post-cure des varices Status post-plusieurs interventions au niveau des deux genoux et prothèse totale du genou à droite Adénocarcinome de type colorectal au niveau caeco-ascendant pT3 pN0 (0/34) M0 G2 R0 : • Histologie Promed (P7981.16) : adénocarcinome moyennement différentié de type colorectal ulcéré (4 segments caecum) • CT thoraco-abdominal natif (insuffisance rénale) et ultrasons du foie du 07.06.2016 : pas de signe de métastase ganglionnaire loco-régionale ou à distance • Colonoscopie du 27.07.2016 (Dr. X) : tumeur endophytique d'aspect villeux occupant une grande partie de circonférence sur 8cm au moins de hauteur dans le caeco-ascendant. Absence de sténose importante • Colonoscopie du 28.06.2016 (Dr. X) : tumeur non-sténosante de la moitié du côlon ascendant Hémicolectomie droite avec CME par laparotomie le 31.08.2016 Cystofix du 31.08. au 08.09.2016 Musculo-skeletal Schmerzen Musculo-squelettale douleurs du bras droit le 05.05.2019 • Surtout lors de l'abduction et de la rotation interne Muscle déchiré au coude gauche Douleurs musculaires au bras gauche le 08.05.2019 Douleurs musculaires dans la cuisse gauche Douleurs musculo-squelettales paravertébrales lombaires droite depuis le 04.05.2019 • lors de la mise en charge, soulever 80 kg, douleurs mécaniques • pas de troubles neurologiques, pas de corticoïdes, pas de drogues, pas de symptomatologie B Douleurs musculo-squelettales dans le dos après la mise en charge depuis le 04.05.2019 Mutation hétérozygote du facteur V avec multiples thromboses superficielles Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle traitée Mutation hétérozygote du facteur V Leiden Tabagisme actif (15 cigarettes/jour) Multiparité Mr. Y est un patient qui nous est adressé par les urgences de l'hôpital cantonal de Fribourg dans le contexte d'un état fébrile persistant en raison d'une infection urinaire compliquée récidivante. Un antibiogramme fait chez le médecin traitant montre une résistance au ciprofloxacine et une sensibilité à la nitrofurantoïne. Donc, l'antibiothérapie avait déjà été changée avant l'hospitalisation chez nous. Nous poursuivons le traitement par nitrofurantoïne à laquelle le patient présente une bonne compliance. Par la suite, nous notons une amélioration clinique et biologique. À l'entrée à la permanence, le patient présente une dyspnée résolue par ventolin et atrovent. Une radiographie thoracique met en évidence de discrets infiltrats aux deux apex pulmonaires. Le suivi clinique montre une amélioration de ses fonctions pulmonaires. Dans le cadre d'une hyperplasie de la prostate, nous effectuons un contrôle de laboratoire du PSA. Nous proposons un suivi en ambulatoire. Le patient peut rentrer à domicile en état général amélioré le 20.05.2019. Myalgie. Myalgie jambe droite, le 22.08.2017. Pneumonie acquise en communauté. Myalgies. Myalgies. Myalgies de la ceinture scapulaire et quadriceps le 12.05.2019. DD polymyalgia rhumatica débutante. Mycose au niveau des plis abdominaux, des deux seins et des orteils. Mycose buccale Mycose buccale le 24.04.2019 Mycose buccale le 29.04.2019 • sous fluconazole 50 mg 1x/j par voie orale depuis le 29.04.2019 Mycose cutanée du pli abdominal Mycose cutanée et onychomycose bilatérale. Mycose de la cavité orale Mycose des plis inguinaux bilatéraux. Mycose du gland. Mycose du siège Mycose du siège Mycose du siège Mycose du siège versus dermite irritative Mycose génitale Mycose interdigitale Mycose interdigitale pédieuse Mycose orale le 23.04.2019 Mycose sous-mammaire Mycose vaginale le 09.05.2019 • dans un contexte d'antibiothérapie. Mycose vaginale le 24.04.2019 Mycose vaginale traitée localement depuis 5 jours. Opération du poignet droit il y a une année suite à un accident de moto. Scoliose dorso-lombaire. Crises d'angoisse à répétition (valium 5 mg en réserve). Infection urinaire basse le 04.05.2019. Mycose vaginale traitée localement depuis 5 jours. Opération du poignet droit il y a une année suite à un accident de moto. Scoliose dorso-lombaire. Crises d'angoisse à répétition (valium 5 mg en réserve). Mycoses des plis inguinaux Mycosis fungoïdes stade initial III • date du diagnostic : 21.01.2009 • histologie de la peau : lymphome cutané à cellules T de type mycosis fungoïdes variante folliculotrope (biopsie du bras droit, laboratoire de dermatologie Hôpital de l'Île, no 816-09, 817-09) • recherche de monoclonalité : réarrangement clonal pour le gène des chaînes gamma des récepteurs des cellules T, compatible avec une monoclonalité des cellules T • scanner thoraco-abdominal du 07.05.2009 : lymphadénopathie thoraco-abdominale bilatérale, médiastinale, iliaque ainsi qu'inguinale • refus de thérapie cutanée locale à l'Hôpital de l'Île • 6 cures de chimiothérapie par leukeran associées à de la prednisone (20 mg/jour) du 03.11.2009 au 24.03.2010, rémission partielle • thérapie par prednisone en monothérapie de mars 2010 à mai 2011 • thérapie par prednisone en monothérapie d'avril 2012 (20 mg/jour initialement) puis en dosage régressif, actuellement prednisone 2,5 mg/jour • thérapie par roferon d'avril 2014 combinée à une thérapie selon PUVA de juin à juillet 2014 puis d'octobre à décembre 2014, à partir de mai 2015 intron 3 x 10 mio/semaine, stabilisation tumorale • radiothérapie à visée curative du mollet gauche, cuisse gauche et dos, cuisse droite, hanche gauche et plis du coude gauche, biceps droit et paupière droite du 02.11 au 01.12.2015, 30 Gy • cytométrie de flux et biologie moléculaire (BCR) : pas d'évidence de maladie monoclonale (TCR) • radiothérapie de la tumeur de la lèvre inférieure du 15.02 au 26.02.2016 • thérapie par caelyx, très mal tolérée, réaction allergique à deux reprises, suspendue début mai 2016 • chimiothérapie par gemzar du 01.06 au 04.01.2017, très bonne tolérance, excellente rémission • CT thoraco-abdominal du 08.03.2017 ainsi qu'examen clinique cutané : stabilité tumorale, le 13.03.2017 • progression très rapide au niveau du cuir chevelu avec masse tumorale d'une taille de 15 cm, mi-avril 2017 • biopsie de la masse du cuir chevelu : mucosis fungoïdes de type folliculaire (pathologie Bern, dermatologie 17-6725) • radiothérapie du vertex du 04.05 au 17.05.2017, 30 Gy • radiothérapie du mollet gauche, du genou gauche, cheville gauche, cuisse antérieure gauche, cuisse interne gauche, dos côté gauche, plante du pied droit, pectoral droit, fesse droite interne, fesse droite latérale et fesse gauche, ainsi que mollet gauche de juin à août 2017 • progression du lymphome au niveau du cuir chevelu, au niveau des plantes des pieds, septembre 2017 • radiothérapie du cuir chevelu ainsi que sur les lésions cutanées au niveau de la fesse, de la tempe, du mollet, 30 Gy, août à novembre 2017 • chimiothérapie par gemzar à partir de novembre 2017, stoppée en août 2018 • suivi par Dr. X Mycostatin orale du 23.04 au 30.04.2019 Mycostatine Mycostatine à continuer jusqu'au 12.05.2019 Mycostatine du 24.04 au 25.04.2019 (stoppée car début de caspofungine) Formule de gargarisme du CHUV tid Mycostatine 1 ml 4x/j Mycostatine 1 ml 4x/j Mycostatine 1 ml 4x/j Mycostatine 1 ml 4x/j x 1 semaine Mycostatine 10 ml 4x/j. Mydocalm Irfen Myélofibromatose depuis 2013 en phase fibrotique sous traitement de Jakavi 50 mg/j Myélofibromatose depuis 2013 en phase fibrotique sous traitement de Jakavi 50 mg/j Myélographie au CIMF le 13.06.2019 Prochain contrôle le 27.06.2019 Myélographie CIMF du 07.05.2019 : sténose du segment adjacent en L2-L3. Matériel de spondylodèse en place. Myélome IgG kappa nouvellement diagnostiqué le 27.03.2019 avec : • multiples lésions focales au niveau de L5 et aile iliaque gauche Myélome multiple à IgG Kappa stade ISS II Salmon Durie IIIA • date du diagnostic : 31.01.2014 • biopsie moelle (CHUV H1401273) : moelle osseuse hypercellulaire, trilinéaire avec infiltration par myélome à plasmocytes IgG-Kappa, paraprotéinémie mitrale IgG 42 g/l représentant environ 70% de la cellularité médullaire • status après radiothérapie palliative au niveau dorso-lombaire du 03.03 au 14.03.2014 pour antalgie sur fracture tassement pathologique L1 • status après chimiothérapie velcade-dexaméthasone du 31.03 au 21.05.2014 • traitement de Zometa mensuel • actuellement : surveillance (consultation du 27.09.2016) Myélome multiple à IgG Kappa stade ISS II Salmon Durie IIIA • date du diagnostic : 31.01.2014 • biopsie moelle (CHUV H1401273) : moelle osseuse hypercellulaire, trilinéaire avec infiltration par myélome à plasmocytes IgG-Kappa, paraprotéinémie mitrale IgG 42 g/l représentant environ 70% de la cellularité médullaire • status après radiothérapie palliative au niveau dorso-lombaire du 03.03 au 14.03.2014 pour antalgie sur fracture tassement pathologique L1 • status après chimiothérapie Velcade-déxaméthasone du 31.03 au 21.05.2014 • traitement de Zometa mensuel • actuellement : surveillance (consultation du 27.09.2016) Ostéoporose. Hypertension artérielle traitée. Insuffisance cardiaque traitée. Diabète insulino-dépendant. Lombalgies non déficitaires sur tassement cunéiforme du corps vertébral de L1. Constipation chronique. Myélome multiple à IgG Lambda, de stade initial IIIA selon Durie-Salmon et de stade II selon ISS (albumine < 35 g/l), diagnostiqué le 22.01.2008 Myélome multiple à IgG Lambda, de stade initial IIIA selon Durie-Salmon et de stade II selon ISS (albumine < 35 g/l), diagnostiqué le 22.01.2008, avec : • Hémogramme au diagnostic : hémoglobine 107, leucocytes 5,6, thrombocytes 276. • Chimie du 14.01.2008 : créatinine à 92 mmol/l, calcium ionisé à 1,25 mmol/l, IgG à 74,8 g/l avec IgA et IgM indosables, bêta-2-microglobuline à 2,57 mg/l, albumine à 31,8 g/l. • Ponction-biopsie de moelle du 22.01.2008 : infiltration plasmocytaire de 30 à 60% selon les champs au médullogramme ; infiltrat plasmocytaire d’environ 80% de la cellularité, de monoclonalité Lambda sans dépôt d’amyloïde à la coloration du rouge Congo à la biopsie ostéomédullaire. • Cytogénétique du 22.08.2008 : présence d’une trisomie 17p13 en FISH interphasique. • Bilan RX standard du 14.01.2008 : pas d’atteinte osseuse visible. • Traitements : • 6 cycles de chimiothérapie de type Melphalan et Prednisone de février à juillet 2008, avec diminution de la paraprotéinémie IgG à 59,8 g/l le 16.07.2008. • 5 cycles de traitement par Thalidomide, Dexaméthasone de juillet 2008 à janvier 2009, suivis d’un traitement de Prednisone et Thalidomide jusqu’au 13.03.2009, puis d’un entretien par Thalidomide 100 mg/jour dès le 13.03.2009 avec normalisation de la paraprotéinémie le 31.01.2008. • Introduction d’un traitement de Zometa mensuel dès le 08.04.2009 (douleurs osseuses depuis 2 mois, en diminution), jusqu’au 20.04.2012 • Progression de la paraprotéinémie le 08.04.2009 jusqu’à un pic à 31,2 g/l le 12.03.2010, avec légère augmentation des plasmocytes à l’aspiration médullaire du 26.03.2010. • Apparition de multiples tassements vertébraux de D7 à L2 au CT scan du 18.03.2010. • Lente normalisation de la paraprotéinémie le 08.07.2011, stable sous un simple traitement d’entretien par Thalidomide • IRM cardiaque du 27.08.2012 : absence d’amyloïdose cardiaque • Traitements : • Remplacement de la thalidomide par du lénalidomide (Revlimid®) 10 mg/j en continu dès le 01.12.2014 en raison d’une polyneuropathie des membres supérieurs et inférieurs, secondaire au traitement par thalidomide • Traitement par Revlimid® (25 mg/j J1 à J21) et Dexaméthasone 20 mg/j (J1-J8-J15-J22 dès le cycle 4) tous les 28 jours (car légère progression de la paraprotéinémie IgG à 15.72 g/l le 16.01.2015) : cycle 1 le 06.04.2015, cycle 2 le 04.05.2015, cycle 3 le 01.06.2015, cycle 4 le 29.06.2015, cycle 5 le 27.07.2015 (50% DT car insuffisance rénale acutisée), cycle 6 le 24.08.2015, cycle 7 le 21.09.2015, cycle 8 le 19.10.2015, cycle 9 le 16.11.2015, cycle 10 le 14.12.2015, cycle 11 le 11.01.2016, cycle 12 (sans Dexaméthasone, en raison d’une extinction de voix cortico-induite), cycle 13 (avec reprise de la Dexaméthasone à 12 mg/semaine) le 11.03.2016, cycle 14 le 04.04.2016, cycle 15 le 02.05.2016, cycle 16 le 30.05.2016, cycle 17 le 27.06.2016, cycle 18 le 25.07.2016, cycle 19 (50% DT car insuffisance rénale chronique avec clearance à la créatinine à 37 ml/min) le 22.09.2016, cycle 20 (50% DT) le 19.09.2016, cycle 21 (50% DT) le 17.10.2016, cycle 22 le 14.11.2016, cycle 23 le 12.12.2016, cycle 24 le 09.01.2017, cycle 25 le 06.02.2017, cycle 26 le 06.03.2017. Myélome multiple à IgG Lambda Fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée Myélome multiple avec atteinte multisystémique • Diagnostiqué le 17.04.2019 Myélome multiple, avec atteintes osseuses de la colonne vertébrale, sans notion d'atteinte rénale. Eltroxine 0.1 mg 5 jours/semaine, Pantoprazol 20 mg, Citalopram, Atorvastatine 40 mg, Alendronate 1x/semaine, Calcimagon, Zoldorm Myélome multiple avec lombalgies non-déficitaires invalidantes depuis 3 semaines le 10.05.2019 • Stade I (b2 microglobuline 1.8 mg/l, albumine 41g/l) • Syndrome inflammatoire avec hypercalcémie légère, anémie, immunofixation positive pour 2 bandes monoclonales IgA lambda, remplacements médullaires rachidiens de toute la colonne lombaire à l'IRM lombaire du 10.05.2019 Myélome multiple de type IgG Kappa de stade IB selon Durie-Salmon, de stade III selon ISS • date du diagnostic : 06.03.2014 • histologie (Promed P2117.14) : myélome multiple à IgG Kappa • médullogramme du 03.03.2014 : infiltration plasmocytaire dépassant par endroit 50% • cytométrie de flux du 03.03.2014 : matériel inadéquat • cytogénétique et FISH du 03.03.2014 : trisomie 4, 6, 11, réarrangement IgH • IRM du corps entier du 27.02.2014 : absence de lésion ostéolytique sur le squelette axial exploré • anémie de grade I en partie carentielle sur manque d’acide folique ; insuffisance rénale de stade III en partie sur néphropathie hypertensive • traitement de 1ère ligne de type lénalidomide (Revlimid) et dexaméthasone low dose refusé par le médecin-conseil de la caisse-maladie • traitement de 1ère ligne de type bortezomib (Velcade) et dexaméthasone du 27.03.2014 au 21.11.2014, avec très bonne réponse partielle • actuellement : sous traitement par Dexaméthasone 20 mg par semaine depuis décembre 2018 au vu d’une progression tumorale, réponse à la thérapie et poursuite du traitement par Dexaméthasone hebdomadaire Myélome multiple stade II • Date du diagnostic: août 2002 • Histologie: 20-30% de déplacement de la moelle osseuse avec des cellules de myélome, IgG kappa • Paraprotéine: IgG kappa 27 g/l • Atteinte d'organes: insuffisance rénale discrète avec créatinine 127, clairance 63 ml/min, excrétion de paraprotéine: 260 mg/24 h. • Statut squelettique: Ostéolyse dans les régions de l'iléon et des fémurs • Statut après 3 cycles de chimiothérapie selon le schéma de VAD de septembre à novembre 2002, diminution de la paraprotéine de 27 à 18 g/l (IgG) • Statut après la chimiothérapie à haute dose avec endoxane et leucaphérèse le 05.12.02 • Statut après la chimiothérapie à haute dose avec melphalan et transfusion de cellules souches au 21.01.03 • Statut après la deuxième chimiothérapie à haute dose avec melphalan le 02.04.03 • Statut après traitement par Aredia, initialement tous les mois, puis tous les 2 mois, de 2003 à 2012 • Status après Aspiration / Biopsie le 04.11.2014: Infiltration de la moelle osseuse par le myélome multiple connu, 10-20%, translocation 11-14 due à une immunohistochimie très probable • Progression du myélome multiple, décembre 2014 • Augmentation discrète des petites chaînes légères kappa sans aggravation de l'infiltration de la moelle osseuse ni atteinte du squelette ou péjoration de l'insuffisance rénale. • Récidive du myélome multiple, chaînes kappa 905 mg/l, créatinine 181 µmol/l, août 2015 • Statut après traitement par Velcade / Dexaméthasone d'août 2015 à février 2016, rémission complète • Progression du myélome multiple, septembre 2017 • Paraprotéinémie de chaînes kappa à 447 mg/l, ß-2-microglobuline 4,1 mg/l, septembre 2017 • Traitement avec Revlimid et dexaméthasone à partir de novembre 2017 (traitement Darzalex et Revlimid refusé par l'assurance maladie, octobre 2017) • Progression du myélome multiple, février 2018 • Traitement Darzalex de mars 2018 à janvier 2019, en monothérapie, stabilisation initiale de la tumeur, puis progression du myélome multiple avec augmentation des chaînes kappa à 750 mg/l, janvier 2019 Thérapie Imnovid du 29.01.2019, associée à la dexaméthasone Suivi par le Dr. X Mr. Y, Myélome multiple stade II • Date du diagnostic: août 2002 • Histologie: 20-30% de déplacement de la moelle osseuse avec des cellules de myélome, IgG kappa • Paraprotéine: IgG kappa 27 g / l • Atteinte d'organes: insuffisance rénale discrète avec créatinine 127, clairance 63 ml / min, excrétion de paraprotéine: 260 mg/24h. • Statut squelettique: Ostéolyse dans les régions de l'iléon et des fémurs • Statut après 3 cycles de chimiothérapie selon le schéma de VAD de septembre à novembre 2002, diminution de la paraprotéine de 27 à 18 g / l (IgG) • Statut après la chimiothérapie à haute dose avec endoxane et leucaphérèse le 05.12.02 • Statut après la chimiothérapie à haute dose avec melphalan et transfusion de cellules souches au 21.01.03 • Statut après la deuxième chimiothérapie à haute dose avec melphalan le 02.04.03 • Statut après traitement par Aredia, initialement tous les mois, puis tous les 2 mois, de 2003 à 2012 • Statut après Aspiration / Biopsie le 04.11.2014: Infiltration de la moelle osseuse par le myélome multiple connu, 10-20%, translocation 11-14 due à une immunohistochimie très probable • Progression du myélome multiple, décembre 2014 • Augmentation discrète des petites chaînes légères kappa sans aggravation de l'infiltration de la moelle osseuse ni atteinte du squelette ou péjoration de l'insuffisance rénale. • Récidive du myélome multiple, chaînes kappa 905 mg / l, créatinine 181 µmol / l, août 2015 • Statut après traitement par Velcade / Dexaméthasone d'août 2015 à février 2016, rémission complète • Progression du myélome multiple, septembre 2017 • Paraprotéinémie de chaînes kappa à 447 mg / l, ß-2-microglobuline 4,1 mg / l, septembre 2017 • Traitement avec Revlimid et dexaméthasone à partir de novembre 2017 (traitement Darzalex et de Revlimid refusé par l'assurance maladie, octobre 2017) • Progression du myélome multiple, février 2018 • Traitement Darzalex de mars 2018 à janvier 2019, en monothérapie, stabilisation initiale de la tumeur, puis progression du myélome multiple avec augmentation des chaînes kappa à 750 mg / l, janvier 2019 • Thérapie Imnovid dès le 29.01.2019, 4 cycles associée à la dexaméthasone Suivi par le Dr. X Mr. Y, Myélome plasmocytaire : • Diagnostic le 30.04.19 • Fracture de L3 • Masse D11 compressive avec canal étroit • Lésions multiples de la crête iliaque avec douleurs associées Mr. Y, Myélopathie cervicale clinique et électrophysiologique C4-C5 et dans une moindre mesure C5-C6, C6-C7 sur • Pseudarthrose C4-C5 avec hernie discale C5-C6 et C6-C7 • Statut post herniectomie C4-C5 médiane et paramédiane D et myélopathie cervicale traitée chirurgicalement par ALIF C4-C5 le 06.12.2017 (Dr. X) Mr. Y, Myélopathie cervicale haute C2-C3 sur sténose serrée d'origine probablement dégénérative, • Décompensée dans le contexte du diagnostic supplémentaire 1 Mr. Y, Myélopathie sur probable lésion de SEP, réactivée dans le contexte inflammatoire de l'infection urinaire • DD infectieux • Pyélonéphrite diagnostiquée le 01.05 au HIB Payerne traitée par Rocéphine 2g 1x/j depuis le 01.05 Mr. Y, Myoclonies des mains le 03.05.2019 • Patient connu pour crise épileptique tonico-clonique généralisée le 23.04.2018 dans un contexte d'état fébrile • EEG le 23.04 (interprétation par Dr. X): Bradydysrythmie diffuse d'importance moyenne. Survenue récidivante de potentiels paroxystiques isolés ou rythmiques, parfois à caractère épileptiforme, dans les régions fronto-centrales. Malais comitiale non exclue. Ad Keppra et contrôle à 48h. • EEG le 25.04 (Dr. X): Bradydysrythmie diffuse, survenue intermittente de potentiels paroxystiques généralisés. Amélioration par rapport à l'examen précédent. • Sous Keppra 500mg 1x/j Mr. Y, Myogélose para-vertébrale gauche le 02.06.2015. Mr. Y, Myoglobinurie d'origine indéterminée, le 30.05.2019 Mr. Y, Myome multiple IgG Kappa, ISS stade II • Date du diagnostic: février 2019 • Clinique: douleurs dorsales, sudations nocturnes, fatigue • Suivi: Dr. X • Laboratoire (04.02.19): Gammapathie monoclonale IgG-Kappa (IgG 65/L, Kappa: 324mg/L; calcémie, hémoglobine et créatinine normales) • IRM thoracique (31.01.19): pas de lyse, adénopathie paravertébrale gauche proéminente • CT thoracique (04.02.19): pas de lymphadénopathie, ni ostéolyse • Ponction de moelle (21.02.19): myélome IgG kappa plasmocytaire avec infiltration de la moelle de 40 % • PET-CT (21.02.19): lésions osseuses diffuses axiales, compatible avec un myélome multiple. Actuellement: sous chimiothérapie (3 cycles complétés) Mr. Y, Myomectomie par morcellement et étranglement par voie vaginale sous anesthésie générale Antibiothérapie par Co-amoxicilline 1 g 3x/j Mr. Y, Myopathie. Mr. Y, Myopathie de Becker • Suivi pulmonaire chez Dr. X à Payerne • Suivi cardiologique et neurologique au CHUV • Connu pour un bloc de branche droit et un hémibloc antérieur gauche Mr. Y, Myopathie de Becker • Suivi pulmonaire chez Dr. X à Payerne • Suivi cardiologique et neurologique au CHUV • Connu pour un bloc de branche droit et un hémibloc antérieur gauche Mr. Y, Myopathie dystrophique de Steinert avec: • Fausses routes fréquentes • Insuffisance respiratoire partielle et syndrome restrictif associé • Syndrome des apnées du sommeil VNI nocturne non réalisable en raison de non-collaboration du patient • Suivi par le Dr. X en ambulatoire Troubles neuro-cognitifs majeurs d'origine probablement multifactorielle sur maladie de Steinert et séquelles d'un TCC en 1988, avec: • Difficultés en mémoire antérograde verbale (encodage) • Difficultés dans les fonctions exécutives tant au niveau cognitif (incitation verbale, mise à jour et inhibition) qu'au niveau du comportement (apathie, amimie, fatigue) • Difficultés marquées au niveau du calcul oral • Difficultés dans les gnosies discriminatives et associatives • Difficultés dans les praxies idéomotrices et une apraxie constructive • Difficultés de production écrite (graphisme altéré) • Difficultés de production orale (parole et langage spontané) • Difficultés attentionnelles, accompagnées d'une fatigue importante • Ralentissement psycho-moteur marqué • Désorientation temporelle et personnelle Nodules pulmonaires diffus, dont un spiculé lobe supérieur droit Colobome droit Mr. Y, Myosite focale d'origine indéterminée des muscles gastrocnémiens médiaux en 07.2013, possiblement sur Humira. Angor probablement sur pic hypertensif le 02.01.2014Péricardite aiguë bénigne, le 01.04.2015. Augmentation des CK sous statines (Sortis changé par Crestor) - non daté Zona ophtalmique en 2003. Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale, le 28.02.2016. Infection urinaire simple le 28.02.2016. Baisse de l'état général d'origine multifactorielle en 02.2016 : • céphalées fronto-temporo-occipitales, le 29.02.2016, dans le contexte d'une artérite giganto-cellulaire (maladie de Horton) confirmée en 07.2015 sur la base d'une biopsie temporale et d'un syndrome cervico-spondylogène modéré • cervicarthrose C1-C2 sévérissime et suspicion de chondrocalcinose atlantico-axoïdienne (syndrome de la dent couronnée), C4-C5 modérée et C5-C6 sévère • arthrite psoriasique • dyspnée d'origine indéterminée • insuffisance rénale AKIN I d'origine pré-rénale et infection urinaire simple • déprivation de sommeil et alimentation insuffisante à domicile. Probable exacerbation d'une BPCO sans surinfection bactérienne le 18.04.2016. Urospesis à E. coli multisensible Coxarthrose G IRA AKIN 1 d'origine prérénale le 28.01.2019 Spot urinaire Mise en suspens des traitements néphrotoxiques Myosite nécrosante d'origine para-infectieuse sur infection à CMV avec : • douleurs crampiformes aux mollets • faiblesse et lâchement des membres inférieurs à la marche • faiblesse aux muscles proximaux des bras • aréflexie des 4 membres transitoire • rhabdomyolyse • atteinte hépatique. > Nach der Meinung vom Dr. X (Dienstarzt Chirurgie, Kantonsspital Fribourg) kann Mr. Y in HFR Freiburg in die Sprechstunde der Chirurgie kommen. Wir sollen keine Scanner vorher planen. Wir schreiben ein Email am der Sekretariat von der Chirurgie Fribourg und geben wir auch den Nummer des Sekretariat an dem Patient. Wir behandeln gerade der Schmerzen mit Novalgin. > Nach Rücksprache mt dem Dienstarzt der Orthopädie HFR Freiburg ist eine operative Behandlung empfohlen Gespaltener Unterarmgips für Ruhigstellung und Evaluation eine Operation im Spital Aarberg Hat auf der Permanence Dafalgan unf Novalgin bekommen Nachkontrolle am Mittwoch am Nachmittag Nachkontrolle in einer Woche beim Hausarzt NaCl IV NaCl 0.9% 1 L sur 1h en bolus, puis en perfusion d'entretien du 17.05-18.05.2019 Gazométrie: Acidose respiratoire. pH 7,30, pCO2 à 6.8, lactate à 1.9 Toxiques dans les urine négatifs NaCl 500ml/24h Naevus d'aspect modifié Naissance à terme à 41 semaines, PN 3310 g (P), TN: 49 cm (P), PC 36 cm (P), APGAR 9/10/10 Naissance par césarienne pour échec de provocation, pas de risque infectieux Naissance à terme à 38 SG, par voie basse avec ventouse, grossesse sp, 1er bébé Naissance à terme, pas de complications périnatales. Naissance à voie basse à 39 4/7 SA, Poids de naissance de 3.630 kg Naissance à 36 5/7 semaines d'aménorrhée par césarienne élective en raison d'une fatigue maternelle. Poids de naissance 2970 g, taille 48 cm, périmètre crânien 34 cm, pH au cordon 7.13/7.35, Apgar 7-9-10. Maman G6P3, Strepto B inconnu. Sérologies: Toxo -, CMV +, Rubéole +, VDRL non fait, HBS -, HCV -, HIV -, Varicelle inconnue. S/p muguet buccal traité par Daktarin et fessier application de crème par la maman. Souffle cardiaque: communication, que la mère n'arrive pas à préciser Naissance à 37 1/7 SG, PN 2,9 kg, taille 49 cm, PC 32,5 cm, encéphalopathie ischémique post-asphyxie néonatale (APGAR 0-1-4, lactate 13,9, EB - 24 mmol/l, pH 7,01). Protocole hypothermie à Berne du 23.4 au 26.04.2017. Naissance à 40 5/7 par voie basse. Poids de naissance 3720 g. Naissance sp, AVB, grossesse sp. PN 2 kg 870 Naloxone per os Narbenhernie der vorderen Bauchwand • Adhäsiolyse und Reparatur einer Narbenhernie mit Netz Platzierung Adenom sessile von 3x4cm der Rand der Fundus caecum mit leichtgradiger Dysplasie • Laparoskopischer Hemikolektomie rechts am 15.06.2012 • Abszess in der rechten Fossa iliaca nach Fistel der ileocolonischen Anastomose am 09.08.2012 • Laparotomische Resektion des Ilium - Colon am 09.08.2012 • Sekundärer Wundverschlusstentativ am 16.08.2012 • Debridement-Spülung und Applikation eines neuen VAC am 23.08.2012 Z. n. Totalhüftprothese links am 01/2011 Hämatochezie unklarer Ätiologie am 07.04.2014 (DD sigmoiden Divertikel) • Gastroskopie von 08.04.2014: unauffällig • Koloskopie von 10.04.2014: Sigmoid-Divertikulose, keine aktive Blutung, Anastomose reizlos, Biopsie einer Verdickung der Sigmoid Schlafstörung mit rezidivierendem nächtlichem Erwachen • Trittico seit 12.10.2015 Leichter Vitamin-D Mangel von 66nmol/l am 08.10.2015 Gehstörung bei St. nach unikompartimentaler Knieprothese medial rechts am 01.10.2015 (Dr. X, Clinique Générale) • Teilbelastung 15 à 20 kg pour 6 semaines • Hüftprothese links Mr. Y, 1 an, est hospitalisé pour surveillance clinique après ingestion d'un corps étranger pointu (punaise). Un avis chirurgical est pris auprès de l'Inselspital et la Dr. X, chirurgienne-pédiatre. Ceux-ci proposent une surveillance clinique, sans nécessité de geste chirurgical. La surveillance clinique est rassurante avec élimination du corps étranger dans les selles. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y peut rentrer à domicile le 09.05.2019. En cas d'apparition de douleurs abdominales ou de présence de sang dans les selles, elle consultera à nouveau. NASIVINE spray doseur 0.05 % Consilium ORL à 1 semaine. Nausée. Nausée et douleur abdominale Nausée et vomissement. Nausée et vomissement. Nausée et vomissement le 26.04.2019 • en amélioration DD post-traumatisme crânien, infectieux Nausée, vomissements DD Effet secondaire des opiacés DD Gastroentérite débutant Nausée DD : sur opiacés dans un contexte oncologique. Nausées avec état fébrile et céphalées. Nausées d'origine indéterminée, DD troubles anxieux Nausées d'origine indéterminée le 17.05.2019. Nausées et douleurs abdominales. Nausées et fatigue d'origine indéterminée, DD surmenage au travail Nausées et vertige sur fentanyl • 175mcg reçu par ambulanciers. Nausées et vertiges dans un contexte de consommation de cannabis, le 30.09.2017. Nausées et vomissements Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements depuis ce matin Nausées et vomissements liées à la grossesse • TA 105/74 • Vertiges orthostatiques au changement rapide de position Nausées importantes avec épigastralgies DD : ulcères gastriques avec épisodes de méléna Nausées le 05.05.2019. DD : Gastrite sur OH/tabac, psychogène. Nausées persistantes Nausées postopératoires Nausées post-opératoires avec: • distension abdominale et absence de bruits digestifs Nausées post-opératoires le 13.05.2019 • distension abdominale et absence de bruits digestifs Nausées, vomissements Nausées vomissements. Nausées, vomissements, diarrhées. Nausées, vomissements et diarrhées. Nausées, vomissements et douleur abdominale. Nausées, vomissements et perte pondérale d'origine indéterminée NC NC NC NC NC NC NC NC NC NC Consultation personnelle du Dr. X Né à terme avec bonne adaptation, suspicion de dilatation pyélo-caliciel infirmée Né à terme par AVB avec PN de 3.5 kg Né à terme par AVB avec PN de 3.5 kgNé à terme, pas d'antécédents péri-nataux Bronchiolite à 1 mois de vie sans hospitalisation. 1x OMA par la suite. Né à terme, pas de problèmes péri-nataux, grossesse harmonieuse. Naissance à l'HFR. Né à terme, 38 1/7 SG, hypotrophe (PN 2585 g = P4) s/p bronchite obstructive (hospitalisation 26-28.04.2012) s/p bronchiolite à RSV (hospitalisation 01-10.04.2012) et pneumonie (antibiotiques iv et po 04-15.04.2012) s/p hypertension artérielle pulmonaire non quantifiable le 12.03.2011, échocardiographie normale le 17.03.2011 s/p 06.2012 Pneumonie basale droite débutante, bronchite obstructive, insuffisance respiratoire s/p 01.2014 Pneumonie interstitielle avec composante spastique s/p pose de drains transtympaniques des deux côtés en 2016-17 Né à terme. 39 4/7 SG, PN 3750 g Bronchiolite Virose, DD angine virale Né à 36 SG, par césarienne, PN 2115 g Né à 37 6/7 SA, poids de naissance 3860 g (P90), taille de naissance 53 cm (P75-90), périmètre crânien de naissance (P90-95) Césarienne élective pour DGID et HTA maternelle, bonne adaptation, SDR sur probable aspiration de liquide amniotique Né à 39 4/7 semaines d'aménorrhée, par voie basse, 1er enfant. Bonne adaptation. Né à 41 semaines d'aménorrhée avec un poids de naissance de 3420 g, une taille de naissance de 51 cm et un périmètre crânien de naissance de 35 cm. Né à 41 SG, poids 3250 g Né post terme, bonne adaptation néonatale pas de trouble depuis naissance Ne souhaite pas attendre plus longtemps. Né 1 mois avant terme Né 1 semaine avant terme par voie basse avec poids de naissance de 2895 g (P25-50), taille à la naissance de 47 cm (P10). Grossesse et accouchement sans particularités Nécrose aseptique de la tête humérale G avec status post réduction ouverte, ostéosynthèse par plaque Philos le 08.02.2017. Ablation du matériel le 21.06.2018 Nécrose condyle fémorale externe genou G. Probable hémochromatose. Status post fracture rotulienne D pôle externe le 13.04.2018. Status post implantation de PTH G et D (Portugal). Infarctus osseux condyle fémoral interne. Nécrose cutanée et hématome infectés par Pseudomonas aeruginosa et Staphylococcus aureus de la cuisse gauche sur contusion accidentelle le 10.04.2019 Nécrose du moignon des doigts 3-4 main D sur : status post révision, lavage et ostéosynthèse par 2 vis corticales 1.0 mm le 28.02.2019 sur fracture articulaire ouverte de P3 de D3 et de D4 de la main D le 28.02.2019 avec subamputation pulpaire et du lit unguéal. Nécrose du tissu adipeux sous-cutané humérale bilatérale Nécrose osseuse du corps vertébral de L4 s/p Cimentoplastie le 08.03.2019 pour tassement récent du plateau supérieur de L4 post-traumatique Nécrose sèche de P3 Dig II main G sur status post accident survenu 3 semaines auparavant s/p Vancomycine 500 mg i.v. 3x/sem. depuis le 08.05.2019 Nécrose segmentaire de l'intestin grêle (iléon proximal) d'origine indéterminée le 18.04.2017 Laparoscopie exploratrice, conversion et laparotomie supra-ombilicale, entérectomie segmentaire (40 cm) à 180 cm de la valve iléo-caecale, anastomose iléo-iléale latéro-latérale en deux plans, lavage abdominale 20 L en urgence le 19.04.2017 Antibiothérapie par Tazobac du 19.04-24.04.2017 Tumeur de Merkel V phalange main gauche excision et radiothérapie Cheilectomie MTP hallux droit Né à terme avec PN à 4060 g Né à terme avec syndrome de désaturation d'origine X (transférée à Berne) et hypotension artérielle à la naissance. Pyélonéphrite en 2015 et en 2016 Insuffisance respiratoire sur possible pneumonie du lobe moyen et supérieur droit probablement virale le 26.11.2016 Né à terme. Bonne santé habituelle. Pas de pneumonie, pas de bronchite, pas de RSV. 07.2011 Pneumonie Né à terme par voie basse, bonne adaptation. PN 3420 g atcd sp. Né à terme par voie basse, bonne adaptation. Poids de naissance 3420 g. Née à terme sans complications (pas de carnet de santé), poids de naissance 3.300 kg Née à 37 1/7 semaines d'aménorrhée par voie basse, grossesse gémellaire bi-choriale bi-amniotique, poids de naissance 2460 g (P10), taille 45 cm (P3), périmètre crânien 31 cm (P<3) s/p hypoglycémie à la naissance Née à 37 1/7 semaines d'aménorrhée par voie basse, grossesse gémellaire bi-choriale bi-amniotique, poids de naissance 2800 g environ Née à 37 1/7 SG, PN 2370 g (P 5-10), TN 45 cm (P3), PCN 33 cm (P 10-25) Malaise type BRUE le 13.10.2017 probablement vaso-vagal sur reflux Née à 38 1/7 semaine d'aménorrhée, poids de naissance 3500 g (P 75-90), taille de naissance 52 cm (P 75-90), périmètre crânien de naissance 35 cm (P 50-75) Ictère à bilirubine libre non hémolytique à 5 jours de vie Née à 38 5/7 SG, par VB, PN 4335 g, APGAR 8/9/10, pH 7.29, pH 7.38 01.13 : Pyélonéphrite sur maladie de reflux RX thorax Analyse urinaire Laboratoire US rénal : sp CUM 19.11 : reflux grade III à D, grade I à gauche Prophylaxie par Bactrim Anémie microcytaire probablement inflammatoire à 90 g/l Née à 39 6/7 SA, poids de naissance 3630 g (P50-75). Pas de risque infectieux. Ictère prolongé du nourrisson (dans le contexte d'une perte de poids > 10 %) Née à 40+1 par césarienne d'une grossesse gémellaire, pas d'hospitalisation nécessaire, pas d'antécédents médicaux Née à 41 1/7, G2 P1, sérologie négative sauf rubéole, césarienne pour échec de provocation sous rachianesthésie, Apgar 10/10/10, poids : 3.020 kg (P10), taille 49 cm (P10), PC 35.5 (P50-75) Nég. Nég. Nég. Nég. Néoplasie ano-rectale diagnostiquée le 19.12.2018 : De l'anus à la charnière recto-sigmoïdienne, avec infiltration périrectale et multiples nodules correspondant probablement à des adénopathies péri rectales avec hématochézie Néoplasie avec tumeur primitive suspectée du poumon droit, multi-métastatiques au niveau ganglionnaire, hépatique et osseux Date du diagnostic : 09.05.2019 CT abdomino-pelvien du 24.04.2019 : multiples métastases hépatiques sans piste pour la tumeur primaire CT thoracique du 26.04.2019 : lésion mal délimitée de 15 x 16 mm du segment apical du lobe inférieur droit DD infectieuse, DD tumorale Laboratoire du 26.04.2019 : CA 19-9 701 U/ml, PSA, CEA et AFP dans la norme Status post biopsie hépatique le 07.05.2019 Histologie (Promed P2019.5141) : carcinome peu différencié dans le parenchyme hépatique. L'immunophénotype du carcinome ne permet pas une classification diagnostique affirmative, mais inclut la possibilité d'un carcinome cholangio-cellulaire. Mais une autre origine tumorale (entre autres médiastin, reins ou thyroïde) ne peut pas être exclue Suivi oncologique par Dr. X Néoplasie du lobe supérieur gauche. Diagnostic différentiel : NSCLC type épidermoïde, autre (extemporané du 25.04.2019) Ponction trans-thoracique le 05.03.2019 Néoplasie myéloproliférative, de type thrombocytémie essentielle selon la classification OMS 2008, triple négative, diagnostiquée le 06.01.2016 avec : hémogramme au diagnostic : Hb 129 g/l, GB 6.5 G/l, Tc 641 G/l biologie moléculaire du sang périphérique du 23.01.2014 (CHUV) : absence de la mutation JAK2 V617F et absence du transcrit de fusion BCR-ABL biologie moléculaire du sang périphérique du 04.02.2014 (CHUV) : absence de mutation sur l'exon 9 du gène CALR biologie moléculaire du sang périphérique de février 2014 (Unilabs Lausanne) : absence de mutation sur le gène MPL test HUMARA du sang périphérique du 06.01.2016 : consistant avec une hématopoïèse clonale (perte de l'inactivation randomisée du chromosome X) • NGS du sang périphérique (panel TruSight Myeloid du sang périphérique) du 06.01.2016 : présence de la mutation R132H du gène IDH1 (fréquence de 6,4%). • PBM du 14.01.2016 : moëlle normocellulaire, trilinéaire, avec importante hyperplasie et signes de dysplasie au niveau de la lignée mégacaryocytaire, sans sidéroblastes en couronne ni excès de blastes, avec des réserves en fer absentes sans trouble de l'incorporation au médullogramme ; tissu hématopoïétique légèrement hypercellulaire avec discrète hyperplasie des mégacaryocytes et formation de groupes lâches et discrètes atypies, sans fibrose réticulinique significative de la charpente (grade MF-0 selon OMS 2008) à la biopsie ostéomédullaire. • Cytogénétique médullaire du 14.01.2016 : caryotype 46, XX [20]. • Traitement : cytoréduction par Litalir dès le 06.01.2016. • Situation actuelle (20.02.2017) : réponse hématologique complète (thrombocytes >450 G/l). Occlusion de l'artère pédieuse droite objectivée le 20.01.2014 sans revascularisation distale : • Bilan angiologique le 15.05.2015 (Dr. X). • Anticoagulation, pas de prise en charge chirurgicale. Hémorragies digestives à répétition les 25.04, 25.07, 07.11, 23.11, 29.12.2016 et 23.01.2017, favorisées par agrégation plaquettaire d'Aspirine Cardio et une anticoagulation thérapeutique par Sintrom, puis par une anticoagulation thérapeutique par Lixiana, puis par une anticoagulation prophylactique par Eliquis avec : • Colonoscopie du 26.07.2016 : muqueuse normale jusqu'au niveau de l'iléon, pas de lésion dans le rectum. Sigmoïde avec diverticulose. Pour le reste, muqueuse colique normale, sans preuve de masse suspecte au niveau du colon. Anévrisme du septum interauriculaire avec deux orifices inféro-antérieurs : anticoagulation thérapeutique. Tabagisme actif à 50 UPA. Syndrome lombo-vertébral : • Ostéochondrose érosive L3-L4. • Spondylolyse bilatérale au niveau de L5 avec antélisthésis de L5 sur S1 de grade I. • Scoliose dextro-convexe lombaire. • Ostéoporose. • Fracture-tassement de L3-L4 en 2006. Douleurs post-amputation supra-géniculaire du membre inférieur gauche (douleurs fantômes) dès le 09.04.2012. Trouble de l'adaptation, réaction mixte anxio-dépressive réactionnelle avec idées suicidaires dès le 11.04.2012. Trouble de la personnalité de type dépendante. Thyroïdite nodulaire avec fonction euryroïdienne (évaluation endocrinologique du 02.08.2016). Hépatite C. Anémie ferriprive. Pas de substitution en fer proposé, patiente ne veut pas de perfusion. Néoplasie pulmonaire au stade métastatique avec : • Tumeur primaire vraisemblablement pulmonaire. • Multiples métastases (cérébral, hépatiques, osseuse, rénales). • Hypercalcémie. • IRM (25.04.19) : plusieurs lésions osseuses et para-vertébrales évoquant en 1er lieu des métastases à centre nécrotique. Probables nombreuses lésions hépatiques évoquant des métastases. Néoplasie rectale de l'anus et jusqu'à la charnière recto-sigmoïdienne avec métastases ganglionnaires locorégionales et infiltration péri-rectale. Doute sur l'existence de métastases hépatiques (CT thoraco-abdo du 19.12.2018). Hypertension artérielle traitée. Dégénérescence maculaire liée à l'âge bilatérale avec cécité avancée (ombre/lumière). Incontinence anale. Néphrite à Candida albicans le 23.04.2019 : • S/P changement de sonde double J droite. Néphrolithiase bilatérale à répétition. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Néphrolithiase de l'uretère distal droit le 30.05.2019 avec : • Dilatation pyélocalicielle droite de 27 mm. • Insuffisance rénale aiguë pré-rénale, sans critère AKIN. Néphrolithiase de 5 x 6 x 8 mm enclavée dans l'uretère lombaire droit avec dilatation urétérale et pyélocalicielle en amont. Nette amélioration de la force musculaire chez un patient qui n'est plus limité dans sa vie quotidienne. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition. Nette amélioration de l'allodynie sur l'hallux G. Poursuite de l'ergothérapie et des exercices à domicile. Elle a déjà arrêté le Lyrica et les patchs Neurodol. Nous lui donnons une ordonnance pour réadapter ses semelles. Selon le souhait de la patiente, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nettoyage avec NaCl. Pincement compresseur. Vaccination tétanos. Nettoyage de la plaie et changement du pansement. Ordonnance pour du matériel à pansement jusqu'au 17.05.2019. Dès le 16.05.2019 : laisser la plaie à l'air. Ablation des fils comme prévu dès J12 selon cicatrisation chez le médecin traitant. Nettoyage, désinfection, 2 pts de suture par Prolène 3.0 le 09.05.19. Ablation des pts à 7 jours chez le médecin traitant. Neupogen 30 MIO UI le 02.04 et le 03.04.2019. Suivi biologique. Neupogène administré en oncologie ambulatoire le 24.05.19. Neuralgie trigéminale. Hernie hiatale et ATCD d'hémorragie digestive haute en 2015 et oesophagite de reflux en 2015. Neurapraxie nerf péroné profond post-plâtre. Gastro-entérite d'origine virale le 22.04.2018. Neurinome acoustique droit (radiations à Zurich). Intoxication médicamenteuse volontaire (SSRI, BZD et alcool) le 10.12.2017. Sepsis sévère sur pneumonie lobaire inférieure gauche le 07.05.2016. Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine pré-rénale le 08.05.2016. Incidentalome surrénalien gauche de 20 mm (2 HU) le 08.05.2016. Hystérectomie. Intoxication alcoolique aiguë le 20.07.2018 : • Alcoolémie 2,03. Intoxication médicamenteuse volontaire (SSRI, BZD et alcool) le 10.12.2017. Alcoolisation aiguë le 27.03.2017. Possible syndrome de sevrage débutant le 08.05.2016. Intoxication aiguë à l'alcool en 2014. Neurologie Dr. X : évaluer EEG et informer le foyer de la patiente de la suite de prise en charge. Neurolyse du nerf médian droit en janvier 2017 pour un syndrome du tunnel carpien : • Sans amélioration d'un trouble sensitif de la main droite malgré une normalisation de l'examen ENMG en novembre 2017. Sclérose en plaques le 24.10.2018 avec : • Hémisyndrome sensitivo-moteur droit, évolutif depuis septembre 2018. Ponction lombaire le 24.10.2018 : • Aspect limpide, couleur eau de roche. • 7 éléments (cellules mononucléées), hyperprotéinorachie à 0,54 g/l, lactates 2,13 mmol/l. • Synthèse d'IgM et IgG intrathécales significatives. Consilium neurologique (Dr. X) : Consilium ophtalmologique le 26.10.2018 (Dr. X) : changement léger de sa réfraction, absence d'argument en OCT pour une séquelle de NORB. Suivi neurologique ambulatoire le 23.11.2018 (Dr. X). Neurolyse du nerf médian droit en janvier 2017 pour un syndrome du tunnel carpien : • Sans amélioration d'un trouble sensitif de la main droite malgré une normalisation de l'examen ENMG en novembre 2017. Sclérose en plaques le 24.10.2018 avec hémisyndrome sensitivo-moteur droit, évolutif depuis septembre 2018. Neurolyse du nerf médian droit en janvier 2017 pour un syndrome du tunnel carpien. Sclérose en plaques le 24.10.2018. Neurolyse et transposition du nerf cubital coude D le 24.11.2014 sur syndrome de compression du nerf cubital coude D. Tentamen médicamenteux (surdosage des benzodiazépines) le 12.07.2018. Méniscectomie genou G en 2013 : • Plastie LCE et méniscectomie partielle du genou G il y a environ 30 ans. OS fracture jambe G. Lithotripsie G. OS fracture poignet D à l'âge de 10 ans. Appendicectomie. Ostéosynthèse fracture jambe gauche. Neurome cicatriciel sur statut post-amputation de la pulpe de l'index gauche en avril 2018.• syndrome du tunnel carpien gauche débutant. • Neurome cicatriciel sur statut post amputation de la pulpe de l'index gauche en avril 2018 avec • syndrome du tunnel carpien gauche débutant. • Suspicion d'ostéomyélite chronique P2 D2 main gauche. • Neuronite vestibulaire gauche le 28.05.2019 • Neuro-réadaptation • Neuro-réadaptation avec ergothérapie et physiothérapie • Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Adaptation de l'antalgie CT cérébral de contrôle le 06.05.2019 à 16h30 RDV en neurochirurgie le 07.05.2019 à 8h15 à l'HFR Fribourg • Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Evaluation neuropsychologique et suivi • Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Evaluation neuropsychologique et suivi Consultation avec le Dr. X, CHUV, avec angio-IRM cérébrale le 03.05.2019 : évolution satisfaisante surtout sur le plan des troubles phasiques; pas d'indication à un prochain contrôle NCH • Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Evaluation neuropsychologique et suivi Consultation neurovasculaire de contrôle le 17.07.2019 à 15h30 • Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Evaluation neuropsychologique et suivi Contrôle du profil tensionnel Anticoagulation et antiagrégation contre-indiquées en raison de l'angiopathie amyloïde Contrôle glycémique pendant 48h • Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Mobilisation libre selon douleurs avec aide des physiothérapeutes Bilan biologique gériatrique Ablation des agrafes le 02.05 et le 03.05.2019 • Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Mobilisation libre Adaptation de l'antalgie avec augmentation progressive de la Prégabaline Bilan biologique gériatrique Bilan et suivi neuropsychologique • Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Ablation des fils de la biopsie musculaire le 24.04.2019 • Neuro-réadaptation dans les suites d'un TCC sévère le 09.11.2018 • Neuro-réadaptation intensive multidisciplinaire Prophylaxie par Aspirine cardio 100 mg (à garder jusqu'à la prochaine consultation dans 1 an avec le NRI (Dr. X) au CHUV) Reprise de Lioresal le 24.04.2019 à 10 mg 3x/jour pour une composante spastique clonique douloureuse Prochain contrôle de neurochirurgie le 28.06.2019 avec CT scanner au CHUV (Dr. X) Rendez-vous de contrôle ambulatoire organisé chez le Dr. X le 07.11.2019 • Neuroréhabilitation à la suite d'un AVC sylvien gauche • Neuroréhabilitation avec ergothérapie et physiothérapie du 18.04 au 01.05.2019 à l'HFR Billens (en cours) Pas de poursuite de réhabilitation sur désir de la patiente • Neuroréhabilitation des suites d'un AVC ischémique gauche • Neuroréhabilitation intensive avec physiothérapie, ergothérapie et neuropsychologie Poursuite prévention secondaire avec Plavix 75 mg 1x/j et Atorvastatine 40 mg Suite: • Consultation neurologique de contrôle chez son neurologue traitant, le Dr. X au Neurocentre de Fribourg le 04.06.2019 à 15h avec IRM cérébrale de contrôle 2 semaines avant le contrôle, la patiente sera convoquée • Evaluation neuropsychologique à distance de l'hospitalisation (la patiente sera convoquée) • Consultation chez le Dr. X le 17.10.19 à 16h00 • Poursuite d'ergothérapie en ambulatoire • Neuroréhabilitation intensive avec physiothérapie, ergothérapie et neuropsychologie RDV contrôle chez Dr. X le 17.10.2019 à 13h00 Contre-indication absolue à la conduite jusqu'à nouvelle réévaluation Ergothérapie et neuropsychologie en ambulatoire • Neuroréhabilitation intensive avec prise en charge multidisciplinaire • Neuroréhabilitation intensive multidisciplinaire Poursuite du traitement hypolipémiant avec Atorvastatine 40 mg/j et du traitement anticoagulant avec Eliquis 5 mg 2x/j Contre-indication absolue à la conduite jusqu'à nouvelle ré-évaluation Consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois Enfants informés des difficultés de compréhension écrite ainsi que de la possible mise en danger Bilan neuropsychologique du 23.05.2019 : patient pas apte pour la conduite • Neuroréhabilitation post-hématome sous-dural post TCC sur AVP • Neutropénie à 1.43 G/l de neutrophile le 02.05.2019 • Neutropénie chronique auto-immune primaire diagnostiquée en 2011 • Ponction biopsie moelle et caryotype médullaire dans la norme, présence d'anticorps anti-neutrophiles (Inselspital) • Suivi Dr. X • Neutropénie et thrombopénie probablement dans un contexte • Neutropénie fébrile, le 28.05.2019 • d'origine digestive probable • Neutropénie modérée à 0.89 G/l • Neutropénie non fébrile à 0.62 g/l le 01.05.2019 • status post 3 cycles de Cisplatine pour carcinome de la commissure laryngée antérieure. • Névralgie d'Arnold. • Névralgie d'Arnold bilatérale. • Névralgie d'Arnold durant l'adolescence, dernière crise en 2013 environ. Asthme. • Névralgie du trijumeau acutisée • dans le contexte d'un changement de thérapie (passage de Tegretol à Trileptal le 24.03.2019 à cause d'hyponatrémie) • Névralgie intercostale droite lD 10-D11 le 14.07.2017. Status post-opération d'une malformation cérébrale dans l'enfance. • Névralgie intercostale droite lD 10-D11 le 14.07.2017. Status post-opération d'une malformation cérébrale dans l'enfance. • Névralgie intercostale droite lD 10-D11 le 14.07.2017. Status post-opération d'une malformation cérébrale dans l'enfance. • Névralgie intercostale Etat confusionnel aigu post-opératoire - DD Kétamine (03.2019) • Névralgie intercostale le 01.02.2019 Etat confusionnel aigu en postopératoire le 26.03.2019; DD sur Kétamine Anémie hémorragique postopératoire avec Hb à 96 g/l le 27.03.2019 • Névralgie trigéminale gauche • Intervention en 2017 à l'Inselspital Bern avec pose de Teflon sans amélioration significative • Sous Tegretol Troubles du sommeil sous Citalopram Hypercholestérolémie non traitée (selon la patiente) • Névralgies. • Névralgies cervico-brachiales gauches DD musculaires St.p. accident de voiture en septembre 2017 à Lausanne, avec notion de traumatisme de la colonne cervicale. St.p. consultation aux urgences pour cervicalgie d'origine musculaire le 02.11.2018 • Névralgies post-zostériennes T6-T8 droit, actuellement sous: • Prégabaline 150 mg 2x/j • Dafalgan 1 g 3x/jour • Novalgin 500 mg 2 cp 3x/j • Névrite optique D avec AV à 03 de probable origine inflammatoire sans signe de pathologie démylénisante • Névrite trigéminé, traité probablement par AINS et/ou corticoïdes, en avril 2019 Epistaxis Appendicectomie en 1957 • Névrite vestibulaire gauche • Névrodermite. Asthme bronchial. • Nexium intraveineux puis par voie orale Suivi de l'hémoglobine • Nexium 40 g IV. Traitement par Nexium 40 mg à jeun pour 3 semaines. Recherche HP chez le médecin traitant 2 semaines après l'arrêt des IPP. • Nexium 40 mg IV. • Nexium 40 mg per os 1x/j pendant 2 semaines de la sortie, puis 20 mg/j. Bilan biologique dans une semaine à votre consultation. Pansement coude gauche à refaire 2x/semaine le mardi et vendredi. Fils à enlever le 31.05.2019. • Nexium 40 mg. Ulcar 2 sachets. • Nexium 40mg 1x/j pendant une semaine Contrôle à votre consultation • Nicolas, 11 ans, est hospitalisé pour antalgie et surveillance respiratoire d'une fracture de l'arc postéro-latérale de la 7ème côte.La radiographie du thorax met en évidence une fracture de l'arc postéro-latéral de la 7ème côte, correspondant à la clinique, sans pneumothorax. Un bilan biologique avec fonction hépatique, pancréatique et rénale dans la norme et un ultrason abdominal permet d'exclure une lésion des organes. Sur le plan de l'antalgie, il nécessite une reprise de la morphine. Autrement, il est confortable avec du paracétamol et du Brufen d'office. Il arrive à se mobiliser sans douleur. Sur le plan respiratoire, il ne présente pas de difficulté respiratoire. L'examen clinique est dans la norme. Au vu de l'évolution favorable, il peut rentrer à domicile le 26.05.2019 avec un arrêt de sport fait pour 2 semaines puis contrôle chez le pédiatre. Nicorette cartouche inhalation le 17.05.2019 Addictologie ambulatoire Nifédipine Ret 20 mg po Suivi clinique Nifédipine 20 mg aux urgences. Suivi chez le médecin traitant. Nifédipine 20 mg en ordre unique aux urgences. Nifédipine 20 mg en réserve si TAS >160 mmHg Suivi clinique Nifédipine 20 mg per os. Nifédipine 20 mg retard, Beloc 25 mg et Amlodipine 5 mg. Surveillance clinique. Suivi chez le médecin traitant. Nihil. Nihil.Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil NIHIL per os Alimentation entérale dès le 11.05.2018 Supradyn durant la période de AE Thiamine 300 mg per os durant 10 jours, acide folique 5 mg per os durant 10 j substitution phosphate IV (dose unique) et per os, substitution magnésium pose de GPR en radiologie prévu le 20.05.2019 Nihil Crise d'angoisse ECG Nihil. Dermo-hypodermite localisée du 5ème doigt de la main gauche. Entorse de la cheville sur traumatisme direct sur le bas de la jambe le 08.10.2017 Nihil Douleurs poignet D dans un cadre de Tunnel carpien • RX poignet F/P : pas de fracture • Attelle poignet • Antalgie + AINS • Suivi chez le Dr. X dans une semaine Nihil. Entorse MTP du 2 et 3 ème métatarsiens pied droit le 15.11.2017 Examen clinique Rx-pied avant pied droit. Bandes élastiques de l'avant pied droit. Antalgie simple. Contrôle auprès du médecin traitant la semaine prochaine. Nihil Fracture non déplacée du fémur G Traitement conservateur avec mise en place d'un plâtre pelvi-cruro-pédieux Contrôle radiographique à j7, j14 et sem 6 Nihil. Fracture P1 DII du pied gauche déplacée, 30° environ d'angulation. Nihil Hernie inguino-scrotale incarcérée droite, le 04.02.2017 : • Chez un patient présentant des hernies inguino-scrotales bilatérales • Cure de hernie bilatérale selon Lichtenstein avec pose de filets, le 05.02.2017 (Dr. X) Nihil NSTEMI sur sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale englobant l'origine de la première diagonale le 27.04.2019 avec : • pic de CK à 1049 UI/L le 28.04.2019 Coronarographie 27.04.2019 (Dr. X) : angioplastie de l'ostium de la première diagonale (1 stent actif) et angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure moyenne (1 stent actif) Aspirine à vie et Prasugrel pour 6 mois dès le 27.04.2019 Nouvelle coronarographie dans un mois pour traiter les lésions de l'artère circonflexe, Maladie coronarienne tritronculaire, avec : • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) • Sténose significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale et de l'artère circonflexe proximale • Lésion intermédiaire de l'artère coronaire droite proximale. Sténose significative de l'artère coronaire droite proximale • Fraction d'éjection VG 65 %. Atorvastatine dès le 27.04.2019 Lisinopril dès le 27.04.2019 Métoprolol dès le 27.04.2019 Nihil. OSG distorsion droite V.a nécrose au niveau de l'os talus dome droit Nihil pas d'interventions Nihil. Plaie de 4 mm au 5e doigt de la main droite par morsure de chien. Nihil. Polytraumatisme à haute cinétique Bilan et suivi biologiques. Bilan et suivi ultrasonographiques. Bilan par CT. Rappel antitétanique, désinfection des dermabrasions et pansements. Surveillance à l'unité de lits monitorés du 05 au 08.03.2018. Traitement conservateur des fractures du pied gauche par VacoPed short pour 6 semaines : décharge pour 3 semaines, puis charge durant 3 semaines. Cannes anglaises. Contrôle en policlinique d'orthopédie à 3 semaines. Élévation aspécifique des troponines. ECG. Troponines : 118 puis 76 ng/l. Echographie thoracique. Nihil. s/p adéno-tonsillectomie, le 29.01.2016 (Dr. X). Nihil 01.19 : Suspicion de perforation appendiculaire Echographie abdominale au Centre d'Imagerie de Fribourg VVP Traitement antalgique Avis chirurgical : Drsse X / Dr. X Transfert pour prise en charge chirurgicale Nihil 08.05.2019 : Trauma poignet D NIHSS à l'admission aux urgences : 13 points Laboratoire CT cérébral Time is Brain (Dr. X, oralement) : pas d'argument pour un AVC ischémique, pas d'hémorragie intracrânienne visualisée. Hyperperfusion temporo-pariéto-occipitale droite. Avis neurologique (Dr. X, oralement) : crise épileptique possible, chargement d'épreuve par 1000 mg Keppra, transfert aux SI pour surveillance et suite de prise en charge Réponse partielle au Keppra Nouvel avis neurologique (Dr. X) Attitude : • Transfert aux SI pour surveillance • Keppra 2x1000 mg par jour • IRM cérébrale à prévoir • EEG demandé NIHSS à l'entrée 0 angio-CT cérébral et carotidien : Vaisseaux perméables, hyperdensité thalamique droite (DD calcification, hémorragie) -> après rediscussion : hémorragie thalamique droiteAvis neurologique : • hosp aux soins avec protocole Stroke • cible tensionnelle 140-160 mmHg de systole • effectuer scanner natif à 24h suivi du saignement • IRM au décours de la semaine • bilan lipidique et Hb1Ac à effectuer Neurochirurgien mis au courant NIHSS à 0 point Laboratoire ECG du 03.05.2019 CT Time is Brain : pas d'asymétrie aux cartes de perfusion, pas de saignement intracrânien, axes pré-cérébraux perméables Avis neurologique (Dr. X) : • Aspirine 500mg intraveineux puis poursuite par Aspirine cardio 100mg 1x/j • IRM cérébrale en ambulatoire (le 08.05.2019) • Surveillance neurologique aux urgences Hospitalisation en gériatrie aiguë HFR Riaz le jour même Tests de la cognition le 06.05.2019 : MMSE à 30/30, test de la montre à 5/7 NIHSS à 10 Laboratoire ECG : rythme sinusal normocarde Avis neurologique (Dr. X) : pas de lyse au vu de la transformation hémorragique IRM neurocrâne en urgence Avis SI (Dr. X) : pas d'indication à une hospitalisation aux SI Aux urgences : Aspégic 250 mg i.v. Attitude : • CT-angio cérébrale et carotides dès que fonction rénale le permet • lit strict 0-30° • TA cible <220 mmHg sys, TAM 70-130 • à jeun jusqu'au test de déglutition • bottes anti-thrombotiques, début de l'anticoagulation prophylactique à préciser avec les neurologues NIHSS 0 pts Laboratoire ECG du 03.05.2019 CT Time is Brain : pas d'asymétrie aux cartes de perfusion, pas de saignement intracrânien, axes pré-cérébraux perméables Avis neurologique (Dr. X) : ad aspirine 500 mg iv puis poursuite par Aspirine cardio 100 mg 1x/j, IRM cérébrale en ambulatoire Surveillance neurologique aux urgences Hospitalisation en gériatrie à Riaz IRM cérébrale organisée le 08.05. MMS au 06.05 30/30 Test de la montre au 06.05 5/7 NIHSS 2 (asymétrie faciale gauche et hypoesthésie faciale gauche) Parésie et paresthésie de la main gauche Avis neurologique (Dr. X) : Angio-CT cérébrale afin d'exclure un thrombus Angio-CT cérébrale (17.05.2019) : absence de thrombus Procédure : • reprise de l'anticoagulation par Héparine IV à 20h (comme sous indication radiologique) • relais par Clexane du 21.05 au 22.05.2019 • relais par Lixiana 30 mg du 23.05.2019 Nil est hospitalisé pour réhydratation per os et surveillance clinique dans le contexte d'une gastro-entérite à rotavirus. Il s'agit de la troisième hospitalisation depuis le 29.04.19. Sur le plan digestif, Aux urgences, au vu de la déshydratation modérée, nous débutons une réhydratation avec normolytoral per os. Malgré la prise de 200 ml en 1h, il n'arrive pas à compenser les pertes importantes. La gazométrie réalisée à l'entrée montre une légère acidose métabolique hyperchlorémique (pH 7.36, bicarbonates en amélioration à 18 mmol/l), une hyponatrémie à 134 mmol/l et glycémie basse à 3.3 mmol/l. Au vu de cet échec de réhydratation per os, nous hospitalisons Nil pour réhydratation par normolytoral par sonde naso-gastrique, 50ml/kg sur 4 heures, permettant une correction de la gazométrie et de l'hyponatrémie. Il nécessite par la suite des apports sur la sonde naso-gastrique jusqu'au 05.05, date à laquelle il prend toutes ses quantités per os. Les diarrhées se tarissent au cours du séjour et il ne présente pas de vomissement. Sur le plan urinaire, une densité urinaire revient à 1005. Sur le plan social, les parents se disent initialement épuisés et inquiets par les allers-retours aux urgences. Au cours du séjour, ils sont rassurés par l'évolution favorable. Au vu de l'évolution favorable, Nil rentre à domicile le 06.05.2019. Nil est un garçon de 1.5 ans hospitalisé en raison d'une gastro-entérite aiguë à rotavirus avec une déshydratation moyenne de 5% pour réhydratation et surveillance clinique. Sur le plan infectieux, Nil présente des épisodes de diarrhées mais reste apyrétique durant son séjour à l'hôpital. L'évolution est spontanément favorable avec diminution des diarrhées le 03.05.19. Sur le plan digestif, une sonde naso-gastrique est posée dès son arrivée dans le service. Il bénéficie d'une réhydratation par Normolytoral à 50cc/kg sur 4 heures avec une évolution favorable. La sonde naso-gastrique peut être sevrée le 02.05.19 avec une bonne prise alimentaire per os par la suite. Sur le plan métabolique, la gazométrie de l'entrée montre une acidose métabolique partiellement compensée. Durant l'hospitalisation, des contrôles sont effectués et montrent une correction progressive de cette acidose avec une gazométrie alignée le 03.05.19. Au vu d'une évolution favorable et d'un examen clinique rassurant, Nil peut rentrer à domicile le 03.05.19 avec un contrôle chez le pédiatre dans la semaine suivant la sortie. Ninon est hospitalisée pour investigations dans le cadre d'un ralentissement psychomoteur et d'une fatigue importante d'apparition récente, accompagnés d'une hypo-thymie. Sur le plan neurologique, le status neurologique révèle un ralentissement psychomoteur flagrant avec décalage temporel dans la réponse à donner voire même absence de la réponse et un regard hagard. Parfois, elle présente une désorientation temporelle. Sinon, il n'y a pas de latéralisation sensitivo-motrice, les épreuves cérébelleuses bien réalisées et les paires crâniennes sont symétriques. Nous prenons un avis spécialisé par Dr. X (neurologue-pédiatre) qui propose la réalisation d'un bilan complémentaire afin d'exclure une cause somatique, au vu de l'apparition aigue des troubles. Pour rappel, une angio-IRM avait déjà été réalisée en ambulatoire la veille de l'hospitalisation et revenue normale. Nous réalisons un bilan métabolique, qui revient en ordre, avec un profil des acylcarnitines en ordre, pas d'acidurie organique et des acides aminés sanguins en ordre. Un EEG est effectué, ne retrouvant pas de ralentissement de la conduction nerveuse. Une ponction lombaire montre un liquide eau de roche sans hypertension intra-crânienne, permettant d'exclure ainsi un pseudotumeur cérébrale. À l'analyse du liquide de ponction lombaire, il n'y a pas d'éléments pour une encéphalite, et la recherche d'anticorps contre les récepteurs du GABA et glutamate revient négative. Sur le plan de la suspicion de maladie de Lyme, nous répétons les sérologies pour une maladie de Lyme retrouvant exclusivement des IgG positives et non des IgM, ce tableau pouvant correspondre à une immunisation ancienne. Le traitement de Doxycycline est toutefois poursuivi jusqu'à réception des résultats du western Blot, qui revient négatif. Nous contactons donc la patiente pour proposer un arrêt de traitement vu des sérologies rassurantes. Sur le plan pédopsychiatrique, nous mettons en place une évaluation et un suivi régulier par notre équipe. Un trouble dépressif sévère est diagnostiqué avec idéation suicidaire scénarisée (consommation de médicaments). Ninon est mise sous Quétiapine dès le 24.05.2019 (ECG de base avec QTc à 424 ms) et augmentation progressive des doses, à la sortie à 50 mg 2x/j. Nous objectivons une nette amélioration du ralentissement psychomoteur en fin de séjour. Ninon rentre à domicile avec suivi pédopsychiatrique en ambulatoire déjà programmé, 2x/semaine. Un suivi par le médecin traitant dans 10 jours est souhaitable pour discuter des résultats des examens manquants. Nitroderm Torasémide Nitrofurantoïne du 12.05.2019 au 19.05.2019 Sédiment Urotube Nitrofurantoïne du 19.04 au 24.04.2019 Nitrofurantoïne du 26.04.19 au 01.05.19 Nitrofurantoïne 100 mg x 3/j dès le 16.05.2019 pendant 21 jours Laboratoire: Pas de syndrome inflammatoire biologique Antibiogramme le 16.05 : Ciprofloxacine (R), Nitrofurantoïne (S) Hémocultures le 16.05. suit Sédiment urinaire le 16.05.: Bac+ Nitrit + Leuk + Nitrofurantoïne 100 mg x 3/j dès le 16.05.2019 pendant 21 jours Laboratoire Hémocultures Sédiment urinaire ECG Radiographie du thorax Uricult à pister chez Mr. Y Hospitalisation en médecine interne Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j du 21.04 au 27.04.2019 Nitroglycérine jusqu'au 15.05.2019 Heparine thérapeutique jusqu'au 15.05.2019 Adaptation traitement anti-hypertenseur NN 39 0/7 SA, PN 3255 g (P25-50), Taille 50 cm (P25-50), PC 36 cm (P75-90). NNT à 37 0/7 SG avec PN 4028 g (> P90), PC 33 cm (P 10-50) avec: • Suspicion d'asphyxie néonatale avec: apnée secondaire (premier gasp à 3 min.), Apgar 3/6/7, premier lactate 10.8 mmol/l (à 60 min.), BE au cordon: - 7.6 mmol/l, atteinte hépatique • SDR sur Maladie des membranes hyalines, DD: hypertension pulmonaire persistante du nouveau-né, cardiopathie • Foetopathie diabétique sur diabète maternel de type I avec erythroblastose foetale (163 %o) • Hypoglycémies néonatales répétées sur diabète maternel de type I (min 0.8 mmol/l à 70 min.) • Suspicion d'infection néonatale • Hépatomégalie à 4 cm au RB (DD: cardiaque, hypertension pulmonaire persistante néonatale, métabolique, hémochromatose) à la naissance • Hydrocèles bilatérales, DD: ascite NNT, par césarienne élective, bonne adaptation, PN 2830 g NNT par césarienne élective pour grossesse gémellaire IVRS Nasivine Dafalgan en R Algifor en R NNT, par voie basse avec bonne adaptation néonatale Testicule G oscillant NNT, par voie basse bonne adaptation, PN 3,855 kg BSH NNT, PN 3650 g, période néonatale sp IVRS NNT 37 6/7, Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite à RSV en mars 2018 Bronchite avril 2019 NNT 38 6/7 SG, PN 3660 g (P50-75), TN 49 cm (P5), PCN 34.5 cm (P25) S/p Syndrome bradyapnéique du nouveau-né S/p Suspicion d'infection néonatale infirmée S/p Difficultés alimentaires du nouveau-né S/p Ictère néonatal sans incompatibilité (bili totale max 237 umol/l) NNT 39 5/7 SG avec: • RCIU harmonieux. • Risque infectieux avec strepto B+ avec prophylaxie AB inadéquate. • Liquide amniotique méconial, sans SDR. • Bradycardie objectivée le 16.1.11 DD 2° à méthergine. Prévoir consultation Dr. X le 17.1; év. faxer ECG si ne peut pas voir BB. Alimentation 6x20 pregomine/LM. NNT 40 3/7, AVB par ventouse sans complications, Apgar 8/9/10, pH 7.20/7.33, PN 2930 g (P10), Taille 48 cm (P50), PC 34 cm (P10-25) S/p Correction d'une déviation du septum nasal Suspicion de malaise type ALTE Mr. Y gère bien la déformité. Il n'est pas gêné et peut faire toutes les activités. Le varus est stable. On le revoit en contrôle dans une année. Nodule centimétrique du lobe thyroïdien droit. Nodule de 7 x 8 mm en base gauche. Nodule pulmonaire de 3 cm du lobe inférieur droit et sous-pleural de 7 mm le 24.05.19 Nodule pulmonaire suspect lobe supérieur droit: • Découverte fortuite au CT scanner le 24.05.2019 Nodule rétroaréolaire du sein droit chez une patiente 4G 2P de 44 ans. Nodule surrénalien droit de 12 x 16 mm découvert le 10.12.2018 DD phéochromocytome • Avis endocrinologique: bilan biologique le 19.12.2018 (Dr. X tel 62427 - Michael 62438 - Dr. X 62386) • Recherche de syndrome MEN, thyroïde, parathyroïde • Dosage métanéphrines partiellement pathologique (résultat sur synedra) • Cortisol basal 302 nmol/l le 03.01.2019 normal • Test de freinage à la Dexaméthasone: cortisol après dexaméthasone 19 nmol/l le 03.01.2019, normal • Bilan le 08.01.2019: calcium (corrigé et non) et valeurs thyroïdiennes dans la norme • Scintigraphie à l'MIBG, le 22-23-24.01.2019, avec prise de iodure de potassium du 20 au 24.01.2019: hypercaptation précoce et tardive surrénalienne G, suspecte de traduire un phéochromocytome. La lésion nodulaire surrénalienne D ne capte pas le radiotraceur de manière pathologique, en défaveur d'un phéochromocytome. • Avis endocrinologique le 09.01.2019: contrôle à 6 mois avec Scanner abdominal injecté Nodule suspect du lobe supérieur gauche: • Date du diagnostic radiologique: 05.10.2017 • CT thoracique du 09.01.2018: en comparaison avec l'examen du 05.10.2017, stabilité du nodule sous-pleural du lobe supérieur gauche (6 x 5.5 mm) qui avait été découvert de manière fortuite. Pas d'autre lésion mise en évidence • Suivi radiologique. Ulcère anastomotique gastro-jéjunal le 24.03.2014. Cure d'éventration sous-ombilicale avec mise en place d'une prothèse de type Parietex en 2005. Sténose de l'anastomose pancréatico-jéjunale et cholangite chronique abcédante du stase de l'anse biliaire et sténose de l'anastomose gastro-jéjunale en 2004. Pancréatite aiguë en 1999, 2003 et 2004. Duodéno-pancréatectomie céphalique en 1996. Nodules du lobe inférieur gauche avec discrète progression ainsi que plusieurs micronodules non spécifiques Nodules du lobe inférieur gauche d'origine indéterminée avec discrète progression ainsi que plusieurs micronodules non spécifiques Nodules hépatiques, probablement des hémangiomes au niveau des segments II-IV-VI et VII. Céphalées probablement type tension, cédant sous Dafalgan. Nodules pulmonaires dans un contexte de tabagisme actif le 26.03.2019 • CT thoracique de contrôle prévu le 29.04.2019 non réalisé Mr. Y est hospitalisé pour antibiothérapie iv dans le cadre d'un érysipèle de la face antéro-supérieure du genou droit. Sur le plan infectieux, le bilan inflammatoire d'entrée est négatif. L'antibiothérapie par Co-Amoxicilline 150 mg/kg/j iv est poursuivie durant 48 heures avec relais per os par Co-Amoxicilline suite à 48 heures d'hémocultures négatives. Il ne présente pas de fièvre au cours du séjour. L'évolution clinique est rassurante avec diminution de l'érythème. Les hémocultures prélevées à l'entrée restent négatives à 48 h. Sur le plan orthopédique, la mobilité complète du genou est retrouvée après 2 doses d'antibiothérapie. Il ne présente pas d'épanchement intra-articulaire. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 05.05 avec antibiothérapie per os par Co-Amoxicilline pour une durée de 7 jours. Mme. Y est une enfant de 19.5 mois, qui présente une hypertonie du MI gauche. Nous avions prévu la réalisation de l'IRM cérébrale, mais les parents ne souhaitent pas de narcose chez leur enfant. Au vu de l'évolution (j'ai examiné Mme. Y en fin d'année précédente), il apparaît que nous ne sommes pas devant une maladie progressive, puisqu'il n'y a clairement pas d'aggravation. La maman n'est pas prête pour mettre en place une attelle de fonction du MI gauche (attelle de jour). En revanche, elle accepte de mettre en place une attelle de posture nocturne au MI gauche, que j'ai prescrite et que Mme. Y pourra faire réaliser par orthokern.il faut bien évidemment poursuivre la physiothérapie. S'il existe la moindre aggravation, il sera nécessaire de réaliser l'IRM cérébrale. En revanche, si l'enfant continue à s'améliorer, on peut se laisser du temps pour réaliser cet examen. La maman de Mr. Y serait d'accord pour être convoquée en consultation de neuro-orthopédie et rencontrer le Dr. X qui consulte aux Buissonnets. L'enfant sera convoqué directement par le secrétariat des Buissonnets. Je reste d'ici là à votre disposition pour tout renseignement complémentaire ainsi qu'à celle de la famille et de Mme. Y, physiothérapeute. Mr. Y est un ancien prématuré de 25 3/7, poids de naissance de 700 gr, qui présente un décalage global des acquisitions, prédominant sur le versant langagier. La sphère réceptive est touchée et l'enfant présente également des difficultés de compréhension. J'ai prévu un nouveau contrôle ORL qui aura lieu auprès de la Dr. X. J'ai demandé à la maman de prendre contact avec les logopédistes afin de débuter dès que possible une prise en charge. Nous reverrons Mr. Y dans 6 mois afin de juger de l'évolution clinique. Il sera convoqué directement par le secrétariat de neuropédiatrie. Avec mes meilleures salutations. Mr. Y est un jeune patient de 15 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison des douleurs et saignement au niveau de la verge suite à une chute avec réception de sa planche de skateboard entre les 2 jambes le jour même. Une urétéro-cystographie effectuée le 15.05.2019 met en évidence une rupture incomplète de l'urètre. Une sonde urinaire (CH18) est mise en place et une antibiothérapie par Gentamycine et Ciproxine est débutée. L'évolution est par la suite favorable, avec un arrêt du saignement au niveau du méat et des urines qui restent claires. Mr. Y rentre à domicile le 17.05.2019 avec la sonde vésicale en place, qu'il gardera pendant 2 semaines. Une antibiothérapie par Ciproxine sera poursuivie jusqu'au 23.05.2019 et un rendez-vous de contrôle chez le Dr. X avec ablation de la sonde vésicale est à prévoir dans 2 semaines. Nombreuses interventions chirurgicales (sein gauche, chevilles des deux côtés, membre supérieur gauche). AIT en 1999. Douleur thoracique le 05.08.2015 dans un contexte d'anxiété. Non reprise du poids de naissance à J13 de vie, perte de 11%, polyglobulie. Non union humérus droit sur : • status post traitement conservateur d'une fracture oblique 1/3 moyen diaphyse humérus D le 22.08.2013 • Curetage du foyer de fracturaire, mise en compression de la fracture et OS par plaque de neutralisation 4.5 3.5 métaphysaire, humérus droit (OP le 29.11.2013) Non-amélioration de la clinique du 04.05.2019 au 06.05.2019. Nouveau sédiment urinaire le 06.05.2019 : superposable à celui du 04.05 (Leucocytes ++, Nitrite -, Sang -). Nouvel Urotube prélevé le 06.05.2019 : en cours, à pister. Test urinaire de grossesse aux urgences le 06.05.2019 : négatif. Consultation gynécologique (Dr. X) : examen gynécologique dans les limites de la norme, sous réserve du prélèvement vaginal. PV avec chlamydia/gonorrhée : en cours, à pister. Poursuite du traitement antibiotique par Nitrofurantoïne pour la durée prévue initialement (jusqu'au 09.05.2019 compris). Prélèvement vaginal (bactériologie) réalisé par les gynécologues => la patiente sera reconvoquée en gynécologie selon les résultats. Reconsultation si péjoration de la clinique ou apparition d'état fébrile. Non-guérison d'une fracture sous-capitale de l'humérus proximal gauche datant du 9.2.2019. Status post refixation coiffe des rotateurs épaule gauche (Dr. X, date inconnue). Noradrénaline le 23.05.2019. 1 CE le 24.05.2019. Cath. art. du 23.05 au 24.05.2019. Norfloxacine 400 mg 2x/j pendant 7 jours. Norlevo le 20.05.19. Consultation gynécologique à prévoir à 2 semaines. Norlevo le 20.05.2019. Bilan de dépistage MST à prévoir. Consultation gynécologique à prévoir à 2 semaines. Normalisation de la tension après traitement de la douleur. Normocarde, normotendue, afébrile. CTG : tocogramme : 5-6 CU/10 min, ressenties mais non douloureuses. Speculum : col fermé, pas d'écoulement, pertes physiologiques. Actim partus positif. US d'entrée : bonne vitalité fœtale, siège complet, manning 8/8, col à 17 mm. ECG en ordre. Examens complémentaires : Groupe sanguin O Rhesus négatif, RAI négatif. Streptocoque du groupe B au niveau vagino-anale le 29.04.2019 : négatif. Laboratoire le 03.05.2019 : Hémoglobine 112 g/l. Leucocytes 10.4/l, Trombocytes 220 G/l, CRP < 5 mg/l, Na 136 mEq/l, K 4,0 mEq/l, créatinine 53 mmol/l, crase alignée. Culture vaginale et urotube pas faits à l'entrée car négatifs le 29.04.19 lors de la précédente hospitalisation. Sérologies du 06.07.2018 : Toxo immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle immune le 12.11.2018. Normochrome, normozytäre Anémie. Normolytoral au besoin. Traitement anti-pyrétique. Normolytoral aux urgences. Contrôle dans 24 h aux urgences. Consignes usuelles déshydratation. Normolytoral. Dafalgan. Contrôle si péjoration. Normolytoral et Itinerol à domicile. Consignes de consulter en cas de signe d'alarme (sang dans les selles, persistance d'arthralgie, purpura, absence de mictions). Suivi stix urinaire pour protéinurie à l'occasion d'un contrôle à votre consultation. Normolytoral pour compensation des pertes. Explications concernant les besoins d'entretien (700 ml/24 h) et la compensation des pertes : nécessité d'estimer les apports (peser avant et après les tétées) et les pertes (peser les pampers) et de les écrire sur un carnet. Contrôle aux urgences dans 24 heures. Normolytoral pour compenser les pertes digestives. Contrôle si péjoration. Normolytoral pour réhydratation. Signes de gravité expliqués (ex douleurs cycliques, apathie/baisse de l'état général, diminution des mictions/absence de larmes). Normolytoral pour réhydratation. Ventolin à garder toutes les 4 heures et espacer sur les prochains jours selon tolérance. Contrôler le saturomètre de la maison lors du retour à domicile pour vérifier s'il fonctionne bien. Traitement symptomatique de la fièvre. Normolytoral sachets. Normolytoral sachets. Stimuler l'hydratation. Normozytäre, hypochrome Anémie 16.05.2019. Notion d'anévrysme de l'aorte sans précision. Notion d'anévrysme de l'aorte sans précision (Pôle sud en février 2019). Hernie hiatale. Tabagisme actif (25 UPA). Notion d'arête au niveau de la gorge. Notion d'asthme depuis ses 40 ans. • Fonctions pulmonaires du 08.05.2019 : syndrome obstructif de degré modéré à sévère (VEMS à 56% du prédit), réversibilité aiguë significative sous Ventolin, air trapping statique sans hyperinflation, DLCOcorr modérément diminuée à 53% du prédit. Notion de Candidémie invasive d'origine oesophagienne en 01.2019. Notion de cirrhose (revoir avec Dr. X). Adénocarcinome de la prostate Gleason 8 cT3 N0 M0 grade 4, PSA initial à 20,1 ng/ml. contrôle le 20.04.2018 : aucun signe de récidive, PSA < 0.04 ng/ml Cardiopathie hypertensive avec probable bicuspidie aortique fonctionnelle : • FA non anticoagulée • une hypokinésie du septum apical, de la paroi latéro-apicale et de la paroi antéro-apicale. • FEVG à 55 % (évaluation visuelle) • Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Hypertension artérielle Obésité Hernie hiatale (OGD du 16.06.2011) Dr. X • Reflux gastro-oesophagien 2011 Gastrite chronique (OGD le 02.09.13) Diverticule duodénal (OGD du 16.06.2011) Hémorroïdes de stade II dans le rectum (coloscopie le 02.09.2013) Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 probablement d'origine pré-rénale le 03.03.17 Notion de consommation OH à risque. Notion de corps étranger au niveau du pli du coude gauche, d'origine indéterminée. DD : piqûre de tique/morceau de bois. Notion de crise de goutte de la MTP I G en 2017 ou 2018 Notion de foramen ovale perméable Notion de luxation de la MCP du pouce à D, réduite en externe le 11.02.2019. Notion de malaises à répétition sans perte de connaissance. Notion de méléna à raison de 1 épisode le 31.05.2019. Notion de micro-anévrisme carotido-caverneux droit (?) Troubles dégénératifs pluri-étagés au niveau de la colonne cervicale, avec débord discal plus significatif en C6-C7 avec probable conflit radiculaire C7 à droite Pneumopathie X (inconnue) sous oxygène 1L/min puis sous 4L/min depuis le 21.07.2017 (suivi par Dr. X) Notion de nodule pulmonaire investigué en ambulatoire, DD suspicion de maladie oncologique avec : • perte de poids • Sudations nocturnes Notion de nucalgies traitées. Notion de sclérose en plaques avec symptômes hémicorps droit. Notion de surdosage d'insuline Novorapid 42 U (à la place d'insuline lente) le 30.05.2019 vers 21h45. Notion de syndrome des jambes sans repos. Hypoesthésie de l'hémicorps gauche de longue date d'étiologie indéterminée (suivi par Dr. X). Spondylarthrite ankylosante (suivi par Dr. X). Reflux gastro-oesophagien (status post fundoplicature de Nissen en 2011). Paralysie faciale idiopathique dans l'enfance. Notion de viol le 03.05.2019 : • par le partenaire stable. Notion d'ectasie de l'aorte. Notion d'embolie pulmonaire diagnostiquée en mai 2018. Notion démence Alzheimer Notion d'épistaxis de la narine droite samedi soir 18 et dimanche matin le 19.05.2019. Notion d'état fébrile au retour de voyage au Panama le 13.05.2019. Notion d'état grippal, DD : refroidissement. Notion d'hépatite B sans traitement actuellement. Notion d'hernie hiatale Notion d'hypertension artérielle non traitée Hypercholestérolémie (diagnostic 09/2018 LDL 4.5) Notion d'ingestion volontaire de 3 lames de rasoir le 18.04.2019 vers 17:15 heures avec • douleurs rétrosternales • Mr. Y borderline connu Notion d'ingestion volontaire de 3 lames de rasoir, 2 aimants, 1 cuillère à 15h après avoir entendu des voix. Notion d'ischémie critique du MS gauche. Notion d'œdème de Quincke aux graminées il y a environ dix ans (2000). Bronchite asthmatiforme dans un contexte de réactivation hypersensibilité aux graminées. Réaction allergique stade I d'une piqûre d'une guêpe, le 21.08.2017, Xyzal 5mg 1x/jour pendant 5 jours Notion d'ostéoporose avec traitement interrompu il y a 10 ans en arrière Notion d'un déficit homozygote en facteur du complément C4B (Dr. X, 24.04.2019, profil stable) F92.8 Autres troubles mixtes des conduites et troubles émotionnels Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool Nous adaptons le traitement antibiotique aux résultats de l'uriculte. En raison de l'allergie de Mr. Y à la pénicilline, nous prescrivons de la Vancomycine contre Pseudomonas aeruginosa. En raison de la bonne réponse de Mr. Y à l'administration du Céfépime lors des dernières consultations, nous poursuivons le traitement pour l'infection à Enterococcus fecalis après évaluation du risque des éventuelles réactions croisées. La posologie des 2 antibiotiques est adaptée à la fonction rénale de Mr. Y. Vu la nécessité d'une antibiothérapie iv, nous prescrivons des soins à domicile. Nous administrons à Mme. Y un traitement symptomatique et une hydratation par NaCl. Mme. Y relate une diminution des nausées et ne présente aucun épisode de vomissement ou de diarrhées aux urgences. En raison de l'évolution favorable et de l'examen clinique, nous retenons le diagnostic de gastroentérite. Nous estimons que Mme. Y peut donc rentrer à domicile, confortable, avec une prescription adaptée. Nous administrons du Tavegyl 2 g et une hydratation. L'évolution est stable. Nous effectuons un laboratoire qui montre une leucocytose à 11.6 G/l et une CRP à 8 mg/l. Nous retenons une probable toxidermie d'origine sur Co-Amoxicilline et nous mettons en place un traitement par Zyrtec Atarax. Une primo-infection EBV avec une réaction de type IV sur Pénicilline serait probable. Mr. Y rentre à domicile avec un traitement par Atarax 25 mg 1x/jour pendant 5 jours et Zyrtec 10 mg 1x/jour pendant 10 jours et a été informé des symptômes d'anaphylaxie qui doivent l'adresser aux urgences. Nous administrons du Tavegyl 2g et du Solumedrol 125 mg ainsi que 0.5 mg d'Adrénaline. Mme. Y est hydratée avec 1500 ml de NaCl. Mme. Y reste stable pendant l'observation aux urgences. Nous effectuons un enseignement sur l'utilisation de l'Epipen et sur les médicaments à prendre en cas d'anaphylaxie. Mme. Y sort accompagnée de son mari avec traitement de Prednisone 40 mg pendant 3 jours, Atarax 25 mg pendant 5 jours, Xyzal 5 mg pendant 10 jours. Elle reconsultera en cas d'apparition de nouveaux symptômes. Nous administrons une dose de Co-Amoxicilline iv 2.2 aux urgences puis relais per os par Co-Amoxicilline 1g 2x/jour pendant 5 jours. Nous mettons en place le Voltarène retard 75 mg 2x/jour pour réduire l'œdème avec une gastro-protection (que Mme. Y a déjà à la maison). Mme. Y prendra un rendez-vous chez Dr. X pour contrôle de plaie le 20.05.2019. Nous agendons une réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque et vis le 24.05.2019 (hospitalisation d'une nuit). Ortho-gilet durant la nuit, écharpe la journée avec une mobilisation libre en-dessous de l'horizontale, une abduction jusqu'à 90° et pas de charge pendant 6 semaines en postopératoires. Arrêt de travail à 100 % au moins 2 semaines puis à rediscuter. Elle est informée des risques et des bénéfices et signe le consentement éclairé. Nous allons encore organiser un CT-scanner afin d'être certain que la fracture est totalement consolidée. Si c'est le cas, nous organiserons alors une AMO précoce. Nous allons régler les problèmes de Mr. Y les uns après les autres. D'abord prise en charge du syndrome du tunnel carpien avec une cure de tunnel carpien gauche le 20.05.2019. Par la suite, nous traiterons l'épaule gauche avec l'insertion du sus-épineux qui est déjà pré-réservée pour le 01.07.2019. J'explique au patient le déroulement intra et postopératoire pour le tunnel carpien. Poursuite de l'arrêt de travail à 50%. • Nous anesthésions localement par Emla 30 minutes puis par Rapidocaïne/bicarbonate (9/1) et incisons à gauche du sillon. Passage coque kyste, avec une baisse de la tension et amélioration des douleurs mais pas de pus. Nous lavons ensuite abondamment au sérum physiologique. Nous mettons en place une mèche, avec un pansement. Le patient reviendra le 09.05 en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle à 10h00. • Nous arrivons au bout de ce que l'on peut offrir au patient sur le plan chirurgical, physiothérapeutique et ergothérapeutique. Dans ce contexte, en accord avec lui, et étant donné que la situation est actuellement stable, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'office. Le patient reprendra contact avec nous en cas besoin. • Nous augmentons l'antalgie actuelle et expliquons à la patiente qu'elle devrait prendre RDV chez son MT au plus vite afin de réaliser les examens nécessaires à visée étiologique. • Nous autorisons le patient à arrêter le port de la botte plâtrée et à le substituer par une attelle type aircast que nous lui remettons ce jour. Nous lui prescrivons un bon de physiothérapie à commencer dès que possible à but de tonification des stabilisateurs de la cheville et d'exercices de proprioception. Nous recommandons au patient d'attendre d'avoir terminé les séances de physiothérapie avant la reprise des sports d'arrêt. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée, mais restons à disposition en cas de besoin. • Nous autorisons le patient à reprendre son travail à 100% dès le 06.05.2019. Nous soulignons que l'activité sportive n'est pas interdite mais qu'il faut la reprendre progressivement. Pas de prochain contrôle prévu, mais nous restons à disposition. • Nous autorisons la patiente à arrêter les séances de physiothérapie mais à continuer les exercices elle-même à la maison. Nous l'autorisons également à reprendre son activité professionnelle à 100% dès le 27.05.2019. Nous demandons à notre collègue le Dr. X de bien vouloir convoquer le patient afin d'évaluer l'indication à un possible geste de libération de l'IPP du Dig III. • Nous avons bien désinfecté la petite lésion au niveau du flanc gauche, avons bien regardé et exclu la persistance d'une partie de la tique au niveau de la lésion. Nous avons rassuré le patient et lui avons donné la feuille "Piqûre Tiques - information pour les patients" de l'HFR. Nous avons aussi conseillé au patient de discuter avec son médecin traitant pour faire la vaccination pour la FSME. • Nous avons, comme mentionné lors de la dernière consultation, discuté avec le Dr. X et nous proposons à la patiente une exploration de la face antéro-médiale de la cheville avec résection des tissus inflammés sur ce conflit mécanique. La patiente serait hospitalisée de 3 à 5 jours pour cette intervention. La patiente souhaite encore réfléchir sur la prise en charge. Elle nous recontactera pour nous donner sa décision. Nous faisons déjà le consentement éclairé ce jour pour éviter que la patiente doive revenir en consultation. • Nous avons contacté le neurologue de garde pour un avis. Dans le contexte clinique, la sténose décrite sur le rapport radiologique faxé est asymptomatique et ne nécessite donc pas d'intervention. Les neurologues nous conseillent une prise en charge conservatrice et d'effectuer un bilan cardiologique avec échocardiographie trans-thoracique et Holter ainsi qu'un bilan lipidique. Sur le plan médicamenteux, nous administrons une dose de charge d'Aspirine Cardio (250mg). Un traitement d'aspirine 100mg et Plavix 75mg est conseillé d'être introduit pour une durée d'un mois, puis par du Plavix seul. Ils ont aussi proposé d'introduire une IPP ainsi que l'Atorvastatine 40mg avec des cibles LDL à < 1.8 mmol/l. Nous avons discuté avec le fils du patient concernant la suite de la prise en charge. Il nous a expliqué que lui et son père avaient discuté et ils ne souhaitent pas un changement thérapeutique avec l'introduction de beaucoup de médicaments et beaucoup d'investigations. Ils refusent donc l'introduction de la Statine, du Plavix et aussi de faire le bilan cardiologique. Nous avons quand même réalisé un ECG qui a montré un rythme sinusal sans fibrillation auriculaire. Nous avons proposé seulement l'introduction de l'Aspirine et ils ont accepté. Ils sont au courant du mauvais pronostic et nous avons bien expliqué les risques, mais Mr. Y souhaite rester tranquille et pouvoir profiter de sa vie au foyer sans devoir commencer toutes les investigations. Le patient rentre donc au Foyer Saint-Germain à Gruyère avec l'introduction de l'Aspirine 100mg 1 fois par jour uniquement. • Nous avons des éléments cliniques et radiologiques parlants pour une décompensation de la seule articulation du complexe L4 sacro-iliaque qui n'est pas fusionnée, c'est-à-dire du côté gauche. Nous commençons donc par une infiltration diagnostique à faire sous scanner chez cette patiente afin d'augmenter la précision du même geste. Nous la reverrons à la suite de ce geste et pourrons éventuellement envisager des infiltrations avec du Curavisc à but thérapeutique en cas de succès. Les douleurs en barre dorso-lombaires semblent plutôt évoquer un syndrome facettaire débutant sur le niveau sus-jacent proximal et pourraient mériter une investigation par scanner ou IRM en plus d'une infiltration diagnostique au niveau L3-L4. Ces douleurs restent quand même au 2ème plan et pour l'instant, ne méritent pas de prise en charge spécifique. Nous n'avons pas d'élément pour une nouvelle radiculopathie autre que les symptômes résiduels sur les racines déjà libérées auparavant. Nous rappelons à la patiente les signes d'alarme en cas de décompensation de segment sus-jacent se manifestant par une nouvelle sténose canalaire. • Nous avons exclu une infection urinaire. L'état général est trop bon pour penser à une méningite. La maman semble fatiguée de voir Mme. Y malade si souvent ces derniers temps sans vraiment qu'on ne trouve de diagnostic. Elle a les larmes aux yeux. Tentative de lui expliquer qu'il est fréquent chez les enfants de cet âge de faire des infections diverses et fréquentes dans un contexte de crèche qui plus est. L'important est d'exclure les maladies engageant le pronostic vital avant d'investiguer davantage selon l'évolution et la fréquence des infections. Tentative de réassurance. • Nous avons fait la recherche des IgG pour évaluer si la patiente avait déjà eu la varicelle. Les résultats seront envoyés au médecin traitant de la patiente. Nous avons demandé l'avis du pédiatre de garde qui nous a confirmé que la patiente pouvait allaiter. La patiente consultera son médecin traitant pour avoir les résultats de la prise de sang. • Nous avons fait une prise de sang qui n'a pas montré de syndrome inflammatoire. Une radiographie n'a pas montré de collection sous-cutanée. Nous avons bien nettoyé la porte d'entrée et nous avons conseillé à la patiente un contrôle chez le médecin traitant demain pour suivre l'évolution et évaluer la nécessité d'un antibiotique. • Nous avons fait une radiographie de l'épaule qui a montré la présence d'une calcification du muscle sous-épineux. Les tests de la coiffe des rotateurs ont mis en évidence des douleurs au test de Neer. Le patient rentre à domicile avec antalgie, Brufen, Dafalgan et de la glace. Arrêt de travail pendant une semaine et bon pour physiothérapie de l'épaule. Le patient doit prendre un rendez-vous pour un contrôle mercredi chez son médecin traitant pour évaluer l'évolution et la nécessité d'un ultrason. Le patient est en train de changer de médecin traitant, lundi 27.05.2019, il doit en choisir un nouveau.Nous avons fait une radiographie qui n'a pas mis en évidence de fracture. Nous avons rincé la dermoabrasion et mis un pancement en place. Nous avons fait la vaccination pour le tétanos. Contrôle chez le médecin traitant dans 48/72 heures pour surveiller l'évolution. Nous avons la suspicion d'une infection virale avec des symptômes pseudogrippaux que nous traitons premièrement par des traitements symptomatiques. Nous l'informons que si la situation se péjore, elle doit consulter son médecin traitant en fin de semaine ou la permanence. Nous avons pu enlever toutes les agrafes et avons désinfecté la cicatrice en faisant également un nouveau pansement stérile qui doit être gardé durant 2 jours. Une fois ces deux jours passés, le patient pourra enlever le pansement et se doucher normalement. Prochain contrôle radioclinique prévu dans 6 semaines. Dans l'intervalle, nous mettons le patient au bénéfice d'une thérapie antihistaminique en raison d'une réaction allergique inconnue sur les 3-4 derniers jours avec rougeur surtout au niveau des épaules et du visage. Nous prions le médecin traitant de suivre l'évolution de ce problème secondaire. Nous avons réalisé une radiographie de la jambe droite qui n'a pas montré de fracture ni de corps étranger. Nous avons nettoyé la plaie mais, au vu de l'exposition des muscles, nous avons contacté le Dr. X, orthopédiste, qui nous a dit que le patient nécessite une prise en charge chirurgicale. Nous avons fait le rappel pour le tétanos et lui avons donné de la Co-Amoxicilline 2.2 g IV aux urgences avant l'opération. Nous avons organisé la prise en charge chirurgicale de la plaie. Nous avons recontacté la patiente pour la reconvoquer à la FUA pour la réalisation d'un CT du poignet à cause de la suspicion d'une fracture au niveau du radius distal. La patiente a répondu en disant qu'elle devait aller à Marsens et qu'elle aurait rappelé tout à l'heure. Malheureusement, la patiente n'a pas rappelé et n'est pas venue aux urgences. Nous avons reconvoqué le patient pour un ultrason testiculaire qui montre la présence d'une épididymite au niveau du testicule gauche, sans torsion testiculaire. Nous avons demandé l'avis du Dr. X qui nous a conseillé de prescrire du Tarivid 200 mg à appliquer 2x/jour pendant 10 jours. Il a aussi conseillé d'organiser un contrôle chez le médecin traitant dans une semaine pour suivre l'évolution. Nous avons une suspicion d'irritation des petits nerfs sensitifs au niveau de la cicatrice du portal médial arthroscopique. Par contre, nous ne pouvons pas exclure une aggravation de la dégénération du cartilage sous le compartiment interne. Nous allons donc bilanter avec une IRM et nous reverrons la patiente avec les résultats de ces examens, et nous discuterons du procédé. Nous changeons le pansement. Poursuite du protocole avec Aquacel argent jusqu'à ce que la plaie soit sèche puis pansement par compresses uniquement à but de protection. Au vu de la bonne évolution de la plaie, le patient peut recommencer à travailler à 50% dès le 20.05.2019. Prochain contrôle à notre consultation le 23.05.2019. Nous changeons le protocole avec de l'Aquacel argent comme absorbant et des compresses. À changer tous les 2 jours par les soins à domicile. Prochain contrôle clinique dans 1 semaine. Si l'écoulement diminue, nous pourrons changer pour la Hyiodine et s'il y a une aggravation, nous discuterons d'une reprise chirurgicale. Nous commençons par la reprise progressive de la force et de la charge selon douleurs. Exercices en physiothérapie pour gagner l'extension. Prochain contrôle radioclinique (coude f/p à D) dans 6 semaines. Arrêt de travail jusqu'à fin mai à 100% puis reprise à 50% jusqu'au prochain contrôle. Éviter de lever des poids lourds. Nous concluons à des palpitations d'origine indéterminée et recommandons au patient de consulter un spécialiste si ces palpitations devaient persister. Nous concluons à une contusion avec plaie superficielle, sans aucun signe de gravité. Nous traitons la plaie par de la colle et des pansements steri-strips. Nous concluons à une fin de traitement en policlinique d'orthopédie. Nous restons toutefois à disposition si nécessaire. Nous concluons à une otite externe, nous lui donnons une ordonnance pour l'antibiotique topique. Nous concluons à une recrudescence de lombalgies chroniques déjà connues de longue date, sans nouveau symptôme ni signe de gravité. Nous n'indiquons pas d'infiltration à ce stade étant donné l'absence de prise d'autres antidouleurs chez le patient auparavant. Une antalgie adaptée est prescrite au patient qui ira voir son médecin traitant à son retour de congé afin de décider de l'indication ou non d'une nouvelle infiltration. Nous confirmons le diagnostic ainsi que l'indication chirurgicale à une prise en charge par luxation chirurgicale. En effet, on explique au patient que, si une partie de la problématique, à savoir la déformation en Cam, peut être traitée par une ostéochondroplastie arthroscopique, en revanche, le volumineux kyste postéro-inférieur n'est pas accessible par arthroscopie. De notre côté, on propose également au patient une luxation chirurgicale avec ostéotomie du grand trochanter, correction de l'Offset et débridement du kyste. Cette prise en charge peut se faire aussi bien chez nous qu'au Sonnehof. Le patient va réfléchir et nous recontactera s'il souhaite une prise en charge à l'HRF Fribourg. Nous restons à disposition. Nous confirmons le diagnostic établi lors de la consultation aux urgences, pour lequel on recommande la poursuite du traitement conservateur. Toutefois, le patient est informé qu'il peut charger complètement son membre inférieur gauche, ce qui devrait même permettre de le soulager du point de vue de la symptomatologie. On lui recommande de garder les cannes hors du domicile pour le franchissement des escaliers. Comme la charge complète est possible, il peut dès à présent arrêter la prophylaxie anti-thromboembolique par Clexane prescrite aux urgences. Il reçoit un certificat de dispense pour toutes les activités sportives d'une durée de 3 semaines. Nous le reverrons dans 3 semaines pour un contrôle clinique. Pour l'instant, on ne juge pas nécessaire d'entreprendre de nouveaux bilans radiologiques. Nous conseillons à la patiente de continuer le port des appuis rétro-capitaux. Nous suspectons que la tendinopathie corporéale du tendon d'Achille D ainsi que les métatarsalgies du 2ème rayon plus fortes à G qu'à D sont liées à une rétraction des muscles gastrocnémiens bilatéralement. Dans le but d'un stretching des gastrocnémiens, nous prescrivons des séances de physiothérapie. Afin d'établir un statut radiologique des 2 pieds, il sera réalisé des RX de f/p des 2 pieds en charge lors de la prochaine consultation de contrôle qui aura lieu dans 3 mois. Nous conseillons à la patiente de reprendre une activité sportive telle que de la gymnastique adaptée pour les personnes de son âge ou de la marche nordique. Nous lui prescrivons également des séances de physiothérapie pour l'école de la marche, la proprioception et l'équilibre ainsi qu'une instruction au Nordic Walking. La patiente ne ressentant actuellement pas de gêne du matériel d'OS, en particulier du cerclage, nous n'envisageons pas de retrait de celui-ci. Nous reverrons la patiente en consultation pour contrôle radioclinique dans 1 an.Nous conseillons la poursuite du traitement avec Doxycycline 100 mg 2x/jour déjà débuté à continuer pour 10 jours. Mr. Y prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique. Nous lui conseillons également de reconsulter son médecin traitant en cas de réapparition de l'érythème en regard de la cicatrice de fracture ouverte du tibia distal (in-out). Nous considérons le traitement actuel comme étant terminé et autorisons Mr. Y à reprendre toutes ses activités. Nous restons à disposition en cas de nouveau symptôme. Nous contactons la garde en ophtalmologie qui nous conseille d'adresser Mme. Y en ophtalmologie pour un contrôle. Nous contactons le médecin traitant pour des renseignements sur le type de troponines utilisés dans son laboratoire qui ne sait pas dire. Nous décidons donc de répéter les troponines dont la cinétique exclut une origine cardiaque. Au vu de la dyspnée, des D-Dimères sont réalisés et reviennent négatifs. L'ECG ne montre pas de signe d'ischémie aiguë. Nous retenons une origine pariétale avec une reproductibilité des douleurs à la palpation. Nous prescrivons une antalgie et Mr. Y rentre à domicile. Nous continuons le traitement conservateur selon le protocole. Nous stoppons ce jour la bottine plâtrée et mettons en place une chaussure Kuenzli avec une surélévation de 2 cm pour 3 semaines puis de 1 cm pendant 3 semaines. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Nous débridons les croûtes, désinfection des plaies. L'évolution est favorable. Poursuite du traitement local avec des pansements simples. Nous reverrons Mr. Y dans 3 semaines pour un contrôle clinique. Il va poursuivre la physiothérapie et l'antibiotique pour encore 1 semaine. Nous décidons de l'hospitaliser et de faire un bilan angiologique afin d'exclure un manque de perfusion à D étant donné que le pied est très froid et violacé. Nous envisagerons également un débridement de la plaie qui est déhiscente. Nous décidons de procéder à un traitement conservateur car le Lisfranc est bien aligné. Nous mettons donc en place une immobilisation dans une botte plâtrée pour 8 semaines. Ce jour, confection d'une botte plâtrée fermée. Prochain contrôle radioclinique (hors plâtre, en charge) à 8 semaines post-traumatiques. Par la suite, reprise de la mobilité en physiothérapie et semelle en carbone. Poursuite de la Clexane jusqu'à la charge complète. Nous lui conseillons de surélever la jambe. Nous demandons l'avis du Dr. X qui ne suspecte pas d'appendicite, mais une PID avec périhépatite à Chlamydia. Devant le tableau des douleurs dans l'hypogastre persistantes depuis 4 semaines, associées à des douleurs à la percussion hépatique et une cytolyse biologique, nous soupçonnons une maladie inflammatoire pelvienne associée à une périhépatite. Nous prenons la décision de transférer Mme. Y à l'HFR Fribourg pour un avis gynécologique, avec l'accord du médecin de garde. Nous demandons l'avis du Dr. X, chirurgien de garde, qui vient examiner Mme. Y. Il propose d'organiser un ultrason pour exclure une cholécystite et d'instaurer un traitement avec Ciproxine 500 mg 2x/jour pendant une semaine. Nous organisons l'ultrason pour le 27.05 à 9h00. S'il n'y a pas de signe d'une inflammation importante à l'ultrason, Mme. Y verra son médecin traitant la semaine prochaine pour un contrôle clinique et pour lui demander si les tests hépatiques étaient déjà altérés au dernier contrôle à cause du médicament pour la sclérose en plaques. Elle doit également prendre un rendez-vous avec le Dr. X pour discuter d'une opération à distance. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste, qui nous conseille de bien rincer la plaie avec de la Bétadine et du NaCl, de prescrire de la Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 4 jours et de mettre en place un pincement ainsi qu'une bande élastique pour éviter que Mr. Y bouge les doigts. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 31.05. Il prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle le 27.05. Nous lui donnons également une antalgie par Dafalgan et Irfen. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste. Nous organisons CT-scanner et contrôle chez le Dr. X le 31.05. Nous demandons le dosage de la triptase, qui est encore en cours, et qui permettra de trancher entre une anaphylaxie (triptase haute) et une poussée aiguë d'une urticaire/angioedème chronique (basse). Nous rajoutons au bilan le dosage qualitatif et quantitatif du C1 inhibiteur pour exclure une forme héréditaire d'angioedème, au vu de la familiarité. L'évolution est favorable avec surveillance aux urgences durant 4 heures au total et disparition presque complète de l'éruption cutanée. Une prescription d'antihistaminiques est faite, le Xyzal sera à prendre 2x/j. L'Epi-Pen est prescrite, les indications d'usage et les instructions pour l'administration sont données à Mme. Y et ses parents. Nous déconseillons de dormir dans la même pièce que des chats. Le suivi allergologique sera assuré par Dr. X à son cabinet la semaine prochaine - les parents appelleront pour avoir un rendez-vous. Dr. X : triptase revenue haute (pistée le 07.06) : résultats envoyés par mail à Dr. X. Nous demandons un avis au Dr. X, ORL de garde, et Mme. Y est adressée dans son cabinet pour examen par nasofibroscopie. Mme. Y est stable avec une bonne saturation. Nous l'adressons au cabinet du Dr. X, ORL. Nous demandons un avis psychiatrique qui indique une hospitalisation programmée pour le 08.05 à 9h30. Nous demandons un avis psychiatrique qui ne retient pas de critères de PAFA. Sur avis psychiatrique, Mme. Y rentre à domicile avec sa sœur et sa fille et prendra un rendez-vous avec un psychiatre dès le 27.05. A sa sortie, Mme. Y ne présente pas d'idée suicidaire et se projette dans l'avenir. Nous demandons une radiographie de la colonne lombaire face/profil qui ne met pas d'évidence de fracture. Nous retenons donc un diagnostic de contusion lombaire. Nous proposons un traitement antalgique à la sortie avec suivi chez le médecin traitant. Nous demandons une radiographie du thorax ainsi qu'une radiographie de l'épaule droite avec une incidence scapulaire ne montrant pas de lésion osseuse. Le bilan sanguin montre des CK à 406 U/L et une leucocytose à 15.5 g/L avec une kaliémie à 3.6 mmol/L sans altération de la fonction rénale ni des tests hépatiques. Au vu des résultats clinico-radiologiques, nous posons le diagnostic d'une contusion thoracique postéro-latérale droite en regard du rebord latéral du muscle grand dorsal sur son tiers proximal. Nous prescrivons à Mr. Y une antalgie simple à domicile et l'invitons à prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique à une semaine. Nous désinfectons à la Bétadine et rinçons au NaCl, pas de suture nécessaire. Nous mettons en place un pansement compressif avec tulle bétadinée. Mme. Y peut regagner son domicile et sera vue par son médecin traitant régulièrement pour réfection d'un pansement occlusif. Nous désinfectons avec de la Bétadine solution, suturons par 2 points de Prolène 5-0 et appliquons un pansement stérile. Le tétanos est à jour. Mr. Y peut rentrer à domicile avec une antalgie en réserve. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils dans 14 jours. Nous désinfectons la plaie avec Bétadine solution, suturons par 2 points avec du Prolène 5-0 et appliquons un pansement stérile. Nous faisons un rappel du tétanos aux urgences. Mr. Y peut rentrer à domicile avec une antalgie en réserve. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils dans 14 jours.Nous désinfectons la plaie et anesthésions localement par Gel Let. Nous suturons ensuite par 1 point au fil 4-0 non résorbable. Un rendez-vous chez le pédiatre est à prévoir dans 6 jours pour le retrait du point. Nous donnons aux parents les consignes pour la surveillance post-traumatisme crânien et leur conseillons une consultation aux urgences pédiatriques en cas d'apparition de signe neurologique. Nous désinfectons la plaie par Hibidil et nettoyons avec du NaCl. Nous appliquons des stéristrips. Nous donnons comme conseil d'appliquer de la glace et de prendre une antalgie par Dafalgan en cas de douleurs. Un rendez-vous de contrôle dans 48h sera à organiser avec le pédiatre traitant en France. Nous diagnostiquons une contusion de la colonne cervicale pour laquelle nous mettons en place un traitement conservateur par minerve mousse, que le patient porte selon les douleurs. Médication anti-inflammatoire et anti-douleur per os et topique. Incapacité de sport pendant une semaine. Nous discutons à nouveau avec Mme. Y concernant le traitement des douleurs. Au vu de la pathologie, des éventuelles infiltrations au niveau de la lyse isthmique et/ou au niveau des articulations sacro-iliaques pourraient être envisagées, mais la patiente ne souhaite pas ce traitement pour l'instant. Nous prions le Dr. X de poursuivre le traitement et d'éventuellement indiquer d'autres thérapies physiques complémentaires si nécessaire. Nous reverrons la patiente au mois de décembre 2019 pour un contrôle clinique. Nous discutons aujourd'hui avec Mr. Y et son épouse et j'explique au patient qu'un changement prothétique pourrait seulement se faire à l'HFR Fribourg vu les co-morbidités du patient. De toute façon, à son âge, avec les co-morbidités, un geste chirurgical pose un haut risque péri et post-opératoire pour le patient. Comme ce serait de toute façon le Dr. X qui ferait le changement prothétique, si vraiment le patient désire une évaluation pour un éventuel changement prothétique, il devrait s'adresser de nouveau auprès du Dr. X pour une réévaluation de la situation. Mr. Y préfère réfléchir. S'il se décide pour une consultation auprès du Dr. X, je prie son médecin de famille, la Dr. X, de bien vouloir lui organiser un rendez-vous à l'HFR Fribourg. Un contrôle chez moi n'est pas prévu. Nous discutons avec la patiente concernant la nécessité, comme déjà souligné lors de la dernière consultation, de débuter un traitement conservateur par physiothérapie pour renforcer la musculature para-spinale et lui permettre de retrouver une hygiène posturale adéquate ainsi qu'une statique de la colonne. La patiente est surtout gênée à la fin d'une journée de travail et lorsqu'elle est en position assise ou après port de charge. Nous ferons le point de la situation d'ici 3 mois pour discuter d'une éventuelle infiltration spécifique au niveau facettaire ou sacro-iliaque (dernière infiltration sacro-iliaque n'ayant pas soulagé la patiente d'une façon significative et actuellement, elle ne présente pas de clairs signes de décompensation). Mme. Y est informée de nous recontacter en cas de crise douloureuse. Nous discutons avec la patiente concernant le cadre clinique et lui conseillons de bénéficier de séances de chiropractie pour l'articulation sacro-iliaque gauche. Comme la patiente est bien sportive, nous ne voyons pas la nécessité d'un traitement physiothérapeutique. Au vu de l'intensité des douleurs très faible, nous ne pensons pas qu'une infiltration sacro-iliaque soit nécessaire pour l'instant. La patiente sera revue dans une année pour un nouveau contrôle radioclinique mais en cas d'aggravation des douleurs, nous restons à disposition. Nous discutons avec la patiente de la possibilité d'enlever la plaque en lui expliquant qu'il se peut que cela ne corrige pas le problème. La patiente ne souhaite actuellement pas prendre le risque d'une opération sans garantie d'un bénéfice certain et préfère attendre. Poursuite des séances de physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 6 mois. Nous discutons avec la patiente des avantages et des inconvénients d'une prise en charge conservatrice ou opératoire. Après réflexion, la patiente souhaite la prise en charge conservatrice. Prochain contrôle radioclinique dans 1 semaine. En cas de bonne évolution, un contrôle radioclinique à 6 semaines sera réalisé. Nous discutons avec le patient ainsi qu'avec son épouse des différentes options thérapeutiques. Le patient présente une allodynie touchant le nerf digital radial, nous pourrions ainsi tenter des infiltrations pour tenter de diminuer les douleurs. Ceci n'améliorerait en aucun cas sa mobilité qui, elle, limite sa capacité de travail. Nous demandons au Dr. X de bien vouloir recevoir le patient dans son centre médical de la douleur à Bulle. Nous reverrons par la suite le patient pour noter l'évolution de ses douleurs. Nous discutons avec le patient de faire un bilan radiologique et une infiltration sous contrôle scopique au niveau de la MTP II. Nous le reverrons pour ce geste. Concernant la cheville à G, nous le reverrons en octobre pour discuter de l'ablation du matériel et une cheilectomie en même temps. Nous discutons avec le patient des différentes modalités. Dans un premier temps, nous décidons de continuer la physiothérapie avec recherche des amplitudes articulaires, étirement musculaire de la loge antérieure et latérale. Si les douleurs devaient persister, nous procéderions pour commencer avec une infiltration locale, geste qui peut être répété plusieurs mois. L'indication à une révision chirurgicale serait la dernière solution. Nous le reverrons d'ici la fin de l'été 2019. Nous discutons avec le patient des différentes options thérapeutiques entre la prise en charge arthroscopique ou par luxation chirurgicale de la hanche. Les avantages et les inconvénients de chaque méthode sont expliqués au patient. En raison de la possibilité, en cas de découverte intra-opératoire, d'un conflit extra-articulaire de correction par la méthode de luxation chirurgicale de la hanche, le patient choisit cette méthode. Nous proposons donc une luxation chirurgicale de la hanche D avec correction de l'Offset et une éventuelle fixation du labrum ainsi qu'une éventuelle correction du massif trochantérien. Le patient signe le consentement éclairé. L'opération est planifiée au 07.08.2019 et sera hospitalisé pour une durée de 4 à 5 jours. Nous discutons avec le patient qu'une amélioration passera par l'acceptation de l'accident qui lui est arrivé, nous laissons le soin au service d'antalgie de poursuivre leur prise en charge, ainsi qu'au psychiatre et psychologue en charge du patient. Nous restons bien entendu à disposition pour d'éventuelles questions. Nous discutons avec Mme. Y que la solution serait une ostéotomie corrective du 5ème rayon en varus, intervention que la patiente ne souhaite pas effectuer durant l'été. Nous la reverrons en septembre pour faire le point. Nous discutons avec Mme. Y des différentes indications thérapeutiques. Une décompression canalaire serait raisonnable afin d'améliorer la marche et pour soulager la claudication. La patiente est informée de la possibilité d'une éventuelle aggravation concernant les problèmes neurologiques. Elle ne souhaite pour l'instant pas d'intervention chirurgicale. La douleur lombaire qui gêne principalement la patiente pourrait être soulagée par des infiltrations facettaires ciblées et par physiothérapie sur une longue durée. Nous organisons un Bone CT afin de voir si un niveau plus qu'un autre serait plus surchargé au niveau articulaire. En cas de réponse positive, une infiltration ciblée pourra être organisée. En revanche, sans mise en évidence particulière sur l'imagerie, nous pourrons envisager des infiltrations sur les niveaux L1-L2, L2-L3, L3-L4 et L4-L5. Prescription de physiothérapie. Nous soulignons l'importance d'effectuer du nordic walking pour réadapter la musculature dorso-lombaire. Nous reverrons la patiente après cet examen.Nous discutons de la situation avec la patiente et lui montrons les images. Puisqu'il n'y a pas d'invasion médullaire ni de signe neurologique, une intervention de décompression et fixation n'est pas indiquée. Une éventuelle intervention de fixation du dense par abord antérieur avec une vis et cimentation pourrait être une option, que nous gardons en 2ème ligne au vu de l'absence des douleurs invalidantes et au vu du fait que la corticale postérieure du dense est intègre. Une radiothérapie sera débutée à la mi-mai 2019, comme nous informe la patiente. Nous reverrons la patiente dans 4 semaines avec un nouveau scanner de contrôle pour suivre l'évolution de la lésion. S'il devait y avoir un déplacement, une intervention de fixation comme décrite ci-dessus devra être organisée, la patiente en est déjà informée. Nous discutons de la situation avec Mme. Y et nous nous mettons d'accord que pour l'instant nous n'allons pas faire d'autre tentative thérapeutique. Je propose à Mme. Y d'essayer un traitement anti-inflammatoire sous forme de Celebrex 100 mg 2 cp/j fixe pour deux semaines sous protection gastrique par Nexium 20 mg 1 cp/j. Si pendant ces deux semaines elle ne note pas d'amélioration clinique, elle peut de nouveau stopper le Celebrex car il est inefficace. Je pense quand même que ça vaut la peine de tester si avec un anti-inflammatoire elle peut améliorer les symptômes. En accord avec la patiente, nous ne prévoyons pas de contrôle d'emblée. Elle me recontactera en cas de péjoration de la situation. Nous discutons encore une fois longuement avec notre patiente de son problème statique suite à une chirurgie de scoliose avec toujours est-il un manque d'environ 8° de lordose lombaire entre L4 et S1 avec décompensation de ces segments se manifestant par une discopathie et troubles facettaires ainsi qu'une décompensation des sacro-iliaques ayant bien répondu aux infiltrations thérapeutiques. La question dorénavant se pose entre le degré de confort de notre patiente et la possibilité de travailler encore sur la statique par le biais d'exercices ciblés, de l'ostéopathie, de la natation et du nordic walking ou alors en cas de décompensation complète qui se manifesterait par des douleurs réfractaires à toute sorte de traitement et en augmentation handicapant notre patiente. Le tableau semble pour l'instant plutôt en nette voie d'amélioration raison pour laquelle nous convenons avec la patiente d'une abstinence chirurgicale pour l'instant, travaillant sur toutes les autres dimensions. À la demande de la patiente, nous lui expliquons la différence entre une chirurgie de correction mécanique ou de décompression des structures nerveuses du dos et une thérapie de neuro-modulation par le biais d'un neurostimulateur ou d'une pompe à morphine, celle-ci étant réservée pour les cas de Failed Back Surgery Syndrom ou des cas où une thérapie causale semble déraisonnable ou trop agressive, ce qui ne serait pas son cas étant donné que la chirurgie d'éventuelle correction serait donc ciblée sur les niveaux L4 à iliaque. Nous garderons en cas de récidive de ces douleurs majeures en première ligne une chirurgie plutôt de correction du problème mécanique avant de penser à une chirurgie de pose de stimulateur ou de pompe à morphine, laquelle a aussi des enjeux importants en ce qui concerne des éventuels sur ou sous-dosage, infection ou problème électronique de l'éventuelle pompe avec besoin de remplacement ou éventuelle incompatibilité (IRM). Nous reverrons la patiente dans 6 mois pour un nouveau contrôle clinique et restons à disposition entre temps si besoin. Nous l'adressons à Courtepin en physiothérapie et ostéopathie pour une thérapie ciblée. Nous discutons longuement avec la patiente des attentes réalistes que pourrait offrir une chirurgie. Étant donné que ses douleurs ne sont pas directement liées à la position de son doigt, nous ne pouvons pas escompter une grande amélioration avec une arthrodèse. La patiente comprend nos explications et décide de ne pas réintervenir une nouvelle fois sur ce doigt. Elle est toutefois satisfaite que nous ayons mené les investigations à bout afin de s'assurer qu'il n'y avait vraiment plus aucune marge de manœuvre. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Nous discutons longuement avec le patient. La situation ne peut pas être améliorée par un traitement conservateur ni par des infiltrations. Nous préconiserions une intervention de discectomie C2-C3, C5-C6 et C6-C7 afin de créer une fusion complète de la colonne cervicale pour limiter les mouvements qui sont actuellement la source des douleurs en raison de la stimulation facettaire, et avec une fixation par plaque antérieure C2-C7. Nous conseillons au patient de porter une minerve mousse toute la journée afin de juger de l'évolution des douleurs selon la mobilisation. Nous souhaiterions également adresser le patient au Neurocentre pour un bilan afin de dépister d'éventuels signes de dénervation qui pourraient justifier les douleurs du MSD. Nous reverrons le patient après cet examen et le port de la minerve, une éventuelle intervention chirurgicale pourra être planifiée. Nous discutons par téléphone avec le Dr. X qui nous conseille de l'adresser à la brigade des mœurs et maltraitance. Nous donnons les numéros de téléphones à la mère afin qu'elle puisse prendre contact. Le suivi pédopsychiatrique, demandé par la maman, sera organisé par les spécialistes de la brigade. La maman est également au courant qu'elle peut s'adresser à Solidarité femmes ou à la Lavi en cas de besoin. Yannis a présenté deux épisodes de perte d'urine durant son séjour aux urgences. Nous n'avons pas prélevé d'urines pour le moment. En l'absence de signes d'infection, nous proposons à la maman de contrôler l'évolution de ces symptômes chez son médecin traitant la semaine prochaine. Nous discutons une nouvelle fois avec la patiente des diverses options thérapeutiques. La patiente souhaite cependant encore réfléchir. Elle déclare que si une intervention devait être réalisée, elle souhaiterait que celle-ci soit faite dans le courant du mois d'octobre. Elle est également autorisée à augmenter progressivement son niveau d'activité afin d'évaluer la stabilité au niveau du genou. Un prochain contrôle est prévu fin août. Elle reprendra contact avant si besoin. Elle continuera dans l'intervalle la physiothérapie axée sur le renforcement musculaire. Nous donnons à la patiente un Freka Clyss qui lui permet de bien se vider. Nous prescrivons à la patiente des suppositoires de glycérine en réserve. Nous conseillons à la patiente de consulter son médecin traitant si le problème persistait et augmentait en fréquence pour discuter de l'introduction d'un traitement pour la constipation. Nous donnons au patient 1 g de Temesta expidet, ce qui permet de diminuer l'anxiété. Au vu de l'absence de plainte somatique et du bon état général du patient, nous le laissons rentrer à domicile. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour discuter de la suite de la prise en charge.Nous donnons de la vitamine A et mettons un pansement. En cas de péjoration clinique, le patient devra prendre rendez-vous chez l'ophtalmologue. Nous drainons l'abcès et mettons en place une mèche bétadinée. Nous conseillons de continuer l'antibiotique vu la fièvre. La patiente sera vue le 21.05 à la filière des urgences ambulatoires avec un avis du Dr. X. Elle prendra rendez-vous chez le Dr. X pour un contrôle à sa consultation le 22.05. Nous écartons le syndrome coronarien aigu ainsi qu'une embolie pulmonaire avec un laboratoire avec Troponine et des Dimères (négatifs). La radiographie du thorax est sans particularité. Nous n'objectivons pas non plus de syndrome inflammatoire. Les douleurs répondent bien au traitement antalgique. Face à un tableau clinique rassurant, nous laissons la patiente regagner son domicile avec un traitement antalgique et une protection gastrique (IPP). La patiente reconsultera son médecin traitant en cas d'évolution défavorable. Nous écartons une myélopathie comme étant l'origine des symptômes de la patiente et mettons plutôt en évidence une polyneuropathie d'origine probablement métabolique. Le Dr. X a bien précisé au médecin traitant l'importance de pratiquer un bilan sanguin à la recherche des causes habituelles telles que diabète, dysfonction thyroïdienne, hépatique, rénale, carence en vitamine B12, folates ou gammapathie. D'autre part, il conseille également un essai avec de la Prégabaline 100 mg le soir à introduire progressivement par palier de 25 mg. Nous vous laissons donc le soin de suivre les indications de nos collègues neurologues et restons à disposition en cas de nouveau symptôme. Nous effectuons un bilan inflammatoire, urinaire et radiologique au vu de la persistance des plaintes. Le bilan biologique est rassurant sans syndrome inflammatoire. Sur le plan rénal et urinaire, la fonction rénale est en ordre mais une hématurie microscopique isolée non glomérulaire est mise en évidence et nous gardons un diagnostic différentiel large avec des lombalgies sur possible constipation, pariétale ou d'origine rénale. Nous proposons un traitement par Moviciol et un contrôle de l'hématurie tout comme de la tension artérielle. En cas de persistance des plaintes, un bilan rénal plus approfondi sera à prévoir, tout comme un contrôle en néphrologie en cas de surdité confirmée et persistance de l'hématurie (Syndrome d'Alport). Nous effectuons un constat de coup sur demande de la patiente. Nous effectuons une désinfection de la plaie et une suture avec 2 points à l'Ethilon 3-0 qui seront à enlever à 5 jours chez le pédiatre. Au vu de la situation, nous demandons un avis au pédiatre de garde qui propose un transfert en pédiatrie à l'HFR Fribourg pour mise à l'abri et surveillance neurologique. La responsable de la maltraitance des enfants, Dr. X, a été mise au courant par les pédiatres. La patiente refuse catégoriquement d'aller à l'HFR Fribourg et un PAFA médical n'est pas retenu. Un séjour chez sa mère est proposé pour ce weekend, ce qui est accepté par la mère, qui prendra contact le 20.05 avec la justice de paix et avant avec la police en cas de mise en danger pendant le weekend. Le Dr. X, chirurgien, a été mis au courant de la situation. La mère reçoit une copie du constat de coups. La patiente rentre à domicile accompagnée par sa mère avec une antalgie en réserve et une feuille de surveillance neurologique. Nous effectuons un ECG qui montre un rythme sinusal régulier à 78 bpm. Nous effectuons un laboratoire qui est sans particularité. La radiographie du thorax ne montre pas de pneumothorax. Nous demandons un avis à l'ophtalmologue de garde, Dr. X, qui reste injoignable après 3 appels. Le Dr. X, chirurgien, discute avec la mère du patient et au vu de l'impossibilité d'avoir un avis ophtalmologique ce soir et devant des symptômes en amélioration après 5 jours du traumatisme, nous prendrons contact le lendemain matin avec l'ophtalmologue pour discuter si les symptômes peuvent être liés au syndrome post-commotionnel ou si une consultation en ophtalmologie est retenue nécessaire. Après discussion avec la maman, nous convenons d'effectuer un certificat d'arrêt d'école dès le 1er mai. Le patient rentre à son domicile avec une antalgie en réserve. Le 07.05.2019, après le colloque du matin, nous essayons à nouveau d'atteindre l'ophtalmologue à 4 reprises, malheureusement sans succès. La mère du patient a rappelé, elle ira voir directement l'ophtalmologue. Nous effectuons un ECG qui montre une tachycardie sinusale à 110 bpm sans signe d'ischémie. Le patient reçoit 1 mg de Temesta, ce qui soulage les douleurs. Nous effectuons un laboratoire qui montre une leucocytose à 10.2 G/l sans syndrome inflammatoire. La radiographie du thorax est sans particularité. Nous effectuons des manœuvres de tension du muscle grand pectoral qui déclenchent les douleurs. Au vu des douleurs reproductibles à la palpation et externes à la cage thoracique, nous ne dépistons pas l'origine cardiaque ni pulmonaire. Nous retenons une contracture du grand pectoral et le patient rentre à domicile avec une antalgie par Brufen et 1 comprimé de Sirdalud 4 mg à prendre pendant 2 jours. Il a été informé qu'il ne peut pas conduire les 8 heures après la prise du médicament. Nous effectuons un laboratoire ainsi qu'un stix et sédiment urinaire qui reviennent dans la norme. Ainsi, au vu de la clinique, nous posons les diagnostics susmentionnés. La patiente peut rentrer à domicile le jour même avec antalgie simple, un Bulboïd et prescription de physiothérapie. Quant à sa coprostase, une intervention brève est effectuée aux urgences. La suite de prise en charge est à organiser chez son médecin traitant. Nous effectuons un laboratoire qui est dans la norme. Après avis du psychiatre de garde, le patient est transféré en volontaire à l'unité Jasmin au RFSM de Marsens, départ en ambulance. Nous effectuons un laboratoire qui est dans la norme. Nous effectuons une radiographie du genou et de l'épaule qui ne montrent pas de fracture. La radiographie du thorax ne montre pas de pneumothorax. Nous demandons un avis au Dr. X, chirurgien, et au vu du statut rassurant et de la récupération progressive de l'amnésie circonstancielle, la patiente rentre à domicile avec une feuille de surveillance. Un rappel anti-tétanos est fait au vu de la dermabrasion au niveau du genou droit. Nous effectuons un laboratoire qui est sans particularité. L'ECG montre un rythme sinusal à 68 bpm sans signe d'ischémie active. Au vu de l'hypertension, le patient reçoit 20 mg de Nifédipine, 1 push d'Isoket, Amlodipine 5 mg. La tension baisse et le patient ne présente plus de symptôme. Pas de vertige. À noter que pendant l'observation aux urgences, le patient n'a jamais présenté de douleur thoracique. Nous retenons une crise hypertensive et le patient rentre à domicile avec Amlodipine 5 mg 1x/jour avec contrôle de la tension artérielle 1x/jour et suite chez le médecin traitant. La fille du patient s'engage à prendre contact rapidement avec un médecin traitant. Nous effectuons un laboratoire qui montre une CRP à 11 mg/l sans leucocytose. La patiente reçoit au triage 400 mg de Brufen et 1 Dafalgan qui n'ont pas d'effet. Au vu des nausées, nous administrons 10 de Primpéran. Au vu de la persistance des douleurs, la patiente reçoit 2 mg de morphine et Zomig 5 mg nasal. Ensuite, les douleurs régressent totalement et rapidement avec disparition de l'hypoesthésie. Nous retenons une migraine avec aura et la patiente rentre avec du Zomig en réserve à prendre en cas de symptômes migraineux. Suite chez le médecin traitant. Nous effectuons un laboratoire qui montre une légère insuffisance rénale avec une créatinine à 99 umol/l, une anémie microcytaire avec hémoglobine à 119 g/l et le glucose revient à 3.9 mmol/l. La patiente est resucrée per os et la glycémie revient à 7 mmol/l après.Pour les douleurs, nous administrons 1000 mg de Paracétamol IV avec amélioration. Au vu des céphalées post-traumatiques, nous effectuons un CT-scanner natif qui ne montre pas d'hémorragie. La radiographie du coccyx ne montre pas de fracture. Après avoir exclu l'origine hémorragique des céphalées, nous administrons de la Nifédipine 20 mg et 2 push d'isoket qui permettent d'obtenir des valeurs de tension dans la norme, dont la dernière à 145/59 mmHg. L'état clinique s'améliore et la patiente n'a plus de plainte. Elle marche avec son rolateur sans vertige. Nous retenons une crise hypertensive et la patiente rentre à domicile avec poursuite du traitement habituel et des contrôles rapprochés de la tension. Nous effectuons un laboratoire qui montre une leucocytose à 11.4 G/l, pas de syndrome inflammatoire. Nous mettons en place une hydratation avec 1000 ml et 40 mg de Nexium qui soulagent bien les douleurs. Aux urgences, elle ne présente plus de diarrhée. Nous effectuons un test de Shellong qui revient négatif. Nous retenons un malaise orthostatique DD : vaso-vagal. Au vu de la nette amélioration clinique, la patiente quitte les urgences avec un traitement de Nexium 40 mg per os pendant 7 jours, suivi par contrôle chez le médecin traitant pour discuter d'examens complémentaires. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas d'altérations. Le patient est vu par le psychiatre de garde et avoue ne pas prendre correctement les médicaments et avoir des idées noires. Une hospitalisation à Marsens est jugée nécessaire en volontaire, mais le patient refuse. Après discussion entre le psychiatre de garde et le médecin cadre de Marsens, un PAFA n'est pas indiqué au vu de la situation connue et des démarches qui ont été faites en ambulatoire lors de la dernière rencontre du 25.04 entre le psychiatre traitant, le patient et la justice de paix. Le patient quitte les urgences accompagné par sa mère avec la consigne de poursuivre son traitement et d'appeler le numéro des urgences psychiatriques en cas de demande d'aide. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de leucocytes et CRP à 6 mg/l. Le sédiment urinaire montre des leucocytes 6-10 par champ sans nitrite. Nous retenons un globe vésical sur sonde coudée et nous recommandons de prendre un rendez-vous chez l'urologue qui était déjà proposé lors de la consultation du 22.05.2019. Au vu de la mauvaise gestion de la sonde à l'Hôpital de Marsens, nous proposons la pose d'un Cystofix. En plus, une mycose est retenue et un traitement par Gynopévaryl est proposé 3x/jour. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de leucocytose et une CRP à 11 mg/l. L'ECG est sans particularité. La patiente reçoit une hydratation de 500 ml au vu des diarrhées et du Nexium 40 mg avec bénéfice. Nous retenons une gastrite aiguë et mettons en place un traitement d'épreuve avec Pantozol 40 mg 1x/jour pendant 2 semaines et suite chez le médecin traitant. Une possible gastro-entérite débutante est retenue aussi. La patiente rentre à domicile avec un arrêt de travail jusqu'au 29.05. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Hb 115 g/l. Le sédiment urinaire montre des leucocytes à 6-10/champ. Au vu des douleurs de type brûlures au niveau du bas ventre, nous retenons une infection urinaire basse et nous mettons en place un traitement avec Furadantin retard 100 mg 2x/jour pendant 5 jours. Nous recommandons à la patiente de faire un contrôle chez le gynécologue dès que possible. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de leucocytose. Au vu de la clinique, nous retenons une infection des voies respiratoires hautes d'origine probablement virale et nous mettons en place un traitement par AINS et un sirop pour la toux, vu que l'origine est plutôt irritative. Le patient ne souhaite pas de gastro-protection, en plus, il a du Pantozol à la maison en cas de besoin. Le patient rentre et fera un contrôle chez le médecin traitant dans 5 jours. Il a été informé des symptômes pour lesquels il devrait reconsulter. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de leucocytose. Le sédiment urinaire montre une microhématurie avec 11-20 érythrocytes par champs. Au vu de la microhématurie, nous effectuons un Uro-CT-scan qui ne met pas en évidence de calcul ni de dilatation pyélocalicielle. Le CT-scan met en évidence une panniculite avec adénopathies mésentériques et une infiltration de la graisse de l'hémi-abdomen gauche. En plus, cholécystolithiase sans signe de cholécystite. Après avis du Dr X, chirurgien, nous mettons en place une antalgie avec Brufen et Dafalgan et la patiente fera un contrôle chez le médecin traitant à 7 jours. Nous ne débutons pas d'antibiothérapie en absence d'inflammation systémique et étant donné que la patiente est en bon état général. La patiente consultera en cas de péjoration de la symptomatologie. Autrement, en cas de bonne évolution, nous proposons au médecin traitant d'organiser un CT-scan abdominal de contrôle dans 2-3 semaines. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. La radiographie du thorax et de l'abdomen ne montre pas de signes de perforation. La radiographie met en évidence la cuillère avec 2 aimants et 1 lame de rasoir. Après avoir demandé l'avis du Dr X, la patiente rentre avec une antalgie et devra reconsulter en cas de douleurs. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire, leucocyte à 12.3 G/l. Nous faisons un lavement qui apporte un effet favorable. Vu l'examen clinique et biologique rassurants et un effet favorable suite au lavement, le patient rentre à domicile avec le traitement par Movicol pendant 2 à 3 jours jusqu'aux selles molles, puis en réserve si besoin. Nous effectuons un lavage abondant au sérum bétadiné puis au sérum physiologique. Nous fermons la plaie en sous-cutanée par 1 point au Vicryl 4.0 et fermeture cutanée par 5 points à l'Ethilon 4.0. Pansement par Adaptic, compresses, Coban. Contrôle clinique et réfection du pansement à 48 heures puis suivi par le médecin traitant. Ablation des fils dans 7 à 10 jours suivant la cicatrisation par le médecin traitant également. Nous effectuons un score de Wells revenant modéré pour lequel nous effectuons des D-Dimères qui s'élèvent à 1871 ng/mL. L'angiologue de garde effectue un ultrason, qui ne montre pas d'argument pour une thrombose veineuse profonde et indique de bander le membre inférieur. Nous réalisons un angio-scanner ne montrant pas d'embolie pulmonaire. Nous retenons une probable origine lymphatique et laissons le patient rentrer à domicile. Nous effectuons un streptotest qui revient négatif. Devant l'examen clinique, nous retenons un diagnostic d'angine virale. La patiente peut regagner son domicile le jour même avec un traitement symptomatique. En cas de persistance de symptômes, elle reconsultera les urgences car elle n'a pas de médecin traitant. Nous effectuons un ultrason qui ne montre pas d'appendicite, testicules sp. Le patient va bien cliniquement, les douleurs ont régressé spontanément. Après avis chirurgical du Dr X, le patient rentre à domicile et reconsultera les urgences ou son médecin traitant en cas de réapparition des douleurs. Nous effectuons un bilan radiologique qui ne parle néanmoins pas en faveur d'une possible fracture de l'arc postérieur de la 6ème côte à droite, mais pas de pneumothorax visible. Nous proposons un traitement asymptomatique par antalgie/AINS et physiothérapie. Le patient prendra un rendez-vous dans une semaine chez son médecin traitant pour un contrôle clinique.Nous effectuons une gazométrie qui montre une saturation à 92%. Le laboratoire est dans la norme, y compris les tests hépato-pancréatiques. L'ECG est sans particularité. Nous effectuons une radiographie du thorax qui ne montre pas de foyer, ni d'épanchement, ni de pneumothorax. La radiographie abdominale ne montre pas de dilatation. Nous retenons une origine costale aux douleurs au vu d'un bilan hépatique rassurant, probablement sur fracture costale due à la chute du 27.5.2019. Nous mettons en place un traitement par Targin au vu de la constipation et du Primpéran 10 mg 2x/jour pendant 10 jours pour éviter les effets secondaires. Au vu de la constipation, nous prescrivons aussi du Metamucil 1 cuillère à café 3x/jour et Movicol en réserve. Mme Y fera un contrôle chez son médecin traitant à 10 jours, qui sera à avancer en cas de persistance de la constipation. Nous effectuons une prise de sang capillaire qui montre une CRP à <5mg/l, leucocytes à 7.6G/l (formule complète effectuée par le laboratoire au vu de la méthode, pas de neutrophilie). Nous suspectons une appendicite débutante et après avis du Dr X, nous organisons un ultrason abdominal pour le 28.05.2019 à 11h et un rendez-vous pour contrôle clinique et biologique à la filière des urgences ambulatoires. En l'absence de critère de gravité, Mme Y rentre à domicile et reconsultera pendant la nuit en cas d'apparition de nouveaux symptômes ou de douleurs ingérables. Nous effectuons une radiographie de l'épaule et du coude gauche qui montre une arthrose mais pas de fracture. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 111mg/l, leucocytes 9.5G/l, créatinine 69µmol/l (clairance Cockroft 35.5 ml/min). Le sédiment urinaire montre une leucocyturie asymptomatique. Nous effectuons un ECG qui montre un Flutter à 125 bpm. Pour les douleurs, Mme Y reçoit 1g de Dafalgan et 25 µg de Fentanyl qui soulagent les douleurs. Une arthrite de l'épaule est retenue et après avis du Dr X, orthopédiste, un ultrason est organisé qui montre du liquide au niveau de la bourse sous-acromio-deltoïdienne. Une prise en charge au bloc opératoire est retenue nécessaire. Mme Y est évaluée par le Dr X, anesthésiste, et un transfert est retenu nécessaire au vu des comorbidités de Mme Y qui n'est pas en mesure d'être prise en charge au bloc opératoire de l'HFR Riaz. En accord avec le Dr X, Mme Y est transférée à l'hôpital cantonal pour prise en charge chirurgicale, à jeun. Au moment du départ : température à 37.1°C, FC 120 bpm, saturation O2 94% aa, TA 117/59mmHg. Nous effectuons une radiographie de l'épaule qui montre une luxation gléno-humérale antéro-inférieure de l'épaule droite. Nous avons pris contact avec le Dr X, orthopédiste de garde, et l'épaule a été réduite sous Fentanyl. La radiographie de contrôle est dans la norme. Un gilet orthopédique est à garder pour 3 semaines. Mr Y doit prendre un rendez-vous en policlinique d'orthopédie le mercredi 29.05.2019 et il doit prendre un rendez-vous avec un spécialiste de l'épaule pour la suite de la prise en charge. Nous effectuons une radiographie du thorax qui ne montre pas de fracture, ni de pneumothorax. Une antalgie a été mise en place. Arrêt de travail donné pour 1 jour. Nous effectuons une radiographie qui est sp. Nous prenons l'avis du Dr X, étant donné qu'il n'y a pas de fracture au niveau de la rotule, prothèse en place, pas de fracture du plateau tibial, nous préconisons un protocole RICE, marche avec cannes mais il faut bien utiliser le pied, physiothérapie pour rééducation. Bon pour physiothérapie fait. Mme Y prendra contact avec son orthopédiste si les symptômes ne s'améliorent pas. Nous effectuons une réduction sous antalgie selon Kocher et réalisons un contrôle post-réduction. Nous mettons en place un gilet orthopédique et indiquons un contrôle à 1 semaine à la policlinique d'orthopédie. Nous effectuons une réduction sous MEOPA par des manœuvres externes. Syndactylie D4-D5 et immobilisation dans une attelle Edimbourg. Radiographie post-réduction effectuée, qui est satisfaisante. Antalgie en réserve. Arrêt de sport. Contrôle radio-clinique en policlinique à J7 post-traumatique. Nous effectuons une suture de la plaie et ensuite Mr Y sera suivi chez son médecin traitant. Nous encourageons encore une réduction progressive des médicaments et pour cela, nous augmentons la durée de la physiothérapie avec 9 nouvelles séances durant les prochaines 8 voire 12 semaines. En ce qui concerne la natation, activité que Mr Y a toujours pratiquée, nous n'y voyons aucune contre-indication et confirmons la reprise de celle-ci dès le 13.05.2019. Nous soulignons juste d'éviter la brasse et de favoriser des nages sur le dos. Prochain contrôle radio-clinique en novembre 2019. Nous envisageons un arrêt des matchs durant 6 semaines avec la possibilité de s'entraîner mais sans body-check. La réadaptation musculaire devrait plutôt se faire avec élongation de la musculature abdominale et dorsale en pratiquant de la natation. Nous reverrons Mr Y dans 2 mois pour juger de l'évolution. Une infiltration de la lyse isthmique est gardée en réserve en cas d'évolution défavorable. Nous envoyons les images de l'angiographie au Dr X en vue d'effectuer un lambeau de muscle gracilis. Nous confirmons donc la date opératoire pour le 14.05.2019 pour une fenestration osseuse, débridement de la lésion infectée, mise en place de pellets de Gentamycine, stabilisation par plaque sur le tibia et mise en place d'un lambeau musculaire gracilis. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement. Hospitalisation et antibiothérapie post-opératoire selon l'avis des infectiologues (Flagyl 4 x 500 mg et Cefepime 2 x 2 g). Mr Y a également rendez-vous avec le Dr X le 07.05.2019. Le traitement par Eliquis doit être arrêté 48 heures post-opératoire. Nous examinons tout de suite Mme Y et mettons en évidence une hypoesthésie à l'hémicorps droit, nous n'objectivons ni la dysarthrie même si Mme Y nous dit ne pas arriver à trouver les mots, ni un déficit de la force. Nous réalisons le score NIHSS qui revient à 2. Nous demandons l'avis du Dr X, neurologue de garde, qui nous conseille de lancer quand même un time is brain vu la symptomatologie et l'âge de Mme Y. Mme Y est transférée à l'HFR Fribourg avec l'activation d'un time is brain. Nous expliquons à Mme Y, dans sa langue, l'importance de l'immobilisation. Nous l'encourageons à remettre son gantelet plâtré et à se rendre ce jour même en ergothérapie afin de se faire fabriquer une attelle thermo-formée. Nous lui organisons un nouvel US et prévoyons de la revoir à l'issue de cet examen afin de refaire le point avec elle. Nous expliquons à Mme Y que cette douleur au niveau cervical et des trapèzes provient d'un trouble de la statique liée à un raccourcissement de la musculature abdominale. Les douleurs lombaires en barre avec hypoesthésie L5 sont elles expliquées par la présence d'une discopathie L5-S1 accompagnée d'une arthrose facettaire. La surcharge sur les facettes postérieures L5-S1 est due à l'attitude en cyphose avec troubles de la statique dus au raccourcissement abdominal précédemment cité. Mme Y est choquée par nos explications. Elle dit avoir suivi de manière assidue les séances de physiothérapie et réalisé du gainage. Nous conseillons à Mme Y d'arrêter les exercices de gainage de la ceinture abdominale et de réaliser uniquement du stretching de la chaîne abdominale afin de pouvoir regagner de la longueur et ainsi diminuer la surcharge facettaire. Ces exercices sont un préalable avant toute autre thérapie. Nous ne conseillons dans l'état actuel aucune intervention chirurgicale. En cas d'amélioration de la posture, d'un regain de longueur de la chaîne abdominale, et d'une persistance des douleurs, et suite à une IRM vasculaire réalisée au préalable à l'HFR Fribourg, une stabilisation antérieure par cages pourrait être envisagée. Mme Y souhaite réfléchir et nous recontactera si elle souhaite un prochain rendez-vous. Pas de prochain contrôle avant 3 mois si Mme Y souhaite faire son suivi chez nous. Nous organiserons également l'IRM vasculaire avant cette consultation.Nous expliquons à Mme. Y que les images radiologiques sont rassurantes car il s'agit d'une fracture stable. Arrêt des activités sportives et physiques lourdes pour encore 4 à 6 semaines afin d'avoir une amélioration des douleurs. Certificat prescrit pour aide à domicile 3x/semaine durant 6 semaines, puisque Mme. Y est femme au foyer. Nous reverrons Mme. Y dans 2 semaines pour un contrôle radioclinique afin d'exclure une évolution défavorable avec une éventuelle cyphose. Nous expliquons à Mme. Y que nous n'avons pas d'indication à une opération ni à une hospitalisation. Même après ces explications, Mme. Y part énervée et mentionne qu'elle va consulter à Payerne. Nous expliquons à Mme. Y que nous sommes satisfaits du bon résultat de cette infiltration ayant pu enlever la quasi-totalité des douleurs lombaires ainsi que la totalité des douleurs crurales du côté droit. En ce moment, nous sommes plutôt face à des douleurs locales au niveau de son genou gauche sans caractère irradiant, raison pour laquelle nous pensons que la sténose canalaire lombaire gauche est asymptomatique. Nous interprétons cette douleur dans un premier temps dans le cadre d'une possible pathologie du genou qui a déjà été opérée il y a 9 ans, raison pour laquelle nous demandons à la team genou de bien vouloir convoquer Mme. Y pour une évaluation. Nous restons à disposition en cas de tous changements ou de nouveau symptôme. Nous expliquons à Mme. Y qu'il nous est impossible de pouvoir prédire en pré-opératoire à quel niveau d'exigence Mme. Y pourra danser. Mme. Y comprend. Elle travaille en tant qu'assistante à l'université en littérature italienne et souhaite planifier en cas d'opération à l'avance en raison de différentes échéances universitaires. Mme. Y n'étant toujours pas complètement décidée. Nous lui laissons le choix de la décision en lui expliquant les pour et contre de l'intervention. Elle souhaite encore réfléchir et reviendra vers nous si elle se décide de faire l'intervention, ainsi que de signer un consentement éclairé. Nous expliquons à Mme. Y sa pathologie et lui proposons une arthroplastie par mise en place d'une prothèse totale mini-invasive. Nous lui expliquons les risques et bénéfices ainsi que les suites opératoires. Mme. Y, en présence de son mari, comprend nos explications mais souhaite encore réfléchir à une éventuelle prise en charge chirurgicale. Nous lui prescrivons un bon de physiothérapie à but antalgique. Elle reprendra donc contact avec nous en cas de besoin. Nous expliquons à Mr. Y ce rétrécissement canalaire plus évident au niveau foraminal L4 gauche et le rassurons quant à l'évolution clinique. Nous lui proposons un prochain contrôle dans 3 mois. Si une nouvelle crise devait apparaître, nous pourrons encore une fois répéter l'infiltration, ou en cas de nouveau déficit neurologique, Mr. Y est informé qu'il doit nous contacter en urgence. Nous expliquons à Mr. Y l'impossibilité de prendre une décision basée sur une seule image datant de 4 mois et demi après la découverte de la fracture sans avoir d'image comparative ce jour ni d'IRM, raison pour laquelle nous prions le médecin traitant de nous faire parvenir les images de la 1ère radiographie ainsi que de l'IRM faite en ambulatoire afin de discuter d'une suite de prise en charge avec une éventuelle vertébroplastie. Lors de la réception des images, nous réévaluerons le besoin de revoir Mr. Y à notre consultation ou d'organiser une nouvelle IRM. Nous expliquons à Mr. Y la possibilité d'entreprendre une chirurgie d'herniectomie et microdiscectomie, nous conseillerions également, en raison de la maladie adjacente et de l'ancienne opération, un prolongement de spondylodèse vers S1 avec mise en place de cage TLIF. Mr. Y souhaite encore partir en vacances dans son pays d'origine, raison pour laquelle nous proposons dans un premier temps une infiltration péri-radiculaire S1 droite et prévoyons un prochain contrôle à son retour avec une nouvelle IRM de la colonne lombaire pour évaluer la progression. Si une éventuelle chirurgie devait être indiquée, Mr. Y sera adressé pour un consilium anesthésique afin de juger de son opérabilité. L'Aspirine devra également être stoppée pour une telle opération. Nous expliquons à Mr. Y les critères d'urgence pour une chirurgie de décompression radiculaire lombaire telle que perte de force ou syndrome de la queue de cheval. Nous le mettons au bénéfice de physiothérapie avec étirements et organisons une IRM de la colonne lombaire suite à laquelle nous le reverrons. Si la suspicion de hernie discale avec compression de la racine L5 droite devait se confirmer, un premier geste thérapeutique par infiltration sous scanner pourra être proposé avant tout. Nous expliquons à Mr. Y l'importance de compléter le bilan par une IRM cervicale et lombaire. Nous le reverrons suite à ces deux examens pour discuter d'une prise en charge éventuelle chirurgicale. Nous expliquons à Mr. Y l'indication relative à une cimentation de la vertèbre avec biopsie en raison des douleurs persistantes environ 2 mois après la découverte d'une fracture. D'autre part, vu les nombreuses comorbidités de Mr. Y ainsi qu'une situation cardiaque qui ne semble actuellement pas bien compensée et la prise de médicaments se limitant au Dafalgan, nous pensons pouvoir optimiser ce traitement antalgique avant de prendre une décision de cimentation. Nous le mettons au bénéfice de Miacalcic, Irfen, Co-Dafalgan et Mydocalm avec Pantozol. Nous reverrons Mr. Y dans 3 à 4 semaines afin de juger de l'efficacité du traitement instauré. Ceci nous est permis vu la stabilité voire début de consolidation de la fracture sur l'imagerie. En cas d'absence d'amélioration des douleurs lors de la prochaine consultation, une éventuelle cimentation avec biopsie serait donc conseillée à but antalgique. Concernant son image suspecte pour une spondylarthrite séro-négative, nous envisagerons un bilan rhumatologique plus approfondi dans le futur, surtout si présence de douleurs chroniques diffuses au niveau des différentes articulations. Concernant les paresthésies L5 gauche, nous les expliquons en raison d'une minime compression récessale de la racine qui ne se manifeste pas par des douleurs, raison pour laquelle nous restons pour l'instant sur un traitement conservateur. Nous expliquons à Mr. Y notre suspicion de syndrome du tunnel carpien du côté droit au vu de la maladresse de la main droite avec hypoesthésie sans douleur associée, raison pour laquelle nous ne pensons pas avoir une indication opératoire d'emblée pour son cas. Il existe toute de même cette sténose cervicale importante sans myélopathie radiologique ni clinique évidente pour laquelle nous aimerions également compléter le bilan par des potentiels évoqués somesthésiques et moteurs avant de prendre une décision soit de suivi soit d'opération. Une fois le bilan au Neurocentre complet, nous reverrons Mr. Y à notre consultation.Nous expliquons à notre patient qu'au vu du débord discal à base large avec comblement des deux recessus, ceci présente un risque majeur de récidive herniaire assez rapide en cas de minime herniectomie. Nous proposons donc plutôt une voie antérieure pour remplacement discal et redressement de la colonne avec regain de lordose par cage lordosante Synfix. Nous expliquons au patient les risques et bénéfices d'une telle intervention et il nous demande activement une chirurgie vu la souffrance actuelle et son désir de reprendre son travail à court terme. Il nous rapporte également ne pas avoir la nécessité de bénéficier d'un don de sperme étant déjà père de 2 enfants. Nous programmons l'intervention dans les plus brefs délais au vu de l'handicap du patient à l'heure actuelle. Nous débutons tout de même un traitement médicamenteux per os avec Dexaméthasone durant 5 jours. Nous expliquons à notre patient que les infiltrations faites jusqu'à présent ont été plutôt épidurale en L5-S1 raison pour laquelle nous proposons un dernier essai thérapeutique sur le niveau que nous avons pu cibler ce jour sur l'IRM c'est-à-dire L5 gauche foraminal. Nous reverrons le patient après ce geste et en cas d'absence d'amélioration, nous proposerons une chirurgie de décompression L4-L5 par la gauche avec minime herniectomie. À savoir que le patient est sous Aspirine et Plavix, ce 2ème ayant été arrêté pour l'infiltration et ce médicament devra mériter une attention particulière avant une éventuelle décision d'opération avec bilan cardiologique et anesthésiologique à organiser au préalable également. Nous expliquons à notre patiente encore une fois la pathologie dégénérative avec scoliose et surtout rétrécissement récessal et foraminal sur les différents niveaux mais plus prononcé en L2-L3 et L3-L4 et pouvant nettement expliquer ses symptômes d'autant plus que l'on a pu assister à une amélioration suite à l'infiltration bien que transitoire. Il y a également une sténose modérée en L1-L2 qui peut provoquer une compression de tout le canal raison pour laquelle nous lui proposerions une décompression sur les trois niveaux concernés depuis la gauche avec undercutting vers la droite, côté qui est moins symptomatique. La patiente demande cette intervention très activement et accepte cette dernière. Le consentement éclairé lui est remis pour signature et réflexion. Elle est informée des risques et bénéfices liés à l'intervention. Nous vous demandons la possibilité d'arrêter l'Aspirine Cardio 5 à 7 jours avant le geste chirurgical et de la reprendre 3 à 5 jours après s'il n'y a pas de contre-indication majeure. Nous expliquons à notre patiente la claire inflammation facettaire L5-S1 et dans une moindre mesure L4-L5 pouvant largement justifier les symptômes et étant due à une hypermobilité du disque L5-S1 qui est grand en raison d'une incidence pelvienne et pente sacrée très prononcées. Nous lui prescrivons des séances d'hygiène posturale et d'étirements avec physio-fitness à but d'une perte pondérale qui puisse aussi décharger ces facettes articulaires. Nous gardons une éventuelle infiltration sous scanner comme 2ème option et restons à disposition dans l'intervalle en cas d'absence d'amélioration ou de nette aggravation. La patiente nous contactera si nécessaire. Nous expliquons à notre patiente la composante sacro-iliaque qui a dû s'améliorer suite à ces infiltrations avec tout de même une persistance des douleurs facettaires en raison d'une arthrose majorée avec aussi discopathie majorée en L4-L5 et L5-S1 surtout. Nous prescrivons des infiltrations facettaires L4-L5 et L5-S1 bilatérales thérapeutiques ainsi que des séances de physiothérapie pour enseignement et du Co-Dafalgan en réserve. Nous reverrons la patiente 4 semaines après ces infiltrations pour juger de l'évolution. Si les infiltrations facettaires s'avèrent positives, des infiltrations facettaires avec du Curavisc pourront être organisées avant une éventuelle chirurgie de stabilisation lombaire lombo-sacrée. Nous expliquons à notre patiente la corrélation radioclinique entre la sténose L4-L5 avec compression récessale de la racine L5 et ses symptômes. Nous lui proposons dans un premier temps une infiltration épidurale afin de pouvoir enlever le côté inflammatoire de ces douleurs et la reverrons par la suite. Une éventuelle chirurgie de décompression sélective L4-L5 par la gauche avec undercutting vers la droite serait à proposer en cas d'échec de l'infiltration. Nous expliquons à notre patiente la sténose canalaire pluri-étagée dégénérative sur lyse isthmique avec une radiculalgie L4 droite assez claire. La compression de la racine L4 se fait non seulement au niveau récessal L3-L4 mais aussi au niveau foraminal pouvant bénéficier d'une éventuelle décompression en cas d'augmentation des douleurs ou d'échec du traitement conservateur. La patiente est d'accord pour une première thérapie avec une infiltration ciblée sous scanner. Nous la reverrons par la suite. Nous expliquons à notre patiente qu'au vu de la bonne réponse à l'infiltration sacro-iliaque droite, il serait judicieux de réaliser 3 infiltrations par Curavisc sous scanner visant une thérapie sur un plus long terme. Nous laissons pour l'instant les niveaux sus-jacents sans thérapie puisque l'amélioration a été très bonne lorsque nous avons visé l'articulation sacro-iliaque à droite. D'autre part, les radiographies du jour nous confirment une stabilité du matériel d'ostéosynthèse qui est en place, nous referons une nouvelle imagerie par radiographies à 2 ans du geste, au mois d'avril 2020. Nous reverrons la patiente avant cette date afin de juger des résultats suite aux infiltrations par Curavisc au niveau sacro-iliaque. Nous expliquons à notre patiente, qui semble ne pas comprendre toutes les informations, mais surtout à son fils qui l'accompagne, le caractère à priori instable de cette fracture de D12 avec impression d'arrachement en hyperextension sur les RX du jour. Cette situation pose donc l'indication pour une intervention semi-urgente afin de fixer cette fracture par voie percutanée en plus d'un traitement par cimentoplastie de la fracture L5, cette dernière provoquant des douleurs. Nous organisons donc une hospitalisation à Fribourg ce jour et rediscuterons avec son fils des risques et bénéfices afin qu'il signe le formulaire d'information et de consentement. L'intervention est agendée pour le 15.05.2019 et consistera en une stabilisation percutanée D11-L1 et cimentoplastie L5. Nous expliquons à nouveau l'importance de bien pratiquer les exercices d'hygiène posturale à la patiente. Prolongation de la physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 mois. Nous expliquons au patient encore une fois sa pathologie dégénérative de la colonne lombaire surtout au niveau L5-S1 entraînant un rétrécissement foraminal modéré et étant pour l'instant en voie d'amélioration. Le patient lui-même souhaiterait essayer d'autres options que la chirurgie par le biais de physiothérapie, chiropraxie et éventuellement des exercices d'hygiène posturale et de la natation, ce que nous conseillons vivement afin de pouvoir ouvrir ce niveau partiellement fermé en raison de cette discopathie sévère. Nous prévoyons un prochain contrôle clinique dans 3 mois pour juger de l'évolution et renonçons pour l'instant à une chirurgie de TLIF L5-S1 par la gauche au vu du souhait du patient et de l'amélioration progressive. En cas de nouveau symptôme, le patient est informé qu'il peut avancer son rdv au plus vite notamment en cas de déficit neurologique nouveau.Nous expliquons au patient le problème de la bursotomie traumatique, le risque d'infection et notamment que celle-ci se déclare à l'arrêt des antibiotiques. Nous lui proposons donc de poursuivre les antibiotiques, tel que prescrit, jusqu'à 7 jours après le traumatisme puis de les arrêter. Prochain contrôle clinique à 2 semaines du traumatisme avec ablation du fil. La plaie étant sans tension, nous autorisons le patient à arrêter de porter l'attelle et de mobiliser son coude. Mais nous recommandons, cependant, de la remettre sur son lieu de travail (agriculteur) tant que les fils ne sont pas enlevés. Le patient comprend très bien qu'il, s'il présente des signes d'infection, il devra consulter en urgence. Arrêt de travail à 80% du 24.05.2019 au 07.06.2019. Nous expliquons au patient les risques de récidive étant donné son âge et dans le contexte de laxité augmentée. Nous lui expliquons également les conséquences néfastes possibles qu'aurait une nouvelle luxation. En accord avec lui, nous proposons un premier traitement conservateur avec arrêt du sport durant 3 mois et arrêt des sports de contact durant 6 mois. Le patient comprend nos explications, de même que les risques encourus, mais souhaite en premier un traitement conservateur. Nous expliquons au patient les risques et bénéfices d'une éventuelle intervention. Étant donné les comorbidités du patient, nous organisons un consilium anesthésiologique afin d'évaluer les risques opératoires et nous reverrons le patient après ce consilium. Nous expliquons au patient l'importance de cet avis complémentaire par le centre du sarcome de Berne qui a l'habitude de gérer cette maladie osseuse primaire. Il sera donc convoqué par nos collègues dans les meilleurs délais pour suite de prise en charge. Sur le plan radio-clinique, l'évolution est très satisfaisante. Nous prévoyons une reprise du travail à 10% jusqu'à 3 mois post-opératoires, date du prochain contrôle radio-clinique à notre consultation. Dans l'intervalle, physiothérapie pour renforcement musculaire. Nous expliquons au patient notre très forte suspicion clinico-radiologique pour un syndrome facettaire aux niveaux L2-L3 et L3-L4 avec d'un point de vue radiologique une image plus significative sur le niveau L3-L4 et lui proposons comme 1ère option thérapeutique des infiltrations séquentielles aussi diagnostiques. Nous commençons par le niveau L3-L4 sous scanner et 2 semaines plus tard en L2-L3. Ces infiltrations se feront à Payerne comme le patient habite près du HIB. Nous le reverrons suite à ces deux gestes pour discuter d'autres mesures thérapeutiques éventuelles. Nous expliquons au patient qu'au vu de la situation avec la bonne évolution, nous recommandons à la poursuite d'une prise en charge conservatrice. Il nous avoue qu'il a réalisé que 2 séances de physiothérapie en raison d'un emploi du temps chargé par son travail. Nous lui expliquons qu'en cas d'apparition de nouvelles gênes au niveau du genou, il peut en tout temps nous recontacter. Nous expliquons au patient que la perte de force qu'il ressent ainsi que la limitation de mobilité en abduction et flexion d'épaule sont dues à une rotation externe qui est limitée à -10°. Nous conseillons une poursuite de la physiothérapie à sec et en piscine en prêtant attention aux exercices de rotation externe. Afin de limiter la création de tissu cicatriciel au niveau du site opératoire, nous prescrivons des anti-inflammatoires Brufen® 600 mg 2 x par jour pour une durée de 2 semaines. Poursuite de l'incapacité de travail à 90%. Prochain contrôle le 03.07.2019. Nous expliquons au patient que, malgré la légère régression, l'évolution est très bonne. Nous lui proposons de poursuivre les pansements Aquacel et les suivis ergothérapeutique et physiothérapeutique. Nous le reverrons dans 3 semaines pour un nouveau contrôle clinique. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'à la prochaine consultation. Nous expliquons au patient que sa fracture est consolidée et qu'il est important pour lui maintenant d'être mobilisé en ergothérapie sans limitation. Nous lui prescrivons des anti-inflammatoires topiques et prévoyons de le revoir dans 3 mois pour un nouveau contrôle clinique. En cas de mauvaise évolution et dans le contexte arthrosique, nous envisagerons une arthrodèse de l'IPD D3. Nous expliquons au patient que sa lésion SLAP a un bon pronostic et, au vu de l'amélioration actuelle, nous lui proposons de poursuivre la physiothérapie pour mobilisation active selon douleurs, de fortification de la coiffe, d'école du dos et de massage. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. En cas d'apparition d'une symptomatologie d'instabilité du biceps, nous réaliserons une nouvelle IRM. Arrêt de travail à 100% du 03.04.2019 au 03.06.2019. Nous expliquons au patient qu'étant donné la présence d'arthrose, la prise en charge chirurgicale de ses coxalgies consisterait à la mise en place de prothèse. Nous lui expliquons les modalités de l'intervention de même que les suites opératoires. Le patient est peu gêné à l'heure actuelle et les douleurs cédant aux anti-inflammatoires, ne souhaite pas de prise en charge pour l'instant, mais reprendra contact à notre consultation l'année prochaine afin de refaire le point. Nous expliquons au patient sa pathologie et lui expliquons les options thérapeutiques. L'option chirurgicale étant une intervention ouverte par luxation chirurgicale et correction de l'offset. Nous expliquons également au patient le risque d'une arthrose précoce en cas de traitement conservateur, ainsi que les bons résultats pouvant être obtenus lors de la prise en charge précoce. Le patient comprend nos explications et ne souhaite pas de prise en charge chirurgicale pour le moment. Nous lui recommandons un prochain contrôle radioclinique dans 1 an afin de refaire le point sur la situation avec lui. Dans l'intervalle, nous l'autorisons à reprendre l'ensemble de ses activités y compris la moto. Nous expliquons encore une fois l'importance de poursuivre la physiothérapie adaptée avec étirements des chaînes posturales pour son dos et la reverrons dans 6 mois encore une fois avec seulement des radiographies de la colonne totale de face ; pas besoin de faire le profil vu le jeune âge de la patiente et le besoin d'irradier le minimum possible. Nous expliquons les paresthésies intermittentes déclenchées par la stimulation du 4ème doigt par un velcro trop serré. Nous conseillons au patient de trouver la bonne tension du velcro. Celui-ci devant être suffisamment tendu pour ne pas permettre de mouvement du 5ème doigt, mais suffisamment lâche pour ne pas comprimer les tissus cutanés. Le patient travaille comme informaticien et a la capacité temporaire de travailler à 40%. Son activité actuelle consiste en des appels téléphoniques, ainsi qu'à la rédaction de mail qu'il réalise avec la main droite. Nous réexpliquons au patient l'importance de ne pas charger avec la main gauche, mais néanmoins de réaliser des mouvements avec les 3 premiers doigts de celle-ci. Un arrêt de travail à 60% est établi du 09.05 au 07.06.2019. Nous reverrons le patient pour un contrôle radio-clinique le 06.06.2019 et éventuelle ablation de l'attelle. Nous expliquons longuement à la patiente qu'étant donné le déplacement secondaire, il est peu probable que la fracture guérisse correctement. Cela entraînerait très probablement une perte de fonction et des douleurs. Dans ce contexte, nous lui proposons une prise en charge chirurgicale. En présence de la patiente et de son mari, nous expliquons les tenants et les aboutissants de l'intervention ainsi que les risques opératoires. La patiente comprend nos explications et signe le formulaire de consentement éclairé. Nous planifions une OS du radius distal par plaque palmaire et de l'ulna par vis HCS le 25.04.2019.Nous expliquons longuement à notre patiente que son probable syndrome facettaire L4-L5 et L5-S1 est en rapport avec un état général de déconditionnement progressif suite à son accident, avec prise de poids, mauvaise hygiène posturale et absence d'entraînement musculaire. Nous conseillons une prise en charge par physio-fitness ainsi qu'une éventuelle évaluation et aide par une diététicienne que nous vous laissons le soin d'organiser tout près du domicile de la patiente. Cette thérapie globale devrait apporter plus de bénéfices que des infiltrations successives que l'on pourrait tout de même pratiquer sur le niveau concerné en cas de douleurs extrêmes, ce qui ne semble pas être le cas pour l'instant. À savoir que l'infiltration sacro-iliaque gauche faite récemment n'a pas eu d'effet bénéfique. Nous restons à disposition mais ne prévoyons pas de revoir la patiente pour l'instant. Nous expliquons son inconfort sur: • probable distension du ventre, gaz • début d'otite Nous proposons de garder Mr. Y en hospitalisation pour surveillance, mais la maman préfère de rentrer et revenir en contrôle le lendemain. Nous explorons la plaie sous anesthésie locale, qui nous montre une plaie de 3 cm au niveau du bord ulno-palmaire du pouce droit sans atteinte tendineuse ni osseuse. Nous lavons abondamment au sérum betadiné puis au sérum physiologique avec une fermeture cutanée à l'Ethilon 5-0. Nous faisons un rappel du tétanos aux urgences. Nous prescrivons un traitement symptomatique par antalgie simple et AINS. Mr. Y reviendra en filière des urgences ambulatoires le 27.05.2019 à 15h00 pour un contrôle de plaie et la réfection du pansement. Nous faisons une radiographie et exploration de plaie : désinfection champagne, anesthésie en bague, ablation des débris métalliques. À l'exploration de plaie, déchirure des fibres centrales et superficielles de la bandelette centrale (<1/4 de la largeur de la bandelette), suture par fil de Vicryl 3.0, pas de lésion des bandelettes latérales, rinçage avec 700ml de NaCl, suture au fil d'Ethilon 4.0, tulle bétadinée, pansement, syndactylie D2-D3, attelle Edimbourg. Mr. Y sera suivi à la policlinique d'orthopédie. Nous faisons des examens cliniques et radiologiques qui montrent une fracture de la phalange distale de l'index de la main gauche. Nous débutons une antibiothérapie par Céfuroxime 1.5 g en dose unique. Désinfection avec la Bétadine et exploration et rinçage de la plaie au NaCl. Lidocaïne 1% Streuli avec Natrium bicarbonate 8,4%. Suite discutée avec l'orthopédiste de garde, le Dr. X qui propose le transfert de Mr. Y à l'HFR Fribourg, pour suite de prise en charge. Nous contactons l'orthopédiste de garde à Fribourg qui accepte le transfert pour suite de prise en charge ce soir. Départ avec le concierge. Nous faisons la suture de la plaie par 1 point au niveau du passage vermillon-muqueuse et 1 point où la plaie de la muqueuse est profonde. Mr. Y part le 29.05 pour un camp de football. Nous lui expliquons l'importance de ne pas faire les matchs et lui donnons un arrêt de sport. Nous expliquons au père (par téléphone) la situation et les précautions nécessaires. Le médecin du camp de football contrôlera la plaie et enlèvera les fils le 01 ou 02.06. Si ce n'est pas possible, le père de Mr. Y le fera le soir du 02.06 (il est infirmier anesthésiste au bloc opératoire de Riaz) ou le 03.06 chez le pédiatre. Nous faisons le CT scan facial, car douleurs au niveau des sinus. Nous faisons un contrôle de l'INR qui revient à 1.8. Mr. Y pourra reprendre le Marcoumar à 0.5 comprimés/jour. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un nouveau contrôle de l'INR dans 48h. Nous faisons un pansement par Adaptic, compresses et bandage. Mr. Y sera suivi à la policlinique d'orthopédie le 03.06.2019 et à la filière des urgences ambulatoires le 01.06.2019 au préalable. Nous faisons un rinçage abondant et suturons par 2 points à l'Ethilon 4-0. La patiente sera vue à la policlinique d'orthopédie à J2. Elle n'a pas besoin d'ordonnance, car elle a suffisamment de Dafalgan chez elle et les douleurs sont très légères. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils à J15. Nous faisons un rinçage avec Hibidil, un nettoyage avec NaCl et une suture par 1 point simple avec Vicryl 4-0 résorbable. Nous prescrivons une antalgie avec des conseils d'application de glace et d'effectuer des bains de bouche. La vaccination du tétanos est à jour. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle dans 48h. Nous faisons une anesthésie locale, lavons, rinçons au sérum betadiné puis au sérum physiologique, parons certaines plaies et suturons 4 plaies à l'Ethilon 4-0. Nous appliquons un pansement. Mr. Y prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle clinique et la réfection du pansement le 27.05.2019. Nous faisons une réduction de la fracture, nous expliquons la nécessité de contrôles radiologiques sériés et le risque de déplacement secondaire. Antalgie, surélévation du membre supérieur, contrôle chez l'orthopédiste, le Dr. X le 05.06.2019, si pas possible chez elle, à la consulte de policlinique orthopédique. Nous hospitalisons Mr. Y dans le cadre de plusieurs épisodes d'hématémèse (sang frais) au domicile dans les suites d'une intervention ORL (adénoïdectomie / amygdalectomie / paracentèse). Au vu d'une hypotension sans autre signe de choc (pas de tachycardie ni d'allongement du temps de recoloration), il bénéficie d'un remplissage par NaCl 10 ml/kg aux Urgences suivi d'une perfusion de GNa 2:1 avec les besoins d'entretien. Une antibiothérapie intraveineuse est débutée. Les nausées sont traitées par une dose unique d'Ondansetron intraveineuse. Un examen spécialisé réalisé par l'ORL aux Urgences et répété en division de pédiatrie ne retrouve pas de source de saignement actif. Au cours de l'hospitalisation, Mr. Y reste hémodynamiquement stable. Nous rapportons un seul épisode de vomissement de sang digéré. Nous objectivons une chute de l'hémoglobine de 25 points à J1 d'hospitalisation, passant de 120 à 94 g/l. Les loges amygdaliennes sont calmes et la nasofibroscopie est sans particularité. Au vu de la bonne évolution, il peut rentrer à domicile le 03.05.2019, avec poursuite de l'antibiothérapie per os. Nous hospitalisons Mme. Y dans le cadre d'une éruption morbilliforme douloureuse à prédominance acrale et au niveau des plis accompagnée d'un énanthème avec desquamation labiale, d'une vulvite et d'un phénomène de Koebner au niveau d'une cicatrice ancienne de la cuisse droite, sans état fébrile rapporté à l'anamnèse. Sur le plan infectieux, il existe un syndrome inflammatoire modéré avec élévation de la CRP (90 mg/l) et de la VS (51 mm/1h) avec une leucocytose légère (13.4 G/l) à prédominance neutrophilique, sans éosinophilie. La recherche de Parvovirus B19, Mycoplasme, HSV, Syphilis, HIV revient négative. Les sérologies CMV et EBV démontrent une immunité ancienne. Un frottis naso-pharyngé à la recherche de Mycoplasme et un frottis intrabuccal à la recherche de HSV sont négatifs. Un frottis intrabuccal et au niveau des plis à la recherche de Candida sont négatifs pour levures. Elle présente lors de l'hospitalisation un épisode de diarrhées et une toux en amélioration au moment de la sortie. Sur le plan uro-génital, nous constatons une vulvite. Au vu des brûlures mictionnelles et d'une douleur à la loge rénale gauche, un bilan urinaire est réalisé, qui ne retrouve pas d'infection. Mme. Y reste sub-fébrile en cours d'hospitalisation, la température maximale enregistrée est de 38,2 °C. La conjonctivite, mucite et vulvite répondent à un traitement symptomatique. Un bilan inflammatoire est répété à la sortie avec diminution légère de la CRP (65 mg/l).Nous prenons un avis ophtalmologique, avec diagnostic de conjonctivite bilatérale probablement virale, sans atteinte de cornée ni uvéite mise en évidence. Sur le plan dermatologique, nous notons l'apparition de pustules infra millimétriques à J2 de son hospitalisation. Nous prenons avis auprès du Dr. X, qui évoque une pustulose exanthématique aiguë généralisée (AGEP) secondaire à la prise de co-amoxicilline. Une biopsie de peau met en évidence une dermatite pustuleuse sous-cornéale avec présence de granulocytes neutrophiles compatibles avec ce diagnostic. Mme. Y sera revue en dermatologie prochainement et doit éviter la co-amoxicilline jusque-là. À noter que nous n'avons pas administré un traitement topique de cortisone comme préconisé par les dermatologues au vu d'une amélioration spontanée. Sur le plan métabolique, il n'y a pas de perturbation du ionogramme ni d'intéressement hépato-rénal. Sur le plan cardiaque, l'ECG est dans les limites de la norme et l'US cardiaque ne retrouve pas d'anomalies des coronaires (fait pour exclure un Kawasaki atypique). Nous notons une légère hypertension pulmonaire probablement liée à la bronchite actuelle, qui sera à recontrôler dans 4 semaines. Sur le plan immunologique, le facteur rhumatoïde (FR) et les anticorps anti-nucléaires (ANA/ANCA) sont dosés pour une possible maladie auto-immunitaire voire une vasculite. Le FR est légèrement supérieur au seuil (14 vs 10 U/l), les ANA/ANCA dans les normes. Nous ne retenons donc pas d'étiologie immunologique à cet érythème. Sur le plan hématologique, dans le cadre d'une légère anémie, nous réalisons un bilan martial qui retrouve une saturation de la transferrine basse avec ferritine normale, laissant suspecter une carence martiale. Il n'y a pas de signes biologiques indirects pour une hémolyse. Nous proposons de redoser la ferritine à distance de l'épisode infectieux. Sur le plan digestif, elle présente des difficultés alimentaires dans le cadre de sa mucite, raison pour laquelle nous mettons en place une perfusion pour garantir les besoins d'entretien, qui peut être rapidement sevrée. Pour conclure, Mme. Y présente probablement une pustulose exanthématique aiguë généralisée, confirmée par la biopsie cutanée, et une absence d'autres arguments en faveur d'une origine infectieuse/immunologique. Mme. Y bénéficiera d'un suivi en dermatologie (adultes), infectiologie (pédiatrique) et cardiologie (pédiatrique). Nous hospitalisons Mr. Y dans le cadre de vomissements itératifs fébriles avec une déshydratation estimée à 8% selon la perte de poids, sans signes de déshydratation majeurs et une clinique abdominale rassurante, sans douleurs abdominales ni défense à l'admission. Une voie veineuse est posée avec hydratation intraveineuse par gluco-salin 2:1 avec couverture complète de ses besoins d'entretien. Sur le plan étiologique, nous pouvons exclure une infection urinaire, la bandelette urinaire réalisée aux urgences revenant négative. Nous complétons le bilan par la réalisation d'un US abdominal devant la présence d'une douleur abdominale le lendemain de son entrée, qui exclut une appendicite. Nous objectivons quelques selles molles qui sont envoyées en analyse et reviennent positives pour un Rotavirus. Sur le plan métabolique, une légère hyponatrémie à 133 mmol/l à l'entrée se corrige spontanément. Il n'y a pas d'autres troubles électrolytiques ni acido-basiques. Concernant l'otite moyenne bilatérale débutante, il n'y a pas de plainte d'otalgie en cours d'hospitalisation sous Algifor en systématique durant 24 heures qui est stoppé à la sortie. Au cours de l'hospitalisation, il n'y a pas de récidive de vomissement mais quelques selles molles qui persistent. La perfusion est stoppée le 29.05 et Mr. Y commence à s'hydrater per os. À domicile, il sera nécessaire de compenser les pertes par Normolytoral. Des consignes usuelles pour les gastro-entérites concernant des mesures d'hygiène et le suivi de l'hydratation au domicile (besoins d'entretien, compensation des pertes par Normolytoral, signes de déshydratation) sont données à la mère. Nous ne prévoyons pas une consultation chez le pédiatre mais invitons la mère à reconsulter directement les urgences si signes d'inquiétude concernant l'état d'hydratation. Nous hospitalisons Mme. Y pour un premier épisode de pyélonéphrite aiguë chez une fille non connue pour malformations des voies urinaires en anténatal. Le bilan biologique ne retrouve pas de syndrome inflammatoire majeur. Une antibiothérapie par Rocéphine 50 mg/kg/j est débutée initialement i.m. en raison de plusieurs échecs de pose de voie veineuse. Le lendemain matin, suite à la pose d'une voie veineuse périphérique par les anesthésistes, nous pouvons débuter une antibiothérapie intraveineuse par Amoxicilline 150 mg/kg/j en 3 prises et Rocéphine 50 mg/kg/j en 1 seule prise. 48 heures après le début de l'antibiothérapie, après avoir reçu 2 doses de Rocéphine (une i.m. et une i.v.) et 6 de Amoxicilline (toutes i.v.), la voie lâche et nous réalisons un relais per os par Amoxicilline 80 mg/kg/j sur 3 prises jusqu'au 05.06, c'est-à-dire pour une durée totale de 10 jours. La culture urinaire retrouve un E. coli multisensible. Les hémocultures sont en cours. Un bilan sonographique est réalisé en cours d'hospitalisation (J1 d'antibiotiques) qui ne retrouve pas de malformation des voies urinaires ni de signes pour un abcès. Concernant les opistotonus et les apnées, les parents objectivent encore deux épisodes de très courte durée (quelques secondes) au cours de la première nuit d'hospitalisation, avec désaturation furtive associée au monitoring. Nous mettons ces manifestations en lien avec des probables douleurs sur la pyélonéphrite aiguë. Le statut neurologique est en ordre et le développement psychomoteur en accord avec l'âge gestationnel. Nous objectivons un début d'ongle incarné à droite, à traiter avec des massages avec Bépanthène. Nous remarquons une déformation occipitale avec suspicion de plagio-céphalie et donnons des conseils de positionnement. Un contrôle chez vous sera à prévoir. Une candidose du pli inguinal est déjà sous traitement d'Iconazole, à poursuivre jusqu'à disparition des lésions. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y peut regagner le domicile le 29.05. Le dernier état fébrile enregistré était à 38.6 °C le 28.05 nuit, apyrétique depuis plus de 24 heures à la sortie. Nous hospitalisons Mr. Y pour une antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 100 mg/kg/j dans le cadre d'une dermo-hypodermite du dos de la main droite apparue 24 heures après une piqûre d'insectes et associée à un état fébrile. Il n'y a pas de trajet lymphangitique ni adénopathie satellite rapportés à l'admission. Sur le plan biologique, il n'y a pas de syndrome inflammatoire. Les hémocultures sont négatives à 5 jours. En cours d'hospitalisation, Mr. Y reste en excellent état général, subfébrile, avec une très bonne évolution locale et une disparition presque complète des signes inflammatoires après 48 heures d'antibiothérapie intraveineuse. Un traitement anti-histaminique d'office par Feniallerg puis Xyzal permet de soulager les démangeaisons associées à la dermo-hypodermite et est prescrit en réserve à la sortie. À noter qu'au moment de la sortie, nous mesurons à nouveau un état fébrile à 38.5 °C, qui est jugé comme normal avant 48 heures d'antibiothérapie complètes. Nous informons la mère que devant une persistance de la fièvre demain avec majoration des signes locaux d'infection (tuméfaction, rougeur, chaleur) voire apparition d'un trajet lymphangitique, elle devra rapidement reconsulter les urgences pour une réévaluation clinique avec répétition du bilan biologique.A la sortie, l'antibiothérapie est relayée per os par de la Co-Amoxicilline 80 mg/kg/j pour une durée totale de 7 jours d'antibiotiques. Nous informons Mr. Y que ses douleurs lombaires basses et fourmillements sont normaux en post-opératoire, même à 1 voire 2 ans post-opératoires. Nous l'encourageons à reprendre sa reconversion professionnelle et l'informons qu'elle doit se faire à 50%. Mr. Y nous rapporte qu'elle s'est faite à 100%. Prescription d'un arrêt de travail pour préciser cela. Nous reverrons Mr. Y dans 6 mois en septembre 2019 pour contrôle radioclinique avec scanner. Nous informons Mr. Y que sa hanche présente une dégénérescence arthrosique débutante. Du point de vue chirurgical, la seule alternative demeure la prothèse totale de hanche. Nous l'informons qu'au vu de son jeune âge, l'idéal est de la repousser au plus tard possible, et de l'antalgie, physiothérapie ou infiltration sont dans l'intervalle envisageables. Le traitement par Chondrosulf introduit par le médecin traitant n'a pas démontré d'avantage de la littérature, ce pourquoi nous le stoppons. Prescription d'AINS retard (Irfen 800 mg 1x/j). Nous ne prévoyons pas de contrôle d'emblée, mais informons Mr. Y qu'il peut tout à fait reconsulter si douleurs invalidantes, dans ce cas-là une infiltration par Dépo Medrol et Lidocaïne pourrait être organisée. L'indication à une mise en place de prothèse sont les douleurs invalidantes l'empêchant de travailler ou dans ses activités quotidiennes. Nous insisterons pour que Mme. Y soit présentée à Dr. X, neurologue spécialiste également en maladie psychosomatique, travaillant à l'Inselspital. Nous interprétons les douleurs de Mme. Y comme étant d'origine arthrosique principalement, nous prescrivons pour cela un traitement par Dafalgan et ecofenac gel. Nous interprétons les douleurs au versant ulnaire du poignet gauche de Mme. Y comme étant une lésion du TFCC sur pseudarthrose de la styloïde ulnaire (Mme. Y nous dit s'être cassé le poignet à l'âge de 8 ans) et nous conseillons une infiltration dans cette zone. Concernant la lésion du TFCC, nous prescrivons des séances d'ergothérapie pour la stabilisation de l'articulation radio-ulnaire distale ainsi que du poignet dans son ensemble. Concernant la déformation avec la suspicion d'arthrite sceptique au niveau de l'articulation interphalangienne de l'index débutant au niveau des articulations interphalangiennes des Dig III et IV des deux mains, nous recommandons la consultation chez un rhumatologue. Nous prions nos collègues du service de Rhumatologie de bien convoquer Mme. Y. Nous interprétons les douleurs de Mme. Y par une antéversion fémorale exagérée présente à l'examen clinique. Afin de prouver la présence de cette antéversion, nous recommandons la réalisation d'un CT-scanner 3D à la recherche de troubles de la rotation au niveau des membres inférieurs. Mme. Y sera reconvoquée suite à la réalisation de ce scanner pour discuter des possibilités de prise en charge. Au vu de l'âge de Mme. Y et de la possibilité d'une correction naturelle de l'antétorsion lors de la fin de la croissance, nous recommandons pour l'instant une attitude conservatrice jusqu'à la fin de la croissance. Nous interprétons les douleurs de Mr. Y par la présence du 3ème, 4ème et 5ème orteils en griffe ainsi que d'une surlongueur des 3ème, 4ème et 5ème métatarsiens par rapport au 2ème. Une DMMO ainsi qu'une cure d'orteil en griffe est conseillée pour le 3ème, 4ème et 5ème rayons. En raison des pouls palpés faibles et des artères calcifiés à la RX, nous souhaitons réaliser un bilan angiologique préopératoire. Mr. Y sera ensuite revu à notre consultation en vue d'une future prise en charge opératoire. Nous interprétons les douleurs lombaires de Mr. Y par une surcharge facettaire au niveau L4-L5. Nous proposons à Mr. Y un traitement par infiltration facettaire de Curavisc, 3 infiltrations espacées de 2 semaines chacune. Nous expliquons à Mr. Y que le médicament n'est pas remboursé par la Caisse d'assurance maladie. Mr. Y accepte ces infiltrations. En cas de persistance des douleurs et en l'absence d'amélioration suite aux infiltrations de Curavisc, une stabilisation postérieure percutanée L4-L5 pourrait être proposée et discutée. Nous interprétons les douleurs occasionnelles de Mr. Y comme provenant d'une gêne due à la plaque. Afin de déterminer si la guérison osseuse est complète et le retrait du matériel possible, nous conseillons la réalisation d'un CT du pied. Celui-ci aura lieu le 13.05.2019 et nous reverrons Mr. Y par la suite afin de discuter de cette éventuelle AMO. Nous interprétons les symptômes de Mme. Y comme provenant d'une lésion de la bandelette centrale du tendon extenseur du 5ème doigt avec une déformation boutonnière chronique modérée. Nous conseillons à Mme. Y de suivre des séances d'ergothérapie consistant à la mise en place d'une attelle d'extension de l'IPP ainsi qu'une mobilisation active et passive de l'IPP. En raison d'un début de syndrome du nerf ulnaire, nous conseillons à Mme. Y de dormir les bras tendus afin de limiter la progression de la symptomatologie. Prochain contrôle dans 6-8 semaines. Nous introduisons un traitement antibiotique iv et corticoïde avec bonne évolution. Au vu de l'origine amygdalienne de l'abcès et du risque de récidive, nous proposons à Mme. Y une amygdalectomie bilatérale, ce qu'elle accepte. Elle bénéficie de cette opération le 07.05.2019. Les suites opératoires sont simples et l'examen local est normal en post-opératoire. Mme. Y rentre à domicile le 08.05.2019 avec les informations d'usage et une antalgie adaptée. L'antibiothérapie est à poursuivre pour 10 jours. Nous la reconvoquons en contrôle clinique et éventuellement radiologique si nécessité d'effectuer un scanner suite au colloque de radiologie le 11.05.2019. Nous laissons à Mme. Y le soin de consulter son médecin traitant pour le suivi de son anémie et des douleurs chroniques du bassin. Nous laissons le soin au médecin traitant de réaliser un bilan de fatigue en ambulatoire. Nous laissons le soin au médecin traitant de réévaluer l'indication à une polygraphie à la recherche d'un syndrome d'apnée obstructive du sommeil. Nous laissons le soin au médecin traitant de réinvestiguer la problématique du rachis (discopathie de la charnière cervico-thoracique?) par une imagerie, et le cas échéant de proposer une intervention thérapeutique (infiltration?) ou dans le cas contraire, produire un certificat contre-indiquant formellement le port de charge et le travail de force dans l'intervalle, traitement symptomatique. Nous laissons le soin au médecin traitant de vérifier une éventuelle carence en fer et de procéder à une perfusion le cas échéant (notion de prise de fer per os actuelle). Nous laissons le soin au médecin traitant d'organiser un bilan cardiologique en ambulatoire (test d'effort, +/- échocardiographie, Holter), ainsi qu'un bilan de fatigue. Nous lui donnons un bon de physiothérapie pour renforcement musculaire et vélo d'appartement, ainsi que pour l'amélioration de la rotation externe de la hanche. On prévoit un rendez-vous radio-clinique à 1 année, mais en cas de doute, Mme. Y nous appellera pour un contrôle clinique d'ici 2-3 mois. Nous lui expliquons qu'au vu de l'absence des symptômes, il n'y a pas d'indication à poursuivre le traitement. Nous lui proposons de commencer de la physiothérapie au moment où il remarquera des douleurs débutantes au niveau lombaire. A ce moment également, Mr. Y est informé de nous contacter de suite afin d'anticiper le contrôle. Mr. Y aura un rdv à Bern la semaine prochaine concernant son genou. Prochain contrôle à notre consultation dans 6 mois pour suivre l'évolution.Nous lui expliquons que l'indication à une ablation du kyste dépend essentiellement de la gêne ressentie. Nous organisons donc une IRM afin de caractériser la lésion ainsi que ses rapports anatomiques. Nous le reverrons suite à cet examen. Nous lui réexpliquons les risques et bénéfices de cette intervention surtout le risque d'infection liée à la zone d'incision, à savoir la zone sus-anale. Le consentement lui est transmis pour réflexion et signature. Nous agendons une date opératoire. Nous maintenons donc la date opératoire pré-réservée pour une ablation du kyste scapholunaire à G. Nous expliquons au patient les risques (récidives) et bénéfices de l'intervention. Le patient comprend nos explications et signe le consentement éclairé. Nous maintenons les séances de physiothérapie. Nous prescrivons également des semelles orthopédiques avec appui rétro-capital avec le but de décharger la tête des métatarsiens, semelles avec lesquelles il effectuera ses séances de physiothérapie. L'arrêt de travail est prolongé à 50% jusqu'au 19.05.19 avec reprise à 100% le 20.05.19. Prochain contrôle dans 2 mois. Nous mesurons les D-Dimères qui reviennent à 314 ng/ml et nous excluons raisonnablement une embolie. Nous communiquons les résultats à Dr. X qui nous a adressé la patiente. Elle rentre à domicile. Nous mettons en place un Hemostop ainsi qu'un pansement occlusif. Nous faisons un rappel du vaccin du tétanos aux urgences. La patiente reviendra en filière des urgences ambulatoires le 03.05 pour un contrôle clinique. Nous mettons en place un traitement conservateur avec des cannes et une antalgie en cas de besoin. Le patient prendra un rendez-vous avec le chef de clinique à la policlinique à J6. Nous mettons en place un traitement par Nitrofurantoïne 100 mg x 2/jour pour 5 jours et un traitement antalgique au vu des fortes brûlures de la patiente par Dafalgan, Voltaren et Tramadol. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle la semaine prochaine pour un suivi de la bonne évolution clinique. Nous mettons en place une attelle Mécron 20º ainsi qu'une thromboprophylaxie par Clexane. Il marchera avec des cannes en décharge. Il prendra dès que possible un rendez-vous avec Dr. X pour discuter de la suite. Nous mettons la patiente au bénéfice de myorelaxants la nuit afin de pouvoir la soulager et de permettre de diminuer voire arrêter l'Irfen et le Tramal. La patiente souhaite reprendre son travail à 50% dès la semaine prochaine dans un environnement contrôlé et plutôt assise à un bureau, bien que nous lui conseillerions un arrêt de travail à 100% pour les six premières semaines. Prochain contrôle radioclinique à 6 semaines du traumatisme. Nous n'avons aucune IRM ni scanner de ce patient. Nous prions le patient d'absolument prendre ces CD en cas de nouvelle consultation. Nous n'avons pas pour l'instant de syndrome radiculaire clair ou suspicion de compression d'un point de vue clinique mais plutôt un syndrome facettaire L4-L5 assez évident qui est aussi très probable vu le contact des tiges avec le niveau sus-jacent qui était déjà souffrant d'une discopathie importante. Nous proposons donc à la patiente des infiltrations diagnostiques et thérapeutiques facettaires L4-L5 ddc sous scanner et augmentons le traitement avec Novalgine, Co-Dafalgan et Mydocalm le soir jusqu'au prochain contrôle. Si lors des prochains contrôles une bonne amélioration devait être mise en évidence, le diagnostic serait donc confirmé et en cas de récidive, nous pourrions proposer des séances d'infiltrations avec du Curavisc. En cas d'absence d'amélioration, une nouvelle IRM de la colonne lombaire sera à envisager. La patiente reste en incapacité de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Nous ne constatons pas de lésion osseuse à la radiographie du coude gauche. Au vu de l'examen clinique, nous retenons le diagnostic de contusion du coude gauche et prescrivons un traitement symptomatique. Si les douleurs persistent, la patiente consultera son médecin traitant la semaine prochaine. Nous ne mettons pas en évidence de problème bio-mécanique qui puisse justifier les symptômes. Pour compléter le bilan, nous organisons une IRM cérébrale avec produit de contraste et selon les résultats, nous pourrons éventuellement adresser la patiente au Neurocentre pour un bilan neurologique. Prochain contrôle après cet examen. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas d'apparition de douleurs. Dans ce cas, nous mettrons en place une semelle de soutien avec un appui rétro-capital. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Nous ne retenons pas devant ce statut des critères de gravité en faveur d'une anaphylaxie. Concernant l'angio-oedème de la face, nous instaurons par conséquent un traitement par Tavegyl 2x2 mg en iv aux urgences avec de bons résultats. Devant le statut rassurant, et après une observation aux urgences de 4 heures, le patient peut regagner son domicile avec un traitement à base de Xyzal et de l'Atarax en réserve à poursuivre durant 3 semaines. Devant l'évolution à moyen et court terme rapportée, nous recommandons la poursuite durant 3 semaines du traitement avec un sevrage progressif. Nous laissons aussi le soin au médecin traitant d'organiser un bilan en consultation allergologique si persistance. Nous nettoyons au NaCl et mettons du Ialugen crème ainsi qu'un pansement standard. La patiente sera revue le matin du 12.05.2019 à 11h00 en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique. Nous notons un différentiel tensionnel chez une patiente ayant des facteurs de risques cardiovasculaires. Nous proposons de faire un CT scanner injecté pour exclure un anévrisme de l'aorte et nous vous laissons le soin de l'organiser si vous jugez ceci nécessaire. Nous notons une amélioration clinique après l'administration de Nexium et Ulcar. La patiente rentre à domicile sous traitement symptomatique. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle à 3 semaines. Nous notons une disparition de la symptomatologie du supra-épineux et du long chef du biceps. Cependant, il persiste un dérèglement du pattern d'activation des muscles entraînant un conflit sous-acromial lors de l'élévation. Nous lui expliquons toutefois que l'évolution est favorable et que le pronostic est excellent mais que la récupération nécessite encore beaucoup de travail en physiothérapie. Nous lui remettons un nouveau bon de physiothérapie pour le travail de la coordination des muscles et l'harmonisation de la chaîne kinématique. Nous le reverrons dans 4 mois pour un contrôle clinique. Nous nous concentrons à l'heure actuelle sur les douleurs les plus importantes de la patiente, c'est-à-dire les douleurs lombaires basses sans irradiation significative, lesquelles nous attribuons pour l'instant à cet épanchement facettaire majeur avec petite lyse isthmique et listhésis sur le même niveau. Nous organisons une infiltration diagnostique et thérapeutique L5-S1 facettaire sous scanner. Nous reverrons la patiente par la suite. Si cette infiltration devait apporter une amélioration de la situation, une nouvelle infiltration par du Curavisc pourra être proposée à but thérapeutique sur le long terme. Si la patiente devait développer des symptômes de claudication neurogène, d'autres investigations devront être organisées. La problématique cervicale semble pour l'instant être au second plan et plutôt liée aux troubles des épaules ainsi qu'au tunnel carpien. À l'attention de tous les intervenants, pour une anomalie de transition lombo-sacrée avec une lombalisation de S1.Nous nous retrouvons devant une luxation du polyéthylène et de la vis de blocage, probablement, suite au traumatisme du 26.05.2019. Après discussion avec le Dr. X, nous organisons, en électif, une reprise de cette prothèse qui consistera, principalement, en un changement du polyéthylène et de la vis de blocage fémoro-tibiale. La patiente est connue pour une rupture chronique du tendon quadricipital, c'est pourquoi une éventuelle reconstruction de l'appareil extenseur par allogreffe n'est pas exclue. Cette intervention est organisée en électif le 11.06.19. Elle peut tout à fait retourner au home, les transferts en décharge du MID étant déjà pratiqués et sont à poursuivre. La patiente est sous Xarelto et est connue pour de multiples comorbidités, sur recommandation du Dr. X, un consilium anesthésiologique est demandé pour gestion de l'anti-coagulation en préopératoire et éventuelle nécessité d'investigations complémentaires avant l'intervention. Les bénéfices et risques sont expliqués à la patiente qui signe le consentement lors de la consultation. Elle sera hospitalisée la veille de l'intervention. Nous objectivons des troubles mnésiques lors de la courte hospitalisation, nous vous proposons de poursuivre votre prise en charge à ce sujet. Contrôle clinique à 10J (pas de fils à enlever) Contrôle du pacemaker à 4-6 semaines chez le Dr. X à Meyriez. Nous objectivons une coloration rouge bordeau de son urine lors d'un nouveau sondage aller-retour effectué aux urgences. Un laboratoire est effectué et met en évidence une hémoglobine à 152 g/l. Ainsi, nous posons le diagnostic susmentionné. Un avis est demandé au Dr. X, chirurgien de garde, qui préconise un retour à domicile du patient avec appel de l'urologue de garde en début de matinée pour organiser la suite de prise en charge. Le patient sera contacté après la discussion avec l'urologue. Nous organisons tout d'abord deux infiltrations test par cortisone au niveau L3-L4 en premier puis au niveau L2-L3. Nous reverrons la patiente à notre consultation après la 2ème infiltration pour juger de l'évolution et savoir s'il n'y a qu'un seul niveau spécifique à cibler pour une éventuelle dénervation. Dès la prochaine consultation, il faudra débuter de la physiothérapie pour hygiène posturale et élongation des muscles dorsaux et abdominaux sur une durée de 4 à 6 mois. La patiente fait déjà de la physiothérapie pour son genou et sa hanche droite et nous laissons terminer ces séances afin de mieux se concentrer ensuite sur la physiothérapie dorso-lombaire. Nous organisons un arthro-CT de l'épaule d'une part pour contrôler l'étanchéité de la coiffe, d'autre part, pour clarifier l'image à l'intérieur de la tête humérale vue à l'IRM. Nous le reverrons à l'issue de ces examens. Dans l'intervalle, nous lui prescrivons des anti-inflammatoires et de la physiothérapie et nous prolongeons son arrêt de travail à 100 % jusqu'au 17.05.2019. Nous organisons une IRM afin de caractériser la lésion et de pouvoir proposer une prise en charge physiothérapeutique ou par infiltration ou encore par une intervention chirurgicale. Nous organisons une IRM cérébrale de contrôle à une année post-opératoire et reverrons le patient par la suite. Nous organisons une IRM de l'épaule droite, avec incidence acromio-claviculaire afin d'avoir une certitude sur l'intégrité des ligaments trapézoïde et conoïde. Le patient sera revu mercredi prochain en consultation ortho-urgences avec le membre supérieur qui donnera un avis. Nous organisons une IRM de l'épaule pour exclure une lésion de la coiffe. Cliniquement j'ai plutôt l'impression d'une boursite sous-acromiale post-traumatique résiduelle. Je propose un traitement de physiothérapie et, à la demande du patient, je recommande également l'ostéopathie. Je le revois dans 6 semaines, il me contactera pour les résultats de l'IRM. Nous pensons à un panaris débutant au niveau du gros orteil du pied droit, pour lequel nous donnons à la patiente de la Fucidine crème qu'elle devra mettre 2x/jour. Nous conseillons à la patiente de faire des lavements avec de la Bétadine. Nous conseillons aussi un contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine pour suivre l'évolution. Nous pensons que la patiente souffre de 2 choses : ostéochondrite disséquante au niveau de la tête du premier métatarsien ainsi qu'un hallux rigidus débutant avec une limitation de l'extension dorsale et un ostéophyte douloureux sur la face dorsale. Nous avons encore une fois rediscuté des options avec la patiente et son papa. Elle est plutôt désireuse d'une prise en charge chirurgicale car elle est limitée dans sa vie quotidienne, surtout lors des activités sportives. On va rediscuter le cas avec Dr. X, orthopédie pédiatrique, et nous recontacterons les parents par la suite. Nous pensons que les douleurs proviennent de l'articulation calcanéo-cuboïdienne car les fractures sont guéries. Nous pensons également qu'elles sont liées à une arthrose débutante avec un kyste au niveau du cuboïde. Nous lui proposons une infiltration. Elle nous contactera pour fixer une date. Nous pensons que les symptômes de la patiente sont dus à une inflammation du Hoffa, raison pour laquelle nous prescrivons un travail de décoaptation de la rotule en physiothérapie. Prochain contrôle clinique en automne. Nous pensons que malgré un ENMG normal, la plainte principale du patient est attribuable à une compression du PIN à l'arcade de Frohse. Nous recommandons de poursuivre les séances de physiothérapie à but de stretching du supinateur et lui prescrivons du Mydocalm à prendre au coucher. Le physiothérapeute pourra également faire des ondes de choc sur la calcification de l'insertion du triceps. Nous reverrons le patient dans 3 mois pour un nouveau contrôle clinique. Nous pensons qu'elle souffre surtout de douleurs au niveau de l'articulation calcanéo-cuboïdienne suite à la fracture, ce qui peut expliquer un impingement. Nous organisons un CT pour voir si la fracture est consolidée et s'il y a un impingement. Nous la reverrons suite à l'examen pour envisager une infiltration. Nous pensons qu'il est nécessaire de débuter de la physiothérapie pour élongation et renforcement des muscles dorsaux et abdominaux, associée aux TENS et à une thérapie par Lyrica pour 35 jours. Nous prions le médecin de famille de suivre, à 35 jours d'aujourd'hui, le sevrage progressif du Lyrica. Nous prions Mr. X de bien vouloir prendre en charge la patiente afin d'évaluer les différentes indications pour traiter l'allodynie qui gêne la patiente. Nous reverrons Mme. X dans 6 mois. Nous posons l'indication chirurgicale à une cure de tunnel carpien à gauche dans un premier temps. Les risques et bénéfices d'une telle intervention sont expliqués à la patiente qui souhaite directement signer le consentement éclairé, les choses étant claires pour elle. Elle sera vue par les anesthésistes au préalable. L'intervention est prévue en ambulatoire. L'incapacité de travail sera d'environ 1 mois, plus ou moins suivie d'une cure de tunnel carpien à droite, selon son évolution clinique. Nous poursuivons la prise en charge instaurée avec cannes anglaises et charge selon douleurs. Nous conseillons au patient d'appliquer les conseils RICE. Il est sous traitement AINS et Dafalgan. Nous prescrivons également un arrêt de sport de 3 semaines. Le suivi se fera chez le médecin traitant. Nous poursuivons le traitement antithrombotique par Xarelto 15 mg 2x/j pendant 21 jours puis 20 mg 1x/j pour un total de 3 mois. Le bilan biologique de contrôle montre un syndrome inflammatoire à la baisse avec une CRP à 30 mg/l, sans leucocytose. Nous prescrivons un traitement d'AINS de courte durée à la patiente encore algique. Elle reçoit également de l'Hirudoid crème en application locale. Nous lui proposons un contrôle chez le médecin traitant dans la semaine. En cas d'apparition de dyspnée ou de douleurs thoraciques, nous lui recommandons de consulter immédiatement les urgences.Nous pouvons considérer les fractures comme stables. Nous soulignons à la patiente l'importance d'avoir une bonne hygiène posturale et de poursuivre une activité physique dans le futur pour prévenir d'éventuelles autres fractures. Nous restons à disposition en cas de récidive des douleurs, mais ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée. Nous pouvons plutôt considérer une composante musculaire et une mauvaise posture de la patiente pour ce trouble de la posture, raison pour laquelle nous soulignons l'importance d'avoir une bonne hygiène posturale, de faire des exercices d'élongation du muscle du dos et de commencer une activité sportive surtout durant la saison chaude, comme par exemple la natation. Nous prescrivons des séances de physiothérapie à réaliser à Courtepin. Nous reverrons la patiente dans 6 mois pour un contrôle radioclinique. Nous prenons en charge la plaie aux urgences par 4 points simples à l'Ethilon 5-0 sous anesthésie locale. Le rappel antitétanique est effectué. Le patient prendra rendez-vous pour un contrôle de plaie à 48h et pour l'ablation des fils à J14 chez son médecin traitant. Il reçoit les précautions d'usage. Nous prenons l'avis du chirurgien, le Dr. X, qui recommande le transfert de la patiente en pédiatrie à l'HFR Fribourg pour bilan ultrason. Nous prenons contact avec la pédiatrie et la chirurgie de Fribourg et nous transférons alors la patiente. Elle quitte les urgences de l'HFR Riaz, accompagnée de son père. Nous prenons l'avis du psychiatre de garde qui vient évaluer le patient et propose une hospitalisation au RFSM de Marsens. Transfert au RFSM de Marsens en ambulance, devant l'absence de trouble somatique. Nous prenons rapidement contact avec un cabinet dentaire encore ouvert le soir, Dentalcenter à Fribourg, qui accepte le cas. Sur avis du Dr. X, une compression de la source de saignement avec plusieurs grandes compresses est mise en place à la 38 et nous demandons au patient de comprimer les compresses avec ses dents en fermant la bouche. Avec ce traitement, le patient ne crache plus de sang. Le patient sera amené par sa mère au cabinet dentaire. Nous lui conseillons de consulter les urgences de l'HFR site de Fribourg ou site de Riaz en cas d'asthénie ou baisse d'état général après l'intervention dentaire au vu d'une probable anémie aiguë. Le patient reconsulte les urgences de Riaz le même soir après l'intervention dentaire. Nous constatons un statut buccal calme et propre avec une suture sur la cicatrice de la 38 en place sans signe de spoliation. Le patient est légèrement hypertendu à 150/95 mmHg, normocarde à 80/min, sans pâleur, sans plainte. La station debout est bien tolérée. Le patient n'est pas connu pour un déficit en fer. Nous lui recommandons de bien s'hydrater ce soir avec un apport oral d'au moins 500 ml. Nous prenons un avis auprès du neurologue de garde qui, au vu du délai depuis le début des symptômes, préconise un CT-scan cérébral avec carte de perfusion et vaisseaux précérébraux. Le CT-scan ne retrouve pas de signe d'occlusion ni d'hémorragie. Une charge en Aspirine 300 mg est administrée à la patiente et elle est transférée en Stroke Unit à l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge. Départ en ambulance. Nous prescrivons à la patiente des séances d'ergothérapie avec réafférentation de la branche superficielle du nerf ulnaire. Mme. Y sera revue dans 3 mois à la consultation du Dr. X. Nous prescrivons des séances d'ergothérapie avec mobilisation des doigts IV et V et désensibilisation péri-cicatricielle, nous referons un contrôle clinique dans 3 mois. Nous prescrivons des semelles avec un appui rétro-capital pour décharger les métatarsiens, qu'elle devra porter le plus possible. Nous pensons plutôt qu'il s'agit de douleurs mécaniques avec irritation du nerf que des douleurs neuropathiques dans un cas de névrome de Morton. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. En cas d'aggravation entre-temps, elle nous recontactera plus vite. Nous prescrivons un traitement antalgique et myorelaxant avec la proposition d'organiser une IRM par son médecin traitant ainsi qu'une consultation spécialisée en raison de la non-amélioration de la symptomatologie. Nous prévoyons l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. La date opératoire est fixée le 11.07.2019. Le patient sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Nous prévoyons un prochain contrôle au mois de juillet et avons déjà discuté avec le patient qu'en cas de recrudescence des douleurs, de la physiothérapie sera mise en place en première ligne de traitement et une éventuelle 2ème infiltration sera organisée. Pour l'instant, nous ne posons aucune indication opératoire. Nous prévoyons un prochain contrôle dans 3 mois et conseillons la poursuite du traitement physiothérapeutique, le but étant de pouvoir arriver à marcher sans canne et d'effectuer les activités de la vie quotidienne. La patiente est donc toujours en suivi dans notre service. Nous prévoyons un prochain contrôle dans 6 semaines, à 3 mois post-opératoires avec un scanner cervical réalisé au préalable. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 11.07.2019. Poursuite de la physiothérapie. Nous prévoyons une reprise du travail à 50% dès le 01.06.2019 jusqu'au 08.07.2019 puis le 09.07.2019, le patient sera revu en consultation pour discuter d'une éventuelle reprise à 100% en cas d'absence de symptomatologie comme ce jour. Nous procédons à l'ablation de la tique, qui est retirée en entier, et à une désinfection locale. Des consignes de surveillance sont données aux parents. En cas d'apparition de symptômes, ils prendront contact avec le pédiatre. Nous procédons à l'ablation des broches du Mallet Finger ce jour. Nous recommandons à la patiente de porter son attelle Stack jour et nuit pour encore 10 jours, puis uniquement la nuit durant 6 semaines supplémentaires. Nous l'encourageons à suivre plus sérieusement les séances d'ergothérapie en lui expliquant l'importance de celles-ci quant à la récupération fonctionnelle et la diminution des douleurs. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Nous procédons à l'ablation des fils et concluons à la fin de traitement. Nous conseillons au patient de trouver un médecin traitant pour future référence. Nous procédons à l'ablation du plâtre ce jour. Nous expliquons à la mère du patient que celui-ci récupérera la mobilité très rapidement. Nous lui recommandons d'éviter les activités à risque tant que la mobilité n'est pas complète. Nous ne prévoyons pas de revoir le patient, la maman reprendra rendez-vous à notre consultation si la récupération de la mobilité ne se fait pas d'ici 1 à 2 mois. Nous procédons à l'extraction de la tique puis désinfectons le site. Nous informons sur les éventuels signes d'infection. Le patient sera suivi par son pédiatre pour la suite. Nous procédons à un rinçage avec de l'eau tiède et extraction manuelle des bouchons à l'aide d'une pincette. Nous expliquons à Mr. Y de rincer régulièrement les oreilles avec un jet d'eau. Nous procédons à une réassurance du patient en expliquant les résultats des prises de sang. Au vu des antécédents de la symptomatologie psychique, nous proposons une prise en charge psychiatrique que le patient accepte. Nous proposons à la patiente de compléter le bilan par une arthro-IRM avec séquence STIR afin de s'assurer qu'il n'y a pas de nouvelle fracture de fatigue et afin de visualiser les possibles altérations liées à un effet cam. Nous reverrons la patiente à l'issue de cet examen afin de refaire le point avec elle. Pas d'incapacité de travail prescrite par nos soins.Nous proposons à Mme. Y de confectionner une attelle pouce de skieur thermoformée en ergothérapie. On revoit Mme. Y dans 1 mois afin de procéder à l'ablation de l'attelle, faire un testing clinique et commencer les séances d'ergothérapie. Nous tendons à prendre rendez-vous avec un de nos collègues pour le prochain contrôle. Nous nous excusons des problèmes d'organisation. Nous proposons à Mme. Y de faire un contrôle chez le médecin traitant dans 1 mois et d'effectuer un test à la recherche de H. pylori. Nous proposons une gastroscopie en ambulatoire si persistance des douleurs malgré le traitement d'épreuve. Nous proposons à Mme. Y de faire une IRM native en position standard et de la revoir à l'issue de cet examen. Pas d'incapacité de travail prescrit par nos soins. Nous proposons à Mme. Y de poursuivre le traitement conservateur avec des séances de physiothérapie. En raison des fortes contractures musculaires, nous prescrivons à Mme. Y du Mydocalm pour la nuit. Reprise du travail dès le 03.02.2019. Prochain contrôle dans 3 mois. En cas de non-amélioration des douleurs et d'une persistance de la symptomatologie avec les irradiations dans les membres supérieurs, nous pourrons lui proposer une stabilisation antérieure avec cages +/- plaques des niveaux C5-C6 ainsi que C6-C7. Nous proposons à Mme. Y d'exclure une infection et un descellement en procédant à un CT du bassin et de la hanche droite ainsi qu'une ponction de cette hanche. Nous reverrons Mme. Y à la suite de ces examens pour faire le point avec elle. Concernant les sensations d'endormissement des deux membres inférieurs, la problématique ne peut expliquer cette symptomatologie. Mme. Y ayant bénéficié d'une spondylodèse L2-L5 en 2015, nous lui recommandons de prendre rendez-vous avec nos collègues du Spine afin de s'assurer que cette sensation d'endormissement n'est pas liée à un problème du rachis. Nous proposons à Mme. Y et son papa, une prescription d'ergothérapie pour une attelle thermoformée prenant le 4ème et 5ème doigt avec une syndactylie pour une durée de 3 semaines. Nous la reverrons pour un contrôle radioclinique le 22.05.2019. Nous proposons à Mme. Y une ablation totale de l'attelle. Poursuite des séances d'ergothérapie avec mobilisation libre et progressive. Nous proposons à Mme. Y une prise en charge chirurgicale par mise en place d'une prothèse totale de hanche gauche par voie antérieure. En raison de l'ostéopénie, nous proposons de cimenter la composante fémorale. Nous expliquons à Mme. Y les tenants et aboutissants de l'intervention, de même que les suites et les risques opératoires. Mme. Y comprend nos explications et nous donne son accord en signant le formulaire de consentement. Nous nous chargeons d'organiser l'intervention pour la fin de l'été. Nous proposons à Mr. Y de faire de la physiothérapie et une école du dos, ainsi que du stretching des muscles abdominaux. Nous reverrons Mr. Y dans 1 an. Nous proposons au médecin traitant de compléter le bilan par dosage de ferritine et vitamine B12. Nous proposons au médecin traitant de référer Mr. Y chez un allergologue au vu des deux épisodes de réactions anaphylactiques sévères précédentes. Nous proposons au médecin traitant d'effectuer un bilan cardio-vasculaire en ambulatoire et d'évaluer la nécessité d'introduire un traitement anti-hypertenseur en raison d'une persistance de tensions élevées chez nous. Nous proposons à Mr. Y d'arrêter de porter le Schlupfgips et de mettre en place une semelle rigide à porter durant 3 semaines, puis selon douleurs. Nous lui laissons les cannes pour son confort avec consigne de les abandonner dès que les douleurs le permettent. Nous lui conseillons de poursuivre la prophylaxie antithrombotique tant qu'il utilisera les cannes. Nous lui recommandons d'attendre 2 mois avant de reprendre le kick boxing. Prochain contrôle dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique avec charge, afin d'évaluer la reprise sportive. Nous proposons à Mr. Y de commencer par des séances de physiothérapie et d'ergothérapie selon le protocole TFCC. Nous lui prescrivons 2 bons à cet effet et prévoyons de le revoir dans 2 mois pour un nouveau contrôle clinique. Nous proposons à Mr. Y de faire réaliser un CT-scanner afin de mieux visualiser les néostructures osseuses. Nous le reverrons à l'issue de cet examen afin de faire le point avec lui et éventuellement lui proposer une ablation chirurgicale des becs osseux douloureux. Nous proposons à Mr. Y de garder l'attelle encore 2 semaines et commencer la mobilisation douce (passive/active assistée de l'IPP de la MCP) avec l'ergothérapie. Nous allons programmer un nouveau contrôle radioclinique dans 1 mois pour voir l'évolution. Prolongation de l'arrêt de travail pour encore 1 mois. Nous proposons à Mr. Y de le revoir en présence du Dr. X afin de le réévaluer cliniquement et de procéder à une relecture de l'IRM du jour. Prochain contrôle la semaine prochaine. Nous proposons à Mr. Y de poursuivre la physiothérapie avec mobilisation libre selon douleur et charge progressive. Nous estimons qu'il est trop tôt pour une reprise de son activité professionnelle les bras loin du corps, raison pour laquelle, nous prolongeons son arrêt de travail jusqu'à 3 mois postopératoires. Prochain contrôle radioclinique le 22.05.2019. Nous proposons à Mr. Y de poursuivre l'ergothérapie afin de désensibiliser la pulpe de son index et de poursuivre les exercices de mobilisation. Nous le reverrons dans 2 mois pour un nouveau contrôle clinique afin d'évaluer la reprise du travail. Il reste à l'arrêt à 100% jusqu'au prochain contrôle (Mr. Y est droitier, maçon). Nous proposons à Mr. Y de poursuivre les séances de physiothérapie et de commencer à travailler la rotation externe en actif. Nous l'autorisons également à une reprise de travail à 100% sans activité de force utilisant le bras droit. Nous reverrons Mr. Y dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Nous proposons à Mr. Y de réaliser une US par le Dr. X qui nous permettra de bien suivre le nerf et de confirmer que la lésion se trouve sur le trajet de celui-ci. Nous reverrons Mr. Y à l'issue de cet examen pour refaire le point avec lui. Pas d'incapacité de travail par nos soins. Nous proposons à Mr. Y d'essayer dans un premier temps un traitement par infiltration et ergothérapie de drainage et de mobilisation, anti-inflammatoires topiques et attelle d'extension nocturne. Nous planifions l'infiltration dans les meilleurs délais. Nous proposons à Mr. Y la poursuite du traitement conservateur avec marche en charge selon douleurs sous protection de sa chaussure Darco pour une durée minimale de 3 semaines, le temps que la fracture consolide, puis selon douleurs. Nous lui expliquons qu'étant donné de la fracture intra-articulaire, il présente un risque plus élevé que la population normale de développer une arthrose à cet orteil. Malheureusement, une prise en charge chirurgicale ne permettrait pas d'améliorer la situation. Mr. Y, étudiant, exerce deux jobs, l'un comme livreur à la poste et l'autre comme employé de bureau. Nous l'autorisons à poursuivre son activité d'employé de bureau mais nous lui prescrivons un arrêt de travail de 100% de 2 semaines pour les livraisons à la poste. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Pour la reprise du travail, Mr. Y discutera avec son médecin traitant. Nous proposons à Mr. Y un traitement conservateur avec poursuite de la physiothérapie à but de mobilisation de l'épaule en actif selon douleurs, travail de la coordination et de tonification de la coiffe postérieure. Nous lui recommandons d'arrêter le sport durant 6 mois pour les sports de contact et 3 mois pour les autres sports, comme le fitness.Nous proposons au patient une ablation du matériel d'arthrodèse. Le patient aimerait se faire opérer le plus rapidement possible. Raison pour laquelle ce sera le team épaule qui s'en chargera. Le patient signe le consentement éclairé. Nous proposons au patient une hospitalisation en médecine interne. En raison de l'anosognosie quant à sa situation clinique, le patient refuse. Nous demandons un consilium psychiatrique qui conclut à la nécessité d'un PLAFA. Pour la nécessité d'une surveillance rapprochée, nous hospitalisons le patient en soins intensifs. Nous proposons au patient une neurolyse du nerf péronier superficiel +/- reconstruction de celui-ci par allogreffe nerveuse cadavérique. Nous expliquons au patient que le résultat de l'intervention est loin d'être garanti et qu'il existe même une probabilité pour que cette douleur soit aggravée après celle-ci. Le patient comprend nos explications et signe le formulaire d'information et de consentement. Nous proposons au patient une prise en charge chirurgicale par reconstruction des ligaments coraco-claviculaires par endobutton. Mr. Y est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est signé. Une date opératoire est fixée pour le 11.04.2019. Nous proposons au patient une prise en charge chirurgicale par réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque et vis. Nous expliquons au patient les tenants et aboutissements de l'intervention, de même que les risques opératoires, le patient nous donne son accord en signant un formulaire de consentement. Préalablement à l'opération, nous nous chargeons d'organiser un scanner de la main afin de clarifier cette image suspecte de la base du 5ème métacarpien. Nous proposons aux patients de protéger encore ses fractures jusqu'à 3 semaines du traumatisme, à savoir encore une dizaine de jours. Après cela, nous lui recommandons de commencer les séances d'ergothérapie à but de mobilisation de ses doigts, afin de récupérer rapidement des raideurs induites. Nous le reverrons dans 6 semaines afin de refaire le point avec lui et d'évaluer une reprise du travail. Dans l'intervalle, prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 14.06.2019. Nous proposons aux parents de garder Niara en surveillance neurologique suite à cet épisode de perte de connaissance, mais les parents se sentent rassurés et refusent l'hospitalisation, veulent rentrer et revenir si récidive. Ils signent la décharge de responsabilité. Nous proposons de compléter le bilan radiologique par un CT-scan et une IRM du coude gauche et reverrons la patiente à la suite de ces examens pour discuter de la suite de la prise en charge. Nous proposons de poursuivre la physiothérapie pour un gain d'amplitude au niveau de son IPP et IPD. À cela, nous encourageons la patiente à pratiquer une activité sportive. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Nous proposons de poursuivre le traitement conservateur, ceci d'autant plus que nous sommes déjà à 3 semaines du traumatisme. Le patient est informé qu'il ne doit pas charger sur le pied G. Malgré nos recommandations, nous le voyons encore charger sur le pied G sur le trajet pour aller faire un plâtre. Prochain contrôle radioclinique dans 5 semaines, soit à 8 semaines du traumatisme (rx en charge). Nous proposons de réévaluer l'indication à la Digoxine. Prochain contrôle chez Dr. X le 03.06.2019. Nous vous proposons de faire un bilan d'anémie en ambulatoire. Nous proposons de revoir le patient dans une semaine pour un contrôle clinique et réalisation de VNG et VHIT. Nous proposons d'organiser un Holter ainsi qu'une échocardiographie transthoracique de contrôle à distance (3 mois) avec poursuite de la double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine (à vie) et Prasugrel (pour 6 mois). Nous vous proposons également d'organiser un suivi à 3 mois auprès du Dr. X, angiologue traitant, pour la suite de la prise en charge. Nous vous laissons également le soin de surveiller le point de ponction fémoral de l'examen du 17.05.2019. Nous proposons un bilan cardiaque en ambulatoire dès que possible au HFR avec ETT, Holter et tension artérielle sur 24h (déjà demandé aux urgences). Nous proposons un bilan des facteurs de risques cardiovasculaires chez le médecin traitant. Au vu de la situation professionnelle stressante du patient, nous lui proposons un arrêt de travail de 2 semaines et de réévaluer la nécessité d'une réduction du temps de travail ou d'une prolongation de l'arrêt. Nous proposons un bilan des facteurs de risque cardio-vasculaires en ambulatoire chez le médecin traitant avec bilan lipidique et recherche d'un diabète. Nous proposons également un bilan cardiaque avec un Holter sur 3 jours et un R-Test. Nous mettons en place un traitement d'Aspirine Cardio 100 mg/j. Nous proposons aussi l'organisation d'une IRM cérébrale en ambulatoire. Nous proposons un prochain contrôle clinique dans 1 mois. Nous expliquons à la maman l'importance de bien porter cette attelle car cela va aider à revenir en position varus. Nous proposons un rendez-vous chez vous pour un contrôle clinique dans une semaine. Nous proposons un traitement antalgique par Dafalgan, Irfen et Sirdalud (avec précision sur le fait de ne pas conduire pendant 8 heures après la prise du Sirdalud). Feuille de surveillance post-traumatisme crânien donnée. Si les symptômes persistent, conseils de voir son médecin traitant la semaine prochaine pour la réalisation d'une IRM. Nous proposons un traitement conservateur au moyen d'une botte plâtrée pendant 3 semaines. La patiente sera convoquée dans les 4 jours pour un contrôle clinique et radiologique à la consultation d'orthopédie. Le cas a été vu et discuté avec Dr. X. Nous proposons un traitement conservateur avec confection d'un plâtre scaphoïde fermé ainsi qu'un nouveau CT-scan avec un contrôle à notre consultation le 22.05.2019 pour discuter du résultat et évaluer l'ablation du plâtre. Incapacité de travail à 100% du 03.04.2019 au 03.07.2019. Nous proposons un traitement conservateur avec une immobilisation pour un total de 6 semaines. Nous reverrons la patiente à 6 semaines du traumatisme pour un contrôle radioclinique et afin de débuter la rééducation en ergothérapie. Nous proposons un traitement en 2 étapes, tout d'abord une physiothérapie avec préparation de la musculature par chaleur, par exemple bicyclette ou tapis roulant, puis stretching de la musculature qui est contracturée, ce qui concerne plutôt la partie du droit antérieur du quadriceps, puis une mobilisation active assistée, voire passive douce pour améliorer la flexion et la rotation externe. Le patient sera revu dans 2 mois et demi, soit le 23.07.2019. On fera éventuellement une radiographie, mais on fera d'abord un test clinique. Si la situation ne s'améliore pas, on organisera un CT-scanner avec reconstruction multi-planaire et 3D pour voir si éventuellement l'ossification en regard du petit trochanter joue un rôle avec cette mobilité restreinte. Nous proposons une attitude conservatrice avec minerve mousse à porter pour les 7 premiers jours et traitement par Mydocalm pendant 10 jours. Prescription de physiothérapie pour soulager les cervicales est envisageable. Une éventuelle infiltration péri-radiculaire C8 droite pourra être envisagée en cas de persistance des douleurs au niveau du bras droit. Arrêt de travail pour 6 semaines. Prochain contrôle le 04.06.2019.Nous proposons une exérèse osseuse au niveau du tubercule péronéen D avec plus ou moins suture des tendons selon l'état intra-opératoire. Nous lui expliquons les risques et les bénéfices en insistant sur le risque de nécrose cutanée et de lésion nerveuse à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Hospitalisation de 3-4 jours avec immobilisation par plâtre pour 4-6 semaines. Arrêt de travail d'environ 8 semaines. Nous proposons une nutrition artificielle avec par exemple 1 flacon Ensure protéine max par jour. Nous nous rappelons pour fixer une consultation et une date opératoire. Nous rassurons Mr. Y ainsi que son papa sur la nature bénigne de ce problème statique à corriger par physiothérapie à Courtepin selon le protocole ainsi qu'une correction et compensation par semelles du côté gauche en commençant par 8 mm. Nous reverrons le jeune patient dans 6 mois avec des rx de contrôle afin de juger de la réponse aux mesures instaurées. Nous rassurons Mme. Y et sa maman par rapport à l'absence de lésion sur les radiographies et ne prévoyons pas de prochain contrôle. En raison d'une symptomatologie allergique décrite par la patiente surtout lors des changements de saisons avec rougeur au niveau de la gorge et difficulté à avaler ainsi que douleurs à la gorge conséquente, nous prions le médecin traitant d'organiser un examen spécialisé chez un allergologue. Nous rassurons Mme. Y quant à la tuméfaction de sa cicatrice qui est tout à fait normale à 4 mois sexuellement post-opératoire. La cicatrice se stabilisera au bout d'un an. La patiente étant potentiellement demandeuse d'une AMO encore sur sa franchise de cette année. Nous organisons un contrôle radioclinique en octobre pour discussion. Nous lui rappelons que si cette plaque ne la dérange aucunement au port de chaussures ou lors de certaines activités sportives, il ne sera pas absolument nécessaire de le faire, ceci lui épargnant les risques d'une ré-intervention. Nous rassurons Mme. Y quant au résultat radiologique nous permettant d'exclure une lésion ligamentaire et d'ôter la minerve. Une minerve mousse peut être utilisée encore quelques jours à but antalgique. Antalgie au besoin et reprise des activités habituelles de façon graduelle. Elle est informée que les douleurs peuvent persister encore quelques semaines suite à une telle contusion. Vu l'absence de lésion, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle. Nous rassurons Mr. Y au sujet de son diagnostic. Nous prescrivons une attelle Aircast pour 4 à 6 semaines et nous concluons à la fin du suivi en policlinique d'orthopédie. Il se rendra chez son médecin traitant pour le suivi. Nous rassurons Mr. Y quant à cette très bonne évolution et reverrons le patient dans 3 mois pour un nouveau contrôle radioclinique. Le patient nous recontactera entre temps en cas de nouvelle douleur pour une nouvelle évaluation. Nous lui rappelons l'importance de l'hygiène posturale et du redressement du dos par le biais du physio-fitness. Nous rassurons notre jeune patiente et ses parents suite à cette bonne évolution et prévoyons un prochain contrôle dans 6 semaines avec RX colonne totale f/p nous permettant de suivre également la scoliose déjà connue. Nous organisons également ce même jour une IRM de la colonne cervico-dorsale afin de complètement écarter cette suspicion de petit hématome épidural évoqué au moment de l'accident par nos collègues radiologues. Nous laissons nos collègues de la pédopsychiatrie le soin de garantir le reste du suivi. Nous prions également nos collègues pneumologues, de bien vouloir recevoir la patiente à sa consultation pour un contrôle clinique en raison de sa lésion bronchique traitée conservativement. Nous rassurons notre patient par rapport à ces petits changements dégénératifs avec signe de discopathie dégénérative L1-L2 et L2-L3 mais surtout au vu de cette suspicion de petit tassement du plateau supérieur de L1 sans œdème important sur l'IRM. La fracture se montre stable d'un point de vue radiologique avec une amélioration progressive de la clinique. Nous lui proposons donc un sevrage progressif du corset sur les 2 prochaines semaines en lui prescrivant du Co-Dafalgan et du Mydocalm comme thérapie à but de contrôler le déconditionnement musculaire entraîné entre temps par cette immobilisation. Nous prévoyons un dernier contrôle dans 3 semaines et demi afin de juger de la possibilité d'une reprise du travail à 50% avec une reprise complète 2 semaines après en cas de bon état général et de bonne tolérabilité. Nous restons à disposition entre temps en cas de changement. Nous rassurons notre patient par rapport à cette bonne évolution qui nous confirme la pathologie au niveau L4-L5. Nous proposons une reprise progressive du travail à 50% puis à 100%. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Nous lui expliquons les différentes possibilités thérapeutiques soit avec des infiltrations L4-L5 soit avec une dénervation soit par des infiltrations de Curavisc ou dans le cas où les douleurs devaient encore récidiver de manière insoutenable, de pratiquer une intervention chirurgicale soit par XLIF soit par ALIF soit par TLIF des deux niveaux. Pour l'instant, nous insistons beaucoup sur le renforcement musculaire et les étirements. Nous rassurons notre patient par rapport à la bonne évolution et lui permettons de se sevrer progressivement de sa minerve durant les prochaines semaines. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie à but de recréer la musculature cervicale. Nous lui conseillons de faire un bilan plus étendu concernant ses douleurs sous-costales lesquelles nous ne pouvons pas interpréter dans un contexte d'une maladie de la colonne et devant plutôt mériter un bilan hépatique et cardiologique et en cas de diagnostic d'exclusion, ces dernières pourraient être interprétées dans un cadre de contusion musculaire post-traumatique. Nous rassurons notre patient par rapport à la consolidation de cette fracture du point de vue radiologique et l'absence de changement pour les autres niveaux et pensons qu'il est très important pour sa qualité de vie ainsi que pour sa reprise professionnelle, de regagner de la mobilité avec résolution de cette limitation fonctionnelle due à la contracture musculaire para-vertébrale bilatérale. Nous le mettons donc au bénéfice d'une thérapie avec anti-inflammatoires et myorelaxants. Prescription de physiothérapie active avec travail musculaire intensif afin de résoudre cette problématique. Prochain contrôle le 04.06.2019 afin de juger de la possibilité de reprise de son travail en tant que chauffeur de bus au TPF. Nous rassurons notre patient par rapport à l'amélioration clinico-radiologique avec impression de petite diminution des collections sous-durale temporo-pariétales bilatérales ainsi que du petit pneumencéphale surtout temporal gauche. Nous restons tout de même prudents au vu des prises de contrastes temporales droites pouvant correspondre à la contusion post-traumatique mais devant quand même être suivies pour être sûr de l'absence d'une lésion structurelle pouvant expliquer une épilepsie. Nous organisons une nouvelle IRM cérébrale dans 2 mois, sur laquelle nous pourrons également suivre les hématomes sous-duraux avec un contrôle à notre consultation. Nous rappelons au patient les signes alarmants en cas d'éventuelle méningite au vu de la fracture avec pneumencéphale en regard, tels que fièvre, maux de tête ou raideur de nuque devant motiver une consultation urgente à l'HFR. Nous préconisons la poursuite du suivi ORL, neuropsychologique et neurologique et prions le médecin traitant d'organiser une IRM cardiaque comme décrit par nos collègues lors de la sortie du patient à la recherche d'une lésion structurelle ou de signe d'une cardiomyopathie qui n'ont pas été mis en évidence par le reste des examens pour bilan de syncope.Nous restons à disposition en cas de nouveau symptôme pour voir le patient plus rapidement. Nous rassurons notre patient par rapport au bon résultat radiologique ainsi qu'au vu des résultats rassurants du myélo-CT et de l'examen électroneuromyographique, lequel met en évidence une atteinte axonale sur polyneuropathie débutante ainsi qu'une radiculopathie irritative L5 gauche. Les douleurs actuellement sont plutôt neuropathiques sur L5 sans Lasègue ainsi que d'allure musculaire dues au rebalancement de la colonne au niveau lombaire bas. Nous encourageons le patient à bien suivre cette thérapie en milieu hospitalier à la Suva. Nous le reverrons pour un contrôle à un an de l'intervention, soit en novembre 2019. Nous restons à disposition entre temps si nécessaire. Nous rassurons notre patient quant à l'absence de pathologie cérébro-cervicale significative et le mettons au bénéfice de séances de physiothérapie pour école du dos, étirements ainsi que thérapie pour la coiffe des rotateurs vu le métier du patient. Nous restons à disposition en cas d'absence d'amélioration ou de nouveau symptôme. Nous rassurons notre patiente par rapport à l'absence de lésion post-traumatique ligamentaire ou osseuse et lui conseillons la poursuite du traitement conservateur avec physiothérapie et école du dos ainsi qu'une thérapie pour la musculature qui est encore contractée. Concernant sa pathologie dégénérative cervicale, nous conseillons encore la poursuite active de perte de poids ainsi que des exercices ciblés pour une bonne hygiène posturale. Nous restons à disposition en cas de nouveau symptôme mais ne prévoyons pas de contrôle d'emblée. Nous rassurons notre patiente quant à la stabilité de cette fracture et la bénignité de celle-ci. Nous préconisons un contrôle à 6 semaines de la découverte de cette fracture, c'est-à-dire dans 4 semaines environ. Poursuite du traitement conservateur. Nous prions le médecin traitant d'organiser une ostéodensitométrie avec bilan d'ostéoporose et éventuelle thérapie à adapter selon les résultats. Ceci servirait donc à prévenir des éventuelles fractures dans l'avenir et même à prévenir une cyphotisation sur progression de cette fracture. La patiente est informée qu'elle doit nous recontacter en cas de récidive majeure des douleurs ou de nouveau déficit. Nous réalisons des radiographies ne montrant pas de fracture. Après avis orthopédique, nous mettons en place un traitement conservateur avec contrôle à J7 à la consultation du Dr. X, orthopédiste. Nous réalisons un bilan biologique montrant un syndrome inflammatoire avec une CRP à 37 mg/l et des leucocytes à 15.9 G/l avec une prédominance des neutrophiles (14.15). Nous prélevons des hémocultures avec poursuite du traitement de Clindamycine et majoration à 4 prises par 24h sur avis du Dr. X. La patiente est reconvoquée à la filière des urgences ambulatoires le 26.05.2019 pour un contrôle clinico-biologique. Nous réalisons un bilan biologique montrant une CRP à 11 mg/l sans leucocytose. La radiographie du thorax ne montre pas la présence d'un foyer. Nous administrons une séance d'aérosols d'Atrovent-Ventolin avec une amélioration de la symptomatologie. Au vu de la suspicion d'un probable asthme, nous recommandons une consultation pneumologique pour la suite de la prise en charge. Nous réalisons un bilan radiologique de l'épaule droite qui révèle une fracture du tiers médial de la clavicule droite. Après avis de Dr. X, orthopédiste, nous mettons en place un rucksack avec contrôle radiologique. La patiente prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans une semaine. En ce qui concerne le traumatisme crânien, nous ne retenons pas d'argument pour une imagerie (status neurologique dans la norme, pas d'anticoagulation). La patiente étant accompagnée de son mari, nous la laissons rentrer à domicile avec la feuille d'informations sur les traumatismes crâniens. Nous réalisons un ECG et un dosage des troponines excluant un évènement coronarien aigu. Nous effectuons une radiographie du thorax qui est sans particularité. Sur le plan hématologique, nous administrons du Konakion 10 mg avec contrôle le 26.05.2019 à la filière des urgences ambulatoires de la crase. Nous réalisons un ECG mettant en évidence un sus décalage D1 V5 V6 V7. Au comparatif, l'ECG 2007 n'est pas superposable. Nous administrons 500 mg d'aspirine, 60 mg Efient, 5000 liquémine, 1 push d'isoket. Nous transférons le patient en coronarographie pour suite de la prise en charge. Le transfert se fait en ambulance. Nous réalisons un ECG qui revient sans anomalie. Nous réalisons une radiographie du thorax à la recherche d'un pneumothorax qui revient dans la norme. Nous analysons les troponines qui sont sans cinétique. Pour exclure une embolie pulmonaire, nous analysons aussi les D-dimères qui sont négatifs. Nous retenons donc des douleurs thoraciques d'origine pariétale, pour lesquelles nous donnons au patient de l'antalgie, avec une bonne amélioration des symptômes. Au laboratoire, nous mettons en évidence une légère hypokaliémie à 3.3 mmol/l pour laquelle nous donnons au patient un traitement de Potassium Effervette pendant deux jours. Mr. Y peut donc rentrer à domicile. Nous réalisons un examen clinique et un bilan biologique rassurant. La patiente ayant bénéficié d'une évaluation psychiatrique le jour même avec une hospitalisation programmée, nous la laissons rentrer à domicile en compagnie de son époux. Nous réalisons un examen clinique mettant en évidence un souffle systolique connu max foyer pulmonaire. Nous excluons une cause cardiaque en réalisant des troponines, cependant après le premier train s'élevant à 23, nous administrons préventivement 500 mg d'Aspirine Cardio. Le bilan biologique ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer clair. Nous administrons un push d'isoket avec peu d'amélioration. L'ECG montre un rythme sinusal avec des extrasystoles ventriculaires connues. Nous retenons une bronchite virale asthmatiforme subaiguë pour laquelle nous administrons des aérosols avec une amélioration de la symptomatologie. Nous indiquons un contrôle rapproché chez le médecin traitant et nous indiquons également un contrôle chez le cardiologue traitant. Nous réalisons un examen clinique montrant une reproduction des douleurs lors de la flexion de l'épaule gauche. L'anamnèse et l'ECG ne sont pas en faveur d'une origine cardiaque. Nous retenons une probable origine pariétale et prescrivons un traitement antalgique. Le patient prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle en cas de non-amélioration. Nous réalisons un examen clinique ne montrant pas de corps étranger et le test à la fluorescéine est sans particularité. Nous prenons un avis auprès de l'ophtalmologue de garde, qui indique une consultation au HFR Fribourg dans le service d'ophtalmologie le jour même. Le patient y est amené par une tierce personne. Nous réalisons un examen clinique ne montrant pas de signe de gravité. Nous complétons le bilan par un stix urinaire montrant une leucocyturie. Nous prescrivons un traitement de Nitrofurantoïne durant 5 jours et indiquons un contrôle chez le médecin traitant en cas de péjoration ou de non-amélioration des symptômes. Nous réalisons un examen clinique qui se montre rassurant. Le bilan biologique est aligné, le sédiment urinaire montre 11-20 T/l érythrocytes par champ (patiente ménopausée). Nous effectuons un Ultrason abdominal qui est sans particularité. Nous indiquons un sédiment urinaire de contrôle la semaine prochaine auprès du médecin traitant. Nous réalisons un examen clinique rassurant et laissons repartir la patiente à domicile en compagnie de sa fille.Nous réalisons un examen clinique rassurant et retenons une conjonctivite d'origine allergique. Nous prescrivons un traitement topique anti-histaminique et des larmes artificielles. Nous indiquons de prendre un rendez-vous chez le médecin traitant pour un contrôle en cas de non amélioration. Nous réalisons un examen clinique rassurant. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire et de désordres électrolytiques. Nous mettons en place un traitement symptomatique et indiquons un contrôle chez le médecin traitant en cas de péjoration. Nous réalisons un examen clinique rassurant ne montrant pas de signe d'exacerbation d'un asthme. Nous suspectons une infection des voies respiratoires supérieures d'origine virale sans complication et n'effectuons pas d'examen paraclinique et prescrivons un traitement symptomatique. Mme. Y consultera cette semaine son médecin traitant dans le cadre d'un rendez-vous programmé. Nous réalisons un examen clinique rassurant. Nous administrons aux urgences du Paracétamol, de l'Ibuprofène et du Sirdalud avec une amélioration de la symptomatologie permettant un retour à domicile. Nous réalisons un examen clinique rassurant. Nous administrons une antalgie par palier 1, 2 puis 3 avec amélioration des douleurs permettant un retour à domicile avec prescription de Tramadol en plus du traitement prescrit par le médecin traitant. IRM est programmé par le médecin traitant le 04.06.2019. Nous réalisons un laboratoire montrant des leucocytes à 3.0 G/l avec une neutropénie à 1.02 G/l. Le syndrome inflammatoire est en diminution avec une CRP à 22 ng/l (34 le 29.03.2019). Nous retenons une probable leucopénie transitoire post infectieuse. Concernant sa médication, nous invitons le médecin traitant à réévaluer l'indication de l'Aspirine Cardio. Nous indiquons à Mme. Y de prendre rendez-vous avec son médecin traitant le 01.04.2019 pour un contrôle biologique. Nous réalisons un laboratoire qui montre une CRP à 15 mg/l sans leucocytose. Le CT-scanner abdominal ne montre pas de signe d'appendicite mais il montre un aspect polykystique du rein droit dont le plus gros mesurerait 1.6 cm. Nous prenons l'avis du Dr. X, chirurgien. Nous prenons un avis gynécologique qui indique un contrôle chez le gynécologue traitant ou de garde de l'HFR Fribourg si besoin. Mme. Y se présentera à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinico-biologique le 07.05.2019 à 12H00. Mme. Y est libre de rentrer à domicile avec une antalgie par Paracétamol et Buscopan. Nous réalisons un lavage abondant au sérum betadiné puis au sérum physiologique. Nous faisons une suture cutanée par 5 points à l'Ethilon 4.0. Nous mettons en place un pansement par Jelonet, des compresses et des bandes après désinfection. Contrôle et réfection du pansement à 48 heures en policlinique d'orthopédie. Ablation des fils à 7 jours si cicatrisation. Antalgie par Dafalgan et Algifor de rapport dose/poids adapté à Mme. Y. Nous réalisons un ultrason qui montre un aspect discrètement hétérogène des tendons courts et longs extenseurs du pouce, une minime lame de liquide dans la gaine mais pas de rupture visible. Nous demandons un avis orthopédique au Dr. X qui propose le maintien de la prise en charge proposée le 11.05 avec un contrôle à sa consultation à 1 semaine, des AINS et la poursuite de l'immobilisation du pouce et du poignet jusqu'au contrôle. Dans ce contexte et au vu d'un patient cliniquement rassurant, il rentre à domicile avec une ordonnance, l'attelle et le numéro pour la prise de rendez-vous chez le Dr. X. Nous réalisons une désinfection des plaies avec une pose de colle sur la coupûre aux bords nets et rapprochés au niveau du D2. Nous faisons un rappel anti-tétanique et donnons un rendez-vous de contrôle pour samedi avec un arrêt de travail d'ici là. Elle reçoit de l'antalgie pour la gestion de la douleur. Nous réalisons une désinfection locale, puis une anesthésie locale pour ensuite réaliser une petite incision au niveau de la masse. Il sort une petite quantité de pus. Il reste la glande séborrhéique qui est plus profonde. Nous faisons un pansement et prévoyons un contrôle le lendemain pour le suivi de la plaie. Nous mettons un arrêt de travail pour la fin de la semaine, en raison d'un travail physique chez Micarna. Nous prescrivons aussi de l'antalgie. Si la glande séborrhéique persiste à le déranger, nous pouvons lui proposer un rendez-vous chez un chirurgien pour l'enlever. Nous réalisons une exploration sous garrot en raison du saignement actif et suturons la plaie après exploration, désinfection et rinçage. Nous réalisons des points de rapprochement, administrons 2.2 g iv de Co-Amoxicilline et indiquons de fixer un contrôle le 29.05.2019 en filière des urgences ambulatoires. Après l'exploration, le patient ne présente plus d'hypoesthésie au niveau du nerf ulnaire, mais l'hypoesthésie au niveau du terrain du nerf médian reste stable. Le patient est renseigné du fait qu'en cas de persistance de l'hypoesthésie, il y a une indication à l'exploration au bloc opératoire, raison pour laquelle il se présentera en filière des urgences ambulatoires à jeun depuis minuit. Nous réalisons une radiographie de l'épaule gauche qui montre une fracture du 1/3 distal de la clavicule gauche non déplacée. Nous mettons en place un gilet orthopédique et nous administrons une antalgie et nous réalisons un arrêt de travail. Le patient sera suivi à la policlinique d'orthopédie à 7 jours. S'il n'a pas de douleur lors du contrôle en policlinique d'orthopédie, ablation du gilet, immobilisation et physiothérapie. Nous réalisons une radiographie de l'épaule gauche qui montre une luxation antérieure de l'épaule sans fracture. Le Dr. X, médecin-assistant en orthopédie vient examiner la patiente et réduire la luxation. La patiente n'a pas déficit au niveau du nerf axillaire ni en pré- ni en post-réduction de la luxation. Nous avons fait une radiographie de contrôle après la réduction qui a montré la bonne réussite de la manœuvre, sans lésion de Bankart mais une petite lésion de Hill Sachs. Nous mettons en place un gilet orthopédique qu'elle devra porter pendant 3 semaines. Elle prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans 7 jours. Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie par Dafalgan si nécessaire. Nous réalisons une radiographie du pied chez Mme. Y pour exclure une fracture ostéoporotique ou une fracture de stress malgré une clinique peu évocatrice vers ce diagnostic. Nous suspectons une fasciite plantaire du pied D, que nous traitons pour les premiers temps par une antalgie fixe, du repos, une décharge par les béquilles selon les douleurs et par de la physiothérapie et des étirements doux à domicile. Mme. Y est informée que si la situation se péjore ou ne s'améliore pas, qu'elle peut reconsulter la Permanence ou son médecin traitant. Nous réalisons une radiographie du poignet gauche qui ne montre pas de fracture. Nous mettons en place une attelle à but antalgique. Le patient prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle le 27.05. Nous réalisons une radiographie du thorax ne montrant pas de complication. Le bilan biologique est aligné avec des paramètres hépatiques dans la norme. Nous prescrivons une antalgie. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. Nous réalisons une radiographie du thorax ne montrant pas de complication. Nous prescrivons un traitement antalgique et indiquons un contrôle chez le médecin traitant en cas de non amélioration. Nous réalisons une radiographie ne montrant pas de fracture. Nous demandons un avis orthopédique au Dr. X et mettons en place un traitement conservateur. Mme. Y est convoquée à J7 pour un contrôle à la consultation du Dr. X.Nous réalisons une radiographie ne montrant pas de pneumothorax ou de foyer. L'ECG ne montre pas de signe d'ischémie aiguë. Le résultat des trois trains de troponines n'est pas en faveur d'une cause cardiaque. Nous réalisons un score de Genève modifié revenant à 5 raison pour laquelle nous dosons les D-Dimères qui reviennent à 723 ng/ml justifiant un angio-scanner excluant une embolie pulmonaire. Nous réalisons une radiographie nous faisons suspecter une fracture métaphyso-diaphysaire radiale gauche en motte de beurre. Nous réalisons un plâtre antébrachial fendu et indiquons un contrôle à J7 à la policlinique d'orthopédie. Nous prescrivons une antalgie et réalisons un certificat d'arrêt de sport. Nous réalisons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous retenons donc le diagnostic d'entorse du ligament latéral externe de la cheville droite de stade III. Nous mettons en place une attelle jambière postérieure. Nous lui donnons des cannes anglaises, une thromboprophylaxie par Clexane ainsi qu'une antalgie. Le patient prendra contact en policlinique d'orthopédie pour un contrôle à J7. Nous réalisons une radiographie qui ne montre pas de nouvelle fracture. Après avoir rincé à l'aide d'une aiguille boutonnée avec de la bétadine diluée. Nous effectuons un point de suture à l'Ethylon 4.0 et nous indiquons un contrôle en policlinique à 48 heures. Nous réalisons 2 points de suture au Vicryl au niveau de la partie unguéale et 3 points à l'Ethilon au niveau de la pulpe. Nous mettons en place une antibiothérapie par Céfuroxime en IV avec relais per os par Co-Amoxicilline. Le patient prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle le 21.05.2019. Nous réalisons 3 points de suture avec une ablation à J5 chez le médecin traitant. Nous effectuons également un rappel tétanos. Sur le plan neurologique nous effectuons un CT-scan cérébral natif qui permet d'exclure un saignement chez ce patient sous Aspirine Cardio. Nous remettons la feuille de surveillance neurologique au patient et à son épouse et il peut rentrer à domicile. Nous recommandons une consultation cardiologique en ambulatoire, afin de discuter l'implantation d'un reveal chez cette patiente ayant subi 2 malaises en mars et avril de cette année. Nous rediscutons avec la patiente et ses parents du bilan radiologique entrepris en début d'année à l'Inselspital. Dans un premier temps, nous proposons une prise en charge chirurgicale de la hanche gauche sous forme de luxation chirurgicale avec ostéotomie du grand trochanter, correction de l'offset, puis ostéotomie de dérotation sous-trochantérienne du fémur gauche. Celle-ci devrait permettre de lever le conflit postérieur sans recourir à une ostéotomie péri-acétabulaire de rétroversion. La patiente, ainsi que ses parents sont clairement informés du déroulement de l'opération et des suites postopératoires. La patiente nous donne son consentement éclairé et signe le formulaire. Par la suite, nous envisageons, à distance, d'entreprendre une ostéotomie péri-acétabulaire pour traiter la dysplasie développementale du côté droit. Nous ré-expliquons à la patiente, ainsi qu'à sa maman, l'intérêt d'une prise en charge chirurgicale à savoir une ostéotomie péri-acétabulaire selon Ganz du côté gauche (le plus symptomatique). La patiente et sa maman sont informées des bénéfices et des risques pour lesquels elle signe un consentement éclairé. En ce qui concerne la date opératoire, la patiente et sa mère souhaitent réfléchir et reprendront contact avec nous. À ce moment-là, nous organiserons le rendez-vous avec l'anesthésie. Nous ré-expliquons à la patiente les risques en cas de traitement conservateur que sont le raccourcissement de la clavicule, ainsi que la pseudarthrose. La patiente se dit satisfaite d'avoir retiré le gilet en 8 qui lui provoquait des douleurs et de ne pas avoir fait l'opération. Nous proposons à la patiente une mobilisation passive et active de son épaule sans dépasser l'horizontal et selon douleurs. Nous ré-expliquons à la patiente l'interdiction de port de charges, ainsi que d'exercices physiques. Prochain contrôle dans 4 semaines, soit 8 semaines post-traumatiques avec radiographie. Nous refaisons des plâtres cruro-pédieux ce jour. Nous le reverrons dans 1 semaine pour un contrôle clinique. Nous réservons également une date opératoire pour le 04.06.2019. Nous refixons le drain à la peau par un point à l'Ethibon 2-0. La radiographie du thorax montre que le drain est en place. Le patient peut rentrer à son foyer. Il aura, à priori, un rendez-vous de changement du drain dans 2 mois. Nous regardons de nouveau le CT scan de février 2019 et constatons une arthrose débutante de la sous-astragalienne. Le point douloureux correspond à la tubercule latérale du calcanéum avec un probable conflit avec les tendons péroniers, raison pour laquelle nous effectuons une IRM pour évaluer les lésions tendineuses des péroniers. Nous reverrons le patient suite à cet examen. Nous regardons la cicatrice avec les infirmières spécialistes du service de stomathérapie et concluons à une absence d'infection active mais plutôt à la formation d'un chéloïde avec collection encapsulée et fibrineuse sur une possible réaction secondaire à un fil de suture. Nous arrivons donc à débrider et à rentrer dans cette cavité vide avec sortie d'un sérome sans évidence de pus. Nous pratiquons un rinçage abondant avec du NaCl et une aiguille boutonnée stérile et organisons, en accord avec les infirmières spécialistes, un suivi en ambulatoire avec des soins à domicile par Spitex une fois par jour avec rinçage au Prontosan et à l'aide d'une aiguille boutonnée jusqu'à fermeture spontanée de cette collection et normalisation de la plaie. Les collègues de la stomathérapie reverront le patient le 16.05.2019 et nous contacterons en cas de besoin. Prochain contrôle clinique à notre consultation dans 6 semaines. Nous réitérons au patient la proposition d'une prise en charge chirurgicale par ostéotomie de raccourcissement de l'ulna. Le patient comprend que nous pensons que cette prise en charge est la meilleure option pour lui mais désire encore attendre jusqu'à septembre avant de prendre sa décision. Nous le reverrons donc cet automne afin de faire le point avec lui. Nous remarquons une amélioration de son statut. En effet, la zone du Tinel s'est distalisée. Nous informons le patient que ceci est un signe positif, de reprise des fonctions de ce nerf cubital. Le patient rapporte une sensation de stagnation avec les séances d'ergothérapie et de physiothérapie que nous encourageons à continuer pour conserver les acquis voire gagner encore un peu plus et maintenir ses amplitudes articulaires surtout au niveau de son épaule et de son coude droit. Prochain contrôle clinique dans 12 semaines. Nous remarquons une excellente évolution à 5 mois de la luxation. Poursuite du renforcement musculaire et des exercices. Fin du traitement. Nous restons à disposition. Nous réorganisons une infiltration foraminale C6-C7 à G sous CT au CIMF. Nous reverrons, par la suite, la patiente à notre consultation pour discuter des résultats de cette dernière. Nous répétons un contrôle radioclinique dans 6 semaines, c'est-à-dire à 3 mois de sa dernière fracture et demandons, à nos collègues rhumatologues, de convoquer la patiente au plus vite pour une ostéodensitométrie et contrôle du plan thérapeutique pour l'ostéoporose. Nous retenons actuellement plusieurs DD: Nous demandons un avis ORL - à cause de douleurs au niveau de la palpation de larynx, qui propose une consultation ambulatoire le 15.05. à 10h00, pas de geste en urgence à effectuer. Pas d'élément pour une cause aiguë, comme épiglottite (pas vaccinée contre).Gastrique: RGO? • actuellement la mère refuse IPP car elle-même a fait des palpitations sous Omeprazole • sera à réévaluer après l'examen ORL, mais la clinique reste atypique Psy: le plus probable après l'exclusion des autres causes, car les symptômes sont apparus après le stress et Mr. Y compati aux problèmes de santé de ses proches. Nous puissions exclure: Endocrinologique: TSH 1.5 - dans la norme et pas d'autre sy associé, ni tachycardie, ni hypertension. Respiratoire aiguë - pas de détresse respiratoire Anémie ferriprive - Hb dans la norme Infection aiguë - bilan inflammatoire négatif, y.c. répartition leucocytaire Nous retenons alors une contusion du poignet, nous procédons à l'ablation du plâtre et nous mettons une attelle velcro pour encore dix jours avec un arrêt de sport et une fin de suivi en policlinique. À noter que Mr. Y est suivi par le Dr. X pour une fracture du côté opposé, raison pour laquelle il sera contrôlé pour les diagnostics susmentionnés. Nous retenons, au vu du site de l'abcès, une probable surinfection du sinus pilonidal. On retrouve à l'incision aux urgences, un écoulement de pus important. Mme. Y sera revue au secteur ambulatoire des urgences puis en proctologie pour la suite de la prise en charge. Nous retenons des céphalées de tension typiques chez Mme. Y connue pour cette symptomatologie dans un contexte de reprise du travail. Aux urgences, les douleurs évoluent favorablement (EVA 9 à l'entrée, 1 à la sortie) sous traitement par Primpéran et Voltaren 75 mg. Nous laissons Mme. Y rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Nous préconisons un contrôle de la kaliémie chez le médecin traitant. Nous retenons des douleurs abdominales diffuses complètement résolutives après la prise d'une antalgie par Buscopan et Paracétamol. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de leucocytose et les tests hépato-pancréatiques sont dans la norme. Le sédiment revient propre et le test de grossesse est négatif. Mme. Y peut rentrer à domicile sous traitement antalgique. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour une consultation en cas d'apparition de nouvelles douleurs, ou aux urgences en cas de péjoration durant le weekend. Nous retenons des douleurs pariétales à 1 mois d'un pneumothorax spontané. Il n'y a pas d'argument pour une récidive de pneumothorax. Mr. Y peut rentrer à domicile sous traitement antalgique. Nous retenons le diagnostic d'abcès vs collection sanguine de la fesse gauche. Nous demandons un avis au Dr. X qui propose que Mr. Y soit revu en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique le 09.05.2019. Nous retenons le diagnostic de bouchon de cérumen bilatéral. Suite au rinçage et extraction manuelle du bouchon à gauche, nous remarquons une possible perforation du tympan. Pour cela, nous contactons l'ORL de garde à l'HFR-Fribourg qui planifie un RDV le 09.05.2019 à 14h00. Elle ne souhaite pas d'antalgie dans l'attente. Nous retenons le diagnostic de contusion de la hanche, du genou et du pied gauche. Nous prescrivons un arrêt de sport pendant 1 semaine et d'école pendant 3 jours. Réconsulter si persistance des symptômes au-delà d'une semaine. Nous prescrivons une antalgie simple par Algifor. Charge selon douleurs, marche avec cannes. Nous retenons le diagnostic de contusion du poignet D et autorisons Mr. Y à reprendre ses activités habituelles sans limitations. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Nous retenons le diagnostic de contusion thoracique mineure suite à un coup de coude. Il peut rentrer à domicile sous traitement antalgique. Nous préconisons une consultation chez le pédiatre en cas de non-amélioration. Nous retenons le diagnostic d'entorse du petit orteil du pied gauche avec arrachement osseux. Nous mettons en place un Taping et une semelle rigide pendant 1 semaine. Contrôle clinique chez médecin traitant à 1 semaine. Antalgie par Novalgine. Nous retenons le diagnostic de fracture du trochiter de l'humérus proximal droit non déplacée. Nous mettons en place un gilet orthopédique en expliquant à Mme. Y de bien garder au repos le bras et de bien serrer le gilet pour garder en décharge le bras droit. Nous lui prescrivons une antalgie. Mme. Y prendra rendez-vous chez le Dr. X pour la suite de la prise en charge le 27.05. Nous retenons le diagnostic d'infection virale des voies aériennes supérieures et inférieures avec une composante bronchitique. Nous prescrivons une thérapie symptomatique et conseillons à Mr. Y de réconsulter si péjoration des symptômes au-delà d'une semaine. Nous retenons le diagnostic de pharyngite aiguë à Streptocoque A. Nous prescrivons un traitement antibiotique par Amoxicilline pendant 7 jours et conseillons à Mme. Y et sa maman de réconsulter en cas de non-amélioration au cours de la semaine prochaine. Traitement symptomatique par Algifor et AnginaMCC. Nous retenons le diagnostic de plaie de 2 cm de longueur déhiscente, profonde, infectée et chronique au niveau de l'hypogastre. Nous désinfectons et ouvrons la plaie sur quelques millimètres, nous rinçons avec du NaCl et une aiguille boutonnée. Le Dr. X, chirurgien, fait un pansement compressif. Le Dr. X propose à Mme. Y de prendre un rendez-vous avec la stomathérapeute pour le 03.06.2019, mais s'il n'y a pas de disponibilité, Mme. Y appellera le secrétariat du Dr. X. Elle est suivie 1x/jour par une infirmière qui contrôle la plaie. Nous retenons le diagnostic de prostatite aigue non compliquée avec syndrome inflammatoire modéré (CRP à 45 mg/l et leucocytes à 12.7 G/l) et pas de douleur des loges rénales. Nous prescrivons un traitement ambulatoire par Bactrim forte per os pendant 14 jours. Mr. Y prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle à 5 jours. Il reconsultera les urgences en cas de péjoration. Nous retenons le diagnostic de récidive de pneumothorax droit asymptomatique. Pour cela, nous contactons le chef de clinique de garde en chirurgie à l'Hôpital Cantonal qui envisage une prise en charge conservatrice avec contrôle clinique et radiologique à 48h. Mme. Y rentre à son domicile avec l'indication de réconsulter immédiatement en cas d'apparition des symptômes tels que toux intense, dyspnée. Nous retenons le diagnostic de récidive de syncope neurogène. Nous proposons d'effectuer un bilan thyroïdien auprès du médecin traitant afin d'écarter une éventuelle hyperthyroïdie. Nous conseillons aussi de prévoir un bilan cardiologique en cas de récidive de syncope. Nous retenons le diagnostic de torticolis à droite. Nous prescrivons à Mr. Y une antalgie par Dafalgan, Irfen pour 5 jours, Sirdalud et Tramadol. Nous lui indiquons qu'il ne peut pas conduire dans les 8 heures suivant la prise de Sirdalud. Nous lui conseillons du repos et d'appliquer de la glace. Mr. Y prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour une consultation la semaine prochaine. Il ne veut pas d'arrêt de travail, il est agriculteur à son compte. Nous retenons le diagnostic de vomissements sur gastro-entérite virale. Aux urgences, nous réhydratons Mme. Y et lui donnons un traitement anti-émétique. Elle peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Nous retenons le diagnostic d'entorse bénigne de la cheville droite. Nous mettons en place un traitement antalgique et avec une attelle Aircast. Mr. Y prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle à 7 jours. Nous retenons le diagnostic d'entorse de la 1ère métatarsophalangienne. Nous autorisons Mr. Y à stopper l'utilisation des cannes et à utiliser la chaussure Darco selon douleurs. Pas de nouveau contrôle prévu mais restons à disposition en cas de besoin.Nous retenons le diagnostic d'entorse de l'interphalangienne proximale de l'annulaire gauche. Nous mettons en place une syndactylie pendant 10 jours. Nous prescrivons une antalgie et AINS. Nous donnons à la patiente un arrêt de sport pour 15 jours. Un rendez-vous pour un contrôle clinique sera à fixer chez le pédiatre traitant. Nous retenons le diagnostic d'entorse modérée du ligament latéral interne de la cheville gauche. Nous mettons en place une attelle Aircast avec charge selon les douleurs. Nous lui prescrivons une antalgie. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle dans 7 jours. Nous retenons le diagnostic d'irritation oculaire avec de la fumée lors d'une soudure. Les douleurs sont bien soulagées par un traitement local. Il prendra rendez-vous chez un ophtalmologue pour un contrôle le 25.05.2019. Nous retenons le diagnostic d'otite moyenne aiguë de l'oreille droite. Nous introduisons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 7 jours. La patiente peut regagner son domicile le jour même avec la poursuite de l'antibiothérapie et prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle dans une semaine. En cas de persistance de la clinique, elle reconsultera les urgences. Nous retenons le diagnostic d'une probable crise épileptique inaugurale à investiguer. Nous organisons une IRM cérébrale à l'HFR Riaz pour le 06.05. La patiente prendra rendez-vous chez un neurologue. Nous retenons un probable syndrome du défilé thoraco-brachial à droite avec une hypoesthésie et une dysthésie du membre supérieur droit avec une force à M4+ au membre supérieur droit. La mobilisation cervicale ne montre pas une aggravation ou une amélioration des symptômes. Nous prescrivons un traitement AINS et myorelaxant et indiquons un contrôle chez le médecin traitant en cas de non-amélioration. Nous retenons une dyspnée sur suite d'une toux traitée par antibiotiques chez ce patient diabétique et hypertendu. Il n'y a pas d'argument pour un événement ischémique, thrombotique, infectieux ou une insuffisance cardiaque. Gazométrie artérielle en air ambiant normale avec fréquence cardiaque normale à la sortie du patient. Le patient peut rentrer à domicile et prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. Une échographie cardiaque à distance est à prévoir. Nous retenons une entorse du Chopart pour laquelle nous mettons en place un traitement orthopédique par attelle plâtrée postérieure. Nous lui prescrivons une thromboprophylaxie par Clexane 40 mg SC. Nous organisons un CT-scanner du pied gauche pour le 29.05 (pas possible le 26.05 en urgence) suivi d'une consultation avec le Dr. X le 29.05. Nous retenons une entorse stade II. Nous mettons en place une attelle Aircast 2 semaines jour et nuit, 2 semaines la journée et 2 semaines durant les activités. Prescription d'antalgie simple. La patiente est prévenue de reconsulter son médecin traitant la semaine prochaine. Nous retenons une luxation dentaire des incisives centrales et latérales de la mâchoire supérieure droite. Le patient peut regagner son domicile le jour même avec une antalgie en réserve par Algifor. Il sera vu le 05.05 par le dentiste de garde. Nous retirons la tique et expliquons à la mère qu'ils doivent surveiller les endroits de piqûres entre les 3e et 30e jours après la piqûre et reconsulter en cas de rougeur sous forme de cercle autour du point de piqûre, de nodule rouge-bleu surtout au niveau de l'oreille, du visage ou du mamelon, ou en cas de ganglions dans l'aine, l'aisselle, le cou ou le pli du coude. Ils doivent aussi consulter en cas de fièvre, céphalées, vomissements et comportement inhabituel de l'enfant. Nous retrouvons des plaies superficielles de 0.5 cm avec des excoriations périphériques au niveau de la face dorso-latérale de la cuisse droite. Nous faisons le rappel du tétanos. Nous désinfectons les plaies. La patiente reçoit de l'Augmentin 2.2 g IV aux urgences. Nous prescrivons un traitement par Augmentin 1 g per os matin et soir pendant 5 jours et un traitement symptomatique par Dafalgan et Irfen. La patiente reviendra le 25.05 pour un contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires à 11h00. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle à la fin de l'antibiothérapie. Nous retrouvons une résorption progressive des collections sous-durales résiduelles qui sont en rapport avec la reprise lente d'un cerveau atrophique de sa position afin de colmater l'espace vide sous-dural. Ceci est un phénomène tout à fait normal au vu de l'âge du patient. Pendant cette période et au vu de l'absence de saignement aigu sur les différentes images de contrôle, nous autorisons une reprise du Sintrom si une indication devrait exister et prévoyons un dernier contrôle radioclinique le 20.08.2019 afin de confirmer une éventuelle disparition complète de ces hématomes. Suite à notre examen du jour, nous mettons en évidence des œdèmes très prononcés des MI avec un signe de Godet positif ainsi qu'une fatigabilité de notre patient, raison pour laquelle nous vous prions d'organiser un rdv de suivi et une éventuelle adaptation de la thérapie diurétique en accord. Nous signalons également au patient qu'il devra vous contacter dans les plus brefs délais. Nous nous penchons sur la situation algique des MI et restons à disposition pour un avis complémentaire neurochirurgical si le patient le souhaite. Nous revenons sur le dossier assez complexe de notre patiente avec des douleurs d'origine probablement pluri-factorielle avec un fond de fibromyalgie qui devrait mériter une prise en charge par un centre pluridisciplinaire de la douleur notamment au CHUV avec prise en charge rhumatologique et psychique. Avant de mettre en route ce bilan, nous organisons un Bone CT afin de chercher des points d'hypercaptation pouvant signaler l'endroit qui est le plus inflammé/œdémacié et donc responsable des douleurs. Nous la reverrons à la suite de ce bilan et déciderons de la suite de la prise en charge soit par une dénervation sacro-iliaque droite ou carrément par une demande de prise en charge pluridisciplinaire de la douleur au CHUV. Nous revenons sur les images depuis le début de sa maladie afin d'expliquer à Mr. Y et à son épouse cette trouvaille de progression de la maladie justifiant la reprise chirurgicale. Nous expliquons encore une fois la reprise consistant à la même voie d'abord ainsi que résection sous neuro-navigation et fluorescence par 5 ALA de la lésion avec également suite de réhabilitation à l'étage. Nous lui expliquons les risques de complications possibles ainsi que le déroulement de l'intervention. L'aspirine est à stopper jusqu'à l'intervention ainsi que 5 à 7 jours après ce geste. Le patient bénéficie ce jour d'une consultation pré-anesthésique. Il se présentera la veille de l'opération, le dimanche 19.05.2019 vers 14 heures pour son entrée. Nous contactons le CIMF afin d'obtenir les images de la spectroscopie afin de compléter notre bilan personnel. Le patient est d'accord avec notre proposition. Il nous amènera le formulaire de consentement lors de son entrée le dimanche 19.05.2019. Nous reverrons le patient dans 3 mois. Nous revoyons le patient à 4 semaines post-traumatisme. Devant l'absence de douleur, nous procédons à l'ablation de l'attelle alu et préconisons une mobilisation libre avec arrêt de sport pendant encore 3 semaines. Nous revoyons le patient en consultation en policlinique le 19.05.2019 avec un statuts strictement dans la norme et une plaie superficielle longitudinale qui est complètement cicatrisée.Nous concluons à la fin du traitement en policlinique d'orthopédie. Nous rinçons abondamment la plaie au sérum bétadiné puis au sérum physiologique. Nous suturons sous anesthésie local par 3 points à l'Ethilon 4-0 et appliquons un pansement par Jelonet, compresses et bandes. Nous faisons un rappel du vaccin tétanos. Un contrôle de la plaie et la réfection du pansement sera à organiser chez le médecin traitant à 48h et l'ablation des fils à J7 si la cicatrisation est OK. Nous sommes devant un syndrome fémoro-patellaire au niveau du genou D. La patiente a eu principalement des massages en physiothérapie. Prescription d'une nouvelle série de séances pour renforcement des chaînes antérieures et postérieures, gainage, renforcement également des fessiers, équilibrage des chaînes antérieures et postérieures. Stretching des chaînes postérieures. Nous encourageons la patiente à poursuivre ses activités sportives surtout les sports avec mouvement de la jambe dans l'axe. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. Nous sommes en présence d'une persistance des douleurs à 1 mois d'une contusion, empêchant la reprise du travail du patient. Dans ce contexte, et étant donné les douleurs en interne, nous organisons une IRM afin de s'assurer de l'intégrité du ligament collatéral interne, du ménisque interne et également visualiser une éventuelle lésion ostéocartilagineuse. Si l'IRM est négatif et que le patient présente une persistance de ces douleurs, nous retiendrons le diagnostic définitif de contusion du genou et nous laisserons le soin au médecin traitant de gérer l'antalgie et la reprise du travail. Nous sommes face à une évolution favorable à 6 semaines post-opératoires. Nous recommandons à la patiente une mobilisation à l'aide d'un rollator pour améliorer sa statique, prescription donc d'un rollator dans ce sens. Au vu des troubles neurologiques au niveau du MSG, nous organisons une IRM de la colonne cervicale ainsi qu'un ENMG du MSG au Neurocentre. Nous reverrons la patiente après ces deux examens. Poursuite des exercices en piscine pour un bon renforcement musculaire et pour regagner la flexibilité de sa colonne. Nous sommes face à une nouvelle lésion traumatique sur les lignes articulaires du Chopart avec avulsion du ligament talo-naviculaire D. Nous l'immobilisons donc dans une botte de décharge circularisée pour 8 semaines. Clexane 40 mg prescrite. Nous la reverrons le 18.07.2019 pour un contrôle radioclinique avec ablation du plâtre. Il sera important d'insister sur une rééducation avec proprioception progressive une fois le plâtre enlevé. Nous sommes face à une pseudarthrose à 6 mois post-fracture chez cette patiente de 93 ans, raison pour laquelle nous prescrivons de la physiothérapie avec onde de chocs. Nous la reverrons dans 2 mois pour évaluer l'effet produit. Nous sommes face à une situation sans amélioration actuelle. Nous prions tout de même que la patiente continue à être suivie par nos collègues de l'antalgie pour d'une part l'établissement d'un traitement antalgique de longue durée et une nouvelle évaluation de possible infiltration. Pour cela, la patiente prendra directement un nouveau rendez-vous avec nos collègues. D'autre part, les exercices d'ergothérapie et de physiothérapie sont faits de manière autonome par la patiente de façon quotidienne. À l'heure actuellement, il n'y a aucune possibilité de reprise de travail, raison pour laquelle nous lui prescrivons un arrêt de travail à 100% de façon indéterminée. Nous prions l'AI de prendre directement contact avec la patiente pour une évaluation et prise de position pour la suite. De notre part, le dossier reste ouvert et nous restons à disposition pour la patiente en cas de péjoration ou en cas de nécessité. Nous sommes rassurés par cette bonne évolution et conseillons au patient de poursuivre sa thérapie physiothérapeutique et renforcement musculaire pour son dos. Nous lui proposons un prochain contrôle dans 3 mois afin de suivre l'évolution clinique et d'écarter une décompensation du niveau sus-jacent qui est serré de manière modérée. En cas d'évolution positive lors du prochain contrôle, nous pourrons mettre un terme au suivi. Nous sommes rassurés quant à la bonne évolution de notre patient et lui rappelons encore l'importance de poursuivre la physiothérapie ciblée. Nous n'avons pour l'instant pas de signe clinique parlant en faveur d'une décompensation des niveaux sus-jacents notamment de la sténose au niveau D11-L1. Nous encourageons le patient à poursuivre la thérapie conservatrice comme jusqu'à présent. Nous rappelons encore une fois la présence de sténose modérée au niveau du col médullaire, c'est-à-dire en D11-D12 mais aussi L1-L2 laquelle devrait mériter un bilan plus prononcé avec potentiels évoqués ou éventuellement une chirurgie de décompression en cas d'aggravation de la stabilité de la marche ou de nouvelles douleurs voire claudication aux MI. Nous prions le patient de nous contacter en cas de nouvelle aggravation afin de cibler une thérapie sur ce niveau qui pour l'instant nous semble également asymptomatique. Nous prions le team pied de convoquer le patient suite à la chute qu'il a subie il y a quelques semaines avec traumatisme de la cheville déjà opérée au préalable et œdème des parties molles encore présent. Nous sommes rassurés quant à la disparition de la collection hématique et ne prévoyons donc pas de nouveau contrôle. Nous restons à disposition au besoin. Nous prions le médecin traitant de compléter le bilan de syncope. Nous sommes très contents de cette évolution et proposons à notre patient une reprise du travail à 50% jusqu'au prochain contrôle déjà planifié pour le 23.05.2019 lors duquel une radiographie statique de la colonne sera à effectuer. Si l'évolution continue dans ce sens, le patient pourra augmenter son taux de travail à 100%. Nous proposons des séances de physiothérapie comprenant des étirements et des élongations de la colonne afin de traiter les minimes douleurs de surcharge facettaire sous-jacentes ainsi que les douleurs musculaires post-opératoires. Nous sommes très contents de la stabilité avec guérison progressive de cette fracture et vous prions de faire un sevrage progressif des médicaments morphiniques pouvant se gérer avec la prise de Co-Dafalgan. Nous vous prions également d'organiser un nouveau bilan par ostéodensitométrie afin de juger de l'efficacité du traitement instauré pour l'ostéoporose. Nous prévoyons de revoir la patiente dans 3 mois, à 6 mois de la fracture pour un nouveau contrôle radioclinique. Nous restons à disposition entre temps en cas de changement de la situation. Nous sommes très rassurés par cette bonne évolution et expliquons encore une fois à la patiente son contexte de canal très étroit notamment en L4-L5 avec rétrécissement surtout récessal de la racine L5 gauche et dans une moindre mesure un canal aussi rétréci en L3-L4. Tant que la patiente se présente si bien d'un point de vue clinique, nous ne proposons pas d'autre geste. S'il devait y avoir une récidive des douleurs, nous devrions envisager soit une nouvelle infiltration sous scanner soit une chirurgie de décompression de ces deux niveaux par la gauche. Nous sommes très rassurés quant à l'évolution et lui rappelons toutes les mesures d'hygiène posturale et d'hygiène de vie. Le patient peut reprendre son travail en tant que maçon et lui conseillons que lorsqu'il travaille avec des appareils provoquant des vibrations de porter une ceinture abdominale protectrice par intermittence. Nous restons à disposition en cas de nouveau symptôme ou de changement. Prescription de séances de physiothérapie pour enseignement et école du dos pour l'hygiène posturale. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle.Nous sommes très satisfaits de l'évolution radio-clinique et prévoyons un nouveau contrôle radio-clinique à 1 an post-opératoires. Nous restons à disposition dans l'intervalle. Nous suspectons au vu de la clinique très évocatrice et sans signe de drapeau rouge des vertiges paroxystiques positionnels bénins déclenchés par le penchement du tronc et de la tête vers l'avant. Nous expliquons à Mr. Y qu'il doit réaliser plusieurs fois par jour ses manœuvres causant ses vertiges pour essayer de libérer sa cupulolithiase. Si, malgré la persistance des manœuvres, le vertige persiste, il peut revenir consulter à la permanence et nous lui donnons aussi directement le numéro du Dr. X (ORL). Nous suspectons fortement une maladie sexuellement transmissible avec, selon les données cliniques, une probable syphilis primaire. Pour cela, nous effectuons les investigations nécessaires à la recherche des principales maladies sexuellement transmissibles. Nous convoquons Mr. Y le 10.05.2019 pour un contrôle clinique et transmission des résultats. Nous lui expliquons l'importance de se protéger en cas de rapports sexuels dans l'attente. Nous lui conseillons également d'informer la partenaire sexuelle quant au diagnostic, afin qu'elle puisse suivre un traitement. Pour l'HIV, nous lui conseillons de s'informer si possible du statut de sa partenaire, en cas contraire, il devra effectuer un test à 3 mois de distance pour confirmer le résultat. Nous n'administrons pas de thérapie empirique dans l'attente. Il doit réconsulter en cas d'aggravation des symptômes ou apparition de fièvre. Nous commandons la pénicilline G pour la syphilis. Nous suspectons principalement une bursite sous-acromiale sur arthropathie acromio-claviculaire. Étant donné le bénéfice du traitement par physiothérapie et antalgie, nous proposons de poursuivre celui-ci. À noter que la prise de sang effectuée il y a une semaine montrait une vitesse de sédimentation dans les normes supérieures. Nous expliquons au patient qu'en cas de non-succès du traitement conservateur par physiothérapie, une éventuelle infiltration pourrait être envisagée, mais en dernier recours seulement. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Nous suspectons un épisode de malaise vagal. Lors de la consultation à la permanence, les valeurs tensionnelles étaient de nouveau dans la norme et la patiente était asymptomatique. Nous notons néanmoins un différentiel tensionnel chez une patiente ayant des facteurs de risques cardiovasculaires. Nous proposons de peut-être faire un CT scanner injecté pour exclure un anévrisme de l'aorte et nous vous laissons le soin de l'organiser si vous jugez cela nécessaire. Nous suspectons un inconfort digestif sur suralimentation avec prise en moyenne de 220 ml/kg/j de lait. En cours d'hospitalisation, nous limitons la prise alimentaire à 760 ml par jour soit 160 ml/kg/jour. Le type de lait (Bimbosan AR) et le traitement d'oméprazole sont laissés inchangés. Sur le plan gastro-intestinal, suite à la limitation de l'alimentation, Lenny paraît plus confortable également selon la mère et passe des meilleures nuits par rapport à la maison. Le protocole des pleurs démontre qu'il pleure souvent pour réclamer son repas (environ toutes les 3-4 heures) et parfois après le repas, pour une courte durée. Quand il pleure, il est facilement réconforté en le portant. Nous n'objectivons pas de signes pour un reflux (pas de régurgitations ni machouillements ni opistotonos). Nous proposons la poursuite du protocole des pleurs à la maison et un suivi par la pédiatre la semaine prochaine avec rediscussion de la poursuite du traitement d'IPP, probablement moins nécessaire secondairement à la baisse des quantités. Sur le plan dermatologique, il présente des lésions papulaires érythémateuses au niveau du visage et de la partie supérieure du torse, non prurigineuses, dans le cadre d'une xérose cutanée. Pour l'instant, au vu du bas âge, il est difficile de poser un diagnostic différentiel entre dermatite séborrhéique du nouveau-né et dermatite atopique. Nous proposons un traitement hydratant et apaisant à base de crème à la Calendula et une réévaluation à votre consultation. Sur le plan infectieux, déjà lors de l'admission, Lenny a une légère rhinorrhée, par la suite, il développe une angine avec fond de gorge érythémateux et une laryngite avec extinction de la voix, restant apyrétique et sans signes de détresse respiratoire. La prise alimentaire est conservée. Un traitement symptomatique est prescrit à la sortie. Nous suspectons un ulcère gastrique/duodénal au vu de la clinique. Une lipase augmentée sans syndrome inflammatoire peut-être compatible avec un ulcère. Nous traitons initialement par pantozol fixe et buscopan en réserve contre les crampes abdominales. Nous organisons un contrôle clinique ainsi que pour les résultats du C.Difficile à la permanence vendredi. Selon l'avis du Dr. X, si les symptômes persistent, il propose une gastroscopie et une calprotectine fécale. Nous suspectons un vertige paroxystique bénin en raison du statut clinique et nous préconisons des manœuvres type Semont à réaliser plusieurs fois à domicile. Si persistance, nous proposons de prendre rendez-vous chez Dr. X (ORL, Muntelier). De plus, en raison d'une suspicion anamnestique d'hypotension orthostatique chez une patiente ne buvant que péniblement 1L par jour, nous lui préconisons une hydratation de 1,5-2L par jour et de se relever de manière tranquille. Nous suspectons un vertige paroxystique bénin. Nous lui conseillons de bien s'hydrater et de faire des manœuvres de mobilisation des cupulolithiases de chaque côté 4x, et ceci 5-6x/j. Nous lui expliquons et montrons la technique de mobilisation. Concernant les légers maux de tête, nous prescrivons du Dafalgan. Si ses vertiges persistent ou se péjorent, nous lui recommandons une consultation chez ORL à son retour à Mexico. Nous suspectons une angine d'origine virale en raison d'un laboratoire sans leucocytose et d'un test pour streptocoque négatif. Nous traitons de manière symptomatique. Nous suspectons une composante neuropathique dans les douleurs chroniques de la patiente, raison pour laquelle une perfusion de lidocaïne a été tentée. La perfusion s'est passée sans complications, mais la patiente n'a pas ressenti d'effet immédiat. L'électrophorèse des protéines a montré des gamma-globulines dans la norme, parlant contre une amyloïdose avec effet contribuant sur les douleurs. La patiente sera convoquée rapidement à la consultation rhumatologique du Dr. X pour juger de l'efficacité de la perfusion de lidocaïne et décider de la suite. D'éventuels changements de thérapie seront discutés lors de cette consultation. Les douleurs articulaires chroniques et connues de longue date sont actuellement traitées par MST continu, un traitement qui convient à la patiente. En effet, au vu d'une réponse insuffisante ou absente à beaucoup d'autres antalgiques, nous n'avons pas introduit de nouveau traitement, également compte tenu du nombre de médicaments déjà essayés et jugés inefficaces. La patiente rentre à domicile le 03.05.2019 en bon état général. Nous suspectons une possible fracture de la phalange distale du pouce de la main D. Suite à un avis orthopédique qui ne peut exclure une fracture, nous prévoyons un contrôle clinique samedi prochain. Si persistance de la douleur, nous préconisons de traiter comme une fracture avec une attelle pour 1 mois, et si la douleur s'est améliorée, nous suspectons plutôt une contusion musculaire et/ou ligamentaire. En raison d'allergies aux AINS ainsi que d'autres médicaments chez une patiente n'ayant pas pris sa liste d'allergies, nous ne donnons pas d'antalgie mise à part une attelle. Nous suspectons une rhino-conjonctivite allergique au vu de la clinique, que nous traitons symptomatiquement, mais sans spray nasal au vu de la tendance au saignement. Mr. Y est informé de la tendance à la somnolence après la prise du Bilaxten et de l'interdiction de conduire après la prise. Concernant son épistaxis, actuellement stoppée et sans saignement actif, nous proposons un traitement local avec Bepanthen. Nous lui conseillons de consulter Dr. X pour ses luxations de la mâchoire récidivantes. Il prendra rendez-vous par lui-même.Nous suturons chaque plaie par 3 points à l'Ethilon 5-0. Nous mettons en place un pansement. Un rendez-vous pour la réfection du pansement sera à organiser pour le 27.05.2019 chez le pédiatre et un autre rendez-vous pour l'ablation des fils à J14 également chez le pédiatre. Nous suturons la plaie à l'Ethilon 5.0 (2 points simples). Elle sera suivie régulièrement pour réfection du pansement par son pédiatre. Ablation des fils à J5. Nous suturons la plaie à l'Ethilon 5.0 (3 points) simples. Il sera suivi régulièrement pour réfection du pansement par son médecin traitant. Ablation des fils à J14. Nous suturons la plaie avec 1 point au fil 4-0 non résorbable. Le retrait des points de suture sera à faire chez le pédiatre à J6. Il rentre à domicile avec son père. Nous suturons la plaie par deux points et expliquons à la patiente qu'elle doit consulter chez son pédiatre dans 5 jours pour retraits des points. Nous suturons la plaie par 3 points à l'Ethilon 5-0 et appliquons des stéristrips. Nous instaurons un traitement symptomatique par Dafalgan et Algifor en réserve. Un rendez-vous sera à prendre chez le pédiatre pour un contrôle de la plaie le 27.05.2019 et l'ablation des fils à J7. Nous suturons la plaie par 4 points de suture non résorbables. Devant les céphalées et le traitement par Aspirine, un CT-scanner cérébral est réalisé et il ne retrouve pas de saignement. Une hypertension artérielle avec un pic à 200 PAS est également constatée pour laquelle nous administrons 20 mg de Nifédipine et nous prescrivons un traitement d'Amlodipine 5 mg avec contrôle chez le médecin traitant. Devant l'absence de saignement, le statut neurologique normal et la baisse de la tension artérielle aux chiffres habituels du patient, nous le laissons rentrer à domicile avec les consignes de surveillance des traumatismes crâniens. Le patient est parti des urgences sans injection de vaccin anti-tétanique. Nous rappelons le patient. Il ira le faire le 02.05.2019 chez son médecin traitant. Nous traitons de manière symptomatique son angine d'origine virale. Nous traitons Mme. Y pour une lésion du Chopart, avec mise en place d'une botte de décharge circularisée ce jour. Mise en place, également, d'une prophylaxie antithrombotique de Clexane 10 mg (patiente fait une intolérance cutanée à la Clexane). Elle sera revue le 1er juillet à la consultation du team pied. Nous traitons Mr. Y pour de multiples herpès labiaux avec de la crème Zovirax et nous l'informons de bien protéger ses lèvres du soleil lors de son voyage à Madagascar. Nous vous laissons le soin de décider de la reprise du Losartan en fonction des profils tensionnels de la patiente. Une suite de prise en charge oncologique est prévue le 23.05.2019. Nous vous laissons le soin de discuter l'indication à la poursuite d'une double antiagrégation plaquettaire avec le cardiologue traitant (le Plavix ayant été à notre connaissance initialement prescrit pour 12 mois lors de la dernière implantation de stents en 2012) chez ce patient présentant une anémie chronique sur possible spoliation digestive. Suivi de l'hémoglobine, investigations quant à une possible spoliation digestive à discuter avec le patient, introduction d'une protection gastrique par IPP. Nous vous laissons le soin de procéder à un complément de bilan gériatrique pour troubles cognitifs débutants. La patiente sera convoquée par la cardiologie après présentation de son cas à la HEART TEAM le 28.05.2019. Nous vous laissons le soin de réévaluer la nécessité d'un bilan neuropsychologique ou d'une imagerie par IRM cérébrale. Nous vous prions de réaliser un contrôle de la vitamine D à distance. Suivi du TP/INR à votre consultation. Nous vous proposons d'effectuer un contrôle de la kaliémie durant le rendez-vous du 21.05.2019 en raison d'un dosage légèrement au-dessus de la norme ce jour à 5.2. En raison d'un bon état général clinique du patient, nous laissons rentrer le patient à domicile et proposons un suivi chez le médecin traitant de l'agranulocytose post chimiothérapie présente ce jour. Nous voyons ce jour Mr. Y, pour monitoring VNI du 27.05.2019 au 29.05.2019 dans le cadre de son suivi de syndrome obésité hypoventilation. Le patient décrit une bonne tolérance de son appareillage par VNI avec masque narinaire. Il ne décrit pas de céphalées matinales ou d'hyperhémie conjonctivale. Amélioration de sa somnolence diurne. Sur le plan pulmonaire, le patient n'a pas présenté d'infection pulmonaire ou de fièvre depuis son dernier contrôle en pneumologie. Les résultats montrent une nette amélioration des apnées et hypopnées lors de la deuxième nuit, après augmentation des pressions à 9-21 cmH20. Le patient se dit également plus satisfait des réglages opérés durant son séjour. Nouveau bilan radiologique : Bassin face, hanche droite axiale : Composante prothétique en place. Pas de descellement prothétique. Pas de fracture visualisée. Nouveau cas. Nouveau né à terme, sans complication. 2 épisodes de bronchiolite 1ère : RSV, 2ème non RSV, respectivement à 3 mois et 6 mois de vie ayant nécessité 2 hospitalisations. Connu pour bronchites spastiques à répétition traitées en ambulatoire, dernière en novembre 2019. Eczéma. Nouveau né à terme 40 2/7 SA avec poids de naissance 3760 g (P50-75), taille de naissance 52 cm (P25-50), périmètre crânien de naissance 34.5 cm (P10-25). Nouveau né à 38 3/7 SA, poids de naissance 2890 g (P10), TN 48 cm (P10), PC 35 cm (P10). À l'entrée : J2 de vie, et 38 4/7 SA, poids d'entrée 2670 g. Nouveau né de 15 jours de vie né à terme par voie basse. Erythème toxique du nouveau né depuis 1 semaine de vie. Nouveau né à 37 5/7 semaines d'aménorrhée, accouchement par voie basse, poids de naissance 3.090 kg, pas d'hospitalisation en néonatologie. Nouveau traumatisme le 27.01.2019 sur statut post-cure de pseudarthrose du scaphoïde droit en 2013 avec prise de greffe sur le radius distal ipsi-latéral. Nouveau-né à terme à 39 0/7 SA, poids de naissance 3470 g (P50), taille de naissance 47 cm (P10), périmètre crânien de naissance 36.5 cm (P75-90), Hypoglycémie minimale à 1.9 mmol/L à l'hôpital Daler, dans le contexte d'un diabète gestationnel maternel non insulino-requérant. Position intra-utérine en siège : Ultrasonographie des hanches durant la première semaine de vie (16.05.19) : normale. Hospitalisation en néonatologie de J1 à J3 pour prise en charge d'une hypoglycémie à la naissance à 1.9 mmol/l dans un contexte de diabète gestationnel maternel non insulino-requérant pour laquelle il bénéficiera de :• Alimentation précoce, perfusion de glucose G10% du 13.05 au 15.05.2019 • Sonde naso-gastrique du 13.05 au 15.05.2019 GROSSESSE: • Mère de 39 ans, 3 gestes, 1 par • Grossesse harmonieuse, marquée par un diabète gestationnel non insulino-requérant • Pas d'antécédent dans la famille, frère et sœur en bonne santé. • Sérologies maternelles : VHB négatif, Syphilis négatif, VHC négatif, HIV négatif, Rubéole immune, • Streptocoque B négatif. • Groupe sanguin A positif. ACOUCHEMENT: • position en siège • CTG normal • liquide amniotique clair • Césarienne élective • naissance le 13.05.2019 à 7h25 • APGAR 10/10/10, pH artériel à 7.30 et veineux à 7.35 Nouveau-né à terme à 39 4/7, eutrophe pour les 3 paramètres, poids de naissance à 3605 g (P50-75), taille de naissance à 49 cm (P10) et périmètre crânien à 34 cm (P10-25) Malaise du nourrisson sur suralimentation et probable reflux gastro-œsophagien. Nouveau-né à terme par voie basse, bonne adaptation néonatale, poids de naissance à 3250 g. Nouveau-né à terme à 39 0/7 SA, poids de naissance à 3470 g (P50), taille de naissance à 47 cm (P10), périmètre crânien de naissance à 36.5 cm (P75-90) • Vit K J1 (reçu à Daler) • J1-3 OAE -Screening • J1-3 POX-Screening Hypoglycémie minimale à 1.9 mmol/L à l'hôpital Daler, dans le contexte d'un diabète gestationnel maternel non insulino-requérant • Alimentation précoce, perfusion de glucose G10% du 13.05 au 15.05.2019 • Gazométrie • Glycémies post-prandiales • Sonde naso-gastrique du 13.05 au 15.05.2019 Position intra-utérine en siège : • Ultrasonographie des hanches durant la première semaine de vie (16.05.19) : normale Nouveau-né de mère séropositive pour HIV • Mère ne fait pas partie de la cohorte MoCHIV • Virémie indétectable durant la grossesse • Avis infectiologique à Inselspital: Bain à la naissance et virémie à effectuer à 1 mois de vie. Pas de traitement antirétroviral ou d'autres investigations. Nouveau-né à 38 6/7 SG, poids de naissance 2220 g, périmètre crânien 33 cm, taille 44 cm. RCIU Nouveau-né né à terme à 40 1/7. Bronchiolite début avril 2018. Conjonctivite il y a 10 jours. Insuffisance respiratoire sur bronchiolite à RSV négatif en décembre 2018. Nouveau-né né à 38 5/7 avec poids de naissance à 3410 g (P50), taille de naissance à 50 cm (P25) et périmètre crânien à 34.5 cm (P25-50) Nouveau-né prématuré à 32 4/7 SA, poids de naissance 1500 g (P 5-10), taille de naissance 43 cm (P 25-50), périmètre crânien 28.5 cm (P 5) Nouveau-né prématuré à 28 6/7, eutrophique, poids à 995 g (P30), taille 38.0 cm (P 50), périmètre crânien 26.3 cm (P40) À l'entrée: J 92, 41 6/7, poids 3,335 kg (P10-25), périmètre crânien 34.9 cm, taille 48 cm Syndrome de détresse respiratoire du nouveau-né; Manque de surfactant • Inselspital: Ventilation artificielle, Sulfatant, CPAP-HF jusqu'au 26.07.2018, Oxygène jusqu'au 13.06.2018 Hyperbilirubinémie non conjuguée sous photothérapie durant 2 jours Dysélectrolytémi (hyper et hyponatrémie) à l'Inselspital • adaptation cristalloïdes et réhydratation Suspicion de NEC le 22.06 à l'Inselspital • PICC et PEN • traitement antibiotique Nouveau-né à 38 1/7, poids de naissance 3250 g (P50-75), taille de naissance 48 cm (P10-25), périmètre crânien de naissance 34 cm (P25-50) À son arrivée, J13 de vie, 39 6/7, poids 2885 g (-11% du poids né) (P5-10), taille 49 cm (P5-10), périmètre crânien 34.5 cm (P25-50) Nouveau-né 39 4/7 SG, poids de naissance 2910 g (P25-50), taille 48 cm (P25-50), périmètre crânien 34 cm (P50) Nouvel entretien de famille le 09.05.2019 avec Dr. X : attitude thérapeutique revue, nous ferons ce qui est médicalement raisonnable avec le projet d'un retour à domicile dès la semaine du 13.05.2019 Retour à domicile organisé pour le 15.05.2019 Nouvel épisode de rectorragie. Nouvel rendez-vous dans un mois environ. Nouvelle consultation si mauvaise évolution. Nouvelle consultation si péjoration locale ou état fébrile. Nouvelle consultation si persistance de la symptomatologie, urotube effectué. Nouvelle consultation si récidive. Nouvelle entorse à la cheville gauche le 12.05.2019. Nouvelle entorse du genou droit avec suspicion clinique d'une rupture du LCA. Novalgin 500 mg, 2 tabl. bis 3x par jour, Dafalgan 1 g bis 4x par jour. Irfen 600 mg bis 3x par jour. AUF pour un jour, 21.05.2019. Röntgen Thorax: keine Rippenfraktur. Novalgine d'office. Morphine en réserve. Nozinan 50 mg et Dormicum 5 mg en fixe. Haldol 5 mg et Dormicum 5 mg sous-cutané en réserve. NRS le 09.05.19 à 3 points. Consilium nutritionnel. NSCLC du poumon droit stade IIIA pT3, pN1 (5/38) cM0, avec : • Lobectomie droite par thoracoscopie avec lymphadénectomie médiastinale radicale le 24.09.2015. • Suivi par Dr. X • Traité par chimiothérapie et radiothérapie Cardiopathie ischémique et rythmique avec : • Double pontage aorto-coronarien (04.2014), sur maladie coronarienne tritronculaire avec atteinte du tronc commun • Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom Hypertension artérielle Diabète de type 2 non insulino-dépendant Asthme bronchique sous Ventolin au besoin Polyartériopathie des membres inférieurs avec statut post-endartériectomie ilio-fémorale droite en 2002 Insuffisance veineuse avec cure de varices du membre inférieur gauche en 2004 NSTEMI NSTEMI NSTEMI sur sténose serrée de l'artère circonflexe proximale le 11.07.2009 • angioplastie et mise en place d'un stent actif le 12.07.2009 Bloc AV type Mobitz 2 sur bêta-bloquant le 12.07.2009 Antécédent de TVP Sp hystérectomie et annexectomie dans les années '70 avec hormonothérapie substitutive oestrogénique NSTEMI aigu sur sténose significative de l'artère bissectrice le 23.05.2019 NSTEMI antérieur subaigu le 04.04.08 S/p polypectomie colique, diverticulose colique. Pas de méléna, ni rectorragie. NSTEMI avec pic hypertensif le 14.05.2019 • maladie monotronculaire avec occlusion IVA et ACR en 03/2019 • FEVG 65% NSTEMI avec pose de 3 stents par coronarographie en août 2018 Adénocarcinome de la prostate actuellement sous contrôle par hormonothérapie Lymphome NSTEMI avec : • Troponine Hs 658 ng/L • douleurs typiques le 09.05.2019 NSTEMI chez une patiente connue pour une maladie tritronculaire le 24.04.2019 avec : • coronarographie le 25.04.2019 : resténose intra-stent RCX moyenne et distale (PTCA avec mise en place de deux stents actifs) • fonction systolique normale NSTEMI DD tako-tsubo NSTEMI • FRCV ; tabagisme ancien, probable hypercholestérolémie, anamnèse familiale positive (frère) NSTEMI inféro-latéral le 18.03.2013 avec : • coronarographie 18.03.2013 : sténose significative de l'artère circonflexe proximale (angioplastie et mise en place d'un stent actif). Occlusion aiguë de l'artère circonflexe moyenne (thrombectomie et implantation d'un stent actif). FEVG 58% Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs III gauche NSTEMI inféro-latéral le 18.03.2013 • Coronarographie 18.03.2013 (Dr. X) : sténose significative de l'artère circonflexe proximale (angioplastie et mise en place d'un stent actif). Occlusion aiguë de l'artère circonflexe moyenne (thrombectomie et implantation d'un stent actif). FEVG 58 %. Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs III gauche NSTEMI inféro-latéral subaigu sur occlusion de l'IVA proximale et 1ère diagonale le 15.05.2019 NSTEMI inféro-latéral sur sténose significative de l'artère circonflexe proximale le 01.05.2019 NSTEMI inféro-latéral sur sténose significative de l'artère circonflexe proximale le 01.05.2019 • Angioplastie Stenting DES 1x CX proximale NSTEMI le 01.05.2019 NSTEMI le 05.02.2012. NSTEMI le 16.04.2019 • Laboratoire à l'Inselspital Bern : troponines 53 ng/l, CK 59 U/l, NT-proBNP 3402 pg/ml • eFAST à l'Inselspital Bern : pas de pneumothorax, pas d'épanchement péricardique, pas de liquide libre • Thérapie à l'Inselspital Bern : 250 mg Aspegic IV, héparine 5000 IE, nitroglycérine NSTEMI le 23.05.19 NSTEMI le 23.05.19 • Tabagisme sevré le 04.01.2017 (50 UPA) NSTEMI le 30.04.2019 • sur sténose subtotale de l'artère circonflexe proximale et moyenne NSTEMI le 30.05.2019 sur: • Maladie coronarienne avec lésion monotronculaire NSTEMI secondaire à l'anémie le 12.05.2019 NSTEMI secondaire à l'anémie le 12.05.2019 : • Troponines 405ng/l, CK 123U/l NSTEMI secondaire le 01.05.2019 NSTEMI secondaire, le 12.05.2019 • Troponines le 13.05.2019 : 227 ng/l NSTEMI secondaire le 13.05.2019 • DD postopératoire, tachycardie supraventriculaire, anémie NSTEMI secondaire probable à hypoxémie le 22.05.2019 • Bronchite au décours NSTEMI secondaire, 01.05.2019 NSTEMI sur maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose significative de l'artère circonflexe proximale (90-99%), englobant l'origine de la première marginale - angioplastie et pose de 2 stents • Sténose significative de l'artère coronaire droite moyenne (50-70%) - angioplastie et pose de 1 stent • Pic de CK à 929 • FEVG à 65% NSTEMI sur maladie coronarienne bitronculaire avec: • Pic de CK à 929 • FEVG à 65% NSTEMI sur maladie coronarienne bitronculaire (IVA et CX), le 07.05.2019 : • coronarographie le 23.07.2017 : thrombus non occlusif (30%) intrastent focal IVA moyenne : re-PTCA au ballon seul : bon résultat. Subocclusion thrombotique stent 1ère diagonale proximale et occlusion distale : pas de geste • échocardiographie de stress le 21.08.2017 : FEVG à 63 % • deuxième coronarographie le 23.08.2017 : PCI/1 DES IVA moyenne, PCI/1 DES 1ère diagonale, PCI/1 DES IVA proximale, kissing balloon final IVA proximale-1ère diagonale : bon résultat final. Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées à l'échocardiographie • sous aspirine cardio NSTEMI sur maladie coronarienne de 3 vaisseaux le 09.11.2017 : • Subocclusion de la diagonale ostiale avec sténose significative de l'IVA moyenne, lésion de bifurcation PTCA/DES 2x (T-stenting 09.11.2017) • Subocclusion de la marginale ostiale avec mise en place d'un stent actif (23.11.2017) • Sténose significative de la première diagonale (traitement conservateur) • Sténose intermédiaire de l'ACD (traitement conservateur) • Fonction systolique du VG légèrement diminuée avec akinésie antérolatérale (EF 50%) NSTEMI antérieur le 29.11.2017 • Dilatation au ballon d'une thrombose du stent de la 1ère Marginale posé le 23.11.2017 (30.11.2017) Fibrose pulmonaire idiopathique Polyarthrite rhumatoïde Hypertension artérielle NSTEMI sur maladie coronarienne monotronculaire le 15.05.2019 • sur occlusion transitoire spontanément recanalisée de l'artère circonflexe distale NSTEMI sur occlusion fonctionnelle bissectrice le 23.05.19 • pic de CK le 24.05.2019 : 560 U/L NSTEMI sur occlusion proximale de l'IVA ostiale le 29.05.2019 NSTEMI sur sténose de la Cx et de l'IVA proximale le 6.05.2019 NSTEMI sur sténose de l'artère interventriculaire antérieure moyenne le 01.11.2016 • Maladie monotronculaire • FEVG conservées (72%) NSTEMI sur sténose de l'IVA proximale le 05.04.2017 • coronarographie le 06.04.2017 (Dr. X) : angioplastie avec implantation de 1 stent actif sur la bissectrice. Status post AVP en 1988 • OS postérieure acétabulum D • OST grand trochanter et OS par cerclage à D Descellement prothèse totale épaule D implantée en 1992 sur nécrose tête humérale post fracture tête humérale 4 parts en 1988 • Fracture péri-prothétique humérus D en 2011 traitée par ostéosynthèse Changement prothèse totale épaule D, conversion en hémi-prothèse et greffe osseuse au niveau de la glène (OP le 30.04.2018) Douleur musculo-articulaire sur compensation par le MIG de troubles de la marche à D BPCO avec dyspnée Hypokaliémie NSTEMI sur sténose serrée de l'artère circonflexe proximale le 07.08.2014 Brûlure du coude et avant-bras droit (juin 2014) Traumatisme crânien simple avec plaie d'environ 4 cm frontale (mai 2011) Hématurie macroscopique d'origine indéterminée le 07.04.2019 Anémie normocytaire normochrome NSTEMI sur subocclusion de l'interventriculaire antérieure proximale le 15.03.2019. NSTEMI sur sub-occlusion de l'IVA moyenne le 28.04.2019 • Contexte de maladie tritronculaire avec sténose à 80 % de l'IVA • FEVG 40% NSTEMI sur subocclusion de l'IVA proximale le 15.05.2019 NT-proBNP à 9000ng/l Lasix intraveineux depuis le 30.04.2019 NT-ProBNP s'élève à 1333 ng/L Adaptation du traitement médicamenteux CT bilan pré-TAVI le 13.05.2019 : cf. examen complémentaire Avis cardiologique HEART TEAM : confirmation de l'indication à une TAVI NT-proBNP 637 ng/l le 24.04.2019 Suivi tensionnel étroit Majoration de la thérapie bêtabloquant Poursuite du traitement cardiaque habituel Indication à la thérapie par statine à rediscuter en ambulatoire (âge avancé et traitement conservateur de la sténose aortique) Prise en charge conservatrice de la sténose aortique sévère sur souhait de la patiente (pas de coronarographie, pas de TAVI) Nucalgie droite sur accident de la voie publique le 25.05.2019. Nucalgies avec céphalées frontales gauche le 08.06.2014. Crise d'angoisse le 02.11.2016. Céphalée occipitale le 25.01.2019 avec hypoesthésie du territoire V2-3 à gauche référée. Consilium neurologie (Dr. X) : pas de carte de perfusion. Angio CT cérébral (Dr. X) : pas de saignement, dissection non exclue, mais bon flux en aval Nucalgies, cervicalgies. Nucalgies et céphalées chroniques. Trouble de la personnalité type borderline, DD attaques de panique. Nucalgies et cervicobrachialgies G sur: • radiculopathie C8 sur hernie discale C7-D1 G • discopathie C5-C6 et C6-C7 avec uncarthrose et rétrécissement foraminal G nuqualgie Nutrition entérale du 29.04.2019 au 08.05.2019 Test de déglutition quotidien Adaptation de la texture (mixée - lisse) Nutrition par sonde de Pichard débutée le 03.05.2019 Dosage CEA et CA 19-9 Gastroscopie et colonoscopie en ambulatoire le 22.05.2019 Nystagmus multidirectionnel idiopathique le 09.05.2019, avec : • nystagmus horizontal et vertical, spontané, persistant à la fixation visuelle • dysdiadococinésie non persistante (décrite le 09.05.2019 mais absente à l'examen neurologique de sortie le 10.05.2019) • flou visuel, rougeurs oculaires, vertiges orthostatiques depuis le 06.05.2019 DD : cérébellite (inflammatoire/infectieux), SEP, maladie neuro-inflammatoire, syndrome de Miller Fischer • Nystagmus vertical au changement de position (pathologie obstructive, équivalent épileptique, nystagmus bénin) Avis neuropéd de Bern : Transfert pour évaluation +/- imagerie, et autres investigations • Nystatine pendant 7 jours par voie orale • Obésité • Obésité avec BMI à 33.4 kg/m2 • Obésité avec BMI à 38 kg/m2 (124 kg; 179 cm) Arthropathie microcristalline IPMN pancréatique Suspicion de syndrome des apnées du sommeil non appareillé Maladie thrombo-embolique chronique sous Xarelto • Obésité (BMI 36 Kg/m2) Migraines sans aura Hypercholestérolémie. Hypertriglycéridémie. Hypertension artérielle traitée par Co-Lisinopril 10-12.5. • Obésité de classe III (BMI 42.4 kg/m2) Insuffisance rénale terminale anurique sur hyalinose segmentaire et focale et néphrectomie droite pour néphrolithiase avec : • Hémodialyse dès le 07.01.2015 sur fistule artério-veineuse humérale, 3 fois par semaine (lundi-mercredi-vendredi) • Anémie normocytaire hypochrome Insuffisance cardiaque hypertensive, ischémique bitronculaire et rythmique (NYHA III) avec : • ETT du 24.05.2018 : hypertrophie concentrique homogène avec une FEVG à 75%, valve aortique sclérosée avec une petite insuffisance, petite insuffisance mitrale, OG très dilatée, HTAP minime (PAPs 36 mmHg) • Coronarographie le 20.12.2018 : Lésion non significative du tronc commun. Sténose fonctionnellement non significative. Lésion non significative de l'artère bissectrice. Traitement conservateur. • Fibrillation auriculaire permanente anticoagulée par Sintrom (CHADS-VASC 2 points) Hypercholestérolémie traitée Troubles cognitifs (MMS à 22/30 en 2014) d'origine indéterminée Douleurs lombo-sacrées chroniques sur tassement vertébral • Spondylodiscite L2-L3 avec abcès épidural au niveau L3, bactériémie à Streptococcus agalactiae et abcès cutané du membre inférieur gauche, le 21.06.2014 • Atrophie graisseuse des muscles para-vertébraux bilatéraux (IRM 10.2014) • Spondylodèse percutanée L1 à L3 avec système Viper et biopsie osseuse L2 le 10.12.14 (culture négative à 14 j). Oligoarthrite sur chondrocalcinose genou gauche en janvier 2015 • Obésité de classe 2 (BMI 38 le 19.01.2017) • Bypass gastrique novembre 2018. Anémie sur bi-hypovitaminose substituée (acide folique et B12). • Obésité de classe 3 selon l'OMI (BMI 60 kg/m2). Hypertension artérielle. Perturbation des tests hépatiques sur possible NASH. Diabète type 2 mal contrôlé sous antidiabétiques oraux ADO (Janumet et Forxiga) probablement sur mal compliance avec : • HbA1c à 10.8% le 11.06.2018, • suivi par le Dr X. Majoration des ADO avec ajout de Diamicron et augmentation de la Metformin dès le 12.06.2018. • Obésité de stade OMS II avec BMI à 39.8 kg/m2 Tabagisme actif (60 UPA) Ethylisme chronique Hypertension artérielle traitée Bradycardie intermittente asymptomatique sur troubles de la conduction atrio-ventriculaire • BAV de 2ème degré Mobitz 2 le 25.11.2015 • BAV de 3ème degré (DD : secondaire à l'hypoxémie) le 25.11 et le 26.11.2015 Insuffisance veineuse chronique du membre inférieur droit avec dermite ocre importante péri-malléolaire interne sur des varices tronculaires avec insuffisance des perforantes distales avec cure de varices avec crossectomie, stripping de la veine et ligatures des perforantes le 30.01.2018 Thrombose veine porte et stéatose hépatique avec début de transformation cirrhotique du foie Syndrome d'apnées/hypopnées obstructives du sommeil de degré sévère appareillé par CPAP Dyspnée stade mMRC 3 d'origine multiple : • Surcharge pondérale, cardiopathie hypertensive, hypoventilation de l'obèse avec possible hypertension pulmonaire • Obésité modérée avec BMI à 33 Paralysie du diaphragme d'origine indéterminée sur DD : • paralysie du scalène séquellaire à intervention à l'épaule droite en 2013 • ancienne Borréliose de Lyme • IgG blot positive • atteinte du motoneurone • Obésité morbide : BMI à 44 • Obésité morbide (BMI 44). • Obésité morbide (BMI 62 kg/m2) dans un contexte de trouble schizo-affectif avec hyperphagie boulimique. Pose de ballon intra-gastrique (Orbera) le 26.10.2018 : intervention sans complication. • Obésité morbide de grade III (BMI 42.2 kg/m2) : • Bypass gastrique par laparoscopie le 03.08.2018. • Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI à 42.9 kg/m2 (103 kg ; 155 cm) • poids actuel : 103 kg • Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI à 45.7 kg/m2 (114 kg ; 158 cm) poids actuel : 111 kg • Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI à 46 kg/m2, (142 kg ; 176 cm) avec bypass gastrique proximal laparoscopique le 21.11.2018 • Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI à 54.3 kg/m2 • Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI à 54.3 kg/m2 • poids actuel 176 kg (BMI 50.3 kg/m2) • Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI initial à 46.5 kg/m2 (149 kg ; 179 cm) • poids maximal : 154 kg • poids actuel : 143 kg • Obésité morbide suivie au centre du métabolisme Cardiomyopathie avec : • FA sous Xarelto • FEVG 25% (2018) Syndrome périodique avec mutation hétérozygote du gène NLRP3 : • polyarthralgies/enthésopathies périphériques et axiales, inflammatoires, récurrentes d'origine indéterminée avec atteinte cutanée, urinaire et ORL chronique • sous Actemra 800 mg 1x/3 semaines depuis décembre 2012 (dernière dose il y a 3 semaines, actuellement en suspens) Fasciite plantaire bilatérale Lombalgies chroniques sur troubles dégénératifs de la colonne lombaire Hydrocèle bilatéral asymptomatique • Obésité morbide Notion anamnestique de prolapsus mitral, dernier contrôle cardiologique il y a 2-3 ans Infections urinaires à répétition • Obésité sévère - BMI 38 en début de grossesse. HCV chez la mère avec cirrhose hépatique. • Obésité sévère de grade II selon l'OMS • Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 36.4 kg/m2 (80 kg ; 148 cm) • poids actuel : 78 kg • Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 36.8 kg/m2 (94 kg, 160 cm) • trouble non spécifique du comportement alimentaire. • poids préopératoire : 94 kg. Bypass gastrique laparoscopique le 11.02.2019. • Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 38.9 kg/m2 (102 kg ; 162 cm) • poids actuel : 101 kg • Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initial à 35.5 kg/m2 (105 kg ; 172 cm) • Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initial à 38.4 kg/m2 (113 kg ; 173 cm) • poids actuel : 113 kg • Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initial à 39 kg/m2 (101 kg ; 161 cm) • poids actuel : 99 kg • sludge vésiculaire • Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initial à 39 kg/m2 (101 kg ; 161 cm) • poids actuel : 99 kg • sludge vésiculaire • Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initial à 39 kg/m2 (101 kg ; 161 cm) • Troubles non spécifiques du comportement alimentaire • sludge vésiculaire • S/p bypass proximal et cholécystectomie le 09.05.2019 • Fuite biliaire intra-péritonéale sur drain de Luschka le 14.05.2019 Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initial à 39,2 kg/m² (108 kg ; 166 cm) • poids actuel : 103 kg Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initial à 39,3 kg/m² (97 kg ; 157 cm) • poids actuel : 97 kg Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI 35,1 kg/m² (111,7 kg ; 178,5 cm) Obésité stade II Obésité Adénopathies médiastinales d'origine indéterminée (DD : réactivation EBV) • Date du diagnostic : 18.08.2014 • CT cervico-thoraco-abdominal du 18.08.2014 : quelques ganglions sus-claviculaires, également visibles dans le médiastin. Plusieurs ganglions agrandis particulièrement dans l'espace inter-aorto-cave au niveau para-aortique et dans la fenêtre aorto-pulmonaire et au niveau sous-carinaire. • PET CT du 18.08.2014 : deux lésions hypermétaboliques médiastinales supra-carinaires bilatérales. Absence d'autre lésion métabolique suspecte. • Bronchoscopie avec EBUS du 15.09.2014 : status endobronchique dans les limites de la norme. Absence de lésion endobronchique suspecte de tumeur. Présence d'une adénopathie suspecte en région para-trachéale inférieure droite et en région supra-carinaire. • Histologie (Promed P8266.14) du 22.09.2014 : ganglions 4R : tissu lymphoréticulaire avec présence de rares éléments blastiques positifs pour EBV, légère éosinophilie et signes d'une réaction histiocytaire. Les modifications peuvent entrer dans le cadre d'un lymphome de Hodgkin. • Médiastinoscopie (Dr. X) le 17.10.2014 avec exérèse ganglionnaire • Histologie (Promed P9356.14) du 17.10.2014 : tissu lymphoréticulaire avec signes d'une inflammation chronique non spécifique, histiocytose et légère réaction à cellules épithéloïdes focales, anthracose et quelques rares éléments blastiques positifs pour EBV. Absence de tissu néoplasique malin et pas d'argument en faveur d'une infiltration dans le cadre d'un lymphome de type Hodgkin classique • Nov 2014 : surveillance Obésité Cardiopathie hypertensive Diabète de type 2 non insulino-requérant HTA traitée Obésité Diabète de type II insulino-requérant Hypertension artérielle traitée NASH Hyperparathyroïdisme primaire Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs Ulcère du membre inférieur gauche : • contexte d'insuffisance veineuse des membres inférieurs • diabète Obésité Diabète traité Tabagisme actif Anticoagulation par Xarelto sur embolie pulmonaire en 2017 Obésité. Hypercholestérolémie. Anémie méditerranéenne. Obésité Hypertension artérielle Obésité. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Maladie coronarienne monotronculaire : • status-post infarctus myocardique aigu inférieur en 2001 • coronarographie en 2003 : occlusion chronique de la CD proximal non revascularisée. Insuffisance mitrale. (Diabète inaugural). Hypertrophie de la prostate. Obésité Hypertension artérielle traitée Diabète non insulino-dépendant de type 2 traité Migraines Hernie hiatale Polyarthrite rhumatoïde depuis 2012 (pas de traitement ; suivi Dr. X) Hernie discale L4-L5 Hépatomégalie sur stéatose hépatique le 10.04.2013 Obésité Hypothyroïdie substituée Insuffisance veineuse chronique stade IV Obésité Maladie de Crohn avec fistule anale ouverte (depuis 2004), stomie abdominale postopératoire (2012) Hypertension artérielle Maladie de Verneuil Fissures des plis inguinaux et du pli interfessier sur maladie de Verneuil (hidrosadénite suppurée) depuis 15-20 ans Obésité. Notion de trouble de l'apprentissage (suivi logopédique et scolarité spécialisée). Obésité Probable lésion gastrique • OGD pathologique nécessitant un traitement par IPP à long terme Obésité Syndrome d'apnées/hypopnée de degré sévère (IAH 52/h) +/- hypoventilation-obésité HTA traitée Goutte Paralysie diaphragmatique (coupole D) Obésité Syndrome Leriche Ethylo-tabagisme chronique • Polyneuropathie des MI sur probable éthylisme • Hépatopathie Diarrhées chroniques Hyperplasie de la prostate (traitement médicamenteux) Notion d'arthrite rhumatoïde Pectus excavatus Diastase des grands droits Obésité. Tabagisme 10 UPA. Ovaires polykystiques. Résistance à l'insuline. Bypass gastrique le 31.10.2016. Lumbago non déficitaire sur hernie discale L5-S1, sous Oxynorm en réserve. Observation. Observation à domicile par la mère sur signe de commotion. Mme. Y informée des signes qui devraient la pousser à reconsulter les urgences. Antalgie. Observation de la respiration à la maison. En cas de difficultés au niveau respiratoire ou douleurs, reconsultation aux urgences ou chez le pédiatre. Obstétricaux : • AVB le 08.10.2004. • AVB le 14.05.2008. • AVP suite à une provocation du travail par Misoprostol pour diabète gestationnel insulino-traité chez Mme. Y, 5 gestes devenue 3 pares à 38 2/7 de semaines d'aménorrhée. Chirurgicaux non gynécologiques : • varices à l'hôpital Daler en 2007. Obstétricaux : S/p 2 x accouchements voie basse Familiaux : Mère décédée d'un cancer du col de l'utérus, sœur avec cancer pulmonaire, grand-père (paternel) avec cancer de la gorge Obstétricaux : S/p 4 Accouchements par voie basse S/p 2 Césariennes Obstétricaux : voie d'accouchement : accouchement par voie basse, lésion génitale : périnée intact, délivrance : Nl complète, Date : 2009, anesthésie : péri, lieu : HFR Fribourg, sexe : M, SA : 41 1/7, poids (g) : 3220. voie d'accouchement : accouchement par voie basse, instrumentation : non, lésion génitale : périnée intact, délivrance : Nl complète, Date : 2011, anesthésie : péri, lieu : HFR Fribourg, sexe : M, SA : 41, poids (g) : 3440. Accouchement par voie basse spontané à 39 1/7 SA chez Mme. Y, 3G devenue 3P. Lombalgie non déficitaire le 16.11.2015. Tendinopathie Tractus Iliotibialis droite 01.2019. Obstétricaux : • 2010 Fausse-couche spontanée. • 2011 Césarienne pour NPD. • 2015 Césarienne au Daler Hallux valgus S/p correction d'hernie abdominale sur cicatrice de césarienne en 2012. Infection des voies respiratoires supérieures d'origine virale Obstétricaux : Septembre 2018, accouchement par ventouse pour défaut d'expulsion et CTG pathologique à 40 semaines d'aménorrhée, garçon de 3030 g. Obstétricaux : S/P césarienne à 36 semaines d'aménorrhée pour douleurs sur cicatrices de laparoscopie avec appendicectomie à 32 SA et pour présentation podalique, en 2015 au Daler, F, 3200 g, nouveau-né transféré en néonatologie pendant 10 jours pour syndrome de détresse respiratoire. S/P césarienne à 36 semaines d'aménorrhée pour douleurs sur cicatrice de césarienne, en 2017 au Daler, M, 3250 g. Grossesse marquée par un épisode de pyélonéphrite avec dilatation pyélocalicielle droite à 11 mm. Tendinopathie de l'avant-pied gauche le 05.05.2018 • US du pied gauche (Dr. X) : pas d'épanchement de la gaine des extenseurs I-III, mais présence d'un épanchement au niveau MT I Obstétricaux : S/P césarienne à 36 semaines d'aménorrhée pour douleurs sur cicatrices de laparoscopie et présentation en siège, en 2015 au Daler, F, 3200 g, nouveau-né transféré en néonatologie pendant 10 jours pour syndrome de détresse respiratoire. Allaitement pendant 2 mois. Grossesse marquée par une hospitalisation pour menace d'accouchement prématuré après appendicectomie par laparoscopie à 32 semaines d'aménorrhée à Berne. S/P césarienne en 2017 au Daler à 36 semaines d'aménorrhée pour douleurs sur cicatrices de césarienne, M, 3250 g. S/P accouchement par césarienne en urgence pour suspicion de déhiscence sur utérus bi-cicatriciel chez Mme. Y, 3 gestes devenue 3 pares à 36 3/7 semaines d'aménorrhée le 08.05.2019 Généraux : S/P Infection urinaire à répétition avec dilatation pyélocalicielle et plusieurs épisodes de pyélonéphrite lors de ses grossesses • suivi par le Dr. X et la Dr. XObstétricaux: S/p 4x accouchements voie basse Chirurgicaux: Fracture type Goyrand Smith du radius distal droit (01.03.2017, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse du radius distal par plaque Aptus radius 2.7) Obstétricaux: Status post-accouchement par voie basse (garçon, 3850 grammes) en 2008. Status post-accouchement par voie basse (garçon, 3940 grammes) en 2010. Status post-accouchement par voie basse 2013 à 40 3/7 semaines d'aménorrhée. Chirurgicaux: Status post-appendicectomie en 2006. Status post-cure de hernie discale L5-S1 en 2009. Familiaux: ca. sein chez tante maternelle à plus de 70 ans. Obstétricaux: St.p. césarienne Gynécologiques: St.p. curettage Utérus polymyomateux Opératoires: St.p. APP 1983 St.p. hernie ing. D 1989 St.p. 2x hernie ombilicale 1992 St.p. kyste poignet D 2011 Arthroscopie méniscectomie partielle (genou), rinçage, shaving Familiaux: 2 cousins et une soeur avec la maladie de Steinert. Obstétricaux: 1996 : Accouchement par voie basse, fille, 3020g, T+2, provocation. 2002 : Accouchement par voie basse, garçon, 2690g, 38 3/7 semaines d'aménorrhée, provocation pour PE (enfant atteint d'un syndrome d'Asperger) Gynécologiques: 2015: Interruption volontaire de grossesse médicamenteuse à 6 4/7 semaines d'aménorrhée (Prise de Mifegyne le 10.06.2015, Prise de Cytotec le 12.06.2015), suivie d'une hystéroscopie et curetage évacuateur pour rétention de matériel le 28.08.2015 2016: Kystectomie ovaire droit par laparoscopie 2017: Grossesse biochimique 26.06.2018: Infertilité secondaire avec suspicion de synéchie utérine et phimosis tubaire droit avec hystéroscopie diagnostique et opératoire, laparoscopie diagnostique avec chromoperturbation au bleu de méthylène et plastie tubaire droite. Chirurgicaux: Cholécystectomie par laparoscopie le 31.12.2008 Opération à l'épaule droite en 2008 Luxation acromio-claviculaire gauche de grade 1 et contusion de l'épaule gauche le 17.01.2015 : Gilet orthopédique pour 7 jours. Obstétricaux: 1997, 2000, 2008 accouchements par voie basse Gynécologiques: 2013 LSC kystectomie vs annexectomie gauche (Italie) Obstétricaux: 2x AVB, 2x césarienne (avec ligature tubaire en 2001) Chirurgicaux: 1976 Appendicectomie 2012 Méniscectomie 2016 Prothèse du genou droit Tunnel carpien Obstétricaux: 2001, 2004, 2008, 2010 4x césarienne Chirurgicaux: 2016 Cholecystectomie par laparoscopie Obstétricaux: 2010 accouchement par forceps, fille de 3475 gr (Dr. X) 2015 accouchement par voie basse, fille de 3520 gr 2016 accouchement par voie basse, fille de 3010gr Obstétricaux: 2014 Accouchement par voie basse à 41 2/7 semaines d'aménorrhée, fille, HFR Fribourg Gynécologique: Curetage évacuateur novembre 2018 pour une grossesse non évolutive à 12 4/7 semaines d'aménorrhée Généraux: 1994 Amygdalectomie 2016 Bypass gastrique 23.05.2017 Fissurectomie Obstétricaux: 2017 accouchement par voie basse à 39 2/7 semaines d'aménorrhée, provocation pour DGNIR et désir maternel 2013 accouchement par voie basse à terme, garçon de 3500gr 2008 accouchement par voie basse à terme, fille de 3500gr Obstétricaux: 3 accouchements par voie basse en 1998, 2003 et 2005 Gynécologiques: S/p interruption volontaire de grossesse Obstruction du catheter urinaire Obstruction du Port-à-Cath Obstruction du tube endotrachéal et bouchon muqueux le 22.04.2019 Obstruction transitoire du drain thoracique avec augmentation de pneumothorax à droite avec/sur: • BPCO suivi par Dr. X, sur tabagisme actif • status post-pneumothorax droit spontané le 02.03.2019 • status post-pose de drain thoracique à droite le 02.03.2019 aux urgences, gardée à domicile avec valve de Heimlich en raison de fuite • status post-pneumothorax droit en 1979 et le 24.08.2018 • probable poumon emphysémateux • en cours d'investigation à l'Inselspital pour prévoir une résection pulmonaire avec scintigraphie, fonctions pulmonaires et ETT le 29.03.2019 Obstétricaux: S/p 8x accouchements voie basse S/p 1x césarienne avec ligature tubaire Gynécologiques: 2015 Cure d'incontinence urinaire, TVT ou TOT (Portugal, protocole opératoire non disponible) Médicaux: S/p Accident ischémique transitoire Chirurgicaux: S/p lobectomie thyroïdienne gauche Familiaux: Diabète (mère), Ca. poumon (père) Occlusion artérielle du membre inférieur gauche par compression tumorale, le 13.05.2019: • dans un contexte de carcinome métastatique de la vulve actuellement sous chimiothérapie palliative (Platine/Taxol) • patiente connue pour une subocclusion de l'artère fémorale superficielle gauche (angio-CT des membres inférieurs en octobre 2018) et occlusion des veines fémorales avec obstruction du retour veineux au niveau inguinal gauche. Occlusion de la boucle prothétique Omniflow huméro-humérale au MSG le 04.04.2019 dans un contexte d'insuffisance rénale chronique terminale dialysée sur glomérulonéphrite à IgA avec : • confection d'une fistule artério-veineuse radio-céphalique latéro-terminale selon Brescia-Cimino à 9cm au-dessus du poignet gauche le 10.03.2017 (Dr. X) • échec d'angioplastie le 16.05.2017 pour mauvaise maturation de la fistule sur veine trop fine en post-anastomotique • confection d'une boucle prothétique (Omniflow) huméro-humérale au membre supérieur gauche le 29.09.2017 (Dr. X) • occlusion thrombotique de la boucle prothétique huméro-humérale au membre supérieur gauche le 03.03.2018 • thrombectomie au Fogarty de la boucle le 04.03.2018 • occlusion thrombotique de la boucle traitée par thrombectomie au Fogarty et plastie d'élargissement de l'anastomose veineuse le 25.07.2018 (Dr. X) • angioplastie au ballon médicamenteux de l'anastomose artérielle, dilatation de la zone anastomotique veineuse avec cutting balloon et ballon médicamenteux par double accès de la fistule artério-veineuse le 23.01.2019 • bilan angiologique le 04.04.2019 et Thrombo-embolectomie de la FAV du MSG et transposition de la prothèse sur la veine basilique le 05.04.2019 Cyphoplastie avec spine jack L4 le 08.03.2019 pour tassement récent du plateau supérieur de L4 Arthroscopie de l'épaule gauche avec débridement sous-acromial le 08.05.2012 pour rupture massive de la coiffe des rotateurs Prothèse totale du genou gauche Pancréatite aiguë biologique d'origine indéterminée le 12.09.2016 Hémicolectomie droite pour adénocarcinome du côlon, T4 N0 M0 en 2006, suivi d'un traitement adjuvant par Xeloda Infection urinaire à Staph haemolyticus et Enterococcus durant traitée du 12.04 au 19.04.2019 ECA sur surdosage d'opiacés le 12.04.2019 Occlusion de la veine centrale de la rétine de l'œil gauche le 08.01.2019, avec: • glaucome rubéotique et mydriase œil gauche • contrôle ophtalmologique en 05/2019: situation stable, poursuite du traitement actuel • suivi par Dr. X Occlusion de l'artère carotide interne gauche Occlusion de l'artère vertébrale gauche dans sa portion V1, avec reprise d'une opacification punctiforme dans sa portion V2 et filiforme dans ses portions V3 et V4 asymptomatique Occlusion fistule artério-veineuse (boucle omniflow huméro-veineux) membre supérieur gauche Océane, née à 31 1/7ème, au PN de 1195g, en contexte HELLP syndrome débutant, présente une évolution favorable sur le plan développemental à l'âge de 3 mois et 19 jours d'âge corrigé. Elle sera reconvoquée par le secrétariat de neuropédiatrie pour une nouvelle évaluation à l'âge de 9 mois corrigé.Je reste d'ici là à disposition pour tous renseignements complémentaires. Avec mes meilleures salutations. Oculac gouttes après retrait de la lentille. Éducation sur les risques infectieux et les lentilles. Patiente informée des signes à observer motivant une consultation en urgence (écoulement, démangeaisons importantes, douleurs, troubles visuels). Odynodysphagie Odynodysphagie. Odynodysphagie post-intubation Odynophagie Odynophagie depuis 3 semaines Odynophagie et céphalées Odynophagie et dysphonie dès le 29.04.2019 : • sous Mycostatine DD : Oedème De Reinke corde vocale droite ; Suspicion de candidose oropharyngée +/- oesophagienne post-antibiothérapie Odynophagie persistante Odynophagie sur mucite post-radique Oedème aigu des poumons sur décompensation cardiaque gauche le 25.04.2019 • DD : sur fibrillation auriculaire rapide, pic hypertensif, contexte septique Oedème aigu du poumon avec insuffisance respiratoire partielle, • dans un contexte infectieux. Oedème aigu du poumon par coronarographie le 17.05.2019 Oedème aigu du poumon sur fibrillation auriculaire rapide et pic hypertensif le 28.04.2019 • Avec insuffisance respiratoire globale Oedème aigu pulmonaire le 22.05.2019 DD broncho-aspiration dans le contexte de l'iléus Oedème aigu pulmonaire sévère le 11.05.2019 • FEVG sévèrement diminuée (25-30%) sur atteinte hypertensive et valvulaire • Insuffisance mitrale modérée • Maladie coronarienne monotronculaire, sténose de l'artère coronaire droite à 70-90% Oedème cervical Oedème de la cicatrice post-chirurgie. Oedème de la face ventrale du pénis sur son extrémité distale à hauteur du prépuce, étiologie indéterminée. DD : paraphimosis. Status post-tentatives de réduction sans succès au foyer. Oedème de la luette allergique sur Saridon. Oedème de l'uvula le 07.05.2019 • sans signe de gravité. Oedème des membres inférieurs depuis 1 mois Oedème des membres inférieurs d'origine indéterminée Oedème des membres inférieurs et prurit sur suspicion de thrombose veineuse. Oedème des membres inférieurs le 16.05.2019 Oedème des membres inférieurs post-opératoire Oedème des tissus mous au niveau de la face dorsale du pied gauche sans collection le 17.05.2019 avec : • status post-excision de kyste synovial de la gaine des extensor communis des orteils du pied gauche le 13.05.2019. Oedème du doigt. Oedème du membre inférieur droit chez un patient qui présente un kyste de Baker et un hématome fusiforme poplité de 9,5x4x1,5 cm sur status post-arthroscopie du genou droit avec résection méniscale le 12.04.2019 (Dr. X). Oedème du membre inférieur gauche. Oedème du membre supérieur droit Oedème du MIG le 20.01.2019 DD Hématome descendant Oedème du pied gauche Oedème du prépuce. Oedème et douleurs du membre inférieur droit Oedème et rougeur du tiers distal du tibia gauche d'origine indéterminée (DD : dermohypodermite débutante/inflammation musculaire). Oedème facial avec dysphonie transitoire post-opératoire le 07.05.2019 Oedème genou droit Oedème joue droite. Oedème joue droite persistant malgré antibiothérapie ce matin. Oedème laryngé le 21.05.2019 • IOT difficile crush (Videolaryngoscope, Lame courbe, Mandrin) le 21.05.2019 dans le cadre d'un ETO • sp Carcinome épidermoïde de l'hypopharynx 2012 avec radio-chimiothérapie Oedème léger du membre inférieur droit d'origine indéterminée (DD : lymphatique). Oedème lèvre supérieure gauche. Oedème localisé lèvre supérieure gauche le 10.05.2019 • suite à un comédon. Oedème main droite Oedème main gauche après ablation d'une écharde en regard MCP II • pas de franc argument à l'heure actuelle pour une arthrite septique. Oedème main gauche le 14.05.2019 à 24h de l'ablation d'une écharde en regard MCP II • pas de franc argument à l'heure actuelle pour une arthrite septique Oedème majeur gauche Oedème membre inférieur et augmentation périmètre abdominal Oedème modéré des arythénoïdes sur intubation oro-trachéale prolongée le 22.04.2019 Oedème pénien et du scrotum sur sepsis Oedème pied. Oedème pulmonaire aigu avec acidose respiratoire sur pic hypertensif le 11.05.2019 DD : progression de maladie coronarienne chez un patient avec maladie coronarienne tri-tronculaire dilatée : • anciens pontages aorto-coronariens (mammaire interne gauche sur IVA, veine saphène sur IVP, dernier en 2001) • fraction d'éjection ventriculaire gauche à 33% le 01.05.2016 • NSTEMI sur sub-occlusion distale du pontage veineux sur l'artère interventriculaire postérieure le 01.05.2016 (Dr. X) traitée par angioplastie avec 1 stent actif • Coronarographie le 03.05.2016 (Prof. X) : Dilatation de l'IVA distale à travers le pontage mammaire gauche avec mise en place d'un stent actif Oedème pulmonaire aigu le 31.03.2019 Oedème pulmonaire aigu sur fibrillation auriculaire rapide le 27.03.2019. • Torasemide dès le 28.03.2019. Infection urinaire basse le 28.03.2019 à germe indéterminé. Anémie microchrome normocytaire hyporégénérative à 110 g/L le 01.04.2019. AVC ischémique aigu sylvien gauche superficiel sur occlusion M3 de l'ACM gauche le 27.03.2019 d'origine cardio-embolique sur fibrillation auriculaire inaugurale : • avec transformation hémorragique secondaire. • symptomatologie initiale : aphasie globale, parésie faciale droite. • thrombolyse intraveineuse par rtPA à dose standard (54 mg) débutée à 09h57. • NIHSS initial à 7 points, post-thrombolyse IV à 7 points, à 24 heures à 4 points, à la sortie à 4 points. • Hospitalisation en Stroke Unit du 27.03.2019 au 04.04.2019 puis reclassement jusqu'au 10.04.2019. Oedème pulmonaire aigu sur pic hypertensif (DD : rythmique, infectieux) le 11.05.2019 • Insuffisance cardiaque sévère avec FEVG à 30%. • Thrombus ventriculaire gauche apical • Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 sur bas débit Oedème pulmonaire aigu avec épanchement pleural le 15.05.2019 Oedème, rougeur et douleurs au niveau du tiers distal du tibia gauche. Oedème scrotal dans contexte de l'anasarque Oedèmes bilatérales des membres inférieurs Oedèmes des membres inférieurs. Oedèmes des membres inférieurs ddc. depuis l'hospitalisation Port de bas de contention Torem 10 mg 1-0-0-0 depuis le 08.04.2019 pour complication 1. Oedèmes des membres inférieurs d'origine peu claire Oedèmes des membres inférieurs et dyspnée Oedèmes des membres inférieurs possiblement d'origine médicamenteuse (anti-calcique) le 06.05.2019 Oedèmes des membres inférieurs sur probable surcharge hydro-sodée du post-partum avec: • Rein sans particularité le 04.05.2019. • Pas de symptôme digestif. • Pas de signe clinique pour thrombose veineuse profonde. • Pas de limitation à la marche. Oedèmes des membres inférieurs (06.05.2019) Oeil droit rouge et douloureux Oeil rouge. Oeil rouge. Oeil rouge à droite (DD: corps étranger). Oeil rouge d'origine indéterminée Oeil rouge gauche. Oeil tuméfié depuis hier Oeso-gastro-duodénoscopie et colonoscopie élective au cabinet de gastroentérologie de Dr. X, qui convoquera Mme. Y. Lettre provisoire de sortie faxée au service d'anesthésie, Clinique Générale, Fribourg Contrôle radio-clinique à 6 semaines à la Team hanche de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal le 28.05.19 à 14h20. Oesogastroduodénoscopie et colonoscopie le 17.05.2019 (Dr. X) Oesogastroduodénoscopie le 27.05.2019 (Dr. X): absence de source de saignement oesophagienne, gastrique ou duodénale. Colonoscopie le 29.05.2019: varices rectales avec taches de sang. Probablement la source du saignement. IOT et ventilation mécanique du 27.05 au 28.05.2019 VVC jugulaire D du 27.05 au 30.05.2019 Cathéter artériel cubital G du 27.05 au 30.05.2019 SNG du 27.05 au ___ Transfusions: • 2 CE, • 4 PFC, • 1 CP, • 4g de Fibrinogène • 1g Cyclocapron le 27.05.2019 Ceftriaxone le 28.05 (pour suspicion HDH) Oesogastroduodénoscopie le 30.04.2019 Biopsie gastro-duodénale : Promed P2019.4980: Pas d'Hélicobacter pylori Pantozol 40 mg 1x/j du 01.05 au 31.05.2019 Suivi clinique et biologique Oesophagite de reflux sévère le 29.04.2019 Oesophagite d'origine indéterminée • suspicion de gastrite associée. Oesophago-gastro-duodénoscopie de contrôle fin mai à début juin 2019 afin d'exclure une néoplasie sous-jacente (Mme. Y va être recontactée) Le sintrom est repris en raison d'absence de saignement actif au niveau de l'estomac. En cas de chute de l'hémoglobine, l'indication du sintrom est à rediscuter. Oesophagus-Candidose St.n. Magenulcera Angio-CT abdomino-pelvien le 29.04.2019: pas de saignement actif. Hyperdensité spontanée dans l'estomac pouvant être compatible avec caillot de sang. Echocardiographie transthoracique le 29.04.2019: examen de mauvaise qualité (patient intubé et en décubitus dorsal). Ventricule gauche (évaluation avec LV contraste) non dilaté avec une akinésie de la paroi postérieure, de la paroi inféro-apicale et de la paroi inférieure moyenne et une hypokinésie sévère de la paroi inféro-basale. FEVG à 40-45 % (évaluation visuelle). Valve aortique : Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg, absence d'insuffisance aortique. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction systolique du VD droit normal. Absence d'épanchement péricardique. Bilan angiologique le 29.04.2019: thrombose de l'artère radiale gauche sans occlusion du cathéter. Artère radiale D occluse et artère cubitale D en mauvais état. Contre-indication aux ponctions artérielles au poignet D.Bilan angiologique le 29.04.2019 : thrombose de l'artère radiale gauche sans occlusion du cathéter. Artère radiale D occluse et artère cubitale D en mauvais état. Contre-indication aux ponctions artérielles au poignet D. OGD le 27.05.2017 à 11h30 à l'HFR, site Fribourg. OGD le 29.05.19 : Signe d'une hypertension portale avec varices oesophagiennes de stade I à II sans tache rouge ni signe d'un saignement récent et gastropathie congestive. OGD le 29.05.19 Attitude • Pas de prophylaxie primaire • OGD de contrôle dans un an OGD prévue le 27.05.2019 : non réalisable car Mr. Y n'a pas respecté la consigne d'être à jeûn. OGD sous IOT (Cormack 1) le 13.05.2019 (Dr. X) Cathéter artériel du 12.05 - 14.05.2019 Konakion 10 mg ivd et Beriplex 2000 U iv le 12.05.2019 4 CE Pantozol 80 mg en ivd puis 8 mg/h iv continu • Nexium 40 mg 2x/j pendant 1 semaine • Nexium 40 mg/j pendant 4 semaines • Nexium 20 mg/j à vie Reprise d'alimentation lisse froide le 14.05.2019 Aspirine stoppée le 21.05.2019 OGD (24.04.2019) : maladie de reflux gastro-oesophagique, gastrite antrale et duodénite, • Histologie (Promed P2019.5145) : • biopsie ligne Z : absence de métaplasie intestinale, pas de signe de dysplasie ni de malignité • biopsie duodénum et bulbe duodénal : duodénite subaiguë et chronique, peu active. Pas de granulome, pas de signe de dysplasie ou de malignité • biopsie de l'estomac : pas d'H. Pylori, ni de lambiase, pas d'atrophie glandulaire, pas de métaplasie intestinale, ni de signe de dysplasie ou de malignité IPP 40 mg bid dès le 24.04.2019 Procédure : • IPP 40 mg bid pour 6 semaines (début 24.04.2019 fin 05.06.2019) jusqu'au 05.06.2019, puis IPP 40 mg id • OGD de contrôle le 27.06.2019 à 11h30 OH aigu le 27.05.2018. OH chronique OH chronique (abstinent depuis cinq ans). OH chronique avec 5-7 bières par jour SAOS sévère avec IAH 29.9/h, tentative d'appareillage dès le 29.04.2019. Tabagisme actif AOMI stade II MID OH chronique Fibrillation auriculaire paroxystique Fuites persistantes de la gastrostomie • Mise en place le 11.12.18 suite à des fausses routes et dysphagies • Alimentation parentérale du 23.12.2018 au 21.01.19 • Suivi par les diététiciennes • Suivi stomatothérapeute • CT thoraco-abdominal 23.12.2018 • Drainage sous guidage CT : Reposition de la PEG • CT abdomen 25.12.18 • CT abdominal supérieur 26.12.2018 • CT abdominal 28.12.2018 • Ultrason abdominal 13.1.2019 • CT abdominal 16.01.19 OIC 494, 395 OIC 497 : sévère trouble respiratoire d'adaptation OIC 495 : infection néonatale sévère OIC 498 : hypoglycémie Olfen retard 75 mg 1-0-1 Novalgin 500 mg max 6/j Oligoamnios avec AFI à 3,6 cm Oligo-anurie le 07.05.2019. Oligoarthrite X, suivi en rhumatologie à l'HFR. Oligurie post-opératoire le 21.05.2019. OM du Dr. X : nettoyage au NaCL 0.9 %. Patient informé de consulter l'ophtalmologue en cas de non-amélioration/péjoration des symptômes. OMA G OMA à répétition (cf consultation Dr. X du 27.03.2019) Pose de drains trans-tympaniques le 05.04.2019. OMA bilatérale OMA bilatérale débutante OMA D OMA D en traitement OMA débutante à droite OMA droite avec composante séreuse probable OMA droite, débutante à gauche OMA G débutante OMA gauche débutante OMA gauche, débutante à droite avec conjonctivite bilatérale Omalgie D d'allure neuropathique, type allodynie sur status post suture de sus-épineux de l'épaule D, le 03.09.2014 par le Dr. X, avec vis flottante dans une zone kystique au niveau de la tête humérale. Lombosciatalgie non déficitaire G, avec légère dessiccation des disques intervertébraux L3-L4, L4-L5, petite lésion ligamentaire postée au niveau de L5-S1. Omalgie droite dans un contexte de surcharge professionnelle • douleurs au genou droit et à la main droite (MCP 2 et 3) associées depuis 6 mois. Omalgie épaule gauche accompagnée d'une contracture du trapèze ipsilatéral. Omalgie G sur status post suture de la coiffe des rotateurs, acromioplastie, bursectomie et ablation de calcification du sus-épineux en 2013. Polyarthralgie diffuse en investigation en rhumatologie. Omalgies chroniques épaule droite • s/p lésion traumatique tendon sus-épineux avec instabilité du long chef du biceps post traumatisme en octobre 2017, épaule D AS épaule D, ténotomie puis ténodèse du LCB, réinsertion du tendon sus-épineux par ancre Hélicoïl 2x et ancre Bioraptor 1x (OP le 23.11.2017). Omalgies D avec tendinopathie distale antérieure du tendon sus-épineux et de l'intervalle des rotateurs ; irrégularité du ligament gléno-huméral et arthropathie acromio-claviculaire Maladie de Ménière G, déficit auditif neurosensoriel G. Omalgies D d'origine X DD tendinopathie du sous-épineux. Omalgies D exacerbées depuis l'accident du 05.03.2019 Omalgies D post-traumatiques avec forte suspicion de tendinopathie du long chef du biceps et conflit sous-coracoïde : • DD : lésion SLAP symptomatique. Omalgies et coxalgies bilatérales Omalgies gauches. Omalgies gauches atraumatiques. Omalgies mécaniques gauches d'origine X DD : Rupture chronique de la coiffe des rotateurs DD : Tendinopathie du LCB Omalgies post-traumatiques, DD : tendinopathie de la coiffe et suspicion d'atteinte du tendon biceps le 19.05.2019. Omarthrose avancée à G. Status post fracture de l'humérus proximal G traitée conservativement à l'âge de 18 ans. Fracture non déplacée du tubercule majeur de l'humérus G le 14.03.2019. Omarthrose bilatérale Omarthrose bilatérale HTA Sténose aortique modérée Hypoacousie sévère bilatérale appareillée Omarthrose concentrique de l'épaule droite oligosymptomatique. Omarthrose concentrique, sans lésion de la coiffe des rotateurs de l'épaule gauche. Omarthrose D sévère avec : • tendinopathie d'insertion du muscle supra-épineux • bursite sous-acromio-sous-deltoïdienne sévère • tendinopathie du muscle long chef du biceps Omarthrose D sévère décompensée sur chute Omarthrose débutante de l'épaule droite sur rupture chronique du sus-épineux avec rétraction du 3ème degré. Status post infiltration du sillon bicipital droit le 14.12.2018. Status post infiltration du sillon bicipital épaule droite le 15.3.2019. Status post infiltration sous-acromiale épaule droite le 29.3.2019.Omarthrose droite stable. Omarthrose droite traumatisée. Omarthrose et arthropathie de coiffe épaules gauche probablement également à droite. Gonalgie gauche. Spondylarthrose et discarthrose. Sacralisation de L5 cervical pluri-étagée. Ostéoporose clinique vertébrale avec une formisation D4 D6 + fracture D12 en 2012. Insuffisance rénale stade II. HTA traitée. Status post cure de tunnel carpien bilatéral. Épisode dépressif et trouble de l'adaptation. BPCO avec plusieurs décompensations. Omarthrose excentrée bilatérale sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs. Omarthrose excentrée débutante droite sur rupture chronique sus-épineux avec rétraction du 3ème degré, rupture du sous-scapulaire avec kyste intra-osseux volumineux de la tête humérale. Rupture massive de la coiffe des rotateurs épaule gauche avec : • rupture complète du sous-scapulaire avec rétraction et atrophie musculaire avancée • rupture spontanée du LCB • lésion sous-totale du sus-épineux avec rétraction du 2ème degré et atteinte des parties hautes du sous-épineux. On a à disposition le rapport de l'IRM qui décrit une tendinopathie du sus-épineux associée à une déchirure boursale quasi transmurale des fibres antérieures du tendon. Au niveau insertionnel, nous mesurons 10 mm antéro-postérieur sans rétraction significative du tendon avec une bonne trophicité musculaire de la coiffe et une boursite sous-acromiale sous-deltoïdienne. On a une évolution radio-clinique favorable à 8 semaines postopératoires. On prévoit l'ablation de l'attelle. On prescrit des séances d'ergothérapie pour le renforcement musculaire. On recommande d'éviter les chocs directs sur la main D. On le reverra dans 6 semaines et on discutera peut-être de l'ablation des broches. On a une suspicion de pseudarthrodèse pour laquelle nous réaliserons un CT scan ddc afin de mieux bilanter la situation. On assiste à une bonne évolution radio-clinique à 3 mois d'un traitement conservateur avec une reprise des activités quotidiennes normales. Pas de prochain contrôle ni de physiothérapie mais restons à disposition. On assiste à une évolution clinique favorable sous physiothérapie. Le patient est aussi sous traitement de Condrosulf depuis environ 2 ans. On lui conseille de poursuivre la physiothérapie pour relâchement des chaînes postérieures. Prochain contrôle dans 6 mois. On assiste à une évolution radio-clinique favorable à une année postopératoire. Vu l'absence de gêne au niveau du site opératoire, on ne prévoit pas d'AMO pour le moment. Il est informé qu'en cas de gêne il peut nous recontacter pour discuter d'une éventuelle AMO. Plus de contrôle prévu. On assiste à une évolution radio-clinique favorable. Le patient finit l'antibiothérapie ce jour. Ayant écarté la suspicion d'une ostéomyélite, on ne prévoit pas un autre contrôle clinique. Nous restons à disposition au besoin. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 26.05.2019. On conseille maintenant à la patiente de porter des chaussures avec des semelles plutôt rigides. On lui explique qu'il y a toujours cette arthrose qui peut être douloureuse pour laquelle la solution serait une arthrodèse de la MTP I. Pour l'instant, je ne propose pas de prochain contrôle systématique mais nous restons à disposition au besoin. On considère que l'état clinique du patient permet une reprise du travail globale à 40%. Le patient étant très motivé à reprendre une activité professionnelle. Pas de nécessité de contrôle radiologique ce jour. On reverra le patient dans 6 mois. On continue le traitement conservateur chez ce patient. Confection ce jour d'une botte de marche plâtrée fermée. On revoit le patient dans 6 semaines pour le prochain contrôle radio-clinique. Il est autorisé à marcher en touch down. Il doit effectuer la prophylaxie thromboembolique par Clexane. On convient avec Mr. Y qu'au vu de la symptomatologie qui est plus marquée à D, on va effectuer une ostéotomie de valgisation du tibia d'abord à D. Le patient est prévenu que l'intervention se fera en hospitalisation d'environ 5 jours. Au minimum 3 mois d'arrêt de travail et de sport en postopératoire. Il ne sera pas apte à conduire pour environ 4 semaines. On réserve une date opératoire pour le 11.06.2019 et nous le reverrons fin mai pour signer le consentement éclairé, CT long axe, IRM genou D et consultation d'anesthésie. On discute avec la patiente de faire la réfection du pansement chaque jour elle-même avec désinfection au Prontosan et Adaptic au niveau de la plaie. Nous la reverrons lundi. Ablation des fils à 2 semaines à notre consultation. En cas de soucis durant le week-end, elle se présentera aux urgences. On discute avec la patiente de la mise en place de semelle orthopédique sur mesure avec surélévation du bord latéral pour décharger les tendons péroniers et supporter le pied creux. On la reverra avec les semelles dans 2 mois. Poursuite des exercices pour renforcement musculaire elle-même à la maison. On discute avec la patiente et la maman que nous la reverrons avec Dr. X, orthopédie pédiatrique, pour faire le point. Pour le pied plano valgus, on propose la mise en place de semelle. On discute avec le patient de l'intervention qui consistera en une ostéosynthèse de la clavicule latérale avec une éventuelle fixation de la clavicule sur le coracoïde avec un Endobutton pour que la clavicule ait une stabilité antéro-postérieure après l'intervention. L'intervention est agendée pour le 15.04.19. Le patient sera vu par les anesthésistes auparavant. On discute avec le patient d'une option chirurgicale. Actuellement, il ne désire pas cette intervention mais il va encore réfléchir durant les prochaines semaines et nous le reverrons au mois de mai pour discuter de la suite de la prise en charge. On discute donc des tenants et aboutissants de cette intervention en mentionnant les risques inhérents à cette chirurgie. On prévoit donc une ostéotomie passant au niveau de l'ancienne fracture avec réduction et refixation par une lame plaque. J'ai également expliqué au patient qu'il serait préférable qu'il s'abstienne de nicotine durant toute la durée de cicatrisation et il est d'accord d'arrêter totalement la cigarette. On planifie donc cette opération avec Dr. X. On discute encore avec la patiente des options de traitement et elle se décide pour une arthrodèse du poignet. On planifie l'intervention pour l'automne avec une AMO du poignet droit, une arthrodèse du poignet avec une plaque Aptus et mise en place de greffe de la crête iliaque et, selon la correction que nous arrivons à faire, on rajoutera une procédure selon Darrach pour l'ulna. On est clairement dans une situation chronique pour laquelle il n'y a pas de solution idéale à part la mise en place d'une prothèse inversée. Vu le contexte du patient par contre, je préconise tout d'abord un traitement conservateur avec infiltration de l'épaule. Ablation du pansement à 24 heures. Contrôle à ma consultation le 24.6.2019. On est dans une situation difficile pour laquelle je n'ai pas d'indication chirurgicale directement. Il me semble judicieux de proposer d'abord un traitement conservateur avec physiothérapie, ultrasons et renforcement doux. Prochain contrôle chez moi dans un mois le 14.6.2019. En cas de persistance, voire augmentation des symptômes, je vais proposer une réinsertion du biceps distal vu le probable échec d'un traitement conservateur. Poursuite d'un arrêt de travail à 100% comme maçon jusqu'au 14.6.2019. On est devant une situation complexe avec des éléments anciens comme des éléments récents. Du côté ancien, le patient présente principalement une atteinte du sus-épineux, la rétraction actuelle me fait clairement penser à une vieille lésion de celui-ci. En ce qui concerne la lésion partielle du sous-scapulaire, j'ai du mal à dater celle-ci. Le problème actuel du patient est une raideur articulaire marquée post-traumatique que je lui conseille de traiter avec de la physiothérapie pour récupérer les amplitudes articulaires et renforcer la coiffe des rotateurs. Dans un 2ème temps, une fois que le patient aura regagné sa souplesse articulaire, on pourra discuter d'une ténotomie et ténodèse du LCB, réparation du sous-scapulaire et débridement articulaire. Vu l'âge du patient, une réinsertion du sus-épineux est plutôt déconseillée. Le patient qui a reçu mes explications en présence de sa femme et de sa fille va donc faire de la physiothérapie. J'ai programmé un prochain contrôle chez moi le 19.8.2019 pour juger de l'évolution par rapport à la mobilité de l'épaule. On est en face d'un échec du traitement chirurgical avec cette tentative de cure de pseudarthrose. Une réostéosynthèse dans ces conditions ne me semble pas indiquée. Je préconise donc une ablation de la plaque et excision de la clavicule latérale puisqu'il s'agit d'un fragment de seulement 2,5 cm. Mr. Y est tout à fait d'accord avec cette procédure afin de diminuer les douleurs. Aujourd'hui, j'explique au patient le déroulement intra et post-opératoire pour cette intervention que j'ai prévue dans les plus brefs délais le 15.5.2019 afin de limiter l'incapacité de travail à mi-terme. On est face à plusieurs problèmes chez ce patient. Dans un premier temps, on a un status post-entorse de la cheville D, pour laquelle je mets en place de la physiothérapie. Concernant la cheville D et au vu de la présence de cette lésion ostéochondrale postéro-médiale du talus qui était asymptomatique et qui pourrait avoir été décompensée suite au traumatisme récent en étant toutefois une lésion plutôt ancienne préexistante au traumatisme. Dans ce sens, je propose de rééduquer la cheville D et de voir l'évolution de cette lésion ostéochondrale. Si elle persistait à être symptomatique, il faudrait envisager un geste probablement de micro-fracture avec possiblement la nécessité de réaliser une ostéotomie de la malléole médiale. Enfin, il y a la présence de l'instabilité de la cheville G sur un varus important de l'arrière-pied ddc. Pour ce varus de l'arrière-pied qui prédispose à une instabilité de la cheville, je propose la mise en place de semelles orthopédiques afin de compenser ce varus. Une fois la problématique de la cheville D résolue, il faudrait envisager un bilan de la cheville G qui présente une instabilité ressentie assez fréquemment. La question se pose de la nécessité d'un geste chirurgical pour stabiliser cette cheville qui pourrait passer par une ligamentoplastie ainsi qu'une ostéotomie de valgisation du calcanéum. Concernant la cheville D, nous reverrons le patient après 2 mois de physiothérapie afin de voir l'évolution de l'entorse et des lésions ostéochondrales. On explique à la patiente que la fracture est dans une zone de perfusion réduite. Elle lui explique de mettre des bandes élastiques et prescription de physiothérapie pour stimulation de la guérison de la fracture par US et onde de choc. Prochain contrôle radioclinique à 3 mois de la fracture chez le Dr. X. On explique à la patiente que les douleurs sont dues à une instabilité encore relative au niveau du trait d'ostéotomie et que l'ablation de la broche ainsi que la marche qui se fait actuellement avec des chaussures trop souples entraînent cette réaction de gonflement et de douleurs. On rassure la patiente quant à l'évolution de la situation qui devrait diminuer d'un point de vue des douleurs au fur et à mesure de l'augmentation de la consolidation osseuse. Dans ce sens, on met en place une bande Coban au niveau du pied afin de stabiliser un peu le 5ème métatarsien et on conseille surtout à la patiente d'acheter des chaussures avec une semelle plus rigide qui permettra de limiter les mouvements sur le 5ème métatarse lors du déroulé du pas. Nous la reverrons comme prévu le 19.06.2019. D'ici là, nous restons à disposition au besoin. On explique à la patiente qu'elle peut recommencer le sport sans contact, tel que la natation ou la course à pied. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle le 25.06.2019. On explique au patient qu'au vu de la lésion du Chopart + du CRPS, l'évolution est clairement favorable de façon assez rapide au vu des délais de guérison auxquels on peut s'attendre en cas d'un CRPS. On l'encourage à poursuivre le traitement de physiothérapie et d'ergothérapie. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 3 mois. On explique au patient que la persistance des douleurs au niveau de sa hanche droite s'inscrit dans un contexte d'arthrose activée décompensée par le traumatisme. L'IRM de ce jour n'a pas mis en évidence d'oedème de la spongieuse. Les symptômes peuvent être complètement expliqués par l'arthrose. On explique déjà au patient que le traitement à terme consiste à effectuer un remplacement prothétique de cette articulation. Avant cela, compte tenu de l'âge, on est favorable à optimiser le traitement conservateur afin de tenter de repousser cette échéance. C'est pourquoi on propose au patient de commencer par une infiltration diagnostique et thérapeutique de l'articulation de la hanche droite sous contrôle scopique. Puis nous verrons le patient à 3 semaines de l'infiltration pour un contrôle clinique suite à ce geste. L'arrêt de travail à 100% est prolongé au moins jusqu'au 21.06.2019 en raison de maladie. On explique au patient qu'une solution pour éviter les orthèses à ce niveau serait une intervention chirurgicale. Au vu de la demande fonctionnelle et de l'âge du patient, nous proposons plutôt de gérer la parésie à l'aide des orthèses. On recommande au patient de se renseigner auprès des techniciens orthopédiques en ce qui concerne une nouvelle alternative à ces orthèses. Nous restons à disposition au besoin. On explique bien au patient qu'au vu des antécédents chirurgicaux, la période de réhabilitation peut être plus longue mais il faut insister avec la mobilisation active en charge complète, sans moyen auxiliaire pour avancer dans le plan musculaire au vu de l'amyotrophie du quadriceps présente. L'arrêt de travail est prolongé jusqu'au 23.06.2019. Nous le reverrons dans 4 semaines. On ferme le plâtre ce jour avec une bande adhésive. J'aimerais revoir Mr. Y pour un contrôle radioclinique hors plâtre dans 3 semaines. On hospitalise Mr. Y pour un traitement antiémétique et anti-vertigineux par Tanganil i/v. L'évolution est rapidement favorable et il parvient à se mobiliser dès J1. Diminution de l'ampleur des vertiges et des nausées. On indique au patient d'augmenter son taux d'activités physiques pendant les 6 prochaines semaines et de se revoir début juillet afin de faire le point de la situation, surtout au point de vue de la résistance et de la possibilité de porter des charges qu'il devra travailler. À ce moment-là, on pourra décider d'une reprise du travail. Nous prions également nos collègues du Team MS de convoquer, le plus rapidement possible, le patient car il a remarqué le développement d'une douleur au niveau du poignet G dans la région styloïdienne qui n'était pas mise en évidence lors de l'hospitalisation. Au vu du traumatisme à haute vitesse, une éventuelle lésion n'est pas possible d'être exclue et donc une évaluation spécifique avec images sera nécessaire. On intensifie la mobilisation en physiothérapie et en ergothérapie. On rajoute une bande de déroulement pour le 5ème doigt, pour le 3ème doigt, on a la suspicion d'une plaque palmaire que l'on traite avec une attelle en 8 afin de voir si l'on peut récupérer le flexum de 10°. On reverra la patiente dans 6 semaines pour un contrôle clinique.On laisse encore l'ortho-gilet. Mouvements pendulaires pour environ 10 jours. Nous allons discuter les images de ce jour avec le Dr. X et nous déciderons de la suite. Très probablement, elle peut déjà commencer avec la mobilisation jusqu'à l'horizontale dans 10 jours. La mobilisation doit être limitée jusqu'à 6 semaines post-accident. La charge peut être débutée à partir de 6 semaines de l'accident. Mme. Y reste à l'arrêt de travail à 100% en tant qu'employée de commerce. Nous la reverrons à 6 semaines de l'accident. On laisse encore 2 semaines d'arrêt de travail pour protection du pied droit puis le patient pourra reprendre son activité. Il devra porter des bottes renforcées lors du travail afin de protéger l'orteil. Prochain contrôle clinique. Poursuite du traitement de la mycose au niveau du pied pour éviter une onychomycose avancée comme le patient présentait au moment de l'accident. On note malheureusement un déplacement secondaire de la fracture de la clavicule, avec une plaque pliée à 150°. L'indication pour une ablation du matériel d'ostéosynthèse et ré-ostéosynthèse de la clavicule est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et bénéfices liés à celle-ci. Il me donne son accord, le consentement est signé. Renseignements pris par le secrétariat d'anesthésie auprès du Dr. X, une nouvelle consultation pré-anesthésique n'est pas nécessaire. On note surtout une inflammation de l'épaule gauche avec un Hawkins positif, mais cependant une bonne fonction de l'épaule. Nous proposons au patient une infiltration, planifiée pour le 14.05.2019. Poursuite de séances de physiothérapie. On note une bonne évolution à 6 semaines postopératoires. Elle va poursuivre la physiothérapie pour mobilisation libre de l'épaule en actif et actif-assisté. Nous la reverrons dans 2 mois pour un nouveau contrôle clinique. AT prolongé jusqu'à début juin. On note une bonne évolution après cette longue histoire de la patiente. On propose de continuer ce traitement comme débuté avec ergothérapie, physiothérapie et la médication actuelle. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. On note une bonne évolution au niveau du poignet. Le patient va continuer l'ergothérapie et la physiothérapie pour mobilisation du poignet et commencer la charge progressivement dans 2 semaines. Poursuite de l'arrêt de travail à 50% jusqu'au 28.04.2019 puis reprise à 100%, si ce n'est pas possible, poursuite de l'arrêt de travail par le médecin traitant. Concernant la symptomatologie du nerf médian avec cette hyposensibilité dans les premiers doigts, le patient rapporte une légère amélioration. Dans ce contexte, on attend de voir l'évolution durant les 6 prochaines semaines où un contrôle radioclinique sera fait. Dans le cas d'une persistance de la symptomatologie, on va organiser un ENMG pour bilanter un éventuel tunnel carpien. On note une bonne évolution avec ce traitement conservateur des épaules, plus marquée à gauche qu'à droite. Actuellement, il parle d'une subjective shoulder value à 80% à droite et à 90% gauche. Une amélioration avec un traitement physiothérapeutique est possible. Il va continuer les séances de physiothérapie et du fitness médical. Concernant la tendinite généralisée, le patient consultera son médecin traitant afin d'évaluer l'éventualité d'autres étiologies pour ces symptomatologies, notamment dans la recherche d'une éventuelle spondylarthrite ankylosante, un test de HLA-B27. Nous reverrons le patient pour un contrôle clinique en juin. On note une bonne évolution chez ce patient, actuellement une tendinopathie de la coiffe des rotateurs semblerait être la cause de ses gênes. Cette problématique est des suites de l'accident, il y a probablement eu une décompensation de la situation musculaire avec débalancement entre les éléments qui font monter la tête de l'humérus et la coiffe des rotateurs qui balancent ce mouvement. On propose une physiothérapie ciblée sur cette problématique et on commence un MTP pour renforcement musculaire. On reverra le patient dans 3 mois pour un contrôle clinique. On note une bonne évolution de cette entorse. Le patient va encore la stabiliser une semaine avec une Aircast et ensuite avec une chaussette renforcée. Dispense de sport pendant 6 semaines puis reprise. Début de physiothérapie pour proprioception dans 4 semaines. Prochain contrôle à 6 semaines chez le médecin traitant pour tester la stabilité. Nous restons à disposition en cas de problèmes. On note une bonne évolution de la tendinopathie avec notamment diminution des douleurs. Poursuite des séances de physiothérapie. Nous organisons une IRM de l'épaule afin d'exclure une lésion plus importante de la coiffe des rotateurs ainsi qu'un contrôle pour discuter du résultat de cette dernière le 15.05.2019. On note une évolution favorable chez ce patient, chez qui nous prévoyons un contrôle à 1 an postopératoire. On note une évolution très favorable chez cette patiente que nous autorisons à sevrer progressivement les cannes et à marcher en charge complète. Poursuite du traitement en physiothérapie et prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. On note une excellente évolution à une année de l'intervention. Le patient est très content de la situation. Il poursuit son travail à 100%. Fin de traitement, il nous recontactera au besoin. On note une excellente évolution après le traitement par physiothérapie. Le patient va poursuivre les exercices à la maison et encore quelques séances de physiothérapie puis fin du traitement. Nous restons à disposition en cas de problèmes. On note une très bonne évolution concernant la fracture. La patiente peut reprendre ses activités professionnelles et tous les mouvements librement. Pas d'attelle nécessaire. Encore pas de charge sur l'avant-bras. Pas de contrôle prévu, fin de traitement chez nous. On reste à disposition. On organise donc un prochain rendez-vous dans 3 mois avec possibilité d'une reprise professionnelle à 50% à partir de juin et à 100% à partir de juillet. Par contre, on lui a conseillé de ne pas effectuer des activités d'automobilisme sportif jusqu'au prochain contrôle radioclinique en août. On pense qu'il s'agit de symptômes résiduels de la maladie de Sudeck qui ont été entretenus de la fracture de P2 de décembre 2018. Nous proposons au patient d'effectuer des bains écossais contre les symptômes vasomoteurs et, en cas d'exacerbation des douleurs, nous sommes à disposition. On peut commencer à charger complètement avec le but de charger à 100% dans 4 semaines. Physiothérapie avec amélioration de la force des abducteurs sans résistance. Mobilisation. Prochain contrôle à 6 semaines avec radiographies. On peut donc mettre un terme au suivi. Le patient reprendra rendez-vous uniquement en cas de problème. On peut raisonnablement poser l'indication à une PTH gauche. On prévoit une voie antérieure sur table d'extension avec prothèse Corail/Pinnacle. On prévoit donc une hospitalisation à partir du 18.06.2019 avec opération le 19.06 pour ablation du spacer, débridement et réimplantation. Nous ferons des prélèvements avant de donner les antibiotiques, puis on poursuivra les antibiotiques jusqu'à réception des résultats de microbiologie. On prévoit une reprise progressive du travail avec reprise à 20% à partir du 27 mai, à 50% à partir du 10 juin et à 100% à partir du 1er juillet. Pas de nouveau contrôle prévu si l'évolution est favorable, sinon le patient peut reprendre rendez-vous. On procède à la réflexion du pansement avec Bétadine, Adaptic, compresses et bandage avec repositionnement de l'attelle Edimbourg. Mme. Y a rendez-vous ce jour en ergothérapie afin de bénéficier de la confection d'une attelle Manchester puis nous envisageons une rééducation selon protocole CAM dans le but d'éviter autant que possible les adhérences. La réflexion régulière du pansement pourra se faire en ergothérapie ou chez le médecin traitant. Ablation des fils à 14 jours postopératoire chez le médecin traitant ou en ergothérapie. Je revois Mme. Y dans 5 semaines pour un contrôle clinique.On procède à l'ablation de la broche avec une pince après désinfection. Après retrait de cette broche, pas de lag d'extension contre gravité avec la persistance d'un recurvatum de 5° sur l'interphalangienne distale. On procède également à un débridement minimal des croûtes qui délaminent en proximal. Application d'Adaptic après nouvelle désinfection et compresses et bandage. On recommande la poursuite de la réfection du pansement avec détersion chimique par Prontosan par les soins à domicile 3x par semaine. Le patient est envoyé en ergothérapie pour 9 séances afin de recommencer à mobiliser son doigt. On lui recommande encore d'être particulièrement prudent et d'éviter toute extension contrariée au cours des prochaines semaines. On le reverra dans 1 mois pour faire le point sur l'évolution du point de vue de la mobilité et pour procéder à un nouveau débridement de la nécrose si possible. Arrêt de travail à 100% prolongé pour une durée de 1 mois. On procède à l'ablation des fils. Bonne évolution à 2 semaines. Prochain contrôle clinique dans 1 semaine. Reprise de son activité à 100% au bureau à partir de ce jour. On propose de faire encore une cure avec du Chondrosulf pour 3 mois ainsi qu'Irfen pour 3 jours. On reverra la patiente pour le prochain contrôle début septembre pour discuter du traitement et, en cas d'échec, évaluer une réalisation d'une nouvelle IRM du genou ainsi que d'une infiltration. On re confectionne ce jour un nouveau plâtre BAB fermé. Prochain contrôle radioclinique dans 1 semaine. On recommande à la patiente de vraiment faire des exercices de stretching tous les jours et traitement US en physiothérapie. Elle peut arrêter les ondes de choc. Nous la reverrons dans 3 mois. En cas de persistance de la situation, il faudra discuter d'un allongement du tendon d'Achille. On recommande au patient la poursuite de la rééducation en physiothérapie axée sur l'antalgie. Le patient ne veut pas d'arrêt de travail. À l'examen clinique de ce jour, les tests provocatifs désignent une symptomatologie douloureuse au niveau de l'insertion des rotateurs externes. Afin de faire la part des choses, on organise une arthro-IRM et nous reverrons le patient après cet examen pour discuter de son résultat et préciser le diagnostic, afin d'organiser une thérapie ciblée. On remarque une bonne amélioration des douleurs que le patient ressentait dans l'avant-bras, par contre il présente de nouvelles douleurs dans la main et dans l'épaule. Le patient va débuter de la physiothérapie pour détente musculaire, US et Voltaren iontophorèse. Prochain contrôle dans 2 mois 1/2. On remarque une excellente évolution du doigt. Le patient va poursuivre la mobilisation normalement. Il nous recontactera en cas de besoin. On remplit le certificat pour l'OCN vue le périmètre de marche très limité et la gêne fonctionnelle pour les gestes de la vie quotidienne. On conseille de refaire un contrôle radio-clinique si apparition d'autres symptômes, respectivement d'ici 5 ans. On visualise sur l'IRM, une importante tendinite des tendons péroniers. Sur le CT, il y a un possible conflit osseux mais l'origine de la tendinite pourrait aussi être intra-tendineuse et dégénérative. En regard de l'absence d'amélioration de la situation avec le traitement conservateur, nous proposons à la patiente une révision des tendons +/- résection osseuse rétro-malléolaire, +/- augmentation et ténodèse du long péronier. La patiente est d'accord avec cette proposition. Elle signe le consentement éclairé. En regard de l'anticoagulation par Sintrom, nous prions d'arrêter ce traitement 7 jours préopératoires avec un replacement par Héparine de manière prophylactique dès 48 heures préopératoires. La patiente sera également vue en anesthésie. Ondansétron 4 mg p.o. Novalgine 500 mg IV Labo: Leuco 12, CRP 18 Avis chirurgical: Hosp, hydratation, surveillance, à jeun Ondansétron 2 mg p.o. aux urgences Boit 400 ml de Normolytoral RAD avec traitement symptomatique des nausées et compensation des pertes par Normolytoral Ondansétron 2 mg Ondansétron 4 mg puis boit 250 ml de Normolytoral et jus de pommes sans récidive de vomissements. En l'absence de francs signes de déshydratation, retour à domicile avec consignes usuelles dans ce contexte et contrôle chez pédiatre dans 24-48 h. Ondansétron Réhydratation par Normolytoral Consignes usuelles de déshydratation Ttt symptomatique avec poursuite réhydratation (200 ml/h sur 4 h) à domicile Ondansétron 1 mg aux urgences, puis Itinérol en réserve au domicile Normolytoral pour réhydratation Ondansétron 1 mg aux urgences sans récidive de vomissement. Boit 200 ml de Normolytoral en moins d'une heure car assoiffé -> donner plutôt en petites gorgées. Examen incomplet car a peur qu'on l'approche suite à qu'on lui a fait une prise de sang à l'hôpital, par contre ne présente pas de signes de déshydratation. Consignes pour une réhydratation par Normolytoral plus lente. Explication des signes de gravité. Au domicile, donner encore 300 ml de Normolytoral sur les 3 heures prochaines, et compenser en plus les pertes. Mécanisme de compensation des pertes expliqué. Onde T négatives dans le territoire antéro-septal sans mouvement enzymatique le 14.05.2019: Ongle incarné. Ongle incarné avec suspicion d'infection • contexte de diabète et d'immunosuppression Ongle incarné bord interne hallux D. Ongle incarné de la face latérale de l'ongle du 3ème orteil du pied droit. Ongle incarné de l'hallux droit le 12.05.2019. Ongle incarné du bord externe de l'hallux du pied D. Ongle incarné du grand orteil ddc. Ongle incarné du gros orteil du pied droit. Ongle incarné hallux ddc interne et externe Cure ongle incarné hallux ddc interne et externe (OP le 11.04.2017) Colique biliaire simple DD lithiase biliaire vésiculaire Cholecystectomie laparoscopique en 02.2019 Ongle incarné hallux ddc interne et externe. Cure ongle incarné hallux ddc interne et externe (OP le 11.04.2017). Colique biliaire simple (DD lithiase biliaire vésiculaire). Cholecystectomie laparoscopique en 02.2019. Ongle incarné hallux ddc interne et externe. Cure ongle incarné hallux ddc interne et externe (OP le 11.04.2017). Colique biliaire simple (DD lithiase biliaire vésiculaire). Cholecystectomie laparoscopique en 02.2019. Ongle incarné hallux droit Ongle incarné rebords latéral et médial de l'hallux gauche. Ongles incarnées gros orteils ddc en voie de résolution. Ongles incarnés bord médial et latéral des deux côtés. Ongles incarnés des bords internes et externes des deux gros orteils. Cure d'ongles incarnés des bords internes et externes des deux gros orteils selon Kocher. Onychomycose prédominant au membre supérieur le 12.04.2019 • probable réactivation dans le contexte d'immunosuppression actuel OP amygdale en janvier 2019. OP calcul rénal D en 2014. OP cataracte avancée ddc.Uvéite. Fracture ouverte P3 D5 main D le 31.08.2016. Exploration, suture du lit d'ongle, plastie de l'ongle et embrochage par 1 broche de Kirschner 1.0 D 5 main D (OP le 31.08.2016). OP cataracte avancée des deux côtés. Uvéite. Fracture ouverte P3 D5 main droite; le 31.08.2016. Exploration, suture du lit d'ongle, plastie de l'ongle et embrochage par 1 broche de Kirschner 1.0 D 5 main droite (OP le 31.08.2016). OP cataracte avancée des deux côtés. Uvéite. Fracture ouverte P3 D5 main D; le 31.08.2016. OP cataracte ddc OP des varices des MI à 3 reprises OP fixation de la matrice OP élective OP fascia lata distal G en 1985 (Dr. X). AS, résection lésion méniscale genou G en 2006 (Dr. X). Lombosciatalgies G non irritatives, non déficitaires en 2014. Contusion thoracique G d'origine traumatique le 23.08.2015. Lésion cutanée profonde avec atteinte de la bourse olécrânienne coude G en 2007. OP hernie hiatale Cholécystectomie OP le 02.07.2019 OP le 03.06.2019 OP le 03.09.2019 Op. le 05.02.19. OP le 06.05.2019 OP le 06.05.2019. OP le 07.06.2019 Prochain contrôle le 12.06.2019 OP le 10.05.2019 OP le 11.06.2019 OP le 11.06.2019. OP le 12.06.2019 OP le 12.06.2019 OP le 13.06.2019 OP le 14.05.2019 OP le 14.06.2019 OP le 15.05.2019 Op. le 18.04.19. Op. le 20.03.19. OP le 21.05.2019 OP le 21.05.2019 OP le 21.05.2019 OP le 21.05.2019 (ERAOS). OP le 21.06.2019 Op. le 22.05.19. OP le 22.05.2019. OP le 23.05.2019. OP le 24.05.2019 OP le 24.05.2019 Prochain contrôle le 27.05.2019 OP le 25.04.2019 OP le 25.04.2019 à l'HFR Tavel. Prochain contrôle le 07.06.2019. OP le 25.06.2019 OP le 27.05.2019. OP le 28.05.2019 Op. le 29.04.2019 Contrôle postopératoire le 12.06.2019. OP le 29.05.2019 OP le 30.04.2019. Prochain contrôle le 14.06.2019. OP le 31.05.2019 OP ménisque genou G il y a 20 ans. OP: Réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque LISS le 14.04.2019 (Dr. X/Dr. X) Physiothérapie de mobilisation Soins de la plaie post opératoire Arrêt du Xarelto du 11.04.2019 au 07.05.2019 Relais par Clexane 60 mg 2x/24h du 17.04. jusqu'au 07.05.2019 Reprise de Xarelto 10 mg dès le 08.05.2019 OP rupture massive coiffe des rotateurs épaule D OP tumeur myxoïde loge antéro-latérale de la jambe D 01/2019 Carcinome spinocellulaire temporal G Fracture-tassement D12 type A1 selon classification AO; le 15.10.2016 • Traitement conservateur dès le 17.10.2016 puis décision opératoire au vu de la progression de la fracture à la rx du 31.10.2016. • Cyphoplastie D12 avec ciment Kyphon Xpede (OP le 11.11.2016) • Parésie L4 à droite suite à dissection (plusieurs interventions lombaires) • Incontinence urinaire depuis la dernière intervention lombaire Fracture non déplacée multi-fragmentaire de la rotule D traitée conservativement, sur chute le 11.01.2016 Fracture 4ème côte D, sur chute le 11.01.2016 Laminectomie L2-L5 avec ostéotomie facettaire, spondylodèse L2-S1 et orthèse L2-L3, L3-L4 et L4-L5 le 06.11.2013 Iléus paralytique en décembre 2013 avec • contexte post-intervention colonne lombaire 11/2013 • multiples antécédents d'interventions chirurgicales abdominales • s/p iléus mécanique avec résection colique partielle 1992 Ablation kyste hanche G en janvier 2010 Pneumonie basale G, 06/2008 Syndrome tunnel carpien et pouce à ressaut à D • Cure tunnel carpien et pouce D à ressaut en 2006 Mastectomie partielle G (hémi-sein) pour kyste Hystérectomie et annexectomie 1972 Appendicectomie OP hernie discale à 30 ans (niveau inconnu) Op. 22.05.19. Op. 28.05.19. Op. 29.05.19. Op. 30.09.2019. Opération au coude et à la cheville. Opération canal lacrymal à 2 ans 10.10.16: Appendicite aiguë US abdominal le 02.10.20216 Appendicectomie par laparoscopie le 02.10.2016 L10.10.16: leucopénie a 1.8 G/l avec thrombopénie modérée consilium pédiatrie contrôle laboratoire sérologie Parvovirus, EBV et CMV Opération cataracte bilatérale Ulcère malléole médiale droite d'origine mixte veineuse et artérielle Opération cloison nasale. Opération corrective de prognathie avec maxillo plastie (il y a quinze ans). Accouchement par voie basse par ventouse Kiwi à 41 5/7 SA chez une patiente de 32 ans 1G devenue 1P le 15.07.2016 Opération corrective de prognathie avec maxilloplastie (il y a quinze ans) Accouchement par voie basse par ventouse Kiwi à 41 5/7 SA chez une patiente de 32 ans 1G devenue 1P le 15.07.2016 Opération corrective de prognathie avec maxilloplastie (il y a quinze ans) Accouchement par voie basse par ventouse Kiwi à 41 5/7 SA chez une patiente de 32 ans 1G devenue 1P le 15.07.2016 Opération corrective de prognathie avec maxilloplastie (il y a quinze ans). Accouchement par voie basse par ventouse Kiwi à 41 5/7 SA chez une patiente de 32 ans 1G devenue 1P le 15.07.2016. Opération C5-C6 pour sténose du canal foraminal (laminectomie et cage d'après le patient = 06/2016) Appendicectomie 1970 Tuberculose à l'âge de 19 ans Opération de la cataracte en 2011 Diplopie opérée en 1994 Opération de la cataracte gauche (septembre 2016), cataracte droite (août 2016) Infudibulotime avec drainage large d'un mucocèle fronto-ethmoïdal par voie endoscopique à droite (mars 2016) post-fracture complexe du tiers moyen de la face en 1978 avec compression orbitaire droite et dislocation du globe oculaire en direction caudale Amnésie globale transitoire le 02.06.2007 Cholécystectomie par laparoscopie en septembre 2006 Tabagisme stoppé en 1998 Cystopexie et hystérectomie Opération de la hanche gauche par arthroscopie le 06.05.2019 pour ablation d'ostéophyte. Otite moyenne aiguë gauche le 18.09.2014 Mononucléose infectieuse à EBV le 17.09.2014. Abcès sur verrue plantaire pied gauche. Tonsillectomie. Prostatite DD épididymite Opération de la jambe gauche en 2008. Douleur rétrosternale d'origine indéterminée. Colique néphrétique en 2010. Colique néphrétique avec calcul de 6 mm au niveau du méat urétéral. Céphalée en grappe (Cluster headache). Opération de l'appendice en 1979 au Portugal Pneumonie acquise en communauté le 03.01.2014 Opération de l'épaule D Opération de l'épaule droite le 15.09.2013 (Dr. X).Décompensation cardiaque droite aiguë NYHA IV sur hypertension pulmonaire probablement NICE III le 05.04.2017 avec : • insuffisance respiratoire aiguë globale • atélectasie du lobe moyen droit • syndrome obésité-hypoventilation • parésie diaphragmatique droite Dermo-hypodermite du membre inférieur gauche avec thrombose péronière distale le 05.04.2017 Insuffisance rénale aiguë AKIN II le 05.04.2017 État confusionnel aigu mixte hypo- et hyper-actif, le 09.04.2017, 11.04 • sur accumulation d'opiacés à visée sédative • hypernatrémie • contexte infectieux • CAM-ICU positif le 12.04.2017 et négatif le 15.04.2017 Possible pneumonie nosocomiale sous ventilation mécanique à Citrobacter Koseri le 09.04.2017 opération des amygdales 5x opération des oreilles fracture doigt G fracture poignet G Opération des ligaments pied gauche et droit en 1997 Plaie par écrasement face radiale de Dig II gauche Plaie par écrasement face radiale de Dig III gauche avec rupture de la bandelette radiale du ligament collatéral en regard de l'IPD (accident du 16.09.2018) Dig II gauche : révision de la plaie, lambeau cutané face radiale de P2 Dig III gauche : révision plaie, suture bandelette radiale du ligament collatéral en regard de l'IPD (OP le 16.09.2018) Antibiothérapie par Augmentin 1 g 2x/j jusqu'au 22.09.2018 Opération des oreilles. Circoncision. Suture ménisque + ligament croisé antérieur à gauche 2015. Opération des varices Opération des varices. Opération des varices. Opération des végétations dans l'enfance. Fracture peu déplacée de l'os propre du nez. 06.2013 Multiples contusions suite à une chute de cheval 02.06.2013. Trauma crânien simple Opération des végétations dans l'enfance. Fracture peu déplacée de l'os propre du nez. 06.2013 Multiples contusions suite à une chute de cheval 02.06.2013. Trauma crânien simple IRM : pas de fracture ni d'hémorragie visualisée Opération d'hernies inguinales bilatéralement il y a 30 ans. Opération du col vésical à l'Hôpital Daler en 04.2019 pour obstruction urinaire à répétition (anamnestique). Troubles de l'état de conscience le 16.03.2018 Tendinite des muscles grands fessiers bilatéralement en 2016 Pneumonie d'aspiration en février 2010. Crise comitiale en janvier 2010. Hépatite fulminante d'origine incertaine le 21.03.2018 Multiples tentatives médicamenteuses (hydrate de chloral, benzodiazépines, oxycodone, Atropine) Opération du coude gauche. Suspicion de lésion ménisque externe postérieur du genou droit. Opération du genou gauche anamnestique (ménisque ?), pas de prothèse Opération du genou 1996 Césarienne en semi-urgence pour NPD à 4cm et CTG suspect chez patiente 1G 1P de 33 ans à T+8 après provocation par misoprostol pour RPM le 31.05 2012 Endométrite débutante post-partum Status post-neurolyse du nerf médian à droite Opération du ménisque à l'âge de 20 ans Opération du poignet droit Fissure anale à 6h en position gynécologique en 2011 Pneumothorax droit spontané avec drainage thoracique droit du 27.03 au 30.03.2012 Opération du Tophus goutteux talon gauche prévue le 02.05.2019. Traitement par Arixtra 7.5 mg 1x/j sc jusqu'au 30.04.2019. Reprise du Sintrom en post-opératoire selon les recommandations du chirurgien. Revoir l'indication au Sintrom avec les cardiologues. Opération du tunnel carpien Opération du tunnel carpien Opération d'un kyste au coude en 2013. Hémorroïdes en 2011. Abcès du sein gauche fistulisé à la peau le 19.11.2014 Opération d'une hernie discale lombaire L4/5 il y a 10 ans. Opération d'une hernie discale. Opération d'une hernie inguinale bilatérale. Traumatisme crânien avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle en mai 2015. Coronarographie avec coronaires saines en 1994. Connu pour valvulopathie. Opération d'une hernie inguinale droite à 8 ans. Opération élective Opération élective Opération élective le 07.05.2019 Opération en urgence Hospitalisation en chirurgie par la suite Opération épaules des deux côtés Crise aiguë de maladie de Ménière 01/2014 Kystectomie rein gauche, par Dr. X dans un contexte de douleur en loge rénale gauche sans hématurie macroscopique, un CT a été fait et a permis de visualiser le(s) kystes avec décision de kystectomie à visée diagnostique, selon le patient histologie bénigne, non tumorale, début 2016 Douleur loge rénale droite interprétée comme colique néphrétique (pas d'images, stix décrit comme sans particularité) Possible lithiase rénale droite, il y a 4 ans selon le patient. Décembre 2016 Diverticulite sigmoïdienne Hansen-Stock IIa le 09.08.2018 : • Antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl IV, puis prise en charge ambulatoire avec laboratoire et contrôle clinique la semaine suivante chez le médecin traitant. • CT 09.08.18 : status post-kystectomie du rein gauche avec accolement de ce dernier au fascia de Zuckerkandl, en lien avec le s/p opératoire. Multiples kystes corticaux des deux côtés. Le plus grand au niveau de la lèvre postérieure du rein droit mesurant 53 x 67 x 73 mm. Concrétions calciques hyperdenses (251 HU) dans le bas-fond vésical, mobilisables aux changements de position. Hypertrophie prostatique avec calcifications en son sein. Infection urinaire basse, AB dans le contexte de la diverticulite • Antibiothérapie par Ciproxine cpr 500 mg et Flagyl cpr 500 mg du 10.08.2018 au 17.08.2018 Colique néphrétique gauche avec lithiase uretère distal de 3mm, le 24.09.2018 Opération et hospitalisation en orthopédie Opération glandes sudoripares axillaires bilatérales vers 2000 Incision abcès axillaire G le 20.01.2014 Macrohématurie non glomérulaire symptomatique d'origine probablement infectieuse Opération hémorroïdes il y a environ 25 ans. Opération hernie de la vessie en 1985. Appendagite 22.03.13 Lombosciatalgie gauche atraumatique non déficitaire le 26.12.2015. Lombalgie d'origine musculaire le 25.04.2018. Opération hernie inguinale D TURP pour cancer vésical en 2016 Opération de la cataracte bilatérale au mois d'octobre 2017 Défibrillation inadéquate le 06.11.2017 sur dysfonction de la sonde ventriculaire droite de la CRT-D • Déchargement de la batterie • Changement de sonde et du boîtier par Dr. X le 07.11.2017 Malaise probablement d'origine vaso-vagale, le 16.11.2017 Opération il y a 5 ans pour hématome cérébral côté D Appendicectomie Calcul rénal Opération le jour même. Contrôle postopératoire à 4 semaines soit le 05.06.2019. Opération le 02.09.2019 Opération le 04.06.19 par Dr. X Opération le 05.08.2019 Opération le 07.08.2019 Opération le 09.05.2019 Opération le 10.07.2019. Opération le 11.06.2019 Opération le 13.06.2019 Opération le 14.05.2019 et prochain contrôle le 28.06.2019 Opération le 15.05.2019 Opération le 17.05.2019 Opération le 20.05.2019. Opération le 20.05.2019 pour exploration, éventuellement suture du pédicule vasculo-nerveux. Opération le 23.05.2019 Opération le 27.06.2019, PTH G par voie antérieure Opération le 29.05.2019. Opération le 30.07.2019 Opération le 31.05.2019. Opération ménisque gauche en 2008. Opération ménisque interne genou gauche. Purpura thrombocytopénique idiopathique le 12.07.2014. Douleurs 5ème métacarpe le 22.05.2016. DD : contusion, fracture. Opération par section partielle des amygdales et végétations le 11.06.12 Opération pour cataracte bilatérale Cure de hernie ombilicale incarcérée selon Rives le 27.06.2018 Cure de hernie ombilicale en 2003 en Irak Fracture plateau tibial du genou gauche Schatzker III (le 18.01.2019) avec réduction ouverte et ostéosynthèse du plateau tibial externe à gauche avec comblement du defect sous-chondral par ciment Palacos (OP le 03.02.2019) Hépatite A le 28.04.2016 Opération pour un kyste au ventre X. Douleurs sur gastrite antrale probablement à Helicobacter pylori le 17.09.2017 Gastrite antrale à H. pylori (OGD le 14.09.17). Céphalées hémiface gauche persistante depuis 1 mois le 17.10.2017. Tentamen par strangulation le 22.11.2017. Perturbation des tests hépatiques. Réaction allergique de stade 1 au Fluimucil. Opération prévue le 02.07.2019 Opération prévue le 03.05.2019. Opération prévue le 03.06.2019. Opération prévue le 04.06.2019. Opération prévue le 07.06.2019. Opération prévue le 09.05.2019. Opération prévue le 11.06.2019. Opération prévue le 14.05.2019. Opération prévue le 18.06.2019. Opération prévue le 21.05.2019. Opération prévue le 21.06.2019. Opération prévue le 23.05.2019. Opération prévue le 24.05.2019. Opération prévue le 28.05.2019. Opération prévue le 29.04.2019 à l'HFR Riaz (Dr. X) annulée en raison de l'hospitalisation. Anticoagulation par Arixtra 7.5 mg sc 1x/j le soir jusqu'au 30.04.2019. Opération reportée au 02.05.2019 à jeun à 06:45. Opération puis hospitalisation en orthopédie Opération X de l'œil droit pour cécité depuis l'enfance. Problème ophtalmologique X de l'œil gauche en attente d'une opération X. Cancer du col de l'utérus. Infection urinaire haute à E. coli multisensible. Fracture et tassement de mur ant. de L3. Opérations des sinus à 12 ans. Douleurs thoraciques atypiques d'origine indéterminée le 11.06.2015. Douleurs thoraciques atypiques le 07.02.2016. Contusion musculaire de l'épaule gauche le 17.04.2017. Operations : • hystérectomie • opération abdominale (anamnestique) • cataracte Opistotonus, apnées, état fébrile. Opistotonus et apnées de courte durée sur probables douleurs dans le cadre de la pyélonéphrite Oppression thoracique Oppression thoracique. Oppression thoracique et dyspnée. Oppression thoracique et dyspnée à l'effort d'origine indéterminée. • DD : troubles du rythme, angor. • pas d'arguments cliniques pour une embolie pulmonaire. Oppression thoracique sur FA paroxystique le 19.09.2018. Embols de ciment lobe pulmonaire droit et ventricule droit, avec dyspnée chronique depuis cimentoplastie en janvier 2015 Diverticulite sigmoïdienne Hansen Stock IIA le 07.08.2016 (2ème épisode). Status post probable ischémie aiguë sur spasme des artères des orteils O2-4 du pied droit dans le cadre d'un traitement bêta-bloqueur 2016. Fracture tassement plateau inférieur L2 le 22.12.2014 avec cimentoplastie en janvier 2015 (L2 bipédiculaire, L3 prophylactique côté droit). Spondylodèse L4-S1 en 1993. Cholécystectomie par laparoscopie en 2012. AS, réinsertion coiffe des rotateurs (sus-épineux) et acromioplastie sur rupture coiffe rotateurs (supra-épineux) épaule droite, avec arthrose acromio-claviculaire, le 21.02.2007. Lésion Chopart avec fracture-arrachement du col astragalien et fracture-arrachement du processus antérieur du calcanéum à gauche le 29.01.2010. Hystérectomie il y a 15 ans. Kystectomie sein gauche et droit il y a 4-5 ans (Dr. X). Oppression thoracique sur hypertension artérielle mal contrôlée, le 23 novembre 2012. Douleurs musculaires trapèze et pectoral à droite sur effort. Pic d'hypertension artérielle à 170/100 mmHg asymptomatique. Oppression thoracique transitoire sur probable crise d'angoisse le 22.05.2019. Optimisation du traitement laxatif par rapport à la diminution de la prise de morphiniques. Contrôles réguliers de la plaie avec ablation des agrafes à J14 chez le médecin traitant. Contrôle à la consultation team spine, Dr. X/Dr. X, le 28.05.2019 Optimisation hémodynamique cf supra Cathéter de dialyse veine jugulaire droite du 19.05.2019 au 21.05.2019 CVVHDF du 19.05.2019 au 21.05.2019 Orale Substitution Orchiépididymite gauche à Chlamydia trachomatis. Orchi-épididymite gauche le 16.05.2019. Ordonnance faite pour ses traitements en ordre unique d'ici le rendez-vous de suivi chez son médecin traitant déjà prévu le 03.06.2019. Nous expliquons à Mr. Y l'importance de prendre de manière quotidienne ses traitements cardiaques et la nécessité d'un suivi périodique chez son médecin traitant pour s'assurer de leur efficacité et tolérance. Organisation d'une discussion entre Prof. X, Dr. X et Dr. X, Mr. Y sera reconvoqué pour le rendez-vous. Organisation en ambulatoire de fonction pulmonaire à distance par nos pneumologues Organiser un bilan cardiologique en ambulatoire (test d'effort, +/- échocardiographie). Organiser un contrôle en ambulatoire avec un CT-thoracique à 3 mois selon critère de Fleischer. Organiser un rendez-vous rhumatologique dès la sortie de l'HFR Billens. Organiser une polygraphie nocturne en ambulatoire Orgelet de la paupière inférieure gauche Orgelet œil gauche • avec dermohypodermite du visage débutant. Orgelet paupière supérieure droite ORIF base 3ème métacarpe par 2 vis libres et ostéosuture avec suture ligamentaire carpo-métacarpienne dorsale rayons IV et V le 03.01.2019 sur fracture de luxation CMC III à V main D (dominante). Fracture luxation carpo-métacarpienne des rayons III, IV et V de la main D le 01.01.2019. ORIF cheville G le 07.10.2017 sur fracture trimalléolaire cheville G et fracture de Lisfranc G le 30.09.2017. Suspicion de CRPS de type I avec allodynie. ORIF d'une fracture cheville droite type AO 44 B3 le 14.01.2019 opérée le 21.01.2019. ORIF plaque Aptus Radius sur fracture radius distal G avec arrachement de la styloïde ulnaire le 28.12.2018 et opérée le 03.01.2019. ORIF plaque Stryker Variax clavicule droite supérieure le 11.03.2019 sur refracture clavicule droite tiers-moyen le 03.03.2019 avec déplacement secondaire. Status post ostéosynthèse fracture droite en août 2015 à l'Hôpital de Thun avec AMO en mars 2017 Hôpital de Thun. ORIF radius distal G le 16.11.2018 d'une fracture intra-articulaire plurifragmentaire du radius distal G avec une fracture de la styloïde ulnaire à G, le 15.11.2018. ORL si persistance ou péjoration des vertiges Ortho : vascularisation est normale, inspection sans particularité (pas d'œdème, pas d'asymétrie, pas d'hématome), palpation indolore, sensibilité et force conservées, réflexe normovifs, mobilité conservée Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS) : cf. diagnostic.Orthoradiogramme colonne totale f/p du jour (PACS) : pas de changement comparé au cliché précédent. Orthoradiogramme de la colonne totale du jour (PACS) : pas de scoliose significative. Pas d'asymétrie. Pas de rotation des vertèbres. Localement, on a un angle de Cobb de 3° entre le plateau supérieur de D1 et le plateau inférieur de D4 et une discrète déformation sinistro-convexe de 8° entre le plateau supérieur de D12 et le plateau inférieur de L4. Chez ce patient, nous notons une amélioration des déformations qui avaient été notées en 2016. Le patient a un stade Risser V de croissance. OS d'une fracture déplacée du métacarpe l à D, le 06.05.2016 ; fracture datant du 23.04.2016. OS fracture clavicule D en 1986 OP non précisée, de la coiffe des rotateurs épaule D en 1989 et 1992 • Infiltration épaule D le 05.10.2018 OS fracture clavicule D en 2012 Matériel d'ostéosynthèse clavicule G gênant. Lésion cutanée nuccale D. AMO clavicule G. Excision lésion cutanée nuccale D. OS fracture déplacée, intra-articulaire, extrémité distale radius et cubitus G le 16.03.2015 Cholécystectomie pour lithiase en 1962 OP pour hernie discale dans les années 70 et 90 Fracture tassement D11 et D12 type A1 en août 2016 • Pied tombant à D connu, force du MID à M4+ connue, hypoesthésie tibia D territoire L4 connue Infection urinaire haute le 27.02.2017 OS fracture diaphysaire 5ème métacarpien main gauche en janvier 2014. OS fracture malléole externe type Weber C cheville D le 10.11.2014 • AMO le 07.12.2015 TC simple le 02.10.2016 Status post-entorse du LCI, suivi par le Dr X (traitement terminé) OS par PFNA le 12.05.2016 d'une fracture pertrochantérienne D sur chute, le 11.05.2016. Gonarthrose D varisante, tricompartimentale. Implantation PTG D (OP le 22.11.2016) Pneumonie basale gauche le 30.03.2018 avec : Péjoration d'un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 05.04.18 OS par plaque LCP 4.5 en L 4 trous et vis + cimentage par Cerament, AS genou G (OP le 28.03.2019) OSAS récemment appareillé par CPAP. Ethylisme chronique • sous Prazepam. OSG-Supinationstrauma rechts, mit/bei: • V.a. Ausriss-Fraktur Os naviculare rechts • Rö OSG ap/lat und Fuss in 2 Ebenen vom 05.02.2012 : V.a. Ausrissfraktur Os naviculare rechts Rupture anévrisme splénique en 2015 osmolarité urinaire 347 TSH : 5.3 Ospen sirop 750 : 5 ml 3.5 ml 2x/j pendant 10 jours Antalgie Ospen Algifor Ossifications hétérotopiques Brooker III de la hanche droite le 17.04.2019. Syndrome radiculaire L5. OST de flexion et déviation ulnaire, fixation radius distal G par plaque LCP 3,5 le 07.11.2005 sur consolidation vicieuse d'une fracture radius distal traitée conservativement à l'âge de 14 ans, avec arthrose radio-carpienne et instabilité • cure tunnel carpien G le 07.11.2005. PTG D sur gonarthrose sévère en 2007 (Dr X). PTG G le 25.04.2017 sur gonarthrose tri-compartimentale • OST de valgisation du tibia G en 1997 Cure de cataracte à l'œil D en 2016 Syndrome sacro-iliaque G OST malléole externe cheville G Implantation prothèse cheville G type Trabecular Metal de Zimmer avec • implant talaire taille 4 • implant tibial taille 4 • insert polyéthylène taille 4.0 mm • plaque tiers tube 3.5 mm, 5 trous (OP le 26.04.2019 : Dr X de l'Hôpital de l'Ile Berne) Ostéite condensante de la clavicule médiale D. Ostéochondrite de la tête du 1er métatarse à gauche. Ostéochondrite disséquante au niveau des articulations talo-naviculaires bilatérales et au niveau du condyle fémoral médial bilatéral (opération du 02.2017 à droite et le 06.2017 à gauche par Dr X). Status post ostéosynthèse par cou tibia expert à D pour fracture spiroïde du tibia et fracture proximale de la fibula à D le 18.02.2018. Ostéochondrite disséquante sur status post trauma au foot début 2018 genou G. Ostéodensitométrie et traitement antirésorptif à initier en ambulatoire Ostéomyélite chronique fémur gauche. Fracture pathologique fémur gauche (2 niveaux). Remaniement sclérotique et zone nécrotique fémur gauche. Status post-multiples ostéosynthèses par voie endo-médullaire et extra-médullaire fémur gauche. Ostéomyélite chronique sur mal perforant plantaire en regard du 4ème rayon pied G sur : • S/P débridement, arthroplastie de résection de la MTP III pied G (OP le 30.06.2015) pour ostéomyélite • S/P amputation sous-capitale MT2 pied G le 04.07.2014 sur mal perforant plantaire surinfecté du 01.07.2014 • S/P amputation épibasale P1 O2 et excision, débridement mal perforant pied G en regard de la tête du 3ème métatarsien le 13.08.2013 sur nécrose 2ème orteil avec ulcère et atteinte osseuse à Staph. epidermidis multirésistant. • S/P débridement, excision mal perforant, abrasion des deux faces de l'articulation MTP I, arthrodèse MTP I, AMO et prise de biopsies MTP I pied G le 02.10.2012 • S/P allongement tendon d'Achille G selon Campbell le 21.06.2011 sur raccourcissement tendon d'Achille sur mal perforant MTP I avec surcharge métatarsienne et ostéomyélite chronique 1er métatarsien et phalange proximale gros orteil pied G sur status post excision, débridement mal perforant pied gauche le 07.12.2010 Ostéomyélite chronique tiers distal tibia D post ostéosynthèse et AMO complète dans les années 70, tiers distal du tibia. Status post mise à plat abcès jambe D (germe en cause Prevotella bivia, Staph dorée et Enterobacter aerogenes le 26.03.2019 (HFR de Riaz) Status post corticotomie et biopsie osseuse le 05.04.2019 (Enterobacter aerogenes) Status post mise en place pansement VAC le 10.04.2019 (HFR Riaz) Ostéomyélite de P2 et de la tête de P1 hallux pied G • Germe en cause (12.04.2019) : Finegoldia magna • Angiographie MIG, angioplastie de plusieurs sub-occlusions le 19.02.2019 (Dr X) Ostéomyélite P2 2ème orteil pied G avec ulcère perforant Amputation sous-capitale P2 2ème orteil pied G (OP le 20.07.2018) Ostéonécrose en regard de la partie antéro-supérieure de la tête fémorale G. • Hypermobilité syndrome (Beighton score élevé). Ostéonécrose tête fémorale G sur corticothérapie au long cours. Ostéopénie avec suspicion radiologique et clinique d'ostéoporose (PD le 08.04.2019) : • CT Scan du bassin et colonne lombaire le 08.04.2019 : aspect ostéopénique de la trame osseuse Ostéopénie. Densitométrie à prévoir chez le médecin traitant. Ostéophytectomie antérieure et postéro-inférieure (OP le 08.11.2018) Cure Dig 3 et 5 à ressaut main gauche en 2017, main droite en 2016 Pneumonie basale droite en octobre 2017 Décompensation de BPCO en novembre 2017 Implantation PTH G en 2010 Implantation PTH D Ostéoporose. Ostéoporose.Ostéoporose. Ostéoporose • Densitométrie 23.06.2017 : T-Score lumbal -1.5, T-Score fémoral -2.7, T-Score avant-bras -3.7. • Status post-thérapie avec Risedronat 2017 • sous Calcimagon • Thérapie par Aclasta à HFR Tafers le 18.03.2019 Ostéoporose Antécédents mélanome en 2004 Néphractomie bilatérale en 1979 pour glomérulonéphrite avec un greffon rénal. Douleurs abdominales le 15.06.2015 sur : • Kyste rein gauche Laboratoire Sédiment urinaire CT abdominal le 15.06.2015 : pas de lithiase. Diverticulose. Coprostase. Formation kystique en regard du rein gauche. Antalgie Ostéoporose avec fracture-tassement de D11 type A1 le 23.11.2015 avec : • Substitution vitamino-calcique • Sous Prolia • Cardiopathie valvulaire avec : • Echocardiographie transthoracique en novembre 2017 (Dr. X) : • Sténose aortique dégénérative modérée • Insuffisance tricuspidienne légère à modérée • Dimensions et fonction systolique longitudinale du ventricule droit normales • Echocardiographie du 17.09.2018 par Dr. X Hémorroïdes Anémie avec composante ferriprive Dénutrition protéino-énergétique Ostéoporose densitométrique et fracturaire • fractures : fractures de côte à droite en juillet 2017, fracture de côte à gauche en 2015 • facteurs de risque de l'ostéoporose : tabagisme actif, consommation insuffisante en calcium, ménopause précoce à 42 ans substituée pendant 4 ans Ostéoporose densitométrique sévère • Facteurs de risque d'ostéoporose : tabagisme actif, ménopause précoce chirurgicale à l'âge de 31 ans, consommation d'alcool à risque, fracture de hanche chez la mère, malabsorption sur status post bypass gastrique en 2005. • Fractures : multiples et traumatiques de l'avant-bras droit/gauche en 2003/2005, 3 côtes en 2015, coude gauche en 2017, cheville gauche en 2018. • Densitométrie osseuse du 13.06.2018 : TBS à 1.157, colonne lombaire à -4,1 DS, col du fémur à -2,5 DS, hanche totale -2,6 DS • Aclasta chez médecin traitant le 22.02.2019 (1ère injection) Trouble de personnalité Borderline : • plusieurs antécédents d'abus médicamenteux (2x en 2015, 2012) • plusieurs hospitalisations à Marsens. Troubles du comportement liés à l'utilisation d'alcool, syndrome de dépendance, utilisation continue (F10.25) : • actuellement sous Selincro • avec plusieurs passages aux Urgences pour intoxication aiguë (en 2018, 2016, 2015). Trouble dépressif récurrent. Poly-allergie (suivie par Dr. X). Migraine sans aura. Hypovitaminose B12 et vitamine D. Herpès vulvaire récidivant 1x/mois • frottis lésion para-anale le 26.02.2019 pour recherche HSV par PCR : positive pour HSV2 • valtrex pendant 5 jours (02-03/2019) • avis infectiologique le 01.03.2019 (Dr. X et Dr. X) : traitement de fond indiqué, valtrex 500 mg 1x/j, en général pour 6-8 mois, puis essai d'arrêt Ostéoporose diagnostiquée depuis juin 2009 traitée par Bonviva® Hypertension artérielle LMA allogreffée avec complications nombreuses • Agranulocytose du 28.09 au 09.11.2018 • Syndrome de lyse le 12.03.2019 • Coagulation intravasculaire disséminée biologique sur traitement de Venetoclax le 13.03.2019 • État fébrile sans foyer clinique le 13.03.2019 dans le contexte du syndrome de lyse • Céfépime 2 g 3x/j IV du 13.03 au 16.03.2019 • Cubicin 350 mg 1x/j IV du 13.03 au 16.03.2019 • Solumédrol 125 mg 1x/j IV du 13.03 au 18.03.2019 • Agranulocytose fébrile d'origine probablement digestive le 20.03.2019 • Céfépime 2 g 3x/j IV du 20.03 au 26.03.2019 • Graft versus Host Disease (GvHD) aiguë grade III avec atteinte cutanée (stade 2) et digestive (stade 3) • Biopsie cutanée (Inselspital D 19-5991) le 27.03.2019 : dermatite d'interface avec dépôts d'hémosidérine et granulocytes éosinophiles, compatible avec une GvHD • Rectosigmoïdoscopie le 29.03.2019 (Dr. X) : sigmoïdoscopie normale • Meropenem 1 g 3x/j IV du 27.03 au 03.04.2019 • Betnovate du 28.03 au 10.04.2019 • Solumédrol 125 mg 1x/j IV du 29.03 au 07.04.2019, puis Prednisone 100 mg (2 mg/kg) 1x/j PO dès le 08.04.2019 • Ciclosporine 75 mg 2x/j IV dès le 29.03.2019, puis 100 mg 2x/j IV dès le 02.04.2019, puis 150 mg 2x/j IV dès le 05.04.2019, puis 125 mg 2x/j IV dès le 09.04.2019, puis 175 mg 2x/j PO dès le 12.04.2019 • Réactivation CMV • Foscarnet 4'500 mg (90 mg/kg) 2x/j IV du 29.03 au 01.04.2019 Ostéoporose (DMX osseuse en février 2018) avec : • Status post hypocalcémie sévère avec Ca corrigé à 1.67 mmol/l le 27.07.2018 • Probablement sur traitement de Denosumab reçu dans le contexte d'une hypercalcémie sévère (Inselspital) sur probable hyperparathyroïdisme primaire décompensé dans le contexte d'une déshydratation sévère le 06.07.2018 Ostéoporose fracturaire Ostéoporose fracturaire Ostéoporose fracturaire Ostéoporose fracturaire • Biphosphonate de 2004-2014, repris en mars 2019 (Fosamax) • facteurs de risque : ménopause chirurgicale à 28 ans (hystérectomie et annexectomie 1972), ostéoporose chez la mère, apports insuffisants • dernière densitométrie osseuse le 17.07.2017 : ostéoporose au niveau de tous les sites mesurés Ostéoporose fracturaire • Biphosphonate de 2004-2014, repris il y a 2 mois (Fosamax) • facteurs de risque : ménopause chirurgicale à 28 ans (hystérectomie et annexectomie 1972), ostéoporose chez la mère, apports insuffisants • dernière densitométrie osseuse le 17.07.2017 : ostéoporose au niveau de tous les sites mesurés Ostéoporose fracturaire : • Fracture tassement D12 en 2013 • Fracture de L1 traitée conservativement en 2016 • Fracture humérale sous-capitale gauche impactée non déplacée en 2016 • actuellement : fracture cotyle droit Ostéoporose fracturaire avec : • anciens tassements vertébraux multiples : D6, D12, L3, L4 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, avec des chutes à répétition : • facteurs de risque de chute : • anémie • hypotension orthostatique connue Anémie normochrome normocytaire chronique avec hémoglobine à 76g/l le 07.12.2018 État dépressif (Trittico 25mg dès le 20.12.2018) Ostéoporose fracturaire avec : • Fracture de la branche ischio-pubienne gauche le 10.04.2019 Ostéoporose fracturaire avec : Fracture/Tassement L2 / L3 le 29.04.2019 et tassement L4 ancien Ostéoporose fracturaire, avec : • s/p vertébroplastie D12 à L2 pour fracture-tassement L1 en 03/2018 • s/p vertébroplastie pour fracture-tassement L5 en 01/2018 • s/p PTH G en 02/2018 et PTH D pour une fracture fémorale Garden III en 2017 Ostéoporose fracturaire • Carence en Vitamine D Ostéoporose fracturaire • Densitométrie osseuse de février 2018 : colonne lombaire stable par rapport à 2014 ; hanche G : ostéopénie (perte 6% par rapport 2014) ; poignet G : ostéoporose (perte 11% par rapport 2014) Ostéoporose fracturaire Dernier traitement reçu en avril 2018, arrêté pour intolérance Ostéoporose fracturaire le 15.05.2019. Ostéoporose fracturaire sévère sous Bonviva, 1x/3mois BPCO stade II selon Gold avec tabagisme actif à environ 30 UPA Malvoyante depuis 1 an et demi sur pathologie rétinienne Ostéoporose fracturaire • s/p cyphoplastie D11, D12 et L1 en 2007 sur fractures-tassements D11, D12 et L1 • s/p cyphoplastie L3 et vertébroplastie mono-pédiculaire L2 gauche le 12.09.2017 sur fractures-tassements L2 et L3 • anciennes fractures-tassements D8, D10 et L4 • sous Calcimagon, Vitamine D et Forsteo • suivi par Dr. X Ostéoporose • ostéodensitométrie le 07.01.2013 : T-score -4.1 colonne lombaire, -2.1 fémur proximal gauche, -2.6 avant-bras gauche / Z-score 1.8 colonne lombaire, -0.5 fémur proximal gauche, -0.5 avant-bras gauche • traitement de biphosphonates 2013 - 2018 • Calcimagon débuté lors du séjour en médecine interne Ostéoporose sévère avec status post-fracture des 2 poignets, en 2008Cardiopathie hypertensive, valvulaire avec composante ischémique Hypothyroïdie substituée Etat anxio-dépressif Gammapathie monoclonale de type MGUS Oesophagite avec pseudo Barrett et hernie hiatale (dernière gastro-colonoscopie en 2008), OGD le 03.01.2019 BPCO stade II selon Gold avec: • Tabagisme actif à environ 30 UPA Ostéoporose sévère avec status post fracture des 2 poignets, en 2008 Hypothyroïdie substituée Etat anxio-dépressif Gammapathie monoclonale de type MGUS Oesophagite avec pseudo Barrett et hernie hiatale (dernière gastro-colonoscopie en 2008) BPCO stade II selon Gold avec: • Tabagisme actif à environ 30 UPA Ostéoporose sévère • fracture de la branche ischio-pubienne gauche asymptomatique diagnostiquée au CT du 11.09.2018 • ostéodensitométrie le 13.04.2018: T-score -2.7 colonne lombaire, -4.8 avant-bras gauche. TBS L1-L4 fortement altéré (1.159). • sous Bonviva tous les 3 mois (dès le 18.12.2018, dernière dose le 18.03.2019, prochaine dose prévue le 19.06.2019) • hypovitaminose D légère 69 nmol/L le 24.04.2019 Ostéoporose sévère traitée Fibromyalgie Lombalgies chroniques (hernie discale L5-S1) Ostéoporose sévère traitée Fibromyalgie Lombalgies chroniques (hernie discale L5-S1) Omalgies gauches importantes • s/p épaule gelée 2x à gauche • s/p plusieurs infiltrations de corticoïdes Ostéoporose sous traitement Ostéoporose sous traitement par Ibendronate, stoppé en 2013 Ostéoporose traitée Fractures poignet, épaule, coude Varices bilatérales Ostéoporose traitée Impingement syndrome épaule droite avec bursite sous-acromio-deltoïdienne et tendinite du sus- et sous-épineux Impingement syndrome de surcharge discret épaule gauche Tendomyose cervico-scapulaire Ostéoporose • T-Score col du fémur gauche -3,1 SD, T-Score LWS -3,6 SD • Début Biphosphonat-Therapie et Calcium/Vitamin-Substitution à prévoir: Suivi-DEXA fin 2019 Hypertension artérielle Suspicion de dépression réactive à la mort d'un proche (la mère) début décembre 2017 • Pas de thérapie médicamenteuse BPCO Gold II (nouveau Gold B) avec suspicion d'emphysème pulmonaire diffus sur: • 40p/y, abus nicotinique, anamnèse familiale positive (carcinome pulmonaire maternel), récidive de pneumonie du lobe supérieur droit, dernier épisode le 11/2017 HFR Meyriez-Murten, status post pneumothorax gauche, malnutrition sévère et cachexie (BMI 15kg/m2 le 12/2017) • Radio Thorax le 11/2017: emphysème pulmonaire avancé avec thorax en tonneau, hyperinflation, aplatissement du diaphragme, cicatrice pulmonaire lobe supérieur droit • Spirométrie 21.12.2017: légère diminution du FEV1 à 1,96l (72% ref), Pas d'obstruction formelle, FEVC 2,74l (83% ref) • Sous Spiriva et Salmeterol depuis le 12/2017; suite à insuffisance de la force inspiratoire, modifié avec Ultibro Breezhaler le 16.02.2018 Ostéoporose Claudicatio spinalis Coxarthrose li-bettont Paroxysmal Vorhofflimmern Ostéoporose fractures vertébrales ostéoporotiques HTA Ostéoporose. Fractures vertébrales ostéoporotiques. Hypertension artérielle traitée. Ostéoporose Sténose aortique, traitée par Plavix jusqu'en janvier 2019 (?) Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Maladie de l'oesophage X Hernie hiatale Arrêt cardio-respiratoire réanimé à l'âge de 48 ans (?) Ostéoporose. Sténose aortique, traitée par Plavix jusqu'en janvier 2019 (?). Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie traitée. Maladie de l'oesophage X. Hernie hiatale. Arrêt cardio-respiratoire réanimé à l'âge de 48 ans (?). Ostéoporose. Sténose aortique, traitée par Plavix jusqu'en janvier 2019 (?). Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie traitée. Maladie de l'oesophage X. Hernie hiatale. Arrêt cardio-respiratoire réanimé à l'âge de 48 ans (??). Ostéosynthèse cheville. Ostéosynthèse C2-3-4 en 2013. Ostéosynthèse de l'os iliaque gauche il y a 10 ans (Dr. X, HFR Riaz) Fracture basi-cervicale du fémur droit sur chute sur éthylisation aiguë, traitée par plaque DHS le 05.11.2014. Ostéosynthèse d'une fracture de la base du 1er métacarpe G intra-articulaire Janvier 2015 AMO 1er métacarpe G Ré-ostéosynthèse après déplacement secondaire d'une fracture de Bennett pouce G en mai 2015 Ostéosynthèse d'une fracture para-symphysaire droite de la mandibule Cure de deux hernies inguinales Dermo-hypodermite du pied droit en décembre 2016 Ostéosynthèse en MIPO par plaque Variax Stryker 8 trous, 3.5 mm clavicule G (OP le 24.05.2019) Ostéosynthèse fémur proximal gauche par clou centromédullaire PFN A (11 mm x 240 mm, lame cervicale 95 mm à 130°) le 09.03.2012 Probable AIT sylvien droit le 18.07.2011 Prothèse totale du genou gauche (clinique Garcia, Dr. X) en 2008 et droite (Clinique Ste-Anne) en 2007 avec gonalgies résiduelles à gauche Strumectomie en 1974 Anémie hypochrome normocytaire à 109 G/l le 11.03.2017 : • Ferriprive, carence en vitamine B12, folates (limite inférieure) Appendicectomie non datée Gastro-entérite d'origine virale probable au décours le 19.10.2017 États dépressifs récidivants Consilium psychiatrique demandé le 27.11: • Deuil physiologique DD: F43.2 trouble de l'adaptation • Pas de critères pour une dépression Chute d'origine indéterminée, le 23.11.18 DD: syncope d'origine indéterminée (cardiaque, orthostatique, autre) DD: chute mécanique Echocardiographie juillet 2018 (Dr. X) : cardiopathie hypertensive, FEVG 65 %, hypertrophie VG modérée, pas de valvulopathie significative, sclérose valvulaire aortique isolée. Décompensation arthrosique avec tendinite calcifiante le 12.12.2018 Diarrhées et vomissements depuis plusieurs jours • dans un contexte de possible gastroparésie diabétique • Récidive le 14.12.2018 avec douleurs abdominales associées Ostéosynthèse main droite métacarpien. Plaie superficielle punctiforme érythémateuse face palmaire IPD D3 droite. Examen clinique. Vaccin tétanos. RX D3 D: sp. Laboratoire: sp. Ostéosynthèse main gauche sur arthrose. Important hématome du genou droit, le 12.02.2016, chez un patient porteur d'une PTG droite mise en place le 04.02.2016, traité par ponction évacuatrice et diagnostic le 12.02.2016. Ostéosynthèse malléole interne par cerclage et 2 vis de positionnement pour la syndesmose cheville G (OP le 25.04.2019) Ostéosynthèse par plaque DHS, 2 trous et vis anti-rotatoire fémur G (OP le 06.04.2019) Ostéosynthèse scaphoïde D par vis HCS 2.4 mm et greffe spongieuse prélevée à la crête iliaque D, ablation processus styloïde radius D le 27.08.2012 sur pseudarthrose scaphoïde main D et processus styloïde radius D • Arthrodèse 4 corner poignet D le 18.04.2013. • AMO plaque 4 corner, arthrodèse complète poignet D avec greffe à la crête iliaque ipsilatérale le 05.05.2014 • AMO plaque arthrodèse poignet D le 11.09.2015 • Neurolyse de la branche superficielle du nerf radial poignet D le 14.04.2016 sur névralgie branche superficielle du nerf radial post AMO plaque d'arthrodèse. Ostéotomie péri-acétabulaire D, luxation chirurgicale de hanche D et dérotation fémorale D le 04.07.2019. Otalgie Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie bilatérale. Otalgie bilatérale depuis une semaine Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite d'origine indéterminée le 02.04.2019 • Otoscopie normale, Rinné et Weber normaux, pas de déficit grossier de l'audition Otalgie droite, otite moyenne aigue débutante Otalgie droite perforée Otalgie gauche Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche dans contexte d'IVRS Otalgie gauche depuis 24h Otalgie, maux de tête, maux de ventre Otalgie référée sur IVRS, DD otite moyenne aiguë gauche débutante Otalgies. Otalgies à droite. Otalgies à droite. • DD : sur infection des voies respiratoires supérieures au décours, Zoster auriculaire sans vésicules visualisées. Otalgies, hypoacousie droite. Otite avec 5 mois Otite bilatérale récidivante après antibiothérapie Otite congestive droite Otite externe Otite externe à droite le 11.05.2019. Otite externe à gauche. Otite externe aiguë droite débutante avec possible composante d'otite moyenne-aiguë. Otite externe de l'oreille gauche le 12.05.2019 Otite externe droite diagnostiquée par Med@home dimanche. Otite externe droite le 20.05.2019 Otite externe en juillet 2017. Angine à streptocoque en 2012. Otite externe et moyenne gauche avec tympan antérieur perforé le 11.05.2019. • Ciproxine HC et Augmentin sous optimal depuis le 09.05.2019. Otite externe gauche Otite externe gauche. Otite externe gauche. Conjonctivite bactérienne gauche. Otite externe gauche le 06.05.19. Otite externe gauche le 16.05.2019 Otite externe. 3ème méchage de l'oreille droite : Dafalgan, Mefenacide. Otite malgré 3 jours d'Algifor 3x/j. Traitement antibiotique pour 10 jours. Otite moyenne Otite moyenne à D Otite moyenne à répétition avant l'opération Bronchite asthmatique, traitée par Ventolin s/p Fracture Salter II de la base du 1er métacarpien G le 17.04, immobilisation du 17.04 au 21.05.2019 Otite moyenne aiguë. Otite moyenne aigue à D Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aigue à droite, diagnostiquée le 29.05.19. Otite moyenne aigue à gauche Otite moyenne aiguë avec pharyngite aiguë. Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aigue bilatérale d'origine virale Otite moyenne aiguë bilatérale non compliquée Otite moyenne aiguë bilatérale, perforée à droite Otite moyenne aigue congestive à droite. Otite moyenne aigue congestive à droite et pharyngite virale. Otite moyenne aiguë de l'oreille droite le 04.05.2019. Otite moyenne aigüe de l'oreille gauche. Otite moyenne aigue droite Otite moyenne aiguë droite, le 23.05.2019 • dans un probable contexte d'IVRS. otite moyenne aiguë droite non compliquée Otite moyenne aigue droite perforée Otite moyenne aigue droite perforée avec sortie du drain trans-tympanique Otite moyenne aigue droite purulente le 28.05.2019. Otite moyenne aiguë G débutante Otite moyenne aigue gauche Otite moyenne aigue gauche. Otite moyenne aigue gauche au décours otite moyenne aigue gauche non compliquée Otite moyenne aiguë gauche perforée Otite moyenne aigue gauche récidivante Otite moyenne aigue perforée à D Otite moyenne aigue purulente le 28/05/19 Otite moyenne bilatérale, perforée à droite Otite moyenne débutante à gauche Otite moyenne droite perforée. Otite moyenne droite probablement virale le 11.05.2019. Otite moyenne gauche Otite perforée à gauche il y a 2 semaines traitée par Dr. X avec 5 jours de Amoxicilline. 3 autres épisodes d'otite dans sa vie. Pas connue pour angines à répétitions. Frères aînés ayant eu des amygdalectomies. Otite virale bilatérale le 11.05.2019. otites à répétition avec pose de drain récent des deux côtés Otites à répétition env. 4/an, suivi par ORL Dr. X Ostéochondrite de la hanche depuis fin août 2018 suivi à l'HEL, suivi tous les 2 mois, marche avec cannes Pas d'ATCD chirurgicaux Otites moyennes bilatérales sévères en 2017 • avec myringotomie bilatérale. Otites. Amygdalectomie. Otoscopie. Ablation du corps étranger. Ouverture et adaptation du plâtre AB. Radiographie de contrôle dans le nouveau plâtre. Vitamine C en prophylaxie du CRPS. Ouverture traumatique de la bourse olécrânienne du coude droit en octobre 2011 Accident de travail similaire avec symptomatologie au dos (physio, antalgie) 2012 Entorse de la cheville gauche le 11.02.2013. Cervicalgies sur torticolis 05.2014 Contracture musculaire paravertébrale, suite à un traumatisme par hyper-élongation le 05.10.2016, avec: • Douleur à la palpation de l'insertion des muscles petit rhomboïde et supra-épineux sur l'omoplate gauche • Douleur thoracique paravertébrale T10-12 droite avec irradiation dans la fesse et membre inférieur droit Ovariectomie gauche en janvier 2016. Césarienne en 1988. Appendicite en 1977 environ. Bronchite d'origine probablement virale. Over feeding Overlap Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms (DRESS) et pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (AGEP) le 27.03.2019 d'origine probablement médicamenteuse (Allorpurinol) avec: • Eosinophilie et perturbation des tests hépatiques Oxazépam, Quétiapine, Mélatonine Catapressan du 25.04 au 26.04.2019 CT cérébral le 25.04.2019 Oxybuprocaïne 1x/oeil. Vitamine A pour domicile. Oxycontin et Oxynorm (dès le 28.04.19; rotation d'opioïdes) Zometa dès le 30.04.19 (1x/mois) Calcimagon D3 Rotation d'opioïdes le 07.05.2019 par Morphine IV, équi-dose Oxygénothérapie, Aérosols Atrovent et Ventolin Dexaméthasone 8 mg dès le 01.05 Adaptation du traitement de morphine + ajout de Midazolam iv continu dès le 02.05.2019 Oxygénothérapie au masque Lasix 40 mg IV en O.U. Séance de VNI (PEEP 7 mmHg) aux urgences Oxygénothérapie du 28.04 au 02.05.2019 Lasix IV du 28.04 au 03.05.2019 Torasemide PO dès le 04.05.2019 Avis Dr. X (néphrologue traitant) le 29.04.2019 Coronarographie le 03.05.2019 (Dr. X) : les pontages sont perméables. Sténose significative de l'artère sous-clavière G Suivi poids et adaptation diurétique (poids de forme vers 71 kg) Suivi chez sa cardiologue (07.05.2019) Suivi Cinacard Résultats définitifs du Holter à pister Oxygénothérapie jusqu'au 06.05 Surveillance respiratoire Oxygénothérapie Physiothérapie respiratoire Physiothérapie de mobilisation Tests de la cognition : MMSE à 28/30, test de la montre à 7/7 ; GDS à 1/15 Oxygénothérapie pour cible > 94% Oxygénothérapie Inhalation avec Ventolin et Atrovent Betnesol 17.05.-19.05.2019 Gazométrie du 17.05.2019 alignée hormis une hyperglycémie à 11 mmol/l Oxygénothérapie Morphine en réserve Oxygénothérapie Traitement diurétique intraveineux (Furosemide) Torasémide à 200mg/jour Adaptation de traitement cardiaque Echographie cardiaque le 01.05.2019 Dr. X Mise en place de traitement par BiPAP par le Dr. X dès le 03.05.2019 Oxymétrie nocturne le 04.04.2019 : SpO2 moyenne 90.9%, IDO 10.5/heureOxynorm 7,5 mg 5x/j du 17.05.19 au 22.05.19 en fixe et en réserve Morphine 6 mg iv du 22.05.19 au 22.05.19 Bladder scan Prise en charge multidisciplinaire (physiothérapie, ergothérapie,...) Oxyplastine crème Oxyures Oxyures sans signes d'occlusion intestinale O2 en marteau pied D. Pacemaker DDDR - SM (Dr. X) sur bloc AV 2°, 2010 Embolie pulmonaire basal G 02.03.2014 avec pneumonie d'infarctus Embolie pulmonaire basal sur arrêt du xarelto, 26.10.2014 Pacing externe par patch cutané le 07.05.2019. Pacing endoveineux le 07.05.2019. Pose de pacemaker définitif le 07.05.2019 (OP Dr. X). Reprise du traitement habituel. Pacing externe par patchs cutanés le 07.05.2019 Pacing endoveineux le 07.05.2019 Pose de Pacemaker le 07.05.2019 (Dr. X) VNI le 08.05.2019, puis reprise de la CPAP habituelle PAF- colectomie totale. Pallesthésie : non réalisable Consilium stomatothérapie (quantité : 2) : ablation de tissu dévitalisé, nécrose ou escarre par brossage, irrigation (sous pression), grattage/ lavage. Débridement non chirurgical de blessure, infection ou brûlure. Débridement sans autre particularité Scalpel à jet d'eau Thérapie par asticots Chaussure à adapter chez un spécialiste orthopédique Palliative Basic Assessment : d'entrée. ESAS : Douleurs 0/10. Dyspnée : souffle comme d'habitude, pas de gêne particulière. VNI la nuit, support d'oxygénothérapie tout le temps. Nausée 0/10. Fatigue : légère fatigue quand parle trop. Somnolence 0/10. Inappétence 0/10. Anxiété 0/10. Dépression 0/10 a bon moral. Sensation de mal-être 0/10. Barthel Index : 30 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : est mariée, a eu 2 enfants (1 fille : +2 petits-enfants de 8 et 6 ans ; 1 garçon : +1 petite-fille de 3 mois). Ce qui compte : que ses enfants soient indépendants et heureux avec leurs familles. Projet du patient / des proches : souhaits : se remettre en forme, pour rentrer à domicile. Maintenir ce qu'elle sait faire seule. Ne pas s'acharner si mauvaise évolution, être confortable. Mme. Y est une patiente de 63 ans qui est connue pour une sclérose latérale amyotrophique depuis août 2018. Elle est suivie par Dr. X et nous est adressée par l'HFR site de Fribourg pour un renforcement de la marche et maintien des activités de la vie quotidienne, avec un retour dans leur nouvel appartement à Cossonay (canton de Vaud). Nous accueillons une patiente avec un état général conservé à diminué. Mme. Y souhaite pouvoir reprendre la marche, ce qu'elle pouvait encore faire avant son entrée à l'hôpital pour une insuffisance respiratoire aiguë globale dans le cadre d'une pneumonie notamment, ayant nécessité un séjour aux soins intensifs pour un soutien ventilatoire. Par la suite, la persistance d'une insuffisance respiratoire globale chronique à nécessité un appareillage par ventilation non invasive (VNI) nocturne au long cours. De la physiothérapie respiratoire et de mobilisation est réalisée durant le séjour, permettant une amélioration de la marche avec accompagnement. Sur le plan respiratoire, nous poursuivons la VNI nocturne introduite au HFR, sans modification des réglages et avec une bonne tolérance, ainsi que l'oxygénothérapie diurne à la demande de Mme. Y, en raison d'une dyspnée symptomatique. Le suivi pneumologique et neurologique sera repris au CHUV à la demande de la patiente. Nous prions nos collègues de ses deux spécialités de la convoquer pour une consultation de suivi de son appareillage et de la prise en charge respectivement. Au vu de la stabilité clinique de Mme. Y, elle rentre à son nouveau domicile à Cossonay le 09.05.2019, avec transmission du relais de prise en charge multidisciplinaire au CMS, de l'EMSP et de la Ligue Pulmonaire Vaudoise. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Anamnèse impossible à recueillir à son entrée vu état confusionnel aigu important. Barthel Index : 15 points Palliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : 4 enfants issus de 3 pères différents : Alain (21 ans, qui travaille déjà), Nicole (19 ans, à l'UNI à Neuchâtel, référente thérapeutique de Mme. Y), Maéva (17 ans, déscolarisée depuis 1 année) et Léa (14 ans, scolarisée à Fribourg). Maéva et Léa sont les proches aidantes de Mme. Y et habitent avec elle. Entourage/ressource pour les enfants : grand-mère maternelle vivant à Neuchâtel et leur voisine. Projet du patient / des proches : selon sa fille Maéva, patiente voulant se battre jusqu'au bout. Mme. Y est une patiente de 44 ans connue depuis fin 2018 pour un carcinome urothélial de la vessie d'emblée métastatique. La chimiothérapie palliative par Cisplatine et Gemzar débutée en décembre 2018 a dû être interrompue en avril 2019 suite à l'apparition d'un urosepsis sur néphrite droite et d'une pancytopénie. Le projet oncologique actuel est une immunothérapie de deuxième ligne par Pembrolizumab. Elle nous est adressée le 13.05.2019 depuis son domicile par l'équipe de Voltigo pour un état confusionnel aigu évoluant depuis 48h accompagné d'un épuisement de ses enfants encore mineurs. En effet, nous accueillons une patiente présentant une agitation psychomotrice importante avec une anamnèse impossible à recueillir à son arrivée. Nous mettons rapidement en place un traitement symptomatique avec de l'Halopéridol et des anxiolitiques intraveineux. Au vu d'une suspicion d'une neuro-toxicité sur le Fentanyl introduit le 10.05.2019, nous effectuons également d'emblée une rotation d'opiacé avec introduction de Morphine. Une hydratation intraveineuse est également mise en place transitoirement. Nous rencontrons alors une première fois, Maéva, qui nous relate le déroulement du week-end et nous raconte qu'elle et sa sœur cadette ne sont pas au clair sur le pronostic actuel de leur mère. Dès le lendemain de son arrivée, nous organisons un entretien de famille afin de rencontrer tous les enfants et leur expliquer la gravité de la situation et nos doutes quant à la réussite d'une réversion de la situation. Les enfants n'étaient en effet pas au courant de la situation oncologique dépassée en cours. Nous mettons en place une prise en charge interdisciplinaire pour accompagner cette famille avec notamment l'intervention de notre service de liaison pour les questions administratives sur les suites pour les deux cadettes étant encore mineures. Un bilan biologique est effectué le 14.05.2019 et montre un syndrome inflammatoire en péjoration dans un contexte de status post urosepsis sur néphrite droite en avril 2019. La patiente à son arrivée était en cours de traitement par Co-Amoxicilline et Ciprofloxacine per os que nous poursuivons transitoirement par une antibiothérapie à large spectre (Méropénem). L'état clinique de Mme. Y s'aggrave. Malgré une amélioration de l'agitation, elle reste inconfortable à la moindre mobilisation et la communication reste impossible chez une patiente présentant un état comateux persistant. Nous adaptons les traitements avec notamment un relais de la morphine en pompe IV continu. Mme. Y décède en douceur le 19.05.2019 entourée de ses enfants et de sa mère. Les deux filles cadettes ont le projet de déménager à la Chaux-de-Fond chez leur grand-mère afin également de se rapprocher de leur fratrie aînée. Palliative Basic Assessment : d'entrée. ESAS : angoisse importante sans autres plaintes spontanées. Barthel Index : 10 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit au foyer Saint-Camille, est très entourée, est très liée avec sa sœur. A 1 neveu et 1 nièce. Projet du patient / des proches : Souhait : adapter les traitements pour qu'elle soit confortable. Aime beaucoup le tactile, les massages, la musique, le cheval. Mme. Francey est une patiente de 50 ans, connue pour une chorée de Huntington depuis l'âge de 40 ans, actuellement institutionnalisée au foyer Saint-Camille. Elle nous est adressée d'une part pour une adaptation de ses traitements en raison d'une anxiété et d'une agitation psychomotrice en augmentation malgré une majoration récente des traitements et d'autre part pour soulager l'équipe soignante du foyer, actuellement en épuisement global. Dès son entrée, nous observons de nombreuses fausses routes malgré l'épaississement de l'alimentation avec toutefois un état général conservé. Dans un premier temps, nous maintenons les traitements d'entrée récemment majorés en ambulatoire. Puis rapidement, dès le 29.04.2019, Mme. Francey développe une toux grasse et un état fébrile accompagné d'une nette majoration de son agitation psychomotrice. Nous suspectons une pneumonie sur broncho-aspiration. Après discussion avec la sœur de Mme. Francey et au vu de la situation globale, nous décidons de ne pas introduire de traitement antibiotique et adaptons les traitements avec mise en place de Lorazépam, Lévopromazine et morphine en sous cutané puis intraveineux, ainsi que des antipyrétiques. A partir du 02.05.2019, la patiente présente un état comateux progressif. Mme. Francey décède le 06.05.2019 entourée de l'équipe infirmière. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs : douleurs légères au repos, douleurs moyennes à la mobilisation, ne nécessitant pas d'antalgique, car bien supportables selon Mme. Dyspnée : dyspnée de stade III selon NYHA, stable depuis plusieurs mois/années selon Mme. Toux grasse du fumeur (tabagisme actif), stable. Nausée 0/10. Fatigue 0/10. Somnolence 0/10. Inappétence 0/10. Anxiété 0/10. Dépression bon moral. Sensation de mal-être 0/10 Barthel Index : 85 points Palliative Performance Scale : 70% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : mariée depuis 60 ans, à Louis (92 ans), ont eu 2 fils (Bertrand, Jean-Bernard), ont 2 petits-enfants + 1 par alliance. Projet du patient / des proches : soulager sa douleur, et améliorer sa mobilité. Mme. Barras, une patiente de 89 ans, connue pour les diagnostics ci-dessus, nous est adressée par Dr. X pour une adaptation antalgique de douleurs chroniques réfractaires aux essais antalgiques en ambulatoire, et mal tolérés avec apparition d'un état confusionnel sous MST et Kétalgine. A son admission, Mme. Barras rapporte des douleurs compressives à la mobilisation, au niveau de la face antéro-latérale de la cuisse droite, avec limitation fonctionnelle. Au repos, Mme. Barras ne présente aucune douleur. Par ailleurs, elle nous évoque des épisodes d'angoisse, apparaissant par intermittence à domicile. Le status clinique met en évidence une patiente avec un bon état général, orientée aux 3 modes, avec une mobilisation douloureuse et fragile. Pas de troubles moteurs ou sphinctériens. Sur le plan antalgique, une rotation d'opioïdes avec des petites doses d'hydromorphone permet le contrôle des douleurs, avec une reprise de la mobilité de façon sécure avec le rollator. Dans ce contexte, nous arrêtons la Gabapentine. La patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation durant le séjour. Concernant l'angoisse et les troubles de l'humeur, nous tentons d'introduire un traitement par Quétiapine retard, amenant à un trouble de la vigilance le 08.05.2019, résolu spontanément après l'arrêt de ce traitement. La Distraneurine est alors introduite, associée à la réintroduction du Lexotanil d'office la nuit, avec bon effet et bonne tolérance. Un test clinique de dépistage ne montre pas de trouble cognitif. Au vu de la stabilité clinique et de la bonne gestion antalgique et de l'angoisse, suite à la discussion avec Mme. Barras et sa famille, un retour à domicile est organisé, avec renforcement du réseau en collaboration avec Mme. Joye (infirmière indépendante) et la mise en place de Voltigo. En date du 14.05.2019, la patiente rentre à domicile accompagnée de son fils Bertrand. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs : douleurs nociceptives dorsales pouvant aller jusqu'à 4/10. Dyspnée 0/10. Nausées : légères nausées. Fatigue : fatigue généralisée avec faiblesse et marche insécure. Somnolence 0/10. Inappétence : inappétence importante. Anxiété 0/10. Dépression : bon moral, mieux quand elle pourra marcher à nouveau. Sensation de mal-être 0/10. Autre 0/10 Barthel Index : 65 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : veuve depuis 12 ans, était mariée avec un mari maltraitant, a 2 enfants (1 fils à Lucerne, 1 fille en Allemagne avec qui elle ne s'entend pas, et 1 petite-fille avec qui elle a bon contact). A un ami intime. Vit seule dans un appartement avec ascenseur. Projet du patient / des proches : souhaite se retaper, assurer une marche plus sûre, en vue d'un retour à domicile. Pouvoir retrouver de l'appétit. Mme. Tinguely, connue pour un adénocarcinome pulmonaire, métastatique notamment au niveau paravertébral D10, sous chimiothérapie palliative, nous est adressée depuis l'HFR - Hôpital Cantonal site de Fribourg pour une réadaptation palliative en vue d'un retour à domicile. Pour rappel, Mme. Tinguely est hospitalisée en raison d'une colite à Clostridium Difficile dans les suites d'une antibiothérapie pour une pneumonie post-chimiothérapie. Actuellement rétablie de cette infection, elle exprime une faiblesse généralisée avec une marche insécure. Par ailleurs, elle rapporte des douleurs connues, continues, mais variables et sans facteur favorisant. Elle ne rapporte pas de trouble neurologique nouveau. Nous accueillons une patiente en état général légèrement diminué et sarcopénique, avec une hypoventilation pulmonaire droite mais eupnéique. Le reste du status clinique, y compris neurologique est rassurant. Les traitements antalgiques sont modifiés en faveur de la morphine, permettant un bon contrôle de la douleur. Mme. Tinguely bénéficie de physiothérapie de mobilisation durant le séjour. Si Mme. Tinguely évoque initialement un retour à domicile, son état clinique se détériore rapidement. En date du 27.04.2019, elle développe une paraplégie complète, avec des troubles sphinctériens mixtes, mis sur le compte d'une compression médullaire par la métastase paravertébrale dorsale connue, selon notre impression clinique. Suite à plusieurs discussions avec Mme. Tinguely, et selon son souhait, nous n'entamons pas d'investigation complémentaire, la patiente refusant tout traitement futur. Nous organisons rapidement un entretien de famille, afin de clarifier la situation et d'accompagner Mme. Tinguely et ses proches au mieux dans cette étape difficile. Mme. Tinguely parle ouvertement avec sa famille de sa situation, elle est bien au clair avec sa maladie oncologique évolutive et non réversible, néanmoins la perte d'autonomie reste difficile à accepter pour elle. Au cours du séjour, elle s'affaiblit rapidement. Une toux et une dyspnée de plus en plus importantes malgré l'introduction de la Dexaméthasone et des aérosols nécessitent l'adaptation du traitement de morphine. L'état clinique de Mme. Tinguely se dégrade encore le 02.05.2019, nécessitant une anxiolyse et sédation légère par Midazolam IV continu, afin de soulager la dyspnée. Mme. Tinguely décède le lendemain, entourée de l'amour des siens. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs : pas de douleur selon lui, mais paraît algique à la mobilisation, avec faciès algique. Dyspnée : pas de dyspnée selon lui, mais tachypnée à 26/min, avec oxygénothérapie. Nausée 0/10 ; Fatigue : fatigue très importante, ne souhaite pas qu'on le dérange plus. Somnolence difficile à évaluer. Inappétence idem. Anxiété idem. Dépression idem. Sensation de mal-être non selon lui, mais faciès inconfortable.Barthel Index : 0 point Palliative Performance Scale : 10% • Anamnèse sociale : marié à une polonaise ne parlant pas le français, vit dans une caravane en Suisse depuis 15 ans, ont une fille de 8 ans et une deuxième de 27 ans en Pologne. • Projet du patient / des proches : qu'on le laisse tranquille. • Accepte l'adaptation des traitements pour son confort. • Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : ne souhaite pas que la famille se présente en cas de péjoration. Mr. Y, patient de 50 ans connu pour un adénocarcinome pancréatique terminal, qui nous est adressé par l'HFR Fribourg - Hôpital Cantonal, pour une fin de vie. Nous accueillons un patient en mauvais état général, qui rapporte une fatigue et un mal-être importants. Le status retrouve un patient sarcopénique, ictérique, avec un faciès inconfortable, une tachypnée, un abdomen pléthorique et distendu, indolore. Notre impression clinique nous indique une fin de vie proche. D'entente avec Mr. Y, nous tentons un drainage par le PleurX, sans franc succès avec retrait de 700 cc du liquide ascitique, puis nous débutons un traitement par Morphine iv en lieu et place de l'Oxycodone, permettant l'amélioration de son confort. Mr. Y tombe rapidement dans un coma dont il ne se réveille pas. Il décède le lendemain au petit matin. Palliative Basic Assessment : d'entrée. ESAS : Douleurs au repos, 0/10. A la mobilisation, douleurs hanche droite à l'initiation de la marche, puis 0/10 rapidement. Douleurs 6-7/10 au bras gauche à la mobilisation, au repos 0/10. Dyspnée 0/10. Nausée 0/10. Fatigue 0/10. Somnolence 0/10. Inappétence 0/10. Anxiété 0/10. Dépression 0/10 a bon moral. Sensation de mal-être 0/10. Barthel Index : 80 points Palliative Performance Scale : 70% • Anamnèse sociale : est marié avec Mme. Y, a 5 enfants (4 filles, 1 fils). Ancien agriculteur retraité. • Projet du patient / des proches : Souhait : retrouver une condition physique, renforcer la marche et l'autonomie, et gestion des douleurs, en vue d'un retour à domicile. Ne souhaite pour le moment pas parler de sa maladie oncologique. Mr. Y, connu pour un adénocarcinome pulmonaire non à petites cellules depuis 2018, actuellement en progression tumorale avec métastases osseuses multiples, qui nous est adressé de l'HFR pour suite de traitement par la radiothérapie et une réhabilitation palliative en vue d'un retour à domicile. A son admission, Mr. Y rapporte une douleur vive et a ressenti un craquement au niveau du tiers proximal du bras gauche en descendant brutalement de la voiture de transport en arrivant à la Villa Saint François. Pour le reste, les douleurs sont en amélioration au niveau de la hanche droite, avec une reprise de la marche améliorée depuis le début de la radiothérapie. Les cervicalgies irradiant au bras gauche sont également bien contrôlées sous oxycodone et la radiothérapie. Le status clinique met en évidence une impotence fonctionnelle du membre supérieur gauche, limitée à la douleur, avec paresthésie du membre connue sans changement, et sans troubles neuro-moteurs. Un contrôle par imagerie est réalisé, permettant l'exclusion d'une fracture pathologique. Nous adaptons l'antalgie, et Mr. Y poursuit sa radiothérapie pendant le séjour, avec bon effet sur les douleurs, et une reprise de la mobilité progressive. A noter une consultation en orthopédie concernant les cervicalgies sur une lésion ostéolytique au niveau C7, avec amélioration des symptômes sous radiothérapie. Nos confrères orthopédistes reverront le patient à 6 semaines. Un traitement symptomatique pour une odynophagie post-radique montre un bon effet. Des conseils d'hygiène alimentaire sont également donnés. Après plusieurs entretiens socio-familiaux, Mr. Y et son épouse acceptent le renforcement du réseau à domicile, avec introduction de l'équipe Voltigo. Au vu de l'évolution favorable de Mr. Y, il rentre à domicile accompagné de son épouse le 06.05.2019 après un congé sur le weekend qui s'est bien déroulé. Mr. Y sera revu à l'accueil de jour en ambulatoire à la Villa Saint François. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée ; dyspnée au moindre effort important. Nausées 0/10. Fatigue : fatigue très importante. Somnolence : somnolence importante aussi. Inappétence : inappétence complète. Anxiété 0/10. Dépression 0/10 Barthel Index : 5 points Palliative Performance Scale : 20% • Anamnèse sociale : épouse décédée il y a 20 ans, 1 fils décédé il y a 15 ans, a une copine depuis 20 ans et 1 fils avec qui il s'entend bien. Ce qui compte pour le patient : sa famille, rentrer à domicile pour être auprès de sa copine. • Projet du patient / des proches : souhait : gestion de son confort, l'accompagner si fin de vie proche. Si stable, ok pour EMS, mais préfère mourir que d'aller en EMS. Mr. Y, un patient de 85 ans, connu de notre service de soins palliatifs, qui est hospitalisé en électif en raison d'une baisse de l'état général, avec un épuisement du réseau. En effet, l'état général de Mr. Y se dégrade progressivement avec un état grabataire et l'apparition d'une dyspnée au moindre effort depuis 1 mois. A son admission, il rapporte une asthénie importante, avec inappétence complète. Il ne s'imagine pas rentrer à domicile au vu de son état clinique, et dit qu'il serait prêt à mourir. Nous retrouvons en effet un patient fortement diminué, ictérique, très fatigable, avec une tachypnée et une hypoventilation droite avec matité aux 2/3 de la plage pulmonaire. Des petites doses de Morphine permettent de soulager efficacement la dyspnée. Néanmoins, l'état de Mr. Y s'aggrave rapidement. Il sombre dans un coma dont il ne se réveille pas et décède le 09.05.2019. Palliative Basic Assessment : d'entrée. ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée seulement quand beaucoup d'ascite ; Nausée 0/10 ; Fatigue présente au vu des troubles du sommeil ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 0/10 ; Anxiété, anxiété surtout le soir quand il n'arrive pas à dormir, rumination ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 0/10 Barthel Index : 10 Palliative Performance Scale : 20% • Anamnèse sociale : a deux enfants : un fils (25 ans) et une fille (17 ans). Vit avec son fils. Sa fille vit avec son ex-femme. Relation tendue avec son ex-femme. 2 frères et une soeur au Portugal ; • Projet du patient / des proches : vivre, ne veut pas encore renoncer, être impliqué le plus possible dans la prise en charge dans un souci d'autonomie future. Aime beaucoup la nature, le jardinage et le bricolage. Mr. Y, votre patient de 54 ans connu pour une cirrhose CHILD C d'étiologie éthylique avec ascite réfractaire, est transféré de l'HFR Fribourg pour une suite de prise en charge palliative dans le but d'établir un réseau de soin inexistant chez ce patient isolé socialement. Pour rappel, votre patient est initialement adressé par le centre Torry pour ralentissement psychomoteur en péjoration depuis une semaine à l'HFR Fribourg, où il est pris en charge pour une encéphalopathie hépatique. L'examen clinique d'entrée met en évidence une baisse de l'état général, une fatigue importante due à des insomnies chroniques et un abdomen ascitique. Il mentionne également un inconfort grandissant au fur et à mesure que l'ascite s'accumule au niveau abdominal avec de la difficulté à s'alimenter, à aller à selles ainsi qu'une dyspnée. Le patient nous fait part de son désir d'être le plus possible impliqué dans la prise en charge pour être le plus autonome possible dans la gestion de sa maladie. Nous essayons à chaque étape de la prise en charge d'expliquer et d'impliquer au mieux le patient. Son traitement par Aldactone et Torem instauré pour son ascite est majoré par palier de 5 jours entre chaque majoration avec un contrôle de la fonction rénale jusqu'aux doses de 300 mg et 30 mg respectivement. La production continue importante d'ascite motive la pose d'un PleurX le 23.04.2019. Sur le plan des insomnies, il rapporte des ruminations importantes en lien avec son épouse avec qui il est en instance de divorce. En plus de la distraneurine, un traitement de 5 mg de Zolpidem est instauré avec un bon effet. Sur le plan social, le patient présente un tableau complexe du fait de sa situation conjugale notamment. Mr. Y travaille à 20% en tant que concierge, il vit avec son fils dans un appartement, mais avoue être relativement isolé sur le plan social. Nous tentons, après de multiples entretiens interdisciplinaires, de mettre un réseau ambulatoire en place. Le patient présente dès le 26.05.2019 des douleurs abdominales diffuses avec des signes de sepsis. Le tableau clinique plutôt évocateur d'une péritonite bactérienne, après un bilan biologique, une antibiothérapie est initiée. L'évolution est défavorable. Mr. Y décède le 28.05.2019. Palliative Basic Assessment : d'entrée. ESAS : Douleurs 0/10. Douleurs peuvent apparaître en intermittence dans la nuit, supportables, mais l'empêchant de dormir. Dyspnée : dyspnée au moindre effort, pas au repos. Mme. Y n'est pas gênée. Nausée 0/10. Fatigue : grande fatigue : somnolence avec somnolence selon la fatigue. Mais dort bien. Inappétence : inappétence complète. Anxiété 0/10. Dépression 0/10 a bon moral. Barthel Index : 15 points Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : ancienne femme de ménage, divorcée, n'a plus de contact avec son ex-mari. A 4 enfants (2 filles, 2 garçons) et 3 petits-enfants. Est bien entourée par sa famille. Projet du patient/des proches : prête à mourir, sans angoisse. Souhaite qu'on l'accompagne et la soulage si inconfort. Souhait de simplifier ses traitements. Mme. Y est une patiente de 82 ans qui nous est adressée par Dr. X pour une fin de vie dans le cadre d'une maladie terminale d'origine digestive (gastrique, colorectale, pancréato-biliaire; diagnostiquée en janvier 2018). La patiente rapporte une baisse de l'état général progressive, avec fatigue et fatigabilité importante, amenant à un maintien impossible à domicile, motivant son hospitalisation à la Clinique Générale Saint-Anne le 05.05.2019. Par ailleurs, elle se plaint d'inappétence complète, avec des douleurs abdominales nociceptives en intermittence. Au vu de l'évolution défavorable sur le plan oncologique avec progression des métastases hépatiques, une décision de retrait thérapeutique est entreprise. Mme. Y et ses enfants sont d'accord avec cette décision et bien conscients d'une évolution vers une fin de vie proche. Nous accueillons une patiente avec un état général diminué, ictérique, fatiguée et fatigable. Le statut clinique met essentiellement en évidence une hypoventilation pulmonaire droite avec une matité à la moitié de la plage pulmonaire. L'abdomen reste souple indolore sans signe de péritonisme. L'état clinique de Mme. Y se dégrade rapidement le 08.05.2019, nécessitant un antalgique et une sédation légère par Midazolam et Morphine IV continu, afin de soulager la douleur et l'inconfort. Nous accompagnons ses 4 enfants durant cette étape difficile. Elle décède entourée de l'amour des siens quelques heures après. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 0/10. Dyspnée 0/10. Nausée 0/10. Fatigue : fatigue importante. Somnolence 0/10. Inappétence : inappétence complète. Anxiété 0/10. Aucune angoisse, prêt à mourir si péjoration clinique. Dépression : moral bon, maintenant qu'il est à la Villa. Moral à zéro lors de son hospitalisation au HFR. Sensation de mal-être 0/10 Barthel Index : 75 points Palliative Performance Scale : 70% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : veuf depuis 84 (épouse décédée d'un cancer du sein). S'est remarié, avec elle depuis 20 ans. Ensemble, ils ont 7 enfants (famille recomposée) et 17 petits-enfants. Projet du patient/des proches : souhaite se retaper, reprendre la marche, gestion des douleurs, reprise de l'appétit. Mais si péjoration clinique, Mr. Y se dit prêt à mourir, et souhaite qu'on ne s'acharne pas, mais accompagnement et gérer son confort. Mr. Y, un patient de 78 ans, connu pour un lymphome diffus à grande cellule B avec pancytopénie sur infiltration médullaire de stade terminal, qui nous est transféré de l'HFR Fribourg - Hôpital Cantonal pour une suite de soins palliatifs. A son admission, Mr. Y rapporte une asthénie importante, avec inappétence et douleurs chroniques en péjoration. Il rapporte par ailleurs des sudations nocturnes avec états fébriles en augmentation. Il nous fait part d'une dégradation importante de son état clinique et se dit prêt à mourir. Au cours du séjour, les douleurs deviennent de plus en plus importantes et le traitement antalgique est majoré. L'évolution est défavorable avec une dégradation rapide le 07.05.2019, nécessitant une anxiolyse IV pour soulager l'inconfort et l'angoisse ainsi que les douleurs et les nausées respectivement. Nous entreprenons régulièrement des entretiens de famille afin d'accompagner Mr. Y et ses proches au mieux dans cette étape difficile. Mr. Y tombe petit à petit dans un coma irréversible. Il décède le 11.05.2019 entouré de l'amour des siens. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 0/10. Dyspnée 0/10. Nausée 0/10. Fatigue se dit très fatigué, va en augmentant. Somnolence 5/10. Inappétence 0/10. Anxiété anxiété liée à la mort. Autre se dit extrêmement révolté et en colère quant à sa situation Barthel Index : 35 points Palliative Performance Scale : 30% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit avec sa femme, a un fils et une fille, un petit-fils et une petite-fille. Projet du patient/des proches : passer du temps avec sa famille. Mr. Y, 65 ans, connu pour un glioblastome de stade IV selon l'OMS en stade terminal est transféré de l'Inselspital à Bern pour une prise en charge palliative. Pour rappel, le patient est initialement hospitalisé à Bern pour une psychose organique probablement dans le contexte de l'évolution de sa maladie oncologique. Le patient est stable cliniquement à son arrivée. Il présente un hémisyndrome moteur droit connu et stable selon le patient avec une force à M4 au niveau du membre supérieur et inférieur. Nous complétons la prise en charge de ses troubles moteurs par une approche interdisciplinaire avec des séances de physiothérapie et d'ergothérapie. Il mentionne également à plusieurs reprises une colère contre la médecine qui, malgré tous ses progrès, est incapable de le guérir et contre Dieu qui lui fait traverser toutes ses épreuves. Nous nous entretenons régulièrement avec le patient et sa famille pour les accompagner dans leur ressenti face à la maladie. De plus, l'épouse du patient nous fait également part de ses angoisses face à la maladie et de l'état d'épuisement dans lequel elle se trouve. En effet, Mme. Y est la principale proche aidante et assume tous les aspects du quotidien du patient. Nous mettons en place, après un colloque multidisciplinaire, des soins à domicile en plus des consultations déjà organisées auprès de Voltigo. Après la mise en place d'un réseau de soins et vu la stabilité clinique, le patient peut regagner son domicile le 22.05.19.Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 0/10. Dyspnée 0/10, Nausée 0/10. Fatigue 0/10 : Somnolence 0/10. Inappétence 0/10. Anxiété 0/10. Dépression 0/10. Sensation de mal-être 0/10. Barthel Index : 50/100 points Palliative Performance Scale : 30% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : est bien entourée de sa famille, son joyau. Est veuve depuis 44 ans, a élevé 2 enfants seule : 1 fils et 1 fille, a des petits-enfants (1 infirmière au CHUV, 1 physiothérapeute). Vit seule à domicile, sans aide. Projet du patient / des proches : remise en forme, et renforcement de la marche pour un retour à domicile, avec aide. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : si besoin, sa fille est sa représentante thérapeutique. Mme. Y, connue pour un carcinome neuroendocrinien d'origine mammaire métastatique au niveau osseux avec actuellement de multiples fractures pathologiques suite à des chutes à domicile, nous est transférée de l'HFR Fribourg pour une suite de prise en charge, dans le but d'un retour à domicile. A son admission, Mme. Y ne rapporte aucune plainte, mais un besoin de reprendre des forces. Elle rapporte par ailleurs des épisodes de nausées et vomissements à l'HFR Fribourg suite à l'introduction de la morphine, avec par conséquent de l'inappétence. Le statut clinique met en évidence une patiente en bon état général avec une mobilisation totale dans le lit, sans trouble neuro-sensitivomoteur des membres inférieurs. De la physiothérapie de mobilisation est débutée après les contrôles radio-cliniques orthopédiques, avec une bonne récupération de la marche avec le rollator. Mme. Y regagne progressivement en autonomie. Si Mme. Y évoque initialement son désir de reprendre des forces et d'entreprendre la rééducation à la marche pour rentrer à domicile, suite à plusieurs entretiens durant son séjour, celle-ci exprime une angoisse et une tristesse grandissantes, liées à une solitude importante, surtout la nuit. De plus, la fille, qui est la proche aidante de Mme. Y, dit vouloir se retirer de ce rôle pour se préserver. Après discussion avec Mme. Y et ses enfants, une demande de suite de prise en soin est entreprise pour un court séjour dans un EMS avec un projet double. L'éventualité d'un nouveau lieu de vie a été annoncée à Mme. Y, si son sentiment d'insécurité persiste, ce que Mme. Y entend bien. En date du 07.05.2019, Mme. Y est transférée à la Rose d'Automne, accompagnée par son fils, pour un projet double. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 0/10. Dyspnée 0/10. Nausée 0/10. Somnolence 0/10. Inappétence 0/10. Anxiété 0/10. Dépression : bon moral (aussi fluctuant selon son épouse). Sensation de mal-être 0/10 il rapporte une sensation de bien-être actuellement (fluctuant selon son épouse). Barthel Index : 40 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Marié depuis 62 ans, 3 enfants : Claude (fille, 2 enfants et deux petits-enfants), Annelyse (2 enfants) et Henri Jack (décédé, cause pas investiguée). Vit à Posieux dans une maison à 3 niveaux avec des escaliers entre chaque niveau, escalier difficile à gravir, vit principalement sur deux niveaux. Ressources : médecin traitant, Dr. X. Monsieur était ingénieur-mécanicien. Intérêt actuel : jardinage et bricolage actuellement : SAD 2x/jour + Voltigo actuellement en chaise roulante ou tintébin à domicile. Projet du patient / des proches : ce que le patient attend de ce séjour : clarifier la suite, et trouver un nouveau lieu de vie. Votre patient de 88 ans, Mr. Y, connu pour un adénocarcinome de la prostate depuis 2005, avec progression osseuse depuis 2014, en traitement palliatif par Casodex uniquement, est admis en électif à la Villa Saint-François en raison d'un échec de retour à domicile avec épuisement du réseau et surtout de son épouse dévouée, la principale proche aidante. A domicile, Mr. Y rapporte une situation difficile en raison de sa mobilisation limitée et de ses incontinences, avec par moments des états de confusion. Confronté à ces réalités, le couple décide de revenir après 5 jours passés à domicile et de reprendre les démarches pour un nouveau lieu de vie. Nous profitons du séjour pour optimiser le traitement antalgique et anxiolytique et introduisons de l'Halopéridol pour la confusion, avec un bénéfice modeste. Mr. Y bénéficie également de séances de physiothérapie, afin de maintenir un minimum de mobilité, et d'une approche multidisciplinaire pour la gestion des symptômes. En date du 14.05.2019, Mr. Y est transféré dans son nouveau lieu de vie au Home de Farvagny. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 0/10 par moment lorsqu'elle a des épigastralgies, sinon pas. Dyspnée 8/10 : dyspnée importante à l'effort, au repos ok. Nausées 7/10 : actuellement aucune. Mais présente des épisodes de nausées importantes par intermittence. Fatigue 8/10 : fatigue importante. Somnolence 0/10 mais insomnie. Inappétence 0/10 : a de l'appétit, mais en raison de nausées, difficile de manger. Anxiété 7/10 importante vis-à-vis de la suite, car Mme. Y a décidé d'un retrait thérapeutique il y a 2 semaines. Souhaite pouvoir construire un réseau solide pour la suite. Dépression 7/10 : baisse de moral importante ; Sensation de mal-être 7/10. Barthel Index : 40 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Maman célibataire (divorcée ?) d'une fille de 25 ans, a perdu un garçon à 5 semaines. Est de religion Mormon, a la foi. Projet du patient / des proches : Souhait : reprendre des forces et de l'énergie pour retrouver une certaine autonomie, construire un réseau pour la suite de la prise en charge palliative et l'accompagnement de sa maladie. Souhaite pouvoir assister à la remise de diplôme de sa fille (en cours de terminer son Master en histoire) en septembre 2019. Mme. Y, une patiente de 67 ans, connue pour un carcinome mammaire gauche diagnostiqué en 2013 multimétastatique (cutané, osseux, calotte crânienne), actuellement en retrait thérapeutique depuis le 24.04.2019 sur son souhait, nous est adressée pour une hospitalisation élective par Voltigo pour un reconditionnement palliatif en vue d'un retour à domicile. La patiente mentionne une asthénie importante avec des troubles gastriques en premier lieu, des épisodes de selles méléniques. Des nausées/vomissements importants sont également rapportés. La patiente ne présente plus de selles méléniques suite à l'introduction de Pantoprazole PO. Concernant les nausées/vomissements, avec de nombreux renvois, s'amendent avec un IPP, du baclofène et des conseils diététiques simples. Un CT abdominal est finalement effectué devant la persistance de la symptomatologie qui ne retrouve rien de particulier à l'étage abdominal mais met en évidence un épanchement pleural droit d'allure carcinomateuse. Après discussion avec la patiente, elle ne souhaite pas de drainage dans l'immédiat. Concernant son anxiété, une prise en charge interdisciplinaire est mise en place, une approche corporelle avec des bains, des massages et des relaxations est favorisée avec un bon effet. Sur le plan du déconditionnement, la patiente bénéficie de séances de physiothérapie et d'ergothérapie qui l'aident peu à peu à retrouver une certaine autonomie au quotidien et améliorent également la dyspnée. Après un colloque interdisciplinaire avec la patiente et sa fille, des soins à domicile 3x/semaine sont mis en place, son réseau de Voltigo est également réactivé. De plus, nous verrons la patiente à l'accueil de jour. Mme. Y peut regagner son domicile le 28.05.2019. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 5/10 : douleurs MSG et MIG post AVC. Dyspnée NYHA IV. Nausée 0/10. Fatigue : importante en augmentation depuis un mois. Somnolence 0/10. Inappétence 0/10. Anxiété : importante, angoisse de mort. Dépression : moral décrit comme fluctuant depuis un mois en lien avec sa maladie oncologique, pas d'anhédonie. Barthel Index : 50 points Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit avec son épouse, a une fille et un fils très présents et 7 petits-fils. Projet du patient / des proches : retour à domicile avec une meilleure autonomie. Profiter le plus possible de sa famille. Anxiété quant à la mort. Votre patient de 67 ans, Mr. Y, connu pour une BPCO stade 4 et une suspicion de néoplasie pulmonaire, nous est transféré de l'HFR Riaz pour une prise en charge palliative. Pour rappel, il a initialement été traité pour une décompensation d'une BPCO. À son admission, Mr. Y rapporte une dyspnée exacerbée depuis un mois, une fatigue généralisée avec le besoin de reprendre des forces, une angoisse grandissante quant à l'évolution de sa maladie oncologique. Il décrit également des troubles de l'équilibre et de la marche depuis son accident vasculaire cérébral de 2008 avec l'impression de devoir faire de plus en plus d'efforts pour mobiliser son côté gauche. Mr. Y évoque plusieurs fois des angoisses nocturnes de plus en plus importantes devant sa dyspnée en péjoration et la progression de sa maladie oncologique. Il bénéficie déjà d'un traitement par Escitalopram 10 mg qui a déjà été majoré lors de son hospitalisation à l'HFR Riaz. De plus, une dose fixe de Distraneurine est initiée avec des réserves de Temesta avec un bon effet. Nous complétons la prise en charge par une approche interdisciplinaire pour essayer de soulager au mieux les angoisses du patient. L'accompagnement concernant son angoisse de mort est essentiellement pharmacologique et présence humaine. La verbalisation de sa plainte est assez difficile pour ce patient. La fatigue de son épouse est également évoquée devant ses épisodes d'angoisses nocturnes nécessitant une présence réconfortante. Un traitement avec de la morphine de fond et en réserve est initié contre les dyspnées avec un effet modéré. En parallèle, il bénéficie de séances de physiothérapie de mobilisation et respiratoire. Le 19.05.2019, le patient présente malheureusement un état confusionnel aigu hyperactif d'allure terminale que nous avons traité par Haldol et Dormicum. Un traitement de fond par Nozinan et Dormicum est également instauré. Nous informons la famille de la péjoration irréversible de l'état de Mr. Y, nous accompagnons le patient et sa famille jusqu'à la fin. Le patient décède paisiblement le 20.05.2019. Palliative Basic Assessment : d'entrée. ESAS : Douleurs 5/10 au niveau lombaire bilatéral, max à la mobilisation, bien soulagées par Palladon irradiation sous forme dysesthésie au niveau des fesses et cuisses. Dyspnée 2/10 d'effort, stable. Fatigue 5/10. Inappétence 3/10 en amélioration. Anxiété 3/10. Dépression 3/10 surtout quand on lui parle de sa maladie oncologique. Barthel Index : 50 points Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y est marié depuis 15 ans à Mme. Y qui est Camerounaise. Mr. Y n'a pas d'enfant. Mr. Y apprécie la cueillette des champignons et la pétanque. Il habite un appartement avec quelques escaliers qu'il parvient à faire avec son rollator. Projet du patient / des proches : son rêve est de construire une maison au Cameroun et de s'y établir. Sinon, retourner à domicile et retrouver l'indépendance d'avant. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : son épouse. Mr. Y est un patient de 56 ans connu pour un carcinome urothélial, avec diagnostic récent de métastase osseuses lombaires infiltrant la moelle épinière, pour lesquelles il a bénéficié d'une radiothérapie antalgique. Une demande de remboursement pour une immunothérapie est en cours à son arrivée à la Villa Saint François. À son arrivée dans notre service, il se plaint principalement de lombalgies d'allure mixte, neurogène et nociceptive. Ensuite, plusieurs plaintes sont exprimées comme une inappétence, une asthénie et une thymie à la baisse avec une grande difficulté à accepter sa situation médicale. Concernant la douleur, nous majorons le traitement d'hydromorphone déjà en place que nous décidons de remplacer par la morphine en cours d'hospitalisation. Pour les autres symptômes, nous mettons rapidement en place une prise en charge interdisciplinaire afin d'aider Mr. Y et son épouse dans leur processus d'acceptation. La première partie de l'hospitalisation se passe dans de bonnes conditions, avec une attente d'une réponse de la part des assurances pour le remboursement d'une immunothérapie. Puis le 20.04.2019, Mr. Y présente une dysarthrie aiguë. Il bénéficie alors d'un transfert aux urgences, HFR Fribourg, pour investigations. L'AVC est régressif et on conclut à un AIT sur un trouble hémodynamique (hypotension artérielle) associé à une anémie sévère (Hb 64 g/l) dans le contexte d'une athéromatose carotidienne bilatérale connue. Par la suite, les bilans biologiques mettent en évidence une pancytopénie en péjoration, pancytopénie secondaire à l'infiltration médullaire métastatique connue, nécessitant alors un soutien transfusionnel. Puis le 02.05.2019, Mr. Y présente une rétention urinaire sur une hématurie macroscopique. Il est à nouveau transféré aux urgences HFR Fribourg, pour la pose d'une sonde urinaire 3 voies. Au vu de ces derniers éléments, montrant une progression oncologique rapide et une situation oncologique dépassée, l'immunothérapie n'est alors plus indiquée. Un entretien de famille est organisé le 02.05.2019 pour leur annoncer cette mauvaise nouvelle. Cela fut difficile pour le couple d'entendre que le combat contre la maladie prenait une autre forme, surtout pour Mme. Y qui garde la foi. Durant la suite de l'hospitalisation, nous exécuterons encore quelques transfusions de confort afin que Mr. Y puisse fêter son anniversaire entre copains le 11.05.2019. Puis nous observerons un état de conscience diminué le 14.05.2019 et Mr. Y décède le 15.05.2019 entouré de l'équipe médico-infirmière au petit matin. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 5/10 jambe droite, dos L3-L4, bas ventre augmente 7-8 quand mobilisation ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 5/10 ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 4/10 dans le contexte de la constipation, nausée à la prise alimentaire ; Anxiété face à l'évolution de la maladie, aux mauvaises nouvelles ; Dépression morale difficile. Barthel Index : 15 Palliative Performance Scale : 30% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit avec son ami Turgut, 2 grandes sœurs, 2 neveux, sa mère, son père et sa compagne et son chien ; Projet du patient / des proches : Mariage le 21.05.2019, marcher mieux, contrôle des douleurs, régulariser le transit. Mme. Y, patiente de 26 ans, connue pour un carcinome rénal en stade terminal multimétastatique, est transférée de l'Inselspital pour une fin de vie. Pour rappel, la patiente a initialement été hospitalisée à Bern pour une baisse de l'état général dans le but de reprendre du poids et des forces en vue de son mariage en juin prochain. Devant la progression rapide de la maladie et des complications successives (thrombose veineuse iliaque droite commune, épanchement pleural bilatéral), nous proposons d'avancer la date du mariage. Mme. Y décrit des douleurs dans tout le bas ventre dans un contexte de constipation importante, les dernières selles remontant à une semaine. Elle mentionne également des douleurs vives au niveau du dos L3-L4 (site connu de métastases et de compression nerveuse). Finalement, elle nous fait part de douleurs au niveau de la jambe droite dues à sa thrombose qui la gêne énormément pour marcher.Un traitement Lecicarbon et Telebrix réussissent à faire reprendre un transit, soulageant en partie les douleurs abdominales. Concernant les douleurs dorsales, en plus d'une antalgie par oxycodone, des fangos à la demande sont appliqués par l'équipe de physiothérapie avec un résultat satisfaisant. La patiente évoque une grande tristesse en lien avec sa situation, des angoisses importantes quant à la mort. Un accompagnement interdisciplinaire mis en place parvient à soulager une partie de ses angoisses. De plus, nous nous entretenons régulièrement avec la famille pour les accompagner et les informer au mieux dans cette situation. Le 21.05.2019, nous avons eu la chance d'aider et d'accompagner Mme. Y dans son projet de mariage que nous avons pu organiser à la Villa Saint-François. La fête fut belle, intense et émouvante. Le 22.05.2019, l'état clinique de Mme. Y se dégrade de manière subite, un iléus nous fait arrêter tous les traitements PO pour une administration uniquement iv. En parallèle, apparaissent des râles agoniques. La famille est rapidement informée de la péjoration de l'état de la patiente. Mme. Y décède entourée de tous les siens et de son mari le 22.05.2019. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 5/10 mixtes (neurogènes et nociceptives) des ceintures pelvienne et scapulaire. Douleur non irradiante décrite comme modérée à sévère mais surtout non compatibles avec un RAD. Fatigue 4/10 chronique depuis des semaines. Somnolence 0/10. Inappétence 5/10 chronique depuis des semaines, patient bon mangeur dans le passé. Dépression 0/10 se décrit comme optimiste et dit bien comprendre et accepter sa situation. Barthel Index : 80 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit avec son épouse, marié depuis plus de 50 ans, ils ont eu un fils, pas de petit enfant mais l'épouse de leur fils a plusieurs enfants qu'il considère comme ses petits enfants. Très bonne entente entre eux, se voient souvent. Ancien restaurateur et boucher. Domicile de plein pied, a été adapté pour son père qu'il a accompagné jusqu'à son décès. Projet du patient / des proches : son épouse et son fils. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : RAD si amélioration des douleurs et fatigue musculaire des membres inférieurs. Mr. Y est un patient de 87 ans connu pour un carcinome neuroendocrinien du coude métastatique au niveau hépatique et pour un lymphome splénique. Il nous est adressé depuis le service de médecine interne, HFR Fribourg, où il a été hospitalisé suite à l'apparition d'un œdème facial gauche avec mise en évidence d'une masse tissulaire sur l'arcade zygomatique d'allure tumorale. Étant donné la décision du patient pour une prise en charge uniquement symptomatique avec refus de traitement systémique depuis février cette année, il nous est rapidement adressé pour suite de prise en charge. A son arrivée dans notre service le 13.05.2019, Mr. Y se plaint essentiellement de douleurs mixtes des ceintures pelvienne et scapulaire. Ensuite, il décrit une péjoration d'une inappétence et asthénie chronique. Le projet de Mr. Y est de rentrer rapidement à domicile. Pour atteindre cet objectif, il souhaite une amélioration de son traitement antalgique ainsi qu'une réadaptation musculo-squelettique. Nous décidons dans un premier temps de poursuivre l'antalgie par Fentanyl en pompe CAD déjà en place que nous titrons progressivement. Il bénéficie en parallèle d'une prise en charge interdisciplinaire afin de l'accompagner au mieux dans sa maladie évolutive et son souhait d'une prise en charge palliative. Nous rencontrons une première fois sa famille le 15.05.2019 qui n'avait pas compris la gravité de la situation avec notamment la découverte de cette nouvelle masse au niveau zygomatique, masse probablement métastatique. Malheureusement, nous observons rapidement une somnolence et une asthénie marquées que nous ne reversons pas malgré nos adaptations du traitement antalgique. Le 18.05.2019, après avoir pris son petit déjeuner, il présente une recrudescence de douleurs associée à des sudations diffuses et des nausées avec vomissements biliaires sur un iléus obstructif qui n'a pas pu être bilanté vu la rapidité des événements. Il décède en début d'après-midi entouré de sa famille. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 6/10 au niveau omoplate D, muscle grand fessier D et hypochondre D d'allure nociceptives. Dyspnée 7/10 au moindre effort, absente à la parole. Fatigue 8/10. Somnolence 5/10 fluctuante. Inappétence 8/10 et xérose cutanée. Anxiété 5/10. Dépression 5/10 sensation d'abandon, tristesse. Barthel Index : 30 points Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : deux mariages, a eu un enfant de chaque mariage, plusieurs fois grand-papa et arrière-grand-papa, vit depuis des années avec sa compagne avec qui il n'a pas eu d'enfant (elle non plus). Il a été technicien en bâtiment. Mme. Y est bibliothécaire et travaille encore à 50%. Mr. Y aimait beaucoup le sport, allait chaque matin nager à la Mottaz. Il vit à domicile avec sa compagne qui s'occupe de lui, pas de SAD mais Volitgo mis en place tout dernièrement (sont passés 1x). Projet du patient / des proches : retrouver indépendance dans AVQ en gérant mieux les douleurs et rentrer à domicile. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : sa compagne en premier. Mr. Z est un patient de 80 ans connu pour un double problème oncologique, à savoir, un hépatocarcinome multifocal sur une cirrhose d'origine éthylique de Child B depuis le mois de mars 2018, et un probable sarcome, diagnostiqué en janvier 2019, avec des atteintes multiples, pulmonaires, tissus mous et os, mais dont l'origine primaire reste inconnue. Actuellement, il vient de débuter une radiothérapie antalgique au niveau de l'omoplate droite avec réévaluation d'une chimiothérapie palliative dans un second temps selon son état général. Le patient est hospitalisé depuis son domicile pour une baisse de son état général et l'épuisement de sa compagne qui est sa principale proche aidante. A son arrivée, Mr. Z présente de multiples plaintes. La plus importante sont des douleurs nociceptives mixtes au niveau de l'omoplate droite, du muscle fessier droit et abdominal au niveau de l'hypochondre droit. Les douleurs sont décrites comme modérées à sévères qu'il traite par de l'Oxynorm en réserve. Les autres plaintes sont une fatigue et somnolence en péjoration, une fatigabilité et une dyspnée au moindre effort. Nous commençons par remplacer son traitement d'Oxynorm par de la Morphine aux 4h pour agir sur les douleurs et la dyspnée. Il bénéficie rapidement d'une prise en charge multidisciplinaire afin de pallier au mieux ses symptômes. Dès le 08.05.2019, Mr. Z présente un état confusionnel aigu mixte. Nous suspectons initialement une neurotoxicité du traitement de Morphine nous motivant à faire une rotation d'opiacé pour l'Hydromorphone, en plus de la mise en place d'un traitement symptomatique par Halopéridol, ainsi que du Lorazépam, pour une agitation psychomotrice importante. L'évolution clinique est défavorable et Mr. Z décède le 11.05.2019 entouré de l'amour de sa famille. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 7/10 au niveau des membres inférieurs sur les œdèmes. Dyspnée 8/10 à la moindre mobilisation et à la parole, en péjoration depuis 10 jours. Fatigue 8/10 évoluant depuis 10 jours. Inappétence 8/10 sur manque d'appétit et dyspnée. Anxiété 5/10 sur la question de la mort, ambivalence entre désir de mourir et de rester pour ses proches.Barthel Index : 75 points Palliative Performance Scale : 40% • Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : mariée et mère de 2 enfants (l'aîné vit à Fribourg et la cadette à Paris), 4 petits-enfants, était institutrice. Parallèlement, a créé des accessoires de théâtre et a commencé le théâtre il y a 20 ans avec son mari. Vit dans une maison avec un niveau (15 escaliers), difficulté à monter les escaliers. Oxygénothérapie à domicile (ligue pulmonaire). Patiente suivie par Voltigo et passage d'une infirmière indépendante 1x/semaine. Elle et son mari font son ensemble semainier. Utilise de temps en temps un fauteuil à domicile, pas d'autre moyen axillaire de marche. Inscrite à EXIT il y a environ 1 an. Suivi médical : chaque 2-3 semaines par médecin traitant, chaque 3 mois chez pneumologue (Dr. X) et chaque 9 ans au CHUV. Projet du patient / des proches : RAD, améliorer OMI + dyspnée et maintenir autonomie ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : son mari + 2 enfants. Mme. Y est une patiente de 68 ans bien connue de notre service. Elle est hospitalisée en électif pour une dyspnée et des oedèmes des membres inférieurs en péjoration avec échec d'une prise en charge ambulatoire. A son arrivée, nous accueillons une patiente tachypnéique à la parole, avec une cyanose centrale et périphérique et une importante angoisse associée à sa dyspnée. La patiente se plaint également d'une asthénie et inappétence de plus en plus marquées. Nous adaptons son traitement diurétique par l'administration transitoire de Furosémide en intraveineux et de métolazone per os. Malgré une importante opiophobie initiale, nous profitons de l'hospitalisation pour instaurer progressivement un traitement de morphine per os qui montre rapidement son effet bénéfique, ainsi que du Fentanyl en spray puis sublingual en réserve pour les mobilisations. Malgré une perte pondérale progressive, une régression des oedèmes et un bilan biologique favorable, la dyspnée reste très importante et invalidante pour Mme. Y qui s'affaiblit de plus en plus. Néanmoins, elle s'accroche à l'espoir de retrouver son indépendance physique et son souffle et l'équipe soignante se retrouve souvent confrontée à une réticence à accepter les réserves d'opiacés et d'anxiolytiques, ainsi que d'autres propositions de traitements de confort comme la mise en place d'une sonde urinaire durant le traitement diurétique. De nombreux entretiens multidisciplinaires sont organisés afin de l'aider dans l'acceptation de l'évolution terminale de sa pneumopathie. Le 18.04.2019, devant une dyspnée persistante avec une faiblesse et un inconfort majeurs, la plupart des traitements, y compris cardiaques et diurétiques, sont arrêtés en accord avec Mme. Y, son époux et ses enfants. Nous poursuivons des soins de confort exclusifs, avec de la Morphine et introduisons une anxiolyse d'office, avec un très bon effet. Suite à cette étape et grâce à la présence de ses proches, Mme. Y profite de nombreux moments en famille, avant de s'affaiblir progressivement. Elle décède le 02.05.2019 entourée de l'amour de sa famille. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 8/10 mollet gauche depuis des jours déjà, douleur principalement à la charge. Fatigue 5/10 modérée. Inappétence 2/10 légère. Anxiété 2/10 concernant la remise de sa ferblanterie. Barthel Index : 50 points Palliative Performance Scale : 40% • Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : patient divorcé, en bon contact avec son ex-épouse, deux sœurs qui s'occupent beaucoup de lui. Il vit dans une maison au Jaun, seul. Repas faits par une de ses sœurs. Spitex 1x/jour. A une ferblanterie depuis 45 ans, dont il s'occupe encore actuellement un ouvrier, cela l'angoisse. 3 enfants, 4 petits-enfants. Projet du patient / des proches : souhaite RAD. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : ses enfants. Mr. Y est un patient de 71 ans connu pour une tumeur neuroendocrine de l'intestin grêle avec carcinose péritonéale et métastases hépatiques. Il est initialement hospitalisé en médecine interne HFR Fribourg pour l'apparition d'un méléna et d'une hématémèse. Le patient a alors bénéficié d'un soutien transfusionnel ainsi que d'une embolisation de l'artère gastro-duodénale le 03.05.2019 suite auxquelles il présente un sepsis sévère. Au vu d'un état comateux persistant, la Dr. X, son oncologue traitante, réunira la famille le 07.05.2019 afin de leur faire part de la gravité de la situation et procéder à un retrait thérapeutique et un passage à des soins de confort. Il nous est alors adressé pour suite de prise en charge. A son arrivée dans notre service le 08.05.2019, nous observons un patient cachectique et pâle avec toutefois un état général conservé qui se plaint essentiellement d'une douleur au niveau de son membre inférieur gauche. Après une stabilité clinique, le fils demande à répéter un entretien de famille qui se déroule le 09.05.2019 en présence de la Dr. X. Nous admettons la bonne évolution clinique mais rappelons toutefois la fragilité extrême de la situation de Mr. Y et également de la situation oncologique avancée. Nous décidons d'entente avec le patient et sa famille d'une prise en charge palliative à visée symptomatique uniquement. Pour les douleurs du membre inférieur gauche, nous suspectons une thrombose veineuse profonde que nous décidons de ne pas traiter au vu du saignement digestif à bas bruit connu et la thrombopénie actuelle. Nous mettons en place une antalgie par Dafalgan et morphine en réserve permettant à Mr. Y de se déplacer dans de bonnes conditions. Des drainages sont également effectués avec la mise en place de contention élastique. Pour le reste des symptômes, nous mettons rapidement en place une prise en charge interdisciplinaire. Concernant l'alimentation, le patient arrive dans notre service avec une sonde naso-gastrique d'alimentation. Au vu d'une envie de sa part pour une alimentation per os et la situation clinique globale, la sonde est retirée le 08.05.2019. Etant donné une situation clinique stable sur les jours suivants son arrivée et une angoisse marquée exprimée par Mr. Y face à des questions d'héritage non résolues, nous organisons un retour à domicile le 15.05.2019. Nous majorons l'aide à domicile avec le passage d'infirmiers deux fois par jour, l'introduction de Voltigo et d'une téléalarme. Nous donnons l'instruction au patient de vous contacter ces prochains jours afin d'organiser un rendez-vous à votre consultation afin de suivre l'évolution de son membre inférieur gauche et également pour assurer un suivi médical global. Le patient rentre à domicile le 15.05.2019 accompagné de son fils. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 0/10 présente de la toux sèche, sensation de difficulté à expectorer un glaire par moment ; Nausée 0/10 quand il tousse beaucoup ; Fatigue : fatigue généralisée moyenne ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 0/10 ; Anxiété : angoisse de mort importante ; Dépression : moral bas dès qu'il pense à sa condition oncologique terminale ; Sensation de mal-être 0/10. Barthel Index : 65 points Palliative Performance Scale : 70% • Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Est marié à une femme d'origine marocaine, depuis 17 ans, avec qui il a eu 2 enfants : 1 garçon de 14 ans, 1 fille de 12 ans. Il lui reste 1 grand frère (prêtre) et une petite sœur. Sa famille est importante pour lui. Projet du patient / des proches : souhaite : ne pas souffrir et vivre le plus longtemps le mieux possible. Désir récupérer la force aux membres inférieurs et renforcer la marche, garder son autonomie. Angoisse de mort.Mr. Demierre, patient de 64 ans, connu pour un adénocarcinome du caecum diagnostiqué en mai 2017, qui est actuellement en soins de support depuis avril 2019, nous est adressé de l'HFR-Hôpital de Riaz pour une suite de soins palliatifs et clarification du projet social. Pour rappel, une tentative de retour à domicile après une hospitalisation à l'HFR Riaz est réalisée sans succès, malgré la mise en place de Voltigo. Mr. Demierre est réhospitalisé après 4 jours pour une décompensation ascitique qui est rapidement ponctionnée. A son admission dans notre service, il rapporte une asthénie et un déconditionnement généralisé dans le cadre de sa maladie oncologique terminale. Le statut clinique retrouve essentiellement un patient avec un état général conservé à diminué, avec un abdomen pléthorique, mais indolore, avec d'importants oedèmes des membres inférieurs. L'auscultation pulmonaire met en évidence une hypoventilation basale droite. L'évolution est initialement favorable sous traitement diurétique, avec une perte pondérale progressive. Le 23.04.2019 au soir, Mr. Demierre présente une crise convulsive généralisée inaugurale avec état post-critique prolongé en présence de son frère. Un CT scanner cérébral montre 3 lésions métastatiques. En accord avec les oncologues, le patient et son entourage, et au vu de la situation globale, un traitement palliatif se limite à l'introduction de Keppra. L'état clinique de Mr. Demierre se dégrade petit à petit, sans cause réversible évidente, nous faisant évoquer une fin de vie proche. Nous rencontrons régulièrement la famille afin de les accompagner au mieux dans cette étape difficile. Mr. Demierre tombe progressivement dans un coma dont il ne se réveille pas. Il décède le 02.05.2019 en présence de son frère. Palliative Basic Assessment ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 9/10 ; Somnolence 6/10 ; Inappétence 7/10 ; Anxiété 6/10 ; Dépression 5/10 ; Sensation de mal-être 3/10 ; Autre Prurit Tremblement Fatigue Perte d'appétit Isolement social Anxiété Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : habite avec son fils de 25 ans dans un appartement avec ascenseur, relation distante en plein divorce ; Projet du patient/des proches : retrouver un autre travail Palliative Basic Assessment ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 6/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 5/10 ; Somnolence 4/10 ; Inappétence 3/10 ; Anxiété 2/10 ; Dépression 4/10 ; Sensation de mal-être 0/10 ; Autre Vertige parfois Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Sa femme, ses 3 enfants ; Projet du patient/des proches : Retour à domicile Mr. Collaud, un patient de 85 ans, connu pour un AVC multiple sur artérite gigantocellulaire ainsi qu'une polymyalgie rheumatica, une suspicion de foyer épileptique temporo-occipital D, une insuffisance rénale chronique, une insuffisance cardiaque sévère (FEVG à 30%, défibrillateur) sur cardiomyopathie hypertensive et fibrillation auriculaire, un diabète de type 2 et une maladie thrombo-embolique. Il nous est transféré le 30.04.2019 depuis la réadaptation neurologique intensive de Meyriez aux soins palliatifs en raison d'une péjoration de l'état de vigilance et hémodynamique sur suspicion de rétention morphinique le 29.04.2019. A l'entrée, le patient se plaint surtout de fatigue, mais il ne présente plus de vertige, ni de nausée ni vomissements. La dyspnée est améliorée par l'oxygène et il présente une toux grasse. Le moral est diminué dans ce contexte. Suite à la réadaptation, il a récupéré partiellement de la mobilité, il pouvait se nourrir seul et se mobiliser dans une chaise roulante. Actuellement, il est dépendant pour tous les AVQ depuis sa péjoration de sa santé. Il présente aussi une incontinence urinaire et fécale déjà présente en réadaptation. Au statut à l'entrée, Mr. Collaud est fatigué, ralentit au niveau psycho-moteur mais orienté, collaborant. A l'auscultation pulmonaire antérieure, il présente des râles auscultatoires surtout lors de l'expiration. L'abdomen est sans particularité. Le statut neurologique n'est que grossièrement réalisé en raison d'une fatigue importante. Il présente une ptose de la paupière G connue, une mobilité diminuée à M3-M4. La sensibilité grossière semble conservée. Il présente des oedèmes au niveau du cou, autrement de légers oedèmes péri-malléolaires avec une dermatite ôcre sur insuffisance veineuse chronique. Il vit avec sa femme dans une maison dans l'appartement du rez, sa fille à l'appartement supérieur. Il a 3 enfants. Il était indépendant avant ses AVC. Le 01.05.2019, Mr. Collaud présente une probable pneumonie et décompensation cardiaque en raison d'une péjoration de la dyspnée avec une auscultation péjorée par des râles, des crépitants grossiers ainsi que des sibilances ainsi que des oedèmes MS > MI. De plus, il présente une hausse importante de la CRP sans leucocytose. Après discussion avec le patient, il souhaite des investigations. Des hémocultures reviennent négatives à 5 jours. Nous ne réalisons pas de nouvelle radiographie thoracique, car le patient ne peut pas s'asseoir et celle réalisée la veille couchée est peu contributive. Nous introduisons un traitement de rocéphine iv depuis le 01.05 ainsi que du lasix, un perfusor de fentanyl depuis le 02.05 et des inhalations pour la dyspnée en plus de l'oxygène ainsi que des réserves pour l'anxiété et la dyspnée. Nous introduisons avec son accord et pour son confort une sonde vésicale depuis le 01.05. L'évolution est favorable d'un point de vue infectieux et au niveau de son insuffisance cardiaque mais son état général se dégrade avec une fatigue importante entraînant un déconditionnement qui le conditionne au lit. Une dyspnée progressive et des angoisses sont traitées et Mr. Collaud décède le 13.05.19 accompagné de ses proches. Palliative Basic Assessment ESAS : Douleurs 1/10 ; Dyspnée 10/10 NYHA 4 déjà au repos ; Nausée 0/10 ; Fatigue 7/10 lié au contexte oncologique ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 7/10 perte de poids associé, goût/odorat conservé, pas de sensation de faim ; Anxiété 7/10 liée à sa dyspnée et à sa santé ; Dépression 3/10 ; Sensation de mal-être 6/10 mal-être général surtout lié à la dyspnée. Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : 1 soeur, 2 frères, 1 partenaire Mme. Staehlin, 51 ans, suivie par le Dr. X pour un carcinome neuro-endocrine de l'oesophage et un carcinome épidermoïde invasif de la langue, les deux diagnostiqués en septembre 2018, est transférée de la médecine interne Fribourg à Meyriez en soins palliatifs le 01.05.2019 pour une baisse de l'état général dans le contexte oncologique. Pour rappel, la patiente avait refusé de la chimiothérapie au moment du diagnostic. Elle bénéficie ensuite d'un traitement à la Klinik Medias à Burghausen. De retour en Suisse en février 2019, le bilan radiologique par PET-CT montre une progression tumorale avec apparition de métastases hépatiques et osseuses. Une chimiothérapie par Etoposide et Paraplatine est de nouveau proposée fin mars à la patiente, qui attend un second avis du CHUV. Mme. Staehlin vit dans un studio accessible par des escaliers sans ascenseur. Elle n'a pas de soins à domicile. Aucune démarche entreprise pour le moment au niveau de l'AI et de la ligue contre le cancer. Elle donnait des cours d'équitation. A l'entrée, Mme. Staehlin se plaint d'une dyspnée à NYHA 4 déjà présente au repos et d'une angoisse associée. Elle est fatiguée, épuisée et de plus, elle a une perte d'appétit accentuée depuis 2 semaines avec une perte de poids de 6 kg en 6 mois. Elle se plaint aussi d'une sécheresse buccale et d'une constipation et ballonnement sur un ventre ascitique. La chimiothérapie palliative initialement proposée par le Dr. X n'est plus envisageable en raison d'une thrombopénie nouvelle et en raison de la baisse de l'état général avec une mobilisation limitée au lit.Au status d'entrée, Mme. Y présente un état général diminué et cachetique. L'auscultation pulmonaire présente une hypoventilation basal D et de légères sibilances. L'auscultation cardiaque est normale avec un B1B2 régulier bien frappé sans souffle audible avec des œdèmes périmalléolaires. L'abdomen est globuleux légèrement tendu en raison de la présence d'ascite. Il reste souple, sans défense ni détente, mais présente peu de bruits à l'auscultation. Concernant sa dyspnée stade NYHA 4, nous augmentons le dosage de morphine sous cutanée et introduisons en plus des inhalations, en plus des réserves de morphines et de temesta. Concernant sa constipation et la poursuite de traitement opioïde, nous introduisons des laxatifs fixes. L'état général de Mme. Y se dégrade rapidement durant son séjour avec l'aggravation de sa dyspnée. Elle nous répète à plusieurs reprises vouloir mourir. Nous mettons en place un traitement symptomatique et Mme. Y décède le 09.05.19 bien soulagée des douleurs et de la dyspnée. • Palliative Komplexbehandlung mit Physio-, Ergotherapie, wöchentliches interdisziplinäres Kolloquium ab dem 20.5.2019 • Familiengespräch am 21.05.19 • Leistungsfaktoren am 20.05.19 : ECOG 4, PPS 10% • FIM am 20.05.19 : 18 • ESAS (nur eingeschränkt durchführbar bei Bewusstseinsstörung) am 20.5.2019 • Evaluation (nur eingeschränkt durchführbar bei Bewusstseinsstörung) am 20.05.19 • NRS 3 am 20.05.19 Rö-Thorax vom 13.05: Rechts signifikanter Pleuraerguss, Ausschluss Pneumonie nicht möglich Rocephin 2g/d vom 10.05. bis 14.05.2019 und Tazobac vom 15.05. bis 21.05.2019 Palpation douloureuse de l'articulation ulno carpienne et de la styloïde ulnaire. Suivi clinique simultané à ci-dessus. Palpitations et douleur épigastrique. Palpitations et épigastralgie d'origine indéterminée le 16.04.2019. • Thermoablation de fibrillation auriculaire en 2016. Palpitations Palpitations Palpitations d'origine indéterminée avec : • ECG : RSR, axe normal, QRS fins, pas de troubles de la repolarisation Palpitations d'origine indéterminée. • DD : stress examen. Palpitations d'origine indéterminée, le 06.05.2019. Palpitations d'origine indéterminée le 08.05.2019 (DD : troubles du rythme). Palpitations d'origine indéterminée, le 11/05/2019. DD : probable tachycardie supraventriculaire non objectivée aux urgences. Palpitations d'origine indéterminée le 16.05.2019 (DD : angoisse). Palpitations d'origine indéterminée le 23.05.2019. DD : trouble du rythme bénin, angoisse. Palpitations d'origine indéterminée. DD : TV sur cardiopathie ischémique, tachycardie supraventriculaire. Palpitations et asthénie probablement dans le contexte de la grossesse. Palpitations le 17.05.2016 (diagnostic différentiel : crise d'angoisse). Palpitations sans critères de gravité le 17.05.2019. Palpitations sur manque de sommeil et jeûne, le 18.05.2019. • DD : crise de panique. Palpitations transitoires dans un contexte de douleurs, DD angoisse. Panari doigt 4 main D Panari majeur D Panari phalange distale du doigt 3 à droite Panaris de D3 de la main D le 06.05.2019 Panaris de la 3ème phalange de l'annulaire gauche (DD : phlébite d'une veine). Panaris débutant au 1er orteil du pied droit. Panaris du bord radial de la 3ème phalange du 3ème doigt de la main gauche. Panaris du doigt III de la main droite. Traumatisme crânien simple avec plaie frontale gauche de 1.2 cm de longueur. 26.02.19 : Traumatisme crânien simple. Antalgie au besoin. Panaris du gros orteil droit. Plaie de la face palmaire de la main droite de 3 cm le 07.02.2014. Contusion pied droit, le 16.12.2014. Entorse de la cheville droite de grade I le 11.12.2017. Entorse de cheville droite grade I le 18.01.2018. Panaris du 1er doigt main droite. Panaris non collecté du gros orteil droit, traité par pansement gras avec Bétadine Gel. Panaris 3ème doigt à droite (non daté) Contusion coude droite le 25.11.2015. Pancératite aiguë d'origine indéterminée Balthazar C en mars 2018. Pancolite à Campylobacter jejuni, le 29.04.2019. Pancolite à prédominance gauche (côlon descendant, sigmoïde) subaiguë depuis le 20.04.2019, • mise en évidence sur le CT scan abdominal effectué le 24.04.2019, avec : • diarrhées sanglantes depuis le 22.04.2019, persistantes • inappétence et perte de poids aiguë de 4 kg • état de déshydratation sur diarrhées DD : colite inflammatoire sur prise de Lodine (AINS) et Clopidogrel, maladie inflammatoire digestive, infection. Pancolite, DD : maladie de Crohn, RCUH, vs colite à Campylobacter. Pancolite DD Maladie de Crohn, RCUH Pancolite d'origine indéterminée Pancréatite aiguë. Pancréatite aigue avec hyperglycémie à 31 mmol/l. Pancréatite aiguë Balthazar C, d'origine alcoolique, le 01.09.2016. Status post zona avec douleurs post-zostériennes en 2016. Status post fracture comminutive aile iliaque droite en mai 2016. Status post hépatite aiguë d'origine probablement médicamenteuse le 01.06.2014 (DD sur Cipralex, Remeron, Losartan, moins probable sur du Propycil). Status post hypovitaminose D sévère à < 10 mmol/l le 03.06.2014. Pancréatite aiguë Balthazar D sur cicatrice ancienne de sphinctérotomie d'origine obstructive le 14.04.2019. Pancréatite aiguë chronique le 23.05.2019. Pancréatite aiguë d'origine lithiasique. Status post-pancréatite aiguë lithiasique en avril 2019. Pancréatite aiguë d'origine probablement médicamenteuse non datée. Urolithiase en mai 2005. Hémorragie sous-arachnoïdienne sur rupture d'anévrisme de l'artère cérébrale communicante en mars 2007. Syndrome de l'intestin court en 2000. Saignement digestif récidivant dans le contexte d'une maladie inflammatoire de l'intestin et de pouchite récidivante le 14.07.2018. Pancréatite aiguë d'origine probablement médicamenteuse sur chimiothérapie, DD : ou sur cholélithiase, le 29.04.2019. Pancréatite aiguë en 2007 Cholécystectomie en 2008. Phakectomie gauche en 2018, droite en 2019. Pancréatite aigue le 15.05.2019. DD Hypertriglycéridémie (14.7mmol/l le 15.05.2019), OH.Status post-appendicectomie Status post-hystérectomie Accident vasculaire transitoire du territoire sylvien gauche le 15.11.2017 • discrète parésie et hypoesthésie transitoire du MSD • NIHSS: h0: 2; h1: 1, h24: 0 Pancréatite aiguë sur chronique d'origine éthylique (Balthazar C) • Status post-pancréatite aiguë Balthazar D le 25.06.2018 Pancréatite aiguë, 2 épisodes de genèse inconnue en octobre 2010 Pancréatite aiguë 2 épisodes d'étiologie indéterminées Status post-opération d'une hernie hiatale par laparotomie en 1984 Status post-amygdalectomie Surinfection d'un lipome au niveau du dos, incisé le 15.04.2019 Pancréatite biliaire. Pancréatite biologique Pancréatite biologique le 17.05.2019 • score de Ranson à 3 points • DD: médicamenteux Pancréatite biologique le 28.03.2019 avec : • perturbation des tests hépatiques • contexte d'antécédents de pathologie bilio-pancréatique • diagnostics différentiels : passage de calcul, pancréatite médicamenteuse Pancréatite biologique le 30.04.2019 : • Lipase : 289 U/L Pancréatite biologique sans corrélation clinique • DD: pancréatite alcoolique chronique Pancréatite chronique. DD: récidivante le 23.05.2019. • chez un patient connu pour une pancréatite de la queue du pancréas d'origine probablement biliaire le 10.04.2019 avec : • lithiase de 12 x 6 x 8 mm dans l'infundibulum. • Ultrason abdominal du 23.05.2019 (Dr. X) : pas de cholécystite. Pas de dilatation des VB. Calcul de 12 mm dans l'infundibulum vésiculaire. Léger épaississement du pancréas compatible avec le status post pancréatite. Pas d'infiltration. Pancréatite de la tête du pancréas Balthazar C le 06.05.19 Pancréatite d'origine médicamenteuse sur Sertraline, classée Balthazar C le 06.05.2019 • DD: biliaire • Status post-pancréatite aiguë d'origine médicamenteuse en 2011 et 2018 (Methotrexate) Pancréatite en 2018. Pancréatite post-ERCP le 11.05.2019 • lipase à 1053 U/l Pancytopénie Pancytopénie afébrile. • J11 d'une chimiothérapie palliative par Platinol, Etoposide et traitement par Tecentriq et J7 Neulasta. • leucopénie à 2.1 G/L, anémie à 119 G/L, thrombocytopénie à 87 G/L. Pancytopénie dans le contexte de la chimiothérapie le 23.04.2019 • Anémie normocytaire • Thrombocytopénie sévère • Leucopénie < 1G/l Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine mixte le 23.04.2019 • FeUrée 50% • DD: pré-rénale sur hypovolémie dans contexte diarrhées, néphrite ou nécrose tubulaire aiguë, post-rénale sur dysfonction de néphrostomie • GFR 53 ml/min le 3.5.2019 selon Cockroft-Gault Urosepsis sur néphrite droite à K. pneumoniae et E. faecalis dans contexte de néphrostomie bilatérale le 23.04.2019 • Ceftriaxone du 23.04 au 26.04.2019 • Métronidazole du 23.04 au 25.04.2019 • Pipéracilline/Tazobactam du 26.04.2019 au 3.5.2019 • Ciprofloxacine et Co-Amoxicilline du 3.5.2019 au 17.5.2019 • CT thoraco-abdomino-pelvien le 23.04.2019 • Changement de néphrostomie droite le 2.5.2019 (Dr. X) Pancytopénie dans le contexte du lymphome diffus à grande cellules B avec infiltration médulaire, avec : • agranulocytose du 02.05 au 04.05.2019 Pancytopénie d'origine médicamenteuse (Methotrexate) en 2017 S/p saignement hémorroïdaire en 2016 S/p prothèse totale de hanche droite en 2006 Zona thoracique droit sur dermatome T3-T4 en décembre 2017 • Traité par 7 jours de Valaciclovir Angor instable le 24.04.2019 avec : • décompensation cardiaque gauche NYHA 4 le 25.04.2019 • angioplastie avec ballon à élution de la resténose dans la PAC-saphène Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 25.04.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur chronique (néphropathie diabétique et hypertensive) d'origine mixte : • prérénale sur syndrome cardio-rénal • post-coronarographie avec produit de contraste Pancytopénie d'origine périphérique (hypersplénisme) le 24.04.2019 • Leucocytes 0.7 G/L, hb 78 g/L, thrombocytes 54 G/L • Avec agranulocytose du 26.04.2019 au 01.05.2019 Pancytopénie en progression le 20.04.2019, sur infiltration médullaire métastatique. Pancytopénie le 08.05.2019 suite à la chimiothérapie du 30.04.2019 avec : • thrombopénie à 39000/mm3 • leucopénie à 1.9 G/l • hémoglobine à 89 g/l. Pancytopénie le 11.04.2019 DD Cirrhose éthylique Pancytopénie le 13.04.2019 avec : • Hémoglobine à 136g/l • Leucocytes à 3.5G/l • Thrombocytes à 121G/l Diagnostic différentiel : sur cirrhose child A et splénomégalie Pancytopénie le 22.02.2019 probablement sous Lutathera : • hémoglobine 77 g/l, leucocytes 2.7 G/l, thrombocytes 98 G/l • DD médicamenteuse (Allopurinol), hypoplasie médullaire. Anémie normochrome normocytaire hyporégénérative d'origine inflammatoire et spoliative le 02.10.2018 sur probable pan-oesophagite sévère ulcéro-proliférative avec : • hémorragie digestive haute et basse le 08.08.2018 dans le cadre d'une oesophagite par reflux, stade C à D selon Los Angeles sur hernie hiatale avec lésion de type Mallory Weiss à la jonction oeso-gastrique • oesogastroduodénoscopie de contrôle du 05.09.2018 : pas de saignement actif, oesophagite circonférencielle avec érosions sur toute la surface de l'oesophage, progression tumorale d'une carcinose péritonéale obstruant partiellement le pylore. Acutisation d'une anémie normochrome normocytaire chronique avec hémoglobine à 78 g/l le 11.04.2018 • spoliation gastro-intestinale haute probable • progression de l'infiltration tumorale du pylore du 1er et du 2ème duodénum (CT du 11.04.2018) • hernie hiatale modérée avec aspect d'oesophagite de reflux et endo-brachy-oesophage (oesogastroduodénoscopie du 13.04.2018) • oesophage de Barrett connu (histologie Promed 14.09.2017). Subiléus réflexe, fluctuant le 04.09.2018 dans le contexte de carcinose péritonéale en progression. Quadrigéminisme supra-ventriculaire paroxystique asymptomatique découvert sur l'ECG du 15.10.2018. Abcès scrotal postérieur droit le 22.09.2015. Suspicion d'accident vasculaire cérébral hippocampique le 20.12.2012. Pancréatite alcoolique en septembre 2008. Opération de la cataracte des deux côtés en 2001 et 2002. Phéochromocytome malin : • date du diagnostic : 25.06.2002 • histologie (Gamba-SMCF 53952/02, 54074/02) : phéochromocytome, 52 mm de grand axe (surrénalectomie G), métastase ganglionnaire (adénopathie mésentérique) • surrénalectomie et résection d'une adénopathie mésentérique le 25.06.2002 • actuellement : pas de signe de récidive. Pandiverticulose prédominant le long du sigmoïde à la colonoscopie du 18.07.2018 Hypertension artérielle Hyperuricémie Panhypopituitarisme et diabète insipide suite à un macro-adénome non sécrétant, réséqué en 2008 (CHUV) avec : • Substitution par hydrocortisone et Minirin • Lésion du chiasma optique avec perte visuelle droite et hémianopsie gauche • Suivi Dr. X Atonie vésicale avec sonde vésicale à demeure depuis 2017 • Suivi Dr. X • Multiples infections urinaires (cf antécédents) Démence vasculaire avec probable composante neurodégénérative Insuffisance rénale chronique stade 2 (avec clairance à la créatinine selon Cockroft et Gault à 73 ml/h) : • Clairance créatinine selon eGFR CKD-EPI à 59.9 ml/min le 13.06.2018 Pansement. Pansement, antalgie. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires samedi et à la policlinique d'orthopédie lundi. Pansement au tri. Mr. Y repart sans consultation médicale. Pansement au tri. Réfection de pansement samedi 01.06.2019 au tri. Pansement avec du Kamillosan. Au moment de la consultation, elle n'est pas algique, va mieux. Pansement compressif Pansement compressif Pansement compressif avec décompression progressive. Pansement d'Ichtolan 10%. Désinfection par Dalacin solution. Mr. Y instruit des signes nécessitant une nouvelle consultation. Pansement écossais, anti-inflammatoires non-stéroïdiens. Contrôle clinique chez Dr. X mardi 04.06.2019 matin. Pansement est tombé à J1 et mère n'a rien remis dessus. Phlyctène en regard du 4ème doigt rompu, phlyctènes sur les orteils 3-4 non rompus. Ialugen plus, Adaptic, pansement compressif. Indication de garder le pansement et reconsulter aux urgences si ce dernier tombe. Contrôle à 48h pour débridement des phlyctènes rompus. Pansement et désinfection Pansement et suivi clinique. Pansement et vaccin antitétanique au tri. Mr. Y repart à domicile sans consultation médicale. Pansement gras avec Adaptic. Pansement local. Chaussure adaptée. Arrêt de travail pour 1 semaine (car port de chaussures de sécurité). Contrôle dans 1 semaine chez le médecin traitant si persistance. Pansement Merfen + Bétadine pommade matin à partir de dimanche 5/05 puis 1x/j. Merfen + Fucidine pommade soir à partir de dimanche 5/05 puis 1x/J (fait ce soir aux urgences). Co Amox 312,5 : 5 ml x 3/j pendant 7j (1 dose donnée ce soir aux urgences). Tegaderm en protection le matin pour la toilette. Contrôle clinique pédiatre dans 5j. Pansement par Adaptic et Ialugen à refaire dans 48h aux urgences. Éviction des liquides sur le pansement et antalgie PO si douleur. Pansement par Adaptic et Ialugen Contrôle dans 48h aux urgences Pansement protecteur simple, pas de douleur à la percussion vertébrale. Pantoprazole 40 mg 2x/j pendant 4 semaines, puis 1x/j Pantozol Pantozol, Alucol, titration de morphine. Laboratoire : Hb à 129 g/L. Syndrome inflammatoire (leucocytose à 10.8 G/L et CRP à 32 mg/L), fonction rénale et électrolytes sp, lipase sp, PA à 160 U/L et GGT à 107 U/L sans augmentation de la bilirubine ni perturbation des transaminases. US abdominal (Dr. X) : pas de lithiase biliaire visible, pas de dilatation des voies biliaires, pas d'argument pour une cholécystite. Avis gastro-entérologique (Dr. X) : • Traitement IPP 2x40 mg ambulatoire et prélèvement de recherche de sang occulte dans les selles (matériel donné à Mr. Y et une copie des résultats sera adressée au médecin traitant). • Gastroscopie à organiser en ambulatoire uniquement si présence de sang dans les selles (méléna objectivé ou hémocult positif) ou si persistance de la symptomatologie malgré le traitement IPP. Suivi en filière le 23.05.19 pour suivi clinique et biologique (hémoglobine, paramètres inflammatoires et tests hépatiques). 23.05.19 : Se sent beaucoup mieux, douleur abdominale fortement diminuée avec le Pantoprazole. Rapporte surtout des douleurs transitoires à la cicatrice de césarienne malgré le paracétamol. Laboratoire : tests hépatiques superposables, PA superposable, GGT à 144, diminution CRP à 19 mg/l, leucocytes à 10.9. Sang occulte : Mme. Y rapporte une possible contamination de l'échantillon numéro 1 par du sang des règles. Encore 2 prélèvements de selles. Résultats transmis au médecin traitant. Poursuite traitement IPP, et ajouté Tramadol pour douleur de la cicatrice. Gastroscopie à organiser si sang dans les selles et/ou persistance des symptômes sous IPP. Connaît les motifs de consultation d'urgence. Pantozol augmentée à 80 mg pour 6 semaines puis retour à 40 mg une fois par jour. Dosage Torasemide et Aldactone selon le poids et la clinique à adapter. En cas de péjoration de la situation, les soins palliatifs de Meyriez restent à disposition, aussi pour une ponction de l'ascite si nécessaire. Rendez-vous médecin traitant le 03.05.2019 à 16h20 Pantozol bolus 80 mg i.v. puis 8 mg/h Attitude : • rediscuter une OGD selon évolution Pantozol, Dafalgan Pantozol depuis le 15.04.2019 Pantozol iv 40 mg 3x/j du 29.05.19 au 31.05 Dexlansoprazole 60 mg 2x/j Pantozol per os 40 mg x 2/j dès le 04.03.2019 au 04.04.2019 à diminuer dès le 05.04.2019. Pantozol 40 mg/j 1x/j. Le 20.04.2019 augmentation à nouveau à 40 mg 2/j. Le 25.04 essai de diminution de la posologie mais augmentation des brûlures. Alucol 15 ml 1-1-1 et Primpéran 10 mg 1-1-1 en raison de persistance des symptômes avec reflux gastro-oesophagien, nausées. Labo 01.05.2019 : Hb constante, tests hépatiques dans la norme, CRP légèrement augmentée dans leucocytes. ASP le 01.05.2019 : colprostase. Contrôle avec gastroscopie à l'HFR de Fribourg au mois de mai (Dr. X), sera convoquée. Pantozol 20 mg, Novalgine, Itinerol B6 Pantozol 40 mg, Buscopan 10 mg Contrôle clinique vendredi Pantozol 40 mg et Alucol 15 ml aux urgences. Retour à domicile. Pantozol 20 mg pendant 14 jours. Consigne de reconsulter si persistance ou aggravation des symptômes. Pantozol 40 mg pour 2 semaines, Novalgine comme réserve Pantozol 40 mg pour une semaine, anti-douleurs. Si les douleurs ne s'améliorent pas avec la thérapie, nous proposons de se représenter chez nous ou chez le médecin traitant. Pantozol 40 mg pour 1 mois, Itinerol B6 si vomissement Pantozol 40 mg 2x/j. pendant 2 semaines. Pantozol 40 mg 2x/j pendant 2 semaines Conseil de prendre un médecin traitant. Pantozol 40 mg 2x/j 7 jours. Recherche H. pylori chez le médecin traitant si non amélioration des symptômes. Pantozol 40 mg 2x/jour pendant 1-2 semaines. Alucol gel 15 ml 30 minutes après les repas. Contrôle et suite de prise en charge chez le médecin traitant dans 1-2 semaines. Pantozol 40 mg, à jeun pendant 4 jours. Buscopan en cas de douleurs abdominales, Dafalgan 1 g en cas de fièvre.PAP du 22.03.2019: ASC-H Biopsie cervicale du 08.04.2019: à 16h HSIL; à 6h et 12h LSIL. Colposcopie du 26.04.2019: zone iodonégative TAG1 à 13h. Biopsie du col à 13h: LSIL, p16 négatif. CEC: CIN II, HSIL, p16 positif. PAP en ordre chez gynécologue traitant US endovaginal 30.04.2019: utérus RVF, endomètre 11 mm, ovaires sp Laboratoire le 30.04.2019: Hb 130 g/L, Lc 4.9 g/L, Tc 208 G/L, Crase en ordre, électrolytes en ordre, fonction rénale en ordre. PV 18.04.2019: flore, chlamydia négatif PAP eo chez gynécologue traitant US endovaginal 30.04.2019: utérus RVF, endomètre 11 mm, ovaires sp Laboratoire 30.04.2019: Hb 130 g/L, Lc 4.9 g/L, Tc 208 G/L, Crase eo, électrolytes eo, fonction rénale eo. PV 18.04.2019: flore, chlamydia négatif Papillomavirus traité par laser. Papillomectomie endonasale et shaver, éthmoïdectomie le 01.06.2012 (Dr. X) Sténose de la carotide interne droite symptomatique le 18.04.2015 avec: • AVC mineur dans le territoire carotidien droit • Hémisyndrome à prédominance sensitive facio-brachio-crural gauche avec parésie minime du membre supérieur gauche • NIHSS à 2 le 18.04.2015 à 12h15 (chute membre inférieur fauchée, hypoesthésie modérée facio-brachio-crurale gauche), NIHSS à 0 le 18.04.2015 à 15h • NIHSS à 2 le 20.04: ataxie membre supérieur gauche et membre inférieur gauche Opération le 27.04.2015: Thrombendartériectomie avec plastie d'élargissement de la bifurcation carotidienne à droite Par conséquent, on envisage une augmentation du traitement physiothérapeutique et on organise une nouvelle IRM avec produit de contraste au niveau lombaire pour dépister une éventuelle récidive d'hernie. Paracétamol en réserve Paracétamol 1 g. Feuille de surveillance post piqûre de tique donnée. Paracétamol 1 g, Voltarène 50 mg et Morphine 1 g au tri. Tramal 50 mg en réserve. Mr. Y est reparti sans consultation médicale. Paracétamol 1 g + Voltarène 50 mg. Mr. Y est parti sans consultation médicale. Paracétamol 1 g Sirdalud 4 mg Voltaren 75 mg Amélioration des douleurs suite à l'antalgie administrée aux urgences. Prescription d'antalgiques et myorelaxants fixes pour 3 jours. Recommandé de reconsulter en cas de non-amélioration des douleurs malgré le traitement, explications données à Mme. Y par le médecin. Paralysie faciale droite idiopathique le 08.05.2019. • grade III selon House-Brackmann (le 10.05.2019). Paralysie. Paralysie de Bell grade 3 le 13.05.2019. • chez un Mr. Y immunosupprimé transplanté rénal (raison peu claire actuellement) suivi en Turquie. • sous Prednisolone 2.5 mg/j, Prograf 1 mg 2x/j. Paralysie du releveur du pied de l'extenseur de l'hallux G sur lésion du nerf péronier, nécrosectomie et résection des muscles releveurs des orteils de l'hallux sur statut post syndrome des loges de compartiment en juin 2017. Paralysie faciale périphérique. Paralysie faciale périphérique droit le 22.07.2018 • Prednisone 80 mg et Valtrex 1 g aux urgences • Laboratoire • Sérologie HSV, VZV, CMV, Borrelia, HIV, VDRL à pister chez MT Proposition : • Prednisone 80 mg 1x/j, Valtrex 1 g 3x/j, gouttes oculaires et vitamine A avec pansement oculaire de protection • Contrôle chez MT la semaine prochaine (avec sérologie à pister) • Reconsulter en cas de péjoration clinique Paralysie faciale périphérique droite (paralysie de Bell) • House Brackmann grade III Paralysie faciale périphérique gauche. DD: paralysie de Bell, Lyme. Paralysie faciale périphérique gauche d'origine idiopathique (phénomène de Bell) avec atteinte sensitive subjective du 5ème nerf crânien gauche le 26.08.2013. Paralysie faciale périphérique gauche le 05.05.2019. DD: paralysie de Bell. Paralysie faciale périphérique sur neuroborréliose Paralysie faciale périphérique sur neuroborréliose : • 1ère sérologie de Lyme positive à l'Elisa et confirmée au WB : IgM pour B. garinii • Ponction lombaire élective le 02.05.2019 (Dr. X), sous Méopa : liquide limpide et incolore, 19 éléments (prédominance mono-lymphocytaire), pas d'érythrocytes, pas de protéino ni glycorachie ; sérologie de borréliose dans le LCR : indice neuroborréliose IgG positif Paralysie faciale périphérique sur neuroborréliose (dc sérologique et sur LCR) : • sous traitement de Rocéphine (100 mg/kg/j aux 24 h durant 14 j) depuis le 03.05, VVP gauche en place Paramètres cholestatiques augmentés d'origine indéterminée le 06.03.2018 DD médicamenteux (Dafalgan), cholédocholithiase • PA 367 U/l, gGT 572 U/l Paramètres hépatiques et cholestase stable. Suite de prise en charge le 06.05.2019 chez le médecin traitant. Paranoïa Paranoïa. Paraparésie spastique familiale. Paraphimosis. Paraphimosis le 02.05.2019 Paraplégie accidentelle depuis 2002. • syndrome sensitivo-moteur en dessous de D5. Paraplégie ASIA C (L1-L5) sur abcès lombaire L1-L5 avec fracture du plateau supérieur de L5 et abcès épidural post-spondylodèse L4-L5 le 14.09.2017 avec: • ENMG du 18.10.2017 et du 07.11.2017: examen compatible avec une lésion de la queue de cheval à nette prédominance gauche stable. Du côté droit, l'atteinte est plutôt de type myélinique alors qu'à gauche la myographie montre des signes d'une lésion axonale. Spondylolisthésis dégénératif de L4-L5 de grade 1 avec récidive de kystes synoviaux bilatéraux + hernie discale L4-5 médiane luxée vers le haut. Kystes synoviaux L4-L5 bilatéraux avec s/p décompression L4-L5 en cross-over par la gauche et ablation des kystes ddc le 09.12.2015 sans insertion de matériel selon le protocole opératoire. Mélanome du bras droit Paraplégie complète au niveau sensitif L2 et moteur L1 à droite, niveau sensitivo-moteur D11 à gauche avec zone de préservation partielle motrice de L2 des deux côtés, sensitive au niveau L3 à droite et D12 à gauche après lésion destructrice suite à un tir de fusil de chasse dans la zone lombaire en novembre 2009 (suivie par Dr. X) • pas d'anticoagulation prophylactique à domicile, utilisation de bottes antithrombotiques Intestin neurogène avec évacuation manuelle des selles Vessie neurogène, avec sonde sus-pubienne à demeure Cystocèle et hystérocèle stade 2-3 Dolicho-côlon à prédominance sigmoïdienne Gastrite chronique avec hernie hiatale (OGD septembre 2014) Obésité stade 2 Troubles neuro-cognitifs modérés, d'origine indéterminée Cardiopathie valvulaire mitrale avec • Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/3), d'origine dégénérative. SOR de l'IM à 0,18 cm². • FEVG à 68 % Multiples infections pulmonaires en 2017 et 2018 • Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/3), d'origine dégénérative. SOR de l'IM à 0,18 cm². • FEVG à 68 % Pesanteur rectale et vaginale depuis 1-2 ans Connue pour des ECA à répétition avec somnolence intermittente et des troubles neurocognitifs modérés, d'origine indéterminée Paraplégie des jambes depuis août 2016 suite à un accident en parapente. Paraplégie le 27.04.2019 sur compression médullaire au niveau D9-D10 hautement probable avec constipation et globe urinaire. Paraplégie sensitivo-motrice incomplète inférieure de TH4 puis TH5 après dissection aortique type A. Status post-changement TAAA du Frozen-Elephant-Trunks jusqu'en dessus des artères rénales, bypass TC + SMA, réimplantation de 5 artères intercostales (2 L12, 1 TH11, 2 TH8) le 03.08.2018. Réhabilitation à Nottwil du 20.08.2018 au 15.02.2019. Troubles neurogènes de la fonction de la vessie, du côlon et cardio-vasculaires, ainsi que sexuels. Vessie asensitive incontractile avec capacité de 500 ml, auto-cathétérisation intermittente. Paraplégie sur infiltration tumorale. Parasites et sang dans les selles en cours. US abdomen complet le 14.05.2019 examen dans la norme. Parents vérifient si effectivement morsure dans une des balles. Si signes de détresse respiratoire, toux, fièvre, consultation aux urgences. Parésie atrophiante de la main gauche avec dysesthésies dans le territoire cubital en 2017. Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool, syndrome de dépendance en 2013. Probable épisode dépressif moyen en 2013. Pneumonie abcédante du lobe supérieur gauche sur possible actinomycose, le 02.06.2011. Parésie de l'abducens de l'OD d'origine probablement ischémique. Colique néphrétique gauche à répétition. Intervention pour strabisme de l'œil droit. Parésie de l'hémiface gauche. Parésie de membres supérieurs et inférieurs distale symétrique, d'origine indéterminée, DD : para-infectieuse, affection neurologique. Parésie des MS. Parésie et paresthésie facio-brachio-crurale gauche d'origine indéterminée, DD fonctionnel le 18.05.2019. NIHSS initial à 7 pts le 18.05.2019. NIHSS à 3 pts le 20.05.2019. Parésie faciale. Parésie faciale. Parésie faciale. Parésie faciale. Parésie faciale. Parésie faciale gauche (AVC sous-cortical droit au scanner du 08.05.2019). Cholangite le 24.03.2019 avec hémocultures positives pour E. coli. Parésie faciale périphérique à droite (2ème épisode). Parésies faciale. Parésies muscle deltoïde G. DD : atteinte du nerf supra-scapulaire G sur status post crâniotomie et extraction d'un méningiome angiomateux grade I temporo-médial D le 12.10.2018. Paresthésie. Paresthésie. Paresthésie constante de la pulpe du pouce gauche avec : • Paresthésie fluctuante en face palmaire de la phalange distale de l'index gauche. • Pas de déficit moteur. • Diagnostic différentiel : syndrome du tunnel carpien débutant, pincement d'un nerf périphérique. Paresthésie de la pulpe du pouce gauche. Paresthésie du bras gauche. Paresthésie du bras gauche sur compression mécanique le 14.05.2019. Paresthésie du membre supérieur gauche. Paresthésie fronto-pariétale le 17.05.2019. Paresthésies. Paresthésies. Paresthésies de la peau du tronc d'origine indéterminée. DD : maladie des petites fibres. Paresthésies des mains. Paresthésies des 4 membres d'origine indéterminée le 31.05.2019. Paresthésies d'origine indéterminée. Paresthésies d'origine indéterminée le 15.05.2019. Paresthésies et fourmillements en aggravation au niveau des deux MS sur : • hémangiome agressif D1, stable sans compression médullaire (IRM du 11.04.2019). • uncarthrose cervicale pluri-étagée, sans atteinte radiculaire. • syndrome du tunnel carpien. Paresthésies et fourmillements en aggravation au niveau des deux MS sur : • hémangiome agressif D1, stable sans compression médullaire (IRM du 11.04.2019). • uncarthrose cervicale pluri-étagée, sans atteinte radiculaire. • syndrome du tunnel carpien. Parkinsonisme secondaire sur démence vasculaire le 13.05.2019. Depuis 6 semaines sous Madopar 62,5 mg 3x/j puis 125 mg 3x 7j. Parotidectomie exofaciale gauche (le 08.11.2012 par Dr. X). Cystadénolymphome de la glande parotide droite traité par parotidectomie exofaciale droite le 15.02.2013 (Dr. X et Dr. X). Agranulocytose fébrile d'origine pulmonaire, le 05.04.2018. Pancytopénie sur chimiothérapie le 05.04.2018. Malnutrition protéino-énergétique grave le 10.04.2018. Escarre sacré grade II le 16.04.2018. Parotidite de la personne âgée. Syndrome inflammatoire au labo, avec leuco à 13.4 G/l et CRP à 68 mg/l. Parotidite droite le 05.10.2016. Parotidite gauche le 04.04.2018 (diagnostic différentiel : mastoïdite, sinusite maxillaire gauche). Inflammation du conduit auditif externe, d'origine traumatique, le 01.04.2018 (diagnostic différentiel : otite externe débutante). Parrage de la plaie : Dr. X, désinfection locale, anesthésie locale par Lidocaïne 1 %, pose de 2 points de suture 4.0 résorbables. Pas de complication post-geste. Parti car temps d'attente trop long. Explications données et conseil de venir si ne va pas mieux cette nuit ou demain matin. Pas connu (au 23.05.19). Pas connues. Pas d'ablation de fils car fils résorbables. Contrôle clinique chez le médecin de famille dans 10 jours. Rendez-vous à la consultation du Professeur X dans 6 semaines soit le 17.06.2019 à 13h30. Pas d'amélioration sous Euphrasia. Introduction traitement de Floxal 1 gtte par œil 4x/j. Frottis en cours. Reconsulter si péjoration (tuméfaction en péjoration, extension, état fébrile, diminution état général) ou persistance sous traitement. Pas d'antibioprophylaxie en raison de l'accouchement très rapide. Surveillance pédiatrique rapprochée. Pas d'antibiothérapie vu la situation globale après discussion avec la famille. Traitement symptomatique par Morphine et antipyrétiques. Pas d'anticoagulation en raison d'un probable saignement digestif à bas bruit et thrombopénie actuelle.Antalgie par Paracétamol et Morphine en réserve Drainage manuel et contention élastique Pas d'anti-inflammatoire (recommandation de l'hématologue du CHUV). Contrôle chez médecin traitant, si persistance reconsultation aux urgences. Pas d'argument pour abdomen chirurgical stix urinaire - leuco 0, nitrites 0 Traitement en réserve par algifor/dafalgan indication de reconsulter si évolution défavorable ou apparition d'autres signes. Pas d'argument pour cause chirurgical ou constipation à l'examen clinique Traitement symptomatique Reconsultation si péjoration de l'état général, signes d'appendicite expliqués. Pas d'argument pour des causes de vomissement neurologique (HTIC, méningite), abdomino-chirurgicales, urinaires. Mr. Y est en excellent état général et n'a pas re vomi depuis qu'il est aux urgences. Les cibles hydriques sont expliquées aux parents (450 cc/24 h + compensation des pertes) et les signes de déshydratation. En cas d'hydratation insuffisante ou d'apparition de nouveaux symptômes, ils consulteront à nouveau. Pas d'argument pour inhalation au vu de l'absence de fausse route et de signes de détresse respiratoire, pas de lésions intra-buccales. En l'absence de symptomatologie, pas d'examen complémentaire. Surveillance des selles par parents et reconsultent si douleurs laryngée, œsophage, abdominale. Pas d'argument pour purpura thrombocytopénique idiopathique, taux de plaquettes à 280 G/l. cf synthèse Pas d'argument pour réaliser une radiographie étant donnée l'absence de notion de traumatisme, palpation osseuse indolore, douleur uniquement lors de la palpation de la plaie à la paume de la main gauche. Pas d'argument pour une radiographie étant donné choc minime, mobilité indolore et conservée dans tous les plans, et charge complète possible. Pas d'arguments pour APLV vu l'âge mais à réévaluer selon évolution. Pas d'arguments pour atteintes osseuses infectieuses ou oncologiques au vu de l'évolution clinique et du laboratoire, ni pour atteintes neurologiques, digestives ou urinaires. Traitement symptomatique au besoin. Reconsultation si récidive des plaintes ou péjoration de l'état général. Pas d'arguments pour bronchite asthmatiforme à l'examen clinique. Traitement symptomatique Suivi des signes de SDR. Pas d'arguments pour coqueluche au vu de la toux sèche en consultation et l'absence d'apnée. Reconsultation au besoin. Pas d'arguments pour méningite au vu du statut clinique. Pas d'arguments pour abcès ORL au vu de l'absence de signes cliniques. Traitement symptomatique. Reconsultation selon red flags donnés. Pas d'arguments pour méningite ou encéphalite à l'examen clinique avec résolution complète des symptômes après Algifor. Traitement symptomatique. Reconsultation si péjoration de l'état général ou nouveaux symptômes. Pas d'atteinte de la gencive. Contrôle chez le dentiste dès que possible (sans urgences). Traitement antalgique algifor/dafalgan en réserve si douleurs. Pas d'atteinte de l'oculomotricité. Avis téléphonique ophtalmologue de garde Dr. X : mise en place d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2 x/jour pour 7 jours. Contrôle ophtalmologique d'ici 2-3 jours. Mr. Y sera suivi en ophtalmologie à Lausanne, où il travaille. Il est averti de prendre RDV de suite. Pas d'atteinte neurologique. Pas de troubles sphinctériens. Pas d'indication à refaire radiographie étant donné que cela ne changera pas la prise en charge. Traitement par ibuprofène 400 mg d'office durant 3 jours puis en réserve, traitement ponctuel par co-dafalgan en réserve pour événement aigu suite traumatisme. Indication de reconsulter si évolution défavorable ou apparition de nouveaux symptômes. Pas d'attitude active. Je propose à la patiente une prise en charge par un chiropraticien, par exemple Dr. X à Bulle. Je me tiens à disposition. Pas de bilan biologique. Rotation d'opiacés : switch Morphine pour Hydromorphone avec diminution dosage total, le 08.05.2019. Halopéridol et Lorazépam du 09-10.05.2019. Levopromazine du 10-11.05.2019. Mise en suspens radio-thérapie en accord avec son amie. Mise en suspens Torasémide dès le 09.05.2019. Pas de bilan radio réalisé. Arrêt de sport 1 semaine. Bandage élastique et application locale de AINS. Physiothérapie selon protocole (voire article revmed : prise en charge des lésions musculaires aiguës). Avis ortho (X). Pas de cassure courbe pondérale. Gazométrie capillaire : pH 7.50, pCO2 5.3, bic 33, excès de base 8, Na+ 140, K+ 4.2, Chlo 101, glucose 7.2, lactates 0.8. Gazométrie veineuse : pH 7.45, pCO2 6.3, bic 33, Na+ 138, K+ 4.5, Chlore 99, lactates 1.4, glucose 5.6. Laboratoire : pas de perturbation fonction rénale, pas de perturbation tests hépatiques, pas de troubles électrolytiques. Hospitalisation pour protocole pleurs, suivi prise alimentaire, objectiver les vomissements. Objectif : 150 ml/kg/j en 8 biberons. Perfusion de glucosalin 100/kg/j. Attitude : • spot urinaire à pister • US abdominale à organiser le 23.05. Pas de charge sur le MID jusqu'à 10 semaines postop puis charge partielle de 10-15 kg. Mobilisation à la hanche D avec 70° de flexion maximale, pas d'abduction/adduction active, et ce jusqu'à 3 mois postopératoires. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X le 03.06.2019 à 09h30. Pas de chimiothérapie ni de rendez-vous oncologique le 17.05.2019. Suivi oncologique par le Dr. X : • prochaine cure de chimiothérapie le 24.05.2019 • rendez-vous en consultation le 24.05.2019. Pas de comorbidité connue. Pas de conduite de véhicule jusqu'à la consultation avec le neurologue. Pas de contre-indication à l'injection de facteur 13 dans le compendium. Pas de contrôle nécessaire si bonne évolution. Pas de critères cliniques pour réaliser streptotest (uniquement 2 critères). Traitement symptomatique par algifor/dafalgan. Pas de CT car pas de modification de la prise en charge. Pas de déplacement secondaire de la fracture. Ciment en place. Diminution de la hauteur des vertèbres T12 par rapport au comparatif. Pas de fracture à la radiographie. Prescription d'antalgie par Dafalgan, Irfen, Tramadol. Attelle Aircast avec cannes avec charge possible sur le membre inférieur droit. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Pas de fracture au total body. Antalgie. Pas de fracture visualisée. Immobilisation dans attelle de pouce en attendant une attelle de pouce thermoformée en position neutre par ergo. Antalgie en R et glaçage. Contrôle chez le pédiatre à 10J. Pas de médicaments. Pas de mesure particulière de ma part. Je me tiens à disposition en fonction de l'évolution par rapport à la tendinite de De Quervain. Pas de nausées ni vomissements aux urgences. Pas de nouvel épisode de vomissement après prise de zofran. Stix urinaire sans argument pour diabète, infection. Prise de la diurèse et apparition de diarrhée durant la consultation. Pas de prélèvement urinaire effectué car balanite. Pas de prise en charge particulière. Pas de prise en charge particulière nécessaire. ATT : • antalgie simple Pas de radiographie du rachis en l'absence de douleur à la percussion/palpation du rachis et de la mobilité conservée sur les plans latéraux/axiaux et sur le plan antéro-postérieur lorsqu'elle est distraite. Amélioration de la symptomatologie après ibuprofène. Plâtre AB au vu de la motte de beurre. Pas de red flags (pas de malaise, pas de dyspnée d'effort, pas d'anamnèse familiale). Reconsultation et ECG si récidives. Pas de RX aujourd'hui car fracture consolidée sur les RX du 16.04.2019. Pas de Rx réalisé. Si péjoration reconsultation pour Rx. Traitement antalgique local et per os avec bandage élastique mis en place. Dispense des activités sportives : 5 jours max. Pas de signe de complication. Attitude : • Antibiothérapie prophylactique par Co-Amoxicilline 1 g 2 x/24 h pendant 5 jours.• Antalgie simple et application de glace. • Contrôle clinique chez médecin traitant à 48h. • Patient informé des critères de reconsultation. • Pas de signe de surinfection. • Surveillance. • Reconsultation au besoin. • Pas de signe d'infection. • Cicatrice propre, fils en place, évolution favorable. • Désinfection, réfection du pansement. • Contrôle clinique chez le médecin traitant le 10.05.2019 avec ablation des fils. • Pas de signe d'infection. • Pansement avec ichtolan 20%. • Bains de Dakin 3x/j. • Contrôle et suivi à la consultation du pied. • Explications données à la patiente par le médecin. • Pas de signe d'inflammation dans le laboratoire. • Les douleurs abdominales sont plutôt d'origine constipation et ont été traitées par un lavement. • Le patient a pu être partiellement soulagé. • De plus, on a effectué un sédiment urinaire qui a démontré une leucocytose et on a fait une culture. • Le patient a pu rentrer à la maison, avec un rendez-vous à la consultation ambulatoire des urgences pour vendredi 10.05.2019 à 10h afin de réévaluer les douleurs abdominales et discuter les résultats de la culture d'urine. • Pas de suivi nécessaire. • Pas de suture aux urgences. • RX thorax. • CT thorax : pas de PNX. • Pas de suture nécessaire. • Pas de suture nécessaire. • Désinfection, pansement. • RAD avec contrôle chez le médecin traitant si apparition de signes infectieux. • Contrôlera son vaccin anti-tétanique et le fera chez le médecin traitant si besoin. • Arrêt de travail. • Pas de traitement depuis le début de la grossesse contre avis du psychiatre, suivi hebdomadaire par Dr. X et Mme. Y. • Attitude pour le post-partum : La journée : enfant en chambre, et maman accompagnée à chaque soin et passage régulier en chambre. • La nuit le nouveau-né est en nurserie. • Placement d'office du nouveau-né aux Bosquets à la sortie de l'hôpital. • Pas de traitement intraveineux au vu de la situation globale palliative. • Pas de traitement. • Suivi TSH régulier par Dr. X. • TSH du 11.04.2019 : 0.580 mU/l. • Prochain contrôle au post-partum. • Pas de traitements sauf lors de l'arrivée du pollen. • Pas d'état fébrile, pas de frissons. • La patiente avait été instruite d'effectuer des douches malgré le Penrose. • Pas d'examen complémentaire lors du dernier contrôle. • Pas d'extériorisation observée. • Peu d'arguments pour VO (cf OGD 03.2019 négatif pour VO ou saignement). • Laboratoire pour suivi Hb. • Recherche de sang occulte. • Pas d'hématome du septum nasal. • Antiinflammatoire durant 3 jours. • Pas d'histoire d'otite récurrente. • Pas d'imagerie cérébrale. • Surveillance neurologique. • Pas d'indication à suturer la plaie. • Cicatrisation dirigée par jelonet, compresses et bandes après désinfection. • Administration du VAT. • Antalgie par Dafalgan. • Contrôle pour réfection du pansement à 48h chez le médecin traitant. • AT pour 7 jours. • Pas d'indication à une radiographie selon clinique. • Anti-inflammatoires. • Certificat de contre-indication au sport. • Pas d'indication au CT crâne selon Canadian CT head rules. • Surveillance neurologique. • Pas d'indication claire à ACO. • Discuter Holter. • Pas d'indication retenue pour le geste au vu de la symptomatologie d'évolution favorable et du risque interventionnel. • Retour à domicile le 02.05.2019. • Pas d'infos trouvées dans le DPI ou système, voir pour lettre avec secrétariat lundi. • Pas d'instabilité scapho-lunaire objectivée ce jour. • Nous organisons une IRM du poignet G et reverrons la patiente en septembre, à l'issue de cet examen. • Pas d'incapacité de travail. • Pas d'investigation souhaitée par la patiente. • Pas d'investigations d'emblée. • Pas d'investigations d'emblée. • Pas d'investigations (soins de confort). • Pas d'opération. • s/p convulsion fébrile sur infection urinaire à 7 mois de vie. • Pas faits aujourd'hui. • Pas vus par le chirurgien, car la maman n'a pas voulu attendre et le chirurgien n'est pas disponible. • Discussion par la suite avec Dr. X : continuer avec des bains de Kamillosan. • Passage en fibrillation auriculaire rapide le 12.05.2019. • Contexte de FA paroxystique et anémie. • Passage en lit B en attente UATO. • Projet de greffe rénale avec poursuite du suivi néphrologique avec dialyse 3x/semaine. • Minéralométrie à distance. • Organiser contrôle pneumologique à l'HFR après réhabilitation. • Fonction pulmonaire à organiser dès que son statut volémique est normal, avec réévaluation d'indication à la corticothérapie en fonction. • Pister le résultat de la biopsie sein gauche. • Poursuite de physiothérapie et ergothérapie. • Suivi psychologique. • Passage en TSV avec résolution spontanée à deux reprises. • Passagère accident de la voie publique sans gravité. • Passagère accident de la voie publique sans gravité, contusion avant-bras gauche. • Patch de Fentanyl, à changer toutes les 48h. • Patch de Fentanyl, passé de 100 à 125 microg/48 heures dès le 06.05.2019. • Réserve de Effentora 100 microg. • Patchs de Nicotinell. • Pathologie moléculaire. • Pathologie plasmocytaire monoclonale à IgA lambda avec suspicion non confirmée d'amyloïdose (2015). • Polyneuropathie longueur dépendante sensitivo-motrice à prédominance axonale (Dr. X, neurologue et Dr. Y, centre des douleurs). • IRC stade G3b/A2 selon KDIGO 2009 (connu). • 29.3 mL/min/1.73 m² selon CKD-EPI (05.03.2019). • Atrophie rénale corticale bilatérale et cicatrices corticales bilatérales d'origine incertaine (DD : amyloïdose). • Suivi par Dr. Z, néphrologue. • Cardiopathie hypertensive et rythmique. • Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom. • Syndrome métabolique avec. • Obésité de stade 1. • Hypertension artérielle traitée. • Maladie thromboembolique anticoagulée par Sintrom. • Embolies pulmonaires en 2007 et 2011. • Hyperplasie bénigne de la prostate. • Diverticulose sigmoïdienne. • Sténose lombaire à convexité gauche avec remaniement dégénératif étagé et sténose canalaire sévère en L4-L5 en janvier 2019. • Pathologie vestibulaire NDD. • Patient admis pour une coronarographie élective dans le contexte d'un bilan insuffisance cardiaque. • L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne monotronculaire avec sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. • La fraction d'éjection ventriculaire gauche est calculée à 40%. • Après discussion avec Mr. Y, nous procédons à une dilatation avec implantation de 2 stents actifs avec bon résultat final.Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 12 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 29.05.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'épisodes de douleurs oppressives rétro-sternales gauches depuis décembre 2018 et d'une dyspnée à l'effort. L'ergométrie réalisée revient cliniquement positive. L'examen invasif du jour montre une maladie coronarienne monotronculaire avec une sténose significative de l'artère circonflexe proximale (dominance gauche). La fraction d'éjection ventriculaire gauche est 65%. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie de l'artère circonflexe proximale avec implantation de 1 stent actif avec un bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 27.02.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'un angor corrélé à une ergométrie positive pour une ischémie myocardique. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne avec une sténose significative de l'artère coronaire droite proximale à moyenne. De plus, il y a une sténose <30% du TC avec une surface minimale à 7.6 cm2 à l'OCT. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie de l'artère coronaire droite proximale à moyenne avec implantation de 1 stent actif et bon résultat final. Nous proposons un traitement par Efient 10 mg 1-0-0 en monothérapie pour 6 mois (intolérance à l'Aspirine), après 6 mois changement pour Clopidogrel 75 mg par jour à vie ; le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 21.05.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'un angor instable et d'une décompensation cardiaque. L'examen invasif du jour démontre comme possible corrélat pour les DRS typiques deux resténoses focales au niveau de pontage saphène marginale 1, nouveau à la comparaison avec la dernière fois. On traite encore une fois le pontage avec un ballon élu pour les deux lésions focales avec un bon résultat final. Les DRS étaient reproduites durant la procédure. Un autre territoire ischémique possible est la CX distale. Pour améliorer la perfusion là, il faudrait dilater le tronc commun distal. Le traitement antiagrégant (Plavix) et anticoagulant (Eliquis) est poursuivi. L'Aspirine n'est pas ajoutée en raison d'une diathèse hémorragique. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 28.05.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'un angor instable. L'examen invasif du jour démontre une subocclusion de la RCx ostiale. Bon résultat après PCI de la bifurcation IVA/DA en 2008. Dysfonction VG systolique modérée. Après discussion avec Mr. Y, j'ai effectué une angioplastie de la RCx avec 1 stent actif et un bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 25.05.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'un bilan d'une insuffisance cardiaque avec FE réduite et troubles segmentaires diffus. L'examen invasif du jour démontre une coronaropathie très diffuse avec occlusion des 3 branches épicardiques périphériques. Dysfonction VG systolique. Une revascularisation chirurgicale semble compromise au vu de cette atteinte distale. Tentative de désobstruction de l'IVA distale, sans succès. Angioplastie de la subocclusion calcifiée du tiers moyen avec 2 stents actifs. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 01.06.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison de douleurs angineuses depuis quelques temps corrélées à une ergométrie positive. L'examen invasif du jour confirme tout à fait le diagnostic : il existe une sténose subocclusive de l'IVA moyenne. La fonction systolique du VG est normale. Après discussion avec Mr. Y, nous procédons à une dilatation avec mise en place d'un stent actif avec bon résultat final. Nous proposons un traitement avec l'Aspirine à vie, Efient 10 mg/d pour 6 mois, une statine et éventuellement un IEC. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 22.05.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une dyspnée en péjoration corrélée à une ergométrie électriquement positive. L'examen invasif du jour démontre comme corrélat pour le test d'effort pathologique et les symptômes une lésion significative au niveau de l'IVA distale. C'est une grande artère dominante. La CX ne montre pas de lésions révélant, il persiste à la comparaison de la dernière fois la sténose intermédiaire de la marginale qui n'est pas traitée interventionnellement. La fonction systolique est normale. Après discussion avec Mr. Y, j'ai procédé à une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure distale avec implantation de 2 stents actifs. Le résultat est bon. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 28.05.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une dyspnée en péjoration (NYHA II) corrélée à une ischémie inféro-apicale visualisée à la scintigraphie cardiaque de novembre 2018. L'examen invasif du jour démontre une sténose significative de l'ACD proximale comme corrélat de l'ischémie visualisée à la scintigraphie cardiaque. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est à 65%. Après discussion avec Mme. Y, nous avons procédé à une angioplastie de l'artère coronaire droite proximale avec implantation de 1 stent actif avec un bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est prescrit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 27.02.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une IRM cardiaque avec signes d'ischémie chez un patient connu pour une cardiopathie ischémique avec antécédents de stent actif sur l'IVA en 2008 et sur la Cx en 2017. L'examen invasif du jour démontre une progression de la lésion au niveau de la circonflexe proximale avec un excellent résultat à long terme après recanalisation de l'IVA pour STEMI. Légère dysfonction ventriculaire avec FEVG à 45%. Je procède comme prévu à la dilatation de la circonflexe avec mise en place d'un stent actif. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 22.05.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une recrudescence angineuse chez un patient avec maladie coronarienne connue. L'examen invasif du jour démontre une resténose serrée dans le segment IVA/DA traité en décembre 2017. Le reste du statut coronarien est inchangé. Sur cette base, nous avons effectué une angioplastie de l'IVA avec utilisation d'un ballon à élution de paclitaxel et un excellent résultat immédiat. Nous proposons la poursuite de l'Aspirine 100 mg 1x/j à vie et du Clopidogrel 75 mg 1x/j pour 3 mois, le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 23.02.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une recrudescence angineuse chez un patient connu pour une HTA, hérédité, hypercholestérolémie. L'examen invasif du jour démontre une nouvelle resténose dans le stent de la RCx moyenne (80%). Le reste du statut coronarien est virtuellement inchangé par rapport à 2018. Bonne fonction VG systolique. Comme convenu avec Dr. X, angioplastie de la resténose avec implantation d'un nouveau stent actif et un bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 25.05.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une recrudescence d'angor. L'examen invasif du jour démontre une récidive de in stent resténose au niveau de la circonflexe moyenne et une occlusion de la périphérie de la circonflexe. Je procède à une recanalisation de la périphérie de la circonflexe et à une PTCA avec mise en place d'un stent actif RCX moyenne. Le traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est poursuivi. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 29.05.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une recrudescence d'angor stable en parallèle d'une péjoration de la fonction systolique du VG chez un patient ayant comme antécédents un stenting de l'ACD, du tronc commun distal en 2011 et une angioplastie en 2012. L'examen invasif du jour démontre une resténose serrée de nouveau à l'intérieur du stent du tronc commun au niveau de la bifurcation bissectrice/Cx. De plus, la première marginale est chroniquement occluse. Le reste du statut coronarien est inchangé. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 25%. Après discussion avec Dr. X, nous avons procédé à une angioplastie du tronc commun, de la bissectrice et de la circonflexe avec mise en place d'un stent actif et kissing-balloon. Le résultat final est bon. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 11.04.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une sténose aortique serrée chez une patiente connue pour une insuffisance chronique, dialysée. L'examen invasif du jour démontre un excellent résultat à long terme après stenting de l'IVA proximale en 2013 pour NSTEMI. Nous retrouvons par contre une de novo sténose de l'IVA ostiale. PCI avec mise en place d'un stent actif. Discussion sur TAVI à prévoir prochainement. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine pour 1 mois et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé (Sintrom à vie). Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 29.05.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en raison d'une ETT de stress positive pour une ischémie cardiaque chez un patient connu pour un syndrome métabolique, une cardiopathie hypertensive et un S/p 2 AVC ischémiques en 2016. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne bitronculaire avec sténoses significatives de l'artère interventriculaire antérieure moyenne et de l'artère coronaire droite distale/PLA. Après discussion avec Dr. X, nous avons procédé à une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure moyenne avec implantation de 2 stents actifs et une angioplastie de l'ACD/PLA implantation de 1 stent actif, POT et fenestration de l'IVP. Bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine pour 1 mois et Plavix pour 12 mois est introduit. Nous réduisons la dose du Xarelto à 15 mg à 1x/j. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 21.05.2019. Patient admis pour une coronarographie élective en vue d'une recanalisation de la Cx post pontage. Comme prévu, complétion de la revascularisation par intervention percutanée au niveau de la marginale avec mise en place de deux stents actifs. Le pontage mammaire sur IVA montre un excellent résultat. La fonction systolique du VG a complètement récupéré. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 29.05.2019. Patient admis pour une re-coronarographie élective après stenting de l'IVA/DA et de la Cx/MA le 03.05.2019. L'examen invasif du jour démontre un excellent résultat dans les deux troncs gauches revascularisés il y a 3 semaines. Comme planifié, nous procédons à l'angioplastie de l'ACD avec 2 stents actifs et un bon résultat immédiat. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est poursuivi. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 25.04.2019. Patient admis pour une re-coronarographie élective dans le cadre d'un angor amélioré depuis PCI IVA-diagonale. Cet examen montre un excellent résultat à court terme d'une PCI/1 DES IVA proximale et moyenne et PCI/1 DES 1ère diagonale, avec kissing balloon final. J'ai complété la revascularisation en traitant 2 sténoses subtotales d'une branche bissectrice et de l'artère circonflexe proximale (PCI/1 DES pour chacune des 2 lésions). Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Nous stoppons l'IEC et le BBloquant. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications.Le patient rentre à domicile le 30.05.2019. Patient admis pour une re-coronarographie élective. Pour rappel, une lésion sur la Cx devait être traitée au début mai. Le stenting est repoussé en raison d'une instabilité hémodynamique. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne avec lésion monotronculaire. Absence de resténose aiguë de l'artère interventriculaire antérieure proximale au niveau du site d'implantation du stent actif, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation). Absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif. Lésion non significative de l'ostium de la première diagonale. Lésion non significative de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la seconde marginale (lésion de bifurcation). Sténose significative de l'artère coronaire droite proximale. La fraction d’éjection ventriculaire gauche est estimée à indéterminée. Après discussion avec Dr. X, j’ai procédé à un succès d'angioplastie de l'artère coronaire droite proximale. Implantation de 1 stent actif, avec bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. En raison de l'absence de FA depuis février 2019, le traitement Eliquis est stoppé. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 30.05.2019. Patient adressé au service d'ORL ce jour pour évacuation. Patient adressé aux urgences ophtalmologiques de l'HFR Fribourg. Patient amené en ambulances avec troubles de la conscience GCS 10/15 avec phases d'agitation, rendant impossible les soins malgré sédation par benzodiazépines. Décision d'anesthésie générale pour poursuite des soins (antibiothérapie après hémocultures, CT puis ponction lombaire). Épouse informée du déroulement des soins. Patient connu pour les comorbidités susmentionnées, présentant une artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade III avec nécroses des orteils du membre inférieur gauche. Une angiographie met en évidence une sténose importante de l'axe fémoro-poplité ainsi que des jambières pour lesquelles une angioplastie permet une recanalisation de l'artère fémorale superficielle, de la poplité et de l'artère tibiale antérieure. Un contrôle angiologique (16.04) met en évidence une sténose à 70% de la tibiale antérieure, cependant, en raison de la péjoration de la fonction rénale et de douleurs maîtrisées par l'antalgie, une recanalisation reportée sera effectuée dans un 2ème temps. Sur le plan rhumatologique, le patient présente d'importantes douleurs articulaires au niveau du poignet du membre supérieur droit avec un oedème important et un dosage d'acide urique élevé à 523 mcmol/l. Sur avis de nos collègues rhumatologues, nous instaurons un schéma dégressif de prednisone pour une durée de 6 jours, le 18.04.2019. Sur le plan urinaire, Mr. Y présente une macro-hématurie non-investiguée jusqu'à présent. Dans ce contexte, la Clexane est arrêtée, la double antiagrégation plaquettaire est continuée. Une sonde urinaire trois voies est posée par Dr. X avec évolution stable de la macro-hématurie et des caillots. Un ultrason des voies urinaires montre de multiples kystes rénaux à droite. Les rinçages sont stoppés le 27.04.2019. Dr. X propose de laisser la sonde vésicale en place jusqu'au 30.04.2019 puis de le recontacter suite à l'ablation de la sonde. Le patient est transféré en réadaptation à Tavel le 29.04.2019. Patient consulte pour prurit au niveau des yeux. Il repart après avoir reçu du Tobradex. Patient consultera l'ophtalmologue le lendemain. Patient consultera son médecin traitant ce jour. Patient contacté par Dr. X pour rendez-vous pour une annonce des résultats post-PCR gonocoques et Chlamydia réalisés le 06.05.2019. Au vu d'une PCR urinaire positive à Chlamydia : explication claire, loyale et appropriée concernant la nécessité : • que sa ou ses partenaires se fassent traiter. • Protection IST par préservatifs tant que sa partenaire n'a pas consulté et/ou n'est pas traitée. • Réalisation d'un bilan d'IST complémentaire par sérologie HIV 1 + 2, VHC et recherche de Treponema Pallidum, que le patient accepte et que nous réalisons ce jour même aux urgences (le patient n'ayant pas encore de médecin traitant). Ordonnance pour traitement du Chlamydia par Azithromycine 1 g per os en une prise. Le patient sera recontacté par Dr. X pour un rendez-vous pour annonces des résultats du bilan d'IST une fois celui-ci obtenu. Patient convoqué à la filière des urgences ambulatoires le 11.05.2019. Sédiment urinaire propre. Examen clinique dans la norme. Suivi pédiatre traitant. Patient de 10 ans en bonne santé habituelle, qui consulte les urgences pour une plaie prenant le derme, longitudinale, de 2.5 cm de grand axe, à 3 cm à gauche de la ligne médiane au niveau du tuber frontalis. Il a aussi eu un léger traumatisme crânien. Le status neurologique est sans anomalie. Nous avons donc procédé à une anesthésie, puis à la désinfection, champage et suture de la plaie par 5 points simples d'Ethilon 5.0 plus Stéristrips. Le jeune patient est à jour avec sa vaccination. Nous avons conseillé au patient et à ses parents une antalgie avec Dafalgan et de la glace. Lundi 27.05.2019 contrôle de la plaie chez son pédiatre traitant. Retrait des fils dans 5 jours chez le pédiatre. Patient de 21 ans, en BSH, métier : fiduciaire, cette nuit, il était à vélo avec des amis, quand il a glissé avec réception sur l'épaule G, en train de passer sur le rail du train. Avant de sortir, il était chez des amis, il avait bu 5 bières environ. Le patient a tapé la tête à G, traumatisme témoigné par un ami, pas de PC. Le patient présente AC et amnésie rétrograde. Antitétanos à jour. A : • perméabilité des voies aériennes supérieures, voies aériennes libres • pas de douleurs au niveau de la colonne cervicale, mais douleur nucale paracervicale G, on protège le rachis avec minerve rigide B : MV ubiquitaire sans bruits surajoutés, pas de douleurs costales au repos ou à la palpation. C : constantes vitales stables Cardiovasculaire : B1B2 bien frappés, réguliers, sans souffle audible; bassin stable; ecchymose de 2x2 cm au niveau cranien pariétal G; excoriation 2x1 cm au niveau de la hanche G, excoriation 8x4 cm flanc G; abdomen souple, dépressible, indolore, sans défense ou signes de péritonisme, sans organomégalie ou masse palpable, bruits intestinaux dans la norme. D : • GCS 15; pupilles iso-iso, normoréactivité bilatérale; force 5/5 et sensibilité intègre aux 4 membres, Mingazzini 1-2 sans déficit; E : exposition complète et déshabillage : douleurs clavicule G avec déformation, sans atteinte cutanée; à la palpation du rachis pas de douleurs, mais douleur nucale paracervicale G; mobilisation en flexion et extension des membres inférieurs complète sans douleur. MS : mobilisation complète sans douleur MS D; mobilisation complète avec douleur en regard de la clavicule pour MS G. Labo : FSS norm avec PLT 368, chimie avec gluc, Na, K, créa, urée norm, CK 685, alcool 0.91. RX cervical et clavicule G : fracture tiers moyen clavicule G, avec léger déplacement; avis radiologue Fribourg pour suspicion de fracture processus transversus T1 : pas de fracture, on enlève la minerve. On a l'avis de Dr. X, on garde le patient pour surveillance neurologique. On met en place temporairement un gilet orthopédique, à changer pendant la journée pour un rucksack. Nous faisons désinfection et pansement au niveau des 3 excoriations (tête, flanc, hanche). Ordonnance, arrêt de travail et feuille policlinique donnée au patient avant hospitalisation.Mr. Y, âgé de 21 ans, présente des douleurs persistantes à l'épaule droite après une chute de sa hauteur il y a 2 semaines. Mr. Y explique qu'après la chute, il avait des douleurs d'intensité légère, mais que depuis 4 jours, celles-ci sont devenues plus importantes. Une radiographie de l'épaule droite ne montre pas de fracture. Nous avons commencé une analgésie avec Brufen et Dafalgan au besoin. Si persistance des douleurs, Mr. Y est informé de se présenter à son médecin traitant pour organiser une IRM de l'épaule droite. Mr. Y, âgé de 23 ans et en bonne santé habituelle, consulte les urgences de Riaz le 12.05.2019 en raison de douleurs au pied gauche suite à un traumatisme survenu le 10.05.2019. Aux urgences, nous réalisons une radiographie du 1er rayon qui ne montre pas de fracture. Nous discutons du cas avec le chef de clinique de garde des urgences, Dr. X, qui propose des chaussures Barrouk à but antalgique. Dans ce contexte et au vu d'un patient cliniquement rassuré, il rentre à domicile avec des cannes en réserve qu'il avait déjà à but antalgique uniquement, une antalgie simple et un contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Mr. Y, âgé de 23 ans, vient en contrôle 1 jour après un drainage d'abcès au niveau de la partie médiale inférieure du pectoral droit d'environ 7 mm, de bonne évolution. Rinçage au sérum bétadiné puis au sérum physiologique. Réfection du pansement. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 25.05.2019. Mr. Y, âgé de 28 ans et en bonne santé habituelle, consulte les urgences de Riaz le 25.05.2019 en raison d'une chute à vélo cet après-midi sur accident de la voie publique à 17h15. Aux urgences, nous administrons 75 mg de Voltaren en IV. Nous réalisons une radiographie de la colonne cervicale qui ne montre pas de fracture. Nous remplissons le formulaire de post-traumatisme crânien pour l'assurance accident et proposons du Sirdalud en réserve. La radiographie de l'épaule gauche montre une fracture de l'acromion non déplacée. Nous demandons un avis orthopédique au Dr. X qui propose une immobilisation par gilet orthopédique, une bonne antalgie et il le recontactera le 26.05.2019 pour lui communiquer la suite de la prise en charge. Nous réalisons un bilan biologique simple qui est normal. Sur le plan cutané, Mr. Y présente des dermo-abrasions des deux coudes en regard de l'olécrane sans limitation que nous désinfectons et pour lesquels nous appliquons un pansement simple. Dans ce contexte, il rentre à domicile. Nous lui proposons de rester à jeun jusqu'à l'appel téléphonique du Dr. X le 26.05.2019. Mr. Y, âgé de 28 ans et en BSH, est amené aux urgences suite à une chute d'environ 7 m (chute de son balcon) avec traumatisme crânien et abdominal. Selon l'hétéro-anamnèse, il aurait chuté sur une chaise métallique et s'est relevé puis a marché par la suite. Nous réalisons un examen clinique qui revient dans la norme. Le bilan biologique montre des CK à 263 U/l, des CK MB à 29, des troponines à 6, des leucocytes à 18.6, des enzymes hépatiques dans la norme et un sédiment urinaire sans érythrocytes. Le CT cérébral ne montre pas de saignement. Au niveau cérébral, nous relevons une fracture splint de C5 avec atteinte de l'arc postérieur. Au niveau thoracique, le radiologue de garde décrit un ductus arteriosus au niveau de la croix aortique et du tronc pulmonaire (DD reliquat fibreux). Au niveau de l'abdomen, la description radiologique est sans particularités. Mr. Y présente une plaie au niveau occipital droit avec 5 points simples (4.0). Sur avis orthopédique, nous transférons Mr. Y au HFR Fribourg pour suite de la prise en charge. Mr. Y, âgé de 29 ans, consulte les urgences de Riaz le 05.05.2019 en raison d'un état fébrile. Aux urgences, Mr. Y reçoit 75 mg de Voltaren en IV et une hydratation. Nous réalisons un bilan biologique qui montre une leucocytose à 16 G/l, une CRP à 10 mg/l. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer ni d'épanchement. L'ECG est sans particularité. Nous retenons un diagnostic de rhinopharyngite virale et Mr. Y rentre à domicile avec un traitement symptomatique et un arrêt de travail. Nous lui proposons de reconsulter en cas d'absence d'amélioration de la symptomatologie. Mr. Y, âgé de 30 ans, consulte à cause de douleurs dans le creux du genou droit, causées par des varices qu'il a depuis longtemps. Mr. Y ne montre pas de signes de thromboses ou d'aggravation. Il a un bilan échographique prévu demain et sera par la suite suivi par un angiologue de son choix. Mr. Y, âgé de 34 ans, présente des douleurs rétro-sternales depuis 4 jours. Pas d'argument pour une origine cardiaque, train de troponines négatif, ECG normal. Nous posons le diagnostic de reflux gastro-oesophagien, Mr. Y est soulagé immédiatement par Ulcar + douleurs épigastriques à la palpation. Retour à domicile avec traitement d'IPP pour 3 semaines. Mr. Y, âgé de 35 ans et connu pour des lombosciatalgies chroniques depuis 8 mois, est en phase aiguë depuis 4 jours. Mr. Y décrit une chute sur son lieu de travail en août 2018 sur une rampe avec réception sur les fesses. Depuis la chute, il a commencé à présenter des lombosciatalgies chroniques traitées par antalgie simple. Le 16.10.2018, il a bénéficié d'une infiltration épidurale de cortico-stéroïdes par voie inter-laminaire L4-L5 droite avec un bon résultat. Les douleurs ont repris il y a un mois, avec notamment deux épisodes d'une durée de 1-2 jours avec douleurs lancinantes de type électrique au niveau lombaire bas, avec irradiation dans la fesse droite et à la face postérieure de la cuisse droite. Les douleurs ne descendent pas en dessous du genou. Depuis le 21.04.2019, un nouvel épisode de douleurs, exacerbées, ne cédant pas à l'antalgie, avec diminution de la sensibilité et de la motricité ce jour, raison pour laquelle Mr. Y consulte aux urgences. Actuellement, douleurs évaluées à 7/10. Pas de perte des selles ni des urines. A noter que Mr. Y a bénéficié d'une IRM le 03.10.2018 ayant mis en évidence une discopathie dégénérative multi-étagée, prédominant en L5-S1, associée à une arthrose inter-facettaire à prédominance basse et en L4-L5 ainsi qu'à une protrusion médio-bilatérale L4-L5, L5-S1 avec discrets signes de conflits, L5 droit mis à l'étroit. Mr. Y a consulté Dr. X, neurochirurgien, en février 2019 qui retient une contusion de la fesse droite (DD déchirure musculaire) avec des douleurs qui semblent être dues à un problème local dans la fesse plutôt qu'à des douleurs en lien avec un problème radiculaire. Mr. Y a un rendez-vous prévu à la policlinique de rhumatologie du CHUV le 16.05.2019. Il est en arrêt maladie depuis 8 mois. A l'examen clinique d'entrée, le Lasègue est positif à 20° à droite, positif à 15° à gauche. Présence de douleurs à la palpation de la colonne lombaire au niveau de L4-L5-S1. Le statut neurologique est dans la norme hormis une sensibilité grossière diminuée à droite, face interne de la cuisse et de la jambe. Au toucher rectal, le tonus sphinctérien est conservé, de même que la sensibilité. Mr. Y bénéficie d'une antalgie par Tramal 50 mg aux urgences, puis un traitement d'Oxycontin 5 mg - 2 x/jour est débuté, associé à de l'Oxynorm en réserve. Le laboratoire montre une valeur de créatinine à 98 umol/l, avec une légère hypokaliémie à 3.3 mmol/l pour laquelle une substitution est introduite durant 2 jours. Mr. Y est hospitalisé en médecine pour gestion de l'antalgie. Au vu de l'absence de déficit moteur, une nouvelle imagerie n'est pas effectuée. Le 25.04.2019, Mr. Y présente un épisode de sensation vertigineuse après s'être relevé de la position assise, avec voile noir, sueurs et nausées. Pas de chute ni de perte de connaissance. Les paramètres restent dans la norme et Mr. Y récupère graduellement mais se décrit comme vaseux. Un ECG est effectué en raison d'une bradycardie, qui montre un rythme sinusal sans BAV. Le statut est sans particularité. Nous mettons ce malaise sur le compte de l'Oxycontin et l'arrêtons au profit du Tramal. Par la suite, Mr. Y ne présente pas de récidive de malaise et décrit une amélioration clinique. Durant le séjour, on note également la disparition du déficit sensitif mis en évidence à l'admission. Le patient décrit uniquement une douleur résiduelle paravertébrale droite avec irradiation dans la fesse, mais en amélioration. Mr. Y regagne son domicile le 28.04.2019, avec poursuite de la physiothérapie en ambulatoire. Comme prévu, il sera vu à la consultation de rhumatologie du CHUV le 16.05.2019 pour suite de prise en charge spécialisée. • Patient de 41 ans, en bonne santé habituelle, qui ce soir a fait une chute accidentelle au bord du lac, a glissé d'environ 6 m, réception sur la cheville droite et une déformation, pas de traumatisme crânien ni autres plaintes. Pas d'autres plaintes à la consultation. • Patient de 46 ans qui consulte les urgences de Riaz le 10.05.2019 pour des maux de gorge avec toux. Aux urgences, nous n'avons pas de critère pour la réalisation d'un Strepto-test. Nous décidons de prescrire un traitement symptomatique par Dafalgan, Brufen 400 mg, Triofan rhume et Tyroqualine et conseillons au patient de consulter à nouveau si son état de santé se péjore ou si les symptômes ne s'atténuent pas dans les 7 jours. Dans ce contexte et au vu d'un patient cliniquement rassurant, il rentre à domicile. • Patient de 47 ans admis pour une coronarographie élective dans le cadre de douleurs thoraciques avec palpitations et dyspnée à l'effort chez un patient récemment diagnostiqué avec une FA paroxystique. La coronarographie du 1.05.2019 montre une maladie coronarienne de 1 vaisseau sous forme d'une sténose focale de 70-80 % de l'IVA proximale, traitée par un stenting direct (1 DES) avec un bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Au vu d'un rythme sinusal suite à l'introduction de la Cordarone, l'absence de dilatation de l'oreillette à l'échocardiographie et de la double antiagrégation chez un patient à faible risque cardio-embolique, nous stoppons l'Eliquis. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X pour discuter de la suite de la prise en charge de la FA paroxystique, d'étiologie plurifactorielle. Le traitement par Beloc-Zok est également stoppé. Un avis rythmologique sera demandé au Prof. X. Le profil tensionnel du patient est en amélioration depuis l'instauration du traitement d'amlodipine sans atteinte des cibles. Nous remplaçons le traitement par de l'Exforge. Le patient va poursuivre les auto-contrôles à domicile. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 2.05.2019. • Patient de 47 ans connu pour un trouble anxieux sous Paroxétine qui consulte les urgences de Riaz le 25.05.2019 en raison d'une sensation de surmenage. Aux urgences, nous demandons un avis au psychiatre de garde (Dr. X), qui évalue le patient et propose une prise en charge ambulatoire spécialisée, raison pour laquelle nous donnons le numéro du RFSM. Au vu d'une absence de risque immédiat de suicidalité, il n'y a pas d'indication à une hospitalisation en PLAFA selon le psychiatre. Dans l'immédiat, poursuite de la Paroxétine à 10 mg et poursuite du Temesta 1 mg en réserve. Dans ce contexte et au vu d'un patient cliniquement rassurant, il rentre à domicile avec une ordonnance et un arrêt de travail et une suite de prise en charge à organiser par lui-même avec un spécialiste en ambulatoire. Nous lui proposons de reconsulter les urgences en cas de péjoration importante de la situation à domicile dans les prochains jours. • Patient de 49 ans admis pour une coronarographie élective suite à une ergométrie positive. La coronarographie du 2.05.2019 montre une maladie coronarienne tritronculaire avec une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne traitée par stents actifs. À noter une resténose intermédiaire de l'artère circonflexe moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif, englobant l'origine de la seconde marginale (lésion de bifurcation), fonctionnellement non significative avec un FFR à 0,82. Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale avec un pontage mammaire droite pédiculée CD III perméable. La FEVG est conservée. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 3.05.2019. • Patient de 49 ans adressé par son médecin traitant pour un angor depuis le 12.05.2019, initialement à l'effort. Par la suite, le patient décrit une nette péjoration et apparition de DRS typiques au repos le 13.05.2019 durant la nuit. Au vu de la récidive de douleur au moindre effort spontanément résolutive au repos et cédant au bout de 10 secondes, il consulte le médecin traitant qui nous l'adresse pour une coronarographie. La coronarographie du 15.05.2019 montre une maladie coronarienne de 1 vaisseau sous forme d'une sténose longue subtotale de l'IVA proximale, traitée par PCI/2 stents actifs avec un bon résultat final. Comme facteur de risque principal, nous retenons l'hypercholestérolémie familiale du patient. Compte tenu de la mauvaise tolérance de l'Atorvastatine avec une polymyalgie et de l'importance d'un traitement hypolipidémiant, nous proposons un essai avec de la Rosuvastatine 10 mg. En cas de mauvaise tolérance, nous effectuerons une demande de prise en charge d'un traitement par inhibiteurs de la PCSK9. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès du Dr. X. Une ergométrie sera organisée dans 6 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 16.05.2019. • Patient de 49 ans adressé par son médecin traitant pour un angor depuis le 12.05.2019, initialement à l'effort. Par la suite, le patient décrit une nette péjoration et apparition de DRS typiques au repos le 13.05.2019 durant la nuit. Au vu de la récidive de douleur au moindre effort spontanément résolutive au repos et cédant au bout de 10 secondes, il consulte le médecin traitant qui nous l'adresse pour une coronarographie. La coronarographie du 15.05.2019 montre une maladie coronarienne de 1 vaisseau sous forme d'une sténose longue subtotale de l'IVA proximale, traitée par PCI/2 stents actifs avec un bon résultat final. Comme facteur de risque principal, nous retenons l'hypercholestérolémie familiale du patient. Compte tenu de la mauvaise tolérance de l'Atorvastatine avec une polymyalgie et de l'importance d'un traitement hypolipidémiant, nous proposons un essai avec de la Rosuvastatine 10 mg. En cas de mauvaise tolérance, nous effectuerons une demande de prise en charge d'un traitement par inhibiteurs de la PCSK9. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès du Dr. X. Une ergométrie sera organisée dans 6 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 16.05.2019. • Patient de 49 ans adressé par son psychiatre, le Dr. X, pour des investigations dans le cadre de troubles neuro-cognitifs évoluant depuis le début de l'année 2019. Mr. Y dit avoir perdu la capacité de travailler car il perdait le fil dans ses tâches. Il a été mis à l'arrêt pour un Burnout dans ce contexte. Il dit avoir perdu en capacité de concentration et décrit une fatigabilité nouvelle. Il dit également que sa femme est de plus en plus irritée par les oublis fréquents. Le test de MoCA se révèle pathologique à 23/30 points avec des troubles mnésiques au premier plan (0 sur 5 au test de rappel des 5 mots) et le test de la montre est pathologique à 2/7 points. Une IRM effectuée en mars 2019 montre une atrophie cortico-sous-corticale à prédominance fronto-temporale. Après consultation de nos collègues neurologues, une IRM est répétée lors de l'hospitalisation et retrouve l'atrophie cortico-sous-corticale présente en mars. Les investigations sont complétées par un EEG, un bilan biologique et une ponction lombaire à la recherche notamment de h-Tau, phospho-Tau, beta-amyloïde et anticorps antineuronaux, dont les résultats sont en cours et vous parviendront par la suite. Lors de l'hospitalisation, un bilan neuropsychologique est réalisé et une copie des résultats vous sera adressée. Après discussion avec le Dr. X (neurologue), le patient et sa compagne, Mr. Y peut rentrer à domicile le 17.05.2019. Un rendez-vous à la consultation du Dr. X est agendé le 11.06.2019 à 9h pour discussion des résultats finaux. Notre infirmière de liaison prendra contact avec le patient afin d'organiser la suite de prise en charge à domicile (soins à domicile, accueil de jour) en raison de la reprise de travail de sa compagne. Mr. Y, 49 ans, en bonne santé habituelle, est envoyé par son médecin traitant dans un contexte d'état fébrile et frissons solennels évoluant depuis 3 jours, associés à des céphalées frontales et une odynophagie. Le bilan biologique aux urgences montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 168 mg/l sans leucocytose associée. Une ponction lombaire est effectuée et exclut une méningite bactérienne. Le patient est hospitalisé dans notre service pour investiguer cet état fébrile après le début d'une antibiothérapie par Rocéphine IV. Le CT scanner du 16.05.2019 montre de multiples adénopathies à centres nécrotiques au niveau du médiastin et hilaire à droite. Au vu du tableau clinique et radiologique, nos infectiologues posent comme diagnostic le plus probable une tularémie pulmonaire. Une antibiothérapie par doxycycline est débutée du 16.05.2019 au 20.05.2019 avec de la gentamycine en IV dès le 19.05.2019, avec bonne réponse clinique. Les sérologies de tularémie reviennent toutefois négatives, mais cela n'infirme pas le diagnostic, les sérologies se positivant plusieurs semaines après l'infection. Le patient bénéficie également d'une biopsie du cornet moyen afin d'exclure une maladie inflammatoire. Il présente également des désaturations en position déclive asymptomatique d'origine indéterminée sans pouvoir exclure une implication de l'infection actuelle. Le patient sera reconvoqué en ambulatoire à distance pour des fonctions pulmonaires. Au vu de l'amélioration clinique, le patient peut quitter notre service le 22.05.2019. Il sera revu en ambulatoire pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 49 ans, est admis pour une coronarographie élective pour le traitement de la lésion restante au niveau de l'IVA proximale et de la 1ère diagonale. La coronarographie du 9.05.2019 montre une maladie coronarienne tri-tronculaire avec bon résultat post-angioplastie à court terme de la CD distale et de la CX proximale à moyenne. Nous avons procédé comme prévu à l'angioplastie de l'IVA proximale et de la 1ère diagonale avec bon résultat final sans thrombose ni dissection et flux TIMI 3 au niveau des 2 artères. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 12 mois est à poursuivre. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès du médecin traitant. Une ergométrie est à effectuer dans une année. Une réadaptation cardiaque est indiquée chez ce jeune patient, toutefois refusée lors du séjour. Nous vous laissons le soin de rediscuter la réadaptation avec le patient. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 10.05.2019. Mr. Y, 5 ans, en bonne santé habituelle, consulte les urgences de Riaz pour une plaie de la main droite souillée à l'huile. Aux urgences, nous réalisons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Le patient est vu par le Dr. X, orthopédiste de garde, qui réalise une exploration sous anesthésie locale avec rinçage abondant, désinfection et débridement de la plaie souillée à l'huile, avec une curette, et une fermeture cutanée simple non hermétique avec 3 points d'Ethilon 4.0. Un pansement avec tulle bétadiné, compresses et ouates est réalisé. Dans ce contexte, il rentre à domicile. Il sera vu pour un contrôle à 1 jour en policlinique d'orthopédie avec le Dr. X, médecin assistant. Mr. Y, 50 ans, est admis aux soins intensifs le 06.05.2019 en post-opératoire d'une panendoscopie avec résection trans-orale d'un papillome de la luette (Dr. X) pour surveillance respiratoire dans un contexte de SAOS non appareillé. L'évolution dans le service est simple, sans désaturation significative ni complication respiratoire ou hémorragique. L'antalgie est parfaitement contrôlée sous paracétamol. Une antibio-prophylaxie par Augmentin est à poursuivre pour 7 jours au total. Les profils glycémiques sont dans la norme. Au vu de l'évolution favorable, et d'entente avec le Dr. X, le patient rentre à domicile le 07.05.2019. Il sera revu pour contrôle ambulatoire à la consultation du Dr. X dans une dizaine de jours. Mr. Y, 50 ans, aux antécédents de cirrhose hépatique CHILD C sur alcoolisme et varices oesophagiennes avec hypertension portale, est hospitalisé à Marsens sous PLAFA depuis le 19/03/19 pour sevrage. Pour rappel, le patient a été initialement amené aux urgences de Riaz le 24.04.2019 en raison de deux épisodes de vomissements biliaires et alimentaires, une inappétence ainsi qu'un ralentissement psychomoteur. Devant la situation avancée, le patient est transféré en soins palliatifs à Meyriez. Au cours de ce séjour, il présente une évolution favorable avec diminution de la fatigue et une amélioration de son ralentissement psychomoteur. À la demande répétée du patient et devant l'évolution favorable, il est transféré à Marsens le 07.05.19. Cependant, il présente une détérioration rapide de son état général et est transféré aux urgences de Riaz, qui mettent en évidence une insuffisance rénale aiguë importante probablement d'origine hépato-rénale. La décision de soins de confort est prise et le patient est de nouveau transféré dans notre service de soins palliatifs. À l'entrée, nous retrouvons un patient grabataire avec un état de conscience diminué ne répondant que par oui ou par non avec une hypotension persistante malgré le remplissage. L'anamnèse est fortement limitée. Sur le plan du laboratoire, on note une péjoration d'une insuffisance rénale, une péjoration des troubles électrolytiques ainsi que de l'hyperbilirubinémie massive. De plus, on note une aggravation de l'anémie, à mettre fort probablement sur le plan d'une hémorragie digestive haute. Une hydratation est mise en place. Devant l'absence d'évolution positive, celle-ci est par la suite stoppée. L'état général de Mr. Y se dégrade rapidement des suites de son insuffisance hépatique et rénale, et dans le contexte global, nous renonçons à des investigations ou traitements médicaux ultérieurs. Mr. Y décède le 10.05.19. Sa curatrice est informée de la situation. Mr. Y, 50 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, est envoyé par son médecin traitant dans un contexte de baisse de l'état général associé à des douleurs costales droites post-opératoires. Mr. Y mentionne une inappétence et fatigue généralisée. Le bilan biologique au service des urgences met en évidence d'importants troubles électrolytiques et une alcoolémie mesurée à 1.76 pour mille. Le patient bénéficie d'un CT thoracique qui met en évidence des fractures au niveau costal droit (6 à 9) en regard du matériel d'ostéosynthèse avec un épanchement pleural droit. Le patient est hospitalisé en médecine interne pour suite de la prise en charge.Au niveau chirurgical, nos collègues de chirurgie thoracique retiennent un traitement conservateur. Mr. Y bénéficie de séances de physiothérapie respiratoire et d'une antalgie adaptée. Sur le plan électrolytique, le patient bénéficie de multiples substitutions. Une évaluation nutritionnelle est effectuée par les diététiciennes et le patient peut, à la sortie, couvrir ses besoins nutritifs. Durant l'hospitalisation, Mr. Y présente un état fébrile avec toux et crachats nouveaux. Nous postulons une pneumonie en regard de la radiographie de thorax et débutons une antibiothérapie. Nous effectuons des hémocultures qui reviennent stériles. Le suivi clinique et biologique est favorable. Au niveau social, concernant la consommation d'alcool problématique, plusieurs discussions ont lieu en présence de la famille. Le patient ne souhaite pas de prise en charge. Une consultation d'addictologie est effectuée et plusieurs propositions de suivi sont présentées au patient. Un bilan biologique met en évidence une stéatose hépatique. Un retour à domicile est décidé avec la mise en place d'une aide à domicile pour suivi clinique et organisation d'un semainier pour garantir une prise de médicaments adéquate. Le suivi clinique est favorable, les douleurs sont bien contrôlées par analgésie. Mr. Y peut rentrer à domicile le 27.05.2019. Patient de 50 ans hospitalisé depuis le 12.03.2019 dans le but d'une prise en charge de sa dépendance à l'alcool. Après un bref séjour en milieu somatique, il est décidé d'un transfert en milieu psychiatrique puis finalement en milieu de soins palliatifs. Le patient est par la suite à nouveau adressé en milieu psychiatrique, et ce jour aux urgences de l'hôpital de Riaz en raison d'un maintien impossible en milieu psychiatrique. Au statut clinique, on retrouve un patient encéphalopathe, asthénique, hypotendu à 74 mmHg, en anurie depuis le 08.05.2019, sans globe, avec un ictère cutanéo-muqueux généralisé, sans autres symptômes associés. Sur le plan du laboratoire, on note une péjoration d'une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 06.05.2019 devenant AKIN 3 ce jour avec une créatinémie à 513 umol/l. Sur le plan hydro-électrique, on note une péjoration d'une hyponatrémie hypoosmolaire à 125 mmol avec une hyperkaliémie à 5.2 mmol/l. Sur le plan hépatique, on relève une augmentation de la bilirubine totale à 654 umol/l malgré le reste du bilan hépatique restant stable par rapport aux précédents. Enfin sur le plan hématologique, on note une péjoration d'une anémie macrocytaire normochrome à 74 g/l, sans syndrome inflammatoire associé. Dans ces conditions et après contact avec Mme. Y (curatrice du patient), le Dr. X (psychiatre de Marsens) et étude du dossier, il nous paraît adéquat de mettre en place des limitations thérapeutiques et d'adresser à nouveau le patient en milieu de soins palliatifs. En effet, le patient a pu bénéficier de 11 hospitalisations sous PAFA pour sevrage d'alcool sans succès avec une consommation encore continue actuellement. L'état somatique actuel nécessiterait une prise en charge lourde alors qu'une greffe hépatique, seule issue thérapeutique, n'est pas envisageable chez ce patient qui n'a jamais eu de projet de sevrage. Il est donc selon nous le moment de limiter le traitement à visée thérapeutique (Duphalac, diurétiques, perfusions). À cet effet, aucun traitement n'a été initié aux urgences de Riaz. Nous laissons néanmoins à nos collègues des soins palliatifs de Meyriez le choix de définir ce traitement. Le patient a été informé de cette décision mais n'a pas la capacité de discernement sur les éléments thérapeutiques de sa prise en charge. Il est nécessaire de mettre ce patient sans proche sous la protection du juge de paix pour les décisions futures. Mme. Y, curatrice, a été informée de la nécessité de cette démarche. Mr. Y est transféré le 08.05.2019 à l'HFR Meyriez. Patient de 53 ans admis pour une coronarographie élective suite à un STEMI subaigu il y a 3 semaines. La coronarographie du 3.05.2019 confirme une occlusion de l'IVA ostiale et une sténose 75% d'une grosse branche marginale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 40%. Nous avons procédé à une recanalisation de l'artère interventriculaire antérieure ostiale avec implantation de 1 stent actif avec bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 4.05.2019. Patient de 53 ans connu pour les antécédents susmentionnés qui consulte aux urgences dans un contexte de douleurs thoraciques atypiques avec irradiations au niveau des deux bras, sans éléments déclencheurs particuliers et sans autres symptômes cardiaques ou respiratoires associés. Le bilan biologique aux urgences ainsi que l'électrocardiogramme excluent un syndrome coronarien aigu. Au vu des facteurs de risques cardiovasculaires et des antécédents cardiologiques, le patient est hospitalisé dans notre service pour la réalisation d'une coronarographie. La coronarographie du 09.05.2019 montre une bonne perméabilité des stents. Les suites du geste sont simples et le patient peut rentrer à domicile le 09.05.2019. Patient de 54 ans en BSH se présente aux urgences de Tavel le 17.05 pour une hypoesthésie de l'hémicorps et hémiface gauche survenue brutalement et par crises avec épisodes asymptomatiques. Le patient ne présente pas d'autres plaintes. Un CT cérébral permet d'exclure un saignement. Selon l'avis neurologique, le patient est transféré à Fribourg et hospitalisé pour investigations. Une IRM cérébrale montre une lésion ischémique dans la région du thalamus sans transformation hémorragique. Le patient reçoit une dose unique d'Aspégic intraveineuse avec passage en thérapie orale. Selon l'avis neurologique, le traitement est remplacé par une thérapie de Clopidogrel. Une dyslipidémie est diagnostiquée et un traitement par statine est instauré. Le patient bénéficie d'un ECG-Holter sur 24h durant l'hospitalisation, dont l'analyse est en cours à sa sortie. Le patient bénéficie d'une échographie cardiaque qui met en évidence comme seule pathologie un petit foramen ovale persistant. Selon l'avis neurologique, avec un score de ROPE de 5, l'indication à la fermeture du FOP est discutable. Le cas sera discuté de manière interdisciplinaire. Un contrôle neuro-vasculaire à 3 mois a été organisé chez nos collègues de la neurologie. La symptomatologie régresse spontanément durant l'hospitalisation avec une légère persistance de fourmillement au niveau de la main gauche à la sortie. Une masse hypodense à hauteur du récessus pharyngien gauche est découverte fortuitement sur le CT cérébral du 17.05.2019. Une consultation ORL en ambulatoire est organisée pour investigations. Le patient peut rentrer à domicile le 22.05.2019. Patient de 55 ans admis pour une coronarographie élective en raison d'une double sténose subtotale de l'IVA proximale juste avant et juste après le segment stenté en 2006, traitées par PCI/ 1 DES pour chacune des 2 lésions avec un bon résultat final.Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès du Dr. X. Une ergométrie est à organiser dans 1 an. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 16.05.2019. Patient de 55 ans connu pour une hypertrophie bénigne de la prostate suivie par le Dr. X qui reconsulte la filière des urgences ambulatoires pour contrôle clinique. Nous avons regardé les résultats de l'urotube qui n'ont pas montré de germe. Le patient nous réfère une bonne évolution de la symptomatologie, il n'a pas eu de fièvre ni de frisson. Il nous réfère que la Dr. X a fait un urotube, mais qu'il ne connaît pas les résultats. Au vu de l'absence de germes dans les urines, mais la présence d'une sonde à demeure, nous conseillons au patient de continuer jusqu'à demain l'antibiotique (Ciprofloxacine). Pour rappel, à la consultation avec la Dr. X, un sédiment avait montré une leucocyturie et elle avait posé le diagnostic de prostatite avec la mise en place du traitement antibiotique. Par contre, le sédiment fait aux urgences, quelques heures après avoir commencé l'antibiothérapie, l'analyse des urines était sans anomalie. Le lundi matin 27.05.2019, le patient prendra contact avec la Dr. X pour les résultats de son urotube et avec le Dr. X pour un rendez-vous de contrôle et aussi pour évaluer s'il devrait poursuivre ou pas l'antibiothérapie. Le patient doit poursuivre le traitement par Tamsulosine, le Brufen s'il a des douleurs. Nous avons ajouté aussi une protection gastrique. Patient de 56 ans admis pour un angor instable. Le patient présente depuis plusieurs mois un angor crescendo motivant une consultation aux urgences. Sur place, il n'y a pas de modifications ECG ni de cinétique des troponines. La coronarographie du 8.05.2019 montre une maladie coronarienne de 3 vaisseaux. Nous avons procédé à une PCI/1 long DES de l'artère coronaire droite proximale et moyenne avec un bon résultat final. En cas de persistance d'angor résiduel, on pourrait traiter les sténoses restantes de l'artère circonflexe. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Un traitement bêta-bloquant est également introduit. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès de la Dr. X. Aux urgences, le patient présente des troubles électrolytiques que nous substituons, un contrôle est à prévoir début de semaine prochaine auprès du médecin traitant. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 9.05.2019. Patient de 56 ans, connu pour un mélanome malin multimétastatique ainsi qu'une greffe rénale sous Tacrolimus, est hospitalisé dans notre service de soins palliatifs dans un contexte d'asthénie et d'inappétence. Pour rappel, il avait été hospitalisé dans notre service pour une situation similaire du 03.04 au 19.04.19. Au cours de son séjour, il avait rapidement retrouvé un meilleur appétit, avait repris un peu de poids et d'énergie lui permettant de quitter l'hôpital. Il a par la suite vécu quelques jours chez sa sœur à Saint-Gall puis est retourné vivre chez son frère en raison de l'impossibilité pour lui de faire les marches menant à son appartement. Depuis lors, il présente une péjoration de sa fatigue habituelle et a drastiquement diminué ses apports caloriques. À son entrée, le patient rapporte un épuisement, des nausées lors des repas et une inappétence ainsi qu'une dyspnée au moindre déplacement mais pas au repos. Il ne se plaint pas de douleurs mais plutôt d'inconfort en lien avec sa scoliose. Il n'a pas de trouble du transit ni de trouble de l'humeur, il ne rapporte pas d'angoisse ou de peur. Il se plaint d'un ralentissement psycho-moteur avec difficultés à se concentrer et des pertes de mémoire à court terme. Ces observations sont confirmées par les proches qui observent une lente péjoration de son état général et des troubles cognitifs nouveaux. Mr. Y habite seul dans un lieu de vie accessible par escalier sans aide à domicile. Il est entouré de ses deux frères et de sa maman dans un home dans la région de Fribourg et d'une sœur dans la région de Saint-Gall. Il a essayé de retourner dans son appartement dernièrement mais a dû renoncer car il n'arrivait pas à monter les marches. Il travaillait comme électro-mécanicien. Il est divorcé et n'a jamais eu d'enfant. Au statut d'entrée, Mr. Y est collaborant, orienté dans les 4 modes mais présente un léger ralentissement psycho-moteur avec difficultés à exprimer certaines idées jusqu'au bout en perdant parfois le fil de sa pensée. Il est conscient de ces troubles. Il est cachectique, pâle avec un BMI à 14. Il présente un statut cardiovasculaire, abdominal dans la norme et des murmures vésiculaires normaux avec une légère hypoventilation basale gauche sans bruits surajoutés. Le statut neurologique est globalement conservé mis à part un déconditionnement avec une marche un peu déséquilibrée lors de plus longues distances. Il présente une tâche brunâtre sur le flanc gauche et des nodules cutanés probablement métastatiques (sur le crâne, sur l'abdomen, le cou). Mr. Y souhaite, dans la mesure du possible, réaliser une réadaptation palliative avec pour objectif d'améliorer sa qualité de vie en retrouvant de l'appétit, une prise de poids et de force pour permettre un retour à domicile. Il est conscient de l'évolution de sa maladie et de la possibilité de ne pas rentrer à la maison et de décéder. Il ne souhaite pas de réanimation, si soins intensifs, pas d'antibiotiques mais des traitements symptomatiques. Il a perdu 14 kilos depuis novembre 2018 et pèse actuellement 34 kg pour une taille de 160 cm. Il a perdu 4 kilos depuis sa dernière hospitalisation. Il passe plus de 50 % couché devant la télévision. Il n'a plus d'appétit et il n'a pas la force de faire des courses ni la force de cuisiner. Il se nourrit seulement avec des petites collations. Il a des douleurs principalement au niveau du dos et du flanc gauche, qui sont actuellement bien gérées sous morphine MST. Il se plaint de nausées sans vomissement. Sa fatigue est importante et l'empêche d'avoir des activités quotidiennes. Il présente une dyspnée à la mobilisation dans le contexte de déconditionnement et sur métastase pulmonaire. L'état général de Mr. Y se dégrade rapidement au cours de son hospitalisation. Il s'alimente de moins en moins et présente des états confusionnels aigus. Un traitement anxiolytique et morphinique est introduit. Le patient décède paisiblement le 15.05.19 entouré de sa famille. Patient de 56 ans hospitalisé pour investigations d'une hépatopathie avec masse détectée à une échographie de contrôle et confirmée lors d'une IRM. Le patient est connu pour une hépatopathie peu claire jamais investiguée. À son arrivée, il est stable et présente un statut sans particularité mis à part un abdomen globuleux suggestif d'une ascite peu volumineuse. Il bénéficie d'une ponction d'ascite qui révèle une hypertension portale sans cellules tumorales visibles. Nous réalisons un bilan cirrhose biologique avec dépistage des maladies métaboliques, infectieuses (hépatite C négative, B en cours) et inflammatoires (en cours). Une OGD est réalisée et retrouve des varices oesophagiennes de stade I à II sans signe rouge ne nécessitant pas de prophylaxie par bêta-bloquant. Concernant l'ascite, nous concluons probablement à une origine secondaire à l'hypertension portale et poursuivons le traitement par eplerenone. Nous vous proposons de l'adapter selon la clinique.Sur le plan oncologique, la biopsie hépatique est également réalisée. Son résultat sera pisté par son oncologue traitant le Dr. X. Le patient sera discuté au tumor board du 05.05 et il sera vu à la consultation du Dr. X pour le suivi oncologique. Une fois les investigations réalisées, le patient rentre à domicile le 30.05.19. • Patient de 58 ans, connu pour un cancer colorectal diagnostiqué en 2014 et traité par résection rectale avec résection du segment urétéral inférieur et chimiothérapie adjuvante, actuellement multi-métastatique (os, foie, poumons, prostate). Hospitalisé à Meyriez dans un contexte de soins palliatifs dans un contexte de progression tumorale. • Nous est envoyé par Meyriez pour une suspicion de TVP et une impossibilité d'effectuer un US sur site. Le patient se plaint de douleurs depuis 4h du matin constantes essentiellement au niveau du creux poplité D. Pas d'oppression thoraciques, pas de dyspnée. Pas d'incontinence urinaire ou fécale. Pas d'état fébrile, pas de frissons ressentis. • Patient de 58 ans, connu pour un diabète de type 2 non insulino dépendant et une hypertension artérielle traitée qui consulte aux urgences le 02.04.2019 pour des céphalées, une baisse de sensibilité et de force au niveau des membres supérieur et inférieur gauche et une dysarthrie la veille à 18h. Il décrit une apparition des symptômes progressifs avec de la peine à articuler et une sensation de manquer de force et de sensibilité dans le bras. • Le bilan radiologique met en évidence une hypodensité au niveau du Pons droit. Nous retenons comme diagnostic un AVC pontique droit et prenons l'avis du neurologue de garde, Dr. X. Nous organisons le transfert aux soins intensifs de Fribourg pour une surveillance rapprochée. Départ en ambulance. • Patient de 58 ans, connu pour un ulcère perforé en 2018 ainsi qu'une hypertrophie de la prostate sous Tamsulozine qui se présente au service des urgences le 16.05.2019 en raison de l'apparition brutale de vertiges, état fébrile, nausées et douleurs abdominales péri-ombilicales la veille. Il décrit également une toux, une dyspnée avec expectorations verdâtres depuis une semaine. Il ne rapporte aucun comptage ni voyage récent. Il n'y a pas de trouble du transit ni de plainte urinaire. • Au service des urgences, un bilan sanguin montre la présence d'un syndrome inflammatoire. Le bilan est complété par un CT abdominal en raison de douleurs à la palpation de l'hypochondre. Cet examen montre la présence d'un iléus paralytique ainsi qu'un foyer pulmonaire en base gauche, raison pour laquelle il est mis sous Rocéphine 2 g i.v. du 16.05 au 20.05.2019. Un ultrason abdominal met en évidence une vésicule biliaire alithiasique. Les douleurs abdominales s'améliorent rapidement, avec la reprise d'un transit le 17.05.2019. • L'évolution sur le plan respiratoire est favorable, permettant un relais de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1g 2x/jour dès le 20.05.2019. Une radiographie de contrôle effectuée le 20.05.2019 montre la persistance d'un épaississement bronchique diffus en base pulmonaire gauche, cependant d'évolution radiologique favorable. Le patient rentre à domicile le 22.05.2019. • Patient de 58 ans, connu pour une artériopathie hospitalisé en post opératoire d'une TEA de l'artère carotide droite avec patch d'élargissement le 27.05.2019. • L'intervention se fait sous bloc cervical majoré par une infiltration locale par les chirurgiens. Le patient ne présente aucune complication per-opératoire. Le statut neurologique est normal hormis une légère difficulté à mobiliser la langue à droite. • Patient de 58 ans qui consulte pour des douleurs costales en regard du bord inférieur de l'omoplate gauche sur traumatisme le 05.05.2019. • Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique qui est aligné. La radiographie du bassin de face ne montre pas de suspicion de fracture en regard de la crête iliaque. La radiographie du thorax ne montre pas d'épanchement pleural, pas de pneumothorax ni de fracture de côte au niveau des côtes 7-8 à gauche. Le sédiment urinaire montre 3-5 érythrocytes. • Nous discutons du cas avec le Dr. X, de médecine interne, qui au vu de l'examen clinique avec ces douleurs de la loge rénale gauche et un sédiment urinaire avec 3-5 érythrocytes, propose de revoir le patient à la filière des urgences ambulatoires le 06.05.2019 avec un contrôle clinique et réévaluer l'indication à effectuer un ultrason abdominal le 06.05.2019. De plus, suite au colloque de radiologie, les orthopédistes souhaitent que les radiographies du bassin soient revues avec le Dr. X, orthopédiste de garde. • Dans ce contexte et au vu d'un patient cliniquement rassurant, il rentre à domicile avec une antalgie simple et un contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 06.05.2019. • Patient de 59 ans, admis aux soins intensifs le 22.04.2019 pour une insuffisance respiratoire globale aiguë d'origine multifactorielle. • Le patient consulte initialement le service des urgences en raison d'une asthénie et d'une dyspnée à prédominance nocturne et progressive depuis une semaine, accompagnées d'oedèmes des membres inférieurs. • Le CT-scan thoracique retrouve la condensation dorso-basale droite déjà connue depuis 2015, sans infiltrat suspect. • L'insuffisance respiratoire est attribuée en premier lieu à une primo-infection à CMV avec syndrome d'hypoventilation-obésité sévère avec atélectases surajoutées décompensées dans un cadre fébrile sur une primo-infection à CMV. • Durant son séjour aux soins intensifs, nous débutons des séances de VNI diurnes et nocturnes progressivement espacées sur la journée. Après une évaluation par les pneumologues, nous initiions un appareillage nocturne compatible avec l'étage et en vue de le poursuivre au domicile. Le patient sera à adresser par la suite à son pneumologue traitant (Dr. X). • Les oedèmes des membres inférieurs (habituellement traités par Torasémide) nous incitent à rechercher une cause cardiaque à l'insuffisance respiratoire. L'échocardiographie transthoracique du 24.04.2019 montre une fonction cardiaque dans la norme. L'évolution est favorable sous diurétiques, oxygénothérapie et ventilation. • Un état fébrile le 25.04.2019 motive la réalisation d'hémocultures qui reviennent positives pour un S. epidermidis (une seule bouteille d'hémoculture sur 4). Un traitement de Vancomycine est réalisé durant 3 jours. • Le patient est transféré en médecine interne pour la suite de la prise en charge. Son état s'améliore avec toutefois nécessité d'oxygénothérapie diurne et VNI nocturne. L'oxygénothérapie diurne était en cours de sevrage le 02.05.2019 avec des saturations à 95% à l'air ambiant à l'HFR Fribourg. • Le patient sort de l'HFR Fribourg le 03.05.2019 et rentre avec une CPAP et un suivi avec la ligue pulmonaire. • Patient de 60 ans admis pour une coronarographie élective pour le contrôle post STEMI sur occlusion du tronc commun en 07.2018. • La coronarographie du 14.05.2019 montre une progression de la maladie coronarienne avec re-sténoses intrastent significatives de l'ostium de la Cx et de l'IVA moyenne. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Après discussion avec le Dr. X, nous avons procédé à une angioplastie de la bifurcation TC/IVA/Cx avec 2 ballons éluants (kissing-ballon) et direct stenting de l'IVA moyenne (1xDES) avec bon résultat final. • Le traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 9 mois est à poursuivre. Reste du traitement inchangé. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès du Dr. X avec une re-coronarographie dans 9 mois.Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre à domicile le 15.05.2019. Mr. Y, âgé de 61 ans, est admis en Stroke Unit monitorée le 06.05.2019 en raison d'un accident ischémique transitoire. Il présente le 06.05.2019 un épisode d'amaurose fugace de l'œil gauche d'une durée de 15 minutes, sans autre symptôme. Le CT-scan montre une plaque athéromateuse calcifiée de l'artère carotide interne gauche, à la jonction de l'artère ophtalmique à gauche, sans signe d'hémorragie intracrânienne ni d'argument en faveur d'un AVC constitué. Une charge en Aspirine est administrée puis Mr. Y est admis dans notre unité pour surveillance rythmique et neurologique. L'évolution est simple, sans récidive de déficit neurologique focal. La surveillance rythmique et hémodynamique est sans particularité. Le traitement antiagrégant plaquettaire par Aspirine en monothérapie est poursuivi. Le biologique étiologique montre une hémoglobine glyquée dans la norme. En raison d'une dyslipidémie connue, un traitement de statine est introduit en prévention secondaire. Un bilan lipidique de contrôle sera à prévoir auprès du médecin traitant pour adaptation du traitement hypolipémiant. Sur avis neurologique, nous complétons le bilan étiologique par une échocardiographie transthoracique et un bilan ophtalmologique. L'examen cardiaque montre une fonction ventriculaire systolique gauche conservée sans valvulopathie ni autres anomalies. Les collègues ophtalmologues ne retrouvent pas d'atteinte oculaire à l'examen du fond d'œil. Une IRM cérébrale n'est pas préconisée par les collègues neurologues mais sera à envisager en cas de récidive ou d'apparition de nouveaux symptômes. Après 24h de surveillance aux soins intensifs (Stroke Unit monitorée), Mr. Y rentre à domicile le 07.05.2019. Il est instruit de consulter les urgences en cas de récidive ou d'apparition de nouveaux symptômes. Mr. Y, âgé de 61 ans, est admis pour une coronarographie élective en raison d'une dyspnée en péjoration. La coronarographie du 03.05.2019 montre une maladie coronarienne tritronculaire avec épargne des segments distaux (anastomoses), bonne fonction VG systolique et artères mammaires de bons calibres. Au vu de ce résultat, nous avons discuté d'une éventuelle revascularisation chirurgicale. Au vu d'une mauvaise expérience familiale, Mr. Y préfère une angioplastie. De ce fait, nous entreprenons directement les deux branches épicardiaques gauches avec 4 stents actifs et un excellent résultat immédiat. Nous reconvoquerons Mr. Y dans 3-4 semaines pour angioplastie de l'ACD. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre à domicile le 04.05.2019. Mr. Y, âgé de 61 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance d'un BAV du 3ème degré. Mr. Y consulte pour une dyspnée et sensation d'oppression depuis 48 heures, sans syncope associée. Les enzymes cardiaques sont augmentées à 42 ng/l. La coronarographie (Dr. X) démontre une maladie tri-tronculaire pour laquelle une IRM cardiaque de viabilité est proposée afin d'établir une stratégie thérapeutique chirurgicale versus interventionnelle percutanée. La surveillance rythmique objectif un bloc AV du 3ème degré de 15 minutes avec retour en rythme sinusal depuis le 30.05.2019 à 03h00. Mr. Y ne présente plus de douleurs thoraciques et les troponines à 35 ng/l (h+3). Après contact avec les soins continus de cardiologie du CHUV, une IRM cardiaque est agendée le 31.05.2019 à 15h, motivant le transfert de Mr. Y. Un syndrome d'apnée du sommeil est suspecté en raison de désaturations nocturnes et devra être investigué +/- appareillé. Mr. Y est transféré au CHUV (cardiologie soins continus) le 31.05.2019. Mr. Y, âgé de 61 ans, est réadmis aux soins intensifs le 04.05.2019 en raison d'une hémorragie digestive haute survenant sous double antiagrégation. Il s'agit d'un 3ème séjour aux soins intensifs. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé initialement à Berne le 13.04.2019 en raison d'un STEMI sur obstruction de l'IVA proximale qui est stentée. Il nous est adressé une première fois depuis Insel, intubé, en raison d'un état confusionnel aigu d'origine multi-factorielle associé à une pneumonie nosocomiale. Extubé le 17.04.2019, il est transféré une première fois en division de médecine le 20.04.2019. Il est réadmis du 25 au 26.05.2019 en raison d'une hypotension persistante rapidement stabilisée, survenant à la faveur d'une récidive de pneumonie nosocomiale. Sous double antiagrégation plaquettaire, il présente le 04.05.2019 une hémorragie digestive haute avec plusieurs épisodes de méléna, une chute de l'hémoglobine et une instabilité hémodynamique. Une oesogastroduodénoscopie met en évidence 5 lésions ulcéreuses au niveau duodénale, dont une qui nécessite un traitement par 2 clips. Un traitement par IPP en IV est mis en place et la double antiagrégation plaquettaire est transitoirement mise en suspens. Un soutien hémodynamique transitoire par Noradrénaline dans le contexte de la sédation pour l'OGD a été nécessaire. Mr. Y est par la suite stable, sans nouvelle déglobulisation significative. L'antiagrégation par Aspirine est reprise dès le 05.05.2019. Le Plavix est réintroduit le 06.05.2019 sur avis cardiologique (Dr. X). Un ETT de contrôle est demandé, qui reste à suivre. En raison d'une pneumonie nosocomiale, Mr. Y est traité par Céfépime à partir du 26.04.2019, traitement changé pour la Pipéracilline/Tazobactam le 30.04.2019 en raison de la suspicion d'une composante neurotoxique médicamenteuse chez un patient confus. Étant donné que Mr. Y est actuellement couvert depuis 9 jours par une antibiothérapie à large spectre avec une évolution clinique favorable, nous décidons d'une fenêtre antibiotique. Un dosage du galactomannane et du beta-2 glucane est envoyé en raison de la présence d'un Aspergillus fumigatus dans les expectorations du 27.04.2019, qui est à suivre. En l'état, l'Aspergillus est considéré comme un contaminant. En cas de récidive d'un état fébrile ou aggravation sur le plan respiratoire, un avis infectiologique est indiqué. Mr. Y, âgé de 62 ans, est admis pour une coronarographie élective en raison d'un angor crescendo. La coronarographie du 08.05.2019 montre comme lésion coupable une sténose subtotale d'une 1ère branche diagonale de l'IVA, traitée par PCI/1 DES avec un bon résultat final. Nous avons également procédé à un stenting direct (1 DES) d'une sténose de l'IVA proximale avec un bon résultat. Nous proposons de compléter la revascularisation en traitant la resténose intrastent de l'artère coronaire droite moyenne dans 1 mois. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine pour 6 mois et Plavix à vie est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Un contrôle à la consultation du Dr. X est prévu dans 1 semaine. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre à domicile le 09.05.2019. Mr. Y, âgé de 62 ans, est admis pour une coronarographie élective suite à une ergométrie pathologique. La coronarographie du 10.05.2019 montre un excellent résultat intrastent et une fonction VG systolique normalisée. Il y a par contre une progression des deux sténoses de la RCx et toujours une occlusion chronique de l'IVA distale. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie des trois sténoses avec 3 stents actifs et un bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Un contrôle est prévu dans 6 mois à la consultation du Prof. X. Une ergométrie sera agendée dans 1 an.Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre à domicile le 11.05.2019. Mr. Y, 62 ans, connu pour un carcinome non à petites cellules cT2a cN3 cM1b (métastase unique cérébelleuse) stade IVa, diagnostiqué en mars 2019 en raison d'un syndrome de la veine cave supérieure, traité par stent cave posé le 15.03.2019 et Aspirine. Consulte ce jour en raison d'un œdème du MSD en évolution depuis 2 semaines avec nette péjoration ce jour, accompagné de douleurs et érythème de la partie interne du bras. Un CT scan thoracique du 02.05.2019 montre une thrombose de la veine cave supérieure au sein du stent s'étendant aux veines sous-clavières et aux veines jugulaires internes des deux côtés. De la Liquémine à dose thérapeutique avec monitorage de l'activité anti-Xa est introduite au service des urgences, avec un relais par de la Clexane 80 mg 2x/j. Pendant son hospitalisation, l'érythème s'estompe et les douleurs diminuent progressivement. Une majoration de son diurétique est instaurée, passant de 5 mg à 10 mg de Torasémide, car une prise de poids atteignant un maximum de 81.4 kg est objectivée, avec perte de poids progressive suivant la majoration de son diurétique. Mr. Y présente un épisode d'état fébrile au service des urgences avec des sensations de chaud/froid. L'évolution est favorable avec un syndrome inflammatoire spontanément à la baisse avec à la sortie une CRP à 18 mg/l sans leucocytose. Mr. Y reste afébrile pendant l'hospitalisation. Une péjoration de sa dyspnée de stade II est objectivée avec une désaturation maximale à 88% AA puis 94% sous 2 L O2. Au CT scan thoracique du 02.05.2019, un épanchement pleural gauche est mis en évidence. L'évolution est rapidement favorable avec cliniquement Mr. Y qui ne se plaint pas de dyspnée, ou d'inconfort avec 0.5 L O2 avec saturation de 93% en intermittence, avec en fin d'hospitalisation une saturation entre 90-94% AA. Une hypoventilation basale gauche est objectivée en début d'hospitalisation, qui se normalise par la suite. Au vu de l'évolution favorable, nous ne procédons pas à une ponction pleurale. Sur le plan oncologique, Mr. Y peut recevoir sa chimiothérapie par Paraplatine AUC5 et Navelbine C3 J1 le 08.05.2019 qui se passe sans complication. Il débutera de la radiothérapie concomitante avec sa chimiothérapie en principe le 13.05.2019. Pendant l'hospitalisation, Mr. Y développe une conjonctivite bactérienne bilatérale le 04.05.2019, avec larmoiement augmenté, prurit et sclères injectées. Il reçoit un traitement local de Floxal jusqu'au 09.05.2019 qui améliore les symptômes. Mr. Y rentre à domicile le 10.05.2019 avec une majoration de son Torasémide à 10 mg, une anticoagulation par Clexane à 80 mg deux fois par jour et finira son traitement de Neupogen sous-cutané le 11.05.2019. Il débutera sa radiothérapie le 13.05.2019 et reverra son oncologue le 15.05.2019. Nous vous laissons le soin de revoir ce patient pour évaluer le dosage de son diurétique et le suivre au niveau oncologique. Mr. Y, 63 ans, admis aux soins intensifs le 01.05.2019 en raison d'un NSTEMI. Il consulte initialement les urgences en raison d'un angor nouveau en progression depuis 5 jours, associé à une dyspnée nouvelle. L'ECG met en évidence des modifications dynamiques sous forme d'inversion du ST en inféro-latéral, associé à une élévation significative des troponines. La coronarographie met en évidence une maladie coronarienne bitronculaire avec des lésions significatives sur la coronaire droite et la circonflexe. La circonflexe est traitée avec mise en place d'un stent actif. Une double antiagrégation est prévue pour 6 mois, suivie par une antiagrégation simple par Aspirine à vie. L'évolution post-coronarographie est simple, sans récidive d'angor ni troubles du rythme significatifs. Le point de ponction fémoral droit est calme. Un traitement par IECA et bétabloqueurs est introduit, qui reste à adapter en fonction de l'évolution des profils tensionnels. Un suivi chez le cardiologue traitant avec ergométrie à une année est préconisé. Mr. Y, 64 ans, admis pour une coronarographie élective en raison de douleurs thoraciques récidivantes. La coronarographie du 08.05.2019 montre une maladie coronarienne monotronculaire sous forme de 2 sténoses de 70-90% de l'IVA moyenne, traité chacune par PCI/1 DES avec un bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Un contrôle est à prévoir à la consultation de Dr. X dans 1 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre à domicile le 09.05.2019. Mr. Y, 64 ans, hospitalisé le 16.05.2019 depuis le service d'oncologie pour une baisse d'état général dans un contexte de néoplasie dont l'origine primaire est peu claire. La maladie oncologique est actuellement dépassée avec métastases multiples au niveau ganglionnaire, osseux et hépatique entraînant une insuffisance hépatique progressive. L'évolution de Mr. Y est rapidement défavorable et une attitude palliative avec soins de confort est indiquée après discussion avec Mr. Y, sa famille et Dr. X, l'oncologue traitante. Mr. Y décède le 25.05.2019 paisiblement, entouré par ses proches. Mr. Y, 64 ans, est adressé pour des lombalgies non déficitaires invalidantes depuis 3 semaines. Mr. Y a consulté son médecin traitant qui a organisé une IRM lombaire et thoracique réalisée le 10.05.2019. Celle-ci révèle une spondylodiscopathie dégénérative étagée avec un petit rétrécissement foraminal bilatéral au niveau L5-S1. De plus, elle montre un discret hyposignal des corps vertébraux faisant suspecter un remplacement médullaire sur toutes les vertèbres lombaires. Il est premièrement hospitalisé en rhumatologie pour gestion des douleurs et investigations. Le bilan biologique révèle un syndrome inflammatoire associé à une hypercalcémie, une anémie hyporégénérative. L'électrophorèse des protéines retrouve 2 bandes monoclonales IgA lambda. À la lumière de ces résultats, un myélome multiple est suspecté et Mr. Y est transféré en médecine. Il bénéficie d'une ponction biopsie de moelle le 14.05.2019 dont le résultat confirme le diagnostic de myélome. Après avoir informé le patient et sa famille, nous entamons une chimiothérapie RVD avec dexaméthasone dès le 15.05.2019 et Velcade le 20.05.2019. En raison de l'évolution favorable avec des douleurs contrôlées par l'antalgie mise en place, il poursuivra le traitement en ambulatoire à la consultation de Dr. X, oncologue. Parallèlement, il reçoit une dose unique d'acide zolédronique 4 mg qu'il poursuivra une fois par mois en ambulatoire. Sur le plan ostéo-articulaire, le bilan est complété par des radiographies qui retrouvent une ostéoporose et une cunéiformisation de L1. Sur avis orthopédique de Dr. X, nous réalisons une radiographie de contrôle montrant une péjoration de la cyphose lombaire et de la cunéiformisation de L1. En accord avec Dr. X, Mr. Y bénéficiera d'un contrôle IRM dorso-lombaire le 24.05.2019 et d'un contrôle radio-clinique dans 2 semaines à la consultation de l'unité Spine. Dans l'attente, nous préconisons une mobilisation selon la douleur. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 22.05.2019. Mr. Y, 65 ans, admis pour une re-coronarographie pour le traitement de la lésion de l'IVA et de la Cx.La coronarographie du 14.05.2019 montre un bon résultat après PCI de l'ACD proximale à moyenne. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 60%. Comme prévu, nous avons procédé à une angioplastie de l'artère circonflexe proximale et distale et de la bifurcation circonflexe/marginale avec implantation de globalement 4 stents actifs et bon résultat final. Le traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est à poursuivre. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès de Dr. X avec une ergométrie dans 1 année. Le patient rentre à domicile le 15.05.2019. Patient de 65 ans, connu pour une maladie coronarienne monotronculaire avec mise en place de deux stents actifs en 2012, dernière corono s/p en 2016, consulte les urgences pour des douleurs abdominales. Depuis 10 jours, le patient ressent des douleurs diffuses au niveau du ventre. Depuis 3 jours, les douleurs sont plus importantes, avec irradiation jusqu'en haut du thorax, au cou et aux épaules. Sensation de fatigue, pas de fièvre ni autres symptômes. Les douleurs ne sont pas aggravées à l'effort, aggravées en position couchée et soulagées en décubitus sur le flanc gauche. Pas de changement de la douleur avec les repas. Le patient est connu pour une hypercholestérolémie sous Rephata sc 1 fois tous les 15 jours. Mr. Y n'est pas connu pour un diabète, mais pour des glycémies un peu élevées selon ses dires. En plus, il dit qu'un calcul de la vésicule asymptomatique a été découvert en 2015, pour lequel il n'y a pas eu de suivi. Le patient dit boire de l'alcool que occasionnellement avec des amis. CV: B1B2 biens frappés, sans souffles. Pas d'OMI, mollet souple. Pulm: MVS sans râles ni crépitants. Abdo: douleur à la palpation en épigastre, sans défense ni détente. Bruits dans la norme. Pas de douleur en hypocondre droit, Murphy négatif. Aux urgences, nous effectuons un ECG qui est superposable au comparatif. Nous donnons du Nexium IV et de l'Ulcar, sans amélioration des symptômes. Le labo montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 117, avec leuco à 10.9 g/l. L'amylase revient à 235 U/l et la lipase à 1417 U/l. La glycémie est à 31 mmol/l, dernier repas à 14h40, des biscuits à 17 heures. Nous effectuons un CT abdominal qui montre la présence d'une pancréatite oedémateuse parenchymateuse (Balthazar C), sans nécrose. De plus, nous notons la présence d'une masse au niveau de la tête du pancréas, qui jusqu'à preuve du contraire nous semble tumorale. Nous prenons contact avec Dr. X et on décide de garder le patient hospitalisé à jeun. Concernant l'hyperglycémie, la gazométrie ne montre pas d'acidose. Nous corrigeons l'hyperglycémie avec 1 bolus de 10 U de Novorapid, plus 10 U/h pour 1 heure. Au contrôle après 1 heure, la glycémie est à 13.7 mmol/l donc nous arrêtons la Novorapid en continu et nous allons contrôler les glycémies toutes les heures. Un contrôle biologique est prévu pour le 28 matin. Le Vascord HTC 40/5/25 a été mis en pause et sera à réévaluer selon le profil tensionnel. Vu le manque de place à Riaz, le patient est transféré à l'HFR Tafers. Au cours de son hospitalisation, nous proposons une IRM abdominale pour compléter le bilan de la masse de la tête pancréatique. Patient de 65 ans qui se présente spontanément aux urgences après des épisodes de vertige positionnel soulagé par la position couchée, de type tangage mais peu systématisé. Une ECG met en évidence une fibrillation auriculaire inaugurale à réponse ventriculaire rapide et le patient bénéficie d'un traitement de Beloc (titrage) et de dilzem retard avec une évolution favorable de la tachycardie. De plus, un traitement anticoagulant par Xarelto est introduit le 17.05. Dans le cadre de son bilan, une échocardiographie trans-thoracique montre un aspect de cardiopathie hypertensive, avec une FEVG conservée (50%). Une IRM cérébrale permet également d'exclure d'anciennes ou récentes lésions ischémiques. Cardioversion électrique à 4 semaines après initiation de l'anticoagulation est prévue en ambulatoire. Un Holter 24h sera à prévoir à 1 mois après cardioversion avec consultation cardiologique ambulatoire et écho +/- ergométrie. Concernant le reste des facteurs cardiovasculaires : • Une hyperglycémie à 9.3mmol/l à jeun permet de poser le diagnostic de diabète de type 2 bien contrôlé (pré-diabète selon l'HBA1C à 6.3%). Des mesures hygiéno-nutritionnelles seront à poursuivre pour 3-6 mois avec un contrôle à votre consultation après cela. • Pour l'hypertension, un traitement de Lisinopril a été introduit. Un Remler a été organisé (22.05) et les résultats vous parviendront prochainement. À noter qu'un SAOS a été anamnestiquement suspecté (ronflements et apnées, sans somnolence diurne). • Un traitement de pravastatine a été introduit dès le 20.05.2019 (cholestérol total à 6.4, LDL à 4.68, HDL). Le patient rentre à domicile le 22.05.2019. Patient de 68 ans admis pour une coronarographie élective en raison d'une ergométrie positive. La coronarographie du 2.05.2019 montre une maladie coronarienne bitronculaire avec une sténose significative de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation). La sténose significative de l'artère coronaire droite proximale est traitée par 1 stent actif. Il n'y a pas de resténose de l'artère coronaire droite moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif. La fraction d'éjection du ventricule gauche est normale (75%). Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 1 mois est introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 3.05.2019. Patient de 68 ans consultant pour anxiété généralisée dans un contexte social difficile. Pas d'idée suicidaire, le patient n'est pas demandeur d'une hospitalisation, il préfère un suivi ambulatoire. Adaptation du traitement. Il a un psychiatre traitant qu'il consultera la semaine prochaine. Patient de 69 ans, admis aux soins le 12.05.2019 pour stabilisation hémodynamique après une laparotomie exploratrice et une résection intestinale. Connu pour un lymphome à grandes cellules B, il est récemment hospitalisé (08.05.-10.05.2019) pour une première cure de chimiothérapie par R-CHOP. Il consulte les urgences le 12.05.2019 en raison de douleurs abdominales. Le bilan radiologique met en évidence des multiples perforations intestinales sur ischémie mésentérique. Le patient est mis sous antibiothérapie par Tazobac et pris au bloc opératoire pour une résection de l'intestin grêle de 50 cm à 300 cm du Treitz avec mise en place d'une splitostomie, 2 drains péritonéaux et un pansement VAC sous-cutané. La surveillance hémodynamique est sans particularités. Le patient ne présente pas de nausées et la splitostomie commence à rendre des selles à J 1, permettant une ablation de la sonde naso-gastrique. Les douleurs sont bien couvertes par une antalgie simple et la mobilisation avec ceinture abdominale en place est bien tolérée.Le patient est transféré en chirurgie le 13.05.2019. • Patient de 69 ans, en bonne santé habituelle, amené par les ambulanciers en raison de douleurs sous-costales latérales gauches d'apparition aiguë à la mobilisation le matin même, handicapantes mais non irradiantes. Le patient relate un déménagement hier avec soulèvement de charges lourdes, pas de traumatisme. Il rapporte des lombalgies épisodiquement mais pas d'antécédent de hernie ni d'opération du rachis. Pas de dysurie ni de pollakiurie. Pas d'autre plainte. • A l'entrée, patient hémodynamiquement stable, afébrile, très algique à la mobilisation. A l'examen clinique, l'abdomen est souple avec une sensibilité connue en hypocondre droit. Pas de signe de détente ou de défense. Les loges rénales sont indolores à la percussion. Sur le plan ostéo-articulaire, pas de douleur à la palpation et à la percussion des épines dorsales, pas de douleur à la palpation des muscles paravertébraux, pas de douleur à la palpation costale. Lasègue négatif des deux côtés. Force M5 des deux côtés, pas de déficit de sensibilité. Réflexe dans la norme. Forte douleur au niveau sous-costal gauche à la mobilisation active de la jambe gauche et aux mouvements de manière générale. Le reste du status n'est pas contributif. • Aux urgences, le patient bénéficie de 50 mg de Fentanyl et de paracétamol iv. Le bilan biologique montre une leucocytose à 11.7 G/l, sans syndrome inflammatoire. Le sédiment urinaire ne montre pas de leucocytes ni d'érythrocytes. Une radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux ou de pneumothorax. • En raison des douleurs invalidantes à la mobilisation chez un patient vivant seul à domicile, Mr. Y est hospitalisé en médecine pour gestion de l'antalgie et surveillance clinique. • A l'étage, l'évolution est très favorable et le lendemain matin, le patient est asymptomatique et il ne nécessite pas d'antalgie. Nous retenons le diagnostic de douleurs d'origine musculaire. Mr. Y regagne son domicile le 29.04.2019. • Patient de 69 ans, réadmis aux soins intensifs le 18.04.2019 pour suite de prise en charge en raison d'une encéphalopathie hépatique sévère. • Pour rappel, le patient avait été transféré au CHUV suite à la récidive de saignements sur varices oesophagiennes sous-cardiales de grade 3 dans le cadre d'une cirrhose CHILD A, ayant motivé un TIPS le 16.04.2019. • L'évolution aux soins intensifs est marquée par un état confusionnel sévère persistant. Deux EEG ainsi que deux CT cérébraux et une IRM cérébrale ne retrouvent pas d'autres causes que l'encéphalopathie hépatique pouvant expliquer son état neurologique. Un sevrage alcoolique ou aux benzodiazépines n'expliquent pas le tableau clinique. • Dans ce contexte, nous poursuivons le lactulose et intensifions le traitement avec de la Rifaximine dès le 24.04.2019, sans réelle efficacité. En raison de phases d'agitation marquées sans déficit neurologique moteur focal, nous poursuivons de manière itérative la sédation par Propofol et Clonidine. Nous réintroduisons transitoirement le 26.04.2019 des benzodiazépines pour couvrir un éventuel sevrage alcoolique et/ou sevrage en benzodiazépine (chez un patient sous Lorazépam habituellement) concomitant, sans amélioration significative. Au moment du retransfert au CHUV le 06.05.2019, le patient ouvre les yeux à la stimulation douloureuse mais ne répond pas aux ordres simples. • Le Dr. X, hépatologue au CHUV, est contacté le 01.05.2019. Il donne son accord pour réévaluer la situation clinique en vue d'une éventuelle calibration du TIPS. L'épouse du patient donne son accord pour un transfert le 06.05.2019. • Un choc septique sur VAP à Citrobacter est traité par Meropenem pendant 6 jours du 28.04.2019 au 03.05.2019. Une possible composante d'encéphalopathie septique et médicamenteuse surajoutée sous Meropenem n'est pas formellement exclue (dosage est en cours au CHUV à suivre). • Durant le séjour, nous observons plusieurs passages en fibrillation auriculaire (FA), motivant un traitement par cordarone relayé par la reprise de l'Indéral et finalement du Metoprolol permettant une stabilisation du rythme. • L'anticoagulation thérapeutique pour une thrombose porte connue depuis 2016 et encore présente est reprise progressivement sous surveillance hémodynamique. • Le patient est transféré aux soins intensifs du CHUV le 06.05.2019 après accord du gastroentérologue Dr. X pour une réévaluation clinique et éventuelle calibration du TIPS. • Patient de 70 ans admis pour une coronarographie élective en raison de récidive de douleur thoracique et un test d'effort sous-maximal avec des extrasystoles ventriculaires complexes au maximum de l'effort. • La coronarographie du 1.05.2019 montre une maladie coronarienne de 3 vaisseaux, avec une resténose focale intrastent 1ère marginale CX, une sténose de 70-90% du tronc commun, englobant le départ de la circonflexe, une sténose de 50-70% de la CX proximale, traitées par PCI/3 DES avec un bon résultat final. Nous proposons de traiter les sténoses restantes de l'artère coronaire droite dans 1 mois. • Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. • Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. • Le patient rentre à domicile le 2.05.2019. • Patient de 70 ans admis pour une coronarographie élective. • La coronarographie du 3.05.2019 montre une maladie coronarienne bitronculaire avec subocclusion de l'IVA moyenne et sténose significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Nous avons procédé à une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure moyenne avec implantation de 3 stents actifs et bon résultat final au niveau de l'IVA moyenne, mais atteinte diffuse distale. • Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès du cardiologue traitant. Une re-coronarographie est agendée dans 3 mois pour le traitement de la lésion de l'artère circonflexe +/- de l'IVA distale. • Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. • Le patient rentre à domicile le 4.05.2019. • Patient de 70 ans connu pour MTEV sous Xarelto qui consulte pour traumatisme de la main D dans la porte du train hier soir. Douleur au niveau du 5ème métacarpien. Mobilisation limitée par la douleur. Pas de trouble de la sensibilité, pas de paresthésie, pas de plaie. • La RX montre une fracture diaphysaire du 5ème métacarpien. Après avis orthopédique, une indication opératoire est posée. Le Xarelto est remplacé par une Clexane. L'opération est agendée pour le 10.05.2019. Entre temps, le patient rentre à domicile avec attelle Edimbourg et prescription d'antalgie. • Patient de 70 ans hospitalisé à Marsens pour une démence d'origine mixte avec des idées de persécution. Il est connu aussi pour une hypertension artérielle, obésité, syndrome métabolique, une cardiopathie rythmique anticoagulée avec Xarelto et pour laquelle il a mis un Pacemaker en 2016. • A son arrivée aux urgences, le patient est hypertendu à 173/101 mmHg, normocarde à 68 bpm, tachypnéique à 20/min avec une saturation à 96 % à AA, afébrile. • Nous réalisons un ECG qui revient superposable à l'ECG du 01.03.2019, et une radiographie du thorax qui montre un cœur dans les limites supérieures de la norme. • Nous réalisons un bilan sanguin qui montre une légère hypokaliémie à 3.6 mmol/l. Nous demandons aussi la TSH qui revient dans la norme. Au niveau urinaire, il y a une légère protéinurie à 0.18 g/l.Nous avons discuté du cas avec le Dr. X. Vu l'âge du patient, une origine secondaire de l'hypertension artérielle est peu probable. Nous conseillons au patient d'augmenter le traitement antihypertenseur avec du Coveram Plus 10/10/2.5 mg et aussi l'introduction de l'Aldactone 50 mg. Nous vous conseillons de réaliser un MAPA (mensuration de la TA sur 24h) pour évaluer s'il y a un effet dipper ou pas. Le patient rentre au RFSM de Marsens après consultation médicale. Retour avec transporteur. Patient de 71 ans, admis aux soins intensifs le 06.05.2019 en postopératoire immédiat d'une TEA carotidienne gauche élective. Dr. X pour une sténose asymptomatique à 80% au départ de l'artère carotidienne G. A noter que le patient a déjà bénéficié d'une TEA de l'artère carotidienne droite avec plastie d'élargissement en octobre 2017. L'intervention se déroule sans complication. Les suites sont simples, sans complication hémorragique. En raison de profils tensionnels initialement à la limite supérieure des objectifs fixés (TAs maximum 130mmHg), un traitement par TNT iv continu est transitoirement administré, avec reprise progressive du traitement anti-hypertenseur habituel dès J0. Nous vous laissons le soin d'adapter ce traitement en fonction de l'évolution clinique et biologique. Un suivi quotidien de la fonction rénale est préconisé. En cas de dégradation de la fonction rénale sous Irbesartan chez un patient connu pour une hypertension artérielle avec composante réno-vasculaire, la mise en suspens des Sartans est préconisée. Dans une telle situation, un consilium de médecine interne/néphrologie serait alors à organiser. Nous avons par ailleurs introduit des statines. Au moment du transfert en division, le patient est alerte, orienté aux 3 modes. Les pupilles sont isocores et isoréactives et nous n'objectivons pas de déficit neurologique focal. Patient de 71 ans, connu pour un carcinome pancréatique T4 Nx M0 en cours de traitement chimiothérapeutique par FOLFORINOX d'abord puis sans Eloxatine, avec une ECRP avec pose de stent en novembre 2018, ayant bénéficié d'une dernière cure le 30.04.2019 avec une régression de la tumeur au scanner de fin avril. Mr. Y est hospitalisé pour une baisse de l'état général avec inappétence progressive, et un état fébrile concomitant à des douleurs abdominales le 05.05.2019. Un syndrome inflammatoire et une cholestase sont mis en évidence le 10.05.2019 par le médecin traitant avec une recrudescence du marqueur néoplasique. Un US hépatique montre des signes indirects d'obstruction du stent avec une majoration de la dilatation des voies biliaires intra-hépatiques comparées au CT abdominal du 25.04.2019. Un CT abdominal confirme une migration du stent et une majoration de la dilatation des voies biliaires intra et extra hépatiques. Une ERCP est réalisée le 23.05.2019 avec une pose de stent en plastique, sans complications. Au vu de la clinique rassurante le lendemain de son ERCP, Mr. Y rentre à domicile le 24.05.2019. Il sera convoqué par le Dr. X pour la suite de la prise en charge oncologique. Patient de 72 ans admis pour une coronarographie élective pour un cathétérisme droite-gauche chez un patient connu pour une BPCO sévère avec une HTAP. La coronarographie du 10.05.2019 confirme une hypertension artérielle pulmonaire qui est actuellement légère au repos et sous 2 litres/min d'oxygène (aux lunettes nasales) et démontre une maladie coronarienne monotronculaire avec une sténose serrée de la RCx proximale à moyenne et englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation). La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie de l'artère circonflexe avec implantation d'un stent actif de 4ème génération (permettant de réduire la durée de la DAPT à 1 mois en cas de nécessité). Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 3 mois est introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 10.05.2019. Patient de 73 ans admis pour une coronarographie élective suite à une IRM de stress montrant une ischémie étendue. La coronarographie du 17.05.2019 montre une maladie coronarienne tritronculaire avec une sténose significative de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale, une lésion intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, englobant l'origine de la seconde diagonale (lésion de bifurcation) ainsi qu'une sténose significative de la première marginale. Nous traitons la sténose significative de l'artère coronaire droite proximale avec 2 stents actifs. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient 5 mg pour 6 mois est introduit. L'anticoagulation thérapeutique par Xarelto est réduite à 15 mg/j pendant la durée de la double antiagrégation. Par la suite, le traitement est à reprendre à 20 mg par jour. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès du Dr. X. Une re-coronarographie est prévue mi-août 2019 pour le traitement de l'IVA et MA, selon besoin un cathétérisme droit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 18.05.2019. Patient de 73 ans, connu pour hypertension artérielle et dyslipidémie, qui présente depuis quelques jours des pics hypertensifs (avec 1 épisode de bourdonnement d'oreille hier) avec un maximum à 200 de PAS motivant sa consultation aux urgences de l'HFR Riaz. A l'anamnèse, Mr. Y décrit également plusieurs épisodes de chutes (5 chutes sur ces 7 derniers jours) sans malaise, mais avec sensation de faiblesse dans la jambe droite. Aux urgences, le patient est hypertendu à 160/100mmHg et asymptomatique. Au status cardiovasculaire, les B1 et B2 sont bien frappés, et nous notons l'absence de souffle audible, pas de signe d'insuffisance cardiaque ou de thrombose, et des pouls périphériques tous perçus. Au niveau pulmonaire, Mr. Y est eupnéique à l'air ambiant, et le murmure vésiculaire est bilatéral et symétrique, sans bruits surajoutés. Au status neurologique, le score de Glasgow s'élève à 15/15, il n'y a pas de déficit sensitif, mais un déficit moteur isolé à M4 du quadriceps droit ; le réflexe ostéotendineux est diminué au membre inférieur droit, mais normal à gauche, et le réflexe cutané plantaire est en flexion des deux côtés ; le Lasègue est négatif, et le Lasègue inversé est positif à droite ; il n'y a pas de douleur à la palpation des épineuses. Le quadriceps droit est amyotrophe. L'examen des hanches et des genoux est normal.Aux urgences, un laboratoire est réalisé et revient dans la norme. Le jour même de son arrivée aux urgences, Mr. Y est hospitalisé dans notre service de gériatrie aiguë pour la suite de sa prise en charge, avec mise en place d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique aiguë du 22.04.2019 au 01.05.2019. Une IRM de la colonne lombaire effectuée le 23.04.2019 met en évidence une discopathie multi-étagée avec notamment un contact de la racine L4 à droite expliquant la symptomatologie du patient. Dans ce contexte, nous prenons avis auprès de la Spine Team de l'HFR Fribourg, qui propose une consultation ambulatoire le 07.05.2019. Durant ce séjour, le patient effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A la sortie, son périmètre de marche est de 120m avec son rollator seul. Mr. Y peut gravir 9 marches avec une canne et la rampe. Il est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 107/126, par rapport à 98/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG se réalise en 23 secondes avec rollator. Le risque de chute est intermédiaire. Mr. Y reçoit une ordonnance de physiothérapie en ambulatoire à la sortie. Au niveau nutritionnel, le bilan ne met pas de malnutrition protéino-énergétique en évidence. Le NRS est à 1/7. Au niveau ergothérapeutique, Mr. Y bénéficie d'un entraînement aux activités de la vie quotidienne ainsi qu'une évaluation des mesures à prendre pour son retour à domicile. Sous traitement anti-hypertenseur par Coversum et Amlodipine, le profil tensionnel se normalise. Nous mettons en évidence une carence en vitamine D, qui est substituée. Finalement, le patient quitte notre service le 01.05.2019, sans besoin d'aide à domicile. Mr. Y, 73 ans, transféré des soins intensifs de Payerne pour un NSTEMI sur occlusion de l'IVA proximale. Le patient a présenté des douleurs thoraciques typiques irradiant dans le bras gauche le 5.05.2019 à l'effort. Suite à la récidive des douleurs le 6.05.2019 à 3h du matin, le patient consulte aux urgences de Payerne où l'on met en évidence des ondes T négatives en latéral avec des troponines passant de 34 à 37 mg/l. Il nous est donc transféré pour une coronarographie en urgence. La coronarographie du 6.05.2019 montre comme corrélat pour le NSTEMI une maladie coronarienne diffuse avec des lésions subtotales au niveau de la CX et de la première diagonale. L'IVA proximale montre aussi une lésion significative. Nous avons procédé à une angioplastie des trois lésions avec 4 stents actifs avec un bon résultat immédiat. La fonction systolique du VG est normale. Une re-coronarographie est à proposer si le patient reste symptomatique. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Brilique pour 12 mois est introduit. Un contrôle est à prévoir auprès du médecin traitant. Une ergométrie est à prévoir auprès de Dr. X dans 3 mois. Un traitement de statines est instauré. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 7.05.2019. Mr. Y, 74 ans, amené aux urgences de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal le 03.05.2019 en raison d'un état de désorientation temporelle avec amnésie soudaine et temporaire. Le CT cérébral effectué à ce moment n'a pas mis d'altération en évidence. Suite à une période d'observation, Mr. Y nous est adressé pour hospitalisation en gériatrie aiguë HFR Riaz en raison d'une situation sociale difficile à domicile (épouse souffrant d'une maladie d'Alzheimer très avancée ayant été transférée en EMS ce jour même), et devant l'inquiétude des filles de laisser rentrer seul leur papa à son domicile. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 06.05.2019 indiquent des performances dans la norme, avec un MMSE à 30/30 et un test de la montre à 5/7. Le bilan sanguin effectué indique une carence modérée de vitamine D3, substituée par Calcimagon D3 forte 1x/j. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie. A sa sortie, nous estimons sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale à 121/126, par rapport à 109/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 7/7, marche 7/7, escaliers 6/7). Le risque de chute est bas. Au niveau nutritionnel, nous ne voyons pas la nécessité de mettre en place un suivi spécifique, en raison du bon état nutritionnel du patient. Sur le plan ergothérapeutique, une évaluation est demandée. Cette dernière n'objective pas non plus la nécessité d'une prise en charge spécifique, tenant compte du niveau d'autonomie du patient. Finalement, étant donné une bonne évolution clinique et en l'absence de critères justifiant une prolongation du séjour hospitalier, Mr. Y quitte notre service le 07.05.2019. Rappelons une IRM cérébrale prévue le 08.05.2019. Mr. Y, 74 ans, présente depuis 3 jours des brûlures mictionnelles avec pollakiurie associée, pour lesquelles il consulte son médecin traitant. Ce dernier met en évidence une infection urinaire et instaure un traitement par Uvamine. En raison d'un état fébrile à 39°C et de la persistance des symptômes par la suite, le patient est adressé aux urgences de l'HFR Riaz. Au status aux urgences, nous accueillons un patient normotendu et normocarde, fébrile à 39°C, saturant à 94% à l'air ambiant. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec leucocytose à 10.2G/l et CRP à 328mg/l. Un diagnostic de pyélonéphrite est retenu et une antibiothérapie par Ceftriaxone est débutée aux urgences. Deux hémocultures sont réalisées, revenant négatives par la suite. L'urotube avant début de l'antibiothérapie initiale montrera un E. Coli multisensible.Est également mise en évidence une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine prérénale avec créatininémie à 150µmol/l et fraction de l'urée à 22%, revenue dans la norme par la suite, sur hydratation. Dans ce contexte, nous effectuons une ultrasonographie des voies urinaires, qui n'objective pas de dilatation pyélocalicielle, ou autre signe obstructif direct, mais une prostate augmentée de volume avec un poids estimé à 53g. L'évolution clinique et biologique est favorable durant le séjour dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz, où le patient était pris en charge le jour même de son arrivée aux urgences, avec baisse du syndrome inflammatoire et amélioration de la symptomatologie. La Ceftriaxone est donc relayée par voie orale par la Ciprofloxacine le 07.05.2019, pour un total de 14 jours. Notons encore une anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 136g/l. Un bilan d'anémie signale un déficit en acide folique à 2.5ng/ml que nous substituons, et une vitamine B12 dans la norme à 506pg/ml. Le patient regagne son domicile le 07.05.2019. Mr. Y, 75 ans, connu pour accidents vasculaires cérébraux (2015, 2017) avec séquelles (hémiparésie droite et aphasie) et des crises épileptiques sous Keppra, est hospitalisé pour la suite de sa prise en charge d'une syncope d'origine indéterminée après son arrivée aux urgences le jour même à l'HFR Riaz. Pour rappel, Mr. Y présenta une perte de connaissance de quelques secondes suite à un repas avec un ami. À l'arrivée des ambulanciers, le patient avait un score de Glasgow à 14/15 avec une bradycardie à 30 battements par minute. Une dose de 0.5mg d'Atropine intraveineuse fut administrée, avec une augmentation de la fréquence cardiaque à 78 battements par minute au bout de 3 minutes observée. Selon l'hétéro-anamnèse, il n'y a pas eu de mouvement tonico-clonique, pas de perte de selles ni d'urine, pas de morsure de langue et pas de modification du comportement selon le fils venu le voir aux urgences. Selon l'épouse du patient, il y a notion de plusieurs malaises dans le contexte d'alcoolisation aiguë et un épisode similaire de syncope vagale avec bloc atrioventriculaire Mobitz I en janvier 2018, pour lequel il avait été hospitalisé. Nous ne relevons pas de douleur rétrosternale ou de prodrome, mais l'anamnèse est très difficile. Au status neurologique, nous notons une hémiparésie connue du côté droit. Le reste du status est sans particularité. Sur le plan cardiaque, Mr. Y reste hémodynamiquement stable, sans épisode de bradycardie ou de malaise durant l'hospitalisation. L'ECG indique un rythme sinusal régulier, avec bloc atrioventriculaire de type 1. La radiographie du thorax ne montre pas de signe de surcharge. Nous complétons les investigations par un Holter qui retrouve le BAV de 1er degré connu ainsi que des épisodes de BAV du 2ème degré de type I, sans autre arythmie significative. Sur le plan neurologique, le dosage de Keppra est infra-thérapeutique à 6.7µg/ml, raison pour laquelle nous augmentons la posologie à 500mg 2x/jour. Nous vous laissons le soin de contrôler le taux de Keppra au vu de ce changement. Le bilan biologique montre un taux de lactate à 3.9mmol/l puis à 2.7mmol/l dans le contexte de la syncope. Une origine épileptique ne peut être exclue. Sur le plan urologique, une sonde vésicale est mise en place du 10.04.2019 au 16.04.2019 en raison d'un globe vésical. Le sédiment urinaire est pathologique sur la sonde avec leucocyturie et flore bactérienne. L'urotube montre un Staph. haemolyticus. Au vu d'une quantité à 10E4 de ce germe coagulase négative, nous le considérons comme une contamination et décidons de ne pas traiter. Nous proposons une consultation urologique en ambulatoire. Sur le plan social, rappelons que Mr. Y vit avec son épouse et se déplace avec une canne anglaise. Durant son séjour, le patient profite d'une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'une canne anglaise est de 260 mètres. Ce dernier peut gravir 9 marches avec accompagnement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 62/126, par rapport à 51/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 3/7). Le TUG est à 28 secondes. Au niveau ergothérapeutique, Mr. Y se rase et se lave les dents seul avec les appareils électriques mais le reste est fait par un tiers. Il se déshabille le haut seul mais demande un peu d'aide pour le reste de l'habillage. Au niveau nutritionnel, nous introduisons des suppléments nutritifs oraux 1x/jours afin de couvrir la totalité des besoins. Au vu d'une évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 18.04.2019. Il bénéficiera du passage des soins à domicile 3x/jour. Mr. Y, 75 ans, connu pour les comorbidités et antécédents susmentionnés qui a présenté une cholécystite aiguë traitée par antibiotique et drainage sous CT le 12.03.19, est convoqué le 20.05.19 pour bénéficier d'une cholécystectomie en électif. Conjointement, ce patient est suivi par Dr. X pour une hypertrophie bénigne de la prostate pour laquelle le patient portait une SV à demeure. La réalisation d'une TURP conjointement avait été proposée dans le même temps opératoire. Les suites post-opératoires sont d'évolution favorable, sans complication. Les rinçages vésicaux ne ramenant pas de caillots sanguins, la sonde vésicale peut être sevrée le 22.05.19, avec une reprise des mictions rapide. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut regagner son domicile le 23.05.19. Mr. Y, 75 ans, connu pour une cardiopathie ischémique avec FEVG à 30%, normalement asymptomatique, sous Aspirine et Plavix depuis la dernière coronarographie en juin 2018, consulte en raison de dyspnée de stade NYHA III depuis la veille avec sensation d'oppression thoracique à l'effort. Au service des urgences, mise en évidence d'une fibrillation auriculaire rapide à 120-140/min, avec tension artérielle systolique entre 80 et 100 mmHg. Le patient ne ressent pas les palpitations, juste un léger orthostatisme. À l'examen clinique, on retient des râles grossiers en base droite. L'ECG à l'entrée montre une fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide, sans élévation du segment ST. Un syndrome coronarien aigu peut être exclu avec une analyse laboratoire de troponines sans cinétique. Un traitement de digoxine et magnésium est introduit au service des urgences, ainsi qu'une majoration prudente des bêta-bloquants pour le traitement de la fréquence cardiaque. Un traitement diurétique est introduit. Nous introduisons une anticoagulation par Eliquis et stoppons simultanément la thérapie usuelle de Plavix. Un contrôle de pacemaker (Dr. X) met en évidence une fibrillation auriculaire présente depuis 11 jours. Selon avis cardiologique (Dr. X), le traitement de Losartan est remplacé par une thérapie par Entresto, bien tolérée par le patient. Le suivi clinique est favorable et le patient ne présente plus d'épisode de dyspnée ou d'angor durant l'hospitalisation. Une coronarographie à distance est organisée et Mr. Y peut rentrer à domicile le 15.05.2019. Mr. Y, 75 ans, connu pour une cardiopathie ischémique bitronculaire, porteur d'un pacemaker avec défibrillateur, est amené en ambulance en raison d'une dyspnée d'effort en évolution depuis une semaine avec douleurs rétrosternales oppressives ce jour, d'une durée de 1h ayant cédé spontanément. Pour rappel, le patient a été hospitalisé du 11.05 au 15.05.2019 en raison d'une décompensation cardiaque dans un contexte de FA rapide nouvelle et angor stable. Une coronarographie avait été organisée pour le 23.05.2019 en ambulatoire.L'ECG ainsi que des troponines sans évolution cinétique permettent d'exclure un syndrome coronarien aigu. La thérapie avec Carvédilol est majorée. Le contrôle pacemaker, effectué par le Dr. X, montre la présence d'une FA depuis 15 jours. La coronarographie prévue pour le 22.05.2019 est maintenue et ne montre pas de modification du statut coronaire par rapport à l'intervention de 2018. L'hospitalisation se passe sans complication, Mr. Y ne présente plus de nouveaux épisodes d'angor et la dyspnée est rapidement résolutive. Au vu de l'état coronarien inchangé, nous interprétons les épisodes d'angor et dyspnée en relation avec la fibrillation auriculaire. Mr. Y peut donc rentrer à domicile le 25.05.2019 avec organisation d'une cardioversion à distance. Patient de 75 ans connu pour une fibrillation auriculaire nouvelle le 28.03.2019 sous Eliquis, ainsi que statut après pneumonie et décompensation cardiaque sur fibrillation auriculaire, récemment sorti de notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz le 03.04.2019 mais réhospitalisé ce jour en raison d'une décompensation cardiaque globale probablement sur fibrillation auriculaire rapide. Plus précisément, Mr. Y est réadressé aux urgences de l'HFR Riaz par le médecin de garde en raison d'une dyspnée et d'une prise de poids progressive. Au niveau social, Mr. Y est résident du Foyer St-Joseph de Morlon ; il marche sans moyen auxiliaire. Sur le plan cardiaque à son arrivée aux urgences, le patient est hypotendu à 88/66mmHg, et les B1 et B2 sont irréguliers et bien frappés, avec présence d'oedèmes prenant le godet jusqu'aux genoux des deux côtés. Au status pulmonaire, nous notons des murmures vésiculaires avec expirium prolongé avec des râles crépitants fins bibasaux et des ronflants surtout à la base droite et des sibilants diffus. Au niveau abdominal, l'abdomen est tendu, ballonné mais indolore. Au niveau cutané, nous notons une plaie du tiers moyen de la jambe droite en face antérieure, sans écoulement. Le laboratoire indique une insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 241µmol/l, CRP à 38mg/l sans leucocytose et une gazométrie à l'air ambiant indiquant une hypoxémie à 8.8kPa avec saturation à 93%. Nous effectuons une radiographie du thorax à l'entrée révélant des signes de surcharge avec cardiomégalie modérée et redistribution de la vascularisation vers les apex, épaississements bronchiques, flou péri-hilaire péri-bronchovasculaire avec également petit épanchement pleural bilatéral. Aux urgences, une sonde vésicale est mise en place pour bilan de diurèse, et le patient reçoit initialement 40mg de Lasix intraveineux, qui sera poursuivi en intraveineux 3x/j. Au vu de l'insuffisance rénale, nous mettons en place une hydratation par 1000ml de NaCl/24h en intraveineux. Le patient présente aux urgences un épisode de diarrhées, pour lequel un prélèvement de selles est effectué à la recherche de clostridium, ainsi qu'une bactériologie (patient étant sous antibiothérapie jusqu'au 03.04.2019), qui reviennent négatifs par la suite. Sur le plan cardiaque, le Dilzem est mis en suspens en raison de l'hypotension et remplacé par du Beloc ZOK. Nous diminuons provisoirement l'Eliquis à 2.5mg 2x/j puis poursuivons après amélioration de sa fonction rénale à 5mg 2x/j. Nous introduisons la digoxine à 0.25mg le 15.04.2019 puis continuons avec 0.125mg 2x/j, pour la diminuer finalement à 0.125mg 1x/j. En raison d'une bonne évolution, nous relayons le Lasix intraveineux par du Torasemid. Sur le plan respiratoire, nous ajoutons l'Atrovent, le Ventolin et le Pulmicort durant l'hospitalisation. Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 130 mètres. Le patient peut gravir 18 marches d'escaliers. Il est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 85/126, par rapport à 50/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 7/7, marche 7/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 20 secondes. Sur le plan nutritionnel, nous constatons un apport protéino-énergétique insuffisant, démontré par la consommation fluctuante de ses repas, raison pour laquelle nous poursuivons les enrichissements mis en place. Au vu d'une évolution favorable, Mr. Y retourne au Foyer St-Joseph de Morlon le 24.04.2019. Le foyer prendra rendez-vous auprès de son médecin traitant d'ici une semaine, pour un contrôle et un dosage de la digoxinémie. Patient de 76 ans admis pour une coronarographie élective suite à un test d'effort électriquement positif. La coronarographie du 3.05.2019 montre une atteinte coronarienne avec une sténose serrée de l’ACD moyenne et une sténose significative de la portion distale. La fraction d’éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Nous avons effectué une angioplastie des deux lésions avec 2 stents actifs de 2ème génération et un bon résultat immédiat. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Après discussion avec le Dr. X, nous stoppons le traitement de Xarelto instauré après le pontage fémoro-poplité gauche. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 4.05.2019. Patient de 76 ans admis pour une coronarographie élective en raison d'un angor d'effort avec une échocardiographie d'effort pathologique. La coronarographie du 15.05.2019 montre une maladie coronarienne sévère de 3 vaisseaux. J'ai procédé à une PCI/1 DES de l'artère circonflexe moyenne se prolongeant dans la 2ème marginale (vaisseau le plus important du réseau circonflexe) avec un bon résultat final. La revascularisation coronarienne étant incomplète, j'ai optimisé le traitement médicamenteux avec du Nitroderm 5mg et du Beloc ZOK 25mg. Nous laissons au cardiologue traitant le soin d'adapter le traitement antiangineux en fonction de l'évolution. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 16.05.2019. Patient de 76 ans, connu pour une cardiopathie ischémique en 2013, une BPCO sévère et une insuffisance artérielle des MI, se présente au service des urgences pour des douleurs thoraciques atypiques en augmentation depuis 4-5 semaines, actuellement 8/10. Mr. Y présente de plus une aggravation de sa dyspnée chronique, actuellement au moindre effort. L'ECG ne présente pas de particularités. Les analyses laboratoires mettent en évidence un syndrome inflammatoire ainsi qu'une élévation massive de la LDH. Une radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer infectieux. Un CT thoracique effectué en ambulatoire montre des fractures pathologiques des côtes sur des lésions lytiques ainsi que des lésions pulmonaires, hépatiques et spléniques. Sur le plan respiratoire, nous postulons une dyspnée d'origine mixte sur progression de l'emphysème et syndrome restrictif sur fractures de côtes. Pour compléter le bilan oncologique, nous organisons un PET-CT qui met en évidence de multiples hypercaptations d'origine maligne correspondant probablement à une tumeur primitive du poumon droit avec multiples métastases pulmonaires, médiastinales, hépatiques et osseuses. Le patient présente lors de son hospitalisation un discours parfois incohérent et confus ce qui nous amène à effectuer une imagerie cérébrale montrant de multiples lésions secondaires avec transformations hémorragiques. Malgré plusieurs adaptations de l'antalgie, les douleurs restent difficilement contrôlables. En complément d'investigation, nous organisons une biopsie osseuse qui est refusée.Au vu de son état confusionnel, le patient est considéré comme incapable de discernement, ce qui est confirmé selon consilium psychiatrique. Une thérapie antipsychotique est mise en place. Après discussion avec la famille, les enfants décident d'un commun accord d'un retrait thérapeutique pour passer à des soins de confort. Mr. Y décède paisiblement le 20.05.2019 entouré de sa famille. Patient de 76 ans connu pour une HTA traitée, en bonne santé habituelle, adressé par son médecin traitant pour drainage et investigations d'un épanchement pleural droit. Il présente depuis environ un mois une toux et une dyspnée occasionnelle à l'effort, en augmentation progressive, sans état fébrile ou expectoration. Sa médecin traitante réalise une radiographie du thorax ce jour qui met en évidence un important épanchement pleural droit. Celui-ci est drainé au service des urgences. Les analyses laboratoires mettent en évidence un épanchement de type exsudat lymphocytaire. Les analyses cytologiques de l'exsudat ne montrent pas de présence de cellules malignes. Les différentes cultures du liquide pleural restent stériles. Un CT thoraco-abdomino-pelvien est effectué et ne met pas de lésion tumorale suspecte en évidence, juste une minime prise de contraste pleurale G constatée sur une relecture tardive (transmise à la médecin traitante). L'origine de l'épanchement pleural reste toutefois peu claire. Un suivi clinique et des contrôles radiologiques sont organisés avec la médecin de famille. Le suivi clinique est favorable, la suite de l'hospitalisation se passe sans complication. Mr. Y demeure asymptomatique et peut rentrer à domicile le 17.05.2019. Patient de 76 ans consultant les urgences pour un état fébrile et un état confusionnel. L'examen clinique initial révèle une raideur de nuque motivant une ponction lombaire dont le résultat est sans particularité, et un érythème chaud au niveau du membre inférieur gauche avec lésions bulleuses méallolaires. Le bilan biologique retrouve un syndrome inflammatoire. Il est conclu un sepsis d'origine cutanée sur dermo-hypodermite sur les lésions bulleuses. Sur le plan infectieux, il reçoit un traitement par pipéracilline tazobactam. L'évolution est favorable avec disparition de l'état fébrile et confusionnel. L'érythème régresse également. Les hémocultures retrouvent à 2/4 bouteilles un streptocoque dysgalactiae sensible à la pénicilline, raison pour laquelle nous relayons l'antibiothérapie par de l'amoxicilline. Sur le plan cutané, le patient est connu pour des lésions bulleuses d'origine indéterminée. Nous demandons un avis aux stomathérapeutes qui mettent en place un protocole plaie et proposent un suivi de plaie à domicile 3x/semaine que nous organisons. Au vu d'un diagnostic différentiel d'insuffisance veineuse retenu par son dermatologue traitant, il reçoit des bas de contention. À noter l'évolution favorable des plaies pendant le séjour avec cicatrisation. Sur le plan orthopédique, l'infection cutanée est en regard du matériel d'ostéosynthèse posé l'année passée. Nous demandons donc un avis orthopédique qui ne retient pas d'indication à un retrait du matériel d'emblée. Toutefois, un retrait du matériel pourrait être envisagé en cas de récidive de dermohypodermite afin d'éviter une surinfection du matériel d'ostéosynthèse. Suite à l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 01.06.19. Patient de 77 ans, admis aux soins intensifs le 30.04.2019 en raison d'une insuffisance respiratoire aiguë d'origine multifactorielle survenant dans un contexte d'insuffisance rénale chronique acutisée. Pour rappel, il est initialement hospitalisé à Riaz depuis le 26.04.2019 pour des douleurs basi-thoraciques accompagnées d'une toux avec expectorations jaunâtres. Suspectant initialement une composante d'infection des bronchiectasies, un traitement par co-amoxicilline et Prednisone est débuté de manière empirique. Suspectant une composante cardiogénique surajoutée, une échocardiographie réalisée en cours de séjour montre une FEVG à 40 % et une insuffisance mitrale de grade 2/3. L'évolution est marquée par un œdème aigu du poumon motivant son transfert dans notre service pour suite de prise en charge. L'évolution respiratoire est rapidement favorable sous VNI et Lasix iv continu. Nous retenons comme étiologie principale une insuffisance mitrale modérée à sévère avec œdème aigu du poumon associé. À cela s'ajoute une insuffisance rénale chronique acutisée avec rétention hydrique et des bronchiectasies infectées motivant un traitement par Co-Amoxicilline jusqu'au 02.05.2019. En cours de séjour, le patient développe un angor typique associé à des troponines positives (d'interprétation délicate dans le contexte de l'insuffisance rénale). Nous n'objectivons pas de modification ECG significatives et retenons le diagnostic de NSTEMI. Sur avis de nos collègues cardiologues, nous introduisons une double anti-agrégation par Aspirine et Plavix. Après stabilisation des profils tensionnels sous diurétiques de l'anse, bétabloqueurs, TNT patch et anticalciques itératifs, le patient ne représente plus d'angor. Une coronarographie est prévue d'ici au 08.05.2019, qui est à rediscuter en urgence en cas de récidive d'angor dans l'intervalle. Il conviendra pour cet examen de minimiser les doses de produit de contraste. L'origine de la composante d'insuffisance rénale aiguë demeure incertaine. Au vu de l'évolution clinique favorable sous diurétiques, une composante cardiogène est suspectée au premier plan. Une possible composante initiale pré-rénale sur déshydratation transitoire (nausées pendant 48 h en ambulatoire sans récidive par la suite) n'est pas formellement exclue. Par surplus, un US rénal demandé sur l'avis de nos collègues néphrologues permet d'exclure une éventuelle composante d'obstruction post-rénale partielle (rapport oral). Patient de 79 ans admis pour une coronarographie élective en raison d'une dyspnée d'effort avec une cardiopathie dilatée mise en évidence dans le cadre du bilan de l'AVC. La coronarographie du 13.05.2019 montre comme corrélat pour l'hypokinésie du VG avec une FE à 45 % une maladie coronarienne tritronculaire. L'IVA montre une lésion significative proximale traitée par un stent actif avec un bon résultat immédiat. Une re-coronarographie est prévue dans 2-3 semaines pour le traitement de la lésion de l'artère circonflexe. L'artère rétro ventriculaire postérieure est occluse, toutefois au vu de la petite taille et l'absence de répercussion sur le plan pronostic, nous ne proposons pas de traitement de celle-ci. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est à poursuivre. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 14.05.2019. Patient de 79 ans, connu pour une cardiopathie ischémique, un diabète de type 2 insulino-requérant, une hypertension artérielle et des infections urinaires à répétition, qui nous est adressé ce jour du service de médecine HFR Riaz pour réadaptation gériatrique étant donné un déconditionnement global suivant un urosepsis. Sur le plan social, Mr. Y vit avec son épouse, sans soins à domicile. Concernant l'urosepsis à E. coli traité initialement durant son séjour en médecine HFR Riaz par Méropénème pendant 2 jours, puis relayé par Ceftriaxone, nous poursuivons ce traitement jusqu'au 05.04.2019 pour une durée totale de 14 jours. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances légèrement altérées avec un MMS à 26/30 et un test de la montre à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression se chiffre à 1/15.Durant son séjour, Mr. Y réalise une physiothérapie de mobilisation. A la sortie, son périmètre de marche à l'aide d'un tintébin est de 130 mètres. Le patient nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 81/126, par rapport à 70/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 3/7, marche 4/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 49.5 secondes. En ergothérapie, le bilan modulaire signale un patient très dépendant de sa femme pour toutes les activités de la vie quotidienne, et les transferts et les déplacements s'avèrent difficiles. Nous mettons en place une barre latérale de redressement. Le bilan nutritionnel effectué constate une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une dysphagie aux solides, et est démontrée par des ingestas inférieurs à 50% de ses habitudes depuis 2 mois ainsi qu'un NRS à 3/7. Nous augmentons donc ses apports énergétiques au moyen d'une alimentation enrichie et fractionnée. Sur le plan métabolique, Mr. Y présente des hypoglycémies le matin, raison pour laquelle nous adaptons son traitement antidiabétique. Sur le plan cardiaque, nous ajustons également le traitement du patient, en augmentant l'Aldactone à 50 mg. L'évolution clinique du patient durant son séjour est marquée par la récidive de symptômes urinaires le 11.04.2019 avec pollakiurie et douleur suspubienne, surtout à la palpation. Les loges rénales sont souples et le toucher rectal indolore. Nous effectuons donc un sédiment urinaire mettant en évidence une leucocyturie. Le laboratoire montre une augmentation du syndrome inflammatoire avec CRP à 52 mg/l et leucocytes à 10.9 G/l. Nous complétons le bilan par une ultrasonographie du système urogénital le 11.04.2019 qui ne montre pas de calcul ou dilatation pyélocalicielle. Finalement, nous retenons une prostatite chronique au vu des récidives et débutons une antibiothérapie par Invanz 1 g/24h après discussions avec notre infectiologue, le Dr. X. Par la suite, l'urotube revient positif pour E. coli ESBL, sensible au Bactrim. Toutefois, Mr. Y nous rapporte avoir présenté, il y a 30 ans, une allergie au Bactrim, avec œdème et rougeur conjonctivale. Néanmoins, étant donné l'ancienneté de cette allergie et son atypie, nous relayons avec précaution l'Ertapénème par Bactrim, que le patient tolère bien. Dans ce contexte, nous poursuivons cet antibiotique pour une durée totale de 3 mois. Au vu d'une évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 20.04.2019 et prendra rendez-vous à votre consultation ainsi que chez son urologue traitant, le Dr. X. Mr. Y, patient de 8 ans, revient car il a senti une extériorisation de la bille hier mais il n'est pas sûr. En vu du status rassurant, nous ne faisons pas d'examens complémentaires. Nous rassurons le patient et la famille. Nous leur donnons la consigne de reconsulter seulement en cas d'apparition de symptômes abdominaux ou de problèmes avec les selles. Mr. Y, patient de 80 ans, admis aux soins intensifs le 12.05.2019 en raison d'une FA bradycarde symptomatique. Il est amené en ambulance suite à une perte de connaissance avec chute et traumatisme crânien à son domicile. Le bilan d'entrée montre une FA bradycarde avec une pause de 2.2 sec chez un patient connu pour une FA normocarde sous traitement par Sintrom et Bilol. Le Dr. X retient l'indication à un pacemaker. L'intervention se déroule le 13.05.2019 sans complications. La radiographie post-intervention ne montre pas de pneumothorax. Le Sintrom est à reprendre dès le 14.05.2019 (NB : 10 mg de Konakion donné le 12.05.2019). Au CT cervico-cérébral dans le cadre de bilan de TC, on trouve de manière fortuite une sténose de l'artère carotide interne à 72% à droite asymptomatique. Il n'y a pas d'indication opératoire actuellement. La lésion nécessite un suivi en chirurgie vasculaire avec des contrôles par écho-doppler tous les 6 mois. Un anévrisme de 13x8 mm dans la carotide interne D à la jonction du territoire M1-M2 est également mis en évidence de manière fortuite. Sur avis du Dr. X, le patient est à adresser au Dr. X à l'Inselspital Berne pour suite de prise en charge. Mr. Y, patient de 80 ans, admis pour une coronarographie élective en raison de dyspnée en péjoration avec un angor. La coronarographie du 15.05.2019 montre une maladie coronarienne de 1 vaisseau sous forme d'une sténose de 50-70% de l'artère coronaire droite proximale, traitée par PCI/1 DES avec un bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès du Dr. X. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre à domicile le 16.05.2019. Mr. Y, patient de 80 ans, admis pour une coronarographie élective en raison d'un angor CCS IV. La coronarographie du 10.05.2019 montre un bon résultat angiographique après la revascularisation chirurgicale, mais une progression de la sténose de la bifurcation du TC. Il a de plus l'atteinte connue des petites branches du réseau ACD distal. Nous procédons à l'angioplastie du tronc commun et de la RCx moyenne avec 2 stents actifs et un excellent résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine pour 3 mois (1 mois minimum) et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès du médecin traitant. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre à domicile le 11.05.2019. Mr. Y, patient de 80 ans, connu pour un syndrome de douleurs chroniques, une démence d'origine mixte ainsi que des troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, consulte le 15.04.2019 pour gonalgies droites d'apparition brusque la veille lors de la marche, sans chute ni perception d'instabilité ou craquement. Depuis, la mobilisation est difficile avec marche impossible. Le patient rapporte des douleurs au genou droit depuis 2 semaines, l'empêchant de se mobiliser comme à son habitude (avec une canne), avec traitement topique par AINS non efficace. Il n'y a pas eu de traumatisme et il s'agit du premier épisode de gonalgies. Mr. Y est également connu pour une goutte, mais ne boit pas d'alcool depuis 1 mois et ne mange de la viande rouge qu'une fois par semaine. Il ne rapporte pas de fièvre, pas de frissons, pas de piqûre ni de morsure. Le reste de l'anamnèse systématique est sans particularité. A noter une récente hospitalisation en gériatrie aiguë à l'HFR Meyriez, avec sortie le 05.04.2019, pour épisodes dépressifs récidivants et troubles de la marche et de l'équilibre. Au status, Mr. Y est apyrétique. La marche est impossible et au niveau du genou droit, nous ne constatons pas de tuméfaction, d'hématome ou de déformation. Il n'y a pas de flexum. Le signe du glaçon est négatif avec absence de douleur à la mobilisation de la rotule et test d'appréhension négatif. La palpation du genou s'avère diffusément sensible et sa flexion-extension active est possible de 30°-10°, et flexion passive à 110°. Notons une force M3 en flexion active de la hanche. Il n'y a pas de laxité ligamentaire lors du stress en varus-valgus. Les tests méniscaux ne sont pas effectués au vu de la difficulté à mobiliser le patient. Le Lachmann est négatif. Sinon, le reste du status ostéo-articulaire est dans la norme. Au niveau neurologique, remarquons une hypo-sensibilité de la face médiale de la cuisse droite, une force à M3 en flexion active de la cuisse et pas de perte de force ou de sensibilité autre au niveau des membres inférieurs. Le Lasègue est négatif. Les status cardiorespiratoire et abdominal sont normaux.Un bilan biologique indique une légère hyperkaliémie et une insuffisance rénale sans syndrome inflammatoire. Un stix et un sédiment urinaires s'avèrent dans la norme. Une radiographie du genou droit ne montre pas de fracture, mais une importante chondrocalcinose et une discrète gonarthrose. La radiographie thoracique est normale, tout comme celle de la colonne lombaire. L'ECG s'avère également dans la norme. Sur le plan orthopédique, et au vu d'une force à M3 de l'appareil extenseur du genou, nous demandons l'avis orthopédique du Dr. X, qui ne trouve pas d'argument pour une rupture du tendon quadricipital. L'origine des douleurs retenue est donc mise dans le contexte de la chondrocalcinose et de l'arthrose. Au vu d'une marche impossible et d'un épuisement du proche aidant (épouse du patient), Mr. Y est donc pris en charge dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz le jour même de son arrivée aux urgences dans le même site hospitalier. Durant son séjour, l'évolution du patient est très satisfaisante avec récupération de ses capacités à la marche et disparition des douleurs en moins de 48h, raison pour laquelle le patient peut rapidement regagner son domicile. Mentionnons encore le développement d'un globe urinaire aux urgences, traité par sondage, avec ablation de la sonde par schéma de clampage efficace par la suite. Concernant le bilan gériatrique global, merci de vous référer à la lettre de sortie des collègues gériatres de l'HFR Meyriez. Mr. Y, 80 ans, consulte de jour pour une récidive d'angor. A noter que le patient a été traité le 10.05.2019 avec un stent au niveau du tronc commun et Cx. Au vu d'un geste récent nous décidons d'une coronarographie malgré l'absence de cinétique de troponines. La coronarographie du 16.05.2019 montre une maladie coronarienne tri-tronculaire avec des pontages AMIG-IVA et VX-CX perméable avec un bon résultat post angioplastie du TC-CX avec toutefois une image hétérogène au niveau du stent TC-CX. Une imagerie endovasculaire (OCT) montre une malexpansion du stent versus un recoil du stent et la persistance d'une dissection distalement au stent CX sur moins de 4 mm. Nous avons procédé à une angioplastie au ballon seul avec kissing balloon TC-CX-IVA avec bon résultat final. Le traitement de double antiagrégation par Aspirine 1-3 mois et Plavix pour 6 mois est à poursuivre. Nous instaurons un traitement par Pantozol au vu d'une DAPT et une anticoagulation thérapeutique par Sintrom. Une optimisation du traitement anti-angineux est également instaurée avec l'introduction d'un patch de Nitroderm. Nous n'instaurons pas de traitement bêta-bloquant au vu du traitement de Dilzem déjà en cours. Nous vous laissons les soins de réévaluer un relais du Dilzem par un bêta-bloquant avec le cardiologue traitant. En cas de persistance d'angor, une imagerie fonctionnelle sera indiquée (IRM de stress) afin de localiser l'ischémie. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès du Dr. X. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre à domicile le 17.05.2019. Mr. Y, 81 ans, est admis pour une coronarographie élective en raison d'une dyspnée en péjoration. La coronarographie du 2.05.2019 montre une maladie coronarienne monotronculaire avec une sténose significative de la partie proximale de l'artère interventriculaire antérieure moyenne traitée par stent actif. A noter une sténose significative de l'ostium de la première diagonale. Les lésions de l'artère coronaire droite proximale et moyenne sont non significatives. La fraction d'éjection du ventricule gauche est normale (70%). Un traitement de double antiagrégation par Plavix à vie et Aspirine pour 3 mois est introduit. En raison d'une suspicion d'anévrysme de l'aorte abdominale, nous demandons un bilan angiologique de l'aorte, qui permet d'écarter un anévrysme avec la mise en évidence d'ectasies aorto-iliaques sans anévrysme ne nécessitant pas de suivi particulier. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre à domicile le 3.05.2019. Mr. Y, 81 ans, connu pour un adénocarcinome mucineux du colon transverse opéré en juin 2018 avec une anastomose iléo-transverse, est adressé par son médecin traitant à son oncologue pour un ictère et un prurit en péjoration depuis le 15.04.2019, accompagné de selles décolorées et d'urines foncées. Par rapport au comparatif du 30.05.2018, un scanner du 29.04.2019 montre une progression oncologique avec augmentation en taille de la lésion tumorale hépatique du segment VIII, avec apparition de multiples lésions hypodenses du hile hépatique et péri-cholédocienne engendrant une dilatation bilatérale des voies biliaires intra-hépatiques. Il y a aussi une apparition de multiples lésions nodulaires fortement évocatrices d'implants de carcinomatose péritonéale, mais une absence d'ascite. Mr. Y est hospitalisé dans le service de médecine. Il bénéficie d'une ERCP qui ne parvient pas à mettre en évidence les voies biliaires, chez un patient avec une péjoration progressive de la cholestase. Un syndrome inflammatoire en progression motive l'introduction d'une antibiothérapie par Tienam malgré un patient afébrile. Dans ce contexte, Mr. Y bénéficie finalement d'un drainage percutané le 14.05.2019. En parallèle, nous observons une péjoration progressive de la fonction rénale, d'origine prérénale avec une fraction d'excrétion de l'urée à 25% le 13.05.2019. Un US des voies urinaires permet d'exclure une cause post-rénale. L'évolution est défavorable avec une anurie le 15.05.2019 malgré un traitement par hydratation, complété par du Lasix i.v. en continu. Mr. Y développe rapidement un syndrome hépato-rénal, avec une progression de l'urémie, hyperphosphatémie, hyperkaliémie ainsi qu'une acidose métabolique. Après le drainage, les tests hépatiques ne montrent qu'une amélioration transitoire. L'état général de Mr. Y se péjore rapidement. Après discussion avec la famille, un traitement de confort est mis en place. Mr. Y décède le 18.05.2019 entouré de son épouse et de ses enfants. Mr. Y, 81 ans, connu pour un carcinome urothélial diagnostiqué en février 2019 avec s/p RTUV en attente de radio et chimiothérapie, également connu pour une LLC, nous est adressé par la consultation d'oncologie en raison de la persistance de douleurs sus-pubiennes, brûlures mictionnelles et pollakiurie persistantes depuis plus d'une semaine, malgré un traitement d'une dose de Rocéphine il y a 8 jours, poursuivie par 7 jours de Ciprofloxacine. Une insuffisance rénale aiguë AKIN II est objectivée, avec une créatinine à 225 umol/l à l'entrée et une fraction d'excrétion de l'urée de 44% permettant d'exclure une cause pré-rénale. Un ultrason des voies urinaires montre une dilatation pyélocalicielle à droite sur probable compression du trajet urétéral intra-pariétal par la masse tumorale infiltrative connue. Une sonde double J est posée à droite le 14.05.2019 avec amélioration de la fonction rénale et du syndrome inflammatoire. Un nouvel ultrason au lendemain de la pose de double J montre une minime hydronéphrose gauche sans indication pour une pose d'une sonde double J par voie antérograde ou une néphrostomie à gauche. Après l'amélioration de la fonction rénale, un traitement par Spasmo Urgénine est introduit, permettant une diminution de la dysurie. Sur le plan infectiologique, au vu de la persistance des symptômes urinaires apparus 7 jours avant l'hospitalisation, la Rocéphine 2g IV 1x/jour est introduite dès son entrée jusqu'au 16.05.2019, avec un relais par Ciproxine 500 mg 2x/jour dès le 17.05.2019.Au niveau oncologique, Mr. Y bénéficie de 9 séances de radiothérapie sans complication, ainsi que deux séances de chimiothérapie par Carboplatine les 16.05 et 23.05.2019. Dans ce contexte, nous observons une hausse importante de la CRP ainsi que des globules blancs. Une cause infectieuse est raisonnablement écartée en l'absence de symptomatologie en documentation microbiologique. Une hyperkaliémie à 5.2 mmol/l est mise en évidence à l'entrée avec un élargissement du complexe QRS à 120 msec. La kaliémie se corrige après administration de Resonium du 08.05 au 10.05.2019. Le patient explique avoir perdu 4 kg en 1 mois, avec perte d'appétit. Les apports s'améliorent avec la prise régulière d'antiémétiques. Une consultation diététique est organisée pendant l'hospitalisation avec une introduction d'un SNO 1x/j et la mise en place d'un suivi ambulatoire. À noter finalement que le patient bénéficie de quatre culots érythrocytaires lors de son séjour en raison de valeurs d'hémoglobine entre 69 et 101 g/l, en lien avec la résection vésicale partielle versus éventuelle manifestation de la LLC. Quant à la LLC, nous observons un temps de duplication rapide jusqu'à atteindre 109 G/l le 23.05.2019. Aucun traitement n'est proposé en cours d'hospitalisation mais la situation sera abordée lors de la consultation oncologique chez le Dr. X le 07.06.2019. Au vu d'une évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 29.05.2019. Patient de 81 ans, connu pour une cardiopathie ischémique, hypertensive, valvulaire et rythmique, qui nous est envoyé par la permanence d'Estavayer pour des douleurs thoraciques persistantes et une hypertension, malgré la prise de nitrés. À son arrivée à Fribourg, une fibrillation auriculaire rapide est mise en évidence et le patient bénéficie d'une coronarographie en urgences ne mettant pas en évidence de nouvelle lésion coronaire. Lors de l'examen, le patient développe un œdème aigu du poumon qui répond bien à la VNI et au lasix. La décompensation cardiaque est finalement attribuée à la fibrillation auriculaire rapide et au pic hypertensif, au vu de l'absence de progression significative de la sténose aortique en comparaison avec le dernier examen du 05.10.18 (1.4cm2). Sur le plan cardiaque, le patient est traité par diurétiques avec suivi du poids. L'évolution clinique est favorable avec diminution des œdèmes, de la dyspnée et des crépitants pulmonaires. De plus, son traitement habituel comprend aspirine et Eliquis. Nous demandons un avis cardiologique au vu du risque de saignement important qui propose d'arrêter l'aspirine pour ne garder que l'Eliquis. Sur le plan rénal, le patient présente une péjoration de sa créatininémie probablement sur le traitement diurétique nécessitant une diminution des diurétiques et une adaptation de la médication incluant un arrêt de l'irbésartan, et un changement de la metformine pour du tranjenta. Celle-ci permet une amélioration de la fonction tout en maintenant un poids stable et un statut cardiopulmonaire satisfaisant. Une fois la fonction rénale stabilisée, le patient rentre à domicile le 31.05.2019. Patient de 82 ans admis pour une coronarographie élective en raison de douleurs thoraciques à l'effort depuis quelques semaines. La coronarographie du 9.05.2019 montre une maladie coronarienne bi-tronculaire avec sténose intermédiaire de l'IVA moyenne et de l'IVA ostio-proximale hémodynamiquement hautement significative avec FFR = 0,70 (0,89 au repos). Nous avons procédé à l'angioplastie de l'IVA moyenne et du TC-IVA avec implantation de 2 stents actifs avec un bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Brilique pour 12 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Un contrôle est à effectuer dans un mois auprès du Dr. X. Une coronarographie de contrôle est à prévoir dans 2 mois. Une ergométrie est à prévoir dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 10.05.2019. Patient de 83 ans, connu pour une insuffisance rénale chronique, suivi par le Dr. X, est transféré de la clinique Daler en médecine afin de débuter une hémodialyse. Pour rappel, le patient était hospitalisé depuis le 22.04.2019 pour une infection urinaire haute traitée par Tienam sans germe identifié. Sur le plan rénal, le patient présente une probable péricardite urémique, raison pour laquelle nous posons en urgences un permcath le 30.04.2019 et débutons des séances de dialyse quotidienne dès le 1.05.2019 avec par la suite amélioration clinique et biologique avec normalisation de l'urémie. Le patient bénéficiera en ambulatoire de séances de dialyse 3x/semaine (mardi, jeudi et samedi). Sur le plan cardiologique, nous mettons en évidence un fibrillo-flutter. L'échocardiographie du 2.05.2019 montre un discret épanchement péricardique, raison pour laquelle nous ne débutons pas d'anticoagulation. Les échocardiographies ultérieures montrent initialement une discrète péjoration puis une stabilisation de l'épanchement. Nous introduisons un bêta-bloquant à petite dose ainsi qu'un traitement de cordarone. Sur le plan urologique, nous continuons l'antibiothérapie par Imipenem-Cilastatine jusqu'au 03.05.2019. Le patient rapporte une amélioration clinique de sa dysurie. Le patient peut quitter notre service pour son domicile le 9.05.2019. Patient de 83 ans, transféré du service d'orthopédie pour une prise en charge et surveillance dans le cadre d'une embolie pulmonaire bilatérale. Pour rappel, le patient était hospitalisé en orthopédie dès le 10.05 pour une décompression sélective, herniectomie et décompression foraminale L4-5 droite en raison d'une hernie discale L4-L5 droite. L'intervention se complique d'une brèche durale justifiant une immobilisation durant 24 heures. Ce jour, le patient présente une dyspnée associée à une désaturation à 85%, sans instabilité hémodynamique. L'angio-CT pulmonaire confirme des embolies pulmonaires centrales bilatérales. Une échographie transthoracique écarte une répercussion sur le ventricule droit. Une anticoagulation par héparine est débutée avec relais le 16.05 par Apixaban (Eliquis) après accord avec l'opérateur. L'imagerie réalisée met en évidence une condensation pulmonaire en base gauche. Du Tazobac est débuté pour traiter une pneumonie nosocomiale. Transitoirement, un traitement d'Insuline Lantus et insuline Humalog en réserve sont introduits. Son traitement de Janumet/metformine pourra être repris à 48 h post-embolie pulmonaire et l'insuline stoppée. Patient de 84 ans connu pour les antécédents susmentionnés qui est amené en ambulance au service des urgences dans un contexte de toux avec expectorations jaunâtres évoluant depuis quelques jours sans état fébrile associé. Le bilan biologique effectué au service des urgences montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 74 mg/l, une leucocytose à 16 G/l, ainsi qu'une créatinine à 160 mol/l. La radiographie du thorax effectuée au service des urgences montre des foyers bi-basaux. Mme. Y est hospitalisée dans notre service pour la suite de la prise en charge et traitement de cette pneumonie. Sur le plan infectieux, nous débutons un traitement de Rocéphine 2g IV du 18.05 au 21.05.2019 puis relais per os par Co-Amoxicilline pour 7 jours avec bonne évolution clinique et biologique. Mme. Y bénéficie également de physiothérapie respiratoire. Suite à un état subfébrile nouveau le 26.05.2019 avec une réaugmentation de la CRP, nous majorons et prolongeons l'ABT à 3x/j jusqu'au 30.05.2019. À la recherche d'une nouvelle broncho-aspiration, nous demandons une RX de thorax. Afin d'exclure une autre source infectieuse, nous faisons un stix et un sédiment urinaire qui reviennent négatifs.Sur le plan rénal, la fonction rénale se corrige suite à une hydratation. Les dysélectrolytémies (K+ et Mg++) sont corrigées durant l'hospitalisation. En raison de sa consommation d'alcool, nous introduisons le Benerva IV du 21.05 au 23.05.2019 et le Supradyn. Sur le plan social, en discutant avec l'infirmière de liaison et le médecin traitant, nous proposons un placement rapidement après le retour à domicile pour prise en charge globale de l'antalgie et épuisement de la conjointe. Afin d'assurer le suivi, un prochain rendez-vous chez le médecin traitant est prévu pour le 06.06.2019. Patient de 84 ans connu pour une BPCO avec exacerbation en mars 2019 qui consulte en stomatothérapie pour des ulcères des membres inférieurs chroniques. Mr. Y y rapporte une dyspnée progressive depuis 3-4 jours avec une toux sans expectorations, EF ni frissons. Il rapporte aussi une orthopnée. Les infirmières constatent une dyspnée NYHA IV avec une désaturation à 75% à l'AA et la présence d'OMI bilatéraux récemment augmentés. Sur le plan respiratoire, on note une IVRS récente. Mr. Y est hospitalisé en médecine et bénéficie d'un traitement par oxygène, Prednisone, aérosols d'Atrovent et Ventolin ainsi que de la physiothérapie respiratoire. Compte tenu de la récidive précoce, un traitement par Spiriva est introduit pour compléter la bithérapie déjà en cours. L'évolution est lentement favorable malgré le traitement introduit ainsi que l'absence d'un syndrome inflammatoire, motivant encore la réalisation d'un CT thoracique qui permet d'exclure une embolie pulmonaire. Sur avis pneumologique, le traitement de Symbicort est substitué par du Vannair avec chambre d'inhalation, permettant une nette amélioration avec disparition des sibilances. Le sevrage d'oxygène peut se faire le 21.05.2019. Une insuffisance rénale nouvelle le 15.05.2019 motive l'introduction temporaire d'une hydratation i.v. ainsi que la mise en suspens de ses traitements néphrotoxiques, qui sont repris le 20.05.2019. En raison d'une évolution favorable, Mr. Y est transféré à Tafers le 23.05.2019 pour la suite de sa prise en charge. Le patient n'ayant pas eu de fonctions pulmonaires depuis 2016, nous laissons le soin au médecin traitant d'organiser de nouvelles fonctions 6 semaines après le séjour à Tafers. Patient de 84 ans connu pour une pancréatite chronique qui présente depuis le 22.05.2019 des douleurs abdominales diffuses en augmentation avec une intensité à 9/10 ce jour sans irradiation. La qualité de la douleur est la même que les douleurs de pancréatite qu'il a connues. Il ne se plaint ni de nausées ni de vomissements. Il nous est ré-adressé ce jour par le home en raison de la persistance des douleurs intenses. Le CT abdominal effectué le 23.05.2019 lors de sa première consultation a montré un foyer en base pulmonaire droite, l'antibiothérapie est poursuivie jusqu'au 27.05.2019. Néanmoins, une lésion pulmonaire sous-jacente ne peut pas être exclue, au vu d'un syndrome inflammatoire très léger corrélant peu à la clinique. Selon l'évolution, nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle radiologique standard à 2-3 semaines. Sur le plan digestif, un US permet d'exclure une lithiase biliaire ou une cholécystite. Un avis chirurgical est demandé et aucune sanction chirurgicale n'est retenue. Un traitement par laxatif et antalgie permet une amélioration rapide des douleurs abdominales et le retour d'un transit normal. En parallèle, Mr. Y présente un profil glycémique légèrement élevé lors des contrôles de midi et le soir. Nous décidons de ne pas introduire de traitement en cours d'hospitalisation en raison du contexte infectieux actuel, cependant, nous suggérons l'introduction de 2 à 4 unités d'insuline rapide le matin en cas de persistance de glycémies élevées. Mr. Y présente une amélioration de sa symptomatologie en cours de séjour, lui permettant de regagner son home le 28.05.2019. Patient de 84 ans, connu pour une pneumopathie (fibrose pulmonaire) chronique d'origine indéterminée qui nous est adressé le 21.05.2019 en raison d'une désaturation à 68% à l'air ambiant. Pour rappel, le patient était traité par Co-Amoxicilline depuis le 16.05.2019 pour suspicion de pneumonie. Le bilan biologique au service des urgences met en évidence un syndrome inflammatoire et une insuffisance respiratoire globale. La radiographie du thorax met en évidence des signes de surcharge. Mr. Y est hospitalisé dans notre service pour la suite de la prise en charge. Nous effectuons un CT thoracique le 22.05.2019 qui met en évidence au niveau du lobe supérieur gauche une image en verre dépoli compatible avec une pneumonie et exclut une embolie pulmonaire. La fibrose pulmonaire est stable. Nous débutons un traitement par Lasix IV ainsi qu'un sevrage progressif de l'oxygénothérapie. L'ETT du 23.05.2019 montre une bonne fonction ventriculaire gauche et une absence de valvulopathie. Le 24.05.2019 vers 18h, Mr. Y présente un malaise avec troubles de l'état de conscience avec un score de Glasgow à 3. La tension artérielle est non mesurable. Nous débutons une oxygénothérapie à 100%. L'ECG montre des signes de STEMI aigu. Au vu des directives anticipées du patient, nous n'entreprenons pas d'investigations supplémentaires et débutons des soins de confort. Mr. Y décède le 24.05.2019 à 18h10. Patient de 84 ans, professeur de cardiologie retraité et connu pour une fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom, une hypertension artérielle et des troubles cognitifs non investigués, est hospitalisé dans un contexte de suspicion d'AVC. Pour rappel, Mr. Y est amené aux urgences en ambulance en raison de troubles de la parole persistants depuis environ 24 heures selon son épouse. Il existe une notion de compliance douteuse chez ce patient qui aurait arrêté tous ses médicaments hormis le Sintrom. Aux urgences, le patient présente un discours initialement incompréhensible s'améliorant progressivement par la suite. Un CT cérébral ne révèle pas de lésions ischémiques récentes. Le patient est hospitalisé en lit non monitoré de Stroke Unit. L'IRM cérébrale met en évidence une lésion ischémique aiguë punctiforme corticale dans le territoire de l'artère sylvienne gauche, des lésions hémorragiques d'allure ancienne au niveau occipital gauche, une atrophie cérébrale avec leucoaraïose et lésions athéromateuses. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre notamment une hypokinésie globale sévère avec une fraction d'éjection à 30% et une sténose aortique serrée. L'origine suspectée de cet AVC est donc cardio-embolique. Sur le plan médicamenteux, nous reprenons l'anticoagulation par Sintrom après exclusion de lésions hémorragiques récentes avec un relais par Clexane thérapeutique jusqu'à atteinte de l'INR cible (2-3). En raison d'un profil tensionnel élevé, nous introduisons un traitement par Amlodipine que nous changeons pour du Lisinopril en raison de la dysfonction systolique retrouvée à l'échographie. Un traitement hypolipémiant par Atorvastatine est également débuté. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction. Au niveau cognitif, nous observons des troubles cognitifs majeurs chez ce patient probablement dans le cadre d'une démence d'origine indéterminée avec des propositions de bilan non réalisées par le patient, qui se montre de manière générale, méfiant voire opposant à toute proposition du personnel soignant. À noter que ces troubles cognitifs sont à l'origine de plusieurs hospitalisations ces derniers temps. Un bilan neuropsychologique sommaire est réalisé et conclut à l'absence de capacité de discernement du patient en ce qui concerne sa santé. Un avis par nos collègues psychiatres est également réalisé et confirme cette conclusion. Il n'existe par contre pas d'éléments actuellement afin d'ordonner un placement à des fins d'assistance à ce stade. Après discussion avec l'épouse et le frère de Mr. Y, il est décidé d'un retour à domicile le 23.04.2019. Une aide à domicile privée est organisée pour cette date afin de soulager Mme. Y qui nous fait part de son incapacité à s'occuper seule de son mari. Le Dr. X, médecin traitant de Mr. Y, est également contacté et adhère à notre proposition de prise en charge. Mr. Y nous disant ne plus conduire, nous précisons malgré tout que la conduite est contre-indiquée dans ce contexte.Au niveau cardiologique, une dysfonction systolique sévère avec sténose aortique serrée est mise en évidence à l'échocardiographie. Après discussion avec Mr. Y, son épouse et son frère médecin, et vu le contexte global, nous renonçons à effectuer plus d'investigations en vue d'une intervention de type TAVI. En cas de changement d'attitude, une consultation pourrait être organisée chez le Dr. X. Le patient rentre donc à domicile le 23.04.2019. Le suivi médical sera effectué chez le médecin traitant le Dr. X avec notamment le suivi de l'INR. Au vu du contexte et pour le confort de Mr. Y, nous renonçons à prévoir un suivi neurovasculaire dans notre service. Nous restons malgré tout à disposition et vous laissons nous contacter si un suivi neurologique vous semble indiqué. • Patient de 85 ans, agriculteur de profession, qui consulte les urgences pour un pic hypertensif. Il est connu pour une hypertension artérielle traitée avec Lisitril et pour une sténose aortique modérée suivi par le Dr. X. A son arrivée aux urgences, il est hypertendu à 186/92 mmHg, normocarde à 84 bpm, afébrile, avec une saturation à 94% à l'air ambiant. Le statut, sauf un souffle systolique dans le foyer aortique, est sans particularité. Aussi, au niveau neurologique, il est sans anomalie. Nous réalisons un ECG et une radiographie du thorax qui reviennent sans anomalie. Nous avons contacté le secrétariat du Dr. X, cardiologue, qui nous a transmis le rapport de la dernière consultation cardiologique. Le patient a une sténose avec une surface estimée à 1.4 cm qui n'a pas progressé et pour laquelle le Dr. X propose un contrôle dans un an. Le patient est resté aux urgences deux heures et il a progressivement diminué sa tension artérielle au vu de la prise du Lisipril vers 08h30. A la sortie, la tension est à 154/89 mmHg et il n'a plus de vertige. Le patient peut rentrer à domicile avec l'indication de prendre tous les jours ses médicaments pour l'hypertension. Nous lui conseillons de contrôler régulièrement sa tension artérielle et de prendre un rendez-vous avec son médecin traitant dans deux semaines pour évaluer la nécessité d'adapter le traitement. • Patient de 86 ans, connu pour les antécédents susmentionnés qui consulte aux urgences en raison d'une sensation de malaise avec désaturation à l'air ambiant, associée à une dyspnée à l'effort depuis 6 mois, sans autres symptômes cardiologiques. Le bilan biologique effectué aux urgences exclut un syndrome coronarien aigu ainsi qu'une embolie pulmonaire. La radiographie du thorax montre des signes discrets de redistribution vasculaire. Le diagnostic de décompensation cardiaque à prédominance gauche est posé et le patient est hospitalisé dans notre service pour la suite de la prise en charge. Sur le plan cardiologique, nous débutons un traitement diurétique par Lasix IV 20 mg avec relais per os au cours de l'hospitalisation et bénéficions d'une oxygénothérapie avec sevrage progressif. Nous effectuons une échocardiographie qui montre une fonction cardiaque conservée sans valvulopathie significative et superposable à la dernière échocardiographie datant de janvier 2019. Sur le plan rénal, le patient présente une discrète péjoration de sa fonction rénale. Nous proposons un contrôle chez le médecin traitant en ambulatoire. Sur le plan métabolique, au vu de la fonction rénale à la sortie de 35 ml/min, nous introduisons du Trajenta à la place de la metformine. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient peut quitter notre service le 9.05.2019. • Patient de 86 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, qui est envoyé par Medhome dans le contexte d'une baisse de l'état général avec mise en évidence d'une fibrillation auriculaire inaugurale. Le patient ne présente pas d'autres symptômes gastro-intestinaux, ni de douleurs abdominales. Le bilan biologique effectué aux urgences met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 111 ng/l sans leucocytose associée, ainsi qu'une insuffisance rénale avec une créatinine à. Le stix et sédiment urinaire montrent une bactériurie et une leucocyturie. Le diagnostic d'infection urinaire haute est posé et le patient est hospitalisé le 08.05.2019 dans notre service pour la suite de la prise en charge. Nous débutons initialement une antibiothérapie par Ceftriaxone puis par Céfépime. Les cultures d'urines reviennent positives pour un Serratia marcescens et des Enterococcus faecalis. L'évolution clinique est rapidement favorable et le relais per os par ciprofloxacine est effectué dès le 11.05.2019, à poursuivre jusqu'au 20.05.2019 inclus. Nos collègues urologues ne retiennent pas l'indication à un changement en urgences des néphrostomies. Un RDV en ambulatoire est agendé le 19.06.2019 en radiologie pour changement des sondes. Sur le plan cardiologique, nous mettons en évidence une fibrillation auriculaire inaugurale qui survient dans le contexte infectieux. Nous débutons une anticoagulation par Clexane à dose thérapeutique et introduisons un bêta-bloquant dès le 8.05.2019. L'ECG de contrôle durant l'hospitalisation montre un rythme sinusal. Après discussion avec le patient, nous renonçons à une anticoagulation thérapeutique à long terme d'emblée et organisons en ambulatoire un Holter. L'anticoagulation sera à rediscuter en fonction des résultats du Holter. Au vu de l'amélioration clinique et biologique, le patient peut rentrer à domicile le 15.05.2019 avec un suivi en ambulatoire organisé. • Patient de 87 ans admis pour une coronarographie élective pour le traitement de l'IVA moyenne. La coronarographie du 14.05.2019 montre un bon résultat après PCI de l'ACD et de la Cx. Comme prévu, nous avons procédé à une angioplastie de l'IVA moyenne avec implantation de 2 stents actifs et un bon résultat final. Le traitement de double antiagrégation par Plavix à vie et Aspirine pour 6 mois est à poursuivre. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès du Dr. X avec une ergométrie dans 1 an. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 15.05.2019. • Patient de 87 ans, connu pour un carcinome neuroendocrinien au niveau du MSG avec métastases hépatiques ainsi qu'un lymphome splénique. Il consulte en raison de l'apparition rapidement progressive d'une tuméfaction de l'hémi-face gauche avec hypoesthésie et parésie localisée au niveau péribuccal. Il note également l'apparition de lésions cutanées indurées prurigineuses sous forme de papules violacées sur l'avant-bras gauche. Il se plaint depuis 10 jours d'une fatigue et inappétence progressive. Il aurait perdu environ 10 kg en quelques semaines. Il décrit par ailleurs des douleurs abdominales crampiformes ubiquitaires. Le statut met en évidence une légère chute de la commissure labiale à gauche ainsi qu'une hypoesthésie péribuccale. L'abdomen est douloureux à la palpation sans signe de péritonisme.Les analyses laboratoires montrent une aggravation de la bicytopénie connue dans un contexte oncologique. Un CT du massif facial met en évidence une masse tissulaire sur l'arcade zygomatique probablement tumorale. Les plaintes neurologiques sont spontanément régressives, persiste une minime hypoesthésie péribuccale. Malgré une majoration de l'analgésie, l'évolution clinique est défavorable avec une péjoration des douleurs ainsi qu'une baisse rapide de l'état général. Selon la volonté du patient, en accord avec son oncologue, Dr. X nous renonçons à une prise en charge thérapeutique supplémentaire de la nouvelle masse tumorale en raison du contexte palliatif et de l'absence de répercussion sur qualité de vie. Les douleurs sont régulées à court terme avec une pompe Fentanyl. Une anémie symptomatique à 74 g/L d'hémoglobine est transfusée à raison d'un CE le 10.05.2019 avec légère amélioration de la fatigue généralisée. Après une discussion avec le patient et ses proches, Mr. Y est transféré en soins palliatifs à la Villa Saint-François pour la suite de la prise en charge. Patient de 89 ans admis pour une coronarographie élective en raison d'une dyspnée d'étiologie peu claire. La coronarographie du 2.05.2019 montre une stabilité de la maladie coronarienne sans nouvelle lésion, ni resténose intrastent. Les 3 pontages sont perméables. Nous poursuivons le traitement habituel du patient. Au vu de l'âge et d'une coronarographie tard dans la journée, le patient reste hospitalisé sur la nuit. Les suites post-interventionnelles sont sans complications, notamment au niveau du point de ponction. Le patient rentre à domicile le 3.05.2019. Patient de 89 ans, connu pour des antécédents oncologiques dont un carcinome neuro-endocrine en 2009 et un cancer colorectal opéré en 2015 sans suivi oncologique, qui est adressé au service des urgences suite à la découverte d'un épanchement pleural droit lors d'un CT réalisé pour une dyspnée chronique depuis 3 mois. À son arrivée, Mr. Y se plaint d'orthopnée, d'une toux grasse matinale et d'une augmentation des œdèmes des membres inférieurs. L'examen révèle une hypoventilation basale droite au niveau de l'épanchement pleural et des œdèmes des membres inférieurs jusqu'aux mollets. Le bilan biologique montre une légère insuffisance respiratoire hypoxémique et une insuffisance rénale d'allure chronique. Le patient est hospitalisé ensuite en médecine pour la suite de la prise en charge. Sur le plan cardiaque, une insuffisance cardiaque est évoquée, raison pour laquelle nous suspendons le traitement habituel de Torasémide et introduisons un traitement par Lasix iv. Le dosage du NT-proBNP est néanmoins dans la norme supérieure et l'échographie transthoracique infirme l'hypothèse de décompensation cardiaque. L'ECG montre un bloc atrioventriculaire du premier degré. Le traitement de Lasix est finalement relayé par du Torasémide à 20 mg 1x/j (au lieu des 15 mg habituels), ce qui permet une réduction des œdèmes des membres inférieurs et une perte de poids de 1.4 kg. Sur le plan pulmonaire, l'épanchement pleural est ponctionné et rend seulement 600 ml, possiblement sur une malposition du drain. L'analyse du liquide révèle un exsudat à prédominance lymphocytaire probablement d'origine néoplasique malgré l'absence de cellule tumorale visualisée à la cytologie. Nous nous mettons d'accord pour un traitement conservateur au vu du contexte et traitons la dyspnée symptomatiquement par Morphine orale. En raison de la stabilité de l'épanchement résiduel, nous ne re-ponctionnons pas et laissons le patient rentrer à domicile. En cas de récidive ou péjoration clinique, l'épanchement pourrait être re-ponctionné et une indication à une pose de pleurX envisagée. Sur le plan médicamenteux, Mr. Y est traité par Aspirine pour une suspicion de démence vasculaire posée en 2009. Cette prescription s'accompagne d'un traitement de Pantozol. Au vu de l'incertitude de ce diagnostic et des éventuels effets indésirables, nous décidons de les interrompre. En raison d'une évolution spontanément favorable avec un sevrage progressif de l'oxygène réalisé avec succès, Mr. Y rentre à domicile le 17.05.2019. Patient de 90 ans se présente au service des urgences pour une rétention urinaire et péjoration de sa dyspnée (NYHA III). Sur le plan cardiaque, le patient présente des signes de décompensation cardiaque globale, avec une bonne réponse au traitement diurétique. Sur le plan urinaire, une pose de sonde urinaire à l'entrée soulage rapidement le patient. Deux tentatives de retrait de sonde échouent. Un Proteus Mirabilis est retrouvé dans les urines du patient, expliquant le globe urinaire. Après traitement de ce dernier par Cotrimoxazole, le retrait de sonde se déroule sans complications. La poursuite de la tamsulosine est à réévaluer à distance de l'hospitalisation. Sur le plan digestif, Mr. Y est connu pour une colite à collagène traitée par Budésonide ; il présente lors du séjour des crises douloureuses abdominales et anales. Un CT du pelvis montre un fécalome rectal mesurant jusqu'à 74 mm de diamètre nécessitant une extraction au bloc opératoire le 01.05.2019. L'évolution clinique est bonne après adaptation du régime et des laxatifs, avec finalement introduction de Colosan pour des selles molles. Une colonoscopie en ambulatoire en raison d'un toucher rectal toujours algique est organisée le 22.05.2019. De la physiothérapie du plancher pelvien est à évaluer. Sur le plan orthopédique, le patient a été opéré au mois de mars d'une rupture partielle du long extenseur du pouce gauche, immobilisé par attelle. Nous demandons un avis orthopédique en l'absence de son orthopédiste, Dr. X (vacances). Ces derniers préconisent le retrait de l'attelle avec mobilisation selon tolérance, des pansements avec Prontosan 3x/semaine jusqu'à résolution de la plaie et un contrôle clinique à 3 mois post-opératoire. Compte tenu du déficit d'amplitude, une prise en charge ambulatoire en ergothérapie pourrait être envisagée selon la demande fonctionnelle du patient mais n'est pas indispensable. Mr. Y peut rejoindre son EMS le 10.05.2019. Patient de 93 ans, connu pour fibrillo-flutter sous Eliquis et hypertension artérielle, qui nous est transféré du service de médecine HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour prise en charge d'un déconditionnement, de difficultés à la marche et d'une dépendance dans les activités de la vie quotidienne suite à une décompensation cardiaque globale le 04.04.2019. Pour rappel, Mr. Y fut initialement mis au bénéfice d'un traitement diurétique intraveineux avec bonne évolution clinique, avec notamment nette diminution des épanchements pleuraux. Une échocardiographie mettait en évidence une fraction d'éjection ventriculaire à 50% avec des signes indirects d'hypertension artérielle pulmonaire, dans un contexte d'asthme fixé, versus bronchopneumopathie chronique obstructive. Le traitement du patient fut ensuite adapté, avec arrêt du Dilzem et introduction de bêtabloquant et d'IEC. Le traitement diurétique fut aussi mis en suspens en raison d'hypotension durant l'hospitalisation, mais a pu être repris en fin de séjour. Du point de vue respiratoire, malgré le traitement de la décompensation cardiaque, Mr. Y reste dyspnéique, tachypnéique et nécessite un débit d'oxygène supérieur aux valeurs habituelles. Un traitement de Prednisone pour une exacerbation d'asthme fixé est introduit avec une évolution lentement favorable. Le patient bénéficiait auparavant d'un traitement d'oxygénothérapie à domicile depuis la sortie de son hospitalisation en février 2019 dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz. Durant ce séjour, Mr. Y peut se sevrer de l'oxygène (saturation à 94% à l'air ambiant à la sortie).A l'anamnèse, nous ne relevons pas de douleur rétrosternale, pas de plainte urinaire ni autre. Sur le plan social, Mr. Y vit avec son épouse et marche sans moyen auxiliaire. Le status à l'admission est dans la norme, mis à part sur le plan pneumologique, où sont signalés des murmures vésiculaires symétriques avec râles ronflants diffus et léger fin crépitant aux deux bases. Mr. Y présente le 18.04.2019 (lendemain de son arrivée dans notre service), une suspicion de pneumonie rétro-cardiaque, avec des crépitants bibasaux et syndrome inflammatoire. Nous traitons par une antibiothérapie probabiliste (Rocéphine) à une dose adaptée à la fonction rénale (1g/j), avec bonne évolution. Le 24.04.2019, le patient fait une nouvelle décompensation cardiaque avec prise de 1.3kg, des œdèmes aux membres inférieurs et des crépitants bibasaux. Initialement, nous instaurons du Lasix conjointement avec la Métolazone ainsi que la Digoxine (3x/semaine). Finalement, étant donné la bonne évolution, nous reprenons le Torem à 30mg/l depuis le 29.04.2019 à la place du Lasix. Le dosage de la Digoxine étant infra-thérapeutique, nous majorons la Digoxine et vous laissons le soin de réévaluer ce taux en ambulatoire. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche accompagné et à l'aide d'un rollator est de 120 mètres avec une pause. Le patient nécessite un peu d'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 88/126 par rapport à 62/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 3/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas effectué. Au niveau nutritionnel, nous objectivons une malnutrition protéino-énergétique sévère en lien avec une inappétence, et démontrée par un NRS à 5/7, une perte de 10% de son poids de forme en 1 mois, des ingesta de 25 à 50% de ses habitudes depuis 3 semaines et un indice de masse corporelle à 18 kg/m2. Dans ce contexte, nous proposons des suppléments nutritifs oraux. Au niveau ergothérapeutique, nous mettons en place des adaptations ainsi qu'une évaluation des mesures à prendre lors du retour à domicile, qui a lieu le 03.05.2019. Mr. Y, patient de 93 ans polymorbide, nous était adressé par son médecin traitant initialement le 04.03.2019 pour une baisse de l'état général suite à une chute à domicile, avec hospitalisation jusqu'au 28.03.2019 avant un retour à domicile. Le bilan mettait en évidence une hémoglobine à 69g/l nécessitant une transfusion. Le 04.04.2019, le patient était réhospitalisé en gériatrie aiguë en raison d'une fatigue de plus en plus importante ; à l'hétéroanamnèse, le fils indiquait que son papa ne se mobilisait plus ni ne s'alimentait sans stimulation externe. Le 10.04.2019, Mr. Y était placé en séjour de reclassement, avec projet d'institutionnalisation par la suite. Toutefois, ce 16.04.2019, Mr. Y se plaint d'une importante fatigue ainsi que de douleurs diffuses à l'épaule droite, la nuque et aux membres inférieurs (suite à la chute) justifiant son reclassement en gériatrie aiguë. Sur le plan chirurgical, le patient présente depuis sa dernière hospitalisation pour chute des plaies multiples aux membres que nous surveillons au cours du séjour. Mr. Y poursuit une physiothérapie de mobilisation. A la sortie, son périmètre de marche accompagné et à l'aide d'un rollator est de 100 mètres. Les escaliers ne sont pas testés. Le patient nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 57/126. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 42 secondes avec un rollator. Le risque de chute reste élevé. Le bilan nutritionnel met en évidence un apport oral insuffisant, en lien avec une inappétence et des prothèses dentaires non adaptées, démontré par des ingestas couvrant 67% de ses besoins énergétiques théoriques. Le patient refuse actuellement toute adaptation de son régime et les suppléments nutritifs oraux. En ergothérapie, Mr. Y profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Notons un état confusionnel développé par le patient durant son séjour en reclassement précédent, en lien avec un traitement antibiothérapeutique par Ceftriaxone intraveineuse du 12.04.2019 au 14.04.2019, relayé par Ciprofloxacine depuis le 15.04.2019 pendant 7 jours en raison d'une culture urinaire positive à Pseudomonas aeruginosa effectuée suite à des douleurs abdominales et des symptômes urinaires. Un arrêt de l'antibiothérapie s'avère cependant impossible en raison du manque d'alternative valide. Nous effectuons donc un suivi de l'orientation du patient durant l'antibiothérapie : Mr. Y reste calme durant cette période, et son état confusionnel se résout au terme de l'antibiothérapie. Dès le 18.04.2019, Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un nouveau séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, Mr. Y sera transféré au Home Les Martinets de Villars-sur-Glâne le 25.04.2019. Mr. Y, patient de 94 ans, institutionnalisé au foyer Ste-Marguerite de Vuisternens-devant-Romont, notamment connu pour des troubles cognitifs et une cardiopathie mixte, est adressé aux urgences de l'HFR Riaz pour pneumonie bilobaire gauche le 12.04.2019. Plus précisément, Mr. Y est amené en ambulance en raison d'une baisse d'état général dans les suites d'une pneumonie traitée par Oxifloxacine puis par Co-Amoxicilline à partir du 09.04.2019. Le reste de l'anamnèse est non contributif. Au status d'entrée aux urgences, le patient est eupnéique, désaturé à 88% à l'air ambiant, et nous notons des râles crépitants en base gauche. Au status cardiaque, signalons des B1 et B2 bien frappés, avec souffle systolique à 3/6 maximal au foyer triscupidien. Au status neurologique, Mr. Y est agité et non collaborant, désorienté aux 3 modes. Le bilan biologique indique un syndrome inflammatoire avec CRP à 149mg/l, des leucocytes à 10.9G/l, un potassium à 3.6mmol/l, le sodium à 135mmol/l et la créatinine à 137µmol/l. Les antigènes urinaires sont demandés, mais finalement pas réalisés. Une radiographie thoracique effectuée le jour même de son arrivée visualise une désorganisation de la trame bronchovasculaire avec un infiltrat en partie interstitiel et par endroits confluents, de toute la plage pulmonaire gauche, associée à un arrondissement des sinus costo-diaphragmatiques pouvant traduire un épanchement pleural, le tout compatible en premier lieu avec une pneumonie. Une pneumonie bilobaire gauche est donc retenue. Une antibiothérapie par Rocéphine 2g intraveineux et Klacid 500mg 2x/j est débutée, avec oxygénothérapie. Des antigènes urinaires sont demandés, cependant non prélevés. Sur le plan rénal, soulignons une insuffisance de stade AKIN I. Une hydratation par NaCl 1000ml/12h est administrée avec mise en suspens du traitement diurétique. Finalement, Mr. Y est retrouvé le 14.04.2019 vers 20h30, décédé dans sa chambre. Mr. Y, patient en bonne santé habituelle, consulte les urgences de Riaz le 05.05.2019 en raison de douleurs para-vertébrales sur AVP du 01.05.2019 à 40 km/H. Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique qui revient aligné. Le sédiment urinaire est propre. La radiographie du thorax ne montre pas de pneumothorax. La radiographie de la colonne dorsale et cervicale ne montre pas d'anomalie du mur antérieur et postérieur et ne montre pas de fracture. Il reçoit 2 mg de Sirdalud avec amélioration des symptômes.Dans ce contexte et au vu d'un patient cliniquement rassurant, il rentre à domicile avec une antalgie simple et du Sirdalud. • Patient est déjà sous patch Nitro • Dancor 2x/j • Contact avec le cardiologue • Tests de la cognition du 14.05.2019 : MMSE à 25/30, test de la montre à 7/7 ; GDS à 5/15. • Patient est en traitement avec Potassium effervette. • Patient gaucher, anciennement agriculteur qui a remis son domaine et qui aimerait retrouver son travail d'aide-géomètre. L'examen clinique, au vu du status per-opératoire, est très satisfaisant sur le Dr. X. Il demeure encore un déficit en flexion extrême, extension d'extrême de 10 à 20° que, selon le Dr. X, le patient pourrait récupérer en continuant à batailler. Nous l'encourageons donc à poursuivre ses séances de physiothérapie et d'ergothérapie malgré la stagnation depuis plusieurs semaines et prescrivons de nouvelles ordonnances dans ce sens. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. Au niveau socio-professionnel, reprise de l'activité professionnelle à 30% dès le 13.05.2019 puis à 50% dès le 1er juin. • Patient hospitalisé en mode électif pour une pose de Pacemaker VVI dans le contexte d'une fibrillation auriculaire bradycarde symptomatique (dyspnée NYHA II). La pose de Pacemaker et les suites opératoires n'ont présenté aucune complication. Une radiologie du thorax ne met pas en évidence de pneumothorax. Un contrôle du Pacemaker post-opératoire est sans particularité. La cicatrice post-opératoire est calme, sans signe de saignement. Concernant l'abus d'alcool, aucune réserve de Seresta n'a été nécessaire durant l'hospitalisation. Mr. Y peut donc rentrer à domicile le 10.05.2019. • Patient mis à jeun pour examens à la demande du CHUV, a reçu sa tresiba habituelle le 31.05.2019 -> suivi des glycémies. • Suivi antiXa. • Patient nettement soulagé, revient les 12.05. et 14.05. pour contrôle de plaie avant son voyage le 15.05.2019. • Patient parti sans consultation médicale. • Patient parti sans consultation médicale. • Patient parti sans consultation médicale. Après contact avec son Médecin Traitant, le patient nous appelle pour nous informer qu'il se rendra chez lui le 27.05.2019. • Patient qui a consulté hier aux urgences pour un sinus pilonidal qui a été incisé, rincé et méché. Pas de fièvre, douleur soulagée par Dafalgan. L'examen clinique ne montre pas de signe de surinfection. Ablation de la mèche, pas de rougeur, pas de chaleur, pas d'écoulement. Pansement sec. Le patient est prévenu de faire 4 à 6 douches par jour. Le patient est prévenu de revenir en cas de fièvre. Le patient ne travaille pas, pas besoin d'arrêt de travail. Le patient se trouvera un médecin traitant et la suite se fera chez lui. • Patient qui consulte les urgences pour une angine depuis 3 jours sans fièvre. Au vu d'un score de Centor à 2, nous réalisons un test rapide aux streptocoques qui revient négatif. Nous posons le diagnostic de pharyngite virale et donnons au patient un traitement symptomatique avec Dafalgan et Brufen. Nous conseillons au patient de consulter son médecin traitant s'il commence à avoir de la fièvre, toux et détérioration générale de la symptomatologie. • Patient qui est amené en ambulance, après un entretien et en attendant une consultation psychiatrique, le patient tente de fuguer alors qu'il avait eu la permission de sortir fumer accompagné du Securitas. Le patient a tenté de s'enfuir en courant, le Securitas présent lui a couru après et l'a plaqué au sol, il a ensuite été aidé par un réceptionniste. Le patient, très violent, a donné plusieurs coups de manière volontaire. Il a ensuite été porté à l'intérieur où il a dû être maîtrisé par 6 personnes. Ensuite, contention physique, puis chimique (Haldol 5mg et Dormicum 5mg i.m., puis Haldol 5mg i.m.). • Patient qui présente donc une déchirure complète du LCA associée à une instabilité dans les activités de la vie quotidienne et pour laquelle on retient l'indication à une prise en charge chirurgicale sous forme d'AS diagnostique et plastie du LCA par TQ à gauche. L'intervention est agendée pour le 14.08.2019. Il sera revu en consultation le 02.08.2019 pour la signature du formulaire de consentement. • Patient qui présente une évolution favorable à presque 2 semaines d'un traumatisme à son genou droit et pour lequel nous proposons de débuter un traitement par physiothérapie axé sur l'antalgie, étirements des chaînes postérieures, proprioception, gainage et renforcement musculaire. Au vu de l'évolution actuelle favorable, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'office et le patient reprendra contact à la fin des séances de physiothérapie au besoin. • Patient qui présente une évolution favorable à 2 mois et demi de cet échec de plastie du LCA avec absence d'instabilité. Nous lui proposons de poursuivre la rééducation sous forme de fitness médicalisé. Il augmentera peu à peu son niveau d'activité. Prochain contrôle dans le courant du mois d'août. En cas d'apparition d'une instabilité avec l'augmentation de l'activité, le patient serait candidat à une prise en charge chirurgicale. • Patient qui présente une évolution favorable à 4 mois postopératoires. Il poursuivra la physiothérapie axée sur la mobilisation de la rotule, massage décollement de la cicatrice, étirement des chaînes postérieures et renforcement musculaire. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. • Patient qui présente une évolution favorable après ce premier épisode de luxation de rotule. Je lui propose de poursuivre la rééducation sous forme de fitness médicalisé afin de compenser ce déficit musculaire. Prochain contrôle clinique le 06.09.2019. • Patient qui présente une évolution stagnante presque 10 mois après une prise en charge chirurgicale au niveau de la cheville gauche et qui l'empêche de reprendre son activité professionnelle. Nous proposons de compléter le bilan par un CT-scanner comparatif des deux chevilles afin de bilanter la position de l'articulation tibio-fibulaire externe et aussi de réaliser une IRM de la cheville gauche afin de rechercher une éventuelle lésion chondrale. Le patient poursuivra dans l'intervalle le traitement de physiothérapie et d'ergothérapie. Prochain contrôle après les examens. L'arrêt de travail est prolongé jusqu'au prochain contrôle. • Patient qui revient pour un bilan laboratoire et un avis orthopédique. Le bilan ne montre pas de signes d'inflammation ou d'infection. Nous retenons le diagnostic susmentionné. Face à l'absence de signes de gravité, nous laissons le patient rentrer à domicile en restant à disposition en cas de détérioration. • Patient qui revient pour un contrôle clinique du diagnostic susmentionné. Amélioration de la tuméfaction. Sera opéré demain. • Patient qui se présente en raison d'une tique implantée 5 cm au-dessus de son mamelon droit. Tique présente depuis deux jours. Nous retirons la tique et désinfectons le lieu de piqûre. Nous conseillons le patient sur les signes à surveiller tout en le rassurant. Il doit reconsulter s'il observe un œdème, une purulence au niveau de la plaie. • Patient rassuré, pas d'indication urgente à des investigations complémentaires. Patient a déjà pris un rendez-vous chez son cardiologue en France dès son retour de voyage. Si récidive des douleurs, il doit reconsulter encore en Suisse. • Patient reconvoqué ce matin pour contrôle filière des urgences ambulatoires. Sédiment urinaire. Status clinique abdominal. Poursuite prise en charge en place. Contrôle chez le pédiatre en début de semaine. • Patient reconvoqué suite à une chute sur le dos en roller le 10.05.2019. Reconvoqué pour un sédiment urinaire et un status abdominal. Aux urgences, nous retrouvons un jeune patient sans plainte, avec diminution des douleurs au niveau du coude. Un sédiment urinaire ne montre pas d'hématurie ou de pyurie. Un status clinique se voulant rassurant, le patient prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour son coude durant la semaine à venir. D'ici là, il est invité à reconsulter en cas de douleurs abdominales aiguës nouvelles.Patient rentre à domicile avec l'indication de prendre son traitement antihypertenseur tous les jours, de la noter sur un carnet et de prendre un rendez-vous dans 10 jours avec son médecin traitant pour discuter du traitement. Nous lui conseillons aussi de rester au repos aujourd'hui. Patient rentre à domicile sans consultation médicale. Patient repart après avoir fait la dernière dose vaccinale Rabipur. Patient repart après avoir reçu des instructions concernant sa sonde. Patient repart après avoir reçu une injection Rabipur 1 ml. Patient repart après désinfection de sa cicatrice. Patient reparti sans consultation médicale. Rendez-vous au secteur ambulatoire des urgences le 27.05.2019. Patient reparti sans consultation médicale. Rendez-vous donné au secteur ambulatoire des urgences le 24.05.2019 à 10h00. Patient se sent mieux et repart après avoir reçu Voltarène 50 mg per os. Patient sera convoqué pour une prise de sang et scanner thoraco-abdominal en ambulatoire. Patient souhaite d'autres examens, mais nous ne voyons pas d'indications pour. Analgésie et anti-inflammatoire. Contrôle chez médecin traitant pour discussion de la procédure. Patient stable hypertendu à 190/88 mmHg, GCS 15/15. Aux Urgences, le patient reçoit 10 mg de primpéran et 1000 mg de paracétamol iv au vu des céphalées. L'ECG montre un RSR à 117 bpm. Le laboratoire est en cours. Devant un NIHSS à 6 et un GFAST à 2, nous prenons contact avec les neurologues et envoyons le patient en FAST Track. Patient traité chirurgicalement pour hypospadias, sténose du pylore et gros intestin. Status post-méningite en 2017. Patient vu au tri par Dr. X et adressé en ophtalmologie. Paracétamol 1 g, Voltarène 50 mg et Morphine po 10 mg. Mme. Y de 33 ans consulte pour un bouton douloureux de la grande lèvre droite depuis 4 à 5 jours associés à des frissons sans état fébrile documentés. À son admission, la patiente est afébrile. Nous mettons en évidence une pustule péri-vulvaire à droite avec fluctuation sous-jacente de 4 cm avec tuméfaction et érythème de la grande lèvre en regard, avec une adénopathie inguinale de 2 cm. Le bilan biologique retrouve une CRP à 26 mg/l avec une leucocytose à la limite de la norme. Dans ce contexte, l'indication opératoire est posée. L'intervention se déroule sans complications. Nous laissons une mèche bétadinée dans la plaie. Nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/j pour 5 jours. À noter que la patiente est tabagique et prend occasionnellement de l'Elyfem 30 en raison de métrorragies sous Implanon. Elle est avertie des risques thrombo-emboliques et lui proposons de reprendre un rendez-vous en policlinique pour en discuter. Mme. Y est admise pour une coronarographie élective en raison d'une douleur thoracique corrélée à un test d'effort positif. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne avec atteinte des trois vaisseaux avec sténoses significatives de la coronaire droite, de la circonflexe et d'une branche diagonale. La fonction systolique du VG est normale. Après discussion avec Mme. Y, nous procédons à une dilatation de la coronaire droite avec mise en place d'un stent actif. Nous convoquerons la malade pour traitement du réseau gauche dans 1 mois. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance liées aux soins intensifs sont sans complications. Patient rentre à domicile le 22.05.2019. Mme. Y est admise pour une coronarographie élective en raison d'une Ergométrie positive. L'examen du jour montre des lésions bitronculaires avec une sténose significative de l'artère coronaire droite proximale et moyenne, une sténose significative de l'artère marginale du bord droit et une occlusion chronique de pontage saphène Marginale 1. En accord avec Mme. Y, nous procédons avec succès à l'angioplastie de l'artère coronaire droite proximale avec implantation de 2 stents actifs. Succès d'angioplastie de l'artère coronaire droite moyenne. Implantation de 1 stent actif. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance liées aux soins intensifs sont sans complications. Patient rentre à domicile le 24.05.2019. Mme. Y est admise pour une coronarographie élective en raison d'une ergométrie positive. L'examen du jour montre une lésion monotronculaire avec sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation). Le reste des lésions est non significatif. En accord avec Mme. Y, nous procédons avec succès à l'angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Implantation de 1 stent actif. La patiente étant sous Eliquis pour une FA, un traitement par double antiagrégation par Aspirine pour 1 mois et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance liées aux soins intensifs sont sans complications. La patiente rentre à domicile le 24.05.2019. Mme. Y est admise pour une coronarographie élective en raison d'une intolérance à l'effort après chimio et radiothérapie pour Hodgkin médiastinal. L'examen invasif du jour démontre un cœur hyperkinétique avec tachycardie sinusale et tension artérielle élevée. Le cathétérisme cardiaque est dans les limites de la norme (discrète hypertension artérielle pulmonaire dans le cadre de cœur hyperkinétique). L'analyse des courbes à la recherche d'une constriction ne peut pas se faire à cette fréquence. Sclérose valvulaire aortique (gradient transvalvulaire de 3 mm Hg) avec légère insuffisance. La coronarographie avec imagerie intravasculaire par OCT démontre néanmoins une sténose focale et calcifiée de l'IVA proximale (certainement post-radique) qui pourrait expliquer la symptomatologie. De ce fait, angioplastie de cette lésion avec 2 stents actifs et un bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6-12 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Patient rentre à domicile le 25.05.2019. Mme. Y est admise pour une coronarographie élective St.n. coronaropathie ischémique avec 4 coronarographies et 7 stents. L'examen du jour montre un excellent résultat à long terme après stenting IVA; RCX/Marginale et CD proximale-moyenne. De novo sténose de la bifurcation de la coronaire droite distale. Nous procédons à une PCI avec kissing balloon et mise en place d'un stent actif. Nous proposons un traitement avec l'Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications.Le patient rentre à domicile le 23.05.2019. Mme. Y admise pour une fermeture de l'auricule suite à un AVC hémorragique sous Eliquis chez une patiente anticoagulée pour une FA. Comme convenu, nous avons procédé à une fermeture de l'auricule gauche par la voie percutanée avec mise en place d'un LAA occluder Amulet 18 mm. Une prophylaxie de l'endocardite bactérienne selon la carte orange doit être effectuée jusqu'à confirmation de l'occlusion du LAA, soit jusqu'au contrôle échocardiographique trans oesophagien dans 6 mois. Un contrôle par ETT confirme une bonne position du dispositif sans complication du geste. La coronarographie du 13.05.2019 montre une sténose subtotale de l'IVA moyenne au niveau de la bifurcation avec la branche diagonale. Nous avons donc décidé de traiter la lésion dans la même session avec deux stents actifs avec un bon résultat. Au vu d'une allergie à l'aspirine, nous introduisons l'Efient pour les 3 premiers mois, suivi d'un relais par Plavix avec dose de charge. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 14.05.2019. Mme. Y admise pour une fermeture de l'auricule suite à un AVC hémorragique sous Eliquis chez une patiente anticoagulée pour une FA. Comme convenu, nous avons procédé à une fermeture de l'auricule gauche par la voie percutanée avec mise en place d'un LAA occluder Amulet 18 mm. Une prophylaxie de l'endocardite bactérienne selon la carte orange doit être effectuée jusqu'à confirmation de l'occlusion du LAA, soit jusqu'au contrôle échocardiographique trans oesophagien dans 6 mois. Un contrôle par ETT confirme une bonne position du dispositif sans complication du geste. La coronarographie du 13.05.2019 montre une sténose subtotale de l'IVA moyenne au niveau de la bifurcation avec la branche diagonale. Nous avons donc décidé de traiter la lésion dans la même session avec deux stents actifs avec un bon résultat. Au vu d'une allergie à l'aspirine, nous introduisons l'Efient pour les 3 premiers mois, suivi d'un relais par Plavix avec dose de charge. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 14.05.2019. Mme. Y adressée en gynécologie pour suite de prise en charge. RDV à 16 heures. Mme. Y adressée en ORL pour suite de prise en charge. Mme. Y adressée le 04.04.2019 par les collègues de gynécologie HFR Fribourg - Hôpital cantonal, où elle était suivie pour un angiomyxome vulvaire profond, en raison d'une dyspnée. Elle explique être très fatiguée depuis sa sortie de l'HFR Riaz le 28.03.2019, où elle était restée hospitalisée 6 semaines suite à une pneumonie. Concernant la dyspnée, la patiente a toujours de la peine à respirer à l'effort mais se sent mieux que durant l'hospitalisation. Elle est toujours assez encombrée et tousse passablement. Mme. Y signale également des douleurs thoraciques à type de pression lors des efforts, mais qui étaient déjà présentes avant son hospitalisation. L'entretien avec l'infirmière à domicile et la petite-fille met en évidence une angoisse très importante à domicile, qui est prépondérante et rend le maintien à domicile difficile, surtout la nuit. La petite-fille, seule personne de référence, songe à proposer un placement à sa grand-mère. Au status, signalons un bon état général et une patiente bien réveillée. À l'auscultation cardiaque, les B1 et B2 sont bien frappés, sans souffle audible ; il n'y a pas d'œdème aux membres inférieurs. L'auscultation pulmonaire signale un murmure respiratoire symétrique et des sibilances à toutes les plages. L'examen abdominal indique des bruits normaux en tonalité et en fréquence ; l'abdomen est souple et indolore. Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique qui montre une cinétique de troponines négative, un NT-proBNP à 1273 ng/l, une minime élévation de la CRP sans leucocytose. La gazométrie révèle une alcalose respiratoire dans le contexte d'une hypoxémie. La radiographie de thorax montre des signes de surcharge. La patiente est hospitalisée en raison d'une décompensation cardiaque gauche d'origine probablement infectieuse et est mise en isolement en raison d'un MRSA retrouvé dans les expectorations lors de la dernière hospitalisation. Un traitement de Torasémide est instauré. À son arrivée dans notre service, Mme. Y n'a pas de plainte spontanée et décrit une amélioration de sa dyspnée. L'auscultation cardiaque objective des B1 et B2 bien frappés, sans souffle audible. L'auscultation pulmonaire n'objective pas de sibilance. Un traitement par Torasémide est mis en place et adapté selon le poids et la clinique, puis la patiente ne présente plus de signes cliniques ou anamnestiques de surcharge. Concernant la colonisation pulmonaire à MRSA, un avis est demandé à l'infectiologue, le Dr. X, qui nous suggère une éradication par Bactrim et Azithromycine. Une culture d'expectorations de contrôle sera effectuée le 05.05.2019, soit 2 semaines après la fin du cycle d'éradication. Quant aux tests de la cognition, nous vous proposons de vous référer à la lettre de sortie de ses dernières hospitalisations (gériatrie aiguë HFR Riaz du 14.02.2019 au 22.02.2019 et réadaptation gériatrique HFR Riaz du 22.02.2019 au 28.03.2019). Une évaluation gériatrique globale et la présence de nombreuses hospitalisations dans un très court délai l'une de l'autre indiquent que la patiente n'est pas capable de rester à domicile. Finalement, cette dernière accepte une institutionnalisation. Dans ce contexte, Mme. Y demeure hospitalisée au sein de l'HFR, bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement à partir du 23.04.2019, et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, la patiente sera institutionnalisée à la Résidence du Manoir à Givisiez le 25.04.2019. Mme. Y adressée par son médecin traitant pour CT cérébral à la suite d'une aphasie le 15.05.2019. Mme. Y adressée par son médecin traitant pour suspicion d'une nouvelle fracture au niveau de la tête de la fibula sur une fracture récente en août 2018 après un nouveau traumatisme après un saut sur le même genou (pas de choc direct). Le bilan de radiographie fait par le médecin traitant est complété par un CT-scan qui montre le diagnostic susmentionné. La patiente est traitée avec une décharge et attelle Jeans à 20° et sera revue dans 1 semaine chez le Dr. X, orthopédiste. Mme. Y âgée de 86 ans, status post hystérectomie totale abdominale et vulvectomie pour carcinome vulvaire il y a 2 ans à la clinique Saint-Anne. Elle consulte en urgence pour des fortes brûlures vulvaires, en aggravation depuis quelques jours mais présentes depuis le traitement par Aldara débuté il y a 1 mois. Pas de pertes vaginales, pas de symptôme urinaire, pas d'état fébrile ni douleur abdominale. Au status, elle est normocarde à 54 bpm, normotendue à 140/60 mmHg, afébrile à 36.3°C. À l'examen vulvaire, nous constatons un petit introitus sténosé (impossible d'introduire un spéculum), entouré d'une région avec érythème et atrophie, sans signes de surinfection, sans ulcération ni saignement. Nous lui proposons un retour à domicile avec un traitement symptomatique et une antalgie par Lidohex crème et vaseline gel. Nous proposons d'arrêter le traitement par Aldara jusqu'au prochain contrôle chez sa gynécologue traitante.Patiente amenée par la police pour constat de coup. Patiente asymptomatique. Patiente connue pour du pyrosis, rassurante cliniquement et avec un laboratoire entièrement dans la norme, rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Elle reçoit les conseils de vigilance appropriés si elle devait reconsulter les urgences. La suite de la prise en charge, notamment l'OGD prévue et l'éventuelle conversion de la gastrectomie en bypass, est à effectuer en ambulatoire. Patiente connue pour une cardiopathie ischémique tritronculaire et valvulaire à fraction d'éjection du ventricule gauche conservée, qui se présente aux urgences de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal ce jour en raison d'un malaise sans perte de connaissance ayant eu lieu la nuit du 13.04.2019 au 14.04.2019 et pour la baisse d'état général depuis lors accompagnée de troubles de la marche. Plus précisément, Mme. Y aurait senti un malaise avec vertiges et vision trouble pendant environ deux heures, alors qu'elle était couchée dans son lit la nuit du samedi au dimanche. Elle rapporte aussi des douleurs rétrosternales intermittentes et ponctiformes du thorax antérieur gauche depuis des semaines, sans irradiation et non respiratoire ni mouvements dépendants. Il n'y a par ailleurs pas notion de dyspnée. Par ailleurs, la patiente ne rapporte pas d'alitement ni de voyage récent, pas d'antécédent de thrombose ni de tabagisme. Elle signale des cervicalgies depuis une chute ayant eu lieu début mars 2019. Sur le plan social, Mme. Y vit seule dans une maison sans étage et marche sans moyen auxiliaire. Au status, mentionnons un souffle systolique à 3/6 au foyer aortique. Le status neurologique montre une patiente orientée aux 3 modes, aux pupilles isochores et isoréactives, sans signe de latéralisation des voies longues, aux nerfs crâniens dans la norme, sans dysmétrie à l'épreuve doigt-nez. La position debout est instable, sans augmentation du polygone de sustentation. Au status ostéoarticulaire, relevons des douleurs à la palpation du thorax antérieur en regard des côtes 4 à 5 à gauche parasternal ainsi que des douleurs à la palpation des cervicales. L'ECG montre un rythme sinusal normocarde et un bloc de branche gauche complet déjà connu. Le bilan biologique met en évidence un déficit en acide folique et en vitamine D que nous substituons. Le test de Schellong du 15.04.2019 est positif subjectivement. Nous mettons donc en place des bas de contention qui permettent de réduire les symptômes. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À la sortie, son périmètre de marche sans moyen auxiliaire est de 260 mètres. Elle peut gravir 36 marches sans accompagnement. Elle est autonome pour les soins, mais a besoin d'aide pour les jambes en raison des bas de contention. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 105/126, par rapport à 93/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 21 secondes avec rollator. Le risque de chute est bas. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie également d'un suivi nutritionnel et d'un bilan ergothérapeutique. Remarquons que nous ne réalisons pas de Holter durant ce séjour, la patiente allant bénéficier prochainement en ambulatoire d'un tel examen ainsi que d'une consultation cardiologique. Le 24.04.2019, la patiente rentre à domicile avec un contrôle prévu auprès de son médecin traitant dans une semaine. Patiente de 10 ans, en bonne santé habituelle, qui présente depuis 2 jours des douleurs abdominales, initialement diffuses puis localisées en fosse iliaque droite, sans irradiation. Pas de nausées, pas de vomissements. Dernière selle ce matin, normale. Pas de diarrhées. Pas d'état fébrile. Premier épisode. Consulté ce jour le pédiatre qui les adresse au HFR. À savoir que le pédiatre aurait fait un frottis strepto malgré l'absence d'odynophagie qui est revenu négatif. Pas de plaintes urinaires, pas de pollakiurie. Pas de toux, discrète rhinorrhée. Alimentation et hydratation conservées. A reçu Motilium 1x il y a 2 jours. A reçu Dafalgan hier soir et Dafalgan ce matin. Dernier repas 10h, 11h eau. Traitement de fond - Ritaline. Patiente de 12 ans qui consulte les urgences pour une plaie au niveau du palais mou. Nous regardons la plaie qui est au niveau du palais mou à gauche. Il n'y a pas de saignement actif, et la patiente ne réfère pas de douleur. Nous conseillons à la jeune patiente et sa mère de prendre un rendez-vous dans 24-48 h avec un ORL, de faire des bains de bouche avec de l'Hexamedal et de manger et boire des choses froides. Nous donnons du Brufen 200 mg en réserve si les douleurs sont trop élevées, en disant bien à sa mère de ne pas en abuser. Patiente de 15 ans, admise aux soins intensifs le 02.05.2019 post-tentamen sur défenestration d'un pont d'une hauteur de 15 mètres. Un CT protocole polytraumatisé met en évidence une image compatible avec un discret pneumomédiastin. À cela s'ajoute un minime pneumothorax apical gauche. Dans ce contexte, une bronchoscopie est effectuée qui met en évidence une très discrète lésion de la bronche souche gauche. Une oesogastroduodénoscopie ne montre pas de lésion. L'évolution clinique et radiologique est simple sous traitement conservateur. En raison de douleurs diffuses du rachis sans déficit neurologique focal objectivé, nous réalisons une IRM totale du rachis. Cet examen montre des fractures-tassements des plateaux supérieurs de D1 à D4 sans recul du mur postérieur ni atteinte ligamentaire avec une possible minime lame d'hématome épidural associée, sans atteinte médullaire (rapport écrit à suivre). Sur avis neurochirurgical le 06.05.2019 (Dr. X), seul un traitement symptomatique est préconisé. Un suivi neurochirurgical avec bilan radiologique de contrôle est à prévoir en ambulatoire d'ici 10-15 jours. Après avis pédopsychiatrique, l'indication à une hospitalisation en pédopsychiatrie est retenue. La patiente est transférée en mode volontaire le 06.05.2019. Patiente de 15 ans en bonne santé habituelle qui consulte les urgences accompagnée par ses parents suite à un malaise avec sensation de douleur thoracique et dyspnée. Elle explique que mardi le 14.05.2019 à l'école, elle aurait eu un malaise ainsi que mercredi et jeudi, un seul épisode aussi avec une douleur thoracique diffuse d'une durée de 1-2 minutes. Ce matin, elle aurait vu son médecin traitant qui lui aurait posé un Holter. Cet après-midi vers 16h 30, elle aurait également présenté un malaise avec douleur thoracique d'une durée de 1-2 minutes avec céphalées et dyspnée. Pas d'état fébrile ni de frissons. Patiente de 15 ans en bonne santé habituelle, qui consulte les urgences de Riaz le 10.05.2019 en raison de douleurs du poignet droit sur traumatisme du 08.05.2019. Le bilan radio-clinique est en faveur d'une fracture épiphyso-métaphysaire du radius distal droit, raison pour laquelle nous réalisons la prise en charge suivante : • Immobilisation avec un plâtre antébrachial prenant le pouce. • Antalgie simple + AINS. • Arrêt de sport pour 1 semaine. • Contrôle clinique en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Patiente de 18 ans, admise aux soins intensifs le 12.05.2019 en raison d'une crise épileptique partielle chez une patiente connue pour un antécédent d'épilepsie ainsi que pour des troubles psychiatriques. La patiente nous est transférée des urgences de Tavel où elle consulte le 11.05.2019 avec une myoclonie du membre inférieur droit qui cède sous Rivotril iv. On ne retrouve pas de facteur déclencheur anamnestique. Le CT cérébral initial est normal. L'EEG montre une bradysysrythmie diffuse et un léger foyer irritatif fronto-central gauche, avec un examen relativement superposable à celui obtenu dernièrement par son neurologue traitant. Le traitement de Lamotrigine est majoré progressivement sur un schéma de 7 jours. Le traitement par Rivotril est poursuivi à schéma dégressif jusqu'au 22.05.2019.La patiente ne présente pas de récidive d'événement épileptique et rentre à domicile le 13.05.2019. Le suivi à distance est organisé par le neurologue traitant le Dr. X à Thoun, averti de l'hospitalisation. La patiente est avertie d'une interdiction de conduire. Dans le bilan d'éventuels facteurs déclencheurs, un taux de lamotrigine a été effectué, le résultat est en attente. Un dosage des B-HCG revient négatif. La TSH s'avère légèrement augmentée et nous préconisons un contrôle dans trois mois. Connue pour de lourds antécédents psychiatriques, la patiente rapporte des hallucinations auditives. Ces hallucinations sont connues depuis longtemps par la patiente, elle affirme arriver à y faire face actuellement. Dans ce contexte, un consilium psychiatrique est demandé. Sur avis psychiatrique, le traitement est inchangé et la patiente sera vue en ambulatoire le lendemain de son retour à domicile par son psychologue traitant. Patiente de 19 ans qui se plaint de céphalées depuis 4 jours. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. La patiente est traitée symptomatiquement et ressent une amélioration avec l'antalgie. Elle rentre à domicile accompagnée de son copain. Patiente de 21 ans, 2G1P à 39 3/7 SA, admise en salle d'accouchement le 08.05.2019 pour une mise en travail spontanée. La dilatation est harmonieuse et elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3540 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Patiente de 22 ans, 1G0P à 38 SA, admise en salle d'accouchement le 06.05.2019 en vue d'une provocation pour métrorragie d'origine indéterminée. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess mal supporté en raison d'une hypercinésie de fréquence. En raison d'une fatigue maternelle, la provocation est interrompue pendant 24 heures avant d'être poursuivie par une deuxième Propess dès le 07.05.2019 au soir. Ensuite, la patiente se met en travail et la dilatation cervicale est harmonieuse jusqu'à dilatation complète. Après 45 minutes de poussées actives et une non-progression de la présentation aux épines + 1, nous décidons de poser un forceps. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'hémoglobine post-partale est à 94 g/l. La patiente ne présente pas de signes ni de symptômes d'anémie et on débute une substitution martiale par voie orale. L'allaitement est complètement artificiel après un sevrage primaire. La contraception future se fera par Evra Patch ou pilule oestro-progestative à prescrire au contrôle du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 11.05.2019, en bon état général. Patiente de 23 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 18.05.2019 en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant. Elle bénéficie de la mise en place d'un Misodel le 18.05 dans la nuit, retiré le lendemain matin pour une hypercinésie. Par la suite, elle se met en travail spontanément et une dilatation rapide. Elle donne naissance à une fille pesant 3670 g, de bonne adaptation néonatale. Elle présente une déchirure périnéale du 1er degré qui est suturée et évolue bien lors du séjour. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Les contrôles glycémiques effectués à J3 sont en ordre. La patiente reverra son diabétologue pour un contrôle dans trois mois. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule contraceptive, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 23.05.2019, en bon état général. Patiente de 23 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 16.05.2019 en vue d'une provocation pour désir maternel. La patiente se met spontanément en travail avant initiation de provocation. La dilatation est harmonieuse. La patiente accouche par césarienne pour défaut d'engagement. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un garçon pesant 3680 g, de bonne adaptation néonatale. Les pertes sanguines sont estimées à 300 ml. Dans les suites post-partales, la patiente présente de violentes douleurs abdominales le 19.05, motivant un CT abdominal qui met en évidence un iléus paralytique sans autres signes de complications. Le 20.05.2019, la patiente parvient à aller à selles avec résolution des douleurs. La cicatrice est calme lors du séjour. Les agrafes seront enlevées par la sage-femme à domicile dès J10-14. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Implanon, dans l'attente, la patiente souhaite la pilule progestative. Le Boostrix n'ayant pas été effectué durant la grossesse, nous rappelons à la patiente de contacter son médecin traitant afin d'effectuer le rappel si cela est nécessaire. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 21.05.2019, en bon état général. Patiente de 24 ans qui est hospitalisée pour bilan spécifique en raison d'une suspicion de maladie lymphoproliférative. Mme. Y présente des adénopathies cervicales bilatérales indolores depuis 6 mois à 1 an, associées à une perte de poids de 10 kg en 1 an avec inappétence et asthénie. Elle associe la perte de poids à une amélioration de son hygiène de vie. Absence d'état fébrile, frissons ou sudation nocturne. Elle a consulté le service des urgences avec la demande spécifique de faire un test VIH car elle pensait que les ganglions qu'elle palpait pouvaient être en lien avec une telle infection. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire et une élévation des transaminases. Les dépistages de VIH, EBV, hépatites B/C, adénovirus et toxoplasmose, également les sérologies d’EBV sont négatives. Le CT du corps entier montre des adénopathies multiples évoquant un lymphome en première hypothèse. Après discussion du cas avec les collègues hématologues, un PET-CT est agendé pour le 20.05.2019 et une ponction-biopsie médullaire pour le 20.05.2019. Le 16.05.2019, une exérèse du ganglion cervical gauche est également effectuée et les résultats histologiques seront à pister. Une anémie ferriprive est mise en évidence, ainsi qu'un déficit en acide folique que nous substituons. Une injection supplémentaire de 500 mg de fer sera à faire la semaine suivante. Mme. Y, qui se trouve en bon état général, rentre à domicile le 16.05.2019 avec un suivi oncologique ambulatoire qui est agendé pour le 20.05.2019. Patiente de 24 ans, 6G5P, admise en salle d'accouchement le 01.05.2019 pour mise en travail spontanée. La dilatation est harmonieuse et le travail soutenu par Syntocinon. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3160 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la pose d'un Implanon au post-partum à la consultation du planning familial, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 04.05.2019, en bon état général. Patiente de 25 ans ayant consulté le 28.04 pour des douleurs abdominales évoluant depuis 3 jours avec plusieurs épisodes de vomissements dans la nuit du 27.04, pas de CRP, leucocytose à 15.Revient ce jour pour un contrôle, amélioration des douleurs, pas de nausées ni vomissements. Pas de selles depuis 5 jours. Abdomen souple dépressible, légèrement sensible en périombilical, pas de défense ni détente. Bruits hydro-aériques augmentés en tonalités et en nombre. Reste du statut sans particularité. Face à l'absence de selles depuis samedi, un lavement par Freka-klyss est réalisé permettant de soulager la patiente. Patiente de 25 ans qui est en bonne santé habituellement et présente des douleurs au niveau de C3-C5, accompagnées de céphalées frontales. Les radiographies ne mettent pas en évidence d'atteinte osseuse. Étant donné l'examen clinique et radiologique rassurants, la patiente rentre à domicile avec antalgie en réserve. Patiente de 25 ans 1G0P à 40 5/7SA admise en salle d'accouchement le 28.05.2019 dans la nuit, est transférée depuis la maison de naissance Le Petit Prince pour une stagnation de la dilatation à 5 cm, avec un liquide amniotique teinté après rupture artificielle des membranes en début de travail. Elle bénéficie de la mise en place d'une anesthésie péridurale et d'une stimulation par Syntocinon. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2960 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La suture périnéale reste calme lors des contrôles obstétricaux. Concernant le diabète gestationnel, des contrôles glycémiques seront assurés à J3 par la sage-femme à domicile, puis la patiente bénéficiera d'une HGPO à 3 mois. La patiente souhaite attendre le RDV à 6 semaines à votre consultation pour décider d'une contraception. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. La patiente n'ayant pas effectué le vaccin Boostrix durant la grossesse, elle reçoit conseil de contacter son médecin traitant afin de s'assurer si le vaccin est à jour chez elle et les membres de la famille proche du nouveau-né. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 29.05.2019, en bon état général. Patiente de 26 ans 1G0P à 41 3/7 semaines d'aménorrhée admise en salle d'accouchement le 10.05.2019 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Elle bénéficie d'une provocation par Misodel le 10.05.2019, après pose de cathéter de péridurale à blanc et début du schéma de liquémine en raison de son antécédent de thrombose veineuse profonde. Par la suite, la patiente se met en travail. La dilatation est harmonieuse, mais le travail est dystocique et soutenu par Syntocinon. La liquémine est stoppée à 4 cm de dilatation. En raison d'un défaut d'engagement à dilatation complète, nous posons l'indication à une césarienne en urgence 30 minutes. L'intervention se complique d'une déchirure en T de l'utérotomie suturée avec un test au bleu négatif en per-opératoire. Les suites post-partales sont simples du point de vue obstétrical et la patiente reste afébrile. On met en évidence à J4 de la césarienne l'apparition d'une lésion cutanée érythémato-vésiculaire de 10x7 cm en fosse iliaque droite compatible avec un Herpès Zoster. On débute un traitement par Valaciclovir 1000 mg 2x/jour à poursuivre pendant une semaine. Les pédiatres ont été avertis. Il n'y a pas de contre-indication à l'allaitement et la patiente évitera des contacts peau à peau et fera attention à l'hygiène des mains. Une thromboprophylaxie par Clexane est reprise dès 6 h post-opératoire et sera poursuivie pour une durée totale de 6 semaines. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Cérazette, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, nous laissons la patiente rentrer à domicile le 15.05.2019 avec son bébé en bon état général. Patiente de 26 ans, 2G0P, admise en salle d'accouchement le 30.04.2019 en vue d'une provocation pour dépassement de terme. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 30.04.2019 à 20h00. La patiente se met alors en travail. La dilatation et le travail sont harmonieux. Elle accouche le lendemain. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative dès 21 jours après l'accouchement, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 04.05.2019 en bon état général. Patiente de 26 ans 2G1P admise en salle d'accouchement à 38 2/7 SA le 15.05.2019 en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant. Elle bénéficie d'une provocation par deux Propess. Puis, elle se met en travail et donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3030 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif dans l'attente d'en rediscuter avec son gynécologue traitant au contrôle post-partum. Nous proposons à la patiente d'effectuer un contrôle de son statut vaccinal de la coqueluche et éventuellement de bénéficier d'un rappel chez son médecin traitant. Patiente de 26 ans, 4 gestes 2 pares, admise en salle d'accouchement le 12.05.2019 pour mise en travail spontanée. La dilatation cervicale est rapide et la patiente accouche spontanément le même jour. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile durant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec son bébé le 14.05.2019 en bon état général. Patiente de 27 ans, 1G 0P, à 40 1/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 06.05.19 pour mise en travail spontané après une rupture spontanée des membranes à domicile. La dilatation cervicale est soutenue par Syntocinon et en raison d'un CTG suspect et d'une non-progression de la présentation, on décide d'instrumenter par ventouse métallique aux épines +1. L'extraction est compliquée par une dystocie des épaules résolue par la manœuvre de Menticoglu avec naissance d'un garçon pesant 3890 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum; dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 08.05.2019 en bon état général. Patiente de 27 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 11.05 pour une rupture prématurée des membranes franche avec portage de streptocoque B au niveau vagino-anale. Par conséquent, elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 11.05.2019 et le 12.05.2019 et elle se met en travail. La dilatation du col est harmonieuse et elle donne naissance le 14.05.2019 à un garçon de 2660 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera probablement par DIU cuivré; dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre avec son bébé le 17.05.2019, en bon état général. Patiente de 27 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 28.04.2019 en raison d'une rupture spontanée prématurée des membranes. Au vu d'un portage streptocoque du groupe B positif, elle bénéficie d'une antibioprophylaxie par Clamoxyl iv. Par la suite, la patiente se met en travail de manière spontanée. La dilatation ainsi que le travail sont harmonieux et elle accouche le lendemain.Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative dès J21 post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. • Patiente de 27 ans 1G0P admise en salle d'accouchement le 28.04.2019 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Elle bénéficie d'une provocation par Misodel. Par la suite, elle se met en travail, la dilatation est rapide et elle accouche le lendemain. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée avec son gynécologue traitant au contrôle post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 02.05.2019, en bon état général. • Patiente de 27 ans, 2G 1P, admise en salle d'accouchement le 16.05.2019 à terme pour mise en travail spontané. Elle dilate harmonieusement et donne naissance à une fille pesant 3060 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Un sevrage primaire de l'allaitement maternel est assuré par du Dostinex dans le post-partum immédiat. La contraception future se fera par préservatif dans l'attente d'en rediscuter avec son gynécologue traitant au contrôle post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.05.2019 en bon état général. Nous proposons de vérifier son statut vaccinal contre la coqueluche et d'effectuer un éventuel rappel chez son médecin traitant. • Patiente de 27 ans, 3G0P, admise en salle d'accouchement le 02.05.2019 à 38 3/7 semaines d'aménorrhée en vue d'une césarienne élective pour hémorragie cérébrale intraventriculaire avec ventriculomégalie bilatérale à 13 mm chez le foetus. La césarienne se passe sans complication per-opératoire. Elle donne naissance à un garçon pesant 2960 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Le profil glycémique à J3 est dans les normes. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication à l'aide d'un tire-lait en raison de la difficulté du nouveau-né à téter. La contraception future sera à discuter au contrôle du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 07.05.2019, en bon état général et le nouveau-né reste hospitalisé dans le service de néonatologie pour SDR. • Patiente de 28 ans à J16 d'une césarienne en urgence pour déhiscence sur utérus bicicatriciel chez une patiente de 28 ans 3G devenue 3P le 08.05.19 avec RAD du post-partum hier le 13.05.2019. À la sortie du post-partum, une ordonnance avec Monuril a été effectuée pour sensation de brûlures mictionnelles. Une culture urinaire datant du 12.05 a mis en évidence la présence de Staph. hamolyticus et enterocoque faecalis sensible à l'ampicilline et la vancomycine. Elle a consulté le 14.05 pour des douleurs bas ventre, bas du dos et brûlures mictionnelles avec des leucos à 12, CRP à 42 avec un DD de pyélonéphrite ou d'endométrite (pas de signe de rétention). Un traitement de co-amoxicilline 1 g 3x/j 10 j est débuté. À reconsulté le 16.05 pour persistance des douleurs avec mise en évidence d'une baisse du syndrome inflammatoire avec un hématomètre à 19 mm avec caillots en regard de l'isthme. Revient ce jour pour douleurs abdominales sous-ombilicales et pelviennes malgré Targin, en augmentation depuis 2 j, a des lochies intermittentes très foncées non malodorantes, brûlures et tiraillement lors de la miction, pas de pollakiurie. Pas d'EF. Enfant à domicile depuis 2 j, se passe bien avec lui. Sevrage primaire avec seins sp. À noter: infection urinaire à répétition avec dilatation pyélocalicielle et plusieurs épisodes de pyélonéphrite lors de ses grossesses. Suivi par Dr. X et Dr. X. Dans ce contexte, nous proposons une laparoscopie exploratrice et un curetage évacuateur. Elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Elle rentre à domicile le même jour en bon état général. • Patiente de 28 ans qui se présente à J14 d'une césarienne pour laparoscopie exploratrice en raison de persistance de douleurs bas-ventre. Pour rappel, la patiente a bénéficié d'une césarienne en urgence le 08.05.2019 en raison d'une suspicion de déhiscence de cicatrice d'un utérus bicicatriciel. À la sortie du post-partum à J4, une ordonnance avec Monuril a été effectuée pour sensation de brûlures mictionnelles. Une culture urinaire datant du 12.05 a mis en évidence la présence de Staph. hamolyticus et entérocoque faecalis sensible à l'ampicilline et la vancomycine. Elle a à nouveau consulté le 14.05.2019 pour des douleurs du bas ventre avec un léger syndrome inflammatoire (leucocytes à 12 G/l, CRP à 42 mg/l). Le diagnostic différentiel de pyélonéphrite ou d'endométrite a été retenu et un traitement par co-amoxicilline 1 g 3x/j a été débuté. En raison de persistance des douleurs malgré le traitement un ultrason endovaginal est répété mettant en évidence un important hématomètre avec une suspicion d'isthmocèle. Dans ce contexte, nous proposons une laparoscopie exploratrice et un curetage évacuateur avec conversion en laparotomie si nécessaire. L'intervention se déroule sans complication. Après une adhésiolyse vésico-utérine, une épreuve au bleu permet de montrer une absence de lésion vésicale mais une rupture de la cicatrice de l'utérotomie à droite sur 2 cm. Nous convertissons en laparotomie et faisons une exérèse de la cicatrice d'utérotomie. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste afébrile. L'antibiothérapie est poursuivie au postopératoire pendant 48 h. Elle regagne son domicile le 26.05.2019 en bon état général. • Patiente de 28 ans, 1G0P, à 37 5/7 semaines d'aménorrhée, qui est admise dans notre service le 17.05.2019 pour une suspicion de cholestase gravidique et une protéinurie isolée. La patiente s'est présentée aux urgences pour un prurit intense au niveau abdominal et des membres inférieurs débuté il y a 3 jours avec péjoration nocturne. De plus, la patiente décrit des oedèmes des membres inférieurs en péjoration depuis 1 semaine. À l'examen clinique, la patiente est normocarde, normotendue et afébrile. On objective des lésions de grattage au niveau de l'abdomen et des chevilles. Le bilan biologique de cholestase reste dans les normes hormis des acides biliaires en cours. Au vu de la symptomatologie, la patiente est mise sous Ursochol et Atarax. Le bilan de pré-éclampsie est aligné également sauf un rapport protéine/créatinine à 0.134. Les profils tensionnels étaient dans la norme. Dans le contexte d'une suspicion de cholestase gravidique et d'une protéinurie isolée, nous débutons une provocation par Misodel le 17.05.2019. Le travail est ensuite soutenu par Syntocinon. Devant la présence d'une stagnation à 7 cm, une césarienne en urgence de 30 minutes est effectuée et se déroule sans complications. Elle donne naissance à un garçon pesant 3240 g, de bonne adaptation néonatale. La mesure des acides biliaires revient positive à 12.5 g ce qui confirme le diagnostic de cholestase gravidique. La protéinurie de 24 h revient positive à 0.85 g. Durant le post-partum, la patiente présente moins de prurit. Poursuite d'Atarax en réserve. Le contrôle d'hémoglobine effectué le 20.05 montre une hémoglobine à 85 g/L chez cette patiente asymptomatique. Nous organisons alors un Ferinject prévu pour le 24.05.2019. Devant l'absence de Boostrix durant la grossesse, la patiente est conseillée de consulter chez son médecin traitant à sa sortie pour effectuer le rappel. Le reste des suites post-partales sont simples et la patiente afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par une pilule contraceptive progestative, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 22.05.2019, en bon état général. Patiente de 28 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 25.05.2019 en vue d'une provocation pour une suspicion de RCIU au p3-p5 avec un PFE 2570 g à 38 2/7 SA. Elle bénéficie de la mise en place d'un Ballonnet le 25.05.2019 dans la nuit, puis d'un Propess dans la journée du 26.05.2019. Le travail est harmonieux par la suite. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2720 g, de bonne adaptation néonatale. Devant la présence d'une constellation Rhésus, la patiente reçoit le Rhophylac 300 mcg im le 27.05.2019. La patiente bénéficie d'un sevrage primaire d'allaitement à sa demande par Dostinex selon protocole le 27.05.2019. Les suites post-partales sont simples et afébriles. La contraception future se fera par préservatifs. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 29.05.2019, en bon état général. Patiente de 28 ans, 2G 1P à 40 0/7 SA, admise en salle d'accouchement le 05.05.2019 en vue d'une provocation pour diabète gestationnel non insulino-requérant. Elle bénéficie de la mise en place d'un Ballonnet le 05.05.2019 retiré le 06.05.2019. On poursuit la provocation par une rupture artificielle des membranes sur un col favorable sans mise en travail. La perfusion IV par Syntocinon le 06.05.2019 permet une dilatation jusqu'à 5 cm. La patiente demande une césarienne malgré une mise en travail. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un garçon pesant 3420 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Le profil glycémique à J3 est en ordre. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 10.05.2019, en bon état général. Patiente de 29 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 07.05.2019 pour mise en travail spontané suivi d'une dilatation harmonieuse. Elle donne naissance à un garçon pesant 3480 g le 07.05.2019, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une ecchymose des grandes lèvres bilatérale sans induration ni signe inflammatoire, progressivement moins douloureuse pendant le séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 10.05.2019, en bon état général. Patiente de 29 ans, 1G 0P, à 27 6/7 semaines d'aménorrhée, se présente pour des contractions utérines indolores depuis plusieurs semaines, en augmentation depuis trois jours. Le reste de l'anamnèse obstétricale et gynécologique reste sans particularité. Au status d'entrée, la patiente est normocarde, normotendue et afébrile. Le CTG montre un rythme réactif non pathologique avec, au tocogramme, des contractions aux 3-5 mins. Au spéculum, le col est visuellement long, les pertes sont physiologiques. L'ultrason met en évidence une excellente vitalité fœtale, une position en siège dos antérieur, Manning 8/8 PFE 1071 g, AFI en ordre avec un placenta antérieur normoinséré. L'US trans-vaginal démontre un col à 23 mm. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. Les contractions sont réfractaires à un schéma de tocolyse par Adalat et après 2 h d'observation le col est raccourci à 17 mm. Dans ce contexte, une tocolyse par Tractocile est initiée et une maturation pulmonaire est administrée les 29 et 30.04.2019. Après 48 heures de tocolyse par Tractocile, nous objectivons à nouveau des contractions malgré un traitement d'Adalat, raison pour laquelle nous introduisons une nouvelle cure de Tractocile pour 48 h. Après 12 heures de traitement et au vu d'un nouveau contrôle du col qui est à 34 mm, nous stoppons cette tocolyse. À noter que nous objectivons également une ferritinémie à 45 mcg/L, raison pour laquelle nous introduisons un traitement per os de Maltofer 100 mg. L'hémoglobine est à 112 g/L. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 03.05.2019 sous traitement de Bryophyllum et Magnésium. Patiente de 29 ans, 1G 0P, suivie depuis plusieurs semaines pour des céphalées persistantes avec de nombreux bilans de prééclampsie alignés, qui reconsultent pour une péjoration des céphalées le 22.04.2019 associées à des phosphènes et acouphènes sans autres symptômes. Au status, le profil tensionnel est strictement dans la norme. Les ROT sont normovifs et symétriques. L'US d'entrée montre un Manning à 8/10 avec absence de mouvements respiratoires, un AFI à 23 cm avec une grande citerne à 7 cm et des dopplers ombilical et cérébral normaux. Le bilan sanguin de prééclampsie est aligné. Dans ce contexte, la patiente est hospitalisée pour une surveillance et protéinurie des 24 h qui revient négative. Durant son séjour, la patiente développe une crise anxieuse vis-à-vis de l'accouchement difficilement gérable avec la médication. Après consilium psychiatrique, nous adaptons son traitement en rajoutant de la quétiapine et convenons d'une césarienne élective après stabilisation de son état émotionnel. L'intervention a lieu le 03.05.2019 et se déroule sans complication avec naissance d'une fille de 2490 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. reste afébrile durant son séjour. La patiente présente les premiers jours de son séjour une anxiété par rapport à son autonomie dans les soins du nouveau-né; elle bénéficie de plusieurs séances avec la psychologue, grâce auxquelles elle se sent capable de rentrer à domicile. La patiente fait un sevrage primaire de l'allaitement; néanmoins à J5 elle présente une montée de lait, pour laquelle une vidange des seins par tire-lait et un sevrage secondaire par Dostinex en raison d'un demi-comprimé 2 fois par jour pendant 48 heures est débuté le jour de sa sortie. En ce qui concerne la contraception future, la patiente aimerait reprendre une pilule combinée. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 09.05.2019, en bon état général. Patiente de 29 ans, 2G devenue 2P à 40 2/7 semaines d'aménorrhée le 10.05.2019 au Daler après un accouchement spontané par voie basse. Elle nous est transférée à J1 pour un rapprochement mère-enfant. Le nouveau-né, un garçon pesant 3760 g, pH 7.24/7.32, APGAR 9/10/10, présente une détresse respiratoire, raison pour laquelle il est admis en néonatologie à l'HFR. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. La suture au niveau de la lèvre droite est calme et propre. L'allaitement maternel complet est initié et se fait par tire-lait pour le moment. La contraception future se fera par Azalia. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 14.05.2019, en bon état général.Patiente de 29 ans 2G devenue 2P admise en salle d'accouchement le 09.05.2019 pour rupture spontanée des membranes le jour même à 10h30 avec un portage Streptocoque B positif au niveau vagino-anale. Elle bénéficie d'une antibioprophylaxie par Clamoxyl et d'une provocation par Propess. La dilatation est rapide et elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2620 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. La patiente rentre à domicile le 12.05.2019 avec le nouveau-né en bon état général. Patiente de 29 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 15.05.2019 transférée de l'hôpital de Payerne sous tractocycle pour suspicion de chorioamnionite clinique avec état fébrile à 38.5 °C et rupture prématurée des membranes avec une probable infection urinaire à 33 3/7 semaines d'aménorrhée avec la présence d'un CTG tachycarde à 200 bpm. Une antibiothérapie par Clamoxyl et Gentamycine a été initiée et elle a reçu une cure de maturation pulmonaire avant son transfert. A son arrivée, la patiente est hémodynamiquement stable. Le tracé est suspect et le col est dilaté à 4 cm. La dilatation est très rapide et elle accouche spontanément le même jour. Les suites post-partales sont marquées par une rétention placentaire complète non hémorragique pour laquelle elle bénéficie d'une délivrance artificielle au bloc opératoire. L'intervention se déroule sans complication. Par la suite, la patiente bénéficie d'une antibiothérapie par Coamoxyl IV 1,2g 3 fois par jour pendant 48 heures. La patiente et son bébé restent afébriles pendant le séjour. L'allaitement maternel mixte et par tire-lait est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 18.05.2019, en bon état général. Son bébé reste hospitalisé en néonatologie pour prématurité malgré une bonne adaptation néonatale. Patiente de 29 ans, 3G1P, admise en salle d'accouchement le 20.05.2019 en vue d'une provocation pour terme dépassé à 41 3/7. Elle bénéficie de la mise en place d'un ballonnet le 20.05.2019. Le 21.05.2019, elle signale de fortes douleurs cicatricielles et désire une césarienne. L'intervention se déroule sans complication et une rupture utérine est infirmée. Elle donne naissance à un garçon pesant 3440 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Lors de son séjour, la patiente bénéficie d'un suivi par notre psychologue au vu du contexte de déni de grossesse jusqu'à 35 SA. Le vaccin du Boostrix n'ayant pas été effectué lors de la grossesse, nous indiquons à la patiente de contacter son médecin traitant afin de connaître son statut vaccinal. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet hormonal, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.05.2019, en bon état général. Patiente de 29 ans, 3G0P à 38 0/7 SA admise en salle d'accouchement le 09.05.2019 en vue d'une provocation pour suspicion de retard de croissance intra-utérin type 1. Elle bénéficie d'une provocation par Propess le 10.05.2019, qui est retiré quelques heures plus tard en raison d'une décélération variable prolongée de 9 minutes suivie par un CTG réactif et non pathologique. Ensuite, nous poursuivons la provocation par un ballonnet le 10.05.2019, qui est expulsé spontanément le 10.05.2019 et par conséquent, nous poursuivons la provocation par Syntocinon. La patiente se met en travail et la dilatation est harmonieuse. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2180 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum ; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Patiente de 29 ans, 3G2P, admise en salle d'accouchement le 30.04.2019 pour les contractions et mise en travail spontané. TV : mi-centré, 2 doigts larges. Dilatation rapide. Elle donne naissance par voie basse à une fille/un garçon pesant 4020 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera probablement par vasectomie chez son conjoint ou sera rediscutée avec son gynécologue traitant lors de son contrôle post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 04.05.2019, en bon état général. Patiente de 29 ans, 4G3P, admise en salle d'accouchement le 17.05.2019, à 40 1/7 SA, en vue d'une provocation pour désir maternel. Elle bénéficie de la mise en place d'une perfusion de Syntocinon. La dilatation est rapide et elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3450 g, de bonne adaptation néonatale. La patiente bénéficie d'une suture pour déchirure périnéale du 2ème degré. Les cicatrices sont calmes lors des contrôles post-partum. À noter que la patiente présente une anémie légère à 103 g/L avec introduction d'un traitement par Maltofer per os. La patiente présente des hémorroïdes externes, raison pour laquelle elle regagne son domicile avec procto-synalar suppositoire et procto-glyvenol en crème. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La patiente ne sachant pas de quand date son dernier vaccin Boostrix (non effectué durant la grossesse), celle-ci est informée de contacter son médecin traitant afin d'effectuer le vaccin. Conseil d'effectuer le vaccin également pour le père. La contraception future se fera par DIU en cuivre, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 20.05.2019, en bon état général. Patiente de 29 ans, 4G3P, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontané. La dilatation cervicale est rapide et elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3300 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera sur la base de l'aménorrhée de lactation. La patiente est informée du risque de grossesse ; elle est au courant et dit accepter une éventuelle future grossesse. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 17.05.2019, en bon état général. Patiente de 29 ans, 5G1P, admise en salle d'accouchement le 02.05.19 en vue d'une provocation pour suspicion de retard de croissance intra-utérin. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 02.05.19 et d'une antibioprophylaxie par Clamoxyl pour un portage Streptocoque B au niveau vagino-anal. La dilatation est rapide et la patiente donne naissance par voie basse à une fille pesant 2230 g, de bonne adaptation néonatale. En raison d'une rétention hémorragique du placenta, nous réalisons une délivrance artificielle sous anesthésie générale, suivie d'une perfusion d'entretien de 40 UI de Syntocinon, de l'administration de 2 culots érytrocytaires, 2 PFC, 1 g de fibrinogène et 2 g d'acide tranexamique. Les pertes sanguines sont estimées à 2000 cc. La patiente est transférée en salle de réveil pour une surveillance. En raison d'une évolution favorable, la patiente est transférée à la maternité le jour même. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile avec une récupération rapide de son autonomie. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 07.05.2019, en bon état général. Patiente de 30 ans 1G0P admise en salle d'accouchement le 08.05.2019 pour une mise en travail spontané. La dilatation est harmonieuse. Elle donne naissance par voie basse dans l'eau à une fille pesant 3160 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Patiente de 30 ans 1G0P admise en salle d'accouchement le 16.05.2019 pour une rupture prématurée des membranes. Elle se met en travail de manière spontanée. Un CTG suspect et la non-progression de la présentation motivent l'utilisation d'une ventouse. La dilatation est rapide, raison pour laquelle la patiente bénéficie de 20 UI de Syntocinon. La patiente donne ainsi naissance par voie basse à une fille pesant 3520 g, de bonne adaptation néonatale. La patiente présente une déchirure périnéale de degré 2 qui est suturée. Les cicatrices restent calmes lors des suivis réguliers du post-partum. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par l'utilisation de préservatif en attendant le prochain RDV chez son gynécologue traitant. Le vaccin du Boostrix n'ayant pas été effectué durant la grossesse, la patiente est informée de contacter son médecin traitant et de vérifier son statut vaccinal. Patiente de 30 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 27.05.2019 pour mise en travail spontané. La dilatation est rapide et elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2540 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une douleur vulvo-anale sur un hématome de la paroi vaginale latérale droite. L'hématome reste stable et souple, et l'évolution est favorable sous traitement symptomatique. La patiente reste afébrile. Le contrôle de l'hémoglobine à J1 est à 122 g/L. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif jusqu'à nouvelle discussion lors du contrôle du post-partum. La patiente n'ayant pas effectué de vaccin Boostrix durant la grossesse, nous lui proposons de contacter son médecin traitant afin d'effectuer le rappel si cela est nécessaire. Conseil également d'effectuer le vaccin chez le papa et les membres proches du bébé. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.05.2019, en bon état général. Patiente de 30 ans, 3G 2P, admise en salle d'accouchement le 23.05.2019 pour mise en travail spontanée. La dilatation est harmonieuse. Elle donne naissance à une fille pesant 3300 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet hormonal, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.05.2019, en bon état général. Patiente de 30 ans, 3G2P, admise en salle d'accouchement le 12.05.19 à 38 1/7 semaines d'aménorrhée, en vue d'une provocation pour grossesse bichoriale biamniotique. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 12.05.19 dans la nuit avec pause de 1h30 le 13.05 à 6h45 pour une décélération prolongée. Le CTG se normalisant, on remet en place un Propess à 8h15 le 13.05 puis retrait de ce dernier à 17h30 pour une nouvelle décélération chez le jumeau 1. Par la suite, nous procédons à une rupture artificielle des membranes et la patiente se met en travail. La dilatation est harmonieuse et le travail soutenu par Syntocinon. La patiente accouche spontanément le 14.05.2019 et donne naissance à deux filles pesant respectivement 2150 g et 2890 g. Vu la différence des poids, le placenta est envoyé pour un examen anatomopathologique. Les deux nouveau-nées s'adaptent bien dans l'immédiat et restent avec la patiente à J1. À J2, l'une des filles est hospitalisée en néonatologie pour des mouvements convulsifs des membres d'origine indéterminée et elle est transférée pour investigation, notamment un EEG en continu. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Le sevrage complet de l'allaitement maternel est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par vasectomie du conjoint, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec l'une des filles le 17.05.2019, en bon état général tandis que l'autre reste hospitalisée. Patiente de 30 ans, 4G 2P, admise en salle d'accouchement le 23.05.2019 pour mise en travail spontané à 40 3/7 SA. La dilatation est harmonieuse. Elle donne naissance à une fille pesant 3050 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet en cuivre, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.05.2019, en bon état général. Patiente de 30 ans, 4G1P, admise en salle d'accouchement le 03.05.19 pour mise en travail spontané. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3330 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et marquées par une surveillance accrue du nouveau-né en présence de la mère. Un sevrage primaire de l'allaitement est proposé mais refusé par la patiente en raison d'une absence de montée de lait. L'examen des seins est en ordre à la sortie. La patiente a été vue plusieurs fois par la sage-femme conseil lors de l'hospitalisation. La patiente est stable d'un point de vue psychosocial. La contraception future se fera par pilule oestroprogestative à prescrire au contrôle du post-partum en raison du risque thromboembolique du post-partum immédiat. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Patiente de 31 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 22.05.2019 pour rupture prématurée prolongée des membranes à 41 0/7 SA. La patiente refusant une provocation à 12 heures post-rupture selon protocole habituel, il est décidé après discussion de procéder à 24 heures d'expectative. Elle bénéficie de l'antibioprophylaxie par Clamoxyl pour un streptocoque du groupe B initialement inconnu. Il revient négatif par la suite, permettant un arrêt du traitement. Nous débutons une provocation par Misodel le 23.05.2019 et la patiente se met en travail. La dilatation est rapide. La patiente donne naissance à une fille pesant 3020 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile durant son séjour. À noter que la patiente était sous traitement d'Euthyrox durant la grossesse pour une hypothyroïdie gestationnelle. Ce traitement est stoppé en post-partum. Introduction d'un traitement de Maltofer per os au vu de l'hémoglobine d'entrée à 112 g/L.L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif, la patiente refusant toute contraception hormonale ou stérilet. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.05.2019, en bon état général. • Patiente de 31 ans, 1G 0P à 37 3/7 SA, admise en salle d'accouchement le 23.05.2019 pour rupture prématurée des membranes avec un portage streptocoque B positif au niveau vagino-anal. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 23.05.2019 et d'une antibioprophylaxie selon protocole. La patiente se met en travail et la dilatation est harmonieuse. Elle donne naissance à une fille pesant 2680 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Concernant la suspicion de primo-infection toxoplasmose péri-conceptionnelle, une prise de sang au cordon et à la patiente au moment de l'accouchement sont effectuées. Ces résultats reviennent avec un taux positif d'IgG à 75 UI/ml et un taux positif d'IgM à 57 UI/ml chez la mère, l'avidité est en cours lors du départ. Les IgG de l'enfant reviennent positifs à 83.9 UI/ml avec IgM négatifs à <3 UI/ml. Nous envoyons également le placenta en analyse anatomo-pathologique (Argot Lab), l'analyse est en cours lors de la sortie. Les infectiologues pédiatriques prendront le relais selon les résultats. La contraception future se fera par pilule progestative, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.05.2019, en bon état général. • Patiente de 31 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 28.04.2019 pour une mise en travail spontanée. La dilatation est soutenue par Syntocinon mais marquée par des décélérations variables. En raison d'un CTG suspect et d'une non-progression de la présentation, nous posons l'indication à une ventouse métallique. Elle donne naissance le 29.04.2019 à 00h22 à un garçon pesant 3480 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par des hémorroïdes externes non thrombosées pour lesquelles nous préconisons un traitement conservateur par proctosynalar. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule avec l'aide du tire-lait. La contraception future se fera par pilule progestative dès 21 jours post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 01.05.2019 en bon état général. • Patiente de 31 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 13.05.2019 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Elle bénéficie de la mise en place d'un ballonnet en ambulatoire le 13.05.2019 à 18h. Le ballonnet est expulsé le lendemain matin au domicile. Au vu d'un col favorable, la patiente a été mise sous Syntocinon. La dilatation est harmonieuse et le travail soutenu par Syntocinon. Au vu d'une non-progression de la présentation après une heure de poussées actives, nous décidons d'une instrumentation à l'aide d'une ventouse kiwi à épines + 1 et Madame donne naissance à une fille de 3720 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre avec son bébé le 15.05.2019 en bon état général pour passer son post-partum au Petit prince. • Patiente de 31 ans, 1G1P, ayant accouché par voie basse il y a 8 mois et qui allaite actuellement, se présente pour des douleurs et une rougeur au niveau du sein droit apparues de manière subite à 2 heures du matin avec une baisse de l'état général marquée par un état fébrile, des frissons, vertiges et vomissements. Le reste de l'anamnèse est sans particularité. L'examen clinique retrouve une patiente en état de choc avec un état fébrile à 39°C et hypotendue à 80/60 mmHg avec un épisode de malaise résolu par remplissage au ringer lactate. L'examen clinique retrouve au niveau du quadrant supéro-externe du sein droit, un placard érythémateux, chaud et douloureux. Palpation du sein gauche tendu sans collection palpée ni écoulement à l'expression du mamelon. L'abdomen est souple et indolore, les loges rénales sont souples et indolores. L'examen au speculum se révèle normal avec des pertes vaginales physiologiques et le toucher vaginal est indolore. Le laboratoire met en évidence une légère leucocytose à 10.2 G/l sans CRP. L'US mammaire permet d'exclure une abcédation et démontre une cavité utérine vide. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour antibiothérapie intraveineuse par Co-amoxicilline pour 48h avec un relais per os par co-amoxicilline pour une durée totale de 10 jours. Les paires d'hémocultures ainsi que les frottis bactériologiques vaginales et l'urotube sont en cours. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 05.05.2019 et sera revue en consultation dans 48h avec adaptation de l'antibiothérapie selon antibiogramme. • Patiente de 31 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 01.05.2019 pour mise en travail spontanée. La dilatation est rapide et la patiente accouche spontanément par voie basse. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Lors du séjour, la patiente bénéficie d'un sevrage primaire à l'allaitement par Dostinex le 01.05.2019. La contraception future se fera par la mise en place d'un stérilet dès 6 semaines post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 03.05.2019 en bon état général. • Patiente de 31 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 04.05.2019 pour provocation à 38 1/7 semaines d'aménorrhée afin d'effectuer une fenêtre d'anticoagulation et pour présentation fœtale instable. Nous débutons une provocation par Misodel et la patiente se met en travail avec une dilatation harmonieuse. Elle accouche spontanément par voie basse et donne naissance à un garçon de 3390 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera à rediscuter au contrôle post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 07.05.2019, en bon état général. • Patiente de 32 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 29.04.2019 pour mise en travail spontanée. Elle dilate harmonieusement. A dilatation complète et après une heure de poussées, nous posons l'indication à une ventouse Kiwi pour défaut d'expulsion aux épines +2. Madame accouche après une traction d'un garçon pesant 3480 g, avec bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Au vu de la constellation Rhésus, Madame bénéficie d'une dose de Rhophylac intraveineux le 30.04.2019. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée au contrôle post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. La cicatrice d'épisiotomie est calme à la sortie. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 02.05.2019 avec son bébé, en bon état général. • Patiente de 32 ans, 2G 0P, admise en salle d'accouchement le 21.05.2019 à 38 6/7 SA pour une mise en travail spontanée suite à une rupture prématurée des membranes. La dilatation est harmonieuse sous anesthésie péridurale. Elle donne naissance à une fille de bonne adaptation néonatale.La délivrance dirigée par 5 UI de Syntocinon est incomplète au niveau membranaire et la patiente présente une hémorragie du post-partum. Par conséquent, on procède à une révision utérine au bloc opératoire ramenant quelques débris membranaires et la patiente reçoit 40 UI de Syntocinon et 2 g d'acide tranexamique avec bon effet. Les pertes totales sont estimées à 900 cc. L'hémoglobine à J1 est à 84 g/l. La patiente reste asymptomatique et hémodynamiquement stable durant le séjour. Introduction d'un traitement de Maltofer per os durant son séjour qui sera à poursuivre une fois son retour à domicile pour une période de 3-6 mois. La patiente contactera son médecin traitant afin de s'assurer que le vaccin du Boostrix est à jour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Depo-Provera, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.05.2019, en bon état général. Patiente de 32 ans 2G0P à 40 0/7 SA admise en salle d'accouchement le 07.05.2019 pour une mise en travail spontanée. La dilatation est harmonieuse et elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 4110 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative Desonur, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 10.05.2019, en bon état général. Patiente de 33 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 12.05.2019 pour une mise en travail spontanée. Elle présente une dilatation cervicale harmonieuse jusqu'à une dilatation complète. En raison d'une non-progression de la présentation aux épines +2 après 60 min de poussées actives, nous posons une ventouse Kiwi avec naissance d'une fille de 3210 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile durant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 14.05.2019, en bon état général. Patiente de 33 ans, primigeste à 41 1/7 SA, admise en salle d'accouchement le 23.05.2019 suite à un transfert de Maison de Naissance le Petit Prince pour phase de latence prolongée malgré une rupture artificielle des membranes. Le travail est dystocique malgré une stimulation par Syntocinon. Arrêt du Syntocinon après 2 heures sur une décélération prolongée. Réévaluation du col qui reste inchangé avec un CTG intermédiaire. Nous optons alors pour une césarienne que la patiente accepte. Elle donne naissance à une fille pesant 2850 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par DIU en cuivre, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. La patiente n'ayant pas fait le vaccin du Boostrix durant la grossesse, celle-ci est informée de contacter son médecin traitant dès sa sortie afin de connaître son statut vaccinal. La patiente bénéficie d'une thromboprophylaxie par Clexane 40 mg sc 1x/j qu'il faudra poursuivre pendant son séjour au Petit-Prince. Ce traitement pourra ensuite être stoppé dès son retour à domicile. La patiente désirant retourner au Petit-Prince, elle y est transférée le 24.05.2019 avec son bébé, en bon état général. Patiente de 33 ans, 1 geste 0 pare, admise en salle d'accouchement le 22.05.2019 pour rupture prématurée des membranes. Un profil tensionnel élevé à son entrée, accompagné d'oedèmes des membres inférieurs, motive la réalisation d'un bilan de gestose. Ce dernier revient négatif hormis une protéinurie sur 24 h positive à 0.6 g. Nous introduisons un traitement antihypertenseur par Trandate avec des profils tensionnels dans la norme. Après 12 heures d'expectative et au vu de la non mise en travail, elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 22.05.2019. Par la suite, elle se met en travail et la dilatation est harmonieuse. Le travail est soutenu par Syntocinon et elle accouche spontanément par voie basse. Nous effectuons un relais du traitement de Trandate par Adalat cpr ret 20 mg 3x/j en post-partum avec des profils tensionnels dans la norme. Nous proposons à la patiente d'organiser un rendez-vous chez son médecin traitant à 1 semaine pour contrôle tensionnel et réévaluation du traitement. Dans l'intervalle, la patiente effectuera des mesures tensionnelles à raison de 3x/j. Nous proposons également au médecin traitant d'organiser un contrôle chez un néphrologue à 6 semaines. Devant la présence d'une anémie post-partale à 85 g/L chez cette patiente asymptomatique et hémodynamiquement stable durant le séjour, nous introduisons un traitement de Maltofer per os. À noter que devant une constellation Rhésus, la patiente bénéficie d'une injection de Rhophylac le 24.05.2019. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complications. La patiente utilisera des préservatifs en attendant le rendez-vous à 6 semaines pour rediscuter de la contraception. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.05.2019, en bon état général. Patiente de 33 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 18.05.2019 pour une rupture des membranes avec liquide amniotique clair depuis la nuit précédente. Nous débutons l'antibioprophylaxie par Clamoxyl selon le protocole et la patiente se met en travail par la suite spontanément. La dilatation est harmonieuse. Après 1 h de dilatation complète, début de Syntocinon car présentation céphalique toujours à épines -1 chez une patiente qui a 2-3 CU par 10 minutes. À cause d'un CTG suspect, début de poussées actives après 1 h 20 de dilatation complète. Néanmoins, après 50 minutes de poussées actives, le mobile fœtal est toujours non engagé et le CTG reste suspect. Raison pour laquelle nous effectuons une césarienne en urgence 30 minutes. Lors de la césarienne, nous objectivons un hémopéritoine avec des caillots sanguins intra-abdominal en FIG. Nous objectivons alors une déchirure du ligament large gauche qui est suturée. Elle donne naissance à un garçon pesant 3200 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Le suivi de la cicatrice est en ordre durant tout le séjour. Les agrafes seront enlevées par la sage-femme à domicile dès J10-14. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule contraceptive, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 23.05.2019 en bon état général. Patiente de 33 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 19.05.2019 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Elle bénéficie de la mise en place d'un Ballonnet en ambulatoire. Elle reconsulte sur la nuit pour des contractions utérines douloureuses. Nous retirons le ballonnet et, vu l'absence de modification cervicale après quelques heures d'expectative, nous proposons la mise en place d'un Propess, ce qu'elle accepte. Un 2ème Propess est posé le 21.05.2019 sans modification du col. Poursuite de la provocation par Syntocinon le 22.05.2018. La patiente se met en travail, la dilatation est harmonieuse, et elle donne naissance à un garçon pesant 3760 g, de bonne adaptation néonatale.L'accouchement est compliqué d'une rétention placentaire complète hémorragique, nécessitant une délivrance artificielle au bloc opératoire et une révision des 3 étages. Mme. Y bénéficie d'un traitement par 40 UI de Syntocinon IV, 2 g de Fibrinogène, 2 g d'acide Tranexamique. Les pertes totales sont estimées à 800 cc. Le contrôle de l'hémoglobine à J1 est à 81 g/L. A noter que Mme. Y est asymptomatique, elle reste hémodynamiquement stable durant le séjour. Introduction d'un traitement de Gyno-Tardyferon durant le séjour, qu'il faudra poursuivre pour une période de 3-6 mois en post partum. En raison de la constellation Rhésus, Mme. Y bénéficie d'une dose de Rhophylac le 23.05.2019. A noter que l'hémoglobine foetale revient négative. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative, dans l'attente Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 25.05.2019, en bon état général. Mme. Y de 33 ans, 2 G devenue 2 P, transférée du Daler le 27.05.19 pour mise en travail à 30 5/7 semaines. Mme. Y avait été hospitalisée le 24.05 pour menace d'accouchement avec col à 20 mm et administration d'une cure de maturation pulmonaire sous tocolyse IV. Le TV objectifie un col à 2 doigts avec poche des eaux bombante. L'US montre une présentation transverse avec protrusion vaginale de la poche des eaux contenant le cordon ombilical. L'indication de césarienne immédiate est posée. L'intervention se déroule sans complication. Les pertes sanguines sont estimées à 400 cc. Elle donne naissance à un garçon, avec bonne adaptation néonatale. Transfert direct du nouveau-né à l'Inselspital. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Mme. Y, désirant allaiter, utilise un tire-lait lors de son séjour. Afin d'effectuer un rapprochement mère-enfant, Mme. Y est transférée à l'hôpital de Berne à J1 en bon état général avec contrôles obstétricaux dans la norme. Nous laissons le soin à l'hôpital de Berne de réévaluer la contraception future de Mme. Y. Mme. Y de 33 ans, 2 G0 P, admise en salle d'accouchement le 30.04.2019 pour rupture prématurée des membranes à domicile à 19h30 avec du liquide amniotique clair. Par la suite, elle se met en travail et ce dernier est soutenu par du Syntocinon. Mme. Y accouche le lendemain. Les suites post-partales sont marquées par la présence d'hémorroïdes externes sans thrombose pour lesquelles nous préconisons un traitement conservateur et une consultation auprès d'un proctologue à distance si nécessaire. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative dès 21 jours après l'accouchement, dans l'attente Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 02.05.2019 en bon état général. Mme. Y de 33 ans, 4 G2P à 40 3/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 20.05.2019 pour mise en travail spontané. La dilatation est rapide et elle donne naissance à une fille de 3360 g avec bonne adaptation néonatale. Lors de l'accouchement, Mme. Y présente une déchirure de 1er degré qui est suturée. La cicatrice reste calme lors du séjour. A noter que Mme. Y était sous traitement d'Euthyrox 75 mcg lors de la grossesse. Comme prévu par son endocrinologue, le traitement d'Euthyrox est interrompu en post partum. Elle reverra son endocrinologue pour un contrôle au mois d'août 2019. Devant la présence d'une constellation Rhésus, Mme. Y reçoit une dose de Rhophylac 300 mcg le 21.05.2019. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera probablement par DIU hormonal, dans l'attente Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 22.05.2019, en bon état général. Mme. Y de 33 ans, 5 G2P, admise en salle d'accouchement le 28.04.2019 en vue d'une provocation pour désir maternel. Elle bénéficie d'une provocation par Ballonnet puis Syntocinon. Par la suite, elle se met en travail. La dilatation est harmonieuse et Mme. Y accouche le lendemain. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la vasectomie de son conjoint ces prochaines semaines, dans l'attente Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Mme. Y de 34 ans, en bonne santé habituelle, consulte les urgences le 21.05.2019 pour des dorsalgies péjorées depuis un jour. Aux urgences, nous retenons un diagnostic de cervico-dorsalgies non déficitaires atraumatiques le 21.05.2019. Nous prescrivons un traitement de Dafalgan, Brufen et Sirdalud, un bon de physiothérapie de 9 séances et un arrêt de travail pour la journée. Nous proposons un rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant à 4 semaines pour réévaluer l'indication à effectuer une imagerie par IRM. Nous conseillons à Mme. Y de reconsulter si apparition de fièvre ou de déficit neurologique. Mme. Y de 34 ans, 2 G1P, admise en salle d'accouchement le 27.05.2019 pour une rupture spontanée des membranes et une mise en travail spontané. La dilatation est rapide. En raison d'une difficulté aux épaules, nous effectuons une manœuvre selon Mc Roberts et elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 4030 g, de bonne adaptation néonatale. Par la suite, elle présente une rétention placentaire non hémorragique, raison pour laquelle nous effectuons une délivrance artificielle avec révision des 3 étages sous anesthésie générale. Le placenta est envoyé en anatomo-pathologie. Une déchirure du 1er degré ainsi que des éraflures labiales et vaginales sont suturées au bloc opératoire. En post partum, Mme. Y signale présenter une incontinence urinaire d'effort. Mme. Y dit avoir déjà présenté cela à partir du 5ème mois de grossesse. Proposition de débuter la physiothérapie du périnée dès la 6ème semaine post partum. Nous laissons le soin au gynécologue traitant de réévaluer cette thématique au contrôle à 6 semaines et de prescrire la physiothérapie du périnée. Nous introduisons un traitement de Maltofer per os pour une anémie post partale à 98 g/L. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Azalia dès 3 semaines post accouchement. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 30.05.19, en bon état général. Mme. Y de 34 ans, 4 G2P à 37 SA, admise en salle d'accouchement le 25.05.2019 pour mise en travail spontané. Dans le contexte d'un utérus bi-cicatriciel après 2 césariennes, l'indication à une césarienne en urgence est posée. L'intervention se déroule sans complications. Devant une détresse respiratoire du nouveau-né, celui-ci séjourne en néonatalogie du 25.05.2019 au 28.05.2019. Durant le post-partum, les contrôles de glycémies sont en ordre. A noter que Mme. Y est vue par le service de diabétologie pour expliquer la suite de prise en charge. Un prochain rendez-vous avec le Dr. X est prévu. Mme. Y est connue pour une bicytopénie avec leucopénie et thrombopénie dans un contexte de Purpura thrombopénique immunologique connue depuis 2001. Le contrôle à J4 montre des leucocytes à 3.6 G/L et des thrombocytes à 110 G/L.La patiente bénéficie d'un sevrage d'allaitement primaire à sa demande par Dostinex le 25.05.2019, selon le protocole. Devant la présence d'une constellation Rhésus, la patiente reçoit le Rhophylac 300 mcg im le 25.05.2019. Nous rappelons à la patiente de contacter son médecin traitant dès sa sortie afin de s'assurer du rappel du Boostrix et afin d'organiser un suivi chez son neurologue concernant son traitement de Keppra. Concernant son syndrome polyglandulaire, la patiente a déjà un rendez-vous chez son endocrinologue prévu dans 6 semaines. La contraception future se fera par implanon, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 29.05.2019, en bon état général. • Patiente de 35 ans 2G1P admise en salle d'accouchement le 28.04.2019 pour une mise en travail spontané. La dilatation est rapide. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2790 g (p4), de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative dès 21 jours après l'accouchement, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. • Patiente de 35 ans 3G1P admise en salle d'accouchement le 10.05.2019 pour une mise en travail spontané. La dilatation est rapide. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 2880 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 12.05.2019, en bon état général. Contrôle post-partum dans 4 à 6 semaines, à votre consultation. • Patiente de 36 ans qui consulte les urgences de Riaz le 25.05.2019 en raison d'un traumatisme de la main droite le 25.05.2019 à 16h00. Aux urgences, nous réalisons un rappel du vaccin anti-tétanique. La radiographie des 2ème et 3ème doigts de la main droite ne montre pas de fracture. Nous retenons un diagnostic de contusion des 2ème et 3ème doigts, et la patiente rentre à domicile avec une antalgie simple, glaçage, surélévation, attelle SAM splint à but antalgique uniquement et un contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Nous lui proposons de consulter avant si péjoration des douleurs. Dans ce contexte et au vu d'une patiente cliniquement rassurante, elle rentre à domicile avec une ordonnance et un arrêt de travail pour 2 jours. • Patiente de 36 ans, 2G devenue 3P, admise en salle d'accouchement le 06.05.2019 à 34 6/7 d'une grossesse monochoriale biamniotique avec un suivi harmonieux, suite au diagnostic d'une mort fœtale in utero de J1. Décision d'extraction en urgence au vu de la monochorionicité. L'intervention se déroule sans complication et la patiente donne naissance à une première fille pesant 1980 g morte née, et à une deuxième fille pesant 1690 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif. La patiente accepte l'autopsie fœtale et les tests génétiques. La patiente et son mari sont vus par le psychologue Dr. X de l'HFR le 08.05.2019 et un suivi ambulatoire pour la suite n'est pas envisagé par la patiente pour l'instant. Elle reprendra contact avec lui si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 09.05.2019, en bon état général. • Patiente de 36 ans, 4G2P, admise en salle d'accouchement le 09.05.2019 à 38 SA en vue d'un bilan pré-opératoire de sa césarienne élective biterative prévue le 10.05.2019. Nous constatons lors de son contrôle une hypertension artérielle sévère associée à des céphalées chez une patiente connue d'une hypertension artérielle chronique et d'un antécédent de pré-éclampsie. Devant cela, nous hospitalisons la patiente pour une pré-éclampsie sévère. Elle bénéficie d'une perfusion de sulfate de magnésium et de Trandate, avec bonne réponse tensionnelle. La situation reste stable et elle bénéficie de sa césarienne le 10.05.2019, qui se passe sans complication per-opératoire. Elle donne naissance à un garçon de 2610 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Les tensions artérielles sont monitorées par des profils tensionnels tous les jours 3 fois par jour avec des tensions artérielles bien contrôlées par le traitement par Adalat 20 mg retard 3x/jour. L'allaitement maternel est initié et mixte. La patiente n'aura pas besoin de contraception dans l'avenir en raison de la stérilisation tubaire per-opératoire. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 14.05.2019, en bon état général. • Patiente de 37 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 03.05.2019 et Misodel le 04.05.2019. Elle bénéficie d'une antalgie par Nalbuphine à 2h30. Malgré cela, la patiente reste inconfortable et demande une césarienne. Elle donne naissance à un garçon pesant 3230 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule avec difficulté et par un tire-lait électrique en raison d'une difficulté de succion du bébé et des mamelons plats. La contraception future se fera par pilule progestative Desonur; dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 08.05.2019, en bon état général. • Patiente de 37 ans qui consulte les urgences de Riaz le 05.05.2019 en raison d'une extinction de voix depuis 1 semaine. Aux urgences, la patiente reçoit un Dafalgan 1g. Nous réalisons un bilan biologique qui revient dans la norme. Nous retenons un diagnostic de laryngite chronique probablement dans un contexte de reflux gastro-œsophagien et proposons un traitement de Nexium 40 mg 1x/jour pendant 1 mois. Nous lui proposons d'effectuer la suite de la prise en charge chez son médecin traitant. Nous proposons d'effectuer un bilan ORL en cas d'absence de résolution de la symptomatologie avec le traitement d'IPP. Dans ce contexte et au vu d'une patiente cliniquement rassurante, elle rentre à domicile avec une ordonnance et un arrêt de travail. • Patiente de 37 ans, 2 gestes 0 pare, admise en salle d'accouchement le 13.05.2019 à terme, adressée par sa gynécologue traitante en vue d'une provocation pour diabète gestationnel non insulino-requérant et un CTG suspect non objectivé en salle. Elle bénéficie de deux Propess du 14 au 15.05.2019, et le travail est soutenu par Syntocinon. Après instrumentation par ventouse kiwi pour non-progression de la présentation, elle donne naissance à une fille de 3130 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile durant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 18.05.2019, en bon état général. • Patiente de 38 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 15.05.2019, en vue d'une provocation pour terme dépassé et diabète gestationnel non insulino-requérant. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess et se met rapidement en travail. En raison d'une stagnation à 7 cm et d'un CTG pathologique, nous posons l'indication à une césarienne en urgence.La césarienne se passe sans complication per-opératoire. Elle donne naissance à un garçon pesant 3530 g. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. La cicatrice est calme à la sortie. L'ablation des agrafes sera effectuée par la sage-femme à domicile à 10 jours. La patiente bénéficie d'une thromboprophylaxie par Clexane 60 mg lors du séjour que nous stoppons à sa sortie. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule contraceptive progestative, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. La patiente sera suivie par son diabétologue pour HGPO à 3 mois. En raison d'un encombrement bronchique lors du séjour, la patiente bénéficie d'un traitement de Fluimucil avec bon effet clinique. À sa sortie, l'auscultation pulmonaire est symétrique et sans bruits surajoutés. Nous proposons la poursuite du Fluimucil pour une semaine. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 20.05.2019, en bon état général. Patiente de 38 ans, 3G1P, admise en salle d'accouchement le 14.05.2019 pour mise en travail spontanée. À son arrivée, le col est effacé et dilaté à 7 cm. La dilatation et le travail sont harmonieux et elle accouche spontanément le même jour. Les suites post-partales sont simples et afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera probablement par stérilet, à rediscuter. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 17.05.2019, en bon état général. Patiente de 38 ans 5G4P à 38 5/7 SA admise en salle d'accouchement le 08.05.2019 pour une mise en travail spontané. La dilatation est harmonieuse et elle donne naissance à un garçon pesant 3220 g, de bonne adaptation néonatale. En raison de la multiparité, elle reçoit 20 UI de Syntocinon prophylactique avec des pertes estimées à 200 mL. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum ; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Patiente de 38 ans, 6G 1P, admise en salle d'accouchement le 16.05.2019 en vue d'une césarienne élective itérative pour désir maternel. L'intervention se déroule sans complications. Elle donne naissance à un garçon pesant 4170 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébrile. La patiente bénéficie d'un sevrage primaire d'allaitement par Dostinex. Concernant son syndrome des anticorps anti-phospholipides suivi par le Dr. X, nous réintroduisons en postopératoire la Clexane 40 mg sc. La patiente désirant avoir un médicament sous forme per os, proposition par le Dr. X de faire un relais par Eliquis 2.5 mg po 2x/j qu'il faudra poursuivre jusqu'à 6 semaines postpartum avec interruption de l'Aspirine Cardio pendant le traitement oral. L'Aspirine Cardio pourra être reprise après la fin du traitement par Eliquis et sera à poursuivre pendant au moins 6 mois. Proposition au médecin traitant de recontrôler le taux d'anticorps anticardiolipines. En cas de disparition ou d'abaissement à des taux inférieurs à 40 U/ml, proposition de stopper le traitement d'Aspirine Cardio. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 21.05.2019, en bon état général. La contraception sera à rediscuter au prochain contrôle, dans l'attente, la patiente utilisera des préservatifs. Patiente de 39 ans, 10 gestes 6 pare, hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale d'un abcès mammaire, non puerpérale, péri-aréolaire au niveau de la jonction des quadrants supérieurs, de 23x14 mm, après échec de traitement conservateur par antibiotiques débuté le 24.04.2019 par Augmentin 1 g 3x/j. L'abcès est toujours douloureux avec rougeur en regard, sans fièvre ni frissons. Au contrôle clinique le 26.04.2019, une ponction-aspiration échoguidée à l'aiguille ramène 6 ml de pus. L'analyse bactériologique revient positive pour le Peptoniphilus harei avec bonne sensibilité du germe à l'Augmentin. La patiente accepte l'intervention en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 29.04.2019 et se déroule sans complication. Un drain multitubulé reste en place. Les suites postopératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. La patiente poursuivra à la sortie le traitement antibiotique par Augmentin 1 g 3x/j pendant 5 jours et par Flagyl 500 mg 3x/j pendant 5 jours. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue en consultation ambulatoire le 30.04.2019. Patiente de 39 ans 3G1P admise en salle d'accouchement le 09.05.2019 pour une rupture spontanée des membranes le 09.05.2019 à 14h. Elle se met en travail de manière spontanée et la dilatation cervicale est rapide. Après une heure de dilatation complète, on débute les poussées actives pendant une heure et devant un défaut d'engagement, nous décidons d'effectuer une césarienne en urgence. L'intervention se déroule le matin du 10.05.2019 avec mise en évidence d'un décollement placentaire lors de l'utérotomie pour lequel le placenta est envoyé pour un examen anatomopathologique. L'intervention est compliquée par une déchirure du segment droit de l'utérotomie lors de l'extraction et d'un saignement diffus du paramètre droit pour lequel un redon non aspiratif est mis en place pendant 24 heures. La patiente donne naissance à une fille pesant 3980 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébrile. Le redon et la sonde vésicale sont retirés à J1 avec une bonne reprise de la miction. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par vasectomie du conjoint et dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Patiente de 4 ans qui consulte avec ses parents pour une dermoabrasion au niveau du menton. Nous avons fait un rinçage avec du NaCl, mis des stéristrips et un pansement. La petite patiente est à jour avec les vaccinations. Nous avons conseillé à la famille un contrôle chez sa pédiatre lundi matin pour évaluer l'évolution de la dermoabrasion. Patiente de 40 ans qui consulte suite à une torsion de cheville en inversion le 23.05.2019 vers 9h00, le bilan radio-clinique conclut au diagnostic d'entorse de la cheville droite de stade 1. Nous préconisons un protocole RICE, avec attelle AirCast avec marche en charge selon douleurs. Élévation du membre inférieur droit pour lutter contre l'œdème posttraumatique. Nous proposons pour suite un contrôle clinique chez son médecin traitant dans 15 jours (à son retour d'Algérie) et proposition d'instauration des séances de physiothérapie de rééducation sensitivomotrices de la cheville droite. Patiente de 40 ans se présentant pour des douleurs latéro-thoraciques. Pas d'argument pour une origine cardiaque ou embolie pulmonaire ou pneumothorax. Douleurs musculosquelettiques ou anxiogènes. Patiente de 40 ans, 2G0P, à 32 2/7 semaines d'aménorrhée, admise dans notre service le 17.05.2019 pour une pré-éclampsie sévère. En effet, la patiente s'est présentée aux urgences pour une hypertension objectivée à domicile et une barre épigastrique. À noter que la patiente était suivie en ambulatoire pour une tension labile depuis 3 semaines sans instauration de traitement. À l'examen clinique, la patiente est hypertendue à 181/108 mmHg. Les ROT sont hypervifs sans extension de la zone réflexogène. La patiente présente des OMI remontant jusque dans les flancs. Le bilan biologique de pré-éclampsie révèle une créatinine augmentée à 80 µmol/L, un fibrinogène abaissé à 2.4 g/L et des urates à 453 µmol/L. La protéinurie des 24h est à 1.10 g. Dans ce contexte, nous hospitalisons Mme. Y pour une pré-éclampsie sévère. Un traitement de Trandate permet de normaliser les tensions et elle est mise sous sulfate de Mg avec bon contrôle du profil tensionnel. Nous débutons une cure de maturation pulmonaire dès le 17.05.2019. Durant son séjour, nous objectivons une péjoration du bilan avec apparition d'une cytolyse. Le rapport sFLT-1/PIGF est augmenté à 119. Après discussion avec Mme. Y et exposition de la possibilité d'une induction, elle se décide pour une césarienne élective, effectuée le 20.05.2019. L'intervention se déroule sans complication. Dans les suites post-partales, Mme. Y bénéficie de 24h de sulfate de Mg. Par la suite, nous objectivons des tensions artérielles augmentées, raison pour laquelle nous instaurons un traitement par Adalat retard 20 mg 2x/j avec bonne réponse tensionnelle sur le séjour. Cependant le 22.05.19, Mme. Y présente un HELLP syndrome secondaire avec perturbation importante des paramètres hépatiques et une thrombopénie minimale à 42 G/L, raison pour laquelle elle reçoit 10 mg de Dexaméthasone IV le 22.05. A noter que Mme. Y reste parfaitement asymptomatique. Par la suite, les contrôles biologiques réguliers montrent une amélioration des paramètres hépatiques et des thrombocytes. Nous proposons à Mme. Y de contacter son médecin traitant pour un RDV à 1 semaine pour contrôle clinique et tensionnel sous traitement d'Adalat retard 20 mg. Elle prendra sa tension artérielle 3x/j dès sa sortie. Nous laissons également le soin au médecin traitant d'organiser une consultation chez un néphrologue à 6 semaines post-partum. Le risque thrombo-embolique est couvert par Clexane sous-cutanée durant son séjour. Mme. Y bénéficie d'un sevrage de l'allaitement secondaire par Dostinex. Nous proposons à Mme. Y d'effectuer le rappel du Boostrix lors du RDV chez le médecin traitant à une semaine si celui-ci n'est pas à jour. La contraception future se fera par préservatif jusqu'au prochain RDV chez son gynécologue à 6 semaines. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 25.05.2019 en bon état général. Mme. Y de 41 ans, 5 gestes 0 pare, admise en salle d'accouchement le 22.05.2019 à 40 5/7 SA pour une version par manœuvre externe. Elle refuse la manœuvre à son entrée et nous effectuons donc une césarienne en urgence. L'intervention se déroule sans complications. Elle donne naissance à un garçon de 3790 g avec bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile durant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Le risque thrombo-embolique est couvert par Clexane sous-cutané durant son séjour, stoppé à sa sortie. Mme. Y est connue pour une HTA essentielle avec traitement de Bilol avant sa grossesse et relais par Trandate pendant sa grossesse. Nous changeons le traitement pour de l'Adalat retard 20 mg 3x/j en post-partum. Sous ce traitement, le suivi tensionnel est stable. Nous proposons à Mme. Y de contacter son médecin traitant pour un rendez-vous à 1 semaine afin de réévaluer le traitement d'Adalat. En attendant, elle devra prendre sa tension artérielle à domicile 3x/j. Mme. Y souhaite encore réfléchir pour la future contraception, dans ce contexte elle opte pour le préservatif en attendant le rendez-vous du post-partum. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 26.05.2019, en bon état général. Mme. Y de 42 ans en bonne santé habituelle consulte pour des douleurs thoraciques gauches respiro-dépendantes irradiant dans l'aisselle, le bras et le dos qui l'ont réveillée vers minuit. Dyspnée et sudation accompagnent les douleurs. Aux urgences, Mme. Y est stable sur le plan hémodynamique. L'examen clinique est sans particularité. L'ECG ne montre pas de signe d'ischémie. Le laboratoire est sans particularité, notamment les troponines qui reviennent à H0 5 ng/L puis à H1 5 ng/L. La radiographie du thorax est sans particularité. Au vu de l'état clinique et des examens biologiques rassurants, Mme. Y rentre à domicile avec prescription d'antalgie et arrêt de travail de 2 jours. Mme. Y de 42 ans 2G1P, admise en salle d'accouchement le 03.05.19 en vue d'une césarienne élective itérative pour utérus bi-cicatriciel. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un garçon pesant 3830 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera probablement par DIU; dans l'attente, elle utilisera le préservatif. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 07.05.2019, en bon état général. Mme. Y de 42 ans, 6G5P, connue pour tabagisme actif et un antécédent de menace d'accouchement prématuré à 35 4/7 semaines d'aménorrhée l'année passée. Actuellement enceinte à 31 5/7 semaines d'aménorrhée le 28.05.2019, et déjà sous traitement par Adalat et bryophyllum depuis le 14.05.2019 pour contractions utérines sans modification du col, elle nous consulte pour une recrudescence des contractions douloureuses, de plus en plus régulières, sans autres plaintes fonctionnelles. A l'entrée, Mme. Y est hémodynamiquement stable et afébrile. L'abdomen gravide est souple et indolore. Le CTG d'entrée confirme des contractions utérines à raison de 2 par 10 minutes. L'examen au spéculum démontre des pertes vaginales physiologiques. Le stix urinaire est propre. Le laboratoire d'entrée ne démontre pas de syndrome inflammatoire. L'US obstétrical démontre un fœtus eutrophique au P40, un placenta normalement inséré et un col raccourci 23 mm à la contraction et au Valsalva avec présence d'un funneling. Dans ce contexte, nous hospitalisons pour tocolyse par Adalat avec relais rapide par Gynipral dès le 28.05 qui permet une bonne réponse. Les examens cliniques et paracliniques nous ont permis d'exclure une piste infectieuse. Mme. Y bénéficie également d'une cure de maturation pulmonaire par Celestone le 28 et le 29.05.2019. Durant son hospitalisation, elle reste stable et afébrile avec disparition complète des contractions au CTG de sortie. La perfusion de Gynipral se termine le 30.05 à 8h, et Mme. Y reste asymptomatique par la suite. Elle regagne son domicile donc le 30.05.2019, avec consignes de poursuivre son repos et le traitement tocolytique par Adalat et Bryophyllum pinnatum jusqu'à 34 semaines d'aménorrhée. Un contrôle clinique avec mesure du col est prévu dans 1 semaine auprès de son gynécologue traitant. Mme. Y de 45 ans, connue pour un carcinome mammaire avec statut post-mastectomie bilatérale, actuellement sous anti-hormonaux avec un suivi radiologique tous les 6 mois d'un nodule pulmonaire. Elle avance son contrôle avec son oncologue car elle développe des douleurs abdominales il y a 3 semaines, apparues progressivement, plutôt en hypocondre gauche. Un CT abdominal du 16.05.2019 montre une masse pancréatique et des nodules hépatiques. Mme. Y est hospitalisée pour biopsie de ces lésions. Une biopsie du pancréas guidée par ultrason est faite le 20.05.2019, sans complication. Le 21.05.2019, Mme. Y rentre à domicile et sera convoquée en ambulatoire pour sa biopsie hépatique en AG sans CT avec système de navigation le 24.05.2019. Mme. Y sera reconvoquée par la suite pour l'obtention des résultats. Mme. Y de 45 ans, connue pour une tumeur papillaire de la vessie en 2013 qui a bénéficié d'une RTUV par Dr. X, elle nous est amenée ce jour en ambulance en raison de douleurs sus-pubiennes de survenue brutale ce matin lors de son second épisode mictionnel de la journée, sans prodromes, sans notion d'épisodes similaires dans le passé. Elle rapporte une douleur crampiforme à 8/10 localisée en région sus-pubienne sans irradiation, cédant à la prise d'un cp de Buscopan au domicile. Elle n'a pas observé ses urines, pas d'odeur particulière. Suite à son épisode mictionnel, elle a présenté un malaise vagal sans perte de connaissance.accompagné de sudations profuses. Pas d'état fébrile, pas de frisson. Pas de nausée, pas de vomissement. Tendance à la constipation, elle ne se rappelle pas de la date de ses dernières selles. Pas de dysurie ni de pollakiurie. Sur le plan gynécologique, la patiente est porteuse d'un stérilet, suivis gynécologiques réguliers, pas de perte sanguine anormale. Le bilan biologique montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, pas de syndrome inflammatoire, un test de grossesse sanguin est négatif 1 U/I. La patiente a été vue par le chirurgien de garde, le Dr. X qui propose un ultrason abdominal qui montre une petite lame de liquide en sous-hépatique plus importante en Douglas, pas de globe vésical, les ovaires n'ont pas pu être visualisés et ne pouvant pas exclure une pathologie gynécologique. Nous complétons le bilan par un CT-scan abdominal qui ne montre pas de pathologie digestive, il confirme cette petite lame de liquide en sous-hépatique et plus importante en Douglas, selon le radiologue une torsion ovarienne ne peut pas être exclue ni un kyste rompu. Sur avis du Dr. X, chirurgien, nous transférons la patiente aux urgences de gynécologie pour suite de la prise en charge. La Dr. Y, gynécologue de garde est avertie du cas, ainsi que la Cheffe de clinique des urgences de Fribourg en gynécologie. Patiente de 46 ans connue pour des épisodes de paralysie faciale droite à répétition, adressée pour une suspicion de SEP par l'équipe d'ophtalmologie. La patiente consulte l'ophtalmologie en raison de douleurs à la mobilisation de l'œil droit, en péjoration au cours des derniers jours avec apparition de troubles de la vision sous forme de brouillard. La patiente décrit une nette amélioration des douleurs oculaires ces derniers jours, mais une péjoration de l'acuité visuelle. Le CT cérébral natif ne montre aucune anomalie et aucun signe parlant en faveur d'une sclérose en plaques n'est objectivé à l'IRM cérébrale. Après discussion avec nos collègues de neurologie, une thérapie par Solumedrol est initiée avec une amélioration des douleurs décrites par la patiente. Une ponction lombaire est également effectuée dans le bilan, sans élément parlant pour une maladie démyélinisante. Aucune thérapie de fond n'est indiquée à l'heure actuelle et un suivi radio-clinique est proposé avec une nouvelle IRM cérébrale dans un an. Nos collègues de la neurologie restent à disposition en cas d'apparition de nouveaux symptômes ou si l'imagerie de contrôle devait révéler de nouvelles lésions. Mme. Y rentre chez elle en bon état général le 10.05.2019. Patiente de 46 ans connue pour une hypothyroïdie sous Euthyrox, qui ressent vers 22h ce soir une dyspnée associée avec des douleurs thoraciques gauches irradiant dans la gorge. Premier événement. Elle était en train de regarder la télé avec son copain. Divorcée depuis des années. Elle est en burnout au travail. Très angoissée par le retour au travail et par un événement entre elle et son partenaire et aussi par le fait qu'une collègue a fait un infarctus récemment. Notion de tremblements dans tout le corps. Pas de nausée ou de vomissement. Pas de maladie récente. Dernier repas vers 18h. Pas de nausée ni de vomissement. Pas de symptôme urinaire. Pas de diarrhée. Pas de changement dans le statut neurologique de la patiente, confirmé par le partenaire. Elle ne fume pas. Elle prend uniquement de l'Euthyrox et des vitamines. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. La patiente se sent mieux après prise de Temesta avec une respiration qui revient dans la norme et absence de douleurs. En vue du statut et bilan rassurant, la patiente rentre à domicile avec son partenaire. Patiente de 47 ans, 2G devenue 2P, admise en salle d'accouchement le 10.05.2019 vu d'une césarienne élective pour placenta praevia marginal. La césarienne se complique d'une hémorragie du post-partum nécessitant une ligature des artères utérines selon O'Leary, une ligature vasculaire ovaro-utérine bilatérale, la mise en place d'un point carré de compression du fond utérin (selon Degueldre), de la mise en place d'un ballon de Bakri gonflé à 120 cc et de la perfusion de 40 UI de Syntocinon, du Nalador selon protocole, 2g de fibrinogène et 2g d'acide tranéxamique. Le ballon est ensuite dégonflé à J1 de 60 cc et retiré à J2. La patiente séjourne au soin continu jusqu'au 11.05.2019; ce jour-là, la patiente, hémodynamiquement stable, est transférée à la maternité. Depuis, les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'hémoglobine de contrôle post-partum est à 85 g/L. L'allaitement maternel complet est initié et mixte. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 14.05.2019, en bon état général. Patiente de 48 ans qui se présente pour un contrôle de plaie suite à un drainage d'abcès de la face postérieure de la cuisse. Le Dr. X, chirurgien de garde, confirme la bonne évolution de la plaie. Il préconise des pansements secs avec rinçage 3x/jour. La patiente sera revue en polyclinique de chirurgie jeudi pour un prochain suivi de plaie. Patiente sortie à domicile avec antalgie et arrêt de travail. Elle doit reconsulter si elle présente de la fièvre, des frissons ou des signes infectieux locaux nouveaux. Patiente de 51 ans en bonne santé habituelle qui consulte les urgences de Riaz le 03.05.2019 en raison de douleurs abdominales. Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique qui est aligné. Le sédiment urinaire montre 3-5 érythrocytes. Nous demandons un avis au Dr. X, chirurgien, qui suspecte un statut post-passage de calcul biliaire et qui propose d'organiser un ultrason abdominal complet à la recherche d'une vésicule lithiasique la semaine prochaine en électif. Si l'ultrason objective une vésicule lithiasique, nous proposons de contacter le Dr. X pour l'adresser à sa consultation au vue d'une éventuelle cholécystectomie. Dans ce contexte et au vu d'une patiente cliniquement rassurante, elle rentre à domicile avec une antalgie simple. Nous lui conseillons de revenir en cas de fièvre ou de douleurs non supportables. Patiente de 52 ans avec douleurs abdominales depuis une cure d'appendicite aigue avec péritonite purulente opérée le 22.02.2019 avec amélioration de façon générale des douleurs mais persistance de moindre intensité à l'effort avec un CT-scan abdominal sans collection visible. Discussion du cas avec le Dr. X, chirurgien. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Patiente de 52 ans qui vers 07H45 ce matin reçoit un plateau de coffrage en bois d'environ 150 kilos sur la face interne de sa jambe droite. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Le patient est traité symptomatiquement et sera suivi par son médecin traitant. Patiente de 52 ans transférée des soins intensifs de Payerne pour un NSTEMI le 12.03.2019. La coronarographie du 13.03.2019 montre une sténose isolée du tronc commun distal de 70-80%, avec un bon ventricule gauche, posant l'indication à une revascularisation chirurgicale semi-urgente (semaine prochaine). Nous stoppons donc le traitement de Brilique. Un bilan angiologique pré-pontage est effectué. En absence de récidive de douleur ni de troubles du rythme malgré une surveillance de 36 h, la patiente rentre à domicile et sera convoquée pour un pontage la semaine prochaine.Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre à domicile le 14.03.2019. Mme. Y, 53 ans, 4G 4P sous Dépo-Provera depuis 7 ans, connue pour des métrorragies depuis 6 semaines, déjà investiguées par son gynécologue (PAP 30.01.2019: en ordre, bilan hormonal 30.01.2019: FSH 4.2, E2 492, ferritine 22.05.2019: 11, pipelle 22.05.2019: pas d'atypies). Une tentative de traitement par progestatif pendant 10 j. a été stoppée il y a 2 semaines, car inefficace. Elle a consulté les urgences de gynécologie le 24.05.2019 en raison d'hyperménorrhées avec caillots, associés à des douleurs abdominales. L'ultrason montrait un endomètre épaissi à 14 mm et une hémoglobine à 134 g/l. Une attitude expectative avait été adoptée. Elle est réadressée ce jour par son gynécologue traitant en raison de la persistance d'importants saignements vaginaux en péjoration associés à des douleurs de type dysménorrhée. À son admission, nous ne mettons pas en évidence de saignement actif. L'ultrason montre un endomètre à 15 mm. L'hémoglobine est diminuée à 109 g/l. Dans ce contexte, nous proposons un curetage biopsique et hémostatique au bloc opératoire. L'intervention se déroule sans complication et Mme. Y peut regagner son domicile le même jour. Une substitution martiale par Maltofer per os est débutée vu la ferritine abaissée (vu chez le gynécologue traitant) et l'anémie à 109 g/l. Nous proposons également à Mme. Y de rediscuter avec son gynécologue traitant de la contraception. Mme. Y, 56 ans, connue pour un diabète insulino-requérant, bénéficie de manière élective de la pose de pompes d'insuline le 14.05.2019. Une surveillance étroite des glycémies est effectuée pendant 48 h et Mme. Y reçoit un enseignement de la part de l'équipe de diabétologie quant à l'utilisation du nouveau matériel. Mme. Y peut rentrer à domicile le 16.05.2019. Un suivi en ambulatoire sera poursuivi en diabétologie. Mme. Y, 57 ans, ancienne toxicomanie et alcoolique, connue pour un méningiome frontal et des hypoglycémies à répétition, consulte aux urgences le 14.05.2019. Cet après-midi, elle aurait fait des malaises à répétition dans la rue. Selon des témoins, Mme. Y titubait puis serait tombée en avant. Pas de traumatisme crânien car elle s'est rattrapée avec les bras. Toujours selon des témoins, elle a eu plusieurs épisodes de perte de conscience ou absence d'environ 2 min. Les ambulanciers ne réfèrent pas de mouvements tonico-cloniques ni de perte de selles et d'urines. Les témoins ont appelé les ambulanciers. À l'arrivée des ambulanciers, Mme. Y est assise sur une chaise, elle est consciente mais confuse, très ralentie et présente des troubles de l'équilibre. Elle a une glycémie à 2.7 mmol/l. Elle reçoit une perfusion de 100 ml de G20%. Mme. Y dit avoir mangé ce matin et puis plus rien depuis 7 h. Elle habite seule, a une médication (selon une ancienne consultation DPI), mais il y a probablement une non-conformité médicamenteuse. L'anamnèse est difficile car Mme. Y est ralentie et peu collaborante. Elle aurait bu un verre de champagne à midi. Examen clinique aux urgences: Paramètres à l'arrivée: FC 68 bpm, TA 116/59, saturation 94% aa, GCS 15/15. GEN: Mme. Y orientée mais confuse et ralentie. GCS 15/15, afébrile, normocarde et normotendue. CV: B1B2 bien frappés, sans souffles, pouls périphériques palpables, pas d'OMI. PULM: MVS sans bruits surajoutés. ABDO: abdomen souple et dépressible, indolore à la palpation, bruits normaux en intensité et fréquence. Bouche: cicatrice d'un ancien museau, mais pas de nouveaux. NEURO: pupilles iso-iso, pas de déficit de nerfs crâniens, force et sensibilité conservées aux membres supérieurs et inférieurs, hyperréflexie symétrique aux membres supérieurs et inférieurs, Mingazzini tenu, épreuve cérébelleuse doigt-nez et talon-genou sans particularités. À l'arrivée aux urgences, nous réévaluons la glycémie qui montre une valeur à 2.6 mmol/l malgré la perfusion de glucose reçue dans l'ambulance. Nous avons donc ressucré Mme. Y avec 4 ampoules de G40% (16 g) dans 100 ml de NaCl et G5% 1000 ml vitesse 48 ml/h avec une surveillance tous les 15 minutes. Pendant la surveillance, sous l'infusion de glucose, les glycémies s'améliorent avec des valeurs de 5.7 mmol/l, mais à l'arrêt de la perfusion, les glycémies redescendent à 4.6 mmol/l. Nous demandons l'avis du chef de clinique des urgences, Dr. X, qui préconise de garder Mme. Y en surveillance monitorée aux urgences avec une perfusion de G5 500 ml en 6 h et une surveillance des glycémies chaque heure. Au vu des glycémies qui descendent, nous adaptons le traitement en accélérant la perfusion (aux 9 h). Les glycémies se stabilisent sous ce traitement. Au vu d'un état clinique rassurant après une nuit de surveillance aux urgences et une glycémie à 5.6 mmol/L, Mme. Y rentre à domicile. La patiente refusant une hospitalisation, nous préconisons une prise en charge ambulatoire avec test de jeûne. Nous suspectons une mauvaise conformité médicamenteuse et un manquement régulier aux rendez-vous chez les médecins. De ce fait, un rendez-vous à la consultation de Dr. X est pris depuis les urgences pour le 21.05. Nous conseillons au médecin traitant d'essayer de reprendre un suivi neurologique et psychiatrique. De plus, nous décidons de dénoncer la situation au juge de paix dans le but de mettre en place un curateur. Nous avons réalisé un bilan qui ne montre pas de syndrome inflammatoire, mais une leucopénie à 2.8 G/l, une anémie à 93 g/l. Nous avons fait une gazométrie qui a montré un pH à 7.36, PCO2 6.6 kPa, PO2 9.7 kPa, bicarbonates 27 mmol/l. Mme. Y, 58 ans, chute par maladresse sur le genou G le 9.5.19. Pas d'autre traumatisme. Elle consulte son médecin traitant qui effectue une IRM posant le diagnostic ci-dessus et nous l'envoie pour suite de prise en charge. On retient une indication opératoire. Mme. Y, 59 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, consulte au service des urgences le 16.05.2019 pour des douleurs invalidantes du membre inférieur gauche. Le bilan radiologique montre une fracture du fémur proximal et Mme. Y est hospitalisée en orthopédie pour ostéosynthèse du fémur proximal gauche le 19.05.2019. Durant l'hospitalisation, Mme. Y présente un épisode de dyspnée avec désaturation à l'air ambiant. Un CT thoracique met en évidence un foyer basal gauche pour lequel un traitement de Levofloxacine est instauré dès le 17.05.2019 (patiente allergique à la pénicilline) avec bonne évolution clinique. Dans le contexte de dyspnée et de suspicion clinique de surcharge, un bilan cardiaque met en évidence une FEVG à 30%. Nous retenons une cardiopathie d'origine probablement toxique sur chimiothérapie (anthracycline). L'évolution est favorable sous traitement diurétique transitoire. Un traitement de Metoprolol et de Lisinopril est initié. Mme. Y sera convoquée à un mois pour une échocardiographie de contrôle. Nous vous laissons le soin d'augmenter progressivement les doses selon tolérance et de rediscuter l'introduction de Spironolactone, ainsi que de contrôler la fonction rénale et la kaliémie en raison de l'introduction de Lisinopril. Concernant le chondrosarcome avec la dernière dose d'immunothérapie le 10.05.2019, arrêtée en raison de la progression de la maladie, un rendez-vous de contrôle chez son oncologue Dr. X est prévu après sa sortie. Au vu de la bonne évolution clinique mais avec toutefois une mobilisation encore fragile, nous inscrivons Mme. Y en réadaptation musculo-squelettique avant un retour à domicile. En attendant une place, la patiente reste hospitalisée au sein de notre service bien que la prise en charge spécifique par nos soins soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Patiente de 60 ans connue pour une hypertension artérielle traitée, un diabète de type 2 et un tabagisme à 10 UPA qui présente un trouble de la vision transitoire, avec diplopie durant environ 30 minutes puis spontanément résolutif le 23.05.2019. Mme. Y rapporte également des céphalées en étau G>D pendant 3 jours d'apparition progressive ainsi que des vertiges depuis quelques jours, rotatoires. Il existe une notion de douleurs rétrosternales il y a une semaine. La patiente a été vue par le Dr. X le 15.05.2019 avec une échocardiographie dans la norme. A l'entrée, la patiente réalise un CT cérébral natif qui ne met pas en évidence de saignement ou de signes ischémiques. L'IRM réalisée le lendemain montre des signes d'un AVC ischémique plutôt subaigu gauche. Après avis neurologique, l'origine est très probablement micro-angiopathique et l'Aspirine est remplacée par du Plavix 75 mg 1x/jour. Cliniquement, Mme. Y présente une résolution spontanée des symptômes, hormis une persistance des vertiges. Un avis ORL confirme que les vertiges ne sont pas d'origine périphérique. L'électrocardiogramme sur 24h ainsi que le profil tensionnel sur 24h seront communiqués au médecin traitant. Une cause cardio-embolique est peu probable au vu de l'échocardiographie réalisée le 15.05.2019 qui était dans les normes. Concernant le profil glycémique, la patiente est stable durant tout le séjour avec une hémoglobine glyquée à 6.6 %. En accord avec les neurologues, les cibles LDL devraient être <1.8 mmol/L. Pour cette raison, nous introduisons un traitement par Atorvastatine 20 mg 1x/jour. Le bilan neuropsychologique est discuté oralement le jour de la sortie de Mme. Y avec la neuropsychologue qui conseille un arrêt de la conduite pour au moins deux semaines. Le rapport complet suivra. La décision de la poursuite ou de l'arrêt de la conduite doit être avec le médecin traitant. Mme. Y rentre à domicile sans aide le 31.05.2019. Patiente de 62 ans, admise aux soins intensifs le 04.05.2019 en raison d'une suspicion d'accident ischémique transitoire sylvien gauche. Elle consulte les urgences en raison d'un épisode de trouble de l'élocution avec manque du mot et dysarthrie d'apparition brutale le 04.05.2019 à 16h alors qu'elle s'occupait de ses petits-enfants, suivie d'une résolution spontanée et complète des symptômes en moins d'une heure. A noter une anamnèse de paresthésies transitoires impliquant l'hémi-face gauche la veille. A son arrivée aux urgences, le status neurologique est parfaitement dans la norme et demeure normal durant les 48 heures de surveillance aux soins intensifs. L'angio-CT cérébral en urgence ne montre pas de lésion ischémique ou hémorragique. Un traitement par Aspirine est débuté. Le bilan étiologique met en évidence une hypercholestérolémie. L'hémoglobine glyquée est normale. Une IRM cérébrale réalisée le 06.05.19 ne montre pas de lésion ischémique ni de saignement intra-crânien. Un bilan étiologique cardiaque comprenant une échocardiographie et un Holter de 72h sont organisés, sachant que la patiente décrit des palpitations occasionnelles. L'évolution étant favorable, la patiente est transférée en stroke unit non monitoré le 6.5.19. L'examen neurologique au moment du transfert est dans la norme (NIHSS=0). Patiente de 63 ans, admise aux soins intensifs le 11.05.2019 suite à un polytraumatisme survenu dans le contexte de chute accidentelle. Elle est principalement connue pour une polyarthrite rhumatoïde séropositive, nodulaire et érosive, ainsi que des ulcères chroniques récidivants des membres inférieurs. La patiente est amenée aux urgences suite à une chute d'une plateforme de surélévation, d'une hauteur d'environ 1 mètre en fauteuil roulant, sans perte de connaissance, avec douleurs ostéo-articulaires multiples post-traumatiques. Le CT total body d'admission met en évidence de multiples fractures du bassin, de la clavicule et de la cage thoracique ainsi qu'un hématome sous-dural pariétal droit. Un traitement conservateur est entrepris sur le plan orthopédique. L'antalgie est contrôlée de manière satisfaisante par Oxynorm et Fentanyl patches, associés depuis le 13.05.2019 à une PCA de Fentanyl. A noter que la patiente refuse l’oxycontin en raison d'importantes nausées rapportées dans le passé sous ce traitement. Les douleurs sont situées principalement au niveau thoracique et sont déclenchées par les efforts de toux. La patiente bénéficie de physiothérapie respiratoire avec CPAP, qui est bien tolérée. Une prise en charge par hypnose est aussi demandée auprès de nos collègues anesthésistes. Un CT cérébral de contrôle à 24h montre une discrète progression de l'hématome sous-dural pariétal droit avec phénomène de redistribution postérieure en lien avec l'alitement. Sur avis neurochirurgical (Dr. X), une imagerie de contrôle sera à prévoir à 3-4 jours de l'accident. Dans l'intervalle, une thromboprophylaxie prudente par héparine de bas poids moléculaire est débutée. Patiente de 63 ans, connue pour un antécédent de communication interventriculaire congénitale avec fermeture spontanée et d'un antécédent de chimio- et radiothérapie mammaire G, est hospitalisée de manière élective pour pose de pacemaker DDD par le Dr. X en raison d'un BAV du 2 à 3ème degré. Mme. Y présentait en effet une intolérance à l'effort progressive sur les derniers mois et des épisodes de malaises avec vertiges et voiles noirs. Actuellement, pas de plaintes notamment pas de DRS, palpitations ou dyspnée. L'intervention se déroule sans complications. La radiographie thoracique de contrôle montre des sondes bien positionnées et l'absence de pneumothorax. La surveillance à l'étage se déroule sans particularités. Mme. Y rentre à domicile le 17.05.2019. Un contrôle de la plaie sera à prévoir dans 10 jours chez le médecin traitant. Le suivi cardiologique est prévu à 4 semaines chez le Dr. X. Patiente de 64 ans, admise en Stroke unit monitorée le 06.05.2019 en raison d'un AVC hémorragique de la capsule interne droite. Elle est transférée de Riaz, où elle consulte dans la nuit du 05 au 06.05.2019 en raison de paresthésies de la main gauche d'apparition brutale au repos, suivie d'une progression rapide vers l'épaule et l'hémiface gauche, puis troubles de la marche avec tendance à la déviation à gauche. Aux urgences de Riaz, une hypertension à 199/139 mmHg est mise en évidence, associée à une parésie faciale gauche et une hypoesthésie brachiale ipsi-latérale. Le CT cérébral montre une hémorragie du bras postérieur de la capsule interne droite. La patiente est alors transférée dans notre unité pour suite de prise en charge. L'évolution est marquée par une régression partielle des symptômes initiaux, avec un NIHSS à 2 à la sortie. L'origine de l'AVC est attribuée en premier lieu à une probable angiopathie hypertensive. Nous complétons le bilan par une IRM cérébrale qui confirme un foyer d'hémorragie thalamo-capsulaire à droite. Cet examen met en évidence de manière fortuite un possible anévrisme de 2 mm à la bifurcation du segment M1 de l'artère cérébrale moyenne à droite, pour lequel un bilan en ambulatoire avec angio-CT cérébral reste à organiser.Les profils tensionnels sont progressivement contrôlés sous TNT iv, puis IECA et anti-calciques. Au vu de l'évolution favorable, la patiente est transférée en Stroke unit non-monitorée pour suite de prise en charge le 07.05.2019. • Patiente de 64 ans, connue pour une hémorragie subarachnoïdienne aiguë sur rupture d'anévrisme de l'artère communiquante postérieure droite le 21.08.2018 avec coiling endovasculaire, est suivie en neurochirurgie à l'Inselpital Bern. Lors d'un contrôle radiologique le 08.05.2019, on met en évidence une récidive d'anévrisme de l'artère communiquante postérieure droite. Elle bénéficie donc le 08.05.2019 d'un nouveau coiling endovasculaire par abord fémorale gauche. Lors du réveil, une hémiparésie gauche sur ischémie du thalamus et de la capsule interne à droite est mise sur le compte d'ischémies de l'artère cérébrale moyenne et de l'artère cérébrale postérieure à droite per-interventionnelles. D'autre part, la patiente se plaint de nouvelles hallucinations visuelles, non connues par le passé, qui sont également apparues au réveil de l'intervention. Par la suite, Mme. Y présente un choc hémorragique sur saignement rétropéritonéal de l'artère fémorale gauche le 10.05.2019 nécessitant plusieurs prises en charge vasculaire. Au 3ème look chirurgical, le 12.05.2019, le saignement est tari. En l'attente d'une place en neuro-réadaptation à l'HFR Meyriez, la patiente est transférée le 29.09.2019 à l'étage de médecine interne à l'HFR de Fribourg. Sur le plan neurologique, l'évolution clinique est progressivement favorable. Durant son hospitalisation, Mme. Y présente des hypoesthésies avec paresthésies de type fourmillement au niveau fémoral gauche le 28.05.2019, raison pour lesquelles un US doppler de la jambe gauche est demandé. Aucune thrombose veineuse profonde n'est visualisée et les douleurs sont mises sur le compte d'une probable atteinte nerveuse superficielle post-cicatrice. Les hallucinations visuelles sont en nette diminution à raison d'un épisode durant quelques minutes, tous les deux jours. Mme. Y est transférée le 31.05.2019 en neuro-réadaptation à l'HFR Meyriez. • Patiente de 64 ans, connue pour une maladie coronarienne, qui consulte aux urgences dans un contexte de douleurs thoraciques oppressives avec irradiation au niveau du bras gauche, avec sensations vertigineuses associées, apparaissant au repos évoluant depuis 2 semaines mais avec nette péjoration les jours précédents l'hospitalisation. L'ECG et le bilan biologique excluent un syndrome coronarien aigu et un angor instable est retenu. La coronarographie du 13.05.2019 démontre une progression de la maladie coronarienne avec 2 lésions (IVA et deuxième marginale CX) significatives. Deux stents actifs sont implantés à ce niveau et un traitement par clopidogrel pour une durée d'une année est instauré. L'aspirine est à prendre à vie. Nous organisons en ambulatoire une échocardiographie afin d'évaluer la fonction cardiaque. Sur le plan électrolytique, la patiente présente une hyperkaliémie qui survient dans un contexte d'IRC connu pour lequel nous introduisons un traitement de Resonium. La patiente bénéficie d'un enseignement sur un régime pauvre en potassium par nos diététiciennes. Sur le plan métabolique, la patiente présente des hyperglycémies pour lesquelles nous introduisons un schéma de correction d'insuline. L'hémoglobine glyquée se mesurant à 9.3%, nous demandons l'avis de nos diabétologues qui introduisent un traitement de Tresiba à 12 UI/jour. La patiente sera revue à leur consultation ambulatoire. Au vu de l'état clinique et biologique rassurant, la patiente peut rentrer à domicile le 16.05.2019. • Patiente de 66 ans qui nous consulte dans le contexte d'une douleur intercostale respiro-dépendante spontanée d'origine indéterminée depuis hier nuit (commencée comme des crampes musculaires intercostales gauche depuis 2 jours sans caractère respiro-dépendant). Nous effectuons un contrôle laboratoire qui met en évidence des D-dimères légèrement augmentés et un syndrome inflammatoire avec CRP à 36. Nous effectuons un ECG qui est normal. Un Rx thoracique montre un minime infiltrat basal gauche, ne nécessitant pas un traitement antibiothérapeutique. Nous mettons en place un traitement antalgique par Novalgine 500 mg et nous laissons le patient retourner à domicile. Nous conseillons au patient de nous consulter si les douleurs persistent. • Patiente de 67 ans admise pour une coronarographie élective pour le traitement de la sténose de l'IVA. La coronarographie du 6.05.2019 montre un bon résultat après stenting de la CX il y a un mois. Nous avons procédé à l'angioplastie de la sténose sérielle de l'IVA proximale/moyenne avec deux stents actifs. Le résultat final est bon. Le traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est à poursuivre. Nous vous laissons le soin de contrôler de manière stricte les différents facteurs de risques cardio-vasculaires. Dans les suites post-interventionnelles, la patiente développe un hématome de l'avant-bras droit avec une hypoesthésie du territoire radial de la main droite et une discrète diminution de la force de la main à M4. Le bilan angiologique met en évidence un saignement de l'artère radiale avec une fistule artério-veineuse et un hématome de l'avant-bras non alimenté. Nous procédons à une compression élastique et un suivi clinique et ultrasonographique rapproché. L'évolution est favorable avec une disparition des troubles sensitifs et moteurs ainsi qu'une diminution de l'œdème. Une compression élastique est à poursuivre pour 48 à 72 h avec un contrôle angiologique prévu le 14.05.2019. Le patient rentre à domicile le 7.05.2019. • Patiente de 67 ans connue pour les antécédents susmentionnés qui bénéficie de la pose d'un défibrillateur en électif le 20.05.2019. Les suites sont simples, permettant un retour à domicile le 21.05.2019. • Patiente de 68 ans, connue pour un adénocarcinome peu différencié diffus d'après Lauren de l'estomac en stade initial cTx N0 M0 avec un statut post-gastrectomie totale, portant une PEJ, sous chimiothérapie palliative par FOLFIRI à raison de 1 cycle chaque 2 semaines avec bonne tolérance, suivie par le Dr. X. Suite à une pneumonie en début d'année, les cycles de chimiothérapie ont dû être repoussés pour être repris le 30.04.2019. Depuis, Mme. Y présente des reflux avec sensation de blocage au niveau gastrique surtout à l'eau mais également à la nourriture (mange 2-3 cuillères de riz au repas). Vomissements répétés biliaires, sans hématémèse, avec nausées indépendamment de la prise d'aliment. Le transit est conservé. Elle bénéficie d'une nutrition parentérale à domicile, avec une PEJ de décharge. Un CT abdominal montre un iléus mécanique, intéressant l'anse biliaire et, dans une moindre mesure, l'anse alimentaire. Au vu de la carcinose péritonéale importante, une intervention chirurgicale n'est pas recommandée selon avis chirurgical et les vomissements n'étant pas fréquents, nous ne posons pas de sonde naso-gastrique de décharge. Un essai de réalimentation est fait de façon progressive, avec un arrêt de l'alimentation solide à cause de vomissements biliaires. Par la suite, l'alimentation per os est mieux tolérée et la patiente gère ses portions. Au niveau oncologique, la prochaine chimiothérapie est repoussée de quelques jours, en attendant une amélioration de la prise alimentaire. La chimiothérapie est finalement reprise le 21.05.2019 et bien tolérée. Le 22.05.2019, Mme. Y rentre à domicile et nous réactivons l'aide à domicile pour l'alimentation parentérale. La suite du traitement oncologique se fera en ambulatoire avec le Dr. X. • Patiente de 68 ans, connue pour une cardiopathie ischémique, qui est envoyée par vos soins pour investigations de céphalées, accompagnées d'une sensation de troubles de la coordination, avec vertiges et possible parésie transitoire du MIG.Au CT scan injecté du 17.05.2019, un AVC ischémique cérébelleux gauche est mis en évidence. Nous introduisons du Plavix et stoppons l'aspirine cardio. Nous gardons la patiente en lit strict à 0° avec un premier lever le 21.05.2019. Mme. Y récupère entièrement avec une très légère ataxie des membres inférieurs et supérieurs gauches. Une IRM cérébrale du 23.05.2019 confirme la présence d'une lésion cérébelleuse gauche. Un bilan cardiologique avec une échocardiographie transthoracique montre une probable progression de la maladie coronarienne sans évidence pour une origine cardio-embolique. Un Holter sur 24h est organisé pendant l'hospitalisation. Un examen neuropsychologique est aussi organisé pour bilanter ces troubles cognitifs débutants. Au vu de l'évolution favorable, nous laissons Mme. Y rentrer à domicile avec un rendez-vous de contrôle à prévoir chez vous et un contrôle à 3 mois le 30.08.2019. Patiente de 70 ans qui consulte les urgences de Riaz le 03.05.2019 en raison de douleurs rétro-sternales depuis la veille. Aux urgences, nous réalisons un ECG qui revient sans particularité. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer pulmonaire, pas de pneumothorax ni d'hémothorax. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire. Aux urgences, la patiente a reçu du Nexium 40 mg avec un effet favorable sur les douleurs et du Temesta 1 mg. Étant donné la disparition des douleurs, l'examen clinique, biologique et radiologique qui sont rassurants, la patiente rentre à domicile avec le traitement symptomatique. Patiente de 70 ans, qui nous est transférée depuis le service de médecine HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour réadaptation suite à un déconditionnement dans le cadre d'un mélanome avec métastases amélanotiques. Pour rappel, Mme. Y avait bénéficié d'une laparoscopie le 20.03.2019 pour extraction d'une adénopathie. Une immunothérapie par Opdivo avait été débutée le 01.04.2019, à poursuivre toutes les 2 semaines, et un Port-à-cath a été posé le 15.04.2019. Au vu de la perte pondérale et malgré les adaptations mises en place par une diététicienne, une sonde naso-gastrique est posée le 26.03.2019 avec début d'une nutrition entérale. Sur le plan social, Mme. Y vit avec son mari et marche seule sans moyen auxiliaire. À l'anamnèse dans notre service, la patiente rapporte des douleurs abdominales diffuses par moments ainsi que des nausées occasionnelles, sans trouble du transit. Signalons une notion d'asthénie et de perte de 10 kg en 6 semaines. Il n'y a pas de dysphagie et la patiente a un régime normal en plus de la sonde nasogastrique. Au status, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les cicatrices sont calmes. Le reste du status est sans particularité. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche seule est de 130 mètres. La patiente peut gravir 18 marches. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 105/126, par rapport à 90/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Au niveau nutritionnel, la patiente est suivie par nos diétéciennes qui préconisent de garder la sonde nasogastrique pour le retour à domicile afin de couvrir ses besoins nutritionnels. Au vu d'une évolution favorable, Mme. Y rentre à domicile le 26.04.2019. Un rendez-vous en oncologie pour sa prochaine cure d'Opdivo est prévu le 30.04.2019 et un rendez-vous en consultation oncologique aura lieu le 08.05.2019. Patiente de 71 ans, admise aux soins intensifs le 06.05.2019 en raison d'un STEMI sub-aigu antéro-septal. Elle consulte initialement en raison d'un angor typique sous forme de douleurs rétrosternales oppressives irradiant dans la mâchoire et le bras gauche. L'ECG met en évidence un STEMI dans les dérivations V1 et V2. En raison d'antécédents de maladie de von Willebrand (vW) acquise dans le contexte d'un syndrome myéloprolifératif, nous dosons en urgence le facteur de vW activé. Celui-ci est supérieur à 50 %. Après aval auprès de nos collègues hématologues (Dr. X), une double anti-agrégation plaquettaire est introduite. À noter que selon ces derniers, la maladie de von Willebrand est désormais à considérer comme contrôlée depuis l'introduction des cyto-réducteurs. La coronarographie réalisée en urgence met en évidence une sténose subtotale de l'IVA moyenne qui est stentée sans complication (un stent actif ainsi qu'un stent actif au premier diagonal). Le FEVG est à 50 %. L'évolution est marquée par une récidive de douleurs rétrosternales de moindre intensité le 07.05.2019, survenant dans un contexte d'anxiété généralisée, sans modification ECG significative ni nouvelle élévation des enzymes cardiaques. L'évolution est rapidement résolutive sous Lexotanil itératif. Nos collègues cardiologues ne retiennent pas d'indication à une nouvelle coronarographie en urgence à ce stade. Une coronarographie est prévue dans un mois pour le traitement de CD. Le point de ponction fémoral droit est calme. Nous introduisons des bétabloqueurs et des IECA, avec une bonne tolérance hémodynamique. Sous ces traitements, nous n'avons pas objectivé de troubles du rythme significatifs en cours de séjour. Patiente de 72 ans, admise pour une coronarographie élective en raison d'une dysfonction ventriculaire gauche nouvelle à la consultation de Dr. X. La coronarographie du 17.05.2019 montre une atteinte coronarienne tritronculaire avec dominance gauche. L'IVA est subtotale de sa portion proximale à distale. Sténose serrée d'une longue branche diagonale. Il y a de plus deux atteintes plus focales du réseau RCx (RCx distale et PLA). La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 30 %. Les aa. mammaires sont de bons calibres. Nous avons procédé à une angioplastie du réseau IVA/DA avec 3 stents actifs et contrôle par tomographie optique (OCT intracoronaire) avec un bon résultat immédiat. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Nous instaurons également un traitement diurétique par Torasémide 5 mg au vu d'une dyspnée avec des pressions télédiastoliques élevées. Une coronarographie pour le traitement de la Cx et de la PLA est prévue dans 3-4 semaines. Un contrôle clinique est à prévoir dans 4-6 semaines auprès de Dr. X avec une ETT de contrôle et adaptation du traitement de l'insuffisance cardiaque. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. La patiente rentre à domicile le 18.05.2019. Patiente de 72 ans, connue pour un AVC ischémique cérébelleux en 2015 d'origine cardioembolique, une ischémie rétinienne droite réversible en 2017 et une FA anticoagulée, est hospitalisée dans un contexte de récidive d'embole de l'artère rétinienne droite. Mr. Y présente depuis le 22.05.2019 au réveil une quadranopsie supérieure partielle monoculaire de l'œil D. Le patient consulte le Dr. X, ophtalmologue de garde, qui met en évidence un embole au niveau de l'artère rétinienne inféro-temporale droite et l'adresse au service des urgences. L'Angio-CT cérébral révèle une athéromatose calcifiée et sténosante de l'artère carotide interne droite en progression par rapport au dernier contrôle et une leucoencéphalopathie vasculaire diffuse sans lésion aiguë. L'IRM cérébrale ne montre pas de nouvelle lésion ischémique ou hémorragique. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une bonne fonction cardiaque, une dilatation de l'oreillette gauche mais sans thrombus. L'ECG montre un rythme sinusal. Un Holter de 72h sera posé en ambulatoire pour la suite. À noter que le patient était sous traitement par Sintrom avec un INR à 2,1 (fourchette thérapeutique) lors de l'arrivée au service des urgences. Un duplex des vaisseaux pré-cérébraux confirme la sténose significative sur l'artère carotide interne droite, calcifiée, estimée à 50-70 %. L'étiologie de l'ischémie rétinienne artério-artérielle semble donc la plus probable. Dans ce contexte, après discussion multidisciplinaire avec les collègues de la chirurgie vasculaire et de l'angiologie, une prise en charge chirurgicale par TEA est retenue. Après la thrombendartériectomie, il est proposé d'introduire de l'Eliquis 2x5 mg à la place du Sintrom, sans traitement antiplaquettaire supplémentaire.Sur le plan métabolique, un traitement de Crestor 5 mg/j est introduit. Nous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée jusqu'au prochain bilan ophtalmologique, que le patient devra prévoir après le retour à domicile. L'évolution clinique au moment du transfert en chirurgie montre une légère amélioration de la quadranopsie supérieure droite. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Patiente de 72 ans, connue pour HTA traitée, dyslipidémie traitée et diabète contrôlé par mesures d'hygiène de vie, est amenée en ambulance en raison d'une dyspnée de repos en péjoration depuis 24h ainsi que de douleurs thoraciques de type oppressives spontanément résolutives après une heure. Pour rappel, Mme. Y a consulté le service des urgences le 14.05.2019 en raison d'une symptomatologie similaire, chez qui le diagnostic de décompensation cardiaque sur fibrillation auriculaire rapide avait été posé. Pour des raisons personnelles, la patiente avait alors décidé de rentrer à domicile contre avis médical. Un suivi chez son cardiologue traitant (Dr. X) avait abouti à une augmentation du dosage de Beloc Zok à 50 mg et un arrêt du traitement par Zanidip. Mme. Y est transférée à l'étage le 23.05.2019. Au bilan initial, la patiente présente un état fébrile à son arrivée et un état inflammatoire avec leucocytose. Une radiographie thoracique réalisée au service des urgences révèle des signes de surcharge hydrique ainsi que de probables foyers infectieux bilatéraux. Des antigènes urinaires pour pneumocoque et légionelle s'avèrent négatifs. Les hémocultures sont négatives à 5 jours. La patiente est traitée par Co-Amoxicilline 1200 g 3x/jour durant une semaine et évolue favorablement. Sur le plan cardio-respiratoire, la patiente est initialement très dyspnéique et nécessite de l'oxygène. Après antibiothérapie, Lasix IV et ralentissement de la fréquence cardiaque par titration progressive du Beloc Zok, l'évolution est favorable. La fréquence cardiaque reste élevée à environ 100 bpm. Étant donné que la patiente supporte très bien le traitement par Beloc Zok, les doses sont augmentées à 200 mg 1x/jour. Elle consultera son cardiologue traitant, Dr. X le 04.06.2019, qui décidera de la suite de la prise en charge. Concernant son ballonnement abdominal, un ultrason abdominal à l'entrée permet d'exclure une ascite nouvelle. Les glycémies étant élevées, nous vous proposons de recontrôler et d'éventuellement introduire un traitement antidiabétique. Mme. Y rentre à domicile le 31.05.2019. Patiente de 73 ans admise aux soins intensifs le 22.05 en post-opératoire pour surveillance hémodynamique. Mme. Y s'était présentée le 1.05.2019 pour un iléus colique sur masse de la queue du pancréas envahissant l'angle colique G, le hile splénique ainsi que la surrénale G. Elle avait bénéficié dans un premier temps d'une transversostomie de décharge en urgence le 01.05. Le cas a été discuté au tumorboard de chirurgie, où l'indication à une résection chirurgicale radicale a été retenue. Mme. Y a donc été opérée le 22.05 d'une laparotomie exploratrice avec spléno-pancréatectomie caudale, néphrectomie G totale, surrénalectomie G, résection de l'angle colique G avec anastomose colo-colique et iléostomie de protection. L'opération s'est déroulée sans complication avec des pertes sanguines estimées à 300 cc. La patiente a pu être extubée en salle. Elle est transférée aux soins intensifs avec un fond de Noradrénaline qui est rapidement sevré. Au niveau antalgie, elle est confortable avec une péridurale de Bupivacaïne/Fentanyl. Au niveau équipement, il y a 3 drains JP, un à droite qui draine la tranche de section pancréatique et qui est fixé dans la cavité abdominale et ne doit pas être retiré. Il ramène à J1 10 cc avec 6'880 d'amylase. Le drain G inférieur (I) draine le Douglas et le drain D supérieur (II) draine la coupole diaphragmatique G. Les dosages d'amylase et bilirubine doivent être répétés dans les 3 drains à J2. Au vu de l'évolution tout à fait favorable, Mme. Y peut être transférée dans le service de chirurgie le 23.05.2019. Patiente de 73 ans, connue pour un glioblastome frontal de stade IV, qui est admise aux soins intensifs le 05.05.2019 en raison d'une crise d'épilepsie inaugurale. La patiente présente initialement deux crises toniques partielles avec généralisation secondaire, témoignées par son époux. Il n'y a pas de facteur précipitant clair mis en évidence, notamment pas de contexte infectieux. Elle présente un phénomène de Todd associé sous forme d'hémisyndrome sensitivomoteur facio-brachio-crural gauche avec déviation du regard à droite et une dysarthrie, l'ensemble est spontanément résolutif. Le CT cérébral natif ne montre pas de saignement. Un traitement de Keppra est introduit aux urgences, avec majoration du traitement de Dexaméthasone. Un EEG est effectué dont l'interprétation est actuellement en cours. Selon avis oncologique, la chimiothérapie palliative (Avastin-Lomustine) est à poursuivre avec prochain cycle prévu le 07.05.2019. Une IRM cérébrale pour suivre l'évolution de la lésion post-chimiothérapie est à prévoir à 2 semaines. L'évaluation neurologique à 12 heures confirme une parésie faciale droite mineure persistante, connue. Devant l'évolution favorable, la patiente est transférée à l'étage de médecine interne pour la suite de la prise en charge. Patiente de 74 ans admise pour une fermeture de l'auricule gauche suite à un hématome sous-dural spontané sous Sintrom nécessitant l'arrêt de l'anticoagulation chez une patiente connue pour une fibrillation auriculaire. Nous avons procédé à la fermeture d'auricule gauche par la voie percutanée avec mise en place d'un LAA occluder Amulet 22 mm. Nous proposons la thérapie avec l'aspirine 100 mg par jour pour au minimum 6 mois et le traitement avec Plavix 75 mg par jour pour 1 mois. Une prophylaxie de l'endocardite bactérienne selon la carte orange doit être effectuée jusqu'à confirmation de l'occlusion du LAA, soit jusqu'au contrôle échocardiographique transœsophagien de 6 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. L'échocardiographie de contrôle du 7.05.2019 confirme la bonne position du dispositif et ne montre pas de complication du geste. La patiente rentre à domicile le 7.05.2019. Patiente de 74 ans transférée de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal où elle avait bénéficié d'une cholécystectomie et d'une hémicolectomie gauche élargie avec CME par laparotomie le 22.03.2019 pour un adénocarcinome sigmoïdien ainsi qu'une cholécystolithiase. À l'arrivée dans notre service, Mme. Y rapporte des douleurs abdominales diffuses, mais n'a pas d'autre plainte. À l'examen clinique, la patiente est hémodynamiquement stable. L'abdomen est souple et diffusément douloureux à la palpation. La cicatrice de laparotomie est calme.Sur le plan abdominal, l'antalgie est maîtrisée. La cicatrice abdominale reste calme et sans signe de surinfection. L'ablation des points de suture est effectuée au 14ème jour post-opératoire, comme prévu par l'opérateur. A l'entrée, la patiente présente une constipation, raison pour laquelle nous mettons en place un traitement par Movicol et Laxoberon en réserve. Mme. Y nous rapporte une nycturie avec un traitement en cours par Tamsulosine, sans amélioration clinique selon elle. Nous arrêtons donc ce traitement et le relayons par du Betmiga, dont l'efficacité sera à réévaluer dans les prochaines semaines. Au niveau social, la patiente vit seule dans un appartement sur 2 étages, comptant environ 12 marches pour atteindre l'étage supérieur où se trouvent sa chambre à coucher et les toilettes. L'appartement est au 3ème étage avec ascenseur. Mme. Y gère ses repas, ses médicaments et sa lessive ; elle a une femme de ménage 1x/semaine. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 12.04.2019 sont normaux, avec un MMS à 28/30 et un test de la montre à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 4/15. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seule et sans moyen auxiliaire est de 140 mètres. La patiente peut gravir 36 marches d'escaliers sans accompagnement. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 88/126, identique à celle de l'entrée (MIF physio : transferts à 7/7, marche à 7/7, escaliers à 6/7). Le TUG s'effectue en 8 secondes. La patiente ne nécessite pas de prise en charge nutritionnelle ni ergothérapeutique. Cette dernière peut regagner son domicile le 19.04.2019, avec mise en place d'aides à domicile pour le ménage et suivi de la cicatrice de laparotomie. Patiente de 75 ans connue pour un s/p hémorragie intraparenchymateuse pariétale droite d'origine indéterminée en août 2018 et dans ce contexte des crises d'épilepsie partielles (en août, septembre 2018 et février 2019) ainsi qu'un état de mal épileptique partiel en août 2018, suivi par le Dr. X. Elle est hospitalisée suite à une nouvelle crise se manifestant de la même manière que les dernières : mouvements tonico-cloniques du membre inférieur gauche. Pas de perte de contact, pas de perte d'urine ou de selles, pas de morsure de langue, pas d'autres symptômes neurologiques. La patiente dit avoir pris régulièrement ses traitements, avec introduction récente (24.04.2019) de lamotrigine en substitution du vimpat selon schéma du Dr. X. L'anamnèse ne permet pas de retrouver de trigger à cette nouvelle crise. Pas de modification de son alimentation, diminution du temps de sommeil depuis quelques semaines en raison d'augmentation de la fréquence urinaire. Un traitement par Urbanyl est mis en place en dose dégressive sur 1 semaine. Le traitement de lamotrigine est augmenté à 100 - 0 - 50 mg. Ce traitement devra être augmenté à 100 - 0 - 100 dans 2 semaines (à partir du 21.05.2019), tout en restant attentif à l'état cutané. La patiente est informée de consulter immédiatement en cas de symptomatologie cutanée. Au vu de la bonne évolution et l'absence de récidive en cours d'hospitalisation, Mme. Y rentre à domicile le 06.05.2019. Patiente de 75 ans, qui nous est adressée de l'hôpital de Riaz le 23.04.2019 en raison d'un iléus mécanique sur sténose de la jonction recto-sigmoïdienne sur probable masse tumorale. Mme. Y avait été initialement adressée aux urgences de Riaz par son médecin traitant en raison d'une baisse de l'état général avec dénutrition sévère. La patiente est hospitalisée dans un premier temps en chirurgie, où elle bénéficie le 26.04.2019 d'une laparoscopie exploratrice qui confirme une carcinose péritonéale ainsi que la présence d'ascite. Une transversostomie de décharge est effectuée. Les analyses anatomo-pathologiques et immuno-histochimiques parlent en faveur d'un adénocarcinome digestif haut, le bilan est complété par une OGD, une cholangio-IRM, ainsi qu'un dosage du CA 19-9 qui parlent en faveur d'un carcinome des voies biliaires, probablement un cholangiocarcinome, au stade métastatique avec lésions hépatiques, carcinose péritonéale et lésions pulmonaires. Le cas est discuté au tumorboard du 08.05.19 et il est décidé de ne pas débuter de chimiothérapie au vu de l'agressivité et de l'état général altéré de la patiente, tout cela après discussion et explication des résultats avec la patiente et sa famille. Un traitement de soins palliatifs est introduit dès lors et la patiente est transférée dans le service de médecine interne pour la suite de la prise en charge. En post-opératoire, une renutrition entérale est introduite progressivement, qui se complique par des troubles électrolytiques nécessitant la mise en place d'une substitution, ainsi qu'un suivi par l'équipe de nutrition clinique. Au cours de l'hospitalisation, la patiente présente une prise de poids importante, accompagnée d'œdèmes des membres inférieurs motivant l'introduction d'un traitement diurétique par Aldactone 100 mg auquel la patiente ne répondra que partiellement. Un traitement de lasix IV transitoire permet une bonne réponse clinique. Un traitement palliatif par Dexaméthasone est introduit avec une légère amélioration de l'appétit et de l'asthénie. La patiente étant désireuse de rentrer à domicile au plus vite, nous organisons des soins à domicile pour la gestion de la stomie ainsi qu'un suivi par l'équipe de Voltigo. Mme. Y rentre le 15.05.2019, dans un état général diminué mais sans douleurs. Patiente de 76 ans adressée par le médecin traitant en raison de douleurs rétrosternales depuis le 04.05.2019. Elle décrit des douleurs rétrosternales oppressives persistantes avec irradiation dans le cou, non-respiro-dépendantes, non-transfixiantes d'apparition brutale alors qu'elle était debout, cédant partiellement à la prise de nitroglycérine (2 capsules) de son mari. A l'ECG, la patiente présente des sus-décalages nouveaux dans le territoire antérieur avec des troponines à 72 chez le médecin traitant, motivant le transfert aux urgences et une coronarographie. La coronarographie du 06.05.2019 montre l'image typique d'une cardiomyopathie de Takotsubo. La fraction d'éjection est sévèrement diminuée (30%). Les coronaires sont athéromateuses mais ne montrent pas de lésions significatives. Nous introduisons un traitement de Plavix pour 3 mois avec la diminution de la posologie du Xarelto à 15 mg pour la durée de l'anti-agrégation. Une ETT de suivi effectuée le 07.05.2019 montre une fraction d'éjection du ventricule gauche à 40 % et la patiente est cliniquement compensée et ne présente plus de douleurs, pas de dyspnée. Au vu d'une anamnèse positive pour un phénomène de Raynaud, des arthralgies touchant les MCP 1-2-3 de la main droite, des myalgies récurrentes et également une sensibilité du visage à la lumière, nous suspectons une maladie auto-immune, raison pour laquelle un bilan approfondi est demandé. Les anticorps anti-nucléaires spécifiques RP-155 reviennent positifs et nous suspectons une cause auto-immune médicamenteuse induite par son traitement de Tambocor. Ce traitement est stoppé également, en accord avec nos collègues cardiologues. Mme. Y rentre à domicile le 10.05.2019 au vu de l'excellente évolution. Un contrôle cardiologique est prévu à la consultation du Dr. X le 24.05.2019 à 14h. Patiente de 76 ans, connue pour une LMC sous Glivec stable au dernier bilan de janvier 2019, qui présente une douleur thoracique parasternale gauche localisée, à caractère sourd et respiro-dépendante, survenue de manière rapide le 01.05.2019. Elle décrit une dyspnée, une légère toux non productive, un inspirium limité par la douleur, un état subfébrile avec une température mesurée jusqu'à 37.8°C depuis 48h, des légers frissons et des sudations nocturnes. Les douleurs répondent à la Novalgine.Sur le plan digestif, Mme. Y aurait présenté des nausées la nuit du 01.05.2019, avec un vomissement et un épisode de selles diarrhéiques isolé. Des douleurs abdominales du flanc gauche ont disparu de manière spontanée. Au status, on retrouve une patiente hémodynamiquement stable avec une tachycardie à 120/min. On observe des râles crépitants fins en fin d'expirium au niveau du LSG. Le reste du status est sans particularité. Le bilan radiologique ainsi qu'un syndrome inflammatoire confirment la présence d'une pneumonie du lobe supérieur gauche. Un traitement par Co-Amoxicilline i.v. est débuté et la patiente est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Une recherche d'antigène légionelle et pneumocoques revient toutes deux négatives. Les évolutions cliniques comme biologiques sont rapidement favorables, permettant d'effectuer un relais de l'antibiothérapie intraveineuse en per os dès le 06.05.2019. Les douleurs d'origine pleurale cèdent sous AINS. Sur le plan électrolytique, l'hyponatrémie se corrige spontanément et l'hypokaliémie est substituée en per os jusqu'au 08.05.2019. Nous vous laissons le soin de contrôler éventuellement la kaliémie lors de la prochaine consultation de Mme. Y. La tachycardie se normalise dès son arrivée dans le service de médecine, sans récidive durant le séjour. Mme. Y rentre à domicile le 09.05.2019. Patiente de 77 ans, connue pour diabète de type 2 et troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, qui nous est transférée en réadaptation gériatrique après une opération le 03.05.2019 à l'HFR Riaz pour cure d'hallux valgus et arthrodèse des 1er et 2ème orteils du pied droit. Les suites postopératoires furent sans complication. La bactériologie était revenue négative après 5 jours, et une antibiothérapie prophylactique a été conduite du 03.05.2019 au 13.05.2019. Pour rappel anamnestique, Mme. Y est connue pour une artériopathie obstructive de stade II, et a bénéficié d'une angiographie sélective du membre inférieur droit, avec recanalisation de multiples subocclusions de l'artère tibiale le 30.04.2019 par Dr. X, celle-ci s'étant déroulée sans complication. En raison du ballon médicamenteux au niveau jambier, une double antiagrégation par Plavix et Aspirine Cardio était prévue pour un mois, suivie par Aspirine Cardio seule au long cours. Notons à présent une anémie normochrome normocytaire à 102g/l, avec bilan d'anémie réalisé par un dosage de l'acide folique et de la vitamine B12, revenus dans la norme à 4.9ng/ml et 390pg/ml respectivement. Notons aussi une hypovitaminose D à 38nmol/l. La patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, elle est capable de marcher sur une distance de plus de 120m à l'aide d'un tintébin et sous surveillance, avec un risque de chute présent. Les escaliers ne sont pas testés. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle s'élève à 84/126 à la sortie, par rapport à 85/126 à l'entrée. La MIF physiothérapeutique est à 5/7 pour les transferts, 5/7 pour les déplacements et 1/7 pour les escaliers. Le TUG s'effectue en 39.35 secondes. La physiothérapie sera poursuivie en ambulatoire. Mme. Y bénéficie de séances d'ergothérapie pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan orthopédique, la marche avec chaussure Barouk a été prévue jusqu'au prochain contrôle. La cicatrice reste calme, sans signe infectieux. L'ablation des fils est réalisée le 17.05.2019. Un rendez-vous est prévu en policlinique HFR Riaz, à la consultation de Dr. X, le 24.05.2019 à 13h45. Sur le plan social, Mme. Y vit entourée par sa famille. Sur demande de la patiente et de sa fille qui souhaitent un retour à domicile, et malgré que celui-ci soit jugé précipité en raison de la présence de risques de chute et d'une difficulté à la mobilisation, la patiente quitte notre service le 17.05.2019. Les soins à domicile passeront 1x tous les deux jours pour le pansement. Patiente de 77 ans, connue pour une cardiopathie valvulaire, qui nous est transférée en réadaptation gériatrique depuis le service de chirurgie HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour reconditionnement suite à une hémicolectomie droite et anastomose iléo-transverse pour un adénocarcinome invasif du cæcum. Pour mémoire, Mme. Y présente un adénocarcinome invasif du cæcum visualisé à la colonoscopie avec biopsie le 20.02.2019 par Dr. X, raison pour laquelle elle bénéficie de l'intervention suscitée le 01.04.2019 à l'HFR Fribourg, par Dr. X. Sur le plan social, la patiente vit dans une maison, avec son petit-fils. Elle marche sans moyen auxiliaire. Au status d'entrée, nous trouvons une patiente normotendue et normocarde, apyrétique, avec un abdomen souple et indolore à la palpation et des bruits normaux. L'ablation des fils est effectuée le 15.04.2019, et la cicatrice en fosse iliaque droite présente de légers signes inflammatoires et reste à surveiller. Les autres cicatrices sont calmes et sans signe infectieux. Le reste du status est sans particularité. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À la sortie, son périmètre de marche est à volonté, sans moyen auxiliaire. La patiente peut gravir 36 marches et est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 111/126, par rapport à 110/126 à l'entrée (mesure d'indépendance fonctionnelle totale physiothérapeutique : transferts à 6/7, marche à 7/7, escaliers à 6/7). Le test Timed et Go se réalise en 12 secondes. Le risque de chute est bas. Au niveau nutritionnel, Mme. Y présente une malnutrition protéino-énergétique sévère, raison pour laquelle elle bénéficie des conseils de nos nutritionnistes. Nous poursuivons également les suppléments nutritifs oraux à domicile et y organisons la livraison de repas. Au vu d'une évolution favorable, la patiente rentre à domicile le 18.04.2019 avec un contrôle prévu à la consultation de Dr. X le 14.05.2019 à 9h00. Une infirmière indépendante effectuera une surveillance de la cicatrice et le changement des pansements aux 48h. Patiente de 77 ans, démente et avec antécédent d'accident vasculaire cérébral, institutionnalisée à l'EMS d'Humilimont à Marsens, qui est adressée ce jour aux urgences de l'HFR Riaz par son médecin traitant pour suspicion de bronchopneumopathie dans un contexte de pneumopathies à répétition sur bronchoaspirations. Plus précisément, la patiente était moins alerte selon le personnel du home, avec péjoration sur le plan respiratoire ce jour et présence de crachats et de dyspnée. À l'arrivée aux urgences, Mme. Y est eupnéique à l'air ambiant (saturation à 95%), subfébrile à 37.7°C, mais stable sur tous les plans, sans plainte (mais non interrogeable du fait de sa démence). Au status de l'admission, relevons au niveau cardiovasculaire une patiente stable sur le plan hémodynamique, tachycarde à 99 battements par minute, aux B1 et B2 bien frappés, avec absence de souffle audible et pas de signe d'insuffisance ni de thrombose. Au niveau pneumologique, mentionnons une patiente eupnéique à l'air ambiant, au murmure vésiculaire +/+ accompagné de ronchis bilatéraux. L'abdomen est souple, dépressible et indolore, sans signe fonctionnel digestif et aux dernières selles ayant eu lieu ce jour. Urogénitalement, signalons des loges rénales souples et indolores. Sur le plan neurologique, rappelons une patiente démente connue, sans signe de focalisation.Nous ne retrouvons pas de foyer à la radiographie du thorax, mais un léger syndrome inflammatoire est mis en évidence, avec une CRP à 30 mg/l, sans leucocytose. Dans ce contexte, il n'y a pas d'argument pour une antibiothérapie actuellement. La patiente est prise en charge dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz le jour même de son arrivée aux urgences, pour suite de prise en charge. Dans notre service, Mme. Y est très peu collaborative en raison de sa démence connue. Elle demeure stable mais subfébrile à 37.8°C. En raison d'un traitement de Prednisone déjà prescrit, nous débutons un traitement de Rocéphine 2 g intraveineux le 03.05.2019 en dose unique. Par la suite, nous instaurons un traitement antibiotique par voie orale devant le bilan biologique rassurant. Finalement, au vu d'une évolution favorable, la patiente peut rentrer à l'EMS d'Humilimont le 04.05.2019. Patiente de 78 ans, admise aux soins intensifs du 29.04 au 01.05, puis du 06.05 au 08.05.2019 en raison d'épisodes d'insuffisance respiratoire globale aiguë d'origine multifactorielle. Connue pour insuffisance respiratoire hypoxémique chronique, une cardiopathie hypertensive avec une obstruction dynamique et une sténose mitrale, la patiente est initialement hospitalisée à Tavel le 26.04.2019 en raison d'une décompensation cardiaque traitée par diurétiques et adaptation du traitement antihypertenseur. L'évolution est défavorable avec développement d'un œdème pulmonaire aigu survenant dans un contexte de poussée hypertensive compliquée d'une insuffisance respiratoire globale avec carbonarcose et troubles de l'état de conscience le 29.04.2019, motivant son transfert aux soins intensifs. Une ventilation non invasive est instaurée et le traitement diurétique est adapté, avec une évolution transitoirement favorable permettant son transfert en division de médecine interne le 01.05.2019. Un traitement par BIPAP nocturne est introduit dans l'intervalle. Le 06.05.2019, la patiente présente un nouvel épisode d'insuffisance respiratoire globale aiguë avec désaturation et carbonarcose, motivant sa réadmission dans notre service. L'insuffisance respiratoire globale aiguë récidivante est d'origine multifactorielle. Nous retenons comme composantes principales une insuffisance cardiaque gauche diastolique, une obstruction dynamique sous-aortique dans le cadre d'une cardiopathie hypertensive, une obésité avec syndrome d'obésité-hypoventilation et apnées du sommeil, des épanchements pleuraux bilatéraux avec atélectases passives associées, et un déconditionnement musculaire global. Les échocardiographies sériées du 29.04 et du 07.05.2019 montrent une FEVG conservée à 60 % avec la persistance d'un bourrelet septal sous-aortique modéré, accompagné d'une obstruction dynamique intraventriculaire gauche sous-aortique. La patiente ne présente pas de douleur thoracique, ni de modification ECG dynamiques, et les troponines restent stables à près de 50 ng/L. Dans ce contexte, une éventuelle composante ischémique n'est pas retenue par nos collègues cardiologues. Un épanchement droit est ponctionné le 06.05.2019 (transudat), sans amélioration clinique significative. Les épisodes d'œdème aigu du poumon survenant à la faveur de poussées hypertensives et de surcharge volémique se compliquent par des phases répétées de bas débit cardiaque en relation avec l'aggravation de l'obstruction dynamique sous-valvulaire aortique sous traitement diurétique. À cela s'ajoute désormais une dépendance à la VNI et une acidose respiratoire persistante. Devant une impasse thérapeutique malgré une prise en charge intensive rapprochée, nous décidons d'entente avec la patiente et ses proches de procéder à des soins de confort exclusifs dès le 08.05.2019. La patiente décède le jour même. Nous n'avons pas demandé d'autopsie médicale. Patiente de 79 ans connue pour une fibromyalgie qui nous est adressée dans le contexte de suspicion d'une infection urinaire avec dysurie depuis 3 jours avec fièvre à 38 C le 30.05.2019. Nous effectuons un statut urinaire qui confirme une infection urinaire et un contrôle laboratoire qui met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP à 26. Nous mettons le diagnostic d'une infection urinaire basse compliquée. La patiente peut rentrer à domicile avec une ordonnance de Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pour 5 jours. Nous proposons à la patiente de nous consulter si l'infection urinaire persiste. Patiente de 79 ans connue pour une hypertension artérielle traitée et contrôlée, des infections urinaires à répétition et une obstruction de l'artère sous-clavière gauche sous Aspirine Cardio. Depuis 5 jours, la patiente présente des douleurs en loge rénale gauche avec des analyses urinaires montrant une infection chez sa généraliste ainsi qu'un essai de traitement par Nopil forte qui provoque des plaques érythémateuses, puis par Ciprofloxacine qui provoque des nausées (prescrit par sa généraliste et un médecin de garde respectivement). Mme. Y consulte aujourd'hui pour des douleurs persistantes en loge rénale gauche ainsi qu'une douleur à l'épaule gauche lors des mouvements à 9/10 sans notion de traumatisme. L'examen clinique met en évidence des douleurs à la palpation de la tête humérale gauche. Les mouvements actifs sont impossibles. L'auscultation cardiaque met en évidence un souffle systolique maximal au foyer aortique. La palpation abdominale et la percussion des loges rénales sont indolores. Nous réalisons une radiographie de l'épaule mettant en évidence une fracture de l'épaule sous-capitale gauche. Le bilan biologique montre une hyponatrémie à 120 hypotonique. Sur le plan électrolytique, l'hyponatrémie peut être secondaire à un SIADH médicamenteux et à l'Esidrex que nous mettons en pause. Sur le plan orthopédique, nous demandons un avis orthopédique avec mise en place d'un traitement conservateur par le port d'un gilet orthopédique pendant 6 semaines. Les radiographies de contrôle à 1 semaine ne montrent pas de déplacement. Compte tenu de la dynamique inhabituelle de cette fracture spontanée, nous suspectons un myélome multiple, même en l'absence de signes biologiques suspects. Nous réalisons des clichés radiographiques des os longs et du crâne qui ne montrent pas de lésions typiques d'un myélome. Par ailleurs, une hétéro-anamnèse plus approfondie nous permet de retrouver une nature traumatique de la fracture : la patiente est tombée sans s'en souvenir alors qu'elle était en état confusionnel. Nous diagnostiquons également un état confusionnel imputable au traitement de ciproxine et à l'hyponatrémie qui régresse après correction des facteurs responsables. Au niveau des tests cognitifs, relevons un MMS à 28/30 et un test de la montre à 2/7. L'échelle gériatrique de dépression est à 0/15. Au vu de ces valeurs, nous vous proposons d'effectuer un bilan neuropsychologique à distance. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À la sortie, son périmètre de marche seule et sans moyen auxiliaire est de 120 mètres. Mme. Y ne peut pas gravir d'escalier. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 116/126, par rapport à 97/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 6/7, escaliers à 1/7). Le TUG n'est pas testé. Le risque de chute est intermédiaire. La patiente ne présente aucun trouble nutritionnel. Mme. Y profite d'un bilan modulaire d'ergothérapie qui évalue son autonomie dans les activités de la vie quotidienne ; elle bénéficie durant ce séjour d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne.Après discussion avec la patiente et la famille, il est décidé d'un court séjour au Foyer St-Germain de Gruyères, suivi d'un retour à domicile. Mme. Y quitte notre service le 24.04.2019. • Patiente de 80 ans admise pour une coronarographie élective suite à une consultation aux urgences le 8.05.2019 dans le contexte de 2 épisodes de douleurs rétrosternales typiques au repos sans modifications ECG ni mouvement de troponines, laissant suspecter un angor instable. La coronarographie du 9.05.2019 montre une maladie coronarienne bitronculaire avec sténose hémodynamique significative (FFR = 0.8) de la bifurcation IVA-1ère diagonale. Nous avons procédé à une angioplastie de l'IVA proximale à moyenne avec mise en place d'un stent actif puis kissing avec la 1ère diagonale avec bon résultat final sans thrombose ni dissection. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 12 mois est introduit. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès du médecin traitant. Une ergométrie est à effectuer dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 10.05.2019. • Patiente de 81 ans admise pour une coronarographie élective en raison de persistance d'angor. La coronarographie du 15.05.2019 montre un excellent résultat à court terme de la double revascularisation percutanée de l'IVA et de l'artère circonflexe. Nous avons complété celle-ci avec un stenting direct (1 DES) d'une sténose de 70% de l'artère coronaire droite moyenne avec un bon résultat final. Le traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est à poursuivre. Nous proposons de stopper le patch de Nitroderm. Un contrôle de l'Hb est à effectuer dans 10 jours afin d'exclure un saignement à bas bruits chez une patiente sous DAPT avec une Hb à 114 G/l il y a 1 mois (actuellement Hb 97 G/l). À l'anamnèse, la patiente ne reflète pas d'extériorisation. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 16.05.2019. • Patiente de 81 ans connue pour hypertension artérielle et malaises d'origine indéterminée qui consulte pour dyspnée d'apparition progressive depuis 2 jours. Présence également de douleur thoracique D intermittente type crampe non irradiante, non respiro-dépendante, 6/10, ne dérange pas la nuit. Elle mentionne plusieurs sensations de malaises sans perte de connaissance ou TC. À l'anamnèse systématique, elle mentionne une brûlure mictionnelle et hématurie depuis quelques jours (connue pour infection urinaire à répétition). Aux urgences, la patiente est stable sur le plan hémodynamique et afébrile. L'examen clinique est sans particularité. L'ECG ne montre pas de signe d'ischémie. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. Les urines montrent la présence de leucocytes et sang. Nous retenons une crise hypertensive avec bonne réponse du profil tensionnel après traitement par adalat retard 30. Au vu d'une infection urinaire, nous entamons un traitement de monuril en une dose. Mme. Y consultera son MT dans la semaine qui vient. • Patiente de 81 ans connue pour un diabète type 2 non insulino-requérant et une hypertension artérielle, qui nous est transférée depuis les urgences de l'HFR Fribourg où elle avait été amenée en ambulance suite à un traumatisme crânien sans perte de connaissance, après malaise. En effet, les témoins auraient constaté un affaissement et un traumatisme crânien, sans perte de connaissance, alors que la patiente était à la Coop. Ils n'ont pas vu de mouvements tonico-cloniques et Mme. Y n'a pas ressenti de douleurs rétro-sternales, de dyspnée ou de vertiges. Elle relate néanmoins une sensation de faiblesse au niveau des membres inférieurs. Mme. Y mentionne plusieurs épisodes de malaise à domicile, sans chute. À l'anamnèse par système, il n'y a pas de plainte. Signalons que Mme. Y est suivie par le Dr. X en gynécologie en raison d'un carcinome mammaire depuis 2016, traité par tumorectomie, avec dernier contrôle le 10.04.2019. La patiente suit également un traitement par Campral en raison d'un syndrome de dépendance à l'alcool : actuellement, la patiente est abstinente. Sur le plan social, Mme. Y vit à domicile avec son mari atteint d'Alzheimer, une situation difficile pour la patiente. Notons également des chutes fréquentes à domicile. Au status, Mme. Y est afébrile. Le reste du status est dans la norme hormis une légère mydriase à gauche (cataracte connue). Le test Schellong effectué le 11.04.2019 est négatif. Au vu d'une hyponatrémie et d'une hypokaliémie, nous mettons en suspens la composante hydrochlorothiazide et substituons par du potassium effervescent. Nous substituons également l'hypomagnésémie et les déficits vitaminiques durant ce séjour. En raison d'un profil tensionnel élevé, nous ajoutons un traitement d'Amlodipine et la patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant la semaine suivant la sortie. Malheureusement, il s'agit d'un doublon avec le Zanidip vu après la sortie que nous vous proposons de remplacer par une petite dose de bêta-bloquant. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À la sortie, son périmètre de marche à l'aide d'une canne est de 260 mètres. La patiente peut gravir 18 marches. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 95/126, par rapport à 71/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 5/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 17.8 secondes. Au niveau nutritionnel, Mme. Y n'a pas de malnutrition protéino-énergétique. Par la suite, et étant donné une évolution favorable, la patiente insiste pour un rapide retour à domicile, qui est organisé le 13.04.2019. • Patiente de 81 ans transférée dans notre service de médecine interne depuis les urgences le 09.05.2019 suite à un angor instable nécessitant une coronarographie en urgence. Mme. Y est connue pour une maladie coronarienne bitronculaire à fraction d'éjection conservée avec une hypertension sous quadrithérapie, un syndrome d'apnée du sommeil et une hypercholestérolémie. À l'entrée, Mme. Y présente des légers signes de surcharge régressant après une dose de Lasix. La coronarographie permet l'implantation de 1 stent actif. Une double antiagrégation avec aspirine cardio et Plavix est instaurée le 10.05.2019, associée à l'anticoagulation orale déjà présente. Au status, un souffle systolique 2/6 aortique avec irradiation dans les carotides est présent, non documenté dans les dernières consultations. L'échocardiographie de mars 2019 ne révélant pas de sténose aortique et après avis de la cardiologie (Dr. X), un contrôle chez le médecin traitant dans un mois est préconisé avec ergométrie dans une année. Si péjoration de la dyspnée, la patiente peut être annoncée en cardiologie de manière anticipée. Sur bonne évolution et l'absence de complication, Mme. Y rentre à domicile le 11.05.2019. • Patiente de 82 ans, connue pour cardiopathie ischémique et hypertensive, qui nous est adressée en réhabilitation gériatrique depuis l'Hôpital de Fribourg où elle avait séjourné dans le service de médecine du 27.03.2019 au 05.04.2019 en raison d'une syncope, d'une chute et d'une fracture de sa cheville droite. Plus précisément, Mme. Y était tombée à son domicile suite à une syncope orthostatique dans un contexte de déshydratation sur diarrhées, lesquelles étaient causées par une antibiothérapie administrée dans la suspicion clinique de pneumonie. À son arrivée dans notre service, Mme. Y n'a pas de plainte hormis une douleur à la cheville droite lors de la charge. La patiente signale aussi la persistance d'une toux légère, non productive, qui est en voie de résolution. Au status, la clinique cardiovasculaire est dans la norme, tout comme celles neurologique, abdominale et urologique. L'auscultation pulmonaire montre une minime hypoventilation bibasale avec des crépitants au niveau du champ moyen pulmonaire gauche. Au status ostéo-articulaire, notons le plâtre fendu au niveau de la cheville droite, avec charge douloureuse. Le reste du status articulaire est normal. Au niveau cutané, nous remarquons une escarre sacrée de stade I.Au niveau social, la patiente vit dans un appartement avec son compagnon, le couple est autonome et n'a pas d'aide à domicile. La fille de Mme. Y est présente en cas de nécessité, mais habite dans le canton de Vaud. Le compagnon de la patiente conduit encore. La patiente marche sans moyen auxiliaire, à l'intérieur comme à l'extérieur. Sur le plan orthopédique, une fracture de la malléole externe droite de type Weber B peu déplacée est mise en évidence, mais la patiente refuse une opération. Les radiographies de contrôle à 1 et 2 semaines post fracture ne mettent pas en évidence de déplacement secondaire. Au vu d'une difficulté à respecter la décharge (la patiente chargeant jusqu'à 24 kg sur le membre inférieur droit), nous reprenons contact avec le Dr. X, cheffe de clinique d'orthopédie HFR Fribourg, qui propose de respecter au mieux la décharge tout en acceptant la situation globale de la patiente. Sur le plan hématologique, une anémie normochrome normocytaire non régénérative est mise en évidence et le bilan d'anémie ne signale pas d'anomalie. Par ailleurs, les valeurs de l'hémoglobine restent stables entre 90 et 100 g/l. Sur le plan cognitif, les tests effectués le 09.04.2019 indiquent un MMSE à 25/30 et un test de la montre à 4/7. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge partielle de 15 kilos, que la patiente ne respecte qu'occasionnellement. À la sortie, le périmètre de marche seule et à l'aide d'un déambulateur à 2 roues est de 120 mètres. La patiente peut gravir 8 marches d'escaliers sans accompagnement. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 100/126, par rapport à 65/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 5/7, escaliers à 3/7). Le TUG est à 32 secondes. Au niveau nutritionnel, nous relevons la présence d'une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence et une alimentation différente qu'à domicile et pas forcément à son goût, démontrée par un NRS à 3/7 et des apports à 50%-75% cette dernière semaine. Nous mettons en place des conseils alimentaires et des suppléments nutritifs oraux à domicile. Mme. Y bénéficie d'un bilan modulaire d'ergothérapie, afin d'évaluer son autonomie dans les activités de la vie quotidienne et elle bénéficie de l'enseignement à l'utilisation de la sécurité de la poignée ventouse. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Au vu de l'évolution favorable, la patiente rentre à domicile, avec mise en place d'un déambulateur 2 roues et de soins à domicile le 18.04.2019. Patiente de 84 ans admise pour une coronarographie élective en raison d'une dyspnée et scintigraphie cardiaque positive pour ischémie de stress inféro-antéro-apicale étendue. La coronarographie du 3.05.2019 montre une resténose focale au niveau du bord proximal du stent implanté en octobre dernier dans l'IVA. Le reste est virtuellement inchangé. Nous avons effectué une angioplastie de cette lésion avec implantation d'un stent actif de 4ème génération afin de diminuer la durée de la DAPT à 1 mois au vu de l'anticoagulation concomitante pour la fibrillation auriculaire. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine pour 1 mois et Plavix pour 3 mois est introduit. Un contrôle est à effectuer auprès du Dr. X dans 1 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 4.05.2019. Patiente de 84 ans connue pour une tension artérielle labile anciennement traitée par Rasilez, qui est adressée aux urgences depuis son home pour une dyspnée progressive depuis une semaine en nette péjoration depuis le 13.05.2019. Elle rapporte des œdèmes des membres inférieurs en augmentation, une prise de poids de 600 g et une toux sèche depuis 2-3 jours. L'examen clinique retrouve les œdèmes (G>D) et des crépitants pulmonaires. Le bilan biologique révèle un syndrome inflammatoire et un NT-proBNP augmenté à plus de 10x la norme supérieure. La radiographie de thorax démontre des infiltrats avec un foyer en base gauche. Nous concluons à une insuffisance respiratoire d'origine mixte sur décompensation cardiaque et pneumonie basale gauche communautaire à germe indéterminé. La patiente est ensuite hospitalisée en médecine pour suite de la prise en charge. Sur le plan cardio-pulmonaire, nous suspendons le traitement de Torasémide et le remplaçons par du Lasix iv que nous adaptons selon le poids. Elle bénéficie d'une échographie transthoracique réalisée à J2 du traitement par Lasix qui ne retrouve plus de signe d'insuffisance cardiaque, mais une hypertension pulmonaire pour laquelle nous complétons le bilan avec un CT thoracique au décours de la pneumonie. Le CT permet d'exclure une embolie pulmonaire et montre une pneumopathie interstitielle diffuse pour laquelle nous vous proposons d'organiser un suivi pneumologique. Nous reprenons le traitement de Torasémide que nous majorons. Sur le plan infectieux, la pneumonie est traitée par ceftriaxone pendant une semaine. L'évolution est favorable avec disparition du syndrome inflammatoire. Sur le plan rénal, le bilan d'entrée a montré une insuffisance rénale à mettre sur le compte d'un syndrome cardio-rénal de type 1. L'évolution est favorable suite à l'introduction de Lasix. À noter une hyponatrémie légère qui disparaît suite au traitement de l'insuffisance cardiaque. Au vu de l'évolution favorable, la patiente rentre à l'EMS le 21.05.2019. Patiente de 85 ans, connue notamment pour une hypertension artérielle traitée et un diabète insulino-requérant, est hospitalisée dans le contexte d'un AVC ischémique aigu. Pour rappel, elle avait présenté le 07.05.2019 une dysarthrie avec parésie faciale gauche et hémisyndrome moteur gauche d'apparition soudaine. Au service des urgences, une IRM neurocrâne met en évidence une lésion aiguë au niveau fronto-temporal droit et une lésion subaiguë au niveau temporal gauche. Le diagnostic d'AVC ischémique est retenu. Au vu de la transformation hémorragique, aucune thrombolyse n'est initiée, mais la patiente reçoit une dose de charge d'Aspirine avant d'être hospitalisée en médecine. Sur le plan du bilan étiologique, une origine cardio-embolique est retenue avec une fibrillation auriculaire paroxystique inaugurale mise en évidence à l'électrocardiogramme. Au vu de l'insuffisance rénale et sur avis des neurologues, une anticoagulation thérapeutique par Eliquis est débutée à distance de l'événement, soit le 13.05.2019. L'échocardiographie transthoracique revient sans particularité. En raison de l'athéromatose diffuse également visualisée à l'angio-CT, un traitement par Atorvastatine est introduit. Mme. Y bénéficie durant son hospitalisation de thérapie multidisciplinaire par physiothérapie, ergothérapie et neuropsychologie. L'évolution clinique est plutôt favorable avec une disparition progressive de l'hémisyndrome moteur gauche et une mobilisation autonome de la patiente. Il persiste néanmoins une aphasie avec troubles de la compréhension et de l'élocution, ainsi que des troubles de la déglutition modérée nécessitant l'épaississement des liquides. La patiente nécessite une aide des soignants pour tous les actes de la vie quotidienne, raison pour laquelle une réadaptation neurologique est demandée. Un éventuel retour à domicile sera à réévaluer par la suite.Mme. Humbert reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Patiente de 85 ans qui nous est adressée en raison de chutes à répétition d'origine indéterminée et de soins impossibles à domicile, par le service de médecine de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal où elle séjournait suite à un NSTEMI subaigu. Sur le plan social, la patiente vit seule et bénéficie du passage des soins à domicile 1x/semaine. La fille de la patiente évoque une situation devenant complexe à domicile. Mme. Y est capable de faire ses courses, d'effectuer ses soins d'hygiène de base, mais pas de cuisiner les aliments chauds. Cette dernière ne décrit pas de chute à domicile, mais est toutefois porteuse d'une télé-alarme. A l'examen clinique d'entrée, Mme. Y est hémodynamiquement stable et afébrile. A l'auscultation cardiaque, le rythme est irrégulier, et la patiente présente de discrets oedèmes péri-malléolaires. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Sur le plan cardiaque, au vu d'un syndrome de QT long, nous mettons en pause le traitement de Fluoxétine. Une correction de l'intervalle QTc nous permet de reprendre la Fluoxétine. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 18.04.2019 montrent des performances altérées avec un MMS à 16/30 et un test de la montre à 2/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 4/15. L'examen neuropsychologique est compatible avec un état confusionnel ; toutefois, une atteinte vasculaire ou neurodégénérative ne peut être formellement exclue. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, son périmètre de marche accompagnée et à l'aide d'une canne est de 240 mètres. La patiente peut gravir 18 marches sans accompagnement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 105/126, par rapport à 103/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 6/7, escaliers à 6/7). Le TUG est à 15 secondes. Au niveau nutritionnel, la patiente ne présente pas de malnutrition protéino-énergétique. Mme. Y bénéficie d'un bilan modulaire d'ergothérapie afin d'évaluer son autonomie. Dans ce cadre, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Finalement, au vu d'une excellente amélioration clinique, Mme. Y peut regagner son domicile le 20.04.2019. • Patiente de 86 ans, connue pour une fibrillation auriculaire sous Sintrom et porteuse d'un Pacemaker, pour qui les soins à domicile appellent l'ambulance en raison d'une baisse d'état général et d'un épisode de vomissement. Les infirmières rapportent aussi une perte d'appétit depuis environ 10 jours, sans fièvre ni frissons. Mme. Y trouve son dosage de Lexotanil trop élevé (1-0.5-0.5-0 tout en capsules de 1.5mg chacune) avec dernière prise ce matin. La patiente rapporte en plus une céphalée intermittente depuis 1 mois, de type constrictif non pulsatile, sans photo-phonophobie. Elle ne rapporte pas de nouveau trouble de la vision, pas de perte de force ni de sensibilité, pas de vertige. Le reste de l'anamnèse est normal. Au status, signalons une patiente somnolente avec un score de Glasgow à 14/15 (ouverture des yeux sur demande). Mme. Y est orientée sur la personne et l'espace, mais pas dans le temps. Sa pupille gauche est aréactive (connue), et le reste des nerfs crâniens est sans particularité, avec une force, une sensibilité et des réflexes conservés et symétriques. Le reste du status est normal si ce n'est la présence d'oedèmes aux membres inférieurs connus, jusqu'aux chevilles. Après administration aux urgences de Flumazénil 0.2mg, le score de Glasgow remonte à 15/15, avec ouverture spontanée des yeux et une patiente disant se sentir mieux. Selon les mesures du test MAPA effectué le 23.04.2019, il existe une hypertension artérielle systolique de stade 2. Un sédiment urinaire revient positif pour des leucocytes et des bactéries, mais sans nitrites. Nous traitons par Monuril en ordre unique en raison de l'apparition d'une polyurie et d'une dysurie. Un laboratoire objective une insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN probablement sur légère déshydratation, qui se corrige après l'hydratation. Durant ce séjour, Mme. Y bénéficie d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 17.04.2019 au 25.04.2019. Concernant les troubles de la conscience, la patiente n'en présente plus à l'étage, avec un score de Glasgow demeurant à 15/15 constamment. Nous ne reprenons pas le traitement par benzodiazépines, et demandons un avis au psychogériatre, Dr. X, qui nous conseille d'instaurer un traitement substitutif en réserve par Distraneurin afin de prévenir un sevrage. L'état de conscience reste normal par la suite. Pendant le séjour, Mme. Y présente un malaise sans perte de connaissance dans un contexte d'hypotension artérielle ; nous réalisons un MAPA dont les résultats sont en cours lors de sa sortie. Nous vous prions de les pister et d'adapter le traitement en fonction. Les tests de dépistage des troubles cognitifs apportent les résultats suivants : MMSE à 11/21 (troubles de la vision), test de la montre : impossible ; l'échelle gériatrique de dépression s'élève à 5/15. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seule et à l'aide d'un rollator est de 400 mètres. La patiente peut gravir 18 marches d'escaliers avec accompagnement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 72/126, par rapport à 51/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 4/7, marche à 4/7, escaliers à 3/7). Le TUG est à 35 secondes. Au niveau nutritionnel, mentionnons une absence de troubles. Mme. Y bénéficie d'un bilan modulaire d'ergothérapie qui évalue son autonomie dans les activités de la vie quotidienne et profite d'une prise en charge ergothérapeutique pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Le 25.04.2019, Mme. Y regagne son domicile, avec mise en place d'un réseau de soins. • Patiente de 87 ans, admise aux soins intensifs le 06.05.2019 pour une insuffisance respiratoire aigüe globale multifactorielle. Pour rappel, la patiente consulte le 06.05.2019 pour une dyspnée aigüe motivant une admission en division de médecine interne après stabilisation initiale aux urgences. A l'anamnèse dirigée, elle rapporte des expectorations productives depuis près de 3 jours. Suite à une aggravation de la dyspnée avec développement d'une acidose respiratoire, la patiente est transférée aux soins intensifs pour un soutien ventilatoire. La situation clinique s'améliore rapidement avec une seule séance de ventilation non invasive et l'administration d'aérosols (Atrovent et Ventolin). L'origine de l'insuffisance respiratoire aigüe est probablement multifactorielle avec une part une possible composante infectieuse (suspicion de foyer rétro-cardiaque à la radiographie du thorax) et d'autre part une composante de surcharge à la faveur d'une poussée hypertensive. La composante aiguë survient dans un contexte d'insuffisance respiratoire chronique (BPCO non stadée avec bronchite chronique, antécédent de tuberculose pulmonaire avec lobectomie du LSD en 1956 et cypho-scoliose sévère), chez une patiente reconnaissant faire preuve d'une compliance thérapeutique fluctuante.L'hypothèse d'une possible origine infectieuse avec bronchite est avancée au vu d'un léger syndrome inflammatoire biologique chez une patiente apyrétique. Pour cette raison, un traitement empirique par Rocéphine est introduit, que nous vous proposons de poursuivre pour 3 jours au total (en l'absence de complication). Une composante de surcharge cardiaque est également suspectée chez une patiente connue pour une hypertension pulmonaire et une insuffisance mitrale modérée. Une dose unique de Furosémide est administrée à Mr. Y, avec une bonne évolution. Une échocardiographie transthoracique est demandée pour le 07.05.2019, dont les résultats seront à discuter avec les collègues cardiologues. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, la patiente est transférée le 07.05.2019 en médecine interne pour suite de prise en charge. • Patiente de 87 ans, connue pour une maladie ischémique, hypertensive et dysrythmie avec une maladie du sinus et mise en place d'un pacemaker le 04.04.2019 à l'HFR, qui consulte les urgences pour des palpitations dans le cadre de fibrillation auriculaire rapide. Aux urgences, elle reçoit du Beloc 5 mg iv et Métoprolol avec reprise spontanée de la rythme sinusal. Après discussion avec les cardiologues, nous débutons un traitement par Cordarone 200 mg 2x/J pour 2 semaines, puis poursuite du traitement à 200 mg 1x/J. Au niveau rénal, la patiente présente une insuffisance rénale aiguë de type pré-rénal dans le contexte du trouble rythmique. Nous observons une correction de la fonction rénale suite à l'hydratation et passage en rythme sinusal. L'examen biologique montre un INR infra-thérapeutique à 1.4 avec bonne évolution suite à l'adaptation du traitement par Sintrom. Nous vous proposons de faire un contrôle laboratoire pour l'INR le 06.05.2019. Au vu de l'état général amélioré avec reprise du rythme sinusal sous les traitements actuels, Mme Y peut regagner son domicile le 03.05.2019 avec l'aide de soins à domicile. • Patiente de 88 ans, admise aux soins intensifs le 25.04.2019 en raison d'une détresse respiratoire aiguë d'origine multi-factorielle (sepsis pulmonaire, fibrillation auriculaire rapide et œdème aigu du poumon), qui est amenée initialement aux urgences en raison d'une chute à domicile. Mme Y se présente avec un œdème pulmonaire aigu, répondant favorablement à de la ventilation non invasive et à un traitement diurétique par Furosemide intraveineux puis Torasémide per os. Des foyers de broncho-inhalation sont observés aux deux bases pulmonaires. De plus, une hypertension à > 200 mmHg de systole est mise en évidence dans un contexte de décharge septique. Elle développe par la suite une instabilité hémodynamique dans le contexte du sepsis pulmonaire, répondant rapidement à du remplissage mais ayant nécessité des amines de façon transitoire. L'évolution respiratoire est favorable sous antibiothérapie par Co-Amoxicilline et ventilation non invasive. Une échocardiographie réalisée le 26.04.2019 montre une fonction cardiaque conservée avec une hypertension pulmonaire avec PAPs estimée à 47 mmHg que nous décidons de ne pas investiguer au vu du contexte. Concernant la chute à domicile, Mme Y présente une rhabdomyolyse avec augmentation des CK à son entrée, mais sans péjoration de la fonction rénale le long du séjour. Le bilan de chute montre un Schellong sans modification de la tension artérielle, mais avec reproduction de symptômes, une hypovitaminose D et un déficit en acide folique pour lesquels nous initions une substitution que nous vous prions de poursuivre et de contrôler en ambulatoire. Le Holter met en évidence une FA avec réponse ventriculaire variable, ne permettant pas d'exclure formellement un trouble du rythme. Ces résultats nous étant parvenus après le transfert de la patiente, nous vous prions de réévaluer l'indication à la pose d'un R-test. Du point de vue cardiaque, la patiente reste en fibrillation auriculaire au cours du séjour et un bêta-bloquant est ajouté. La patiente présentait initialement un traitement de Xarelto 10 mg/j que nous augmentons à 20 mg/j (dosage thérapeutique chez une patiente avec une fonction rénale conservée). Nous suspendons l'Aspirine en accord avec le médecin traitant en raison du manque d'indications claires et du risque de saignement. L'indication d'une anticoagulation orale dans le contexte de chute est à rediscuter en fonction de l'évolution en ambulatoire, en particulier des troubles de la marche. Au niveau cérébral, une masse au niveau du foramen magnum est mise en évidence au CT cérébral du 25.04.2019, celle-ci ayant déjà fait l'objet d'investigations par son neurologue. En raison du contexte global, nous renonçons, en accord avec la patiente, à instaurer des mesures diagnostiques/thérapeutiques particulières. La situation à domicile est décrite comme précaire malgré des soins à domicile 2x/j. D'accord avec la famille et Mme Y, nous inscrivons la patiente dans différents EMS. Au vu de l'évolution clinique favorable et de la stabilité des symptômes, la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Patiente de 88 ans connue pour une hypertension artérielle traitée, une polyarthrose, un côlon irritable, une maladie de Ménière et une incontinence urinaire d'effort, vivant chez elle avec son fils et bénéficiant du passage des soins à domicile 2x/j. Plus précisément, Mme Y décrit depuis cet après-midi de fortes douleurs en barre évaluées à 8-9/10 en continu, sans facteur calmant ou aggravant, accompagnées de nausées sans vomissement. Il n'y a pas de dysurie ni d'algurie et pas non plus de symptôme respiratoire. Signalons cependant une asthénie et une anorexie depuis quelques jours ainsi que des douleurs au membre inférieur gauche. Sur le plan social, Mme Y vit chez elle avec son fils et bénéficie de l'aide de soins à domicile ; elle marche avec un déambulateur. À son arrivée aux urgences de l'HFR Riaz, la patiente est fébrile à 38.8°C. L'examen cardio-vasculaire relève des B1 et B2 lointains mais réguliers et la présence d'œdèmes aux deux membres inférieurs, jusqu'aux genoux, à gauche plus qu'à droite, avec rougeur et chaleur au membre inférieur gauche jusqu'au genou. À l'auscultation pulmonaire, signalons un murmure vésiculaire des deux côtés. L'examen abdominal constate un abdomen globuleux souple sans défense ni détente, sensible en barre sous-ombilicale et hypochondre droit. Le statut ostéo-articulaire met en évidence une colonne indolore à la palpation. L'examen neurologique relève un score de Glasgow à 15/15, des nerfs crâniens sans particularité, pas de latéralisation, pas de déficit de la force ni de la sensibilité, un Romberg non testé. Le bilan biologique met en évidence une hyponatrémie à 128 mmol/l avec syndrome inflammatoire constaté par une CRP à 68 mg/l et une leucocytose à 15.5 G/l. Le jour même de son entrée aux urgences, la patiente est hospitalisée dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz. La radiographie du thorax du 18.04.2019 montre une hypoventilation basale gauche.Sur le plan digestif, nous réalisons un CT abdominal qui ne se révèle pas contributif. Au niveau infectiologique, nous instaurons une antibiothérapie probabiliste en raison de l'état fébrile et du syndrome inflammatoire, bien que la piste clinique ne soit pas claire. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 24.04.2019 au 30.04.2019. La patiente effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète selon douleurs. À sa sortie, un rollator est proposé pour les déplacements (déplacements impossibles pour l'instant car patiente est algique suite à l'érysipèle). Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 66/126, par rapport à 50/126 à l'entrée. (MIF physiothérapeutique : transferts 2/7, marche 1/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas effectué, car patiente trop algique en raison de son érysipèle. Le risque de chute est bas. Durant le séjour, la patiente bénéficie aussi d'un bilan nutritionnel, mettant en évidence une malnutrition protéino-énergétique en lien avec une inappétence et démontrée par un NRS à 3/7, des apports de 41% de ses besoins et un indice de masse corporelle à 33.7 kg/m2. Mme. Y bénéficie aussi d'un bilan modulaire d'ergothérapie relevant des déplacements avec son rollator dans les transferts du lit aux toilettes. Le 07.05.2019, la patiente est accueillie en réadaptation gériatrique HFR Riaz pour la suite de sa prise en charge hospitalière. Patiente de 89 ans, adressée par vous-même, qui a consulté le service des urgences le 25.05.2019, en raison d'une embolie pulmonaire centrale bilatérale prenant tous les lobes des deux poumons avec signes de répercussion cardiaque. L'indication aux soins intensifs est indiquée cependant, au vu des volontés de la patiente, une hospitalisation à l'étage de médecine interne a lieu. Mme. Y bénéficie d'un traitement d'HNF dès le 25.05.2019 et par Sintrom dès le 27.05.2019. Sur le plan rénal, au service des urgences, la patiente présente une insuffisance rénale aiguë pré-rénale. Une hydratation IV est débutée puisqu'aucune boisson n'est prise par la patiente et une diurèse est maintenue. L'évolution clinique de Mme. Y est mauvaise avec une importante dyspnée au repos. Le 30.05.2019, on constate une nette péjoration générale de la clinique avec une majoration de la dyspnée et désaturation importante malgré l'oxygénothérapie. Un traitement par morphine sous cutanée est instauré, Mme. Y décède paisiblement le 30.05.2019 au soir. Patiente de 91 ans, connue pour une hypertension artérielle, désormais prise en charge en réadaptation après un séjour en gériatrie aiguë HFR Riaz, où elle était hospitalisée pour un état inflammatoire d'origine indéterminée, spontanément résolutif. Mme. Y n'arrive pas à gravir d'escaliers et présente d'importants troubles de la marche, raison pour laquelle nous lui avons proposé un placement, qu'elle a refusé. Par conséquent, c'est avec un projet de retour à domicile et dans ce contexte que la patiente effectue encore une réhabilitation gériatrique. Sur le plan nutritionnel, Mme. Y bénéficie de repas enrichis. Durant ce séjour, la patiente poursuit sa physiothérapie de mobilisation en charge complète. À la sortie, son périmètre de marche seule et à l'aide d'un tintébin est de 70 mètres, avec deux pauses. L'évaluation dans les escaliers n'est pas effectuée, car Mme. Y ne peut pas monter d'escaliers. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 76/105 par rapport à 70/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 31.7 secondes avec tintébin. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Nous demandons un examen neuropsychologique, qui confirme le 25.04.2019 les troubles cognitifs retrouvés lors des tests de dépistage, et qui relève une absence de capacité de discernement concernant le placement versus retour à domicile. Néanmoins, à la demande de la patiente et en accord avec sa famille, Mme. Y quitte le service le 02.05.2019 avec passage des soins à domicile 2x/j. Patiente de 91 ans connue pour une hypertension artérielle, un statut après hétéro-greffe suite à un ulcère de la malléole interne gauche en juin 2014 par Dr. X, qui nous est adressée par Medhome (Dr. X) pour une suspicion de pneumonie. En effet, la patiente présente une baisse d'état général depuis environ 2 jours avec fatigue, état fébrile et inappétence. Au niveau social, cette dernière vit seule dans une ferme, son fils habite au-dessus. Elle a les soins à domicile 3x/semaine pour pansement de la cheville. L'examen clinique met en évidence une patiente hémodynamiquement stable, fébrile à 38.4°C, avec saturation à 88% à l'air ambiant. Au niveau pulmonaire, des râles crépitants fins en base droite sont constatés. L'abdomen est souple et indolore sans douleur à la percussion des loges rénales. Un ulcère veineux en regard de la malléole interne gauche s'étendant sur le tiers distal de la jambe ne présente pas de signe de surinfection. Le bilan biologique initial met en évidence un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 12.5 G/l et une CRP à 195 mg/l. Le sédiment urinaire confirme une microhématurie. À noter qu'une radiographie du thorax ne parle pas en faveur d'une origine infectieuse pulmonaire. Sur le plan infectieux, nous introduisons un traitement par Rocéphine 2 g intraveineux. Les prélèvements microbiologiques urinaires mettent en évidence une flore mixte. Les hémocultures reviennent négatives. Suite à une fenêtre thérapeutique, le syndrome inflammatoire augmente à nouveau, ce qui nous motive à demander un CT thoraco-abdominal qui n'objective pas de foyer infectieux profond. Par ailleurs, le syndrome inflammatoire diminue progressivement après l'arrêt du traitement antibiotique, sans aucun signe ni symptôme clinique. La patiente est également suivie pour un ulcère chronique veineux avec échec d'une prise en charge chirurgicale ; cette dernière ne souhaite plus d'intervention chirurgicale à l'heure actuelle. Elle bénéficie tout de même d'un suivi stomatothérapeutique avec mise en place d'un protocole de soins de plaie. Durant ce séjour, nous stoppons le traitement habituel mis en place en prévention. Mme. Y profite d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 08.04.2019 au 23.04.2019. Nous effectuons des tests de la cognition le 08.04.2019, avec un MMSE à 21/27 (à noter la malvoyance) et un test de la montre impossible à réaliser dans ce contexte. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 3/15. L'examen neuropsychologique objective des troubles d'origine vasculaire, sans qu'une composante neurodégénérative ne puisse être exclue. Il serait utile de bien contrôler les facteurs de risque cardiovasculaires. Sur le plan nutritionnel, l'évaluation met en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec des besoins accrus (état fébrile) et une inappétence, démontrée par un NRS à 4/7, un poids insuffisant chronique (indice de masse corporelle à 17.8 kg/m2) et des prises par voie orale à 50% des ingestas habituels depuis 5 jours. Nous donnons des conseils de sortie pour augmenter les ingesta et instaurons une supplémentation nutritive orale. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. Lors du transfert, son périmètre de marche, accompagnée et sans moyens auxiliaires (aurait besoin d'un déambulateur mais le refuse), est de 70 mètres. La patiente ne peut pas monter d'escaliers. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 74/126, par rapport à 72/126 à l'entrée. Le TUG est à 35 secondes. Le risque de chute est intermédiaire.En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Au vu d'une stagnation de l'évolution, mais de la volonté de la patiente à rentrer à domicile, cette dernière est prise en charge en réadaptation gériatrique dès le 25.04.2019. • Patiente de 91 ans, vivant seule à domicile de manière autonome, qui est initialement hospitalisée à l'HFR Fribourg service de médecine interne suite à une chute mécanique en glissant alors qu'elle voulait prendre un objet situé en hauteur, dans son domicile le 25.03.2019. Les investigations faites à l'HFR Fribourg montrèrent des fractures-tassement L1 et D12 nouvelles, ainsi que des fractures-tassement L4 et L2 anciennes stables. Les collègues de la Spine Team proposèrent un traitement conservateur et une IRM, avec réévaluation à distance, que la patiente refusa en argumentant qu'en tout cas, elle n'accepterait pas d'opération. Durant le séjour à Fribourg, Mme. Y se trouvait en état confusionnel aigu sur déshydratation et prise d'opiacés. Une réhydratation et une adaptation de la posologie de ses traitements permirent une lente amélioration clinique. Notons que la patiente se mobilisait très peu en raison des douleurs et de troubles de la marche, et qu'elle présentait une inappétence. Les collègues de l'HFR Fribourg nous l'adressent ce 04.04.2019 pour réadaptation gériatrique. Dans notre service, Mme. Y développe un sepsis d'origine pulmonaire le 12.04.2019, traité par Rocéphine intraveineux. Une évaluation gérontopsychiatrique a lieu le 17.04.2019 avec le Dr. X, qui met en évidence un état dépressif. Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle de sortie est à 59/126, par rapport à 54/126 à l'entrée (MIF physio : transferts à 5/7, marche à 4/7, escaliers à 1/7). Elle peut se déplacer avec tintébin à 2 roues, un léger guidage, et réalise ses transferts seule, en sécurité. En ergothérapie, le bilan modulaire d'ergothérapie constate plus de douleurs à la mobilisation, des déplacements avec moyens auxiliaires, la possibilité de gravir 6 marches d'escaliers en sécurité, de se préparer des repas, et une autonomie pour les soins personnels. Le bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une inappétence, un poids chroniquement insuffisant et une hospitalisation prolongée. En début de séjour, les apports par voie orale de la patiente correspondaient à 25-50% de ses ingestas habituels. Un supplément nutritif oral journalier est mis en place, mais la patiente ne les consomme pas systématiquement en entier et ses prises alimentaires n'augmentent pas durant le séjour. Le poids de Mme. Y demeure donc stable autour des 38 kg et ses ingestas ne sont que légèrement augmentés, permettant une couverture de 54% de ses besoins nutritionnels. En raison de troubles cognitifs et de la mémoire de la patiente, aucun enseignement sur l'enrichissement de l'alimentation n'est effectué. Le 26.04.2019, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée, car elle se trouve en attente d'une place en établissement médico-social. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, Mme. Y sera transférée à l'UATO du Home La Providence à Fribourg le 16.05.2019. • Patiente de 92 ans, connue pour hypertension artérielle traitée, hyperlipidémie traitée, ostéoporose fracturaire et démence débutante, porteuse de prothèse totale de hanche droite post-fracturaire, qui est adressée aux urgences de l'HFR Riaz par le Dr. X pour un maintien impossible à domicile dans un contexte de coxalgie gauche chronique réacutisée. La patiente n'a pas de douleur au repos, mais la douleur devient insupportable dès qu'elle charge son membre. La douleur est mal localisée par la patiente qui la décrit comme diffuse au niveau de la hanche gauche, mais sans aucune irradiation. Pas de perte de force ni de sensibilité. Pour rappel, Mme. Y avait séjourné dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz pour les mêmes douleurs du 07.03.2019 au 22.03.2019. Un CT du bassin avait été réalisé le 12.03.2019 démontrant une fracture peu déplacée des ailerons sacrés des deux côtés avec un trait de fracture nettement plus visible à gauche, sans fracture de l'os iliaque. Un nouveau CT a été effectué le 11.04.2019, écartant une nouvelle fracture. À la sortie de son 1er séjour en gériatrie aiguë, les douleurs étaient contrôlées, mais s'étaient aggravées ces 10 derniers jours, sans notion de traumatisme ou autres facteurs déclenchants. La patiente avait été mise sous Fentanyl 25µg patch 3 jours avant l'hospitalisation, relayé par du Fentanyl 50µg patch la veille de l'hospitalisation, sans amélioration des douleurs. Au niveau cardiovasculaire, mentionnons un statut normal hormis un souffle à 4/6 connu au foyer aortique. Les statuts pulmonaire, abdominal et neurologique sont normaux. Au niveau ostéo-articulaire, la patiente n'arrive pas à lever la jambe gauche étant donné la douleur. La palpation de la tête du fémur, au niveau du bassin et du pli inguinal gauche n'est pas douloureuse. Le bassin est stable. Aux urgences de l'HFR Riaz, nous effectuons une prise de sang qui révèle une hyponatrémie légère, chronique et stable ; le reste se trouve dans la norme. Nous reprenons une antalgie par Oxycontin d'office et Oxynorm en réserve, qui est adaptée à l'étage de gériatrie aiguë HFR où la patiente est hospitalisée le jour même de son entrée aux urgences. Les douleurs s'améliorent par la suite, et la patiente peut à nouveau marcher. Concernant les tests cognitifs, merci de vous référer à la lettre de sortie de la dernière hospitalisation. Mme. Y bénéficie d'un suivi physiothérapeutique, avec un périmètre de marche à la sortie de 40m avec déambulateur à 2 roues. La patiente n'est pas capable de monter des escaliers en raison des coxalgies en flexion. Le test TUG n'est pas effectué. La MIF physiothérapeutique montre les valeurs suivantes : transferts 4/7, marche 3/7, escaliers 1/7. La patiente n'est pas réévaluée au niveau ergothérapeutique et nutritionnel. Compte tenu de la réticence de Mme. Y à une autre option qui ne soit pas le retour à domicile et au vu des importantes difficultés à la marche limitant l'autonomie, nous proposons un transfert en réadaptation gériatrique à partir du 26.04.2019. • Patiente de 92 ans, connue pour ostéoporose fracturaire et démence débutante, porteuse de prothèse totale de hanche droite post-fracturaire, qui nous est adressée depuis la gériatrie aiguë HFR Riaz pour une réadaptation gériatrique dans un contexte de coxalgie gauche chronique acutisée. La patiente n'a pas de douleur au repos, mais la douleur survient dès qu'elle charge son membre. Cette dernière est mal localisée par la patiente, qui la décrit comme diffuse au niveau de la hanche gauche, mais sans aucune irradiation. Il n'y a pas de perte de force ni de sensibilité. Nous adaptons une antalgie avec Oxycontin d'office et Oxynorm en réserve. Concernant les tests cognitifs, merci de vous référer à la lettre de sortie de la dernière hospitalisation. Au niveau physiothérapeutique, Mme. Y bénéficie d'un suivi et parcourt un périmètre de marche de 150m avec un déambulateur à 2 roues ; elle monte 18 marches d'escaliers, et le test TUG se fait en 38.86 secondes. La MIF de sortie est à 93/127, par rapport à 80/126 à l'entrée (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7).Durant ce séjour, Mme. Y n'est pas réévaluée au niveau ergothérapeutique ni nutritionnel. Nous remarquons néanmoins une bonne amélioration de l'état général de la patiente, qui souhaite pouvoir rentrer à domicile. Elle bénéficiera de l'aide des soins à domicile 2x/j avec également un passage 3x/semaine pour la douche. La patiente est libre de rentrer à domicile ce 03.05.2019. Patiente de 92 ans qui a été hospitalisée du 4 au 14 mai pour anémie et œdèmes des MIs en gériatrie, qui est amenée aux urgences par sa fille, car depuis 2-3 jours, elle présente des douleurs au niveau de l'épaule gauche et du coude. Localement, sa fille a remarqué depuis 3 jours une rougeur, sans notion de trauma. Mme. Y présente fièvre à 38.2 ce jour, depuis ce matin pas de troubles mictionnels, pas de toux. Aux urgences, patiente stable, en pleurs ++++ Tension 129/90, Fc 83, température à 38.2, saturation à 96% Status ostéo-articulaire : douleur et œdème et chaleur au niveau de l'épaule gauche avec épanchement palpable, rougeur et chaleur au niveau du coude droit. Mobilisation non testable, patiente en pleurs. cardio : b1 b2 bien frappés, sans souffles, pas OMI pulm : MVS (auscultation antérieure) abdo : souple indolore, sans défense ni détente Nous effectuons une radiographie de l'épaule et du coude gauche qui montre une arthrose mais pas de fracture. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 111, leucocytes 9.5, créatinine 69 (clairance Cockroft 35.5 ml/min). Le sédiment urinaire montre une leucocyturie asymptomatique. Nous effectuons un ECG qui montre un flutter à 125 bpm. Pour la douleur, Mme. Y reçoit 1 g de Dafalgan et 25 mcg de Fentanyl qui soulagent la douleur. Une arthrite de l'épaule est retenue et après avis Dr. X, un US est organisé, qui montre une prise au bloc opératoire nécessaire. La patiente est évaluée par Dr. X, anesthésiste, et un transfert est retenu nécessaire vu les comorbidités de la patiente qui n'est pas en mesure d'être prise au bloc opératoire de Riaz. L'US de l'épaule montre du liquide au niveau de la bourse sous acromion deltoïdiennes. Patiente de 94 ans connue pour une sclérose aortique, une hypertension artérielle et un statut après plusieurs décompensations cardiaques globales, dont la dernière le 25.03.2019, ayant nécessité une hospitalisation dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz. La patiente consulte ce jour en raison d'une dyspnée de type orthopnée NYHA IV depuis 4 jours, sans douleur thoracique, toux ou autres symptômes. Rappelons que Mme. Y vit chez elle, au bénéfice de soins à domicile. Le status à l'entrée aux urgences de l'HFR Riaz relève au niveau cardio-vasculaire des B1 et B2 bien frappés, avec souffle à 4/6 dans tous les foyers, non irradié, et des œdèmes aux membres inférieurs jusqu'aux cuisses, bilatéralement. L'auscultation pulmonaire révèle des râles crépitants+++ et une hypoventilation globale. L'examen abdominal met en évidence un abdomen souple et indolore, sans défense ni détente, aux bruits dans la norme en fréquence et tonalité. Le bilan neurologique indique une force et une sensibilité conservées aux 4 membres. Nous effectuons un laboratoire qui montre une insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 175µmol/l, potassium à 5.1mmol/l et une hémoglobine à 116g/l. Une gazométrie sous 3 litres d'oxygène met en évidence une saturation à 93%. Dans ce contexte, nous administrons 20 mg de Lasix intraveineux aux urgences et mettons en place une oxygénothérapie. Moins de 24h après son admission aux urgences, Mme. Y est prise en charge dans notre service de gériatrie aiguë où elle profitera de physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 100 mètres avec deux pauses. La patiente nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 87/126, par rapport à 71/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 4/7, escaliers 1/7). Le risque de chute est intermédiaire. Le 07.05.2019, Mme. Y est prise en charge en réadaptation gériatrique. Patiente démente faisant des chutes à répétition, adressée pour douleurs de hanche suite à une chute samedi le 25.05.2019. Status normal et pas de fracture à la radiographie. Retour au home. Patiente en bonne santé habituelle. Patiente en bonne santé habituelle connue pour une allergie à l'Ibuprofène qui consulte le 25.05.2019 pour une suspicion d'allergie. Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique qui revient aligné. Au vu des plaintes respiratoires et de la dysphonie évoquée, elle reçoit 0.5 mg d'Adrénaline im et 2 mg de Tavegyl iv avec évolution favorable. Nous effectuons une surveillance sur 6h aux urgences de la patiente qui se déroule sans particularité. Dans ce contexte et au vu d'une patiente cliniquement rassurante, elle rentre à domicile avec une ordonnance pour un traitement de Xyzal et Atarax pour 5 jours et des traitements en réserve expliqués à la patiente en cas de nouvel épisode d'anaphylaxie. Nous proposons un bilan allergologique en ambulatoire chez Dr. X, qui contactera la patiente. Patiente en bonne santé habituelle qui consulte les urgences de Riaz le 10.05.2019 suite à un traumatisme des doigts 2, 3 et 4 le 10.05.2019 à 11h30. Aux urgences, nous réalisons une radiographie des doigts de la main droite qui montre une fracture de la 3ème phalange du 3ème doigt. L'exploration de la plaie aux urgences montre une plaie épidermique très superficielle de 0.5 mm de longueur en arc de cercle sans indication d'être suturée. Nous désinfectons avec un bain bétadiné. Nous demandons un avis orthopédique à Dr. X, médecin assistant du service d'orthopédie, qui propose d'immobiliser le doigt avec une attelle alu dorsale, un contrôle clinique en orthopédie le lundi 13.05.2019 avec réfection du pansement et une dose unique de Co-Amoxicilline 2.2 g iv aux urgences le 10.05.2019. Nous effectuons un rappel du vaccin anti-tétanique aux urgences et la dose d'antibiotique est reçue aux urgences. Nous proposons à la patiente un traitement antalgique simple. Dans ce contexte et au vu d'une patiente cliniquement rassurante, elle rentre à domicile avec une ordonnance, un rendez-vous en orthopédie à prendre pour lundi 13.05.2019. Patiente en bonne santé habituelle, qui consulte les urgences pour un traumatisme de la cheville le 17.05.2019. Les douleurs sont toujours présentes et c'est pour cela qu'elle décide de consulter les urgences. L'examen clinique montre de légères douleurs au niveau de l'articulation tibio-astragalienne, au niveau de la malléole externe et du ligament latéro-externe. Nous réalisons une radiographie de la cheville gauche qui ne montre pas de fracture. Nous retenons le diagnostic de contusion avec une entorse de premier degré pour laquelle nous mettons une bande élastique, nous conseillons à la patiente un protocole RICE et un contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours pour suivre l'évolution et évaluer la nécessité de physiothérapie. Patiente envoyée par Dr. X pour suspicion phlébite. Patiente examinée brièvement au tri, sans critère de gravité. Au vu de l'évolution favorable durant l'attente et après la prise d'un comprimé de Xyzal, la patiente souhaite rentrer directement sans consultation plus détaillée. Prescription d'un autre comprimé en réserve et enseignement des red flags pour reconsulter.• Patiente fait un rendez-vous chez le médecin traitant pour une prise de sang. • Patiente HIV positive. Artériopathie avec 2 stents au niveau abdominal et 2 au niveau fémoral ddc, suivie par Dr. X. • Patiente hospitalisée, suite à l'intervention chirurgicale du 02.05.2019 qui avait été agendée en ambulatoire, pour surveillance et antalgie. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Antalgie standard. Absence de troubles neuro-vasculaires. La plaie opératoire est calme et sèche. Retour à domicile le 03.05.2019 avec les SAD. • Patiente informée avec la carte d'urgence : violence au sein du couple. • Patiente née prématurée. • Patiente nulligeste de 22 ans qui est adressée par sa gynécologue traitante pour suspicion de torsion ovarienne. La patiente a bénéficié de la mise en place d'un DIU Kyleena le 03.04.2019. Elle se présente le 02.05.2019 chez sa gynécologue traitante pour des douleurs pelviennes d'apparition progressive sans facteur déclenchant avec mise en évidence d'un kyste ovarien gauche anéchogène de 4 cm le 03.05.2019. Une contraception oestro-progestative est débutée de même qu'une antalgie (Dafalgan 1 g, Brufen 600 mg, Elyfem 30). En raison d'une péjoration des douleurs et de l'apparition de nausées, la patiente reconsulte le 06.05.2019 et nous est adressée. À son entrée, elle présente une défense en fosse iliaque droite avec à l'US un kyste de 6 x 4,5 cm d'aspect bénin. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire. Dans ce contexte, l'indication opératoire est posée. La laparoscopie se déroule sans complication. La torsion de l'annexe droite est infirmée. Nous effectuons une kystectomie de l'ovaire droit. Nous mettons en évidence des lésions suspectes d'endométriose au niveau du Douglas et du ligament utéro-sacré gauche qui sont biopsiées et coagulées. Au vue de l'évolution favorable, la patiente quitte le service le 07.05.2019 avec les consignes d'usage. • Patiente nulligeste de 23 ans, qui est réhospitalisée pour prélèvements bactériologiques au bloc opératoire en raison de non-amélioration d'une dermohypodermite de la grande lèvre gauche depuis le 01.04.2019 suite à une incision d'un furoncle chez son médecin traitant. Pour rappel, la patiente a été hospitalisée du 04 au 09.04.2019 pour antibiothérapie i.v. par co-amoxicilline puis tazobactam. Par la suite, la patiente a bénéficié d'un suivi ambulatoire avec poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline puis Bactrim Forte 2 x/j. Au vu de la persistance d'une induration et de l'érythème ainsi que de douleurs, une IRM est réalisée le 26.04.2019 et a démontré une dermohypodermite du plancher pelvien avec une réaction phlegmoneuse le long des muscles glutéaux et adducteurs. Une antibiothérapie par Bactrim Forte 2 x/j est débutée au vu de la suspicion de germe résistant à la co-amoxicilline. Au contrôle clinique du 29.04.2019, l'évolution clinique n'est pas favorable. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire. Après avis chirurgical et infectiologique, la patiente est hospitalisée pour incision vulvaire et réalisation de prélèvements bactériologiques et histologiques. L'intervention se déroule sans complications. Un drainage est laissé en place. Les prélèvements sont envoyés pour analyse en anatomo-pathologie et microbiologie du CHUV. L'antibiothérapie est poursuivie par Flagyl et Zinacef i.v. durant l'hospitalisation. La patiente peut regagner son domicile en date du 01.05.2019, en bon état général. Nous arrêtons l'antibiothérapie au vu de l'absence de syndrome inflammatoire après avis du Dr. X (infectiologue). • Patiente nulligeste de 48 ans qui présente depuis le 20.05.2019 des douleurs en fosse iliaque gauche constantes avec exacerbations intermittentes indépendantes de la position, associées à une sensation de fièvre non documentée et de frissons, avec une constipation et une augmentation des pertes vaginales. Elle consulte le 21.05.2019 sa gynécologue qui ne trouve pas d'anomalie à l'échographie gynécologique mais met en évidence une inflammation (selon la patiente), raison pour laquelle elle introduit dès le 22.05.2019 un traitement de co-amoxicilline 1 g 2 x/j et d'Irfen 400 mg. À noter des rapports sexuels non protégés depuis 1 mois avec un nouveau partenaire chez une patiente porteuse d'un DIU Mirena. À son admission, la patiente est subfébrile à 37.8°C. Le bilan biologique montre un léger syndrome inflammatoire. Un CT-scan, effectué aux urgences, montre un DIU en place ainsi qu'une masse para-utérine gauche d'environ 2 cm et une lésion du colon évoquant un polype du colon sigmoïde. L'ultrason endovaginal retrouve un DIU en place ainsi qu'une masse, entre l'ovaire gauche et l'utérus, vascularisée, de 1.8 cm pouvant évoquer un abcès ou un myome pédiculé. La lésion au niveau du sigmoïde sera à confronter à une colonoscopie. Devant la clinique compatible avec une PID avec suspicion d'abcès tubo-ovarien gauche, la patiente est hospitalisée pour antibiothérapie. Le DIU Mirena est retiré le 26.05.2019 et envoyé en microbiologie. L'évolution est favorable sous Doxycycline, Métronidazole, Gentamycine et Clindamycine. Un relais per os dès le 26.05.2019 est effectué par Levofloxacine et Métronidazole. La patiente est afébrile durant tout le séjour. Elle regagne son domicile le 27.05.2019 en bon état général. • Patiente partie sans avertir. • Patiente porteuse d'un défibrillateur dans le contexte d'un arrêt cardiorespiratoire sans cause identifiée en 2016 (Portugal). • Patiente présente encore des douleurs et ne peut se rendre à son travail. Arrêt de travail prolongé jusqu'au 08.05.2019 pour pouvoir aller au contrôle post-IRM cervicale. • Patiente présente une amélioration de ses douleurs, qui restent persistantes à 2/10 avec un épisode plus intense à 4/10 ce matin. Pas de péjoration lors de la prise alimentaire. Les douleurs ont déjà été ressenties par la patiente dans le passé avec amélioration sous traitement de chiropractie. Proposition d'attendre la consultation chirurgicale. Si péjoration, la patiente est priée de reconsulter les urgences. • Patiente primigeste de 20 ans à 24 semaines d'aménorrhée qui consulte le 07.05.2019 pour une douleur en fosse iliaque droite en augmentation progressive depuis midi, irradiant dans le flanc et la loge rénale droite. Elle ne signale pas de CU ni d'état fébrile. À l'entrée, elle est afébrile, normocarde et normotendue, mais présente une baisse de l'état général en raison des douleurs. L'abdomen gravidique est souple, avec une détente en fosse iliaque droite, un signe de psoas positif ainsi qu'une douleur à la percussion de la loge rénale droite. Nous hospitalisons la patiente devant le diagnostic d'une pyélonéphrite droite et nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g IV/24 heures. Nous demandons l'avis des collègues de la chirurgie devant la symptomatologie parlant également pour une appendicite. Ils préconisent un ultrason de l'abdomen complet, qui ne visualise pas de signes indirects pour une appendicite ; néanmoins, ils demandent un IRM qui confirme le diagnostic de pyélonéphrite. La patiente reçoit 2 g de Rocéphine intraveineuse par jour pendant 72 heures avec une très bonne évolution clinique et biologique. À la sortie, la patiente se présente peu algique, l'abdomen est souple et le laboratoire montre des leucocytes à 7.5 G/l et une CRP à 75 mg/l. Au vu de la bonne évolution, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un traitement antibiotique oral pendant 2 semaines. • Patiente primigeste, hospitalisée le 17.05.2019 à 35 3/7 semaines d'aménorrhée, pour une rupture prématurée des membranes avec liquide amniotique clair en quantité normale. Attitude expectative pour 12 heures sans mise en travail spontané. Elle bénéficie ensuite de la mise en place d'un Propess le 17.05.2019. La dilatation s'avère harmonieuse et le travail est soutenu par Syntocinon.Elle donne naissance à un garçon pesant 2470 g avec bonne adaptation néonatale. L'enfant séjourne dans le service de néonatalogie dès le 20.05.19 pour alimentation difficile avec perte de poids. Le jour du départ de la patiente, le nouveau-né est toujours hospitalisé en néonatalogie. Lors de l'accouchement, la patiente présente une déchirure vaginale et des éraillures au niveau des petites lèvres bilatérales qui sont suturées. Les cicatrices restent calmes lors du séjour et à la sortie. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Le sevrage primaire de l'allaitement maternel à la demande de la patiente est assuré par Dostinex le 19.05.2019 et se déroule sans complications. Concernant le diabète gestationnel non insulino-requérant, les contrôles glycémiques sont effectués à J3 et sont en ordre. La patiente sera revue par son diabétologue pour un contrôle à 3 mois post-partum. La patiente aimerait encore réfléchir concernant la future contraception et en rediscuter avec son gynécologue traitant. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 22.05.2019, en bon état général. Patiente qui consulte les urgences suite à une chute avec traumatisme au niveau de la main droite et dermoabrasion. Nous avons fait une radiographie qui a montré une fracture articulaire au niveau du 5ème doigt, première phalange, de la main droite. Nous avons demandé l'avis du Dr. X, orthopédiste, qui nous a dit de communiquer à la patiente qu'elle sera reconvoquée demain matin pour être opérée. Elle doit rester à jeun dès minuit, attelle d'Edimbourg pour ne pas bouger le doigt, antalgie pour les douleurs et glace. Pour les dermoabrasions, nous avons bien nettoyé avec du NaCl et mis un pincement protecteur. Nous avons vacciné la patiente pour le tétanos. Patiente qui était hospitalisée jusqu'à mercredi 01.05.2019 pour réadaptation complexe gériatrique, qui ressent depuis ce matin des douleurs au niveau du membre inférieur gauche, sans traumatisme. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. La patiente est rassurée et rentre à domicile accompagnée par son fils avec antalgie et modification de la physiothérapie. Patiente qui présente de multiples plaintes simultanées. Le bilan met en évidence le diagnostic susmentionné associé à un élément de fatigue et de stress au travail. La patiente est rassurée, traitée symptomatiquement et sera suivie par son médecin traitant. Patiente qui présente des douleurs antérieures de genoux bilatéraux mises sur le compte d'une chondropathie rotulienne possiblement dans un contexte de dysplasie fémoro-patellaire Dejour type B et pour laquelle nous proposons à la patiente, dans un premier temps, de débuter un traitement en physiothérapie axé sur l'étirement des chaînes postérieures, renforcement musculaire, proprioception et gainage. La patiente sera revue pour un prochain contrôle fin juin. À terme et selon l'évolution, cette patiente pourrait éventuellement être candidate à une chirurgie de type AMIC et plastie en Z. Patiente qui revient pour contrôle d'une petite plaie de l'hallux qui saignait hier. Le status est rassurant et l'évolution est favorable. La patiente sera suivie chez son médecin traitant pour la suite. Patiente reconvoquée aux urgences pour recevoir une première dose du vaccin anti-HB au vu d'une réponse vaccinale incomplète. Pas de nouvelles plaintes ce jour. Résultats du CTS transmis à la patiente. La suite de la vaccination sera effectuée chez le médecin traitant. Patiente référée vers la polyclinique gynécologique à Fribourg. Patiente repart après avoir reçu une goutte de Floxal, pansement occlusif. Elle ira demain en ophtalmologie. Patiente repart après rinçage au NaCl, désinfection. Patiente repartie à Marsens par ses propres moyens, après le triage. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation, sans prévenir. Patiente sera convoquée le 16.05.2019 au matin pour être vue en ambulatoire le 16.05.2019. • Ibuprofène 600 mg 3x/j en réserve + protection gastrique. • Reconsulter en urgence en cas de signe de gravité. • À pister : facteur anti-nucléaire, anti-CCP. • Revoir avec médecin traitant si poursuite du traitement de la maladie de Lyme. Patiente sous Aspirin 100 mg (prophylaxie). Patiente sous curatelle, toute documentation doit être envoyée à son curateur légal. Patiente vue à son entrée à l'étage à 02:40, orientée dans les 3 modes, pupilles isocores et iso-réactives, poursuite sp. Cardio : b1, b2 bien frappé, rythme régulier, pas de souffle ausculté. Pneumo : auscultation antérieure sans bruits surajoutés. La patiente ne rapporte pas de plaintes systémiques. Vit seule à domicile dans un appartement sans escalier. État général conservé. Hospitalisée en gériatrie pour suite de prise en charge. Patiente vue en présence du Dr. X. Le bilan radiologique met en effet en évidence une ostéolyse tant fémorale que cotyloïdienne, cependant la cupule ne nous semble pas descellée. L'explication la plus plausible nous semble être une usure du polyéthylène ayant provoqué cette ostéolyse avec la masse kystique également présente au niveau des tissus mous. Chez cette patiente âgée, en l'absence de symptomatologie douloureuse actuelle, avec des implants qui sont pour l'instant stables, nous ne retenons pour l'instant pas d'indication à un quelconque geste chirurgical. Nous proposons cependant un suivi régulier annuel de cette prothèse et nous nous tenons prêts à envisager une révision au cas où la cupule devait se desceller et/ou les douleurs réapparaître. La numération cellulaire est en effet un peu élevée, mais cela peut être expliqué par la réaction inflammatoire secondaire à l'usure du polyéthylène avec un pourcentage de PMN inférieur à 80 et l'absence de germe. Patiente vue uniquement par le CDC chir qui a incisé et drainé l'abcès. Consultation infirmière uniquement. Patiente 0G de 47 ans qui a consulté le 24.05.2019 pour une voussure douloureuse au niveau de la grande lèvre gauche. Nous objectivons une bartholinite d'environ 3 cm qui n'est pas sous tension, raison pour laquelle un traitement conservateur par AINS et Ichtolan est débuté. Au contrôle clinique le 27.05.2019, la patiente décrit une péjoration des symptômes avec une bartholinite gauche de 4 cm sous tension, sans écoulement ni état fébrile. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire. Dans ce contexte, l'indication opératoire est posée. L'intervention se déroule sans complication le 27. Une mèche est mise en place avec un contrôle prévu en policlinique pour son ablation dans 24h. La patiente rentre à domicile le 28.05.2019 en bon état général. Patiente 0G de 47 ans qui a consulté le 24.05.2019 pour une voussure douloureuse au niveau de la grande lèvre gauche. Nous objectivons une bartholinite d'environ 3 cm qui n'est pas sous tension, raison pour laquelle un traitement conservateur par AINS et Ichtolan est débuté. Au contrôle clinique le 27.05.2019, la patiente décrit une péjoration des symptômes avec une bartholinite gauche de 4 cm sous tension, sans écoulement ni état fébrile. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire. Dans ce contexte, l'indication opératoire est posée. L'intervention se déroule sans complication. Une mèche est mise en place avec un contrôle prévu en policlinique pour son ablation dans 24h. La patiente rentre à domicile le 27.05.2019 en bon état général. Patiente 0G de 47 ans qui a consulté le 24.05.2019 pour une voussure douloureuse au niveau de la grande lèvre gauche. Nous objectivons une bartholinite d'environ 3 cm qui n'est pas sous tension, raison pour laquelle un traitement conservateur par AINS et Ichtolan est débuté. Au contrôle clinique le 27.05.2019, la patiente décrit une péjoration des symptômes avec une bartholinite gauche de 4 cm sous tension, sans écoulement ni état fébrile. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire. Dans ce contexte, l'indication opératoire est posée.L'intervention se déroule sans complication. Une mèche est mise en place avec un contrôle prévu en policlinique pour son ablation dans 24h. Mr. Y rentre à domicile le 27.05.0219 en bon état général. • Mr. Y de 48 ans présente depuis le 20.05 des douleurs en fosse iliaque gauche constantes avec exacerbations intermittentes indépendantes de la position, associées à une sensation de fièvre non documentée et de frissons, avec une constipation et une augmentation des pertes vaginales. Il consulte le 21.05 sa gynécologue qui ne trouve pas d'anomalie à l'échographie gynécologique mais met en évidence une inflammation selon Mr. Y, raison pour laquelle elle introduit dès le 22.05 un traitement de co-amoxicilline 1g 2x/j et d'Irfen 400 mg. À noter des rapports sexuels non protégés depuis 1 mois avec un nouveau partenaire chez un patient porteur d'un DIU Mirena. À son admission, Mr. Y est subfébrile à 37.8°C. Le bilan biologique montre une CRP à 42 mg/l avec une leucocytose à 12.5 G/l. Mr. Y bénéficie d'un CT scan qui retrouve un stérilet en place avec un aspect épaissi des parois utérines et de multiples lésions hypodenses des parois utérines et un aspect hétérogène de l'annexe gauche, aspécifique mais suspect d'une PID, ainsi qu'un épaississement focal bourgeonnant de 24 x 13 mm des parois du côlon sigmoïde dans sa portion moyenne, au contact de l'utérus, sans franc plan de clivage graisseux identifié avec lésion polypoïde des parois du côlon sigmoïde dans sa portion moyenne à confronter à une colonoscopie. L'US retrouve un DIU en place ainsi qu'une masse entre l'ovaire gauche et l'utérus vascularisée de ... cm avec du liquide libre en faible quantité. Devant la clinique compatible avec une PID avec suspicion d'abcès tubo-ovarien gauche, Mr. Y est hospitalisé pour antibiothérapie. L'évolution est .... • Mr. Y de 29 ans à 20 6/7 SA, connu pour des métrorragies du 2ème trimestre depuis 3 semaines avec suspicion initiale de polype de l'endocol consulte le 23.05.2019 pour des saignements vaginaux très abondants depuis 30 min après avoir été uriner, sans douleur abdominale. À son admission, Mr. Y est hémodynamiquement stable. L'examen au spéculum retrouve un saignement actif léger provenant de l'endocol sans liquide. La CRP est à 13 mg/l avec une légère leucocytose à 11.2 G/l et une hémoglobine à 96 g/l. L'US endovaginal montre un col raccourci ainsi qu'un hématome sous-membranaire. La vitalité fœtale est conservée mais nous objectivons un oligoamnios qui fait suspecter une rupture prématurée des membranes. Mr. Y est hospitalisé pour surveillance et antibioprophylaxie. Par la suite, Mr. Y continue à saigner à bas bruit et le liquide amniotique est sévèrement diminué. Au vu du mauvais pronostic pour la grossesse et du risque infectieux, nous discutons de la possibilité d'une interruption thérapeutique de la grossesse. Le couple opte pour cette option et Mr. Y signe le consentement éclairé. Il reçoit du Cytotec selon schéma et expulse le 25.05.2019. Un curetage évacuateur est effectué au bloc opératoire, sans complication. Le fœtus et le placenta sont envoyés pour analyse anatomo-pathologique au CHUV. Au contrôle de l'hémoglobine, nous retrouvons une anémie à 81 g/l, symptomatique. Mr. Y reçoit deux culots érythrocytaires avec bonne amélioration de l'hémoglobinémie et de la symptomatique. Il peut regagner son domicile le 27.05.2019 en bon état général. • Mr. Y à 6 3/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse non localisée sur insémination le 11.04.2019 après stimulation ovarienne (Ovitrel) présente des douleurs hyperintenses en fosse iliaque gauche depuis 11h30 ce matin, par la suite en diminution à 2-3/10 sans métrorragie. Mr. Y est hémodynamiquement stable à son admission. L'US montre une masse para-ovarienne gauche de 4 cm avec du liquide libre en quantité modérée. Les B-HCG sont à 3115 kU/l avec une hémoglobine à 120 g/l. Dans ce contexte, l'indication opératoire est posée. Nous effectuons une salpingectomie gauche comme désirée et discutée au préalable avec Mr. Y. Le matériel est envoyé pour analyse anatomo-pathologique. La trompe droite est perméable à l'épreuve au bleu de méthylène. Les pertes sanguines sont estimées à 150 ml et l'hémoglobine de contrôle est à 128 g/l. Les suites post-opératoires sont simples et afebriles. Mr. Y rentre à domicile le 15.05.2019. Il sera revu pour ablation des fils dans 10 jours et dans 1 mois à votre consultation pour le contrôle post-opératoire. • Mr. Y de 32 ans admis en salle à 37 1/7 SA pour une version céphalique externe. À l'arrivée, l'échographie confirme un fœtus en siège mode des fesses, Manning 8/8, LA dans la norme, Placenta antérieur normalement inséré, SI à 5.6 mm, PFE 2600 g. Le CTG est RNP sans Cu. L'Hb fœtale avant version est négative. Nous effectuons avec succès la version céphalique externe sous tocolyse par gynipral. Le CTG réalisé 2 heures après la version étant RNP sans Cu, nous autorisons Mr. Y à rentrer à domicile. • Mr. Y de 26 ans, à 14 1/7 semaines d'aménorrhée le 25.05.2019, consulte en urgence pour une douleur abdominale aiguë de type contraction qui l'aurait réveillé cette nuit, avec perte de sang et de liquide. Dans l'anamnèse de cette grossesse, on note un décollement trophoblastique responsable de métrorragies depuis la 7ème semaine de grossesse, avec un suivi régulier et stable. Au statut d'entrée, Mr. Y est normocarde, normotendu, sous fébrile à 38.3°C, et présente des douleurs crampiformes sus-pubiennes d'une intensité importante. Au spéculum : présence de liquide amniotique sanguinolent dans le vagin, avec protrusion des membres inférieurs du fœtus dans le vagin. À l'échographie abdominale : rétention de la tête fœtale dans l'utérus, anamnios, activité cardiaque fœtale absente. Nous informons Mr. Y de la situation et nous indiquons une expulsion au bloc opératoire suivie d'un curetage évacuateur sous contrôle échographique. Mr. Y accepte. L'intervention se déroule le 25.05.2019 sans complications, et Mr. Y regagne son domicile le jour même de l'opération avec un contrôle prévu à 4 semaines à votre consultation. • Mr. Y de 23 ans admis en salle à 36 4/7 SA pour une version céphalique externe. À l'arrivée, l'échographie confirme un fœtus en siège mode des fesses, Manning 8/8, LA dans la norme, Placenta antérieur normalement inséré, SI à 5.6 mm, PFE à 2600 g. Le CTG est RNP sans Cu. L'Hb fœtale avant version est négative. Nous effectuons avec succès la version céphalique externe sous tocolyse par gynipral. Le CTG réalisé 2 heures après la version étant RNP sans Cu, nous autorisons Mr. Y à rentrer à domicile.• Patiente 2G1P de 43 ans à 9 semaines d'aménorrhée selon la date des dernières règles qui est adressée par le Dr. X en raison de la mise en évidence d'une grossesse non évolutive. Il s'agit d'une grossesse spontanée et très désirée, après des échecs de PMA. La patiente est asymptomatique. L'US endovaginal met en évidence une grossesse non évolutive arrêtée à 9 5/7 semaines d'aménorrhée avec un oedème sous-cutané. Après discussion avec le couple, l'indication opératoire est posée. L'intervention se déroule sans complication. La patiente rentre à domicile le même jour. • Patiente 3G1P de 30 ans qui se présente en urgence à 20 6/7 semaines d'aménorrhée en raison de métrorragie avec perte de caillots d'environ 5cm. La patiente est suivie de manière hebdomadaire chez sa gynécologue traitant depuis le 30.03.19 pour métrorragies sur placenta praevia. À l'entrée dans notre service, la patiente est hémodynamiquement stable et afébrile. Elle mentionne une légère douleur bas-ventre et des diarrhées depuis 4 jours. Au spéculum, on retrouve un col postérieur fermé avec présence de sang frais avec caillots en quantité modérée dans le vagin et dans le cul-de-sac postérieur ainsi qu'un saignement actif intermittent au travers de l'endocol. L'ultrason révèle un placenta à 12mm de l'orifice interne du col avec présence d'un hématome rétro-placentaire et du liquide amniotique en quantité diminuée. La vitalité foetale est bonne et les dopplers sont dans la norme. Dans ce contexte, nous décidons d'hospitaliser la patiente pour surveillance clinique. Par la suite, les saignements diminuent de manière spontanée et le syndrome inflammatoire sanguin est à la baisse. Les diarrhées s'améliorent nettement après un jour de Bioflorin et les analyses de selles sont négatives. La patiente peut regagner son domicile en date du 07.05.2019 en bon état général. Le doptone foetal est à 160 bpm à la sortie. • Patiente 3G1P de 32 ans, à 38 1/7 semaines d'aménorrhée le 07.05.2019, qui consulte à plusieurs reprises pour des épisodes de métrorragies d'origine indéterminée avec contractions utérines. Le contrôle obstétrical est rassurant, mais devant les saignements récidivants, nous lui proposons une provocation par Propess, qu'elle accepte en signant le consentement éclairé. La mise en travail est soutenue par du Syntocinon et elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3280g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia. Au vu de l'évolution favorable, la patiente est autorisée à rentrer à domicile avec son enfant le 12.05.19. Contrôle post-partum dans 4 à 6 semaines, à votre consultation. • Patiente 3G1P de 33 ans, à 13 semaines d'aménorrhée selon la date des dernières règles, nous consulte en urgence pour une péjoration de métrorragie avec caillots associée à une douleur suspubienne crampiforme de type contraction. À noter qu'elle avait consulté le soir précédent pour un début de pertes sanguines, lors de ce contrôle nous avions constaté une grossesse arrêtée à 9 5/7 semaines d'aménorrhée selon la LCC. Au status d'entrée, elle est stable au niveau hémodynamique. L'abdomen est souple. Au spéculum, nous objectivons des volumineux caillots sanguins, sans saignement actif. À l'échographie, le sac gestationnel paraît fragmenté et au niveau isthmique-cervical. Au vu de la situation, nous proposons à la patiente une hospitalisation pour antalgie et surveillance. Par la suite, elle bénéficie de 2 doses de Cytotec (2x400ug). L'examen de contrôle au spéculum objective un col dilaté sur 3 cm avec du matériel en cours d'expulsion. Ce dernier est retiré soigneusement et envoyé en pathologie (sur accord de la patiente). Une échographie de contrôle avant son départ permet de confirmer une vacuité utérine. Elle regagne son domicile le 26.05.2019 et sera vue en consultation par sa gynécologue dans 4 semaines. • Patiente 3G2P, à 36 2/7 SA, connue pour des multiples épisodes de pyélonéphrite et un utérus bi-cicatriciel, est hospitalisée le 07.05.2019 devant une suspicion de déhiscence douloureuse de la cicatrice de césarienne et une suspicion de récidive de pyélonéphrite droite. Le laboratoire n'objective pas de syndrome inflammatoire. Nous posons l'indication à une césarienne en urgence que la patiente accepte. La césarienne se passe sans complication per-opératoire. Elle donne naissance à un garçon pesant 3500g, qui sera admis en néonatalogie pour un syndrome de détresse respiratoire. Les suites post-partales sont simples du point de vue obstétrical et la patiente reste afébrile. Néanmoins, la patiente relate toujours une douleur à la loge rénale droite; devant un urotube montrant Lactobacillus 10*6 et un CRP 5 mg/L, nous excluons une récidive de pyélonéphrite et posons le diagnostic de douleur d'origine musculo-squelettique. Par la suite, les douleurs sont en diminution. Le jour de sa sortie, la patiente relate une brûlure mictionnelle associée à une douleur suspubienne en fin de miction, raison pour laquelle on fait un nouvel examen bactériologique des urines et la patiente reçoit une dose de Monuril à prendre le soir en attente du résultat. Le sevrage maternel primaire est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 13.05.2019, en bon état général. Son bébé reste hospitalisé en néonatologie pour surveillance de la fonction respiratoire. Elle sera vue à votre consultation dans 4 à 6 semaines. • Patiente 3G3P de 49 ans qui a consulté le 18.04.2019 pour une hyperménorrhée dans un contexte de méno-métrorragies depuis 7 mois et des spotting post-coïtaux pour lesquelles le Dr. X lui a prescrit du Cyklokapron en réserve. L'examen clinique met en évidence un polype accouché par le col et l'US. Il n'y a pas d'anémie. L'endomètre est à 10 mm. Dans ce contexte, nous posons l'indication à une hystéroscopie diagnostique +/- opératoire et curetage sous AG. L'intervention se déroule... La patiente peut regagner son domicile le même jour. Matériel envoyé en anatomopathologie. • Patiente 3G3P de 49 ans qui a consulté le 18.04.2019 pour une hyperménorrhée dans un contexte de méno-métrorragies depuis 7 mois et des spotting post-coïtaux pour lesquelles le Dr. X lui a prescrit du Cyklokapron en réserve. L'examen clinique met en évidence un polype accouché par le col. Il n'y a pas d'anémie. L'endomètre est à 10 mm. Dans ce contexte, nous posons l'indication à une hystéroscopie diagnostique et curetage sous anesthésie générale. L'intervention se déroule sans complication. La patiente rentre à domicile le 10.05.2019. Matériel envoyé en anatomo-pathologie. • Patiente 33 ans, 2G1P à 39 3/7 semaines d'aménorrhée, nous est transférée pour saignement vaginal abondant et indolore hors travail le 28.04.2019. À l'entrée, la patiente est normocarde normotendue et afébrile. Le CTG montre un rythme réactif et non pathologique. Au spéculum, on objective un saignement en provenance de l'orifice externe du col, en petite quantité, mais persistant. L'ultrason obstétrical revient normal avec une bonne vitalité foetale et un placenta fundique normalement inséré sans signe de décollement avec une insertion à distance de l'orifice interne sans vasa praevia. Dans ce contexte, la patiente est hospitalisée et il est décidé en accord avec elle, après prise de connaissance des risques, de procéder à une provocation de l'accouchement sous surveillance rapprochée. On pose un Propess, suite à quoi la patiente dilate rapidement et harmonieusement.Elle donne naissance à un garçon pesant 2840 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée avec sa gynécologue traitante au contrôle post-partum (probablement stérilet en cuivre), dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé en bon état général. Mme. Y, 5G2P à 6 4/7 semaines d'aménorrhée, suivie en PMA avec dernière stimulation ovarienne le 04.03.2019. Elle est suivie pour une grossesse de localisation indéterminée et stagnation des B-HCG avec une suspicion initiale d'image intra-utérine, raison pour laquelle elle reçoit 5 jours de Cytotec dès le 08.05.2019. Elle présente par la suite des saignements depuis le 10.05.2019 et se plaint actuellement d'une sensation d'inconfort abdominal à droite. Au contrôle du 15.05.2019, les B-HCG sont à stables à 214 kU/l avec à l'échographie une masse tubaire droite de 30 x 18 mm sans liquide libre. Dans ce contexte, l'indication opératoire est posée. L'intervention se déroule sans complications. Les pièces opératoires sont envoyées en anatomo-pathologie. Les B-HCG post-opératoires sont à 79 kU/l. La patiente regagne son domicile le 16.05.2019 en bon état général. Mme. Y, 6G-6P avec décès de 2 enfants d'un syndrome de Niemann-Pick. Brûlure de la face antérieure de l'avant-bras droit, de degré 1 & 2 superficielle le 06.05.2016. Troubles fluctuants de la vigilance avec catatonie et confusion (DD : trouble dissociatif). > Mme. Y est informée qu'elle doit se représenter en cas de rougeur dans une semaine. > Mme. Y, cardiale complètement compensée. Avec BD 170/87 mmHg, une médication est indiquée, donc nous commençons avec Listril. Mme. Y doit mesurer régulièrement sa tension artérielle et se rendre chez son médecin traitant dans une semaine. Un bilan de l'hypertension artérielle pourra alors être effectué. Patient de 82 ans admis pour une coronarographie élective suite à un angio-CT coronarien mettant en évidence une lésion au niveau de la bifurcation IVA-1ère diagonale chez un patient présentant des douleurs thoraciques avec une FEVG légèrement abaissée à l'ETT. La coronarographie du 06.05.2019 confirme la maladie coronarienne monotronculaire avec une sténose serrée de la bifurcation IVA/1ère diagonale traitée par 2 stents actifs. Hypokinésie diffuse avec une FEVG légèrement abaissée. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Un contrôle est à prévoir auprès du médecin traitant dans 1 mois. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X dans 4-6 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 07.05.2019. Pauses respiratoires brèves itératives secondaires à l'antalgie administrée le 14.05.2019. Pauses sinusales > 3 secondes le 27.05.2019 : • DD : ischémique, maladie du sinus PCR Chlamydia et Gonorrhée le 07.05.2019 : positive pour PCR Chlamydia. Ceftriaxone 500 mg dose unique le 07.05.2019. Azithromycine 1 g dose unique le 07.05.2019. Test VIH refusé par le patient après un long entretien motivationnel, à rediscuter avec le médecin traitant Dr. X. Le patient promet qu'il va signaler son infection à sa copine actuellement enceinte. Informé des risques pour sa copine et pour le fœtus. Il ne veut pas que l'on explique les résultats à sa copine lors de la consultation. Il promet qu'il va transmettre la nouvelle au gynécologue de Mme. Y lors du rendez-vous prévu dans 2 jours. Discussion de la suite de la prise en charge avec le service du médecin cantonal qui attend la signalisation du laboratoire. Signalisation de l'infection au médecin cantonal par le laboratoire. Recontrôler dans l'intervalle en cas de péjoration clinique, état fébrile. PCR chlamydia, gonorrhée, HIV, frottis chancre, culture urinaire, statut urinaire, labo. PCR de CMV et Yersinia à réévaluer. La patiente va être convoquée par Dr. X pour recevoir la dose de Solumedrol (125 mg) le 09.05.2019. PCR de selles multiplexe : Salmonelle positive, Clostridium négatif. Ciprofloxacine 500 mg 2x/j du 29.04 au 03.05.2019. Avis chirurgie : pas d'imagerie dans la situation actuelle. PCR des selles et R de clostridium. PCR N. Gonocoques : négatif. PCR C. Trachomatis : positif. Peak Flow à l'arrivée : 57 % de la valeur attendue. Peak Flow après inhalation : 66 % de la valeur attendue. Aux urgences : Aérosols de Ventolin et Atrovent. 125 mg IV de Solu-Medrol en O.U. Symbicort 2x/jour durant toute la grossesse. Prednison 40 mg pour 3 jours. Atrovent en réserve si dyspnée. Décongestion nasale par Xylometazoline pour max. 5 jours. Peak-Flow 270 L/min à 56 % du prédit. Aérosols Atrovent + Ventolin avec amélioration symptomatique et du Peak-Flow à 330 L/min à 68 % du prédit. Reprise du Seretide 250 mcg 2-0-2-0 + Ventolin en réserve. Prednisone per os dans le contexte de l'allergie (cf. diagnostic principal). Consultation pneumologique avec fonctions pulmonaires dans 2 à 4 semaines (la patiente sera convoquée à notre consultation). Mr. Y est un jeune patient de 13 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente le 19.05.2019 aux urgences en raison de douleurs abdominales depuis cette nuit initialement localisées en épigastre avec par la suite une migration en fosse iliaque droite. Mr. Y présente aussi des nausées avec plusieurs épisodes de vomissements. Le bilan effectué aux urgences met en évidence une appendicite débutante. Nous posons donc l'indication à l'appendicectomie. L'intervention est effectuée lors de la nuit de l'entrée et se déroule sans particularité. La prise en charge post-opératoire reste simple avec une alimentation et une mobilisation bien tolérées et des douleurs contrôlées par l'antalgie simple. Mr. Y rentre à domicile le 21.05.2019. Peinture dans l'œil droit avec probable surinfection. Péjoration de douleurs lombaires chroniques sur tassement vertébral L1. Péjoration de douleurs lombaires le 15.04.2019. Péjoration de douleurs osseuses chroniques généralisées le 27.04.2019 : • dans le contexte d'un lymphome diffus à grandes cellules B. Péjoration de la fonction rénale d'origine mixte avec composante pré-rénale. Péjoration des gonalgies sur la journée avec prise de R. RX genou gauche sans lésion osseuse. Péjoration d'insuffisance rénale chronique, probablement d'origine prérénale. • eGFR selon CKD-EPI : 33.29 ml/min le 17.05.2019. Péjoration d'insuffisance rénale chronique connue (stade 3a). • eGFR selon CKD-EPI : 48.5 ml/min, créat : 128 umol/l le 08.05.2019. • probable néphroangiosclérose et hyalinose segmentaire et focale. • hyperparathyroïdie secondaire stable. • Sténose de l'artère rénale gauche de 50 %, sténose > 50 % du tronc iliaque, sténose mésentérique supérieure de 50 % et inférieure (CT abdominal du 04.08.2017). Péjoration d'odynophagie. • Amygdalectomie bilatérale le 06.05.2019. Péjoration d'une symptomatologie anxio-dépressive chronique. • absence de crise suicidaire. Péjoration fonctionnelle d'origine multifactorielle rendant la prise en charge à domicile impossible le 06.05.2019. • hémorragie sous-arachnoïdienne temporale droite le 04.05.2019. • contusion de la hanche droite le 04.05.2019. • infection urinaire basse le 06.05.2019. • aggravation des troubles cognitifs préexistants dans le contexte d'une possible démence à corps de Lewy.• pas de soins à domicile, va 4 jours/semaine en accueil de jour (St Wolfgang) • épuisement de la partenaire de vie (Mme. Y), contexte social difficile (mari en EMS atteint d'Alzheimer, 3 filles avec relations difficiles) • Péjoration pneumonie • Péjoration pouce D • Pelade. • Pendant la grossesse choriocentèse pour un épaississement nucal, rien objectivé. Cette situation a procuré beaucoup de stress à la maman Accouchement sp, par voie basse. PN 3.275 kg • Pénicilline V 1mio 2x/j pendant 10 jours Antalgie mesure hygiéno-diététique strepto test positif • Pénicilline V 1mio 2x/j pendant 7 jours Antalgie mesure hygiéno-diététique strepto test positif • Perforation gastrique avec • Status post-fundoplicature selon Nissen le 29.04.2019 • Perforation gastrique en 2011. • Perforation intestinale sur s/p fundoplicature selon Nissen: DDx: lâchage post-chirurgical • Perforation myocardique avec épanchement péricardique et hypotension immédiate, 22.05.2019 • Perforation myocardique avec Tamponade péricardique le 22.05.2019 sur: • Biopsie du myocarde le 22.05.2019 (Dr. X) • Perforation tympanique postéro-supérieure gauche traumatique • Perfusion d'Aclasta • Perfusion de Glucosalin 2:1 avec besoin d'entretien du 29.04 au 01.05 Traitement symptomatique (gel pour aphtes) • Perfusion de 20 UI de Syntocinon • Perfusion de 20UI de Syntocinon • Perfusion de 20UI de Syntocinon • Perfusion Glucose 10% 15.03 au 21.03 Contrôles glycémiques • Perfusion TNT le 10.05.2019 Métoprolol dès le 10.05.2019 Lisinopril dès le 10.05.2019 • Péri myocardite, le 17.05.2019. • Périarthrite de hanche D avec syndrome de la bandelette ilio-tibiale (hanche à ressaut) sur status post-PTH D sur coxarthrose secondaire à une ostéonécrose de la tête fémorale opérée le 07.04.2016 • Péricardite • Péricardite. • Péricardite d'origine X • angio-CT thoracique du 12.2.2010: épanchement péricardique circonférentiel max à 6 mm • US cardio: FEVG 65%, cf annexe • Péricardite en 2000 Pneumonie atypique basale droite en 2008 Mycose buccale traitée par Fluconazole en 08/2017 Tassement vertébral lombaire en 08/2017 Appendicectomie non datée Amygdalectomie non datée 2 césariennes Ablation des annexes (sans précision) Hystérectomie non datée pour fibrome Perturbation des tests hépatiques le 16.08.2018 DD: effet secondaire Fluconazole, OH, autre Hyponatrémie hypoosmolaire à 126 mmol/l le 16.08.2017 DD: SIADH, perte sur diarrhées, Modurétic, manque d'apport Rash maculeux prurigineux au niveau du tronc / cuisses / bras DD allergique sur Pantozol, contexte SLE • Péricardite en 2002. Hernie discale L3. • Péricardite le 03.03.2013. Dépression avec crise d'angoisse. Ligature des trompes de Fallope 2014. Carcinome mammaire droit traité en 2014. • Péricardite le 03.03.2013. Dépression avec crise d'angoisse. Ligature des trompes de Fallope 2014. Carcinome mammaire droit traité en 2014. • Péricardite récidivante avec 3 épisodes en 2007 (août 2017, décembre 2017, tamponade pneumothorax gauche, fin décembre 2017, sous Prednisone 10 mg) Contusion costale gauche TC non daté Status post exacerbation BPCO le 25.05.2017 Décompensation de BPCO sur infection à Branhamella catarrhalis le 22.12.2015 Bursite infectée du coude D le 03.09.2010 Hernie discale gauche L5-S1 en 2001 Appendicectomie • Péricardite sans épanchement. • Péricardite virale le 28.12.2018, actuellement en rémission APP dans l'enfance • Péridurale D7 du 21.05 au 29.05.2019 Drain thoracique droite (Y) dès le 21.05.2019 Cathéter artériel gauche du 21.05 au 23.05.2019 Cathéter artériel droite du 23.05 au 29.05.2019 Ventilation non-invasive du 23.05 au 29.05.2019 Diagnostic pathologique (Promed, biopsie du LSD le 21.05.2019): carcinome non à petites cellules (y)pT2a (y)pN0 (0/7) V1 R0 • Péri-myocardite. • Périonyxis de D3, main droite. Pansement. lésion ligament latéral externe stade I genou droit, le 01.06.2017. • Périonyxis du bord dorso-radial de la 3ème phalange de l'annulaire de la main gauche de 1 cm de grand axe avec prolongation sur sa face palmaire. • Périonyxis du bord dorso-radial de la 3ème phalange de l'annulaire gauche. • Péritonite bactérienne spontanée le 13.04.2019 : • cirrhose CHILD-PUGH Class C. • Péritonite biliaire avec choc septique sur cholécystite aiguë perforée le 16.05.2019 : • insuffisance rénale aiguë AKIN 3 • Péritonite biliaire le 25.05.2019 post-cholecystectomie avec: Cholécystite lithiasique le 16.05.2019 Cholecystectomie laparoscopique le 17.05.2019 ERCP le 23.05.2019: Papillotomie et extraction de calcul cholédocien • Péritonite biliaire sur cholécystite aiguë perforée le 16.05.2019. • Péritonite biliaire sur cholécystite aiguë perforée le 16.05.2019 • Péritonite purulente des 4 quadrants sur appendicite aiguë le 05.05.2019 • Péritonite sur APP dans l'enfance Onychomycose • Péritonite sur APP dans l'enfance s/p multiples TVP ou varices ddc (peu clair anamnestiquement) • Persistance de collection sous-durale convexitaire gauche en régression et non compressive ainsi que minime collection frontale droite sur : • status post-trépanation crânienne frontale bilatérale le 26.03.2019 sur hématomes sous-duraux chroniques compressifs • Persistance des saignements (sang rouge/frais) et de douleurs en épigastre, pas de méléna. Abdomen souple, douloureux à la palpation de l'épigastre, sans défense ni détente. Toucher rectal : pas de sang frais visualisé. Laboratoire : Hb stable à 131 g/l, pas de syndrome inflammatoire. 124/67 mmHg, 60 battements/minute, saturation 96% à l'air ambiant, afébrile. Avis Dr. X : majoration IPP à 3x40 mg/jour. Hb et hémodynamiquement stable, retour à domicile. Le patient sera convoqué pour une colonoscopie en ambulatoire dès que possible. Patiente avertie des motifs de reconsultation en urgence. • Persistance d'une tendinite 4ème rayon sur status post-embrochage d'une fracture sous-capitale 5ème métacarpe gauche en juillet 2018. AMO de broche du 5ème rayon au niveau métacarpien et infiltration de la poulie A1 du 4ème rayon en raison d'une raideur MCP Dig IV à ressaut à gauche le 10.01.2019 • Persistance symptômes urinaires malgré antibiothérapie et IRA nouvelle • Personne source d'un accident d'exposition au sang le 28.05.2019. • Perte auditive à droite sur bouchon de cérumen le 11.05.2019. • Perte auditive des deux côtés (appareillée) Déconditionnement d'un anévrisme de l'aorte sous-rénale rompu le 13.11.2018 avec / en: • Prothèse de tube sous-rénal le 14 novembre 2018 (Inselspital, Dr. X) avec anévrysme couvert de rupture de l'aorte abdominale sous-rénale le 13 novembre 2018 (Inselspital) • Fermeture chronique de l'axe iliaque à gauche avec St/p. stenting • ABI postopératoire 0,62 à droite et 0,48 à gauche sans support pour les anévrismes des axes des jambes • CT abdomen/pelvis du 13.11.2018: anévrisme infrarénal 50x52 mm, au niveau de la bifurcation aortique, à 23 mm au-dessous de l'artère rénale; Stent occlusion artère iliaque commune/externe gauche, hématome rétropéritonéal gauche, Cardiopathie hypertensive et dysrythmique • Hypertrophie ventriculaire gauche et fonction ventriculaire à 70% avec dysfonction diastolique le 04.01.2016 • fibrillation auriculaire de tachycardie postopératoire (DE 18.11.2018) • Angiographie coronaire (21.12.2009): lésion athéromateuse diffuse non significative • Holter ECG 19.-20.10.2018: extrasystole légère polymorphe ventriculaire. Bloc de branche. Fréquence sinusoïdale de base remarquablement basse, moyenne HF 52 / min. Exclure l'incompétence chronotrope. Indication d'un syndrome de maladie des sinus avec épisodes de bradycardie sinusale, mais sans pauses pertinentes.CVF: hypertension artérielle, obésité (IMC 29,3 kg/m2), dyslipidémie, BPCO modérée stade II avec tabagisme actif • sous Ventolin et Atrovent si nécessaire • Fonctions pulmonaires (15.06.2010): FEV1/FVC 60%, augmentation du RV et du RV/TLC. Syndrome obstructif modéré avec piégeage statique léger de l'air, hyperinflation et troubles importants du transfert de CO. Réversibilité douteuse sous bronchodilatateur. BPCO discrète. • St.n. consommation de tabac active (11,5 AA) est suspendue depuis le 10/2018 Déficience cognitive DD: démence naissante • Test MOCA du 19.10.2018: 23/30 points • Test MOCA du 26.11.2018: 14/30 points • Crâne CT le 18.10.2018: pas de saignement. Hypodensité frontale droite, suspect d'ischémie plus âgée. Perte champ visuel gauche, œil gauche transitoire. • DD : AIT, migraine avec aura. Perte de champ visuel de l'œil gauche bref. Perte de connaissance. Perte de connaissance d'origine indéterminée, encore en cours d'investigations. Perte de connaissance sans traumatisme crânien. Perte de force hémicorps gauche et dysarthrie. Perte de force subite. Perte de la correction sur déplacement secondaire de la broche le 29.05.2019 sur: Status post ablation exostose dorsal, cure d'hallux valgus en mini-invasif pied G et cure d'hallux valgus en mini-invasif pied D le 24.05.2019 sur: Hallux valgus symptomatique ddc avec : • angle transmétatarsien à D de 19° et à G de 20° • angle de valgus 34° à D et 33° à G • exostose au niveau du tarse sur le dos du pied G Perte de poids Perte de poids de 13% en 2 semaines. Avis nutritionnel : le patient ne souhaite pas être suivi par la diète. Régime plaisir et libre. Perte de poids d'origine multifactorielle avec : • poids de 120 kg avant le bypass effectué en 2009 • trouble de l'adaptation avec réaction mixte anxieuse et dépressive. Syndrome de dépendance aux opiacés. Syndrome de fibromyalgie. Perte de poids et douleur costale d'origine indéterminée. Perte de poids (9 kg en 10 mois), possiblement dans le contexte d'un syndrome de Fanconi partiel (glucosurie avec protéinurie). Perte de substance au niveau du bord dorso-radial du pouce droit sans saignement actif. Perte de substance de l'index gauche. Perte de substance de 1 cm de diamètre de la pulpe du pouce droit. Perte de substance prenant uniquement le derme de la 3ème phalange du 3ème doigt de la main droite, para-unguéale sur son bord dorsoradial de 2x1 cm. Perte de substance prenant uniquement le derme sur le bord radial de la 3ème phalange de l'index gauche. Perte de vue Perte du champ visuel. Perturbation de la crase avec: • PTT à 60 sec • TP < 10% Perturbation de la crase (TP) dans le contexte de cholestase importante • dosage facteur V > 100%. Perturbation de l'activité et de l'attention sous Ritaline. Insuffisance mitrale post-endocardite mitrale à Entérocoque faecalis depuis septembre 2016. Lombosciatalgies avec syndrome radiculaire L5 gauche (IRM juin 2016 sans particularités). Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de drogues multiples (opiacés, cocaïne, cannabis et benzodiazépines) et troubles liés à l'utilisation d'autres substances psycho-actives: • polytoxicomanie active avec injections intra-veineuses de drogues, s/p placement sous PAFA à l'Hôpital de Marsens. • situation sociale précaire, avec patient sans domicile fixe. • Syndrome de dépendance substituée par L-Polamidon (lévométhadone). Hépatite virale chronique C non traitée de génotype 1A (mcl 19.08.2016) • anti-HCV positif à 3 reprises depuis 2014. • charge virale du 19.08.2016 : 298 UI/ml. • sérologie du 07.06.2016 : Ag HBs nég, Ac anti-HBs < 10 UI/l ; Ac anti-HBs IgG nég ; Ac anti-HBe nég ; Ac anti HIV1+2 et Ag HIVp24 nég. • suivi par Dr. X. Perturbation des tests hépatiques d'origine X. Perturbation des tests hépatiques d'origine X. Labo 13.05 : cholestase, cytolyse. US abdo : lithiase biliaire vésiculaire sans signe de cholécystite, ni dilatation des voies biliaires intra-hépatiques, suivi biologique. Perturbation des tests hépatiques (cholestase, cytolyse) sur Paracétamol et Oxycodone en juillet 2017. Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée avec une CRP à 43 mg/l le 27.07.2017. Infection urinaire basse à E. Coli en 08.2017. Status après cholécystectomie. Status après phakectomie bilatérale. Fracture pertrochantérienne du fémur proximal gauche sur traumatisme du 18.04.2017. Sacralgie le 26.07.2017 sur chute de sa hauteur le 19.07.2017. Plaie profonde de l'avant-bras droit sans atteinte de la bourse olécranienne. Perturbation des tests hépatiques dans le cadre d'une hépatite C combinée à une probable hépatite d'origine alcoolique. Perturbation des tests hépatiques dans le contexte de métastases hépatiques. Perturbation des tests hépatiques dans le contexte infectieux le 18.04.2019 • CT abdominal 08.04.2019 : pas de dilatation des voies intra- ou extra-hépatiques. Épaississement pariétal du fond de la vésicule biliaire. Perturbation des tests hépatiques de type cytolyse et cholestase le 31.05.2019 • DD toxicité médicamenteuse sur Tavanic. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée le 10.03.2019. Insuffisance cardiaque globale sur fibrillation auriculaire tachycarde le 10.03.2019. Fracture du radius distal et du processus styloïde de l'ulna, poignet gauche, le 15.03.2018 traitée conservativement avec œdème de la main séquellaire. Prothèse de la rotule droite. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée, le 21/05/2019 • DD : cholélithiase, hépatopathie. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée le 21.05.2019 • DD : migration lithiasique. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée le 25.03.2019 • DD : sur dénutrition. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée • DD alimentation entérale, passage de calcul, hépatite. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée • DD médicamenteux. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée.Perturbation des tests hépatiques et cholestatiques le 20.05.2019 • origine médicamenteuse sur Ceftriaxone probable Perturbation des tests hépatiques et des paramètres de la cholestase le 19.04.2019 DD : foie de stase, médicamenteux Perturbation des tests hépatiques le 01.05.2019, probablement d'origine médicamenteuse (Cefepime) DD : lymphome Perturbation des tests hépatiques probablement dans le contexte de métastases hépatiques le 29.04.2019 Perturbation des tests hépatiques sans cholestase. Perturbation du transit d'origine indéterminée : • Résolution spontanée des symptômes en <24h. • Abdomen souple et indolore. • Contexte oncologique avec troubles du transit connus. Perturbation d'un diabète de type II non insulino-traité sur corticothérapie • HbA1c 5.5% le 07.05.19 Perturbation globale des tests hépatiques d'origine médicamenteuse Perturbation hépatique connue Perturbation tests hépatiques le 07.05.2019 • DD : médicamenteux (Co-Amoxicilline) Perturbation transitoire des tests hépatiques Perturbation transitoire des tests hépatiques le 08.05.2019 d'origine médicamenteuse Perturbations des tests hépatiques dans le contexte oncologique le 07.05.2019 avec : • hyperbilirubinémie à 109 umol/l le 09.05.2019 Perturbations des tests hépatiques le 13.05.2019. Perturbations légères des tests hépatiques : à priori pas d'origine médicamenteuse, pas d'alcool. Perufsion de 20 UI de Syntocinon prophylactiques Pes plano valgus bilatéral. Pes plano valgus bilatéral Raccourcissement des gastrocnémiens Pes plano valgus ddc prédominant à G Arthrose tibio-talaire, tibio-astragalienne et talo-naviculaire ddc Pes plano valgus et transverso planus bilatéral avec suspicion de début d'un névrome de Morton du pied gauche. Pes planovalgus bilatéral. Pes planovalgus bilatéral avec affaissement de la voûte longitudinale. Pes transversoplanus des deux côtés. PET Scan en ambulatoire le 13.05.19 à 08h15 à l'HFR Fribourg. Consultation chez Dr. X le 16.05.2019. PET scanner du 11.04.2019 : tumeur du corps pancréatique, avec invasion et thrombose de la veine splénique avec formation secondaire de varices péri-pancréatiques, péri-gastriques et péri-oesophagiennes. Thrombose partielle de la veine porte avec extension du thrombus dans la branche portale droite et gauche associée à des troubles de perfusion. Importante ascite avec aspect nodule de l'omentum et du rétropéritoine en rapport avec une carcinose péritonéale. Mise en évidence d'une hypercaptation pancréatique, correspondant à la masse tumorale connue, ayant très probablement une origine maligne. Mise en évidence également d'une hypercaptation abdominale diffuse, hétérogène, traduisant une carcinose péritonéale. Absence de lésion hypermétabolique suspecte de métastases pulmonaires, hépatiques ou osseuses. Cytopathologie de la ponction d'ascite du 11.04.2019 : le profil immunohistochimique réalisé et la morphologie sont compatibles avec une origine bilio-pancréatique, toutefois sans en être totalement spécifique. Radiographie de l'abdomen le 18.04.2019 : pas d'examen comparatif à disposition. Répartition non spécifique du gaz intra-intestinal avec présence d'air dans le rectum. Coprostase. Absence de signe en faveur d'un trouble du transit. Présence d'un clip en hypocondre droit, compatible avec status post-cholécystectomie. Présence de matériel dans le petit bassin, compatible avec une ligature des trompes. Pas d'évidence d'air libre intra-abdominal, sous réserve d'un examen effectué couché. Structure osseuse sans particularité. CT abdominal injecté le 18.04.2019 : par rapport au PET/CT du 11.04.2019, taille globalement inchangée de la tumeur du corps du pancréas mais qui semble infiltrer davantage l'angle de Treitz, provoquant une dilatation du duodénum et de l'estomac en amont. On retrouve une carcinomatose péritonéale avec diminution de l'ascite en rapport avec la mise en place d'un drain péritonéal. Discrète majoration d'un nodule de Sœur Marie-Joseph. Le reste de l'examen est globalement superposable. Pose de PICC-line le 26.04.2019 (Dr. X) Mise en place d'une PICC-Line Pro-PICC® CT 4F double lumière 37 cm dans la veine basilique gauche. NB : le clamp ne doit pas être fermé en présence de la valve anti-reflux. PET-CT le 15.04.2019 : mise en évidence d'une intense hypercaptation iléo-caecale, correspondant très probablement à la tumeur primitive, avec des métastases hépatiques et ganglionnaires, abdominales. Mise en évidence de 3 petites hypercaptations hilaires pulmonaires gauches, costales postérieures gauches et iliaques droites, suspectes. PET-CT le 20.05.2019 à 12h30. Rendez-vous chez Dr. X (hématologue) le 20.05.2019 à 09h00 (pour faire une biopsie de moelle). Ferinject 500 mg en ambulatoire (le 20.05.2019). PET-CT 18F-FDG 14.05.2019 CHOP-Code : Par rapport au CT thoracique du 26.04.2019, majoration d'une opacité spiculée péri-hilaire du segment apical du lobe inférieur du poumon droit, et majoration des adénopathies nécrotiques médiastinales et hilaires droites, le tout compatible avec une origine tumorale pulmonaire/bronchique primitive. Légère majoration d'un petit nodule du segment apical du lobe inférieur droit, pouvant être d'origine métastatique dans le contexte. Nette progression de l'infiltration métastatique hépatique, sans foie sain actuellement visible. Apparition d'une quantité modérée d'ascite dans les 4 quadrants, avec œdème sous-muqueux de la vésicule biliaire et des structures digestives, pouvant être en rapport avec une insuffisance hépatique avec hypoalbuminémie (œdème oncotique). A noter que les innombrables captations osseuses visibles au PET n'ont pas de traduction à l'examen radiologique. Présence d'un anévrisme fusiforme d'environ 10 mm du segment pré-crânien de l'artère carotide interne gauche. Mise en évidence de multiples hypercaptations d'origine très probablement maligne, évoquant premièrement une tumeur primitive du poumon droit, multi-métastatique aux niveaux ganglionnaire, hépatique et osseux. Absence de lésion hypermétabolique suspecte ailleurs. PET-CT : 30.04.2019, 7h30, HFR Fribourg Fonction pulmonaire complète 30.04.2019, 10h, HFR Fribourg Convocation en consultation oncologique de Dr. X, HFR Fribourg Présentation au tumor board début mai par Dr. X Pétéchies aux jambes d'origine indéterminée • DD : Purpura senilis, purpura pigmentosa progressiva, origine mécanique Pétéchies faciales sur probable effort de pleurs Pétéchies post-vomissements Pétéchies sur effort de pleurs sans thrombopénie Petit arrachement type Salter II à la 3° phalange du 4° doigt main gauche. Contusion du poignet gauche. Petit érythème de la lèvre supérieure partie interne sans signe d'infection, DD : brûlure Petit goitre stable avec un kyste de 3 cm dans le lobe thyroidien gauche (CT thoracique injecté 25.07.2016). Petite déhiscence de 2 mm au niveau du tiers moyen de la cicatrice de la malléole externe. Retard de consolidation sur status post-réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole externe cheville D par plaque Tiers tube LCP 3,5, 5 trous, le 08.02.2019 pour fracture/luxation trimalléolaire de la cheville D le 05.02.2019 avec fracture type Weber B malléole externe, fracture du Volkmann non déplacé, lésion du ligament deltoïde. Petite lésion kystique inflammée au niveau de la pommette droite. • Pas d'incision pour l'instant. Petite lésion transfixiante des parties antérieures du sus-épineux de l'épaule gauche. Petite lésion transfixiante du versant supérieur du sus-épineux épaule droite avec arthrose articulation acromio-claviculaire droite asymptomatique. Lésion transfixiante de très petite taille du versant postérieur du sus-épineux épaule gauche. Petite masse abdominale flanc droit Petite perte de substance au niveau de la pointe du pouce de la main gauche, le 13.05.2019. Petite plaie d'environ 1 cm au niveau de la jambe droite. Petite tumeur papillaire récidivante de la vessie. PET-Scan le 07.05.2019 à 11h00 - HFR Fribourg Consultation onco-gériatrie le 08.05.2019 à 09h15 - HFR Fribourg Peu d'argument pour urticaire/réaction allergique vu les lésions décrites Xyzal en réserve si démangeaisons Peu de signes de déshydratation Traitement symptomatique Contrôle aux urgences à 24 heures Pevaryl Pévaryl Pevaryl crème Pevaryl crème 1% Pevaryl poudre Pevaryl poudre Pevaryl poudre. Pevaryl poudre 2 x/j jusqu'au 14.05.2019. Fluconazole 100 mg iv du 01.05.2019 au 03.05.2019. Pevaryl 1% crème Pharyngite Pharyngite. Pharyngite aiguë à Streptocoque A, avec: Pharyngite aiguë (odynodynophagie, toux sèche). Pharyngite de probable origine virale Pharyngite d'origine virale. Pharyngite d'origine virale probable, le 02.06.2012. Intoxication alcoolique le 31.08.2014, avec 2.05 %0 d'alcoolémie. Surveillance neuro aux urgences. Pharyngite d'origine virale probable, le 02.06.2012. Intoxication OH le 31.08.2014. Pharyngite virale le 04.05.2019. Pharyngite virale le 22.05.2019. Pharyngite virale très probable. Pharyngite possiblement virale. Pharyngite probable virale le 22.05.2019. Diagnostic différentiel : bactérienne. Pharyngite probablement virale Pharyngite streptococcique. Pharyngo-amygdalite virale Pharyngo-amygdalites récidivantes (3-4 épisodes par année selon la patiente). Présence d'un possible condylome acuminé au niveau de l'arc palato-pharyngé droit entre l'uvula et l'amygdale droite. Phimosis avec adhérences balano-préputiale. Phimosis très serré Phimosis Circoncision Phimosis. Fracture de la clavicule gauche, au niveau du tiers moyen. Phimosis Reflux vésico-urétéral bilatéral de grade II à III à droite et IV à gauche avec néphropathie de reflux gauche (asymétrie de taille et de fonction en défaveur du rein gauche 27 % pour 73 à droite) Phlébite de l'avant-bras gauche sur VVP le 03.12.2018 Retrait de venflon avant le transfert le 03.12.2018 Phlébite du membre supérieur droit sur venflon, le 26.04.2019 Phlegmon de la gaine des fléchisseurs reprise au bloc OP à droite il y a 30 ans Pose d'une cage intersomatique pour hernie discale cervicale G et arthrose cervicale post spondylodèse 20 ans auparavant le 20.12.2016 Lésion de la coiffe des rotateurs à droite le 10.04.2016 Entorse poignet gauche le 10.04.2016 Déchirure partielle du ligament collatéral ulnaire de la main gauche. Suspicion TVP membre supérieur G Contexte post-opératoire d'il y a 2 semaines Phlegmon de 4 cm au niveau thoracique postérieur droit. Abcès de la face latérale de l'épaule droite le 02.09.2013. Quadruple pontage aorto-coronarien (AMIG sur l'IVA, veine sur Cx, veine sur Dg, veine sur CD) le 06.11.2013, sur maladie coronarienne tritronculaire. Neuropathie optique ischémique aiguë (AION) postopératoire. Abcès inguinal droit sur furonculose opéré en 2007. Abcès inter-scapulaire le 16.01.2017. Phlegmon des fléchisseurs, 5ème doigt droit Morsure de chat face palmaire P2D5 droit le 07.04.2019 Phlegmon D3 main D, face dorsale, avec infiltration de la gaine des fléchisseurs et début d'infiltration de la gaine des extenseurs sur morsure de chien le 04.08.2016. Germes : Pasteurella canis, Bacteroides pyogenes Morsure de chien 2ème métacarpo-phalangienne main D le 23.06.2016 Lambeau de peau sur carcinome basocellulaire du nez Fracture radius distal D traitée conservativement en 2016 Suspicion d'arthrite septique de l'IPP du 4ème orteil avec dermohypodermite avant-pied G le 03.09.2018 avec évacuation spontanée d'une collection purulente en regard et antibiothérapie iv Hémorragie digestive haute sur ulcères gastriques et duodénaux Forrest 3 sur prise d'AINS le 04.01.2019 Phlegmon inflammatoire péri-unguéal Contrôle post-fracture de la houppe et hématome sous-unguéal ancien avec surinfection du lit de l'ongle du doigt 4 main droite Phlegmon main D avec dermo-hypodermite de l'avant-bras D sur morsure de chat datant du 10.05.2019 Phlegmon para-pharyngé à droite le 21.05.2019. DD sur début d'abcès dentaire dent 38. Phlegmon péri-amygdalien droit compliquant une angine mononucléosique. Gastro-entérite virale. Phlegmon 1er rayon main G sur morsures de chat à la base de l'éminence thénar et au poignet, le 16.04.2019 Germe en cause : Pasteurella multocida Phlyctènes du membre inférieur D, 02.05.2019 photographie dans le dossier de la patiente photos prises des lésions Phymosis large? Physio- et ergothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie - à poursuivre en ambulatoire Poursuite des soins à domicile 5x/semaine à domicile Physiothérapie et ergothérapie Substitution Vitamine D Physiothérapie à domicile Physiothérapie à stabilisation de l'épaule, les activités à risque sont encore à éviter. Charge progressive. Physiothérapie Adaptation des traitements, notamment de l'antalgie Physiothérapie ambulatoire domicile pour renforcement des membres inférieurs et travail de l'équilibre bipodal Spitex 1x/semaine pour contrôle du poids et des paramètres vitaux Aide ménagère Suivi pondéral régulier avec adaptation de la thérapie diurétique Contrôle de l'INR et adaptation du Sintrom dans 10-14 jours (le patient prend RDV) Consultation cardiologique pour contrôle de pacemaker +/- changement de boîtier le 16.05.2019 (HFR Fribourg) Physiothérapie ambulatoire Contrôle radioclinique chez Dr. X le 17.06.2019 à 10h00 (Orthopédie HFR Fribourg) Physiothérapie Antalgie adaptée Physiothérapie avec ondes de choc IRM native tendon d'Achille G du 21.09.2018 : tendinopathie du tendon d'Achille à son insertion sur le calcanéum sur son versant interne, épargné le versant externe de ce tendon. Réaction de l'os spongieux en regard sur le versant interne et petite bursite achilléenne réactionnelle Infiltrations loco dolenti de l'insertion du tendon d'Achille G Confection de nouveaux supports plantaires Test à la Lidocaïne : positif Consultation auprès du Dr X le 06.05.2019 : pas d'indication opératoire sur le calcanéum Physiothérapie Bilan nutritionnel : ad SNO Physiothérapie (chaussure Barouk (avant pied en décharge)) jusqu'à ablation des broches Ergothérapie Physiothérapie chez un physiothérapeute du sport Physiothérapie, contrôle chez le médecin traitant. Physiothérapie de groupe (hydrothérapie) 1x/semaine à l'HFR Meyriez Spitex psychiatrique 1-2x/semaine VHD Schmitten 1x/semaine (faire les courses, cuisiner et manger ensemble avec le patient) Consultation psychiatrique chez Dr X 1x/semaine, éventuellement thérapie de couple Repas livrés à domicile 4x/semaine Physiothérapie de mobilisation Physiothérapie de mobilisation articulaire. Physiothérapie de mobilisation Attitude : • Réadaptation MS à Billens Physiothérapie de mobilisation Ergothérapie Surveillance cutanée Physiothérapie de renforcement musculaire et proprioception. Vu le travail du patient (chauffeur), nous prolongeons l'arrêt de travail à 100 % pendant 4 semaines, puis 50 % pour 2 semaines. Prochain contrôle dans 6 semaines. Physiothérapie en ambulatoire Consultation de rhumatologique le 16 mai 2019 pour suite de prise en charge spécialisée au CHUV Physiothérapie Ergothérapie Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Tests cognitifs de dépistage le 02.05.2019 : performances légèrement altérées avec MMSE à 28/30, test de la montre à 6/7 ; GDS à 0/15 Physiothérapie Ergothérapie Diététique Troubles cognitifs avec : MMSE à 24/30, test de la montre à 4/7, échelle de dépression gériatrique à 5/10 Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Physiothérapie Ergothérapie Suivi nutritionnel Changement de pansement de PAC le 23.04.2019 Prochaine cure Opdivo le 30.04.2019 Rendez-vous le 08.05.2019 en consultation d'oncologie Physiothérapie et adaptation du traitement pharmacologique. Physiothérapie et contrôle à distance. Physiothérapie et ergothérapie Physiothérapie et ergothérapie Adaptation de l'antalgie Physiothérapie et ergothérapie Bas de contention Conseil pour lutter contre hypotension orthostatique (dormir avec inclinaison tête 20-30°, bas de contention, repas salé, hydratation minimum 2000 ml/24h, se lever avec des pauses, alitement post-prandial pendant 1h) Physiothérapie et ergothérapie Logopédie Évaluation de la déglutition le 18.04.2019 : pas de dysphagie Physiothérapie et ergothérapie Poursuite Gabapentine Physiothérapie et éventuel contrôle au team genou. Physiothérapie et semelles proprioceptives. Prochain contrôle le 21.08.2019. Physiothérapie intensive + exercice à la maison. Arrêt de sport jusqu'au prochain contrôle (team pied). Prochain contrôle 03.06.2019 au team pied. Physiothérapie Marche en charge selon douleurs Adaptation de l'antalgie Ablation des fils le 07.05.2019 Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg/j jusqu'au 07.05.2019 Physiothérapie, mobilisation et contrôle d'ici 2 à 3 mois. Physiothérapie pour mobilisation intégration. Contrôle à 6 semaines. Physiothérapie pour traitement d'une dyskinésie après boursite sous-acromiale droite. Contrôle à distance. Physiothérapie respiratoire Physiothérapie respiratoire Physiothérapie respiratoire Physiothérapie respiratoire Physiothérapie respiratoire Physiothérapie respiratoire Ergothérapie Nutrition Physiothérapie respiratoire Antalgie Physiothérapie respiratoire Avalox 400 mg 1x/j PO et Prednisone 40 mg/j PO du 10 au 15.05.2019 (débuté par le médecin traitant) Traitement de bronchodilatateurs Contrôle en fin de semaine chez son médecin traitant pour réévaluer le traitement de bronchodilatateurs Physiothérapie respiratoire Suivi clinique Physiothérapie sous forme d'ultrasons antalgiques. Prochain contrôle clinique le 12.06.2019. Physiothérapie, Surveillance clinique, Avis neurologique en cas de persistance des symptômes Physiothérapie Antalgie en réserve Physiothérapie Arrêt de travail 10 jours Anti-inflammatoires Physiothérapie. Avis nutritionnel. Refus d'une sonde nasogastrique. Avis Dr X, psychiatre de liaison - switch Cymbalta par Remeron : • introduction du Remeron mg cp 0-0-15 dès le 12.04.2019 • stop Cymbalta dès le 13.04.2019. Transfert au RFSM CSH Marsens le 18.04.2019. Physiothérapie. Bilan ergothérapeutique en ambulatoire. Physiothérapie Bilan nutritionnel Physiothérapie Bilan nutritionnel : ad sonde nasogastrique Physiothérapie Clexane 20 mg/j le 27.04, puis 40 mg/j dès le 28.04.2019 Poursuite du traitement anti-hypertenseur, cible TA < 160 mmHg IRM cérébrale le 12.06 à 10h15 à l'HF Fribourg (demande électronique à faire lors de la réhabilitation à Meyriez) Physiothérapie Ergothérapie Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Tests de la cognition du 06.03.2019 : MMSE à 25/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 4/1 Physiothérapie Ergothérapie Évaluation nutritionnelle Prophylaxie antithrombotique par Xarelto 10mg pendant 6 semaines post-opératoires Contrôle radio-clinique à la consultation de Dr X à 6 semaines post-opératoires, HFR Riaz Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Adaptation de l'antalgie Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Bilan vitaminique Physiothérapie Ergothérapie Suivi nutritionnel Physiothérapie Ergothérapie Suivi nutritionnel Tests de la cognition du 10.04.2019 : MMS à 26/30, test de la montre à 5/7 ; GDS à 1/15 Physiothérapie Introduction soins à domicile à rediscuter avec la femme du patient (femme proche aidante) Bilan vitaminique Physiothérapie Le patient et sa femme refusent des soins à domicile Physiothérapie ambulatoire Physiothérapie. Réadaptation gériatrique. Physiothérapie Suivi diététique : conseil et traitement diététiques, au moins 2 unités de traitement Sonde naso-gastrique du 09.04 au 10.05.2019 Gastrostomie percutanée radiologique (GPR) dès le 10.05.2019 • nutrition entérale (isosource) • à jeun strict dès le 30.04.2019 en raison d'une péjoration des troubles de la déglutition avec augmentation du débit d'Isosource à 1000 ml dès le 04.05.2019 puis à 1250 ml dès le 11.05.2019 Supradyn dès le 06.05.2019 Rendez-vous de contrôle le 13.08.2019 à 9h15 en radiologie pour premier changement de sonde Physiothérapie Pic hypertensif. Pic hypertensif. Pic hypertensif. Pic hypertensif. Pic hypertensif à l'entrée sur : • DD : douleurs • HTA traitée Pic hypertensif à 186/92 mmHg. Pic hypertensif à 206/105 le 23.04.2019 Pic hypertensif à 225/88 mmHg le 25.04.2019 Pic hypertensif asymptomatique avec TAS > 200 mmHg Pic hypertensif asymptomatique le 10.05.2019. Pic hypertensif asymptomatique le 28.04.2019 Pic hypertensif avec céphalées sans atteinte d'organe cible. Diverticulite sigmoïdienne distale le 12.02.2017 Pic hypertensif avec céphalées sans atteinte d'organe cible. Diverticulite sigmoïdienne distale le 12.02.2017. Pic hypertensif dans un contexte émotionnel. Pic hypertensif le 23.09.2015 Pic hypertensif le 26.05.2019. Pic hypertensif symptomatique avec • céphalées • vertiges Adalat, Nitrés Consilium ORL Consultation chez le cardiologue traitant prévue le 26.03.2014: ad introduction d'un traitement antihypertenseur Pic hypertensif symptomatique • désaturation à l'aire ambiante (91%). Pic hypertensif symptomatique le 21.04.2019. Pic hypertensif symptomatique le 30.05.2019 • 1 épisode de vomissement ce matin • vertige de type tangage d'accompagnement Pic hypertensif asymptomatique à 190 mmHg post-artériographie à l'HFR Fribourg le 09.04.2019. Picotement épaule. Pics fébriles d'origine indéterminée avec: • DD sur néoplasie • pas de symptômes d'appel Pics hypertensifs chez une patiente connue pour HTA, insuffisamment traitée. Pics hypertensifs le 23.05.2019. PID avec suspicion d'abcès tubo-ovarien gauche chez une patiente nulligeste de 48 ans. PID avec suspicion d'abcès tubo-ovarien gauche le 24.05.2019. Pied D : arthrite inflammatoire MTP II, III, IV avec pied creux. Pied G : fascéite plantaire et boursite pré-achilléenne dans le cadre d'un pied creux. Pied D : entorse de la cheville, lésion du Chopart le 21.12.2018. Pied D : lésion du Lisfranc avec arrachement du ligament calcanéo-naviculaire. Pied D : ongle incarné du bord externe de l'hallux. Pied D : quintus varus avec pied plat valgus avec : status post arthrodèse de la MTP 1, cure de récidive d'orteil en marteau et pseudarthrose naviculo-cunéiforme à G. Pied D : • Réduction ouverte, arthrodèse temporaire cunéo-métatarsienne III par plaque Pedus 3 • Réduction, OS du cuboïde par plaque Aptus 2.0 (OP le 30.04.2019) Pied D f/p/o de ce jour : déplacement secondaire sans consolidation osseuse encore. Pied D f/p/o du jour: déformation en hallux valgus avec HV 24°, intermétatarsien 12°. Pas de trouble arthrosique. Bonne congruence de l'articulation MTP 1. Pied G f/p/o du jour: déformation en hallux valgus avec HV 23°, intermétatarsien 15°. Pas de trouble arthrosique. Bonne congruence de l'articulation MTP 1. Pied D f/p/o du jour: déplacement secondaire de la broche de 7 cm, celle-ci n'est plus du tout en contact avec l'os. Pied de Charcot à droite, avec destruction osseuse articulaire essentiellement métatarso-métatarsienne du 1er rayon : • Déformation présente depuis 2 mois selon le patient Pied de Charcot D avec destruction osseuse articulaire et atteinte du Lisfranc, essentiellement de l'articulation tarso-métatarsienne du 1er rayon, tassement de la partie antérieure du naviculaire, affaissement de la voûte plantaire, subluxation articulaire des métatarsiens 1-2 et de l'articulation du Chopart pied D. Pied droit calcanéovalgus réductible. Pied droit en adductus et varus réductible. Pied G : tendinopathie achilléenne depuis octobre 2018 avec tendinopathie compensatoire au niveau du tendon péroné à G. Pied G f/p/o de ce jour : pas de déplacement secondaire. Pied plat bilatéral correctible. Pied plat des deux côtés (G>D). Polyarthrose dégénérative lombaire. Pied tombant à gauche suite à une lésion nerveuse lors d'une intervention d'excision tumorale du genou gauche il y a environ 30 ans, avec : • léger œdème du membre inférieur gauche • ENMG le 12.03.2019 : lésion axonale du sciatique poplité externe gauche avec fibrose musculaire Pied-main-bouche. Pieds bots ddc sous traitement conservateur. Pieds creux bilatéraux avec rétraction des gastrocnémiens. Récidive de mal-perforant plantaire au niveau de la tête du premier métatarsien du pied G sus status post greffe de Tiersch pied G le 17.07.2018. Status post débridement de plaie au Versajet et mise en place d'un VAC le 15.06.2018 sur ulcère chronique du pied G en regard de l'articulation MTP 1er rayon G. Status post greffe de Tiersch sur plaie chronique pied G le 03.07.2018. Pieds en équino varus partiellement réductibles ddc, plus marqué à G qu'à D, probablement positionnels. Pieds froids. Pieds plano valgus ddc, réductibles avec proéminence du dôme du talus et de l'articulation calcanéo-cuboïdienne, plus marquée à G qu'à D. Pieds plano valgus stade II A à G et II B à D. Pieds plats bilatéraux réductibles. Antétorsion fémorale bilatérale. Pieds plats ddc, corrigibles. Pieds plats des ddc flexibles et une marque sur le dos du talus également des ddc. Pieds plats symptomatiques ddc, plus à D qu'à G, avec os tibialis externum dd. Piperacilline/Tazobac 4.5 g iv 3x/j depuis le 12.05.2019 (prévue pour 7 jours). SNG du 12.05.2019 au 13.05.2019. Cathéter artériel du 12.05.2019 au 13.05.2019. VVC jugulaire interne gauche du 12 au 13.05.2019. Résection de l'intestin grêle de 50 cm (à 300 cm du Treitz) avec mise en place d'une splitstomie, 2 drains péritonéaux et un pansement VAC sous-cutanée le 12.05.2019. Pique fébrile à 38.4 °C post-transfusionnel le 17.04.2019. Piqûre. Piqûre à l'aiguille de couture au niveau de la face palmaire de la 4ème métacarpo-phalangienne gauche. Piqûre avec seringue dans les tissus mous sans enlever l'air. Piqûre d'insecte le 27.07.2018 avec : • avec érythème local Piqûre de guêpe. Piqûre de moustique surinfectée. Piqûre de tique. Piqûre de tique au sein gauche le 01.05.2019. DD : réaction cutanée à piqûre/borréliose. Piqûre de tique le 21.05.2019. Piqûre de tique. Contusion du bord latéral du pied gauche. Piqûre d'insecte. Piqûre d'insecte le 27.07.2018 avec : • érythème local. Piqûre d'une chenille noirâtre aux poils fins le 22.05.2019 avec réaction allergique cutanée locale, probable piqûre de chenille processionnaire du chêne. Piqûres de tique le 10.05.2019. Piqure de tique. Pister consultation. Pister cultures en cours et adaptation antibiothérapie dès le 13.05.2019. Pister Hb glyquée. Pister labo. Pister le Holter. Pister les injections ainsi que le bilan radiologique effectués chez le médecin traitant. Pister les résultats de l'Holter et le bilan neuropsy. Pister la proposition du team FOP (colloque multidisciplinaire cardio-neuro) pour la prise en charge du FOP - patient inscrit par le Dr. X, date inconnue. Pister les résultats de microbiologie. Prévoir un CT-scanner du bassin natif afin d'évaluer le stock osseux. Suite de prise en charge à planifier en fonction des résultats de microbiologie. Pister PSA. Bilan à la recherche d'une étiologie néoplasique à prévoir. Pister rapport CT (Pôle sud en février 2019). Pister résultat Holter. Suivi tensionnel (valeur cible < 130/80 mmHg). Suivi lipidique (valeur cible LDL-cholestérol < 1,8 mmol/l).Pister résultats Holter chez médecin traitant. Contrôle en ambulatoire d'oncologie, à la consultation du Dr. X le 16.05.2019 à 14h00. Contrôle en ambulatoire neurologie le 14.08.2019 à 14h30. Mr. Y sera reconvoqué pour un contrôle ambulatoire en ophtalmologie. Pister résultats Holter de 72h. Contrôle bilan thyroïde à 6 semaines. Bilan biologique à 3 mois chez médecin traitant (cible LDL cholestérol < 1.8 mmol/l). Consultation neurovasculaire de contrôle le 28.08.2019 à 14h30, HFR Fribourg. Pister Tryptase Drains thoracique à -10cmH20 Bilan allergologique à distance Pister T3 et T4 lundi 29.04.2019 Recontrôler bilan thyroïde dans 4 semaines. Pister Uricult dans 24 heures +/- thérapie Pister urocult -> adapter antibiogramme PL élective Placement à des fins de protection Placement en EMS dès que possible Placenta envoyé en anatomopathologie Plagiocéphalie Plaie Plaie à la base du méat urinaire avec fibrine sur point d'appui de sonde. Plaie à la lèvre. Plaie à l'arcade gauche. Plaie arcade droite. Plaie arcade gauche. Plaie arcade sourcilière. Plaie arcade sourcilière droite de 2 cm le 28.05.2019 Plaie arcade sourcilière droite suturée Plaie arcade sourcilière gauche de 3 cm. Plaie arcade sourcilière gauche superficielle Plaie arciforme de 6 cm de la face antéro-médiale de la jambe droite. Plaie au doigt II. Plaie au dos du pied gauche. Plaie au menton. Plaie au niveau antérieur du gland. Plaie au niveau de coccyx Plaie au niveau de la gencive et de la lèvre inférieure le 11.05.2019. Plaie au niveau de la lèvre supérieure droite. Plaie au niveau de la muqueuse de la lèvre supérieure droite de 0.8-1 cm le 27.05.2019. Plaie au niveau de la paupière de l'œil droit. Plaie au niveau de la 2ème phalange 5ème doigt main gauche le 02.05.19 Plaie au niveau de l'arcade sourcilière droite. Plaie au niveau de l'occiput de 1.5 cm superficielle le 11.05.2019. - accompagnée de céphalées d'intensité inhabituelle. Plaie au niveau de l'occiput, de 1.5 cm, superficielle le 11.05.2019 avec: - Céphalée d'intensité inhabituelle. Plaie au niveau du coude droit le 12.04.2019 Plaie au niveau frontal. Plaie au niveau interphalangien distal index droit le 08.01.2012. Plaie au niveau pariétale G le 06.05.2019 Plaie au niveau pariétale gauche le 06.05.2019 Plaie au pouce gauche. Plaie au 5ème doigt palmaire main gauche le soir du 22.07.2014 Constipation aiguë le 30.04.2016 Plaie auriculaire gauche. Plaie auto-infligée superficielle de 5 cm de l'avant-bras proximal gauche le 03.05.2014. Tentamen médicamenteux le 22.04.2015 avec : - 10x1 mg de Xanax, 6x0.5 mg de Risperdal, 28x25 mg de Valdoxan, 37x50 mg de Lyrica, 17x25 mg Atarax, 10x15 mg Anxiolit, 21x10 mg Demetrin, 6x10 mg Zoldorm, 4x30 mg Remeron. Status post-crise d'angoisse - avec prise de médicaments: 1 cp Valdoxan, 2x1 mg Temesta, 5x25 mg Lyrica, 1 cp somnifère XX Abus médicamenteux le 31.03.2018. Péjoration de symptômes dépressifs le 01.01.2019 - chez patiente connue pour trouble de personnalité borderline. Plaie avant bras et 2ème phalange du 5ème doigt à droite suite à un traumatisme le 12.05.19 - contexte d'alcoolisation aiguë. Plaie avec infection cutanée. Plaie avec perte de substance de l'index droit le 03.10.2016. Instabilité antérieure grade III sur rupture LCA genou G en juillet 2013 traité par plastie de reconstruction du LCA arthroscopique par DIDT, genou G (OP le 04.12.2013). Rupture LLI avec Pellegrini-Stieda genou G en 2011. Entorse ligament collatéral radial IPP du 5ème doigt à G le 14.06.2017. Hernie discale gauche L5 non déficitaire le 30.01.2018. Plaie avec perte de substance pouce droit - ongle intact. Plaie avec perte de substance 1 cm2 de l'ongle Dig III main gauche le 18.05.2019. Plaie base poignet gauche le 03.05.2019. Plaie béante de 5 cm en infra-patellaire avec atteinte de la bursa infrapatellaire, pas d'atteinte des structures nobles, appareil extenseur intact, pas de communication intra-articulaire Plaie chronique au niveau du talon D suite à une surinfection de plaie post-plastie de tendon d'Achille D - Status post débridement, rinçage et fermeture de la plaie, prélèvements en profondeur au niveau du tendon d'Achille D, le 29.01.2019 sur infection du champ opération distal en profondeur sur status post suture du tendon d'Achille à D le 21.12.2018. Plaie chronique coude D avec infection à Staph. aureus sur status post - Bursectomie olécrânienne D le 23.11.2017 (Dr. X, HFR Tafers) - Multiples reprises chirurgicales coude D Plaie chronique en regard du 1er métatarse du pied droit dans un contexte de diabète et stase Plaie chronique face plantaire de l'hallux D sur hyper-appui. Plaie superficielle face plantaire de l'hallux G sur contusion, DD hyper-appui. Plaie chronique tibial antérieur droite le 26.04.19 - présente depuis janvier 2019 suite à un traumatisme - 0.5 mm de diamètre - écoulement purulent Plaie chronique tibial antérieur droite le 26.04.19 - présente depuis janvier 2019 suite à un traumatisme - 0.5 x 0.5 x 0.3 mm - fibrine et écoulement clair Plaie chronique tibiale médiale gauche - Présente depuis février 2019 suite à un traumatisme - 0.5 mm de diamètre - Écoulement séreux Plaie contuse palmaire de D2 de la main droite en regard de P1 et de l'IPP, sans atteinte des structures nobles, le 29.04.2019. Plaie cuir chevelu Plaie cuir chevelu d'env 1 cm Plaie cuir chevelu occipital, 1.5 cm Plaie cutanée de 5 cm x 2 cm au niveau tibial. Plaie cutanée abdominale ventrale droite de 1 cm et 2 mm de profondeur. Plaie cutanée au couteau de 1.5 cm le 01.05.2019 - Au niveau de l'aile nasale G Plaie cutanée au niveau de la cuisse postérieure de 1 cm incisé le 30.04.2019 avec un trajet de phlébite d'environ 7 cm associé superficiellement. Plaie cutanée de 1 cm. Plaie cutanée de 5 cm x 2 cm au niveau tibial D le 24.05.2019. Plaie cutanée de 5 x 2 cm au niveau tibial droit le 24.05.2019. Plaie cutanée superficielle pouce gauche sans déficit sensitivo-moteur Plaie d'allure chronique (avec fibrine) avec abcès fessier de mauvaise évolution clinique. - Traité par Co-Amoxicilline depuis le 27.05.2019 par médecin traitant (2g 2x/jour le 27.05.2019) puis 1g 2x/jour le 28.05.2019 puis 1g 1x/jour. Plaie dans le contexte d'une morsure humaine au niveau de la pulpe de l'index gauche. Plaie de frottement au niveau de l'hallux G. Mal perforant au niveau du talon D avec une déformation en varus et en équin neurologique sur status post syndrome de la queue de cheval résiduel avec spondylodèse L5-S1. Status post mise à plat du kyste para-patellaire du genou gauche. Status post transfert tendineux et ostéotomie calcanéenne à droite en 2014 au HUG. Plaie de frottement au niveau de l'hallux G. Mal perforant au niveau du talon D avec une déformation en varus et en équin neurologique sur statut post syndrome de la queue de cheval résiduel avec spondylodèse L5-S1. Status post mise à plat du kyste para-patellaire du genou gauche. Plaie de la face antérieure du mollet droit sans signe inflammatoire. Plaie de la face dorsale de P1 D3 le 30.04.2019 au Portugal. Plaie de la face latérale de la 1ère phalange du 2ème doigt de la main droite au cours du travail. Plaie de la face postérieure de la lèvre inférieure le 07.05.2019. Plaie de la gencive supérieure avec dents 11, 21 et 22 instable • pas de saignement actif Plaie de la gencive supérieure avec dents 21 et 22 instable • pas de saignement actif Plaie de la jambe droite. Plaie de la lèvre. Plaie de la lèvre supérieure gauche. Plaie de la main droite. Plaie de la main gauche. Plaie de la métacarpo-carpienne II face radiale main G le 22.04.2019 avec • Lésion partielle à 80% du nerf digital Dig II Plaie de la phalange distale de l'index gauche, avec perte de substance, de 2 mm x 1 cm x 5 mm. Plaie de la plante du pied D. Plaie de la pulpe de D1 main droite avec perte de substance le 14.05.2012. Douleur pariétale droite d'origine musculo-squelettique le 21.10.2012. Fracture, versus contusion costale gauche le 18.11.2016. Entorse du poignet droit le 29.09.2017. Impétigo au visage le 08.09.2018. Plaie de la pulpe de la 2ème phalange de l'index de la main droite de 1 cm et 0.3 cm de profond le 18.05.2019. Plaie de la pulpe du pouce droit le 07.05.2019. Plaie de la pulpe du 4ème doigt gauche superficielle de 1 cm. Plaie de la 2ème métacarpophalangienne de la main droite. Plaie de la 2ème phalange du 5ème doigt gauche le 02.05.2019. Plaie de l'annulaire de la main gauche. Plaie de l'arcade sourcilière. Plaie de l'arcade sourcilière droite. Plaie de l'arcade sourcilière droite, le 05.05.2019. Plaie de l'arcade sourcilière gauche avec traumatisme crânien sans perte de connaissance. Plaie de l'arcade sourcilière gauche dans un contexte de chute sur éthylisation aiguë. Plaie de l'arcade sourcilière gauche d'environ 1,5 cm. Plaie de l'arête du nez de 2 cm. Plaie de l'éminence thénar droit. Plaie de l'extrémité de P3 D3 G le 03.06.2017. RX 3e rayon main G. Tétanos à jour. Avis orthopédique (Dr. X). Antalgie. Arrêt de travail. Ablation des fils à. Plaie de l'index de la main gauche. Plaie de l'index droit. Plaie de l'index gauche. Plaie de l'index gauche au niveau de la pulpe avec une perte de substance d'environ 1 cm le 07.05.2019. Plaie de l'interphalangienne proximale de l'auriculaire de la main droite. Plaie de l'occiput après chute au bord de l'escalier. Plaie de l'oreille gauche le 23.05.2019. Plaie de mauvaise évolution. Plaie de 0.5 cm superficielle de la face inféro-antérieure de la lèvre le 27.05.2019. Plaie de 1 cm face palmaire de la jonction p1-p2 D2 main droite. Plaie de 1 cm face palmaire P1 D4 main droite. Plaie de 1 cm lacéro-contuse de la ligne médiane. Plaie de 1 cm sur le nez. Plaie de 1 mm de diamètre due à une agrafe. Plaie de 1 cm prenant le tissu sous-cutané du bord dorso-radial de la base de la 1ère phalange de l'index gauche avec saignement spontané. Plaie de 1 x 1.5 cm du bord médial de la 2ème phalange du pouce droit le 22.05.2019. Plaie de 1.5 cm au niveau de la face latérale de la 1ère phalange du 2ème doigt de la main droite. Plaie de 1.5 cm du bord radial de la base de la 1ère phalange de l'index gauche. Plaie de 1.5 cm x 1 cm au niveau du tiers médian du tibia droit. Plaie de 1.5 cm superficielle sur la pulpe de la 2ème phalange 1er doigt gauche. Plaie de 2 cm au niveau du front côté droit. Plaie de 2 cm au niveau fronto pariétal droit le 10.05.2019. Plaie de 2 cm de longueur au niveau de la face radiale à la base de la 1ère phalange du majeur de la main gauche. Plaie de 2 cm de longueur et de 2 mm de profondeur au niveau de la face radiale de la pulpe de la 3ème phalange de l'index de la main G le 26.05.2019 : • tendon pas visualisé. Plaie de 2 cm en regard de l'épicondyle interne de l'humérus. Plaie de 2 cm sur l'arcade sourcilière gauche le 10.12.2015. Plaie de 2 x 0.2 cm de profondeur, face temporale supérieure droite le 14.03.2017. Fracture ouverte de la phalange distale du majeur de la main gauche le 08.03.2018. Fracture ouverte des phalanges distale et médiale de l'index de la main gauche le 08.03.2018. Plaie de 2.5 cm frontal D atteignant l'hypoderme sans atteinte des structures profondes le 24.10.2017. Plaie de 3 cm au bord ulno-palmaire du pouce droit. Plaie de 3 cm au bord ulno-palmaire du pouce droit sans atteinte tendineuse ni osseuse. Plaie de 3 cm au niveau de la 2ème phalange du pouce droit face palmaire le 10.05.2019. Plaie de 3 cm au niveau de l'arcade sourcilière droite, longitudinale de 3 cm de grand axe. Plaie de 3 cm de la face médiale de la première phalange du 2ème doigt de la main gauche, superficielle. Plaie de 3 cm de longueur au niveau de la 1ère phalange de l'index de la main gauche : • avec hypoesthésie sur le côté radial du doigt, • rupture de l'appareil tendon extenseur en zone 5. Plaie de 3 cm de longueur en regard de la région rotulienne gauche, en lambeau, avec bursotomie et présence de débris. Plaie de 3 cm face palmaire poignet droit le 28.05.2019. Plaie de 3 cm supra-sourcilière. Plaie de 3 mm du bord supéro-externe de la lèvre à droite non transfixiante. Plaie de 3 x 2 cm à l'éminence thénar droit, avec hypoesthésie au niveau de la région métacarpienne palmaire, sur le terrain du nerf médian branche superficielle le 28.05.2019. Plaie de 4 cm du tibia droit distal datant du 30.05.2018. Plaie de 4 cm face antérieure genou droit. Plaie de 5 cm face interne du poignet gauche le 04.05.2019 sur : • auto-mutilation. Plaie de 5 cm sur le front. Plaie déhiscente profonde infectée et chronique au niveau de l'hypogastre de 2 cm de longueur : • après annexectomie bilatérale et washing péritonéal par laparotomie le 03.04.2019 par Dr. X. Plaie d'environ 2 cm occipital dans le cuir chevelu. Plaie d'environ 1 cm de l'hélix de l'oreille G, le 16.05.2019 • plaie du cartilage. Plaie d'environ 1.5 cm au niveau de la face palmaire du 4ème doigt de la main droite • plaie datant du 16.05.2019 • coupure au couteau. Plaie d'environ 3 cm du coude droit après chute. Lombo-sciatalgie droite non déficitaire le 04.11.2012. Infection urinaire basse symptomatique. Status post-entorse du ligament latéral externe de grade III de la cheville droite. Plaie d'environ 3 cm en C au niveau de la base du nez. Plaie dermique linéaire de 5 cm de longueur en regard du tibia gauche et plaie frontale gauche. Plaie dermique superficielle de 2 cm de longueur du menton le 12.05.2019. Plaie dermique superficielle de 2 cm de longueur en sous-mandibulaire le 12.05.2019. Plaie dermique superficielle en arc de cercle de 3 cm de longueur, souillée à l'huile, localisée en interdigitale des 1er et 2ème doigts le 13.05.2019.Plaie dermique superficielle en dent de scie le 13.05.2019. Plaie dermique très superficielle de la joue droite avec dermo-abrasion au pourtour le 12.05.2019. Plaie distale D1 main gauche. Plaie distale D2 à gauche sur coupure accidentelle au couteau le 01.05.2019. Plaie doigt. Plaie dorsale du 4ème doigt de la main droite. Plaie du bord libre de la paupière supérieure le 10.05.2019. Plaie du bord radial du pouce gauche • à hauteur de l'interphalangienne • consulte ce jour à 6 jours de la coupure. Plaie du coude gauche le 16.05.2019 • bourse non atteinte. Plaie du cuir chevelu longitudinale de 1,5 cm, prenant le derme, au niveau fronto-pariétal à droite sur traumatisme crânien simple. Plaie du filtrum le 07/05/19 + Plaie de la face postérieure de la lèvre inférieure le 07/05/19. Plaie du filtrum le 07.05.2019. Plaie du genou gauche. Plaie du lobe de l'oreille droite sur traction d'une boucle d'oreille. Plaie du majeur de la main gauche. Plaie du méat urinaire sur décubitus le 25.05.2019. Plaie du menton. Plaie du menton. Plaie du menton. Plaie du menton. Contusion du genou droit. Plaie du poignet gauche le 24 avril 2012. Suture par 3 points de Prolène 4.0 sous anesthésie locale après désinfection et exploration. Rappel antitétanique. Plaie du pouce. Plaie du pouce à droite avec atteinte de l'ongle le 29.04.2019. Plaie du pouce droit. Plaie du pouce droit. Plaie du pouce droit. Plaie du pouce droit avec un couteau. Plaie du pouce gauche. Plaie du pouce gauche. Plaie du pouce gauche. Plaie du pouce gauche. Plaie du scalp. Plaie du scalp de 1.5 cm. Plaie du scalp pariétale à droite, d'environ 2 cm le 13.05.2019. Plaie du scalp pariétale à droite, d'environ 2 cm. Plaie du tibia G d'environ 6 cm, le 15.05.2019. Plaie du 2ème doigt de la main droite. Plaie du 3ème doigt de la main droite sur face palmaire au niveau de la jonction entre la phalange distale et médiale. Plaie du 3ème doigt de la main droite sur la face palmaire au niveau de la jonction entre la phalange distale et médiale sans déficit ni atteinte tendineuse. Point de suture et suivi en policlinique. Plaie du 5ème doigt à droite. Plaie en base du pouce G sur griffure de chat le 16.04.2019. Plaie en cours de guérison au niveau du menton. Plaie en demi-lune de 1.5 cm au niveau pariétal droit, le 25.05.2019. Plaie en étoile au niveau du vermillon et de la muqueuse de la lèvre supérieure à gauche. Plaie en lambeau de la pulpe du IVème doigt de la main gauche, post-traumatique. Douleurs basi-thoraciques postérieurs à gauche d'origine musculo-squelettique. Status post-opération de la colonne vertébrale C6-C7-D1-D2 en 2006 sur accident de la voie publique. Plaie en regard de la MCP Dig II main D le 24.04.2019 avec lésion complète du tendon extenseur commun en zone 5. Plaie en Y de 2 cm au niveau de l'arcade sourcilière droite avec partie superficielle non suturable de 0.5 cm de long. Plaie en 1/2 cercle de l'éminence hypothénar droit de 1 cm de long et 0.5 cm de rayon. Plaie en-dessous de la malléole interne droite. Plaie enflammée aisselle gauche. Plaie épidermique longitudinale de 3 cm de grand axe sur l'hémifront droit à la base de l'implantation capillaire sur traumatisme crânien. Plaie épidermique transversale au niveau de l'arcade sourcilière droite de 1.5 cm de grand axe. Plaie face antéro-médiale supra géniculée quadriceps gauche le 15.05.2019. Plaie face dorsale de la phalange distale index droit avec perte de substance tangentielle. Plaie face dorsale de la phalange distale index droit avec perte de substance tangentielle. Plaie face dorsale de la phalange proximale de l'hallux gauche avec section partielle du long extenseur de l'hallux. Plaie face dorsale de P1 hallux G avec section subtotale (80 %) du tendon long extenseur de l'hallux, le 02.05.2019. Plaie face dorso latérale du coude droit sur traumatisme de sa hauteur le 10.05.2019. Plaie face dorso-médiale MTP 1 pied D sur : • Bulle ou cloque hémorragique sur la face dorsale de la MTP I côté médial DD granulome de fils sur status post plaie chronique bord médial hallux D. • Status post révision d'une plaie et drainage d'abcès le 05.07.2018 et 13.07.2018 pour une arthrite prothétique et ostéomyélite chronique MTP hallux droit. • Status post implantation d'une prothèse de la MTP I à droite il y a plus de 10 ans. Plaie face latérale 2ème rayon 1 cm le 04.05.2019 • avec suspicion lésion fléchisseur profond. Plaie face palmaire P1 en zone 2, index gauche le 09.05.2019. Plaie front 7 mm. Plaie frontale. Plaie frontale à droite. Plaie frontale de 4 cm suturée. Plaie frontale droite. Désinfection, suture éthylon 5.0. Contusion genou droit. Plaie frontale en T 5 cm x 3 cm. Plaie frontale gauche de 2 cm suturée. Plaie frontale gauche le 04.05.2019. Plaie frontale gauche rectiligne de 4 cm sans perte de substance. Plaie frontale simple punctiforme. Plaie frontale superficielle de 4 cm de long le 17.05.2019. Plaie frontale superficielle d'1 cm le 10.05.2019. Plaie fronto-pariétale gauche du cuir chevelu en étoile de 5 cm prenant le derme. Plaie gingivale de 4 x 5 mm au-dessus de la dent 21. Plaie gros orteil G. Plaie hallux droit. Plaie hallux gauche. Plaie hallux gauche. Plaie horizontale de 1.5 cm en-dessous de la malléole interne droite. Plaie index droit. Plaie index droit, le 06.05.2019. Plaie index gauche. Plaie index gauche. Plaie indexe gauche. Plaie infectée. Plaie infracentimétrique avec un fil barbelé. Plaie interdigitale de 2.5 cm P1 et P2 de la main droite le 10.05.2019. Plaie interne au niveau de la lèvre inférieure. Plaie labiale de 1 cm. Plaie labiale gauche. Plaie lacérante de 30 cm pectorale gauche consécutive à une chute en avril 2013. Erysipèle de la face, probablement sur lésion cutanée de l'oreille gauche le 23.03.2013. Prothèse totale de genou gauche en 2010. Diverticulite sigmoïdienne à répétition avec : • Status post-hémicolectomie gauche le 22.02.2006. Prothèse totale de hanche des 2 côtés en 2001 par le Dr. X. Péritonite pour appendicite perforée. Adhésiolyse pour iléus sur bride à 2 reprises. Cholécystectomie avec pancréatite biliaire et ERCP en postopératoire. Accident vasculaire cérébral dans les noyaux gris centraux, bilatéral non daté. Céphalées chroniques après traumatisme crânien il y a 6 mois le 26.02.2017, avec : • Etat anxio-dépressif. Anémie normochrome macrocytaire le 28.02.2017 avec : • Carence en acide folique. Erysipèle hémiface droite • Antibiothérapie par Co-Amoxicilline iv du 12.04.2017 au 18.04.2017. Elévation des GGT d'origine médicamenteuse. Plaie lacéro-contuse lèvre inférieure. Plaie lèvre côté D d'environ 1 cm. Plaie lèvre supérieure côté droit, 1 cm, touchant tant le rouge que le blanc, ainsi qu'une plaie interne de 1 cm, avec composante transfixiante lors du rinçage avec du NaCl. Plaie linéaire centimétrique sur la ligne médiane sous-mentonnière Plaie linéaire de la paupière gauche de 3 cm de longueur Plaie linéaire de 15 mm de long en temporal gauche Plaie linéaire de 2 cm sur l'arcade sourcilière gauche Plaie linéaire de 7 mm de long de la paupière fixe gauche, cicatrisée Plaie linéaire du menton suturée Plaie linéaire d'1 cm frontale droite avec plaie contuse de 5 mm de diamètre associée Plaie linéaire menton suturée Plaie linéaire partie supérieure menton suturée Plaie longitudinale de la face postérieure de l'index gauche. Plaie longitudinale de l'annulaire de la main gauche de 5 cm de long sur 0.5 cm de profondeur le 18.05.2019. Plaie longitudinale de l'arcade sourcilière gauche de 5 cm (profonde de 0.5 cm sur 2 cm, superficielle sinon) le 18.05.2019. Plaie longitudinale de 3 cm superficielle au niveau de la pulpe de la 3ème phalange de l'index de la main gauche le 18.05.2019. Plaie longitudinale de 3 cm, zone T4 face dorsale en regard du 1er métacarpe main gauche avec lésion complète du tendon extensor pollicis brevis, le 17.05.2019 Plaie longitudinale dorsale de 3 cm en regard du 1er rayon de la main gauche avec lésion tendineuse partielle (extenseur brevis de pouce) • Vaccin à jour Plaie longitudinale face postérieure 2 main gauche. Plaie longitudinale face radiale P3 Dig 5 touchant l'ongle avec atteinte de la pulpe de la main droite Plaie longitudinale superficielle de 2 cm sur la face dorsale de l'interphalangienne du pouce gauche le 15.05.2019. Plaie longitudinale 1 cm à la jonction entre arcade sourcilière droite et crête nasale le 12.05.2019. Plaie main droite Plaie main gauche. Plaie mastoïdienne gauche Plaie menton de 2 cm Plaie menton d'environ 1.5 cm Plaie nasale de 1 cm. Plaie nécrotique de O1 gauche sur statut post-arthrite septique de l'IP. Plaie non profonde éminence thénar face palmaire de la main droite Plaie oblique profonde de 5 mm au niveau de la pulpe du pouce de la main gauche, de 2 cm de longueur atteignant l'ongle jusqu'au tiers distal et avec exposition de l'os le 20.05.2019. Plaie occipitale Plaie occipitale centrale de 2 cm superficielle à bords nets, propre Plaie occipitale de 1 cm. Plaie occipitale de 1 cm cutanée superficielle à bord net Plaie occipitale de 1.5 cm. Plaie occipitale du cuir chevelu en Y (branches courtes de 1.5 cm, branche longue de 3 cm). Plaie occipitale en étoile de 10 cm de longueur. Plaie occipitale gauche contuse Plaie occipitale gauche infra-centimétrique avec saignement actif artériel le 29.03.2019 Plaie occipitale superficielle le 22.05.2019 Plaie occipitale 1.5 cm suturée Plaie occipitale 4 cm le 01.05.2019. Plaie oreille gauche. Plaie oreille gauche à la face inférieure du pavillon et une à la proximité du tragus Fracture 1ère phalange pouce droit Traumatisme crânien simple. Plaie ouverte du coude à gauche latéralement • environ 4 x 3 cm, avec fil de suture visible, non sanguinolente • prise en charge initiale à Domodossola Plaie ouverte suite à ablation de kyste de la gaine des extenseurs des doigts au niveau du poignet droit (OP le 02.05.2019 par le Dr. X) avec saignement par intermittence Plaie palmaire. Plaie palmaire superficielle de la main droite de 0.5 cm. Plaie palmaire 1ère phalange du 4ème doigt de la main droite, le 17.05.2019. Plaie par arrachement de la pulpe du doigt II à gauche le 29.04.2019. Plaie par arrachement doigt II à gauche le 29.04.2019. Plaie par arrachement doigt II à gauche le 29.05.2019. Plaie par couteau le 19.05.2019. Plaie par déchirure du mollet gauche côté médial le 07.05.2013, avec suture par 3 points avec Prolène 5.0 le 07.05.2013. Plaie par un clou à la base du poignet gauche. Plaie par un clou main droite le 05.03.2016. Plaie pariéto-occipitale d'environ 2 cm. Plaie partie supérieure du pilier amygdalien droit Plaie paupière supérieure gauche 2 cm bords nets, superficielle Plaie pénétrante en regard de la scapula dorsale 3 cm de longueur Plaie pénétrante face dorsale main droite en regard du 3ème métacarpien et bord latéral du 5ème métacarpien, le 20.04.2019 sur morsure de chat • statut post débridement, exploration, rinçage plaies face dorsale MC3 et bord latéral MC5 main droite (opération le 21.04.2019). Plaie pénétrante rectiligne de 5 cm de longueur au genou droit en regard du tendon rotulien droit sans atteinte des structures nobles sous-jacentes. Plaie postérieure du pavillon de l'oreille droite avec perte de substance. Plaie postopératoire en région abdominale inférieure gauche le 05.05.2019 avec: • S/p abdominoplastie le 17.04.2019 en Tunisie. Plaie postopératoire en région abdominale inférieure gauche le 05.05.2019 avec : • statut post abdominoplastie le 17.04.2019 en Tunisie. Plaie postopératoire en région infra-ombilicale le 05.05.2019 avec: • S/p abdominoplastie le 17.04.2019 en Tunisie. Plaie pouce Plaie pouce. Plaie pouce droit. Plaie première phalange index gauche le 30.05.2019. Plaie prenant le derme, longitudinale, de 2.5 cm de grand axe, à 3 cm à gauche de la ligne médiane au niveau du tuber frontalis. Plaie prenant le derme, longitudinale, de 4.5 cm de grand axe, parallèle à l'arcade sourcilière droite à 1 cm du rebord supérieur du sourcil sur traumatisme crânien. Plaie prenant le sous-cutané transverse d'environ 4 cm prenant le bord radial, ulnaire et la face dorsale en regard de l'interphalangienne proximale de l'auriculaire droit. Plaie prétibiale sous géniculaire droite, le 03.04.2018. Plaie profonde Plaie profonde à la face dorsale de la main gauche. Plaie profonde atteignant l'hypoderme distal face palmaire du 3ème doigt de la main droite Plaie profonde base radiale de doigt II main droite le 04.05.2019 avec : • Rupture complète du FDP en zone 2 • Rupture subtotale du FDS en zone 2 • Arthrotomie traumatique de la 2ème articulation MCP avec section complète du ligament collatéral radial. Plaie profonde coude droit le 22.05.2019. Plaie profonde cuisse droite avec probable atteinte artérielle Plaie profonde de la face antérieure du tibia droit avec exposition des muscles en loge antérieure. Plaie profonde de la face palmaire de la 1ère phalange de l'auriculaire gauche de 3 cm, sans atteinte des structures profondes. Plaie profonde de la jambe droite. Plaie profonde de la pulpe du doigt IV à droite, le 11.05.2019. Plaie profonde de la 2ème MP droite le 11.07.2013. Traumatisme abdominal léger le 30.05.2016. Tentative de suicide par pendaison le 31.12.2017. Contusion de la face antérieure du tiers distal de la jambe droite. Plaie profonde de la 2ème phalange du pouce gauche, transversale et distale, de 5 mm de longueur et 5 mm de profondeur, prenante le paronychium à la berge ulnaire et la partie distale ulnaire de l'ongle pour environ 5 mm. Plaie profonde de l'arcade sourcilière droite, le 04.05.2019. Plaie profonde de l'articulation interphalangienne proximale du majeur gauche avec section de la gaine et du tendon extenseur à 75%. Plaie profonde de 1x1 cm MCP 3 dorsale latérale main gauche. Plaie profonde de 1.5 cm de longueur au menton. Plaie profonde de 2 cm de la face externe de la première phalange du pouce gauche le 07.05.2019. Plaie profonde de 2.5 cm de longueur zone extenseur 4 de l'index à gauche. Plaie profonde du coude droit. Plaie profonde du 2ème doigt, zone I, face palmaire à gauche avec hypoesthésie du côté ulnaire phalange distale et plaie superficielle du 3ème doigt, zone I, face palmaire. Plaie profonde du 5ème doigt de la main droite. Plaie profonde en regard de l'articulation métacarpo-phalangienne du 5ème doigt à droite avec suspicion d'atteinte partielle à 50 % du tendon fléchisseur. Plaie profonde première phalange D4 main droite le 17.05.2019 • avec probable atteinte du pédicule vasculo-nerveux. Vaccin anti-tétanique effectué en janvier 2018. Plaie profonde P2 pouce gauche prenant le paronychium à la base ulnaire et la partie distale ulnaire de l'ongle pour environ 5 mm le 20 mai 2019. Plaie profonde rétro-auriculaire droite du cuir chevelu longitudinale de 4.5 cm de longueur au niveau latéral de l'os occipital. Plaie profonde tibia antérieur à gauche le 08.05.2019 • pas de fracture sous-jacente. Plaie propre superficielle frontale de 5 cm. Plaie pulpe D2 main gauche dans contexte de morsure humaine le 03.05.2019. Plaie punctiforme bord latéral éminence hypothénar main D avec corps étranger, le 21.04.2019. Plaie punctiforme de 3 mm du bord supéro-externe de la lèvre à droite non transfixiante post-traumatique chez un enfant de 9 ans. Nous procédons à une désinfection et suture par 1 point à l'Ethilon 5.0. Ablation des fils à J+5 chez le médecin traitant. Plaie punctiforme Occipito-parietale droite. Plaie punctiforme transfixiante latero-latérale par aiguille entre le tiers proximal et moyen (=3 mm distalement au pli de flexion de l'interphalangienne distale) de la 3ème phalange du 2ème doigt, côté palmaire, main droite. Plaie sans signe de surinfection de bonne évolution. Stéri-strip en place. Vaccin Tétanos fait ce jour. Consigne de reconsulter le médecin traitant ou les urgences si mauvaise évolution de la plaie. Plaie simple cuisse gauche. Plaie simple de l'avant-bras droit. Plaie simple de 3 mm à la base palmaire du 4ème doigt de la main gauche. Plaie simple paupière supérieure droite • traumatisme crânio-cérébral simple associé. Plaie simple pouce gauche. Plaie sous labiale non transfixiante du 25.05.2019. Plaie sous rotulienne gauche le 08.04.2019. Plaie sous-mentonnière de 5 cm le 27.05.2019: • dans contexte de chute mécanique avec possible perte de connaissance, possible amnésie circonstancielle. Plaie sous-palpébrale inférieure droite. Plaie status post doigt de porte au niveau du pouce droit avec : • fracture perpendiculaire de P2 in situ • plaie profonde pulpe de P2 sans intéressement du tendon du fléchisseur long le 07.04.2019. Plaie superficielle. Plaie superficielle à la racine des cheveux • vaccin selon le plan de base. Plaie superficielle à l'arcade sourcilière droite, de 4 cm, le 25.05.2019. Plaie superficielle à l'extrémité inférieure de la jambe droite. Plaie superficielle à l'extrémité inférieure de la jambe droite le 15.05.2019. plaie superficielle arcade D. Plaie superficielle arcade sourcilière droite. Plaie superficielle arcade sourcilière gauche, le 04.05.2019. Plaie superficielle arciforme de 2 cm à bords nets au niveau du bord latéral de la 3ème phalange de l'index gauche. Plaie superficielle atteignant le sous-cutané face antérieure cuisse G, le 18.05.2019. Plaie superficielle au niveau de la face dorsale de l'interphalangienne proximale de l'index droit en V de 2.5 cm. Plaie superficielle au niveau de la face dorsale du pouce gauche le 04.05.2019. Plaie superficielle au niveau de la surface palmaire ulnaire de la 2ème phalange du pouce gauche de 1.5 cm de longueur. Plaie superficielle au niveau de l'ongle de l'auriculaire à droite. Plaie superficielle au niveau du philtrum et dermabrasions en zone péribuccale et contusion interne de la lèvre supérieure avec possible traumatisme de la dent 23. Plaie superficielle auriculaire gauche. Plaie superficielle avec légère perte de substance pré-tibiale distale et une autre plaie superficielle au niveau du coude D avec une légère perte de substance d'un centimètre. Plaie superficielle avec une perte de substance d'0.5 x 1 cm sur la face dorso-radiale de la 2ème phalange de l'index droit. Plaie superficielle bord radial au niveau de P2D3 droit. Plaie superficielle circonférentielle prenant la pulpe et l'ongle (bord radial) d'environ 2 cm du majeur de la main gauche le 21.05.19. Plaie superficielle de DIII du membre supérieur droit sans atteinte des structures nobles le 27.03.2019. S/p APP à l'âge de 13 ans. Plaie superficielle de la base du pouce droit d'environ 2 cm. Plaie superficielle de la face dorso-latérale du coude droit. Plaie superficielle de la main droite de 3 cm sans perte de substance. Fracture ouverte de la phalange distale D4-D5 droite. Écrasement de la 3ème phalange du 3ème doigt droit - hématome non sous tension. Plaie superficielle de la partie supéro-distale de l'humérus gauche, sans signe de gravité, le 22.04.2019.Plaie superficielle de la pulpe du doigt IV à droite, le 11.05.2019. Plaie superficielle de la pulpe P3 D2 de la main droite le 14.05.2019. • perte de substance et enraidissement de l'IPD consécutif. Plaie superficielle de l'arcade gauche. Plaie superficielle de l'arcade sourcilière gauche. Plaie superficielle de l'arcade sourcilière gauche le 18.10.2017. Plaie superficielle de l'auriculaire gauche le 06.05.2019 • absence de trouble sensitivo-moteur. Plaie superficielle de l'auriculaire gauche sans trouble sensitivomoteur le 06.05.2019. Plaie superficielle de l'index droit. Plaie superficielle de l'index gauche avec perte de substance le 14.04.2019. • contrôle du 01.05.2019. Plaie superficielle de type perte de substance de la face latérale de l'index gauche. Plaie superficielle de 0.5 cm de longueur au niveau frontal droit 15.10.18 Plaie superficielle de 0.5 cm frontale droite. Plaie superficielle de 1 cm au niveau de la pulpe de l'hallux gauche. Plaie superficielle de 1 cm de la face dorsale de la 3ème phalange du 3ème doigt. Plaie superficielle de 1 cm de longueur au niveau de la face radiale de la 2ème métacarpophalangienne de la main droite. Plaie superficielle de 1.5 cm de longueur au niveau de l'hémipulpe radiale du 5ème doigt de la main droite. Plaie superficielle de 2 cm au dos de la main gauche à la base du 1er doigt le 19.05.2019. Plaie superficielle, de 2 cm, au dos du pied gauche le 30.05.2019. Plaie superficielle de 2 cm base D1 dos main gauche. Plaie superficielle de 2 cm base D1 dos main gauche le 19.05.2019. Plaie superficielle de 2 cm de l'arcade sourcilière droite. Plaie superficielle de 2 cm de longueur au niveau frontal droit. Plaie superficielle de 2 cm, 2 cm latérale en regard du cantus latéral de l'œil droit. Plaie superficielle de 2 mm côté latéral gros orteil droit • en voie de guérison. Plaie superficielle de 2 cm de l'arcade sourcilière droite. Plaie superficielle de 2.5 cm arciforme de la pulpe du pouce gauche. Plaie superficielle de 2.5 cm au niveau du menton. Plaie superficielle de 2.5 cm de long en regard de la face palmaire de P2 intermédiaire à gauche le 25.05.2019. Plaie superficielle de 2.5 cm arciforme de la pulpe du pouce gauche. Plaie superficielle de 3 cm au regard de l'interphalangienne proximale du 5ème doigt gauche le 24.05.2019. Plaie superficielle de 3 cm au regard de l'IPP du D5 à gauche le 24.05.2019. Plaie superficielle de 3 cm du menton le 14.05.2019. Plaie superficielle de 3 cm oblique, dorsale, en regard de la métatarsophalangienne, première phalange du 4ème orteil du pied gauche. Plaie superficielle de 3 cm au regard de la face palmaire de P5 proximale gauche le 30.04.2019. Plaie superficielle de 4 cm à l'arcade sourcilière droite le 25.05.2019. Plaie superficielle de 4 cm en regard de l'arcade sourcilière à droite le 25.05.2019. Plaie superficielle de 8 mm du tiers moyen de la face interne de la cuisse droite. Plaie superficielle d'environ 1.5 cm de long, 0.5 cm de profondeur, en regard du thénar droit. Plaie superficielle de 3e phalange index gauche sur coupure avec un couteau de cuisine. Plaie superficielle de doigt II à droite, le 06.05.2019. Plaie superficielle du coude D. Plaie superficielle du doigt 5 P3 face dorsale de 1.5 cm de la main droite. Plaie superficielle du front à gauche. Plaie superficielle du pouce à D le 15.05.2019. Plaie superficielle du pouce droit le 11.05.2019. Plaie superficielle du pouce gauche. Plaie superficielle en face interne du poignet gauche le 09.05.2019 avec: • contrôle clinique le 17.05.2019 pour retrait des fils. Plaie superficielle en forme de V au niveau de la surface dorsale de l'articulation métacarpo-phalangienne de l'index gauche. Plaie superficielle en MCP à l'index D. Plaie superficielle en regard de la face palmaire de la phalange intermédiaire du 4ème doigt de la main droite, suite à chute, le 29.05.2019. Plaie superficielle en regard de la 5ème MCP dorsale à droite. Plaie superficielle en région frontale droite le 07.09.2013. Plaie superficielle en V 4 x 4 mm sur la pulpe de la 1ère phalange du 2ème doigt gauche. Plaie superficielle extrémité distale du 2ème orteil pied D, le 29.04.2019 • en voie de guérison. Plaie superficielle face dorsale 5ème métacarpo-phalangienne main droite. Plaie superficielle face interne du poignet gauche. Plaie superficielle face radiale MCP 2 d'un centimètre de longueur main D suturée aux urgences le 20.05.2019. Plaie superficielle front droit. Plaie superficielle frontale gauche. Plaie superficielle index droit. Plaie superficielle infra-centimétrique centro-frontale d'environ 4 mm de longueur avec tuméfaction péri-lésionnelle non douloureuse, non indurée, sans ecchymose associée. Plaie superficielle joue gauche (maxillaire) de 2 cm transverse sans saignement actif. Plaie superficielle de la pulpe du P3 D3 main gauche. Hématome sous-unguéal de <30% de la surface de l'ongle. Plaie superficielle lèvre inférieure avec berges adaptées. Plaie superficielle longitudinale de 1 cm de longueur sur la face dorsale de l'articulation de l'IP de D1 de la main G le 17.04.2019. Plaie superficielle longitudinale de 1 cm de longueur de l'hémifront droit au-dessus de l'arcade sourcilière droite. Plaie superficielle longitudinale de 3 cm de longueur de l'hémi-front droit à 2 cm du rebord latéral de l'arcade sourcilière. Plaie superficielle longitudinale de 4 cm de longueur sur le rebord ulnaire du tiers moyen de l'avant-bras droit. Plaie superficielle main droite. Plaie superficielle main gauche. Plaie superficielle majeur droit. Plaie superficielle occipitale gauche d'environ 4 cm. Plaie superficielle pariéto-frontale gauche en S d'environ 6 cm. Plaie superficielle paupière supérieure gauche. Plaie superficielle phalanges distales D2, D3 et D4 main droite. Plaie superficielle pré-tibiale droite. Plaie superficielle pré-tibiale droite le 30.04.2019. Plaie superficielle pulpe D IV à gauche avec scie à ruban. Plaie superficielle pulpe P3 D2 main droite le 14.05.2019. • avec perte de substance. Plaie superficielle rectiligne de 2 cm de longueur au genou gauche en regard du tendon rotulien gauche. Plaie superficielle rétro-auriculaire gauche le 10.04.2019. Plaie superficielle scalp. Plaie superficielle sourcilière gauche. Plaie superficielle sur le dos de la main droite le 18.05.2019. Plaie superficielle 1/3 moyen bord latéral cuisse droite le 16.05.2016. Plaie superficielle de 0.8 mm de long rétro-auriculaire droit. Plaie supra-ciliaire gauche le 05.01.2013. Plaie sur ablation de corps étranger de la face latérale du bras gauche.Plaie sus-orbitaire 3 cm sur 2 cm superficielles. Plaie suturée suite à une ablation de kyste graisseux au Tessin le 23.04.2019. Plaie temporale gauche de 4 cm, le 19.12.2011. Plaie tibia G Plaie transfixiante lèvre inférieure le 20.05.2018 Contusion genou droit le 20.05.2018 Thrombose veineuse profonde dans les années 1980 selon Mme. Y Dermohypodermite du membre inférieur droit le 26.05.2018 : • Avec porte d'entrée au genou droit Pneumonie basale gauche à pneumocoque le 21.10.2018 avec : • Hospitalisation du 11.10.2018 au 17.10.2018 en médecine pour une insuffisance respiratoire partielle avec traitement de Tavanic du 11.10.218 au 15.10.2018 • Antigènes urinaires le 21.10.2018 : Ag pneumocoque positif • Antibiothérapie par Céfépime 2 g intraveineux du 21.10.2018 au 28.10.2018 et Klacid 500 mg 2x/j du 22.10.2018 au 25.10.2018 Décompensation asthmatique le 21.10.2018 avec : • Silent chest à l'arrivée aux urgences avec insuffisance respiratoire globale • Chez une patiente avec une notion d'asthme/bronchite asthmatiforme Infection urinaire basse le 24.10.2018 Hypokaliémie à 3.4 mmol/l le 24.10.2018 sur probable manque d'apport Diabète sucré cortico-induit le 23.10.2018 Plaie transverse de la lèvre inférieure à droite de la ligne médiane environ 8 mm de long, 5 mm de profond. Dents 11, 21 et 73 mobiles Plaie transverse prenant le derme de 2.5 cm en regard du tendon rotulien. Plaie traumatique partie médiale de la paume main droite le 16.05.2019 Plaie traumatique partie médiale paume main droite le 16.05.2019 avec : • suspicion de lésion nerf digital propre du Vème doigt Plaie traumatique poignet D avec section complète des tendons flexor carpi radialis et palmaris longus. Plaie ulcéreuse et fibrineuse sur la face ventrale du méat urinaire sur possible traumatisme par sonde urinaire. Plaie 1.5 cm P1 Dig II main gauche le 18.05.2019. Plaie 2ème phalange 5ème doigt main gauche le 02.05.2019. Plaie 4ème doigt main droite Plaies Plaies. Plaies à la main gauche au niveau des têtes des métacarpes entre les 1er et 2ème rayons, les 2ème et 3ème rayons, les 3ème et 4ème rayons. Plaies à l'extrémité de la jambe droite. Plaies abdominales. • s/p laparotomie pour léiomyosarcome en 04.2019. Plaies arcade sourcilière droite superficielles 4 cm du 25.05.2019. Plaies au niveau du front Plaies chroniques au niveau du pied D le 03.05.2019 avec : • Nécrose humide, puis sèche de la phalange distale du 3ème orteil Plaies de l'index et du majeur de la main droite. Plaies de l'index gauche. Plaies doigts IV-V main droite le 30.08.2011. Plaies du membre inférieur droit • Dans contexte diabétique Plaies en voie de cicatrisation au niveau du dos du pied droit et de la jambe gauche Plaies mammaires. Plaies multiples au visage suite à chute sans traumatisme crânien avec : • 3 plaies frontales droites. • 1 plaie nasale. • 1 plaie au niveau de la joue droite. • 1 plaie du menton droit. Plaies multiples aux membres inférieurs dans un contexte d'artériopathie oblitérante de stade IIa avec : • Occlusion de l'artère fémorale superficielle droite selon bilan angiologique de la Dr. X de mai 2008 Plaies multiples bras droit, Dig V main gauche et occipital. Plaies multiples (dermabrasions sur peau en papier de cigarette) au niveau de : • avant-bras droit • membre inférieur droit (tiers moyen). Plaies multiples des 2 mains avec brûlures au 2ème type A suite à la déflagration accidentelle d'un pétard en forêt, le 18.05.2019 avec : Main D : • Plaie face palmaire Dig II, sans atteinte vasculo-nerveuse • Plaie avec perte de substance phalange distale de Dig II et au niveau de P1 et P2 Dig III • Plaies superficielles de la paume Main G : • Plaie profonde face dorsale P1 Dig III avec lésion à 20 % du tendon extenseur commun Plaies multiples superficielles de la face antérieure des deux membres inférieurs et de la face postérieure de l'avant-bras gauche Plaies post-opératoires de déhiscence en région mammaire gauche et droite le 05.05.2019 avec : • status post mammoplastie le 17.04.2019 en Tunisie. Plaies postopératoires. Plaies postopératoires de déhiscence en région mammaire gauche et droite le 05.05.2019 avec : • status post mammoplastie le 17.04.2019 en Tunisie. Plaies superficielles de la pulpe des 3ème phalanges du majeur et de l'annulaire de la main droite. Plaies superficielles le 19.05.2019. Plaies superficielles multiples dans un contexte de pemphigoïde bulleux Plaies superficielles sur la face palmaire de la 2ème phalange de l'index et du majeur de la main droite le 04.05.2019. Plaies superficielles visage et genoux Plaies suppurées au pied droit et main gauche • Dos du pied 2x2 cm à D • Malléole externe à D Plaque palmaire avec arrachement de la base de P2, selon colloque du 21.05 (Diagnostic initial le 19.05 : Entorse de grade 1 du ligament collatérale ulnaire de l'interphalangienne proximale de l'auriculaire gauche) Plaque palmaire de la base de la deuxième phalange du 4ème doigt de la main gauche. Plaque palmaire inter-phalangienne proximale doigt 4 main gauche Plaque palmaire IPP D5 droit Plaque palmaire IPP D5 gauche Plaque palmaire PIP du 4ème doigt de la main droite. Plaque palmaire pouce G Plaque pleurale bilatérale connue depuis 2013 (exposition professionnelle à l'amiante) • bilantée par CT thoracique en 2013 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine prérénale mai 2019 • Sur syndrome cardio-rénal Plaques pleurales bilatérales connues depuis 2013 (exposition professionnelle à l'amiante) • bilantée par CT thoracique en 2013 Plastie abdominale en septembre 2009 Cholécystectomie par scopie le 16.06.2010 pour cholecysto-cholédocholithiase. Réduction mammaire. Plastie de reconstruction du ligament croisé antérieur par le tiers central du tendon rotulien du genou droit (opération le 04.07.2012). Gastrite à H. Pylori. Suspicion de lésion de la coiffe des rotateurs (sus épineux) le 27.06.2017. Suspicion de lésion de la coiffe des rotateurs le 04.10.2018. DD : sous-épineux, sus-épineux, petit rond. Plastie du LCA avec TQ et reconstruction PLC avec Larson Technique (greffe DT) (OP le 01.05.2019) Plastie du LCA droit en juin 2017. Plastie LCA droit. Hernie discale L4 L5 droit hyperalgique et déficitaire M4 droit • cure hernie discale L4 L5 droit (OP le 07.01.2013) Plastie mammaire (implant en silicone).Douleurs abdominales post-bypass gastrique le 03.08.2018. Laboratoire : ASAT 105, ALAT 162, PA 137, GGT 162, bilirubine directe lipase 113. CT-abdominal : pas de signe de souffrance intestinale, anastomoses sans particularité. Plâtre BAB avec conseils de surveillance habituels Arrêt sport Antalgie IRM coude dans les prochains jours et contrôle chez Dr. X Plâtre B-AB fendu, port du plâtre pour une durée de 3 semaines au total RDV dans une semaine chez Dr. X et circularisation du plâtre Plâtre BAB fendu IRM début de semaine, contrôle Dr. X le 22.05.2019 Le bon papier IRM est fait, la demande auprès du secrétariat est faite de vive voix et par mail Plâtre cruro-pédieux non fendu RDV chez le plâtrier le 17.05 pour effectuer une Spica Contrôle dans 7 jours chez Dr. X ou ortho-urg si Dr. X non disponible Plâtre en botte, fendu, à but antalgique et repos Contrôle chez Dr. X ou ortho-urgences dans 10 jours en fonction des disponibilités Plâtre est fendu et un peu écarté, orifice pour le pouce est agrandi. Les doigts dégonflent rapidement, mobilité augmente. Pas de troubles neuro-vasculaires. Plâtre fendu, pas de confection de nouveau plâtre Contrôles comme prévus Plâtre mouillé Plâtre pour pouce du skieur à droite. Ultrason pour exclure une lésion de Stener. Contrôle au team membre supérieur dans 7 à 10 jours. Au niveau de la main gauche, 4ème doigt : attelle en aluminium. Prescription d'ergothérapie pour protocole de plaque palmaire. Plavix 75 mg 1x/j p.o. en suspens 10 jours avant l'intervention chirurgicale Reprise Plavix 75 mg 1x/j le 07.05.2019 Pleurésie tuberculeuse en 2006, traitée pendant 6 mois. Pyrosis depuis 10 ans. Pleuro-péricardite Pleuro-péricardite d'origine indéterminée le 03.05.2019 DD : infectieux Pleuro-péricardite d'origine indéterminée le 03.05.2019 DD : infectieuse (virale) Pleurs de nouveau-nés • sur probables coliques • DD : otite débutante Pleurs d'étiologie indéterminée dans le contexte d'IVRS Pleurs excessifs du nourrisson Pleurs sur état fébrile Pli cutané au niveau de la cicatrice ombilicale le 18.05.2019 : • status post-appendicectomie laparoscopique en urgence le 08.04 (Dr. X). Plicature du diaphragme droit le 26.11.2003. Hypercholestérolémie traitée. Syndrome lymphoprolifératif post-transplantation de type lymphome de Burkitt stade I-IIA avec : • date du diagnostic : 23.10.2013 • biopsie (adénopathie cervicale niveau IIA) • histologie (CHUV + 1313728) : syndrome lymphoprolifératif post-transplantation type lymphome de Burkitt, EBV+ ; étude FISH : pas de réarrangement MYC, selon Dr. X (CHUV) : 5-10% des cas sans réarrangement • PET-CT le 16.10.2013 (CHUV) : mise en évidence de multiples adénopathies cervicales et sous-mandibulaires ainsi qu'un hypermétabolisme nasopharyngé étendu et une localisation osseuse de l'aile iliaque droite, le tout d'allure manifestement suspect et compatible avec une éventuelle maladie lymphomateuse • Sérologies : CMV IgG positif, IgM négatif 31.10.13 ; PCR EBV positif 56000 copies/ml 01.01.13 ; VZV IgG négatif, HSV type 1 IgG positif (12.7), type 2 IgG négatif 31.10.13 ; Hépatite A IgG et IgM négatifs, Hépatite C Ac négatifs, Hépatite B Ag HBs (<10.0 UI/L), Ac HBc IgG, Ac HBc IgM et Ac HBe négatifs • PBM 31.10.13 (Promed P9003.13) : tissu hématopoïétique légèrement hypercellulaire avec modifications réactionnelles non spécifiques. Pas d'infiltration par du tissu néoplasique malin • sérologies CHUV : toxoplasmose, syphilis, bartonella négatifs 24.09.2013, HIV négatif 24.09.2013 • PCR CHUV : CMV négatif, EBV positif 98700 copies/ml 25.09.2013. Transplantation cardiaque orthotopique le 30.10.2003 pour cardiopathie dilatée • fermeture de CIA primum et suture d'une importante fente mitrale avec valve prédysplasique le 19.01.1995 • plastie de la valve mitrale avec suture de la valve résiduelle le 13.01.2000 • remplacement de la valve mitrale par valve St-Jude 29 mm le 24.04.2001 • implantation d'un pacemaker épicardique pour bloc AV complet le 11.05.2001. Plusieurs angines à streptocoque les derniers mois. Plusieurs contusions de la cheville gauche. Plusieurs contusions simples après agression physique Plusieurs entretiens, écoute, accompagnement multidisciplinaire Plusieurs entretiens socio-familiaux Transfert en court-séjour à la Rose d'Automne : projet double Plusieurs entretiens Accompagnement multi-disciplinaire Transfert UATO en vue d'un EMS le 13.05.2019 Plusieurs épisodes de faux-croup, jamais reçu de l'Adrénaline aérosol. Plusieurs épisodes de lombosciatalgies spontanément résolutifs. Plusieurs excoriations : excoriation 2x1 cm au niveau de la hanche G, excoriation 8x4 cm flanc G Plusieurs OMA, pas de bronchite obstructive OMA bilatérale 24.03.17 : Amoxicilline, Ibuprofène Plusieurs scarifications au niveau des poignets des deux côtés. PN 3.935 kg, TN 50 cm. Césarienne pour échec de progression par voie basse. Premier enfant. Pas d'allergie, vaccins à jour 24.03.18 : Faux croup PNA droite en septembre 2017 (suivi néphrologique à Payerne) s/p Amygdalectomie s/p Mammoplastie s/p Rhinoplastie s/p 3x fausses couches spontanées à 7 semaines d'aménorrhée Pneumonie Pneumonie à germe indéterminé, acquise en milieu hospitalier le 31.10.2018 sur broncho-aspiration dans le cadre du diagnostic principal. État confusionnel aigu le 07.12.2018, sur constipation probable. Accident vasculaire cérébral ischémique sylvien gauche le 26.10.2018, sur occlusion en T de l'artère carotide interne gauche, avec recanalisation par thrombectomie mécanique le 26.10.2018 : • transformation hémorragique secondaire • exclusion jusqu'à présent de l'étiologie cardio-embolique sur la base d'un holter de 72 heures et d'une échographie trans-thoracique, tous deux négatifs. • clinique à l'entrée en neuro-réhabilitation : hémisyndrome pyramidal facio-brachio-crural droit, aphasie mixte sévère à prédominance motrice, hémi-négligence droite visuo-motrice, dysarthrie potentielle, dysphagie. Dysphagie modérée, dans le cadre du diagnostic principal de la phase orale et pharyngée. • nutrition par sonde naso-gastrique, remplacée suite à la pose d'une GPR (gastrostomie percutanée radiologique) à l'HFR Fribourg le 08.11.2018 Monoarthrite premier rayon gauche le 17.11.2018 sur probable goutte, précipité par introduction thiazidique. État anxio-dépressif réactionnel dans le contexte du diagnostic principal. Pneumonie à Legionella pneumophila le 06.05.2019 : Pneumonie à Pneumocystis Jirovecii le 09.04.2019 • dans le contexte de corticothérapie depuis début janvier 2019 Oligoarthrite des genoux bilatérales le 22.04.19 DD effet secondaire pembrolizumab, décompensation de fibromyalgie Hépatite B guérie Hystérectomie totale avec annexectomie pour fibromes utérins Adhésiolyse par laparoscopie pour iléus Appendicectomie Pose de TOT pour incontinence urinaire d'effort Suspicion de sevrages aux opiacés le 03.02.19 Zuhnemende Schmerzen im Coccyx Bereich im Rahmen den nicht klein zellig Lungen Karzinom Rx fonctionnel Os coccys: Vergleich: MRT vom 17. Mai 2019. Untersuchung im Stehen und Sitzen. Keine Luxation oder sichtbare Fraktur. • Gynäkologisches Konsilium 22.05.2019 (Dr. X): Zur Zeit keinen Anhalt für eine gynäkologische Ursache der Schmerzsymptomatik. Pneumonie acquise en communauté le 02.05.2019 DD: bronchite Pneumonie acquise en communauté, le 28.05.2019 • Condensation lobe supérieur droit et obstruction avec bronchectasie base gauche Pneumonie associée à la ventilation invasive le 28.08.2018 Hystérectomie Césarienne 1974 Cholecystectomie dans les années 1990 Pneumonie avec baisse de l'état général Pneumonie basale D à germe d'origine indéterminée Pneumonie basale droite Pneumonie basale droite. Pneumonie basale droite à germe indéterminé avec : • insuffisance respiratoire hypoxémique • petit épanchement pleural droit Pneumonie basale droite acquise en communauté à germe indéterminé le 27.04.2019 Pneumonie basale droite chez un patient immunosupprimé (corticothérapie par prednisone 10mg/j au long cours et chimiothérapie) Pneumonie basale droite communautaire à Haemophilus influenzae Pneumonie basale droite communautaire le 24.12.2017. Hypokaliémie à 2.9mmol/l le 25.12.2017 Pneumonie basale droite d'acquisition communautaire le 14.05.2019 • Contexte de corticothérapie par Prednisone au long cours et chimiothérapie Pneumonie basale droite de germe indéterminé Pneumonie basale droite le 17.04.2019 Sepsis sur pneumonie bilatérale 11/2015 Pneumonie avec évolution lente le 15.08.2016 (Tafers) Rectorragie le 24.08.2016 DD: hémorroïdes Insuffisance rénale chronique et goutte dans l'anamnèse Pneumonie basale droite le 23.05.19 Pneumonie basale droite le 25.04.2019. Pneumonie basale droite le 26.09.2016 Ptose labiale droite probablement dans le contexte d'une paralyse VII périphérique le 11.09.2014 Monoarthrite goutteuse au niveau de l'avant-pied G le 11.04.2017 Opacité lobaire supérieure gauche au contact de la plèvre à la Rx thorax du 18.04.2017 • Radiographie de contrôle le 02.05.2017: diminution de l'opacité. NSTEMI secondaire sur tachycardie à QRS fins (DD: flutter auriculaire) en 2015, NSTEMI en 2017 Hypomagnésémie sévère le 21.09.2017 Douleurs orales sur candidose avec atteinte de l'appétit et dysgueusie secondaire Pneumonie basale droite le 30.04.2019 avec : • insuffisance respiratoire hypoxémique • BPCO non stadée Pneumonie basale droite probablement sur broncho-aspiration avec insuffisance cardiaque globale secondaire le 07.04.2019 Bronchopneumonies récidivantes sur probables broncho-aspirations (03/2010, 11/2017) S/p épistaxis récidivante le 17.11.2017 Prothèse totale de hanche droite avec pied tombant droit postopératoire 11/2014 Pneumonie basale droite probablement sur broncho-aspiration le 17.04.2019 Pneumonie basale droite, 21.05.2019 Pneumonie basale droite, 22.05.2019 Pneumonie basale G le 08.05.2019 Pneumonie basale gauche Pneumonie basale gauche à germe indéterminé le 05.01.2019. Pneumonie basale gauche à pneumocoque chez un patient avec une hypogammaglobulinémie chronique sur leucémie lymphoïde chronique le 21.01.2017. Fracture per-trochantérienne du fémur proximal droit, le 30.05.2016 avec réduction et ostéosynthèse par clou Gamma III le 31.05.2016. Zona thoracique gauche en 2004 et suspicion de zona thoracique à droite le 09.05.2013 sous traitement de Valtrex au long cours. Infection probablement virale des voies aériennes inférieures le 19.10.2013. Urétéro-pyélographie rétrograde droite et urétéro-rénoscopie droite le 04.07.2008 pour macro-hématurie (amas de cellules d'une tumeur papillaire de bas grade à la cytologie pyélique) : • RTUV le 09.03.2005 pour tumeur papillaire pTa G1 de la paroi latérale gauche de la vessie • RTUV le 08.11.2005 pour petite récidive d'une tumeur papillaire de la vessie pTa G1 de la paroi latérale droite. Opération du rein droit en 1964 (maladie de la jonction ?) à Zurich. Pyéloplastie droite en 1960. Notion de tuberculose B à l'âge de 20-25 ans, sans notion claire de traitement ou de diagnostic. Pneumonie basale gauche communautaire. Pneumonie basale gauche communautaire à germe indéterminé le 14.05.2019 Pneumonie basale gauche communautaire à germe indéterminé le 14.05.2019 • CURB 65 : 3 points (14% de mortalité à 30 jours) Pneumonie basale gauche communautaire à germe indéterminé le 17.05.2019 Pneumonie basale gauche communautaire avec épanchement pleural gauche, probablement parapneumonique 27.02.2019 Pneumonie bibasale le 17.04.2015 PTH droite le 18.01.2012 APP env à l'âge de 30 ans Status post-AVP à l'âge de 30 ans Status post-opération de l'épaule droite Pneumonie basale gauche dans un contexte de bronchopneumopathie chronique obstructive de stade 2 le 28.04.2018. Embolies pulmonaires bilatérales (21.06.2011, anticoagulée 6 mois). Insuffisance rénale aiguë sur probable toxicité rénale d'AINS (trans-cutanée) et administration de Colchicine et d'antibiotique le 14.09.2016. Hypothyroïdie subclinique en septembre 2016. PRES (Posterior Reversible Encephalopathy Syndrome) sur probable encéphalopathie hypertensive le 01.11.2013. Sepsis d'origine digestive sur probable entérite avec ectasie des anses grêles le 11.08.2013. Réaction dépressive réactionnelle au décès de son épouse en juillet 2016. Fracture de l'acétabulum gauche, ilio-pubienne proximale gauche avec double fracture ischio-pubienne gauche suite à une chute le 29.03.2018, traitée conservativement. Tassement de D6 le 29.03.2018, traité conservativement. Cure d'une maladie de Dupuytren bilatérale. Ténosynovite du tendon du muscle extenseur ulnaire du carpe à droite. Opération de la cataracte de l'œil gauche. Pneumonie basale gauche en mai 2019 • diagnostiquée chez Mr. Y avec Co-Amoxiciline 1gr 3x/j depuis 3 jours Pneumonie basale gauche le 17.02.2017 Chute d'origine peu claire avec traumatisme crânien et hématome en monocle droit le 18.03.2015 : • Diagnostics différentiels : syncope, vertiges, médicamenteuse (Dexaméthasone) • BAV 1er degré, bloc de branche droit, pas de trouble de la repolarisation (ECG du 22.03.2015) • Test de Schellong le 28.03.2015 : positif • Bradycardie à normocardie sinusale avec bloc de branche droit, quelques extrasystoles supra-ventriculaires, pas de trouble du rythme cliniquement relevant, pas d'indication à une origine rythmogène à la syncope (Holter du 24-25.03.2015 HFR Fribourg) Thrombo-endartériectomie de la bifurcation carotidienne gauche en avril 2010 (HFR Fribourg) Thrombo-endartériectomie de la bifurcation carotidienne gauche en février 1998 (CHUV) Excision d'un mélanome au niveau de la joue gauche en 08.2005, avec ré-excision en janvier 2006 (Dr. X) Cure de varices non datée Cholécystectomie en 1964 Appendicectomie en 1938 Opération des végétations en 1946 Rash cutané érythémateux prurigineux non papulaire dans le dos sur tout le flanc gauche, suite à l'application de Sportusal Pic hypertensif avec tension artérielle systolique à 200mmHg asymptomatique le 01.12.2018 : • Majoration Amlodipine à 10mg/j dès le 03.12.2018 Hyponatriémie modérée à 127 mmol/l, le 13.02.2019 Décompensation cardiaque globale • pro-BNP > 13'000pg/ml • Épanchements pleuraux prédominant à gauche, cloisonnés, récidivants• Status post pleurosynthèse itérative sous guidage échographique • Status post talcage (4 g après préparation par Xylocaïne endocavitaire) le 05.03.2019 • Pleurodynie consécutive sous opiacés • Traitement diurétique Pneumonie basale gauche le 18.05.2019 • Contexte BPCO • Hospitalisation en février 2019 pour grippe Pneumonie basale gauche le 23.05.2019 avec: • CURB 65 à 1. Pneumonie basale gauche le 27.04.2019. Pneumonie basale gauche le 27.04.2019. Antibiothérapie par: • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 27 au 28.04.2019 • Co-Amoxi 1 g 2x/j per os du 29.04 au 03.05.2019. Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 105 umol/l dans un contexte de déshydratation le 27.04.2019. Troubles électrolytiques avec: • hyponatrémie normo-osmolaire • hypokaliémie. Pneumonie basale gauche, le 30.04.2019 Pneumonie basale gauche récidivante le 08.04.2019 • pneumonie sur possible broncho-aspiration le 31.03.2019 traitée par Co-Amoxicilline durant 8 jours et Klacid 2 jours. Pneumonie basale probablement bilatérale compliquée le 27.05.2019 • status post antibiothérapie ambulatoire du 05.05 au 10.05.19 pour une pneumonie basale gauche. • CURB 65 : 3 points Pneumonie bibasale Pneumonie bibasale à germe indéterminée Pneumonie bibasale avec composante asthmatiforme Pneumonie bibasale communautaire à Pneumocoque le 26.02.2016. Gastrite H-Pylori diagnostiquée le 05.06.2015. Kystectomies du cuir chevelu et 2 kystectomies axillaires droite et gauche en 2013. Résection d'un polype intestinal. Pneumonite chimique d'inhalation sur vomissement de substances acides ingérées le 09.09.2017 avec: • oedème glottique et érythème des cordes vocales Oesophagite grade 1 sur tentamen avec ingestion de détergent WC (acide faible + agent tensioactif à pH : 3 et 1.5) le 09.09.2017 • troubles dépressifs récurrents • 5ème tentamen X 69 intoxication volontaire par des produits chimiques et substances nocives (détergents) Z 73.1 Accentuation de certains traits de personnalité : personnalité émotionnellement labile type impulsif F 33.2 Trouble dépressif récurrent, épisode actuel sévère sans signes psychotiques Z 63 : Autres difficultés liées à l'entourage immédiat, y compris la situation familiale Pneumonie bibasale communautaire à Pneumocoque le 26.02.2016. Gastrite H-Pylori diagnostiquée le 05.06.2015. Kystectomies du cuir chevelu et 2 kystectomies axillaires droite et gauche en 2013. Résection d'un polype intestinal. Pneumonite chimique d'inhalation sur vomissement de substances acides ingérées le 09.09.2017 avec: • oedème glottique et érythème des cordes vocales Oesophagite grade 1 sur tentamen avec ingestion de détergent WC (acide faible + agent tensioactif à pH : 3 et 1.5) le 09.09.2017 • troubles dépressifs récurrents • 5ème tentamen X 69 intoxication volontaire par des produits chimiques et substances nocives (détergents) Z 73.1 Accentuation de certains traits de personnalité : personnalité émotionnellement labile type impulsif F 33.2 Trouble dépressif récurrent, épisode actuel sévère sans signes psychotiques Z 63 : Autres difficultés liées à l'entourage immédiat, y compris la situation familiale Pneumonie bibasale communautaire avec décompensation asthmatique (cf. diagnostic 1) le 27.04.2019 Pneumonie bi-basale en avril 2016 Zona ophtalmique gauche Prothèse totale de la hanche droite Prothèse du genou gauche en mai 2013 Pneumonie bibasale le 02.05.2019 • avec insuffisance respiratoire partielle Probable BPCO sous-jacente Pneumonie bibasale le 11.05.2019 Pneumonie bibasale non compliquée le 24.01.2013, traitée par Co-Amoxicilline. Appendicectomie non datée. Hystérectomie non datée. Laparotomie pour endométriose non datée. Pneumonie bibasale sur probable broncho-aspiration le 28.04.2019 avec: • nouvel épisode de broncho-aspiration le 01.05.2019 Pneumonie bilatérale communautaire à germe indéterminé, le 16.05.2019, avec: • insuffisance respiratoire hypoxémique Pneumonie bilatérale le 15.05.2019, en péjoration le 18.05.2019 : • CRP 284 augmenté à 499 • leuco 15.9 diminué à 7.5 • Rx thorax le 18.05.2019 : augmentation des infiltrats, pas d'épanchement, pas de cavitation • 2 x 2 hémocultures le 18.05.2019 : en cours • antigène légionelle dans les urines : en cours Pneumonie bilobaire gauche le 12.04.2019 Pneumonie communautaire basale droite Pneumonie communautaire basale droite Pneumonie communautaire basale droite diagnostiquée le 14.05.2019. • radiographie thorax par le médecin traitant : suspicion de foyer en base droite • radiographie sinus par le médecin traitant : sans particularité. Pneumonie communautaire basale droite le 07.11.2018. Epigastralgies sous Pantozol. Pneumonie communautaire basale droite le 23.05.2019 Pneumonie communautaire basale droite le 26.05.2019 Pneumonie communautaire basale G le 29.05.2018 Pneumonie communautaire basale gauche à germe indéterminé le 07.05.2019 • PSI 116 points, classe de risque IV Pneumonie communautaire basale gauche, le 06.05.2019. Pneumonie communautaire basale gauche le 18.05.2019 Pneumonie communautaire dans un contexte oncologique le 29.05.2019 avec: • Pneumonie communautaire en mars 2019 traitée par Ceftriaxone du 25.03 au 01.04.2019, Clarithromycine du 25.03 au 26.03.2019 Pneumonie communautaire droite à germe indéterminé • PSI 147 points Pneumonie communautaire du lobe inférieur G le 08.05.2019 Pneumonie communautaire du lobe moyen droit le 22.04.2017 Pneumonie à Pseudomonas aeruginosa et Staphylocoque doré le 18.07.2017 • Pneumonie à Pseudomonas aeruginosa LID le 18.10.2017 avec traitement de Cefepime (10 jours) • Portage persistant de Pseudomonas aeruginosa + en novembre 2017 • Status post pneumonie nécrosante bilobaire gauche avec choc septique et bactériémie à Pseudomonas aeruginosa et Staphylocoque doré le 28.07.2017 • Trachéotomie du 11.08 au 16.09.2017 Pneumonie lingula gauche le 26.11.2018 : négative pour le Pseudomonas Décompensation cardiaque gauche le 24.11.2018 Pneumonie communautaire du lobe moyen droit le 22.04.2017 Pneumonie à Pseudomonas aeruginosa et Staphylocoque doré le 18.07.2017 • Pneumonie à Pseudomonas aeruginosa LID le 18.10.2017 avec traitement de Cefepime (10 jours) • Portage persistant de Pseudomonas aeruginosa + en novembre 2017 • Status post pneumonie nécrosante bilobaire gauche avec choc septique et bactériémie à Pseudomonas aeruginosa et Staphylocoque doré le 28.07.2017 • Trachéotomie du 11.08 au 16.09.2017 Pneumonie lingula gauche le 26.11.2018 : négative pour le Pseudomonas Décompensation cardiaque gauche le 24.11.2018 Pneumonie communautaire du LSG le 03.05.2019 Pneumonie communautaire le 03.05.2019 • CURB 65 à 0 points Pneumonie communautaire lobaire inférieure droite le 21.04.2019 à germe indéterminé dans un contexte de: • carcinome pulmonaire à petites cellules limited disease combiné avec un adénocarcinome du lobe moyen. Pneumonie communautaire LSD le 29.05.2019. Pneumonie compliquant une bronchiolite Pneumonie d'acquisition communautaire du LIG le 23.05.2019 • pneumonie traitée par Amoxicilline 1 g 2x/j du 07.05 au 16.05.2019 • CT thoracique le 07.05 externe à pister Pneumonie d'aspiration Pneumonie d'aspiration le 14.04.2019 • expectorations : Staph aureus, E.Coli sensible à Co-Amoxicilline Pneumonie d'aspiration le 21.10.2018 • Labo: Leuco 21 G/l, CRP 81 mg/l • Rx thorax: infiltrat basal droite • Status urinaire: négatif Anémie normochrome normocytaire arégénérative le 08.11.2018 avec: • DD rénal • DD inflammatoire • DD hypovitaminose • DD tumoral • Gastroscopie le 08.11.2018 : gastite légère sans saignements • Recherche de sang dans les selles : négatif • Pneumonie de broncho-aspiration en avril 2019 (hôpital de Payerne) avec pose de PEG • Pneumonie d'inhalation récidivante avec sepsis sévère le 03.09.2017 • Avec insuffisance respiratoire hypercapnique • Culture d'expectorations du 04.09.2017 : Stenotrophomonas Maltophilia • Pneumonie de broncho-aspiration en 2019 : pose de PEG • Troubles de la déglutition diagnostiqués le 13.05.2015, avec : • fausses routes primaires aux liquides avec réflexe de toux conservé • parésie cordale droite, hyposensibilité épiglottique (bilan ORL HUG) • Consilium ORL le 06.09.2017 : indication à la trachéotomie/laryngectomie totale fonctionnelle à distance • Kératite de contact le 13.05.2015 • Kyste épidermoïde de la fosse postérieure diagnostiqué en 2008 (opéré à Damas, Syrie) avec : • récidive le 13.05.2015 • opéré aux HUG le 27.04.2015 • déficits résiduels : paralysie faciale, troubles de la déglutition, troubles de la marche, troubles oculaires, labilité tensionnelle • hydrocéphalie non-communicante symptomatique du 31.07.2017 • implantation d'un shunt VP droit le 05.07.2017 • réimplantation d'un nouveau shunt de dérivation avec assistant de dérivation intégré (ProGAV Miethke 2.05/15 cm H2O) le 05.08.2017 • Pneumonie d'inhalation avec insuffisance respiratoire hypoxémique récidivante le 14.04.2019 et le 25.04.2019 • état fébrile à 38.9° • expectorations : Staph aureus, E.Coli sensible à Co-Amoxicilline • Pneumonie droite chez patient connu pour bronchopneumonies à répétition (DD sur troubles de la déglutition). • Pneumonie droite le 19.04.2019 • Pneumonie droite le 22.03.2012 Amoxicilline 100 mg/kg/j IV 22.- 24.03.12, PO dès le 24.03.12 Algifor 10 mg/kg/d max 3x/j en réserve Oxygène supplémentaire 22.- 23.03.12 • Pneumonie du LMD et du LID le 06.02.2019 : • Score CURB-65 : 4 points • qSOFA score à 2 Traitement en dialyse : • Vancomycine • Cefepime • Tramadol 20 mg, Temgesic 0.2 mg Traitement durant l'hospitalisation : • Klacid 250 mg per os 2x/jour du 06.02.2019 au 10.02.2019 • Méropénem 1000 mg le 07.02.2019 puis 2x 500 mg/jour jusqu'au 13.02.2019 • Relais par Ceftriaxone 1000 mg du 13.02.2019 au 15.02.2019 • Physiothérapie respiratoire • Sepsis sur probable dermohypodermite de l'avant-bras D le 03.10.2018 • qSOFA : 1 (état mental) • Insuffisance mitrale modérée diagnostiquée à Berne il y a plusieurs années • Encéphalopathie d'origine indéterminée en 2009 : • diagnostic différentiel : troubles électrolytiques dans le cadre d'une anorexie mentale avec : céphalées, dysarthrie, asterixis, syndrome pyramidal • Révision phlegmon fléchisseur sur plaie surinfectée Dig II de la main D (Staph. aureus, multisensible) le 06.04.2012 • Ischémie main D post-révision de fistule artério-veineuse D (30.06.2017) le 04.07.2017 : • status post-fistule artério-veineuse native selon Brescia-Cimino/proximalisation au niveau du MSD le 23.11.2015 • thrombendartériectomie fistule artério-veineuse du MSD avec patch d'élargissement le 26.07.2016 • status post-révision fistule artério-veineuse avec remplacement versant veineux par prothèse (5 mm) le 30.06.2017 • Fracture ouverte type Gustilo 3A radius distal D le 13.02.2018 traitée par fixateur externe ; ablation fixateur externe en mai 2018. • Fermeture d'une fistule artério-veineuse MSD avec ablation de matériel prothétique le 04.07.2017 • Prolapsus rectal de 15 cm le 12.02.2019 • Fracture in situ tubercule majeur épaule D le 19.02.2019, traitée conservativement • Hémato-bourse infra-patellaire genou D, traitée conservativement • Pneumonie du lobe inférieur avec insuffisance respiratoire partielle le 24.03.2019 : • Diagnostic différentiel : broncho-aspiration • Pneumonie du lobe moyen le 09.04.2016 • État confusionnel aigu avec insuffisance respiratoire globale sur accumulation d'opiacés, probable syndrome de sevrage OH et suspicion de broncho-aspiration le 11.12.2014 • Fracture du col du fémur gauche, Garden IV Pauwels III, sur chute de sa hauteur, le 09.12.2014, traitée par PTH, ostéophytectomie le long du bord antérieur, puis postéro-inférieure et bursectomie trochantérienne le 10.12.2014 • Probable diabète cortico-induit le 25.06.2013 • Pneumonie du lobe inférieur droit le 22.11.2013 à germe indéterminé • Chirurgie de l'épaule gauche pour luxations récidivantes en 1980 • Prostatite en 1980 • Appendicectomie en 1973 • Epistaxis sur pic hypertensif le 13.01.2018 • Pneumonie du lobe supérieur droit en septembre 2014. • Pneumonie basale gauche le 12.04.2013. • Kystes opérés au niveau du genou droit et de la cuisse droite. • Calculs rénaux. • Amygdalectomie il y a 20 ans. • Probable syndrome grippal le 16.01.2015. • Contracture musculaire para-lombaire droite. • Pneumonie du lobe supérieur gauche le 01.05.2019. • Pneumonie du lobe supérieur gauche le 23.05.2019. • CURB 65 : 0 points. • Pneumonie du LSG le 23.05.2019 • CURB 65 : 0 points • Pneumonie gauche dans le contexte d'une progression tumorale du cancer pulmonaire non à petites cellules de type adénocarcinome du lobe supérieur gauche avec multiples nodules pulmonaires, stade cT4 cN+ cM1a (pulm) : • insuffisance respiratoire partielle avec alcalose respiratoire sur tachypnée • début récent d'une chimiothérapie de 2ème ligne avec première administration de Taxotere le 30.04.2019. • Pneumonie gauche 04.2019 • Pneumonie interlobaire gauche le 02.05.2019. • Pneumonie interstitielle à germe indéterminé • DD exacerbation d'une fibrose pulmonaire, réaction d'hypersensibilité • Pneumonie interstitielle à germe indéterminée DD péjoration d'une fibrose pulmonaire • Pneumonie le 12.05.2019 • Pneumonie le 23.04.2019. • Pneumonie lobaire basale gauche à Legionella pneumophila le 06.05.2019 • Pneumonie lobaire gauche le 05.05.2019 • Pneumonie lobaire inférieure gauche et inférieure droite d'origine nosocomiale le 27.05.2019 : • chez patiente immunosupprimée • antécédent de pneumonie à rhinovirus • culture d'expectoration (30.04.2019) : présence de P. Aeruginosa multisensible • Pneumonie lobaire inférieure droite communautaire avec insuffisance respiratoire partielle le 25.04.2019 • CURB-65 3/5 • avec atteinte systémique (Systemic Inflammatory Response Syndrome / SIRS) • DD Pneumonie de broncho-aspiration sur troubles de déglutition • Pneumonie lobaire inférieure gauche le 19.04.2019. • Pneumonie lobaire supérieure gauche abcédante avec infection d'une bulle d'emphysème. • Pneumonie lobe moyen droit, 23.05.2019 • Pneumonie nosocomiale avec : • insuffisance respiratoire hypoxémique le 25.04.2019 • Pneumonie nosocomiale basale droite le 15.05.2019 • Pneumonie nosocomiale bibasale le 25.10.2015 • Sténose du côlon sigmoïde distal sur diverticulite chronique avec iléus mécanique le 01.08.2015 • status post-sigmoïdectomie oncologique selon Hartmann avec descendostomie terminale en fosse iliaque gauche le 01.08.2015 • status post-rétablissement de la continuité par laparotomie et iléostomie de protection le 20.10.2015 • fermeture d'iléostomie le 06.01.2015 • Pneumonie nosocomiale bilatérale, le 04.05.2019 • Pneumonie nosocomiale le 13.05.19 • Pneumonie nosocomiale, le 14.05.2019 • DD : Pneumonie acquise en communauté • Pneumonie nosocomiale sur broncho-aspiration le 16.05.2019 • Pneumonie organisée cryptogénique (COP) diagnostiquée le 30.03.2012 • Probable AVC ischémique mineur sylvien sous-cortical gauche (sans confirmation radiologique) d'origine indéterminée le 26.09.2016 avec : • hémisyndrome sensitivo-moteur D • hypoesthésie brachio-crurales droite résiduelle • NIHSS à 2 pts à l'entrée, 1 pt à la sortie • Pneumonie para-hilaire D • Syndrome inflammatoire avec • Pneumonie post-sténotique : • Sur masse pulmonaire du lobe supérieur gauche Avec écoulement de pus lors de la bronchoscopie Pneumothorax gauche iatrogène post changement de pacemaker Mise en place d'un drain thoracique Charrière 20" Pneumonie rétrocardiaque le 14.02.2015. Malaise vagale avec pic hypertensif. Pneumonie rétrocardiaque (2015). Cholécystectomie. Décompensation d'une bronchopneumonie chronique obstructive non-stadée de probable origine virale (07.2018) avec insuffisance respiratoire hypoxémique avec acidose respiratoire le 22.07.2018 avec pH à 7, pCO2 à 7.8kPa. Décompensation cardiaque globale (07.2018) avec épanchement pleural gauche NT-proBNP : 4332ng/l. Pneumonie sévère à 6 mois Asthme léger Pneumonie sur bronchoaspiration le 23.04.2019 Pneumonie sur foyer de broncho-aspiration le 18.04.2019, • chez un patient souffrant de démence avec status post-hémorragie cérébrale • DD : pneumonie nosocomiale droite avec bronchogramme aérique sur hospitalisation du 10 au 17.04.2019 (HFR Fribourg). Pneumonie 01/2017. Pneumonie (02.2019). Prothèses genoux bilatérales. Pneumonies à répétitions Pneumonies à répétitions. Pneumonies à répétitions • Pneumonie d'inhalation du lobe supérieur droit et inférieur gauche avec insuffisance respiratoire globale aiguë le 08.04.2019 Luxation de la hanche droite opérée à l'Inselspital Bern en 2008 Pneumonies à répétitions • Pneumonie d'inhalation du lobe supérieur droit et inférieur gauche avec insuffisance respiratoire globale aiguë le 08.04.2019 Luxation de la hanche droite opérée à l'Inselspital Bern en 2008 Epilepsie réfractaire traitée le 08.04.2019 • 3-4 crises/ jour Pneumonies à répétitions sur pathologie pulmonaire X, dernier épisode au début 2015 Asthme non traité Pneumonies bibasales récidivantes sur bronchoaspiration le 15.03. et 03.05.2019 • dans le cadre des diagnostics suppl. 1-2 Pneumopathie de degré sévère restrictive et obstructive chronique avec : • Status post tuberculose pulmonaire bilatérale • Status post pneumothorax thérapeutique à droite • Status post lobectomie supérieure droite en 1956 • Sévère cypho-scoliose • Bronchites à répétition • Portage de Pseudomonas aeruginosa • Spirométrie du 23.02.2016 : CVF 1.12lt (48% du prédit), VEMS 0.58lt (36% du prédit), Tiffeneau 51.8% Dégénérescence de la macula liée à l'âge, type sèche Lombo-dorsalgies chroniques • S/p fracture vertébrale D3-D4 Mélanome du pied G opéré en novembre 2015 Pneumopathie de degré sévère restrictive et obstructive chronique avec: • Status post tuberculose pulmonaire bilatérale • Status post pneumothorax thérapeutique à droite • Status post lobectomie supérieure droite en 1956 • Sévère cypho-scoliose • Bronchites à répétition • Portage de Pseudomonas aeruginosa DD : composante asthmatique, bronchite Pneumopathie d'inhalation sur broncho-aspiration • Co-amoxicilline du 15 au 19.05.2017 Hématome du grand fessier sur traumatisme direct sans atteinte nerveuse 08/2015 Rhabdomyolyse sur statine le 05/2012 Cholécystectomie Colique néphrétique sur calcul urétéral droit Opération du coude droit pour épicondylite Ulcère gastrique 04/2006 AVC en 2002 • CHADS VASC Score 8 points • uniquement antiagrégation plaquettaire simple par Aspirine cardio 100 mg 1-0-0 au vu du risque hémorragique important (discuté avec le Dr X) Prothèse totale de la hanche droite en mai 2017 Changement prothèse totale de la hanche gauche en mai 2012 sur descellement de la PTH implantée en 1998 Pneumopathie d'inhalation sur broncho-aspiration • Co-amoxicilline du 15 au 19.05.2017 Hématome du grand fessier sur traumatisme direct sans atteinte nerveuse 08/2015 Rhabdomyolyse sur statine le 05/2012 Cholécystectomie Colique néphrétique sur calcul urétéral droit Opération du coude droit pour épicondylite Ulcère gastrique 04/2006 AVC en 2002 • CHADS VASC Score 8 points • uniquement antiagrégation plaquettaire simple par Aspirine cardio 100 mg 1-0-0 au vu du risque hémorragique important (discuté avec le Dr X) Prothèse totale de la hanche droite en mai 2017 Changement prothèse totale de la hanche gauche en mai 2012 sur descellement de la PTH implantée en 1998 Pneumopathie d'inhalation sur broncho-aspiration le 25.05.2019 Pneumopathie interstitielle diffuse prédominant dans les territoires sous-pleuraux des bases Pneumopathie obstructive chronique Gold II • Déchets de saturation en cas d'atélectasie bibasale anaphylactique, d'emphysème toxique pour la nicotine • thorax aux rayons X du 28.12.2016 : réductions persistantes de la transparence bibasale (atélectasie ? Infiltrations ?) • ABGA du 30.12.2016 : insuffisance respiratoire partielle • Fonction pulmonaire à partir du 30.12.2016 : cible du VEMS à 68%, VEMS/CVF à 59%, cible du DEP 56%, cible de la CVF à 93% (pas d'amélioration significative par inhalation) Anémie normochrome chronique, macrocytaire • Laboratoire du 28.12.2016 : Hb 132g / l Insuffisance veineuse chronique stade III • ulcères récurrents des membres inférieurs • syndrome post-thrombotique grave des veines profondes des jambes Maladie artérielle périphérique (MAP) des membres inférieurs stade I • fermeture de l'artère tibiale postérieure gauche État dépressif Trouble borderline Abus d'alcool chronique • 15-20 bières par jour Cannabis Tabac 50 py Pneumothorax. Pneumothorax apical gauche le 02.05.2019 Pneumothorax apical gauche sur traumatisme thoracique le 04.05.2019 • Status post pneumothorax traumatique le 13.05.2019 Pneumothorax apical gauche sur traumatisme thoracique (réception de ballon de football sur le thorax antérieur le 04.05.2019 • 2ème épisode Pneumothorax droit antérieur et apical le 11.05.2019 avec: • contusions parenchymateuses et petit hémato-thorax droit • fractures multiples des côtes droites des arcs latéraux 5 à 9 avec important déplacement avec perforation pleurale • emphysème étendu des tissus mous de la paroi thoracique, dissection aérique de tous les tissus mous du cou, jusqu'aux paupières des deux côtés redescendant dans le médiastin Pneumothorax droit antérieur et apical le 11.05.2019 avec: • contusions parenchymateuses et petit hémo-thorax droit • fractures multiples des côtes droites des arcs latéraux 5 à 9 avec important déplacement avec perforation pleurale • emphysème étendu des tissus mous de la paroi thoracique, dissection aérique de tous les tissus mous du cou, jusqu'aux paupières redescendant dans le médiastin Pneumothorax droit post-bronchoscopie de >3cm, 17.05.2019 Pneumothorax droit spontané récidivant (3ème épisode). Pneumothorax droit en 1985 avec prise en charge chirurgicale Pneumothorax gauche Pneumothorax gauche post pose de harpon le 21.05.2019 Pneumothorax iatrogène gauche le 21.05.2019 Pneumothorax iatrogène le 16.03.2018 dans le cadre d'une bronchoscopie. Pneumonie basale gauche le 19.05.2018. Dyspnée d'un contexte oncologique le 04.10.2018. Hernie discale L4-L5 opérée à 3 reprises. Pneumothorax iatrogène post-bronchoscopie et biopsie le 05.03.2019 Pneumothorax sous tension à droite le 27.05.2019 • post massage cardiaque et ventilation manuelle Pneumothorax spontané à gauche le 10.04.2019. Pseudarthrose traumatisée du scaphoïde gauche. Pneumothorax spontané droit de 2.5 cm, chez un patient tabagique (13 UPA). Pneumothorax spontané droit le 21.05.2019 chez un patient connu pour BPCO avec emphysème diffus et bronchiectasies. Pneumothorax spontané G, le 10.04.2019 Fracture Weber cheville D traité conservativement dans l'enfance Entorse stade 1 cheville D le 15.03.18 Entorse externe stade 2 de la cheville gauche le 31.08.18 Pneumothorax spontané gauche drainé le 28.06.2014. Récidive de pneumothorax spontané gauche le 17.08.2014. Thoracoscopie gauche, bullectomie et pleurabrasion le 20.08.2014. Pneumothorax apical droit de 4.5 cm, premier épisode le 06.07.2018.Pneumothorax apical droit de 2 cm résiduel le 20.07.2018. Pneumothorax apical droit, 2ème épisode le 21.10.2018. Pose de drain thoracique gauche le 21.10.2018. Thoracoscopie droite, résection bulles apicales et pleurodèse par abrasion pleurale le 25.10.2018. Douleur latéro-thoracique droite aspécifique le 05.04.2019. Consommation de cannabis fumé et de cocaïne sniffée. Gêne inspiratoire dans contexte d'angoisse le 30.01.2018. Appendicectomie. Extraction dentaire. Pneumothorax spontané gauche, le 10.04.2019. Pseudarthrose traumatisée du scaphoïde gauche. Pneumothorax spontané gauche récidivant le 27.05.19 • Status post-drainage le 05.06.2017 et le 21.12.2018 • Dosage alpha-1-antitrypsine négatif Pneumothorax sur fractures costales 5 à 9 au niveau des arcs postérieurs à gauche le 11.05.2019. Poche à glace Anti-inflammatoire non-stéroïdien Immobilisation par une chevillère de type AigoPlus qui serait portée à la reprise de l'activité sportive Décharge partielle Réévaluation le 08.05.2019 pour décider de la reprise du sport et du début de la physiothérapie Podalgies G d'origine indéterminée. DD : début d'un CRPS 1. DD : insuffisance veineuse chronique. Podologue le 16.05.19 Podomexef per os pour 10 j 8 mg/kg/j urocult en cours sur clean catch à pister : revenu négatif le 27.05.2019 Podomexef 150 mg 2 x/j pour 8 mg/kg/j en 2 doses, 10 jours Podomexef 4 mg/kg/dose/12 h (0,5 ml/4 mg) : 57 mg x 2/j soit 7 ml x 2/j pendant 10 j à réévaluer si uricult ne pousse pas, 1 dose prise avant le départ Uricult en cours Movicol 2 sachets par jour pendant 1 semaine Podomexef 8 mg/kg/j en 2 doses pendant 14 jours Podomexef 8 mg/kg/j en 2 doses, 14 jours Consultation aux urgences si péjoration clinique Contrôle aux urgences (pédiatre absent) dans 48 heures si dans 48 h pas d'antibiogramme, la mère appelle la garde du weekend pour demander les résultats Poids à la limite de la norme : 1690 g (P3) Poids, diurèse et fonction rénale 1 x/j Éviction au maximum de tout traitement/produit néphrotoxique Poignet D : • Status post ostéosynthèse du radius D par plaque Aptus Hand et ostéosynthèse de la styloïde ulnaire par vis HCS 2.3 et broches 0.8, le 28.02.2019 sur : fracture radius distale (type AO 2 R 3) à D et fracture de la styloïde ulnaire (type AO 2 U 3 A) distale à droite le 21.02.2019 Poignet D : arrachement du ligament scapho-lunaire d'allure ancienne et du luno-triquétral d'allure récente, suite à une chute survenue le 08.01.2019. Poignet D : AS, reconstruction du ligament scapho-lunaire par autogreffe du tendon ECRB, capsuloraphie postérieure (OP le 29.04.2019) Poignet D : kyste arthrosynovial scapho-lunaire, tendinite de grave à modérée et douleurs à la radio-ulnaire distale avec : • status post AS diagnostic et ablation de synovialite au niveau de TFCC, résection ouverte d'un kyste arthrosynovial scapho-lunaire, infiltration du 1er compartiment le 08.10.2018. Poignet D : kyste d'origine X DD : lipome, kyste arthrosynovial poignet dorsal Poignet D : pseudarthrose du scaphoïde SNAC II Poignet D f/p de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. Impression de consolidation de l'avulsion osseuse du triquétrum sur cette modalité d'imageries. Poignet droit : conflit ulno-carpien et dysbalance radio-ulnaire (ulna +) • ostéosynthèse fracture intra-articulaire du radius distal à droite (op. le 13.02.2018) • AMO ré-ostéosynthèse radius distal droit avec plaque Aptus 1.5 et Aptus radius et Tutotaplast pour un déplacement secondaire (op. le 19.04.2018) Poignet droit : kyste sur le versant dorso-radial sur arthrose massive destructive Poignet droit : reconstruction scaphoïde après fracture négligée en 2014 le 10.01.2019 (greffe tricorticale, vis HCS 3.0) Poignet droit : • status post-arthrodèse poignet le 10.04.2017 pour Morbus Kienböck stade IV selon Lichtmann. • status post ablation du matériel d'arthrodèse le 24.09.2018 Poignet droit : Neuropathie post-traumatique du nerf médian droit sur accident le 10.07.2018. Lésion du ligament scapho-lunaire droit sans instabilité scapho-lunaire. Syndrome du PIN et suspicion de syndrome de loge Guyon. Poignet face / pouce profil : trapézectomie totale, distance adéquate entre le métacarpe et le scaphoïde. Poignet face/pouce profil : arthrose CMC 1 Dell 2 Eaton & Littler 2. Poignet G : ablation kyste arthro-synovial le 11.03.2019. Fracture de la base de la styloïde G non traitée. Poignet G : • Fracture radius distal. • Arrachement osseux du lunatum pouvant correspondre à une avulsion du ligament scapho-lunaire • Possible fracture du scaphoïde Poignet G : Fracture radius distale extra-articulaire et styloïde ulnaire gauche avec trouble neurologique du nerf médian et ulnaire (AO 2R3A3.3) Poignet G : Fracture scaphoïde non déplacée Herbert B. Fracture chauffeur non déplacée. Pied D : Arrachement de la base P1 O1 non déplacée face médiale. Fracture de côte à G. Poignet G et gros orteil D : pas de déplacement secondaire. Début de signe de consolidation. Poignet gauche : pseudarthrose du scaphoïde après chute le 25.12.2018, re-traumatisme le 03.04.2019 Poignet gauche : status post-fracture type chauffeur du 31.10.2017 avec dissociation scapho-lunaire. Traitement conservateur par attelle poignet. Poignet gauche (non-dominant) : status post réduction ouverte et ostéosynthèse du radius distal et cure du canal carpien le 04.04.2018 (Dr. X) Status post arthroscopie diagnostique, ablation du matériel d'ostéosynthèse, refixation du TFF ouverte le 04.02.2019 (Dr. X) Point de piqûre de la VVP au MSG rouge, sans signes de surinfection Point noir derrière la cornée, à gauche Polakiurie d'origine probablement virale Poliomyélite dans l'enfance Pollakiurie. Pollakiurie depuis 3 jours Pollakiurie, dysurie, douleurs sus-pubiennes. Pollakiurie transitoire de la nuit du 07.03 au 08.03.2016 Poly allergie, suivi par le Dr. X. Crises d'anxiété. Polyarthalgies diffuses Polyarthralgie. Polyarthralgie DD polymyalgia rheumatica Polyarthralgie diffuse touchant les grandes et petites articulations En externe : anticorps FAN et anti-centromères positifs, anti-Scl-70, ANCA nég. (18.03.2019) FR, anti-CCP nég. (07.05.2019) Laboratoire du 16.05 : LDH 862 U/l, VS 7 mm/h, pas de syndrome inflammatoire, paramètres hépatiques normaux DOT connectivites : centromère B ++ DOT myosites : négatif Capillaroscopie (angiologie) 17.05.2019 : Hormis un œdème clinique périunguéal des doigts 4-5 à D et 3 et 5 à G, pas d'anomalies capillaroscopiques significatives. ETT 16.05.2019 et 20.05.2019 : Absence de signe indirect de HTP. Fonctions pulmonaires 21.05.2019 : obstruction légère avec une réversibilité sous bêta-2-mimétique, non-significative, pas de restriction, DLCO corrigée sévèrement abaissée à 32 %. Gazométrie adaptée à l'âge est encore dans la norme. Avis pneumologique (Dr. X) : Traitement proposé : Spiolto 5 mcg le matin. Proposition de faire un scanner thoracique injecté pour chercher anomalie interstitielle qui explique DLCO sévèrement abaissée. Polyarthralgie migrante des petites et grandes articulations le 15.05.2019. Polyarthralgies d'origine indéterminée. • DD : polyarthrite rhumatoïde, autres maladies de système. Polyarthrite distale symétrique chronique évoquant une polyarthrite rhumatoïde Thalassémie mineure Hypercholestérolémie Asthme allergique Arythmie bénigne avec extrasystoles ventriculaires sous Inderal Vertiges chroniques Céphalées chroniques Long suivi en rhumatologie pour des rachialgies et douleurs chroniques Hypoesthésie V2-V3 gauche d'origine indéterminée DD local (prothèse), trouble somatoforme Anémie microcytaire hypochrome à 89 g/l probablement dans le contexte de la thalassémie connue. Polyarthrite non claire, traitée transitoirement par Méthotrexate, actuellement par Vimovo • DD: érythème noueux, périarthrite cutanée noueuse stricte (Dr. X le 06.06.2016) • Biopsie en 2015 Gastrite avec reflux. Lombosciatalgies gauches non déficitaires sur hernie discale L5-S1 médiane et para-médiane gauche entrant en conflit avec la racine S1 G, traitée chirurgicalement à 3 reprises. Polyarthrite périphérique dans un contexte d'immunothérapie par pembrolizumab depuis novembre 2018 • DD : polyarthrite rhumatoïde à début tardif, RS3PE • douleurs diffuses principalement aux genoux, mains et hanches de type inflammatoire • sous Prednisone Poly-arthrite rhumatoïde. Polyarthrite rhumatoïde • sous traitement de Prednisone 2.5 mg Chronische Bicytopenie mit aregenerative, hypochrome, normozytäre Anämie, und Leukopänie DD infektiös DD Neoplasie DD gemischter Ätiologie (entzündlich, Mangel) ED 02/2018 • Hb 86 g/l 27.05.2019 • Hb 78 g/l (13.02.2018), stabil • Ferritin 243 mcg/l, löslicher Transfer-Rezeptor 4.9 mg/l, Vitamin B12 187 pg/ml, Folsäure 2.9 ng/ml (06.02.2018), Retikulozyten 68 G/l Osteoporose • sous Alendronat Asthme, non traité • 29.01.2018 Multifactorielle Gang- und Gleichgewichtsstörung avec Solpersturz am 19.01.2019, Diagnostik: mehrfragmentäre traumatische Frakturen Tuber ischiadicum. Konservative Therapie Paramètres inflammatoires augmentés depuis le mois de janvier 2019 • CRP 329 mg/l (29.01.2018) • CRP 81 mg/l (19.02.2018) Hypertension artérielle • Thérapie avec Carvedilol 6.25 mg 0.5-0-0-0, Torem 5 mg 1-0-0-0, Lisinopril 5 mg 0.5-0-0-0 Troubles du sommeil • Sous Zolpidem 10 mg 0-0-0-1 Limitations cognitives • MMS 23/30, GDS 0/15 (16.09.2016) • DemTect 7/18 am 28.09.2016 MMS, GDS, Clock-Test non évalués en raison de la situation aiguë et d'une rapide prise en charge. Polyarthrite rhumatoïde actuellement non traitée. Polyarthrite rhumatoïde diagnostiquée en 1982 • Multiples traitements (Arava, Méthotrexate, Cimzia, Sel d'or, Salazopyrin) • Dernier traitement par Orencia de juillet 2017 à janvier 2018, arrêté car mal toléré (infections urinaires récidivantes), suivi par le Dr. X Fibrillation auriculaire paroxystique de 2009 à 2017 • Réfractaire à de multiples traitements (Sotalol, Tambocor, Multaq) • Thermo-ablation le 14.06.2016 et le 03.01.2017 (Clinique Cécil) • ETT 25.04.2017 : FEVG à 70% • Pas de passage en FA au Holter du 27.10.2017 • Sous Lixiana depuis août 2018 Diverticulose sigmoïdienne (colonoscopie dans la norme le 01.02.13 (HFR)) Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine mixte le 30.04.2019 • pré-rénal sur déshydratation • post-rénal sur obstruction tumorale : envahissement vésical / urétéral possible • compliquée par une acidose métabolique, bradycardie sur intoxication au bêta-bloquant • FeUrée 32% (pré-rénal), FeNa 1.2% • Mise en place de sonde DJ bilatérale le 05.05.2019 Anémie normochrome macrocytaire avec Hb à 117 g/l le 14.05.2019 Polyarthrite rhumatoïde diagnostiquée en 1982 • Multiples traitements (Arava, Méthotrexate, Cimzia, Sel d'or, Salazopyrin) • Dernier traitement par Orencia de juillet 2017 à janvier 2018, arrêté car mal toléré (infections urinaires récidivantes), suivi par le Dr. X Fibrillation auriculaire paroxystique de 2009 à 2017 : • Réfractaire à de multiples traitements (Sotalol, Tambocor, Multaq) • Thermo-ablation le 14.06.2016 et le 03.01.2017 (Clinique Cécil) • ETT 25.04.2017 : FEVG à 70% • Sous Lixiana depuis août 2018 Diverticulose sigmoïdienne (colonoscopie dans la norme le 01.02.13 (HFR)) Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 sur chronique d'origine mixte le 30.04.2019 • pré-rénal sur déshydratation • post-rénal sur obstruction tumorale : envahissement vésical / urétéral possible • compliquée par une acidose métabolique, bradycardie sur intoxication au bêta-bloquant • FeUrée 32% (pré-rénal), FeNa 1.2% • Mise en place de sonde DJ bilatérale le 05.05.2019 Polyarthrite rhumatoïde juvénile Spondylarthrite ankylosante • Ankylose de l'articulation de la hanche G : état après implantation d'une PTH G Statut après spondylodèse ventrale et dorsale C3-T1 après fracture HWS en 1999 PTH G le 16.04.2013 PTH D en juillet 2014 Ostéoporose fracturaire • Statut après spondylodèse ventrale et dorsale C3-D1 après fracture HWS en 1999 • Fracture du condyle fémoral interne G remontant dans la diaphyse fémorale jusqu'à la jonction tiers moyen sur chute de sa hauteur le 21.05.2018 Poursuivre traitement par Vit D 3 et Calcimagon Bilan phospho-calcique le 28.05.2018 : dans la norme Proposition d'un traitement par Biphosphonate en ambulatoire Polyarthrite rhumatoïde non-érosive séronégative, probablement sur hépatopathie, traitée par méthotrexate, sous Prednisone. Status post-épisode de convulsion (à l'anamnèse familiale) il y a 30 ans sur probable sevrage alcoolique. Status post-chirurgie cardiaque pour communication inter-auriculaire il y a 20 ans. Hypertrophie bénigne de la prostate avec status post-résection transurétrale de la prostate en 2013. Probable décompensation aiguë d'une broncho-pneumopathie chronique obstructive par une bronchite virale 04.03.2019. Ulcère oesophagien à 20 cm de l'arcade dentaire de 10-12 cm de long à l'oeso-gastro-duodénoscopie du 04.04.2019, avec : • Blatchford 18 points • Méléna • Hypotension et TSV Oeso-gastro-duodénoscopie (Dr. X)(04.04.2019) : hernie hiatale à 35-40 cm, ulcère oesophagien à 20 cm de l'arcade dentaire d'origine peu claire, paroi très friable. Pas de saignement actif. Pas de biopsie effectuée au vu des troubles de la crase. Gastrite dans l'estomac, pas de saignement actif ou ancien. Duodénum sans particularité. Rectoscopie sans préparation (04.04.2019) : méléna visualisé. Oeso-gastro-duodénoscopie (12.04.2019) : présence d'une sévère candidose oesophagienne. Troubles électrolytiques le 04.04.2019 : • Hypophosphatémie 0.75 mmol/l. • Hypomagnésémie 0.69 mmol/l. Démence mixte sur maladie d'Alzheimer et consommation OH : • avec fugues, irritabilité et hétéro-agressivité. • hospitalisation en psychiatrie à Marsens. IRM cérébrale (16.04.19) : atrophie cortico-sous-corticale fronto-bi-temporale évoquant une maladie d'Alzheimer. Candidose sévère de l'oesophage. Oeso-gastro-duodénoscopie (12.04.2019) : présence d'une sévère candidose oesophagienne. Pneumonie avec choc septique le 09.04.2019. Polyarthrite rhumatoïde séronégative/Connectivite résistante à tous les traitements biologiques et conventionnels disponibles • Biopsie des petites fibres le 08.02.2018 • Biopsie de graisse sous-cutanée le 14.02.2018 : absence d'amyloïdoseScintigraphie osseuse le 09.02.2018 • Anciens traitements: Méthotrexate 2012-2014, Enbrel 2013 (effet paradoxal), Arava 2013, Orencia 2013 (effet paradoxal), Actemra 2013 (intolérance hépatique), Xeljanz 2013-2014 (inefficace), Plaquenil et Sulfasalazine stoppés 2016, Dekavil • Actuellement : Otezla depuis 2016, perte d'efficacité depuis 2019 Polyarthrite rhumatoïde séropositive érosive: • Échec thérapeutique sous Xeljanz et Actemra, puis par Enbrel (stop car Angiodème de la face en décembre 2017) • Échec thérapeutique sous Methotrexate (stop car pancréatite aiguë en mars 2018) Polyarthrite rhumatoïde séropositive érosive: Échec thérapeutique sous Xeljanz et Actemra, puis par Enbrel (stop car Angiodème de la face le 14.12.2017) puis introduction de Mabthera depuis 30.01.2018 suivie par Dr. X • Hypothyroïdie traitée • Hypertension artérielle traitée Polyarthrite rhumatoïde séropositive (FR à 815 U/ml le 08.06.2018) avec: • Multiples réactions allergiques médicamenteuses: Remicade®, Actemra®, Orencia®, Humira®, Xeljanz®, Olumiant®. Probable trouble dépressif récurrent (depuis l'âge de 15 ans) avec suivi psychiatrique. Obésité. Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie. Polyarthrite rhumatoïde séropositive nodulaire • Octrevus 1x/6mois Polyarthrite rhumatoïde séropositive Hypertension artérielle Hémorroïdes Syndrome restrictif d'origine incertaine : • CPT à 81% le 01.04.2010 • s/p traitement immuno-suppresseur (MTX et corticoïdes) en 04.2010 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec risque de chute Polyarthrite rhumatoïde sous Leflunomide et Prednisone. Polyarthrite rhumatoïde, sous méthotrexate Polyarthrite rhumatoïde sous traitement de Embrel 1x/semaine. Polyarthrite rhumatoïde, traitée par Humira Tabagisme actif Trouble anxieux Polyarthrite rhumatoïde traitée par Methotrexate et Prednisone Polyarthrite rhumatoïde traitée par Methotrexate et Prednisone intermittent Polyarthrite rhumatoïde traitée par Methotrexate et Prednisone par intermittence Polyarthrite rhumatoïde traitée par Methotrexate et Prednisone par intermittence Polyarthrite rhumatoïde Cardiopathie ischémique avec pose d'un stent en 2015 et angine instable, FeVG conservée à 75% Cervico-brachialgies sur tendinopathie chronique de la coiffe des rotateurs et cervicarthrose Sténose de l'a. rénale droite de > 60% Hypertension artérielle traitée Notion d'asthme Dyslipidémie Troubles anxio-dépressifs Polyarthrite rhumatoïde Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Status après infarctus en 1984 et 1992 • Status après infarctus avec pose de 2 stents sur l'artère coronaire droite en 2001 • STEMI inférieur avec pose de 3 stents actifs sur l'artère coronaire droite (occlusion intra-stent artère coronaire droite proximale, subocclusion coronaire droite moyenne et distale) le 24.01.2012 • Mise en place de 2 stents actifs sur l'IVA proximale et moyenne le 09.03.2012 • Coronarographie et ventriculographie le 15.11.2012 : absence de resténose au niveau de tous les stents actifs • Sclérose diffuse • Fraction d'éjection ventriculaire gauche à 30%, anévrisme apical Tachycardie ventriculaire symptomatique le 15.11.2012 : • Cardioversion spontanée • Implantation d'un défibrillateur le 20.11.2012 (Dr. X) Insuffisance rénale chronique stade III avec clearance à la créatinine à 45ml/minute le 03.12.2017 Polyarthrite rhumatoïde. Médicaments actuels: Maltofer, Cecozym, Kalcipros, Vit B12, Zinc, Mtoject sc 1x/sem, Simponi. Polyarthrite rhumatoïde. Syndrome d'anticorps antiphospholipide. Polyarthrite septique avec abcès musculaires disséminés à Streptococcus Dysgalactiae, probablement sur phlébite (VVP), le 18.04.2019, prise en charge chirurgicalement : • Débridement et lavage des tendons extenseurs main gauche ; art. poignet, médiocarpienne; mm thénar, hypothénar; tunnel carpien (20.04.2019) • Incision et drainage abcès du pied droit (20.04.2019) • Exploration ouverte avec lavage de la hanche gauche et du pelvis, arthroscopie genou gauche (21.04.2019) • Révision du pouce gauche (25.04.2019) Polyarthrite suivie par Dr. X depuis 6 ans. Polyarthrose Polyarthrose et arthropathie chronique à pyrophosphates de calcium Polyarthrose Hypothyroïdie substituée Hypotension Polyarthrose Hypothyroïdie substituée Hypotension Prédiabète Rhizarthrose droite (opération prévue en 2013 par Dr. X) Polyartrite rhumatoïde, sous méthotrexate BPCO stade 4, O2 dépendant (4l/min) Diabète 2 Polyartrite rhumatoïde, sous méthotrexate BPCO stade 4, O2 dépendant (4l/min) Diabète 2 Hypertension artérielle. Polycapnographie le 07.05 et 08.05.2019 Gazométries artérielles Polydipsie-polyurie de probable origine psychologique. Polyglobulie d'origine indéterminée le 30.07.2015. Polygraphie respiratoire du 21.03 au 22.03.2019 (Dr. X) Mise en place d'un équipement de CPAP Rendez-vous à organiser chez pneumologie HFR quand patiente est sortante Polykystose hépato-rénale, avec: • Néphrectomie bilatérale et transplantation rénale pelvienne gauche en 2014 • Rejet humoral aigu traité par immunoglobulines IV 1x/mois entre mars et octobre 2018 • Biopsie en février 2019 à l'Inselspital, résultats en cours • Immunosuppression par Ciclosporine, Mycophénolate Mofétil, Prednisone • Renal resistive index 0.8 (29.03.2019) Cardiomyopathie hypertensive (FEVG 55% en février 2018) Syndrome lombo-spondylogène gauche sur troubles statiques • Hypercyphose thoracique, hyperlordose lombaire, légère scoliose en S et bascule du bassin • Dysbalance et insuffisance musculaire, canal lombaire modérément étroit sans évidence de compression Cystocèle du 1er degré sans incontinence, rectocèle du 2ème degré avec constipation et troubles de la défécation. Oculopathie avec : • Uvéite antérieure bilatérale en septembre 2001 (HLA B27 négatif) • Cataracte débutante bilatérale, chorio-rétinopathie myopique, remaniement de l'épithélium pigmentaire • Opération de la cataracte à droite le 10.09.2008 avec reprise le 18.09.2008 • Opération de la cataracte à gauche le 24.09.2008 Douleurs membres inférieurs d'allure neuropathiques • Calcineurine inhibitor induced pain syndrome • Polyneuropathie périphérique sensitivo-motrice axonale longueur dépendante • Myopathie proximale et canal lombaire étroit Anévrisme de l'aorte ascendante à 43mm le 10.10.2018 Pancytopénie chronique le 04.10.2018 avec récidive le 19.03.2019 • Réactivation de CMV le 30.10.2018 Trouble dépressif récurrent avec expression somatoforme douloureuse Fissure anale chronique et hémorroïdes de stade II avec discrètes rectorragies itératives Syndrome du tunnel carpien bilatéral Epaississement carotide droite et sous-clavière droite le 18.10.2018 sur athéromatose probable Polykystose hépato-rénale. Antécédents de pyélonéphrite. Rhino-conjonctivite saisonnière. Péri-ménopausée G3 P3. Status post-thrombose veineuse profonde en 1995 suite à un plâtre pour une fracture. Baisse de l'état général dans un contexte de pyélonéphrite aiguë gauche le 26.03.2018 (dernier cycle de chimio le 21.03.2018). Thrombose veine péri-anale le 29.03.2018. Pyélonéphrite gauche le 02.04.2018. Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 13.04.2018. Polymédication y compris traitement pour le diabète Polymyalgia rheumatica Polymyalgia rheumatica. Polymyalgia rheumatica en 2013, d'évolution favorable après 18 mois de traitement Traumatisme à l'épaule droite en 2015 avec : • suture sus-épineux, ténodèse du long chef du biceps, suture sous-scapulaire le 11.06.2015 sur rupture massive de la coiffe des rotateurs • arthroscopie, re-suture sus-épineux sur 3 ancres Haelicoïl et 3 Multifix le 28.04.2016 sur re-rupture du sus-épineux• arthroscopie, biopsie, débridement, ostéosynthèse par cerclage acromial, suture partielle de la coiffe le 04.09.2017 sur os acromial instable et re-rupture de la coiffe des rotateurs • invalidité puis licenciement secondaires Notion d'hernie discale infiltrée il y a de nombreuses années Polymyalgia rheumatica possible DD: Arthrite psoriasique avec polyarthrite rhizomélique subaiguë et atteinte périphérique • probables coxarthrose bilatérale et omarthrose érosive secondaires Polymyalgia rheumatica traitée par Prednisone. Hypertension artérielle. Reflux gastro-oesophagien. Anémie suivie par le médecin traitant. Maladie coronarienne valvulaire et rythmique avec status post-opération de pontage et RVA avec bioprothèse Trifecta 25 mm (pour SA) le 09.06.2017: • sténose aortique modérée, • triple pontage aorto-coronarien et remplacement de la valve aortique biologique le 09.06.2017, • coronarographie du 30.05.2017 : sténoses significatives de l'IVA et de la CD, subocclusion de la circonflexe moyenne. FEVG à 75 %, • ETT du 17.05.2017 : montre une FEVG normale avec mouvement paradoxal du septum IV (BBG), avec un bourrelet septal occupant la moitié de la chambre de chasse du ventricule gauche, sténose valvulaire aortique dégénérative modérée, fuite mitrale grade 1-2/4, fuite tricuspidienne modérée nouvelle, discrète HTAP nouvelle, • coronarographie du 09.03.2019 : pontages IVA/DA et marginale bien perméables ; progression occlusion coronaire droite --> mise en place 2 stents. Polymyalgia rheumatica. dd : Polyarthrite rhumatoïde. Suspicion d'une tendinite chronique de la coiffe des rotateurs (sus-épineux) épaule droite. Polymyalgia rheumatica Diabète de type 2 sous ADO Hypertension artérielle Dyslipidémie Obésité de stade I Polymyalgia rheumatica sous Prednisone 15 mg Polymyalgia rheumatica. Polymyalgie rhumatique suivie par Dr. X (Dg en 2013) • traitée par Prednisone pendant 4 jours 5 mg en avril 2019 • traitée depuis par Paracétamol. Polymyalgie rhumatismale. Polymyalgie rhumatoïde Polymyalgie rhumatoïde actuellement non traitée. Polymyalgie sous Prednisone 10 mg 1x/jour. Polymyalgie X traitée par Prednisone depuis avril 2014 Ostéoporose avec s/p injection de Bonviva le 22.01.2015 Polymyomatose symptomatique et adénomyose de l'utérus : • hystérectomie totale par laparoscopie et salpingectomie bilatérale le 27.09.2018 2 avortements chirurgicaux, 1 fausse couche spontanée. Naissance vaginale en 1999. 3 marsupialisations de la glande de Bartholin gauche. Kyste rétro-auriculaire avec régression spontanée en 2007. Rupture partielle de la coiffe des rotateurs droite en 2007. Dyspepsie non ulcéreuse en 2007. Bartholinite opératoire 2006 avec hyperthermie maligne comme complication en 2006. Pyélonéphrite droite en 2005. Colique néphrétique en 2004. Ulcère duodénal en 1993. Hernie ombilicale en 1990. Anorexie mentale à l'adolescence. Méningite chez l'enfant. Polymyomatose symptomatique et adénomyose de l'utérus: • hystérectomie totale par laparoscopie et salpingectomie bilatérale le 27.09.2018. 2 avortements chirurgicaux, 1 fausse couche spontanée. Accouchement par voie basse en 1999. 3 marsupialisations de la glande de Bartholin gauche. Kyste rétro-auriculaire avec régression spontanée en 2007. Rupture partielle de la coiffe des rotateurs droite en 2007. Dyspepsie non ulcéreuse en 2007. Bartholinite opératoire 2006 avec hyperthermie maligne comme complication en 2006. Pyélonéphrite droite en 2005. Colique néphrétique en 2004. Ulcère duodénal en 1993. Hernie ombilicale en 1990. Anorexie mentale à l'adolescence. Méningite chez l'enfant. Intoxication médicamenteuse volontaire le 22.05.2019 avec Oxynorm 150 mg et Voltarène 750 mg ainsi que multiples scarifications aux deux avant-bras et face dorsale du pied gauche, le 22.05.2019. Polymyomectomie par Pfannenstiel le 18.06.2013. Status post laparoscopie opératoire avec adhésiloyse et salpingectomie bilatérale (Novembre 2013). Status post myomectomie par hystéroscopie le 24.06.14. Douleur thoracique d'origine indéterminée, DD : douleur pariétale, mastodynie dans le cadre du traitement hormonal, origine psychosomatique le 06.06.2015. Poly(neuro)myopathie sévère de la maladie critique sur choc septique post grippe à Influenza A, avec défaillance multiorganique avec: • Réveil pathologique d'origine multifactorielle le 15.02.2019 DD encéphalopathie sur Céfépime DD encéphalopathie septique • CT cérébral le 16.02.2019 • EEG le 18.02, le 21.02.2019: pas de foyer épileptique • Dénutrition protéino-calorique associée à des troubles de la déglutition post-extubation et dans le cadre de la polyneuropathie avec nutrition entérale temporaire aux soins intensifs Clinique à l'entrée en neuroréhabilitation: Tétraparésie légère proximale non spastique résiduelle Polyneuro-myopathie sur probable neuropathie des soins dès le 24.03.2019, avec : • sevrage ventilatoire difficile en 03/2019 • polyneuropathie sensitivomotrice axonale connue, d'origine métabolique Polyneuropathie axono-myélique des membres inférieurs d'origine indéterminée discrètement progressive • carence en acide folique. Polyneuropathie de la maladie critique Polyneuropathie des membres inférieures probablement d'origine éthylique Polyneuropathie des soins avec troubles de la marche et de l'équilibre Polyneuropathie diabétique des membres inférieurs le 15.05.2019 Polyneuropathie d'origine mixte, diabétique et sous chimiothérapie par Taxol. Syndrome métabolique avec : • Diabète insulino-requérant. • Dyslipidémie. • Obésité. Chutes mécaniques à répétitions d'origine multifactorielle. • Causes intrinsèques : polyneuropathie des membres inférieurs, lombalgies chroniques avec status post-foraminotomie L5-S1, maladie tumorale, diabète. • Causes extrinsèques : multiples benzodiazépines, insuline. Etat dépressif. Hernie hiatale. Atélectase du lobe pulmonaire moyen droit. Carcinome invasif de type NST du sein D cT4b cN1 cM1 (pulm, oss) de stade IV. • date du diagnostic : 04.02.2016. • PET-CT 08.03.2017 : pas d'apparition de nouvelle lésion hypermétabolique suspecte, les lésions pulmonaires, ganglionnaires, médiastinales ne captent actuellement plus le radiotraceur de manière pathologique, hypercaptation musculaire para-vertébrale droite pouvant expliquer la symptomatologie douloureuse récente. • Initiation d'un traitement par Tamoxifen 20 mg/jour, maladie oncologique stable le 24.03.2017. Suivi Dr. X. Polyneuropathie d'origine toxico-métabolique. Trouble dépressif récurrent avec anxiété ayant nécessité plusieurs hospitalisations à Marsens, débutant en 2009 par un burn-out. Troubles de l'équilibre. Syndrome parkinsonien. Cervicolombalgie dans un contexte de troubles dégénératifs (uncarhrose C3-C7). Polyneuropathie périphérique sensitivomotrice mixte myélinique et axonale des membres inférieurs • actuellement : Lyrica 50 mg 2x/jour dès le 20.03.2019 • suivi Dr. X Polyneuropathie périphérique sur diabète de type II Consommation ancienne de OH avec pancréatite associée Carcinome de la gencive connu sur status post radio- et chimiothérapie en 2013 BPCO sur tabagisme Stéatose hépatique avec syndrome métabolique Polyneuropathies sensitives suite à la chimiothérapie avec : • actuellement sevrage de Lyrica. Introduction de Duloxétine 60 mg Hernie supra-ombilicale de la ligne blanche, à collet de 30 mm et à contenu grêle sans complication Status post-iléus sur bride le 19.10.2017 traité conservativement Status post-pyélonéphrite bilatérale du 15.08.2014 Status post-opération d'un tunnel carpien à droite en 2007 Status post-amygdalectomie à l'âge de 4 ans Polyneuropathies sensitives suite à la chimiothérapie avec : actuellement sevrage de Lyrica. Introduction de Duloxétine 60 mg Hernie supra-ombilicale de la ligne blanche, à collet de 30 mm et à contenu grêle sans complication Status post-iléus sur bride le 19.10.2017 traité conservativement Status post-pyélonéphrite bilatérale du 15.08.2014 Status post-opération d'un tunnel carpien à droite en 2007 Status post-amygdalectomie à l'âge de 4 ans Polype bénin dans la vessie • Macro-hématurie le 03.01.2019 • CT 03.01.2019 : tumeur du plancher vésical à gauche de 15 mm • Cystoscopie par Dr. X le 22.01.2019 : polype bénin • Résection polype vésical le 18.02.2019 (Dr. X) Polype colique caecal et polype rectal, 17.05.2019 Polypectomie colon ascendant anamnestiquement en 2008 Hemorroïdectomie en 1974 Cure de cataracte bilatérale en 1996 et 2002 Maladie de Dupuytren main droite opérée en 2016 Irradiation thyroïdienne en 1992 pour hyperthyroïdie auto-immune Réduction mammaire bilatérale en 1992 Polypectomie par hystéroscopie en 2008 Curetage évacuateur pour grossesse non évolutive en juin 2018 Accouchement par voie basse par ventouse KIWI pour défaut d'expulsion d'un garçon de 3690 g à 41 1/7 le 22.06.2016 Polypes anaux à 9 h et 3 h position gynécologique associé à un prolapsus rectal en 2007 • Histologie : deux papilles hypertrophiques de la muqueuse transitionnelle de la marge anale sans néoplasie intra-épithéliale Status post-fracture intra-articulaire de la tête de P1 Dig V main G datant du 08.07.2018 traité par réduction ouverte, OS par plaque dorsale Aptus 1.5 P1 Dig V G (grid-plate 6 trous) (OP le 16.07.2018) Status post-amygdalectomie dans l'enfance Polypes dans la vésicule biliaire Polypharmacie excessive (> 10 médicaments) Polysomnographie nocturne Polystyrène coincé dans l'oreille droite Polytoxicomanie avec dépendance aux benzodiazépines, opiacés, l'alcool et à la nicotine • avec incapacité de discernement avec anosognosie quant à la gravité de sa condition physique Polytoxicomanie depuis l'adolescence avec abus d'opiacés (héroïne) • actuellement stabilisé AU LONG COURS sous traitement substitutif par Subutex • pas de consommation active rapportée Trouble anxieux avec trouble de l'adaptation, suivi par Dr. X (Fribourg), Mme. Y, Dr. X • status post-tentamens médicamenteux • hospitalisation à Marsens du 23.08.2014 au 28.08.2014, traitement de sortie : Demetrin et Subutex • status post-tentamen médicamenteux à l'hydrate de chloral (3.5 mesurettes de Nervifène) et aux benzodiazépines le 02.09.2014 • status post troubles de l'état de conscience (GCS 6) sur intoxication médicamenteuse le 04.04.2015 (Prise de 2 cp de 20 mg d'Oxycodone et 5 cp de 10 mg de Demetrin, hydrate de chloral (quantité indéterminée)) • Traitement habituel : hydrate de chloral (Nervifene), Lexotanil et Buprénorphine (Subutex) Polytoxicomanie, sous Méthadone. Traumatisme cérébral le 24.10.2010 avec séquelles neuropsychologiques (syndrome frontal, état confusionnel persistant, pas de syndrome sensitivo-moteur). • hématome épidural temporal droit. • contusion hémorragique frontale gauche. • hémorragies méningées diffuses. • œdème cérébral important, fracture de la voûte au niveau occipital droit. Cytolyse d'étiologie indéterminée le 22.08.2014 avec hyperammoniémie et hyperbilirubinémie. Syndrome extrapyramidal, désorientation spatio-temporelle, apathie, ralentissement psychomoteur. Polytrauma Polytraumatisé sur AVP le 16.05.2019 • Traumatisme crânien et fracture humérus : cf. points spécifiques • Fracture de l'arc postérieur de la 1ère côte à droite • Fracture du cartilage chondro-costale de la 1ère côte à gauche • Fractures des processus transverses droits des corps vertébraux de L3 à L5. Polytraumatisme Polytraumatisme. polytraumatisme Polytraumatisme avec chute de 3 m en avant le 10.05.19 avec : • Fracture type tassement L1-L2 avec petit recul L2 de 2 mm postérieur • Hématome dans le canal rachidien qui s'étend de C 0-C6 de 5 mm. Polytraumatisme avec traumatisme crânien sans perte de connaissance. Polytraumatisme contusif. Polytraumatisme du 05.03.2019 : • Fracture des parois orbitaires avec dislocation du canal naso-lacrymal G, fracture du septum nasal, fracture du cornet inférieur, traitée par réduction supra-orbitaire, réduction sinus frontal, OS de la fracture impression, reconstruction du toit orbitaire, réduction et OS paranasale et infra-orbitaire, reconstruction du plancher orbitaire G par Polymaxe, réduction et plastie du septum, réduction os nasal, mise en place d'une tamponade nasale, le 06.03.2019 (Hôpital de l'Ile, Berne) • Hématome sous-dural frontal G et plaie frontale • Prolongation QTc • 521 ms le 05.03.2019 • 432 ms (contrôle) le 12.03.2019 • Déficit de facteurs de coagulation en peropératoire le 05.03.2019 • Anémie hémorragique per et postopératoire avec substitution par 2 PFC le 05.03.2019 et acide tranexamique 1 g le 13.03.2019 • Hépatopathie d'origine indéterminée Eczéma allergique le 20.03.2019 Polytraumatisme le 13.05.2019 avec : • Traumatisme crânien avec hématome sous-dural et hémorragie sous-arachnoïdienne fronto-temporale droite • Fracture multi-parties de la tête humérale droite • Fracture de l'arc latéral des 4ème et 5ème côtes à gauche Polytraumatisme le 18.06.2014 avec • syndrome des loges jambe D (fasciotomie le 18.06., fermeture fasciotomie le 23.06.2014), débridement des zones nécrotiques et des granulations de la jambe, préparation d'un lambeau crânial type perforateur et style Lindberg pour fermeture de la plaie, fermeture du site avec lambeau épifascial caudal, correction de la cicatrice sur toute sa longueur jambe supéro-latérale D le 19.08.2014 sur destruction des tissus mous jambe supéro-latérale D sur nécrose cutanée • plaie pré-tibiale G • fracture corps omoplate D • contusion pulmonaire D • contusion genou D Polytraumatisme lors d'un AVP à haute cinétique le 30.04.2019 : • avec fracture fémorale distale fragmentaire droite • avec fracture tibia et fibula diaphysaires droite • avec fracture tibia proximal gauche Polytraumatisme post-accident de la voie publique (scooter), le 23.06.2012. Alcoolisation aiguë 2,46, le 23.06.2012. Plaie sourcilière droite, le 23.06.2012. Plaie temporale droite, le 23.06.2012. Polytraumatisme sur accident de la voie publique • Fractures des condyles occipitaux et des apophyses transverses de C1, fractures plateau supérieur C7. • Lame d'hématome avec épaisseur de 2 mm en regard de la face antérieure du ligament longitudinal postérieur au niveau C2-C3. Hématome pré-vertébral de C2 jusqu'à C5 d'environ 14 mm, fractures-tassements des plateaux supérieurs de D1 et D2, sans recul du mur postérieur • Dissection de l'artère vertébrale droite du segment V4 • Fracture de l'os occipital, hématome du scalp frontal droit Polytraumatisme sur AVP le 05.03.2018 avec 1) Pneumothorax G 2) Fracture tiers moyen clavicule G 3) Fracture calcanéum D type joint dépression 4) Fracture non déplacée corps sternal 5) Lésion Chopart avec fracture-enfoncement processus antérieur du calcanéum, fracture os cunéiformes intermédiaire et latéral, lésion Lisfranc avec fracture base et sous-capitale des 2ème et 3ème métatarses, fracture intra-articulaire tête P1 5ème orteil, pied GPoly-traumatisme sur AVP le 12.05.2019 • Contusion de la rate stade 2 • Fracture de la 7ème côte à gauche • Entorse acromio-claviculaire gauche Polytraumatisme sur AVP le 18.05.2018 avec : • Fracture du col chirurgical de l'humérus D. • Ostéosynthèse et secondairement le 22.05.2018 par PHILOS. • Fracture plurifragmentaire du plateau tibial G s'étendant aux éminences intercondyliennes et à la métaphyse, faiblement déplacée, traitée par Tenxor. • Fracture de l'omoplate D. • Fracture sacrum + branche ischio-pubienne G (compression latérale G). • Hémorragie sous-arachnoïdienne du sillon frontal D. • Contusion myocardique avec élévation modérée des troponines. • Contusion hépatique. • Plaie du coude G. • D3 à ressaut à D et D4 à ressaut à G. Polytraumatisme sur chute à VTT le 14.10.2018 avec • Fractures de côtes gauche 4 à 8, contusion pulmonaire et pneumothorax gauche minime • Fracture de l'omoplate gauche • Fracture pluri-fragmentaire du 1er métacarpien droit Antalgie et physiothérapie respiratoire Réduction ouverte, ostéosynthèse 1er métacarpien droit (plaque Aptus main) le 15.10.2018 Polytraumatisme sur chute accidentelle, avec : • Fractures costales multiples à droite de 1 à 11 • Contusion pulmonaire • Hématothorax droit minime • Suspicion de volet costal droit • Polyarthrite rhumatoïde connue Polytraumatisme sur chute de 7 m le 05.03.2019 avec entre autres : • Fracture du bassin type latéral compression 1 avec fracture branche ilio-pubienne, fracture ilio-sacrale D avec extension dans l'articulation ilio-sacrale D, traitée conservativement • Fracture per et sous-trochantérienne D traitée par OS avec lame-plaque et cerclage le 05.03.2019 (Dr. X, Hôpital de l'Ile, Berne) et ré-OS par lame-plaque et cerclage pour déplacement secondaire du matériel le 13.03.2019 (Dr. X, Hôpital de l'Ile, Berne) Polytraumatisme sur chute le 05.07.2012 avec plaie jambe et cheville D, contusion cheville D et région sacro-iliaque : • Infiltration péridurale L5-S1 à D le 14.12.2012 pour lombosciatalgies D post-traumatiques avec irritation articulaires postérieures traumatiques S1 à D confirmées par EMG. Status post tendinite du jambier postérieur traitée par AINS et physiothérapie. AVP le 17.12.2010 avec nucalgies et scapulalgies G importantes non déficitaires avec status neurologique dans la norme • Infiltration gléno-humérale en octobre 2011. Status post intertrigo génital du pli de l'aine avec multiples naevus dermiques et probable pilori danisus au-dessus de la rima ani en février 2009. Status post circoncision et incision du col pour maladie du col vésical en 2008. Status post extraction d'une molaire supérieure G poussée dans le sinus maxillaire en 2007. Status post cupulolithiase. Status post traumatisme de l'épaule D en avril 2016 • Reconstruction et réinsertion transosseuse du supra-épineux, acromioplastie et réinsertion de la clavicule distale le 27.04.2006 • Capsulite rétractile de l'épaule D • Status post mobilisation de l'épaule D sous bloc interscalénique le 07.08.2006 • Tendinopathie du supra-épineux persistante. Status post ulcère de l'estomac en 1990. Status post traumatisme crânio-cérébral en 1983 et 1987. Status post cure d'hydrocèle. Suspicion de syndrome des jambes (en l'occurrence des cuisses !) sans repos atypique. Douleurs du mollet D, d'origine indéterminée. Introduction de Sifrol à petites doses dès le 21.6.2010. Otalgies D et dysfonction tympanique en janvier 2010. Douleurs abdominales d'origine indéterminée en août 2009. Akathisie médicamenteuse sur Cipralex en novembre 2008. Main droite : • Rhizarthrose stade III selon Eaton et Littler • Canal carpien • Maladie de Dupuytren stade I selon Tubiana Dig IV Main droite : • Plastie de Weilby • Cure canal carpien • Fasciectomie partielle Dig IV (OP le 21.12.2017). Polytraumatisme sur chute le 05.07.2012 avec plaie jambe et cheville D, contusion cheville D et région sacro-iliaque : • Infiltration péridurale L5-S1 à D le 14.12.2012 pour lombosciatalgies D post-traumatiques avec irritation articulaires postérieures traumatiques S1 à D confirmées par EMG. Status post tendinite du jambier postérieur traitée par AINS et physiothérapie. AVP le 17.12.2010 avec nucalgies et scapulalgies G importantes non déficitaires avec status neurologique dans la norme. • Infiltration gléno-humérale en octobre 2011. Status post intertrigo génital du pli de l'aine avec multiples naevus dermiques et probable pilori danisus au-dessus de la rima ani en février 2009. Status post circoncision et incision du col pour maladie du col vésical en 2008. Status post extraction d'une molaire supérieure G poussée dans le sinus maxillaire en 2007. Status post cupulolithiase. Status post traumatisme de l'épaule D en avril 2016 : • Reconstruction et réinsertion transosseuse du supra-épineux, acromioplastie et réinsertion de la clavicule distale le 27.04.2006. • Capsulite rétractile de l'épaule D. • Status post mobilisation de l'épaule D sous bloc interscalénique le 07.08.2006. • Tendinopathie du supra-épineux persistante. Status post ulcère de l'estomac en 1990. Status post traumatisme crânio-cérébral en 1983 et 1987. Status post cure d'hydrocèle. Suspicion de syndrome des jambes (en l'occurrence des cuisses !) sans repos atypique. Douleurs du mollet D, d'origine indéterminée. • Introduction de Sifrol à petites doses dès le 21.6.2010. Otalgies D et dysfonction tympanique en janvier 2010. Douleurs abdominales d'origine indéterminée en août 2009. Akathisie médicamenteuse sur Cipralex en novembre 2008. Main droite : • Rhizarthrose stade III selon Eaton et Littler. • Canal carpien. • Maladie de Dupuytren stade I selon Tubiana Dig IV. Main droite : • Plastie de Weilby. • Cure canal carpien. • Fasciectomie partielle Dig IV (OP le 21.12.2017). Polytraumatisme sur chute VTT. Polyurie du 13.05 au 19.05 d'origine indéterminée • Spontanément résolutif Polyurie-polydipsie. Pompe à insuline sous cutané en continu. Schéma de correction par Novorapid, réglé par la patiente elle-même. Avis téléphonique Dr. X. Contrôle diabétologique en ambulatoire, Dr. X, à programmer. Pompe à 5-FU du 03.05 au 05.05.2019 Neulasta 6 IE le 05.05.2019 CT thoracique et abdominal le 06.05.2019 Prochain rendez-vous chimiothérapie le 15.05.2019 Ponction articulaire du genou D : staphylococcus epidermidis résistant à l'Erythromycine du 30.04.2019. Ponction articulaire du genou G : staphylococcus epidermidis sensible à l'Erythromycine du 15.04.2019. Ponction articulaire de hanche G : négative pour la bactériologie, datant du 15.04.2019. Ponction articulaire et infiltration par Cortisone du genou gauche le 15.5.2019. Désinfection et champage habituels. Anesthésie locale par Rapidocaïne. Ponction articulaire et aspiration de 40 cc de liquide clair citrin directement après infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne dans l'articulation du genou gauche. La mobilisation immédiate est bien tolérée par le patient. Il est devenu asymptomatique. Pansement stérile. Ponction articulaire hanche gauche, explantation de PTH à droite et implantation d'un spacer le 23.05.2019 (Dr. X) Ponction articulaire MTP I pied G (07.05.2019) : coloration gram : pas de germe, pas de cristaux Culture liq. artic, 07.05.2019 : négatives Antalgie (AINS) en réserve Attitude : • Pas de changement d'antibiothérapie, surveillance Ponction ascite le 11.05.2019 : évacuation de 2800 cc. PMN 258/mm3.Culture d'ascite: négative. Rocéphine du 12.05 au 14.05.2019 Ponction biopsie de moelle le 13.05.2019 PET scan le 14.05.2019 Echo trans-thoracique le 13.05.2019 Pose de port à cath (Dr. X) le 15.05.2019 R-DA-EPOCH à but curatif du 16.05 au 21.05.2019, prémédication associée Neulasta 6 mg le 22.05.2019 Suivi psycho-oncologique (Dr. X) ECG le 18.05, 22.05 et 23.05.2019 CT scan thoracique le 21.05.2019 Actilyse 2 mg (pas de reflux PAC) le 22.05.2019 Ponction biopsie pancréatique US guidée le 20.05.2019 Biopsie hépatique prévue le 24.05.2019 Ponction d'ascite (élimination de 5 litres) le 13.04.2019. Culture d'ascite. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv du 13 au 17.04.2019 • Ciproxine 500 mg per os 2x/j du 18 au 23.04.2019. Ponction d'ascite le 27.05.19: 1500 ml, Gradient d'albumine 18.8 g/l, prot 22.7 g/l, érythrocytes 3000, pas de cellule tumorale Attitude • Majoration de l'Eplerenone si nécessaire Ponction de la plaie dorso-lombaire le 18.04.2019: liquide cristallin sans sang, caillot ou signe suspect d'un sérome sous-cutané ou d'une infection. La culture aérob et anaérob reviendra négative. Identification et suture directe de la brèche durale au Prolène 6.0 et renforcement de la dure-mère par pose de patchs de TachoSil, repositionnement des Cross Connector Matrix de 39 mm et fixation dynamométrique (OP le 19.04.2019) Ponction du kyste téno-synovial majeur droit avec injection de Cortisone le 24.05.2019. Désinfection et champage classique. Repérage digital du kyste téno-synovial à la base du majeur. Ponction du kyste, suite à la vidange du kyste, injection de Dépo-Médrol. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. Ponction et drainage. Pansement compressif. Ponction le 03.06.2019. Prochain contrôle le 25.06.2019. Ponction le 20.05.2019 Ponction le 27.05.2019. Prochain contrôle le 11.06.2019. Ponction lombaire (Dr. X) le 30.05.2019: sans particularité CT cérébral natif et injecté du 30.05.2019: sans particularité IRM cérébral le 31.05.2019: sans particularité Consilium neurologique (Dr. X) Nous vous proposons d'introduire un traitement de fond de béta-bloquants en cas de récidive. Ponction lombaire du 06.05.2019: non spécifique. • PCR multiplex: négatif Sérologies: Lyme (infection ancienne), VIH négatif, Toxoplasmose négative, CMV, EBV négatives Anticorps: NMDA négatifs, antiphospholipides négatifs en janvier, redosés: en cours PCR: Tropheryma Whipple négatif (salive et sang) • Avis Ophtalmologue: Pas de signe de vasculite au fond d'œil • Avis Rhumatologique: absence d'argument pour un neurolupus selon les critères du ACR • Avis Psychiatrie (Dr. X): adaptation de la médication psychotrope, transfert en milieu psychiatrique le 17.05.2019 • Avis infectiologique En cours: anticorps antiphospholipides : négatifs Ponction lombaire du 26.05.2019: sans particularité CT cérébral du 26.05.2019: sans particularité IRM cérébral du 28.05.2019: sans particularité Consilium neurologique (Dr. X): Consilium immunologique (Dr. X): dernier profil en avril 2019 stable. Pas d'inquiétude sur le plan immunologique. Dr. X, son psychiatre, averti Traitement introduit: • Zomig 2.5 mg en réserve si nouvelle crise Le Dr. X propose une consultation chez lui à distance en cas de récidive. Poursuite de son suivi psychiatrique en ambulatoire Ponction lombaire le 20.05.2019 Sérologie le 20.05.2019: HIV, syphilis, Lyme négatifs Anticorps anti-neuronaux et anti-ganglions négatifs Consilium Spine (Dr. X) Consilium neurologique (Dr. X) ENMG le 23.05.2019: normal Potentiels évoqués préopératoire le 27.05.2019 Physiothérapie Ergothérapie Intervention chirurgicale prévue le 27.05.2019 Contrôle chez Dr. X, le patient sera convoqué Ponction lombaire réalisée sous Méopa, non traumatique, avec mise en évidence de 19 éléments avec 20 % de macrophages et 77 % de lymphocytes. Diagnostique de neuroborréliose. Administration de 100 mg/kg/dose de Rocéphine iv aux urgences, puis 1x/j pour un total de 14 doses. Suivi infectiologique dans 10 jours par Dr. X. 03.05 : J1 post-PL, 2ème doses de Rocéphine ce jour AA : depuis le matin, refuse de marcher, reste assise et se traîne par terre. Se plaint de douleurs abdominales sans vomissements ni diarrhées. Tient debout, force conservée aux MI selon le père. Bon état général, a bien mangé, pas de fièvre, pansement propre. Status : BEG, souriante dans les bras du père mais facilement irritable à l'examen. TA 102/60, FC 125/ Neuro : asymétrie faciale très légère et uniquement au grimace connue, pupilles isocores-isoréactives, bons contacts et poursuites oculaires, bouge symétriquement les 4 membres avec force conservée aux MI (tester surtout avec manœuvres d'évitement car non collaborante), ROTs MI présents et symétriques. Marche refusée, demande les bras du père. Positions verticale et assise dans les bras bien tolérées. Cutané : plaie PL calme, pas d'hématome ni écoulement Ponction pleurale gauche Ponction pleurale gauche fecit Dr. X le 27.05.2019 Ponction pleurale le 13.05.2019 avec drainage jusqu'au 14.05.2019 Cytologie du liquide pleural: transsudat, sans cellule tumorale maligne Culture du liquide pleural (prélevée sous antibiothérapie) en cours Ponction pleurale le 13.05.2019 avec drainage jusqu'au 14.05.2019. Cytologie: en cours. Culture (prélevée sous antibiothérapie): en cours. Ponction-aspiration écho guidée de l'abcès le 26.04.2019 (6 ml d'un liquide verdâtre) revient positif pour Peptoniphilus harei (anaérobe, Gram +) Ponction-biopsie processus transverse L4 le 22.03.2019: cellules carcinomateuses compatibles avec carcinome urothélial de la vessie Avis oncologique (Dr. X): Ad PET-CT pour compléter bilan et radiothérapie à but antalgique. Si PET-CT montre atteinte localisée, proposeront plutôt radiothérapie, si métastases diffuses ad discussion chimio. Pancytopénie possiblement sur invasion médullaire PET-CT le 01.04.2019 Tumor-Board d'urologie le 04.04.2019: Non éligible pour une chimiothérapie en raison de l'état général. Traitement par radiothérapie +/- immunothérapie (selon résultat du marqueur PDL1: négatif) Traitement en radio-oncologie (Dr. X): CT de repérage le 02.04.2019 puis 5 séances de radiothérapie à but antalgique, du 04.04 au 10.04.2019 Discussion avec oncologue (Dr. X) le 11.04.2019: proposition d'immunothérapie Bilan dentaire le 15.04.2019 Transfert à la Villa St-François le 17.04.2019 Pontage aorto-bi-fémoral dans les années 1970 Fracture pertrochantérienne G, le 12.01.2019 • status post OS d'une fracture de la diaphyse fémur G en 2016 Traumatisme crânien simple sous double antiagrégation, le 12.01.2019 Pontage Aorto-coronarien en 1993 Splénectomie 1975 Hémorragie digestive DD: ORL 03/2017 sous triple antiagrégation + ACO (ASS, Plavix, Xarelto) • gastroscopie et CT abdominal sp • 3 CE Pontage fémoro-poplité et exclusion d'un anévrisme poplité droit le 16.07.2012 Pontage fémoro-poplité gauche en novembre 2011 et ligature d'un anévrisme poplité compliquée d'une lymphocèle infectée et d'une perfusion résiduelle de l'anévrisme par deux branches artérielles Anévrisme de l'aorte abdominale sous-rénale, proximalement de l'anastomose d'un pontage aorto-bifémoral de 55 mm de Ø en 2007 Varices tronculaires du membre inférieur droit Syndrome métabolique: • avec diabète type II diagnostiqué en janvier 2015 • Hypertension artérielle traitée • Surcharge pondérale avec BMI à 26 Perturbation des tests hépatiques diagnostic différentiel sur consommation d'alcool à risques avec thrombopénie Splénomégalie Anévrisme infra-rénal de 55 mm en amont du pontage aorto-bi-iliaque avec• Sténose asymptomatique sur coudure du départ des 2 jambages du pontage aorto-bi-fémoral • Mise à plat de l'anévrisme sous-rénal de l'aorte abdominale et révision des jambages de l'ancien pontage le 16.02.2016 Suspicion de consommation d'OH à risque avec • Thrombopénie à 89 G/l le 31.01.2015 • Splénomégalie Pontage fémoro-poplité gauche 1997. Status post-STEMI sur occlusion de l'artère interventriculaire antérieure avec pose d'un stent actif le 04.10.2012. Status post-tachycardie supraventriculaire le 04.10.2012. Status post-allergie du menton. Suspicion d'allergie avec œdème de la langue d'origine X. Solumédrol et Tavergil aux urgences. Prednison 20 mg pour 3 jours. Consultation à organiser chez un allergologue. Porphyrie intermittente, récidivante sous Sintrom. F 33.4 Trouble dépressif récurrent, actuellement en rémission (sous traitement antidépresseur) F 13.25 Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de sédatifs ou d'hypnotiques (Temesta depuis plusieurs années et Zolpidem) Z 63.1 Accentuation de certains traits de personnalité R 07.3 Syndrome douloureux chronique Port de bas de contention. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique jusqu'à réévaluation à la consultation du Dr X le 16.05.2019. Port de la minerve encore le 01.05.2019, selon douleurs. Arrêt des sports durant 10 jours. Port de l'attelle thermoformée en ergothérapie pendant 6 semaines. Début des exercices en ergothérapie hors de l'attelle à 4 semaines. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines avec ablation de l'attelle. Port de semelles de proprioception. Prochain contrôle le 25.09.2019. Port d'une chaussure type Darco, à but antalgique, pour une durée de 3 semaines au total. Contrôle et ablation de la semelle chez le pédiatre. Nous ne prévoyons donc pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Port-à-Cath obstrué le 28.02.2019 • Non utilisé depuis plusieurs années Protocole d'urokinase : sans succès Ablation PAC à rediscuter au terme de l'anticoagulation thérapeutique pour TVP Portage Streptocoque B au niveau vagino-anal Portage de Streptocoque B positif au niveau vagino-anale Portage de streptocoque B positif Portage de streptocoque groupe B Portage génital du Streptocoque du groupe B Portage streptocoque B au niveau vagino-anal Portage streptocoque B au niveau vagino-anale Portage Streptocoque B positif Portage Streptocoque du groupe B Portage streptocoque du groupe B Portage Streptocoque du groupe B positif Portage Streptocoque du groupe B positif au niveau vagino-anale Portage streptocoque groupe B Porteur chronique de MRSA Tabagisme actif Porteur ESBL Porteuse d'un stérilet. Pose d'un défibrillateur en électif le 20.5.2019 sur : • cardiomyopathie dilatée et FEVG à 25% Pose de cathéter de dialyse jugulaire D le 16.06. CVVHH du 16.05 au 17.05 Pose de défibrillateur en électif Pose de drain thoracique axillaire gauche le 04.05.2019 Pose de drain thoracique (Dr X) le 05.03.2019 Aspiration 20 cm H2O pendant 24 h Ablation du drain thoracique le 08.03.2019 Pose de drain transtympanique et opération des végétations en mai 2012 Maladie coeliaque ttt par diète et Movicol en réserve Pose de pacemaker Pose de pacemaker AAI-DDD (Dr X) le 16.05.2019 Anticoagulation par Xarelto Pose de pacemaker dans le contexte d'une fibrillation-flutter à réponse ventriculaire lente Pose de pacemaker DDD à gauche, 06.05.2019 (Dr X) RX thorax Contrôle de pacemaker, 06.05.2019 Procédure : • antalgie en réserve • rendez-vous chez le médecin traitant pour un contrôle de plaie • rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr X le 05.06.2019 • recommandations à suivre données au patient Pose de pacemaker en 12.2015 pour une maladie du sinus et syncopes à répétition Pose de pacemaker le 02.05.2019 Biotronik EDORA 8 DR-T, Mode de stimulation : DDDR. Fréq. base : 50 bpm Fréq. max : 130 bpm ECG : FA normocarde Radiographie thoracique de contrôle post-intervention 02.05.2019 : pas de pneumothorax Contrôle de pacemaker 02.05.2019 : sans particularité Pose de pacemaker le 13.05.2019 (Dr X) Sintrom à reprendre dès le 14.05.2019 Pose de pacemaker VVI, (Dr X) le 09.05.2019 RX thorax, le 09.05.2019 Contrôle du pacemaker, le 09.05.2019 Procédure : • reprise du Eliquis le 09.05.2019 • rendez-vous chez le médecin traitant pour un contrôle de plaie • rendez-vous chez Dr X le 13.06.2019 pour contrôle du pacemaker • recommandations post-opératoires à suivre données au patient Pose de PEG le 02.05.2019 • Contexte de prise en charge radiothérapeutique de carcinome épidermoïde oropharyngé droit cT4a cN0 cM0 p16+ Pose de prothèse totale de hanche droite en 2014 Résection transurétrale de la prostate en 2003 Épanchement pleuro-péricardique récidivant idiopathique en 2007 et 2008 Fibrillation auriculaire avec réponse ventriculaire lente aux alentours de 90 battements par minute, non datable : • Cardioversion (probablement médicamenteuse) en 2004 et 2007 Diverticulite sigmoïdienne, Hinchey 1, avec sténose serrée pré-occlusive en septembre 2015 : • Antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine et Flagyl • Coloscopie par le Dr X le 29.09.2015 : diverticulose sigmoïdienne sans sténose ni signe d'inflammation ; colonoscopie complète sans lésion. Lésion de 1 cm ou lésion plane non exclues à quelques endroits Toxidermie post-quinolones en 2015 Chute avec : • Plaie de 5 cm tiers proximal de la clavicule droite • Plaie de 2 cm tiers proximal de la clavicule gauche • Plaies rondes respectivement de 3 cm et 1 cm de diamètre du genou droit Prostatites à répétition Tabac : patient fumeur de pipe, ancien tabagisme pendant 20 ans Urosepsie à E. Coli multisensible Tachycardie supraventriculaire par rentrée extra-nodale Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine probablement prérénale Dysphagie aux solides avec vomissements péri-prandiaux sur vidange gastrique ralentie Pose de SNG le 17.05.2019 en accord avec le patient et sa femme Début de l'alimentation parentérale le 17.05.2019 Suivi électrolytique car risque de syndrome de renutrition (CAVE pas de supplémentation de magnésium per os, cf diagnostique N°3) Pose de sonde double J bilatérale le 05.05.2019 Rocéphine 2 g intraveineux du 05.05.2019 au 07.05.2019 Ciproxine 500 mg 2x/jour du 08.05. au 18.05.2019 Pose de sonde JJ le 15.10.2018. Abus médicamenteux à visée suicidaire. Laparoscopie exploratrice pour fausses couches spontanées à répétition en 2017. HSC diagnostic + cure de synéchies 2017. Appendicectomie dans l'enfance. Césarienne 2004 Italie : mise en évidence d'agénésie annexielle gauche. Calcul au niveau du méat de l'uretère droit. Pose de sonde nasogastrique au bloc opératoire le 26.05.2019 Nutrition entérale dès le 27.05.2019 Pose de sonde PEG Pose de sonde trois voies le 12.05.2019 (Dr X) Rinçage abondant Pose de sonde urinaire 18.05.2019 Pose de sonde vésicale le 01.05.2019 Pose de sonde vésicale le 08.05.2019 Pose de sonde vésicale le 08.05.2019 Introduction Tamsulosine 0.4 mg Pose de VVP, bilan, reçoit rapidement 50 mg/kg de Ceftriaxone soit 600 mg iv. Isolement masque au vu du DD d'infection à méningocoque Pose de VVP, Traitement symptomatique (anti-histaminique durant 24 heures, anti-douleurs - 1er palier, gel pour aphtes) Bilan sanguin : inflammatoire yc VS, hépato-rénal Sérologies EBV, CMV, parvovirus B19, Mycoplasme, HSV, syphilis ; recherche HIV RF et ANA/ANCA Frottis naso-pharyngé pour Mycoplasme Frottis cutané pustules pour HSV Bilan urinaire (status et sédiment) ECG US cardiaque Frottis des plis et intra-buccal à la recherche de CandidaFrottis de la bouche à la recherche de HSV Consilium ophtalmologique Consilium dermatologique avec biopsie cutanée par dermatologue Dr. X Consultation infectiologique dans 2 semaines Dr. X Consultation dermatologique dans 3 semaines + tests cutanés avec Augmentin (éviction Augmentin avant la réalisation des tests) Pose de 2 harpons le 21.05.2019 sous CT Thoracoscopie uniportale gauche, résection extra-anatomique lobe inférieur gauche (OP le 22.05.2019) • rapport histologie à pister Ablation des fils à j14. Pose d'une pompe à insuline le 14.05.2019 Enseignement de la gestion du matériel par l'équipe de diabétologie Surveillance étroite des glycémies Suite de prise en charge ambulatoire organisée par les diabétologues Pose d'une sonde urinaire aux urgences Pose d'une sonde vésicale 3 voies dès le 21.04.2019. Ultrason des voies urinaires le 29.04.2019. Cystoscopie à rediscuter avec Dr. X. Merci de retirer la sonde vésicale 3 voies le 30.04.2019 à la demande de Dr. X et de l'appeler au 079 540 19 55. Pose d'une sonde 3 voies (20 CH) avec rinçage continu et rinçages manuels Uricult 14.05.2019 : Citrobacter freundii + Coques Gram positif Rocephin 2 g intraveineux du 15.05.2019 - 21.05.2019 Switch par Ciprofloxacine per os le 22.05.2019 Pose élective de défibrillateur double chambre à gauche Pose Jaydess aux prochaines règles (ordonnance donnée) Pose pleurX en radiologie le 05.04.2019 avec ponction intermittente Poursuite initiale du traitement diurétique - puis stop le 18.04.2019 Reprise diurétique par Torasémide le 07.05.2019 Pose pompe insuline Pose sonde JJ le 30.05.2019 (Dr. X) Sonde urinaire depuis le 30.05.2019 Pose sonde urinaire 3 voies aux urgences le 02.05.2019 Rinçages intermittents Pose sonde vésicale 3 voies aux urgences (Dresse X) Contrôle chez son urologue Dr. X, hospitalisation si hématurie persistante après rinçage. Au vu de l'absence d'hématurie, retour à domicile. Explications données à Mr. Y par le médecin. Position foetale en siège et gémellarité (facteurs de risque pour dysplasie congénitale de hanche) Position intrautérine en siège Positionnement en anti-Trendelenburg. Laboratoire : Lactates à 0.6 mmol/l. Angio-CT des membres inférieurs (Dr. X, oralement) : importante progression de la masse tumorale en inguinal gauche avec infiltration de l'artère fémorale commune, qui est désormais complètement occluse. Cependant, reprise de l'opacification dans les artères fémorales supérieure et profonde via des collatérales en provenance des Aa. iliaques. Artères poplitée et pédieuse perméables et perfusées. Avis pluridisciplinaire (angiologie - Dr. X et Dre X, chirurgie vasculaire - Dr. X) le 13.05.2019 : une intervention de revascularisation (endovasculaire ou chirurgicale) est à garder en dernier recours au vu du contexte oncologique et des risques liés à l'intervention. Les douleurs sont pour l'instant contrôlées par l'antalgie en place. La perfusion via les collatérales permet de maintenir la viabilité du membre, ainsi qu'une certaine mobilité et sensibilité. Attitude : • poursuite de l'antalgie par Oxynorm et Oxycontin • Important : Arrêt immédiat du traitement compressif (bas de contention) du membre inférieur gauche • numéro de contact en angiologie donné en cas de péjoration de la symptomatologie • contrôle clinique lors du rendez-vous prévu le 14.05.2019 chez son oncologue traitant. Positive Familienanamnese : Bruder an Herzinfarkt gestorben. 2 Cousins hatten einen Herzinfarkt. Kein Diabetes, keine Hypercholesterinämie bekannt Posologie traitement médicamenteux VVP à revoir Possible AIT sylvien gauche le 01.05.2019 avec : • symptomatologie initiale : hypoesthésie de l'hémiface droite, asymétrie faciale en défaveur de la gauche, hémisyndrome sensitivo-moteur brachio-crural droit DD : trouble neurologique fonctionnel • NIHSS admission 3 points, NIHSS à 24h 3 points, NIHSS à la sortie 0 points • MIF à 77 points Possible anévrisme versus infundibulum de 2 mm à la bifurcation du segment M1 de l'artère cérébrale moyenne à droite Possible arrachement petit fragment osseux en regard radial de l'articulation interphalangienne du pouce de la main D • Radiographie : petit fragment osseux en regard du côté radial de l'articulation interphalangienne du pouce pouvant correspondre à un arrachement, pas de fracture ni d'arrachement niveau du D2 • Avis orthopédique : Possible fracture de la phalange distale du D1 de la main D, attelle Possible carence en fer. Possible déchirure partielle du LCA D suite à un traumatisme du 10.04.2019. Possible décompensation d'une arthrose de l'articulation talo-naviculaire du pied D sur statut post-entorse du pied il y a 3 mois. Possible démence à corps de Lewy (troubles cognitifs et syndrome akinétorigide) • bilan neuropsychologique 12/2018 : sévère altération de la mémoire antérograde verbale et visuelle. Ralentissement de la vitesse de traitement de l'information. Difficultés de programmation motrice, grasping bilatéral. Perturbation des gnosies visuelles ainsi que des praxies gestuelles et constructives. • IRM cérébrale 02/2018 (Rodiag, Wil) : Microangiopathie avancée, atrophie à prédominance pariétale • Angio-IRM cérébrale 11/2018 : anomalies aspécifiques, atrophie cortico-sous-corticale globale marquée, leucoencéphalopathie grade 2 selon Fazekas • Syphilis, Lyme négatifs • introduction d'Exelon en décembre 2018, non toléré par la patiente • suivi par Dr. X (neurologue traitant, clinique Valmont) Possible démence débutante 26.04.2019 Possible diabète (type inconnu). Possible gastro-entérite débutante avec : • 2 épisodes de diarrhées. Possible grossesse en cours (5ème semaine d'aménorrhée). • test urinaire positif le 27.04.2019. • dernières règles le 29.03.2019. Possible hernie abdominale le 23.05.2019. Possible hypothyroïdie avec TSH à 4.82 le 25.04.2019 Possible impaction de tresse 24.05.2019. Possible infection distale D3G Possible insuffisance veineuse. Possible intolérance au glucose. Possible kyste palmaire Possible lithiase rénale gauche. Possible mastite. Possible mobbing au travail • état de fatigue • humeur dépressive • diminution du sommeil et de l'appétit Possible neuropathie des membres inférieurs avec : • Anamnèse : paresthésies des membres inférieurs • DD d'origine diabétique • Labo : hyperglycémie à 7.9mmol/L (à jeun), vitamine B12 dans la norme Possible OH à risque Possible passage en FA paroxystique Possible petit arrachement au niveau de l'ischium. Possible pré-diabète décompensé dans le cadre de l'infection • HbA1c 5.9% DD diabète de type II inaugural Possible rapport sexuel oral ou génital non protégé (amnésie dans le cadre d'un état d'ébriété) : • Mme. Y adressée en gynécologie chez Dre X les 20-21.05 prochain pour discussion concernant la prévention des maladies sexuellement transmissibles, le dépistage du partenaire occasionnel en question (connaissance de Alyson) et/ou d'Alyson et l'éventualité d'administration d'une PEP • à savoir ATCD de viol sexuel avec administration de PEP en 12.2019 Possible réaction allergique à la Co-Amoxicilline avec érythrodermie et bronchospasme le 08.06.2018. Vasculite et nécrose cutanée au site d'injection d'Enoxaparine sur les cuisses le 24.06.2018. Suspicion d'un syndrome de sevrage 06.2018. Thrombose non-occlusive de la veine jugulaire droite sur voie veineuse centrale le 08.06.2018. Anévrisme aortique juxta- et infrarénal de 52 mm de diamètre avec s/p cure par prothèse de type tube droit par voie rétropéritonéale et résection partielle de la 12ème côte à gauche le 04.07.2013.Zona thoracal droit 05.2013. Cure d'une cataracte des deux côtés. Appendicectomie. Acidose lactique sur intoxication à la Metformine. Tendinopathie achilléenne droite secondaire à un traitement par Ciprofloxacine le 12.07.2018. Possible réaction allergique à la Co-Amoxicilline avec érythrodermie et bronchospasme le 08.06.2018. Vasculite et nécrose cutanée au site d'injection d'Enoxaparine sur les cuisses le 24.06.2018. Suspicion d'un syndrome de sevrage 06.2018. Thrombose non-occlusive de la veine jugulaire droite sur voie veineuse centrale le 08.06.2018. Anévrisme aortique juxta- et infrarénal de 52 mm de diamètre avec s/p cure par prothèse de type tube droit par voie rétropéritonéale et résection partielle de la 12 ème côte à gauche le 04.07.2013. Possible reste de morsure de tique. Possible rhinoconjonctivite allergique. Possible rupture plastie du LCA droit. Possible sarcoïdose chronique ancienne avec trouble ventilatoire restrictif léger non obstructif avec : • exposition à l'amiante durant l'enfance • bronchoscopie du 09/2017 avec EBUS-TBNA, biopsie trans-bronchique, lavage broncho-alvéolaire (Dr. X) • cytologie LBA lobe moyen : cellularité légèrement augmentée (280 éléments/µl). Alvéolite lymphocytaire avec : macrophage 55% dont 10% de sidérophage, lymphocytes 43%, PNN 2%, rapport CD4/CD8 à 8,98 • histologie biopsie pulmonaire : rares groupes de : macrophages avec dépôts silico-anthracosiques. Inflammation chronique légère de la muqueuse respiratoire. • non investiguée en raison de l'âge du patient. Possible surcharge cardiaque gauche (+/- globale : membres inférieurs bilatéraux), avec : • Souffle systolique foyer mitral • Crépitants bibasaux • Prise de poids Possible syndrome Gilles de la Tourette avec : • Tics chéiro-oraux avec vocalisations. Possible tendinite des extenseurs du poignet gauche. Possible trouble anxieux. Possible vaginite d'origine indéterminée. Possible vaginose le 23.05.2019. Post appendicectomie en 1994. Kyste sacro-coccygien en 2009. Colique néphrétique gauche en 10/2010. Post traumatisme crânien, mal au cou. Potassium eff. pendant 2 jours. Suivi biologique. Potassium eff 2x aux urgences. Magnesiocard 10 mmol aux urgences. Potassium effervet reçu aux urgences. Potassium effervet 30 mmol 3x/j le 07.05.2019. Potassium effervette pendant deux jours. Potassium effervette 2x/jour durant 2 jours depuis le 19.05. Potassium effervette 3x/j pendant 2 jours, à réévaluer en ambulatoire. Potassium effervette 3x/j pendant 2 jours. Suivi biologique. Potassium effervette. Suivi biologique (correction à 3,7 mmol/l le 30.04.2019). Pouce à ressaut droit du 1er degré avec rhizarthrose débutante droite. Pouce à ressaut gauche douloureux. Pouce à ressaut symptomatique à droite. Pouce D : Fracture base métacarpien I extra-articulaire, peu déplacée le 20.03.2019. Pouce D f/p de ce jour : minimal déplacement secondaire de la fracture extra-articulaire. Cal osseux visible. Pouce du skieur à gauche. Status post pouce du skieur gauche en novembre 2018 avec traitement conservateur. Poumon de fermier. Pour confirmer le diagnostic d'un lipome ou d'un kyste nous demandons au Dr. X de bien vouloir effectuer une sonographie. Nous reverrons la patiente par la suite. Pour la dermabrasion : désinfection à l'hybidil, à répéter au besoin, dès que plaie sèche application de crème hydratante 2x/j jusqu'à guérison. Pour la problématique dentaire : consultation chez un dentiste dans max 24 heures pour déclaration de l'accident et suite de prise en charge. Pour la douleur, le patient reçoit d'abord 400 mg de Brufen et 50 mg de Tramal sans bénéfice. Nous administrons alors 5 mg de morphine gouttes avec une légère réduction de la douleur (EVA de 10 à 8), raison pour laquelle le patient reçoit encore 1 g de Novalgine avec un bon effet. Nous mettons en place une antalgie et nous proposons un contrôle demain chez le dentiste traitant. Pour la plaie sous-palpébrale inférieure droite, nous désinfectons avec Hibidil solution et ne la suturons pas. Pour la plaie frontale, nous désinfectons avec Betadine solution, anesthésions par Rapidocaïne, suturons par 2 points avec Prolène 6-0 et appliquons un pansement stérile. Le tétanos est à jour. Le patient rentre à domicile avec une antalgie en réserve. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils dans 7 jours. Pour le moment, il n'y a aucun signe inflammatoire par contre, la plaie n'est pas complètement guérie. Suite à discussion avec Dr. X, nous allons effectuer une observation jusqu'à 3 semaines post-opératoires avec compression par bandes. Nous verrons la semaine prochaine si la plaie est complètement guérie. Si ce n'est pas le cas, il faudra prévoir une révision d'une partie de la plaie. La patiente et sa sœur, aujourd'hui présentes, sont informées qu'en cas d'apparition de nouveaux symptômes, il faut nous avertir tout de suite. Pour le pied à droite, fin de traitement. Elle a récupéré toute la mobilité et ne présente plus de douleur. Pour l'entorse de la cheville à gauche, on prescrit une immobilisation dans un Vacotalus avec charge selon douleurs. Physiothérapie pour exercices de stabilité et détuméfaction. Pas d'arrêt de travail à 100%. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Pour le problème du pied, il faut faire un traitement par ultrasons. Nous reverrons la patiente dans 2 à 3 mois. Pour les calculs rénaux jusqu'à 5 mm, nous prescrivons une antalgie. Il a été expliqué au patient qu'il doit filtrer ses urines et apporter les calculs trouvés au laboratoire. En cas de douleur persistante, il doit se présenter à la permanence ou HFR Fribourg. En cas de récidive de calcul, un bilan plus approfondi serait indiqué. Pour les douleurs au niveau de la plaie, elle reçoit 1000 mg de Paracétamol avec une bonne réponse. Nous effectuons un laboratoire qui montre une hyperkaliémie légère à 5.4 mmol/l, créatinine à 136 µmol/l, CRP < 5 mg/l, leucocytes à 8 G/l. Nous effectuons un bilan radiologique qui ne montre pas de fracture au niveau du coude ni au niveau de la hanche et du bassin. Après avis du Dr. X, de médecine interne, nous effectuons un CT-scan cérébral natif qui ne montre pas d'hémorragie ni de fracture mais un hématome sous-galéal occipito-pariétal gauche. Pour ce qui concerne la plaie, désinfection avec Bétadine, anesthésie locale par Rapidocaïne bicarbonate, exploration avec aiguille boutonnée et rinçage au NaCl. Suture avec 3 points au fil d'Ethilon 4.0 qui seront à enlever à 5-7 jours chez le médecin traitant. Le tétanos est à jour. Au niveau du coude, une bursite post-traumatique est retenue et nous effectuons une immobilisation avec pansement écossais puis rendez-vous en policlinique d'orthopédie à 7 jours. Pour l'hyperkaliémie, la patiente reçoit 1 dose unique de Resonium et un contrôle du laboratoire chez le médecin traitant sera à faire dans 3-4 jours. Pour la crise hypertensive, nous observons aux urgences et la patiente ne reçoit pas de traitement car asymptomatique. Après avis du Dr. X, chirurgien, la patiente rentre à domicile avec une feuille de surveillance. Elle arrive à se mobiliser sans douleur. Sa fille la prendra chez elle pendant quelques jours. Pour l'instant, il n'y a rien à entreprendre. Le patient reprendra contact en cas de besoin. Pour mémoire, Mr. Y est né prématuré à 32 SA. Il présente une déficience intellectuelle légère à modérée en lien avec une délétion 1p36.32 (il s'agirait d'une délétion intersticielle d'une taille d'environ 2.5 Mb), comprenant entre autres les gènes ACTRT2, PRDM16, MEGS6 et AJAP1. J'avais vu Mr. Y en consultation en 2014, pour un tableau d'anorexie, avec amaigrissement et hallucinations visuelles. Nous avions à l'époque fait réaliser une IRM cérébrale qui était normale. Pour moi, c'est une hanche tout à fait normale. Refaire un US à l'âge de 6 semaines n'est pas nécessaire. Dans ce contexte, pas de nouveau contrôle à ma consultation nécessaire mais je reste bien sur à disposition en cas de besoin. Pour moi, il s'agit d'une lésion du labrum, peut-être en raison d'une déformité de cam et peut-être en raison d'une torsion fémorale qui est élevée. Il y a certainement également une composante d'hyperlaxité avec un Beighton score qui est élevé. Il faudrait mesurer la torsion fémorale pour avoir plus d'informations sur la pathomorphologie. La patiente veut encore réfléchir pour le moment. Elle nous recontactera en cas de problèmes persistants à la hanche. Je reste à disposition. Pour poursuivre le bilan de cette instabilité de la cheville et voir s'il s'agit d'une instabilité fonctionnelle et notamment un déficit musculaire des péroniers et de la proprioception, une instabilité ligamentaire, je fais réaliser une IRM à la recherche de lésions notamment du LTFA ou du CFL. Par ailleurs, au vu de la notion de blocage, je propose la réalisation d'un arthro-CT afin de vérifier l'absence de lésion ostéochondrale. J'encourage la patiente à poursuivre la physiothérapie. Nous la reverrons suite à ces examens pour discuter de la prise en charge, à savoir que s'il s'agit d'une lésion ligamentaire, il faudrait envisager une ligamentoplastie. Pour rappel de l'histoire de la maladie, patient en bonne santé habituelle avec des antécédents d'otites bactériennes (5/an) qui depuis le 28/05/19 au matin présente une otalgie droite contemporaine d'une otorrhée sans fièvre ni frissons associés. Devant les douleurs aigües, le patient consulte aux urgences de Riaz. À l'examen clinique, on note post-examen otoscopique la présence d'un conduit auditif moyen inflammatoire avec otorrhée purulente sans collection rétro-tympanique. Devant la présence d'une otite d'allure bactérienne, nous décidons d'introduire une antibiothérapie par CO AMOXICILLINE pendant 5 jours avec antalgie adaptée et conseil de réévaluer à 72 h avec le médecin de famille pour évolution de l'otite post-antibiothérapie. Le patient est rentré à domicile le 28/05/19. Pour rappel, Mr. Y a présenté depuis 1 mois un hoquet et depuis le 06/05/2019 des nausées, vomissements et diarrhées, raisons par lesquelles il consulte la médecin traitante qui l'envoie en raison de l'hyponatrémie hypoosmolaire sur potomanie (2.5 l de bière/j). Une hyponatrémie hypooosmolaire est objectivée. Elle est attribuée à une potomanie sur consommation importante de bière (> 2.5 l par jour). Le patient est initialement surveillé aux soins intensifs pour la correction de sodium. Il développe des troubles de l'état de conscience sur restriction hydrique et sur benzodiazépine qui nécessitent une intubation. Son état se stabilise avec correction de la natrémie à Na 131 mmol/l à sa sortie. Un colloque de famille a lieu le 15/05/2019 en présence du patient, de son épouse et de sa fille. La situation médicale et alcoolique est discutée. Il est décidé d'un suivi par psychothérapie ainsi qu'une abstinence au moins jusqu'à la fin 2019. Un suivi chez les alcooliques anonymes est recommandé chez Mr. Y et éventuellement également chez l'épouse (comme proche d'un alcoolique). Un suivi psychiatrique sera proposé au Centre psycho-social de Fribourg. Jusqu'au premier rendez-vous, nous demandons un suivi chez la médecin traitante.Pour tenter de clarifier la situation, on propose une infiltration loco-Dolenti au niveau du tubercule innominé et des vis au niveau du grand trochanter. Pour le snapping hip interne, respectivement l'inflammation du tendon du psoas, on propose de faire le stretching du psoas. Infiltration test en salle de plâtre le 15.07.2019. • Poursuite Velmetia • Poursuite aérosols Pulmo/Vivanit 2 x/jour Consultation pneumologique chez Dr. X le 20.05.19. • Poursuite Aldactone jusqu'au 23.04.2019 Adaptation antalgique. • Poursuite Amiodarone Xarelto arrêté par MT et non réintroduit après discussion avec le Dr. X. • Poursuite antalgie et antibiothérapie. Contrôle de la plaie chez médecin traitant ou au secteur ambulatoire des urgences en fin de semaine. Arrêt de travail. • Poursuite antibiothérapie jusqu'au 05.05 soir (1 dernière dose manquante) Suivi par pédiatre dans la semaine Suivi en neuropédiatrie. • Poursuite anticoagulation par Marcoumar Avis Dr. X : Cible INR à 3 (2.5-3.5). • Poursuite Aspirine et patch de nitré 10 mg, sans Plavix. Le patient sera reconvoqué pour une ETo afin de bilanter l'insuffisance mitrale. • Poursuite attelle de soutien. • Poursuite bêta-bloquant. Contrôle chez Dr. X le 28.05.2019 à 09h00. Ergométrie dans 1 année. La patiente sera convoquée. • Poursuite Brintellix jusqu'au 03.05.2019 (cf complication 1). • Poursuite Calcimagon. • Poursuite clarithromycine. • Poursuite Clopidogrel initialement - stop le 20.04.2019 (cf. infra). • Poursuite compression élastique localisée au départ de l'a. radiale sous le pli du coude à poursuivre pour 48-72 h. Contrôle angiologique le 14.05.2019 à 10h45 à l'HFR Fribourg, avant si péjoration clinique. • Poursuite CPAP habituelle. • Poursuite de Fentanyl patch de 25 mcg/24h Oxynorm en réserve. Prochain RDV chez Dr. X prévu le 25.03.19. • Poursuite de la charge selon douleurs avec cannes pour les 6 semaines à venir. Je propose d'aller un peu plus gentiment en physiothérapie pour environ 3 semaines. Le patient peut arrêter la Clexane puisqu'il charge plus de la moitié du poids du corps. On peut travailler sur la mobilisation du genou et de la cheville. Incapacité de travail jusqu'à la fin du mois de juin. Il me contactera si jamais pour adapter la capacité pour une charge de travail légère administrative. Contrôle à 6 semaines. • Poursuite de la charge selon douleurs. Renforcement musculaire. Mobilisation au niveau de la cheville. Poursuite de la capacité de travail à 50% et contrôle dans 6 à 8 semaines. • Poursuite de la Ciproxine jusqu'au 10.05.2019. Poursuite du KCl retard jusqu'au 14.05.2019. PET Scan en ambulatoire le 13.05.2019 à 08h15 à l'HFR Fribourg. Consultation chez Dr. X le 16.05.2019. • Poursuite de la Clexane jusqu'à Sintrom thérapeutique après 2 contrôles successifs chez le médecin traitant. Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation de Dr. X à 6 semaines. • Poursuite de la Clexane jusqu'à Sintrom thérapeutique. Le patient sera revu à votre consultation le 17.05.2019 pour contrôle de la crase. Mr. Y a rendez-vous en policlinique d'orthopédie le 17.05.2019 dans l'après-midi pour réfection du pansement et contrôle clinique. • Poursuite de la Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'au 17.04.2019 puis reprise du Xarelto 20 mg 1x/j à cette date, si plaie opératoire calme. Contrôles de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) chez le médecin traitant; fils résorbables. Contrôle clinique à la consultation de Dr. X à 6 semaines. • Poursuite de la CPAP Resmed Airsens mode autoset (4/14) avec masque nasal mirage FX. Oxymétrie nocturne. • Poursuite de la double anti-agrégation jusqu'au 04/2020, Aspirine cardio à vie. Ablation du Comfeel à J5, pas d'ablation des fils nécessaire. Rendez-vous à la consultation de Dr. X le mardi 20.08.2019 à 11h30. RDV de contrôle en angiologie le 05.08.2019. Surveillance de la TA et modification des facteurs de risques cardiovasculaires chez le médecin traitant. • Poursuite de la mobilisation. Renforcement musculaire. Contrôle clinique et par CT dans 2 mois. • Poursuite de la physiothérapie. • Poursuite de la physiothérapie afin de regagner les amplitudes articulaires complètes et renforcement progressif. Je recommande au patient d'éviter des charges. Prochain contrôle le 12.06.2019. • Poursuite de la physiothérapie. Anti-inflammatoires en réserve. Contrôle selon la nécessité et le souhait de la patiente. Si les céphalées devaient persister, je recommande à la patiente de consulter son médecin traitant. • Poursuite de la physiothérapie avec des exercices de stabilité, de proprioception et renforcement musculaire. Elle doit également faire des exercices à domicile. Pour l'œdème, nous lui prescrivons des bas de contention de stade II à porter le plus possible. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Reprise du travail de bureau à 50% dès le 01.06.2019 au 30.06.2019, puis à 100% dès le 01.07.2019 si possible. • Poursuite de la physiothérapie avec des exercices de stabilité, de proprioception et reprise de la mobilité des exercices de renforcement musculaire. On discute avec le patient qu'il doit remettre sa semelle de soutien. On fait une ordonnance pour la réfection de cette semelle. Arrêt de travail à prolonger à 50% (que des travaux de bureau) jusqu'au 21.06.2019. On le reverra dans 2 mois avec un CT scan du pied à D et des RX pied D f/p/o en charge. • Poursuite de la physiothérapie avec des exercices de stabilité et de renforcement musculaire. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle radioclinique avec des radiographies en charge. Pour la tuméfaction, nous lui conseillons de mettre sa chevillère élastique. • Poursuite de la physiothérapie avec exercices de renforcement musculaire et de stabilité ainsi que de la proprioception. Nous complétons le bilan par une IRM pour voir l'état ligamentaire et du tendon péronier. Nous le reverrons après l'examen. Pas d'arrêt de travail. • Poursuite de la physiothérapie avec proprioception et renforcement. Nous lui conseillons de prendre des anti-inflammatoires et d'appliquer de la glace plusieurs fois par jour. Nous organisons une infiltration de la cheville et la reverrons 2 semaines après ce geste. • Poursuite de la physiothérapie avec renforcement musculaire et reprise de la stabilité. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. • Poursuite de la physiothérapie. Contrôle à ma consultation à 6 semaines post-opératoires le 24.06.2019. • Poursuite de la physiothérapie. Contrôle dans 3 mois. • Poursuite de la physiothérapie. Contrôle selon nécessité. • Poursuite de la physiothérapie en ambulatoire. Suivi de la calcémie à distance. Suivi à la consultation endocrinologique de Dr. X prévu fin mai 2019. Suivi oncologique Dr. X. • Poursuite de la physiothérapie en restant à disposition. • Poursuite de la physiothérapie et contrôle à 2 mois. • Poursuite de la physiothérapie et de la rééducation à la marche ainsi que mobilisation de la cheville et du genou en renforçant la musculature. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle à 6 mois postopératoires. • Poursuite de la physiothérapie et de l'ergothérapie avec attelle nocturne et application de silicone. Contrôle à 3 mois. • Poursuite de la physiothérapie et des exercices à domicile pour le renforcement musculaire et la stabilité. Protection de la cicatrice dans les chaussures. Prochain contrôle radioclinique à 6 mois post-opératoires. • Poursuite de la physiothérapie. La patiente, maman de jour, est toujours à l'arrêt de travail à 100%. Poursuite de ce dernier puis reprise à 50% dès mi-juillet 2019. Elle rapporte qu'au vu de son état, elle décidera de donner son congé si la situation ne s'améliore pas, plutôt que de reprendre à 50%. Elle dit posséder suffisamment de ressources financières pour ne pas travailler.Prochain contrôle clinique dans 6 mois. • Poursuite de la physiothérapie. La patiente va continuer de se déplacer à l'aide de cannes, rollator ou tintébin. Nous reverrons la patiente en contrôle à une année. • Poursuite de la physiothérapie. Le patient peut commencer la natation. Il doit éviter les sports de contact. Arrêt de travail à 100% pour les prochaines 4 semaines, puis à 50% jusqu'à la prochaine consultation. • Poursuite de la physiothérapie, mobilisation et renforcement musculaire. • Poursuite de la physiothérapie, nous informons le patient de la nécessité d'une prise en charge en ergothérapie et de sa responsabilité d'essayer avec les moyens dont il dispose d'améliorer, respectivement d'accélérer le processus de guérison. Nous lui demandons de bien vouloir prendre contact avec l'ergothérapie à l'Hôpital de Riaz. Prescription également d'antalgique avec Voltarène/Novalgine et crème Fastum, nous lui remettons également une incapacité de travail. Nous le reverrons d'ici deux mois. • Poursuite de la physiothérapie pour augmenter les amplitudes articulaires. Incapacité de sport pour 6 semaines supplémentaires, date du prochain contrôle. • Poursuite de la physiothérapie pour mobilisation et reprise des amplitudes du coude. Prochain contrôle clinique à 3 mois de la fracture. • Poursuite de la physiothérapie pour renforcement et stabilisation ddc. Prochain contrôle radioclinique (rx cheville f/p, cliché cercle de Meary ddc en charge). Nous discuterons de la suite de la prise en charge du côté G, soit par la mise en place d'une orthèse ou par une ligamentoplastie latérale. • Poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire et exercices de stabilité. Il faut qu'il essaie de lâcher les cannes de plus en plus. Il faut traiter le matériel d'ostéosynthèse à l'air comme étant une plaque contaminée. On se décide de faire une révision de la plaie avec débridement et changement de la plaque. En postopératoire, on va mettre un VAC pour améliorer la guérison qui est déjà difficile. L'intervention est prévue pour le 14.05.2019, poursuite du traitement antibiothérapeutique iv et selon évolution, pansement VAC. Le consentement est signé ce jour. • Poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire et travail proprioceptif. Le patient est autorisé à reprendre les activités sportives dès maintenant. Pas de contrôle nécessaire, nous restons à disposition en cas de problèmes. • Poursuite de la physiothérapie pour traiter la cicatrice et les tissus mous. Prochain contrôle à 1 an post-opératoire. • Poursuite de la physiothérapie. Poursuite du travail. Nous la reverrons dans le courant du mois d'août. Lors de l'opération, nous n'avions pas mis en évidence de lésion du ligament scapho-lunaire par arthroscopie ni par voie ouverte lors de l'ablation du kyste. Si les symptômes devaient persister, on devrait refaire une arthro-IRM. • Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an post-opératoire. Pour l'instant la rhizarthrose n'est pas assez symptomatique pour justifier une prise en charge chirurgicale. Poursuite de la physiothérapie dans ce contexte également. • Poursuite de la physiothérapie. Reprise de l'activité professionnelle dès le 20.05.2019. Contrôle à une année postopératoire. • Poursuite de la physiothérapie. Travail de la co-contraction isométrique. Travail du flexum charge partielle 30 kg. Amplitudes flexion maximale de 60° jusqu'au 02.06.2019 puis flexion jusqu'à 90° jusqu'au prochain contrôle dans 1 mois. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'à fin juin. • Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique le 22.05.2019. • Poursuite de la prise en charge de la plaie chez le médecin de famille avec ablation des fils à 14 jours. Contrôle à ma consultation dans un mois le 4.7.2019. Prescription de physiothérapie pour rééducation à la marche avec charge selon douleurs. • Poursuite de la prophylaxie antithrombotique par Clexane 20 mg 1x/j jusqu'à la sortie de l'Hôpital. Ablation du Comfeel dès J14 (ou avant si perte d'étanchéité); fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. • Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 15 jours. La patiente a rendez-vous à la consultation du Dr. X le 28.05.2019 à 11h45 pour réfection des pansements. Suite de la prise en charge orthopédique par le Dr. X. • Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines. Contrôle de la plaie à travers le pansement Comfeel. En cas de perte d'étanchéité de celui-ci, il devra être changé pour un pansement standard. Ablation du Comfeel et des fils à 2 semaines post-opératoires. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. • Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines post-opératoires. Contrôles réguliers de la cicatrice à travers le pansement Comfeel. En cas de perte d'étanchéité de celui-ci, il devra être remplacé par un pansement standard. Ablation du Comfeel et des fils à 2 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. • Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines. Réfection régulière du pansement et ablation des agrafes à 15 jours post-opératoires. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. • Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines. Ablation des fils à 15 jours post-opératoires soit à Billens, soit à votre consultation. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie, à 6 semaines post-opératoires. • Poursuite de la substitution orale. • Poursuite de la substitution jusqu'au 20.05.2019. Suivi biologique. • Poursuite de la surveillance rapprochée avec prochain scanner dans 4 mois. • Poursuite de la thromboprophylaxie durant 6 semaines. Ablation des fils à 15 jours post-opératoires dans le service de gériatrie. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 3 mois post-opératoires. • Poursuite de l'antalgie. • Poursuite de l'antalgie (Co-Dafalgan et Novalgine). Retour à domicile jusqu'au prochain rendez-vous chez l'urologue habituel prévu à la fin du mois. Patiente conseillée de revenir si nouvelles douleurs. • Poursuite de l'antibiothérapie à but d'éradication du E. faecalis par Amoxicilline 2x750 mg/j (prévue jusqu'au 23.05.2019). Prophylaxie thrombo-embolique par Liquemine 5000 U 2x/j jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14. Contrôle rx-clinique à la consultation du team hanche, Prof. X, à 6 semaines postopératoires. • Poursuite de l'antibiothérapie avec Co-Amoxicilline 2x/jour jusqu'au 11.05.2019. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. • Poursuite de l'antibiothérapie. Contrôle clinique et biologique au secteur ambulatoire des urgences le 28.05.2019. • Poursuite de l'antibiothérapie durant 5 jours. Contrôle à la consultation du Dr. X le 26.05.2019. Ablation des fils à 14 jours post-opératoires à la consultation du Dr. X. Contrôle à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 02.06.2019 inclus. Réfection du pansement en policlinique d'orthopédie le 29.05.2019. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 03.06.2019 pour contrôle et ablation des fils. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 02.06.2019.Réfection du pansement le 29.05.2019 à votre consultation. Rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et ablation des fils à 14 jours post-opératoires. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 03.06.2019 inclus. Le patient sera revu à votre consultation d'ici 2 semaines pour un contrôle des tests hépatiques. Rendez-vous à la consultation du Dr. X dans 1 mois pour contrôle clinique. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 05.06.2019 inclus. Le patient a rendez-vous en policlinique d'orthopédie le 18.05.2019 pour réfection du pansement et contrôle de la plaie. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 20.05.2019. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 07.05.2019. Contrôle clinico-biologique à la consultation du Dr. X le 09.05.2019. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 09.06.2019 inclus. Le patient sera revu en policlinique d'orthopédie deux fois par semaine, le prochain rendez-vous étant fixé au 30.05.2019. Ablation des fils à la consultation du Dr. X à 14 jours post-opératoires. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 10.05.2019 inclus. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X, chirurgien maxillo-facial, pour contrôle à distance. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 14.05.2019 inclus. Cyphoplastie prévue par le Team Spine de l'HFR Fribourg le 17.05.2019 en fonction de l'évolution de l'infection urinaire. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 16.05.2019 inclus. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 16.05.2019 à 09h00. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 19.04.2019. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 29.05.2019 inclus. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle d'ici une semaine. À la fin de l'été, Mme. Y prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X en vue d'une éventuelle cholécystectomie. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 30.05.2019. Contrôle clinique et ablation des fils le 03.06.2019 à la consultation du Dr. X. Poursuite de l'antibiothérapie par Ciprofloxacine avec rendez-vous de contrôle. Prolongation de l'arrêt de travail. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline p.o. pour un total de 5 jours. Contrôles réguliers des plaies en ergothérapie, ablation des fils à J14; à noter qu'au niveau de la pulpe de Dig II les fils sont résorbables. Contrôle clinique à la consultation de la Dr. X à 4 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/j p.o. jusqu'au 29.04.2019 compris. Contrôles réguliers de la plaie et ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X le lundi 29.04. et le jeudi le 02.05.2019. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j jusqu'au 26.05.2019. Suivi des plaies chez le médecin traitant. Contrôle clinique avec ablation des fils à la consultation du Dr. X/Dr. X à J14. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j jusqu'au 30.04.2019 compris. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant puis contrôle à 4 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 05.05.2019 compris. Réfection régulière du pansement (explications données au patient) avec contrôle 1x/semaine chez le médecin traitant, ablation des fils à J14. Nous n'avons pas prévu de revoir Mr. Y à notre consultation mais restons à disposition en cas de problèmes. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 13.04.2019 compris. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils côté radial de Dig IV à J14, ablation de l'ongle artificiel à J21. Contrôle rx-clinique à la consultation du team membre supérieur, Dr. X, à 6 semaines avec ablation de la broche. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o jusqu'au 19.04.2019. Ablation des fils chez le médecin traitant à J14. Poursuite Clexane jusqu'à Sintrom thérapeutique après 2 contrôles successifs. Contrôle de la crase chez le médecin traitant le 18.04.2019. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X le 26.04.2019. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 24.05.2019 compris. Réfection du pansement à raison de 3x/semaine par les SAD. Ablation des fils à la consultation du Dr. X à J14. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 24.05.2019. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à charge complète. Réfection des pansements à raison de 3x/semaine par les SAD. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X le 24.05.2019. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 27.05.2019 compris. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils dès J14, selon guérison. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 28.05.2019 compris. Contrôles réguliers de la plaie chez le médecin traitant et en diabétologie, ablation des fils à la consultation du Dr. X à 4 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 29.05.2019 compris. Suivi en ergothérapie avec contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J14. Contrôle à la consultation du Dr. X le 28.06.2019. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. pour un total de 2 semaines. Contrôles réguliers des plaies, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Nous n'avons pas prévu de revoir Mr. Y à notre consultation mais restons à disposition en cas de problèmes. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. pour 10 jours au total. En cas de péjoration de la situation le patient doit se présenter aux urgences pour évaluation clinique/biologique et éventuelle prise en charge chirurgicale. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1000 mg 2x/jour pour 5 jours. Contrôle chez le médecin traitant le 22.05.2019. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 600 mg 3x1/j pour un total de 5 jours. Réfection attelle Stack en ergothérapie le 22.05.2019. Contrôles réguliers de la plaie, ablation du fil fixant l'ongle de Dig V à J21 chez le pédiatre, le reste des fils est résorbable. Contrôle rx-clinique à la consultation de la Dr. X à 4 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie par dalacine 300 mg 3x/j p.o. jusqu'au 10.05.2019 compris. Réfection du pansement aspiratif PICO le 08.05.2019 en stomathérapie. Ablation des fils dès J14, selon cicatrisation, chez le médecin traitant. Suivi de la Na+ chez le médecin traitant. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie par dalacine 600 mg p.o. 3x/j jusqu'à 5 jours postopératoires au total. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils en ergothérapie. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Suivi en consultation de cardiologie (cf rapport ETT). • Poursuite de l'antibiothérapie par Floxapen 2 g 4x/j i.v. jusqu'au 16.05.2019. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cutané jusqu'à la réimplantation de la PTG G. • Essai d'ablation de la sonde vésicale la semaine prochaine. • Réévaluer la reprise du Zylorie 300 mg 1x/j p.o. selon évolution clinique. • Prévoir une colonoscopie à distance. • Contrôle à la consultation du Dr. X le 24.05.2019 à 10h00. • Réimplantation de la PTG G agendée au 12.06.2019 avec hospitalisation le 11.06.2019. • Poursuite de l'antibiothérapie PO, Co-Amoxi 1 gr 3x/jour pour 7 jours. • Poursuite attelle Edimbourg durant 7 jours. • Contrôle dans 48H chez le médecin traitant. • Poursuite de l'antibiothérapie prophylactique par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 21.05.2019. • Ablation des fils de suture le 11.05.2019 avant-bras G. • Contrôle clinique à la consultation du Dr. X à 4 semaines de la sortie (1ère semaine de juin 2019). • Poursuite de l'antibiothérapie. • Proposition de contrôle chez médecin traitant dans le courant de la semaine prochaine pour suivi de la symptomatologie clinique. • La patiente est instruite des symptômes nécessitant une consultation en urgences. • Poursuite de l'anticoagulation par Clexane 60 mg 2x/24 h jusqu'à obtention d'une plaie opératoire sèche puis relais par Xarelto 20 mg. • Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. • Poursuite de l'anticoagulation prophylactique durant 6 semaines. • Contrôles réguliers de la cicatrice à travers le pansement Comfeel, avec réfection pour un pansement standard en cas de perte d'étanchéité. • Ablation du Comfeel et des surjets Donati à 2 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. • Contrôle clinique à 6 semaines à la consultation du Dr. X. • Poursuite de l'anticoagulation (sous Sintrom pour artériopathie). • ECG. • Hydratation. • Poursuite de l'anticoagulation thérapeutique par Eliquis 2,5 mg 2x/j pour 3 mois puis réévaluer l'indication après un Holter de 24 h. • Suivi échocardiographique de la sténose aortique dans 6 mois. • Contrôles réguliers de la plaie chirurgicale, ablation des agrafes à J14. • Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 8 semaines. • Poursuite de l'arnica 3x/j pendant 48-72 h. • Re consulte en cas de signe de traumatisme crânio-cérébral expliqués (feuille remise à la maman) dans les 72 h. • Poursuite de l'arrêt de travail comme factrice. • Prochain contrôle chez moi le 30.8.2019. • Poursuite de l'arrêt de travail prévu jusqu'au 31.05.2019 puis reprise à 100% comme électricien. • Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. • À ce moment-là, nous discuterons de l'ablation des broches. • Poursuite de l'auto-mobilisation. • Intégration de la main dans les activités de la vie quotidienne. • Contrôle selon nécessité. • Poursuite de l'ergothérapie. • À mon sens, le patient ne souffre pas d'un neurome mais bien d'adhérences des tendons sur la plaque qui gênent le patient. • Poursuite de l'incapacité de travail. • Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. • Poursuite de l'ergothérapie. • Pas de contrôle nécessaire sauf en cas de problème. • Je reste à disposition. • Poursuite de l'ergothérapie pour la main. • Poursuite de la physiothérapie. • La patiente a un séjour prévu à Billens à la fin juin. • Je la reverrai en contrôle après ce séjour. • Poursuite de l'ergothérapie. • Prochain contrôle à 3 mois. • Poursuite de l'immobilisation dans le gilet orthopédique. • Prochain contrôle radioclinique dans 3 semaines pour fin de traitement. • Poursuite de l'immobilisation dans le plâtre amovible. • Prochain contrôle radioclinique le 18.06.2019. • Poursuite de l'immobilisation dans un gilet orthopédique pour au moins 6 semaines. • Actuellement, porteuse d'un gilet orthopédique avec rotation externe qui est ajusté pourrait être augmenté à environ 0/10° de rotation interne (auparavant 30-40° de rotation interne). • Début de la mobilisation pendulaire à 3 semaines du traumatisme, donc à 2 semaines dès ce jour. • Nous informons la patiente que son épaule risque d'être raide pendant 3 à 6 mois. • Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines. • Poursuite de l'immobilisation par un plâtre cruro-pédieux pour une durée de 4.5 semaines. • Prochain contrôle radioclinique hors plâtre dans 4 semaines. • Arrêt de sport pour 2 mois. • Poursuite de prise en charge aux soins intensifs. • Discussion pour un transfert aux HUG pour une transplantation. • Poursuite de prise en charge avec psychologue traitant. • Poursuite de prise en charge pour convulsions néonatales à Berne. • Poursuite de prise en charge psychiatrique, transfert à Marsens en PAFA. • Ablation des fils de l'arcade sourcillière droite le 22.05.2019 (à J5). • Poursuite de prophylaxie anti-thrombotique par Liquémine 2x5000 UI sous-cutané jusqu'à Sintrom thérapeutique après 2 contrôles successifs, le 1er le 03.05.2019. • Prophylaxie de CRPS par Redoxon 500 mg 1x/j du 26.04. au 21.06.2019. • IRM colonne lombaire agendée en ambulatoire le 04.06.2019 et consultation team spine le même jour. • Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines, également le 04.06.2019. • Réévaluer la nécessité d'un nouveau bilan de l'ostéoporose. • Poursuite de ses traitements habituels. • Poursuite de son traitement habituel par Madopar et Pramipexol. • Neuroréhabilitation intensive avec physiothérapie, ergothérapie et neuropsychologie. • Physiothérapie ambulatoire. • Consultation neurologique de contrôle chez son neurologue traitant, le Dr. X au Neurocentre Fribourg le 14.05.2019 à 08h00. • Poursuite de spironolactone et propranolol. • Poursuite de traitement actuel avec discussion par la suite chez médecin traitant pour mise en place d'un traitement de fond au vu des crises récurrentes. • Poursuite de Ventolin aux 3 heures. • Contrôle dans 24 h. • Stimuler hydratation. • Consultation en urgences si péjoration de l'état général, péjoration de la difficulté respiratoire ou difficulté d'hydratation. • Poursuite des antibiotiques pour une durée totale de 10 jours, avec critères de reconsultation expliqués au patient. • Contrôle en podologie à 10 jours et suite en ambulatoire chez le Dr. X. • Contrôle en angiologie le 11.06.2019. • Poursuite des contrôles de plaie chez le médecin traitant, avec ablation des fils à 3 semaines à partir du 23.05. • Poursuite des dialyses 3x/semaine à l'HFR Fribourg. • ETT le 02.05.2018 : FEVG 55%. • Poursuite des exercices à domicile, comme appris en physiothérapie. • Renforcement musculaire graduel dès le mois de mai en physiothérapie. • Prochain contrôle clinique dans 6 mois, à environ 1 an post-traumatisme. • Poursuite des investigations au centre des sarcomes au CHUV en ambulatoire. • Poursuite des investigations en ambulatoire auprès du médecin traitant, comme détaillé dans la liste des diagnostics. • Poursuite des rinçages de nez. • Poursuite des séances de dialyse 3x/semaine : mardi, jeudi, samedi. • Poursuite des soins à domicile à la sortie. • Poursuite des soins locaux et du suivi par les stomatologues. • Poursuite des tratements cardiovasculaires habituels. • Poursuite des traitements habituels et aérosols. • Introduction de la Morphine le 13.05.2019 avec majoration progressive. • Physiothérapie respiratoire. • Poursuite des traitements hypolipémiants Atorvastatine 40 mg, pas de traitement anti-hypertenseur. • Suivi clinique. • Refus de sevrage tabagique. • Poursuite d'Euthyrox. • Poursuite dialyse 3x/semaine : Ma-Je-Sa. • Poursuite Diprosalic. • Poursuite du fluconazole jusqu'au 05.05.2019. • Poursuite du MST continus en fixe. • Poursuite du Pantoprazol 2x40 mg/jour pendant 1 semaine, puis 1x/semaine. • Contrôle à 1 semaine chez le médecin traitant. • Contrôle clinique et contrôle de l'hémoglobine (Méléna) chez le médecin traitant. • Contrôle du poids (81.9 kg à la sortie), +/- reprise du Torasemide 10 mg (stoppé à la fin de l'hospitalisation).Merci d'organiser en ambulatoire une IRM cardiaque pour évaluer la viabilité inférieure (territoire cardiaque de l'artère coronaire droite occluse) et si viabilité discuter angioplastie de la CTO de la CD distale. Contrôle à 2 semaines chez le médecin traitant. Ablation de la sonde vésicale chez le médecin traitant à 2 semaines. • Poursuite du plâtre et charge selon douleurs. • Poursuite de la physiothérapie pour drainage lymphatique et mobilisation douce. • Arrêt de travail à 100 % pour 4 semaines. • Prochain contrôle clinique dans 4 semaines. • Par ailleurs, au vu des images radiologiques qui pourraient évoquer un CRPS, je souhaiterais qu'il soit évalué par nos collègues rhumatologues. • Poursuite du port de l'attelle Jeans à 0° et immobilisation pour 6 semaines. • Marche en décharge au maximum 10 kg. • US du genou D prévu pour exclure une lésion du tendon rotulien. • Prochain contrôle clinique à 6 semaines de la fracture. • Poursuite du port de l'attelle la journée pendant 4 semaines puis la nuit pendant 4 semaines. • Ne pas forcer la mobilisation, contrôle dans 2 mois. • Poursuite du port des semelles. • Physiothérapie et stretching quotidien pour améliorer la rétraction des gastrocnémiens. • Prochain contrôle clinique dans 3 mois. • Poursuite du port des semelles qui vont être adaptées. • Physiothérapie pour renforcement musculaire et instruction des exercices. • Nous le reverrons dans 6 mois pour un contrôle clinique. • Poursuite du protocole avec syndactylie. • Prochain contrôle clinique dans 2 semaines à la fin du traitement pour décider de la reprise du sport. • Poursuite du protocole de plaie. • Poursuite du renforcement musculaire et de la mobilisation au niveau de l'IP. Mr. Y accepte bien la déformation engendrée par le déplacement secondaire et la surface articulaire semble se maintenir. Il ne souhaite pas d'autre rendez-vous de contrôle, je reste à disposition si besoin. • Poursuite du Rydapt. • Poursuite du Stilnox. • Accompagnement interdisciplinaire. • Poursuite du suivi auprès du médecin traitant. • Selon l'évolution actuelle et le degré d'atteinte, une récupération complète est probable à 2 mois. • Poursuite du suivi en antalgie. • Les infiltrations sur le nerf cubital améliorent chaque fois la situation temporairement. • L'AI devrait se positionner et prendre en charge une reconversion professionnelle pour ce patient qui a une blessure sévère et se montre très motivé. • Je peux interpréter l'augmentation des douleurs plutôt liée à l'augmentation de l'intégration et de l'utilisation du MSD. • Il faut poursuivre l'ergothérapie en ce sens. • Poursuite du suivi glycémique. • Poursuite du suivi nutritionnel en ambulatoire. • Prochain contrôle à la consultation du Dr. X : la patiente sera convoquée. • Poursuite des soins à domicile 2x/j + Nutradom dès le 06.05.2019. • Poursuite du suivi psychiatrique ambulatoire par Dr. X. • Suivi neurologique chez Dr. X à prévoir. • Poursuite du suivi psychiatrique chez psychiatre traitant. • Consultation neurologique en cas de persistance des douleurs. • Poursuite du suivi psychiatrique par Dr. X en ambulatoire. • R-test à répéter une fois, puis réévaluer l'anticoagulation selon les résultats (si négatif, discuter un relais par Plavix seul avec Dr. X). • Convocation de la patiente par le secrétariat du Dr. X pour un rendez-vous de suivi neurologique. • Poursuite du suivi en consultation d'antalgie. • Suivi psychologique. • Physio et ergothérapie. • Poursuite de l'incapacité de travail. • Contrôle dans 2 mois. • Poursuite du Torem 60 mg. • Initiation d'un traitement d'Esidrex 25 mg 1x/j dès le 04.03.2019. • Suivi poids. • Poursuite du traitement. • Poursuite du traitement actuel. • Pas d'arguments pour abcès ou autres complications au vu du bon état général et de l'examen clinique rassurant. • Appel pédiatre ce jour pour résultats cultures d'urine. • Prévoir US si persistance EF > 72 heures, et à distance au vu du 1er épisode d'infection urinaire et énurésie nocturne. • Poursuite du traitement antibiotique. • Marche en charge selon douleur avec la semelle rigide jusqu'à guérison de la plaie. • Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. • Poursuite du traitement, car meilleure alternative impossible. • Halopéridol en réserve. • Poursuite du traitement conservateur. • Ablation du plâtre et mise en place de bretelles. • Prescription de physiothérapie pour reprise de la mobilisation sans charge. • Contrôle radioclinique dans 6 semaines. • Poursuite du traitement conservateur au vu de la bonne évolution et prochain contrôle clinique en automne. • Poursuite du traitement conservateur avec attelle Aircast. • Dispense de sport pour 6 semaines. • Charge selon douleurs et traitement physiothérapeutique dès la 2ème semaine avec mobilisation douce, drainage. • Puis renforcement progressif dès la semaine 4. • Nous la reverrons pour un contrôle radioclinique à 6 semaines. • Poursuite du traitement conservateur avec circularisation de l'attelle AB ce jour à porter encore durant 5 semaines. • Prochain contrôle radioclinique dans 5 semaines. • Poursuite du traitement conservateur avec confection, en ergothérapie, d'un métacarpal Brace prenant le pouce avec l'interphalangienne pour une durée totale de 6 semaines depuis le traumatisme. • Prochain contrôle clinique dans 2 semaines. • Poursuite du traitement conservateur avec écharpe durant la journée et attelle BAB en réserve en cas de douleurs durant la nuit. • Mobilisation libre en physiothérapie mais sans charge durant les 6 prochaines semaines. • Poursuite de l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au 25.06.2019, puis reprise à 50 % jusqu'au 02.07.19 et pour finir reprise à 100 %. • Prochain contrôle radioclinique dans 5 semaines. • Poursuite du traitement conservateur avec immobilisation par attelle AB circulaire pour un total de 6 semaines. • Prochain contrôle radioclinique dans 5 semaines pour ablation du plâtre et début de la physiothérapie. • Poursuite du traitement conservateur avec physiothérapie en piscine et prochain contrôle clinique en août. • Poursuite du traitement conservateur avec physiothérapie. • Prochain contrôle clinique dans 2 mois. • Poursuite du traitement conservateur avec port d'un gilet orthopédique pour 3 semaines et mobilisation régulière au niveau du coude. • Au bout de 3 semaines, initiation d'un traitement de physiothérapie pour renforcer la coiffe des rotateurs. • Poursuite de l'incapacité de travail jusqu'au 23.06.2019 et reprise à partir du 24.06.2019. • Prochain contrôle le 26.06.2019. • Poursuite du traitement conservateur avec prochain contrôle radioclinique à 4 semaines post-fracture. • Arrêt du sport pour 6 semaines. • Poursuite du traitement conservateur avec Rucksack à porter encore 4 semaines. • Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines. • Poursuite du traitement conservateur avec une attelle thermoformée en ergothérapie. • Prochain contrôle clinique dans 6 semaines avec ablation de l'attelle. • Poursuite du traitement conservateur avec une décharge de 15 kg en touch down sous protection d'un Vacopedes. • Comme il y a un grand risque de déplacement au niveau du 1er rayon, nous allons le revoir pour un contrôle radioclinique dans 1 semaine. • Si tout va bien, nous le reverrons à 6 semaines post-traumatiques. • Poursuivre la Clexane. • Arrêt de travail pour 6 semaines à 3 mois. • Poursuite du traitement conservateur avec une décharge de 15 kg en touch down sous protection d'un Vacopedes pour un total de 6 semaines. • Prochain contrôle radioclinique avec des RX pied D f/p/o à 6 semaines du traumatisme. • S'il n'y a pas de déplacement 6 semaines, charge progressive sous protection d'un Vacopedes. • Arrêt de travail pour 6 semaines à 3 mois. • Poursuite du traitement conservateur avec une mobilisation en touch down de 15 kg avec un Vacoped pour 8 semaines au total. • Xarelto 10 mg per os jusqu'à la charge complète hors Vacoped. • Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines.Poursuite du traitement conservateur. Circularisation du plâtre AB ce jour. Nous le reverrons pour un contrôle radioclinique hors plâtre à 6 semaines de la fracture soit le 16.05.2019. Poursuite du traitement conservateur, contrôle radio-clinique dans 2 semaines et poursuite de l'incapacité de travail. Poursuite du traitement conservateur. Immobilisation dans l'attelle pour encore 3 semaines. Prochain contrôle radioclinique dans 3 semaines avec ablation de l'attelle et reprise de la mobilisation sans charge. Poursuite du traitement conservateur par attelle Stack pour un total de 4 semaines. Nous le reverrons pour un contrôle radioclinique le 23.05.2019. En cas de bonne guérison dans 4 semaines, ablation de l'attelle durant la journée pour une mobilisation libre sans charge et attelle en réserve la nuit. Poursuite du traitement conservateur par semelles rigides. Immobilisation pour 6 semaines au total. Charge selon douleurs. Prochain contrôle radioclinique à 6 semaines de la fracture. Poursuite du traitement conservateur par une immobilisation pour une durée de 6 semaines. Changement et circularisation du plâtre ce jour. Après le changement du plâtre, l'hypersensibilité du pouce est complètement en régression. Nous la reverrons pour un contrôle radioclinique le 06.06.2019. Poursuite du traitement conservateur. Pas d'activité en charge maximal pour 3 mois au total, c'est-à-dire pour encore 1 mois. Pas d'activité à risque pour un total de 6 mois. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Poursuite du traitement conservateur. Pas de nouveau contrôle prévu mais je reste à disposition si besoin. Poursuite du traitement conservateur. Prochain contrôle clinique dans 4 semaines. Poursuite du traitement conservateur. Prochain contrôle le 25.06.2019. Poursuite du traitement conservateur selon le protocole. Ablation des chaussures de Kuenzli et mise en place de talonnettes de 1 cm ddc. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Poursuite du traitement d'acide valproïque à 500 mg bid. Rendez-vous de contrôle auprès du Dr. X dans le courant du mois de juillet. Surveillance des enzymes hépatiques. Interdiction de la conduite pour 3 mois. Poursuite du traitement d'Agiolax introduit par la pédiatre. Contrôle mardi 28.05 comme prévu. Poursuite du traitement de Létrozole 2,5 mg. Suite de prise en charge en oncologie. Poursuite du traitement de physiothérapie pour l'épaule D ainsi que de l'incapacité de travail à 60% pour les prochaines 6 semaines. Un prochain contrôle est prévu à ma consultation le 26.6.19. Poursuite du traitement en antalgie. Contrôle à ma consultation d'ici 2 à 3 mois. Poursuite du traitement en cours. Poursuite du traitement en cours. Oxygénothérapie 2 l aux lunettes. Poursuite du traitement et suivi oncologique en ambulatoire par Dr. X. En cas de péjoration abrupte des douleurs, nous recommandons au patient de reconsulter. Le patient sera convoqué pour un contrôle radioclinique dans 2 semaines à l'unité Spine. Suivi nutritionnel en ambulatoire par les diététiciennes. Réévaluation de l'antalgie selon évolution, en particulier le Sirdalud auquel la Ciprofloxacine confère des taux sanguins augmentés. Poursuite du traitement habituel. Poursuite du traitement habituel après discussion avec vous-même. Poursuite du traitement habituel. Consilium psychiatrique le 24.05.2019 : pas d'indication à une hospitalisation à Marsens, pas d'idéations suicidaires, pas de contre-indication à un retour à domicile. Poursuite du traitement habituel par Haldol, Neuleptil. Temesta 1 mg en ordre unique. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. ECG : RSR à environ 100/min, BAV I° avec PR 206 ms, QRS fins avec un axe à 45°, QTc à 408 ms, inversion des ondes T connue en D3 et aVF. Avis psychiatrique : hospitalisation à l'unité Jasmin à Marsens. Poursuite du traitement habituel. La famille prend rendez-vous chez Dr. X la semaine qui suit la sortie. Poursuite du traitement inhalateur habituel. Gazométrie. RX thorax. Att : Sevrage tabagique. Poursuite du traitement introduit à l'Inselspittal. Poursuite du traitement local par Lalugen et Mépitel. Physiothérapie avec mobilisation et renforcement musculaire. Prochain contrôle le 15.05.2019. Travaillant dans l'hôtellerie, la patiente reste en incapacité de travail. Poursuite du traitement mis en place à Riaz pour 7 à 10 jours. Consultation en ortho-urgences à 7-10 jours. Poursuite du traitement par Litalir 500 mg 1x/j p.o. (2 jours consécutifs puis 1 jour de pause). Poursuite du traitement par Scopolamine 1 gtte/j, Xalatan 1 gtte/j et Cosopt 1 gtte 2x/j. Poursuite du traitement par Zoladex. Poursuite du traitement selon avis de Dr. X. Poursuite du traitement symptomatique. Consultation chez pédiatre si diarrhées persistantes > 15 jours ou apparition de fièvre ou de rectorragies. Poursuite du Xyzal 5 mg pour 7 jours. Stop crème Fucidine et Bétadine. Consilium dermatologique demandé. Reconsulter en cas de signe d'infection dans l'intervalle. Poursuite d'un régime pauvre en graisse durant deux semaines. Le patient sera revu à votre consultation pour contrôle clinique et biologique dans 1 semaine. Poursuite d'un régime pauvre en graisse durant 6 semaines. Contrôle à la consultation de Dr. X le 27.05.2019 à 09h30. Poursuite d'une mobilisation libre. Reprise des activités sportives dès maintenant à l'exception d'activités trop soutenues sur le membre supérieur. Dans 2 semaines, reprises de toutes les activités comme avant l'intervention. Contrôle à une année. Poursuite Euthyrox (100 mcg/j). Dosage TSH T3 T4 et vitamine B12 en cours à suivre. Poursuite Fentanyl patch 100 mcg. Morphine en réserve. Poursuite hydratation lait + Normolytoral. Ttt symptomatique, rinçage nez. Suivi chez pédiatre dans 24-48h. Consignes usuelles déshydratation. Poursuite insulinothérapie. Reprise metformine après coronarographie selon fonction rénale. Poursuite Invanz jusqu'au 07.05.2019. Poursuite Janumet 50/500 et Diamicron 60 mg. Poursuite Metformine. Suivi glycémique. Consultation pour enseignement diabétologique. Enseignement par la diététicienne. Poursuite Oxygénothérapie et VNI nocturne. Poursuite physiothérapie et antalgie en ambulatoire. Poursuite Remeron et Quetipain, Temesta et Baldrian en réserve. Entretiens réguliers avec la patiente. • rassurance, renforcer confiance en soi. Poursuite rinçage de nez et traitement symptomatique. Poursuite schéma dégressif de corticothérapie. Poursuite de CPAP. Prévoir réadaptation pulmonaire à Billens. Suivi échocardiographique à 6-12 mois, à organiser. Poursuite SNO, alimentation plaisir. Simplification des traitements. Poursuite supplémentation en acide folique et contrôle à distance. Poursuite Symbicort durant le séjour. Incruse + Relvar à la sortie selon souhait de la patiente. Poursuite Torasémide. Spironolactone du 24.04 au 26.04.2019. Echocardiographie transthoracique le 24.04.2019. Poursuite traitement actuel. Poursuite traitement Anti-Dry. Poursuite traitement habituel. Poursuite traitement habituel. Poursuite traitement local. Incapacité de sport. Rendez-vous le 06.05.19 à la consultation de Dr. X à 16h30 pour discuter d'une éventuelle intervention. Poursuite traitement par CPAP selon paramètres ci-dessus (9-14 cmH20). Contrôle CPAP chez Dr. X (merci de convoquer la patiente). Contrôle clinique avec fonctions pulmonaires en avril 2010 à notre consultation. Poursuite traitement par CPAP selon paramètres ci-dessus (9-14 cmH20).Contrôle CPAP chez Dr. X (merci de convoquer la patiente) Contrôle clinique avec fonctions pulmonaires en avril 2020 à notre consultation. • Poursuite traitement symptomatique et adaptation dosage anti-pyrétiques. • Poursuite traitement symptomatique Dalfagan et Chamomilla pour fièvre uniquement Surveillance des signes de surinfection Contrôle au besoin. • Poursuite traitements laxatifs par sirop de figue et Movicol. • Poursuite ttt habituel Institutionnalisation. • Poursuite ttt symptomatique. • Poursuite Valcyte 450 mg 1x/j dès le 24.05.2019 (GFR <40) PCR CMV sérique le 31.05.2019: à pister Contrôle de la formule sanguine 1x/semaine. • Poursuite Venlafaxin 75 mg Temesta en réserve. • Poursuite Xarelto. • Poursuite Xyzal 10 gouttes 2x/j, 2 jours Consultation si dyspnée, vomissement, diarrhée. • Poursuivre bains 1x/ jusqu'à disparition de la douleur. • Poursuivre du protocole de plaie. • Poursuivre la substitution de vitamine D3. Mesure du HbA1c et contrôle du glucose lors de la prochaine prise de sang. Introduire Uro-Vaxum 1x/j pendant 3 mois. • Poursuivre l'antibiothérapie par Bactrim forte 800/160 mg 3x/j p.o. jusqu'au 09.07.2019 et prévoir des contrôles réguliers de la formule sanguine et de la fonction rénale pendant ce traitement chez le médecin traitant (minimum 1x/semaine). Réfection régulière du pansement (3x/semaine) avec infirmière à domicile selon protocole, jusqu'à l'ablation des fils. Protocole pansement: désinfection par Bétadine + tulle Bétadiné. Ablation des fils selon ordre médicale du team pied à 4-5 semaines. Prochain contrôle de la cicatrice prévu le 16.05.2019 à la consultation du team pied. • Poursuivre le réglage du sintrom. Évaluer reprise de l'IEC. Evaluation si rentrée à domicile est réaliste. • Pousse de névrodermite modérée à sévère. • Poussée aiguë d'une maladie de Crohn le 03.05.19. • Poussée de maladie de Still avec myalgies et arthralgies. • Poussée de maladie de Still. • arthralgies. • érythème palmaire et plantaire. • éruption cutanée maculaire. • Poussée hypertensive. • Poussée hypertensive à 190 mmHg de systole le 18.05.2019. DD appareil défectueux. • Poussée hypertensive à 220/110 mmHg le 18.05.2019 DD dans le contexte de changement de traitement antihypertenseur. • Poussée hypertensive. • contexte de douleurs sur fracture du coude. • Poussée maladie de Crohn avec iléite terminale et adénopathies le 03.05.2019 • sous Remicade toutes les 6 semaines • suivie par Dr. X. • Pox clean 1x/j et badigeon blanc. Feniallerg 10 gouttes 3x/j si démangeaison. Surveillance de surinfection. • Préalbumine: Substitution électrolytes. • Préciser suivi. • Prednisolon majoré de 15 mg à 30 mg pendant l'hospitalisation dans le cadre de l'infection. • Prednison 50 mg 1x/j, Belaxten 20 mg 1x/j pendant 5 jours. Prurimed Lipolotion. • Prednisone 15 mg/jour à partir du 10.05.2019 13.05.2019 : Ponction articulaire autour du long chef du biceps G blanche, infiltration de DepoMedrol 40 mg ddc. • Prednisone 25 mg du 11 au 14.05.2019. • Prednisone 50 mg per os pour 5 jours. Corticothérapie topique à continuer. • Prednisone 50 mg pour 5 jours. Reprise du Symbicort et Ventolin. Consultation chez Dr. X pour l'adaptation de la thérapie. • Prednisone 50 mg. Xyzal 5 mg. Régime hypoglycémique rigoureux pendant les 4 jours de prise de cortisone. Retour aux Urgences si pas d'amélioration. • Prednisone 70 mg/jour puis schéma dégressif, + Valacyclovir 1000 mg 3x/jour pendant 7 jours. Contrôle à 5 jours du début à la F 34, si pas d'amélioration/péjoration de la paralysie, ad ENMG (afin d'évaluer le potentiel de récupération). Reconsulter si apparition de signe de gravité dans l'intervalle. • Pré-éclampsie. • Pré-éclampsie à 31 semaines d'aménorrhée d'une grossesse gémellaire bichoriale-biamniotique spontanée chez une patiente 2G1P de 27 ans. • Pré-éclampsie modérée. • Pré-éclampsie sévère. • Préférence des parents à ne pas effectuer de radiographies ce jour. Application de glace, Algifor. Consultation si persistance des douleurs. • Prélèvement de pus du 28.04 Hémocultures négatives. • Prélèvement intra-rénal peropératoire : Candida Albicans 10E6. Caspofungine dès le 25.04.2019 avec 70 mg i.v. dose de charge puis 50 mg 1x/j, relai par Fluconazole 400 mg PO jusqu'au 07.05.2019 compris (14 jours totaux d'antifongique). Poursuite dosage réduit du Xarelto en raison de l'interaction avec le Fluconazole. Contrôle des tests hépatiques 2x/semaine. Prochain contrôle biologique le 02.05.2019 à 11h30 chez le médecin traitant. • Prélèvement négatif. Pansement VAC (retiré le 12.04.2019). Fermeture de la plaie. • Prématuré à 34 1/7 SA, PN 2650 g (P 25-50), TN 45 cm (P 25-50), PCN 34 cm (P 75-90), Apgar 8/9/9, pH v 7.28 avec élongation du plexus brachial gauche transitoire sur accouchement instrumentalisé multiple et difficile avec parésie transitoire de Erb jusqu'au 30.08. • Prématuré à 34 1/7 SA, PN 2650 g (P 25-50), TN 45 cm (P 25-50), PCN 34 cm (P 75-90), Apgar 8/9/9, pH v 7.28 A l'entrée: J0 = 34 SA 3/7, P 2650 g (P 25-50). • Prématuré de 28 1/7 SG, PN 650 g (< P 10), TN 32 cm (< P 10), PC 23 cm (> P 10) actuellement à 37 6/7 SG, poids 1900 g (< P 10), taille 41.5 cm (< P 10), PC 32 cm (< P 10) hypospadias omphalite légère. • Prématuré de 34 2/7 SG, PN 2370 g (P 25-50), TN 47 cm (P50-75), PCN 32 cm (P 25-50) • Syndrome brady-apnéique du prématuré • Difficultés alimentaires du prématuré • Ictère néonatal sans incompatibilité (Bili tot. max. 191 mcmol/l) • Hypotension artérielle sur trouble de l'adaptation respiratoire • Syndrome de détresse respiratoire sur wet lung dans le contexte de prématurité et diabète gestationnel non-insulinodépendant • Hydronéphrose congénitale gauche (pyélon max. à 12 mm) • Reflux vésico-urétéral bilatéral de grade II à III à droite et IV à gauche avec néphropathie de reflux gauche (asymétrie de taille et de fonction en défaveur du rein gauche 27 % pour 73 à droite). • Urosepsis à E. coli multisensible le 27.01.14 • Pyélonéphrite à E. coli en 02.2014 (résistant à l'Augmentin, sensible à Cefixime, Bactrim) • Pyélonéphrite à Enterococcus sp en 06.2014 • Phimosis opéré. • Prématuré de 34 5/7, poids de naissance 2548 g (P 50), taille de naissance de 45 cm (P 25), périmètre crânien de 31.5 cm (P 10-25). • Prématuré de 35 1/5 PN 2010 g (P 8), PC 31 cm (P 8), Taille 44 cm (P 7). • Prématuré né à 26 5/7 SG, PN 805 g (P 10-50), TN 35 cm (P 10-50), PCN 23.5 cm (P 10-50). S/p hernie inguinale unilatérale avec incarcération et perforation digestive • S/p stomie et rétablissement de continuité • S/p perfusion paraveineuse de calcium avec cicatrice du mollet gauche et essai de correction • S/p orchidopexie bilatérale juillet 2016 • Thrombus septique de la veine sous-clavière G et veine cave supérieure en avril 2015 (contrôle angiologie et cardiologie en 2016: pas de séquelles) • Thrombose artérielle fémorale selon la maman • S/p 4 bronchites obstructives dont 2 hospitalisations (dernière fin mars 2017) • Attention: est très difficile à piquer en veineux, faisable sous sédation, mais ça marche très bien en capillaire ! • Faux-croup. • Prématuré né à 30 6/7 semaines de gestation, poids de naissance 1700 g (P 50-75), taille de naissance 42 cm (P 50-75), périmètre crânien de naissance 29.5 cm (P 25-50) Jumeau 1 d'une grossesse gémellaire bi-choriale bi-amniotique. • A l'entrée, J15 = 32 6/7 semaines de gestation, poids 1760 g (P 25), taille 43 cm (P 25-50), périmètre crânien 30.5 cm (P 25-50). • Prématuré né à 33 2/7 SA, jumeau 1 d'une grossesse gémellaire bichoriale et bi-amniotique, avec retard de croissance intra-utérin sur insuffisance placentaire, avec un faible poids pour l'âge gestationnel soit avec un poids de naissance à 1170 g (< P 3), un périmètre cranien de naissance à 30 cm (P 10-25) et une taille de naissance à 36 cm (< P 3).S/P cure de hernie inguinale bilatérale à l'âge de 3 mois Macrocéphalie bilantée par Dr. X et Dr. X : ras Sous Pregomin AS depuis l'âge de 3 mois, introduit par pédiatre dans le cadre de pleurs et coliques Prématuré né à 34 0/7 avec poids 1990 g (P10-P25), T 43 cm (P10-P25), PC 30.5 cm (P10-P25). Naissance par voie basse avec mise en travail spontanée. Prématuré né à 34 4/7, PN 1560 g (p<3), TN 40 cm (p<3), PCN 30 cm (p5-10) Jumeau 2, grossesse gémellaire bichoriale-biamniotique Hypoglycémie précoce néonatale (min 2.2 mmol/l) DD prématurité, poids <2500 g, hypothermie Hyperbilirubinémie (Bilirubine max 209 umol/l) traitée par photothérapie Prématuré 35 SA, 2x 24 h photothérapie, bonne adaptation néonatale Prématuré 35 1/7 SG, PN 2130 g (P10-50). Hyperbilirubinémie néonatale Prématurée de 29 5/7 SA, poids de naissance 950 g (P15); Taille 35 cm (P10); PC 25,4 cm (P15) À l'entrée à Fribourg : J31= 34 2/7 SA, poids 1665 g (P 5) PC 30 cm (P10) Taille 40 cm (P<3) Prématurée de 34 5/7 SG, PN 1560 g ( 1l. Prostatite chronique à E. Coli ESBL : • Status après prostatectomie partielle transurétrale 2003. Prostatite, DD : infection urinaire haute. Protéinurie isolée à 0.8g/24h avec important œdème des membres inférieurs, sans HTA. Prothèse bipolaire hanche D sur fracture col fémur D type Garden I le 14.10.2015 disloquée secondairement. Etat confusionnel en décembre 2014 (sans précision). Oesophagite de reflux (non datée). Multiples fausses couches spontanées à 2-3 mois d'origine indéterminée (non datées). Gingivite et glossite dans le contexte du syndrome sec le 14.01.2016. Fracture intra-articulaire déplacée, comminutive, radius distal G ; le 10.02.2017. • Réduction ouverte et ostéosynthèse radius distal G par 2 plaques Aptus 2.5 dorsales (OP le 13.02.2017). Traumatisme crânien simple ; le 10.02.2017. Infection urinaire basse le 10.02 et le 19.02.2017. Contusion simple des deux genoux le 19.03.2019. Infection urinaire asymptomatique le 19.03.2019. Hypovitaminose D le 21.03.2019. Crise hypertensive le 24.03.2019. Anémie macrocytaire le 10.05.2019. Bilan vitaminique à effectuer. Prothèse céphalique bipolaire cimentée à gauche le 12.04.2019. RX bassin et hanche axiale gauche 23.04.2019. Physiothérapie. Réadaptation à Valmont le 02.05.2019. Prothèse du genou droit en 01.2019. Accouchement par voie basse en 2000 et 2001.Hystéroscopie et curetage évacuateur le 23.09.15 pour rétention de matériel trophoblastique après IVG médicamenteuse Résection des amygdales dans l'enfance. Prothèse du genou droit en 01.2019. Accouchements par voie basse en 2000 et 2001. AVB en 2000 et 2001. Prothèse épaule droite en 2009. 2 épisodes de TVP MI ~2008-2011. AVC ischémique aigu de la fosse postérieure (lésions ischémiques punctiformes de l'hémisphère cérébelleux droit ainsi que du vermis droit) d'origine cardio-embolique le 18.01.2015. Traitement complexe Stroke Unit. Hospitalisation aux Soins intensifs - Stroke Unit du 18 au 21.01.2015. CT cérébral avec cartes de perfusions et vaisseaux précérébraux le 18.01.2015. IRM cérébrale 19.01.2015. Doppler cervical 19.01.2015 (Dr. X) : athéromatose des bulbes carotidiens ddc sans sténose significative. Doppler cervical 21.01.2015 : pas de sténoses significatives des artères vertébrales ddc. Suspicion réaction allergique sur Atorvastatine (réaction cutanée). Arrêt Atorvastatine. Relais par Simvastatine. QT long visualisé à l'ECG le 27.01.2015 (QTc 484 ms) • avec BAV I et BBD • patiente sous amiodarone 600 mg jusqu'au 01.02.2015. Contrôle ECG chez médecin traitant. Prothèse épaule droite post traumatisme 2009. AVC 2011. Thrombose oculaire D. Chute avec contusion de l'épaule droite le 20.01.2019. • CT épaule/bras droit : pas de fracture péri-prothétique, fracture de l'acromion. • CT cérébral natif : absence d'hémorragie ou de fracture. Pseudarthrose C2. • PEC conservatrice avec gilet orthopédique pour 4 jours et antalgie. Fracture poignet gauche. Légère décompensation cardiaque le 29.01.2019. Infection urinaire basse simple le 30.01.2019. Prothèse totale coude D Conrad Murray cimentée le 07.02.2019 sur fracture complexe de l'humérus distal D. Hypoesthésie nerf ulnaire. Prothèse totale de genou à droite 27.09.2018. Rupture du quadriceps. TURP 2012 (Dr. X). Prothèse totale genou gauche 31.05.2012. Kyste de Baker rupturé à droite. Suspicion de diverticulite sigmoïdale proximale perforée 2016. Trouble anxieux avec trouble du sommeil suite à l'infarctus du myocarde du 25.11.2018. • S/p dépression récidivante avec état anxio-dépressif avec hospitalisation à Marsens 05.2018. Choc cardiogène sur STEMI avec occlusion de l'IVA le 25.11.2018. Prothèse totale de hanche à gauche non datée. Prothèse totale de hanche droite posée en 2011 avec AIT dans le territoire de l'ACM gauche per-opératoire. Déficit sévère en vitamine D le 14.03.2019. Prothèse totale de hanche gauche en 2002. Epistaxis dans un contexte de crise hypertensive le 24.02.2014. Appendicectomie dans l'enfance. Mycose péri-génitale. État fébrile d'origine peu claire le 04.07.2014 (DD : sur origine urinaire dans le contexte d'une urosepsis le 04.06.2014). Anémie hypochrome normocytaire. DD : sur origine infectieuse : Hb jusqu'à 95 g/l le 07.07.14. Insuffisance cardiaque droite aiguë sur hyper-remplissage dans un contexte d'urosepsis le 08.06.2014. Colique néphrétique gauche le 13.03.2017. Dermo-hypodermite du membre inférieur droit le 12.04.2019. Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN de probable origine pré-rénale sur insuffisance rénale chronique le 12.04.2019. Prothèse totale de la hanche droite. Prothèse totale de la hanche droite le 03.04.2019 (Dr. X) dans le contexte d'une coxarthrose droite. Prothèse totale de la hanche droite sur coxarthrose invalidante le 30.04.2019, avec : • s/p lésion de l'A. fémorale profonde et du N. fémoral droit lors d'une intervention pour coxarthrose le 21.06.2018 avec force du M. quadriceps initialement à M2 et hypesthésie dans le territoire du N. saphène. Prothèse totale des hanches droite et gauche. Prothèse totale du genou gauche. Status post-opération hernie discale. Sténose L3-L4 modérée et L4-L5 sévère avec claudication spinale. Décompression L3-L4 par la D par cross-foraminotomie. Décompression inter-laminaire L4-L5 avec mise en place d'un SténoFix taille 16 (opération le 22.11.2013). Colique néphrétique gauche le 05.12.2013. Exacerbations de cervicalgies non-déficitaires d'origine dégénérative. Prothèse totale du genou bilatérale. Hystérectomie. Pyélonéphrite en avril 2018. Cure de hernie inguinale gauche sur probable hernie incarcérée (anamnestiquement). Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale le 27.03.2019. • FeUrée 12.5 %. • Clearance 34.9 ml/min selon CKD-EPI. • Doppler rénal le 27.03.2019 montrant une sténose de l'a. rénale droite de >60%, evt revoir avec les collègues d'angiologie pour le suivi. Décompensation cardiaque gauche le 28.03.2019. Prothèse totale du genou droit en janvier 2017. Fracture-tassement L1 en 2007. Lobectomie supérieure droite pour tuberculose à l'âge de 20 ans. Appendicectomie. Cholécystectomie. Amygdalectomie. Ovariectomie. Cure de varices au membre inférieur gauche en 2009. Décompression inter-épineuse et inter-lombaire L3-L4 bilatérale (opération le 10.11.2017) sur canal lombaire étroit L3-L4, kyste facettaire L3-L4 gauche et sténose foraminale et récessale L5-S1 gauche. Exérèse d'un carcinome micro-invasif à morphologie poroïde de la peau avec modifications de dermatite de stase au niveau pré-tibial gauche. Anémie ferriprive avec hémoglobine à 84 g/l le 26.10.2017. Anémie hypochrome microcytaire d'origine ferriprive en post-opératoire à 101 g/l. Prothèse totale du genou gauche en mars 2012. Prothèse totale de la hanche gauche en 1997. Deux césariennes en 1963 et en 1966. Prothèse totale du genou gauche en 2014 à la Clinique Générale de Fribourg. Métrorragie anamnestique. Prothèse totale du genou gauche le 28.03.2019. Prothèse totale du genou gauche le 29.01.2018. Rhinoseptoplastie pour obstruction nasale chronique sur déviation post-traumatique de la cloison nasale (fecit Dr. X) le 29.09.2017. Intoxication alcoolique aiguë le 19.09.2017, avec : • Traumatisme crânien. • Rhabdomyolyse avec CK à 10030 U/l. • Plaies de pression grade I aux coude et jambe à droite, et au dos. Amnésie circonstancielle et dysarthrie dans un contexte de chute et d'éthylisation le 19.11.2014. Traumatisme crânien sous éthylisation le 25.08.2014. Traumatisme crânien sous éthylisation le 28.11.2013, avec fracture de l'os propre du nez. Anémie normocytaire, normochrome, ferriprive en novembre 2010 sur gastrite chronique à H. pylori. Suspicion d'hémorragie digestive haute non avérée le 06.03.2018 avec : • Patiente connue pour hernie hiatale. • Dépendance à l'alcool. Prothèse totale du genou gauche. Céphalées inhabituelles en casques d'origine indéterminée le 28.09.2018. Probable fracture costale droite le 28.12.2017 (DD : contusion thoracique). Chute de sa hauteur avec traumatisme crânien sans perte de connaissance le 07.06.2017 avec contusion frontale et péri-ombilicale. Douleur rétrosternales d'origine mixte probable le 08.08.16 (DD reflux gastro-œsophagien, composante pariétale, spasme coronarien moins probable). Monoarthrite à cristaux de pyrophosphate de calcium du genou droit en 2016. Possible fracture de la phalange proximale du 2ème orteil gauche. Vertiges d'origine mixte et faiblesse des membres inférieurs d'origine indéterminée en décembre 2012 (DD angoisse). Hystérectomie 1998. Prothèse totale gauche. 2 cures de varices. Séminome guéri. Radiothérapie prostate 12.2018-02.2019. Prothèse totale hanche gauche en 2002. Epistaxis dans un contexte de crise hypertensive le 24.02.2014. APP dans l'enfance. Mycose périgénitale Etat fébrile d'origine peu claire le 04.07.2014 (DD sur origine urinaire dans le contexte d'une urosepsis le 04.06.2014) Anémie hypochrome normocytaire DD sur origine infectieuse : Hb jusqu'au 95g/l le 07.07.14 Insuffisance cardiaque droite aiguë sur hyper-remplissage dans un contexte d'urosepsis le 08.06.2014 Colique néphrétique gauche le 13.03.2017 • Scanner : calcul de 5.5mm * 4mm dans la vessie, dilatation uretère gauche de 12 mm • Prothèse uni-compartimentale du genou G le 07.05.2019 pour gonarthrose varisante fémoro-tibiale interne • Prothèse unicompartimentale du genou gauche en 2017. • Diverticulite en 2009. • Appendicectomie et amygdalectomie dans l'enfance. • Prothèses mammaires bilatérales en 2011 pour raison esthétique. • Prothèses mammaires (esthétique) • Appendicectomie à 40 ans • Césarienne • Syncope sur hypotension orthostatique le 16.02.2017 • Excision d'un naevus mélanoctaire composé surmontant un névrome du genou droit en 2005 (Dr. X) • Excision d'un mélanome malin de type SSM, Clark IV, Breslow 0.57mm du bras droit en 2005 (Dr. X) • Excision d'un naevus à cellules naeviques composé, congénital de la cuisse gauche en 2006 (Dr. X) Etat fébrile récidivant d'origine indéterminée les 27.02.2019, 04.03.2019, 06.03.2019 : • Diagnostics différentiels : paranéoplasique, cholangite, infection urinaire asymptomatique Diarrhées le 01.03.2019 Vertiges de type orthostatique dès le 21.02.2019 Saignement actif au sein d'une métastase hépatique du segment VI du foie le 30.03.2019 avec : • Collection péri-hépatique, état fébrile et frissons solennels • Hémoglobine à 63g/l le 02.04.2019 • Prothèses totales de genoux bilatérales • Protocole avec 20UI novorapid en 250ml de G20% en 20 minutes, puis 10UI en 250ml de G20% en 20 minutes Contrôle biologique à 3 heures et 6 heures Protocole avec 10UI Actrapid en 250ml de G20% en 30 minutes, puis 20UI en 250ml de G20% en 30 minutes le 09.04.2019 89.4mg de Gluconate de calcium le 09.04.2019 Resonium 15g 3x/j du 09.04.2019 au 14.04.2019, 2x/j dès le 15.04.2019 • Protocole des pleurs • Poursuite Nexium • Limitation de la prise alimentaire à max 720 ml par jour (160 ml/kg/j) • Protocole POLICE, AINS et antalgie per os. • US quadriceps en ambulatoire et contrôle en ortho-urgences dans 1 semaine pour discuter de la suite de prise en charge. • Physiothérapie ambulatoire dès J2. • Immobilisation selon symptômes avec attelle jeans 20 ° et 2 cannes anglaises avec charge selon douleurs. • Protocole pour la plaie • Excision partielle de l'ongle • Protocole RICE, bande antalgique, cannes. • Antalgie. • Contrôle chez le médecin traitant. • Protocole selon l'équipe d'oncologie ambulatoire • Opacification : caillot mobile au bout du catheter • Ouverture spontanée lors de l'opacification • Protocole stomatothérapeutique • Betadine, Betadine tulle, compresses bande de gaze • Pâte de zinc • Provocation • Provocation du travail • Provocation du travail par Propess 2 fois le 06 et le 07.05.2019 • Provocation du travail pour dépassement du terme • Provocation par : Ballonet, Propess et Syntocinon Antalgie par péridurale Suites de couche • Provocation par : Ballonnet, RAM, Syntocinon le 05 et 06.05.2019 • Provocation par Ballonet puis Syntocinon Antalgie par péridurale Suite de couches • Provocation par Ballonnet le 13.05.2019 Travail soutenu par Syntocinon • Provocation par ballonnet le 20.05.2019 retiré le 21.05.2019 Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse (PE 500cc) Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g Suite de couches • Provocation par Ballonnet le 25.05.2019, Propess le 26.05.2019 Antalgie par péridurale Suites de couches • Provocation par Misodel le 04.05.2018 Antalgie par Kalinox Suites de couches • Provocation par Misodel le 10.05.2019 • Provocation par Misodel le 10.05.2019 Travail soutenu par Syntocinon Incision selon Pfannenstiel sous péridurale renforcée Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Epreuve au bleu de méthylène négatif Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches • Provocation par Misodel le 18-19.05.2019 Travail rapide : 20 UI de Syntocinon Suite de couches • Provocation par Misodel le 23.05.2019 Suites de couches • Provocation par Misodel Antalgie par péridurale Suites de couches • Provocation par Misodel Antibioprophylaxie par Clamoxyl Antalgie par péridurale Suite de couches • Provocation par Propess, ballonnet, Syntocinon Antalgie par péridurale Suites de couches • Provocation par Propess du 14.05-16.05.2019 Travail soutenu par Syntocinon HGPO à 3 mois Contrôle diabétologique à 6 mois • Provocation par Propess le 03.05.2019 et Misodel le 04.05.2019 Antalgie par Nalbuphine à 2h30 Incision selon Pfannestiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Zinacef 1.5g Suites de couches • Provocation par Propess le 09.05.2019 Suites de couches • Provocation par Propess le 11.05.2019 et 12.05.2019 Suites de couches • Provocation par Propess le 15.05.2019 Travail soutenu par Syntocinon Antalgie par péridurale • Provocation par Propess le 17.05.2019 après 12 heures d'expectative et sans mise en travail spontanée Antibioprophylaxie par Clamoxyl dès 12 heures post rupture prématurée des membranes • Provocation par Propess le 17.05.2019 Travail soutenu par Syntocinon Antalgie par péridurale Suites de couches • Provocation par Propess le 23.05.2019 Travail soutenu par Syntocinon Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl IV Antalgie par péridurale Suite de couches • Provocation par Propess le 30.04.2019 à 20h00 Antalgie par péridurale Suites de couches • Provocation par Propess Travail soutenu par Syntocinon Antalgie par péridurale Suites de couches • Provocation par Propess Antalgie par Kalinox Suites de couches • Provocation par Propess Suites de couches • Provocation par Propess Suites de couches • Provocation par Propess Travail soutenu par Syntocinon Antalgie par péridurale Suites de couches • Provocation par Syntocinon Antalgie par péridurale Suites de couches • Provocation pour désir maternel • Provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant • Provocation pour RCIU • Provocation pour suspicion de cholestase gravidique et protéinurie isolée • Provocation pour terme dépassé • Prurit. • Prurit abdominal et au niveau des membres inférieurs et œdème des membres inférieurs. • Prurit cutané dans la région de l'anus • Prurit des membres inférieurs sur léger fond œdémateux. • Prurit d'origine indéterminée connu DD : paranéoplasique • Prurit et œdème des membres inférieurs. • Prurit et œdème labial. • Prurit et vomissement dans un contexte d'administration d'acétylcystéine le 23.05.2019. • Prurit généralisé. • Prurit généralisé d'origine indéterminée depuis 4 ans • Prurit œil gauche et érythème paupière : • Diagnostic différentiel : rosacée • PSA le 27.05.2019 Rappatrier document du Dr. X (notamment IRM prostatique récente?) Consilium oncologique à prévoir (suivi du Dr. X) pour discuter de l'attitude et de l'indication à de nouvelles investigations, le patient souhaitant arrêter le traitement. • Pseudarthrose de l'acromion G avec arthrose AC G avancée et lésion sous-totale du tendon du sus-épineux épaule G. • Pseudarthrose du fémur proximal D sur status post ostéosynthèse d'une fracture sous-trochantérienne par clou PFNA le 17.03.2017. Pseudarthrose du fémur proximal D sur statut post ostéosynthèse d'une fracture sous-trochantérienne par clou PFNA le 17.03.2017. Pseudarthrose du scaphoïde avec arthrose type SNAC II à G. Pseudarthrose naviculo-cunéiforme pied G sur statut post • Arthrodèse naviculo-cunéiforme médiale G le 02.11.2018 sur arthrose. Pseudarthrose P2 Dig IV G sur statut post exploration de plaie et ostéosynthèse P2 Dig IV main G le 23.07.2018 sur subamputation du 4ème doigt G au niveau de P2 avec fracture ouverte de P2 D IV avec lésion du tendon extenseur et lésion de la gaine des fléchisseurs. Status cure de pseudarthrose P2 Dig IV et arthrodèse DIP Dig IV G par vis rétrograde le 31.01.2019. Pseudarthroses symptomatiques côtes 5-9 à droite • Status post-fractures de côtes en série 3 à 9 à droite en août 2018. • Ostéosynthèse de côtes 5-9 à droite, système matrix rib le 25.04.2019. Pseudarthroses symptomatiques côtes 6-9 à droite • Status post-fractures de côtes en série 3 à 9 à droite en août 2018. • Ostéosynthèse de côtes 6-9 à droite, système matrix rib le 25.04.2019. Pseudo bactériémie à staph coag négative (1/4 bouteille). Pseudo-anévrisme de l'artère fémorale droite post coronarographie:-thrombosée par Thrombine le 07.12.09. St. p. AVC régressif le 14.07.2002. St. p. thrombendartériectomie de l'art. carotide int. gauche pour sténose 80 %. Pseudo-anévrysme fémoral droit le 17.05.2019. Pseudoarthrose du col fémoral sur fracture du col fémoral G d'allure chronique • dans un contexte d'ostéoporose probable sur non utilisation de l'articulation et spasticité sur Parkinson. Pseudo-hyponatrémie à 128 mmol/l hyperosmolaire. Pseudo-hyponatrémie à 130 mmol/l, osmolarité 283 mmol/l. Pseudo-hyponatrémie à 132 mmol/l. Pseudo-hyponatrémie le 13.04.2019. Pseudo-hyponatrémie normo-osmolaire à 129 mmol/l. Pseudo-méningocèle sur fuite de LCR causée par une brèche durale péri-opératoire, repris chirurgicalement avec exploration et suture de la brèche durale (paramédiane droite entre D12-L1) sous microscope le 19.04.2019. Pseudo-méningocèle sur fuite LCR d'une brèche durale peropératoire le 25.03.2019 • Spondylodèse D11-L1 par System Viper, décompression du canal sous neuromonitoring, potentiels évoqués moteurs et sensitifs au niveau D11-L1, décompression par foraminotomie G ddc au niveau L4-L5, L5-S1 avec laminectomie L5 G le 25.03.2019 sur myélopathie médullaire dorsale sur sténose D11-D12 et D12-L1. Psoriasis. Psoriasis au niveau des paumes des mains bilatéralement • sous Diprosalic en réserve. Psoriasis depuis 15 ans. Hypercholestérolémie traitée. Obésité morbide stade 3 depuis 2011 avec BMI à 40 en juillet 2017. Douleurs lombaires chroniques sous opiacés (marche avec cannes, longues distances en chaise roulante). Troubles de la crase dans le contexte du sepsis le 21.07.2017. Flutter auriculaire le 26.07.2017 transitoire dans le contexte septique. Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale du 21.07-28.07.2017. Anévrisme de l'aorte abdominale connu • Visualisé sur une radiographie de la colonne lombaire faite par le médecin traitant. • Bilan angiologique le 06.10.2017 à l'HFR Fribourg. Sténose carotidienne bilatérale connue • Occlusion athéro-thrombotique de l'artère carotide commune et interne gauche avec amaurose fugace le 17.01.2011. • Sténose de 80 % au départ de la carotide externe droite. • Sténose non significative de l'artère sous-clavière proximale gauche. Perturbation des tests hépatiques le 27.07.2017 (DD: médicamenteuse, septique, ischémique (aux soins intensifs). Psoriasis en plaques. Psoriasis inversé. Diverticulose (CT 27.10.2009). Accident vasculaire cérébral du tronc cérébral en 2005, récidive en 2008 et suspicion de récidive en juillet 2009. Psoriasis inversé. Diverticulose (CT 27.10.2009). Accident vasculaire cérébral du tronc cérébral en 2005, récidive en 2008 et suspicion de récidive en juillet 2009. Ostéoporose avec • ancienne fracture de D4 et D12; altérations dégénératives dorso-lombaires. Psoriasis sous traitement topique. Anorexie mentale. Psoriasis. Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle. Psoriasis. Troubles dépressifs sous antidépresseur. HTBP. Psoriasis. Troubles dépressifs sous antidépresseur. HTBP. Psychiatrique - dépendance OH: • Crise d'hyperventilation, le 13.01.2012. • Traumatisme crânien et de la colonne cervicale sur chutes à répétition dans le contexte d'alcoolisation aiguë, le 25.05.2016. • Alcoolisation aiguë le 11.01.2018. • Abus médicamenteux le 09.05.2018 avec hospitalisation à Marsens. • Intoxication médicamenteuse et éthylique le 13.05.2018. • chute dans le cadre d'une éthylisation aiguë / Éthylisation aiguë à 2,68 pour mille. • Décision de PAFA suite à une discussion avec le juge de paix, Dr. X et Dresse Y. Transfert au RFSM CSH Marsens le 16.11.2018. Entorse de la cheville gauche, stade II le 13.01.2018. Opératoire : • Appendicectomie. (date X). • Amygdalectomie. • Césariennes en 1992 et en 2001, deux accouchements par voie basse. • Hystérectomie subtotale avec conservation des annexes en 2002 pour endométriose. • Laparoscopie avec adhésiolyse en 2004. • Bypass gastrique en 2005. • Laparoscopie avec ovariectomie gauche en 2006. • Adhésiolyse et annexectomie droite laparoscopique le 22.06.2010 pour syndrome douloureux pelvien avec échec de traitement conservateur. • Résection sigmoïdienne selon Hartmann le 24.06.2010 pour sepsis sévère avec péritonite sur perforation sigmoïdienne après annexectomie droite par laparoscopie le 22.06.2010. • Rétablissement de la continuité le 27.09.2010. • Annexectomie gauche avec adhésiolyse par laparotomie le 03.05.2016 sous anesthésie générale. Traumatisme crânien pariétal gauche : Fracture longitudinale extra-labyrinthique du rocher gauche, s'étendant à la suture squameuse et se prolongeant dans l'os pariétal gauche, sans déplacement. Psychose maniaco-dépressive • suivi psychologique en place par Mme Y (cabinet du Dr. X). Psychothérapie à organiser par son médecin si pas d'amélioration après avoir écarté la possibilité de m. Parkinson débutante. PTG à droite en 2013. Phakectomie bilatérale. Fracture claviculaire avec mise en place de vis il y a 30 ans. Appendicectomie. PTG bilatérale non datée. Hystérectomie non datée. Pneumonie communautaire du lobe moyen droit le 11.02.19 traité Co-amoxicilline 1g 2x/jour du 11.02.19 au 17.02.19. Cystites à répétition. PTG D Zimmer Persona sur gonarthrose tricompartimentale le 26.03.2019. PTG D 01/2019. PTG D 01/2019. PTG D 01/2019 s/p hémicolectomie pour diverticulite. PTG ddc (droite en 2001, gauche en 2004 HFR Tafers Dr. X). PTH ddc (droite en 2010, gauche en 2004 HFR Tafers Dr. X). Urolithiase récidivante avec pose de sonde double-J 10/2017 (Dr. X). Infection tardive sur PTH à droite avec un Streptococcus epidermidis 12/2017 avec débridement et changement de la prothèse le 14.12.2017 (Inselspital, Dr. X). PTG droit en 2014, à la Clinique générale. Lésions du jéjunum proximal : • OGD du 19.08.2016 : pas de lésion intra-luminale mise en évidence. • biopsie du 19.08.2016 : ectasies des vaisseaux lymphatiques dans la lamina propria des axes villositaires pouvant être secondaires à une lésion sous-jacente (p.ex néoplasique, parasitaire). Cardiopathie hypertensive, valvulaire et coronaire avec : • Tachycardie supra-ventriculaire par réentrée récidivante les 12.08, 20.08 et le 26.08.2016 avec ischémie myocardique (NSTEMI) secondaire le 20.08.2016.• status post deux NSTEMI • ETT (15.07.2016): pas de dilatation du VG, hypokinésie inféro-basale minime, FEVG à 70%, bonne fonction valve aortique biologique, obstruction VG au Valsalva, dilatation modérée OG. • hypotension artérielle sur phénomène d'obstruction dynamique (ETT du 15.07.2016) • coronarographie (18.07.2016): Sténose de la branche principale à 50% et distale chronique de l'IVA • status post ACB LIMA auf RIVA (2013) • status post valve biologique pour sténose aortique (2013) • Avis cardiologique (Dr. X) le 29.08.2016: pas d'indication à une thermoablation, proposition d'arrêter les bêta-bloquants et d'introduire de la Cordarone Insuffisance rénale chronique stade G3a sur glomérulonéphrite membraneuse cortico-dépendante depuis 2013 • eGFR selon CKD-EPI: 52.1 ml/min, Crea: 114 umol/l le 18.07.2018 • eGFR selon CKD-EPI: 47.5 ml/min, Crea 123 umol/l, le 25.07.18 • eGFR selon CKD-EPI: 41 ml/min, Crea 139 umol/l, le 27.07.18 • eGFR selon CKD-EPI: 52.6 ml/min, Crea 113 umol/l, le 02.08.18 Maladie de Ménière G sous Betaserc HTA Nucalgies chroniques dans le contexte d'arthrose colonne Chondrocalcinose Diverticulose sigmoïdienne Hémorroïdes externes Goutte sous Allopurinol PTG G en 2000 Cholécystectomie Appendicectomie Hystérectomie et annexectomie PTG G sur gonarthrose tricompartimentale le 21.03.2018 PTH D et ostéophytectomie antérieure et postéro-inférieure sur coxarthrose D le 13.07.2017 PTG D sur gonarthrose tricompartimentale invalidante le 12.10.2016 • Fracture de la tête péroné D diagnostiquée le 08.11.2016 probablement dans les suites de la PTG (pas de notion de traumatisme) Fracture des branches ilio- et ischio-pubiennes G le 24.06.2016, traitée conservativement. Hystérectomie et annexectomie pour cystadénome de l'ovaire G en 2006 Cystopexie pour prolapsus utérin en 2006 Strumectomie subtotale pour goître multinodulaire en 2004 Cupulolithiase en 1996 et 1999 Cure de varices en 1995 Thyroïdite aiguë en 1992 Cholécystectomie en 1975 TCC pariétal G avec 2 jours de coma en 1969 Cure du tunnel carpien bilatéral Opération de diverticule de Zenker PTG G sur gonarthrose tricompartimentale le 21.03.2018 PTH D et ostéophytectomie antérieure et postéro-inférieure sur coxarthrose D le 13.07.2017 PTG D sur gonarthrose tricompartimentale invalidante le 12.10.2016 • Fracture de la tête péroné D diagnostiquée le 08.11.2016 probablement dans les suites de la PTG (pas de notion de traumatisme) Fracture des branches ilio- et ischio-pubiennes G le 24.06.2016, traitée conservativement. Hystérectomie et annexectomie pour cystadénome de l'ovaire G en 2006 Cystopexie pour prolapsus utérin en 2006 Strumectomie subtotale pour goître multinodulaire en 2004 Cupulolithiase en 1996 et 1999 Cure de varices en 1995 Thyroïdite aiguë en 1992 Cholécystectomie en 1975 TCC pariétal G avec 2 jours de coma en 1969 Cure du tunnel carpien bilatéral Opération de diverticule de Zenker PTG G sur gonarthrose tricompartimentale le 21.03.2018 TCC pariétal G avec 2 jours de coma en 1969 Cholécystectomie en 1975 Thyroïdite aiguë en 1992 Cure de varices en 1995 Cure du tunnel carpien bilatéral Cupulolithiase en 1996 et 1999 Strumectomie subtotale pour goître multinodulaire en 2004 Opération de diverticule de Zenker Cardiopathie dysrythmique avec thermo-ablation d'un flutter auriculaire en 2005 (CHUV) Hystérectomie et annexectomie pour cystadénome de l'ovaire G en 2006 Cystopexie pour prolapsus utérin en 2006 Accidents vasculaires cérébraux lacunaires en 2006 Fracture des branches ilio- et ischio-pubiennes G le 24.06.2016, traitée conservativement PTH D et ostéophytectomie antérieure et postéro-inférieure sur coxarthrose D le 13.07.2017 PTG D sur gonarthrose tricompartimentale invalidante le 12.10.2016 • Fracture de la tête péroné D diagnostiquée le 08.11.2016 probablement dans les suites de la PTG (pas de notion de traumatisme) PTG gauche le 24.08.2010 et PTG droite en 2012 Ostéosynthèse d'une fracture multi-fragmentaire de l'olécrane gauche (non datée) Méniscectomie interne et externe du genou droit avec arthrose bicompartimentale en valgus du genou droit Appendicectomie et cure de hernie inguinale droite (non datée) PTH bilatérale Carcinome de la prostate traité par prostatectomie Omarthrose bilatérale de longue date Fracture supra-condylienne déplacée du radius distal droit en 2017 PTH bilatérale Cholécystectomie APP TURP Luxation épaule D avec fracture de la tête humérale et arrachement de la grande tubérosité; accident du 31.10.2017 • Réduction luxation sous A.G. le 01.11.2017 • Ablation du fragment osseux de la grande tubérosité, comblement de la lésion de Hill-Sachs avec proximalisation d'un fragment osseux, OS par 2 vis libres de ce fragment puis OS de la tête humérale par plaque tiers tube, bras D le 20.11.2017 TC simple avec plaies sous et sus-orbitaires à D le 04.03.2019 PTH D par voie antéro-latérale pour coxarthrose invalidante, le 03.05.2019 PTH D pour coxarthrose invalidante le 02.05.2019 PTH D sur coxarthrose le 07.05.2019 PTH D sur coxarthrose le 17.04.2019 PTH ddc Oeil gauche: perforation oculaire avec hernie irienne et sortie de l'haptique supérieure PMMA de chambre antérieure de type Kelmann PTH douloureuse bilatérale sur status post PTH G en 2006 sur nécrose aseptique et PTH D en 2009. PTH D PTG D Sepsis à Streptococcus pneumoniae sur pneumonie basale G avec empyème le 07.06.2014 Fracture-tassement de L1 le 04.08.2016 post-traumatique. Thrombose partielle de la veine porte non obstructive (CT 07.10.2008 et 10.03.3009) Cirrhose hépatique CHILD B le 07.06.2014 avec : Thrombocytopénie à 74 G/L probablement sur hypersplénisme en 2014 Varices oesophagiennes stade I-II Hémorragie digestive haute sur ulcères gastriques et gastrite érosive PTH droite 2007, Révision 2013. Trouble d'adaptation postopératoire • Trouble de la marche post-fracture tri-malléolaire droite (20.07.2015) • Ostéosynthèse avec plaque post/externe, cerclage externe 04.08.2015, Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Dysrythmie. Hypothyroïdie. Hypovitaminose D • 45 nmol/l (14.08.2015). PTH droite (cupule Fitmore taille 54, noyau Durasul 54/36, tête Protasul 36 col L, tige MS-30/12 standard, centralizer 12/14, bouchon Weber 4, Palacos R+G) le 09.05.2012, pour fracture du col du fémur droit Résection de kystes du sein gauche il y a plus de 30 ans. PTH droite le 06.03.2013 pour coxarthrose Status post-cure d'hémorroïdes Status post-cure de hernie hiatale Status post-fracture du genou gauche avec arthrodèse il y a 20 ans PTH droite opérée le 03.04.2013 pour coxarthrose PTH G en 1999 • Changement de cupule de la PTH gauche en septembre 2011 • 3 luxations de PTH gauche post remplacement de la cupule PTH G en 2002. Epistaxis dans un contexte de crise hypertensive le 24.02.2014. APP dans l'enfance. Mycose péri génitale. Etat fébrile d'origine peu claire le 04.07.2014 (DD sur origine urinaire dans le contexte d'une urosepsis le 04.06.2014) Anémie hypochrome normocytaire DD sur origine infectieuse : Hb jusqu'au 95 g/l le 07.07.14. Insuffisance cardiaque droite aiguë sur hyper-remplissage dans un contexte d'urosepsis le 08.06.2014. Colique néphrétique gauche le 13.03.2017. • Scanner: calcul de 5.5 mm * 4 mm dans la vessie, dilatation uretère gauche de 12 mm. PTH G en 2006 OAP dans le cadre d'une cardiopathie ischémique et valvulaire en 2008 Infection sternale postopératoire en 2008 Rhabdomyolyse 27.09.2013 dans un contexte de chute Ischémie critique jambe D 27.09.2013 • bypass fémoro-poplité (1998, 1990) • explantation des deux pontages fémoro-poplités (Goretex) à D, patch d'élargissement sur le carrefour fémoral, ligature de l'artère poplitée et débridement des tissus mous et drainage le 01.10.2013 (Dr. X) • pontage ilio-tibio-péronier du MID à l'aide d'une veine inversée VSI D+10cm de VSIG (38.48) le 28.10.2013 (Dr. X) • débridement de nécrose pied D avec section des tendons extenseurs, pansement VAC le 28.10.2013 (Dr. X) • meshgraft pied D 05.11.2013 Ulcère de décubitus de grade II Fracture-luxation tri-malléolaire, ouverte au 3ème° selon Gustillo, cheville D; le 09.12.2016 • révision, débridement, rinçage plaie péri-malléolaire interne, fixateur externe cheville D le 09.12.2016 • ablation fixateur externe, réduction ouverte, OS malléole interne par 2 vis et malléole externe par 2 plaques et 2 broches 1.6, cheville D le 21.12.2016 PTH G hybride opérée le 21.11.2016 pour fracture du col du fémur G de type Garden III sur chute mécanique (Dr. X). PTH D en août 2008 pour fracture du col fémoral Pneumothorax D iatrogène sur ponction nodule apical D sous CT le 22.12.2014. Fracture ouverte P3-D2 main D avec luxation de l'ongle: • status post réduction ouverte le 31.10.2013. Probable AIT avec parésie du membre inférieur gauche transitoire (durée 2h) le 08.11.2017 DD étiologique : sur foramen ovale perméable, plaque d'athérosclérose Décompensation de BPCO le 08.11.2017 • Critères d'Anthonisen 3/3 Embolie pulmonaire segmentaire du lobe supérieur droit de découverte fortuite le 08.11.2017 Grippe à Influenza A en février 2019 PTH G par voie antérieure mini-invasive pour coxarthrose invalidante, le 01.05.2019 PTH G par voie mini-invasive antérieure sur coxarthrose, le 01.04.2019 PTH G sur coxarthrose invalidante, le 05.12.2018 PTH gauche en 2002. Epistaxis dans un contexte de crise hypertensive le 24.02.2014. APP dans l'enfance. Mycose péri-génitale. Etat fébrile d'origine peu claire le 04.07.2014 (DD : sur origine urinaire dans le contexte d'un urosepsis le 04.06.2014). Anémie hypochrome normocytaire (DD : sur origine infectieuse : Hb jusqu'au 95g/l le 07.07.14). Insuffisance cardiaque droite aiguë sur hyper-remplissage dans un contexte d'urosepsis le 08.06.2014. Colique néphrétique gauche le 13.03.2017. • Scanner : calcul de 5.5 mm * 4 mm dans la vessie, dilatation uretère gauche de 12 mm. PTH gauche en 2010 Stripping varices en 1965 Appendicectomie dans l'enfance PTI avec récupération complète à 4 mois 1/2 du diagnostic et 3 mois du 2ème traitement (Ig + corticoïdes) Ptose labiale. Ptose labiale droite. PTSD avec des symptômes psychotiques. DD Trouble psychotrique aigue (délirant) PTSD, trouble anxio-dépressif, trouble du développement et trouble des interactions sociales PTT allongé à 45 sec PUC du genou D pour gonarthrose varisante fémoro-tibiale interne, le 09.04.2019 Pulmonale Tuberkulose • 07.08.2015 : Lc 4.3 G/l, CRP < 5 mg/l, ASAT 36 U/l, ALAT 13 U/l, AP 210 U/l, gGT 12 U/l, Bilirubin direct 3.0 umol/l, Harnsäure 269 umol/l, HIV-1/2 négatif • Radiographie Thorax ap/latérale 07.08.2015 : sans particularité • Sputum 03.07.2015 : Mycobacterium complex, test de résistance rapide pour Rifampicine négatif • Sputum 07.08.2015 : aucune bacille acido-résistante, PCR Mycobactéries négatif, culture en attente Rimstar 4x/jour à partir du 08.08.2015, Vitamine B6 40 mg 08.08.2015 Sprechstunde Dr. X (FMH Infectiologie) am 21.08.2015, 14.00 Uhr Pulpite Doigt IV droite Pupille d'Adie gauche le 06.05.2019 avec • Anisocorie avec mydriase gauche aréactive Purpura thrombocytopénique idiopathique en 2014 Purpura thrombopénique idiopathique Purpura vasculaire (infectieux DD purpura rhumatoide) Pustule douloureuse au niveau de la partie médiale inférieure du pectoral droit. Pustulose exanthématique aigue généralisée (AGEP) post-médicamenteuse (Co-Amoxicilline) avec : • éruption morbilliforme à prédominance acrale et au niveau des plis secondairement pustuleuse • énanthème • conjonctivite bilatérale • vulvite • phénomène de Koebner (cicatrice cuisse droite) • état sub-fébrile • absence d'atteinte d'organe (foie, rein, cœur) DD : discuté éliminés : érythème polymorphe post-médicamenteux / post-viral, réaction médicamenteuse morbilliforme ou autre (DRESS, SJS), Kawasaki atypique, auto-immun (lupus, Behçet, vasculite : Wegener, Churg-Strauss), syndrome en gant et chaussette (parvovirus B19), syndrome pied-main-bouche ou autre éruption à Coxackie, SSSS, HIV ou syphilis, candidose systématisée Pyélonéphrite Pyélonéphrite : Rocéphine 2 g iv 26.06.2017- 28.06.2017. Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale (24.06.2017), eGFR MDRD 54.5 ml/min. Pyélonéphrite à droite le 15.05.2019 • Ceftriaxone 2 g i.v. le 15.05.2019 • Urotube : Staphylococcus saprophyticus Pyélonéphrite à E. Coli multisensible Pyélonéphrite à E. Coli depuis le 01.05 • Sous ceftriaxone depuis le 01.05.2019 • Culture d'urine effectuée à Payerne : E. Coli Résistant à Gentamycine, ciprofloxacine Pyélonéphrite à E. Coli multisensible. Pyélonéphrite à gauche sur sonde vésicale en place Pyélonéphrite aiguë Pyélonéphrite aiguë à E. coli multisensible Pyélonéphrite aigue à E. coli multi-sensible, 1er épisode, sans malformation des voies urinaires associée Pyélonéphrite aiguë à E. Coli résistant à l'ampicilline. Mycose de la vulve. Infection des voies respiratoires supérieures. Douleurs musculosquelettiques secondaires à la toux. Fracture Salter Harris II du radius distal gauche. Pyélonéphrite aiguë droite chez patiente 1G0P à 24 SA Pyélonéphrite aiguë droite le 30.04.2019 Pyélonéphrite aiguë en novembre 2014. Acidité gastrique traitée par Omeprazole 20 mg. Coqueluche probable au décours le 25.07.2018. Douleur rétrosternale d'étiologie indéterminée. Pyélonéphrite aiguë gauche en 2015. Cure de varices bilatérales 2009 et 2015. Incontinence urinaire traitée chirurgicalement en août 2012. Décompression L3-L4 et L4-L5 et mise en place d'un U inter-épineux en 2006. Appendicectomie. Opération de hallux valgus. Dolicho-sigmoïde. Eczéma. Pneumonie lobaire inférieure D 2.19 Pyélonéphrite aiguë gauche le 19.07.2017. Tentamen suicidaire le 29.04.2017 avec prise de 20 mg Temesta. Intoxication volontaire au Temesta le 18.05.2015. Perte de connaissance. DD : crise d'hyperventilation, crise hystériforme le 11.05.2015. Syncope vaso-vagale. DD : crise hystériforme. Pyélonéphrite aiguë gauche le 26.07.16. Anémie microcytaire hypochrome à 82 g/l ferriprive le 26.07.16 (100 mg Venofer iv le 26.07.16 bien toléré). Pyélonéphrite aiguë le 10.05.19 : • sensibilité loge rénale droite, leucocyturie au sédiment urinaire. Pyélonéphrite aiguë, sous Podomexef depuis le 20.05 (3 doses reçues) Pyélonéphrite aigue 1er épisode Pyélonéphrite bilatérale le 15.05.2019. Pyélonéphrite, contrôle clinique Pyélonéphrite débutante probable. Pyélonéphrite Droite. Pyélonéphrite droite, Pyélonéphrite droite. Pyélonéphrite droite. Pyélonéphrite droite à E. Coli multisensible le 10.05.2019. • CT abdominal injecté : pas de lésion ischémique, pas de signe pour un foyer abdominal d'origine digestif, signe de pyélonéphrite droite.Ceftriaxone 1 dose 2g le 10.05.2019 puis Ciprofloxacine 500 mg 2x/j depuis le 10.05.2019. Pyélonéphrite droite à E. coli multisensible. Antibiothérapie par Ciprofloxacine depuis le 09.05.2019 pour une durée de 7 jours. Pyélonéphrite droite à E. coli en mai 2018. Zona Zoster, avec syndrome post-zona bras. Rétention urinaire aiguë le 06.09.2016. Crises de goutte au niveau des bras et des genoux. Pyélonéphrite droite à E. coli multisensible. Pyélonéphrite droite à Entérobacter aerogenes. Pyélonéphrite droite à Escherichia coli le 15.05.2019. Pyélonéphrite droite à Escherichia le 10.05.2019 avec • bactériémie à Escherichia coli: 1p/2, 1b/8. Pyélonéphrite droite avec dilatation pyélocalicielle sans obstacle visualisé le 15.05.2019. Pyélonéphrite droite compliquée d'un abcès rénal le 20.05.2019 résistant au traitement de Ciprofloxacine avec: • pyurie, microhématurie, bactériurie, nitrites positifs au sédiment urinaire. • loge rénale droite douloureuse à l'ébranlement. • état fébrile et syndrome inflammatoire. • patiente traitée depuis le 16.05.2019 par Ciprofloxacine pour une infection urinaire haute. Pyélonéphrite droite du 25.05.2019. Pyélonéphrite droite le 08.07.2010. Excision kyste bras G il y a environ 10 ans. Pyélonéphrite droite le 10.05.2019. • Ceftriaxone 2g OU le 10.05.2019, Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour depuis le 11.05.2019. Pyélonéphrite droite le 11.05.2019 • traitée par Ceftriaxone 1 g en attente des résultats de culture (depuis une clinique à Zürich). • notion de prostatite chronique. Pyélonéphrite droite le 13.04.2019, • Ciprofloxacine 500 mg 2x/j dès le 13.04.2019 (introduit par le médecin de garde). Pyélonéphrite droite le 15.02.2016. Plusieurs infections urinaires, prophylaxie jusqu'à l'âge de 5 ans. Gastrite le 04.12.2018. DD : gastro-entérite débutante. Pyélonéphrite droite le 24.04.2019 • Rocéphine 2 g IV le 24.04.2019, relai par Ciproxine 500 mg bid. • Urotube le 24.04.2019 : 10E6, Raoultella ornithinolytica ++, Enterococcus faecalis ++ (82% Se), CiproxineS, BactrimR. Pyélonéphrite droite le 28.06.2017. Pyélonéphrite droite non compliquée. Pyélonéphrite droite non compliquée. Cystite aigüe simple le 23.09.2015. Plaie 1 cm de la pulpe du pouce droit avec affection de l'ongle. Pyélonéphrite droite traitée par Ceftriaxone 1g (début le 11.05.2019): • Cultures urinaires en cours (seront envoyées par email au patient). • Notion de prostatite. Pyélonéphrite droite traitée par Ceftriaxone 1 g (début le 11.05.2019). • cultures urinaires en cours (seront envoyées par e-mail au patient). • notion de prostatisme chronique (DD : infection urinaire haute à point de départ prostatique). Pyélonéphrite du 03.05.2019 à E. Coli multisensible. Pyélonéphrite du 03.05.2019 • GFR 44.1 mL/mn. Pyélonéphrite G à Lactobacillus en 2012. Urosepsis à E. Coli sur pyélonéphrite D en octobre 2010. Décompensation d'une cardiopathie hypertensive, valvulaire avec composante ischémique probable en octobre 2010. Hernie discale L3-L4. Cholécystectomie en 1978. Hystérectomie non datée. Fracture en H du sacrum, fracture branches ilio et ischio-pubiennes G le 11.07.2015. Fracture de fatigue de l'aile sacrée G et D (IRM 06.07.2015). Status post fenestrations interlaminaires L3-L4 et L4-L5 D, décompression en crossover d'un canal lombaire étroit le 18.05.2015. Candidose oesophagienne avec oesophagite et gastrite antrale. Pyélonéphrite gauche. Pyélonéphrite gauche à E. Coli multisensible le 02.05.2019. Pyélonéphrite gauche à germes indéterminés le 18.04.2017. Pyélonéphrite gauche chez une patiente de 37 ans à J9 d'une césarienne pour échec de provocation. Pyélonéphrite gauche débutante. DD : colique néphrétique gauche. Pyélonéphrite gauche le 14.05.2015 avec traitement ambulatoire antibiotique. Fausse couche curetée en décembre 2013. Césarienne le 21.05.2015, sexe : F, Semaines d'aménorrhée : 38.3, poids (g) : 3260, particularités : DGIR avec échec de déclenchement. Césarienne itérative le 09.06.2016, à 39 semaines d'aménorrhée pour DGIR, chez une patiente 3G devenue 2P. Césarienne transverse isthmique basse sous rachianesthésie. Fracture non-déplacée de la tête radiale. Pyélonéphrite gauche le 15.05.2019. Pyélonéphrite gauche le 24.04.2019. Pyélonéphrite gauche le 29.05.19 • début des symptômes il y a 7 jours. • laboratoire le 28.05 qui montre une CRP à 30 et des urines avec macrohématurie. Pyélonéphrite gauche non compliquée le 29.05.2019. Pyélonéphrite gauche sur sonde vésicale en place. Pyélonéphrite gauche 13.08.2018. Bypass gastrique en 2016. Pyélonéphrite gauche 13.08.2018. Bypass gastrique 2016. Pyélonéphrite gauche. • début des symptômes il y a 7 jours. • laboratoire le 28.05 qui montre une CRP à 30 et des urines avec macrohématurie. Pyélonéphrite le 01.2018. Décompensation cardique le 01.2018. Pyélonéphrite le 08.05.2019 • qSOFA 2/3 avec FR de 24/min et PA à 98 sys (10.05.2019). • S/p pyélonéphrite 05/2018 sur E. Coli-ESBL, traitée par Pipéracilline-Tazobactame et Imipenem. • Status urinaire : leucocyturie et hématurie, pH 5 (chez le MT). Pyélonéphrite le 14.05.2019. Pyélonéphrite le 15.05.2019. Pyélonéphrite le 17.09.2016. Saignement gastrique supérieur sur ulcère gastrique et H. pylori positif 17.09.2016. Polyneuropathie périphérique des membres inférieurs (DD : OH). Sténose carotidienne bilatérale sans sténose relevante en 2016. Fibrillation auriculaire rapide d'origine indéterminée (DD : mauvaise compliance médicamenteuse, déshydratation sur gastro-entérite, hypokaliémie) le 16.04.2019. • Chez un patient connu pour une FA depuis 2016 sous Eliquis. • ETT 22.08.2016 : FEVG 55%. • CHADSVASc : 3 pts/ HAS-BLED : 6 pts. Pyélonéphrite le 19.05.2019. Pyélonéphrite le 26.04.2019. Pyélonéphrite non compliquée le 05.05.2019. Pyélonéphrite obstructive sur lithiase urétérale distale gauche de 8x9 mm. • Ciprofloxacine 12.05.2019-14.05.2019 puis Rocéphine intraveineuse le 14.05.2019 par médecin traitant. Pyélonéphrite obstructive sur urétéro-lithiase droite (1er épisode) le 26.05.2019. • Uro-CT 25.05.2019 (aux urgences) : Calcul radio-opaque à la jonction urétéro-vésicale droite de 3 x 2 x 3 mm de grand diamètre et engendrant une dilatation pyélocalicielle en amont avec un pyélon mesuré à 18 mm. Pyélonéphrite obstructive sur urétéro-lithiase gauche de 8x6x10mm. • s/p Rocéphine et Flagyl du 17 au 23.04.2019, Levofloxacine depuis le 03.05.2019. • sonde urinaire à demeure depuis octobre 2018. • CT abdomino-thoracique du 10.05.2019 (Affidéa) : calcul de 7.8 mm enclavé au niveau de l'uretère distal à environ 5 cm de la vessie avec dilatation des cavités pyélocalicielles à gauche (13 mm). Micro-embolie pulmonaire distale basale droite. Pyélonéphrite obstructive sur urolithiase gauche. • s/p Rocéphine et Flagyl du 17 au 23.04.2019, Levofloxacine depuis le 03.05.2019. • sonde urinaire à demeure depuis octobre 2018. • CT abdomino-thoracique du 10.05.2019 (Affidéa) : calcul de 7.8 mm enclavé au niveau de l'uretère distal à environ 5 cm de la vessie avec dilatation des cavités pyélocalicielles à gauche (13 mm). Micro-embolie pulmonaire distale basale droite. Pyélonéphrite par Serratia marcescens avec Cystofix en raison d'une hypertrophie prostatique le 12.07.2017.Hématome sous-dural chronique suite à une TC sous Aspirine (11/2014) • Status post trépanation gauche (12/2014) Status post TURP (1996) AIT 2007 OP tunnel carpien droit 24.07.09 St. p. Fracture du radius droit 04.10.08 Néphrolithiase droite (CT 2007/08) Status post op cataracte ddc 2002 Poliomyélite 1946 Pyélonéphrite par Serratia marcescens avec Cystofix en raison d'une hypertrophie prostatique 12.07.2017 • Status post TURP (1996) AIT 2007 OP tunnel carpien droit 24.07.09 St. p. Fracture du radius droit 04.10.08 Néphrolithiase droite (CT 2007/08) Status post op cataracte ddc 2002 Poliomyélite 1946 Pyélonéphrite: Rocephin 2 g i.v. 26.06.2017- 28.06.2017 Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale (24.06.2017), eGFR MDRD 54.5 ml/min. Pyélonéphrite simple. Pyélonéphrite simple droite: • avec suspicion de gastrite concomitante. Pyélonéphrite simple gauche avec suspicion pyélonéphrite droite le 07.01.2016. Infections urinaires à répétition (>6x) depuis décembre 2014. Pyélonéphrite sur lithiase rénale droite le 26.05.2019 • Uro-CT 26.05: Calcul radio-opaque à la jonction urétéro-vésicale droite de 3 mm de grand diamètre et engendrant une dilatation pyélocalicielle en amont avec un pyélon mesuré à 18 mm. Pyélonéphrite traitée par antibiothérapie il y a 6 mois. Pyélonéphrite 1 er épisode à l'âge de 3 mois (septembre 2017) US des voies urinaires le 11.09: sp Traitement:Ceftriaxone i.v. 50 mg/kg/j, puis i.m Avis Dr. X (néphrologue pédiatrique): ad amoxicilline 80 mg/kg/jour en 3 doses pendant 10 jours associée à la cefpodoxime 8 mg/kg/jour en 2 doses pendant 10 jours, suivi d'une prophylaxie par du bactrim 2 mg/kg/jour CUM non faite (refus des parents) Pyélonéphrite (3ème épisode en 3 mois) Pyomyosite Pyomyosite avec arthrites septiques et multiples abcès disséminés, à Streptococcus dysgalactiae, probablement sur phlébite (VVP), le 18.04.19, avec: • s/p hospitalisation à l'HFR Fribourg (Médecine) du 18.04 au 19.04.2019 • s/p hospitalisation à l'Inselspital, Bern (chirurgie et médecine) du 19.04 au 02.05.2019 • s/p débridement et lavage des tendons extenseurs main G; art. poignet, médio-carpienne; m. thénar/hypothénar; tunnel carpien (Inselspital Bern, 20.04.2019) • s/p incision et drainage abcès du pied droit (Inselspital Bern, 20.04.2019) • s/p exploration ouverte avec lavage de la hanche gauche et du pelvis, arthroscopie genou gauche (Inselspital Bern, 21.04.2019) • s/p révision du pouce gauche (Inselspital Bern, 25.04.2019) Pyomyosite du MSG à Staph. aureus le 18.03.2019 avec • Abcès communicants intra-musculaires face dorsale de l'avant-bras G • Dermohypodermite du MSG QT allongé d'origine probablement mixte sur prise de Citalopram et hypokaliémie le 15.05.2019. QT allongé. Dysthyroïdie non traitée. QT long à 460 ms d'origine iatrogène (sur prise de Fluoxetine et Ciprofloxacine) le 19.03.2015. Intoxication médicamenteuse volontaire par Dalmadorm, Sirdalud et Fluoxetine le 25.01.2015. Status post-réduction mammaire à l'âge de 18 ans. Status post-stérilisation à 30 ans. Curetage exploratoire en 1998. Décompensation facettaire L4-L5 avec instabilité sur: • status post-spondylodèse L5-S1 en 2002 pour un spondylolisthésis grade III, • status post-ablation spondylodèse en 2004, • décompression L3-L4 et L4-L5 du côté gauche, fixation L4-L5 bilatérale avec facet wedge et fixation mono-latérale L3-L4 droite, mise en place d'un PAD L3-L4 (OP le 18.06.2012). Hallucinations dans le contexte de prise concomitante de Tizanidine et ciprofloxacine le 19.03.2015. QT long à 498 le 01.03.2019 (connu depuis 2017). Insuffisance cardiaque globale le 21.03.2017. Laparotomie pour iléus grêle le 21.03.2017. Iléus grêle sur probables adhérences, avec hospitalisation du 05 au 10.01.2016. Embolie pulmonaire. Appendicectomie. Cholécystectomie. Hystérectomie pour myome utérin et ovariectomie pour tumeur. Dépression. Fracture méta-épiphysaire déplacée de l'extrémité distale du radius droit. Fracture non déplacée du processus styloïde de l'ulna droite. Crise épileptique partielle secondairement généralisée, inaugurale, probablement dans le contexte d'un méningiome fronto-pariétal gauche. Méningiome fronto-pariétal gauche, exerçant un discret effet de masse sur les gyrus cérébraux au contact. Insuffisance rénale aiguë avec clairance à 24.2 selon Cockroft & Gault dans le contexte de l'insuffisance rénale chronique d'origine prérénale sur probable vomissements et diarrhées. Troubles électrolytiques dans le contexte de diarrhées et vomissements: • hypokaliémie • hypocalcémie • hypophosphatémie. Colite du côlon transverse d'origine indéterminée, DD : ischémique, infectieuse. QT long à 510 ms QT long d'origine indéterminée, DD médicamenteuse • mars 2019 QT à 440 ms • 10.05.2019 QT à 507 ms QTc à 450 msec QTc à 450 msec QTc à 490 ms d'origine médicamenteuse probable QTc long à 462 ms le 15.05.2019 • d'origine médicamenteuse (Seresta, Fentanyl) QTc long à 500 ms d'origine médicamenteuse (Escitalopram) et dans le contexte de l'HSA le 13.05.2019 QTc long à 508 ms (480 ms le 10.10.2018) QTc-long Quantiféron : à pister Culture recherche de BAAR dans les expectorations: à pister Culture recherche de BAAR dans le liquide pleural: à pister Reprise de l'Eliquis si Quantiféron négatif Quinze ans après l'ostéosynthèse susmentionnée, Mr. Y présente une coxarthrose sévère et désormais invalidante et pour laquelle on retient une indication opératoire pour l'implantation d'une PTH par voie latérale. Après explications à Mr. Y, ce dernier signe le consentement éclairé. Au préalable, on organise une extension du bilan radiologique avec notamment un CT de la hanche afin de planifier l'intervention et également évaluer la torsion fémorale. Le jour de l'opération, Mr. Y devra bénéficier de radiothérapie de la hanche G, à cet effet nous prions nos collègues du service de radio d'oncologie de convoquer Mr. Y à cet effet. Suite à l'opération, il faudra envisager également un traitement par Indocid pendant 4 semaines. Dans un premier temps, Mr. Y va discuter avec son employeur afin de déterminer une date opératoire idéale dans la perspective d'une incapacité de travail de 3 mois qui suivra. Il reprendra contact avec nous. R à D avec Ventolin 6 pushs aux 3 heures Cô dans 24 heures aux urgences pour réévaluer Ventolin et donner des doses de Betnesol encore pour 2 jours Rachi-anesthésie Sonde à demeure Incision selon Pfannenstiel Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique à la peau Clexane selon protocole Suites de couches RAD avec antalgie, contrôle dans la nuit si récidive de douleur abdominale avec nouvel US pour recherche d'invagination Contrôle dans 24h aux urgences ou chez le pédiatre clinique et refaire urines vu résultat limite de la norme. +/-discuter US de contrôle en fonction de l'examen clinique Contrôle le 23.05.2019: Mr. Y reste fébrile, amélioration des douleurs abdominales. Pas de diarrhée ni vomissement. Toux en péjoration, surtout sur la nuit Status Poids 26.2 kg Général: bon état général. afébrile à 35.7°C Respiratoire: eupnéique, bonne entrée d'air, rales à droite mi-plage tant en antérieur qu'en postérieur. Abdominal: bruits normaux, douleur à la palpation profonde de l'hypochondre droit. Testicules indolores Radiographie de thorax: probable foyer débutant à droite Répétition du stix avec une diminution des leucocytes RAD avec antalgie et consigne de reconsulter en cas d'apparition de symptômes de gravité. RAD avec antalgie si besoin (Dafalgan et Algifor). Recommandation d'enlever le faux ongle après 48h, avec un dissolvant approprié. Consultation chez le médecin traitant si péjoration. • RAD avec Movicol 1x/jour jusqu'à normalisation du transit, consigne de reconsulter si péjoration des symptômes ou apparition d'un état fébrile. • Suivi chez le médecin traitant semaine prochaine. • RAD avec Prednisone, Betaserc et Pantozol. • Contrôle en ORL en ambulatoire. • RAD avec traitement conservateur (paracétamol, AINS et rinçage nasal avec eau salée). • Arrêt de travail jusqu'au 05.05.19. • Mr. Y informé de reconsulter son médecin traitant si non-amélioration des symptômes malgré le traitement conservateur. • Radiculalgies L5 droites sur suspicion de sténose voire hernie discale. • Radiculopathie algique et déficitaire (à M4) de la racine L4 G sur sténose foraminale L4-L5 sur composante de kyste articulaire et de hernie discale intra-foraminale L4-L5 G. • Radiculopathie L5 sans déficit le 26.05.2019. • Radio clavicule face et tangentiel. • Avis ortho (Dr. X). • Rucksack pour 4 semaines avec un contrôle radio-clinique à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. • Antalgie au besoin. • Radio colonne lombaire: suspicion fracture tassement L3, tassement L1 ancien. • Radio en charge: pas de majoration du tassement. • Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X): suspicion fracture pathologique L3. • Mobilisation libre. • Physiothérapie. • Adaptation de l'antalgie. • Consultation Spine et IRM à 2-3 semaines à organiser. • Radio de la cheville gauche: pas de lésion osseuse traumatique visualisée. • Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). • Radio du thorax: suspicion de petit foyer. Étalement de la silhouette cardio-médiastinale en rapport avec la position assise. Infiltrat basal gauche effaçant la silhouette cardiaque en faveur d'un foyer infectieux, à corréler à la clinique et au laboratoire. Cadre osseux et parties molles sans particularités. Angio-CT thoracique: absence d'embolie pulmonaire, confirmation d'un foyer infectieux. Les structures cardio-vasculaires médiastinales se présentent normalement. Pas d'embolie pulmonaire. Taille du tronc pulmonaire à la limite supérieure de la norme (29 mm). Athéromatose calcifiée de l'aorte thoracique et du départ des troncs supra-aortiques. Calcifications de la valve aortique. Calcifications des artères coronaires. Les cavités cardiaques se présentent normalement. Aspect fin de l'apex cardiaque gauche évoquant une probable séquelle d'infarctus. Pas d'épanchement péricardique. La thyroïde se présente normalement. Pas d'adénopathie axillaire. Ganglions médiastino-hilaires augmentés de taille, à titre d'exemple ceux situés dans la graisse cardio-phrénique gauche sont les plus volumineux et mesurent jusqu'à 13 mm de petit axe dans le plan transverse. Au sein du parenchyme pulmonaire, mise en évidence de multiples consolidations; la première se situant au sein du segment apico-postérieur et la deuxième au niveau du segment lingulaire inférieur, cette dernière est associée à un épaississement péri-bronchique à un comblement de la bronche segmentaire s'y dirigeant. Au sein du segment latéral du lobe moyen, mise en évidence d'une troisième petite consolidation associée à une image d'arbre en bourgeon dans sa périphérie. Épaississement péri-bronchique diffus bilatéraux. Mise en évidence d'une bulle d'emphysème de 32 mm située au niveau du segment latéro-basal du lobe inférieur droit. Pas de nodule suspect clairement mis en évidence. Au sein des coupes infradiaphragmatiques, pas de lésion suspecte visible. Épaississement de la glande surrénale gauche. Sur le volume osseux exploré, pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante visible. Remaniements dégénératifs pluri-étagés du rachis exploré. CONCLUSION Pas d'embolie pulmonaire. Foyer du segment lingulaire inférieur et probables autres petits foyers au sein du lobe supérieur gauche et du lobe moyen. • Radio D3 et D4 face/profil. • Protocole plaque palmaire. • Antalgie, arrêt de sport. • Contrôle dans 1 semaine en ortho-urgences (mail envoyé). • Radio genou G. • Avis orthopédique (Dr. X): pour exclure une fracture, nécessité de réaliser un CT. • CT: refus de la part de la patiente. • Attelle: refus de la part de la patiente. • Antalgie. • Surélévation du membre. • Radio hanche et fémur gauche le 01.05.2019: fracture pertrochantérienne luxée avec fracture dans la diaphyse fémorale proximale gauche. • Antalgie. • Xarelto en suspens le 01.05.2019. • Transfert en orthopédie HFR Fribourg pour la suite de prise en charge le 01.05.19. • Radio main droite face/profil/oblique: pas de fracture visualisée. • Avis ortho (Dr. X): attelle d'Edimbourg à but antalgique, pas de fracture visualisée. • Radio: pas de fracture. • Avis orthopédique (Dr. X). • Radio: pas de lésion osseuse objectivée. • Exploration de la plaie: lésion tendineuse objectivée. • Avis orthopédique (Dr. X): lésion du fléchisseur profond, prise au bloc dès que possible. En attendant 2 points de rapprochement avec prolène 4.0. • Aux urgences: rappel tétanos, augmentin 2.2 g iv. • Radio Poignet D ap, lat le 13.03.2019. • CT Poignet D le 13.03.2019. • Avis orthopédique le 13.03.2019: Dr. X. • Plâtre fendu du 13.03.2019. • ORIF volaire radial et stabilisation latérale du styloïde ulnaire le 14.03.2019. • Attelle pour 1 semaine du 13.03 au 08.04.2019. • Attelle seulement pour les déplacements. • Ergothérapie mobilisation du poignet selon douleurs à 6 semaines. • Radio poignet face/profil. • Plâtre AB. • Contrôle dans 1 semaine en ortho-urgences (mail envoyé). • Radio rotule: en ordre. • Radio thoracique. • Radio Thorax. • ECG. • Laboratoire. • Avis Soins intensifs. Aux urgences: • Nitroglycérine 0.8 mg caps. • Aspirine 250 mg. • Héparine 5000 UI. • Efient 60 mg. Attitude: ad SI pour monitoring cardiaque et avis cardio demain. • Radio thorax le 17.04.2019: pas d'infiltrats pulmonaires pathologiques. Aucun signe de décompensation. Pas d'épanchement pleural. Le 17.04.2019: Torem 20 mg. Depuis le 18.04.2019: Torem 5 mg. Le 18.04.2019 Bisoprolol est augmenté jusqu'à 10 mg. • Radio thorax 1h post-opératoire: pas de pneumothorax. • Contrôle de pacemaker. • Contrôle de la plaie à 10 jours par l'infirmière en cardiologie. • Contrôle du pacemaker à 4-6 semaines, chez le Dr. X. • Radio Thorax 13.05.2019: Kardiomegalie, pas de décompensation cardiaque, pas d'épanchement pleural à gauche, mais épanchement pleural postérieur à droite. • Radio. • Avis orthopédique, Dr. X. • Réduction fermée sous MEOPA et Fentanyl i/nas. • Plâtre BAB en supination. • Radio de contrôle post-plâtre: réduction suffisante avec décalage tolérable. • Contrôle vendredi radio-clinique et circularisation du plâtre. • Radiographie: du poignet et pouce gauche: pas d'anomalie visible des structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Si forte suspicion de fracture, à compléter par un CT à distance. Poignet G: bonne immobilisation plâtrée. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X). • Radiographie: fracture de la base de la phalange distale du gros orteil droit. • Semelle rigide, charge selon douleurs. • Protocole RICE. • Antalgie. • Contrôle en ortho-urgences dans 10 jours. • Radiographie: pas de corps étranger visible. • Contrôle dans 48h au secteur ambulatoire des urgences. • Radiographie: pas de fracture mise en évidence. • RICE. • Antalgie. • Attelle Edimbourg. • Contrôle en ortho-urgences dans 7-10 jours pour évaluation de la douleur et ablation éventuelle de l'attelle. • Radiographie: pas de fracture. • Attitude: • Glace, antalgie simple. • Ablation de l'anneau du 4ème doigt aux urgences. • Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs. • Radiographie: pas de fracture. • Chaussure Darko pour antalgie 1 semaine. • Arrêt de sport 1 semaine.Contrôle chez pédiatre si persistance Radiographie: Absence de fracture RICE Radiographie au cabinet Avis orthopédique, Dr. X Immobilisation avec syndactilie D5-D4 et position intrinsèque Bon pour faire attelle thermoformée en ergothérapie RDV radio-clinique dans 5 jours en orthopédie Traitement par algifor en réserve Radiographie auriculaire droite : Fracture tête P1 D5 Radiographie avant-bras et coude : pas de fracture ou signe indirect de fracture Avis orthopédique, Dr. X Echarpe pour antalgie Arrêt de sport 1 semaine Contrôle chez pédiatre au besoin Radiographie avant-bras et coude face/profil Avis ortho (Dr. X) Radiographie avant-bras et coude Avis orthopédique, Dr. X BAB fendu Reconvocation à jeûn le 31.05 pour prise en charge chirurgicale Radiographie avant-bras face/profil et coude face/profil: fracture transversale diaphysaire du 1/3 moyen du radius avec translation latérale de > 100% Radiographie avec explication donnée par le médecin. Antalgie. Repos. Arrêt de travail pour 3 jours. Suivi chez le médecin traitant. Radiographie, avec explication donnée par le médecin: pas de fracture visible, épanchement visible. IRM le 17.05.19 (mpsl, bilan du cartilage), après rendez-vous au team genou. Avis orthopédique (Dr. X): attelle en 0-20° pour protection, physio-thérapie, Clexane et analgésie. Radiographie, avec explication donnée par le médecin: pas de fracture. Antalgie simple. Radiographie Avis ortho Fribourg Attelle jeans avec 20° de flexion pendant 4 semaines Clexane prophylactique Anti-inflammatoires Radiographie Avis orthopédique Dr. X Plâtre BAB fendu Contrôle orthopédie urgences dans 1 semaine avec circularisation, plâtre pour 3 semaines au minimum Radiographie Avis orthopédique, Dr. X Echarpe 2-3 jours AINS et glace Arrêt de sport 5 jours Radiographie bassin / hanche gauche axiale du 04.05.2019 Laboratoire du 04.05.2019 : Hb à 126 g/l Radiographie thorax du 04.05.2019 : sp Avis orthopédique du 04.05.2019 (Dr. X) : ad hospitalisation en chirurgie pour prise en charge au bloc opératoire - attitude à jeûn Prise en charge au bloc opératoire Hospitalisation en chirurgie Radiographie bassin / hanche gauche du 07.05.2019 CT-scan du hanche gauche : pas de fracture visualisée Avis orthopédique du 07.05.2019 (Dr. X) : pas de fracture visualisée, ad réadaptation pour trouble de la marche gériatrie - att Hospitalisation en gériatrie Physiothérapie Radiographie bassin (face), genou gauche (face, profil et axial de la rotule) et doigt 5 gauche (face et profil) : pas de fracture visualisée. Arthrose du genou, notamment du compartiment interne. - Poursuite traitement antalgique habituel. - Maintien de l'infiltration lombaire telle que prévue le 02.05.19 à la clinique Hirslanden. Radiographie bilatérale des genoux et des rotules : pas de fracture. Désinfection, médication stérile avec Bétadine onguent et Mepilex. Marche en charge complète selon douleurs. Anti-inflammatoire. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences dans 48h pour réfection de pansement. Radiographie cervicale : pas de fracture, explication donnée par le médecin. Attitude : - constat de coup le 17.05.19 au secteur ambulatoire des urgences (patient sera convoqué) - reçoit les recommandations de suivi post traumatisme crânien - contrôle par ORL si déformation du nez après diminution de la tuméfaction. Radiographie cervicale, avec explication donnée par le médecin: pas de fracture visualisée. Avis orthopédique (Dr. X): - minerve peut être retirée. - antalgie simple. Attitude: - Consignes de gravité communiquées et informations écrites données à la patiente. - Antalgie simple et repos. Radiographie cervicale et dorsale : décrite ci-dessous. Antalgie simple. Radiographie cervicale face et profil, épaule gauche face, axial et neer, coude face et profil : pas de signe de fracture ou de lésion osseuse (examen avec explication donnée par le médecin). Le patient a été examiné également par le Dr. X, chef de clinique d'orthopédie et par le neurologue de garde vu les symptômes atypiques avec des douleurs invalidantes mais n'irradiant pas sur un dermatome ou un nerf spécial. Traitement conservateur en première ligne, avec AINS, Sirdalud, antalgie (Voltarène, Sirdalud et Brufen). Bretelle. Arrêt de travail à 100% pour 2 semaines. Contrôle à la consultation du team membre supérieur vendredi 10.05.2019, si persistance des symptômes envisager une IRM de l'épaule gauche et du plexus brachial gauche. Radiographie cervicale f/p (examen avec explication donnée par le médecin). Avis orthopédique (Dr. X). Antalgie et anti-inflammatoire. Physiothérapie avec fango et massage. Consigne de reconsulter en cas de mauvaise évolution. IRM à organiser par le médecin traitant si persistance des douleurs. Radiographie cervicales face/profil (vues avec radiologue): pas de lésions visualisées Radiographie cheville à gauche Traitement conservateur avec AirCast pour 3 semaines, cannes au besoin pour décharge partielle Arrêt de sport pour 3 semaines Réévaluation besoin de physiothérapie à la fin du traitement conservateur Conseils anti-thrombotique donnés. Radiographie cheville droite: absence de fracture, tuméfaction des tissus mous en regard de la malléole externe Radiographie cheville droite: absence de fracture, tuméfaction des tissus mous en regard de la malléole externe RICE Aircast, cannes (peut charger, pas de clexane) Arrêt Sport Contrôle pédiatre dans une semaine pour évaluation nécessité de physiothérapie ou de consultation spécialisée Radiographie cheville droite, en charge : rapports articulaires conservés, absence de lésion osseuse traumatique. Attitude : - traitement symptomatique - arrêt de travail - suite de prise en charge chez le médecin traitant. Radiographie cheville droite face/profil Avis ortho (Dr. X) Arrêt sport, repos, antalgie de 1er palier, suivi par pédiatre Si douleur > 2 semaines, ad consultation en orthopédie Radiographie cheville droite Avis orthopédique, Dr. X AirCast 3 semaines Arrêt de sport 3 semaines Antalgie et traitement symptomatique entorse Radiographie cheville et jambe droites le 27.03.2019 Radiographie de contrôle à 1 semaine le 03.04.2019 : pas de déplacement secondaire Radiographie de contrôle à 2 semaines le 10.04.2019 : pas de déplacement secondaire Mise en place de plâtre fendu le 27.03.2019 Avis orthopédique (Dr. X) Contrôle à la consultation ambulatoire du Team Pied à 6 semaines le 08.05.2019 à 09h00 Tests de la cognition du 09.04.2019 : MMSE à 25/30, test de la montre à 4/7 Radiographie cheville gauche face/profil: pas de fracture visualisée Radiographie cheville gauche face/profil, pied gauche face/profil/oblique en charge : pas de fracture, pas de pied plat. Avis orthopédique (Dr. X) : poursuite du repos pendant 6 semaines, AINS et bandage élastique pendant 7 jours, contrôle chez son médecin traitant avant voyage au Canada, consigne de reconsulter auparavant si péjoration des symptômes. Radiographie cheville gauche le 25.05.2019 CT cheville gauche le 25.05.2019 Énoxaparine 1x/j Consilium orthopédie (Dr. X) : Plâtre cruro-jambier, ortho urg dans 1 sem pour contrôle radiologique et circularisation Décharge complète avec cannes anglaises Chaise roulante Radiographie colonne cervicale et dorsale Laboratoire FAST ( Dr. X) : pas d'épanchement abdominal, ni péricardique, ni pleural, pas de pneumothorax Radiographie colonne cervicale: pas de fracture, pas de déplacement. RAD avec traitement symptomatique et arrêt de travail. Radiographie colonne lombaire : suspicion fracture tassement L3, tassement L1 ancien Radiographie en charge : pas de majoration du tassement Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X) : suspicion fracture pathologique L3 Mobilisation libre Physiothérapie Adaptation de l'antalgie par Oxycontin IRM rachis prévu pour le 07.06.2019 Consultation Spine team (Dr. X) le 11.06.2019 Ostéodensitométrie prévue pour le 28.06.2019 Radiographie colonne lombaire f/p (examen avec explication donnée par le médecin). Avis orthopédique. Antalgie et anti-inflammatoire. Physiothérapie à but antalgique : fango. Contrôle clinique chez son médecin traitant à 1 semaine. Consigne de revenir aux urgences si mauvaise évolution. Radiographie colonne lombaire le 27.05.2019 CT colonne lombaire le 27.05.2019 : en cours à pister Radiographie colonne lombaire/dorsale, le 23.04.2019 Hydratation iv et oral Physiothérapie mobilisatrice Soins à domicile pour aide à la douche organisés Radiographie colonne thoracique + lombaire jusque L2 Radiographie colonne thoracique CT colonne thoracique Avis orthopédique (Dr. X) Mobilisation avec charge selon douleurs, radiographie debout colonne thoraco-lombaire face-profil en post-op dès que possible Radiographie colonne vertébrale Physiothérapie Contre-indication au sport pendant 2 semaines Antalgiques (Algifor) Radiographie cou et thorax. Laboratoire : sans particularité. Avis ORL (Dr. X) : impaction de la noix dans le tiers supérieur de l'oesophage, impossibilité de la déplacer avec le nasofibroscope. Oesophagoscopie (Dr. X) : descente de la noix (3 fragments) jusqu'à l'estomac, muqueuse tuméfiée et légèrement hyperémique. Pas de suivi nécessaire. Anesthésie Standby (Propofol 240mg). Primperan 10mg IV. Valium 2mg IV. Surveillance post-sédation aux urgences. Retour à domicile en train - patient au courant qu'il ne peut pas conduire jusqu'au 31.05.2019 matin. Radiographie coude droit. Avis orthopédique (Dr. X). Attelle membre supérieur droit d'immobilisation postérieure à 110° pour 3-4 jours. Traitement symptomatique (pas d'AINS vu fonction rénale abaissée, en cours d'investigations). Contrôle chez médecin traitant en début de semaine prochaine. Recommandé au patient de consulter avant si évolution défavorable malgré les traitements. Radiographie de bassin et de hanche du 16.05.2019 Avis oncologique (Dr. X) : chimiothérapie palliative à distance de l'opération Avis orthopédique (Dr. X et Dr. X) : hospitalisation pour opération Avis anesthésique (Dr. X) : titration catapresan et fentanyl Aux Urgences : • antalgie par Catapresan, Fentanyl, poursuite traitement habituel de Targin 40mg 2x/j + oxynorm 10mg 6x/j en réserve Attitude : • antalgie par Targin et Oxynorm à adapter selon clinique, consilium anesthésique demandé pour adaptation antalgie • traitement angoisse par Temesta • anti Xa 1x/j Xarelto, une fois que infra-thérapeutique : introduction clexane prophylactique • opération par lame plaque prévue une fois anti Xa dans la norme • lit strict Radiographie de cheville Antalgie Arrêt de sport pendant 6 semaines Physiothérapie Aircast Contrôle chez le médecin traitant dans 1 mois Radiographie de contrôle le 07.05.2019 Avis orthopédique (Dr. X) le 08.05.2019 Radiographie de contrôle Contrôle du pacemaker 23.05.2019 : les tests de détections, stimulations et impédances sont dans les normes Prochain contrôle du pacemaker : dans 1 mois Radiographie de épaule gauche, avec explication donnée par le médecin : pas de fracture, pas de luxation. Radiographie de l'épaule droite, avec explication donnée par le médecin : pas de fracture, pas de luxation. Consultation orthopédique (Dr. X) : contracture musculaire simple, antalgie selon schéma. Radiographie de genou G le 10.05.2019 : on retrouve un status post-ablation de la PTG et mise en place d'un Spacer qui est en position inchangée sans signe de luxation. Le reste de l'examen est superposable. Radiographie de jambe : pas de lésions osseuses visualisées. Exploration plaie : pas de lésion artérielle, nerveuse, articulaire. Anesthésie locale par Rapidocaïne 10mg/ml 7.5 mg au total. Points sous cutanés avec Vicryl 3.0. 7 points cutanés par Prolène 3.0. Avis orthopédique (Dr. X). Co-Amoxicilline 2.2.g dose de charge aux Urgences. Attitude : • Co-Amoxicilline 1g 3x/j pendant 5 jours • contrôle de plaie à la F 34 à 48h, puis à la consultation du médecin traitant. • retrait des points à 2 semaines • attelle Jeans en extension à porter selon tolérance, charge totale • signe de gravité nécessitant une nouvelle consultation en urgence connus du patient. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Prescription d'antalgie. Attelle Aircast avec cannes, charge possible sur le membre inférieur droit. Contrôle chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Avis orthopédique (Dr. X), médecin assistant. Immobilisation par attelle plâtrée postérieure avec réévaluation à J7 en policlinique d'orthopédie. Protocole GRACE. Réévaluation à J7 en policlinique d'orthopédie. Colloque de radiologie du 11.05.2019 : manque une incidence radiologique. Arrêt de travail. Radiographie de la cheville droite : discrète tuméfaction des parties molles périmalléolaires. Pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé et superposable pour le reste au comparatif du même jour, notamment sans lésion osseuse traumatique clairement objectivée. (Dr. X). Radiographie du pied : pas de lésion osseuse traumatique clairement visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : pas d'anomalie visible des structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques et les interlignes articulaires sont conservés (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques sont conservés. Epine calcanéenne. Si forte suspicion de fracture, à compléter par un CT-Scanner à distance. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : tissus mous sp. Contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires conservés sans lésion traumatique visible. Os péronier accessoire. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : tuméfaction des tissus mous en regard de la malléole externe et remaniement de la malléole interne, mais pas de lésion osseuse traumatique récente visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Examen réalisé sous contention plâtrée : sans pli visualisé et superposable pour le reste au comparatif du même jour, notamment sans lésion osseuse traumatique mise en évidence. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Avis orthopédique (Dr. X). Immobilisation par attelle plâtrée postérieure. Mère du patient refusant le contrôle radiographique post-plâtre. Décharge signée par la mère. Protocole GRACE. Conseils d'usage. Suite de prise en charge et réévaluation à J7 en policlinique d'orthopédie. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Bande élastique. Radiographie de la cheville droite du 04.05.2019 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite du 04.05.2019: status après ostéosynthèse par 3 broches et une vis d'une ancienne fracture de la malléole interne, ainsi que tuméfaction des tissus mous en regard de la malléole externe, mais pas de lésion osseuse traumatique récente visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite du 08.05.2019: pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X) Radiographie post-plâtre de la cheville droite du 08.05.2019: status post immobilisation plâtrée pour entorse stade 3. Bonne immobilisation plâtrée. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite du 16.05.2019: pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite du 17.05.2019: pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite du 20.05.2019: fracture malléolaire externe très suspecte de type Weber B. Pas d'anomalie décelable des autres structures osseuses. Surcroît d'opacité en projection de la malléole externe. (Dr. X) Radiographie post-plâtre de la cheville droite du 20.05.2019: status post-immobilisation plâtrée pour fracture Weber B. Pas de déplacement secondaire. Les rapports anatomiques restent conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite du 24.05.2019: pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques sont conservés. Structure calcifiée talo-talienne externe, probablement une ossification versus arrachement osseux, à confronter aux données cliniques. Discret surcroît d'opacité en projection des parties molles périmalléolaires externes. Si forte suspicion de fracture, compléter par un CT scanner à distance. (Dr. X) Radiographie du pied droit du 24.05.2019: pas d'image de fracture décelable dans les limites des incidences réalisées. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie post-plâtre de la cheville droite du 24.05.2019: status post-immobilisation plâtrée. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite du 24.05.2019: tuméfaction des tissus mous en regard de la malléole externe mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite et de la jambe droite: Cheville: pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques sont conservés. Aspect normal de la syndesmose tibio-péronière. Jambe: pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques sont conservés. Si forte suspicion de fracture, à compléter par un CT-scanner à distance. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite et du pied face/profil/oblique: pas de signe de fracture, pas d'ostéolyse. Traitement antalgique. Contrôle chez le médecin traitant et chez l'opérateur en cas de persistance des douleurs. Radiographie de la cheville droite face et profil: tuméfaction des parties molles péri-malléolaires internes et externes. Solution de continuité radio-transparente de la pointe malléolaire externe évocatrice d'une fracture de type Weber A. DD petit noyau d'ossification accessoire non soudé. Rapports articulaires de la cheville conservés. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite face/profil: pas de lésion osseuse décelable. Bandage élastique. Cryothérapie avec glace plusieurs fois/jour. Anti-inflammatoire. Arrêt de sport pour 1 semaine. Contrôle chez le médecin traitant. Radiographie de la cheville droite face/profil: pas de lésion osseuse. Attelle BOA pour 6-8 semaines. Prophylaxie anti-thrombolique par Clexane 40mg jusqu'à charge complète. Antalgie simple. Physiothérapie. Contrôle chez le médecin traitant. Radiographie de la cheville droite face/profil: pas de lésion osseuse. Attelle BOA pour 6-8 semaines. Prophylaxie anti-thrombolique par Clexane 40mg jusqu'à charge complète. Antalgie simple. Physiothérapie. Contrôle chez le médecin traitant. Consultation du 16.05.2019: • Prolongation de l'arrêt de travail. Radiographie de la cheville droite face/profil du 20.05.2019: par rapport au comparatif du 19.04.2019, on retrouve l'aspect fragmenté de la malléole interne, mais pas de lésion osseuse traumatique récente surajoutée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite face/profil et du pied entier droit face/oblique du 28.05.2019: contenu calcique, structures osseuses conservées, sans lésion traumatique ostéo-articulaire visible tant au niveau de la cheville que du pied. Discrète tuméfaction des parties molles péri-malléolaires internes. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite face/profil le 04.05.2019: pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés et les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite le 16.05.2019, avec explication donnée par le médecin: normale. Antalgie avec Voltaren et Dafalgan selon schéma. Attelle Aircast pour 3 semaines et charge selon douleurs, + Clexane 40 mg jusqu'à charge complète. Radiographie de la cheville droite (2 clichés): examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé et superposable pour le reste au comparatif du même jour, notamment sans lésion osseuse traumatique mise en évidence. Radiographie du pied entier droit: pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés, les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge. (Dr. X). Radiographie de la cheville et de l'avant-pied droit. Retour à domicile avec antalgie et RICE. Radiographie de la cheville gauche: ancienne fracture Weber A. Scanner cheville/pied gauche: petit arrachement au niveau du tuberculum postéro-médial du talus et ancienne fracture Weber au niveau de la malléole latérale. Marche en charge selon douleurs avec VacoPed et cannes. Anti-inflammatoire. Contrôle à 1 semaine au Team Pied. Radiographie de la cheville gauche: bonne immobilisation plâtrée. On retrouve les remaniements déjà connus au niveau de l'interligne tibio-talien au niveau de la métaphyse distale du tibia. Le reste du status est superposable. (Dr. X). Radiographie de la cheville gauche: corps osseux corticalisé sous-malléolaire externe correspondant à un processus ancien, mais pas de lésion osseuse traumatique récente visualisée. Éperon calcanéen. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche: décrite ci-dessous. État clinique rassurant. Antalgie simple. Attelle Aircast. Retour à domicile. La patiente est prévenue de reconsulter son médecin traitant en cas de persistance de douleurs. Radiographie de la cheville gauche: fracture luxation externe de la cheville. Atteinte multi-fragmentaire du péroné distal de type Weber B avec luxation tibio-astragalienne compartimentale externe, atteinte malléolaire postérieure marquée par une irrégularité de corticale sur le profil. Pas d'argument pour une atteinte de la malléole interne tibiale. Volumineux éperon calcanéen. (Dr. X). Radiographie de la cheville gauche: Comparatif du jour. St/p réduction et mise en place d'une contention plâtrée. Persistance d'une discrète subluxation tibio-astragalienne dans le contexte d'une fracture multi-fragmentaire du péroné distal G. Attitude en équin du pied. Sous contention, l'atteinte malléolaire postérieure est mieux visible que précédemment, sans évidence de DS surajouté. (Dr. X).